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Article - Institut des Régions Arides

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1. ie 555 De 4 Le oes A Saeed 44 rpm 4 gt 190 PEA 22 R duction APR Pre EEr Chlo l aula rrea Rad gg ee 21881 korero mm Aer R moin HEP Bae ee ea NENCF 21884 fera Re 21884 More A L 50 2169 Eee BA 21984 Ware RZ 21984 Wares A i Bey ae eal KL gt un e i k ECF Figure 1 R duction de la teneur en chlorophylle totale sous l effet du choc du froid et l endurcissement de la valeur moyenne du t moin non endurci et non traitement par le choc du froid ECF endurci choc du froid NECF non endurci choc du froid Heckathorn et al 1999 notent que les prot ines du choc thermique de faible poids mol culaire des chloroplastes CLMW_HSP interviennent dans la stabilit du photosyst me I PSID au cours du stress en maintenant le transfert des lectrons En ajoutant des cLMW_HSP des chloroplastes isol s avant et apr s stress Heckathorn et al 1999 montrent que les cLMW_HSP prot gent le PSII de la d naturation adaptant le fonctionnement de ce dernier aux conditions impos es par le stress Knight et Ackerly 2001 rapportent une corr lation positive entre l expression des cLMW_HSP et la fluorescence chlorophyllienne ce qui supporte l hypoth se que le r le des cLMW_HSP est de maintenir l activit de transfert des lectrons du PSII sous stress Les r sultats de la pr sente tude indiquent que le choc du froid induit une r duction significative du con
2. Param tres Unit s M thode d analyse 1 Eau pH Electrom trie norme NF T 90 008 CE 25 C uS cm Electrom trie norme NF T 90 031 Salinit mg l Electrom trie Turbidit FTU N ph lom trie Cr mg l Titration NF T90 014 NO mg l Colorim trie NH mg l Colorim trie PO mg l Colorim trie SO mg l Gravim trie Duret mg l CaCO Volum trie norme NF T90 003 Ca mg l Spectrophotom trie flamme K mg l Spectrophotom trie flamme Na mg l Spectrophotom trie flamme 2 Sol boues r siduaires et de sucrerie pH Electrom trie CE uS cm Electrom trie Salinit mg l Electrom trie C Anne MO C x2 CaCO Gazom trie Calcim tre de Bernard NO3 mg l Colorim trie NH4 mg l Colorim trie PO4 mg l Colorim trie K mg l Spectrophotom trie flamme Na mg l Spectrophotom trie flamme Tableau 2 Caract ristiques physicochimiques de l eau d irrigation Param tres pH CE Salinit Turbidit CI NO NH PO SO Ca K Na SAR Unit s uS cm mg l FTU mg l mg l mg l mg l mg l Mg l mg l mg l Valeurs 7 51 1510 840 3 14 390 5 3 05 0 30 2 17 73 18 147 5 9 116 2 02 Val Max 8 4 250 450 lt 5 350 10 lt 5 lt 2 100 lt 400 lt 2 460 lt 9 6 5 3000 2000 Valeurs maximales adimissibles FAO Ayers et Westcot 1985 Tableau 3 Caract ristiques physicochimiques du sol boues r siduaires et de sucreri
3. Figure 7 Courbes de croissance en diam tre d Acacia farnesiana dans les deux blocs exp rimentaux 4 CONCLUSION La r utilisation des eaux trait es pour l arrosage des esp ces foresti res pourrait pr senter une solution int ressante sur le plan conomique et tout fait envisageable dans le contexte saharien compte tenu du fait que toutes les ressources en eau destin es aux besoins humains sont d origine fossile Continental Intercalaire et Complexe Terminal alors que les ressources en eau de seconde main sont abondamment disponibles Dans le contexte actuel de l oasis de Ouargla la r utilisation des eaux us es trait es pour l irrigation constitue une opportunit int ressante pour pr server les ressources en eaux disponibles au profit des g n rations futures Des exp riences similaires men es dans d autres r gions arides ont montr que la r utilisation des eaux us es pur es pourrait pr senter une solution int ressante pour lutter contre les probl mes de p nurie d eau Laouali et al 2006 Laouali et al 2009 Ce travail pr liminaire pr sente le r sultat de 65 jours d investigation sur les possibilit s de r utilisation des eaux pur es provenant de la station de lagunage a r de la ville de Ouargla Les premiers r sultats du suivi biom trique des deux esp ces exp riment es arros es avec les eaux pur es par lagunage Acacia farnesiana et Albizia julibrissin sont globalement encour
4. Param tre Salinit Ecotype Interaction SxE HAT cm x kk kk NTB m a 7 NF plante a ae x LOG cm X FE z LAG cm T CHL Spad ns ek RMV t ha HAT hauteur NT nombre de talles NF nombre de feuilles LOG longueur des feuilles LAG largeur des feuilles CHL teneur en chlorophylle par Spad RMV rendement en mati re verte significatif hautement significatif Effet de la salinit sur le nombre de talles NTB plante D une fa on g n rale l cotype HG produit plus de talles que l cotype ZZ Tableau 2 Cette diff rence dans la capacit de tallage est signal e pour le mil Chohan et al 2006 Le tallage n a pas t touch par la salinit mod r e pour les deux cotypes Cependant lorsque la salinit atteint le seuil de 7g l le nombre de talles a augment pour HG et n a pas vari pour ZZ L augmentation du nombre de talles en r ponse un stress salin a t cit e dans les travaux de Beninga 1993 et de Naeem et al 2003 Effet de la salinit sur le nombre et les dimensions des feuilles NF LOG LAG G n tiquement l cotype HG poss de des feuilles plus petites et plus nombreuses que celles de de l cotype ZZ Tableau 2 L existence d une variabilit g n tique pour le nombre et les dimensions des feuilles a fait l objet de nombreuses publications Chohan et al 2006 En pr sence de salinit s v re les feuilles de l
5. 1120 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Assessment of spatial and temporal variations of water quality parameters of Oued El Gourzi for suitability to irrigation uses L Tamrabet D Gol a M Kribaa N Marouf N Ababsa S Boudjabi S Tamrabet Laboratoire RNAMS Universit Larbi Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie Facult des Sciences Universit E Hadj Lakhdar Batna 05000 Alg rie Laboratoire CAM Universit Larbi Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie D partement d Hydraulique Universit L Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie D partement de Chimie Universit L Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie Email Itamrabet yahoo ca SUMMARY The high plateaus of Algeria with an average rainfall of less than 400 mm are an area that suffers critically from a shortage of water resources The city of Batna NEastern Algeria an urban area releases high amount of partially treated and untreated sewage to the Oued El Gourzi An average amount of 11 x 10 m of treated and untreated sewage is discharged annually into this river which is the main water source for the downstream agricultural sector The ai
6. Marschner H 1995 Mineral nutrition of higher plants 2 ed Academics Press San Diego CA 423pp Muscolo A Panuccio MR Sidari M 2003 Effects of salinity on growth carbohydrate metabolism and nuttritive properties of Kikuyu grass Pennisetum clandestinum Hochst Plant Sci 164 1103 1110 Netondo GW Onyango JC Beck E 2004 Sorghum and salinity I Response of growth water relations and ion accumulation to NaCl salinity Crop Sci 44 3 797 805 Radhouane L 2008 Effet du stress salin sur la germination la croissance et la production en grains chez quelques cotypes de mil Pennisetum glaucum L R Br autochtones de Tunisie C R Biologies 331 278 286 Radhouane L 2008 Caract ristiques hydriques du mil Pennisetum glaucum L R Br en pr sence de contraintes hydriques C R Biologies 331 206 214 Radhouane L 2013 Comparaison de la nutrition min rale du mil Pennisetum glaucum L R Br en pr sence de stress hydrique et de stress salin J of Applied Biosciences 66 5114 5129 San B djendole SN Diouf OH Macauley R 1999 Suivi de l tat hydrique du sol et de la temp rature du couvert de mais au S n gal Science et changements Plan taire S cheresse 10 2 1 29 Santos CV 2004 Regulation of chlorophyll biosynthesis and degradation by salt stress in sunflower leaves Scientia Horticulturae 103 93 99 Stobart A Griffiths W Bukhari A Sherwood R 1985 The effect of Cd
7. 90 mM NaCl ce qui lui conf re une valeur nutritive plus lev e li e l activit anti canc rig ne de ces prot ines D autre part tude de la variation des compos s ph noliques montre que la teneur en d riv s d acide sinapique a t significativement P lt 0 00 plus accumul e chez le cv Parthenon par le stress salin que chez Naxos Ces r sultats montrent que la salinit peut tre un facteur abiotique qui permet d am liorer la valeur nutritive des plantes de brocoli De plus les diff rentes r ponses de deux cultivars vis a vis a la salinit de milieu de culture en termes de la composition en prot ines bioactives indiquent le r le crucial du fond g n tique sur les propri t s nutritionnelles que chaque cultivar acquiert Mots cl s acides ph noliques brocoli flavonoides glucosinolates salinit SUMMARY In this work we have analysed by HPLC DAD the bioactive compounds glucosinolates GSL phenolics flavonoids of two broccoli cultivars cvs Parthenon and Naxos growing for 15 days on control medium containing 14 mM NO and then treated for 15 days with different salinity levels 0 30 60 and 90 mM NaCl Results showed that total GSLs content in cv Parthenon was not affected by salinity while it was progressively and significantly decreased in cv Naxos 46 2 at 90 mM NaCl as a result of the decrease in indol GSLs content GB NGB HGB MGB In contrast salinity provoked higher accu
8. Elle serait due une activation de la chlorophyllase Santos 2004 4 CONCLUSION Notre tude a montr que le stress hydrique s v re a augment significativement le nombre des feuilles par plante a r duit les dimensions de la feuille drapeau Par contre le stress mod r n a pas touch au nombre des feuilles par plante n a pas modifi les dimensions de la feuille drapeau mais a raccourci la hauteur de la tige principale et a diminu la teneur en chlorophylle Quant la contrainte saline mod r e elle a engendr des feuilles plus nombreuses et plus d velopp es a raccourci la hauteur de la tige et a augment la teneur en chlorophylle Ces r sultats permettent de valoriser les sols sal s et les eaux saum tres au sud de la Tunisie pour la production fourrag re du ma s r put par sa fragilit aux contraintes hydriques et salines REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Aydinsakir K Erdal S Buyuktas D Bastug R Toker R 2013 The influence of regular deficit irrigation applications on water use yield and quality components of two corn Zea mays L genotypes Agricultural water Management 128 65 71 Ben Naceur M Rahmoune C Sdiri H Meddahi ML Selmi M 2001 Effet du stress salin sur la croissance et la production en grains de quelques vari t s maghr bines de bl S cheresse 12 167 174 Cairns JE Sonder KP Zaidi H Verhulst N Mahuku G Babu R Nair SK Das B Govaerts B Vinayan MT Rashid Z Noor JJ D
9. Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1202 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Relation entre les conditions daphiques et le couvert v g tal en zone steppique Madani Djamila Bensaid Rabeh Hiouani Fatima Tir Chafia D partement d agronomie Universit de M sila Alg rie Email agrobatna2007 yahoo fr D partement d agronomie Universit de Skikda Alg rie Universit Mohammed Keider Biskra Alg rie D partement d agronomie Universit de M sila Alg rie RESUME La zone d tude situ e pr s du p rim tre du bassin de Hodna entre Barika et M doukal environ 3 km au Nord est de la ville de M doukal Son altitude varie entre 420 et 450 m tres couvre une superficie de 5000 hectares Elle est caract ris e par un climat chaud et sec et appartient l tage bioclimatique aride La mise en valeur de sol et la v g tation de cette zone rend plus que n
10. Touchrickt et de la Zaouia pour compl ter la liste des 21 ayants droits Tableau 1 Chaque ayant droit poss de une journ e d irrigation donc une rotation de tour tout les 22 jours Cette r partition des parts est devenue un calendrier d irrigation dans Oasis de Boukais Tableau 1 Calendrier d irrigation N Anciens ayants droits Anciens ayants droits N Anciens ayants droits jour 1 Bajaber 8 Ait Messoud 15 Ait Hamou Ali 1 2 Yahia ou malek 9 Zaouia une journ e 16 Ait Hamou Ali 2 3 Moussa ou Aissa 10 Ait Ghanem 17 Ba Mhemed 4 Ba Daoud 11 Ait Rahou ou Amer 18 Moussa ou Daoud Ait Amrane 5 Touchrikt khissan 12 Ba Hamd ou Hamou 19 Atou ti dighem 6 Ait Amar ou Brahim 13 Sidi Ali 20 Ait Daoud ou Aissa 7 Ait Moussa ou Daoud 14 Ait Dalem 21 Ait Hamou ou Ahmed Au fil des ann es des diff rentes transactions d achat vente et de location ont modifi la propri t de l eau passant de la population d origine vers d autres nouveaux ayants droits Ces derniers sont actuellement au nombre de 60 irrigants tout en pr servant l ancien calendrier avec les noms des journ es des anciens ayants droits Actuellement l eau d une journ e d irrigation est exploit e par 4 8 irrigants L efficacit de ce calendrier d irrigation et sa conservation sont des arguments du maintien de cette oasis jusqu pr sent Chaque journ e de ce calendrie
11. Winter versus spring sowing of rain fed safflower in a semi arid high elevation Mediterranean environment Eur J Agron 26 249 256 1038 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Reference evapotranspiration assessment using artificial neural networks at mean different time steps Belouz Khaled Dechemi Noureddine Institut National de la Recherche Agronomique d Alg rie INRAA El Harrach Algiers Algeria Email majeaissa yahoo fr Laboratory Construction and Environment Polytechnical National School 10 avenue Hassen BADI El Harrach B P 16182 Alger Algeria Email ndechemi yahoo fr SUMMARY The principal objective of this study is to improve water resources management in agriculture by conceiving and applying various models based on Artificial Neural Networks technique and selecting the best neural models that assess reference evapotranspiration accurately on three time steps The studied Artificial Neural Networks is of the type of Percetron multi layers They are used to model reference evapotranspiration ETo obtained via Penman Monteith modified equation through FAO 56 Various combinations of daily ten day and monthly weather data
12. cotype HG sont devenues plus fines et plus longues alors que celles de ZZ ont gard les m mes dimensions La stimulation de la croissance tige feuille observ e chez le mil a t d j signal e chez le Pennisetum Muscolo et al 2003 et chez le sorgho Netondo et al 2004 Effet de la salinit sur la teneur en chlorophylle CHL Bien que la teneur en chlorophylle des 2 cotypes soit similaire en absence de sel Tableau 2 leur comportement a vari avec l application du stress salin En effet le taux chlorophyllien des feuilles de ZZ a augment avec la concentration en sel L am lioration de la richesse chlorophyllienne en pr sence de sel a t mentionn e par Alamgir et Ali 1999 et Folkard et al 2003 Elle serait due une activation de la chlorophyllase Santos 2004 A Vinverse de ZZ HG a vu sa teneur en pigments diminuer en pr sence de salinit Ce r sultat est corrobor par El Iklil et al 2003 Effet de la salinit sur le rendement en mati re verte RMV Il existe une diff rence g n tique dans la production en vert ZZ donne un rendement en vert sup rieur a HG 46t ha contre 38t ha Ces r sultats se rapprochent de ceux trouv s par Khan et al 2004 pour 6 cotypes de mil d origine pakistanaise cultiv s avec de l eau douce moyenne variant entre 45 et 57t ha De m me El Lattief 2011 a trouv que le rendement de quelques vari t s gyptiennes varie entre 54 et 61t ha La sup rior
13. 0 100cm dry 16 1 0 29 0 52 8 1 A comparable goodness of fit was found for the water content in 0 100 m soil depth in Lebna in February 2013 and in October 2012 r 0 74 and 0 52 and in Kamech in February 2013 and in October 2012 r 0 60 and 0 52 Figures 2 and 3 show the measured SWC plotted against the predicted values for the rainy and dry seasons The plot suggested that the model simulated reasonably the soil water contents Therefore due to the heterogeneity of the study site and the complexity of the interpretation of the interrelationship between spatial ECa measurements probably the model requires more calibration to achieve sufficient accuracy and precision We believe that the variability is in part due to the difference in measurement volume between the soil moisture measurements made with the EM38 1188 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 24 2 a 8 EX _ 8 oj a o D D S e RS 9 v 75 g 7 ow Be A TD Le e 87 p 2 A z 2 e EE i 2 2 oe o 0 10 20 30 40 50 60 70 0 10 20 30 40 50 60 70 Predicted SWC Predicted SWC Figure 2 Measuredversus predicted SWC for the vertical mode 0 100cm on the
14. A maturit compl te et partir de chaque parcelle l mentaire les plantes de 0 25m sont fauch es Le poids est d termin et constitue le rendement biologique Le nombre d pis est d termin puis rapport par m Les pis sont battus le nombre de grains et leurs poids d termin pour calculer le nombre de grains m2 le poids de mille grains et le rendement en grains 2 5 Analyse statistique L ensemble des donn es obtenues ont fait l objet d une analyse de la variance un et deux facteurs fixes de classification niveau de salinit et g notypes L ensemble des analyses statistiques a t effectu avec le logiciel SPSS Statistics Version 17 0 Nous avons proc d galement une Analyse en Composantes Principales ACP dont l objectif est de r duire les caract res les repr senter g om triquement et tablir des corr lations entre eux Les graphes pr sent s et les ACP sont r alis s par les logiciels Excel 2007 et Excelstat 2003 3 RESULTATS 3 1 Rang de variation des variables L adaptation est la capacit de la plante cro tre et donner des rendements satisfaisants dans les zones sujettes des stress Turner 1979 Dans ce cadre nous avons men des essais Deggache afin d valuer en plein champ les adaptations agromorphologiques et physiologiques des 26 g notypes de bl dur au stress salin Les valeurs minimums maximums et moyennes des variables mesur es sur les diff
15. Digitaria commutata et Cenchrus ciliris et Matmata a la fin du premier cycle de s cheresse A la fin du deuxi me cycle de s cheresse les valeurs sont de l ordre de 1 54 2 30 1 56 et 1 20 mg g chez les stress s et de 4 16 3 52 3 26 et 2 62 mg g chez les t moins respectivement pour les populations de Jerba Bouhedma Digitaria commutata et Cenchrus ciliris et Matmata Fig 1 Les valeurs les plus lev es sont enregistr es chez la population de Bouhedma 5 39 mg g moindre degr chez les populations de Cenchrus ciliaris de Jerba 5 35 mg g Digitaria commutata de Bouhedma 3 25 mg g et minimale chez la population de Matmata 2 13 mg g la fin du 1 cycle de s cheresse Alors qu la fin du deuxi me cycle les valeurs les plus lev es sont enregistr es chez les populations de Bouhedma 2 30 mg g moindre degr chez les populations de D commutata de Bouhedma 1 56 mg g Cenchrus ciliaris de Jerba 1 54 mg g et minimales chez la population de Matmata 1 20 mg g Fig 1 1234 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 TCBSCBTCASCA TD SD TCCSCC TCBSCBTCASCA TD SD TCCSCC Fin du 1 cycle Fin du 2 re cycle re
16. Fig 2 l aide des seuils superpos s en gabion le 01 11 1998 trois mois apr s le 10 02 1999 il y a eu des pluies torrentielles avec une intensit de 57 mm Apr s ces pluies diluviennes on a enregistr en 48 heures 60 cm de neige A cette poque toutes les conditions se trouvent r unies pour le d clenchement des glissements de terrain Apr s ces intemp ries et la fonte des neiges il y a eu une coul e boueuse et un glissement de terrain la base du village agricole Fig 3 En octobre 2009 durant 48 heures les pluies sont tomb es avec une intensit de 50mm En 2008 la neige a dur dix jours et a provoqu des d g ts mat riels et humains La hauteur de la neige tait de 80 cm jusqu 2m 1056 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 En octobre 2009 durant 48 h les pluies diluviennes sont tomb es avec une intensit de 50 mm et ont provoqu des glissements de terrains Photo Kouidri R Figure 1 Seuil en gabion au niveau de la t te de la grande ravine qui est devenue un ravin Travaux correction torrentielle Sonatro M d a HaouchZegaa Ouzera 11 11 1998 Photo Kouidri R Figure 2 Correction torrentielle Sonatro
17. In the areas suffering from water shortage like the arid and semi arid regions or the insufficiency even scarcityout of water inevitably pose problemsespeciallyfrom the point of viewsatisfaction of the quantitative needsof irrigation in agriculture the recycling of wastewaterlike complementary water resourceprove to be interestingfor the cultivated groundsto solve the problemsposed in agricultureby the insufficiency of the hydraulic resourcesin these zones It results from the study of the influence of tannery wastewater on the weight of the driesmatter tillered feet and roots over one 55 days period a non significant effecttannery wastewater on the weight of the dries matter Key words wastewater driesmatter weighttannery 1 INTRODUCTION L accroissement d mographique et l urbanisation que conna t le monde actuel engendrent une utilisation importante de l eau qui se retrouve par la suite pollu e et rejet e dans la nature sans traitement pr alable La r utilisation de ces eaux en agriculture est une pratique qui devient de plus en plus courante partout dans le monde particuli rement dans les pays qui soufre de la raret des ressources en eau surtout dans les r gions arides et semi arides Ces eaux us es non trait s posent des probl mes s rieux pour le sol et surtout pour l homme car elles contiennent des substances chimiques dangereuses et des microorganismes pathog nes Cependant une utilisation sans risque de ces e
18. L conomie mondiale du sorgho et du mil Faits tendances et perspectives 67p Hachicha M Cheverry C Mhiri A 2000 The impact of long term irrigation on changes of groundwater level and soil salinity in northern Tunisia Arid Soil Res Rehabil 14 175 182 Jahanzad E Jorat M Moghadam H Sadeghpour A Chaichi MR Dashtaki M 2013 Response of a new and a commonly grown forage sorghum cultivar to limited irrigation and planting density Agricultural Water Management 117 62 69 Marsalis MA Angadi SV Contreras Govea FE 2010 Dry matter yield and nutritive value of corn forage sorghum and BMR forage sorghum at different plant populations and nitrogen rates Field Crops Research 116 52 57 Mutava RN Prasad PVV Tuinstra MR Kofoid KD Yu J 2011 Characterization of sorghum genotypes for traits related to drought tolerance Field Crops Research 123 10 18 Netondo GW Onyango JC Beck E 2004 Sorghum and salinity II Gas exchange and chlorophyll fluorescence of sorghum under salt stress Crop Sci 44 3 806 811 Radhouane L 2006 Diversit morpho phenologique caract risation agro physiologique et m canismes d adaptation aux contraintes hydriques et salines de populations autochtones de mil Th se de doctorat d tat INAT 289p Saberi AR Siti AH Halim RA Zaharah AR 2011 Morphological responses of forage sorghums to salinity and irrigation frequency African Journal of Biotechnology 10 964
19. NaCl V CaCl pr par s dans un litre d eau distill e puis on a pr par les six concentrations employ es Le tableau ci dessous nous montre la composition de la solution saline Tableau 1 Composition de la solution saline Concentrations Meq L 100 200 300 400 500 600 NaCl mM 100 200 300 400 500 600 g l 5 84 11 68 17 53 23 37 29 22 35 06 CaCl Mm 100 200 300 400 500 600 g l 5 54 11 08 16 64 22 19 27 74 33 29 Les graines choisies selon la taille et l tat sanitaire st rilis es durant quelques minutes dans une solution 70 d hypochlorite de calcium et rinc es deux fois l eau distill e st rile Les graines sont ensuite mises germer dans des boites de p tri de 9cm de diam tre et 1 3cm d paisseur dont le fond est tapiss de coton hydrophile imbib de solution de diff rentes concentrations Cette imbibition est renouvel e chaque fois que cela est n cessaire Chaque essai porte sur 50 graines soit 5 r p titions de 10 graines par boite de p tri pour chaque esp ce La conservation des boites s effectue dans les conditions climatiques du laboratoire la temp rature variait entre 20 et 25 C 3 RESULTATS ET DISCUSSION Les graines d Hordeum vulgare Les observations sur la germination des graines d orge en bo te de p tri durant 7 jours rel vent des diff rences de comportement de ces graines soumises au stress salin NaCl CaCl
20. Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Photo Kouidri R Figure 11 Route N 1 Ouzera d tachement de la falaise formant l imposant plateau 14 03 2012 Photo Kouidri R Figure 12 De gros blocs l aval de la falaise Ouzera 15 03 2012 Photo Kouidri R Figure 13 Glissement de terrain et boulement sur la bordure de la route N 1 Ouzera 15 03 2012 Photo Kouidri R Figure 14 Glissement de terrain au dessus du seuil en gabion sur la route nationale RN 1 Ouzera 1063 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 4 CONCLUSION Ces travaux de g nie civil se sont sold s par des checs Les micro barrages en gabion au niveau de la t te du ravin les drains sous terrains l aval du versant l installation du village agricole ont cr des mouvements de masse et des ravinements Dans notre secteur le vignoble arrach apr s l ind pendance a t remplac par des c r ales
21. Total suspended solids TSS Turbidity Trb Dissolved oxygen DO biochemical oxygen demand BOD chemical oxygen demand COD hardness Hrd alkalinity alk chloride CI nitrate NO3 ammonium NH orthophosphate PO sulphate SO4 calcium Ca magnesium Mg potassium K sodium Na total coliforms TC fecal coliforms FC and fecal streptococcus FS Standard procedures were followed for the collection and analysis of water samples Rodier 1996 To evaluate the water quality for irrigation purposes sodium adsorption ratio SAR sodium percentage Na and residual sodium carbonates RSC values of the effluents were calculated using respectively the following equations 11 12 SAR meq l Na Ca Mg 17 2 Nat 100 Na K Ca Mg Na K RSC meq l HCO CO3 Ca Mg where Ca Mg Na K HCO3 CO are expressed in meq I Algeria n skm E1 E7 Sampling stations Vale Oued Stream Cultures 0 10 20 Kilometers Figure 1 Map of the study area showing the sampling 1123 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013
22. Vinocur B Altman A 2005 Recent advances in engineering plant tolerance to abiotic stress achievements and limitations Current Opinion in Biotechnology 1 123 132 Wenxue Wei Paul E Bilsborrow Paul Hooley Daron A Fincham Enzo Lombi and Brian P Forster M 2003 Salinity induced differences in growth ion distribution and partitioning in barley between the cultivar Maythorpe and its derived mutant Golden Promise Plant Soil 250 183 191 Yuefeng R 2007 Tillering response to salinity in contrasting wheat cultivars These de Doctorat en science naturelle 92 p 1299 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1300 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Le mais Zea mays L comme plante fourrag re au sud tunisien Leila Romdhane Leila Radhouane Laboratoire des Sciences et Techniques Agronomiques Institut National de la Recherche Agronomique de Tunisie INRAT Avenue
23. YEO A R and FLOWERS T J 1983 Varietal differences in the toxicity of sodium ions in rice leaves Physiol Plant 59 189 195 Zhu J K 2003 Regulation of ion homeostasis under salt stress Current Opinion in Plant biology vol 6 pp 441 445 1270 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effet de Glomus deserticola et Gigaspora margarita sur V olivier Olea europaea L irrigu es avec des eaux us es trait es aspects agronomiques et physiologiques Khabou Wahid Ben Hassena Ameni Hanin Moez Ksibi Mohamed Drira Noureddine Institut de l Olivier Sfax Tunisie Institut Sup rieur de Biotechnologie de Sfax Sfax Tunisie Facult des Sciences de Sfax Sfax Tunisie Email Khabou_wahid yahoo fr RESUME Cette tude a pour but de tester l effet de deux champignons endomycorhiziens Glomus deserticola et Gigaspora margarita sur des plantes d olivier g es de trois ans de la vari t Ch toui irrigu es avec des eaux us es trait es EUT Dans ce cadre des traitements hydriques diff rents ont t appliqu s En plus des irrigations par des eaux de robinet pour les plantes t moins des irrigations avec des EUT non d
24. a pr sent e par la structure B H COO HC C COOH H C N H D 4 HaC CH CH2 9 Structure A Structure B Dans tous les cas la cellule v g tale est capable de synth tiser de toutes pi ces ces noyaux cycliques Ainsi le noyau pyrrole de la proline est labor avec divers interm diaires par cyclisation d acide glutamique L c toglutarate conduit au glutamate qui conduit son tour la glutamine la proline et l arginine Weinmam et M hul 2004 a cetoglutarate Glutamate Glutamine Proline Arginine D gradation des acides amin s La d gradation des aminoacidesconduit des interm diaires m taboliques majeurs Ces derniers peuvent tre compl tement oxyd s en CO et H2O par le cycle de l acide citrique Ils sont aussi susceptibles d tre convertis en corps c toniques et en acides gras ou encore en glucose et les aminoacides qui leur ont donn naissance sont alors qualifi s de c tog nes ou glycoformateurs ou de glycog nes ou glycoformateurs respectivement La proline au m me titre que l arginine la glutamine et l histidine sont convertis en a c toglutarate par l interm diaire du glutamate selon la figure suivante Weinman et M hul 2004 1132 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures
25. au Nord Est de la ville de M denine Figure 2 qui fait partie de la r gion sud Est de la Tunisie Ce bassin est drain par oued Koutine Oum Zessar il s coule depuis la chaine montagneuse de B ni Khdache traverse la d l gation de M denine Nord et arrive a la d l gation de Sidi Makhlouf pour se d verser dans le Sebkhas Oum Zessar puis dans la mer Le point le plus haut du bassin se situe une altitude de 715 m au niveau de Jbel Moggar 600000 620000 640000 660000 L fi fi 1 Bone ay S H Oued Oum Zessar Legende Limite du bassin versant Oum Zessar R seau hydrographique a Agglom ration Sidi Makhiout 0 5 10 20 Kilom tres 1 14 1 j Figure 2 Localisation du bassin versant d oued Oum Zessar Ben Zaied 2009 2 Approche m thodologique La d marche m thodologique adapt e lors de notre tude s est d roul e sur trois tapes la premi re a consist en pr paration des donn es climatiques pour la p riode de r f rence et les p riodes futures l horizon 2030 et 2090 La seconde tape a t consacr e aux traitements des donn es sur les images Landsat pour la d termination de Cube NDVI ainsi que les traitements sur les cartes des sols et d utilisation des terres qui pr sentent des entr es du mod le HidroMORE La r alisation d un mod le conceptuel afin d extraire et explorer les diff rents sc narios climatiques et leurs effets
26. il est profond homog ne et de texture argileuse avec une teneur en l ments fins gt 70 Les propri t s physiques et chimiques du sol de l INRAT sont illustr es dans le tableau 1 Tableau 1 Les propri t s physiques chimiques et hydriques du sol de l INRAT Radhouane 2008 Propri t s physiques de mati re Composition chimique Caract ristiques hydriques s che Argile 16 Calcaire actif 13 C C 22 Limon fin 19 Azote total 0 08 P F P 18 Limon grossier 14 P205 total 4 R E U 4 Sable fin 27 P205 assimilable 0 01 Sable grossier 20 K20 total 3 87 K20 assimilable 0 94 pH 8 2 C C capacit au champ P F P point de fl trissement permanent R E U r serve en eau utile L essai a t r alis sur un terrain grillag subdivis en 2 grandes parcelles repr sentant les traitements en jeu la premi re parcelle pour les essais relatifs au stress hydrique et la seconde pour les essais concernant les traitements salins Les traitements sont espac s de 3m et sont entour s dans toutes les directions de lignes de bordures Le dispositif statistique exp rimental est du type BCA bloc compl tement al atoire 3 r p titions Chaque r p tition est subdivis e en 3 parcelles l mentaires de 2 m de superficie La densit de semis est de 25 plantes par parcelle L eau d irrigation utilis e est celle courante titrant 12 1 de Na Cl
27. la valorisation des eaux non conventionnelles charg es et l am lioration du revenu des petits agriculteurs des oasis traditionnelles 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal Ce travail porte sur l tude de la tol rance la salinit de 26 vari t s et g notypes locaux de bl dur Triticum durum Desf Il s agit des 19 g notypes autochtones savoir Ouard bled Derbessii Richi Biskri Mahmoudi Agili Souab Algia Agili Glabre Bidi Azizi Hamira Chili sourri Arbi jeneh Hhotifa Aoudhay sbay Baydha et INRAT 69 les 6 vari t s am lior es tunisiennes de grande culture qui sont Razzak Khiar Ma li Om Rabiaa Nasr et Karim et une vari t italienne r cemment introduite et inscrite au catalogue Iride 2 2 Site d essais Les essais ont t conduis en plein champ dans la r gion du Djerid Deggache 33 58 19N 8 12 59 E caract ris par de fortes amplitudes thermiques journali re et saisonni re une pluviom trie irr guli re et tr s faible inf rieure 90 mm an 2 3 M thodologie Dispositif exp rimental Les essais sont en bloc complets randomis chaque essai comprend trois blocs et 90 unit s exp rimentales Chaque unit est constitu e son tour de 10 lignes de 1 m de long espac s de 0 2 m soit une superficie de 2 m2 La r partition des diff rents g notypes dans les blocs a t labor e par le logiciel GenStatT Release 12 1 Conduite et suive de l ess
28. les temp ratures moyennes Enregistr es sous l abri serre durant la p riode de la culture novembre 2008 avril 2009 sont situ es entre 16 3 et 27 6 C Au d but l arrosage des graines et des jeunes plantules est effectu l eau courante et ex cut sous formes de fines gouttelettes pour viter le d chaussement des graines et la casse de jeunes tiges Cette eau a une conductivit lectrique de CE 0 73mmhos cm Une fois les plantules acclimat es 10 jours apr s la plantation l application des traitements salins et hydriques combin s ont commenc de la mani re suivante Traitement S I 100 RFU eau de robinet OmM de Na CI Traitement So I 50 RFU eau de robinet OmM de Na CI Traitement S I 100 RFU eau de robinet 30mM de Na Cl Traitement S I 50 RFU eau de robinet 30 mM de Na Cl Traitement S I 100 RFU eau de robinet 60 mM de Na Cl Traitement S I 50 RFU eau de robinet 60 mM de Na Cl 1094 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 3 Dispositif exp rimental Le dispositif exp rimental adopt est de type factoriel 4 deux facteurs en randomisation totale Le facteur 1 repr sente les trois
29. lev e suivie en seconde position par la lign e 16 puis par la lign e 14 et 12 en derni re position Tableau 6 La salinit a induit une r duction de la vigueur des grains d orge Sous 3g l tout le mat riel v g tal test a montr une vigueur semblable celles des t moins l exception de la lign e 12 dont la vigueur a significativement baiss Sous 6g l la lign e 14 montre une vigueur statistiquement similaire celle du t moin alors qu une d pr ciation significative est not e chez les lign es 12 16 22 Manel et Rihane D autre part la comparaison multiple des moyennes a permis de d gager une diff rence entre g notypes La lign e 14 et Rihane ont montr la vigueur la plus lev e suivies de Manel et de la lign e 22 alors que les lign es 16 et 12 ont d velopp la plus faible vigueur Sous le seuil 12g l une chute en vigueur est per ue cependant Rihane se distingue par la vigueur la plus lev e suivie par la lign e 22 Les lign es 14 et Manel sont en troisi me position alors que les lign es 16 et 12 d veloppent la plus faible vigueur Tableau 6 Effet de NaCl sur la vigueur de grains des lign es d orge 12 14 16 22 et de Manel et Rihane NaCl 12 14 16 22 Manel Rihane 0 116 31 fghi 125 9 defghi 139 4 bede 143 7 abcd 153 8 ab 162 7a 3 74 25 j 105 7 i 121 42defghi 129 24 cdefg 139 bede 150 7abc 6 65 35 jkl 116 8 efghi 78 3 j 107 8 hi 111 3 ghi 134 bedef 9 35 6 mn 62 2 jkl 47 14 Im 71 9 jk
30. n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 En ce qui concerne l eau agricole le Soudan utilise pratiquement toute sa ressource hydrique pour Virrigation au d triment des autres secteurs qui b n ficient de volumes d risoires D autres pays comme l Egypte et l Irak consacrent aussi des volumes importants ce secteur respectivement 50 km et 40 km La quasi totalit des pays utilisent plus de 70 des pr l vements l agriculture La dose par hectare d passe 20000 m au Bahre n environ 15000 m Oman et en Egypte et entre 5000 et 1000 pour le reste des pays Les quantit s pr lev es sont r parties en moyenne dans le monde arabe 75 pour l irrigation 6 pour l industrie et 19 pour les usages domestiques Ce taux moyen varie d un pays un autre mais la part de l irrigation est partout la plus importante 1600 1400 Pr levement 1200 1000 S 800 ma 583 E 600 400 200 iis 4 g 5 g 2 amp 2 2 g o D S y Fs 2 B g g eCES S 8 8 528 8 8 2B Be 6 3 3 Peg OT EZ Es a Pays S Figure 4 R partition des pr l vements par habitant Ces potentialit s pr lev es qui sont en dessous des normes universelles OMM 2007 confirment la situation de st
31. pis par m NE ce param tre est trouv par comptage direct des pis collect s sur 2 x0 5m lin aires de chaque unit exp rimentale multipli e par 5 par la suite pour avoir le nombre par m 2 3 2 Le nombre de grains par pi Une r colte sur 2 x0 5 m lin aires partir de chaque unit exp rimentale est effectu e Les pis sont s ch s l tuve 75 C pendant 48h et on p se tous les pis issus de chaque unit exp rimentale part par la suite on fait un battage m canique suivi d un comptage du nombre de grains r sultants l aide d un compteur de semences SeedsCounter NUMIGRALL 2 3 3 Poids de mille grains PMG en g prenant en consid ration le nombre total des grains NTG obtenu apr s le comptage chaque chantillon a t pes pour d terminer le poids total des grains partir des ces deux donn es on peut calculer le poids de mille grains pour chaque g notype en appliquant la formule suivante PMG NTG NE PMG poids de mille grains PTG poids total des grains 2 3 4 Rendement en grain RG en g m ce param tre est obtenu en multipliant le poids des grains trouv pour 0 2m par 5 RG PTG 5 RG rendement en grain 2 3 5 Rendement Biologique RB en g m c est la biomasse a rienne totale maturit apr s l avoir s ch l tuve sous une temp rature de 75 C il est calcul e par la formule suivante RB rendement biologique RB PP PE 5 PP
32. poids de la paille coup e maturit partir d une surface de 0 2 m PE poids des pis r colt s partir de cette paille 2 4 Analyses statistiques Les r sultats ont t analys s selon le mod le d analyse de la variance compatible avec le plan exp rimental afin d tudier les significations des effets des traitements des g notypes et l interaction traitement g notype Ceci nous permet de comparer les diff rents g notypes et se renseigner sur leur tol rance aux traitements Les moyennes des diff rents param tres mesur s sont d termin es sur trois plantes pour chaque bloc c est dire sur 9 r p titions pour chaque g notype La comparaison des moyennes a t r alis e par le test de diff rence significative LSD au seuil de 5 Ces analyses ANOVA ont t r alis es en utilisant le logiciel PASW Statistics 18 3 RESULTATS amp DISCUSSIONS 3 1 Param tres de rendement 3 1 1 Nombre d pis par m Les d tails des valeurs du nombre d pis par m d orge sont repr sent s sur la figure 2 Ces valeurs varient entre 258 et 548 pis m respectivement A6 et V39 pour les t moins et entre 156 et 465 pis m d orge chez V22 et V41 respectivement pour les stress es L analyse de la variance du nombre d pi par m d orge montre une diff rence hautement significative de l effet du traitement et 1290 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meet
33. valu a 0 26 Hm par an soit 0 08 des ressources mobilis es Vue cette situation qui parait angoissante nous essayons pour la premi re fois d appliquer les concepts d une gestion rationnelle et durable des ressources en eau en se basant sur un diagnostic quantitatif et qualitatif des potentialit s hydriques dans le bassin pour arriver mettre les grands axes de cette nouvelle vision qui a pour but d am liorer la gestion actuelle de l eau en favorisant une meilleure harmonisation entre les divers besoins et int r ts des communaut s humaines et ceux des cosyst mes aquatiques et viter des lendemains d ficitaires en eau Mots Cl s Gestion int gr e bassin versant du Zab Est de Biskra ressources en eau pollution potentialit s hydriques besoins en eau 1 INTRODUCTION La gestion rationnelle ou int gr e des ressources en eau et en sols et la maitrise destechniques hydro agricoles dans ce vaste territoire fragile et complexe qui se distingue par une superficie de plus de deux millions de Km sont aujourd hui une n cessit en vue d assurer un d veloppement harmonieux et durable et ce pour une agriculture moderne et performante Malheureusement dans plusieurs r gions surtout celles situ es au Sahara Septentrional sont confront es aujourd hui a des probl mes de remont e des eaux provenant des nappes profondes qui sont n fastes pour les cultures et les habitations Cette remont e des eaux est l une de
34. 11 1 54 El Iklil Y Karrou M Mrabet R Benichou M 2003 Effet du stress salin sur la variation de certains m tabolites chez Lycopersicum esculeutum et Lycopersicum shesmani Canad J Plant Sci 82 117 183 Folkard A Ding Kuhu M Dorffling K 2000 Salinity increases CO assimilation but reduces growth in field grown irrigated rice Plant and Soil 218 1 2 1 10 Guimaraes Junior R Goncalves LC Mauricio RM Pereira LGR Tomich TR Pires DAA Jayme DG Sousa LF 2008 Cin tica de fermenta o ruminal de silagens de milheto Arquivo Brasileiro de Medicina Veterinaria de Zootecnia 60 5 1174 1180 Hachicha M Braudeau E 1998 Irrigation et salinisation en Tunisie Sols de Tunisie 18 3 11 1070 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Hassanat F Mustafa AF Seguin P 2006 Chemical composition and ensiling characteristics of normal and brown midrid pearl millet harvested at two stages of development in southwestern Qu bec Can J Anim Sci 86 71 80 Heath MDS Metcalfe RF 1973 Forages 3rd Edition The Iowa State University Press Ames Iowa 250 pp Hiscox JD Israelstam GF 1979 A method for the extraction of chlo
35. 2 3 Data analysis A principal component analysis PCA a multivariate technique was done to summarize the general trend in the variation of measured parameters Statistical data analysis was performed using XLSTAT software program XLSTAT 2008 3 RESULTS AND DISCUSSION 3 1 Typology of El Gourzi water quality About 75 85 of the total variance was explained by the first two principal components The PCA expressed an opposition between DO on one hand and Trb Alk and NH on the other hand The PCA was related positively to the PO Figure 2 PCA represented the oxygenation gradient or the degree of water purity while PCA brought information about the degree of water contamination This phenomenon is better highlighted along the PCA by the water quality at the inlet and the outlet of the city s treatment plant This situation is differentiated during the second and the third sampling periods by the increasing pollution as a result of low stream flow However during the fourth sampling period the increase in stream flow leads to a substantial dilution of contaminants and to more oxygen dissolution in water Sites positioning on both sides of the PCA axis shows the existence of two opposed major groups Figure 3 The first group consists of E which represents the outlet of the treatment plant the station located on the positive side of the PCA axis and which indicates enrichment in dissolved oxygen The outlet of the city s
36. 40 z 20 N d PN ww x lt gt S ge 0 D Jelma 3 3s 2 amp g E Oumlagsab 3 g amp O Guira Juillet S F N OEssalloum temps mois BNovembre Z p tations E Zelfen O F vrier a c Figure 3 Variation de la hauteur en fonction des stations Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen a et en fonction des saisons Juillet Novembre et F vrier b et la variation du diam tre en fonction des stations c et en fonction des saisons d des touffes d alfa 1243 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 La croissance de la partie a rienne des touffes d alfa est plus importante en hauteur et en diam tre chez la population Jelma 78 2 et 109 3 cm et un degr moindre Oumlagsab 68 4 et 80 8 cm par contre elle est plus faible chez la population Zelfen 42 9 et 45 4 cm pour le mois de novembre Cette diff rence pourrait tre due l tat de la nappe densit Avec l am lioration des conditions climatiques les limbes s allongent davantage avec un taux d accroissement de plus en plus lev Ghrab 1981 Nos r sultats ont montr aussi que la croissance en hauteur et en diam tre des touffes d alfa est minimale au moi
37. 48 pots dont 24 pour chaque provenance sont arros es tous les deux trois jours Vers l ge de deux mois ces plantules ont t soumises 3 1159 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 r gimes hydriques Ro 100 CC R 50 CC R 25 CC avec 8 r p titions r gime provenance 2 2 Mesure de la surface foliaire Les feuilles ont t scann es et la surface en cm2 est obtenue par l utilisation du logiciel mesuruim 2 3 Extraction et dosage des sucres solubles Les sucres solubles totaux saccharose glucose fructose leurs d riv s m thyl s et les polysaccharides sont dos s par la m thode du Dubois et al 1956 100 mg de mati re v g tale sont mac r s pendant 48 h dans 3 ml d thanol 80 et temp rature ambiante d assurer extraction des sucres solubles Au moment du dosage et apr s vaporation de l alcool 20 ml d eau distill e sont ajout s a l extrait A 1 ml de la solution analyser on a ajout 5 ml de ph nol 5 et 5 ml d acide sulfurique concentr La concentration en sucres solubles est d termin e apr s une lecture de la densit optique mesur e l aide d un spectrophotom tre type Jenw
38. According to Blumenthal ef al Blumenthal 2000 it is recommended to adopt realistic guidelines which are very strict for the elimination of the helminth eggs but flexible 1126 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 for the authorized bacterial concentration Based on the obtained bacteriological results the sanitary quality of the El Gourzi effluents is far from being acceptable for unrestricted irrigation 4 CONCLUSIONS The study showed that the level of pollution generally decreases from upstream to downstream of Oued El Gourzi and is more pronounced in dry conditions Results of the different analyses on the water measured parameters revealed that the major water pollution threats in the Fisdis region were predominately due to urban effluent discharges in the El Gourzi basin Therefore to improve water quality priority should be given to integrated collection and adequate treatment of effluents The level of suitability of the El Gourzi water for irrigation ranges generally from doubtful unsuitable However the quality of the water that is doubtful or unsuitable for irrigation may be improved based on on one hand the selection of appropriate water tr
39. Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Etude de la qualit des eaux souterraines dans la r gion d ouled chamekh M nassri Soumaia Majdoub Rajouene Dridi Lotfi Mansour Mohsen Hchicha Mohamed D partement du G nie des Syst mes Horticoles et du Milieu Naturel Institut Sup rieur Agronomique de Chott Mariem BP 47 4042 Chott Mariem Tunisie Centre R gional de Recherche en Horticulture et Agriculture Biologique BP 57 4042 Chott Mariem Tunisie mstitut National de Recherche en G nie Rural Eaux et For ts BP 10 2080 Ariana Tunisie mnassrisoumaya hotmail com RESUME L acc s limit aux ressources hydriques en qualit est l un des principaux facteurs freinant le d veloppement Ces ressources sont confront es au risque des facteurs d origines naturelle et anthropique convergents qui ont induit leurs d gradations Dans ce contexte la salinisation est l une des principales causes de la d gradation de la qualit des eaux souterraines Cette salinisation est de plus en plus accentu e dans les r gions arides et semi arides dont les ressources en eaux douces sont limit es Le pr sent travail s inscrit dans la lign e de suivre l volution g ochimique de la qualit des eaux de la nappe phr atique de la r gion d ouled chamekh par l
40. D partement de Biologie Universit de Tlemcen RESUME En Alg rie la s cheresse a provoqu une remont e des sels vers la rhizosph re rencontr e particuli rement dans les zones semi arides et arides L identification d esp ces ou de vari t s tol rantes au sel permettrait terme d am liorer la production de ces zones En outre la mise au point de mod les d associations v g tales par exemple halophytes c r ales permettrait non seulement de p renniser la couverture v g tale de ces zones r habiliter mais aussi d assurer la s curit alimentaire gr ce de plus grandes disponibilit s des productions L objectif ce travail est donc de caract riser l effet du stress salin sur la germination de l orge en comparaison avec Atriplex consid r e comme tant l esp ce ad quate dans la mise en valeur des terres d grad es sols pauvres sols sal s sebkha etc et de tester l int r t de l orge dans la mise en valeur agricole des terres ou parcours Atriplex ou ch nopodiac es en g n ral Mots cl s Atriplex halimus comparaison germination Hordeum vulgare salinit SUMMARY In Algeria the drought has causeda riseofsaltstothe root zoneencounteredparticularly in semi arid and arid areas The identification of species or salt tolerant varieties would ultimately improve the production of these areas In addition the development of models of plant associations eg halophytes cereals
41. Internat Carthame Waga Waga Australie Nikzad M Behrouj M Shahdadi M 2013 Evaluation of the Behavior of Spring Safflower Genotypes against Drought Switzerland Research Park Journal 102 3 165 169 Omidi A H 2009 Effect of Drought Stress at different Growth Stages on Seed Yield and some Agro physiological Traits of Three Spring Safflower Cultivars Seed and Plant Production Journal 25 1 15 31 Shao H B Liang Z S Shao M A et al 2005 Changes of some physiological and biochemical indices for soil water deficits among 10 wheat genotypes at seedling stage Colloids Surf B Biointerfaces42 2 107 113 Tahmasebpour B Aharizad S Shakiba M BabazadeBedostani A 2011 Safflower genotypes responses to water deficit Int J Agric Sci 1 2 97 106 1037 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Weiss E A 2000 Safflower In E A Weiss editor Oilseed Crops Blackwell Sci Ltd Victoria Australia pp 93 129 Yau S K 2004 Safflower agronomic characters yield and economic revenue in comparison with other rain fed crops in a high elevation semi arid Mediterranean environment Exp Agric 40 453 462 Yau SK 2006
42. Les eaux superficielles L coulement superficiel permanent est quasi inexistant dans la plupart des pays arabes l exception de quelques pays qui b n ficient de l apport r gulier de fleuves importants provenant de l ext rieur de leurs fronti res le Nil 1000 m s arrose le Soudan puis l Egypte le fleuve S n gal 700 m s est un don pour la Mauritanie Jubba et Shabele irriguent la Somalie et les l gendaires fleuves le Tigre et l Euphrate 13000 m s et 5200 m s offrent des volumes importants la Syrie et l Irak La moyenne de l coulement superficiel est estim e 146 5 km an dont 70 localis s dans seulement quatre pays Irak Soudan Egypte et Maroc Mutin 2007 Ces eaux sont stock es dans de grands barrages comme le barrage d Assouan en Egypte d une capacit de 169 km r gularisant 157 km les barrages Irakiens captent 30 km les 34 barrages marocains retiennent 11 km et ceux du Soudan emmagasinent 8 km Certains pays b n ficient modestement de rares cours d eau permanents Majerda en Tunisie Jourdain en Jordanie Orente et Litani au Liban Yarmouk en Syrie Dans la majorit des pays le r seau hydrographique ne fonctionne que durant la saison pluviale le reste du 1141 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et
43. Mur de sout nement au dessous du glissement de terrain Ainsi il est urgent d am nager ce grand ravin en faisant De la correction torrentielle Au niveau du ravin seuils en gabions aval et en amont cordons des pierres Au niveau de la route des drains des foss s De la correction biologique Reprendre la plantation du vignoble la place de la culture bl vesce avoine orge Remplir le fond du ravin de s diments et le rendre uniforme afin de planter dessus du vignoble Ces travaux de g nie civil se sont sold s par des checs Dans notre secteur le vignoble arrach apr s l ind pendance a t remplac par des c r ales bl dur et orges Or le rem de miracle a l rosion est recherch dans le vignoble ce dernier concurrence l agriculture c r ales Il faudrait entreprendre un am nagement exp rimental et le r aliser avec la population rurale concern e par ce probl me Il s agit de supprimer tous les drains souterrains de r aliser des foss s naturels l aval du village agricole pour r cup rer toutes ces eaux et planter sur tout le versant de la vigne combler le ravin de s diments et enlever les seuils en gabions 3 5 Les boulements Dans la commune de Ouzera les boulements de terrains aux abords de la routenationale RN 01 font aussi rage Un boulement 17 mars 2012 exceptionnel quia eu lieu une centaine de m tres plus en amont du barrage fixe de la
44. Mutin G 2007 Le monde arabe face au d fi de l eau Institut d tude politique de Lyon OMM 1997 L change des donn es m t orologiques Rapport n 837 Pison G 2005 Population et soci t Bulletin mensuel de J institut national d tude d mographique N 414 juillet aout UNESCO et OMM 1997 Y a t il assez d eau sur la Terre Rapport n 857 UNICEF 2002 L eau dans le monde Fiche th matique l eau potable et I assainissement Zeid A 2004 State of water in the arab region CEDARE 1149 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1150 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Variation des compos s bioactifs et de la qualit nutritionnelle de deux cultivars de brocoli Brassica oleracea L var Italica en r ponse au stress salin Chokri Zaghdoud Carlos Alcaraz L6pez C sar Mota Cadenas Maria del Carmen Martinez Ba
45. Nous avons test une relation empirique entre les mesures ECa relev es avec l EM38 en mode vertical et horizontal et SWC sur la gamme de SWC mesur e La r gression lin aire a t test e pour pr dire SWC partir des mesures ECa Il existe une corr lation significative r 0 74 entre les variables mesur es Mots cl s Humidit des sols conductivit lectrique apparente variabilit spatiale 1 INTRODUCTION Knowledge and understanding of the spatiotemporal variability of soil water content at the field or catchment scale are important for assessing the water balance dynamics agricultural production and environmental performances It is important to investigate the changes of soil water content over rainfed cultivated catchment and develop a reliable means for its estimation Spatial measurement of the apparent electrical conductivity ECa has been reported as a potential measurement for predicting variation in crop production caused by soil water differences Heermann et al 2000 The apparent electric conductivity measurements depend on numerous factors including soil texture soil salinity soil water content and soil bulk density Key measures of success were the ease and quality of calibration calibration quality at a range of soil depths and ease of use Electronic induction has been used mainly for salinity mapping Kachanosky et al 1988 It represents a fast non contacting method 1185 Revue des R gions Arides
46. Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 to get possibly information about the field heterogeneity of soil texture and water content Since dry soil is a poor conductor the value of ECa is a reflection of the volumetric soil water content the concentration of dissolved electrolytes in the soil water and the type and amount of clay in the soil McNeill 1980 Rhoades and Corwin 1981 Soil water content is still considered to be the single most important of the four commonly cited factors soluble salts clay content and mineralogy soil water content and soil temperature affecting ECa Brevik and Fenton 2002 Despite conflicting reports ECa has been found to be linearly related with soil moisture content in recent studies Brevik et al 2006 Tromp van Meerveld and McDonnell 2009 If temperature is relatively constant or accounted for and the change in salinity is not great a site specific relationship between ECa and water content can be found Akbar et al 2005 Huth and Poulton 2007 Kachanoski et al 1988 found that ECa explained 96 of the spatial variation in water content in the upper 0 5 m of the profile of a 1 8 ha field The purpose of this study is to better understand the contribut
47. Pour r aliser le stress hydrique nous avons adopt un dispositif permettant d apporter la dose d eau souhait e Les besoins th oriques en eau du ma s sont estim s 600 mm San et al 1999 ETM 100 Pour le stress hydrique les traitements qui sont appliqu s sont To t moin irrigu 100 ETM T traitement recevant 70 ETM T35 traitement irrigu 35 ETM ETM 600 mm et la charge en sel est de 1g l eau de robinet Les traitements appliqu s pour le stress salin sont To t moin irrigu l eau de robinet titrant 1 1 T traitement TO 2g l pour avoir une concentration de 3g 1 T6 traitement TO 5g l pour avoir une concentration de 6 1 Chaque stress a t r alis part et les donn es sont compl tement ind pendantes l une de l autre 1302 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 L eau d irrigation est d livr e aux parcelles par submersion Les parcelles ont re u 2 pr irrigation du semis jusqu au stade 4 feuille date de la diff rentiation des traitements Apr s elles sont irrigu es tous les 10 jours et une fois par semaine d s le d but de la floraison Les essais de stress salin re oive
48. Tableau 2 La salinit a r duit le pourcentage de germination des grains d orge mais variablement selon le traitement et le g notype Sous 3g 1 NaCl les lign es et les vari t s ont maintenu un taux de germination similaire aux t moins Sous 6g 1 les lign es 12 et 16 ont enregistr une baisse de l ordre de 13 Le taux de germination a baiss sous 12g 1 Une r duction de 57 40 et 19 a t not e respectivement chez les lign es 12 16 et 22 alors que la lign e 14 et les vari t s Manel et Rihane ont montr des pourcentages statistiquement similaires aux t moins D autre part ces trois derni res se distinguent par leur plus fort taux de germination 1074 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 2 Effet de NaCl sur le pourcentage de germination des lign es d orge 12 14 16 et 22 et des vari t s Manel et Rihane NaCl g l 12 14 16 22 Manel Rihane 0 94 abc 94 abc 100 a 95abc 99 a 99 a 3 83 bede 92 75 abc 94 abc 99a 99 a 96 abc 6 82 de 91 75 abcd 86 bcde 92 abcd 98ab 96 abc 9 72 ef 85 75 bcde 73 ef 87 bcde 98 ab 97 abcd 12 39 5 g 87 bcde 60 f 77de 95 abc 92 abc NB Les moyennes suivies de la m me lettre ne sont pas signi
49. a Alg rie Kouidri Rabia INRF Ain D heb M d a 26001 Alg rie Email kouidri_rabia yahoo fr RESUME L tude a pour but de mettre en vidence dans la r gion montagneuse de Ouzera M d a Alg rie la dynamique exacerb e du ravinement depuis 1993 jusqu a 2013 et les glissements de terrain ainsi que les boulements lors des travaux routiers r alis s depuis quatre ans au niveau de la route nationale 1 Avant l installation du village agricole la r gion tait couverte de vignoble qui maintenait et prot geait la couverture p dologique Actuellement l claircie de la surface et les pratiques culturales intensives et inappropri es la s v rit du paysage contribuent une rosivit accrue qui d t riore les sols de fa on irr versible A l aval de ce village appara t un grand glissement de terrain Les travaux de g nie civil r alis s en 1987 ont cr un grand ravin Ainsi l volution du versant dens ment peupl village agricole pose de plus en plus de questions quant l avenir de ces milieux et de ces soci t s Les bordures de la route inqui tent juste titre les riverains qui voient leurs champs cultiv s ou leurs pr s peu peu grignot s par les coulements La restauration du ravin est une des actions entreprendre ainsi que l entretien du glissement de terrain L installation du nouveau p le urbain Ouzera et le doublement de la route nationale 1 entre Ouzera et Ben Chicao
50. a t estim e selon l quation suivante Vigueur du grain longueur de la tige longueur de la racine x le pourcentage de germination 100 Les donn es ont t soumises analyse de la variance moyennant la proc dure PROC ANOVA avec l option de comparaison des moyennes LSD du SAS 9 1 Chaque moyenne est affect e d une lettre les moyennes suivies d une m me lettre ne sont pas significativement diff rentes 3 RESULTATS 3 1 Effet de la salinit sur la germination La salinit a affect le pourcentage la vitesse et le temps moyen de germination des grains d orge Des diff rences significatives ont t obtenues pour les facteurs g notype et doses de sel et leurs interactions pour le pourcentage de germination Alors que seul l effet traitement a t significatif pour la vitesse et le temps moyen de germination Tableau 1 Tableau 1 Analyse de variance relative l effet de NaCl sur le pourcentage de germination G la vitesse de germination VG et le temps moyen de germination TMG des lign es d orge 12 14 16 et 22 et des vari t s Rihane Manel S V G VG TMG G notypes G 0 001 0 167 0 057 Traitement T 0 001 0 001 0 001 GxT 0 001 0 983 0 088 Diff rences significatives au seuil de p lt 0 05 et p lt 0 01 respectivement ns Diff rences non significatives au seuil de p gt 0 05 Les taux de germination les plus lev s ont t not s chez les t moins
51. augment cause des temp ratures lev es En pleine floraison la contrainte hydrique a t appliqu e en interrompant l arrosage Le d ficit hydrique a dur 4 jours du 92 au 95 jour apr s semis Des pr l vements ont t effectu s le 94 jour pour le dosage des sucres solubles et la teneure relative en eau a t mesur e le m me jour Les composantes du rendement ont t tudi es la fin du cycle 2 3 D termination de la teneur relative en eau TRE et de la teneur en sucres solubles Dans un premier temps le poids d une feuille fra chement pr lev e de chaque plante est mesur par pes e PF Les feuilles sont ensuite mises s par ment dans des tubes essai contenant de l eau distill e dans le r frig rateur Apr s 4 h d hydratation dans ces conditions les feuilles sont pes es pour obtenir le poids la turgescence PT Le poids de la mati re v g tale s che de ces chantillons PS est obtenu apr s passage l tuve 48 h 60 C La TRE est alors calcul e en utilisant l quation suivante TRE PF PS PT PS 100 Le dosage des sucres est effectu par la m thode l anthrone sulfurique de Mc Cready et al 1950 La lecture est effectu e sur un spectrophotom tre 630 nm La teneur en sucres solubles est exprim e en mg g de mati re v g tale fraiche PF 2 4 Mesures agronomiques et analyses statistiques Nous avons d termin sur chaque plan
52. boue de sucrerie Orge surface foliaire SUMMARY Experiment was conducted under controlled environment at the university Ben Mhidi Oum El Bouaghi NE Algeria during the 2008 2209 academic year to investigate the effect of sewage sludge applications on growth of barley Hordeum vulgare L cultivar Jaidor The study was done using plastic pots of 9000g countenance as elementary plot seeded with 13 kernels per pot Sewage sludge doses applied were the equivalent of zero 20 and 50 t ha for every amendment Measured variables were pH electric conductivity and organic matter for the soil in addition to plant height leaf area accumulated above ground biomass spike length grain number per spike spike number per m and 1000 grains weight Results showed that the physicochemical properties of the soil were positively more affected by the two types of sewage sludge than by sugar plants The morphological parameters and yield of barley responded positively better to doses of applied sewage sludge 22 months but didn t show any differences when amended by sugar plant sludge Applications of sewage sludge improve effectively crop water use efficiency Key words above ground biomass Barley leaf area sewage sludge 1 INTRODUCTION Les activit s humaines g n rent des d chets de plus en plus lev s leur gestion pose de gros probl mes De ce fait il faut trouver les moyens comment les recycler Les boues r siduaires sont les r sulta
53. cessaire l tude de ces derniers Notre travail avait pour objectif de caract riser les param tres physico chimiques des sols ainsi les caract ristiques floristiques pour mieux comprendre le ph nom ne de d gradation de ce milieu Ce travail nous a permis de montrer que les sols caract ris s par une textures sableuses limoneuses pr sence du calcaire gypse sels solubles basiques pauvres en mati res organiques et une min ralisation lev e Les relev s floristiques r v lent uniquement des esp ces steppiques adapt es ce milieu Anabasis Zizyphus Atriplex etc La plupart de ces plantes sont pineuses et leurs densit s sont g n ralement faibles A travers notre tude nous pouvons dire qu il existe une relation entre la distribution de la v g tation et le sol tuteur en d autre terme ces sols portent une v g tation p renne moins dense souvent clairsem e qui ne pouvait assurer pas une bonne protection aux sols contre l rosion olienne et hydrique Pour lutter contre la d gradation de cet cosyst me fragile il est important de choisir des esp ces ad quates car son fonctionnement cologique d pend fortement sur de meilleures interactions entre la v g tation et le sol Mots cl s relation sol v g tation steppe M doukal SUMMARY The study area is located near the perimeter of the basin Hodna between Barika and M Doukal about 3 km north east of the city of M Doukal Its altitude varies from 420 and 4
54. de ce param tre en fonction de l augmentation des concentrations de NaCl avec une grande variabilit p lt 0 01 entre g notypes d orge Tableau 3 Tableau 3 Analyse de variance relative l effet de NaCl sur la longueur de I picotyle LE la longueur de la radicule LR et la vigueur de graines VIG des vari t s d orge Rihane et Manel et des lign es 12 14 16 et 22 S V LE LR VIG G notypes G 0 001 0 001 0 001 Traitement T 0 001 0 001 0 001 GxT 0 001 0 048 0 01 Diff rences significatives au seuil de p lt 0 05 et p lt 0 01 respectivement ns Diff rences non significatives au seuil de p gt 0 05 La comparaison multiple des moyennes indique que les t moins Manel et Rihane ont d velopp la longueur de l picotyle la plus lev e suivis en seconde position par la lign e 14 Alors que les lign es 22 16 et 12 montrent la longueur la plus faible Tableau 4 Ce classement a t maintenu sous 3g l tout en notant que ce traitement n a pas induit chez les lign es d orge une d croissance significative de l picotyle l exception de la lign e 22 A partir du seuil 6g l une r duction significative est per ue chez les lign es 12 16 22 Manel et Rihane avec une r duction respective de l ordre de 53 68 37 34 et 25 alors que la lign e 14 montre une longueur statistiquement similaire celle du t moin Sous le seuil 12g l Rihane montre la croissance en pico
55. des milliers de quintaux de produits alimentaires et autant de main d ceuvre agricole directe et indirecte Mutin 2007 Ainsi la pluviom trie moyenne est valu e 50 mm mensuellement et 156 mm annuellement FAO 1997 Les pays du Golfe arabique et l Egypte ont une moyenne de 18 mm an alors que celle du Liban 1140 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 culmine singuli rement 827 mm Zeid 2004 Ces disparit s existent au sein d un m me pays et les isohy tes sup rieurs 500 mm couvrent des aires infiniment restreintes et majoritairement montagneuses sachant qu au dessous de 350 mm la production agricole exige le recours l irrigation Les t s sont secs et durent entre 3 et 10 mois selon les pays durant lesquels la pluviom trie est totalement absente Zeid 2004 Plus de 85 de la r gion arabe est class e dans laride et l hyperaride avec des pluies inf rieures 250 mm Mutin 2007 Les temp ratures saisonni res moyennes fluctuent entre 10 C en hiver et 25 C en t La moyenne mensuelle durant les 30 derni res ann es dans le d sert varie autour de 30 C pendant 7 mois de l ann e Mutin 2007 Les records de temp
56. duire d une mani re biologique les contraintes dapho climatiques d un milieu de plus en plus soumis aux perturbations occasionn es par les changements climatiques REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Abassi M Mguis K Ben Nja Rihab Albouchi A Boujneh D et B jaoui Z 2012 Adaptations micromorphologiques foliaires d velopp es par le peuplier blanc Populus alba L face la salinit Acta Botanica Gallica Journal 159 9 15 Ait Said S N Smail Saadoun and S Kadi Bennane 2005 Etude comparative de trois populations de Pistacia atlantica Desf Ain Oussera Messad Tamanrasset par le biais des dimensions stomatiques Acte des journ es Scientifiques de l INRGREF Ann INRGREF 7 19 26 1283 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Alilou H R Rouhi and LM Idrissi Hassani 2006 Effet de la pollution mini re sur les parametres stomatiques chez Argania spinosa L Biol Biotec 5 41 45 Ashraf M MR Foolad 2007 Roles of glycine betaine and proline in improving plant abiotic stress resistance Environmental and Experimental Botany 59 206 216 ASLOUM H 1990 Elaboration d un syst me de production maraich re Tomate Lycopersicum
57. es de 1983 a 2008 nous avons g n r l aide d un sous programme ClimGen dans Cropsyst des donn es climatiques pour une trentaine d ann es 2011 2040 De m me partant du fait que le changement climatique conjugu d autres facteurs environnants des cultures pourrait modifier dans le futur les conditions de culture du ma s fourrager on a g n r des donn es climatiques pour la m me p riode en adoptant deux sc narios respectifs d augmentation de la temp rature de let 2 degr s Celsius 2 5 Simulation long terme Suite aux travaux d enqu tes et de collecte des donn es relatives la culture de ma s fourrager et les 1257 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 conditions environnantes des exploitations nous avons construit dans une premi re tape un mod le de culture pour chaque exploitation type Une fois calibr ce mod le a t utilis pour les simulations Anderson 1968 et Csaki 1985 en gardant les m mes techniques culturales adopt es par les agriculteurs et en utilisant les donn es climatiques g n r es de 2011 2040 avec et sans changement climatique On a tudi le comportement de diff rents sols et la r
58. et a partir de la consultation des experts Afin de classer l aptitude d un site une telle activit un poids est attribu chaque sous crit re La pond ration exprime l importance d un crit re par rapport aux autres relatives l activit en question Le processus de pond ration est r alis travers une matrice de comparaison par paires entre les l ments de chaque niveau de la hi rarchie Saaty 1980 La pond ration finale de chaque sous crit re est le r sultat de la multiplication des poids obtenus des sous crit res et crit res des niveaux sup rieurs de la structure hi rarchique Tableau 1 Tableau 1 Poids de la hi rarchie pour les sites potentiels aux bassins d infiltration percolation Crit re Sous crit re k Poids Poids locaux globaux p Techniques 0 33 Texture du sol 0 269 0 089 G ologie 0 269 0 089 Profondeur ZNS 0 269 0 089 Salinit du sol 0 077 0 025 Salinit de l eau 0 077 0 025 1181 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Pente 0 036 0 012 Economiques 0 33 El vation 0 571 0 188 Distance SE 0 285 0 094 Occupation des 0 142 0 047 sols Environnementaux 0 33 Distance ZUr 0 623 0 206
59. et d am liorer la qualit des eaux us es trait es Un traitement tertiaire est programm moyennant des lampes UV et un filtre sable ONAS communication personnelle 2012 Le CRDA Nabeul pr voit que l eau trait e l horizon de 2025 sera de l ordre de 4 8 Mm an CRDA 2008 2 2 Description de la m thodologie Afin de localiser les meilleurs sites favorables l installation des bassins d infiltration percolation pour infiltrer les 4 8 Mm an produites des stations SE3 et SE4 la m thode d analyse multicrit re AHP combin e avec les SIG a t utilis e La m thodologie englobe les tapes suivantes 1180 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 2 1 Identification des contraintes Le choix des ces contraintes et les limites d aptitudes pour d limiter les zones favorables la recharge de la nappe phr atique de Nabeul Hammamet par les EUT a t fait selon la bibliographie Kallali et al 2007 Anane et al 2008 Pedrero et al 2011 Rahman et al 2012 Rahman et al 2013 et partir de la consultation des experts Ces contraintes et les limites d aptitudes sont Profondeur de la zone non satur e gt 5m pente lt
60. fonction du temps et de trois r gimes hydriques L analyse de cette figure montre qu en r gime irrigu e 100 CC Boussa d produit la plus grande teneur en sucres solubles 7 5 mg g MF alors que la teneur de Bsissi est de l ordre de 5 42 mg g MF Le d ficit hydrique R 50 CC augmente l accumulation des sucres solubles chez les deux provenances tudi es dans ces conditions de d ficit hydrique C est la provenance Boussa d qui produit plus de sucres 9 18 mg g MF L application d un r gime s v re R 25 CC montre que les deux provenances Boussa d et Bsissi pr sentent respectivement des valeurs moyennes de teneur en sucres solubles de l ordre de 13 43 mg g MF et 8 95 mg g MF Le gain en sucres est de l ordre de 44 16 chez la provenance Boussa d et 39 45 chez Bsissi 3 3 Effet du stress hydrique sur la teneur en proline La variation de la teneur en proline chez les deux provenances illustr e dans la figure 3 50 40 b mBSISSI a BOUSAID 20 10 Teneur en proline mg g 1MS 0 T RO R2 R1 R gime hydrique Figure 3 Variation de la teneur en proline chez les deux provenances du henn Boussaid et Bsissi en fonction du temps et de trois r gimes hydriques 1161 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Bi
61. g tale pour estimer les r sultats de diverses techniques culturales pour mesurer la d gradation des ressources naturelles notamment les ressources en eau et en sol et l valuation de l impact de diff rentes politiques agricoles sur les r sultats techniques Il a t utilis et valid pour les r gions semi arides notamment la basse vall e de la Medjerda Mlaouhi 2002 Belhouchette 2004 Abbes 2005 Mlaouhi et al 2012 Mlaouhi et al 2013 1256 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 En effet nous avons introduit les donn es relatives la localisation au climat de la r gion la granulom trie et la salinit de d part des trois types de sols relatifs aux exploitations cultivant le mais fourrager et aux param tres physiologiques de la culture ainsi que la description du syst me d assolement et les quantit s d eau d irrigation et d engrais appliqu es par les agriculteurs Ces donn es sont n cessaires pour faire interagir entre eux les modules int gr s dans Cropsyst Module localisation et climat Module sol Module salinit Module culture 2 3 1 Principe de base du fonctionnement du mod le agronomique En g
62. gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 chaque traitement des trois lots les plantes ont t arrach es a la fin de la p riode d exp rimentation Les poids frais des trois organes v g tatifs des plantes notamment les feuilles les tiges et les racines ont t d termin s Ensuite apr s s chage des chantillons l tuve 74 C pendant 48 heures les poids secs de ces chantillons ont t mesur Ainsi le rendement en mati res s ches a t d termin selon la formule suivante pour tous les chantillons pr lev s MS PS PF 100 Avec PS Poids sec g PF Poids frais g 2 3 Analyses min rales Des chantillons de feuilles de tiges et de racines ont t collect s partir de chaque type de traitement des trois lots de plantes Une fois pr lev s les chantillons ont t lav s afin de se d barrasser de la poussi re et des d bris puis dess ch s dans l tuve 74 C pendant 48 heures jusqu constance du poids Ensuite les diff rents organes v g tatifs dess ch s sont broy s finement et la poudre v g tale ainsi r cup r e est conserv e dans des piluliers herm tiques pour le dosage des l ments min
63. ils exploitent respectivement l quivalent de 950 et 741 de leurs RER autant dire qu ils ne comptent pas du tout sur les ressources renouvelables Tous les autres pays utilisent plus de 40 des RER l exception du Soudan et du Liban L examen de la r partition des pr l vements y compris les eaux non conventionnelles sur la population montre que l Irak vient en t te avec 1486 m hab an suivi de l Egypte 803 m hab an de l Arabie Saoudite 663 m hab an et d Oman 583 m hab an Ces pays constituent 40 de la population arabe et b n ficient d une dotation annuelle sup rieure 500 m hab On en d duit que 60 de la population ont une dotation th orique comprise entre 500 et 100 m hab an A titre de comparaison la France l Allemagne l Espagne et I Italie exploitent environ 24 des RER en revanche les pays nordiques Norv ge Su de et Irlande ne d passent pas 2 CNRS 2007 L Egypte est le pays qui r serve le plus d eau en volume la consommation domestique industrielle et agricole mais c est le Kowe t qui utilise la plus grande part 78 des pr l vements au profit de la consommation domestique les taux les plus faibles sont paradoxalement ceux du Soudan 1 et de P Irak 3 Les pays qui r servent le plus d eau l industrie sont le Qatar 25 et l Alg rie 15 il s agit probablement de l industrie p troli re 1143 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial
64. irrigation comporte 32 Kharrouba l quivalant de 16 Thman Selon le mode de r partition il existe deux types de Kharrouba la Kharrouba diurne et la Kharrouba nocturne La Kharrouba diurne est variable selon les saisons en fonction de la dur e d ensoleillement jour Elle mesure un espace temps d intervalles irr guliers La Kharrouba nocturne est constante et mesure un espace temps d intervalles r guliers qui correspond deux 2 doigts sur la barre de graduation du Majen Elle est valu e un temps de 30mn pour un volume d eau bien d termin 3 2 4 Une r partition autocontr l e On constate dans ce syst me d irrigation aucune existence d institution ou d association ou responsable de contr le de la bonne gestion de l eau et le r glement du conflit Ainsi que l absence de document officiel mentionnant les parts d ayants droits les transactions ou les r gles de fonctionnement La responsabilit est partag e entre les deux ayants droits pr sents au moment de l irrigation Celui qui irrigue et celui qui attend son tour En cas de conflit les agriculteurs se r unissent pour juger les infractions Le groupe s autocontr le lui m me en appliquant et revendiquent ses r gles principes et valeurs En cas d absence de la personne qui va succ der l agriculteur en fin de tour d irrigation ce dernier peut utiliser la part de son succ deur et devient un pr t Dans le cas contra
65. lectivit est tr s faible au niveau des racines surtout au niveau des plantes non mycorhiz es et irrigu es par des eaux normales Ceci est probablement d la pauvret des eaux de robinet en ions K et par cons quent il para t que les racines mycorhiz es absorbent et conservent une quantit de sodium sup rieure celle des racines non inocul es Ces r sultats confirment ceux de Rinaldelli et Mancuso 1996 qui ont trouv un rapport K Na plus faible dans les racines que dans les feuilles et ceci surtout chez les plantes mycorhiz es Distribution des m taux lourds non essentiels Le cadmium Les r sultats enregistr s dans la figure 3 montrent que les concentrations de cadmium absorb es par les diff rentes plantes d olivier sont plus importantes chez les plantes non mycorhiz es En fait pour tous les traitements hydriques confondus les plantes inocul es par M et par M ont absorb respectivement 1 333 ppm et 1 350 ppm de Cd alors que les plantes non mycorhiz es ont absorb 1 992 ppm de Cd Les champignons ont contribu au freinage de l absorption de Cd par les jeunes oliviers De plus l irrigation par des EUT a provoqu une intense accumulation de Cd au niveau des diff rents organes des plantes surtout celles non mycorhiz es En effet les EUT utilis es en irrigation des oliviers contiennent des concentrations tr s lev es en cet l ment d passant les normes tunisiennes fix es pour l utilisation agricole 0
66. n ral la croissance de la culture passe par plusieurs phases successives de d veloppement constituant un cycle d pendant des facteurs g n tiques daphiques et environnementaux Pendant chacune de ces phases les facteurs limitant d ficit hydrique salinit nutrition azot e etc interviennent en tant que fonctions r ductrices selon la loi du minimum tablie par Justus Von Liebig en 1840 Cette loi est traduite par la non substituabilit entre les inputs agricoles eau salinit doses azot e etc quelque soit les doses appliqu es Ackello Ogutu et al 1985 Frank et al 1990 Berck et Helfand 1990 Paris 1992 Berck et al 2000 Partant de l hypoth se de non substituabilit entre les inputs la fonction de production de Von Liebig repr sent e par exemple pour l eau E et l azote N B etU desconstantes d terminer prend la forme suivante Y min Y B p Ei uni B Ba Ni uxi Cette fonction implique que la plante r pond d une mani re lin aire uniquement au facteur le plus limitant Apr s un certain niveau d apport d eau E er d azote N la culture ne r pond plus des apports suppl mentaires et le rendement maximal Y est atteint Belhouchette 2004 et Abbes 2005 Plus tard certains agronomes croyant en un certain niveau de substituabilit entre les inputs des faibles doses d application ont d velopp d autres formes fonctionnelles telles que les Von Liebig non l
67. ont t mesur es sur la 3 feuille partir de la feuille drapeau au stade p teux e Les talles basales pour chaque plante sont d nombr es au stade p teux e Le rendement en mati re verte a t estim pour chaque carr de 25 m puis ramen I hectare e L extraction de la chlorophylle des tissus foliaires a t effectu e sur la 3 feuille selon la m thode de Hiscox et Israelstam 1979 Cette technique utilise le DMSO dim thylsulfoxide comme solvant et ne n cessite ni broyage ni mac ration du tissu v g tal La teneur en chlorophylle totale a t estim e par la formule d Arnon 1949 2 4 Analyse statistique Les r sultats sont soumis l analyse de la variance un ou deux facteurs et les moyennes sont compar es selon la m thode de Bonferonni bas e sur la plus petite diff rence significative Chaque moyenne est affect e d une lettre les moyennes suivies d une m me lettre n tant pas significativement diff rentes 3 RESULTATS ET DISCUSSION La tol rance la salinit est exprim e habituellement en termes de croissance de rendement ou de survie De plus la croissance des plantes est contr l e g n tiquement mais l expression de ses potentialit s est tributaire des conditions de culture Boyer 1982 A cet gard et pour estimer la tol rance de 2 cotypes de mil au sel nous avons mesur des param tres relatifs leur croissance a rienne et leurs productions
68. ponse de la culture du mais fourrager long terme et Vimpact du changement climatique sur les rendements de cette culture et la salinit du sol En deuxi me lieu nous avons adopt quatre sc narios d irrigation qui consistent augmenter les doses d irrigations initiales respectivement de 20 40 60 et 100 pour d terminer les effets sur la salinit du sol et le rendement de la culture Les sc narios adopt s pour cette tude sont d taill s comme suit SC1 Situation initiale quantit s d eau initialement appliqu es par chaque exploitation SC2 Situation initiale augmentation de la temp rature de 1 degr C SC3 Situation initiale augmentation de la temp rature de 2 degr C SC4 Situation initiale augmentation de l irrigation de 20 SCS Situation initiale augmentation de l irrigation de 40 SC6 Situation initiale augmentation de l irrigation de 60 SC7 Situation initiale augmentation de l irrigation de 100 2 6 Couplage des mod les On a tablis des mod les conomiques par exploitation bas s sur la programmation math matique et une criture alg brique sp cifique Calibr s et valid s ils ont t aliment s par les coefficients techniques issus des mod les agronomiques et d autres facteurs de productions aff rents chaque exploitation Par la suite on a tablis des simulations pour tudier les effets de la salinit conjugu s au changement climatique ainsi que les effets
