ACCORD GENERAL SUR LES TARIFS * * ,°
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1. RESTRICTED ACCORD GENERAL SUR LES TARIFS sr DOUANIERS ET LE COMMERCE 13 novembre 1981 Comit des march s publics COMPTE RENDU DE LA REUNION DES 13 14 ET 15 OCTOBRE 1981 Pr sident M V Segalla ls Le Comit des march s publics a tenu sa quatri me r union Les 13 14 et 15 octobre 1981 2 L ordre du jour de La r union a t adopt comme suit Page A Accession d autres pays L accord 1 B Mise en oeuvre et administration de L accord 2 Cr Probl mes li s au champ d application de L accord 12 D Identification des march s relevant de l accord et r gime des cas Limites 13 E Traitement des imp ts et droits de douane en rapport avec La valeur minimale 14 F Proc dures de consultations au titre de l accord 14 G Examen annuel et adoption du rapport pr senter aux PARTIES CONTRACTANTES 16 H Autres questions 16 i Pr sentation de statistiques 16 ii Consultations au titre de L article VII 3 16 iii Entit s non vis es par L accord 17 iv Rectifications de pure forme et modifications mineures se rapportant aux annexes I IV 17 v Membres des groupes sp ciaux 17 vi Pr sentation de statistiques relatives L ann e civile 1981 17 vii Fixation pour 1982 de La valeur minimale en monnaie nationale 18 viii Documents du Comit mis en distribution g n rale 18 ix Date des prochaines r unions et ordre du jour de La prochaine r union 18 A Accession d autres pays l accord 3 Le repr sentant2. t publi es en Autriche dans les conditions pr vues par l accord 49 R pondant ensuite au repr sentant de la Su de l intervenant a expliqu que Les entit s non vis es par l accord ont depuis longtemps t inform es de celui ci et qu en outre L accord sera publi au Journal officiel C Probl mes Li s au champ d application de L accord 50 Le repr sentant des Etats Unis a d clar que Les d bats de La r union de juillet ont fait ressortir que trois sortes au moins de pratiques diff rentes peuvent porter le nom de cr dit bail i Le cr dit bail avec option d achat ii Le cr dit bail avec obligation d achat et iii La Location vente IL y a en outre La question des contrats de vente ou de bail d un produit donn Le Comit devrait poursuivre L examen de toutes ces pratiques 51 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a d clar que Le Comit n a peut tre pas suffisamment de connaissances techniques pour prendre des d cisions d finitives sur cette question d licate mais qu il est n anmoins utile de continuer La discussion Les difficult s sont notamment dues au fait qu il n existe pas de d finition universellement admise du cr dit bail Le cr dit bail est une pratique tr s r cente dont les applications sont assez nombreuses et diff rent d un pays l autre Les Communaut s europ ennes ont nonc dans Le document GPR W 6 un crit re Le changement de propri t qui permet Leur avis de co
3. favorables ce pays Sa d l gation verra avec plaisir un nouveau pays en voie de d veloppement signer l accord 7 Le repr sentant du Canada se r jouissait lui aussi de ce que les Philippines souhaitent acc der L accord Les autorit s canadiennes escomptent que leurs consultations avec les Philippines auront une issue positive et attendent avec int r t l accession de ce pays l accord 8 Le Comit a pris note des d clarations et compte recevoir d autres rapports de situation la prochaine r union B Mise en oeuvre et administration de L accord 9 Le Comit a poursuivi son examen des l gislations nationales mettant en oeuvre l accord sur La base des renseignements communiqu s par Les membres dans Les documents des s ries GPR 3 Add et GPR 4 Add GPR Spec 11 Page 3 i Etats Unis GPR 3 Add 1 GPR 4 Add 4 10 Le repr sentant du Canada a cherch se faire confirmer que le Maritime Administration Office Bureau de L administration maritime reste couvert par l accord apr s son transfert du D partement du commerce celui des transports qui ne rel ve pas de l accord Le repr sentant des Etats Unis a r pondu qu une r ponse officielle serait donn e ult rieurement mais que les dispositions pertinentes de L accord sont suffisamment claires si une partie d un organisme vis par l accord est transf r e un organisme non vis cela ne lL exclut pas du champ d application de l accord Une rectif
4. v Singapour GPR 3 Add 11 GPR 4 Add 11 17 En r ponse aux questions du repr sentant du Canada Le repr sentant de Singapour a r pondu que L immatriculation des entreprises mentionn e au chapitre 337 du Manuel d instructions administratives n 3 vaut qualification des fournisseurs Les entit s tiennent des listes permanentes d entreprises immatricul es Les formulaires d inscription peuvent tre obtenus en s adressant aux services comp tents des deux entit s concern es Les conditions d immatriculation ont trait aux ant c dents prouv s aux livraisons pass es et l existence d un service technique fiable de soutien d entretien et de livraison de pi ces de rechange Les renseignements figurant dans Le document GPR 3 Add 11 concernent Les proc dures g n rales de passation de march s pour l ensemble des pouvoirs publics La version finale des proc dures qu appliqueront Les deux entit s vis es est actuellement en cours d laboration ces proc dures seront pleinement conformes L accord Les avis de projets d achats qui seront publi s dans Le Journal officiel donneront tous les renseignements requis par l article V paragraphe 4 Conform ment l article V paragraphe 14 alin a a Les soumissions pr sent es par t lex a uM a E GPR Spec 11 Page 6 t l gramme ou t l copie ne sont pas accept es
5. 1958 IBDD Suppl ment n 7 pages 24 et 25 i toute partie entrant en consultation au titre de l article VII paragraphe 3 ou 4 en avisera Les autres Parties par l entremise du secr tariat ii Les tierces Parties seront autoris es participer ces consultations avec l accord des deux Parties consultantes L intervenant jugeait Les notifications n cessaires la transparence car les questions sur lesquelles portent Les consultations sont susceptibles d affecter Les int r ts d autres Parties Bien que La d cision doive revenir aux deux gouvernements en question les autres parties devraient avoir La possibilit de demander participer aux consultations 65 Le repr sentant du Canada croyait lui aussi qu il serait utile d adopter La proc dure propos e A son avis l application de L accord peut donner Lieu deux types de diff rends ceux qui portent sur un march donn o l int r t des autres Parties a des chances d tre limit et Les diff rends qui mettent en jeu l interpr tation de l accord o Les autres Parties auront un int r t et d sireront peut tre participer aux consultations 66 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a d clar que si Les deux Parties consultantes en conviennent Les tierces Parties devraient tre autoris es participer aux consultations on pr serverait ainsi Le caract re bilat ral des consultations qui de L avis des Communaut s est essentiel pour aboutir aussi
