Commission Régionale de l`O.I.E. pour l`Asie, l`Extrême
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1. En terminant le Dr Blajan se d clare tr s satisfait de l esprit dans lequel s est d roul e la Conf rence et notamment de la volont que les Pays Mem bres ont manifest e de donner un nouveau dynamisme la Commission dont 229 lPobjectif premier semble tre maintenant la mise au point d une strat gie r gio nale de lutte contre la fi vre aphteuse A cet gard il souligne de nouveau l im portance de bons syst mes nationaux d information et de d claration des mala dies Le Directeur G n ral conclut en faisant part de son optimisme la suite de la d cision de la Commission de se r unir plus souvent ce qui constitue un pas important et le signe d un regain de vitalit de la Commission Le Pr sident du Comit international en conclusion souligne l esprit de coop ration et de compr hension dont ont fait part les Pays Membres de la r gion d Asie dont il a le sentiment que les liens qui les unissent se sont encore trouv s renforc s par cette Conf rence Le Dr Gee fait observer en particulier l importance du travail r alis par M Song et remercie le Dr Lee pour l excel lente organisation g n rale de la Conf rence Le Pr sident termine en remer ciant le secr tariat de l O L E et les membres du personnel de la Conf rence pour le travail accompli lors de cette r union Le Dr Chang Koo Lee d clare close la 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O L E pour l Asi2. L Office International des pizooties Perspectives au del de 1984 Dans sa conclusion le Comit a demand au Directeur G n ral avec l aide d un groupe de travail ad hoc de pr parer un programme pr cis pour pr sentation la 52 Session G n rale en mai 1984 Le Dr Blajan a demand aux membres de ce groupe de se rendre dans un certain nombre de Pays Mem bres en vue de recueillir les avis et points de vues de leurs gouvernements res pectifs sur le d veloppement futur des activit s de l O LE Il a demand au Dr Adlam de visiter un certain nombre de pays de la r gion d Asie Le Dr Bla jan d clare que les pays qui ne seront pas visit s par le Dr Adlam recevront le Questionnaire sur les activit s futures de l O LE qui est retourner PO LE une fois rempli Il donne ensuite un rapide aper u de la teneur du questionnaire Le Dr Gee r affirme le souhait de la majorit des membres du Comit de voir l O L E jouer un r le plus actif au plan de la coop ration internationale dans la lutte contre les maladies des animaux Le Dr Osman propose que l O L E largisse ses activit s en d finissant en particulier des strat gies de lutte contre les maladies animales dans la r gion d Asie Il ajoute que les conseils des experts de l O IL E devraient pouvoir tre sollicit s dans tous les cas n cessaires Le Dr Sasaki demande si l accord O I E F A O actuellement en vigueur et
3. Les d l gu s de l Australie de la Nouvelle Z lande de Ta wan R O C du Sri Lanka de Cor e de Malaisie du Japon et d Indon sie pr sentent leurs rap ports sur les dispositions prises pour la mise en uvre des recommandations adopt es l gard de la rage des maladies clostridiales des ovins et des myiases Les dispositions prises en mati re de fi vre aphteuse de syst mes r gionaux de d claration des maladies animales et de sant publique v t rinaire ont t pr sent es lors des s ances consacr es ces sujets e Rage les rapports pr sent s par tous les pays font appara tre que la majo rit sinon la totalit des recommandations adopt es sur le contr le et la pr vention de la rage ont t mises en uvre ou sont en cours d application La Conf rence note l existence de diff rences dans la dur e de la quarantaine impo s e aux carnivores import s par les pays indemnes de rage paragraphe 1 de la Recommandation n 1 et dans la fr quence des vaccinations exig es para graphe 3 de la Recommandation n I La Conf rence souligne la n cessit d une plus grande uniformisation de ces r gles de prophylaxie de la rage dans les pays de la r gion e Maladies clostridiales des ovins il ressort des rapports des Pays Mem bres que ces maladies sont bien contr l es ou ne rev tent qu une faible impor tance l o les effectifs ovins sont peu nombreux e Myiases les rappo
4. mes de sant publique v t rinaire II IMPORTATION EXPORTATION DE BOVINS DE SEMENCE DE TAUREAUX ET D EMBRYONS DE BOVINS CONSID RANT le d veloppement croissant des changes internationaux d animaux cons quence du d sir de nombreux pays d am liorer la quantit et la qualit de leur production de viande et de lait la situation sanitaire relativement favorable de la plupart des Pays Mem bres et la n cessit de pr server et d am liorer cette situation la diversit des situations sanitaires et des conditions exig es par les Pays Membres pour l importation d animaux et de produits animaux l existence et la complexit de certains probl mes sanitaires li s l impor tation et la quarantaine des animaux vivants de la semence et des embryons les avantages conomiques des techniques de transplantation d embryons de bovins pour l am lioration g n tique du cheptel des Pays Membres et les r cents progr s de la science qui montrent que le risque de transmission des maladies est bien moindre avec cette m thode qu avec les animaux vivants LA CONF RENCE APPROUVE la proposition des pays de l A S E A N de s appuyer sur des normes uni formes pour l importation et la quarantaine des animaux vivants et des pro 24 duits animaux afin de pr server et d am liorer la situation sanitaire des pays de la r gion RECOMMANDE 1 Que tous les Pays Membres adoptent le Co
