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Partie 4 ( sur 5) de l`étude

1. 0 0 6 0 0 J Ed E K 3 2 6 1 2 Deuxi me th me Tarzan Robin des Bois Robinson le Baron E les marsupilamis EEN 54 3262 3 2 6 2 1 Le concept du sentier et les nue VIC RITNISL Et ERUIT 56 3 3 QUARTIER DE L CONOME PR S DE LA MAISON FORESTI RE SITE 2 FRANCE mmm 59 SI Pr sentation TOME de la proposition z schemi SE terti ue SOGOU DORE VD DR oS 59 3 3 2 Situation et vocation de l ambiance actuelle Planche entente tnnt lt estes estes stans 61 3 3 3 Rappels des caract ristiques principales du site 62 3 3 4 M ER E EN COP CD EE 64 MM EE 04 0 1176 65 3 3 5 C ract ristidu n princi
2. 17 1 6 1 1 D cret no 94 699 du 10 ao t 1994 fixant les exigences de s curit relatives aux quipements d aires collectives de jeUX ssssesees 6 1 2 D cret no 96 1136 du 18 d cembre 1996 fixant les prescriptions de s curit relatives aux aires collectives de jeux 1 ee eee e ee eee esee eee eene L73 5 1 3 Autorisation pour les Installations et Oravaux CN DEN ke 0 2RSARAAAARARAAARARAARAAAARAARARAKAARARRAARRARAARARIARAKRARAAARAAAWARZRARARARAARAARARARAARTZARAW ARAA XARTQARAARARAK aAaAAQAAARSAARARAARAAAEKRAARARARIAAKNKRARAZAARARA KARARAAAWAARARAAKRaRQARARARARAARARAAAAARAARAANRKIAARAARARTRIA K D 5 CL Le cc dediti de ac de rip b DEO DEO 6 2 LE D VELOPPEMENT DURABLE ET LA PROGRAMMATION D UN QUIPEMENT E PTEE EE 6 2 1 Deux rappels pour viter des n T m 6227 Principe 7 Le QS TE 196 6 3 R F RENCES EN CE QUI CONCERNE LA MECANIQUE DES ARBRES INT 6 3 1 La r sistance m canique des arbres face au verglas 17 6 3 2 Architecture des plantes e
3. 86 35 Caract ristiques du laboratoire nomade et Tonctons remplies vet X TEUVYO V an EN iO NEUEN Raman 87 3 5 4 Contenu Explication EEN 69 AIME d eweg 89 ER D 66 103 MM M 90 3 6 LES EXP DITIONS ITIN RAIRES DE RANDONN ES ARBORICOLES seennnnnnnenennenneenneeeeeenteteee 92 ERN 0 1 RN TRU Mee ia und 3 6 2 L implantation des IRA Itin raires de Randonn es Arhoricoles np idis ded M IPM issus svt S 93 ET CE OP MI ETE PUITS Maxis 94 3 6 4 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements nein m mS m mm in Do 177 RA EE EE 96 EL 17 MM 96 A ER EC 96 3 6 5 1 2 Un performentiel pour les randonn es arboricoles atteindre 70 de toucher d arbres pour 30 de toucher de corde ou mat riel de s curit a sass 97 3209 1 5 Precisions stir les 4 points principaux ae
4. ENEE eet 148 4 5 4 2 Bois pour construire tradition et innovation DONE v IE mouvemen TEE DNE EE 149 A004 DNE pite mes 5 Wes SACS en Dois ullra OO POS QUIE TOITS 50 0 9 9 9995559299 ub CH Meat ba acere haz Rk KS as ne nn 151 COO U ONES EEN IM 4 3 5 Sur la iietie s curit des arbres et de leur environnement 4 3 5 1 propos des cons quences 4 3 5 2 Des solutions techniques inadupt o 4353 Une autre approche 4 3 5 3 1 Un principe conomique ma tris gr ce l cobilan 4 3 5 3 2 Une m taphore cr ative pour nous emmener vers des solutions techniques soyons comme un vent temp r aee tret eret e hse enses 156 4 3 5 4 propos de la pr sence humaine dans les arbres et de la diminution de ses impacts 23241 170011 sur l arbre dela grimpe et des d placements dans 1 68 0 963 musti Ui iii ni 0059 996 1237 4 3 5 4 1 1 Tableau r sumant les impacts sur EE 197 EE 158 EE CN 1 77 ET OR D ne 158 a ND DEUM 776 E S ia IESU 17 M 159 4 3 5 4 2 3 jusqu la prise e
5. 10 Labo et gite sur verrins 7 1 Quadrillages yuipement indivi K Ns 1 CL D apr s Le radeau des cimes F Hall avec Dany Modifications et ajouts JLR D autres pistes explorer pour l quipement individuel bionique PAGE 86 Activit s dominantes Positionnement Occupation Activit s Co t de fonctionnement Utilisation entre deux missions Investissement Indications sommaires suivant les types d am nagement SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Recherches scientifiques in situ sur et dans les arbres Conception nouvelle d un laboratoire mobile adapt aux for ts temp r es tout public Forte modularit et adaptabilit protection des arbres 4 5 chercheurs simultan s quipes de recherches peuvent cohabiter suivant les recherches possibilit s d utiliser des modules dupliquer par le MO pour augmenter ce chiffre L installation le co t de fonctionnement de cet quipement son d montage devraient amp tre pris en compte dans les budgets des quipes de recherches les co ts les plus importants concernent le gardiennage et l installation d sinstallation Ces co ts d pendent du lieu et de la dur e de la mission Entre les missions le laboratoire mobile est install au Fleckenstein ou sert des animations dans diff rentes commun
6. EC f j d 3 d ZA WC zi A s de wes d e d societes se sont n OP BASE TE der hs RB TU h i d o1 1 2 LX xc 4 SN KE mu Sat P HET Ce d altitude utilisant Les dr 2 H a GE Utd e 1 8 3 J v e e MTA d ww CA XL ees 24 M d 4 sn 2 4 loign es de la que c aM Mi 1 9 la canop e comme nature au point de xx uc a M ES NE ges de gd TS canap Ce de leur Te T NER 4 g Aa ur D MR GE MA Construites en d pend EU 2 5 e C cU S cr ARE moins de 9 jours e Mace ede 7 A ume T LAT ciu Wee rs ces maisons us Aviso ee Deise 25 46 a A perch es r sistent Nicolas Hulot plus de trois ans 122 Pour comprendre cette partie qui m riterait un long d veloppement rappelons nous simplement comment tout acte d apprentissage est li des rites qui sont autant de sas faisant d sirer ou fuir la chose apprendre passons sur toutes les h sitations et les stades interm diaires L approche d un livre n est pas la m me quand on le re oit en cadeau qu on l attrape sur le plus haut rayon de la biblioth que ou qu on le d couvre chez un bouquiniste chez un ami la FNAC ou encore quand on le re oit
7. 7 L tude n a pas pris en compte d ventuelles sp cificit s r glementaires r gionales ce qui devrait tre fait pour laborer le programme 76 D finition des normes En France La normalisation a pour objet de fournir des documents de r f rence comportant des solutions des probl mes techniques et commerciaux concernant les produits biens et services qui se posent de fa on r p t e dans les relations entre partenaires conomiques scientifiques techniques et sociaux D no 84 74 26 janv 1984 art 1er La norme europ enne EN 45020 ICS 01 040 01 concernant la d finition des termes g n raux relatifs la normalisation d finit la norme comme un document tabli par consensus et approuv par un organisme reconnu qui fournit pour des usages communs et r p t s des r gles des lignes directrices ou des caract ristiques pour des activit s ou leurs r sultats garantissant un niveau d ordre optimal dans un contexte donn Enfin l ISO donne une d finition pr cise de la norme labor e au niveau international Il s agit d une sp cification technique ou autre document accessible au public tabli avec la coop ration et le consensus ou l approbation g n rale de toutes les parties int ress es fond es sur les r sultats conjugu s de la science de la technologie et de l exp rience visant l avantage de la communaut dans son ensemble et approuv par un organisme qualifi sur le plan national Dictionnai
8. 52 Les critiques faites ici ne rejettent pas l ensemble Ces parcs r pondent des besoins r els concernant le d veloppement des activit s physiques de pleine nature ou et ceux relatifs aux n cessaires activit s compl mentaires que cherchent cr er des collectivit s dont l conomie est tr s saisonnalis e Autrans et Serres Chevalier Aventure Parc prend le relais de la saison ski Tant que rien d autre n existe ces parcs con us sur les valeurs des ann es 70 se d velopperont Le profit imm diat a horreur du vide d autres soci t s engagent dans la m me voie une dizaine de concepts identiques sont actuellement sur le march PAGE 118 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 En fait tout est bas sur 4 types de mouvements sur c bles et un sur cordes E a sur c bles e a tyrolienne glissement le long d un c ble en pente CM e H 7 e e Ze a pont de singe ou amazonien a 2 ou 3 brins avec variantes etriers balan oires etc NN progression sur rondins cart s le c ble sert de s curit M a progression allong e rampante dans des tonneaux ou directement sur le c ble a sur corde s effectue le pendule liane de Tarzan Contrairement ce qu affirment les promoteurs et leur communication on ne se d place pas dans les arbres dans ces parcs D
9. A Rechercher Favoris Historique ES Ol 7 Adresse e http www dna fr dna D Liens DNA pipit les rubriques pratiques cliquez ci dessous Lundi 26 F v 2001 ILIS EL 07771 A la Une Archives Edito M t o Monde France Actu en temps r el Bilingue Page co Courrier des lecteurs 11 11e Sport amp Les C sar Une sport Vous d cemernez le C sar Ce Foot du Meilleur film Autres sports C Les blessures assassines ini xi LES FRONTIERES S AMUSENT LA CITE DES ARBRES Au Fleckenstein tous les seigneurs du BOIS se sont donn s rendez vous pour nous tonner Ils nous offrent uh monument enti rement en bois des arbres faits de tous les bois du monde Les professionnels des fili res bois allemande et fran aise Rechercher Cherchez par mot cl dans le journal de ce jour Mot cle 601 Archives Cliquez ici pour une recherche avanc e sur 4 ann es t 9 Les porcs britanniques Les du web ul oo C Le go t des a tres par ce signal transfrontalier font partent en fum e au chevet Multim dia Jeux C Harry un ami qui vous Un magnifiqu loge de l arbre et de PS i un es agriculteurs Hom veut du bien leurs m tiers C est un v ritable Scrutin pr sidentiel Versi
10. PAGE 80 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 4 6 1 3 2 Le sens de la mesure En 1999 le deux centi me anniversaire de l adoption d un syst me des mesures vocation universelle temps longueurs volumes etc a rappel le progr s r alis par cette g n ralisation facilitation des changes et des organisations au niveau national puis international mais aussi l oubli des temps et dimensions de la Vie ceux qui se mesuraient auparavant avec pour unit les saisons ou les parties de l Homme La bonne gestion de la Vie inscrite dans les principes du d veloppement durable implique que l on r apprenne les mesures de la Vie informations g n tiques et s mantiques temps espaces changeantes selon les tres et ne pouvant tre asservies sans dommages aux imp ratifs d une standardisation d di e la rationalisation des transports et des fabrications changes des marchandises l chelle du globe Chacun sent dans sa propre vie comment sont bouscul s nos biorythmes et combien en p riode de stress une simple promenade en for t peut remettre les choses leur place L arbre nous aide retrouver le sens de la mesure a chaque arbre voyant passer plusieurs g n rations d Homme a il parle du pass il porte les stigmates de cette Histoire type de plantation forme des troncs et houppiers en
11. L 1 p 4 LA uw voici les cabanes imagin es par deux publicitaires et un charpentier qui nous font renouer avec la nature et les r ves d enfance S ARBRES S Nich es doris les branches et berc es par les cigales PAGE 150 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 4 2 2 Une piste tr s int ressante des structures en bois ultra l g res ultra r sistantes Nous reproduisons le bulletin publi par la fili re bois fran aise pour montrer qu une collaboration avec les professionnels concern s ci dessous permettrait au MO de trouver des solutions techniques innovantes permettant de cr er des structures beaucoup plus l g res faisant subir moins de contraintes aux arbres Aligner une voiture de course avec un CH SSIS BOIS et UNE CARROSSERIE EN FIBRES V G TALES bois chanvre lin aux 24 heures du Mans 2002 de la science fiction Non mais une option parfaitement raisonn e s empressent de pr ciser Jacky et Jean Michel Tessier les concepteurs qui y travaillent depuis 3 ans Ils sont partis du constat que le carbone gr ce ses propri t s exceptionnelles est en passe de devenir le seul mat riau utilis dans la fabrication des ch ssis et carrosseries de voitures de courses A l issue d une premi re phase de recherche ils sont arriv s la conclusion que le seul ma
12. La vie dans l arbre qui mange qui ou quoi FIGURE DE CONCEPT GRIMPE et ECOLOGIQUE NIVEAU Se d placer R seau trophique plusieurs soleil source de dans l arbre toute nergie solidarit OBJECTIF DE D COUVERTE partir de 3 maillons de cha nes alimentaires basiques d couvrir le r seau trophique producteurs consommateurs pr dateurs d composeurs EXPRESSION CULTURELLE CORPORELLE La loi de la jungle amalgame nature soci t les corps partenaires ou bagarreurs 3 Sn St RADAN 2 D N 57 482 da NUES APPEL A L IMAGINAIRE De quoi se nourrit on r flexion sur l homo omnivore l attitude par rapport la mort des tres vivants que l on mange Ce que transporte le r seau alimentaire PAGE 72 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 6 3 2 Aspect technique un exemple d atelier d apprentissage technique conception 9 Haut perch s JLR Les techniques habituelles d apprentissage de la grimpe sont utilis es mais avec quelques particularit s par exemple ci dessous un des premiers passages pour l apprentissage de la technique sur un arbre pr quip ATELIERS FIGURE DE CONCEPT OBJECTIF DE D COUVERTE EXPRESSION CULTURELLE APP
13. sess esee eese e esee 108 3 8 4 Contenu du inire 109 3 8 4 1 En guise d inspiratiou illustration gs 3 6 4 1 1 l arbre de la R volution JM PHILIPPE EE DE O RE BEP EE 110 3 6 4 1 3 OPERA DE LA ud ap nen N dg EEE Ill nes l orga 3 9 MISE EN DYNAMIQUE DES e O Ob LO e OOOO OO 115 O 1 0011 O 115 SRI or i rations futures 3 12 D fi l umbitioa du PRO 2914 Une quipe de conception s uiisation s noyau dur et satellites 3 9 2 Remarques sur les dee les Ce Viele du projet D VELOPPEMENT DURABLE ARBRES PLAISIR see 116 7 0 PEL 4 1 2 d Ces E 0 EE Re Re RAR eee Re a gt e eeeeee eeeee eeeeee eeeeee eeeeee ceecee eeeeee eeeeee eeeeee ceecee eeeeee eeeeee eeeeee ceecee eeccee eeeeee eeccee ceecee eeeeee eeeeee eeeeee ceecee eeeeee eeeeee eeeeee eee eeecce eeecce eee e eee 16 ES EET ak 16 3 9 3 Une e de d veloppement du projet sssssssssessssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss
14. Le choix des sites retenus pour les quipement de la Cit des arbres devront tout autant viter les itin raires existants que s appuyer sur leur existence pour certains acc s Club Vosgien et Pf lzerwald Vereins 2 3 Prestations touristiques Espace randonn e l p Produit commun et collaboration envisager Proposition d une Auberge du Gimbelhof animation sur le site Mr Gunder S de de Auberge dans le menu enfants Pr paration des publics h berg s la d couverte des produits venant des arbres H tel restaurant Alsace Villages Obersteinbach Mr Z rafa Partenariat potentiel si l quipement r alis correspond ses attentes gt mise en r seau et soutien pour la promotion Bezieksregierung Rheinhesse Pfalz Forstdirektion Forstamt Sch nau PAGE 32 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 LA PROTECTION DE LA NATURE Actions et projets concernant principalement le territoire Liens avec Cit des arbres Acteurs Transfrontalier du PNR Vosges du Nord is beide che Localisation Conception Gestion Pf lzerwald PNR des Vosges du Nord R serve de biosph re Obligation d exemplarit et de r flexion et de suivi et r duction des impacts S appuyer sur la Respect des d crets et recommandations relatifs ces biodiv
15. int grer 1 Une longue branche de h tre qui aurait eu supporter une lourde charge de neige peut tre atteinte dans sa structure de faiblesse tirement des cellules qui au cours d un t sec va entra ner une rupture et donc la chute de cette branche sans que l on puisse d tecter des d fauts ou faiblesses apparentes seul un pr l vement avec examen en laboratoire pourrait d terminer la solidit de cette branche 107 Un arbre a pu tre touch par un engin lors d un d bardage par exemple Plusieurs ann es apr s on se rendra compte que son enracinement ne lui donne pas la m me stabilit qu ses semblables PAGE 147 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 Les travaux sur la m canique 1 et la biom canique 2 des arbres apporteront la base th orique n cessaire la cr ation d un r f rentiel sur les ancrages arbor s r f rentiel du m me type que celui des S A E Ces travaux sont encore relativement peu nombreux et assez nouveaux En ce qui concerne les premiers signalons ici ceux de Mattheck C 1991 Trees The mechanical design Springer Verlag Berlin Heidelberg ainsi que tous ceux qui se sont d velopp s pour tudier les cons quences des surcharges subies par les arbres du fait des fixations de neige ou de verglas un travail de Jean Claude RUEL La r sistance m canique des arbres face au verglas 1997
16. o laboration d une typologie d un r f rentiel des mesures concr tes possibles e conscience des impacts de l arbre et de son milieu sur les pratiquants capacit d terminer les mesures et pr cautions prendre o psychologie la vie dans les arbres et le bien tre o hygi ne hygi ne sp cifique l activit o sant allergies virus parasites etc e Capacit d utiliser les possibilit s de recyclage et d auto puration de l arbre et de son milieu pour les activit s domestiques qui s y d rouleront 118 Nous ne connaissons que deux cas de paratonnerres install s dans des arbres Ch ne cole de TCI ATLANTA USA et Gite arboricole de la station de Mont KOGHI en Nouvelle Cal donie concernant 1 l origine et le traitement des mat riaux notamment le bois n cessaires 2 le respect de r gles thiques notamment pour la fabrication des quipements sportifs PAGE 164 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 4 1 Quartier du Bonheur la gestion des flux de visiteurs C est le quartier ou la gestion des flux de visiteurs est la plus difficile Sans puiser le sujet pr cisons en au moins deux aspects 4 4 1 1 Du point de vue de la s curit Il existe plusieurs syst mes de comptage permettant de g rer le nombre de visiteurs pr sents sur telle passerelle ou telle cabane Celui qui sera choisi ne devra pas
17. D D Le sac Le baudrier 6 mousquetons vis Une longe double avec amortisseur de chute Une longe pour noeud auto bloquant Une longe r glable Un stoppeur double s curit et anti panique Un casque Une corde statique et son sac de rangement Une fausse fourche Une poulie double Un sac lancer et sa cordelette Un carnet de note fonctionnant aussi sous la pluie Une trousse de premier soin ne s agit ici que d indication d autres ustensiles peuvent bien s r tre ajout s Comme signal au chapitre 3 6 5 1 2 on veillera aux innovations n cessaires l am lioration de la productivit plaisir de cette activit M me si le mat riel actuel est tr s performant et vari il n est pas compl tement adapt cette nouvelle activit Ce qui est signal ici permet cependant de fonctionner dans de bonnes conditions PAGE 102 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Ce qui est dit pour le mat riel vaut pour l accompagnateur trice La partie 5 portant sur la gestion voque le probl me de la professionnalisation de cette activit qui est maintenant frein e par son classement en escalade ou sp l o L volution vers un statut sp cifique se confirme mais n a pas encore abouti La faisabilit de l activit ne sera effective dans les conditions administrativo juridiques actuelle
18. P 90 300 ICS 97 220 40 L homog n it de la composition et fabrication de ces supports et la stabilit de leurs caract ristiques m caniques dans le temps permettent de justifier le respect des valeurs du tableau 1 ci contre gauche par le calcul A d faut cette r sistance doit tre v rifi e par des essais la rupture pratiqu s sur des chantillons La r sistance des diff rents l ments doit tre justifi e conform ment aux r gles de calcul qui s appliquent chacun des mat riaux constitutifs de la SAL Extrait de la Norme EN 12572 1000 Kg PAGE 146 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 4 1 2 Les solutions de l empirisme la cr ation d un v ritable r f rentiel Actuellement dans le cas de fixation sur les arbres nous sommes dans l empirisme le plus complet en dehors d une application des r gles de calcul sur la r sistance du mat riau bois selon l essence utilis en construction charpenterie passerelle etc C est l exp rience des lagueurs doux vivant au quotidien les probl mes d ancrage sur les branches ou troncs qui a cr un r f rentiel ouvrier permettant de savoir si l on peut s ancrer sur telle ou telle branche L arbre tant vivant sa structure volue les conditions atmosph riques influent sur sa robustesse les essences le sol le type de plantation
19. a les changes hydriques et les changes gazeux entre l arbre et l atmosph re le sol etc a le m tabolisme de l arbre l volution de la s ve du bois la fabrication des sucres et leur d p t etc a la g n tique Christo et Jeanne Claude Wrapped Trees Arbres Empaquet s Fondation Beyeler Parc Berower Riehen Suisse Le 13 novembre 1998 alors que les arbres avaient perdu presque tout leur feuillage commen a l empaquetage de 178 arbres avec 55000 m2 de tissu de polyester et 23 1 km de corde Ce type de tissu est utilis chaque hiver au Japon pour prot ger les arbres de la lourdeur de la neige PAGE 82 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Remarque Rappelons qu ici aura lieu intervalles r guliers le compte rendu des travaux des chercheurs 3 4 6 1 5 ARBRE ERBRA ou BREAR Arbre en verlan en inversant les choses on peut les mettre mieux en vidence Il s agit l d une piste sc nographique simple qui consiste sans d tours rendre visible l invisible palpable l impalpable audible l inaudible odorant l inodore sapide l insipide On obtient ce r sultat en faisant des coupes transversales ou longitudinales d un tronc d une branche etc a en augmentant des d tails Phlo me et xyl me agrandis a en juxtaposant des l ments distants dans le temps ou dans l espace aux diff rentes
20. idem ci dessus PAGE 39 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 R PARTITION DES QUARTIERS DE LA CITE DES ARBRES SUR LES SITES IDENTIFI S Sc narios B am nagement Bremendell dominant Secteur de Bremendell Secteur en recherche pour Secteur Hirstchtal Nothweiler Fleckenstein Ludwigswinkel Fischbach m l exploitation Obersteinbach 6 scientifique 6 ou E 8 8 i Pe pem AN m ut Z Site fronti re Abords de la Site du Gimbelhof Site de la Maison Foresti re Kaiser Wilhelm Site Wegelnburg Site Bremmenteich Maison de la A identifier Stein Biosph re Animations diverses non n Animations diverses non Variante permanentes EX Ne T SE uz MU permanentes EX Animations Animations diverses Animations diverses Cit des arbres B1 lAnimations clients surle t Promenoir idem ci dessus tous publics sur le glacis du non permanentes non permanentes site de l Auberge du Ch teau de Fleckenstein oignal transfrontalier bois Gimbelhof Idem ci dessus T B2 Variante Quartier du Idem ci dessus Idem ci dessus Idem ci dessus Idem ci dessus Idem ci dessus Idem ci dessus Bonheur incentive seulement 2 3 2 Les deux commentaires principaux sur les sc narios 2 3 2 1 Un premier grand choix entre A et B Bremendell ou ou et Fleckenstein En se r f rant aux donn es des tableaux
21. pied ou dos de mulet PAGE 78 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 4 6 Contenu du Quartier Biosph re 3 4 6 1 Explication Les th mes ne sont propos s ici que pour donner le ton Leur pertinence devra amp tre v rifi e et appr ci e en fonction de l investissement disponible de la forme d appel d offre d une analyse plus fine de ce que le site est capable d absorber comme am nagement et fr quentation 3 4 6 1 1 ARBRE MINEUR DU CIEL un th me quasi obligatoire symbolisant la prise en compte de la dimension biosph re dans l esprit du d veloppement durable Au moins un th me doit permettre d expliquer les n cessaires r gulations des grands cycles de la biosph re le cycle du carbone peut parfaitement porter ce message En plus il permet de faire le lien entre cet imp ratif et le fondement de la Cit l arbre Sur ce th me les sommets et experts ONUsiens parlent de r duction de l effet de serre et du r le de l arbre en tant que puits de carbone TI faut faire passer le lexique des sp cialistes de l sot rique l exot rique le faire passer dans le domaine du sensible et de l accessible au commun des vivants C est dans cet esprit qu il est propos de consid rer l arbre comme le mineur du ciel r abattant le carbone qui se trouve dans l atmosph re Cette m taphore devrait permettre aux sc
22. qui par essence sont connus de tous mais le parcours enrichirait la d marche gr ce une traduction ludique d une r flexion co sociologique de ces mythes PAGE 54 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 2 6 2 Composante 2 CONNAISSANCE le sentier des CABANES PERCH ES 3 2 6 2 1 Le concept du sentier et les particularit s de son ing nierie ID 6 ID V D apr s une repr sentation japonaise pour des activit s se d roulant dans les arbres Ce parcours est constitu d un sentier arbor reliant des cabanes install es dans des arbres Sauf pour acc der un point de vue exceptionnel la circulation ici est libre les visiteurs ne sont pas quip s de baudriers la s curit est assur e par des gardes fous et des filets La limite cette libert ne porte que sur le nombre de personne pouvant tre simultan ment pr sentes sur les secteurs du sentier arbor ou dans les cabanes gestion du flux des visiteurs Cette partie connaissance du Quartier du Bonheur doit exciter la curiosit qui pr c de la connaissance et faire partager la sagesse qui devrait lui succ der Le fil conducteur suivant ne fait qu ouvrir une piste d autres sont possibles Chaque cabane est celle d un singe nu Qu il soit devenu grand voyageur ermite Homme de l art il choisit de revenir aux arbres pour leur r
23. remplacer le sol en tant que surface de r ception d impact en cas de chute par un dispositif suffisamment tendu et ayant au moins les qualit s d absorption et de mall abilit quivalentes aux mat riaux recommand s dans le sch ma de la page pr c dente Ainsi dans le syst me PYRACORDO m me dans le cas du mod le 3460 le plus haut connu ce jour avec poteau central de 15 m tres la hauteur de chute libre ne d passe pas 2 5 m tres avant r ception sur un treillis de c bles amortissant D apres B Naudin Architecte Le dispositif retenu pour les diff rents endroits de la Cit des arbres varie selon qu il s agit d une progression en hauteur verticale oblique ou horizontale Le plus souvent on utilisera des filets de s curit de types catamaran ou de chantier ou de cirque petites mailles dessin de droite Dans le cas ci dessus gauche d un cheminement sens unique en hauteur le pare chute est plaqu au plus pr s du promeneur mais on peut envisager d autres fa ons de disposer le pare chute Pour des volutions relativement libres dans les arbres ou entre arbres rapproch s des filets tendus horizontalement seront pr f r s 3 L tendue de la surface d impact est fonction de la hauteur maximale de chute possible et du type de d placement de la personne chapitre 4 2 8 1 3 de la norme 1776 1 TI ne s agit que d un exemple souvent les sentiers passerelles permettront le croisement de deux per
24. troite offrirait aussi une surface d interception r duite Sisinni ef 1993 Le tableau 1 pr sente une classification de la vuln rabilit de certaines esp ces au verglas Il faut toutefois demeurer prudent face cette classification car la vuln rabilit peut varier selon l endroit l environnement imm diat de l arbre son ge et son tat de sant Tableau 1 Vuln rabilit au verglas de certaines esp ces d arbres vuln rables interm diaires r sistantes orme de Sib rie fr ne d Am rique pruche de l Est orme d Am rique rable rouge rable de Norv ge f vier trois pines ch ne rouge Ginkgo tilleul d Am rique pin blanc ch ne blanc cerisier tardif rable sucre tilleul europ en robinier faux acacia noyer noir rable argent ostryer fr ne de Pennsylvanie Source Houer ef al 1993 Les caract ristiques du tronc peuvent aussi influencer le niveau de dommages Ainsi Rebertus ef al 1997 ont observ que la probabilit de dommages augmentait avec le diam tre des arbres mais que le taux d augmentation variait selon l esp ce Amateis et Burkhart 1996 ont aussi constat une augmentation des dommages avec le diam tre et la hauteur chez Pinus taeda Nyk nen ef al 1997 consid rent que le risque augmente avec la hauteur mais que le d filement serait un autre facteur dont il faudrait tenir compte pour bien comprendre la r sistance des arbres Selon Petty et Worrell 1981 la r sistance en flexio
25. EUROPEENNE EN 1176 1 gt de s appuyer sur la r glementation concernant LES EU Remarque ces normes destin es un public jeune EUROPEAN STANDARD ne posent pas de probl mes particuliers pour tre o AS RES CC adapt es aux adultes cs 97 190 SIT de profiter des r sultats de ce qu il est convenu s jeu pour enfant mat riel pour collectivit regle de s curit ris teurs aire de jeux installation de loisir Ge que pr vention des accidents e marquage notice d appeler au niveau europ en la 6 approche dite aussi le renvoi aux NORMES r sultats qui ont abouti un DISPOSITIF EUROP EN o la r glementation fixe les EXIGENCES DE S CURIT et les NORMES pr cisent les SP CIFICATIONS TECHNIQUES D TAILL ES correspondantes Par chance le dispositif concernant les aires de jeux est quasiment termin Les r glementations de chaque pays sont concordantes et la Norme europ enne Europ ische Norm est donc applicable au deux pays depuis 1998 et jusqu en 2003 E Playground equipment date laquelle un nouvel examen de ces normes sera fait Ce irements iue un d chnische Part 1 crue M dispositif comprend 8 normes list es dans le tableau de la page and tes suivante xigence m thode d essai conception v rification maintenance Version fran aise quipements d aires de jeux Partie 1 Exigences de s curit et m thodes d essai g n rales D Spielplatzge
26. Le passage d une strate l autre peut se faire a par des chelles appuy es avec protection sur les branches et dans le cas d une progression verticale d passant le m tre compl t e d arceaux de protection le bois et l osier peuvent tre utilis s a par des nasses chaussettes con ues sur le principe des manches d vacuation en textile lastique baptis s chaussette permettant d vacuer des personnes des tages d un immeuble s introduisant dans la chaussette g ante la personne va glisser vers le bas sans danger parce que retenu par le frottement du cylindre lastique qui l entoure Sur de courtes longueurs la progression vers le haut est possible Ce syst me devrait permettre de passer en s curit d une strate l autre IL conviendra d tudier sa tenue aux intemp ries sinon n cessit de le consid rer comme un quipement semi fixe Filet avec rene QUAL l habillage des branches avec ce syst me demanderait que des modules de tailles PAGE 138 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 3 3 L utilisation des cordes et c bles limites des r gles sur les EPI les lignes de vie des innovations n cessaires Remarque La cha ne du syst me de s curit entre le support et la personne est constitu e a du support 1 Les aspects concernant le support des ancrages sont abord s au
27. Une canalisation va jusqu au r servoir qui alimente Auberge du Gimbelhof Principalement d di e la production foresti re peu de balisage l int rieur aucun sentier et faiblement fr quent e Elle est cependant long e par une variante du GR 53 dont le trac devra tre modifi si l am nagement de la nouvelle aire de stationnement utilise comme pr vu dans l esquisse communiqu e par l ONF le principal chemin de liaison p destre entre le Fleckenstein et le Gimbelhof comme sortie automobile et comme stationnement pour les bus Voir nos rq au point 3 1 3 1 1 Le nouveau trac ventuel de ce sentier devra tenir compte de l am nagement potentiel du site pour un ce quartier de la Cit des arbres C est un site bien desservi en ce qui concerne l acc s automobile et parking et p destre Mais il ne permet que peu d immersion Sa pente et la h traie qui l occupe conviennent bien pour des activit s de loisirs incentives ce qui est le choix fait dans ce sc nario A1 Pour chaque quartier il est fait un rapide rappel qui est tr s r ducteur par rapport au contenu la Partie 3 du Rapport final qui devrait servir de base au cahier des charges sur les questions relatives aux sites et aux acteurs PAGE 47 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Quartier du Bonheur Accueil Vestiaire Pr paration 1 Nature Vertige At
28. d veloppement possible dans les communes poss dant des alignements d arbres des parcs arbor s ou des bois avec des arbres de plus de quarante ans Signalisation panneaux au sol et dans les arbres Pr quipement s dentaire et saisonnier sangles fil d Ariane poulies prises ancrages etc Pour le local de stockage voir accueil PGF ou Quartier conome ou du Bonheur Type d am nagement dominant Surfaces et lin aires a NO UNS 20 m tres 100 m tres pour chaque itin raire boucles possibles selon peuplement d clivit arbor e souhait e am nag s d clivit PAGE 95 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 6 5 Contenu et vocation 3 6 5 1 Contenu 3 6 5 1 1 Vers un comportement de quadrupede civilis gauche le logo des Arbronautes mettant en avant l activit de randonn es arboricoles qu ils proposent Ce logo a une efficacit esth tique certaine mais exprime spontan ment un d faut exag r ment anthropomorphe qu il faut viter dans la conception des I R A c est l aspect bip de qui domine et la trace du passage du grimpeur est manifeste Le logo revu et corrig ci contre droite exprime la n cessit a de retrouver les sensations du quadrup de arboricole sur le dessin la pr sence des mains a d aboutir un passage dans l arbre le plus discret possible
29. dans cette tude de faisabilit Nous insistons ici simplement pour qu elles ne soient pas oubli es dans la r daction des futurs cahiers des charges 3 2 6 1 Composante 1 SENSATION Nature Vertige et Tarzan Robin des bois Robinson le Baron perch et les autres Cette partie de l quipement est la plus imm diatement attractive en l tat actuel des habitudes et de la communication dominante sur les parcs de loisirs ou d attraction dont le ressort privil gi est l engagement physique des visiteurs Il ne s agit pas de conforter une d marche la mode en faisant fi de ses effets n gatifs sur les mentalit s ou sur l environnement Il faut simplement tenter de remettre sa place ce juste besoin d implication corporelle et de d passement de soi a en le faisant vivre pleinement la facon des Samourais en proposant dans le m me temps de sugg rer ou de faire comprendre les tenants et aboutissants de la MIMICRY et de l ILINX et d en utiliser tous les ressorts pour parfaire la conception et l efficacit de ces attractions Au sein de cette partie Sensations du quartier du Bonheur deux themes sont d velopp s 3 Le CAS du Samourai c est Conna tre Agir Sentir le but tant d atteindre le Wa japonais gal notre Harmonie Ce n est pas par souci d exotisme que cet exemple est rapport ici mais bien parce que cet orientalisme tr s ancien a une correspondance occidentale r cente la th orie s
30. de plusieurs points reli s entre eux Point d assurage au sol individuel ARA AER d 2 0 1 Charge de service multiph e par un facteur de 1 5 avant d appliquer tout autre coefficient de pond ration du mat riau 2 Pour les SAE sans assurage 3 Pour le syst me d assurage en moulinette collectif les charges sont appliqu es sur chaque trav e comme indiqu en annexe D 4 Utiliser uniquement lors des essais selon l annexe B n Nombre de sections sur une trav e De mani re exp rimentale il a t relev qu il est impossible que deux ou plusieurs grimpeurs cr ent simultan ment une force de choc maximale lors d une chute NOTE Les charges d essai de r ception servent seulement v rifier que l installation est correcte elles ne remplacent pas les calculs norme europ enne E Artificial climbing structures Protection points stability requirements D K nstliche Kletteranlagen Sicherungspunkte Anforderungen an die Stabililat Ces r f rences ont une limite par rapport notre NE propos elles n abordent pas les tests pour des Ter 9 installations du type tyrolienne dont les extr mit s fix es sur les branches ou troncs font subir ces derniers des contraintes tr s fortes sch ma PETZL ci dessous Les tests impos s par la norme prennent en compte des supports d ancrages de fabrication industrielle pour les SAE ou rochers b tis pour la EN 795 Indice de classement
31. ils subissent de fortes contraintes sur le tronc mais aussi sur tout le racinaire les plates formes qui entourent les arbres sont maintenues par pression directe sur le tronc et quelquefois par des vis ou tirants de plus de 18 mm de diam tre enfonc s dans le tronc les pi tinements au sol ne sont pas du tout ma tris s les all es trac es sont peu engageantes et pas respect es les panneaux sont clou s sur les arbres etc L ing nierie environnementale n a manifestement pas t mise contribution Si nos informations sont bonnes les concepteurs du projet n auraient pas tir les lecons de leur exp rience pr c dente Mont Louis Pyr n es Orientales centre d entra nement de l arm e fran aise o les arbres quip s de la m me fa on ont tous d p ri Photo HP 7 Dans cette situation les pratiquants se trouvent sur une petite plate forme fix e sur le tronc Ce relatif confort a un effet paradoxal le fait que les pieds reposent sur quelque chose de s r inhibe le r flexe de survie qui ferait r fl chir deux fois plut t qu une avant de desserrer le deuxi me mousqueton PAGE 120 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 1 4 Les lecons a La lecon principale par la n gative tirer est simple si on n investit pas dans la r flexion si on privil gie un pragmatisme simpliste si on ne se pr occupe pas
32. lorsque les accumulations deviennent plus importantes des branches saines c dent aussi La pr sence de fourches pr sentant des angles troits entre les brins particuli rement lorsque les brins se retrouvent comprim s l un contre l autre et qu il y a inclusion d corce contribue hausser le niveau de dommages chez les feuillus Mattheck 1991 Amateis et Burkhart 1996 ont aussi observ que les dommages taient plus lev s chez les individus de Pinus faeda pr sentant des fourches La pr sence de caries pourrait aussi accentuer les dommages L identification des arbres pr sentant des signes de faiblesse m canique s av re ainsi une tape importante dans le cadre d op rations pr ventives Un guide de terrain Pin et Ruel 19967 r cemment labor pour le Qu bec pourrait faciliter cette t che Figure 3 Exemple de fourche constituant une faiblesse Source Pin et Ruel 1996 Cette courte revue a permis de d gager certains l ments pouvant influencer la r sistance au verglas Il est toutefois difficile compte tenu du caract re exceptionnel de la temp te de verglas du d but janvier d estimer l effet qu auraient pu avoir des mesures pr ventives Il demeure toutefois que de telles mesures m ritent d tre adopt es en vue de r duire les dommages lors d pisodes moins extr mes mais plus fr quents PAGE 189 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RA
33. n ral la prise en compte de l exp rience du MO permet de limiter les hypoth ses des propositions qui correspondent sa culture dans la mise en uvre de projets l ampleur de ses r alisations habituelles Ceci n a pas t op rationnel pour ce projet La diversit des interventions habituelles du SYCOPARC allant de petits am nagements de grosses op rations laissait ouvertes cette question La faisabilit a donc t abord e en pensant des solutions formes et dimensions variables Cette variabilit permet une r alisation chelonn e chaque tape pouvant avoir une envergure correspondant aux moyens et la volont du MO et de ses partenaires Cependant pour viter 9 l rosion du contenu nouveau du projet au fur et mesure qu avance sa r alisation e les risques d arr t du d veloppement global une fois les premi res r alisations faites 9 l incoh rence entre les diff rentes tapes de la mise en oeuvre il est propos e de soumettre l ing nierie la gestion et r alisation du projet une unit celle qui est contenue dans la ligne ditoriale l arbre comme fondement support et compagnon d activit s la verticalit l l vation comme sens g n rique de l ensemble e de veiller ce que les niveaux d investissements de chaque tape soient suffisants pour qu apparaissent clairement les caract res originaux et sp cifiques du projet d s le d but et sans rupture par la suite Afi
34. ner une perte de facult auditive de 20 d cibels si cet ouvrier ne porte pas de casque Ils sont d sagr ables pour le promeneur d Effet angoissant Pour certaines personnes redoutant l enfermement la for t peut causer quelque g ne voire quelque angoisse e Accumulation dans le sous bois des particules atomis es en cas de pluies atomiques Il faut videmment tenir compte des contre indications dues non la for t mais d autres facteurs du climat r gional que la for t n est pas capable de corriger ceux dus l altitude au dessus de 1 200 m cardiaques h mophiles ceux dus la mer nerveux excitables hypertendus Ainsi le s jour sur un col tr s venteux ou sur le littoral dans les premiers m tres des for ts de protection a un pouvoir correcteur insuffisant En d finitive le nombre des contre indications est r duit Il e t t bien tonnant que la for t f t une magicienne capable de tout pr venir et tout gu rir qu elle f t totalement inoffensive PAGE 197 Sr NOM T E a 71 P LJ I 1 LIT EX 1 ve 7 sl A P E r L 4 Di E MN e He EJ A Fx s 9 P 1 A r 2 D 4 A8 q s et ag 7 a x France Belgique HAUT PERCH S BIOSPHARENRESERVAT RPARK De he d
35. ou et ses partenaires seront amen s le dupliquer La franchise ou labellisation est un bon moyen d assurer la qualit de ce que lon g n re et de rentabiliser les investissements consentis en finances et ressources humaines Cette pratique nest pas r serv e au secteur strictement priv le cas de Nausicaa Boulogne sur Mer le prouve Cependant elle ajoute de la complexit la dimension gestion d finition des r gles comit de contr le etc cet aspect est repris dans la partie 5 Lieu de vie d s yx LieuX franchises M 10 Exemples de franchises possibles d velopper Les restaurants du Baron Perch la guinguette reprend du service dans les frondaisons Les colonies Robinson avec les petits d brouillards un Robinson du 21 si cle Les parcs d aventures physiques et cologiques Ilinx rencontre vertigineuse avec tous ceux qui vivent o ont v cu dans les arbres Les essaims ou la multiplication des ruches scientifiques et des laboratoires arbor s nomades PAGE 1 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 3 1 3 Correspondance entre le degr de complexit de l quipement et les possibilit s d animation Tableau Bapt mes de grimpe Visites de l arbre comme un lagueur comme les animaux D monstration lagage doux gestion de l arbre d
36. par exemple dans le cas d un percement pas de distinction entre la cicatrisation chez l homme et la compartimentation pour l arbre Ke ap Comment se situer entre un int grisme litiste qui pour ne pas abimer les arbres les mettrait tous en r serve de l activit humaine et une attitude du m me type que celle d Aventure Parc Le concept m me de Cit des arbres implique pour le moins que l on ne se contente pas d appliquer ce que l on sait des arbres cette remarque valant pour tous y compris les professionnels des arbres qui n ont pas toujours le temps de refonder ou de r actualiser leur connaissance Il implique que l on s approprie de nouvelles connaissances que l on change que l on confronte pour qu ensuite et seulement ce moment l enrichis de ces nouveaux acquis on revienne des r gles d un bon sens renouvel qui dans tel endroit sur tel arbre autoriseront ce que l on ne se permettra pas dans une autre situation Le visiteur l utilisateur de la Cit des arbres devra sentir combien les concepteurs les gestionnaires ont fait attention aux arbres dans tous les d tails 110 Les c cit s de la connaissance l erreur et l illusion in rapport l UNESCO Les sept savoirs n cessaires l ducation du futur d Edgar Morin 11 L amalgame Homme Nature ou plus exactement ici la Nature toute la Nature hors l Homme fonctionne aussi dans l autre sens Quelquefois contrario de notre exemple sur la cicatrisation l
37. performentiel pour les randonn es arboricoles atteindre 70 de toucher d arbres pour 30 de toucher de corde ou mat riel de s curit est important que les concepteurs se lib rent de la pression techniciste commerciale ou et culturelle qui donne la priorit au mat riel Le mat riel individuel et les quipements dans les arbres ne sont l que pour a pallier nos manques dus l volution morphologique mais aussi la vie urbaine dominante aux effets pervers du confort et des protections actuelles faisant prendre trop de poids et aboutissant la perte des b n fices que peut procurer un instinct de survie cultiv a se mettre en conformit avec les r gles de s curit a compenser le manque de continuit arbor e et de diversit dans le traitement des boisements peu d arbres tr s branchus avec de belles branches quelques m tres du sol et des houppiers volumineux se rejoignant Actuellement ce sont des techniques base de cordes escalade sp l o lagueurs Voir chapitre 4 qui sont utilis es Elles sont utiles pour r gler les probl mes d coulant des points signal s ci dessus mais elles entra nent une g ne diminuant le plaisir du randonneur arboricole entre l arbre et lui il y a trop souvent quelque chose qui parasite le contact direct L harmonie entre les quipements s dentaires et les E P I doit se d finir par rapport cette capacit favoriser la progression dans les arbres par
38. pistes que pourra explorer HU loc nnhnoec 2 m en o des arbres 7 elle m me pot UV NALIN NOUV d S yl tion All f nana A M ou accomi 1 11 5 ris ET d e 4 SIGS PAGE 60 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 2 Situation et vocation de l ambiance actuelle Planche 1 73 l A t H La 8 JC telo 2 Uk i A t 1 Y D A EFI 4 4 A 2 1 J 1 115 g Ze ds QN 1 rt erf a Fleckenstein For t r gionale 7 j Alsace f HL E 2814 2 e VW PAGE 61 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 SITE DE LA MAISON FORESTIERE FRANCE 250 m de la Maison foresti re du Fleckenstein futur P le des G n rations Futures Partie Nord de la parcelle foresti re 8 cheval For t Communale de Lembach For t R gionale La zone Cit des arbres limit e Nord gt parcelle 9 Est GR 53 Ouest gt fronti re franco allemande Sud gt prolongement sentier le long de la MF Localisation g n rale Les parkings 1 actuel parking du Ch teau rappel qui ne sera plus accessible
39. rarement nocives 8 cas indiscutables sur 2 846 D ailleurs apr s une pluie leur inconv nient dispara t Mais en r alit ce sont surtout les pollens des gramin es qui sont incriminer dans 397 cas sur 525 Parmi les arbres on ne cite gu re que 2 esp ces le platane fin mars mi mai pollen et poils des feuilles 46 cas sur 525 selon Charpin et le m rier ce ne sont d ailleurs pas des arbres forestiers On a tudi en recueillant sur des plaques de verre les pollens de cypr s en f vrier d abi tin es fin mars d but avril de pin pluies de soufre d olivier de buis d rable il semble qu en France ils soient en g n ral inoffensifs Il faut donc combattre l opinion courante qui attribue aux pollens forestiers les allergies Les poils de chatons de peuplier femelle appel s coton sont nocifs Populus deltoides de Virginie mais il ne s agit pas d un arbre v ritablement forestier On a signal en Belgique en 1939 des cas de bronchites ulmaires dues non l orme mais au champignon qui l attaque la graphiose b Lichens On a constat des allergies aux lichens en particulier des Parmelia par leur acide usnique des allergies aux h patiques feuilles Frullania et Radula donnant par action d une lactone des ecz mas aigus des allergies au bois la question est discut e au bourgeon de pin maritime ainsi que des allergies certaines plantes basses foresti res primev re occasionnant parfoi
40. rement utile et m rite d tre r sum e ici Les cons quences de l activit escalade arbre pendant la saison estivale sur un site du parc naturel r gional y ont t tudi es gr ce des techniques d inventaires mwHomaesde O SUR LA FLORE ARBORESCENTE ch ne ch taigniers robiniers aulne l environnement ARBUSTIVE bourdaines houx communs viorne obier et HERBACEE lierres ch vrefeuilles germandr e foug res aigle bruy re cendr e ajoncs d Europe a SUR LA FAUNE a les oiseaux PASSEREAUX bergeronnette printani re grimpereaux des bois pipit farlouse pouillot v loce tarier p tre m sanges charbonni res bleues hupp es et longue queue troglodytes pinson PTT ad et Modifications volontaires du milieu Augmentation du pi tinement perturbation du sol caus s la flore Dispersion des plantes envahissantes Germination et implantation de nouvelles esp ces Changements dans les plantes caract ristiques du milieu comp tition e Changements dans la composition et les Dispersion d animaux des arbres fauvette t te noire sittelle torchepot merles rouges Meuse A cv aa ta gorges CORVIDES geais des ch nes corneilles CUCULIDAE coucou gris a les mammif res CERVID S chevreuils micro mammif res mulots Alt ration des habitats musaraigne CARNIVORES renards AUTRES
41. tre entrepris par le ma tre d ouvrage de l installation d s qu il a obtenu l autorisation pr vue l article 3 du d cret susvis Article 1 erde la loi du 27 septembre 1941 4 portant r glementation des fouilles arch ologiques R 442 12 Tout travail de fouille ou de sondage destin la recherche de monuments ou d objets pouvant int resser la pr histoire l histoire l art ou l arch ologie doit avoir au pr alable t autoris par le ministre charg des fouilles arch ologiques En raison de la nature particuli re de ces travaux c est l autorisation pr vue l article 1 de la loi pr cit e qui remplace l autorisation d installations et de travaux divers b Cas dans lesquels l autorisation de substitution absorbe l autorisation d installations et de travaux divers L autorisation vis e l article R 442 2 n est pas exig e dans la mesure o l op ration est r alis e l occasion d un autre travail am nagement ou construction lui m me soumis autorisation Les op rations ci dessous entra nent g n ralement des travaux de terrassement ou d am nagement du sol des d p ts de mat riaux qu il serait anormal de soumettre autorisation Le permis de construire R 442 11 Lorsque l installation ou le travail projet accompagne une construction ou tous travaux entrant dans le champ d application du permis de construire L 421 1 et R 421 1 et s du C U le permis de construire d livr tient lieu de l a
42. 1 2 1 Un embofitement de principes Rappelons les principes qui doivent amp tre respect s et les objectifs g n riques fix s par le cahier des charges de cette tude a Respecter des chartes d veloppement durable Parcs et r serve Biosph re D velopper une approche originale du milieu naturel Prendre en compte la dimension transfrontali re y compris dans l implantation des quipements 2 zones d tudes 2 secteurs transfrontaliers tablir un lien entre le gr s et les arbres deux sources majeures des nombreux centres d int r ts du secteur Pouvoir accueillir 3 grandes cat gories de publics diff rents a les touristes a les groupes de jeunes pour des animations ludo ducatives sur l environnement a les scientifiques pour des travaux de recherche sur les arbres D 1 2 1 2 2 Des buts semblables par leur exigence et tr s divers par leur champ d application Le cahier des charges indique de fa on explicite ce qui est attendu de l application effective de ces principes les buts et si quelquefois ces attentes ne sont que sugg r es les r unions de travail qui ont suivi les ont pr cis es Ainsi le MO souhaite a que les scientifiques puissent d velopper leur recherche dans la r serve de biosph re gr ce la pr sence d arbres transform s en v ritables laboratoires a que les produits touristiques soient a suffisamment attractifs par leur contenu et par leur place sur le march concurrentiel
43. 48 61 Silva G 1996 tude de la r sistance m canique d arbres soumis une simulation de l action du vent dans la r gion de l Outaouais au Qu bec M moire de ma trise Universit Laval 157 p Sisinni S M W C Zipperer et A G Pleninger 1995 Impacts from a major ice storm street tree damage in Rochester New York Journal of Arboriculture 21 156 167 Contrainte force par unit de surface Disponible aupr s de Daniel Pin Institut Qu b cois d am nagement de la for t feuillue Email igaff orbit qc ca PAGE 190 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 3 2 Architecture des plantes et botanique CIRAD La m thode architecturale consiste en une approche globale et dynamique de la structure du v g tal Cette Crois d finie approche est men e diff rents niveaux d organisation entre noeud ou m tam re unit de croissance pousse i annuelle axe plante enti re hi rarchiquement imbriqu s Elle s int resse aussi aux m canismes par lesquels ces Module niveaux d rivent les uns des autres Romih sympodiale LA Les ph nom nes de diff renciation morphologique li s la croissance et la ramification sont caract ris s en vue d identifier pour chaque esp ce un mode d organisation fondamental et sp cifique son unit architecturale 3 Cette approche est essentiellem