6. ann es de r sidence 26 Le repr sentant du Japon a r pondu que Le nombre d ann es depuis lequel une filiale exerce son activit au Japon est un crit re d cisif Cependant il en est de m me pour Les filiales d entreprises japonaises et il n existe donc pas de discrimination Aux observations pr sent es par La d l gation canadienne l intervenant a r pondu que d apr s l exp rience de son pays GPR Spec 11 Page 8 si Le chiffre d affaires ou les autres donn es sont satisfaisantes l entre prise concern e a de bonnes chances de pouvoir ex cuter Le march de fa on ad quate Sa d l gation ne poss dait pas d informations concernant le volume des Livraisons trang res aux pouvoirs publics japonais 27 Le repr sentant du Canada a d clar qu il pouvait comprendre cet argument mais maintenait qu un syst me dans Lequel Les entreprises qui n ont pas un minimum de r f rences sont automatiquement jug es incapables Ji d ex cuter un march est injuste IL a demand si la d l gation japonaise pourrait pr senter une note explicative Le repr sentant des Etats Unis n tait pas non plus convaincu que le syst me fonctionne de mani re non discriminatoire car si une filiale peut utiliser toutes Les ressources de sa soci t m re il est difficilement justifiable de ne pas tenir compte de li ces ressources lorsque L on value l anciennet de L entreprise son c
7. au secr tariat Le 20 novembre 1981 au plus tard Le secr tariat publiera par La suite une version revis e du document qui sera consid r e comme adopt e si aucune objection n a t re ue au 31 d cembre 1981 Le Comit a d cid en principe de mettre ce document en distribution g n rale si aucune objection n y est faite avant La prochaine r union 73 Le Comit a adopt son premier rapport annuel aux PARTIES CONTRACTANTES qui figure dans Le document L 5209 H Autres questions i Pr sentation de statistiques 74 Le repr sentant des Etats Unis a rappel qu il avait pr c demment exprim l espoir que Les Communaut s europ ennes pr senteraient au titre de L article VI paragraphe 9 alin as a et c des statistiques au niveau de La Communaut et par Etat membre et a demand o en est L examen de cette question par les CE 75 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a r pondu que la position de sa d l gation sur ce point demeure inchang e ii Consultations au titre de l article VII 3 76 Le repr sentant des Etats Unis a inform Le Comit que depuis La derni re r union sa d l gation et celle des Communaut s europ ennes ont eu des consultations au titre de l article VII paragraphe 3 Plusieurs questions relatives La mise en oeuvre de L accord ont t abord es Les consultations ont t utiles et instructives Sur La base des informations obtenues La d l gation des Etats Unis tud
8. chaque fois Les entreprises qualifi es qui ne sont pas immatricul es peuvent aussi en payant chaque fois 500 dollars de Singapour demander les documents concernant un appel d offres donn IL est demand tous les soumis sionnaires retenus de fournir un cautionnement en garantie de La bonne ex cution du march GPR Spec 11 Page 7 vi Norv ge GPR 3 Add 8 GPR 4 Add 5 20 Aucune question n a t pos e vii Japon GPR 3 Add 5 GPR 4 Add 8 21 Le repr sentant du Canada a exprim l espoir qu La fin de l exercice financier en cours l acceptation n importe quel moment par Les entit s des demandes de qualification devienne un l ment permanent du syst me japonais 22 Le repr sentant du Japon a r pondu que cette mesure est purement tempo raire En fait ce traitement exceptionnel quivaut une discrimination invers e puisqu il ne s applique qu aux soumissionnaires trangers cette pratique ne peut pas tre et ne sera pas prorog e au del du pr sent exercice financier 23 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a sugg r que conform ment aux prescriptions de l accord Les fournisseurs japonais puissent aussi tre inscrits sur les listes pendant toute l ann e Le repr sentant des Etats Unis s est d clar d u par La position japonaise sur ce point et a exprim l espoir qu elle serait r examin e Le repr sentant du Japon a r p t Les intentions de sa d l gation mais a a
9. de contrat soit utilis iv Les entit s lan ant des appels d offres avec L option soit d acheter soit de prendre bail technique parfois utilis e au Canada alors qu son avis l option d achat est couverte par l accord celle de cr dit bail ne l est pas bien qu en pratique La documentation relative L appel d offres couvre normalement Les deux options et doive donc tre conforme aux prescriptions de l accord 55 Apr s avoir d battu de questions de proc dure Le Comit est convenu que Les Parties devraient fournir des renseignements sur Leurs pratiques actuelles en mati re de cr dit bail et arrangements analogues et a de nouveau invit Les Parties donner une description des types de contrats qui leur avis rel vent de l accord IL est en outre convenu de poursuivre l examen de ces questions sa prochaine r union D Identification des march s relevant de l accord et r gime des cas limites 56 Le repr sentant des Communaut s europ ennes notant que Le Comit s tait d clar favorable ce que toutes les Parties signalent les avis de march s qui sont publi s en application de L accord a demand quand les Etats Unis comptent suivre cette pratique IL a jug La question importante et d clar GPR Spec 11 Page 14 que dans La Communaut tous les march s relevant de l a