5. rence r gionale En fin de s ance le Pr sident soul ve la question de la tenue de la pro chaine Conf rence r gionale Une discussion g n rale s engage sur l opportu nit de faire co ncider les sessions de l A P H C A avec la Conf rence r gio nale de l O L E ou tout au moins de faire en sorte que ces r unions se tiennent des dates aussi rapproch es que possible Certains participants proposent que la Conf rence r gionale se r unisse tous les deux ans au lieu de tous les trois 216 ans Le Pr sident propose ensuite que la Conf rence r gionale se r unisse au Sri Lanka en 1985 Le Dr S B Dhanapala r pond que si tel est le souhait des Membres de la Commission r gionale il transmettra cette demande son Gou vernement et donnera une r ponse ferme lors de la prochaine Session G n rale de l O LE Paris en 1984 Les projets de Conclusions et de Recommandations pr par s par les diff rents groupes de r daction sont pr sent s au cours de l apr s midi par les Pr sidents de s ance Ces projets sont l g rement amend s puis adopt s Les Recommandations n I Fi vre aphteuse n II Sant Publique V t rinaire et n III Importation exportation de bovins de semence et d embryons de bovins figurent en annexe ce Rapport 13 octobre 1983 Th me VI S MINAIRE SUR LE NOUVEAU SYST ME D INFORMATION ZOO SANITAIRE DE L O LE Le Directeur G n ral pr sente le no
6. E ses regrets les plus sinc res l annonce de la trag die survenue le dimanche Rangoon qui a co t la vie seize mem bres du Cabinet minist riel accompagnant le Pr sident Chun Doo Hwan Le Dr Gee indique qu il adressera un message de condol ances Son Excellence Monsieur le Pr sident de la R publique de Cor e Le Dr Gee fait remarquer que sur les cent trois Pays Membres de l O LE vingt trois appartiennent la r gion Asie Oc anie Il exprime le souhait que le th me central de la Conf rence soit l intensification des programmes de coo p ration La coop ration est de la plus haute importance pour la production alimentaire dans cette r gion du monde qui compte les deux tiers des agricul teurs du globe Le Pr sident ajoute que les principales activit s de l O L E por tent sur l am lioration des syst mes d information la poursuite des travaux des Commissions sp cialis es Commissions de la Fi vre aphteuse et du Code Zoo sanitaire International en particulier et l examen des perspectives futu res de l O L E en vue de r pondre l largisserent des besoins et des activit s des Pays Membres Le Dr L Blajan Directeur G n ral de l O L E remercie le Gouvernement de la R publique de Cor e d avoir accept d accueillir cette 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O L E Le Directeur G n ral adresse ses tr s sin c res remerciements aux membres du Comit d
7. du Gouvernement de la R publique de Cor e Le Ministre rend hommage l O L E qui depuis sa cr ation en 1924 a jou un r le de plus en plus impor tant dans le domaine de la pr vention et du contr le des maladies animales et a tr s largement particip au d veloppement de l levage et l am lioration de la sant publique dans le monde M Park rappelle que la Cor e est devenue membre de l O L E en 1953 et exprime sa reconnaissance pour la fructueuse 210 coop ration qui s est tablie avec les autres Pays Membres et permet tous de b n ficier des changes d informations et d exp riences Le Ministre souligne l importance du d veloppement de l levage face la demande mondiale en prot ines d origine animale Il indique que le Gouver nement de son pays a lanc une s rie de programmes en vue d am liorer le chep tel cor en Il insiste sur l importance croissante de la lutte contre les maladies animales et exprime le souhait que cette Conf rence contribue par ses travaux aux efforts collectifs en vue de supprimer la faim dans le monde quelles que soient les institutions politiques ou les id ologies des pays M Park termine son allocution en souhaitant la Conf rence le plus large succ s et tous les participants un excellent s jour dans la R publique de Cor e Le Dr R W Gee Pr sident du Comit international de l O I E exprime au nom des Pays Membres de l O L
