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W - Sauvegarde de l`adolescence de Paris

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1. Typologie des 38 m nages accompagn s dans le cadre de la cl ture de l exp rimentation a plus de 25 ans moins de 25 ans Hommes a C libataires a Couple avec enfant Famille monoparentale Concernant les personnes d j accompagn es en 2012 ces jeunes adultes qui ont t reconnu prioritaire et urgent par la COMED en 2008 et 2009 sont pr sent et de fa on tr s majoritaire ag s de plus de 25 ans Ce sont les jeunes femmes qui restent massivement concern es par la poursuite de l AVDL dans le cadre de la cl ture de l exp rimentation 2012 il s agit pour l essentiel de familles monoparententales cumulant de multiples difficult s 54 Conditions de logement ou d h bergement Conditions de logement h bergement Non communiqu 1 ind cent 2 Insalubre 3 P ril imminent 1 Les conditions de logement insalubre indigne sur occup avec galement une r percussion sur les relations entre les occupants d un m me logement d un immeuble d grad n cessitent un accompagnement soutenu dans le cadre de l AVDL Le travailleur social y joue un important r le d interface avec l ensemble des partenaires et notamment la r activation d un accompagnement social avec le service social de secteur Sous litem multiple une douzaine de m nages cumulent plusieurs difficult s en lien avec les conditions de logement Situation socio professionnelle NATURE DES RE
2. 92 a Avec un total cumul gal 56 2 de jeunes en CDI plein temps temps partiel CDD ou int rimaires les jeunes actifs constituent la grande majorit des jeunes participants Une part importante de ces jeunes sont dans des emplois d avenir ou en alternance Inscrits dans un parcours socio professionnel ils doivent pour maintenir leur situation professionnelle consolider leur parcours r sidentiel Le travail d interface avec la DLH pour l orientation de ce public dans le cadre de l habitat adapt de type logement foyer FJT s effectue dans le cadre des entretiens individuels propos s aux jeunes l issue des actions collectives a Concernant les autres participants leur inscription r cente dans un parcours d insertion professionnelle pour 12 d entre eux jeunes en formation et EDI ou une recherche d emploi 22 la participation l action collective met de fa on cruciale jour la n cessit d envisager une tape transitoire d h bergement La mise jour de la situation administrative avec notamment la d claration de revenus en plus du num ro de demandeur de logement est le premier jalon du projet logement de ces jeunes Constat sur l volution du profil des jeunes Le public que nous accueillons ne peut plus acc der au parc priv en Ile de France L augmentation du prix des loyers et de l exigence des propri taires ferment totalement cette possibilit Pour ceux qui ont des revenus r gulie
3. Le CREPI devient un partenaire ressource pour l atelier D couverte des m tiers les jeunes auront la possibilit de visiter des entreprises dans des secteurs professionnels vari s Ils pourront ainsi renforcer leur connaissance du secteur professionnel ou largir leurs choix d orientation Le GRETA Tertiaire Paris Centre et La Villette ont t contact s dans le cadre de leur module d accompagnement la recherche d informations sur les m tiers Ce dispositif viendra renforcer le travail initi l EDI et d velopper la capacit du jeune explorer d autres lieux ressources et utiliser les supports num riques au service de son projet de fa on plus autonome Le centre Beaubourg des contacts se sont pris pour avoir la possibilit de visites m tiers de l clairage et du son dans le cadre de l atelier D couverte des m tiers Nous essaierons ainsi d allier la d couverte culturelle et la d couverte des m tiers Les coulisses du BTP pour des visites de chantiers Quelques stagiaires comme chaque ann e ont visit un chantier prestigieux accompagn s par les parrains b n voles issus de ProBTP du CIEJ Artisans du Monde a anim une pr sentation d un jeu autour du commerce quitable en lien avec la pr sentation des activit s de la Boutique Coqu ron Les projets collectifs Atelier photo et reportage sur Paris en t Dans le cadre de l atelier Photo les jeunes ont pu am liorer leurs com
4. Accueil Provisoire Jeune Majeur APJM que les jeunes majeurs sont admis dans notre service gt Les grandes lignes du projet d interventions socio ducatives Le logement mis la disposition du jeune Dans ce projet nous proposons au jeune majeur d utiliser le support mat riel et concret de l occupation d un logement pour s entra ner quotidiennement aux apprentissages en lien avec la gestion d un logement Ces studios diffus dans Paris permettent aux jeunes de vivre une premi re exp rience de gestion d un logement d accomplir de fa on autonome diff rentes 36 activit s inh rentes la vie dans un logement tre responsable du logement et de son entretien g rer un budget prendre soin de soi repas sommeil Par ailleurs pour favoriser l entr e dans la vie active du jeune un travail de transversalit avec le Centre d initiatives pour l Emploi des Jeunes CIEJ ainsi qu un partenariat avec les 5 sites de la mission locale de Paris compl tent nos modalit s d accompagnement gt Activit s r alis es en 2013 malgr un contexte parisien difficile 20 jeunes CJM ont t accompagn s en 2013 dont 8 nouvelles admissions Pour rappel Notre association a mobilis 14 logements temporaires pour cette activit 12 studios et 2 T2 Les jeunes hommes et femmes CJM sont g s de 18 20 ans au moment de la demande Nombre de ST d h bergement EE 1383 4110 4764 5159 4846 annuel L ann e 201
5. POUR L EMPLOI DES JEUNES f fnformation Jeunesse _1600 structuros vous sccuaiflont LAUVCCARDE Dr i AUOLCSCENLE dans touta fa Franco LE POINT INFORMATION JEUNESSE Nous sommes attach s ce label qui atteste du bien fond de nos actions d information aupr s des jeunes sur l ensemble des th matiques qui les concernent Les questions li es la politique Jeunesse sont particuli rement d actualit chaque chelon institutionnel R gion Etat D partement et Ville revendiquant d avoir mis en place des structures des actions sp cifiques relatives la Jeunesse Cela a pour cons quences la multiplicit des structures jeunesse allant de pair avec une difficult pour les jeunes les familles les professionnels d avoir une lisibilit sur les sp cificit s des structures et les modalit s d articulation entre elles Cela est particuli rement vrai sur Paris avec la cr ation de 3 nouveaux espaces jeunes par le D partement de Paris et la refonte des services en charge de la jeunesse le foisonnement de l information tous azimuth et des initiatives sur fond de concurrence accentu e entre acteurs de l insertion et de l animation la baisse de fr quentation des jeunes venant effectivement dans les structures du fait du d veloppement des nouvelles technologies et la n cessit d utiliser les nouveaux canaux de communication sous peine de ne pas toucher le public cible site internet facebook twitter Nous a
6. La dur e des parcours oscille entre 4 et 6 mois pour beaucoup Les r orientations sont effectu es plus rapidement du fait d une analyse plus approfondie et plus pr coce de notre part de la demande et des besoins des jeunes et des prescripteurs Le parcours des stagiaires probl matiques et partenariats Les probl matiques rencontr es et l articulation avec les partenaires Les constats suivants ont t partag s de fa on renouvel e notamment avec les services de la R gion en charge des EDI On note l impossibilit pour l EDI de continuer accueillir de fa on croissante tous les jeunes relevant de prises en charge sp cialis es en psychiatrie ou dans le handicap cons quence des carences en mati re de places dans les tablissements existants Nous faisons donc de fa on plus pr coce et approfondie une analyse de la situation du jeune pour savoir si le dispositif propos peut r ellement lui tre b n fique et ne serve pas uniquement de lieu occupationnel la n cessit pour les prescripteurs des missions locales d approfondir tous les aspects de la situation d un jeune avant de l adresser l EDI valuation de la situation sociale identification des probl matiques prise de contact pr alable avec d ventuels intervenants ducatifs th rapeutiques Ces pr alables sont indispensables pour permettre l EDI de se centrer sur les objectifs de formation avec le stagiaire sinon cela se fait en individue
7. la confection des paquets cadeaux et des sacs personnalis s l encaissement 24 Le 10 d cembre 2013 la DASES de 10 h 16h Hall MAZAS Rez de jardin 94 96 quai de la Rap e 75012 Paris Produits issus du commerce S i TELECO OT CENTRE D INITIATIVES pESrACE DYNAMIQUE BPOUR L EMPLOI DES JEUNES INSERTION COQUERC Ces journ es l ext rieur sont des exp riences riches et importantes pour les jeunes plusieurs titres elles repr sentent une valorisation de leurs comp tences dans un contexte inhabituel une r elle activit professionnelle dont ils sont fiers car elle les confronte une autre r alit professionnelle hors contexte d apprentissage la boutique cole Lors des bilans collectifs apr s les ventes ext rieures les jeunes ont exprim leur int r t mais regrettent aussi que l exp rience se d roule sur une seule journ e La tenue d une vente sur une dur e plus longue peut s envisager nous recherchons d autres lieux pour l ann e prochaine Nous sommes aussi la recherche de nouveaux produits pour diversifier nos talages et d velopper des cr ations originales Les ateliers logistiques qui ont eu lieu chaque semaine en dehors de la tenue de la boutique ont permis aux jeunes de travailler en profondeur la fonction logistique essentielle pour assurer un bon roulement des articles du d p t vente Une des activit s de l atelier logistique est la r alisation de l inventaire acti
8. pr c demment l atelier de recherche d emploi Au vu de l augmentation importante du nombre de jeunes ayant cette demande nous avons renforc cet atelier d di deux demies journ es par semaine partir de septembre 2013 En interne L Atelier de recherche de stage et ou les techniques de recherche de stage Cet atelier a fonctionn toute l ann e Il a t renforc de septembre d cembre 2013 au vu des constats de fr quentation Les jeunes ont pu aborder leurs recherches de stages avec plus de pr paration et de pragmatisme les aidant ainsi s lectionner les entreprises qui correspondent le mieux leur projet professionnel 37 ateliers r alis s sur l ann e dont 22 sur le dernier trimestre 2013 146 jeunes inscrits sur les ateliers 94 jeunes ont particip aux ateliers dont 57 jeunes sur le dernier trimestre Les secteurs d activit s professionnelles sont en lien avec le cursus scolaire les recherches ont t orient es principalement dans la vente le secr tariat l accueil pour les l ves des tablissements partenaires du CIEJ Lyc e Armand Carrel Lyc e Ren Cassin Lyc e Erik Satie Lyc e Pierre Lescot Les entreprises sont tr s sollicit es pour les stages quelque soit le secteur et souvent sur les m mes p riodes ce qui rend les d marches tr s concurrentielles pour les jeunes et les lyc es ou coles d ou ils viennent Ayant l embarras du choix elles sont exigeantes concernant les pr req
9. t de ce partenariat est qu il peut perdurer au del du parcours l EDI que le jeune soit orient vers un organisme de formation ou qu il acc de l emploi 31 Un nouveau partenariat avec l Ecole de la Deuxi me Chance E2C A noter cette ann e un d but de partenariat avec l E2C Paris 18 site de Boucry 2 jeunes nous ont t adress s pr sentant des probl mes d assiduit 1 jeune a t admis l E2C l issue de son parcours l EDI La situation des stagiaires au 31 d cembre 2013 Les suites de parcours se r v lent tout fait positives pour un dispositif de socialisation 29 des stagiaires sortis ont acc d la formation professionnelle ou la re scolarisation 8 5 l emploi notamment aid ou prot g En cours Emploi de form ation La nature des sorties emploi 2 5 2 2 2 i LS 1 0 5 12 4 3 2 e 11 1 A 1 Filles A a _ M _ E Gar ons c id l U ke D z ts O 3 a e p O pa TERE n 2 im E O D D 3 SO gt lt 5 D 0 q O D Oi D 0 2 A O b Q au OL U lt a aa ci W amp O ceo 2 8 Pra k Le projet p dagogique Les travaux p dagogiques engag s en 2012 se sont poursuivis notamment en lien avec les comp tences cl s Les formateurs ont commenc utiliser syst matiquement la carte des comp tences cl s pour rep rer et positionner les stagiaires l aide de
10. tences sociales professionnelles et transversales la d couverte et l acquisition des gestes professionnels li s au m tier de la vente de gestion de stocks transf rables d autres secteurs la sensibilisation et l veil aux notions de commerce quitable et d conomie solidaire la stimulation des motivations et l exploitation de sa cr ativit et de son esprit d initiative La dur e moyenne du stage la boutique est de 2 3 semaines raison de 3 ou 4 demi journ es de travail La mise en situation peut aussi s effectuer sous forme de participation un module de pr paration une vente ext rieure ponctuelle sur plusieurs semaines En 2013 2 ventes ext rieures ont t assur es en mai et en d cembre la DASES avec une quipe de 12 15 jeunes mobilis s pour l occasion Le module de pr paration de la vente de d cembre s est d roul pour la premi re fois sur 4 semaines raison de 3 jours par semaine avec un groupe de 13 jeunes ce qui nous a permis de travailler tous les aspects de la pr paration les commandes la r ception de commandes la saisie sur base de gestion de stocks des nouveaux produits l tiquetage la conception des outils de communication affiches tracts badges la relation client le la tenue la posture du vendeur les achats de mat riel la pr paration des fournitures la pr paration et l emballage des produits l installation et la mise en valeurs des produits
11. tre accept es et se construire des r ponses en lien avec d autres acteurs relais ducatifs soignants plus ad quates avec le besoin des usagers C est souvent le cas sur les questions de handicap non accept par les familles o le service peut permettre face la difficult d acc s l emploi ordinaire d un usager de faire enfin accepter un relais vers la MDPH La DASES nous a interpell dans ce sens l au cours de l ann e pour tenter de mettre en place un partenariat sp cifique avec les structures qui avaient t agr es par elle dans le cadre de micro projets concernant des jeunes souffrant de graves troubles psychiques Nous n avons pas pu faire autre chose que de constater la n cessit pour ces derniers d int grer des dispositifs sp cialis s r unissant une quipe pluri disciplinaire avec notamment des psychiatres et des enseignants sp cialis s 271 jeunes ont b n fici d une prise en charge classique au sens de la loi du 2 janvier 2002 contractualis s par un DIPC avec tablissement d un projet individualis L ACCUEIL ET L ACCOMPAGNEMENT Les donn es statistiques Les jeunes accueillis En 2013 nous avons t en contact avec 1278 nouveaux jeunes soit dans le cadre du premier accueil individuel ou collectif sur le site Coq H ron soit sur les 12 sites ext rieurs sur lesquels l quipe de conseillers professionnels est intervenue tablissements scolaires lieux de la R ussite Educati
12. D assurer un r le d interface avec les partenaires associ s O e les 5 sites de la mission locale de Paris Avenir Centre Est Ganneron Soleil e Le Centre d Initiatives pour l Emploi des Jeunes CIEJ Paris 1 e Espace Dynamique Insertion E D I du Coq H ron 75001 Paris e Direction du Logement et de l Habitat DLH e SIAO e Pr fecture de Paris e R sidence Jeunes Travailleurs r sidence sociale CHRS Modalit s d interventions P riodicit des actions collectives o Chaque mois dans nos locaux les jeudis de 17h00 19h00 Les mercredis matins de 10h 12h30 l Espace Dynamique Insertion Paris 1 au cours du 1 semestre 2013 o Chaque trimestre dans les locaux des sites de la mission locale de Paris les mardis de 10h 12h o Au cours du 4 me trimestre 2013 les jeudis de 18h 20h sur des sites de partenaires de l habitat adapt type FJT CHRS Participation aux actions collectives En moyenne ce sont une quinzaine de jeunes parisiens g s de 18 25 ans qui sont inscrits par mois Depuis le 4 trimestre 2012 les conseillers d insertion professionnelle de la mission locale de Paris et du CIEJ ou de l EDI utilisent GESPLAN pour inscrire les jeunes nos actions collectives O Des entretiens individuels l issue des actions collectives pour permettre la prise en compte du projet personnalis de chaque jeune jusqu 3 entretiens individuels peuvent tre propos s Ils sont as
13. T3 de 63 m sur Paris Nous pr cisons que cette d signation a pu se r aliser gr ce au dispositif protocole bailleurs op rateurs parisiens tat mis en place par la DRIHL pour renforcer les relations entre bailleurs parisiens et op rateurs AVDL optimiser les attributions de logement Entrer dans ce nouveau logement a mis fin des modes d h bergement tr s prouvant pour cette famille compos e de Madame D g e de 27 ans Monsieur D g de 26 ans d une premi re union est n l enfant g de 9 ans le deuxi me est g de 4 mois 59 Au d but de l AVDL Madame D et son enfant sont h berg s chez son p re dans un 20 m dans le parc priv Monsieur D est quant lui chez son p re dans un T3 du parc social En septembre 2013 le couple s est mari Au d but du suivi Madame travaillait en CDI comme t l op ratrice et Monsieur b n ficient d une Allocation Retour l Emploi sur une courte p riode 2 Situation du couple D h berg l h tel en perte de confiance envers les institutions En pr ambule nous pr cisons que l AVDL a d marr d but 2012 et s est poursuivi dans le cadre du nouveau dispositif FNAVDL 2013 Ce couple vit depuis plus de quatre ans l h tel avec ses deux enfants Madame travaille temps partiel et apr s plusieurs CDD d crochera un CDI plein temps Si une partie de l h bergement est financ par l aide sociale l enfance la participation aux charges de