10. des Communaut s europ ennes a inform Le Comit que sa d l gation a pris note de l offre faite par La d l gation des Philippines et que Les Communaut s proc dent des consultations dans un esprit de coop ration GPR Spec 11 Page 2 4 La repr sentante des Philippines qui avait statut d observateur a confirm que sa d l gation a entam avec certains pays d velopp s des discussions bilat rales exploratoires concernant l intention des Philippines d acc der l accord L offre qui a t faite devrait tre examin e dans Le contexte du traitement sp cial et diff renci en faveur des pays en voie de d veloppement tel qu il est pr vu dans L accord Elle a rappel que Les Philippines viennent d tablir tout un programme de lib ralisation des importations en publiant plusieurs d crets Le plus r cent d entre eux qui est entr en vigueur en septembre 1981 implique des r ductions tari faires de 50 pour cent environ pour toutes Les positions du tarif douanier et int resse presque tous Les principaux produits vendus par Les pays d velopp s qui sont Les plus importants partenaires commerciaux des Philippines Le fait que L acc s au march philippin ait t facilit aux produits en provenance de ces pays devrait tre consid r comme une contri bution l accroissement des changes internationaux par La r
11. duction des tarifs douaniers qui est l un des objectifs de L Accord g n ral Ces r ductions ont t compl t es par La lib ralisation des proc dures d impor tation 960 produits ayant t transf r s de La liste des produits dont l importation est prohib e celle des produits lib r s L observateur des Philippines a exprim L espoir qu La lumi re des changements apport s au r gime d importations de son pays L initiative prise par son gouvernement d laborer une offre initiale dans Le domaine des march s publics serait examin e avec bienveillance par Les pays d velopp s afin que Les discussions entam es puissent se poursuivre utilement 5 Le repr sentant des Etats Unis a d clar que sa d l gation avait t heureuse d apprendre Lors de Ta derni re r union que Les Philippines avaient l intention d acc der l accord IL a exprim l espoir que Les consultations bilat rales qui se sont ouvertes entre Les Etats Unis et Les Philippines seront couronn es de succ s cette fin Les Etats Unis n pargneront aucun effort pour que Les Philippines puissent bient t devenir un nouveau signataire de L accord 6 Le repr sentant du Royaume Uni prenant La parole au nom de Hong kong s est f licit des d clarations qui ont t fa tes IL a rappel que sa d l gation avait apport son soutien L offre des Philippines Lors de La derni re r union et s est d clar persuad que Les consultations seraient
12. rapidement que possible un r glement et viter d avoir porter La question devant le Comit Pour La m me raison il est difficile d accepter La suggestion relative La notification qui aurait manifestement pour effet de multilat raliser Le probl me En ce qui concerne La distinction entre deux sortes de diff rends l intervenant consid rait que si une Partie entend soulever une question plus Large d interpr tation de L Accord La proc dure normale consiste saisir Le Comit 67 Le repr sentant des Etats Unis jugeait utile La distinction faite par Le repr sentant du Canada Des probl mes peuvent surgir La suite d une erreur commise par une entit ou un responsable des achats mais aussi na tre d une divergence de vues quant La conformit L accord des proc dures de base Sur ce dernier point notamment il importe que Les autres gouvernements soient inform s de toute consultation qui peut avoir Lieu 68 Le repr sentant du Canada a consid r qu il est contradictoire de refuser Les notifications et de donner simultan ment aux tierces Parties Le droit de demander participer aux consultations Le repr sentant des Communaut s europ ennes a r pondu que L obligation de notifier conduirait probablement des demandes de participation souvent difficiles refuser puis des questions au Comit sur La teneur des consultations IL a r p t que de L avis des Communaut s il importe de pr server Le cara
13. repr sentant des Etats Unis a sugg r que Les nouveaux r glements indiquent clairement que Le syst me s applique seulement aux march s non vis s par l accord 34 R pondant une question du repr sentant de La Su de le repr sentant du Royaume Uni a regrett qu un centre d information n ait pas encore t cr Cependant un certain nombre de minist res sont concern s et il est improbable qu il y ait des difficult s diriger vers l autorit comp tente Les fournisseurs qui demandent des renseignements b Pays Bas 35 En r ponse au repr sentant de la Su de le repr sentant des Pays Bas a confirm que conform ment l article premier paragraphe 2 Les entit s non vis es par l accord ont t inform es par une circulaire du Minist re de L int rieur c Luxembourg 36 Aucune question n a t soulev e d Italie 37 Les r ponses La liste GPR 4 ult rieurement publi es sous La cote GPR 4 Add 9 Suppl 1 ont t fournies au Comit Lors de La r union 38 En ce qui concerne La r ponse 2 c Le repr sentant des Etats Unis a not que l existence de Listes permanentes de soumissionnaires et Les crit res d inscription sur ces listes ne semblent pas avoir t port s La connaissance du public IL a aussi demand quelles publications seront mentionn es l annexe III de l accord IL a jug pr occupant que dix mois apr s l entr e en vigueur de l accord il appara t que l Ital
14. repr sentant du Japon a expliqu que Le syst me dit de consultations quitables sera galement utilis dans Les cas o La qualit rev t une importance primordiale mais o La soumission au prix Le plus bas ne r pond pas aux crit res de qualit 29 Le repr sentant des Etats Unis a not Le recours de plus en plus fr quent aux achats renouvelables qui pr voient un d lai de dix jours seulement pour L laboration et La pr sentation des soumissions Dans ces conditions Les entreprises non r sidentes ne peuvent pas r agir et le repr sentant des Etats Unis a demand si Les autorit s japonaises examinent La question Le repr sentant du Japon a rappel que l accord permet d courter Les d lais et qu au Japon Le d lai minimum pour ces achats a t fix dix jours En i outre des efforts sont en cours pour allonger les d lais fix s par les entit s concern es GPR Spec 11 Page 9 30 R pondant au repr sentant des Etats Unis qui demandait pourquoi un arr t du Conseil des ministres exclut de l accord Les achats pour lesquels Le fabricant utilise Les mati res premi res fournies par l entit Le repr sentant du Japon a expliqu que dans ce cas un march de fournitures se confond avec un march de services Le repr sentant des Etats Unis s est r serv Le droit de soulever La prochaine r union certaines q