44. A A D N h LU 1 LU T D lt I VU Q O gt SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 2 6 1 2 Deuxi me th me Tarzan Robin des Bois Robinson le Baron perch les marsupilamis et les autres Il s agit d voquer la vie de ces personnages imaginaires travers des parcours arbor s Ce th me n est pas d velopp dans ce dossier Cependant il semble judicieux de le prendre en compte pour que les premiers am nagements n ob rent pas la possibilit de sa r alisation Son attractivit r cup rant la culture commune et populaire sur ces sujets permettrait un bon d veloppement de l quipement En attendant une r alisation p renne rien n emp che d en tester certaines applications en se servant des quipements de Nature Vertige r affect s l occasion de f tes ou animations exceptionnelles qui pourraient choisir pour th me un de ces personnages mythiques ayant v cu dans les arbres Les deux plus faciles mettre en uvre seraient a un parcours Robin des Bois qui associerait progression dans les arbres et parcours de tir l arc sur cible repr sentant l pop e de ce dernier a un parcours Tarzan revu et corrig par la dimension locale Le traitement de ces th mes utiliserait les lieux communs
45. ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 9 3 Une possibilit de d veloppement du projet Appropriation par le mO actuel Harmonisation avec le le PGF et Communication phasage Harmonisation avec les propri taires Recherche de partenaires e financeurs D signation du MO Cr ation de l association des promoteurs de la Cit des arbres Animations classiques Cr ation des amis de la Cit des arbres Nommination chef de projet Montage de l quipe de programmation noyau fixe comp tences variables tudes compl mentaires Comit d thique Animations v nements 5 Cr ation des co franchises Programmation Lancement des concours n Notori t Formation groupes tests sur structures ph m res r alisation Remarques 1 La d marche est la m me quel que soit le phasage d cid comme cela a t signal la Cit peut se construire quartier apr s quartier chacun pouvant fonctionner ind pendamment 2 Dans cette partie 4 de l tude des pr cisions sont donn es sur l aspect g om trie variable de l quipe de programmation A diff rents sous chapitres les comp tences n cessaires associer tel ou tel moment du d veloppement du projet sont signal es PAGE 117 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 200
46. Acc s au houppier et la canop e Le sch ma du point 3 1 5 1 illustre principalement ce qui existe comme possibilit s d acc s par les Hommes au houppier et la canop e Deux autres solutions pourraient tre tudi es pour r pondre notamment la derni re demande ci dessus quipement l ger permettant d aller jusqu au dessus de la cime Le radeau de cimes actuel qui remplit cette fonction dans les for ts quatoriales ou tropicales n est pas adapt car trop lourd et provocant des d g ts en ce qui concerne les terminaisons des derni res branches incompatibles avec la charte d une r serve de biosph re Le terme l ger signifie que le r sultat qui caract rise ce nouvel quipement est a rien traverse le houppier avec souplesse sans toucher les branches mais ne signifie pas que l ensemble de la structure est l g re En effet pour atteindre quelquefois plus de 20 m tres de hauteur il faut des supports relativement volumineux et fond s Les solutions les plus proches existantes sans fondations trop lourdes se trouvent dans les techniques de construction de chapiteaux cirque des houblonni res ou d chafaudage de chantier En voici le sch ma de principe illustrant un quadrillage int rieur de l arbre par c ble ou par chafaudage La solution pour un arbre peut s adapter plusieurs arbres 3 y y 1a Y Pour l acc s au houppier des solutions portant sur les quipements individuels m ritera
47. DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 De ce qui pr c de nous avons vu que la protection ne trouve pas de solutions appropri es l activit de vie dans les arbres l s implante la Cit des arbres On parle beaucoup plus de protection des arbres en milieu urbain par n cessit imm diate une n cessit relevant souvent de l urgence Une fois n est pas coutume c est de la ville que nous ram nerons quelques techniques pour vivre dans les arbres de nos for ts Actuellement en milieu urbain se c toient des m thodes de gestion dure et des m thodes de tailles douces dites encore raisonn es ou d accompagnement La premi re r gresse m me si elle reste dominante en France contrairement l Allemagne qui a opt en majorit pour la deuxi me deuxi me progresse et a constitu ses r gles techniques et de d ontologie pour des interventions dans les arbres adapt es aux arbres Il n y a pas d obligations l gales appliquer une m thode ou une autre Il faut convaincre Les grimpeurs d arbres pour le loisir ont repris ces r gles nouvelles elles m amp mes inspir es des travaux des scientifiques Les Haut perch s ont finalis un document sp cifique un premier code de d ontologie sur la base des contributions des grimpeurs en se r f rant la charte S quoia issue de l ISA International Society of Arboriculture Cette premi re charte de l activit arboricole de l
48. DIATION REPRODUCTION SEXU B ARBRE SOURCE D INNOVATION COMPAGNON DE LA VIE De la d couverte et de l innovation Arbres fabriqu s enti rement en bois avec toutes les essences du monde Utilisation des techniques VITRINE DES SAVOIRFAIRE PROFESSION traditionnelles FILI RE Utilisation des demi res innovations BOIS Pour la conception La foumiture de mat riaux PARTENAIRE le financement la communication PAGE 112 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 8 4 2 2 Organigramme pour la r alisation Visiteurs Animateurs ROTATION Migrateurs Grands cycles Eau Carbone li Par les ondes radio actives ou non CIRCULATION FIXIT MOBILIT Par l effet d autres ondes Objets fixes s animant lumineuses infra rouge etc Par le vent la pluie la biochimie Dimensions Espaces Territoires Strates Niches Nids Les temps de la vie re saison journ e AGITATION Simulations du parcours de Objets se d placant la s ve fontaine jaillissante Simulations de d placement Vie mort g n ration d animaux DURABILIT respiration S Objets se modifiant BIODEVERSLIE st changement de volume de 0189 1264 ee deuee couleur d apparence etc AIG 6 0 816 bont bon 19 usieesuce qe
49. Et formes juridique particuli re T plan sont trait es avec le chef de E DON Plan d am nagement forestier D on bail construction pour la partie qui du Massif de Fleckenstein Ke concerne sa propri t dime NS Des modifications importantes de 25 n cessitent de refaire le plan Collectivit locale la plus proche Permis de construire relations avec services municipaux Remarque Suivre le projet de voirie transfrontali re voir partie 3 Commune de Lembach PAGE 30 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 2 LE TOURISME ET LES LOISIRS Actions et projets concernant principalement le territoire Liens avec Cit des arbres Acteurs 2 1 Planifications ine i CRM Inscription du projet dans le cadre de ces outils de la Vall e de la Sauer NAE planificateurs et f d rateurs qui donnent un sens au Projet de Parc des Fleckenstein est pr conis comme centre EC faisceau d initiatives touristiques d velopp es sur ce n rations futures du PGF 9 Plan de d veloppement territoire transfrontalier TOURIS NGHE et plan de Proposer un quipement d monstratif du tourisme paysage int gr s durable et de la coop ration transfrontali re Dahner Felsenland Verbansgemeinde PNR des Vosges du Charte europ enne du tourisme durable en Dors 1999 projet N cessit d int gr
50. Infrastructures d accueil du est d j l accueil du public tant quipements d j existants ou l am nagement d un concept public pr voir m me limit es pour les fonctions loisirs que programm s fort plus d monstratif au plan spatial et budg taire p dagogiques pas p dagogique et donc d infrastructures d accueil qualitativement plus ambitieux touristiques suppl mentaires pr voir au plan spatial budg taire et impact suppl mentaire sur la for t RECOMMANDATIONS Si ce secteur est retenu pr voir Si ce secteur est retenu pr voir une meilleure coh rence des programmations des deux trois op rateurs d autres moyens de transport suppl mentaires pour viter l impact fran ais important sur la for t que constituerait l am nagement de des activit s ponctuelles en immersion sur le secteur 2 nouvelles infrastructures routi res la recherche de sites au sein d une zone plus large que celle de l tude des animations grand public et la r alisation de l aspect loisirs pour la recherche scientifique incentifs sur le secteur 1 des moyens pour la synergie des deux secteurs Fischbach la recherche d un site hors zone d tude pour la recherche scientifique des moyens pour la synergie des deux secteurs Fischbach PAGE 38 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 2 3 SC NARIOS D IMPLA
51. Le cas des simples animations temporaires ou des n Hee ne 26 EE 129 4 2 4 2 L aboutissement dans les conditions actuelles le bail construction cad m 129 4 3 DEUXIEME TAPE INNOVER EMPRUNTER ET ADAPTER LES S TECHNIQUES DE DIFF RENTS M TIERS screens 132 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 1 Diversit des activit s dans les arbres emprunts de nombreux m tiers en tenir compte en amont de la r alisation 55555 549595595959595555555555555656565568888 4448488585999999999998888888888886 132 4 3 Diversit des produits possibles Haut Perch s 4 3 1 2 Une premi re valuation des douanes pr onnels auxquels il est fait appe 4 3 2 Deux incertitudes importantes par rapport aux normes appliquer pour viter les cons quences de chutes ventuelles propositions de solutions 136 4 3 2 1 657 ncm o C 4 3 2 2 probl me de l espace lib 4 3 3 L utilisation des cordes et c bles limites des r gles sur les EPI les lignes de vie des innovations n cessaires n s ssssssssssssssssssssssscccesesssscsscssssssssss
52. Le ferment du Jev Dour SE 8 LA 9 ELA TAE d Pod Sy E t A o WS d 8 A Lei Kai LE ud La place de l arbre dans ce projet est la plus classique elle symbolise la LIBERT et la VIE en g n ral tonnant symbole l arbre li au sol attach comme le serf la propri t du sol devient apr s la lib ration de ce dernier symbole de la libert nouvelle d aller et venir de se d placer son gr libert nouvellement promue par la R volution de 17899 Mais les id es r volutionnaires n ont pas chang des traditions populaires qui ont toujours fait de l arbre le symbole du renouveau Rappelons tr s succinctement les arbres du mois de mai qui avant les arbres de la libert taient honor s pour f ter les bienfaits de la mont e s ve les arbres loques portant les linges et les voeux de malades qui pensent que les bourgeons gorg s de vie nouvelle peuvent transmettre la force n cessaire au retour de la sant Individuellement ou collectivement l arbre est acteur des v nements importants de la vie le Sommet de Rio l a encore choisi comme symbole du d veloppement durable Ne pourrait on pas nourris de cette culture en utiliser la force en proposant une expression renouvel e de ces symboles en mettant en vidence non plus les maux du pass mais plut t l espoir des jours venir a non pl
53. SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Dans le premier cas il s agit d installer au pr alable un fil double fin en polyester servant tirer la corde qui permettra de passer de l autre c t Ce fil sera remis lorsque la corde sera enlev e une fois les randonneurs pass s de l autre c t Il est pr f rable d installer le fil fin sur des fausses fourches Ceci vite 1 d abimer les corces dans le cas du h tre ou 2 les inconv nients des coincements dans les corces de ch ne par exemple La deuxi me solution consiste rep rer un passage par des endroits relativement d gag s pour lancer un sac de quelque 300 g permettant d atteindre une branche de l arbre loign Cette technique est difficile et ne permet ire pas d atteindre de longue port e au plus 15 20 m tres Elle peut tre am lior e par le lancement d une cordelette gr ce une arbal te une fronde etc D Enfin le grappin MENU situation N 2 du dessin de la page pr c dente pourrait tre remplac par un petit bs NA cv D ww A Les MR EL zech SP 29 robot t l command Lorsque les arbres ne sont pas trop loign s d autres techniques peuvent tre utilis es lancer de crochet liane d port si on veut tre s r de r ussir elles n cessitent aussi au minimum un bon rep rage des lieux 10 3 6 5 1 3 4 Mat riel n cessaire et accompagnateur Le m
54. Tv 16 e es A D A V ae T Photo Aventure Parc TT CT RS 73 Nous verrons cependant que ces r glages statiques Ch 4 1 3 3 4 difficilement modifiables l quipement n ayant pas de flexibilit ne permettent pas de g rer les intemp ries coups de vent temp tes 7 Nous n avons pas abord tous les aspects Un porteur de projet de parcours sur c ble T R Pas de Calais nous signalait aussi les probl mes d hygi ne ou de confort transmission des gants de protection sans d sinfection passage de combinaison d un visiteur ayant su au suivant sans nettoyage PAGE 121 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Le cahier des charges du MO et le contenu du concept de la Cit des arbres impliquent que l on vite obligatoirement les cueils signal s au chapitre pr c dent Les solutions apporter aux probl mes de s curit des pratiquants de s curit des arbres et de mise en conformit des innovations de la Cit sont chercher ailleurs dans le monde de la R glementation normalisation certification La Cit doit faire connaissance avec le sens de ces mots bien avant de recevoir son premier visiteur Elle les retrouvera tous les stades a aux diff rents stades de la conception r alisation notamment en se posant la question comment rendre faisable un tel projet en res
55. bourgeon de pin maritime ainsi que des allergies certaines plantes basses foresti res primev re occasionnant parfois des bulles Ce sont les b cherons plus que les promeneurs qui peuvent souffrir de dermatoses d origine foresti re ecz ma des b cherons appel e gale du bois d me de la face parfois aussi les chasseurs Le contact de sumac le lierre ont t a t on dit cause de dermatoses Cl Piq res Les piq res par pines de ronces arbustes pineux glantiers gratte cul prunelliers robiniers etc sont parfois infect es par les oiseaux et peuvent donner lieu des complications granulomes panaris Des dermites sont dues aux chenilles processionnaires du ch ne du pin du m l ze soit par contact soit par des poils entra n s par le vent Les moustiques des for ts sur sol argileux sont d sagr ables mais ce ne sont pas les vecteurs habituels du paludisme Les vip res ne sont pas li es la for t mais plut t au terrain Enfin signalons en plus NDLR es tiques pr sentent en for t peuvent tre porteuses de la maladie de Crosne d g n rescence nerveuse ce qui n cessite une hygi ne intime particuli re apr s l activit es possibles pig res classiques d abeille frelons araign e 17 Nous n abordons pas ici les probl mes 1 d injections possibles d esp ces v g tales de consommations toxiques 2 la sp cificit des impacts n gatifs des essences des f
56. casser l ambiance p n tration dans le r ve bris e par la n cessit de passer dans un tourniquet ou de pr senter une carte lectronique L utilisation d un syst me transparent pour le public est pr f rable Les d limiteurs de surcharge comme dans les ascenseurs semblent mieux adapt s la situation voir ci dessus 4 4 1 2 Du point de vue du confort des visiteurs Pour leur viter des attentes il faut harmoniser l ensemble des flux parcours vertige parcours connaissance parcours cabane au sein du quartier du Bonheur et pouvoir faire sauter les bouchons Une r gie globale permettant d atteindre chaque responsable de secteur sera mise profit pour mieux utiliser leur polyvalence L intervention d un guide acteur capable de faire du th tre d intervention sur le th me de ce quartier et d entrdiner agr ablement les visiteurs en attente vers les lieux moins charg s compl terait de facon efficace et originale le dispositif 4 4 2 Quartier de l Econome la gestion des flux de mati re et d nergie n cessaire et induits par des s jours humains dans les arbres Parmi la gestion des intrants extrants signal s par l organigramme de ce quartier voir 3 3 4 1 ci dessus le principal probl me consiste bien g rer l apport d nergie et de mati res premi res n cessaire aux fonctions de base d un s jour dans les arbres court mais pouvant durer plus d un jour manger boire se laver Le tableau voir 3 3 4 2 ci de
57. conceptuel et m thodologique original qui peut amp tre appliqu n importe quelle esp ce 10 11 Les esp ces tudi es sont diverses mais une attention particuli re est port e l tude des arbres L analyse statistique AMAPmod des donn es permet une mod lisation de l architecture et du d veloppement des plantes dans une perspective de pr diction de leur production en quantit et en qualit Les donn es recueillies permettent galement de constituer des bases de donn es en vue de la simulation du d veloppement des v g taux AMAPsim et de la cr ation de maquettes tridimensionnelles utilis es en t l d tection AMAP2sar ou pour simuler des transferts radiatifs Coupl es aux connaissances d autres disciplines elles permettent enfin de relier l architecture au fonctionnement cophysiologique ainsi qu la biom canique de l arbre Architecture et g n tique PAGE 192 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Ce th me de recherche aborde la variabilit intra et inter sp cifique de la structure des pousses annuelles 12 13 14 15 16 et de l architecture globale de l arbre 5 Il vise identifier les composantes endog nes de la morphologie et de l architecture d une esp ce dans une perspective de s lection ou d am lioration g n tique Architecture environnement et sylviculture C
58. construire ann e apr s ann e pour aller d un quartier l autre pour aller vers des points d observations pr sentation g n rale Ce qui est dit ci dessus n cessite une planification avec les gestionnaires des arbres Sur un trac reliant les quartiers de la Cit des arbres doivent tre conserv s d autres doivent tre plant s C est donc une int gration dans l am nagement forestier qui est n cessaire En attendant tous les segments de sentier possible doivent tre r alis s Le but de ses sentiers haut perch s contrairement aux I R A est de permettre une circulation en hauteur sans ligne de vie sans baudrier et si possible avec des lieux o peuvent se croiser deux personnes marchant en sens inverses Au sein m me des quartiers les solutions techniques idoines sont mises en uvre pour remplir cette fonction d s les premi res r alisations Une signalisation particuli re des postes d observations sublimera tout au long de ces parcours les centres d int r ts des secteurs travers s De m me le passage dans les arbres sera soign et des lieux de repos seront am nag s pour la m ditation les discussions plus intimes pour personnes en tr s petits groupes environ 4 N 202222 950 On veillera aussi prendre les mesures pour que des WEM parcours soient accessibles aux personnes mobilit r duite Suivant ainsi l exemple australien qui leur propose 60 m tres de sentier arbor dans le parc national du Su
59. contact direct par utilisation des pieds des mains de l ensemble du corps pour embrasser l arbre La plupart des activit s arbor es actuelles ont un ratio peu performant de ce point de vue Le temps pass toucher les cordes ou le mat riel est plus important que le temps pass toucher l arbre La cit des arbres doit avoir pour objectif l inversion du rapport actuel 70 pour le mat riel 30 pour l arbre et donc atteindre gr ce sa conception notamment pour les randonn es 30 pour le premier et 70 pour le deuxi me 3 6 5 1 3 Pr cisions sur les 4 points principaux de l organigramme 3 6 5 1 3 1 D termination des IRA les quatre types La premi re partie d termination des IRA a d j t d j abord e au chapitre 3 6 2 et est reprise sous ses aspects impacts ci dessous au chapitre 4 1 2 4 La proposition limit e 4 types ne doit pas tre un carcan d autres types mergeront en fonction des lieux des capacit s des accompagnateurs et des personnes ressources La premi re ann e de pratique suscitera des vocations Ce premier classement est indicatif et r sulte du regroupement des exp riences acquises en d autres lieux Une infrastructure et un encadrement suffisants permettant de proposer sur le territoire des deux parcs naturels un catalogue comportant les trois types 1 SPORTIF 2 NATURALISTE 3 BIEN TRE IMMERSION avec une attention particuli re pour que certaines randonn es puissent amp tre
60. cr er une fixation s adaptant aux branches et aux troncs ceci pouvant exceptionnellement tre compl t par des l ments rapport s perches de bois ou de m tal PAGE 139 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Il s agit donc de cr er une ligne de vie souple sur c ble adapt e au support v g tal utilisant un syst me de chariot coulissant du m me type que celui pr sent ci dessous soci t Gamesystem permettant de passer les points de fixation et de r aliser des courbes Les am liorations apporter au syst me classique sont signal es dans l encart Am liorations T Pour pouvoir utiliser des parcours avec pente le chariot doit tre auto bloquant dans un point d o sens ou l autre ihle on jfivation il l inversion devant se faire facilement sans danger par la personne gt La fixation ancrage de l trier et l trier lui m me c t support arbre doivent tre adapt s aux troncs et aux branches LESER courbe possible s 4 3 3 2 Une technique du monde du travail adapt e au plaisir le filin appel remplacer la corde ou le cable Les filins sur enrouleurs automatiques des syst mes professionnels de nettoyage s curit travaux en hauteur mais aussi cirques peuvent apporter des solutions int ressantes
61. d am liorer ce temps de retour Cabanes dans les arbres y compris accueil et vestiaire sur pilotis ou et suspendus Type d am nagement Passerelles et sentiers entre les arbres pour circulation libre dominant Parcours sur c bles et cordes pour Vol de l autour et les autres volutions s curis es protections collectives et individuelles ligne de vie et baudriers filet de s curit etc selon les cas Surfaces et lin aires Surface n cessaire entre 3 et 5 ha quelque 150 arbres et utilisation d une d clivit de 30 40 m tres am nag s d clivit Lin aire am nag en premi re tranche version compl te 200 m tres Surface cabanes 5 cabanes de 64 m utiles il s agit d une moyenne soit 320 m Accueil vestiaires sanitaire urgence 150 m PAGE 49 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 artier du bon ntes Sensations L AUTOU 3 2 6 Contenu du Qu les deux CABANES Nous avons propos de pr senter ces parties du Quartier du Bonheur sous l angle de la pr dation voir partie 2 et cette partie 4 au chapitre 3 2 1 En Bref pr dation de sensations et pr dation de connaissances ce point de vue contribuant la d finition du style donner l ensemble Les implications pr cises de ce point de vue sur le style et sur les choix de communication relevant des tudes de d finition elles ne sont pas d velopp es
62. dans l arbre g n alogique champagne et tarte au sucre d rable en sus bien entendu Prix 150 francs par personne Stage de d veloppement personnel Dur e 2 jours Prix 1500 Francs par personne h bergement compris Jeu de r les Ev nementiel Actuellement nous pr parons une manifestation 2001 La transfrontali re des cimes vertes WS 1 ar les arbres d un pays l autre M PAGE 133 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 1 2 Une premi re valuation des domaines professionnels auxquels il est fait appel La diversit des produits voqu e ci dessus fait appel de nombreuses techniques appartenant des m tiers nettement diff renci s VIVRE DANS LES ARBRES emprunte plusieurs domaines professionnels Aspects nouveaux le tout O Gestion de l arbre et m tiers est plus que la somme des s curit secourisme DM PME parties EIER Sr 5 Disciplines sportives tronc 20 commun lutte sp l ologie escalade gym etc 10 Formateur 10 Sant remise en forme pr vention bien tre 15 O Cirque danse et autres spectacles 4 3 3 10 E Animation environnement Animation socio culturelle 15 15 PAGE 134 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 19
63. de la p rennit des arbres si on fait fi dune p dagogie directe ou induite sur le respect de tout ce qui est vivant on aboutit au concept d aventure parc mais on passe a c t des arbres et de tous ce qu ils peuvent nous apporter et on n est pas top au niveau s curit a La deuxi me le on par la n gative porte sur la cr ativit et la beaut le parc visit fait b cl rien n est bien fini les arbres sont ab m s des branches sont cass es les filets sont attach s avec des bouts de ficelle l ensemble n a pas de sc nographie aucune motion ne nait et le g nie du site n est pas mis en valeur une exception une tyrolienne bien situ e au dessus d une jolie petite vall e Enfin les jeux ne refl tent aucune cr ativit par rapport ce que l on peut trouver depuis longtemps dans les parcours incentive en for t a La troisi me le on est positive il y a un bon professionnalisme sur quelque point a dans le r glage de la tension des c bles et les ateliers tyrolienne pont de singe etc sont m caniquement et cin tiquement bien r gl s a dans l organisation de l accueil pas de perte de temps pour se mettre en tenue et de l initiation un parcours initiatique permet l apprentissage rapide un m tre du sol l ordre et l efficacit qui r gne ce niveau mettent le visiteur en confiance Ze 1 m IAR Oi aaa EE e LT A ME A ZF CL B3 eT t CAELI MET e d T ca P
64. des bases de l conomie se rendre autonome des al as climatiques des hypoth tiques cueillettes ou chasses etc est appliqu ici pour concevoir le Quartier de l conome L autonomie est toujours relative On se rend autonome pour une dur e d termin e et dans des conditions de vie particuli res Ainsi par exemple ne pas vacuer ses d chets peut allonger la dur e d une s ance d autonomie mais ceci n est pas sans cons quences sur l environnement odeurs pollution visuelle m tabolisme Pour que le groupe invit ce quartier soit en immersion on cr era les conditions de son autonomie ou de l apprentissage de celle ci prenant en compte a ses besoins fondamentaux 3 son apprentissage des techniques de vie dans les arbres a et la connaissance et maitrise r duction de son impact sur l environnement Le tableau 3 3 4 2 ci dessus r sume les objectifs fonctions et am nagements envisag s Le mot arbre d signe soit un bel arbre au houppier suffisamment d velopp pour y installer entre 4 et 6 personnes soit un bouquet d arbres rapproch s jouant le m me r le Bien videmment ici ce qui est sugg r par les mots doit tre relativis les mots sont utilis s ici dans leur sens le plus frugal conome de moyens la fa on des campeurs ou des nomades et s appliquent en g n ral de faibles quantit s Le sch ma 3 3 4 1 donne une id e de l organisation du quartier et des flux dominants qui le
65. des milieux corce sols Information g n rale et individualis e Information du public Peut se limiter l accueil et une surveillance ou t l N cessit d un encadrement professionnel par groupe tout au long de Encadrement Ce E surveillance g n rale l activit Capacit flux de visiteurs Plus Moins Montant des investissements Plus lev Moins lev Charges de fonctionnement Moins lev es Plus lev es 78 Ce raisonnement s appliquera aussi aux probl mes d encadrement des activit s comp tences des encadrants PAGE 123 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 2 2 Les r gles et des normes de s curit actuellement les plus adapt es pour la solution dite R SIDENTE L Allemagne comme la France ont labor depuis des dizaines d ann es partir d actes l gislatifs et r glementaires leurs propres codes construction habitat protection de la nature et des paysages rural et forestier environnement De m me les deux pays se sont engag s dans des processus de normalisation des l ments et techniques de constructions de maintenance de s curit de v rification d laboration de documents techniques DTU de certification La construction de la Cit des arbres touche ces nombreux domaines et concerne deux pays et Europe Pour clarifier l approche le choix est fait ici o
66. est rest e sur les arbres longtemps apr s Hauer ef a 1993 n ont toutefois observ aucun lien entre la densit du bois la contrainte de rupture le module d lasticit et le pourcentage d arbres endommag s par esp ce la suite d une temp te de verglas en Illinois Ils consid rent que la r sistance du bois joue un r le moins important que la capacit de l arbre accumuler la glace Cette capacit d pendra largement de l architecture des arbres Ainsi la pr sence d un plus grand nombre de branches lat rales entra ne une accumulation plus importante de neige ou de glace Cannell et Morgan 1989 Hauer ef al 1993 Les petites branches sont flexibles et tendent plier sous la charge additionnelle Sisinni ef 1995 La glace demeurerait sur elles et la charge serait transmise aux branches plus grosses qui moins flexibles tendraient davantage se rompre Les dommages seraient aussi fonction de l angle des branches Sisinni ef al 1995 Les gymnospermes sont g n ralement moins endommag s par le verglas Toutefois certaines esp ces de pins pourraient amp tre plus vuln rables que les autres conif res Hauer ef a 1993 La forme de la cime peut aussi influencer la vuln rabilit au verglas Ainsi les arbres dont la cime est asym trique seraient hautement vuln rables puisque les contraintes de flexion d j engendr es par la cime seraient exacerb es par l addition de neige ou de verglas Nyk nen ef ol 1997 Une cime
67. et d Am nagement Touristique de la Montagne SEATM randonn e promenade escalade via ferrata VTT tourisme questre eaux vives sports a riens 1994 2000 et divers documents para tre PAGE 126 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 2 3 Les r gles et les normes de s curit les plus adapt es actuellement pour la solution dite NOMADE Ce sont celles qui sont relatives aux protections contre les chutes de hauteur Ces protections sont principalement individuelles ce qui justifie leur d nomination g n rique EPI quipements de protection individuelle Compte tenu des hauteurs que l on peut atteindre il faut se r f rer aux EPI de Classe III correspondant au risque mortel Parce que plus exigeantes surtout au niveau du contr le du mat riel elles sont pr f r es ici celles concernant la pratique de certains sports escalade sp l o avec qui elles ont toutefois de nombreux points communs Cet quipement doit comprendre un casque un syst me de pr hension du corps harnais baudrier un point d ancrage des l ments rattachant le syst me de pr hension au point d ancrage un syst me permettant la progression le d placement ligne de vie corde c ble un dispositif d arr t anti chutes ou de freinage les accessoires reliant ensemble anneaux longes mousquetons EPI INDICATIONS SOMMAIR
68. et les fondements du P le des g n rations futures Cette proposition consiste en la cr ation d un signal transfrontalier Voici trois r flexions ce sujet avant d en pr ciser le concept et contenu LI LI d autres partenaires venir l absence des professionnels de la fili re bois autre que l ONF c t francais n est due qu au moyen limit de cette tude la lecture des seuls programmes r gionaux Alsace et Lorraine relatifs cette fili re montre leur dynamisme et augure positivement de leur possible implication si un projet d envergure se d veloppe l approche cologique m tamorphose de la fronti re en lisi re comme nous le proposions dans la r ponse 8 l appel d offre et comme 8 conclusion de la partie 2 de l tude le confirme la relecture de la fronti re sous l angle cologique aussi bien sur les plans conceptuels que sur ceux de l appr hension des faits naturels ou humains est particuli rement f conde la fronti re issue de la concurrence de la construction d une identit par s paration isolement opposition ou dominance valeurs privil gi es au cours des si cles pass s fait alors place la lisi re cotone source de richesses culturelles et de biodiversit permettant mieux l expression des principes du d veloppement durable p rennit compl mentarit logique gagnant gagnant ARBRE source symbole exemple d INNOVATION m me modeste sur un tel sujet toute notre inv
69. l tude n a pas approfondi de ce point de vue l enqu te sur le dispositif l gal pr cis au del de ce qui est d j not dans la Partie 3 chapitre 2 1 2 1 1 l ments relatifs au cadrage r glementaire PAGE 129 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Quelle que soit la voie prise du nouveau statut juridique nditront des obligations vis vis des arbres Cependant hors les parcs nationaux et certains arbres remarquables class s les obligations g n rales inscrites dans la loi et les r glements ne nous sont que d une utilit marginale et ne peuvent pas nous servir de r f rences En effet elles ne traitent que de travaux qui n cessitent la coupe ou l abattage d arbres dans les bois for ts ou parcs soumis aux dispositions de l article L 130 1 du Code de l urbanisme espaces bois s non soumis au r gime forestier fran ais ou des articles L 311 1 ou L 312 1 modifi s du Code forestier frangais espaces bois s soumis au r gime forestier M me dans le cas de cette nouvelle convention la gestion des arbres restera de la comp tence de l ONF et de son quivalent c t allemand Le seul r f rent actuel le plus op rationnel pour ce projet reste donc les plans d am nagement forestier des secteurs concern s qui int grent au del de la gestion foresti re habituelle les r gimes sp cifiques r serves MAB et autres p
70. la r sistance de la tige Lorsqu une poutre lastique comme le tronc est courb e les contraintes maximales sont enregistr es dans les couches externes L un des c t s est en compression alors que l autre est en tension Le moment 127 Un colloque sp cifique sur la Biom canique des arbres a eu lieu MontPellier Voir revue Arbre Actuel PAGE 187 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 maximal auquel la tige peut r sister serait fonction de la contrainte de rupture du bois vert ainsi que du rayon de la tige lev au cube Cannell et Morgan 1989 Petty et Worrell 1981 Les contraintes de rupture publi es dans la litt rature Jessome proviennent g n ralement d chantillons sans d fauts Or la contrainte de rupture d pendra non seulement de l esp ce et de la densit de son bois mais aussi de la pr sence de noeuds De plus le bois particuli rement l tat vert c dera sous des contraintes soutenues nettement inf rieures celles mesur es lors de tests de courte dur e Des contraintes de 5076 ou plus de celles conduisant la rupture lors d essais court terme peuvent suffire causer la rupture lorsqu elles sont appliqu es sur une longue p riode Petty et Worrell 1981 Ce comportement a pu jouer un r le important lors de la temp te de janvier puisque le verglas s est poursuivi sur une longue p riode et que la glace
71. la technique est sophistiqu e plus il faut tre prudent par exemple l arbal te comme le mini bazooka sont consid rer comme une arme 77 Syst me test par N LEDUC et JLR partir d un prototype r alis en LEGO mais qui n cessite maintenant une r alisation solide et durable non effectu e ce jour 25 Propos e d s 1991 par l Association La plong e des cimes aujourd hui disparue Les aspects plus techniques relatifs la randonn e ne sont pas d velopp s ici car ils constitueraient eux seuls au minimum une brochure 9 Le sac primitif ne peut tre utilis que dans des cas sp cifiques et ne sera pas admis par les autorit s de tutelles actuellement Ces cas sont la randonn e arboricole ce que les grimpeurs ses aux mains nues sans mat riel sont l escalade Ils limitent l utilisation des cordes au strict minimum pour la progression et au maximum pour la s curit en se r appropriant les techniques traditionnelles des marins marine voile baudrier remplac par un noeud de chaise par exemple PAGE 101 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Le sac sportif le plus couramment utilis comprend Le sac plaisir confort contient en plus a des poign es Jumar facilitant la progression sur corde lorsque celle ci est in vitable a un hamac ou et une tente pour des bivouacs dans les arbres
72. le Le groupe fondateur de cette activit et promoteur de cette charte constitue un Comit de contr le qui v rifiera l application des dispositions de cette charte et d fendra le respect de la qualit des activit s qui en d coulent Les fondateurs Accrobranch s et Haut perch s uvrent pour faire reconna tre leur charte aupr s des minist res institutions et organismes concern s et obtenir une labellisation de cette activit afin d viter tout d bordement pouvant mettre en p ril l arbre son milieu ou la s curit des pratiquants R dig par JL Raboutet 1993 sur la base des contributions des adh rents Haut perch s et Accrobranch s et des emprunts la Charte S quoia Ce code de d ontologie a t traduit et d battu dans l association Tree Climbers Intrnational fondatrice de l activit qui depuis s est dot e d un code similaire nous apportant une dimension suppl mentaire celle de se consid rer comme invit dans l arbre et non comme conqu rant voir ci dessous 6 1 3 4 TREE CLIMBERS INTERNATIONAL TCI et la D ONTOLOGIE Remarques Tree Climbers Internantional bas ATLANTA USA produit une revue et des brochures dans lesquels s expriment de nombreux points de vue et recommandations qui rel vent de l thique Le texte ci dessous extrait du site Internet de cette organisation en r sume l esprit Signalons simplement un point important qu il n inclue pas bien qu il soit affirm tr s clairement par TCI d
73. mentaire Pont neuf emball Rochers marocains Reichstag cath drale et surtout 178 arbres du Parc Berower Riehen Suisse Que ne voit on pas du fonctionnement d un arbre le regarder dans sa nudit habillons le et nous sentirons battre son pouls nous vivrons son stress en capturant ses ph romones nous prendrons sa temp rature pour voir s il est en bonne sant Ceci ne para t tre images non c est une r alit Lorsque les scientifiques instrumentent un arbre ils peuvent chaque l ment de la phrase pr c dente r pondre par des mesures par le r sultat de leurs investigations arbor es pi ges insectes poches pour mesurer les changes gazeux et hydriques pour enfermer les ar mes appareillage pour capter les ph romones mesures infrarouges pour appr cier son bilan nerg tique etc l arbre est quip outill instrument par eux Pour la mise en sc ne de cet aspect il est propos la notion d Habillage plus que celle d outillage ou d instrumentalisation connotation moins positive pour un traitement privil giant un gai savoir Cet habillage symbolisera l intervention des sciences mais il devra tre aussi plus qu un symbole Sur au moins 3 aspects il fonctionnera et livrera interpr t es ou non les mesures faites les donn es collect es les simulations r alisables partir de celles ci Ainsi devraient tre abord s en tant r el en simulation ou r alit s augment es
74. milieu En effet ce secteur est soumis au sol une importante p n tration et seule une faune de voisinage continue d y vivre La pr sence d un quipement sur une surface tr s limit e ne devrait pas avoir d impacts significatifs si on g re bien l afflux de curieux lors du lancement d un tel quipement Des relev s pr cis de faune et flore actuellement non disponibles notre connaissance cette chelle devraient tre effectu s pour tudier l volution sur ce secteur de l impact r el d un tel quipement et pour prendre les mesures appropri es 4 4 3 1 1 2 Protection particuli re contre le vandalisme le vol l hiver a L loignement du site le met en danger par rapport au vandalisme et aux vols Un tel quipement ne peut pas se faire si des mesures de surveillances ne sont pas syst matiquement prises en liaison avec un gardiennage du P le des G n rations Futures La vid o surveillance aliment e par capteur solaire ou et mini olienne ici comme pour le signal transfrontalier et plus qu ailleurs est indispensable a Hors les fondations pour les perches poteaux de soutien l ensemble se doit d tre d montable et transportable Ainsi sera t il enlev hors saison pour viter que pendant l hiver il ne vive que par la d gradation qu il subirait du fait des difficiles conditions atmosph riques 4 4 3 1 2 Probl mes de sc nographie ergonomie du lieu L vocation du quartier biosph re voir chapitre 3 4 6 2 ci dessu
75. nographes de montrer l arbre dans une de ses plus belles oeuvres malheureusement inaccessibles la premi re approche du promeneur 3 4 6 1 2 ARBRE RENDEZ VOUS POUR LA VIE la PHOTOSYNTH SE l app tit de savoir lorsque s y ajoute l admirable et le merveilleux le plaisir augmente qui est le filtre de la science Strabon La compr hension du processus conduisant la photosynth se est elle aussi difficile saisir Elle a fait l objet de nombreuses tentatives plus ou moins r ussies On ne peut se contenter ici de les copier Cependant cet ensemble de tentatives constitue une bonne base pour une approche innovante de la traduction des connaissances scientifiques actuelles sur cette question Cette vulgarisation est n cessaire la satisfaction de notre curiosit Mais la photosynth se m rite et peut nous donner beaucoup plus Les concepts bien appr hend s permettent la construction d un discours ils ne suffisent pas modifier nos comportements promouvoir des actes co citoyen Le quartier Biosph re doit honorer un tel ph nom ne et lui reconna tre la notori t qu il m rite que chaque visiteur puisse s en inspirer pour tre cr atif dans sa qu te d panouissement Le fait d tre dans l arbre d assister au niveau des feuilles la naissance de l oxyg ne doit donc tre sublim dans ce quartier Il est propos d utiliser le th me du rendez vous qui poss de un fort potentiel vocateur et devrait perm
76. nx commentaires principaux sur les Sc narios mines MMM ME 40 7 2 d 2 A LUS A deg 2322 Le probl me transfivintalicr p e I AD 19 9 9 9 9 9 9 19 9 9 9 Da 9 9 9 9 9 0 1 9 4 9 9 8 9 9 9 9 9 9 9 w 9 9 9 0 19 19 4 9 9 9 0 9 19 1 9 9 0 1 4 0 9 9 9 9 9 9 nn a 9 9 9 9 9 9 9 1 9 5 4 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 3 1 IMPLANTATION TROIS SITES DU SECTEUR 1 POUR TROIS QUARTIERS 42 3 1 1 Rappel sur la r partition des quipements et animations pour ce sc nario e eee ee eee eee eee eee eeee noe e e eee eee e eee e ee eeee 6 0000000000 e ee eee0 0000000000000 ee eee eee 000000000000 OS 42 AJL2Plandesiuati n O CN 43 3 1 3 Planche vocation de l ambiance pour les futurs am nagements sssssesseeeeeeeeeeeee00000000 00000000 00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 000000000000 0 000000000000 ios aga 44 3 2 QUARTIER DU BONHEUR PR S DU GIMBELHOF OR LL N 45 S4 PI CCE AON rene de l
77. pour les arbres remarquables class s il n existe pas de r gles sp cifiques institutionnelles autres que celles qui sont fix es par le propri taire ou son d l gataire Par d faut il n est pas interdit de monter dans les arbres si rien ne signale cette interdiction Il est vrai que les r glements forestiers indiquent que l on ne peut sortir des chemins pr vus pour la promenade Si ceci tait appliqu stricto sensu la grimpe spontan e serait quasiment impossible limit e quelques arbres en bordure de chemin Ce manque de statut entra ne rapidement des probl mes surtout dans les for ts assez fr quent es o se d roulent plusieurs activit s qui n cessitent un minimum d organisation pour coexister sans danger g ne ou conflit chasse exploitation marquage man uvre militaire grand rassemblement divers parcours du c ur courses pieds etc Par exp rience ce stade on peut constater qu en for t domaniale ou assimil e c est plus la question de responsabilit en cas d accident qui est pos e que celle de la protection des arbres Ces probl mes basiques coexistence et responsabilit se r solvent par quelques mesures simples a autorisation du propri taire a communication entre les partenaires des calendriers des actions et animations pr vues sur le secteur concern assurances idoines prises par l organisateur de l activit arboricole avec clauses de non recours contre le propri taire ou gestionnai
78. proposition schema a i ida PUDE 45 3 2 2 vocation de l ambiance actuelle TT H NER D EEN 46 243 Rappels 101 1 1 1 1 0 1 1 1 1 11 1 11 i TADICA sms av e 47 3 4 4 Implantation et organigramme du Quartier du 55 555 5955 559599989 9 98599865 86804699068859 99998 88 08 EM Rb MEME 0969598868 8 8088 8 99898 898 UMEN VE LEM RM FM RM VL VM 48 3 2 5 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements eeeeeee ee ee eee eene n nenne enhn aa teet teet ee eee eese esses assa esee esee 49 3 2 6 Contenu du Quartier du bonheur les deux composantes Sensations L AUTOUR et Connaissances CABANES e ecce ee eee eee eee eee eee teet eee esas sese ee ee ess sss se ee eeeee 50 BAG Composante I SENSATION gt Nature Vertige et Tarzan Robin des bois Robinson le Baron perch et les auies 50 320 11 Premier theme Noltuse lernoe les deplacemenis des animaux E ask aies MES o
79. s parent de fait l investissement et le fonctionnement relatifs un quipement Cependant ils n interdisent pas de faire le lien entre les deux La programmation architecturale et de gestion doit prendre en compte l ensemble des facteurs le cycle de vie de l quipement sa gestion d marche du type ISO 14000 largie aux produits culturo touristiques 6 2 2 4 Principe 4 Qualit Le maitre d ouvrage s engage et engage ses partenaires dans une d marche de conception qualit du type ISO 9001 pendant la p riode de programmation 6 2 2 5 Principe 5 Prospective et Cr ativit La programmation d un quipement s inscrivant dans la dur e en termes de g n ration doit comprendre un volet sp cifique sur le couple d marche prospective d marche cr ative Les qualit s humaines intrins ques et d coute et techniques la diversit des profils au sein des quipes sont des crit res qui doivent tre affin s pour choisir l quipe de programmation la plus adapt e quipe qui peut tre suivant les tapes g om trie variable 6 2 2 6 Principe 6 La citoyennet les agoras Un chantillon de personnes concern es un titre ou un autre une p riode ou une autre est constitu pour changer partager communiquer et nourrir la r flexion diff rents stades du projet Ces chantillons int grent les recommandations de Agenda 21 sur l attention particuli re que l on doit attacher des groupes sp cif
80. s pour le travail ils sont de taille adulte 4 3 3 3 Innovation pour un nouveau type de longe double la longe binaire 4 3 3 3 1 Limite de la longe double principe de la longe binaire a longe double sur une ligne de vie doit permettre de passer sans aucun risque un obstacle infranchissable par le type de chariot propos ci u La longe double s ligne d doit permettre de passer sans sq bstacle infranchissabl de chariot s ci dessus ch 4 1 3 3 1 ou de s curiser compl tement une progression du type de celle qui est illustr e ci contre Actuellement nous n avons pas trouv sur le ch 4 1 3 3 1 ou de s curis mpl tement gression d de celle qui est illust tre Actuellement nous S pas t sur march de longe double qui ne permette pas l ouverture du mousqueton servant de s curit tant que autre mousqueton 1 est encore ouver ou et n est pas sa place d finitive l autre mousqueton 1 est t 2 ou et n est pas sa place d finit karen La longe double compte sur 6 bon sens de la personne L exp rience montre qu une personne peut Sans le stress ouvrir les deux mousquetons la fois par stress ou parce que mentalement diminu e ou lorsque des cet homme peut personnes se suivent une personne peut se tromper et ouvrir le mousqueton de s curit de celle qui la faire une erreur pr c de La longe binaire propose de lier lectroniquement les mousquetons Apr s installation rien ne l emp che seules les positi
81. s usent pas lorsqu on s en sert contrairement aux deux autres dimensions de la Mati re masse et nergie on peut les donner tout en les gardant SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 ch g Kl on syst me est pr vu d montable l origine il s agit d une caravane pliante tract e par une voiture La technique de fixation demande tre pr cis e pour viter les blessures de l arbre et rien n emp che d tudier l utilisation de plancher bois et de perches porteuses pour soulager l arbre voir pour ces points les remarques sur la faisabilit chapitre 4 PAGE 69 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 3 6 2 2 Croquis IKOS G Ebersolt Architecte Icosa dre volume de 20 triangles quilat raux se posant ou s accrochant aux branches ces modules ont t con us pour la for t quatoriale mais peuvent tre adapt s aux for ts temp r es Ils sont plus conomiques mais moins confortables que le pr c dent Les deux conceptions Ebersolt et Solvay sont donn es titre d exemple significatif de la contribution que peuvent apporter d un c t la micro architecture et de l autre le macro design l innovation n cessaire la d finition du Quartier de l conome et pl
82. saisons ou comparaison avec d autres lieux a arbre en for t arbre en ville a arbre des for ts temp r es arbre des for ts quatoriales Q en mettant en sc ne des produits touchant nos sens labor s partir des arbres m dicaments parfum sirop etc en inversant le sens habituel des choses arbres les racines vers le haut etc Cette partie sert de liant l ensemble elle est flexible dans sa r alisation et peut tre compos e d l ments de taille tr s variable Ces l ments doivent avoir du volume il faut forcer l utilisation des mains et des pieds pour les approcher On raterait l objectif si on se contentait de panneaux d exposition classique Si des l ments plans sont utilis s ils doivent contenir au moins un l ment dynamique de type cran recevant des images diff rentes Les hologrammes peuvent constituer une bonne solution technique une collaboration avec l Universit de Strasbourg est peut tre possible ce sujet v rifier En verlan les r gles ne sont pas aussi strictes que dans nos dictionnaires ainsi les charg e s de communication pourront choisir l inversion de syllabes ou des lettres pour exprimer l arbre l envers PAGE 83 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 4 6 2 vocation 4 om AN Sei Be 1 den gt A r ph A x L
83. si pr pond rante que des associations pratiquant la grimpe arbor e en France promettent de faire d couvrir les arbres de nos r gions de l int rieur 50 m tres de hauteur ce qui est impossible en Europe Voir description des sites in Partie 3 du rapport final PAGE 14 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 La r gularit dans les peuplements de haute futaie sur certaines pentes secteur 2 Bremendell Gimbelhof site 1 du secteur 1 l impression harmonieuse qui se d gage du maillage r gulier de beaux troncs de h tre sur ces parcelles permettent d envisager des circulations agr ables de type promenades tranquilles ou parcours sportifs ou sensations s articulant autour d un plan d une strate la limite des troncs et des branches C est ce niveau que pourra s exprimer le mieux la sp cificit du caractere arbor de l ensemble du site Le concept propos permettra cependant de mettre profit des peuplements plus diversifi s tels que ceux qui se d veloppent en bordure de clairi res au bord des chemins avec quelques arbres ayant un houppier plus fourni PAGE 15 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 2 4 Evidence 4 r ponse mande des scientifiques En r sum la prise en compte de leur demande e
84. sont fix es en g n ral directement sur les arbres voir point pr c dent et suivant chapitre 4 1 3 5 et ne mettent pas correctement en pratique le but d clar d harmonie avec la nature Seules les constructions sur pilotis diminuent significativement les impacts exemple ci dessous En dehors du probl me de fixation et d impact il n y a pas de probl mes techniques particuliers et les normes et r gles relatives la construction et l utilisation du bois par exemple B52 DTU 31 fournissent les l ments de base connus des architectes et des entreprises Mais la Cit des arbres se doit d innover en la mati re L engouement du public la mobilisation de la fili re bois l approche cologique constituent des facteurs positifs suscitant une avanc e technique dans ce domaine Sans puiser le Su jet le point du Sous din ids suivant 4 3 4 2 2 propose un fait d actualit corroborant une vision prospective PAGE 149 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 dae n v Y i ean 4 t 1 LN eier 1 e to EHe mars 2001 H BN UT Pu reportage F AYXENDRI a an e 4 d P dla 2 N o 1 gn P a r 1 e 1 WM aie qu A Tei se 1 d 5 we o 7 g Ple am Nt a 1 n m y 0 N gt 4
