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Untitled - Epsilon

1. FORFAITS R el simplifi R el normal Ind IAA COM BTP TRANSP gt Corrections GQ Rapports Conseil d Administration tous BIC Bilans N P EAE 20 sal R el 20 sal EAE 20 sal et Interclassement R introductions BIC et EAE Confrontation modification donn es et codes FUSION TOTALE Suse BIC Suse EAE O sur bandes magn tiques E documents Les chiffres romains indiquent les tapes ou une diffusion de r sultats globaux est effectu e fichier forfaits BIC disponible sur les exercices impairs en juillet de l ann e n 2 contient les effectifs le chiffre d af faires les achats et les stocks du million de forfaitaires avec des codes secteur d partement forme juridique et appartenance au Registre des M tiers fichier BIC r el normal corrig des anomalies comptables contient une identification compl te des unit s et des comptes tr s d taill s CEG P amp P bilan immobilisations et amortis sements provisions r sultat fiscal distributions Disponible annuellement en mai de l ann e n 2 Une confrontation est pr vue dans ce fichier pour le secteur et les effectifs avec les informations tir es des enqu tes annuelles d entreprises fichier BIC r el normal et simplifi corrig des anomalies comptables contient une identification compl te des unit s et des comptes moins d taill s que pour Il Disponible
2. tes industrielles du minist re de l industrie et de la recherche service des statistiques et des etudes economiques au mini pement d partement des statistiques des insports du secretariat d tat aux transports d partement des statistique CUON 0 IC san eau de TONS Statist es du secr tariat d tat l action st JC id tatistigui w N ISLETE gu vall etuge CONONMMOU el ta TISTIQUES gi direction de la securi tinIStel U irava se des tudes informatl ques et Statistiques du ministere qe ducation et du secr tariat d tat a division de ta statist e du ministere de ustice mission de statistique et d analyse financi res de la direction g l publique service des cr tariat d tat au fc nbattants bureau de ces institut nationa observatoires conor trielles du minist re d partement des st n sociale du minister ue du minist re du jil service des tud statistique du min a F 11 wy SI i nerale gdes gouanegs les economiques nationaux de traiter o 4 ga a an rt fa g o courrier des statistiques informations sur le syst me statistique public n 3 revue trimestrielle juillet 1977 courrier des statistiques PUBLICATION INTERMINIST RIELLE R ALIS E PAR LE D PARTEMENT DE LA COORDINATION STATISTIQUE ET COMPTABLE DE L INSEE PARUTION TRIMESTRIELLE Directeur de la publication Edmond MALINVAUD R daction Division des Relations avec les Services St
3. Investissements et cessions 6 Questions diverses sur l activit variables suivant les professions 7 R partition du chiffre d affaires par produit 8 R partition du chiffre d affaires par type de magasin pour les commerces de d tail non sp cialis s ali mentaires et non alimentaires Questionnaire simplifi annuel Q S Caract ristiques de l entreprise Conditions d exercice de l activit Effectifs et r mun rations Donn es comptables Investissements et cessions Questions diverses sur l activit variables suivant les professions R partition du chiffre d affaires par produit SN ORUN Les enqu tes triennales sur les tablissements Cette enqu te comporte deux types de questionnaires l un relatif aux si ges sociaux et tablissements princi paux l autre aux tablissements secondaires sur le financement des investissements Cette enqu te porte sur les modalit s de financement des investissements Elle est limit e aux petites entreprises sur les conditions de l activit Cette enqu te porte sur les modalit s d achat et de vente des produits 37 4 La mise en place de l enqu te r nov e Le balayage du fichier SIRENE sera r alis en principe en 1981 et 1982 pour le commerce ce qui reporte 1983 la 1979 m mes objectifs qu en 1978 avec l enqu te en vraie grandeur et introduction du premier questionnaire triennal e
4. valeur comptable des stocks de mati res premi res d en cours et de produits finis au d but et la fin de l ann e valeurs et quantit s des livraisons et des stocks de produits finis par mati res premi res produits terrains utilis s et acquis dans l an n e inventaire d taill des consomma tions d eau Publications R sultats sur les tablissements de 30 salari s et plus novembre ann e nr R sultats complets par activit par produit par entreprise sur l eau et les terrains industriels par circonscription g ographique deux ann es plus tard 1 Establishment dot d une comptabilit ANNEXE 2 RECENSEMENT BIENNAL DU COMMERCE L objet de ce recensement semble proche de celui de l enqu te annuelle d entreprise en France dans le commerce Unit statistique Champ P riodicit M thode d enqu te Questionnaires Variables observ es Publications tablissement Investigation exhaustive portant sur le commerce de gros le commerce de d tail les restaurants et tablissements de hoissons Tous les 2 ans depuis 1952 Par enqu teur 68 000 enqu teurs Questionnaire rempli par l tablisse ment 15 jours de d lai et contr le par l enqu teur Trois types de questionnaires soci t s commerciales entreprises individuelles du com merce questionnaire simplifi restaura
5. 52 avenue de Royat 63400 CHAMALIERES T l 36 03 50 Dijon D R BOURGOGNE C te d Or Ni vre Sa ne et Loire Yonne Cit administrative Delaborde avenue Albert ter 21033 DIJON CEDEX T l 05 31 45 Lille D R NORD Nord Pas de Calais 10 12 rue du Bas Jardin 59034 LILLE CEDEX T l 53 25 02 Limoges D R LIMOUSIN Corr ze Creuse Haute Vienne 38 rue Fran oisCh nieux B P 1553 87031 LIMOGES CEDEX T l 77 16 11 Lyon D R RHONE ALPES Ain Ard che Dr me Is re Loire Rh ne Savoie Haute Savoie 165 rue Garibaldi B P 184 69401 LYON CEDEX 3 T l 63 33 02 Marseille D R PROVENCE ALPES COTE D AZUR Alpes de Haute Provence Hautes Alpes Alpes Maritimes Bouches du Rh ne Var Vaucluse 17 rue Menpenti 10 13387 MARSEILLE CEDEX 4 T l 79 85 50 Montpellier D R LANGUEDOC ROUSSILLON Aude Gard H rault Loz re Pyr n es Orientales Cit adminis trative ex caserne Joffre 34064 MONTPELLIER CEDEX T l 72 98 67 Nancy D R LORRAINE Meurthe et Moselle Meuse Moselle Vosges 2 4 Boulevard de Scarpone 54014 NANCY CEDEX T l 96 35 67 Nantes D R PAYS DE LA LOIRE Loire Atlantique Maine et Loire Mayenne Sarthe Vend e 76 rue Desaix 44035 NANTES CEDEX T l 74 11 04 Orl ans D R CENTRE Cher Eure et Loir Indre Indre et Loire Loir et Cher Loiret 8 rue Edouard Branly B P 6023 45018 ORL ANS CEDEX T l 63
6. ces derni res ann es aucune statistique d ensemble permettant d valuer l ampleur du ph nom ne du travail temporaire ni d en pr ciser les principales caract ris tiques Quelques donn es fragmentaires ou impr cises permet taient seulement d en constater le d veloppement au cours des dix derni res ann es La parution des d crets d application de la loi du 3 janvier 1972 a permis au minist re du Travail de mettre sur pied un syst me d information sur le travail int rimaire dont la source est constitu e par les d clarations r glementaires que doivent fournir les entreprises de travail temporaire l Inspection du travail En effet la loi de 1972 a pr vu entre autres mesures les dispositions suivantes les entreprises de travail temporaire ne peuvent exercer d autre activit que la mise disposition provisoire aupr s des utilisateurs de salari s qu elles embauchent et r mu n rent les entrepreneurs de travail temporaire doivent se d clarer aupr s de l Inspection du travail ils doivent en outre signaler tout d placement de leur si ge social toute ouver ture de succursale ou cessation d activit les chefs d tablissements de travail temporaire doivent adresser mensuellement l Inspection du travail un relev des contrats qu ils ont conclu avec les utilisateurs de personnel int rimaire Les doubles de ces d clarations sont centralis s la division de la Statistique du minist
7. C WAGNER S BANGOURA H VIENNET A FERRAGU P MONDON H REDON P de CASTELNAU H STERDYNIAK J C DEVILLE O ARKHIPOFF O ARKHIPOFF J C DEVILLE J C DEVILLE J de MARCILLAC E CR a a o p Care d e aain eLa Statistique la direction g n rale des DOUANES et droits indirects I PRESENTATION G N RALE L information statistique en mati re d changes commerciaux avec l ext rieur a tr s t t pr occup les pouvoirs publics en France puisque d s 1653 COLBERT confia la Ferme G n rale l tablissement d un relev trimestriel de ces changes et qu en 1713 fut cr un Bureau de la Balance du Commerce Mais c est en 1792 que l laboration des statis tiques du commerce ext rieur fut confi e l Administration des Douanes tablies manuellement jusqu en 1930 elles le furent ensuite sur mat riel m canographique puis sur mat riel lectronique partir de 1961 mobilisant d ailleurs jusqu une date r cente la quasi totalit des moyens informatiques douaniers Les renseignements sont collect s l int rieur d un cartouche statistique qui est inclus dans la d claration en douane et communiqu s sous forme enti rement codifi s par le d cla rant Ces renseignements n ont donc plus ensuite qu tre saisis En outre simple recensement des marchandises au d part la statistique a vu son champ d application se d vel lopper constamment elle r ussi
8. change entre les producteurs et les utilisateurs d infor mation POER a pour mission de jouer un r le actif dans la circulation de l information conomique et sociale DES CENTRES D ANIMATION DE LA CIRCULATION DE L INFORMATION CONOMIQUE ET SOCIALE Il s agit en effet d tre en permanence l coute des besoins pour rep rer les insuffisances de la production d information conomique et mieux pr parer la production future L infor mation conomique ne circulant pas d elle m me l observatoire a pour mission de mettre en relation ceux qui poss dent une information et ceux qui souhaitent l utiliser Pour ce faire son activit s exerce ou devrait s exercer autant l ext rieur qu l int rieur Il lui faut tre pr sent dans un certain nombre de lieux o apparaissent les besoins d infor mation Par des relations suivies avec les principaux acteurs de la vie conomique et sociale r gionale ou locale les OER peuvent tre au fait des probl mes d actualit de leur r gion orienter ainsi la collecte et la mise en forme d informations et parfois engager dans de nouvelles voies de recherche les services des tudes de leurs Directions r gionales Plus modestement ces relations avec l ext rieur permettent de faire conna tre des utilisateurs potentiels les services que peut rendre un OER Si tous nos interlocuteurs ont entendu parler de INSEE il en est encore qui ignorent existence dans leur r
9. ESCOUFIER CRIG av d Occi tanie 34075 Montpellier C dex Association des Statisticiens Universitaires A propos du compte rendu du colloque sur la production domestique paru dans le n 2 du Courrier des Statistiques Madame Andr e Michel directrice de recherche au CNRS nous a envoy la lettre suivante AFCET Journ e de formation du 27 avril 1977 ORSAY L Association Fran aise pour la Cybern tique Economique et Technique organise p riodiquement en collaboration avec le BURO Bureau Universitaire de Recherche Op rationnelle des journ es de formation dont le statut est mi chemin entre la r union scientifique et la formation permanente des techni ciens de haut niveau C est une occasion de r unir dans la m me salle des statisticiens d origines tres diverses Universit s Bureau d Etudes Entreprises priv es ou publiques Rares taient les statisticiens travaillant pour le compte de l Etat INSEE ou Minist res Le programme comportait trois conf rences et une table ronde Utilisation des op rateurs et des variables complexes en statistique par Y ESCOUFIER CRIG Montpellier Analyse des s ries chronologiques multiples J C DEVILLE INSEE Estimation biais e en r gression lin aire par J BREHOT CEA et P CAZES Paris VI D bat sur l analyse des donn es et la prise de d cision anim par J M BOUROCHE COREF et J P PAGES CEA Environ cent vingt statisticien
10. En outre l chantillon d exploitants agricoles est augment Du fait que les revenus d clar s sont souvent sous estim s et qu ils le sont dans des proportions tr s variables selon le type de revenu il est demand que les r sultats soient toujours ventil s selon la cat gorie socio professionnelle des m nages 2 Les travaux du CERC sont ensuite pr sent s par M de MARCILLAC Parmi les tudes en cours c est une enqu te destin e estimer les biais sur les revenus d clar s qui a le plus retenu l attention L ordre de grandeur des biais sera appr hend par une comparaison des consom mations de certains biens dans des m nages de salari s d une part de non salari s d autre part Les participants ont soulign la fragilit de l hypoth se de base uniformit de la liaison entre revenu et consommation pour divers types de m nages Les correctifs pr vus ne paraissent pas tout fait suffisants 3 En ce qui concerne les effectifs et les salaires dans la fonction publique M LHUILLIER pr sente l exp rience men e en 1975 et 1976 pour exploiter les fichiers administratifs de paye et ainsi viter de faire des recensements des agents de l tat Les r sultats de cette exp rience et les perspectives de d veloppement du projet ne r pondent pas enti rement aux besoins d information des utilisateurs qui souhaiteraient conna tre notamment les disparit s de salaires indice gal entre les minist res e
11. Une discussion sur les enqu tes subjectives et la possibilit d en tirer des indicateurs sociaux les interventions de la France et de l Italie pour all ger consid rablement les projets de I OSCE relatifs au registre viticole OSCE Statistiques du logement R union des 2 et 3 mars 1977 Luxembourg Repr sentants de la France M BENOIT M GONNIN Minist re de l quipement et du logement M REMPP INSEE C tait la premi re r union d un nouveau groupe de travail cr pour mettre au point au niveau communautaire en ex cution des d cisions de la Commission relative au budget social europ en du programme d action sociale un syst me d indicateurs sociaux sur le logement devant permettre de com parer la situation des diff rents tats membres Le principal document de travail soumis aux participants tait extrait d un rapport int rimaire pr par par la Gesellschaft f r Wohnungs und Siedlungswesen mnH GEWOS sur un projet de recherche sur les statistiques de logement Les d l gations des pays ont soulign la caract re ambitieux du projet de la GEWOS et le risque de grandes difficult s voire d impossibilit de toute comparaison d coulant des divergences de d finitions La France a galement exprim des r serves quant l efficacit d examiner cas par cas les nom breux indicateurs envisag s et a propos que le groupe de travail d termine quelques indicateurs stock et volution du
12. conjointe de l INSEE et du minist re de l Agriculture Au cours d une r union tenue le 22 f vrier 1977 entre M MALINVAUD directeur g n ral de l Institut et de M GIACOBBI directeur g n ral de Administration et du Financement du minist re de l Agriculture une proc dure de travail a t arr t e afin d entamer dans les meilleurs d lais possibles la pr paration d un nouveau d cret ainsi que la mise au point d une esquisse technique et financi re incluant la fois le recensement proprement dit et ses op rations annexes La consultation des utilisateurs et notamment des organi sations professionnelles agricoles sera organis e dans le cadre du Conseil national de la Statistique sous la forme d un comit r unissant l ensemble des int ress s Un comit de direction compos du directeur g n ral de l INSEE du directeur g n ral des tudes et des Affaires g n rales au minist re de l Agriculture de divers repr sentants de l INSEE et de repr sentants du service central des Enqu tes et tudes statistiques du minist re de l Agriculture SCEES suivra l volution des travaux Ce comit de direction pr sid par le directeur g n ral de l INSEE sera assist d un groupe de travail technique et d un groupe de travail budg taire compos s de repr sentants de l INSEE et du SCEES Outre son apport original en mati re de conception g n rale et d organisation du dernier recensement
13. des paiements Cf infra LES SERVICES RESPONSABLES A l int rieur de la direction du Tr sor et de la Banque de France les unit s responsables de l laboration de la balance des paiements sont respectivement le bureau El et le service de la balance des paiements e Ala direction du Tr sor Cette direction est constitu e de trois services Activit s financi res qui a la responsabilit de V la boration de la politique mon taire et financi re int rieure 1 La proc dure de confection de la balance en termes de r glements permet d tablir des documents indiquant les r glements entre la France et chacun des groupes trangers pris s par ment Toutefois la fiabilit de ces ventilations est incertaine les experts en d conseil lent l utilisation aux personnes peu au fait des m thodes d laboration et d tail r v lateur la Banque de France a renonc ieur donner le nom de balances des paiements bilat rales pour ne conserver que le vocable plus neutre d Etats des r glements entre la France et l incertitude de construction se r v le en particulier par l impor tance des op rations affect es la ligne r glements mihiak interventions du Tr sor dont la comp tence porte sur les modalit s de financement des diff rents secteurs de l conomie FDES politique financi re des entreprises publiques pr ts ou garanties aux entreprises contr le des investissements fran ais
14. e Des donn es externes la d mographie C est certainement la donn e essentielle la forte augmen tation du nombre de naissances passant de 600 000 850 000 par an entre 1930 et 1950 a pos de gros probl mes aujourd hui la situation est diff rente puisqu il y a eu une baisse du nombre de naissances toutefois cette baisse d mographique ne se fera sentir qu partir de 1985 pour le ler cycle et de 1989 pour le 2 me cycle la demande d ducation Le ph nom ne est double il y a d une part la tendance ind pendamment de ph nom nes conjoncturels la prolongation de la scolarit qui se traduit par des taux de scolarisation croissant pour les ges au del de la scolarit obligatoire D autre part l entr e du syst me ducatif la demande de pr scolarisation est tr s forte la scola risation est compl te 5 ans et les taux de pr scolari sation 2 3 et 4 ans ont tr s nettement cr au cours des derni res ann es les migrations de population L accroissement de la population li au mouvement naturel de la population ainsi qu l migration n expli que pas lui tout seul l accroissement des besoins il est compliqu de mouvements migratoires divers exode rural mouvement du centre ville vers les communes p ri ph riques qui font apparaitre des besoins nouveaux en quipements scolaires il n y a en effet aucune com pensation possible en mati re de
15. gion d un service de l Institut ouvert tous et dont la fonction est de r pondre leurs demandes COMMENT UTILISE T ON L OER En raison de la grande diversit de leurs moyens quelques personnes Ajaccio 70 Paris 20 40 dans les autres r gions il n existe pas d organisation type pour les OER mais tous assurent des degr s divers les fonctions suivantes e accueil et r ponse aux demandes e collecte des tudes conomiques et des r sultats statistiques e traitement de la documentation et mise en forme de l infor mation e pr paration de l dition des publications r gionales de l INSEE e relations ext rieures Lors de la cr ation des diff rents observatoires les premiers efforts ont port sur l organisation de la r ponse aux demandes et l dition des publications L augmentation progressive des moyens a permis ensuite le d veloppement de la collecte de l information et l organisation de la documentation Enfin quelques centres ont r ussi mettre en place une v ri table politique de relations ext rieures Le Bureau d information charg de l accueil et de la r ponse aux demandes m rite une attention particuli re car il est pour beaucoup d utilisateurs la seule partie accessible de POER En premier lieu il faut rappeler que les observatoires travaillent en r seau Il suffit donc de s adresser celui de sa r gion pour acc der toute l information d ten
16. l tat A partir des sources disponibles principalement le r pertoire des entreprises et des tablissements de l INSEE et les statistiques fiscales il est proc d des exploitations des tin es pr senter les principales structures de cet appareil r partition des unit s par activit s par taille par r gion par cat gories urbaines rurales et l volution de ces structures notamment par les statistiques des cr ations et des radiations ou par des comparaisons de deux tats successifs des fichiers 2 L tude de la population active employ e par le commerce est galement entreprise partir de l ensemble des sources disponibles recensements d mographiques et enqu tes aupr s des m nages sur l emploi recensement des d clarations de salaires etc 3 Enfin il est proc d un rassemblement encore partiel des donn es disponibles sur le commerce dans les autres pays et une bauche de comparaisons internationales Ainsi les comptes commerciaux de la Nation offrent une synth se de l ensemble des informations statistiques qui exis tent sur le commerce Parce que l objectif de ces comptes est d tre le plus exhaustifs possibles ils constituent un appel la d couverte la production de statistiques plus nombreuses et plus s res Jean ALBERT Chef du Service des activit s tertiaires D partement Entreprises INSEE Sources documentaires 1 tude des circuits et des c
17. parc de logements d penses affect es ce secteur apr s s tre mis d accord sur les d finitions des notions de base Apr s ces d clarations liminaires le groupe de travail a examin les grands secteurs d indicateurs propos s par la GEWOS en consid rant les plus importants retenir compte tenu des dos siers d j disponibles La discusion a fait appara tre la n cessit d tudier au cours de r unions ult rieures les d finitions de base pr alables toute comparaison s rieuse en m me temps que celle d affiner les indicateurs retenus par le GEWOS et de les compl ter par d autres pr sentant des donn es brutes Textes tablis par Pierre de CASTELNAU Secr tariat des Questions internationales D partement de la Coordination statistique et comptable INSEE partir des comptes rendus des participants aux r unions 41 ASSOCIATION RHODANIENNE POUR L AVANCEMENT DE L ECONOMETRIE Structures conomiques et conom triques Du jeudi 21 au Samedi 23 avril s est tenu Lyon le Colloque Structures conomiques et Econom trie organis par l Asso ciation Rhodanienne pour l Avancement de l conom trie Les expos s avaient t partag s en six th mes conom trie appliqu e conom trie th orique conomie math matique th orie des jeux analyse syst mique et mod les conomiques de l environnement Vu le grand nombre et la diversit des des contributions nous ne pouvo
18. simples auxquelles on peut r pondre sur le champ et celles qui n cessitent une analyse approfondie et sont trait es sur rendez vous ou encore d velopper les contacts avec les asso ciations de professeurs pour viter d tre envahis par des classes enti res d l ves LE CAS PARTICULIER DE PARIS A lui seul l Observatoire conomique de Paris QEP re oit pr s de la moiti des demandes de l ensemble du r seau mais il ne dispose que de 20 des moyens consacr s la r ponse aux demandes Il est donc inutile que les provinciaux s adressent Paris leurs demandes seront syst matiquement renvoy es l OER de leur r gion o ils trouveront la m me information qu Paris Cette vive pression de la demande a impos l Observatoire conomique de Paris des modes d organisation permettant d absorber cet afflux de demandes Apr s l installation d un libre acc s r serv aux utilisateurs qui souhaitent uniquement consulter les publications ou les micro formes OEP installera dans le courant de l t 1977 un r pondeur t l phonique donnant en permanence les derni res valeurs des indices les plus couramment demand s Autre particularit l INSEE dispose Paris d un deuxi me centre d information ouvert au public Compl ment de l Obser vatoire conomique la division Biblioth que Documentation Archives peut accueillir les utilisateurs dans sa salle de lecture Elle est particuli rement bien ad
19. tes des pays il lui a t ainsi possible d obtenir l accord des directeurs g n raux sur les orientations propos es Quelques points particuliers restent encore en suspens parmi lesquels la liste d finitive des variables observer quelques unes ne pr sentent qu un int r t tr s faible pour certains pays et en ce qui concerne la France l inclusion dans l enqu te des tablissements commerciaux appartenant des entreprises de production La pr paration d un programme analogue portant sur les entreprises de services dont l int r t a t soulign par la France en avance il est vrai dans ce domaine n a pas rencontr d chos tr s favorables les autres pays font tat des difficult s inh rentes l tablissement de fichiers d entreprises dans ce secteur ou pr f rent attendre d avoir des r sultats concernant le commerce les moyens dont dispose l OSCE limitent ses possibilit s 3 les statistiques des transports L OSCE a soumis la Conf rence un cadre g n ral des statistiques relatives aux transports tabli pour rem dier aux d fauts r sultant de l accent mis jusqu pr sent sur certains aspects de ces statistiques au d triment d autres aspects les donn es actuellement disponi bles pr sentent des lacunes importantes se situent des niveaux de d tail tr s diff rents manquent parfois de compa rabilit Les directeurs g n raux ont approuv dans l ensemble ce cadre g n ral et
20. 26 Avril 1977 Cette r union pr sid e par M MALINVAUD portait sur trois questions concernant la technique de calcul de l indice et les tests de comparaison avec d autres sources 1 Le calcul des pond rations de l indice repose essentiel tr lement sur les comptes nationaux et les enqu tes de consommation Or le changement de base des comptes intervenu l an dernier a t marqu par des modifi cations substantielles des estimations de consommation et d autre part les enqu tes sur les budgets familiaux sont interrompues depuis deux ans Des questions ont donc t pos es sur la qualit des pond rations utilis es actuellement surtout si l on suppose que les consommations des m nages de r f rence de l indice ont subi depuis deux ans des changements importants Il a t r pondu que les donn es dont on dispose sur les revenus et sur certaines consommations ne font pas appara tre de bouleversements dans les structures de consommation des divers types de m nages On peut donc penser que les approximations servant au calcul des pond rations n introduisent pas d erreurs importantes ni surtout de biais syst matiques L effet de la structure des pond rations sur l volution de l indice est de toute fa on assez faible comme le montrent des calculs pr sen t s cette occasion Des tests de coh r nce ont t effectu s entre les donn es de l indice et des sources externes Ces tests
