Home

Rapport spécial sur les établissements publics

Contents

1. Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 2 9 Institut National pour le d veloppement de la Formation Professionnelle Continue INFPC 2 9 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des Comptes a proc d au contr le de votre tablissement pour l exercice 2004 tel que pr vu Particle 10 de la loi du 1 d cembre 1992 portant cr ation d un tablissement public pour le d veloppement de la formation professionnelle continue Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de Pint gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l Institut sur base d interviews une analyse des tats financiers ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le de la Cour appelle les constatations et recommandations suivantes 1 Suivi des contr les ant rieurs 1 1 R glement interne du Conseil d administration La Cour constate que le r glement interne pr vu a Particle 3 de la loi organique d finissant les modalit s de fonctionnement du conseil d administration fait toujours d faut Des lors la Cour r it re la recommandation mise l occasion
2. tablissement supporte les d penses relatives sa mission et subvient aux frais de fonctionnement Rapport special sur les tablissements publics ann e 2004 D autre part la Cour des comptes constate que le principe de la double signature est introduit de fait dans les proc dures d engagement et de paiement des d penses Elle recommande n anmoins d introduire ledit principe dans les proc dures crites aff rentes Les constatations et recommandations de la Cour faisant Pobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives a la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format WORD pour le 30 septembre 2005 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 10 aout 2005 2 4 2 Les observations du Fonds Belval Luxembourg le 6 d cembre 2005 Suite 4 votre courrier du 19 ao t 2005 je me permets de prendre position face aux deux objections que vous avez formul es comme suit 1 Le concours financier allou annuellement par le Minist re de tutelle a t l galis dans le cadre de la loi budg taire de 2006 qui pr voit a son article 46 L article 3 de la loi modifi e du 25 juillet 2002 portant cr ation d un tablissement public pour la r alisation des quipements de l Etat sur le site de Belval Ouest est compl t par le texte suivant En outre les ressources de l Etablissement proviennent notamment
3. 17 2 5 FONDS CULTUREL NATIONAL neannsunnnnnnennnnnn 18 2 5 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 18 2 5 2 Les observations du Fonds culturel national 20 2 6 FONDS POUR LE DEVELOPPEMENT DU LOGEMENT ET DE L HABITAT cccceceeseesseeeeeeeeneesenneeeeees 21 2 6 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 21 2 6 2 Les observations du Fonds pour le d veloppement du logement et de habitats he nenn en en 23 2 7 FONDS NATIONAL DE SOLIDARIT annnnuunnunnnnnnnennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnennnnnnnnnnnnnnnn 26 2 7 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 26 2 7 2 Les observations du Fonds national de solidarit 28 2 8 FONDS DE SOLIDARIT VITICOLE unnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnsnnnnnnsnnnnnnnnen 29 2 8 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 29 2 8 2 Les observations du Fonds de solidarit viticole 31 2 9 INSTITUT NATIONAL POUR LE D VELOPPEMENT DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE INFPC cococcocconcconocononnncnnnonncnn rn 32 2 9 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 32 2 9 2 Les observations de l Institut National pour le d veloppement de la Formation Professionnelle Continue INFPC ccccccssssesccesesssseeeeeecessseeeeeeeeeseeees 2 10 SALLE DE CONCERT GRANDE DUCHESSE JOSEPHINE CHARLOTTE 2 10 1 Les constatations et recommand
4. Forfait d ducation 2 1 Le Fonds prend note des recommandations de la Cour des comptes et les transmets a son Ministre de tutelle 2 2 Le Fonds a effectivement rencontr des probl mes au niveau de Pinstruction des demandes manant de requ rants b n ficiaires d une pension au titre de leur activit statutaire internationale alors qu il tait difficile voir impossible d obtenir des informations valables aupr s des organismes internationaux Le Fonds a chang sa ligne de conduite de fa on a demander directement au requ rant la production d un certificat faisant tat du montant compris dans sa pension et r sultant de la mise en compte des p riodes quivalentes aux baby years ou aux p riodes d ducation pr vues par la l gislation luxembourgeoise 2 3 Le Fonds ne dispose pas des moyens d investigation n cessaires au contr le des pensions liquid es par une entit trang re sauf si le requ rant ou le b n ficiaire du forfait en fait la d claration Dans ce cas le FNS demande la production du certificat pr vu au point 3 2 ci dessus 2 4 Le Fonds a suivi la recommandation de la Cour des comptes en n acceptant que des actes de naissance mis ou certifi s exacts par une Administration communale luxembourgeoise 2 5 Les organismes luxembourgeois de pension r gime contributif et r gime non contributif et le Fonds National de Solidarit disposent d une base de donn es commune qui est consult e avant Pa
5. alin a 3 de la loi pr cit e afin de permettre le contr le de Poctroi du forfait d ducation Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant Pobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter 4 la Cour vos observations y relatives par voie crite et lectronique pour le 21 avril 2006 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 14 mars 2006 2 7 2 Les observations du Fonds national de solidarit Luxembourg le 13 octobre 2006 Comme suite votre estim e du 14 mars 2006 j ai honneur de vous communiquer les observations du Fonds National de Solidarit l gard des constatations et recommandations formul es par la Cour des Comptes Pissu d un audit qui s est tendu aux op rations de recettes et de d penses du Fonds ayant trait au fonctionnement ainsi que sur les d penses en relation avec l octroi du forfait d ducation pendant l ann e budg taire 2004 1 Suivi des cont les relatifs aux exercices ant rieurs Suite aux recommandations de la Cour des Comptes l occasion de laudit pr c dent le Fonds a d termin une proc dure de restitution uniforme dont la mise en vigueur se situe au d but de l exercice 2006 Le Fonds vient de cr er une base de donn es fichier ACCESS regroupant les num ros matricules de tous les b n ficiaires et d biteurs d une
6. est conscient du fait qu il est opportun de signer d sormais une convention crite avec les b n ficiaires de subventions particuli rement importantes de la part du Fonds culturel national Cependant en raison de la situation financi re pr caire voir annexe du Fonds culturel national le comit directeur ne s est pas vu en mesure de conclure de telles conventions ceci dans le souci d viter P ventuelle situation de ne pas pouvoir tenir ses engagements au cours des ann es a venir 2 La comptabilit en partie double Les travaux de mise en place d une comptabilit a partie double ont t entam s en 2005 et le nouveau syst me comptable est op rationnel depuis le 1 janvier 2006 3 Le contr le du caract re d utilit publique des b n ficiaires Le Secr tariat du Fonds culturel veillera d sormais ce que la reconnaissance du caract re d utilit publique soit contr l e syst matiquement 4 La demande de recevabilit des dons Dans son rapport la Cour des Comptes rappelle cet gard que la loi budg taire pour l exercice 2004 a modifi la loi modifi e du 4 mars 1982 portant cr ation d un Fonds culturel en introduisant un deuxi me alin a libell comme suit Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 U le Fonds peut encore recevoir de tels dons pour le compte d activit s relevant des objectifs d finis Particle 2 et agr es par son comit directeur d ap
7. examen auquel il a t proc d a permis a la Cour d obtenir Passurance raisonnable que les livres et comptes individuels que le Fonds de solidarit viticole est oblig tenir sont fiables Cependant se r f rant ses constatations et recommandations des ann es pr c dentes la Cour des comptes recommande au comit directeur du Fonds de solidarit viticole de fixer par crit en guise de compl ment aux mesures d ja prises les proc dures d autorisation et de d claration des frais de route et de s jour encourus par les personnes intervenant en mati re de promotion des vins luxembourgeois D autre part la Cour des comptes continue de constater une discordance entre Particle 11 du reglement d ordre int rieur d fini par Particle 5 de la loi modifi e du 23 avril 1965 portant cr ation d un Fonds de solidarit viticole et la situation r elle pour ce qui concerne la composition de la commission de promotion des vins et cr mants de Luxembourg Aussi la Cour des Comptes recommande t elle au comit directeur du Fonds de solidarit viticole de finaliser dans cette optique les modifications en cours de son r glement d ordre int rieur Par ailleurs la Cour des comptes maintient sa recommandation de mieux circonscrire les comp tences de la commission de promotion des vins et cr mants de Luxembourg organe subordonn au comit directeur du Fonds de solidarit viticole par rapport a celles du comit directeur lui m m