85. technique conception O Haut perch s eie se essen tastes tasa tease natns 73 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 4 QUARTIER BIOSPHERE PR S DE WEGELNBURG SITE 3 ALLEMAGNE eeeeeneeseentn sna stessa tassa tae s attesa stes sentes ashes 74 3 4 1 Pr sentation r sum e de la proposition sch ma et texte eee e eere eere 0 0000000 00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000006 74 3 4 2 Implantation et vocation de l ambiance actuelle Planche en es es estne sess essa stats do 3 4 3 Rappels des caract ristiques principales du site Tablenu eeeseexvexecvs QUE na aoe UUUPEPQUR I IVHUMVE n eens ENEE ER EN HUN NN 76 SAA 011100011 0110111 du Quartier E E UUY UO A A A OOo0O O O 0 A A 77 3 4 5 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnemen
86. traversent en plus de ceux qui existent actuellement La diff rence d paisseur des fl ches a symbolise pour les invit s fl ches orange non pas leur nombre mais leur qualit leur bien tre l objectif tant qu en partant ils se sentent mieux quen arrivant a repr sente pour Mati re et nergie fl ches mauves le diff rentiel entre ce qui est amen et ce qui repart bilan approvisionnement consommation recyclage production et limination des d chets a indique pour les fl ches bleues le b n fice que les invit s tireront de certaines exp ditions organis es depuis ce quartier a soit proximit vers un observatoire nature par exemple a soit vers les autres quartiers a soit vers le Bremendell ou d autres sites remarquables se pr tant bien la randonn e arboricole a soit encore vers le LABO NOMADE des scientifiques pour les journ es sciences ouvertes organis es par les chercheurs 3 La description de chaque quartier met en vidence d abord leur sp cificit la pr occupation s curitaire est la chose la plus commune tous les am nagements s curit des personnes et des arbres elle n est pas reprise pour chaque quartier ceci devra se faire au niveau de l tude de d finition 33 on est invit s dans les arbres et non conqu rants PAGE 67 r enms dl tc d D 34 En terme de flux les informations ne
87. trouver les formes de gouvernance permettant de remettre l int r t du projet au centre des pr occupations les besoins du public guident la recherche de solutions et prime sur l offre existante Dans ce dessein il faut m tisser ces r gles avec de nouveaux outils 126 e D veloppement durable est au d veloppement de la soci t ce que le pr servatif est l amour un peu de g ne pour un plaisir sain d apr s F L PAGE 185 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 Outils de programmation pragmatique it rative permettant des r gulations et contrecarrant la dominante fonctionnelle et cart sienne des programmations actuelles Outils de d termination du champ d valuation et l int rieur de ce champ d valuation des incidences environnementales et sociales du projet Guide pratique des chartes d veloppement durables tourisme 4 Programme HQE Programme HQH Haute Qualit Humaine prise en compte des indicateurs de bien tre humain et des chartes de d ontologie ICOM Spectacle etc La programmation doit int grer les effets induire effet centrifuge et donc d passer le cadre restreint du chapitre habituel sur les effets induits attendus clause de style de tous les argumentaires pour ce type d quipement 6 2 2 3 Principe 3 Globalit La loi sur les march s publics et les r glements aff rents
88. y a peu de chances de retrouver une m me situation o la grosseur et l angle d implantation d une branche soient identiques ce qui se complique quand sont pris en compte en plus des 3 facteurs cit s ici essence grosseur angle tous les autres li s la vie de l arbre La Cit des arbres tant le projet le plus complet ce jour ces promoteurs devraient jouer un r le dans la constitution de ce r f rentiel avec des bureaux d tude et les organismes de recherches comp tents et les professionnels int ress s Nous rappelons qu il s agit l des l ments relatifs l aspect vivant de l arbre Tout ce qui est connu de la r sistance du bois en construction apporte bien videmment des connaissances indispensables aux ancrages y compris pour le comportement de l arbre encore sur pied 108 la notion d individu est r duite ici son acception habituelle PAGE 148 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 4 2 Bois pour construire tradition et innovation 4 3 4 2 1 Les cabanes perch es le mouvement TreeHouse et Cabanes Perch es Actuellement l utilisation du bois se r pand de plus en plus pour construire des maisons dans les arbres de fa on traditionnelle I s agit d un mouvement sighificatif avec ses ouvrages ses sites WEB ses villages touristiques ou ses maisons individuelles dans les arbres Ces constructions
89. 1 1 Tableau r sumant les impacts sur les l ments essentiels de l arbre ORGANES TOUCHES EFFETS CAUSES CONSEQUENCES POSSIBLES CORCE et cambium Arrachement Choc du mat riel Affaiblissement l ger compression frottement de la corde Br lure passages r p t s BRANCHE Casse sollicitation dela Mauvais choix du grimpeur Pourrissement Affaiblissement flexibilit Poids du grimpeur POUSSES ET FEUILLAGE Casse Vandalisme inattention Ralentissement de la croissance Diminution de stress l activit physiologique BOURGEONS ET FRUITS Casse idem Ils ne peuvent arriver maturit et donner la vie Ralentissement de la croissance RACINES SOL Tassement compaction Pi tinement touffement des racines ass chement pollution Nonchalance mauvaise Pollution visuelle et physico chimique habitude ordure jet e excr ments 5 Ce chapitre est grandement redevable l tude r alis e par trois tudiants formation STAPS fondateur de la plong e des cimes 1992 auxquels nous avons beaucoup emprunt Notre pratique et nos r flexions les ann es qui ont suivi leurs travaux e ont confirm la pertinence des points de vue de ces pionniers Il est aussi redevable l tude de JM MESSEQUE DELMAS qui lui est cit in extenso on ne reprend pas ici les aspects portant sur les conditions de compatibilit avec d autres activit s se pratiquant en for t chasse exploitation d couverte nature au sol manifestation sportive et raid en pleine nat
90. 1 9 4 FAISABILIT R GLEMENTATION NORMES ET INNOVATION 4 1 UNE LECON NCEPT AVEI La Cit des arbres notamment la partie Sensations Nature Vertige de son Quartier du Bonheur pr sente premi re vue des similitudes avec Aventure Parc connu en France comme promoteur de parcs d attractions de loisirs franchis s bas sur des d placements et jeux divers en hauteur entre des arbres Ce n est pas un hasard si d s la Partie 2 de l tude ainsi que dans quelques remarques de cette 4 me partie nous avons pris quelques distances avec ce type d quipement qui est l oppos par sa conception et sa r alisation d une d marche de d veloppement durable Une tude de documents produits par les concepteurs d Aventure Parc et une visite test r alis e en septembre 1999 par trois Haut Perch s dans un de ces parcs situ AUTRANS permettent de tirer des enseignements pertinents principalement par la n gative pour la r alisation de la Cit des arbres 4 1 1 Sur le concept dichotomie entre publicit et r alit Aventure parc annonce 50 attractions pour une apr s midi mais en fait il s agit d une d clinaison de jeux similaires au sein de parcours dont la difficult va croissante La vari t est ici affaire de quantit passage sur c ble plus ou moins pentu passage sur pont plus ou moins instable tyrolienne plus ou moins longue etc Pas de vari t r elle dans la qualit VE LA R ALISATION
91. 177 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Tableau no 4 Objet de l autorisation et autorisation de substitution Textes de r f rence A Objet de l autorisation Parc d attraction Aires de jeux et de sports ouverts au public R 442 2 a Aires de stationnement ouvertes au public D p ts de v hicules susceptibles de contenir au moins dix unit s R 442 2 b Affouillements du sol Exhaussements du sol si la superficie gt 100 m2 si la hauteur ou la profondeur m R 442 2 c B Cas dans lesquels intervient ou peut intervenir une autre autorisation 10 Autorisation ou d claration rempla ant l autorisation d installations et travaux divers Contr le pr vu l article 2 de la loi no 75 633 du 15 juillet 1975 relative l limination des d chets et la r cup ration des mat riaux pour les R 442 3 1er alin a d p ts de ferrailles de mat riaux de combustibles solides ou liquides et de d chets ainsi que de vieux v hicules Autorisation ou d claration pr vue l article 2 de la loi no 76 663 du 19 juillet 1976 relative aux installations class es pour la protection de R 442 3 ler alin a l environnement pour les d p ts chantiers et installations dont l exploitation peut pr senter des dangers ou des inconv nients graves pour l environnement Autorisation ou d claration pr vue l article 106 d
92. 1999 2001 4 3 5 4 2 3 jusqu la prise en compte globale de ses impacts une deuxi me m taphore inspiratrice de nouvelles investigations Pourun cotone Nature Culture aussi bon vivant bien vivant que cette lisi re Le baron perch SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 L inscription dans le cahier des charges pour l laboration du programme d une partie sp cifique ce sujet voir 4 3 5 4 4 ci dessous pardit indispensable et augurera de la volont de mettre sur pied un protocole de suivi et de diminution de ces impacts tout au long de la construction et de la gestion de la Cit des arbres management environnemental Iso 14000 Enfin les impacts n gatifs existeront malgr les pr cautions Il conviendra de compenser une in vitable perte de biodiversit sur les esp ces sauvages par un gain sur les esp ces qui aiment le voisinage des Hommes pour cela il faudra mettre en pratique le concept de maison nichoir notamment dans les arbres domineront les activit s s dentaires 4 3 5 4 3 les impacts n gatifs de l arbre et de la for t sur l Homme Georges PLAISANCE dans son ouvrage For t et sant chapitre XIII voir texte en annexe a abord ces probl mes Ci dessous nous en r sumons le propos Q lumi re et des rayons ultraviolets en moins grande quantit dans la for t dens
93. 3 8 l arbre en bois permet d ouvrir la voie une m thode de d finition d un quipement correspondant aux volont s exprim es et aux buts fix s Actuellement le lieu pertinent pour ce faire se situe l emplacement frontalier le plus fr quent des sites tudi s le site fronti re Kaiser Wilhelm Stein Mais cette question ne serait pas r solue correctement si auparavant ou parall lement on ne faisait pas une nouvelle lecture des relations avec les promoteurs et gestionnaires de la Maison de la Biosph re Quelques pistes ont t ouvertes dans ce sens pour ne pas rester dans des sch mas fig s Elles sont indiqu es pour m moire dans les sc narios ci dessus La plus logique serait que la Maison de la Biosph re contribue la r alisation et gestion du Quartier biosph re construire dans les arbres sur le site autour du Wegelnburg Cette r alisation serait consid r e comme un compl ment avant pont une illustration mise en pratique pour les visiteurs de l quipement de Fischbach D autres possibilit s sont propos es dans les sc narios comme celle de consid rer que le promenoir de Fischbach pourrait s adjoindre un quipement du type quartier Biosph re Fischbach m me s il n tait pas possible de le r aliser sur un des sites analys s dans cette tude La proposition de faisabilit examin e aux chapitres suivants correspond au sc nario A1 celui ci permet d exposer pour l essentiel l ensemble des comp
94. 99 2001 9 VIVRE DANS LES ARBRES ASPECTS SPORTS ET SANT Indications sommaires sur les emprunts relatifs souhait s ces deux groupes de diciplines Bl Gymnastique connaissance du corps et harmonie des mouvements B Aspects nouveaux le tout 7 est pl la somme d Mieres D Escalade moulinette parties e 2 randonn e arbor e 1 L1 Lutte et Foot Ball pr paration physique B Sant remise en forme T pr vention E Sp l ologie corde notamment Yoga v g tal quipementier fixation par le 58 haut 1 D Tronc commun BEES 1 La contribution de personnes comp tentes dans ses diff rents m tiers est n cessaire avant le fonctionnement de la Cit c est dire pendant la programmation pendant et apr s Mais ces personnes n ont pas eu de formation concernant les arbres et leur cosyst me Il faut donc pr voir des adaptations des temps d acculturation pour que le rassemblement de ces comp tences entre r ellement en synergie positive le tout est plus que la somme des parties Leur acquis dans ce domaine est al atoire et ne peut provenir que de leur autodidaxie PAGE 135 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 En ce qui concerne les quipements assurant une protection collective R sidents voir chapitre 4 1 2 1 le r f rentiel relatif aux aires et quipeme
95. APITULATIFS VALUATION ACTEURS SECTEURS SC NARIOS D IMPLANTATION place et corternu du chapitre PAGE 28 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 C est principalement la Partie 3 O et avec qui le faire 2 de l tude qui documente la faisabilit Les 2 tableaux suivant en pr sentent le r sum chapitres 2 1 1 et 2 1 2 Certains l ments qui ne concernent pas directement cette partie sont pr sents dans le premier tableau C est pour garder leur coh rence qu ils ont t maintenus Ils serviront par la suite pour les aspects qui sont abord s principalement dans la partie 5 comment faire vivre la Cit Un croisement de ces deux tableaux avec le concept Cit des arbres donne un troisi me tableau explicitant les sc narios possibles d implantation et de d veloppement de la Cit des arbres Chapitre 2 1 3 2 1 VALUATION DES ACTEURS ET DE LEUR PROJET EU GARD LA CIT DES ARBRES Le d veloppement durable propose une logique de compl mentarit en remplacement de celle dominante de concurrence La r ussite de l harmonisation avec les quipements ou et les politiques existants ou en projet la mise en dynamique de la Cit des arbres tout autant que la future gestion de l quipement d pendent en grande partie d une bonne compr hension des acteurs du territoire et de leur implicatio
96. EL A L IMAGINAIRE GRIMPE et ECOLOGIQUE CORPORELLE NIVEAU Avant de das grimper le Notion de syst me technique et rien Ee vocabulaire les Techniques et autonomie relative dans les Quand o comment le corps se l techniques les notion d impact d placements mat riel et NT e d place marcher quatre pattes nouveau i Equilibre se mettre en s curit et l re figures de sur connaissances de bases e o d debout courir sur la lune nager uas d grimpe et de l environnement Les EPI Baudriers cordes DN E technique l Imiter la nature en 7 E d placements Ecologie de sangles mousquetons etc Morphologie et expression les j TN horizontaux l esprit Les noeuds statues vivantes kb verticaux et la s curit au bien tre obliques PAGE 73 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 4 QUARTIER BIOSPH RE PR S DE WEGELNBURG SITE 3 ALLEMAGNE 3 4 1 Pr sentation r sum e de la proposition sch ma et texte P a IT m po r 3 3 Mt se p mm Exploration toie la magie de la vers les curiosit s C est le quartier le plus difficile mettre en sc ne dans sa partie fixe pr sentant les changes hydriques gazeux thermiques les transformations de s ve des l ments nutritifs la production des ph romones stress la c
97. ES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 4 2 Organigramme Tableau recherche d autonomie se lib rer des contraintes tout en diminuant les impacts sur l environnement AUTONOMIE Quartier de l ECONOMIE Objectifs Besoins Activit s Circulation 1 Recherche d autonomie par rapport aux besoins physiologiques fondamentaux et aux moyens Mati re Mat riel nergie Information n cessaires aux activit s Recherche d autonomie par rapport aux activit s dans les arbres 3 niveaux 3 Autonomie dans les d placements Fonctions 5e reposer Dormir Manger Se laver D f quer Uriner 5e soigner Acheminer les personnes les quipements les consommables vacuer les personnes les d chets du mat riel Stocker mati re nergie eau Recycler si possible in situ Acqu rir si possible in situ nergie olienne capteurs solaires gaz accumulateurs et eau Jouer S initier Se former sur la pratique de l activit et sur son environnement concepts cologiques fondamentaux Participer aux animations et partir en exp dition apr s initiation formation Circulation entre les espaces am nag s 9 Equipements 8 arbres quip s d une plate forme et de mobilier permettant principalement de dormir et manger 2 arbres proches quip s de tout ceci permet de mutualiser sanitaires WC local technique premiers soins Transport technique depuis la mai
98. ES SUR LES PRINCIPALES NORMES EUROPEENNES EN 397 Casque EN 365 Exigences g n rales pour le mode d emploi et le marquage EN341 Descendeurs descenseurs EN795 cl C et A1 Dispositif d ancrage Ligne de vie Exigence et essai EN358 Longedemeinten EN363 Syst mes d arr t des chutes 354 Longes EN360 Anti chute rappel automatique 385 Absorbeurs d nergie EN353 et2 Antichute mobile sur support d assurage rigide ou flexible EN361 Harnais EN1891 EN 696 Cordes tress es et d assurage EN362 Mousquetons ENI2278 Poulies 11 ill PAGE 127 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 es et de leur environnemer es quelles r gles pour la protection des arb Les hommes sont responsables de l avenir des arbres et for ts qui repr sentent une richesse naturelle inestimable Ils sont responsables aussi de la conciliation de leurs utilisations dont aucune ne peut a priori exclure les autres Les lieux d implantation de la Cit des arbres sont soumis au r gime forestier public tant c t allemand que fran ais Voir partie 3 de l tude pour les d tails Les gestionnaires des arbres ont donc ce sujet des r gles bien d finies Ces r gles ne tiennent pas encore compte des activit s nouvelles de loisirs arbor s Pour
99. Europe et une longue p riode de v g tation peu pr s continue sous l quateur c est un centi me de l esp rance de vie d une aub pine ou une parcelle d risoire d un clone de muguet Le temps de la plante est circonstanciel et relatif qu un bourgeon prenne racine et nous repartons inopin ment pour quelques si cles Nous vivons dans l acceptation mais oeuvrons dans l efficacit sans presse sans dilapidation ni gesticulations Quand l Homme comprendra t il la richesse des diff rences qui nous s parent Quand verra til que les deux versants de la vie l animal et le v g tal sont indissociables compl mentaires et solidaires In Pour la Science a Compagnon de l Homme sur presque tous les lieux habit s l arbre est lui m me un lieu de vie favorisant la biodiversit o se rencontrent des esp ces la long vit et aux rythmes de vie tres vari s occupant des strates diff rentes et des territoires d ampleurs variables voir remarque au point pr c dent cette partie pouvant tre trait e avec la Photosynth se 3 4 6 1 4 L arbre habill la mode scientifique Il faut quelquefois cacher les choses pour mieux les voir un objet cach devient une surprise ou cadeau sous son emballage mobilisant toute notre attention et curiosit La puissance du regard n est elle pas plus grande quand la face est voil e Les uvres de CHRISTO tirent leur force d une utilisation grandiose de ce proc d aussi efficace l
100. LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Art 6 Le pr sent d cret entrera en vigueur six mois apr s la date de sa publication au Journal officiel Toutefois les aires de jeux existantes qui la date d application du d cret ne seront pas conformes aux prescriptions du II 3 a et 3 b de l annexe devront tre mises en conformit dans le d lai de deux ans compter de sa date de publication Annexe Prescriptions essentielles de s curit I Principes g n raux Un affichage sur ou proximit de chaque quipement conforme aux dispositions du II 2 a ci apr s doit informer les utilisateurs et les personnes assurant leur surveillance de la tranche d ge laquelle chaque quipement est destin et comporter les mentions d avertissement relatives aux risques li s son utilisation Ces informations peuvent amp tre apport es sous forme de pictogrammes II Risques particuliers 1 Choix du site a L acc s imm diat de l aire de jeux doit tre am nag de fa on prot ger les utilisateurs et les tiers contre les risques li s la circulation des v hicules moteur b Les plantes et arbres pr sents sur les aires de jeux doivent tre choisis implant s et prot g s de fa on ne pas occasionner d accidents pour les enfants empoisonnements ou blessures 2 Am nagement a Les quipements et les zones de s curit qui les entourent doivent tre d gag s d
101. NNNNNWWNWI 4 4 2 Quartier de l conome la des flux de mati re et d nergie n cessaire et induits par des s jours humains dans les arbres uen AES 4 4 3 Quartier Biosph re nombre de visiteurs surveillance d montage et ergonomie du lieu n Wb m unu R07 4 4 3 1 1 Du point de vue accueil circulations et surveillance des 22 0172 gt HERD uH a Mp as UMEN MIR tus 167 ne CT ER 167 E NN OD PAROI e CODE IE ER MOIS ae OE OE oo oom 167 050 0191 87108177 T 4 4 04 Sires 44 un 167 5 EN GUISE DE CONCLUSION TARZAN EI LE SCALETIEUR de nato une su Eee UR n o aU e uas Odo a UE Uus sa UE EEUU Un Ups a ns PUR cU Ese uaa 110 7 Jai 171 6 1 QUELQUES TEXTES DE R F RENCE en senten eoa
102. NTATION DE LA CIT DES ARBRES 2 3 1 Tableau pr sentant les diff rents sc narios N Sc narios A2 A3 R PARTITION DES QUARTIERS DE LA CITE DES ARBRES SUR LES SITES IDENTIFI S Sc narios A am nagement Fleckenstein dominant Secteur en Secteur de Bremendell cherche Dour Secteur Hirstchtal Nothweiler Fleckenstein Ludwigswinkel Fischbach bus l exploitation Obersteinbach un scientifique LR mm jj wm Site fronti re Abords de la Site du Gimbelhof Site de la Maison Foresti re Kaiser Wilhelm Site Wegelnburg Site Bremmenteich Maison de la A identifier Stein Biosph re uartier de l conome 5 Exploration des a Chercheurs Animations diverses non Signal transfrontalier e Randonn es arboricoles Quartier Biosph re Promenoir d Inconnu cuente U OTE permanentes EX tous et hommage bois transfrontali res Labo nomade et publics sur le glacis du Ch teau de Fleckenstein Idem ci dessus Animations diverses non permanentes Ex clients sur le site de l Auberge du Gimbelhof Idem ci dessus Idem ci dessus Idem ci dessus E Quartier Biosph re Signal transfrontalier Animations diverses et hommage bois non permanentes avec ou sans tous publics du promenoir type bapt me Idem ci dessus Idem ci dessus Idem ci dessus ruche scientifique Idem ci dessus Quartier Biosph re idem ci dessus Promenoir Signal transfrontalier bois
103. ORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 D autres vont argumenter de bonne foi diabolisant le percage qui blesse l arbre on imagine sur soi l effet et pr conisant l installation d une plate e s z 1 Jena malten CULA emn de la lu la plus vivante Syst me priv UST REEHO LA OC d forme autour d un tronc fix e sur ce dernier gr ce un serrage en tau L argumentation rassurera le sceptique si l on ajoute que bien videmment chaque ann e on veillera desserrer l emprise de l tau pour tenir compte de la croissance de l arbre On confond dans cette approche la vie et la m canique L tablissement des cernes ne se fait pas en un jour et on ne sait pas maintenir une pression constante s adaptant la croissance de l arbre l aide d un tau fonctionnant avec des vis et des crous Seuls des syst mes avec r gulateur y parviendraient v rins pneumatiques ou hydrauliques par exemple Mais m me dans ce dernier cas comment fixerait on la limite de la pression qui peut tre exerc e sans g ner le d veloppement ou blesser la structure du nouveau bois Actuellement le calcul de la force de friction n cessaire la stabilit de la plate forme ne tient compte que du facteur CHARGE poids de la plate forme et de ses utilisateurs et pas du tout de l arbre en tant que syst me vivant dont les limites m caniques sont fix es non par sa partie morte la plus dure mais par sa partie vivan
104. PPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 R f rences Amateis R L et H E Burkhart 1996 Impact of heavy glaze in a loblolly pine spacing trial South J Appl For 20 151 155 Belanger R P J F Godbee R L Anderson et J T Paul 1996 Ice damage in thinned and nonthinned loblolly pine plantations infected with fusiform rust South J Appl For 20 136 140 Cannell M G R et J Morgan 1989 Branch breakage under snow and ice loads Tree Physiol 5 307 317 Hauer R H W Wang et J O Dawson 1993 Ice storm damage to urban trees Journal of Arboriculture 19 187 193 Jessome Ab 1977 R sistance et propri t s connexes des bois indig nes au Canada Laboratoire des produits forestiers de l Est Rapport technique de foresterie 21 Ottawa Mattheck C 1991 Trees The mechanical design Springer Verlag Berlin Heidelberg 121 p Nyk nen M L H Peltola C Quine S Kellom ki et M Broadgate 1997 Factors affecting snow damage of trees with particular reference to European conditions Silva Fennica 31 193 213 Petty J A et R Worrell 1981 Stability of coniferous tree stems in relation to damage by snow Forestry 54 115 128 Pin D et J C Ruel 1996 D fauts indicateurs de faiblesse m canique chez les principaux arbres du Qu bec Universit Laval Hydro Qu bec 84 p Rebertus A J S R Shifley R H Richards et L M Roovers 1997 Ice storm damage to an old growth oak hickory forest in Missouri Amer Midl Nat 137
105. RS et SITES promenoir de FISCHBACH 6 w Pas de site p renne et fixe adapt aux besoins des scientifiques SENTIER DE LA CIME DES ARBRES 5 e WES EE ra 9 ES LE oi P S 4 P Fy SW AZI ef T e PAGE 10 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 2 1 Evidence 1 inad quation entre un sentier des cimes consid r comme un simple promenoir et l ambition des buts inscrits dans le cahier des charges 1 2 1 1 Sur principes objectifs et buts quelques pr cisions Pour mieux situer le rapport entre principe et objectif il est utile de le comparer celui qui r git la triade form e par une unit de mesure la pr cision de la mesure et la mesure elle m me Prenons comme exemple la longueur le m tre tant pour notre m taphore le principe et la pr cision de la mesure l objectif au m tre au cm au mm pr s Les techniques utilis es d cam tre d arpenteur ou t l m tre m tre de menuisier ou de couturi re pied coulisse palmer microscope lectronique doivent permettre de connaitre la longueur de tel ou tel objet avec une pr cision suffisante la r alisation de l action envisag e et d atteindre ainsi le but fix 1 2 1 2 Sur le Cahier des charges son ambition la r alisation propos e 1 2
106. S WouUJpre q OI SE bU Mise en sc ne VDM VEM nue par automates 62 ecpuojoarie CouJbsQuoue yE LE Eecspere ESOL SL Informatiques Md Robotiques 22 62 Holographiques 4 POS qe pon e2 g Sec 1 1El ments n cessaires 2 la Vie PAGE 113 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 8 5 vocation succincte d une visite Fronti re Nous n avons pas eu loisir de mener les investigations suffisantes en la mati re mais restons persuad s que l id e est f conde et vaut beaucoup plus que sa seule justification morale la fronti re voquant plus la s paration et l isolement la lisi re la richesse culturelle et la biodiversit Cependant nous pouvons proposer une formule qui nous semble bien cristalliser le questionnement la qu te de r ponse qui doit se d velopper propos de la dimension transfrontali re sous l angle soci tal et culturel pourquoi les arbres changent ils de genre selon que l on parle allemand ou francais 7 Sous une forme plus communicante mais inexacte cela pourrait se formuler ainsi pourquoi fait on changer de sexe les arbres quand on passe d un pays l autre Imaginons les r ponses des randonneurs qui s arr tent la cabane Fichier Edition Affichage Favoris Outils 7 Pr c dente
107. SABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 NORME EUROP ENNE EN 12572 FAD4A 155 EUROPAISCHE NORM EUROPEAN STANDARD D cembre 1998 eessen norme fran aise Descripteurs sport mat riel de sport structure artificielle d escalade exigence s curit pr vention des acci dents m thode d essai charge statique charge de rupture r sistance m canique stabilit m r quage notice technique Structures artificielles d escalade Points d assurage exigences de stabilit et m thodes d essai Version francaise Structures artificielles d escalade Points d assurage exigences de stabilit et m thodes d essai K nstliche Kletteranlagen Artificial climbing structures Sicherungspunkte Antord rungen Protection points stability requirements and test methods an die Stabilit t und Pr fvertahren and test methods und Pr fverfahren Tableau 1 Charges Valeurs en kilonewtons Charge Charge Charge d essai de calcul minimale de r ception de stabilit de rupture Grange normale dun gimpeur os 51 Charge produite par une cord e sur un syst me d assurage en moulinette Charge produite par une cord e sur un point d assurage au so Point d assurage individuel Syst me d assurage en i individuel Syst me d assurage en collectif Point d assurage pour relais constitu d un point unique Point d assurage pour relais constitu
108. SPHERE voir plan au chapitre 3 1 3 Le site pr sente des caract ristiques identiques celui du quartier BIOSPH RE Voir chapitre 3 4 3 cependant c t fran ais le boisement est tr s jeune les beaux sp cimens se trouvent c t allemand Le site tr s fr quent et en partie d gag est propice l accueil de l quipement propos 3 8 3 Caract ristiques principales activit s Positionnement Emplois Investissements Monument de type arc de triomphe compos d un arbre ou plusieurs arbres en bois reli s entre eux Trois grands types de visite Activites Q Libre avec surveillance de proximit dominante motion point de vue beaut et originalit de la construction dominantes Avec guide personne physique ou par baladeur explication de la symbolique et de l intention des cr ateurs et promoteur Technique et communication ce signal est une vitrine des savoirs faire sur le bois et des savoirs penser sur homme et arbres a pas d quivalent connu actuellement son originalit et son architecture le situent comme un monument voir vaut le d tour du guide Michelin Positionnement la vente souvenir devrait se trouver la boutique sise la maison foresti re si l on ne veut pas surcharger le site Objectif fr quentation 30 personnes an en ext rieur 10 000 int rieur et hauteur Capacit type 300 participants jour 50 personnes simultan es possible en hauteu
109. T FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 9 1 1 Choisir un sc nario et dans le cas du sc nario A1 probl me du rapport au p le des g n rations futures La mise en dynamique commence par les d cisions d appropriation de ce projet le choix du sc nario A1 parmi d autres tait pertinent du point de vue de cette tude car il permettait de faire le tour des probl mes structurels que pose ce projet Les aspects conjoncturels notamment ceux qui concernent les relations entre partenaires peuvent justifier d autres choix Cependant si le choix du sc nario A1 devient effectif il est n cessaire d engager un travail pr liminaire d actualisation des donn es d harmonisation des lignes ditoriales des ing nieries des p les d attraction des communications etc relatifs aux deux projets 3 9 1 2 D finir l ambition du projet Cette d finition ne porte pas sur la r alisation d une tranche du projet ou d une autre elle doit porter sur le projet global le choix de r alisation par tranches rel ve de la tactique et non de la strat gie qui elle doit guider le choix sur l ambition du projet Nous pensons que pour deux ans encore ce projet peut tre port dans sa globalit sur le territoire d action du Ma tre d ouvrage actuel terme les d veloppements des besoins auxquels il correspond le feront surgir en d autres lieux L aspect pionnier du projet est un atout pour que sa r alisation globale puisse mobiliser des financements et des nergi
110. TIE 04 1999 2001 9 d Les plans ainsi qu un registre comportant pour chaque site la date et le r sultat des contr les effectu s seront tenus la disposition des agents de contr le habilit s cet effet par l article L 222 1 du code de la consommation 6 1 3 Autorisation pour les installations et travaux divers 6 1 3 1 Circulaire no 78 112 du 21 ao t 1978 Objet relative l autorisation des cl tures et d installations et de travaux divers BOMET no 1004 78 36 bis Pr fets et directeurs d partementaux de l quipement J ai l honneur de vous adresser ci annex un manuel d instructions concernant l application des dispositions l gislatives et r glementaires instituant une autorisation pr alable pour l dification de cl tures et la r alisation de certaines installations et de certains ouvrages ou travaux divers Vous trouverez dans ce document les pr cisions n cessaires pour l interpr tation de ces deux r gimes d autorisation qui sont entr s en vigueur le 1er janvier 1978 Introduction Le pr sent manuel a pour objet de fournir aux services les commentaires concernant les conditions de la mise en oeuvre de deux autorisations de cl tures d une part et d installations et de travaux divers d autre part Elles font l objet d un examen s par chaque partie concerne le champ d application et la coordination d une autorisation Ire partie cl tures IIe partie installations et travaux divers avec d autres pro
111. UDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 1 2 D cret no 96 1136 du 18 d cembre 1996 fixant les prescriptions de s curit relatives aux aires collectives de jeux 1 JO du 26 d cembre 1996 Vu le code de la consommation notamment ses articles L 221 3 L 221 9 Vu le code p nal et notamment son article R 610 1 Vu le d cret no 94 699 du 10 ao t 1994 fixant les exigences de s curit relatives aux quipements d aires collectives de jeux Vu l avis de la commission de la s curit des consommateurs en date du 10 avril 1996 Le Conseil d tat section des finances entendu D cr te Art 1 Les dispositions du pr sent d cret s appliquent aux aires collectives de jeux sans pr judice des r gles dict es par le code de la construction et de l habitation qui les concernent notamment en mati re de s curit contre l incendie On entend par aire collective de jeux toute zone y compris celle implant e dans un parc aquatique ou parc d attraction sp cialement am nag e et quip e pour tre utilis e de fa on collective par des enfants des fins de jeux Sont galement soumises au pr sent d cret les aires collectives de jeux situ es dans l enceinte des tablissements accueillant des enfants et dont les quipements sont susceptibles d tre utilis s par ceux ci des fins de jeux Sont exclus du champ d application du pr sent d cr
112. a Nature sert justifier des actes humains c est le cas chez les thurif raires de la loi du plus fort la loi de la jungle PAGE 152 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 5 2 Des solutions techniques inadapt es entre percer coeur ou prendre en tau 1 Repr sentation simplificatice on prend ses d sirs pour des r alit s Blessure par percement e Compartimentation axiale chez le h tre l rable le ch ne le fr ne et le bouleau D apr s STOBBE et al 1998 VER pe R alit simplifi e on cherche comprendre Dans les techniques de haubanage une entreprise d arboristerie explique l int r t de son tirant il par le sch ma ci dessus 1 montrant l ancrage jusqu au c ur du tronc qui apr s quelques ann es sera recouvert par les nouveaux cernes consolidant l ensemble Dans le sch ma de droite 2 nous avons une autre repr sentation de l effet d un percement Christophe Dr nou in La taille des arbres d ornement ditions IdF 1999 se sert de ce sch ma pour mettre en vidence la r action de l arbre selon l essence Approche plus juste m me si elle n exprime pas tous les aspects des cons quences du per age introduction de champignons etc PAGE 153 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPP
113. a m thode Vitrine des possibilit s de la fili re bois PAGE 18 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 ERIQUE DU CONCEPT DE CITE DES ARBRES s constitutifs possibles et des animations qu ils permettent EEN 1 3 W T WW a e y Pp 1 3 1 Palette simplifi e de ses l men 1 3 1 1 La complexit L quipement et ses activit s sa construction et sa gestion peuvent amp tre class s suivant des degr s de complexit La gradation de cette complexit se d finit selon quelques crit res de base comme a le co t pour des MO semblables aux Parcs Naturels dans la plupart des cas des co ts lev s entra nent une complexit dans la recherche des financements des partenaires plus nombreux aux d cisions difficiles a harmoniser cependant quelques effets de seuil permettent quelquefois de passer dans une cat gorie de projet dont l importance entraine une relative unanimit qui facilite les prises de d cisions simultan es de ces partenaires a les techniques utilis es appels plusieurs syst mes techniques maintenance plus complexe intervention sur du vivant l arbre pr cautions et exigences sup rieures travail en ext rieur solutions plus labor es pour contrecarrer les intemp ries a les comp tences mobilis es tant pour la construction que pour la gestio
114. aconter comment on les utilise et les consid re chez les bip des l arbre et l enfance l arbre et le bois domestiqu du berceau au cercueil l arbre refuge l arbre et les mythes etc La r alisation de chaque cabane leur forme prendra en compte leur contenu et l on devra veiller ce que l ensemble donne un vrai reflet de diff rents types de cabanes r v es ou ayant exist cabanes de gosses de chasseurs de naturalistes biodiversit voir chapitre VI de la partie 2 traditionnelles des tribus La sp cificit de ce contenu ouvre des possibilit s d ing nierie et de financements qui devraient tre mises profit par le MO 77 SINGE NU l expression employ e ici pour d signer l Homme est reprise dessein du titre du Livre de Desmond Morris autre r f rence bien utile aux sc nographes et concepteurs de ces parties de la Cit ce zoologue pense que si l homme a perdu ses poils est devenu nu en descendant des arbres il n en reste pas moins qu il descend toujours du singe 28 Rappelons une fois encore qu il n y a ici comme dans le reste du rapport aucun pr jug sexiste dans l emploi du masculin pour d signer un e repr sentant e des tres humains il s agit d une simple commodit en l tat actuel du langage PAGE 55 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 e En effet au moins pour les cabanes un festi
115. ade l autre nous avons la page pr c dente fait appel un personnage imaginaire pr sentant tout ceci sous un jour facile TARZAN passe all grement d une branche l autre gr ce sa force et aux ressources de la nature une liane bien solide et bien dispos e LE R VE La puissance vocatrice de cette illustration ne serait Kaffe qu illusion si pour conclure cette tude en restant 7 honn te et coh rent avec notre propos nous ne donnions Zi pas priorit l image ci contre celle d un SCHLITTEUR photographie D UNE R ALIT d un travail d Homme habile et dur la t che La mati re premi re est collect e la voie est trac e encore faut il mener le chargement bon port sans le perdre sans se perdre S nt EZ x em 5 2211 i uw A ef Les vieux m tiers N 725 355 Jo l COUCHOURON 3 H r LE 3 c 4 wb T X r 1 4 125 suivant en cela l exemple du Baron Perch d Italo Calvino celui ci demandait aux habitants du village d inscrire sur un cahier en plus de leur leurs dol ances leurs contentements PAGE 170 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 ANNEXES 6 1 QUELQUES TEXTES DE R F RENCE 6 1 1 D cret no 94 699 du 10 ao t 1994 fixant les exigences de s curit relatives aux qu
116. agit ici de la sensibilit l environnement naturel du point de vue de l motion L accompagnateur ne manquera pas de rendre sensible le n ophyte l environnement naturel du point de vue de la protection 6 Le mot signal tique n est pas abusivement employ ici comme dans la plupart des cas ou une emphase la mode l a fait se substituer dans le langage technocratique signalisation Il s agit bien ici de d finir une technique de signalisation une signal tique particuli re adapt e cette nouvelle activit PAGE 93 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 TYPES DE RANDONN ES ARBORICOLES DI SPORTIVE FE 3 uc VALAT NATURALISTES Mer A SAI X ET ANNUEL e BIEN ETRE IMMERSICDN EN FONGTION DES 1 V NEMENTIELLES Des CES DOMINANTES S AJOUTENT 1 EN bel RANDONNEE ARBORICOLE i We AT merlette DUR E ET NIVEAU DE PAGE 94 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 6 4 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements Activit s n V T ET T RT Randonn es arboricoles encadr es accompagnateur et pr par es Equipement minimal emba
117. ains handicaps physiques psychologiques psychiques ou sociaux 10 000 personnes an 100 participants jour simultan s possible 200 les jours de pointe avec visiteurs payants Chiffre d affaires CA 1 5 MFF 2 MFF Objectif fr quentation Copacit type TEE Tarif moyen 90 F par personne pour 3 heures d activit s n cessit de diversifier les propositions de produits S Produits haut de gamme pour les entreprises 20 000 F la journ e pour 20 personnes 4 permanents d avril octobre travail avec des artistes et gens du spectacle de rue notamment plus saisonniers pour WE f tes et t Nbre d emplois directs Ne sont pas pris en compte dans cette hypoth se le travail mutualis avec les autres quartiers de la cit et avec le Pole des g n rations futures PGF et notamment les aspects de gardiennage qui seront fonction de choix plus globaux de gestion de l ensemble du site 3 MF plus 2 MF d investissement compl mentaire suivant succ s hors fonciers et tudes compl mentaires Investissement Une premi re tranche op rationnelle peut tre r alis e seuil minimum d investissement entre 1 2 MF et 1 5 MF Elle devrait tre confort e par des am nagements et animations occasionnelles Retour sur 7 ans 10 ans Si des frais de recherche et d veloppement sont engag s ce d lai est allonger Une d marche consistant franchiser le produit permettrait investissement
118. aires collectives de jeux doivent satisfaire aux exigences de s curit d finies en annexe au pr sent d cret Art 4 Le respect des exigences de s curit d finies en annexe est attest par la mention conforme aux exigences de s curit appos e par les soins du fabricant ou de l i mportateur de mani re visible lisible et ind l bile sur l quipement et sur son emballage Le fabricant ou l importateur appose en outre de mani re visible lisible et ind l bile 10 Sur l quipement et sur son emballage son nom ou sa raison sociale ou sa marque de commerce son adresse et une mention permettant d identifier le mod le 20 Sur l quipement les avertissements n cessaires la pr vention des risques inh rents son utilisation Art 5 Peuvent seuls comporter la mention conforme aux exigences de s curit les quipements d aires collectives de jeux qui satisfont l une des deux obligations suivantes 10 Avoir t fabriqu s conform ment aux normes de s curit fran aises ou trang res les concernant dont les r f rences sont publi es au Journal officiel de la R publique francaise 1 Dans ce cas le responsable de la premi re mise sur le march des quipements tient la disposition des agents charg s du contr le un dossier comprenant une description d taill e du produit et des moyens par lesquels le fabricant s assure de la conformit de sa production aux normes susmentionn es ainsi que l a
119. aisonnalisation possible pour les randonn es naturalistes mais pour un public plus cibl quantitativement beaucoup plus restreint Les randonn es v nementielles faisant partie du 4 type propos fourniraient r guli rement l amplification n cessaire au lancement et la p rennisation du projet Une initiative pourrait tre prise d s le lancement du projet de Cit des arbres pour r aliser La premi re transfrontali re des cimes vertes permettant de passer d un pays l autre sans toucher le sol par les arbres Cette proposition est reprise dans la partie mise en dynamique des r alisations chapitre 3 9 Pr cisons que sauf pour les v nements exceptionnels comme ci dessus le lin aire n cessaire une randonn e est de faible importance de trois arbres une vingtaine de 20 m tres 100 m tres Quand la configuration du terrain le permet une tyrolienne peut allonger significativement cette distance ce lin aire peut constituer un polygone ferm avec retour au point de d part 3 6 5 1 3 2 Signalisation Une charte de communication concernant la Cit des arbres devra prendre en compte celle du PGF mais aussi les diff rents produits et notamment les LR A L efficacit et la beaut doivent tre au rendez vous dans ce domaine De nombreux aspects sont communs ceux de la signalisation des sentiers de randonn es au sol r sistance aux intemp ries et au vandalisme lisibilit optique et culturelle S
120. ans ce concept et comme le confirment les r alisations en cours l arbre d Aventure Parc n est utilis que comme support m canique pour la fixation des c bles et comme support de publicit D ailleurs les promoteurs dans leur proposition d intervention pr cisent bien dans les caract ristiques techniques n cessaires l implantation d un de leur parc For t de r sineux ou exceptionnellement de ch ne Ceci annonce l utilisation r ductrice qui sera faite des arbres fa on de dire que les branches sont g nantes DhatA 2 pl 1 t UB g 2 4 P 1 4 X y E mm amp Fa 7 Sa A P 7 F PT a 1 5 C 7 3 1 d d a t 4 15 22 AE 8 e g P E M ei ep 2 7 LO 3 Cf P M ed VN e P et E 1 m 1 e M S Saut i ke i L NT 1 4 1 2 Sur la s curit des personnes a la poulie permettant de se d placer sur les tyroliennes est mise en place par le client lui m me le surveillant n est pas sur la plate forme il est en bas le passage de celle ci du baudrier o elle est pr alablement mousquetonn e entre deux tyroliennes au c ble de la tyrolienne se fait par d solidarisation de l anneau du baudrier puis accrochage sur le c ble entre ce d crochage et cet accrochage la poulie peut chute
121. ans d autres documents le refus de la comp tition Le concept de base de TCI est de se consid rer dans l arbre comme invit et non comme conqu rant Les arbres sont des cr atures vivantes fragiles avec une dur e de vie bien plus courte que les roches les montagnes ou les grottes P n trez les avec admiration et respect et non comme un obstacle franchir L arbre a tendance ressentir vos pens es et vos sentiments son gard Voici des choses simples que vous pouvez faire pour vous prot ger tout en prenant soin de l environnement et de l arbre h te 1 Informez vous aupr s d un animateur qualifi Grimper au feeling essai erreur est chose risqu e Une seule erreur de jugement peut changer votre vie ou m me y mettre fin crivez Tree Climbers International Inc si vous avez besoin d aide dans l apprentissage des techniques de grimpe 2 N utilisez jamais de crampons ou de grappins qui peuvent blesser l arbre comme ceux qu utilisent encore certains lagueurs durs 3 Restez toujours assur par une corde ad quate Des circonstances peuvent vous mettre en difficult s et vous d stabiliser vous faire chuter coups de vent soudain animal surgissant Elles rendent obligatoire votre assurage permanent 4 vitez les endroits o se nichent tous les animaux et les insectes Vous pouvez vous faire attaquer si vous vous retrouvez trop pr s Souvenez vous vous amp tes un visiteur dans leur monde Ne prene
122. ans l arbre Parcours p dagogiques randonn es arboricoles Spectacles restaurant occasionnels Parcours incentive limit s Bivouacs Idem ci dessus Simple passage d un arbre l autre ou au milieu des arbres ou encore le long des arbres S Passage avec lecture paysage ou du milieu environnant Base fixe de d part plate forme pour des randonn es arboricoles hors promenoir Spectacles repr sentations multiples Monument visiter vaut le d tour Idem ci dessus Cabanes Parcours incentive S jours plaisirs de plus de 24 heures possibles Classes transplant es et colonies de vacances centres de loisirs etc en activit compl mentaire ou plus de 3 jours S jours d veloppement personnel yoga v g tal Laboratoires pour scientifiques Sylvoth rapie 11 Voie d escalade en falaise quip e d l ments sp cifiques chelons rampes ligne de vie destin e faciliter la progression des pratiquants PAGE 22 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 3 2 La Cit des arbres proposition pour un coum ne nouveau lieu de vie construit sur les valeurs du d veloppement durable 1 3 2 1 Apr s l enqu te la qu te de l inspiration l innovation Puisse ce lieu de l gende s ouvrir avec bonheur ceux qui cherchent de nouveaux horizons la d marche de ces enfants que l on n a su
123. ant il doit tre consid r comme tel Toutes les interventions sur l arbre doivent tre r alis es en tenant compte des lois qui r gissent 2 vie en vue de ne pas g ner l accomplissement de ses fonctions vitales Ceci implique de le traiter en respectant sa morphologie sa biologie et sa physiologie ainsi que le pr cisent les r gles de l art ci apr s d finies La d couverte de son biotope et de l cosyst me forestier ne doit en aucune fa on faire subir de g ne sensible leurs locataires faune et avifaune gt P rennit de l arbre Toute intervention sur un arbre constitue un traumatisme En cons quence les travaux pr conis s pour installer parcours reposoirs huttes ponts etc ne doivent tre r alis s que dans la mesure o ils ne peuvent d grader ou nuire la p rennit de l arbre Prophylaxie Pour pr parer un site en vue de ses activit s l Association prend l avis et sollicite l accord des professionnels gestionnaires des arbres de ce site et adh re aux principes de luttes contre la recrudescence et la menace des grandes piphysies dont l homme est le vecteur En cas de n cessit les intervenants prennent les mesures prophylactiques qui s imposent notamment d sinfection du mat riel des outils et des abords imm diats gt Protection L association doit prendre en consid ration au minimum la circonf rence du houppier de l arbre sur lequel elle voudrait voluer et am nager une protection au sol palettes mul
124. ant c toyer des choses et animations existantes avec des projets d quipements nouveaux 21 Voir remarque sur le r le de la ligne ditoriale chapitre 1 point 1 1 rappels et pr sentation PAGE 42 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 1 2 Plan de situation des quipements cm ENARIO A1 Lj amp Exploration O l on c tole ia magie de la vers les curiosit s chacune de e corresP 8 un T des 2 dE gt 3 fn Xe A A d E Ss r v AT i ee MN 7 hee i CT 2 A E da f Port vw CT AP num 7 MA Soasi fim 40 Zb 74 Ce V i f gt D d e e TuS p d 24 5 f e TEE Ze 69 6 1 LE VOL DE L AUTOUR x sut bte Wa AL vs a rion s silent ces ALL PI dateurs de se el dez AL LA tre pr L yv Ze 1 SEH au bL CAN Ex A T 5 m d s cabanes ces ze d nsation gt Lj Chara D ees 7 PAGE 43 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 SCENARIO Al L gende sc nario A1 au Fleckenstein 1 Quartier Bonheur au Gimbelhof 2 Quartier conome Maison foresti re 3 Quartier Biosph re pr s Wegelnburg 4 Signal transfrontalie
125. antes pour des activit s tant p dagogiques que d exp rimentation avec tude d impact d une forme d co loisirs d co tourisme a Son classement en r serve biologique int grale l int rieur d un massif en grande partie d di l accueil du public plut t que d tre un obstacle pourrait tre une opportunit pour d velopper un projet Point de vue g n ral d co tourisme bien r fl chi selon les valeurs du d veloppement durable o l on offre au public une exp rience enrichissante et p dagogique de la d couverte et de la compr hension d un milieu forestier Activit s de qualit en petits groupes encadr s par des animateurs sp cialis s former Proposer pour cet espace de la Cit des arbres un classement en une zone tampon de la r serve int grale avec des conditions particuli res d utilisation Ces conditions pourraient tre labor es et valu es avec le Comit scientifique charg du suivi de la r serve Tr s important Autre fonction pr vue se 4 Mt 4 2 3 d D 1 1717 p t LN e H Li D et am Ke o 5 D S 5 5 PAGE 63 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 4 1 Organigramme Sch ma PAGE 64 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT D
126. at riel d pend des techniques utilis es La technique la plus utilis e est bas e sur l auto assurance surveill e Auto assurance parce que chaque randonneur est seul sur sa corde de s curit et assure lui m me la gestion de son mat riel auto bloquant le mettant hors danger en cas de chute Surveill e parce que le guide arbre qui a v rifi le parcours auparavant veille au respect des consignes par chaque participant tout le long de la randonn e et plus particuli rement la bonne gestion par ceux ci du rattrapage du mou qui ne doit pas d passer 1 2 m tres Une initiation pr liminaire et un passage des consignes sont n cessaires avant le d part Une deuxi me technique convient bien des groupes homog nes Elle consiste r aliser une cord e le grimpeur de t te installant une s rie de points de s curit le dernier les enlevant Le mat riel cit ci dessous est adapt la premi re technique Chaque sac remis aux participants contient le n cessaire pour effectuer une randonn e Les sacs actuels sont remplis de plomb Il convient de les remplir plut t avec des billes d acier inoxydables incluses dans une mousse pour viter la fois les chocs et un rejet de plomb en cas d clatement accidentel du sac craquement de couture par exemple II existe m me un mini bazooka permettant de lancer le poids avec sa cordelette plus de 35 m tres mais il n est agr ni en France ni en Allemagne attention plus