21. 46 Tribune Il ne s agit certes pas de laisser croire qu un syst me cor rect de rep rage de l volution des attentes et des perceptions subjectives des individus pourrait permettre de faire l co nomie d un syst me d enqu tes statistiques classiques Bien au contraire il faudra veiller ce que le d veloppement d enqu tes subjectives ne soit pas un alibi pour freiner les programmes statistiques Les deux syst mes doivent se d ve lopper simultan ment Force est bien de reconna tre cependant qu il n existe gu re pour le moment que des exp riences dans le domaine des enqu tes subjectives La plupart de ces enqu tes pr sentent l inconv nient d tre ponctuelles Les r ponses de telles enqu tes b ties chaque fois autour d un th me urgent ne permettent que d tablir une photographie instantan e fort difficile interpr ter dans la mesure o elle d pend tr s troitement de l instrument utilis formulation des questions et m me place de chacune d elles dans l ensemble du questionnaire I est fort rare en effet que deux enqu tes syst matiquement identiques aient t r p t es afin d analyser des volutions Mark ABRAMS du SSRC Survey Unit de Londres ou en France le Centre d Etudes des Revenus et des Co ts l ont fait Mais c est le plus souvent au coup par coup enqu te par enqu te que les r ponses sont analys es Certes les r sultats obtenus sont d j int ressants il
22. 824 datant de 1959 Depuis 1968 les renseignements ainsi collect s servent gale ment au contr le des changes qui a t r tabli en contre partie cet usage r glementaire accroit l exactitude des donn es recueillies dans la mesure o les banques sont tenues de demander des pi ces justificatives avant d effectuer des op rations Cette filiation entre contr le des changes et tablissement de la balance des paiements explique que ce document soit con u pour l essentiel en termes de r glements 3 et que l information soit collect e aupr s des organismes auxquels Vautorit en mati re de contr le des changes est d l gu e les interm diaires agr s c est dire les banques Depuis 1972 la Banque de France tablit galement une balance dite en transactions Toutefois cette nouvelle pr sentation s est r v l e tre une source de difficult s dans l appr hension de nos relations avec l ext rieur 4 C est pourquoi la direction du Tr sor pr occup e par ces probl mes a constitu plusieurs groupes de travail charg s d tudier les possibilit s d am lioration dans ce domaine 5 1 La collecte des renseignements utilis s pour tablir la balance en termes de r glements Les informations sur les r glements sont collect es pour l essentiel aupr s des banques encore que les op rations du Tr sor soient obtenues directement de la direction de la Comptabilit Publique et qu une vingt
23. F de ventes ou 150 000 F de prestations de services le r gime du forfait est utilis pour celles n exc dant pas le double de ces bornes le r el simplifi est admis pour les autres le formulaire utilis est celui du r el normal Il y a respectivement 1 million de forfaitaires 220 000 r els simplifi s et 330 000 r els normaux Repr sentant un volume global de 2 000 milliards de chiffres d affaires et 12 millions de salari s les unit s impos es au r el consti tuent le noyau dur des BIC les forfaitaires sont beaucoup moins importants 100 milliards de chiffres d affaires et moins de deux millions de salari s EAE Cinq enqu tes sont effectu es actuellement elles couvrent des degr s divers le b timent et les travaux publics l industrie y compris les industries agricoles et ali mentaires le transport et le commerce Elles comportent toute une analyse de la production r partition des ventes en NAP 600 et des facteurs de production travail et capital Certaines comportent au surplus des informations au niveau de l tablissement et la r partition des achats en NAP 100 Le sch ma ci contre montre les principes g n raux du syst me en place pour SUSE 1975 On devrait lui adjoindre pour tre exhaustif l exploitation d un chantillon trait en novembre d cembre de l ann e n 1 et portant sur 18 000 entreprises impos es au r gime r el normal B I C E A E
24. HUMBERT Approche socio conomique de la th orie du commerce international J MIRUCKI Proposition pour une strat gie d tude socio conomique R MALCOR Localisations des industries transports et imp ts sur l emploi J P BENOIT et alii Probl matique transports et locali sations O ARKHIPOFF Constatation d une impasse m thodologique quant aux probl mes d agr gation n cessit d un d tour s mantique Oleg ARKHIPOFF D partement de la Coordination statistique et comptable INSEE Centre d tudes et Recherches sur la Planification et l Analyse des conomiques 44 Journ es du mai VANNES ASU 23 25 Fond e il y a cinq ans l Association des Statisticiens Universi taires regroupe la plupart des statisticiens universitaires fran ais et compte aussi parmi ses membres une grande partie des statisticiens non universitaires pr occup s par les probl mes de l analyse statistique Les recherches des universitaires dans le domaine statistique sont le plus souvent destin es traiter de probl mes tr s concrets la demande de sp cialistes hydroloques m decins m t orologues voire conomistes Ces derniers ont recours la statistique pour tirer une information des donn es dont ils disposent Selon la nature de ces donn es et le type d informations recherch es les statisticiens sont a men s utiliser des m thodes sp cifiques A la limite on peut pr tendre
25. courts Ainsi partir des r sultats des enqu tes mensuelles sont calcul s huit indices indices de production indices de livraisons indices de stocks produc teurs indices de stocks des distributeurs gros et d tail indices de consommation de mati res premi res indices de stocks de mati res premi res indices de capacit de production et de degr d utilisation des capacit s de production Les chiffres provisoires sont publi s le 25 du mois n 1 les chiffres d finitifs le 15 du mois n 2 Les principaux r sultats de l enqu te industrielle annuelle sont quant eux publi s en novembre n 1 et ceux des recensements du commerce l automne n 1 Il serait fastidieux de d crire l ensemble des enqu tes statis tiques men es par le MITI qui comprend des investigations mensuelles annuelles ou biennales et quinquennales ainsi que des enqu tes particuli res sur les petites entreprises et sur les quipements Quatre op rations particuli rement impor tantes sont simplement pr sent es en annexe sous forme de fiches le recensement industriel annuel le recensement biennal du commerce les enqu tes courantes de production les enqu tes sur le commerce Ces descriptions montrent que l information statistique est au Japon une t che publique de grande envergure Paul DUBOIS Chef du d partement Entreprises INSEE 2 Tableau tabli tous les cing ans Le MITI tablit aussi des tableaux input out
26. d lais normaux de mise au point acc s des r sultats d taill s aux chercheurs d sireux de faire des r exploi tations plus fines Il y aurait d ailleurs int r t ce que l quipe responsable de cette op ration re oive syst matiquement copie des r sultats des enqu tes d opinion habituelles que les pouvoirs publics continueraient faire effectuer directement par les organismes priv s sp cialis s Elle constituerait ainsi progressivement un corpus d informations subjectives susceptible d apporter de nombreux mat riaux pour des analyses ult rieures J ai soutenu un tel projet lorsque j tais charg du service des affaires sociales au Commissariat du Plan et j ai propos que le Centre de recherche pour l tude et l observation des conditions de vie CREDOC en soit charg J ai pu v rifier depuis que je suis au Centre d Etude des Revenus et des Co ts l int r t que pr sente la r p tition de questions identiques le CERC va prochainement publier dans ses documents l ana lyse d enqu tes faites en 1970 1972 1974 et 1976 sur les connaissances et opinions des Fran ais dans le domaine des prix L Office Statistique des Communaut s Europ ennes va tenter une premi re exp rience en s appuyant pour la France sur l quipe que le CREDOC met en place autour de Jacques ANTOINE Je souhaiterais pour ma part que l INSEE appuie les efforts du Commissariat du Plan pour d velopper le syst me d enqu tes subject
27. d informations disparates ni de donner de ces infor mations une quintessence insuffisante Aux diff rentes tapes du processus le syst me dispense des sorties r pondant chacune des buts pr cis d une part sur le plan temporel d autre part qualitativement Dans l tape actuelle le syst me se r duit l utilisation de deux sources de la phase Il BIC et EAE mais il est suffisamment ouvert pour que d autres sources viennent s y adjoindre un jour Les diff rentes tapes SUSE 1975 Deux cat gories de fichiers primaires seront utilis s dans le SUSE 1975 le fichier des d clarations des b n fices indus triels et commerciaux et celui des enqu tes annuelles d entre prises Rappelons tr s bri vement le champ et le contenu de ces 20 Enqu tes statistiques Formulaires administratifs deux fichiers On pourra se reporter au volume E44 des Collections de l INSEE pour des informations compl men taires BIC fiscalement les b n fices industriels et commerciaux sont une cat gories de revenus et l exploitation de ces d clarations permet de cerner quasiment l ensemble des entreprises priv es non agricoles l exclusion des unit s r alisant des b n fices non commerciaux les professions lib rales en particulier Un certain nombre d absences apparaissent dans ce fichier pour des raisons purement fiscales coop ratives ports autonomes par exemple Pour les unit s r alisant moins de 500 000
28. d une brochure annuelle Statistiques r gionalis es permettant de cerner la part et les caract ristiques de l apport de chaque r gion dans le commerce ext rieur fran ais e Les statistiques de transport sont tablies annuellement Elles portent sur les modalit s selon lesquelles s effectue le transfert de la marchandise tant l ext rieur que sur le territoire fran ais mode de transport nationalit du v hicule etc Elles sont reprises dans deux publications Tableau g n ral des transports annuaire tr s d tail l Transport du commerce ext rieurs plus synth tique et accompagn de commentaires Il faut galement signaler que les r sultats sont transmis sur bande au d partement des Statistiques des Transports du minist re de l quipement qui les int gre dans sa banque de donn es SITRAM 1 e Par statistiques de gestion il faut entendre des renseigne ments mis la disposition des services ext rieurs des Douanes mais non du public en g n ral Il s agit l de faire redescendre information statistique au sein m me de l administration o elle est collect e d La cellule technique est compos e d un attach de l INSEE et d un statisticien recrut sur contrat rattach s directement au chef de bureau Sa mission est de d velopper l emploi des techniques statistiques au sein du bureau et de la Douane Elle a donc une position horizontale par rapport aux autres cellul
29. de questionnaires ont t mis au point et ont t soumis aux administrations et aux organisations profession nelles int ress es au cours de r unions organis es partir du mois de novembre 1976 Ces consultations ont permis de mettre au point le projet tel qu il a t pr sent au Conseil National de la statistique le 18 avril dernier Une enqu te pilote l g re a t lanc e ce m me mois avril 1977 aupr s d environ 2000 d taillants et interm diaires du commerce les grossistes d j interrog s dans l enqu te courante en tant exclus afin de s assurer de la validit des questions propos es L ann e 1977 sera consacr e la mise au point du syst me d exploitation de l enqu te Les administration et les organi sations professionnelles seront nouveau consult es pour la mise au point des tableaux de r sultats au cours du second semestre de 1977 1 Le champ de l enqu te Ce champ assez extensif doit porter sur les secteurs suivants en r f rence la nomenclature d activit s et de produits NAP 3840 Boulangerie p tisserie 3850 P tisserie 57 59 Commerce de gros 60 Interm diaires du commerce 61 64 Commerce de d tail 65 R paration et commerce de l automobile A noter que m me au moment de sa plus grande extension l ancienne enqu te n a jamais touch les interm diaires du commerce Il n est pas exclure que les r parations diverses code activit 66 soient ajout
30. des familles populaires au d veloppement des quipements collectifs susceptibles de prendre en charge la production domestique non marchande La publication des communications pr sent es la Table Ronde de Royaumont se fera dans un volume qui para tra vers la fin de l ann e 1978 45 POUR LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME D ENQUETES SUBJECTIVES sur les aspirations et les perceptions individuelles concernant les conditions de vie Le syst me d enqu te aupr s des m nages s est progressivement tendu l ensemble des domaines observables que certains appellent objectifs Les statisticiens ont cependant jug utile de faire figurer dans quelques enqu tes des questions subjectives Ainsi les questionnaires des enquetes inten tions d achats comprennent ils une s rie de questions sur les opinions des personnes enqu t es concernant leur situation financi re pass e pr sente ou venir ainsi que la perception qu ils ont de l volution de l emploi et des prix L exp rience a montr que la connaissance de l volution de la r partition des r ponses obtenues ces questions subjectives permet tait de mieux comprendre et donc de mieux pr voir certains comportements Plus g n ralement les enqu tes de conjoncture effectu es depuis plus de vingt ans aupr s des chefs d entreprise notam ment industriels montrent que les r ponses des questions simples to
31. des informations statistiques du secr tariat d tat l a a division de la statistique du minist re du travail division des tudes conomiques et statistiques de la direction de las sciale du minist re du travail service des tudes informatiques et statistiques du minist re de l ducation et du secr tari aux universit s division de la statistique du minist re de la justice mission de statistique et d analyse financi res de la les collectivit s locales du minist re de l int rieur cellule statistique du secr tariat d tat la fonction publique service s et recherches du secr tariat d tat la culture division des donn es conomiques et statistiques du minist re de la qual Vie division de la statistique du secr tariat d tat la jeunesse et aux sports division de la statistique du secr tariat d ti me mission d organisation et d exploitation statistique et informatique du secr tariat d tat aux anciens combattants bu atistiques de la direction g n rale des douanes et des droits indirects du minist re de l conomie et des finances institut 3 la statistique et des tudes conomiques direction g n rale directions r gionales services r c servatoif 3s r gionaux centres nationaux de traitement services statistiques des d partements d outre mer tral des e ides statistiques du minist re de l agriculture service du traitement de l information et des statistiqu SF es du mi adu
32. du consommateur portugais et projection de consommation Relations du Service Coop INSEE avec Overseas Development Agency 39 COMMUNAUTES EUROPEENNES Conf rence des directeurs g n raux des Instituts nationaux des statistiques La Haye 4 au 6 mai 1977 Repr sentants de l INSEE M MALINVAUD directeur g n ral M H BERT Dans le but d assurer la bonne ex cution du travail statistique communautaire le directeur g n ral de l Office statistique des Communaut s europ ennes r unit deux fois par an mai et novembre les directeurs g n raux des Instituts nationaux de statistique des pays membres la r union d automne se tient dans une des villes si ges des Communaut s Bruxelles et Luxembourg alternativement la r union de printemps a lieu traditionnellement tour tour dans les capitales des tats en mai 1977 la Conf rence s est r unie au Centraal Bureau voor de Statistiek Voorburg Pays Bas Les sujets inscrits l ordre du jour taient 1 la r organisation des enqu tes de prix Ces enqu tes dont la premi re remonte 1954 dans le cadre de la CECA avaient jusqu maintenant pour objectif d une part des comparaisons internationales de prix pour des produits sp cifiques d autre part le calcul des taux de parit s de pouvoir d achat relatives aux produits entrant dans la consommation des m nages en vue de comparer le niveau des r mun rations dans les divers pays de la Communaut L
33. du secr tariat d tat aux anciens combattants bureau des si le la direction g n rale des douanes et des droits indirects du minist re de l conomie et des finances institut national di e et des tudes conomiques direction g n rale directions r gionales services r gionaux observatoires conomig centres nationaux de traitement services statistiques des d partements d outre mer service central des enqu tes et t iques du minist re de l agriculture service du traitement de l information et des statistiques industrielles du minist re de de la recherche service des statistiques et des tudes conomiques du minist re de l quipement d partement des statis insports du secr tariat d tat aux transports d partement des statistiques de la sant et de l action sociale du minist re d bureau des informations statistiques du secr tariat d tat l action sociale division de la statistique du minist re du tray m des tudes conomiques et statistiques de la direction de la s curit sociale du minist re du travail service des tudes jes et statistiques du minist re de l ducation et du secr tariat d tat aux universit s division de la statistique du minist ice mission de statistique et d analyse financi res de la direction g n rale des collectivit s locales du minist re de l int ri statistique du secr tariat d tat la fonction publique service des tudes et recherches du secr tar
34. enfin t soulign que si la Commission a l obligation de r duire au maximum les obstacles au libre change des mar chandises l int rieur de la Communaut une simplification outranci re des syst mes actuels entra nerait dans certains domaines une perte totale d information Un compromis satisfaisant doit tre trouv au niveau de la Commission entre le besoin d information et le besoin de simplification des proc dures 4 Le projet de troisi me programme statistique de la Commis sion 5 L tat d avancement des travaux Ces deux derniers points ont t trait s ensemble le programme statistique tant un programme glissant les r unions annuelles doivent tenir compte du d roulement des travaux ant rieurement entrepris Les lignes g n rales du projet de 3 me programme ont t approuv es compte tenu de certaines observations faites par divers directeurs g n raux Parmi les points saillants de cet examen des travaux on note l importance pour les statisticiens de suivre l action engag e par la Commission pour la normalisation des comptabilit s d entreprises les doutes mis sur l opportunit d adjoindre l enqu te sur les forces de travail 1979 des questions suppl mentaires ducation et formation professionnelles les grandes r serves exprim es par un certain nombre de directeurs g n raux sur l ampleur et le d veloppement des travaux sur les comptes sociaux
35. gories d h tel et pour certains d partements on arrivait des constats terrifiants Ce n tait plus par deux qu il fallait majorer les r sultats mais par 3 par 4 par 5 Les utilisateurs n en taient pas moins fermement attach s leurs s ries habituelles tel point qu une circulaire visant en r duire le service provoquait un toll g n ral de toutes les provinces et jettait les professionnels dans la conternation 1974 voit la suppression des fiches de police pour les Fran ais seulement Les h teliers qui souhaitaient conserver ce syst me associent tats statistiques mensuels et fiches de police alors que ceux ci n ont entre eux qu un lien tr s l che et expriment leur m contentement en fournissant de moins en moins de donn es Le d partement des statistiques d cida alors de modifier son syst me de collecte Un nouveau climat souhait Il restait mettre en place un dispositif r nov capable de secr ter une nouvelle g n ration de donn es Pour cela il tait indispensable de tenter une transformation du climat dans lequel se faisait cette collecte et remplacer la contrainte par le dialogue A cet effet on a adopt les dispo sitions suivantes suppression de l intervention de la police et de la gendar merie pour le recueil des d clarations mensuelles r gionalisation de l enqu te participation au lancement et l animation de l op ration d interlocuteu
36. hension de la logique de d veloppement des groupes manque de d finition l gale du groupe difficult s de consolidation dues un manque d infor mations sur les flux internes au groupe Il n est possible d effectuer des consolidations que sur des variables additives Ainsi est apparue la n cessit de d finir d une mani re plus homog ne et plus exhaustive l objet statistique groupe Les travaux engag s portent maintenant sur la constitution d une base de donn es sur les groupes en 1974 afin d tablir une image plus compl te de l activit des groupes en France Ce programme d tudes a suscit beaucoup d int r t de la part des participants la r union A cette occasion le pro bl me du secret statistique a t abord plusieurs parti cipants ont souhait que le CNS se pr occupe de cette question Au cours de la r union pl ni re qui s est tenue le 17 juin M MALINVAUD a annonc que ce probl me serait d battu au cours d une prochaine r union de la formation syst me productif 1 Les r sultats de cette analyse ont t publi s dans le n 87 d conomie et statistique de mars 1977 e La connaissance insuffisante que l on a des stocks de l in dustrie et du commerce est une lacune importante du syst me statistique sur les entreprises dont l effet est parti culi rement grave en p riode de crise conomique Dans le but de combler cette lacune l INSEE tudie la pos
37. jours 3 semaines 1 mois 1 mois 2 mois 2 mois 2 mois 15 jours 10 jours 15 jours 5 semaines 1 mois 3 semaines 1 mois 5 jours 3 semaines 2 jours 2 jours 2 jours Janv F v 77 F vrier 77 Avril 77 Juin 77 AFRIQUE NOIRE F vrier 77 Janvier 77 F v Mars 77 Avril Mai 77 Avril Mai 77 Avril Mai 77 Avril 77 Mai 77 Mai 77 Juin Juil 77 AM RIQUE LATINE F v Mars 77 Mars 77 Mai 77 EUROPE Avril 77 Avril Mai 77 Avril 77 Avril 77 Mai 77 Enseignement comptabilit nationale Participation aux op rations du recensement alg rien Enseignement comptabilit nationale Organisation de l Institut statistique Sondage d mographique Appui technique pour laboration de comptes conomiques Enqu te sur les d penses des m nages Mission BIT Etude sur le march financier de la r gion Contr le relev s des prix Comptabilit nationale Participation au conseil d Adm de l cole statistique Kigali R organisation service statistique Contr le relev s des prix Enqu te emploi Programme statistiques sociales Assistance pour l laboration d un TEI r gional Groupe d experts cartographie Statistique et terminologie Am nagement du territoire Travaux de comptabilit r gionale Coordination des programmes et organisation de sessions Enqu tes budgets consommation Etude motivation
38. l INSEE doit contribuer la r alisation de celui ci en prenant sa charge une tr s importante partie des traitements informatiques et de l la boration des tableaux de r sultats sous la forme d tat m cano graphiques ou de microfilms 4 Cette organisation est sensiblement analogue celle du recen sement pr c dent Les principales tapes Le calendrier de r alisation s tablirait comme suit mise au point d un avant projet technique pour l ensemble essais de questionnaires fin septembre 1977 consultation des services pr sen tation de l avant projet devant le Conseil national de la statistique septembre octobre 1977 synth se des r ponses octobre novembre 1977 mise au point du questionnaire d finitif d cembre 1977 mise au point du programme des tableaux janvier 1978 parution du d cret fixant les conditons de r alisation du recen sement f vrier mars 1978 op rations de mise jour en mairie pr paration envoi des enqu teurs pr paration des listes d exploitations juin 1978 juin 1979 enqu te sur le terrain septembre 1979 mars 1980 saisie apurement r sultats pr li minaires novembre 1979 octobre 1980 r sultats d finitifs partir du ler trimestre 1981 Les nouveaut s pr voir Compte tenu de la n cessit de poursuivre autant que possible le plus grand nombre de s ries par rapport aux recensements pr c dents la part d innovation q
39. le nombre de jours ouvr s les stocks la fin de chaque trimestre etc 16 Mission l Office of Population Censuses and Surveys Grande Bretagne ORGANISATION G N RALE Le syst me statistique britannique se caract rise par une d cen tralisation accentu e De nombreux d partements minist riels poss dent leur propre service statistique en outre deux orga nismes sp cifiques assurent la r alisation d enqu tes le Business Statistical Office pour les entreprises l Office of Population Censuses and Surveys OPCS pour les individus et les m nages L action de ces diff rents services est coordonn e par le Central Statistical Office Les activit s de l OPCS sont tr s tendues il r alise en effet les recensements et les enqu tes mais tient aussi l tat civil et a la responsabilit des tudes d mographiques Au sein de cet Office la division des enqu tes sociales Social Survey est responsable des enqu tes aupr s des m nages Trois caract ristiques essentielles de l OPCS feront ressortir les diff rences avec le syst me fran ais e La division des enqu tes sociales a pour seul r le de r aliser et de d pouiller des enqu tes l initiative de celles ci ne lui revient pas mais elle agit la demande des diff rents d partements minist riels ou d organismes publics Les travaux d exploitation de donn es administratives et d tudes conomiques ne sont pas de son ressor