8. lexposition originale Idee Europa les sp cificit s techniques n cessaires pour une version itin rante ainsi que le nombre tr s limit de soci t s luxembourgeoises pouvant offrir la prestation des fournitures requises ont amen le CCRN 4 faire recours a Particle pr cit La soci t format s est vue refus e la commande tant donn que les sp cificit s artistiques et techniques des panneaux labor s ne correspondaient pas aux besoins d une exposition itin rante L offre de la soci t Xhibit soci t a Porigine impos e par la curatrice n a pas trouv notre accord tant donn que cette soci t ne pouvait pas livrer les panneaux dans les d lais demand s faute de temps En plus leur concept ne correspondait pas aux exigences techniques et artistiques d une version itin rante A toutes fins utiles nous vous transmettons en annexe copie des offres de prix que nous avons demand es pr alablement avant toute commande d finitive Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 2 2 Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio conomiques CEPS 2 2 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment a Particle 15 de la loi du 10 novembre 1989 portant cr ation d un Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio conomiques la Cour a proc d au contr le de la gestion financi re du Centre et Pe
9. pension alimentaire depuis la mise en vigueur de la loi du 26 juillet 1980 concernant Pavance et le recouvrement de pensions alimentaires par le ENS Ce fichier est mensuellement mis en rapport avec le fichier national signal tique des d c s En cas de d c s d un b n ficiaire o d un cr ancier d une pension alimentaire avanc e par le Fonds le service demande une copie de la d claration de succession d ment v rifi e et admise par PAdministration de l Enr gistrement et le cas ch ant demande la restitution des prestations vers es l encontre de la succession Pour le cas o la succession d un cr ancier ou d biteur comprend une fortune immobili re en indivision ou c d e par ali nation le Fonds requiert l inscription d une hypoth que l gale pour la garantie de sa demande en restitution Lots d une r union avec le Centre Informatique de la S curit Sociale au mois de f vrier 2006 le Fonds a demand la r alisation d un programme informatique lui permettant l injection mensuelle des donn es du fichier ACCESS dans la base de donn es du Centre d affiliation de la S curit Sociale en vue de d tecter les d biteurs ou cr anciers de pensions alimentaires ayant repris une occupation salari e ou bien ceux qui entrent en ligne de Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 compte pour Pattribution d une ou rente Ce programme est en cours d laboration aupres du CISS 2
10. recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 3 juillet 2006 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour en sa s ance du 31 mai 2006 2 11 2 Les observations de l Universit de Luxembourg Luxembourg le 3 juillet 2006 Depuis votre visite le plan pluriannuel a t approuv par le Conseil de gouvernance de l Universit Une copie du plan est annex e la pr sente Le contrat d tablissement qui repose sur le plan pluriannuel est actuellement en laboration Une premi re version propos e par le Minist re de la Culture de l Enseignement sup rieur et de la Recherche a t discut e au Conseil de gouvernance du 12 juin 2006 Un examen Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 approfondi d une nouvelle version sera a Pordre du jour de la r union du Conseil de gouvernance du 22 juillet 2006 La signature dudit contrat pourrait intervenir au plus tot vers le mois de septembre La version d finitive du r glement d ordre int rieur est galement l ordre du jour de la prochaine r union du Conseil de gouvernance La version finale arr t e par le Conseil de gouvernance sera alors transmise a notre ministre de tutelle pour approbation Le Gouvernement en Conseil est actuellement saisi de fixer les in
11. sur Pexercice 2004 janvier 2006 alors qu en septembre 2004 le pr sident du Fonds annongait d ja avoir mandat une soci t de l analyse d taill e de la situation existante des flux d informations et mon taires 1 2 Parts dans les entreprises li es Dans ses rapports pr c dents la Cour avait d ja exprim Pavis selon lequel le principe m me de la prise de participations dans d autres soci t s est critiquable en l absence d une base l gale pr cise a ce sujet De m me la Cour avait exprim sa pr occupation quant aux r sultats financiers n gatifs de nombre de celles ci En ce qui concerne lexercice 2004 la situation n a gu re volu ni du point financier ni du point l gal si ce n est qu en date du 19 juillet 2005 le pr sident du Fonds a indiqu dans sa r ponse aux constatations et recommandations de la Cour pour l exercice 2003 que le Fonds s est associ aux travaux du D partement de tutelle pour laborer des propositions tendant a modifier son cadre l gal et lui permettant de mieux mener a bien sa mission moyennant une structure coh rente et contemporaine La Cour note que cette annonce ne s est pour instant pas traduite dans une r vision de la l gislation actuelle applicable au Fonds 1 3 D comptes des loyers D apres les d clarations des responsables du Fonds les retards connus au cours des ann es pr c dentes dans le calcul des d comptes individuels de loyers ont t
12. 1 d cembre 2004 une perte de 10 842 18 Il s agit du premier exercice social de la soci t au cours duquel plusieurs probl mes techniques ont d tre r gl s et ont pes sur la rentabilit de la soci t L exercice 2005 se solde par une perte r duite quelque 1 000 1 3 D compte du loyer Etant donn que le Fonds a combl tous ses retards la r vision 2005 est en cours voite pratiquement termin e Dans ces conditions les d comptes de loyers 2005 seront envoy s dans le courant des mois de mai et juin 2 Constatations et recommandations concernant Pexercice 2004 2 1 Absence de contresignatures La Cour des Comptes souligne l absence de contreseing sur une transaction d un montant de 165 000 conclue en ao t 2004 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 En fait afin de mettre un terme un litige de 5 ann es au sujet de plusieurs factures en suspens le Fonds et l autre partie en cause se sont finalement accord s sur le montant qui a fait l objet d un d compte sous forme de ladite transaction Consid rant qu elle n avait pas pris la un nouvel engagement mais simplement sold un d compte la Direction n a pas demand le contreseing du document 2 7 Fonds national de solidarit 2 7 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment a Particle 18 de la loi modifi e du 30 juillet 1960 concernant la cr ation d un Fonds n
13. 2004 les diff rents postes de l organigramme actuel et a articuler les missions et les t ches de chacun des agents aux exigences r elles de la gestion et du b timent Afin de nous donner une ligne directrice quant aux salaires de notre personnel nous avons soumis un certain nombre de dossiers un contr le de l Administration du personnel de P tat Lors des n gociations de salaire avec un candidat PAPE nous a propos des calculs de traitements sur la base du statut d un employ de PEtat par rapport aux profils et aux missions des candidats d une part un calcul prenant en compte une carri re enti re se d roulant int gralement au sein de la fonction publique et d autre part un calcul tabli sur la base d une carri re pour un personnel ayant exerc une activit ant rieure hors de la fonction publique d butant a la date a laquelle a t effective le recrutement de ce personnel Sans en faire une r gle formelle nous avons tenu comme ligne de conduite de garder Penveloppe globale des traitements du personnel de l Etablissement public dans les limites des d penses qui seraient engendr es par ce personnel a la fonction publique Ceci dit il conviendrait de fixer pour les besoins d une telle comparaison les bases exactes a appliquer au calcul des traitements pay s par PEtat Nous sommes convaincus que dans le courant de cette ann e nous finaliserons notre organigramme et la grille des emplois en conco