127. b Les lieux de fouilles arch ologiques art R 442 12 L article 15 3e alin a de la loi du 27 septembre 1941 4 portant r glementation des fouilles arch ologiques pr voit que les terrains o des d couvertes ont t effectu es sont consid r s comme class s et tous les effets du classement leur sont applicables En cons quence sur ces terrains la r alisation d installations et travaux divers est soumise non autorisation au titre de l article R 442 2 mais autorisation au titre de la loi du 31 d cembre 1913 21 2 3 Cas particulier de la primaut de l autorisation d installations et travaux divers L article R 442 13 du Code de l urbanisme pr cise que l autorisation pr vue l article R 442 2 tient lieu de l autorisation exig e en vertu de l article 13 bis de la loi du 31 d cembre 1913 lorsqu elle est donn e avec l accord de l architecte des B timents de France Dans ce cas en effet et la diff rence de la proc dure suivie en mati re d autorisation de cl ture cf 8 11 2 5 du premier chapitre de la circ la demande d autorisation d installations et de travaux divers concernant un immeuble class ou propos pour le classement adoss cet immeuble ou situ dans le champ de visibilit de l difice est instruite en application des articles R 442 1 R 442 13 du Code de l urbanisme apr s consultation de l architecte des B timents de France du d partement dont l avis s impose l aut
128. bres la vulgarisation Prof Roed S E E E etc voir recommandations du Dr R Wirth et du Prof transfrontali re de Roed Voir partie 2 et annexe Ter foresti res de Rheinland Couronne des arbres partie oeder artie 3 lettre et note CHR PETER x p i Pfalz Trippstadt Prof 3 Mr Schroeck de la Station de recherche foresti re propose aupr s du public d effectuer des recherches en utilisant les bases de donn es foresti res si un projet concret se confirme Administrations de tutelle Roeder V annexe 4 Partie 2 Fili re Universit Louis Pasteur et bois Centre de recherche de Acteurs impliquer Agronomie dynamique des En attente acteurs restant impliquer l INRA syst Agric Zoologie foresti re etc PAGE 33 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 5 LA P DAGOGIE RELATIVE L ENVIRONNEMENT Actions et projets concernant principalement le territoire Liens avec Cit des arbres Acteurs du Naturpark T Transfrontalier du PNR Vosges du Nord PTE calisation Conception Gestion Pf lzerwald D E Recherche de coh rence et de P le des g n rations futures 77 8 compl mentarit entre la Cit des Programme et promotion arbres et ces deux p les communs Maison de la Biosph re p dagogiques et de loisirs Projet de promenoir Proposition de p renniser ce Proj
129. c dures d autorisation L instruction de la demande identique pour les deux autorisations est examin e en troisi me partie L autorisation de cl ture r sulte de l article 73 de la loi no 76 1285 du 31 d cembre 1976 portant r forme de l urbanisme qui a introduit les articles L 441 1 L 441 4 dans le Code de l urbanisme Le d cret no 77 759 du 7 juillet 1977 en a pr cis les conditions d application en modifiant du m me coup le r gime des installations et travaux divers anciennement pr vu par les art R 440 1 et s du C U il est int gr d sormais sous les art R 442 1 et s de ce m me Code sa base l gislative tant l art L 111 1 Chapitre premier Autorisation des cl tures champ d application Chapitre II Autorisation des installations et travaux divers champ d application Le d cret no 77 759 du 7 juillet 1977 a modifi les dispositions du Code de l urbanisme relatives aux installations et travaux divers en ce qui concerne le champ d application de l autorisation les objets vis s par la r glementation Les nouvelles dispositions figurent dans les articles R 442 1 et suivants du Code de l urbanisme Comme pr c demment seront successivement pr sent s le champ d application territorial li la localisation du projet cf 8 21 ainsi que les cas dans lesquels en raison de cette localisation l autorisation soit n est pas exig e cf S 21 2 2 soit est remplac e par une autorisation de sub
130. c la photo ci contre du parcours TARGON AVENTURE Belgique Comme pour les plates formes les am liorations propos es pour viter les cons quences manifestes de la fixation des c bles pr c demment choisie est un pis aller Le principe de diminution de la pression exerc e par une augmentation de la surface de contact tasseaux de bois entre le c ble et l arbre ne r sout pas les probl mes pos s aux paragraphes pr c dents nous ne nous pr occupons pas ici de l aspect esth tique PAGE 155 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 5 3 Une autre approche pour des co ancrages des lieux de vie 4 3 5 3 1 Un principe conomique ma tris gr ce l cobilan Des arbres pourront tre utilis s dans un souci plus conomique qu cologique que si cette utilisation n entrdine de blessures et de pertes d lan vital inutiles et permet des r alisations moins co teuses Dans ce cas la pratique de l co bilan permet d envisager des mesures compensatoires quant la biodiversit et au patrimoine arbor Cette utilisation dominante conomique n exon re pas bien au contraire d un travail propre permettant de diminuer au maximum les impacts en tenant compte des meilleures connaissances du moment 4 3 5 3 2 Une m taphore cr ative pour nous emmener vers des solutions techniques soyons comme un vent temp r L arb
131. ce de l autorisation de cl ture les communes incluses dans un p rim tre sensible ne sont pas soumises d office l autorisation d installations et de travaux divers et vous appr cierez l utilit d unifier le champ d application des deux autorisations L inscription d une commune sur cette liste permet d opposer un sursis statuer une demande d autorisation d pos e sur le territoire pour lequel un P O S a t prescrit mais non encore rendu public 1 Cet effet particulier peut amp tre un crit re d inscription Il est conseill d tablir la liste en tenant compte de la situation actuelle des communes dans lesquelles s appliquait le r gime ancien des installations et travaux divers b tablissement de la liste L article R 442 1 c pr cise que l arr t pr fectoral est pris sur proposition du directeur d partemental de l quipement apr s avis du maire de chaque commune int ress e Comme en mati re de prescription d un plan d occupation des sols 2 le pr fet peut s il l estime utile demander que le maire se prononce dans un d lai qu il lui appartient de d terminer de deux trois mois environ A l expiration de ce d lai le silence du maire vaut avis d favorable Le pr fet a cependant la possibilit de passer outre cet avis Le maire peut aussi demander que sa commune soit inscrite sur la liste La liste est annex e l arr t du pr fet L arr t du pr fet et la liste des communes doivent faire l obj
132. cerne les arbres 16 Les concepts cologiques qui doivent s exprimer dans cette r alisation appellent un style particulier la question de la prise en compte du style dans le cahier des charges destin l quipe de programmation et celle de la pr sence d un sc nographe uvrant pour le projet le plus en amont possible ne sont pas secondaires m me si les r alisations programm es dans la premi re phase sont modestes 17 L activit de vie dans les arbres constitue petit petit son lexique pour nommer des discontinuit s des ruptures les architectes parlent de dents creuses parler de chdinons manquants pour une activit ou dominent v g taux et plaisir n est gu re adapt Troubranches et D branches font leur apparition ce propos on ne sait cette heure qui des deux l emportera Qu on veuille bien nous excuser pour cette petite diversion le style habituel des tudes de faisabilit ne pousse gu re au rire c est en partie tort Le plaisir que l on dit vouloir procurer aux futurs visiteurs saurait se passer un moment ou un autre d une v ritable investigation qui ne se limite pas au note de bas de page sur la gaiet des mots des pr sentations des animations bien en amont de la r alisation question du style pos e la note pr c dente PAGE 27 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 2 R C
133. cette constatation sur le contenu du cahier des charges a et des 5 autres vidences qui suivent Une r alisation copiant ce qui existe l heure actuelle le plus courant en animation ou quipement pourrait provoquer un effet d tonnement positif lors du lancement mais serait suivie d une obsolescence certaine dommageable l mergence d une innovation effective un nouvel coum ne exp rimenter PAGE 12 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 1 2 2 vidence 2 concurrence et compl mentarit entre arbres et relief pitons rocheux et ruines 1 2 2 1 Concurrence 1 2 2 2 Compl mentarit 1 2 2 2 1 Aspect pratique acc s facilit 1 1 OoOo 9 D apr s Frey Gobin 1998 L id e de faire un sentier de la cime des arbres voque tout de suite la possibilit de monter au sommet de ceux ci pour d couvrir le paysage d en haut Pourtant objectivement les sentiers promenoirs en eux m mes ne permettent pas cette d couverte car ils ne d passent pas les branches les plus solides et donc beaucoup plus basses que les plus hautes ramifications qui elles sont trop fragiles pour supporter autres choses que des oiseaux La majorit des promenoirs voqu s dans la partie pallient cette difficult en s adjoignant une tour qui permet de d passer la cime pour acc der
134. ceux qui se lancent le long de ce parcours a rien PAGE 51 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 a soit d une progression dans les arbres avec diff rentes figures le paresseux le panda le gibbon LA da 7 ER C A den aC FR 4 e NES SCH X E Ce que ne doit pas tre le vol de p l autour gauche une p le copie des t l ph riques ou des attractions des parcs de loisirs Les dessins suivants droite et au dessous donnent une esquisse plus proche de ce que l on doit rechercher Les pr cisions sur les concepts techniques mettre en uvre sont donn es au chapitre faisabilit mariage du t l ph rique et de l aile PAGE 52 pere p 2 pee 0m PEL T E E 3 Ld CITE DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 EE Are mme r 18 ho umm 2 pae mete re iin 4 Re wie v lt A lt e E Z LU LU IO ca lt Uu
135. ch m DU 1 2 6 vidence 6 perspectives ouvertes par les investigations faites dans la Partie 2 MAE di racadrase a EEE e 13 MISE EN FORME G N RIQUE DU CONCEPT DE CIT DES ARBRES 1 07 1 3 1 Palette simplifi e de ses l ments constitutifs possibles et des animations qu ils rs 19 1 3 2 La Cit des e proposition pour un ANN nouveau lieu de vie construit sur les viu dii don een sg LD DNE A IER Apr s l enqu te la qu te de E TTT 23 1 3 2 2 Quelques claivcissements sur la n SE 1 3 2 2 1 La premi re partie de p oe ditoriale arbre 8 RS 0 RR o 24 1 3 2 2 2 La deuxieme partie de la ligne ditoriale la verticalit l l vation comme sens re PTO E E Eegen 23 1323 Pr sentation sch matique de la cit des arbres la cit ses 3 quartiers 717 26 1324 La Cit des arbres ses quautiers et ses explorations 27 2 R CAPITULATIFS VALUATION ACTEURS SECTEURS SC NARIOS D IMPLANTATION emmnnne 28 2 1 VALUATION DES ACTEURS ET DE LEUR PROJET EU GARD A LA CITE DES ARBRES usurae 2 PAGE 3 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 FAMILLE q 110117 A iil OR 20113091 ETT TT T 39 2 3 2 Les d
136. chez le noyer commun Juglans regia L cv Lara Juglandaceae Canadian Journal of Botany 76 1 12 16 Sabatier S Barth l my D Ducousso I Germain E 1999 Allongement et morphologie des pousses annuelles issues de greffe chez le noyer commun Jug ans regia L cv Lara Juglandaceae Canadian Journal of Botany sous presse Contact Programme Cirad Inra Mod lisation des plantes Amap Cirad amis Cirad BP 5035 34032 Montpellier Cedex 1 France amapbota cirad fr D partements et programmes Retour au programme Retour l axe de recherche Centre de coop ration internationale en recherche agronomique pour le d veloppement Copyright Cirad 2001 www cirad fr R f rences Jean Claude Ruel aspects m caniques Amateis R L et H E Burkhart 1996 Impact of heavy glaze in a loblolly pine spacing trial South J Appl For 20 151 155 Belanger R P J F Godbee R L Anderson et J T Paul 1996 Ice damage in thinned and nonthinned loblolly pine plantations infected with fusiform rust South J Appl For 20 136 140 Cannell M G R et J Morgan 1989 Branch breakage under snow and ice loads Tree Physiol 5 307 317 Hauer R H W Wang et J O Dawson 1993 Ice storm damage to urban trees Journal of Arboriculture 19 187 193 Jessome Ab 1977 R sistance et propri t s connexes des bois indig nes au Canada Laboratoire des produits forestiers de l Est Rapport technique de foresterie 21 Ottawa Ma
137. ching de bois afin d viter le tassement du sol pouvant nuire gravement au syst me racinaire L association doit profiter des manifestations qui lui sont confi es ou qu elle initie pour promouvoir et sensibiliser le grand public au respect au maintien et au d veloppement des v g taux en g n ral 4 Les r gles de bases des activit s Avoir l autorisation du gestionnaire ou du propri taire de la parcelle et des arbres o se d roulera l activit Ne pas faire de feu Ne laisser aucun d tritus Respecter la vie animale et v g tale S engager changer de site avant la surexplo tation de celui ci Informer sensibiliser faire conna tre le milieu forestier Restaurer le site et les arbres en cas de d gradation Ne grimper que sur des arbres adultes Proscrire tout objet contendant coupant ou per ant PAGE 182 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Utiliser le Bill System ou les poulies afin d viter fout frottement d gradant l arbre Interrompre le grimper en cas de nidification ou de pr sence d animaux cavernicoles Enlever les branches dangereuses avant de commencer toute animation Assurer la s curit des pratiquants pendant toute la dur e des activit s Toute personne encadrant une activit se r f rant cette charte doit avoir suivi un cycle de formation aupr s des associations fondatrices 5 Comit de contr
138. coles Au sein m me de la Cit des randonn es sont possibles Elles auront d abord un r le initiatique Elles seront compl t es par des randonn es sur d autres sites exp ditions La Cit servira de centre de ressources mini office de tourisme des randonn es arboricoles pour ces randonn es On recevra les informations et la formation de bases ainsi que le mat riel n cessaire L accompagnateur trice formera son groupe avant de partir vers des visites d arbres ou vers de v ritables randonn es arboricoles Les parcours seront bien rep r s auparavant et pourront tre pr quip s PAGE 92 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 6 2 L implantation des IRA Itin raires de Randonn es Arboricoles la diff rence du sentier perch le promenoir l Itin raire de Randonn es Arboricoles IRA ne n cessite pratiquement pas d quipement ou d am nagement s dentaires Il est bas sur une protection individuelle chacun des pratiquants tant dot de son EPI L IRA peut emprunter des promenoirs existants ceux ci devant se d velopper entre les quartiers de la Cit voir ci dessous mais pour plusieurs ann es encore cette derni re situation sera exceptionnelle L implantation des sentiers de randonn es arboricoles d pend principalement du relief de la qualit des arbres et de
139. conclusifs de la Partie 3 sur l valuation des acteurs et site on comprend que la d cision d axer la Cit des arbres sur le Bremendell ou le Fleck d pend principalement de la volont du des administrations foresti res et de la R gion Alsace Avec une volont de faire de la Cit d abord une station exp rimentale la fr quentation limit e pour un public pr par avec un protocole de suivi des impacts on choisira Bremendell sc nario A Si la priorit du MO est de viser un public nombreux de toute cat gorie en utilisant des espaces d accueil pour l essentiel d j viabilis s on choisira le secteur du Fleckenstein sc nario B Du MO et de son partenaire dominant suivant l option choisie Communaut de communes de la Vall e de la Sauer pour l option Fleck et administrations foresti res FR et ALL pour le Bremendell PAGE 40 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Mais ce choix ne se pr sente m me pas si les administrations foresti res fran aises et allemandes veulent absolument limiter sur le Bremendell les p n trations et pr sences d quipements p rennes Cependant dans le cas d un sc nario B sur Bremendell l hypoth que ci dessus tant lev e les autres probl mes choix des arbres proximit des quartiers de la cit sont plus simples r soudre que sur le Fleckenst
140. ctions Possibilit d installer des stations de mesurage et des instruments de mesure dans l arbre au sol et dans le sol Exemples de gt 43 s remplies Protection des acc s et des stations de mesurage et instruments de mesure tant au niveau des cimes qu au sol contre le vol la d t rioration et les contaminations Possibilit s de transmission des donn es en temps r el ou diff r jusqu au laboratoire principal Capacit tenir pendant des dur es relativement longues D placements d une cime l autre gr ce des installations souples quipements l gers permettant d aller jusqu au dessus des cimes Remarque Ce qui concerne la localisation n est pas rappel e ici puisque l id e de faire un laboratoire mobile vient de la constatation qu aucun lieu ne s imposait d vidence et que suivant les recherches les crit res taient trop vari s pour ou un lieu unique puisse donner satisfaction tous 43 R pondent en grande partie aux l ments fournis par MM Wirth et Roeder leurs recommandations et demandes ainsi que le compte rendu de la r union th matique recherche scientifique sont r sum es au chapitre 2 4 du rapport 2 et mises in extenso dans les annexes N 19 20 21 de cette m amp me partie PAGE 88 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 5 4 Contenu Explication Evocation 3 5 4 1
141. d terminer la protection des arbres et de leur milieu ils prennent en compte les fonctions g n rales et stables pour lesquelles ils sont missionn s p rennit du patrimoine accueil du public exploitation conomique et les points de vue sur la mise en pratique de ces missions Ces points de vue r sultent tout autant des habitudes que des volutions des techniques et des approches culturelles de la nature en g n ral et de la for t en particulier Avant d examiner comment se pose le probl me du statut de l activit par rapport aux arbres et leur milieu Il convient de faire un point sur le statut global de cette nouvelle activit 4 2 4 1 Pr liminaires une activit de plus g rer dans le massif forestier Deux cas sont distinguer Ils sont caract ristiques des tapes de d veloppement de l activit arbor e aboutissant la Cit des arbres qui en constitue le stade le 3 le plus labor Ils correspondent des situations qui continueront de coexister y compris avec les derniers d veloppements de ce projet 4 2 4 1 1 Le cas des simples animations temporaires ou des explorations Le cas le plus simple est celui d une activit r duite quelques exp ditions de randonn es arboricoles ou quelques animations temporaires C est ainsi qu ont d but les activit s fin des ann es 80 Sauf dans les r serves o la p n tration humaine est interdite ou limit e quelques investigations scientifiques et sauf
142. d Ouest dans la Vall e des g ants Walpole Normalupe National Parck Aux Etats Unis comme au Japon les animations arbor es prennent en compte structurellement les handicap e s en g n ral alors que dans nos pays il n existe encore que quelques op rations sporadiques et exp rimentales Enfin signalons qu une manifestation comme celle vogu e ci dessus 3 6 5 1 3 1 la premi re transfrontali re des cimes vertes r alis e sous forme de randonn e arboricole devrait servir aussi ouvrir la voie d un futur sentier transfrontalier haut perch MO MET TCI Atlanta participation handicap e PAGE 105 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 8 SIGNAL TRANSFRONTALIER Ce chapitre n est qu une ouverture qui peut aider le Ma tre d ouvrage lancer une r flexion montrer la possibilit et l int r t d une telle r alisation 3 8 1 Pr sentation le plus du signal Tels que d j repr sent s dans le sc nario A1 les aspects transfrontaliers sont suffisants pour r pondre au cahier des charges de l ensemble de l tude Pourtant l implication et les propositions de collaboration des professionnels du bois c t allemand nous am nent faire une proposition les concernant directement et renfor ant l aspect transfrontalier de l ensemble tout en tant coh rent avec la ligne ditoriale de la Cit des arbres
143. de d ontologie de l activit de grimpe dans les arbres CHARTE DE D ONTOLOGIE portant sur la d couverte des arbres partir d activit s se d roulant dans les arbres 1 Pr liminaires Une premi re r daction d un code de d ontologie d une charte pour une activit nouvelle refl te la volont les intentions des membres associ s Ceux ci feront en sorte que ces volont s ne se transforment pas en v ux pieux Tirant des bilans de leur activit ils identifieront aussi bien les dispositifs pratiques mettre en uvre que les connaissances compl mentaires n cessaires une bonne application de leur CHARTE Celle ci vivra elle sera modifi e et amend e chaque ann e Les Associations adh rentes cette charte s engagent la faire respecter par leurs adh rents et mettre son enrichissement son actualisation l ordre du jour de leur assembl e g n rale ordinaire PAGE 181 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 2 Contenu Cette charte est destin e gt d finir les objectifs gt fixer l esprit les valeurs et les principes qui animent l association gt pr ciser les r gles d ontologiques de la pratique de son activit 3 Esprit et principes gt L arbre tre vivant La for t est un milieu vivant et complexe toute surexplo tation d un site est proscrire instamment L arbre est un tre viv
144. de inanim Homme seul en famille en petits groupes en grands groupes en fonction de l occupation loisir travail ressourcement sports arts Faune Flore habitat station saison association dissociation a rien souterrain Milieu inanim qualit stabilit humidit duret accueil du racinaire e capacit d analyse des impacts de l activit sur le milieu arbor o Pendant le chantier chantier HQE o Approches et pr parations des animations outill es aspects faune flore sol compaction pollution o Grimpe impact visuel odeur bruit impacts sur la faune sur les insectes les crustac s les petits mammif res les oiseaux sur la flore et surtout les lichens le lierre sur l arbre lui m me corce liber bourgeons fruits pousses et feuillage etc o Moments de vie dans l arbre idem mais ph nom ne de dur e et d alternance saisons e capacit de r duction des impacts o Un tat d esprit invit dans les arbres et non la conqu te des arbres o Une m thode d valuation s appuyant sur l tat des recherches et des donn es co syst miques et biom caniques l analyse des micro lieux l valuation la gestion du feed back Du mat riel et des utilisations adapt s Psychologie technicit et m thode pour informer former encadrer gestion du je m en foutisme du stress et du manque de maitrise des techniques Sources de casses o Pr vision de rythmes de fr quentation du milieu adapt
145. de pique proximit des aires de stationnement croisement des chemins Actuellement aucune convention connue ne prend s rieusement en compte ce probl me les questions qui se posent ce sujet ne se sont pas transform es en exigence C est plus la bonne volont des organisateurs qui fait qu elles trouvent des d buts de r ponses Nous la retrouverons au chapitre 4 1 3 4 2 4 2 L aboutissement dans les conditions actuelles un statut juridique le bail construction des arbres prot ger et ne pas supprimer Si elle n est pas directement maitre d ouvrage des quipements r aliser une collectivit publique ne pouvant pas ali ner sa propri t doit envisager pour la cr ation d un quipement d tablir avec le MO un bail construction ou quivalent Pour la r alisation de la Cit des arbres si le MO n est pas le propri taire des lieux c est priori une convention de ce type qui sera utilis e Les constructions de la Cit ne n cessitent pas de permis de construire mais simplement une autorisation pour installations et travaux divers Voir en annexe la Circulaire N 78 112 du 21 ao t 1978 relative l autorisation des installations et travaux divers Mais dans la mesure o nous sommes sur des propri t s publiques soumises d autres contr les vu leur vocation actuelle il est probable qu il n y aura pas obligation de cumuler les deux autorisations et contr les Ce sont les d cisions du MO q
146. des nombreux chemins de randonn e Une attention particuli re devra donc plut t tre port e sur le micro environnement sur les risques qui pourraient atteindre des stations v g tales sp cifiques ou des habitats tr s sp cialis s de faune surtout insectes que la fr quentation et les am nagements actuels auraient r ussi prot ger PAGE 158 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Impacts de l ouverture d un sentier de d couverte nature d apr s COLLE 4 3 5 4 2 2 un premier exemple d tude sur le sujet Actuellement une seule tude a abord avec m thode la question de l impact de cette activit Il s agit de Quel impact l escalade dans les arbres peut elle avoir sur l environnement 2 de Jean Michel MISSEGUE DELMAS 1997 faite au Centre du GRAOUX PNR des Landes de Gascogne 33980 BELIN BELIET son int r t est d avoir mis en pratique les propositions d approche th orique des tudiants STAPS d j cit s Mais son investigation s est trouv e limit e une saison et pour des activit s se pratiquant tr s peu dans le houppier 6 Malgr ces limites cette tude faite avec beaucoup de s rieux relev s pi geages deux zones analys es proche de l activit et plus loign e et D g ts m caniques avec un souci de praticien de l escalade arbre conscientis par une foi de naturaliste est particuli
147. des arbres des r gions sauvages humides qui abritent une riche v g tation a rienne 8 Ne faites pas glisser une corde sur les arbres l corce fine tels le h amp tre l eucalyptus le sycomore ou l rable La corde en mouvement aura tendance se loger dans les couches tendres et profondes de l corce et cr er des d g ts en atteignant le liber en tuant la branche Une technique de grimpe stationnaire o la corde ne glisse pas le long de la branche pendant la grimpe doit tre utilis e avec de tels arbres 9 Stoppez la grimpe dans un arbre qui semble fr le ou abim 6 1 3 5 Plan du futur code Pr ambule sur l Arbre et l Homme D finition des termes Engagement sur une d marche qualit un management environnemental et une implication sociale citoyenne Devoirs et obligations envers les arbres et leur milieu Connaissance et actions avant pendant et apr s l activit Respect des us et coutumes et r glements sur certains sites et pour certains arbres r serves for ts mus es arbres remarquables rites religieux li s des arbres Devoirs obligations et collaborations avec les propri taires et gestionnaires du patrimoine arbor Devoirs et obligations envers le public et les pratiquants s curit bien tre et progr s personnels et collectifs Devoirs et obligations envers la profession Devoirs et obligations envers et entre les encadrants Conditions thiques du parrainage du m c nat du sponsoring
148. des cultures une diversit de formes et de couleurs harmonieusement assembl es symbole de rencontres des l ments n cessaires l mergence et au d veloppement de toute vie La vie on la retrouve en plein cceur si l on peut dire puisqu il faut pour atteindre les hauteurs emprunter la double h lice celle de l ADN Deux escaliers magnifiques oeuvre de nos Compagnons la mettent l honneur Chacun des visiteurs a recu sa goutte d eau qu il doit porter l haut jusqu la lumi re les consignes sont donn es nous allons faire le m me parcours que la s ve Nous atteignons la frondaison o nous d couvrons les premiers automates battant des ailes annon ant l entr e dans le grand man ge du peuple des houppiers grouillant de surprises 6 Le choix d utiliser des automates pour repr senter le foisonnement vivace se justifie certes par le c t spectaculaire imm diatement perceptible de ces engins mais aussi plus fondamentalement parce sont compagnons de notre histoire de Platon aux robots d aujourd hui supports d expression des rapports de l Homme la repr sentation de Sa nature et de la Nature Cf texte de Paul Qu au Cyber terre et Noosph re 1996 il ne faut r duire ici la vision des automates celle des seuls automates m caniques anim s par des moteurs ressort PAGE 114 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPOR
149. dresse des lieux de fabrication ou d entreposage 20 S ils ne respectent pas toutes les normes vis es au 10 ci dessus tre conformes un mod le b n ficiant lui m me d une attestation de conformit aux exigences de s curit d livr e la suite d un examen de type effectu par un organisme fran ais ou tranger agr par le ministre charg de l industrie Dans ce cas le responsable de la premi re mise sur le march des quipements tient la disposition des agents charg s du contr le un dossier comprenant une description d taill e du produit l attestation de conformit aux exigences de s curit ou une copie conforme une description des moyens par lesquels le fabricant s assure de la conformit de sa production au mod le examin et l adresse des lieux de production ou d entreposage Art 6 Tout quipement doit tre accompagn d une notice d emploi de montage d installation et d entretien Cette notice pr cise l ge minimal des enfants auxquels l quipement est destin et comporte des mentions d avertissement relatives aux risques li s son utilisation PAGE 171 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Art 7 Sans pr judice de l application des sanctions p nales et des mesures administratives pr vues au livre Il du code de la consommation en cas de m connaissance des exigences de s curit seront pun
150. e 2 4 A d VIDE 40 E A GH 5 a Tz 4 2 Co M i PAGE 84 Sur ces photographies des scientifiques dans le cadre de leurs recherches dans la canop e mais cela se passe ailleurs Comment cr er les conditions favorables du d veloppement de la recherche scientifique sur la r serve de Biosph re La Cit devrait proposer un mat riel de base permettant gt d investir l arbre dans toutes ses dimensions d avoir proximit des exp riences en cours un laboratoire et un minimum d intendance permettant le d roulement des recherches dans les meilleures conditions Les scientifiques participeront des actions de vulgarisation de leurs recherches pr s des lieux de recherche ou au sein m me de la Cit et plus particuli rement dans le Quartier Biosph re SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 5 2 Diff rents types d acc s au houppier et l interface feuilles air pour chercheuses et chercheurs 221 1 Tour m tallique DS Neat 2 Walkway 3 Tech Alpin Sp l o T Acrobatiques lagages doux NL gt gt lt gt ue ng Tug r EI Fern 1 TP 4 Radeau et luges n T jl sc toxique d d 7 Bulle des cimes N 8 IKOS M 9 Plateforme ou Fausse branche
151. e Alliance se r f re notre avis l ouvrage de Prigogine prix Nobel et I Stengers int grant les derniers d veloppement de la thermodynamique des syst mes ouverts une des composantes th oriques du d veloppement durable PAGE 109 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 8 4 1 2 The Garden of Emergence VLADIMIR SITTA Le ph nom ne de la croissance est ici utilis comme support m taphorique pour mettre en vidence l impossibilit de contenir ou d arr ter la cr ation sans faire intervenir la r pression De m me elle pourrait tre utilis e pour expliquer l extraordinaire f condit des forces vitales lib r es Ce qui nous am ne proposer que l Arbre signal transfrontalier serve exprimer le message sur l indispensable expression de toute la diversit de la Vie pour assurer le bonheur des tres aujourd hui comme demain PAGE 110 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 8 4 1 3 OPERA DE LA BASTILLE TAMAS ZANKO LE MONUMENT AUX MARTYRS DE LA REVOLUTION RECONSTRUCTION DU MONUMENT IU e IMAGINE A LETAT ACTUEL ERC Ke d LARBRE DE VIE ET DE LIBERTE EST BICENTENAIRE L arbre respire avec ces feuilles ballons 9 767 par unt souffferie a l irferitur dv tronc CE OU
152. e Le plaisir de vivre dans les arbres SI GE SOCIAL 23 RUE GOSSELET o 59000 LILLE o FRANCE ATELIER 22 RUE DU COLL GE F 59163 COND SUR L ESCAUT N SIRET 398 437 848 00011 APE 913 E o URSAFF 5932181801000 T l France 33 0 3 20 52 12 02 o Belgique 32 0 69 84 87 17 Fax 32 0 69 84 87 170 Site internet www treeplanet com Email raboutet aol com OHP JL RABOUTET ES w
153. e consid r e comme d favorable aux an miques chlorotiques rachitiques vagotoniques d calcifi s canc reux tuberculeux en volution insuffisants graves r naux et h patiques spasmophiles goutteux rhumatisants froid humide brouillard nuisibles aux rhumatisants goutteux Bouillaud sujets aux rhumes et coryzas aux vagotoniques Q Allergies a Pollens et poils v g taux l asthmatique est expos plusieurs causes d irritation ce sont surtout les pollens des gramin es qui sont incriminer Peu d arbres forestiers sont en cause Deux esp ces le platane fin mars mi mai pollen et poils des feuilles et le m rier sont particuli rement allergisants Certes suivant les individus on peut relever des allergies aux cypr s en f vrier abi tin es fin mars d but avril pins pluies de soufre oliviers buis rables Les poils de chatons de peuplier femelle appel s coton sont nocifs Populus deltoides de Virginie Remarque on a signal en Belgique en 1939 des cas de bronchites ulmaires dues non l orme mais au champignon qui l attaque la graphiose Pr cision calendrier des pollens sous climat vosgien aulne mars bouleau avril ch ne mai noisetier mars sapin mai juin b Lichens allergies aux lichens en particulier aux Parmelia par leur acide usnique des allergies aux h patiques feuilles Fru lania et Radu a des allergies au bois la question est discut e au
154. e de d couvrir et comprendre les messages inscrits ou se d veloppant dans la Cit 7 Raisonn e ce qualificatif est ajout ici en quelque sorte comme aide m moire pour ne pas oublier que ce n est pas parce que quelque chose est innovant positivement sous un aspect qu il est sans cons quences n gatives pris sous d autres angles Passer la peur du nouveau on tombe quelquefois dans l exc s contraire sans d fiance vis vis de lui tout nouveau tout beau 13 Comprendre prendre avec soi PAGE 23 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Le d veloppement du chapitre 8 de la partie 2 du rapport final et notamment son point 8 2 2 intitul du sentier la cit des arbres donne les indications sur les l ments qui trouvent leur aboutissement dans le concept de Cit des arbres En d cembre 1999 sa structure et ses principes taient pr sent s au comit de pilotage largi Cette pr sentation est utilis e dans cette partie de l tude notamment au 3 chapitre Les photos et dessins qui l illustrent sont emprunt s principalement des r alisations significatives du pass restaurant dans les arbres comme par exemple Plessis Robinson ou mises en uvre actuellement bivouacs animations h tel dans les arbres Ceux ci montrent que pour l essentiel tous les l ments propos s pour cette Cit existent o
155. e de limiteur de charge et permet donc de limiter automatiquement les flux de personnes quand une valeur pr alablement fix e est atteinte systeme d avertissement en temps r el a Enfin signalons que la limite d autonomie en nergie fix e 100 heures par le fabricant pour chaque dynamome tre peut tre d pass e gr ce au couplage du dynamome tre avec un capteur solaire 4 3 4 L utilisation du bois ARBRE comme support point d ancrage et BOIS mat riau de construction 4 3 4 1 L arbre utilis comme ancrage des lignes de vie ou des quipements cabanes passerelles filets 4 3 4 1 1 Les contraintes subies base de r f rences Les capacit s de l arbre comme support sont dues l enracinement et aux caract ristiques du bois accumul au cours des ann es La partie la plus vivante le cambium se trouvant autour de la partie morte ou presque il n y a que deux fa ons d utiliser les capacit s m caniques d un arbre vivant soit traverser la partie vivante pour atteindre la partie dure soit se poser sur la partie vivante Dans le premier cas on perturbe la circulation de la de s ve de fa on limit e mais on ouvre une porte aux envahisseurs insectes champignons n matodes et bact ries Dans le deuxi me cas on peut provoquer casse crasement strangulation cisaillement Mais l aspect support ne se limite pas l ancrage il comprend l examen des forces subies aux points d ancrage et des capacit s r actives de l a
156. e humaine et la responsabilit et fait r f rence la fonction l action plus qu au concept comme Economie qui voque plus la discussion sur le sujet 31 Les co warriors ont des installations dures qui ne respectent pas les arbres respect des arbres qui motivent pourtant nombreuses de leurs actions PAGE 59 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 H 7 bn L VET Le c nomm 51 VUS Te sch Som 1e NV nn ar D L restc 1 xw l 1 31 X TX 5 51 iecle QUui se souciaien SH 7 F d H E y E bei cl eem LI mn E ke e MA e MA nou ve a ARA V 1 aur 11 c 5 peu de arbre iui meme mais eg CO m LE d M BR MR Li i her 3 e US d 7 11 lt tfe n A I It l 2 n2 qui nous TONT TOUT Je meme Ion emp arabe PA alpinisTes av 7 parois P T 0 d Ol L solution pour les ei m f LO re CAI WAV A A Y 4 SA L P tr 5 11 11 D s sl Ier mS d mec ac C uel illa f a n te e ES C 10 e eil les ba mm mn
157. e modeste un sentier Si on consid re que dans l esprit du MO et de ses partenaires ce sentier est en fait un promenoir cette passerelle f t elle dans les arbres aura bien du mal remplir tous ces r les Il faudrait dans ce cas ne lui donner qu une simple fonction initiatique d autres animations manifestations et quipements venant prendre le relais des premi res sensations Cette r flexion est pensons nous valable en dehors de toute autre consid ration sur l environnement du projet les caract ristiques du lieu d implantation la qualit des boisements les quipements existants ce stade nous pensons donc qu un quipement du type promenoir ne peut pas remplir les fonctions assign es par le cahier des charges en qualit et diversit Ceci ne veut pas dire que ce type d quipement n est pas faisable mais si on ne veut pas d cevoir il faut en modifier clairement les buts M me dans ce cas compte tenu de l existence d un quipement similaire Fischbach voir ci dessous et de l analyse des limites de ceux qui sont d j en fonction il convient de penser un promenoir d un nouveau type Nous donnerons quelques indications sur les caract ristiques d un tel sentier promenoir m me si cette solution ne nous semble pas la plus pertinente par rapport aux potentialit s du secteur La faisabilit porte donc plus sur la Cit des arbres qui est l aboutissement du recadrage du projet apr s la prise en compte de
158. e o apprendre g rer la peur du vide se d centrer de soi m me placer l arbre au centre de sa pr occupation a la non maitrise des techniques d volution dans les arbres et d utilisation du mat riel gt apprentissage des bonnes techniques recommandations au sol ne pas oublier d all ger l impact de son poids sur les branches en se servant dans les situations qui le n cessitent de la corde de s curit comme point d appui suppl mentaire choisir les habits surtout chaussures ad quats etc 4 3 5 4 2 Impacts n gatifs sur la faune et la flore 4 3 5 4 2 1 De l vidence Ce qui vient le plus spontan ment l esprit ce sont les impacts sur l avifaune en p riode de nidification De nombreux oiseaux abandonnant nids et petits si la pr sence humaine est trop pr gnante Une deuxi me cons quence moins imm diatement lisible concerne les insectes et les herbes leur rar faction tant caus par le pi tinement du sol lors de la pr paration de l activit Les autres cons quences sur la faune et la flore sont du m me type que celles qui sont provoqu es par toute activit en for t Pour ma triser ces derniers aspects on pourra se r f rer aux tudes d impacts pour la mise sur pied de sentier de randonn es voir sch ma agrandissement de la vignette ci contre sur la page suivante Globalement sur le site tudi ici les impacts n gatifs sont d j l oeuvre du fait de la densit de fr quentation du lieu et
159. e th me de recherche porte sur l influence des facteurs du milieu et de la sylviculture sur les caract res morphologiques et la s quence de d veloppement sp cifiques des arbres forestiers Ces tudes sont men es au niveau de Tu Les la pousse annuelle et de l architecture globale de l arbre Dans les for ts naturelles elles permettent d identifier des Ae types architecturaux caract ristiques de conditions environnementales particuli res Th se Apport de l architecture des Zo L A arbres dans l tude de la structure des for ts tropicales sempervirentes z Plus o n us g n ralement elles permettent de comprendre l influence des conditions cologiques sur le d veloppement architectural des v g taux Les facteurs cologiques et sylvicoles tudi s concernent la densit de plantation la fermeture du couvert v g tal et la disponibilit en lumi re la fertilit des sols la comp tition herbac e ou encore la taille de formation et l lagage Pour en savoir plus sur les partenaires et les enseignements R f rences 1 Barth l my D 1991 Levels of organization and repetition phenomena in seed plants Acta Biotheoretica 39 309 323 2 Barth l my D Caraglio Y Dr nou C Figureau C 1992 Architecture et s nescence des arbres For t Entreprise 83 15 35 3 Barth l my D Blaise F Fourcaud T Nicolini E 1995 Mod lisation et simulation de l architecture des arbre
160. e tout obstacle ne faisant pas partie int grante du jeu b Les limites des zones pr sentant des risques particuliers comme les abords des balangoires ou des tourniquets doivent tre mat rialis es de mani re que dans leur utilisation normale ou raisonnablement pr visible ils n occasionnent pas de heurts entre les enfants utilisant l quipement et ceux qui ne l utilisent pas C Les jeux utilisant l eau doivent tre con us de mani re carter tout risque de noyade ou d infection raisonnablement pr visible d Les bacs sable doivent amp tre maintenus dans des conditions d hygi ne satisfaisantes e Les quipements doivent tre implant s de mani re que les adultes puissent en toutes circonstances acc der tous les endroits o les enfants sont susceptibles de se Trouver f Les l ments des quipements doivent amp tre install s de facon assurer la stabilit de ces derniers et viter ainsi tout risque de renversement de chute ou de d placement inopin 9 Lorsque cela est pr vu par la notice d installation les quipements doivent amp tre fix s au sol 3 Mat riaux de rev tement et de r ception a Les zones sur lesquelles les enfants sont susceptibles de tomber alors qu ils utilisent les quipements doivent amp tre rev tues de mat riaux amortissant appropri s b La dur e de vie des mat riaux amortissant utilis s doit correspondre leur utilisation sur une aire collective de jeux nota
161. e utilis e sur la zone primaire zone la plus proche de l activit NDLR est sans strate herbac e A titre d information sur 900 m 15 m sont compl tement nu Ces chiffres montrent bien les d g ts faits sur la strate herbac e Ce qui est galement int ressant ce sont les cons quences de la disparition de celle ci 1 Tout d abord sur un plan m canique et compte tenu de la nature du sol l rosion risque de poser des probl mes L o la pente est la plus forte la terre est nu Plus rien ne peut retenir la liti re et le sol V g tation basse et mousse ont disparu les mousses d un hectare de for t freinent l coulement de 450 m3 d eau environ La perte de cette v g tation a donc tendance faire diminuer le taux d humidit ambiant au niveau du sol ce qui peut expliquer le d part des batraciens vers des lieux plus humides 2 Les autres tages v g taux ne subissent pas de d g ts C est vrai que lors de l installation des deux parcours des branches ont t coup es ou ab m es mais il en restant dans le domaine du raisonnable tout de m me m me pas une branche par arbre en tout 6 arbres ont t utilis s Le grattage de l corce par les chaussures est rest tr s limit car seulement des parcours d initiation taient en place Les parcours utilis s auraient t install s en haut des arbres je pense qu il aurait t tr s int ressant de mesurer les effets du grattage non seulement sur l corce mais au
162. effectu es par des handicap s positionneraient le territoire comme pionner en la mati re Ceci qui ajouterait une dimension qualitative ce haut lieu de randonn es classiques M amp me pour les activit s o un assurage est r alis par un animateur un animateur pour un grimpeur ce qui lib re le grimpeur du souci de s curit les associations actuelles utilisent principalement des baudriers avec accrochage ventral qui place donc la corde entre le grimpeur et l arbre au lieu d utiliser des baudriers accrochage dorsal ceux ci n existant pratiquement pas pour les enfants et adolescents PAGE 97 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Il n est pas propos ici de cr er un type de randonn es d initiation car cette vocation d apprentissage est remplie par le quartier conome Ce dernier comporte en son sein une randonn e compl tant les autres quipements remplissant les fonctions initiatiques Les noms caract risant les types sont suffisamment vocateurs pour que les concepteurs con oivent les parcours correspondants le m me parcours pouvant servir plusieurs types de randonn es arboricoles sous r serves de quelques am nagements optionnels suppl mentaires Les randonn es sportives permettront d tendre la fr quentation au del de la saison des beaux jours pour un public relativement important M me d s
163. ein En effet si ce dernier est choisi sc nario A il reste de nombreuses questions traiter Citons les trois plus importantes jusqu o peut on aller dans l installation d un quartier Biosph re sur le c t allemand entre site fronti re Kaiser Wilhelm Stein et le site Wegelnbursg l tude pr conise un quipement l ger Peut on am nager pour recevoir 12 personnes la fois ou plus dans les houppiers a la r gion Alsace acceptera t elle qu un quartier de l conome s implante au Fleckenstein en limite de sa r serve naturelle mais l int rieur acceptera t elle le challenge qui est propos par cette tude de faire ce qui est le plus difficile ici une activit remplissant les besoins l Economie des pratiquants et qui veille son harmonie avec tous les l ments naturels pourra t on modifier temps le plan d am nagement forestier pour que ne soit pas cr e une situation irr versible du point de vue de la r alisation de la Cit sur les sites concern s 2 3 2 2 Le probl me transfrontalier Pas une seule solution prenant en compte les aspects du probl me transfrontalier inscrit dans le cahier des charges ne s impose d vidence Si la volont de rendre lisible et de donner beaucoup de force ces aspects est confirm e par le ma tre d ouvrage il faut donc faire merger le g nie d un site Une proposition de conception r alisation d un signal transfrontalier ci dessous chapitre
164. en d but d ann e scolaire chaque fois le corps est impliqu diff remment physiquement et socialement et pr pare sa fa on l esprit l accueil 123 On ne saurait trop recommand parmi de nombreuses lectures et en plus des ouvrages d j cit s deux livres essentiels sur ce sujet LA L GENDE DES COMPORTEMENTS d Henri LABORIT et VARIATIONS sur le CORPS de Michel SERRES PAGE 168 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 5 EN GUISE DE CONCLUSION TARZAN ET LE SCHLITTEUR CHANGER DE C EST LE MOMENT Nous avons choisi d exposer un sc nario coh rent potentiellement le plus riche en d clinaisons d autres sont possibles Les propositions faites auront atteint leur but si elles inspirent celles et ceux qui connaissent bien leur territoire leur histoire si elles leur donnent force et volont pour les compl ter et les concr tiser Faire oeuvre pour des g n rations futures tout en r pondant aux besoins de celles d aujourd hui implique certes une mobilisation des volont s des intelligences des techniques et des finances mais aussi et surtout le d veloppement d une synergie positive entre tous les partenaires partir de ce qui est et ce qui fait le meilleur de chacun d eux l envie de procurer du plaisir d apporter du bonheur 124 Une d clinaison est voqu e moins que les autres il s agit du d veloppeme
165. en restitue l essentiel voir annexe 6 3 1 Ce travail s est d velopp suite aux grandes temp tes de 1999 relatif l vitement des chablis Il sera n cessaire de s en inspirer quand ces tudes seront publi es En ce qui concerne les seconds ils sont plus nombreux mais portent majoritairement sur les essences tr s cultiv es r sineux ou les arbres des for ts tropicales et quatoriales Citons l important travail du CIRAD en per avec de nombreux laboratoires voir annexe 6 3 2 Son investigation sur la biom canique au del de la recherche sur l architecture et le fonctionnement des arbres permet de comprendre comment se forment ses capacit s m caniques et donc d en tirer des le ons quant au r f rentiel qu il est n cessaire de construire pour l activit de loisirs arboricoles 4 3 4 1 2 Le d but du r f rentiel des fests de charges de rupture et d arrachage D s maintenant l occasion d une coupe ce qui viterait d abimer des arbres qui ne doivent pas tre coup s il serait int ressant de pouvoir pratiquer des campagnes de tests de rupture des branches ma tresse sur les essences les plus utilis es Bien videmment le r sultat de ses tests ne serait qu indicatif qu un premier rep re pour mieux cerner ces aspects de tenues m caniques En effet nous savons que contrairement aux structures artificielles il n y a pas deux individus identiques et qu l int rieur de deux houppiers d une m me essence il
166. ences sur la protection des personnes et des arbres sur les acc s devront faire partie du cahier des charges du concours Ce festival pourrait s tendre aux cabanes aux sols en collaboration avec le PGF les nombreux sentiers de randonn e serviraient de chemins d exposition pour ce festival les cabanes prim es pourraient en l tat ou en tant confort es du point de vue de la l gislation une utilisation p renne implique des r gles qui ne s imposent pas une structure expos e devenir de v ritables points d arr t ou de rencontre pour les randonneurs et touristes PAGE 56 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Cabanes 7 ppuxs sur arbres prot g s pe poteaux perthes PAGE 57 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 ST LAON 3 1 Ri SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 QUARTIER DE L CONOME PR S DE LA MAISON FORESTI RE SITE 2 FRANCE Le quartier de l conome Des besoins physiologiques au bien tre O Fon a tout son C ent du bi ccr NESA bei 3 eng v J P c 30 Nous utilisons le mot Econome parce qu il sous entend la pr senc
167. ensions de base du d veloppement durable conomie social et environnement sont souvent repr sent es par les sommets d un triangle ou par 3 cercles s cants la surface ainsi d finie le triangle ou l ensemble commun aux cercles s cants tant cens e repr senter le produit durable de la prise en compte de ces 3 dimensions Nous avons opt pour une pr sentation plus dynamique parce qu elle montre l objectif atteindre Elle est pr conis e notamment par Ren Passet in l conomique et le Vivant Nouvelle dition qui consid re oeuvrant pour d veloppement durable tout ce qui tend remettre ces trois dimensions leur place dans une relation d inclusion hi rarchiquement organis e comme dans le sch ma propos Cette harmonie d inclusion non respect e entra ne des exclusions et d r gulations l rosion de la biodiversit et la standardisation appauvrissant les Cultures en sont les cons quences les plus manifestes Les constructions am nagements des 3 quartiers qui constituent la cit des arbres ne seront pas physiquement Spatialement dans une relation d inclusion Par contre leur contenu et les animations qu ils permettront s vertueront la mettre en pratique et en vidence PAGE 26 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 3 2 4 La Cit des arbres ses quartiers et ses