8. exprime ses sinc res remerciements aux participants pour leur coop ration Il ajoute que la Conf rence a t un grand succ s et que les Recommandations seront utiles non seu lement aux Pays Membres mais galement tous ceux qui en Cor e travail lent dans le domaine v t rinaire En terminant M Song remercie le Pr sident du Comit international et le Directeur G n ral de l O L E ainsi que le Secr tariat de la Conf rence Le Dr Chang Koo Lee Pr sident de la Conf rence remercie en son nom et au nom du personnel de la Conf rence le Dr Blajan et ses assistantes pour l aide consid rable qu ils ont apport e au Secr tariat Le Dr Blajan exprime sa profonde gratitude au Gouvernement de la R pu blique de Cor e et remercie le Dr Lee et le Dr Kim ainsi que leur personnel pour l organisation excellente de la Conf rence Le Directeur G n ral r sume ensuite les r sultats de la Conf rence et souligne combien il lui est agr able que la Papouasie Nouvelle Guin e qui n est pas encore Pays Membre de l O LE ait particip cette r union Le Dr Blajan demande l observateur de la Papouasie Nouvelle Guin e de persuader les autorit s de son pays d adh rer l O LE d s que possible Il regrette cependant l absence d un certain nom bre de pays de la r gion en particulier celle de l Inde et du Pakistan qui n ont pas particip aux r unions de l O L E depuis plusieurs ann es
9. particuli rement important d tablir ces zones indemnes sur les les et les p ninsules 222 8 Que soient pr vus les quipements n cessaires la cha ne du froid pour la conservation le transport et la livraison du vaccin 9 Qvun programme d ducation et d information pour la population soit mis en uvre en m me temps que les campagnes de prophylaxie et d radication DONNE TOUT SON APPUI a la strat gie retenue et aux d cisions prises par l Indon sie pour lutter contre l actuelle pizootie de fi vre aphteuse savoir i vaccination syst matique de tous les bovins et buffles de l le de Java ii poursuite de la vaccination g n ralis e aussi longtemps qu il sera n cessaire afin de parvenir l radication compl te de la maladie iii conduite d enqu tes pid miologiques en vue de d terminer lori gine possible de la maladie et d laborer un nouveau plan de pr vention pour l avenir r alisation du sous typage du virus aphteux de fa on permettre l emploi de vaccins appropri s b la proposition d aide des sp cialistes de la Commission de l O L E pour la Fi vre aphteuse au Gouvernement indon sien dans son programme de con tr le et d radication de la fi vre aphteuse Il SANT PUBLIQUE V T RINAIRE CONSID RANT que la majorit des Pays Membres porte une plus grande attention aux pro bl mes de Sant publique v t rinaire et
10. que des progr s tr s r els ont t r ali s s dans ce domaine par les pays de la r gion que les programmes mis en uvre tant souvent co teux il est n cessaire que leur efficacit soit en rapport avec leur co t que l am lioration du niveau de vie entra nera in vitablement un accroisse ment des exigences en mati re de salubrit des denr es alimentaires et d hygi ne de l environnement LA CONF RENCE APPROUVE les actions entreprises par certains Pays Membres pour l adoption d une nouvelle l gislation portant sur la sant publique v t rinaire le contr le des zoonoses et l am lioration de la coop ration entre Services v t rinaires et Ser vices de sant publique 223 RECOMMANDE 1 Que les Services v t rinaires nationaux participent davantage toutes les activit s de sant publique v t rinaire et renforcent leur r le dans ce domaine dont la responsabilit doit leur incomber 2 Que les denr es d origine animale destin es la consommation soient produites et pr par es selon les r gles de l hygi ne dans des locaux agr s cet effet 3 Que les Services v t rinaires accroissent leur comp tence dans le domaine des maladies des poissons et du contr le sanitaire des poissons et des produits piscicoles 4 Que soient mis en uvre des programmes de formation et de vulgarisa tion destin s sensibiliser le public et obtenir sa participation aux program
11. sign en 1953 pr voit une coop ration et une coordination au plan r gional entre l A P H C A et la Commission r gionale de l O I E Il exprime le sou Regional Animal Production and Health Commission for Asia the Far East and the South West Pacific Commission r gionale de la production et de la sant animale pour P Asie l Extr me Orient et le Pacifique Sud Ouest 215 hait de voir s tablir une coop ration plus troite entre la F A O et l O LE afin d viter tous doubles emplois ventuels Le Dr Blajan pr cise dans sa r ponse que l O L E a toujours souhait la coordination entre les deux organisations r gionales et qu il a exprim ce d sir la r union de l A P H C A en 1981 A cette occasion le Directeur G n ral a accept de tenir l A P H C A inform des activit s de l O LE dans la r gion Un large change de vues a lieu sur les possibilit s d associer plus troite ment la Commission r gionale de l O L E et l A P H C A par la tenue de r u nions conjointes Une majorit des participants reconna t les avantages de liens plus troits entre O L E et A P H C A mais estime galement que ce pro bl me doit tre examin de fa on approfondie en tenant compte sp cialement des diff rences d objectifs entre les deux organisations et des zones g ographi ques qu elles couvrent respectivement Le Dr Ogata rappelle que sur proposition de la Commission