14. Vignette du jeune S illustrant le bon partenariat avec le Bureau du relogement de la Direction du Logement et de l Habitat Le jeune S g de 23 ans habite au domicile de sa m re avec ses 4 fr res et s urs Il travaille de fa on r guli re et c est dans le cadre de son projet de d cohabitation que sa conseill re de la mission locale lui propose de participer une de nos Actions d Aide la Recherche de Logement Nous le rencontrons donc en mai 2013 en groupe Il sollicite l issue de sa participation un entretien individuel avec le travailleur social et d s la premi re rencontre voque des difficult s relationnelles importantes avec sa m re Le 17 juin 2073 il doit signer un Contrat Unique d Insertion de 6 mois dans la restauration En attendant la signature de son contrat nous lui proposons dans un premier temps de s inscrire comme demandeur de logement aupr s de la Mairie de Paris Dans un second temps nous instruisons une demande de FJT et l envoyons la DLH D s le 14 aout nous recevons une proposition de studette dans Paris 19 Monsieur S int gre cet tablissement d s le 2 septembre 2013 SITUATION 4 96 PROFESSIONNELLE 5 79 248 i CDD dont CA et m 8 26 dons SA oz Oana s CDI B CDI temps partiel 1162 4 96 LE REVENUS NC plus de 1600 lt ou 1600 lt ou 1400 lt ou 1200 lt ou 1000 lt ou 800 lt ou 650 Sans ressources
15. aux conditions de travail niveau de r mun ration avantages divers et vari s distance travail domicile En effet des secteurs en tension recrutent mais peinent trouver des candidats Nous travaillons l largissement des choix professionnels vers ces secteurs porteurs Le partenariat sp cifique avec le Mus e du Louvre Pour la 17 me ann e l tablissement public a fait appel nous pour recruter des agents de vestiaire et de bagagerie 53 inscriptions aux informations collectives sur le recrutement 22 jeunes pr sent s la pr s lection la DRH du Mus e 16 jeunes ont t recrut s en tant qu agents sur des contrats dur e d termin e de janvier mai et de septembre d cembre 2013 La pr s lection a t plus difficile que d habitude du fait de la baisse du nombre de candidats potentiels du fait du rajeunissement des jeunes accueillis Concernant ce recrutement nous avons pu constater l appr hension de travailler pour certains jeunes l absence de perception des enjeux li s la situation de recrutement la difficult d expression orale pour argumenter leur candidature l adoption d une posture tr s scolaire vis vis de l employeur 21 Pendant la pr paration l accent est donc mis sur l attitude la posture et l argumentation au regard du poste pourvoir Les recruteurs du Mus e du Louvre appr cient cette pr paration qui leur permet de mieux s lectionner les futurs salari s L
16. ce lieu qui lui est destin par le biais de repas organis s chez lui de s ances de m nage et de rencontre avec les gardiens Apr s 15 mois de prise en charge Monsieur B a bien investi le logement Toutefois il est loin d tre autonome au niveau de l entretien et notre regard reste n cessaire au bon entretien des lieux gt Parcours scolaire et professionnel Situation des jeunes l admission Parcours professionnel et scolaire l admission TE som eme es EST ne Gar ons 2 7 o 2 o n Fies o 6e 1 1 1 9 1 Gar ons E Filles Total Au moment de l admission les jeunes sont tr s massivement inscrits dans un parcours scolaire o de formation pour les jeunes apprentis qui ont stabilis leur situation professionnelle le projet d accompagnement permet de v rifier la capacit du jeune occuper un logement g rer son budget afin d envisager le mieux possible la sortie du dispositif 39 Situation des jeunes au 31 d cembre 2013 TE professionnel et scolaire au 31 d cembre 2013 TE ete ere EN ME DA ED RTE FAAA M DCR BEE MBE MON BER CS DCE Toa 2 5 o 3 4 1 45 Gar ons E Filles gt Total Des fins de parcours scolaires positives pour nombre de jeunes avec un taux de r ussite lev aux examens de fin d ann e e 5 bacheliers dans des secteurs divers commerce service proximit vie locale Peinture b
17. connus choisir un m tier que l on aime d tenir une qualification tre flexible se former durant Sa carri re Ce sont des attitudes qui permettront aux salari s de se sentir plus l aise pour suivre les volutions du march de l emploi Nous constatons une fois de plus la n cessit de renforcer la confiance en eux des jeunes de les inciter reprendre des parcours de qualification professionnelle de leur donner des informations 18 sur la r alit du march du travail de les aider communiquer de fa on adapt e et d velopper leur r seau relationnel Les jeunes appr cient le soutien la bienveillance et la disponibilit de l quipe L quipe de conseillers travaille de fa on concert e afin d adapter les objectifs et les ch ances en fonction de la nature des freins l acc s l emploi rencontr s par les jeunes Le Module Pr paratoire l Emploi partir du mois de septembre nous avons remani le module pr paratoire la recherche d emploi sur deux journ es au lieu d une En effet nous faisions le constat d un manque d efficacit et d autonomie des jeunes sur l Atelier de Recherche d Emploi Objectifs et contenu e identifier et valoriser les comp tences et les qualit s professionnelles e se pr parer via des simulations d entretien aux entretiens d embauche e renforcer la communication verbale en situation d entretien t l phonique e construire ou actualiser les outils classiques de
18. d valuation interne li aux activit s d accueil et d accompagnement des jeunes parisiens de moins de 21 ans la poursuite des travaux p dagogiques Le travail p dagogique d adaptation des prestations s est poursuivi avec un temps fort en juillet 2013 Il s est appuy sur l volution des besoins du public l exp rimentation de certaines s quences p dagogiques les valuations crois es des b n ficiaires des partenaires prescripteurs et de nous m me Au niveau des ressources humaines et de l organisation la consolidation de l organisation mise en place Nous avons consolid la nouvelle organisation de travail mise en place en 2012 suite aux conclusions de l tude d organisation r alis e en 2011 Des r unions inter p les ont permis notamment de clarifier les modalit s d articulation entre les p les d activit s sp cialis s p le accueil suivi et orientation emploi parrainage savoirs de base et boutique espace dynamique insertion la mise en place d une formation action pour l quipe DASES et EDI Une formation action de 6 jours financ e sur le fonds d intervention de l OPCA centr e sur l accompagnement des jeunes en insertion a eu lieu Son objectif essentiel tait de retravailler sur le sens de l intervention des professionnels aupr s du public accompagn s dans diff rents cadres de r f rences protection de l Enfance formation professionnelle au sein du service la continuit du souti
19. difficile source d angoisse et aussi parfois v cue comme un nouvel abandon pour des jeunes pour lesquels ASE repr sentait jusqu ici un filet de s curit La sortie de notre service correspond donc la fin d une poque celle d une prise en charge administrative et ducative Quelques exemples qui je m adresserai d sormais Je pourrai encore venir pour mes imp ts l ann e prochaine ou encore Et apr s le FJT je ferai comment pour un autre logement Par ailleurs on constate que la dur e des CJM tend se r duire avec notamment une r gle qui tend s uniformiser savoir lorsqu ils sont dipl m s leur contrat est renouvel une derni re fois pour une p riode de trois mois Dans ce contexte compte tenu des d lais impos s pr parer la sortie s av re de plus en plus difficile puisque le temps de l ASE ne correspond pas forc ment leur temps eux au temps de l acc s l emploi au moment o ils sont pr ts quitter le service Au moment de leur sortie nous observons Bien qu on puisse r pondre certaines de leur question quant l avenir qui se dessine pour eux en particulier concernant les dispositifs de logement et les orienter vers des partenaires service social de secteur mission locale suivi psychologique pour la suite ils t moignent tr s fr quemment de leur angoisse et aussi de leur isolement L absence d autres personnes adultes ressources aupr s desquelles
20. dits sans domicile fixe 350 307 300 yi 200 131 gt gt 83 15 100 es meco71 7 1 shewiwsss 1 1121 3 0 M M en M T T y Ba 7 D a NM EE BHO NM DE OO LL O O0 0 oO OO O0 OO seems eme NO O 0 0 2 O0 2 0 2 2 2 0 0 2 0 0 0 9 0 f W A L O N LN L LN N L MD N G O O O A 1 ann DO o S no S aoo D a D aa DR ao DO ao S noo S ao D ao oo RE Provenance des jeunes l Education Nationale devient le prescripteur majoritaire de fa on tr s significative e 5571 Education Nationale 39 en 2012 37 3 en 2011 24 88 services sociaux 38 en 2012 e 12 83 Connaissances 16 en 2012 e 6 6 Autres Antennes Jeunes Internet Mission locale presse 7 en 2012 55 71 Vo p 60 00 50 00 40 00 30 00 20 00 10 00 A 0 00 Modalit s d h bergement une majorit de domiciliation parentale logique du fait de l ge Pas H bergem d adresse ent Le 4 i Personnel 0 789 emporaire Foyer e 3 44 i 8 92 Le niveau de formation majoritairement de bas niveau de qualification g n rale et professionnelle 89 45 des jeunes ont un niveau inf rieur ou gal au niveau V avec une augmentation tr s sensible de jeunes de bas niveau de qualification 36 03 36 43 40 00 35 00 30 00 25 00 20 00 15 00 10 00 5 00 0 00 10 00 A IV Les dipl mes des jeunes majoritairement peu qualifi s en 2013 notamment du fait de le
21. et des m tiers Les modalit s ont t diff rentes selon les lieux atelier de plusieurs jours cons cutifs modules d une demie journ e hebdomadaire tal e sur plusieurs semaines ou mois d une ann e scolaire En 2013 elles ont eu lieu dans Les lyc es professionnels suivants e Lyc e professionnel Hector Guimard des M tiers du B timent de l Artisanat et de Restauration du Patrimoire b ti 45 l ves de classe de 3 me pr professionnelle pour la 5 me ann e cons cutive e Lyc e g n ral Colbert aupr s d l ves redoublant voire triplant en terminale des baccalaur ats g n raux Les lieux d accueil de la R ussite Educative e Centre Patay 68 l ves e Accueil Pelleport 13 l ves de 4 me et de 3 me issus de coll ges diff rents 15 Les partenaires qui nous avaient sollicit l ann e pr c dente voire depuis 5 ans comme le lyc e Hector Guimard nous ont renouvel leur confiance indicateur pour nous de la pertinence de l action propos e aux regards des besoins des l ves Ce travail sur l orientation abord dans la dimension d ducation au choix s av re tr s utile car les l ves disposent de peu de temps avec les conseillers d orientation psychologues des CIO qui interviennent souvent en collectif ou en individuel mais dans un temps tr s restreint Les jeunes et leurs familles sont souvent perdus quand aux possibilit s de choix et ne mesurent pas souvent les enjeux li s ces orien
22. fa on sporadique en cas de difficult extr me pr f rant souvent se d brouiller entre pairs La mobilit La gratuit des transports mise en place par la R gion reste un l ment tr s appr ci du public et de leurs familles Pr s des trois quarts des stagiaires en ont b n fici Ils sont conscients de cet avantage li leur statut et la constitution du dossier ASP est plus rapide Cependant nous remarquons que la gratuit ne suffit pas augmenter leur mobilit r elle les stagiaires sont toujours r ticents aux d placements propos s dans le cadre des ateliers visite du CRIPS sorties culturelles L animation d un atelier Mobilit par un agent de la RATP au sein de l EDI a continu L h bergement La question de l h bergement de ses diff rentes modalit s des conditions pr alables la location ont t autant de th mes abord s dans le cadre de l atelier Vie pratique En effet la majorit des jeunes ignorent les d marches indispensables l acc s au logement et certains ignorent jusqu au paiement mensuel d un loyer L acc s aux droits Nous avons sollicit la permanence juridique de l APASO quand cela a t n cessaire 33 stagiaires ont obtenu le FPSC1 ancien brevet de secourisme Les partenaires formation Le r apprentissage des savoirs de base avec SPR Nous collaborons avec Savoir Pour R ussir depuis sa cr ation articulant avec eux les parcours de jeunes illettr s L int r
23. inf rieure un an est une jeune qui est arriv e l ge de 19 ans et en BTS en alternance Tr s rapidement cette jeune a pu b n ficier du dispositif Louez solidaire et s est vu attribu un logement 10 jours apr s son passage en commission pour ce dispositif r serv au public parisien accompagn par l ASE Nous pouvons noter que les jeunes accueillis b n ficient d une prise en charge assez longue leur permettant de construire leurs diff rents projets dans le temps et d laborer un projet de sortie p renne et s curis e Un 1 espace soi de nouvelles responsabilit s un nouveau statut Tout juste majeurs pour la plupart des jeunes accueillis au service h bergement il s agit de leur premier logement en situation d autonomie de leur premier espace g rer Durant leur passage au sein du service ils font l exp rience de nouvelles responsabilit s avec l ensemble des d marches qui s y aff rent nouveau statut au regard des imp ts par exemple 1 compte en banque son nom la gestion du quotidien rythme sommeil alimentation etc Constats Leur fin de s jour chez nous correspond galement pour eux la fin d un parcours avec PASE Elle constitue aussi une rupture avec l adulte r f rent qui jusqu pr sent l accompagnait dans cet acc s l autonomie 42 Nous constatons d une mani re quasi g n rale que la fin de notre h bergement accompagnement est une p riode
24. l h bergement de la famille repr sente un taux d effort qui oscille autour des 40 La relation avec l assistante sociale de secteur est tr s tendue Monsieur refusant de la rencontrer De notre c t nous avons aussi beaucoup de difficult s le rencontrer et obtenir les documents n cessaires la demande de logement Le premier temps de l accompagnement est pass par des temps que l on pouvait croire perdu mais apr s du temps investi dans l coute de cette personne et des raisons de sa plainte pouvant aller jusqu de la col re en acceptant et en reconnaissant cette plainte et cette col re de Monsieur nous avons pu petit petit faire tiers dans cette situation L instauration du lien de confiance a permis d avancer sur leur projet logement D observer dans le cadre de cet accompagnement qu il y a eu un changement de posture de Monsieur notamment lorsque la question suivante lui a t pos e vous avez raison Monsieur mais voulez vous avoir raison ou voulez vous gagner Il y a eu un petit effet de sid ration accompagn d un silence soutenu puis d un sourire de son pouse Cette ouverture a conduit dans un second temps de l AVDE une rencontre avec l assistante sociale de secteur Les r sistances se sont estomp es et ont permis d engager le travail pour la d signation d un logement T4 devenu une r elle attribution en avril 2013 dans Paris Conditions de logement Conditions logement h bergem
25. la Recherche de Logement ont t organis es dans nos locaux situ s rue du Coq H ron sur diff rents sites de la mission locale de Paris ainsi que chez nos partenaires de l habitat adapt CHRS r sidence sociale ainsi que Foyer Jeunes Travailleurs Sur les 199 jeunes inscrits ces actions collectives le nombre de participants s l ve e 121 jeunes parisiens de moins de 26 ans Dans le cadre de l Accompagnement Vers et dans le Logement AVDL en direction de jeunes parisiens de moins de 30 ans reconnus prioritaires et urgents pour l obtention d un logement social par la Commission de M diation COMED DALO 2 dispositifs pilot s par la Direction R gionale et Interd partementale de l H bergement et du Logement DRIHL ont cohabit cette ann e e L Exp rimentation parisienne 2012 38 m nages d j accompagn s par notre service au 31 d cembre 2012 et dont le projet logement tait non abouti ont continu b n ficier d un accompagnement AVDL au cours du 1 semestre 2013 e Le Nouveau dispositif FNAVDL 2013 amp 2014 avec un difficile d marrage a finalement concern fin d cembre 2013 49 autres m nages 1 L ACTIVITE AVEC L AIDE SOCIALE A L ENFANCE LES JEUNES MAJEURS PARISIENS AGES DE 18 A MOINS DE 21 ANS gt Cadre juridique et conventionnel Ce projet d interventions socio ducatives s inscrit dans le sch ma d partemental de la protection de l enfance C est en qualit d
26. quipe du CIEJ a d velopp au fil des ann es une vraie expertise reconnue par la Direction des Ressources Humaines du Mus e du Louvre qui a sollicit notre intervention pour des changes autour les pratiques de recrutement et d aide au maintien dans l emploi de jeunes en difficult avec les membres concern s de l quipe DRH charg s du recrutement des jeunes dans le cadre des Emplois d avenir II se confirme une fois de plus que ce contrat facilite r ellement l acc s l emploi ult rieur 8 jeunes sur 16 ont acc d l emploi dont 6 en Emploi d Avenir dont 5 au sein du Mus e m me Les autres sont en formation ou en recherche d emploi leur contrat venant de se terminer Nous allons tenter de d velopper des partenariats privil gi s comme celui que nous avons avec le Mus e du Louvre pour permettre aux jeunes d avoir une premi re exp rience professionnelle Nous constatons que les jeunes recrut s dans ce cadre sont majoritairement cart s des recrutements traditionnels alors qu ils donnent pour la majorit d entre eux enti re satisfaction 22 POUR L EMPLOI DES JEUNES COQUERON SAUVEGARDE DE L AOOLESCENCE PARIS SAUVEGARDE PE L ADOLESCENCE CENTRE D INITIATIVES LCoQUERO LA BOUTIQUE COQUERON L ouverture de la boutique s est d roul e de janvier juillet car les travaux de l immeuble ont n cessit sa fermeture L activit principale de l t a consist avec les jeunes effectuer des t ches logi