168. ent qualitative les r gles g n rales de construction d une esp ce sont tablies gr ce la synth se d un grand nombre d observations d individus divers stades de d veloppement On en d duit REIS la s quence de d veloppement architectural sp cifique 1 2 3 4 5 6 7 8 SS DO Parall lement l analyse comparative d individus de m me ge mais croissant ou ayant cr dans des conditions prd diff rentes permet d appr hender l influence des facteurs du milieu sur le mode de d veloppement des v g taux 9 De m me l analyse comparative individus de g notypes distincts et croissant dans un m me environnement aller permet d tudier l influence des facteurs g n tiques Dans cette approche la structure de la plante joue un r le central et les connaissances acquises sur des plantes diverses temp r es ou tropicales annuelles ou p rennes fondent des m thodes g n riques de mesure de codage et de mod lisation Ces m thodes permettent de constituer des bases de donn es morphologiques et architecturales dont l analyse statistique AMAPmod vise d gager les traits invariants et les param tres variables du d veloppement de l organisme v g tal Objectifs PAGE 191 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 D gager les principes fondamentaux de croissance de ramification et d o
169. ept de la Limitation n cessaire de l impact Cit des arbres librement sans risque conomique de l quipement de manque de coh rence avec d autres quipements Difficult d assurer une coh rence entre fonctions multiples nombreux quipements touristiques p dagogiques existants ou et programm s qui sont des stades diff rents de r alisation et le concept de la Cit des arbres Pr sence sites prot g s et inventori s Pr sencesitesprot g setinventori s SITE S RETENU S Morcellement et dispersion des Quartiers Possibilit de regroupement des de la Cit des arbres et utilisation de Quartiers de la Cit des arbres sites r siduels Difficult d assurer une bonne r partition spatiale de ces divers quipements activit s Peu ou pas d immersion possible du fait des Immersion importante nombreuses activit s p riph riques et de la superficie peu importante des zones retenues SERRE R partition spatiale transfrontali re Site enti rement transfrontalier ERN difficile PAGE 37 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Secteur 1 Fleckenstein Hirschtal Nothweiler CONCLUSIONS Secteur dont la fonction principale Difficult de synergie avec Le choix de ce site permettrait
170. eptibles d occasionner des blessures ou des strangulations c Les angles et ouvertures au voisinage des zones dans lesquelles des mouvements incontr l s du corps sont pr visibles ne doivent pas pr senter de risque d accrochage ou de coincement des parties du corps ou des v tements De m me les quipements ne doivent pas comporter de parties mobiles ouverture variable dans lesquelles certaines parties du corps peuvent se faire coincer d Les parties d quipements lev es doivent tre correctement prot g es pour viter le risque de chute accidentelle e Les l ments mobiles ou statiques d quipements susceptibles d entrer en contact avec certaines parties du corps au cours d une utilisation raisonnablement pr visible doivent avoir des angles arrondis f L mission par les quipements de substances dangereuses doit tre limit e de mani re tre sans effet sur les enfants ou r duire ces effets des proportions non dangereuses g Les mat riaux employ s pour les quipements ne doivent pas tre susceptibles de provoquer de br lures soit par friction soit par contact h Les quipements doivent tre con us de mani re que quelles que soient les circonstances les adultes puissent acc der tous les endroits o les enfants sont susceptibles de se trouver Il Dispositions sp cifiques certains quipements a Toboggan 1 La glissi re doit tre concue de telle mani re que la vitesse de descente soi
171. er arbre ligne de vie Contr le automatis de la s curit Mise en dynamique du projet communication adapt e Professionnalisation s curit plaisir Message in situ sur les animations R v ler es capacit s inn es actuellement en sommeil Permettre la r alisation des d calages positifs corps et esprit Assurer la s curit l l vation heureuse Diversit en contenu et niveau des animations classes vertes tablissement des r gles formation organisation Emprunt plusieurs m tiers et Plaisir produits et activit s gratifiants Appels des sp cialistes pour la programmation Jeunesse au sein de l quipe de programmation Processus liaison s paration d avec le m tier d lagueur doux d finition des comp tences des animateurs Ligne ditoriale du projet et mise en oeuvre D ontologie HQE ISO 9000 ISO 14000 D p ts de brevets Reconnaissance de l activit aux niveaux nationaux et internationaux D veloppement personnel Sylvoth rapie Sciences de l ducation Recherche Intervention colloque Franchise nouveau type de parc vertige voluptueux Contribution au r seau cit s des arbres Raoni Professionnalisation Franchise cologie du plaisir appliquer d autres domaines D velopper concept de Bio ducation Professionnalisation construction des r f rentiels Contribution l application des valeurs du D veloppement Durable PAGE 17 R fl
172. er le projet dans un plan d am nagement touristique d ensemble et concert d finissant des Projet de sch ma 7 ONF PNR des Vosges E principes d am nagement fixant des d am nagement OK e du Nord e priorit s et une rationalisation spatiale du touristique forestier j 77 massif forestier notamment cr ation de p les lourds mais aussi de zones de qui tude g quipements R gion Alsace P le des g n rations SI de Lembach et futures sur le Secteur 1 RE environs Ch teau de Fleckenstein l g 7 m Idem ci contre gauche promotion communes O Equipements ext rieurs E communes de la Vall e T de d couverte et de Recherche de coh rence et de Si une partie de la cit des Si une partie de la de la Sauer He E SG compl mentarit entre la Cit des arbres pu fait en collaboration cit ni arbres se ch teaux forts et ces deux p les p dagogiques et de Plaine de jeux P avec FischBach gestion fait en collaboration Dahner Felsenland m di vale Site de bilat rale pour certains avec FischBach Verbansgemeinde Gimbelhof um Fee Contribution et suivi aspects gestion commune pour certains aspects PAGE 31 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Communes de Ludwigswinkel Sturzelbronn Obertsteinbach int grer publication et communication et constitution r seau
173. ersit des ces zones gt choix de localisation hors de ces zones leur zones pour la situation peut cependant conditionner le choix d une zone proposition de p riph rique pour la recherche scientifique programmes d animation Naturpark Pf lzerwald transfrontali re Secteur 2 Projet de ONF R serve foresti re Forstdirektion int grale transfrontali re Zones de protection de la nature Naturschutz gebiet Administrations de tutelle Biotopkartierung M R serve biologique foresti re du Opportunit de d velopper un projet co touristique pointu une exp rience p dagogique de d couverte et R gion Alsace A Fleckenstein de compr hension du milieu forestier 4 LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MTM Actions et projets concernant principalement le territoire Liens avec Cit des arbres Acteurs Transfrontalier du PNR Vosges du Nord 1 arpar Localisation Conception Gestion Pf lzerwald Universit de S paration des lieux de recherche et des lieux de Int gration labo botanique D Kaiserslautern ON vulgarisation 1 et ing nierie structures bois i Im Ar Facult de Botanique Recherche d une zone qui corresponde aux probl matiques Motivation de ces deux S et ARUBI partie 2 e Voir recommandations e Prof B del et Dr R Wirth scientifiques complexes comme la recherche globale sur acteurs pour participer du Dr R Wirth et du 1 Uu d l cosyst me au vu du lieu de la taille des types d ar
174. es 3 9 1 3 Un maitre d ouvrage accultur La fa on dont le ma tre d ouvrage a fait suivre l tude malgr la modestie des moyens a montr la volont d impliquer de nombreux partenaires et de se nourrir des r flexions du maitre d oeuvre voyage d tude et r unions du comit de pilotage et autres Cependant la sp cificit d un tel projet implique que le futur maitre d ouvrage ait en son sein un relais permanent et efficace entre lui et l quipe de programmation m me si les investissements de d part ne semblent pas le justifier si on se r f re d autres projets de construction 3 9 1 4 Une quipe de conception r alisation noyau dur et satellites Afin de pouvoir conserver son me et sa coh rence au projet il est important qu un noyau dur minimal assure le lien entre toutes ses phases de conception r alisation et lancement de la gestion A ce noyau devront s adjoindre des quipes satellites aux sp cialit s adapt es aux sp cificit s de la phase en cours 67 Cette attitude n a rien voir avec le dogmatisme ou l int grisme le th me m me de la Vie et de l arbre au centre de toutes les propositions tant r solument antagonique tout r ductionnisme qui emp cherait d int grer des faits nouveaux confortant la d marche PAGE 115 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 9 2 Remarques sur les aspects les pl
175. es pour valorisation recherches faites od communication sur celles qui sont venir Sinon stockage soit au PGF soit par convention dans des ateliers municipaux par d faut chez un garde meubles Les l ments d infrastructure du laboratoire nomade qui se trouvent facilement sur le march sont lou s grue tour Modification pour les nacelles 50 fr si on utilise des nacelles en osier de Montgolfi res par exemple Pour le reste ce stade de l tude il est impossible de chiffrer un investissement qui d pend encore de choix et ambitions du MO et des quipes de recherches Cependant on peut se risquer d finir quelques ordres de grandeur e Labo gite 500 000 F 90 m r alisation d un prototype d montable stockable adaptable ou l adaptation d un proto existant avec autonomie en nergie et gestion des flux et mati re et HQE e Pr paration d un arbre 250 000 F hors conception si on s appuie en grande partie sur l arbre sinon 350 000 F technique de la cage ceci hors co ts des instruments de mesure Ceci doit permettre les acc s l int rieur du houppier et en partie jusqu au bout des branches et ce jusqu 18 m tres et comprend une plate forme de 25 m Si l on veut en plus e un filet au dessus d un arbre 18 m 18 m support par des perches s appuyant sur l arbre ou et au sol 150 F un palan d placable pour mat riel 800 Kg commande radio 40 F et 60 000 si compatibilit pour les perso
176. es premiers tests peuvent tre r alis s partir d une simulation utilisant une installation ph m re ne 10 ans 15 ans Si des frais de recherche et d veloppement sont engag s ce d lai est allonger Une d marche consistant franchiser le produit Retour sur investissement NU permettrait d am liorer ce temps de retour Pour la version compl te 8 Plates formes couvertes install es dans les arbres ferm es ou semi ferm es un ou deux niveaux entre 40 et 60 m2 utiles chacune 200 m tres de circulation en hauteur 100 m tres circulation libre et s curis e 100 m tres circulation quip e prot g e ligne de vie Viabilisation minimale r serve d eau lectricit Bouquets d arbres pour Sanitaire Recyclage et local technique 8 arbres ou bouquets pour les ateliers de jeux animations et formations Poste d observation Type d am nagement dominant Surface n cessaire entre 1 ha 1 5 ha entre 30 et 50 arbres utilisation d une clairi re Surfaces et lin aires Lin aire am nag version compl te 200 m tres am nag s d clivit Surface plate forme au total environ 400 m utiles Tableau et sch ma sont comment s au point 3 3 6 1 PAGE 66 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 6 Contenu du Quartier de l conome 3 3 6 1 Explications g n rales Le principe d autonomie une
177. estigation confirme combien l arbre t moins de nos qu tes main tendue de la Nature compagnon d humanit peut valablement porter les messages d Histoire et d Avenir de M moire et de Prospective combien il facilite les rencontres combien il permet de comprendre nos d terminismes et comme toujours combien il reste un de nos plus grands inspirateurs parce qu il continue d tre au croisement des traditions et exp rimentations et qu tes des uns et des autres t MN t i E Illustrat PISTE ion d apr s les arbres du restaurant du CENTRE 6 POMPIDOU Paris P le des g n rations futures concept g n rique retenu par la Communaut de commune pour l am nagement de l ensemble du Fleckenstein Nous n excluons pas l aspect performant des notions de fronti re li es celles de territoires socialement d finis de propri t priv e m amp me collective ceci certains stade de la soci t sur le long chemin entre animalit et humanit entre nature et culture voir les tudes thologiques ce sujet PAGE 106 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 PAGE 107 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 Le signal transfrontalier peut se situer quelques dizaines de m tres du quartier BIO
178. et ducatif For t mon projet ducatif et d y associer amie des animations proposer dans la Cit des arbres Voir remarques et propositions de Mr Tempel Voir partie 3 Commune de Fischbach Vosges du Nord Rheinland Pfalz Mr Tempel Association MA tude d interpr tation R gionale pour p dagogique du Massif Collaboration pour le r seau forestier de Fleckenstein animateurs nature secteur 1 l Initiation l Environnement sensibilisation Environnement Association professionnalis e dans les produits d ErE sur le territoire du PNR Int ress pour participer un groupe de travail R seau p dago Env Voir PV r unions Ee En attente th matiques annexes partie PAGE 34 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 LA VALORISATION DE LA FILI RE BOIS Liens avec Cit des arbres Int r t important des acteurs allemands pour l utilisation du bois Proposition de faire de la Cit des arbres un quipement d monstratif de l utilisation du bois de fabrication locale dans la construction Proposition de participation de la Facult la Universit de r alisation Kaiserslautern d esquisses et Facult ARUBI de maquettes si N 66 le choix du bois est retenu comme mat riau pour la Cit des arbres consulaire pour
179. et des activit s commerciales Principes de r gulation et de r glements des conflits Comit de contr le PAGE 184 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 2 LE D VELOPPEMENT DURABLE ET LA PROGRAMMATION D UN QUIPEMENT Extraits adapt s d une contribution de JLR la programmation d un quipement touristique et culturel sur le d partement du Nord de la France 6 2 1 Deux rappels pour viter des d rapages 6 2 1 1 Un point de vue philosophique la bourse ou la Vie panouissement Economie Activit s Humaines Biosph re Le passage du tout marchand au concept d co d veloppement qui est la base du D veloppement Durable entra ne l mergence d un nouveau paradigme volutif bas sur la reconnaissance et la remise leur place des relations d inclusion entre activit s conomiques ensemble des activit s humaines et r gulation de la Biosph re ces valeurs tant au service de l panouissement des tous les tres et non au b n fice des seuls Avoirs Appliqu au projet ce point de vue implique une d marche int gr e et int grante une gouvernance qui permettra de passer du projet d une institution d un organisme au projet d une population 6 2 1 2 Un passage l acte Le parti pris DD implique aussi une coh rence entre la parole et les actes Cette d marche tout comme la reconnaissance du po
180. et des mesures de publicit pr vues l article R 442 1 dernier alin a du Code de l urbanisme publication au recueil des actes administratifs du d partement et mention en caract res apparents dans deux journaux r gionaux ou locaux diffus s dans tout le d partement Le r gime d autorisation n est applicable qu dater de l ex cution de la derni re de ces mesures de publicit PAGE 176 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 21 2 2 Territoires dans lesquels l autorisation n est pas exig e L article R 442 3 2e alin a pr voit deux cas dans lesquels des installations ou travaux divers relevant normalement du champ d application de l autorisation vis e l article R 442 1 sont exempt s d autorisation en raison de leur localisation sur le domaine public ou sur un site arch ologique Dans ces deux cas l autorisation n est pas exig e parce que les travaux font d j l objet d une autorisation g n rale a Le domaine public R 442 3 2e al L autorisation n est pas exig e dans le cas o les installations ou travaux sont ex cut s sur le domaine public car ils font par ailleurs l objet soit d un permis de stationnement accord ou refus par le pr fet soit de toute autre proc dure d autorisation d occuper ce domaine rivage de la mer voies routi res notamment Il tait inutile de maintenir l autorisation
181. et les f tes foraines ainsi que les salles et terrains de sport Art 2 Les aires collectives de jeux doivent tre con ues implant es am nag es quip es et entretenues de mani re ne pas pr senter de risques pour la s curit et la sant de leurs usagers dans le cadre d une utilisation normale ou raisonnablement pr visible Peuvent seules tre mises la disposition des enfants titre gratuit ou titre on reux les aires collectives de jeux qui respectent les prescriptions de s curit d finies l annexe du pr sent d cret et dont les quipements sont conformes aux dispositions l gislatives ou r glementaires en vigueur Art 3 L exploitant ou le gestionnaire de l aire collective de jeux tient la disposition des agents charg s du contr le un dossier comprenant 1o Un plan faisant appara tre la situation et la structure g n rale de l aire de jeux ainsi que l implantation des quipements 20 Les plans d entretien et de maintenance pr vus au II 4 a de l annexe du pr sent d cret 3o Les documents attestant que les interventions correspondant l entretien et l inspection r guli re de l aire de jeu et de ses quipements sont bien effectu es conform ment au II 4 b de l annexe du pr sent d cret 4o Les documents indiquant le nom ou la raison sociale ainsi que l adresse des fournisseurs de tous les quipements install s sur l aire 5o Les notices d emploi et d entretien accompagnant les qu
182. etc Ces ouvrages peuvent impliquer des travaux de voirie d acc s ou des am nagements de la surface du sol L l ment prendre en compte pour soumettre ou non ces aires et d p ts autorisation n est pas le nombre de v hicules un moment donn mais la capacit d accueillir au moins dix unit s apr s am nagement m me sommaire acc s terrassements c Affouillements et exhaussements du sol condition que leur superficie exc de 100 m2 et que leur profondeur ou leur hauteur d passe 2 m tres Ce peut tre notamment le cas d un bassin d un tang ou d un r servoir creus sans murs de sout nement d un travail de remblaiement de lagunes ainsi que des travaux de remblai ou de d lai n cessaires la r alisation d une voie priv e 22 2 2 L autorisation de substitution L autorisation d installations et de travaux divers est dans un certain nombre de cas remplac e par une autorisation de substitution Mais l autorisation de substitution joue soit dans tous les cas S A soit seulement lorsque l installation ou le travail accompagne la r alisation d une autre op ration soumise une autorisation diff rente S B a Autorisation ou d claration rempla ant l autorisation d installations et de travaux divers Ce sont les cas ou les installations et travaux divers de par leur objet m me sont d ores et d j soumis une autorisation qui se substitue l autorisation vis e l article R 442 2 Article 2 de
183. etour non pr vu les b n fices doivent tre compl tement investis dans l actualisation des donn es de simulation et de la sc nographie Selon la notori t donn e l ensemble communication PGF et lancement Cit des arbres recherche opportune de m c ne labo pharma ou mat riel de labo etc Possibilit s d associer la Maison de Fischbach voir de faire de cet quipement un quipement ext rieur part enti re de cette Maison Retour sur investissement Pour la version compl te Plates formes et filets semi couverts install s dans les arbres fixation par perches quelques appuis verticaux sur arbres Acc s par passerelle amovible du rocher pr s de la fronti re ou de la ruine du ch teau exceptionnel acc s de puis le signal transfrontalier voir chapitre dur Type d am nagement ce signal dominant 5 espaces sc nographi s l ERBRA l Arbre l envers L arbre messager du temps et de l espace Arbre Mineur du Ciel L arbre Habill la mode scientifique arbre Un rendez vous pour la Vie Arbre photosynth se arbre rencontre de l eau et de la lumi re Une vingtaine d arbres ou bouquets pour le centre une dizaine pour la p riph rie Poste d observation Surface n cessaire moins d 1 ha Arbres entre 20 et 30 dont de beaux sp cimens Surfaces et lin aires Lin aire am nag version compl te 200 m tres am nag s d clivit Surface plate forme au total environ 400 m utiles L acc s se fait
184. ettre une bonne expression des r les de la photosynth se En voici quelques sens coh rents avec la Quartier Biosph re dans lequel il faut leur donner forme 36 Ph nom ne ici doit tre pris dans son sens premier c est l tonnement cosmique des terriens devant les retours de la pleine lune resplendissante qui lui a donn naissance PHENO qui appara t qui brille s impose nos sens MENE lunaison mois lunaire comme dans m no pause La sc nographie doit faire retrouver la qualit de cet tonnement premier pour inscrire en nous le ph nom ne photosynth se devenant ainsi en plus un objet pens et raisonn I oum ne des philosophes PAGE 79 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 a le Rendez vous pour la Vie c est fondamentalement celui dont le r sultat sera une des conditions m me de la Vie L OXYG NE Le rendez vous est donc celui de la rencontre de l eau et de la lumi re l arbre est dans cette affaire un entremetteur de talent pour organiser la chose Il est reconnu comme tel depuis l antiquit a Rendez vous pour la Vie exprime la durabilit qui consiste a ce que chaque g n ration ne mette pas en cause le d veloppement de la g n ration suivante ou mieux pr pare les conditions de leur futur bonheur a le lieu du Rendez vous pour la Vie le plus commun toutes et tous est bien comme son
185. eur Energie et lectronique Ces dessins ne constituent pas des vues techniques Ils ne servent qu faciliter la compr hension du principe de fonctionnement PAGE 143 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 3 4 Vers le premier syst me int gr de s curit pour une activit de loisir dans les arbres innovation par transfert des techniques industrielles de levage Le syst me de r glementation et normalisation permet un MO de bien ma triser les probl mes de s curit au moment de la conception le dispositif r glementation normalisation m me s il doit tre adapt est clair et pr cis Il n en est pas de m me pour la suite pour la phase d exploitation du mat riel Certes l utilisation des cordes et des c bles fait bien l objet de recommandations des fabricants par exemple pour les cordes les mettre hors services cinq ans apr s l achat ou la suite de chocs par chutes Si le contr le du nombre d ann es ne pose pas de probl mes l valuation du v cu d un c ble ou d une corde est lui beaucoup plus difficile r aliser M me avec des responsables qui connaissent les r gles de l art en la mati re comment peut on objectivement suivre le v cu de ce type de mat riel Combien de clubs tiennent un compte des chocs subis par les cordes Qui peut v rifier si au cours d un d part sur une t
186. eur contribution la r gulation des grands cycles de la biosph re L tout public groupes scolaires et universitaires Comit d entreprises Groupes d amis professions lib rales naturalistes d veloppement personnel Positionnement Sciences ouvertes Journ es et WE th me avec les scientifiques arboristes venant pr senter leurs travaux activit s adapt es ou sp cifiques pour satisfaire certains handicaps physiques psychologiques psychiques ou sociaux Objectif fr quentation 1500 2000 J ourn es an apr s deux ans de fonctionnement et si le quartier est r alis en entier Capacit type 12 participants heure simultan s possible CA 0 6 1 MF 1 5 apr s la 3 ann e suivant notori t acquise Tarif moyen 40 F par pers pour une heure Tarifs activit s Produits haut de gamme pour entreprises 20 F journ e pour 20 personnes d veloppement personnel Autres produits faire avec les autres quartiers 1 permanent d avril octobre plus saisonniers pour WE f tes et t interventions scientifiques Possibilit s d un 2 me emploi apr s la 3 me ann e e Ne sont pas pris en compte dans cette hypoth se Nbre d emplois directs le travail mutualis avec les autres quartiers de la Cit et avec le PGF et notamment les aspects gardiennages qui seront fonction de choix plus globaux de gestion de l ensemble du site Investissement 2 5 MF R
187. exceptionnels activit rentable M taphore de la canop e Oc an vert emprunt aux techniques maritime et spatiale Mais aussi Inspiration Contes pour animations S curit maximale Confort am lior Le bois pour la construction L hommage au bois La ruche chercheurs et le labo nomade centre de ressources pour scientifiques Fronti re lisi re le genre des arbres vocation arbres et for ts dans les paysages d autrefois remont e du temps par les arbres voyage vers le gr s descendre dans l arbre vers le sol les racines les profondeurs Quels ch teaux forts devons nous construire aujourd hui La biodiversit et l arbre Passage oblig dans les arbres Sc nographie adapt e Rationalisation construction animation phasage et gestion Simulation avant r alisation d marche it rative Choix techniques Effets et exploitations possibles au del de l quipement Constituer une base de donn es actualisable Concours po sie cabanes etc Brevet et agr ment et franchise Fili re bois Monument Proposition pour d autres r serves en for ts temp r es Contribution aux recherches sur les arbres en sciences humaines dendrologie et charbon de bois et vieux bois patrimoine vernaculaire Descendre de l arbre P le g n ration future projet Fleckenstein Le ons tirer pour la mise en uvre d autres quipements Effet induit sur conomie locale Exporter l
188. exions sur Enqu te sur techniques et lieux de vie utilis s Particularit s du pays terroir R sultats Voyage Constatations Quantit n gligeable communication importante Qualit s pour un D veloppement f cond Aspects transfrontaliers Gr s et arbres Ruines et arbres Mobilisation Int r t Opinions communes mergentes SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 l ments ou r f rences pour l analyse Documentations diverses R seau Internet Exp riences et contacts personnels R unions et contributions de partenaires Exp riences personnelles Affleurements et exploitations existantes Circuits ch teaux et documentation changes lors des visites discussions ensuite Documents r colt s Caract risation des processus concepts ou techniques utiliser Transfert Cr ativit Innovation technique NT et Bois Cr ation monumentale M moire active tat de la recherche et de ses outils Linguistique cotone co ethnologie copal ologie Histoire philosophie biodiversit Sentir l arbre conomie du projet Exp rimenter Engagement sur le bois Cons quences pour l quipement D saisonnalisation For ts tropicales et quatoriales for ts temp r es Occasionnels gt p rennes Public sp cialis gt tout public Co ts
189. explorations ES QUARTIERS DE LA CITE D S ARBRE d CR Exploratio retour TM i 1 LS if EN BREF Les formules employ es dans cette vue pour stigmatiser le contenu des quartiers sous des formes apparemment anecdotiques mettent en avant le choix d une sc nographie et d un style faudra ici prioritairement destiner au public Le mot pr dateur est utilis avec une pointe de provocation pour rappeler que les concepteurs auront lutter contre ou mieux d tourner les conceptions anthropomorphiques dominantes pour remettre les choses leur place Cette approche est aussi plus communicante de la m me fa on que le Diable est le meilleur agent de communication du Bon Dieu l angle m taphorique de la pr dation bien utilis est un outil pertinent d attraction d implication Bien videmment il ne s agit que d une vocation d autres moyens existent pour atteindre les m me buts Les sentiers dans les arbres ne pourront pas relier totalement et de fa on permanente les diff rents quartiers cette liaison continue est un objectif en termes de g n ration le temps de l arbre Des d placements dos d animal pied ou bicyclette seront utilis s pour les chdinons manquants les troubranches Les explorations jouent un r le important dans cette cit ouverte sur le monde elles prendront la forme de randonn es stages visites vers tout ce qui con
190. fonction des modes de gestion climat inscrit dans ces cernes et dans son boisement temp te chablis blessures dans ses cicatrices mais aussi d amour coeurs grav s et cris de guerre clats d obus ou de balles etc a Il nous parle aussi de l avenir le bourgeon en est le symbole il AIT TEFEN 2 concentre une nouvelle vie chaque ann e il transporte le patrimoine g n tique vers les lendemains Citons ce propos 6 Raynal Roques faisant parler les plantes E d gt gt R7 CONSEIL DU BAS RHI 2 8 Direction de l Animation du Territoire et f ZE HE Carol n Au ner Place du Quartier Blanc 679 easg Cedex 3 T l 03 88 76 67 6 57 Il s agit l d une simplification Napol on revenant en arri re il fallut de nouveau attendre 1840 pour retrouver les Kilos m tres et grammes les heures du m ridien de Paris puis de Greenwich ne s impos rent qu avec le d veloppement du rail 38 On pense surtout ici aux pieds coud es pouces etc et l Homme vitruvien de L onard de Vinci Des marchandises et des personnes de plus en plus trait es de la m me fa on Le temps de l arbre avant l Homme est abord au point pr c dent arbre et gr s PAGE 81 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Qu est ce que dix ans pour une plante C est dix printemps en
191. h rissons cureuils lapins Changements dans le couvert la biomasse et la composition de la v g tation 119 JM MESSEGUE DELMAS en 1997 ignorait sans doute le travail de ces tudiants Chaque p riode a ses pr occupations La r ponse au besoin de commencer les tudes d impacts a merg plus de 6 ans apr s le d but de l activit p riode o les tudiants toulousains en posaient les bases th oriques 1991 92 16 T s agit d une tude de milieu r alis e dans le cadre d une formation pour l obtention PAGE 159 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 a les insectes COL OPT RES carabes chagrin s et des bois gal ruque morimus funereus cicind le nicrophorus MYRIAPODES glom ris marginata tachypodoiulus albipes CLOPORTES CYNIPIDES FORMICIDAE a les batraciens et reptiles tritons palm s crapauds et une cistude d Europe Les conclusions de l auteur Extrait de la SYNTH SE DES CONCLUSIONS DES TROIS PHASES D OBSERVATION de l tude de JM MESSEGUE DELMAS A LA FLORE Je pense qu il n est pas tr s utile de s tendre sur les effets de l activit sur la flore C est une chose acquise La strate herbac e est d truite par le pi tinement des groupes qui passent sur le site La superficie de la zone qui a t la plus touch e est de 900 m soit 45 m x 20 m Cela veut dire que 60 de la superfici
192. i s permettent de m moriser les l ments qui serviront aux propositions qui suivent PAGE 19 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 La cite AES E ER RENE ons traction contribution D veloppement Durable Agir local Penser global s panouir individuellent et collectivement SES Filiere Bois E Construction vitrine Forst ca Habitants nt hommage conomie co loisirs brevets franchises effets induits P le G n ration future contribution attractivit Vie dans les arbres r gles formations organisation Activit s de 7 SYCOPARC HAUT PERCH S HA pb TUDE DE FAISABTEIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES RAPPORT FINAL SCH MA FONDEMENTS DRADTFEUARBIDEC Juin 2000 E BAEB E LE H L MSS Educ Nouvelle et E r E Zeg doux FINANCEMENTS e EN Eum an ei EE mi 1 CAN s PAGE 20 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 3 1 2 Gradation des am nagements dans les houppiers sch ma La r f rence des LieuX est Gradation simplifi e des quipements dans les arbres indiqu e ici pour rappeler que si l quipement s inscrit dans une Atelier d animation logique d exp rimentation innovation d veloppement le MO
193. ient d tre tudi es en se r f rant la bionique voir partie 2 Actuellement la seule investigation connue dans ce sens est tr s primaire Il s agit des grimpettes se fixant sur le mollet ou sur les chaussures N 12 sur la planche ci dessus point 3 5 1 et comportant un ergot d acier se plantant dans l corce et malheureusement dans le liber et donc blessant l arbre Imitation simpliste de l ongle des oiseaux techniquement de qualit bien inf rieure ce que propose la nature un simple pic vert de quelque centaines de grammes peut s accrocher avec ses 6 ongles alors que la grimpette propose un seul ergot pour un poids d Homme 400 fois plus lourd PAGE 89 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 5 4 2 Laboratoire mobile et gite D apr s D FAUSTINO et P MAZOYER C P t tin et PH Gr goire PAGE 90 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 Michael Kaufman constructeur charpen J Kaufman et Oskar Lg architectes Cellule en Bois Auto porteuse 50 m environ 14 000 Euros 5 heures de ni Tout comme la maison caravane d Olivier SOLWAY voir chapitre sur le Quartier conome les 2 prototypes ci dessus la maison valise a fonctionn a BERLIN et cette cellule en bo
194. ieu une proc dure quasiment identique pour les deux autorisations et qui font l objet du chapitre 3 de cette circulaire Chapitre III Instruction de l autorisation de cl tures ou d installation et de travaux divers Est soumis l autorisation tout projet quelle que soit la qualit du demandeur personne publique ou priv e physique ou morale PAGE 180 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 1 3 2 Extrait du dictionnaire permanent au sujet de cette autorisation Parcs d attraction aires de jeux et de sports Il s agit notamment de parcs publics de foires et d installations foraines tablis pour une dur e sup rieure 3 mois d hippodromes de terrains en plein air de stand de tirs de pistes cyclistes de pistes de planches roulettes de pistes de kartings etc pour autant que ces op rations ne comportent pas de constructions ou d ouvrages soumis permis de construire C urb art R 442 2 partiel Circ no 78 112 21 ao t 1978 S 22 2 1 a al 1er BO min quip no 78 36 bis Aires de jeux et de sport En ce qui les concerne on peut estimer que l autorisation n est n cessaire que dans le cas o elle exige la r alisation d un minimum de travaux d am nagement ou d quipement Circ no 78 112 21 ao t 1978 S 22 2 1 a al 2 Remarque un d cret du 10 ao t 1994 fixe les exigences de s curit relati
195. ieux de vie dans les arbres faites dans la partie 2 R flexions sur Constatations l ments ou r f rences pour l analyse Caract risation des processus concepts ou techniques utiliser Cons quences pour l quipement Effets et exploitations possibles au del de l quipement Fondements les plus anciens de l activit Le retour les sources de la Changements et empreintes remont e aux arbres Changements Empreintes APPN ducation nouvelle et ErE Gestion raisonn e des arbres D veloppement Durable G nuflexion exemple de Lucy Nous n avons plus le genou de Lucy Appr hension nous dans l arbre Pr hension Test du nouveau n Mais nous faisons toujours le test du Grasping Attestation arbre en nous nature La chute heureuse Civilisation volution de l occupation de l espace pour les loisirs Donn es sur leur d veloppement histoire et pratique Passage gestion milieu arbor animation Sommet de Rio et suivants Th orie sur cod veloppement Innovation Bionique Approche Psy Formation des animateurs Approche Psy motion d sir plaisir et actes gratifiants Polys mie de l arbre Domestication positive du houppier Utopie Novation Morpho physio cologie de l arbre Paradigme gestion du vivant Instrumentalisation nouveaux baudriers et habits techniques Am nagements de nouveaux lieux de vie Senti
196. ignalons quelques points particuliers ce type et la fonction de ces nouveaux produits d nomm s ici en attendant mieux randonn es arboricoles Le panneau au sol au d part de chaque randonn e devrait comporter plus que les seules informations utiles aux randonneurs arboricoles Plus informatif il devrait aussi r pondre la curiosit des promeneurs aspect communication Les panneaux situ s dans les arbres auront un traitement tr s particulier sur le plan technique et sur le plan du contenu Sur le plan technique a leur fixation ne devra pas blesser les arbres et doit permettre un d placement facile rotation des circuits changements relativement fr quents de certaines portions d itin raire a ils doivent tre r sistants au choc un arboricole peu marcher dessus par inadvertance a leur chute ventuelle accidentelle ne doit pas provoquer de blessure Ils doivent donc dans ce cas se comporter comme des feuilles qui tombent 29 Dans le cas o les randonn es seraient mises en place par le MO alors que le Quartier conome serait abandonn il est vident qu il faudrait cr er des randonn es initiatiques Cette premi re transfrontali re devait avoir lieu sur le Nord Pas de Calais Belgique en 2000 l ge moyen des enfants moins de 14 ans choisis par les collectivit s pour les animations et les tr s mauvaises conditions atmosph riques de juillet ont amen les Haut Perch s proposer un a
197. in Cat oe LS Y AE DN HAT 1 A Ke W 1 PA en RT FAI zi AN d env CN CU Mot X RAD ene Ay Geer T jg 1 NDS ROTEN V ENTITY UT CT re 5 z 7 Por je D roulement de Etude Main core m 25 MEES 6 le ere de l Eee Bere Pourquoi le faire 7 Les fidei du projet Bar We S O 1 e AVEC 0 1 le f Faire 2 valuation dle 2s EUS eur SeS Recadrage et proposition de conception sc nario de mise en uvre faisabilit principes Techniques ie 4 Comment le foire 1 2 C Coffre le f Faire vivre D Gratin de l penen e t Ka 7 e f 0 Te dessins pho S ed vg emas de l E Non reproduits qu en tant qu pour des r unions de trave 5 se rvent ici que d illustrations t por Ur ir pari y 9 d tude en in eck mae wf E E gt SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 RECADRAGE DU PROJET DU SENTIER LA CIT DES ARBRES 1 1 RAPPELS ET PRESENTATION i ccena U Bann HM B 1 2 SIX EVIDENCES IMPLIQUANT UN RECADRAGE RECENTRAGE e
198. instruite conform ment aux textes qui r gissent ces territoires par les services locaux de l tat responsables de leur application Toutefois le demandeur doit formuler sa demande en utilisant le formulaire pr vu par l article A 442 1 21 2 Commentaires Le tableau d ensemble ci dessus appelle certains commentaires 21 2 1 La liste dress e par arr t pr fectoral L article R 442 1 c rend obligatoire l autorisation d installations et de travaux divers dans les communes figurant sur une liste dress e cet effet par arr t pr fectoral a Crit res d inscription Cette liste est tablie selon une proc dure analogue celle employ e pour les cl tures Les crit res de l inscription tiennent dans la n cessit de surveiller la r alisation d installations et de travaux divers Il devient souhaitable de soumettre ces travaux autorisation lorsque par leur fr quence leur importance ou leur accumulation ils ont un effet sensible sur l environnement et le paysage urbain ou rural Ils tiennent aussi dans la qualit intrins que des paysages locaux sur lesquels il convient de veiller plus ou moins strictement selon les cas Ils tiennent enfin dans la n cessit de renforcer les pouvoirs de police des maires dans des affaires qui se r glementent difficilement Il est souhaitable de dresser cette liste apr s un examen rapide et g n ral de la situation qui doit tre fait avec les architectes consultants A la diff ren
199. int pr c dent exige beaucoup plus de travail d investigation que la simple approche habituelle des projets Il faut veiller se doter des moyens humains techniques financiers inhabituels m thodologie outils et technicit relatifs au DD la mesure des buts d clar s Les d penses suppl mentaires qui en d coulent pr parent les conomies du lendemain 6 2 2 Une programmation prenant en compte le D veloppement Durable 6 2 2 1 Principe 1 respecter la l galit d passer ses limites Le cadre l gal r glementaire et les habitudes de programmation doivent tre utilis s comme base pour le confort du travail Mais ils ne sont pas suffisants et peuvent m me amp tre scl rosants Ces r gles tablies avec de bonnes intentions concurrence loyale codification vocabulaire et missions des prestations pour viter les d rives et incompr hensions guide pour les ma tres d ouvrages et ma tres d oeuvre ont des effets pervers entente des concurrents ou respect formel sans investigation suffisante sur le fond s paration investissement fonctionnement Qui plus est la s paration juridique entre programmateur et concepteur entra ne une s paration technique et culturelle pr judiciable aux projets construits sur des valeurs et crit res mergents Tout cela justifie les propositions suivantes 6 2 2 2 Principe 2 l gitimit Le travail de programmation doit servir le projet et non des r gles formelles il faut donc
200. ion de ces produits les analyses de Roger CAILLOIS In Jeux et Sports La Pleiade PAGE 50 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 2 6 1 1 Premier th me Nature Vertige les d placements des animaux et de v g taux 3 2 6 1 1 1 Fil conducteur Tous les types de d placements d animaux et de v g taux servent de collection pour les r alisations de cette partie Cette collection est si riche qu elle permet de faire des choix en fonction des investissements disponibles et de programmer des rajouts et un renouvellement des attractions pour viter l rosion de l int r t port cette partie du quartier Donnons comme exemple a pour les animaux le saut de l cureuil l avanc e des chenilles les vols d oiseaux la plong e des rapaces le vol de l autour Le VOL DE L AUTOUR doit constituer l attraction d appel significative de l ensemble de ce quartier tout fait coh rente avec les activit s des autres quartiers pour les v g taux la dispersion des graines la chute des feuilles la mont e et descente de s ve les rencontres f condantes quand le pollen rejoint son carpelle etc Chaque attraction est constitu e a soit par une vocation dun des mouvements choisis par exemple le geai en regardant la beaut d un geai des ch nes et la sp cificit de son vol semblant lourd et incertain mais
201. ions d enrichissement du contenu du projet et sa capacit rendre compte du g nie du site sur lequel s installerait le futur quipement Les chapitres 5 et 6 de la partie 2 en ont propos une approche exploitable le relief principalement pour l axe arbres gr s les ruines pour l axe arbres Histoire Cette exploitation doit se faire dans la r alisation de certaines parties de l quipement et dans la mise sur pied d animations les int grant dans leur contenu Il faut sortir du r ve que procurent les images des m dias qui nous montrent les arbres des for ts tropicales ou quatoriales tr s hauts la v g tation luxuriante l l vation de quelques m tres ne suffit pas dans les Vosges provoquer l effet d exotisme recherch la frondaison tant peu fournie De facon g n rale sur les sites tudi s il n y a pas de groupes de grands arbres de diam tre sup rieur 80 cm et peu d arbres d passent les 25 m tres de hauteur exploitable La morphologie des arbres y est relativement simple pas de jeu de branches formant un houppier volumineux le tronc constitue le plus souvent un axe principal voire unique allant jusqu au sommet Les couronnes n offrent que peu de volume am nageable les plantations relativement denses ayant pas permis leur d veloppement Il faut donc affiner la d marche et coller au plus pr s des caract ristiques des diff rents sites des secteurs concern s Cette influence est
202. ipements 60 Le dossier de base de l ensemble de l installation comprenant notamment les notices de montage et les rapports de r ception des installations sur le site 70 Les documents exig s par le d cret du 10 ao t 1994 susvis justifiant la conformit aux exigences de s curit des quipements fabriqu s et install s sur l aire de jeux apr s le 1er janvier 1995 Art 4 Le nom ou la raison sociale et l adresse de l exploitant ou du gestionnaire de l aire de jeux doivent tre affich s de fa on visible lisible et ind l bile chaque entr e de l aire collective de jeux ou proximit de chaque quipement ou sur chaque quipement Art 5 Seront punis des peines d amende pr vues pour les contraventions de la 5e classe les exploitants ou gestionnaires d aires collectives de jeux 1o Qui ne seront pas en mesure de pr senter les documents pr vus l article 3 ci dessus 20 Ou qui n auront pas satisfait l obligation d affichage pr vue l article 4 ci dessus En cas de r cidive la peine d amende pr vue pour la r cidive des contraventions de 5e classe sera applicable Les personnes morales peuvent tre d clar es responsables dans les conditions pr vues l article 121 2 du code p nal des infractions d finies aux alin as pr c dents elles encourent la peine d amende selon les modalit s pr vues l article 131 41 du m me code PAGE 173 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE
203. ipements d aires collectives de jeux JO du 18 ao t 1994 Vu le code p nal notamment son article R 610 1 Vu le code des douanes notamment son article 38 Vu le code de la consommation notamment son article L 221 3 Vu la loi du 24 mai 1941 relative la normalisation ensemble le d cret no 84 74 du 26 janvier 1984 modifi par le d cret no 90 653 du 18 juillet 1990 par le d cret no 91 283 du 19 mars 1991 et par le d cret no 93 1235 du 15 novembre 1993 fixant le statut de la normalisation pris pour son application Vu l avis de la commission de la s curit des consommateurs en date du 2 d cembre 1992 Le Conseil d tat section des finances entendu D crete Art 1 est interdit de fabriquer d importer de d tenir en vue de la vente de mettre en vente de vendre de distribuer titre gratuit et de donner en location des quipements d aires collectives de jeux qui ne satisfont pas aux prescriptions du pr sent d cret Art 2 Pour l application du pr sent d cret les quipements d aires collectives de jeux s entendent des mat riels et ensemble de mat riels destin s tre utilis s par des enfants des fins de jeu quel que soit le lieu de leur implantation Ne sont toutefois pas soumis aux dispositions du pr sent d cret les quipements forains les quipements aquatiques et les quipements destin s par leurs caract ristiques un usage exclusivement familial Art 3 Les quipements d
204. ipes de s curit Personnes INT GRIT gt Environnement SOLUTION 1 DITE R SIDENTE SOLUTION 2 DITE NOMADE EXP DITION ITIN RAIRES DE RANDONN ES LA BASE DE CHAQUE QUARTIER ARBORICOLES R f r glementaire et normative Lois sur la protection de la nature charte R serve Biosph re dominante pour la protection des mesures volontaires du MO pour l int gration paysag re et la Idem ci contre arbres et de leur environnement limitation des impacts R f r glementaire et normative quipements de jeux et loisirs de plein air Deele physiques et sportives EX escalade ou sp l o R gle de s curit pour les lagueurs grimpeurs arboristes et pour les travaux acrobatiques Normes Europ ennes dominante pour la s curit des Normes Europ ennes et Eurocode 5 NF EN12572 ou EN 795 personnes actuellement classe A ancrage et Normes sur t l ph rique R SIDENTES elles sont fixes et int gr es dans l quipement Solutions techniques gardes corps filets de s curit rambardes passerelles plates formes chafaudages protection fixes des arbres et des milieux corce sols x Formation du public Basique simple bon sens Minimale indispensable Information basique peut tre donn e au moment de l accueil brochure si n cessaire NOMADES elles sont principalement port es par les visiteurs et sont constitu es de l Equipement de Protection Individuelle Pr quipement pour protection des arbres et
205. iques plac s historiquement en situation d inf riorit suivant les contextes femmes jeunes Il ne s agit pas de diluer les responsabilit s le commanditaire est et reste ma tre de ses choix et responsable de ses d cisions 6 2 2 7 Principe 7 Le temps et les moyens Un projet novateur l application des valeurs du d veloppement durable encore naissantes la d marche cr ative les agoras etc obligent plus d investigation et quelquefois aller contre courant Tout cela implique de disposer de plus de temps et de moyens que ceux qui sont n cessaires aux programmations classiques Cet investissement suppl mentaire court terme est rentabilis sur les moyen et long termes Remarque Ceci n exclut pas une d marche cr ative dans des situations de p nurie momentan e PAGE 186 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 3 R F RENCES EN CE QUI CONCERNE LA M CANIQUE DES 57 6 3 1 La r sistance m canique des arbres face au verglas Ruel Jean Claude 1997 Les dommages occasionn s par le verglas ne constituent pas un ph nom ne nouveau en Am rique du Nord En fait des temp tes d sastreuses de verglas frappent diff rentes parties de cette r gion chaque hiver Sisinni ef 1995 Ces temp tes occasionnent souvent des dommages importants en for t aux arbres du milieu urbain de m me qu aux structure
206. is d nomm e FRED de Kaufman and Co ci contre facilement transportable la moins ch re pour cette qualit actuellement peuvent correspondre aux solutions recherch es pour le laboratoire gite nomade La maison sur v rins cr e pour tre assembl e d autres l ments forme de puzzle l avantage de permettre des extensions avec p n tration possible dans l arbre mais comme tout prototype son co t actuellement ind termin atteindrait les 400 00 Francs avec les tudes Si le MO n a pas l intention d innover sur cet aspect il peut donc tout simplement utiliser les modules FRED et si les moyens financiers sont particuli rement limit s des chalets d montables du type des maisons d EH des ann es 44 45 relook s Quelles que soient les solutions choisies dans la mesure o le module labo gite est compris dans ce choix le gege eunti devra tre assur par 1 semi remorque et un tracteur forestier si le site est en pleine for t 3 m pour FRED PAGE 91 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 6 LES EXP DITIONS ITIN RAIRES DE RANDONN ES ARBORICOLES 3 6 1 Pr sentation Le mot EXP DITION est utilis Esp dition Les ra H 6 65 arboricoles ici pour qualifier l esprit g n ral qui sera donn aux randonn es I n m il vi c L s arbori
207. is dans les 3 premiers pi ges ce qui me fait dire que les batraciens sont partis pour retrouver de l humidit Cependant je pense effectivement que la disparition de la strate herbac e a certainement acc l r le processus d vaporation de l humidit Il ne faut pas oublier que l on se trouve dans une ch naie de densit moyenne et en bordure d une lisi re par cons quent la chaleur p n tre plus facilement Cela entra ne une vaporation plus forte aggrav e par le mangue de masse v g tale au sol En somme je crois que de toute fa on les Tritons seraient partis vers des lieux plus humides que l activit se fasse ou pas peut tre moins rapidement si elle n avait pas eu lieu Bien s r comme le pi tinement est provoqu par les pratiquants s il n y a plus de pratiquant il n y a plus de pi tinement Mais je ne crois pas que la solution se trouve dans une interdiction pure et simple de l activit M me si le pi tinement provoque la destruction d un biotope Les inventaires de la faune montrent bien l tendue des d g ts sur celle ci Mais je pense qu il vaut mieux trouver des solutions pour limiter les A ts de cette activit gui il faut le rappeler peut tre un tr s bon m dia de d couverte de l Environnement d apr s Des racines et des arbres Gallimard Jeunesse PAGE 161 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04
208. is des peines d amende pr vues pour les contraventions de la 5e classe a Ceux qui auront fabriqu import d tenu en vue de la vente mis en vente vendu distribu titre gratuit ou donn en location un quipement d aires collectives de jeux qui ne comporte pas l ensemble des mentions exig es par l article 4 ci dessus ou qui ne satisfait pas aux prescriptions de l article 6 ci dessus b Les responsables de la premi re mise sur le march d quipements d aires collectives de jeux qui ne sont pas en mesure de pr senter les documents justifiant l apposition de la mention conforme aux exigences de s curit dans les conditions pr vues l article 5 ci dessus En cas de r cidive la peine d amende pr vue pour la r cidive des contraventions de la 5e classe sera applicable Art 8 Le pr sent d cret entrera en vigueur le 1er janvier 1995 Annexe Exigences de s curit Dispositions communes tous les quipements a Les diff rentes parties des quipements et leurs raccords doivent pouvoir r sister aux contraintes auxquelles ils sont soumis lors de leur utilisation Les mat riaux employ s doivent avoir une dur e de vie tenant compte de la sp cificit des aires collectives de jeux en particulier des processus de fatigue de vieillissement de corrosion et d usure b Les surfaces de zones accessibles des quipements ne doivent comporter ni pointes ni ar tes saillantes ni bavures ou surfaces rugueuses susc