40. le plan des priorit s qui tait propos La France a cependant protest contre la refonte globale du syst me dans le domaine des transports terrestres refonte qui se traduit dans un premier temps par un retour en arri re certain disparition de la dimension interr gionale risque d inutilit de la modification des formulaires douaniers obtenue r cemment pour satisfaire la Directive 69 467 M LE GOY directeur g n ral des Transports la Commission a expos les besoins statistiques qu entraine la politique com munautaire des transports et indiqu son souhait d utiliser au maximum les donn es d j disponibles en ayant recours le moins possible des enqu tes nouvelles S agissant particu li rement du projet en cours d tablissement d indicateurs de march il a t pr cis et la France est bien d accord sur ce point que les travaux nouveaux ventuels devraient s ins rer dans le programme statistique et tre discut s au Comit de coordination des statistiques de transports ainsi qu la Conf rence des directeurs g n raux La France a manifest son d saccord sur la substitution comme unit statistique pour le transport des marchandises de la notion de v hicule porteur par laquelle on suit plut t l activit des transporteurs celle de v hicule porteur qui permet de suivre le mouvement des marchandises eta demand que ce probl me soit r examin par le groupe de travail Il a
41. les rythmes d volution sont suffisam ment rapides pour qu il soit int ressant de les observer chaque ann e Cette enqu te sera compl t e par une partie tournante constitu de 3 questionnaires triennaux chacun de ces questionnaires tant envoy tour de r le aux entreprises interrog es dans l enqu te annuelle de mani re ce qu un seul questionnaire triennal soit envoy chaque ann e Une deuxi me innovation porte sur le questionnaire de l enqu te r alis e annuellement Certaines des questions que l on pose ne concernent manifestement que les entreprises dot es d une solide comptabilit entreprises impos es d apr s le b n fice r el normal Il a donc t d cid d tablir comme pour la nouvelle enqu te dans les Services deux types de questionnaires l un destin aux entreprises relativement importantes Questionnaire G n ral ou Q S l autre moins d taill pour les entreprises plus petites Questionnaire Simplifi ou Q S Le questionnaire simplifi sera en principe r serv aux entreprises de moins de 20 salari s La structure des questionnaires dans l tat actuel du projet est la suivante Questionnaire g n ral annuel Q G S 1 Caract ristiques de l entreprise 2 Conditions d exercice de l activit 3 Effectifs et r mun rations 4 Compte d exploitation g n rale et renseignements compl mentaires chiffre d affaires r partition des d penses 5
42. par an et a pour objectifs une coordination des actions d assis tance technique en mati re de statistique conomie et pr vision macro conomique court et moyen terme ainsi qu une am lioration du dialogue entre les techniciens de ces domaines d action et les minist res charg s des relations avec les pays trangers Il est en outre une structure de communication permanente entre les membres du groupe concernant des points pr cis d intervention dans un pays donn Au cours de sa br ve existence ce groupe a entrepris la r dac tion de fiches techniques d crivant des possibilit s d inter vention de courte dur e dans les domaines de la statistique et de la pr vision court et moyen terme Ces fiches portent sur les th mes suivants Pr vision court terme Comptabilit Nationale Planification Statistiques d entreprises valuation de projets Statistiques scolaires Enqu te artisanat Enqu tes agricoles Enqu tes d mographiques Enqu tes budgets consommation Comptabilit nationale Fichiers d enqu tes Fichiers de villages Enqu tes socio conomiques Enqu tes emploi Planification DOIDA gt UD ND d dh al aih do O O1 B 9 N Il a guid la mise en place du centre de Perfectionnement l conomie et aux finances CEPEF Cr au sein de l Institut international d Administration publique le CEPEF s adresse des fonct
43. que chaque jeu de donn es demande l laboration d une m thode d analyse sp cifique Cette approche de la m thode statistique s av re extr mement fructueuse et depuis une dizaine d ann es il est clair que les statisticiens fran ais ont labor des outils tr s pr cieux et tr s vari s pour le traitement des grands ensembles de donn es Le colloque annuel de l ASU poursuit deux buts essentiels Le premier est d offrir une tribune permettant la pr sentation des travaux r cents dans le domaine de l analyse statistique Cette ann e l accent a t mis sur le d veloppement de nouvelles m thodes d estimation lin aire en particulier dans le domaine des s ries temporelles sur les progr s de l analyse des donn es Parall lement le point a t fait sur les m thodes de classification automatique Le second objectif est d organiser la circulation de l informa tion sur les recherches en cours Dans ce but I ASU dite la revue Statistique et Analyse des Donn es 1 Chaque num ro comporte en principe des annonces et informations des pr sentations d quipes de recherche des articles th o riques et des articles d applications Les prochaines journ es auront lieu NICE en mai 1978 Jean Claude DEVILLE D partement Population m nages INSEE 1 Vente au num ro et abonnements M J M BOUROCHE tr sorier de l ASU 4 rue G Millandy 92360 Meudon la For t Les articles doivent tre envoy s Y
44. quences politiques et juridiques de la r gionalisation Th me No 2 les grands projets interaction entre d cideurs tude du cas des voies navigables Les diff rents aspects de la d cision publique sont examin s sur des exemples pratiques actuels et historiques Expos s de MM GAMBLIN Universit de Lille GILLET Universit de Lille IV HOTTES Ruhr Universitaet REITEL Uni versit de Metz TIETZE Geocollege Wolfsburg Theme No 3 coordination des politiques budg taires natio nales au sein de la CEE L analyse r gionale est transpos e au niveau sup rieur de la nation qui devient r gion pour la Communaut Mile KONINGS Universit Libre de Bruxelles pr sente un mod le de finance publique CEE MM LANNES STRASSER VAN DEN BEMPT examinent les probl mes budg taires sous l angle communautaire Mme NEME Paris II expose une th orie de la norme budg taire M STEVERS Katholieke Hogeschool Tilburg tudie les cours des comptes dans la CEE M MAILLET Directeur du CIRSH analyse les rapports entre modele de soci t et sa transcription budg taire Enfin notons l expos introductif de M NIVEAU Universit de Lille sur la centralisaton oppos e la d centralisation et l expos pr sidant la discussion g n rale finale de M DEYON Universit de Lille III suggestions pour des recherches futures et commentaires divers Oleg ARKHIPOFF D partement d
45. rale et de grande surface le commerce de d tail alimentaire de proximit ou sp cialis le commerce de d tail non alimentaire non sp cialis le commerce de d tail non alimentaire sp cialis avec quelques subdivisions l int rieur de ces groupes Les comptes du commerce de gros sont de fabrication beau coup plus r cente Ils permettent de distinguer 3 secteurs commerce de gros alimentaire non alimentaire et inter industriel 2 Les comptes tablis sont des comptes de production et d exploitation Les premiers font tout d abord appara tre la valeur de la production du commerce comme terme de l galit suivante Production du commerce Marges commerciales brutes Services divers Chiffres d affaires variation des stocks Achats pour la revente et ensuite la valeur ajout e par le secteur commercial Valeur ajout e Production Consommation interm diaire Le compte d exploitation met en vidence la formation du Revenu Brut d Exploitation Revenu Brut d Exploitation Valeur ajout e brute Charges d exploitation charges salariales fiscales int r ts frais d assurance etc IV TRAVAUX DIVERS 1 La Commission des Comptes Commerciaux de la Nation apporte le plus grand int r t l tude de ia paran commer cial ou ensemble des entreprises et des tablissements ayant 24 pour objet principal une activit d achat revente de produits en
46. re du Travail qui les utilise des fins statistiques Les informations ainsi recueillies permettent d obtenir deux types de r sultats d une part des donn es globales concernant la branche d activit travail temporaire nombre d entreprises nombre de contrats conclus mensuellement avec les utilisateurs de personnel int rimaire nombre de semaines de travail correspondantes effectif moyen quotidien des int rimaires en mission d autre part des donn es plus d taill es permettant de r pondre aux questions quelles sont les branches utilisa trices de personnel int rimaire Quels emplois occupent les int rimaires lors de leurs missions Quelle est la dur e pr vue des missions lors de la conclusion des contrats Travaux en cours Fichier des tablissements de travail temporaire Les d clarations effectu es par les entrepreneurs de travail temporaire l occasion des principaux mouvements affectant l entreprise sont utilis es pour la tenue d un fichier des tablissements de travail temporaire Par rapport au fichier SIRENE ce fichier pr sente l avantage de ne comporter aucun risque d erreur quant l identifi fication de la nature travail temporaire de l activit exerc e Exploitation des relev s mensuels des contrats conclus avec les utilisateurs Il n tait gu re possible d envisager une exploitation mensuelle exhaustive et d taill e des relev s transmis par l Inspection du trav
47. revenus Il souhaite d autre part que les orientations en mati re de travaux r gionaux soient connues assez tot pour que ses membres puissent ventuellement faire valoir les demandes des orga nismes qu ils repr sentent questions ou d pouillements sp cifiques besoins particuliers d information statistique cette proc dure ne remettrait pas en cause le principe que les r gions ont la pleine initiative de leurs travaux le groupe ne voulant pas du tout proposer l laboration centrale d un programme Pour satisfaire ces v ux la d cision a t prise d organiser avant la fin de 1977 une nouvelle r union au cours de laquelle seront pr sent es les orientations de travaux de statistique r gionale pour 1978 L ordre du jour comportera galement deux points non trait s dans cette s ance l implantation des services statistiques r gionaux de l quipement de la sant de l ducation et la pr sentation de ZOE SIECLE Enfin de nouveaux efforts seront faits pour une concertation plus compl te entre les diff rentes instances locales int ress es par les statistiques r gionales et pour am liorer la coordination entre travaux men s l chelon national et travaux men s l chelon r gional d une part et entre travaux similaires men s au niveau r gional par plusieurs r gions d autre part Claude WAGNER Secr taire G n ral adjoint du CNS INSEE our le TRAVAIL TEMPORAIRE Il n existait jusqu
48. scolaire d concentration de l tablissement de la carte scolaire au niveau du recteur assouplissement du principe maintenu de la fr quentation de l tablissement du secteur Le calendrier envisag pr voit apr s une synth se nationale la promulgation par les responsables r gionaux des cartes scolaires r gionales apr s avis consultatif de diff rentes instances comit r gional de la formation professionnelle de la promotion sociale et de l emploi assembl es r gionales avant le 31 d cembre 1978 Pierre MONDON Chef de la division service central de statistiques et sondages Minist re de l ducation et Secr tariat d tat aux Universit s R f rences D cret 71 449 du 11 juin 1971 Notes et tudes documentaires n 3958 docu mentation fran aise Document statistique n 4007 du SCSS minis t re de l ducation La r novation de ENQUETE ANNUELLE dans le COMMERCE L enqu te annuelle d entreprise dans le commerce lanc e pour la premi re fois en 1972 a t tendue d s l ann e suivante la plus grande partie du commerce le champ complet commerce et artisanat commercial boulangeries commerce des viandes r paration automobile tant couvert dans l enqu te r alis e en 1975 Une extension aussi rapide a pos de nombreux et de s rieux probl mes ceux ci ont conduit en particulier un allongement important des d lais de publication des r sultats Par aille
49. voir dispa raitre de nombreuses informations actuellement disponibles du fait de la r forme des enqu tes de branches 26 Conseil national de la statistique Il semble aux repr sentants du CNPF qu il serait possible d int grer dans le syst me mis en place par l administration certaines enqu tes effectu es de fa on satisfaisante par les syndicats professionnels M MALINVAUD indique que le niveau de d tail pr vu dans le nouveau syst me sera dans l ensemble comparable celui des enqu tes actuelles L all gement de certaines enqu tes permet tra d am liorer la qualit et la rapidit d exploitation de ces enqu tes La couverture de l ensemble du champ et l homo g n it des questionnaires enrichira consid rablement l infor mation en permettant des totalisations et des rapprochements qui ne sont pas possibles actuellement Par ailleurs il semble que trop peu d efforts soient consacr s aux entreprises de moins de 10 salari s En ce qui concerne le commerce il est regrettable que la mise jour du r pertoire SIRENE ne soit pas pr vue avant 1981 Enfin le Conseil tient manifester dans un avis son ingui tude devant la r duction du programme des enqu tes sur les conditions de vie des m nages Avis du Conseil National de la Statistique Le Conseil National de la Statistique tout en ayant pris note des projets expos s par l INSEE pour 1977 et 1978 r affirme la suite de la Formati
50. 01 64 Paris DR ILE DE FRANCE Essonne Hauts de Seine Paris Seine Saint Denis Seine et Marne Val de Marne Val d Oise Yvelines 12 rue Boulitte 75675 PARIS CEDEX 14 T l 539 22 77 Poitiers D R POITOU CHARENTES Charente Charente Maritime Deux S vres Vienne 5 rue Sainte Catherine 86020 POITIERS CEDEX T l 88 31 69 Reims D R CHAMPAGNE ARDENNE Ardennes Aube Marne Haute Marne 1 rue de l Arbal te 51084 REIMS CEDEX T l 88 24 12 Rennes D R BRETAGNE C tes du Nord Finist re Ille et Vilaine Morbihan Immeuble Le Colbert 36 Place du Colombier 35031 RENNES CEDEX T l 30 91 90 Rouen D R HAUTE NORMANDIE Eure Seine Maritime 8 quai de la Bourse 76043 ROUEN CEDEX T l 98 43 50 Strasbourg D R ALSACE Bas Rhin Haut Rhin Cit administrative rue de l H pital militaire 67084 STRASBOURG CEDEX T l 34 52 62 Toulouse D R MIDI PYR N ES Ari ge Aveyron Haute Garonne Gers Lot Hautes Pyr n es Tarn Tarn et Garonne 32bis rue des 36 Ponts 31054 TOULOUSE CEDEX T l 53 36 36 SERVICE STATISTIQUES DES D PARTEMENTS D OUTRE MER Service Inter r gional ANTILLES GUYANE B P 863 97175 POINTE A PITRE CEDEX T l 82 42 20 Service Statistique de la GUADELOUPE Chemin du Petit Paris B P 96 97102 BASSE TERRE T l 81 17 86 Service Statistique de la GUYANE B P 757 97305 CAYENNE CEDEX T l 31 12 79 Service Statistique de la
51. FOUQUET JM CHARPIN H GUILLAUME PA MUET D VALLET DMS mod le de pr vision moyen terme conomie et Statistique n 79 Juin 76 18 Outils statistiques Comme tout mod le macro conomique DMS d crit les inter actions entre la demande la production et l emploi et la for mation des prix et des revenus L analyse de la dynamique conomique qui sous tend l architecture du mod le DMS est ax e sur deux aspects principaux de cette dynamique La dynamique physique de la formation de la capacit de production offre et les conditions dans lesquelles se r alise l quilibre entre cette offre et la demande de biens et de services consommation investissements variations de stocks demande des administrations commerce ext rieur La dynamique en valeur passant par la formation du capital valoriser et la distribution des revenus salaires profits int r ts imp ts Deux indicateurs le taux d utilisation des capacit s de pro duction et le taux de profit r sument chaque instant les tensions existant dans chacun de ces domaines LES MODES D UTILISATION DU MODELE L utilisation d un mod le tel que DMS suppose un travail pr alable de d finition des variables exog nes n cessaires son fonctionnement Cette premi re tape n cessite le plus souvent une intervention des unit s d analyse comp tentes de l INSEE et de la direction de la Pr vision et de groupes de travail ad hoc r unies
52. LE Observatoire conomique du Limousin 38 rue Fran ois Chenieux 87 031 LIMOGES cedex Observatoire conomique Rh ne Alpes Cit Administrative de la Pardieu 69 401 LYON cedex 13 Observatoire Economique de Provence Alpes C te d Azur 10 rue L on Paulet 13 285 MARSEILLE cedex 2 Observatoire conomique Languedoc Rousillon Cit administrative caserne Joffre 34 064 MONTPELLIER cedex Observatoire conomique de Lorraine 34 quai Claude le Lorrain 54 014 NANCY cedex Observatoire Economique de la Loire 5 Bd Louis Barthou 44 037 NANTES cedex Observatoire conomique du Centre 43 avenue de Paris 45 018 ORLEANS cedex Observatoire conomique de Paris Tour Gamma 195 rue de Bercy 75 582 PARIS INSEE Division BDA 3 18 Bd A Pinard 75 675 PARIS cedex 14 Observatoire conomique Poitou Charentes 1 place Aristide Briand 86 020 POITIERS Observatoire Economique de Champagne Ardenne 1 rue de l Arbal te 51 084 REIMS Observatoire conomique de Bretagne 36 Bd du Colombier 35 031 RENNES cedex Observatoire conomique de Haute Normandie 8 quai de la Bourse 76 043 ROUEN Observatoire conomique d Alsace 14 rue A Seyboth 67 084 STRASBOURG Observatoire conomique Midi Pyr n es 32 bis des 36 Ponts 31 054 TOULOUSE cedex 21 25 80 Alain VIENOT 1 ECONOMIE Corse AMIENS 913187 Jean Marie CHOPIN RELAIS statistique de l conomie Picarde BESA
53. MARTINIQUE Lotissement Pointe de Jaham Schoelcher B P 605 97261 FORT DE FRANCE CEDEX T l 71 71 79 et 80 Service Statistique de la R UNION Rue de l cole Chaudron 97487 SAINT DENIS CEDEX T l 21 36 81 HT 4 E E ERAS PESO NARRA ES VULI GI FIULINVIIQUNA Lib LEGIPEN TRENT ER UVEY PURA NIM NIUE VENTA VENENOS MAR RIRE DES am er mm cm rm mm im io Le al des enquetes et Puca statistiques du minist re de agriculture service du traitement de information et des st Hour faction E du minist re de la sant bureau des informations statistiques du secr tariat d tat l action sobi n de la statistique du minist re du travail division des tudes conomiques et statistiques de la direction de la s curit st re du travail service des tudes informatiques et statistiques du minist re de l ducation et du secr tariat d tat aux s division de la statistique du minist re de la justice mission de statistique et d analyse financi res de la direction g n r llectivit s locales du minist re de l int rieur cellule statistique du secr tariat d tat la fonction publique service des t rerches du secr tariat d tat la culture division des donn es conomiques et statistiques du minist re de la qualit de n de la statistique du secr tariat d tat la jeunesse et aux sports division de la statistique du secr tariat d tat au touri n d o organisation et d exploitation statistique et informatique
54. NCON REFLETS de l conomie Franc Comtoise Fran ois LIMET 1 BORDEAUX VUES sur l conomie d Aquitaine 08 58 17 Jean Luc ESCHAUZIER 86 1356 Jean Pierre DELISLE STATISTIQUES pour l conomie Normande CLERMONT FERRAND 93 87 50 Bernard NANOT LE POINT conomique de l Auvergne DIJON DIMENSIONS conomiques de la Bourgogne 05 31 45 Alain BOUVY PROFILS de l conomie Nord Pas de Calais Claude ARQUEMBOURG LIMOGES DONN ES statistiques du Limousin 77 16 11 Raymond DESFORGES 63 22 01 Jacques BERTHERAT POINTS D APPUI pour l conomie Rh ne Alpes MARSEILLE SUD Information conomique Provence C te d Azur 76 42 20 Andr de LOS SANTOS MONTPELLIER REPERES conomiques du Languedoc Roussillon 72 98 67 Jean Marc CALVAT LES DOSSIERS de l conomie Lorraine 24 13 07 Marc TAPIERO 2 NANTES Patrick MARESCHAL STATISTIQUE et d velop pement Pays de la Loire 47 11 90 ORLEANS INDICATEURS de l conomie du Centre 87 71 08 Claude BASSO Bernard GENTIL ASPECTS statistiques de l ile de France 345 70 75 540 11 70 Bernard CHEVALIE
55. R POITIERS RESULTATS statistiques du Poitou Charentes DOUBLE POINT information conomique Champagne Ardenne 88 31 69 Nicole CONSTANT REIMS B8 24 12 Mich le DEBONNEUIL RENNES OCTANT Cahiers statistiques de la Bretagne 30 91 90 Henri le POLOTEC ROUEN STATISTIQUES pour l conomie Normande 98 43 50 Alain Le GLEAU STRASBOURG 32 03 18 Laurent KAMMERER CHIFFRES pour l Alsace TOULOUSE STATISTIQUES et TUDES Midi 53 36 36 Ghislain VERGNES 1 Alain VIENOT et Fran ois LIMET sont Chefs des Services R gionaux 2 A compter du 1er sestembre 1977 de l INSEE 3 BDA Biblioth que Documentation Archives 11 Cr ation d une cellule statistique la direction du personnel et des services g n raux Le 1er septembre 1976 une cellule statistique a t mise en place la direction du personnel et des services g n raux du minist re de l conomie et des Finances sous direction de l Organisation et du Budget Cette cellule est dirig e par un attach de l INSEE Ses missions sont les suivantes valuer les besoins en mati re statistique des bureaux de la direction mais galement leurs possibilit s en tant que fournisseurs de donn es chiffr es traiter l information c est dire la recueillir la v rifier et la mettre en forme
56. a Direction de l Action Sociale 9 avenue de Lowendal 75700 PARIS T l 567 55 44 S curit Sociale Sant Division des tudes conomiques et Statistiques 1 Place de Fontenoy 75700 PARIS T l 567 55 44 Tourisme Division de la Statistique 92 rue de Courcelles 75008 PARIS T l 766 51 35 Transports Services des Affaires conomiques et Internationales D partement des Statistiques des Transports 21 rue Mathurin R gnier 75732 PARIS CEDEX 15 T l 566 93 56 Travail Service des tudes et de la Statistique Division de la Statistique 1 Place de Fontenoy 75700 PARIS T l 567 55 44 DIRECTIONS R GIONALES ET SERVICES R GIONAUX DE L INSEE Ajaccio S R CORSE Corse du Sud Haute Corse 1 R sidence du Parc Belv d re B P 40 20176 AJACCIO CEDEX T l 21 25 80 Amiens S R PICARDIE Aisne Oise Somme 2 rue Robert de Luzarches 80026 AMIENS CEDEX T l 91 31 87 l Besan on S R FRANCHE COMT Doubs Jura Haute Sa ne Territoire de Belfort 2 rue de l Industrie 25042 BESANCON CEDEX T l 80 19 34 Bordeaux D R AQUITAINE Dordogne Gironde Landes Lot et Garonne Pyr n es Atlantiques 41 rue des Sabli res 33076 BORDEAUX CEDEX T l 91 02 35 Caen S R BASSE NORMANDIE Calvados Manche Orne 13 rue Paul Doumer 14037 CAEN CEDEX T l 81 71 11 Clermont Ferrand D R AUVERGNE Allier Cantal Haute Loire Puy de D me
57. a connaissance statistico conomique sur les m nages est bas e sur des recensements pluriannuels compl t s par de nombreuses enqu tes et des donn es admi nistratives d clarations annuelles de salaires d clarations d imp ts sur le revenu tat civil Cette organisation a une p rrenit telle que l usager conna t et utilise couramment ces instruments d analyse En ce qui concerne les entreprises la jeunesse des outils est manifeste L usage le plus courant reste celui des synth ses macro conomiques comptes nationaux en particulier ou l oppos des monographies ponctuelles pour un probl me particulier Des essais plus ou moins r ussis ont cherch construire une analyse statistique pour les entreprises calqu e sur celle des m nages C est ainsi que le recensement industriel de 62 le recensement de la distribution et celui des services ont vu le jour On peut penser que cet outil n tait pas la mesure de l objet analyser en ce sens qu il n cessitait pour satisfaire aux objectifs une complexit trop grande que ni les statisti ciens ni les entreprises ne pouvaient dominer L entit entreprise est en effet beaucoup plus complexe que celle des m nages et aucun proc d d analyse unique ne saurait donner l ensemble des informations indispensables L id e d un syst me objet complexe form de composants distincts reli s entre eux par un certain nombre de relations para t adapt l tude
58. a direction des changes et de la balance des paiements est charg e du contr le du march des changes et de V tablis sement de la balance des paiements L organisation du service de la Balance des paiements 120 personnes environ dont une vingtaine de cadres A est essentiellement fonctionnelle centralisation et prise en charge des documents transmis par les banques mise en forme de ces informations dans le cadre de la balance des paiements Outre le service responsable du march des changes on trouve galement au sein de la direction une cellule responsable de l interpr tation de la balance des pr visions et de l analyse de la position mon taire ext rieure du syst me bancaire Cette cellule s appuie certes sur les tats statistiques servant tablir la balance des paiements mais elle proc de galement pour tre vraiment op rationnelle la collecte aupr s des banques d informations plus imm diates mensuelles et heb dommadaires LA COLLECTE DES INFORMATIONS STATISTIQUES En France plus pour des raisons historiques que par n cessit logique la collecte des informations qui permettent d tablir la balance des paiements est tr s troitement li e au contr le des changes encore que le texte de r f rence en la mati re 2 ait t labor en 1967 durant la courte p riode au cours de laquelle le contr le des changes avait t supprim toutefois ce texte n est qu une version all g e de l instruction
59. a r orientation que l Office propose de donner ces travaux pour la p riode 1975 1979 consiste 1 accentuer le souci de synth se valuation prix constants des agr gats de la comptabilit nationale l tude sp cifique des diff rences des prix de produits particuliers devenant un objectif compl mentaires c est d ailleurs sur ce point la poursuite d une volution ant rieure laquelle l INSEE donne son accord 2 rechercher un all gement des enqu tes en limitant leur champ et leur p riodicit une enqu te compl te tous les cinq ans une enqu te l g re annuelle ainsi qu en rem pla ant par un contr le international seul le double contr le international et multinational pratiqu jus qu pr sent 3 modifier la m thode d enqu te en mettent l accent sur le crit re de comparabilit plut t que sur le crit re d identit 4 valuer annuellement les parit s de pouvoir d achat en actualisant les r sultats de 1975 enqu te compl te par des indices temporels de prix Ces propositions ont t accept es dans l ensemble avec par fois certaines inqui tudes notamment sur le remplacement d quipes multinationales par des quipes euronationales ou sous r serve d une tude plus approfondie p riodicit de 5 ans entre les enqu tes compl tes 40 R unions internationales Colloques S minaires 2 les statistiques du commerce L avis des di