27. remobilisation dans le cadre de la MLDS ont particip au module techniques de recherche de stage et communication professionnelle e Coll ge Lucie Aubrac Paris 1 9 l ves en classe de 3 g n rale s lectionn s par l quipe ducative du coll ge ont particip un module techniques de recherche de stage planifi s sur 5 s ances dans l tablissement L AIDE LA RECHERCHE D EMPLOI q me Globalement les tudes de la DARES les contacts avec les employeurs nous confirment la n cessit de travailler avec les jeunes et de leur faire prendre conscience de l importance des savoirs tre de la bonne ma trise des codes sociaux Dans les secteurs techniques un minimum de qualification est requis et la n cessit de ma triser les savoirs de base de formation g n rale pour pouvoir voluer dans les entreprises devient vital pour s adapter ou se r adapter Selon la DARES n 22 mars 2012 les m tiers en 2020 Le march de l emploi futur confirme l augmentation des qualifications dans de nombreux m tiers Les entreprises imposent et imposeront une plus grande flexibilit de l emploi afin de faire face aux volutions et revirements de leurs environnements ce qui g n rera des parcours professionnels fragment s et n cessitera de mettre jour ses comp tences et ou de se reconvertir Face cette situation il est important de montrer de la curiosit pour d couvrir des m tiers parfois m
28. 3 a vu la r alisation de 4846 journ es 500 450 400 350 008 300 009 590 010 ls 011 rai 7 12 100 50 Les demandes d admission adress es au service ont concern tr s massivement des jeunes avec des difficult s d ordre psychologique importantes etou des d marches administratives non finalis es et complexes appr hender 37 Nombre de jeunes CJM pris en charge par mois Eee Tan as Fu Lu ae ou En 2013 8 nouvelles admissions gt Typologie des jeunes au moment de l admission ensemble des CJM et 2 femmes 2 hommes EESE NIEN gt Modalit s de prise en charge avant l admission Modalit s de prise en charge avant l admission au service internat H tel Domicile ire Famille Autel Total ASE Parental ASE d accueil Pour cette ann e nous pr cisons avoir d velopp un partenariat troit avec un tablissement qui accueille des mineurs isol s et qui b n ficie d un service juridique ce travail partenarial a permis a 4 jeunes majeurs de mettre jour leur situation administrative gt Exemple d interventions socio ducatives Les visites domicile pour soutenir le jeune Habiter son logement Dans le cadre de l accompagnement social des rencontres au domicile des jeunes se font de fa on r guli re La fr quence de ces visites d pend de l avanc e de l accompagnement et du parcours du jeune Ces visites viennent en compl ment des re
29. CENTRE D INITIATIVES POUR L EMPLOI DES JEUNES SAUVEGARDE DE L ADOLESCENCE Photos r alis es par les jeunes de l EDI dans le cadre de l atelier photo RAPPORT ANNUEL D ACTIVITE 2013 CENTRE D INITIATIVES POUR L EMPLOI DES JEUNES SAUVEGARDE DE L ADOLESCENCE SOMMAIRE INTRODUCTION page 3 L AIDE L INSERTION PROFESSIONNELLE DES JEUNES DE MOINS DE 21 ANS e accueil et l accompagnement e les activit s collectives la Boutique Coqu ron e le point information jeunesse LES ACTIVITES DE FORMATION PROFESSIONNELLE L ESPACE DYNAMIQUE INSERTION COQUERON LE P LE DE PROJET PROFESSIONNEL SYNERGIE L ACTIVITE D HEBERGEMENT LOGEMENT les jeunes majeurs parisiens g s de 18 moins de 21 ans e les jeunes parisiens b n ficiant d un ASLL mesure individuelle ou action collective Aide la recherche d un logement e _ L AVDL de jeunes adultes parisiens relevant du DALO PERSPECTIVES 2014 page 6 page 13 page 23 page 27 page 28 page 35 page 36 page 45 page 53 page 63 En 2013 Au niveau du projet de service la conduite des travaux li s l valuation interne pour la DASES En lien avec nos obligations en tant qu tablissement social habilit conform ment la loi du 2 janvier 2002 nous avons conduit les travaux permettant d aboutir l laboration la r daction et la transmission fin d cembre 2013 au bureau concern de la DASES de notre rapport
30. LE EE D N AI A S S SC X S o Y e Ka Q SR PDPR T S E NS Q a 3 S S Concernant les Missions Locales de banlieue nous conservons un partenariat privil gi avec le Val de Marne 11 jeunes envoy s sur 2013 Les autres Missions locales 93 95 et 77 nous adressaient les jeunes pour la premi re fois 48 jeunes orient s par d autres relais 20 15 10 5 gt c p D ar s E a CIEJ PJJ SERVICES AUTRES SOCIAUX ASE Les autres prescripteurs correspondent e la Mission de Lutte contre le D crochage Scolaire e des partenaires sant tels le CIAPA ou les CMP e le CIO de l Arbre Sec aupr s du Tribunal pour Enfants e d autres organismes de formation notamment porteurs de P le de Projet Professionnel 29 La r partition par niveau de formation initiale des sco arit s ant rieures essentiellement dans l enseignement technique 35 30 25 17 20 14 E FEMMES 15 E HOMMES 10 5 6 5 gt j 6 0 0 LA EEE aa auaa E aaaaaaa A 6 me 3 me Ens 2nd Term Scolaris s Ens Technique l tranger Sp cialis duc Nat Le parcours ant rieur Les jeunes ont majoritairement une dur e d inactivit inf rieure 6 mois avant d int grer l EDI tendance constat e depuis deux ans Il est int ressant de noter que parmi les 24 jeunes ayant suivi une formation avant leur entr e sur notre EDI 5 jeunes avaient d j suivi un parcours en EDI La dur e des parcours de formation
31. S ANS Les objectifs globaux des interventions sur les 762 nouvelles ouvertures de l ann e 2012 e 49 3 ont t accompagn s pour leur orientation professionnelle 38 8 en 2012 e 46 7 des jeunes ont t soutenus dans leur recherche d emploi au sens large stage job apprentissage 46 7 en 2012 e 3 9 sont aid s dans la recherche de formation 13 8 en 2012 Formation Emploi Orientation La dur e des interventions 78 des jeunes ont t accompagn s sur une dur e gale ou inf rieure 3 mois 62 en 2012 486 500 450 SE EE EE SE EE EE EE N 4 5 n 6 1 9 0 AN KL D A La nature des situations des jeunes Sur 917 jeunes ayant b n fici s d une intervention 623 prises en charge se sont cl tur es au cours de l ann e 294 jeunes sont toujours accompagn s fin d cembre 2013 Sur les 623 jeunes cit s la cl ture de la prise en charge 305 jeunes soit 49 sont toujours dans leur cursus scolaire et ont b n fici d un ou de plusieurs de nos ateliers sur l aide l orientation ou sur la m thodologie de la recherche de stage Certains ont t re scolaris s gr ce notre articulation avec les CIO et la MGI 36 des jeunes taient concern s en 2012 130 jeunes soit 20 8 ont acc d l emploi ou un stage 23 7 en 2012 e 62 un stage e 32 en contrats dur e d termin e e 14 en contrats d apprentissage e 10 en jobs ou en int rim e 5 en contra
32. SERTION PROFESSIONNELLE DES JEUNES DE MOINS DE 21 ANS La mise en oeuvre de la convention confi e l association par le Bureau des Actions Familiales et Educatives et le Bureau de l Aide Sociale l Enfance de la DASES de Paris a continu en 2013 Cette ann e a t marqu e par Le renforcement du partenariat avec la Mission de Lutte contre le D crochage scolaire Le partenariat avec la MLDS ex MGI de l Acad mie de Paris formalis par la signature d une convention cadre avec le Rectorat de Paris s est d velopp tout au long de l ann e Cela s est traduit par une croissance de nos interventions aupr s d un public sous statut scolaire Les coordinateurs des bassins acad miques de la MLDS nous ont contact directement dans le cadre de partenariats d j tablis ou nous ont mis en relation avec plusieurs lyc es professionnels pour l exp rimentation de nouvelles collaborations Les textes l gaux ont renforc l obligation pour les services acad miques de l Education Nationale de se responsabiliser quand la mise en place de dispositifs sp cifiques de rep rage et de pr vention du d crochage scolaire L expertise du service par son approche globale de la situation de ces l ves permet de contribuer limiter les p riodes d errance d finir les strat gies les plus adapt es pour permettre des l ves soit de se maintenir au sein du syst me scolaire soit d envisager l acc s des dispositifs en deho
33. SSOURCES Prestations familiales RSA socle TOTAL 55 NR Plus de 2000 entre 1500 et 2000 entre 1000 et C O Au 31 12 13 1500 Au d but de la prise en charge Entre 500 et 1000 Moins de 500 Le crit re de solvabilit est un indicateur important dans la perspective d un relogement durable d un m nage fin d cembre 2013 sur les 38 m nages accompagn s 26 demandeurs et 11 co demandeurs ont confirm leur insertion professionnelle ou stabilis leur emploi les aspects financiers d un logement sont appr hend s de fa on sereine pour rappel le loyer r siduel ne doit pas d passer 30 du montant des revenus et sont rattacher directement avec la possibilit d inscrire le m nage comme tant pr t au relogement Pour la capacit financi re du m nage les revenus de transfert des m nages sont pris en compte et bien que ces m nages aient des revenus tr s modestes la gestion saine de leur budget permet un positionnement pour une proposition de logement R caputulatif des situations des 38 m nages cl ture exp rimentation Tableau situation au 30 juin 2013 Nombre Nombre de Nombre de Nombre de Nombre de Total de personnes personnes personnes personnes personnes relog es pr te au non pr te en fin relog es apr s le 1 relogement au d AVDL au 1 janvier et en relogement janvier 2013 attente de 2013 pro
34. Synergie organisme de formation de la Fondation Jeunesse Feu Vert s est poursuivie en 2013 Notre prestation porte sur deux axes e l initiation et ou le perfectionnement l utilisation des Technologies de l information et de la communication e l accompagnement des stagiaires au sein m me des locaux de l organisme de formation porteur du p le Le formateur mis disposition temps plein effectue des ateliers collectifs centr s sur l laboration du projet professionnel la recherche de stages et ou de suites de parcours des visites en entreprises pour le suivi des stages pratiques Il conduit galement des entretiens individuels pour r aliser les bilans interm diaires et finaux des stagiaires La nature des prestations li e aux TIC est rest e identique Le travail p dagogique s est poursuivi de fa on active en 2013 afin que le contenu de l atelier soit cal avec le contenu du r f rentiel du PIM passeport internet multim dia que nous mettrons en uvre en 2014 Au del de la comp tence informatique les comp tences Apprendre apprendre et Comp tences sociales et civiques sont galement rep r es et formalis es conform ment aux attentes du cahier des charges r gional pr voyant le rep rage et le renforcement des comp tences cl s Des questions se posent toutefois en lien avec le profil des stagiaires accueillis l adaptation des contenus des r f rentiels aux profils vari s des stag
35. a disposition e son budget notamment l appr hension des aspects financiers en lien avec le projet de relogement durable e le respect des r gles de vie en collectivit Vignette Mile X et les d marches administratives Nous accueillons Melle X depuis ao t 2072 au terme d un Contrat Jeune Majeur avec l Aide Sociale l Enfance Elle est alors g e de 21 ans Cette jeune femme a un long parcours institutionnel durant lequel les travailleurs sociaux qui l accompagnaient se chargeaient des d marches administratives la concernant Si elle est dans l ensemble relativement autonome Melle X prouve n anmoins certaines difficult s accomplir maintenant ces d marches pour elle Elle garde certains r flexes de jeune anciennement accueillis en foyer ducatif comme par exemple faire parvenir son courrier directement au service plut t que de le recevoir dans sa bo te aux lettres personnelle ce qui refl te les difficult s qu ont certains des jeunes que nous accueillons pleinement investir leur logement du fait de leur caract re temporaire Un travail a t entam avec elle concernant l actualisation de sa situation administrative dans diff rents domaines sant avec l adh sion une mutuelle mise jour de l inscription au Fichier des Demandeurs de Logement etc 46 Vignette Relation voisinage Les logements propos s aux jeunes accueillis sont mis disposition par des bailleurs parisiens Les jeu
36. ble Ce contrat inscrit les engagements de chacune des parties e Pour l Association gestion du logement et des l ments sy attenant de l accompagnement social l ouverture des droits auxquels la personne peut pr tendre e Pourle conseiller d insertion de la mission locale ou du CIEJ en proposant le candidat le conseiller d insertion continue d assurer l accompagnement dans l insertion professionnelle de la personne e Pour le b n ficiaire accord pour un accompagnement social respect du r glement int rieur approuv et sign avant l entr e dans les lieux ainsi qu une indication du montant de la participation financi re aux charges de l h bergement 70 euros chambre 90 euros studio Ce contrat est r guli rement repris dans le cadre de l accompagnement social et la situation r valu e 45 2 Difficult s motivant l intervention sociale Intervention de l organisme dans le cadre de PASLL nombre de m nages D marches administratives et Acc s aux droits Int gration au quartier et ou au au nouveau logement Occupation des logements Relation voisinage Gestion budg taire Relogement Insertion professionnelle Familiales Sant Troubles psychiques Addiction Perte d autonomie Maladie Autres Int gration Alphab tisation L exp rience d occupation d un logement temporaire permet d observer la capacit du jeune g rer e au quotidien le logement mis s
37. e parvient maintenant capitaliser sur ses exp riences m me n gatives et est consciente de ses progr s Elle continue activement ses recherches d emploi dans d autres champs professionnels l animation Auxiliaire de Vie Scolaire mais garde en t te le projet de devenir Aide Soignante Elle passe un nouveau concours prochainement qu elle aborde maintenant avec un peu plus de s r nit gt Notre partenariat avec deux psychologues du Cabinet CATERI Une 4 ann e d intervention des 2 psychoth rapeutes pour soutenir le projet d accompagnement des jeunes majeurs Lors de l admission tout en garantissant aux jeunes la part n cessaire de confidentialit des consultations leur sont propos es Elles pr sentent deux objets e cr er un espace apportant un regard compl mentaire de celui de l quipe permettant celle ci d viter de proposer un mode d h bergement qui soit inad quat la dynamique d un jeune e ouvrir une temporalit propre au sujet diff rente et compl mentaire du temps social du suivi du jeune adulte assur par l quipe du Service Les consultations offrent aussi aux jeunes une possibilit d expression de leurs inqui tudes de leurs emp chements en lien aussi avec leur biographie De ce point de vue l encore elles compl tent sans confusion possible les temps d accueil que les travailleurs sociaux leur apportent en se situant sur un plan diff rent Aupr s de l qui
38. e h bergement 0Mmuniqu 2 2 f Logement R temporaire 10 H tel ASE 2 H bergement d urgence 2 Les jeunes adultes accompagn s et qui ont des enfants peuvent tre dans diff rents types de situation o Adulte vivant seul avec son ou ses enfants pour ces jeunes adultes qui sont dans une situation pr caire c est la mesure AVDL qui va permettre d impulser une nouvelle dynamique dans le parcours social et professionnel une orientation pour une tape transitoire en CHRS a par exemple concern une jeune femme avec enfants qui se sont retrouv s en rupture d h bergement de fa on tr s brutale o En couple avec enfants h berg s dans le m me endroit o il s agit souvent de situations complexes avec de fa on r currente un logement trop petit des conditions de logement qui affectent trop souvent la sant ou l h bergement chez un tiers chez les parents notamment amenant une sur occupation des lieux o En couple avec enfants vivant dans des espaces diff rents o Car aucune autre solution possible d h bergement pour accueillir l ensemble de la famille nous avons plusieurs situations de personnes unies par le mariage et contraintes de vivre dans des lieux diff rents c est le projet de relogement qui permet d envisager la r unification de ces familles Deux vignettes pour illustrer ces situations 1 Situation de Monsieur et Madame D Le 31 d cembre 2013 Madame et Monsieur ont sign un bail pour un
39. e m nages travaillant temps partiel R partition des m nages par montant de ressources 500 Entre 500 Entre 1000 de 2000 f et 1000 et1500 La mesure ASLL permet de soutenir dans leur parcours d insertion sociale et professionnelle les jeunes qui acc dent nos logements temporaires A partir de leur exp rience positive d occupation du logement nombre d entre eux ont accept de changer ou de diff rer leur projet professionnel pour envisager de r pondre aux aspects financiers d un projet logement Tr s majoritairement dans le cadre de CDD type emploi d avenir notamment pour plus de la moiti avec des revenus qui restent modestes voire tr s modestes le travail d interface des travailleurs sociaux du service h bergement avec les conseillers d insertion professionnelle de la mission locale de Paris et du Centre d Initiatives pour l Emploi des Jeunes favorisent l entr e dans le monde du travail de ces jeunes C Situation par rapport au logement avant la prise en charge ASLL Dernier Sans H berg Occupan H berg CHRS R sidants Locataire Locataire type de domicile titre tsans l h tel dans le dans le logement fixe gratuit droit ni parc parc priv titre social Nombre de jeunes concern s En pr ambule nous pr cisons que cette ann e plus de 10 jeunes taient d j h berg s dans un de nos logements temporaires au 1 Janvier 2013 Un peu p