14. Minist re de la Culture de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche 1 3 Participation financi re la fondation RESTENA La Cour des Comptes reste d avis que le versement de l apport par le CEPS la fondation RESTENA est critiquable en l absence d une base l gale expresse ce sujet Il convient de rappeler que la participation la fondation RESTENA permet au CEPS de b n ficier d un acc s un r seau t l informatique national connect aux r seaux de recherche paneurop ens et de r aliser des conomies importantes par rapport aux d penses occasionn es par un acc s r alis par l interm diaire d un autre fournisseur 2 1 Administration du Centre nomination des membres du Conseil d Administration La Cour des Comptes constate que le mandat des membres du Conseil d Administration est venu ch ance en date du 31 d cembre 2004 que la nomination des membres du nouveau Conseil d administration n a t effectu e qu en date du 15 avril 2005 et que partant entre ces deux dates le CEPS tait d pourvu d un organe de d cision l galement mandat Le retard pris est voir en relation avec les difficult s prouv es un certain moment pour trouver des administrateurs au profil requis pour si ger au conseil d administration d un institut de recherche et suffisamment disponibles pour y contribuer de fa on significative Pendant la p riode vis e les actes de gestion courante ont t assur s par des agent
15. Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Cour des comptes Grand Duch de Luxembourg Table des mati res 1 INTRODUCTION comica 5 2 RESULTATS DES CONTROLES RECURRENTS oooooooocccccccnooccoononcnncccnnnnnnanancnnnncnnnnnnns 1 2 1 CENTRE CULTUREL DE RENCONTRE ABBAYE DE NEUM NSTER wl 2 1 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes sl 2 1 2 Les observations du Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster 8 2 2 CENTRE D ETUDES DE POPULATIONS DE PAUVRETE ET DE POLITIQUES SOCIO CONOMIQUES CEPS uu222222002200 220000 n nun nnnnnnnnnnn nun nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn nun nnnn nun nnnnnnnnnnnnn 9 2 2 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 9 2 2 2 Les observations du Centre d Etudes de Populations de Pauvrete et de Politiques Socio conomiques CEPS u42204420u42004nn0nnnnonnnennnnonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnen 11 2 3 CENTRE NATIONAL SPORTIF ET CULTUREL zunnnnnennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn 13 2 3 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 13 2 3 2 Les observations du Centre National Sportif et Culturel unsennsennneenennnennn 15 2 4 FONDS BELVAL iia aa dica 16 2 4 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 16 2 4 2 Les observations du Fonds Belval
16. a Cour des comptes en sa s ance du 26 janvier 2006 2 2 2 Les observations du Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio conomiques CEPS Luxembourg le 9 mars 2006 En r ponse a votre lettre en date du 27 janvier 2006 j aimerais vous pr senter les observations suivantes 1 1 R glement d ordre int rieur La Cour des Comptes r it re sa demande visant l laboration d un r glement d ordre int rieur soumettre par la suite approbation du Gouvernement en Conseil Bien que la loi du 10 novembre 1989 portant cr ation du CEPS ne comporte aucune obligation d tablir un r glement d ordre int rieur le Conseil d Administration a d cid dans l int r t d un Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 fonctionnement interne transparent de proc der l laboration d un tel r glement Celui ci se trouve en voie de finalisation Apr s adoption par le Conseil d Administration il sera soumis approbation du Conseil de Gouvernement 1 2 Approbations minist rielles et gouvernementales Les comptes et Paffectation des r sultats du CEPS pour les exercices 2003 et 2004 seront soumis prochainement l approbation du Conseil de Gouvernement L approbation pr alable du Ministre de tutelle concernant les contrats d engagement du personnel sera assur e dor navant de mani re syst matique moyennant une proc dure qui vient d tre tablie entre le CEPS et le
17. a fondation Restena La Cour se r f re au point 2 5 de ses constatations relatives l exercice 2002 et maintient sa position initiale sur la participation financi re la fondation RESTENA savoir qu en Pabsence d une base legale expresse Papport en capital a la fondation par le Centre reste critiquable 2 Constatations et recommandations pour les exercices 2003 et 2004 2 1 Administration du Centre nominations des membres du conseil d administration Particle 3 de la loi du 10 novembre 1989 portant cr ation d un Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio conomiques r gle la composition du conseil d administration comprenant au total neuf membres nomm s pour un terme renouvelable de cinq ans Au 31 d cembre 2004 neuf nominations venaient ch ance Entre le 31 d cembre 2004 et le 15 avril 2005 date de Parr t du Gouvernement en conseil portant nomination des membres du conseil d administration le Centre tait d pourvu d un organe de d cision l galement mandat Les actes n cessaires a la continuation des affaires courantes tels que la signature des virements pour paiements de salaires et de factures ont t effectu s par les anciens membres non mandat s pour ce faire Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Entre le 24 novembre 2004 et le 14 juillet 2005 aucune r union du conseil d administration n a eu lieu alors que suivant Particle 4 de la lo
18. ablissements publics ann e 2004 La constatation de la Cour faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter la Cour sous forme de courrier postal et lectronique vos observations y relatives et ce pour le 13 f vrier 2006 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour en sa s ance du 12 janvier 2006 2 10 2 Les observations de la Salle de concert Grande Duchesse Jos phine Charlotte Luxembourg le 10 f vrier 2006 Permettez moi de vous dire combien je me r jouis du constat positif tabli par la Cour des comptes pour notre tenue des livres et des comptes individuels au cours de Pexercice 2004 par L Etablissement public Salle de Concerts Grande Duchesse Jos phine Charlotte Concernant votre remarque quant au recrutement du personnel de l tablissement public je vous confirme qu une grille des emplois fait actuellement d faut et que nous en avons conscience Sur ce point nous avons d avancer avec pragmatisme par souci d efficacit C est pourquoi lors d une r union tenue en date du 25 novembre 2004 il a t d cid par notre Conseil d administration de proc der pendant la p riode de pr figuration au recrutement du personnel de la mani re suivante A partir d une d finition des postes 4 pourvoir pour assurer le bon fonctionnement de cette pr figuration un budget a t tabli puis approuv par le Conseil d administration Sur cette base la dire
19. aire de r cr ation du CNSC n ont pas encore t entam s Sachant que les dotations tatiques sont d finies en fonction des budgets tablis par les services et tablissements b n ficiaires une analyse des pr visions budg taires pour l exercice sous revue a r v l une sur valuation au niveau des d penses et une sous valuation au niveau des recettes La Cour constate que les montants de la mise en r serve relative aux exercices 2003 et 2004 ont t sup rieurs aux recettes propres g n r es par l tablissement public La Cour en conclut que les r serves ont t op r es moyennant la dotation tatique destin e couvrir les d penses relatives au fonctionnement de l tablissement Pour des raisons de transparence la Cour sugg re de pr voir au budget des recettes et des d penses de l Etat des articles budg taires sp cifiques destin s aux investissements Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant Pobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter la Cour vos observations y relatives par voie crite et lectronique pour le 17 novembre 2006 au plus tard Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 10 octobre 2006 2 3 2 Les observations du Centre National Sportif et Culturel Luxembourg le 16 octobre 2006 Nous accusons r ception de votre courrier du 11 octo
20. ational de solidarit la Cour des comptes a proc d au contr le de la gestion financi re de votre tablissement et l examen des comptes de l ann e 2004 Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Le champ de contr le s est tendu aux op rations de recettes et de d penses du Fonds relatives Pexercice 2004 ainsi qu au suivi des constatations et recommandations anterieurement formul es par la Cour Dans une deuxi me phase le contr le a port sur toutes les recettes du FNS et sur les d penses a charge du FNS ayant trait au fonctionnement ainsi que sur les d penses en relation avec l octroi du forfait d ducation pendant Pexercice budg taire 2004 Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Fonds sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le donne lieu aux constatations et recommandations suivantes 1 Suivi des contr les relatifs aux exercices ant rieurs Lors des audits des exercices 2001 et 2003 la Cour des comptes a propos des am liorations concernant les proc dures de travail du service des restitutio
