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Développement durable Énergie, climat Prévention

1. l origine du sinistre Puis la cellule d termine s il y lieu de mettre en place une d marche de gestion b Gestion des cons quences de l accident Des mesures de gestion d urgence et d anticipation peuvent tre prises dans les premiers temps de la survenue du sinistre Il peut s agir de mesures en termes de restrictions des usages de protection des populations et d limination des d chets Certaines mesures confinement des animaux restriction interdiction de consommation de l eau et des produits locaux etc peuvent tre prises de mani re conservatoire afin de limiter l impact de l accident d s les premiers temps de la gestion Les mesures de gestion doivent tre r valu es en fonction des l ments recueillis par la cellule post accident technologique Dans le domaine sanitaire diff rentes mesures peuvent tre engag es en lien avec l agence r gionale de sant territorialement comp tente et les cellules interr gionales d pid miologie selon la gravit de l accident alerter les syst mes de surveillance existants pour la sant des personnes ex organisation de la surveillance coordonn e des urgences et les adapter le cas ch ant alerter les structures et les personnes ad hoc centre antipoisons et de toxicovigilance h pitaux r seaux de m decins sentinelles et les inciter une vigilance particuli re dans le cas d exposi tions une substance toxique pouvant pr senter un risqu
2. Fait le 22 f vrier 2012 Pour la ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement et par d l gation Le sous directeur de la modernisation et de la gestion statutaires E SAFFROY MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 3 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT re Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Administration g n rale MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Secr tariat g n ral Arr t du 29 f vrier 2012 fixant le tableau d avancement au grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement au titre de l ann e 2012 NOR DEVK1135317A Texte non paru au Journal officiel Le ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 2005 631 du 30 mai 2005 modifi portant statut particulier du corps des ing nieurs des travaux publics de l Etat Vu l avis mis le 12 d cembre 2011 par la co
3. Article 5 Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les tiquettes et marquages sont conformes en tous points aux mod les d pos s lors de la demande d agr ment aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par l article 39 de l arr t du 4 mai 2010 susvis En particulier la masse moyenne de mati re active de chaque artifice telle qu elle appara t dans les dossiers tech niques pr sent s par le titulaire des agr ments est indiqu e sur l tiquette sous la forme MA xxxxx g dans laquelle xxxxx repr sente la valeur en grammes de cette masse de E active Cette quantit peut tre exprim e en mg ou en kg en fonction de la masse de l artifice Article 6 Les pr sents agr ments sont donn s sans pr judice des autres dispositions r glementaires appli cables ces produits notamment en mati re de transport de conservation de vente et d utilisation Article 7 Les agr ments ci dessus sont valables jusqu au 4 juillet 2017 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 48 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 8 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement
4. En particulier la masse moyenne de mati re active de chaque artifice telle qu elle appara t dans les dossiers tech niques pr sent s par le titulaire des agr ments est indiqu e sur l tiquette sous la forme MA xxxxx g dans laquelle xxxxx repr sente la valeur en grammes de cette masse de A active Cette quantit peut tre exprim e en mg ou en kg en fonction de la masse de l artifice Article 6 Les pr sents agr ments sont donn s sans pr judice des autres dispositions r glementaires appli cables ces produits notamment en mati re de transport de conservation de vente et d utilisation Article 7 Les agr ments ci dessus sont valables jusqu au 4 juillet 2017 Article 8 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 23 f vrier 2012 Pour la ministre et par d l gation L ing nieur en chef des mines C BOURILLET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 43 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de la pr vention de
5. Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les artifices de divertissement l mentaires import s conserv s vendus ou utilis s en France sont conformes aux mod les d crits dans les dossiers susvis s et r pondent aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par le recueil des r gles et proc dures d agr ment des artifices de divertissement susvis Le titulaire des pr sents agr ments s assure que la concentration des constituants des composi tions pyrotechniques respecte en outre les tol rances fix es par l article 37 de l arr t du 4 mai 2010 SUSVIS Article 3 Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les notices et modes d emploi des artifices de divertissement commercialis s donnent toutes indications n cessaires en fran ais pour la pr pa ration et l ex cution des tirs de fa on garantir la s curit des personnes qui en sont charg es ainsi que celle du public Ces indications comprennent en particulier les prescriptions relatives aux mesures prendre en cas d incident de tir ainsi que les distances de s curit respecter Article 4 Le titulaire des pr sents agr ments est tenu de v rifier la conformit des produits import s avec les mod les agr s selon son plan qualit Ce plan d termine notamment les plans d chantil lonnage et les fr quences de contr le Article 5 Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les tiquettes et mar
6. EE z Libert Egalit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Minist re I I de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement D veloppement durable nergie climat Pr vention des risques Am nagement nature Infrastructures transports et mer Aviation civile S curit et circulation routi res Logement N 5 25 mars 2012 Sommaire th matique ETE Direction de l information l gale i eg et administrative Sommaire chronologique DIRECTION Liste des textes parus au Journal officiel A P ET ADMINISTRATIVE 26 rue Desaix 75727 Paris Cedex 15 www dila premier ministre gouv fr MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE EX T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a EX g Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Sommaire th matique Pages Administration g n rale Arr t du 24 janvier 2012 portant modification d inscription au tableau d avancement pour le grade 1 d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l tat au titre de l ann e 2011 Arr t n 2012 004 du 22 f vrier 2012 portant modification d inscription au tableau d avancement pour 3 le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l tat au titre de l ann e 2011 Arr t du 29 f vrier 2012 fixant le tableau d avancement au grade d ing nieur divisionnaire des travaux 4 publics de l
7. cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 17 f vrier 2012 Pour la ministre et par d l gation Le directeur g n ral de la pr vention des risques L MICHEL MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 29 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile Direction de la s curit de l aviation civile Antilles Guyane D cision n 07 DSAC AG du 20 f vrier 2012 fixant la r partition des si ges au comit technique sp cial de la direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane NOR DEVA1206030S Texte non paru au Journal officiel Le directeur interr gional de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu la loi n 2010 751 du 5 juillet 2010 relative la r novation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives la fonction publique Vu
8. tat du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement au titre de l ann e 2012 D veloppement durable D cision n 2012 1085 du 22 f vrier 2012 portant modification de la d cision n 2009 1635 du 11 mars 38 2009 portant nomination des ordonnateurs secondaires D cision n 2012 1088 du 22 f vrier 2012 portant modification de la d cision n 2009 3004 du 4 mai 39 2009 portant d l gation de signature D cision n 12 110 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury du concours 56 interne pour le recrutement d l ves ing nieurs des travaux de la m t orologie D cision n 12 111 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury du concours 58 sp cial pour le recrutement d l ves ing nieur e s des travaux de la m t orologie D cision n 12 112 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury d un concours 60 interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de la m t orologie Pr vention des risques D cision n BSEI 12 009 du 17 f vrier 2012 relative l approbation de guides professionnels pour les 28 op rations de requalification p riodique et de contr le suite intervention notable d quipements sous pression D cision n AD 2012 03 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 41 D cision n AD 2011 41 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 44
9. 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 BOUQUIER C cile BRIOIST Jean Jacques BRUGER Vincent CANAC Brigitte CANTE Catherine CAPELLE Christian CAUMETTE Marie B n dicte CHABOCHE Fabrice CHAMARD Eric CHAMBON MALIGE Aude CHARPENTIER Bruno CHEVRIER Marc CLEMENT WERNY C cile COLIN Jean Michel COLIN Jean Marc COMMEAUX Fran ois CORBIC Yvon COURTES Fr d ric COUZELIN Ren CROZE Benjamin CURELY Xavier DAGES Fr d ric DALEM Jean Marc DANARADJOU Krishnaraj DANIKOWSKI J r me DANTEC G rard DASSONVILLE Patrick DEGOUTTE Alain DELAVAL Emmanuel DELOUYE Agn s DENIAUD Yann DENIS Fran oise DESBONNETS Annick DESSIAUME G rard DESSIENNE Alain DEVANLAY Thibault DIK Radoine DOMENY G rard DUBOIS Pierre Olivier DUCHAMP Gilles DUFFAIT Marie Fran oise DUFLOT Alain DULAU J r me DUPONT ROC Laurent DUTILLOY Philippe DUVAL Jean Michel ESTEVE Roger ETRILLARD Michel EVELLIN Julien EVESOUE Fr d ric FABRE Fran ois Xavier FAUCHEUR Pierre FAUCHEUX Franck FLEURUS Maurice FORAY Marie Antoinette FOUCHER Thierry FOURMIGUE Patrick FOURNIER Luc Direction de l information l gale et administrative MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 5 Libert galit Fraterni
10. BP3 45 0033BT BP3 45 0033YT BP3 45 0033GT BP3 45 0033PT BA4 45 0033RT BA4 45 0033BT BA4 45 0033YT BA4 45 0033VT BA4 45 0033PT BA4 45 0032R BA4 45 0032B BA4 45 0032Y BA4 45 0032V BA4 45 0032P BB 79360 07 17 BB 79361 07 17 BB 79362 07 17 BB 79363 07 17 BB 79364 07 17 19365 07 17 19366 07 17 19367 07 17 19368 07 17 19369 07 17 07 17 19371 07 17 19372 07 17 19373 07 17 19374 07 17 1937 07 17 BB 79365 BB 79366 BB 79367 BB 79368 BB 79369 BB 79370 BB 79371 BB 79372 BB 79373 BB 79374 BB 79375 BB 79376 07 17 BB 79377 07 17 BB 79378 07 17 BB 79379 07 17 BB 79380 07 17 244 244 244 BB bombe d artifice Le titulaire des pr sents agr ments est la soci t Euro Bengale Le Bochet 08390 Sauville laquelle importe et commercialise en France les produits port s dans le tableau ci dessus Article 2 Les artifices de divertissement sont agr s aux conditions de la demande Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les artifices de divertissement l mentaires import s conserv s vendus ou utilis s en France sont conformes aux mod les d crits dans les dossiers susvis s et r pondent aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par le recueil des r gles et proc dures d agr ment des artifices de divertissement susvis Le titulaire des pr sents agr ments s assure que la concentration des constituants des composi tions pyrotechni
11. D cision n VAL 2012 15 du 22 f vrier 2012 portant d l gation de pouvoirs du pr sident directeur 37 g n ral au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique VAL D cision du 22 f vrier 2012 portant autorisation d acquisition de lots de copropri t situ s sur la parcelle 40 AJ 85 Saint Ouen 93400 au 57 de l avenue Michelet D cision n 2012 1085 du 22 f vrier 2012 portant modification de la d cision n 2009 1635 du 11 mars 38 2009 portant nomination des ordonnateurs secondaires D cision n 2012 1088 du 22 f vrier 2012 portant modification de la d cision n 2009 3004 du 4 mai 39 2009 portant d l gation de signature Instruction du 22 f vrier 2012 relative aux th mes prioritaires d actions nationales en mati re de 107 risques naturels et hydrauliques pour 2012 2013 23 f vrier 2012 D cision n AD 2012 03 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 41 D cision n AD 2011 41 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 4 D cision n AD 2011 45 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 47 27 f vrier 2012 D cision n AD 2012 05 du 27 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 50 28 f vrier 2012 D cision n DSNA D 12 0038 du 28 f vrier 2012 portant d l gation de signature direction des services 52 de la navigation a rienne 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 S
12. ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Administration g n rale MINIST RE DE l COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Secr tariat g n ral Arr t du 24 janvier 2012 portant modification d inscription au tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 NOR DEVK1200659A Texte non paru au Journal officiel La ministre de l cologie du developpement durable des transports et du logement Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 2005 631 du 30 mai 2005 modifi et portant statut particulier du corps des ing nieurs des travaux publics de l Etat Vu l arr t du 19 d cembre 2008 modifiant l arr t du 21 d cembre 2007 fixant les taux de promotion dans les corps du minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de l am nagement du territoire compter de l ann e 2008 Vu l arr t du 23 d cembre 2010 portant inscription au tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011
13. Fait le 23 f vrier 2012 Pour la ministre et par d l gation L ing nieur en chef des mines C BOURILLET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 49 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de la pr vention des risques D cision n AD 2012 05 du 27 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement NOR DEVP1205698S Texte non paru au Journal officiel La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu le code de la d fense notamment son article L 2352 1 Vu E ii ne 2010 455 du 4 mai 2010 relatif la mise sur le march et au contr le des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 relatif aux modalit s d homologation de marquage d tiquetage d utili sation et de manipulation des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 portant habilitation et agr ment de l INERIS Institut national de l envi ronnement industriel et des risques pour la mise en uvre des proc dures d valuation de la conformit des produits explosifs et pour proc der aux examens et preuves pr vus l article 35 du d cret n 2010
14. L MENTS CONSTITUTIFS D UNE DEMANDE DE CARTE D IDENTIFICATION ULM 1 La demande d un postulant une carte d identification d ULM est accompagn e dans le cas de construction en s rie de la copie de la fiche d identification certifi e conforme par le constructeur num ro de s rie et conformit de la machine la fiche dans les autres cas de l original de la fiche d identification et comprend une d claration du postulant qui pr cise les l ments suivants identit du postulant lieu d attache de FULM r f rence de la fiche d identification correspondante liste des activit s particuli res pratiqu es la possession du dossier d utilisation lorsque requis Dans le cas de la classe 1 ou 2 le num ro de s rie est celui de la voilure 2 la r ception du formulaire renseign le ministre charg de l aviation civile d livre au postulant la carte d identification accompagn e d une note pr cisant que 1 La carte est d livr e en consid ration de la d claration du postulant et de la d claration ant rieure du titulaire de la fiche d identification sans que ces d clarations aient fait l objet d une v rifi cation particuli re par les services de l aviation civile et que le postulant assume en cons quence les responsabilit s associ es 2 En cas de fausse d claration le postulant est passible des dispositions de l article 441 1 du code p nal 3 Le ministre charg d
15. L Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail ANSES est l agence de r f rence pour l valuation des risques alimentaires environnementaux et du travail loi de juillet 2010 Lorsqu une r ponse est attendue dans un d lai allant de quelques heures six semaines elle est en capacit de mobiliser un groupe d expertise collective d urgence GECU Sur saisine des services centraux des minist res de tutelle l ANSES met des avis en termes d valuation du risque sanitaire notamment alimentaire Un protocole pr cise les relations entre l ANSES et les minist res de tutelle pour les saisines d expertise en situation d urgence L Institut de veille sanitaire InVS peut quelle que soit la phase concern e apporter son appui pour l identification des effets de sant potentiels li s l accident des risques sanitaires des popula tions risque notamment eut gard une exposition potentielle ainsi que pour l appr ciation de l impact sanitaire et les populations expos es Il peut en collaboration avec les centres antipoison et de toxicovigilance CAPTV mobiliser l expertise toxicologique n cessaire Il peut mobiliser et mettre en place des syst mes de surveillance et de veille sanitaire et au besoin r aliser des tudes d impact sanitaire II peut apporter son expertise ARS pour recenser les populations en vue d un suivi pid miologique ainsi que pour juger de l opportunit
16. Le retour d exp rience sur les catastrophes environnementales montre que des substances dange reuses peuvent tre diss min es et se retrouver plusieurs mois apr s un accident dans les eaux sur les sols et sur les v g taux et par voie de cons quence dans l alimentation humaine ou animale eau cultures levages etc des concentrations telles qu elles peuvent constituer un risque pour la sant humaine De telles contaminations peuvent alors n cessiter la prise de mesures de gestion imm diates telles que la restriction des usages de certaines zones la restriction des usages de l eau potable le retrait du march de certaines denr es alimentaires l abattage d animaux dans les levages contamin s et la destruction des aliments impropres la consommation ainsi que des actions de suivi ou de r ha bilitation des compartiments environnementaux eau sol et des cosyst mes Ces contaminations sont g n ralement mises en lumi re par le biais des r seaux de surveillance de la qualit des diff rents milieux air eaux superficielles eaux souterraines par les r seaux de surveillance existants dans le domaine de l alimentation humaine ou animale contr les officiels par les pouvoirs publics ou pr l vements r alis s par des associations ou encore dans le cadre du contr le sanitaire des eaux destin es la consommation humaine et des r seaux de surveillance sanitaire Toutefois cette alerte intervient souvent tar
17. d ric 178 POUILLOUX Dominique 179 POULET Denis 180 POUZIER Claude 181 POUZIN Jean Luc 182 PRETESEILLE Eric 183 PRETOT Christian 184 PROVOOST Jean Pierre 185 QUEMART Philippe 186 OUIKO Roselyne 187 RANFAING David 188 RAOUT Fr d ric 189 RATOUIS Marie Odile 190 RECOBERT Bernard 191 RENAUD Jean Claude 192 ROUILLY Arnaud 193 ROUXEL Nicolas 194 SALINDRE Jean Jacques 195 SANCHEZ St phane MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 7 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative 196 SEGARD Arnaud 197 SEGUIN Jean 198 SEPTAURBRE Eric 199 SEZNEC Daniel 200 SINGER Bernard 201 SOULARD Ren 202 SOULARY Marcel 203 SYLVESTRE Laurent 204 TAGLIAFERRI Jean Marc 205 TAROUINI Maxime 206 TERREYRE Jean Luc 207 THEVENET G rard 208 THIERY Alain 209 THIREAU Bernard 210 TUFFIERE Jean 211 TURDEANU Nicolas 212 VALERE Xavier Yves 213 VALET Jean Marc 214 VANNIER Daniel 215 VANZO Pierre Yves 216 VERGNAUD Christophe 217 VERMONET Alain 218 VINCENT Fr d ric 219 VUKIC Fr d ric 220 WALLARD Jean Pierre 221 WATRIN No l 222 WATTIER Philippe 223 NIPLIER Nicolas 224 ZAREMSKI Andr
18. du carburant des quipements importants par exemple le parachute de la pouss e du moteur des efforts d inertie par exemple sur la fixation des ceintures Les efforts associ s en newtons sont calcul s en multipliant chaque masse identifi e par le facteur de charge et l acc l ration terrestre prendre 9 81 m s e Il est n anmoins admis un certain nombre de facilit s pour la mise en uvre des chargements par exemple le remplissage des voilures par des billes de mat riau tr s l ger r sistant la compression pour exercer les efforts sur un seul c t par exemple sur l intrados dans le cas d un chargement positif voilure l envers la mise en place de planches entre bord d attaque et bord de fuite mais avec un pas rapproch Le chargement sur chaque planche doit ensuite tenir compte de sa position en envergure et du chargement selon la corde MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 94 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direttori de l information l gale et administrative Premier ministre la mise en place de toiles ou de panneaux souples pour mieux r partir les efforts les chargements avec des sacs de sable ou de grenailles dont le poids aura t v rifi avant l essai f Les d placements des l ments structuraux
19. le et service de police de l eau sous l autorit du pr fet de d partement L action de contr le de la s curit des ouvrages hydrauliques s inscrit d sormais dans un plan d actions triennal actualis tous les ans valid en tant que de besoin en comit administratif r gional Ce plan d actions couvre en premier lieu l activit d inspection et peut justifier ce titre une demande de validation des pr fets aupr s de la direction g n rale de la pr vention des risques DGPR Il prend galement en compte l instruction des actes administratifs obligatoires tudes de danger revues de s ret et l instruction des demandes d autorisation justifi es par les crit res li s la s curit des ouvrages ouvrages neufs modifications substantielles impactant la s curit des ouvrages existants Ce plan d actions fait l objet d un bilan annuel voir annexe B L actualisation du plan d actions triennal est faite au vu de ce bilan annuel Le bilan et le plan d action sont transmis la DGPR avant le 1 mars de chaque ann e Le bilan de l action de contr le comportera aussi une synth se de l appr ciation port e par le service de contr le sur le respect des obligations fix es par le d cret n 2007 1735 du 11 d cembre 2007 notamment les articles R 214 112 R 214 147 du code de l environnement pour les ouvrages autoris s et le cahier des charges type pour les concessions hydro lectriques et plus MEDDTL n 2
20. lice si applicable B 10 Type de r ducteur et rapport de r duction B 11 Plage de vitesse de rotation du rotor pour les ULM de classes 4 et 6 B 12 Nuisances sonores le constructeur indique ici la hauteur minimale de survol et pour un ULM de classe 6 la vitesse minimale en dehors de phases de d collage ou d atterrissage permettant de respecter l arr t relatif au bruit mis par les ULM C Proc dures d urgence Panne moteur Remise en route du moteur en vol Fum e et feu Vol plan ou autorotation pour les ULM de classe 4 et 6 Atterrissage d urgence Autres urgences notamment panne de rotor anti couple pour un ULM de classe 6 Entra nement l ex cution des proc dures d urgence pour un ULM de classe 6 D Proc dures normales D 1 Visite pr vol D 2 Mise en route D 3 D collage D 4 Croisi re D 5 Atterrissage D 6 Apr s atterrissage et arr t du moteur NNNNNNN I OO O1 BR NN E Performances D collage Vitesse recommand e Distance de roulement Distance de d collage passage aux 15 m Limite de vent traversier d montr e EEE O1 amp N MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 105 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET ko DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT pen s le Ert Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative E 6
21. mesures de limitation ou de suspension provisoire des usages de l eau interdiction de p che abattage des animaux mise sous s questre des productions agri coles ou d faut des recommandations notamment sur les denr es alimentaires auto produites b Gestion des d chets Les modalit s de gestion des d chets g n r s par l accident ou d coulant de la gestion de celui ci doivent prendre en compte leur dangerosit Une attention particuli re est port e aux risques de sur contamination de l environnement ou de diss mination de la pollution par ces d chets 11 3 Identification des appuis techniques nationaux l administration Les services d concentr s et agences ARS peuvent compter sur diff rents appuis techniques chacun ayant son domaine de comp tence a Expertise sur les pr l vements environnementaux r aliser dans la phase d urgence Des demandes d appuis ponctuels peuvent tre adress es la cellule d appui aux situations d urgence CASU de l Institut national de l environnement industriel et des risques INERIS La CASU est en mesure d apporter toutes les informations n cessaires la r alisation des pr l ve ments et ou des analyses dans la phase d urgence et de suivi imm diat Les missions et modalit s d intervention de la CASU dans le contexte g n ral de l aide aux pouvoirs publics en cas d accident impliquant des substances dangereuses non radioactives sont d finies dans la circ
22. preuves au sol pour les autres classes d ULM Pour les autogires et h licopt res n utilisant pas de rotor bipales en balancier les essais de r so nance sol sont prendre en compte Pour le chariot d un pendulaire d un autogire et pour un h licopt re les essais sont mener uniquement pour les chargements positifs la fixation se faisant au point normal d accrochage sous la voilure Pour les voilures il est possible de tenir compte du d chargement li la masse voilure Sur un pendulaire en consid rant que C est la charge alaire on prendra une d croissance de portance lin aire de 2 C vers 0 de l axe de sym trie vers l envergure La r partition suivant la corde se fera en partant du bord d attaque de 5 C vers C 25 puis de C 0 au bord de fuite Sur un multiaxe en absence de donn es pr cises on consid rera que la r sultante de la portance s applique 25 de la corde et que la r partition en envergure pour une aile rectangulaire est constante sinon voir CS VLA Sur chaque demi aile d un multiaxe avec deux haubans on n gligera l effet de torsion sur la voilure mais on tiendra compte dans tous les cas du chargement li au braquage brutal de l aileron la vitesse V Sur les empennages multiaxe et autogire on m nera les essais correspondant au braquage brutal de la profondeur la vitesse V au braquage brutal de direction la vitesse V une charge dissym trique sur l empennage ho
23. ration d passe sa comp tence Un constructeur qui met sur le march un appareil ne r pondant pas ces crit res doit attirer l attention de son client par l interm diaire du premier paragraphe du manuel d utilisation La conception doit retenir en priorit des solutions simples qui ont d j fait si possible leurs preuves en utilisation La conception de l appareil doit permettre un contr le ais des structures par d montage simple notamment par des trappes de visites Une zone de contr le des toiles doit permettre d valuer les pertes de r sistance dans le temps La r sistance des parties critiques dont la rupture peut entra ner la perte de contr le est justifi e soit par de larges coefficients de s curit soit par des essais justificatifs soit par des pi ces de s curit par exemple un c ble de s curit dans un l ment de structure Le domaine de vol restreint de l ULM justifie les r gles simples impos es par l administration Dans le cas d un ULM sophistiqu employant des techniques nouvelles inhabituelles ou non conformes aux caract ristiques g n rales de conception des ULM le ministre charg de l aviation civile peut imposer des conditions techniques sp ciales de conception 2 D finitions et abr viations ULM de r f rence ULM sp cialement d sign comme r f rence par rapport aux autres exem plaires de la s rie par son constructeur Masse vide masse de l appareil complet et en
24. ro 483040051 au prix de 1995 000 les biens suivants situ s sur la parcelle AJ 85 Saint Ouen 93400 au 57 de l avenue Michelet et constituant partie d une copropri t les lots 9 et 10 d nomm s b timents E et F d une surface loi Carrez totale de 2 041 m y compris la jouissance exclusive du lot 20 79 m et les lots mitoyens 7 et 8 b timents C et D d une surface totale de 668 m lot 7 de 621 m lot 8 de 47 m y compris la jouissance exclusive du lot 18 203 m de jardin occup s en vertu d un bail commercial en date du 4 novembre 2009 au profit de la soci t ELEV moyennant un loyer annuel hors taxes et hors charges de trente six mille euros 36 000 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 22 f vrier 2012 Le pr sident directeur g n ral de la RATP P MONGIN MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 40 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de la pr vention des risques D cision n AD 2012 03 du 23 f vrier 2012
25. s suivantes les sites de Toulouse et de Muret le centre de Castelnaudary le centre de Montpellier le centre de Carcassonne le centre de Biscarrosse le centre de Melun les centres de Saint Auban et de Grenoble le centre de Saint Yan Article 2 Par d rogation aux dispositions de l article 1 l valuation des besoins en mati re de fournitures et services de l tablissement public est d termin e en regroupant tout ou partie des entit s pr cit es lorsque l int r t Juridique conomique ou strat gique de l tablissement l exige Article 3 La d cision n ENAC DG 2011 70 du 21 avril 2011 portant d finition des niveaux de prise en compte des besoins de l Ecole nationale de l aviation civile en mati re de march s de fournitures et services est abrog e Article 4 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 19 janvier 2012 Le directeur de l cole nationale de l aviation civile M HOUALLA MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 11 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT
26. sentant les exploitants du transport a rien M Patrick POUSSE est nomm membre titulaire en remplacement de M Didier CANLER Mme Val rie DUMAS est nomm e membre suppl ant en remplacement de M Christian MASSONNET M J r me BREUZET est nomm membre suppl ant en remplacement de M Luc BERTHIER M Yann RENIER est nomm membre suppl ant en remplacement de M Jean Marc FERRAUD M Eric FRANCOIS est nomm membre suppl ant en remplacement de M Beno t LAURENT RE FOUCHET est nomm membre suppl ant en remplacement de M Jean Pierre Article 6 Le paragraphe d du Il section du transport a rien de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit d Membres repr sentant le personnel navigant professionnel du transport a rien a Jean F lix BARRAL est nomm membre titulaire en remplacement de M Jean Fran ois ALVET M Pascal GUERIN est nomm membre titulaire en remplacement de M Jean Jacques ELBAZ M Thierry COIFFARD est nomm membre suppl ant en remplacement de M Jean Fran ois SCHNEIDER M Philippe DUFOREST est nomm membre suppl ant en remplacement de M Serge DELORME M Rapha l KOENIG est nomm membre suppl ant en remplacement de M Emmanuel ROLLIER M Thierry LE FLOC H est nomm membre suppl ant en remplacement de M Ronald VIANEY Article 7 Le paragraphe a du Ill section du travail a rien de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e es
27. t utilis pendant la p riode hivernale d Une pr sentation simple sous forme d un tableau est pr conis e Il comporte le type de visite et l ch ance et doit permettre au d tenteur de la carte d identification de porter sa signature et la date du contr le Le contenu de chaque visite peut tre regroup dans un chapitre particulier Des fiches compl mentaires peuvent guider l utilisateur identifier les probl mes ventuels lui indiquer les solutions apport es et pr ciser le remplacement obligatoire des pi ces Il contient alors les crit res d appr ciation et de contr le des l ments constitutifs de l ULM il est fortement conseill de s appuyer sur des moyens de contr le peu co teux et facilement accessibles une majorit d utilisateurs les tol rances acceptables sur les pi ces et composants et celles qui imposent un remplacement imp ratif de ces pi ces et composants des dessins ou corch s pour montrer le montage des diff rentes pi ces normalement d mon tables et leur remontage ainsi que les pr cautions lors de ce remontage couples de serrage joints changer Ces dessins doivent mentionner si possible la r f rence des pi ces et la quantit Ces crit res peuvent galement tre pris en compte par le fabricant de l h lice e Dans le cas d un paramoteur le manuel d entretien pr cisera notamment les l ments ci dessus pour chacun de ses constituants la voile
28. tre mise en place lors de la phase d accompagnement ou de suivi imm diat ou ult rieurement pendant la phase de gestion post accidentelle Bien qu ayant une structure extr mement flexible afin de pouvoir s adapter la multiplicit des situations potentielles cette cellule doit syst matiquement remplir deux missions fondamentales une mission d valuation des cons quences une mission de gestion des cons quences a R le de la cellule post accident technologique pour l valuation des cons quences de l accident Pour accomplir au mieux cette mission d valuation la cellule post accident technologique doit tre mise en place le plus rapidement possible c est dire sans attendre la fin de la phase acci dentelle id alement au cours de la phase dite de suivi imm diat en particulier si les rejets dans l environnement sont importants et risquent de se poursuivre dans la dur e Le premier r le de la cellule dans cette phase est d appuyer le pr fet en garantissant le relais entre les phases d urgence et de post accident notamment via le recueil d informations la r alisation de premiers pr l vements dans l environnement et ventuellement la mise en uvre des premi res mesures de gestion dans l urgence Le recueil de ces informations est indispensable l valuation des cons quences sanitaires et environnementales MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 70 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VEL
29. 2012 Page 61 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINISTERE DE L ECOLOGIE MINISTERE DE L INTERIEUR DU DEVELOPPEMENT DURABLE DE L OUTRE MER DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT DES COLLECTIVIT S TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION MINIST RE DU TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L EMPLOI ET DE LA SANT DE L ALIMENTATION DE LA P CHE DE LA RURALIT ET DE L AM NAGEMENT DU TERRITOIRE Direction g n rale de la pr vention des risques Service des risques technologiques Service de la pr vention des nuisances et de la qualit de l environnement Direction g n rale de la s curit civile et de la gestion des crises Direction g n rale de la sant Sous direction de la pr vention des risques li s l environnement et l alimentation D partement des urgences sanitaires Direction g n rale de l alimentation Service de l alimentation Sous direction de la politique de l alimentation Circulaire du 20 f vrier 2012 relative la gestion des impacts environnementaux et sanitaires d v nements d origine technologique en situation post accidentelle NOR DEVP1126807C Texte non paru au Journal officiel R sum la pr sente circulaire me
30. 455 du 4 mai 2010 Vu l attestation d accr ditation n 1 2321 du laboratoire de la soci t Ardi SA convention n 3337 du 26 avril 2011 pour la r alisation des examens et preuves en vue de l agr ment des artifices de divertissement Vu la demande pr sent e le 24 janvier 2012 par la soci t Ardi SA Vu le dossier n 05 2011 du 12 janvier 2012 pr sent l appui de cette demande Vu le rapport INERIS AD 655 du 6 f vrier 2012 Vu la correspondance du 13 f vrier 2012 de la soci t Ardi SA 31 33 avenue des Champs lys es 75008 Paris Consid rant que les r sultats obtenus suite la mise en uvre des preuves et examens r alis s sur les chantillons pr sent s dans la demande r pondent aux exigences du d cret du 4 mai 2010 susvis D cide Article 1 L artifice de divertissement l mentaire port dans le tableau ci apr s est agr au titre du d cret du 4 mai 2010 susvis avec le num ro et le groupe de classement indiqu s r MASSE NOM COMMERCIAL REFERENCE CLAS NUM RO moyenne PISTANCE de l artifice a LE SEMENT d agr ment de mati re de s curit le titulaire m retenu active g Feu d artifice TOTAL PORTABLE 270 secondes 22303 K3 CA 79411 07 17 1132 CA combinaison d artifices Le titulaire du pr sent agr ment est la soci t Ardi SA 31 33 avenue des Champs lys es 75008 Paris laquelle importe et commercialise en Fr
31. DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Ces pr l vements tant r alis s de mani re conservatoire ils ne pr jugent pas de la pertinence de faire proc der leur analyse ou du choix du prestataire ces l ments pouvant tre d finis ult rleurement Les pr l vements conservatoires une fois analys s permettent d avoir une premi re valuation qualitative des substances mises par exemple m thodes de screening sur pr l vements d air ou d autres milieux et ainsi de pouvoir orienter la recherche des impacts ventuels sur l environnement et la sant Ces premiers pr l vements n ont pas pour objectif la recherche de responsabilit du fait qu il ne s agit pas d expertiser mais d valuer qualitativement la situation En outre si une proc dure judiciaire est par ailleurs engag e ces pr l vements ne doivent pas entraver cette derni re Le mode op ratoire de r alisation de ces pr l vements conservatoires et d analyse qualitative est d fini dans un guide sp cifique en compl ment du pr sent guide afin de faciliter sa mise jour au regard de l volution des connaissances et des techniques b R alisation des investigations plus fines Une d termination plus pr cise de l impact peut tre r alis e dans un second temps phase post accident Celle ci passe
32. Lab Vu les dossiers 095 IG CH1 du 23 ao t 2011 0951G CH2 du 20 octobre 2011 095 IG BB 4 du 23 ao t 2011 pr sent s l appui de cette demande Vu le rapport INERIS AD 641 du 4 janvier 2012 Vu la correspondance du 5 janvier 2012 du laboratoire d essais de la soci t Art Lab Le Bochet 08390 Sauville Vu l avis du comit de liaison des artifices de divertissement s ance du 28 novembre 2011 Consid rant que les r sultats obtenus suite la mise en uvre des preuves et examens r alis s sur les chantillons pr sent s dans la demande r pondent aux exigences du d cret du 4 mai 2010 susvis D cide Article 1 Les artifices de divertissement l mentaires port s dans le tableau ci apr s sont agr s au titre du d cret du 4 mai 2010 susvis avec les num ros et le groupe de classement indiqu s R F RENCE MASSE DISTANCE NOM COMMERCIAL de l artifice CLASSEMENT NUMERO moyenne d S CURIT de l artifice selon retenu d agr ment de mati re im le titulaire active g Chandelle 60 mm 10 tirs comtes sn CND41 51A K4 CH 79087 07 17 1516 80 Chandelle 40 mm cintas intermittent rose s CND21 47A K4 CH 79088 07 17 688 60 Chandelle 40 mm cintas intermittent blanc s CND21 46A K4 CH 79089 07 17 688 60 Chandelle 40 mm com tes saule pleureur s CND21 07A K4 CH 79090 07 17 439 60 Chandelle 40 mm com tes kamuro ssns CND21 08A K4 CH 79091 07 17 452 60 MEDDTL n 2012 5 du 2
33. MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Membres suppl ants St phane LE FOLL C line MARIE APPOLINE Repr sentants du personnel 5 titulaires 5 suppl ants CGT Membres titulaires Jeanne FLANDRINA Manuella HERY Membres suppl ants Alain MARGUERITTE Otto BRIAND FO Membres titulaires Patrice BONARDEL Vania CHICOT Membres suppl ants Jean JACOUES Ghislaine EDOUARD CFDT Membre titulaire Chantal BOBI Membre suppl ant Franck GUIMESE Article 2 Philippe LEMARIE charg de mission assiste le pr sident du CTS pour l organisation des r unions et la restitution des d bats Article 3 Sont d sign s experts de l administration Vincent CARMIGNIANI Cyril HENNION Gilles BROOUERE Laurent TEISSIER Val rie PUCCI et Georges MADELEINE Article 4 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 20 f vrier 2012 Le directeur interr gional de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane P DuBois MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 32 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOG
34. Page 85 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Es h DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit it Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Service d partemental d incendie et de secours Service interminist riel de d fense et de protection civile Syst me d information g ographique Voies navigables de France MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 86 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S D DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Liben kalt gt Pr A E Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative ANNEXE Ill LISTE INDICATIVE D INSTANCES SUSCEPTIBLES D APPORTER UN APPUI LA DECISION DES POUVOIRS PUBLICS EN CAS D ACCIDENTS INSTANCES E DOMAINES d appuis ADRESSE T L PHONE techniques Installations class es hors radio CASU de INERIS parc Alata Situation d urgence protection et nucl aire l INERIS 60550 Verneuil en Halatte 03 44 55 69 99 http www ineris fr Situation usuelle 03 44 55 66 77 Risque sanitaire InVS 12 rue du Val d Osnes Situation d alerte 94415 Saint Maurice Cedex 08 20 42 67 15 www invs sante fr Transport de mati res dange CEDRE CEDRE rue Alain Colas 02 98 33 10 10 reuses BP 20413 29604 Brest Cedex
35. SanjuaA9 SJUIWIAJJ Ad a AIU9pI99e seyd ej ap uorsan so1qnd s1n099 S P UOHUSAIAIUI JAISUOIDAID UOU JU9P199F INUWI PIIL ISI 9P AMJ IUISAIN p ISLEY d s nof s nbj nb g s m y sonbjonb q MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 83 7 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE 3 P DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT R PUBLIQUE FRAN AISE Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Lasdi Collectivit s territoriales m Proin DD CS P P DRAFF Phase Post accident GT expertise national post accident le post accident gique chnolo ceny Phase urgence MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 84 EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE ANSES ARS MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT EX Libert galit e Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre ANNEXE ABR VIATIONS Direction de l information l gale et administrative Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail Agence r gionale de sant ASOAA Association de surveillance de la qualit de l air ambiant CASU Cellule d appui aux situations d urgence de l INERIS CAPTV Centre antipoi
36. aux conducteurs pour v rifier le respect des normes de s curit relatives l tat des v hicules de leurs quipements et concernant les mesures pr ven tives qu il convient de prendre MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 18 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXE IV R F RENTIEL DES MATI RES POUR LA FORMATION D ACTUALISATION DES CONNAISSANCES DU GESTIONNAIRE DE TRANSPORT TITULAIRE D UNE ATTESTATION DE CAPACITE EN TRANSPORT ROUTIER DE PERSONNES AVEC DES VEHICULES N EXCEDANT PAS NEUF PLACES Y COMPRIS LE CONDUCTEUR R f rence article 5 de l arr t du 28 d cembre 2011 relatif aux gestionnaires de transport dans les entreprises de transport routier L ENTREPRISE ET LE CADRE R GLEMENTAIRE DE L ACTIVIT DE TRANSPORT Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants le cadre r glementaire du transport routier de voyageurs n exc dant pas neuf places y compris le conducteur les r gles d acc s la profession le contrat de transport en usage ainsi que les droits et obligations qui en d coulent les documents requis pour l ex cution des services de transport de voyageurs par route les diff rents types d assurance propres au tr
37. aviation civile Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l tat Vu le d cret n 2007 651 du 30 avril 2007 modifi portant statut de l cole nationale de l aviation civile Vu le d cret du 27 novembre 2008 nommant M Marc HOUALLA directeur de l cole nationale de l aviation civile Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s techniques dans les administrations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ciaux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu la d cision du 14 novembre 2011 fixant la r partition des si ges attribu s aux repr sentants du personnel aux comit s techniques sp ciaux de l Ecole nationale de l aviation civile D cide Article 1 Sont nomm s membres du comit technique sp cial cr aupr s du chef de centre de l Ecole nationale de l aviation civile Saint Auban a En qualit de repr sentants de l administration Pr sident M Denis JAUVIN directeur de la formation au pilotage et des vols ou son repr sentant Le responsable ayant autorit en mati re de ressources humaines M Gildas LEBRETON secr taire g n ral ou son re
38. b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative GUIDE DE GESTION DE L IMPACT ENVIRONNEMENTAL ET SANITAIRE EN SITUATION POST ACCIDENTELLE CAS DES ACCIDENTS D ORIGINE TECHNOLOGIQUE M THODE G N RALE Version de novembre 2011 SOMMAIRE PR AMBULE Contexte et retour d exp rience Contexte r glementaire Champ d application du pr sent guide ORGANISATION DES SERVICES EN SITUATION POST ACCIDENTELLE D ORIGINE TECHNOLO GIQUE 1 D finitions des diff rentes phases et structures de la gestion d un v nement accidentel d origine technologique a Phases de la gestion d un v nement accidentel b Structures mises en place pour la gestion d un v nement accidentel c Interaction entre les structures de gestion de l v nement accidentel selon les diff rentes phases 2 R le de la cellule post accident technologique a R le de la cellule post accident technologique pour l valuation des cons quences de l acci dent b R le de la cellule post accident technologique pour la gestion des cons quences de l accident 3 Organisation et composition de la cellule post accident technologique 4 Actions mener par la cellule post accident technologique a Evaluation des cons quences de l accident b Gestion des cons quences de
39. circulaire minist rielle du 2 ao t 2011 et qui doivent tre approuv s dans un d lai de trois ans ils sont ou seront int gr s dans la program mation pluriannuelle r vis e proposer l ou cela n a pas encore t fait une programmation pluriannuelle des PPRN avec les pr fets de d partement en prenant mieux en compte l importance des enjeux et en particulier les risques pour la vie humaine et les limites des bassins de risques Ces derniers selon le cas ou l al a consid r peuvent tre parfois interd partementaux voire interr gionaux prescrire et laborer de nouveaux PPRN ou les r viser au regard des priorit s et plans d actions valid s dans le cadre des CAR veiller la bonne conduite des proc dures respect des formalit s concertation conforme aux exigences r glementaires et aux instructions minist rielles Veiller aussi l homog n it des contenus des PPRN aux chelles cartographiques Veiller enfin une approbation dans les d lais pr vus par la nouvelle r glementation trois ans prorogeables de dix huit mois une seule fois par arr t motiv en cas de blocage provenant d une prescription inadapt e la d prescription peut tre envisag e en veillant la motivation de l arr t de d prescription mettre jour la base Gaspar suivi des proc dures et formaliser la mise en place d un processus de suivi p riodique local faire usage des outils compl
40. de la d marche labellis e DREAL ou DDI pour le compte du pr fet de d partement pilote le d ploiement des premi res op rations nationales du plan pour 2012 l identification d une liste de zones endigu es risque important d clar es prioritaires action attendue pour 2012 2013 en lien avec l action d identification des syst mes d endiguement d crite au paragraphe 6 suivant l mergence de ma tres d ouvrage 1 action attendue pour 2012 2013 en lien avec l action d identification des syst mes d endiguement d crite au paragraphe 6 suivant l laboration d un premier programme pr cis pour fin 2012 des travaux de r habilitation des digues actualisation du bilan des actions mises en uvre sur le littoral et vis es par la circulaire inter minist rielle NOR IOCK 10055975 du 7 avril 2010 relative aux mesures prendre apr s la temp te Xynthia Par ailleurs pour les anciens PAPI dont l ch ance arrive fin 2012 il convient de veiller la cl ture des conventions selon les modalit s pr cis es par la lettre en date du 21 juin 2010 adress es aux pr fets de bassin et de r gion sous le timbre de la direction g n rale de la pr vention des risques Les anciens PAPI en cours conventionn s avant juillet 2011 et dont les programmes s ach vent au del de 2012 se poursuivront selon les termes des conventions sign es en vigueur s ils ne font pas l objet de modifications notables La
41. de permettre un virage stabilis 45 dans la direction inverse en moins de 5 secondes une vitesse gale 120 de la vitesse minimale laquelle le palier peut tre maintenu Pour un ULM simple la vitesse de rafale maximale peut tre gale la vitesse maximale en air agit V Pour un ULM de classe 3 dont la charge alaire la masse maximale est sup rieure 30 kg m ou un ULM de classe 6 les exigences en termes de performances et de qualit s de vol sont d crites dans les conditions techniques de navigabilit particuli res lorsqu elles sont impos es par le ministre charg de l aviation civile 7 4 preuves au sol 7 4 1 preuves au sol pour la classe 1 paramoteurs Pour le chariot et ou la sellette du paramoteur et les l ments de leur assemblage la voile les essais sont mener uniquement pour les chargements positifs la fixation se faisant au point normal d accrochage sous la voile Le chariot et ou la sellette et ses moyens d assemblage ne doivent pas avoir subi de dommages apr s les essais Les essais statiques v rifient que la voile supporte sans dommage un essai de choc de mont e en charge pour le chargement maximum de la voile en tenant compte du facteur de charge d fini au paragraphe 7 5 Les essais statiques v rifient la r sistance la rupture des suspentes Concernant la voile il est consid r comme acceptable de r aliser les essais conform ment la norme EN 926 1 7 4 2
42. de r aliser des mesures dans les compartiments biologiques urine sang cheveux etc L INERIS peut la demande de la DREAL ayant obtenu au pr alable l accord de la DGPR et quelle que soit la phase concern e apporter son expertise pour valuer les risques directs et indirects sur l homme et l environnement engendr s par un accident en particulier via l laboration du sch ma conceptuel de l exposition l identification de la zone d impact l laboration de plans de pr l ve ments environnementaux la r alisation d analyses l interpr tation de l tat des milieux et la conduite d une valuation des risques sanitaires selon les r f rentiels ad hoc MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 82 LA L ae aa lt a a D Q Z LLI LLI a A O e LLI gt LI m D Q m O O aa O O LI sl LLI Q LLI a LLI C2 Z gt z E S 2 a Mo E ao g W pi m 2 lt Sa lt lami 5 m D m Da LA DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Premier ministre Libert galit Fraternit Direction de l information R PUBLIQUE FRAN AISE l gale et administrative ANNEXE CHRONOLOGIE LOGIGRAMMES sanbiSojoruopido s pm x Sa AJU2PI998 JS0d SapnJ9 p JuaIaaUr sjos ap uonnjjod p X3 So1PJUoadWO SUONVIJIQLYJI IP SIMSI JU9PI992 p 19eduu 9P QUIL UONLSIIPIOLIVI A PJUOUIQUUOIIAUD 2UPIJIDAINS UN p IJd U9
43. des fronti res le r le et la port e des documents T et des carnets TIR ainsi que les obligations et responsabilit s qui d coulent de leur utilisation MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 13 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT en Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative E NORMES ET EXPLOITATION TECHNIQUES Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux formalit s relatives la r ception par type l immatriculation et au contr le technique de ces v hicules aux mesures qu il convient de prendre pour r duire le bruit et lutter contre la pollution de l air par les missions des v hicules moteur aux diff rents types d engins de manutention et de chargement hayons conteneurs palettes etc et pouvoir mettre en place des proc d s et donner des consignes concernant le chargement et le d chargement des marchandises r partition de la charge gerbage arrimage calage etc F S CURIT ROUTI RE Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux qualifications requises pour les conducteurs permis de conduire certificats m dicaux attes tations de capacit etc aux mesures n cessaires pour veiller au respect par les conducteurs des r gles des interdiction
44. des strat gies et des plans d actions La conduite de ces d marches est aussi l occasion d changes entre les services pour mettre en place les outils de mesure des r sultats et des moyens allou s ETP moyens finan ciers d di s la pr vention des risques naturels et hydrauliques et fixer les modalit s d usage de ces outils tablir ou revoir selon le cas une programmation partag e et coh rente des actions avec l ensemble des acteurs 2 Mise en uvre de la directive europ enne sur l valuation et la gestion des risques d inondations bassins r gions d partements R sum mettre en place la gouvernance l chelon du bassin associer les r gions et d parte ments l identification des territoires risques importants dans le cadre mis en place en veillant au respect du calendrier Les dispositions de la directive europ enne inondation sont maintenant traduites dans le droit fran ais La mise en uvre au plan national est entreprise depuis 2010 La fin de l ann e 2011 marque l aboutissement de la phase d valuation pr liminaire des risques d inondation EPRI L laboration de la cartographie est attendue pour le 22 d cembre 2013 puis l laboration des plans de gestion des risques d inondation pour le 22 d cembre 2015 Le rapportage de l EPRI la Commission europ enne interviendra au cours du premier trimestre 2012 L identification des territoires risque important d inondati
45. du 13 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 portant report de cr dits Journal officiel du 1 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 portant report de cr dits Journal officiel du 2 mars 2012 Administration g n rale Arr t s Arr t du 24 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours pour le recrutement de directeurs de recherche de 2 classe Journal officiel du 1 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours pour le recrutement de charg s de recherche de 1 classe Journal officiel du 1 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours pour le recrutement de charg s de recherche de 2 classe Journal officiel du 1 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours pour le recrutement de directeurs de recherche de 1 classe Journal officiel du 1 mars 2012 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 TXTJO Page 1 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE 4 DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT piem bee Frmme R PUBLIQUE FRAN AISE EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Arr t du 27 f vrier 2012 portant nomination du directeur interr gional adjoint de la mer Sud Atlantique Journal offici
46. du combustible En parti culier les feux couvants en raison notamment des basses temp ratures de combustion et de la dur e du ph nom ne peuvent tre selon la nature des combustibles l origine de rejets impor tants notamment en polluants organiques persistants POP dioxines PCB HAP ou en d autres polluants r manents comme les m taux Nature des activit s pass es et pr sentes nature des produits et des sous produits quantit s mises en cause Les cons quences de l accident d pendent de la nature et de la quantit des substances mises en jeu Sont particuli rement surveiller les accidents impliquant des produits chimiques tr s toxiques des produits phytosanitaires des pneumatiques ou des quantit s importantes de mati res plas MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 76 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative tiques ainsi que des d versements de produits dangereux pour l environnement La pr sence sur le site de mat riel ou quipements transformateurs condensateurs contenant des PCB est un l ment aggravant De m me la pr sence de sources radioactives est v rifier Il est galement pertinent de contr ler l absence d une pollution historique notable des
47. du laboratoire d essais de la soci t Art Lab pour la r alisation des examens et preuves en vue de l agr ment des artifices de divertissement Vu le courrier du 9 janvier 2012 de la soci t Pirotecnia Igual mandatant la soci t Art Lab pour effectuer les d marches en vue de l obtention des agr ments des artifices de divertissement mentionn s dans les dossiers 095 IG BB 3 du 23 ao t 2011 et 095 IG BB 5 du 23 ao t 2011 Vu la demande pr sent e le 2 novembre 2011 par la soci t Art Lab Vu les dossiers 095 IG BB 3 du 23 ao t 2011 et 095 IG BB 5 du 23 ao t 2011 pr sent s l appui de cette demande Vu le rapport INERIS AD 642 du 4 janvier 2012 Vu la correspondance du 5 janvier 2012 du laboratoire d essais de la soci t Art Lab Le Bochet 08390 Sauville Consid rant que les r sultats obtenus suite la mise en uvre des preuves et examens r alis s sur les chantillons pr sent s dans la demande r pondent aux exigences du d cret du 4 mai 2010 susvis D cide Article 1 Les artifices de divertissement l mentaires port s dans le tableau ci apr s sont agr s au titre du d cret du 4 mai 2010 susvis avec les num ros et le groupe de classement indiqu s NOM COMMERCIAL de l artifice REFERENCE de l artifice selon le titulaire CLASSEMENT retenu NUM RO d agr ment MASSE moyenne de mati re active g DISTANCE de s curit m Bombe calibre 75 mm q
48. e du contact boulon pi ce ne doit pas d passer la contrainte de charge rupture de calcul divis e par 1 33 Pour les autres assemblages la pression de matage ne devra pas d passer la contrainte de limite de rupture 7 5 5 Assemblage par plusieurs boulons rivets agrafes ou autres moyens Les efforts ne sont jamais divis s de fa on uniforme par le nombre total d l ments de liaison Sauf essai justificatif on consid re par exemple que le premier boulon supporte une charge sup rieure dans le cas d assemblage par deux boulons en ligne cas des haubans 7 5 6 Zones fusibles Il faut pr voir des zones qui absorberont l nergie en cas de choc pour prot ger les occupants et viter la d formation de toute la structure 7 5 7 Concentrations de contraintes Un trou dans une pi ce ou des changements brutaux de section peuvent diminuer la r sistance dans un facteur de 3 voire plus indice de minceur par exemple Il existe des tableaux qui donnent ces concentrations de contraintes 7 5 8 Corrosion Il conviendra d utiliser de pr f rence des mat riaux r sistant bien la corrosion ou de pr voir une protection suffisante Un d but de corrosion peut provoquer sur des pi ces sous contrainte des ruptures des valeurs tr s inf rieures aux valeurs pr vues ph nom ne de corrosion sous tension 7 5 9 Couples galvaniques L assemblage de m taux de nature diff rente apporte le risque de corrosion galvanique
49. ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l tat Vu le d cret n 2007 651 du 30 avril 2007 modifi portant statut de l cole nationale de l aviation civile Vu le d cret du 27 novembre 2008 nommant M Marc HOUALLA directeur de l cole nationale de l aviation civile Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s techniques dans les administrations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ciaux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu la d cision du 14 novembre 2011 fixant la r partition des si ges attribu s aux repr sentants du personnel aux comit s techniques sp ciaux de l Ecole nationale de l aviation civile D cide Article 1 Sont nomm s membres du comit technique sp cial cr aupr s du chef de centre de l cole nationale de l aviation civile Biscarrosse a En qualit de repr sentants de l administration Pr sident M Christian BOUGES chef du centre de l ENAC Biscarrosse ou son repr sentant Le responsable ayant autorit en mati re de ressources humaines Mme Marie Dominique LECARDEUR responsable de la division administrative ou son repr sentant b En qualit de repr sentants du personnel Membres titulaires M Jean Pierre SALA
50. est nomm pr sident de la section du travail a rien en remplacement de Mme Genevi ve EYDALEINE Article 11 Le mandat des membres d sign s ci dessus expire le 9 octobre 2012 Article 12 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 20 f vrier 2012 La directrice g n rale de l aviation civile F ROUSSE MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 36 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer R gie autonome des transports parisiens D cision n VAL 2012 15 du 22 f vrier 2012 portant d l gation de pouvoirs du pr sident directeur g n ral au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique VAL NOR TRAT1206438S Texte non paru au Journal officiel Le pr sident directeur g n ral Vu le d cret n 59 157 du 7 janvier 1959 relatif l organisation des transports de voyageurs dans la r gion parisienne Vu le d cret n 59 1091 du 23 septembre 1959 portant statut de la RATP Vu
51. est susceptible d impacter un espace ou des esp ces prot g s La mise en place de la cellule post accident technologique peut n cessiter un passage de relais au sein m me des services du fait de comp tences sp cifiques par exemple passage d une comp tence risque accidentel technologique une comp tence risque chronique Au fur et mesure de l volution de la situation et de l valuation des cons quences la compo sition de la cellule peut voluer b n ficier d appuis techniques locaux ou nationaux ou au contraire se limiter un suivi tr s local par un seul service voire d boucher sur l arr t de la d marche La cellule peut s appuyer sur d autres acteurs que les services administratifs comme l exploitant de l installation l origine du sinistre ce dernier ayant la connaissance des risques inh rents ses activit s et la responsabilit des impacts dus son installation les collectivit s territoriales qui peuvent avoir un r le jouer dans la communication aupr s de leurs administr s mais galement dans la mise en place de certaines mesures de gestion par exemple gestion des d chets s curit des personnes ou encore le gestionnaire de l espace naturel prot g lorsqu il y a lieu Les cl s du bon fonctionnement de la gestion post accident 1 Association le plus en amont possible de tous les services concern s 2 Bonne circulation de l information disponible aupr s des services m
52. et des passagers D L ENTREPRISE LE D VELOPPEMENT DURABLE ET LE RESPECT DE L ENVIRONNEMENT Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les mesures qu il convient de prendre pour r duire le bruit r glementation concernant les mis sions sonores des v hicules et pour lutter contre la pollution de l air par les missions de parti cules et de gaz polluants des v hicules moteur normes applicables aux v hicules n exc dant pas neuf places y compris le conducteur normes CO les r gles applicables la conservation et l limination des d chets huiles usag es pneus et batteries hors d usage eau de lavage des v hicules les contr les et sanctions MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 19 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Ecole nationale de l aviation civile D cision n ENAC DG 12 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique sp cial de l Ecole nationale de l aviation civile sur le site de Saint Auban NOR DEVA1201753S Texte non paru au Journal officiel Le directeur de l Ecole nationale de l
53. euros les avenants dont le montant cumul avec celui du march initial inf rieur 5 millions d euros est compris entre 5 millions d euros et 60 millions d euros Article 2 2 1 De donner d l gation M R mi Feredj directeur du d partement VAL l effet de signer au nom du conseil d administration pour l accomplissement de la mission dudit d partement et pour le fonctionnement de celui ci les march s pris pour les besoins de l activit du d partement valorisation immobili re achats et logistique d un montant sup rieur 60 millions euros leurs avenants ventuels ainsi que les avenants dont le montant cumul avec celui du march initial inf rieur 60 millions d euros exc de ce seuil Article 3 En cas d absence ou d emp chement de M R mi Feredj directeur du d partement VAL de donner d l gation M Claude Bordier responsable de l unit d veloppement des achats ou M Jean Yves Clo tre responsable de l unit performance de la cha ne logistique ou Mme Guillemette Karpel s charg e de la strat gie immobili re et des filiales aupr s du directeur l effet de signer tous les actes dont la signature a t d l gu e par la pr sente d cision MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 24 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE P
54. http www cedre fr Transport de mati res dange TRANSAID 8 centres d appui reuses http transaid uic fr transaid centres appui html CAPTV 13 centres http www centres antipoison net MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 87 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile Direction de la s curit de l aviation civile Instruction du 21 f vrier 2012 relative aux a ronefs ultral gers motoris s NOR DEVA1203669J Texte non paru au Journal officiel R sum la suite de la publication de modifications de l arr t relatif aux a ronefs ultral gers motoris s ULM cette instruction a pour objet de pr ciser des l ments portant sur la d finition des ULM et leur proc dure d autorisation de vol et d livrance de carte d identification en conformit avec l arr t du 23 septembre 1998 modifi relatif aux a ronefs ultral gers motoris s ULM Les annexes de cette instruction listent les l ments de l instruction des cartes et fiches d identification et le contenu type d un manuel d utilisation Cat gorie mesure d organisation des services rete
55. incident de tir ainsi que les distances de s curit respecter Article 4 Le titulaire du pr sent agr ment est tenu de v rifier la conformit des produits import s avec le mod le agr selon son plan qualit Ce plan d termine notamment les plans d chantillonnage et les fr quences de contr le Article 5 Le titulaire du pr sent agr ment s assure que les tiquettes et marquages sont conformes en tout point au mod le d pos lors de la demande d agr ment aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par l article 39 de l arr t du 4 mai 2010 susvis En particulier la masse moyenne de mati re active de chaque artifice telle qu elle appara t dans le dossier technique pr sent par le titulaire de l agr ment est indiqu e sur l tiquette sous la forme MA xxxxx g dans laquelle xxxxx repr sente la valeur en grammes de cette masse de mati re active Cette quantit peut tre exprim e en mg ou en kg en fonction de la masse de l artifice Article 6 Le pr sent agr ment est donn sans pr judice des autres dispositions r glementaires applicables ce produit notamment en mati re de transport de conservation de vente et d utilisation Article 7 L agr ment ci dessus est valable jusqu au 4 juillet 2017 Article 8 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement
56. l accident I OUTILS D AIDE LA D CISION RELATIVE L ORGANISATION EN SITUATION POST ACCI DENTELLE 1 1 Crit res d cisionnels crit res d valuation de l impact sanitaire et environnemental de lacci dent II 2 Anticipation pr paration des outils organisationnels II OUTILS D AIDE LA GESTION EN SITUATION POST ACCIDENTELLE 11 1 Recueil des donn es a R alisation de pr l vements environnementaux conservatoires b R alisation des investigations plus fines c Identification et r le des intervenants pour la r alisation des pr l vements conservatoires ou des investigations fines d Modalit s de financement des pr l vements e Partage des donn es 1 2 Mesures de gestion a Outils r glementaires b Gestion des d chets 11 3 Identification des appuis techniques nationaux l administration a Expertise sur les pr l vements environnementaux r aliser dans la phase d urgence b R alisation en urgence des pr l vements environnementaux c R alisation de pr l vements sur les produits agricoles denr es alimentaires et aliments pour animaux d Recherche de responsabilit dans le cas de pollution d origine inconnue e Expertise sur le risque sanitaire MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 65 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE EE D DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ind slt Fr os TRGE Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE D
57. l ouvrage dans la perspective de la neutralisation de celui ci Cette synth se comportera un bilan des v nements importants pour la s ret hydraulique d clar s en application de l arr t du 21 mai 2010 arr t du 21 mai 2010 d finissant l chelle de gravit des v nements ou volutions concernant un barrage ou une digue ou leur exploitation et mettant en cause ou tant suscep tibles de mettre en cause la s curit des personnes ou des biens et pr cisant les modalit s de leur d claration publi au JO du 11 juin 2010 Pour l instruction des EDD et des revues de s ret pour lesquelles le dossier remis par le respon sable de l ouvrage comporte un engagement de la part de ce responsable sur la s curit de l ouvrage la date de remise du dossier la synth se mentionnera les cas pour lesquels l examen du dossier ne conduit pas l administration mettre un avis d favorable sur cet engagement les cas pour lesquels cet engagement est subordonn la r alisation de renforcements de l ouvrage ou d am liorations des conditions d exploitation de surveillance et d auscultation pour lesquels l admi nistration n a pas mis d avis d favorable et les cas pour lesquels l administration a t conduite prendre des prescriptions allant au del des propositions d am lioration pr sent es dans le dossier pour assurer la s curit des ouvrages Cette synth se pourra comporter pour les digues une mention particuli r
58. le d cret n 89 410 du 20 juin 1989 relatif l organisation de la RATP Vu la d cision du pr sident directeur g n ral en date du 22 f vrier 2012 approuvant l acquisition aupr s de la soci t Michelet 57 de lots de copropri t situ s sur la parcelle AJ 85 Saint Ouen 93400 au 57 de l avenue Michelet D cide Article 1 De donner d l gation au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique VAL l effet d exercer les pouvoirs suivants passer tous actes cons cutifs ou n cessaires la mise en uvre de la d cision en date du 22 f vrier 2012 susvis e sous les charges et conditions que le directeur du d partement VAL avisera accomplir toutes d marches et formalit s lire domicile et g n ralement faire le n cessaire pour l ex cution de ladite d cision Article 2 Le d l gataire assumera toutes les responsabilit s notamment p nales que la loi ou les r gle ments mettent la charge du chef d entreprise ces responsabilit s tant express ment d l gu es en m me temps que les pouvoirs correspondants Article 3 charge pour lui d en informer pr alablement le d l gant le d l gataire pourra d l guer sa signature Article 4 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 22 f vrier 2012 Le pr sident directeur g n ral P MONGIN MED
59. mati re de temps de conduite de temps de repos et de temps de travail et notamment les dispositions du r glement europ en n 3821 85 du r glement n 561 2006 de la directive 2002 15 CE du Parlement europ en et du Conseil et de la directive 2006 22 CE ainsi que les mesures d application de ces dispositions les r gles applicables en mati re de qualification initiale et de formation continue des conduc teurs et celles d coulant de la directive 2003 59 CE du Parlement europ en et du Conseil C ACC S AU MARCH Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les r glementations professionnelles r gissant les transports par route pour le compte de tiers et notamment les r gles relatives l organisation officielle de la profession son acc s aux autorisations pour les transports par route intracommunautaires et extracommunautaires aux contr les et aux sanctions les r glementations relatives la cr ation d une entreprise de transport par route les diff rents documents requis pour l ex cution des services de transport par route et la mise en place de proc d s de v rification pour assurer la pr sence tant dans l entreprise qu bord des v hicules des documents conformes se rapportant chaque transport effectu notamment les documents relatifs au v hicule au conducteur aux passagers ou aux bagages les r gles relatives l organisation du march des
60. matiques Mme Florence DUPUY DELFAUD professeure agr g e de physique Examinateurs M Said BENJELLOUN professeur certifi bi admissible en arabe Mme B atrice CRABERE professeure certifi e en russe Mme Patricia GIRARD DE PINDRAY professeure vacataire en espagnol Mme MONTERMINI Giovanna enseignante ind pendante en italien Mme Josipa SPOLJARIC professeure vacataire en allemand M Emmanuel CELHAY ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie M Arnaud MEOUIGNON ing nieur des travaux de la m t orologie M Hugo VANDEPUTTE ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 56 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE EE D DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Le pt Fr os RS Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 2 Le pr sident directeur g n ral de M t o France est charg de l ex cution de la pr sente d cision qui sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement Fait le 7 mars 2012 Pour le ministre et par d l gation Par emp chement du pr sident directeur g n ral La directrice des ressources humaines Y FERRY DEL TANG MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 57 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DUR
61. mentaires d ployer dans un bassin de risque non couvert par un PPRN afin que les risques puissent tre pris en compte dans l laboration des d cisions d urba nisme porter connaissance au sens du code de l urbanisme qui portera non seulement sur les aspects r glementaires mais aussi int grera en les qualifiant toutes les connaissances dispo nibles et valid es par l Etat sur les risques veiller l exercice du contr le de l galit dans le cadre l gislatif et r glementaire pr vu en mati re d urbanisme en particulier dans les zones risques forts circulaire NOR IOCK0920444C du 1 septembre 2009 relative au contr le de l galit en mati re d urbanisme l ordonnance n 2009 1401 du 17 novembre 2009 portant simplification de l exercice du contr le de l galit et circulaire NOR IOC B C du 24 f vrier 2010 relative la mise en uvre de l ordon nance pr cit e 4 Programmes d actions de pr vention des inondations PAPI plans de submersion rapide PSR plans grands fleuves d partements r gions bassins R sum clore les anciens PAPI mettre en place de fa on op rationnelle les instances de labelli sation l chelon des bassins accompagner les porteurs de projets dans l laboration des nouveaux PAPI et des PSR garantir une instruction de qualit des dossiers soumis labellisation suivre techniquement et financi rement les projets en cours L appel projets relatif aux programmes
62. officiel Le chef de centre du centre en route de la navigation a rienne Nord Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu la loi n 2010 751 du 5 juillet 2010 relative la r novation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives la fonction publique Vu le d cret n 82 453 du 28 mai 1982 modifi relatif l hygi ne la s curit et la pr vention m dicale dans la fonction publique Vu le d cret n 2005 200 du 28 f vrier 2005 portant cr ation de la direction des services de la navi gation a rienne Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s techniques dans les administrations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 14 octobre 2011 portant cr ation de comit s d hygi ne de s curit et des conditions de travail la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu la d cision n 136 CRNA N D du 23 d cembre 2011 fixant la r partition des si ges des repr sen tants du personnel au comit technique sp cial institu au centre en route de la navigation a rienne nord Vu les propositions pr sent es par les organisations syndicales repr sentatives D cide Article 1 Sont nomm s au comit d hygi ne de s c
63. ou de la copie de la fiche d identification de l ULM de r f rence certifi e conforme par le constructeur 6 1 Carte d identification constructeur Le ministre charg de l aviation civile d livre une carte d identification constructeur par laquelle il notifie les marques d identification constructeur et autorise la circulation a rienne d un ULM de r f rence pour les preuves en vol des vols de convoyage ou de d monstration MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 92 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative La marque d identification constructeur est constitu e de la lettre W suivie de l indicatif du constructeur propos par le postulant et accept par la DSAC et de deux chiffres A chaque op ration le constructeur inscrit sur un registre la marque utilis e l appareil associ ses caract ristiques et le type de l op ration En cas de convoyage il indique en outre les lieux et dates de d part et de destination ainsi que la r f rence du dossier technique constructeur Ce registre doit tre tenu la disposition de la DSAC La dur e de validit des marques d identification constructeur est limit e un an mais peut tre port e cinq ans renouvelables si le constructeur d pose un
64. ou sans puissance jusqu aux limites de vent traversier la mise en stationnaire et la transition si applicables la tenue de stationnaire si applicable la translation si applicable la mont e le vol en palier le piqu le virage l autorotation si applicable Les r sultats sont ramen s aux conditions standard 15 C 1013 2 hPa La vitesse V4 si applicable est mesur e moteur coup ou plein ralenti mesur e par tout moyen adapt notamment cin mom tre GPS enregistr e si possible par un moyen vid o embarqu La vitesse V4 report e sur le manuel d utilisation est la moyenne de trois essais 7 1 2 Principes g n raux des preuves au sol a Les preuves au sol servent d terminer la qualit technique des mat riaux en flexion traction et torsion dans le domaine de vol d montr et les marges prises pour tenir compte de la dispersion des caract ristiques des mat riaux Toutefois une alternative pour atteindre cet objectif est de disposer des caract ris tiques garanties par le fournisseur v rifier la r sistance structurale de l appareil et par cons quent valider les hypoth ses retenues dans le dossier de calcul On appelle ces preuves essais statiques b Les essais statiques concernent les l ments suivants lorsqu ils sont pertinents pour la classe d ULM consid r e la voilure positif et n gatif si
65. par une recherche plus pouss e et plus exhaustive des polluants dans les milieux environnementaux en particulier sol eau v g taux de fa on d terminer la part attribuable l accident sur les niveaux de contaminations des milieux locaux et caract riser plus finement la nature des produits et la zone d impact de l accident Cette phase n est pas syst matique et sera d cid e par le service comp tent ou le pr fet au regard des conclusions issues de l analyse des ventuels pr l vements conservatoires Si des investigations sont n cessaires pour caract riser l impact sur la sant l ARS peut activer la cellule interr gionales d pid miologie CIRE Dans la mesure du possible et en fonction du contexte local des pr l vements sont r alis s en priorit en zone habit e fr quent e par les personnes expos es ou sur des secteurs sp cifiques susceptibles d impacter des populations plus loign es cas de captages d eau ou de zones agricoles Si elles le jugent n cessaire les CIRE proposent d accompagner cette d marche par une enqu te et des entretiens avec les populations cibles en vue de mieux caract riser les risques sanitaires Les services charg s des contr les sanitaires des denr es alimentaires et de l alimentation animale DDICSIPP examinent en fonction des informations disponibles l opportunit de r aliser et ou de maintenir ou d velopper la surveillance mise en place ou de proc der des pr l vem
66. partement d organiser des r unions d information des DDT M des SIDPC des services zonaux et des DREAL sur les fonctions et les priorit s pour la mont e en puissance de la mission de d finir et d organiser de mani re partenariale par SPC ou groupes de SPC d un m me bassin les formations n cessaires pour les DDT M et ventuellement les SIDPC les outils mettre leur disposition 2 Assurer un fonctionnement op rationnel optimal avec les outils disponibles et dans le cadre des proc dures en vigueur Des services de pr vision des crues SPC de la production des pr visions et de la vigilance pour les crues notamment en mettant en place ou en uvre pour celles qui sont d finies et valid es des d marches qualit avec mutualisation des l ments constitutifs de ces d marches dans les divers SPC et en lien avec celle que conduit le SCHAPI pour la production et la diffusion au niveau national de la vigilance aux crues en ajustant la d termination des niveaux de vigilance et en optimisant les tron ons de cours d eau surveill par l Etat en poursuivant l extension de l utilisation d outils de pr vision Des unit s d hydrom trie UH de l acquisition des donn es hydrom triques niveaux et d bits des cours d eau notamment en mettant en place ou en uvre pour celles qui sont d finies et valid es des d marches qualit avec mutualisat