12. simplifier les formulaires en distribuant deux jeux d instructions l un pour les pays d velopp s et l autre pour les pays en d ve loppement chacun pr cisant tr s exactement le type d informations deman d es Les instructions s en trouveraient all g es d autant et seraient plus faci les consulter Le Dr Adlam ajoute qu il serait tr s utile que les pays pr sents tudient le manuel d instructions de fa on approfondie et fassent part de leurs commentaires l O IL E dans les meilleurs d lais possibles et avant la r union de la Commission du Code Zoo sanitaire International de l O L E qui doit se tenir Paris du 15 au 18 novembre 1983 218 Syst mes r gionaux et nationaux de d claration des maladies en Asie pr sentation des rapports par les d l gu s et les observateurs Les participants d Australie des tats Unis d Am rique du Japon de Nouvelle Z lande de Papouasie Nouvelle Guin e du Sri Lanka et de Ta wan R O C pr sentent un bref r sum de leurs rapports inclus dans le document de travail de la Conf rence Le syst me de d claration de la Cor e repose sur la d claration des mala dies par les vingt neuf laboratoires r gionaux qui transmettent leurs diagnos tics au Bureau Central Le Dr Osman Bin Din pr cise qu en Malaisie les tats font un rapport mensuel portant la fois sur la situation sanitaire et sur les questions de pro duction Par ailleurs les inform
13. Rev sci tech Off int Epiz 1984 3 1 209 225 Commission R gionale de PO L E pour l Asie l Extr me Orient et l Oc anie Rapport final de la 13 Conf rence S oul 10 14 octobre 1983 La 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O LE pour l Asie lP Extr me Orient et l Oc anie s est tenue S oul R publique de Cor e Pin vitation du Gouvernement de la R publique de Cor e du 10 au 14 octobre 1983 10 octobre 1983 S ANCE INAUGURALE Le Dr Chang Koo Lee Pr sident de la Commission r gionale accueille les d l gu s et les participants de treize Pays Membres de l O L E le repr sen tant d un pays non membre ainsi que le repr sentant de la F A O Le Dr Lee souligne l importance de cette Conf rence v ritable forum qui permettra des changes d informations et d exp riences entre participants et contribuera ainsi au renforcement des actions men es par les cent trois Pays Membres de l O LE en vue de l am lioration de la sant animale dans le monde Le Pr sident de la Commission r gionale apr s avoir souhait un excellent s jour tous les participants dans la R publique de Cor e d clare ouverte la 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O L E pour l Asie l Extr me Orient et l Oc a nie Dans son allocution inaugurale S Exe M Jong Mun Park Ministre de l Agriculture et des P ches accueille tr s chaleureusement les participants au nom
14. ations sur la fi vre aphteuse sont centralis es et il existe un r seau sp cial pour les rapports sur la tuberculose bovine la bru cellose et la mammite dans le cadre du programme national laitier Le Dr M Desvals indique qu en Nouvelle Cal donie les foyers de mala dies contagieuses sont d clar s au Service central Noum a par l interm diaire des cinq postes de surveillance install s dans diff rentes parties du territoire Le Dr Bhannasiri pr cise qu en Tha lande la d claration des maladies est obligatoire lorsque deux animaux meurent apr s avoir pr sent les m mes sympt mes Le v t rinaire de district fait la d claration du cas qui fait l objet d une enqu te et est ensuite signal au v t rinaire de province qui soumet les pr l vements au laboratoire Le Dr Rees indique que le Royaume Uni a un syst me simple trois niveaux Pun pour les maladies d claration obligatoire fi vre aphteuse maladie v si culeuse du porc et peste porcine l autre pour les maladies qui sont l objet d un programme d radication sp cial brucellose et tuberculose bovine et le der nier reposant sur la collecte des donn es des laboratoires de diagnostic Le Dr Sasaki pr cise que l A P H C A demande aux Pays Membres de lui envoyer des rapports m me en l absence de cas de maladie Cependant les pays n adressent actuellement de rapports l A P H C A que lors de la pr sence de maladies 14