69. qui peut r duire ou retarder la germination Waisel 1972 D autre part une grande variabilit a t not e entre lign es et traitements pour la croissance de l picotyle et de la radicule La lign e 14 Manel et Rihane ont montr la longueur de l picotyle la plus lev e par comparaison aux lign es 12 16 et 22 d notant d un plus fort potentiel de croissance sous des conditions optimales L addition des doses croissantes de NaCl a inhib la germination des grains en provoquant un retard dans l appartion de l picotyle Tableau 4 Le traitement 6g l a r duit cette croissance chez toutes les lign es l exception de la vari t 14 Une grande variabilit entre lign es a t not e pour la longueur de la radicule A l inverse de croissance au niveau de la partie a rienne la croissance racinaire des t moins des lign es 12 16 et 22 a t plus lev e que celle de la lign e 14 Manel et Rihane Tableau 5 Ces lign es semblent favoriser la croissance racinaire aux d pens de celle a rienne qui peut s av rer comme moyen d adaptation aux conditions de d ficit hydrique Par 1077 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 ailleurs la croissan
70. tote E 2 gt a 2 amp O O e NU BB UT DN Figure 1 Variation du taux de chlorophylle a chez les esp ces tudi la fin des deux cycles de stress hydrique TCB plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Jerba SCB plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Jerba TCA plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma SCA plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma TD plants t moin de Digitaria commutata de Bouhedma SD plants stress de Digitaria commutata de Bouhedma TCC plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Matmata SCC plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Matmata 3 2 Variation du taux de chlorophylle b Les valeurs sont de l ordre de 1 21 1 13 1 90 et O mg g chez les stress s et de 0 39 1 52 4 08 et 0 55mg g pour les t moins respectivement pour les populations de Jerba Bouhedma Cenchrus ciliris et Digitaria commutata et Matmata la fin du premier cycle de s cheresse A la fin du deuxi me cycle de s cheresse les valeurs sont de l ordre de 0 0 039 0 20 et O0 mg g chez les stress s et de 0 57 0 090 0 41 et 0 08 mg g chez les t moins respectivement pour les populations de Jerba Bouhedma Cenchrus ciliris et Digitaria commutata et Matmata Les valeurs les plus lev es sont enregistr es chez la population de Digitaria commutata Bouhedma 1 90 mg g moindre
71. would not only perpetuate the vegetation cover in these areas but also to ensure food security through greater availability of production The objective of this work is to characterize the effect of salt stress on germination of barley compared with Atriplex considered as the adequate species in the development of degraded lands poor soils saline soils sebkha etc and to test the interest of barley in the agricultural development of land of Atriplex or Chenopodiaceae in general Key words Atriplex halimus comparison germination Hordeum vulgare salinity 1 INTRODUCTION Les zones arides et semi arides couvrent pr s des 2 5 des terres cultivables du monde Le Hou rou 1989 1995 Bounaqba et al 1996 et plus des 3 4 de la superficie de l Alg rie Djebaili 1984 Dans ces zones les ressources en eau disponibles sont le plus souvent de qualit m diocre La croissance de la population et par cons quent l augmentation des besoins alimentaires impose la valorisation agronomique agricole pastorale et sylvicole de ces r gions Les recours l irrigation en utilisant des eaux saum tres est alors devenue une activit oblig e La r sistance ou m me la tol rance l aridit et la pr sence de sel sont des qualit s largement recherch es afin d en largir la culture aux r gions difficiles La mise au point de mod les d associations v g tales par exemple halophytes l gumineuses ou halophytes c r ales
72. 12 2013 Un choix appropri des sites favorables la r utilisation des EUT pour la recharge artificielle des nappes requiert une combinaison des outils et des m thodes qui int grent d un cot la composante g ographique pour la gestion des donn es spatiales en l occurrence les Syst mes d Information G ographique SIG et de l autre cot des techniques de l analyse multicrit res pour l aide la d cision MCDA La MCDA combine les crit res conomiques sociaux environnementaux et techniques et les pond rent en fonction de leurs importances objectif escompt ou l allocation du terrain voulue Les SIG analysent et traitent spatialement ces crit res et permettent d obtenir des cartes en fonction des objectifs Engel et al 2003 Cette combinaison aboutit une s lection et un classement des meilleurs sites favorables l allocation du terrain voulue Plusieurs travaux concernant diff rentes applications de cette m thodologie ont t r alis s tels que la s lection des zones de d charges des d chets solides Nouri et al 2011 des a roports Ding et al 2011 Il existe plusieurs m thodes de MCDA tels que ELECTRE PROMETHEE AHP TOPSIS AIM Gilliam et al 2005 Gomez et Barredo 2005 Zhong Wu et al 2006 Cependant peu d entre elles peuvent s int grer dans un SIG Gomez et Barredo 2005 Marinoni 2004 dont l Analytic Hierarchy Process AHP qui est la plus utilis e Malgr
73. 2006 When total carbonate levels exceed the total amount of calcium and magnesium the water quality diminished This excess is evaluated by the Residual Sodium Carbonate RSC A RSC lt 1 25 meq I is safe for irrigation USSL 1954 In the present study at the irrigation sites the recorded RSC values ranged from 8 83 to 6 80 meq 1 Table 2 All the samples had negative RSC values which indicated that El Gourzi water is of safe quality for irrigation purposes as far as this parameter is concerned According to Tiwari and Manzoor Tiwari amp Manzoor 1998 negative RSC values are indicative of no complete precipitation of calcium and magnesium Table 2 EC SAR Na and RSC variation of El Gourzi waters at the points of use for irrigation Parameters El E2 E3 E4 E5 E6 E7 EC at high flow period mS cm 2 25 2 51 2 23 2 07 1 94 1 95 1 87 EC at low flow Period mS cm 2 32 2 64 2 75 2 56 2 44 2 12 2 20 SAR m q I 6 53 3 34 3 53 3 42 5 72 6 96 6 40 Na 53 08 37 51 39 37 37 79 50 21 50 10 45 91 RSC meq I 7 33 19 81 6 82 8 32 8 15 6 80 8 84 Table 3 Results interpretation of USSL and Wilcox diagrams Period Station EC class SAR Class S ar Wilcox Class Eu High Low C3S Doubtful To Unsuitable High Es High Low C3S Permissible To Doubtful flow Eon High Low C3S gt Permissible To Doubtful Ex High Low C
74. 2008 Leaf water balance mediated by aquaporins under salt stress and associated glucosinolate synthesis in broccoli Plant Sci 174 321 328 L pez Berenguer C Martinez Ballesta MC Moreno DA Carvajal M Garcfa Viguera C 2009 Growing hardier crops for better health salinity tolerance and the nutritional value of broccoli J Agr Food Chem 57 572 578 Moreno DA Carvajal M Lopez Berenguer C Garcfa Viguera C 2006 Chemical and biological characterisation of nutraceutical compounds of broccoli J Pharm Biomed Anal 41 1508 1522 Scheuner ET Krumbein A Schonhof I Schreiner M 2005 Increasing the alkyl glucosinolate level in Broccoli by leafstalk infusion of methionine J Appl Bot Food Quality 79 175 178 Schonhof I Kl ring HP Krumbein A Schreiner M 2007 Interaction between atmospheric CO and glucosinolates in broccoli J Chem Ecol 33 105 114 Szabolcs I 1994 Soils and salinization In Pessarakli M Ed Handbook of Plantand Crop Stress Marcel Dekker Inc New York USA 3 11 pp Tanji KK 2002 Salinity in the soil environment In L uchli A L ttge U Eds Salinity Environment plants molecules Kluwer Academic Publishers Dor drecht The Netherlands 21 51 pp Tian Q Rosselot RA Schwartz SJ 2005 Quantitative determination of intact glucosinolates in broccoli broccoli sprouts Brussels sprouts and cauliflower by high performance liquid chromatography electrospray ion
75. 38 1 49 0 26 3 49 0 88 0 24 E 0 43 0 09 0 03 0 33 0 09 0 01 0 39 0 03 0 01 d b a d c a b e c d b 3 23 0 81 0 24 5 46 1 45 0 26 2 89 0 67 0 23 E1 2 0 37 0 10 0 02 0 97 0 20 0 02 0 18 0 04 0 02 d b a d c a b e c b 2 85 1 19 0 26 5 10 1 45 0 29 2 64 1 71 0 19 E1 3 0 16 0 17 0 01 0 41 0 15 0 05 0 21 0 20 0 01 d c a d c b e de a 4 50 2 96 0 24 5 99 1 58 0 25 3 20 0 87 0 17 e 0 29 d 0 22 0 01 0 14 0 17 0 02 0 35 0 05 0 03 d a d c a e c d a En comparant I effet des deux souches on constate que le rapport K Na est l g rement moins lev chez les jeunes oliviers inocul s par M Ce r sultat pourrait tre expliqu par la performance de la souche M en favorisant une meilleure absorption de K De plus le rapport K Na est plus important au niveau des feuilles avec une tr s faible variation entre les traitements hydriques Ceci s explique par le faible taux de sodium dans les feuilles gr ce l existence du ph nom ne d exclusion naturel qui est particuli rement plus efficace chez les plantes mycorhiz es Ce taux est gal 5 99 chez les plantes inocul es par M et irrigu es avec une eau normale En fait le ph nom ne d exclusion permet d att nuer la translocation des ions toxiques vers la partie a rienne la limitation du stress osmotique et la protection des tissus en croissance Toutefois ce rapport de s
76. 48 7 Im 107 hi 12 10 3 0 29 2 mn 14 36 no 49 kim 22 1no 76 5 j NB Les moyennes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 4 DISCUSSION Les r sultats montrent une variabilit dans la r ponse la salinit des g notypes d orge Le traitement 3g 1 n a pas r duit la germination des lign es test es t moignant de la tol rance de l orge aux doses mod r es de NaCl Haouala 1999 Sous les doses plus lev es de sel la germination a t inhib e mais de mani re variable selon le g notype Les lign es 12 16 et 22 ont t sensibles au seuil 6g l alors que la lign e 14 Rihane et Manel ont tol r le seuil extr me 12g l d notant de leur capacit d adaptation aux seuils lev s de salinit La vitesse de germination a t la plus rapide chez les t moins et sous le traitement 3g l NaCl Figure 1 Par contre sous l effet des doses plus lev es elle a consid rablement chut Il en a t de m me pour le temps moyen de germination plus court chez les t moins et sous le traitement 3g l et s est ralentit partir du seuil 6g l atteignant un maximum sous 12g l Figure 2 Ces r sultats concordent avec ceux de Tavil et Biniaz 2009 qui ont montr une inhibition significative de la germination de l orge sous des doses lev es de sel L augmentation de la concentration saline au stade germination souvent induit une l vation de la pression osmotique du milieu et ou une toxicit
77. 5 mm ten day for R and RMSE respectively Both ANN ygec 5 5 1 and ANNeggec 5 12 1 appealing to sunshine duration and temperatures as common inputs performed better than the other ANNs in estimating the PM ETo except for ANN gecio 6 12 1 The corresponding performance criterion RMSE for the validation periods 01 January 2002 to 31 December 2004 are 5 3 mm ten day and 5 8 mm ten day for ANN gec7 5 5 1 and ANN accs 5 12 1 respectively Table 3 Performance criteria of ANNs conceived and their inputs and architecture obtained at ten day time steps Neural Input combination Architecture R R RMSE RMSEval model training validation training idation ANN deci Tmax and Tmin 2 5 1 0 725 0 762 6 8 7 1 ANN dec Tmax Tmin and Tmoy 3 7 1 0 727 0 759 6 8 7 2 ANN ec3 Tmax Tmin and HR 3 6 1 0 721 0 760 6 9 7 5 ANN gec4 Tmax Tmin Ins 3 3 1 0 835 0 845 5 3 7 1 ANN accs Tmax Tmin Tmoy Ins 4 8 1 0 876 0 842 4 6 5 8 ANN gece Tmax Tmin Tmoy and U 4 13 1 0 735 0 778 6 7 6 9 ANN ec7 Tmax Tmin Tmoy HR Ins 5 12 1 0 878 0 887 4 5 5 8 ANN decg Tmax Tmin Tmoy U Ins 5 5 1 0 908 0 890 3 9 5 3 ANN deco Tmax Tmin Tmoy U2 HR 5 6 1 0 840 0 808 5 2 7 5 ANN accio Tmax Tmin Tmoy HR U3 Ins 6 7 1 0 896 0 912 4 2 4 5 fiordo a o a a O o E E lt lt Note RMSE mm ten day 1044 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des
78. 50 60 70 time decade PM ETO mm decade Ww Oo ETO mm decade Ss ANNdec ET0 mm decade oO 40 50 60 70 37 time decat 1 PM ETO mm decade Figure 3 Comparison of the ten day ETO estimated by ANN models selected and PM FAOS56 equation during the validation 1045 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 3 Monthly time step PM FAO56 and ANNs methods were used to estimate monthly ETo mm month Comparison between these methods is shown in figure 4 while the summary of statistic results is presented in table 4 Table 4 Performance criteria of ANNs conceived and their inputs and architecture obtained at monthly time steps Neural Input combination Architecture R RK RMSE RMSE training validation training validation model ANN m Tmax and Tmin 2 3 1 0 728 0 732 20 5 20 3 ANN m2 Tmax Tmin and Tmoy 3 5 1 0 772 0 732 18 8 24 0 ANN m3 Tmax Tmin and HR 3 7 1 0 821 0 867 16 6 16 0 ANN m4 Tmax Tmin Ins 3 7 1 0 885 0 801 13 4 28 4 ANN ns Tmax Tmin Tmoy Ins 4 11 1 0 882 0 894 13 5 14 8 ANN mo Tmax Tmin Tmoy and U2 4 12 1 0 789 0 797 18 1 19 7 ANN m7 Tmax Tmin Tmoy HR Ins 5 21 1 0 930 0 914 10 4 15 0 ANN ms Tmax
79. 60 60 60 80 40 40 20 3 2 2 Pourcentage de d bourrement des bourgeons 1 2 et 3 sur la baguette Les pourcentages de d bourrement des bourgeons 1 2 et 3 pour chaque cotype et pour les deux qualit s d eaux d irrigation sont regroup s dans le tableau 3 Le tableau 3 montre que Pour le bourgeon 1 le taux de d bourrement moyen est de 28 et 26 respectivement pour les ceps irrigu s par les eaux douces et sal es Ces taux sont variables d un c page un autre Les variations les plus remarquables sont enregistr es chez la vari t Kahlal qui a montr un taux de 60 pour S1 et qui a chut 0 sous conditions de salinit Pour le bourgeon 2 le taux de d bourrement moyen pour ce niveau a galement enregistr une l g re diminution pour l ensemble des cotypes Cette diminution est enregistr e principalement pour Meskil Meski2 et Kahlal Concernant le bourgeon 3 le taux de d bourrement moyen est de 68 pour les deux qualit s d eau d irrigation Par ailleurs nous avons enregistr des r actions diff rentes selon les c pages En effet une diminution du taux de d bourrement a t enregistr e pour les Meskil et Kahlal Par contre pour le Muscat d Italie Arbi 2 et Guelb Sardouk nous avons enregistr des augmentations dans leur taux de d bourrement qui a varie de 60 80 pour respectivement les ceps irrigu s par l eau faible et haute salinit En consid rant l
80. 79 Rubio J S Rubio F Martinez V Garcfa Sanchez F 2010 Amelioration of salt stress by irrigation management in pepper plants grown in coconut coir dust Agricultural Water Management 97 1695 1702 Zhani K Elouaer MA Aloui H Hannach C 2012 Selection of salt toleranttunisian cultivar of chili pepper Capsicum frutescens Eurasian journal of Boisciences 6 47 59 Zribi L Gharbi F Rezgui F Rejeb S Nahdi H Rejeb M N 2009 Application of chlorophyll fluorescence for the diagnosis of salt stress in tomato Solanum lycopersicum variety Rio Grande Scientia Horticulturae 120 367 372 1098 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Rain harvesting a key for water supply in semi arid regions Algerian experience Salah Zereg BP 121 Barika 05001 Algeria Email zs_hcds yahoo fr SUMMARY The collection of rainwater was and will remain one of the solutions to supply human water needs as and when his standard of living increases By construction of reservoir or derivation constructions big dams small dams channels but those infrastructures remain dependent in two principal boundary conditions first is
81. ACP2 repr sente 19 27 de la variabilit totale li e aux caract res HZ69 NGE NE et PMG Figure 10 Analyse en composantes principales r gime non stress gauche projection des variables sur les axes ACPI et ACP2 droite r partition des vari t s dans le plan des axes ACP1 et ACP2 1296 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 La distribution des individus montre l existence de 6 groupes de vari t s Le premier groupe repr sent en vert et est form par les vari t s qui sont proches du centre d ACP ces vari t s pr sentent des valeurs moyennes de tous les param tres l ensemble est form de 5 accessions CHK 2 accessions am lior es une accession PK et une allochtone A droite du graphique un deuxi me groupe qui semble tre form des vari t s les plus performantes de point de vue RG RP et RB Il s agit des 3 accessions V32 et V29 qui sont toutes les deux locales en plus de V36 CHK Par opposition de ce groupe on trouve le troisi me groupe repr sent en rouge qui comprend les vari t s ayant les plus faibles rendements pour tous les param tres A noter ce groupe est compos de deux accessions a
82. Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Pour les individus qui sont irrigu s avec les eaux de robinet Figure 7 le diam tre varie en moyenne de 1 33 mm au d but 1 65 mm la fin de l exp rience et de 1 18 1 35 mm pour les individus du deuxi me bloc La croissance des diam tres est plus faible dans le bloc 2 qui gale 0 17 mm par rapport aux bloc gale 0 32 mm La faible croissance d Acacia farnesiana dans le bloc irrigu avec les eaux us es pur es par rapport au bloc irrigu avec les eaux de robinet est due 4 un arr t de croissance que nous avons constat e pour 18 plantes Cet arr t de croissance pourrait tre expliqu par le fait que certains individus n ont pas r sist aux effets de vents de sables tr s fr quents pendant la p riode de l exp rience D autre part les eaux urbaines m me pur es sont caract ris es par une conductivit lectrique tr s lev e qui pourrait expliquer en partie les faibles croissances obtenues Eau de forage O c o nn 5 v 5 Ay Ab 0 WO LE I Figure 6 Courbes de croissance en hauteur d Acacia farnesiana dans les deux blocs exp rimentaux m 00 Eau de forage m D la B oO Eau pur e a N oO Diam tre en mm e O O fad Wied eee D Ab a Wh PO O L
83. Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Valorisation de la qualit biologique des eaux de surfaces destin es pour l irrigation cas de zone humide Lac des Oiseaux Alg rie Toumi Abir Alayat Hacen Houhamdi Moussa Laboratoire Agriculture et fonctionnement des cosyst mes Universit d El Tarf 36000 Alg rie Laboratoire Eau Environnement Universit 8Mai 1945de Guelma 24000 Alg rie Email abirmhd yahoo fr houhamdimoussa yahoo fr tabirdz25 gmail com RESUME Une politique de l eau efficace et coh rente doit tenir compte de la vuln rabilit des cosyst mes aquatiques et des zones humides tant donn que leur quilibre est fortement influenc par la qualit des eaux de ruissellement et des rejets qui s y jettent L co complexe de zones humides de la r gion d El Kala est compos d une dizaine de plans douce int r t international Le Lac des Oiseaux repr sente un des sites les plus diversifi de cette r gion L explosion d mographique et la croissance conomique ont entra n s sans aucun doute une demande en eau plus accrue qui d passe de tr s loin les ressources disponibles et rien n indique que la s cheresse qui a s vi ces deux derni res d cennies laissera place une pluviosit abondante L eau de cet agrosyst me malgr son statut de site Ramsar et malgr qu elle ac
84. En a 22 b oBE 2 gt 5 56 e b A 8 567 b 3 A 3 S a a b 4 ab b n 4 a b c b a 0 0 15 30 45 60 15 30 4 60 Temps jours Temps joast a Provenance Bsissi b Provenance Boussa d Figure 1 Variation de la surface foliaire en fonction du temps et des r gimes hydriques chez les deux provenances Boussaid et Bsissi Chacune des valeurs sont les moyennes de 4 relev s s talant sur 8 semaines et les intervalles de s curit sont au seuil de 5 Les r sultats de la figure 1 montrent qu en absence de stress hydrique la surface foliaire est maximale chez les deux provenances Les valeurs moyennes avoisinent les 9 79 cm chez la provenance Bsissi et 8 88 cm chez celle de Bousaid Le test Anova r v le un effet provenance significatif P lt 0 01 et montre galement un effet traitement hautement significatif P lt 0 0001 L interaction entre le r gime hydrique et la provenance est non significative P 0 824 L observation de la figure qui donne la 1160 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 variation de la surface foliaire du henn sous l effet du stress hydrique r v le que chez Boussaid et Bsissi la surface foliaire a
85. Institut National de Recherches en G nie Rural Eaux et For ts INRGREF B P 10 2080 Ariana Tunisia binstitut National Agronomique de Tunisie INAT 43 Avenue Charles Nicolle 1080 Tunis Tunisia SUMMARY Apparent electrical conductivity ECa of the soil profile can be used as an indirect indicator of a number of soil physical and chemical properties without destructive sampling and with high spatial coverage The EM38 Geonics Ltd Ontario Canada electromagnetic induction sensor is usually used for mapping soil salinity The objective of this study is to primary characterize the response of electromagnetic induction to soil water content SWC at dry and saturation conditions in a hilly landscape ECa and SWC were measured at different locations throughout the Lebna catchment under dry October 2012 and wet February 2013 conditions to represent the major soil association land use and topographic attributes ECa measurements were collected raising the EM38 to sample at various depths of the soil The EM38 was placed in both horizontal and vertical dipole modes on a PVC stand 150 cm above the soil surface Gravimetric soil water content was measured simultaneously on all samples Results showed substantial changes in the ECa as SWC changed We tested a possible relationship between ECa in the vertical and horizontal mode and SWC over the range of measured SWC Linear regression was tested to predict SWC from ECa measurements as a potential r
86. Le potentiel hydrique de midi suit la m me allure que celui du potentiel hydrique de base La conductance stomatique des touffes d alfa 4 la mi journ e est plus lev e que celle du matin pour les populations de Zelfen Guira et Jelma et dans les diff rentes saisons Tandis que celle d Essalloum et Oumlagsab manifeste une fermeture stomatique partielle la mi journ e seulement au mois de juillet ce qui traduit la corr lation troite entre la conductance stomatique et le potentiel hydriques Le statut hydrique et le comportement physiologique de l alfa montrent la r sistance de cette esp ce a la s cheresse La croissance de la partie a rienne des touffes d alfa est plus importante en hauteur et en diam tre chez la population Jelma en automne en t la croissance des touffes d alfa est minimale En hivers f vrier l accroissement est nul pour toutes les populations La diff rence observ e dans la croissance entre les populations et les saisons est une r sultante des conditions climatique et daphique d une part et du cycle v g tatif de l alfa de l autre part Mots cl s alfa Stipa tenacissima L conductance stomatique cycle v g tatif potentiel hydrique r sistance a la s cheresse SUMMARY Alfa Stipa tenacissima L is a perennial herbaceous plant belonging to the grass family She is dominant typical Maghreb steppe rangelands In Tunisia The area of esparto is 743 000 ha of which 433 000 ha are ex
87. M d a Seuil en gabion a l aval de glissement de terrain Seuil en gabion au niveau de la t te de la ravine Entre les deux Pont sous terrains drains pour vacuer les eaux propres venant de l amant pluie HaouchZegaa Ouzera 11 11 1998 Apr s ces intemp ries et la fonte des neiges il y a eu une coul e boueuse et un glissement de terrain a la base du village agricole Fig 3 1057 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Photo Kouidri R Figure 3 Route entre le versant et la ravine HaouchZegaa Ouzera 11 11 1998 La route s est d t rior e la surface du versant est devenue liss e glac e Les seuils ont bascul l g rement Ensuite durant 24 h les pluies sont tomb es avec une intensit de 87 mm les 7 8 octobre 1999 En revanche le gabion s est d plac lat ralement de 1 m 55 Fig 4 Photo Kouidri R Figure 4 Affaissement du seuil en gabion au niveau de la t te de la ravine HaouchZegaa Ouzera F v 1999 L affaissement des seuils en gabions Fig 5 est d essentiellement aux pluies torrentielles tomb es pr c demment Tous les s diments venant de l amont se sont d plac s vers l aval d o largiss
88. Na CO et 0 5mM NaHCO 2 3 D termination des teneurs en glucosinolates et en compos s ph noliques Les diff rents types des glucosinolates et des compos s ph noliques ont t analys s selon la proc dure d crite par Dominguez Perles et al 2010 tant exprim s en mg par g de mati re fraiche et mg par 100 g de mati re fraiche respectivement 2 4 Analyse statistique Les analyses statistiques ont t r alis es par le logiciel SPSS Release 18 Pour chaque cultivar les diff rences significatives entre les traitements ont t d termin es par le test de Tukey a P lt 0 05 Les diff rences significatives entre les cultivars ont t d termin es conform ment aux instructions du test de Student t P lt 0 05 P lt 0 01 et P lt 0 001 3 RESULTATS 3 1 Teneur en glucosinolates indoliques Les teneurs en GSLs indoliques dans les feuilles de deux cultivars de brocoli sont donn es par le tableau 1 La teneur en GSLs indoliques totaux est calcul e par l addition des teneurs en 4 OH glucobrassicin HGB glucobrassicin GB 4 MeO glucobrassicin MGB et neoglucobrassicin NGB Chez les plantes t moins la teneur en GSLs indoliques totaux est significativement P lt 0 001 plus importante chez le cv Naxos que chez Parthenon due essentiellement la teneur significativement P lt 0 001 lev e en NGB chez ce cultivar Tableau 1 L addition de doses croissantes de NaCl dans le milieu de culture n affecte pas
89. Plant and soil 17 99 112 Revel JC 1993 Boues de station d puration et sylviculture Etude bibliographique Compagnie G n rale des Eaux 34 pages Sachon S 1995 Les boues des stations d purations urbaines Utilisation en agriculture BTI 21 14 29 Ripert C Tiercelin JR Navrot C Klimo E Gajarszki G Cadillon M Tremea L Vermes L 1990 Utilisation agricole et foresti re des eaux us es domestiques Cemagref 79 18 Tamrabet L Bouzerzour H Kribaa M Glo a D 2003 Le devenir des boues r siduaires Effet des apports de boue r siduaire sur la production de deux gramin es fourrag res Hydrotop Marseille France pp 88 90 Tamrabet L Bouzerzour H Kribaa M Makhlouf M 2007 Response of durum wheat Triticum durum Desf cultivar Acsad 1107 to sewage sludge amendment under semi arid climate Options m diterran ennes Wasamed CIHEAM Valenzano Italy SessionIII pp 173 180 Tasdilas CD 1997 Impact of waste water reuse on some soil properties Inter Conf on water management salinity and polution control towards sustainable irrigation in the mediterranean region CIHEAM Mai B 213 226 Techniques Agricoles 1984 Utilisation agricole des d chets urbains et industriels et probl mes de pollution lies l environnement TA 1390 12 1 18 Tester CF LJ Sikora JM Taylor JF Parr 1982 N Utilization by tall fescue from sewage sludge compost amended soils Agro J 74 1013 1018
90. Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 40 30 20 Dr estimated mm 10 0 10 20 30 40 Dr measured Figure 2 Soil water depletion Dr comparison between SWB model and gravimetric method 3 2 Soil salinity Soil salinity was determined before and during the cropping cycle for both seasons to evaluate the impact of deficit irrigation strategies on the soil salinization Figure 3 The initialsoil salinity values measured at sowing were 5 7 and 8 1dS m respectively for the first and second seasons The highest ECe value observed in the second season could be explained by continuous irrigation with saline water during previous years The results show that there was a decrease in soil salinity measured in the root zone 0 80 cm for the majority of irrigation treatments compared to initial soil salinity During the first year the ECe decreases from 5 7 at plantation to approximately 5 2 dS m at the mid season stage for FI and DI Mat treatments Full irrigation treatment FD registered in the second year a small decrease in ECe from 8 1 to 7 7 dS m in 106 DAS and also for DI Dev Mat treatments These results show that full irrigation FI and deficit treatments DI Dev DI Dev Mat and DI Mat seem to benefit from leaching of added salts by rains received 89 5 mm during initial and development stages during the
91. Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 The poor performances of ANNs were registered with the other neural models ANNdecl ANNdec2 ANNdec3 ANNdec4 ANNdec5 ANNeecs and ANNaeco accordinglythe performances criteria vary between 0 75 to 0 84 for R and 5 8 mm decade to 7 5 mm ten day for RMSE in validation phase On ten day time step we have selected three ANN models ANNdec10 6 12 1 we use this model if all climatic parameters are available mean temperature maximum temperature minimum temperature sunshine durations relative humidity wind speed at 2 m height ANNgec7 5 5 1 it s important to appeal to this model when relative humidity values are missing ANN decg 5 12 1 we employ that neural model when wind speed values aren t available in meteorological station The evapotranspiration estimates of neural models selected are represented in Fig 3 in form of hydrograph and scatterplot ANNdec10 ETO PM ETO 0 8914x 4 2133 R 0 9123 i a 2 mm decade S rETQ N gt ANNdec10 ET0 mm decade 81 101 121 141 161 181 30 40 50 60 70 decades PM ETO mm decade ANNdec8 ETO PM ETO ecade w ETDs E T a O D 0 fa S v T Z Z bat 61 81 101 121 141 161 181 30 40
92. Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Keys words alfa Stipa tenacissima L stomatal conductance growth cycle water potential drought resistance 1 INTRODUCTION La superficie des nappes alfati res a connu une d gradation constante suite 4 une activit anthropique agressive traduite par le surp turage le d frichement et la surexploitation Ce qui a laiss les nappes alfati res expos es aux contraintes du milieu d un c t daphique et de l autre c t climatique En effet le sol est devenu fragile et rod En plus le climat aride ou semi aride des r gions steppiques pr sente des p riodes de s cheresse tr s longues ce qui a accentu le probl me Tous ces param tres ont un impact n gatif sur son d veloppement et son extension D ou la n cessit d tudier et analyser le comportement cophysiologique de cette esp ce vis vis de son environnement naturel par la mesure du potentiel hydrique de base et de midi et de la conductance stomatique du matin et de la mi journ e ainsi que le suivie de la croissance de la partie a rienne des touffes l alfa par la mesure de leurs hauteur et diam tre 2 MATERIELS ET METHODES Mat riel v g
93. Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Proline arginine glutamine histidine OOC AA 00C OOC u c toglutarate glutamate 2 MATERIELS ET METHODES Mat riel v g tal Le mat riel v g tal exp riment est compos au d part de 17 g notypes de Triticum aestivum L qui sont pr sents dans le tableau 1 u 1 Composition et origine du mat riel v g tal tudi I D E ee o PS Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Conditions exp rimentales Les grains de ces g notypes sont sem s dans des pots 30x20x24 cm et cultiv s sous serre photop riode 15H clairement naturel temp rature 25 c jour 12 15 c nuitet humidit relative voisine de 70 Les pots contiennent un sol argilo limoneux provenant de la station d essai Il est caract ris par une capacit au champ cc relativement lev e 38 Il est maintenu a une humidit constante quivalente au tiers environ de la teneur de la capacit au champ C C Les premiers jours qui suivent la lev e Apr s talement de la 1 re feuille l arrosage continue pour le lot t moin alors qu il est susp
94. Tmin Tmoy U2 Ins 5 12 1 0 924 0 907 10 8 15 2 ANN mo Tmax Tmin Tmoy U2 HR 5 12 1 0 811 0 823 17 1 18 8 ANN mio Tmax Tmin Tmoy HR U2 Ins 6 6 1 0 912 0 910 11 6 14 0 A a I Note RMSE mm month The results indicated that agreement between PM ETo and ANN m ETo was good for the selected underlined neural models but there was light difference in performance among neural models selected ANN ms ANN m7 ANN ns ANN mio so that values of coefficient of determination R vary from 0 894to 0 914 and the root mean square error RMSE values shift from 14 0 mm month to 15 2 mm month The most complex architecture of any of the implemented ANNs was the architecture of ANN mo 5 21 1 with five inputs and twenty one neurons in the hidden layer The other neural models ANN m ANN m ANN m ANN m ANN no and ANN no give a poor results Table 4 For monthly time step neural models selected are as following ANN ms 4 11 1 we use this neural model when relative humidity and wind speed values are missing ANN w7 5 21 1 we appeal to this ANN if wind speed values are lacking ANN mg 5 12 1 serve to estimate monthly ETO whenrelative humidity values are absents and ANN mio 6 6 1 we employ this model if all climatic parameters are available mean temperature maximum temperature minimum temperature sunshine duration relative humidity wind speed at 2 m height 1046 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial
95. Tozeur Several constraints such as the lack of training and sophistication of farmers as well as the inadequacy of introduced cultivars to the regional situation led to the culture marginalization In addition various local and introduced ecotypes showed an important adaptation Local cultivars are most common in oasis with a frequency of 67 85 while the introduced one represent only 35 71 with a predominance of Muscat d Italy The surveys carried out revealed the existence of different water irrigation qualities The behavior study of the local cultivars under two water irrigation qualities was conducted Results revealed that fluctuations in the latent budburst are expressed by different responses Such as by decreasing the rate of budding 20 in the case of Chetwi or by changing the level of the maximum rate of budding Guelb Sardouk that which the maximum budding changed from the 6th to the 7th and from the 3rd bud to the 4th one respectively for grapevines irrigated with fresh and salty water Results showed that the introduced cultivars are more influenced by water irrigation salinity than the local ones Bud fertility was inversely proportional to the salinity of water irrigation Key words salinity fertility Local grape oasis 1 INTRODUCTION La vigne dans son ensemble peut se d velopper dans presque tous les climats et dans toutes les r gions du monde de par les grandes capacit s d adaptation de ses nombreuses esp ces N anmoi
96. Zab Est de Biskra couvre une partie importante de la wilaya de Biskra Du point de vue climatique le bassin du Zab Est est soumis un climat aride et sec avec un hiver froid et sec et un t chaud et sec la temp rature moyenne annuelle la station de Biskra est de l ordre de 23 C et des pr cipitations ne d passe pas le 200 mm an dans les stations de la r gion du Zab Est de Biskra sauf la station de T Kout au nord en zone de montagne d passant les 300 mm an Du point de vue g ologique la r gion de Biskra ne repr sente qu une zone de transition structurale et s dimentaire Au Nord c est une r gion montagneuse tandis qu au Sud c est un paysage effondr qui fait partie du Sahara Septentrional Le passage entre ces deux domaines distincts se fait par l interm diaire d un ensemble de flexure de plis failles d orientation Ouest Est appel Flexure Saharienne Les unit s stratigraphiques et lithologiques et indiquant les unit s hydrog ologiques correspondantes Les principaux aquif res sont contenus dans deux grands complexes s dimentaires le Continental Intercalaire CI et Complexe Terminal CT Le CI regroupe les formations continentales du Barr mien et de l Albien Dans la r gion de Biskra le CI se situe une profondeur de plus de 2000m et a une paisseur d environ 500m Le CT est constitu d une nappe de calcaire contenue dans les formations S non oc nes et de nappes mat rie
97. affect e par une forte salinisation de ses sols Cette salinisation est due aux remont es des eaux de la nappe superficielle des rejets d eaux de drainage et des eaux r siduaires urbaines Ces fl aux ont fait l objet d un bon nombre de travaux ant rieurs SERVANT 1978 GUENDOUZ et al 1992 DAOUD et HALITIM 1994 NEZLI et al 2007 BG 2003 IDDER 2006 La nappe phr atique qui se situe faible profondeur sous la surface du sol joue par son caract re fortement salin un r le tr s important dans l accentuation du ph nom ne de la salinisation du sol DDER et al 2012 Pour cela ce travail sera consacr l interpr tation et la discussion des r sultats 1027 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 obtenus en utilisant le mod le g ochimique PHREEQC et la d finition de l ordre de pr cipitation des min raux 2 MATERIELS ET METHODES Le but de ce travail consiste la d termination de l influence des pr cipitations salines issues de la nappe phr atique sur la d gradation des sols de l oasis de Ouargla ainsi qu la mise en vidence de l ordre de pr cipitation des sels form s en utilisant les indices de saturation IS
98. avec 1200 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 de nouvelles donn es climatique afin de voir quelle serait l volution du param tre ETCadj dans le bassin versant d Oum Zessar Les r sultats d HidroMore pour la p riode de r f rence et les deux sc narios futures dans notre zone d tude montrent comment la pr cipitation annuelle varie En effet cette quantit d eau qui p n tre dans le syst me de production remonte l atmosph re par ETcadj Donc il est n cessaire de mettre en exergue que la fluctuation des valeurs ETcadj trouve son explication par la variabilit de pr cipitation dans la zone d tude lorsque la pr cipitation est faible la plante ferme ces stomates et diminue sa transpiration En comparaison avec la p riode de r f rence 1996 2005 et suite l augmentation de la temp rature de 1 C et 5 C et la diminution de la pluviom trie 5 4 et 20 ETO enregistrera une augmentation de 3 et 9 ainsi qu une diminution de ETCadj de 2 et 18 respectivement pour les horizons 2030 et 2090 Dans n importe quel travail de mod lisation hydrologique telle que HirdoMore il existe des incertitudes tous les niveau
99. avec les conditions hydriques et daphiques Bagues Mohamed 243 Kamel Nagaz B chir Ben Rouina Facult des sciences Universit de Sfax BP 1171 Sfax 3000 Tunisie gt Laboratoire d Am lioration de la Productivit de I olivier et de la Qualit de produit Institut de l olivier BP 1087 3000 Sfax Tunisie Laboratoire d Aridoculture et Cultures Oasiennes Institut des R gions Arides 4119 M denine Tunisie Email bagues007 gmail com RESUME En Tunisie les olives sont cultiv es dans le pluviale de graves conditions arides Pour d terminer le comportement des oliviers cv Chemlali Sfax au cours de la grave s cheresse qui affecte les zones arides tunisiennes en 2002 une s rie de param tres physiologiques et biochimiques tels que le contenu relatif en eau RWC la concentration en chlorophylles et en carot noides et la teneur en mati re min rale N et P en relation avec le milieu daphique ont t tudi e dans trois vergers voisins durant la p riode s talant de mars juin 2012 Deux vergers d oliviers taient pluviale l un situ sur un sol sablonneux SS et l autre sur un sol argilo sableux limoneux SM Un troisi me verger a t galement situ sur un sol sablonneux mais a recu une irrigation correctives SSD 415 mm d eau par ann e environ 40 de l vapotranspiration d olive En effet le RWC volue entre un minimum de 87 48 au mois de mars et un maximum de 93 38 au mois de juin
100. by English 1990 and Zhang et al 2002 show that deficit irrigation can increase the net farm income Barley considered as a tolerant plant Maas and Hoffman 1977 occupies large cultivated areas in arid part of Tunisia Many experiments have been conducted on barley cultivated in small private farms in southern Tunisia Nagaz et Ben Mechlia 2003 and the results demonstrate the potential of irrigation management practices in reducing the effects of salinity on both yield and soil salinity In addition Khalil et al 2007 showed that yield reduction under deficit irrigation during the whole growing season was about 5 and 20 of the total irrigation water was saved Field study conducted by Nagaz et al 2008 showed that a reduction of 15 of total irrigation wateroffer significant 1217 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 advantage for both barley yields and WUE and reduce the build up of salinity compared to a reduction about 50 and 30 of water in barley production under arid conditions As result this restriction of 15 can be used as deficit irrigation strategy of barley in case of situations where water supply is limited The objective of this study wa
101. celle de la glace de la mer une plus grande incertitude en mati re agricole les canicules les inondations et les temp tes L valuation locale des changements climatiques constitue une tape assez importante de cette tude d valuation Elle se propose de d crire la situation de r f rences ainsi que les projections futures de climat de d terminer les impacts de cette situation sur les plantations et de mettre en vidence les r ponses solutions et mesures pour telle ou telle situation La diff rence dans le degr d impact des changements climatiques selon la situation g ographique des pays est le point de d part pour comprendre la diff rence dans le comportement du syst me Plante Sol face aux r chauffements climatiques Citons dans cette perspective la situation de l ol iculture dans un contexte de stress hydrique ainsi que les strat gies d adaptation employ es pour faire face ce changement 1191 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 MATERIELS ET METHODES 1 Pr sentation de zone d tude Le bassin versant d oued Oum Zessar est choisi en raison de sa situation g ographique et de la probl matique qu il porte Il est situ
102. cette multitude d applications un manque norme se fait sentir concernant la localisation des sites favorables pour la r utilisation des EUT pour la recharge artificielle des nappes L objectif que nous avons tent de d velopper au cours de ce travail est d laborer une m thodologie innovante pour un choix ad quat de sites favorables la mise en place du bassin d infiltration percolation d EUT en vue de la recharge des nappes Une m thode d analyse multicrit re qui est lP AHP coupl aux SIG a t labor e 2 METHODOLOGIE 2 1 Description de la zone d tude La nappe phr atique de Nabeul Hammamet appartient a la p ninsule du Cap bon au Nord Est de la Tunisie Ce site couvre une superficie totale de 290 km avec une longueur de 34 km et une largeur qui varie de 8 a 14 km Figure 1 Le climat est semi aride avec une temp rature moyenne de 19 C et une pluviom trie moyenne annuelle de 400 mm L altitude varie entre 0 et 500 m et la profondeur de la nappe varie entre 4 et 31 m Les principales activit s de la r gion sont le tourisme et l agriculture C Limite de la zone d tude e Station d puration km Route Figure 1 D limitation de la nappe phr atique de Nabeul Hammamet Deux stations d puration des eaux us es SE3 et SE4 sont actuellement en fonctionnement dans la zone d tude Des travaux sont en cours dans la station SE4 afin d augmenter sa capacit de traitement
103. charg e 222 g m2 et le g notype Mahmoudi sous irrigation par de l eau charg e 190 8 g m2 Mots cl s bl dur cosyst me oasien tol rance salinit rendement en grain SUMMARY The oases are a particular ecosystem In southwester traditional oases three layers of crops can be found Our work conducted in Deggache 33 58 19 N 8 12 59 E concerned the evaluation of the behavior of 26 genotypes of durum wheat Triticum turgidum ssp durum irrigated with two levels of salinity Morphologic parameters plant height dry matter and leaf area physiologic SPAD value and ionic selectivity K and Na as well as agronomic number of grains m thousand kernels weight grain yield were assessed The variation analysis of the response of varieties showed a significant difference due to genotypes water salinity We have showed that local genotypes Mahmoudi Sbay and Derbazi can be considered as tolerant to salinity as they can maintain a similar yield of the unstressed control while all the improved cultivars are sensitive Key words durum wheat oasis ecosystem tolerance salinity grain yield 1 INTRODUCTION La salinit constitue pour les zones arides et semi arides un handicap pour le d veloppement agronomique et socio conomique Les cosyst mes dans ces r gions sont caract ris s par une faible et forte irr gularit des pr cipitations Mnif et Chaieb 2004 associ es une importante vaporation favor
104. chlorophylle a et 4 3 1 2 pour la chlorophylle b pour la chlorophylle total et pour les carot no des Par contre Christophe Tourneux et al 2003 montre qu en conditions de s cheresse les g notypes de pomme de terre tudi r v lent une r sistance lev e la s cheresse de l appareille photosynth tique et aucune corr lation significative entre le rendement en tubercule et les param tres physiologiques n a pu tre en vidence Serge Olivier 2004 montre qu il n y a pas de diff rences significatives dans la variation du taux de chlorophylle des plants t moins et des plants induits en stress au stade de d veloppement des feuilles un taux de chlorophylle des plants induits en stress l g rement au dessus de celui des plants t moins Le ph nom ne contraire se produit au stade d initiation des tubercules Ainsi le stress hydrique impos aux plants n influence pas leur teneur en chlorophylle L importante variabilit des taux de chlorophylle a b chlorophylle total et carot no de enregistr chez les diff rentes populations de Cenchrus ciliaris et de Digitaria commutata explique la menace de ces esp ces qui s aggrave avec la carence en eau le r chauffement du globe terrestre qui induit l augmentation de l vapotranspiration chez les v g taux La r gion sud m diterran enne souffre souvent d un grand d ficit en esp ces v g tales Khedim A et al 2004 ce pendant le d ficit en e
105. comprend deux tron ons un est souterrain d une longueur d environ 300 m et l autre est ciel ouvert partir du pont d environ 600 m de longueur La distribution de l eau vers les parcelles s effectue l aide d un r seau complexe form de canaux secondaires et tertiaires Saguia Elle est r alis e selon deux modes Le premier est de mode direct partir du canal principal en p riode diurne Le second mode est indirect partir du Majen en p riode nocturne 3 2 Organisation sociale du partage de l eau Le partage et la gestion sociale de l eau Bouka s sont bas s sur le temps tour Nouba et la rotation entre les ayants droit Le droit de l eau parts de l eau est consid r comme une propri t que l on pouvait louer pr ter vendre ou changer exactement comme toute autre propri t 1173 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 2 1 Evolution du calendrier d irrigation Selon l historique les parts d eau sont r partis en fonction des familles d origine du Ksar Boukais Elles taient de nombre de 19 ayants droits Apr s l arriv e de l islam deux parts se sont rajout es celle de
106. d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Figure 1 Location of the study area This area is a predominantly arid with high rainfall variability since most part of rainfall is concentrated in the winter months giving rise to a fragile soil and poor effective vegetation especially during the spring season 5 The stormy and violent characteristic of rainfall that it intensity exceeds 100 mm h for 5 min has also contributed to severe and frequent floods which have accelerated the erosion phenomena and the degradation of the soil in this region 6 Les DR 251 BE on Le PAR EH Figure 2 Isohyets map of Tunisia 6 Methodology Torrential rains have been recognized as one of the biggest problems facing the arid regions of southern Tunisia because of its higher erosion potential The purpose of the present paper is to investigate the possible effects of overflow at the micro watershed of Jouabit in order to set the context for further assessment of the technique of jessours developed to reduce the floods problem The following parameters have been elected on all units of micro watershed of Jouabit to accomplish desired goal e retention height m is the difference of height between the dyke and the surface of the Jessr e Retention surface of the jessr m is the area of the terrace covered by water when the Jessr is full 1314 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014
107. de Stipa tenacissima L en lipides totaux et en acides gras Science et changement plan taire S cheresse Volume 17 Num ro 4 493 8 Octobre Novembre D cembre 2006 Article scientifique Ghrab S 1981 Etude de la variabilit co ph nologique de l alfa en Tunisie centrale Application en vue de la sauvegarde et l am lioration des nappes alfati res Th se doctorat Fac Sci Et tech S Jerome 135p Ksontini M 1996 Etude ecophysiologique des r ponses la contrainte hydrique du ch ne li ge Quercus suber dans le Nord Tunisie comparaison avec le ch ne Kerm s Q coccifera et le ch ne zeen Q faginea Th se universit Paris XII Val De Marne 157p 1245 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1246 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Comportement cophysiologique et biochimique de l olivier vari t Chemlali Sfax cultiv en plein champ en relation
108. de aussi une grande capacit de reprise du d veloppement v g tatif apr s les coupes Jahanzad et al 2013 Toutes ces qualit s lui conf rent un avantage consid rable par rapport d autres cultures c r ali res dans les r gions semi aride et arides Sairam et al 2001 Jahanzad et al 2013 A cet effet la pr sente tude a pour objectif d valuer l effet d une contrainte hydrique et saline sur quelques caract res morphologiques et physiologiques d une vari t de sorgho tr s cultiv e en Tunisie et pouvant tre exploit e comme fourrage en vert 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal L essai a port sur une vari t de sorgho Sudan Grass III import e 2 2 M thodologie L exp rimentation a t r alis e au champ sous une parcelle grillag e la station exp rimentale de VINRAT Institut Nationale de la Recherche Agronomique de Tunis Le dispositif exp rimental est en Split splot 2 facteurs avec 3 r p titions Les traitements appliqu s pour le stress hydrique sont To t moin irrigu 100 ETM To traitement irrigu 70 ETM T35 traitement irrigu 35 ETM ETM 600mm et la charge en sel est de 1 g l eau de robinet Les traitements appliqu s pour le stress salin sont To t moin irrigu l eau douce titrant 1g 1 100 ETM T traitement T auquel nous avons ajout 2g l pour avoir une concentration de 3 I T6 traitement T auquel nous avons ajout 5g l pour avoi
109. de la Nature Universit d Oum El Bouaghi NE Alg rie au cours de l ann e universitaire 2008 2009 pour tudier l influence des apports de deux types de boue r siduaire g es de six et vingt deux mois et une boue de sucrerie sur les propri t s du sol et la productivit d une gramin e fourrag re l orge Hordeum vulgare L vari t Jaidor L tude a t r alis e dans des pots en plastique d une contenance de 9000 g portant 13 plantes chacun Les doses apport es des diff rentes boues tudi es sont z ro 20 et 50 tonnes ha pour chaque amendement Les variables mesur es concernent particuli rement le pH la conductivit lectrique la mati re organique du sol ainsi que la hauteur totale de la plante la surface foliaire la biomasse a rienne accumul e la longueur d pi le nombre de grains par pi le nombre d pis m et le poids de 1000 grains produits Les r sultats montrent que les propri t s physicochimiques du sol sont positivement plus affect es par les apports des deux types de boue r siduaires mais l g rement par celle de sucrerie Les param tres morphologiques et le rendement de la vari t d orge r pondent positivement mieux aux apports de boue2 g e de 22 mois mais ne montrent aucune r action aux apports de boue de sucrerie L addition de la boue r siduaire am liore fortement l efficience d utilisation de l eau chez l orge Mots cl s biomasse boue r siduaire
110. de test Anova qui a permis de d celer un effet vari t hautement significatif 4 DISCUSSION Les r sultats de l essai ont montr que le stress salin affecte n gativement le d veloppement v g tatif des plantes de tomate En effet une augmentation de la salinit 5g l T2 ne favorise pas l longation de la tige de tomate en comparaison avec le r gime t moin notamment pour toutes les vari t s Lorsque la salinit s intensifie 9g 1 T3 les plantes de tomate manifestent un certain nanisme arrive jusqu 49 77 pour Tom2 par rapport au t moin T1 Le raccourcissement de la tige est une caract ristique g n rale des plantes soumises a une contrainte saline Ces r sultats sont similaires celles de Hajer et al 2006 qui ont montr que la culture de trois vari t s de tomate 1310 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Confiance trust Grace et Plitz 4 trois niveaux salins provoque la diminution de hauteur de la tige avec l augmentation de salinit Ceci est montr aussi par Ben Naceur 2001 chez les c r ales Kadri et al 2009 chez I orge Ainsi Boukrich 2004 chez Artemisia herba alba a montr que le stress salin n
111. degr chez les populations de Cenchrus ciliaris de Jerba 1 21mg g de Bouhedma 1 13mg g et nulle chez la population de Matmata la fin du 1 cycle de s cheresse A la fin du deuxi me cycle les valeurs les plus lev es sont enregistr es chez la population de Digitaria commutata de Bouhedma 0 20 mg g moindre degr chez les populations de Bouhedma 0 039mg g et nulle chez les populations de Jerba et Matamata Fig 2 chlorophylle b mg g BON D BB OU DN TCBSCBTCASCA TD SD TCCSCC TCBSCBTCASCA TD SD TCCSCC Fin du 1 cycle Fin du 2 me cycle Figure 2 Variation du taux de chlorophylle b chez les esp ces tudi la fin des deux cycles de stress hydrique TCB plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Jerba SCB plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Jerba TCA plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma SCA plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma TD plants t moin de Digitaria commutata de Bouhedma SD plants stress de Digitaria commutata de Bouhedma TCC plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Matmata SCC plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Matmata 1235 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en
112. depuis 30 ans sont au dessous du seuil de toxicit pour les plantes Pandey et Prakash Sharma 2002 ont remarqu un retard de croissance et une diminution des biomasses totales des plantes de chou g s de 42 jours lorsqu elles sont expos es un exc s de Co Ni et de Cd G n ralement les champignons MA stimulent la croissance des plantes en favorisant une meilleure absorption de l eau et des l ments min raux Kapoor et al 2008 Khabou 2012 Des tudes ont montr que les mycorhizes entra nent une ramification accrue du syst me racinaire en augmentant les racines fines favorisant ainsi une bonne exploration du sol Citernesi ef al 1998 Kapoor et al 2008 Khabou 2012 Outre le phosphore la symbiose mycorhizienne peut faciliter l absorption de divers autres l ments min raux tels le fer Khabou 2012 L absorption de ces l ments souvent difficilement assimilables par la plante est am lior e par l association mycorhizieme Kapoor et al 2008 Parmi les endomycorhizes qui ont t utilis s Glomus deserticola Cette souche a permis l am lioration de la tol rance de Prosopis au Cr et Pb et favorise l accumulation du Zn dans les racines d Eucalyptus globulus lorsqu elle est inocul e en association avec des champignons saprophytiques Arias ef al 2010 Arriagada ef al 2010 Ismail 2009 a constat que cette souche joue un r le tr s important dans l am lioration de la croissance et de l absorption de
113. des Sebkha Elles pourraient utilement tre r utilis es au moins en partie pour de limiter le recours aux ressources fossiles En Alg rie un programme socio conomique tr s ambitieux visant g n ralisation de l utilisation des eaux pur es dans le domaine de l irrigation agricole a t annonc en 2010 Une superficie pilote estim e environ 4 500 hectares englobant les wilayas de Tlemcen 1000 ha Oran 350 ha Boumerd s 350 ha Borj Bou Arr rij 250 ha S tif 800 ha Constantine 600 ha Mascara 300 ha et Ouargla 800 ha a t vis e par ce programme A l horizon 2020 l objectif recherch est de 1107 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 pouvoir irriguer un territoire beaucoup plus vaste en utilisant des eaux us es trait es vacu es des stations d puration d j construites ou pr vues L objectif de ce travail consiste valuer les possibilit s de r utilisation des eaux pur es par la station de lagunage a r de l oasis de Ouargla pour l arrosage des esp ces foresti res Cette exp rience pr liminaire r alis e notre connaissance pour la premi re fois sous conditions sahariennes en Alg rie a pour am
114. des r actions chimiques a robiques et ana robiques qui au bout de 6 7 semaines r duisent la mati re organique sous forme de compost qui est lui m me assez proche de l humus La min ralisation de l azote organique est d pendante dans ce cas du rapport C N plus ce dernier est lev plus la min ralisation est lente Une tonne de mati re s che boue lib re en moyenne 14 Kg d azote 15 kg de P et 8 kg de K Sachon 1995 Ces r sultats montrent que la valeur agronomique des boues est li e aux l ments min raux qu elles lib rent et la mati re organique qu elle apporte au sol pour am liorer sa stabilit 4 CONCLUSION L apport de boues r siduaires a am lior nettement les rendements en grains et en paille de l orge tandis l apport de boue de sucrerie a produit un effet n gatif sur l ensemble des variables mesur es Les apports d un m lange boue r siduaire et boue de sucrerie au sol peuvent aboutir des r sultats meilleurs L apport de boue r siduaire a positivement affect l efficience d utilisation de l eau chez l orge L effet d apport de boue sur le les caract ristiques physico chimiques et organiques du sol n cessite plus de temps pour son valuation REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Aboudrare N Jellal Benchokroun T Jemali A 1998 R utilisation des eaux us es des fins agricoles Ouarzazate Terre et Vie 26 7 12 Ademe 2000 Les boues d puration munici
115. diagnostic sur les syst mes de cultures en vue de leur am lioration Meynard et Sebillote 1994 Une analyse de variance a permis de mettre en vidence un effet significatif des g notypes test s et de deux niveaux salinit d eau d irrigation ainsi qu un effet significatif de l interaction cultivars x traitements Tableau 3 D o la salinit a caus une r duction du rendement en grains chez tous les g notypes test s soit une moyenne de 31 Cependant les vari t s autochtones sont celles qui pr sentent les plus faibles 1267 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 r ductions du nombre d pis m de l ordre de 28 9 Alors que pour les vari t s am lior es la r duction est de l ordre de 40 9 Bouzerzouret al 2000 ainsi que Fellah et al 2002 montrent que les g notypes performants en conditions favorables perdent cette capacit sous conditions de contraintes abiotiques Les vari t s autochtones Derbessi Mahmoudi et Sbay n ont pas subit une r duction de leur rendement Tableau 3 Analyse de la variance carr s moyens et test F relative aux param tres de rendement le poids de mille grains PMG nombre d pis par
116. diff rentes concentrations Le pourcentage de germination d Hordeum vulgare du t moin ainsi que les traitements 100 et 200 meq l est assez lev avec des taux compris entre 82 et 88 Nous remarquons que la germination des graines est affect e par la salinit 300 meq l puisqu on a enregistr une diminution de germination de 10 environ La germination accuse un retard de 2 jours pour le traitement 500 meq L Ce ralentissement proviendrait de l effet osmotique La solution saline ces concentrations ne permet pas l entr e de l eau dans la graine C me 1970 A ce niveau lev de salinit le taux de germination est tr s faible et varie entre 18 et 4 Sous le milieu enrichi 600 meq l aucune germination ne se manifeste durant toute l exp rimentation En revanche l action toxique du NaCl et CaCl 600 meq l conduisent l inhibition de la germination Donc les graines de Hordeum vulgare vari t Saida pr sentent une grande habilit germer sous des conditions fortement salines puisque le pourcentage de germination est sup rieur 72 des niveaux de salinit allant de 0 300 meq I A partir de ce seuil il y a une diminution qui se traduit plus par un retard que par une inhibition Ce taux de germination lev pourrait tre retenu comme crit re de s lection des vari t s tol rantes aux sels Piri et al 1994 Sibi amp Fakiri 2000 1052 Revue des R gions Arides Num ro Sp
117. e de la zone non satur e et satur e sur ces sites est n cessaire pour valuer quantitativement et qualitativement l impact de cette recharge sur la nappe Mots cl s AHP Analyse multicrit re Eaux us es Nabeul Hammamet Recharge des nappes SIG SUMMARY The reuse of treated wastewater in arid and semi arid areas to recharge aquifers contributes to decrease the pressure on conventional water This paper aims to develop a methodology to locate and rank suitable sites for groundwater recharge with treated wastewater using fuzzy AHP based on GIS where the Nabeul Hammamet aquifer catchment Tunisia is selected as the target area Several influential parameters are identified considering simultaneously technical social economical and environmental aspects These parameters are weighted using pair wise matrix layered using geo spatial techniques and then standardized using fuzzy functions The final map is obtained by a weighted linear combination of the standardized parameters The results show that the total suitable area covers 3500 ha which represents 29 of the total Nabeul Hammamet aquifer area This constitutes quite a large zone that can absorb the entire volume of available treated wastewater The best sites to receive the surplus amount of TWW produced by the treatment plants of the region are located near these plants and inside agricultural lands A detailed hydrodynamic study of the non saturated and saturated zone is necessary to
118. eau sans une politique de planification et de gestion a cr e des situations graves pouvant avoir des cons quences pr judiciables et irr versibles sur le milieu Le respect d une gestion en eau coh rente et rigoureuse est la seule mani re de pr server cette pr cieuse ressource Dans ce cadre l tude men e sur le bassin versant du Zab Est de Biskra a pour objectif l identification des caract ristiques du bassin la quantification des ressources en eau superficielles et souterraines pour une gestion durable 2 CADRE GENERAL L oasis du Zab Est se situe l est de Biskra regroupant administrativement les communes de Sidi Okba et Chetma avec les palmeraies de Thouda Seriana et Garta Cette r gion fait partie de la wilaya de Biskra qui constitue l une des grandes r gions du Sud Est alg rien Elle est situ e l ouest du chef lieu de la wilaya limit e au Nord par les communes d El Outaya Branis et Mechounech l Est par les communes d Ain Naga El Haouch et au Sud par la commune de Still qui fait partie de la wilaya d El Oued et l Ouest par les communes de Zerzour et Ouled Slimane faisant partie de la wilaya de M sila ainsi que de la commune de Chaiba Fig 1 Le bassin du Zab Est de Biskra regroupe en r alit dix communes G ographiquement la r gion des Ziban est comprise entre 34 38 et 35 5 de latitude nord et entre 4 56 et 5 35 de longitude Est La superficie totale des diff rentes communes de la r gion de
119. eaux Cette derni re proviendrait de la dissolution pr cipitation de la roche aquif re des vaporites et de l change de base Ainsi cette min ralisation pr sente une contrainte pour l activit agricole Elle peut engendrer la destruction de la structure des sols et la d gradation de sa qualit due au caract re alcalin des eaux REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Alcal J F Custodio E 2008 Using the Cl Br ratio as a tracer to identify the origin of salinity in aquifers in Spain and Portugal Journal of Hydrology 19 189 207 Ben Hammouda M F Carreira P Marques J M Egenkamps H 2013 Geochimical and isotopic investigation to study the origin of mineralization of the coastal aquifer of Sousse Tunisia Earth and Planetary Science 4 61 64 Bourhane A 2010 Discrimination de l origine de la salinit des masses d eau souterraines contexte hydrog ologique et m thodes d tude Mast re en Hydrog ologie sol et environnement Universit d avignon 109 p Eldrige K Y Barchia I Pengelly P K Katupitiya S Davis J K 2009 A comparison of surface applied granulated biosolids and poultry litter in terms of risk to runoff water quality on turf farms in Western Sydney Australia Agriculture Ecosystems and Environment 8 243 250 1084 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Appli
120. eaux souterraines est la principale ressource pour l alimentation en eau potable pour les habitants de la r gion de Biskra En fait l exploitation de deux barrages sur la r gion ne se fait que pour l irrigation des cultures La r gion de Zab Est de Biskra ne fait pas exception ses besoins en eau sont en augmentation continue Globalement on estime les besoins en eau dans le Zab Est de Biskra pr s de 743 millions de m par an in galement partag s entre les trois secteurs usagers de l eau REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Bel F et Cuche D 1970 Etude des nappes du Complexe Terminal du bas Sahara Donn es g ologiques et hydrog ologiques pour la construction du mod le math matique DHW Ouargla Travy Y 1994 The evolution of alkaline groudwater in the continental intercalaire aquifer of Irhazer Plain Niger Water resources research Vol 30 N 1 pp 45 61 ABHSahara Etude du cadastre hydraulique du bassin versant du Chott Melghir Mission V Qualit des eaux Rapport 32 pages Boutouga F 2011 Ressources et Essai de gestion des eaux dans le Zab Est de Biskra Sud Est alg rien M moire de Magister Universit d Annaba DSA Direction des Services Agricoles de la wilaya de Biskra ANRH Agence Nationale des Ressources en Eau de la wilaya de Biskra 1232 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ress
121. en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Brini F Hanin M Mezghani I Berkowitz GA Masmoudi K 2007 Overexpression of wheat Na H antiporter TNHX1 and H pyrophosphatase TVP1 improve salt and drought stress tolerance in Arabidopsis thaliana plants J Exp Bot 58 301 308 ChinnusamyV Schumaker K and Zhu J K 2004 Molecular genetics perspectives on cross talk and specificity in abiotic stress signalling in plants J of Experimental Botany 55 225 236 Claussen M Liithen H Blatt M amp Bottger M 1997 Auxininduced growth and its linkage to potassium channels Planta 201 227 234 Fellah A A Benmahammed A Djekoun H Bouzerzour 2002 S lection pour am liorer la tol rance aux stress abiotiques chez le bl dur TriticumdurumDesf Actes de VIAV Hassan II Maroc 22 161 170 Hamdy A 1999 Saline irrigation and management for a sustainable use In Advanced Short Hayek T Abdelly C 2004 Effets de la salinit sur l tat hydrique foliaire la conductance stomatique la transpiration et le rendement en grains chez 3 populations de mil Pennisetumglaucum L R Br Revue des R gions Arides Tome 1 No Sp cial 273 284 Hu Y Fricke Y W and Schmidhalter U 2005 Salinity and the growth of non halophytic grass leaves the role of mineral nutrient distribution Funct Plant Biol 32 973 985 Lasram M 1990 Les syst me
122. es foliaires lev es conduisent une importante production de biomasse a rienne Le choc du froid affecte significativement le contenu en chlorophylle de la feuille On note cependant peu de diff rences significatives pour le contenu chlorophyllien entre les g notypes tudi s mais des r ponses variables selon le traitement appliqu induisant une interaction g notype x choc de froid significative Tableau 1 Ainsi en l absence d endurcissement et du choc de froid le contenu en chlorophylle est nettement plus lev Sous l effet du froid et en absence d endurcissement le contenu en chlorophylle est significativement r duit comme il l est apr s endurcissement En effet les moyennes du contenu en chlorophylle sont de 16 63 12 30 et 10 20 mg I respectivement pour le traitement non endurci et n ayant pas subi de choc du froid le traitement endurci et soumis au choc du froid et le traitement n ayant pas subi d endurcissement mais soumis au choc du froid Tableau 2 1209 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 1 Carr s moyens des carts de l analyse de la variance de la chlorophylle totale des trois g notypes Sources de la variation
123. es pr sentent un caract re basique pH 8 39 Les concentrations en m taux lourds pr sent dans les eaux r siduaires sont Pb 1 7mg l Zn 0 64mg l et Cu 0 18mg l Elles sont inf rieur aux normes admet dans la valorisation agricole des eaux us es Les caract ristiques chimiques de ces eaux r siduaires sont figur es dans le tableau 1 Tableau 1 Composition chimique des eaux r siduaires tannerie pH 8 39 Na mg l 165 25 CE dS m 3 29 K mg l 47 26 MO mg l 15 1 HCO meq l 16 75 Pb mg l 1 7 CT mg l 259 5 Zn mg l 0 64 SO meg l 4 46 Cu mg l 0 18 Ca mg l 13 29 Me mg l 34 36 2 3 Le sol Le sol poss de une texture argilo limoneuse et un pH basique pH 8 51 En ce qui concerne la mati re organique notre sol est moyennement riche en mati re organique Les taux de carbone et l azote sont respectivement de 1 9 et 0 27 Tableau 2 Tableau 2 Caract ristiques physiques et chimiques du sol Argile 35 24 Limon fin 41 89 Granulom trie Limon grossier 16 27 Sable fin 04 89 Sable grossier 01 71 pHeau 1 2 5 08 51 CE dS m a 25 C 1 5 02 37 Calcaire total 26 66 Calcaire actif 15 00 Caract ristiques N total 0 27 biologiques C 01 90 C N 07 03 MO 03 26 Mg meq 100g 06 31 Bases Na meq 100g 05 54 changeables K meq 100g 05 10 Ca meq 100g 21 80 CEC meq 100g 43 00 3 RESULTATS ET DISCUSSIONS La bi
124. estimer leur origine en les corr lant avec les faci s lithologiques El Hammoumi ef al 2012 Dans ce cadre l objectif de ce travail porte sur la caract risation de la qualit des eaux souterraines de la r gion d ouled chamekh Les param tres physico chimiques sont ainsi examin s afin de d terminer les facteurs et les m canismes contr lant la chimie des eaux souterraines 2 MATERIEL ET METHODES 2 1 Zone d tude La zone d tude est la nappe souterraine de Sid El Hani de la r gion d ouled chamekh Cette derni re est situ e au Centre Ouest du Gouvernorat du Mahdia Figure 1 Elle est limit e au Nord Est par sebkhat Sidi El Hani au Nord Ouest par le Gouvernorat de Kairouan et au Sud Est par la d l gation de Souassi Cette r gion se caract rise par un climat aride dont les pr cipitations sont variables dans le temps et dans l espace Elles atteignent une moyenne de l ordre de 238 mm an La temp rature moyenne mensuelle est de l ordre 20 C alors que la vitesse du vent d passe assez souvent 20 m s Gouvemorat de Mahdia 1 1000000 Tunisie 1 5000000 Figure 1 Localisation de la zone d tude 2 2 M thodologie Quatre campagnes d chantillonnage d eau ont t effectu es sur 29 puits couvrant la zone d tude Le pr l vement a t effectu selon la norme ISO 5665 dans des bouteilles en plastiques identifi es et conserv es au froid 2 4 C pour l analyse des param tres chimiq
125. et de traitement salin SO S1 et S2 Chaque bar indique la moyenne de trois r p titions l cartype Les barres ne portant pas la m me lettre sont significativement diff rentes P lt 0 05 selon le test Duncun Ben Ahmed et al 2008 ont montr que le stress salin entraine la chute de la teneur des chlorophylles a et b et des carot no des Cette diminution est observ e d une fa on nette au niveau des feuilles adultes qui commencent 4 manifester la chlorose et chutent avec le prolongement de la p riode du stress salin Cependant Chartzoulakis et al 2002 2005 ont montr que la photosynth se diminue chez l olivier soumis un stress salin ceci se traduit par cons quent par une r duction des pigments chlorophylliens 3 3 Les sucres solubles L analyse des r sultats enregistr s dans la figure 3 r v le que la teneur des sucres solubles SS au niveau des feuilles augmente avec l augmentation de la salinit Les plantes non mycorhiz es ont synth tis plus SS en comparaison avec les plantes inocul es En effet chez les plantes irrigu e avec la dose de 5 8 g la teneur en SS est de 8 37 mg g MF des feuilles des plantes mycorhiz es Alors que chez les plantes non mycorhiz es trait es ave la m me dose cette teneur est de 9 31 mg g MF Nos r sultats confirment ceux de Porcel et Ruiz Lozano 2004 qui ont remarqu une r duction des SS chez le ma s soumis un stress hydrique a b lt T g
126. first and second years in six rows 50 cm apart in each elementary plot Plants were irrigated using drip system with shallow well water having an ECi of 7 6 dS m Tablel Treatments were applied after the plants established Fertilizers were supplied for both years in the same amounts before planting soil was spread with 8 3 tha of organic manure Nutrient supply included N P and K at rates of 300 300 and 200 kg ha respectively which were adopted from the local practices The P and K fertilizers were applied as basal dose before planting Nitrogen was divided and delivered with the irrigation water in all treatments during early vegetative growth The crop water requirement was calculated using water balance method by means of spreadsheet program developed for Excel in order to estimate the irrigation timing and amount based on cumulative soil water depletion The crop evapotranspiration ETc was estimated for daily time step by using ETo combined with a crop coefficient ETo was estimated daily following the FAO 56 Penman Monteith method given in Allen et al 1998 and Kc was computed following the dual crop coefficient approach that provides for separate calculations for transpiration and evaporation from soil For both years soil salinity was monitored at initial middle and harvest of cropping period The soil salinity in the root zone was expressed by the electrical conductivity of the saturated soil extract ECe For each elementary plot
127. first year and mainly in the mid season stage 70 mm in second year Figure 3 The ECe value 8 5 dS m recorded under DI 50 at 106 DAS could be also explained by leaching ensured by rains received during the mid season stage Figure 3 The soil salinity measured at harvest was higher in the second year as a consequence of cumulative salt accumulation besides the increase of soil evaporation and the absence of rainfall events during the sampling period The capacity of winter rainfall to leach salts is variable and depends on the total amount and distribution of rainfall events This is illustrated by the lowest ECe values observed in the first year which corresponds to the amount rainfall received at the end of season Figure 3 that seemed to be effective in removing salts accumulated in the root zone This increase can be explained by sampling date which corresponds to period of high evaporation demand Continuous deficit irrigation practice DI 50 increases the salts accumulation in the root zone The ECe values increases from 5 7 8 1 dS m to 7 4 9 2 dS m for the 1 and 2 year respectively The increase in soil salinity for DI Mat seems however to be less important than that observed with DI Dev and DI Dev Mat treatments Figure 3 Although salts amount added to the soil with FI are higher than DI 50 the soil salinity remains lower than the deficit irrigation treatment This is probably due to a situation of drainage which ensures the evacuat
128. fit was found for the water content in 0 20 cm soil depth measured in the horizontal mode by EM 38 in February 2013 1189 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Soil ECa may provide useful information for assessing variation in soil water content across Lebna catchment in the Cap Bon region in Mediterranean conditions and other regions with similar characteristics Therefore intensive soil sampling by landscape position would have been necessary to map the spatial variability This variation was attributed to several possible factors including the land cover the soil surface patterns Therefore further research under new field samplings and conditions having a more range of water contents may be needed to better understand the processes and factors affecting soil ECa in response to soil moisture before this technique could be used to assess spatial variation in SWC Acknowledgements This research is funded by the French Research Program Mistrals project and the AIRD program JEAI Jasmin REFERENCES Akbar M A Kenimer A L Searcy S W Torbert H A 2005 Soil water estimation using electromagnetic induction American Society of Agricultural Engineers 48 129
129. flancs pour la quantification ont t arrach s deux reprises apr s le passage du tracteur sur ce terrain D autres piquets sont partis dans le fond du talweg avec les s diments apr s les pluies torrentielles durant les ann es d exp rimentation Ces ravines sont une menace pour le b tail il arrive souvent que les veaux ou autres b tes tombent dans des ravines et ne soient plus capables d en sortir Elles mettent en danger les granges et autres b tisses qu il faut parfois d placer avant que leurs soubassements ne soient compl tement min s Ainsi les murs d une maison se trouvant l aval de ces ravines sont compl tement fissur s l zard s La stabilisation et la r paration de ces ravines sont les plus co teux de tous les travaux de terrassement la construction de barrages ou autres ouvrages En revanche il est toujours possible de pr venir la formation des ravines par une bonne utilisation des terres 3 3 Glissement de terrain Ce glissement se trouve au dessous du village agricole sur la route allant vers Kef boukh lil Le versant est constitu par des marnes passant des argiles en certains endroits De fortes pluies s tant produites durant cette p riode de glissement Fig 7 Une partie de ce versant a t compl tement remani e le 06 02 2012 par un mouvement des formations superficielles qui ont gliss le long de la pente Dans cette zone on rel ve de nombreuses sources A la base de ce d colle
130. flourished with water source as the base and it is true in the present context too Availability of drinking water and provision of sanitation facilities are the basic minimum requirements for healthy living UN Habitat Rainwater harvesting and utilization In one side much of the municipal water that has been purified to drinking water standards is used for tasks such as house cleaning flushing toilets gardening and washing clothes or cars when drinking water quality for these tasks is not required in other side many people bear water scarcity Collecting and storing rainwater is not a new idea For almost 4000 years cultures throughout the world have used captured rainwater Heather Kinkade Levario 2007 In Algeria so rainwater harvesting is among the know how of rural population in steppe by constructing a buried tanks that collects stormwater after a rain episodes 2 MATERIALS AN METHODS The concerned zone is localized at Batna department in high plateau Noth Est of Algeria it has a semi arid climate with average annual rainfall of approximately 200 mm the principal activity is sheep breeding associated with winter rainfed cereal culture dominance barley Between 1980 to 2000 water scarcity induced an outflow of rural population to neighboring municipals after that with emergence of national program of agricultural and rural development PNDAR the situation begin to reverse and many people of the locality benefit from this fra
131. fourrager sous l effet de la salinit combin aux effets du changement climatique Approche bio conomique Mlaouhi Saida Boujelben Abdelhamid Elloumi Mohamed HchichaMohamed Institut National de la Recherche Agronomique de Tunisie Tunis Tunisie Institut Sup rieur Agronomique de Chott Meriem Sousse Tunisie Institut National de la Recherche en G nie Rural Eaux et For ts Tunis Tunisie RESUME Dans un cadre global d une agriculture durable et de pr servation des sols irrigu s contre la salinisation On a r alis un travail dans le quel on a adopt une approche bio conomique bas e sur le couplage de mod les agro conomiques pour tudier le comportement des sols occup s par une culture de mais fourrager dans un p rim tre public irrigu situ dans la basse vall e de la Medjerda Aussi on a analys la r ponse de la culture du mais fourrager aux effets de la salinit conjugu s aux effets du changement climatique et les impacts sur les marges brutes de cette culture Pour ce faire on a r alis une enqu te aupr s des exploitations install es dans ce p rim tre et on a choisi l aide d un outil statistique bas sur une analyse en composante principale six exploitations types appartenant 6 groupes capitalisant le maximum d l ments de ressemblance On a construit six mod les biophysiques individuels relatifs ces exploitations Coupl s avec des mod les conomiques ils ont fait ressorti
132. hauteur a t mesur e partir du sol jusqu la pointe finale des feuilles d alfa Le diam tre a t mesur la base de la touffe au niveau du sol en prenant la moyenne du petit et gros diam tre si la touffe est uniforme et la moyenne de diam tres perpendiculaires si la touffe est presque circulaire Les mesures ont t faites sur 10 touffes au hasard 3 RESULTATS Etude des param tres hydriques Potentiel hydrique de base yb Les valeurs du potentiel hydrique de base base obtenues sont de l ordre de 4 85 3 05 2 32 3 32 2 55 MPa pour le mois de juillet 3 05 1 37 0 6 0 9 et 1 275MPa pour le mois de novembre et 1 35 1 07 1 1 et 0 97 MPa pour le mois de f vrier respectivement Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen Fig 1a L analyse statistique montre une diff rence significative entre les sites et entre les dates au seuil de 5 Potentiel hydrique de midi Pmin Les valeurs du potentiel hydrique de midi min obtenues sont de l ordre de 5 5 4 95 3 4 5 75 et 4 75 MPa pour le mois de juillet 6 2 87 2 92 2 75 et 3 35 MPa pour le mois de novembre et 3 75 2 92 2 95 2 55 et 2 75 MPa pour le mois de f vrier respectivement Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen Fig 1 b L analyse statistique montre une diff rence significative entre les sites et entre les dates au seuil de 5 0 a 0 T Q r x 4 f
133. implique un risque de salinit l v alors que le risque alcalin reste dans certains cas assez mod r Figure 7 mM 2 ra O 26 x LL dp 24 Der N 227 E Qe 24 8 2 T w 14 O 12 5 10 oO 8 a 6 Ag 4 an 2 o 20 100 250 750 2250 5000 10000 0 1 2 3 4 5 Conductivit en uS cm Figure 7 Diagramme de Riverside 4 CONCLUSION Afin de mettre en vidence l origine de la min ralisation des eaux souterraines de la nappe phr atique de la r gion d ouled chamekh une tude hydrochimique a t labor e Ainsi pour identifier les ventuelles dissolutions des min raux responsables de la min ralisation les relations entre le r sidu sec et les l ments chimiques majeurs d une part et les relations entre ces l ments d autre part ont t examin es Les r sultats ont d voil que la composition chimique des eaux souterraines est largement charg e en anions CI et SO et en cation Na Par contre les l ments HCO3 et K ne sont pr sents qu en tr s faible pourcentage De plus un gradient croissant de la salinit a t not du Sud Ouest vers le Nord Est direction sebkhat Sidi El Hani Le diagramme de Piper a montr qu il y a deux faci s g ochimiques dominants le faci s chlorur sodique dans la partie Est et le faci s chlorur sulfat dans la zone Ouest L utilisation de l indice de saturation nous a permis de comprendre le processus de la min ralisation des