209. is tendre au niveau de la m canique du bois vivant au niveau des ancrages En plus des m tiers int ress s d j associ s lors de cette tude il faut s attacher les contributions des meilleures quipes de recherches ou sp cialistes pour am liorer les quipements r aliser ces ressources existent c t allemand et c t fran ais Un travail historique int grant l approche r gionale partir de l arbre est n cessaire pour nourrir la sc nographie et les lignes de force du projet 3 9 2 3 Plaisirs Que se soit pour la p dagogie le loisir le d veloppement personnel tout le projet est plac sous l angle du plaisir Si les souffrances les maladies les peines et les malheurs sont accompagn s d une cohorte de professionnels il n en est pas de m me du plaisir Quels m tiers lui sont spontan ment associ s Ceux qui traitent de censure ou de luxure Les seconds d ailleurs le plus souvent sur le cr neau restrictif et vulgaire s occupent plus de la mis re sexuelle que de l ros Les progr s de la biologie du cerveau de la psychologie de la p dagogie nouvelle et le travail des gens du spectacle seront d un grand secours pour lib rer les initiatives des concepteurs et les aider dans leur traduction pour le plus grand bonheur du public 68 Les aspects concernant les march s publics se r f rent la loi fran aise PAGE 116 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES
210. ites et des jeux 18 nature des contr les op rer sur place les exigences et les prescriptions de la r glementation le droit et les proc dures mises en uvre par le DGCCRF les accidents et les risques Un glossaire comporte enfin S notamment tous les textes utiles et des E BH r f rences bibliographiques a EI tenir compte c t allemand comme indiqu j E AN dans la partie 3 du rapport chapitre 2 12 1 af 1 des prescriptions d crites dans le document mu E Fac simil de la page de couverture ci contre Wisel Sur cord ds 1 NATURNAHE SPIELRAUME IN GE Dt UNFALLKASSE UKH KINDERTAGESSTAATTEN UNFALLKASSE Rhe p MAS I RHEINLAND PFALZ Ce document est mis in um L faszinatou extenso dans les annexes de 8 partie 3 il fait DU aussi r f rence page 5 aux normes EN nomm es ci dessus a Enfin de nombreux travaux sur un travail du particuliers AFIT SEATM relatifs aux parcours sur c ble seront utiles m me si bien que souvent plac sous le signe du d veloppement durable l aspect arbre quand il est pr sent y est mal trait 81 Le CD Rom peut tre command aupr s du Centre national de formation de documentation et coop ration internationale CNFDCI BP 2048 34024 Montpellier Cedex 1 t l phone 04 67 14 71 46 fax 04 67 14 71 28 82 les Guides de Savoir Faire r alis s par l Agence Fran aise d Ing nierie Touristique AFIT et le Service d tudes
211. l Architecture des V g taux J Bouchon P de Reffye and D Barth l my Eds Science Update INRA Editions Paris France pp 89 136 11 Caraglio Y Barth l my D 1997 Revue critique des termes relatifs la croissance et la ramification des tiges des v g taux vasculaires Zn Mod lisation et Simulation de l Architecture des V g taux J Bouchon P de Reffye and D Barth l my Eds Science Update INRA Editions Paris France pp 11 87 12 Nicolini E 1998 Architecture et gradients morphog n tiques chez de jeunes h tres Fagus sylvatica L Fagaceae en milieu forestier Canadian Journal of Botany 76 1232 1244 13 Puntieri J Raffaele E Martinez P Barth l my D Brion C 1999 Morphological and archiectural features of young Nothofagus pumilio Poepp et Endl Krasser Fagaceae plants Botanical Journal of the Linnean Society 130 4 395 410 PAGE 193 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 14 Raffaele E Puntieri J Martinez P Marino J Brion C Barth l my D 1998 Comparative morphology of annual shoots in seedlings of five Nofhofagus species from Argentinian Patagonia Comptes Rendus de l Academie des Sciences s rie III Sciences de la vie 321 305 311 15 Sabatier S Barth l my D Ducousso I Germain E 1998 Modalit s d allongement et morphologie des pousses annuelles
212. l organi sssri iie EE 97 eo 98 1 E 7 a rec PNE PPP n RID RR PRICE 99 E 1717 11777 OR mc 101 EE 103 mme 104 3 7 REMARQUES SUR LES SENTIERS AU SEIN DES ET ENTRE LES QUARTIENRSS ecce e eene eene eene eene eene eene eene eene eene ene seen ese en osea osea 105 SO SIGNAL RO Rat 106 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 KE MB 1011 1 Eu ti T 106 3 8 2 Localisation et caract ristiques du site Site fronti re Kaiser Wilhelm Stein 555555555 59 5 566659995 86 6666999998868666999999688886669999966 886666 M 107 3 8 3 Caract ristiques principales activit s Positionnement Emplois Investissements e ee ecce eene eee eee eee eee eee eee ettn saa a seas esee esses eese
213. la loi du 15 juillet 1975 relative l limination des d chets et la r cup ration des mat riaux R 442 3 Exemple affouillement du sol en vue de l limination des d chets constitution d une d charge de mat riaux st riles Articles 2 et 3 de la loi du 19 juillet 1976 relative aux installations class es pour la protection de l environnement R 442 3 Exemple d p t de vieux v hicules d sormais soumis autorisation conform ment au d cret no 72 438 du 27 mars 1972 pris pour l application de l article 5 de la loi du 19 d cembre 1917 modifi e relative aux tablissements dangereux insalubres ou incommodes Il appartient l autorit charg e d appliquer cette l gislation d appr cier si le d p t ou l abandon d un seul v hicule constitue une infraction constitution d une d charge de mat riaux nuisants Autorisation d affouillement et Code minier En application de l article 106 du Code minier et du d cret d application no 71 792 du 20 septembre 1971 la mise en exploitation des gisements de mat riaux carri res est soumise soit autorisation soit d claration si elle est dispens e de l autorisation Cette dispense concerne l ouverture des carri res ciel ouvert de moins de 000 m2 sur des terrains priv s ou de moins de 5 OOO m2 s il s agit d une exploitation exclusivement r serv e l ex cution de travaux publics et si les carri res ainsi d finies ci dessus sont plus de 0
214. le Massif vosgien pas de repr sentant impliqu PAGE 35 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 e e a e 2 2 VALUATION SECTEURS ET SITES EU GARD LA CIT DES ARBRES Cette valuation est d j orient e par un premier choix de sites l int rieur des deux secteurs concern s En effet d s le d but de l tude ont t rep r es les contraintes videntes de foncier de gestion domaniale et d occupations existantes notamment pour le Fleckenstein laissant peu de possibilit pour l implantation du nouvel quipement L analyse globale des secteurs pr vue dans le cahier des charges de l tude a donc t faite en tenant compte de ces sites encore disponibles inclus dans les secteurs 1 pour le Bremendell et 3 pour Fleckenstein Been AO Secteur Bremendell Ludwigswinkel Obersteinbach Secteur 1 Fleckenstein Hirschtal Nothweiler T pm SITUATION FONCIERE Un seul propri taire et gestionnaire c t allemand Nombreux propri taires gestionnaires et Un seul propri taire et gestionnaire c t Motivation des propri taires et gestionnaires op rateurs du c t fran ais allemand et c t fran ais francais ACCES STATIONNEMENT Acc s routier loign c t allemand si Acc s routier existant c t fran ais l interdiction de passage transfrontalier persiste Pas de parking forma
215. leur milieu Il n y a pas de probl mes particuliers m me lorsque les peuplements sont monotones pas assez diversifi s du point de vue essence ou ampleur des houppiers On peut r aliser un IRA dans de tels lieux pour les personnes d couvrant l activit la d couverte focalisant l int r t du n ophyte sur les aspects physiques et s curitaires ce dernier est moins sensible la qualit de l environnement nature ce stade nous ne pouvons que faire quelques recommandations sur les implantations Les randonn es arboricoles les plus faciles sont celles qui utilisent une d clivit Le d part de la randonn e se faisant du point le plus haut la progression d arbre en arbre par jets de corde ou pendule en est facilit e Le type de public int ress par tel ou tel type de randonn e dominante observation du milieu ou activit physique de plein air d terminera le choix du site Dans le sc nario A1 le Bremendell devrait tre un haut lieu de randonn es arboricoles avec bivouac pour l observation ce site pr sentant une plus grande richesse faunistique que le Fleckenstein La m thode pour d finir l implantation d un IRA emprunte en l adaptant celle qui pr vaut l implantation des sentiers de randonn es p destres et s en distingue notamment par la dur e du cycle de vie prendre en compte a ence qui concerne l emprunt il suffit d adapter ou rajouter certains crit res comme par exemple ne pas utiliser d arbre do
216. lis et peu de places de stationnement Facilit s d acc s routier et de stationnement Acc s plus difficile c t allemand parking c t fran ais loign de min 2 km INFRASTRUCTURES D ACCUEIL TOURISTIQUE C t fran ais point d accueil billetterie et r servation projet dans le P le des g n rations Pas de point d accueil billetterie existant futures ou projet gt solution pr voir sur place ou Sanitaires et vestiaires aussi pr voir douches partir de Fleckenstein et de Fischbach Peut tre globalis pour les 2 pays m me si une Pas de commodit s coop ration avec Fischbach est recommand e PAGE 36 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 RESTAURATION ET H BERGEMENT restaurations proches c t fran ais Points de restauration plus loign s c t Points de restauration loign s allemand up 2029 dn 1 camping plus loign mais acceptable Nombreuses formules dans les villages R SEAUX Pour les autres possibilit s c t allemand avoisinants et c t fran ais nombreuses formules dans les villages avoisinants Existants dans la proximit c t fran ais loign s c t allemand loign s c t s allemand et fran ais _ AUTRES PROJETS ET FONCTIONS Possibilit de d velopper le conc
217. lores et de la faune des for ts tropicales subtropicales ou quatoriales PAGE 163 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Q autres impacts dus dangers possibles a Dangers particuliers chutes d arbres d racin s branches de foudre Exceptionnellement balles et plombs perdus des chasseurs Notons en passant qu il vaut mieux ne pas absorber l eau qui d goutte des feuilles dans une for t situ e pr s de sources de pollution sous le vent b Irritations auditives bruit de vents violents dans les branches coassements des corbeaux ou des h rons hululements des hiboux peuvent causer un effroi nocif sur des jets psychologiquement fragilis s Les bruits des tron onneuses plus de 100 d cibels sont surtout nocifs pour le b cheron ils sont d sagr ables pour le promeneur c Effet angoissant pour certaines personnes redoutant l enfermement la for t peut causer quelque g ne voire quelque angoisse 4 3 5 4 4 Une partie sp cifique dans le cahier des charges pour l laboration du programme Le cahier des charges labor pour le lancement de l tude de programmation devrait donc comporter en plus des clauses habituelles des demandes d investigation sur les aspects suivants e connaissance de l arbre en tant que tel et en tant que territoire g om trie variable pour l Homme pour les faune et flore pour le mon
218. m d une carri re d j en exploitation PAGE 179 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Les articles 2 6 du d cret no 71 792 du 20 septembre 1971 fixent le r gime de la d claration Il en r sulte que les travaux d exploitation des gisements de mat riaux quelle que soit leur profondeur et leur superficie sont exempt s de l autorisation pr vue l article R 442 2 c du Code de l urbanisme Les travaux peuvent tre aussi soumis d claration m me s ils ont moins de deux m tres de profondeur et moins de 100 m2 de superficie L annexe II r capitule les combinaisons des deux codes Les dispositions du Code minier seront prochainement modifi es Enfin il convient de signaler l article 131 du Code minier qui oblige informer l ing nieur en chef des mines pour tout travail ou forage de plus de 10 m de profondeur Lorsqu un affouillement de plus de 10 m de profondeur est autoris au titre du Code de l urbanisme l ing nieur en chef des mines doit recevoir copie de la d cision Cette disposition permet de le tenir inform du fonctionnement des op rations de nature apporter des l ments d information g ologiques Article 3 du d cret no 63 1223 du 11 d cembre 1963 relatif aux installations nucl aires R 442 3 Travaux pr alables de terrassement li s l implantation d installations nucl aires de base qui peuvent
219. mais aussi son v cu vont d terminer la qualit de son enracinement et sa stabilit Compression Traction Cisaillement Flexion Les analyses phytosanitaires et les tests que l on peut effectuer actuellement avec des moyens financiers raisonnables permettent de d terminer les arbres qui sont exclure mais ne garantissent pas coup s r si tel ou tel arbre peut tre utilis comme support Le probl me est complexe r gler Le nombre de facteurs est important essence milieu age climat sant mode de culture structure v nement etc et les changements sont constants saisonniers m t o tat phyto sanitaire Le sovoir d lagueurs doux ayant d j plusieurs ann es de pratique reste donc le moyen le plus fiable et est utilis par les associations qui d veloppent les activit s de vie dans les elut arbres Certains transforment les arbres en poteau de cirque en haubanant le tronc Au moment chaque activit est de plus en plus soumise des r gles et normes aj furemurwt nnnele Bj be de soul vement cr forre horizontale au ba5s d fome hoizontale en haut europ ennes on ne peut se contenter de ces approches qui SES de prom pen um delate ras du Oe wenden des services mais qui ne construisent pas le r f rentiel n cessaire toute activit qui cherche Dossier Silva devenir aussi mature et s curis e que les autres 4 3 4 1 2 1 Les pistes deux types de travaux
220. mbelhof Partie 3 cha p 3 1 3 1 1 et 3 1 3 1 2 Rq n cessit d une solution pour l limination l am nagement de la d charge de Auberge du Gimbelhof qui se trouve proximit L quipement am nager devra 5 appuyer sur o point d information sur le nouveau parking voire proximit de Auberge du Gimbelhof o futur P le des g n rations futures situ environ 500m billetterie et la r servation Des sanitaires seront disponibles dans le PGF 650 m Les divers r seaux sont pr sents sur ces deux infrastructures PGF et Auberge Suivant fr quentation et dur e des animations pr voir nouveaux WC Examiner le Pb des douches en relation avec PGF ou ind pendantes Petite restauration future caf t ria du PGF et Aub du Gimbelhof avec espace ext rieur pique nique Vente d riv e pr voir sur place Restauration Auberge du Gimbelhof 400 couverts et future caf t ria du PGF Auberge du Gimbelhof H tel 2 toiles Camping du Fleckenstein principalement fr quent par un public r sidentiel D autres formules de restauration et d h bergement existent dans les villages environnants fran ais et allemands Pente orient e Sud Ouest Altitude entre 300m et 340m H traie partiellement h traie ch naie faible proportion de charme sujets sont en majorit g s de 80 100 ans et plus Voir description point 3 1 3 de la Partie 3 Un captage de source est situ sur cette m me parcelle n 7
221. mentation d humidit elle n est gu re sensible en pays sec et pour des tats hygrom triques de 25 35 elle semble n gligeable s il s agit de climat r gionalement humide 75 85 l abaissement de temp ratures est nul ou relativement faible en climat froid en hiver C est le climat r gional qui est en cause beaucoup plus que la for t Humidit venue du sol les fi vres intermittentes ne sont pas imputables la for t mais aux mar cages qui bordent certaines d entre elles 3 Allergies a Pollens et poils v g taux Certes en for t l asthmatique n a pas souffrir des allergies de la maison mais il est expos plusieurs causes d irritation On sait environ 12 des cas d allergies sont dus des pollens Mais il y a lieu d apporter des pr cisions qui minimisent le danger Les plus gros grains sont arr t s dans les fosses nasales qu ils irritent seuls les autres p n trent dans les bronches Et surtout ces pollens font apparaitre dans le s rum sanguin des anticorps et provoquent l apparition d histamine qui cause des spasmes et une augmentation de la perm abilit capillaire On a mis l hypoth se que les pollens contribuaient par captation l appauvrissement de l air en petits ions n gatifs 55 e hasard fait que de Georges Plaisance pionnier de la recherche sur le concept de sylvoth rapie portant sur les bienfaits de la for t pour l homme nous ne pr sentons ici que les aspects n gatifs de la fo
222. mment pour ce qui concerne les processus d usure et de vieillissement et les effets des variations climatiques Les mat riaux de remblai doivent tre appliqu s en couche suffisamment paisse pour en permettre une bonne r partition C Les mat riaux de rev tement de l aire de jeux doivent satisfaire aux conditions d hygi ne et de propret permettant d viter toute souillure ou contamination 4 Entretien et maintenance a Les exploitants ou gestionnaires doivent laborer un plan d entretien de l aire de jeux et un plan de maintenance des quipements qui y sont implant s et respecter ces plans Ces derniers doivent mentionner le nom ou la raison sociale du ou des organismes charg s de les ex cuter ainsi que la nature et la p riodicit des contr les effectuer b Les exploitants ou gestionnaires doivent organiser l inspection r guli re de l aire de jeux et de ses quipements pour en v rifier l tat et pour d terminer les actions de r paration et d entretien qui doivent tre entreprises La nature et la fr quence des inspections doivent tre fonction notamment des instructions du fabricant du degr de fr quentation de l aire de jeux et des conditions climatiques C L acc s aux quipements qui ne r pondent plus aux exigences de s curit l gales ou r glementaires doit tre interdit PAGE 174 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PAR
223. mprendre a les rep res a les am nagements d j implant s pour faciliter la progression Les rep res simples marques de couleur ou fils de couleur bio d gradables passer autour des branches indiquent les points d ancrage s rs En effet une analyse pr liminaire de la qualit phytosanitaire et m canique des arbres et des branches concern s permettra de signaler les endroits o les cordes de s curit des randonneurs arboricoles pourront tre fix es Le nombre de rep res indiquant le nombre de cordes possibles simultan ment dans la m me proximit Les am nagements seront s dentaires au moins pour une saison Ils peuvent consister en une pr installation d une sangle avec poulie permettant par exemple l accompagnateur guide arbre de prendre en relais les retardataires Ce pr quipement a l avantage de pouvoir tre mieux fini qu une installation faite sur le moment Ainsi sur le sch ma ci contre droite le cuir prot geant l arbre du frottement de la poulie n aurait pas t mis dans le cas d une installation faite au moment du passage des randonneurs 25 les Haut Perch s ont exp riment diff rents types de produits bois plastique etc Du PVC expans tr s solide et tr s l ger correspond bien cet usage mais pose des probl mes de recyclage on peut S orienter vers une signalisation dans l arbre base de s rigraphie sur soie ou toile avec une armature en osier rigidifiant le tout ces mat ria
224. n a construction actuellement pas de m tier sp cifique ni pour la construction ni pour la gestion de l animation et donc recours des corps de m tiers divers et constitution d quipe ayant peu d exp rience acquise dans un travail en commun pr alable a gestion complexit selon le degr de collaboration entre tous les intervenants et gestionnaires des sites d implantation choisis a les caract ristiques des animations plus particuli rement a le temps pass par les pratiquants quipements diff rents selon que l on passe 1 heure 4 heures 1 journ e 1 nuit un s jour dans les arbres besoins physiologiques diff rents confort renouvellement de l int r t a la diversit des centres d int r ts propos s sensibilisation sports culture ducation sant etc a les publics concern s jeunes seniors handicap s cat gories sociales diff rentes individuels familles groupes constitu s entreprises voyagistes etc Certains seuils de cette complexit peuvent tre d pass s par une mobilisation de ressources humaines Voir partie 5 de l tude d autres par les choix d am nagements objet de cette partie 4 de l tude et notamment son chapitre III La s paration entre les deux est faite ici pour la n cessit de l tude La r flexion sur l harmonisation possible entre les deux quelles ressources humaines pour quel quipement est int gr e dans la Partie 5 Ci dessous une illustration et un tableau simplif
225. n les tableaux ci dessous r sument les investigations faites ce propos ID Ce travail est enrichir avec les deux Parcs naturels tout au long du processus d ing nierie qui suivra Les personnes et institutions se sont impliqu es le plus souvent sur la base d une simple invitation participer une r union o recevoir le bureau d tude Cette invitation crite manait directement sauf exception des responsables des Parcs voir Partie 1 Main courante et ses annexes sur les r unions et les pr sences En quantit et qualit l apport des pr sents les documents et informations recueillis sont suffisants ce stade de l tude pour que puissent en tre tir es des conclusions fiables et op rationnelles Cependant des recommandations sont faites pour assurer par la suite d un meilleur quilibre des participations entre c t fran ais et c t allemand et entre les diff rents types acteurs concern s L expression doit tre prise dans les deux sens le MO doit 1 bien comprendre les r alit s de ces acteurs et 2 faire en sorte que ceux ci comprennent bien ce qu est le projet de Cit des arbres PAGE 29 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Acteurs et Projets Liens avec la Cit des arbres 1 CONTEXTE G N RAL Actions et projets concernant principalement le territoire Liens avec Cit des arbres Acteur
226. n compte globale de ses impacts une deuxi me m taphore inspiratrice de nouvelles investigations iii 162 ER LB LL MDI STE DEAD EC OT mrels TOMME 94 4 4 Cea asinus 163 43 5 44 Une partie sp cifique dans le cahier des charges pour l laboration du programme tee Edert BEAR REM ag 164 4 4 COMPL MENTS PROBL MES LES PLUS DIFFICILES EN PRENDRE EN COMPTE DANS CHAQUE QUARTIER POUR LA R USSITE DE LA CITE DESARBRES et 165 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 I OUNCE OU BODE 1 1 0115 10 4 0 165 4 Bu pomt de we delu Se OANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNW
227. n de faciliter la lecture le Ma tre d Ouvrage sera le plus souvent d sign par MO dans la suite du texte Propos e en conclusion de la partie 2 de ce rapport final PAGE 9 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 2 SIX VIDENCES IMPLIQUANT UN RECADRAGE RECENTRAGE Tableau synoptique de l id e la r alisation A 8 s A d 1 DE Cu des Ze Ta u v 67 x A VIDENCES dE t i i 4 HA 8 2 P RE OX UL I aa Cahier des charges 1 Contenu ambitieux principes et buts D TE SEH Forme inadapt e sentier TS H BRES bL Gw SE e GA E E AE QU AA Force Profondeur et 1 5 OR E Cp MJ 39 F condit de l id e tude de faisabilit Recadrage possible Partie 2 iT DI ARE i 46 55 AULA 32 4 l CT Type de boisement peu adapt p un TI m AI MRNA classique E 2 gt d 7 td m AE ERES LOWE A SEL BR E 3 me VN Ze b 295 CIT DES AR E xxxsuite tudes xxx contruction xxx mise L uS 2 d E Concurrence entre o pitons rocheux ruines D oos e 27 et arbres tude de faisabilit Eis Partie 3 valuation Concurrence avec SA EU
228. n pour un arbre de 20 m et de 27 cm de diam tre serait le triple de celle d un arbre de 20 cm de hauteur identique Ainsi un arbre pr sentant un rapport H D sup rieur 90 ou 100 serait particuli rement vuln rable Petty et Worrell 1981 Nyk nen ef al 1997 La croissance en diam tre tant nettement plus sensible la comp tition que celle en hauteur le sylviculteur peut influencer la r sistance des arbres au verglas la neige et au chablis par un programme d claircies adapt Toutefois les dommages peuvent tre importants si la temp te survient peu de temps apr s l claircie Belanger er a 1996 PAGE 188 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 ch ne blanc 115 rouge i sul x 58 Probabilit Diametre cmi Figure 2 Probabilit de dommages par le verglas selon le diam tre pour quelques esp ces dans le cas d une temp te particuli re aux tats Unis source Rebertus ef a 1997 Les faiblesses structurales expliquent souvent une proportion importante des dommages Lorsque l accumulation de verglas n est pas tr s importante les dommages se Concentrent sur des branches d fectueuses favorisant ainsi une forme d lagage naturel Un tel dommage n est habituellement pas ih fatal l arbre Sisinni er 1995 Toutefois
229. namom tres 101 Ceci apporterait au management qualit et environnemental Iso 9000 et 14000 une dimension s curit en harmonie avec les soucis de la nouvelle norme Iso s curit en cours d laboration 1 Tension gale au poids cas de l assurage ou auto assurage sur moulinette c est dire sur une corde verticale en deux brins coulissant sur une poulie fix e au sommet de l arbre PAGE 144 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Remarques a certes le surco t en investissement chaque dynamome tre 15 000 20 000 Fr HT est cons quent mais en plus de son int r t sur le plan de la s curit cette approche de contr le par dynamom tres a d autres avantages tr s importants a elle diminue les co ts de maintenance et facilite la gestion quotidienne des quipements a elle permet une meilleure protection des installations et des arbres car on peut facilement d tendre les ensembles ce qui les soulage Leur retour la tension idoine se fait sans nouvel essai sur c ble ou corde mais simplement en v rifiant sur ordinateur que la bonne valeur est atteinte Cette approche ajoute de la fiabilit aux r glages quotidiens et une capacit d intervention rapide en cas d intemp ries et de surprises m t orologiques coup de vent par exemple pour certains quipements types passerelles elle joue le r l
230. ndonn e balis s rejoignant la ruine du Wegelnburg Point de vue g n ral PAGE 76 A f SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 A A a n en em nem LA x P em A 7 ed 4 Ta elat 4 Teliealfalaelaeaf e am OND e 74 0 0 uat a i w WW a u Aa 4 u 00 i lel D IOSP el e quus Cuartier Biosphere RENDEZ VOUS pour LA VIE 2 1 3 Rencontre de V E RASE l EAU e WC Messager et de la e d du ARBRE LUMI RE 1 Ay temps MINEUR IND td DU CIEL PHOTOSYNTHES et ae ERC A l espace Le grand cycle du Carbone E ile f ARBRE tifi ERBRA 1 es scien 8 gnit en tour Arbre l envers dehors dedans dessus dessous petit et grand forme informe PAGE 77 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 4 5 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements Activit s Equipement d accueil de plein air de vulgarisation scientifique utilisant une sc nographie de grande efficacit et qualit dominantes Sensibilisation aux r les fondamentaux des arbres l
231. nnes Rappelons que la configuration du lieu peut aussi faire varier de facon significative ces valuations probl mes de la qualit du sol de l tat m canique des arbres L aspect transmission des donn es sera relativement simple r aliser avec un co t modeste en investissement lorsque la couverture par les r seaux de t l phonie mobile sera assur e PAGE 87 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 Le caract re de l quipement et le manque de notori t sur le plan commercial de la recherche scientifique en for ts temp r es ne permet pas d esp rer une rentabilisation financi re de cet quipement Les retours positifs sont esp rer et pr parer du c t des r sultats scientifique de la notori t de la communication Retour sur investissement Gite pr s de la station d observation avec cabinets de travail modestement quip s Autonomie en nergie lectrique avec appoint si n cessaire certaines p riode installation d clairage nocturne possible pi ges lumi re pour les insectes Constructions et mat riaux de construction prenant en compte en g n ral les impacts sur le site les risques de contamination de l air de l eau de pluie les risques de bruit lors des d placements ou des pr cipitations bruit sur m tal et vents sifflements sur le c bles par exemple fon
232. nom l indique la BlOsph re bienvenue dans son quartier a Ce Rendez vous cest aussi celui avec la BlOdiversit l oxyg ne ne suffit pas bien s r ce qu il ait lieu Dans le point ci dessous le sens de la mesure ce th me est abord Suivant la configuration du lieu finalement choisi le choix des arbres il pourrait tre trait sur le m me arbre que la photosynth se 3 4 6 1 3 ARBRE MESSAGER DU TEMPS ET DE L ESPACE avant l Homme et apr s le sens de la mesure Une partie de ce th me peut tre trait e dans le parcours des cabanes au Quartier du Bonheur voir ci dessus On peut le consid rer ici comme une option Cependant il n est pas accessoire Si son report tait d cid celui ci ne devrait tre que conjoncturel 3 4 6 1 3 1 Avant l homme Arbres les gr s Un de ses int r ts important pour le secteur c est que cet arbre peut tre la clef d entr e du traitement du rapport de l arbre avec les gr s comme exprim dans la Partie 2 au chapitre V Rappelons en simplement la conclusion Les gr s vosgiens c est donc le retour de la vie et de l arbre au d but du Secondaire c est parfois sa disparition locale et temporaire qui explique des niveaux plus grossiers Ce n est donc que justice quand la for t prot ge d sormais ces roches roses qui lui doivent en fin de compte aussi leur couleur Voltzia trias inf rieur Vosges Gr s JC GALL in Pal o cologie Paysages et environnements disparus
233. nstaller doit on les traverser sans les toucher Le chapitre III de cette partie de l tude posent aussi les principes de bases de la conception des quipements au travers de la description d un sc nario de r alisation de la Cit des arbres et donne des indications sur leurs cons quences financi res Le chapitre 4 aborde les probl mes de normes et de faisabilit et ouvrent des pistes pour des solutions techniques 14 Un des premiers parcs d attractions est n dans les arbres en m me temps que le chemin de fer 1848 Des milliers de personnes le fr quentaient et il a dur un si cle PAGE 24 1 3 2 2 2 La deuxi me partie de la ligne ditoriale la verticalit l l vation comme sens g n rique parait plus obscure si P Ces difices sont certes aussi des signes de pouvoir mais ils n ont pu s tablir que sur la base de l espoir partag d un monde meilleur SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 3 2 3 Pr sentation sch matique de la cit des arbres la cit ses 3 quartiers principaux Un nouvel koum ne La cit des arbres ite 5 a A chacune de 756 correspond un quartier m a cit des arbres uw w F 3idSDhat dimension biolo d veloppement durable Sonon TR EN BREF Les 3 dim
234. nt recevoir des ateliers comportant du mobilier p dagogique et permettant de faire passer quelques concepts de base sur l cologie tout en pratiquant la grimpe arbor e La vignette ci contre montre les composantes n cessaires la r alisation d un arbre atelier p dagogique une protection des apprentis quipement de Protection individuelle EPI une protection des arbres un arbre atelier sur un th me un signal visuel du contenu de l atelier du mat riel p dagogique dans l arbre signal sur les branches t moins du mat riel p dagogique au sol ou sur les plate formes du mat riel pour grimper en s curit du mat riel pour prot ger l arbre des filets ou plate formes lieu d change dans les houppiers les livrets animateur enseignant le carnet d apprentissage D D UU Les animations compl mentaires comme les contes pourraient au Fleckenstein se faire dans l arbre et non au sol comme sur la photographie ci contre Pour chaque atelier du Quartier de l conome un th me est choisi le r seau alimentaire pourrait quiper un de ces arbres Voir ci dessous description succincte PAGE 71 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 ATELIERS
235. nt d un projet de sylvoth rapie Cela ne signifie pas que son importance est moindre Mais un tel projet demande une importante investigation suppl mentaire si l on veut compl ter le travail de pionner d j r alis sur ce sujet par plusieurs auteurs et surtout par Georges Plaisance In For t et Sant pour un centre de cure sylvoth rapique ED DANGLES PAGE 169 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Au d part de notre aventure avec le ma tre d ouvrage le cahier des charges de l tude si mal nomm par habitude administrative Nous l avons consid r comme un cahier d ESPOIR Nous y avons vu r unis des dol ances pour combler des manques et le d sir de retrouver quelque peu sublim s tous ces contentements qui naissent de nos exp riences de compr hension et de rapprochement avec la Nature avec notre Nature Arriv s au terme de cette tude il s agit de changer de branche Ayant pris r solument jusqu ici la direction de l investigation cr atrice il faut maintenant se retourner faire face l organisation de l ouvrage Il faut choisir son but et se lancer avec d termination pour passer du domaine des possibilit s multiples celui d une r alit Nw X D et YET in MN 2 Pour illustrer ce passage d un st
236. nt le diam tre du tronc est inf rieur 50 60 cm selon les essences r aliser une analyse phytosanitaire et bio m canique des arbres concern s veiller plus particuli rement ce que le point d acc s aux sols avant de monter dans le premier arbre de l IRA soit situ sur un lieu o un tassement existe d ja bord de chemin voir aussi ci dessous chapitre 4 notamment le point concernant la s curit respect des arbres et de leurs habitants a en ce qui concerne la distinction on prendra en compte la n cessaire rotation dans l utilisation des sites pour viter une surexploitation et d t rioration de leur milieu le cycle de vie d un IRA ne d pendant pas des m mes crit res que celui des sentiers p destres Les lieux d implantation feront l objet d une signal tique particuli re n cessaire principalement aux encadrants et pratiquants prenant en compte p J g q p p p prariq p p les aspects a communication Ex panneau explicatif au sol au point de d part a techniques indications sur les emplacements des quipements pr install s signalisation des dangers des lieux d ancrage possibles et des passages dans les arbres description des figures de progression 8 utiliser environnementaux signalisation informative et ludique sur le milieu travers Voir chapitre 4 1 2 1 la distinction entre les activit s qui se pratiquent avec ou sans un quipement de Protection Individuelle EPI Il s
237. ntes en for t et toutes les classes d ge y sont repr sent es Sur la parcelle 8 H traie h traie ch naie h traie pineraie pineraie pineraie h traie futaie r sineuse m lang e pessi re Aspects paysagers faunistiques et floristiques Voir point 3 1 2 de la Partie 3 du Rapport final Une r serve d eau pour les incendies est pr sente la Maison Foresti re Attention particuli re sur E SE La parcelle n est balis e par aucun sentier et est tr s faiblement fr quent e PAGE 62 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Le Nord Est de la zone concern e et la parcelle 9 contigue toutes deux for ts r gionales destin es devenir r serve biologique int grale Voir point 2 3 2 2 de la partie 3 du Rapport Final Rappel celle ci est prolong e par un projet de r serve sur des parcelles contigues allemandes L objectif incompatible avec toute autre fonction que celle de protection Activit s favoris es les tudes scientifiques Activit s r glement es int r ts p dagogique et scientifique pour les groupes encadr s Activit s interdites exploitation foresti re infrastructures touristiques activit s sportives loisirs motoris s la Seule parcelle sur le secteur du Massif de Fleckenstein offrir des possibilit s de qui tude et de semi immersion dans des conditions de boisement int ress
238. nts de jeux peut para tre en contradiction avec les activit s dans les arbres sur deux points des normes EN 1176 et EN 1177 a Le rapport entre les hauteurs de chute et la surface d impact Types de sols selon les hauteurs de chute libre a La conception de l espace dit de chute libre Hauteur maximum des quipements grimper 4 3 2 1 Chute rapport entre hauteur de chute et surface d impact La surface d impact Hauteur de chute libre 4 00 m 3 00 N 7 apr s une ventuelle chute n est 2 00 m consid r e dans les Balustrade Main courante exemples de la norme min 0 85 m min 0 60 m 7 max 0 85 m que comme tant le 1 00 m sol repr sentations ci contre Dans Niveau z ro l arbre on peut Type de sol B ton Terrain naturel Gazon Dalles de Sable Sable atteind re des Pierre Terre battue Surface s curit Mignonette Mignonette Enrob synth tique hauteurs allant jusqu 6 7 fois la hauteur maximale repr sent e La solution pr conis e ici est du m me type que celle mise en oeuvre dans les structures du type PYRACORDO ci dessous attention les hauteurs des balustrades et mains courantes sont adapt es ici aux seuls enfants il faut revoir leur conception pour qu elles puissent prot ger aussi les adultes PAGE 136 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Le principe consiste
239. of Joyce Kilmer are calling us back for another visit ond de loisirs type Nouvelles Fronti res Aventures ou we can t disappoint them For all of you scheduled this event for a long weekend MANS autres mettrait au point des produits pour d couvrir les gear pira i cu anr n 1 1 plus belles for ts du monde La Cit des arbres recevrait ceux qui voudraient pr parer leur futur voyage dans les arbres par une initiation la randonn e arboricole Ce qui vaut pour le reste du monde vaut pour la proximit France Allemagne Europe cette chelle le concept de randonn es arboricoles bien rod pourrait faire l objet Tree Climbers International P O Box 5588 d une franchise tester Atlanta Ga 31107 5588 Phone 404 377 3150 61 Brevet d tat d ducateur Sportif PAGE 103 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 6 5 2 vocation FER LER ap T S 4 PAGE 104 3 7 REMARQUES SUR LES SENTIERS AU SEIN DES ET ENTRE LES QUARTIERS Les sentiers dans les arbres ne pourront pas relier totalement et de facon permanente les diff rents quartiers cette liaison continue est un objectif en termes de g n ration le temps de l arbre Des d placements dos d animal pieds ou bicyclette et VTT seront utilis s pour les chainons manquants Un r seau de sentiers doit se
240. oire est un parcours initiatique sur les rapports des Hommes et des Arbres chaque cabane perch e peut recevoir entre 1 et 12 visiteurs et traite d un th me la cabane de l artiste du menuisier du forestier de l enfant des amoureux des brigands du chasseur du naturaliste etc Chacun d eux tant mont ici pour dialoguer avec l arbre les cabanes racontent leur histoire PAGE 45 e SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 1 a A LE d r NS AT gt PAGE 46 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 SITE DU GIMBELHOF FRANCE Localisation g n rale Acc s et autres infrastructures Accueil Sanitaire Restauration H bergement Relief et exposition Peuplement forestier Aspects paysagers faunistiques et floristiques Attention particuli re sur Autres activit s et fonctions Point de vue g n ral Partie Est de la parcelle 7 de la For t R gionale France R gion Alsace Proximit imm diate de Auberge du Gimbelhof Bien desservi nouvelle aire de stationnement dans la boucle du CD 525 jouxtant le site et par le parking du Gimbelhof situ 300 350m mais attention d j satur qq fois Cf r serves sur parkings nouveau et Gi
241. oisir pose comme principe le respect de l arbre comme amp tre vivant la n cessit de pratiquer l activit en diminuant les impacts en vitant de le blesser en veillant ne pas g ner le milieu notamment en p riode de nidification voir en annexe chapitre VI code de d ontologie Le comportement est aussi important que la technique La pratique des premi res ann es a montr qu il fallait aller plus loin La r flexion sur la Cit des arbres permet de rassembler les travaux existants de proposer des solutions techniques et des pistes f condes pour approfondir cette d marche Voir chapitre suivant 4 1 3 La partie 5 gestion propose un ensemble de mesure pour professionnaliser cette activit sur la base de ces r gles PAGE 131 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 3 DEUXI ME T APE INNOVER EMPRUI ADAPTER LES TECHNIQUES DE DIFFERENTS METIERS Rappel Dans un deuxi me temps pistes exploratoires il faut donc proposer des modifications et compl ments issus soit d un panachage ou transfert de plusieurs techniques et normes existantes soit d innovations faire breveter valider certifier Chapitre 4 1 2 1 Constater donner des indications sur les l ments originaux du cahier des charges pour la d finition du programme de l quipement lever les incertitudes et apporter les pr cisions sur les premie
242. onise un quipement l ger Peut on am nager pour recevoir 12 personnes la fois ou plus dans les houppiers D s que le MO aura fix ses volont s il convient de revoir cet aspect avec les responsables c t allemand 4 2 4 3 Les bases d une nouvelle investigation pour prot ger les arbres L image de la page suivante est symbolique du probl me r soudre d un c t une biodiversit prot ger et d velopper repr sent e ici par le vieux ch ne et son lierre croqu par le Conseil g n ral du Bas Rhin et de l autre un quipement le projet d Olivier Solvay pour inviter des EX PRIMATES venir vivre dans l arbre sentir vivre l arbre et tous ses invit s vivre l Arbre d un c t de l autre comment les rassembler harmonieusement 88 Pour la partie fran aise notons que le POS de LEMBACH classe les secteurs en NDa ce qui permet la r alisation de l quipement tel qu il est con u 52 Citons comme exemple la situation du secteur du Quartier biosph re la limite des 500 m tres du Ch teau class monument historique implique que tous les travaux concernant tout arbre ou parcelle bois e soient soumis l avis de Architecte des B timents de France Loi 25 02 83 ce qui est normalement pris en compte dans le plan d am nagement du massif par l ONF Travaux pr vus en 2000 mais repouss du fait de la temp te de d cembre 99 PAGE 130 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER
243. ons DNA Testez la performance de votre connexion C Saint Cyr C Une affaire de go t C Vous n en avez vu TOTEM pour cette Cit des arbres que l on se plait voir grandir cheval sur la fronti re au pied du fleckenstein visiteurs curieux visites curieuses Lire le cahier sp cial consacr cette naissance prometteuse DNA cit des arbres signal serr au Cap Vert Born o au bord du chaos Abonnez vous en ligne aux DNA Personnalisez votre journal DNA Petit cran Edito Christiane Vettu East Sea questions autour de l immigration L emploi lagu chez Chrysler et Mitsubishi Tout LIRE Votre soir e t l les programmes Ww TF1 20h55 Florence Larrieu le juge est une femme FR2 20h55 Rastignac ou les Les questions sont encore ambitieux n 1 nombreuses propos du FR3 20h55 Ang le l ment restant s T l chargement de l image http actu dna fr icons td_top gif a Cd Internet 2 10131616 pr s de la source de MAIDENBRUNNEN imaginons celles des co ethnologues Partie 2 de l tude Imaginons maintenant le d but de la visite en quelques phrases Le regard impressionn par ces trois arbres enti rement en bois hauts de vingt m tres nous n avions pas vu que nous marchions d j sur un plancher constitu d une superbe marqueterie restituant gr ce ses entrelacs le jeu des racines et celui
244. ons utiles suivantes sont possibles d ouvrir le mousqueton du bas assurant sa s curit avant Attention AMONT SENS DU D PLACEMENT AVAL que le mousqueton du haut ait atteint sa destination et soit convenablement ferm LIGNE DE V ET ET Cependant ces syst mes peuvent tre utilis s en leur tat actuel Cette longe fait l objet d un travail personnel JLR pour un d p t de brevet L utilisation de ces informations ne peut se faire sans l accord de ce dernier 100 Situations que l on retrouve dans les arbres pr quip s pour les randonn es arboricoles par exemple PAGE 141 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 3 3 3 2 Table logique de la longe binaire Toute autre situation est soit interdite soit si elle n est pas imm diatement dangereuse autoris e pour permettre de revenir une situation normale La table logique ci apr s sch matise le fonctionnement de la longe binaire Les indications ci apr s Amont et Aval se d finissent par rapport au sens de progression sur la ligne de vie MOUSQUETON AMONT MOUSQUETON AVAL 2 2 ACTION DU SYSTEME ELECTRONIQUE LONGE BINAIRE ETAT POSITION ETAT POSITION POSITION QUI PEUVENT TRE PROVOQU ES PAR ERREUR a ER c m CORRECTIF APPORT PAR LE SYST ME LONGE BINAIRE Situations anormales mais pas FERME Ma
245. ont int gr s dans les chapitres ci dessous 7 Voir partie 3 chapitre 2 4 et les annexes correspondantes et chapitre 4 1 4 2 de la partie 2 Syst me de comptage classique avec cartes magn tiques et rotation d un levier emp chant ou permettant l entr e sur le promenoir Nous parlons des effets sur les gens qui ne sont pas au courant de l ant riorit de l id e du MO sur celles des promoteurs du projet FISCHBACH Voir partie 3 chapitre 2 2 3 1 3 compl mentarit ou concurrence PAGE 16 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 2 6 vidence 6 perspectives ouvertes par les investigations faites dans la Partie 2 mati re recadrage et approfondissement La palette des r alisations possibles est large et la force d attraction entre ses l ments leur coh rence est aussi importante que la s duction exerc e par l id e d une telle r alisation vis vis des partenaires et des diff rents publics futurs utilisateurs C est ce qui ressort en conclusion de l investigation r alis e dans la partie 2 Ceci enl ve toute inqui tude quant la possibilit de trouver des solutions pour lever les contraintes signal es dans le r sum ci dessus portant sur les 6 vidences Le tableau et le sch ma ci dessous mettent en relief cette f condit en r sumant les r sultats relatifs la r flexion g n rale et l enqu te sur les l
246. orit administrative qui prend la d cision avis conforme 22 Champ d application de l autorisation d installations et de travaux divers tenant son objet Ce qu on appelle installations et travaux divers recouvre un champ d application pr cis d fini par l article R 442 2 du Code de l urbanisme 5 Toute installation ou tout travail vis cet article devra donc faire l objet d une autorisation pr alable sauf dans certains cas pour lesquels l autorisation n est pas exig e car faisant l objet d j d une autre autorisation au titre d une r glementation ou d une l gislation diff rente 8 22 2 2 Le tableau d ensemble S 22 1 pr sente le champ d application de l autorisation d installations et de travaux divers vis l article R 442 Je vous rappelle en outre qu au titre du d cret no 77 1141 du 12 octobre 1977 pris pour l application de l article 2 de la loi no 76 629 du 10 juillet 1976 relative la protection de la nature annexe IT 8o du d cr les projets d installations et travaux divers sont dispens s d tude d impact 22 1 Tableau d ensemble no 4 Ce tableau est divis en deux parties le champ d application de l autorisation les cas dans lesquels l autorisation est remplac e ou absorb e par une autre autorisation Ne sont soumis autorisation que les installations et travaux divers donnant lieu une occupation ou une utilisation du sol d une dur e sup rieure trois mois PAGE
247. osantes et des probl mes de faisabilit de la Cit des arbres les autres sc narios n en sont que des d clinaisons ou adaptations PAGE 41 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 D TAIL D UN SC NARIO A1 LA CIT DES ARBRES Secteur en recherche Fischbach pour l exploitation scientifique Secteur de Bremendell Ludwigswinkel Obersteinbach Site du Gimbelhof Site de la Maison Forestiere Site fronti re Kaiser Wilhelm Stein Site 7595 0009 Site Bremmenteich 2 identifier Site 1 Site 2 Pointe du Site 3 Secteur Hirstchtal Nothweiler Fleckenstein Exploration des Chercheurs d Inconnu e s Labo nomade et ruche scientifique Quartier du Signal transfrontalier et Randonn es arboricoles Bonheur S hommage bois et innovation transfrontali res Si le concept est respect chaque partie peut fonctionner sans les autres ce qui permet de r aliser par tapes la Cit sans rosion de son contenu En effet dans les propositions ci dessous nous avons introduit dans chaque partie les g nes caract ristiques de la Cit Cela n est pas syst matiquement explicit pour viter d alourdir le rapport Les 2 planches suivantes transposent sur la carte les emplacements de diff rents quartiers plan de situation et donnent en quelques images l ambiance planche suivante qui peut tre obtenue en fais
248. p tes de verglas de la pluie sous le point de cong lation se solidifie au contact d une surface au point de cong lation ou en dessous Les accumulations de glace peuvent augmenter le poids des branches jusqu 30 fois Hauer ef al 1993 Selon Houer ef al 1993 les accumulations de glace se situent g n ralement entre des traces et 2 5 cm Des accumulations de 0 5 1 cm causeraient principalement des dommages au niveau des petites branches ou encore des branches de dimensions plus importantes qui seraient d fectueuses Entre 1 et 2 5 cm des bris importants seraient susceptibles de survenir Les arbres de plus petit diam tre auront davantage tendance plier alors que ceux de plus fort diam tre casseront davantage Ces accumulations demeurent inf rieures celles rapport es lors de la temp te de janvier dernier Compression Traction Cisaillement Flexion ES Figure 1 Illustration des diff rents types de contraintes Tir de Silva 1996 HOUR L accumulation de neige ou de verglas dans la cime d un arbre engendre des contraintes de 1 ei compression dans la tige de m me que des contraintes de flexion si la tige n est pas droite et verticale Petty et Worrell 1981 Figure 1 Bien que les contraintes en compression ne suffisent H utro treo delatrettesduchaiia g n ralement pas causer la rupture de l arbre des dommages peuvent survenir lorsque les contraintes en flexion exc dent
249. pales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements eeeeeee eee eee ee e e eee e eee eee eene eee e eese esas s asas stet e eese e eese eese ee ssaas 66 3 3 6 Contenu du RATUSE B We RR N og 67 GoCICFYGles Lais D 3 3 6 2 1 Croquis TreeHouse d Dx Bend ONE son arma He BHO uae Vai aita Ru UEM RUN DEMNM 66 UU Feed ev RO a UM Pru e em NM NN m 70 3363 vocation sur les lieux d animation ct d Wee 22 3 3 6 3 Aspect environnement un exemple d atelier p dagogique conception RE d 3 3 6 3 2 Aspect technique un exemple d atelier d apprentissage
250. pectant les normes existantes au minimum telles qu elles sont d finies dans la r glementation applicable en France et en Allemagne a aux diff rents stades de l ing nierie comment mettre en oeuvre des proc dures HQE y compris au niveau du chantier de construction 1 comment appliquer des d marches aboutissant une certification Iso 9000 et 14000 coh rente avec les engagements sur le D veloppement Durable C est dans un corpus allant de la coutume l ISO en passant par les normes nationales et les Eurocodes qu il faut chercher les r ponses aux questions pos es L investigation se limite ici indispensable 4 2 1 Rep rage des r f rentiels et adaptation La Cit des arbres ne peut tre mise dans une cat gorie d quipements d j existante Dans une premi re tape ce chapitre 4 1 2 il faut donc proc der par approximation en cherchant le r f rentiel le plus adapt la piste s re ce nouvel quipement et la pratique des nouvelles activit s qu il permet La formule r f rentiel le plus adapt signifie ici que les solutions retenues priori donnent les indications qui permettent de r soudre les probl mes principaux et sont en l tat actuel de la r glementation les plus commun ment admises par les organismes de contr le ou impos es par les administrations de tutelle On constatera avec une analyse plus fine que pourtant sur certains aspects ces r glementations ne sont pas adapt es