21. ations de la Cour des comptes 34 2 10 2 Les observations de la Salle de concert Grande Duchesse Jos phine Charl tte aan een a 2 11 UNIVERSIT DE LUXEMBOURG avccicaccossssssascasstasesvvavnavaccuesnsdasoudecnubnssvactiesaeveseveesanseecnounsss 2 11 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes e 2 11 2 Les observations de l Universit de Luxembourg ccccccccocccnccnnoncconcnonancancnonncnnncnannn Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 1 Introduction Conform ment aux dispositions des lois organiques portant cr ation des tablissements publics respectifs la Cour des comptes a proc d en principe au contr le de leur gestion financi re et examen des comptes de l ann e 2004 Dans certains cas la Cour a proc d un contr le en bloc se r f rant aux ann es 2003 et 2004 Pour ce qui est des tablissements publics qui sont soumis un contr le r current la Cour n a pas formul de constatations voire de recommandations l gard des entit s suivantes e Centre de musiques amplifi es e Centre de pr vention des toxicomanies e Etablissement de radiodiffusion socioculturelle e Fonds d assainissement de la Cit Syrdall e Fonds de lutte contre le trafic des stup fiants e Fonds de r novation de la Vieille Ville e Fonds d urbanisation et d am nagement du plateau de Kirchberg Concernant les autres tablissements publics la Cour repro
22. bre 2006 relatif au contr le des comptes du Centre National Sportif et Culturel portant sur l exercice 2004 Ci apr s nos observations 1 Suivi des contr les ant rieurs Convention entre PEtat et le Centre Malgr de nombreuses relances de notre part pour la conclusion de la convention le projet est rest bloqu aupr s des Minist res des Travaux Publics et des Finances Il semble que cette interruption soit due a un projet r cent dont nous avons t inform s en juillet 2006 de mettre au point un contrat de bail type avec chacun des tablissements publics occupant des b timents appartenant PEtat Inventaire du premier quipement Jusqu ce jour nous n avons pas obtenu les donn es qui nous permettent d tablir un inventaire des premiers quipements Cependant sur la base du listing r capitulatif transmis par Administration des B timents Publics r alis partir des paiements nous avons r alis une simulation d amortissement sur dix ans Il appara t que le montant affect au fond de renouvellement de P quipement de 2 000 000 par an compter de 2004 est inf rieur la d pr ciation ainsi constat e qui s l ve 4 043 571 51 en fin d exercice 2004 Syst me de contr le interne La premi re tranche de mise en place d un nouveau syst me informatique a t r alis e en ao t 2006 Le fonctionnement m me du syst me conduit revoir la structure des produits et leur tarification e
23. ction a pris toutes les dispositions n cessaires pour Pengagement du personnel pr vu Elle a tenu inform le Conseil d administration des annonces pass es Ensuite apr s analyses des candidatures recues suite la parution de ces annonces elle a op r une s lection des candidats Elle a soumis ses choix l approbation du Pr sident et du Vice Pr sident Directeur des affaires culturelles repr sentant le Ministre de la Culture au sein de notre Conseil d administration avant de proc der la signature de tout contrat d engagement Il convient de souligner que pendant la p riode de pr figuration d un projet aussi complexe que celui de la Philharmonie complexit qui se manifeste aussi bien au niveau de la gestion qu au niveau des aspects techniques d un tel batiment les responsables n ont pu disposer de tous les l ments n cessaires l tablissement et d un organigramme d finitif et l nonc pr cis des responsabilit s exactes exig es pour chaque poste d emploi fonctionnel Nous avons donc d agir de mani re empirique en tenant compte des connaissances et des exp riences acquises au fur et mesure de l volution du projet de construction et de programmation Et nous devrons proc der de m me tout au long du d roulement de la premi re saison Car c est en agissant de la sorte que nous avons pu r ussir accorder de mani re coh rente Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e
24. de ses contr les en 2001 2002 et 2003 qui vise son entr e en vigueur dans les plus brefs d lais 1 2 Provisions pour risques et charges 1 2 1 Etant donn que l Institut n a pas encore r agi par rapport au point 2 du contr le de Pexercice 2003 concernant la reconduction d une provision pour risque de remboursement pour des projets ant rieurs 2001 hauteur de 53 301 76 euros la Cour maintient son point de vue qu d faut de nouvelles donn es justifiant une r valuation du risque pareille provision ne peut pas tre constat e au titre de risques relatifs aux projets pr cit s 1 2 2 Les provisions pour risques et charges inscrites au bilan de l exercice 2004 portent sur le risque de remboursement de d penses non ligibles sur des projets europ ens et ont t introduites la suite de plusieurs audits financiers r alis s pour valuer ledit risque Il est noter que ces provisions n ont toujours pas t r gularis es alors qu elles repr sentent 86 de la somme de bilan de l Institut l je r glement interne en question est parvenu la Cour en date du 15 novembre 2006 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Lors de sa s ance du 22 d cembre 2000 le Conseil de gouvernement avait d cid de ne couvrir qu a titre tout fait exceptionnel le risque d un remboursement ventuel de fonds d coulant de la gestion des projets non audit s D s lors la C
25. demnit s et jetons de pr sence pour les membres du Conseil de gouvernance Nous ne manquerons pas de vous informer des que la d cision du Gouvernement en Conseil est intervenue Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 13 d cembre 2006 La Cour des comptes Le Secr taire g n ral Le Pr sident s Marco Stevenazzi s Marc Gengler Cour des comptes p 2 avenue Monterey L 2163 Luxembourg Grand Duch de Luxembourg T l phone 352 474456 1 Fax 352 472186 cour des comptes cc etat lu
26. des contributions inscrites au budget de Etat 2 En ce qui concerne la double signature qui est introduite de fait dans la proc dure d engagement et de paiement des d penses celle ci sera int gr e dans le reglement d ordre int rieur du Fonds Belval a son article 15 2 alin a Tout engagement et paiement des d penses exige une double signature Le r glement d ordre int rieur ainsi modifi sera soumis approbation du Conseil d administration lors de sa prochaine r union qui se tiendra le 7 d cembre 2005 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 2 5 Fonds culturel national 2 5 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment a Particle 9 de la loi modifi e du 4 mars 1982 portant cr ation d un Fonds culturel national la Cour des comptes a proc d au contr le de la gestion du Fonds pour les exercices 2003 et 2004 Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Fonds sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pieces d un chantillon d op rations d termin es Veuillez trouve
27. duit ci apr s les constatations et les recommandations formul es lors de ses contr les ainsi que le cas ch ant les observations y relatives des entit s contr l es Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 2 R sultats des contr les r currents 2 1 Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster 2 1 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement public pour Pexercice 2004 tel que pr vu l article 8 5 de la loi du 24 juillet 2001 portant cr ation d un tablissement public nomm Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse du syst me de gestion du Centre sur base d interviews et d une analyse documentaire Une analyse bilantaire ainsi qu un contr le sur pieces d un chantillon d op rations d termin es ont galement t r alis s Au cours de ses contr les portant sur l exercice 2004 la Cour a notamment constat que dans un cas de figure le Centre Culturel de Rencontre Abba
28. e En outre la Cour des comptes constate que les jetons de pr sences se rapportant aux r unions du Fonds de solidarit viticole ainsi que de la commission de promotion des vins et cr mants de Luxembourg fix s par le comit directeur du Fonds lors de sa r union en date du 16 f vrier 2004 ont t approuv s par le Ministre de tutelle en date du 22 d cembre 2004 mais n ont pas t approuv s par le Gouvernement en conseil comme le pr conise Pinstruction du Gouvernement en conseil du 11 juin 2004 ayant pour objet de fixer une ligne de conduite et des r gles g n rales en mati re de cr ation d tablissements publics Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant Pobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives 4 la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 30 septembre 2005 au plus tard Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 10 ao t 2005 2 8 2 Les observations du Fonds de solidarit viticole Luxembourg le 18 octobre 2005 Par votre lettre marg e vous nous avez transmis les observations de la Cour des comptes concernant la gestion financi re du Fonds de solidarit viticole pour l ann e 2004 Les observations de la Cour se rapportent aux points suivants e Ja fixation par crit en guise de compl ment a