40. en aux professionnels via l analyse des pratiques L instance d analyse des pratiques r unissant les professionnels et anim e par des intervenantes ext rieures s est maintenue Elle permet aux conseillers professionnels et aux travailleurs sociaux de mieux ajuster leurs postures professionnelles aux probl matiques du public accompagn Au niveau organisationnel et mat riel le d but des travaux de l immeuble Coq H ron Suite l achat de l immeuble de la rue Coq H ron par l association avec le concours du D partement de Paris les travaux ont d but courant 2013 et vont se poursuivre jusqu au premier semestre 2015 par tranches successives Nous avons adapt l organisation des activit s cette nouvelle donne l volution de la base de donn es informatique Nous avons eu recours un prestataire ext rieur pour laborer le cahier des charges relatif une nouvelle base de donn es Elle va nous permettre d am liorer la lisibilit des parcours des usagers de faciliter la transmission d informations relatives aux usagers entre professionnels du CIEJ la poursuite de la formalisation des proc dures administratives Le chantier de formalisation des proc dures administratives internes a permis de clarifier pour l ensemble du personnel les circuits de communications internes Jro r L D INITIATIVES gt Le R seau POUR L EMPLOI DES JEUNES ff nformation Jeunesse DEPARTEMENT DE PARIS J L AIDE L IN
41. ent Non Cohabitation Fin de s jour 2 communiqu 1 difficile 2 Ind cent 1 Insalubre 3 60 Constats L insalubrit et l ind cence sont galement des facteurs retrouv s dans le cadre des mesures AVDL Les cons quences sur la sant physique et psychologique sont souvent importantes tant sur les adultes que sur les enfants Nous pouvons galement souligner les cons quences que cela engendre sur les relations parents enfants En effet il n est pas rare d entendre que les principes d ducation auxquels le m nage est attach sont entrav s par les conditions de vie promiscuit dangerosit des locaux Pour exemple les difficult s peuvent se traduire par des tensions entre parents et enfants en relation avec des angoisses li s au lieu de vie Une jeune m re l expliquait pr cis ment car elle ne souhaitait pas que sa fille de 18 mois posent ses pieds au sol en raison d inondations r p tition du logement ancienne cave charbon d clar e non habitable De m me les situations de sur occupation ont quant elles des cons quences sur le besoin pour chacun d acc der son espace Situation socio professionnelle NATURE DES RESSOURCES Type de ressources Demandeur Co demandeur Salaires AH Prestations familiales RSA major 1 RSA socle Us RE 2 Observation Dans le cadre d une demande de logement l ensemble des ressources du m nage dont le co demandeur sont pris en com
42. ers les EDI et l image des EDI aupr s des partenaires et des jeunes e le type de public accueilli et les probl matiques majeures rep r es e les missions essentielles des EDI e la s curisation des parcours professionnels e le cadre juridique des EDI le r gime et les modalit s de financement des EDI Caract ristiques des stagiaires accueillis en 2013 Le nombre de stagiaires accueillis 105 jeunes ont t accueillis conform ment notre objectif conventionnel Nous pourrions accueillir plus de stagiaires au vu des nombreuses demandes en suspens Le flux maximal des entr es se situe sur le premier semestre le pic maximal se situant en janvier il correspond aux nombreux jeunes en attente depuis la fin de l ann e pr c dente 22 20 amp L v A RN So L a Ke S G LS OL AT ET yY O Q S amp Y X SSE X La r partition par sexe et par ge une majorit de gar ons g s de 18 20 ans 30 7 A 25 7 21 20 lt 16 13 90 a FEMMES 15 71 42 HOMMES 10 5 y 0 i i 16 17ans 18 20ans 21 26ans 28 La provenance g ographique des stagiaires 80 domicili s Paris Le type de prescripteurs principalement les missions locales 57 jeunes orient s par une Mission Locale dont 41 jeunes orient s par la Mission Locale de Paris orient s majoritairement cette ann e par le site Avenir avec 18 jeunes 18 20 15 10 5 1 14 14 1 1 1 PEL
43. iaires L acquisition de savoirs et savoir faire en informatique n cessite un minimum de rep rage textuel et dans l espace Nous rencontrons une difficult importante avec les stagiaires ne ma trisant pas l alphabet un minimum de pr requis de connaissance et de discrimination des lettres de l alphabet tant n cessaire La connaissance et la compr hension de la langue fran aise crite et orale influence le rapport l apprentissage de notions nouvelles Le niveau scolaire initial des stagiaires ne permet parfois pas d acc der la pens e abstraite et de conceptualiser des notions abord es Les difficult s sociales cumul es alimentation logement probl mes m dicaux ou administratifs entra nent des d marches ext rieures et des rendez vous divers sur le temps de la formation et parasitent l apprentissage La diversit des objectifs poursuivis dans l unit TIC acquisition de connaissances techniques et th oriques socialisation et travail en groupe apprentissage de la langue engendre un questionnement sur ce qui est prioriser pour les formateurs dans leur dispositif et une n cessit de compl ment de formation e 197 stagiaires ont b n fici de SAS d valuation des connaissances de base en informatique des nouveaux jeunes arrivant sur le p le projet e 87 stagiaires ont b n fici de journ es d initiation aux T I C selon les groupes 5 ou 7 jours r partis sur plusieurs mois de formation Il s agit exc
44. idualis s et longs que pour d autres types de public Cela a eu un impact sur l augmentation du nombre de forfaits de courte dur e 78 des jeunes ont t accompagn s sur une dur e gale ou inf rieure 3 mois 62 en 2012 dont 53 sur une dur e d un mois 4 une croissance de la demande de soutien sur l aide l orientation d information sur les dispositifs alternatifs au syst me scolaire et la recherche de stages corr l e une baisse des interventions centr es sur la recherche d emploi Outre ce public scolaire nous avons not La sollicitation de plus en plus importante des jeunes et de partenaires L Aide Sociale l Enfance la Protection Judiciaire de la Jeunesse les associations habilit es les jeunes eux m mes nous contactent pour tenter de r soudre des situations complexes qui vont de la recherche d employeurs acceptant d embaucher des jeunes pour r gulariser leur situation administrative mineurs isol s ou jeunes majeurs l insertion en milieu ordinaire pour des jeunes relevant de soins et ou du handicap Au travers des questions d insertion professionnelle se r v lent l ampleur des probl matiques de pr carit sociale de difficult s ducatives de mise en oeuvre de droits L analyse des freins au bon d roulement d un parcours d insertion permet souvent d aborder des difficult s latentes Dans le contexte du service souvent v cu comme plus neutre et plus banal peuvent
45. ie dans le logement est tr s souvent acquise et concerne pour plus de la moiti l ensemble des jeunes en r sidence sociale logement foyer ou logement temporaire ainsi que ceux qui ont un statut de locataire au moment de leur participation l action collective Le contexte parisien du logement et les d marches administratives n cessaires sont relativement bien appr hend s par ces jeunes lls b n ficient a priori d un accompagnement social mais qui faute de trouver une solution de relogement sont orient s chez nous L intervention aupr s de ces jeunes se concentre alors sur les questions de capacit locative chez les jeunes souvent en colocation et qui ne peuvent faire face mensuellement aux co ts du loyer 51 Q Hors domicile parental le statut d h berg est celui de 20 de jeunes participants en situation d h bergement en CHRS CHU voire h tel et tablissements de l Aide Sociale l Enfance de Paris Pour ce profil de jeune le pr alable au travail de mise en relation pour l orientation avec le service introducteur et ou les partenaires est l tablissement du diagnostic social dans le cadre d un projet logement Dans ce cadre c est l analyse de la situation sociale et professionnelle du jeune qui permet un appui pour une sortie la plus favorable possible de ces dispositifs AU domicile parental la d finition d un projet logement s inscrit logiquement dans les parcours d autonomisation de ces jeunes
46. ier une d marche d orientation permettant de faire des choix professionnels clair s e tre sujet de son projet personnel et parcours professionnel A partir de s quences de travail m diatis s par des supports vari s et ludiques jeu de plateau support photographique jeux de cartes m tiers les contenus p dagogiques portent sur e la d couverte du monde professionnel e investigation des centres d int r t des comp tences et des conditions de travail e le rep rage des fili res professionnelles et des m tiers e l information sur la formation initiale et professionnelle des jeunes e la s lection de pistes professionnelles au regard des l ments travaill s la r alisation d une synth se et d un ajustement des choix professionnels et l laboration d un plan d action Sur les 227 jeunes inscrits 125 ont effectivement particip l atelier soit un taux de participation de 50 130 soit 59 6 l an pass e 37 des jeunes ont t inscrits par la MLDS de l Education Nationale les autres par les conseillers professionnels du CIEJ e les gar ons repr sentaient 58 des inscriptions pr s de 70 des jeunes avaient un ge gal ou inf rieur 18 ans A la demande du club de pr vention sp cialis e la Maison des Copains de la Villette durant les vacances de printemps nous avons conduit un atelier 1001 m tiers sp cifique aupr s d l ves de 3 qu ils accompagnent sur le plan ducatif Nous av
47. ils peuvent s adresser Fort de ce constat nous pensons qu il est d autant plus important de pr parer cette sortie en amont afin qu elle corresponde au plus pr s aux besoins des jeunes Nous avons notre disposition diff rentes orientations suivant le degr d autonomie le niveau des ressources et aussi d apr s leur parcours ant rieur En effet il arrive parfois que certains jeunes souhaitent retrouver leur milieu d origine Diff rentes orientations Louez Solidaire ce dispositif passerelle avant d int grer son propre logement constitue un prolongement de notre accompagnement pour les jeunes les plus autonomes Ils seront dans un studio pour lequel ils vont pour la premi re fois payer un loyer Un r f rent va suivre leur situation sur le plan administratif et instruira l issue des 18 mois d occupation une demande de logement social p renne FJT ce mode de logement temporaire est privil gi pour les jeunes tr s autonomes souhaitant quitter les dispositifs d aide et de soutien ducatif Retour en famille parfois la marche s av re trop haute pour le jeune et c est son initiative qu il engage un retour dans le milieu familial avant d envisager un logement seul Logement temporaire du service pour ceux qui sont engag s dans une formation et ou per oivent peu de ressources et qui ne sont pas encore pr ts occuper un logement sans l appui d une mesure d ASLL Dans la pratique on s aper
48. ion de la d finition d un projet autonome de relogement Le travail avec la Direction du Logement et de l Habitat DLH est pr sent d embl e chaque jeune Dans ce cadre l inscription sur le fichier des demandeurs de logement social est syst matique et les d marches de relogement sont soutenues par notre service aupr s de la DLH de la Mairie d arrondissement et de ses lus du service social polyvalent voire de la Pr fecture de Paris SITUATION D HEBERGEMENT i CHRS Amis Locataire E Domicile parental FT E Autres loyers _ R sidence sociale H tel E Sans h bergement E Autres E Non communiqu L int r t d un atelier en groupe Nous assistons des changes int ressants entre les jeunes sur leurs parcours h bergement logement certains tr s jeunes adultes et trop souvent au sortir d un contrat jeune majeur avec l ASE n ont aucun parcours locatif d autres plus g s ont d j connu diff rents types d h bergement dont les foyers jeunes travailleurs voire ont d j t locataires ou colocataires dans le parc de logement priv Les jeunes que nous rencontrons appr cient de parler de ce parcours logement et cette modalit d intervention permet chacun d avoir un regard plus pr cis plus large sur les difficult s rencontr es par certains mais aussi les solutions sur lesquelles ils ont pu rebondir Les parcours r sidentiels des jeunes participants o l exp rience d autonom
49. ion familiale s C libataire 8 Couple avec enfant Couple sans enfant Famille monoparentale Nous comptabilisons dans ce nouveau dispositif AVDL 2013 o 15 m nages d j b n ficiaires d un AVDL dans le cadre de l exp rimentation 2012 dont 11 m nages qui ont pu avec l accord de la DRIHL et compter du 1 juillet 2013 b n ficier d un nouvel AVDL 4 m nages et qui ont obtenu une d signation ayant abouti une attribution de logement au cours du 2 semestre 2013 ces m nages en veille administrative car pr t au relogement au 1 juillet 2013 ont dans le contexte d une proposition de logement b n fici d une Reprise FNAVDL 2013 par la DRIHL pour permettre la mise en uvre d un nouvel Accompagnement Lors du Relogement ALR o 34 nouveaux m nages orient s ces m nages ont b n fici auparavant d un diagnostic pour la mise en place d un AVDL Concernant la typologie du public 38 jeunes femmes Dans la continuit de l ann e 2012 la proportion de femmes est importante et souvent en lien avec un statut de m re isol e avec enfant s leur condition de logement souvent difficile peut se rajouter des changements concernant la composition familiale et ou leur situation de couple 10 jeunes adultes c libataires concernant les personnes c libataires ce sont cette ann e les personnes seules et en grande errance qui ont interrog les professionnels de l qui
50. is de mars et le mois de juillet s est renouvel en 2013 18 ateliers ont t r alis s 73 jeunes ont t inscrits 47 gar ons 26 filles 19 47 jeunes pr sents effectifs dont 49 de mineurs Cette ann e la recherche d employeurs s est av r e tr s difficile particuli rement dans les fili res de l lectrotechnique de l lectricit et des transports notamment pour les jeunes souhaitant pr parer un Bac Professionnel les employeurs pr f rant recruter des niveaux sup rieurs our le territoire parisien cette recherche s av re difficile car ce sont les niveaux Il qui sont privil gi s dans les recrutements Les entreprises de type artisanal et les petites entreprises o les jeunes pourraient travailler ne recrutent pas en raison du contexte de crise Face ces difficult s nous conseillons aux jeunes d effectuer des v ux l Education Nationale ou de s inscrire sur des formations professionnelles mises en place par la R gion Ile de France afin d avoir des alternatives Sur les 47 jeunes pr sents 14 ont acc d l emploi dont seulement 8 un contrat d apprentissage les autres jeunes ont soit int gr un dispositif de formation professionnelle type passerelle apprentissage ou sont rest s l Education Nationale Le parrainage vers l emploi Ce dispositif volue l interne avec le rajeunissement du public et le d veloppement des interventions hors du Coq H ron qui ont un impact sur le taux de fr
51. it de leur jeune ge et de leur statut scolaire 92 en 2012 La premi re demande du jeune une aide l orientation et la recherche de stage e 31 27 une aide l orientation professionnelle 31 5 en 2012 e 27 51 relatives l emploi classique et en alternance 35 3 en 2012 e 27 27 une aide la recherche de stage 18 en 2012 e 7 05 une formation 9 3 en 2012 e 6 90 des demandes d information 5 6 en 2012 31 27 35 00 27 51 27 27 30 00 25 00 20 00 4 15 00 7 05 Vo 6 90 fI 1 A nl ii mr Sur l ensemble des premi res demandes 62 52 des jeunes ne savent pas quel secteur professionnel choisir que ce soit pour un stage un emploi ou une suite de formation scolaire ou professionnelle d o la n cessit d un soutien 45 4 en 2012 Parmi ceux qui souhaitent une aide l orientation 77 5 des jeunes n ont pas d int r ts professionnels clairement non ables Pour ceux qui manifestent des int r ts professionnels on retrouve les secteurs suivants Vente H tellerie B timent second uvre lectricit ou plomberie Sant Coiffure Secr tariat Transport Logistique Arts graphiques La premi re orientation une croissance des demandes sur le soutien la recherche de stage et l aide l orientation professionnelle e 48 6 sur les prestations emploi ou de recherche de stage 52 3 en 2012 36 7 sur l aide l orientation profession