15. Les soumissionnaires qui n ont pas t retenus sont inform s par crit de l adjudication du march ainsi que le pr voit l article VI paragraphe 3 Enfin Le r glement FC 3 79 permettant d avoir recours un appel d offre unique d rogation au principe de mise en concurrencg quand une relation ant rieure a t tablie entre Les pouvoirs publics et un fournisseur ou quand le prix demand par le fournisseur est juste et raisonnable sera modifi afin de refl ter les prescriptions de L article V paragraphe 15 18 Passant aux questions du repr sentant des Etats Unis le repr sentant de Singapour a d clar qu aucune des deux entit s n a fait jouer La d ro gation au principe de mise en concurrence pour des achats de surplus et que du reste elles n ont jamais achet de surplus d autres Etats ou des entreprises priv es Pour ce qui est de La signification de L expression envoi par La poste des avis d appel d offres Le repr sentant de Singapour a expliqu que cette pratique est seulement adopt e pour les march s dont La valeur n est pas estim e plus de 10 000 dollars de Singapour En vertu du paragraphe 341 du r glement tous Les soumissionnaires sont inform s de La date de cl ture de chaque appel d offres et de L adresse Laquelle envoyer les formules de soumission remplies Si Les soumissionnaires se conforment aux instructions donn es sur Les tiquettes portant l adresse des entit s ils ne sont pa
16. atut de cette entit a t modifi entre Le moment o La liste belge d entit s a t tablie et celui o l accord est entr en vigueur La Commission des CE en a t inform e et le repr sentant de La Belgique a exprim l espoir qu il serait bient t possible de prendre certaines mesures pour rem dier La situation actuelle qui n est pas satisfaisante ix Canada GPR 3 Add 4 GPR 4 Add 3 47 Le repr sentant de La Su de s est f licit de ce que Le Canada ait revis Le texte concernant Les exceptions permettant des appels d offres uniques RER 1 i Il Il GPR Spec 11 Page 12 conform ment au souhait exprim par sa d l gation Lors de La r union de juillet CGPR M 3 paragraphe 19 Le repr sentant du Canada a confirm que La nouvelle version anglaise qui contient une erreur sur ce point serait d ment corrig e et align e sur Le texte fran ais qui est correct x Autriche GPR 4 Add 10 48 Le repr sentant de l Autriche a rappel que sa d l gation a d pos son instrument de ratification Le 24 ao t 1981 L accord est donc entr en vigueur pour l Autriche Le 23 septembre 1981 encore qu il soit appliqu depuis le 1er janvier 1981 Le texte en sera publi Le 15 octobre 1981 sous forme de Loi n 452 1981 Jusqu pr sent 14 invitations soumissionner ont
17. au sujet de La pr sen tation de statistiques conform ment l article VI 9 Cette d cision pr voit entre autres que toutes Les Parties pr senteront un rapport statistique par ann e civile Les premiers de ces rapports relatifs L ann e 1981 seront pr sent s Le plus t t possible en 1982 et en tout tat de cause suffisamment t t pour permettre une premi re tude statistique au quatri me trimestre de 1982 GPR Spec 11 Page 18 vii Fixation pour 1982 de La valeur minimale en monnaie nationale 81 Le Pr sident a rappel au Comit qu La premi re r union GPR M 1 paragraphe 40 et annexe IV il a pris une d cision concernant i La fa on dont Les parties calculeront et convertiront dans Leur monnaie nationale La valeur minimale de 150 000 DTS vis e l article premier paragraphe 1 b et 11 L obligation de notifier sans tarder au Comit La m thodologie et Les r sultats de Leurs calculs aux fins d examen et de contestation ventuels IL a rappel que La valeur des monnaies nationales sera fix e pour chaque ann e civile sauf dans Le cas du Japon et de Singapour qui prendront en consid ration L exercice financier 1er avril 31 mars IL comptait que Les parties d termineraient avant La fin de 1981 l quivalent en monnaie nationale de La val
18. ccord sont identifi s l exception de quelques tr s rares march s en France dont La valeur se situe entre La valeur minimale pr vue par l accord et celle de La directive communautaire ces march s seront bient t eux aussi identifi s 57 Le repr sentant des Etats Unis a d clar que Les r glements n cessaires relatifs L identification des contrats relevant de l accord ont t labor s et doivent entrer en vigueur sous peu 58 Le Comit a pris note du fait que dans deux cas les avis de march s ne signalent pas si Le march est publi en application de l accord IL a not en m me temps que Les gouvernements concern s s emplo eront activement e faire dans un avenir proche et est convenu de garder ce point l ordre du jour E Traitement des imp ts et droits de douane en rapport avec La valeur minimale j 59 Le repr sentant des Etats Unis a rappel que Lors de La derni re r union un consensus presque complet auquel les Communaut s europ ennes ne se sont pas associ es s est d gag pour inclure la taxe sur la valeur ajout e dans La valeur d un march aux fins de d terminer s il rel ve ou non de l accord Pour sa d l gation cette question est absolument fondamentale L accord est tr s clair il prend en consid ration une valeur uniforme des march s sans aucun ajustement que ce soit pour Les imp ts les remises sur quantit Les variations mon taires L inflation ou tout autre l me
19. ception de ces renseignements Le moins disant est choisi Dans d autres cas concernant des march s complexes Les soumissionnaires sont invit s expliquer leurspropositions sans avoir la possibilit de Les modifier ou d tre inform s des autres offres qui ont t faites Ces r unions avec Les fournisseurs potentiels sont consign es dans un dossier afin qu apr s l adjudication Les entreprises aient La possibilit de v rifier La correction de La proc dure Le repr sentant des Etats Unis comprenait Les pr occupations des Communaut s europ ennes mais a rappel que Les proc dures am ricaines comportent des garanties appropri es contre Les abus 13 Le repr sentant de La Su de a demand quelle proportion de L ensemble des march s publics s applique l exception l accord concernant Les march s r serv s aux petites entreprises et entreprises appartenant des ressor tissants de minorit s Le repr sentant des Etats Unis a r pondu que des statistiques sont actuellement tablies et pourront tre chang es sur une base de r ciprocit avec Les autres parties qui ont pr vu des exceptions analogues IL a rappel que La possibilit d un change multilat ral de renseignements de cette nature avait d j t d battue sans qu il f t possible d arriver un consensus Le repr sentant des Communaut s europ ennes a not que d apr s Les derni res statistiques annuelles du General Accounting Office Service de co