67. place les proc dures de contr le m me simplifi es pour s assurer de la qualit finale du produit lorsque l ULM comporte des pi ces de structure critiques dur e de vie limit e sp cifiquement con ues pour l appareil celles ci doivent comporter une r f rence et un num ro de s rie afin de permettre leur suivi en utilisation 7 6 4 Sens de d battement des commandes annexes La mise en action doit toujours se faire vers l avant par exemple la mise en puissance moteur doit se faire en poussant la manette vers l avant Les interrupteurs sont coup s quand la commande est vers le bas Il convient de respecter les codes de couleur utilis s en aviation g n rale 7 6 5 clatement de l h lice Un clatement de l h lice reste possible apr s impact avec un corps tranger choc au sol ou d faillance d une pale Dans le cas o l clatement de l h lice pourrait endommager des parties vitales ces derni res doivent tre renforc es par exemple renforcement du bord de fuite sur pendulaire par plusieurs coutures sur une bande de renfort Des clatements peuvent aussi survenir en raison du passage trop proche de l h lice par rapport la structure passage qui provoque des r sonances dans l h lice 7 6 6 Erreurs de montage Les pi ces susceptibles d tre invers es doivent tre marqu es ou munies d un d trompeur par exemple confusion entre les pi ces gauche et droite d un bord d attaque M
68. pr visibles PPRN approuv Plus de 400 nouvelles communes en 2011 ont t couvertes par un PPRN MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 111 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Un travail important et des efforts cons quents continuent d tre d ploy s depuis plusieurs ann es Ces proc dures lourdes et longues ne peuvent aboutir que dans le strict respect des disposi tions r glementaires de la jurisprudence et dans un cadre de concertation bien adapt aux exigences locales Des mesures nouvelles permettent de traiter par des proc dures plus l g res la prise en compte d l ments nouveaux ou correctifs cf circulaire du 28 novembre 2011 relative aux proc dures de modification des PPRN D autres travaux sont en cours l chelon central et font galement partie des priorit s de la DGPR comme la finalisation de guides m thodologiques relatifs l laboration des plans de pr vention des risques guide de m thodologie g n rale et guide sp cifique aux PPRN littoraux Les objectifs pour 2012 et les ann es suivantes s attacheront principalement faire progresser l avancement des plans de pr vention des risques littoraux prioritaires concernant les communes mentionn es dans la
69. relative l agr ment d artifices de divertissement NOR DEVP1205711S Texte non paru au Journal officiel La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu le code de la d fense notamment son article L 2352 1 Vu oi ne 2010 455 du 4 mai 2010 relatif la mise sur le march et au contr le des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 relatif aux modalit s d homologation de marquage d tiquetage d utili sation et de manipulation des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 portant habilitation et agr ment de l INERIS Institut national de l envi ronnement industriel et des risques pour la mise en uvre des proc dures d valuation de la conformit des produits explosifs et pour proc der aux examens et preuves pr vus l article 35 du d cret n 2010 455 du 4 mai 2010 Vu la d cision du 26 janvier 2012 relative l agr ment du laboratoire d essais de la soci t Art Lab pour la r alisation des examens et preuves en vue de l agr ment des artifices de divertissement Vu la demande pr sent e le 23 d cembre 2011 par la soci t Art Lab Vu les dossiers 107 EB BB 5 du 9 novembre 2011 107 EB BB 6 du 9 novembre 2011 107 EB BB 7 du 9 novembre 2011 107 EB BB 8 du 3 novembre 2011 107 EB BB9 du 3 novembre 2011 107 EB BB 10 du 3 novembre 2011 pr sent s l appui de cette demande Vu le rapport INERIS AD 654 du 25 janvier 2012 Vu la correspondance du
70. relatives aux principaux types de contrats en usage dans les activit s de transport par route ainsi que les droits et obligations qui en d coulent l analyse d une r clamation de son commettant concernant des indemnit s pour pertes ou avaries survenues la marchandise en cours de transport ou pour un retard de livraison et comprendre les effets de cette r clamation sur sa responsabilit contractuelle aux r gles et obligations d coulant de la convention relative au contrat de transport international de marchandises par route CMR B L MENTS DE DROIT SOCIAL Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives au r le et au fonctionnement des diff rentes institutions sociales intervenant dans le secteur du transport par route syndicats comit s d entreprise d l gu s du personnel inspecteurs du travail etc aux r gles applicables aux contrats de travail relatifs aux diff rentes cat gories de personnel des entreprises de transport par route forme des contrats obligations des parties conditions et dur e du travail cong s pay s r mun ration rupture du contrat etc aux r gles applicables en mati re de temps de conduite de temps de repos et de temps de travail et notamment les dispositions du r glement CEE n 3821 85 du r glement CE n 561 2006 de la directive 2002 15 CE du Parlement europ en et du Conseil et de la directive 2006 22 CE et les mesures prati
71. sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 28 f vrier 2012 Le directeur M GEORGES MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 52 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Ecole nationale de l aviation civile D cision n ENAC DG 15 du 1 mars 2012 portant composition nominative du comit technique sp cial de l Ecole nationale de l aviation civile sur le site de Montpellier NOR DEVA1201751S Texte non paru au Journal officiel Le directeur de l Ecole nationale de l aviation civile Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l tat Vu le d cret n 2007 651 du 30 avril 2007 modifi portant statut de l cole nationale de l aviation civile Vu le d cret du 27 novembre 2008 nommant M Marc HOUALLA directeur de l cole nationale de l aviation civile Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s techniques dans les administr
72. site de Biscarrosse D cision n ENAC DG 14 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique 22 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le site de Carcassonne D cision n 07 CRNA SE SA du 17 f vrier 2012 fixant la composition du comit d hygi ne de s curit 26 et des conditions de travail sp cial CHSCT S du centre en route de la navigation a rienne Sud Est CRNA SE direction g n rale de l aviation civile direction des services de la navigation a rienne D cision n 07 DSAC AG du 20 f vrier 2012 fixant la r partition des si ges au comit technique sp cial 30 de la direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane D cision n 08 DSAC AG du 20 f vrier 2012 relative la cr ation du comit technique sp cial de la 31 direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane D cision du 20 f vrier 2012 portant nomination au conseil du personnel navigant professionnel de 34 l a ronautique civile D cision n DSNA D 12 0038 du 28 f vrier 2012 portant d l gation de signature direction des services 52 de la navigation a rienne D cision n ENAC DG 15 du 1er mars 2012 portant composition nominative du comit technique 53 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le site de Montpellier Instruction du 21 f vrier 2012 relative aux a ronefs ultral gers motoris s 88 S curit et circulation routi res D cision du 2 mars 2012 port
73. sols via notamment la base de donn es BASOL 1 et BASIAS 2 cette pollution pouvant tre remobilis e l occasion de la survenue d un incendie en particulier sous l effet de la chaleur ou du ruissellement des eaux d extinction Enfin la pr sence ventuelle d l ments de construction contenant de l amiante sur le site l origine du sinistre incendie explosion est galement v rifier Sensibilit de l environnement nombre de personnes expos es important proximit de zones d habitat et d activit s humaines d tablissements recevant des personnes sensibles de surfaces cultiv es de captages d eau pour la consommation humaine ou animale pr sence d levages pratique locale d autoproduction espaces ou esp ces d int r t cologique pr sence de gibier et d activit de cueillette La protection directe et indirecte des populations situ es proximit est l enjeu majeur Les substances mises lors d un accident sont susceptibles de contaminer les sols et les produc tions agricoles avoisinantes et peuvent m me conduire un arr t temporaire voire d finitif de certains usages sensibles La vuln rabilit des productions v g tales d pend en g n ral de l tat de croissance des cultures Ainsi il convient d tre particuli rement attentif en cas de retomb es de polluants sur des cultures ou des jardins potagers l approche des p riodes de r colte En cas de d versement accidentel la pr
74. t du 8 f vrier 2012 modifiant l arr t du 15 septembre 2006 relatif au diagnostic de performance nerg tique pour les b timents existants propos s la vente en France m tropolitaine Journal officiel du 15 mars 2012 Arr t du 8 f vrier 2012 modifiant l arr t du 3 mai 2007 relatif au diagnostic de performance nerg tique pour les b timents existants usage principal d habitation propos s la location en France m tropolitaine Journal officiel du 15 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 portant nomination au conseil d administration de la Soci t immobili re du d partement de La R union SIDR Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 27 f vrier 2012 portant nomination du commissaire du Gouvernement aupr s de l Etablissement public du Marais poitevin Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 27 f vrier 2012 portant nomination du commissaire du Gouvernement aupr s de l Agence de l eau Loire Bretagne Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 27 f vrier 2012 portant nomination du commissaire du Gouvernement aupr s du groupement d int r t public Seine Aval Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 27 f vrier 2012 portant nomination au Comit de bassin Rhin Meuse Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 27 f vrier 2012 portant nomination au conseil d administration de l Office national de l eau et des milieux aquatiques Journal officiel du 15 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2
75. tence et portant organisation du service d tat de l aviation civile d int r t g n ral dans les territoires d outre mer Vu le d cret n 2008 1299 du 11 d cembre 2008 portant cr ation de la direction de la s curit de l aviation civile Vu l arr t du 9 mai 2005 modifi portant cr ation de comit s techniques paritaires la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu l arr t du 19 d cembre 2008 portant organisation de la direction de la s curit de l aviation civile Vu la d cision du 12 janvier 2009 portant organisation de la direction de la s curit de l aviation civile Antilles Guyane Vu l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ciaux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu la d cision n 07 du 20 f vrier 2012 fixant la r partition des si ges au comit technique sp cial de la direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane Vu les propositions des organisations syndicales D cide Article 1 Sont d sign s en qualit de membres du comit technique sp cial de la direction de la s curit de l aviation civile Antilles Guyane Repr sentants de l administration 2 titulaires 2 suppl ants Membres titulaires Pierre DUBOIS pr sident Florian LINKE MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 31 ES b
76. transports de voyageurs par route les r gles relatives la cr ation de services de transport de voyageurs par route et l ta blissement des plans de transport D NORMES ET EXPLOITATION TECHNIQUES Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les formalit s relatives la r ception par type l immatriculation et au contr le technique des v hicules les mesures qu il convient de prendre pour r duire le bruit et lutter contre la pollution de l air par les missions des v hicules moteur MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 17 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit it Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative E S CURIT ROUTI RE Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les qualifications requises pour les conducteurs permis de conduire certificats m dicaux attes tations de capacit etc les mesures prendre pour veiller au respect par les conducteurs des r gles des interdictions et des restrictions en mati re de circulation en vigueur dans les diff rents Etats membres limita tions de vitesse priorit s arr t et stationnement emploi des feux signalisation routi re etc l laboration de consignes destin es
77. une rotule sur une liaison critique soumise des efforts de flexion et de faire travailler en rotation l embout filet d une rotule 7 6 Dispositions diverses 7 6 1 quipements pour activit s particuli res Le si ge passager d un ULM biplace peut si n cessaire tre d pos pour permettre l installation d un quipement pour activit particuli re 7 6 2 Ceintures Les si ges de l ULM lorsqu il en est quip doivent tre munis d une ceinture 7 6 3 Production en s rie hors le cas de sous classes 2A et 3A Les pr cautions suppl mentaires suivantes doivent tre prises une proc dure de r ception des mat riaux et composants doit permettre de s assurer de leur qualit fiche fournisseur de leur stockage pour viter les m langes et les erreurs au montage par exemple par marquage avec une couleur ou une tiquette de leur utilisation sur une s rie donn e d appareils pour limiter les v rifications en cas d anomalies les appareils doivent comporter clairement une identification de type et un num ro de s rie pour conna tre parfaitement le standard de livraison probl me de la commande des rechanges le constructeur doit garantir la reproductibilit des appareils de s rie pour qu ils restent conformes au mod le ayant servi la qualification par exemple pour les composites les r sines les tissus et leur sens le nombre de couches les temp ratures le constructeur mettra en
78. urgence l activation syst matique de la cellule post accident tech nologique au plus t t ne serait ce que pour une mission d valuation appara t n cessaire et permet un accompagnement jusqu au retour la normale avec une prise en compte des effets diff r s et des cons quences de l v nement d s la phase de suivi imm diat Comme indiqu pr c demment dans ce cas le SIDPC est charg de cette activation et du suivi tant que l v nement n cessite un traitement interminist riel dans le cas d un v nement n ayant pas n cessit la mise en place d une organisation sp cifique en phase d urgence situation la plus fr quente au regard du retour d exp rience l activation de la cellule post accident technologique rel ve d une analyse au cas par cas en fonction des enjeux identifi s au Il 1 Crit res d cisionnels crit res d valuation de l impact sanitaire et environne mental de l accident La mission d valuation devient alors plus d licate car la mise en place de la cellule est dans ces cas tr s tardive La collecte d informations sur les rejets en est d autant plus difficile La mise en place de cette cellule doit tre souple et modulaire La r union des services au sein de la cellule post accident technologique doit r pondre un besoin de coordination entre les diff rents acteurs lorsque la gestion des cons quences sanitaires et environnementales d un accident tech nologique fait appel des com
79. volution de l organisation des services La circulaire du 4 novembre 2010 a d fini les objectifs et les crit res pour l organisation des services de pr visions des crues SPC et des unit s d hydrom trie UH Il est demand aux services concern s de finaliser les consultations des parties prenantes et l adoption des sch mas directeurs de pr vision des crues SDPC qui permettront la prise d un arr t minist riel modificatif du ratta chement des services de r viser les r glements de surveillance de pr vision et de transmission de l information sur les crues RIC pour chaque SPC de mettre en place ou pr parer pour une partie du futur SPC Gironde Adour Dordogne le fonc tionnement des quipes dans la nouvelle configuration suivant le calendrier approuv par le SG du MEDDTL et le DGPR En outre la circulaire du 28 avril 2011 pr cise les modalit s de mise en place de l exercice de la mission de r f rent d partemental pour l appui technique la gestion des crises d inondation RDI MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 114 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Il est demand aux services concern s de pr parer les r ponses manquantes des pr fets de d
80. 012 5 du 25 mars 2012 Page 115 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre particuli rement les articles 8 9 9 bis 10 16 20 25 26 30 33 34 35 45 et 57 par les responsables des ouvrages hydrauliques ces responsables sont les titulaires des autorisations administratives qui ont fait l objet d une action de contr le Cette priorit d action ne comporte aucune action intrins quement nouvelle mais une mise en forme des actions de contr le d j inscrites dans la circulaire d organisation des SCSOH circulaire du 8 juillet 2010 Ce plan d actions est d clin au niveau d partemental niveau de comp tence du pr fet de d partement avec une mise en uvre r gionale ou interr gionale sauf le cas particulier des d partements de l Aude 11 et de l H rault 34 o la DDTM assure le contr le des ouvrages hydrauliques autoris s et la DREAL celui des barrages conc d s Pour les DOM la DEAL a comp tence et r alise l ensemble des missions Par ailleurs il conviendra de veiller la remise des tudes de dangers impos es par la r gle mentation des ouvrages hydrauliques en utilisant les outils r glementaires ad quats et de poursuivre l effort en mati re de recensement et classement des ouvrages h
81. 012 portant d l gation un pr fet de r gion du pouvoir d approbation du renouvellement et des modifications de la convention constitutive d un groupement d int r t public Journal officiel du 4 mars 2012 Arr t du 2 mars 2012 fixant le contenu du dossier de demande d agr ment pr vu l article L 434 3 du code de l environnement et les statuts types des associations d partementales de p cheurs amateurs aux engins et aux filets sur les eaux du domaine public Journal officiel du 10 mars 2012 Arr t du 5 mars 2012 relatif la r duction d imp t sur le revenu au titre de l investissement immobilier locatif pr vue l article 199 septvicies du code g n ral des imp ts pris en application de l article 46 AZA octies de l annexe Ill ce code Journal officiel du 7 mars 2012 Arr t du 5 mars 2012 relatif la fermeture de la p che de l anguille de moins de 12 centim tres par les p cheurs professionnels en eau douce dans l unit de gestion de l anguille Loire c tiers vend ens et S vre niortaise Journal officiel du 11 mars 2012 Arr t du 12 mars 2012 relatif l ch ancier de versement des subventions de l Union d conomie sociale du logement l Agence nationale pour la r novation urbaine pour la mise en oeuvre du programme national de r novation urbaine Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 12 mars 2012 relatif l ch ancier de versement des subventions de l Union d conomie sociale du logeme
82. 1 d cembre 2007 fixant les taux de promotion dans les corps du minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de l am nagement du territoire compter de l ann e 2008 Vu l arr t du 23 d cembre 2010 modifi par l arr t du 24 janvier 2012 portant inscription au tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 Vu l avis mis par la commission administrative paritaire comp tente l gard du corps des ing nieurs des travaux publics de l Etat du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement en sa s ance du 8 f vrier 2012 Arr te Article 1 L ing nieur des travaux publics de l tat dont le nom suit est retir du tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 131 MOSSER DUBREU Sophie Article 2 L ing nieur des travaux publics de l tat dont le nom suit est inscrit au tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 30 CAZET Colette Article 3 La directrice des ressources humaines du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement est charg e de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement
83. 2012 Arr t du 13 mars 2012 portant nomination administration centrale Journal officiel du 15 mars 2012 D veloppement durable D crets D cret n 2012 332 du 7 mars 2012 relatif aux instances de suivi de la mise en oeuvre de mesures environnementales concernant certaines infrastructures lin aires soumises tude d impact Journal officiel du 9 mars 2012 D cret du 29 f vrier 2012 portant nomination la Commission nationale du d bat public Journal officiel du 2 mars 2012 Arr t s Arr t du 24 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de la m t orologie Journal officiel du 1 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 portant nomination la Commission nationale du d bat public Journal officiel du 2 mars 2012 Energie climat Arr t s Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t E ON Provence Biomasse exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 9 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t Abengoa Bioenergy Biomasse France exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t Inova exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t UPM Kymmene France exploiter une i
84. 25 janvier 2012 du laboratoire d essais de la soci t Art Lab Le Bochet 08390 Sauville Consid rant que les r sultats obtenus suite la mise en uvre des preuves et examens r alis s sur les chantillons pr sent s dans la demande r pondent aux exigences du d cret du 4 mai 2010 susvis D cide Article 1 Les artifices de divertissement l mentaires port s dans le tableau ci apr s sont agr s au titre du d cret du 4 mai 2010 susvis avec les num ros et le groupe de classement indiqu s R F RENCE MASSE DISTANCE NOM COMMERCIAL de l artifice CLASSEMENT NUMERO moyenne de securit de l artifice selon retenu d agr ment de mati re im le titulaire active g Bombe 100 mm cylindrique tourbillon centre multicolore clignotant blanc BP4 45 0608CFW K3 BB 79355 07 17 366 5 80 Bombe 100 mm cylindrique tourbillon centre multicolore clignotant vert s ssssssesresisrssresresreresrenraneas BP4 45 0608CFV K3 BB 79356 07 17 366 5 80 Bombe 100 mm cylindrique tourbillon centre multicolore clignotant ros nn BP4 45 0608CFPI K3 BB 79357 07 17 366 5 80 Bombe 100 mm Lemon special glittering sse BP4 43 07L K3 BB 79358 07 17 329 100 Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown gold FO E A nn BA4 45 3220 G K3 BB 79359 07 17 244 90 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 41 E DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Libert galit Fraternit
85. 5 du 25 mars 2012 Page 39 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer R gie autonome des transports parisiens D cision du 22 f vrier 2012 portant autorisation d acquisition de lots de copropri t situ s sur la parcelle AJ 85 Saint Ouen 93400 au 57 de l avenue Michelet NOR TRAT1206613S Texte non paru au Journal officiel M Pierre Mongin pr sident directeur g n ral de la R gie autonome des transports parisiens RATP Agissant au nom de ladite RATP dont le si ge est situ Paris 12 54 quai de la Rap e Et sp cialement d l gu l effet des pr sentes en vertu des pouvoirs qui me sont conf r s par l article 22 du r glement int rieur du conseil d administration Apr s avoir rappel qu un avis des domaines en date du 1 d cembre 2011 a t rendu Autorise l acquisition par la RATP aupr s de la soci t Michelet 57 SARL au capital de 100 euros dont le si ge social est au 17 rue d Orl ans 92200 Neuilly sur Seine enregistr e au registre du commerce et des soci t s de Paris sous le num
86. 5 mars 2012 Page 44 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative R F RENCE MASSE DISTANCE NOM COMMERCIAL de l artifice CLASSEMENT NUMERO moyenne tte de l artifice selon retenu d agr ment de mati re m le titulaire active g 2A K4 490 60 3A K4 469 60 K4 511 60 Chandelle 40 mm com tes paillet e argent CND21 1 1 15A 16A K4 464 60 18A 1 2 Chandelle 40 mm com tes paillet e or CND Chandelle 40 mm com tes citron CND 2 Chandelle 40 mm com tes orange CND2 Chandelle 40 mm com tes fuschia CND K4 513 60 Chandelle 40 mm com tes violet CND21 19A K4 516 60 Chandelle 40 mm com tes cyan CND21 23A K4 506 60 Chandelle 40 mm com tes coconut CND21 38A K4 418 60 Chandelle 40 mm com tes paillet e jaune vert CND21 72A K4 416 60 Bombe C 100 mm cintas intermittent rose CAC82 46 K4 583 110 CH chandelle romaine BB bombe d artifice 1 1 1 1 1 1 1 1 Le titulaire des pr sents agr ments est la soci t Pirotecnia Igual Mas Pubill PO Box 069 08811 Canyelles Barcelone Espagne laquelle importe et commercialise en France les produits port s dans le tableau ci dessus Article 2 Les artifices de divertissement sont agr s aux conditions de la demande
87. 72 5 kg pour un biplace Dans le cas d un ULM amphibie de classe 2 3 ou 6 d un hydravion ou d un h licopt re quip de flotteurs l augmentation de 10 de la masse maximale autoris e porte respectivement cette masse 330 kg pour un monoplace et 495 kg pour un biplace Les augmentations de masse ne sont pas cumulables Masse minimale masse minimale op rationnelle de la classe 1 et des sous classes d finie par le constructeur et tenant compte des qualit s de vol des ULM avec une faible charge alaire Surface alaire projection plane de l aile de l a ronef en ligne de vol en configuration d atter rissage ou de vol de croisi re comprenant le cas ch ant la surface du fuselage comprise entre la droite reliant les deux bords d attaque l emplanture de l aile et la droite reliant les deux bords de fuite l emplanture de l aile Dans le cas d a ronefs multiplans par convention pour l application du pr sent arr t la surface alaire de l a ronef sera la somme de la surface alaire de chaque aile Charge alaire rapport de la masse de l appareil par la surface alaire Charge rotorique rapport de la masse de l appareil par la surface du rotor La surface du rotor est gale au produit du carr du diam tre du rotor par 7 4 Vso Vitesse de d crochage ou vitesse minimale de vol si le d crochage n est pas possible dans les conditions de moteur r duit ou coup train sorti volets sortis centrage le plus d favorable ma
88. ABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative D veloppement durable MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Commissariat g n ral au d veloppement durable M t o France D cision n 12 111 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury du concours sp cial pour le recrutement d l ves ing nieurl e s des travaux de la m t orologie NOR DEVD1207107S Texte non paru au Journal officiel Le ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 65 184 du 5 mars 1965 modifi relatif au statut particulier des ing nieur e s des travaux de la m t orologie et notamment ses articles 7 et 8 Vu le d cret n 2004 1105 du 19 octobre 2004 relatif l ouverture des proc dures de recrutement dans la fonction publique de l Etat Vu l arr t du 17 octobre 1988 modifi fixant les modalit s du concours sp cial d admission des titulaires d une ma trise de sciences en qualit d l ves ing nieur e s des travaux de la m t oro log
89. ARD DE PINDRAY professeure vacataire en espagnol Mme Josipa SPOLJARIC professeure vacataire en allemand Jacques DELFAUD professeur agr g de math matiques Yves LALART professeur certifi de physique S bastien LAFLORENCIE technicien sup rieur de la m t orologie Jean Paul BILLEROT ing nieur des travaux de la m t orologie Thierry LEFORT ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie Jean Pierre CHALON ing nieur g n ral des ponts des eaux et des for ts Jean Marie DONIER ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie Jean DUPUIS chef d unit technique Bruno ROBERT professeur certifi en g nie lectronique Lala MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 60 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE EE D DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Le pt Fr os RS Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 2 Le pr sident directeur g n ral de M t o France est charg de l ex cution de la pr sente d cision qui sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement Fait le 7 mars 2012 Pour le ministre et par d l gation Par emp chement du pr sident directeur g n ral La directrice des ressources humaines Y FERRY DEL TANG MEDDTL n 2012 5 du 25 mars
90. ASOA ONEMA CEDRE ayant des capacit s de pr l vement ou d analyse pr leveurs ou laboratoires faisant partie du r seau d intervenants en situation post accident RIPA cf II 3 du pr sent guide ventuellement kit mat riel de pr l vements et d analyses disposition des services de l Etat une actualisation des proc dures d organisation en situation d urgence des diff rents services afin d y int grer un volet gestion des impacts diff r s des accidents un change en local sur les outils mettre en commun notamment sur le partage et les circuits d informations dans de telles situations une pr paration de l aspect li la communication vers le public la r alisation d exercices sur le th me de la gestion post accidentelle constitue un l ment important permettant de tester l organisation d finie localement organisation d exercices sp ci fiques ou prolongement des exercices de gestion de crise en risque accidentel sur la phase de suivi imm diat et post accident La pr paration du partage de l information m rite une attention particuli re Le retour d exp rience sur la gestion post accidentelle montre qu il est imp ratif de partager l information et en particulier les r sultats des diff rentes campagnes de mesures dans l envi ronnement donn es sur diff rentes matrices avec un g or f rencement associ notamment quand de nombreux acteurs sont impliqu s dans la gestion de l acc
91. Atterrissage E 7 Vitesse recommand e E 8 Distance d atterrissage passage aux 15 m E 9 Limite de vent traversier d montr e E 10 Finesse maximale moteur arr t et vitesse associ e E 11 Diagramme hauteur vitesse au d collage et les plafonds en et hors effet de sol pour un ULM de classe 6 F Masses et centrage quipements F 1 Masse vide de r f rence F 2 Centrage vide de r f rence F 3 Configuration de l ULM choisie pour la d termination de la masse vide de r f rence F 4 Liste d quipements Masse et centrage vide le constructeur donne tous les l ments permettant chaque utilisateur de calculer ais ment et avec exactitude la masse vide et le centrage vide de son ULM Pour ce faire il indiquera la masse de tous les quipements adaptables et le bras de levier associ F 5 Masse et centrage le constructeur donne tous les l ments permettant chaque utilisateur de calculer la masse et le centrage de son ULM notamment le bras de levier des occupants et du ou des r servoirs F 6 M thode de pes e G Montage et r glages G 1 Consignes de montage et de d montage G 2 Liste des r glages accessibles l utilisateur et cons quences sur les caract ristiques de vol H Autres utilisations H 1 R percussions du montage ventuel de tout quipement sp cial notamment les skis et les flotteurs ou li une utilisation particuli re ainsi que les proc dures et limitations as
92. COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Texte de r f rence loi n 2009 967 du 3 ao t 2009 de programmation relative la mise en uvre du Grenelle de l environnement article 44 http www legifrance gouv fr affichTexte do cidTexte JORFTEXT000020949548 amp categorieLien id action 33 du deuxi me plan national sant envi ronnement 2009 2013 Date de mise en application imm diate Pi ce s annexe s Guide de gestion de l impact environnement et sanitaire en situation post accidentelle cas des accidents d origine technologique m thode g n rale destination des services de l Etat La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement le ministre de l int rieur de l outre mer des collectivit s territoriales et de l immigration le ministre du travail de l emploi et de la sant et le ministre de l agriculture de l alimentation de la p che de la ruralit et de l am nagement du territoire aux pr fets de r gion et aux pr fets de d par tement Mesdames et Messieurs les pr fets de zone de d fense et de s curit Mesdames et Messieurs les pr fets de r gion Mesdames et Messieurs les pr fets de d partement pour ex cution aux DREAL DRIEE DEAL DDT M DD CS PP ARS
93. D cision n AD 2011 45 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 47 D cision n AD 2012 05 du 27 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement 50 Circulaire du 20 f vrier 2012 relative la gestion des impacts environnementaux et sanitaires 62 d v nements d origine technologique en situation post accidentelle Instruction du 22 f vrier 2012 relative aux th mes prioritaires d actions nationales en mati re de 107 risques naturels et hydrauliques pour 2012 2013 Infrastructures transports et mer Arr t du 27 janvier 2012 portant nomination la Commission nationale d valuation de la s curit 2 des transports guid s 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 SOMTHE Page 1 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE 4 DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e A Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative D cision du 3 f vrier 2012 relative la liste des mati res pour la formation d actualisation des 12 connaissances du gestionnaire de transport D cision n VAL 2012 12 du 15 f vrier 2012 portant d l gation de signature du pr sident directeur 24 g n ral de la RATP au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique D cision n NUN 12 001 du 20 f vrier 2012 portant d l gation de signature du responsable de l unit 33 tudes au responsable t
94. DAVID Corinne CGT BOUISSOU Aur lie CGT MONNOU Ang le FO ROY Christian FO MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 54 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 2 mars 2012 Le d l gu la s curit et la circulation routi res J L NEVACHE MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 55 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative D veloppement durable MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Commissariat g n ral au d veloppement durable M t o France D cision n 12 110 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury du concours interne pour le recrutement d l ves ing nieurs des travaux de la m t orologie NOR DEVD1207105S Texte non paru au Journal officiel Le ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu l
95. DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT S Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Les risques naturels terrestres incluant le risque sismique le risque volcanique les risques de mouvements de terrain chutes de blocs glissements lents ou rapides effondrements de cavit s retrait gonflement des argiles le risque avalanche ou le risque d incendies de for ts sont plus territorialis s et les politiques de pr vention relatives ces risques sont d cliner selon les stra t gies d finies au niveau r gional au regard des enjeux et des priorit s 5 1 Pour les r gions situ es expos es des risques sismiques ou en terrain de montagne 5 1 1 Risque sismique Poursuivre les actions de communication et d information vers la population et les collectivit s poursuivre la communication et la formation vers les professionnels de la construction Etudier l opportunit des PPRS dans les zones forts enjeux R aliser les recensements des ouvrages de cat gorie IV dans la zone de sismicit moyenne n 4 et r aliser leurs diagnostics dans un second temps cf circulaire interminist rielle du 26 avril 2002 et lettre de la direction g n rale de la s curit civile et de la gestion des crises en date du 23 ao t 2011 5 1 2 Risques en montagne Dans le cadre de la convention Etat ONF en cours de finalisati
96. DRAAF SDIS pour infor mation Le retour d exp rience sur les accidents d origine technologique installations class es transports de mati res dangereuses et canalisations de transport montre que au del de l organisation des secours des soins de premi re urgence et de la r paration des dommages environnementaux et sanitaires les plus visibles des cons quences diff r es sur la sant humaine et l environnement peuvent tre redout es Ces v nements peuvent avoir pour effet une dispersion dans l environnement de substances plus ou moins toxiques ou g n rer des effets physiques effets thermiques bruit vibrations Les cons quences de ces accidents peuvent tre de plusieurs ordres cons quences environnementales pollution transitoire ou durable des milieux environne mentaux sol eaux air des productions animales et v g tales atteinte potentiellement grave sur les cosyst mes cons quences sanitaires et sociales cons quences somatiques li es l exposition directe ou indirecte de la population par des agents chimiques et ou physiques imm diates ou diff r es dans le temps et impacts sur la sant mentale li s au d placement au relogement aux pertes mat rielles et la perte d emploi cons quences conomiques directes perte de ressources productives travail immeubles infra structures terres arables zones d activit s r sidentielles loisirs restrictions ou arr ts d ac
97. DTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 37 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative D veloppement durable MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Commissariat g n ral au d veloppement durable D cision n 2012 1085 du 22 f vrier 2012 portant modification de la d cision n 2009 1635 du 11 mars 2009 portant nomination des ordonnateurs secondaires NOR DEVD1206914S Texte non paru au Journal officiel Le pr sident directeur g n ral de M t o France Vu le d cret n 53 1227 du 10 d cembre 1953 relatif la r glementation comptable applicable aux tablissements publics caract re administratif o le d cret n 62 1587 du 29 d cembre 1962 portant r glement g n ral sur la comptabilit publique Vu le d cret n 93 861 du 18 juin 1993 modifi portant cr ation de l tablissement public M t o France Vu le d cret du 4 mai 2009 portant nomination du pr sident directeur g n ral de M t o France Vu la d cision portant organisation g n rale de M t o France dans sa version 8 applicable au 1e octobre 2011 Vu la d cision n 2009 1635 du 11 mars 2009 modifi e portant nomination des ordonnateurs secondaires D cide Article 1 L artic
98. DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction des services de transport D cision du 3 f vrier 2012 relative la liste des mati res pour la formation d actualisation des connaissances du gestionnaire de transport NOR TRAT1203115S Texte non paru au Journal officiel Le directeur des services de transport Vu le d cret n 85 891 du 16 ao t 1985 modifi relatif aux transports urbains de personnes et aux transports routiers non urbains de personnes notamment son article 7 Vu le d cret n 99 752 du 30 ao t 1999 modifi relatif aux transports routiers de marchandises notamment son article 9 Vu l arr t du 28 d cembre 2011 relatif aux gestionnaires de transport dans les entreprises de transport routier notamment son article 5 D cide Article 1 Les listes des mati res sur lesquelles doit porter la formation pr vue l article 5 de l arr t du 28 d cembre 2011 relatif aux gestionnaires de transport dans les entreprises de transport routier figurent aux annexes IV de la pr sente d cision Annexe l R f rentiel des mati res pour la formation d actualisation des connaissances du gestionnaire de transport titulaire d une attestation de capacit en transport routier lourd de marchandises Annexe ll R f rentiel des mati res pour la formation d actualisation des connaissances du gestionnaire de transport titulaire d une attestation de capacit en transport routier l ger de mar
99. EDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 98 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative 7 6 7 Propulsion Le r servoir de carburant doit tre muni de filtres et d un syst me de purge pour pr venir la pollution du carburant 7 6 8 Changement des mat riaux d origine Les mat riaux utilis s dans la construction de l ULM doivent rester conformes ceux d finis dans le dossier technique Tout changement ne peut se faire qu apr s des essais ou calculs justificatifs prouvant l quivalence au niveau de la r sistance structurale de l ULM L auteur de ces modifications en reste toujours responsable 7 6 9 Modifications mineures appliqu es en utilisation Il faut attirer l attention des utilisateurs sur les modifications qui paraissent anodines et qui peuvent avoir de tr s graves cons quences par exemple adjonction d un car nage qui rend l appareil difficilement pilotable per age d un hauban qui conduit sa destruction en vol chan gement d une aile de pendulaire sans v rification de son d battement par rapport au passage de l h lice 7 6 10 D signation d un appareil La carte d identification demande de pr ciser le type d ULM de moteur et de voilure Le constructeur doit donner un nom ou u
100. EMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer R gie autonome des transports parisiens D cision n NUN 12 001 du 20 f vrier 2012 portant d l gation de signature du responsable de l unit tudes au responsable technique de l unit tudes NOR TRAT1206527S Texte non paru au Journal officiel Le responsable de l unit tudes Vu le d cret n 59 157 du 7 janvier 1959 relatif l organisation des transports de voyageurs dans la r gion parisienne Vu le d cret n 59 1091 du 23 septembre 1959 portant statut de la RATP Vu le d cret n 89 410 du 20 juin 1989 relatif l organisation de la RATP Vu la d l gation de pouvoirs n 2011 31 consentie le 1 juillet 2011 au directeur du d partement MRF par le pr sident directeur g n ral de la RATP Vu la d l gation de pouvoirs note de d partement n 12 009 consentie le 1 janvier 2012 au responsable de l unit tudes par le directeur du d partement MRF D cide Article 1 De donner d l gation M Yvon No l responsable technique de l unit tudes l effet de signer en son nom les actes suivants pris pour les besoins de l activit de
101. Fait le 27 f vrier 2012 Pour la ministre et par d l gation L ing nieur en chef des mines C BOURILLET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 51 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile D cision n DSNA D 12 0038 du 28 f vrier 2012 portant d l gation de signature direction des services de la navigation a rienne NOR DEVA1205562S Texte non paru au Journal officiel Le directeur des services de la navigation a rienne Vu le d cret n 2005 200 du 28 f vrier 2005 portant cr ation de la direction des services de la navi gation a rienne et notamment son article 3 Vu le d cret du 29 juillet 2009 portant nomination de M Maurice Georges en qualit de directeur des services de la navigation a rienne Vu l arr t du 31 d cembre 2008 portant r glement de comptabilit pour la d signation des ordon nateurs secondaires et de leurs d l gu s du budget annexe contr le et exploitation a riens Vu la d cision n DSNA D 11 0089 du 26 mai 2011 portant d l gation de signature direction g n rale de l aviation civile directio
102. ISIN 919 sjuouuje s p Feary nea ap Ns np Spioge xne syinpoidoyne syuawje s p UOHELILIOSUOD p UOHAIPIAUI Saoadsns sedu s p UOHoUOy u UOHOIPIAJUI p Sainsau Sa1RIWA1d s p UOMUHYAPA NO UANUILU SLI uonnjjod p 3suo9 p snyd IS 2JPULIOU LJ g MOY uonewwosuo ap xne a s p Jjenb ej ap Sa 219894 sajeunueL sajoonBe suoronpoid s p SAJONUO9 S p JUIWIIOJUJY asIHodx9 p 19 sanbiuy9a s mysut Yan 22S1 1QDIS UOIJDIJIS onbi ojouysa juaphoe js0od onto Juopi39e 3S0d oseyq siow sonbjonb g s urew s sonbjon sinof sonbon IAL P 19 IuLJIZIA 2P AWAISAS UN p 2 2NJU9A9S IJJd Ua ISIN SIURISIX9 IMLJULS JOURIIIDAINS IP SIWJIS S UONLANIY UONLJJIQLYJI 2P S2INSOU SARIWA 919 susune s p 98PAb Ns np spaoqe xne synpod ome sjuouurpe s p uonewwosuo g ns uonepuewuoaa nea ap Fesn uopoLys Pyoreu 9 ns sr p UONDIPIAJUI s dsns spedu s p uonouoy ua UOHPIPIAIUI p SAMSIWU SAUL Quauipss JOS nea XN9OIJIUU SJUSIOLJIP S P JUAUISAQII SOJUBUISIOAB S9INJ N9 S9J INS JUALIAQIIA UOHPUILPJUON P XNB9AIU S P SUONLSIIJJJLIVI S9I9ILWIq juauriad 1s Xne9 39 1e NAJU 2 Suep s rjqnd sino9ss sa Ted sjanjuaA9 SJUSWI2A9914 s rjqnd s1n099S SIWIAAANS UOU JUOUIOUUOAIAUDI D SJAOGGF JUIP9UIUUT IAINS ISLEY d Quowouruos n re anbsi1 un 99A2 U9I U9 29U981N P s ns p IJd u sr JUS ONQUSAT yu unad 1s Xnea 43 1e n r 9 suep Sarjqnd s1n099s Sa 1ed
103. N AISE Direction de l information l gale et administrative Aussi les dispositions de la directive europ enne sur l valuation et la gestion des risques d inon dations d sormais traduites int gralement dans le droit fran ais la n cessit d laborer priori tairement des plans de pr vention des risques littoraux sur plus de 300 communes expos es des risques forts de submersion l approbation des PPRN dans un d lai de trois ans et l introduction d une proc dure de modification des PPRN plus l g re sont prendre en compte Par ailleurs la mise en place tous les chelons des nouveaux processus de labellisation des projets du plan submersions rapides PSR et des programmes d actions de pr vention des risques d inondation PAPI lanc s depuis f vrier 2011 constitue un enjeu essentiel pour r ussir la mise en uvre des mesures d accompagnement de la politique de pr vention des risques naturels au b n fice des collectivit s Pour les ann es 2012 et 2013 les th mes prioritaires d actions nationales guideront donc l action des services pour mieux r pondre aux attentes qui sont les n tres Ces th mes d actions prioritaires s inscrivent dans le prolongement de ceux des ann es pr c dentes et sont pr cis s en annexe pour chaque niveau territorial Ils devront tre d clin s en fonction des caract ristiques propres de chaque territoire travers l laboration de strat gies r gionales assorties
104. NIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT De Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Contexte r glementaire La loi n 2009 967 du 3 ao t 2009 de programmation relative la mise en uvre du Grenelle de l environnement pr voit son article 44 la mise en uvre de plans de suivi de l impact sanitaire et environnemental diff r des catastrophes d origine naturelle ou technologique Cet engagement est repris l action 33 du deuxi me plan national sant environnement 2009 2013 qui pr voit de d velopper des outils permettant le suivi sanitaire et environnemental apr s une catastrophe industrielle ou naturelle Cet engagement s inscrit galement dans la continuit des travaux conduits au sein du groupe de travail d chets post catastrophe dans le cadre du comit op rationnel d chet du Grenelle de l environnement des r flexions du travail de recherche intitul ORGACTOPOST ORGanisation des ACTeurs et des O Utils pour la gestion des impacts POST accident des accidents industriels non nucl aires sur les populations et l environnement de la circulaire du 8 f vrier 2007 relative aux sites et sols pollu s modalit s de gestion et de r am nagement des sites pollu s Champ d application du pr sent guide Ce guide s int resse aux impacts env
105. NOUBAT FO M Jean Michel FERCHAUD FO Mme V ronique CHITI SNCTA et SNPL France ALPA Mme Fanny ARONSSOHN SNCTA et SNPL France ALPA Membres suppl ants M Richard DELFOSSE FO M Samuel BARDONNET FO M David GAYRAUD SNCTA et SNPL France ALPA M Olivier CONRAD SNCTA et SNPL France ALPA Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 10 f vrier 2012 Pour le directeur de l cole nationale de l aviation civile et par d l gation Le secr taire g n ral G LE BRETON MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 21 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Ecole nationale de l aviation civile D cision n ENAC DG 14 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique sp cial de l Ecole nationale de l aviation civile sur le site de Carcassonne NOR DEVA1201747S Texte non paru au Journal officiel Le directeur de l Ecole nationale de l aviation civile Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble l
106. OMCHR Page 2 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE 4 DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e E S Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative 29 f vrier 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 fixant le tableau d avancement au grade d ing nieur divisionnaire des travaux 4 publics de l Etat du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement au titre de l ann e 2012 1er mars 2012 D cision n ENAC DG 15 du 1er mars 2012 portant composition nominative du comit technique 53 sp cial de l Ecole nationale de l aviation civile sur le site de Montpellier 2 mars 2012 D cision du 2 mars 2012 portant d signation des repr sentants de l administration et du personnel au 54 comit technique sp cial institu aupr s du d l gu la s curit et la circulation routi res 7 mars 2012 D cision n 12 110 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury du concours 56 interne pour le recrutement d l ves ing nieurs des travaux de la m t orologie D cision n 12 111 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury du concours 58 sp cial pour le recrutement d l ves ing nieur e s des travaux de la m t orologie D cision n 12 112 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury d un concours 60 interne pour le recrut
107. OPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direttori de l information l gale et administrative Premier ministre Elle agit en interaction avec la cellule de crise voire int gr e au centre op rationnel d partemental COD constitu e le cas ch ant pour de tels accidents Dans le cas o l v nement a conduit la mise en place d un COD le service interminist riel de d fense et de protection civile SIDPC coor donne la mise en place de cette cellule post accident technologique dans sa phase initiale Par la suite son pilotage peut tre transf r un autre service si le suivi n a plus lieu d tre inter minist riel Lorsqu elle dispose des l ments n cessaires et d s lors que la situation le permet elle d termine s il y a lieu d engager ou non des mesures de gestion des cons quences b R le de la cellule post accident technologique pour la gestion des cons quences de l accident Une fois les impacts imm diats et leurs cons quences valu s il peut tre opportun de conduire des actions de gestion des cons quences La cellule assurant cette mission peut tre directement issue de celle qui a conduit les actions d valuation mais peut aussi suivant les cas tre constitu e d un ou plusieurs acteurs diff rents Le r le de la cellule est d appuyer le pr fet sur la caract risation et l valuati
108. OPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative ANNEXE VI CONTENU TYPE D UN MANUEL D UTILISATION D ULM A G n ralit s A 1 Descriptif de l ULM A 2 Moteur h lice rotor le cas ch ant A 3 Plan trois vues B Limitations B 1 Masses B 1 1 Masse maximale B 1 2 Masse vide maximale Le constructeur attire ici l attention de l utilisateur sur le fait que la masse vide de son ULM doit tre dans tous les cas inf rieure la masse vide maximale B 2 Vitesses B 2 1 Vitesse maximale Cette vitesse maximale ne peut tre pas sup rieure 0 9 fois la vitesse maximale d montr e en vol Pour les ULM de classe 6 elle doit tre tablie en vol motoris et non motoris B 2 2 Vitesse de d crochage si applicable B 2 3 Vitesse minimale laquelle le palier peut tre maintenu si applicable B 3 Facteurs de charge de man uvre B 4 Limites de masses et centrage Si besoin est le constructeur indique en plus le comportement de l appareil en fonction de la masse et du centrage dans le domaine de vol sp cifi Pour les ULM pendulaires la notion de centrage est ramener aux caract ristiques du point d accrochage B 5 Man uvres autoris es B 6 Groupe motopropulseur B 7 Puissance maximale d clar e B 8 R gime maximal B 9 Vitesse de rotation maximale de lh
109. R PUBLIQUE FRAN AISE NOM COMMERCIAL de l artifice REFERENCE de l artifice selon le titulaire CLASSEMENT retenu NUM RO d agr ment MASSE moyenne de mati re active g EE Libert galit e Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative DISTANCE de s curit m Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown silver Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown blue Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown red Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown yellow Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown green Bombe 100 mm Big pistil to brocade crown purple Bombe 75 mm red to titanium chrys Bombe 75 mm blue to titanium chrys Bombe 75 mm yellow to titanium chrys Bombe 75 mm green to titanium chrys Bombe 75 mm purple to titanium chrys Bombe 100 mm anneau rouge titanium chrys Bombe 100 mm anneau bleu titanium chrys Bombe 100 mm anneau jaune titanium chrys Bombe 100 mm anneau vert titanium chrys Bombe 100 mm anneau violet titanium chrys Bombe 100 mm anneau rouge papillon couronne brocade Bombe 100 mm anneau bleu papillon couronne brocade Bombe 100 mm anneau jaune papillon couronne brocade Bombe 100 mm anneau vert papillon couronne Bombe 100 mm anneau violet papillon couronne brocade BA4 45 3220 S BA4 45 3220 B BA4 45 3220 R BA4 45 3220 Y BA4 45 3220 V BA4 45 3220 P BP3 45 0033RT
110. RANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Les priorit s d action concernant le nouveau processus de labellisation portent essentiellement cf instruction du 12 mai 2011 4 1 Au niveau du bassin Sur la p rennisation ou la mise en place pour ceux qui ne l ont pas encore fait des instances de concertation et de labellisation des projets l organisation du processus de gestion et d instruction des dossiers labor s par les porteurs de projets la pr sentation l instance nationale du cadre de labellisation mis en place puis envoi r gulier d un compte rendu de leur activit l animation technique et budg taire des PAPI et des PSR avec l appui des services de l tat DREAL DDT M des organismes concern s du bassin EPTB agence de l eau des principales collectivit s territoriales partenaires et des porteurs de projets concern s 4 2 Au niveau r gional Sur l instruction de qualit des dossiers de candidature au label PAPI et PSR DREAL pour le compte du pr fet de d partement pilote accompagnement des porteurs de projets l amont du d p t puis r daction du rapport d instruction des dossiers 4 3 Au niveau d partemental Sur le pilotage des d marches PAPI pr fet pilote accompagnement des collectivit s puis pilotage
111. TS ET DU LOGEMENT Le pt Fr os RS Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 2 Le pr sident directeur g n ral de M t o France est charg de l ex cution de la pr sente d cision qui sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement Fait le 7 mars 2012 Pour le ministre et par d l gation Par emp chement du pr sident directeur g n ral La directrice des ressources humaines Y FERRY DEL TANG MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 59 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative D veloppement durable MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Commissariat g n ral au d veloppement durable M t o France D cision n 12 112 du 7 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 la composition du jury d un concours interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de la m t orologie NOR DEVD1206990S Texte non paru au Journal officiel Le ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 m
112. a loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 65 184 du 5 mars 1965 modifi relatif au statut particulier des ing nieur e s des travaux de la m t orologie Vu le d cret n 2004 1105 du 19 octobre 2004 relatif l ouverture des proc dures de recrutement dans la fonction publique de l Etat Vu l arr t du 23 f vrier 2000 modifi fixant les modalit s d organisation et le programme du concours interne pour le recrutement d ing nieur e s des travaux de la m t orologie Vu la d cision n 12 033 du 17 janvier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours interne pour le recrutement d l ves ing nieur e s des travaux de la m t orologie D cide Article 1 Le jury du concours interne pour le recrutement d l ves ing nieur e s des travaux de la m t oro logie au titre de l ann e 2012 ouvert par d cision susvis e est compos comme suit Pr sident M Fran ois LALAURETTE ing nieur g n ral des ponts des eaux et des for ts Vice pr sidente Mme Maryse DESROZIERS chef d unit technique Membres de jury et examinateurs Mme Marie No lle BONNIFASSY professeure certifi e en anglais M Jean Claude CAMOIN conseiller d administration M Walter DAMIN professeur agr g de math
113. a loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l tat ee le d cret n 2007 651 du 30 avril 2007 modifi portant statut de l cole nationale de l aviation civile vu le d cret du 27 novembre 2008 nommant M Marc HOUALLA directeur de l Ecole nationale de l aviation civile Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s techniques dans les administrations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ciaux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu la d cision du 14 novembre 2011 fixant la r partition des si ges attribu s aux repr sentants du personnel aux comit s techniques sp ciaux de l Ecole nationale de l aviation civile D cide Article 1 Sont nomm s membres du comit technique sp cial cr aupr s du chef de centre de l Ecole nationale de l aviation civile Carcassonne a En qualit de repr sentants de l administration Pr sident M Dominique AMPHIMAQUE chef du centre de l ENAC Carcassonne par int rim ou son repr sentant Le responsable ayant autorit en mati re de ressources humaines M Claude PELOUZE respon sable logistique ou son repr sentant b En qualit de repr sentants du personnel Membres titulaires M S bastien AGUSTI FO M Y
114. a masse vide maximale la masse forfaitaire d un ou de deux occupants soit 86 kg pour un monoplace construit en s rie ou dans le cas des sous classes une masse choisie par le constructeur adapt e l utilisateur et 156 kg pour un biplace la masse de carburant correspondant au minimum une heure d autonomie la densit forfai taire retenue pour le m lange 2 temps ou les essences est gale 0 7 celle pour le carburant pour turbomoteurs ou le gazole est gale 0 8 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 89 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direttori de l information l gale et administrative Premier ministre b Une limite sup rieure gale la plus petite des masses suivantes 1 La masse maximale de conception consid r e lors du dimensionnement de la structure de l appareil et de ses quipements 2 La masse maximale de conception consid r e lors du programme d preuves en vol et au sol Pour un ULM de r f rence donn ces masses peuvent tre calcul es pour chaque version d qui pements ou pour la version la plus p nalisante en masse Dans le cas d un ULM de classe 2 3 ou 4 quip d un parachute de secours l augmentation de 5 de la masse maximale autoris e porte respectivement cette masse 315 kg pour un monoplace et 4
115. ablissements publics caract re administratif Vu le d cret n 62 1587 du 29 d cembre 1962 portant r glement g n ral sur la comptabilit publique Vu le d cret n 93 861 du 18 juin 1993 modifi portant cr ation de l tablissement public M t o France Vu le d cret du 4 mai 2009 portant nomination du pr sident directeur g n ral de M t o France Vu la d cision n 2009 1629 du 11 mars 2009 portant organisation g n rale de l tablissement en mati re financi re et comptable Vu la d cision n 2009 1635 du 11 mars 2009 modifi e portant nomination des ordonnateurs secondaires Vu la d cision n 2009 3004 du 4 mai 2009 modifi e portant d l gation de signature D cide Article 1 Le paragraphe XIV de l article 27 de la d cision n 2009 3004 du 4 mai 2009 susvis e est ainsi r dig XIV Mme Victorine PERARNAUD directrice de la direction interr gionale des Antilles Guyane et en son absence ou si elle est emp ch e M Max REYAL adjoint d exploitation la direction inter r gionale des Antilles Guyane Article 2 La pr sente d cision entre en vigueur le 1 mars 2012 Article 3 La secr taire g n rale est charg e de l ex cution de la pr sente d cision qui sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 22 f vrier 2012 Le pr sident directeur g n ral F Jaco MEDDTL n 2012
116. accentu par la pr sence d un milieu salin Les mat riaux d origine a ronautique comportent en g n ral des MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 97 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT en Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative protections qui diminuent ces risques par exemple une ox dation anodique chromique sur les alliages d aluminium On vitera de mettre en contact des mat riaux m talliques de nature diff rente sans protection par exemple en intercalant une rondelle ou coupelle plastique 7 5 10 Commandes de vol principales Aucun c ble de diam tre inf rieur 2 mm ne doit tre utilis dans les commandes de vol Toutes les poulies doivent comporter une protection pour viter le d raillement du c ble Une analyse de s curit doit expliciter les cons quences d une rupture d un des l ments de commandes de vol montrer les pr cautions mises en uvre pour viter le blocage des commandes de vol par exemple corps tranger dans la cabine de pilotage et pour un ULM de classe 6 les pr cautions mises en uvre pour assurer la bonne tenue des commandes de vol aux contraintes altern es et aux vibra tions 7 5 11 Rotules L utilisation de rotules pose de nombreux probl mes en fatigue Il faut viter d utiliser
117. adresse du domicile du d tenteur de la carte d identification Dans le cadre de l article 14 1 de l arr t du 23 septembre 1998 cit en r f rence l autorit peut demander au d tenteur de la carte de l ULM de pr senter son a ronef sur le terrain ad quat permettant d valuer la s curit de l a ronef 3 Fiche d identification La demande de visa de la fiche d identification est soumise dans le cas d un ULM de r f rence la DSAC EC dans les autres cas la DSAC interr gionale concern e Cette demande doit tre accompagn e des l ments descriptifs et de la d claration de conformit aux exigences de navigabilit applicables selon la description en annexe Ill ou selon l annexe V dans le cas d un ULM de classe 1 La fiche d identification est d livr e par le ministre charg de l aviation civile et contient les l ments figurants en annexe IV 4 Dossier technique constructeur Le dossier technique constructeur doit tre tenu la disposition des personnes de la DSAC ou de l organisme charg es d effectuer les v rifications et la surveillance de l aptitude au vol des ULM MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 90 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT S Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative 4 1 Manuel d uti
118. ais Le RIPA peut tre sollicit par l exploitant de l activit l origine du sinistre ou ventuellement par les services de l Etat Cas particulier du recours aux services d incendie et de secours Durant la phase accidentelle il peut tre pertinent de r aliser les pr l vements conservatoires tr s rapidement afin d anticiper au mieux les cons quences potentielles ce titre ces pr l vements peuvent tre r alis s en premier lieu par les services d incendie et de secours SDIS 1 BSPP 2 Pl 3 condition que ces derniers disposent des moyens techniques et des comp tences pour le faire 1 SDIS service d partemental d incendie et de secours 2 BSPP brigade de sapeurs pompiers de Paris 3 BMPM bataillon de marins pombpiers de Marseille MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 79 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Cette possibilit doit imp rativement faire l objet au stade de la planification de cette r ponse post accidentelle d un travail pr paratoire avec le service d incendie et de secours concern afin de l interroger sur sa capacit et sa volont r pondre cette mission Eu gard la sp cificit de cette mission la d cision d y partic
119. ance le produit port dans le tableau ci dessus Article 2 L artifice de divertissement est agr aux conditions de la demande MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 50 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE BE oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Le titulaire du pr sent agr ment s assure que les artifices de divertissement import s conserv s vendus ou utilis s en France sont conformes au mod le d crit dans le dossier susvis et r pondent aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par le recueil des r gles et proc dures d agr ment des artifices de divertissement Le titulaire du pr sent agr ment s assure que la concentration des constituants des compositions pyrotechniques respecte en outre les tol rances fix es par l article 37 de l arr t du 4 mai 2010 SUSVIS Article 3 Le titulaire du pr sent agr ment s assure que les notices et modes d emploi des artifices de diver tissement commercialis s donnent toutes indications n cessaires en fran ais pour la pr paration et l ex cution des tirs de fa on garantir la s curit des personnes qui en sont charg es ainsi que celle du public Ces indications comprennent en particulier les prescriptions relatives aux mesures prendre en cas d
120. ann GRIMBICHLER SNCTA et SNPL France ALPA M Thierry BELTAN SNCTA et SNPL France ALPA M Bertrand BRULE SNCTA et SNPL France ALPA Membres suppl ants Mme Nathalie MEZZARI FO M Philippe JACQUES SNCTA et SNPL France ALPA M Micka l MARCHIS MOUREN SNCTA et SNPL France ALPA M Sylvain COUDARCHER SNCTA et SNPL France ALPA MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 22 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 10 f vrier 2012 Pour le directeur de l Ecole nationale de l aviation civile et par d l gation Le secr taire g n ral G LE BRETON MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 23 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer R gie autonome d
121. ansport par route de voyageurs les organes de contr le de l activit de l entreprise de transport de voyageurs par route les sanctions administratives et p nales et leurs modalit s d application en cas de non respect de la r glementation B L ENTREPRISE ET SES SALARI S Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les r gles applicables aux contrats de travail relatifs aux diff rentes cat gories des entreprises de transport de voyageurs par route forme des contrats obligations des parties conditions et dur es de travail cong s pay s rupture du contrat etc les obligations de l employeur vis vis des repr sentants du personnel de la m decine du travail de l inspection du travail les obligations de l employeur vis vis de la s curit des salari s document unique d valuation des risques C L ENTREPRISE ET LA S CURIT Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les formalit s li es la r ception par type l immatriculation et au contr le technique de ces v hicules les formations obligatoires pour les conducteurs CPS conducteurs accompagnateurs TPMR les mesures n cessaires pour veiller au respect par les conducteurs des r gles en mati re de circulation les consignes destin es aux conducteurs pour v rifier les normes de s curit relatives l tat des v hicules de leur quipement
122. ant l h lice les syst mes d embrayage de r duction et de transmission pour un ULM de classe 6 b L entretien d un ULM d pend essentiellement des conditions d utilisation environnement type d utilisation et du stockage Le manuel doit d finir un entretien dans les conditions moyennes et pr venir l utilisateur de la fa on de prendre en compte les conditions aggravantes c Le manuel d entretien doit pr voir les divers conseils g n raux concernant l entretien de FULM MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 91 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT De Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre les op rations p riodiques simples Il est recommand de regrouper ces op rations une ch ance de 25 heures de vol ou 3 mois d utilisation la premi re atteinte la liste des op rations de maintenance d finies par le constructeur devant tre imp rativement r alis es au sein d un atelier d sign par le constructeur les op rations importantes qui n cessitent un contr le approfondi telles que les visites annuelles Il convient aussi de pr voir une v rification apr s les 10 premi res heures pour contr ler tous les r glages les v rifications n cessaires apr s d stockage notamment lorsque ULM n a pas
123. ant d signation des repr sentants de l administration et du personnel au 54 comit technique sp cial institu aupr s du d l gu la s curit et la circulation routi res 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 SOMTHE Page 2 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE 4 DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT piem bee Frmme R PUBLIQUE FRAN AISE EX g Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Sommaire chronologique Pages 16 janvier 2012 D cision n 07 CRNA N D du 16 janvier 2012 portant nomination des repr sentants du personnel au 9 comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail sp cial CHSCT S du centre en route de la navigation a rienne Nord CRNA N de la direction des op rations de l chelon central DO EC et de la sous direction des ressources humaines SDRH de la direction des services de la navigation a rienne DSNA 19 janvier 2012 D cision n ENAC DG 2012 5 du 19 janvier 2012 portant d finition des niveaux de prise en compte 11 des besoins de l cole nationale de l aviation civile en mati re de march s de fournitures et services 24 janvier 2012 Arr t du 24 janvier 2012 portant modification d inscription au tableau d avancement pour le grade 1 d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 27 janvier 2012 Arr t du 27 janvie
124. ations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ciaux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu la d cision du 14 novembre 2011 fixant la r partition des si ges attribu s aux repr sentants du personnel aux comit s techniques sp ciaux de l Ecole nationale de l aviation civile D cide Article 1 Sont nomm s membres du comit technique sp cial cr aupr s du chef de centre de l Ecole nationale de l aviation civile Montpellier a En qualit de repr sentants de l administration Pr sident M Bruno VILLEMONT chef du centre de l ENAC Montpellier ou son repr sentant Le responsable ayant autorit en mati re de ressources humaines Mme Mireille DIAZ respon sable de la division administrative ou son repr sentant b En qualit de repr sentants du personnel Membres titulaires M Herv MAIGRE FO M Germain BOUCHER FO Mile Catherine VAREZ FO M Didier PETIOT SNCTA et SNPL France ALPA Membres suppl ants M Mathieu TRANCHANT FO M Patrick NEVEU FO M Bernard MANGANI FO Mme Anne MONTAGNE SNCTA et SNPL France ALPA Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 1 mars 2012 Pour le directeur de l Ecole nationale
125. ative ANNEXE Ill R F RENTIEL DES MATI RES POUR LA FORMATION D ACTUALISATION DES CONNAISSANCES DU GESTIONNAIRE DE TRANSPORT TITULAIRE D UNE ATTESTATION DE CAPACITE EN TRANSPORT ROUTIER DE PERSONNES R f rence article 5 de l arr t du 28 d cembre 2011 relatif aux gestionnaires de transport dans les entreprises de transport routier L MENTS DE DROIT CIVIL Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants les principaux types de contrats en usage dans les activit s de transport par route ainsi que les obligations qui en d coulent l analyse d une r clamation de son commettant concernant les indemnit s pour dommages occasionn s aux voyageurs ou leurs bagages lors d un accident survenu en cours de transport ou concernant des dommages dus au retard et les effets de cette r clamation sur sa responsa bilit contractuelle B L MENTS DE DROIT SOCIAL Le stagiaire actualisera ses connaissances sur les points suivants le r le et le fonctionnement des diff rentes institutions sociales intervenant dans le secteur du transport par route syndicats CE DP inspection du travail les r gles applicables aux contrats de travail relatifs aux diff rentes cat gories de personnel des entreprises de transport par route formes des contrats obligations des parties conditions et dur e du travail cong s pay s r mun ration etc les r gles applicables en
126. aux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Journal officiel du 10 mars 2012 Arr t du 5 mars 2012 modifiant l arr t du 26 novembre 2003 fixant la liste des astreintes mises en place au sein de la direction g n rale de l aviation civile des tablissements publics qui en d pendent et du bureau d enqu tes et d analyses pour la s curit de l aviation civile Journal officiel du 10 mars 2012 Arr t du 9 mars 2012 modifiant l arr t du 6 d cembre 2011 portant d l gation de signature direction g n rale de l aviation civile direction des services de la navigation a rienne Journal officiel du 15 mars 2012 AVIS AVIS Avis relatif la r ouverture de certains quotas et ou sous quotas de p che pour l ann e 2011 2012 Journal officiel du 4 mars 2012 Avis relatif l agr ment de dispositifs de traitement des eaux us es domestiques et fiches techniques correspondantes Journal officiel du 10 mars 2012 Avis de vacance d emploi de sous directeur Journal officiel du 10 mars 2012 Avis aux op rateurs conomiques sur l obligation de communiquer l ANSES les donn es exig es sur les substances inscrites au plan d actions triennal d valuation des substances chimiques en application du r glement UE n 1907 2006 dit REACH Journal officiel du 15 mars 2012 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 TXTJO Page 5 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE
127. avail comp tent pour le CRNA SE est invit aux r unions du CHSCT S Article 4 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 17 f vrier 2012 Le chef du centre en route de la navigation a rienne Sud Est l MONNIER MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 27 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de la pr vention des risques D cision n BSEI 12 009 du 17 f vrier 2012 relative l approbation de guides professionnels pour les op rations de requalification p riodique et de contr le suite intervention notable d qui pements sous pression NOR DEVP1204193S Texte non paru au Journal officiel La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu la loi n 571 du 28 octobre 1943 modifi e relative aux appareils pression de vapeur employ s terre et aux appareils pression de gaz employ s terre ou bord des bateaux de navigation int rieure Vu le d cret du 2 avril 1926 modifi portant r
128. ceptable s choisi s par le postulant Ils peuvent tre constitu s par combinaison d un dossier de calcul et d preuves au sol et en vol selon les principes des paragraphes 7 1 1 et 7 1 2 Le constructeur de ULM ex cute les preuves d termin es et enregistre les r sultats dans un compte rendu qui pr cise notamment les lieux et dates des essais ainsi que les param tres ayant pu influencer les r sultats Toutefois dans le cas o le constructeur modifie un ULM d j conforme la r glementation et dont il dispose du programme de d monstration de conformit le constructeur peut proc der simplement au compl ment de conformit en fonction de la modification apport e MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 93 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT S Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative 7 1 1 Principes g n raux des preuves en vol Le programme minimal d preuves en vol d termine 1 Les limites de masse mentionn es dans le manuel d utilisation 2 Les performances la masse maximale d crites dans le manuel d utilisation 3 La maniabilit et la stabilit de l appareil en toute configuration de masse et de centrage du domaine de vol d montr durant les phases de vol suivantes le d collage l atterrissage avec
129. ces de la DREAL 1 si l accident concerne une installation class e au titre du code de l environnement une canalisation de transport ou un transport de mati res dangereuses les services de la DD CS PP 2 le service en charge de la surveillance des denr es alimentaires et des productions agricoles si l accident se situe proximit de zones de culture ou d levage et que les compartiments agricoles peuvent tre impact s et ventuellement le service en charge du suivi des installations class es si l accident se produit sur un levage class abattoir ou industrie agroalimentaire Si la situation le n cessite les services d partementaux peuvent faire appel des ressources r gionales par exemple les services r gionaux de l alimentation au sein des DRAAF 3 les repr sentants de l agence r gionale de sant concern e ARS 4 si l accident est susceptible d induire des effets sanitaires exemple proximit zone urbanis e impact sur la ressource en eau captages baignades puits priv s eaux conditionn es contamination des sols et de denr es produites en autoproduction les services en charge de la police de l eau si le milieu aquatique est susceptible d tre impact Les services en charge de l agriculture seront inform s en cas d utilisation agricole des ressources en eau impact es ventuellement les services de la DREAL en charge de la protection de la biodiversit si la pollution
130. chandises Annexe Ill R f rentiel des mati res pour la formation d actualisation des connaissances du gestionnaire de transport titulaire d une attestation de capacit en transport routier de personnes Annexe IV R f rentiel des mati res pour la formation d actualisation des connaissances du gestionnaire de transport titulaire d une attestation de capacit en transport routier de personnes avec des v hicules n exc dant pas neuf places y compris le conducteur Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transport et du logement Fait le 3 f vrier 2012 Le directeur des services de transport T GUIMBAUD MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 12 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXE I R F RENTIEL DES MATI RES POUR LA FORMATION D ACTUALISATION DES CONNAISSANCES DU GESTIONNAIRE DE TRANSPORT TITULAIRE D UNE ATTESTATION DE CAPACIT EN TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES R f rence article 5 de l arr t du 28 d cembre 2011 relatif aux gestionnaires de transport dans les entreprises de transport routier L MENTS DE DROIT CIVIL Le candidat doit actualiser ses connaissances
131. cument si l ULM n est plus apte au vol en cas de cession un mois apr s la date de cession la proc dure en cas de cession de l a ronef en cas de cession le nouveau postulant doit d poser une demande d identification Cette demande doit tre accompagn e de l ancienne carte d identification ray e sur laquelle doit figurer la date de vente et de la d claration de l aptitude au vol L ancien d tenteur de la carte d identification doit fournir au nouveau postulant la carte d identification la fiche d identifi cation ainsi que le manuel d utilisation m me si celui ci n est pas requis comme l ment du dossier technique constructeur Enfin une partie est d di e pour g rer les dates de validit la r ception par l autorit de lattes tation d aptitude au vol fourni par le postulant et le visa de l autorit MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 101 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET kO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXE Ill LEMENTS CONSTITUTIFS D UNE DEMANDE DE FICHE D IDENTIFICATION 1 La demande d un postulant une fiche d identification d ULM comprend une d claration du postulant qui pr cise les l ments suivants identit du postulant conformit aux l ments descriptifs joints conformit aux c
132. d actions de pr vention des inondations PAPI et le plan submersions rapides PSR ont t lanc s par la ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement en f vrier 2011 Ils constituent un engagement fort aupr s des collecti vit s dans l accompagnement de la mise en uvre de la politique de pr vention des risques naturels cot de l laboration des plans de pr vention des risques naturels Ces nouveaux dispositifs PAPI et PSR ont fait l objet de cahiers des charges et d une instruction minist rielle en date du 12 mai 2011 pr cisant leurs modalit s de mise en uvre L engagement pris porte sur la p riode 2011 2016 avec une enveloppe maximale au plan national de 350 M pour les PAPI et 500 M pour les PSR incluant les PAPI contribuant la pr vention des submersions rapides Des r unions ont t organis es l chelon central avec les responsables et les acteurs des services d concentr s pour accompagner la mise en place de ce dispositif Le processus de labellisation national pour les projets de plus de 3 M est mis en place depuis juillet 2011 Pour les projets d un montant inf rieur 3 M la labellisation est pr vue l chelon du bassin avec la possibilit de labelliser des petits projets PSR littoraux au niveau d une commission r gionale littorale MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 112 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES T