29. i de 1989 le conseil d administration devrait tre convoqu au moins une fois tous les quatre mois Par ailleurs en date du 11 novembre 2005 un membre a inform par crit le conseil d administration qu il renonce son mandat Un autre membre n aurait pas l intention de remplir son mandat 2 2 Situation financi re du Centre A l image des ann es pr c dentes la situation financi re du Centre reste pr caire Bien que les recommandations mises par la Cour suite au contr le de l exercice 2002 savoir le remboursement d un d couvert bancaire et la reduction des dettes fournisseurs ont t suivies il n en reste pas moins vrai que le Centre n a pas su r duire le niveau lev des cr ances recevoir Il en d coule un besoin en fonds de roulement toujours croissant qui n a pu tre couvert que par une augmentation des dettes court terme notamment des dettes fiscales et des dettes au titre de la s curit sociale Il importe la Cour que l augmentation du besoin en fonds de roulement due une activit de plus en plus croissante du Centre doit tre couverte par des ressources financi res durables Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant Pobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique pour le 3 mars au plus tard Ainsi d lib r et arr t par l
30. largement combl s pour Pexercice 2004 Ainsi les d comptes 2004 ont t exp di s aux locataires et saisis par le service comptabilit du Fonds fin 2005 Rapport special sur les tablissements publics ann e 2004 2 Constatations et recommandations concernant l exercice 2004 2 1 Absence de contresignatures En absence du r glement particulier dont question ci avant Particle 64 paragraphe 2 de la loi organique du Fonds litt ralement repris au paragraphe 1 de Particle 27 du r glement d ordre interieur dispose que Toutes les pieces portant engagement du fonds qui sont sign es par le Pr sident doivent tre contresign es par deux membres au moins du comit directeur Au cours de ses travaux de contr le concernant l exercice 2004 la Cour a not qu un accord de transaction portant sur un montant de 165 000 a t conclu en date du 8 ao t 2004 afin de r gler un litige datant de 1999 et portant sur des travaux d ing nierie technique r alis s pour le Fonds Par cette transaction qui a t sign e par le seul pr sident au nom du Fonds il a t mis fin a un litige avec une soci t d ing nieurs conseils portant sur un montant de 209 414 67 sous forme d un d compte final A noter que l ensemble des prestations s levait 568 945 49 Conform ment l article 64 la Cour est d avis qu une telle d cision aurait d faire l objet d une proc dure de contresigna
31. les coproducteurs quant leurs r les respectifs dans la gestion du projet apr s son exposition au CCRN Suivants les explications du CCRN l exploitation de Pexposition n a pas t pour instant reprise par le CVCE Les constatations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter a la Cour sous forme de courrier postal et lectronique vos observations y relatives et ce pour le 24 mars 2006 Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 21 f vrier 2006 2 1 2 Les observations du Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster Luxembourg le 22 fevrier 2006 Pour ce qui est de l acquisition des panneaux d exposition dans le cadre de exposition Id e Europe en coproduction avec le Centre Virtuel de la Connaissance sur l Europe de Sanem nous avons galement demand une offre de prix aupres de 3 differents fournisseurs Le recours 4 un march n goci se justifie par recours a Particle 8 e de la loi du 30 juin 2003 sur les march s publics qui autorise la soumission restreinte sans publication d avis ou le march n goci pour les travaux fournitures et services dont Pex cution pour des raisons techniques artistiques scientifiques ou tenant a la protection de droits d exclusivit ne peut tre confi e qu a un entrepreneur fournisseur ou prestataire d termin En Poccurrence les exigences artistiques de la curatrice de
32. mai 2006 que la Commission europ enne a cl tur initiative ADAPT pour la p riode de programmation 1994 1999 sur la base des chiffres lui ayant t fournis par l Inspection g n rale des Finances Or la provision r alis e par PINFPC pour risque de remboursement quant ce projet s l ve 42 340 91 Par cons quent la provision de 53 301 76 devra tre lib r e pour contribuer r duire le montant du remboursement exig par le Minist re du Travail et de l Emploi Il en sera d cid lors de la r union du 26 juillet du conseil d administration de PINFPC Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 b Point 1 2 2 La demande de remboursement du Minist re du Travail et de l Emploi voqu e ci dessus au point 1 2 1 constitue la preuve manifeste que le risque subsiste Il convient donc d agir avec prudence et pr voyance dans le cadre de ce dossier et d attendre que le risque potentiel soit completement neutralis avant d envisager tout remboursement au Tr sor public En esp rant avoir pu apporter toutes les explications permettant de compl ter Panalyse effectu e par la Cour des Comptes je vous prie d agr er Monsieur le Pr sident Pexpression de mes sentiments les plus respectueux 2 10 Salle de concert Grande Duchesse Jos phine Charlotte 2 10 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment a Particle 8 point 5 de la loi du 21 novembre 2002 po
33. ns dont notamment la d termination d une proc dure de restitution uniforme Les proc dures de restitution sont actuellement l tude et seront introduites au cours de l ann e 2006 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 La Cour constate que la base de donn es portant sur les cr ances du FNS relatives la prestation pension alimentaire fait toujours d faut 2 Forfait d ducation 2 1 La Cour constate que le comit directeur tranche les cas particuliers en vue de Poctroi du forfait d ducation ainsi que les cas contestataires de la d cision pr sidentielle de refus du forfait d ducation sur base de d cisions de principe D autres cas de figure sont tranch s par le Conseil arbitral des assurances sociales Certains de ces cas sont par la suite transmis au ministre de la Famille afin qu il prenne une d cision d finitive Dans un souci de transparence la Cour recommande que le r glement grand ducal pr vu Particle 11 du chapitre II de la loi pr cit e soit pris reprenant les d cisions de principe tablies par le comit directeur 2 2 L article 7 de la loi du 28 juin 2002 pr voit que le forfait n est pas d aux personnes b n ficiant d une pension au titre de leur activit statutaire aupr s d un organisme international Or le Fonds ne re oit aucune information ni de la part des institutions vis es ni de la part des organismes internationau
34. our est d avis que s il s av re que le risque provisionn ne se r alise pas ou seulement en partie les sommes accord es PINFPC sont restituer au Tr sor public Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant Pobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter la Cour vos observations y relatives par voie crite et lectronique pour le 21 juillet 2006 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 15 juin 2006 2 9 2 Les observations de l Institut National pour le d veloppement de la Formation Professionnelle Continue INFPC Luxembourg le 21 juillet 2006 En r ponse votre courrier du 19 juin 2006 concernant le contr le de Pexercice 2004 de PINFPC effectu par la Cour des Comptes je souhaite porter votre connaissance suite des v rifications r alis es par mes services un certain nombre de pr cisions relatives aux constatations tablies par la Cour 1 R glement interne du conseil d administration Le r glement interne relatif au fonctionnement du conseil d administration de PINFPC est en cours d laboration par le Minist re de l Education nationale et de la Formation professionnelle Il sera soumis au conseil d administration lors de sa r union du 26 juillet 2006 2 Provisions pour risques et charges a Point 1 2 1 Il importe de savoir que le Minist re du Travail et de l Emploi a inform PINFPC en date du 10
35. r ci apr s les constatations et les recommandations de la Cour 1 Suivi des contr les ant rieurs 1 1 Les subsides a envergure Lors du contr le de la gestion financi re du Fonds culturel national de l exercice 2002 la Cour avait r it r en date du 6 ao t 2003 sa recommandation d j mise pour l exercice 2001 de signer avec les b n ficiaires de subsides d une certaine envergure des conventions indiquant les conditions d octroi les obligations de chaque partie cocontractante ainsi que les modalit s de restitution ventuelle Dans sa r ponse du 15 septembre 2003 le Fonds s tait engag soumettre d sormais l octroi de subsides d une certaine importance a des conditions d termin es par convention A Poccasion du contr le des exercices 2003 2004 la Cour a cependant d constater qu aucune nouvelle convention n a t sign e depuis son dernier contr le La Cour recommande une nouvelle fois de passer des conventions e pour les projets saisonniers r currents pour lesquels le montant allou ne doit tre que rarement adapt e pour les projets sp cifiques envergure partir d un montant d finir par le Fonds Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 1 2 La comptabilit en partie double Lors de son dernier contr le la Cour avait r it r la recommandation mise lors de son contr le de la gestion financi re de l exercice 2000 a savoir de mett