60. ail en raison de la masse des informations traiter plus d un million de contrats dans l ann e en p riode de basse conjoncture et de leur mauvaise qualit les caract ristiques des contrats sont souvent incompl tes Afin de pouvoir retirer le maximum d informations des docu ments dont on disposait sans toutefois mettre en uvre des moyens trop lourds deux m thodes compl mentaires d inves tigation ont t utilis es d une part un d compte global du nombre de contrats conclus tous les mois d autre part une exploitation par sondage portant sur environ un vingti me des contrats 1 valuation du volume d activit des entreprises de travail temporaire e Le d compte mensuel rapide op r manuellement du nombre total des contrats num r s 1 pour l ensemble des relev s re us permet d obtenir un indicateur de l activit des entreprises de travail temporaire on calcule le nombre moyen de contrats conclus par tablissement pour liminer l effet d aux variations du nombre des relev s re us La statistique concernant le mois n est disponible dans le courant du mois n 3 e Par ailleurs les valuations ainsi obtenues compl tent les r sultats provenant de l exploitation par sondage qui eux ne donnent que des r partitions en pourcentage 2 tude d taill e d un chantillon de contrats L exploitation est effectu e cadence trimestrielle L unit statistique tudi e est le contrat l chant
61. aine de grandes entre prises soient d clarants directs afin d all ger le travail des inter m diaires agr s 2 1i s agit de la circulaire aux interm diaires d finissant les obli gations statistiques aff rentes aux relations financi res de la France avec l tranger dite circulaire rouge pour la couleur de sa couver ture Cette circulaire a t prise dans un but de connaissance statis tique des relations avec l ext rieur la suite de la suppression temporaire du contr le des changes en 1966 qui privait de fonde ments l gaux la proc dure ant rieure de collecte des renseignements 3 Une op ration est enregistr e lorsqu elle est r gl e et non lorsqu elle est effectu e ainsi une exportation peut tre r gl e plusieurs mois apres sa livraison 4 Le poste mouvement de capitaux court terme du secteur priv a t de mani re constante et pour des montants importants ex dentaire depuis 1973 Cet ex dent correspond en partie un biais statistique qui r sulte d une sous estimation des recettes r elles au titre des exportations de marchandises et de services 5 M ARKHIPOFF du d partement de la Coordination statistique et comptable de l INSEE assure le secr tariat de Fun d eux Cette possibilit d obtenir tous les l ments n cessaires pour tablir la balance des paiements en n interrogeant que les seules banques fran aises surprend parfois Cela tient deux causes d une p
62. annuellement en mai de l ann e n 2 IV fichier BIC tous r gimes obtenu par fusion des fichiers et Ill il ne contient que peu d informations les effectifs les chiffres d affaires les achats et les stocks comme dans le fichier II est tr s adaptable l analyse des distributions pour les variables effectifs ou chiffre d affaires dans des typologies taille secteur lieu g ographique ou forme juridique Disponi ble en octobre de l ann e n 2 pour les ann es impaires V fichier d exploitation horizontale des EAE r unit les informations qui sont communes aux cinq enqu tes annuelles c est dire les facteurs de production de l entreprise et ses branches d entreprise effectifs et ventes Les d lais sont variables suivant les services enqu teurs VI et VII Un travail de d tections d absences et de diver gences de codes ou de montants permet sur le champ des 20 salari s et d op rer les corrections ad quates L usage des rapports des conseils d administration pour les unit s de 500 salari s et plus ainsi que les bilans fournis par l INPI permet de conforter cette op ration On dispose alors de deux fichiers VI et VII respectivement de m me configuration que Ill et V mais pour lesquels toutes les unit s de 20 salari s et plus ont t analys es et class es Ces deux fichiers sont disponibles au 1er trimestre de l ann e na 3 VIII fichier fusion totale sur les unit s de 20 sala
63. ante car le contenu des lignes de balance des paiements n est pas suffi samment homog ne L une des conclusions provisoires des groupes constitu s par la direction du Tr sor afin d am liorer la balance des paiements est d ailleurs qu il faut renoncer utiliser celle ci pour pallier les d ficiences des autres sources statistiques au contraire l am lioration voire la cr ation des nouvelles sources d information appr hendant directement les relations avec l ext rieur est une condition formelle de l am lioration du document synth tique que constitue la balance des paiements LES PUBLICATIONS Les balances des paiements sont tablies trimestriellement 10 Une premi re estimation est rendue publique environ 50 jours apr s la fin du trimestre consid r 11 une balance provisoire est tablie dans un d lai de trois quatre mois et la balance d finitive est publi e six mois apr s la fin du trimestre 12 Les balances annuelles r sultent de la sommation pure et simple des quatre balances trimestrielles Elles font l objet d une publication d taill e reprise dans Statistiques et tudes Financi res s rie bleue actuellement cette publication se fait sous forme de fascicules s par s l un consacr la balance des paiements en termes de transactions et l volution de la position mon taire et de ses contreparties l autre aux tats de r glements avec les diff rents pays
64. apt e aux utilisateurs de s ries anciennes ou de statistiques sur l tranger que l INSEE obtient par change avec la plupart des instituts de statistique trangers Les visiteurs peuvent galement s y procurer les publications de l Institut VERS UN D VELOPPEMENT DES RELATIONS EXT RIEURES D s leur cr ation les OER ont rep r un certain nombre de e dans la circulation de l information conomique et sociale Dans un premier temps les utilisateurs ne font pas tat d un besoin en information conomique mais exposent un probl me ce qui implique de d velopper avec eux une communication orale et explique la sous repr sen tation des utilisateurs loign s parmi les utilisateurs des services des observatoires Les utilisateurs pr f rent exposer leurs probl mes des personnes en qui ils aient un minimum de confiance existe sur place une tr s importante information mais elle est souvent mal connue Sa diffusion n est prati quement jamais organis e Ces constats sont l origine d une exp rience men en Savoie et en Is re par l Observatoire conomique Rh ne Alpes 1 qui s est traduite par la cr ation d un r seau de correspondants de POER dans 4 d partements de la r gion L exp rience men e avec l appui de la DATAR a t tendue ensuite aux r gions d Aquitaine et des Pays de la Loire Ces correspondants ont t choisis en raison du r le qu ils jouaient pr alableme
65. ariat d tat aux universit s division de la statistique du minist re de la justice mission de stati talyse financi res de la direction g n rale des collectivit s locales du minist re de l int rieur cellule statistique du secr t la fonction publique service des tudes et recherches du secr tariat d tat la culture division des donn es conomig istiques du minist re de la qualit de la vie division de la statistique du secr tariat d tat la jeunesse et aux sports dii statistiques du secr tariat d tat au tourisme mission d organisation et d exploitation statistique et informatique du secr aux anciens combattants bureau des statistiques de la direction g n rale des douanes et des droits indirects du minist ri omie et des finances institut national de la statistique et des tudes conomiques direction g n rale directions r gic 3s r gionaux observatoires conomiques r gionaux centres nationaux de traitement services statistiques des d part e mer service central des enqu tes et tudes statistiques du minist re de l agriculture service du traitement de l informa statistiques industrielles du minist re de l industrie et de la recherche service des statistiques et des tudes conomique re de l quipement d partement des statistiques des transports du secr tariat d tat aux transports d partement des sti de la sant et de l action sociale du minist re de la sant bureau
66. art la quasi totalit des r glements inter nationaux se fait sous forme de monnaie scripturale et exige donc le recours un banquier 6 d autre part la l gislation des changes actuels interdit qu un r sident constitue des avoirs aupr s d une banque trang re ce qui enl ve la possi bilit de r gler partir d un compte l tranger op ration qui naturellement serait ignor e des banques fran aises de m me les r glements par compensation de dettes et de cr ances sont interdits D s lors toute op ration d un r sident avec l ext rieur passe automatiquement par une banque fran aise et influe sur les avoirs et engagements des banques fran aises ou du secteur public si cette op ration provoque une intervention de la Banque de France sur le march des changes l gard de l ext rieur a Les documents fournis par les banques Pour la confection de la balance des paiements en terme de r glements les banques fournissent deux types de docu ments 7 e Lors de chaque op ration entre un r sident et un non r sident la banque concern e tablit un compte rendu de paiements qui identifie la nature conomique de l op ration et indique son montant Ce document est transmis la Banque de France qui traite environ 300 000 comptes rendus de ce type par mois e P riodiquement les banques fournissent la Banque de France des tats qui sont en fait des extraits de leur bilan et qui permettent
67. atistiques Michel HEBERT R dacteur en chef Genevi ve CHEDEVILLE Secr tariat de Fabrication Raymonde VACHON Informations articles et suggestions peuvent tre adress s COURRIER DES STATISTIQUES D partement de la coordination statistique et comptable INSEE 18 boulevard A Pinard 75675 PARIS CEDEX 14 T l 540 17 03 Conditions d abonnement Abonnement 1 an 4 num ros France 30 F tranger 35 F Le num ro 8 F R glement par mandat ch que postal ou ch que bancaire tablir au nom du r gisseur des recettes de l INSEE Toute reproduction d articles est soumise l autorisation pr alable de la r daction du Courrier des Statistiques Sommaire N 3 Juillet 1977 Page N Oo CG 13 16 18 19 23 25 26 29 30 32 34 36 38 40 41 42 42 43 43 aa 44 46 48 48 SERVICES ORGANISMES La statistique la direction g n rale des Douanes et droits indirects La direction du Tr sor et la Banque de France sont associ es pour la r alisation de la Balance des Paiements Le r seau des Observatoires conomiques r gionaux de l INSEE Cr ation d une cellule statistique la direction du personnel et des services g n raux INSEE La coop ration avec les pays trangers s organise dans des groupes interminist riels Puissance de l information conomique au Japon L exemple de la statistique industrielle et commerciale Mission l Office of Popu
68. ats particuli rement en ce qui concerne la pr vision court terme Leur utilisation en marketing va croissant la satisfaction g n rale semble t il Mais la th orie de ces mod les semble poser quelques nigmes Parall lement d autres m thodes fr quentielles se d velop pent aussi dans le cadre de l analyse spectrale des s ries temporelles Le colloque organis par l Institut des Hautes Etudes de Belgique Bruxelles du 5 et 6 mai 1977 a permis de faire le point sur les travaux europ ens en mati re de traitement statistique des s ries chronologiques Les principaux conf ren ciers furent C CHATFIELD O D ANDERSON et F PALM L cole Bruxelloise pr senta des travaux prometteurs ax s sur le traitement de s ries non stationnaires en variance mod le FARIMAG Jean Claude DEVILLE D partement Population m nages INSEE CIRSH Colloque plenidisciplinaire sur la r partition du pouvoir de la d cision publique r gion nation europe Trois th mes ont t examin s lors de ces journ es qui se sont tenues le 9 et 10 mai 1977 Lille Th me No 1 pouvoir national et pouvoirs locaux aspects politiques et conomiques M J BEAUFAYS Universit de Li ge analyse les probl mes de la Belgique quant la question r gionaliste M LAHNSTEN Minist re de l Economie Bonn d crit le syst me f d ral en R F A M LEGRAND Universit de Lille traite des cons
69. avaux conom triques sont effec tu s par celles ci Des liaisons en t l traitement par voie de satellites sont op r es avec des centres de recherche am ricains Des moyens importants sont mis en uvre par les milieux d affaire et l administration pour drainer l information cono mique en provenance du monde entier La lecture du dernier ouvrage pr sentant les activit s statis tiques du MITI ministry of international trade and industry 1 fait prendre conscience de notre retard en mati re d observation statistique L organisation statistique japonaise est polycentrique Dans cet ensemble le MITI a la responsabilit des statistiques indus trielles et commerciales laboration et interpr tation l exception des statistiques portant sur les prix la production et sur les comptes des entreprises Le MITI tablit aussi les nomenclatures de produits et d activit s labore l essentiel du tableau input output 2 fabriqu sous l gide coordinatrice du bureau de l organisation administrative et effectue des travaux d analyse conomique l aide de mod les L effort statistique est ancien les moyens mis en uvre sont consid rables l abondance des donn es publi es et leur d lai de disponibilit sont remarquables II est difficile de juger au premier abord de leur qualit Mais qui a m me pour tr s peu de temps cotoy des Japonais ne peut douter qu elles sont tablies avec un sens extr me de l ordr
70. capacit d accueil entre les zones de d peuplement et les zones de surpeuplement ou de peuplement nouveau Il est int ressant de signaler qu il existe une rigidit un peu analogue au niveau du personnel m me si les effectifs d une cole rurale classe unique diminuent il faut bien laisser un ma tre la planification La programmation des quipements scolaires est fond e sur des effectifs calcul s partir de taux de scolarisation appliqu s des populations d enfants Les taux sont tablis compte tenu des orientations d finies dans le Plan La premi re carte scolaire tablie partir de 1963 tenait largement compte des options du V me Plan les travaux de r vision lanc s en 1971 incluaient les objectifs du Vl me Plan Ces objectifs peuvent tre li s des besoins de formation par niveau e Des donn es internes Il s agit de tenir compte de l existant patrimoine immo bilier par exemple des structures p dagogiques mettre en place li es aux r formes d finies par les diff rentes lois de la rationalisation de la construction II Le domaine de la carte scolaire Il existe en r alit plusieurs cartes scolaires au niveau pr l mentaire et l mentaire une carte scolaire couvre les coles maternelles et les coles primaires mais elle est tudi e au niveau d partemental au niveau du second degr la carte scolaire de l ensei gnement public du second degr f
71. ce 1976 Apr s une p riode relativement laborieuse de persuasion et de mise en place l chantillon des petits h te liers volontaires se stabilise et l habitude se cr e d un contact somme toute courtois et personnel avec administration Qu en est il de la qualit de l information Il est encore un peu t t pour se prononcer de mani re certaines mais plusieurs indices laissent esp rer une r elle am lioration y compris dans les tablissements de cat gorie sup rieure Il faudra toutefois attendre la fin 1977 et disposer des donn es en provenance de toutes les r gions pour proc der une critique synth tique du dispositif Henri VIENNET Chef de la division de la Statistique Secr tariat d tat au Tourisme L INSEE et le minist re de l Agriculture s engagent dans la pr paration du prochain RECENSEMENT GENERAL de l AGRICULTURE Le prochain recensement g n ral de l agriculture portera sur la campagne agricole de 1979 ler novembre 1978 30 octobre 1979 Il sera r alis entre septembre 1979 et mars 1980 et sera accompagn d op rations annexes Ce projet s inscrit dans le cadre du programme de recensement mondial de l agriculture pour 1980 pr par par les Nations unies Organisation pour l alimentation et l agriculture FAO et des recommandations pr sent es cet effet par le groupe d tude des statistiques alimentaires et agricoles de la commission conomique pour l Europe en sa ne
72. ces de cette cellule qui est dirig e par une attach e principale d administration Dans le domaine des nomenclatures il faut surtout noter qu il existe un tr s grand nombre de classifications diff rentes Sur le plan international e la CTCI classification type pour le commerce et l industrie e en voie d laboration le Syst me harmonis de d signa tion et de codification des marchandises Sur le plan national e une nomenclature de collecte la nomenclature g n rale des produits NGP en sept chiffres les six premiers chiffres tant il faut le rappeler ceux de la NIMEXE e une nomenclature de diffusion selon la nomenclature d activit et de produit NAP et les regroupements de la NAP dans une nomenclature d tude conjoncturelle NEC e une nomenclature pour les statistiques de transport NST Concr tement cela implique pour la cellule la participation au sein du conseil de Coop ration douani re aux travaux du comit du Syst me harmonis la participation au sein de OSCE aux travaux du comit NIMEXE la participation au sein de la CNAPP l laboration du niveau 3 000 de la NAP de fa on obtenir une corr lation la plus pouss e possible avec la NGP une coordination troite avec les autres administrations concern es INSEE Industrie Agriculture et les f d rations professionnelles une gestion lourde avec de fr quente mises j
73. ci est destin e la r alisation d enqu tes statistiques sur chantillon au cours de la prochaine p riode intercensitaire la fourniture aux utilisateurs en premier lieu aux services du minist re de Agriculture d un ensemble de donn es riche et pr cis r uni au moins une fois tous les dix ans et incluant notamment un important inventaire de donn es communales utilisation du sol cheptel population active agricole qui sont r capitul es ensuite divers niveaux g o graphiques d partementaux ou r gionaux compl t es par des tableaux crois s significatifs des niveaux g ographiques fins petite r gion agricole par exemple et des r sultats ori ginaux sur l volution des structures concentration des exploitations Cette op ration rev t en second lieu une importance primor diale pour toutes les applications qui impliquent une connais sance d taill e de la diversit g ographique des faits agricoles ainsi que pour l tablissement des mesures juridiques cono miques et sociales int ressant l agriculture politique des structures connaissance des march s et des productions mesures sociales ou de l am nagement de l espace plans d am nagement rural plans d occupation des sols quipements ruraux 1 Quinze ann es plus t t le recensement de l agriculture de 1955 ambitieux et d une pr paration trop h tive avait constitu pour notre pays dans le m me do
74. cipants consid re que l limination des mouvements conjoncturels est g nante pour l utilisation qui est faite de l indice dans le d bat social Formation Syst me Productif R union du 10 mai 1977 Pr sident M LESOURNE Rapporteur M DUBOIS L ordre du jour de cette r union comportait trois points le projet d enqu te trimestrielle sur les commandes neuves de l tranger le programme d tudes de l INSEE sur les groupes d entreprises et le lancement ventuel d une enqu te sp ci fique sur les stocks e La direction des Relations conomiques ext rieures r alisera l enqu te sur les commandes trang res cette enqu te l g re 5 6 questions sera effectu e trimestriellement aupr s des exportateurs industriels Une pr enqu te a permis de pr ciser la forme du questionnaire d finitif L chantillon final comportera un millier d entreprises dont les 150 plus gros exportateurs La conception de l enqu te permet d obtenir des informa tions sur le flux ainsi que sur le stock de commandes tran g res e Dans le cadre du programme statistique moyen terme le Conseil National de la Statistique avait en 1976 retenu le d veloppement de l information sur les groupes Une ana lyse exp rimentale a donc t r alis e sur dix huit groupes fran ais en 1972 1 Des limites sont apparues lors de cette tude restriction de l tude au territoire fran ais ce qui g ne la compr
75. d valuer leurs avoirs et engagement vis vis de l ext rieur c est dire la position ext rieure du syst me bancaire et sa variation entre les dates d arr t s Naturellement sauf erreurs ou omissions cette variation est gale au solde des op rations d crites par les comptes rendus de paiements de la m me mani re que les op rations effectu es par un m nage et la variation du solde de son compte en banque s quilibrent c est ce qui permet de dire que la balance des paiements est un document quasi comptable 6 Les op rations avec l ext rieur doivent donner lieu domici liation Les r glements s effectuent alors par virement et il n est s possible de r gler par ch ques ou billets o reglements sous forme de billets dans le cadre des d penses de voyage sont infimes et suivis grace aux reprises des billets fran ais l tranger 7 Plus d autres l ments n cessaires pour effectuer des recoupements b La position mon taire ext rieure et ses contreparties Les tats transmis par les banques ne servent pas uniquement tablir la balance des paiements En effet on peut enregistrer l int rieur de la position mon taire ext rieure des modifi cations entre les diff rentes composantes qui sont particuli rement significatives de la confiance qu ont les r sidents et les non r sidents dans la monnaie Ainsi en p riode de confiance dans le franc les non r sidents demandent de cette monnaie
76. du comportement de telles unit s L information statistique sur le syst me productif est ainsi structur e en un vaste syst me dont trois sous ensembles portant sur des donn es individuelles peuvent se d gager comme l indique le sch ma page suivante 19 e Plan comptable g n ral PCG e Nomenclatures NAP e R pertoire SIRENE e Fichier de lancement d enqu tes FILE Par la mise en place en 1973 de la nouvelle nomenclature NAP600 la r alisation entre 70 et 75 du r pertoire SIRENE et du fichier int gr de lancement d enqu tes FILE entre 72 et 75 le syst me s est constitu un dispositif coh rent d outils primaires Les principales enqu tes statistiques sont les enqu tes annuelles d entreprises EAE et des enqu tes de branche EB aux quelles il convient d ajouter l enqu te structure des emplois ESE et les enqu tes trimestrielles et semestrielles du Minis t re du Travail Les formulaires administratifs dont on dispose sont princi palement ceux issus de d clarations fiscales B n fices indus triels et commerciaux B n fices non commerciaux CA3 celles sur l emploi et les salaires D clarations annuelles de Salaires URSSAF Le Syst me unifi de statistiques d entreprises SUSE est lui m me dans son esprit un syst me c est dire qu il se veut unificateur des diff rentes statistiques en un processus osmo tique L objectif n est donc ni de composer une mosaique inu tilisable
77. e de la minutie dans l organisation et du soin dans l ex cution L effort statistique est ancien des recensements industriels annuels sont effectu s depuis 1910 des recensements bien naux sont op r s depuis 1950 dans le commerce huit op rations analogues avaient d j eu lieu entre 1930 et 1945 un syst me d enqu tes mensuelles sur l industrie et d enqu tes mensuelles et trimestrielles sur le commerce ont t mis en place par le MITI au d but des ann es 50 3 Pour une pr sentation d ensemble de la statistique japonaise voir Ch SAUTTER la statistique japonaise note 320 1471 du 26 2 73 1 Guide to research and statistics department MITI 1976 13 Des moyens consid rables sont mis en uvre La collecte incombe pour l essentiel des enqu teurs 4 relevant des autorit s locales pr fectures municipalit s Les questionnaires sont d pos s par eux dans les unit s enqu t es remplis par celles ci et contr l s par les enqu teurs avant d entrer dans les cha nes de traitement du MITI Le recensement biennal du commerce mobilise 68 000 enqu teurs les enqu tes courantes mensuelles de production 2 800 enqu teurs et les enqu tes courantes sur le commerce 900 enqu teurs Le service statis tique du MITI comprend 450 agents TOKYO et 300 agents r partis dans les huit d partements r gionaux du MITI Les donn es publi es sont abondantes et leurs d lais de dispo nibilit sont tr s
78. e la Coordination statistique et comptable INSEE Centre Inter Universitaire de recherches en Sciences Humaines NOTE Un compte rendu informel plus d taill peut tre demand Vaten poureau 902 T l 540 17 37 la direction g n rale CERPAAC L analyse socio conomique Le but de ces journ es d tudes du 13 et 14 mai dernier Bordeaux tait de confronter les diverses approches et les diverses exp riences de ceux qui pratiquent une analyse socio conomique De tr s nombreuses communications ont t propos es aux participants dont certaines ont donn lieu des discussions anim es Les sujets trait s ont t vari s 43 Les expos s crits distribu s sont les suivants F PERROUX Les unit s actives au XX si cle et les nouvelles math matisations de l quilibre g n ral F HETMAN L valuation sociale de la technologie Y BAREL Le rapport humain la mati re M GUILLAUME Mode de production mode de normalisa tion et rapports sociaux S MARGLIN Towards a socio economic analysis of accumu lation J PEYREGA Pour une analyse de d veloppement de la zone industrialo portuaire de Bordeaux Le Verdun M MARCHESNAY Meso analyse socio conomique S LATOUCHE Le syst me de repr sentation des d chets solides et de la pollution J F BERNARD BECHARIES Relation d environnement et indicateurs M GODELIER Anthropologie et conomie M
79. ement g n ral de l agriculture constitue galement la seule voie d approche adapt e pour r pondre certaines demandes prioritaires concernant des cat gories d exploita tions peu nombreuses et difficiles isoler a priori ou pour garantir certains d pouillements complexes une repr sen tativit suffisante que n autoriserait pas une simple enqu te par sondage 3 En dernier lieu le recensement g n ral de l agriculture ne se r sume pas uniquement en la r alisation d une enqu te directe aupr s des exploitants mais tend recouvrir un champ plus vaste concernant l ensemble des domaines de l agriculture au sens large et le monde rural e donn es communales et quipements communaux e donn es sur l utilisation des mat riels e donn es sur les alpages les for ts A cet effet la r alisation de cette enqu te directe demeure donc ins parable de l ex cution d op rations annexes mise jour du fichier communal d exploitations questionnaire communal questionnaires compl mentaires dont la prise en consid ration s av re tout autant indispensable que l enqu te elle m me et constitue le seul moyen de parvenir une confron tation entre divers ensembles d informations li s l activit agricole troitement solidaires entre eux et obtenus de mani re homog ne et coordonn e Le dispositif mis en place Le recensement g n ral de l agriculture rel ve de la responsa bilit