133. d assurance l identification des agents susceptibles de proc der des contr les en entreprise et ou sur route et leurs pr rogatives respectives aux sanctions administratives et ou p nales encourues en cas d infraction la r glementation C GESTION COMMERCIALE ET FINANCI RE DE L ENTREPRISE Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux diff rents l ments du prix de revient de son entreprise co ts fixes co ts variables fonds d exploitation amortissements etc et pouvoir calculer les co ts par v hicule au kilom tre au voyage ou la tonne D L ENTREPRISE ET LA S CURIT Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux obligations en mati re d entretien et de visite technique des v hicules aux obligations conventionnelles de formation pour les conducteurs en transport l ger aux mesures n cessaires pour veiller au respect par les conducteurs des r gles en mati re de circulation limitation de vitesse permis points aux obligations de l entreprise en mati re de pr vention des risques document unique d va luation des risques professionnels plan de pr vention l laboration des consignes de conduite tenir en cas d accident pour les salari s et mettre en uvre des proc dures appropri es pour viter la r p tition d accidents ou d infractions graves l laboration des consignes destin es aux conducteurs c
134. de l aviation civile et par d l gation Le secr taire g n ral G LE BRETON MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 53 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative S curit et circulation routi res MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT D l gation la s curit et la circulation routi res D cision du 2 mars 2012 portant d signation des repr sentants de l administration et du personnel au comit technique sp cial institu aupr s du d l gu la s curit et la circulation routi res NOR DEVS1206388S Texte non paru au Journal officiel Le d l gu la s curit et la circulation routi res Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires notamment son article 9 bis ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat notamment son article 15 Vu la loi n 2010 751 du 5 juillet 2010 relative la r novation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives la fonction publique notamment son article 33 Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s
135. de plans d actions d partementaux Dans la conduite de l action des services sur ces th mes plusieurs objectifs m ritent mes yeux une attention particuli re concentrer l action des moyens mobilisables sur la r alisation des plans de pr vention des risques naturels prioritaires qu il s agisse des PPR littoraux ou de ceux prioritaires programm s dans chaque r gion et veiller au d veloppement d une politique coh rente d urbanisme dans les zones risques porter connaissance application de l article R 111 2 du code de l urbanisme inciter l mergence de projets de PAPI et du PSR dans les zones forts enjeux et garantir la qualit des dossiers pr sent s aux comit s de labellisation des dossiers PAPI et PSR au regard des cahiers des charges pour une valorisation optimale des financements publics de pr vention des risques naturels ceci implique une mobilisation des services pour clairer les porteurs de projets dans l laboration de leur dossier mais aussi ensuite pour instruire ces dossiers de label lisation dans le cadre de la circulaire du 12 mai 2011 mener bien les diff rentes tapes de la mise en uvre de la directive europ enne sur l va luation et la gestion des risques d inondations qui n cessite une implication plusieurs chelons territoriaux qu il s agisse des bassins des r gions ou des d partements pour pr parer l avenir et tre en mesure de r pondre au calendrier f
136. de s curit 26 et des conditions de travail sp cial CHSCT S du centre en route de la navigation a rienne Sud Est CRNA SE direction g n rale de l aviation civile direction des services de la navigation a rienne D lib ration du conseil d administration de la RATP s ance du 17 f vrier 2012 118 20 f vrier 2012 D cision n 07 DSAC AG du 20 f vrier 2012 fixant la r partition des si ges au comit technique sp cial 30 de la direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane D cision n 08 DSAC AG du 20 f vrier 2012 relative la cr ation du comit technique sp cial de la 31 direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane D cision n NUN 12 001 du 20 f vrier 2012 portant d l gation de signature du responsable de l unit 33 tudes au responsable technique de l unit tudes D cision du 20 f vrier 2012 portant nomination au conseil du personnel navigant professionnel de 34 l a ronautique civile Circulaire du 20 f vrier 2012 relative la gestion des impacts environnementaux et sanitaires 62 d v nements d origine technologique en situation post accidentelle 21 f vrier 2012 Instruction du 21 f vrier 2012 relative aux a ronefs ultral gers motoris s 88 22 f vrier 2012 Arr t n 2012 004 du 22 f vrier 2012 portant modification d inscription au tableau d avancement pour 3 le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l tat au titre de l ann e 2011
137. de son appli cation Domaine cologie d veloppement durable Mots cl s liste ferm e actions prioritaires pr vention des risques naturels Circulaire abrog e instruction D 10007956 du 28 juin 2010 Date de mise en application imm diate Annexes th mes d actions prioritaires La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement aux pr fets coordonnateurs de bassin pr fets de r gion pr fets de d partement pr fet de Saint Pierre et Miquelon pour ex cution directeurs r gionaux de l environnement de l am nagement et du logement de bassin directeurs r gionaux de l environnement de l am nagement et du logement directeurs d partementaux des territoires directeurs d partementaux des terri toires et de la mer pour information Afin de renforcer l efficacit et la coh rence des actions de l Etat un certain nombre d actions structurantes de la politique de pr vention des risques naturels et hydrauliques ont t mises en avant depuis 2010 pour rendre plus lisibles les actions de l Etat aux yeux des collectivit s locales et plus g n ralement de la soci t civile Une circulaire de mon pr d cesseur vous avait indiqu les orientations prioritaires pour votre action sur la p riode 2010 2011 Un premier retour sur les th mes prioritaires d actions pour la p riode 2010 2011 p riode pendant laquelle une nouvelle organisation territoriale de l Etat s est mise en plac
138. de suivi imm diat et la phase post accidentelle 1 Se reporter notamment au travail du comit directeur pour la gestion de la phase post accidentelle CODIRPA http www asn fr index php Bas de page Sujet Connexes Gestion post accidentelle Comite directeur gestion de phase post accidentelle MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 68 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direttori de l information l gale et administrative Premier ministre Phase d urgence C est une phase d actions r flexes qui correspond aux premi res heures qui suivent l v nement C est durant cette phase que monte en puissance le dispositif de lutte contre les effets directs de l v nement C est au cours de cette phase que sont men es les actions visant soustraire les personnes et les biens des dangers imm diatement perceptibles Phase d accompagnement ou de suivi imm diat 1 Il s agit d une phase r fl chie qui peut durer plusieurs jours Elle d bute d s que le dispositif de lutte contre les effets directs se stabilise C est galement au cours de cette phase que doit tre initi e puis mise en place la d marche d valuation des cons quences de l accident en particulier sur l aspect environnemental et sanitaire Phase post accidentelle Appel e encore phase post v nemen
139. des apports l environnement tant qu ils ne sont pas supprim s Elle proc de galement l valuation des cons quences de l v nement sur l aspect environnemental et sanitaire afin de juger de l opportunit d une d marche de gestion d di e Si un COD a t activ cette cellule en fera partie et une partie des acteurs du COD se retrouveront dans cette cellule mais elle conduira terme la mise en place d actions totalement distinctes d ORSEC notamment pour l aspect li aux pr l vements Les missions de cette cellule peuvent voluer dans le temps en devenant l outil de gestion des cons quences c est dire de l impact environnemental et sanitaire moyen et long terme La cellule post accident technologique peut tre mise en place en dehors des v nements g r s par le COD c Interaction entre les structures de gestion de l v nement accidentel selon les diff rentes phases L interaction entre les diff rentes structures mises en place pour g rer un v nement est illustr e dans le sch ma ci apr s qui distingue les diff rentes phases 1 Cette phase d accompagnement correspond la phase dite de sortie de la phase d urgence dans les travaux du CODIRPA MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 69 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT re Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direct
140. des risques littoraux fait galement partie des priorit s de la DGPR Pour mener bien la r alisation de la cartographie des TRI l horizon de la fin 2013 l implication forte continue et coordonn e des diff rents chelons territoriaux s av re prioritaire 2 1 Au niveau des bassins Mise en place de la gouvernance inondation renforcement et p rennisation des instances de concertation pour la directive inondation et de labellisation des projets de programmes d actions de pr vention des inondations PAPI et des plans de submersion rapide PSR mises en place en 2011 travail d association des parties prenantes et d animation des services de l Etat dans le bassin sur la th matique inondation Dans l id al ces instances de bassin devront tre communes Au minimum des liens troits sont cr er entre les diff rentes instances afin d assurer la coh rence de la politique de pr vention des inondations au niveau du bassin De m me le comit de bassin devra tre troi tement associ chacune des tapes de la mise en uvre de la directive inondation Identification des TRI d clinaison des crit res nationaux laboration de la liste des TRI du bassin et concertation premier semestre 2012 avec la publication de cette liste pour septembre 2012 travail d identification des strat gies locales laborer pour les TRI leurs p rim tres les d lais dans lesquels elles seront arr t es et leurs objectifs en vu
141. divement pour la mise en place des mesures de gestion efficaces Jusqu pr sent les l ments de doctrine de l organisation en situation accidentelle reposent essentiellement sur la phase d urgence notamment au travers des organisations d crites dans le plan d organisation de la r ponse de s curit civile ORSEC et les plans particuliers d intervention PPI sans prise en compte particuli re de la phase post accidentelle Le retour d exp rience de ces derni res ann es montre que peu d v nements d origine tech nologique ont n cessit la mise en place de centres op rationnels d partementaux COD et que ce sont le plus fr quemment des accidents de plus faible visibilit dans la phase d urgence qui sont l origine des principales contaminations post accidentelles D s lors compte tenu de l importance d une prise en compte pr coce et globale des cons quences pr visibles des v nements accidentels d origine technologique sur les populations humaines sensi bles les milieux agricoles faunistiques et floristiques la mise en uvre d une organisation efficace en situation post accidentelle des services de l Etat pour la gestion des situations de contamination durable s impose 1 Rapport du comit de pr vention et pr caution sur le th me Catastrophes environnementales Pr parer l valuation de leurs effets et le retour d exp rience f vrier 2008 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 67 ES b MI
142. e MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile D cision du 20 f vrier 2012 portant nomination au conseil du personnel navigant professionnel de l a ronautique civile NOR DEVA1132283S Texte non paru au Journal officiel La directrice de la s curit de l aviation civile Vu les articles R 421 9 R 421 13 du code de l aviation civile Vu le d cret n 2006 672 du 8 juin 2006 relatif la cr ation la composition et au fonctionnement de commissions administratives caract re consultatif Vu le d cret n 2009 620 du 6 juin 2009 relatif certaines commissions administratives caract re consultatif relevant du minist re de l cologie de l nergie du d veloppement durable et de l am nagement du territoire Vu la d cision du 29 octobre 2010 portant nomination au conseil du personnel navigant profes sionnel de l a ronautique civile D cide Article 1 Le paragraphe a du section des essais et r ceptions de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit a Membres repr sentant l aviation militaire M Jean Luc FOURDRINIER est nomm membre suppl ant en remplacement de M Denis GARIEL Article 2 Le paragraphe b du section des essais et r ceptions de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit b Membres repr se
143. e montre que les services d partementaux et r gionaux ont pour la plupart progress en laborant des strat gies r gionales de pr vention des risques naturels et hydrauliques assorties de premiers plans d actions L organi sation du pilotage op rationnel s est mise en place des priorit s d actions en mati re d laboration des plans de pr vention des risques d inondation PPRN ont t d finies pour une majorit de d partements Je tiens aussi souligner les efforts d ploy s tous les niveaux pour mettre en place la nouvelle organisation des services de contr le de s curit des ouvrages hydrauliques et lancer la r organi sation des services de pr vision des crues et d hydrom trie L ann e 2010 a connu des v nements tragiques sur le littoral atlantique et dans le Var Les retours d exp rience de ces v nements et l aboutissement de la loi Grenelle 2 ont sensiblement modifi le cadre d action tout en confortant les principes de pr vention des risques naturels Ces v nements ont conduit l laboration de nouveaux r f rentiels en int grant aussi d autres priorit s d action sans cependant fondamentalement changer les axes prioritaires tablis pour 2010 2011 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 107 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRA
144. e administratif responsable RH Suppl ants Georges FAURE adjoint au chef de centre Bernadette AMMOUCHE adjointe au chef de service administratif Sont d sign s repr sentants les personnels Par l UNSA Titulaires Jacques FEUERSTOSS IESSA MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 26 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Yves YAGUE ICNA Patricia MARGERIT ICNA St phanie CHEVRIER ICNA Guillaume CARRIERE ICNA Suppl ants Christian MICHEL IESSA Christophe ALBERTON IESSA Fabien SERRE ICNA J r me LOUBERE ICNA Guillaume ROSSO ICNA Par le SNCTA Titulaires Claude EDEB ICNA Alain BENOIT ICNA Suppl ants Lionel FERRE ICNA Dominique VERNIERE ICNA Par la CGT Titulaire Robert FABRE IESSA Suppl ant Josyane VERDU TSEEAC Article 2 Outre les membres d sign s l article 1 assistent aux r unions du CHSCT S les agents mentionn s l article 4 du d cret n 82 453 modifi savoir le conseiller de pr vention l assistant de pr vention le m decin de pr vention une assistante de service social un repr sentant du service technique et un repr sentant du service exploitation Article 3 L inspecteur sant et s curit au tr
145. e aigu ou chronique mettre en place des lieux d information de proximit centres d accueil et d information pour r pondre aux interrogations de la population et des acteurs locaux MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 75 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative si n cessaire mettre en place des syst mes de prise en charge m dico psychologique et assurer un suivi de leur activit en vue de s assurer de l ad quation de ces syst mes aux besoins dans le cas o des personnes sont susceptibles d avoir t expos es une substance toxique pouvant avoir des cons quences imm diates ou diff r es la cellule proposera une information sp cifique au public pour une prise en charge pr ventive et m dicale adapt e recueillir les donn es pour un recensement des populations impliqu es en vue d tudes pid miologiques de suivi m dical recueil du listing des personnes mises l abri en collectivit recueil des listings existants des personnes prises en charge ou de pr l vements et de mesures chez l homme urine sang cheveux Suivant les conclusions de l valuation la gestion des cons quences peut tre r alis e par un seul ou plusieurs services et il n y a pa
146. e applicable la profession la hi rarchie des diff rents textes code du travail textes l gislatifs sp cifiques convention collective et les annexes avenant 94 accords de branche et d entreprises r glement int rieur aux registres et affichages obligatoires et conna tre les risques encourus en cas de non conformit aux r gles applicables aux contrats de travail relatifs aux diff rentes cat gories de personnel des entreprises de transport par route forme des contrats obligations des parties conditions et dur e du travail cong s pay s r mun ration rupture du contrat etc au r le et au fonctionnement des diff rentes institutions sociales intervenant dans le secteur du transport par route syndicats comit s d entreprise d l gu s du personnel CHSCT inspecteurs du travail m decine du travail etc B L ENTREPRISE ET LE CADRE R GLEMENTAIRE Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives l identification des divers organismes administratifs consultatifs et professionnels intervenant en transport de marchandises et leur r le l autorisation d exercer sous r serve des quatre conditions d acc s la profession aux principaux types de contrats en usage ainsi que les droits et les obligations qui en d coulent aux documents relatifs l ex cution d une prestation de transport en transport l ger aux obligations de l entreprise en mati re
147. e de l approbation par arr t pr fec toral au plus tard en septembre 2014 en application de l article R 566 14 du code de l envi ronnement Organisation de la production de la cartographie des surfaces inond es et des risques d inondation pour les TRI identifi s en 2012 et coordination des diff rents acteurs DREAL SPC DDT 2 2 Au niveau r gional D clinaison op rationnelle de la directive inondation participation l identification des TRI sous l gide du niveau bassin au premier semestre 2012 r alisation ensuite de la cartographie des surfaces inond es et des risques pour les TRI identifi s en 2012 recueil et ou laboration des donn es sur les al as recueil des donn es sur les enjeux laboration des cartes Sensibilisation des services d partementaux et des parties prenantes collectivit s etc sur la mise en uvre de la directive inondation Dans le cadre de la cartographie pour la directive inondation et de la r alisation des plans de pr vention des risques littoraux PPRL prioritaires poursuivre la r alisation des MNT pour certaines r gions suivi du projet national men avec l IGN laboration de conventions 2 3 Niveau d partemental Le niveau d partemental sera appel jouer un r le important partir de 2012 pour la mise en uvre de la directive inondation tant pour la contribution aux propositions de s lection des TRI connaissance territoriale des enjeux et des acteu
148. e et de la for t DRAAF direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations DD CS PP aux services d partementaux d incendie et de secours SDIS aux agences r gionales de sant ARS Pour une mise en application plus efficace le guide pourra tre compl t par des documents de r f rence sp cifiques chaque service Enfin ce guide peut galement apporter une aide la gestion des situations de contaminations durables ne correspondant pas aux trois cas d crits de par leur encadrement r glementaire pr cis En particulier des pollutions nouvellement observ es notifi es non dues des activit s vis es ci dessus ou en dehors de tout incident ou accident d clencheur peuvent n cessiter une circulation d information pr coce voire la constitution de la cellule de gestion d crite ci apr s En fonction des besoins d autres services que ceux identifi s dans le pr sent guide peuvent galement tre mobi lis s ORGANISATION DES SERVICES EN SITUATION POST ACCIDENTELLE D ORIGINE TECHNOLOGIQUE I 1 D finitions des diff rentes phases et structures de la gestion d un v nement accidentel d origine technologique a Phases de la gestion d un v nement accidentel Lors de la gestion d un v nement accidentel la r ponse des pouvoirs publics volue se d ve loppe et s adapte en fonction de diff rentes phases la phase d urgence la phase d accompagne ment
149. e l aviation civile peut faire effectuer la surveillance qu il juge n cessaire par des personnes ou organismes habilit s cet effet pour s assurer de la conformit de l ULM la r glementation MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 100 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXE Il L MENTS D UNE CARTE D IDENTIFICATION ULM La carte d identification d livr e par l autorit fran aise un ULM contient les l ments suivants le logo de l autorit le nom de l autorit signataire la date d tablissement du document l identifiant de l a ronef son num ro ventuel de s rie son lieu d attache le nom et l adresse du postulant la r f rence la fiche d identification qui doit accompagner tout instant la carte d identifi cation Elle pr cise que ce document n est valable que sur le territoire de la R publique fran aise que conform ment aux dispositions de l article R 133 1 2 du code de l aviation civile l a ronef ultral ger motoris ULM est exempt de l obligation d obtenir un document de navigabilit pour tre utilis pour la circulation a rienne la date de fin de validit du document les conditions de suspension de la validit du do
150. e sur l existence d un gestionnaire unique responsable d un syst me d endiguement complet pour chacun des syst mes d endiguement identifi MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 117 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer R gie autonome des transports parisiens D lib ration du conseil d administration de la RATP s ance du 17 f vrier 2012 NOR TRAT1206133X Texte non paru au Journal officiel R alisation d un ouvrage de couverture des voies Nanterre Universit terrain dit du N ud Papillon Transfert de ma trise d ouvrage RATP l EPADESA Le conseil apr s en avoir d lib r Vu l ordonnance n 59 151 du 7 janvier 1959 codifi e relative l organisation des transports de voyageurs en le de France Vu le d cret n 59 1091 du 23 septembre 1959 portant statut de la RATP Vu les d lib rations de la RATP en date du 28 septembre 2007 et du 25 novembre 2010 Apr s avoir rappel que la RATP en tant que propri taire et exploitant de la ligne A du RER est ma tre d ouvrage des ouvrages ferro
151. echnique de l unit tudes D cision n VAL 2012 15 du 22 f vrier 2012 portant d l gation de pouvoirs du pr sident directeur 37 g n ral au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique VAL D cision du 22 f vrier 2012 portant autorisation d acquisition de lots de copropri t situ s sur la parcelle 40 AJ 85 Saint Ouen 93400 au 57 de l avenue Michelet D lib ration du conseil d administration de la RATP s ance du 17 f vrier 2012 118 Aviation civile D cision n 07 CRNA N D du 16 janvier 2012 portant nomination des repr sentants du personnel au 9 comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail sp cial CHSCT S du centre en route de la navigation a rienne Nord CRNA N de la direction des op rations de l chelon central DO EC et de la sous direction des ressources humaines SDRH de la direction des services de la navigation a rienne DSNA D cision n ENAC DG 2012 5 du 19 janvier 2012 portant d finition des niveaux de prise en compte 11 des besoins de l cole nationale de l aviation civile en mati re de march s de fournitures et services D cision n ENAC DG 12 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique 20 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le site de Saint Auban D cision n ENAC DG 13 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique 21 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le
152. eine et Porcheville Article 2 Le document Guide professionnel EDF pour l laboration des proc dures de contr le apr s inter vention notable r alis e par les SIR autoris s EDF est approuv en application de l article 30 para graphe 2 de l arr t minist riel du 15 mars 2000 susvis Il est applicable aux services inspection reconnus autoris s pour les op rations de contr le apr s r paration ou modification suite une intervention notable sur les sites EDF de Martigues et Aramon Article 3 L exploitant justifie sur demande des agents en charge de la surveillance des appareils pression de la conformit de ses proc dures aux guides cit s aux articles 1 et 2 Article 4 Toute modification des guides cit s aux articles 1 et 2 fait l objet d une information pr alable du directeur g n ral de la pr vention des risques Les modifications notables font l objet d une nouvelle reconnaissance des guides MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 28 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 5 Les exploitants se tiennent inform s des mises jour et des modifications apport es aux guides cit s aux articles 1 et 2 Article 6 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l
153. el du 14 mars 2012 Arr t du 28 f vrier 2012 portant nomination r gisseurs de recettes Journal officiel du 2 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 fixant au titre de l ann e 2012 le nombre de postes offerts au concours interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de l quipement Journal officiel du 8 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 portant nomination d un directeur r gional adjoint de l environnement de l am nagement et du logement r gion Rh ne Alpes Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 1er mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 le nombre de places offertes aux concours pour le recrutement de secr taires administratifs des administrations de l Etat Journal officiel du 9 mars 2012 Arr t du 2 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 le nombre de places offertes l examen professionnel pour le recrutement des techniciens sup rieurs de l quipement Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 2 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 le nombre de places offertes aux concours pour le recrutement de contr leurs des transports terrestres Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 8 mars 2012 fixant au titre de l ann e 2012 le nombre de places offertes l examen professionnel pour l acc s au grade de contr leur divisionnaire des transports terrestres Journal officiel du 15 mars 2012 Arr t du 13 mars 2012 portant nomination administration centrale Journal officiel du 15 mars
154. ement Fait le 16 janvier 2012 Le chef de centre du centre en route de la navigation a rienne Nord P MouyssET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 10 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Ecole nationale de l aviation civile D cision n ENAC DG 2012 5 du 19 janvier 2012 portant d finition des niveaux de prise en compte des besoins de l Ecole nationale de l aviation civile en mati re de march s de fournitures et services NOR DEVA1201550S Texte non paru au Journal officiel Le directeur de l Ecole nationale de l aviation civile Vu le d cret n 2006 975 du 1 ao t 2006 portant code des march s publics et notamment son article 8 et l article 5 de son annexe ee le d cret n 2007 651 du 30 avril 2007 modifi portant statut de l cole nationale de l aviation civile Vu la d cision n 130 ENAC DG du 4 ao t 2011 portant organisation de l cole nationale de l aviation civile au 1 septembre 2011 D cide Article 1 L valuation des besoins pour les march s de fournitures et services au sein de l Ecole nationale de l aviation civile est d termin e au niveau de chacune des entit
155. ement de techniciens sup rieurs de la m t orologie 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 SOMCHR Page 3 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE EX T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a Premier ministre EX S Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Sommaire des textes parus au Journal officiel Textes g n raux LOI LOI n 2012 347 du 12 mars 2012 relative l acc s l emploi titulaire et l am lioration des conditions d emploi des agents contractuels dans la fonction publique la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives la fonction publique 1 Journal officiel du 13 mars 2012 LOIn 2012 354 du 14 mars 2012 de finances rectificative pour 2012 1 Journal officiel du 15 mars 2012 Ordonnances Ordonnance n 2012 289 du 1er mars 2012 relative la s ret de l aviation civile Journal officiel du 2 mars 2012 Rapports Rapport au Pr sident de la R publique relatif l ordonnance n 2012 289 du 1 mars 2012 relative la s ret de l aviation civile Journal officiel du 2 mars 2012 D crets D cret du 1er mars 2012 portant d l gation de signature bureau des cabinets Journal officiel du 3 mars 2012 Arr t s Arr t du 23 f vrier 2012 portant modification de l arr t du 7 f vrier 2007 relatif aux profils et aux droits unitaires de stockage Journal officiel
156. emi res mises en place pr op rationnelles de la publication de cartes de zones inond es ANNEXE B POINT 7 CONTR LE DE LA S CURIT DES OUVRAGES HYDRAULIQUES R GIONS ET D PARTEMENTS Au plan technique pr cisons ici que la synth se du bilan portera sur le nombre des ouvrages r partis par cat gorie qui ont fait l objet d une action de contr le inspection instruction d un dossier r glementaire EDD RS diagnostic de s ret projet d ouvrage neuf ou de modification substantielle d un ouvrage existant soumis autorisation administrative le nombre proportion des ouvrages pour lesquels l action de contr le n a pas mis en vidence d insuffisance particuli re portant sur les l ments de s curit de l ouvrage le nombre proportion des ouvrages pour lesquels l action de contr le a conduit l administration prendre des prescriptions techniques compl mentaires en vue d am liorer les conditions de garantie portant sur les l ments de s curit de l ouvrage le nombre proportion des ouvrages pour lesquels l action de contr le a conduit l administration prescrire une mise en r vision sp ciale de l ouvrage et prescrire des dispositions conserva toires destin es garantir la mise en s curit de l ouvrage dans l attente des conclusions de la proc dure de mise en r vision sp ciale le nombre d ouvrages pour lesquels l administration a prescrit la mise en s curit de
157. en fonction du chargement peuvent se mesurer l aide de fils plomb fixes plac s de pr f rence aux emplacements de fl che maximale g Les essais consistent v rifier par la mise en place de charges successives que l appareil ne pr sente aucune d formation permanente apr s l application des charges limites On pourra v rifier galement aux charges limites que les d formations sont conformes au dossier de calcul et que les commandes de vol fonctionnent normalement 7 2 Exigences de navigabilit particuli res a Le ministre charg de l aviation civile peut imposer des conditions sp ciales de navigabilit prenant en compte des caract ristiques particuli res de FULM b Pour les ULM de classe 3 dont la charge alaire la masse maximale est sup rieure 30 kg m2 ces conditions sont tablies partir des sous parties B vol et C structure du CS VLA ou de r glements de navigabilit fran ais ou trangers servant ou ayant servi de base la certifi cation des avions l gers ou de r glements particuliers propos s par le postulant et accept s par le ministre charg de l aviation civile c Pour les ULM de classe 6 ces conditions sont tablies partir des exigences de navigabilit particuli res pour h licopt res ultral gers code HUL publi par la DGAC de r glements de navigabilit fran ais ou trangers servant ou ayant servi de base la certifi cation d h licopt res l ger
158. entations et recommandations dict es dans le domaine de la gestion des pollu tions des milieux de l alimentation humaine ou agricole ou de la protection des populations Ill 2 Mesures de gestion Il convient de prescrire au responsable de l activit l origine du sinistre la mise en uvre des mesures de r habilitation n cessaires la r paration des dommages caus s l environnement Ces MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 80 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative mesures ne peuvent pas tre d crites dans le pr sent guide puisque intimement li es la situation et l environnement dans lequel a eu lieu l accident Elles ne peuvent donc tre d cid es qu au cas par cas sur la base d une expertise locale des services de l Etat comp tents a Outils r glementaires Les services d concentr s ont leur disposition des outils r glementaires leur permettant d agir en situation post accidentelle pour imposer l exploitant de l activit l origine du sinistre des investigations sur les impacts suspect s et sur la r paration des dommages pour mettre en place des mesures de gestion afin de limiter les risques en particulier les mesures de restrictions d usage
159. ents comme d autres qui ont pr c d montrent un impact positif de ces types d actions sur la r duction des cons quences d un sinistre malgr les difficult s relatives la mise en uvre de l information pr ventive qui devrait faire l objet d un audit en 2012 Je vous invite donc mettre en uvre les mesures compl mentaires que vous jugerez les plus opportunes dans ces domaines Naturellement au del de ces priorit s nationales vous pouvez estimer n cessaire d arr ter des priorit s locales dont les enjeux vous paraissent particuli rement importants Ces priorit s locales ont vocation tre d battues au bon niveau territorial en associant les services r gionaux ou d par tementaux de l Etat selon le cas en veillant leur ad quation avec les moyens humains d di s aux risques naturels Comme vous le savez la mise en uvre de la politique de pr vention des risques naturels concernant de nombreux acteurs sur des territoires s tendant parfois au del des r gions ou d par tements implique de votre part une coordination forte des services l chelle tr s variable du bassin de risque selon les types d al as Je compte sur vous et vos services pour veiller la coh rence et l efficacit des actions qui seront men es de fa on concert e lisible et d termin e en vous appuyant sur les directions r gio nales de l environnement et du logement DREAL et les directions d partementales intermini
160. ents compl mentaires sur les denr es alimentaires et sur les aliments pour animaux Il est opportun que les populations soient pr venues de la r alisation de ces diff rents pr l ve ments accompagnement par la mairie et que les interventions soient coordonn es pour viter la multiplication des intervenants sur le terrain De m me il convient de faire un retour des r sultats de ces pr l vements aux personnes dont les terrains ou les cultures ont fait l objet d une enqu te Une communication particuli re doit tre mise en place vers les professionnels agricoles et agro alimentaires c Identification et r le des intervenants pour la r alisation des pr l vements conservatoires ou des investigations fines La gestion et la coordination des laboratoires en cas de pr l vements multiples et nombreux doivent tre prises en consid ration par la cellule post accident technologique Cas g n ral Les pr l vements notamment environnementaux peuvent tre r alis s par des laboratoires priv s ou publics ayant les capacit s de pr l vements et d analyses n cessaires Toutefois pour am liorer la gestion en situation post accidentelle un r seau d intervenants en situation post accidentelle RIPA regroupant des laboratoires d analyses et des pr leveurs a t cr Ce r seau a t constitu pour assurer une couverture du territoire national et permettre la production de prestations de qualit dans les meilleurs d l
161. es r actualiser les plans d actions d parte mentaux de fa on coh rente en s attachant aux priorit s d actions avec les moyens mobilisables Au regard des documents de r f rence en mati re de strat gie documents strat giques r gionaux labor s par les DREAL et l ensemble des services relevant de leur zone de gouvernance diagnostics territoriaux enjeux les acteurs s attacheront en particulier avant septembre 2012 l laboration l actualisation ou la r vision des strat gies r gionales triennales en mati re de risques naturels et hydrauliques puis des plans d actions correspondant l chelon du d partement Les commissions d partementales des risques naturels majeurs CDRNM et le comit administratif r gional CAR chacun leur niveau sont les lieux d changes privil gi s pour valider ces strat gies r gionales et les plans d actions associ s L am lioration du pilotage r gional op rationnel apr s la mise en place des nouvelles organisa tions reste un enjeu fort pour renforcer la coh rence des actions d un m me territoire en mati re de gestion des risques objectifs attributions de moyens appui technique et juridique doctrines locales animation partage des bonnes pratiques Les sch mas d partementaux de pr vention des risques naturels majeurs pr vus par le code de l environnement lorsqu ils existent ou peuvent tre r alis s constituent des l ments utiles l la boration
162. es du r seau Biotox eaux sp cialis s dans la recherche des agents de la menace terroriste et charg s des pr l ve ments et analyses des eaux destin es la consommation humaine et des eaux de loisirs en cas de pollution ou de suspicion de pollution peuvent galement intervenir la demande de l ARS Cas des pr l vements dans les milieux aquatiques Des pr l vements d eau de s diments ou de faunes aquatiques peuvent aussi tre effectu s par les agents de l Office national de l eau et des milieux aquatiques ONEMA d Modalit s de financement des pr l vements En application des pouvoirs de police qui lui sont conf r s le pr fet veille ce que le responsable de l activit l origine du sinistre caract rise dans les plus brefs d lais et sa charge l impact g n r par l accident partir des pr l vements conservatoires qui ont d j t r alis s et des pr l vements qu il a lui m me effectu s sous le contr le des services comp tents En cas d urgence ou en cas de d faillance de l exploitant les services de l Etat peuvent prendre leur charge chacun dans leur domaine de comp tence la r alisation de pr l vements et d analyses afin d orienter au mieux la gestion des cons quences du sinistre Pour cela un appui peut tre demand aux services centraux des minist res ou aux appuis techniques comp tents cf III 3 Dans le cas particulier des services d incendie et de secours partici
163. es transports parisiens D cision n VAL 2012 12 du 15 f vrier 2012 portant d l gation de signature du pr sident directeur g n ral de la RATP au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique NOR TRAT1206126S Texte non paru au Journal officiel Le pr sident directeur g n ral de la RATP Vu les articles L 2142 1 et suivants du code des transports Vu le d cret n 59 157 du 7 janvier 1959 relatif l organisation des transports de voyageurs dans la r gion parisienne Vu le d cret n 59 1091 du 23 septembre 1959 portant statut de la RATP Vu le d cret n 89 410 du 20 juin 1989 relatif l organisation de la RATP Vu la d l gation de pouvoirs consentie le 28 janvier 2011 d lib ration du CA du 28 janvier 2011 au pr sident directeur g n ral de la RATP par le conseil d administration de la RATP D cide Article 1 1 1 De donner d l gation M R mi Feredj directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique VAL l effet de signer en son nom pour l accomplissement de la mission dudit d partement et pour le fonctionnement de celui ci les march s pris pour les besoins de l activit du d partement VAL dont le montant est compris entre 5 millions d euros et 60 millions d euros leurs avenants ventuels si le cumul du montant de ces derniers avec celui du march initial demeure compris entre 5 millions d euros et 60 millions d
164. essus Article 2 Les artifices de divertissement sont agr s aux conditions de la demande Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les artifices de divertissement l mentaires import s conserv s vendus ou utilis s en France sont conformes aux mod les d crits dans les dossiers susvis s et r pondent aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par le recueil des r gles et proc dures d agr ment des artifices de divertissement Le titulaire des pr sents agr ments s assure que la concentration des constituants des composi tions pyrotechniques respecte en outre les tol rances fix es par l article 37 de l arr t du 4 mai 2010 susvis Article 3 Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les notices et modes d emploi des artifices de divertissement commercialis s donnent toutes indications n cessaires en fran ais pour la pr pa ration et l ex cution des tirs de fa on garantir la s curit des personnes qui en sont charg es ainsi que celle du public Ces indications comprennent en particulier les prescriptions relatives aux mesures prendre en cas d incident de tir ainsi que les distances de s curit respecter Article 4 Le titulaire des pr sents agr ments est tenu de v rifier la conformit des produits import s avec les mod les agr s selon son plan qualit Ce plan d termine notamment les plans d chantil lonnage et les fr quences de contr le