36. r que le Centre n a toujours pas adopt un r glement d ordre int rieur A noter qu il existe depuis octobre 2005 un projet de r glement d ordre int rieur mais qui ne comporte pas de dispositions particuli res concernant les d l gations de signature et la certification des factures Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 La Cour recommande avec insistance d adopter un r glement d ordre int rieur comprenant des dispositions dont question ci dessus et de le soumettre approbation du Gouvernement en conseil 1 2 Approbations minist rielles et gouvernementales Bien que les approbations minist rielles et gouvernementales pr vues aux alin as 3 et 6 de Particle 13 de la loi de 1989 concernant les comptes comptables et l affectation des b n fices du Centre existent pour les exercices 2001 et 2002 pour les exercices 2003 et 2004 de telles approbations font d faut Quant a l approbation pr alable du ministre de tutelle au sujet des contrats d engagement du personnel pr vue a Particle 18 de la loi pr cit e la lettre de r ponse du 10 mai 2004 du minist re d Etat retient que la conclusion des contrats d engagement sera d sormais subordonn e a Papprobation du Ministre d Etat Or force est de constater que la conclusion de contrats d engagement n est pas syst matiquement soumise approbation pr alable du ministre de tutelle 4 partir de cette date 1 3 Participation financi re l
37. rdance avec les exigences de notre mission Nous esp rons d finir ainsi une base stable pour la gestion du personnel dans les ann es venir Nous soumettrons bien entendu la grille des emplois la classification et le niveau de recrutement du personnel n cessaire approbation du Ministre de la Culture 2 11 Universit de Luxembourg 2 11 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment Particle 50 paragraphe 7 de la loi du 12 ao t 2003 portant cr ation de l Universit du Luxembourg la Cour des comptes a proc d au contr le de la gestion financi re de l Universit et examen des comptes du premier exercice comptable commen ant le 10 octobre 2003 et durant jusqu au 31 d cembre 2004 Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification e de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations afin de d terminer si le montant de la participation financi re de l Etat et les op rations ont t conformes avec les lois et r glements applicables en la mati re Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 e de Pint gralit et de la mesure des op rations afin de s assurer que toutes les op rations concernant le premier exercice comptable ont t comptabilis es et ce a leur juste valeur e de la r alit des op rations afin de s assurer que toutes les op rations ont t justifi es par des v nement
38. re en place une comptabilit en partie double D apr s les responsables du Fonds les d marches aff rentes ont t entam es au cours de l ann e 2005 2 Les constatations de la Cour pour les exercices 2003 et 2004 2 1 Le caract re d utilit publique des organismes culturels b n ficiaires La loi budg taire du 19 d cembre 2003 a modifi Particle 8 de la loi portant cr ation d un Fonds culturel national par Pinscription de Palin a 1 suivant Le Fonds peut recevoir des dons en esp ces sans indication de destination ou pour le compte de PInstitut grand ducal de l Universit du Luxembourg des instituts culturels de PEtat des bibliotheques et mus es communaux ainsi que pour le compte d autres organismes culturels reconnus d utilit publique par une loi sp ciale ou en vertu des articles 26 2 27 et suivants de la loi modifi e du 21 avril 1928 sur les associations et fondations sans but lucratif La Cour constate que la reconnaissance l gale du caract re d utilit publique n est pas contr l e de mani re syst matique par le Fonds 2 2 La demande de recevabilit des dons en esp ces La modification apport e par la loi budg taire 2004 a introduit un deuxi me alin a libell comme suit Il le Fonds peut encore recevoir de tels dons pour le compte d activites relevant des objectifs d finis a Particle 2 et agr es par son comit directeur d apres les conditions et crit res e
39. res les conditions et criteres et suivant les modalit s d termin es par r glement grand ducal L article 2 du reglement grand ducal du 4 juin 2004 qui a t pris en ex cution de cet article dispose que Toute personne physique ou morale qui d sire soutenir en esp ce des activit s culturelles adresse an pr alable une demande de recevabilit an Fonds La Cour des comptes note dans son rapport que certains donateurs continuent a soutenir des activit s culturelles sans adresser an pr alable une demande de recevabilit de don au Fonds et ajoute que celui ci procede n anmoins a la d livrance du certificat de donation Il s est agi en Poccurrence de cas rares et isol s Depuis son entr e en vigueur ledit reglement est appliqu de mani re syst matique par le Fonds culturel 2 6 Fonds pour le d veloppement du logement et de l habitat 2 6 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment l article 65 de la loi modifi e du 25 f vrier 1979 concernant l aide au logement la Cour des comptes a proc d pour Pexercice 2004 au contr le de la gestion financi re de P tablissement public nomm Fonds pour le d veloppement du logement et de habitat Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit des op rations effectu es afin de d terminer si elles ont t conformes aux lois e
40. rtant cr ation d un tablissement public nomm Salle de concert Grande Duchesse Jos phine Charlotte la Cour des comptes a proc d au contr le de Pemploi conforme des concours financiers publics se rapportant a Pexercice 2004 Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l tablissement public sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contrdle sur pieces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures a permis la Cour d obtenir Passurance raisonnable que pour Pexercice 2004 les livres et comptes individuels que l tablissement public est oblig tenir sont fiables La Cour tient cependant faire une constatation relative la gestion de l Etablissement En effet Particle 4 point c de la loi pr cit e pr voit que le conseil d administration prend une decision sous r serve de approbation du ministre de tutelle pour ce qui est de Ja grille des emplois et leur classification ainsi que le niveau de r mun ration du personnel Actuellement une telle grille fait d faut Rapport sp cial sur les t
41. s d l gu s cet effet en vertu de Particle 6 de la loi du 10 novembre 1989 portant cr ation du CEPS 2 2 Situation financi re du Centre En ce qui concerne la situation financi re du CEPS la Cour des Comptes observe une situation pr caire en raison d un niveau lev des cr ances recevoir ayant pour cons quence un besoin en fonds de roulement croissant couvert notamment par une augmentation des dettes court terme Le Gouvernement demandera au CEPS de mettre d sormais en Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 ceuvre les mesures n cessaites pour assurer une meilleure planification de la gestion des d penses courantes afin de garantir Pavenir tout moment P quilibre entre les recettes et les d penses courantes 2 3 Centre National Sportif et Culturel 2 3 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement pour Pexercice 2004 tel que pr vu a Particle 11 de la loi du 29 juin 2000 organisant le Centre national sportif et culturel Les objectifs de contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de Pint gralit et de la r alit des op rations Les proc dures qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion d
42. s qui concernent la p riode consid r e Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l Universit sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas r v l d erreurs significatives Toutefois la Cour des comptes a constat que le plan quadriennal de l Universit du Luxembourg pr vu par Particle 44 de la loi du 12 ao t 2003 n existait pas encore dans sa version finale Or il y a lieu de relever que le contrat d tablissement pluriannuel vis par le m me article et n goci entre Etat et l Universit ne peut tre tabli qu partir de ce plan pluriannuel Par ailleurs une version complete et definitive du r glement d ordre int rieur tait seulement en cours d elaboration au moment du contr le de la Cour Dans ce contexte la Cour des comptes encourage la mise en place d un manuel d utilisateur traitant des proc dures comptables et Peffort de l Universit mettre en uvre un inventaire permanent La Cour constate d un autre c t qu un arr t du Gouvernement en Conseil fixant les indemnit s et jetons de pr sence du Conseil de gouvernance de l Universit n a pas encore t pris Les constatations et