52. itions de logement manent d un ventail plus large de collecteurs d Ile de France et correspondent des logements situ s pour l essentiel en banlieue parisienne 1 seule proposition de logement dans un immeuble neuf dans Paris Le contingent pr fectoral 12 relogements D marr fin 2011 ce travail galement dense et quasi quotidien avec l Unit Territoriale de Paris UT 75 permet d inscrire pour 2013 une nette volution du nombre d attribution de logement tous situ s dans Paris pour les m nages DALO via le contingent pr fectoral Les Accords collectifs 1 attribution de logement pour un m nage ayant la fois une reconnaissance Dalo et un avis favorable de la commission des accords collectifs Constats Lors de l attribution du nouveau logement un temps d adaptation est n cessaire et l on observe fr quemment les craintes des enfants de dormir seuls dans un premier temps Au cours des semaines suivantes les peurs s estompent et les m nages nous expriment l apaisement des relations parents enfants et la joie des enfants de pouvoir enfin inviter leurs camarades d cole dans leur logement Enfin nous pouvons souligner le r le de partenaires dans l investissement des nouveaux logements Au regard des conditions de vie voqu es les m nages n ont pas de meubles ou les meubles peuvent tre endommag s par des conditions de vie li es l insalubrit Aussi afin de faciliter l installation des m nages nou
53. itive de ce secteur malheureusement trop souvent d sert par le public Visite du Stade de France pour avoir une meilleure repr sentation de l envers du d cor et des m tiers notamment techniques l oeuvre quotidiennement Ateliers de maintenance du tramway la RATP pour susciter des vocations l aussi dans des m tiers techniques et mieux conna tre les m tiers li s cette grande entreprise publique Par ailleurs nous avons t pr sents dans les manifestations suivantes dans un objectif d information d un public diversifi jeunes parents et partenaires La semaine de l insertion professionnelle organis e par le CIDJ Pr sents le 1 jour du forum consacr l emploi sans dipl me nous avons tenu un stand l entr e du forum pr s d autres structures accueillant le public jeune Nous avons ainsi accueilli et conseill une vingtaine de jeunes parisiens et autant de franciliens Etre parents d adolescents aujourd hui organis par la Mairie du 2 arrdt La rencontre avec les parents tait organis e autour de deux p les Dialoguer avec votre adolescent sant sexualit vie affective et Accompagner votre adolescent scolarit orientation insertion C est dans cette deuxi me instance que nous tions pr sent aux cot s du Centre d Information et d Orientation du 1 2 et 4 arrondissement des Centres Sociaux La Clairi re et Cerise Peu de parents ont fr quent ce forum n
54. l au d triment des ateliers collectifs la difficult d int gration des jeunes qui doivent d abord mieux ma triser la langue fran aise tant l crit qu l oral En 2013 42 stagiaires pr sentaient des probl matiques d ordre psychologique et ou psychiatrique 11 bilans psycho techniques ont t demand s et effectu s chez notre partenaire le Centre Andr L veill de la CPAM sp cialis sur lidentification de probl matiques cognitives psycho affectives notamment li es au handicap 11 jeunes nous ont t orient s avec une Reconnaissance en qualit de travailleur handicap en Cours 30 25 r unions de synth ses se sont tenues avec des partenaires ASE CMP EMPRO club de pr vention ML CMP et p dopsychiatre PJJ pour articuler et clarifier les interventions de chaque acteur 7 rencontres ont eu lieu avec les familles de stagiaires mineurs notamment autour de probl matiques ducatives et de perspectives de suites de parcours Diff rents partenaires d j connus ou nouveau nous ont aid accompagner les stagiaires dans leur parcours de resocialisation Les partenaires sant Les probl matiques d addiction ont t travaill es avec notre partenaire Emergences Tolbiac La question de l adh sion des jeunes un suivi th rapeutique reste d licate Des rencontres avec l assistante sociale de ce service ont facilit l articulation de notre action et le d marrage de soins Les actions engag es a
55. l outil informatique notamment sur les axes suivants en lien avec le monde professionnel Axe 1 se rep rer dans son parcours et parler de ses apprentissages Axe 2 ma triser des codes sociaux en mati re de comportement ponctualit d assiduit Axe 4 cr er les conditions favorables la r ussite de son projet Axe 8 tre en capacit de travailler en collectif Les stagiaires ont t invit s galement comprendre les objectifs de cette carte de comp tences et proc der une premi re auto valuation de leur situation globale pour mieux d finir leurs attentes et leurs objectifs de formation Nous avons constat une facilit d appropriation surprenante autour de la logique de cette carte qui a constitu un excellent support d change Ce travail a oblig l quipe une formalisation plus structur e associant aux contenus p dagogiques la possibilit chaque s ance d valuer la mesure des progr s et donc la question du maintien o non de l activit en fonction des objectifs poursuivis Les apprentissages ont t le plus possibles contextualis s autour de situations simples et concr tes comme autant de preuves tangibles de l int r t du contenu Les projets collectifs et les partenariats La Banque de France est un nouveau partenaire int gr l atelier Vie Pratique et va permettre aux jeunes de mieux comprendre le r le de la banque et les circuits conomiques en jeu aujourd hui
56. la recherche d emploi CV lettre de motivation m thodologie de recherche e apport sur les bases du droit du travail et les lieux ressources d information sur les droits Ce module collectif est suivi d un entretien individuel de bilan qui permet la formalisation du plan d action de chaque jeune et valide son inscription sur l atelier de recherche d emploi II permet des changes plus longs et une meilleure connaissance des jeunes de leurs freins et de leurs ressources La relation de confiance entre le conseiller et les jeunes et entre les jeunes eux m mes fait que la communication peut plus facilement s tablir La dynamique de groupe peut s installer et elle permet de renforcer le lien social et la solidarit 43 modules pr paratoires la recherche d emploi r alis s sur l ann e dont 14 modules de 2 jours 434 jeunes inscrits 194 jeunes pr sents soit 45 de pr sents Nous avons constat les effets positifs suivants e un taux de d perdition moins important que lors de la prestation pr c dente e une meilleure satisfaction des b n ficiaires e une plus grande autonomie des jeunes dans leurs d marches L Atelier de recherche d emploi Cet atelier phare constitue un temps de mise en situation r elle et rapide de recherche d emploi et est fortement appr ci des jeunes C est le lieu de la mise en application de la communication professionnelle adapt e d abord en lien avec les intervenants b n voles et anima
57. lus de la moiti des jeunes orient s taient auparavant pris en charge dans le cadre d un dispositif d acc s un h bergement ou relevaient d une prise en charge ducative avec h bergement dans le cadre d un contrat jeune majeur Nous soulignons cette ann e encore que sans un acc s un logement temporaire ces jeunes auraient t en rupture d h bergement La mesure ASLL r pond ici la n cessaire prise en compte du manque de ressource personnelle et familiale de ces jeunes l ASLL gr ce sa perspective de d finition d un projet logement permet d inscrire une continuit dans la relation que le jeune entretient avec les professionnels du service h bergement tout en garantissant une dynamique d accompagnement social diff rente pour ces jeunes qui sortent du dispositif de la protection de l enfance Il Objectifs de l ASLL A Mesures individuelles 1 Contractualisation de l accompagnement social C est partir des demandes d acc s notre parc de logements temporaires adress es par les conseillers professionnels des sites de la mission locale parisienne et du Centre d initiatives pour l Emploi des Jeunes CIEJ Paris 1er qu un premier entretien d admission est propos au jeune L implication du jeune dans le projet d accueil et d accompagnement social est sollicit e d embl e La contractualisation de l accompagnement social avec le jeune s effectue dans le cadre d un contrat d h bergement 6 mois renouvela
58. lusivement de stagiaires relevant du perfectionnement linguistique Le travail des formatrices porte aussi bien sur la compr hension du vocabulaire que sur l apprentissage de la technicit li e aux TIC e 137 stagiaires ont particip aux modules d initiation aux nouvelles technologies et seuls 74 ont valid le Certificat de Navigation Internet ou son quivalent Ceci s explique par les difficult s linguistiques des stagiaires voqu es pr c demment rendant compliqu la compr hension des consignes 35 L ACTIVITE D HEBERGEMENT LOGEMENT Cette ann e 2013 Notre parc locatif constitu de 23 logements lou s des bailleurs sociaux parisiens a permis d accueillir d accompagner dans le cadre d un habitat ordinaire 32 jeunes adultes dont 20 jeunes g s de 18 21 ans qui ont t accompagn s dans le cadre de leur Contrat Jeune Majeur sign avec l Aide Sociale l Enfance e 12 jeunes g s de18 26 ans qui ont b n fici dans le cadre de leur acc s un logement temporaire un Accompagnement Social Li au Logement ASLL en lien avec le dispositif du bureau du Fonds de Solidarit Logement Ces logements tr s majoritairement de type studios mais galement 2T2 et 4 chambres sont g r s par notre service Situ s en diffus dans Paris ils sont le point de d part des interventions socio ducatives des projets d accompagnement vers l autonomie de chaque jeune Les 16 actions collectives d Aide
59. ment dans le logement e Le suivi budg taire adapt l volution de sa situation B Mesures collectives 1 Actions collectives li es au logement Notre action collective Aide la Recherche de Logement apporte des r ponses aux besoins d information et d outillage des jeunes parisiens g s de 18 25 ans sur la recherche d un logement Ces jeunes sont adress s par les 5 sites de la mission locale de Paris le Centre d Initiatives pour l Emploi des jeunes inscrits dans une d marche de recherche de logement les partenaires de l habitat adapt 2 Description du public vis des objectifs des actions mener Le public Les jeunes parisiens g s de 18 25 ans prouvant des difficult s Ces jeunes femmes ou hommes sont inscrits dans une d marche de recherche de logement 48 Les objectifs des actions mener Pour une vision globale d un projet logement et partir du contexte parisien nous proposons lors de nos actions collectives d apporter des r ponses aux besoins d information et d outillage sur la recherche d un logement en permettant o De comprendre son environnement institutionnel et administratif o D identifier et de conna tre la logique d acc s au logement o De mettre en situation le jeune gr ce la constitution d une demande de logement o De soutenir lors d entretiens individuels pour les jeunes qui le souhaitent l instruction d un dossier logement et ou sa formalisation
60. n envisag e Contingent Mairie Dalo dispositif Accords collectifs AIVS Nombre de r orientations effectu es dans l ann e Sur les 4 r orientations pour un relogement une a t effective avant fin d cembre 2013 Structure de r orientation pr ciser relogement effectu via le contingent Mairie pour le jeune ayant une dur e de suivi de plus de 3 ans Nombre d accompagnement de plus de 3 ans 1 Vignette situation de M S ayant b n fici d un accompagnement sup rieur 3 ans son arriv e dans notre service en 2009 Mr S se trouvait sans solution d h bergement apr s le d part de sa tante pour l tranger Elle h bergeait le jeune homme depuis son arriv e en France l ge de 12 ans Actif dans ses recherches d emploi Mr S a toujours travaill durant son accueil au sein du Service H bergement cumulant les CDD durant plusieurs ann es Ce manque de stabilit dans l emploi avec des revenus d passant le SMIC ajout s aux d marches administratives li es au renouvellement de son titre de s jour font que Mr S n entre alors pas dans les crit res de diff rents dispositifs d acc s au logement sans avoir non plus une situation lui permettant d acc der au logement priv Monsieur S est n anmoins reconnu Dalo prioritaire et urgent pour l acc s un logement social d s 2010 Un dossier Accords Collectifs puis un 47 AIVS sont d pos s sans succ s Mr S d croche un CDI en juillet 2013 apr s avoir s
61. nale qu ils imaginent souvent soit plus ou moins avantageux que la scolarit classique permettre aux l ves dit d crocheurs d tudier une r orientation et de s appuyer sur les dispositifs d di s et pour tous les l ves de rep rer notre centre comme un lieu ressource ult rieur pour leur recherche de formation d emploi ou de toute autre demande faire des choix d orientation plus appropri s pour les l ves de classe terminale Ils doivent formuler des voeux sur le fameux logiciel Admission Post Bac appr hender de mani re r aliste les possibilit s d int gration sur les formations post bac et ainsi r duire le taux d chec notamment pour ceux qui souhaitent s inscrire l universit Ces interventions sont souvent suivies de propositions d entretiens individuels afin de permettre aux l ves les plus en difficult demandeurs ou rep r s par leurs professeurs d avoir un change autour de leur situation des motifs de leur d crochage et de leur orientation professionnelle Quand ils ont eu lieu ils ont permis aux l ves de s interroger sur leurs difficult s afin de modifier des variables de leur scolarit ou cadre de vie pour atteindre leur objectif professionnel Ces interventions se r v lent indispensables pour permettre aux jeunes de faire des choix clair s quant leur avenir professionnel Elles ne suppriment pas l angoisse li e cette question mais le m rite de leur faire prendre co
62. ncontres au bureau et l ext rieur D s le premier mois d accueil elles permettent d valuer diff rents points la capacit d investissement d un lieu soi l organisation dans le logement l entretien le respect du mobilier mis disposition du r glement de fonctionnement du service h bergement et du bailleur l int gration dans un quartier le respect du voisinage le lien avec les gardiens et surtout la capacit vivre seul dans un logement pr parer ses repas se lever le matin g rer la solitude Vignette Situation du jeune B 38 Nous accueillons Monsieur B ses 18 ans suite un contrat jeune majeur accord exceptionnellement apr s sa majorit suite l intervention du service social de secteur Ce jeune homme non connu des services sociaux a toujours v cu avec son p re et sa petite s ur dans une chambre de bonne dans Paris Monsieur B int gre un de nos studios Tr s rapidement il nous confie ne jamais avoir fait le m nage cuisin ou lav son linge Une autre difficult est arriv e par la suite En effet le jeune culpabilisait d avoir un logement plus grand et confortable que celui de son p re et de sa s ur Pour ce jeune une importante partie de son accompagnement s est donc concentr e sur le logement l appropriation de ce lieu l entretien la cuisine et le respect du voisinage Nos rencontres se sont donc principalement pass es chez lui afin de l aider s approprier
63. nelle en collectif ou en individuel 29 en 2012 e 6 9 le relais avec des structures sociales ou ducatives 3 8 en 2012 5 des informations li es la formation et l emploi 3 2 en 2012 2 8 une recherche de formation professionnelle ou une re scolarisation 11 7 en 2012 48 6 50 0 45 0 1 36 7 40 0 1 a 35 0 1 30 0 25 0 20 0 15 0 5 0 6 9 10 0 1 2 8 5 0 _ _ m 1 0 0 Prestation Aide Recherche Information Relais Emploi Orientation formation autres structures 10 Les jeunes accompagn s Parmi les 1278 jeunes accueillis au del d une phase de premier accueil et de diagnostic nous sommes intervenus en atelier collectif ou dans le cadre d un accompagnement individualis aupr s de 917 jeunes correspondant 1718 forfaits soit une l g re augmentation du nombre de forfaits de r entra nement et de jeunes 591 jeunes pour 1613 forfaits mensuels en 2011 Sur ce nombre de jeunes 155 avaient d but leur prise en charge en fin d ann e 2012 ce sont donc 762 jeunes qui ont b n fici pour la premi re fois d un accompagnement en 2013 R partition par sexe e 55 6 soit 510 gar ons 60 2 en 2012 e 44 4 soit 407 filles 39 7 en 2012 R partition par ge e 63 9 de mineurs dont 23 5 ont moins de 16 ans 57 5 dont 14 5 en 2012 e 36 sont majeurs 42 5 en 2012 331 400 200 12 14 15ANS 16ANS 17 ANS 18 20 AN
64. nes h berg s peuvent donc tre confront s comme tout un chacun certaines difficult s dans les relations qu ils entretiennent avec leur voisinage et parfois m me constater qu elles peuvent tre positives Melle Y accueillie en rez de chauss e d un petit immeuble dans un quartier calme de la capitale doit n anmoins r guli rement affronter insultes et intimidations d un voisin Cette situation est connue de diff rents intervenants sociaux ou de sant des services de police ainsi que du bailleur Tous se trouvent largement d munis face elle Dans ce cas comme dans d autres il est important d entretenir de bonnes relations avec les gardiens et de soutenir nos jeunes h berg s en les encourageant s il le faut porter plainte mais aussi faire jouer les bonnes relations de voisinage Melle Y a par exemple trouv du soutien chez plusieurs personnes habitant le m me immeuble qui ont pu intervenir lors de d rapages verbaux du voisin en question Cette solidarit et l attention particuli re que nous portons sa situation permettent Melle Y d occuper son logement aussi sereinement que possible 3 Dur e de la prise en charge au titre de PASLL 7 12 us gt 3ans gt mois dans dans EE Jeunes en logement temporaire accompagn s au 31 12 13 Jeunes en logement temporaires relog s lt en en ot jeunes en logement temporaire DS 1 NE COS SN EE Nombre de r orientations envisag es 5 Type de r orientatio