134. in Bationo et al 2001 Les valeurs relativement lev es de ce param tre pendant les p riodes s ches t moignent d une certaine accessibilit aux ressources hydriques disponibles du sol Bationo ef al 2001 Le maintien d un potentiel hydrique lev est li l aptitude extraire l eau du sol et la capacit limiter les pertes d eau par transpiration Turner NC 1986 in Amor S ef al 2005 Le potentiel hydrique de midi suit la m me allure que le potentiel hydrique de base pour toutes les populations Selon Ksontini 1996 le w miai est corr l avec l humidit du sol et la transpiration Louguet 1978 attribuent l abaissement du potentiel hydrique de la feuille l abaissement du potentiel hydrique du sol La conductance stomatique de la mi journ e suit la m me allure que la conductance stomatique de matin mais elle enregistre une augmentation pour toutes les populations durant les diff rents mois et au mois de Juillet pour Zelfen 25 7mmol ms Guira 165 66 mmol m s et Jelma 52 61mmol m s contrairement aux populations d Essalloum et Oumlagsab o on a not un minimum par rapport la matin e plus importante Zelfen 125 11 mmol m s tandis qu elles sont minimales pour la population d Oumlagsab 46 33 mmol m s La r duction de la perte en eau par la fermeture stomatique est un moyen d adaptation des plantes la s cheresse Cette diminution de la transpiration peut eng
135. installation of the new urban center in Ouzera and doubling the national highway 1 between Ben and Ouzera Chicao created other current erosion phenomena in recent years such as landslides and mudslides To address these problems we are studying the evolution of the operation of the ravine and other erosive phenomena Keywords conservation of water and soil landslide water erosion landslide gully road 1 INTRODUCTION La construction du village agricole au sommet de la cr te a cr e des coulements d eau importants et la d t rioration de la voie routi re L volution du versant dens ment peupl village agricole pose de plus en plus de questions quant l avenir de ces milieux et de ces soci t s Les bordures de la route inqui tent juste titre les riverains qui voient leurs champs cultiv s ou leurs pr s peu peu grignot s par les coulements d eau Ainsi pour viter un trop fort ruissellement sur le versant la soci t SONATRO pour la protection des routes en collaboration avec les ponts et chauss es a d tourn les eaux venant des toitures des maisons village agricole Haouch ZEGAA Ouzera ou des champs 1055 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones
136. is possible through the use of ANN technique The best 1047 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 ANN architectures allowing ETo estimation were found to be ANN 6 12 1 and ANN 5 5 1 respectively for daily time step For ten day time step neural networks selected which allow ETo computation are ANNaio 6 12 1 ANN decg 5 12 1 and ANN gec7 5 5 1 For monthly time step When temperatures min max mean and sunshine duration relative humidity and wind speed values are availables ANN m10 6 6 1 is the recommended model In the case of relative humidity value availability with sunshine duration and temperatures values ANN 7 5 21 1 should be applied In situations of the presence of sunshine duration and temperatures min max mean if neither wind speed nor relative humidity data are available ANN m5 4 11 1 should be applied but if wind speed values are available ANN mg 5 12 1 is the best model and in the case of relative humidity value availability ANNo 5 12 1 should be applied The ANN models whose inputs are the air temperatures min max and mean solar radiation wind speed and relative humidity performed the best among the input combinati
137. l puration des eaux us es dont les volumes pur s repr sentent 37 du total 1 6 km des pays arabes En tenant compte des pr l vements les 600 millions de m d eau us e pur e par l Alg rie qui ne sont pas enti rement r utilis s ne valent que 0 1 des volumes pr lev s et repr senteraient 15 6 des besoins agricoles en eau Ces volumes pur s cens s renforcer les volumes pr lev s n apportent globalement que 2 17 et participent 1 8 aux volumes destin s l agriculture En revanche l agriculture au Kowe t comme au Bahre n utilise exclusivement les eaux us es pur es L Egypte valorise en plus jusqu 4 km d eau de drainage m lang s avec de l eau douce Dans le domaine de la recharge des nappes qui peut s effectuer par des dispositifs d infiltration d eau us e assurant la double fonction d puration et d alimentation des nappes sous jacentes la Tunisie pr voit d employer 50 millions m an cet usage l horizon 2030 Mutin 2007 Il est constat que les lourds investissements consacr s l puration des eaux us es pourraient tre revus la baisse si le dimensionnement des installations est r alis sur la base des rejets uniquement domestiques En effet les eaux us es qui sont trait es proviennent d un r seau unitaire qui draine les eaux us es domestiques les eaux industrielles et surtout les eaux pluviales Les rejets d eaux industrielles devraient sub
138. le Bassin versant de l Oued SEGUI MARETH Sud Tunisien th se de Doctorat Universit de Almeria Espagne pp 244 A HILALI 2011 Le syst me des Jessour T moignage d un patrimoine hydro agricole dans les oasis Tunisienne Colloque International Usages Ecologiques Economiques et Sociaux de l Eau Agricole en M diterran e Quels enjeux pour quels services pp 13 J BONVALLOT 1979 Comportement des ouvrages des petite hydraulique dans la r gion de M denine Tunisie du Sud au cours des pluies exceptionnelle de Mars 1979 Minist re de l Agriculture Direction des Ressources en Eau et en Sol Division des Sols pp 33 J EL AMAMI 1984 Les am nagements hydraulique traditionnels en Tunisie centre de Recherche en G nie Rural CRGR Tunis Tunisia pp 69 1319
139. lev es REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Bayouth DGPA 2009 S minaire national l ol iculture en Tunisie Sfax Ben Ahmed Ch 2004 Contribution tude de la photosynth se et du statut min ral chez I olivier Chemlali Olea europaea conduit en irrigu M moire de 3 me cycle FSS p 69 Ben Ahmed Ch Ben RouinaB Boukhris M 2007 Effects of water deficit on olive trees cv Chemlali under field conditions in arid region in Tunisia Scientia Horticulturae 113 267 277 Ben Rouina B Trigui A d Andria R Boukhris M Chaieb M 2007 Effects of water stress and soil type on photosynthesis leaf water potential and yield of olive trees Olea europaea L cv Chemlali Sfax Aust J Exp Agric 47 1484 1490 Ben Rouina B 2007 Etude des relations sol eau plante et de l effet du stress hydrique sur la croissance et la fructification de l olivier Olea europaea L en p riode de s cheresse Th se de Doctorat Facult des Sciences de Sfax p 237 Ben Rouina B Ben Ahmed Ch Ben Abdallah F Boukhris M 2011 L irrigation de I olivier aux eaux salines effets sur les caract ristiques physico chimiques du sol et sur le comportement de Varbre Workshop international les ressources en eau dans la plaine de Kairouan Contraintes naturelles et volution sociale 9 10 Nov 2011 Tunis Tunisie Chehab H Braham M Boujnah D Ben el hadj S 2002 Comportement cophysiologique de trois v
140. m me lettre sont significativement diff rents 4 p lt 0 05 en utilisant le test Duncan N u1 Allongementv g tatit o u 5 m s 3 2 Rendement en mati res s ches La figure 2 illustre les teneurs en mati res s ches MS des diff rentes plantes en fonction de la souche mycorhizienne et le traitement hydrique appliqu E M1 M M2 i NM ababe bakdeggdef fit E1 2 E1 3 gH Eh Traitement hydrique Figure 2 Variation du rendement en mati res s ches MS en fonction de la souche mycorhizienne et le type de traitement hydrique Chaque bar indique la moyenne de 3 r p titions l cartype Les histogrammes ne portant pas la m me lettre sont significativement diff rents p lt 0 05 Selon les r sultats r v l s Fig 2 on remarque que les rendements de la mati re s che varient l g rement en fonction de la qualit des eaux d irrigation et de la souche mycorhizienne utilis e En effet pour tous les traitements hydriques confondus les biomasses des plantes sont l g rement plus importantes chez les plantes mycorhiz es 52 64 en comparaison avec les plantes t moins 51 09 Cette augmentation significative de la biomasse est en accord avec l allongement des pousses Des r sultats similaires ont t observ s par Porras Soriano ef al 2009 qui ont remarqu une am lioration des biomasses des plantes inocul es par trois souches diff rentes de mycorhizes En r alit l am liorati
141. maturit a montr que les plantes ont r agi de la m me mani re face aux diff rents stress et le nombre de talles par plante n a pas vari de fa on significative Tableau 1 3 3 Effet de stress hydrique et salin sur le nombre de feuilles par plante Le stress hydrique mod r n a pas touch le nombre de feuilles par plante alors que l irrigation tr s d ficitaire a r duit ce nombre de 33 Par contre la salinit qu elle soit mod r e ou s v re a diminu de 16 seulement ce nombre soit la moiti de la r duction op r e avec la contrainte hydrique Tableau 1 3 4 Effet de stress hydrique et salin sur les dimensions de la feuille drapeau Seule la dose tr s restrictive a agi sur les feuilles en les rendant plus courtes perte de 25 et moins larges perte de 33 Le sel n a eu aucun effet sur la dimension des feuilles tableau 1 3 5 Effet de stress hydrique et salin sur l indice chlorophyllien Sous les stress hydrique et salin mod r s ainsi qu en pr sence de salinit s v re la teneur en chlorophylle a l g rement baiss entre 13 et 20 Au contraire lorsque le manque d eau est tr s s v re l indice chlorophyllien a chut de 38 Tableau 1 4 DISCUSSION Les facteurs environnementaux s cheresse salinit repr sentent pour les plantes autant de facteurs de stress qui peuvent limiter leur croissance v g tative Vadel 1999 En effet l application d une contrainte hydrique s v re a raccour
142. mesure en utilisant le ruban m tre les photos a riennes les prises de vues r guli rement et les t moignages aupr s des riverains 3 RESULTATS 3 1 Evolution actuelle du grand ravin d origine r cente Haouch ZEGAA Ouzera Avant de proposer une intervention avec les habitants nous avons tabli un premier contact avec eux pour conna tre leur sensibilit vis vis des probl mes li s au ravin L objectif de cette d marche tait de conna tre l historique de la formation de ce ravin et les r actions des paysans quelques riverains ont r pondu nos questions comment le ravin s est d velopp Quelle a t la chronologie de sa formation La rigole est apparue en 1987 apr s les travaux r alis s par les ponts et chauss es route drains souterrains lors des crues importantes En 1987 1988 les paysans ont commenc appr hender le ph nom ne en notant l apparition de plusieurs rigoles Les ann es suivantes elles n ont cess de s largir et sont devenues des ravines fonctionnelles La ravine se creuse puis s largit en empi tant sur les terres cultivables La route perpendiculaire la ravine Fig 1 est de plus en plus d t rior e Cette d gradation s amplifie au cours des ann es et prends des dimensions alarmantes Les habitants s inqui tent au sujet du devenir de leur terre et du village entier Face ce probl me les autorit s locales ont tent de limiter l rosion en t te de ravine
143. mise en uvre de la m thodologie effectu e par la FAO 56 et HidroMORE 4 y 0 863x 0 124 E z 3 0 848 3 2 o 3 2 Ss 1 Tl 0 1 0 2 4 FAO 56 mm Figure 8 Comparaison de deux m thodes de calcul ETcadj par la FAO 56 et HidroMORE 1197 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Carte d ETc adj Le mod le HidroMORE a t appliqu pour la p riode de r f rence 1996 2005 puis pour les sc narios futurs avec le m me jeu de param tres la m me carte des sols la m me carte d occupation du sol mais avec de nouvelles donn es climatiques afin de voir quelle serait l volution du param tre de bilan sur le bassin versant d Oum Zessar Ainsi puisque seulement les temp ratures et les pr cipitations changent entre la mod lisation hydrologique de sc nario pass et la mod lisation hydrologique des sc narios futures horizons 2030 et 2090 nous aurions des indications sur l impact d une hausse des temp ratures et d une fluctuation des pluies sur le r gime hydrique et par suite le stress Ces informations sont int ressantes dans la mesure o les impacts sur les ressources en eau pourraient ainsi tre pr vu
144. model wherein all climatic variables are available to compute ETo ANNd8 5 5 1 it s interesting to use that ANN if relative humidity values are missing The performances of neural models selected are represented in Figure 2 in the form of hydrograph and scatter plot 1043 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 _ANNd10 ETO PM ETO N o o S e N HO nmj o No ANNd10 ET0 mmj S e N W A a 1 106 211 316 421 526 631 736 841 9461051 4 5 6 time day PM ETO mm j ANNd8 ETO PM ETO O e N WwW A U DN CO WO ANNG8 ETO0 mm d 1 106 211 316 421 526 631 736 841 946 1051 time day Figure 2 Comparison of the daily ETO estimated by ANN models selected and PM FAO56 equation during the validation period 3 2 Ten day time step A keen look to table 3 shows that the neural models improve their performance with increasing number of inputs we have registered the best result with ANNdec10 6 7 1 appealing to six inputs affecting ETO mean temperature maximum temperature minimum temperature sunshine durations relative humidity wind speed at 2 m height then the performance criteria registered with this model are 0 912 and 4
145. nulle au mois de f vrier hivers Le cycle v g tatif de l alfa est caract ris par deux p riodes une p riode de vie active au printemps et en automne et une p riode de vie ralentie en t et en hiver REFERENCES BIBLIOGRAHIQUES Amor S Ben Salem M M barek Ben N Ezziddine Z 2005 in Science et changement plan taire S cheresse Volume 16 Num ro 3 juillet ao t septembre 2005 article de recherche Cereals in Tunisia production and resistance mechanisms to drought Bationo B A Ouedraogo S J Alexandre D Y Guinko S 2001 Statut hydrique de quatre esp ces ligneuses soudaniennes dans la for t de Nazinon Burkina Faso Science et 1244 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 changement plan taire S cheresse Volume 12 Num ro 2 87 94 Juin 2001 Notes originales Clavel D Drame N K Diop N D Y Z F 2005 Adaptation a la s cheresse et cr ation vari tale le cas de l arachide en zone sah lienne Ol agineux corps gras lipides Volume 12 Num ro 3 248 60 Mai Juin 2005 Mehdadi Z Benaouda Z Belbraouet S Benhassaini H Hamel I Benali M 2006 Evolution saisonni re de la composition foliaire
146. of cabbage Plant Science 163 753 758 Porras Soriano A Soriano Martin M L Porras Piedra A Azc n R 2009 Arbuscular mycorrhizal fungi increased growth nutrient uptake and tolerance to salinity in olive trees under nursery conditions Journal of Plant Physiology 166 1350 1359 Rinaldelli E et Mancuso S 1996 Response of young mycorrhizal and non mycorrhizal plants of olive tree Olea europaea L to saline conditions I Short term electrophysiological and long term vegetative salt effects Adv Hort Sci 10 126 34 Rusan M JM HinnawiS et Rousan L 2007 Long term effect of wastewater irrigation of forage crops on soil and plant quality parameters Desalination 215 143 152 Trotta A Falaschi P Cornara L Minganti V Fusconi A Drava G et Berta G 2006 Arbuscular mycorrhizae increase the arsenic translocation factor in the As hyperaccumulating fern Pteris vittata L Chemosphere 65 74 81 Yadav R K Goyal B Sharma R K Dubey S K et Minhas P S 2002 Post irrigation impact of domestic sewage effluent on composition of soils crops and groundwater A case study Environmental International 28 481 486 1277 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zon
147. ont cr d autres ph nom nes rosifs actuels durant ces derni res ann es tels que des glissements de terrain et des boulements Pour r pondre ces probl mes nous sommes en train d tudier l volution du fonctionnement du ravin ainsi que les autres ph nom nes rosifs Mots cl s conservation de l eau et du sol boulement rosion hydrique glissement de terrain ravinement route SUMMARY The highlight in the mountainous region of Ouzera Medea Algeria aims to study the dynamic exacerbated gully from 1993 until 2013 and landslides and cave ins during road works for four years level of national road 1 Before installing the agricultural village the area was covered with vineyards which maintained and protected the soil cover Currently thinning the surface and intensive and inappropriate to the severity of the landscape farming practices contribute to increased erosive soils which deteriorates irreversibly Downstream from this village appears a large landslide The civil works carried out in 1987 have created a large ravine Thus changes in the densely populated watershed agricultural village asked more and more questions about the future of these areas and these companies The edges of the road rightly concerned about the residents who see their cultivated their fields or meadows gradually eroded by runoff The restoration of the ravine is one of the actions to be undertaken and the maintenance of the landslide The
148. permettraient non seulement de p renniser la couverture v g tale de ces zones r habiliter mais aussi d assurer la s curit alimentaire gr ce de plus grandes disponibilit s des productions r coltes Cela explique le choix et l int r t que nous portons dans notre tude sur l association Atriplexhalimus L famille des Ch nopodiac es et Hordeumvulgare L famille des Poac es ou Gramin es Nous nous proposons dans ce travail de comparer la r sistance de Hodeum vulgare vis a vis de la salinit celle de Atriplex halimus qui est une halophyte La comparaison portera sur le comportement germinatif de ces deux esp ces soumises des conditions de stress salin 2 MATERIELS ET METHODES Dans le but d tudier l influence du sel sur la germination des semences de Hordeum vulagre et Atriplex halimus diff rentes doses d une solution saline ont t test es Il s agit des concentrations 0 100 200 300 400 500 et 600 meq I dont la solution saline est pr par e en m langeant deux sels diff rents savoir le chlorure de sodium NaCl et le chlorure de calcium CaCl volume gale V 1051 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013
149. preseason estimates of water supply American journal of Agricultural Economics 50 1586 1590 Badraoui M Soudi B et Farhat A 1998 Valorisation de la qualit des sols Une base pour valuer la durabilit de la mise en valeur agricole sous irrigation par pivot au Maroc Revue tude et gestion des sols 5 4 1998 40 44 Belhouchette H 2004 Evaluation de la durabilit de successions culturales l chelle d un p rim tre irrigu en Tunisie Utilisation conjointe d un mod le de culture CropSyst d un SIG et d un mod le bio conomique Th se de doctorat en science du sol ENSAM Montpellier 155 p Berck P Geoghegan J and Stohs S 2000 A Strong Test of the von Liebig Hypothesis American Journal of Agricultural Economics 82 4 pp 948 955 Berck P Helfand G 1990 Reconciling the von Liebieg and Differentiable Crop Production Functions American Journal of Agricultural Economics 72 4 pp 985 996 Boussard J M 1987 Economie de l agriculture Economica Paris 320p CIHEAM 2005 Rapport sur le D veloppement rural d veloppement durable quelle gestion des ressources Collomb P 1999 Une voie troite pour la s curit alimentaire d ici 4 2050 Economica FAO Rome 198 pp CRDA Ariana 2005 Rapport d tude de diagnostic et de r habilitation du p rim tre de Cebala Borj Touil Phasel Csaki C 1985 Simulation and systems analysis in agricultural Developments in agricul
150. progressivement augment par la salinit en comparaison avec le cv Naxos provoquant une augmentation significative P lt 0 05 de la teneur en compos s ph noliques totaux la dose 90 mM NaCl Tableau 4 4 DISCUSSION Les GSLs repr sentent une cat gorie des compos s secondaires trouv e principalement chez les plantes crucif res comme le brocoli le chou fleur et le chou Yan et Chen 2007 Des tudes pr c dentes ont montr es que les facteurs environnementaux tels que la lumi re Engelen Eigles et al 2006 la temp rature Velasco et al 2007 et les m taux lourds Tolra et al 2006 alt rent la teneur et la composition en GSLs Nos r sultats montrent que un niveau mod r de salinit une tendance de la teneur en GSLs totaux a augmenter a t observ e chez le cv Parthenon accompagn e d une augmentation des teneurs en SO dans les feuilles Ces r sultats sont en accord avec ceux trouv s r cemment par Keling et Zhujun 2010 chez le chou de chine En outre des travaux ant rieurs ont montr que sous un stress salin l assimilation soufr e augmente la concentration en GSLs L6pez Berenguer et al 2008 La r duction significative de la teneur en GSLs totaux chez le cv Naxos 30 30 mM NaCl pr s de 40 60 et 90 mM NaCl est principalement la cons quence de la diminution de la teneur en GSLs indoliques totaux Les diff rences entre les deux cultivars vis a vis a leurs composition en SO et G
151. ral Mutin 2007 le sud de la p ninsule arabique Y men qui re oit des pluies de mousson en t A l exception du Liban et des Iles Comores les espaces d sertiques occupent 7 millions km soit la moiti de la superficie totale des pays arabes Mutin 2007 Le relief se caract rise par une planitude l horizon l exception de quelques rares sommets montagneux tels que Atlas marocain Toubkal 4167 m les sommets du Liban 3083 m ceux du Y men 3660 m et ceux de l Alg rie Djurdjura 2308 m et Tahat 3003 m On y trouve galement la plus grande d pression au monde o la mer morte s enfonce 400 m La r gion est tr s pauvre en couverture v g tale qui reste globalement inf rieure 1 du territoire Mutin 2000 Le climat command par la latitude la continentalit et le relief est qualifi de capricieux et d agressif induisant des coulements sporadiques provoquant des crues violentes qui contrastent avec la monotonie des tiages Les pluies arrivent en hiver une saison froide et courte des lames pluviom triques quivalentes la moyenne annuelle peuvent tomber en une heure ou en une journ e accentuant le ph nom ne de l rosion des terres Les barrages perdent annuellement une moyenne de 1 2 de leur capacit de stockage remplac e par le d p t de vase Au Maroc cette perte est estim e annuellement 50 millions m quivalent la perte d un potentiel d irrigation de 5000 ha
152. ratures sont enregistr s Damas 44 C Bagdad 50 C et Azizia 58 C L amplitude saisonni re de 15 C augmente l int rieur des terres continentales Le sol surchauff le jour 50 C rayonne intens ment la nuit se refroidit portant la temp rature 8 C l cart se creuse 42 C L insolation annuelle est un gisement important et avoisine 4000 heures ainsi que les radiations solaires qui sont maximales o seuls 10 sont r fl chis L vaporation varie de 570 mm an pr s du littoral plus de 2500 mm au sud Le pouvoir vaporant de l atmosph re est tr s sup rieur la pluviom trie ce qui impose l aridit toute la r gion arabe Le lac Nasser en Egypte vapore annuellement un volume de 10 km soit 1538 mm alors que sur le pourtour m diterran en la hauteur vapor e varie de 2 mm en hiver 10 mm en t Ces caract ristiques font que la s cheresse s installe en tant que ph nom ne structurel accentu e par le r chauffement climatique elle constitue un handicap de taille pour la gouvernance de l eau Il a t constat CNRS 2007 ces derni res ann es que les pluies ont diminu de 30 et que le taux de remplissage des barrages a chut de 20 Les rendements c r aliers fluctuent entre une moyenne de 10 q ha en ann e humide et 5 q ha en ann e s che Ce dernier cas entra ne le doublement des importations A l exception de quelques impluviums d aire insignifiante l ensemble d
153. re variable du mode de r ponse quantit accumul e des deux g notypes face au d ficit hydrique et m me apr s le retour de l arrosage C est cette variation diversit qu il convient d exploit e dans le but de choisir ou de cr er des id otypes de plantes efficaces contre le d ficit hydrique Enfin le niveau de la teneur en proline peut galement tre mis profit dans le d clanchement de l irrigation des cultures R f rences bibliographiques BENLARIBI M et MONNEVEUX P 1988 Etude compar e du comportement en situation de d ficit hydrique de deux vari t s alg rienne de bl dur Triticumdurum DESF adapt es au d ficit hydrique C R Acad Agric Fr 74 n 5 73 83 BENLARIBI M et CHAIB G 1995 Is proline accumulation a character of tolerance to drought Congr s inter drought Montpellier du 31 Ao t au 2 Septembre 95 Proceedings INRA X 5 DREIER W et GORING M 1974 Der einfluss hoher Salzkonz ntrationen auf Verschiedene physiologische parameter Von Maiswurzeln Wiss Z der H U Berlin Nath Naturwiss r 23 641 644 LEVITT J 1972 Response of plants to environmental stresses Academic press New York and London REUSCH W H 1977 In introduction in organic chemistry Ed Holden Day INC STREYER L 1997 La biochimie Ed Flamarion m dicine Science 1065p TROLL W et LINDSLEY J 1955 A photometric method for the d termination of proline J Biol Chem 215 655
154. rentes P lt 0 05 Tukey test La signifiance entre les deux cultivars est d termin e relativement au Student s t test avec P lt 0 05 P lt 0 01 P lt 0 001 n s non signifiant L augmentation significative des teneurs en GSLs aliphatiques totaux chez les cvs Parthenon 294 a 60 mM 334 90 mM NaCl et Naxos 348 60 mM 418 90 mM NaCl est principalement due a l accumulation importante de glucoerucin GE Une compensation de la r duction des GSLs indoliques par des niveaux accrus des GSLs aliphatiques peut se produire En fait l absence des GSLs aliphatiques chez Arabidopsis thaliana double mutant myb28myb29 conduit 4 une augmentation des GSLs indoliques Beekwilder et al 2008 Ainsi sous un stress salin les GSLs aliphatiques conf rent au cv Naxos particuli rement une valeur nutritionnelle accrue Plusieurs produits de l hydrolyse des GSLs aliphatiques methylsulphinyl chez le brocoli comme le glucoraphanin GR et le glucoiberin GJ sont envisag s pour r duire les risques du cancer Le sulforaphane d riv de glucoraphanin est le plus puissant tant un inducteur naturel des enzymes de la phase II qui d toxifient les canc rog nes Fahey et al 2001 Farnham et al 2004 et Scheuner et al 2005 ont rapport que la salinit augmente la teneur en compos s ph noliques bien que les r sultats portent essentiellement sur les parties comestibles fleurs inflorescences Au contraire d autre
155. ressort aussi que les vari t s 1293 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 am lior es A6 Rihane A7 Tej A8 knouz sont sensibles au stress salin puis qu elles n arrivent pas garder les m mes rendements en grains elles ont plus t t pr sent des taux de r ductions lev s Pour les param tres cit s pr c demment RG NE et NG les vari t s V38 et V49 ont donn les meilleurs rendements sous stress salin donc pour les agriculteurs qui cherchent le rendement en grain ces vari t s semblent tres les plus appropri s en cas d irrigation avec l eau charg e sinon avec une eau douce les vari t s V49 V39 V36 et V29 sont les plus performantes en terme de RG malgr qu elles pr sentent les taux de r ductions les plus lev s pour ce param tre Dans notre cas la pr cocit ne semble pas tre un crit re de s lection pour tol rance Tester ef al 2003 Thomason ef al 2009 Rady et al 2011 ont propos que la s lection sera plus efficace lorsqu on prend en compte la pr cocit comme un crit re de tol rance associ avec un autre caract re de tol rance Le taux de r duction du rendement en grain et du rendement en paill
156. retenus ont permis de d partager les g notypes en trois principaux groupes Le premier est compos des g notypes Ouard Bled 1 etDerbessi 2 et les vari t s am lior es Razzak 14 Nasr 18 INRAT 69 8 et le g notype Italien Iride 20 qui se caract risent par un rendement en grain importants Le deuxi me groupe est form par les vari t s autochtones Hamira 12 Richi 3 Arbi 22 Mahmoudi 5 et Agili 6 et sourri 21 qu ont un rendement biologique importants Le troisi me groupe est form par le reste des vari t s qui pr sentent des rendements en grains et biologique moins int ressants sous stress salin 1268 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Variables et Individus axes F1 et F2 60 Variables et Individus axes Fl et F2 76 1 5 A A N l lt 3 3 N N u u v w x x o oc i l l 0 0 5 axe F1 36 gt axe F1 42 gt a b Figure 3 Analyse en composantes principales a essai irrigu avec eau douce 2g 1 b essai irrigu avec eau charg e 6 1 4 CONCLUSION L irrigation du bl dur offre l amortissement des fluctuations interannuelles du rendement en Tun
157. sel 3 2 Rendements en fruits L observation de la figure 2 et l analyse de la variance ont montr des diff rences significatives entre les traitements et chez les deux vari t s Baklouti et Midass Le stress hydrique 11 100 RFU I1 50 RFU ind pendamment du stress salin diminue le rendement en fruits de la plante de 32 chez les deux vari t s Le stress salin appliqu So S et So S2 ind pendamment de la contrainte hydrique r duit respectivement le rendement en fruits de 26 et de 49 chez la vari t Baklouti et de 11 et 33 chez la vari t Midass ay a b b b b c 5 T d E Baklouti e E Midass S011 S111 S211 S012 S112 S212 1200 1000 800 600 400 200 rendements en fruits gr traitements 11 100RFU 12 50 RFU S0 0 mM NaCl S1 30 mM NaCl S2 60 mM Nacl Figure 2 Effet de stress combin sur le rendement en fruits Concernant les traitements combin s on constate que la vari t Baklouti est la plus touch e En effet on note une chute du rendement de 71 83 pour le traitement S I 30mM 50 RFU par rapport au traitement Sol OmM 100 RFU Pour la vari t Midass on constate que I n ya aucune diff rence significative entre le traitement Sol OmM 100 RFU et SI 30mM 100 RFU Qu il n ya pas diff rence significative entre Sol 0mM 50 RFU et SzI 60mM 100 RFU et que la diminution du rendement ne
158. sent e par chaque axe En se limitant aux deux premiers axes l analyse en composantes principales montre que les deux axes ACPI et ACP2 repr sentent 70 35 de la variabilit totale Le nombre des pis par m NE le poids de milles grains PMG le rendement en grain RG le rendement biologique RB le rendement en paille RP la hauteur de la v g tation HZ69 et Le nombre de grains par pi NGE sont les param tres qui discriminent le mieux les vari t s tudi es L axe ACP1 repr sente 49 13 de la variabilit totale Il repr sente une combinaison lin aire des param tres RG RB et RP L axe ACP2 repr sente 21 22 de la variabilit totale il est influenc par les valeurs NE PMG HZ69 NGE Le rendement en grain et le rendement en paille semblent repr senter les variables les plus importantes g n r es par cette ACP Figure 9 1295 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Figure 9 Analyse en composantes principales gauche projection des variables sur les deux axes ACP1 et ACP2 droite r partition des vari t s dans le plan des deux axes ACP1 et ACP2 En tenant compte de la signification des axes
159. sol et vitera sa salinisation et d assurer des revenus plus ou mois stables Pour cela nous avons adopt un mod le biophysique le CropSyst St ckle et al 1994 St ckle et al 2003 qui apr s calibrage et validation il a autoris des simulations long terme des rendements agricoles en 1255 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 fonction de la salinit du sol Ces simulations ont permis d tudier le comportement de diff rents sols et la r ponse de la culture du ma s fourrager et l impact du changement climatique sur les rendements de cette culture et la salinit du sol Coupl avec un mod le conomique il a permis d analyser les impacts sur la marge brute de la culture du mais pour chaque exploitation 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Collecte des donn eset enqu tes Nous avons collect des donn es p dologiques et climatiques du p rim tre Cebala Ces donn es ont concern la temp rature minimale et maximale la pluviom trie la vitesse du vent l humidit relative minimale et maximale ainsi que la radiation solaire de 26 ann es de 1983 a 2008 le degr de salinit et la texture du sol la qualit de l eau utilis e D au
160. t de s diments JESR les sols derri re jessour Tabs les sols derri re tabias et les affleurements calcaires AFFL En fait ils ont t dans la plupart du temps fusionn en une seule classe r gosols Taamallah 2003 Un r sum des param tres du sol n cessaires pour le mod le HidroMore est donn dans le tableau 1 Tableau 5 les caract ristiques de diff rents types de sols Sol GH REW ZE PR LIMITAN WPI FCI SATI Ki WAI BDI 7CRCG 4 6 00 0 10 0 20 0 06 0 14 040 2 90 0 08 1 59 CRGY 3 4 50 0 10 0 20 0 03 0 10 0 35 8 26 0 07 1 71 MBEH 4 6 00 0 10 0 20 0 08 0 17 0 42 1 83 0 09 1 54 PEAH 1 6 00 0 10 2 00 0 06 0 15 041 4 27 0 09 1 63 JESR 1 8 00 0 10 2 00 0 11 0 24 044 600 0 13 1 87 HALO 1 4 50 0 10 2 00 0 03 0 10 0 34 11 28 0 07 1 75 STAB 2 6 00 0 10 1 00 0 10 0 16 044 12 00 0 08 1 75 HYDR 1 4 50 0 10 2 00 0 03 0 10 0 34 11 28 0 07 1 75 GH Groupe hydrologique REW eau r ellement vaporable en mm Ze profondeur de couche vaporable en m Pr limitant profondeur limite des racines en m WP1 humidit volumique la capacit au champ en m m Fcl humidit volumique au point de fl trissement permanent en m m Sat Humidit volumique saturation en m m WAl fc WP l eau facilement utilisable dans le sol m m BD densit apparent en cm h K1 conductivit hydraulique la saturation en cm h MBEH min raux bruts d rosion hydrique Regosols PEEH peu volu s d rosion hydrique Regosols PEAH P
161. tal Notre tude a port sur des touffes d alfa Stipa tenacessima issus de cinq nappes alfati res en Tunisie Essalloum Guira Zelfen Kasserine Oumlagsab Gafsa et Jelma Sidi Bouzid M thodes Choix des sites L exp rimentation a t effectu e dans trois sites d tude localis e dans des diff rentes r gions Kasserine Gafsa et Sidi Bouzid Le choix a t bas selon le bioclimat la distribution g ographique et le relief Tableau 1 Caract ristiques g ographique bioclimatique de relief de diff rentes populations d alfa Stipa tenacessima en Tunisie Site Populations Etage Relief Altitude Latitude Longitude bioclimatique Kasserine Essalloum Semi aride inf rieur montagne 1225 35 05 8 54 Kasserine Guira aride inferieur plaine 800 35 02 8 56 20 Kasserine Zelfen Semi aride superieur plaine 1000 35 23 25 8 47 5 Gafsa Oumlagsab aride inferieur plaine 650 35 47 35 8 22 Sidi Bouzid Jelma aride plaine 421 _ x Mesure des param tres hydriques et physiologiques Les param tres cophysiologiques et dentrom trique ont t effectu es suivant le cycle v g tatif de la plante d alfa Et Juillet Automne Novembre Hivers F vrier Potentiel hydrique La notion de potentiel hydrique permet de comparer les tats hydriques des milieux physiques sol et ses diff rentes strates et biologiques plante et ses diff rents organes et de d termi
162. talles nombre de feuilles et leurs dimensions teneur en chlorophylle Les r sultats ont montr que l application de stress hydrique mod r a diminu l g rement la hauteur de la tige et la teneur en chlorophylle des feuilles Au contraire lorsque le manque d eau est tr s s v re tous les param tres mesur s ont subi une r duction Pour la contrainte saline aussi bien mod r e que s v re une am lioration des dimensions des feuilles et du tallage a t observ e Cependant le nombre et la teneur en chlorophylle des feuilles ont accus une l g re baisse Ces r sultats sont encourageants car ils permettent de valoriser le sorgho sur le plan fourrager dans les conditions difficiles du sud tunisien surtout dans le contexte actuel du changement climatique Mots cl s exploitation fourrag re sorgho sud tunisien SUMMARY Water a precious element is not always available in sufficient quantity for plants in arid and semi arid regions These areas are moreover characterized by water poor quality resources brackish and plants are exposed to stressful situations First plants would be exposed to increased water stress and secondly they will be face on salinity These two factors are considered the most limiting vegetative growth and development of plants Faced with these difficult conditions and also facing the global population explosion it is necessary to ensure food security for both humans and livestock Among the sol
163. tr s significatif au seuil de 1 pour l ensemble des variables mesur es du v g tal mis par la hauteur totale HT et la longueur LF de feuille Tableau 4 La signification de l effet traitement sur la surface foliaire SF est due essentiellement la largeur de la feuille o leur classement donne l ordre d croissant suivant T8 gt T5 gt T6 gt T1 gt T2 T3 gt T4 gt T0 gt 7 pour LF et T8 gt T6 gt T2 gt T1 gt T3 gt TS gt T4 gt T0 gt T7 pour SF La signification de effet traitement sur le nombre d pis m et la biomasse a rienne de l orge peut tre expliqu e par la forte capacit de tallage herbac et la densit lev e du feuillage Tamrabet at al 2003 Boudjabi et al 2006 et le classement de ces param tres donne l ordre d croissant suivant T4 gt T1 gt T2 gt T0 gt T6 gt T7 gt TS pour NE m et T4 gt T3 gt T1 gt T0 gt T6 gt T7 gt T5 gt T8 pour BIOM Le nombre de grains par pi NG E est intimement li la longueur de l pi LE Les traitements T1 bouel 20 t ha et T6 boue3 50 t ha montrent une sup riorit quant l expression du nombre de grains par pi NG E avec des valeurs identiques de 49 66 grains par pi et de longueur de l pi LE avec 6 86 et 7 44 cm respectivement le classement de ces variables donne l ordre d croissant suivant T1 T6 gt T2 gt T4 gt T3 gt T0 gt T7 T8 gt TS5 pour NG E et T6 gt T2 gt T1 gt T4 gt T3 gt T0 gt TS5 gt T8 gt T7 pour LE Le nombre de gra
164. trouvent au Nord Ouest de la ville de Nabeul pour la station SE4 et au Nord Ouest et au Sud Est de la ville de Nabeul pour la station de SE3 La zone la plus lointaine de SE3 est distante de 15 km et celle la plus proche est distante de 0 4 km alors que la zone la plus lointaine de SE4 est distante de 8 67 km et celle la plus proche est distante de 1 37 km Elles sont loign es des zones r sidentielles d au minimum 200 m et au maximum de 1 5 km Elles sont situ es dans des zones agricoles occup es par des oliviers et des c r ales et pr s de deux p rim tres l un est irrigu par des eaux conventionnelles et l autre par des eaux us es trait es Elles sont localis es dans des zones o la profondeur de la zone non satur e est moyennement profonde entre 5 et 31 m Le sol est non salin La salinit de l eau est assez faible elle varie entre 1 2 et 2 31 g l et dont l acc s par r seau routier est facile La vuln rabilit de la nappe ces sites est donc relativement faible 4 CONCLUSIONS La m thodologie labor e qui a int gr l AHP et les SIG a permis d obtenir une couche spatiale finale qui localise et classifie les sites selon l aptitude recevoir de l eau us e pour la recharge de la 1183 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cu
165. un param tre fiable pour mesurer la tol rance d un g notype en terme de rendements en grains Les oasis sont des cosyst mes fragiles et leur gestion durable implique plusieurs actions dont celles visant l am lioration du revenu des agriculteurs le maintien et l enrichissement de la biodiversit ou encore la sauvegarde des pratiques ancestrales Ainsi l identification de g notypes sp cifiquement adapt s cet cosyst me et l utilisation des eaux marginales telles que celles de drainage peut participer cet effort REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES AISSA A D et MHIRI A 2002 La fertilisation phospho potassique des c r ales conduites en intensif en Tunisie Cahiers Agriculture Vol 11 n 6 Amino acid and polyamine content in cereals Proceedings of the 7th Hungarian congress on plant physiology 46 3 4 73 75 Bouzerzour H A Benmahammed A Benbelkacem T Hazmoune H Mimoun S Bourmel A Mekhlouf 2000 Stabilit des performances et caract ristiques ph no morphologiques de quelques vari t s de bl dur TriticumdurumDesf issues d une s lection multilocale Proc du Premier Symposium International sur la Fili re Bl Enjeux et Strat gie Alger 7 9 F vrier 2000 Pages 178 184 1269 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques
166. utilis e pour les cultures de primeur et d arri re saison 2 Conduite de la culture L exp rimentation a t r alis e au cours de l ann e 2009 2010 sous serre vitr e l IRA Institut de R gions Arides situ e 22 5 km au Nord Est de la ville de M denine Cette r gion est situ e dans l tage bioclimatique aride inf rieur caract ris par 1307 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 v une pluviom trie annuelle faible de l ordre de 150 mm an v des temp ratures assez fortes v des vents fr quents 2 1 Caract ristiques p doclimatiques Le substrat utilis est un sol profond sableux limoneux fertilis par du fumier bien d compos Il pr sente les caract ristiques suivantes e conductivit lectrique ms m 3 9 5 51 e pH 7 5 7 6 e calcaire total 8 15 e calcaire actif 2 5 10 5 et 26 e gypse 0 1 2 2 2 L eau d irrigation L eau utilis e pour l irrigation est l eau de pluie titrant un pH de 7 71 T 25 C et de conductivit lectrique de 845uS cm T 26 C et de salinit gale 0 5 g l 2 3 Mise en culture Les semis des grains de tomate de vari t s test es ont t r a
167. vement le sodium parmi tous les cations majeurs K Mg Ca a affich les concentrations les plus importantes 168 48 meq l en amont 978 meq l en aval Figure 2 Parmi les anions majeurs SO HCO c est le chlore qui a enregistr les concentrations les plus lev es 218 31 1225 35 meq l d amont en aval Figure 3 1028 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Figure 2 Profil ionique de l volution des concentrations en sodium dans la nappe phr atique Figure 3 Profil ionique de l volution des concentrations en chlore dans la nappe phr atique Le profil salin des huit points d eau analys s dans la topos quence tudi e atteste de la tr s mauvaise qualit de ces eaux pour l irrigation Les valeurs de la conductivit lectrique varient entre un minimum 25 7 dS m et un maximum de 171 9 dS m Figure 4 Ces valeurs placent ces eaux dans la classe C4S5 Tr s mauvaise qualit selon DURAND 1958 1029 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnol
168. was regressed against ECa 3 RESULTS AND DISCUSSION 3 1 Exploratory analysis A summary of ECa and SWC mean minimum maximum standard deviation and coefficient of variation from the various surveys is displayed in Table 1 Measurements of the apparent electrical conductivity in the horizontal and vertical mode from the dry and wet seasons surveys correlated strongly r2 0 95 with each other Electrical conductivity measurements tended to vary throughout all surveys Conductivity readings from the horizontal dipole frequency tended to be lower than those of the vertical dipole orientation of the same frequency for the EM38 sensor In the dry season October the mean soil moisture was 22 6 with a minimum value of volumetric water content of 7 5 and a maximum of 44 9 of SWC During the rainy season February the mean soil moisture reached 32 9 with a minimum value of volumetric water content of 21 1 and a maximum of 62 4 of SWC For 0 20 cm depth the values of gravimetric water contents varied between 7 5 to 30 1 and 18 9 30 1 for the dry and wet seasons respectively Table 4 Summary of ECa of the soil measured in the vertical EMv and Horizontal EMh modes and SWC measurements from the dry and wet season surveys Mean Minimum Maximum Std deviation CV dry wet dry wet dry wet dry wet dry wet ECa H 22 3 27 3 8 5 6 6 40 2 72 7 9 4 15 3 0 42 0 56 ECa V 25 0 34 7 9 5 10 5 44 1 62 4 9 3 12 7 0 37 0 37 SWC 0 0 2m 18 9 35 5
169. 0 52 mg g de MF pour les plantes non inocul es trait es avec SO et S2 respectivement ainsi les carot noides diminuent de 0 72 mg g de MS a 0 44 mg g de MS pour les m mes traitements Ces r sultats sont en accord avec ceux trouv s par Ben Ahmed 2009 ayant montr que la chute de la teneur en pigments photosynth tiques r sultant de l irrigation l eau saum tre Cha chb i cha b 1 nn ow a 38 A a b b c c d de Bc ab M bow o 54 S l d d gt A Cc c 2 0 2 a 2 Pa E MZ NMZ MZ NMZ MZ NMZ Figure 1 Variation la teneur en chlorophylles au niveau des feuilles en fonction de l inoculation mycorhizienne et des traitements salins SO S1 et S2 Chaque bar indique la moyenne de trois r p titions l cartype Les barres ne portant pas la m me lettre sont significativement diff rentes P lt 0 05 selon le test Duncun 1281 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 h 03 a ab E 0 25 b c d 2 02 4 d wo 0 15 Nn 3 014 E 005 2 o o MZ NMZ MZ NMZ Mz NMZ Figure 2 Variation de la teneur en carot no des au niveau des feuilles en fonction de I inoculation mycorhizienne
170. 035 mg l L accumulation de Cd dans les tissus v g taux d cro t en utilisant des eaux us es plus dilu es En ce qui concerne la distribution du Cd au niveau des diff rents organes des plantes on remarque une accumulation excessive de cet l ment au niveau des racines de toutes les plantes sauf celles irrigu es par des eaux normales Les taux de Cd dans les racines et les tiges sont moins importants chez les plantes inocul es surtout par la souche M Cependant les feuilles des plantes sont les organes dont l accumulation par ce m tal toxique a t la moindre 1275 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 4 0 MFeuille MTige 4 0 Feuille MTig acine 3 5 4 a 3 5 b 3 0 4 3 0 2 5 4 5 2 0 83 45 2 5 0 2 0 GS 2 5 0 0 T 0 0 M1E M1E1 M1E1 3 Mie M2E M2E1 2M2E1 3 M2e Traitement hydrique Traitement hydrique 4 0 E Feuille MTige li 0 NME NMRA ME EKNE Figure 3 Variation dela distribution du Cd dans les feuilles les tiges et les racines des plantes inocul es par M a M b et des plantes t moins c selon le traitement hydrique o Cd ppm En effet la translocation de cet l ment ver
171. 1 135 CRDA 2008 Etude de la gestion int gr e des ressources hydrauliques de Cap Bon Phase II Elaboration des scenarios de d veloppement Rapport g n ral BICHE Ding D Cai L Wang X Shao B Zheng Y 2011 Applied Mechanics and Materials Application of comprehensive evaluation of the airport site selection 97 98 311 315 Engel BA Navulur KCS Cooper BS Hahn L 1996 Journal of the International Association of Hydrological Sciences Estimating groundwater vulnerability to non point source pollution from nitrates and pesticides on a regional scale 235 521 526 Ennabli M 2005 Sciences et Technologies 4 membranes 22 24 Septembre 2005 Monastir Tunisie Le probl me de l eau dans les pays du sud de la m diterran e 2 me Ecole d t Franco Maghr bine Gilliams S Raymaekers D Muys B Van Orshoven J 2005 Computers and Electronics in Agriculture Comparing multiple criteria decision methods to extend a geographical information system on afforestation 49 142 158 Gomez M Barredo JL 2005 2nd edition RA MA edition Sistemas de Informacion Geografica y Evaluacion Multicriterio en la Ordenacion del Territorio Kallali H Anane M Jellali S Tarhouni J 2007 Dessalination 215 2007 Gis based multi criteria analysis for potential wastewater aquifer recharge sites P 111 119 Marinoni O 2004 Computers and Geosciences Implementation of the analytical hierarchy process with VBA in A
172. 1 140 Hammami A El Masri A Bouaziz A Kuper M 2008 Valorisation de l eau souterraine par les cultures fourrag res dans le p rim tre irrigu du Tadla Maroc Economies d eau en syst mes irrigu s au Maghreb Actes du quatri me atelier r gional du projet Sirma Mostaganem Alg rie 26 28 mai 2008 Cirad Montpellier France colloques c d rom pp 1 10 Hassan M Qayyum A Razzaq A Muhammad A Imran M Khan SU Jenks MA 2013 Evaluation of Maize Cultivars for Drought Tolerance Based on Physiological Traits Associated with Cell Wall Plasticity Jokull J 63 7 466 478 Kadri K Maalam S Cheikh MH Ben abdallah A Rahmoune C Ben Naceur M 2009 Effet du stress salin sur la germination La croissance et la production en grains de quelques accessions Tunisiennes d orge Hordeum Vulgare L Sciences et Technologie 29 72 79 Kurth E Cramer GR Lauchli A Epstein E 1986 Effects of NaCl and CaCl2 on cell enlargement and cell production in cotton roots Plant Physiol 82 1102 1106 Lepengue AN Mouaragadja I M Batchi B Ak S 2010 Effet de chlorure de sodium Na Cl sur la germination et la croissance du mais Zea mays L Poaceae au Gabon Int J Biol Chem Sci 4 5 1602 1609 Lepengue A Isaac M Brahma I Severin A M Batchi B 2012 R ponse du mais Zea mays var LG 60 au stress salin Etude de la synth se de quelques composes biochimiques Journal of Animal et plant Sciences 14 1 1866 1872
173. 12 texture du sol lt 10 d argile g ologie exclusion des argiles gr s et calcaire loignement des lacs et barrages collinaires gt 500m loignement des zones r sidentielles gt 200 m et loignement des routes lt 50m 2 2 2 Structure hi rarchique et pond ration des crit res et sous crit res La structure hi rarchique consiste organiser le probl me d cisionnel traiter en plusieurs niveaux Dans notre tude de cas trois niveaux ont t tablis Figure 2 Le premier d fini l objectif de l tude qui est de classer les sites potentiels aux bassins d infiltration percolation Le deuxi me niveau donne les crit res et le dernier niveau d taille les sous crit res qui en sont d riv s Choix des sites d installation des bassins d infiltration Texture du sol G ologi Occp du sol Li ME Profondeur Pente ZNS Salinit de l eau La distance SE Concentration en nitrates Salinit du sol Figure 2 Repr sentation graphique de la structuration hi rarchique Trois crit res ont t s lectionn s pour classer les sites favorables a I irrigation par les eaux us es qui sont les crit res techniques conomiques et environnementaux De chaque crit re d rive de 3 a 6 sous crit res Figure 2 Ces crit res et sous crit res ont t choisis de la bibliographie Kallali et al 2007 Anane et al 2008 Pedrero et al 2011 Rahman et al 2012 Rahman et al 2013
174. 12 2013 2 3 Performance criteria The performance of ANN models is assessed by the satisfying the defined objective function of the model ETo estimates from ANN methods were compared with the PM method using simple error analysis and linear regression The coefficient of determination R and root mean square error RMSE were used to evaluate the goodness of fit of an ANN model 2 3 1 Coefficient of determination R O obs O sim 2 2 R Where R is the coefficient of determination Y and are the values of observed and simulated ETo respectively Y and Y AN sim are the mean value of observed and simulated values of ETo N is the number of observations A coefficient of determination approximates to the unit means that the designed model is very effective and vice versa 2 3 2 Root Mean Square Error RMSE The RMSE is a measure of the residual standard deviation it should be as small as possible A perfect match between the calculated and the observed values would yield RMSE 0 The RMSE is an indicator of the ability of model a low RMSE values indicate that the model has a good performance and vice versa Sungwon and Hungo 2008 The Root Mean Square Error RMSE was used as a measure of goodness of fit of model it can be calculated as follow N gt Cae E Yim y RMSE N Where RMSE is the root mean square error Koi and Y sim are the values of observed and simulated ETo respectivel
175. 135 Brevik E Fenton T Lazari A 2006 Soil electrical conductivity as a function of soil water content and implications for soil mapping Precision Agriculture 7 393 404 Brevik E C Fenton T E 2002 The relative influence of soil water content clay temperature and carbonate minerals on soil electrical conductivity readings taken with an EM 38 along a mollisol catena in central iowa Soil Survey Horizons 43 9 13 Huth N I Poulton P L 2007 An electromagnetic induction method for monitoring variation in soil moisture in agroforestry systems Australian Journal of Soil Research 45 63 72 IAO 2002 Land Resources of the Oued Lebna Catchment Tunisia 20th Course Professional Master Remote sensing and natural resources evaluation Istituto Agronomico per l Oltremare Florence Italie p 132 Kachanoski R G Gregorichi E G Van Wesenbeeck I J 1988 Estimating spatial variations of soil water content using noncontacting electromagnetic inductive methods Can J Soil Sci 68 715 722 McNeill J D 1980 Electromagnetic terrain conductivity measurements at low induction numbers Technical Note TN 6 Geonics Ltd Mississauga Ontario 15 p 1980 Reedy R Scanlon B R 2003 Soil water content monitoring using electromagnetic induction Journal of Geotechnical and Geoenvironmental Engineering 129 1028 1039 Rhoades J D Corwin D L 1981 Determining soil electrical depth relations using an inductive e
176. 14 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 REFERENCES Allen R G Perreira L S Raes D Smith M 1998 Crop evapotranspiration Guidelines for computing crop water requirements Irrigation and Drainage PaperN 56 FAO Rome Italy 300 p Araya A Solomon H Hadgu K Kebede A Dejene T 2010 Test of AquaCrop model in simulating biomass and yield of water deficient and irrigated barley Hordeum vulgare Agricultural Water Management 97 1838 1846 Baheri SF A Javanshir H Kazemi and S Aharizad 2005 Effects of irrigation at different phenological stages on some traits in spring barley genotypes Iranian Journal of Agricultural Sciences 36 1 169 176 Bhutia N K and G D Singh 1990 Study on yield and water use efficiency of barley in response to moisture regimes and sources of nitrogen Haryana J Agron 6 1 76 77 Bresler E 1975 Two dimensional transport of solutes during nonsteady infiltration from trickle source Soil Science Society America Proc 39 604 613 Bresler E B L McNeal and D L Carter 1982 Saline and sodic soils Principals dynamics modelling Irrig Sci 13 157 164 Ceccarelli S 1987 Yield potential and drought tolerance of segregating population of barley in con
177. 19 12 2013 Description des variables d entr e et de sortie par HidroMore Les mod les hydrologiques n cessitent beaucoup de donn es d entr e pour repr senter la r alit La qualit des donn es d entr e est aussi importante de sorte que la g n ration et le traitement des donn es d entr e est un point crucial dans la mod lisation a chelle r gionale Pour HidroMore les donn es d entr e sont associ es avec le sol et son utilisation le climat Figure 3 Land use Soil map Precipitation Climatic information _ variables Pe Sey Ilhan Illa INPUTS hidro more Precipiation i i OUTPUTS Irrigation Run off Pixel information Figure 4 Les entr es et les sorties de mod le HidroMore Gonzalez 2006 Carte des sols Une carte des sols au 1 200 000 de la r gion Jeffara qui englobe notre zone d tude a t produite par Taamallah 2003 par une interpr tation visuelle du spot multi spectrale XS image de 1998 et sur le terrain par des enqu tes Cependant la carte des sols n identifie pas les sols qui ont t construits derri re les unit s de collecte d eau Par cons quent la modification de cette carte tait n cessaire pour r pondre aux exigences de l application du mod le notre zone d tude comme a t fait par Ouessar et al 2009 Trois classes ont t ajout es des sols artificiels form derri re les structures de collecte d eau des par le d p
178. 1982 Contribution l tude de l rosion et des transports soldes en Alg rie septentrionale Th se Docteur Ing Paris 232 pages MUXART et al 1987 L rosion sur les hautes terres du LINGAS un processus naturel une production sociale laboratoire de g ographie physique UA 0141 C N R S 146 pages OLIVERY JC HOORELBECK J 1988 Erosion des terres noires de la vall e du BUECH Alpes du sud bassins sur roubines de savournon 20 pages OLIVRY J C 1986 R flexion sur la mesure et l estimation des bilans d exploitation de mati re solides a l rosion l Exp rience des premiers travaux sur les bassins des marnes noires du PIC St Loup Montpellier et des Alpes du sud B V PACA Colloque BVRE SFSH CNFGG Aix En Provence 1064 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 L exploitation fourrag re du mil Pennisetum glaucum Leila Radhouane Laboratoire des Sciences et Techniques Agronomiques INRAT Tunisie Email radhouane leila iresa agrinet tn RESUME Le syst me d levage traditionnel repose encore principalement sur l exploitation des parcours naturels Or ce syst me n est pas durable car il engendre la longue
179. 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Conduite de culture et dispositif exp rimental Deux cultivars de brocoli Brassica oleracea var italica cvs Parthenon et Naxos qui diff rent dans leurs cycle de culture ont t utilis s pour les exp rimentations Parthenon a t largement tudi alors que Naxos est introduit ici comme un nouveau cultivar hautement tol rant au stress abiotique Les graines de deux cultivars ont t pr hydrat es dans l eau distill e et a r es continuellement durant 12 h Les graines sont ensuite plac es dans des bacs avec de la vermiculite comme substrat avant d tre incub es l obscurit 28 C Apr s 2 jours les plantules sont transf r es dans une chambre de culture contr l e jour nuit lumi re 16 h 8 h temp rature 25 C 20 C et humidit relative RH 60 80 avec un rayonnement photosynth tiquement active PAR de 400 umol m s fourni par une combinaison de tubes fluorescents TLD36W 83 Philips Hambourg Allemagne et F36W GRO Sylvania Danvers MA USA et les lampes aux halog nures m talliques HQI T 400W Osram Miinchen Allemagne Apr s 3 jours les plantules ont t plac es dans des conteneurs de 15 litres 10 plantules par conteneur remplis d une solution nutritive de Hoagland continuellement a r e KNO 3 0 mM Ca NO3 2 2 0 mM KH2PO 0 5 mM MgSO 0 5 mM H3 BO3 25 0 uM MnSO 2 0 uM ZnSO 2 0 uM CuSO 0 5 uM NH4 sMo70O 0 5 uM and F
180. 23 13 Largj Width of terrace 17 21 13 32 Hrj Height of retention of Jessr 0 24 0 23 HT Height of tabia 0 95 0 51 LongT Length of tabia 29 19 23 42 Cr Capacity of retention 2239 16 538 76 Nb esp Number of species 4 16 4 95 Sup imp Surface of catchment area 0 49 0 76 Study of eigenvalues Table 2 Table of eigenvalue F1 F2 F3 variance 53 88 13 38 10 23 accrued 53 88 67 27 77 50 Only 3 factors F1 F2 and F3 have been chosen to be studied in order to obtain the maximum of information with the preservation of the minimum of factors Coordinates of variances Digital synthesis of variables has been interpreted using graphical representation of the principal axes Variables axes F1 et F2 67 Figure 9 Representation of variables supported by the plane 1 2 on the circle of correlation As it is illustrated by the figure 9 the variables supported by the axe F1 and the variables supported by the axe F2 forms an angle that reflects the absence of a linear correlation Nevertheless all variables studied have been almost close to the circle of correlation A strong correlation has been observed between the height of retention Hrj capacity of retention Cr and height of the tabia HT Similarly a significant interrelation has been detected between the variables of groups 2 and 3 In contrast the surface of the catchment area showed a low correlation with other variables The PCA pointed out a weak rel
181. 35 10 8 4 4 2 9 78 5 3 9 1 58 A argile D lt 2 um L limon 2 lt lt 20 um STF sable tr s fin 20 lt lt 50 um SF sable fin 50 lt D lt 200 um et SG sable grossier 200 lt lt 2000 um 2 4 2 Morphologie du sol marginal SM La granulom trie du sol SM est pr sent e dans le Tableau 3 1248 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 3 Morphologie du sol sablo argilo limoneux SM Profondeur Granulom trie en Densit de l horizon A L STF SF SG du sol g cm Parcelle sol favorable l ol iculture SS 0 20 11 4 8 5 6 4 71 8 1 9 1 45 20 45 15 6 18 5 30 5 54 1 1 3 1 49 45 75 33 5 19 4 35 5 10 8 0 8 1 58 75 160 31 3 15 5 15 5 36 7 1 0 1 78 gt 160 43 1 38 8 14 7 3 2 0 2 1 75 A argile D lt 2 um L limon 2 lt lt 20 um STF sable tr s fin 20 lt lt 50 um SF sable fin 50 lt lt 200 um et SG sable grossier 200 lt lt 2000 um 2 5 Analyse statistique Les analyses statistiques de tous les param tres tudi s ont t faites en utilisant le logiciel SPSS 20 Statistical Package for the Social Sciences avec l utilisation d
182. 3S gt Good To Permissible E4 Very High Low C451 Doubtful To Unsuitable Low Es Very High Medium C48 Doubtful To Unsuitable flow E6 Very High Medium C452 Doubtful To Unsuitable Er Very High Medium C48 Doubtful To Unsuitable E4n E7n Water sampling Sites along the Oued El Gourzi course during periods of high flow Chloride is an anion that undergoes little absorption and is highly mobile and soluble It tends to accumulate in tissues particularly leaves of some plants to toxic levels The chloride concentration of the El Gourzi water ranged from 199 8 mg to 548 3 mg l during summer sampling These results indicated that chloride concentrations in are higher than the allowed limit of 355 0 mg I but these waters are still suitable for irrigation of medium to high salt tolerant crops Ayers amp Westcot 1994 FAO 2003 Waters carried by Oued El Gourzi are mostly of sewage and industrial effluents types El Gourzi bacteriological analyses revealed the presence of fecal contaminants and the absence of the pathogenic organisms such as salmonella and vibrio cholera In fact the mean fecal coliform loads varied from 0 7 x 10 to 2 74 x 10 unit 100 ml at E7 and F4 respectively The bacteriological quality of the wastewater used for intensive irrigation of crops such as lettuce and raw eaten vegetables is 1000 FC 100ml Ayers amp Westcot 1994 Blumenthal 2000 This criterion can vary with respect to the type of use of the wastewater
183. 43 C me D 1970 Les obstacles la germination Ed Masson amp Cie Paris 162 p Djebaili S 1984 Steppe alg rienne phytosociologie et cologie Ed OPU Alger 177 p Le Hou rou H N 1989 Classification coclimatique des zones arides de Afrique du Nord Ecol Med XV 3 4 95 144 Le Hou rou H N 1995 Bioclimatologie et biog ographie des steppes arides du Nord de I Afrique Diversit biologique d veloppement durable et d sertisation Options M dit S rie B n 10 Ed CIHEAM amp ACCT Montpellier 597 p Piri K Anceau C El jaafari S Lepoivre P amp Semal J 1994 S lection in vitro de plantes androg n tiques de bl tendre r sistantes la salinit In Demarly Y amp Sibi M L Eds Quel avenir pour l am lioration des plantes Ed AUPELF UREF amp John Libbery Eurotext Paris 1170 p Sibi M L Fakiri M 2000 Andrgen se et gynogen se source de vitrovariation et de tol rance a la salinit chez l orge Hordeum vulgare L Revue de la s cheresse 11 2 125 132 1054 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 La dynamique du ravinement dans une zone de marnes noires la r gion de M d
184. 5 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effet de NaCl sur la germination de lign es d orge s lectionn es pour leur r sistance au BYDV en Tunisie Mejda Abassi Asma Najar Hager Ben Ghanem Ali Albouchi Salah Rezgui Institut National de Recherche en G nie Rural Eaux et For ts Tunis Tunisie Institut National de Recherche Agronomique de Tunisie Tunis Tunisie Institut National Agronomique de Tunisie Tunis Tunisie Email mej_abassi yahoo fr RESUME L orge Hordeum vulgare L est une esp ce c r ali re r put e pour sa large adaptation aux conditions de culture les plus diverses du sub humide aux r gions arides ou semi arides caract ris es par leur manque d eau et ou leur salinit lev e La diversit des cotypes locaux t moigne de l lasticit de cette esp ce l gard des cosyst mes vari s pour lesquels elle a d velopp les m canismes d adaptation appropri s Dans ce contexte se situe le cadre de ce travail dont l objectif est d tudier la r ponse au stress salin de quatre nouvelles lign es d orge s lectionn es pour leur r sistance au virus de la jaunisse nanisante de l orge BYDV travers l tude de l effet de doses croissantes de NaCl sur leur germina
185. 5 T 7 10 376 198 0 915 1 83 Ts 7 28 485 259 0 375 0 75 To t moin T bouel 20 t ha T bouel 50 t ha T boue2 20 t ha T 4 boue2 50 t ha T Boue3 20 t ha T4 Boue3 50 t ha T azote 35 kg ha Ts azote 70 kg ha CE conductivit lectrique uS cm Corg Carbone organique MO mati re organique L tude de l efficience d utilisation de l eau montre que l orge r pond fortement a apport de la bouel 50 t ha et boue2 25 t ha et que cette r ponse devient relativement faible entre le t moin et l apport Boue3 Ainsi pour Jaidor le taux d conomie en eau atteint 46 dans T5 Boue3 20 t ha et 30 en T2 Bouel 20 t ha par rapport au t moin Figure 3 Ceci peut tre expliqu essentiellement par la capacit de la boue retenir l eau et r duire le taux d vaporation d eau de la surface du sol ET Economie 4 EUE g l EUE g l xz s kz 2 E S 2 S 8 wi T4 Traitements Figure 3 Evolution de l efficience d utilisation de l eau chez la vari t Jaidor suivant les traitements EUE efficience d utilisation de l eau g 1 1118 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Bio
186. 50m and covers an area of about 5000 ha It is characterized by a hot and dry climate and belongs to arid climatic Our work aimed to characterize the physico chemical parameters of soil and floristic characteristics to better understand the phenomenon of environment degradation This work allowed us to show that soils characterized by a basic sandy loam textures presence of limestone gypsum soluble salts low in organic matter and high mineralization The floristic surveys reveal only steppe species adapted to this environment Anabasis Zizyphus Atriplex etc Most of these plants are difficult and their densities are generally low Through our study we can say that there is a relationship between the distribution of vegetation and soil guardian in other words these soils are often a less dense sparse perennial vegetation that could not provide a good protection against soil wind and water erosion To fight against the degradation of this fragile ecosystem it is important to choose appropriate species for the ecological functioning depends heavily on better interactions between vegetation and soil Keywords relationship soil vegetation steppe M Douka 1 INTRODUCTION En Afrique dans les milieux arides notamment les r gions steppiques la d gradation du sol a connu une ampleur alarmante ces derni res ann es causant ainsi une d sertification et un d s quilibre cologique La conjonction des facteurs climatiques et p dologiques entr
187. 59 166 Munns R Tester M 2008 Mechanisms of salinity tolerance Annu Rev Plant Biol 59 651 681 Navarro J M Garrido C flores p amp Martinez V 2010 The effect of salinity on yield and fruit quality of pepper grown in perlite Spanish Journal of Agricultural Research 8 142 150 Niu G Rodriguez D S Starman T 2010 Response of bedding plants to saline water irrigation Hort Science 45 4 628 636 R him T Hamza N Henchi B et Baba R 1999 Contribution l tude de l effet du d ficit hydrique sur la n crose apicale des fruits chez le piment Capsicum annuum Annales de INRAT 1999 72 291 302 R him T Hamza N Henchi B 2002 Effet de la contrainte hydrique sur quelques param tres de croissance chez le piment Capsicum annuum L Annales de l INRAT 2002 75 173 190 R him T Ilahy R Tlili Khamassy N Jebari H 2013 The effect of Salinity on some growth and yield parameters of three pepper Capsicum annuum L varieties grown in Tunisia Food 7 Special Issue 1 27 31 Global Science Books Rozema J Flowers T 2008 Crops for a salinized world Science 322 1478 1480 Sarda X Vansuyl G Touseh G Casse Delbart F et Lamaze T 1992 Les signaux racinaires de la r gulation stomatique In Tol rance a la s cheresse des c r ales en zones m dit rran ennes diversit g n tique et am lioration vari tale Colloque INRA 64 75
188. 6000 8000 10000 12000 o 2000 100 6000 2009 10000 12090 CE pS erm CE uS cm Figure 3 Evolution de la CE en fonction du rapport carbonate vaporite et chlorure sulfate 3 2 Faci s chimique Le diagramme de Piper nous a permet d estimer les pourcentages des l ments chimiques et leur classification D apr s ce diagramme on remarque que 50 des puits ont un faci s g ochimique chlorur sodique et 50 ont un faci s g ochimique chlorur sulfat Figure 4 1081 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Hyper chlorur e calcique Hyper sulfat e calcique Da LA ARQ a Z X et sulfat e 97 calaque et SIN magn sienne 22856 y Y ror Bi Carbonat e i A awd Hyper chlorur e calcique s nat sodique et sodique o calcique et potassique apne ou sulfat e x Y X We 4 A A f A Lv Bi Carbonat e sodique Figure 4 Diagramme de Piper 3 3 R partition spatiale des l ments chimiques en ions majeurs Le r sultat des analyses des eaux souterraines en ions majeurs montre que le sodium est le cation le plus dominant avec des teneurs variant de 25 100 meq l D apr s la figure 5a la concent
189. 660 WEINMAN S et MEHUL P 2004 Toute la biochimie Ed Dunod 452p ZERAFA C 2006 L accumulation de la proline en tant que test pr coce d adaptation au d ficit hydrique et indicateur mol culaire de diversit chez Triticum aestivum L bl tendre M moire de Magister Fac des sciences S N V Universit de Constantine 125p 1138 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 La p nurie d eau dans les pays arabes et la n cessit de l utilisation des eaux non conventionnelles Zella Lakhdar Smadhi Dalila lUniversit de Blida Alg rie BP 30A Ouled Yaich Blida Alg rie Email lakhdarz yahoo fr Institut National de la Recherche en Agronomie Alger Alg rie Email dalsmadhi yahoo fr RESUME L enjeu auquel est confront le monde arabe est de produire plus de nourriture avec moins d eau La population arabe repr sente 4 3 de la population mondiale mais ne dispose que de 0 63 des ressources en eau renouvelables ce qui cr e les conditions de conflits potentiels graves Les ressources en eau renouvelables sont valu es 278 km ce qui correspond un volume annuel de 583 m par an et par individu Mais ces ressources sont conc
190. 7 9656 Santos CV 2004 Regulation of chlorophyll biosynthesis and degradation by salt stress in sunflower leaves Scientia Horticulturae 103 91 99 Tolk JA Howell TA Miller FR 2013 Yield component analysis of grain sorghum grown under water stress Field Crops Research 145 44 51 Vadel AM 1999 Evaluation cophysiologique de la tol rance aux contraintes abiotiques chez le triticale et le sorgho Th se de doctorat FST 202 p 1091 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1092 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 R ponse des vari t s de piment Midass et Baklouti face aux contraintes saline et hydrique R him T Tlili I Henan I Ilahy R Ben Ali A Jebari H Laboratoire d Horticulture Institut National de la Recherche Agronomique de Tunisie INRAT Rue H di Karray 2049 Ariana Tunisie Email thouraya rhim yahoo fr imen_tlili2008 yahoo
191. 7 5 18 9 30 1 54 1 5 2 10 7 0 28 0 30 SWC o 1m 23 3 35 5 9 3 18 9 35 9 54 1 5 2 10 7 0 22 0 30 SWC averaged over 0 100 cm soil depth were best correlated r 0 74 to ECa measured in the vertical mode in February 2013 Table 2 Results were considerably better than for the horizontal mode in the dry season r 0 62 Correlation results between soil ECa clay silt and sand content and the electrical conductivity of the soil solution were found to be non significant The variability in ECa with clay content and soil solution salinity is of secondary importance the predicted water content values at the Lebna site On this site the range varied between 0 9 to 2 3 mS cm 1 Better relationships are to be expected if the range includes higher salinity values This study confirms the findings of others who have observed a significant response of ECa to soil moisture Kachanosky et al 1988 Brevik and Fenton 2002 Reedy and Scanlon 2003 Akbar et al 2005 Brevik et al 2006 Huth and Poulton 2007 Table 2 Correlation r between the apparent electrical conductivity of the soil measured in the vertical EM V and Horizontal EM H mode by EM38 and various topographic and soil parameters Sand Sit Clay EC1 5 mS m SWC o 1m SWC 0 0 2m ECa H mS m 0 02m 0 31 0 17 0 28 0 09 0 62 0 60 ECa V mS m 61m 0 27 0 10 0 30 0 46 0 74 0 71 Significant at p lt 0 05 3 2 Regression analysis Figure 1 shows the relationship bet
192. Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 The surface of the catchment area of Jessr m2 is the micro watershed area that it outlet is the surface of retention Retention capacity of Jessr m is the maximum amount of water that may retain the Jessr 1 Definition of jessour The jessour are recognized as one of the most widely used traditional techniques to harvest water in the mountainous parts of southern Tunisia chiefly at Matmata Mountains It is an ancient system of collecting run off from long slopes The system is based in the building of earthen dams or dykes tabias that across the valley floors to trap the run off water and silt 1 allowing the use of stored water in the planting of fruit trees and the practice of annual crops cereals vegetables 7 Every essr is composed by the following elements Tabia is a dyke built more frequently with soil from the bottom of the valley Sirra the dyke is armed in the downstream by a wall of dry stones to become more powerful Kliss an important volume of loose of materials silt and sand extracted from the slope by runoff is accumulated over time behind the tabia Menfess is a lateral spillway in the end of dyke Masraf it is a central spillway
193. Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 G n ralement les g notypes test s ont un rendement en paille plus important que la vari t t moin a Vexception V47 et VS Le g notype australien CHK36 a montr un rendement en paille important soit 1098 54 g m sous une eau charg de 4 5 g l m g Site 1 9 g l Site 2 6 g l M Site 3 4 5 g l HH E M Site 4 5 g l id A6 V47 V5 V29 V38 Re 1200 n 1050 de 900 m 750 600 450 300 150 Figure 8 Estimation du rendement en paille quivalent g m chez les agriculteurs Tableau 2 Rendement en paille et en grains chez diff rents agriculteurs Agriculteurs Rihane rendement Rihane rendement Accessions Accessions en grain Qt ha en paille g m rendement en grain rendement en Qt ha paille g m Site 1 16 9 140 15 75 798 12 Site 2 42 3 467 35 30 410 32 Site 3 40 85 449 96 48 57 1098 54 Site 4 36 25 625 85 38 25 465 85 Site 5 38 95 914 23 37 12 575 25 3 4 Analyse multi vari e L analyse en composantes principales ACP permet une meilleure discrimination des vari t s selon les variables utilis es pour la distinction Ainsi une ACP a t r alis pour v rifier le classement pr c dant r alis sur la moyenne des deux traitements L ACP pr sent e dans la figure 9 donne une estimation de la variabilit repr
194. Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Chl b mg g MF Mars Avril Mai Juin Date Figure 3 Evolution mensuelle de la teneur en chlorophylle b chez l olivier Chemlali Sfax conduit au plein champ en pluvial ou en irrigu sur deux types de sol T ad a ESM F mss oO 5 E SSI Mars Avril Mai Juin Date Figure 4 Evolution mensuelle de la teneur en chlorophylle a b chez l olivier Chemlali Sfax conduit au plein champ en pluvial ou en irrigu sur deux types de sol Mars Avril Mai Juin Date Figure 5 Evolution mensuelle de la teneur en carot noide chez l olivier Chemlali Sfax conduit au plein champ en pluvial ou en irrigu sur deux types de sol Malgr un approvisionnement ad quat en eau des arbres voluant sur un sol sableux irrigu durant les mois de mai et de juin RWC respectifs de 93 4 chez les arbres SSI 87 5 et 82 7 chez ceux des 1251 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 parcelles SS et SM leurs concentrations foliaires en chlorophylles et en carot noides sont plus faibles Cela tire origine de leur statut biolo
195. Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 3 Variation du taux de chlorophylle total Les valeurs sont de l ordre de 18 52 18 5 12 43 et 6 69 mg g chez les stress s et de 14 29 22 64 12 40 et 14 61 mg g pour les t moins respectivement pour les populations de Jerba Bouhedma Cenchrus ciliris et Digitaria commutata et Matmata a la fin du premier cycle de s cheresse A la fin du deuxi me cycle de s cheresse les valeurs sont de l ordre de 4 75 7 50 5 26 et 3 64 mg g chez les stress s et de 14 03 11 49 10 95 et 8 56 mg g chez les t moins respectivement pour les populations de Jerba et Bouhedma Cenchrus ciliris et Digitaria commutata et Jerba Les valeurs les plus lev es sont enregistr es chez la population de Bouhedma 18 57 mg g a moindre degr chez les populations de Jerba 18 52 mg g Digitaria commutata de Bouhedma 12 43 mg g et minimale chez la population de Matmata 6 69 mg g la fin du 1 cycle de s cheresse Alors qu la fin du deuxi me cycle les valeurs les plus lev es sont enregistr es chez la population de Cenchrus ciliaris de Bouhedma 7 50 mg g 4 moindre degr chez les populations de Digitaria commutata de Bouhedma 5 26 mg g ainsi que celle de Jerba 4 75 mg g et minimales chez la population de Matmata 3 64 mg g Fig 3 oo fg faa a a Q 2 3 nN VY For 5 Fin du 1 cycle Fin du 2 e cycle Figure 3 Var
196. BBAS S tifl Alg rie Universit Djelfa Alg rie INRAA Unit de S tif Alg rie Email mekhloufa yahoo fr RESUME Au cours de leurs cycles v g tatifs les plantes sont sujettes aux stress biotiques et abiotiques Pour faire face cette situation elles d veloppent de nombreuses strat gies adaptatives qui s expriment diff rents niveaux organisationnels l chelle de la plante organe cellule organite Il existe cependant plusieurs crit res d ordre morphologiques physiologiques et biochimiques qui discriminent relativement bien entre g notypes tol rants et sensibles aux stress Cette discrimination permet d envisager la s lection de g notypes r sistants Pour expliquer l effet du stress thermique sur le bl bur nous avons tudi trois g notypes Waha Martondur et Martondur3 Waha cette derni re est issue de croisement Waha x Martondur L tude est men e sur des chantillons lev s dans des conditions optimales de d veloppement t moins T1 sans stress et des chantillons endurcis et stress s T2 L ensemble des chantillons des traitements T1 et T2 a t soumis un choc de basses temp ratures de 5 C pendant 24 heures Des mesures ont port sur le teneur en chlorophylle teneurs en prot ines solubles et une comparaison des profiles lectrophor tiques sur gel de polyacrylamide Une variabilit a t not e chez les cultivars tudi s ainsi que pour les traitements mettant ainsi
197. Bilan des travaux d am lioration vari tale en C te d Ivoire In Le mil en Afrique diversit g n tique et agro physiologie Potentialit s et contraintes pour l am lioration g n tique et l agriculture ORSTOM eds Paris France pp 21 32 Boura ma S Lavergne D Champigny ML 1986 Etude compar e de la tol rance au sel de dif rents mil croissance activit s phospho nolpyruvate carboxylase et enzyme malique NADP Agronomie 6 7 675 682 Boyer JS 1982 Plant productivity and environment Science 218 443 448 Cakir R 2004 Effect of water stress at different development stages on vegetative and reproductive growth of corn Field Crops Research 89 1 16 Catelan F Scapinello C Figueira JL Galuci AF Motta ACM 2012 Evaluation of milled pearl millet in the feeding of growing rabbits R Bras Zootec 41 8 1866 1871 Chapin FS 1991 Integrated responses of Plant to stress Bioscience 41 29 36 Cheesman JM 1988 Mechanisms of salinity tolerance in plants Plant Physiol 87 547 550 Chohan MSM Naeem M Khan AH Kainth RA 2006 Performance of pearl millet Pennisetum americanum varieties for green fodder yield J Agric Res 44 1 146 158 Damagnez J Riou C de Vill le O EI Amami S 1962 Probl mes d vaporation potentielle en Tunisie Ann INRAT 35 161 184 De Vill le O 1965 Cinq ann es d exp rience sur les besoins en eau des cultures Doc Tech INRAT
198. C UFC GT 37 C UFC Ll 161 105 L2 243 NC L3 64 115 3 1 5 Les Ana robies sulfito r ducteurs ASR Les ana robies sulfito r ducteurs sont souvent consid r s comme des indices de contamination ancienne La forme spore beaucoup plus r sistante que les formes exclusivement v g tatives des coliformes f caux et des streptocoques f caux permet ainsi de d celer une pollution f cale ancienne La couleur des colonies d ASR halo noir r sulte de la r duction de sulfite Sayad et al 2009 Les r sultats n gatifs d duisent l absence de germes sulfito r ducteurs Clostridium sp responsable de botulisme ou de t tanos 3 1 6 Les Pseudomonas La recherche de Pseudomonas aeruginosa sur milieu King A King B donne des r sultats n gatifs 3 2 Identification des souches bact riennes Les bact ries sulfito r ductrices sont pr sentes avec des concentrations ind nombrables La recherche de microorganismes nous a permis de mettre en vidence la dominance des bact ries Gram n gatif et l isolement de bact ries pathog nes appartenant a la famille des Ent robact ries tel Escherichia Enterobacter et Klebsiella ainsi que d autres germes principalement les Staphylococcus Cette pollution affecte l environnement et constitue une menace majeure sur la sant des cosyst mes et des habitats biologiques 4 CONCLUSION L eau du Lac des Oiseaux pr sente une forte pollution bact riologique avec une concen
199. Cl appliqu e En comparaison avec le t moin plantes non mycorhiz la souche mycorhizienne a am lior le m canisme d exclusion au niveau des racines des plantes mycorhiz es Une r duction moins importante en chlorophylles phosphore et amidon a t observ e chez les plantes mycorhiz es D autres param tres co physiologiques agronomiques et biochimiques ont t affect s par la salinit et que l inoculation mycorhizienne les a am lior Mots cl s Olea europaea Glomus deserticala Nacl absorption min rale exclusion racinaire osmolytes 1 INTRODUCTION La salinit est une contrainte majeure dans la r duction de la production v g tale 1 chelle mondiale En Tunisie face la limite quantitative des ressources hydriques les agriculteurs recourent l utilisation d eaux de qualit moyenne m diocre pour irriguer leurs cultures L utilisation fr quente de ces eaux m me chez des esp ces tol rantes engendre chez celui ci des perturbations physiologiques et agronomiques qui peuvent aboutir la r duction notable de la production En effet la pr sence du sel en forte concentration r duit et peut inhiber le m tabolisme cellulaire et la photosynth se Tremblin et Coudret 1986 par l imposition d un stress osmotique Hayashi et Murata 1998 et par l accumulation de l ion nocif Na Niu et al 1995 Ashraf et Foolad 2007 De ce fait une augmentation des sucres totaux r sultant d un bl
200. Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 temps les lits sont secs ou ne recoivent que les rejets des eaux us es L exploitation des cours d eau est intense ce qui limite s v rement la recharge des nappes et fragilise la biodiversit du milieu naturel 3 2 Les eaux souterraines Les nappes phr atiques des pays arabes sont pratiquement surexploit es en totalit et les forages sont de plus en plus profonds une situation qui a permis a la nappe marine de se substituer au vide laiss Cet tat de fait a contraint les pouvoirs publics ne plus s emp cher d exploiter les r serves fossiles d eau douce Le sous sol de certains pays arabes rec le de v ritable mine d or bleu une eau emmagasin e depuis tr s longtemps et qui se renouvelle tr s faiblement C est le cas de l aquif re albien qui concerne I Alg rie et ses voisins orientaux et qui pi ge 60 000 km sur une superficie de 600 000 km l aquif re nubien d une superficie de 2350 km couvre 4 pays Egypte Libye Soudan et Tchad et stocke 50 000 km dont 20 000 km dans le sous sol gyptien et l aquif re arabique renferme 143 8 km La forte pression sur les RER caract ris e par le tr s fort taux des pr l vements d eau sup rieur 40 a contraint les pays d bourser des capitaux importants afin d exploiter leurs gisements hydriques fossiles Deux exemples m ritent d tre ci