15. de Zoo sanitaire Internatio nal de PO I E comme guide pour l tablissement des protocoles sanitaires et des conditions requises importation des animaux vivants de la semence et des embryons 2 Que les protocoles d importation visent bien la pr vention de l intro duction de germes pathog nes d importance conomique majeure et vitent d imposer des examens pour des maladies banales ou de peu d importance 3 Que tous les Pays Membres adoptent les normes et recommandations du Code Zoo sanitaire International de l O I E pour les m thodes d examen et la standardisation des r actifs 4 Que les Pays Membres reconnaissent l importance de la n gociation d ac cords bilat raux entre Services nationaux de la Sant animale pour l tablisse ment de protocoles d importation et leur modification ventuelle et prennent en compte lors de ces n gociations leurs situations sanitaires respectives 5 Que les Pays Membres exportateurs reconnaissent leur obligation d ob server les protocoles sanitaires ayant fait l objet d accords avec les pays impor tateurs et prennent les dispositions n cessaires pour que les certificats soient tablis conform ment aux dits accords 6 Que les Pays Membres reconnaissent les avantages d une consultation imm diate entre autorit s v t rinaires du pays importateur et du pays exporta teur si des probl mes sanitaires surviennent chez les animaux import s 7 Que soi
16. e l Extr me Orient et l Oc anie 18 h 30 x Annexe RECOMMANDATIONS I FI VRE APHTEUSE CONSID RANT les cons quences de la fi vre aphteuse sur la traction animale la produc tion de viande et de lait la mortalit des veaux la reproduction et de ce fait sur les programmes de d veloppement de l levage ainsi que sur les changes les progr s r alis s par certains Pays Membres de la r gion en mati re de prophylaxie et d radication de la fi vre aphteuse le d sir des Pays Membres d liminer la maladie les efforts entrepris par l Indon sie pour se lib rer de l pizootie de fi vre aphteuse r apparue Java alors que le pays tait indemne depuis 1979 221 LA CONF RENCE RECONNA T la n cessit a pour les pays indemnes de fi vre aphteuse ou dont certaines r gions sont indemnes de fi vre aphteuse de poursuivre et d intensifier la mise en uvre des mesures de surveillance et de quarantaine et de pratiquer si possible l abattage sanitaire en cas d apparition de la maladie b pour les Pays Membres qui appliquent avec succ s un programme de contr le de la maladie de poursuivre leurs efforts avec d termination en vue de parvenir son radication c d accords de coop ration r gionaux tels que celui pr vu par l A S E A N et certains Pays Membres de l A P H C A pour contr ler la maladie et parve nir son radication d d une am l
17. ent encourag s de nouveaux travaux de recherche portant sur les aspects sanitaires de la transplantation d embryons et sur la mise au point de protocoles d importation pour les embryons en s adaptant aux progr s de la science dans ce domaine MOTION DE REMERCIEMENTS Le Pr sident et les membres du Bureau de la Commission r gionale de PO LE pour l Asie l Extr me Orient et Oc anie le Pr sident du Comit inter national et le Directeur G n ral de l O LE les membres des d l gations les observateurs et les repr sentants des pays et des Organisations internationales adressent l expression de leur gratitude Son Excellence le Pr sident de la R pu 225 blique de Cor e et aux Hautes Autorit s de la R publique de Cor e pays qui a bien voulu accueillir la 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O L E pour l excellent accueil qui leur a t r serv et pour toutes les facilit s mises leur disposition lors de la 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O LE pour l Asie l Extr me Orient et Oc anie qui s est tenue S oul du 10 au 14 octobre 1983
18. il convient de mentionner la diff rence des m thodes de conduite de l levage en Asie le caract re end mique de certaines maladies comme la maladie de Newcastle et la peste porcine classique la difficult d tre inform quotidien nement ou m me une fois par semaine de l apparition de maladies Diff ren tes sont galement les mesures de prophylaxie S Par ailleurs certains participants expriment des craintes sur les cons quen ces de d clarations de suspicion d une maladie Toutefois le Dr Adlam souli gne que les pays importateurs souhaitent tre inform s de la situation zoo sanitaire exacte en vue de prendre les mesures de pr caution qui s imposent Il ajoute que la confiance entre partenaires commerciaux peut tre plus grande si toute suspicion de foyers de maladies est d clar e sans d lai Le Dr Rees et le Dr N L Meyer confirment que les laboratoires de Pirbright Royaume Uni des Etats Unis et de Rio de Janeiro Br sil n acceptent en aucun cas de communiquer des r sultats de diagnostic un pays autre que celui concern sauf si ce dernier a autoris la diffusion de l information Il appartient au pays int ress de d cider quand et comment diffuser l information Le Directeur G n ral commente le nouveau syst me et souligne son utilit Il permet en effet de donner tous les pays un tableau exact de l volution des maladies de la gravit des foyers ainsi que de l efficacit et des