65. nouvelle modalit d analyse des pratiques La finalisation de la mise en place du Projet individualis ou du contrat d objectifs L organisation de la gestion des situations difficiles dans le cadre de la prise en charge des jeunes n cessitant un positionnement institutionnel La mise en service du site internet CIEJ jeune en lien avec la commission communication de la Sauvegarde et remise jour du site CIEJ Des objectifs sp cifiques seront men s notamment gt DASES La mise en uvre du plan d action de l valuation interne Le d veloppement du partenariat notamment avec l ASE et l AED Le bilan du projet Boutique et les propositions d volution et d am nagement pour sa r ouverture gt EDI La r ponse l appel projet offre pour le renouvellement du financement EDI Poursuite des volutions p dagogiques en lien avec les Comp tences clefs volution des outils d valuation livret des acquis volution des ateliers D marrage de l valuation Interne Novembre 2014 adaptation de la m thode et formation gt H bergement La R ponse l appel d offre FNAVDL Le d veloppement de la diversification des modalit s d h bergement pour l accueil CJM Le d veloppement des actions collectives CJM sant gestion budget culture et ateliers logement FNAVDL gestion budget pr paration la prise d un logement gt Synergie La r ponse l appel d offre P le de Projet Professi
66. nscience que leurs choix professionnels doivent int grer les opportunit s mais aussi les contraintes de l environnement professionnel Les conseillers du CIEJ font un important travail de d codage de l information sur les dispositifs hors Education Nationale afin d apporter aux l ves des cl s de compr hension Cette approche a fonctionn pour plusieurs l ves comme un bon levier pour raccrocher avec une scolarit qui tait r investie diff remment Deux lyc es professionnels ont t concern s par cette intervention en 2013 Lyc e professionnel Turquetil des M tiers de la Mode et de l El gance 71 l ves de classe de seconde Lyc e professionnel Armand Carrel des M tiers du Tertiaire 69 l ves de classe terminale L orientation professionnelle En interne L atelier Mille et un M tiers Cet atelier a volu au cours de l ann e 2013 dans son contenu et ses modalit s La s quence collective a t r organis e sur deux journ es et demie afin de laisser plus de temps pour des entretiens individuels syst matiquement planifi s ce qui n tait pas le cas auparavant L entretien individuel permet de compl ter le travail et d tablir un plan d action Deux synth ses sont r dig es l une par le jeune et l autre par le conseiller professionnel pour permettre aux participants aux prescripteurs aux conseillers du CIEJ de poursuivre le travail alors engag Objectifs de l atelier e laborer et s appropr
67. oit aussi que le lien avec le r f rent ducatif du service au cours du CJM est important conserver lors du passage en logement temporaire Crous pour les jeunes tudiants boursiers 2 L ACTIVITE AVEC LE BUREAU DU FONDS DE SOLIDARITE LOGEMENT LES JEUNES PARISIENS BENEFICIANT D UN ASLL MESURE INDIVIDUELLE OU ACTION COLLECTIVE AIDE A LA RECHERCHE D UN LOGEMENT Le Public suivi A Typologie des m nages et situation familiale 5 jeunes femmes et 7 jeunes hommes ont b n fici d une mesure ASLL 43 Les jeunes adultes parisiens sont c libataires et g s de 18 25 ans au moment de l enclenchement de la mesure ASLL jeunes femmes et jeunes hommes c libataires ils rel vent du PDALP Ces jeunes adultes sont tous inscrits dans un parcours d insertion sociale et professionnelle ce sont les conseillers d insertion professionnelle de la mission locale de Paris et du Centre d initiatives pour l Emploi des Jeunes Paris 1 qui nous adressent les candidatures de jeunes adultes pour l acc s en logement temporaire C est l valuation de la situation d h bergement du jeune ainsi que de ses difficult s conomiques ne permettant pas par exemple l orientation en logement foyer qui d clenche la demande pour l acc s en logement temporaire B Situation socio professionnelle Activit des adultes accompagn s CDI CDD Contrats i Aid s Nombre de m nages travaillant temps partiel 6 Pourcentage d
68. onnel Mise en uvre du PIM Passeport Multim dia Internet gt Parrainage La R ponse l appel projet Parrainage La mise en place de la comptabilisation du temps de b n volat 63
69. ons ainsi accueilli 13 l ves entre 14 et 16 ans scolaris s en 3 me g n rale dans le cadre d un atelier de 4 jours Ce public tait particuli rement bien connu des travailleurs sociaux en raison de liens forts et durables Ces jeunes ont fait montre d une assiduit exemplaire Ils taient accompagn s chaque matin midi et fin de journ e par un ducateur Au terme du bilan de l action nous avons convenu de renouveler l action l ann e prochaine avec les modifications suivantes e r aliser l atelier durant les vacances d hiver pour disposer de plus de temps ensuite pour pr parer la demande d affectation e poursuivre le travail d orientation en entretiens individuels et mettre en uvre les tapes requises pour atteindre es objectif s d affectation rencontre avec des professionnels pr sence aux journ es portes ouvertes des tablissements scolaires et de formation mise en place de soutien dans certaines mati res e participer un atelier Image de soi et communication professionnelle durant les vacances de printemps pour pr parer leurs entretiens de s lection dans les lyc es professionnels dans le cadre du dispositif Pass Pro En externe Des interventions se sont d roul es aupr s d l ves dans diff rents lyc es professionnels ou dans des centres d accueil de la R ussite Educative afin de les aider clarifier leurs int r ts professionnels et am liorer leur d couverte des fili res professionnelles
70. ont t programm es sur l ann e et 45 jeunes ont pu y participer Les stages en boutique et les ventes ext rieures Cette ann e 39 jeunes ont effectu un stage la boutique ou ont saioe une vente ext rieure en exer ant une fonction de vendeur stagiaire et en effectuant des t ches diverses tant commerciales qu administratives comptables d entretien et de rangement du magasin que de logistique Cette diminution du nombre de jeunes cette ann e s explique notamment par la fermeture de la boutique depuis le mois de juillet et donc d une p riode d accueil r duite 6 mois On note nouveau cette ann e une augmentation des gar ons 67 du public contre 63 en 2012 et 33 de jeunes filles 23 17 15 17 ans 18 20 ans Plus de 21 ans Cette ann e encore une majorit de jeunes majeurs entre 18 et 20 ans 44 a particip aux activit s de la boutique les 15 17 ans repr sentent 28 du public accueilli 30 jeunes poursuivaient leur formation l EDI Coqu ron soit 77 du public accueilli cette ann e contre 73 en 2013 et 9 jeunes taient accompagn s par les conseillers du CIEJ au titre de la convention DASES Les objectifs vis s pour un stage en boutique ou en vente ext rieure peuvent tre variables d un jeune l autre selon son profil et ses besoins Il peut lui permettre l entrainement des t ches de travail r elles et concr tes le rep rage et le d veloppement de ses comp
71. our une partie des jeunes accueillis l existence de partenariats d j captifs Les partenariats sp cifiques qui pourraient se monter sont d j en place avec des structures plus institutionnelles comme les missions locales pour recruter tel ou tel typologie de candidats en fonction des politiques publiques mises en place notamment dans les grandes entreprises C est le cas des Emplois d Avenir o de plus les candidats sont oblig s de postuler via leur mission locale l impossibilit d avoir un contact r gulier avec les entreprises accueillant des stagiaires le CIEJ n est pas habilit proposer des conventions de stages aux jeunes accueillis Seuls les l ves ou les stagiaires de la formation professionnelle peuvent en avoir une Nous ne pouvons donc pas assurer un suivi des l ves au sein des entreprises lieux de stage Cela rend donc quasi impossible pour nous de maintenir vivant un contact entreprises Concernant les stages malgr un accueil courtois des entreprises celles ci sont parfois surprises de ne pas avoir les l ves en direct Nous rencontrons donc la difficult de convaincre une entreprise d accueillir un stagiaire que nous ne connaissons pas et pour lequel nous n assurons pas le suivi dans l entreprise le niveau d exigence du public Une partie du public en recherche d emploi a du mal accepter de ne pas avoir imm diatement en d but de carri re professionnelle leurs postes de travail id
72. ous avons toutefois chang avec les partenaires pr sents bien connus du CIEJ Apprentissage mode d emploi les fili res et modes de recrutement des employeurs au Caf des Parents l Ecole des Parents et des Educateurs Les parents pr sents t moignaient de leur manque d informations sur et de compr hension des dispositifs pour les jeunes dans et hors de l Education Nationale Ils demandent des pr cisions sur les proc dures informatis es d affectation au sein de l Education Nationale Affelnet et Admission Post Bac les modalit s d inscription dans les CFA Ils d couvrent aussi l int r t de faire un travail approfondi sur la validation des orientations professionnelles 13 L INFORMATION ET L ORIENTATION PROFESSIONNELLE 498 jeunes ont b n fici en interne et ou en externe de la structure d actions relatives l information sur les dispositifs de formation professionnelle et d emploi destination des jeunes 16 25 ans et ou l aide l orientation professionnelle en collectif et en entretiens individuels L information sur les dispositifs de formation alternatifs l Education Nationale Il s est agi d intervenir la demande de coordonnateurs de la Mission de Lutte contre le D crochage Scolaire et ou de proviseurs de lyc es avec diff rents objectifs faciliter le raccrochage de certains l ves en leur donnant une information sur la r alit des dispositifs de formation hors Education Natio
73. p tences techniques en photographie et d velopper leur mobilit Ils ont r alis un petit reportage sur un quartier de leur choix photographiant les d tails significatifs pour eux de l arriv e de l t Paris Ce travail a fait l objet d un album conserv l EDI Atelier Ecriture et cr ation d un livre ph m re recueil des textes crits par les jeunes cette ann e Les textes produits par les jeunes ayant fr quent l atelier d criture ont fait l objet d un album livre gardant trace du travail fourni cette ann e On y retrouve la r ponse des propositions d criture comme des jeux de lettres portraits chinois rimes ou bien des productions plus personnelles Atelier Carton et cr ation collective d un meuble pour l EDI Il a t propos aux jeunes fr quentant l atelier Carton de r aliser un meuble de rangement en collectif Ce meuble a t pens et r alis par les jeunes au service d autres jeunes de l EDI Il est install dans la salle de formation 33 Boutique Coqu ron 30 stagiaires ont particip des ventes de la Boutique Coqu ron sur des sites ext rieurs ou ont fait des stages la boutique en 2013 34 SAUVEGARDE Ut i AOGA FENCE CENTRE D INITIATIVES FOUR L EMPLOI DES JEUNES 2 ledeFrance Fonds social aurop en LE POLE DE PROJET PROFESSIONNEL SYNERGIE Notre activit en tant que co traitant dans le cadre du P le de projet professionnel pilot par
74. pe les pratiques et la question d envisager d acc der pour ces personnes directement au logement autonome Vignette de Monsieur C Au cours de l t 2013 un jeune adulte c libataire g de 29 ans nous est adress il est domicili la PSA de Bastille et conna t l errance depuis plusieurs mois d j alternant les nuit es chez des amis dans la rue ou dans des h bergements par l interm diaire du SAMU Social Il b n ficie d une consigne la Gare de l Est o il garde des produits de toilettes et ses papiers officiels En raison de la p riode estivale et des cong s des uns et des autres nous serons amen s successivement intervenir aupr s de cet homme Afin qu il puisse prendre des rep res nous lui demandons de venir chaque lundi matin fait preuve d assiduit nous pr vient s il est indisponible et s ouvre progressivement pour nous faire part de ses besoins et difficult s Au regard des liens tiss s avec un collecteur d action logement et malgr les r ticences de certains membres de l quipe quant sa capacit vivre dans un logement autonome nous d cidons de le positionner rapidement sur un logement T1 propos en banlieue Le pari est fait que la stabilisation dans un lieu o il se trouvera de fa on p renne en tant que locataire lui permettra d acc der plus facilement d autres d marches emploi sant 58 Statut d occupation Statut d occupation Occupant sans droit Sans Non nititr
75. pe de professionnels et lors des r unions d quipe l intervention psychologue vise permettre une compr hension des enjeux et des probl matiques afin de faciliter le travail relationnel aupr s d eux lls favorisent aussi l accueil de jeunes aux probl matiques psychiques denses mais cependant aptes b n ficier au mieux de l offre d insertion du Service H bergement 41 gt Les sorties du dispositif Contrat Jeune Majeur en 2013 Situation professionnelle Situations professionnelles des sortants L s 1 5 l La situation professionnelle des sortants de cette ann e montre une volution par rapport aux ann es pass es En 2013 5 jeunes ont quitt le service a 4 jeunes ont vu intervenir la fin de leur de Contrat Jeune Majeur durant leur 20 me ann e o 1 jeune a obtenu un logement gr ce l instruction par notre service de dossier Louez solidaire d bouchant dans un d lai maximum de 18 mois vers l obtention d un logement social durable o 2 jeunes ont obtenu un logement en cit universitaire o Le dernier qui b n ficie d un contrat dur e d termin au Mus e du Louvre a pu tre orient dans notre parc de logements temporaires o le type d accompagnement se poursuivra dans le cadre d un ASLL conv FSL Un retour au pays Dur e totale de prise en charge des jeunes sortis en 2013 moins de de 12 plus de RTC La jeune ayant une dur e de prise en charge
76. postion Situation au 3 12 14 2 7 38 30 juin 2013 o oo 56 Tableau situation au 31 d cembre 2013 Nombre Nombre de Nombre total de personnes de personnes pr te au personnes relog es relogement en fin et en d AVDL attente de propostion Situation au 31 d cembre 2013 B Typologie des 49 m nages accompagn s dans le cadre du nouveau dispositif FNAVDL 2013 2014 Remarque dans Paris un d marrrage difficile du nouveau dispositif FNAVDL 2013 Pour diverses raisons au 31 d cembre 2013 l ensemble des acteurs institutionnels et associatifs ont constat qu au total ce ne sont que 496 accompagnements AVDL qui ont t prescrits depuis le 1er janvier 2013 Pour les m nages ayant une reconnaissance DALO on observe dans Paris en plus de difficult li e au d marrage du nouveau dispositif FNAVDL que la prescription d un AVDL ainsi que le nombre de m nages qui n habite pas l adresse indiqu NPAI est cons quente et plus particuli rement pour le public jeune adulte de moins de 30 ans qui doit nous tre prioritairement orient Cette ann e a donc t ponctu e par nos r guliers et nombreux changes avec la DRIHL car comme d autres op rateurs parisiens nous restons fin d cembre 2013 tr s en de des 119 m nages pr vus initialement dans notre convention plus de 25 ans moins de 25 ans Hommes Femmes TOTAL 57 Situat
77. pte Des m nages salari s qui peinent se loger o 28 personnes dont 7 RSA major ont une activit salariale d s confirmation de la conformit de la demande de logement social la capacit financi re de ces m nages permet la pr sentation de leur demande de logement aupr s de l UT 75 des collecteurs ou bailleurs Les m nages relog s au 31 d cembre 2013 Nombre de m nages relog s avant le 31 d cembre 2013 Action logement Pr fectoral 1 16 12 Total 29 61 Nous pr cisons que sur les 29 m nages relog s 7 m nages taient d j accompagn s dans le cadre de l exp rimentation 2012 6 m nages ont t relog s gr ce aux protocoles sign s entre les bailleurs la DRIHL et les op rateurs Les propositions de logements ayant abouti concernent Action logement Gr ce la mise jour r guli re du r pertoire de la DRIHL indiquant les r f rents logement au sein d Action Logement le travail enclench en 2012 avec les collecteurs s est poursuivi cette ann e en permettant le positionnement des m nages accompagn s sur ce contingent de logements Cette ann e nous avons continu organiser les jeudis matins quelques rencontres avec de nouveaux collecteurs pour pr senter l association la mesure AVDL et les possibilit s de travail en commun Au d but de l exp rimentation nous avions travaill en troite collaboration avec 2 puis un 3 collecteur en 2013 les propos
78. que organisation concr te de la recherche de stage rep rage des difficult s et des freins perfectionnement de la prospection t l phonique ciblage des entreprises en lien avec les objectifs des stages e la recherche effective de stage lorsque c tait possible Les contraintes de planification scolaire sont telles que nous n avons pu parfois intervenir que sur des s ances tr s courtes et nous n avons pas pu accompagner la recherche effective de stage Les l ves ont t invit s revenir sur leur temps libre Nous partageons le m me constat avec les professeurs les l ves ont des difficult s anticiper leurs d marches lls prospectent au dernier moment Ils sont tr s peu mobiles sur le plan g ographique Ils ne mesurent pas les enjeux de cette d marche N anmoins ils se pr tent au jeu de la recherche et adh rent aux conseils que nous leur donnons Certains sont venus au CIEJ lors d ateliers de recherche de stage pour compl ter leurs d marches Nous sommes intervenus dans les tablissements suivants Lyc e Professionnel Armand Carrel des m tiers du tertiaire 95 l ves en classe de seconde professionnelle secr tariat gestion ou MRCU m tiers de la relation clients usagers Pour la 5 ann e cons cutive e Lyc e professionnel Pierre Lescot m tiers de la vente et du commerce 99 l ves en classe de seconde professionnelle vente commerce ou MRCU e Lyc e Verlhomme 11 l ves de la classe de