165. eur mentionne toute autre condition d utilisation ou limite qu il juge n cessaire caract ristiques des points d ancrage motorisation 4 1 3 Cas des ULM de classe 2 Les conditions d utilisation et les limites associ es peuvent tre caract ristiques d une voilure donn e sans consid ration d un type de chariot pr cis sous r serve que le constructeur d finisse soit les types de chariot acceptables soit les caract ristiques imposer au chariot notamment limi tations de masse caract ristiques du point d accrochage motorisation et garantisse pour ces types ou ces caract ristiques que les indications du pr sent manuel sont adapt es 4 1 4 Cas des ULM des sous classes Le manuel d entretien tient lieu de manuel d utilisation s il inclut au minimum la mention des infor mations suivantes masse vide de r f rence masse maximale masse minimale surface alaire types de chariots ou de sellettes acceptables ou caract ristiques imposer au chariot ou la sellette notamment la masse le ou les points d accrochage et la motorisation 4 1 5 Autres cas Le manuel d utilisation doit comporter au minimum les informations contenues dans le mod le d fini l annexe VI 4 2 Manuel d entretien a Le manuel d entretien traite les parties suivantes de l ULM qui peuvent tre trait es s pa r ment la voilure l enveloppe ou le s rotor s la structure le moteur et le cas ch
166. eut g n rer des pollutions du milieu induites en plus de celles g n r es par l accident lui m me possi bilit de pollution des eaux en cas d extinction par arrosage pollution li e aux retomb es atmosph riques en cas de feu couvant pollution des sols engendr e par les op rations d talement de certains stockages pour viter la propagation de l incendie destruction d habitats naturels par les produits utilis s et la circulation des engins etc De m me les mesures de gestion des populations vacuation loignement peuvent avoir galement des cons quences sanitaires secondaires accident de la route effet psychologique du d racinement en cas d loignement prolong qu il conviendra de g rer Le regroupement d une ou plusieurs des conditions suivantes doit alerter sur la possibilit de cons quences diff r es pr voir et orienter vers la mise en place d un suivi tel que d crit dans le pr sent guide mise en place de la cellule r flexion sur les actions mener dispersion de polluants r manents POP m taux amiante dans l environnement dur e de l v nement accidentel de l ordre de plusieurs jours proximit de zones d habitation ou d tablissements dits sensibles cr ches coles proximit de zones agricoles de culture ou d levage proximit de zones naturelles prot g es ou de zones de loisirs p che baignade Impacts humains et mat riels l ex
167. ficiels et rendre des r sultats officiels pour les denr es alimentaires et les aliments pour animaux Dans le cadre de leurs missions les LNR en particulier le LABERCA charg d animer les r seaux dioxines et PCB et le r seau HAP et l ANSES Maisons Alfort pour les m taux peuvent fournir via l administration centrale du MAAPRAT un appui scientifique et technique aux DD CS PP si besoin Les listes des laboratoires agr s et des LNR sont r guli rement mises jour Elles sont dispo nibles aupr s des DD CS PP 1 BOMEDD n 05 19 du 15 octobre 2005 http www ineris fr aida 2q consult_doc consultation 2 250 190 28 8 2905 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 81 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT De Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre d Recherche de responsabilit dans le cas de pollution d origine inconnue L INERIS peut proc der la demande de la DREAL des investigations afin de caract riser une pollution et d identifier son origine de rechercher les responsabilit s ainsi que d aider d finir les mesures de gestion Cette intervention n cessite l accord pr alable de la direction g n rale de la pr vention des risques du minist re charg du d veloppement durable e Expertise sur le risque sanitaire
168. gestion et de surveillance dans l environnement y compris la gestion des d chets post accidentels et les mesures de r habilitation Les actions de communication sont centralis es au niveau de la pr fecture avec l appui des diff rents services Le minist re charg de la sant ou l agence r gionale de sant territorialement comp tente peuvent prendre les mesures n cessaires pour pr venir les services d accueil des urgences ainsi que les m decins lib raux afin de leur d livrer des messages ad hoc participation un dispositif de toxi covigilance ou de prise en charge sp cifique I OUTILS D AIDE LA D CISION RELATIVE L ORGANISATION EN SITUATION POST ACCIDENTELLE 1 1 Crit res d cisionnels crit res d valuation de l impact sanitaire et environnemental de l accident L opportunit de mettre en place une organisation sp cifique en post accident doit tre appr ci e au regard de l impact sanitaire et environnemental de l accident technologique L analyse a minima des param tres suivants doit permettre d valuer la gravit de la situation Nature de l accident accident avec rejet de mati res dangereuses dans l atmosph re accident avec d versement de mati res dangereuses sur les sols et ou atteinte de la ressource en eau incendie Une attention particuli re doit tre port e aux incendies qui peuvent tre l origine d une dispersion importante de substances potentiellement toxiques en fonction
169. glement sur les appareils vapeur autres que ceux plac s bord des bateaux Vu le d cret du 18 janvier 1943 modifi portant r glement sur les appareils pression de gaz Vu le d cret n 99 1046 du 13 d cembre 1999 modifi relatif aux quipements sous pression Vu l arr t minist riel du 15 mars 2000 modifi relatif l exploitation des quipements sous pression notamment ses articles 23 paragraphe 4 et 30 paragraphe 2 Vu la demande d EDF de septembre 2010 compl t e le 15 novembre 2011 sollicitant l approbation de guides professionnels Vu les documents Guide professionnel EDF pour l laboration des proc dures de requalification p riodique des tuyauteries r alis e par les SIR autoris s EDF 15 f vrier 2012 et Guide professionnel EDF pour l laboration des proc dures de contr le apr s intervention notable r alis e par les SIR autoris s EDF 15 f vrier 2012 Vu l avis en date du 8 d cembre 2011 de la Commission centrale des appareils pression D cide Article 1 Le document Guide professionnel EDF pour l laboration des proc dures de requalification p rio dique des tuyauteries r alis e par les SIR autoris s EDF est approuv en application de l article 23 paragraphe 4 de l arr t minist riel du 15 mars 2000 susvis Il est applicable aux services inspection reconnus autoris s pour les op rations de requalification p riodique sur les sites EDF de Martigues Aramon Vitry sur S
170. ication de l article 51 de la loi n 2010 874 du 27 juillet 2010 de modernisation de l agriculture et de la p che Journal officiel du 2 mars 2012 D cret n 2012 305 du 5 mars 2012 fixant le niveau de performance nerg tique globale et les plafonds de prix de revient par m tre carr de surface habitable pris en compte pour le calcul de la r duction d imp t des logements ligibles la r duction d imp t sur le revenu en faveur de l investissement locatif pr vue l article 199 septvicies du code g n ral des imp ts Journal officiel du 7 mars 2012 D cret n 2012 327 du 6 mars 2012 portant cr ation de l Etablissement public d am nagement d Alzette Belval Journal officiel du 8 mars 2012 D cret n 2012 352 du 12 mars 2012 relatif aux emplois de la participation des employeurs l effort de construction pris pour l application de l article L 313 3 du code de la construction et de l habitation Journal officiel du 14 mars 2012 D cret n 2012 353 du 12 mars 2012 relatif aux enveloppes minimales et maximales des emplois de la participation des employeurs l effort de construction Journal officiel du 14 mars 2012 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 TXTJO Page 3 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE 4 DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Arr t s Arr
171. ication jusqu la fin du vingt quatri me mois qui suit le mois au cours duquel cette demande a t faite Dans le cas du renouvellement d une carte toujours valide et dont la demande de renouvellement est effectu e avant les trois mois qui pr c dent la date d expiration de la carte la validit de la nouvelle carte court compter de la date de fin de validit de la carte d identification pr c dente jusqu la fin du vingt quatri me mois qui suit le mois au cours duquel la demande de renouvel lement a t faite Dans le cas du renouvellement d une carte toujours valide et dont la demande de renouvellement est effectu e dans les trois mois qui pr c dent la date d expiration de la carte la validit de la nouvelle carte court compter de la date de fin de validit de la carte d identification pr c dente jusqu la fin du vingt quatri me mois qui suit 7 Conditions techniques applicables et programme de d monstration de conformit associ 7 1 Principes g n raux Un programme de d monstration doit permettre de d montrer la conformit de l a ronef aux conditions de navigabilit impos es par le ministre charg de l aviation civile Ce programme concerne la navigabilit de ULM dans tout le domaine des utilisations pr vues de FULM Les d monstrations sont regroup es dans un document d nomm programme de d monstration de conformit pr cisant pour chaque exigence le s moyen s de conformit ac
172. ident Dans cette perspective il peut tre utile de mettre en place une plate forme de travail collaboratif site centralisant tous les outils li s la conduite du projet et les mettant disposition des acteurs Une r flexion doit alors tre men e en amont entre les services concern s sur les modalit s de partage de l information quels besoins outils existants pouvant tre mobilis s travaux ventuels engager II importe donc d engager une r flexion de planification au niveau local afin de prendre en compte l ensemble des besoins identifi s et d y r pondre de mani re pragmatique et op rationnelle II OUTILS D AIDE LA GESTION EN SITUATION POST ACCIDENTELLE 111 1 Recueil des donn es Il est indispensable de recueillir au plus vite et de fa on fiable les donn es relatives aux cons quences de l v nement sur l environnement et sur la population Toute perte de temps en la mati re et toute m thodologie approximative pr sentent le risque de laisser d finitivement dispa ra tre des informations indispensables pour l valuation et la gestion des cons quences de l accident Il est donc n cessaire d anticiper la nature des informations recueillir par exemple mesures dans les milieux environnementaux mesures sur les productions agricoles pr l vements biolo giques donn es statistiques et d mographiques donn es individuelles sur les sc narios d expo sition Le principe de proportionnal
173. ides pr sentes sur le site apr s une perte de confinement le d p t des fum es d incendie la remobili sation d une pollution des sols d j existante L accident peut aussi g n rer des effets physiques bruit vibration souffle effet thermique Les cons quences de ces accidents peuvent tre de plusieurs ordres cons quences environnementales pollution transitoire ou durable des milieux environne mentaux eaux sols air et des denr es alimentaires jardins potagers cultures levages mais aussi atteinte potentiellement grave sur les cosyst mes cons quences sanitaires cons quences somatiques imm diates ou diff r es li es l exposition directe ou indirecte de la population avec des agents chimiques et ou physiques dangereux l talit perte d audition et impacts psychologiques cons quences sociales relogement pertes mat rielles cessation d activit perte d emploi cons quences conomiques directes perte de ressources productives travail immeubles infra structures terres arables zones d activit s r sidentielles loisirs restrictions ou arr ts d activit s agricoles levage culture p che indirectes effets en cha ne sur le tourisme sur le march local emploi immobilier commerce et long terme en particulier en cas de pollution grave et persistante ou de destruction d actifs irrempla ables patrimoine culturel l ments de biodi versit etc
174. ie Vu la d cision n 12 069 du 6 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours sp cial pour le recrutement d l ves ing nieur e s des travaux de la m t orologie D cide Article 1 Le jury du concours sp cial titulaires d une ma trise de sciences pour le recrutement d l ves ing nieur e s des travaux de la m t orologie pour l ann e 2012 ouvert par d cision susvis e est compos comme suit Pr sident M Fran ois LALAURETTE ing nieur g n ral des ponts des eaux et des for ts Vice pr sidente Mme Claire DOUBREMELLE ing nieure en chef des ponts des eaux et des for ts Membre expert M Serge CHAUZY professeur m rite Membres et examinateurs M Thierry BARTHET ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie Mme Marie No lle BONNIFASSY professeure certifi e d anglais M Emmanuel CELHAY ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie Mme Catherine FREYDIER ing nieure divisionnaire des travaux de la m t orologie M Patrick LE MOIGNE ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie Mme Patricia POTTIER ing nieure divisionnaire des travaux de la m t orologie Examinateurs Mme Patricia GIRARD de PINDRAY professeure vacataire d espagnol Mme Josipa SPOLJARIC professeure vacataire d allemand MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 58 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE EE D DES TRANSPOR
175. ier 2012 autorisantla soci t Bioc an Energies exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t Biolacq Energies exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Pr vention des risques D crets D cret n 2012 291 du 29 f vrier 2012 relatif l harmonisation des consignes de tri des d chets d emballages m nagers Journal officiel du 2 mars 2012 Arr t s Arr t du 24 f vrier 2012 portant nomination au conseil d administration de l Office national des for ts Journal officiel du 7 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 relatif aux conditions d accr ditation des organismes proc dant aux mesures de la qualit de l air int rieur et l valuation des moyens d a ration du b timent mentionn s l article R 221 31 du code de l environnement Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 28 f vrier 2012 portant agr ment d un organisme pour d livrer aux op rateurs les attestations de capacit pr vues par l article R 543 99 du code de l environnement Journal officiel du 9 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 fixant le contenu des registres mentionn s aux articles R 541 43 et R 541 46 du code de l environnement Journal officiel du 9 mars 2012 Am nagement nature D crets D cret n 2012 290 du 29 f vrier 2012 relatif aux documents d urbanisme et pris pour l appl
176. illet 2010 relative la r novation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives la fonction publique Vu le d cret n 82 453 du 28 mai 1982 modifi relatif l hygi ne la s curit et la pr vention m dicale dans la fonction publique Vu le d cret n 2005 200 du 28 f vrier 2005 portant cr ation de la direction des services de la navi gation a rienne Vu le d cret n 2011 184 du 15 f vrier 2011 relatif aux comit s techniques dans les administrations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 14 octobre 2011 portant cr ation de comit s d hygi ne de s curit et des conditions de travail la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu les r sultats obtenus par les organisations syndicales au niveau du CRNA Sud Est lors des lec tions au CT DSNA qui se sont d roul es du 18 au 20 octobre 2011 Vu la d cision n 33 CRNA SE SA du 15 novembre 2011 fixant la r partition des si ges au CHSCT sp cial du CRNA SE Vu les propositions formul es par les organisations syndicales D cide Article 1 La composition du comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail sp cial du centre en route de la navigation a rienne Sud Est CHSCT S du CRNA SE est fix e comme suit Sont d sign s repr sentants de l administration Titulaires Isabelle MONNIER chef de centre pr sidente Gilles RAYMOND chef du servic
177. ion de l information l gale et administrative PHASE POST ACCIDENTELLE GESTION DES EFFETS Un change d infor atiohs doit tre institu entre les deux ei CELLULE POST ACCIDENT TECHNOLOGIQUE Mise en place selon les besoins GESTION DES mn z Z La z 7 Z e Sch ma 1 Interaction entre les structures de gestion de l v nement accidentel Le lien entre le COD et la cellule post accident technologique consiste en une transmission d infor mations entre les deux structures en particulier sur les recueils de donn es relev des informations pertinentes ayant t collect es dans la phase d urgence et inversement remont e par la cellule post accident technologique des l ments d int r t rassembler en phase d accompagnement et de suivi imm diat pour anticiper la gestion post accidentelle I 2 R le de la cellule post accident technologique La cellule post accident technologique est une structure de coordination mise en place lors des phases de suivi imm diat et post accidentelle Cette structure r unissant diff rents services d partementaux et ou r gionaux de l Etat a pour mission d apporter au pr fet une organisation coor donn e et concert e pour le traitement des questions d impacts environnementaux et sanitaires cons cutifs un accident technologique et de g rer leurs cons quences potentielles long terme La cellule post accident technologique peut
178. ion des l ments constitutifs de ces d marches dans les diverses UH en g n ralisant les jaugeages en crue et en tiage dans des secteurs critiques pour la bonne gestion de la ressource en eau en assurant la validation de ces donn es hydrom triques et des l ments de r f rence sur les points de mesure ainsi que la bonne alimentation de la base de donn es nationale HYDRO BD HYDRO avec celles ci les courbes de tarage manquantes en contribuant la modernisation de la BD HYDRO conduite par le SCHAPI 3 Renforcer le travail en r seau avec le SCHAPI les autres SPC et UH et contribuer au d ploiement des outils de deuxi me g n ration en cours de d veloppement ainsi qu la d finition des nouveaux services et au d but de leur mise en place voir d tail en annexe A 7 Contr le de la s curit des ouvrages hydrauliques r gions et d partements R sum laborer mettre en uvre et suivre les plans de contr le de la s curit des ouvrages hydrauliques et veiller au respect des ch ances de remise des tudes de dangers des ouvrages Am liorer la connaissance pour le recensement des ouvrages hydrauliques La mise en place de l organisation du contr le de la s curit des ouvrages hydrauliques est en phase d ach vement Elle fait l objet d un effort soutenu pour renforcer les effectifs dans une p riode de r duction globale Elle n cessite un travail en lien troit entre service de contr
179. ion leurs positions et les pr cautions respecter en virage et l atterrissage Le paramoteur doit d montrer 7 Une stabilit en tangage lors d une action aux commandes en vol acc l r 8 Une stabilit en tangage en sortie de vol acc l r b Pendant ces essais les commandes de vol doivent rester man uvrables pour permettre le contr le de la voile MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 95 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative 7 3 2 Epreuves en vol pour les autres classes d ULM L appareil doit d montrer 1 Une stabilit longitudinale et lat rale convenable dans toutes les conditions de vol et de centrage en prenant en compte les conditions d utilisation particuli res pour lesquelles il a t con u En particulier pour les ULM multiaxes et les pendulaires la stabilit longitudinale statique manche libre ou trap ze libre doit tre d montr e en vol horizontal stabilis l appareil revenant dans une plage de vitesse proche de celle du d part apr s application d un effort pousser ou tirer 2 Une absence de flottement divergent jusqu une vitesse maximale d montr e Vpp Il doit tre possible galement partir d un virage stabilis 45 d inclinaison
180. iper revient au directeur d parte mental des services d incendie et de secours au g n ral commandant la brigade de sapeurs pompiers de Paris ou l amiral commandant le bataillon de marins pombpiers de Marseille chacun pour leur secteur de comp tence En effet l objectif premier des services de secours tant la protection et le secours des personnes la r alisation de ces pr l vements ne doit pas interf rer avec cette mission prioritaire En outre ces pr l vements se font uniquement dans le cadre de la phase d intervention des services de secours En dehors de tout contexte d op ration de secours cette prestation est confi e un autre inter venant pr leveurs et laboratoires d analyses publics ou priv s Cas des pr l vements de denr es alimentaires et des eaux destin es la consommation humaine Les pr l vements de denr es alimentaires peuvent tre effectu s par les services en charge de la s curit sanitaire des aliments DD CSIPP et analys s par les laboratoires agr s du minist re en charge de l agriculture ou des laboratoires du service commun des laboratoires SCL ce sont ainsi des contr les officiels Les contr les de la qualit des eaux destin es la consommation humaine peuvent tre effectu s sous l autorit de l ARS par les agents pr leveurs de l ARS ou par les laboratoires agr s par le minist re charg de la sant art L 1321 5 du code de la sant publique Les laboratoir
181. irection de ee La et administrative ANNEXE l Chronologie Logigrammes ANNEXE Il Abr viations ANNEXE Ill Liste indicative d instances susceptibles d apporter un appui la d cision des pouvoirs publics en cas d accidents MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 66 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative PR AMBULE Contexte et retour d exp rience Le retour d exp rience sur les catastrophes environnementales 1 montre qu au del de l orga nisation des secours des soins de premi re urgence et de la r paration des dommages environne mentaux et sanitaires les plus visibles des cons quences diff r es sur la sant humaine et l envi ronnement peuvent tre redout es L v nement accidentel d origine technologique peut consister en un incendie une explosion une perte de confinement d effluents liquides ou gazeux mais aussi un dysfonctionnement grave d un syst me de d pollution Ces v nements ont pour effet une dispersion dans l environnement de substances plus ou moins toxiques notamment vers les sols les v g taux les eaux de surface ou les eaux souterraines par diff rentes voies les eaux d extinction de l incendie l coulement direct de substances liqu
182. ironnementaux et sanitaires diff r s des catastrophes terrestres d origine technologique en particulier aux accidents rencontr s dans le domaine des installations class es ICPE aux accidents de canalisations de transport aux accidents de transport de mati res dangereuses Les accidents dus aux installations nucl aires de base et au transport sp cifique de mati re nucl aire ne rel vent pas du pr sent guide et font l objet de proc dures d di es 1 Le guide d crit l organisation g n rale de la gestion des impacts environnementaux et sanitaires en situation post accidentelle ainsi que les outils disposition des services pour assister le pr fet dans les d cisions qu il aura prendre Le pr sent guide ne traite pas des actions de gestion relevant de la phase d urgence et ne modifie donc pas les dispositions pr vues dans les plans ORSEC ou PPI Il s adresse principalement aux pr fets aux services interminist riels de d fense et de protection civile SIDPC aux services d concentr s en charge des activit s risque vis es ci dessus direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement DREAL direction r gionale et inter d partementale de l environnement et de l nergie DRIEE direction de l environnement de l am nagement et du logement DEAL direction d partementale du territoire DDT direction r gionale de l alimentation de l agricultur
183. ismes habilit s cet effet pour s assurer de la conformit de l ULM la r glementation applicable MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 102 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXE IV LEMENTS CONSTITUTIFS D UNE FICHE D IDENTIFICATION La fiche d identification d livr e par l autorit fran aise un ULM contient les l ments suivants le logo de l autorit le nom de l autorit signataire le visa de l autorit et la date du visa la r f rence ou le type de l a ronef le nom et l adresse du constructeur le code d identification de FULM constitu des l ments suivants a Construction en s rie B autres cas A b Monoplace 1 biplace 2 c Paramoteur 1 pendulaire 2 multiaxe 3 autogire 4 a rostat 5 h licopt re 6 ULM motorisation auxiliaire 2A 3A d Code de l autorit a ronautique e Num ro d ordre f Utilisation Loisir L activit particuli re T loisir et activit particuli re E la r vision de la carte Elle pr cise que la fiche d identification doit accompagner la carte d identification des ULM qui sont construits selon ce type Les l ments descriptifs suivants sont pr ci
184. it Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Infrastructures transports et mer MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer Arr t du 27 janvier 2012 portant nomination la Commission nationale d valuation de la s curit des transports guid s NOR TRAT1201350A Texte non paru au Journal officiel Par arr t du ministre aupr s de la ministre de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement charg des transports en date du 27 janvier 2012 M R ginald BABIN repr sentant du groupement des autorit s responsables de transport est remplac par M Beno t CHAUVIN responsable du p le syst mes de transport intelligents du grou pement des autorit s responsables de transport en tant que membre respectivement de la Commission nationale d valuation de la s curit des transports guid s et de la formation restreinte de cette m me commission au titre des repr sentants des associations repr sentatives des autorit s organisatrices des transports Mme C line CHAKAR charg e de la direction technique du d partement s ret de fonctionnement de SIEMENS est remplac e par M Pascal GUESDON directeur de la s curit de ALSTOM Transport comme membre respectivement de la Commission nationale d va
185. it doit tre appliqu la r alisation de ces pr l vements ainsi qu l ampleur des donn es collecter Les crit res d valuation de l impact environnemental et sanitaire de l accident d finis au Il 1 peuvent aider les services valuer les suites donner l accident en fonction des enjeux Il appartient au pr fet de d cider au cas par cas de faire proc der ces pr l vements en s appuyant sur l avis des services comp tents sur les plans sanitaire environnemental et technique notamment les services en charge du type d activit l origine de l accident et les ARS a R alisation de pr l vements environnementaux conservatoires Le ou les pr l vements conservatoires r aliser doivent permettre avant tout d identifier globa lement les cons quences en atteignant les objectifs suivants d terminer de mani re qualitative la famille ou les familles de produits potentiellement polluants identifier approximativement la zone concern e afin de d limiter la zone o des investigations plus pouss es seront men es permettre au service comp tent ou au pr fet si plusieurs services sont concern s de d cider ou non d engager des investigations plus pouss es voire de prendre des premi res mesures conservatoires de protection en fonction des premiers r sultats MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 78 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E oOo DES TRANSPORTS ET
186. ix par cette directive et veiller en particulier la qualit de l association des parties prenantes achever et consolider la r organisation des services de contr le de s curit des ouvrages hydrauliques ainsi que celle des services de pr vision des crues et d hydrom trie poursuivre l am lioration et l extension du champ de leur action Dans ce contexte l articulation et la coh rence de l ensemble des dispositifs doivent tre bien soulign es et expliqu es il vous appartient en particulier de veiller la bonne mise en uvre des PAPI et de la composante inondations des plans grands fleuves leur coh rence entre eux leur mise en perspective et leur articulation avec l avancement de la mise en uvre de la directive Inondations La conduite de ces actions fait appel une concertation adapt e aux enjeux aux circonstances et au contexte local avec les acteurs concern s Elle se montre indispensable pour mener bien les projets c est un facteur important pour r ussir la traduction en actions concr tes de la politique de pr vention des risques naturels et faciliter la gouvernance de ces projets A ce sujet les commissions d partementales des risques naturels majeurs CDRNM sont des lieux qui peuvent contribuer utilement au dialogue et l information des parties prenantes Il vous appar tient de les r unir r guli rement afin de d battre des priorit s d action de l Etat et des acteurs loca
187. l du 9 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 fixant la composition du comit technique de proximit de la direction de la s curit de l aviation civile Journal officiel du 9 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 portant cessation de fonctions r gisseurs d avances Journal officiel du 9 mars 2012 Arr t du 24 f vrier 2012 relatif au bruit mis par les a ronefs ultral gers motoris s Journal officiel du 10 mars 2012 Arr t du 25 f vrier 2012 relatif aux crit res et conditions de d livrance des attestations d aptitude m dicale de classe 3 au personnel relevant du ministre de la d fense n cessaires pour assurer les services du contr le de la circulation a rienne g n rale et l organisation des services de m decine a ronautique Journal officiel du 13 mars 2012 Arr t du 25 f vrier 2012 modifiant l arr t du 4 avril 1996 relatif aux manifestations a riennes et l arr t du 21 mars 2007 relatif aux a ronefs non habit s qui voluent en vue directe de leurs op rateurs Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 5 mars 2012 modifiant l arr t du 14 octobre 2011 portant cr ation de comit s d hygi ne de s curit et des conditions de travail la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Journal officiel du 10 mars 2012 Arr t du 5 mars 2012 modifiant l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ci
188. ladite unit les actes relatifs aux attributions qui lui ont t consenties aux termes de la disposition n 1 application du droit du travail et gestion des ressources humaines de la disposition n 2 s curit des voyageurs des agents et des tiers et de celle n 3 dispositions g n rales de sa d l gation de pouvoirs du 1e janvier 2012 note de d partement n 12 009 susvis e Article 2 En cas d absence ou d emp chement de M Yvon No l responsable technique de l unit tudes de donner d l gation M Michel Andurand responsable de l entit contr le audits qualit de l unit tudes ou M Jean Luc Cohuau responsable de l entit tudes lectriques de l unit tudes ou M Jean Luc Francoual responsable de l entit tudes m caniques de l unit tudes l effet de signer en son nom tous les actes dont la signature a t d l gu e par la pr sente d cision Article 3 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 20 f vrier 2012 Le responsable de l unit tudes P Minou MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 33 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre Aviation civil
189. le des transports et du logement Fait le 20 f vrier 2012 Le directeur interr gional de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane P DuBois MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 30 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile Direction de la s curit de l aviation civile Antilles Guyane D cision n 08 DSAC AG du 20 f vrier 2012 relative la cr ation du comit technique sp cial de la direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane NOR DEVA1206031S Texte non paru au Journal officiel Le directeur interr gional de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu la loi n 2010 751 du 5 juillet 2010 relative la r novation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives la fonction publique Vu le d cret n 61 447 du 3 mai 1961 fixant la comp
190. le 15 de la d cision n 2009 1635 du 11 mars 2009 susvis e est ainsi r dig Article 15 Mme Victorine PERARNAUD directrice de la direction interr gionale des Antilles Guyane est nomm e ordonnateur secondaire de la direction interr gionale des Antilles Guyane Article 2 La pr sente d cision entre en vigueur le 1 mars 2012 Article 3 La secr taire g n rale est charg e de l ex cution de la pr sente d cision qui sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 22 f vrier 2012 Le pr sident directeur g n ral F Jaco MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 38 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative D veloppement durable MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Commissariat g n ral au d veloppement durable D cision n 2012 1088 du 22 f vrier 2012 portant modification de la d cision n 2009 3004 du 4 mai 2009 portant d l gation de signature NOR DEVD1206915S Texte non paru au Journal officiel Le pr sident directeur g n ral de M t o France Vu le d cret n 53 1227 du 10 d cembre 1953 relatif la r glementation comptable applicable aux t
191. le d cret n 61 447 du 3 mai 1961 fixant la comp tence et portant organisation du service d tat de l aviation civile d int r t g n ral dans les territoires d outre mer Vu le d cret n 2008 1299 du 11 d cembre 2008 portant cr ation de la direction de la s curit de l aviation civile Vu l arr t du 9 mai 2005 modifi portant cr ation de comit s techniques paritaires la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu l arr t du 19 d cembre 2008 portant organisation de la direction de la s curit de l aviation civile Vu la d cision du 12 janvier 2009 portant organisation de la direction de la s curit de l aviation civile Antilles Guyane Vu l arr t du 7 juillet 2011 portant cr ation de comit s techniques de r seau de proximit et sp ciaux la direction g n rale de l aviation civile et l Ecole nationale de l aviation civile Vu le proc s verbal de d pouillement des votes pour l lection des repr sentants du personnel du 21 octobre 2011 D cide Article 1 La r partition des si ges des repr sentants du personnel au comit technique sp cial de la direction de la s curit de l aviation civile en Antilles Guyane est la suivante SNICAC SNNA SNPACM F0O 2 si ges USAC CGT 2 si ges SPAC CFDT 1 si ge Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durab
192. le moteur le chariot ou la sellette les attaches Le manuel peut tre constitu des l ments individuels fournis par les constructeurs de ces l ments 5 Modifications des caract ristiques techniques d un ULM Toute modification d un ULM qui modifie un des l ments descriptifs de sa fiche d identification modification majeure entra ne la suspension de l autorisation de circuler Cette suspension est effective jusqu ce que le titulaire de la fiche d identification ait 1 Amend la partie descriptive de la fiche d identification et les l ments du dossier technique constructeur qui ont t affect s ou obtenu du constructeur les documents modifi s 2 V rifi et d clar la conformit de l ULM modifi aux conditions techniques applicables ou obtenu du constructeur cette d claration 3 Transmis la DSAC IR concern e la partie descriptive de la fiche d identification amend e et la d claration de conformit Lorsqu il est n cessaire d effectuer des v rifications en vol pour valider la modification envisag e le postulant peut obtenir une carte d identification provisoire dans les conditions fix es au para graphe 6 2 6 Carte d identification La demande de la carte d identification est soumise la DSAC IR concern e avec les l ments figurant en annexe l La demande de carte d identification doit tre accompagn e de l original de la fiche d identifi cation pr alablement vis e
193. le neuve le nouveau syst me est applicable ce qui signifie qu une carte d identification de sous classe 1A ne pourra pas tre d livr e m me si cet a ronef est similaire un a ronef ayant eu pr c demment une carte d identification de sous classe 1A N anmoins lors du renouvellement d une voile l identique d un paramoteur existant les marques d identification pr c dentes peuvent tre conserv es si l ancienne voile n est plus utilis e avec les m mes marques 9 Ex cution L instruction du 24 ao t 2011 relative aux a ronefs ultral gers motoris s est abrog e La directrice de la s curit de l aviation civile est charg e de l ex cution de la pr sente instruction La pr sente instruction sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d ve loppement durable des transports et du logement et est applicable la date d applicabilit de l arr t du 15 mars 2011 modifiant l arr t du 23 septembre 1998 relatif aux a ronefs ultral gers motoris s Fait le 21 f vrier 2012 Pour la ministre et par d l gation La directrice de la s curit de l aviation civile F ROUSSE MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 99 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative ANNEXE I
194. lisation 4 1 1 Principes g n raux Le manuel d utilisation est obligatoire pour tous les ULM monoplaces construits en s rie et pour tous les ULM biplaces ainsi qu en cas de cession de tout ULM Il doit tre fourni avec chaque appareil sous une forme claire et pr cise facilement exploitable par les utilisateurs Il reste fortement conseill pour un ULM monoplace non construit en s rie mais il devient obligatoire en cas de revente de cet a ronetf Le manuel peut pr voir des emplacements r serv s aux mises jour successives en fonction des options ou modifications appliqu es apr s mise en service Le constructeur de ULM r dacteur du manuel explicite les conditions d utilisation de son a ronef Il peut en ce qui concerne plus particuli rement les performances la maniabilit et la stabilit se dispenser de donner des valeurs nominales condition d tablir des proc dures four nissant au pilote les l ments d appr ciation des conditions d utilisation qui lui garantissent qu il ne sorte pas du domaine de vol sp cifi Les conditions d utilisation et les limites associ es ne peuvent sortir du cadre des conditions de vol d montr es par le constructeur 4 1 2 Cas des ULM de classe 1 Les conditions d utilisation et les limites associ es notamment de masses sont caract ristiques d une voilure donn e sans consid ration d un type de chariot ou de sellette pr cis ou d une motori sation pr cise Le construct
195. luation de la s curit des trans ports guid s et de la formation restreinte de cette m me commission au titre des personnes quali fi es d sign es conjointement par le ministre charg des transports et par le ministre charg de la s curit civile MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 2 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Administration g n rale MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Secr tariat g n ral Arr t n 2012 004 du 22 f vrier 2012 portant modification d inscription au tableau d avan cement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 NOR DEVK1204919A Texte non paru au Journal officiel La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 2005 631 du 30 mai 2005 modifi portant statut particulier du corps des ing nieurs des travaux publics de l Etat Vu l arr t du 19 d cembre 2008 modifiant l arr t du 2
196. luation des cons quences doit id alement commencer alors que les actions tendant ma triser l v nement initial ne sont pas termin es Pour autant d autres actions d acquisition d informations peuvent tre lanc es et des premi res mesures de gestion peuvent tre mises en place Il faut donc tre vigilant ce que les deux cellules d urgence et de post accident tech nologique ne se g nent pas durant cette phase d valuation mais qu au contraire elles se compl tent et partagent leurs informations Pour assurer au mieux cette mission d valuation la cellule post accident technologique doit notamment conduire les actions suivantes recueillir les informations pertinentes en provenance de la cellule de crise nature de l accident type de produits identifi s identification des enjeux situ s proximit du lieu de l accident mesures d intervention mises en uvre actions de protection des populations ventuellement mesures dans l environnement r alis es par les pompiers ou sur un r seau d une association agr e de surveillance de la qualit de l air AASOA situ proximit partager les informations d tenues par les diff rents membres de la cellule de gestion d urgence d finir les objectifs des campagnes de pr l vements dans les milieux environnementaux r aliser rapidement en fonction des enjeux locaux population usages et les faire r aliser par le responsable de l activit