19. ioration du r seau de surveillance pour d celer rapidement la maladie et de celui des laboratoires pour en faciliter le diagnostic et le con tr le RECOMMANDE l 1 Que soit accord e une plus grande importance aux aspects pid miolo giques des programmes de contr le et d radication 2 Qu une surveillance constante soit exerc e dans les zones d enzootie en vue de d terminer les variations qui peuvent survenir dans les types et les sous types du virus aphteux afin de d celer toute apparition de nouveaux virus et de s assurer de l efficacit des vaccins utilis s 3 Que de plus amples recherches soient effectu es dans cette r gion du monde pour d terminer le r le jou par la faune sauvage comme r servoir de l infection 4 Que la l gislation et les mesures de quarantaine applicables aux fronti res soient renforc es en particulier pour le contr le et le traitement des d chets alimentaires d origine animale 5 Que les moyens de diagnostic de la maladie dans la r gion m me soient renforc s et am lior s 6 Que la priorit soit accord e la formation dans les domaines du dia gnostic exp rimental de la production de vaccin de l pid miologie et de la strat gie de la prophylaxie sur le terrain 7 Que soient tablies des zones indemnes de fi vre aphteuse qui seront la base de la mise en uvre progressive d un programme de prophylaxie et d ra dication de la maladie Il est
20. l prendre en consid ration Le Dr Adlam souligne combien il est impor tant d obtenir pr alablement toute importation des renseignements sur la situation zoo sanitaire du pays exportateur et de s assurer que les autorit s v t rinaires du pays exportateur disposent du personnel et des ressources n ces saires la connaissance de la situation sanitaire du cheptel Les protocoles sani taires tablis pour pr ciser les mesures et formalit s exig es par le pays impor tateur doivent normalement comporter des dispositions relatives la quaran taine avant le d part ou l isolement des animaux s lectionn s et aux examens pour la recherche des maladies graves et d importance conomique Si n ces saire doit tre pr vue une quarantaine l arriv e au cours de laquelle une nou velle s rie d examens pourra tre r alis e Il convient de veiller l tat de sant et de bien tre des animaux au cours de leur transport et des dispositions doivent tre pr vues afin de parer tout risque sanitaire au cours du transbordement ou lors des arr ts pour le ravitail lement en combustible Les conditions sanitaires exig es pour les importations d animaux provenant d un pays d termin doivent s appliquer de la m me fa on aux animaux donneurs dans le cas d importation de semence ou d embryons Les autorit s v t rinaires des pays exportateurs doivent reconna tre qu elles ont l obligation morale de sa
21. le Comit international a d cid de maintenir le Bureau r gional Tokyo Ce Bureau dif fuse le Bulletin d informations asiatiques de l O I E qui donne des informa tions p riodiques ne rev tant pas un caract re d urgence Le Dr Ogata fait observer que toutes les informations urgentes sont diffus es et trait es avec effi cacit par le Bureau Central de l O L E Paris La question du changement de nom de l O L E est galement discut e Ce sujet fait l objet de larges changes de vues d o il ressort que les participants souhaitent voir le nom conserv en d pit de son caract re quelque peu archa que Les participants estiment que l O L E est mondialement connu sous cette appellation et qu il serait inopportun de vouloir en changer en ce moment compte tenu en particulier des formalit s diplomatiques que suppose ce changement Le Dr Adlam propose que le sigle O I E soit conserv comme tel mais que pour les publications anglaises tout au moins soit ajout e entre paren th ses la mention Organisation Internationale de la Sant Animale Le Dr Rees souligne l avantage particulier que pr sente l O L E en tant que forum v t rinaire unique et craint que tout changement en direction de la production animale puisse modifier le caract re de l O I E En conclusion la Conf rence d cide que le nom de l O L E ne doit pas tre chang pour l instant Date et lieu de la prochaine Conf
22. ndation n I sur la fi vre aphteuse 11 octobre 1983 Th me III SANT PUBLIQUE V T RINAIRE Le Dr I G R Davis Australie est d sign Pr sident de s ance Des rap ports sont pr sent s par l Australie la Cor e la Malaisie la Nouvelle Cal donie la Papouasie Nouvelle Guin e la Nouvelle Z lande le Sri Lanka Ta wan 213 R O C et la Tha lande Un rapport pr par par l O M S est galement distri bu aux participants Apr s un change de vues sur ce th me les participants nomment les Drs Davis G H Adlam et Y D Yoon membres du groupe de r daction pour pr parer le projet de Recommandation n II sur la Sant publi que v t rinaire Th me IV IMPORTATION EXPORTATION DE BOVINS DE SEMENCE ET D EMBRYONS DE BOVINS Le Dr Adlam Nouvelle Z lande Pr sident de s ance rappelle dans son rapport que le principal objectif des mesures et formalit s applicables l im portation est de faciliter l introduction d animaux de semence et d embryons tout en prot geant le pays importateur contre tout risque d introduction de mala dies exotiques L existence de mesures l gislatives conf rant aux Services v t rinaires natio naux l autorit n cessaire l accomplissement de leur t che et comportant des dispositions interdisant dans certains cas les importations qui risqueraient de porter pr judice l tat sanitaire du cheptel national constitue un l ment essen tie
