MODE D`EMPLOI DES SÉANCES EN PLEIN AIR
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1. Fonction de cette r gle chaque distributeur est libre de fixer ces tarifs donc de participer ou non au dispositif e Privil gier l accessibilit des publics aux langues originales des films Par respect pour les publics de Passeurs d images dont certains prouvent des difficult s de lecture des films seront diffus s en VF sans sous titre La VO peut aussi devenir un atout quand les publics pratiquent majoritairement la langue utilis e dans le film l UriLisaTion De La LisTe naTionaLe e Les films de la liste nationale ne sont pas obligatoires mais fortement recommand s e Les films inscrits sur les listes des ann es pr c dentes peuvent tre programm s Aucune n gociation nationale ne sera engag e avec les distributeurs de ces films Il peut arriver que Passeurs d images ne travaille plus avec certains de ces distributeurs et que les tarifs aient augment e Dans la mesure o les dates de projection respectent la l gislation sur les autorisations de s ances et les visas d autres films peuvent tre programm s dans le cadre de Passeurs d images films du patrimoine films produits en r gion ou films trangers Les programmations sont labor es en fonction du projet local e La liste nationale peut tre utilis e en r gion sous une forme r duite en choisissant des th matiques ou par souci d organisation de circulation des copies rapes De CONSTITUTION DE La LISTE NATIONALE e Composition d une premi2. 5227717 gt gt Site de l ALPA http www alpa asso fr
3. MODE D EMPLOI DES S ANCES EN PLEIN AIR Ossecrirs pes s ances en PLein air e Dans le chapitre qu il consacre aux desseins privil gi s par les projets labor s au sein du r seau Passeurs d images le protocole d accord interminist riel pr cise que l un des objectifs de ces projets consiste cr er et d velopper du lien social au sein des territoires o se d roulent les actions La composition de la liste plein air doit tre imagin e de mani re donner aux divers acteurs et partenaires associ s au dispositif Passeurs d images la possibilit de r aliser un tel objectif e Dans cette perspective la liste nationale doit tre en mesure de r pondre des attentes h t roclites et permettre aux structures et personnes souhaitant organiser une s ance de cin ma au c ur d un quartier de l envisager au regard du contexte social qui le caract rise e v nement social et culturel la s ance de cin ma en plein air doit tout autant s offrir comme un spectacle gratuit dimension familiale que s envisager comme une action d ducation l image e Pour permettre aux s ances en plein air de faire face leurs missions il est primordial que la liste ne privil gie aucun type particulier de films ni aucun genre cin matographique Elle doit au contraire s efforcer de proposer un large ventail de productions susceptible de toucher divers publics et territoires films d auteurs film d animatio
4. Positionnement des crans en fonction des lumi res parasites supprimer au maximum e Diffusion sans interruption des longs m trages pr sentation d un court m trage en premi re partie e Reproduction sonore de type st r ophonique avec processeur et enceintes acoustiques en fonction de la taille et de la structure de l cran e S curit de l ensemble des installations techniques notamment isolations lectriques prise au vent des toiles d cran OBuicarions RemPLIR POUR Les s ances e La r glementation en vigueur concernant les autorisations de s ances non commerciales doit tre respect e Depuis 2007 pour des projections en plein air l organisation de projections d uvres cin matographiques de longue dur e est soumise autorisation e Ne peuvent tre projet s que les films ayant obtenu un visa d exploitation depuis plus de douze mois la date de projection Pour les films du patrimoine r dit s la date de visa est celle de la premi re sortie e Dans chaque r gion la liste des projections doit tre transmise par le coordinateur r gional ou l organisateur local la Direction r gionale des affaires culturelles des fins d autorisation Selon L ARTICLE L 214 6 du Code du cin ma et de l image anim e les s ances en plein air ne peuvent tre organis es qu apr s d livrance d une autorisation par le pr sident du Centre national du cin ma et de l image anim e dans des condi