20. ct re bilat ral et confidentiel de telles discussions mais a ajout que si Les deux Parties conviennent d en inviter d autres elles ont La facult de Le notifier par l entremise du secr tariat GRP Spec 11 Page 16 69 Le repr sentant de La Su de parlant au nom des trois pays nordiques a d clar que Leur premi re r action La proposition am ricaine est positive Ces d l gations pr f raient poursuivre L examen de La question et y revenir La prochaine r union 70 Le repr sentant des Etats Unis a d clar qu en attendant un consensus sa d l gation entend continuer observer La pratique traditionnelle du GATT et notifier au Comit toute demande de consultation IL a invit Les autres d l gations faire de m me 71 Le Comit a pris note des d clarations et est convenu d inscrire de nouveau ce point L ordre du jour G Examen annuel et adoption du rapport pr senter aux PARTIES CONTRACTANTES iig 72 Conform ment l article IX paragraphe 6 alin a a de l accord le Comit a proc d son premier examen annuel de La mise en oeuvre et de L application de l accord en se fondant sur un document de base tabli par le secr tariat GPR W 9 Le Comit est convenu que toute information additionnelle ou mise jour relative aux chapitres D N du document de base qui sera fournie par ses membres devra parvenir
21. e r union GPR M 3 paragraphe 21 concernant les mesures prises pour diminuer Le nombre d avis d appel d offres publi s tardivement IL a ajout que Les mesures d j prises ont entra n au cours des trois derniers mois une diminution de plus de 50 pour cent du nombre d avis qui fixent des d lais insuffisants D autres mesures seront prises pour faire en sorte que le plus t t possible il n y ait plus d avis d appel d offres tardifs ou seulement dans des cas exceptionnels a Royaume Uni 33 En r ponse au repr sentant des Etats Unis le repr sentant des Communaut s europ ennes a expliqu qu il n existe pas de pr f rences en mati re de prix au Royaume Uni Vingt cinq pour cent au maximum de tous Les appels d offres sont r serv s certaines compagnies situ es dans des zones de d veloppement condition que tous Les l ments prendre en consid ration pour l adjudication soient quivalents ceux de l offre La plus avantageuse Le syst me est de faible importance et sera encore r duit en 1980 il a repr sent environ 5 millions de Livres sterling d achats qui de toute fa on n entraient pas dans Le champ d application de l accord FR a E A GPR Spec 11 Page 10 Les divers march s tant inf rieurs La valeur minimale ou pass s par Le Minist re de La D fense Afin d viter toute incertitude Le
22. eur minimale pour 1982 et notifieraient d s que possible au Comit Le r sultat de ces calculs viii Documents du Comit mis en distribution g n rale 82 Le Pr sident rappelant La proc dure de mise en distribution g n rale des documents CGPR M 1 paragraphe 14 a indiqu que Le secr tariat proposera dans une note La mise en distribution g n rale de documents de la s rie GPR ix Dates des prochaines r unions et ordre du jour de La prochaine r union 83 Le Comit est convenu que ses prochaines r unions se tiendront du 2 au 4 f vrier 1982 et du 3 au 5 novembre 1982 une r union suppl mentaire pouvant avoir lieu dans l intervalle 84 L ordre du jour de La cinqui me r union devrait tre Le m me que celui de La pr sente r union mis part Le point concernant L examen annuel l ordre du jour exact sera comme d habitude tabli par Le Pr sident de concert avec Les d l gations
23. hiffre i d affaires et sa capacit fabriquer un produit IL a apport son soutien La demande canadienne L effet d obtenir des explications crites sur ce point 28 R pondant au repr sentant des Communaut s europ ennes sur La question de La n gociation des march s Le repr sentant du Japon a d clar qu une seule entit japonaise Les Chemins de fer japonais pratique et seulement dans des cas tout fait exceptionnels Le syst me dit des consultations quitables Normalement Les Chemins de fer japonais utilisent La proc dure habituelle selon Laquelle tous Les fournisseurs peuvent pr senter des soumissions si apr s l ouverture des soumissions une solution satisfai sante ne peut pas tre trouv e La m me proc dure est r p t e une deuxi me fois et si Les d lais le permettent une troisi me fois Si L on n aboutit toujours pas une solution Les proc dures de consultations sont utilis es IL est encore possible de recourir aux consultations dans un autre cas tr s exceptionnel si La qualit offerte par Le moins disant est inf rieure celle que proposent Les autres soumissionnaires Sur ce dernier point Le repr sentant des Communaut s europ ennes a estim que La proc dure normale devrait tre d inclure d s Le d part non seulement Le facteur prix mais aussi Le facteur qualit dans l valuation des soumissions et de ne pas entamer automatiquement des n gociations Le
24. i cation sera notifi e au Comit dans un proche avenir 11 Le repr sentant des Communaut s europ ennes s est d clar pr occup de mani re g n rale par Tes proc dures de passation des march s suivies par certaines Parties Dans Le cas des Etats Unis deux pratiques sont sources d inqui tude i Pour Les proc dures concernant La passation de march s n goci s non soumis concurrence Les r glements relatifs aux march s f d raux comportent certaines conditions qui d passent apparemment La port e de l article V paragraphe 15 qui traite de l utilisation des appels d offres unique Par exemple Le repr sentant des Communaut s europ ennes a not qu une de ces conditions concerne Les achats effectu s en dehors des Etats Unis une autre l approvisionnement en m dicaments et fournitures m di cales en produits de premi re n cessit et dans certains cas des cat gories particuli res de fournisseurs qui sont cens s tre Les seuls capables de r pondre aux besoins Sur ce dernier point Les crit res servant d ter miner La capacit sont La n cessit ou non d investissements pr alables importants La possession par Le fournisseur d quipements et d installations sp ciales de droits de brevet ou autres droits exclusifs Or si L article V paragraphe 15 mentionne Les droits de brevet et droits exclusifs Le repr sentant des Communaut s n tait pas s r que ce soit Le cas pour Les autres l ments