251. pendant pour l estimer si on se r f re l augmentation du nombre d insectes sur la zone secondaire la plus loign e du site de l activit NDLR c est dire 13 insectes et aux 6 insectes restant sur la zone primaire soit 19 individus au total pour estimer le taux de mortalit l ampleur des d g ts chez les invert br s est norme En effet ce faux est de 60 Si on rapproche le taux de destruction de la strate herbac e galement de 60 on devine qu insectes et strate herbac e sont tr s interd pendants D ailleurs sur les 6 insectes que j ai pi g s en fin d tude seul 2 individus ont t captur s sur la zone d frich e Mais le tout est de savoir si effectivement ces 19 individus sont les seuls rescap s 2 Et m me dans ce cas on ne peut pas dire gu il y a une quivalence de 1 pour 1 dans la disparition de la strate herbac e et de celle des insectes car il faut prendre en compte les morts naturels et la pr dation Toutefois il me para t vident que la masse herbac e et celle des insectes sont intimement li es Les batraciens La disparition de la masse herbac e conjugu e la chaleur a influenc le d part des batraciens vers des lieux plus humides J ai pos des pi ges hors de la zone d tude pour voir si des Tritons s y trouvaient Effectivement 4 individus se sont faits prendre Sur les 6 pi ges que j ai pos s 3 se trouvaient sur des endroits plus humides que les 3 autres Les 4 Tritons ont t pr
252. point suivant 4 1 3 4 Q de ancrage sur le support 2 a de la ligne de vie 3 entre 2 et 4 par commodit nous tendons ici la signification du terme ligne de vie aux cordes d assurage install es en moulinette dans certaines notices le libell ancrage inclut 1 2 et 3 la ligne de vie la fixation le support a de la liaison anti chute 4 entre 3 et 5 a de la pr hension du corps 5 de la personne par le baudrier harnais ou ceinture 4 3 3 1 Cr ation de lignes de vie vertes continues adapt es au v g tal d 1 Il est propos de transf rer par une adaptation avec am lioration les techniques utilis es pour les lignes de vie fixes servant aux entretiens d immeubles d habitation ou de b timents industriels A On ne peut pas par contre utiliser les lignes de vie des sp l os et des via ferrata B qui ne permettent pas une progression s curis e continue avec passage des obstacles sans manipulation de mousqueton Cette manipulation n cessaire la progression laisse possible une erreur source d accident voir proposition ci dessous chap 4 1 3 3 3 De m me le syst me adopt par Aventure Parc n est pas copier car il ajoute au d faut pr c dent le fait qu il fixe la ligne de vie sur l arbre comme les autres le font sur le rocher ou sur les b timents par des boulons ou quivalents qui blessent les arbres Il faut prendre aux premi res A le syst me de continuit et
253. pour emporter une d cision d achat et de d placement a fiables complets et renouvel s pour d passer le simple effet de curiosit le vaut le d tour du guide Michelin 2 On confond souvent objectif et but lorsque le niveau de la pr cision est admis de tous l important est donc de donner au d part le sens de la lecture dont acte PAGE 11 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 a que les produits p dagogiques r pondent aux exigences technico juridico administratives des administrations de tutelle aux besoins des enseignants et au plaisir des enfants tout en ne se transformant pas en doublon de produits de d couverte de la for t et des arbres d j existants 1 2 1 2 3 Les objectifs de l tude faisabilit d un passage coh rent des principes leur application Les objectifs de l tude consistent donc sur la base d un travail pr paratoire valuation des secteurs et des acteurs r flexions enqu tes mesurer les diff rents niveaux de faisabilit donnant aux MO les l ments qui lui permettront dans la palette des solutions possibles de choisir celles qui tenant compte de ses moyens tabliront un lien coh rent entre les principes annonc s et leur mise en forme Les simples rappels ci dessus montrent que les objectifs de l tude sont ambitieux Le titre de l tude se r f re pourtant quelque chose d
254. pour l activit dans des situations que l on retrouvera souvent dans la Cit des Arbres Ils permettent a d liminer la pr sence de la corde entre soi et l arbre source de g ne venant parasiter la qualit du contact avec l arbre a d viter d avoir remonter soi m me son syst me auto bloquant ou de se faire assurer par un moniteur 11 L 7 Il existe de nombreux autres mod les PAGE 140 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Avec ce type d appareil en cas de chute le syst me de blocage identique celui des ceintures de s curit pour automobilistes a un excellent temps de r ponse permettant de ne pas chuter de plus de 5O cm Ainsi la grimpeuse ou le grimpeur retrouve une libert s curis e Son initiative est au service de son activit dans l arbre sans souci de la technique d autant plus agr ablement que la fixation peut se faire dans le dos ou sur le c t Deux am liorations pour parfaire le syst me permettre des enroulements de 30 m tres et utiliser des mat riaux all geant les syst mes actuels Bien videmment des adaptations de baudriers peuvent tre n cessaires 1 pour viter des basculements intempestifs en cas de fixation sur le c t et 2 pour adapter les tailles pour enfants qui ne comportent pas actuellement de mod les avec fixation dans le dos ces derniers tant utilis
255. qu il sera construit La voiture officielle sera motoris e par le V6 607 Peugeot Sodemo On comprend tout le b n fice qui pourrait tre tir de ce travail notamment pour cr er des plate formes servant de lieu de vie dans les arbres ceci concerne tous les quartiers de la Cit ainsi que le laboratoire nomade et bien s r le signal transfrontalier 4 3 4 2 3 Une collaboration avec l universit avec la fili re bois Les propositions fermes de collaboration de la fili re bois et de l universit c t allemand sont des facteurs particuli rement importants pour la faisabilit du projet voir partie 3 chapitre 2 6 Les professeurs N Gopfert et V Kraay de l Universit de Kaiserslautern Facult ARUBI Fachbereich Architectur Raum und Umweltplanung Bau Ingenieurwesen qui ont particip la r union th matique relative la fili re bois du 07 03 00 ont propos la participation de leur Facult la r alisation d esquisses et de maquettes pour la construction d quipements de la Cit des arbres Un travail pourrait commencer d s cette ann e avec les tudiants Par ailleurs Monsieur Pohlmeyer directeur de la Division foresti re d Ahrweiler et Monsieur Strobel ing nieur architecte tous deux collaborateurs de HOLZ fonds pour la promotion du bois de production locale dans la construction se sont dits mobilisables pour aider l mergence du projet Nous avons d j signal que si du c t fran ais l investiga
256. que comme aire de d chargement des passagers de retournement des Poids Lourds et aux personnes mobilit r duite 2 aire stationnement projet e dans la derni re boucle du CD 525 environ 500m de la Maison foresti re environ 750m du site L acc s se fait pied le long de la Maison Foresti re du Fleckenstein perpendiculairement au CD Acc s et autres infrastructures L quipement am nager doit s appuyer sur le PGF pour les besoins d accueil du public information billetterie Accueil r servation Sanitaire Idem ci dessus pour l intendance sanitaires local technique pour le mat riel r seaux A venir sur place pour certains groupes avec un encadrement sp cifique et sur r servation on pourra manger et dormir au Quartier de l Econome Restauration H bergement Sinon pour les autres petite restauration au PGF Et pour le reste Idem Quartier du Bonheur avec un loignement suppl mentaire 800 m pied pour le Gimbelhof Pente orient e Nord Ouest le site se trouve tout autour d une clairi re assez grande pour que sa lisi re Relief et exposition EM P circulaire b n ficie d un bon ensoleillement H traie g e en cours de r g n ration le bas du versant d j enti rement r g n r passant la pin de en milieu de versant Pr sence de parquets m lang s de r sineux feuillus ou m lange r sineux feuillus d ge divers Toutes Peuplement forestier les essences pr se
257. qui tous se trouvent environ 2 km du site Acc s Envisager une possibilit de transport dos d animal Gnes mulet partir du futur parking du Fleckenstein ou par le c t allemand produit randonn e quartier biosph re probl me de gardiennage en cas de r alisation de l quipement Accueil Sanitaire restauration loign s le plus pr s Gimbelhof et Maison foresti re Plateau du Wegelnburg Altitude entre 501 et 570 m Ensemble diversifi d arbres aux houppiers particuli rement d velopp s par rapport aux divers sites visit s Voir carte peuplement Relief Peuplement forestier Aspects paysager faunistique et floristique Voir point 3 1 2 de la Partie 2 du rapport final C est un site principalement vou la promenade et la randonn e et la visite de la ruine du Ch teau A e o 2 4 1 r 5 EEN de Wegelnburg imm diatement limitrophe de la zone n 2043 inscrite au Biotopkartierung C est le seul site qui puisse tre retenu c t allemand sur l axe Ch teau de Fleckenstein Nothweiler dont l int r t consiste dans l ampleur particuli re plus importante que dans le reste du boisement du secteur des arbres pr sents Il offre des possibilit s int ressantes pour des activit s ne n cessitant que des interventions l g res L espace occup par les am nagements et les animations qui pourraient s y d velopper devra tenir compte des nombreux itin raires de promenade et de ra
258. r Chiffre d affaires CA Visite de l ext rieur gratuite Pour visiter l int rieur et acc der au sommet un choix de gratuit peut s envisager suivant sponsors mobilis s partenaire politique de communication En cas de paiement 200 000 F de CA Tarifs activit s Gratuit ou Tarif moyen 20 F par personne 1 permanent d avril octobre animateur pour animation sp cifique occasionnelle plus saisonniers pour WE f tes et t Nbre d emplois directs N est pas pris en compte dans cette hypoth se le travail mutualis avec les autres quartiers de la cit et avec le P le des g n rations futures PGF Investissement 5 MF ce co t peut tre fortement diminu si les professionnels du bois en font leur affaire Retour sur investiss Sans objet priori Type d am nagement Ext rieur monument arbres en bois Acc s par escaliers Passerelles en bois Sculptures et automates Surfaces et lin aires Surface n cessaire au sol 1800 m Lin aire am nag 60 m tres hypoth se de 3 arbres en bois couronne de 20 30 m tres PAGE 108 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 8 4 Contenu du Signal 3 8 4 1 En guise d inspiration illustration 3 exemples pris au sein des candidats au concours pour le bicentenaire de 1789 Comme le festival des jardins de Chaumont sur Loire peut tre source d e
259. r Kaiser Wilhem Stein 5 Animation part EX glacis du chateau Fleck 2 WK n a 6 Labo nomade scientifique non repr sent ici LES SENTIERS DANS LES ARBRES PAGE 44 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 2 QUARTIER DU BONHEUR PR S DU GIMBELHOF SITE 1 FRANCE 3 2 1 Pr sentation r sum e de la proposition 1 LE VOL DE L AUTOUR EN w SL e 3 LE Le entier des cabanes sch ma et texte uit le plancher des vaches pourle 4 perchoir aux oiseaux amp EN BREF Le quartier du Bonheur panouissement humain deux mots voquent les deux volets de ce quartier AUTOUR et CABANE L autour dont la pr sence trop rare est symbolique de la biodiversit prot ger Cet autour va procurer du plaisir en nous proposant son parcours a rien entre les troncs plus de 100 m tres de vol plan en silence copi sur sa facon de chasser Le vol de l autour constituera l attraction d appel d un possible v ritable aventure parc colo bas sur le mim tisme des d placements de personnages mythiques Robin des bois Tarzan Robinson et d animaux arboricoles cureuil chenille grenouille singe Le Sentier des cabanes pour lequel est propos e une ing nierie particuli re de type concours pour le festival des jardins de Chaumont sur L
260. r Logiquement si la bicyclette avait t mise contre l arbre certes elle aurait pu tre aval e mais elle n aurait pas d se retrouver cette hauteur A t elle t mise dans une fourche basse qui s est re soud e Cas assez rare chez un Douglas deux m tres du sol L artiste nous r v le par son image insolite un probl me celui du dE questionnement sur les cons quences de gestes apparemment banals dc Photo C Reale tat de Washington Les d couvertes sur le fonctionnement des arbres et les impacts de l activit PORC E humaine sur eux leur reconnaissance globale par les professionnels sont relativement r centes Au lieu de s informer correctement en faisant un travail de recherche et de mise niveau sur l tat des connaissances celui qui veut justifier malgr tout son intervention sur les arbres rassurera en se construisant un argumentaire la mesure de ses int r ts imm diats Malheureusement cette m thode ne peut que l amener un discours et des actes entach s de deux attitudes aux cons quences n fastes pour le milieu naturel et terme pour l Homme a une attitude anthropocentrique imp riale par rapport l arbre l Homme dominateur se permet tout du moment que son probl me imm diat est r solu apr s moi le d luge a une attitude anthropomorphique cr ant un amalgame simplificateur entre les processus l oeuvre chez l Homme et ceux qui le sont dans la Nature ci dessous
261. r t sur notre esp ce chapitre qui ne repr sente que quelques de son investigation s rieuse compl te passionnante et encore unique ce jour 12 Les pollens Les pollens de sapin d passent 100 microns ceux d pic a 70 100 microns ceux de pin 35 70 microns ceux de la plupart des feuillus 20 40 microns Les pollens agissent peut tre par leurs asp rit s et surtout par les immunoglobulines et les mastocystes qu ils contiennent Calendrier des pollens Sous climat vosgien aulne mars bouleau avril ch ne mai noisetier mars sapin mai juin Sous climat s quanien peuplier mars avril h tre mai platane avril mai pin mai juin Sous climat armoricain ch ne avril mai juillet h tre mai platane avril mai pin mai juin Sous climat aquitain ch ne avril mai aulne f vrier mars saule f vrier mars avril Sous climat rhodanien bouleau avril mai noisetier f vrier mars avril aulne f vrier mars saule avril peuplier mars avril Sous climat m diterran en cypr s f vrier mars avril platane mai juin juillet olivier mai juin juillet pin avril mai PAGE 195 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Une tude de J R Mallet montre que les pluies de soufre pollens de pins dans le SUD OUEST ne sont pas totalement inoffensives mais en fait
262. r te i i heitste il 1 Allgemeine sicher M Anforderungen und Pr fverfahren 7 R solution 85 C 136 01 de l Union Europ enne publi e au JOCE N C 136 04 06 85 80 A quelques exceptions pr s L Allemagne et la France ont demand quelques exceptions qui sont identifi es chaque fois dans l annexe Divergences de cette Norme EN 1176 1 et s et EN 1177 La lecture de ces annexes ne nous a pas sembl utile rapporter ici ces divergences pouvant facilement tre r solues dans le cas pr cis de la Cit des arbres EX probl mes des enfants de de trois ans ou encore fa on d acc der l entr e d un toboggan Enfin des recommandations allemandes sont faites dans la brochure signal e ci dessous En ce qui concerne la norme sur les ancrages pour SAE EN 12572 elle est en cours de validation en Allemagne PAGE 124 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Indice de la norme CONTENU EN 1176 1 Equipements d aires de jeux Partie 1 exigences de s curit et m thodes d essai g n rales EN 1176 2 quipements d aires de jeux Partie 2 exigences de s curit et m thodes d essai compl mentaires sp cifiques aux balan oires EN 1176 3 quipements d aires de jeux Partie 3 exigences de s curit et m thodes d essai compl mentaires sp cifiques aux toboggans EN 1176 4 quipements d aires de jeux Pa
263. r et tomber sur un visiteur ils peuvent passer dessous ou sur un autre pratiquant les parcours se situant les uns au dessus des autres Ces poulies faisant plus de 500 grammes on comprend le danger quelles peuvent repr senter si elles tombent de plus 8 m tres u 4 cours d une tyrolienne rien n emp che une personne de mettre ses doigts sur le c ble en aval de la m We ev e e H poulie ce qui peut provoquer en pleine vitesse crasement des doigts mq P P a el d 3 7 Les cordes servent aussi aux surveillants pour aller d bloquer et vacuer des clients coinc s Un autre type de cordage est utilis pour la constitution de filets permettant une progression verticale ou oblique sur quelques m tres 7 Se d placer dans les arbres une id e vieille comme le monde Extrait brochure Aventure Parc PAGE 119 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Le client g re lui m me son syst me de s curit quand il passe d un c ble l autre gr ce a une longe double accroch e au baudrier Celui ci doit fixer le mousqueton d une des longes sur le nouveau c ble avant de d faire le mousqueton de la longe qui assure sa liaison avec le c ble qu il souhaite quitter Le probl me est que la v rification de ceci a t faite sur place l on peut se t
264. rbre ou de la partie de l arbre concern e Le pr sent sous chapitre n aborde que l aspect normes des ancrages et des forces maximales qui peuvent leur tre appliqu es Les aspects protection contre les cons quences des ancrages sont regroup s dans le sous chapitre 4 3 5 Comme voqu ci dessus en l absence de normes sp cifiques l arbre dans ce domaine nous avons choisi pour r f rence la norme EN 12572 relative aux ancrages sur Structures Artificielles d Escalade SAE 103 Les avantages signal s dans cette remarques permettent de faire prendre conscience de l int r t du syst me ils sont significatifs du fait que le concept de ce syst me permet au MO de s engager dans une voie plus globale de contr le et automatisation des r gulations n cessaires une bonne tenue statique et dynamique de tous les quipements de la Cit des arbres Ceci est fort ambitieux dans l tat actuel du projet mais bien pens au d part il pourrait se faire par tapes 10 Il s agit d une simplification En fait plus on va vers l int rieur d un arbre moins il y a de cellules vivantes le cambium est la partie la plus vivante l aubier l est moins et le bois de c ur est inerte l exception de quelques r actions enzymatiques 1 On peut aussi se r f rer la norme sur les ancrages de s curit dans les b timents ou autres EN 795 classe A et aux travaux d j signal s de AFIT et du SEATM PAGE 145 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAI
265. re PAGE 128 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 2 4 1 2 Le stade du conventionnement pour de nouvelles activit s Lorsque l activit m amp me temporaire ou saisonni re se renouvelle fr quemment un conventionnement est n cessaire En plus des probl mes expos s ci dessus coexistence des activit s et responsabilit assurance se pose assez rapidement la question de la d finition du caract re lucratif ou pas de l activit arbor e dans ce cas actuellement en France l ONF proc de par conventionnement avec les associations de grimpe mais n a pas r solu au niveau national tous les aspects li s cette nouvelle utilisation d une partie du milieu forestier Il existe donc des disparit s selon les secteurs location des arbres ou facturation de l intervention de l agent forestier pour tablir l tat des lieux ou gratuit quelquefois associ e des exigences en termes de communication comme par exemple l obligation de citer l ONF comme partenaire des animations Enfin merge le probl me de l arbre et de son milieu jusqu o peut on l exploiter par la grimpe sans le faire d p rir doit on ne faire des animations que dans des lieux d j tr s fr quent s au sol tass sur des parties de la for t consid r es comme secondaires du point de vue de la biodiversit et de la protection nature aire
266. re n est pas fait fondamentalement pour supporter cabanes plate formes c bles tendus etc cependant d un point de vue m canique progression dans l espace port de sa propre masse enracinement dans certaines limites il r agit positivement aux contraintes d environnement par exemple lors de sa qu te de lumi re ou de sa r sistance aux vents habituels Pour ce faire il a en plus de sa croissance ininterrompue des possibilit s de d velopper des cellules sp cialis es agissant en contraction ou extension lui permettant de garder l quilibre malgr les contraintes notamment celles du vent variables et impr vues Imaginons des installations agissant comme un vent temp r se glissant dans les houppiers sans briser les branches les entourant sans les touffer et apr s son passage lib rant l arbre de toutes contraintes On devra donc favoriser a des syst mes qui n exercent leur pression que pendant les temps r els d activit mise en tension qu en pr sence de visiteurs ou pendant les animations dynamome tres coupl s des fixations motoris es chapitre 4 3 3 4 ci dessus a des syst mes qui favorisent les fixations sur pilotis permettant une proximit avec l arbre sans fusion et strangulation a des syst mes qui permettent l arbre de r agir qui permettent sa croissance et le mouvement de ses l ments qui ne fabriquent pas du bois mort A i MI n e ZK X i MOM TE pris ici dans
267. re permanent Ed L gislatives 2000 77 L tablissement au niveau europ en de r gles harmonis es de conception et de calcul des constructions dites Eurocodes a t engag sous l gide de la Commission des communaut s europ ennes apr s l adoption de la directive CEE 71 305 relative aux march s publics de travaux Ces Eurocodes sont publi s dans un premier temps comme pr normes europ enne ENV apr s une phase d exp rimentation ils deviendront des normes europ ennes ENT et par cons quent des normes allemandes et fran aises Cet ensemble de r gles s organise en neuf Eurocodes eux m mes subdivis s en parties L Eurocode 5 concerne les Constructions en bois PAGE 122 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Dans un deuxi me temps pistes exploratoires il faut donc proposer des modifications et compl ments issus soit d un panachage ou transfert de plusieurs techniques et normes existantes soit d innovations faire breveter valider certifier chapitre 4 1 3 Le tableau ci dessous r sume les r f rences et quelques cons quences selon que les activit s se pratiquent avec ou sans un quipement de Protection Individuelle EPI les r gles de s curit appliquer vont se baser sur des r f rentiels de Normes et r glementations diff rents ce qui n exclut pas leur possible combinaison Respect des princ
268. restant souple on comprendra que lon raterait la copie de ce vol si l on se contentait de r aliser une Tyrolienne classique les concepteurs auront coeur de restituer la qualit de la r alit et de ce que nous voquent ces vols Ainsi dans un lieu de loisirs classique deux tyroliennes ne se distingueraient que par leur longueur leur pente ou leur hauteur Dans la Cit des arbres en plus de ces diff rences habituelles elles seraient significatives des distinctions entre le vol du geai et celui du merle Une telle sc nographie r ussie permettra la pr paration d une sensibilisation l environnement vol du merle plus bas strate du dessous partant d une branche plut t basse et allant jusqu au sol tout en restant dans l ombre vol du geai beaucoup plus haut se d tachant de temps en temps sur le ciel lieux de pr dation diff rents etc L argumentation sur le choix du vol de l autour comme quipement motion correspondant le mieux la qualit sp cificit du boisement et l approche des probl mes cologiques est explicit e dans les parties pr c dentes 26 Tyrolienne corde ou c ble tendue entre 2 ancrages arbres rochers murs pr sentant une pente variable en fonction de la sensation recherch e quip e d une ou plusieurs roulettes laquelle est accroch e la personne passant du point le plus haut au point le plus bas Le nom de tyrolienne doit venir du cri que pousse en g n ral
269. rganisation des plantes Elaborer et diffuser des concepts et des m thodes g n riques de description et d analyse de l architecture et du d veloppement des plantes Identifier caract riser et quantifier les composantes intra et inter sp cifiques de la variabilit morphologique et architecturale des plantes Caract riser les relations entre l architecture et la structure interne des v g taux en vue d une approche fonctionnelle de leur d veloppement Th mes de recherche Les recherches en morphologie et en architecture v g tales s effectuent dans un souci de g n ralit Elles font ainsi appel une grande diversit de mod les d tude tant en termes d esp ces que de facteurs pris en compte Ces recherches peuvent tre regroup es en trois th mes principaux Morphologie architecture et d veloppement du v g tal Ce th me de recherche concerne l identification des caract res morphologiques et architecturaux fondamentaux des v g taux Pour chaque esp ce tudi e la variabilit endog ne de la s quence de d veloppement est caract ris e La variabilit du fonctionnement des m rist mes processus de croissance de ramification et de mortalit au cours de l ontogen se est analys e La comparaison du comportement de nombreuses esp ces permet de distinguer les traits qui sont sp cifiques de ceux qui sont communs l organisation de toute structure v g tale L ensemble de ces recherches permet de d finir un cadre
270. roissance etc On se servira pour cela de simulation et si possible des techniques dites de r alit augment e Un ou deux arbres seront habill s et appareill s en cons quence Des techniques d animation et de spectacles scientifiques de plein air mettront en vidence les messages que les appareils ne peuvent pas faire passer Les scientifiques viendront y faire des conf rences C est le quartier dont la fourchette des investissements risque d avoir la plus grande amplitude suivant les ambitions qui lui seront conf r es utilisation des moyens informatiques puissants ou pas par exemple Une autre difficult pour ce quartier est le probl me du gardiennage de la surveillance des installations PAGE 74 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 PAGE 75 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Site Wegelnburg Nothweiler ALLEMAGNE Proximit imm diate de la ruine du Ch teau de Wegelnburg sur une partie de la parcelle 7a2 Localisation g n rale Wegelnburg sur un triangle limit par des itin raires balis s tr s fr quent s dont la pointe est la ruine du ch teau et la base pr s de la fronti re L acc s se fait uniquement de facon p destre partir des divers acc s du secteur tudi
271. romper et dans cette situation de transition stressante pour certains on se retrouve d faire les deux mousquetons en m me temps ou autre risque d faire le mousqueton de s curit de la personne celui qui suit plusieurs personnes pouvant bouchonner cet endroit des brins d acier se d tachant d un c ble peuvent blesser les personnes surtout au niveau des tyroliennes a qui n cessitent de freiner avec les mains les gants propos s ne seront pas efficaces en cas de brins d acier bris s a et plus grave o la t te peut frotter le c ble et donc les yeux peuvent tre atteints par un brin d fectueux I A AN 1 A Ecreumon prot g a a l kb m Enfin un certain amateurisme ou un souci d conomie primant sur la s curit des pratiquants apparait dans la finition des 3 c bles Les noix de serrage ne sont pas recouvertes et donc peuvent griffer et c est du simple chatterton ou des bandes collantes toil es qui recouvrent les bouts des retours de c ble des gaines thermo r tractables ou des embouts idoines en m tal courant sur le march pourraient assurer proprement ce travail de finition 4 1 3 Sur la s curit des arbres les protections contre les strangulations ne sont pas syst matiques quand elles existent elles sont d risoires tuyau d adduction d eau tr s peu d arbres sont hauban s malgr les tensions importantes des c bles tendus entre eux
272. rotection d esp ces et d habitats pr sence d arbres remarquables etc 7 C est cette situation technico juridique qui nous a fait signaler ci dessus chapitre 3 3 2 commentaires sur les sc narios les probl mes urgents r gler pour obtenir au minimum un moratoire sur d ventuelles coupes et d cisions qui amputeraient le projet a n gocier avec la r gion Alsace qu un quartier de l conome puisse s implanter au Fleckenstein en limite de sa r serve naturelle mais l int rieur ce qui constituera un challenge exemplaire pour le d veloppement durable faire ce qui est le plus difficile ici une activit remplissant les besoins l conomie des pratiquants et qui veille son harmonie avec tous les l ments naturels voir description du quartier a adapter temps le plan d am nagement forestier pour que ne soit pas cr e une situation irr versible En effet d but 2001 sont pr vus des travaux de coupes qui risquent d enlever de beaux sp cimens biens utiles la Cit des arbres sur le Fleckenstein et aux animations sur le Bremendell dans le cadre du sc nario A1 tudi ici Les partenaires concern s se sont proclam s pr ts revoir cette question voir annexe partie 3 compte rendu de r union avec les forestiers mars 2000 jusqu o pourra t on aller dans l installation d un quartier Biosph re sur le c t allemand entre site fronti re Kaiser Wilhelm Stein et le site Wegelnbursg l tude pr c
273. rquer et quipements de site pr quip s gt Tout public mais avec un minimum de conditions physiques pr paration chauffement P gt Originalit dans le domaine du loisir de plein air soit physique soit observation nature randonn es faire toute seule ou en compl ment d autres types de gt activit s adapt es ou sp cifiques pour satisfaire certains handicaps physiques psychologiques psychiques ou sociaux Fr quentation th orique pour 150 jours d activit s 9000 J H Il est prudent de compter 10 fois moins et de viser une occupation de 4076 dans 5 ans gt soit 900 J H la premi re ann e n compl te 3600 J H l ann e n 5 gt 8 80 participants simultan s possibles sur les 10 itin raires ces nombres peuvent tre augment s gr ce des d calages des d parts CA 160 000 F l ann e n 720 000 F l ann e n 5 Tarif moyen produit classique mat riel fourni un animateur par groupe de 8 gt 120 F par pers pour une apr s midi 4 heures 200 francs la journ e hors repas Tarifs activit s Tarif produit haut de gamme th me un animateur grimpe plus intervenants suivant th me gt 400 francs par personne Autres produits faire avec les autres quartiers ou randonn es VTT ou questres Objectif fr quentation Capacit type 1 animateur d avril octobre plus saisonniers pour WE f tes et t autres intervenantes personnes ressources sur les th mes abord
274. rs passages oblig s vers la faisabilit tel est l objet de ce sous chapitre 4 3 1 Diversit des activit s dans les arbres emprunts de nombreux m tiers en tenir compte en amont de la r alisation 4 3 1 1 Diversit des produits possibles un exemple partir des extraits du catalogue Haut Perch s Haut perch s le plaisir de vivre dans les Mason nature geiergert 23 n e Gosselet e 59000 LILLE France N SIRET 396 437 848 00011 APE 917 T l France 33073 20 52 16 86 T l Bolgque 32 0 69 84 7 Atakar Haut Perch s 22 rue du Cobi ge F 59163 COND SUR LESCAUT Email contact QU oe LAQ e MCCOMPACNEMENT 14000 SEQUENCE D COUVREZ LE PLAISIR DETRE INVITES DANS LES ARBRES Au programme FRISSONS DANS LES FRONDAISONS PAGE 132 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 BIENVENUE DANS LES CIMES VERTES Produits de d couverte de la Cit des ARBRES Les produits pour particuliers et petits groupes occasionnels D couverte PLAISIR Ces trois produits du plus simple au plus riche sont adapt s en fonction des situations particularit s des pratiquants et des arbres L arbre accord Juste apr s une approche pr alable de l arbre et de son milieu sur un site pr alablement in
275. rtie 4 exigences de s curit et m thodes d essai compl mentaires sp cifiques aux t l ph riques EN1176 5 quipements d aires de jeux Partie 5 exigences de s curit et m thodes d essai compl mentaires sp cifiques aux man ges EN 1176 6 quipements d aires de jeux Partie 6 exigences de s curit et m thodes d essai compl mentaires sp cifiques aux quipements oscillants EN 1177 Rev tement de surfaces d aires de jeux absorbant l impact Ces normes permettent de fonder une pr somption de conformit d s lors qu il y a coincidence entre leurs sp cifications les risques couvrir voir d cret mis en annexe et ceux que les quipements sont susceptibles de pr senter dans un usage normal ou raisonnablement pr visible cet gard l attention est appel e sur les divergences qui compl tent la demande de la France ou de l Allemagne ces normes susvis es Les produits destin s l un ou l autre pays doivent donc int grer les exigences compl mentaires ainsi nonc es pour pouvoir pr tendre la pr somption de conformit D apr s Dictionnaire permanent ditions l gislatives modifi par JLR L annexe du pr sent rapport Voir chapitre VI donne in extenso les d crets frangais fixant les exigences et prescriptions de s curit relatives aux quipements d aires collectives de jeux N 94 699 du 10 ao t 1994 et N 96 1136 du 18 d cembre 1996 Trois normes fran aises ont
276. rtout dans les for ts denses a t consid r e comme d favorable aux an miques chlorotiques rachitiques vagotoniques d calcifi s canc reux tuberculeux en volution insuffisants graves r naux et h patiques spasmophiles goutteux rhumatisants Le docteur Pech r clamait pour fortifier certains organismes et augmenter leur vitalit une ionisation positive qu il trouvait hors for t sur terrain d couvert il estimait la for t mauvaise pour les vagotoniques mais ses th ories sont contest es et il y a lieu de nuancer ces jugements pessimistes Pour pallier l inconv nient de cette diminution de radiation sur le m tabolisme et la d calcification il semble qu une bonne solution consiste dans des s jours altern s en for t et hors for t 2 Froid humide On sait qu il est nuisible aux rhumatisants goutteux Bouillaud sujets aux rhumes et coryzas aux vagotoniques La d perdition de chaleur y est plus forte la vagotonie augment e Finck Laignel Lavastine les h moptysies favoris es Rheden Ce froid humide est r alis surtout en hiver dans les zones A et en certaines montagnes tr s arros es des zones D Il s accompagne de brouillards D o l utilit de choisir les for ts s ches pin plut t que les for ts humides sapin et surtout pour les promenades en for t choisir les jours ensoleill s et se v tir chaudement Toutefois il ne faut pas exag rer l influence propre de la for t sur ce facteur d aug
277. rtout pas envie d arr ter dont on imagine les grands yeux curieux d termin s dans leur progression main dans la main se rassurant l un l autre face d un tel blouissement pourrait servir de guide pour r ussir un nouvel COUMENE L emploi du mot coum ne ou oekoum ne n est pas un hasard d abord parce qu effectivement il signifie lieu habitable sur la Terre et ensuite parce que sa filiation avec l oecum nisme donne un sens de compl mentarit de rassemblement valeurs du d veloppement durable oppos es concurrence domination ce nouvel habitat fa on d tre que nous recherchons Ces symboles devraient tre sources d inspiration pour les concepteurs de la Cit des arbres L innovation n cessaire la faisabilit tenant compte du cahier des charges et du contexte consiste assurer la coh rence et la globalit du concept et de sa mise en uvre Le guide pour ce faire tant la ligne ditoriale l arbre comme fondement support et compagnon d activit s la verticalit l l vation comme sens g n rique a proposer des solutions techniques nouvelles et raisonn es indispensables au respect de l arbre consid r ici comme un tre vivant la protection de son milieu a l int gration des quipements dans le paysage 3 d finir une sc nographie particuli re des lieux et des animations permettant aux utilisateurs tout autant de se d couvrir avec plaisir qu
278. s 1 1 Ma tres d ouvrage de l tude de faisabilit PNR des Vosges du Nord Aspect transfrontalier Chartes constitutives actuelle Coop ration harmonisation Ensemble du Cahier des charges du projet et projet 2004 2014 D v Durable et Loi paysage SYCOPARC Implantation tudier sur les secteurs impos s Gestion devant tenir compte de la Fleckenstein Hirschtal Aspect transfrontalier contribution dominante ou pas Nothweiler et E des fonds publics en lic Ar nsemble du Cahier des charges du projet EE Naturpark Pf lzerwald Bremendell Ludwigswinkel 0 Durable investissement et fonctionnement Coop ration harmonisation gt Mise en uvre des mesures du Obersteinbach Respect de l Ordennance di Land Rheinland Pfalz ERE R serve de biosph re 1 2 Propri taires et gestionnaires Directions r gionales de l ONF Plans de gestion des massifs Divisions de Bitche et concern s de Wissembourg R Code Rural et Forestier Recommandations relatives la localisation Bezieksregierung Rheinhesse Pfalz Forstdirektion Forstamt Sch nau R gion Alsace Loi foresti re du Land Plans de gestion des massifs ie T Recommandations relatives la localisation et la conception Voir ci dessous fonctions concern s sp cifiques de l quipement V rification synergie avec diff rents olitiques r gionales Des modifications mineures ce dO ME f enu T gs Autorisation
279. s bilan et perspectives Revue Foresti re Fran aise 47 n sp 71 96 4 Barth l my D Sabatier S Pascal O 1997 Le d veloppement architectural du noyer commun Juglans nigra L Juglandaceae For t Entreprise 115 40 47 5 Barth l my D Grosfeld J Bouroulet Hallard F Ducatillion C 1999 Chapter 2 Biologie croissance et d veloppement In Cypr s Guide pratique E Teissier du Cros Ed Studuio Leonardo Florence Italie 26 33 6 Caraglio Y 1996 Le d veloppement architectural du merisier For t Entreprise 107 72 80 7 Durand M 1997 Architecture of two dense moist evergreen species of the Western Ghats South India Knema attenuata J HK A Thw Warb Myristicaceae and Vateria indica L Dipterocarpaceae and their growth strategies Pondy Papers in Ecology Institut fran ais de Pondich ry Inde 3 39 p 8 Nicolini E 1996 D veloppement architectural et installations de la fourche chez le h tre europ en Fagus sylvatica L For t Entreprise 110 37 46 9 Grosfeld J Barth l my D Brion C 1999 Architectural variations of Araucaria araucana Molina K Koch Araucariaceae in its natural habitat Zn The Evolution of Plant Architecture M H Kurmann and A R Hrmsley Eds Royal Botanic Gardens Kew sous presse 10 Barth l my D Caraglio Y Costes E 1997 Architecture gradients morphog n tiques et ge physiologique chez les v g taux In Mod lisation et Simulation de
280. s remis en vignette ici donne une ambiance de vulgarisation scientifique mais quoi sert il de mettre dans l arbre des objets qui pourraient plus facilement tre expos s au sol L vocation du desinateur est faible sur cet aspect En effet il n a pas mis en vidence que le fait d tre plac dans des conditions inhabituelles ouvre l esprit si la s curit est assur e si on n est pas mobilis par la peur d un danger Si l on marchait sur ce filet comme par terre il n y aurait aucun int r t situer cette exposition ce lieu en hauteur faire une copie dans l arbre de ce qui se fait au sol n aurait pas d int r t Cette surface d accueil doit obliger les visiteurs avoir toujours les deux pieds et les deux mains n cessairement mobilis s pour leur progression et leur confort PAGE 167 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Il faut garder au filet une relative instabilit et pr voir suffisamment de branches ou ersatz de branches pour se raccrocher se reposer Le bip de que nous sommes devenus ne doit pas tre l aise ici sur ses seules deux jambes toute la sc nographie doit obliger le corps vivre dans des positions diff rentes le message d livr Le fait que le dessinateur en r alisant ce dessin n est pas enti rement entendu compris le message de ce dossier prouve bien la n cessaire
281. s Nombre d emplois directs En th orie avec 10 itin raires dont 5 pr vus pour une journ e en pleine saison se sont 7 8 animateurs guides arbres qui devraient tre mobilis s Possibilit d un 2 me emploi saisonnier fixe apr s la 3 me ann e Les aspects gestion r servation communications ne sont pas pris en compte ici Hors tudes impacts et rep rage pr paration dans les arbres lagage de s curit ou ouverture de l itin raire indication prix journ e 2000 F HT pour 6 heures dans l arbre Pour les 10 itin raires Signalisation minimale 200 000 F Am nagement pr quipement 180 000 F gt Sac individuel avec n cessaire randonn e arboricole 3 versions Primitif 800 F Sportif 2200 F Plaisir confort 5000 F Chacun avec une variante observation nature nombre au minimum 8 maximum 80 donc pour la formule Sportif entre 17 600 F et 176 F Investissement Non pr vu pour le premier investissement les r sultats doivent amp tre investis dans l entretien les rotations les tudes de suivi des impacts Selon la Retour sur investissement P Ge ce TORT RAT notori t donn e l ensemble CITE PGF recherche opportune de m c ne pour investissement des itin raires Vieux Campeur D cathlon Am nagement l ger attention rotation annuelle ou bisannuelle des emplacements 1Oitin raires dans le houppier des arbres nombre d itin raires permettant une commercialisation efficace
282. s de distribution d lectricit Sisinni ef 1995 Hauer ef al 1993 Rebertus ef a 1997 Belanger ef 1996 L importance des pr cipitations de verglas du d but de janvier de m amp me que la dur e sur laquelle elles se sont poursuivies sont toutefois sans commune mesure avec les tudes pr cit es de sorte que l impact sur les arbres et le r seau lectrique n est en aucun point comparable Les dommages caus s par le verglas varient en fonction d un grand nombre de facteurs agissant en interaction complexe Les tudes de bases sur les aspects m caniques du verglas sont plut t rares Toutefois plusieurs informations peuvent tre obtenues partir d tudes sur les dommages par le vent ou la neige Nyk nen ef 1997 Le pr sent texte aborde ici les principaux l ments qui ont pu tre mis en vidence la suite d un survol rapide de la litt rature L importance des dommages occasionn s par la neige et ventuellement par le verglas d pend de l importance des pr cipitations de leur accumulation sur l arbre de la r sistance m canique de l arbre et des pratiques sylvicoles L accumulation variera selon la structure du peuplement et l architecture des cimes La r sistance m canique pour sa part sera fonction de la r sistance des branches du tronc et du syst me racinaire Enfin le choix des essences et les pratiques d claircie pourront aussi influencer le niveau de dommages Nyk nen ef al 1997 Durant les tem
283. s des bulles On a accus sans preuve les moisissures naissant sur les d bris organiques en d composition en particulier dans les for ts inondables Des dermatoses d origine foresti re ont t signal es par Longin Dubreilh Drapier Schulmann D touillon B Duperrat Ce sont les b cherons plus que les promeneurs qui en souffrent ecz ma des b cherons appel e gale du bois oed me de la face parfois aussi les chasseurs C est seulement pour le travail du bois en scierie ou menuiserie mais surtout avec les bois exotiques qu on a signal des ad nocarcinomes de l ethmoide la maladie de Hodgkin L corce de ch ne Spillman le bois de ch ne Touraine Lagrange ont t incrimin s Mais il s agit de cas peu fr quents Le contact de sumac le lierre ont t a t on dit cause de dermatoses c Piq res Les piq res par pines de ronces arbustes pineux glantiers gratte cul prunelliers robiniers etc sont parfois infect es par les oiseaux et peuvent donner lieu des complications granulomes panaris Des dermites sont dues aux poils irritants des chenilles processionnaires du ch amp ne du pin du m l ze soit par contact soit par des poils entrain s par le vent agissant par la cantharidine l acide formique On notera que la simple promenade sous bois ne semble pas causer de telles dermites Les moustiques des for ts sur sol argileux sont d sagr ables mais ce ne sont pas les vecte
284. s en France que si parmi les encadrants il y a un BEES option escalade ou sp l o Toute autre configuration demandera une validation priori pour ne pas risquer de mettre en p ril la pr paration d une saison d ouverture Cependant les formations actuelles sont inop rantes sur deux plans a du point de vue s curit aucune connaissance des arbres n est exig e pour l obtention de ce dipl me a du point de vue du contenu des animations les l ments prouvant la f condit de cette activit d velopp s dans cette tude ne font pas l objet dune formation leurs composantes sont parpill es dans diverses formations Il conviendra donc de se mettre au minimum en conformit avec les exigences d une administration peu perspicace en la mati re et de compl ter la formation des encadrants gr ce des modules sp cifiques voir proposition chapitre IV de cette partie 4 pour la s curit et partie 5 pour le contenu global 3 6 5 1 4 Une perspective un Centre de tourisme de la randonn e arboricole Si les 10 LR A taient r alis s la Cit des arbres Tree Climbers International pourrait valoriser le fait d tre le premier et plus Fall 1997 Expedition important lieux de randonn es de ce type pour devenir Joyce Kilmer Memorial Forest un v ritable Centre du tourisme de randonn es Robbinsville North Carolina arboricoles October 23 26 1997 Ce centre en liaison avec des organisateurs ou vendeurs The big trees
285. s handicaps physiques psychologiques psychiques ou sociaux Objectif fr quentation 3000 Journ es personne an dont 1000 avec une nuit e an apr s deux ans de fonctionnement et si le quartier est r alis en entier Capacit type 24 participants jour simultan s possible 60 pour les journ es d couvertes sans repas sans h bergement I mtd MCI GRON m unb AME UN LLLA LUE a Ke AM CUM a Tarif moyen 300 F par pers pour une journ e 7 heures d activit s avec repas suivant formule 50 150 550 F Journ e nuit repas non scolaire Tarifs Activit s Produits haut de gamme pour entreprises 20 000 F journ e pour 20 personnes d veloppement personnel Autres produits faire avec les autres quartiers 3 permanents d avril octobre extra conteurs artistes plus saisonniers pour WE f tes et t et travail de nuit Le Ne sont pas pris en compte dans cette hypoth se Nbre d emplois directs le travail mutualis avec les autres quartiers de la Cit et avec le Pole des g n rations futures et notamment les aspects gardiennages qui seront fonction de choix plus globaux de gestion de l ensemble du site 1 5 MF version nomade avec h bergement base de tentes 3 MF pour un quipement int grant des innovations en mati re de vie dans les arbres et de Investissement la cr ation d un mobilier sp cifique tout ceci hors fonciers et tudes compl mentaires D
286. sa trace doit sestomper sur le dessin pour un pied et une main il ne reste plus que les contours Logo revu JLR pour illustrer propos sur cit des arbres GS Il suffit de marcher sur le sol quatre Association Cousin des bois ios 2 TW a pattes pour se rendre compte certes des difficult s mais aussi du plaisir qui na t de cette position donnant envie de bondir de retrouver une belle agilit Le rire que provoque le spectacle de cette fa on de progresser n est pas tranger aux rappels aux r veils de sensations primitives Donc quadrup de dans les arbres oui et civilis car il s agit de diminuer le plus possible nos impacts pendant ces randonn es voir chapitre 4 1 2 4 57 Il ne s agit pas ici d une critique inamicale vis vis de cette association mais tout simplement d un souci de recherche visant am liorer la ma trise de l activit nous ne donnons pas de le ons impertinentes nous essayons de poser des questions pertinentes 8 La m me remarque dominante ici dans les randonn es la progression d placement pr vaut sur les autres aspects observations repos etc vaut pour les autres quartiers elle sera rappel e avec insistance au sujet de la faisabilit du Quartier Biosph re chapitre 4 4 1 2 PAGE 96 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 6 5 1 2 Un
287. son foresti re possibilit s d utiliser des mulets Marche pied et portage dos pour les personnes Acc s v hicule tout terrain pour s curit incendie urgence Autres fonctions r parties sur ou entre les arbres d j quip s et si n cessaire sur qq arbres suppl mentaires 8 arbres quip s 1 arbre jeux du type parcs et jardins 3 arbres technique de la vie dans les arbres 4 arbres p dagogie environnement arbor e Filets passerelles mini t l ph riques reliant les diff rents lieux PAGE 65 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 3 5 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements Activit s Equipement d accueil de plein air avec h bergement semi couvert proposant des activit s dans les arbres pour des groupes constitu s dominantes Apprentissage du plaisir de vivre dans les arbres dans le respect de l environnement Groupes scolaires et universitaires Comit d entreprises Groupes d amis profession lib rales naturalistes d veloppement personnel e Stage d initiation formation Positionnement Journ e et WE th me restaurant dans les arbres nuits dans les arbres observations etc produits coupl s avec les autres quartiers activit s adapt es ou sp cifiques pour satisfaire certain
288. son sens le plus commun ment restreint car si l on s en tenait l origine du mot cette remarque n aurait pas de sens l cologie est en fait la science qui permettant de conna tre le fonctionnement de la maison Terre devrait tre celle qui guide l conomie qui elle a charge de bien g rer nomie les bonnes r gles normes cette m me maison co o kos PAGE 156 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 113 4 3 5 4 propos de la pr sence humaine dans les arbres et de la diminution de ses impacts En dehors des impacts vus ci dessus propos des quipements la pr sence humaine dans les arbres apporte son cort ge de impacts n gatifs directs des pi tinements et d placements a sur l arbre chapitre 4 3 5 4 1 ci dessous a sur la faune et la flore de son milieu chapitre 4 3 5 4 2 ci dessous a autres pollutions moins syst matiques dues aux comportements int gr es au sein des sous chapitres ci dessous En retour il ne faut pas oublier les impacts n gatifs de l arbre et de son milieu sur les tres humains chapitre 4 3 5 4 3 ci dessous Nous proposons d inclure dans le cahier des charges de l tude de d finition programmation un chapitre sp cifique la pr vention de ces impacts chapitre 4 3 5 4 3 ci dessous 4 3 5 4 1 Impacts sur l arbre de la grimpe et des d placements dans les arbres 4 3 5 4
289. sonnes et devront tre plus larges comme sur la repr sentation de droite Dans le cas du pare chute la surface d impact tend redevenir la surface de circulation la hauteur de chute libre redevient nulle sauf prendre en compte la grandeur de la personne quand un basculement est encore possible cas d un pare chute lat ral non tendu PAGE 137 6 Laissons de c t les probl mes de sym tries Le syst me Pyracord est construit partir d l ments sym triques diff rentes puissent assurer les m mes stabilit et conomie des forces de la structure SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 3 2 2 Chute probl me de l espace libre Imaginons un syst me PYRACORDO dont le m t central serait l arbre lui m me Nous ne pourrions pas avoir l agr ment de conformit car entre deux strates de r ception en cas de chute il y aurait possibilit de pr sence d un obstacle la branche or l espace de chute doit tre imp rativement libre de tout obstacle En volution libre il ny a pas de solution globale ce probl me Par contre toujours en volution libre on peut cr er des parcours vari s s curis s par rajout de tunnels ou filets secondaires dans l arbre et entre les arbres o des filets de s curit bords relev s joueront leur r le de surface d impact et ventuellement de support de cheminement
290. sses estes assetto LL 1 2 1 vidence 1 inad quation entre un sentier des cimes consid r comme un qu menant et t l ambition des buts inscrits gy 1 talis er iare se 8 1210 Su principes objectifs et buts quelques pr cisions 12 12 Sur le Cahier des changes som ambition la r alisation 01 0900547 sss Sege EE E EE PP I2 152 Des Dite semblubles par leur exsence divers par leur COM qd PP CO L 1 1 RRS ak aa 11 12 125 LOS object E dmn passage congrent des Principet a 12 ODP COOP eee mga 6 eue I2 1 2 2 vidence 2 concurrence et compl mentarit entre arbres et relief pitons rocheux et ruines senes esenenteseseseeseseesenesesseseeeesess 13 Laaa ys ns acc s s facilit PPPI E E P PEIEE 44 M 3 EE 14 1 2 3 Evidence 3 particularit s du boisement sortir d une vision influenc e par les m dias harmoniser avec les caract ristiques du eee 14 1 2 4 vidence 4 r ponse la demande des scientifiques 2 2 e0e0906060606060000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 16 1 2 5 vidence 5 prise en compte de la r alisation du ie de Fischba