23. octobre 1983 PR SENTATION ET ADOPTION DU RAPPORT FINAL ET DES RECOMMANDATIONS Le Pr sident r unit la Conf rence 17 h 30 et demande aux participants d examiner le projet de Rapport final et les Recommandations qui leur sont pr sent s 219 Les Recommandations I II et III sont adopt es apr s quelques modifica tions de forme Le Rapport final fait l objet d un examen approfondi les participants for mulent certains commentaires sur la pr sentation et la r daction du Rapport Certains participants indiquent leur souhait de ne voir aucun nom de d l gu s ou de pays seules les conclusions de la Conf rence devant leur avis figurer dans le Rapport Le Dr Blajan explique qu il s agit d une d cision prendre par la Conf rence et qu il appartient chaque Commission r gionale de d ci der des r gles suivre pour le Rapport final La majorit des participants est favorable la citation des noms de ceux qui interviennent au cours des d bats mais estime que cette question devrait tre examin e avant les nouvelles conf rences de la Commission Le projet de Rapport final est adopt l unanimit La Conf rence vote ensuite une motion de remerciements au Gouvernement de la R publique de Cor e qui a accept d accueillir la 13 Conf rence de la Commission r gionale de l O L E S oul voir Annexe S ANCE DE CL TURE M C W Song Pr sident du Comit d organisation
24. organisation et les f licite des dispositions excellentes prises afin d assurer le succ s de la Conf rence Il sou ligne le d veloppement spectaculaire du cheptel national cor en au cours des deux derni res d cennies d pour une grande part l absence des principales maladies animales Le Directeur G n ral retrace ensuite bri vement les activit s de la Commis sion r gionale depuis la r union de la 12 Conf rence Djakarta Dans la pr sentation des th mes inscrits l Ordre du jour de la Conf rence le Dr Blajan souligne l int r t qu il y aurait d finir une strat gie r gionale de lutte contre la fi vre aphteuse et d terminer les mesures mettre en uvre contre la mala die Cette d marche initiale pourrait tre suivie de la recherche des conseils et de l appui de la Commission de la Fi vre aphteuse de l O LE ainsi que du 211 soutien du Comit international en vue de r unir les moyens financiers n ces saires au lancement d un programme de lutte contre la fi vre aphteuse Le Direc teur G n ral termine son allocution en soulignant particuli rement l importance qu il convient de porter la mise en place du nouveau syst me d information de l O L E Th me I DISPOSITIONS PRISES POUR LA MISE EN UVRE DES RECOMMANDATIONS ADOPT ES LORS DES PRECEDENTES CONF RENCES REGIONALES Le Dr B A Woolcock Australie est d sign Pr sident de s ance pour ce th me
25. r sultats des mesures adopt es Le Dr Blajan attire l attention de la Conf rence sur le principal avantage du syst me qui est l am lioration des syst mes nationaux d information De nombreux pays ont besoin d tre encourag s dans cette voie pour deux raisons essentiellement a la n cessit pour les pays en d veloppement en particulier qui font appel l aide ext rieure de fournir des donn es conomiques pr cises relatives la maladie pour laquelle ils souhaitent un financement ext rieur et b l impossibilit d laborer une strat gie internationale de lutte contre les maladies au plan r gional et ult rieurement au plan mondial sans donn es pi d miologiques d taill es Le Dr Rees soutient les arguments avanc s par le Dr Blajan en voquant son exp rience personnelle et en disant qu il est indispensable de disposer d un syst me national fiable de d claration des maladies si l on veut obtenir une r ponse positive de la part des bailleurs de fonds La Conf rence est d avis que les formulaires A H S R 1 3 sont trop d tail l s et doivent tre simplifi s pour que les pays en d veloppement puissent les utiliser de fa on r guli re L avis g n ral est que ces formulaires sont davan tage adapt s aux pays europ ens et qu il conviendrait de pr parer une s rie de formulaires pour les pays d velopp s et une autre pour les pays en d velop pement Le Dr Adlam propose de