201. D 122 136 M 172 177 M 200 215 lJ 100 105 108 144 M 177 102 M 21522 EM 1s no D 144 150 M 102 107 M 221 220 E no no E 50 155 MN 107 102 M 220 231 EM 116 122 GE 155 160 M 102 107 M 231 237 600000 610000 620000 30000 640000 3711000 1 0 15 3 Low 96 Figure 12 Carte de pr cipitation annuelle mm pour la p riode de r f rence 1199 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 600000 610000 620000 630000 40000 1 gt 3711000 L T 3711000 k 3702000 a T 3702000 3693000 1 T 3893000 Medenine Legende e che High 179 0 15 3 6 9 12 aftr Knedache pr Kilometre Low 152 T T aut T T 600000 610000 620000 630000 640000 Figure 13 Cartes de pr cipitation annuelle mm l horizon 2030 890009 610000 820000 830000 620000 3711000 n T 3711000 3702000 n T 3702000 vedere Legende cu a 152 En cacr Low 127 0 15 3 6 9 12 Kilom tre 600000 610009 620000 620000 640000 Figure 14 Cartes de pr cipitation annuelle mm l horizon 2090 Strat gie d adaptation Donc il serait opportun de pr voir des progr
202. Desf tude des caract res de production et d adaptation M moire de magist re en biologie v g tale Universit Mentouri de Constantine Facult des seciences de la vie et de la nature D partement biologie et cologie 123 p Rady D Xuemei J Richard A Richards M 2011 Abiotic stress and control of grain number in cereals Plant Science Plant Sci 181 4 31 41 Shuji Y Ray AB Hasegawa PM 2002 Salt Stress Tolerance of Plants Centre for Environmental Stress Physiology Purdure University JIRCAS Working Report pp 25 33 TesterM Baci A 2005 Abiotic Stress Tolerance in Grasses From Model Plants to Crop Plants Plant Physiology 137 791 793 1298 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tester M Davenport R 2003 Na tolerance and Na transport in higher plants Ann Bot 91 503 527 Thomason W E Alley MM Wysor E Phillips SB Parrish DJ 2009 Using the Virginia Cooperative Extension Climate Analysis Web Tool to Better Manage and Predict Wheat Development Agronomy 45 424 430 Tomoaki H Schroeder J I 2004 Sodium transporters in plant Diverse genes and physiological functions Plant Physiology 136 2457 2462
203. Distance ME 0 238 0 079 Concentrations en 0 137 0 045 nitrates 2 2 3 Spatialisation des sous crit res et contraintes par les SIG Des donn es spatiales et s mantiques ont t collect es des diff rentes institutions comp tentes CRDA minist re d agriculture office national de m trologie et des images de satellites Landsat SAT SRTM sur la zone d tude ont t t l charg es du web Les sous crit res ont t d riv s et spatialis s par des techniques d analyse g o spatiale 2 2 4 Normalisation des sous crit res Le classement des sites potentielles aux bassins d infiltration percolation requiert l agr gation des donn es de diff rents types qualitatives et quantitatives formes continues et discrets et unit s de mesures m dS cm Afin de pouvoir combiner ces sous crit res il est crucial de normaliser ces valeurs en les attribuant un domaine de mesure unique Dans ce travail nous avons choisi le domaine 0 1 en utilisant des fonctions d appartenance la logique floue 0 est attribu aux zones les moins favorables aux bassins d infiltration percolation et 1 aux sites les plus favorables La fonction appliqu e diff re selon la forme continue pente profondeur de la nappe ou discr te occupation du sol des valeurs Pour les sous crit res de forme discr te le processus a t r alis sur plusieurs tapes Les classes ont t regroup es selon leur capac
204. F1 39 56 gt axis F1 39 56 gt E 2 Site 1 at the 2 sampling period Figure 4 Plots of the 1 and 2 left and the 1 and the 3 right principal components for the sites x sampling periods data Cornaz Cornaz 2004 indicates that the bicarbonate represents an approximate indicator of the total mineralization The increase in water mineralization becomes a limiting factor of oxygen dissolution in water particularly when the water temperature is high the microorganism metabolism is accelerated which generates increasing needs in oxygen 3 2 Suitability of El Gourzi waters to irrigation use The suitability of water for irrigation is dependent on the effects of its mineral constituents on both soil and plant Todd 1980 The criteria that were used to evaluate the quality of the El Gourzi water for use in irrigation are salinity of the irrigation water for salt buildup in soil and its adverse effects on plant growth Al Khashman 2009 On the other hand sodium adsorption ratio SAR for its effect on the physical properties of soil and sodium percentage Na for its effects on the final soil water SAR value with loss or gain of Ca and Mg values Al Khashman 2009 On this basis El Gourzi waters fit within the limits of 0 to 2000 mg I for salinity and 0 to 3 0 mS cm for EC and so permissible for irrigation with slight to moderate effect on crops Table 2 Ayers amp Westcot 1994 FAO 2003 O
205. Gourzi which represents the main water source for the downstream agricultural sector of the Batna Fisdis region Cherak 1999 The Batna Fisdis region has witnessed an important development in the agricultural sector particularly after the introduction of wastewater irrigation The present total area receiving wastewater picked up from this river for irrigation purpose exceeded 1073 ha Crops irrigated with wastewater are vegetables forage and cereals El Gourzi effluents constitute for farmers an interesting alternative not only by their availability but also by their positive effects on crops and livestock productivity In the long run wastewater use could affect negatively groundwater soils and crops quality with adverse impacts on consumer s health In this context the present study was conducted with the objective to investigate the temporal and spatial variation of the water quality parameters of El Gourzi watershed for suitability for irrigation uses 2 MATERIALS AND METHODS 2 1 Site description The study was carried out in the region of Batna Fisdis Figure 1 located in the north eastern part of Algeria 6 15 E 35 36 N 850 m asl This region is characterized by a semi arid climate with mean 1122 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et C
206. H di Karray 2049 Ariana Tunisie Auteur Correspondant email leila romdhane hotmail fr RESUME Dans cette tude nous avons cherch tester sur le plan fourrager une vari t de mais Zea mays L r put e par son adaptation au manque d eau et la salinit Les param tres morphologiques et physiologiques mesur s concernent les parties vertes de la plante qui seront exploit es par le b tail tel le nombre et les dimensions des feuilles la hauteur de la tige principale le nombre de talles et la teneur en chlorophylle Les r sultats ont montr que le stress hydrique s v re a r duit aussi bien les param tres v g tatifs que physiologiques sauf le nombre de feuilles qui a enregistr une augmentation significative Par contre le stress hydrique mod r n a pas touch ni au nombre ni aux dimensions des feuilles et a conserv la teneur en chlorophylle Cependant il a raccourci les tiges Pour la salinit aussi bien s v re que mod r e un effet stimulateur a t constat pour tous les param tres sauf pour la hauteur de la tige qui a tendance se rabougrir avec l augmentation de la charge en sel De tels r sultats permettent d envisager la culture fourrag re du ma s dans les conditions arides du sud tunisien d exploiter les eaux charg es et aussi de r duire les doses d irrigation sans cons quences notables sur le rendement en vert Mots cl s Ma s Fourrage Salinit S cheresse Sud tunisien
207. L addition de doses croissantes de NaCl dans le milieu de culture diminue significativement P lt 0 05 la teneur en GSLs totaux chez le cv Naxos Cette diminution atteint 46 2 90 mM NaCl compar e aux plantes t moins comme une cons quence de la r duction importante de la teneur en GSLs indoliques totaux Tableau 3 Chez le cv Parthenon la teneur en GSLs totaux n a pas t affect e par la salinit Tableau 3 Teneur en glucosinolates totaux mg g MS et en sulfates mmol kg MS dans les feuilles de deux cultivars de brocoli cultiv s pendant 15 jours en conditions de salinit Variet NaCl mM Total GSLs SO 0 11 35 0 43 b 12 56 0 74 a 30 7 93 0 47 a 11 66 0 47 a di 60 6 71 0 28 a 11 27 0 08 ab 90 6 32 0 31 a 9 23 0 80 b 0 6 01 0 66 a 14 39 0 29 b 30 7 77 1 00 a 16 18 0 38 c Free 60 6 34 0 49 a 14 05 0 06 b 90 5 49 0 87 a 10 43 0 51 a Signifiances entre les 0 os n s 30 n s kkk deux cultivars 60 n s kk 90 n s n s 1154 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Pour chaque cultivar les moyennes avec des lettres diff rentes sont significativement diff rentes P lt 0 05 Tukey test La si
208. LP ANN for ETo assessment using minimal maximal temperature and pan evaporation values this researcher conclude that ANNs are able to convert pan evaporation values to reference evapotranspiration values accurately Sungwon and Hungo 2008 study the potential of generalized regression neural networks models GRNNM combined with genetic algorithms GA based on lysimetric data of crop reference evapotranspiration in this case is alfalfa in Korea Republic with a view to assess ETo using pan evaporation values and classical climatic variables the results obtained are promising with a performance criteria RMSE varied between 0 3 to 0 5 mm day 1040 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 ANN are also used for hydrological forecasting Trajkovic et al 2003 forecast reference evapotranspiration for one day ahead ET0q41 from ETog 11 and ET04 1 with a good accuracy t is the time in day Because of the multiplicity of the agents which are interested by water resources management hydrologists pedologists agronomists etc we made our study with different time steps monthly ten day and daily time steps 2 MATERIALS AND METHODS 2 1 Input data The m
209. La faible valeur du RWC durant le mois du mars d coule de la date tardive de la reprise de l irrigation des oliviers qui entam e au d but de ce mois Par contre chez les individus conduit en pluvial les valeurs du RWC diff rent selon la nature du sol SM et SS En effet elles atteignent 92 37 et 91 52 au mois de mars durant la saison pluviale Ces valeurs diminuent en fonction du temps et atteignent 87 24 et 84 44 au mois de mai Au mois de juin quand le climat devient sec le RWC reste constant chez les oliviers voluant sur le sol sableux SS et baisse davantage 82 74 chez les individus cultiv s sur un sol marginal SM Pour les pigments photosynth tiques chla chlb chla b et carot no des les teneurs lev es de chaque l ment sont enregistr es chez les arbres cultiv s sur un sol sableux profond et conduit en irrigu s durant la saison printani re Mars et Avril Ces teneurs ont pour valeurs maximales respectives de 1 36 0 87 2 39 et 0 71 mg g de MF pour la chlorophylle a la chlorophylle b la chlorophylle a b et les carot no des Ces teneurs lev es correspondent un apport hydrique important Pluie le 13 04 2012 en plus de l irrigation Au mois de Juin o les pr cipitations deviennent rares ces valeurs subissent un chute notable 0 79 0 46 1 35 et 0 38 mg g de MF respectivement pour la chlorophylle a b a b et les carot no des De ces r sultats on constate qu une am lioration hydrique impo
210. Les r sultats statistiques relatifs aux diff rents param tres suivis sont r sum s dans le tableau 1 Effet de la salinit sur la hauteur de la tige principale HAT La hauteur est d une grande importance pour la d termination de la variabilit agro morphologique et constitue la principale source de diversit entre les cotypes de mil Rahal bouziane et Kharsi 2004 Cette constatation a t observ e pour les 2 cotypes de mil tudi s En effet la barre de 2m s pare les 2 cotypes ZZ pr sente la plus haute stature Tableau 2 Ce dernier a subi sous les deux traitements salins T et T6 des raccourcissements respectivement de 3 et de 20 En revanche la tige de HG a gagn en hauteur en pr sence de salinit mod r e et est rest e semblable au t moin sous T6 Un tel r sultat a t signal par de nombreux auteurs Yeo and Flowers 1986 qui ont stipul que la r duction de la hauteur est toujours plus importante chez les cotypes haute stature et serait li e des m canismes de r sistance la salinit Cakir 2004 1067 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 1 Analyse statistique relative aux diff rents param tres
211. Levitt 1972 a r alis une tude bibliographique assez compl te du probl me de la r sistance la s cheresse chez les v g taux Il en propose un sch ma explicatif 1130 MATURATION Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Les m canismes de la r sistance a la s cheresse Levitt 1972 R sistance la s cheresse I Il Action d viter tol rance a La s cheressela s cheresse 2 1 Re ee 1 action or 2 tol rance a la d eau d eau la d shydratation d shydratation Figure 2 M canisme d adaptation la s cheresse Accumulation de la proline et son devenir apr s retour des arrosages De la on peut dire que Les plantes expos es aux contraintes abiotiques dans leur milieu de culture sont capables de se d fendre grace soit 4 des m canismes constitutifs structuraux soit 4 des m canismes induits au moment de l agression et qui s estompent et disparaissent par la suite cas de la proline Ce deuxi me moyen de d fense est moins exigent en d pense d nergie que le premier qui est g r durant tout le cycle biologique de la plante En mati re de caract ristiques biologiques les m canismes induits permettent donc un gain su
212. Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Umar S 2006 Alleviating adverse effects of water stress on yield of sorghum mustard and groundnut by potassium application Pak J Bot 38 5 1373 1380 Weltzien HC and JP Srivastava 1981 Applications in breeding strategies ICARDA Aleppo Syria In barley genetics IV Fourth Int Barley Generics Symposium Edinburgh Scotland 351 369 Zhang X D Pei Z Li J Li Y Wang 2002 Management of supplemental irrigation of winter wheat for maximum profil Deficit irrigation practices FAO Water Reports 22 55 66 Zhang Y Kendy E Qiang Y Changming L Yanjun S Hongyong S 2004 Effect of soil water deficit on evapotranspiration crop yield and water use efficiency in the North China Plain Agric Water Manage 64 107 122 1225 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1226 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et A
213. Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Influence des eaux r siduaires de tannerie sur le poids de la mati re s che Hiouani Fatima Messadia Hassen Masmoudi Ali Madani Djamila Tir Chafia l Universit de Biskra Alg rie hiouani fatima yahoo fr Universit de Batna Alg rie Universit de M sila Alg rie RESUME Dans les r gions souffrant de p nurie d eau comme les zones arides et semi arides ou l insuffisance voire la raret en eau pose in vitablement des probl mes surtout au point de vue de la satisfaction des besoins quantitatifs d irrigation en agriculture le recyclage des eaux r siduaires comme ressource compl mentaire en eau s av re int ressant pour les sols cultiv s pour r soudre la probl matique pos e en agriculture par l insuffisance des ressources hydrauliques dans ces zones Il en r sulte de l tude de l influence des eaux r siduaires de tannerie sur le poids de la mati re s che pieds tall s et racines sur une p riode de 55 jours un effet non significatif de l eau r siduaires de tannerie sur le poids de la mati re s che Mots cl s eaux r siduaires mati re s che poids tannerie SUMMARY
214. SF 100ml Figure 4 Evolution des streptocoques f caux 3 1 4 Germes totaux Les ana robies sulfito r ducteurs sont souvent consid r s comme des indices de contamination ancienne La forme spore beaucoup plus r sistante que les formes exclusivement v g tatives des coliformes f caux et des streptocoques f caux permet ainsi de d celer une pollution f cale ancienne La couleur des colonies d ASR halo noir r sulte de la r duction de sulfite La pr sence de ces colonies n est pas la preuve absolue d une contamination f cale ancienne car les clostridies peuvent aussi avoir une origine tellurique La recherche et le d nombrement des germes totaux dans les eaux qui ont fait l objet de notre tude montrent que les nombre de germes totaux est importants il atteint son maximum la temp rature 22 C pour le point L2 Les chiffres les plus faibles sont rencontr s au niveau de la station L3 Ces germes deviennent ind nombrables NC au niveau de la station points L2 pour la temp rature 37 C 1105 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 1 R sultats de d nombrement des germes totaux 22C et 37 C Stations GT 22
215. SLs sous stress salin prouve que la synth se des GSLs en conditions de salinit d pend du g notype plut t que du traitement Tableau 4 Teneur en compos s ph noliques mg 100 ra MF dans les feuilles de deux cultivars de brocoli cultiv s pendant 15 jours en conditions de salinit See NaCl D riv s d acide D riv s d acide Compos s LANE mM sinapique chlorog nique FER ph noliques totaux 0 16 00 1 09 a 12 56 0 81 a 107 36 2 05 a 135 92 2 79 a 30 15 24 0 61 a 10 72 0 88 a 101 82 1 52 a 127 78 2 05 a RES 60 14954 091a 10 4440 86a 10495 494a 130 34 491a 90 13 45 0 51 a 10 31 1 14a 113 24 9 47 a 137 01 9 02 a 0 19 56 0 45 a 12 80 0 32 a 101 77 2 61 a 134 13 2 98 a Due 30 20 63 0 56 ab 12 04 0 77 a 94 90 1 65 a 127 58 1 82 a 60 22 66 0 90 b 13 47 0 73 a 104 55 4 83 a 140 69 5 84 a 90 25 29 0 55 c 14 03 0 22 a 118 57 1 38 a 157 89 1 33 b Signifiances entre 0 x n s n s n s 1155 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 les deux cultivars 30 REX n s F n s 60 KEE i n s n s 90 hee i n s n s Pour chaque cultivar les moyennes avec des lettres distinctes sont significativement diff
216. SSION 3 1 La densit stomatique et trichomique Les r sultats ont montr que la densit stomatique diminue avec l augmentation du stress salin Tableau 1 En effet la densit stomatique diminue de 620 chez les t moins mycorhyz s MSO 380 chez les plantes mycorhiz es irrigu es avec la dose S2 Cette diminution dans la densit des stomates est toujours moins prononc e chez les plantes mycorhyz es pour tous les traitements Ceci est expliqu par le fait que pour r duire les pertes en eau les plantes ajustent le nombre de ses stomates essentiellement celles des feuilles jeunes Ces r sultats confirment ceux obtenus par kasraoui et al 1280 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2004 et Khabou 2012 qui ont montr que chez l olivier la densit stomatique diminue au fur et a mesure que le stress salin augmente Tableau 1 variation de la densit des stomates et des trichomes chez les jeunes feuilles en fonction de l inoculation mycorhizienne M mycorhiz es et NM non mycorhiz es et de traitement salin SO S1 et S2 Chaque bar indique la moyenne de trois r p titions l cartype Les chiffres ne portant pas les m mes lettres sont
217. SSSR RN lt SSS SAAS x bs 8 RR LS S a NT T Pe a es RRR EN SS N PSSSSNSOO ND AIAASAASA SSA SEN pa SS VESSIE Sy ue Figure 2 Pourcentage de r duction des prot ines solubles sous le choc du froid en absence d endurcissement chez les trois g notypes tudi s L analyse des profils des prot ines accumul es chez Martondur Waha M WE 3 M WNE 4 fait appara tre une surexpression d une prot ine de haut poids mol culaire de l ordre de 116 kDa en absence d endurcissement et la r pression de l expression d une prot ine d un poids mol culaire de 30 kDa apr s endurcissement Figure 3 L analyse des profils des prot ines accumul es chez Martondur ME 5 MNE 6 n indique pas de changement dans le nombre de bandes mais une surexpression des prot ines apr s endurcissement comparativement au traitement non endurci Figure 3 Figure 3 R ponse prot ique des trois cultivars soumis au choc du froid 1 WE 2 WNE 3 M WE 4 M WNE 5 ME 6 MNE Ces r sultats corroborent avec ceux de Sarhan et Perras 1987 observent suite l analyse des profils lectrophor tiques des prot ines solubles que l acclimatation au froid induit des changements dans la 1213 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Saharie
218. SUMMARY In this study we sought to test the feed level a variety of maize Zea mays L known by its adaptation to deficit water and salinity Morphological and physiological parameters measured concern the green parts of the plant that will be used by livestock such as the number and size of leaves height of the main stem tiller number and chlorophyll content The results showed that the severe water stress reduced both vegetative and physiological parameters except number of leaves showed a significant increase But the moderate water stress did not affect either the number or the size of the leaves and retained chlorophyll However it shortened stems For salinity as well as moderately or severe a stimulatory effect was found for all the parameters except for the height of the stem which tends to become stunted with increasing salt loadings These results allow to consider forage maize in arid conditions of southern of Tunisia to exploit sewage and also to reduce irrigation doses without significant impact on performance in green yields Keywords Maize forage water stress salinity southern of Tunisia 1 INTRODUCTION La Tunisie comme tous les pays de la m diterran e a subi les effets du changement climatique se traduisant essentiellement par la diminution des pr cipitations et l accroissement des risques de s cheresse Elle est class e parmi les pays menac s par le probl me de manque d eau et par la salinisation du sol Chei
219. TM m station T temp rature P pr cipitation m Mareth 619020 3720234 52 1 P Sidi Makhlouf 637412 3707889 45 1 P Allamet 623390 3695498 145 1 P Koutine 627980 3701600 99 1 P Medenine 638440 3689600 117 1 TP Beni Khd che 611653 3679340 512 1 P Ksar Jdid 620637 3685121 184 1 P Ksar Hallouf 606756 3682374 430 1 P Tableau 7 Coordonn es des stations pluviom triques pour la p riode future Station X UTM Y Altitude Groupe Type de station m UTM m de station T temp rature P pr cipitation m A 607862 3665739 483 1 P B 637016 3666104 195 1 P C 666172 3666556 79 1 P D 607555 3693457 317 1 P F 636627 3693824 104 1 TP E 665700 3694277 30 1 P G 607246 3721177 102 1 P 234 72154 P Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Images NDVI Images NDVI ont t d termin es a partir des images Landsat 5 et 7 t l charg es de site USGS Les images ont t corrig es g om triquement et atmosph riquement Pour former les cubes il est n cessaire de regrouper les images NDVI chronologiquement pour chaque ann e 3 RESULTATS ET DISCUSSION Analyse climatique Test de Validation du mod le GFDL HIRAM La figure 4 montre que les corr lations o
220. The main cause of the non functionality is the strong runoff Figure 7 Functionality of jessour e Height of retention map Thus an important percentage of jessour 52 8 have the lowest height of retention ranging between 0 and 0 2 meters or the upstream jessour are the most representative in this category The second class between 0 2 and 0 4 meters includes 42 of jessour located in the center of the micro watershed The third class between 0 4 and 0 8 meters includes 4 2 of jessour concentrated in the center and includes jessour which have large dimension And finally the fourth class is between 0 8 and 2 meters includes the jessour which retain the most important volume of water they present only 1 nearly 6 or 7 jessours located in the center Figure 8 Height of retention Principal component analysis PCA results The principal component analysis consisted on the selection of desired quantitative data followed by a flat sorting mean and standard deviation 1317 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Table 1 Table of variable contribution veus Se Longj Length of terrace 32 36
221. a Ouzera F v 1999 Les r sultats de 26 ans permettent de comprendre l volution de ce ravin d rosion qui tend se creuser et dont les versants sont raides On se trouve dans une phase aigu de creusement du ravin o le creusement l emporte sur le comblement Suivant les t moignages des riverains les premiers creusements de la ravine auraientd but au d but des ann es 1990 1991 Ce n est que plus tard en 2013 qu apparait l largissement de la premi re excavation En cons quence il aura fallu attendre 26 ans pour que la phase de creusement ait jou son r le Am nagement anti rosif Mars 2004 les services des ponts et chauss es G nie civil ont r alis des am nagements anti rosifs au niveau de la t te du grand ravin seuils en gabions Fig 9 Ils ont recharg la route ont plac un mur de sout nement Fig 10 la base du glissement de terrain Cet am nagement a t r alis sans faire appel aux g omorphologues sp cialistes de l rosion Photo Kouidri R Figure 9 Am nagement au niveau de la t te du ravin seuils en gabion 1061 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Photo Kouidri R Figure 10
222. a d termination des concentrations en ions majeurs Les r sultats obtenus ont montr entre autres que la salinit des eaux est lev e et variable dans l espace La conductivit lectrique oscille entre 4 43 et 10 30 mS cm avec une concentration d croissante de l amont vers aval suivant le sens d coulement des eaux souterraines Les analyses ont montr que les ions les plus dominants sont le chlorure et le sodium pour donner deux faci s g ochimiques dans la r gion La partie Ouest est caract ris e par un faci s chlorur sodique et la partie Est est caract ris e par un faci s chlorur sulfat Mots cl s Eaux souterraines faci s g ochimique ouled chamekh salinit SUMMARY The limited water resource with good quality is one of the main factors hindering the development These resources are facing the natural and anthropogenic risk inducing their degradation In this context the salinization is one of the main causes of the degradation the groundwater quality This salinization is largely widespread especially in arid and semi arid regions where freshwater is limited This work aims to follow the geochemical evolution of the groundwater quality of the ouled chamekh region by the determination of their concentrations on major ions The results show among others that salinity is generally high and variable with time The electrical conductivity varied between 4 43 and 10 30 mS cm with a decreasing concentration
223. a et al 2000 Elle pr sente le comportement d un glycophyte typique C est dans ce cadre s inscrit le pr sent travail qui a pour objectif d tudier l effet du stress salin sur les comportements morphologiques de quelques vari t s acclimat es de tomate 2 MATERIEL ET METHODES Le pr sent travail s int resse l tude de l effet du stress salin sur le comportement morphologique de quelques vari t s acclimat es de tomate 1 Mat riel v g tal Trois vari t s acclimat es de tomate Solanum lycopersicon et une vari t de r f rence vari t Amel ont t tudi es dans ce travail Les vari t s acclimat es dont les semences ont t fournies par le Laboratoire d Aridoculture et Cultures Oasiennes de l IRA proviennent des zones de collecte des semences suivantes La r gion de Sfax d o proviennent les deux vari t s Toml et Tom2 se caract rise par une pluviom trie faible de l ordre de 150 200 mm et une ETP lev e La r gion de Bizerte d o proviennent la vari t Tom4 est une zone tr s arros e elle se caract rise par un climat sub humide hiver pluvieux Vari t Amel est une vari t hybride F1 de tomate destin e l export et au march local elle a apport depuis quelques ann es une nouvelle dynamique l ensemble du secteur des semences hybrides de tomate destin es la serriculture Elle est caract ris e par sa forme ronde sa croissance ind termin e et
224. a figure 6 consid rant les propri t s et les conditions initiales de syst me sol v g tation atmosph re pendant le fonctionnement du mod le Ces deux approximations pr sentent les r sultats de percolation et ETCadj pour les ann es 1986 1987 2000 2001 2009 2010 Toutefois il existe quelques diff rences qui ne sont pas syst matiques Le coefficient de corr lation R a t calcul comme mentionn dans le tableau 4 Citons par exemple R de 2000 pour ETC adj est de l ordre de 0 93 et la percolation est 0 82 1196 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 450 m ETCT 450 400 mPT 400 m ETCI 350 350 mpi 300 300 g250 g 250 E200 E 200 150 150 100 100 50 50 o 0 1986 1987 2000 2001 2009 2010 1986 1987 2000 2001 2009 2010 Ann e Figure 6 Evapotranspiration ETCT et de percolation PT estim s par HidroMore en utilisant la forme table pour Kcb gauche et Evapotranspiration ETCi et de percolation Pi estim s par HidroMore en utilisant la forme image NDVI pour valuer Kcb droite Tableau 8 Valeur de coefficient de corr lation pour ETC et percolation en 1986 1987 2000 2001 2009 2010 ANNEE R ETC adj R Percol
225. a tenacissima L de cing nappes alfati res en Tunisie Soumaya Ben Ssehil Mustapha Ksontini Samira Smiti ILaboratoire d Ecologie Foresti re Institut Nationale de Recherche en G nie Rurale Eaux et For ts INRGREF Universit de Carthage Tunis Tunisie Laboratoire d cophysiologie Facult des Sciences Universit El Manar de Tunis 2092 El Manar Tunis Tunisie E mail soumayasbs yahoo fr RESUME L alfa Stipa tenacissima L est une plante herbac e vivace appartenant la famille des poac es Elle est dominante typique des parcours steppiques maghr bins En Tunisie La superficie des nappes alfati res est de 743 000 ha dont 433 000 ha sont exploitables Dans le pr sent travail nous avons entrepris une tude du comportement hydrique potentiel hydrique de base et de midi et physiologique conductance stomatique du matin et de la mi journ e ainsi que le suivie de la croissance de la partie a rienne des touffes l alfa par la mesure de leurs hauteur et diam tre de cinq nappes alfati res en Tunisie Essalloum Guira Zelfen Kasserine Oumlagsab Gafsa et Jelma Sidi Bouzid Une forte variabilit est observ e dans le comportement saisonnier des populations d alfa aussi bien pour la conductance que pour le potentiel hydrique ainsi que pour la croissance de la partie a rienne Le potentiel hydrique de base est plus bas au mois de juillet t qu au mois de f vrier et novembre pour toutes les populations
226. able des zones arides 17 19 12 2013 Ressources en eau Mobilisable 446 45 Hm3 an Eaux de Surfaces Mobilisables Eaux de Souterraines Mobilisables 117 95 Hm an 328 5 Hm an Eaux de Surfaces Eaux de Surface reste Eaux Souterraines reste Exploit 24 64 mobiliser 93 31 Hm an mobiliser 41 34Hm an Hm an Soit 20 89 Soit 79 11 Roue Ressources en eau totales Mobilis es 8 Hm an a A E Industrielle 0 26 Hm an Soit 0 09 Eaux Souterraines Exploit es 287 16 Hm an A E Potable 30 81 Hm an Soit Figure 3 Sch ma r capitulatif du potentiel hydrique dans le bassin du Zab Est de Biskra Boutouga 2011 A E Agriculture 280 6 Hm an Soit 5 ESSAI DE GESTION RATIONNELLE DES EAUX DANS LE BASSIN DU ZAB EST La comparaison entre ressources besoins est un indicatif r v lateur et tr s significatif qui nous oriente quant l avenir de la politique de l eau que nous menons afin d att nuer l effet du d ficit en eau selon l espace g ographique le secteur d utilisation et l ch ance consid r e Les besoins en eau se rapportent aux quantit s n cessaires consommer pour assurer l alimentation en eau potable AEP en eau d irrigation AEA et en eau industrielle AED L estimation quantitative des besoins en eau est bas e sur deux param tres essentiels sont prendre en consid ration dans lors de l valuation des besoins actuels et futurs de l AEP Ces param tres sont l
227. acit d utilisation de l eau 2 2 Dispositif exp rimental et application du stress hydrique Les graines des quatre accessions ont t imbib es pendant 4 heures dans de l eau puis mises en culture le 18 04 2012 sous serre dans des pots de 12 L ayant 30 cm de diam tre 32 pots au total 1033 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Chaque pot a t rempli au pr alable avec un substrat contenant un m lange du terreau 1 3 et du sable 2 3 Avant le semis les pots taient arros s a la capacit au champ pour favoriser la germination Les pots sont r partis en deux lots constitu s respectivement des plantes t moins et des plantes a stresser chaque lot comprenant 16 pots avec les quatre accessions tudi es 4 r p titions par accession dans chaque lot Un syst me d irrigation goutte goutte d clenchement automatique a t install pour assurer l arrosage Au d but du cycle l arrosage s effectuait de mani re apporter dans chaque pot 0 23 L par jour la demande en eau tant calcul e partir des donn es climatiques La quantit d eau d arrosage a t doubl e partir du 22 05 2012 car la demande de la plante avait
228. affecte pas la longueur de la tige qu a partir d une concentration de 100mM dont on observe une r duction significative de la croissance 63 par rapport au t moin Rochdi et al 2005 chez les agrumes ont montr que la vigueur est affect e n gativement par le degr du stress D autre part si pour les plants t moins le taux de croissance lin aire volue uniform ment pour tous les porte greffes d agrumes En pr sence de NaCl ce taux est relativement plus affect par le traitement salin En effet le taux de croissance lin aire relative montre que la pr sence de NaCl 35 mM stimule la croissance apicale des porte greffes Aussi pour la variation de nombre des feuilles on a observ que lorsque le stress salin s amplifie la tomate manifeste une diminution significative avec une meilleure tol rance chez la vari t Tom1 ceci afin de r duire les pertes d eau par transpiration vu que sous un r gime salin s v re T3 le taux de r duction de nombre moyen des feuilles plante par comparaison au r gime t moin est de 43 19 Par contre on a une tol rance limit chez Tom2 avec un taux de r duction de 76 38 Maggio et al 2003 ont montr par l tude de la r ponse d une culture de tomate de transformation Lycopersicon lycopersicum Mill soumise sur un terrain d exp rimentation qui avait t irrigu e avec de l eau saline pour plus de 10 ans que le nombre moyen des feuilles plante diminue avec l augmentatio
229. ageants Nous 1111 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 remarquons cependant que nous obtenons de meilleurs r sultats avec Albizia julibrissin Pour la hauteur les plants de cette esp ce connaissent une croissance de 1 88 cm entre le d but et la fin de l exp rience ce qui est pratiquement identique la croissance obtenue en utilisant des eaux de forage Pour le diam tre nous obtenons galement des croissances pratiquement identiques lorsqu on utilise les eaux trait es ou les eaux de forage 0 5 mm Cette exp rience m rite d tre poursuivie et compl t e pendant de nombreuses ann es afin d aboutir aux meilleures conditions possibles permettant d optimiser l arrosage des deux esp ces foresti res par les eaux trait es par la station de lagunage de Ouargla Les pistes de recherche qui devront tre explor es sont celles qui sont relatives notamment au choix d autres esp ces au suivi de l volution long terme des caract ristiques des sols et des esp ces irrigu es et la mise en place de mesures de protection sanitaires adapt es au contexte local saharien REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES CIRESS 2010 L utilisation des eaux u
230. ai La pr paration du sol a t r alis e afin de pr parer le lit de semences et la formation des ados de chaque unit exp rimentale tant donn que l irrigation est effectu e par submersion technique d irrigation la plus r pandue dans les oasis traditionnelles Le semis a t r alis manuellement avec une densit de semis de 250 grains m La fertilisation azot e est effectu e 4 base d ammonitrate 33 5 N en 3 fractions Aucun traitement fongique ou insecticide n a t r alis puisque l tat de cultures ne le n cessite pas Les essais ont t r guli rement d sherb s de fa on manuelle binage Pilotage de l irrigation Dans l objectif de la valorisation d un important potentiel d eau de drainage nous avons construit un mini barrage sur un r seau de drainage existant afin d accumuler cette eau L eau non charg e provient d un puits profond La fr quence moyenne d irrigation est d une fois chaque 4 jour La quantit d eau apport e la culture est de l ordre de 665 mm 2 4 Les param tres mesur s Au cours du cycle de d veloppement du bl dur nous avons valu un certain nombre de param tres morphologiques agronomiques et physiologiques li s la tol rance la salinit Param tres morphologiques Trois plantes ont t prises au hasard au stade 2 n ud Z32 afin de mesurer les param tres suivants La croissance en hauteur l aide d une r gle gradu e La mati re s
231. ainage Bull BRGM Sect 2 123 142 1032 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effet d un stress hydrique sur la teneur en sucres solubles et les composantes du rendement chez le carthame Carthamus tinctorius L Imene MIHOUB Fatiha AID 1Laboratoire de Biologie et Physiologie des Organismes LBPO USTHB Email Imene mihoub outlook com RESUME Le carthame Carthamus tinctorius L esp ce ol agineuse appr ci e pour sa qualit d huile et pour sa rusticit est adapt e aux climats arides et convient a un large type d environnement Notre tude a pour objet de d terminer l effet d un stress hydrique appliqu en pleine floraison sur les param tres physiologiques et sur le rendement grainier et ses composantes chez quelques accessions de carthame L tude a t r alis e sous serre dans un dispositif en bloc al atoire complet La teneur en sucres solubles est lin airement et n gativement corr l e la teneur relative en eau TRE r 0 62 La TRE explique une partie importante de la variation de la teneur en sucres solubles R2 0 42 Il existe une diff rence significative entre les rendements grainiers des plantes t moins et des pl
232. aine d importants processus rosifs qui affectent le potentiel agro pastoral des r gions steppiques A cause de l agressivit climatique et le surp turage les r gions steppiques de Alg rie sont caract ris es par une formation v g tale naturelle tr s faible et une couverture p dologique souvent d grad e Ce travail a pour objectif de caract riser les param tres physico chimiques des sols ainsi les caract ristiques floristiques pour mieux comprendre le ph nom ne de d gradation de ce milieu 1203 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 PRESENTATION DE LA ZONE D ETUDE La zone d tude est situ e pr s du p rim tre du bassin de Hodna entre Barika et M doukal environ 3 kilom tres au Nord est de la ville de M doukal Son altitude varie entre 420 et 450 m tres et couvre une superficie de 5000 hectares Elle situ e dans l tage bioclimatique aride moyen a hiver frais au sens d Emberger Emberger 1955 re oit 224 mm en moyenne pour 39 jours de pluie par an 3 MATERIEL ET METHODES L chantillonnage sur le terrain a t ex cute suivants 02 transects pour chaque transect des relev s floristiques pr sent s sur l
233. ainte ainsi que la carte r capitulative des zones de recharge sont donn es par la Figure 3 1182 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Zone favorable ear oh S a e cote favorable Zone favorable mm Zone non favorable r f eam core nen Eai d mm Zone non tavorable km e Zone favorable gt 3 Zone tavorable Zone favorable mm Zone non favorable z mm Zone non tavorabie EE Zone non favorabid ikm Zone favorable mm Zone non favorable km Figure 3 Sites favorables la recharge de la nappe par les EUT selon les contraintes a profondeur de la zone non satur e b pente c texture du sol d g ologie e zone tampon des masses d eaux f zone tampon des zones urbaines g zones des limites routi res h superposition de toutes les contraintes 3 2 Classement des zones favorables Les valeurs de la combinaison lin aire pond r e utilis e pour classer les 35000 ha favorables la recharge de la nappe par les EUT varient de 0 0 57 pour SE3 et de 0 0 54 pour SE4 Figure 4 Figure 4 Classement des sites favorables aux bassins d infiltration percolation par rapport aux STEPs existantes a SE3 b SE4 Les sites les plus adapt s se
234. air temperature relative humidity wind speed and sunshine duration are used in order to establish the best combination of variables and choose the good neural structure number of neurons on hidden layers and inputs Results obtained by ANN models were compared against those from the FAO 56 Penman Monteith equation PM It was found that the ANN models gave better closeness to FAO 56 PM ETo at these three time steps ANN is proved to be simple effective to model ETo with strong applicability and broadly applicable prospect According to the results obtained the ANN approach could be used in order to assess crop water requirement with a view to schedule irrigation Keywords Artificial neural networks reference evapotranspiration model performance assessment errors Penman Monteith modified irrigation RESUME L objectif principal de ce travail consiste am liorer la gestion des ressources en eau en agriculture par la conception et l application de plusieurs mod les bas s sur la technique de R seaux de Neurones Artificiels RNA et la s lection des meilleurs mod les neuronaux qui estiment l vapotranspiration de r f rence avec pr cision a diff rent pas de temps Les r seaux de neurones tudi s sont de type Perceptron multicouches Ils servent mod liser l vapotranspiration de r f rence ETo obtenue par application de l quation de Penman Monteith modifi e par la FAOS6 Diff rentes combinaisons de donn es cli
235. aire minimale dans notre cas est 100 m et un profil p dologique sont effectu es chaque profil contient 04 horizons 70 cm de profondeur 3 1 Etude au laboratoire Pour le sol diff rentes analyses ont t conduites pour d terminer le pH la CE le calcaire total le gypse et le phosphore assimilable Pour la flore des relev s floristiques ont t effectu s sur une aire minimale de 100 m 4 RESULTATS 4 1 Conditions daphiques Les r sultats d analyses sont r sum s dans les tableaux 1 et 2I Le pH d eau varie entre 7 85 et 8 58 pour tous les horizons Selon les normes d interpr tation du pH eau du sol Baize 1988 le pH est g n ralement basique Ceci est d aux teneurs lev es en calcaire total C est une fourchette des pH courants pour les sols en r gions arides Daoud et Halitim 1994 Les teneurs en calcaire sont variables de 8 46 23 46 Selon Baize 1988 les horizons de deux profils sont mod r ment calcaires La teneur en gypse est faible le taux varie de 1 04 6 9 Pour la salinit selon l chelle de salinit des sols de l extrait aqueux de 1 5 nous avons trois classes savoir sol sal horizon 1 du profil 1 sol tr s sal horizon 2 du profil 1 et sol extr mement sal profil 1 et ses horizons 3 et 4 et les horizons 1 2 et 3 de profil 2 La teneur en phosphore assimilable est faible 4 moyennement faible dans les deux profils tudi s a cause de l exc s du calcium qui
236. airement vers les diff rentes parcelles de la palmeraie l aide d un r seau arborisant de seguia La distribution de l eau ob it aux droits coutumiers en fonction du temps qui est contr l par une horloge solaire Les op rations de transaction de cette pr cieuse substance sont g r es par des r gles conventionnelles de la soci t locale Ce syst me d irrigation est un mod le de gestion qui assure l harmonie entre l art de maitrise de l eau de l quit et la coh sion sociale avec l tat de l cosyst me Elle garantie les objectifs de la gestion int gr e des ressources en eau la durabilit des ressources la participation l chelle locale et faisabilit en termes de co ts et quit depuis longtemps Cette gestion durable int gr e des ressources en eau est actuellement sollicit e internationalement apr s la crise des mod les hydro agricoles dans les p rim tres irrigu s et la d gradation de plusieurs Oasis engendr e par l introduction des moyens modernes non adapt s leurs cosyst mes vuln rables aggrav s par la gestion individuelle de l eau et la confrontation aux d fis des changements climatiques La pr sente contribution vise faire conna tre les r gles et les principes de fonctionnements de ce syst me pour mieux le pr server et le mettre en valeur Cette valorisation peut permettre la pr conisation d un ventuel mod le adapt pour r soudre les probl mes des p ri
237. ait appel l homme pour subvenir ses besoins d autant croissants au fur et mesure que son niveau de vie augmente Par la construction d ouvrages r servoirs ou de d rivations mais ses infrastructures restent toujours d pendantes deux principales conditions aux limites la premi re est li e aux nombres de sites favorables et la seconde est li e aux ressources budg taires qu il faut mobiliser pour r aliser ce type d ouvrages vue leur co t lev Dans les espaces semi arides s ajoutent d autres contraintes telles que le climat marqu par la s cheresse la zonalit des ressources hydriques souterraines et la torrentialit s des pluies Ce qui rend l acc s l eau p nalisant D o il est plus que n cessaire de rechercher des solutions faciles et fiables par le recours aux captages des eaux de pluies par la construction de petits ouvrages tels que les mares les djoubs les collatures etc qui sont pratiqu s depuis longtemps par les populations agropastorales En Alg rie dans le cadre du programme national de d veloppement agricole et rural Un fond sp cial a t cr e pour r soudre les probl matiques en mati re de d veloppement des r gions steppiques par le financement proportionnel ou a concours d finitif de l tat selon l importance des investissements Parmi les actions ligibles ce fond la r alisation des mares d eau Depuis l an 2000 ce jour des centaines de mares ont t
238. alinit du sol et am lioreront les rendements L exploitation EXP11 devra donc doubler 1259 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 la quantit d eau appliqu e initialement Pour les exploitations EXP6 et EXP20 les quantit s d eau appliqu es initialement seront augment es de 20 En effet des doses d eau suppl mentaires permettent une meilleure prise en compte de l environnement et r duisent les impacts de la salinit sur le milieu naturel et valorisent mieux les eaux us es trait es par une am lioration des marges brutes de la culture du ma s fourrager REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Abbes K 2005 Analyse de la relation agriculture environnement Une approche bio conomique Cas de la salinisation des sols et de la pollution par les nitrates au nord tunisien Th se de Doctorat en Sciences Economiques Universit de Montpellier I 306 p Ackello Ogutu C Paris Q and Williams W A 1985 Testing a von Liebig Crop Response Function against Polynomial Specifications American Journal of Agricultural Economics 67 4 pp 873 880 Anderson R L 1968 A simulation program to establish optimum crop pattern on irrigated farms based on
239. alinity Staff classifie les eaux de l Oued El Gourzi dans les cat gories C3S C3S2 et C48 C4S2 en temps de pluie et en temps sec respectivement Le diagramme de Wilcox r v le que les eaux de Oued El Gourzi sont du type admissible et douteux mauvais en temps de pluie et en temps sec respectivement Pour r duire le risque d impacts d favorables des mesures sp ciales de contr le de salinit et de s lection de plantes tol rantes la salinit doivent tre prises Mots cl s contamination d eaux us es irrigation plantes pollution semi aride 1 INTRODUCTION The ever growing demands for water resources coupled with the rate at which much of the fresh water is being adversely affected by human activities demonstrates a future developing crisis if environmental water resources are not appropriately managed Bouziani 2000 The high plateaus of Algeria with an average rainfall of less than 400 mm are an area that suffers critically from a shortage of water resources Attention is being directed toward protecting the impoverished water resources for the sustainability of the economic development of this region which has high agricultural and industrial potentials Kettab 2001 Wastewater contains a large variety of wastes of domestic and industrial origins The quality of such water is not always suitable to irrigate crop because of presence of many toxic chemicals Ghafoor 2004 More attention is being given to wastewater
240. alt tolerances CSIRO publishing Australian Journal of Agricultural Research 56 123 134 El Hendawy SE Hu Y Schmidhalter U 2007 Assessing the suitability of various physiological traits to screen wheat genotypes for salt tolerance Journal of Integrative Plant Biology 49 1352 1360 Blackwell verlag publishing Epstein E 1980 Responses of plant to saline environments In Genetic Engineering of Osmoregulation Impact on Plant Productivity for Food Chemicals and Energy Rains DW Valentine RC Hollaender A eds Plenum New York and London pp 7 21 FAOSTAT 2006 http faostat fao org Hameed A Nasser Sh Tahira I Hina S Ahsanul M 2008 Effects of NaCl salinity on seedling growth senescence catalase and protease activities in two wheat genotypes differing in salt tolerance Pack J pp 1043 1051 Haraketi 2009 tolerence a la salinit chez quelques g notupes d orge hordeeum vulgure M moire de projet de fi d etudes en sciences de la production v getale INAT Tunisie 57 p Munns R Tester M 2008 Mechanisms of salinity Tolerance Annual Review of Plant Biology 59 pp 651 681 OECD 2004 Consencus Document On Compositional Considerations For New Varieties of Barley hordeum vulgare L key food and feed nutrients and anti nutrients Environment Directorate Organisation for Economic Co operation and Development Paris 256 p Oudjani S 2009 Diversit de 25 g notypes de bl dur Triticum durum
241. aminer a petite chelle dans les conditions sahariennes les possibilit s de r utilisation des eaux us es urbaines trait es par lagunage pour l arrosage de deux esp ces d arbres Acacia farnesiana etAlbizia julibrissin L effluent utilis pour l exp rience provient de la station d puration des eaux us es par lagunage a r de l oasis de Ouargla L tude a montr que les arbres arros s avec les eaux pur es connaissent une croissance pratiquement similaire celle qui des arbres qui sont arros s avec les eaux de robinet provenant de la nappe du Complexe Terminal que nous avons pris comme t moins Par ailleurs dans les conditions de notre exp rience aucune anomalie imputable l utilisation des eaux us es n a t d tect e sur les v g taux Cette exp rience pr liminaire devra tre poursuivie sur une dur e plus longue afin d approfondir l tude de certains aspects fondamentaux li s la conduite de l irrigation avec les eaux us es dans ses aspects quantitatifs et qualitatifs Ces tudes auront notamment pour objectifs le suivi de l volution long terme des caract ristiques des sols et des esp ces irrigu es et la mise en place de mesures de protection sanitaires adapt es au contexte local Mots cl s r utilisation des eaux us es arboriculture oasis de Ouargla SUMMARY The objective of this study is to examine small scale in the Saharan conditions opportunities for reuse of w
242. ammes d actions au niveau d Oum Zessar afin d adapter la production agricole la nouvelle conjoncture et par suite il s agit de renforcer certaines mesures existantes dans le domaine de la protection des ressources en eaux ainsi que le syst me de production citons dans cette perspective certains mesures tels que D velopper des syst mes de pr vision et d alerte pr coce des s cheresses Limiter le plus possible l extension des plantations ol icoles surtout vers les zones marginales Encourager le choix des vari t s adapt es Pr voir des irrigations de sauvetage en cas de s cheresses prolong es 4 CONCLUSION On guise de conclusion on peut dire que ce travail est consacr l tude de l tat de stress hydrique chez l ol iculture dans la zone d Oum Zessar sous l effet des changement climatique pour une p riode de r f rence 1996 2005 et deux sc narios futures 2026 2030 et 2086 2095 Il a permis de mettre l accent sur l apport de t l d tection dans le domaine hydrologique pour la mise en place de base de donn es regroupant l ensemble des donn es utiles L valuation de stress hydrique de l olivier sous l effet du CC dans le Sud Est tunisien bassin versant d oued Oum Zessar M denine a t r alis moyennant la mod lisation hydrologique mod le HidroMORE On a appliqu le mod le HidroMore pour la p riode de r f rence puis pour les sc narios futures avec le m me jeu de param tres mais
243. amraoui 2008 However the quality of these waters is directly related to the protection of catchment areas against any pollution Its waters are paid directly in the wadis and natural sites thus promoting their overloads biodegradable organic matter immediately to a microbial development undoubtedly affecting the quality of these waters Our study focused on the assessment of the quality of the waters of the Lake ecosystem Lake birds we proceeded in this approach to the bacteriological properties characterization by searching for possible presence of germs test of fecal contamination counts and search for coliforms fecal coliforms and fecal streptococci with identification of existing microflora Keywords birds lake quality water resources 1 INTRODUCTION La protection du milieu naturel concerne la bonne qualit des eaux contre toute pollution urbaine ou industrielle Le besoin est urgent d une approche int gr e et plus approprier de la gestion des bassins versants et des eaux a des fins de conservation des zones humides Les derni res d cennies ont t marqu es par la r gression des zones humides dans le monde entier ce qui a suscit de nombreux programmes scientifiques ou de conservation l origine de r glementations sp cifiques nationales ou internationale Barnaud 1997 Le Lac des Oiseaux 36 47 N 08 7 E est class site Ramsar depuis 1999 d une superficie de 70 ha est soumis a des contraintes naturelle et anthr
244. ance stomatique du mi journ e sont de l ordre de 52 61 42 83 165 66 35 48 et 257 mmol m s pour le mois de juillet 77 66 160 88 142 55 129 33 et 129 22 mmol m 2g pour le mois de novembre et 55 28 97 33 84 33 86 11 et 83 22 mmol m s pour le mois de f vrier respectivement Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen Fig 2 b L analyse statistique montre une diff rence significative entre les sites et entre les dates au seuil de 5 300 300 m 250 2504 amp 200 200 g E amp 150 2 150 5s 100 z 1004 E 50 E 2 2 50 amp 0 T T tamps mois 0 temps mois f vrier Juillet e Jelma f vrier Juillet Novembre E Omlagsab e Jelma Guira Qmlagsab a Guira Essaloum Essaloum Zelfan Kk 7elfan a b Figure 2 Variation de la conductance temps stomatique du matin et de midi Gs pour les mois de f vrier juillet et novembre dans les cinq stations Jelma Essalloum Zelfen Oumlagsab et Guira 4 DISCUSSION Les valeurs du potentiel hydrique de base obtenues indiquent une contrainte hydrique dans toutes les populations avec un minimum Guira 2 32MPa importante Essalloum 3 32 MPa et Oumlagsab 3 05 MPa et tr s importante Jelma 4 85 MPa au mois de Juillet Le potentiel de base est un indicateur de l tat hydrique du sol dans la zone rhizosph rique Hinckley ef al 1980
245. antes stress es le stress provoquant une importante baisse du rendement Une diff rence significative a t not e entre les accessions pour la biomasse a rienne le nombre de grains et le nombre de capitules par plante Mots cl s carthame stress hydrique rendement sucres solubles teneur relative en eau 1 INTRODUCTION L Alg rie est situ e au c ur du MENA Middle East and North Africa l une des r gions du monde les plus d ficitaires en eau Mouhouche et Guemraoui 2004 Le d ficit hydrique constitue un important facteur limitant les productions v g tales en Alg rie Le carthame Carthamus tinctorius L est une plante ol agineuse importante pour son huile hautement riche en acides gras essentiels Johnson et al 1999 Weiss 2000 Le carthame peut donc tre une culture prometteuse dans les agro cosyst mes des zones arides en raison de son potentiel de croissance sous stress hydrique et de la valeur conomique de son huile Yau 2004 Au Maroc o les conditions climatiques sont similaires celles de l Alg rie le carthame a montr une bonne adaptation l environnement aride et une bonne performance en termes de rendement grainier Nabloussi et al 2008 L encouragement de la pratique de la culture du carthame dans des zones arides et semi arides valorisera ces r gions et contribuera a initier la production d huiles alimentaires dont le niveau reste anecdotique en Alg rie Parmi les strat gies qui p
246. apid and non invasive method for routine soil moisture measurements Keywords Soil water content apparent electrical conductivity spatial variability RESUME La conductivit lectrique apparente ECa du profile du sol peut tre utilis e comme un indicateur des propri t s physique et chimique des sols Il s agit d une m thode non destructive et avec une tr s haute r solution spatiale Le conductivim tre lectromagn tique EM38 Geonics Ltd Ontario Canada est souvent utilis pour la cartographie de la salinit des sols L objectif de cette tude est de caract riser la r ponse de l induction magn tique la teneur des sols SWC dans les conditions de sols en sec et saturation dans une zone collinaire L humidit du sol a t mesur e l aide de la m thode gravim trique ECa et SWC ont t mesur es en octobre 2012 et en f vrier 2013 aux m mes emplacements repr sentant la variabilit des sols occupation des sols et la topographie sur le bassin versant de Lebna L EM38 a t utilis en modes horizontal est vertical La conductivit lectrique du sol en place a t mesur e sur diverses profondeurs et emplacements Les r sultats ont montr des changements substantiels de l ECa en fonction de l humidit des sols La teneur en eau du sol varie de 7 5 a 44 9 et de 21 1 a 62 4 de en saison s che et humide respectivement La conductivit lectrique apparente du sol oscille de 6 1 72 mS m
247. ar des teneurs lev es Elle varie de 10 90 67 meq l avec une valeur moyenne de 27 8 meq l Pour les bicarabonates la figure 5g montre de tr s faible quantit Ils varient entre 2 6 et 7 meq l avec une valeur moyenne de 4 8 m q l 1082 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 043 057 osr on Figure 5 R partition spatiale des l ments chimiques en ions majeurs 3 4 Indice de saturation L indice de saturation calcul exprime le degr d quilibre chimique entre l eau et le min ral dans la matrice de l aquif re et peut tre consid r comme une mesure du processus de dissolution et ou pr cipitation concernant l interaction eau roche L utilisation du programme du Pheereq nous a permis de calculer les indices de saturation de la calcite de l aragonite de la dolomite du gypse de l anhydrite et de l halite Les r sultats significatifs de tous les chantillons d eau souterraine illustr s dans le tableau 1 montrent que ces derniers sont satur s en calcite en dolomite et en aragonite mais ils sont plut t sous satur s en ce qui concerne l halite le gypse et l anhydrite Les changes cationiques entre les argiles calcique
248. ar plante Tab 1 semble tre un caract re assez affect par le stress hydrique chez USDA23 et Vartouggourt qui connaissent une baisse de l ordre de 30 69 pour USDA23 et de 26 66 respectivement L indice de r colte et le poids moyen d un grain Tab 1 restent assez stables entre les plantes t moins et les plantes stress es pour USDA6 et USDA29 II diminue d une mani re assez importante chez USDA 23 et Vartouggourt de 49 36 et 30 34 respectivement pour le poids moyen d un grain et de 57 et 28 respectivement pour l indice de r colte 4 CONCLUSIONS Le stress hydrique appliqu au stade pleine floraison chez le carthame a provoqu une baisse de la TRE des plantes stress es par rapport aux plantes t moins mais l importance de cette baisse diff re selon l accession La TRE est corr l e n gativement et lin airement la teneur en sucres solubles ce qui pourrait tre directement li la perte en eau provoqu e par le stress hydrique ce qui sugg re qu il n y a pas eu d ajustement osmotique chez cette esp ce En effet en cas d un ajustement osmotique la teneur en sucre devrait augmenter d une mani re plus cons quente par rapport la baisse de la TRE Le stress hydrique a provoqu une baisse significative du rendement sans pour autant influer significativement sur une composante particuli re du rendement USDA 6 s est r v l e tre l accession la plus adapt e au stress hydrique au stade f
249. aract re vari tal hautement influenc par les facteurs d environnement Les vari t s A9 V48 V26 A6 ont montr un taux de r duction faible voir m me n gatif pour la vari t A9 Donc la salinit n a pas affect le rendement en paille chez ces esp ces au contraire des vari t s V47 V44 V29 V21 V32 V38 V36 V8 et V 39 qui ont montr une r duction comprise entre 60 et 84 et qui semble tre non tol rants la salinit Figure 6 Rendement en pailles Beau douce E eau charg e N ig 2 i a 1 v TD N 3 a G notypes Figure 6 Rendement en paille des diff rents g notypes pour les deux traitements Notre travail a permis de montrer que le stress salin a un effet d pressif sur la croissance et le d veloppement de l orge avec des degr s variables selon le g notype Tomoaki ef al 2004 La salinit des eaux d irrigation a caus la diminution des param tres RG NE m et NG m chez toutes les vari t s avec des taux de r ductions variables sauf chez la vari t am lior e A9 Manel et la vari t locale V41 Saudi chez qui ces param tres ont pr sent des taux de r ductions n gatifs Ainsi nous avons constat que ces deux vari t s qui ne pr sentent pas de diminutions sont bien adapt es a la salinit malgr qu elles ne pr sentent pas les meilleurs rendements en grains Elles peuvent tre exploit es dans un projet d am lioration g n tique de l orge Il
250. arameters with a precision higher than that recorded by means of the formula of Penman Monteith modified by FAOS6 Kumar et al 2002 then there will be a better assessment of crop water requirements an estimate very close to reality REFERENCES Ackley DH Hinton G E Sejnowski TJ 1985 A learning algorithm for Boltzmann machines Cogn Sci 9 147 169 Allen RG Pereira LS Raes D Smith M 1998 Crop evapotranspiration Guidelines for computing crop water requirements FAO Irrigation and Drainage Paper no 56 Allen RG Smith M Pereira LS 1994 An update for the definition of reference evapotranspiration ICID Bull 43 1 34 Bradshaw J A Carden K J Riordan D 1991 Ecological Applications Using a Novel Expert System Shell Comp Appl Biosci 7 79 83 Colasanti RL 1991 Discussions of the possible use of neural network algorithms in ecological modelling Binary 3 13 15 Cybenko G 1989 Approximation by superposition of a sigmoidal function Math Control Signals Syst 2 303 314 D Angelo DJ Howard LM Meyer JL Gregory SV Ashkenas LR 1995 Ecological use for genetic algorithms predicting fish distributions in complex physical habitats Can J Fish Aquat Sc 52 1893 1908 Golikov SY Sakuramoto K Kitahara T Harada Y 1995 Length Frequency Analysis Using the Genetic Algorithms Fisheries Sci 61 37 42 Khoob A R 2008 Artificial neural network estimation of reference evap
251. are introduced into the ANN the hidden layer s where the data are processed and the output layer where the results of given inputs are obtained This type of ANN is called multilayer perceptron MLP Fig 1 Artificial neural networks are trained to perform complex functions by adjusting the connection weights between neurons Commonly ANNs are adjusted or trained so that a particular input leads to specific target outputs Rumelhart et al 1986 The connection weights are adjusted based on a comparison of the input examples and the target outputs The objective is to minimize the difference between the input and target output values using training algorithms Because the initial weights are randomly assigned to the connections the difference between the predicted and desired output values can be large Learning therefore involves iteratively adjusting the connection weights to minimize these differences The most commonly used training algorithm in ANNs is the backpropagation method Tsoukalas and Uhrig 1997 Tmin Tmax Tmoy RH Input layer Hidden layer Output layer Figure 1 ANN architecture for modelling ETo 1041 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19
252. ari t s d olivier de table Olea europaea L cv Meski Manzanille et Picholine en rapport avec le r gime hydrique Ann de l INRAT 75 151 171 Giorio P Sorrentino G d Andria R 1999 Stomatal behaviour leaf water status and photosynthetic response in field grown olive trees under water deficit Environmental and Experimental Botany 42 95 104 Guerfel M Olfa Baccouri O Boujnah D Chaibi W Zarrouk M 2008 Impacts of water stress on gas exchange water relations chlorophyll content and leaf structure in the two main Tunisian olive Olea europaea L cultivars Scientia Horticulturae 119 257 263 Guerfel M Baccouri O Boujnah D Chaibi W Zarrouk M 2009 Impacts of water stress on gas exchange water relations chlorophyll content and leaf structure in the two main Tunisian olive Olea europaea L cultivars Sci Horticult 119 257 263 INM 2012 Institut Nationnal de M t orologie de Tunisie Liu F Shahnazari A Anderson M N Jacobsen S Jensen C R 2006 Effects of deficit irrigation DD and partial root drying PRD on gas exchange biomass partitioning and water use efficiency in potato Scientia Horticulturae 109 113 117 1252 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d v
253. arides 17 19 12 2013 l aide de drains souterrains vers les sentiers Cette technique a provoqu une concentration de l coulement et a favoris l rosion en ravine sur les terres agricoles La ravine qui se trouve en dessous du village avec une longueur de 150 m une largeur de 15 m et une profondeur de 8 m est l exemple le plus marquant de ce type d rosion dans le village agricole Ce processus est d en grande partie aux fortes concentrations des eaux venant de l amont A l aval appara t un glissement de terrain d essentiellement l coulement souterrain pr sence de sources et de puits L analyse de la dynamique du fonctionnement de ce ravin d montre que l ampleur du ph nom ne s accroit de fa on tr s rapide d ann e en ann e La d stabilisation et l effondrement des berges empi tent sur les surfaces adjacentes Les travaux r alis s par le g nie civil seuils en gabions au niveau de la t te de la ravine ont accentu le ph nom ne rosif Ainsi il est urgent de trouver des solutions d am nagement anti rosif les plus efficaces L installation du nouveau p le urbain Ouzera et le doublement de la route nationale N 01 entre Ouzera et Ben Chicao ont provoqu des glissements de terrain et des boulements Ce site est affect par l rosion acc l r e du ces travaux routiers et les nouvelles constructions Ainsi pour r soudre ces probl mes nous sommes en train d tudier l v
254. astewater treated by impoundment for irrigation of two tree species Acacia farnesiana and Albizia julibrissin The effluent used to experience comes from sewage wastewater lagoon aerated Ouargla oasis The study showed that the trees watered with treated water are growing almost similar to that of the trees that are watered with tap water from the water of the Terminal complex that we have taken as witnesses Furthermore in the conditions of our experiment fault attributable to the use of waste water has was detected on plants This preliminary experiment must be continued over a longer period in order to deepen the study of some fundamental aspects related to the conduct of irrigation with wastewater in its quantitative and qualitative aspects These studies will be especially for objectives the monitoring of the evolution of the characteristics of soils and irrigated species long term and implementing health protection measures adapted to the local context Key words wastewater reuse arboriculture oasis of Ouargla 1 INTRODUCTION La r utilisation des eaux pur es permet de contribuer fortement l conomie des ressources d eau naturelles en particulier au Sahara o la majeure partie des ressources en eau sont d origine fossile donc tr s difficilement renouvelables Khadraoui 2004 CIRESS 2010 Idder et al 2013 Dans l oasis de Ouargla pr s de 36 000 m d eau us es pur es sont chaque ann e inutilement rejet es dans
255. atial and temporal variations in water quality of the Mahanadi River estuarine system India a case study Environmental Geochemistry and Health 28 317 330 Tiwari TN Manzoor M 1998 Pollution of Subarnarekha river near Jamshedpur and the suitability of its water for irrigation Indian J Of Environment Protection 8 7 494 497 1127 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Todd D 1980 Groundwater 2 Edition Wiley New York US Salinity Laboratory USSL 1954 Diagnosis and improvement of saline and alkali soils USDA Handbook n 60 Washington DC Venugopal T Giridharan L Jayaprakash M Velmurugan PM 2009 A comprehensive geochemical evaluation of the water quality of River Adyar India Bull Environ Contam Toxicol 82 211 217 Wilcox V 1955 Classification and use of irrigation water US Department of Agriculture Cire 696 Washington DC XLSTAT 2008 Data analysis and statistical solution for MS Excel http www xlstat com Zouita N 2002 Etude de la pollution de l aquif re alluvionnaire de la plaine d El Madher Nord Est Alg rien Magister thesis in Hydraulics University of Batna Algeria 1128 Re
256. atio temporelle par l avifaune aquatique du Lac des Oiseaux Alg rie Alauda 70 301 310 Houuhamdl M 2002 Ecologie des peuplements aviens du Lac des Oiseaux Numidieorientale Th se docteur es science Universit d Annaba 146 p Sayad L Houhamdi M Drouiche N et Mouchara N 2009 Qualit physico chimique et microbiologique de l eau de l cosyst me lacustre Lac des Oiseaux wilaya d El Tarf site Ramsar Proceeding CIGRE ENSH Blida 1106 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Etude pr liminaire sur la r utilisation des eaux us es pur es par lagunage pour l arrosage des arbres ouargla Sahara sud est alg rien Tahar Idder Abdelhak Idder Ismaiel Berkal Zineb Sayah Aicha Idder Khadidja Ramoune Oum Kelthoum Nakhla Laboratoire de Recherche sur la Ph niciculture Universit Kasdi Merbah Ouargla Alg rie Laboratoire de Protection des Ecosyst mes en Zones Arides et semi arides Universit Kasdi Merbah Ouargla Alg rie Laboratoire des R formes Politiques Economiques et Sociales Universit Kasdi Merbah Ouargla Alg rie Email tahar_id yahoo fr RESUME L objectif de cette tude consiste 4 ex
257. ation 1986 0 99 0 99 1987 0 94 0 98 2000 0 93 0 82 2001 0 93 0 79 2009 0 99 0 93 2010 0 86 0 83 V rification de l algorithme de bilan hydrique par HidroMORE Pour v rifier l int grit du calcul effectu par HidroMore on a d cid de comparer les r sultats avec ceux d une autre application qui a t compl tement ind pendante d HidroMore qui se caract rise par la fiabilit de calcule ETcadj moyennant FAO 56 Cela a t fait en utilisant l annexe 8 d Allen ef al 1998 qui pr sente une feuille de calcul Excel qui calcule la ETcadj pour une culture donn e Le fichier num rique de cette page Excel a t t l charg partir du site web de R G Allen de l Universit de l Idaho http www kimberly uidaho edu water fao56 index html La v rification a t faite en utilisant le pixel de sortie d HidroMORE Les fichiers de sortie par pixel fournit des informations la fois d entr e et de sortie du mod le Pour ce pixel en fait on a essay d introduire ces donn es par pixel comme donn es d entr es dans la feuille Exel et v rifier la sortie Cette v rification est faite pour montrer la comparaison des deux approches qui se co ncident avec le groupes des points comme mentionn dans la figure 8 Ce qui indique que la programmation FAO 56 propos par Allen ef al 1998 et HidroMORE pr sentent presque les m mes valeurs calcul es de ETc adj Les r sultats de cette comparaison offrent une fiabilit dans la
258. ational Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 umole mgMS _ BE fe N i 0 20 40 60 CC 80 Figure 3 Accumulation de la proline en fonction du pourcentage de la C C 2 140 Vis 135 4 4 V1 115 Reprise de l arrosage a a ee ee ee ee 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 jours apr s l arr t de l arrosage Figure 4 Cin tique d accumulation chez le g notype G8 1136 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 w175 5 a j F 2135 4 25 g130 4 amp V2 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 jours apr s l arr t de l arrosage Figure 5 Cin tique d accumulation de la proline chez le g notype Florance aurore IBU 4 x ee hg na ng 7 170 5 lt __reprise de l arrosege 115 reprise de 110 4 l arrosege O ViIS O V2S umole
259. ationship between the surface of jessr the surface of the catchment area and the height of retention which indicates a certain disproportion between these 3 factors However in some cases the surface of jessr or the surface of the impluvium tended to be higher and the height of retention tended to be lower 1318 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 At the level of units 25 and 40 the height of retention has been shown to be more or less important in relation to the surface of jessr and the surface of its impluvium Unacceptable or even important height of retention has been detected with an area less important of the surface of jessr and the surface of its impluvium 4 CONCLUSION The majority of jessour located on the studied watershed successfully retain water there are only 50 non functional jessr 8 which have destroyed tabia because of the heavy flooding The functional jessour has preserved its hydro morphological role thanks to the permanent effort of farmers who always try to maintain these small units Topography does not prevent tillage which farmers are effectively occupied their plots The jessour in this area are characterized by the correct siz
260. au est consid r la contrainte majeur pour le d veloppement des diff rentes esp ces pastorales dans ces parcours L ensemble des contraintes envisag es par les plantes imposent des probl mes au niveau de l appareil photosynth tique Damesin et al 1996 par cons quent il y a diminution de synth se du glucide ce qui pourra retarder la croissance du v g tal et long terme associ la continuit des contraintes la mort des plants 5 CONCLUSION Le d ficit hydrique affecte les taux de chlorophylle chez les deux esp ces en faite les concentrations de diff rents types de chlorophylles sont fortement affect es surtout pour la population de C ciliaris de Matmata On assiste aussi un enroulement des feuilles chez les deux esp ces C ciliaris et D commutata ce qui pourrait mettre en vidence leur strat gie appropri e pour r sister la contrainte hydrique par le m canisme d conomie d eau Les deux esp ces manifestent une strat gie d adaptation la contrainte par r duction de la biomasse a rienne et donc minimiser les pertes d eau cela est approuv par les faibles concentrations des chlorophylles enregistr ce qui a comme cons quence r duction du taux photosynth tique induisant une croissance nulles des esp ces REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Alexandre DY 1989 Pluies et alimentation en eau des plantes dans la r gion de Sinnamary Guyane fran aise Nature Guyanaise 3 28 36 Le R seau de surve
261. au n n cessiterait qu elles soient trait es avant utilisation Selon une tude faite par Global Water Intelligence en 2005 seulement 5 des eaux us es trait es de la plan te sont r utilis es 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 La technique en vase de v g tation Dans des pots cylindriques en polychlorure vinyle diam tre sup rieure 16 cm diam tre inf rieur 11 cm hauteur 16 cm Les graines d avoine WI 78 sont enfouies une profondeur de 3cm et r parties d une fa on homog ne sur toute la surface du pot Au plan exp rimental nous avons retenu deux traitements Le syst me t moin sol eau distill e Le syst me sol eau r siduaire de tannerie La r colte a t effectu e au stade grain laiteux et cela a permis de mesurer le poids de la mati re s che du v g tal gramme de MS pot aussi bien de la partie a rienne que la partie souterraine racine 1023 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 2 L eau r siduaire Les eaux r siduaires utilis es dans cette exp rience proviennent des rejets de l usine de tannerie de la ville de Batna Les r sultats de l analyse physico chimique montre que les eaux us
262. aux stress induits par l irrigation par l eau charg e en sels 2 MATERIELS ET METHODES L enqu te socio conomique et technique a t r alis e afin de pouvoir collecter le maximum d informations sur tous les param tres influengant la viticulture dans les oasis Afin de d gager les effets de l irrigation par des eaux de diff rentes salinit s sur les cotypes de vigne existants dans les oasis du Dj rid une tude a t r alis e Les ceps pris en consid ration appartiennent deux palmeraies et sont de m me ge 10ans l une irrigu e par une eau douce 2 4 g l et la deuxi me par une eau sal e 5 7g 1 Lors de l enqu te quatre ceps de chaque cotype ont t tudi s Les mensurations concernent 5 baguettes et 5 coursons Les mesures prises sont Le nombre des grappes par bourgeon sur la baguette et sur le courson Le taux de d bourrement c est le nombre de bourgeons latents laiss s la taille qui produisent des rameaux par rapport au nombre total de bourgeons latents laiss s a la taille Ce taux est fortement influenc par la vigueur et par la vari t La fertilit est calculcul e selon la formule La fertilit Nombre total des grappes 100 Nombre des bourgeons d bourr s Les vari t s test es tant Arbi Meski Guelb Sardouk Khala Chetwi et Meski comme vari t autochtones et Muscat d Italie commme vari t introduite 3 RESULTATS ET DISCUSSION 3 1 Situati
263. aux varie entre 6 et 10 selon les estimations soit 2 3 millions d habitants Des meutes de faim ont clat cette ann e dans quelques pays d Afrique et g Asie A quoi est due cette fatalit de la malnutrition Les causes sont nombreuses et enchev tr es n anmoins la politique mondiale du d veloppement le climat et la gouvernance sont les causes principales Le fort soutien apport l agriculture des pays d velopp s a marginalis l agriculture des pays en voie de d veloppement Les pays en voie de d veloppement se sont laiss s pi ger par l importation de produits alimentaires au prix de revient moins cher que leur production locale Ils sont devenus d pendants de l ext rieur en abandonnant leurs cultures du terroir Pendant que la production vivri re c r ales diminue d ann e en ann e et ne suit plus la croissance d mographique les importations partir des pays d velopp s qui comblent leurs d ficits sont en nette augmentation L Alg rie importe 75 de ses besoins alimentaires La valeur des importations des biens alimentaires 1146 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 est pass e de 1 milliard de US en 1970 envi
264. ay une longueur d onde de 490 nm Les teneurs en sucres solubles sont exprim es en mg g MF 2 4 Extraction et dosage de la proline La m thode utilis e est celle de Monneveux and Nemmar 1986 cent mg pour chaque essai pr lev s sur les tiers m dians des plus jeunes feuilles sont imm diatement pes s puis plac s dans un tube essai Un volume de 5 ml de m thanol 40 est ajout l chantillon et le tout est chauff pendant 1 h dans un bain marie 85 C Apr s refroidissement 1 ml de la solution d extraction est ajout 1 ml d acide ac tique 25 mg de ninhydrine et 1 ml du m lange eau distill e acide ac tique acide orthophosphorique de densit 1 7 L ensemble est port 4 bullition pendant 30 mn au bain marie puis refroidi et additionn de 5 ml de tolu ne Apr s agitation au vortex deux phases se s parent la phase sup rieure qui contient la proline est r cup r e et sa densit optique est d termin e 528 nm Les valeurs obtenues sont rapport es sur un courbe talon confirm e par des solutions allant de 0 0 2 mg ml de L proline Les teneurs en proline sont exprim es en mg g MF 3 RESULTATS 3 1 Evolution de la surface foliaire de la plante en fonction des niveaux de d ficit hydrique La variation de la surface foliaire au stade v g tative est port e dans la figure 1 A2 5 12 BRO BRO a 40 a B R1 Ao 7 3 O R1 o BR2 as E R2 F 58 i S
265. basse plaine du Rh ne M moire de licence Lausanne University FAO 2003 L irrigation avec les eaux us es trait es Manuel d utilisation Bureau R gional pour le Proche Orient et l Afrique du Nord Caire Egypte Ghafoor A Qadir M Sadiq M Murtaza G Brar MS 2004 Lead copper zinc and iron contaminations in soils and vegetables irrigated with city effluent on urban agricultural lands J Indian Society of Soil Sci 52 114 117 Kettab A 2001 Les ressources en eau en Alg rie Strat gies enjeux et vision Desalina tion 136 25 33 Kirda C 1997 Assessment of irrigation water quality CIHEAM Options M diterran en nes Bari Italie S rie A N 31 pp 367 377 Morrison G Fatoki OS Ekberg A 2001 Assessment of the impact of point source pollution from the the Keiskammahoek sewage treatment plant on the Keiskamma river pH electrical conductivity oxygen demand COD and nutrients Water SA 27 475 480 Murtaza G Gafoor A Qadir M Rashid MK 2003 Accumulation and bioavailability of Cd Co and Mn in soils and vegetables irrigated with city effluent J Agric Sci 40 18 24 ONM Ain Skhouna 2006 Climate Data Report Region of Batna NEast Algeria National Office of Weather Rodier J 1996 Analyse de l eau Eaux naturelles Eaux r siduaires Eau de mer Edition dunod Paris Sundaray SK Panda UC Nayak BB Bhatta D 2006 Multivariate techniques for the evaluation of sp
266. bien Volume d eau exploit Hm an 5 00 231 85 6 69 11 75 15 94 10 18 5 74 Source ANRH Biskra 2010 Le volume d eau exploit dans la r gion d tudepar dairas et par nappe Zeribet El Oued m Sidi Okba Ourelal sm M Chouneche E Biskra Quater Mioplio Pontien Eocene S no Maestri Albn Figure 2 Le volume d eau exploit par nappe dans la r gion du Zab Est Boutouga 2011 4 Affectation des ressources en eau dans le bassin du Zab Est de Biskra Concernant l affectation des ressources en eau dans le bassin du Zab Est de Biskra la partie la plus importante des eaux mobilis es est destin e la satisfaction des besoins agricole utilisation pour l irrigation avec un volume de 280 6 Hm an soit un taux de 90 03 Toutefois cette dominance est due aux besoins d irrigation qui ne cessent cro tre Les besoins domestiques tiennent une place pr pond rante dans les pr l vements d eau dans le bassin un volume de 30 81 Hm soit 9 88 de la totalit des ressources mobilis es Le volume consacr pour couvrir les besoins en eau industrielle est valu 0 26 Hm3 par an soit 0 08 des ressources mobilis es 1230 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement dur
267. biomasse et limitent la productivit v g tale Flowers 2004 En effet la salinit touche environ 397 millions d hectares dans le monde dont 39 millions sont situ s en Afrique FAO La Tunisie est aussi concern e par le probl me de la salinit Environ 1 8 millions d hectares qui pr sentent 11 6 de la surface totale du pays sont touch s par la salinit surtout dans le sud Tunisien FAO 2005 Dans les r gions arides et semi arides la salinit des eaux et des sols est parmi les principaux facteurs limitant la productivit v g tale Ferchichi 1997 Donc les cultures irrigu es dans le sud tunisien sont soumises la contrainte de la salinit de l eau d irrigation Le stress salin a un grand effet sur le d veloppement des plantes en affectant leurs aspects morphologiques et physiologiques De ce fait ces changements imposent la r flexion sur les strat gies 4 entreprendre pour comprendre les m canismes mis en jeu par les plantes afin de s adapter aux nouvelles conditions de l environnement et de maintenir leur croissance et leur productivit Belkhodja et Bidai 2004 Parmi les esp ces v g tales cultiv es dans les r gions arides et semi arides on cite la tomate La tomate cultiv e Lycopersicon esculentum Mill qui est encore cultiv e par des vari t s acclimat es dans certaines r gions du pays est sensible au niveau moyen de la salinit Maas 1986 mais avec une variabilit intrasp cifique Tah