291. ssi sur les invert br s qui vivent dans les arbres On va se rendre compte que les d g ts occasionn s d une mani re g n rale la v g tation entra nent automatiquement des cons quences sur la faune 3 Enfin pour la faune voir ci dessous NDLR B LA FAUNE Les oiseaux C est clair les oiseaux n ont pas l air de subir trop de dommage La fr quentation de ceux ci a t constante et leur diversit a volu positivement Les deux zones ont moment ou un autre vu la pr sence des esp ces cit es dans les diff rents inventaires Je crois que la position du site a eu une influence sur la diversit ornithologique les passereaux sont repr sent s par 17 esp ces Comme ceux ci sont plus sociables vis vis de l Homme notre pr sence les a peut tre moins g n s Il est vrai que Corneilles Geais et Pic vert ne sont pas tr s farouches Sur la population d oiseaux deux esp ces que je n ai vues que beaucoup plus rarement Coucou et Pic peiche sont plus farouches Celles ci ont pu tre plus importun es par l activit Les mammif res Les mammif res montrent lorsque que cette activit est pratiqu e long terme et sur un m me site que de nouvelles nuisances peuvent se manifester Si au d but de l tude les mammif res n avaient pas paru tre d rang s il s av re que petit petit ils sont partis Ce qui est marquant c est que ce d part progressif coincide avec la diminution graduelle de la s
292. ssss Mud Mud 117 4 FAISABILIT R GLEMENTATION NORMES ET INNOVATION 41 UNE LE ON DE FAISABILIT PAR LA N GATIVE LA R ALISATION DU CONCEPT AVENTURE PARC creuse 118 LL our lo concept dichotomie entre LLL A EN 118 1 UE 5 11 10 1 0 r PRO 119 LAPSI 0 1 10 Mem 120 ELS LE DON a oo HERREN MV VIMEDE ME MUNDI MM M MM MINE NIE MM MEME 121 4 2 PREMI RE TAPE LE RESPECT DES R GLEMENTS ET NORMES eeeneneennenennnnennneenenns 122 BROperage des relorentiels et AAA cames FERAE PEE PEU I HE PEE IN EQUI TEL DU EINE E FARE E PPETA P n e 4 2 2 Les r gles et des normes de s curit actuellement les plus 4161 pour la solution dite R SIDENTE 124 4 2 3 Les r gles et les normes de s curit les plus adapt es actuellement pour la solution dite NOMADE eeeee eee eee eee eee eene nene e esee sees esses eeens ke 4 2 4 Quelles normes quelles r gles pour la protection des arbres et de leur environnement E E E 128 4 2 4 1 Pr lininaires une activit de plus g rer dans le massif fovestie 4 2 4 1 1
293. sssssssssssssssssssssssessssssssssssse 139 4331 Cr ation de lignes de wie vertes continues adapt es am v g tal 4 3 3 2 Une technique du monde du travail adapt e am plaisir le filin appel remplacer la corde ou le c 4 3 3 3 Innovation pour wn nouveau type de longe double la longe 2300 Limite de la longe double principe de la EE 141 ARRE e a NE NU ON DUO a TEENE OE NN d O AE abu 4 dU a 142 4 3 3 3 3 Description sommaire de la longe binaire schema 201 2770 2 997 7 uv ee AR aea ine 143 4 3 3 4 Vers le premier syst me nt en de s curit pour une activit de loisir dans les arbres novation par transfert des techniques industrielles de levage 144 4 3 4 L utilisation du bois ARBRE comme support point d ancrage et BOIS mat riau de construction 145 L arbre utilis comme ancrage des lignes de vie ow des quipements s passerelles filets ET LES COMORES DIOS DOSCUIE EE 145 T3212 Les solulons lt de 2 16 2 8 2020771278 E 1 147 ARR S MEMEF 1000 dan Sa 201 700007048 e T PRINTER 147 2 Len
294. ssus signale les quipements n cessaires la recherche du confort et de la plus grande autonomie possible La production de l nergie capteur solaire ou olienne empruntera avec b n fice les solutions adopt es par la marine de plaisance Par contre en ce qui concerne les douches et les WC les pratiques des plaisanciers sont polluantes dans les ports et un moindre degr en pleine mer du fait de la capacit de recyclage de l oc an 120 Ces compl ments auraient pu tre plac s dans les chapitres relatifs la pr sentation des quartiers mais l expos sur la faisabilit qui a suivi permet de mieux comprendre les tenants et aboutissants des pr cisions faites dans ce chapitre 1 La l gislation va voluer les plaisanciers n auront plus le droit de rejeter directement la mer les eaux vannes et us es au moins dans les ports PAGE 165 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 Une tude sur la capacit de recyclage des arbres et sur le choix des produits utilis s d tergents notamment devra pr ciser ce qui peut tre absorb in situ et ce qui doit tre export pour ne pas nuire l environnement Elle cherchera les meilleures solutions pour que le rapport entre ces deux quantit s soit le plus grand possible cet objectif correspondant au concept du Quartier de l conome conqu rir son autonomie Enfin sur
295. stall e novice se glisse dans le harnais et va apprendre r gler et se servir de tous les outils sa disposition le harnais les cordes les noeuds les poulies les chelles et bien s r l arbre son tronc ses perches ses branches ses caract ristiques Il s agit d atteindre les premi res sensations agr ables d harmonie entre lui m me et l arbre en se lib rant de ses appr hensions ou peurs et en d couvrant les caract res et exigences sp cifiques chaque essence Dur e 3 heures 2 heures dans l arbre 1 heure au pied de l arbre Prix 120 francs par personne La m lodie arbor e Symphonie les fleuves du ciel Il s agit de r aliser une v ritable plong e dans les frondaisons Une journ e avec repas et sieste dans l arbre Dur e la journ e se passe en totalit dans l arbre bien videmment 6 8 heures dans l arbre Prix 250 Francs hors repas repas sortis du sac Formule int grant un casse cro te avec des produits du terroir 320 Francs D couverte technique et environnementale etc Produits grands groupes Produits exceptionnels Pour un anniversaire dans l arbre Prix 120 francs par personne Dur e 3 heures Avec un conteur ou un musicien idem 400 Francs L arbre g n alogique Cette animation consiste assembler les g n rations d une famille et les disposer dans un arbre o groupe d arbres ad quats pour la photo des membres de la famille sur les branches comme
296. stitution cf S 21 2 3 le champ d application li la nature des travaux et installations projet s les cas d exemption et les autorisations de substitution La comparaison entre l ancien et le nouveau champ d application est faite dans l annexe I 21 Champ d application territorial de l autorisation d installations et travaux divers Le tableau ci dessous num re les territoires concern s par l autorisation parmi lesquels pour des motifs tenant la localisation du projet soit l autorisation ne sera pas exig e soit sera remplac e par une autorisation de substitution PAGE 175 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 21 1 Tableau d ensemble no 3 Tableau no 3 Champ d application territorial Textes de r f rence A Territoires concern s par l autorisation P O S rendu public ou approuv R 442 1 a Z E P cr e R 442 1 b Communes figurant sur la liste dress e par arr t pr fectoral R 442 1 c B Territoires vis s au A dans lesquels l autorisation n est pas exig e et est remplac e par une autre autorisation Projet d installations et de travaux divers situ s sur le domaine public R 442 3 2e alin a Projet d installations et de travaux divers situ s dans les lieux de fouille L du 27 sept 1941 portant r glementation des fouilles R 442 12 arch ologiques La demande est
297. t rajout es comme r f rences L une NF S 52 400 est techniquement bien utile la d finition des quipements Les 3 autres portant sur les bacs sable peuvent para tre d cal es ici Elles peuvent servir d exemples sur la qualit du suivi que l on devra mettre en uvre pour l vitement et les contr les des pollutions du sol et de l humus des lieux tr s fr quent s COMPL MENTS NORMES FRANCAISES NF S 52 400 Equipements de jeux Points de fixation exigences fonctionnelles et de s curit m thodes d essai FD S 54 206 Am nagement conception et entretien des bacs sable XP S 54 207 Hygi ne bacs sables Exigences et m thodes d essai PAGE 125 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 On ne peut mettre ici l ensemble du corpus de P SS Gesetzliche Unfallversicherung SS 1 textes relatif au sujet trait Signalons Naturnahe Sp ielr ume in simplement que pour compl ter sa documentation Kindertagesst tten et faire tablir le programme de la Cit des arbres le MO et aura b n fice a se procurer le CD ROM que le minist re de l conomie des finances et de l industrie France a produit IL d cline selon huit modules toutes les implications de la r glementation les d finitions les caract ristiques techniques des quipements l entretien et la maintenance des s
298. t riau capable de rivaliser avec les performances du carbone tait tout simplement le bois Le bois qui jusqu il y a peu gr ce son excellent poids r sistance tait le mat riau de pr dilection pour la fabrication des avions de tourisme Le bois tait galement pr sent dans la structure des premiers avions r action et reste toujours irrempla able pour certains composants des avions de voltige Le ch ssis de la voiture de course en bois la forme d un caisson compos d un sandwich et d une me en balsa li s avec une colle poxy Seront fix s cette structure rigide les suspensions indispensable arceau de s curit ainsi que le treillis m tallique de fixation du moteur Pour le moment le poids du ch ssis inserts et arceaux compris est aux environs de 90kg un poids honorable pour un ch ssis exp rimental Messieurs Tessier viennent de terminer toutes les tudes de structures simulations et mod lisations du ch ssis avec ISMANS Institut Sup rieur des Mat riaux du Mans ainsi que les tudes et essais de mat riaux avec l cole Sup rieure du Bois Aujourd hui les Tessier poss dent les l ments scientifiques et techniques qui leurs permettent de certifier la faisabilit du prototype ch ssis bois pour les 24 heures du Mans 2002 Quant au moteur ils ont tudi un syst me multi motorisation qui permet le montage de tous types de moteurs sans qu il soit n cessaire d apporter des modifications au ch ssis lors
299. t Fr quentation Emplois Investissements 3 4 6 Contenu m WT H r SEENEN 79 3 4 6 1 1 ARBRE MINE UR DU CIEL un th me quasi obligatoire symbolisant la prise en compte de la dimension biosph re dans l esprit du d veloppement durable 79 3 4 6 1 2 ARBRE RENDEZ VOUS POUR LA VIE la PHOTOSYNTH SE rennes 79 3 4 6 1 3 ARBRE MESSAGER DU TEMPS ET DE L ESPACE avant l Homme et apres le sens de la 1 1 16 80 SE Dee 80 ET EP P MEET PIPER HR Pp Pp 81 EE V TAE EA AE O AA OE AA VE OAA EEA AE E A AAE AA VO VE DA VAEA P V E PT A VET 82 EE 83 PO EE SSI OS 34 3 5 PROPOSITION POUR L ESSAIM DES CHERCHEURS D INCONNU E S OU LE LABORATOIRE NOMADE ssscerennnenneenenseeseesese 85 3 95 1 Descriptions sommaire sch ma et RE couscous sesed oS io minima ANIME GNE XU Fx EUN Y NU DUVARUMCHU I UM D YN M PM EUNDUM rV PER 85 3 5 2 Diff rents types d acc s au houppier et l interface feuilles air pour chercheuses et 99 9 9 88
300. t amen s rajouter des l ments de lecture du paysage et du milieu de vie environnant Enfin il semble que pour la bonne gestion de la capacit d accueil de la structure un portique lectronique assurerait un comptage des visiteurs Tel que ce syst me nous a t d crit il risque de casser le seul changement positif d ambiance d j tr s fragile que constitue le passage de la maison de la Biosph re ce promenoir par l entr e dans le petit bois Bref le promenoir fonctionnera principalement gr ce aux vocations qu il sugg re et non r ellement gr ce aux motions directes qu il promet mais ne peut susciter en termes de communication cela peut tre positif dans un premier temps mais l rosion de l efficacit attractive du message se fera vite sentir Cependant cette analyse ne sera pas faite imm diatement par le public Du fait de la probable ant riorit de l aboutissement du projet de Fischbach si le MO choisit de r aliser aussi un promenoir quelques kilom tres de l deux probl mes se posent a cette r alisation serait v cue par nombre de partenaires comme une concurrence malsaine il faudrait de toute facon r aliser un quipement diff rent Une autre approche du probl me compl t e par les le ons tir es par la n gative des r alisations du type de celles de Plackendael ou Fischbach devraient permettre de cr er comme signal ci dessus un promenoir de type nouveau ces l ments de r flexion s
301. t botanique CIRAD LD 6 4 GEORGES PLAISANCE FOR T ET SANT DITIONS DANGLES PROPOS DES IMPACTS N GATIFS DE LA FOR T SUR L HOMME 195 PAGE 8 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 RECADRAGE DU PROJET DU SENTIER LA CIT DES ARBRES La prise de connaissance des diff rents types d quipements et d activit s existant dans les arbres pr sentation de septembre 99 restitu e dans la Partie 2 de l tude l valuation des sites acteurs projets objet de la Partie 3 ont permis de mettre en vidence les ad quations et inad quations entre le cahier des charges et la mise en forme g n rique propos e lors de l appel d offre d avril 99 Il en est r sult une proposition de recadrage du projet Celle ci fut accept e dans son principe par le ma tre d ouvrage en novembre 1999 et mise la discussion du comit de pilotage largi en d cembre 1999 Le contenu de ce recadrage s est affin gr ce aux investigations et d veloppements r alis s de janvier 2000 ce jour Ses tenants et aboutissants sont explicit s dans ce chapitre I Le fait qu aucun co t d objectif n ait t fix par le MO ouvrait un champ tr s large des hypoth ses d am nagement Dans ces situations en g
302. t l analyse de leur point de vue des secteurs tudi s ont abouti changer l id e de d part Pas de lieu pr cis servant de laboratoire mais une proposition de ruche scientifique v ritable centre de ressources en aide et mat riel permettant de doter les quipes de recherche de laboratoires d ext rieurs nomades sur les 2 parcs naturels en fonction des projets 1 2 5 Evidence 5 prise en compte de la r alisation du promenoir de Fischbach Le futur promenoir de Fischbach est de type classique Le site dans lequel il est install ne provoque pas d motions particuli res aucun arbre remarquable et pas d ensemble majestueux ou simplement harmonieux un bois en formation rogn par les travaux et la lisi re avec la route Sa seule qualit exploitable et exploit e est la d clivit du sol qui permet de partir niveau sur le promenoir pour se retrouver quelques pas plus loin 8 m tres de hauteur Les concepteurs s approchant de la r alisation effective prennent conscience de la dichotomie entre ce qu voque un promenoir et ce que provoque ou ne provoquera pas sa forme concr te Ils cherchent donc compenser ce manque d efficience spontan e par l adjonction d une tour et d l ments quelque peu instables sous les pieds des promeneurs type pont suspendu des parcs et jardins rompant l impression de simple lieu de passage que donnerait sinon le lin aire de platelage On peut pr voir que comme Plackeandael ils seron
303. t raisonnablement r duite en fin de trajectoire 2 Les acc l rations de la vitesse du corps r sultant des variations de la courbure du toboggan doivent tre limit es afin de ne pas provoquer d accidents dus au rebondissement et d viter que les enfants soient projet s hors de la trajectoire 3 La partie glissante du toboggan doit tre d acces facile 4 L entr e de la glissi re doit tre con ue de mani re d courager toute tentative d acc s en position debout b quipements comportant des l ments rotatifs 1 Les l ments rotatifs doivent tre con us de telle mani re que les risques de blessures quand l enfant tombe de l l ment rotatif ou le quitte alors qu il est en mouvement soient r duits au minimum 2 Les espaces entre les l ments rotatifs et les structures statiques environnantes ne doivent pas permettre l introduction de parties du corps susceptible d entra ner le happement de l enfant par l l ment rotatif c quipements comportant des l ments de balancement Tous les l ments de balancement doivent avoir des caract ristiques appropri es d amortissement des chocs afin d viter toute l sion irr versible si l un de ces l ments heurte un enfant II Montage et maintenance Les travaux de montage et d entretien doivent tre clairement d crits et illustr s dans la notice accompagnant les quipements par des plans techniques ou des sch mas PAGE 172 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR T
304. te la plus fragile celle qui se trouve en premi re ligne au contact de l tau notre connaissance aucune tude scientifique et technique n a crois les deux contraintes Aucun bureau de contr le V ritas Socotec Apave etc ne prend en compte cet ensemble de donn es quand il v rifie les quipements des parcours sur c bles PAGE 154 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Autre d faut du syst me surtout sur des essences l corce fragile comme le h tre la force d impact est perpendiculaire la force de r action ce qui entra ne un moment de celle ba ci qui aura tendance augmenter la pression sur le tronc aux limites basse et haute des m choires de l tau soutenant la plate forme figure de gauche Il y aurait moins d impact s appuyer photographie de droite page pr c dente ou se suspendre des branches situ es le plus possible l horizontale Bref ceux qui d fendent les ancrages par per age comme SN lam e ceux qui d fendent les taux nis i aja ne font qu une moiti du chemin dans leur r flexion On serait m me tent de conclure que le per age fait avec pr caution cause moins de d g ts que l tau car il ne concerne pas toute la circonf rence Il faudra sortir de cette fausse alternative par une tude s rieuse de cette question Terminons cette approche ave
305. tion limit e dans les contacts n avait pas permis d aboutir par contre l analyse des politiques des programmes la connaissance des travaux en cours permettent de penser que des engagements identiques aux engagements allemands pourront se faire en France si le MO sollicite ces partenaires potentiels 10 Tl est reproduit in extenso car les informations donn es sur la logique mis en uvre pour aboutir cette innovation montrent que cette logique est similaire celle souvent utilis e pour d finir la Cit des arbres l arbre puits de carbone par exemple Dommage que l objet final une voiture de course woodycar ne contribue pas au d veloppement durable PAGE 151 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 3 5 Sur la protection et s curit des arbres et de leur environnement 4 3 5 1 propos des cons quences des ancrages sur la vie de l arbre probl mes de point de vue probl me d thique Jusqu o doit on aller dans la diminution des impacts dans la protection des arbres Est il incompatible avec le projet de consid rer les arbres comme des supports m caniques d quipements installer doit on les traverser sans les toucher Chapitre 1 de cette partie 4 Photographie r elle ou truqu e qu importe l image ci contre r v le que dans nos contacts avec l arbre rien n est anodin Qu a t il bien pu se passe
306. traction d appel Vel de UV AL TOUR 10 parcours Parcours animaux l cureuil les singes Parcours v g taux de Ch tons en capelles Tarzan Robin Robinson le Baron Marsupilami et les autres 2 Sentier des cabanes Perch es 5 10 cabanes visiter 100 m tres de randonn es dans les arbres PAGE 48 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 2 5 Caract ristiques principales Tableau Activit s Positionnement Fr quentation Emplois Investissements Equipement principalement de plein air proposant des activit s dans les arbres tous publics Activit s Deux grands types d activit pouvant se d cliner dominantes Incentive dominante motion physique avec une attraction d appel AUTOUR ludo culturelle le sentier des cabanes dans les arbres avec un v nement bisannuel le concours des cabanes perch es L partie ludo culturelle parcours cabane connaissance unique il n y a pas d quivalent connu actuellement E L partie Nature Vertige cr neau ressenti comme identique AVENTURE PARC pour la partie physique et sportive mais ici la dimension cologique et un authentique Positionnement contact avec les arbres en plus et sans rupture de s curit en font un quipement exceptionnel activit s adapt es ou sp cifiques pour satisfaire cert
307. trate herbac e Les esp ces touch es sont essentiellement les micro mammif res qui utilisent beaucoup cette strate pour la nourriture et ou le camouflage Nous verrons plus loin avec les insectes que le ph nom ne est le m amp me Toutefois celui ci est plus rapide chez ces derniers Ici encore la strate herbac e joue un r le d terminant dans le maintien en place de la faune Les grands mammif res essentiellement des Chevreuils utilisent le secteur la nuit c est dire lorsque nous ne somme plus sur place A ce propos l Escalade Arbre peut tre un m dia int ressant pour faire des aff ts PAGE 160 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 suite Les insectes Du r gne animal les insectes sont ceux qui ont t le plus touch s Ceux ci tant directement li s la masse v g tale qui constitue leur habitat et leur garde manger il y a une corr lation entre cette derni re et la pr sence des invert br s La baisse du nombre d insectes a suivi la baisse de la masse v g tale herbac e voir graphique de comparaison des deux courbes non reproduit ici NDLR Sur la zone primaire le nombre de ces derniers est pass de 45 individus 6 individus en deux mois Une donn e serait int ressante conna tre c est le taux de mortalit d l activit Mais il est je pense tr s difficile conna tre ou m me estimer Ce
308. ttheck C 1991 Trees The mechanical design Springer Verlag Berlin Heidelberg 121 p Nyk nen M L H Peltola C Quine S Kellom ki et M Broadgate 1997 Factors affecting snow damage of trees with particular reference to European conditions Silva Fennica 31 193 213 Petty J A et R Worrell 1981 Stability of coniferous tree stems in relation to damage by snow Forestry 54 115 128 Pin D et J C Ruel 1996 D fauts indicateurs de faiblesse m canique chez les principaux arbres du Qu bec Universit Laval Hydro Qu bec 84 p Rebertus A J S R Shifley R H Richards et L M Roovers 1997 Ice storm damage to an old growth oak hickory forest in Missouri Amer Midl Nat 137 48 61 Silva G 1996 tude de la r sistance m canique d arbres soumis une simulation de l action du vent dans la r gion de l Outaouais au Qu bec M moire de maitrise Universit Laval 157 p Sisinni S M W C Zipperer et A G Pleninger 1995 Impacts from a major ice storm street tree damage in Rochester New York Journal of Arboriculture 21 156 167 PAGE 194 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 4 GEORGES PLAISANCE FOR T ET SANT DITIONS DANGLES PROPOS DES IMPACTS N GATIFS DE LA FOR T SUR L HOMME CHAPITRE XIII 1 Diminution de la lumi re et des rayons ultraviolets La diminution de l clairement forte su
309. u Code minier pour les affouillements du sol ayant pour but la mise en exploitation de R 442 3 ler alin a gisements de mat riaux carri res Autorisation pr vue par l article 3 du d cret no 63 1228 du 11 d cembre 1963 relatif aux installations nucl aires pour les affouillements et R 442 3 1er alin a exhaussements du sol ayant pour objet la cr ation de ces installations 20 Autorisation de substitution absorbant l autorisation d installations et travaux divers AJ 442 11 Autorisation pr vue par l article R 443 7 du Code de l urbanisme pour les installations et travaux divers accompagnant l am nagement d un R 442 11 terrain en vue du stationnement des caravanes Permis de construire pr vu l article L 421 1 du Code de l urbanisme pour les installations et travaux divers accompagnant une construction Autorisation pr vue par l article 6 du d cret no 68 134 du 9 f vrier 1968 relatif au camping pour les installations et travaux divers R 442 11 accompagnant l ouverture d un terrain de camping am nag Autorisation pr vue par l article R 443 4 du Code de l urbanisme pour les installations et travaux divers accompagnant le stationnement d une R 442 11 caravane pour une dur e sup rieure trois mois 22 2 Commentaires Il convient d une part de pr ciser la nature des diff rents installations et travaux divers vis s par l article R 442 2 et d autre part d examiner les cas dans lesquels l a
310. u aires de jeux et de sports et pour autant que ces op rations ne comportent pas de constructions ou d ouvrages soumis permis de construire cf S 22 2 2 En effet en application des dispositions des circulaires du secr tariat d tat la Jeunesse et aux Sports des 22 mai 1970 et 21 mars 1975 une base de plein air et de loisirs est d finie comme un complexe qui offre ses usagers les possibilit s d expression les plus vari es permettant la d tente et la pratique d activit s sportives culturelles de plein air et de loisirs individuellement en groupe ou en famille dans un cadre naturel pr serv du bruit et proche de la population desservir En tout tat de cause en l absence d tude d impact tout projet de parcs d aires de jeux et de sports devra tre tudi particuli rement au regard des pr occupations d environnement et des effets pr visibles de sa cr ation sur l environnement b Aires de stationnement ouvertes au public et d p ts de v hicules susceptibles de contenir au moins dix unit s Il s agit des parcs de stationnement publics ou priv s des d p ts de v hicules neufs d occasion ou hors d usage 7 pr s d un garage en vue de leur r paration ou de leur vente des aires de stockage des v hicules pour autant qu elles ne sont pas soumises au r gime des installations class es pour la protection de l environnement des aires d exposition ou de vente de caravanes des aires de garage de bateaux
311. u ont d j exist mais dans des situations diff rentes Q sous dautres latitudes dans d autres lieux a d autres poques a sous des m urs et cultures diff rentes de celles qui pr valent ici Un commentaire succinct accompagnera les vues synoptiques pour une meilleure compr hension imm diate tout comme les illustrations il n a pas vocation l exhaustivit 1 3 2 2 Quelques claircissements sur la ligne ditoriale 1 3 2 2 1 La premi re partie de la ligne ditoriale arbre fondement s appr hende facilement On imagine relativement bien par exemple ce que signifie son application en mati re d animation Cependant cette impression de facilit ne doit pas occulter que son application effective dans tous les aspects de la mise en uvre du projet ne se fera pas sans d bats pour d gager un point de vue consensuel qui respecte le mieux cette ligne et fait accepter la mobilisation des moyens n cessaires son aboutissement Les 2 questions suivantes suffisent rendre sensible l importance des r ponses apporter r ponses qui rel vent tout autant de probl mes techniques que de choix de point de vue a quel label respecter dans l utilisation des mat riaux et notamment du bois FSC europ en local a jusqu o doit on aller dans la diminution des impacts dans la protection des arbres Est il incompatible avec le projet de consid rer les arbres comme des supports m caniques d quipements i
312. uant l ampleur exacte du projet qui permettront de d terminer la proc dure exacte suivre 2 es Haut Perch s ont propos d inclure dans leur convention avec l ONF un dispositif permettant d harmoniser les buts de l ONF p rennisation du patrimoine activit conomie accueil du public avec les diff rents statuts de l activit arbor e groupes subventionn s ou non 8 D s 1992 les Haut Perch s ont propos aux agents de l ONF de faire un tat des lieux avant et apr s du point de vue de l impact de l activit sur les arbres et leur milieu Ces tats de lieu n ont jamais fait l objet d un protocole pr cis si ce n est celui de bonnes relations entre les partenaires Malgr son c t sympathique cette situation n est pas satisfaisante car elle d pend trop des individus 55 contrario 1 dans certains parcs urbains avec arbres remarquables il arrive que les responsables espaces verts des collectivit s concern es interdisent l activit parce qu ils ignorent la fa on dont elle est pratiqu e et pensent que la grimpe se fait avec des crampons comme pour monter sur les poteaux t l phoniques en bois et ainsi blessent les arbres 2 on a vu avec Aventure Parc dans une for t communale pourtant situ dans un parc naturel r gional la protection des arbres tait ignor e 86 Except le signal transfrontalier s il est consid r comme monument d passant 12 m tres de hauteur 87 Pour le c t allemand cette partie de
313. un autre registre celui du confort il serait judicieux de lancer un concours pour cr er une gamme de mobilier enti rement recyclable permettant de vivre confortablement dans les arbres et participant de l mergence d un style cologique pousant les formes de la nature et en respectant le sens FONCTIONNEMENT DE L COSYST ME CO Pr cipitations 0 nergie Gm 8 lumineuse 8 b Air Mati re organique Eau et l ments min raux disponibles dans le sol Exoortation PAGE 166 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 4 4 3 Quartier Biosph re nombre de visiteurs surveillance d montage et ergonomie du lieu Il s agit d un compl ment du chapitre 3 4 ci dessus 4 4 3 1 1 Du point de vue accueil circulations et surveillance des quipements 4 4 3 1 1 1 Douze ou vingt quatre par heure Du point de vue de l accueil et de la circulation des visiteurs ce quartier ne pose pas de probl mes particuliers qui ne soient r solus dans les autres quartiers passerelles filets plate formes et remarques ci dessus chapitre 4 4 1 Cependant sur ce quartier il faudra d terminer au pr alable si l on peut doubler le nombre de visiteurs simultan s passer de 12 24 l heure selon le point de vue des gestionnaires et la r alit de la pression tol r e par le
314. une vue sur la canop e du boisement Le relief vallonn des secteurs tudi s propose d j des points d observation Il n est donc pas indispensable ici de grimper en haut des arbres pour d couvrir la canop e Les pitons rocheux et ruines qui les occupent le permettent bien plus facilement et avec plus d efficacit Cependant l utilisation des pitons rocheux facilement accessibles peut tre int ressante comme point d acc s confortable sans chelle ascenseur un promenoir ou pour tout autre quipement de la Cit des arbres qui s avancerait au dessus d un d nivel pour aller d couvrir quelques arbres ou un peuplement particulier effet jet e Pour m moire rappelons que cette technique est utilis e pour l acc s de nombreux promenoirs existants notamment ceux des parcs nationaux australiens pr sent s dans la partie 2 ainsi que dans le projet de FISCHBACH voir ci dessous C tait aussi la proposition du cabinet FREY GOBIN pour le secteur du Fleckenstein proposition pour le sentier des cimes 3 mars 1998 sch ma interpr t ci contre PAGE 13 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 1 2 2 2 2 Enrichissement du contenu arbres gr s et arbres Histoire Enfin pris sous un autre angle cette forte pr sence du relief des affleurements de gr s des pitons et des ruines sera utilis e pour les proposit
315. ure PAGE 157 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 5 4 1 2 Les mesures d att nuations possibles partir du mat riel utiliser et laborer lorsqu ils n existent pas les outils les moins agressifs au niveau des frottements de la compression des chocs du temps de stationnement sur les arbres partir des techniques voir ci dessus ce qui est dit des protections de l arbre lors des installations des quipements pour pratique s dentaire ou nomade partir des pratiquants a prendre en compte les impacts diff rents entre la pratique de l activit en groupe plus de 5 ou individuellement jusqu 4 personnes De m me une bonne gestion des rotations dans l occupation des arbres pour les animations sans quipement fixe vitera la surexploitation des sites Certains arbres ayant d j subi les cons quences d une forte fr quentation seront choisis pour les initiations a att nuer les impacts revient g rer la fr quentation des sites mais aussi ce qui provoque des d g ts dans les trois cas suivants les solutions r sident principalement dans l apprentissage qui peut tre modul de la simple sensibilisation au perfectionnement a la non conscience des d boires ou le je m en foutisme gt prise de conscience des d g ts possibles a le stress gt ne pas sagripper n import
316. urs habituels du paludisme Les vip res ne sont pas li es la for t mais plut t au terrain 4 Autres dangers invoqu s par les d tracteurs a Dangers d accidents dus la for t Les chutes d arbres d racin s ne se produisent que par temp te il y a peu d exemples de mortalit les chutes de foudre sont tr s rares sous h tre rable charme aulne bouleau et plus fr quentes il est vrai sous pic a sapin ch ne fr ne peuplier On peut tenir compte de ces observations si l on est surpris en for t par l orage Les balles perdues des chasseurs peuvent constituer un danger b Effets de certains ombrages L ombrage des noyers a t incrimin mais s il a un inconv nient c est probablement plut t par des manations Juglone Notons en passant qu il vaut mieux ne pas absorber l eau qui d goutte des feuilles dans une for t situ e pr s de sources de pollution sous le vent mais il est bien rare qu on tende la langue en for t PAGE 196 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 C Irritations auditives Pour certains sujets psychologiquement fragilis s le bruit de vents violents dans les branches les coassements des corbeaux ou des h rons les hululements des hiboux peuvent causer un effroi nocif Les bruits des tron onneuses plus de 100 d cibels sont surtout nocifs pour le b cheron ils peuvent entra
317. us globalement la Cit des arbres Pour m moire est rappel e ici une mise contribution qu il ne faut pas oublier celle des techniques traditionnelles de construction des cabanes dans les arbres illustr es ci dessus par des assemblages de Froissartage technique dont la devise correspond bien l esprit qui doit pr valoir la cr ation de cet espace Avec presque rien tre utile et devenir habile Dans la m me lign e traditionnelle mais plus labor es signalons encore les cabanes propos es par la soci t les cabanes perch es uvre de compagnons Ces prototypes pour une occupation humaine confortable d un nouvel espace ouvrent des pistes mais n ont pas tout r gl 11 faudra se pr occuper de leur impact sur l environnement du choix des mat riaux des conditions de mises en uvre int gration de la d marche de D veloppement Durable qualit recyclabilit tragabilit des mat riaux protection des arbres int gration paysag re voir ci dessous chapitre IV 3 Les cabanes perch es La Campagne Bertet 84380 BONNIEUX PAGE 70 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 3 3 6 3 vocation sur les lieux d animation et d apprentissage 3 3 6 3 1 Aspect environnement un exemple d atelier p dagogique conception Haut perch s JLR Dans le cadre de ces ateliers apprentissage 4 arbres peuve
318. us les martyrs comme dans l exemple du monument ci contre mais plut t le bonheur et les plaisirs que l on attend de l oeuvre humaine a non plus ce que l on demande la nature pour r parer les erreurs mais ce que nous avons besoins d apprendre d elle pour r ussir notre passage sur Terre Ainsi donc l arbre ou les arbres du signal transfrontalier pourraient proposer de passer cette fronti re du d plaisir au plaisir des choses qui font mal celles qui nous font du bien 65 Peut tre trouverions nous la cl de ce paradoxe en examinant de plus pr s la suppos e immobilit des v g taux Voir F HALL loge des plante PAGE 111 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 3 8 4 2 Proposition d organigrammes pour un concours d architecture 3 8 4 2 1 Organigramme simplifi pour le concept Signal transfrontalier la fili re bois se fait messag re d innovation d efficacit de beaut de plaisir D FINITION Fronti re cotone POINT DE Culture Nature et biodiversit VUE COLOG IQ UE g nes esp ces cosyst mes paysages cultures EXPRESSION SE HOMMAGE AU PLAISIR De gouter la beaut du lieu et de AUX ACTES l oeuvre GRATIFIANTS Du travail bien fait De se sentir bien au sein de cette repr sentation de la richesse de la vie TOTEM CULTUREL M
319. us sp cifiques du projet D VELOPPEMENT DURABLE ARBRES PI 3 9 2 1 D veloppement durable et programmation Parce que les r flexions en mati re de programmation d quipement dans le cadre d une politique affirm e de d veloppement durable sont encore trop peu d velopp es elles se limitent en g n ral une approche HQE nous pensons utiles d ajouter en annexe un r sum d une contribution que nous avons t amen s faire dans le cadre d une tude pour un projet touristique dans une communaut urbaine du Nord de la France voir Annexe Chapitre 6 2 Nous avons d j signal l importance pour ce projet du style comme expression d une culture naissante et non comme r p tition d acad misme La pr sence c t d un e architecte d un e sc nographe travaillant sur le vivant et d un e cologue croisant leur approche est une condition n cessaire cette mergence Enfin le caract re utopique de la Cit devrait permettre d associer la programmation en tant que conseiller un philosophe ou et expert ayant contribu l laboration des th ses qui ont fait RIO 92 3 9 2 2 ARBRES Comme cela a souvent t r p t dans ce dossier personne ne sait bien construire actuellement dans les arbres surtout en des for ts temp r es en respectant les principes du d veloppement durable Des avanc es existent mais il reste beaucoup faire notamment au niveau de la connaissance des impacts fins sur les corces et le bo
320. utorisation est remplac e par une autre autorisation en raison de l objet et non de sa localisation 22 2 1 Champ d application de l autorisation d finitions et exemples a Parcs d attraction aires de jeux et de sports ouverts au public Il s agit notamment de parcs publics de foires et d installations foraines tablis pour une dur e sup rieure trois mois d hippodromes de terrains en plein air de stands de tir de pistes cyclistes de pistes de planche roulettes de circuits automobiles de pistes de karting de golfs etc pour autant que ces op rations ne comportent pas de constructions ou d ouvrages soumis permis de construire C est notamment le cas lorsque les installations sont mobiles et l g res et donc susceptibles d tre d plac es PAGE 178 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 En ce qui concerne les aires de jeux et de sports on peut estimer que l autorisation n est n cessaire que dans le cas o elle exige la r alisation d un minimum de travaux d am nagement ou d quipement Les parcs d attraction devront faire l objet d un examen tr s attentif des services en raison des nuisances graves qu ils risquent de cr er bruit d gradation des sites pollution etc En ce qui concerne les bases de plein air et de loisirs elles peuvent faire partie des installations et travaux divers en tant q
321. utorisation pr vue l article 8 442 2 De m me que pour les cl tures le r gime de p remption pr vu l article R 421 38 ne s applique pas aux installations ou travaux divers projet s mais seulement la construction laquelle ils sont li s art R 442 11 2e al L autorisation d am nager un terrain en vue du stationnement de caravanes ou de l accueil des campeurs R 442 11 Lorsque le projet d installations ou de travaux divers concerne un terrain de camping ou de stationnement de caravanes dont l ouverture est subordonn e autorisation conform ment aux dispositions des articles R 443 2 et suivants du Code de l urbanisme et du d cret no 68 134 du 9 f vrier 1968 relatif au camping l autorisation demand e pour l ouverture du terrain vaut galement autorisation au titre des installations ou travaux divers si de telles installations ou de tels travaux sont pr vus Autorisation pour stationnement de caravanes pendant plus de trois mois R 442 11 Il en est de m me pour les demandes d autorisation de mise en stationnement de caravanes pour une dur e sup rieure trois mois R 443 4 qui tiennent lieu le cas ch ant de demande d autorisation d installations ou de travaux divers effectu s cette occasion et qui peuvent consister en travaux de terrassement L examen de la demande d autorisation d installations de travaux divers chapitre 2 de m me que la demande d autorisation de cl ture chapitre 1 donne l
322. utre v nement l occasion des animations de cet t 2000 les pique niques et concerts dans les arbres 52 Quelquefois le panneau pourra tre remplac par un signe peint directement sur l corce PAGE 98 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 En ce qui concerne le contenu a Les panneaux porteront des informations sur l itin raire lui m me distance direction changement d orientation danger a mais aussi sur les figures de progression les plus adapt es ou recommand es du m me type que pour les parcours sportifs a sur les centres d int r ts points de vue lecture de paysage etc a ils pourront aussi tre plus complexes tre de v ritables l ments d un mobilier p dagogique ou et ludique pour des circuits th me certains permettant m me de donner une preuve du passage du randonneur par le lieu ou ils sont implant s panneaux t moins Cette signalisation devrait tre compl t e par un d pliant destin au public et par un livret destin l animateur comportant un volet s curit et maintenance permettant de suivre la vie de l itin raire d en mieux cerner les diff rents impacts et donc de d finir les mesures de gestion les plus adapt es Remarque la signalisation concernant le pr quipement est abord e au chapitre ci dessous 3 did 25 1 3 3 Pr 7 Sous ce terme de pr quipement il faut co
323. uvaise FERME Bonne MOUSQUETON AVAL Bloqu dangereuses seule une action correctrice est FERM Bonne FERM Mauvaise MOUSQUETON AMONT Bloqu permise OUVERT OUVERT Sans influence OUVERT Sans influence Situstion impossible OUVERT Sans influence FERME Mouvise Situation impossible pr c dent okt C g 5 5 E 9v e c Y gt o Situations dangereuses limin es PAGE 142 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 4 3 3 3 3 Description sommaire de la longe binaire sch ma et indications Rep res de position m les Rep res de position femelles Ligne de vie INDICATIONS Base de d part une longe double type identique au mod le de chez PETZL avec absorbeur d nergie en cas de chute A Pour devenir longe binaire les l ments indiqu s par les fl ches sont rajout s sur la longe double et sur la ligne de vie Les rep res femelles sont diff renci s et dispos s par paire en amont et en aval de l obstacle 2 paires sont n cessaires pour chaque obstacle franchir un tronc en g n ral Arriv e hauteur de l obstacle la personne peut passer de l autre c t en toute s curit si elle positionne correctement ses mousquetons Dans le cas contraire elle reste en s curit peut faire sans crainte de nouveaux essais ou demander conseil l animat
324. ux tant eux facilement recyclables 74 D autres moyens existent pour viter ces frottements loignement du tronc par d port mais ils d pendent de la configuration des arbres Il vaut donc mieux prendre le maximum de pr cautions l avance PAGE 99 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 Une continuit par le houppier n existe pas toujours il faut pr quiper pour permettre le passage d un groupe d arbres un autre Photo ci dessus un quipement plus important peut tre install pour une saison condition de d placer r guli rement les attaches de quelques dizaines de centim tres pour viter une accumulation d humidit et une intervention pr datrice d corce de la part des cloportes Ces changements peuvent tre faits par les randonneurs eux m mes selon les groupes sous la direction de l accompagnateur ils permettent d expliquer les soins n cessaires apporter la ressource l arbre si l on ne veut pas se priver potentiellement de futures randonn es par un non respect de la vie de l arbre scier la branche sur laquelle on est assis Sch ma ci contre un des probl mes principaux de la randonn e arboricole est le manque de continuit par les houppiers Deux techniques permettent de pallier dans de nombreux cas ce manque PAGE 100 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT
325. val des cabanes perch es en plus d tre tr s populaire pourrait attirer artistes architectes designers l ves des coles correspondantes en fin de cursus ou associations Ils participeraient la cr ation des nouvelles cabanes La For t de Deal en Angleterre t d cor e gr ce ce type d initiative Le festival des jardins de Chaumont sur Loire fonctionne depuis 10 ans sur ce principe Bien videmment il faut offrir un financement pour la r alisation des projets retenus mais le co t global est moins on reux que dans le cadre Ee d un appel d offre classique les D tournement amical du logo pour le futur concepteurs cherchant par leur Festival international des CABANES PERCH ES Participation acqu rir une notori t ins suppl mentaire Logo du festival international des Jardins de Chaumont sur Loire Qui plus est un tel festival a peut trouver des sponsors et permet une communication positive moindres frais participant la notori t du lieu et du futur quipement a la p riode de construction devient elle m me une attraction et un but de visite pour les touristes et promeneurs du dimanche 3 2 6 2 2 vocation Les illustrations sur les cabanes existantes sont pl thores Quelques unes ont t reprises ici pour m moire Le type de boisement l ing nierie particuli re leur forme et contenu d pendant des cr ateurs en feront des cabanes diff rentes Cependant des exig
326. ves aux quipements neufs d aires collectives de jeux D no 94 699 10 ao t 1994 JO 18 ao t 1994 Le d cret du 18 d cembre 1996 fixe les prescriptions de s curit relatives aux aires collectives de jeux existantes D no 96 1136 18 d c 1996 JO 26 d c 1996 Conditions de l application De telles autorisations ne sont pas faciles g rer elles concernent souvent des op rations de faible importance et les usagers peuvent ignorer qu ils doivent demander une autorisation Leur champ d application g ographique est vari d une commune l autre l autorisation peut tre ou ne pas tre exig e Les diff rents r gimes d autorisation se combinent tr s bien juridiquement mais pratiquement on ne mesure pas toujours la port e des diff rences qui caract riseront aussi bien leur instruction que la d cision Ces difficult s sont connues et in vitables Le r gime des cl tures a vari par le pass du permis de construire sa disparition Celui des installations et travaux divers a t in galement appliqu L objectif de ces autorisations n est pas d entraver la libert des citoyens mais d viter que l accumulation dans le temps de nombreuses petites op rations de cette nature d grade l environnement Il est aussi d viter des abus dont peuvent se plaindre les voisins ou qui portent atteinte certaines exigences sp cifiques dont il faut assurer le respect Codes de d ontologie exemples 6 1 3 3 Le premier code
327. vigilance dont il faudra faire preuve pour que les op rateurs se r approprient correctement la quintessence du projet Les concepteurs ne sauraient r aliser un tel quipement sans acqu rir eux m mes une culture et exp rience suffisantes sur ces aspects z Je garde l esprit 7 7 7 4 ow XS O o o Su sitire les l image de ces RAT E ET Nun ARE DUNT aed RAR AUTRE E Ee HIDE VEMM moustiques et tous Korowai juch s sur SRE PRE RS As autres ennemis en la cime des arbres FF SEE c ww rigeant leurs EE M URE on MELLE ai FA Deg KT K 2 Ko 4 y 1 ES 4 e RUE m 4 Oe Ge Li a b Re m qui le mona NEA aai De G AA 5 rr magnifiques ruma se limite au cercle RE ilic AE Va Ss scs rode MEE LE E TA RI ME tinggih maisons de l horizon A leur Re NE c EE CEN SES EE hautes au sommet contact on r alise ESS Ter We uem ox END AN des arbres m mes J d 7 be E He lt 1 d je Vui I 1 MR 7 E D E 1 1 CN 2 SON UON i gt 111 2 mot y ta t och 9 1 Ze WM od RE Dn br HN wr ge Ve combien nos oto DM e Ln NW CU re Cm ON OR YL RAO RO a A A poe ES os 2 HM T Ps UNUM ANT ae S ZA 0 US e metres F P1 3 e M ae 2 d A Le NI M 31 zi e 4 P 4 l
328. xemples pour la cr ation d une partie du quartier du Bonheur de la Cit des Arbres i dessus sous chapitre 3 2 6 2 1 le concours d id es lanc en 1989 pour la c l bration du bicentenaire de la r volution fran aise peut inspirer la d marche de cr ation du signal propos ici En effet lors de ce concours les cr ateurs architectes et sc nographes ont souvent utilis TW Arbre dans leur proposition Trois exemples parmi d autres nous invitent oser une telle d marche 3 8 4 1 1 l arbre de la R volution JM PHILIPPE Nn e A db ed 7 E b CUTS d E TEL AM 1 der quic 11 UP A T Shy So KE KW TNI ET a Ner ke ANM Tl E ai EA 18 NONE T t D Zoe KEN Gu Vu D UC a 4 y Cette argumentation peut tre reprise pour le signal transfrontalier mais rien n oblige utiliser des m taux m moire de forme pour une telle id e les nouvelles technologies de mise en uvre du bois peuvent porter le m me message sur la Nouvelle Alliance sous une forme diff rente d o notre proposition de r aliser un arbre en bois comme nous le verrons plus loin IEEE voe MA S f o 1 7 V 7 Ep PE EEI ID E E E xd gt r a wu 1 i 114 d EF IA i di D P df Pm Tr a Ne SITE RUES ANI 7 N La Nouvell
329. yrolienne la corde a subi un choc et si oui quelle en a t son importance Les d finitions techniques qui permettent de cerner les probl mes li s la performance des cordes ou c bles existent mais il n existe pas d outils op rationnels commodes pour suivre en temps r el ou m me par ch ances rapproch es et r guli res l volution du mat riel utilis Pour la Cit des arbres il serait judicieux d innover en la mati re en vue d aboutir des outils diffusables terme co ts r duits et bien videmment de s curiser au maximum l ensemble de la cit des arbres La proposition concerne ici la gestion de la s curit des personnes sur des quipements permettant de se d placer entre ou dans les arbres quipements qui utilisent des cordes ou des c bles sous une tension sup rieure au poids de la personne assur e Elle consiste quiper ces c bles ou cordes une de leur extr mit avec des dynamom tres maxima permettant d enregistrer les surtensions Chaque corde ou c ble est rep rable par un marquage qui peut tre lectronique et le dynamom tre qui lui est associ fourni l enregistrement des chocs subis De tels syst mes existent sur le march Ils sont utilis s dans l industrie du levage Un d entre eux para t particuli rement bien adapt la Cit des arbres il permet une transmission des donn es en temps r els par radio sur ordinateur portable de 18 points diff rents 18 dy
330. yst mique une des fondatrices du d veloppement durable Les deux expriment ainsi que dans un syst me compos de plusieurs parties le meilleur r sultat s obtient en d veloppant d un m me pas et en m me temps toutes ses composantes J BASILE in Sciences et Consciences Les trois capacit s le Conna tre Agir le Sentir du syst me Homme gagnent tre mises en synergie harmonieuse une poque o elles sont plut t clat es les unes tant exacerb es quand d autres sont ni es ou r prim es L tude du r le du vertige et de l volution de son r le social sera utile au concepteur de cet quipement voir remarque ci dessous N est il pas r confortant de penser que nous pourrions contribuer susciter des vocations de samourais du bonheur qui paraphrasons ici une description japonaise connditraient bien un art savoir seraient courageux comme un ours action et attitude sociale et auraient les larmes qui montent aux yeux la rencontre d un cerisier en fleurs sensibilit finesse Les animations et quipements propos s sont bas s sur deux cat gories de jeux ceux relevant de la MIMICRY le simulacre l imitation dans notre cas celle de la nature et ceux rattach s l ILINX vertige d calage du corps de l esprit des sens par rapport l habitude Les deux autres cat gories sont moins sollicit es l AGON comp tition et l AL A le hasard on utilisera avec profit pour la d finition et la concept
331. z jamais les animaux sauvages pour des animaux domestiques D vitez de pi tiner le sol de mani re distraite en vous pr parant grimper Vous pouvez tre en train d abimer une couche fragile du sol sinon rare Un chemin bien pr cis et non perturbant doit amp tre tabli pour atteindre les arbres sujets une grimpe r guli re Mettez aux pieds des arbres tr s fr quent s les mat riaux qui vitent de tasser le sol ce qui peut ab mer les racines ou m me faire d p rir l arbre PAGE 183 SYCOPARC HAUT PERCH S JLR TUDE DE FAISABILIT SENTIER DE LA CIME DES ARBRES CIT DES ARBRES RAPPORT FINAL PARTIE 04 1999 2001 9 6 L branchage est concevable pour les branches mortes et dangereuses Assurez vous que les autres grimpeurs et les gens au sol ne se trouvent pas l endroit o vous les jetez terre Ne laissez pas de gros morceaux coup s qui tombent rebondir sur d autres branches en vie et les ab mer Tout branchage sur des branches vivantes devrait amp tre vit au maximum Effectuez tout lagage correctement 7 Restez proche du tronc si vous tes en train de grimper sur de vieux arbres sauvages qui abritent des tapis de mousse ou une autre v g tation qui pousse sur les branches Un glissement de chaussure distrait pourrait d loger une v g tation qui a pris des dizaines d ann es se d velopper Les arbres urbains ou les arbres des for ts temp r es devraient tre choisis en premier la place

Partie 4 ( sur 5) de l`étude

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