26. rts pr sent s confirment que les myiases rev tent une certaine importance conomique en levage extensif mais sont pratiquement sans effet dans les syst mes d levage intensif o les animaux sont l objet d une surveillance constante ou fr quente et sont trait s en cons quence La mise en uvre de programmes de coop ration a permis une meilleure compr hension de la biologie de Chrysomia bezziana et adaptation de la m thode am ri caine SIRM l cher d insectes st riles pour le contr le et l radication de ce La Recommandation n I adopt e par la 12 Conf rence de la Commission r gionale de VOLE pour l Asie l Extr me Orient et l Oc anie Djakarta 10 14 novembre 1980 212 parasite l instar de ce qui a t appliqu avec succ s aux tats Unis De vas tes programmes de recherches sont en cours ayant pour objectif l am lioration des m thodes de lutte contre les myiases des ovins dues Lucilia cuprina Apr s examen des rapports sur le Th me I les participants d signent les Drs M Ogata B A Woolcock et M H Jun comme membres du groupe de r daction pour ce th me Th me II FIEVRE APHTEUSE a Propagation de la fi vre aphteuse b Production et emploi des vaccins anti aphteux c Programmes r gionaux de coop ration Dato Dr Osman Bin Din Malaisie est nomm Pr sident de s ance pour ce th me Il pr sente un rapport de synth se sur la situation de la fi vre aph teu
27. se en Asie en Extr me Orient et en Oc anie la parole est ensuite donn e aux d l gu s et aux participants Des rapports sont pr sent s par l Irak l Indon sie la Malaisie le Sri Lanka Ta wan R O C la Tha lande et la F A O Le Dr I G N Teken Temadja Indon sie pr sente un rapport d taill sur la r cente pizootie de fi vre aphteuse apparue dans l le de Java et sur les mesures appliqu es contre la maladie Il ajoute qu il semble y avoir une cer taine variation de la souche du virus aphteux isol dans cette derni re pizoo tie et adresse un appel PO I E pour apporter des conseils au Gouvernement de la R publique d Indon sie La proposition faite par le Directeur G n ral d envoyer un membre de la Commission de l O L E pour la Fi vre aphteuse en Indon sie aussit t que possible est bien accueillie par la Conf rence et par le D l gu de l Indon sie en particulier La Conf rence d cide l unanimit que le Pr sident de la Commission r gio nale enverra un t l gramme au Vice Ministre de l levage et des P ches pour r affirmer le soutien de la Commission r gionale de l O L E aux mesures pri ses par l Indon sie pour lutter contre la fi vre aphteuse Apr s un change de vues sur ce th me les participants d signent les Drs Osman Bin Din Teken Temadja I G R Davis M Sasaki et Y O Rhee pour faire partie du groupe de r daction qui pr parera le projet de Recomma
28. uveau Syst me d Information de l O LE dont les principes ont t adopt s par le Comit international lors de la der ni re Session G n rale en mai 1983 Il pr sente et commente les nouvelles Lis tes A et B de l O L E de maladies d claration obligatoire les obligations des Pays Membres telles qu elles sont formul es dans les articles 1 2 0 2 1 2 0 3 1 2 0 4 et 1 2 0 5 du Code Zoo sanitaire International et l obligation du Bureau Central de l O L E figurant l article 1 2 0 6 du Code Le Dr Blajan donne des explications sur les nouveaux formulaires des rapports sur la situation zoo sanitaire A H S R pr par s par le Groupe de sp cialistes des syst mes d in formation zoo sanitaire Lors des changes de vues qui suivent des questions sont pos es en ce qui concerne les d finitions utilis es dans les formulaires de rapports Foyer zone infect e infection date pr sum e de l infection primaire et effectifs posent des probl mes plusieurs participants Le point de vue de certains d l gu s des pays d Asie est que le nouveau syst me de d claration devrait tenir compte des conditions particuli res de chaque r gion De lavis de certains participants les formulaires actuels de d claration des maladies sem blent davantage con us pour des pays d velopp s et ne tiennent pas compte des probl mes des pays en d veloppement Parmi les principales diff rences
29. uvegarder l tat sanitaire des pays importateurs Elles doivent donner leur avis sur toutes mesures suppl mentaires qu elles estiment n cessaires lors de la n gociation de protocoles sanitaires avec les pays impor tateurs et doivent se porter garants que seuls des animaux en bonne sant satis faisant toutes les formalit s et conditions sanitaires requises par le pays impor tateur seront export s Le Dr Adlam souligne que le Code Zoo sanitaire International de l O L E est un document de r f rence tr s utile sur lequel devraient s appuyer tous les are Pays Membres lorsqu ils r digent les conditions d importation Des rapports sont pr sent s par l Australie la Cor e les tats Unis d Am rique le Japon la Malaisie la Nouvelle Cal donie la Nouvelle Z lande la Papouasie Nouvelle Guin e le Sri Lanka Ta wan R O C et la Tha lande Apr s un change de vues les participants d signent comme membres du groupe de r daction pour le Th me IV les Drs Adlam C C Ho Woolcock Osman Bin Din et Rees 12 octobre 1983 Th me V ACTIVIT S FUTURES DE L O LE Le Directeur G n ral de l O L E fait le point sur les dispositions prises la suite de la d cision du Comit international en mai 1983 concernant le d ve loppement futur des activit s de l O I E Le document de base pr par par le Directeur G n ral et qui a t soumis l examen du Comit international s intitule
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