5. agin es en troite collaboration et m me parfois en atelier de programmation avec les publics eux m mes associations groupes de jeunes services municipaux etc Il est important de favoriser l implication des divers programmateurs occasionnels afin qu ils conservent une v ritable libert de choix vis vis des publics dont ils connaissent et partagent le quotidien e Ces s ances de cin ma en plein air ont pour vocation de r unir toutes les g n rations enfants adolescents parents et grands parents Les choix du film doit se faire de mani re favoriser ces multiples rencontres interg n rationnelles intercommunautaires etc R ussir rassembler tous ces publics autour d un film est un gage de bon d roulement de la s ance en termes de s curit Le choix Des FILms e Les films choisis doivent tre accessibles tous les publics aucune interdiction e Pour un film n ayant aucune interdiction il faut viter de choisir des films pr sentant des sc nes trop violentes ou trop rotiques qui pourraient heurter la sensibilit des publics Il ne s agit pas de rajouter un l ment de censure mais d essayer de limiter des situations qui pourraient devenir conflictuelles en plein air e Concernant les co ts de location des copies pour des raisons d utilisation d argent public et d action sociale les tarifs propos s par les distributeurs ne doivent pas d passer la somme maximale de 500 euros TTC
6. n blockbusters uvres du patrimoine cin matographique R cLes c n raLes e Proposer des s ances ayant un caract re exceptionnel e Travailler ou tre en plein accord avec les exploitants des salles de la ville e D terminer un lieu au c ur des cit s accessibles pied par le public e Aucun lien direct ou indirect ne doit exister avec une marque commerciale Il s agit de s ances gratuites pour les publics e Choisir un film parmi la liste propos e par la Coordination r gionale e tre en r gle avec les imp ratifs de s curit assurances pompiers police commissions de s curit pour les gradins e Le choix du prestataire assurant la projection et fournissant le mat riel doit tre en accord avec la Drac et ou le coordinateur r gional Les op rateurs des s ances en plein air peuvent tre des exploitants la coordination r gionale ou toute autre structure professionnelle comp tente e Toutes les s ances doivent respecter les conditions d finies dans le cahier des charges r dig par la C S T et disponible aupr s des coordinations r gionales Recommanparions Techniques Liste non exHausrive e Dimensions de l cran en fonction de la capacit d accueil du public e Positionnement des quipements bas de l cran premier rang cabine de projection e Luminance des images coefficient de r flexion des toiles d cran en fonction de la puissance des br leurs et de leurs dimensions e
7. re liste par la coordination nationale en accord avec les propositions des coordinations r gionales souhait des partenaires de terrain et des coordinations tude sur la disponibilit des copies de l tat des copies et des tarifs propos s e D bat en commission et validation d une liste de propositions e Apr s n gociation d finitive avec les distributeurs proposition d une liste par la coordination nationale Octobre Premi re proposition de liste faite par les coordinateurs r gionaux et nationaux Novembre Commission des s ances en plein air D cembre N gociations avec les distributeurs Janvier Mise disposition de la liste F vrier mars Choix sur le terrain Avril D p t des demandes Mai juin Commissions en Drac Pour Tour renseicnemenr conTacren e Isabelle G RARD PIGEAUD Centre National de la Cin matographie T l 01 44 34 37 68 e Fran ois CAMPANA Kyrn a Coordination nationale Passeurs d images T l 01 47 70 71 71 e Alain BESSE Commission Sup rieure Technique T l 01 53 04 44 00 e Et tous les conseillers cin ma en DRAC x k k ADRESSES e Commission Sup rieure Technique de l Image et du Son CST 11 rue Galil e 75116 Paris T l 01 53 23 90 60 Fax 01 47 23 09 94 cst cst fr gt gt Site de la CST http www cst fr e Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle ALPA 6 rue de Madrid 75008 Paris T l 01 45 22 07 07 Fax 014
8. tions fix es par d cret Cette autorisation est accord e en tenant compte de la date de d livrance de visa d exploitation cin matographique du lieu et du nombre des s ances de l int r t social et culturel des repr sentations et de la situation locale de l exploitation Lorsque ces s ances sont organis es par les associations et groupements mentionn s au 1 de l article L 214 1 la limite pr vue l article L 214 2 ne s applique pas Composition De La LisTe Des FILMS e Il s agit de composer un catalogue national d une centaine de films Cette quantit est indispensable pour r pondre la diversit souhait e cf plus haut mais aussi pour permettre une programmation sur des territoires loign s les uns des autres et se d roulant souvent aux m mes dates quantit et disponibilit des copies Pour m moire ce sont les partenaires de terrain qui d cident des dates en fonction des programmes d activit s dans la ville Ces s ances mobilisant de tr s nombreux partenaires associatifs stands f tes concerts etc les dates sont difficilement modifiables e Passeurs d images travaille pour les publics Le dispositif n est pas un r seau qui valorise des films mais l acc s au cin ma et l audiovisuel Il s agit de proposer des films pour les publics sans jugement de valeur sur la qualit des uns ou des autres e Passeurs d images travaille avec les publics De nombreuses programmations sont im
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