79. quentation de l atelier de recherche d emploi Ce lieu tait le lieu principal de mise en relation entre un parrain ou une marraine b n vole et un filleul en recherche d emploi L accompagnement du public plus jeune est diff rent et n cessite pour les b n voles un temps de formation pour s adapter ce public Les jeunes en recherche d emploi sont moins nombreux et les b n voles interviennent sur d autres activit s en lien avec le monde de l entreprise pr sentation des m tiers aide la recherche de stages 25 jeunes 16 gar ons et 9 filles ont b n fici d un accompagnement dans le cadre du parrainage Pr s de la moiti d entre eux ont trouv une solution positive emploi ou formation La Permanence Jobs Pour cet atelier renouvel depuis plusieurs ann es les constats restent malheureusement identiques manque d anticipation quant la recherche de job concurrence accentu e entre notre public plut t de bas niveau de qualification et les tudiants pr f r s par les employeurs Les jeunes utilisent un fichier constitu par les conseillers leur permettant de rep rer tr s rapidement les secteurs et les entreprises dans lesquelles ils peuvent postuler soit en ligne soit par courrier Nous abordons toujours l int r t de se pr parer de construire ses outils de recherche d emploi pour tre plus efficace principalement argumentaire t l phonique 22 ateliers jobs en 2013 planifi s entre mars juillet 75 je
80. rofessionnelle Il est particuli rement appr ci par les jeunes quand le groupe permet une posture bienveillante pour chacun L image est un l ment pr pond rant dans la communication et le recrutement c est aussi une pr occupation centrale dans la construction identitaire li e l adolescence Les mises en situations concr tes notamment lors des simulations d entretiens d embauche sont tr s riches d enseignement et appr ci es par les jeunes Nous nous appuyons sur une p dagogie participative Une implication personnelle et un climat de confiance sont les garants de la r ussite de cet atelier Un atelier centr sur la communication professionnelle a t conduit avec succ s dans ce sens pour des jeunes filles se pr parant aux m tiers du champ sanitaire et social Il leur a permis de valoriser leurs comp tences acquises lors d exp riences professionnelles ant rieures de valoriser leurs capacit s faire voluer et adopter une posture professionnelle ad quate avec les exigences du secteur Une autre exp rience davantage centr e sur la revalorisation de l estime de soi a permis des l ves de classe Bac Pro particuli rement d mobilis s de se r investir dans leur parcours scolaire En interne e 4 modules Image de soi et communication professionnelle ont t anim s en 2013 e 58 inscrits 26 pr sents avec une moyenne de 7 jeunes par atelier En externe Des ateliers ont t anim s dans le
81. rs de l cole en toute connaissance de cause La reconduction de la charte de partenariat avec Le GIP R ussite Educative Initi en fin d ann e 2012 le partenariat engag avec deux des trois lieux parisiens de la R ussite Educative s est intensifi en 2013 et vise galement r duire le taux de d crochage scolaire Il s est traduit par la tenue d un atelier hebdomadaire d aide l orientation durant toute l ann e scolaire dans le lieu d accueil du 13 me g r par la DASCO de Paris et par l animation de 4 ateliers modulaires sur plusieurs s ances dans le lieu d accueil du 20 me regroupant des l ves issus de plusieurs coll ges parisiens Cela a eu pour cons quences Une pr sence accrue de mineurs Pr s de 62 de mineurs accueillis en 2013 dont pr s de 22 de moins de 16 ans soit une croissance de plus de 8 points en l espace d un an Pour information en 2005 30 de mineurs taient accueillis Une croissance du nombre de jeunes sous statut scolaire 71 3 de jeunes taient sous statut scolaire au moment o nous tes avons rencontr s En l espace de deux ann es nous observons une croissance de plus de 15 points En 2008 ils taient 29 8 La croissance importante de forfaits de r entrainement de tr s courte dur e Les interventions en direction de public scolaire sont ponctuelles compte tenu des exigences de planification des programmes scolaires elles n entra nent pas des accompagnements aussi indiv
82. rs et sup rieurs au SMIC il leur manquera toujours 3 fois le montant du loyer en salaire ou bien une personne qui se porterait garante Nous observons galement une augmentation des jeunes sans revenus de plus en plus en difficult au niveau de l h bergement de jeunes en situation d errance ou avec une situation d h bergement tr s pr caire Une hypoth se serait que les conseillers de la mission locale feraient de plus en plus de demandes de FJT et nous orienteraient des jeunes en plus grande difficult Nous avons donc d velopp cette ann e un travail d interface avec la PSA 3 L ACTIVIT AVEC LA DRIHL POUR L AVDL DE JEUNES ADULTES PARISIENS RELEVANT DU DALO Le Droit Au Logement Opposable DALO Une personne qui a effectu une demande de logement et qui n a pas de proposition adapt e sa demande en terme de besoins et de capacit peut saisir la Commission de M diation COMED de son d partement puis dans un certain cas exercer un recours devant le tribunal administratif au titre du Droit Au Logement Opposable DALO La situation d h bergement ou de logement ainsi que les conditions en situation r guli re et revenus entre autre de ces personnes doivent r pondre aux crit res du DALO Le public accompagn Il s agit de proposer un accompagnement AVDL des jeunes femmes et hommes parisiens qui rel vent du DALO de Paris Ces jeunes adultes n ont pas trouv de r ponse adapt e depuis 2008 2009 alors que leur
83. s tablissements scolaires suivants e Lyc e Jacques Monod 11 d l ves pr parant le BEP carri res sanitaires et sociales et ou le CAP Petite enfance et ou les concours d Aide soignante ou d Auxiliaire de pu riculture e Lyc e professionnel Gaston Bachelard 12 l ves en 1 re ann e du baccalaur at professionnel Electrotechnique b n ficiant du dispositif Raccrochage et R ussite scolaire propos par cet tablissement e Accueil Pelleport lieu de la R ussite Educative La recherche de stage Depuis la r cente r forme du baccalaur at professionnel le stage pratique est exig pour la validation du dipl me Des stages successifs avec des objectifs diff renci s et des productions r aliser en situation professionnelle sont obligatoires Les tablissements sont donc de plus en plus nombreux nous solliciter pour un accompagnement collectif et individuel afin de soutenir les l ves qui rencontrent des difficult s pour trouver un lieu de stage pertinent Deux prestations ont t propos es en 2013 e les Techniques de recherche de stage Le contenu p dagogique traite de la m thodologie de recherche de stage pratique convention de stage outils de communication avec les entreprises plan d action l Atelier de recherche de stage Il est centr sur la recherche effective de stage sur la base du plan d action d fini au CIEJ ou dans les tablissements scolaires Les jeunes cherchant un stage int graient
84. s faisons appel aux dispositifs de droits communs Pr t Equipement CAF Fond Solidarit Logement Nous avons galement d velopp un partenariat avec la Banque Solidaire de l Equipement d Emma s D fi pour les m nages accompagn s dans le cadre du Dalo et qui acc dent un logement p renne La particularit de ce dispositif tant de proposer des quipements de maison neufs petits prix cela valorise les m nages pass s au statut de nouveaux locataires et permet de travailler sur le budget par l anticipation des d penses affecter ce poste La Rencontre des nouveaux locataires 2 nouvelles Rencontre des nouveaux locataires ont t organis es par notre service sur un temps de convivialit elle permet d inviter les m nages ayant acc d en 2013 un logement au cours du semestre coul ainsi que les diff rents acteurs qui ont contribu s la r ussite de ce projet logement bailleurs collecteurs Emma s D fi institutionnels 62 PERPECTIVES CIEJ 2014 L ann e 2014 devrait permettre de voir aboutir de fa on transversale l ensemble des activit s La poursuite des diff rentes phases de travaux de r habilitation de l immeuble La finalisation des fiches de postes et de l organigramme La Base de donn es e Ecriture lot 1 formation et mise en service premier semestre 2014 e Ecriture lot 2 compl ment formation et mise en service entre septembre et fin 2014 La mise en place de la
85. sitting le soir afin de pouvoir r viser et pr parer ses oraux Rapidement A s aper oit qu elle a du mal travailler seule Elle supporte mal la transition entre sa vie de lyc enne et le commencement de son parcours de salari e Elle se trouve isol e et se d motive peu peu En concertation avec sa conseill re d insertion plusieurs moyens sont mis en place pour permettre A de faire ses r visions tout en tant accompagn e Elle b n ficie galement du syst me de parrainage propos par le CIEJ par le biais duquel un retrait offre son soutien et son exp rience Les difficult s que rencontrent malgr tout la jeune A dans la pr paration des oraux l am nent petit petit reconsid rer son projet initial tout en la faisant douter s rieusement de ses capacit s Pour la jeune femme l ajustement de son projet marque le d but d une p riode tr s difficile durant laquelle elle est tent e de tout abandonner et perd toute confiance en elle Ses difficult s s exprimer l oral engendrent chez elle une crainte disproportionn e de cet exercice Cependant avec le soutien de la conseill re et du travailleur social envisage peu peu d largir le champ de ses projets professionnels m me si elle y est tout d abord tr s r ticente Elle accepte galement de participer un atelier Estime de soi propos par le CIEY M me si elle n a pas r ussi les deux premiers concours auxquels elle s tait inscrit
86. situation avait t d clar e prioritaire et urgente Ag s de moins de trente ans ces jeunes adultes sont c libataires ou en couple avec ou sans enfant C est partir de l exp rience d accompagnement social dans l habitat ordinaire et de nos actions collectives d aide la recherche de logement que nous avons pu identifier les modalit s d accompagnement mettre en uvre aupr s de ce public Cette ann e 2013 dans le cadre o De la poursuite de l exp rimentation 2011 2012 de l AVDL dans Paris 38 m nages de moins de 30 ans reconnus prioritaires et auxquels un logement social doit tre attribu en urgence ont t concern s par la cl ture de l exp rimentation parisienne Pour permettre la poursuite de l AVDL des 38 m nages et apr s validation de la DRIHL et du diagnostiqueur un avenant notre convention FNAVDL a t sign pour la p riode du 1 janvier 2013 au 30 juin 2013 53 o Du nouveau dispositif du FNAVDL 2013 2014 49 m nages au total et fin d cembre 2013 ont t attribu s partir du diagnostic r alis par l organisme parisien diagnostiqueur AVDL nous avons contact chaque m nage et adress un courrier leur proposant un 41 rendez vous dans nos bureaux La contractualisation de l accompagnement pr cise nos modalit s d interventions dans le cadre du projet logement et la prise en compte des pr cautions de confidentialit des informations transmises par le m nage
87. stiques rangement stockage inventaires et rendu des articles du d p t vente aux clientes Les entretiens d accueil et de bilan Propos s tout jeune d sireux d effectuer un stage la boutique et orient par son conseiller r f rent ils permettent de recueillir les attentes du jeune et de partager les objectifs poursuivre durant son stage 15 jeunes ont b n fici d un entretien avant d int grer la boutique comme stagiaire les autres jeunes qui ont particip des ventes ext rieures ont t convi s une s ance d information collective avant le d marrage de l action Un bilan final permet de v rifier si les objectifs de d part ont t atteints et d valuer les comp tences d velopp es au cours du stage L atelier de pr sentation de la boutique Il est propos tous les mois aux jeunes nouvellement accueillis l EDI dans la phase d accueil collectif Il a pour objectif de sensibiliser les jeunes l int r t d un stage la boutique et de donner des informations sur le type de produits vendus et de faire d couvrir e a boutique son histoire ses objectifs pour les jeunes son fonctionnement e les notions de commerce quitable et d conomie solidaire la charte du commerce quitable les labels les logos les produits e le d p t vente son fonctionnement la charte remise aux clients e le m tier de vendeur les t ches les qualit s requises les comp tences d velopp es 9 s ances
88. sur s par un travailleur social du service h bergement Depuis le 1 d cembre 2009 3 travailleurs sociaux ducatrices sp cialis es et assistante sociale du service h bergement interviennent temps partiel sur cette activit Rappel nous demandons aux conseillers d insertion de ces tablissements de veiller ce que les jeunes poss dent un titre de transport Contenu Programme d une session mensuelle o les th matiques abord es sont les suivantes e Th matique n 1 Pr sentation de la situation du logement parisien Th matique n 2 D marches administratives e Th matique n 3 Projet logement et budget e Th matique n 4 Acc der et occuper son logement les droits et devoirs d un locataire Les supports outils Nous utilisons GESPLAN accessible sur internet cet outil informatique mais galement m thodologique permet aux conseillers d insertion professionnelle de la mission locale et du CIEJ d inscrire le public en pr cisant galement la situation sociale et professionnelle du jeune 49 Une fiche d accueil ce document d une page est compl t par le jeune le jour de sa participation notre action collective PowerPoint pour permettre une pr sentation dynamique de nos actions collectives 3 Analyse des actions collectives r alis es sur le plan qualitatif et quantitatif Cette ann e nous avons organis 18 actions collectives dont plus d 1 3 effect
89. t d op rationnalit de possession du permis B et du permis poids lourds parfois de comp tences logiques et math matiques rend quasi impossible l acc s l emploi pour les jeunes de tr s bas niveau de qualification accueillis au CIEJ Les secteurs de la vente en pr t porter ceux du sanitaire et du social n cessitent une ma trise des codes sociaux adapt s une bonne sant physique et psychique pour ces deux derniers car les enjeux de responsabilit professionnelle sont importants Une partie des jeunes accueillis dans notre structure est encore la recherche de cette stabilit personnelle rendant difficile leur acc s l emploi de fa on adapt e Nous avons tent une exp rience avec l entreprise ERDF qui a effectu un recrutement dans nos locaux sur des postes d lectricien en apprentissage Sur les 6 candidats propos s aux recrutements aucun n a t pris l volution des modalit s de communication des entreprises en mati re de recrutement en lien avec les nouvelles technologies Les grandes entreprises obligent les candidats postuler sur leurs sites Nous travaillons avec le public sur leurs difficult s communiquer de fa on adapt e sur le support en ligne mise en forme de candidature r dactionnel concis et percutant c est un travail de longue haleine qui vient par ailleurs percuter la probl matique de la discrimination l embauche noms consonance trang re lieu de domiciliation p
90. tations Mieux appropri es elles permettent de r duire les abandons en cours d ann e de fili res d orientation subies ou le d lai d errance entre la sortie du syst me scolaire et l int gration de dispositifs hors Education Nationale LA DECOUVERTE DU MONDE PROFESSIONNEL L AIDE A LA RECHERCHE DE STAGE 359 jeunes ont b n fici soit d ateliers de recherche de stage et ou Image de Soi et communication et ou du module D couverte du monde professionnel L atelier Image de Soi et communication professionnelle Objectifs du module e am liorer sa communication verbale et non verbale e apprendre se valoriser en situation d entretien de recrutement e apprendre se confronter au regard de l autre e renforcer l estime de soi et la confiance en soi Selon le public l accent sera mis davantage sur le renforcement de l estime de soi ou alors sur la pr paration une communication professionnelle adapt e Cet atelier exp riment au CIEJ pendant quelques ann es avec des stagiaires se destinant aux m tiers du tourisme et de l animation a t remani pour r pondre la n cessit de retravailler avec un public tr s jeune Il fallait l adapter aux besoins des jeunes en phase d apprentissage de compr hension de ma trise des codes sociaux r gissant la relation aux adultes dans le monde de la scolarit de la formation professionnelle du monde du travail et indispensables la r ussite de leur insertion sociale et p