25. ie ne l a toujours pas pleinement mis en oeuvre il a exprim l espoir qu il sera na rem di La situation sans qu il soit besoin de recourir aux m canismes formels de l accord 39 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a rappel que La d cision pertinente du Conseil des Communaut s portant approbation de l accord est directement applicable en Italie en vertu du Trait de Rome 40 Le repr sentant de l Italie a confirm cette d claration et regrett que La situation sur le plan int rieur soit rest e inchang e depuis La r union de juillet IL escomptait cependant que Les mesures pertinentes mettant en oeuvre l accord seraient en place avant La prochaine r union du Comit 41 En r ponse une demande d claircissement de La repr sentante de La Norv ge concernant La page 60 du document GPR 3 Add 10 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a confirm que les CE y compris l Italie appliquent l accord de facto et de jure l gard de son pays GPR Spec 11 Page 11 e Irlande 42 Aucune question n a t soulev e f R publique f d rale d Allemagne 43 Le repr sentant des Etats Unis est revenu sur un point soulev Lors de La troisi me r union concernant La notification aux soumissionnaires qui n ont pas t retenus Le repr sentant de La R publique f d rale d Allemagne rappelant Les renseignements donn s dans Le document GPR 3 Add 10 page 50 au sujet de l article VI pa
26. ie si L affaire appelle d autres suites GPR Spec 11 Page 17 iii Entit s non vis es par l accord 77 Le repr sentant des Etats Unis a dit partager Les pr occupations exprim es Lors des pr c dentes r unions devant Les efforts d ploy s dans divers pays Parties L accord pour que les entit s non vis es par l accord accentuent Les pr f rences accord es aux produits nationaux IL a not que de nombreuses entit s non vis es se servent d j de pr f rences officielles ou non pour exclure La participation trang re L intervenant croyait qu il est dans l int r t de tous de r duire au minimum l incidence de restrictions de cette nature IL importe non seulement de d courager l adoption de nouvelles mesures prescrivant L achat de produits nationaux mais aussi d liminer Les pr f rences existantes car elles engendrent des pressions en faveur de nouvelles restrictions La d l gation des Etats Unis croyait que pour entretenir l lan constructif suscit par l adoption de l accord Le Comit devrait bient t commencer tudier un programme de travail en vue de pr parer Les ren gociations envisag es l article IX paragraphe 6 alin a b iv Rectifications de pure forme et modifications mineures se rapportant aux annexes I IV 78 Le Pr sident a inform Le Comit que depuis La derni re r union Les rectifications de pure forme et Les modifications mineures propos es dans Le document GPR 11 so
27. ii Second sujet de pr occupation Les march s n goci s soumis La concurrence pr voyant des n gociations avec plusieurs fournisseurs De L avis des Communaut s europ ennes L article V paragraphe 14 alin a f de l accord stipule que si La meilleure offre ne satisfait pas tout fait aux conditions requises l entit doit n anmoins poursuivre Les n gociations avec Le fournisseur qui l a faite S il n est pas pr sent de soumission plus avantageuse l entit peut passer au second fournisseur inscrit sur La Liste IL semble que dans Le syst me am ricain et dans ceux d autres Parties L accord l entit puisse n gocier avec de nombreux fournisseurs en m me temps Cette pratique largement uti lis e aux Etats Unis Laisse La porte ouverte La discrimination et aux abus Bien que certaines garanties soient il l a reconnu incluses dans Les r glements am ricains Le repr sentant des Communaut s s est demand si elles sont suffisantes et si dire vrai il existe une quelconque garantie contre Le genre d abus qui peuvent se produire En 1980 La proc dure en question semble avoir t utilis e pour un quart environ de L ensemble des march s publics am ricains 12 Le repr sentant des Etats Unis a d clar qu il en r f rerait aux auto rit s de son pays pour qu elles donnent une r ponse compl te A titre indi catif il a fait remarquer que Le terme de passation de march n goci est en lui m me quelque
28. is e dans Le syst me japonais de passation de march s Aux yeux de sa d l gation La location et le cr dit bail sans obligation d achat n entrent pas dans le champ d application de L accord 53 Le repr sentant du Royaume Uni prenant La parole au nom de Hong kong a d clar qu son avis il existe quatre types de transactions concern es 1 Le cr dit bail avec Location qui estime son gouvernement n est pas vis par l accord ii Le cr dit bail avec option d achat qui n est couvert par l accord que si et Lorsque l option est lev e iii La location vente c est dire l achat temp rament qui est vis par l accord iv le cr dit bail avec obligation d achat qui quivaut un achat pr vu pour une date ult rieure pratique assez inhabituelle 54 Le repr sentant du Canada a d clar que sa d l gation a identifi quatre types de contrats comportant un cr dit bail i Le cr dit bail proprement dit non vis par l accord ii Le cr dit bail avec option d achat une date ult rieure qui devrait logiquement tre couvert par l accord si et lorsque l option est lev e mais on voit mal comment dans La pratique il est possible d appliquer Les dispositions de l accord en pareil cas iii Le cr dit bail avec obligation d achat ces march s sont couverts par l accord car le cr dit bail n est alors qu un moyen de financer L achat comme Le repr sentant de Hong kong L intervenant n avait pas connaissance que ce type
29. jout qu afin de familiariser Les soci t s trang res avec les proc dures japonaises il sera sans doute organis un s minaire analogue celui qui s est tenu en mars 1981 24 En r ponse aux questions du repr sentant des Communaut s europ ennes concernant Le syst me de classement par cat gorie des fournisseurs qualifi s Le repr sentant du Japon a expliqu que plusieurs crit res sont utilis s pour La qualification des soumissionnaires trangers tels que Le chiffre d affaires annuel Le montant du capital et Le nombre d ann es d activit Aucun de ces facteurs n implique une discrimination contre Les soci t s trang res puisque Les m mes crit res s appliquent aux soumissionnaires japonais 25 Le repr sentant du Canada a not qu il pouvait se produire une discrimi nation indirecte l gard des pays dont Les entreprises sont de cr ation plus r cente ou qui ont un capital modeste Le crit re du nombre d ann es d activit pose La question g n rale de l aptitude des entreprises trang res se qualifier De l avis de l intervenant tous Les crit res devraient tenir compte uniquement de l aptitude d une entreprise satisfaire aux conditions d un march donn et non d un quelconque classement pr d termin des soumissionnaires Le repr sentant des Communaut s europ ennes a demand ce qui se produit si Les filiales d une compagnie trang re ne satisfont pas aux prescriptions concernant Le nombre d