80. en place des r glemen tations n cessaires laboration des proc dures d finition des produits finaux commentaires et publications etc Services organismes la DNSCE est charg e de g rer l ensemble des moyens n cessaires l accomplissement des travaux d cid s dans le cadre des orientations d finies moyens de collecte de saisie de contr le de traitement et de diffusion de Vinfor mation Nous ne parlerons ici que du Bureau des Statistiques H LES ACTIVIT S DU BUREAU DES STATISTIQUES Le bureau des Statistiques comprend actuellement 24 person nes dont 17 cadres A cette forte proportion de cadres A s explique par la r partition des t ches d crite plus haut La diversit des travaux a conduit structurer tr s fortement le bureau et cr er 3 cellules statistiques chacune d elles assurant la fois des t ches de production et des t ches de conception g n rale et une cellule technique charg e de d velopper l emploi des outils et m thodes statistiques l int rieur du bureau et plus g n ralement l int rieur de la Douane a Cellule R glementation Statistiques des Entreprises Importatrices ou Exportatrices Les activit s de cette cellule dirig es par un inspecteur principal sont orient es principalement autour de trois th mes e laboration et gestion de la r glementation statistique e instructions au service et aux d clarants e statistiques des
81. en vue de son utilisation Bien entendu les modalit s de cette mise en forme d pendent des besoins recens s diffuser les donn es statistiques ainsi que des infor mations sur les travaux de la cellule cet gard un bulletin statistique sera publi d s le premier semestre de 1977 1 participer la demande des bureaux des tudes et travaux qui font appel dans une mesure importante la collecte statistique et la mise en forme des donn es tenir jour les statistiques d effectifs des services financiers tre le correspondant de la cellule statistique de la direction de l administration et de la fonction publique G rard JOONEKINDT Chef de la cellule statistique Direction du Personnel et des services g n raux Minist re de l conomie et des Finances 1 informations STATISTIQUES publication semestrielle 12 INSEE La coop ration avec les pays trangers s organise dans des groupes interminist riels Pour mener ses actions de coop ration l INSEE s est associ la cr ation de deux groupes interminist riels UN GROUPE DE COOP RATION F NANCES Le premier est compos de l INSEE service de la coop ration de la direction de la Pr vision DP du Commissariat g n ral au Plan CGP des minist res des Affaires trang res et de la Coop ration et de l Institut international d Administration publique IIAP Cr en 1975 ce groupe se r unit quatre fois
82. ent adapt s l tude de l activit et des comportements du commerce et des com mer ants S Ils fournissent annuellement les informations globales les plus significatives sur la marche du commerce ils permettent Panalyse des diff rents circuits de circulation des biens travers les canaux de distribution ils assurent la coh rence des diagnostics conjoncturels ou des pr visions moyen ou long term relatifs l activit commerciale Ces comptes ont t labor s sous l gide de la Commission des comptes commerciaux de la Nation cr e par un d cret du 8 f vrier 1968 et qui a pour objet de d terminer dans le cadre des comptes de la Nation la valeur ajout e par le commerce la production nationale et d en analyser les l ments constitutifs Cette commission est actuellement compos e de 25 personna lit s appartenant aux milieux professionnels du commerce l Universit et Administration Son pr sident est le Minis tre de Economie des Finances son vice pr sident le profe sseur MERIGOT de Universit de Bordeaux La Commission des Comptes Commerciaux de la Nation se r unit au moins une fois par an pour examiner et critiquer un rapport qui d crit l volution du commerce et de l activit commerciale durant l ann e coul e sous ses divers aspects conjoncturels structurels et comptables Les travaux qui lui sont soumis et auxquels elle donne son impulsion rel vent des
83. entreprises Dans le domaine r glementaire il faut noter que depuis 1976 les statistiques du commerce ext rieur des pays de la Commu naut sont harmonis es Le r glement n 1736 75 en d finit les concepts et m thodes d laboration Dans un premier temps ce r glement a tranch en mati re de champ d application d finition territoriale mouvements de marchandises concern s etc des donn es minimales recueillir des codifications utiliser pour la collecte le Comit M thodes de OSCE g re notamment une nomenclature de pays mise jour annuellement de crit re d laboration des r sultats seuil statistique partir duquel sont pris en compte les mouvements p riode de r f rence correction des donn es etc Trois ou quatre r unions annuelles dans le cadre du comit ad hoc permettent la gestion de ce r glement mais aussi de pousser l harmonisation plus loin en traitant de points qui avaient t laiss s de c t lors des premiers travaux Cette r glementation communautaire vient tout naturellement s int grer dans une r glementation nationale beaucoup plus vaste puisque touchant un champ plus large Elle trouve son expression sous forme d une brochure annexe au tarif douanier qui d crit la fa on dont doit tre rempli le car touche statistique de la d claration les codifications utiliser etc Il s agit en quelque sorte d un manuel d inst
84. es Peu peu il est apparu pr f rable de profiter de la structure d centralis e de l INSEE qui correspond celle des 22 r gions fran aises Il existe donc aujourd hui 22 OER Chacun d entre eux porte le nom de sa r gion et constitue l un des services de la Direction R gionale de l INSEE L ensemble des Observatoires forme l un des plus importants r seaux fran ais de diffusion de l information conomique et sociale En 1976 ils ont r pondu plus de 250 000 demandes d information en provenance de milieux tr s divers entre prises administrations organismes d tude associations ensei gants tudiants l ves et galement des particuliers DES CENTRES D INFORMATION SOCIALE OUVERTS A TOUS CONOMIQUE ET Contrairement ce que le simple nonc de leur nom pourrait laisser croire les Observatoires conomiques r gionaux ne font pas d enqu tes pour observer la r alit conomique et sociale de leur r gion En fait dans ce domaine ils se contentent de rassembler d ordonner et de mettre la disposition de leurs utilisateurs publics ou priv s les observations des autres on y trouve l information labor e par l INSEE mais aussi celle des services statistiques des minist res et de tr s nombreuses tudes en provenance d organismes publics ou priv s La vocation des Observatoires est cependant plus large que la simple diffusion de l information ceux qui la demandent Lieu d
85. es au champ de l enqu te en raison des interf rences qu elles pr sentent avec le secteur du commerce 2 L chantillonnage Le nombre d entreprises appartenant au champ de l enqu te est tr s important environ 730 000 entreprises dont beaucoup de tr s petite taille Un sondage s impose donc comme dans l ancienne enqu te toutes les entreprises de 20 salari s et plus seront interrog es par sondage les taux adopter variant avec la taille et l activit principale Afin de disposer d une bonne base de sondage il est pr vu de v rifier tous les 8 ans l existence des unit s du fichier SIRENE leur activit principale et leur taille l occasion des op rations de balayage Ceci conduit retenir la m me d marche que celle adopt e pour l enqu te en pr paration dans le domaine des services Une enqu te g n rale de base sur chantillon sera r alis e l ann e qui suivra la fin de l enqu te de balayage Entre deux enqu tes de base nous proc derons en volution en utilisant des chantillons renouvel s par fraction 3 Les questionnaires Compte tenu des demandes nombreuses qui se sont expri m es jusqu ici et de l alourdissement corr latif qu elles impliquaient pour le questionnaire il a t admis que certaines questions ne seraient pas pos es chaque ann e Nous nous sommes donc orient s vers une enqu te annuelle pour les questions les plus importantes ou pour celles dont on peut penser que
86. es deux groupes a eu des r sultats positifs Le dialogue avec les minist res et organismes charg s des relations avec l tranger en a t facilit les fonctionnaires des directions des Finances charg s des probl mes de coop ration commencent se conna tre et dialoguer est pro bable que dans les prochaines ann es des interventions coor donn es entre les minist res pourront se d velopper sur certains pays de la m me mani re que la direction de la Pr vision et l INSEE collaborent aujourd hui pour la cr ation de cellules de pr vision au S n gal et au Cameroun Yves FRANCHET Chef de la division Programmation et coordination des projets D partement de la coop ration et des services statistiques des DOM TOM INSEE 1 ACTIM Association li e la Direction des relations ext rieures et charg e de l organisation de stages en France Puissance de information conomique au JAPON L exemple de la statistique industrielle et commerciale Les milieux des affaires et l administration du Japon attribuent une importance capitale l information conomique De grandes firmes mettent des conomistes la disposition de l agence de planification japonaise pour une dur e de deux ann es au cours desquelles ils se familiarisent avec les instru ments utilis s par les planificateurs japonais Des mod les op rationnels sont tablis par des quipes universitaires de tr s bon niveau De nombreux tr
87. es et travaille en liaison avec elles en tant que de besoins mise en place de plans de sondage pour l obtention de statis tiques annexes sur les envois par colis postaux par exemple analyse statistique du trafic commercial de fa on d celer les mouvements anormaux emploi de l analyse des donn es pour constituer une typologie des bureaux de douane selon les caract ristiques de leur trafic etc Toutes les publications du bureau des Statistiques sont disponibles au Centre de renseignements statistiques de la direction g n rale des Douanes et Droits indirects 182 rue Saint Honor 75001PARIS 1 La banque de donn e Syst me d information sur les transports de marchandises SITRAM a t pr sent e dans le courrier des Statis tiques n 2 par Ir ne POLS Statistiques du commerce ext rieur du transport de gestion des op rations financi res des entreprises la Douane assure l une mission tr s tendue face une demande extr mement diversifi e et qui se d veloppe constamment surtout dans le domaine des op rations financi res et des entreprises Cette mission est d autant mieux assurer que l laboration de ces statistiques s effectue l endroit m me o l information est collect e et selon des proc dures parfaitement int gr es l ensemble des proc dures douani res En outre et de plus en plus la Douane peut utiliser cette information son propre profit pour la r alisation des au
88. es repr sentatives de la politique conomique ou ventuellement par une inflexion des compor tements pour corriger les d s quilibres constat s ex ante On a pu ainsi analyser l aide de DMS les cons quences sur Pemploi et la croissance d une modification de l assiette des cotisations sociales cf infra Les variantes d al as quant elles peuvent porter sur les variables exog nes d environnement par exemple variante basse d environnement international associ e aux projections 1982 ou sur des modifications pr visibles ou possibles des com portements un certain nombre d inllexions de comportements de ce type avaient par exemple t incorpor es aux projec tions macro conomiques associ es au VIIe Plan mod ration de la hausse autonome des salaires assouplissement des normes de financement de l investissement etc LES UTILISATIONS EN COURS OU PR VUES Initialement le mod le DMS avait t construit essentielle ment pour tre utilis pendant la pr paration du prochain Plan le VIII Plan 1980 1985 Celle ci n est bien s r pas encore entam e mais le mod le DMS est d j utilis de fa on intensive La principale utilisation actuelle consiste en l laboration de projections macro conomiques 1976 1982 pour le compte du Commissariat g n ral du plan dans le cadre de l op ration Pr visions pluri annuelles glissantes Cette op ration tait pr vue explicitement d s le rappor
89. es valeurs si n cessaire 25 du mois n 1 avec un taux de cou verture de 90 95 15 du mois n 2 pour les r sultats d finitifs 1 Qui rel vent de la tutelle d autres minist res 15 ANNEXE 4 ENQUETES COURANTES SUR LE COMMERCE Ces enqu tes sont comparer aux investigations dispers es op r es en France par diff rents organismes INSEE banque de France CREDOC sous forme de panels Champ Commerces de gros et d tail 1 Enqu te exhaustive aupr s des magasins de 100 salari s et plus 2500 magasins par sondage au taux d 1 18e pour les magasins de 20 99 salari s 4000 magasins enqu t s et par sondage taux r duit inf rieur 1 pour les magasins occupant moins de 20 per sonnes P riodicit Mensuelle questionnaire l ger et trimestrielle questionnaire lourd M thode d enqu te Par enqu teur sous l autorit des pr fectures Variables observ es Mensuellement personnes occup es et valeurs des ventes par cat gories de biens Trimestriellement SLC valeur des stocks Publication R sultats provisoire le 15 du mois n 2 R sultats d finitifs dans un d lai de 3 mois 1 Une enqu te mensuelle particuli re est r alis e aupr s des grands magasins par voie postale par le MITI Elle concerne exhaustivement tous les grands magasins de 50 salari s et plus Elle comporte des questions sur les ventes en 9 cat gories sur l emploi
90. et obligatoire des fiches de police par les clients La qualit de l enqu te est gravement compromise par la mise en place de cette nouvelle proc dure Son fonctionnement a cependant constitu l essentiel de l activit statistique perma nente du Commissariat g n ral au Tourisme jusqu en 1972 Ainsi l administration fournit elle mois par mois pour chaque commune quip e en h tels le nombre de voyageurs et leur dur e de s jour ceci par nationalit importante Pr cisions tout de m me que seule l h tellerie homologu e tourisme tait concern e Celle ci repr sentait le tiers du nombre d tablissements et la moiti de la capacit totale Les r sultats de l enqu te n taient pas satisfaisants mais la s rie avait le m rite d exister Et il est vrai que si elle signifiait peu de chose en valeur absolue elle pouvait tre malgr tout un bon indicateur d volution Elle permettait de plus de comparer la client le par pays de provenance car il n y avait pas de raison pour qu une nationalit soit plus sous estim e qu une autre Tant bien que mal prudemment on majorait ou bien on s en tenait des indices En 1970 puis en 1972 les tudes du CERC sur l h tellerie ont r vel importance des sous d clarations celles ci taient valu es en moyenne 50 du total Ce chiffre masquait en outre une diversit de situa tions lorsqu on tentait des examens de vraisemblance pour certaines cat
91. et vendent des devises la position mon taire ext rieure est inchang e mais ses composantes varient On observe une augmentation de r serves de changes 8 et en sens inverse une augmentation des engagements en francs des banques fran aises l gard des non r sidents Aussi les tats fournis par les banques font l objet d une analyse sp cifique dite analyse des contreparties de la position mon taire ext rieure destin e mettre en vidence ces compor tements Comme les informations utilis es pour tablir la balance des paiements seraient trop tardives elles sont compl t es par des enqu tes hebdomadaires aupr s des principaux tablissements C est l vraisemblablement l une des voies de progr s les plus prometteuses pour une meilleure compr hension des relations financi res internationales c La confection de la balance des paiements en termes de transmissions Pour l essentiel la balance dite en terme de transactions reprend les valuations de la balance en terme de r glements La seule diff rence notable appara t sur les lignes consacr es au commerce ext rieur et aux cr dits commerciaux Les chiffres en r glement sont remplac s par les chiffres douaniers et des critures de contrepartie sont pass es au titre des cr dits commerciaux et des capitaux court terme du secteur priv termaillage LES RELATIONS AVEC LES AUTRES ORGANISMES Les m thodes d laboration de
92. iat d tat la culture es donn es conomiques et statistiques du minist re de la qualit de la vie division de la statistique du secr tariat d tat se et aux sports division de la statistique du secr tariat d tat au tourisme mission d organisation et d exploitation stati rmatique du secr tariat d tat aux anciens combattants bureau des statistiques de la direction g n rale des douanes et q indirects du minist re de l conomie et des finances institut national de la statistique et des tudes conomiques dire le directions r gionales services r gionaux observatoires conomiques r gionaux centres nationaux de traitemer is statistiques des d partements d outre mer service central des enqu tes et tudes statistiques du minist re de agricultl du traitement de l information et des statistiques industrielles du minist re de l industrie et de la recherche service des es et des tudes conomiques du minist re de l quipement d partement de statistiques des transports du secr tariat d ansports d partement des statistiques de la sant et de l action sociale du minist re de la sant bureau des informations s du secr tariat d tat l action sociale division de la statistique du minist re du travail division des tudes conomial istiques de la direction de la s curit sociale du minist re du travail service des tudes informatiques et statistiques du r e l ducation et du secr t
93. igure le r seau des tablis sements publics arr t par le ministre de l ducation sur proposition des recteurs apr s avis des commissions acad miques de la carte scolaire d cret 71 449 du 11 juin 1971 Les tablissements priv s d enseignement sont donc exclus de cette carte ainsi que les tablissements publics relevant d autres d partements minist riels Une op ration ne pourra donc tre r alis e que si elle est inscrite la carte scolaire mais il est vident que toutes les op rations ne peuvent tre financ es imm diatement la phase de pr vision globale est suivie d une phase de programmation financi re projet tabli par le recteur apr s avis de la commis sion acad mique de la carte scolaire proposition au ministre de Education par le pr fet de r gion apr s avis notamment de la conf rence administrative r gionale HI La m thode d tablissement de la carte scolaire 1 D coupage du territoire en zones de recrutement Ce principe constitue peut tre l originalit majeure de la carte scolaire sous l angle m thodologique Son application a consist d couper le territoire national en zones g ographiques appel es secteurs et districts Au chef lieu du secteur est implant un tablissement de premier cycle au chef lieu du district un ou plusieurs tablissements de second cycle Un district est compos de plusieurs secteurs Il convient de souligner que secteurs e
94. illon des contrats servant de base l exploitation est obtenu par un sondage deux degr s tirage d un chantillon permanent d tablissements de travail temporaire tirage pour chaque unit primaire d un chantillon des contrats conclus au cours du trimestre coul 1 Lorsqu un contrat porte sur plusieurs salari s on compte autant de contrats que de salari s 29 e Tirage de l chantillon primaire La base de sondage tait constitu e par le fichier des tablissements de travail temporaire mis jour au 30 juin 1974 avant le tirage le fichier a t enrichi d une information provenant des relev s mensuels savoir le nombre de contrats r alis s en juin 1974 et stratifi selon ce crit re Quatre states seulement ont t retenues Au total un tablissement sur six appartient l chantillon La r partition de l chantillon entre les strates est approxi mativement proportionnelle la r partition des contrats r alis s par l ensemble des tablissements les plus importants d entre eux tant en fait tous retenus e Tirage des contrats Pour chaque tablissement chantillon d une m me strate le taux de sondage dans les contrats r alis s au cours du trimestre est constant et tel que le taux de sondage final f f1 x f2 soit gal 1 20 tirage syst matique Au total l exploitation porte chaque trimestre sur un nombre moyen de 11 000 contrats e Les r sultats ob
95. ils r v l s indispensables pour que l enqu te puisse r ellement d marrer en 1976 dans les r gions o elle tait pr vue L exp rience semblait assez concluante au d but de 1977 pour V tendre tout le territoire avant la fin de la saison d t La r alisation de l enqu te a t confi e aux directions r gio nales de l INSEE dans vingt r gions En Ile de France l enqu te sera men e par le Secr tariat d tat au Tourisme lui m me et dans la r gion Midi Pyr n es par la Chambre de commerce et d industrie 1977 sera encore une ann e exp rimentale au cours de laquelle seront test s des questionnaires de pr sentations diff rentes mais de contenus comparables et totalisables l chelle natio nale Le secr tariat d tat au Tourisme utilise et pr conise un formulaire mensuel donnant le nombre d arriv es et de nuit es selon les pays de provenance num r s sur une liste pr tablie C est en effet l imprim auquel les h teliers sont accoutum s de longue date Certaines r gions estiment pr f rable un relev journalier sur une fiche mensuelle pr vue cet effet Ce proc d est utilis dans plusieurs pays europ ens Il a notam ment l avantage de distinguer la client le de semaine et celle des week end D autre part la liste des pays de r sidence des touristes est simplifi e dans certaines r gions 31 Quel est au moins pour la r gion parisienne le bilan de exp rien
96. imi nante l tude des s ries conomiques Au cours de la s ance consacr e l analyse syst mique DUFOUR a pr sent une application d une m thode d analyse 42 structurale au mod le de syst me mon taire fran ais de COU TIERE MONTSARDET une approche synth tique gr ce des th or mes de dualit de la th orie de l agr gation des pr f rences Enfin la s ance consacr e l environnement a t fort vari e optimisation allocation des investissements en mati re d environnement par HUGONNIER travaux th oriques prix n gatifs par BERTOLINI analyse concr te pollution dans les cha nes alimentaires par STEMMELEN Ce colloque a permis des changes de vues fructueux entre conomistes et conom tres d horizon et de nationalit fort divers Henri STERDYNIAK Unit de recherche Direction des Synth ses conomiques INSEE INSTITUT DES HAUTES ETUDES DE BELGIQUE S ries chronologiques Approches fr quentielles et temporelles Depuis la parution en 1970 du livre presque mythique de BOX et JENKINS Time series forecasting and control l analyse des s ries chronologiques l aide des mod les ARMA Auto Regressive Mouving Average a connu de nombreux d veloppements tant en ce qui concerne la th orie qu en ce qui concerne les applications L int r t que suscitent ces mod les est bas sur deux constatations la pratique des mod les ARMA donne d excellents r sult
97. ionnaires de pays en voie de d veloppement ayant une exp rience professionnelle de quelques ann es propose des stages de recyclage d une dur e de deux mois dans les domaines de la pr vision macro conomique court terme des comptes conomiques et de la planification UN GROUPE DE COOP RATION ECONOMIE Le second groupe a t cr en 1976 l initiative de M de CHALENDAR inspecteur des finances I se compose des repr sentants des directions du minist re des Finances du Plan de l Institut international d Administration publique de l ACTIM 1 de la Caisse Centrale et des minis t res des Affaires trang res et de la Coop ration Son objectif est une coordination des actions de coop ration fran aise dans les domaines qui rel vent du minist re des Finances c est dire de la Comptabilit publique des Imp ts des Douanes du Tr sor des Assurances des Prix de la Statistique et de la Pr vision s est r uni quatre fois en 1976 Les th mes sp cifiques abord s ont t la formation d trangers dans les coles du minist re des Finances et l organisation des program mes d intervention du minist re des Affaires trang res et du minist re de la Coop ration de la Caisse Centrale et de l ACTIM En outre des comptes rendus ont t donn s chaque s ance soit sur des activit s sp cifiques des directions des Finances soit sur l activit du minist re dans un pays donn Le fonctionnement de c
98. ipement de biens de consom mation le BTP les transports et t l communications les services et les commerces Il d crit les variables de la Comptabilit nationale dans un d tail assez fin ce qui est n cessaire aussi bien pour pouvoir saisir correctement les mesures de politique conomique ou l volution des comportements que pour alimenter en donn es quantitatives les organes ayant pour fonction de r fl chir la politique conomique moyen terme le Commissariat du plan et les commissions qu il r unit en particulier Ces deux carac t ristiques mod le multisectoriel description du cadre comptable font de DMS un mod le de grande taille il com porte plus d un millier d quations dont plus de deux cents quations de comportement importantes et prend en compte quelques quatre cent cinquante variables exog nes Aussi sa construction a t elle t un projet important s talant sur sur trois ann es et incorporant les r sultats des recherches les plus r centes effectu es en macro conomie appliqu e Mod le Dynamique MultiSectoriel 1 Cf R BOYER J MAZIER et G OLIVE Un nouveau mod le de pr vision conomique STAR Economie et Statistique n 61 novembre 1974 2 Une description du mod le METRIC sera publi e en 1977 dans dans Annales de l INSEE 3 Cf M AGLIETTA R COURBIS Un outil pour le plan le mod le FIFI conomie et statistique n 1 mai 1969 4 Cf D