197. mmission administrative paritaire n 19 Vu l avis conforme de la ministre du budget des comptes publics et de la r forme de tat porte parole du Gouvernement et du ministre de la fonction publique en date du 30 janvier 2012 fixant les taux de promotion dans les corps du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement Arr te Article 1 Sont inscrits par ordre alphab tique au tableau d avancement au titre de l ann e 2012 pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l tat les ing nieurs des travaux publics de l Etat dont les noms suivent 1 AIM Thierry 2 APPRIOU Philippe 3 ARKI Fabrice 4 ARNAUD Patrice 5 AVERSENG Antoine 6 BAILLARGUET Sabine 7 BAILLY Claude 8 BARBE BARRAILH Marie Fran oise 9 BASTIDE Christian 10 BELLAAMARI Mohamed 11 BELZ Patrice 12 BERGER David 13 BERGER Patrick 14 BERNARDIN Fr d ric 15 BERTRAND Alain 16 BEVERINA Jean Luc 17 BIGOT Joel 18 BILLON Virginie 19 BLONDEL Nicolas 20 BORDAGARAY Th r se 21 BOUDAUD Jean Roger MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 4 Libert galit Fraternit MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Fe Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49
198. n civile DSAC est l autorit ex cutant les dispositions de l arr t du 23 septembre 1998 modifi soit l chelon central DSAC EC soit au niveau interr gional DSAC IR Dans cette instruction le terme organisme d signe les organismes techniques habilit s par le ministre charg de l aviation civile en application des articles L 133 4 et R 133 5 exercer des contr les et des v rifications dans le domaine de la s curit de l aviation civile MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 88 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E oO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direttori de l information l gale et administrative Premier ministre La DSAC peut confier certaines des t ches l organisme 1 Pr ambule L ULM est caract ris par 1 Un principe simple de conception 2 Une robustesse g n rale d montr e 3 Une aptitude d volution moteur arr t suffisante pour r aliser un atterrissage en campagne dans des conditions de s curit satisfaisantes 4 Un pilotage facile qui ne demande pas de qualit s exceptionnelles de la part du pilote 5 Un entretien simple Toutes les parties de l ULM sont facilement accessibles et visibles Cet entretien est normalement confi au d tenteur de la carte d identification qui peut faire appel au constructeur ou un professionnel si cette op
199. n des services de la navigation a rienne D cide Article 1 Les articles 11 et 17 de la d cision n 11 0089 du 26 mai 2011 sont modifi s ainsi qu il suit Art 11 Au service de la navigation a rienne Centre Est SNA CE d l gation de signature est donn e l effet de signer dans la limite de leurs attributions respectives tous actes ou pi ces admi nistratives li s l ex cution des recettes et des d penses du budget annexe contr le et exploitation a riens Mme Sylvie Chambon ing nieure principale des tudes et de l exploitation de l aviation civile M Alain Genia ing nieur principal des tudes et de l exploitation de l aviation civile compter du qe avril 2072 Mme Monique Henriot attach e principale d administration de l aviation civile M Daniel Bour assistant d administration de l aviation civile de classe exceptionnelle Art 17 Au service de la navigation a rienne Sud SNA S d l gation de signature est donn e l effet de signer dans la limite de leurs attributions respectives tous actes ou pi ces administra tives li s l ex cution des recettes et des d penses du budget annexe contr le et exploitation a riens Mme Evelyne Berthou ing nieure en chef du contr le a rien M Jean Marc Pipet conseiller d administration Mme Sandrine Berc assistante d administration de l aviation civile de classe exceptionnelle Article 2 La pr sente d cision
200. nce T l 33 0 1 10 81 21 22
201. nce des mat riaux d origine a ronautique dont les caract ristiques sont garanties et la qualit contr l e avant livraison La conformit des mat riaux doit tre d clar e 7 5 3 Coefficients de s curit Les mat riaux choisis doivent garantir une contrainte rupture sup rieure ou gale 1 5 fois la contrainte limite lastique retenue dans le dossier de calcul et sp cifi e par le fournisseur Pour certains l ments ce coefficient de s curit de 1 5 est multipli par 2 soit un coefficient de s curit de 3 au minimum par rapport aux charges limites pi ces coul es pi ces sujettes d montages fr quents par exemple transport c bles structuraux ou de commande de vol l ments de commandes de vol pi ces soumises fatigue importante Pour les pi ces travaillantes en mat riaux composites ce coefficient de s curit peut tre ramen 2 si les essais justificatifs la qualit des mat riaux les conditions de mise en uvre et le contr le de la qualit des fabrications sont garantis par le responsable des fabrications 7 5 4 Coefficient de matage Le respect de ce crit re vite l ovalisation des al sages ou l crasement des pi ces en cours d utili sation On v rifie que les pi ces soumises rotation chocs ou vibrations pr sentent au niveau de l l ment d assemblage boulon par exemple un coefficient de matage de 1 33 la contrainte sur la surface projet
202. ne r f rence pour viter toute ambiguit ou toute ressem blance avec un appareil existant Une modification du profil ou de la surface portante d une voilure impose en particulier de fixer une r f rence diff rente Le constructeur doit galement fixer des indices successifs dans la r f rence de ses appareils pour identifier clairement toute modification importante apport e l appareil par exemple changement de moteur modification de la surface portante changement de mat riaux 8 Transition li e l arr t du 15 mars 2011 modifiant l arr t du 23 septembre 1998 cit en r f rence L arr t du 15 mars 2011 a modifi les conditions de d livrance des cartes d identification des para moteurs classe 1 L article 13 de l arr t du 15 mars 2011 modifiant l arr t du 23 septembre 1998 cit en r f rence permet de conserver les anciennes cartes qu elles soient de classe 1 ou de sous classe 1A selon l ancienne version de l arr t II n y a pas d obligation de les convertir selon le nouveau syst me mis en place tant que la voile reste inchang e En revanche tout d tenteur d une carte d identification d livr e selon les dispositions de l ancienne r daction de l arr t peut volontairement appliquer les nouvelles dispositions et obtenir une nouvelle carte d identification 2 Selon l article 14 de l arr t du 15 mars 2011 modifiant l arr t du 23 septembre 1998 cit en r f rence pour toute voi
203. nementaux et sanitaires en situation post accidentelle avec les services de l Etat concern s Les guides et plus largement les outils mis disposition feront l objet d volutions r guli res au vu de vos observations et du retour d exp rience tir de la gestion des v nements r cents ou venir Nous vous remercions de bien vouloir nous faire part sous les pr sents timbres de toute difficult rencontr e ou de toute suggestion d am lioration La pr sente circulaire sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Le 20 f vrier 2012 Pour la ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement et par d l gation Le directeur g n ral de la pr vention des risques Le secr taire g n ral J F MONTEILS L MICHEL Pour le ministre de l int rieur de l outre mer des collectivit s territoriales et de l immigration et par d l gation Le pr fet directeur g n ral de la s curit civile et de la gestion des crises J P KIHL Pour le ministre du travail de l emploi et de la sant et par d l gation Le directeur g n ral de la sant J Y GRALL Pour le ministre de l agriculture de l alimentation de la p che de la ruralit et de l am nagement du territoire et par d l gation Le directeur g n ral de l alimentation P DEHAUMONT MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 64 ES
204. nstallation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t Dalkia Biomasse Atlantique Industrie exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la soci t Dalkia Biomasse Atlantique Finist re exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 TXTJO Page 2 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE EX T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant la Compagnie de cog n ration de la Braye CCB exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant Cog n ration Biomasse de Novillars SAS exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant Cog n ration Biomasse d Haubourdin SAS exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vrier 2012 autorisant Cog n ration Biomasse de Verdun SAS exploiter une installation de production d lectricit Journal officiel du 14 mars 2012 Arr t du 29 f vr
205. nt l Agence nationale de l habitat pour le soutien l am lioration du parc priv Journal officiel du 14 mars 2012 Infrastructures transports et mer D crets D cret n 2012 313 du 5 mars 2012 relatif aux obligations des percepteurs de p age des prestataires et des utilisateurs du service europ en de t l p age Journal officiel du 7 mars 2012 D cret n 2012 314 du 5 mars 2012 relatif aux modalit s de perception du p age pour les v hicules de transport de marchandises par route non munis d un quipement embarqu d identification et de perception du p age Journal officiel du 7 mars 2012 D cret n 2012 315 du 5 mars 2012 relatif aux modalit s de perception du p age pour les v hicules de transport de personnes par route Journal officiel du 7 mars 2012 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 TXTJO Page 4 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE 4 DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Arr t s Arr t du 1er mars 2012 modifiant l arr t du 22 f vrier 2011 portant octroi d une licence d entreprise ferroviaire Journal officiel du 9 mars 2012 Aviation civile Arr t s Arr t du 24 f vrier 2012 modifiant l arr t du 22 novembre 2002 relatif aux proc dures de certification des a ronefs produits et pi ces d a ronefs JAR 21 Journal officie
206. ntant l aviation civile M Frantz CHOUT est nomm membre titulaire en remplacement de M Jean Yves PIERI M Thierry LEMPEREUR est nomm membre suppl ant en remplacement de Mme Genevi ve EYDALEINE Article 3 Le paragraphe c du section des essais et r ceptions de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit c Membres repr sentant l industrie a ronautique M Patrick BREMOND est nomm membre titulaire en remplacement de M Didier GUERIN M Hugues VAN DER STICHEL est nomm membre titulaire en remplacement de M Claude LELAIE M Patrick du CHE est nomm membre suppl ant en remplacement de M Hugues VAN DER STICHEL MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 34 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT AE R Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 4 Le paragraphe a du Il section du transport a rien de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit a Membres repr sentant l aviation civile M Thierry LEMPEREUR est nomm membre suppl ant en remplacement de Mme Genevi ve EYDALEINE Article 5 Le paragraphe c du Il section du transport a rien de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit c Membres repr
207. nue par le ministre pour la mise en uvre des dispositions dont il s agit Domaine transport quipement logement tourisme mer Mots cl s liste ferm e lt Transports_ActivitesMaritimes_Ports_Navigationinterieure gt Mots cl s libres ULM R f rences Code de l aviation civile Arr t du 23 septembre 1998 modifi relatif aux a ronefs ultral gers motoris s Circulaire abrog e instruction du 24 ao t 2011 relative aux a ronefs ultral gers motoris s Date de mise en application applicable la date d applicabilit de l arr t du 21 f vrier 2012 modi fiant l arr t du 23 septembre 1998 relatif aux a ronefs ultral gers motoris s NOR DEVA1203652A Annexes Annexe l ments constitutifs d une demande de carte d identification ULM Annexe ll l ments d une carte d identification ULM Annexe Ill l ments constitutifs d une demande de fiche d identification Annexe IV l ments constitutifs d une fiche d identification Annexe V El ments descriptifs pour les ULM de classe 1 Annexe VI Contenu type d un manuel d utilisation d ULM La pr sente instruction est prise pour application de l arr t du 23 septembre 1998 modifi relatif aux a ronefs ultral gers motoris s Elle a pour objet de donner des l ments portant sur la d finition des ULM et leur proc dure d autorisation de vol D finition pr liminaire La direction de la s curit de l aviatio
208. obilis s en urgence et des op rateurs concern s par l v nement Globalement la mise en place de la cellule post accident technologique sa composition et son fonctionnement doivent tre proportionn s aux enjeux de l accident En pratique le sch ma th orique propos i d clenchement de la cellule de crise du centre op rationnel d partemental puis ii d clenchement de la cellule post accident technologique devrait tre limit quelques situations dans l ann e l chelle nationale En revanche il est probable que la cellule post accident technologique soit activ e plus fr quemment pour des v nements de moindre ampleur qui n ont pas n cessit la mise en place de la cellule de crise du centre op rationnel d partemental 1 DREAL direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement 2 DDCSPP direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations 3 DRAAF direction r gionale de l alimentation de l agriculture et de la for t 4 ARS agence r gionale de sant MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 74 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Le retour d exp rience de ce type d v nement fait ressorti
209. odifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 2004 1105 du 19 octobre 2004 relatif l ouverture des proc dures de recrutement dans la fonction publique de l Etat Vu le d cret n 2011 1139 du 21 septembre 2011 relatif au statut particulier des techniciens sup rieurs de la m t orologie Vu l arr t du 16 d cembre 2003 fixant les modalit s d organisation et le programme du concours interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de la m t orologie Vu l arr t en date du 24 f vrier 2012 autorisant au titre de l ann e 2012 l ouverture d un concours interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de la m t orologie D cide Article 1 Le jury du concours interne pour le recrutement de techniciens sup rieurs de la m t orologie au titre de l ann e 2012 ouvert par l arr t susvis est compos comme suit Pr sident M Didier REBOUX ing nieur en chef des ponts des eaux et des for ts Vice pr sident M Guy LACHAUD ing nieur divisionnaire des travaux de la m t orologie Membres et examinateurs Mme Barbara BOURDELLES ing nieure des travaux de la m t orologie M Mathias MIGUET professeur certifi de philosophie Examinateurs Mme Marie No lle BONNIFASSY professeure certifi e en anglais Mme Patricia GIR
210. on TRI puis la r alisation des travaux de cartographie des risques d inondation pour ces territoires constituent une priorit forte d action pour 2012 et 2013 Pour l chelon central en concertation avec les services de l tat et ses partenaires l effort portera sur la finalisation de la m thodologie mettre en uvre pour r aliser la cartographie sur la d termi nation et la mise au point des outils utiliser en plus des outils disponibles localement notamment pour la diffusion des cartes En parall le l acquisition de donn es topographiques fines se poursuit avec l Institut national de l information g ographique et forresti re et constitue toujours un objectif prioritaire Comme les ann es pr c dentes cela se traduira le cas ch ant par la signature de conventions DREAL IGN pour l acquisition de ces donn es L animation de la commission mixte inondations CMI instance partenariale de pilotage de la poli tique de gestion des inondations au niveau national constitue galement un objectif prioritaire de la DGPR MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 110 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT rm Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative La finalisation du guide m thodologique relatif l laboration des plans de pr vention
211. on d finir la strat gie r gionale pour la pr vention des risques en montagne et veiller la mise en uvre des missions d finies dans la convention cadre nationale pour les actions relevant du niveau territorial P renniser la tenue des clubs risques montagne 5 2 Pour les r gions sensibles aux feux de for ts Aquitaine Languedoc Roussillon Provence Alpes C te d Azur Corse Am liorer la connaissance et l information pr ventive port connaissance Dans les zones forts enjeux laborer une strat gie r gionale de pr vention 5 3 Pour toutes les r gions Am liorer la connaissance et l information pr ventive port connaissance du risque mouvement de terrain Dans les zones forts enjeux MVT laborer une strat gie de pr vention et r aliser des PPR Plan national cavit s mettre disposition une information jour sur la pr sence des cavit s et participer l am lioration de la banque de donn es cavit s 6 Pr vision des crues et hydrom trie bassins r gions d partements R sum poursuivre l volution de l organisation des services assurer un fonctionnement op ra tionnel optimal renforcer le travail en r seau avec le SCHAP I les autres SPC ou unit s d hydrom trie UH et contribuer au d ploiement des outils de deuxi me g n ration en cours de d veloppement ainsi qu la d finition des nouveaux services et au d but de leur mise en place 1 Poursuivre l
212. on plus fine de l impact de l accident sur l environnement et les populations de d cider des mesures de gestion mettre en uvre pour limiter les impacts diff r s de l accident Cette structure de coordination a un r le de proposition et de concertation vis e op rationnelle quant aux mesures de gestion mettre en uvre par le s service s de l Etat comp tent s la r ali sation des actes administratifs reste la charge du des service s administratif s comp tent s Dans les situations n cessitant une coordination au niveau national un groupe de travail d expertise nationale peut tre mise en place pour organiser les r ponses apporter aux acteurs locaux Cette structure nationale assure la coordination interminist rielle environnement agriculture et sant des r ponses apporter la cellule locale en liaison avec les agences nationales comp tentes INERIS ANSES InVS Elle assure par ailleurs la coh rence gouvernementale de la communication au niveau national sur tous ces sujets I 3 Organisation et composition de la cellule post accident technologique Il appartient au pr fet de d cider au cas par cas de l activation de cette structure en se basant sur une valuation de l impact sanitaire et environnemental de l accident et en s appuyant sur l avis des services de l Etat dans le cas d un v nement ayant n cessit la mise en place d un centre op rationnel d parte mental COD en phase d
213. oncernant les risques li s l alcoo l mie l usage de stup fiants la prise de m dicaments au stress la fatigue l usage du t l phone portable MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 15 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative aux diff rents types d engins de manutention et de chargement et pouvoir mettre en place des proc d s donner des consignes concernant le chargement et le d chargement des marchan dises E D VELOPPEMENT DURABLE Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux pr cautions prendre en cas de garage atelier int gr stockage des pneumatiques des huiles us es batteries aux mesures concernant l limination des rejets de produits polluants eau de lavage des v hi cules fuites d huile ou de carburant l engagement des professionnels du transport r duire les missions de CO charte Objectif CO MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 16 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administr
214. onditions techniques applicables r alisation du programme de d monstration de conformit associ ces conditions la d tention du dossier technique constructeur Elle est accompagn e des l ments descriptifs suivants masse maximale masse vide de r f rence masse vide maximale Vso NE r nombre de si ge s capacit des r servoirs type de moteur consommation horaire et limitations type d h lice et limitations type de voilure ou rotor s surface alaire surface rotorique principale ou volume de l enveloppe liste des activit s particuli res pr vues par le constructeur r f rence du manuel de maintenance r f rence du manuel d utilisation 2 la r ception du formulaire renseign le ministre charg de l aviation civile d livre au postulant la fiche d identification accompagn e d une note pr cisant que 1 La fiche est d livr e en consid ration de la d claration du postulant sans que cette d cla ration ait fait l objet d une v rification particuli re par les services de l aviation civile et que le postulant assume donc en cons quence totalement les responsabilit s associ es 2 En cas de fausse d claration le postulant est passible des dispositions de l article 441 1 du code p nal 3 Le ministre charg de l aviation civile peut faire effectuer la surveillance qu il juge n cessaire par des personnes ou organ
215. ons agricoles l abattage d animaux provenant d levages contamin s et la destruction des aliments impropres la consommation ainsi que des actions de suivi de r habilitation des compartiments environnementaux eau sol et des cosyst mes ou d faut des recommandations par exemple l pluchage et ou le nettoyage des productions de jardin En cas d accident pouvant conduire une mission notable de substances toxiques dans l envi ronnement ou avoir des cons quences sanitaires et sociales importantes la mise en place au niveau local sous votre autorit d une structure de coordination charg e d valuer et de g rer de telles cons quences environnementales et sanitaires appel e cellule post accident technologique peut MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 63 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT S Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative s av rer n cessaire l image de ce qui est mis en place dans le cadre de la gestion de la phase d urgence d un accident industriel Cette structure peut en fonction des situations accidentelles et des enjeux associer les services en charge des installations class es de la sant de l agriculture de l alimentation de la protection des populations et de la police de l eau En outre pour p
216. p tences diverses Dans un premier temps il est important que les services concern s par la composition de la cellule aient le r flexe de rentrer en contact d s le constat d une situation accidentelle II peut tre suffisant de pr voir des points d informations r guliers entre services sans forc ment constituer formellement la cellule La cellule post accident technologique est plac e sous l autorit du pr fet Son fonctionnement et sa composition sont modulables en fonction des enjeux et des phases de gestion de l v nement Le mode de fonctionnement de la cellule peut s appuyer au d but de l accident sur des r unions fr quentes journali res ou bihebdomadaires pour g rer la situation de crise puis voluer sur un mode de r union plus souple mais avec des points r guliers et formalis s hebdomadaire ou MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 71 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S D DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Liben kalt gt Pr os RS Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative bimensuel entre les diff rents services concern s afin de suivre et partager l avanc e des investiga tions et travaux de chacun Il est envisageable dans les cas simples de cr er une structure tota lement d mat rialis e En cas d impacts majeurs et multisectoriels un pilotage centralis par le
217. pants la mission de r alisation de pr l vements conservatoires et conform ment au paragraphe lIll 1 c le financement de ces derniers est leur charge sauf accord local particulier En tout tat de cause une fois les pr l ve ments r alis s le service d incendie et de secours remet ces derniers aux services d concentr s de l Etat comp tents ou au responsable de l activit concern e sous le contr le de ces m mes services et ne participe pas aux frais d coulant de la suite de la proc dure Il est rappel que ces pr l ve ments conservatoires ne peuvent tre r alis s par les services d incendie et de secours que durant la phase d intervention de ces derniers et en marge de la mission de secours e Partage des donn es Il est souhaitable que les donn es recueillies par les diff rents services r sultats des pr l vements sur les milieux environnementaux les produits alimentaires les denr es animales les aliments pour animaux fourrage ensilagel soient coupl es des coordonn es g ographiques pour permettre la mise en place ventuelle d un syst me d information g ographique SIG commun Dans tous les cas les r sultats sont transmis et suivis par la cellule post accident technologique L ensemble des r sultats ainsi recueillis doit permettre aux services de l Etat de proposer au pr fet les mesures de gestion appropri es pour ma triser les impacts court moyen et long terme confor m ment aux r glem
218. pe LEVASSORT Vanessa LIENARD Sandrine LOPEZ Sylvain MAGNE Roland MAJOURAU Solange MAKHLOUFI Mustapha Direction de l information l gale et administrative MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 6 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative 138 MANZANO Philippe 139 MARC Jean Raymondi 140 MARCHAND Guy 141 MARTIN Didier 142 MASSON Marie C line 143 MASSONIE TARDIF Delphine 144 MATRINGE Laurence 145 MATTELIN Patrick 146 MAUBECO Bernard 147 MENIGOZ Virginie 148 METAYER Guillaume 149 MICHALET Jacques 150 MICHEL Cyril 151 MIMAUD Patrick 152 MOGICA Marc 153 MOISAN Jean Bernard 154 MOMPART Sylvie 155 MONS Denis 156 MONTEL Nathalie 157 MOREIRA Sylvain 158 MORTEMOUSOUE Jean Marie 159 MOURAS Philippe 160 MURARD Fr d ric 161 NERARD Marie Pierre 162 OGER CUL Patrice 163 OLIER Nicole 164 OLIVEROS TORO Guglielmina 165 ORTIZ Rafa l 166 PASCAL Nancy 167 PANCHER Daniel 168 PARTOUT Philippe 169 PAYET Philippe 170 PEREZ Jean Simon 171 PICHEREAU Jean Pierre 172 PICHOT David 173 PIERROT Michel 174 PILLANT Fran ois 175 POIRIE Jean Marc 176 POMPORTES Alain 177 PONS Fr
219. poursuite des plans grands fleuves ainsi que la pr figuration de leurs suites ventuelles apr s 2013 doit tre men e en veillant la bonne articulation et en coh rence avec les PAPI proches avec les actions du plan submersions rapides PSR mais aussi avec le cadre global de la strat gie nationale de gestion des risques inondation en cours de d finition conform ment la volont du l gislateur dans la transposition fran aise de la directive inondation Les PAPI issus du nouvel appel projets 2011 par principe pr figurent les futures strat gies locales qui devront tre mises en uvre pour atteindre les objectifs fix s par les plans de gestion des risques d inondation PGRI Ces strat gies locales labor s pour ces nouveaux PAPI auront une forme la plus proche possible de celles qui seront finalis es dans le cadre de la mise en uvre de la directive inondation ainsi qu en mati re de gouvernance leur suivi rev t donc une importance parti culi re 5 Pr vention des risques naturels terrestres r gions et d partements R sum mettre en place les politiques publiques de pr vention des risques naturels terrestres selon les strat gies r gionales d finies et en ad quation avec les moyens mobilisables 1 Ces sujets font actuellement l objet d une reflexion entreprise au plan national MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 113 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo
220. pr fet conduit par le SIDPC est fortement souhaitable Dans l hypoth se d impacts moindres ou plus sp cifiques domi nante environnementale ou sanitaire le pilotage pourra ventuellement tre confi au service le plus comp tent en la mati re MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 72 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Quantification des cons quences Identification des enjeux MISSION D EVALUATION Gestion des cons quences n cessaire Gestion des cons quences multi services MISSION DE GESTION Maintien de la cellule post accident Suivi assur par le s service s concern s sans cellule post accident LA RETOUR A LA NORMALE Sch ma 2 Illustration des missions de la cellule post accident technologique et des volutions de cette structure MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 73 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET oOo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT en Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Cette structure est modulable en fonction des enjeux et de la phase consid r e Elle int gre les servi
221. pr sence de haubans ou de longerons non sym triques les pales d un rotor et leurs fixations articulations et but es le mat d un rotor les empennages les si ges les commandes de vol essais r alis s avec les parties mobiles bloqu es le b ti moteur les supports r servoirs Lors de ces essais la pr sence d un observateur ind pendant la r alisation de films vid o ou de photos seront des l ments de preuve de la r alisation correcte des essais Dans le cas de construction en s rie on fera les essais aux charges extr mes et ventuellement jusqu rupture pour conna tre la marge r elle de s curit de l ULM de r f rence c Toutefois pour les constructeurs amateurs la r sistance structurale de l ULM n a pas tre d montr e globalement Elle se limitera ventuellement des prouvettes repr sentatives sur les l ments nouveaux Egalement dans le cas d un kit ou d une construction sur plans aucun essai statique n est impos si la construction est conforme celle de l ULM de r f rence d Les essais statiques n cessaires pour couvrir les diff rentes limites du domaine de vol peuvent tre d compos s en plusieurs essais partiels avec des chargements appropri s chaque cas La mise en uvre du chargement doit tre le plus repr sentatif de la r alit car l essai peut tre compl tement fauss par un mauvais principe de chargement Le chargement tient compte des masses du ou des passagers
222. pr sentant b En qualit de repr sentants du personnel Membres titulaires Christian MARTIN FO Didier TRICHE FO Jean Marc FIGUIERE FO Rachid SEBAHI FO Membres suppl ants Yann LAVEILLE FO Christian DELMAERE FO Mme Josette LAME FO Mme Agn s HERTLING FO gg lt lt lt lt Article 2 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 10 f vrier 2012 Pour le directeur de l Ecole nationale de l aviation civile et par d l gation Le secr taire g n ral G LE BRETON MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 20 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET kO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Re Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Ecole nationale de l aviation civile D cision n ENAC DG 13 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique sp cial de l Ecole nationale de l aviation civile sur le site de Biscarrosse NOR DEVA1201746S Texte non paru au Journal officiel Le directeur de l Ecole nationale de l aviation civile Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires
223. premier dossier technique constructeur 6 2 Carte d identification provisoire La DSAC IR d livre une carte d identification provisoire et notifie les marques d identification provi soires Les marques d identification provisoires sont celles vis es l article 5 2 de l arr t du 23 septembre 1998 pr c d es de la lettre W Dans le cas des ULM voilure souple classes 1 et 5 et des sous classes l apposition de la lettre W sur la voilure est facultative Ces marques ne peuvent tre utilis es que pour effectuer les preuves en vol permettant de constituer ou de modifier le dossier technique constructeur La dur e de validit des marques d identification provisoire est d un an non renouvelable sauf d rogation accord e par le ministre charg de l aviation civile 6 3 Carte d identification La carte d identification est d livr e par le ministre charg de l aviation civile et contient les l ments figurant en annexe ll 6 4 Date de validit de la carte d identification La dur e de validit de la carte d identification est de vingt quatre mois Dans le cas de la d livrance la validit court compter de la date de demande de la carte d identi een jusqu la fin du vingt quatri me mois qui suit le mois au cours duquel cette demande a t aite Dans le cas du renouvellement d une carte dont la validit a expir la validit court compter de la date de demande de renouvellement de la carte d identif
224. quages sont conformes en tous points aux mod les d pos s lors de la demande d agr ment aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par l article 39 de l arr t du 4 mai 2010 susvis En particulier la masse moyenne de mati re active de chaque artifice telle qu elle appara t dans les dossiers tech niques pr sent s par le titulaire des agr ments est indiqu e sur l tiquette sous la forme MA xxxxx g dans laquelle xxxxx repr sente la valeur en grammes de cette masse de mati re active Cette quantit peut tre exprim e en mg ou en kg en fonction de la masse de l artifice Article 6 Les pr sents agr ments sont donn s sans pr judice des autres dispositions r glementaires appli cables ces produits notamment en mati re de transport de conservation de vente et d utilisation MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 45 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT en a mt Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 7 Les agr ments ci dessus sont valables jusqu au 4 juillet 2017 Article 8 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 23 f vrier 2012 Pour la ministre et par d l gation L ing nie
225. ques d application de ces dispositions aux r gles applicables en mati re de qualification initiale et de formation continue des conduc teurs et notamment celles d coulant de la directive 2003 59 CE du Parlement europ en et du Conseil C GESTION COMMERCIALE ET FINANCI RE DE L ENTREPRISE Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux diff rents l ments du prix de revient de son entreprise co ts fixes co ts variables fonds d exploitation amortissements etc et pouvoir calculer les co ts par v hicule au kilom tre au voyage ou la tonne D ACC S AU MARCH Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux r glementations professionnelles r gissant les transports par route pour le compte de tiers la location de v hicules industriels et la sous traitance et notamment les r gles relatives l organisation officielle de la profession son acc s aux autorisations pour les transports par route intracommunautaires et extracommunautaires aux contr les et aux sanctions aux diff rents documents requis pour l ex cution des services de transport par route et pouvoir mettre en place des proc d s de v rification pour assurer la pr sence tant dans l entreprise qu bord des v hicules des documents conformes se rapportant chaque transport effectu notamment les documents relatifs au v hicule au chauffeur la marchandise aux formalit s lors du passage
226. ques respecte en outre les tol rances fix es par l article 37 de l arr t du 4 mai 2010 susvis Article 3 Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les notices et modes d emploi des artifices de divertissement commercialis s donnent toutes indications n cessaires en fran ais pour la pr pa ration et l ex cution des tirs de fa on garantir la s curit des personnes qui en sont charg es ainsi que celle du public MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 42 pE bo MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET kO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Re Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Ces indications comprennent en particulier les prescriptions relatives aux mesures prendre en cas d incident de tir ainsi que les distances de s curit respecter Article 4 Le titulaire des pr sents agr ments est tenu de v rifier la conformit des produits import s avec les mod les agr s selon son plan qualit Ce plan d termine notamment les plans d chantil lonnage et les fr quences de contr le Article 5 Le titulaire des pr sents agr ments s assure que les tiquettes et marquages sont conformes en tous points aux mod les d pos s lors de la demande d agr ment aux exigences r glementaires en vigueur notamment celles pr vues par l article 39 de l arr t du 4 mai 2010 susvis
227. r venir ces cons quences environnementales sanitaires et conomiques ou le cas ch ant pour tablir les causes et les responsabilit s lors de la survenue d un accident des mesures simples d valuation de l ampleur de la contamination via notamment la r alisation de pr l vements dans les milieux ou matrices environnants doivent tre mises en uvre le plus rapidement possible Le guide joint la pr sente circulaire a t con u comme un document d l ments de doctrine l attention des services de l Etat sur la gestion des impacts environnementaux et sanitaires en situation post accidentelle II constitue une aide la mise en place d une structure de coordination la cellule post accident technologique et la mise en uvre des premi res actions de pr l ve ments d analyses et d expertises n cessaires la d termination des impacts de l accident sur l envi ronnement et sur la sant Il r pertorie galement les ressources et appuis techniques qui sont aujourd hui mis votre disposition au niveau national pour faciliter la mise en uvre de ces mesures Il a t compl t par un guide sp cifique l attention de l inspection des installations class es Afin d assurer une d clinaison efficace et op rationnelle au niveau local nous vous recommandons d initier l chelle r gionale et ou d partementale d but 2012 une r flexion sur l organisation mettre en place pour la gestion des impacts environ
228. r 2012 portant nomination la Commission nationale d valuation de la s curit 2 des transports guid s 3 f vrier 2012 D cision du 3 f vrier 2012 relative la liste des mati res pour la formation d actualisation des 12 connaissances du gestionnaire de transport 10 f vrier 2012 D cision n ENAC DG 12 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique 20 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le site de Saint Auban D cision n ENAC DG 13 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique 21 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le site de Biscarrosse D cision n ENAC DG 14 du 10 f vrier 2012 portant composition nominative du comit technique 22 sp cial de l cole nationale de l aviation civile sur le site de Carcassonne 15 f vrier 2012 D cision n VAL 2012 12 du 15 f vrier 2012 portant d l gation de signature du pr sident directeur 24 g n ral de la RATP au directeur du d partement valorisation immobili re achats et logistique 25 MARS 2012 MEDDTL n 2012 5 SOMCHR Page 1 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPEMENT DURABLE EX T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a Premier ministre EE Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative 17 f vrier 2012 D cision n 07 CRNA SE SA du 17 f vrier 2012 fixant la composition du comit d hygi ne
229. r la pertinence de mettre en place une structure de coordination la cellule post accident technologique constitue un lieu privil gi d change d informations et de prise de d cisions pour le pr fet et les services de l Etat Ceci doit permettre aux services de l Etat concern s d assurer correctement leurs missions r galiennes de protection et de s curit Le format de cette structure et notamment la p riodicit laquelle elle se r unit est adapter en fonction de la gravit de l v nement Quelles sont les fonctions op rationnelles de cette cellule Partage de renseignements d int r t sanitaire environnemental et conomique Planification pr paration et concertation sur les mesures de gestion Mise disposition des moyens logistiques et financiers Communication des informations aux diff rents acteurs Point de situation grand public et synth se bilan REX SE Eu l 4 Actions mener par la cellule post accident technologique a Evaluation des cons quences de l accident Un des points cl s de cette action d valuation repose sur la meilleure articulation possible entre la cellule en charge de la phase d urgence et celle en charge de la phase de gestion post accident Toutes ces actions sont conduites par les services d concentr s de l Etat et les autres services concern s agences r gionales de sant SDIS via les deux cellules de gestion ad hoc plac es sous l autorit du pr fet L va