30. mprendre si ce n est toutes les op rations possibles de passation de march s et Leur financement tout au moins La plupart d entre elles La pratique connue sous Le nom de cr dit bail avec obligation d achat ne semble pas tre diff rente de L achat temp rament puisqu il y a transfert progressif et cession finale de propri t au terme d une p riode contractuelle donn e Si dans Le cas du cr dit bail avec option d achat l option est lev e il faut tenir compte La fois de L aspect juridique et de l aspect pratique du probl me La question juridique porte sur le fait qu un contrat au d part non vis par l accord est r gi ult rieurement par ses dispositions Le repr sentant des Communaut s europ ennes s est demand si ce cas a une quelconque importance pratique Les CE n ont pas arr t Leur position sur ce point La d l gation des Communaut s sugg re que l aspect pratique soit d ment pris en consid ration dans toute analyse GPR Spec 11 Page 13 52 Le repr sentant du Japon a d clar qu il faut avant toute chose clarifier le concept de cr dit bail IL convient de distinguer nettement le cr dit bail de La location ces deux pratiques doivent tre trait es diff remment L intervenant a sugg r que Le cr dit bail avec obligation d achat bien que de nature hybride soit trait quant au fond comme un achat Le Comit pourrait limiter ses efforts cette pratique qui a t il ajout n est pas util
31. mptabilit g n rale Les march s adjug s aux petites entreprises se sont lev s 4 5 milliards de dollars et a demand s il est possible d valuer quelle part revient aux march s de fournitures par rapport aux march s de travaux publics et autres Le repr sentant des Etats Unis a d clar que sur La base des informations actuellement disponibles la plupart de ces march s se situent dans des secteurs non vis s par l accord IL a r p t que sa d l gation est dispos e partager ces renseignements avec d autres charge de r ciprocit ii Royaume Uni au nom de Hong kong GPR 3 Add 6 GPR 4 Add 7 14 Le repr sentant du Royaume Uni parlant au nom de Hong kong a donn Les renseignements ci apr s en r ponse aux questions pos es lors de La r union de juillet i Le R glement sur Les approvisionnements de L Etat sera modifi E GPR Spec 11 Page 5 selon les besoins ii les avis d appel d offres concernant Les march s vis s par l accord ne sont pas signal s par un titre sp cial mais portent La mention suivante La soumission ci dessus rel ve de L accord de 1979 relatif aux march s publics conclu sous l gide du GATT jiii l entit de Hong kong compte publier tr s br ve ch ance au Journal officiel L avis invitant Les int ress s prendre connaissance des listes de fournisseurs qualifi s elles pourront tre consult es au si ge de l entit iv les listes de fournisseurs
32. nt Cependant puisqu il semble peu probable qu un consensus s tablisse dans un avenir proche La d l gation des Etats Unis tudie actuellement quelles mesures pourraient ventuellement tre prises 60 Le repr sentant des Communaut s europ ennes a d clar ne pas partager L opinion selon Laquelle Te Comit est arriv un consensus auquel sa d l gation avait t La seule ne pas se joindre IL n avait rien ajouter La position des CE telle qu elle est nonc e dans Le compte rendu des pr c dentes r unions 61 Les repr sentants du Canada de La Finlande de Hong kong du Japon de La Norv ge de Singapour de La Su de et de Ta Suisse se sont d clar s pr occup s par l absence de consensus et ont affirm que leur position est identique celle des Etats Unis 62 Le Comit a pris note de ces d clarations et est convenu d inscrire de nouveau ce point l ordre du jour de La prochaine r union Fa Proc dures de consultations au titre de L accord 63 Le Pr sident a rappel que ce point avait t abord Lors de La demi re RS Re 5 T r union au titre des Autres questions 64 Le repr sentant des Etats Unis a propos que le Comit adopte pour les consultations au titre de l article VII paragraphes 3 et 4 de l accord une proc dure couvrant Les points nonc s dans La proc dure de consultation GPR Spec 11 Page 15 au titre de l article XXII de L Accord g n ral adopt e en
33. nt entr es en vigueur Les rectifications ult rieures propos es dans Le document GPR 12 entreront en vigueur dans un d lai de 30 jours si aucune objection n y est faite D autre part Le secr tariat a publi La premi re s rie de pages rempla ant Les jeux de feuillets mobiles des annexes I IV Une centaine de jeux de feuillets mobiles ont t vendus dont une cinquantaine des d l gations permanentes o des minist res une quarantaine des entreprises priv es et Les dix derniers des organisations internationales et des universit s v Membres des groupes sp ciaux 79 Le Pr sident a inform le Comit que depuis la derni re r union le Canada a pr sent La candidature de personnes disponibles pour faire partie des groupes sp ciaux et le Japon a fait conna tre Les changements qu il a apport s sa liste de candidats Les Parties ci apr s ont propos des candidats Canada CEE Etats Unis Finlande Hong kong Japon Su de et Suisse Rappelant Les dispositions pertinentes de l article VII paragraphe 8 il a invit Les parties qui ne l ont pas encore fait pr senter des candidatures Au d but de 1982 Les candidatures actuelles devront tre confirm es ou de nouvelles candidatures devront tre pr sent es vi Pr sentation de statistiques relatives L ann e civile 1981 80 Le Pr sident a rappel au Comit La d cision qu il a prise en janvier 1981 CGPR M 1 paragraphe 36 et annexe III