43. t suivant les modalit s d termin es par r glement grand ducal L article 2 de ce nouveau r glement grand ducal datant du 4 juin 2004 dispose que Toute personne physique ou morale qui d sire soutenir en esp ce des activit s culturelles adresse au pr alable une demande de recevabilit au Fonds Il s av re que certains donateurs continuent soutenir des activit s culturelles sans adresser au pr alable une demande de recevabilit de don au Fonds Celui ci proc de n anmoins la d livrance du certificat de donation Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Il s ensuit que le nouveau r glement grand ducal n est pas appliqu de mani re syst matique par les gestionnaires du Fonds Les constatations et les recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter a la Cour sous forme de courrier postal et lectronique vos observations y relatives et ce pour le 24 f vrier 2006 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 17 janvier 2006 2 5 2 Les observations du Fonds culturel national Luxembourg le 13 d cembre 2006 Comme suite a votre rapport du 17 janvier 2006 relatif a Pobjet sous rubrique je voudrais vous faire part des observations que ce rapport souleve de la part du Comit Directeur du Fonds culturel national 1 Les subsides 4 envergure Le Comit directeur
44. t re la recommandation sur P tablissement de cet inventaire et du tableau d amortissement y relatif 1 3 Syst me de contr le interne Au courant de ann e 2006 le CNSC mettra en place une nouvelle version d un outil informatique servant g rer les processus de r servation de prestation de facturation et de paiement Ceci entra nera galement une r organisation au niveau des services administratifs du CNSC 2 Contr le de la Cour des comptes portant sur l ann e 2004 2 1 R serve sp ciale pour investissements En 2004 la dotation tatique libell e comme Participation de PEtat aux frais de fonctionnement du CNSC s l ve 7 103 200 euros Les recettes provenant de la vente de services et de la location de la piscine et du centre des salles pour Pexercice 2004 se chiffrent 2 253 673 49 euros Elles sont libell es comme Chiffre d affaires aux comptes annuels du CNSC La mise en r serve de l exercice 2004 s leve 3 153 000 euros alors que les mises en r serve effectu es aux couts des exercices 2003 et 2002 se sont lev es 2 600 000 euros respectivement 2 025 000 euros portant ainsi la r serve sp ciale pour investissements 7 778 000 euros Par ailleurs une dotation de 1 000 000 euros pay e au CNSC charge du budget des recettes et des d penses de l Etat a galement t comptabilis e en r serve Les travaux y relatifs savoir l am nagement et la transformation de P
45. t il n est pas sans influence comme vous l avez relev sur l organisation des services En cons quence cette mise en place se fera par tapes 2 Contr le de la Cour des comptes portant sur l ann e 2004 Le constat que les cr dits de fonctionnement n ont pas t int gralement utilis s est pertinent Cet tat des choses s explique du fait que la gestion a d tre adapt e en cours d ann e pour tenir compte de d lais intervenus dans plusieurs parach vements du Centre Des activit s Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 programm es ont t report es Il s en suit que pour des am nagements et modernisations in luctables en particulier aux installations de 1982 de la Piscine Olympique le Centre s est constitu lui m me ma tre d ceuvre et a t en mesure de se cr er cet effet des r serves relativement insignifiantes au dela de ses recettes propres g n r es Les r serves repr sentent des conomies directes au budget d investissement de PEtat Le rythme de croisi re des activit s du Centre ainsi que les amortissements comptabiliser ne vont progressivement plus permettre les susdites perspectives favorables 2 4 Fonds Belval 2 4 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment l article 10 5 de la loi modifi e du 25 juillet 2002 portant cr ation d un tablissement public pour la r alisation des q
46. t r glements applicables en la mati re e de l int gralit et de la mesure des op rations afin de s assurer que toutes les op rations ont t comptabilis es et ce a leur juste valeur e de la r alit des op rations afin de s assurer que toutes les op rations ont t justifi es par des v nements qui concernent la p riode vis e Des l ments d appr ciation de l efficacit de la gestion du Fonds ont fait partie int grante du contr le de la Cour Des entretiens avec les responsables du Fonds ainsi qu une analyse des documents et d un chantillon d operations mis a disposition ont constitu les instruments utilis s pour identifier Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 recueillir et valider les informations n cessaires l tablissement des constatations et recommandations du pr sent rapport 1 Suivi des contr les des exercices pr c dents 1 1 R glement particulier d engagement et de paiement La Cour a d j relev lors de ses pr c dents contr les l absence d un r glement particulier pr voyant les proc dures d engagement et de paiement au sein du Fonds Ce r glement est explicitement pr vu Particle 27 paragraphe 2 du r glement d ordre int rieur arr t par le comit directeur le 25 mars 2003 et approuv par le ministre de tutelle le 10 avril 2003 Ce r glement n a toujours pas t pris au moment du contr le de la Cour portant
47. tion et les signatures des flux mon taires tels qu ils fonctionnent actuellement au Fonds analyse sur base de laquelle ce dernier a entam l laboration du r glement en question Une premiere bauche a t discut e au sein du Comit directeur lors de sa r union du 15 novembre 2005 Il s agit n anmoins d un travail complexe et de longue haleine que le Fonds compte mener terme cette ann e 1 2 Parts dans les entreprises li es Parall lement au document cit au point 1 1 le Fonds du logement travaille en collaboration avec son d partement de tutelle sur un projet de texte ayant trait la restructuration de ses organes Ce document est la r ponse aux suggestions de la Cour des Comptes puisqu il met des propositions de modifications du cadre l gal du Fonds pour permettre celui ci de mener bien sa mission moyennant une structure coh rente et contemporaine Il va sans dire qu une large part y est consacr e la question des soci t s li es Le projet de texte a t discut au sein du Comit directeur lors de sa r union du 14 f vrier 2006 N anmoins plus particuli rement et titre de rappel je reprendrai les termes de mon courtier de Pann e pr c dente pour signaler que dans le domaine des entreprises li es le Fonds du logement agit uniquement en tant que membre actionnaire les soci t s de chauffage et autres tant g r es par un Conseil d Administration qui d cide en toute a
48. ttribution de toute prestation En cas de concours d un forfait d ducation avec baby year pr vu Particle 171 alin a 1 sous 7 du Code des Assurances sociales CAS ou avec un compl ment r sultant de la mise en compte de p riodes d ducation pr vues a Particle 172 alin a 1 sous 4 CAS les montants ind ment liquid s sont compens s par une retenue sur les arri r s de la prestation respective et ceci en application des dispositions de Particle 291 du CAS 2 8 Fonds de solidarit viticole 2 8 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment a Particle 9 de la loi modifi e du 23 avril 1965 portant cr ation d un Fonds de solidarit viticole la Cour des comptes a proc d au contr le de la gestion financi re de votre tablissement et l examen des comptes de l ann e 2004 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de Pint gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Fonds sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es L
49. ture De plus d apr s les proc s verbaux du comit directeur il n a pas t question de ladite transaction au sein de cette enceinte Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter la Cour sous forme de courrier postal et lectronique vos observations y relatives et ce pour le 7 avril 2006 Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 8 mars 2006 2 6 2 Les observations du Fonds pour le d veloppement du logement et de l habitat Luxembourg le 6 avril 2006 A la vue du rapport r dig par la Cour des Comptes au sujet de Pexercice comptable 2004 le Fonds pour le d veloppement du logement et de l habitat souhaite prendre position comme suit Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 1 Suivi des contr les des exercices pr c dents 1 1 R glement particulier d engagement et de paiement La Cour des Comptes revient sur le fait que le r glement particulier ayant trait aux proc dures d engagement et de paiement pr vu dans le r glement d ordre int rieur approuv par le Ministre de tutelle le 10 avril 2003 fait toujours d faut Pour m moire et comme expliqu plus longuement dans sa prise de position de l ann e pr c dente la soci t SMART TEC S A a t mandat e pour analyser en d tail les flux d informations les proc dures de d cision et d approba