268. bition d valuer les possibilit s de valorisation des eaux us es trait es pour l irrigation de deux esp ces d arbres Acaciafarnesiana et Albizia julibrissin 2 MATERIEL ET METHODES Le site choisi pour cette exp rience Figures 1 et 2 se situe au sein de la station d puration par lagunage a r de la ville de Ouargla oasis du Sud Est alg rien Il s tale sur une superficie de 464 m 58 mx 8 m Figure 2 Site exp rimental apr s la mise en culture L objectif de l exp rience consiste comparer la croissance de deux esp ces v g tales irrigu es parall lement avec les eaux pur es issues du bassin de finition de la station de lagunage et les eaux de robinet provenant d un forage du Mio plioc ne situ dans au sein de cette station Les esp ces v g tales choisies sont Acacia farnesiana et Albizia julibrissin Ces esp ces ont t choisies pour leur croissance rapide et pour leur disponibilit dans les p pini res locales L exp rience a dur 65 jours du 10 Mars 2013 au 14 Mai 2013 Les param tres de croissance mesur s sont la hauteur et le diam tre qui ont t d termin s avec une fr quence hebdomadaire l aide d une r gle gradu e et d un pied coulisse 1108 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture
269. bl dur et orge Or le rem de miracle l rosion est recherch dans le vignoble ce dernier concurrence l agriculture c r ale Il faudrait entreprendre un am nagement exp rimental et le r aliser avec la population rurale concern e par ce probl me Concernant installation du nouveau p le urbain Ouzera a t galement sold par un chec Tous les murs de la cit universitaire et ceux de l universit sont fissur s et l zard s cause du terrain instable A cause des travaux routiers le doublement de la route nationale N 01 une falaise s est d tach e presque dans sa totalit du relief formant l imposant plateau qui surplombe sur trois km de longueur entre Ouzera et le village Ben Haddou s est elle aussi effondr e Durant ces derni res ann es entre 2005 et 2012 des pluies diluviennes et les fortes neiges ont provoqu des glissements de terrains et des boulements dans la r gion de M d a REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BELLATRECHE A 1987 Erosion et perspectives de conservations de sols dans les bassins s dimentaires de M d a Beni slimane Alg rie 276 pages BENCHETRIT M 1972 L rosion actuelle et ses cons quences sur l am nagement en Alg rie 215 pages BRGM ORSTOM Montpellier cemagref 1987 Bassins versants exp rimentaux de Draix compte rendu de recherche N 1 en rosion et hydraulique torrentielle CEMAGREFF ONF RTM Grenoble 128 pages DEMMAK A
270. bl tendre panifiable Triticum durum Desf bl t traploide 2n 28 ou bl semoule Dans se cas le rendement de la production primaire est limit par de nombreux facteurs abiotiques dont les plus importants sont ceux qui g rent et orientent la morphogen se de la plante au cours de ses diff rentes phases successives qui sont sch matis es dans la figure 1 et qui sont 1 phase semis lev e 2 phase lev e d but tallage 1 p riode v g tative 3 phase d but tallage d but montaison 1 Phase formation des bauches d pillets AB 2 Phase sp cialisation florale stade BD Jonard 2 p riode reproductive 3 Phase m iose f condation stade DF Jonard 1 Phase de multiplication cellulaire 2 Phase de remplissage du grain 3 p riode maturation 3 Phase de dessiccation 1129 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 a g es ttes mo ek STAE 3 ELEA OIRE EN AI ENT Een MEE emer 6 eprgee 8 andog e Figure 1 Les diff rentes phases du cycle biologique du bl Il est des phases qui coincident avec des p riodes relativement s ches dans nos r gions Oui la s cheresse est largement reconnue comme le pre
271. btenues entre les valeurs r elles et les r sultats estim es par le mod le GFDL HIRAM des temp ratures et des pr cipitations annuelles sont globalement satisfaisantes en terme de temp rature moyenne 1979 2008 avec un R 0 812 et pr cipitation 1999 2006 avec R2 0 81 Donc ce mod le prouve sa validation pour la p riode de contr le et par suite il est fiable pour une tude de p riode de r f rence 1996 2005 et de sc narios future l horizon 2030 et l horizon 2090 pluviometrie obsev e APR RAS ae ae Temp rature observ e PluvioGFDL 0 o E 2 2 5 5 t E 2 2 3 a Figure 5 Pr cipitation observ e et estim e par GFDL HIRAM C360 Benikhd che gauche et temp rature observ e et estim e par GFDL HIRAM C360 droite Calibrage On a recours au mod le conceptuel pour calibrer le model HidroMORE par l ajustement des valeurs num riques attribu s aux param tres du mod le pour reproduire une r ponse observ e Le mod le HidroMore utilise deux approximations mode image et mode table pour estimer Kcb qui est un param tre cl dans la simulation La premi re comme d j mentionn consiste utiliser le Kcb partir de cube NDVI et le second est de l valuer par des tables de Kcb li es des classes de la carte d utilisation des sols d finies par l utilisateur Les r sultats de ces deux approximations de la zone d tude sont pr sent s dans l
272. cations Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 E Hammoumi N Sinan M Lekhlif B El Mahjoub L 2012 Evaluation de la qualit des eaux souterraines pour l utilisation dans l eau potable et l agriculture plaine de Tadla Maroc Afrique Science 13 201 221 El Yaouti F El Mandour A Khattach D Benavente J Kaufmann O 2009 Salinization processes in the unconfined aquifer of Bou Areg NE Morocco A geostatistical geochemical and tomographic study Applied Geochemistry 19 16 31 Hamed Y Dhari F 2013 Hydro geochemical and isotopic composition of groundwater with emphasis on sources of salinity in the aquifer system in Northwestern Tunisia Journal of African Earth Sciences 15 10 24 Nazli LE Achour S Djarbi L 2007 Approche g ochimique des processus d acquisition de la salinit des eaux de la nappe phr atique de la basse vall e de l oued M ya Ouargla LarhyssJournal 14p Tao P Yuanqing H Tao Z Jinkui W Guofeng Z Chang L 2013 Isotopic and geochemical evolution of ground and river waters in a karst dominated geological setting A case study from Lijiang basin South Asia monsoon region Applied Geochemistry 14 199 212 Trabelsi R Zairi M Smida H Ben Dhia H 2005 Salinisation de nappes c ti res cas de la nappe Nord du Sahel de Sfax Tunisie G oscience de surface Hydrologie et Hydr
273. ce ci pourrait tre due au d ficit hydrique manifest par des valeurs basses de potentiel hydrique de base chez ces deux populations En effet La conductance stomatique Gs est en troite corr lation avec le potentiel hydrique de base lorsqu on a un Wb lev la Gs augmente Param tres dendrom triques La hauteur La hauteur moyenne des touffes d alfa obtenue est de l ordre de 64 55 5 51 8 57 6 et 57 cm pour le mois de Juillet et de 78 2 68 4 54 6 66 5 et 42 9 cm pour le mois de Novembre De 81 58 7 53 3 66 et 42 cm au mois de F vrier respectivement Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen Fig 3 a et b L analyse statistique montre une diff rence significative entre les sites et entre les dates au seuil de 5 Le Diam tre La valeur moyenne obtenue est de 54 4 36 9 29 9 37 8 et 61 8 cm pour le mois de Juillet De 109 3 80 8 55 2 49 9 et 45 4 cm au mois de Novembre et de 55 9 31 6 43 5 68 3 et 30 6 cm au mois de F vrier respectivement Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen Fig 3 c et d L analyse statistique montre une diff rence significative entre les sites et entre les dates au seuil de 5 120 120 goo 100 80 hauteur cm a s 2 g D 2 Z OGuira temps mois B Juillet So Ei OEssalloum Novembre amp stations Zelfen O F vrier b 160 _ 140 5 g 120 E 100 v 80 60 E
274. ce racinaire de Rihane n a pas t inhib e sous 6g l t moignant de sa plus grande aptitude exploiter les l ments nutritifs du milieu pour la production de mati re s che Tel comportement explique sa large utilisation dans les conditions arides et semi aride du pays La vigueur exprime la qualit du grain a travers un test de la germination et des performances du grain croissance racinaire et a rienne Rattan 1998 Ce test de vigueur a montr la sensibilit de la lign e 12 a la dose mod r e 3g l La vigueur de la lign e 14 n a pas t alt r e sous 6g 1 NaCl ce qui n a pas t le cas de Manel et Rihane et des lign es 16 et 22 Cependant la comparaison entre lign es sous ce seuil de salinit a montr que Rihane et la lign e 14 avaient la m me vigueur Le seuil extr me 12g l a permis d affiner la comparaison entre lign es o Rinane montre la meilleure vigueur alorsque la lign e 14 et Manel montrent une vigueur comparable 5 CONCLUSION Une variabilit dans la r ponse la salinit a t mise en vidence par les lign es d orge Elles ont tol r la dose mod r e 3g l l exception de la lign e 12 Au del de ce seuil des diff rences significatives de comportement ont t not es Rihane Manel et la lign e 14 ont montr de bonnes performances comparativement aux lign es 16 et 22 Sous 6g l la lign e 14 et Rihane ont montr une vigueur comparable mais sup rieure celle de Manel et des lign e
275. centage de bourgeons non fructif res augmente chez les ceps irrigu s par de l eau sal e pour la totalit des cotypes tudi s Guelb Sardouk Meski 2 et Muscat d Italie r v lent les fr quences les plus lev es de la pr sence de 2 grappes sur la baguette Fig 2 100 90 80 70 60 50 40 30 20 10 0 s2 s sz s s2 s s2 s s2 s s2 sa s2 Meski 1 Muscat Meski 2 Arbil Arbi2 Arbi3 Kahla 1 kahla 2 d Italie Guelb Chetwi Sardonk Figure 2 Fr quence de la distribution des grappes par bourgeon sur la baguette 3 2 4 Variation de la fertilit en fonction du nombre de bourgeons d bourr s Le tableau 4 montre que la fertilit des cotypes irrigu s par l eau douce est relativement lev e Elle est de l ordre de 83 33 et 40 respectivement pour Arbi 1 et Chetwi Alors que pour les cotypes irrigu s par l eau sal e la fertilit est tr s faible de l ordre de 57 14 pour le Muscat d Italie et peut atteindre jusqu 12 5 pour Arbi 3 L cotype le plus influenc par l effet de la salinit est Arbi 3 pour lequel la fertilit a chut de 70 83 12 5 ce fait confirme les r sultats de l enqu te Alors que l cotype Kahla 1 est le moins sensible sa fertilit diminue seulemenr de 65 51 50 Tableau 4 Tableau 4 Variation de la fertilit en fonction du nombre de bourgeons d bourr s Vari t Salinit Fertilit Tux de var
276. cernant les parties vertes du v g tal et aussi la mesure de la teneur chlorophyllienne renseignant sur la qualit du fourrage en vert Les r sultats statistiques relatifs aux diff rents param tres suivis sont r sum s dans le tableau 1 Tableau 1 Tableau r capitulatif des valeurs moyennes des diff rents param tres mesur s Traitement To T70 T35 T3 T6 Param tre HAT cm 217b 200c 129d 199c 244a NTB plante 1b 2ab 1b 2ab 2ab NTF plante 12a lla 8c 9b 10b LOD cm 47ab 44ab 35c 42b 48a LAD c 6a 5b 4c 5b 6a ICH 55a 48b 34c 41b 43b HAT hauteur en cm NTB nombre de talles par plante NTF nombre de feuilles par plante LOD longueur des feuilles en cm LAD gt largeur des feuilles en cm ICH teneur en chlorophylle par Spad To t moin irrigu 100 ETM T traitement irrigu 70 ETM Ts traitement irrigu 35 ETM Ts To plus 2g l pour avoir une concentration de 3g l Ts To plus 5g l pour avoir une concentration de 6g 1 3 1 Effet de stress hydrique et salin sur la hauteur de la tige Les traitementshydrique et salin mod r s ontl g rement raccourci les tiges environ 9 alors que la contrainte hydrique s v re a diminu la taille de la plante d environs 40 En revanche le traitement salin s v re a am lior la hauteur de la plante de 28 Tableau 1 3 2 Effet de stress hydrique et salin sur le nombre de talles basales Ce param tre estim la
277. che galement les zones c ti res ayant un climat dominance aride et semi aride comme le cas de la Tunisie Ben Hammouda et al 2013 Les zones c ti res sont g n ralement surpeupl es avec des terres fertiles et des activit s agricoles irrigu es diversifi es Ainsi l exploitation anarchique et abusive des eaux souterraines a conduit dans certains cas l intrusion marine Werner et al 2013 Dans ce contexte les recherches traitant la 1079 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 qualit des eaux sont nombreuses Hamed et Dhari 2013 El Yaouti et al 2009 Alcala et Custodio 2008 etc Ces recherches ont expliqu a traves les tudes hydro chimiques que la salinisation des eaux souterraines se manifeste par l augmentation des mati res totales dissoutes et des constituants chimiques sp cifiques tels que le chlorure le sodium le magn sium le nitrate et le sulfate En effet les tudes hydro chimique des eaux ont pour but d identifier les faci s chimiques des eaux leur degr de potabilit ainsi que leur aptitude l irrigation Elles permettent de suivre aussi l volution spatiale des param tres physiques et chimiques et d
278. che apr s s chage l tuve 80 C pendant 48 heures La surface de la feuille N 3 l aide du logiciel sp cifique la mesure des surfaces Mesurim pro version02 08 Param tres physiologiques Valeur SPAD Ce param tre t mesur e l aide d un chlorophyllom tre SPAD Soil plant analysis development qui estime la teneur de la chlorophylle totale H brard 1999 Extraction et dosage du potassium K et du sodium Na Au stade trois feuilles Z13 les feuilles N 3 des trois plantes de chaque unit exp rimentale pour 9 g notypes sont s ch es et finement broy es 1264 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 par la suite 0 5g de poudre v g tale de chaque chantillon sont pr lev s mis dans des creusets en silice puis on a suive les deux tapes calcination et dosage au photom tre flamme Enfin le calcul des pourcentages de pr sence de sodium dans les chantillons se fait en appliquant la formule suivante C Na Ly V PS 1000 100 e LE Lecture de l chantillon Le Lecture de l talon V Volume de l chantillon PS Poids de l chantillon en mg Param tres agronomiques
279. ci la tige principale de la plante En revanche un faible d ficit hydrique n a pas eu de cons quence notable sur la croissance v g tative en hauteur de la plante La r duction de la hauteur des plantes par un manque d eau a t signal par de nombreux auteurs sur des plantes voisines du sorgho dont la canne sucre Cr pin et al 2001 le ma s Cakir 2004 et le mil Radhouane 2006 La stimulation en longueur de la tige du sorgho observ e suite a l application d un r gime salin de a t d j signal e par Netondo et al 2004 Elle serait due d apr s cet auteur l effet b n fique de Na sur l expansion cellulaire De m me Amazallag et al 1999 ont mentionn que l accumulation 1089 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 des hormones de croissance tel ABA en r ponse au sel est responsable l acc l ration de croissance chez le sorgho L aptitude produire un nombre lev de talles varieen fonction des caract ristiques vari tales que des conditions de culture Ces talles sont d une importance capitale puisque elles participent comme les feuilles basales au turn over de certains nutriments Elles pe
280. cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 a 0 megl e 100 megl 4 200 meq l 1005 y 300 megl 1005 400 meq 500 meg l A x 600 megl 80 7 ae geo 2 AE ee B wee 104 5 oye T T 1 6 ee Z LT Taux de germination aa Taux de germination Dur e de germination jours Di de srs jours Figure 1 Effet des doses croissantes de sel sur le Figure 2 Effet des doses croissantes de sel sur le pourcentage de germination des graines de Hordeum pourcentage de germination des graines d Atriplex vulgare halimus Les graines d Atriplex halimus Pour les traitements 100 200 et 300 meq I on enregistre une diminution respective de la germination de 10 30 et 40 environ par rapport au t moin Aux traitements 400 500 et 600 meq I la germination est affect e s rieusement ou l on note des taux de germination oscillant entre 4 et 22 La germination accuse un retard de deux jours pour les traitements 300 400 et 500 meq l et de quatre jours pour le traitement 600 meq I Donc la salinit des eaux et celles des sols entraine non seulement une inhibition de la germination mais galement un retard t
281. ciel de l Alg rie 1993 La valeur de la DCO gale en moyenne 132 mg l se situe l g rement au dessus de la norme indiqu e par la communaut europ enne 125 mg l et d passe celle de l OMS appliqu e en Alg rie 90 mg l Les MES leur valeur moyenne trouv e pendant la p riode de l exp rience est gale 90 mg l Cette valeur d passe de loin les normes de la communaut europ enne de 35 mg l et celles de l OMS appliqu es en Alg rie 30 mg l Ces valeurs lev es en MES reviennent principalement au d veloppement important des algues et du zooplancton dans les bassins de lagunage Labbadi et Moukar 2010 Mensous 2011 Tableau 1 Principaux param tres de pollution des eaux pur es Param tres O DCO DBO MES Azote Phosphore dissous mg l mg l mg l total total mg l mg l mg l Moyennes 5 9 132 27 90 52 1 3 3 Les r sultats des analyses physico chimiques des eaux de forage et des eaux pur es que nous avons utilis es sont consign s dans le tableau 2 Nous constations que contrairement aux eaux pur es les eaux de forage sont caract ris es par des taux de min ralisation relativement mod r s Tableau 2 Caract ristiques physico chimques des eaux pur es et des eaux de forage m q l 2 2 Param tres CE SAR pH Ca Mg Na K cr HCO SO mS cm Eau us e trait e 13 51 42 71 7 3 12 06 1 95 108 91 4 83 118 3 9 11 31 Eau
282. cong lateur 4 C sert pour les analyses biochimiques Le second lot est lav l eau de robinet rinc l eau distill e et goutt puis sont mis dans des paquets en kraft tiquet s et plac s dans une tuve 70 C 48 heures g n ralement Ainsi s ch s ces chantillons sont broy es l aide d un broyeur lectrique les poudres v g tales ainsi obtenues sont conserv s dans des piluliers et utilis s pour d autres analyses 2 3 Condition climatique Les param tres climatiques enregistr s durant la p riode d tude sont pr sent s dans le Tableau 1 Tableau 1 Variation mensuelle des temp ratures et des pluviom tries dans la r gion de Sfax au cours de la p riode d tude Mois Mars Avril Mai Juin T Max C 19 5 21 8 25 4 28 9 T min C 8 4 11 14 4 17 8 T moy C 13 9 16 4 19 9 23 3 Pluviom trie mm 23 18 9 4 Nombre de jours pluvieux 6 5 4 2 Source INM 2012 2 4 Condition daphique 2 4 1 Morphologie du sol sableux SS La granulom trie du sol SS est pr sent e dans le Tableau 2 Tableau 2 Granulom trie du sol sableux SS Profondeur Granulom trie en Densit de l horizon A L STF SF SG du sol g cm Parcelle sol favorable l ol iculture SS 0 20 4 7 1 3 4 1 78 5 11 4 1 62 20 115 3 5 1 1 3 8 87 9 3 7 1 65 115 125 8 3 4 1 6 2 78 1 3 8 1 61 125 185 10 3 5 7 1 9 78 3 3 8 1 60 185 2
283. couverture et coefficient cultural de base Kcb Pour cela HidroMore effectue un bilan hydrique du sol dans chaque pixel de la zone d tude et d termine l vapotranspiration ETc par la m thode de FAO 56 comme d crit pr c demment ainsi que les param tres de bilan hydrique Pour le mouvement de l eau du sol HidroMore utilise un mod le de seau ce qui signifie que la capacit en eau du sol est consid r comme un r servoir qui alimente ET Lorsque les pr cipitations tombent dans le r servoir il est rempli et l exc s d eau produite pr sente la percolation figure 16 D D 51 P RO I CR ETC DP 1 rat L quation du bilan hydrique 1 mis en uvre dans HidroMORE est d crite graphiquement la figure 2 Chacun de ces param tres sont entr s dans le mod le sous forme d images et les sorties sont galement des images Avec ces informations HidroMORE effectue le calcul de param tres de bilan pixel par pixel Oot J ET Precipitation Irrigation Run off Saturation Fleld Capacity 2 x Wilting Point Percolation Figure 3 Mod le de bilan hydrique utilis par HidroMORE 1193 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17
284. cueille les rejets domestiques de toute la commune du Lac des Oiseaux est sans cesse utilis e par les riverains pour l irrigation intensive des cultures maraich res avoisinantes Houhamdi 2002 Le but de ce travail est de d terminer la qualit physico chimique et microbiologique de l eau de ruiss lement et des rejets qui alimentent cette zone humide du littoral alg rien qui est par la suite tr s utilis e en irrigation Du point de vue physico chimique une diff rence notable des taux et des teneurs mesur es de chaque param tre tudi Dans la majorit des cas elle d passe les normes requises pour les eaux de surfaces Ces concentrations indiquer une source de pollution d origine organique qui m rite d tre suivie Nos r sultats des analyses microbiologiques nous exposent une contamination f cale des eaux de cet agrosyst me signal es par les fortes concentrations en coliformes f caux streptocoques f caux Du point de vue nature de germes isol s et quantit s de microorganismes ceux ci d passent les normes requises pour les eaux de surfaces rendant celle ci impropre l irrigation Mots cl s Lac des oiseaux qualit Ressources hydriques SUMMARY The Birds Lake located in extreme north est Algerian is renowned for its floristic biodiversity and wildlife Agricultural activity and the increasing water resources need are highlighted around the menassant Lake and the ecological integrity of this site Houhamdi and S
285. culaire assez important chez le cultivar Martondur Waha REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Bensadoun A and Weinstein D 1976 Assay of proteins in the presence of interfering materials Anal Biochem 70 241 250 Bradford M M 1976 A rapid and sensitive method for the quantitative of microgram quantities of protein utilizing the principle of protein dye Anal Biochem 72 248 254 Colom M R and Vazzana C 2002 Water stress effects on three cultivars of Eragrostis curvulaltal J Agron 6 127 132 Danyluk J Carpentier E and Sarhan F 1996 Identification and characterization of a low temperature regulated gene encoding an actin binding protein from wheat FEBS Letters 389 324 327 Dionne J Castonguay Y Nadeau P and Desjardins Y 2001 Amino acid and protein changes during cold acclimation of green type annual bluegrass Poa annua L ecotypes Crop Sci 41 1862 1870 Gusta L V R W Wilen and P Fu 1996 Low temperature stress tolerance The role of abscisic acid sugars and heat stable proteins Hortscience 31 39 46 Guy C L and Haskell D 2005 Detection of polypeptides associated with the cold acclimation process in spinach Electrophoresis 9 787 796 Heckathorn S A Downs C A Sharkey T D and Coleman J S 1998 The small methonine rich chloroplast heat shock protein protects photosystem II electron transport during heat stress Plant Physiology 116 439 444 Hec
286. d un grain la biomasse a rienne et l indice de r colte En accord avec nos r sultats des tudes ant rieures avaient montr es que les plantes de carthame affect es par un stress hydrique au stade floraison connaissaient une baisse de leur rendement Tahmasebpour et al 2011 Omidi 2009 Yau 2006 Tableau 2 R sultats de l analyse de la variance ANOVA des composantes du rendement avec un niveau de risque a 0 05 Niveau de signification Effet TRE RdG nb gpp nb cpp pmlg BMa ir Accession N S 0 06 0 004 0 005 N S 0 0008 N S Bloc stress hydrique N S 0 03 N S N S N S N S N S Bloc Accession N S N S N S N S N S N S N S TRE teneur relative en eau RdG rendement grainier nb gpp nombre de grains par plant nb cpp nombre de capitules par plant pmig poids moyen d un grain BMa biomasse a rienne ir indice de r colte N S non significative Les quatre accessions tudi es ne subissent pas le m me niveau de baisse du rendement grainier par le stress Tab 1 USDA6 connait une stabilit dans le rendement malgr le stress hydrique appliqu Il est noter que le rendement de cette accession est relativement lev ce qui lui conf re deux avantages la fois un bon rendement grainier en comparaison avec les accessions tudi es et une bonne stabilit du rendement en cas de stress hydrique Le stress hydrique provoque une baisse de rendement chez USDA23 et Var
287. d passe pas 17 par rapport au traitement Sol OmM 100 RFU Il ya une diminution du rendement en fruits par rapport au t moin qui est de 40 pour le traitement S I 30mM 50 RFU et de 47 78 pour S21 60mM 50 RFU Ces r sultats sont en accord avec les travaux de Chartzoulakis et KlapaKi 2000 Dalla Costa and Gianquinto 2002 Antony and Singandhupe 2004 sur le piment Cette baisse de rendement total en cas de stress hydrique ou salin est due a la r duction de la croissance et des assimilas Hsiao 1993 Rubio et al 2010 En effet Kulkarni and Phalke 2009 ont rapport qu en cas de stress hydrique ou nimporte quel autre stress abiotique il ya une diminution significative de la photosynth se et par cons quent une r duction de la quantit de m tabolites 3 3 Pourcentages des fruits n cros s L observation de la figure 3 et l analyse de la variance montrent que les fruits de la vari t Midass ne sont pas affect s par la n crose Seuls les fruits de la vari t Baklouti sont touch s par la n crose apicale Ce d sordre physiologique est d autant plus important que le stress appliqu est s v re En effet on note que le pourcentage des fruits n cros s atteint 12 d s l application du traitement S I 30mM 100 RFU Il augmente respectivement de 20 25 l application des traitements S I etS I GOmM 50 RFU 60 mM 100 RFU et pour atteindre 62 pour le traitement SzI 60mM 1096 Revue d
288. d F d bo f 6 al l v 5 2 3 0 Ww 5 MZ NMZ MZ NMZ MZ NMZ 5 Ww Figure 3 Variation de la teneur en sucres solubles au niveau des feuilles en fonction de l inoculation mycorhizienne et du traitement salin SO S1 et S2 Chaque bar indique la moyenne de trois r p titions l cartype Les chiffres ne portant pas les m mes lettres sont significativement diff rentes P lt 0 05 selon le test Duncun Ces r sultats sugg rent que la symbiose tablie entre le champignon et l h te ait principalement exig le sucre soluble fourni par la plante au profil du champignon Tattini et al 1995 ont expliqu l enrichissement des tissus en sucres solubles consid r s comme osmolytes par le fait qu il permet de prot ger les fonctions m taboliques au niveau des tissus foliaires de l olivier dans des conditions de stress salin D autres tudes ont montr que la biosynth se du mannitol au niveau des feuilles chez l olivier soumis au stress salin et aux radiations solaires constitue un moyen adopt par la plante pour faire face l endommagement oxydatif d coulant de l effet nocif du sel et aux fortes radiations 1282 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppem
289. d oxidative stress in soybean plants subjected to drought stress J Exp Bot 55 1743 50 Robyt J F and White B J 1987 Biochemical techniques Theory and Practice Waveland Press Prospects Heights pp 56 59 Ruiz Lozano JM 2003 Arbuscular mycorrhizal symbiosis and alleviation of osmotic stress New perspectives for molecular studies Mycorrhiza 13 309 317 Schwabe W Wand SM Lionakis 1996 Leaf attitude in olive in relation to drought resistance J Hortic Sci 71 157 166 Sickler CM Edwards GEb Kiirats O Gao Z et Loescher W 2007 Response of mannitol producing Arabidopsis thaliana to abiotic stress Funct Plant Biol 34 382 391 Slama I Ghnaya T Savour A et Abdelly C 2008 Combined effects of long term salinity and soil drying on growth water relation nutrient status and proline accumulation of Sesuvium portilastrum C R Biologies 331 442 4 Tattini M Gucci R Coradeschi MA Ponzio C et Everard JD 1995 Growth gas exchange and ion content in Olea europaea plants during salinity stress and subsequent relief Plant physiol 98 203 210 TREMBLIN G COUDRET A 1986 Salinit transpiration et changes de CO2 chez Halopeplis amplexicaulis Vahl Ung Oecol Plant 21 417 431 1285 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoc
290. dans les pays arabes Pour am liorer la production agricole on peut soit augmenter les surfaces soit les rendements l hectare Ce dernier d pend de plusieurs facteurs mais le plus important est celui de l irrigation La production mondiale est assur e hauteur de 40 par 264 millions ha irrigu s soit 17 des 1 5 milliards ha de superficie cultiv e dans le monde Le reliquat c est dire les 60 sont produits par 80 de cette superficie en r gime pluvial FAO 2004 Au Pakistan comme en Chine 80 de la nourriture provient des terres irrigu es Dans les pays qui vivent d j le stress hydrique il est recommand d opter pour une agriculture productive en am liorant les rendements que ce soit en 1147 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 r gime pluvial ou en r gime irrigu Sachant que pour produire 1 kg de nourriture il faut en moyenne 2 4 tonnes d eau les besoins en eau d irrigation vont s accro tre En Alg rie la consommation moyenne annuelle en bl est estim e 250 kg par personne Si on consid re qu en r gime pluvial le rendement est de 10 q ha on en d duit que chaque hectare ne peut alimenter que 4 personnes Donc po
291. ddl Carr s moyens des carts Stress S 2 96 72 G notypes G 2 16 90 Gxs 4 19 86 R siduelle 16 0 93 ns et effets non significatifs et significatifs au seuil de 5 et 1 L interaction g notype x traitement du froid indique des r ponses vari es d pendantes du g notype Apr s endurcissement Waha perd pr s de 17 9 de son contenu en chlorophylle foliaire sous l effet du choc du froid La r duction du contenu en chlorophylle sous l effet du choc du froid est de 28 2 en l absence d endurcissement Tableau 2 et Figure 1 Martondur perd 12 7 contre 31 7 pour les m mes traitements par contre la lign e Martondur Waha est la plus affect e avec des r ductions de 34 1 et 63 1 du contenu en chlorophylle sous l effet du choc du froid apr s et sans endurcissement respectivement Tableau 2 et Figure 1 Le contenu en chlorophylle donne toute l importance la feuille comme source productrice des hydrates de carbone Il joue dans ce cadre un important r le dans le processus photosynth tique Les plantes contiennent plusieurs types de chlorophylles mais seulement les formes a et b sont impliqu es dans le processus de capture de l nergie lumineuse par les antennes r ceptrices Lichtenthaler 1987 Le contenu en chlorophylle est tr s sensible aux effets des divers stress comme la nutrition azot e l clairement la pollution de l air les herbicides les hautes temp ratures l intensit lumineuse et les basses t
292. de diff rentes appartenances familiales Le recoupement des r cits nous a permis de mieux retracer l histoire du syst me d irrigation son fonctionnement et les logiques de gestion 3 RESULTATS 3 1 Organisation spatiale des l ments composants du syst me d irrigation L organisation spatiale d un syst me d irrigation est l empreinte laiss e dans le paysage par les r seaux hydrauliques et les parcellaires associ es Cressier 2006 Le syst me d irrigation traditionnel Boukais est constitu de trois parties respectivement le captage la mobilisation et la distribution Figure 2 Canaux secondaires Hiturcstion Source d eau et tertiaires 1 i Sid Elhaj Ali en terre vers les parcelles 1 300 m Canal vers le bassin Puits d a ratio 1 r TO perit 20 vs e mal p dall e par endroit Profondeur par rappor au sol 7m e nu Apr s du Bassin Pr s du bassin Apr s le pont jusqu au Bassin 1 De la source au pont Pr s du z a Ch teau d eau La palmeraie de Boukais Marabou Did Elhaj Ali Figure 2 Organisation spatiale des l ments du syst me d irrigation de l Oasis Boukais Le captage de la source de Sidi El Haj Ali est situ au Nord de la palmeraie Les eaux mobilis es de la source sont achemin es gravitairement vers la palmeraie l aide d un canal principal Ce dernier est d une longueur d environ 900 m jusqu au bassin d accumulation Majen Il
293. de diam tre et de profondeur ont t remplis avec 9000 g de terre Les vingt sept pots ont t subdivis s en neuf lots recevant deux types de boue g es de 6 et 22 mois issues d un traitement boue activ e des eaux us es de la station de Constantine Nord Est de l Alg rie raison de l quivalent de 0 20 et 50 tonnes ha et une boue d industrie sucri re g e de plus de 24 mois provenant de l unit de production de sucre de Guelma Nord Est de l Alg rie Les trois types de boue s ch s miett s et tamis s ont t m lang s intimement avec la terre des 10 cm de surface de chaque pot de v g tation Le traitement de boues est r p t trois fois Une semaine apr s la pr paration du milieu sol boue douze graines pr germ es ont t repiqu es par pot de v g tation le 13 01 2009 La lev e a t not e le 20 01 09 L ensemble des pots de l exp rimentation ont t repartis selon un dispositif factoriel en blocs Les pots de v g tation sont irrigu s r guli rement pour ramener le sol une teneur en eau de 80 de la capacit au champ dont la valeur a t pr alablement d termin e au d but de l exp rience La m thode gravim trique a t utilis e en saturant un pot rempli de terre avec de l eau plate puis on d termine le poids humide et sec 24 heures apr s ressuyage Les apports d eau sont effectu s sur une base hebdomadaire en suivant la variation de l humidit des pots d
294. de forage 2 49 7 76 7 87 2 28 2 05 11 41 0 83 11 96 2 95 3 25 1109 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 2 Croissance v g tale Durant les premiers jours de plantation aucune croissance n a t observ e dans les deux blocs exp rimentaux Cette phase correspond une phase d adaptation des individus leur nouveau milieu passage des conditions r gnant en p pini re aux conditions naturelles exposition au soleil au vent et de nouvelles eaux d irrigation 3 2 1 Albizia julibrissin Dans le bloc 1 irrigu avec les eaux de robinet la hauteur varie en moyenne de 29 77 cm au d but de V exp rience 31 65 cm la fin de l exp rience La diff rence de croissance a t donc de 1 88 cm Dans le bloc 2 irrigu avec les eaux pur es nous avons constat que la hauteur des plantes varie de 26 99 28 84 cm la fin de l exp rience La diff rence de croissance obtenue est de 1 85 cm Figure 4 En ce qui concerne le diam tre les individus qui ont t irrigu s avec les eaux de robinet Figure 5 leur diam tre moyen varie de 1 40 mm au d marrage de l exp rience 1 89 mm la fin d
295. de la m me fa on pour toutes les accessions Table 1 La plus importante baisse de la TRE est not e chez Vartouggourt et USDA23 o on observe une diminution de la TRE de 31 et 25 respectivement Par contre USDA29 poss de une TRE faible aussi bien chez les plantes t moins que chez les stress es 38 et 35 respectivement USDA6 poss de une TRE assez lev e et relativement constante chez les plantes t moins et stress es 56 et 63 respectivement La diff rence de TRE entre accessions pourrait tre due une diff rence de leur surface foliaire transpirantes de capacit d absorption de l eau du sol de capacit de r gulation stomatique et ou de leurs capacit s d ajustement osmotique Nikzad et al 2013 La teneur en sucres solubles Fig 1 varie de 0 87 0 95 mg g de PF pour les plantes stress es soit une augmentation au cours du stress hydrique de 8 42 La diff rence entre les teneurs en sucres des plantes stress es et t moins n a pas t r v l e significative par le test de Kruskall Wallis KW 1034 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Cependant ce test a r v l une diff rence significative pour la teneur en sucres ent
296. de mil Pennisetum glaucum L R Br autochtones de Tunisie Comptes Rendus Biologies 331 4 278 286 Radhouane L 2009 Importance des ressources g n tiques dans la valorisation des eaux de qualit m diocre 2 Rencontre annuelle de la BNG Tunisie Tunis 4 5 Novembre 2009 Rahal Bouziane H Kharsi M 2004 Les mils p nicillaires de la r gion d Adrar Alg rie quelques caract ristiques en presence d un t moin import S minaire International d Aridoculture et Cultures Oasiennes Djerba 22 25 Novembre 2004 Revue des r gions arides num ro sp cial 455 459 Santos CV 2004 Regulation of chlorophyll biosynthesis and degradation by salt stress in sunflower leaves Scientia Horticulturae 103 93 99 Vaadia Y 1976 Plant hormones and water stress Philosophical transaction of the Royal Society of London S rie B 273 513 522 Yeo AR Flowers TJ 1986 Salinity resistance in rice Oryza sativa L and a pyramiding approach to breeding varieties for saline soils Aust J Plant Physiol 13 161 173 NA a C 1071 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1072 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 3
297. des Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Situation de la Vigne et tude de l effet de la salinit des eaux d irrigation sur la fertilit des c pages repr sentatifs des oasis de Tozeur Sihem Ben Maachia Abir Habib Ali Sahli Houcine Sebei Mounira Harbi Centre R gionale des Recherches en Agriculture Oasienne D gache Tozeur Tunisie Ecole Sup rieur d Agriculture Mograne Zaghouane Tunisie Institut National Agronomique de Tunisie Cit Mahrag ne EL Menzah Tunisie 4 Institut National de la Recherche Agronomique de Tunisie Laboratoire d horticulture Ariana Tunisie Auteur correspondant maachiasihem yahoo fr RESUME Une enqu te a t r alis e afin d valuer la situation comportements techniques culturales de la culture de la vigne dans les oasis de Tozeur Plusieurs contraintes telles que le manque de vulgarisation et de la technicit des agriculteurs ainsi que l inadaptation des c pages introduits aux conditions de la r gion ont conduit la marginalisation de la culture dans ces r gions Par ailleurs divers cotypes locaux et introduits ont fait preuve d une adaptation de culture remarquable Les c pages locaux sont les plus f
298. des sc narios d irrigation sur la marge brute de la culture du mais fourrager 3 RESULTATS La figure 1 repr sente les r sultats relatifs au comportement des sols de trois exploitations type et l volution des moyennes de la salinit du sol par profil en fonction du changement climatique et des sc narios d irrigation durant trente ann es 2011 2040 ET PAR EXPLOITATION z a a lt A B z A A m Z lt wn SS cb ch ich co co A Ss cs cb cm ich co co A DS cd ch cm ch co oOo AN SO MOP ECL LM SO MOP ECL LM A OO MOP LLL rT MSS OY se GS ges se gs ee eS Ss SCENARIOS D IRRIGATION PAR EXPLOITATION ET PAR TYPE DE SOL Pl P2 P3 P4 Figure 1 Moyenne de la salinit du sol par profil par sc nario d irrigation et par exploitation Les r sultats relatifs aux moyennes des rendements de la culture du ma s fourrager de trois exploitations types en fonction de la salinit et du changement climatique ainsi que leurs volutions en fonction des sc narios d irrigation durant la m me p riode sont repr sent s par la figure 2 1258 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 us So
299. dients de NaCl 1 45 g l SO pris comme t moin 4 35g I S1 et 5 8 g l S2 correspondant respectivement 25mM 75 mM et 100 mM Pour viter le choc pouvant tre du par l exc s de sel les doses ont t fractionn es en fonction du nombre d irrigation Les analyses statistiques de tous les param tres tudi s ont t faites par le logiciel SPSS 20 Statistical Package for the Social Sciences suivant le mod le lin aire g n ral univari en utilisant le test Duncan pour la comparaison des moyennes 2 2 D termination de la densit stomatique et trichomique La m thode utilis e pour la d termination de la densit des stomates est celle de l empreinte pidermique Jones 1983 2 3 Dosage des chlorophylles et des carot no des Pour l extraction de la chlorophylle on d coupe 5 disques foliaires qu on place dans un mortier on leur ajoute 1 ml d ac tone 100 et on les crase Ensuite on proc d la filtration de l extrait travers un filtre millipores de 5 um Pour l limination des d bris v g taux On ajuste le volume 10 ml avec l ac tone et on conserve l extrait dans un tube essai couvert de papier aluminium et ferm d une mani re tanche pour viter la d gradation des pigments On mesure imm diatement les pigments chlorophylliens et les carot no des avec un spectrom tre en utilisant les longueurs d onde suivantes 661 6 644 8 et 470 nm Pour d terminer la quantit de chlorophyl
300. different urea fertilizer rates and applications Asian Journal of Plant Sciences 5 1 7 Richards R A Rebetzke G J Condon A G and Van Herwaar Den A F 2002 Breeding opportunities for increasing the efficiency of water use and crop yield in temperate cereals Crop Sci 42 111 121 Salzman R A R A Bressan P M Hasegawa E N Ashworth and B P Bordelon 1996 Programmed accumulation of LEA like proteins during desiccation and cold acclimation of overwintering grape buds Plant Cell Environ 19 713 720 Sarhan F and Perras M 1987 Accumulation of a high molecular weight proteinduring coldhardening of wheat Triticum aestivum L Plant and Cell Physiology 28 1173 1179 Statitcf 1991 Logiciel de statistique Version 5 0 Edition ITCF 1215 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Steel R G D and Torrie J H 1980 Principles and procedures of statistics a biometrical approach Ed Mc Graw Hill Inc NY 633 pp Thomashow M F 1999 Plant cold acclimation freezing tolerance genes and regulatory mechanisms Plant mol 50 571 599 Xin Z and Browse J 2000 Cold comfort farm The acclimation of plants to freezing
301. du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 RESULTS AND DISCUSSION 3 1 Soil water depletion Figure 1 illustrates soil water depletion estimated by the spreadsheet program and measured periodically by gravimetric method under FI and deficit irrigation treatments during second year The spreadsheet program uses water balance equation and supplies information s on irrigation timing and amount This figure illustrates the effect of an increasing root zone on the readily available water The rate of root zone depletion at a particular moment in the season is given by the net irrigation requirement for that period Each time the irrigation water is applied the root zone is replenished to field capacity Irrigation scheduling based on SWB method maintains the soil water depletion between threshold RAW and field capacity The slight water deficit observed at the day prior to irrigation was due to the fact that the irrigation is applied only when soil water depletion at the end of the previous day exceeds to the readily available water RAW For FI treatment barley plants were maintained under optimal water conditions by replenishing the root zone to field capacity Irrigation scheduling based on crop water requirements and soil characteristics resu
302. du mod le thermodynamique PHREEQC 25 C tel que IS log IAP K 1 o IAP est le produit d activit ionique et K est la constante d quilibre Ce travail a t r alis dans un secteur non cultiv de l exploitation de l ITAS Universit de Ouargla ainsi qu au niveau de la Sebkha de Oumraneb situ e au Nord est de la ville de Ouargla Figure 1 Les sols de ces deux sites sont des sols nus soumis uniquement l influence des facteurs climatiques et la remont e de la nappe phr atique Cette nappe suit un coulement orient sud nord Huit chantillons de la nappe phr atique ont t pr lev s pour la d termination de la qualit physico chimique des eaux de cette nappe Les points de pr l vement sont r partis comme suit Trois au niveau de l exploitation de l ITAS Pro 1 2 et 3 Deux au niveau de deux pi zom tres situ s proximit de la Sebkha Oumraneb pzo 16 et 14 Trois situ s le long d un drain qui relie une station de pompage SPED a la Sebkhat Oumraneb entr e sortie et point interm diaire T sendes Points de nr l vemente Drain cacandaire Drain principal C Palmeraies CL Station de Figure 1 Carte de situation des points de pr l vement dans la nappe phr atique 3 RESULTATS ET DISCUSSION La caract risation ionique des eaux phr atiques men e sur le site d tude selon une topos quence orient e Sud Nord montre que dans tous les points de pr l
303. e SF Ainsi que le param tre physiologique valeur SPAD valu chez les diff rents g notypes de bl dur sous l effet de deux niveaux salinit d eau d irrigation Source de variation ddl H MS SF SPAD Trt 1 98745 3 4 78 1459125 841 93 Bloc 2 1026 7 0 43 1390458 35 69 g notype 25 2569 3 0 53 1015141 7 27 27 Trt g notype 25 205 08 0 33 989414 6 27 80 Erreur 311 172 88 0 03 111004 7 14 41 R Squared 0 7 0 84 0 93 0 59 CV 13 7 24 25 18 86 9 18 TK effet significatif au seuil de 1 effet significatif au seuil de 5 effet non significatif 3 2 2 Param tres physiologique 3 2 2 1 Valeur SPAD Une l g re variation mais significative de la valeur SPAD a t enregistr e entre les diff rents g notypes du bl dur Cependant la salinit induit une r duction moyenne de la valeur SPAD de l ordre de 10 Ceci confirme bien les r sultats de Mansour 1996 qui indiquent que l accumulation de sel entraine chez les c r ales des troubles m taboliques avec une r duction de la photosynth se Simon Sarkadiet al 2002 3 2 2 2 Teneurs en sodium Na Le degr de tol rance 4 la salinit des g notypes test es est inversement corr l a la concentration des ions Na dans les feuilles ce qui est confirm par le coefficient de corr lation qui est gale 0 72 et une quation de pente n gative y 0 4816x 1 1242 Figure 1 Donc l accumu
304. e l exp rience et de 1 35 1 84 mm pour les individus du deuxi me bloc qui a t irrigu avec les eaux trait es La diff rence de croissance des individus dans les deux blocs est identique gale 0 5 mm On remarque globalement que la croissance d Albizia julibrissin en diam tres et en hauteurs est pratiquement identique dans les deux blocs exp rimentaux Eau de forage T T T 1 2 jours 1 joO7 jod jodis jou jo jod s jode joGGjouwk3 jours Figure 4 Courbes de croissance en hauteur d Albizia julibrissin dans les deux blocs exp rimentaux Diam tre en mm Figure 5 Courbes de croissance en diam tre d Albizia julibrissin dans les deux blocs exp rimentaux 3 2 2 Acacia farnesiana Dans le bloc 1 irrigu avec les eaux de robinet la hauteur varie en moyenne de 21 44 cm au d but de l exp rience 22 33 cm la fin de l exp rience Figure 6 La diff rence de croissance est donc de 0 89 cm Dans le bloc 2 irrigu avec les eaux pur es nous constatons que la hauteur des plantes varie de 20 28 20 55 cm la fin de l exp rience La diff rence de croissance est dans ce cas de 0 27 cm c est dire une diff rence de 0 62 cm par rapport au bloc 1 irrigu avec les eaux de forage 1110 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et
305. e la recherche d esp ces adapt es des seuils lev s devient un imp ratif pour assurer une meilleure production agricole Les sels accumul s dans le sol peuvent limiter ou arr ter compl tement la nutrition min rale et l activit m tabolique de la plante suite une l vation de la pression osmotique du milieu et ou l effet toxique des sels Munns 1993 Hajji et al 2001 D autre part l effet de la salinit varie avec la plante l esp ce et le degr de salinit Il peut varier galement au sein d une m me esp ce en passant d un stade de croissance un autre L investigation du potentiel de tol rance d une vari t donn e au stade germination figure parmi les crit res de s lection largement utilis s pour le choix de g notypes tol rants la salinit L objectif de ce travail est d tudier la r ponse au stress salin de quatre nouvelles lign es d orge s lectionn es pour leur r sistance au virus de la jaunisse nanisante de l orge BYDV travers l tude de l effet de doses croissantes de NaCl sur leur germination Leurs r ponses seront compar es deux vari t s d orge am lior es Manel et Rihane Deghais et al 2007 2 MATERIELS ET METHODES L exp rimentation a t men e sur des grains d orge Hordeum vulgare fournis par l INRAT Institut National de Recherche Agronomique de Tunisie Il s agit de quatre lign es d orges 12 14 16 et 22 s lectionn es pour la r sistance au virus de
306. e taux de croissance d mographique et la dotation selon des normes pour l AEP et des normes techniques suivant les unit s pour l AET Les dotations en eau pr sent es par habitant dans la r gion de Zab Est de Biskra sont globalement bien sup rieures la moyenne nationale 160 1 j hab elles seraient en moyenne de l ordre de 360 l j hab C est ainsi que la production en eau potable est pass e de 44 millions de m pour l ann e 2008 pr s de 45 83 millions de m pour l ann e 2010 soit une augmentation moyenne annuelle de 0 91 million de m Tableau 2 Boutouga 2011 Les besoins en eau domestique dans la r gion de Zab Est sont de l ordre 44 millions de m par an court terme 56 14 hm an moyen terme et de l ordre 76 11 hm an long terme Tableau 2 Tableau 2 Perspective de l volution de la population et de la demande en eau potable dans la r gion du Zab Est de Biskra Ann e 2008 2010 2015 2020 2025 2030 2035 Population 334876 348747 385990 427209 472831 523324 579210 Besoins AEP Hm an 44 00 45 83 50 72 56 14 62 13 68 76 76 11 Source ANRH Biskra 2010 1231 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Les besoins en eau industrie
307. e 40 mm Tableau 5 Effet de NaCl sur la longueur de la radicule des lign es d orge 12 14 16 22 et de Manel et Rihane NaCI g D 12 14 16 22 Manel Rihane 0 100 a 77 1 cdef 104a 102 a 81 9 bede 9 89 bed 3 66 1 7efghij 74 79 defgh 87 32 abcd 97 ab 74 defghi 80bcde 6 67efghij 56 2 Lhijkl 75 37 cdefg 76 45 cdefg 63 fghij 8labcdefg 9 37 Imn 48 41jkim 54 93 ijkl 61 74 fghijk 34 m 75 defg 12 19n 36 m 44 kim 50 22 jkim 35 33 m 58 ghijk NB Les moyennes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 1076 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 1 3 Vigueur du grain L objectif principal du test de la vigueur du grain est de d gager une chelle de qualit lev e moyenne ou faible Ce param tre est estim a partir de l quation consid rant le pourcentage de germination la longueur de l picotyle et celle de la radicule Dans ce sens les r sultats relatifs ce param tre leurs sont similaires pour la plus part Cependant des diff rences significatives ont t not es entre g notypes d orge et doses de sel Tableau 3 Les t moins de Rihane et Manel et de la lign e 22 ont montr la vigueur la plus
308. e EDTA 20 0 uM La solution a t compl tement remplac e chaque semaine Apr s 2 semaines de croissance lorsque les plantes atteignent l ge 17 jours les plantes ont t s par es 5 par conteneur avec la m me solution nutritive de Hoagland et trait es avec 0 30 60 ou 90 mM NaCl Un dispositif exp rimental Split Plot avec deux facteurs traitement NaCl cultivar et cing r p titions a t utilis pour analyser chaque variable physiologique Afin d viter le choc osmotique les traitements salins ont t appliqu s a la solution nutritive par addition de 30 mM NaCl chaque heure jusqu atteindre les concentrations de NaCl finales Apr s 15 jours de traitement salin les plantes ont t r colt es pour analyse Cinq r p titions de chaque traitement ont t utilis es pour les d terminations 1152 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 2 D termination des teneurs en sulfates Les concentrations des ions sulfates SO ont t mesur s dans une chromatographe ionique Dionex D 100 avec une colonne IonPac AS124 4mm 10 32 et une colonne de garde AG 14 4 x 50 mm Le d bit a t ajust 1 ml min 1 avec un luant de 0 5mM
309. e and the correct positioning of drainage systems such as Masraf and Manfess since they can present several discontinuities with tabia which ensures their destruction Indeed the type Masraf is generally located at the upstream and at the jessour that have an important size REFERENCES M BOUFAROUA 2002 Evolution des techniques de conservation des eaux et des sols en Tunisie Minist re de l Agriculture de l Environnement et des Ressources Hydrauliques pp 625 635 N OUNALLI M SGHAIER 2009 Contribution l optimisation de I allocation des ressources en eau et en sol dans les syst mes de production du bassin versant de 1 Oued Oum Zessar Sud est de la Tunisie NEW MEDIT pp 31 36 B CHEBANI 1990 Contribution l Etude De La Destruction des Jessour Dans Le Sud Tunisien Revue des R gions Arides pp 137 172 M MOUSSA B SOLE A Y CANTONY M KOUAKBI et B CHEHBANI 2011 Conservation des eaux et des sols cas des Jessour de BRAOUKA Monts des MATMATA Tunisie Revue des R gions Arides n 26 pp 81 115 A MTIMET R ESCADAFAL 1982 Carte des Ressources en Sols de la Tunisie au 1 200 000 feuille de M denine Minist re de l agriculture Direction Des Ressources en Eau et en Sol Division des Sols pp 26 M MOUSSA 2007 Gestion des Ressources Naturelles en milieu aride Tunisien Contribution a l tude de la dynamique du milieu dans
310. e d bit qui parcourt la ravine augmente progressivement depuis sa source au sommet du village jusqu son d versement dans l oued Depuis 1993 ce jour 2012 2013 cette ravine est devenue un grand ravin Fig 6 suite aux pluies torrentielles et aux intemp ries Photo Kouidri R Figure 6 Elargissement de la t te du ravin 16 m Haouch Zegaa Ouzera 14 03 2012 3 2 Evolution des rigoles parall les la grande ravine Ces rigoles sont devenues des ravines depuis l installation des autres drains souterrains Il existe six ravines qui sont devenues actives et fonctionnelles A partir de l an 2013 je vais quantifier les taux d ablation et de s dimentation au niveau de ces nouvelles ravines qui se trouvent sur des terres cultiv es allant du village agricole Haouch ZEGAA Ouzera jusqu a EL DJOUAHRIA Ouzera Ces ravines sont des destructeurs impitoyables de bonnes terres agricoles Elles sont capables de d couper 1059 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 un champ en petites parcelles aux formes bizarres et g nent les d placements des animaux et des engins agricoles En revanche sur le grand ravin tudi tous les piquets plac s sur les
311. e d bourrement des trois bourgeons successifs de la base ind pendamment de l effet du c page et d autres facteurs on peut dire que le taux de d bourrement la base de la baguette croit d un bourgeon au bourgeon imm diatement sup rieur La salinit n agit que par une l g re chute sur la valeur du taux de d bourrement moyen pour le bourgeon 1 et 2 et sur la valeur maximale du taux de l ensemble des cotypes au niveau des trois bourgeons 1168 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 3 Pourcentage de d bourrement des trois premiers bourgeons de la base des diff rentes vari t s Vari t Rang de Salinit Ps Wat Meski Arbi 1 Arbi 2 Arbi3 Kahlal Kahla2 howe Chetwi Moyenne bourgeon 2 o eo Te nn o Vu a RS 80m 20 40 40 48 s2 40 40 40 60 40 20 40 40 40 60 42 too oo 60 60 oo 40 mioo 60 60 so 68 s2 so so 60 o 80 60 40 60 80 80 08 3 2 3 Fluctuation de nombre des grappes par bourgeon sur la baguette La distribution des grappes par bourgeon sur la baguette des cotypes des deux parcelles S1 et S2 a t tudi e Le pour
312. e de l organisation spatiale de ce syst me qui va permettre la compr hension des principes de fonctionnements et de l organisation sociale 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Pr sentation de la zone d tude L oasis de Boukais est situ e 50 Km au Nord de la ville de Bechar Alg rie et au Sud de la fronti re Marocaine Elle fait partie des ksour du Nord de la Wilaya de Bechar Figue 1 A Elle est de type de montagne appartenant un tage bioclimatique aride Dubief 1959 Cette oasis comporte un ancien noyau urbain qui est le Ksar mitoyen la palmeraie Elle a connu ces derniers temps une nouvelle extension urbaine Figue 1 B La population de cette oasis est estim e 1216 Habitants DPAT 2007 L gende imite du Vieux ksar de Boukais Nouvelles extensions urbaines Limite de la Palmeraie Source d eau Sid Elhaj Ali Canal principal Bassin d accumulation Oued cours d eau intermitant Route arr Relief Figure 1 Contexte g n ral de l Oasis de Boukais A Localisation B Composantes C Panorama g n ral La palmeraie de Bouka s pr sente les caract ristiques d un espace oasien traditionnel Elle d une superficie estim e de 60 hectares Cet espace agricole forme un microclimat humide o de nombreuses familles exploitent des parcelles de fa on intensive en trois tages le palmier l arbre fruitier et les cultures maraich res L irrigation de cette palmeraie e
313. e en fonction du rendement a montr les r sultats suivants i les vari t s ayant les meilleurs rendements en grains V47 V49 V29 et V36 ont les taux de r ductions les plus importants et parmi les vari t s qui donnent le rendement le plus faible on trouve celles qui donnent les taux de r ductions les plus faibles donc les moins touch es par la salinit et qui sont V41 V45 V3 et A9 ii les vari t s ayant les meilleurs rendements en paille V8 V38 et V36 ont des taux de r ductions les plus lev s et inversement pour les vari t s A9 V26 A6 et V48 iii dans une position interm diaire pour le RG vient la vari t V49 qui pr sente un taux de r duction moyen et des valeurs de RG important concernant le rendement en paille occupe cette position la vari t V2 avec des RP important et un faible taux de r duction 3 2 Rendement en grain dans chez les agriculteurs La vari t am lior e Rihane a montr un rendement en grains relativement variable entre les agriculteurs En effet les rendements sont comparables chez les agriculteurs 2 3 4 et 5 avec un maximum de 42 3 Q ha pour l agriculteur 2 Par contre le rendement chez l agriculteur 1 est de l ordre 16 9 Q ha Figure 7 Il est tr s clair que la rendement chez Rihane a subit une forte r duction une salinit de 9 g l T lt D 40 M Site1 9g l 30 oD m Site2 6g l o 20 w Site3 4 5 g l o 5 10 M Site4 5 g l D S M Sit
314. e en g nie rural eau et for t L tude de la variation des taux de chlorophylles chez les deux esp ces souligne une nette diff rence entre les populations d une part et entre les deux cycles de stress hydrique appliqu s d autre part Cependant le taux de chlorophylle a chez les plants stress diminue pendant les deux cycles de stress hydrique de 5 35 1 54 et de 5 39 2 30 et de 3 25 1 56 et de 2 13 1 20 mg g respectivement chez les populations de Cenchrus ciliaris de Jerba et de Bouhedma Digitaria commutata de Bouhedmaet Cenchrus ciliaris de Matmata Le taux de chlorophylle b ainsi on a enregistr une r duction durant les deux cycles de stress hydrique appliquer ce pendant les valeurs passent de 1 21 0 et de 1 13 0 03 et de 1 90 0 20 et de 0 mg g de mati re s che respectivement chez les populations de Cenchrus ciliaris deJerba et cellede Bouhedma Digitaria commutata de Bouhedma et Cenchrus ciliaris de Matmata En ce qui concerne le taux de chlorophylle total les r sultats montrent aussi une diminution importante entre les deux cycles de stress dont les valeurs passent chez le stress de 18 52 4 75 et de 18 57 7 50 et de 12 43 5 26 et de 6 69 3 64mg g de mati re s che respectivement chez les populations de Cenchrus ciliaris de Jerba etde Bouhedma Digitaria commutata de Bouhedma et Cenchrus ciliaris de Matmata De m me le taux des carot no des a t fortement influ chez le stress de d
315. e en quantit suffisante pour les plantes qui poussent dans les r gions arides et semi arides Ces zones sont de plus caract ris es par des ressources hydriques de qualit m diocre saum tre d o la situation contraignante dans laquelle elles vont se retrouver En effet les plantes seraient expos es d une part 4 un stress hydrique et d autre part elles vont devoir affronter la salinit Ces deux facteurs sont consid r s parmi les plus limitant de la croissance et du d veloppement v g tatif des plantes Face ces conditions difficiles et aussi face l explosion d mographique mondiale il y a lieu d assurer la s curit alimentaire aussi bien pour Vhomme que pour le b tail Parmi les solutions propos es celle de rechercher des plantes pouvant faire face aux contraintes abiotiques et aussi qui pourraient assurer un revenu aux agriculteurs Dans ce contexte le sorgho Sorghum vulgare l plante rustique cultiv e dans plusieurs r gions tropicales et utilis e pour l alimentation humaine et animale pourrait r pondre ces objectifs A cet gard l aptitude l exploitation fourrag re du sorgho a t tudi e en plein champ Le dispositif exp rimental comporte cinq traitements un t moin 100 ETM deux r gimes hydriques 70 ETM et 35 ETM et deux r gimes salins 3g l et 6g 1 Les param tres agronomiques mesur s concernent tous l aspect v g tatif pouvant tre exploit comme fourrage en vert nombre de
316. e et une action anti oxydante ou encore d toxification Muschitz 2009 ces m canismes de protection contribuent la fois la tol rance de base qui existe de fa on naturelle chez la plante et lui permet de survivre dans les conditions normales et la tol rance induite qui apparait apr s la mise en place des conditions du stress abiotique comme la salinit Rady et al 2001 Notre travail r alis dans le cadre des projets de recherche f d r e Am lioration de la Productivit de l Orge dans le Sud vise identifier des g notypes d orge adapt s l irrigation par de l eau charg e dans un cosyst me oasien En effet dans les oasis l eau d irrigation en exc s est canalis e au niveau des drains Ces eaux de drainage sont sal es et sont peu valoris es dans certains cas Nos essais ont donc port sur l valuation de plusieurs param tres de d veloppement et de rendement de 30 g notypes d orge Hordeum vulgare autochtones allochtones et am lior s cultiv s soit sous irrigation par de l eau douce ou par de l eau de drainage 2 MATERIELS amp METHODES 2 1 Mat riel v g tal Les essais sont port s sur 30 g notypes d orge Hordeum vulgare L dont 4 lign es purifi es de populations locales 4 vari t s am lior es Tableau 1 et 22 cultivars introduits fournies par Mr Hafed Nasr dans le cadre d une collaboration avec l ICBA International Center for Biosaline Agriculture Tablea
317. e la fa on suivante Groupe I contenant les bourgeons 1 2 et 3 Groupell contenant les bourgeons 4 5 6 et 7 Groupelll contenant les bourgeons 8 9 et 10 1167 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 2 Pourcentage de d bourrement des bourgeons sur la baguette Vari t Salinit Rang du bourgeon 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Meski 1 S1 40 60 100 100 80 80 60 60 20 0 S2 20 40 80 80 60 20 20 40 40 40 Muscat S1 20 40 60 100 80 60 60 40 0 0 Se use S2 40 40 80 60 40 60 80 80 40 20 Meski 2 S1 20 60 60 80 80 20 20 60 20 20 S2 40 40 60 60 80 60 20 0 20 0 Arbi 1 S1 40 40 60 40 60 40 20 20 20 20 S2 40 60 60 80 80 100 40 60 40 60 Arbi 2 S1 40 60 60 80 80 40 40 20 20 40 S2 40 40 80 80 80 20 40 40 20 20 Arbi 3 S1 20 40 40 80 20 80 80 40 40 20 S2 20 20 60 60 60 40 80 40 20 80 Kahla 1 S1 60 80 100 80 60 40 40 40 40 40 S2 0 40 40 80 80 100 100 80 60 60 Kahla 2 S1 0 20 60 80 40 60 40 80 20 60 S2 20 40 60 100 100 60 60 40 40 20 Guelb S1 40 40 60 40 20 60 60 60 60 20 Sardouk S2 20 40 80 80 60 60 60 40 40 40 Chetwi S1 0 40 80 100 80 60 60 40 40 0 S2 20 60 80
318. e la synth se de la chlorophylle Stobart et al 1985 Radhouane 2006 soit une d gradation des pigments suite une augmentation de l activit des enzymes hydrolytiques Hsissou 1994 Santos 2004 La chute du taux chlorophyllien en pr sence de s cheresse s v re a t observ e par Tolk et al 2013 sur le sorgho 5 CONCLUSION La pr sente tude a montr que l application de stress hydrique mod r a diminu l g rement la hauteur de la tige et la teneur en chlorophylle des feuilles Au contraire lorsque le manque d eau est tr s s v re tous les param tres mesur s ont subi une r duction importante Pour la contrainte saline aussi bien mod r e que s v re une am lioration des dimensions des feuilles et du tallage a t observ e Cependant le nombre et la teneur en chlorophylle des feuilles ont accus une l g re baisse Ce ci nous am ne conclure que le sorgho est plus sensible la d shydratation intense qu a la salure ce qui permet de valoriser les eaux charg es pour la production fourrag re du sorgho R f rences bibliographiques Amazallag GN Lerner HR Poljakoff Mayber A 1999 Exagenous ABA as a modulator of the response of sorghum to light salinity J Exp Bot 41 1529 1534 Cakir R 2004 Effect of water stress at different development stages on vegetative and reproductive growth of corn Field crops Research 89 1 16 Cr pin BP D sir AA Bernard GD 2001 Interactio
319. e le d ficit hydrique induit l accumulation des solut s organiques proline sucre solubles chez les deux provenances Les r sultats ont montr que sous stress s v re 25 FC le gain en sucres solubles et en proline atteint 52 52 et 44 16 respectivement pour l origine Boussa d Mots cl s le stress hydrique Lawsonia inermis surface foliaire proline sucre soluble SUMMARY Henna is known since the high antiquity as a medicinal plant because of its astringent antiseptic and healing virtues This plant belongs to continental oases where water shortage constitutes the essential limiting factors of agricultural production The aim of this work is to study the effect of water deficit on plant growth and the accumulation of organic solute proline soluble sugar for two henna localities Boussaid and Bssissi under three watering regimes 100 50 and 25 of field capacity FC Severe stress 25 FC induces significant reductions in leaf area the rate reduction close to 58 13 for Boussaid and 65 79 for Bsissi water deficit induce accumulation of organic solutes proline soluble sugar for both localities The results showed that under severe stress 25 FC gain in soluble sugars and proline reached at 52 52 and 44 16 respectively for the origin Boussaid Key words Lawsonia inermis leaf area water stress proline sucre 1 INTRODUCTION En Tunisie le henn est connu depuis plus que deux si cles Il aurait t introdui
320. e nous a permis de s lectionner quelques g notypes CHK V48 et V45 PK V3 locaux saudi et allochtones V26 pour leurs tol rance a la salinit qui peuvent tre l objet d un programme d am lioration Mots cl s Orge salinit param tres agronomiques ACP rendement SUMMARY Barley is considered as an important crop in Tunisia However the development of this culture and improving its performance is limited by soil salinity and irrigation water The use of salt tolerant varieties has become imperative In order to evaluate the behavior of thirty genotypes of barley Hordeum vulgare L compared to control varieties grown on salinity conditions in the arid region of Jerid an experiment was conducted under conditions semi controlled land in the center of agricultural vocational training at Degache This experience is accompanied by various trials with farmers at Tozeur to assess their adaptation to conditions of farmer s water salinity and compared to control variety Rihane For the selection of barley genotypes we adopted an integrative approach that includes a selection according to criteria of growth and yield The principal component analysis shows that the two axes ACP1 and ACP2 represent 70 35 of the total variability The axis ACP1 represents 49 13 of the total variability it is a linear combination of RG RB and RP parameters The axis ACP2 represents 21 22 of the total variability is influenced by the valu
321. e pr c dente L ol iculture peut tre class en Oliviers derri re les jessour etOliviers derri re les tabias Cette tude se base sur l valuation d tat de stress hydrique chez les ol icultures donc la r alisation d un masque sur la carte d utilisation de sol est n cessaire pour avoir juste la classe des arboricultures pr cis ment l ol iculture et par la suite on a 3 classes Oliviers dans les plaines Oliviers dans les montagnes Autres qui sont les c r ales pisodique durant les ann es humides la v g tation naturelle dans montagne plaine et halophyte Donn es climatiques Les donn es de temp rature et les pr cipitations ont t t l charg es partir de site les donn es climatiques du monde www tutiempo net en Pour les stations de la r gion d tude pendant la p riode de r f rence on a utilis 8 stations chacune pr sente des informations de pr cipitations et une seul station permet d avoir des informations de temp rature aussi comme indique Tableau 6 Coordonn es des stations pluviom triques pour la p riode de r f rence Pour la p riode future 2026 2035 et 2086 2095 le GFDL fournit 8 stations pour notre zone 8 stations de pr cipitations et station de temp rature comme indique le tableau 3 Erreur Source du renvoi introuvable Tableau 6 Coordonn es des stations pluviom triques pour la p riode de r f rence Station X UTM Y Altitude Groupe de Type de station m U
322. e renewable resources These volumes distributed on the population gives a ratio of 421 cubic metersper year a volume which arrives decreased to the user due to bad management A share of 70 of this volume is used in irrigation without much effect on the agricultural production which remains weak and insufficient This situation of stress has constrained several countries to choose the use of no conventional water The management of water is thus directly related to food safety Within the framework of the agricultural production there are many possibilities of increase in the productivity of water thanks to a rigorous management using the projections of the agronomic research The agricultural outputs of the irrigated grounds can be improved while gaining in hydraulic efficiency of use Keywords Arab countries water scarcity stress agriculture production irrigation productivity non conventional water 1 INTRODUCTION Les pays arabes d savantag s par leur position g ographique mais aussi par leur gouvernance sont confront s au spectre de la p nurie d eau et toutes les cons quences d sastreuses qui en d coulent L analyse de la situation hydrique dans ces pays est l objectif de ce travail bas e sur la d termination des ratios de l utilisation des ressources naturelles en eau et en terres agricoles Les r sultats sont class s et confront s entre les pays et par rapport aux normes internationales en vigueur Des r sultats
323. e southeastern Tunisia is characterized by an arid Mediterranean climate with rainfall despite its scarcity possesses a torrential character threat by their high erosive activity at the agricultural soil Thereby to harvest and store this waters small hydraulic units called jessour have been developed since ancient in the talwegs as a common practice of retaining runoff and erosion products But during the exceptional flood the jessour knows several damages 3 The determinations of conditional assessment of these jessour 4 represent therefore a major challenge for its optimal use as an efficient strategy of water storing and erosion prevention A brief overview of the assessment of the technique of jessours in the micro watershed Jouabit Mareth province of Gabes is given below 2 MATERIALS AND METHODS Presentation of studied area Tounine belongs to the delegation of Mareth in the southeast of the province of Gabes It is limited by e Beni zelten at the north e Toujan at the south e Techin at the west The study focuses on the micro watershed Jouabit which lies between 33 29 and 33 30 North Latitude and 10 10 and 10G 07 East longitude 1313 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un
324. e utilis s dans l exp rimentation Param tres pH CE Salinit C MO CaCO NO NH PO K Na Unit s uS cm mg l D mg l mg l mg l mg l mg l Sol 7 9 207 110 0 52 1 05 11 6 46 3 1 43 2 1 5 4 86 Bouel 8 33 2090 1110 16 8 33 5 13 39 51 87 78 35 19 54 6 mois Boue2 7 54 1410 770 13 8 27 6 12 94 149 34 61 85 9 86 gt 24 mois Boue3 de 7 67 390 207 2 09 4 17 18 01 0 46 1 97 sucrerie D but Juin 2009 l exp rience a t arr t e La v g tation des pots a t r colt e mise dans des sachets en papier kraft et ramen e au laboratoire pour des mesures biom triques Une partie du sol des pots a servi aux analyses physicochimiques Le suivi de la v g tation a port sur la mesure de la hauteur de la plante la surface foliaire la longueur de l pi le nombre d pis m le nombre de grains par pi la biomasse a rienne et le poids de 1000 grains qui est estim sur la base du poids de 250 graines compt es du produit r colt par r p tition 1115 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Toutes les donn es prises sur les trois r p ti
325. e v g tation par des prises d chantillons de sol de 20 g Dans l exp rience tudiant l effet des boues r siduaire et de sucrerie les plantes sont irrigu es avec de l eau plate Les analyses physicochimiques de l eau d irrigation sol boues r siduaire et sucrerie ont t r alis es par les techniques appliqu es pour l analyse de l eau et des sols au niveau du laboratoire du d partement d cologie et environnement Les m thodes d analyses utilis es dans la d termination des diff rents param tres sont donn es au tableau 1 Les caract ristiques de l eau d irrigation sol et boues sont r sum s aux tableaux 2 et 3 Le pH la conductivit la salinit et la mati re organique du sol ont t r alis s au d but et la fin de l exp rience tandis que le pH et conductivit lectrique du sol ont t suivis une fois par quinzaine pendant le cycle de l exp rimentation 1114 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 1 M thodes utilis es dans l analyse de l eau d irrigation sol boues r siduaires et d chets de betterave
326. eatment processes and on the other hand the adoption of a better irrigation management based on the selection of tolerant crops the selection of the irrigation system the scheduling of irrigation soil drainage and leaching REFERENCES Al Khashman OA 2009 Chemical evaluation of Ma an sewage effluents and its use in irrigation purposes Water Resour Manage 23 1041 1053 Ayers RS Westcot DW 1994 Water quality for agriculture FAO Irrigation and drainage paper N 29 Rev 1 FAO Rome Blumenthal UJ Mara DD Peasey A Ruiz Palacios A Stott R 2000 Guidelines for the microbiological quality of treated wastewater used in agriculture recommendations for revising WHO guidelines Bulletin of the World Health Organization 78 9 1104 1116 Bouziani M 2000 L eau de la p nurie aux maladies Editions Ibn Khaldoun Oran Alg rie Du Preez CC Strydom MG Le Roux PAL Pretorius JP Van Rensburg LD Bennie ATP 2000 Effect of water quality on irrigation farming along the lower Vaal River the influence on soils and crops WRC Report N 740 00 Water Research Commission Pretoria SA Cherak L 1999 Incidences des eaux us es r siduaires sur la microflores et le comportement de Vavoine Magister thesis in Agronomy University of Batna Algeria Cornaz S 2004 Evaluation du statut trophique d un canal de drainage sous l impact des pollutions d origines diffuses et ponctuelles cas du Grand Canal de la
327. eilleure possibilit serait d am liorer l efficience des eaux d irrigation Actuellement elle est estim e 38 l chelle mondiale elle doit augmenter 42 Autrement dit les pertes d eau d irrigation doivent diminuer de 8 4 CONCLUSION Les pays arabes o vivent 324 millions d habitants sont d savantag s par leur situation g ographique et notamment la circulation atmosph rique g n rale Cette position imprime leur climat une aridit et une hyperaridit dominante caract ris e par des niveaux de pr cipitation tr s faibles et des temp ratures lev es Les espaces d sertiques occupent la moiti de la superficie totale Le climat est qualifi de capricieux et d agressif conjugu une s cheresse structurelle rendant la gouvernance de l eau probl matique La population arabe qui repr sente 4 3 du total mondial ne dispose que de 0 63 des ressources en eau renouvelable du globe dont la moiti est d origine exog ne source de conflits potentiels Les ressources en eau renouvelables sont estim es 278 km se r partissant selon une quantit annuelle de 583 m par habitant Cette valeur compar e la norme 500 m montre la vuln rabilit de la r gion arabe vis vis du stress hydrique et de ces cons quences sur le d veloppement Ces potentialit s sont concentr es 92 dans 8 pays totalisant 83 4 de la population globale et plusieurs pays sont d j sous la menace de la p nurie d ea
328. eliminates soil moisture deficit conditions Bresler et al 1982 Shalhevet 1984 Barley has been described as a highly salt tolerant crop Maas and Hoffman 1977 Therefore under conditions of water shortage the irrigation of the barley can be reduced during development and or maturity stages Yields obtained under regulated deficit irrigation DI Mat DI Dev and DI Dev Mat are slightly lower those obtained with full irrigation FI However the difference increases significantly with continuous deficit irrigation treatment DI 50 Thus deficit irrigation applied during development and maturity stages DI Mat DI Dev and DI Dev Mat provides a means of reducing water use Table 2 without affecting significantly the yields These results obtained under the prevailing climatic conditions support the practicality of the DI Mat DI Dev and DI Dev Mat irrigation strategies to facilitate the use of saline water for irrigation of barley 12 aa LSD 5 A Grain yield 2008 2002 Biomass 2011 2012 1 669 Biomass 2008 2009 Grain yield 2011 2012 0 859 10 2 Biomass 2011 2012 Biomass 2008 2009 5 151 Grain Yield 2011 2012 Grain yield 2008 20092 5 451 Yield t ha FI DI 50 DI Dev DI Dev Mat DI Mat Treatments Figure 5 Grain yield and biomass under different irrigation treatments 3 5 Water productivity The WP for grain yield and dry matter production WPg WPd is presented in Table 2 The h
329. eloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Loggini B Scartazza A Brugnoli E Navari Izzo F 1999 Antioxidative defence system pigment composition and photosynthetic efficiency in two wheat cultivars subjected to drought Plant physiol 119 1091 1099 Laouar S Viera da silva J 1981 Annual variation of photosynthesis of olive tree under differing conditions and related to chlorophyll accumulation Components of productivity of Mediterranean Climate Region Bsic and Apllied 71 75 Wahbi S Wakrim R Aganchich B Serraj R 2005 Effects of patial rootzone drying PRD on adult olive tree Olea europaea L in field conditions under arid climate I Physiological and agronomic sesponses Agric Ecosys Environ 106 289 301 1253 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1254 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Comportement de diff rents sols emblav s de mais
330. ement 30 mM de NaCl 50 RFU La vari t Midass apparait la plus tol rante ces deux contraintes Mots cl s stress hydrique salinit Capsicum annuumL n crose apicale conductance stomatique SUMMARY Drought and salinity stresses are the most important abiotic stresses responsible of crop failure worldwide that cause reduction in plant growth development and productivity Irrigation efficiency and salinity stresses are becoming crucial for vegetable and agronomic crop production particularly in the southern regions of Tunisia The aim of the study is to compare the influence of water stress 100 50 RFU and saline 0 30 60 mM NaCl on stomatal conductance yield and the impact on blossom end rot in two local varieties Midass a local variety of southern Tunisia compared to Baklouti variety a local variety of the Sahel The results showed that the effect of water stress 50 RFU is more pronounced than the effect of salinity when moderate salinity 30 mM NaCl But when the stress becomes severe 60 mM the situation is inversed the effect of salt is more significant than the water stress Keys words water stress salinity pepper blossom end rot stomatal conductance 1 INTRODUCTION En Tunisie la culture de piment de saison qui repr sente elle seule plus du 4 de la production nationale totale et qui assure l approvisionnement du march en piment frais et sec est assez faible 10T ha Cette coulure estivale est
331. ement de la ravine entre le flanc de la ravine droite et le seuil en gabion 40 cm et entre la ravine gauche et le seuil en gabion il existe une plate forme qui a pu la caler Par contre sous les deux seuils gabion il existe un drain sous forme de tunnel 2 m 70 de long Les eaux propres sortant de ce drain ont pouss les s diments et les gros blocs plac s sous les seuils en gabion vers l aval Huit mois apr s tous les s diments sont partis dans le fond de la ravine 1058 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Photo Kouidri R Figure 5 Affaissement du seuil en gabion au niveau de la t te de la ravine HaouchZegaa Ouzera F v 1999 Le 16 novembre 1999 une pluie importante intensit 28 mm s est abattue sur cette ravine d ot sol imbib d eau La t te de la ravine a beaucoup volu des pans des flancs de cette ravine se rompent et glissent le long des parois en colmatant partiellement le fond de la ravine D s 1988 cette ravine est devenue un exutoire par les eaux exc dentaires des champs des habitants toitures du village agricole Au fil des ann es suite l accroissement de la population et de l occupation des sols l
332. ement tous les aspects de croissance hauteur de la plante et nombre des feuilles Toutefois l analyse statistique a r v l des effets significatifs des vari t s traduisant une diversit importante au sein des vari t s tudi es Ce travail a permis la mise en valeur de nos ressources acclimat es en Tunisie de tomate et a justifi la voie d valuation de ce patrimoine g n tique pr cieux Les comportements des vari t s tudi es en conditions de stress salin appliqu ont indiqu une diversit de cette collection tudi e La diversit botanique semble tre la source principale de la variabilit des comportements physiologiques des vari t s de tomate tudi es REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Belkhodja M et Bidai Y 2004 R ponse de la germination des graines d Atriplex halimusL sous stress salin Revue S cheresse 15 331 335 Ben Naceur M Rahmoune C Sdiri H Meddahi ML et Selmi M 2001 Effet du stress salin sur la croissance et la production en grains de quelques vari t s maghr bines de bl S cheresse 12 167 174 Boukrich F 2004 R ponses physiologiques au stress salin d Artemisia herba alba ASSO Mast re de physiologie v g tale Universit de Tunis El Manar Facult des sciences de Tunis D partement de biologie 58p 1311 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion d
333. emical diversity and distribution of glucosinolates and isothiocyanates among plants Phytochemistry 56 5 51 Farnham MW Wilson PE Stephenson KK Fahey JW 2004 Genetic and environmental effects on glucosinolate content and chemoprotective potency of broccoli Plant Breed 123 60 65 Finley JW 2005 Proposed criteria for assessing the efficacy of cancer reduction by plant foods enriched in carotenoids glucosinolates polyphenols and selenocompounds Ann Bot 95 1075 1096 Hu YC Schmidhalter U 2005 Drought and salinity a comparison of their effectson mineral nutrition of plants J Plant Nutr Soil Sci 168 541 549 Jeffery EH Brown AF Kurilich AC Keck AS Matusheski N Klein BP Juvik JA 2003 Variation in content of bioactive components in broccoli J Food Composit Anal 16 323 330 Keling H Zhujun Z 2010 Effects of different concentrations of sodium chloride on plant growth and glucosinolate content and composition in pakchoi Afr J Biotechnol 9 4428 4433 Li G Riaz A Goyal S Abel S Quiros CF 2001 Inheritance of three major genes involved in the synthesis of aliphatic glucosinolates in Brassica oleracea J Am Soc Hort Sci 126 427 431 L pez Berenguer C Garcfa Viguera C Carvajal M 2006 Are root hydraulic conductivity responses to salinity controlled by aquaporins in broccoli plants Plant Soil 279 13 23 L pez Berenguer C Martinez Ballesta MC Garcia Viguera C Carvajal M
334. emp ratures Lichtenthaler 1987 Ludlow et Powles 1988 Ainsi Colom et Vazzana 2002 mentionnent que le stress hydrique r duit significativement le contenu en chlorophylle et que la chlorophylle a est plus sensible que la chlorophylle b chez les gramin es p rennes Cette sensibilit varie selon les g notypes En effet certains g notypes montrent une sensibilit lev e de l appareil photosynth tique la photo inhibition qui fait suite la fermeture des stomates et la r duction de l assimilation du CO induites par le stress Ludlow et Powles 1988 Tableau 2 Valeurs moyennes de la chlorophylle mg 1 mesur e chez les trois g notypes soumis au stress Effets Moyennes Stress Endurcissement choc froid T1 12 30 S Pas d endurcissement choc froid T2 10 20 Pas d endurcissement choc froid T3 16 63 Ppds5 03 83 G notype Martondur 12 01 G Martondur3 Waha 12 52 Waha 14 60 Ppds5 03 83 SxG Tl Martondur3 12 31 Tl Martondur3 Waha 12 20 Tl Waha 14 38 T2 Martondur3 9 62 T2 Martondur3 Waha 6 83 T2 Waha 12 16 T3 Martondur 14 10 T3 Martondur3 Waha 18 53 T3 Waha 17 26 Ppds5 1 67 1210 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013