34. peu trompeur IL existe deux types de proc dures pour GPR Spec 11 Page 4 Les passations de march s aux Etats Unis savoir i Les annonces offi cielles utilis es pour des achats relativement simples dont Le prix est La consid ration essentielle et ii La passation de march s n goci s utilis e Lorsque Le prix n entre pas seul en consid ration mais que des facteurs qualitatifs sont galement importants Diff rentes sortes de proc dures de passation des march s n goci s existent mais Le terme n gociation n a pas La m me connotation dans Le syst me am ricain que dans l accord Le repr sentant am ricain a cit en exemple La proc dure connue sous Le nom passation de march en deux temps utilis e quand une entit a un besoin donn ma s ne sait pas exactement quels sont Les diff rents moyens existants pour le satisfaire En pareil cas l avis et La documentation relatifs L appel d offres sp cifient ce que l entit souhaite acheter et ce que Le bien achet doit permettre d accomplir Dans un premier temps Les fournisseurs potentiels pr sentent des propositions techniques Les entreprises aptes r pondre aux besoins c est dire celles dont Les offres sont consid r es comme acceptables sur Le plan technique sont alors invit es pr senter une soumission portant indication du prix Apr s r
35. qualifi s sont revis es au d but de chaque exercice financier et Les fournisseurs qui s abstiennent r guli rement de r pondre aux appels d offre sont ray s de la liste l analyse des ant c dents est enregistr e sur ordinateur les proc dures et crit res de radiation clairement tablis et non discriminatoires et Les exclusions ne sont pas prononc es titre individuel iii Suisse GPR 3 Add 9 GPR 4 Add 2 15 En r ponse au repr sentant de La Su de le repr sentant de La Suisse a fait savoir que La circulaire que Le Conseil f d ral doit adresser aux Cantons afin de Les rendre attentifs aux objectifs principes et r gles de L Accord a t labor e et que Le Conseil f d ral en sera saisi en cours d ann e iv Su de GPR 3 Add 2 et Suppl ment 1 GPR 4 Add 1 16 R pondant au repr sentant des Etats Unis au sujet des pr f rences accord es aux entreprises des quatre pays nordiques Le repr sentant de La Su de a d clar que La directive pertinente en vigueur depuis huit ans n a jamais t utilis e L accord stipulant que toutes Les soumissions qui se situent dans La gamme concurrentielle seront consid r es et trait es de mani re gale Les entit s vis es par ledit accord ne peuvent pas appliquer cette clause Dans une dition revis e de La directive l Inspection nationale des finances indiquera plus clairement que Les organismes vis s par l accord ne sont pas soumis aux directives g n rales
36. ragraphe 3 a d clar que dans La documentation relative l appel d offres Les soumissionnaires sont inform s qu ils doivent consid rer qu ils n ont pas t retenus s ils n ont re u aucune r ponse dans un d lai de 30 jours Le repr sentant des Etats Unis a fait remarquer que dans le cas de march s complexes il faut souvent plus de 30 jours avant qu une adjudication puisse avoir lieu Le repr sentant de La R publique f d rale d Allemagne a fait valoir que Le syst me utilis est La fois rationnel et conforme l esprit de l accord Le repr sentant des Communaut s europ ennes a ajout qu il est aussi conforme La Lettre de L accord car Les fournisseurs re oivent une documentation crite Le repr sentant du Canada a d clar qu il ressort clairement de l article VI paragraphe 3 que L information concernant l adjudication d un contrat doit tre donn e par crit ou par voie d avis Sur ce point il ne partageait pas La fa on dont Lles CE interpr tent Les obligations qui d coulent de l accord z g France 44 Aucune question n a t soulev e h Danemark 45 Aucune question n a t soulev e i Belgique 46 Le repr sentant des Etats Unis a demand pourquoi La Caisse g n rale d pargne et de retraite n avait pas t incluse dans La L gislation mettant en oeuvre l accord Le repr sentant de La Belgique a r pondu que l arr t royal GPR 3 Add 10 page 6 a une annexe o il est expliqu que le st
37. s p nalis s si leurs soumissions ne sont pas re ues dans Les d lais par suite d un retard imputable aux entit s 19 R pondant aux questions du repr sentant des Communaut s europ ennes Le repr sentant de Singapour a indiqu que Les avis pr alables mentionn s dans La R gle 3 GPR 3 Add 11 page 33 sont communiqu s aux autres pays de L ANASE dix jours avant que des avis identiques ne soient publi s au Journal officiel Aucun document ou renseignement relatif un appel d offres n est donn ces pays par priorit La documentation concernant L appel d offres est distribu e tous Les soumissionnaires qu ils soient nationaux ressortissants de pays de L ANASE ou trangers partir de La date de publi cation de l avis IL n est donc pas question d accorder de pr f rences additionnelles aux fournisseurs ressortissants des pays membres de L ANASE Pour ce qui est des pr f rences nationales toutes les administrations doivent en principe accorder une certaine marge de pr f rence aux entre preneurs nationaux idem page 20 mais cette pr f rence a t abolie pour La fourniture de marchandises idem page 40 Enfin Les entreprises inscrites aupr s des deux entit s ont vers une fois pour toutes une somme de 500 dollars de Singapour qui leur donne Le droit de recevoir tous les documents relatifs aux appels d offres qui sont publi s Les soci t s immatricul es sont ainsi dispens es de faire un versement
38. uestions qui peuvent d couler de cette pratique par exemple La question de savoir quelles cons quences elle aurait pour une entreprise qui fournirait 90 pour cent des mat riaux alors que l apport de l entit publique ne serait que de 10 pour cent Le repr sentant du Japon a expliqu que l arr t minist riel vise par exemple Les march s o Le papier est fourni par l administration et les services d impression par une entreprise Vii Finlande GPR 3 Add 7 GPR 4 Add 6 31 En r ponse une question du repr sentant du Canada le repr sentant de La Finlande a confirm que La proc dure d appel d offres s lective telle qu elle est d finie dans l accord n est pas utilis e Certaines entit s tiennent des listes o figurent les renseignements pertinents relatifs aux fournisseurs avec lesquels elles sont en rapport mais ces listes n ont aucun statut juridique au regard de l accord et n ont aucune incidence sur les proc dures de passation utilis es pour les achats effectu s dans Le cadre de l accord viii Communaut conomique europ enne GPR 3 Add 10 GPR 4 Add 9 32 Le repr sentant des Communaut s europ ennes r pondant au repr sentant des Etats Unis a d clar qu il ferait un expos des proc dures communautaires en mati re de recours pour compl ter Les renseignements d j donn s Lors de La troisi me r union GPR M 3 paragraphe 38 IL s est r f r aux rensei gnements donn s Lors de La derni r
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