91. teurs de l atelier puis directement avec les employeurs par t l phone ou par mail Le fonctionnement en libre service facilite l apprentissage de l autonomie la gestion du temps l organisation de la recherche la fr quence de la participation 244 jeunes ont fr quent l atelier de recherche d emploi 107 filles et 137 gar ons Le nombre de jeunes concern s a baiss au profit de l augmentation du nombre de jeunes pr sents l atelier de recherche de stage Il est li notamment au rajeunissement du public qui n est pas encore dans une d marche de recherche d emploi mais plut t de stage Les pr requis pour acc der l atelier ont galement volu Les jeunes pour lesquels le projet de recherche d emploi est clair participent d abord au module pr paratoire la recherche d emploi de 2 jours et viennent ensuite faire leur recherche l atelier l objectif tant de se concentrer sur la seule recherche effective d emploi et pas galement sur la fabrication des outils de la recherche Majoritairement les jeunes accueillis sur l atelier recherchent un emploi stable ou un emploi en alternance Ils cherchent de fa on dominante secteur de l h tellerie restauration et secteur de la vente et du commerce qui restent des secteurs o l embauche peut se faire avec des niveaux V Les niveaux V sont majoritaires quelle que soit la fili re de formation La Permanence Apprentissage Cet atelier saisonnier planifi entre le mo
92. timent e 1 BTS Gestion e 1 mention compl mentaire CAP Reliure e 1 CAP Peinture La poursuite du parcours hors syst me scolaire reste complexe et source d angoisse Le travail en transversalit avec le CIEJ engag pour l ensemble des jeunes est alors plus crucial gt Le travail en transversalit avec le CIEJ Dans le cadre du projet d accompagnement du jeune majeur et comme pour les ann es pr c dentes 2 conseill res en insertion professionnelle du CIEJ sont r f rentes aupr s de l ensemble des jeunes majeurs Les deux conseill res du CIEJ participent une fois par mois la r union d quipe du service h bergement Lors de ce partage d information avec galement l clairage du psychologue psychanalyste du Cabinet CATERI chaque situation est voqu e et fait l objet d une r flexion commune En dehors de ce temps collectif des changes r guliers entre intervenants sont l occasion de croiser les regards et de r ajustements favorisant ainsi l laboration d un plan d action plus fin et davantage adapt aux besoins des jeunes 40 Vignette situation de la jeune est une jeune femme de 18 ans qui vient d obtenir son bac professionnel SPVE A se destine travailler dans le milieu du soin depuis qu elle est petite fille Son projet est donc dans un premier temps de s inscrire aux concours d Aide Soignante pour entrer en formation en cours d ann e Parall lement elle trouve quelques heures de baby
93. ts dur e ind termin e e ___4en Emplois d avenir e 3 en contrats de professionnalisation 62 jeunes soit 10 ont int gr un dispositif de formation professionnelle 12 7 en 2012 e 23 en p le de projet professionnel e 14e n formation pr qualifiante ou qualifiante e 14 en Espace Dynamique Insertion e 4 en Ecole de la deuxi me chance e 4 en passerelle apprentissage 126 jeunes soit 20 2 se trouvent dans des situations diverses 26 4 en 2012 e 49 ont rencontr des difficult s de mobilisation avec un travail faire en priorit avec des relais ducatifs sociaux ou de sant e 43 mont pas donn de nouvelles malgr les multiples relances e 26 sont en capacit et souhaitent faire leurs d marches de fa on autonome e __6 ont d m nag e 2 ont t r orient s vers la mission locale en raison de la limite d ge LES ACTIVITES COLLECTIVES L INFORMATION SUR LES METIERS ET LES DISPOSITIFS Les conseillers ont accompagn des usagers dans le cadre de diff rents forums ext rieurs ou de visites d entreprises L objectif tait de les aider d couvrir les m tiers les fili res professionnelles le monde du travail pour mieux clarifier leurs choix d activit s professionnelles Cette ann e les visites suivantes se sont renouvel es car elles ont prouv leur pertinence par rapport aux int r ts professionnels des jeunes Les Coulisses du B timent L id e tant d encourager une vision pos
94. u es sur le site d un partenaire 199 jeunes ont t inscrits 121 jeunes ont particip aux actions collectives La modalit d intervention sur site permet une meilleure inscription aupr s de nos partenaires de la Mission Locale de Paris et de l habitat adapt notamment par le biais des r f rents logement de ces organismes qui restent impliqu s en amont et en aval des actions collectives Nous observons que pour certains jeunes il est plus ais de se rendre nos actions collectives lorsqu elles ont lieu dans des endroits qu ils connaissent Typologie du public HOMMES FEMMES TOTAL 140 120 100 80 a 40 20 t mo 18 21 22 24 25 26 27ANS NC TOTAL ANS ANS ANS etplus SITUATION FAMILIALE B C libataire m C libataires avec enfants a En couple f En couple avec enfants 50 Sur 199 inscriptions ce sont 121 jeunes adultes parisiens tr s majoritairement c libataires qui ont particip nos actions collectives en 2013 Si 57 jeunes femmes ont particip nos actions collectives nous continuons observer pour cette 2 ann e cons cutive que les jeunes hommes restent majoritaires C est au sortir de dispositifs de la protection de l enfance dans le cadre d un contrat jeune majeur et de logements foyers pour les jeunes hommes g s de plus de 25 ans que ces participants sont concern s de fa on plus d cisive encore par la quest
95. u le tissu associatif et cartographie du r seau parisien D finition des besoins des contenus et de l organisation des r unions de r seau pour le second semestre 2013 et l ann e 2014 Octobre Visite d un Espace Jeunes Pr sentation de la base de donn e Florij sur le partage d informations entre structures jeunesse par le coordinateur du r seau Pr sentation d outils d information destination du public jeune Novembre Les Emplois d Avenir dispositifs chiffres organisation de la diffusion des besoins Mission locale de Paris La m thodologie d organisation d un forum partir de l exp rience des acteurs du r seau parisien changes avec un responsable de l v nementiel au CIDJ 27 ESPACE DYNAMIQUE ti INSERTION Q ledeFrance gi DEPARTEMENT DE PARIS J SAUVEGARDE De t ADOLESCENCI LES ACTIVITES DE FORMATION L ESPACE DYNAMIQUE INSERTION COQUERON Notre subvention a t renouvel e en 2013 que ce soit par le D partement de Paris DASES Bureau de la Pr vention Jeunesse et de l Insertion ou par la R gion lle de France avec un co financement du Fonds Social Europ en Nous avons particip plusieurs r unions organis es par la R gion ayant pour objectifs de recueillir les analyses des EDI franciliens dans la perspective de l laboration du prochain cahier des charges relatif l appel d offres qui sera lanc courant 2014 L ordre du jour de ces r unions e l orientation v
96. uis sociaux et sur les comp tences pr professionnelles des candidats La relance syst matique des entreprises par les conseillers du CIEJ avec les l ves en partenariat avec leurs professeurs a port ses fruits aucun l ve n est rest sans solutions de stage cette ann e Un module sp cifique Techniques de recherche de stage et d couverte de l environnement professionnel a t planifi sur 5 s ances pour 12 l ves primo arrivants scolaris s au Lyc e Vauquelin relevant du dispositif scolaire du CASNAV Centre Acad mique pour la Scolarisation des enfants Allophones Nouvellement Arriv s Ils se sont confront s la r alit du march de l emploi afin de pouvoir appr cier si leur projet tait r alisable Ils ont approfondi leurs connaissances des m tiers des formations les cursus scolaires envisageables Ils ont travaill la pr sentation orale et la simulation d entretien 17 Ils ont tous trouv un stage en entreprise et pour certains ont r alis un SDAM stage de d couverte de l apprentissage et des m tiers dans des CFA En externe Des interventions ont eu lieu dans diff rents tablissements scolaires pour les l ves en recherche de stage L objectif principal de l quipe enseignante tait de redynamiser des l ves jug s trop passifs et pas assez mobilis s par rapport leurs ch ances de stages professionnels Nos interventions se sont centr es sur e une dimension m thodologi
97. uivi avec succ s une formation financ e par son employeur Nous r fl chissons avec lui aux diff rentes possibilit s de sortie du dispositif qui ne sont pas r ellement satisfaisantes puisqu elles impliquent un retour vers un dispositif de logement transitoire Il commence faire des recherches dans le parc priv En novembre 2013 sur le contingent de la Mairie de Paris Mr S re oit finalement une proposition d un bailleur parisien pour un logement dans le m me arrondissement qu il habite cette p riode Le logement lui sera finalement attribu avec une sortie effective du dispositif fin d cembre 2013 4 Situation par rapport au logement au terme de la prise en charge ASLL Type de Logement Logement Logement Logement Logement Structures Propri t logement p renne p renne p renne du p renne temporaire d h bergemen Copropri t Accord parc social du parc collectif autre que ACD et Nombre de m nages 1 1 concern s Nombre de m nages ayant b n fici d un accompagnement post relogement de 3 mois 2 Afin d acc der sereinement dans le nouveau logement les premiers temps de leur installation les perspectives de l ASLL sont de soutenir les jeunes e Lors de la d signation puis de l attribution dans le logement gr ce notre r le d interface avec le bailleur et le gardien lors de l entr e dans les lieux e L appropriation d un nouveau cadre de vie _ L emm nage
98. unes inscrits 35 pr sents dont 11 jeunes mineurs sur les ateliers Le partenariat avec les entreprises Diff rentes entreprises ont t contact es en 2013 pour tenter de d crocher des stages pour des l ves Il s agissait exclusivement de petites entreprises commerces de quartier artisans Nous n avons plus comme par le pass de partenariat privil gi avec les entreprises pour plusieurs raisons la baisse du nombre de candidats employables Elle correspond la diminution du nombre de jeunes employables au CIEJ du fait du rajeunissement du public En l absence de candidats il est difficile de maintenir un r seau d entreprises partenaires le d calage entre le profil du public accueilli et les exigences des entreprises situ es sur le bassin d emploi parisien haut niveau de qualification sociale et professionnelle ma trise linguistique permis B Du fait de l augmentation du taux de ch mage des jeunes lors de rencontres sur les forums emploi nous observons l exigence accrue des entreprises li e la forte affluence de candidats et donc une concurrence notable pour les jeunes que nous accompagnons Les entreprises exigent un minimum d exp rience et notre public ne l a pas ou peu du fait de son jeune ge 20 Dans les m tiers de l lectricit de la plomberie de la m canique automobile du transport tr s demand s par les jeunes hommes le niveau d exigence en terme de qualification technique e
99. ur jeune ge e 56 10 des jeunes sont sans dipl me de formation g n rale ou professionnelle 70 4 en 2011 Parmi ceux qui sont dipl m s la r partition est la suivante sachant qu un jeune peut avoir plusieurs dipl mes Dipl mes de formation g n rale e 77 ont le brevet des coll ges 77 en 2012 9 ont le baccalaur at g n ral 14 en 2012 15 ont obtenu le certificat de formation g n rale 9 en 2012 CFG Bac 8 des coll ges 77 Dipl mes de formation professionnelle e 43 ont le Brevet d Etudes Professionnelles BEP 56 en 2012 e 35 le Certificat d aptitudes professionnelles CAP 28 en 2012 e 19 25 le Baccalaur at professionnel Bac Pro ou le bac technologique 13 en 2012 e 3 d autres types de dipl mes Bac pro Autre 3 techno 19 25 Situation au premier accueil une croissance significative des jeunes sous statut scolaire e 71 36 sont sous statut scolaire 60 en 2012 e 24 26 sont sans emploi ni formation 35 en 2012 e 1 25 sont stagiaires de la formation professionnelle 3 en 2012 e 2 2 sont salari s temps partiel majoritairement 2 en 2012 71 36 80 00 25 20 1 25 L exp rience professionnelle ant rieure 74 2 ont d j fait un stage en entreprise dans le cadre de leur scolarit ou de leur formation professionnelle 95 4 des jeunes ne sont pas inscrits au P le Emploi la date du premier accueil du fa
100. ve On constate une croissance du chiffre d accueil par rapport 2012 1171 jeunes en 2011 1136 jeunes en 2010 Ceci s explique notamment par la forte sollicitation de la part des tablissements scolaires Sur ces 1278 jeunes quelques caract ristiques R partition par sexe une sur repr sentation des gar ons tendance stable e 55 soit 699 gar ons e 45 soit 579 filles R partition par ge une croissance tr s significative du nombre de mineurs 8 5 points 61 9 de mineurs dont 21 36 de moins de 16 ans 53 4 en 2012 dont 14 de moins de 16 ans 10 en 2011 e 38 1 de jeunes majeurs 46 6 en 2012 200 400 300 100 gt D z B T 0 13 ANS T 14 ANS 15 ANS 16 17 18 21 ANS ANS 12 ANS R partition par nationalit des jeunes majoritairement fran ais e 79 34 de jeunes de nationalit fran aise 77 en 2012 e 18 78 de jeunes de nationalit trang re 18 en 2012 Hors UE UE Pas de 18 78 063 r ponse 1 25 Fran ais e 79 34 R partition par domiciliation majoritairement domicili s dans le nord est parisien e 50 du nord est parisien par ordre d croissant 198 20 et 18 arrdts 47 en 2012 e 24 des 13 12 15 et 14 arrdts 27 en 2012 14 des 10 me 11 me et 9 me arrdts 14 en 2012 6 des 17 et 16 arrdts 4 en 2012 e 5 des premiers arrdts 1er au 7 me 6 en 2012 e 3 jeunes
101. vec le CRIPS autour de la pr vention des MST ont permis aux stagiaires d identifier ce lieu ressource La collaboration avec les structures de sant mentale s est poursuivie le CIAPA les Centre M dico Psychologiques et EMPRO 9 et 10 Nous avons maintenu nos contacts avec les Maisons des Adolescents R Debr Solenn sur Paris dans le cadre d accompagnement de jeunes d j suivis par ces structures Nous avons aussi utilis le dispositif PSOP Prestation sp cifique d orientation Professionnelle mis en place par l Agefiph pour un travail d orientation prenant en charge le handicap Prescripteur ou proposition de solution de sortie du dispositif nous avons t en contact avec la Passerelle vers l emploi dispositif port par Vivre Emergence pour un public concern par le handicap Enfin rappelons notre partenariat r gulier avec le CAVA en capacit d accueillir un public encore fragile et acc dant gr ce cette structure au statut de salari Nous avons cette ann e contact le CHRS le Lieu dit afin d envisager avec eux une r orientation quand cela paraissait pertinent La pr sence d un psychologue sur place peut permettre au jeune de renouer avec l id e d un travail th rapeutique Les partenaires relais de la vie quotidienne L alimentation Le partenariat avec le restaurant associatif Santeuil de l association Aurore s est renouvel 33 cartes d jeuners 9 d ners Les stagiaires l ont utilis de
102. vit commune tout commerce qu elle que soit sa taille une fois par an Il s agit de e Rep rer les dates de p remption des produits alimentaires les r f rences les libell s e Compter chaque produit en rayon et en r serve e __ Constituer une fiche de synth se permettant la rotation des stocks e Pr voir les ventes promotionnelles venir pour viter les pertes e Pr voir les commandes passer e Editer un tat des stocks destin la comptabilit e L enregistrement de produits et d articles sur bases de donn es l tiquetage la mise en rayon l entra nement l enregistrement des journaux de vente de la semaine l dition du journal de vente quotidien e La tenue et mise jour des stocks e Les relances clients par mail et par SMS e La passation de commandes aupr s de fournisseurs 29 Le bilan de stage Tous les jeunes ont pu faire un travail approfondi d valuation de leur stage en groupe et en entretien individuel l aide d outils d valuation et de grille bas s sur la carte des comp tences cl s Avenir Jeunes du CRIF partir des comp tences d velopp es dans les diff rentes activit s de la boutique qu elles soient li es la fonction de vendeur ou plus transversales tout secteur professionnel Une attestation de stage a t remise chacun indiquant les activit s effectu es et les qualit s mises en uvre 26 CENTRE D INITIATIVES LD Le R seau
103. vons continu contribuer la r flexion et la mise en place d actions via notre participation aux r unions du R seau Information Jeunesse Ces r unions sont aussi l opportunit de d couvrir les acteurs des Antennes Jeunes et des nouveaux Espaces Jeunes de la Ville de Paris pour ainsi partager mutualiser et enrichir le travail des partenaires du r seau Cette ann e les th matiques abord es ont t les suivantes Janvier Pr sentation du programme de professionnalisation pour les intervenants du r seau information Jeunesse des appels projets d v nements r gionaux des outils de fr quentation du public les modalit s de re labellisation de l Union Nationale Information Jeunesse et l actualisation du r f rentiel m tier d informateur jeunesse Mars La pr paration de la sortie du milieu carc ral des mineurs et jeunes majeurs articulation entre les diff rents acteurs concern s la construction du parcours de r insertion professionnelle et sociale le CIO sp cialis du Tribunal pour Enfants et le coordinateur Justice de la Mission Locale de Paris Avril Pr sentation Service de Probation et d Insertion Professionnelle Paris et de ses missions aupr s des jeunes sous main de justice SPIP 75 Juin Recensement des sp cificit s des structures du r seau Information Jeunesse implantation territoriale articulation avec les politiques jeunesse locales lien avec les mairies d arrondissement avec l l

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