335. ence of moisture on soil ECa Hedley et al 2004 Sudduth et al 2005 the soil providing more conducting pathways for the electric current induced by the EM38 sensor as soil moisture content increases The SWC over the 0 to 100 cm depth were more accurately predicted than over the 0 to 20 cm depth Within the observed range volumetric water content over the 0 1m depth are predicted with a standard error of 0 08 and 0 05 for the dry and wet season respectively The standard error values are larger for the 0 to 0 2m depth interval with values of 0 09 and 0 09 for volumetric water content for the dry and wet season respectively These results might be influenced by the range of variation and the number of sampling The number of investigated points varied between n 70 to n 38 This variation is probably also attributed to several possible factors including the heterogeneity of the land cover and the soil surface patterns In higher positions there may have been slightly reduced sensitivity increased the slope of the relationship We note that measuring surface soil moisture is often difficult Table 3 Regression coefficients r and parameters of the linear regression analysis among the SWC and ECa mS m measured by an EM38 a is the intercept b is the slope and SE is the standard error EM 38operation a b mS m r SE modes Horizontal wet 25 7 0 60 0 60 9 1 0 20cm dry 15 6 0 14 0 25 9 0 Vertical wet 19 9 0 50 0 74 5 0
336. endrer une r duction de la photosynth se Ainsi les g notypes qui ont la capacit photosynth tique intrins que la moins affect e par le d ficit hydrique pr sentent une efficience de l utilisation de l eau photosynth se transpiration plus lev e et une plus grande capacit de survie Araus JL ef al 1991 in Amor S et al 2005 Une hypoth se a t mise lors d une tude portant sur Phaseolus vulgaris est que les plantes r sistantes la s cheresse au niveau cellulaire sont souvent capables de garder leurs stomates ouvertes et ont donc un fort potentiel d assimilation du CO lors de s v res d ficits hydriques Costa Fran a MG et al 2000 in Clavel D 2005 Les valeurs de la conductance stomatique la mi journ e sont plus lev es que celles du matin pour les populations de jelma Zelfen et Guira et dans les diff rentes saisons indiquant une strat gie 1242 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 d adaptation la s cheresse et une r sistance plus marqu e chez la population Zelfen et Guira Tandis que celle d Essalloum et Oumlagsab manifeste une fermeture stomatique partielle 4 la mi journ e seulement au mois de juillet
337. endu pour le lot trait jusqu l obtention des poids de pots qui correspondent respectivement 75 50 25 et 12 5 et 8 33 de la CC ces poids sont d termin s l avance Mesures La proline est dos e sur le tiers m dian des deux derniers feuilles d velopp s entre 3 et 5 feuilles par la m thode de Troll et Lindsley 1955 modifi e par Dreier et Goring 1974 et utilisant le tolu ne la place du benz ne toxique conform ment aux travaux de Hanson et al 1977 Deux g notypes ont t limin s par manque de r p titions 3 RESULTATS Les r sultats exprim s et consign s dans le tableau 2 correspondent la moyenne de quatre r p titions 1134 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 7 19 12 2013 Tableau 2 R sultats globaux de I tude 50 c c 37 5 C Cc 25 C C 18 75 c c 12 5 c c 8 33 c c E E eee ee Nee E E ee ee ee a i cd call cl les etl alee Ne Meee ee Wee ee eee Rs BB EE EEE ec ne en EN E ER ON ON SR E RS EE eee ee fas ad ee ee ee ee ee fc a ee ee ee RON RER a A RP A RL ER EL EU reset PR NE EP PE NS LE RG D EL EN SE 1135 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting Intern
338. endurcissement cette m me lign e ne se d marque pas des deux autres g notypes test s Figure 2 et Tableau 4 3 3 SDS PAGE La comparaison des profiles lectro phor tiques sur gel de polyacrylamide met en vidence des diff rences entre vari t s et traitements de froid Figure 3 Ces diff rences sont d ordres quantitatifs et qualitatifs En effet les bandes prot iques diff rent en nombre et en intensit Figure 3 Par ailleurs on rel ve la pr sence de prot ines de diff rents poids mol culaires variant de 6 5 205 kDa Figure 3 Pour Waha on note des diff rences entre le traitement endurci WE 1 et le traitement non endurci WNE 2 L endurcissement induit chez ce g notype la synth se de novo d une prot ine de faible poids mol culaire dont la masse est proche de 45 kDa rep re 1 L endurcissement accentue aussi chez ce m me g notype l accumulation d une prot ine de faible poids mol culaire dont la masse est de 6 5 kDa rep re 2 1212 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 R X 45 40 35 30 Prot ines 2 r duction 2 o BS AN oe RS A
339. enerally based on rainfed farming or it is based on the techniques of collecting water as the jessour Serious attempts to exploit the runoff for rainfed agriculture and reduce the water erosion in the mountain regions have led to a great increase in the popularity of the technique of jessours However despite their significant morphological role the jessour have been reported to have a fragile structure which can be easily destroyed in case of excess of runoff retained behind dykes representing therefore a real danger to the small villages in the downstream The risk of destruction was carefully assessed to overflow to all the works of a micro watershed El Jouabit Tounine Mareth in the mountains of Matmata Thus this study is based on data from some parameters of jessour While the data processing can be done with statistical tools or may be performed using a developed program The results of these computers processing allowed us to develop different types of cards with the help of mapping software Keywords componen Tunisia arid rainfed jessour 1 INTRODUCTION Tunisia is located on the southern shore of the Mediterranean remaining an arid to semi arid climate in the three quarter of its territory 1 It is basically characterized by limited and fragile natural resources which are the subject of intense exploitation 2 associated with a marked water deficit especially in the arid and semi arid regions Th
340. engendre des ph nom nes de blocage de phosphore assimilable Gervy 1970 Lou 1987 sauf quelques chantillons o l eau est moyennement riche Selon Hamdy et Makhlouf 2002 la fixation ou la mobilisation des ions phosphorique est remarquablement influenc e par les sels Tableau 1 R sultats d analyses du sol profil 1 Horizons pH CE dS m Calcaire Gypse Phosphore assimilable 1 2 5 25 C total ppm 0 10 8 15 1 57 23 46 1 56 76 10 30 8 37 2 45 23 07 1 04 78 30 50 8 58 4 23 21 53 2 23 100 15 50 70 8 48 4 48 23 46 1 37 112 5 Tableau 2 R sultats d analyses du sol profil 2 Horizons pH 1 2 5 CE dS m Calcaire Gypse Phosphore assimilable 25 C total ppm 0 10 8 11 3 17 9 37 4 63 86 9 10 30 8 13 12 52 8 46 6 9 100 21 30 50 7 85 12 08 10 19 5 09 75 54 50 70 8 07 7 98 15 57 3 58 79 18 4 2 Caract ristiques floristiques A travers les relev s floristiques effectu s nous avons recens quatre esp ces appartenant la famille ch nopodiac es Les esp ces de cette station sont consid r es comme des esp ces halophiles qui tol rent le calcaire et le gypse Le houerou 1995 Elles refl tent les conditions du milieu souvent clairsem es ceci 1204 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressou
341. ennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 4 CONCLUSION La r utilisation des eaux r siduaires pour l irrigation peut constituer un appoint non n gligeable dans la couverture des besoins en eau des cultures Notre travail porte sur effet des eaux r siduaires sur la production de la mati re s che Cette tude a t effectu e sur une p riode de 55 jours et au moyen de la culture en pot Les r sultats obtenus montrent que la production de biomasse v g tale s che pieds tall s racines par la gramin e fourrag re avoine WI 78 est comparable dans les deux traitements utilis s REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Chaussod R Germon JC Catroux G 1981 Essai de d termination au laboratoire de l aptitude la min ralisation d azote des boues r siduaires urbaines Extrait du proc s verbal de l acad Agri Fr 67 9 pp 272 771 Cherak L 1999 Etude exp rimentale de l influence des eaux r siduaires Batna Fisdis El Madher sur certaines activit s microbiennes min ralisation du carbone et de l azote dans un sol calcaire de la r gion d El Madher w Batna Incidences sur les microflores telluriques et le comportement d une gramin e fourrag re Avena alba Mag Ins Agr de Batna 108p Global Water Intelligence 2005 Water Reuse Markets 2005 2015 A Global Assessment amp Forecast Mazliak P 1982 Physiologie v g tale croissance et d veloppeme
342. ent durable des zones arides 17 19 12 2013 Damiano et al 2009 De plus ces solut s permettent de prot ger les chloroplastes Sickler et al 2007 Slama et al 2008 3 4 L amidon Bien que faible la teneur en amidon au niveau des feuilles des plantes mycorhiz es diminue sous l effet de NaCl en passant de 0 75 0 43 respectivement pour les traitements SO et S2 Et les plantes mycorhiz es ont des teneurs l g rements plus lev es que les plantes non mycorhy es L accumulation des sucres solubles chez les plantes expos es un stress salin est g n ralement accompagn e d une r duction des teneurs en amidon vu que ce dernier repr sente la quantit des sucres photosynth tis s par les v g taux et non consomm s par la respiration 1 0 8 1 p b 0 6 c d d 0 4 T 0 4 7 r 7 T MZ NMZ MZ NMZ MZ NMZ Amidon mg g MF Figure 4 Variation de la teneur en amidon au niveau des feuilles en fonction de l inoculation mycorhizienne et du traitement salin SO S1 et S2 Chaque bar indique la moyenne de trois r p titions l cartype Les chiffres ne portant pas les m mes lettres sont significativement diff rents P lt 0 05 selon le test Duncun Cette quantit est d pos e dans les chloroplastes des organes vivaces tiges racines pour constituer une r serve nerg tique pouvant tre utilis lorsque la production photosynth tique de la plante est insuffisante pour fai
343. entr es dans quelques pays exposant une part importante de la population un grave stress hydrique Les volumes distribu s la population donnent un ratio de 421 m an individu un volume qui doit tre minor du fait du mauvais rendement d utilisation des r seaux de distribution De plus 70 de ce volume est utilis aux fins d irrigation alors m me que la production agricole demeure insuffisante Cette situation a contraint plusieurs pays se tourner vers les ressources non conventionnelles car la gestion de l eau est devenue directement li e la s curit alimentaire Beaucoup d efforts devront tre entrepris pour am liorer la productivit agricole tout en maitrisant les volumes d eau affect s aux secteurs utilisateurs et en particulier V irrigation Mots cl s pays arabes p nurie stress production agricole irrigation productivit eau non conventionnelle SUMMARY The great stake with which is confronted the Arab world is to be able to produce more food with a minimum water The Arab population accounts for 4 3 of the world total but has only 0 63 of the renewable water resources of which the half is extern origin given potentials conflicts The renewable water resources estimated at 278 cubic kmoffer an annual ration to each individual of 583 cubic m These resources are concentrated in some countries which expose the great majority of the population to the water stress A share of 180 cubic kmis 65 of th
344. er B Verbocht H de Vos RCH Morandini P Aarts MGM Bovy A 2008 The impact of the absence of aliphatic glucosinolates on insect herbivory in Arabidopsis PLoS ONE 3 Article ID e2068 Borowski J Szajdek A Borowska EJ Ciska E Zielinski H 2008 Content of select bioactive components and antioxidant properties of broccoli Brassica oleracea L Eur Food Res Technol 226 459 465 Dominguez Perles R Martinez Ballesta MC Carvajal M Garcfa Viguera C Moreno DA 2010 Broccoli derived by products a promising source of bioactive ingredients J Food Sci 75 C383 392 Engelen Eigles G Holden G Cohen JD Gardner G 2006 The effect of temperature photoperiod and light quality on gluconasturtiin concentration in watercress Nasturtium officinale R Br J Agric Food Chem 54 328 334 Fabek S Toth N Radoj i Redovnikovi I Herak Custi M Benko B uti I 2012 The effect of nitrogen fertilization on nitrate accumulation and the content of minerals and glucosinolates in broccoli cultivars Food Technol Biotechnol 50 183 191 1156 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Fahey JW Zalcmann AT Talalay P 2001 The ch
345. er entre les bouel et boue 2 L effet traitement sur les diff rentes variables tudi es du sol est significatif l exception du pH l g rement alcalin qui peut se justifier par l effet tampon du sol en place et qui ne semble pas produire d effet d pressif pour la culture Tandis que la conductivit lectrique et la salinit du sol ont augment pour l ensemble des traitements par des valeurs variant de 376 uS cm 198 mg l pour T7 et 1245 uS cm 660 mg l pour T2 le taux de mati re organique a augment sensiblement dans les traitements de boues ave des valeurs variant entre 0 75 pour T8 et 6 60 pour T2 L apport de boue de sucrerie chaul e au sol se distingue par sa carence en mati re organique et en phosphore M me en cas de sa richesse en nutriments il se peut que la pr sence des teneurs lev es de calcaire bloquera l volution de la mati re organique et fixera le phosphore qui provoquera par la suite un effet d pressif sur les cultures Tableau 5 Caract ristiques physicochimiques du sol avant et apr s l exp rimentation pH CE uS cm Salinit mg l C org MO 1 Sol initial avant l exp rimentation Sol initial 7 9 207 110 0 52 1 05 2 Sol apr s l exp rimentation To 7 64 441 236 0 52 1 05 Ty 7 45 587 312 1 95 3 9 T 7 43 1245 660 3 30 6 60 T 7 43 654 5 348 3 15 6 3 T 7 49 610 324 1 96 3 93 T 7 5 706 375 5 1 57 3 15 Ts 7 48 488 261 1 25 2 2
346. er est utilis pour d finir le faci s type des eaux Celui de Pheereq permet le calcul de l indice de saturation dans les eaux souterraines en fonction du TDS taux des mati res dissoutes pour d terminer l origine de la salinit Alors que le diagramme de Riverside permet d tudier la qualit des eaux souterraines en vue de l usage agricole 3 RESULTATS 3 1 Param tres physiques Le pH des eaux souterraines de la r gion d ouled chamekh est l g rement basique oscillant entre 7 74 et 8 10 avec une moyenne de 7 95 et un coefficient de variation proche de z ro ce qui indique une variabilit tr s faible pour les eaux souterraines Pour la CE elle oscille entre 4 43 et 10 30 mS cm avec une concentration d croissante de l amont vers l aval suivant le sens d coulement des eaux souterraines soit du Sud Ouest vers le Nord Est direction sebkhat Sidi El Hani La figure 3 montre respectivement l volution de la CE en fonction du rapport carbonates vaporites et du rapport chlorure sulfates Cette volution a d voil que la CE se trouve influenc e tant par les vaporites que par les carbonates et par les chlorures que les sulfates 0 12 5 00 co 4 50 0 10 4 00 3 e io 3 0 08 4 g amp 3 50 2 amp 3 3 00 b 0 06 4 2 250 gt 2 0 06 50 a e Q 2 si x t k S 0 04 ka 2 00 R 230 e 0 02 4 1 00 0 50 0 00 T 0 00 T T T T T 0 2000 4000
347. ermettent aux plantes de r sister au stress hydrique l accumulation d un certain nombre d osmolytes tel que les sucres solubles s est r v l e tre une strat gie pertinente chez diff rentes esp ces Chaves et al 2003 et Shao et al 2005 L accumulation d osmolytes permet aux plantes de garder la turgescence cellulaire et le volume cytosolique aussi lev s que possible et favorise la stabilit du rendement en conditions de d ficit hydrique Chez le carthame peu d tudes concernent l ajustement osmotique notamment l accumulation des sucres solubles Le pr sent travail vise valuer l effet du stress hydrique la fois sur la teneur relative en eau l accumulation des sucres solubles et les composantes du rendement et examiner la variabilit de ces param tres chez quatre accessions de carthame 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal Le mat riel v g tal est constitu de quatre accessions de carthame USDA6 USDA23 et USDA29 fournies par Western Regional Plant Introduction amp Research Station Universit de Washington et Vartouggourt fournie par un agriculteur des oasis du sud d Alg rie Le choix des accessions pour cette tude a t bas sur une efficacit d utilisation de l eau contrast e USDA6 ayant une meilleure efficacit de l eau USDA23 et VarTouggourt ont une efficacit d utilisation de l eau interm diaire alors qu USDA29 poss de la plus faible effic
348. es 5 8 g l A6 V47 V5 V38 V29 v43 Figure 7 Estimation du rendement en grains quivalent Q ha chez les agriculteurs Le g notype CHK36 V38 a montr un rendement en grains plus important que la vari t t moin Rihane En plus ce g notype peut tre exploit en double exploitation car il a montr aussi une meilleure production de paille Tableau 1 Les g notypes V47 et V29 chez l agriculteur 2 6 5 g l et Vagriculteur 1 9 g l respectivement ont montr un rendement en grains plus faible que celle de vari t t moin Rihane De m me les g notypes V5 et V43 ont montr un rendement similaire a Rihane De cela on peut dire que V38 a montr une bonne adaptation aux conditions hydrique et climatique de Djirid par rapport au Rihane et aux autres g notypes Mais cette adaptation est le meilleur seulement chez l agriculteur 3 parrapport au t moin sous l irrigation d eau charg e de 4 5 g l 3 3 Rendement en paille chez les agriculteurs De m me pour la production de paille Figure 8 on a enregistr une variabilit dans la production de paille pour Rihane chez les diff rents agriculteurs La meilleur production de paille a t enregistr chez l agriculteur 5 soit 914 23 g m par contre l agriculteur 1 n a enregistr que 140 g m 1294 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et
349. es Dionne ef al 2001 La r orientation de la synth se prot ique induite par le froid fait suite l activation du processus de bocage d blocage de l expression g nique en r ponse au stress Les prot ines ainsi synth tis es jouent un r le dans la structure et l assemblage des prot ines au sein du cytoplasme et du r ticulum endoplasmique On assiste chez les sujets sensibles une r duction de l efficacit du syst me de transport membranaire des sels et des ions m talliques suite au fait que le froid endommage les pompes transmembranaires Sarhan et Perras 1987 L accumulation des prot ines nouvellement synth tis es permet aux plantes de stabiliser les membranes contre les dommages occasionn s par le stress vu que ces prot ines sont thermostables Salzman et al 1996 Pearce 1999 Zerrad et al 2006 Selon Gusta et al 1996 ces prot ines nouvellement synth tis es agissent en combinaison avec les hydrates de carbone solubles et d autres compos s azot s dans l acquisition de la tol rance aux basses temp ratures Selon Xin et Browse 1207 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2000 la protection des membranes cellulaires cont
350. es NE PMG HZ69 NGE The yield of grain and straw yield appear to be the most important variables generated by the ACP This shows that the ACP RG is well correlated with the RB however the NE was higher when the NGE was low The analysis of variance of the plot El Manachi Degache showed a significant difference between genotypes for the majority of morphological parameters but not for performance Genotype x treatment interactions were observed for the different parameters indicating a wide genotypic variability for salinity Moreover this study allowed us to select some genotypes CHK V48 and V45 PK V3 local saudi and allochthonous V26 for their tolerance to salinity may be the subject of a program to improve Key words Barley salinity agronomic parameters ACP performance 1287 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1 INTRODUCTION La salinit est l un des probl mes majeurs qui limitent la production agricole dans le monde Wei et al 2003 Cet effet est pr dominant au niveau des terres irrigu es Epstein ef al 1980 En effet la moiti des terres cultiv es dans le monde sont actuellement affect es par la salinit dont 20 de terres irri
351. es R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 100 RFU Ces r sultats corroborent avec les travaux de R him et al 1999 2013 Zhani et al 2012 E Baklouti b b c m Midass i E E SOIL S1I1 S2I1 SOI2 S112 212 traitements 11 100RFU 12 50 RFU S0 0 mM NaCl S1 30 mM NaCl S2 60 mM Nacl Nn A el wn LA N v v oo v Q _ Figure 3 Effet de stress combin sur le pourcentage des fruits n cros s 4 CONCLUSION Les r sultats de cette exp rimentation ont permis d une part de constater que la contrainte hydrique 50 RFU affecte plus la conductance le rendement et la qualit des fruits que la salinit lorsqu elle est mod r e 30 mM de NaCl Par contre lorsque le stress salin est s v re 60 mM on a une inversion de la situation l effet du sel devient plus vident que le manque d eau En cas de contrainte hydrique et saline il ya une r duction tr s nette de la conductance stomatique et du rendement d s le traitement 30 mM de NaCl 50 RFU D autres part cette tude a permis de rendre compte des diff rences g notypiques vis a vis de la salinit
352. es Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 FAO 2012 http www fao org Ferchichi A 1997 Contribution I tude caryologique caryosyst matique morphobiologique et cologique de la flore de la Tunisie pr saharienne Doctorat d Etat Fac Des Sc de Tunis 214p Flowers T J 2004 Improving crop salt tolerance Journal of Experimental Botany 55 307 319 A S Hajer Malibari A A Al Zahrani H S et Almaghrabi O A 2006 Responses of three tomato cultivars to sea water salinity 1 Effect of salinity on the seedling growth Department of Biological Sciences Faculty of Science King Abdulaziz University Jeddah Saudi Arabia 855 861 Kadri K Maalam S H Cheikh M Ben Abdallah A Rahmoune C et Ben Naceur M 2009 Effet du stress salin sur la germination la croissance et la production en grains de quelques accessions tunisiennes d orge Hordeum vulgare L Sciences amp Technologie 72 79 Maas EV 1986 Salt tolerance of plants App Agric Res 1 12 26 Maggio A De Pascale S Angelino G Ruggiero C et Barbieri G 2003 Physiological response of tomato to saline irrigation in long term salinized soils Department of Agricultural Engineering and Agronomy of the University of Naples Federico II Italy 10 149 159 Rochdi A Lemsellek J Bousarhal A et Rachidai A 2005 Evaluat
353. es arides 17 19 12 2013 1278 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effet de Glomus deserticola sur des plantes d oliviers Olea europaea L soumises un stress salin Aspects cophysiologiques et biochimiques Khabou wahid Salhi Zayneb Ben Abdallah Ferjani Feki Lotfi Drira Noureddine Institut de l Olivier Sfax Tunisie Facult des sciences de Sfax Sfax Tunisie Email khabou_wahid yahoo fr RESUME Des plantules d olivier Olea europaea L de la vari t huile Chemlali g es de 2 ans et cultiv es dans des pots en PVC de 15 litres contenant une terre v g tale Au moment de leurs transplantations les plantules ont t inocul es avec une endomycorhize Glomus deserticola Dans le but d valuer la tol rance a la salinit les plantules mycorhiz es sont irrigu es pendant six mois avec une eau contenant 3 gradients de NaCl 25 75 et 100 mM En se basant sur l analyse de certains param tres co physiologiques et biochimiques les r sultats obtenus ont montr que les teneurs en sodium sont plus importantes au niveau des racines Les teneurs en potassium et calcium ont subi une diminution en fonction de la dose de Na
354. es pays arabes ne peut compter sur les apports pluviom triques L irrigation est n cessaire pour la plupart de la production agricole Certains pays tirent profit des fleuves qui les traversent d autres sont contraints d exploiter les stocks d eau fossile des profondeurs tr s lev es 3 POTENTIALITES EN EAU Le monde arabe occupe 9 3 de la g osph re mais ne dispose que de 0 63 des ressources en eau renouvelables RER de la plan te Mutin 2007 FAO 2006 La population arabe est valu e en 2005 324 millions d habitants soit 4 3 du total mondial Pison 2005 L Egypte est le pays le plus peupl avec 74 millions d habitants 23 du total suivi du Soudan avec 40 millions 12 et de l Alg rie avec 32 8 millions 10 Les pays les moins peupl s sont Djibouti Qatar Bahre n et les Iles Comores dont la population unitaire n atteint m me pas le million d habitants La densit de peuplement avoisine 14 habitants au km et la plus lev e est celle de Bahre n avec 1043 hab km suivie de celle de Palestine avec 633 hab km et du Liban avec 380 hab km cependant celles de Mauritanie et de Libye sont les plus faibles avec 3 hab km Les concentrations humaines accentuent les pr l vements et la pollution en ce sens la densit est une donn e influente notamment quand les ressources en eau sont rares Ces derni res sont surtout souterraines sauf pour les pays travers s par les grands fleuves 3 1
355. esculentum L en culture hors sol pour les r gions sahariennes Utilisation de substrats sableux et d eaux saumatres Th se de doctorat d veloppement et am lioration des v g taux Universit de Nice Sophia Antipolis 24 32 Aug RM 2001 Water relations drought and vesicular arbuscular mycorrhizal symbiosis Mycorrhiza 11 3 42 Ben Ahmed C Ben Rouina B Boukhris M 2008 Changes in water relations photosynthetic activity and proline accumulation in one year old olive trees Olea europaea L cv chemlali in response to NaCl salinity Acta Physiol Plant 30 553 560 Ben Ahmed C 2009 Repenses et strat gies adaptatives de l olivier Chemlali Olea europaea L irrigu l eau saum tre a Sfax Th se de doctorat de la facult des Sciences de Sfax Tunisie 182 p Botti C Palzkill D Prat L 1998 Morphological and anatomical characterization of six jojoba clones at saline and non saline sites Industrial Crops and Products 9 53 Chatzoulakis K M Loupassaki M Bertaki I Androulakis 2002 Effects of NaCl salinity on growth ion content and CO2 assimilation rate of six olive cultivars Scientia Horticulturae 96 235 247 Chartzoulakis K 2005 Salinity and soil growth salt tolerance photosynthsesis and yield Agric Water Manag 78 108 121 Damiano R Melgar JC Guidi L Innocenti E Castelli S Traversi ML Massai R Tattini M 2009 Interaction effects of root zone salinity and solar radiance on
356. esponse to water stress IL Leaf carbohydrate status in relation to osmotic adjustement Plant Physiol 67 489 493 Arrandeau M A 1989 Breeding strategied for drought resistance p 107 116 Bensalem M 1993 Etude comparative de l adaptation a la s cheresse du bl de l orge et du triticale Dans Tol rance a la S cheresse des C r ales en Zone M diterran enne Diversit G n tique et Am lioration Vari tale Les Colloques de l INRA 64 275 298 Bouchabke O Tardieu F et T Simonneau 2006 Leaf growth and turgor in growing cells of maize Zea mays L respond to evaporative demand in well watered but not in water saturated soil Plant Cell amp Environment 29 1138 1148 Cosgrove D J 2005 Growth of the cell wall Nature Reviews Molecular Cell Biology 6 850 861 Granier C Inz D et F Tardieu 2000 Spatial distribution cell division rate can be deduced from that of P34cdc2 kinase activity in maize leaves grown in contrasting conditions of temperature and water status Plant Physiol 124 1393 1402 Rucker K S Kvien C K Holbrook C C et Wood J E 1995 Identification of peanut genotypes with improved drought avoidance traits Peanut Science 22 14 18 Kameli A et Losel D M 1995 Contribution of carbohydrates and other solutes to osmotic adjustement in wheat leaves under water stress J Plant Physiol 145 363 366 Kramer P J et Boyer J S 1995 Water relations of plants and soi
357. essal es avoisine 2 5 km et participent en moyenne 4 2 la consommation domestique Ce taux est relativement plus lev pour les pays de la p ninsule arabique En revanche les potentialit s d eau us e pur e s l vent 1 6 km dont uniquement 1 8 est r utilis en agriculture En d pit de ces efforts dans le secteur de l eau la production est rest e insuffisante par opposition aux besoins alimentaires de la population La superficie agricole utile demeure insuffisante avec 1ha pour 5 habitants et 1 ha irrigu pour 25 habitants La plupart des pays arabes importent leur besoins alimentaire ce qui pose un probl me de s curit Pour esp rer chapper cette d pendance les politiques agricoles et hydrauliques doivent changer dans le cadre d une politique g n rale coh rente bas e sur des principes scientifiques conduisant produire plus de nourriture avec moins d eau REFERENCES BILIOGRAPHIQUES ADE Alg rienne Des Eaux 2007 Etat des lieux et perspectives CNRS 2007 La consommation fran aise domestique industrielle et agricole http www cnrs fr cw dossier doseau france 11_consommaton htm FAO 1997 Irrigation in Arabic countries Water report n 9 FAO 2004 La situation mondiale de l alimentation et de l agriculture Rome FAO 2006 Base de donn es Aquastat http www fao org ag aquastat Mutin G 2000 L eau dans le monde enjeux et conflits Ellipses Paris
358. essivement les l ments nutritifs et notamment l azote pour le mettre la disposition de la plante tout le long du cycle de la culture La lib ration de l azote est fonction des conditions climatiques pr valantes des quantit s de boues apport es et du rapport C N Barbartik 1985 Pescod 1992 Jamil et al 2006 Les diff rentes tudes se rapportant l application des boues r siduaires sur les sols agricoles montrent qu elles peuvent tre une source de pollution des eaux souterraines lorsqu elles sont charg es en nitrates Revel 1993 Xanthoulis 1998 de salinit du sol Tasdilas 1997 de pollution aux m taux lourds Aboudrare et al 1998 Bozkurt at al 2003 Mohammed et al 2004 et d odeurs d sagr ables Revel 1993 Sachon 1995 Dans l industrie agro alimentaire la fabrication du sucre issu de la betterave sucri re produit des d chets tels que l cume qui voie son utilisation dans l amendement des sols agricoles Techniques Agricoles 1984 La pr sente contribution se propose d tudier la r ponse d une gramin e fourrag re l orge Hordeum vulgare L aux apports de trois types de boues r siduaires et de sucrerie 2 MATERIELS ET METHODES L exp rimentation a t conduite dans un milieu contr l sur le site exp rimental du au D partement des Sciences de la Nature Universit d Oum El Bouaghi NE Alg rie au cours de l ann e universitaire 2008 2009 27 pots de 24 cm
359. esurer l eau aux principes de fonctionnement d une soci t rurale Terrain 37 Paris pp 153 161 Wateau F 2004 La pierre de partage de l eau Objet de mesure du temps et de l espace 129 congr s national des soci t s historiques et scientifiques Besan on France pp 27 39 Wateau F 2006 Mesure et soci t trois instruments pour ordonner l irrigation Cahiers de m trologie 45 60 1177 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1178 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Analyses spatiales et multicrit res pour la classification des sites de recharge de nappes par les eaux us es trait es Application la nappe de Nabeul Hammamet Gdoura Khadija Anane Makram Jellali Salah Laboratoire de traitement des eaux us es Centre de Recherches et Technologies des Eaux Technopole de Borj C dria kgdoural gmail com makram anane certe rnrt tn salah jal
360. et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Pour atteindre notre objectif nous avons divis le site en deux blocs exp rimentaux Bloc 1 et Bloc 2 Le Bloc 1 est irrigu avec les eaux de forage et le Bloc 2 est irrigu avec les eaux pur es raison de 10 I j Chaque bloc a t partag en deux sous blocs de la mani re suivante Figure 3 Bloc 1 Sous bloc 1 contenant 24 plants d Albizia julibrissin Sous bloc 2 contenant 24 plants d Acacia farnesiana Bloc 2 Sous bloc 1 contenant 24 plants d Albizia julibrissin Sous bloc 2 contenant 24 plants d Acacia farnesiana 2m 2m 2m 2m FOO OOO HEHEHE 000000 HEHEHE 00000 EEEREH 000000 44884 000000 HEHEHE 000000 44888 000000 FHEEEE 000000 FHS Sous bloc 2 Sous bloc 1 fm Sous bloc 2 Sous bloc 1 BLOC 2 BLOC 1 a Acacia farnesiana amp Albizia julibrissin Figure 3 Sch ma du protocole exp rimental 3 RESULTATS ET DISCUSSION 3 1 D termination de la qualit des eaux utilis es Les principaux param tres de pollution des eaux pur es utilis es dans l exp rience sont pr sent s dans le tableau 1 La valeur moyenne de la DBOs pour la p riode d tude gale 27 mg l est proche de celle fix e par la communaut europ enne 25 mg l Journal Officiel des Communaut s Europ ennes 1991 et se situe au dessous de la valeur mentionn e dans les normes alg riennes 30 mg l Journal Offi
361. et de la contrainte hydrique En effet la vari t Baklouti qui est issue de la r gion c ti re du sahel est plus sensible au sel et au stress hydrique que la vari t Midass Cette derni re qui est tr s piquante s est montr e plus tol rante la salinit et au manque d eau vu qu elle n a t affect e que lorsque la dose de sel est lev e 60 mM et la contrainte hydrique est s v re 50 RFU Ce comportement adaptatif est d l origine de l cotype Midass qui est cultiv essentiellement au sud tunisien et o la charge en sel de l eau d irrigation d passe 3 5g 1 60mM REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Abdel Latef A A 2010 Changes of antioxidative enzymes in salinity tolerance among different wheat cultivars Cereal Res Comm 38 43 55 Aktas H Abak K Cakmak I 2006 Genotypic variation in the response of pepper to salinity Sci Hortic 110 260 266 Antony E and R B Singandhupe 2004 Impact of drip and surface on growth yield and WUE of capsicum Capsicum annum L Agric Water Manage 65 121 132 Chartzoulakis K Klapaki G 2000 Response of two greenhouse pepper hybrids to NaCl salinity during different growth stages Sci Hortic 86 247 260 Chaves M M Flexas J and Pinheiro C 2008 Photosynthesis under drought and salt stress regulation mechanisms from whole plant to cellAnn Bot 2009 103 4 551 560 Cornillon P amp Palloix A 1997 Influence of sodiu
362. et la concentration en Na de la feuille du troisi me rang 3 2 2 3 La s lectivit ionique K Na En outre on constate selon le coefficient de corr lation R2 0 51 et l quation y 0 2255x 0 4695 qu il ya une corr lation positive entre la tol rance la salinit et la s lectivit K Na Figure 2 Ainsi les ions Na sont en concurrence avec les ions K ce qui est d favorable pour les processus biochimiques cellulaires De m me une forte concentration de potassium augmente le potentiel osmotique qui entra ne une entr e d eau partir du milieu ext rieur Claussenef al 1997 Le pr l vement de K est essentiel pour la turgescence cellulaire et le d roulement des processus biochimiques sous stress salin Alors le maintien d un rapport cytoplasmique K Na ad quat est une exigence cl pour la croissance de la plante dans un milieu salinit lev e Chinnusamyef al 2005 Ainsi ce param tre est tr s important dans le criblage de g notypes et poss dent un potentiel g n tique int ressent pour la tol rance a la salinit 12 1 0 1 0 8 4 0 6 7 Tol rance la salinit rendement stress t moin T 1 0 0 5 1 1 5 2 N tn aw S lectivit ionique K Na Figure 2 Relation entre la tol rance la salinit et la s lectivit ionique K Na 3 2 3 Param tres de rendement L analyse des composantes du rendement des c r ales est un outil pour porter un
363. et moins larges Tableau 2 Lorsque le mais est irrigu avec de l eau saum tre dont la charge en sel est de 3g l ses feuilles gagnent en longueur et en largeur Ce gain est d environ 20 en longueur et 15 en largeur L effet n gatif du stress hydrique sur les dimensions des feuilles du ma s a t cit par Hassan et al 2013 La stimulation de la croissance foliaire par la dose mod r e en sels a t d j signal e chez les plantes en C dont le Pennisetum Muscolo et al 2003 et le sorgho Netondo et al 2004 3 4 Effet du stress sur l indice chlorophyllien ICH Lorsque le mais est soumis un r gime tr s restrictif en eau son indice chlorophyllien baisse d environ 12 Cette diminution serait due soit une inhibition de la synth se Stobart et al 1985 soit une d gradation des pigments suite une augmentation de l activit des enzymes hydrolytiques Santos 2004 En revanche le stress hydrique mod r n a pas touch la teneur en chlorophylle Ce r sultat est corrobor par Cakir 2004 et Hassan et al 2013 Pour les traitements salins seule la dose mod r e en sel a am lior le taux chlorophyllien Le traitement T n a eu aucun effet significatif Tableau 3 Ce r sultat caract rise les plantes en C4 qui semblent appr cier les salinit s mod r es En effet l am lioration de la richesse chlorophyllienne en pr sence de sel a t mentionn e par Folkard et al 2003 et Lepengue et al 2012
364. eteorological data used in this study consisted of daily observations of maximum mean and minimum air temperature Tmax Tmean and Tmin daily mean relative humidity RHmean wind speed U2 and sunshine duration hours All these parameters were adopted as input variables for the artificial neural networks ANNs at the daily time step However there is no lysimeter in weather station so daily reference evapotranspiration data were produced by the Penman Monteith method which is proposed as the sole standard method for the computation of reference evapotranspiration Allen et al 1998 For ten day and monthly time step mean ten day or monthly weather data are used to compute the ten day or monthly values for the reference evapotranspiration 2 2 Artificial Neural Networks in a nutshell Artificial neural networks are as their name indicates computational networks which attempt to simulate in a gross manner the networks of nerve cell neurons of the biological human or animal central nervous system Inspirited from neurobiology artificial neural networks ANNs are effective tools to model nonlinear systems According to Sudheer et al 2003 the main advantage of ANN methods over conventional methods is the ability for solving nonlinear problems which are difficult to formalize and this is made by mean the learning training process from a data set The most common architecture is composed of the input layer where the data
365. eu volu s d apport hydrique Fluvisols CRCG calcimagn siques sur rendzine calcalire Rendzinas ISOH isohumiques bruns calcaires tronqu s Xerosols AFFL outcropping JESR soil on the terraces of jessour STAB Soil on the terraces of tabias HYDR Hydromorphe CRGY calcimagn siques sur rendzine gypseux HALO Halmorphe CRGM CRCGavec une profondeur diff rent ISHM ISOH avec une profondeur difff rent PEHM PEEH avec une profondeur diff rent 1194 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 ISOH 3 6 00 0 10 0 40 0 05 0 13 0 38 4 15 0 08 1 62 PEEH 3 6 00 0 10 0 20 0 07 0 16 0 41 2 42 0 09 1 57 AFFL 4 450 0 10 0 10 0 04 0 08 0 42 0 92 0 05 0 77 CRGM 2 4 50 0 10 0 50 0 06 0 14 040 3 00 0 08 2 00 ISHM 2 4 50 0 10 0 50 0 05 0 13 0 38 4 00 0 08 2 00 PEHM 2 4 50 0 10 0 50 0 07 0 16 041 2 00 0 09 2 00 Carte d utilisation de sols La plantation d arbres fruitiers dans le bassin versant d tude se fait uniquement sur les terrasses fertiles cr es par les ouvrages de r tention d eau et de s diments Elle est domin e a pr s de 90 par Volivier Ouessar 2007 La quantit de la r colte annuelle varie suivant les conditions pluviom triques de l ann
366. euilles en cm LAG largeur des feuilles en cm CHL teneur en chlorophylle par Spad RMV rendement en mati re verte en t ha Les valeurs affect es de la m me lettre ne sont pas significativement diff rents au seuil de signification Face a la contrainte saline les rendements en vert du mil subissent une augmentation variable selon l intensit du stress et accession en question Cette am lioration est d autant plus prononc e que l intensit du stress est plus importante elle passe de 19 pour T 32 pour T4 L interaction significative entre les cotypes et la salinit a montr que les rendements de HG et de ZZ se sont am lior s de 23 et de 40 respectivement Bouraima et al 1986 ont trouv que l cotype tunisien originaire de Zarzis se d marque nettement de son t moin et des autres mils puisque sous l action d une salinit mod r e sa croissance tend doubler Lorsque la concentration en sel passe 75 mM sa croissance reste similaire au t moin ce qui indique que ce mil pr sente une tendance l halophilie Ces auteurs indiquent que la tol rance au sel observ e chez Dr o Zarzis peut tre consid r e comme associ e une production activ e de CO partir du malate dans les cellules de la gaine tandis que la sensibilit NaCl de certains cotypes de mil serait li e un ralentissement de d carboxylation du malate dans les gaines D apr s Marschner 1995 la stimulation de la c
367. evi P San Vicente F Prasanna BM 2013 Maize Production in a Changing Climate Impacts Adaptation and Mitigation Strategies In Donald Sparks Academic press pp 1 58 Cakir R 2004 Effect of water stress at different development stages on vegetative and reproductive growth of corn Field Crops Res 89 1 16 Cheesman JM 1988 Mechanisms of salinity tolerance in plants Plant Physiol 87 547 550 Cheikh M Hamed H Abdellaoui R Kadri K BenNaceur K BelHadj S 2008 Evaluation de la tol rance au stress salin de quelques accessions d orge Hordeum Vulgare L cultives en Tunisie Approche physiologique Sciences et Technologie 30 37 1304 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Dominguez A De Juan JA Tarjuolo JM Martinez Romero RS 2012 Determination of optimal regulated deficit irrigation strategies for maize in a semi arid environment Agricultural Water Management 110 67 77 Farr I Faci JM 2009 Deficit irrigation in maize for reducing agricultural water use in a Mediterranean environment Agricultural water management 96 383 394 Hachicha M 2007 Les sols sal s et leur mise en valeur en Tunisie S cheresse 18 1 12
368. exp rience 2 g de mati re fraiche du tiers m dian des feuilles bien d velopp es sont chantillonn s et homog n is s pendant trois minutes dans un tampon contenant 50 mM HEPES N 2 Hydroxy Ethyl Piperzazine N Ethane Sulfonique acide pH 7 0 10mM M gCl 1mM EDTA 10 v v thyl ne glycol Le m lange a t centrifug pendant 15 minutes 10000 g 4 C Les prot ines solubles ont t pr cipit es dans 65 p v de NH4 SO et incub es pendant 10 minutes 100 C Elles sont ensuite centrifug es pendant 10 minutes 12000 g et puis pr cipit es de nouveau dans 65 p v de NH4 SOx La quantification des prot ines solubles a t faite selon la m thode de Bradford 1976 Cette m thode permet gr ce une r action color e des prot ines avec le bleu de coomassie d estimer par spectrophotom trie la longueur d onde 595nm la concentration des prot ines mg g MF des extraits obtenus par r f rence une courbe d talonnage tablie partir d une solution d albumine de s rum de boeuf Pour ce faire on pr pare partir d une solution m re de s rum albumine 1 mg ml des solutions de s rum d albumine 200 400 600 800 et 1000 ug ml dans des fioles de 50 ml On m lange 1000 ul 1208 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Arid
369. f a m Us N i Zi se M z ao by en Ne iG g o 14 e E3 L x O01 im r rie 1 2 i f tfi i 5 ra 4E4 11 5 5 6 E1 n 7 7 4 baj 2 a q y 7 Y E6 4 se 3 Sigs T p 4 he 4 05 0 05 1 4 3 2 1 0 1 2 3 4 axis F4 50 52 gt axis F1 50 52 gt Figure 2 Plot of the 1 and 2 principal components for Figure 3 Plot of the 1 and 2 principal the physicochemical measured variables components for the sites x sampling periods data 1124 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Table 1 Correlation matrix of the measured variables In bold significant values except diagonal at the level of significance alpha 0 050 two tailed test Observations axes F1 and F2 59 67 Observations axes F1 and F3 49 58 5 5 4 4 3 E53 3 a E7 E52 E32 2 em 4 a i2 e sig N Li N 1 23 E33 E31 a 1 EJI coe E42 32 S E21 EN i 20 E21epEE32 gt EH Si s E o er tee y cite En EB ER E7 i L ea 0 ME Se ra e Er AE 3 EB ECI E4 H o F2 1 2 EL 1 2 E54 3 3 4 4 5 4 5 J S54 3 24 0 2 3 4 5 5 43 2 1 0 1 2 3 4 5 axis
370. fet traitement hautement significatif P lt 0 0001 2 Effet du stress salin sur l volution du nombre de feuilles L volution du nombre des feuilles par plante chez les vari t s de tomate soumises trois r gimes salins est illustr e dans la figure2 1309 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tom1 140 Tom2 140 n 120 a 120 100 g 10 I _ 9 g 60 n p 12 5 3 60 o 60 12 D t73 2 5 40 40 13 S w 5 20 Z Z 9 0 10 20 30 45 65 10 20 30 45 65 Temps jours Temps jours 4 Tom4 at VR 140 a 120 3 120 Z 100 5 100 T 2 T1 80 v z 80 7 2 0 60 2 60 r 5 13 2 40 a 40 Q lt 20 7 20 Z 0 0 10 20 30 45 65 10 20 30 45 65 Temps jours Temps jours Fgure2 Effet de stress salin sur le nombre des feuilles de la plante des vari t s de tomates tudi s Les feuilles repr sentent la surface transpirante de la plante au niveau de laquelle se produisent les changes gazeux et la synth se de la s ve labor e La figure 2 exprimant la variation du nombre moyen de feuilles du tomate en fonction du temps montre que pour les quatre vari t s le nombre des feuilles a augment auss
371. ficativement diff rentes au seuil de 5 La vitesse de germination exprimant le nombre de grains germ s par jour a t de l ordre de 7 8 gr jour chez les t moins et sous 3g 1 NaCl Figure 1 Sous l effet des doses lev es de sel 6 12g l cette vitesse a chut Elle a t de l ordre de 3 4 gr jour de traitement Le temps moyen n cessaire la germination des grains d orge a oscill entre 1 et 2 jours chez les t moins et sous le traitement 3g l NaCl Figure 2 Il a augment partir du seuil 6g l et a t de 4 5 jours alors que sous 12g I cette p riode a d pass 5 jours Vitesse de germination nb gr j N Q A A D MN OO O o 3 6 9 12 Dose NaCl g l Figure 1 Variation de la vitesse de germination des grains d orge en fonction du stress salin Temps moyen de germination j 0 3 6 9 12 Dose NaCl g l Figure 2 Variation du temps moyen de germination des grains d orge en fonction du stress salin 1075 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 1 2 Effet de la salinit sur la longueur de l picotyle et de la radicule Les r sultats relatifs la longueur de l picotyle montrent une d croissance p lt 0 01
372. fr jebari hager iresa agrinet tn bn riadh gmail com Corresponding author R HIM Thouraya thouraya rhim yahoo fr RESUME Dans la nature les plantes sont souvent expos es a une multitude de contraintes environnementales telles que le manque d eau la salinit et la temp rature lev e limitant fortement la productivit v g tale Les stress hydrique et salin sont deux contraintes abiotiques qui caract risent nos r gions surtout au Sud de la Tunisie Or une d ficience en eau est en g n ral accompagn e d un stress salin Ces deux facteurs combin s peuvent causer des probl mes agronomiques s v res L objectif de cette tude est de comparer l influence de la contrainte hydrique 100 RFU 50 RFU et saline 0 30 60 mM de NaCD sur la conductance stomatique le rendement et l incidence la n crose apicale chez deux vari t s locales de piment Midass une vari t locale du sud Tunisien compar e la vari t Baklouti une vari t locale du sahel Les r sultats obtenus ont montr que l effet de la contrainte hydrique 50 RFU est plus prononc que l effet de la salinit lorsqu elle est mod r e 30 mM de NaCl Par contre lorsque le stress salin devient s v re 60 mM on a une inversion de situation l effet du sel devient plus remarquable que le manque d eau Pour les traitements combin s on a constat une r duction tr s nette de la conductance stomatique et du rendement d s le trait
373. from the upstream to the downstream following the groundwater flow direction In addition this study reported that the most dominant ions are chloride and sodium which gave two geochemical facies in the region The western part is characterized by a sodium chloride facies and the eastern part is characterized by a sulphate chloride facies Key words Groundwater geochemical facies ouled chamekh salinity 1 INTRODUCTION Ces derni res ann es les ressources hydriques souterraines sont devenues un sujet de pr occupation a l chelle plan taire cause de plusieurs facteurs notamment l exploitation intensive g n r e par l accroissement d mographique et le d veloppement agricole et industriel Tao et al 2013 En effet cette exploitation convergeant avec les changements climatiques induisent une menace sur la p nurie des eaux souterraines d une part et sur la d t rioration de leur qualit d autre part Yidana ef al 2010 Selon Trabelsi ef al 2005 la d gradation de la qualit des eaux souterraines est g n ralement exprim e par la contamination et la salinisation Cette derni re est g n r e par plusieurs fl aux savoir l utilisation excessive des engrais chimiques Eldrige ef al 2009 les effluents industriels et domestiques etc Dans certains cas la salinit r sulte d une intrusion de l eau de mer caus e par la surexploitation des ressources hydriques souterraines Bourhane 2010 L intrusion tou
374. g poids moyen d un grain BMa biomasse a rienne ir indice de r colte ET cart type 1035 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 125 r 0 4209 r 0 6488 p 0 0089 y 1 62 0 010 x E HKW 1 15 6 81818182 p 0 0090 S 12 3 3 115 N 4 2 a 2 4 110 5 W 105 3 5 100 2 5 ot g z 3 ol n 5 l N 11 a 06 80 D E HE 0 5 75 35 40 45 50 55 60 65 70 75 80 85 90 40 3 61 8 83 3 Teneur relative en eau Teneur relative en eau fim Moyenne I Moyenne 0 95 Erreur Type Figure 2 Relation entre la teneur relative en eau et la teneur en sucres mg g 3 2 Composantes du rendement L ANOVA Table 2 r v le qu il y a un effet de stress hydrique bloc significatif sur le rendement grainier Le stress hydrique provoque en effet une baisse de 32 du rendement Le rendement grainier varie de 2 77 g plante pour les plantes t moins 1 88 g plante pour les plantes stress s Les r sultats de ANOVA ne montrent pas de diff rence significative entre les plantes t moins et les plantes stress s pour le nombre de capitules par plante le nombre de grains par plante le poids moyen
375. gendarmerie nationale Brigade de Ouzera a failli provoquer une h catombe parmi une dizained ouvriers relevant de la m me APC et qui s attelaient nettoyer les abords de laroute RN 01 L boulement a eu lieu dans un virage tr s dangereux Fig 11 La falaise Fig 12 quis tait d tach e presque dans sa totalit du relief formant l imposant plateau qui surplombe sur trois kms de longueur entre Ouzera et le village Ben Haddou s est aussi effondr e Tout au long des EAC et des EAI qui ponctuent les abords de la RN 01 au voisinage deslocalit sde Ouzera d El Hamdania de Ben Chicao le ph nom ne de glissement deterrain Fig 13 a pris des proportions alarmantes mena ant par ailleurs de st rilisationirr versible des milliers d ha de terres agricoles Ces couches arables tr s fertiles parailleurs ont pris des millions d ann es pour se former Leur perte engendrerait unealt ration avanc e des caract ristiques daphiques de ces sols et une st rilisationin luctable aux cons quences sur l conomie rurale de la r gion Des gabions r cemment install s dans la r gion plient devant la pouss e des milliersde terre Fig 14 Au niveau du lieudit Cheikh Benaissa 2 kms d Ouzera plusieurs poteaux lectriques ont t d racin s du sol suite aux mouvements de terrains qui jouxtentla route RN 01 Sur les versants des rigoles nouvellement r alis es sont combl es deboue 1062 Revue des R gions Arides
376. gine tropicale s tend actuellement en dehors des zones traditionnelles de sa culture Hassanat et al 2006 gr ce aux pr dispositions naturelles qui lui permettent de supporter les conditions de culture difficiles tel le manque d eau ou les eaux de qualit m diocres et les hautes temp ratures Payne 2000 Radhouane 2008 Ali 2010 Il fournit des rendements lev s au bout d une saison de v g tation relativement courte Guimaraes Junior et al 2008 II a une bonne valeur alimentaire Catelan 2012 une teneur importante en prot ine Moreira et al 2007 et une haute digestibilit d passant celle du sorgho et du ma s Morales et al 2011 Il ne contient pas d acide cyanhydrique Heath et al 1973 Il peut treutilis pour l affouragement en vert la p ture l ensilage et m me le foin pourvu qu il soit bien conditionn Amaral et al 2008 Egalement le mil est repr sent par de nombreux cotypes qui sont autant de formules d adaptation l h t rog n it des milieux des climats et leurs modifications respectives Radhouane 2009 d o la possibilit d identifier des cotypes pouvant s accommoder des eaux saum tres et qui pourraient constituer un mat riel v g tal alternatif pour les zones marginales du sud tunisien caract ris par des eaux titrant entre 2 et 6 g de sels par litre Hachicha et Braudeau 1998 L objectif de cette tude est de comparer l aptitude l exploitation fourrag
377. gique En effet les arbres irrigu s pr sentent une forte floraison et par la suite une bonne nouaison ann e On alors que les arbres conduits en pluvial sur les autres parcelles sont en ann e Off absence de floraison et de production Ces r sultats concordent avec ceux auparavant obtenus par Ben Rouina et al 2007 et 2011 et montrant que l olivier Chemlali mobilise de grandes quantit s de m tabolites en vue d assurer la floraison et la production Statistiquement les diff rences enregistr es entre les individus voluant dans les trois parcelles sont significatives p lt 0 05 4 CONCLUSIONS A travers le suivie de param tre physiologique RWC et biochimiques chla chlb chl a b et carot no des les r sultats obtenus montrent que le statut hydrique exprim par le contenue relatif en eau RWC est important chez les individus conduits en irrigu SSD par rapport ceux en pluvial SM et SS il d pend aussi du milieu daphique Les valeurs du RWC sont importantes chez les arbres cultiv s sur un sol sableux profond SSI et SS par rapport a ceux cultiv s sur un sol marginal a texture sablo argilo limoneux SM Ceci montre que le sol sableux profond est favorable la culture de Volivier Chemlali que le sol marginal Les pigments photosynth tiques chlorophylles a et b et carot noides sont influenc s par les apports d eau Plus ces apports sont importants plus les concentrations de ces l ments sont
378. gna unguiculata L Walp Le d ficit hydrique induit aussi l accumulation de la proline ainsi qu une inhibition des dommages des processus photochimiques et biochimiques Scotti et al 1999 5 CONCLUSIONS Nos r sultats montrent que le manque d eau cause des r ductions importantes de la surface foliaire En effet la limitation de la croissance foliaire est une forme d adaptation a la s cheresse cette r duction tend 4 minimiser les pertes d eau par transpiration mais elle peut aussi provoquer une diminution du rendement Le d ficit hydrique induit aussi l accumulation des solut s organiques sucres proline cette accumulation n est autre qu un ph nom ne d adaptation la s cheresse permettant la plante de maintenir sa turgescence par la diminution du potentiel hydrique c est une forme d ajustement de son 1162 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 potentiel osmotique Ce type de tol rance permet a la plante d assurer normalement ses fonctions physiologiques malgr une d gradation de son tat hydrique interne cons quente la s cheresse REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Ackerson R C 1981 Osmoregulation in cotton in r
379. gnifiance entre les deux cultivars est d termin e relativement au Student s t test avec P lt 0 05 P lt 0 01 P lt 0 001 n s non signifiant 3 4 Teneur en ions sulfates Chez les plantes non trait es les teneurs endog nes en ions SO sont identiques chez les deux cultivars de brocoli Tableau 3 L addition de 30 mM NaCl dans le milieu de culture provoque une augmentation significative des ions SO dans les feuilles du cv Parthenon 12 44 relativement aux plantes mais pas le cv Naxos Aux faibles doses de NaCl 30 et 60 mM les teneurs des ions SO sont significativement P lt 0 00 plus importantes chez le cv Parthenon que chez Naxos Tableau 3 A forte dose de NaCl dans le milieu de culture 90 mM les teneurs en ions SO diminuent significativement et similairement chez les deux cultivars de brocoli 25 par rapport aux plantes t moins Tableau 3 3 5 Teneur en compos s ph noliques Dans ce travail nous proposons quelques antioxydants naturels comme tant quivalents a la teneur en compos s ph noliques flavonoides d rives d acide sinapique et chlorog nique Dans les feuilles du cv Naxos aucune diff rence significative n a t enregistr e concernant chaque compos ph nolique analys entre les plantes t moins et celles trait es par la salinit Tableau 4 Cependant chez le cv Parthenon le niveau de d rives d acide sinapique a t significativement P lt 0 001 et
380. grande importance co socio conomique Les effets conjugu s de la pression anthropique croissante et des conditions climatiques s v res engendrent des dysfonctionnements de l cosyst me alfatier Ces effets sont amplifi s par les modes et syst mes inappropri s d exploitation des nappes alfati res disponibles Ce qui conduit leurs r gressions Cette tude s int resse a tude de son comportement hydrique et physiologique Les r sultats ont montr une strat gie d adaptation a la s cheresse et une r sistance plus marqu e chez la population de Zelfen et Guira Tandis que celle d Essalloum et Oumlagsab manifeste une fermeture stomatique partielle la mi journ e seulement au mois de juillet ce ci pourrait tre due au d ficit hydrique manifest par des valeurs basses de potentiel hydrique de base chez ces deux populations En effet la conductance stomatique Gs est en troite corr lation avec le potentiel hydrique de base lorsqu on a un Yb lev la Gs augmente Le statut hydrique et le comportement physiologique de cette esp ce montrent qu elle est r sistante la s cheresse Pour la croissance de la partie a rienne des touffes d alfa est plus importante en hauteur et en diam tre chez la population Jelma et un degr moindre Oumlagsab par contre elle est plus faible chez la population Zelfen au mois de novembre automne Elle est Minimale pour toutes les populations au mois de juillet t et
381. gu avec de l eau douce et l autre irrigu avec de l eau sal e Ces deux essais ont t r alis s dans le sud Tunisien dans un cosyst me oasien Notre travail a 1297 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 permis de montrer que le stress salin a un effet d pressif sur la croissance et le d veloppement de l orge avec des degr s variables selon le g notype La salinit des eaux d irrigation a caus la diminution des param tres RG NE m et NG m chez toutes les vari t s avec des taux de r ductions variables sauf chez la vari t am lior e A9 Manel et la vari t locale V41 Saudi chez qui ces param tres ont pr sent des taux de r ductions n gatifs Ainsi nous avons constat que ces deux vari t s qui ne pr sentent pas de diminutions sont bien adapt es a la salinit malgr qu elles ne pr sentent pas les meilleurs rendements en grains Elles peuvent tre exploit es dans un projet d am lioration g n tique de l orge Il ressort aussi que les vari t s am lior es A6 Rihane A7 Tej A8 knouz sont sensibles au stress salin puis qu elles n arrivent pas garder les m mes rendements en grains elles ont plus
382. gu es Shuji et al 2002 D apr s Vinocur et Altman 2005 50 des terres labourables seront cibles de salinisation vers l an 2050 Des statistiques effectu es en 2005 ont r v l qu actuellement 2 de la surface totale en Afrique est affect par la salinit FAO 2006 ce pourcentage atteint les 5 au Proche Orient Ces nombres ne cessent d augmenter avec l extension de l agriculture et l utilisation intensive des ressources en eaux combin s une forte vaporation dans les r gions arides et semi arides OECD 2004 ce qui conduit in vitablement la salinisation des sols et des nappes d eau Cette situation est aggrav e par la rar faction des ressources en eau douce La Tunisie dont une grande partie est situ e dans les tages climatiques semi aride et aride est confront e de plein fouet ce probl me A titre d exemple 50 des eaux souterraines dans le sud de la Tunisie sont des eaux saum tres titrant entre 2 et 6g l La s lection des vari t s tol rantes l am lioration des plantes et l exploitation mod r e des ressources en eaux semblent tre des proc dures indispensables pour limiter les d g ts caus s par la salinisation des terres et des eaux ces types d tudes permettront une meilleure production v g tale et une meilleure exploitation des eaux charg es telle que les eaux de drainage Munns et al 2008 La r ponse au stress salin englobe une adaptation la baisse du potentiel osmotiqu
383. h se et la r gulation sont encore peu ma tris es est induit sous les contraintes m sologiques de culture Dans notre tude la teneur en proline a t valu e par spectrophotom trie sur une s rie de g notypes de bl dur et tendre par la m thode de Troll et Lyndsey 1955 modifi e par Dreier et Goring en 1974 Les r sultats obtenus pour les diff rents niveaux d humidit exprim s d bouchent sur 1 une augmentation de la teneur en proline accumul e en fonction du degr du d ficit hydrique 2 une cin tique d accumulation diff rente d une vari t une autre l int rieur de l esp ce consid r e Z rafa 2006 1131 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Cette variabilit soutenue par la diversit sp cifique peut permettre d exploiter bio technologiquement cette mol cule comme une empreinte dans le choix de g notypes tol rants au d ficit hydrique ou dans le suivi de l irrigation des cultures afin de les placer dans les conditions optimales de production Benlaribi et Chaib 1995 Biosynth se de la proline La proline mol cule noyau pyrrole a t repr sent e par Reusch en 1977 par la structure A alors que Streyer 1997 l
384. he research to the analysis of impacts and adaptation strategies The objective of this study is to evaluate the water stress of the olive within the context of CC in the South East of Tunisia watershed of Oum Zessar Medenine using hydrological modeling HidroMORE model Data on rainfall and temperature were collected from available stations while those for future scenarios Horizons 2030 and 2090 were obtained using the Coupled Model Intercomparison Project Phase 5 CMIPS GFDL HIRAM C360 Model parameterization was based from already conducted studies in the region while estimations have been made for the other case In comparison with the reference period 1996 2005 and following the increase in temperature 1 C and 5 C and rainfall decrease of 5 4 and 20 ETO recorded an increase of 3 9 and ETCadj was reduced by 2 and 18 respectively for the 2030 and 2090 horizons Keywords Climate change GFDL HidroMore Olive tree water stress 1 INTRODUCTION Le d veloppement agricole dans les zones arides est soumis 4 des contraintes multiples entre autres les changements climatiques En effet ce changement climatique aura des impacts n fastes sur la durabilit des cosyst mes si certaines mesures d adaptabilit s ne sont pas prises en consid ration La Banque Mondiale a tabli une liste des cinq principales menaces li es au changement climatique qui sont la diminution de la couverture neigeuse du glacier des montagnes
385. his P Lacombe T Thomas M R 2006 Historical origins and genetic diversity of wine grapes Trends in Genetics 22 9 511 519 6Vivier M A Pretorius LS 2002 Genetically tailored grapevines for the wine industry Trends Biotechnology 20 472 478 1170 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Mod le de gestion durable de l eau Cas de l oasis de Boukais Bechar SW alg rien FELLAH Ahmed Hamza MADANI Mohamed MEKKAOUI Abderrahmane BAKHEDA Reddouane Universit de Bechar Alg rie Direction de l environnement W Bechar Alg rie E mail fellahamza yahoo fr RESUME L oasis de Boukis fait partie des ksour du Nord de la Wilaya de Bechar Alg rie Elle est de type de montagne se situant dans la zone de transition entre Atlas saharien et le Sahara Elle persiste depuis des si cles gr ce au maintien du savoir faire ancestral et l efficacit du syst me d irrigation traditionnelle ing nieux orchestr par une gestion sociale participative de l eau Ce syst me repose principalement de l eau jaillissante de la source de Sidi El Haj Ali d un d bit de 20 Vs Idrotecnica 1976 Cette derni re est achemin e gravit
386. hlorophylle est peu variable chez les trois g notypes tudi s Par contre on enregistre une variation chez les traitements Mettant en relief l effet de l endurcissement et du choc thermique provoqu par les basses temp ratures sur la r duction du contenu chlorophyllien La synth se des prot ines totales r v le des variations la fois entre cultivars et au sein des traitements appliqu s endurcissement stress stress sans endurcissement Expliquant en partie la variabilit g notypique La lign e Martondur Waha se distingue par un dynamisme remarquable en accumulant plus de prot ines apr s endurcissement Cette r ponse semble tre due sa capacit de tol rance au froid 1214 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 L analyse lectrophor tique a r v l e des diff rences quantitatives et qualitatives entre des traitements et au sein g notypes tudi s Cette diff rence est mat rialis e par la pr sence de prot ines de diff rents poids mol culaires variable A ce sujet apr s endurcissement on note l apparition de bandes de faibles poids mol culaires chez Waha L endurcissement fait appara tre une prot ine de poids mol
387. hnologies La fin et les moyens ler Symposium de l Association Belge d Economie Rurale Bruxelles 1261 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1262 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Analyse de quelques crit res de d veloppement et de param tres de rendement sous stress salin chez vingt six g notypes de bl dur Triticum turgidum ssp durum dans un cosyst me oasien Z Hammami A Sahli BelHadj Fraj M et Y Trifa Institut National Agronomique de Tunis 43 Av Charles Nicole 1082 Cite Mahragene Tunisie Centre international d agriculture biosaline P O Box 14660 Dubai United Arab Emirates E mail voussef trifa gmail com RESUME Les oasis du sud ouest sont des cosyst mes particuliers bas s sur la culture du palmier dattier Dans les oasis traditionnelles cet cosyst me est caract ris par les cultures tages palmier dattier arbres fr
388. hute notable 0 79 0 46 1 35 et 0 38 mg g de MF respectivement pour la chlorophylle a b a b et les carot no des De ces r sultats on constate qu une am lioration hydrique importante est b n fique sur ces param tres Ce constat est en accord avec celui de Chehab et al 2002 ayant montr chez les vari t s d olivier de table que la concentration chlorophyllienne augmente avec l augmentation de la dose d irrigation Laouar et al 1981 ont rapport des r sultats similaires chez la vari t Chemlali pour des traitements hydriques de 100 75 et 50 de l vapotranspiration potentielle De m me Guerfel et al 2008 ont not que le d ficit hydrique a caus une r duction importante de la concentration en chlorophylle a b Cette r duction de la concentration de chlorophylle est attribu e sa photo inhibition et la photo destruction des pigments par des esp ces d oxyg ne actives Loggini et al 1999 EE E e N p gt a J E SM E SS Chl a mg g MF So an co E SSI o o N A jo Mars Avril Mai Juin Date Figure 2 Evolution mensuelle de la teneur en chlorophylle a chez l olivier Chemlali Sfax conduit au plein champ en pluvial ou en irrigu sur deux types de sol 1250 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en
389. i bien pour le traitement t moin que pour les traitements stress s au cours du temps L analyse de cette figure montre que l volution du nombre des feuilles par plante chez les vari t s de tomate soumises trois r gimes salins d crit une courbe avec une allure presque lin aire Cette figure montre qu en absence de salinit le nombre moyen des feuilles est maximum Les valeurs moyennes avoisinent les 88 feuilles chez Toml les 110 4 feuilles chez Tom4 les 116 feuilles chez Tom2 et 68 feuilles chez Amel En effet les deux r gimes mod r et s v re sont significativement homog nes jusqu 30 me jours Mais d s que le stress s installe la plante r pond par une r duction du nombre des feuilles ind pendamment de l intensit du stress A partir de 30 mejours la r ponse de la plante au stress salin est tributaire de la dose de salinit Ainsi le stress salin a engendr des diminutions de nombres moyennes des feuilles diff rentes selon la vari t tudi e Par exemple a la fin de cycle 65 jours pour Tom1 les nombres de feuilles moyennes de la plante a t diminu e significativement par rapport au t moin de l ordre 43 19 60 15 de m me pour Tom4 76 38 pour Tom2 et 44 12 pour Amel avec le traitement T3 Donc la vari t Tom1 a montr qui est la plus tol rante En outre la vari t Tom2 a montr une tol rance limit e aux traitements appliqu s Ces r sultats est en accord avec les donn es
390. i de Sfax multipli par bouturage semi ligneux et par semis M moire de fin d etude 90 p Khabou W Trigui A Ghorbel R et Bejjar S 1996 L amidon dans les rameaux de l olivier Olea europaea L Cv Chemlali de Sfax Etude comparative de deux m thodes d hydrolyse Olivae 61 57 61 Khabou W 2012 R ponses et m canismes de tol rance chez quatre cultivars d oliviers Olea europaea L soumis un stress salin et contribution sa r duction par une endmycorhize Glomus intraradices Shenk and Smith Th se Doc Fac Sci Tunis 163 p Misra N Gupta AK 2005 Effect of salt stress on proline metabolism in two high yielding genotypes of green gram Plant Science 169 331 339 Nielson J 1943 Rpid determination of starch Ann Chem 15 176 PESIS E 1978 Starch content and amylase activity in avocado fruit pulp J Amer Soc Hort Sci 10 5 673 676 Niu X Bressan RA Hasegawa PM Pardo JM 1995 Ion homeostasis in NaCl stress environments Plant Physiol 109 735 742 1284 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Porcel R Ruiz Lozano JM 2004 Arbuscular mycorrhizal influence on leaf water potential solute accumulation an
391. ial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Ts 67 36a 71 55 1 46667 ab i 132 66 d a a 49 66a 43 33c 9 97 d T 66 77a 70 55 1 10333 b TEC b 123 0d 4 27b 28 33cd 38 33 c 11 5 cd Ts 60 27a 7 16 1 750a 17 95a 111 66d 4 33b 2833cd 30 00 c 16 0c D 136 68 as 0 09681 14 25 104413 95 4 23 287 39 11278 83 1298 47 D Carr s moyens Ty t moin T bouel 20 t ha T bouel 50 t ha T boue2 20 t ha T4 boue2 50 t ha T Boue3 20 t ha T4 Boue3 50 t ha T azote 35 kg ha T azote 70 kg ha HT hauteur totale de la plante cm LF longueur de la feuille cm IF largeur de la feuille cm SF surface foliaire cm NE nombre d pis m LE longueur d pi cm NG E nombre de grains par pi BIOM biomasse a rienne maturit g pot PMG poids de 1000 grains g pot ns effet non significatif et significatif au seuil de 1 respectivement Dans les conditions de la pr sente exp rimentation l augmentation du poids de 1000 grains PMG uniquement sous amendement organique de bouel et boue2 indique que l apport de la boue r siduaire met a la disposition de la pla
392. iation S1 46 66 Meski 1 41 56 S2 27 27 1 1 81 d Italie S2 57 14 Caa S1 50 S2 36 84 1169 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Kahla 1 Kahla 2 Guelb Sardouk 4 CONCLUSION Durant ce travail nous avons envisag d valuer la vigne comme tant une culture et une source d am lioration des revenues des agriculteurs dans les oasis Durant les prospections nous avons pu d gager les majeures contraintes qui subissent ces cultures dans la r gion Un premier travail a concern l tude de l effet d irrigation par une eau de salinit sup rieure 4 g l sur le d bourrement et la fertilit des c pages de vigne dans les oasis Les r sultats obtenus pour les diff rents cotypes ont r v l que I irrigation par des eaux de diff rentes qualit s salinit a des r percussions directes sur le d bourrement des ceps et leur fertilit Ainsi une augmentation de la salinit d eau d irrigation peut induire une importante diminution de la fertilit qui peut d passer 50 tel est le cas de la vari t Meski1 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Galet 1993 Pr cis de viticulture 6 dition D han Montpellier 575 p 6T
393. iation du taux de chlorophylle total chez les esp ces tudi la fin des deux cycles de stress hydrique TCB plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Jerba SCB plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Jerba TCA plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma SCA plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma TD plants t moin de Digitaria commutata de Bouhedma SD plants stress de Digitaria commutata de Bouhedma TCC plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Matmata SCC plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Matmata gt o E T 2 gt E a nn 2 lt Le fi 3 4 Taux des carot no des Les valeurs sont de l ordre de 11 94 12 04 7 27 et 4 77 mg g chez les stress s et de 9 60 14 58 5 76 et 9 71 mg g pour les t moins respectivement pour les populations de Jerba Bouhedma Cenchrus ciliris et Digitaria commutata et Matmata a la fin du premier cycle de s cheresse A la fin du deuxi me cycle de s cheresse les valeurs sont de l ordre de 3 43 5 15 3 48 et 2 71 mg g chez les stress s et de 9 29 7 87 7 27 et 5 86 mg g chez les t moins respectivement pour les populations de Jerba et Bouhedma Cenchrus ciliris et Digitaria commutata et Matmata Les valeurs les plus importantes sont enregistr es chez les populations de Cenchrus ciliaris de Bouhedma 12 04 mg g 4
394. iff rents populations en fin du de cycle de stress hydrique en faite les valeurs passent de 11 94 3 43 et de 12 04 5 15 et de 7 27 3 48 et de 4 77 2 71 mg g de mati re s cherespectivement chez les populations de Cenchrus ciliaris de Jerba etde Bouhedma Digitaria commutata Bouhedma et Cenchrus ciliaris de Matmata Il est important de signaler que les diff rents taux de chlorophylle chez les plants t moins de diff rents populations n a pas subi d importante variation au cours des deux cycles de stress hydrique appliqu Mots cl s contrainte hydrique taux de chlorophylle a b carot noide poac s zones aride Tunisie 1 INTRODUCTION Les esp ces v g tales dans les r gions m diterran ennes sont confront es une s cheresse climatique et daphique prolong e dont l indice sur les plantes et relativement difficile caract riser pour cela on recourt la technique de la courbe pression volume dont elle permet une caract risation pr cise de l tat physiologique de la plante face la contrainte hydrique En revanche la variabilit inter et intra annuelle de pluviom trie Alexandre 1989 et les conditions p dologiques et celle biologiques des stations peuvent attribuer une grande importance aux diff rences de comportements morpho physiologiques de chaque esp ce Ce qui induit une variabilit des quantit s de chlorophylle a b et carot no des chez les diff rentes esp ces tudi es en foncti
395. ification des pays par rapport aux normes 2000 m hab an 1000 m hab an 500 m hab an et 100 m hab an m sa a 190 189 129 123 121 121 g p PIRE EEE LEE as bs pa Somalie Jordanie Palestine Bahran Kowat F Mauritanie Figure 2 R partition des RER par habitant La figure 2 montre les degr s de gravit de la situation hydrique dont la majorit des pays sont en dessous de la norme 1000 m hab Il est vident que cette gravit s accentuera davantage sous la pression d mographique et le d veloppement inh rent Cette pression est d j perceptible sur les pr l vements 3 4 Les pr l vements Les volumes pr lev s sont valu s 180 km soit un taux qui s l ve 65 des RER Mutin 2007 FAO 2006 induisant une dotation moyenne annuelle par habitant de 421 m Ces deux derniers chiffres compar s aux normes UNESCO et OMM 1997 ci dessus indiquent que le milieu naturel et la population sont dans un tat de stress hydrique s v re L examen du graphique Figure 3 montre que seuls deux pays Egypte et Irak qui repr sentent 32 de la population arabe totalisent 57 des pr l vements Si on leur rajoute les pr l vements du Soudan de l Arabie Saoudite du Maroc de la Syrie et de l Alg rie le taux atteint 91 pour 77 de la population Les 23 restants doivent se contenter de 9 seulement La situation du Qatar et celle de l Arabie Saoudite sont exceptionnelles
396. ighest irrigation and total water productivity IWP TWP values were obtained in the second season 2011 2012 with respectively 35 4 and 18 1 kg m Higher IWPg values were observed in the second season despite the reduction of grain yields They ranged between 14 3 and 18 6 kg m across different 1222 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 treatments This is mainly due to the reduction of irrigation amount that was compensated by the increase and well dispersion of rainfall that occurred during the season 2011 2012 138 mm For both seasons WPg values were highest for DI 50 treatment although there is no significant differences p lt 0 05 between FI DI Dev DI Mat and DI Dev Mat treatments The values of WP based on dry matter in 2011 2012 season were higher than those observed during the first season s as consequence of important amount of rain recorded 138 mm The WP values obtained are comparable with those obtained in other field studies Bhutia and Singh 1990 Hussain and Al Jaloud 1998 Nagaz and ben Mechlia 1998 2000 and were affected by irrigation treatments Barley yields obtained under FI treatment are comparable with those obtained with DI De
397. ignificant difference between the full treatment and the more restrictive one DI 50 while for the CC values measured in 134 DAS the difference were significant between FI and other treatments This difference could be explained by the early senescence induced by the water stress for the deficit treatment DI 50 DI Dev DI Dev Mat and DI Mat This result was also mentioned by Araya et al 2010 and Salemi et al 2011 100 eFI X DI 50 so ADI Dev ODI Mat e 4 DI Dev Mat A xX e 60 9 D 40 LSD 5 74 DAS 6 359 20 98 DAS 3 992 134 DAS 6 829 74 98 134 DAS Figure 4 Barley green canopy cover percentage under different treatments 1221 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 4 Crop yields The analysis of variance shows a significant effect of the applied treatments on the final biomass and grain yield The results show that the highest grain yield and biomass were obtained with FI treatment 3 8 3 t ha and 8 4 8 6 t ha followed by DI Mat 3 7 2 7 t ha and 8 1 7 7 t ha and DI Dev 3 5 2 6 t ha and 7 7 7 5 t ha in the first and second years respectively Thus Barley biomass was affected significantly under continuous deficit ir
398. illance volontaire des lacs 2002 Les m thodes D veloppement durable faune et parc gouvernement du Quebec 2002 Serge Olivier 2004 d tection du stress hydrique par thermographie infrarouge Application la culture de pomme de terre 2004 Ghouil Amimi H 2004 R ponse du ch ne li ge aux contraintes environnemen tales temp rature lumi re et manque d eau application aux probl mes de r g n ration de la sub raie Th se de doctorat en sciences biologiques 129p 2004 Khedim A H E Khelifi M Nabi K Hadj Omar M Mefti S Mouche D Bellague M M Hammdi Bouzina M Laouar B A Merabet H Bouzezour A Abdeguefi 2004 Etude de comportement de trois gramin es fourrag res Dctylis glomerata L Festuca arundinacea Schreb Phalaris aquatica Desf en Alg rie Damesin C Galera C Rambal S et Jffre R 1996 Effects of elevated carbon dioxide on leaf gas exchange and growth of cork oak Quercus suber L seedlings Ann Sci for 1996 53 461 467 Elseiver INRA 1238 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Variation saisonni re du potentiel hydrique de la conductance stomatique et du cycle v g tative de d alfa Stip
399. ilu es ainsi qu avec des EUT dilu es a 1 2 et a 1 3 ont t appliqu es aux plantes inocul es par les deux souches et aux plantes non mycorhiz es L tude de la r ponse des plantes d olivier vis vis de la symbiose mycorhizienne d une part et l irrigation par des EUT d autre part a port sur plusieurs param tres agronomiques physiologiques co physiologiques et biochimiques L irrigation par les EUT et la mycorhization ont engendr des am liorations de la croissance v g tative ainsi qu un enrichissement des tissus v g taux par les macro l ments et les l ments traces essentiels Des accumulations de Cadmium Cd ont t observ es dans les diff rents organes des plantes irrigu es avec les EUT non dilu es Toutefois la symbiose mycorhizienne a contribu la r duction de la translocation de ces m taux vers la partie a rienne Mots cl Olea europaea L eaux us es trait es endomycorhizes m taux lourds croissance v g tative absorption min rale SUMMARY The objective of this study is to evaluate the effect of two endomycorrhizal fungi Glomus deserticola and Gigaspora margarita on olive plant from the Chetoui variety irrigated with treated wastewater During this study four levels of water used for irrigation included well water treated wastewater and also treated wastewater diluted to 1 2 and to 1 3 These treatments are applied for both mycorrizal and control plants The effect of treated
400. in aire Y min Y 1 kge r Y 1 kyefy u Mitscherlich Baule Y 1 kge g x 1 kye y ui Les fonctions de type Liebig supposent que nous connaissons d j la forme math matique de la fonction quadratique logarithmique exponentielle Dans la r alit au del de deux facteurs il est tr s difficile de trouver la forme la plus ad quate de la fonction de r ponse Dans ce travail nous avons besoin de fonctions ayant des formes encore plus complexes que celles mentionn es plus haut L approche conom trique issues de la convergence de l inf rence statistique et de la th orie conomique standard pr sente des limites pour traiter les rapports complexes qu entretient l agriculture avec l environnement naturel d une part et le milieu conomique d autre part Boussard 1987 Flichman 1997 Ces limites nous ont conduits adopter une autre approche plus originale utilisant des fonctions de production d ing nieur obtenues par des simulations travers le mod le biophysique ou agronomique Cropsyst Pour cette raison Il est donc utilis pour d terminer la forme la plus ad quate de la fonction de r ponse de la culture du mais fourrager tenant compte de ses conditions environnantes 2 4 G n ration de donn es climatiques avec et sans changement climatique A partir des donn es r elles relatives a la localisation du p rim tre et au climat pour une p riode de 26 ann
401. in raux vaporitiques enregistrent des indices de saturation qui varient entre 0 2 et 0 58 favorisant ainsi le d clanchement de la pr cipitation Enfin l halite dont les indices de saturation varient de 3 34 1 76 reste par cons quent sous satur malgr la dominance de ses composants chimiques Na et CI en concentration Cette sous saturation expliqu e par sa grande solubilit s exprime par l action conjugu e de la remont e capillaire de la nappe dans les tranches du sol et les intenses vaporations saisonni res La manifestation la plus apparente est celle des efflorescences blanch tres et parfois de croutes la surface du sol Figure 6 1030 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 anhydrit e aragonit e a calcite dolomit e halite gypse Indice de saturation 2CO mag gt SE Figure 6 Manifestations salines observ es sur les sites d tude 4 CONCLUSION Ce travail consiste mesurer la salinit des eaux de la nappe phr atique ainsi que le comportement des l ments chimiques travers la caract risa
402. ing International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1 INTRODUCTION Dans les pays en voie de d veloppement l levage est une importante activit en milieu rural et constitue de ce fait une ressource conomique importante En Tunisie le syst me d levage est traditionnel et repose encore principalement sur l exploitation des parcours naturels Or ce syst me n est pas durable car il engendre la longue un puisement du sol suite l intensification de l utilisation des ressources disponibles ce qui engendre des cons quences n gatives sur la production et donc sur les revenus long terme Contribuer au d veloppement durable des syst mes de production agro pastoraux revient a utiliser rationnellement les ressources naturelles et 4 g rer rigoureusement les paturages De nombreuses esp ces v g tales peuvent s av rer tre une ressource alimentaire importante pour le b tail seulement les connaissances a leur sujet sont peu tendues d o une sous utilisation N anmoins plusieurs recherches sont en cours afin d identifier les esp ces v g tales susceptibles de jouer un r le majeur dans l augmentation de la productivit de l levage par leur valeur alimentaire Parmi ces esp ces le mil Pennisetum glaucum gramin e d ori