99. ives que je viens d esquisser Jean de MARCILLAC Les textes de la Tribune sont pr sent s sous la responsabilit de leur auteur 47 INSEE Dossier rectangle Bibliographie au VII Plan les contribu tions techniques de l INSEE et de la direction de la Pr vision disponible dans les observatoires conomiques r gionaux Dossier rectangle Bien tre environnement patrimoine Tendances de la recherche en comptabilit nationale compte rendu de la 14 me conf rence de l International Association for Research in Income and Wealth IA RIW division Concepts et d finitions statistiques et comptables INSEE Services Statistiques des minist res ENVIRONNEMENT Rapport sur les statistiques de l environnement tablies en France Avril 1977 Division des donn es et des statistiques EQUIPEMENT Deux tudes Secteur du b timent et habitat ancien Etudes statisti ques de l Equipement No 33 juin 1977 Co t des logements neufs mis en chantier en 1973 et au ler semestre 1974 Etudes statistiques de l Equipement No 34 juin 1977 INDUSTRIE La recherche d veloppement dans les entreprises industrielles en 1974 Collection Traits fondamentaux du syst me industriel Les march s publics en 1974 dans l industrie Collection Traits fondamentaux du syst me industriel Soci t d tudes et de conseils Ing nieurs con
100. l initiative du C G P Commissariat g n ral du plan voire l utilisation d autres mod les mod le agricole mod le de simulation internationale MOISE du Groupes d tudes Prospectives Internationales Il est alors possible d tablir en laissant fonctionner le mod le partir de ces donn es exog nes une premi re pr vision sur l volution de l conomie Ce premier clairage donn sur lavenir conomique moyen terme fait en r gle g n rale appara tre des tensions dans l volution spontan e de l conomie d s quilibre du march de l emploi rythme d inflation excessif probl mes d quilibre ext rieur ou d quilibre des finances publiques financement de la S curit Sociale etc Cette mise en vidence des probl mes conomiques venir est bien s r un apport primordial des m thodes quantitatives Pour aller plus loin dans l tude des perspectives conomiques moyen terme on peut alors utiliser le mod le en variante soit pour analyser l efficacit de mesures de politique cono mique susceptibles de r soudre les difficult s r v l es lors des projections spontan es soit pour prendre en compte l impact des incertitudes qui affectent la d finition des variables exo g nes en particulier l environnement international Dans les variantes de politique conomique on tudiera l efficacit d une politique donn e d finie par une modifica tion des variables exog n
101. l tranger et trangers en France Affaires internationales correspondant une partie de l ancienne Finex direction des Finances ext rieures et qui s occupe des op rations mon taires et financi res avec l ext rieur des relations multilat rales au sein des organismes internationaux et des relations bilat rales entre tats Au sein de la sous direction des Affaires multilat rales de ce service le bureau El la charge des secteurs suivants Balance des paiements quilibre des finances ext rieures tr sorerie en devises et march des changes R glementation des changes Op rations de l tat avec l tranger Participation aux travaux de l OCDE sur les politiques conomiques et financi res Par nature les bureaux de la direction du Tr sor comme d ailleurs ceux de la plupart des directions d administration centrale au minist re de l conomie et des Finances sont d effectifs tr s limit s g n ralement entre 3 et 8 cadres A Ils sont charg s pour l essentiel des t ches de conception et d orientation la mise en uvre des politiques alors d finies tant du ressort d autes services e la Banque de France La Banque de France est constitu e de plusieurs directions g n rales dont celles du Cr dit des tudes des Services trangers de la Fabrication des billets etc Chaque direction g n rale est divis e en directions elles m mes d coup es en services L
102. l mes que pose la collecte aupr s des petits commer ants on peut se demander si une enqu te mensuelle aboutissant des r sultats cr dibles n est pas une gageure lorsqu elle s adresse la population des h teliers modestes pour leur demander non pas des impressions sur la conjoncture mais bel et bien des chiffres en valeur absolue provenant de comptages d taill s Un petit historique permettra d appr cier la r alit et l ampleur de ces difficult s Les exp riences ant rieures Le 10 mars 1939 para t un d cret instituant un tat mensuel sur lequel doivent tre inscrites jour par jour les arriv es et les nuit es des clients par nationalit Cet tat est en principe remis l autorit municipale qui le transmet la direction de la Statistique g n rale Ce dispositif est inapplicable et apr s la guerre il est rel gu au second plan En 1954 sa mise en place est de nouveau tent e Une simplification apparente consiste ne demander que les r capitulations mensuelles au lieu des chiffres journaliers Les tats mensuels seront remis au commissariat de police ou la brigade de gendarmerie qui se chargera de les transmettre administration centrale Les h teliers re oivent toutes instructions par une circulaire du ler janvier 1954 qui sera confirm e par un arr t qui para t 5 ans plus tard le 31 d cembre 1958 Cette proc dure nouvelle est ind pendante de l tablissement syst matique
103. la balance des paiements font l objet de r unions de concertation au niveau international La direction du Tr sor et la banque de France sont en relations suivies avec le Fond mon taire international l OCDE et OSCE qui simultan ment essaient d instaurer une uniformisation des conventions adopt es par chacun des tats et de publier des documents statistiques homog nes pour l ensemble de pays membres En ce qui concerne la m thodologie le document de r f rence est le manuel de balance des paiements du FMI dont la 4 me version est en cours d adoption En outre la balance des paiements est utilis e comme source d information par d autres services statistiques fran ais 8 Si la Banque de France intervient pour viter une hausse de notre monnaie C est ainsi que la comptabilit nationale a d cid de se caler sur la balance des paiements pour l valuation du total des op rations invisibles courantes 9 et des mouvements de capitaux En revanche on renonce de plus en plus au recours la balance des paiements pour compenser les insuffisances des sources statistiques directes Dans le pass on se r f rait aux lignes assurances tourisme etc de la balance des paie ments afin d appr cier les changes ext rieurs au titre de ces activit s dans la mesure o aucune information sur ces th mes n tait directement disponible L exp rience a montr qu une telle pratique n tait pas satisfais
104. lation Censuses and Surveys Grande Bretagne OUTILS STATISTIQUES DMS Les utilisations du mod le Le Syst me Unifi de Statistiques d Entreprises O en est on Les comptes nationaux du Commerce ENCADREMENT DES SERVICES Nouvelles affectations CONSEIL NATIONAL DE LA STATISTIQUE Activit s du deuxi me trimestre TRAVAUX EN COURS Sur le travail temporaire La statistique de fr quentation h teli re Prochain recensement g n ral de l agriculture La carte scolaire La r novation de l Enqu te Annuelle dans le Commerce Missions r centes de Coop ration R UNIONS INTERNATIONALES COLLOQUES S MINAIRES Communaut s Europ ennes OSCE Statistiques du logement Association Rhodanienne pour l avancement de l conom trie Structures conomiques et conom triques Institut des Hautes tudes de Belgique S ries chronologiques Approches fr quentielles et temporelles CIRSH Colloque pluridisciplinaire sur la r partition du pouvoir de la d cision publique r gion nation europe CERPAAC L analyse socio conomique ASU Journ es du 23 25 mai Vannes AFCET Journ e de formation du 27 avril 1977 Orsay TRIBUNE Pour la mise en place d un syst me d enqu tes subjectives POINT DES PUBLICATIONS INSEE Services Statistiques des minist res D LERNER J P DUBARRY N DIVOY G JOONEKINDT Y FRANCHET P DUBOIS X CHAROY J M CHARPIN et D FOUQUET R BROCARD J ALBERT
105. lecte Direction de la Production INSEE 17 DMS les utilisations du mod le Le d veloppement de l utilisation d outils formalis s de simu lation dans la pr vision conomique n est pas un fait nouveau D marr aux Etats Unis au d but des ann es 60 ce mouve ment s est tendu la France dans le cadre de la pr paration des budgets conomiques avec les mod les DECA puis STAR 1 du suivi de la conjoncture avec le mod le METRIC 2 et galement dans le cadre de la pr paration des plans avec les mod les FIFI 3 et maintenant DMS 4 Ce nouveau mod le de projection macro conomique moyen terme a t construit au service des Programmes de l INSEE entre 1973 et 1976 Il est op rationnel depuis Pautomne 1976 et fait actuellement ses premi res armes dans l tude concr te des perspectives moyen terme de l conomie fran aise LES GRANDES CARACT RISTIQUES DE DMS Mod le d exploration du moyen terme DMS est un mod le de cheminement annuel d crivant l volution de l conomie sur les 5 8 prochaines ann es Ainsi que l indique sont nom mod le Dynamique MultiSectoriel il incorpore une repr sentation d taill e du secteur productif dans une nomenclature en 11 branches secteurs et 10 produits Ces onze branches secteurs sont l agriculture les industries agricoles et alimen taires l nergie les industries de biens interm diaires de biens interm diaires de biens d qu
106. maine la seule op ration d envergure caract re v ritablement statistique ex cut e l aide de question naires individuels remplis directement aupr s de chaque exploitation Auparavant et certains traits de l op ration projet e caract re d cennal maintien d op rations pr liminaires en mairie existence d un questionnaire communal s inscrivent cet gard dans une longue tradition nationale les informations d taill es sur lagri culture fran aise utilisation des sols nature du cheptel produc tions taient rassembl es en principe tous les dix ans par le moyen de questionnaires adress s aux mairies et remplis directement par celles ci Le premier recensement mondial de l agriculture de 1929 1930 avait encore t r alis en France selon cette m thode bien adapt e initialement aux besoins l conomie agricole au es d instruction g n ral et la soci t rurale de la fin du XIXeme si cle 2 L ex cution du recensement g n fal de l agriculture de 1970 avait t prescrite au plan communautaire par la directive 69 400 CEE du 28 octobre 1969 Le programme d investigation statistique des Communaut s europ ennes a par ailleurs t marqu par la r ali sation d une importante enqu te par sondage 1 10 des Pr agricoles sur les structures agricoles directive 75 108 CCE du 20 janvier 1975 r alis e sur la campagne ler novembre 1974 30 octobre 1975 Le recens
107. ment envisager de poser aux entreprises de production des questions sur leurs diverses client les et les circuits d acheminement de leurs produits au sortir de leurs entrepots III COMPTES CONOMIQUES DES SECTEURS COMMER CIAUX Ces comptes qui s appuient d une part sur les travaux pr c demment d crits d autre part sur l exploitation des statistiques fiscales et des enqu tes annuelles d entreprises r sultent de l application des secteurs commerciaux homog nes c est dire compos s d entreprises qui pr sentent des caract res com muns des principes et des m thodes de la comptabilit nationale Ils ont pour objet l tude de l activit et du comportement conomique de ces secteurs et la mise en vi dence des r sultats obtenus valeur ajout e revenus d ex ploitation pargne etc 23 1 De tels comptes ont tout d abord t construits pour le commerce de d tail dont on pouvait valuer gr ce aux ta bleaux de passage produits secteurs les chiffres d affaires de mani re assez s re On a pu distinguer huit secteurs trois pour le commerce concentr et cinq pour le commerce non concentr De nou neaux regroupements seront introduits d s que les sources sta tistiques seront syst matiquement exploit es dans la nouvelle Nomenclature des Activit s et des Produits en vigueur depuis le ler Janvier 1974 On distinguera alors le commerce de d tail d alimentation g n
108. montrent que les diff rentes mesures de prix conduisent des estimations d volution assez voisines La question du secret sur l laboration de l indice est soulev e ce propos Il semble certains participants que le maintien du secret n a plus d objet une politique de l indice n tant plus craindre D autre part certains se demandent si le secret n est pas lev pour la Direction g n rale de la concurrence et des prix comme une note interne de cette direction pourrait le faire croire M MALINVAUD indique qu il s agit d une inter pr tation erron e de cette note Les donn es fournies par l INSEE la Direction de la concurrence et des prix ne sont rien d autre que des r sultats statistiques publi s ou accessibles tous publics dans les observatoires co nomiques r gionaux Le traitement des produits frais dans l indice pr sente une particularit qui est parfois critiqu e les volutions sont liss es par le calcul d une moyenne sur douze mois Ainsi les mouvements conjoncturels sont limin s et de plus l affectation de la moyenne mobile se fait en fin de p riode et non au milieu de la p riode de douze mois Les calculs et les graphiques pr sent s montrent que le lissage et cet cart de six mois dans l affectation de la moyenne mobile n introduisent pas de biais et que l indice ainsi calcul refl te bien la tendance de fond de l volution des prix Cependant l un des parti
109. n commen ant probablement par celui qui portera sur les tablissements premi re des enqu tes de base Des enqu tes sur chan tillons renouvel s par fraction seront cependant r alis es 1980 partir de cette enqu te l chantillon est renou avant cette date d s que la m thodologie de ce type vel par partie d chantillonnage sera d fini 1981 et 1982 m mes objectifs qu en 1980 La mise en place de la nouvelle proc dure d enqu te sera donc progressive et comportera les tapes suivantes 1983 enqu te de base 1978 lancement d une enqu te sur les donn es de l exercice 1977 portant sur l ensemble du champ mais limit e la partie annuelle et dont l chan tillon sera r duit au total 25 30 000 entreprises interrog es au lieu de 50 60 000 pour les Division Statistiques du commerce et des services enqu tes des ann es suivantes exploitation en D partement Entreprises valeur absolue sans chantillon constant INSEE Hubert REDON Le but des actions men es en coop ration est de participer la mise en place d une infrastructure d observation statistique et d analyse conomique dans les pays en voie de d veloppe ment L assistance technique des divers d partements de l INSEE dans ces pays s oriente progressivement vers une forme de programmes d intervention incluant un soutien technique de longue dur e confort et compl t par des missions courtes et une action de formation pa
110. ns en pr senter que quel ques unes La premi re s ance d conom trie appliqu e fut consacr e des travaux r cents concernant la demande d nergie influ ence des prix relatifs sur la demande des diverses formes d nergie SNELLA pour la France optimisation de la production et de la consommation nerg tique GUILLAUME et DONNI pour la Belgique construction d un mod le global centr sur les probl mes nerg tiques DRAMAIS et THYS CLEMENT au niveau europ en La seconde fut plus diverse stabilit de l conomie autri chienne partir d un mod le conom trique TINTNER analyse de l influence des incitations r gionales sectorielles ou conjoncturelles investir au Canada LE GOFF mod le du syst me mon taire anglais STERDYNIAK En conomie math matique GABZEWICZ et THISSE ont analys les rapports entre qualit des produits et structure des march s BARAN MARSZAC et ENCOUA ont pr sent un programme de d termination d quilibres micro conomiques permettant de simuler les impacts au niveau de chaque agents de mesures de politiques conomiques des conomistes sovi tiques ORLOV GOLSTEIN ont pr sent des travaux de programmation math matique En conom trie th orique GIRAUD a fait le point sur les tests d ind pendance des erreurs HOLLY a pr sent des tests d hypoth ses non lin aires dans des r gressions simultan es non lin aires DROESBEKE a appliqu l analyse discr
111. nt notre exp rience dans la circulation de l information conomique l int rieur de leur ville ou de leur d partement C est vers eux que se tournaient d j un certain nombre de personnes la recherche d information Apr s avoir accept de jouer le r le de correspondants et de travailler en r seau avec les autres ces correspondants re oivent un appui technique de l observatoire qui met leur disposition une partie de ses informations et leur permet ainsi de r pondre un certain nombre de demandes Leur apport est extr me ment pr cieux pour POER qui a ainsi connaissance des probl mes pos s dans les diff rentes zones de leurs r gions Ils peuvent lui signaler les sources d information locale et sont des interlocuteurs privil gi s pour l analyse des besoins en information conomique L originalit de l exp rience r side dans le fait qu on a choisi des hommes et non des organismes C est toute la richesse de cette exp rience inhabituelle dans administration mais c est aussi ce qui peut la rendre plus fragile Des exp riences similaires sont tent es par les observatoires du Nord et de Lorraine et plus r cemment par celui de Bretagne A terme l INSEE envisage une extension de l exp rience Cette collaboration privil gi e avec le r seau de correspondants n exclut d ailleurs pas un d veloppement des relations avec d autres organismes ou des publics particuliers D j des exp riences
112. nts constitue l essentiel et aspect le plus original du travail de la Banque de France nous lui consacrerons la majeure partie du d veloppement sur la collecte de l information statistique La balance des paiements est pr sent e suivant les grandes cat gories suivantes e En haut de la balance les op rations non mon taires op rations courantes commerce ext rieur de marchandises changes de services versements d int r ts transferts etc et mouvements de capitaux non mon taires inves tissements de portefeuille investissements directs pr ts emprunts cr dits Ces op rations sont suivies en cr dit d bit et solde La somme des recettes ainsi que celle des d penses est de l ordre de 500 milliards de francs par an dont les 2 3 soit 330 mds sont des op rations courantes parmi ces derni res le commerce ext rieur repr sente lui m me environ les deux tiers 220 mds chiffres de 1976 e En bas de la balance les variations de la position mon taire ext rieure La position mon taire ext rieure dont la balance des paiements suit les variations except celles qui r sultent des fluctuations du cours des monnaies constitue en quelque sorte la caisse de la France et recense l ensemble des avoirs et engagements court terme du secteur bancaire et du secteur public l gard de l ext rieur Elle fait l objet d une analyse s par e ind pendante de celle de la balance
113. nts et tablissements de boissons Forme juridique ann e de cr ation surface de vente pour commerces de d tail emploi valeur des ventes par produit produits compl mentaires stocks origine et destination 1 des marchandises en pour quelques cat gories de fournisseurs et de clients d une part par r gions 2 d autre part 3 m thodes de ventes 4 cat gories pr sence d un self service cadre si ge social succursales pour les ind pendants masses salaires vers s et autres d penses pour les tablisse ments si ges sociaux quelques ques tions sur l entreprise 4 pour les succursales activit principale de l en treprise Principaux r sultats automne ann e n 1 R sultats complets 3 ann es plus tard 1 Pour les commerces de gros 2 L tranger tant pr sent part 3 Les questions sur l origine et la destination des marchandises ne sont pos es qu aux soci t s 4 Nombre d tablissements de salari s total des ventes masse des salaires vers s et autres d penses ANNEXE 3 ENQUETES COURANTES DE PRODUCTION Ces enqu tes poursuivent des objectifs de m me nature que ceux des enqu tes de branche en France Unit statistique Champ Nomenclature de produits P riodicite M thode d enqu te Variables observ es Publication En g n ral l tablissement Un tablissement qui produit deux ou trois cat g
114. o ts de commercialisation Circuits de distribution et marges commerciales vol rec tangle ron o INSEE Tome I paru en 1976 sur les produits agricoles et alimentaires Tome II en cours de publication sur les produits non alimentaires 2 Passages Produits Secteurs Rapports de la Commission des Comptes Commerciaux de la Nation Collections de l INSEE S rie C n 12 21 28 46 50 Les chiffres d affaires du commerce de d tail de 1962 1973 par G STEHLE Collections de l INSEE vol E 33 3 Comptes conomiques des secteurs commerciaux Derni re S rie parue Collections de l INSEE vol C 50 Sep tembre 1976 Les comptes du commerce de gros y apparaissent pour la premi re fois Le prochain volume portera sur l ann e 1976 et paraitra en Septembre 1977 4 Travaux divers La pr sentation de ces travaux est g n ralement incorpor aux rapports soumis la Commission publi s dans les volumes C 12 21 28 46 50 des Collections de l INSEE Encadrement des Services Nouvelles affectations A L INSEE Date d effet M M BOEDA Chef de la cellule Rapport sur les comptes de la Nation Direction des Synth ses conomiques en remplacement de M VIGNON ler mai 1977 M B BOSSCHAERT Responsable du service des tudes Directeur r gionale de Bordeaux en remplacement de M PINOT PERIGORD de VILLECHENON 16 juin 1977 M J L ESCHAUZIER Directeur de l Observatoire conomique d Aq
115. on D mographie conditions de vie dans sa motion du 4 novembre 1976 son souci que soit assur un d veloppement sensible des enqu tes sur les condi tions de vie des m nages Pr sentant le deuxi me point de l ordre du jour M MALINVAUD situe les travaux internationaux dans les activit s des services statistiques et souligne leur importance croissante depuis la guerre Les proc dures de concertation des diff rentes organisations sont comparables mais certaines d cisions prises dans le cadre communautaire sont nettement plus contraignantes pour les pays L harmonisation porte en premier lieu sur les concepts et les nomenclatures elle s tend souvent aux m thodes de collecte et de traitement des statistiques Les r sultats de ces efforts sont tr s variables selon les domaines l importance des travaux d harmonisation tant surtout fonction de l acuit des besoins de comparaisons internationales Parmi les remarques formul es sur ce dossier il faut surtout noter que l harmonisation des donn es sur les revenus sur la s curit sociale et sur les statistiques sociales en g n ral para t insuffisante D autre part les utilisateurs souhaiteraient avoir des indications pr cises sur la comparabilit v ritable des donn es Sur ces deux points il faut s en remettre aux organi sations internationales elles m mes Ces remarques leur seront transmises R union sur l indice des prix de d tail
116. ories de biens re oit autant de questionnaires distincts nergie industries mini res et manu facturi res non compris industries agro alimentaires et b timent travaux publics 1 Enqu te exhaustive pour les tablisse ments d passant un seuil de taille ce seuil est g n ralement de 10 ou 20 salari s il n est jamais sup rieur 50 salari s 2 750 produits regroup s en 166 cat gories 166 questionnaires Derni re r vision importante de la nomencla ture 1973 Mensuelle depuis 1948 3 circuits 1 par voie postale 2 par enqu teurs 2800 enqu teurs e Circuit MITI unit s enqu t es par voie postale pour les unit s impor tantes e Circuit MITI bureau local du MITI 8 bureaux enqu teur unit enqu t e pour les unit s moyennes e Circuit MITI pr fectures 47 pr fectures enqu teur unit enqu t e pour les petites unit s Les v rifications et tabulations sont effectu es aux diff rents chelons Le fichier d enqu te est mis jour annuellement e Variables communes tous les questionnaires productions livrai sons marchandes et non marchan des stocks e Variables compl mentaires d pen dant des cat gories de produits fabriqu s consommations et stocks de mati res premi res et de produits p troliers emploi salaires capacit s de production Les observations portent en g n ral sur des quantit s mais aussi sur d
117. our et la n cessit d assurer une correspondance entre la NGP et toutes les autres nomenclatures de diffusion Cette cellule est en outre responsable des statistiques des op rations financi res li es au commerce ext rieur tablies partir des donn es sp cifiques recueillies valeur factur e monnaie de facturation nature du contrat etc Ces statis tiques font l objet de notes ron otyp es mensuelles trimes trielles ou annuelles donnant notamment la balance commerciale en terme de facturation l volution des cr dits commerciaux la part de chaque devise dans la facturation du commerce ext rieur Des tudes importantes sont actuellement men es en liaison avec la direction du Tr sor et la Banque de France afin de cerner dans quelle mesure l information fournie par la Douane et servant l tablissement de la balance des paiements pourrait tre am lior e c Cellule Statistiques du commerce ext rieur de transport et de gestion Outre la r alisation des travaux statistiques repris ci dessus cette cellule dirig e par un inspecteur principal assure une mission d tude g n rale dans le domaine de la diffusion recherche de nouvelles proc dures d impression offset micro fiches photocomposition etc actions publicitaires poli tique de diffusion Son activit reste n anmoins essentiel lement de production e Les statistiques du commerce ext rieur sont t
118. point des questionnaires gr ce une ou plusieurs enqu tes pilotes ex cution de la collecte des donn es sur le terrain v rification chiffrement L information relative une phase est r percut e rapidement sur les responsables des autres phases de sorte que l exp rience de chacun peut servir tous Par exemple la v rification rapide des premiers questionnaires remplis permet d ajuster les instruc tions donn es aux enqu trices ou d viter le renouvellement d erreurs syst matiques commises par l une d elles Parmi les enqu tes r alis es par l OPCS deux sont permanentes et particuli rement int ressantes L une concerne les d penses des m nages elle ressemble fort l enqu te fran aise sur le budget des familles mais comporte une partie plus d velopp e sur les recettes elle porte sur envrion 11 000 m nages L autre appel e enqu te g n rale sur les m nages analyse la composition des m nages et traite individuellement pour chaque membre des m nages de l emploi des loisirs de l ducation de la sant du revenu elle touche environ 15 000 m nages Parmi les th mes d enqu tes caract re plus subjectifs qui ont t faites r cemment citons l alcoolisme en cosse l attitude vis vis de la coop ration avec les pays en voie de d velop pement l attitude vis vis du travail f minin la consommation de tabac la formation des familles Xavier CHAROY Chef de la division Col