230. remier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 4 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 15 f vrier 2012 Le pr sident directeur g n ral de la RATP P MONGIN MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 25 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert galit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile D cision n 07 CRNA SE SA du 17 f vrier 2012 fixant la composition du comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail sp cial CHSCT S du centre en route de la navigation a rienne Sud Est CRNA SE direction g n rale de l aviation civile direction des services de la navigation a rienne NOR DEVA1205678S Texte non paru au Journal officiel Le chef du centre en route de la navigation a rienne Sud Est Vu la loi n 83 634 du 13 juillet 1983 modifi e portant droits et obligations des fonctionnaires ensemble la loi n 84 16 du 11 janvier 1984 modifi e portant dispositions statutaires relatives la fonction publique de l Etat Vu la loi n 2010 751 du 5 ju
231. rizontal correspondant la charge maximale appliqu e de 100 d un c t et de 70 du c t oppos une charge combin e de 75 sur l empennage horizontal et 100 sur l empennage vertical 7 5 Dossier de calcul et pr cautions de conception 7 5 1 Facteurs de charge Les charges limites pour les ULM de classe 2 et 3 sont gales 4 g et 2 g et pour les ULM de classe 1 4 et 6 sont gales 3 5 g A ces valeurs les commandes de vol doivent rester libres et la structure ne doit pas pr senter de d formations permanentes apr s l application des charges limites MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 96 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT S Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Un coefficient global de s curit au minimum de 1 5 dans le cas g n ral parfois sup rieur en fonction des mat riaux utilis s sera appliqu aux charges limites pour le calcul des charges extr mes ces valeurs la structure ne doit pas se rompre mais peut pr senter des d formations apr s l application des charges La structure doit tenir au moins trois secondes aux charges extr mes Le dossier de calcul doit prendre en compte tous les cas pr visibles d utilisation de la machine 7 5 2 Choix des mat riaux On retiendra de pr f re
232. rs que dans un r le crucial de p dagogie et d infor mation de proximit aupr s des parties prenantes concernant dans un premier temps en 2012 l iden tification des TRI mais galement en continu sur les tapes ult rieures Le niveau d partemental se mobilise galement sous la coordination des DREAL et selon les orga nisations retenues dans les diff rents bassins et r gions pour la phase de cartographie pr vue par la directive inondation sur les TRI fourniture des donn es disponibles production de donn es compl mentaires selon les organisations retenues lien avec les collectivit s EPCI et syndicats La circulaire minist rielle du 5 juillet 2011 pr cise les modalit s de mise en place d une gouver nance de bassin pour la conduite de la politique de gestion des risques d inondation et constitue la r f rence pour conduire l action 3 Plans de pr vention des risques naturels d partements r gions et bassins pour les risques d inondation R sum prescrire et laborer les plans de pr vention des risques naturels prioritaires veiller la bonne conduite des proc dures dans les d lais r glementaires Faire usage de l tat des connaissances et de l article R 111 2 du code de l urbanisme dans les zones forts risques l o des PPRN ne sont pas encore applicables ou n apparaissent pas forcement justifi s Aujourd hui plus de 8920 communes sont couvertes par un plan de pr vention des risques naturels
233. s ou de r glements particuliers propos s par le postulant et accept s par le ministre charg de l aviation civile d Pour les sous classes le ministre charg de l aviation civile peut accepter comme d monstra tion de conformit les essais r alis s suivant d autres normes techniques de s curit 7 3 Exigences sp cifiques des preuves en vol 7 3 1 preuves en vol pour la classe 1 paramoteurs a Le paramoteur doit tre valu selon les crit res suivants la masse maximum 1 Comportement au gonflage caract ristique de l l vation douceur progressivit r gularit 2 Comportement au d collage technique de d collage sp ciale requise dans l affirmative la pr ciser dans le manuel d utilisation 3 Exploitabilit en vitesse en vol droit a Vitesse bras haut b Vitesse acc l r e le cas ch ant trim et ou acc l rateur c Vitesse de d crochage ou sinon vitesse minimale 4 Comportement lors d une mise en virage engag a Tendance au retour en vol droit spontan it b Nature des oscillations amortissement c Commandes de pilotage alternatives les identifier et pr ciser leurs positions 5 Comportement lors de l atterrissage a Comportement particulier b Technique d atterrissage sp ciale requise dans l affirmative la pr ciser dans le manuel d utili sation 6 Commandes de pilotage alternatives les identifier et pr ciser dans le manuel d utilisat
234. s et des restrictions en mati re de circulation en vigueur dans les diff rents Etats membres limita tions de vitesse priorit s arr t et stationnement emploi des feux signalisation routi re etc l laboration des consignes destin es aux conducteurs pour v rifier le respect des normes de s curit relatives l tat des v hicules de leur quipement et de leur chargement et concernant les mesures pr ventives qu il convient de prendre l laboration des proc dures suivre en cas d accident et mettre en uvre des proc dures appropri es pour viter la r p tition d accidents ou d infractions routi res graves MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 14 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E bO DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXE Il R F RENTIEL DES MATI RES POUR LA FORMATION D ACTUALISATION DES CONNAISSANCES DU GESTIONNAIRE DE TRANSPORT TITULAIRE D UNE ATTESTATION DE CAPACITE EN TRANSPORT ROUTIER LEGER DE MARCHANDISES R f rence article 5 de l arr t du 28 d cembre 2011 relatif aux gestionnaires de transport dans les entreprises de transport routier L ENTREPRISE ET SES SALARI S Le candidat doit actualiser ses connaissances relatives aux sources de la r glementation social
235. s s en accompagnement de la carte masse maximale masse vide de r f rence masse vide maximale Vso NE 7 nombre de si ge s capacit des r servoirs type de moteur consommation horaire et limitations type d h lice et limitations type de voilure ou rotor s surface alaire surface rotorique principale ou volume de l enveloppe liste des activit s particuli res pr vues par le constructeur r f rence du manuel de maintenance r f rence du manuel d utilisation MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 103 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Premier ministre ANNEXE V L MENTS DESCRIPTIFS POUR LES ULM DE CLASSE 1 Ces l ments se substituent ceux mentionn s aux annexes lll et IV Les l ments descriptifs d un paramoteur comprennent les informations suivantes masse maximale masse minimale mod le et r f rence de la voile d clar s par le fabricant surface plat de la voile r sistance minimale pour chaque point d ancrage limitations ventuelles du constructeur de la voile vis vis des GMP notamment puissance MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 104 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VEL
236. s et des intercomparaisons de capteurs en usage et de nouveaux apparaissant sur le march la mutualisation des sp cifications des v hicules de jaugeage et de leur quipement la mutualisation de l analyse des besoins et des outils existant pour la gestion et la mainte nance des mat riels hydrom triques de la part des UH et des SPC concern s la recette de la premi re phase Arlequin 1 de l interface de renseignement et d utilisation de la base de donn es Hydro et celle du super viseur national ou du superviseur Aquarel De la part de tous les SPC et UH avec les banques de donn es la mise en place d une administration des donn es g o localis es ADL concernant l ensemble du r seau PC amp H en lien avec les autres d marches cartographiques et d ADL dans le domaine des inondations et des risques naturels la mise en uvre de la directive venir du SPSSI sur la s curit informatique du syst me d information des services du r seau de pr vision des crues et d hydrom trie De la part des SPC impliqu s dans chacune des op rations aux retours d exp rience et aux exercices la mutualisation d l ments constitutifs de d marches qualit en pr vision des crues et vigi lance au niveau local la participation la pr paration de l volution des informations diffus es dans le cadre de la pr vision et de la vigilance pour les crues ainsi que des vol
237. s forc ment lieu de maintenir une cellule post accident tech nologique De m me lorsqu une gestion des cons quences s inscrit dans une d marche moyen ou long terme le r le de coordination de la cellule post accident technologique peut se r duire au fur et mesure du temps Ainsi on peut consid rer que la cellule post accident technologique est maintenue tant qu elle est n cessaire la gestion du post accident Sa disparition n est pas syst matiquement synonyme d arr t de la d marche mais correspond une nouvelle organisation cf sch ma 2 Les actions de gestion sont conduites par les services d concentr s de l tat et les autres services concern s agence r gionale de sant SDIS et coordonn es par la cellule post accident tech nologique plac e sous l autorit du pr fet et pilot e par le SIDPC Des tudes peuvent tre lanc es lorsque les rejets inh rents l accident ont cess Elles r pondent tout ou partie des objectifs suivants caract riser l extension g ographique d un marquage de l environnement d terminer la part de responsabilit de l v nement dans les contaminations observ es sur un territoire des personnes des compartiments environnementaux des produits animaux ou v g taux valuer l impact environnemental et sanitaire de l v nement r valuer les mesures de gestion prises pr ventivement en phase de suivi imm diat d finir les mesures de
238. s risques D cision n AD 2011 41 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement NOR DEVP1205696S La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu le code de la d fense notamment son article L 2352 1 Vu ee n 2010 455 du 4 mai 2010 relatif la mise sur le march et au contr le des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 relatif aux modalit s d homologation de marquage d tiquetage d utili sation et de manipulation des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 portant habilitation et agr ment de l INERIS Institut national de l envi ronnement industriel et des risques pour la mise en uvre des proc dures d valuation de la conformit des produits explosifs et pour proc der aux examens et preuves pr vus l article 35 du d cret n 2010 455 du 4 mai 2010 Vu la d cision du 26 janvier 2012 relative l agr ment du laboratoire d essais de la soci t Art Lab pour la r alisation des examens et preuves en vue de l agr ment des artifices de divertissement Vu le courrier du 9 janvier 2012 de la soci t Pirotecnia Igual mandatant la soci t Art Lab pour effectuer les d marches en vue de l obtention des agr ments des artifices de divertissement mentionn s dans les dossiers 0951GCH1 du 23 ao t 2011 0951GCH2 du 20 octobre 2011 095 IG BB 4 du 23 ao t 2011 Vu la demande pr sent e le 7 novembre 2011 par la soci t Art
239. sence de ressources en eau destin es la production d eau potable ou au conditionnement de zones usage sensible conchyliculture pisciculture baignades ou de puits ou forages r alis s des fins d usage domestique de l eau 3 ou de zones naturelles prot g es proximit du lieu de l accident est v rifier Cons quences sanitaires de l accident nombre important de personnes expos es ampleur des d g ts nombre de pertes humaines Outre la dangerosit intrins que des agents dangereux dispers s les cons quences sanitaires imm diates ou diff r es de l accident d pendent de caract ristiques de l exposition et de la vuln ra bilit des personnes expos es Dans ce contexte plus la taille des populations expos es parti culi rement des populations vuln rables est importante plus la gravit de l accident peut tre grande Par ailleurs en cas de catastrophe de tr s grande ampleur l tendue et l importance des pertes humaines bless s disparus d c s et mat rielles logements outils de production conomique influent sur la possibilit de mettre en place des processus de r paration et de prise en charge satis faisants Un d faut ou un retard dans ces processus sont des facteurs susceptibles de faire perdurer les cons quences sanitaires et notamment psychologiques d une situation de catastrophe Conditions d intervention la lutte contre un sinistre en particulier dans le cas d un incendie p
240. services d concentr s Vu l avis mis par la commission administrative paritaire comp tente l gard du corps des ing nieurs des travaux publics de l Etat du minist re de l cologie du d veloppement durable des trans ports et du logement en sa s ance du 12 d cembre 2011 Arr te Article 1 L ing nieur des travaux publics de l tat dont le nom suit est retir du tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 29 CATELOY Olivier Article 2 L ing nieur des travaux publics de l tat dont le nom suit est inscrit au tableau d avancement pour le grade d ing nieur divisionnaire des travaux publics de l Etat au titre de l ann e 2011 179 BASSET Daniel Article 3 La directrice des ressources humaines du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement est charg e de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Fait le 24 janvier 2012 Pour la ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement et par d l gation Le sous directeur de la modernisation et de la gestion statutaires E SAFFROY MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 1 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert gal
241. soci es Pour les ULM de classe 6 ces donn es sont adapt es pour informer le pilote sur les caract ris tiques des transitions entre le vol stationnaire et le vol en translation en et hors effet de sol la mise en autorotation la sortie de vortex MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 106 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de la pr vention des risques Service des risques naturels et hydrauliques Bureau de l action territoriale Instruction du 22 f vrier 2012 relative aux th mes prioritaires d actions nationales en mati re de risques naturels et hydrauliques pour 2012 2013 NOR DEVP1205203J Texte non paru au Journal officiel R sum cette instruction a pour objet de renforcer l efficacit et la coh rence des actions de l Etat dans la mise en uvre de la politique de pr vention des risques naturels qui implique de nombreux acteurs diff rentes chelles Elle d finit un certain nombre de directions structurantes pour les rendre plus lisibles Cat gorie instruction adress e par la ministre aux pr fets et aux services charg s
242. son et de toxicovigilance CEDRE Centre de documentation de recherche et d exp rimentations sur les pollutions accidentelles des eaux CIRE Cellule interr gionale d pid miologie COD Centre op rationnel d partemental DDT M Direction d partementale des territoires et de la mer DIRM Direction interr gionale de la mer DRAAF Direction r gionale de l alimentation de l agriculture et de la for t DRE Directive responsabilit environnementale DREAL Direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement DD CS PP EPSF s a Direction d partementale de la coh sion sociale et de la protection des populations Etablissement public de s curit ferroviaire HAP Hydrocarbures aromatiques polycycliques INERIS Institut national de l environnement industriel et des risques InVS Institut national de veille sanitaire LABERCA Laboratoire d tude des r sidus et contaminants dans les aliments ONEMA Office national de l eau et des milieux aquatiques ORSEC Organisation de la r ponse de s curit civile plan d urgence PCB Polychlorobiph nyles PPI Plan particulier d intervention POP Polluants organiques persistants RFF RIPA SCL R seau ferr de France R seau des intervenants en situation post accidentelle Service commun des laboratoires MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012
243. sse maximale Vpr vitesse maximale d montr e au cours des preuves en vol Vg Vitesse ne jamais d passer en vol Cette vitesse est fix e 0 9 fois Vpr V vitesse de man uvre application brutale du plein d battement des gouvernes Ve vitesse conventionnelle vitesse indiqu e corrig e des erreurs li es l installation an mom trique V vitesse maximale pour un braquage d termin des volets V vitesse horizontale en palier la puissance maximale continue d finie par le constructeur de l ULM Puissance maximale puissance maximale sur arbre moteur en conditions standard au niveau de la mer que peut d livrer le moteur lorsqu il est utilis dans ses limites de fonctionnement d clar es La puissance retenue est la plus lev e d clar e par le constructeur du moteur quelles que soient les limitations ventuelles d emploi li es l utilisation de cette puissance Elle inclut le r gime de d collage si celui ci est d fini et tout r gime d urgence ventuel Aucune consigne d utilisation limitant le r gime de rotation la pression maximale d admission ou tout autre param tre utilis pour piloter la puissance en de des limites de fonctionnement d clar es par le constructeur du moteur ne peut tre accept e comme moyen acceptable de conformit Lieu d attache c est le lieu de stationnement habituel de FULM Toutefois dans le cas d un ULM de classe 1 ce lieu d attache peut tre l
244. st rielles DDI ainsi que sur le r seau scientifique et technique du MEDDTL en recherchant les synergies et compl mentarit s des services qui concourent la mise en uvre de cette politique Cette efficacit repose aussi sur la bonne utilisation et la bonne gestion des cr dits mis votre disposition Je vous prie de me faire part sous le timbre de la direction g n rale de la pr vention des risques du bilan des actions entreprises en application de ces instructions ainsi que des ventuelles diffi cult s rencontr es dans leur mise en uvre La pr sente circulaire sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable du transport et du logement Fait le 22 f vrier 2012 La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement NATHALIE Kosciusko MoORIZET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 109 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative ANNEXES TH MES D ACTIONS NATIONALES ACTIONS PRIORITAIRES ACTIONS PRIORITAIRES TERRITOIRE NATIONAL 1 Strat gie r gionale de pr vention des risques naturels et hydrauliques d partements r gions bassins R sum laborer ou r viser les strat gies r gional
245. t MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE S bo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT a RERS Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 FOURNIER Jean Paul FRASZCZAK Richard FREYDIER Christophe FRIOL HOUVERT Caroline FURLAN Michel GALAND Philippe GAMICHON Patrick GARDET Sylvain GARENO Michel GAUTHIER Vincent GERBEAUD MAULIN Fr d rique GIRAUD Patrick GLASER S bastien GOHIN Vincent GOMI Patrick GOURGOUILLAT S bastien GRANGEREAU Louis Marie GUERITAT Fran oise GUERY Fabienne GUILLOU Yves GUILMIN Boris GUYOT Thiery HARLIN Didier HAUTI RE Nicolas HERR Alain HODEN Bernard HOLLAND Mathieu HYNH Hieu Thao JAVELLE Michel JOLY Emmanuel JONCOUX Philippe JOSSET Sokhetra JOSSINET Daniel JOUVE Pierre JULLIEN Lionel JULLIEN Pascal KUGA Vladimir LACOMBE Bernard LAFAYE DE MICHEAUX Flore LAFORET Jean Yves LAMOUR G rard LAROSE Sylvain LASNE Michel LAURENT Michel LAVAL Christian LAVERGNE Fr d ric LE BASTARD Michel LE BRAY Fran oise LE MELEDO Philippe LECH Francine LEDAIN Philippe LERMINE Philip
246. t rieur du site vacuation de tiers impact environnemental constat mortalit de la faune et d gradation de la flore 1 http basol ecologie gouv fr 2 http basias brgm fr et http basias brgm fr basiasaep base de donn es BASIAS crois e avec les donn es relatives aux captages destin s la production d eau potable 3 La liste non exhaustive des forages domestiques est accessible aux ARS l adresse suivante https declaration forages domestiques gouv fr ForagesDomestiquesWar MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 77 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative II 2 Anticipation pr paration des outils organisationnels L organisation et le travail en situation post accidentelle demandent aux services concern s une r activit importante et donc une pr paration en amont La d clinaison de l organisation pr conis e dans le pr sent guide aux niveaux r gional et d parte mental est recommand e et porte en priorit sur l identification des acteurs locaux services agences et de leur champ de comp tences noms coordonn es l identification des ressources locales unit s du SDIS police gendarmerie associations et struc tures locales ex A
247. t en avant au vu du retour d exp rience les enjeux en terme de gestion des impacts environnementaux et sanitaires en situation post accidentelle Des l ments de doctrine sont d finis pour l organisation des services de l Etat entre la phase d urgence et la phase de gestion post accidentelle afin d valuer et de g rer efficacement les cons quences envi ronnementales et sanitaires des v nements accidentels d origine technologique La cl d une valuation correcte et d une bonne gestion de l v nement repose sur le recueil rapide et fiable des donn es relatives aux cons quences de l v nement sur l environnement et sur la population La d clinaison de ces l ments de doctrine au niveau r gional et d partemental est essentielle pour une action efficace des services de l Etat Cat gorie mesures d organisation des services retenues par les ministres pour la mise en uvre des dispositions dont il s agit Domaine Ecologie d veloppement durable sant solidarit int rieur agriculture et p che Mots cl s liste ferm e lt Energie Environnement gt lt ActionSociale Sante _ Securite _Sociale gt lt Agri culture EspaceRural_Viticulture_BoisForets gt lt Securite gt Mots cl s libres accident post accident risques technologiques organisation gestion impacts diff r s cellule post accident contamination MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 62 pE bo MINIST RE DE L
248. t modifi comme suit a Membres repr sentant l aviation civile M Thierry LEMPEREUR est nomm membre titulaire en remplacement de Mme Genevi ve EYDA LEINE Article 8 Le paragraphe c du Ill section du travail a rien de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit c Membres repr sentant les exploitants du travail a rien M Jean Pierre TRIMAILLE est nomm membre titulaire en remplacement de M G rard PIC M Laurent CAILLARD est nomm membre suppl ant en remplacement de M Jean Pierre TRIMAILLE M Philippe RAUX est nomm membre suppl ant en remplacement de M Jean Claude BILLOT Au lieu de M Yannick METAIRE lire M Yannick METAIRIE MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 35 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Article 9 Le paragraphe d du Ill section du travail a rien de l article 1 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit d Membres repr sentant le personnel navigant professionnel du travail a rien M Philippe GUILLAUT est nomm membre suppl ant en remplacement de M Thierry COIFFARD Article 10 L article 2 de la d cision du 29 octobre 2010 susvis e est modifi comme suit M Thierry LEMPEREUR
249. tat de vol sans occupant et sans chargement La masse vide de chaque ULM doit tre d termin e avec 1 Le lest fixe 2 Le carburant inutilisable 3 Le cas ch ant la quantit maximale d huile et le liquide r frig rant du moteur et le fluide hydraulique 4 Les ventuels quipements sp ciaux li s une utilisation particuli re notamment les skis les flotteurs ou le mat riel n cessaire pour l pandage agricole la photographie a rienne le remor quage de banderoles ou le remorquage de planeurs ultral gers tels que d finis par l arr t du 7 octobre 1985 relatif l utilisation de planeurs ultral gers Masse vide de r f rence masse vide dans une configuration donn e choisie par le constructeur permettant tout utilisateur d en d duire ais ment pr cis ment et par un calcul simple la masse vide de son ULM La masse vide de r f rence doit tre d termin e par une pes e La configuration de ULM lors de cette pes e doit tre clairement d finie et facilement reproductible Centrage vide de r f rence centrage vide de l ULM dans la configuration choisie pour la d ter mination de la masse vide de r f rence Masse vide maximale masse vide consid r e avec la masse maximale d quipements pr vus par le constructeur Masse maximale masse maximale op rationnelle choisie par le constructeur entre les deux limites suivantes a Une limite inf rieure gale la somme de l
250. techniques dans les administrations et les tablissements publics de l Etat Vu l arr t du 27 juin 2011 portant cr ation de comit s techniques au sein des services du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu l arr t du 14 novembre 2011 fixant la r partition des si ges de repr sentants du personnel entre les organisations syndicales au sein des comit s techniques au minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu les r sultats de la consultation des personnels du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement du 20 octobre 2011 D cide Article 1 Sont d sign s pour si ger au sein du comit technique sp cial institu aupr s du d l gu la s curit et la circulation routi res Repr sentants de l administration Membres titulaires M Jean Luc NEVACHE d l gu et M Serge PINSON sous directeur des actions transversales et des ressources Membres suppl ants M Henri PREVOST chef de service adjoint au d l gu et M Christophe MARMIN adjoint au sous directeur des actions transversales et des ressources Repr sentants des organisations syndicales Membres titulaires FIEVET Nicole CFDT LISSA Catherine CFDT TIET LAOUATI Fadila CGT DEMAY Arnaud CGT MAKHLOUFI Mustapha FO MIRE Claude FO Membres suppl ants DUMAREIX Yann CFDT CHAUDRON Jean Marie CFDT
251. tielle phase de retour la normale ou phase de retour l acceptable elle correspond la fin des actions de lutte contre les effets directs au d veloppement de la d marche d valuation qui conduira le cas ch ant une d marche de gestion des cons quences moyen ou long terme Pour l aspect sanitaire et environnemental cette derni re mergera avec la stabilisation de la situation c est dire lorsque les apports l environnement pollutions de toute nature seront supprim s b Structures mises en place pour la gestion d un v nement accidentel Centre op rationnel d partemental Il est activ durant les phases d urgence et d accompagnement Le COD est l outil de gestion pr fectorale de l organisation de la r ponse de s curit civile dispositif de lutte contre les effets directs de l v nement Cette structure n est mise en place que lorsque le pr fet l estime n cessaire Cellule post accident technologique Elle est activ e durant les phases d accompagnement suivi imm diat et post accidentelle Cette cellule peut tre mise en place m me si le COD n a pas t activ Le retour d exp rience montre que les contaminations environnementales les plus probl matiques n ont pas n ces sairement fait suite l activation d un PPI ou la mise en uvre d un plan ORSEC Cette structure doit se mettre en place durant la phase d accompagnement d un v nement elle assure dans un premier temps le suivi
252. tivit s agricoles levage culture p che indirectes effets en cha ne sur le tourisme sur le march local emploi immobilier commerce et long terme en particulier en cas de pollution grave et persistante ou de destruction d actifs irrempla ables patrimoine culturel l ments de biodi versit etc Des substances dangereuses peuvent se retrouver plusieurs mois apr s l accident dans les sols et dans la cha ne alimentaire eaux v g taux animaux des concentrations telles qu elles consti tuent une menace directe ou indirecte pour la sant humaine ou des atteintes l environnement A l heure actuelle ces menaces sont g n ralement mises en lumi re par les contr les de routine des r seaux de surveillance existants dans le domaine de l alimentation humaine ou animale ou par le biais des r seaux de surveillance de la qualit des milieux air ambiant eau de surface eau souterraine ou encore dans le cadre du contr le sanitaire des eaux destin es la consommation humaine et des r seaux de surveillance sanitaire cette alerte intervient souvent tardivement et de fa on d connect e de l v nement dans le temps et dans l espace ce qui ne permet pas une gestion sereine et efficace de la situation De telles contaminations n cessitent la prise de mesures de gestion en fonction des situations Ces mesures peuvent tre la restriction des usages de l eau potable le retrait du march des produc ti
253. ueue de cheval Kamuro CAC6G 08 K3 BB 79102 07 17 165 5 10 Bombe calibre 75 mm queue de cheval Kamuro changement intermittent rose ssssissisresresisresresrereens CAC6G 27 K3 BB 79103 07 17 169 10 Bombe calibre 75 mm queue de cheval Kamuro changement violet runs CAC6G 55 K3 BB 79104 07 17 169 10 MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 47 Libert Libert galit Fraternit Fraternit DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE R PUBLIQUE FRAN AISE NOM COMMERCIAL de l artifice REFERENCE de l artifice selon le titulaire CLASSEMENT retenu NUM RO d agr ment MASSE moyenne de mati re active g Liber lt ga alit Fra ne RS Premier ministre Direction de l information l gale et administrative DISTANCE de s curit m Bombe calibre 75 mm queue de cheval saule pleureur Bombe calibre 75 mm queue de cheval saule pleureur multicolore Bombe calibre 75 mm queue de cheval saule pleureur changement intermittent blanc CAC6G 07 CAC6G 37 CAC6G 46 CAC8 F 31 BB 79105 07 17 BB 79106 07 17 BB 79107 07 17 Bombe 100 mm Queues Blanches BB 79108 07 17 BB bombe d artifice Le titulaire des pr sents agr ments est la soci t Pirotecnia Igual Mas Pubill PO Box 069 08811 Canyelles Barcelone Espagne laquelle importe et commercialise en France les produits port s dans le tableau ci d
254. ulaire du 15 juillet 2005 1 b R alisation en urgence des pr l vements environnementaux Le r seau d intervenants en situation post accidentelle RIPA rassemble des laboratoires et des pr leveurs qui se sont engag s respecter une charte d engagement labor e par l INERIS afin de garantir la qualit des pr l vements et des analyses dans le domaine de la caract risation des impacts de substances dangereuses dans l environnement Ces engagements portent sur les comp tences et les moyens dont l organisme doit disposer pour assurer une mission de qualit ainsi que sur le contenu et le d lai de restitution des r sultats Ce r seau est anim par l INERIS qui est par ailleurs charg d assurer une veille technique sur les normes et les m thodes d analyses des subs tances dans les diff rents milieux d exposition II convient donc dans le cadre de la gestion des situations post accidentelles de privil gier le recours aux organismes ayant adh r cette charte c R alisation de pr l vements sur les produits agricoles denr es alimentaires et aliments pour animaux Pour ce type de pr l vements le minist re charg de l agriculture recourt un r seau de labora toires agr s accr dit s COFRAC et soumis un agr ment sp cifique du minist re en charge de l agriculture pilot s par des laboratoires nationaux de r f rence LNR Ces laboratoires agr s peuvent recevoir pour analyse des pr l vements of
255. ur en chef des mines C BOURILLET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 46 MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE gt DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT ne Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Pr vention des risques MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de la pr vention des risques D cision n AD 2011 45 du 23 f vrier 2012 relative l agr ment d artifices de divertissement NOR DEVP1205695S Texte non paru au Journal officiel La ministre de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Vu le code de la d fense notamment son article L 2352 1 Vu o n 2010 455 du 4 mai 2010 relatif la mise sur le march et au contr le des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 relatif aux modalit s d homologation de marquage d tiquetage d utili sation et de manipulation des produits explosifs Vu l arr t du 4 mai 2010 portant habilitation et agr ment de l INERIS Institut national de l envi ronnement industriel et des risques pour la mise en uvre des proc dures d valuation de la conformit des produits explosifs et pour proc der aux examens et preuves pr vus l article 35 du d cret n 2010 455 du 4 mai 2010 Vu la d cision du 26 janvier 2012 relative l agr ment
256. urit et des conditions de travail pour le centre en route de la navigation a rienne Nord la direction des op rations chelon central et la sous direction des ressources humaines de la direction de la navigation a rienne en qualit de repr sentants du personnel Membres titulaires Au titre de l organisation USAC CGT M Yves MIGNOTON M Michel LE FALHER Mme Joan TEISSANDIER Mme Aur lie MORERE Au titre de l organisation SNCTA M Dominique JOLY M Olivier DESCOURS Au titre de l organisation UNSA Mme Isabelle REMOND M J r me DEROUET MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 9 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE Les L DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative Membres suppl ants Au titre de l organisation USAC CGT Mme Vanessa JACOUET M Samuel GONNY M Alexandre RIPOCHE Mme Nathalie JEANDOT Au titre de l organisation SNCTA Mme Audrey BUTI M Alexandre CAGNARD Au titre de l organisation UNSA M L opold DESSAUX M Philippe TARNOWSKI Article 2 Le mandat du comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail prend effet compter du 29 novembre 2011 Article 3 La pr sente d cision sera publi e au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du log
257. utions du site vigicrues MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 116 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT net Libert Libert galit Fraternit Fraternit Premier ministre R PUBLIQUE FRAN AISE Direction de l information l gale et administrative la participation aux groupes de pilotage du d veloppement et de l utilisation des outils nationaux de pr vision des crues notamment les mod les 2 Pr parer l avenir en contribuant des d marches prospectives et des exp rimentations visant en partie dans le cadre du plan national sur les submersions rapides PSR mieux r pondre aux attentes sociales de la part des SPC impliqu s dans chacune des op rations aux extensions du r seau surveill par l tat notamment dans les zones sous influence marine dans les Alpes le Morvan dans la Creuse PSR en partie la pr paration de l affichage graphique des pr visions et des incertitudes associ es une meilleure prise en compte de ph nom nes particuliers comme la fonte nivale ou les inter f rences avec le karst aux exp rimentations tudes de faisabilit et premi res mises en place pour l anticipation sur la possibilit de crues soudaines PSR la mise en place des pr requis via plusieurs march s de divers types l approfondissement des exp rimentations en cours et aux pr
258. ux en mati re de pr vention des risques naturels Je vous invite pr senter devant cette commission le sch ma de pr vention des risques naturels majeurs pr vu par l article L 565 2 Bien entendu les priorit s d actions lorsque les circonstances et les moyens permettent d aller plus loin ne doivent pas pour autant conduire n gliger d autres actions qui contribuent utilement la pr vention des risques de diff rentes natures selon les territoires consid r s mouvements de terrains incendies de for ts s ismes ou encore les avalanches en r gion de montagne En parti culier vous veillerez ce que les op rations d urbanisme importantes projets de r novation urbaine co cit s co quartiers reconversions urbaines soient exemplaires en mati re de pr vention des risques Ces priorit s d actions ne doivent pas non plus conduire n gliger la poursuite des actions d infor mation pr ventive des interventions sur l habitat et les infrastructures existantes des diagnostics de vuln rabilit de la promotion des projets innovants ou de la pr paration la gestion des crises MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 108 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE E Oo DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT S Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Les derniers v nem
259. viaires n cessaires son exploitation et que l EPADESA en tant qu am nageur de la ZAC Seine Arche est ma tre d ouvrage des travaux d espaces publics et des travaux de viabilisation permettant de rendre le terrain constructible Connaissance prise des divers l ments du dossier Autorise le transfert de ma trise d ouvrage de la RATP au b n fice de l EPADESA dans le cadre de l article 2 11 de la loi du 12 juillet 1985 sur la ma trise d ouvrage publique pour la r alisation sous ma trise d ouvrage de l EPADESA d un ouvrage de couverture des voies du RER A branche Cergy destin devenir dans le cadre d une offre de concours de l EPADESA propri t de la RATP et dont les caract ristiques techniques et modalit s de mise en uvre seront fix es par voie de convention conclure avec l EPADESA Aux effets ci dessus le conseil donne tout pouvoir son pr sident avec facult de d l guer afin de passer tous actes cons cutifs ou n cessaires accomplir toutes formalit s lire domicile et g n ralement faire le n cessaire qu implique la mise en uvre de la pr sente d lib ration Fait le 17 f vrier 2012 Le pr sident directeur g n ral de la RATP P MONGIN MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 118 La directrice de la publication ISABELLE DE SILVA MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Tour Pascal B pi ce 23 53 92055 La D fense Cedex Fra
260. ydrauliques mission qui incombe aux services de police de l eau sous votre autorit et tout particuli rement de mettre en uvre les dispositions de la circulaire du 20 octobre 2011 concernant le recensement des ouvrages de protection contre les submersions et les inondations I TH ME D ACTION PRIORITAIRE SP CIFIQUE D PARTEMENTS COLLECTIVIT S D OUTRE MER ANTILLES 1 Pr vention du risque sismique R sum intensifier et poursuivre le d ploiement du plan s isme Antilles Veiller une plus grande efficience et efficacit de l aide financi re de l Etat au profit des collectivit s Les priorit s seront les suivantes intensifier le d ploiement du plan s isme Antilles et y associer plus troitement les collectivit s territoriales en s appuyant notamment sur les mandats de n gociation de contrats d finis par ma lettre du 26 ao t 2011 galement sign e par la ministre charg e de l outre mer veiller une plus grande efficience et efficacit de l aide financi re de l Etat au profit des collecti vit s dans l accompagnement des travaux de renforcement parasismique ou de reconstruction des tablissements scolaires ANNEXE POINT 6 PR VISION DES CRUES ET HYDROM TRIE BASSINS R GIONS D PARTEMENTS Travail en r seau avec le SCHAPI 1 Contribuer des projets d int r t commun pour le r seau SCHAPI SPC UH De la part des unit s d hydrom trie UH la mutualisation des test
261. zej 225 ZITTOUN Philippe Article 2 Le pr sent arr t sera publi au Bulletin officiel du minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Article 3 La directrice des ressources humaines est charg e de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Bulletin officiel du minist re Fait le 29 f vrier 2012 Pour le ministre et par d l gation Par emp chement de la directrice des ressources humaines Le sous directeur de la modernisation et de la gestion statutaires E SAFFROY MEDDTL n 2012 5 du 25 mars 2012 Page 8 ES b MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE ET T DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT e Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE Premier ministre Direction de l information l gale et administrative Aviation civile MINIST RE DE L COLOGIE DU D VELOPPEMENT DURABLE DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction g n rale de l aviation civile D cision n 07 CRNA N D du 16 janvier 2012 portant nomination des repr sentants du personnel au comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail sp cial CHSCT S du centre en route de la navigation a rienne Nord CRNA N de la direction des op rations de l chelon central DO EC et de la sous direction des ressources humaines SDRH de la direction des services de la navigation a rienne DSNA NOR DEVA1205712S Texte non paru au Journal

Développement durable Énergie, climat Prévention

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