403. ing International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 des vari t s au seuil de 1 Plusieurs travaux comme ceux de Ben Naceur et al 2001 Hameed et al 2008 a montr que la salinit affecte n gativement la formation des pis Ils ont montr que le nombre d pis par unit de surface chez le bl dur subis une r duction sous l action de la salinit Nombre des pis m2 B eau douce Ill E eau charg e G notypes Figure 2 Variation du nombre d pis par m tre carr des diff rents g notypes tudi s en fonction des traitements Nombre des pis m2 Onoon ANNAD gt gt gt gt L analyse de variance a montr aussi que interaction traitement g notype n est pas significative Ce param tre ne semble tre discriminant entre les g notypes tol rants et ceux sensible et ne devrait pas tre utilis pour le criblage de vari t s tol rantes dans les conditions de plein champ dans un cosyst me oasien Ces r sultats sont conformes avec celles trouv es par Abbassenne et al 1997 Haraketi et al 2009 qui affirment que les meilleurs rendements en grains chez le bl dur dans les conditions de stress sont dus la capacit g n tique produire plus d pis par unit de surface sans mentionner u
404. ing to indicate that we have used the indices d dec and m to differentiate among daily ten day and monthly time steps respectively of each neural model par example ANN d1 ANN dec6 and ANN m8 Tables 2 3 and 4 1042 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Table 1 Summary of inputs combination used for implementations of ANNs Inputs ANNI ANN2 ANN3 ANN4Q ANNS ANNO ANN ANN ANNO ANNIO T max 4 4 Tmin PS 4 2 Note Tmean mean temperature Tmax maximum temperature Tmin minimum temperature Ins sunshine duration HR relative humidity U2 wind speed at 2 m height 3 RESULTS AND DISCUSSION 3 1 Daily time step The best architecture obtained for each ANNs suggested that a single hidden layer is sufficient to model the ET process Table 2 It can be seen from Table 2 that the ANN 410 6 12 1 model outperforms all other models in terms of various performance criteria therefore R 0 901 and RMSE 0 47 mm d in validation phase The ANN ag 5 5 1 is ranked as the second best This was expected as it considered all values for al
405. ins par pi NG E est intimement li la longueur de l pi LE Bien que la longueur d pi LE est d une part une caract ristique vari tale les conditions nutritionnelles richesse des boues en l ments d azote et de phosphore d autre part contribuent norm ment l expression de ce param tre Boudjabi et al 2006 Dans lesconditions culturales et climatiques de l exp rimentation la contribution relative de l amendement organique moyenne des effets bouel boue2 et boue3 l augmentation des moyennes des variables varie de 103 5 et 24 2 pour le poids de 1000 grains 141 5 et 253 6 pour la biomasse a rienne produite effet boue2 par rapport l amendement min ral et t moin respectivement Figures 1 et 2 Tableau 4 Carr s moyens de l analyse de variance et comparaison des moyennes des variables mesur es sur l exp rimentation HT LF IF SF NE m LE NG E BIOM PMG To 73 5a 18 57 1 30333 ab 11 82 b 133 d 5 58 38 0 be 46 66 c 45 07 b T 50 44a 71 06 1 45000 ab 15 28 465 b cu a 49 66 a 148 33 ab 53 16 a T 55 97a 28 1 35000 ab ae 231 33 c 6 88 a 47 33 ab 129 66 b 45 34 b T3 63 52a DA 1 35000 ab ae 486 33 b 6 66 42 33 ab 156 66 a 54 49 a T4 6291a 19 95 1 25333 b De b 563 33 a cn 45 66 ab 173 33 a 57 46 a Ts 65 5a 8 14 1 47667 ab 13 38 121 0d Se 25 33 d 31 66 c 12 40 cd 1116 Revue des R gions Arides Num ro Sp c
406. ion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Influence de la contrainte hydrique sur la croissance et la concentration en quelques solut s organiques des tissus foliaires de Henn Lawsonia inermis Hanen Enneb Belgacem Lachiheb Leila Ben Yahia t Ali Ferchichi Laboratoire d Aridoculture et culture oasienne Institut des R gions Arides de M denine ELFJE 4119 Tunisie Email hanenenneb yahoo fr RESUME Dans le pr sent travail on s int resse a l tude de l effet du d ficit hydrique sur la croissance et l accumulation des solut s organiques chez deux provenances du henn Boussaid et Bssissi soumises a trois r gimes hydriques 100 CC 50 CC et 25 CC Le henn est un arbuste pineux de la famille des Lythrac es dont les feuilles produisent des teintes utilis en teinture textile et corporelle Il aurait des vertus th rapeutiques antifongiques et astringentes Les r sultats de cette tude ont montr que Le d ficit hydrique r duit la croissance de la surface foliaire du henn cette r duction est observable chez les deux provenances Boussa d et Bsissi En effet L application de stress s v re 25 CC induit des r ductions importantes de la surface foliaire Ces r ductions sont de l ordre de 58 13 chez Boussaid et de 65 79 chez Bsissi Outre la r duction de la surface foliair
407. ion interm diaire Le choix des stations et bas s essentiellement sur la disponibilit des graines et leur capacit germinative Le substrat de l levage des plants est caract ris par l humidit la capacit au champ est de l ordre de 26 et sa texture est Tableau 1 Texture du sol de culture Mati re Argile Limon Sable fin Sable Calcaire MO PH P2O0 K O grossier grossier Les mesures des taux de diff rentes chlorophylles ont t effectu es sur 6 chantillons par population et par traitement la fin du premier et du deuxi me cycle de s cheresse 2 2 M thodologie On a utilis e 50 mg des feuilles jeunes de chaque traitement les broy es dans 10 ml d ac tone 80 apr s une centrifugation de l extrait 2500 tr mn pendant 5mn on pr l ve l extrait fin de lire la Densit Optique 646 8 nm et 663 2 nm La chlorophylle totale en mg g de mati re fra che avec MF 7 15 x DO646 8 18 17 x DO 663 2 x V M V volume de l extrait total en 1 Ch a 12 7 x DO663 2 2 69 x DO646 8 Ch b 22 9 x DO646 8 4 68 x DO663 2 Carot noides 5 DO470 2 846 x DO663 2 14 876D0646 8 3 RESULTATS ET DISCUSSION 3 1 Variation du taux de chlorophylle a Les valeurs obtenus sont de l ordre de 5 35 5 39 3 25 et 2 13 mg g chez les stress s et de 4 30 6 53 2 57 et 4 35 mg g pour les t moins respectivement pour les populations de Jerba Bouhedma
408. ion of salts beyond the studied depth of 80 cm A deficit of 50 during maturity stages keeps low salinity value in the root zone with limited impact on the yield Schoups et al 2005 reported that one consequence of reducing irrigation water use by deficit irrigation is the greater risk of increased soil salinity due to reduced leaching 1220 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 rain FI 2008 2009 DI 50 LSD 5 DI Dev 101 DAS 0 992 4 DI Mat 165 DAS 1 109 X DI Dev Mat E Z 3 Z S GI es x 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 DAS P 2011 2012 60 50 9 40 8 F E a DEN Rain 30 F AFI E S e DI 50 z DI Dev 20 4 DI Dev Mat 10 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 DAP Figure 3 Soil salinity under different irrigation treatments for both years 2008 2009 and 2011 2012 with rainfall distribution 3 3 Canopy cover Figure 4 show barley growth expressed by canopy cover CC measured under different irrigation treatments 2011 2012 The maximum canopy cover 74 8 was reached in the 98 day for all treatments There is a s
409. ion of water content to the apparent electrical conductivity variability Calibration work was performed on Lebna catchment and a survey was conducted in two different time frames at different degrees of soil moisture The objective is to further develop the application of electromagnetic induction in the horizontal and vertical mode to monitor the soil water content 2 MATERIALS AND METHODS 2 1 Study site The investigations were carried out on Lebna catchment Cap Bon Tunisia This site is part of on going mutidisciplinary projects Mistrals JEAI AIRD program The landscape of Lebna is carcaterized by small valleys that are surrounded by steep hills AO 2002 The hilly zone represents the central and widest landscape system of the central part of the study area In terms of soil the study site is covered by Inceptisols over marls with vertic characteristics Alfisols on the sandstone rock outcrops Entisols on the eroded zones and Vertisols which are the soils of the depressions constituting mostly deep soils with a high percentage of clay and big cracks in dry season The variability in topography and soils affect the land use grazing on the areas covered by herbaceous and shrubs on the slopes rainfed crops e g wheat barley fababean chickpea and olive trees on the accumulation slopes and irrigated systems e g tomato pepper crops on flat and hilly plains The climate of Lebna is typical Mediterranean characterised by mild winte
410. ion sous serre de la tol rance a la salinit de quelques porte greffes d agrumes citrus aurantium et deux hybrides de poncirus trifoliata poncirus x citrus sinensis et poncirus x mandarinier sunki Laboratoire Agrophysiologie et Biotechnologie de Culture in vitro Facult des Sciences Universit Ibn Tofail B P 133 Kenitra 14000 Maroc Biotechnol Agron Soc Environ 9 1 65 73 Taha R Mills D Heimer Y and Tall M 2000 The relation between low k Na ratio and salt tolerant in the wild tomato species Lycopersicon pennelli Plant Physiol 157 59 64 1312 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Soil and water conservation in southeastern Tunisia contribution to the study of the sensitivity of jessour to destruction Ines GASMI Mohamed MOUSSA Habib LAMOUROU Institut des R gions Arides IRA 4119 M denine Tunisia E mail gasmi ines hotmail fr SUMMARY South east of Tunisia is characterized by an arid Mediterranean climate the mean annual rainfall is between 100 200 mm Rainfalls in this area are basically torrential and stormy which promotes water erosion The most important system of agricultural production in this area is g
411. ique s v re ainsi que le stress salin toutes concentrations en sel confondues ont l g rement augment ce nombre Tableau 3 La stimulation de la croissance par la salinit trouve son explication dans l effet b n fique de Na sur l expansion cellulaire Marschner 1995 et par une meilleure compartimentation vacuolaire efficace de Na Cheesman 1988 1303 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 3 Effet de la contrainte saline sur les diff rents param tres mesur s Traitements Hauteur Nombre Longueur de la Largeur de la Indice de la tige de feuilles feuille drapeau feuille drapeau chlorophyllien HAT NET LOD LAD ICH To 147 81 11 25 25 27 3 43 35 89 T 124 06 11 81 30 46 4 18 39 50 Ts 109 18 11 65 24 43 3 61 35 70 HAT hauteur en cm NFT nombre de feuilles par plante LOD longueur de la feuille drapeau en cm LAD largeur de la feuille drapeau en cm ICH teneur en chlorophylle par Spad 3 3 Effet du stress sur la longueur LOD et la largeur LAD de la feuille drapeau Seul le stress hydrique s v re a modifi les feuilles en les rendant plus petites
412. ir un traitement singuli rement appropri Comme pour le dessalement les boues r siduaires constituent une contrainte g rer l aval de l puration 5 La production agricole L alimentation humaine est tributaire de la production v g tale et animale sachant que cette derni re est elle m me d pendante de sa pr c dente D une mani re globale l homme a am lior au cours de son existence la richesse calorifique de sa ration Elle demeure en nette hausse mais la malnutrition menace pr s de un milliard d tres humains FAO 2004 essentiellement dans les pays en voie de d veloppement Les besoins en alimentations d un adulte sont valu s en moyenne par la FAO 2932 kcal par jour Il est vident que les populations des pays d velopp s en consomment des rations riches 3273 kcal qui d passent cette valeur moyenne contrairement celles des pays en voie de d veloppement qui se limitent des rations pauvres 2535 kcal En France elle est de 3600 kcal alors qu en Alg rie elle vaut 3000 kcal FAO 2004 Cependant ces valeurs moyennes cachent une r alit am re relative la sous alimentation humaine dont la ration journali re ne d passe pas 2000 kcal En Afrique subsaharienne ce fl au touche 43 de la population et provoque des victimes d environ 9 millions d individus chaque ann e FAO 2004 UNICEF 2002 alors que les sous aliment s dans les pays arabes avoisinent 40 millions en Alg rie le t
413. ire ce dernier dirigera l eau vers l Oued 3 2 5 Les principes Le calendrier d irrigation Bouka s impose les principes suivants Tour ou Nouba le roulement est un principe qui cr e un ordre organisateur et structurant dans les communaut s Il s applique aussi aux activit s collectives autres que celle de l irrigation Briot 1990 Wateau 2001 et Wateau 2004 Dans l Oasis de Boukais le ayant droit voit sont tour de l eau d irrigation se r p te tout les 22 jours L alternance cyclicit ou rotation personne n est privil gi dans le groupe tant qu il ya une rotation de la position de r partition sur toutes les 16 unit s du jour L quit chacun son d selon son droit Briot 1996 in Wateau 2006 consist consid rer que tous les b n fici res d eau ont droit une m me logique de distribution et des r gles et notamment une m me proc d qui permet d alterner les heures de prises d eau pour l irrigation Wateau 2006 Des mesures en temps est une mani re bien r fl chie car le d bit de la source varie selon la saison l abondance ou la raret auraient pu favoriser ou affecter certains ayants droit l avantage ou au d triment d autres Madani 2006 1176 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridocul
414. ire du sud tunisien qui s est distingu par sa haute tol rance au sel et qui pourrait tre exploit double usage fourrage en vert pour le b tail et grains pour l alimentation humaine REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Abd El Lattief EA 2011 Growth and Fodder Yield of Forage Pearl Millet in Newly Cultivated Land as Affected by Date of Planting and Integrated use of Mineral and Organic Fertilizers Asian J of Crop Sci 3 1 35 42 Akmal M Naeem M Nasim S Shakoor A 2002 Performance of different pearl millet varieties under rainfed conditions Pak J Agric Res 17 4 351 354 Alamgir ANM Ali MY 1999 Effect of salinity on leaf pigments sugar and protein concentrations and chloroplast ATPase activity of rice Oryza sativa L Bangladesh J Bot 28 145 149 Ali EA 2010 Grain yield and nitrogen use efficiency of pearl millet as affected by plant density nitrogen rate and splitting in sandy soil Amer Eura J Agric Environ Sci 7 327 335 Amaral PNC Evangelista AR Salvador FM Pinto JC 2008 Qualidade e valor nutritivo da silagem de tr s cultivares de milheto Ci ncia e Agrotecnologia 32 2 611 617 Amazallag GN Lerner HR Poljakoff Mayber A 1999 Exagenous ABA as a modulator of the response of Sorghum to light salinity J Exp Bot 41 1529 1534 Arnon DJ 1949 Cooper enzymes in isolated chloroplast polyphenoloxydase in Beta vulgaris Plant Physiology 24 1 7 Beninga MB 1993
415. is aussi il est constat que 50 de la population Egypte Soudan Irak et Syrie d tient 75 des RER dont les trois premiers pays b n ficient eux seuls de 70 Ces chiffres montrent la grande disparit en mati re de RER entre les pays arabes o un habitant sur deux ne dispose que d environ un quart des ressources hydriques et l autre moiti b n ficie des trois quarts La r partition des RER sur la population Figure 2 montre qu l exception de l Irak et du Soudan dont la part par individu est respectivement 2118 m hab et 1853 m hab dans tous les autres pays la population ne dispose individuellement que d un volume inf rieur 2000 m Parmi ces pays 7 dont le Liban le Maroc Oman l Egypte la Syrie l E A U et la Somalie constituent 1142 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 un panel o vivent 44 du total de la population dont la dotation est comprise entre 1000 m hab et 500 m hab La Tunisie et I Alg rie qui repr sentent 13 ont une dotation comprise entre 500 m hab et 100 m hab et le reste soit 43 de la population se contente d une part individuelle inf rieure 100 m hab Le graphique de la figure 3 donne la class
416. is visit es Quoique l eau fournie par le GDAsoit la source majeure d irrigation 65 des agriculteurs ont des puits de surface ou des puits profonds qui leur permettent de disposer des quantit s d eau suppl mentaires Cependant la plupart des eaux offertes par ces puits ont des charges en sel lev es Fig 1 En effet ces charges varient de 1 9 10 62 g l Ces variations sont dues principalement la profondeur des puits et donc la nappe en question D autre part la salinit des eaux de GDA varie selon nos mesures de 1 8 3 g l m eau douce 1 1 g l E eauconventionnelle puits superficiels 2 7 6 5 g l m puits superficiels 4 5 5 g l Figure 1 Diff rentes sources d eau d irrigation dans les oasis de Tozeur 3 2 Etude de l effet de la salinit sur les c pages locaux dans les oasis 3 2 1 Fluctuation du d bourrement des bourgeons latents selon le rang du bourgeon sur la baguette L effet de la salinit sur le taux de d bourrement des bourgeons sur la baguette s exprime comme suit une l g re diminution du taux de d bourrement de 20 pour Muscat d Alexandrie Muscat d Italie et Chetwi un changement de niveau de maximum du taux soit par l avancement du niveau Meski2 Arbi 3 et Kahla 1 ou par recule du niveau comme c est le cas de Arbi 2 une l g re augmentation du taux de 40 pour Arbi 1 et de 20 pour Galb Sardouk et Kahla 2 On peut classer les bourgeons comportement semblable d
417. isant l accumulation des sels dans le sol Hayek et Abdelly 2004 Ce ph nom ne affecte pr s de 7 de la surface globale dans le monde Munns 2002 En Tunisie environ 3 2 millions d hectares de la surface sont consid r s comme salins Hamdy 1999 Aussi les ressources en eaux destin es a l irrigation en Tunisie sont limit es et de qualit m diocre Ainsi l eau d irrigation provenant des barrages par exemple titre fr quemment une charge moyenne en sel de 2 3 g l alors que l eau en provenance des puits titre de 4 7 g litre de sels et peut atteindre 10 g litre au sud et m me plus Les oasis traditionnelles du sud ouest sont caract ris es par les cultures a tages palmier dattier arbres fruitiers et cultures annuelles dont les c r ales Les oasis tunisiennes sont des cosyst mes complexes 1263 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 caract ris s entre autres par un d ficit global en eau d irrigation et par une salinisation croissante Lasram 1990 L identification de vari t s de bl adapt es l irrigation par de l eau charg e pourrait contribuer a l enrichissement de la biodiversit de l cosyst me oasien
418. isie elle ne pr sente pas une solution absolue tant donn que la majorit des ressources en eaux sont saum tre ainsi que la faible adaptabilit g n tique de vari t s cultiv es salinit L identification de vari t s tol rantes de leurs seuils respectifs de tol rance est primordiale pour l extension de la c r aliculture dans les zones affect es par la salinit des eaux et des sols Ce travail r alis dans un cosyst me oasien a mis en vidence d une part l effet inhibiteur des eaux d irrigation charg es qui se manifeste chez diff remment chez les vingt six g notypes de bl dur test e conform ment plusieurs tudes Bouzerzour et al 2000 Fellah et al 2000 Munns et James 2003 Le rendement des vari t s autochtones Derbessi Mahmoudi et Sbay n est pas affect par le stress salin constituant ainsi des g notypes tol rants dont l utilisation en tant que parents dans un programme sp cifique d am lioration pourrait tre envisag Munns et James 2003 ont montr que dans des conditions contr l es le taux de sodium foliaire pouvait constituer un bon indicateur pour la tol rance des g notypes de bl dur au stade juv nile Cette tol rance tant exprim e en termes de rapport de la production de la biomasse sous stress par celle sous r gime non stressant Nous montrons que le taux de sodium de la troisi me feuille dans des essais en plein champ peut galement tre consid r comme
419. it d installer les bassins d infiltration percolation et puis un poids est attribu chaque classe selon la matrice de Saaty Gomez et Barredo 2005 2 2 5 Calcul de l indice d cisionnel Le classement des zones favorables aux bassins d infiltration percolation est obtenu par la combinaison lin aire pond r e des couches spatiales des sous crit res normalis es Les valeurs obtenues varient entre 0 et 1 o 0 est la valeur correspondante la zone la moins favorable et 1 est la valeur relative la zone la plus favorable 3 RESULTATS ET DISCUSSIONS 3 1 Identification des sites favorables L analyse multicrit re a permis d identifier une surface favorable aux bassins de recharge de 3500 ha qui repr sente environ 29 de la totalit de la surface de la nappe phr atique de Nabeul Hammamet Cette surface est assez importante et permettrait d absorber toute la quantit d eau us e produite Elle est form e d enclaves qui varient entre moins d un hectare et plus de 100 ha Les contraintes les plus restrictives sont la g ologie et la texture du sol La surface totale favorable ob issant ces deux contraintes repr sente aux alentours de 55 et 60 respectivement L loignement des lacs et des barrages collinaires et l paisseur de la zone non satur e sont les contraintes les moins restrictives avec une surface favorable de 95 et 92 respectivement La localisation des zones potentielles pour chaque contr
420. it productive de ZZ est bien connue chez les cotypes de mil a haute tige qui sont plus productifs que ceux a courte tige Akmal et al 2002 Chohan et al 2006 1068 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 2 Tableau r capitulatif des valeurs moyennes des diff rents param tres mesur s Param tre Ecotype Contr le Salinit Salinit Moyenne mod r e s v re HG 187 a 198 b 188 a 191 HAT ZZ 208 a 195 b 169 c 190 cm Moyenne 197 5 196 5 178 5 HG 18a 1 7 a 2 1b 1 86 NTB ZZ 1 4a 1 5 a 1 4 a 1 43 m Moyenne 1 6 1 6 1 75 HG 12 0 a 12 6 a 11 8 a 12 13 NF ZZ 9 8 a 10 0 a 10 2 a 10 0 plante Moyenne 10 9 11 3 11 0 HG 53 0 a 55 0 b 56 2 c 54 7 LOG ZZ 55 0 a 56 0 a 55 2 a 55 2 cm Moyenne 54 0 55 75 55 7 HG 4 0 4 2 3 7b 3 96 LAG ZZ 4 5 4 2 4 3 4 33 cm Moyenne 4 25 4 2 4 0 HG 18 2 17 2 b 11 5c 15 63 CHL ZZ 17 9 21 1b 23 7 c 20 9 mg gMS Moyenne 18 05 19 15 17 6 HG 39 40 48 42 33 RMV ZZ 45 60 63 56 0 t ha Moyenne 42 50 55 5 HAT hauteur en cm NT nombre de talles par m NF nombre de feuilles par plante LOG longueur des f
421. ivement de 65 71 et de 84 chez la vari t Midass et Baklouti par rapport au traitement Sol 0 mM 100 RFU En revanche chez ces deux vari t s Midass et Baklouti on constate que le stress hydrique ind pendamment du stress salin diminue respectivement la conductance stomatique de 42 et de 53 26 la contrainte saline ind pendamment de stress hydrique r duit respectivement la conductance stomatique de 17 SoS et de 40 So S2 chez Midass de 29 SO S et de 73 S0 S chez Baklouti a b b c cc E Baklouti d E Midass e e e S011 S111 S211 S012 S112 S212 e uv 5 o D a D 4 E h oa Per w v S G Pie S T O le traitements 11 LOORFU 12 50 RFU S0 0 mM NaCl S1 30 mM NaCl S2 60 mM Nacl Figure 1 Effet de stress combin sur la conductance stomatique 1095 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Ces r sultats corroborent avec les travaux de Sarda et al 1992 et Chaves et al 2008 qui ont signal que la diminution de la conductance stomatique est une cons quence de la baisse du statut hydrique des feuilles sous l effet de la s cheresse et de l exc s de
422. ization tandem mass spectrometry Anal Biochem 343 93 99 Tolr R Pongrac P Poschenrieder C Vogel MikusS K Regvar M Barcel J 2006 Distinctive effects of cadmium on glucosinolate profiles in Cd hyperaccumulator Thlaspi praecox and non hyperaccumulator Thlaspi arvense Plant Soil 288 333 341 Traka M Mithen R 2009 Glucosinolates isothiocyanates and human health Phytochem Rev 8 269 282 Velasco P Cartea ME Gonzalez C Vilar M Ord s A 2007 Factors affecting the glucosinolate content of kale Brassica oleracea acephala group J Agric Food Chem 55 955 962 Wahid A Ghazanfar A 2006 Possible involvement of some secondary metabolites in salt tolerance of sugarcane J Plant Physiol 163 723 730 Yamaguchi T Blumwald E 2005 Developing salt tolerant crop plants challenges and opportunities Trends Plant Sci 10 615 620 Yan X Chen S 2007 Regulation of plant glucosinolate metabolism Planta 226 1343 1352 1157 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1158 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gest
423. kathorn S A Downs C A and Coleman J S 1999 Small heat shock proteins protect electron transport in chloroplasts and mitochondria during stress American Zoologist 39 865 876 Hussein F Bronson K F Singh Y Singh B and Peng S 2000 Use of chlorophyll meter sufficiency indices for nitrogen management of irrigated rice in Asia Agron J 92 875 879 Houde L M R S Dhindsa amp F Sarhan 1992 A molecular marker to select for freezing tolerance in gramineae Mol Gen Genet 234 43 48 Knight C A and Ackerly D D 2001 Correlated evolution of chloroplast heat shock protein expression in closely related plant species American Journal of Botany 88 411 418 Lichtenthaler H K 1987 Chlorophyll s and carotenoids pigments of photosynthetic membranes Methods in Enzymology 148 350 382 Ludlow M M and Powles S B 1988 Effects of photoinhibition induced by water stress on growth and yield of grain sorghum Aust J Plant Physiol 15 179 194 Parida A K Das A B Mittra B and Mohanty P 2004 Salt stress Induced Alterations in Protein Profile and Protease Activity in the Mangrove Bruguiera parviflora Z Naturforsch 59 408 414 Pearce R S 1999 Molecular analysis of acclimation to cold Plant Growth Regulation 29 47 76 Poshtmasari H K Pirdashti H Nasiri M and Bahmanyar M A 2007 Chlorophyll content and biological yield of modern and old rice cultivars under
424. kh M hamed 2008 Radhouane 2013 En effet 70 des surfaces irrigu es re oivent des eaux dont la salinit est sup rieure 1 5g l et les eaux consid r es comme saum tres titrant entre 2 et 6 g l de Na Cl constituent 50 des eaux Hachicha 2007 Radhouane 2013 Or lorsque la plante est soumise un manque d eau ou lorsqu elle est en pr sence de salinit son alimentation hydrique et sa nutrition min rale sont perturb es Radhouane 2013 Malgr cette contrainte de nombreux fourrages ont t irrigu s avec succ s l eau saline sans aucun probl me notable Kadri et al 2009 De ce fait il est n cessaire de rechercher des plantes ayant des pr dispositions naturelles leur permettant de supporter les conditions difficiles du milieu de r tablir leurs quilibre ionique et nutritionnel pour leurs survie en d veloppant des strat gies sp cifiques d ordre adaptatif ou occasionnel Radhouane 2008 de satisfaire les besoins alimentaires de l homme ou du cheptel et aussi de g n rer des gains mon taires Dans cette optique nous avons cherch tester sur le plan fourrager une vari t de ma s Zea mays L r put e par son adaptation au manque d eau et 1301 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives
425. know quantitatively and qualitatively the impact of this charge on groundwater Key words AHP GIS Groundwater recharges Multi criteria analysis Nabeul Hammamet Wastewater 1 INTRODUCTION La Tunisie est confront e a la fois a la raret et la mauvaise r partition de ses ressources en eaux En effet avec un niveau de ressources renouvelables disponibles par habitant ne d passant gu re 480 m habitant an Ennabli 2005 la Tunisie est consid r e comme tant un pays en stress hydrique La r utilisation des eaux us es trait es EUT est consid r e comme tant une solution d urgencepour r pondre une partie des besoins en eau qui ne cessent d augmenter Cependant seulement 28 du volume annuel total d EUT produit en 2010 partir des 109 stations d purations est r utilis ONAS 2011 La r utilisation des EUT concerne principalement l irrigation La recharge artificielle des nappes en Tunisie ne se fait qu au niveau des sites pilotes situ s dans la c te Est de la p ninsule du Cap Bon Dans un futur proche on pr tend passer a chelle r elle et r pandre cette technique a tout le territoire tunisien 1179 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19
426. l INRAT la plante haute et vigoureuse le fruit est section longitudinale rectangulaire l g rement d prim et tr s piquant tardif 1l r siste aux souches communes du virus Y de la PDT Midass C est une population locale Son appellation provient de son lieu de culture qui se dans l oasis de Dj rid dans le sud tunisien Elle est caract ris epar une v g tation rig e petites feuilles et aux entre n uds courts Le fruit est tr s petit 2 5 cm de couleur vert fonc go t tr s piquant Il est cultiv essentiellement dans les oasis d El Jerid 2 2 Conduite de la culture Les exp rimentations ont t r alis es l Institut National de la Recherche Agronomique de Tunisie durant l ann e 2008 2009 Le semis des deux s vari t s est effectu au d but du mois de janvier en terrines remplies de tourbe et plac es dans une chambre 25 C II est suivi environ 25 jours d un repiquage en plaques alv olaires La culture dure 30 Jours Elle est conduite une temp rature de 18 20 C la nuit et 28 C le jour et sous une humidit relative de 70 Au stade 4 5 feuilles les plantes sont transf r es dans des pots en plastique de 30 cm de diam tre et de 50 cm de profondeur contenant chacun un substrat compos de terre de jardin de fumier de ferme d compos et de sable grossier proportions gales Les conteneurs de culture sont plac s sous abri serre plastique Dans la r gion de Tunis Tunisie
427. l effet de l endurcissement et du choc thermique sur les variables mesur es Notant que l tude a t r alis e durant la campagne 2008 09 au laboratoire de PINRRA Unit de S tif Alg rie Mots cl s Bl dur choc thermique basses temp ratures Chlorophylle prot ines SDS PAGE 1 INTRODUCTION Au cours de leurs cycles v g tatifs les plantes sont sujettes aux stress biotiques et abiotiques Pour faire face cette situation elles d veloppent de nombreuses strat gies adaptatives qui s expriment diff rents niveaux organisationnels l chelle de la plante organe cellule organite La r sistance aux stress qui d pend du stade de d veloppement de la plante et de l intensit du stress ne peut tre pr vue d avance suite son caract re relatif Il existe cependant plusieurs crit res d ordre morphologiques physiologiques et biochimiques qui discriminent relativement bien entre g notypes tol rants et sensibles aux stress Cette discrimination permet d envisager la s lection de g notypes r sistants Ainsi les stress induisent des modifications quantitatives et qualitatives des prot ines synth tis es Les prot ines de choc de froid mergent suite une r ponse cellulaire rapide stimul e lorsque la temp rature baisse fortement relativement la temp rature optimale de croissance Thomashow 1999 Les polypeptides nouvellement synth tis s sont dirig s vers les diff rents compartiments cellulair
428. l effet des eaux r siduaires est tr s faiblement prononc sur le rendement de la mati re s che pieds tall s et racines 0 54 0 535 0 53 0 525 0 52 0 515 Poids de la mati re s che g pot 0 51 1 Eau de tannerie 2 Temoin Figure 2 Evolution du poids de la mati re s che des racines g pot De son cot Cherak 1999 avait notait un effet court terme non significatif de l application des eaux r siduaires sur la production de mati re s che par la plante Avoine WI 88 D autre part Xanthoulis et al 2002 d clarent que la production de la mati re s che totale est du m me ordre de grandeur sup rieure 10 t MS ha pour les deux types d eau utilis e eau us e eau de nappe mais se r partit diff remment en fonction de la coupe la deuxi me coupe produisant moins de mati re s che dans le traitement eau us e Par contre Mouhanni et Bendou 2011 ont trouv s quel irrigation avec l eau us e pur e a un effet positif sur l volution du poids frais et du poids secs de la mati re v g tale de la plante gazon en faveur des apports en l ments fertilisants des eaux us es pur es en comparaison avec les eaux de la nappe 1025 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahari
429. l continental appartenant l tage Mio Pli quaternaire 1228 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 3 4 5 6 7 8 0 20 40 60 80 100 L echelle f a a 1 KM Carte du bassin de Chott Melrhir 06 14 Bassin de oued Djedi Biskra 17 Bassin de oued Dermoun 15 Bassin de oued El Abiod 18 Bassin de oued El Arab 16 Bassin de oued Biraz Atrous 19 Bassin de oued Zeribet 260 it E 20 40 KM EE 0 120_ L echelle gt L T l l l l T l l l l 720 740 760 780 800 820 840 860 880 900 920 Les petites bassins du Zab Est Figure 1 Situation g ographique de la r gion du Zab Est Boutouga F 2011 3 LES RESSOURCES EN EAUX La r gion de Biskra pr sente des ressources en eau souterraines importantes repr sent es en plus de la nappe phr atique du quaternaire par deux syst mes aquif res qui sont le complexe terminale et le continental intercalaire Dans les pays en voie de d veloppement climat aride le r le des eaux souterraines est d autant plus important qu elles constituent souvent la seule s
430. l obstacle l exploitation de ces eaux La population arabe utilise annuellement 180 km d eau douce dont 15 d origine fossile Mutin 2007 FAO 2006 Dans un souci de diversifier la production d eau de ne pas tarir les stocks fossiles et de pr server l environnement des efforts se sont orient s vers le dessalement et la revalorisation des eaux us es urbaines comme sources d approvisionnement en eau 3 3 Les ressources en eau renouvelables Les quantit s d eau renouvelable de la r gion arabe sont estim es 278 km dont pr s de 55 sont d origine exog ne Mutin 2000 potentiellement source de conflits gravissimes L Egypte et la Mauritanie d pendent 97 d eau originaire de l ext rieur du pays la Syrie 70 et le Soudan et la Somalie 60 Parmi les pays les plus g t s en RER on trouve dans l ordre le Soudan 74 5 km l Irak 61 km et l Egypte 58 km I Alg rie vient en sixi me position apr s le Maroc et la Syrie Zeid 2004 La part des RER revenant chaque habitant arabe est de 583 m soit un manque de 90 par rapport la moyenne mondiale 6900 m La population arabe est d ores et d j en situation de stress hydrique m me si elle utilise la totalit de ses ressources en eau renouvelables Ces potentialit s en eau sont concentr es 91 8 dans huit pays Egypte Soudan Irak Syrie Maroc Alg rie Y men et Arabie Saoudite totalisant 83 4 de la population ma
431. l the variables that influence on reference evapotranspiration excluding relative humidity and the performances criteria are 0 877 for R and 0 54 mm d for RMSE The comparison of the models that used minimum data i e ANN qi ANN x and the ANN xmodel reveals that the results are acceptable for ANN gg solely the other models show a poor results Table 2 Performance criteria of ANNs conceived and their inputs and architecture obtained at daily time steps Neural Input combination Architecture R R RMSE RMSEval model training validation training idation ANN a Tmax and Tmin 2 3 1 0 636 0 6600 880 93 ANN x Tmax Tmin and Tmoy 3 4 1 0 635 0 659 0 88 0 93 ANN 3 Tmax Tmin and HR 3 6 1 0 634 0 664 0 88 0 93 ANN a Tmax Tmin Ins 3 6 1 0 783 0 786 0 71 0 71 ANN as Tmax Tmin Tmoy Ins 4 13 1 0 789 0 784 0 70 0 70 ANN 46 Tmax Tmin Tmoy and U 4 7 1 0 739 0 724 0 78 0 80 ANN a Tmax Tmin Tmoy HR Ins 5 13 1 0 845 0 813 0 60 0 67 ANN ag Tmax Tmin Tmoy U3 Ins 5 5 1 0 874 0 877 0 54 0 54 ANN go Tmax Tmin Tmoy U2 HR 5 4 1 0 820 0 797 0 65 0 69 ANN aio Tmax Tmin Tmoy HR U Ins 6 12 1 0 920 0 901 0 43 0 47 Note RMSE mm day It was found that using only the air temperatures input gives the worse estimates ANN 4 and ANN a2 whereas the performances criteria varies from 0 65 to 0 66 for R and RMSE 0 93 mm d With daily time step we have selected two neural models in order to estimate ETo ANNd10 6 12 1 we employ this neural
432. l versus the flexibility of process to be modeled and the necessity to know their mathematical formulation the use of black box models such as artificial neural networks represent an interesting choice and innovative solution according to their features flexibility generalization parsimony and they doesn t require knowledge of the mathematical formulation of the relationship linking among inputs and corresponding output Recently excellent results have been obtained by application of ANNs in various fields particularly in hydrology ANNs become today a powerful tool of modelling with surprising capabilities Kumar et al 2002 demonstrated that a multilayer perceptron artificial neural network MLP ANN trained with lysimetric data of ETo is more accurate than modified Penman Monteith formula FAO 56 for ETo assessment Sudheer et al 2003 used a radial basic function neural network RBF NN trained with lysimetric data of rice crop evapotranspiration the results obtained demonstrated clearly the ability of artificial neural networks for crop evapotranspiration assessment the performance criteria Nash criteria in this case oscillated between 98 to 99 The study carried out by Landeras et al 2008 in Spain reveal that ANN trained with modified Penman Monteith ETo give best results than empirical formulas which are calibrated by lineal regression Khoob AR 2008 show the capability of artificial neural network multilayer perceptron M
433. la jaunisse nanisante de l orge BYDV Najar 2009 Pour valuer leur tol rance la salinit au stade germination elles seront compar es Manel et Rihane deux vari t s d orge am lior es Deghais et al 2007 mais sensibles au BYDV Najar 2009 1073 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Pour la conduite de cet essai un lot de grains issu de chaque lign e ou vari t a t lav l eau de robinet d sinfect l eau de javel pendant quelques minutes puis abondamment rinc l eau distill e Ces grains ont t plac s dans des boites de P tri de 9mm de diam tre tapiss es d une couche de papier filtre imbib raison de 25 grains par boites Cinq traitements salins concentration croissante ont t appliqu s un traitement t moin o le papier filtre a t imbib l eau distill e puis des traitements sous 3 6 et 9 et 12g 1 NaCl Ces concentrations ont t ainsi fix es car en moyenne la charge en NaCl des eaux de surface et d irrigation en Tunisie surtout en p riode estivale avoisine les 6g 1 Hachicha et al 1995 La dose 12g l a t choisie comme seuil extr me afin de provoquer les traits ventuels de t
434. la teneur en GSLs indoliques totaux chez le cv Parthenon alors qu elle la diminue significativement P lt 0 05 et progressivement chez le cv Naxos 70 90 mM NaCl relativement aux plantes t moins Cette diminution est due principalement la r duction significative des teneurs en GB et NGB chez le cv Naxos 72 et 85 90 mM NaCl respectivement compar es aux plantes non trait es malgr l augmentation significative des teneurs en MGB 55 90 mM NaCl Tableau 1 3 2 Teneur en glucosinolates aliphatiques Les teneurs en GSLs aliphatiques dans les feuilles de deux cultivars de brocoli sont donn es par le tableau 2 La teneur en GSLs aliphatiques totaux est calcul e par l addition des teneurs en glucoiberin GI glucoraphanin GR et glucoerucin GE Chez les deux cultivars la salinit provoque une augmentation significative P lt 0 05 de la teneur en GSLs aliphatiques totaux Aux traitements 60 et 90 mM NaCl cette augmentation est significativement P lt 0 00 plus importante chez le cv Naxos que chez Parthenon li e principalement l augmentation de la teneur en GE chez ce cultivar Tableau 2 A 90 mM NaCl la teneur en GSLs aliphatiques totaux augmente de 4 18 fois et 3 34 fois chez Naxos et Parthenon respectivement compar s aux valeurs t moins Tableau 2 Tableau 1 Teneur en glucosinolates indoliques mg g MS dans les feuilles de deux cultivars de brocoli cultiv s pendant 15 jours en conditi
435. lali certe rnrt tn RESUME La r utilisation des eaux us es trait es dans un but de recharger des aquif res dans les zones arides et semi arides contribue de fa on significative r duire la pression croissante sur les eaux conventionnelles L objectif de ce travail de recherche est d laborer une m thodologie pour la localisation et le classement des sites favorables la recharge des nappes phr atiques par les eaux us es trait es Celle ci se base sur la combinaison des techniques g o spatiales avec celles d analyses multicrit res Plusieurs crit res d aspects techniques environnementaux sociaux et conomiques ont t identifi s spatialis s pond r s par comparaison par pair et normalis s selon des fonctions de logique floue La carte finale qui classe les sites favorables dans la r gion de Nabeul Hammamet a t obtenue par une combinaison lin aire pond r e des crit res normalis s La superficie totale favorable la recharge de cette nappe par les eaux us es trait es d passe de loin celle th oriquement n cessaire pour faire infiltrer la totalit des effluents des stations d puration existantes dans la r gion Cette superficie se situe principalement au bord de la mer au Sud Est de Hammamet autour du Grand Nabeul dans certains domaines agricoles et au niveau des dunes c ti res Les sites les plus adapt s sont localis s pr s de Nabeul dans des zones agricoles Une tude hydrodynamique d taill
436. lation de Matmata SCC plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Matmata 3 5 Analyse statistique La comparaison inter populationnelle des moyennes des taux de chlorophylle au cours du premier cycle de stresse hydrique montre la pr sence de deux groupes distincts pour la chlorophylle a avec une diff rence significative entre 4 3 et 1 2 Concernant les taux des chlorophylles b les deux tests regroupent les diff rents sites donc il n y a pas de diff rences significatives dans la variation du taux de chlorophylle b Alors que pour la chlorophylle total trois groupes significativement diff rents ont t enregistr 4 3 1 2 et pour les carot noides seulement deux groupes sont significativement diff rents En fin du deuxi me cycle de stress hydrique appliqu la comparaison inter populationnelle des moyennes des taux de chlorophylle implique deux groupes diff rent 4 1 3 et 2 concernant la chlorophylle a Pour la chlorophylle b les deux tests regroupent les diff rents sites donc il n y a pas de diff rences significatives dans la variation du taux de chlorophylle b Alors que pour la chlorophylle total deux groupes sont significativement diff rents 4 1 3 et 2 et pour les carot no des deux groupes sont significativement diff rent 4 1 3 2 Les m mes r sultats sont obtenus pour les deux tests Student Newman Keuls et Duncan Avec 1 population de Cenchrus ciliaris de Bouhedma 2 population de Ce
437. lation de Na au niveau de la feuille associ e une mauvaise compartimentation vacuolaire entraine une diminution de la croissance v g tative ainsi de rendement final en grains Munns et James 2003 Nos r sultats sont en parfait concordance avec les travaux men s par Munns et James 2003 En fait une des strat gies de tol rance au niveau de bl dur consiste limiter le transport de Na vers les parties a riennes et pr cis ment aux niveaux des feuilles et donc avoir la capacit de la recirculation de sodium des feuilles vers les racines via le phlo me Yeo et Flowers 1983 L uchli 1984 Flowers et Yeo 1986 Munns et James 2003 Poustini et Siosemardeh 2004 Cette redistribution contr l e se fait essentiellement dans les vacuoles Briniet al 2007 He et al 2005 et Munns et Tester 2008 1266 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 gt S B o an tn y 0 481x 1 124 J R 0 725 Tol rance la salinit rendement str ess t m oin 29 99990 0 wie L N 0 20 0 40 0 60 080 1 00 1 20 1 40 1 60 Pourcentage en Na dans la feuille 3 Figure 1 Relation entre la tol rance la salinit
438. lectromagnetic soil conductivity meter Soil Science Society American Journal 45 255 260 Robinson J B Silburn D M Foley J Orange D 2010 Root zone soil moisture content in a Vertisol is accurately and conveniently measured by electromagnetic induction measurements with an EM38 19th World Congress of Soil Science Soil Solutions for a Changing World 1 6 August 2010 Brisbane Australia Published on DVD Shmidhalter U Zintel A Neudecker E 2001 Calibration of the electromagnetic induction measurements to survey the spatial variability of soils Europ Conference Precision Agriculture Montpellier 16 20 06 01 479 484 Tromp van Meerveld H J McDonnell J J 2009 Assessment of multi frequency electromagnetic induction for determining soil moisture patterns at the hillslope scale Journal of Hydrology 368 56 67 1190 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Contribution l tude du stress hydrique de I olivier sous l effet du changement climatique dans le Sud Est tunisien A Hachani M Ouessar A Zerrim Institut des R gions Arides IRA Route de Jorf 4119 Medenine Tunisia RESUME La question du changement climatiq
439. left and horizontal mode 0 20 cm on the right in the rainy season Lines represent the 1 1 ratio WO oO O T oO 8 O BR TD 9 o D N oO T 2 o re oO o 0 5 10 15 20 25 P 35 0 10 20 30 40 Predicted SWC Predicted SWC Figure 3 Measuredversus predicted SWC for the vertical mode 0 100cm on the left and horizontal mode 0 20 cm on the right in the dry season Lines represent the 1 1 ratio 4 CONCLUSION In this paper we presented an approach that enabled to characterize the response of electromagnetic induction to soil water content We investigated linear models for estimation of soil water content from electromagnetic induction properties The main outcomes of these preliminary results on this site are as follows Measurements of the EC performed in the horizontal and vertical mode were in general strongly related to each other A significant relationship was found between ECa and the SWC in the vertical mode All the other investigated soil parameters silt sand clay soil salinity were found to be non significantly related to the measurements of the apparent ECa Measurements of the apparent electrical conductivity can be used to indicate the spatial and depth variation in soil water content Coefficients of determination of linear regressions between soil water content in 0 100 cm soil depth and ECa in the vertical mode were 1 0 74 in February 2013 r 0 52 in October 2012 A comparable goodness of
440. les cultures irrigu es par les eaux us es FAO 2003 Riches en l ments fertilisants les EUT peuvent entra ner une augmentation du taux de la mati re organique et des l ments nutritifs du sol et par cons quent une am lioration des rendements des plantes cultiv es Yadav et al 2002 Dans ce cadre Charfi et al 2003 ont constat lors d une tude 1271 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 sur l impact des EUT sur le sol et l olivier une augmentation des teneurs en l ments fertilisants surtout N et P dans les diff rentes couches du sol ce qui conf re 4 ces eaux une valeur fertilisante De plus ils ont remarqu un d veloppement remarquable des branches de l olivier ce qui induit une am lioration de la production en huile d olive Plusieurs tudes ont montr que l irrigation avec les EUT am liore la croissance et la productivit des plantes Toutefois cette am lioration est souvent associ e plusieurs probl mes environnementaux d une utilisation excessive et continue de ces effluents Bedbabis et al 2010 Yadav et al 2002 ont remarqu que les teneurs en m taux lourds au niveau des plantes irrigu es par des eaux us es
441. les et de carot no des plusieurs quations ont t d velopp es selon diff rents auteurs en relation avec les solvants utilis s dans l extraction Dans notre cas les formules utilis es celle d crites par Hartmut 1987 2 4 Dosage des sucres solubles Le dosage est r alis suivant la m thode de Robyt et White 1987 A 0 3 g de mati re fraiche on ajoute 5 ml m thanol 80 Les chantillons sont chauff s dans un bain marie 70 C pendant 30 min on pr l ve apr s refroidissement 1 ml d extrait au quel on ajoute 1 ml de ph nol 5 et 5ml d acide sulfurique concentr Apr s refroidissement et agitation on mesure les teneurs en sucres totaux par spectrom trie 640 nm L talonnage de l appareil s effectue l aide de solution de glucose de concentrations allant de 0 jusqu 4 g 1 2 5 Dosage de l amidon On aoute20 ml d alcool thylique 70 au 0 3 g de mati res s ches Apr s 48 heures de repos on proc de une la centrifugation 3500 tours minute Apr s dessiccation l tuve 60 C on ajoute l acide perchlorique 70 5 7 ml pour 0 3 g d extrait sec et on fait ajuster le volume 250 ml l eau distill e Apr s repos pendant 48 heures on prend 7 ml de la solution auquel on ajoute 0 5 ml d une solution d iode 0 1 g KI 0 02 g KIO dans 100 ml d eau distill e Apr s 5 heures une lecture au spectrophotom tre est faite 675 nm Nelson 1943 3 RESULTATS ET DISCU
442. leurs taux de transpiration et de photosynth se Aug 2001 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal et conditions et protocole d exp rimentation Ce travail a t r alis dans la p pini re de l Institut de l Olivier Sfax 200 mm an temp rature moyenne 23 C avec un maxima de 35 C Le mat riel v g tal utilis est constitu des plantes 1279 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 d oliviers de la vari t huile Chemlali issues de boutures semi ligneuses et g es de 2 ans Le substrat est compos de sable inerte Les plants d olivier ont t transplant s dans des pots en PVC noir de 5 litres Le protocole exp rimental conduit sous serre est un essai factoriel comportant deux lots un premier lot de plants mycorhiz s MZ en ajoutant au substrat 3 g d inoculum de Glomus deserticola au voisinage des racines des plantes Un deuxi me lot de plants non mycorhiz s NMZ Chaque lot est divis en trois blocs selon le traitement salin avec 5 r p tions traitement Les plants ont t irrigu s r guli rement par l eau douce pour les quatre premi res semaines ensuite ils ont t irrigu s avec une eau contenant3 gra
443. linisation en Tunisie Sols de Tunisie Bulletin de la Direction des sols 15 341p Hachicha M Braudeau E 1998 Irrigation et salinisation en Tunisie Sols de Tunisie 18 3 11 Hajji M Lachaal M Soltani A et Grignon C 2001 Large accumulation of sodium in leaves may be compatible with normal growth W J Horst et al Eds Plant nutrition Food security and sustainability of agro ecosystems 416 417 Haoula R 1999 Effets du NaCl sur la croissance les caract ristiques hydriques et les activit s photochimiques et enzymatiques d un bl dur et d une orge cultiv e Th se de Doctorat en Sciences Biologiques Univ Tunis 231p Waisel Y 1972 Biology of Halophytes Academic Press New York and London Rattan L A 1998 Seed technology LTD Oxford New Delhi 829p Najar A 2009 Le virus de la jaunisse nuisance de l orge BYDV Importance Caract risation mol culaire et integration dans la s lection de lign es d orge r sistantes Th se de doctorat en sciences agronomiques INAT 240p Munns R 1993 Physiological process limiting plant growth in saline soils some dogmas and hypotheses Plant Cell Environment 16 15 24 Tavil A et Biniaz M 2009 Different salt effetcs on the germination of Hordeum Vulgare and Hordeum bulbosum Pakistan Journal of Nutrition 8 1 63 68 1078 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International
444. lis s dans des pots remplis de sol avec 5 r p titions pour chaque vari t Les pots sont plac s sous serre vitr e une temp rature fixe gale 26 C et l clairement naturel photop riode 10 heures Les semis ont t effectu s en avril 15 pots en plastique pour chaque vari t ont t remplis par 5 kg d un m lange de sol sec 90 et de fumier 10 La profondeur de semis est de 2 cm et raison de 5 graines par pot Apr s vingt jours de la transplantation stade de la di me vraie feuille un stress salin est appliqu avec 3 traitements pour chaque vari t Les 5 premiers pots t moin Og l T1 Les autres 5 pots 5g 1 T2 Les 5 derniers pots 9g 1 T3 La fertilisation des plantes a t assur e selon un programme de fertigation tenant compte des besoins selon les stades v g tatifs En moyenne dans 1m3 d eau 250g d ammonitre NH4NO3 400g de nitrate de potassium KNO3 et 100 ml d acide phosphorique H2PO4 concentr 50 sont incorpor s 3 Les param tres tudi s 3 1 Les param tres morphologiques 3 1 1 La hauteur de la partie a rienne La hauteur de la partie a rienne la longueur de la tige principale a t mesur e l aide d une r gle gradu e depuis le collet jusqu au bourgeon terminal de la tige principale 3 1 2 Le nombre des feuilles Le nombre des feuilles est d termin par simple comptage 3 RESULTATS ET DISCUSSIONS Effet du stress salin sur le
445. lle dans la r gion de Zab Est de Biskra est actuellement tr s faible et de l ordre de 0 55 hm an court terme 0 81 hm an a moyen terme et de l ordre de 1 14 hm3 an long terme Tableau 3 Boutouga 2011 Tableau 3 Evolution dans le temps des besoins en eau pour l industrie dans la r gion de Zab Est de Biskra 2008 2035 Ann e 2008 2010 2015 2020 2025 2030 2035 Besoins en eau hm 0 55 0 59 0 66 0 81 0 92 1 03 1 14 Source ANRH Biskra 2010 La superficie irrigable dans le p rim tre du Zab Est de Biskra est estim e 104803 ha tandis que l on irrigue actuellement que 44414 ha soit un taux de 42 de la superficie irrigable totale Si l on veut irriguer toute cette superficie avec une dotation de 15731 m ha an on y besoin d un volume de 698 millions de m annuellement Les besoins en eau d irrigation dans la r gion de Zab Est de Biskra sont de l ordre de 698 hm an Tableau 4 court terme 782 hm3 an moyen terme et de l ordre 887 hm3 an long terme Boutouga F 2011 Tableau 4 Les besoins en eau pour l irrigation dans la r gion de Zab Est de Biskra Superficie irrigu e ha Dotation m ha an Demande hm an Besoins en eau hm 44414 15731 698 Source DSA Biskra 2010 6 CONCLUSION La r gion d tude pr sente des ressources en eau souterraines importantes repr sent es en plus de la nappe phr atique du quaternaire par deux syst mes aquif res qui sont le CT et CI L exploitation des
446. llesta Diego A Moreno Ali Ferchichi et Micaela Carvajal ILaboratoire Aridoculture et Cultures Oasiennes Institut des R gions Arides Route de Djerba Km 22 5 M denine 4119 Tunisia D partement de nutrition des plantes Centre des sols et biologie appliqu e de Segura CEBAS CSIC Campus Universitaire d Espinardo Ap de Correos 164 30100 Murcia Spain D partement de nutrition alimentaire et de technologie Centre des sols et biologie appliqu e de Segura CEBAS CSIC Campus Universitaire d Espinardo Ap de Correos 164 30100 Murcia Spain Email chokri_zaghdoud yahoo fr RESUME Dans ce travail on a analys par HPLC DAD les compos s bioactifs glucosinolates GSL acides ph noliques flavonoides de deux cultivars de brocoli cvs Parthenon et Naxos cultiv s pendant 15 jours sur milieu nutritif de base contenant 14 mM NO puis trait s pendant 15 jours par diff rentes concentrations de salinit 0 30 60 et 90 mM NaCl Les r sultats montrent que chez le cv Parthenon la teneur en GSLs totaux n a pas t affect e par la salinit alors qu elle a subit une r duction progressive et significative chez Naxos 46 2 90 mM NaCl comme une cons quence de la diminution de la teneur en glucosinolates indoliques GB NGB HGB MGB Au contraire la salinit provoque une accumulation plus importante des GSLs aliphatiques GI GR GE chez le cv Naxos que chez Parthenon 4 14 fois et 3 34 fois respectivement
447. loraison en effet elle maintient une teneur relative en eau lev e et un rendement relativement lev en cas de stress hydrique Pour confirmer ces r sultats les 4 accessions tudi es doivent tre analys es de nouveau dans des conditions contr l es plus strictes notamment en essayant de contr ler les temp ratures pour viter l interaction des deux stresses REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Chaves M M Maroco J Pereira J 2003 Understanding plant responses to drought from genes to the whole plant Funct Plant Biol 30 239 264 Effatdoust N H Kazemi B Pasban Eslam M Zaeifizadeh 2004 Evaluation of drought stress in different spring safflower genotypes Agriculture Congress 4 7 October Malaysia AP 72 Johnson R C J W Bergman et C R Flynn 1999 Oil and meal characteristics of core and non core safflower accessions from the USDA collection Genet Res Crop Evol 46 611 618 McCready R M J Guggolz V Silviera and H S Owens 1950 Determination of starch and amylose in vegetables Anal Chem 22 1156 1158 Mouhouche B Guemraoui M 2004 R habilitation des grands p rim tres d irrigation en Alg rie In IAV Hassan II editor Actes du S minaire Modernisation de Agriculture Irrigu eEuro M diterran en 14 p Nabloussi A El Fechtali M et Lyagoubi S 2008 Agronomic and technological evaluation of a world safflower collection in Morocco conditions Proceed 7 me Conf
448. ls Book Academic Press Inc Kiani P S Talia P Maury P Grieu P Heinz R Perrault A Nishinakamasu V Hopp E Gentzbittel L Paniego N et Sarrafi A 2007 Genetic analysis of plant water status and osmotic adjustment in recombinant inbred lines of sunflower under two water treatments Plant Science 172 773 787 Monneveux P et Nemmar M 1986 Contribution l etude de la r sistance la s cheresse chez le bl tendre Triticum durum L et chez le bl dur Triticum durum Desf tude de l accumulation de la proline au cours du cycle de d veloppement Agronomie 6 583 590 Scotti C P Ramalho J C Lauriano J A Silva L J et C u Matos D M 1999 Effects of drought on phosynthetic performance and water relations of four Vigna genotypes Photosynthetica 36 79 87 Thakur P S Sood R 2005 Drought tolerance of multipurpose agroforestry tree species during first and second summer droughts Indian Journal of Plant Physiology 10 11 32 40 Turner N C 1983 Adaptation to water deficits a changing perspective Aust J Plant Physiol 13 175 190 1163 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1164 Revue des R gions Ari
449. lts in varying irrigation amounts and intervals adapted to requirements change during crop cycle and then allow for applying water when needed In the case of DI 50 treatment the water deficit began approximately 105 days after plantation and it was maintained until the harvest of barley Thus with DI 50 treatment where irrigation is applied lower than full crop water requirements will make use of stored soil moisture and the water stored in the soil is gradually depleted by ETc The evolution of soil water depletion was compared between two methods SWB model and gravimetric for full irrigation treatment FI It was observed that there is a good agreement between two methods with R of 0 95 Figure 2 and the differences doesn t seem to be significant Therefore the developed model appears to be reliable to predict the soil water depletion in order to provide information for an adequate water management Days after planting 113 121 129 137 145 153 161 1 D gt M se A D Ss nes D D A m N M 3 a no t a A z 45 RAW Dr estimated FI Dr measured FI Dr measured DI50 x 60 3 Dr measured DI Dev X Dr measured DI Dev Mat e 75 Figure 1 Estimated and measured soil water depletion during second barley cropping period 1219 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des
450. ltures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 nappe Les sept contraintes choisies pour exclure de l analyse des zones d favorables pour la recharge de la nappe par les EUT sont la profondeur de la zone non satur e pente texture du sol g ologie loignement des lacs et des barrages collinaires loignement des zones r sidentielles et loignement des routes La combinaison de ces contraintes r v le que 29 de la surface de la nappe phr atique de Nabeul Hammamet est favorable la recharge de la nappe par les eaux us es Cette superficie d passe de loin le terrain n cessaire pour couvrir la totalit des effluents des stations d purations situ es dans la zone Le classement de ces sites favorables en int grant plusieurs crit res d ordre technique conomique et environnemental montre que les plus adapt s se trouvent au Nord Ouest de la ville de Nabeul pour la station SE4 et au Nord Ouest et au Sud Est de la ville de Nabeul pour la station de SE3 Ce travail constitue une aide technique pour les d cideurs en vue d une meilleure gestion int gr e des eaux au niveau du bassin versant de la nappe phr atique de Nabeul Hammamet REFERENCES BIBLIOGRQPHIQUES Anane M Kallali H et Jellali S 2008 GIS and AHP multicriteria decision analysis Int J Water Vol 4 Nos Ranking suitable sites for Soil Aquifer Treatment in Jerba Island Tunisia using remote sensing V2 P 12
451. lure deux phases e la premi re phase s tale sur environ 30 jours Les plantes soumises aux trois r gimes salins T1 T2 T3 pr sentent au cours de cette phase une croissance lin aire et progressive jusqu la 30 me jours apr s application du stress salin ela deuxi me phase est marqu e par une augmentation importante de la hauteur en fonction de temps cette augmentation est beaucoup plus prononc e chez la vari t Tom4 L examen de cette figure montre que pour le traitement t moin la longueur des tiges chez Tom4 70 1cm est plus importante que les autres vari t s Ainsi le stress salin a engendr des diminutions des hauteurs moyennes diff rentes selon la vari t tudi Par exemple a la fin de cycle 65 jours pour Tom1 la hauteur moyenne de la plante a t diminu e significativement par rapport au t moin de l ordre 31 62 de m me pour Tom4 Tom 2 et Amel les r ductions taient respectivement de 48 51 D 49 71 et 36 75 Donc la vari t Tom1 a montr qu elle est la plus tol rante En outre la vari t Tom2 a montr une tol rance limit e aux traitements appliqu s L analyse de la variance test Anova nous a permis de montrer qu apr s 65 jours que l effet vari t n est pas significatif Apr s l application du stress on enregistre cependant une diminution significative de la hauteur de la plante en fonction de stress salin Ceci est confirm par le test Anova qui montre un ef
452. ly Wilcox diagram reveals that El Gourzi waters are of permissible and doubtful to unsuitable types in wet and dry periods respectively To reduce the risk of adverse impacts special management of salinity control and selection of plants with good salt tolerance should be considered Keywords irrigation plants pollution semi arid wastewater contamination RESUME Les hauts plateaux de l Alg rie avec une pluviom trie moyenne de moins de 400 mm sont consid r s comme une zone qui souffre sensiblement d un manque de ressources en eau La ville de Batna Nord Est de l Alg rie un centre urbain qui vacue annuellement l quivalent de 11 x 10 m d eaux us es brutes et partiellement trait es dans l Oued El Gourzi Ces eaux constituent la source principale d eau d irrigation pour les agriculteurs situ s en aval de la ville La pr sente tude avait pour objectifs d valuer dans l espace et dans le temps la qualit physico chimique et bact riologique les eaux us es de l Oued El Gourzi issues des rejets de la ville de Batna et des localit s limitrophes et d tudier leur aptitude l usage agricole Pour valuer la qualit des eaux us es d Oued El Gourzi sept sites de pr l vement ont t chantillonn s pendant la p riode d tude allant du mois de janvier au mois de juin au cours du quelle quatre campagnes S 9 Janvier S 1 Mars S3 17 Avril at S4 2 Juin ont t tablies Ces sites de pr l vement
453. m NE et le rendement en grains RG valu chez les diff rents g notypes de bl dur sous l effet de deux niveaux salinit d eau d irrigation Source de variation ddl NE PMG RG G notype 25 38816 86 635 89 1253 72 Traitement 1 3939 803 26 59 28 712 G notype x traitement 25 4447 91 23 12 36 99 Erreur 120 2001 87 16 43 14 34 C V 20 23 8 33 30 R 0 54 0 51 0 68 ns test F non significatif test F significatif au seuil de 5 test F significatif au seuil de 1 3 3 Analyse en composantes principales L analyse en composantes principales ACP a montr que les deux premiers axes pr sentent 60 de la variation L axe F1 concernent les param tres nombre des pis par unit de surface NE et la surface foliaire SF tandis que l axe F2 s pare ces param tres le poids de mille grains PMG le rendement en grain RG le rendement en paille RP et le rendement biologique RB Figure 3 Pour l essai irrigu par l eau douce les param tres tudi s sont plus corr l s entre eux Les plans factoriels form s par ces axes ont permis de d partager les g notypes en deux principaux groupes Le premier groupe est compos par les g notypes Ouard Bled 1 Agili Glabre 9 Azizi 11 Sweb Aljia 7 jenehKhotifa 23 Aoudhay 24 et les vari t s am lior esKhiar 15 Ma li 16 Om Rabiaa 17 Nasr 18 et Karim 19 qui pr sentent des rendements en grains et biol
454. m 25000 80000 Number of Household 3 5 Number of livestock sheep 600 400 Number of poultry garage Garden surface Hectare 0 5 1 Tableau 3 Rainfall data 2010 2011 2012 2013 Numbers of daily rainfall gt 7 mm 3 2 4 7 Concerned months Fev mars April Ap m June Mars nov April mai Amount mm 39 3 62 3 34 22 9 3 CONCLUSION Water is a precious resource especially at south Mediterranean countries that merit a specific policy to preserve water independence for their future generations based on the know how of population and technology progress REFERENCES Anna kajumul tibaijuka UN Habitat Rainwater harvesting and utilization Blue drop series book2 77p Brad Lancaster 2009 Rainwater harvesting for dry land and beyond voll Resource press 4ed Tucson Arizona USA 174p Heather Kinkade Levario 2007 Design of water led New Society Publisher Gabriola Island BC VOR 1X0Canada 237p 1101 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1102 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications
455. m lior es cinq allochtones une CHK deux PK et une autochtone Le quatri me groupe est repr sent en noir il comporte des vari t s ayant un faible NGE mais un PMG relativement fort Ce groupe contient 2 g notypes CHK 1 PK et lallochtone Sur le graphique on remarque les points n appartenant aucuns des groupes cit s pr c demment dont la vari t A6 qui constitue elle seule un groupe marqu par un NE et un PMG tr s faibles NGE lev et des valeurs moyenne pour les autres param tres et dont aussi le point V41 en violet qui est caract ris par un NGE tr s faible Sur ce graphique on a remarqu qu Il ya une forte corr lation entre RP RB et RG par contre NGE et PMG sont inversement oppos s c d que les vari t s ayants un NGE lev ont un faible PMG et vice versa 3 5 2 R gime avec Stress salin Comme le montre lafigure 11les diff rentes variables sont bien repr sent es par les deux premiers facteurs qui expliquent 68 50 de la variance des variables Le premier axe explique 51 80 de la variance du nuage de points Comme I ACP pr c dente cet axe repr sente une combinaison lin aire des param tres RG RB RP et HZ69 L axe ACP2 repr sente 16 7 de la variabilit totale il est influenc par les valeurs de NGE NE et PMG On a analys la r partition des vari t s dans le plan engendr par les deux axes ACP1 et ACP2 tout en tenant compte de la signification des axes La distribution de nuage des point
456. m tres irrigu s dans les zones arides Mots cl s Gestion durable syst me d irrigation traditionnel Oasis de Boukais savoir faire ancestral horloge solaire SUMMARY It iskind of mountain located inthe transition zone between the Saharian Atlas and the Sahara It persists for centuries through the maintenance of ancestral knowledge and the effectiveness of traditional ingenious irrigation system orchestrated by asocial participatory water management This system is mainly water gushing source of Sidel Haj Alia rate of 20 1 s Idrotecnica1976 It is gravityfed to the various plots of the palm using a network arborisant Seguia The water distribution obeys the customary depending on the time whichis controlled by a sundial Operations of this precious substance transactionare managed by conventional rules of the local society This Irrigation system is a model that ensures the harmony between the art of water control and fairness and social cohesion with the state of the ecosystem It ensures the objectives of the integrated management of water resources resource sustainability participation at the local scale and feasibility in terms of costand equity long The sustainable integrated management of water resourcesis being requested internationally after the crisis of irrigation patterns in irrigated perimeters and many of the different degradation Oasis generated by the introduction of modern means not adapted to their vulnerable eco
457. m chloride on the growth and mineral nutrition of pepper cultivars Journal of Plant Nutrition 20 1085 1094 Dalla Costa L and G Gianquinto 2002 Water stress and water table depth influence yield water use efficiency and nitrogen recovery in bell pepper lysimeter studies Aust J Agric Res 53 201 210 Debaeke P and A Aboudrare 2004 Adaptation of crop management to water limited environments Eur J Agron 21 433 446 1097 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Dorji K M H Behboudian and J A Zegbe Dominguez 2005 Water relations growth yield and fruit quality of hot pepper under deficit irrigation and partial rootzone drying Scientia Hortic 104 137 149 Ferrara A Lovelli S Di Tommaso T and M Perniola M 2011 Flowering Growth and Fruit Setting in Greenhouse Bell Pepper under Water Stress Journal of Agronomy 10 12 19 Hsiao T C 1993 Growth and productivity of crops in relation to water stress Acta Hortic 335 137 148 Kulkarni M and S Phalke 2009 Evaluating variability of root size system and its constitutive traits in hot pepper Capsicum annum L under water stress Sci Hortic 120 1
458. m of the present study was to assess in dry and wet seasons the water quality flowing into Oued El Gourzi Batna NEastern Algeria for suitability to irrigation uses Water sampling sites include locations of the main effluent discharges E E and E as well as the points where El Gourzi effluents were supplied for irrigation purposes E4 Es Es and E7 The distance from the first sampling site and the last one is about 25 km Water was sampled from January to June on four sampling periods S January 9 S March 1 S3 April 17 and S4 June 2 Standard procedures were followed for the water physicochemical and bacteriological analyses temperature pH electric conductivity salinity dissolved oxygen BOD COD suspended solids turbidity nitrate ammonium orthophosphate chloride alkalinity Calcium magnesium sodium hardness and total coliforms fecal coliforms fecal streptococcus salmonella and vibrio cholerae The results showed that the El Gourzi water exhibited high levels of suspended solids BOD nitrate ammonium phosphorus and fecal contamination which present a threat to waters soil and aquatic organisms of the receiving environment Almost all the water variables concentrations increased toward the main effluents discharge in the El Gourzi stream E and E2 and were higher in dry periods US Laboratory Salinity Staff diagram classifies El Gourzi waters as C3S C3S2 and C4S C4S2 in wet and dry periods respective
459. matiques journali res d cadaires et mensuelles telles que la dur e d insolation temp rature de l air humidit relative et vitesse du vent sont utilis es en entr e des r seaux de neurones artificiels afin d en d terminer la meilleure combinaison tout en choisissant la meilleure structure neuronale nombre de neurones cach es Les r sultats d ETo obtenus par les RNAs sont compar s avec ceux de la formule de Penman Monteith modifi e Nous avons d montr que les RNAs donnent des valeurs d ETo tr s proches celles enregistr es avec la formule de Penman Monteithmodifi e FAO 56 II est vident que les RNAs sont simples et efficaces pour mod liser l ETo avec une fiabilit remarquable et des perspectives prometteuses Ces r sultats r v lent que les RNAs peuvent tres utilis s pour estimer les besoins en eau des cultures afin de piloter les irrigations Mots cl s R seaux de neurones artificiels vapotranspiration de r f rence mod le crit re de performance erreurs Penman Monteith modifi e irrigation 1 INTRODUCTION The plant isconstantlycrossed by a water flux from soil to atmosphere this process is called transpiration however soil losses none neglected amount of water by evaporation the combination of these two processes is called evapotranspiration Evapotranspiration is an extremely complex phenomenon because it deals with several climatic aerodynamic energetic and biologic parameters Accurate evap
460. ment il faut sans doute invoquer quelques d formations qui ont pr par le terrain et aussi peut tre quelques retraits ayant ouvert des crevasses o l eau s est engouffr e lors de fortes pluies du 01 03 2012 Photo Kouidri R Figure 7 Glissement de terrain et correction torrentielle mur de sout nement HaouchZegaa Ouzera 09 05 2012 3 4 Discussions Ce ravin est fonctionnel et constitue un drain de ruissellement et transport de produit d rosion Fig 8 Il se comble en t et s rode en hiver Le bilan en ann es est une tendance globale l ablation Le ravin s largit tr s vite et a tendance s approfondir L 150 m 1 5 12 m 16 m en t te de ce ravin Profondeur 8 m D apr s les photos a riennes ann e 1972 ch 1 20 000 avant l installation du village agricole cette ravine tait une surface plane sur laquelle il y avait du vignoble D apr s les t moignages des riverains l volution du ravin depuis 1987 jusqu 2013 est de 26 ans 1060 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Photo Kouidri R Figure 8 Ruissellement concentr pluies torrentielles Elargissement du grand ravin Haouch Zega
461. ments au Qatar hauteur de 43 26 au Bahre n 24 aux E A U et 11 en Alg rie o ils contribuent pour 52 la consommation domestique L Alg rie se donne l ambition de porter ces volumes d eau dessal s 800 millions m an l horizon 2010 et 1 milliard m an l horizon 2025 Cette contribution s l ve 77 au Kowe t 71 aux E A U et 70 au Bahre n La consommation domestique au Qatar est totalement assur e par l eau dessal e On constate que se sont les pays p troliers qui supportent la consommation nerg tique de cette production d eau potable dont le prix de revient minimum avoisine 0 5 dollar us le m tre cube Les cons quences li es aux saumures rejet es dans le milieu marin sont pour le moment ignor es 4 2 La r utilisation des eaux us es pur es Le recours l utilisation des eaux us es pur es ou pandage des eaux us es pur es a d but la fin du 19 si cle dans plusieurs pays comme l Australie la France l Allemagne l Inde le Royaume Uni les USA et le Mexique L utilisation ne s est pas limit e l irrigation mais elle a concern l industrie le nettoyage des rues l aquaculture et la recharge des nappes souterraines Les avantages offerts par ces eaux ont connus une promotion dans le monde o des pays r utilisent des volumes importants allant jusqu 25 ou 40 voire 100 des rejets Cependant il est remarqu que seuls 2 des eaux us e
462. mework by creation of farms with irrigation equipment on condition to have a sufficient field and water resource permit exploitation More often the second condition is not satisfied for that the concerned people are reoriented to rainwater harvesting by constructing pools Two sites are represented in the poster Realized in 25 07 2002 at Ain Omhani Seggana Algeria with geographic coordinates N 35 17 50 6 E 5 28 56 0 Realized in 17 10 2006 at Ouled bourenan Djezzar Algeria with geographic coordinates N 35 29 49 2 E 5 26 43 7 ee Mediterranean Sea J 4 Mere se RE Bama S 1 man CO NS 2 a ol a y ALGERIA Figure 1 Study area localisation Pool is a simple construction which is realized by simple earthwork of the ground in the form of dyke that collecting rainwater of micro catchment with surface about some square kilometers and storage capacity going from some to hundred thousands of cubic meters obtained by digging followed by compressing with a bulldozer during an average time of 100 hours to form a dyke with average high about 3 meters After earthwork is terminated the amont face of dyke is paved with rocks 3 RESULTS We have followed the two sites from proposal to construction until nowadays and we have registered the benefits of this alternative technique on various layouts Simple to construct Bulldozer for digging and handwork employment for covering 1100 Revue de
463. mier facteur limitant de la production agricole dans notre pays o la culture pluviale est tr s majoritairement pratiqu e elle constitue est une contrainte permanente de la production v g tale et particuli rement celle des c r ales En effet les bl s en conditions pluviales et sur de grandes tendues au m me titre que les autres grandes cultures sont expos es annuellement soit l insuffisance des pr cipitations soit la mauvaise r partition de ces pr cipitations dans le temps le long du cycle biologique de la plante Dans nos r gions zones c r ali res des hauts plateaux nous pouvons distinguer trois types de s cheresse Une s cheresse du d but du cycle biologique Une s cheresse du milieu du cycle biologique S cheresses intermittentes Une s cheresse de fin de cycle biologique S cheresse finale Si sous le 2 me type de s cheresse les plantes sont moins vuln rables car les temp ratures sont g n ralement basses il n en n est pas de m me pour le ler et surtout le 3 me type de s cheresse Alors que le 1 type retarde le cycle et peut provoquer des d g ts au cours de la germination et l installation de la v g tation le 3 me provoque le non remplissage du grain et entra ne de faibles rendements Par rapport ce ph nom ne de s cheresse Levitt 1972 a r alis une tude sur la r sistance des plantes En voici l extrait Les adaptations la s cheresse chez les v g taux
464. moindre degr chez les populations de Jerba 11 94 mg g Digitaria commutata de Bouhedma 7 27 mg g compar Matamata 4 77 mg g la fin du 1 cycle A la fin du deuxi me cycle la valeur la plus importante est enregistr e chez la population de Bouhedma 5 15 mg g 4 moindre degr chez les populations de Digitaria commutata Bouhedma 3 48 mg g et celle de Matamata 2 71mg g Fig 4 1236 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 N u1 N bh uw Carot noide mg g u1 a 3 3 2 V Q p S 850 999P F Nn Fin du 1 cycle Fin du 2 cycle Figure 4 Variation du taux des carot noides chez les esp ces tudi a la fin des deux cycles de stress hydrique TCB plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Jerba SCB plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Jerba TCA plants t moin de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma SCA plants stress de cenchrus ciliaris de la population de Bouhedma TD plants t moin de Digitaria commutata de Bouhedma SD plants stress de Digitaria commutata de Bouhedma TCC plants t moin de cenchrus ciliaris de la popu
465. mulation of aliphatic GSLs GI GR GE in cv Naxos than Parthenon 4 14 fold and 3 34 fold respectively at 90 mM NaCl which confers on this cultivar a greater nutritional value when cultivated under salinity In addition sinapic acid derivatives were shown to be significantly P lt 0 001 more accumulated in cv Parthenon by salinity than in cv Naxos These results suggested that salinity is an abiotic stress that could ameliorate the nutritional value of broccoli plants Furthermore the differential responses of the two cultivars to salinity in term of bioactive compounds composition indicated the crucial role of the genetic background on the organoleptic and nutritional properties that each cultivar acquires Keywords broccoli flavonoids glucosinolates phenolics salinity 1 INTRODUCTION Les fruits et les l gumes demeurent une source importante des nutriments dans plusieurs zones du monde et offrent des avantages sur les compl ments alimentaires en raison de faible co t et de grande disponibilit Des tudes pid miologiques ont montr que la consommation r guli re de l gumes de la famille des Brassicaceae est b n fique pour la pr vention des maladies chroniques telles que les pathologies canc rig nes et cardiovasculaires Jeffery et al 2003 Moreno et al 2006 Traka et Mithen 2009 Dans cette famille le brocoli Brassica oleracea L var Italica se distingue par le nombre 1151 Revue des R gions Arides Num
466. n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 0 9283x 10 917 R 0 91 nth 14 oo N gt ei ei DS N ooo ia D gt ETO mm mo _ N N ANN 0 ET0 mm month 22 29 36 43 50 57 100 150 time monthes PM ETO mm monthr ANNms ETO _ PM ETO 180 F 0 9541x 11 039 R 0 9073 a amp z z a 3 H oo E Z Z lt 22 29 36 43 50 57 100 150 time months PM ETO mm montlr ANNm7 ETO PM ETO 0 9222x 1 3595 R 0 9141 ANN n7 ET0 mm montlhr 15 22 29 36 4 100 150 time months PM ETO mm montlr 120 lt ANNm5 ETO _ PM ETO 140 Y 0887x 5 2058 120 e 100 s 80 e 60 40 20 ANN s ETO0 mm montlr 1 8 15 22 29 36 43 50 57 0 50 100 150 200 time months PM ETO mm montlr Fig ure 4 Comparison of the monthly ETo estimated by ANN models selected and PM FAOS6 equation during the validation 4 CONCLUSION The potential of the MLP ANN model for estimation of reference evapotranspiration using climatic variables has been illustrated in this paper The study demonstrated that modelling of daily ten day and monthly reference evapotranspiration
467. n NGB Neoglucobrassicin Tableau 2 Teneur en glucosinolates aliphatiques mg g MS dans les feuilles de deux cultivars de brocoli cultiv s pendant 15 jours en conditions de salinit Vari t NaCl mM GI GR GE GSLs aliphatiques totaux 0 0 12 0 02 ab 0 32 0 06a 0 29 0 05 a 0 72 0 07 a N 30 0 10 0 01a 0 18 0 10a 0 98 0 22 a 1 26 0 29 a axos 60 0 18 0 02 ab n d 2 33 0 12 b 2 52 0 11 b 90 0 23 0 05 b n d 2 79 0 27 b 3 02 0 27 b 0 0 10 0 01a 0 06 0 02a 0 07 0 02 a 0 24 0 01 a 30 0 21 0 01 b 0 15 0 00b 0 10 0 01 a 0 44 0 02 ab Parthenon 60 0 20 0 02b 0 20 0 01 c 0 30 0 03 a 0 70 0 05 bc 90 0 26 0 03b 0 21 0 01 c 0 32 0 12 a 0 80 0 12 c 3 0 n s xK xK Signifiances entre les deux 30 ENE n s E n s cultivars 60 n s pa TAR ERN 90 n s kkk kkk KKK Pour chaque cultivar les moyennes avec des lettres diff rentes sont significativement diff rentes P lt 0 05 Tukey test La signifiance entre les deux cultivars est d termin e relativement au Student s t test avec P lt 0 05 P lt 0 01 P lt 0 001 n s non signifiant n d non d tect e GI Glucoiberin GR Glucoraphanin GE Glucoerucin 3 3 Teneur en glucosinolates totaux La teneur en GSLs totaux est calcul e par l addition des teneurs en GLSs indoliques et aliphatiques Chez les plantes non trait es la teneur en GSLs totaux est beaucoup plus importante P lt 0 001 chez le cv Naxos que chez Parthenon Tableau 3
468. n de la salinit Boukrich 2004 remarque aussi que le nombre moyen des feuilles plante chez Artemisia herba alba soumises au stress salin diminue avec l augmentation de la salinit 5 CONCLUSION GENERALE La pr servation et la valorisation des ressources phytog n tiques locales reste parmi les voies les plus importants pour la promotion de l agriculture dans le monde et particuli rement en Tunisie Ces ressources forment une base pour les programmes d am lioration et de s lection Leur diversit constitue une source des g nes de tol rance et de r sistances aux diff rents probl mes biotiques et abiotiques limitant la production agricole La famille des solanac es comporte plusieurs esp ces cultiv es traditionnellement en Tunisie depuis des milliers d ann es Les cultivars locaux de ces esp ces en Tunisie ont pu s adapter aux conditions locales difficiles repr sent es principalement par l aridit de notre climat A cet effet le pr sent travail est une contribution l tude du comportement de trois vari t s acclimat es de tomate Lycopersicon esculentum et une vari t de r f rence vari t Amel vis a vis du stress salin En outre on a essay de d gager d ventuels crit res morpho physiologiques en vue d valuation de la tol rance de cette esp ce la contrainte saline L application de deux niveaux de stress salin durant tout le cycle de d veloppement des plantes a affect n gativ