119. put pour les neuf r gions du pays et un tableau input output pour l analyse de la pollution 3 J ignore s il existe par ailleurs des enqu tes r alis es par les associations professionnelles 4 Cependant la faiblesse de la r mun ration des enqu teurs pose maintenant de s rieux probl mes ANNEXE 1 RECENSEMENT ANNUEL DE L INDUSTRIE Ce recensement est d une nature comparable l enqu te annuelle d entreprise fran aise dans l industrie tablissement 1 Exhaustif sans limite de taille l exception des tablissements publics Unit statistique Champ P riodicit Annuelle depuis 1909 extension du champ aux moins de 5 personnes occup es depuis 1939 quasi stabilit de l enqu te depuis 1948 M thode d enqu te Par enqu teur 3 700 enqu teurs Des contr les sont op r s aux diff rents tages du dispositif d enqu te enque teurs municipalit s pr fectures MITI Trois types de questionnaires tablissements de 30 salari s et plus tablissements de moins de 30 salari s si ges sociaux d entreprises ta blissements multiples Questionnaires Variables observ es Forme juridique liens avec d autres tablissements emploi salaires valeur des consomm es valeur comptable des immobili sations en d but d ann e des acqui sitions des sorties et des amortis sements en cours d ann e par nature d immobilisations
120. quatre th mes suivants d termination des circuits et des co ts de commercialisa tion passage de la connaissance des produits commercialis s celle des chiffres d affaires des secteurs commerciaux tude des parts de march tablissement de comptes macro conomiques pour le com merce tude de l appareil commercial de la population active et de l investissement du commerce I TUDE DES CIRCUITS ET DES COUTS DE COMMER CIALISATION Ces travaux ont pour but de d terminer pour chaque produit ou groupe de produits consid r les fili res d acheminement existant entre la production et la consommation finale ou ou interm diaire et de mesurer les marges commerciales pr le v es pour prix des fonctions exerc es par les diff rents canaux de distribution qui composent ces fili res Ils aboutissent l tablissement de diagrammes d achemi nement des produits et l valuation des marges commer ciales dont le total cart entre la valeur des produits aux deux stades de la production et de la commercialisation n est autre que le co t ou le prix de la distribution Les marges tablies par produit figurent comme l ment d quilibre des ressources et des emplois des biens et des services dans les tableaux d changes inter industriels II PASSAGES PRODUITS SECTEURS Ces tableaux analysent les ventes des diff rents produits ou groupes de produits selon les secteu
121. que devant les contaminations possibles des enqu tes subjectives sur les enqu tes classiques notamment pour tout ce qui touche au r seau d enqu teurs Pour ce qui concerne la France l INSEE a souvent indiqu qu il ne d sirait pas prendre en charge cette nouvelle t che Cependant les pouvoirs publics sont seuls pouvoir financer une telle op ration avec la r gularit n cessaire d autant plus que les r sultats ne pourront vraiment tre interpr t s que lorsque les s ries seront tablies sur une p riode suffisante il en a t de m me pour les enqu tes de conjoncture aupr s des chefs d entreprise Mais il n est sans doute pas indispensable de mettre en place une administration nouvelle Une quipe de recherche proche du secteur public pourrait en tre charg e condition de prendre les pr cautions n cessaires pour assurer la qualit recherch e Elle n aurait pas besoin de disposer de son propre r seau d enqu teurs et pourrait s appuyer sur l un des r seaux priv s existants le r seau public restant exclusi vement charg des enqu tes statistiques classiques Elle aurait la responsabilit de la conception du questionnaire de l archi vage des r ponses et des analyses qu elles appelleront Apr s un temps de r dage les r sultats seraient diffus s de la m me fa on que ceux des enqu tes de conjoncture transmission rapide aux pouvoirs publics publication des r sultats g n raux compte tenu des
122. r s connues puisqu elles aboutissent la communication tous les mois du montant des importations et exportations fran aises et du solde de la balance commerciale Cette production de chiffres globaux n est cependant qu un petit aspect des activit s de la cellule qui r pond en outre un nombre extr mement important de demandes d informations d taill es selon la nomenclature g n rale des produits 10 000 positions ou tout autre regroupement selon les pays d importation ou d exportation ou tout regroupement en zone selon le r gime douanier de la marchandise mise la consommation ou simple sortie r gimes suspensifs etc et cela au niveau national r gional et m me d parte mental Cela aboutit notamment la diffusion sous forme de microfiches de comptes mensuels crois s produits x pays et pays x produits Ces comptes sont repris annuellement dans un volu mineux annuaire Statistiques du commerce ext rieur importations exportations en NGP qui est compl t par un annuaire abr g des Statistiques du commerce ext rieur au tirage directement en offset de tableaux donnant mensuellement l volution de nos changes en nomen clature d tude conjoncturelle d une part et selon les principaux pays et zones g ographiques d autre part la publication de commentaires trimestriels et annuels r alis s par l Imprimerie nationale la sortie
123. r des stages l Institut C est dans ce cadre que les missions suivantes ont t engag es Missions r centes de COOPERATION MISSIONS DE LONGUE DUREE NOM PAYS ADRESSE DATE DE DEPART M NIVLET iran Markaz E AMAR FELKE GAS KHIABAN ABRICHANI CHIRAZ Janvier 1977 M PROST Maroc Direction de la Planification Secr tariat d Etat au Plan B P 178 RABAT Mars 1977 MISSIONS DE COURTE DUREE Janvier Juin 1977 NOM PAYS DUREE DATE OBJET MAGREB M TEMPL Tunisie 1 semaine fin d c 1976 comptes de surplus au Min des Affaires trang res tunisiennes M CADET Tunisie 2 semaines Janvier 77 Analyse enqu te budgets consommation M TISSIER Tunisie 3 semaines Janv F v 77 Analyse enqu te budgets consommation 38 M CONSOLO M BEHMOIRAS CONSOLO M THIBAU FRANCHET M CLAIRIN M TAHON TRZEPIZUR PRADEL DE LAMAZE BOSSHAERT TRZEPIZUR M LEBLAN M BEHMOIRAS HOSSENLOPP TRZEPIZUR M GRAIS M PADIEU M VESSE ANFR M ANFR BEHMOIRAS Mme FOUQUET M WINTER Maroc Alger Maroc Tunisie C te d Ivoire Burundi C te d Ivoire Haute Volta Niger Madagascar Afrique de l Ouest Madagascar lle Maurice Seychelles C te d Ivoire Rwanda Burundi Empire Centre Africain Tchad Gabon S n gal Sao Tome Colombie Colombie Br sil Espagne Gr ce Munich Portugal Londres 10 jours 5 jours 10 jours 15
124. ra conserv En revanche des r flexions actives sont actuellement men es au sein d un groupe de travail conjoint INSEE minist re de l Agriculture pour pr ciser les modalit s de d finition de diff rents sous champs dans l univers des exploitations agriculture professionnelle exploitations marginales agriculture temps partiel les m thodes de mise jour des listes d exploitations dans les communes la mise au point du questionnaire et les modalit s effectives de collecte recours ventuel un sondage pour une partie du champ adoption possible de deux types de formulaires selon l importance de l exploitation nouvelle pr sentation ou reformulation de certaines questions d j pos es en 19 70 lt le mat riel informatique utilis la saisie et le contr le des donn es En mati re de collecte et de diffusion des r sultats un effort g n ral de simplification sera apport par rapport au dernier recensement en vue de mieux centrer les investigations sur les points essentiels Une part plus grande sera accord e en revanche adoption de rubriques r gionales ainsi qu la recherche d une meilleure coh rence entre les donn es socio d mographiques recueillies et celles en provenance des recen sements g n raux de la population Le volume des tableaux produits de mani re centralis e sera sensiblement r duit par rapport 1970 au profit d un recours accru au
125. recteurs g n raux tait sollicit sur les orientations propos es par l Office pour le programme statistique relatif aux commerces de gros et de d tail et sur l opportunit de pr voir un programme analogue pour les autres branches des services Les lignes g n rales du programme commerce avaient d j t pr sent es la Conf rence de novembre 1975 ainsi que les probl mes principaux que sa r alisation soul ve et qui sont li s la n cessit d inclure dans le champ de l enqu te d s le d part les plus petites entreprises la rapidit assez grande des transformations structurelles et au souci d obtenir le plus t t possible quelques r sultats comparables pour la Commu naut Ce projet a t depuis la r union du 6 Mai t mis au point lors de plusieurs r unions du groupe de travail Statis tiques des entreprises prestataires de services Ces r unions ont aussi fait appara tre une contradiction marqu e entre le besoin d avoir d s le d but un large champ d observation et la n cessit de tenir compte des difficult s particuli res du terrain d enqu te dans le secteur commercial Dans le document soumis par lui la Conf rence de LA HAYE l OSCE a distingu clairement le programme tenant compte essentiellement des besoins satisfaire et consid r comme un cadre de r f rence vers lequel doivent tendre les r alisations nationales et sa r alisation subordonn e aux possibilit s concr
126. ri s et plus Contient en plus des informations du fichier III les ni veaux branches d entreprises qui sont tir es des EAE Dispo nible au 2 me ou 3 me trimestre de l ann e n 3 22 Un syst me volutif Les grandes tapes de la constitution du syst me sont d sor mais fix es dans ce cadre SUSE continuera voluer dans les voies suivantes sur le plan des fichiers fiscaux la r forme du r gime fiscal du simplifi pr vue pour l exercice 1977 conduira traiter les unit s au r el simplifi comme les forfaitaires En outre l obtention du fichier informatique des b n fices non commerciaux devrait permettre de disposer d un fichier IV plus complet les EAE verront sur l exercice 1977 leur homog n it s agrandir Une meilleure d limitation des fronti res et la r alisation de l enqu te annuelle d entreprises dans les ser vices sont des progr s consid rables terme l objectif poursuivi est d enqu ter toutes les entreprises l exclusion encore des exploitations agricoles et des services non marchands Les d lais des EAE devraient galement notablement se raccourcir la possibilit de passer du statistique au dynamique est envisag e actuellement pour l analyse des donn es de SUSE En outre la cr ation d un fichier historique sur les groupes sur la base des tudes faites en 1972 et 1974 permettra de joindre l approche dynamique la prise en compte d un m so agen
127. rs qui les distribuent D une part ils donnent la r partition des ventes totales du produit entre les diff rents secteurs et permettent ainsi de r pondre la question Quels sont les secteurs qui distribuent tel pro duit et pour quelle valeur Ils analysent d autre part le chiffre d affaires commercial d un secteur donn et r pondent ces autres questions Quels sont les produits vendus par tel secteur et pour quelle valeur Quel est le chiffre d affaires total de ce secteur Ces tableaux exigent la mise en coh rence de trois cat gories d informations statistiques celles relatives aux quantit s et aux valeurs des produits utilis s sur le territoire fran ais et distribu s par le com merce de d tail essentiellement statistiques de consom mation celles relatives aux chiffres d affaires globaux r alis s par les diff rents secteurs commerciaux statistiques fiscales ou professionnelles recensement de la distribution enqu tes annuelles d entreprises enfin celles relatives aux canaux de distribution des diff rents produits et qui proviennent soit des m nages ques tions pos es sur les lieux d achat lors des enqu tes sur les budgets familiaux soit des entreprises commerciales ques tions pos es sur la composition de leur chiffres d affaires lors des recensements de la distribution ou des enqu tes an nuelles aupr s des entreprises commerciales On pourrait gale
128. rs r gionaux avec lesquels les h teliers sont en relation de confiance d l gu s r gionaux du secr tariat d Etat au Tourisme charg s principalement de la promotion touristique de la r gion assistants techniques en h tellerie de la chambre de commerce r gionale plaidoyer aupr s des repr sentants de la profession gr ce des correspondances et des entretiens suppression de l obligation de r ponse pour les tablisse ments class s en 1 ou 2 toiles rappelons que seuls les ta blissements class s entrent dans le champ de cette enqu te en cours d enqu te appels par t l phone pour appuyer les relances par correspondance possibilit pour les h teliers de fournir leur r ponse par t l phone envoi des r sultats de l enqu te aux g rants d h tel dans une premi re phase suppression de la statistique portant sur les clients fran ais de mani re all ger le travail des assujettis et les persuader que l enqu te ne constitue pas un contr le de leur activit Les premiers essais ont t lanc s en 1975 en faisant appel aux seuls responsables r gionaux du tourisme Mais bien vite on s est rendu compte qu ils taient peu disponibles et ne se sentaient pas l aise dans le travail de collecte statistique Ils n avaient pas non plus leur disposition du personnel bien form Aussi l assistance technique et les moyens logistiques de l INSEE se sont
129. ructions mis la disposition du service et des d clarants et r diter apr s mise jour ventuelle tous les ans Les statistiques sur les entreprises sont assez peu d velopp es bien que les num ros d identification l INSEE des entreprises importatrices et exportatrices soient collect s depuis d j de nombreuses ann es Ceci s explique pour deux raisons d abord cause du secret professionnel la Douane ne peut communi quer quiconque les renseignements individualis s qu elle d tient ni d ordre quantitatif bien s r comme le montant des changes d une entreprise avec l ext rieur ni d ordre quali tatif non plus par exemple les pays avec lequels commerce une entreprise ou les types de produits qu elle commercialise Ensuite parce qu un autre probl me se pose les caract ris tiques de l entreprise code d activit principale taille etc ne sont connues que par recherche sur un fichier communiqu par l INSEE Or les informations qui y sont recueillies ne permettent encore pas toutes les exploitations souhait es C est pourquoi jusqu pr sent la Douane s est content e surtout de constituer un classement annuel des entreprises avec des indications sur la concentration des changes et de mettre sur microfiches de information r gionalis e la disposition de ses directions r gionales b Cellule Nomenclatures Statistiques financi res Le titre indique bien les comp ten
130. s tudes et Recherches 4 rue d Aboukir 75002 PARIS T l 296 10 40 Douanes rie Finances Bureau des Statistiques 8 rue de la Tour des Dames 75436 PARIS CEDEX 09 T l 67 22 Education Universit Service des tudes Informatiques et Statistiques 142 rue du Bac 75007 PARIS T l 555 97 50 Division Service Central des Statistiques et Sondages 58 Boulevard du Lyc e 92170 VANVES T l 645 21 24 Environnement Division des Donn es conomiques et Statistiques 14 Boulevard du G n ral Leclerc 92521 NEUILLY SUR SEINE T l 758 12 12 quipement Service des Statistiques et des tudes conomiques 34 36 rue de la F d ration 75737 PARIS _CEDEX 15 T l 577 30 10 Fonction Publique Cellule Statistique 32 rue de Babylone 75700 PARIS T l 556 80 00 Industrie Service du Traitement de l information et des Statistiques Industrielles 83 et 85 Boulevard du Montparnasse 75006 PARIS T l 555 93 00 et 325 22 61 Jeunesse et sports Division de la Statistique 118 Avenue du Pr sident Kennedy 75016 PARIS T l 524 19 60 Justice Division de la Statistique 251 rue Saint Honor 75001 PARIS T l 261 58 08 Sant et Action Sociale Division Organisation et M thodes Informatiques D partement des Statistiques de la Sant et de l Action Sociale 14 avenue Duquesne 75700 PARIS T l 567 55 44 Bureau des Informations Statistiques de l
131. s conditions de vie des m nages Ces retards devraient tre rattrap s en 1978 Des efforts importants ont t consacr s la r duction des d lais de sortie des r sultats d enqu tes Des probl mes subsistent encore notamment dans l exploitation du recen sement de 1975 D autre part M MALINVAUD a indiqu que le probl me du secret statistique va de nouveau tre examin En effet l INSEE avait confi au Bureau d information et de pr vision conomiques la mission d tudier les possibilit s d assouplis sement des r gles du secret sur les statistiques d entreprises En s appuyant sur le rapport du BIPE l INSEE proposera au Conseil des solutions objectif limit mais susceptibles de r soudre certains probl mes d information tout en restant dans le cadre de la loi de 1951 Des travaux pr sentant certaines difficult s m thodologiques ont t engag s pour satisfaire les besoins exprim s par les groupes de travail sur les hauts et les bas revenus sur les infor mations d tenues par les organisations de s curit sociale et sur les conditions de travail Le point sur ces travaux sera fait au cours de prochaines r unions M MALINVAUD a soulign le fait que le programme pr vu a t respect dans une large mesure malgr les difficult s dues aux restrictions budg taires actuelles Dans le d bat qui a suivi cet expos le Conseil national du patronat fran ais a exprim les craintes qu il a de
132. s d origines g ographiques et statutaires tr s diverses ont particip cette r union Jean Claude DEVILLE D partement Population m nages INSEE Contrairement ce qui a t crit a Tous les sociologues f ministes n ont pas contest les pr suppos s qui fondent une valuation quantitative de la production domestique non marchande Du c t fran ais deux sociologues f ministes contre une estim rent que la production domestique non marchande devait recevoir l quivalent d une valeur mon taire et tre int gr e dans les indicateurs de production conomique Mais elles contes t rent comme la troisi me le fait que cette valuation soit laiss e l estimation des experts et les biais que ceux ci introduisent en se r f rant au prix du march qui tendent sous qualifier syst matiquement toutes les t ches ex cut es par les femmes b Contrairement encore au compte rendu tous les cono mistes ne sont pas favorables l attribution d une valeur mon taire la production domestique non marchande Deux membres du CREDOC y furent hostiles contre un seul qui y fut favorable M Pierre KENDE Ceci prouve que les clivages ne passent donc pas entre conomistes et sociologues ou entre f ministes ou non f ministes mais en fonction de l analyse de chacun c Enfin l ensemble des participants fut loin de partager le point de vue d Agn s PITROU sur la r sistance
133. s font ressortir par exemple des carts instan tan s entre groupes class s selon des crit res courants ge cat gorie socio professionnelle sexe taille de la famille type de logement urbanisation r gion nation ou selon des typologies particuli res construites pour chaque enqu te Les r sultats seraient bien plus int ressants s ils permettaient de rapprocher divers domaines entre eux et surtout s il tait possible de suivre leur volution dans le temps La r p tition syst matique de telles enqu tes apporterait des informations de nature clairer notablement l analyse et la compr hension de la situation de la soci t un instant donn en situant cet instant dans une volution sociale volution dont l observateur ne peut gu re pour le moment d faut de tels instruments d crire les phases autrement qu en termes flous s appliquant des p riodes mal rep r es L volution des r sultats montrerait les d formations des perceptions et des attentes leur diffusion d un groupe l autre comme le laissent d j deviner les r ponses des m nages aux questions g n rales de l enqu te Intentions d achats lorsqu elles sont d taill es par cat gories socio professionnelles o Les organismes statistiques officiels ont d j fort faire pour ex cuter leurs t ches classiques dont l extension doit tre poursuivie cette raison mat rielle s ajoute une certaine r ticence d ontologi
134. seils R sultats 1975 Ne sont pas reprises sous cette rubrique toutes les publications intra annuelles r guli res des services 48 Point des publications INTERIEUR Guide des ratios des communes de plus de 10 000 habitants exercice 1975 Collection Statistique sur les collectivit s locales La Documentation Fran aise TRANSPORTS Immatriculations des v hicules utilitaires en 1976 D partement des statistiques des transports avril 1977 Relation entre charge utile et poids total en charge autoris v hicules utilitaires D partement des statis tiques des transports mai 1977 TRAVAIL Les conflits du travail en 1976 6 avril 1977 Division de la statistique Bilan du ch mage partiel en 1975 et 1976 27 avril 1977 Division de la statistique Les licenciements pour cause conomique de l ann e 1976 29 avril 1977 Division de la statistique SERVICES STATISTIQUES DES MINISTERES Agriculture Service Central des Enqu tes Statistiques 4 avenue de Saint Mand 75012 PARIS T l 344 46 33 Anciens Combattants Mission d Organisation et d Exploitation Statistique et Informatique 37 rue de Bellechasse 75700 PARIS T l 705 53 97 Collectivit s Locales Int rieur Bureau des tudes des Statistiques et des Analyses Financi res 4 12 rue d Aguesseau 75008 PARIS T l 266 25 50 Culture Service de
135. sibilit de lancer une enqu te trimestrielle sur les stocks de l indus trie et du commerce Une des principales difficult s ren contr es tient ce que les m thodes de valorisation des stocks sont variables selon les entreprises La r alisation d une enqu te pr alable sur les m thodes comptables uti lis es permettra de constituer un chantillon o la diversit de ces m thodes serait r duite De plus afin de ne pas trop alourdir la charge des entreprises on recherchera de pr f rence celles dont la comptabilit est informatis e Si elle est r alis e cette enqu te sera rapidement exploit e ses r sultats seraient disponibles dans un d ali de deux mois et demi apr s la fin du trimestre Outre son int r t conjoncturel important elle permettrait une nette am lioration des comptes nationaux trimestriels et annuels Formation Emploi Revenus R union du 7 juin 1977 Pr sident M SELLIER Rapporteur M GRAIS L ordre du jour comportait trois points l enqu te sur les revenus fiscaux des m nages en 1975 les travaux du Centre d tude des revenus et des co ts l emploi et les salaires dans la fonction publique 1 L enqu te sur les revenus fiscaux de 1975 est en cours Elle est tr s voisine des enqu tes analogues faites dans le pass mais comporte quelques adjonctions questions sur la taxe d habitation sur la dur e d emploi correspondant aux revenus d clar s sur les flux de patrimoine
136. sont en cours notamment dans la r gion centre pour rendre information statistique plus acces sible aux utilisateurs des centres de documentation publics ou para publics Au niveau national le D partement de la Diffusion qui coor donne le r seau des Observatoires conomiques r gionaux envisage galement de d velopper sa coop ration avec d au tres r seaux documentaires Norbert DIVOY Chef du Service R seau des OER D partement de la Diffusion INSEE 1 Pour plus de d tails voir la plaquette de J BERTHERAT L Observatoire conomique Rh ne Alpes a cinq ans Tir part a la ice r gionale Points d appui pour l conomie Rh nes pes TITRE DE LA PUBLICATION VILLE NOM ET ADRESSE DE L OER TELEPHONE DIRECTION R GIONALE DE L INSEE AJACCIO Observatoire conomique de Corse 1 r sidence du Parc Belv d re BP 40 20 176 AJACCIO cedex Observatoire conomique de Picardie 2 rue Robert de Luzarches 80 026 AMIENS cedex Observatoire conomique de Franche Comt 2 rue de l industrie 25 042 BESANCON cedex Observatoire conomique d Aquitaine 349 Bd du Pr sident Wilson 33 200 BORDEAUX Observatoire conomique de Basse Normandie 13 rue Paul Doumer 14 037 CAEN Observatoire conomique d Auvergne 52 avenue de Royat 63 400 CHAMALIERES Observatoire conomique de Bourgogne Immeuble Mercure Avenue Albert 1er 21 033 DIJON Observatoire conomique du Nord 10 et 12 Bd Vauban 59 000 LIL
137. strie et de la recherche service des statistiques et des tudes conomiques du minist re de l qui artement iques des transports du secr tariat d tat aux transports d partement des statistiques de la sant et de l action sociale dt e de la sant bureau des mronmations puasistiques du gRorataria d tat l aCHON sociale division de la statistique du mir a 4 L Us
138. t e La nature des enqu tes est tr s vari e c t d enqu tes de type objectif bas es sur l observation qualitative ou quan titative des faits conomiques et sociaux sont r alis es des enqu tes caract re tr s subjectif portant sur les compor tements et attitudes de la population l gard de divers ph nom nes conomiques et sociaux e L OPCS est un organisme totalement centralis les services techniques sont Londres les services administratifs et l ordinateur tant pr s de Southampton il n existe aucune implantation r gionale permanente quivalente nos direc tions r gionales en particulier le r seau d enqu teurs est enti rement g r de Londres et les op rations manuelles de v rification et de chiffrement sont effectu es Londres ACTIVIT S DE LA DIVISION DES ENQUETES SOCIALES La division des enqu tes sociales comporte quatre branches La premi re est charg e de la conception g n rale et de l organisation des enqu tes de la coordination du travail sur chaque enqu te et de l analyse des r sultats La seconde pr pare les plans de sondages et effectue les tirages d chantillons La troisi me assure l ex cution de la collecte de l infor mation sur le terrain en veillant sa qualit et sa pr ci sion elle utilise un r seau d environ 350 enqu teurs en tr s grande majorit des femmes qu elle s lectionne forme et contr le La qua
139. t 1971 pour la r vision de 1971 les pr visions avaient t faites l horizon 1978 en prenant comme base le recensement de la population de 1968 et la migration entre 1962 et 1968 Les projections de population ont t tablies au niveau centralis et communiqu aux recteurs A partir des pro jections de l INSEE en particulier partir des zones de peuplement industriel et urbain ZPIU le service central des statistiques et sondages a tabli des projections par district et par secteur Les rectorats ont pu ainsi dispos de pr visions sur le volume de la population scolarisable brute par secteur effectifs des tranches d ges 11 12 13 14 ans l horizon 1978 pour le ler cycle effectifs des tranches d ges 15 16 et 17 ans pour le second cycle La r partition qui servit de base la r vision de 1971 pour le second cycle tait la suivante enseignement du second cycle long 42 enseignement du second cycle court 48 vie active apprentissage 10 On passe la population scolarisable publique ou PS 78 en retirant les effectifs de l enseignement priv les l ves relevant d un enseignement sp cialis et en tenant compte d un taux d alourdissement correspondant au redoublement Les acad mies appliquent pour toutes ces corrections des taux diff rentiels selon l acad mie voire le d partement le district et le secteur elles op rent galement la partition entre le premier c