50. u Centre sur base d entretiens une analyse des tats financiers ainsi qu un contrdle sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le de la Cour appelle les constatations et recommandations suivantes 1 Suivi des contr les ant rieurs 1 1 Convention entre l Etat et le CNSC L article 2 de la loi du 29 juin 2000 organisant le Centre national sportif et culturel stipule que Paffectation des terrains et b timents mis la disposition du Centre les principes relatifs a leur jouissance et les obligations incombant aux patties sont r gis par une convention a conclure entre l Etat et le Centre Comme cette convention fait toujours d faut la Cour r it re la recommandation mise l occasion de ses contr les ant rieurs et insiste ce que la convention soit sign e sans d lai 1 2 Inventaire du 1 quipement du CNSC A l occasion du contr le de l exercice 2003 les responsables du CNSC ont pr cis qu un inventaire reprenant le 1 quipement financ par la loi du 26 juin 2002 relative la deuxi me adaptation budg taire du projet de construction CNSC n a pas pu tre dress d Pabsence d informations de la part du Minist re des Travaux publics Entretemps le CNSC aurait obtenu certaines informations qui ne permettraient cependant pas l tablissement de Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 Vinventaire en question Des lors la Cour r i
51. uipements de PEtat sur le site de Belval Ouest la Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement quant l emploi conforme des concours financiers publics qui lui ont t affect s pour 2004 Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Fonds sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es L examen auquel il a t proc d a permis la Cour d obtenir l assurance raisonnable que les livres et comptes individuels que le Fonds Belval est oblig tenir sont fiables Sans pr juger de ce qui pr c de la Cour des comptes maintient en ce qui est des concours financiers publics allou s en 2004 par le minist re de tutelle sa position qu en occurrence l octroi de pareille participation charge du budget des d penses courantes de PEtat est incompatible avec l article 3 de la loi modifi e du 25 juillet 2002 portant cr ation d un tablissement public pour la r alisation des quipements de l Etat sur le site de Belval En effet cet article dispose que l
52. utonomie et selon les majorit s Pour ce qui est maintenant de la situation financi re des soci t s vis es par la Cour des Comptes les remarques suivantes s imposent Rapport special sur les tablissements publics ann e 2004 a S A Cog n ration Dudelange Brill La S A Cog n ration Dudelange Brill termine son exercice 2004 avec une perte de 60 489 18 Comme annonc Pan dernier la perte d exploitation est due un surplus de capacit non affect et le probleme doit se r soudre une fois le raccordement de la maison de retraite CIPA r alis En d cembre 2005 le raccordement en question est devenu effectif si bien qu un r sultat positif est attendu pour Pexercice 2006 b S A Chauffage Sanerwiss Les comptes annuels 2004 pr sentent une perte de 57 719 81 Cette perte r sulte d une correction de valeur sur une cr ance de quelque 58 000 sur la Ville de Luxembourg Suite a un litige entre le Fonds constructeur de la centrale de cog n ration et la Ville de Luxembourg diverses factures relatives 4 la fourniture de chaleur au complexe scolaire de Gasperich restent impay es depuis plusieurs ann es Le Fonds a termin ses n gociations avec la Ville pour r gler ce diff rend de sorte que le montant de 58 222 37 doit lui parvenir d ici peu de temps L exercice 2005 de la soci t se solde par une perte de 248 c S A Kraizgaass La S A Kraizgaass affiche au 3
53. ux mesures d j prises concernant les proc dures d autorisation et de d claration des frais de route et de s jour encourus par les personnes intervenant en mati re de promotion des vins luxembourgeois e la discordance entre Particle 11 du r glement d ordre int rieur d fini par la loi modifi du 23 avril 1965 portant cr ation d un Fonds de solidarit viticole et la situation r elle pour ce qui concerne la composition de la Commission de promotion des vins et cr mants de Luxembourg e Ja finalisation des modifications en cours du r glement d ordre int rieur du Fonds de solidarit viticole e une meilleure circonscription entre les comp tences de la Commission de promotion des vins et cr mants de Luxembourg et le Fonds de solidarit viticole e approbation des jetons de pr sences se rapportant aux r unions du Fonds de solidarit viticole ainsi que de la Commission de promotion des vins et cr mants de Luxembourg par le Gouvernement en conseil conform ment a Pinstruction du Gouvernement en conseil du 11 juin 2004 Le Comit directeur du Fonds de solidarit viticole a t inform le 13 09 2005 desdites observations mises par la Cour des Comptes Lors de la prochaine r union pr vue le 10 novembre 2005 le Comit directeur discutera des modifications qui s imposent en vertu des observations mises par la Cour Le Comit directeur ne manquera pas de vous informer des mesures qui ont t d cid es
54. x de s curit sociale qui en vertu de Particle 11 alin a 3 de la loi pr cit e sont toutefois tenus de fournir au Fonds national de Solidarit les renseignements que celui ci leur demande pour le contr le des conditions et la d termination du forfait 2 3 Le Fonds se fie aux informations d livr es par une personne habitant l tranger Soit la personne ne d clare aucune pension pay e par une entit trang re soit elle indique une pension dont le Fonds ignore si elle contient des l ments d ducation d enfants En Pabsence d informations compl tes et retra ables le Fonds accorde le forfait d ducation 2 4 La Cour constate que le Fonds accepte dans certains cas des certificats de naissance mis par une commune trang re d clarant que lenfant d une personne demanderesse du forfait d ducation vivant l tranger est n au Luxembourg Afin d viter tout risque d erreur la Cour recommande que le lieu de naissance d un enfant soit certifi par un acte de naissance mis par la commune luxembourgeoise d origine 2 5 Concernant la cat gorie des b n ficiaires ne touchant aucune autre pension le Fonds dispose des seules informations fournies par les personnes sollicitant le forfait d ducation D s lors la Cour exige qu une communication automatique et p riodique des informations utiles de tous les organismes de pension soit sollicit e par le FNS et ce conform ment Particle 11
55. xamen des comptes des ann es 2003 et 2004 Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Centre sur base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pieces d un chantillon d op rations d termin es 1 Suivi du contr le des exercices 2000 a 2002 1 1 R glement d ordre int rieur Lors du contr le de la gestion financi re du Centre de l exercice 2002 la Cour avait r it r 2004 sa constatation d j faite pour Pexercice 2001 en ce qui concerne labsence d un r glement d ordre int rieur Par ailleurs la Cour avait recommand de pr voir dans un tel r glement des dispositions en mati re de d l gation de signatures et de certification des factures relatives aux d penses courantes Dans la lettre de r ponse du 10 mai 2004 du ministere d Etat il est indiqu que le conseil d administration du Centre avait d cid de proc der P laboration d un tel r glement en y int grant des r gles relatives aux d l gations de signatures ainsi qu une proc dure de certification des factures Suite au contr le des exercices 2003 et 2004 la Cour se doit de constate
56. ye de Neum nster CCRN ne s est pas conform a la l gislation sur les march s publics telle que pr vue par la loi modifi e du 30 juin 2003 En effet la production d une entit portable consistant en des caissons lumineux pour lexposition itin rante Idee Europe a t attribu e directement 4 une entreprise pour un montant factur de 140 000 hors TVA A noter que le budget pr vu pour la r alisation de ces caissons tait a Porigine de 57 500 La Cour n a pas re u communication de pi ces documentant le recours une soumission publique ou a un march n goci d ment motiv par une hypoth se d exception pr vue par les dispositions l gales en vigueur en la mati re Dans le cadre de cette exposition et du d compte y relatif la Cour a galement constat que le CCRN d tenait encore au 31 d cembre 2004 une cr ance sur le Centre Virtuel de la Connaissance sur PEurope d un montant de 19 871 06 qui repr sente la part de celui ci dans le d ficit du projet suivant leur contrat de coproduction Il a en effet t convenu que le Centre virtuel de la Connaissance sur l Europe en tant que coproducteur participerait au financement de cette exposition et reprendrait la g rance du projet en 2005 Au moment du contr le par la Cour d cembre 2005 cette cr ance n a toujours pas t honor e par le Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2004 CVCE un diff rend opposant

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

BlackBox extended Installation and Programming manual  Bedienungsanleitung WLAN/LAN Farbkamera  Windows Phone 8.1 Mobile Device Management  User Manuals - HeRO by MPSC  Uni-Trend UT71A multimeter  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file