140. t districts sont des circonscriptions propres Education nationale et ne coincident pas toujours avec les autres circonscriptions administratives Les l ves domicili s dans un secteur sont scolaris s dans l tablissement de premier cycle du chef lieu du secteur et les l ves domicili s dans un district sont scolaris s dans le ou les tablissements de second cycle du chef lieu du district Cette r gle de l obligation de fr quentation en fonction de la domiciliation appelle deux remarques Tout d abord la fr quentation n est obligatoire qu autant que l tablissement offre les enseignements correspondant l orientation de l l ve Il est vident et la restriction s applique essentiellement au second cycle qu on ne peut contraindre un l ve fr quenter le lyc e du district de domiciliation si cet tablissement ne dispose pas des ensei gnements choisis par lui par exemple une section h teli re Dans ce cas la d rogation la r gle de fr quentation est de plein droit A l inverse si la section choisie par l l ve existe dans le secteur ou dans le district il ne sera pas autoris entrer dans un tablissement ext rieur Il y a environ 600 districts et 4 000 secteurs 2 Pr visions d effectifs Les r sultats des diff rents recensements de la population effectu s par l INSEE en 1954 1962 1968 ont servi de base l tablissement de ces pr visions En 1963 l horizon retenu avait
141. t dont l existence ne laisse plus indiff rent le statisticien d entreprises la prise en compte dans le syst me d autres sources DAS enqu te structure des emplois fichier des investis sements trangers CA3 ne pose pas de probl mes de principes dans SUSE mais un choix se posera au niveau de l entr e de ce ces fichiers dans le syst me La mise en uvre syst matique n est pas pr vue dans des d lais brefs mais des exp riences particuli res sont et seront tent es La Section SUSE effectue galement des travaux d tudes statistiques descriptives sur le monde des entreprises et d veloppe une diffusion ponctuelle la demande soit pour des tudes soit pour la pr paration de r formes adminis tratives Tel est SUSE Sa principale qualit est d tre beaucoup plus une synth se qu un simple assemblage d informations et ainsi il constitue un ensemble vivant suffisamment puissant pour tre d un usage commode tant pour les laborations de synth ses macro conomiques que pour les analyses micro conomiques Renaud BROCARD Division tudes des Entreprises D partement Entreprises INSEE Les comptes nationaux du COMMERCE Les comptes commerciaux de la Nation sont une application de la technique comptable la connaissance du commerce Ils constituent un essai de mise en coh rence de l ensemble de l information statistique disponible dans des cadres de compta bilit macro conomique particuli rem
142. t les diff rences de traitement 28 entre les agents de l tat et ceux des collectivit s locales Les participants ont cependant exprim leur satisfaction de voir progresser la connaissance dans le domaine de la fonction publique Groupe Coordination des statistiques r gionales et locales R union du 16 juin 1977 Pr sident M FOUCAUD Rapporteur M CARRERE Afin de suivre la r alisation du Programme statistique 1976 1980 en ce qui concerne les travaux r gionaux il a t d cid de tenir une premi re r union d information sur les programmes de travaux statistiques men s en r gion en 1977 L essentiel de la r union tait consacr aux enqu tes r alis es par les directions r gionales de l INSEE les deux autres points trait s tant les proc dures de programmation des travaux de statistique agricole en mati re r gionale et locale d une part une pr sentation du R pertoire g ographique urbain RGU d autre part Trois des enqu tes de directions r gionales de l INSEE ont fait l objet d expos s plus d taill s implantations sur les zones industrielles en Bourgogne DR de DIJON liaisons indus trielles dans la r gion Rh ne Alpes DR de LYON insertion des travailleurs trangers en Lorraine DR de NANCY Le groupe a demand tre inform aussi des enqu tes nationales comportant l exploitation de r sultats r gionaux notamment sur les m nages l emploi les
143. t maintenant prendre en compte les facteurs corr latifs aux changes de marchandises c est dire d une part son transport d autre part sa contre partie financi re Ainsi le nombre important de donn es recueillies une trentaine pour chaque exp dition permet en croisant diversement les informations d avoir une vue aussi compl te et pr cise que possible des caract ristiques princi pales du commerce ext rieur fran ais Les moyens importants mettre en uvre pour traiter une telle masse d informations 5 millions d enregistrements en 1958 14 millions en 1976 avaient justifi la cr ation l int rieur des Douanes d un service national des Statistiques du Commerce ext rieur assurant la totalit des travaux n ces saires l tablissement de ces statistiques transform en 1969 en une direction nationale des Statistiques du Commerce ext rieur DNSCE Dans le m me temps une cellule en tait d tach e pour tre rattach e la direction g n rale et devenir le bureau des Statistiques bureau C 2 Ainsi la fonction statistique s exerce actuellement la direction g n rale des Douanes en deux endroits bien distincts et aux comp tences relativement bien tranch es le bureau des Statistiques est charg d une part de d finir les grandes orientations par l laboration de sch mas direc teurs de la statistique d autre part d en r aliser la m thodo logie d ensemble concepts mise
144. t sur les options du VIle Plan Le texte du VIIe Plan la pr cise page 78 un disposi tif de projections pluri annuelles glissantes sera mis en place afin de permettre aux entreprises et d autres utilisateurs de mieux assurer leurs propres pr visions Ces projections macro conomiques et sectorielles seront labor es avec le concours de l INSEE et d autres organismes sp cialis s sous la responsa bilit du Commissariat g n ral du plan qui en accord avec les repr sentants des principaux utilisateurs s appuiera sur les conseils d un comit de personnalit s qualifi es Au moment o cet article est r dig l op ration est dans une phase d laboration interne l administration CGP DP INSEE Elle est centr e sur la construction de deux esquisses de croissance correspondant deux sc narios contrast s d envi ronnement international L un de ces sc narios d crit une voie de sortie l autre la persistance des difficult s pr sentes Parall lement le mod le est utilis pour r pondre des commandes ponctuelles provenant d organismes administratifs Ainsi il a explor les cons quences macro conomiques moyen terme d un d placement de la structure de la consom mation des m nages o les transports les t l communications et les services tiendraient une plus grande place pour le groupe Nora ainsi que les cons quences d une modifi cation de l assiette des cotisa
145. tats des r glements entre la France et tandis qu un troisi me fascicule analyse en d tail les investissements directs et les investissements de portefeuille Jean Pierre DUBARRY Chef du Bureau des tudes Direction des Relations conomiques Ext rieures Minist re du Commerce ext rieur et Minist re de l conomie et des Finances 9 Certains postes des invisibles sont quantitifi s pasa de sources statistiques sp cifiques transports maritimes fluviaux etc en revanche d autres sont valu s par diff rence entre les donn es connues directement et les r sultats de la balance des paiements 10 La possibilit de confectionner des balances mensuelles est actuellement tudi e 11 Communiqu du service de l information du Minist re de l conomie et des Finances repris dans Statistiques et tudes Financi res S rie rouge 12 Note bleue du service de Information reprise dans Statis tiques et tudes financi res S rie rouge Le r seau des OBSERVATOIRES conomiques r gionaux de l INSEE En 1967 avec l aide de la DATAR l INSEE cr ait Lille et Marseille les deux premiers Observatoires conomiques r gio naux OER d un r seau qui devait en comporter sept Le sch ma propos reposait sur une division de la France en sept grandes r gions ordonn es autour d une m tropole r gio nale des antennes des OER pouvant tre cr es dans les autres capitales r gional
146. tenus On obtient ainsi chaque trimestre des donn es en structure sur le flux des contrats conclus au cours de la p riode les crit res de r partition tant l activit cono mique des utilisateurs la nature des emplois propos s et la dur e pr vue des missions Par ailleurs la dur e moyenne pr vue pour les missions estim e par ce sondage permet d valuer partir des r sultats provenant du comptage des contrats d une part le nombre de semaines travail conclues pour un trimestre donn d autre part sur l ann e l effectif moyen quoti dien des int rimaires en mission Actuellement seuls sont disponibles les r sultats concer nant l ann e 1975 2 Les r sultats relatifs au premier semestre 1976 paraitront en ron o en juillet Ainsi malgr les limites qu impose une m thode de sondage aboutissant un chantillon assez r duit les donn es obtenues permettent d sormais de cerner les caract ristiques du ph no m ne travail temporaire du moins sous son aspect emploi et d en suivre l volution dans le temps Simone BANGOURA Division de la Statistique Minist re du Travail 2 A para tre dans le suppl ment au Bulletin mensuel de statistique du minist re du Travail d ao t 1977 30 Une action conjointe du secr tariat d tat au tourisme et de l INSEE La statistique de fr quentation h teli re L activit h teli re est simultan ment une activit de pro duction de consomma
147. tion interm diaire ou finale et d expor tation elle est le fait d un secteur artisanal mais aussi celui d entreprises importantes et m me de soci t s de type multi national selon les cas elle est permanente ou saisonni re Homog ne elle n en secr te pas moins des produits tota lement diff rents selon le lieu et l environnement o elle s exerce Enfin l exp rience semble montrer qu elle est un bon indicateur de l activit touristique en g n ral mais aussi de la conjoncture conomique d ensemble laquelle elle est tr s sensible Toutes ces particularit s rendent n cessaires une observation statistique continue rapide et bien distribu e selon la cat gorie d tablissement et la localisation des unit s Est ce facile Le champ pr sente certes des limites assez floues il comprend par exemple les hotels garnis lou s au mois aussi bien que les meubl s d appoint auxquels les h teliers s adressent en p riode de pointe mais on parvient tout de m me assez bien le d limiter Le ph nom ne observer est simple et uniforme nombre de clients nombre de nuit es selon le pays de r sidence habituel ou d faut selon la nationalit des voyageurs La difficult n est pas technique mais psychologique Elle r side dans la r ticence du milieu professionnel ou plus pr cis ment du secteur artisanal de ce milieu se pr ter l investigation statistique Lorsqu on conna t les prob
148. tions sociales pour le groupe de travail ad hoc anim par le Commissariat du plan etc Toutefois ces applications de type administratif ne sont pas les seules envisageables Ainsi le mod le DMS a t mis la disposition de l Association des anciens l ves de l ENSAE l occasion d une session d information lors de laquelle il a t utilis en temps r el De m me il est pr vu comme cela a t fait avec le mod le FIFI d utiliser le mod le pour r aliser des variantes demand es par des organisations professionnelles ou syndicales l occasion des travaux de commissions r unies par le Commissariat du plan Jean Michel CHARPIN Denis FOUQUET Service des Programmes Direction des Synth ses conomiques INSEE Mission pour l Informatisation de la Soci t Le Syst me Unifi de Statistiques d Entreprises O en est on En ce milieu d ann e 1977 on dispose des SUSE 1971 1972 1973 et 1974 le SUSE 1975 est commenc et les grands prin cipes des SUSE 1976 et 1977 se tracent I nous appara t utile donc de pr senter ce qui a t fait et dans quelle voie nous nous dirigeons semble en effet que pour de nombreux utilisateurs poten tiels SUSE en tant que syst me est mal per u dans toute sa globalit Un choix syst matique Les deux principaux acteurs socio conomiques les m nages et les entreprises n ont pas sur le plan statistique connu le m me d veloppement L
149. tres missions qu elle remplit Daniel LERNER Chef du bureau des Statistiques Direction g n rale des Douanes et Droits indirects Minist re de l conomie et des Finances La direction du TRESOR et la BANQUE de FRANCE sont associ es pour la r alisation de la BALANCE DES PAIEMENTS La balance des paiements est confectionn e par la Banque de France pour le compte et la demande de la Direction du Tr sor les textes r glementaires permettant de recueillir les informations la m thodologie de la balance des paiements et la publication des r sultats sont du ressort de la direction du Tr sor mais l ensemble des t ches de confection est assur par le service de la Balance des paiements de la Banque de France BREF RAPPEL QU EST CE QUE LA BALANCE DES PAIEMENTS La balance des paiements r alise l enregistrement exhaustif des flux conomiques entre la France et l ext rieur les stocks c est dire l ensemble des avances d engagements l gard de l ext rieur ne sont pas appr hend s except s ceux des secteurs bancaire et public En fait on pourrait parler des balances des paiements puisque la Banque de France tablit d abord une balance en termes de r glements 1 puis am nage cette derni re afin d enregistrer en transactions le commerce ext rieur d o une deuxi me balance dite en terme de transactions qui est la balance offi cielle La construction de la balance en termes de r gleme
150. tri me enfin a la responsabilit des tapes de v ri fication et de chiffrement pr alable au traitement infor matique Ces quatre branches regroupent environ 200 personnes En outre une partie de la division informatique 25 analystes et programmeurs est rattach e techniquement la division des enqu tes sociales de fa on tre plus proche des demandeurs L encadrement de la division des enqu tes sociales est tr s vari puisque outre des statisticiens il comprend des cono mistes des psychologues des sociologues des math maticiens Pour chaque enqu te il est cr un groupe de travail plac sous la responsabilit d un membre de la premi re des branches mentionn es ci dessus et comprenant des repr sentants de chacune des trois autres branches et de la division informatique Cette int gration au sein d une m me quipe de sp cialistes des diff rentes branches est consid r e juste titre comme un facteur essentiel de la qualit des enqu tes NOTE Cet article est un r sum d un rapport de mission que MM CHAROY et ROY ont effectu e aupr s de l Office of Population Censuses and Surveys 28 mars 1er avril 1977 Ce rapport peut tre obtenu aupr s de ses r dacteurs M CHAROY bureau 1222 540 19 15 M ROY bureau 1225 540 19 20 la direction g n rale de l INSEE Les diff rentes phases de la r alisation d une enqu te peuvent ainsi tre bien articul es mise au
151. uant la nature des donn es collect es au cours du futur recensement sera n cessairement limit e 3 En revanche l objectif d un recensement g n ral n est pas de couvrir en d tail les domaines o une enqu te par sondage permettrait d obtenir moindre co t de fa on plus rapide et vraisemblablement qualit meilleure des donn es recueillies par la voie d enqu teurs exp riment s 4 Le travail assur par l INSEE incluait en particulier la responsa bilit de la saisie et l apurement de la totalit des questionnaires collect s aupr s des exploitants puis la totalit des tabulations et traitements entrepris dans le cadre de la cha ne dite du d pouil lement lourd Le minist re de l Agriculture centre de Traitement de l information avait de son c t assur directement le succes d une cha ne de d pouillement distincte dite du d pouillement rapide bas e uniquement sur la prise en compte d un nombre limit de donn es en vue de la publication de premiers r sultats Le d pouillement des op rations annexes fichier communal enqu te contr le etc a incomb galement au minist re de l Agriculture 33 Ces derni res concerneront en premier lieu comme en 1970 l utilisation du sol le cheptel la population familiale ainsi que le mat riel d quipement des exploitations De m me le champ du recensement pr c dent d fini par arr t interminist riel du 5 mai 1970 se
152. ue par le r seau S il ne dispose pas imm diatement de toute l infor mation n cessaire il sera toujours en mesure de fournir les premi res informations de cadrage qu exige le d marrage de l tude On peut videmment s adresser POER pour obtenir la derni re valeur de l indice des prix ou du co t de la cons truction mais c est avant tout un service d information capable de comprendre les probl mes des utilisateurs et soit de leur fournir l information correspondante soit de les aiguiller vers les centres sp cialis s comp tents C est galement un centre de ventes des publications nationales et r gionales de INSEE Par publication il faut entendre les publications imprim es mais galement les autres supports de diffusion microformes copies de bandes magn tiques exploitations sur mesure des fichiers infor matiques La mise en place de ces bureaux d information a n cessit d importants investissements investissements humains pour la formation permanente du personnel notamment aux techniques d coute et de dialogue investissements techniques pour la mise en place de syst mes informatiques de diffusion syst me documentaire bases de donn es L accroissement important du volume des demandes enregistr ces derni res anri es a conduit certains observatoires exp rimenter des solutions nouvelles pour am liorer la qualit du service rendu Par exemple mieux distinguer les demandes
153. uitaine en remplacement de Mme ARTIGUEBIELLE ler mai 1977 M M EURIAT Chef de la division Logiciels D partement de la Production dont la r organisation a t pr sent e dans le Courrier des Statistiques n 2 ler mars 1977 Mme L LORI Chef du Service inter r gional Antilles Guyane en remplacement de M AUBOUIN ler juillet 1977 M J MAYER Charg de mission aupr s du Directeur G n ral 16 mai 1977 M P MICHAUD Chef de la division Publications D partement de la Diffusion ler mai 1977 DANS D AUTRES INSTANCES Mme H FAUCHEUX Direction g n rale des Relations avec le Public Minist re de l conomie et des Finances 4 juillet 1977 25 Activit s du deuxi me trimestre Au cours du 2 me trimestre 1977 se sont tenues cinq r unions du Conseil national de la statistique dont la r union pl ni re le 17 juin R union pl ni re du Conseil Le rapport pr sent par l administration cette occasion comportait deux chapitres l un tait consacr au compte rendu d activit des services statistiques pour 1976 et 1977 l autre l harmonisation internationale des statistiques Dans sa pr sentation du compte rendu d activit M MALINVAUD a rappel les travaux les plus importants men s en 1976 ou en cours actuellement Dans l ensemble les op rations pr vues ont t ex cut es de fa on tout fait satisfaisante Il faut cependant noter des retards dans le pro gramme d enqu tes sur le
154. ujours pos es de la m me fa on apportent des informations dont l volution a une signification conomique qui peut tre quantifi e alors m me que la nature exacte des questions pos es est extr mement floue Personne n a jamais d fini par exemple ce que signifiait exactement pour un industriel un carnet de commandes normal bien garni ou peu garni Aussi bien la r partition des r ponses entre ces trois cat gories n a aucun sens un instant donn Mais l volution de cette r partition au cours du temps illustre tr s clairement les diff rentes phases de la conjoncture Or aucune enqu te syst matique du m me genre n existe pour ce qui concerne le sentiment de bien tre et l appr ciation de la qualit de la vie Pourtant dans une soci t dont les membres sont de plus en plus nombreux pouvoir satisfaire les besoins jug s prioritaires la perception qu ont les individus de leurs conditions de vie exerce une influence grandissante sur leurs comportements Il ne suffit plus de s en tenir une description ext rieure des caract ristiques objectives des conditions de vie Les repr sentations que se font les personnes et les groupes de leur situation absolue ou relative de leurs relations avec les autres de leur insertion dans les diverses institutions qui composent la soci t dans laquelle ils vivent ces repr senta tions peuvent tre observ es et leurs volutions interpr t es
155. urs il est apparu l exp rience que la liste des variables n tait pas adapt e et qu une meilleure coh rence devait tre recherch e avec les enqu tes annuelles effectu es dans les autres secteurs de l conomie En outre des besoins nouveaux se sont exprim s et ont d tre pris en compte pr paration d une enqu te coordonn e au niveau des Communaut s Europ ennes demandes des comptables nationaux Il est donc apparu qu une r novation profonde de cette enqu te devait tre engag e tant sur le plan de la r daction des questionnaires que des m thodes de traitement l objectif tant de mettre la disposition des utilisateurs les principaux r sultats d une enqu te annuelle d s la fin de l ann e o elle a t lanc e Les charges induites par cette r novation tant particuli rement lourdes notamment pour la conception d ensemble et la pro grammation informatique il a t d cid d all ger temporai rement le programme d enqu tes courantes qui a t limit en 1976 et 1977 au commerce de gros et au commerce de d tail int gr L enqu te r nov e sera lanc e sur l ensemble du champ en 1978 La pr paration de cette r novation a t r partie sur les deux ann es 1976 et 1977 L ann e 1976 a t consacr e un travail de r flexion sur la conception d ensemble de l enqu te r nov e ainsi qu un bilan du syst me d exploitation des enqu tes de premi re g n ration Des projets
156. uvi me session tenue GENEVE en novembre 1974 Ne serait ce qu ce premier titre il constituera le nouveau maillon d une cha ne d op rations troitement coordonn es au plan mondial depuis 1929 et dont la derni re date a t pour la France le recensement g n ral de l agriculture de 1970 r alis sur la campagne agricole ler novembre 1969 30 octobre 1970 1 Un r glement communautaire dont le contenu sera tr s pro chainement pr cis par les experts r unis par l Office statis tique des communaut s europ ennes en troite liaison avec les services de la Commission des Communaut s direction g n rale de l Agriculture garantira des conditions d ex cution aussi uniformes que possible de l op ration projet e dans les diff rents pays de la Communaut conomique europ enne 32 Une continuit sera donc assur e de la m me fa on avec important programme d investigation statistique communau taire r alis depuis 1970 dans le domaine agricole 2 Les objectifs du recensement Op ration co teuse mais absolument fondamentale pour la statistique agricole qui ne dispose par ailleurs d aucun autre moyen complet d investigation le recensement g n ral de l agriculture vise avant tout la satisfaction de deux objectifs principaux la cr ation ou la mise jour d une base de sondage consti tu e par la liste des exploitations agricoles et de leurs carac t ristiques Celle
157. x possibilit s de traitements effectu s sur demande Sur le plan de l organisation du d pouillement l une des inno vations les plus int ressantes r sidera en une d centralisation tr s pouss e des op rations de saisie de contr le et de cor rection des informations collect es ainsi que dans l tablis sement progressif de r sultats r gionaux provisoires et d finitifs au fur et mesure de l avancement des op rations de contr le et d apurement dans les r gions Ainsi sans compromettre aucunement la satisfaction des objec tifs nationaux sur la totalit des informations trait es des solu tions efficaces pourront tre apport es en vue de r pondre en de meilleures conditions de rapidit et vraisemblablement de co t aux besoins exprim s au plan r gional et local qui consti tuent par eux m mes l une des justifications importantes de la r alisation de l op ration projet e Alain FERRAGU Adjoint au chef du service central des enqu tes et tudes Statistiques Minist re de l Agriculture La carte SCOLAIRE I Introduction L tablissement d une carte scolaire a pour but de permettre l acc s l enseignement de l ensemble des enfants dans des conditions analogues quelle que soit l implantation du domi cile de leurs parents il faut offrir tous l ensemble des ensei gnements C est en 1963 que fut cr e la premi re carte scolaire s ap puyant sur deux types de donn es
158. ycle et le second cycle et en d duisent enfin les pr visions d quipements n cessaires Des cartes des enseignements sp cialis s sont galement tablies carte des tablissements de l ducation sp cialis e carte des sp cialit s professionnelles carte des langues vivantes 35 IV Les travaux actuels La r vision de la carte scolaire vient d tre d cid e elle aura lieu dans le courant de l ann e 1978 Compte tenu des variations d mographiques et de la n cessit d une programmation des quipements l horizon retenu est 1990 avec une projection interm diaire en 1985 Les projections d mographiques de base seront labor es en tenant compte des migrations entre 1968 et 1975 l aide du mod le mis au point par l INSEE mod le PRUDENT ou mod le de projections rurales et urbaines de d mographie pour les tudes normatives et tendancielles Ce mod le permettra d laborer des projections par ge dans le d coupage des secteurs et des districts Les r sultats de la variante tendancielle du mod le seront diffus s auxrectorats et aux directions r gionales de l INSEE en mars 1978 ils serviront de cadrage national aux variantes normatives labor es sous la respon sabilit des recteurs et des directeurs r gionaux de l INSEE Une formation appropri e sera donn e aux agents des services statistiques Une modification importante apport e cette ann e concerne la d concentration de la carte

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