469. n eau d irrigation vari t de canne sucre en conditions de rationnement hydrique Cahier d agriculture 10 4 243 253 Carter GA Spiering BA 2002 Optical properties of intact leaves for estimating chlorophyll concentration J Envir Quality 31 1424 1432 Cornic G Massacci A 1996 Leaf photosynthesis under drought stress In Photosynthesis and the environement N R Baker ed Advances in photosynthesis Vol 5 Govindjee series editor Kluwer Academic Publishers Dordrecht ISBN 0 7923 43 16 1 De Lacerda CF Cambraia J Oliva MA Ruiz HA 2005 Changes in growth and in solute concentrations in sorghum leaves and roots during salt stress recovery Environ Exp Botany 54 1 69 76 Dj Y Heuertz M Ater M Lefebvre C Vekemans X 2007 Evaluation de la diversit morphologique des vari t s traditionnelles de sorgho du Nord ouest du Maroc Biotechnol Agron Soc Environ 11 1 39 46 1090 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Edwards GE Franceschi VR Ku MBS Voznesenskaya EV Pyankov EU Andreo CS 2001 Compartimentation of photosynthesis in cells and tissues of C4 plant J Exp Botany 52 356 577 590 FAO 1997
470. n effet significatif de l interaction g notype traitement 3 1 2 Nombre de grains pi Le taux de r duction de ce param tre est de l ordre de 30 en moyenne On peut dire que c est un caract re vari tal qui d pend des g notypes et facteurs externes comme la salinit Ces r sultats sont confirm s par les travaux d El Hendawy et al 2007 qui ont prouv que les param tres de rendement sont affect s n gativement chez le bl dur par la salinit Thomson et al 2009 ont trouv ces m mes r sultats qui indiquent que la salinit diminue ce rendement en r duisant la fertilit de l pi du bl L effet de l interaction traitement g notypes est significatif seulement au seuil de 5 Ceci nous permet de d terminer les vari t s les moins affect es V38 A8 V41 V3 et A9 qui pr sentent des taux de r duction compris entre 16 et 3 et les vari t s les plus touch es par la salinit avec leurs taux de r duction d passent le 50 V22 V48 V29 et V47 Pour ce param tre on note que certaine vari t s am lior es sont tr s bien class es Figure 3 Nombre des grains par pis Nombre des grais Te 93425 serae TE S ossse ee Figure 3 Variation du nombre de grains par pi des diff rents g notypes tudi s en fonction des traitements 1291 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisenne
471. n the other hand when rating the irrigation water in relation to both salinity and sodium hazard SAR the US salinity diagram demonstrates that these stations water fall in C3S C3S2 and C4S C4S2 categories in high and low flow periods respectively Table 3 USSL 1954 1125 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 The irrigation water falling within this category reflects high salinity and low sodium water hence does not present any sodicity problems but has to be used carefully for the irrigation of tolerant crops Wilcox 1955 The results showed that the sodium percentage Na of the irrigation water at the stations E4 Es E6 and E ranged from 37 50 to 53 08 Table2 Hence according to Wilcox diagram results Table 3 the irrigation water at all these stations ranges from good to doubtful categories during high flow and falls in doubtful to unsuitable category during low flow period Wilcox 1955 This means that when sodium concentration is high in the irrigation water sodium tends to be absorbed by clay particles displacing calcium and magnesium ions reducing thus soil permeability and its drainage characteristics Kirda 1997 Sundaray et al
472. nchrus ciliaris de Jerba 3 population de Digitaria commutata de Bouhedma 4 population de Cenchrus ciliaris de Matmata 4 DISCUSSION La croissance des plantes d pend de leurs capacit s synth tiser les glucides sucres partir du gaz CO2 et d eau cette r action se fait au niveau des feuilles organe de la plante contenant le plus de chlorophylle Ce chlorophylle capte l nergie lumineuse et l utilise pour former des glucides Par cons quent la concentration de chlorophylle augmente avec la concentration des mati res nutritives de m me elle augmente avec la diminution de l intensit lumineuse Poorter et al 1995 Niinemts 1997 Niinemts et Tenhunen 1997 cit par Ghouil H 2004 L application de deux cycles de stress hydrique illustre bien que les cons quences du stress est mise en vidence durant le deuxi me cycle de carence en eau ce pendant les diff rences sont tr s hautement significative entre le t moin et le stress le test de Duncan implique que cette importante diff rence 1237 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 pour les chlorophylles en discriminant les populations en diff rent groupe 4 1 3 2 pour
473. ndis que la mer Rouge rafra chit ses rivages celle d Oman adoucit le climat au sud est de la p ninsule arabique Cependant l int rieur des pays arabes se caract rise globalement par un climat aride hyperaride 2 CARACTERISTIQUES PHYSIQUES D un point de vue climatique le monde arabe est situ dans un espace de transition entre deux zones Une zone tropicale et subtropicale qui se distingue par une quasi constance de la pr sence de hautes pressions tr s stables Autour de 30 de latitude une partie de l air s arr te cellule de Hadley descend vers le sol s y accumule et forme une zone de hautes pressions provoquant un r chauffement cause de la compression de l air Mutin 2000 On l appelle la r gion des calmes tropicaux Ces anticyclones maintiennent une protection contre les perturbations pluvieuses sur les r gions sahariennes Le d ficit de pr cipitations atmosph riques est d essentiellement l existence de chapelet de cellules d air continental sec correspondant ces hautes pressions Une zone m diterran enne du domaine temp r caract ris e par une circulation d ouest est de d pressions cycloniques Le front polaire limite les deux domaines tropical et temp r et se d place au cours de l ann e Il remonte en latitude en t et descend en hiver jusqu au nord de l Afrique permettant le passage de d pressions cycloniques Cependant une zone chappe ce sch ma g n
474. ner le sens de circulation de l eau Il s exprime en m ga pascals ou en bars La cin tique du potentiel hydrique a t suivie au niveau de chaque site deux mesures ont t prises la premi re l aube potentiel hydrique de base la seconde au mi journ e potentiel hydrique de midi Trois r p titions ont t faites pour chaque mesure et c est la valeur moyenne qui a t retenue Le potentiel hydrique foliaire a t mesur l aide d une chambre pression de Scholander et al 1965 sur des feuilles bien d velopp es Bien que destructive cette m thode l avantage d tre simple et rapide Conductance stomatique Les techniques porom triques d crites par Laffray et Louguet 1989 permettent de d terminer le degr d ouverture stomatique en mesurant le flux de vapeur mis par la feuille l aide d un porom tre 1240 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Delta T Type AP4 Chaque r sultat repr sente la moyenne de trois mesures pour la conductance stomatique de matin et de mi journ e Mesure des param tres dendrom triques La hauteur et le diam tre de la touffe ont t mesur s pour valuer la croissance La
475. niques sciences m thodes g nie urbain g nie rural 4 59 65 Chartzoulakis K 2005 Salinity and olive Growth salt tolerance photosynthesis and yield Agric Water Manag 78 108 121 Citernesi A S Vitagliano C et Giovannetti M 1998 Plant growth and root system morphology of olea europaea L rooted cuttings as influenced by arbuscular mycorrhizas Journal of Horticultural Science and Biotechnology 73 5 647 654 CRDA 2008 Rapport d analyses physico chimiques des eaux us es trait es de la station d el Hajeb OTD Chaaal FAO 2003 Organisation des Nations Unies pour Alimentation et l Agriculture L irrigation avec des eaux us es trait es Manuel d utilisation 73 p Ismail M 2009 Effet des mycorhizes sur des plantules d olivier Olea europaea L irrigu es avec les eaux us es trait es Mast re de l Institut Sup rieur de Biotechnologie de Sfax 68 p Kapoor R Sharma D et Bhatnagar AK 2008 Arbuscular mycorrhizae in micro propagation systems and their potential applications Scientia Horticulturae 116 227 239 Khabou W 2012 R ponses et m canismes de tol rance chez quatre cultivars d oliviers Olea europaea L soumis un stress salin et contribution sa r duction par une endmycorhize Glomus intraradices Shenk and Smith Th se Doc Fac Sci Tunis 163 p Pandey N et Prakash Sharma C 2002 Effect of heavy metals Co2 Ni2 and Cd2 on growth and metabolism
476. nnes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 nature des prot ines solubles accumul es chez le bl avec une pr pond rance des prot ines de haut poids mol culaires dans le voisinage de 200 kDa L accumulation de ces prot ines chez les g notypes tol rants comparativement aux g notypes sensibles sugg re l existence d une corr lation entre la tol rance au froid et l accumulation de ces prot ines sp cifiques Ces m mes auteurs observent l augmentation de l intensit d accumulation de trois prot ines dont les poids mol culaires sont de 48 47 et 42 kDa Par contre l intensit de cinq autres prot ines dont le poids mol culaire varie de 93 63 kDa diminue au cours de l endurcissement Sarhan et Perras 1987 Ces changements sont interpr t s comme faisant suite l ajustement m tabolique en r ponse aux basses temp ratures plut t que des changements sp cifiques li s au d veloppement du processus d endurcissement L acclimatation des plantes au froid est un processus actif r sultant de l expression de nombreux m canismes physiologiques et m taboliques d adaptation aux basses temp ratures Parmi les changements m taboliques les plus importants observ s sous basses temp ratures on note l accumulation des hydrates de carbones des prot ines des acides nucl iques des acides amin s et des hormones r gulatrices de la croissance Gusta et al 1996 Plusieurs r sultats des reche
477. nol d eau et d acide ac tique dans des proportions volumiques de 40 50 10 contenant du bleu de coomassie 0 2 Les gels sont d color s par plusieurs lavages successifs dans une solution d acide ac tique m thanol eau dans les proportions 7 30 63 Laemmli 1970 Les gels obtenus ont t photographi s et analys s par comparaison avec les marqueurs prot iques de diff rentes masses mol culaires provenant d un kit Sigma Ces prot ines standards marqueurs sont la phosphorylase b de 97 4 kDa l albumine de s rum de boeuf de 66 0 kDa l ovalbumine de 43 0 kDa l anhydrase carbonique de 29 0 kDa la trypsine inhibitrice du soja de 20 1 kDa et le lysozyme de 14 3 kDa Analyses statistiques L analyse des donn es est faite par la m thode ANOVA utilisant le logiciel Statitcf 1991 Les mesures ont fait l objet d une analyse de la variance deux facteurs L analyse est compl t e par des comparaisons multiples des moyennes par le test de la plus petite diff rence significative au seuil de 5 Steel et Torrie 1980 3 RESULTATS ET DISCUSSION 3 1 Teneur en chlorophylle Le contenu en chlorophylle de la feuille est troitement li l activit photosynth tique l accumulation de la mati re s che et au taux de la croissance relative Poshmasari et al 2007 Il est troitement li galement la concentration de l azote de la feuille Hussein et al 2000 montrent que des concentrations chlorophylliennes et azot
478. nous avons analys la r partition des vari t s dans le plan engendr par les deux axes ACP1 et ACP2 La distribution des individus montre l existence de 5 groupes de vari t s Le premier groupe est form de 7 accessions allochtones 2 PK 1 locale 1 am lior e et 1 CHK ce groupe renferme les vari t s ayants des valeurs faibles de tous les param tres Le deuxi me groupe form de 4 g notypes CHK 3 am lior s 2 PK 2 locaux et 1 allochtone Ces vari t s qui sont proches du centre de l ACP sont caract ris es par des valeurs moyennes des param tres mesur s Le 3 me groupe form des deux vari t s V49 et V36 toutes les deux CHK pr sente les meilleurs RG RB et RP donc semblent tre le plus performants Un quatri me groupe form des deux vari t s V41 et V39 ayants les meilleurs NE et PMG Finalement la vari t A6 pr sente le meilleur NGE Cette ACP montre que le RG est bien corr l avec le RB par contre le plus le NE est lev plus le NGE est faible 3 5 Interaction G notypes Traitement 3 5 1 R gime sans stress salin Les deux premiers facteurs sont les plus importants et toutes les variables peuvent s exprimer presque exactement comme une combinaison lin aire de ces facteurs puisqu ils expliquent eux seuls 70 22 de la variance des variables La figure 10montre queL axe ACP1 repr sente 50 95 de la variabilit totale Il repr sente une combinaison lin aire des param tres RG RB et RP L axe
479. ns a V chelle mondiale V vinifera est l esp ce viticole la plus commune et la plus importante au niveau conomique Galet 1993 Le raisin issu du genre Vitis est le fruit au premier rang des productions fruiti res dans le monde du point de vue quantit et importance conomique This et al 2006 Vivier 1165 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 et Pretorius 2002 Malgr sa grande importance conomique dans le contexte mondial la vigne constitue un mod le biologique peu tudi qui ne mobilise pas de moyens de recherche importants permettant d aboutir rapidement des avanc es fondamentales dans la connaissance du v g tal Il reste donc 4 mener des nombreuses tudes sur la physiologie et les interactions avec le milieu physique de cette plante pour mieux comprendre ses aspects Ces tudes permettraient de d gager les voies qui pourraient tre utilis es pour am liorer les performances agronomiques de cette culture dans le cadre d une viticulture raisonn e Les plantes d veloppent un nombre important de m canismes pour faire face au stress salin Dans ce travail nous proposons d tudier les r ponses de quelques c pages locaux des oasis
480. ns couvrant notre zone d tude Geophysical Fluid Dynamics Laboratory GFDL de NOAA d veloppe et utilise des mod les math matiques et informatiques pour les simulations afin d am liorer la compr hension et la pr vision de comportement de l atmosph re l oc an et le climat 1192 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 GFDL procure des mod les atmosph riques HIRAM C360 High Resolution Atmospheric Model a t d velopp dans le but de fournir une meilleure repr sentation des ph nom nes m t orologiques significatifs dans un mod le climatique global 4 Le mod le hydrologique HidroMORE HidroMORE est consid r comme un mod le op rationnel permettant le calcul du bilan hydrique avec un nombre limit de donn es d entr e Un autre aspect pertinent d HidroMORE est sa capacit a d tecter le stress hydrique de la v g tation qui peut tre obtenue par le bilan hydrique du sol 4 1 Description du mod le HidroMORE se base sur la m thodologie de la FAO 56 double coefficient cultural prenant en compte le stress hydrique pixel par pixel dans de vastes domaines et il est assist par des images satellites pour d terminer les param tres de
481. nt Vol 2 Ed Herman 461p Mouhanni H Bendou A 2011 Impact de la reutilisation des eaux usees epurees en irrigation sur la croissance de la plante gazon Revue internationale d h liotechnique n 43 2011 14 21 Xanthoulis D Rejeb S Chenini F Khelil MN Chaabouni Z Frankinet M et Destain JP 2002 Optimisation de la r utilisation des eaux us es trait es en irrigation Rapport d expertise Sciences du vivant Sciences de l environnement amp cologie 81p 1026 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Caract risation g ochimique des eaux de la nappe superficielle dans I oasis de Ouargla Sahara alg rien Abdelhak Idder Tahar Idder Imed Eddine Nezli Ismaiel Berkal Khadidja Boukhris Laboratoire de Recherche sur la Ph niciculture Universit Kasdi Merbah Ouargla Alg rie Email idder_haki yahoo fr RESUME L tude pr sent e s int resse la caract risation g ochimique de la nappe superficielle et l examen des processus de pr cipitation des sels dans une parcelle a texture sableuse non cultiv e situ e dans l oasis de Ouargla Les r sultats obtenus montent que les eaux de cette nappe poss dent une salinit e
482. nt au t moin 72 En d autre terme les graines t moins non trait es germent mieux que celles soumises au stress salin Cela permet il de penser que l Atriplex halimus n est pas une halophyte stricte mais qu elle s adapte plut t aux milieux sal s Lorsque les concentrations augmentent 400 et 500 meq l les graines d Hordeum vulgare deviennent plus sensibles au sel 18 et 4 de germination que celles d Atriplex halimus 22 et 8 de germination Enfin il convient d indiquer que l eau de mer c est dire le traitement 600 meq l de sel retarde et r duit la germination des graines d Atriplex halimus tandis qu elle inhibe compl tement la germination des graines d Hordeum vulgare 4 CONCLUSION Au terme de cette modeste contribution l tude comparative sur le plan germinatif d Atriplex halimus L et Hordeum vulgare L il convient de r capituler les principaux r sultats obtenus les conclusions qu elle implique ainsi que les perspectives d avenir qui s en d gagent Ces deux esp ces se montrent bien adapt es aux r gions arides et semi arides La comparaison des germinations sous stress salin de Hordeumvulgare et d Atriplexhalimus montre des taux cumul s de germination sensiblement quivalents entre les deux esp ces bien que l orge ne soit pas une plante halophyte Ces r sultats montrent la possibilit d utilisation potentielle de l orge pour la mise en valeur des sols sal s ou i
483. nt deux accessions allochtones 3 1 4 Rendement en grain Pour les t moins ce param tre montre des fluctuations entre le 235 g m et 576 g m ces fluctuations existent aussi pour les stress s mais avec des extr mums moins lev s 83 g m et 380 g m L analyse de cette composante du rendement est un outil pour tester l effet du stress salin sur les diff rents g notypes qui abouti enfin au choix de vari t s les plus adapt es et les plus performantes sous ces conditions L analyse de variance au seuil de 1 de ce param tre a prouv l intervention significative du g notype du traitement et de l interaction traitement g notypes dans la d termination un rendement en grain Les g notypes les moins touch s par la salinit sont A9 et V41 avec leurs taux de r duction n gatifs gales respectivement 7 et 4 Par contre on trouve V44 V8 V29 et V39 avec des taux de r ductions qui d passent le 70 Figure 4 Rendementen grains Beau douce Beau charg e Poids des grains m2 G notypes Figure 4 Variation de rendement en grains des diff rents g notypes tudi s en fonction des traitements 1292 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones a
484. nt tous la m me quantit d eau et ne diff rent que par la quantit de Na CI additionn e l eau d irrigation 2 3 Mesure des param tres morphologiques Toutes les mesures morphologiques sont r alis es au stade maturit hauteur de la tige principale HAT en cm est d termin e l aide d une r gle gradu e comptage du nombre des feuilles NFT longueur LOD et largeur LAD de la feuille drapeau en cm est faite l aide d une r gle gradu e 2 4 Mesure des param tres physiologiques La d termination de la teneur en chlorophylle est r alis e par l indice chlorophyllien ICH l aide du S P A D ou Chlorophyll Meter 2 5 Analyse statistique Toutes les mesures ont t r p t es trois fois Les r sultats ont t soumis une analyse de la variance un facteur et les moyennes ont t compar es selon la m thode de Newman et Keuls Chaque moyenne est affect e d une lettre Les moyennes suivies d une m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de probabilit 5 3 RESULTATS ET DISCUSSION 3 1 Effet du stress sur la hauteur de la tige HAT Qu il soit hydrique ou salin le stress a agi n gativement sur la hauteur de la plante en raccourcissant la tige Cependant l effet de la contrainte hydrique est plus important que celui de la salinit En effet les r ductions de la hauteur sont d environ 36 pour T35 et de 23 pour T7 Tableau 2 alors que sous l acti
485. nte suffisamment mais sans exc s de macro et oligo l ments qui sont n cessaires son d veloppement Chez la boue3 la dose 50 t ha semble induire d effets nocifs sur l expression du param tre mentionn et l apport de fertilisation min rale montre moins de sensibilit l expression du PMG Ce dernier peut tre expliqu par l ajout tardif de l azote min ral OBoue1 HBoue2 m Boue3 g k a Variables Figure 1 Contribution de l amendement Bouel Boue2 Boue3 l augmentation relative des moyennes des variables mesur es comparativement celles du traitement N E Bouei OBoue2 O Boue3 Variables Figure 2 Contribution de l amendement Bouel Boue2 Boue3 augmentation relative des moyennes des variables mesur es comparativement celles du t moin 1117 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Comme la biomasse a rienne est la r sultante de toutes les variables mesur es c est la r ponse de ce caract re qui est indicatrice du niveau maximal de l apport de boue r siduaire Les r sultats de la pr sente tude montrent que ce niveau semble se situ
486. nution du rendement cause de la r duction de la capacit photosynth tique Un effet tr s hautement significatif des provenances et des traitements hydriques sur le taux d accumulation des sucres solubles a t d cel par l analyse de variance tout au long du stress chez les deux provenances tudi es Les r sultats obtenus montrent que les plantes stress es ont r agi par l augmentation des quantit s de sucres au niveau de leurs cellules Cette augmentation est en r alit un param tre d adaptation aux conditions de stress hydrique Kameli et Losel 1995 permettant de constituer une garantie pour le maintien d une int grit cellulaire lev e Bensalem 1993 L ajustement osmotique constitue le processus majeur permettant la cellule de maintenir sa turgescence sous contrainte hydrique Turner 1983 gr ce l accumulation active de sucres solubles Ackerson 1981 Outre l accumulation des sucres solubles chez les plantes soumises aux conditions de limitations hydriques on note une accumulation de proline L accumulation de la proline est environ 2 fois plus importante chez les plantes stress es et cela chez les deux provenances L accumulation de la proline intervient comme une r ponse au d ficit hydrique Monneveux et Nemmar 1986 Le stress hydrique appliqu a provoqu une augmentation consid rable de l accumulation de cette prot ine chez les deux provenances du henn tudi es Chez le ni b Vi
487. oO Qa Se ao a a Ee a c gt So SC3 SCA scs sc6e Sc7 SCENARIOS PAR EXPLOITATION e EXP6 s EXP11 EXP20 Figure 2 Moyennes des rendements du ma s fourrager par sc nario d irrigation et par exploitation Les r sultats relatifs aux moyennes de la marge brute de la culture du ma s fourrager de trois exploitations types en fonction de la salinit et du changement climatique ainsi que leurs volutions en fonction des sc narios d irrigation durant la m me p riode sont repr sent s par la figure 3 Scenarios par exploitation EVOLUTION DE LA MB EXP6 E EVOLUTION DE LA MB EXP11 EVOLUTION DE LA MB EXP20 Figure 3 Evolution des moyennes de la marge brute de mais par exploitation et par sc nario Z 3 ss gt lt vo Ce s a 3 S 2 gt S gt 4 DISCUSSIONS Les moyennes de la salinit des trois sols emblav s par le ma s fourrager subiront une augmentation variable selon les exploitations et les profils du sol Figure 1 Cette augmentation est accentu e par le changement climatique et pourra atteindre 4 5 dS m en profondeur La salinit sera att nu e en doublant la quantit d eau appliqu e initialement par l exploitation type EXP11 et en augmentant de 20 les quantit s d eau appliqu es initialement par les exploitations types EXP6 et EXP20 Cependant les moyennes des rendements du ma s subiront des bai
488. observ es en juin sont significatives p lt 0 05 entre les individus des 3 parcelles 100 95 90 85 E SM RWC E SS 80 E SSI 75 70 Mars Avril Mai Juin Dates Figure 1 Evolution mensuelle du contenu relatif en eau chez l olivier Chemlali Sfax conduit au plein champ en pluvial ou en irrigu sur deux types de sol Ces diff rences renseignent sur l impact de la texture du sol parcelles SS et SM et sur le mode de conduite parcelles SS et SSI induisant des effets significatifs sur le statut hydrique du sol affectant son tour l alimentation hydrique des arbres En d autres termes gr ce une humidit meilleure de la rhizosph re un syst me racinaire plus puissant et une r gulation stomatique plus performante olivier voluant sur un sol sableux profond souffre moins de la s cheresse continue que celui cultiv sur un 1249 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 sol marginal Donc on peut conclure que le RWC est proportionnel au d ficit hydrique ce qui est en accord avec les travaux de Giorio et al 1999 De m me un effet positif de l apport hydrique sur le contenu relatif en eau est r cemmen
489. ocage de la glycolyse ou du saccharose provenant d une forte hydrolyse de l amidon est observ Asloum 1990 Selon Hadjadj 2009 si la concentration en sel exc de le niveau de tol rance de la plante on assiste la destruction de la chlorophylle Si chez certaines halophytes la croissance est stimul e par un apport mod r de sel ce ph nom ne reste limit par un niveau de tol rance chez les glycophytes La salinit entraine une augmentation de la densit des trichomes Botti et al 1998 Khabou 2012 Les param tres stomatiques figurent parmi les meilleurs indicateurs sur l adaptation d une esp ce son milieu A t Said et al 2005 Sous l effet d un stress salin des changements se sont signal s dans la longueur la largeur et la densit des stomates des feuilles d arganier Alilou et al 2006 La pr sence de poils ou trichomes assure un r le important dans la r duction de la transpiration Le stress salin induit chez l olivier un changement profond dans changes gazeux des feuilles Tattini et al 1995 montrent chez certains cultivars soumis un stress salin ascendant une r duction de la conductance stomatique et de la transpiration L association d une plante h te avec des endophytes permet de r duire les sympt mes du stress en renfor ant les m canismes protecteurs intrins ques de la plante Ruiz Lozano 2003 La r ponse des plantes mycorhiz es en condition de s cheresse se traduit par de meil
490. oculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 3 Carr s moyens des carts de l analyse de la variance des prot ines solubles accumul es chez les trois g notypes sous l effet du choc du froid avec et sans endurcissement Sources de la variation ddl Carr s moyens des carts Stress S 1 465 32 G notypes G 2 129 18 GxS 4 105 48 R siduelle 16 6 25 effets significatifs au seuil de 1 Tableau 4 Valeurs moyennes des prot ines solubles mg ml mesur e chez les trois g notypes soumis au choc du froid avec et sans endurcissement Effets Moyennes Stress Endurcissement choc froid T1 36 51 S Sans endurcissement choc froid T2 26 34 Ppds5 02 62 G notype Martondur3 27 23 G Martondur3 Waha 36 41 Waha 30 64 Ppds5 03 21 SxG Tl Martondur 29 07 Tl Martondur3 Waha 46 25 Tl Waha 34 21 T2 Martondur 25 39 T2 Martondur3 Waha 26 56 T2 Waha 27 07 Ppds5 04 55 En moyenne des traitements du froid Martondur3 Waha accumule significativement plus de prot ines ce g notype est suivi par Waha et en derni re position Martondur avec des moyennes respectives de 36 41 30 64 et 27 23 mg ml Tableau 3 L interaction stress x g notype indique qu apr s endurcissement Martondur3 Waha accumule le plus de prot ines En absence d
491. oculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 de chacune de ces solutions 200 ul de r actif de Bradford on agite au vortex puis on mesure l absorbance 595 nm dans les 5 minutes qui suivent On trace ensuite la droite Absorbances F solutions s rum albumine entre 200 et 1000 ug ml Le r actif de Bradford est pr par en dissolvant 100 mg magn sium 2 mg de bleu de Coomassie G250 dans 50 ml d thanol 95 La solution est m lang e 100 ml d acide phosphorique 85 et compl t e 1 1 avec de l eau distill e Le r actif est filtr l aide du papier Whatman N 1 et stock dans une bouteille ambre la temp rature ambiante Pour le SDS PAGE l extrait prot ique a t solubilis dans un tampon compos de 3 p v SDS sodium dod cy sulfate 10 v v glyc rol et 62 5 mM Tris pH 6 8 et 5 v v B mercapto thanol Des chantillons de 100u1 sont charg s dans les puits de l lectrophor se de marque FISHER dans un gel de polyacrilamide de 15 p v Le gel de s paration est pr par selon Laemmli 1970 avec 375 mm Tris HCl pH 8 8 0 1 p v SDS 0 05 p v ammonium persulfate et 0 4 ul ml TEMED Le gel de concentration 4 est pr par avec 125 mm Tris HCl pH 6 8 0 1 p v SDS 0 05 p v ammonium persulfate et 0 5 ul ml TEMED Les gels sont retir s des plaques et color s pendant 2 heures dans une solution constitu e de m tha
492. od le adapt pour r soudre les probl mes des p rim tres irrigu s et la cr ation de nouvelle Oasis dans les zones arides Par contre dans le domaine touristique cette valorisation permet de le traiter comme un atout d attraction REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Bakhada R 2009 Syst me d irrigation ksar de Bouka s Revue ALATAR n 4 direction de la culture Bechar Alg rie pp 112 124 Briot JPD 1990 As rodas de rio fr Onor Um pricipo estructural et estructurante Analise social 108 109 IIT s rie vol XXV pp 511 543 Briot JPD 1996 Retrato de aldeia com Espelbo Ensaio sobre Rio de Onor Ed Dom Quixote col Portugal de Perto n 34 Lisboa Cressier P 2006 G om trie des r seaux et marqueurs des territoires l image du partage de l eau dans le paysage m di val Espagne et Maroc M langes de la Casa de Velazquez Le partage de l eau Espagne Portugal Maroc 36 pp 39 59 DPAT B char 2007 Monographie de la wilaya de Bechar Dubief J 1959 Le climat du Sahara Inst de Recherches sahariennes Alger Idrotecnica 1976 Etude hydrog ologique de la r gion de Bechar ORGM 91p Madani T 2006 Le partage de l eau dans l Oasis de Figuig Maroc oriental Approche historique et arch ologique M langes de la Casa de Velazquez Le partage de l eau Espagne Portugal Maroc pp 61 81 Wateau F 2001 Objet et ordre social d une canne de roseau m
493. og ologie 10 515 524 Yidanas S M Banoeng Yabubo B Akabazaa T M 2010 Analysis of groundwater quality using multivariate and spatial analyses in the Keta basin Ghana Journal of African Earth Science 15 220 243 Werner A D Bakker M Post V Vandenbohede A Lu C Ataie Ashtiani B Simmons C T Bary A D 2013 Seawater intrusion processes investigation and management Recent advances and future challenges Advances in water Resources 12 3 36 1085 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1086 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Aptitude l exploitation fourrag re du sorgho Sorghum vulgarea L dans les conditionsdu sud tunisien Nesrine Aissa et Leila Radhouane Institut National de la Recherche Agronomique de Tunis Avenue H di Karray 2049 Ariana Tunisie Email nesrine aissa hotmail fr RESUME L eau l ment pr cieux n est pas toujours disponibl
494. ogique int ressants Le deuxi me groupe est form par le reste des vari t s qui se caract risent par des rendements en grains et biologique les moins importants Pour l essai irrigu avec l eau charg e le plan factoriel compos par les axes F1 et F2 explique 76 de la variation au sein des g notypes pour les variables tudi es On a constat aussi que les param tres de rendement en grains et celui de rendement biologique s cartaient l une l autre et que le PMG explique mieux le rendement en grain On remarque un changement de comportement des g notypes tudi s suite l irrigation avec l eau charg e En effet la salinit a provoqu la diminution de rendement de plusieurs g notypes Si on voir le changement de la r partition des g notypes en entre les deux essais Parmi le groupe des g notypes qui ont t int ressants en terme des rendements en grains et biologique au niveau de l essai irrigu par l eau douce Seul le g notype local Ouard Bled 1 et la vari t am lior e Nasr 18 qui gardent cette aptitude Par ailleurs plusieurs autres g notypes comme Ouard Bled 1 Derbessi 2 etMahmoudi 5 n ont pas subis une grande r duction de leur rendement par rapport l essai irrigu par de l eau charg aux autres g notypes Ces g notypes seraient porteurs de caract res de tol rance la salinit Ainsi pour l essai irrigu par l eau charg les plans factoriels form s par les axes
495. ogiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 80 60 CE en ds m 25 c 40 20 Figure 4 Profil salin des eaux de la nappe phr atique Les indices de saturation des principales phases Anhydrite CaSO Aragonite CaCO Calcite CaCO Dolomite CaMg CO3 2 Halite NaCl Gypse CaSO 2H 0 CO2 et H20 des eaux chantillonn es sont pr sent s dans la figure 5 Ces indices de saturation des min raux dissous dans les eaux de la nappe phr atique sont calcul s a partir de la formule 1 Ils montrent la sensibilit des min raux carbonat s en l occurrence la dolomite la calcite et l aragonite la pr cipitation Ceci est galement le cas pour les min raux vaporitiques notamment le gypse et l anhydrite Les min raux carbonat s pr sentent des indices de saturation diff rents Celui de la calcite varie de 0 37 2 12 suivi de celui de l aragonite qui varie de 0 18 1 94 et enfin de celui de la dolomite qui volue de 1 44 4 53 Si l on admet que l tat d quilibre se fait dans l intervalle de 0 5 0 5 DROUBI et al 1976 on peut dire que les trois l ments ont atteint leur tat de saturation ou sursaturation dans la plupart des eaux analys es Les min raux vaporitiques en r f rence aux gypsites subissent des pr cipitations apr s les carbonates moins solubles Le gypse et l anydrite issus des m
496. ol rance 4 NaCl chez les lign es test es L exp rimentation a t men e selonun essai factoriel combinant les cinq niveaux salins 0 3 6 9 et 12g l NaCl aux lign es 12 14 16 et 22 et aux vari t s Manel et Rihane Le dispositif exp rimental adopt est al atoire complet quatre r p titions repr sent e chacune par une boite de P tri contenant 25 grains L valuation de la tol rance a la salinit durant le stade germination a t assur e gr ce un comptage journalier des graines germ es Une graine est consid r e germ e quand la radicule merge A la fin de la p riode de germination le pourcentage de germination la vitesse de germination le temps moyen de germination ainsi que la longueur de l picotyle et de la radicule ainsi que la vigueur du grain ont t calcul s Le pourcentage de germination a t calcul selon l quation Pourcentage final de germination Nombre des grains germ s Nombre total de grains par boite La vitesse de germination Timson 1965 et le temps moyen de germination Brunchley et Probert 1998 ont t calcul s en utilisant les quations suivantes Vitesse de germination Nombre de grains germ s nombre de jours compt s Temps moyens de germination Y ni x di N o n est le nombre de grains germ s au jour J d est la p riode d incubation en jours et N est le nombre total des grains germ s durant le traitement La vigueur du grain Abdul Baki et Anderson 1973
497. oliaires sont broy s dans 10 ml d ac tone 80 Apr s filtration sur du papier Whatman N 1 l absorbance de l extrait est mesur e l aide d un spectrophotom tre mod le Sontarys Techtron 635 aux longueurs d ondes 663 et 645 nm utilisant une cuvette en plastique de 1 ml de volume et de 1cm d paisseur La concentration en chlorophylle totale exprim e en mg 1 est d duite par la formule suivante attribu e Arnon 1949 par Richardson et al 2002 Chlorophylle totale mg T 20 2 Agas 8 02 Ages Extraction des prot ines solubles et SDS Page Selon Bensadoun et Weinstein 1976 il existe plusieurs variantes de la m thode d extraction des prot ines suite la grande variabilit des chantillons soumis l analyse Le principe de base respecter lors de l extraction est de solubiliser le maximum des prot ines existantes tout en minimisant les modifications induisant des artefacts lors de l lectrophor se La d naturation des prot ines doit permettre l individualisation et la solubilisation des polypeptides par rupture des ponts di sulfures et des liaisons hydrog ne non covalentes Pour assurer la rupture des ponts di sulfures des anti oxydants tels que le B mercapto thanol sont utilis s Des substances qui suppriment les interactions hydrophobes tel que le sodium dod cyl sulfate SDS sont n cessaires pour rompre les liaisons non covalentes Bensadoun et Weinstein 1976 Dans la pr sent
498. ology 351 299 317 Trajkovic S Todorovic B Stankovic M 2003 Forecasting of reference evapotranspiration by artificial neural networks J Irrig Drain Eng 129 454 457 Tsoukalas LH Uhrig RE 1997 Fuzzy and Neural Approaches in Engineering John Wiley amp Sons Inc NY USA Wu S H Yin YH Zheng D Yang QY 2006 Moisture conditions and climate trends in China during the period 1971 2000 Int J Climatol 26 193 206 1049 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1050 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Etude comparative de la r ponse au stress salin sur le plan germinatif de deux esp ces v g tales Atriplex halimus L et Hordeum vulgare L Khemies Fatima Abdelali Okba Abdelhafid Benabadji Noury D partement des sciences de l agronomie et des for ts Universit de Tlemcen khemiesfati yahoo fr Professeur Laboratoire d Ecologie V g tale
499. olution spatio temporelle du ravin jusqu l heure actuelle ainsi que les autres processus rosifs les boulements et les glissements de terrain 2 MATERIELS ET METHODES Apr s chaque v nement pluvieux nous faisons un lev en travers au niveau de chaque transect de la ravine Pour faire les lev s on mat rialise une droite entre les piquets constitu s par des fers b tons filet s diam tre 12mm d une longueur d un m tre enfonc s de 80 cm dans le sol pour r sister aux jeux des bergers L espacement entre les piquets est de 5 m c est dire entre chaque profil transversal Lors de la mise en place un rep re de peinture trac sur le piquet 10 cm exactement au dessus de la surface du sol Ces piquets permettent de rep rer les variations verticales au niveau du sol r sultant de l ablation ou de la s dimentation Cette droite est mat rialis e par une corde de 0 8mmd paisseur mis en tension par une masse de plomb 1kg afin d viter les erreurs On mesure la hauteur entre le fil et le sol avec une canne en bois gradu e en mm pour les hauteurs sup rieures 1 50 m Si la hauteur est inf rieure 1 50 m on mesure avec une corde et un ruban m tre Ces r sultats n ont pas t fiables car apr s v nement pluvieux et les fortes neiges les piquets de mesure ont t arrach s par les riverains et ont t galement emport s par les pluies torrentielles Nous avons appliqu une autre m thode de
500. omasse s che peut tre d finie comme le reflet des r serves accumul es pr alablement et r sultent de l activit photosynth tique Mazliak 1982 1024 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 e a of v x v OY n w a D E 2 w T n 3 a 1 Eau de tannerie 2 Temoin Figure 1 Evolution du poids de la mati re s che des pieds tall s g pot Les r sultats obtenus chez cette gramin e et concernant l effet de l pandage des eaux r siduaires sur le poids de la mati re s che pieds tall s et racines r v lent une faible augmentation du rendement de la mati re s che dans le syst me irrigu par l eau r siduaire de tannerie comparativement celle produite dans le syst me t moin En ce qui concerne l effet des eaux r siduaires sur le poids de la mati re s che des pieds tall s nous enregistrons une quantit de 1 65 g de M S pot pour le t moin et 1 69 g de M S pot par l eau de tannerie Figure 1 En plus nous notons une biomasse de 0 54 g pot pour le syst me eau de tannerie et 0 52 g pot dans le syst me t moin dans la partie racinaire Figure 2 Nous remarquons que
501. omme ETc adj Pour le sc nario de r f rence et les sc narios futures il est n cessaire de mettre en exergue que la fluctuation des valeurs ETcadj trouve son explication par la variabilit de pr cipitation dans la zone d tude lorsque la pr cipitation est faible la plante ferme ses stomates et diminue sa transpiration et le stress s accentue et par suite ETCadj est faible 600000 610000 620000 630000 640000 1 1 1 1 i 16 Kilometre Figure 9 Carte d vapotranspiration annuelle ajust e mm pour la p riode de r f rence 1198 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Legende cu E 122 127 MN 100 166 M 197 202 R seau hydrographique EE 127 132 IN 100 172 I 202 208 j E 6 100 E 122 138 D 2 17 M 200 215 E 100 105 E 150 144 MN 177 102 M 2152 E 106 110 E 144 150 M 162 107 M 221 220 E 10 16 DM 150 155 M 107 192 M 220 231 E 16 12 D 5 60 M 102 107 M 2 27 600000 610000 620000 630000 640000 4 k fi A 5 pi aereu i done Legende cu E 122 127 I 100 160 ME 107 202 R seau nyorograpnique MEN 127 132 M 106 172 M 202 208 j E 100
502. on of 25 7 dS m at 171 9 dS m otherwise anionic and cationic analyses results highlight a remarkable superiority of sodium among cations its content increases from 168 48 meq l upstream to downstream 978 26 meq and chlorine among anions its content increases 218 31 meq l 1225 35 meq which gives these waters a chloride sodium dominant chemical facies The study of saturation of the area anhydrites and be components index shows that the dissolution of the gypseous formations is due to increase the alkalinization of water on the one hand and the precipitation of the aragonite calcite and dolomite on the other hand The sensitivity of saturation index minerals highlights priority precipitation of carbonate elements followed by the gypsites and finally the halite Key words Algeria geochemistry groundwater oasis of Ouargla 1 INTRODUCTION Diff rents processus peuvent contribuer la d gradation des sols l rosion la salinisation la contamination le drainage l acidification l alt ration et la disparition de la structure du sol ou encore la combinaison de ces facteurs La salinisation l un des plus importants ph nom nes qui causent la d gradation du sol c est la concentration du taux de sels de sodium par exemple anormalement lev dans les sols en raison de l vaporation Ouargla est l une des principales oasis du Sahara Alg rien Elle est comme de nombreuses autres agglom rations du Sahara alg rien actuellement
503. on de la nutrition min rale et hydrique chez les plantes mycorhiz es grace l extension des hyphes extra radiculaires En comparant les souches mycorhiziennes on remarque que la souche M a contribu une l g re am lioration de la biomasse des plantes 53 08 en comparaison avec la souche M 52 20 1274 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 3 Distribution des l ments min raux entre les organes 3 3 1 Le rapport de s lectivit K Na Les r sultats illustr s dans le tableau 2 montrent que le rapport de s lectivit est beaucoup plus faible dans les racines des plantes non mycorhiz es et surtout lorsque elles sont irrigu es par une eau normale 0 17 Ceci pourrait tre d au taux lev de Na absorb par ces plantes Tableau 2 Variation de la distribution du rapport K Na dans les feuilles les tiges et les racines des plantes inocul es par M M et des plantes t moins selon le traitement hydrique Les chiffres ne portant pas la m me lettre sont significativement diff rents p lt 0 05 en utilisant le test Duncan M1 M2 NM Feuille Tige Racine Feuille Tige Racine Feuille Tige Racine 3 85 0 76 0 24 4
504. on de la vigne dans les oasis de Tozeur 3 1 1 Importance des c pages locaux et introduits dans les oasis Les prospections ont permis de rep rer des cotypes locaux et introduits Tableau 1 Leurs appellations sont locales indiquant parfois la couleur de raisin Kahla la saison de maturit Chetwi la forme de fruit Guelb Sardouk Le tableau 1 pr sente la fr quence de culture des cotypess existants dans les oasis En effet deux cotypes locaux Arbi avec une fr quence de 63 3 et Kahla avec une fr quence de 43 3 La vari t introduite Muscat d Italie se retrouve avec une fr quence de 36 7 Les trois vari t s mentionn es semblent tre les plus fr quentes dans les oasis Les deux vari t s Chetwi et Guelb Sardouk sont rarement cultiv es dans l oasis et de fait elles sont en voie de disparition Tableau 1 Importance des principaux cotypes chez les agriculteurs enqu t s Ecotype Nombre d exploitations Pourcentage Fr quence Arbi 19 67 85 Tr s fr quent Muscat d Italie 10 35 71 Fr quent Meski 1 5 17 85 Tr s rare Meski 2 5 17 85 Tr s rare Guelb Sardouk 6 21 42 Rare Kahla 13 46 42 Fr quent Chetwi 4 14 28 Tr s rare 1166 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement du
505. on des sites Cette variabilit des taux de chlorophylle met en question la valeur nutritive du mat riel v g tale ce qui nous a amener tudier ce point au sein de notre tude morphologique r alis e 1233 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riels v g tal L tude a t effectu e sur des jeunes plants de deux poac es autochtones des zones arides Cenchrus ciliaris et Digitaria commutata g s de 5 mois et issues de 3 sites d tudes Site Bouhedma R gion de Sidi bouzid tage aride sup rieur variante hiver temp r Montagne Site Jerba R gion de M denine tage aride inf rieur hiver chaud c te de mer Site Matmata R gion de Gab s tage aride sup rieur hiver temp r montagne L exp rimentation a t conduite dans des conditions semi contr l es en p pini re de l I N R G R E F Ariana bioclimat semi aride sup rieur Deux r gimes hydriques ont t appliqu s Les plants t moins NS ont t arros s volont chaque jour et les plants stress s S ont subi deux cycles de 10 jours de dess chement par arr t total d arrosage s par s par une r hydratat
506. on du sel ces diminutions sont de 26 et 16 respectivement pour la salinit s v re et celle mod r e L effet d pressif du manque d eau sur la hauteur des plantes a t signal sur de nombreuses cultures notamment sur les c r ales du type C4 Radhouane 2008 et particuli rement sur le mais Cakir 2004 Farr et al 2009 Aydinsakir et al 2013 De m me l exposition de la majorit des plantes aux sels les rend vuln rables et diminue leur croissance Kadri 2009 Ben Naceur et al 2001 Cette d t rioration serait due au stress hydrique la toxicit des ions la perturbation de l quilibre ionique ou la combinaison de tous ces facteurs Kurt et al 1986 Tableau 2 Effet de la contrainte hydrique sur les diff rents param tres mesur s Traitements Hauteur Nombre Longueur de la Largeur de la Indice de la tige de feuilles feuille drapeau feuille drapeau chlorophyllien HAT NFT LOD LAD ICH To 147 81 11 25 25 27 3 43 35 89 T 113 62 11 18 21 63 3 34 34 21 Ts 95 28 12 28 15 78 2 30 32 32 HAT hauteur en cm NFT nombre de feuilles par plante LOD longueur de la feuille drapeau en cm LAD largeur de la feuille drapeau en cm ICH teneur en chlorophylle par Spad 3 2 Effet du stress sur le nombre des feuilles NFT Le stress hydrique mod r T70 n a pas touch au nombre de feuilles par plante Tableau 2 alors que le stress hydr
507. on in barley yield and yield components The water productivity WP for grain yield was significantly affected by irrigation treatments The lowest values occurred under FI treatment while the highest values were obtained under DI 50 deficit treatment The relatively high yields and water productivity values noted under DI Dev DI Mat and DI Dev Mat treatments indicate the high potential of barley crop to valorize irrigation waters of limited quality under arid conditions Based on results it can be concluded that the full irrigation FI and regulated deficit irrigation DI Dev DI Mat and DI Dev Mat strategies offer significant advantage for both barley yields and WP and reduce the build up of salinity compared to DI 50 irrigation strategy in barley production under arid conditions As a result of this research full irrigation scheduling technique FI is recommended for irrigation of barley crop under the arid conditions of southern Tunisia In case of situations where water supply is limited irrigation of barley could be scheduled using DI Dev DI Mat and DI Dev Mat deficit irrigation strategies The deficit irrigation presents a great potential to improve the water productivity and the control of soil salinization by exploiting the natural leaching of salts by the rain Future studies should be undertaken to evaluate the efficiency of the fall winter rains for natural leaching 1223 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 20
508. on the biosynthesis of chlorophyll in leaves of barley Physiologia Plantarum 63 293 298 1305 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1306 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effet du stress salin sur le comportement morphologique de quelques vari t s acclimat es de tomate Solanum lycopersicum L Nessrine SOUIDI et Ali FERCHICHI Laboratoire d Aridocultures et Cultures Oasiennes Institut des R gions Arides M denine Mail souidinessrine yahoo fr 1 INTRODUCTION En Tunisie l aridit est une caract ristique permanente du climat d finie par un d ficit pluviom trique structurel par rapport aux besoins en eau de la v g tation naturelle et cultiv e En plus de la s cheresse la salinit de l eau qui est l un des principaux catalyseurs de la d sertification et compte parmi les principaux facteurs qui affecte profond ment les milieux sols v g tation et de
509. ones arides 17 19 12 2013 Dans un premier temps les rep res de ces trois 3 derni res unit s ont t marqu s au sol par des petits creux puis voluant des pierres ancr es au sol Ces marquages re oivent l ombre du mur un moment pr cis de la journ e indiquent le d but ou la fin d un espace temps d termin R baa amezwar Bou telt thman Bouzgem wess La deuxi me partie de l apr s midi au couch du soleil elle renferme trois 3 unit s Thman qui sont respectivement Bou R baa kdoum Bou S baa kedoum et Atali Les temps sont d termin s l aide de la mesure de l ombre de l homme en utilisant les pieds Kdoum En mode indirect en p riode diurne le temps est mesur l aide d une jauge barre de fer gradu e fix e sur le planch du bassin d accumulation figure 4 Cette barre d une longueur de 105 Cm et de largeur de 4 Cm est gradu e sur les 80 Cm partir de la base avec des intervalles quidistants mesur s en utilisant les doigts de la main s baa La p riode nocturne de la journ e comporte 8 huit unit s qui sont Boutijent Majen la thman Majen la R baa Bou khams thman bouzgen tijent Bou thalth thman tijent R baa angarou tijent et Angarou tijent 3 2 3 L unit de mesure Le partage de l eau dans l Oasis de Bouka s est bas sur l unit de mesures appel e Kharrouba qui est la moitie du Thman La journ e d
510. ons de salinit Vari t NaCl mM HGB GB MGB NGB GSLs indoliques totaux 0 0 09 0 02a 5 06 0 27 a 0 67 40 03 a 5 20 0 35a 11 02 0 58 a N 30 0 05 0 01 a 2 92 0 19b 0 24 0 04b 3 47 0 62 b 6 67 0 73 b vce 60 0 04 0 01a 1 89 0 09 1 37 0 05c 0 89 0 14 4 19 0 22 90 0 04 0 02 a 1 43 0 14c 1 04 0 05d 0 79 0 11 c 3 30 0 22 c 0 0 03 0 00 a 4 63 0 55 a n d 1 11 0 12a 5 77 0 65 a 30 0 03 0 00 a 6 18 0 97 a n d 1 12 0 lla 7 33 1 00 a Parthenon 60 0 04 0 00 a 4 41 0 41 a n d 1 19 0 14 a 5 64 0 52 a 90 0 05 0 01 a 3 70 0 75 a n d 0 95 0 25 a 4 70 0 98 a Signifiances entre 0 ig n s ag oo TEA 30 ok ok ok ok ok ns 1153 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 les deux cultivars 60 90 ns xK KKK KKK n s n s n s n s x n s Pour chaque cultivar les moyennes avec des lettres diff rentes sont significativement diff rentes P lt 0 05 Tukey test La signifiance entre les deux cultivars est d termin e relativement au Student s t test avec P lt 0 05 P lt 0 01 P lt 0 001 n s non signifiant n d non d tect e HGB 4 OH Glucobrassicin GB Glucobrassicin MGB 4 MeO Glucobrassici
511. ons tried in the study This indicates that all these variables are needed for better reference evapotranspiration assessment From practical point of view ANN models selected that use minimum data as input can be considered suitable to serve as a tool to estimate the ETo in these three time steps Secondly locally trained ANNs can be used to estimate missing ETo data It was found that using only the air temperature input gives poor results The PML ANN neural network and artificial neural network techniques in general offers significant advantages over conventional methods in predicting reference evapotranspiration because it is not necessary to specify the form of the mathematical model before fitting the data This is important since many agronomic system processes have multiple factors that change with time As a result it is often difficult to find an appropriate mathematical model to describe these processes While this particular neural network will have to be tested against other models and with data sets from widely varying climatic and geographical regions we feel this neural network is a promising technique to help in understanding processes in complicated and dynamic agronomic systems but it seems that the principal problem is to obtain data in quantity and quality allowing ANN fitting In situations of the presence of lysimetric data of ETo we can conceive neural models permiting to evaluate the reference evapotranspiration via climatic p
512. ontal with the instrument raised to different height above the ground on a PVC stand It displays units of the apparent electrical conductivity ECa mS m EM38 rising reduces the depth of soil moisture measurement Rhoades and Corwin 1981 The EM38 instrument zero and in phase null were calibrated at each location prior to data collection Data for soil temperature are not available we assumed that subsoil temperatures were relatively constant and the ECa data were not corrected for soil temperature 1186 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 3 Data analysis Soil water content measurements soil ECa and soil properties were examined for possible correlations Analysis was conducted for the two soil depths and datasets Descriptive statistics of the temporal variability of measured water content and soil ECa for each depth were summarized and compared Pearson linear correlation analysis for soil ECa and soil properties were performed using the cor test in R package The relationships between SWC and ECa were investigated using linear regression analysis with the R program and were expressed as coefficients of determination 17 Soil moisture at each sampling depth
513. opique s v res Boumezbeur 2001 Cette tendue d eau douce se trouve touff e du fait qu elle re oit r guli rement les eaux us es de l agglom ration en extension Ainsi l explosion d mographique et la croissance 1103 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 conomique ont entrain s sans aucun doute une demande en eau plus accrue qui d passe de tr s loin les ressources disponibles et rien n indique que la s cheresse qui a s vi ces deux derni res d cennies laissera place une pluviosit abondante Cette derni re s est r percut e fatalement sur l environnement et sur les activit s socio conomiques Notre tude conforte l hypoth se que les eaux de l cosyst me Lac des Oiseaux sont impropres l irrigation elles sont de mauvaise qualit biologique I L Mer M ditorrange Alger El Kala Tunis Oran x I Espagno Zone d tude Tripli Lybie Alg rie Figure 1 Situation de la zone d tude 2 MATERIELS ET METHODES Nous avons effectu e quatre compagnes de mesures pendant une ann e de suivi L chantillonnage a t effectu sur trois stations dans des conditions rigoure
514. oppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Mode Moment de la journ e De l apr s midi jusqu au couch du soleil Du lev du soleil jusqu midi Matin Moment de la journ SSE rm i Instrument de mesure tilisation de l ombre de omme Barre de fer gradu e Cg lg a Se Lieu de la mesure Au niveau de la pa meraic ssin d accumulation Majen p dans le bassin d accumulation Majen oyen de la mesure Pied dem i is Doigts de la main Unit de mesure harouba Unit de mesure arouba doigts Nombre des Thman matique Ls I7pied Thoumn Amezwar 2 8 9 pied LR haa Amezwar 3 8 Couch e A z Pur Je Rep res en du ptt thelth thman pierre soleil OMAN WASS lev IP pied LS lev du soleil A Be yo O S Illustration photographique et sc v 5 gt z F4 2 v a E T A s Sb 2 S CA g e a b yA 8 PEE Sens Toners 7 2 P Kdei Picay lt ae Barrd_ 2Meronbs Kharrouba Kharronbar 4 Kharroubat de 1 doigts 2doigts dois 8 doigts fer Saar Taman Raa SN ER Figure 4 La mesure des parts du syst me d irrigation Boukais 1175 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des z
515. otechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 L examen de cette figure montre que l volution de la teneur en proline est inversement proportionnelle la dose d irrigation Le stress favorise l augmentation de la teneur en proline chez la plante En effet d s qu un d ficit hydrique s installe la plante augmente sa teneur en proline En r gime t moin Boussa d pr sente la plus grande teneur en proline 18 1 mg g MS alors que Bsissi pr sente une teneur de l ordre de 14 74 mg g MS Sous l effet du stress hydrique la teneur en proline a augment chez les deux provenances tudi es A 50 CC le stress hydrique a augment la teneur en proline ainsi les deux provenances augmentent leurs teneurs en proline 41 97 pour Boussa d 41 47 pour Bsissi A 25 CC Boussa d et Bsissi pr sentent respectivement le taux suivants de proline 38 12 et 28 96 mg g MS Le gain en proline est de l ordre de 52 52 chez Boussaid et 49 11 chez Bsissi Chez la provenance Bsissi le test de Duncan calcul a une valeur de a 0 05 r v le que d s qu un stress s installe la plante a augment sa teneur en proline il n ya pas des diff rences significatives entre la r ponse de la plante apr s l application de stress mod r ou s v re La plante r pond au stress en augmentant sa teneur en proline ind pendamment de l intensit du stress ap
516. otranspiration assessment is a key element for crop water requirement estimation networks design crop and water balance simulation irrigation scheduling hydrological studies Evapotranspiration is an important component of the 1039 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 hydrological cycle it affects agricultural water use aridity humidity conditions Wu et al 2006 and rainfall runoff modelling Water supply is often a limiting factor at the same time to yield and its quality Nowadays water availability is the principal constraint against agriculture development in Algeria Sustainable water resource management in agriculture particularly irrigation scheduling needs a deep knowledge of crop water requirement CWR in order to put in adequacy resources and water supply so that avoiding water stress situations The assessment of CWR is computed via reference evapotranspiration and crop coefficient Kc Food and agriculture organization FAO and international commission on irrigation and drainage ICID have proposed grass as the reference crop Allen et al 1994 Allen et al 1998 Reference evapotranspiration is strongly nonlinear it s administered b
517. otranspiration from pan evaporation in a semi arid environment Irrig Sci 27 35 39 Kumar M Sanghuwashi R Singh W Wallender W Pruitt WO 2002 Estimating evapotranspiration using artificial neural network J Irrg Drain Eng 128 224 233 1048 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Landeras G Barredo OA Lopez JJ 2008 Comparison of artificial neural network models and empirical and semi empirical equations for daily reference evapotranspiration estimation in the Basque Country Northern Spain agricultural water management 95 553 565 Recknagel F Petzoldt T Jaeke O Krusche F 1994 Hybrid Expert System Delaqua A Toolkit for Water Quality Control of Lakes and Reservoirs Ecol Model 71 17 36 Rumelhart DE Hinton GE Williams RJ 1986 Learning representations by back propagating errors Nature 323 533 536 Sudheer KP Gosain AK Ramasastri KS 2003 Estimating actual evapotranspiration from limited climatic data using neural computing technique J Irrig Drain Eng 29 214 218 Sungwon K Hungo SK 2008 Neural networks and genetic algorithm approach for nonlinear evaporation and evapotranspiration modelling Journal of Hydr
518. oui in the arid climate of southern Tunisia Agricoltura Mediterranea International Journal of Agricultural Science 130 1 11 17 Nagaz K N Ben Mechlia 2003 Etude de la consommation en eau et de la production de l orge sous irrigation l eau sal e Revue des R gions Arides 14 1 17 29 Paranychianakis NV Chartzoulakis KS 2005 Irrigation of Mediterranean crops with saline water from physiology to management practices Agriculture Ecosystems amp Environment 106 171 187 Salemi H Soom M Lee S Mousavi F Ganji A and Yusoff M 2011 Application of AquaCrop model in deficit irrigation management of Winter wheat in arid region Afr J Agric Res pp 2204 2215 Schoups G JW Hopmans CA Young JA Vrugt WW Wallender KK Tanji and S Panday 2005 Sustainability of irrigated agriculture in the San Joaquin Valley California Proceedings of the National Academy of Sciences USA 102 15352 15356 Sepaskhah AR 1978 Time and frequency of irrigation in relation to growth stages of barley Agron J 70 731 734 Shalhevet J 1984 Management of irrigation with brackish water processes and management In Adv Hoot Sci 6 1992 3 10 Singh S D J P Gupta and P Singh 1977 Water economy and saline water use by drip irrigation AgronomyJ 70 948 951 1224 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures
519. our un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 1 2 Coliformes f caux Escherichia coli est le type de coliformes d habitat f cal exclusif sa recherche est donc extr mement importante L volution du nombre de coliforme f caux dans les eaux du lac est pr sent e dans la figure Fig 3 Les taux les plus lev s sont enregistr s durant le pr l vement de janvier au niveau des points L2 L3 de 14 107 CF 100ml Ces germes sont de bons indicateurs d une pollution microbiologique de l eau et ils sont souvent consid r s comme des germes test de contamination f cale 15000000 10000000 50000000 0 CF 100ml Figure 3 Evolution des coliformes f caux 3 1 3 Streptocoques f caux Les streptocoques f caux ou les ent rocoques sont des germes tr s sensibles aux variations physico chimiques du milieu et ne r sistent pas dans l eau ils s adaptent difficilement en dehors de leur milieu habituel qui est l intestin Leur pr sence est directement li e la qualit et la concentration de la mati re f cale se trouvant dans l eau L examen de la figure nous montre que les concentrations de ces bact ries f cales sont extr mement variables dans les points de pr l vements et qui dans l ensemble sont sup rieures la valeur guide des eaux superficiels La station L2 est celle qui contient le nombre le plus lev au mois d avril de 75 10 SF 100ml 800000 600000 400000 200000
520. ource d approvisionnement en eau potable et sont donc vitales pour le d veloppement de ces pays TRAVY 1994 Pour le Sahara Septentrional Alg rien l essentiel des ressources est constitu par les eaux souterraines Ces derni res contenues dans les formations continentales du continental intercalaire C I et du complexe terminal C T constituent l un des plus vastes r servoirs hydrauliques du monde BEL et CUCHE 1970 CDTN 1992 dont les potentialit s mobilisables sont estim s 5 milliards de m tres cube d eau ANRH Les conditions lithologiques hydrodynamiques et hydro chimiques sont vari es 1229 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 notamment dans la partie Est de la r gion et conf rent de ce fait un int r t particulier 4 ces nappes Par ailleurs diverses tudes entreprises depuis une trentaine d ann es ont montr que les eaux de cette r gion sont caract ris es par une min ralisation totale excessive le plus souvent associ es une duret lev e et des concentrations lev es en fluorures Tableau 1 Le volumed eau exploit Mm dans la r gion du Zab Est par nappe Nappes Quater Mioplio Pontien Eoc ne S no Maestri Al
521. ources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effet de la contrainte hydrique sur le taux de la chlorophylle des deux poac es Cenchrus ciliaris et Digitaria commutata autochtones menac es de disparition des zones aride de la Tunisie Imen Dhib Mustapha Ksontini Ali Ferchichi Institut National de Recherches en G nie Rural Eau et For t Tunis Tunisie Institut des R gions Arides M denine Tunisie Email dhibimen ymail com RESUME Les cosyst mes sahariens pr sentent une intensit importante de sensibilisation l rosion et a la d sertification dont les impacts sont irr versibles d une part une faiblesse du rendement des cultures d autre part une pauvret des sols ce qui conduit une biodiversit limit Ainsi se combine ces contraintes celle hydrique qui est la cause principale de la rarification de certains esp ces pastorales tel que Cenchrus ciliaris et Digitaria commutata C est dans ce contexte que s int gre notre tude dont l ensemble des travaux r alis s visent d terminer le comportement morphologique vis vis du d ficit hydrique sur des plantules de deux poac s Cenchrus ciliaris et Digitaria commutata autochtones des zones arides Les exp rimentations ont t conduites dans un milieu contr l chambre de culture l institut national de recherch
522. p cial 135 144 ISSN 1737 0515 1260 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Mlaouhi S Boujelben A Elloumi M et HchichaM 2012 Mod lisation biophysique des cultures dans un p rim tre irrigu par les eaux us es trait es de la basse vall e de la Medjerda parus dans la Revue des R gions Arides n 29 53 2012 PP 63 75 Neubert S et Benabdallah S 2003 Etudes et rapports d expertise La r utilisation des eaux us es trait es en Tunisie Paris Q 1992 The von Liebig Hypothesis American Journal of Agricultural Economics 74 4 pp 1019 1028 Perrot C Landais E 1993 Comment mod liser la diversit des exploitations agricoles In Les Cahiers de la Recherche D veloppement 33 24 40 Philippeau G 1986 Comment interpr ter les r sultats d une analyse en composantes principales St ckle C O Martin S A and Campbell G S 1994 CropSyst a cropping systems simulation model water nitrogen budgets and crop yield Agric Syst 46 335 359 St ckle C Donatelli M Nelson R 2003 CropSyst a croping systems model Europ J Agronomy 18 289 307 Vermersch D 2001 Agriculture durable et nouvelles tec
523. pales et leur utilisation en agriculture Dossier Doc 59 pages Barbarti A Lawarabnce JR Sikpra J Colacicco C 1985 Factors affecting the mineralization of nitrogen in sewage sludge applied to soil Am J Soil Sci 49 1403 1406 Blum A 1985 Physiological attributes associated with drought resistance of wheat cultivars in a mediterranean environment Aust J Agric Res 37 299 310 Boudjabi S Kribaa M Tamrabet L 2006 Contribution des boues r siduaires la fertilit du sol et la production fourrag re de l orge EMwater Amman Jordan Bouzerzour H Benmahammed A 1994 Environmental factors limiting barley grain yield in the high plateaux of eastern Algeria Rachis 12 11 14 Bouzerzour H Tamrabet L Kribaa M 2002 R ponse de deux gramin es fourrag res aux apports d eau us e et de boue r siduaire In actes S minaire international de Biologie et Environnement Univ de Constantine Alg rie 20 22 10 2002 Bozkurt MA Yarilga T 2003 The effects of sewage sludge applications on the yield growth nutrition and heavy metal accumulation in apple trees growing in dry conditions Turk J of agricultural Forestry 27 285 292 Chatha TH Haya R Latif I 2002 Influence of sewage sludge and organic manures application on wheat yield and heavy metal availability Asian J of Plant Sciences 1 2 79 81 Cherak L 1999 Incidences des eaux us es r siduaires sur la microflores et le compo
524. pliqu e L analyse des r sultats de la proline permet de mettre en vidence un effet hautement tr s hautement significatif des provenances et du r gime hydrique sur l accumulation de la proline foliaire 4 DISCUSSION Le d ficit hydrique r duit la croissance de la surface foliaire du henn cette r duction est observable chez les deux provenances Boussa d et Bsissi Des r sultats similaires sont observ s chez de nombreuses esp ces de Populus Ziziphus etc Thakur et Sood 2005 chez Eragrostis curvula Oryza sativa Abelmoschus esculentum et Asteriscus Maritimes Rucker et al 1995 Plusieurs recherches montrent que le manque d eau cause des r ductions importantes de la surface foliare En effet la limitation de la croissance foliaire est un m canisme adaptatif qui permet de r duire la transpiration Kramer et Boyer 1995 La vitesse de division cellulaire d croit Granier et al 2000 les parois cellulaires qui doivent se d former pour permettre la croissance cellulaire deviennent plus rigides Cosgrove 2005 la turgescence d croit Bouchabke et al 2006 Chacun de ces ph nom nes met en jeu plusieurs familles de g nes dont les r gulations ne sont qu imparfaitement connues Kiani et al 2007 La r duction de la surface foliaire est une forme d adaptation a la s cheresse Selon Arrandeau 1989 cette r duction tend minimiser les pertes d eau par transpiration mais elle peut aussi provoquer une dimi
525. ploited In the present work we have undertaken a study of water behavior water potential and midday and physiological stomatal conductance in the morning and mid day and followed the growth of the aerial part of the Tufts alfa by measuring their height and diameter of five esparto in Tunisia Essalloum Guira Zelfen Kasserine Oumlagsab Gafsa and Jelma Sidi Bouzid High variability was observed in the seasonal behavior of both populations alfa for the conductance for water potential as well as the growth of the aerial part The water potential is lower in July summer in the month of February and November for all populations Water potential at noon following the same pace as the water potential Stomatal conductance tufts of alfa at mid day is higher than the morning populations Zelfen G ira and Jelma and in different seasons While that of Essalloum and Oumlagsab shows a partial stomatal closure in mid day only in July reflecting the correlation close between stomatal conductance and water potential Water status and physiological behavior of alfa show the resistance of this species to drought The growth of the aerial part of alfa clumps is larger in height and diameter in the Jelma population in autumn summer growth of Alfa tufts is minimal In winter February the increase is zero for all populations The trend in growth between populations and seasons difference is a result of climate soil conditions and vegetative cycle of alfa 1239
526. pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 a la salinit Hammami 2008 Lepengue et al 2010 Les besoins en eau du mais sont parmi les plus lev s mais son coefficient d vaporation est l un des plus faibles San et al 1999 Hammami et al 2008 C est aussi une des cultures les moins conductrices ou changeuses d eau Ces besoins hydriques varient en fonction de la pr cocit de la demande climatique de la vari t du calendrier de l irrigation et du stade de r colte Hammami et al 2008 Les fortes consommations en eau du mais correspondent a la p riode allant de la floraison au d but de la formation des grains Hammami et al 2008 Farr et al 2009 L objectif de ce travail consiste valuer aussi bien l aspect qualitatif que quantitatif des parties vertes de la plante qui seront exploit es par le b tail tel le nombre et les dimensions des feuilles la hauteur de la tige principale le nombre de talles et la teneur en chlorophylle 2 MATERIEL ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal L essai a port sur une vari t fran aise de ma s Naudi connue par sa r sistance au d ficit hydrique et salin 2 2 Protocole exp rimental Les essais ont t conduits en plein champ sous un climat semi aride hivers doux Les semis ont t r alis s le 17 mai 2012 la station exp rimental de l INRAT altitude 10 m latitude 36 51 longitude 10 11 Le sol est d apport alluvial
527. pplications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 2 Effet de la salinit et du g notype sur les param tres tudi s 3 2 1 Param tres morphologique La r ponse la salinit se manifeste g n ralement chez la plupart des plantes cultiv es par un effet sur param tres morphologiques Munns et al 1995 Le traitement sal exerce une baisse significative sur les caract res relatifs la croissance v g tative tels que la biomasse v g tative et la hauteur des plantes Par contre la salinit n affecte pas du m me degr les diff rents g notypes D o l effet significative de g notypes ainsi que l interaction traitement salin g notypes Tableau 2 Les vari t s am lior es ont montr une plus grande sensibilit au sel avec un moyen de r duction de 42 36 En revanche les g notypes locaux ont montr qu ils sont les plus tol rants avec seulement 23 de r duction Donc les vari t s autochtones telles que Derbessiet Mahmoudi et Sbay pr sentent un int r t certain pour les programmes d am lioration vari tale pour la tol rance au sel En fait ils pourraient valoriser les zones salines et ou les zones qui n ont que des ressources en eau saumatre Tableau 2 Analyse de la variance carr s moyens et test F relative aux param tres morphologiques H hauteur au stade MS mati re s che et la surface foliair
528. pplications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Essai de gestion rationnelle des eaux dans une zone aride cas du Zab Est de Biskra Sud Est Algerien Boutouga Fateh Bechiri Naouel D partement de G ologie Universit Badji Mokhtar Annaba Email fatehgeologie yahoo com RESUME Cette tude est consacr e au diagnostic et l actualisation des ressources en eaux superficielles et souterraines du bassin versant du Zab Est de Biskra Il est tabli base d une masse importante de donn es pour but principal l valuation des ressources exploitables en eaux destin es pour l usage domestique agricole et industriel pour mettre en vidence les grands axes d une gestion durable et rationnelle des ressources en eau en milieu aride Le bassin du Zab Est de Biskra s tend sur une superficie de 9 668 Km avec une population de pr s de 349 milles habitants comprenant six petits bassins versant bassin versant de oued El Abiod le bassin de Dermoun le bassin de oued Djedi le bassin de oued El Arab le bassin de oued Zeribet et le bassin de Biraz Atrous Ce bassin est soumis un climat aride et sec avec un hiver froid et sec et un t chaud et sec la temp rature moyenne annuelle la station de Biskra est de l ordre de 23 C et des pr cipitations ne d passe pas le 200 mm an dans les stations de la r gion du Zab Est de Bisk
529. qui clarifient davantage la probl matique de l eau et des commentaires qui laissent merger les solutions apporter Les 22 pays arabes repr sentent une bande d une vingtaine de degr s limit e entre le 12 parall le au sud du littoral de la p ninsule arabique et le 36 au nord de la fronti re syro turque La longitude est de 16 5 l ouest de Nouakchott et de 60 l est d Oman Cette tendue Figure 1 a une superficie de 14 millions km limit e par l oc an Atlantique au flanc occidental et par la mer d Oman au flanc 1139 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 oriental La mer M diterran e constitue une limite au nord pour plusieurs pays tandis que le d sert s impose comme fronti re australe L tendue arabe est aussi travers e par la mer Rouge qui la s pare en deux parties l une occidentale le Maghreb et l autre orientale le Machrek Mer m diterran e Oc an atlantique 3 Figure 1 Position g ographique des pays arabes Cette position g ographique imprime un type de climat bien particulier chaque entit territoriale o l on constate l influence de la mer m diterran enne sur sa rive sud ta
530. r alis es au profit des m nages agropastoraux Le poster illustre une situation actuelle de ce type d ouvrage r alis par le Haut commissariat au d veloppement de la steppe HCDS dans une zone steppique climat semi aride subd sertique Keywords Agro pastoral collecte des eaux pluviales semi aride p nurie d eau steppe 1 INTRODUCTION While the hydrologic cycle continuously recycles earth s water to produce renewed fresh rain the rate at which fresh water is produced does not meet our ever growing demand In the face of this demand our planet s fresh water resources are finite Current consumption rates are lowering groundwater levels and depleting surface water flows the world over According to the Blue Gold Report global water consumption is doubling every 20 years more than twice the rate of human population growth If current trend persist by 2025 the demand for fresh water will be 56 more than is currently available Brad Lancaster 2009 1099 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Water forms the lifeline of any society Water is essential for the environment food security and sustainable development All the known civilizations have
531. r quents dans les oasis avec une fr quence de 67 85 alors que les cultivars introduits ne pr sentent qu une fr quence de 35 71 avec la pr dominance du Muscat d Italie Les prospections effectu es ont r v l l existence de diff rentes qualit s d eau d irrigation du point de vue charge en sel L tude de comportement de ces cotypes repr sentatifs des vignes locales vis vis de la qualit de l eau d irrigation tenant comme exemple deux oasis irrigu es par deux diff rentes charges en sel a r v l que les fluctuations du gradient de d bourrement des bourgeons latents des c pages locaux des oasis s expriment par diff rents comportements Soit par une diminution du taux de d bourrement 20 dans le cas de Chetwi soit par changement de niveau du maximum du taux de d bourrement cas de Guelb sardouk qui dont le maximum de d bourrement a chang du 6 et 7 bourgeon au 3 et 4 bourgeon pour respectivement les ceps irrigu s par l eau douce et sal e Les r sultats ont r v l que les cultivars introduits sont plus influenc s par la salinit de l eau d irrigation que les c pages locaux La fertilit des bourgeons des diff rents c pages locaux et introduits a montr une diminution proportionnelle a l l vation de la charge de l eau d irrigation en sel Mots cl s salinit fertilit c page locaux oasis SUMMARY A survey was conducted to assess the grapevine situation in the oasis of
532. r s net dans le processus Atriplex halimus supporte des concentrations de salinit voisines de celle de l eau de mer Ben Ahmed et al 1996 Cela concorde avec nos r sultats o des traitements lev s de salinit 500 meq l et 600 meg l entrainant un retard de germination et non pas une inhibition compl te Il faudra des concentrations beaucoup plus lev es pour observer r ellement une inhibition et un retard de la germination des graines de Atriplex halimus L tape finale de germination ou inaptitude des graines germer semblent signifier qu avec l augmentation de la concentration en sel l effet de toxicit domine suite l accumulation du sodium dans l embryon en installant une inhibition osmotique Guerrier 1983 On peut dire que les atriplex cultiv s supportent des salures lev e ce fait 1a bien soulign par Belkhoudja amp Bidai 2004 ce qui permet de les exploiter sur des sols et des eaux g n ralement consid r s parfois comme inaptes l agriculture tude comparative des r sultats des deux esp ces Hordeum vulgare et Atriplex halimus Les r sultats de la germination en conditions de salinit durant 7 jours montrent des diff rences de comportement des graines des deux esp ces Atriplex halimus et Hordeum vulgare Ils permettent les commentaires suivants Pour les deux esp ces la germination des graines est att nu e et retard e lorsque la concentration en sel augmente La ge
533. r est repartie en 16 unit s Thman 8 unit s le jour et 8 unit s la nuit Figure 3 Figure 3 Subdivision d une journ e du calendrier d irrigation de Boukais 3 2 2 Instruments de mesure des parts Le partage de l eau est bas sur le temps mesur par plusieurs instruments en fonction du mode de r partition Figure 4 En mode direct en p riode diurne le temps est mesur l aide d une horloge solaire Elle consiste mesurer l ombre de l homme pr s du Majen ou l ombre du mur de Haouche Ennouaday au niveau du Ksar La p riode diurne de la journ e est subdivis e en deux parties La premi re partie du lev du soleil l apr s midi elle renferme cinq 5 unit s Thman qui sont respectivement Awezwar Thman amezwar R baa amezwar Bou telt thman Bouzgem wess Les deux premi res unit s Awezwar Thman amezwar sont d termin es l aide de la mesure de Vombre de l homme en utilisant les pieds Kdoum la premi re unit vaut 17 pieds et la deuxi me vaut 9 pieds Apr s ces deux unit s on utilise l ombre du mur qui permet le compl ment de la r partition avec trois 3 unit s 1174 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d vel
534. r la production d o l int r t de les s lectionner et les int grer dans des programmes d am lioration des plantes En effet lors du d ficit hydrique les plantes d veloppent des r actions m taboliques d adaptation ou plut t d acclimatation mat rialis es entre autres par l augmentation de la concentration en proline libre dans leurs tissus Benlaribi et Monneveux 1988 Cette mol cule accumul e dans le cytosol est reconnue comme un osmolyte impliqu dans l osmor gulation cytoplasmique au moment o l absorption d ions min raux NO3 K et la synth se d acides organiques participent l ajustement osmotique vacuolaire Dans le cas du genre Triticum la teneur en proline g n ralement faible dans les conditions hydriques non limitantes peut atteindre des valeurs tr s lev es sous contrainte hydrique En effet tant de l ordre de 2 umoles Mg MS dans les tissus foliaires et dans les conditions d alimentation hydrique nonlimitantes chez le bl la teneur en proline libre peut atteindre des valeurs beaucoup plus lev es de l ordre de 50 100 pmoles Mg M S soit pr s de 25 50 fois la valeur initiale voire davantage selon le degr de s v rit du d ficit hydrique appliqu Benlaribi et Monneveux 1988 A l oppos le retour des arrosages entra ne une r sorption conversion ou et d gradation tr s rapide de ce compos amin Z rafa 2006 Ainsi cette mol cule ce m tabolite primaire dont la synt
535. r que les moyennes de la salinit des trois sols emblav s par le ma s fourrager subiront une augmentation variable selon les exploitations et les profils du sol Accentu e par le changement climatique elle pourra atteindre 4 5 dS m en profondeur Cette salinit sera att nu e en doublant la quantit d eau appliqu e initialement par l exploitation type EXP11 et en augmentant de 20 les quantit s d eau appliqu es par les exploitations types EXP6 et EXP20 Cependant les moyennes des rendements du ma s subiront des baisses qui peuvent atteindre 15 tonnes ha Ces baisses seront redress es par une irrigation compl mentaire et l augmentation des moyennes des rendements pourra atteindre 19 tonnes ha Les effets sur la marge brute seront positifs Mots cl s Salinit changement climatique durabilit mod lisation bio conomie simulation 1 INTRODUCTION Pour satisfaire les besoins colossaux en nourriture c r ales et produits animaux de la population la production alimentaire devrait d ici 2050 augmenter en moyenne de 70 Collomb 1999 voire de 100 pour les pays en d veloppement Les surfaces mondiales de terres cultiv es quant elles devraient augmenter de 43 un rythme de 6 8 millions d hectares par an Dorin et Paillard 2009 La progression de la production ne pourrait tre obtenue que par le d veloppement de l irrigation Pour la Tunisie le d veloppement des p rim tres irrigu s est une priorit Mais plu
536. r une concentration de 6 1 Les param tres sont mesur s aux stades floraison et maturit et concernent la hauteur de la tige principale HAT en cm mesur e l aide d une r gle gradu e partir du plateau de tallage jusqu l insertion de l pi le nombre de talles basales par feuille maturit NTB le nombre total de feuilles par plante NTF la longueur de la feuille drapeau LOD en cm la largeur de la feuille drapeau LAD en cm l indice chlorophyllien ICH mesur par le SPAD Soil Plant Analysis Development L analyse statistique a t r alis e par le logiciel Statistica 8 Toutes les mesures ont t r p t es trois fois Les r sultats ont t soumis une analyse de la variance un facteur et les moyennes ont t compar es selon la m thode de Newman et Keuls Chaque moyenne est affect e d une lettre Les moyennes suivies d une m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de probabilit 5 1088 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 RESULTATS ET DISCUSSION Pour estimer la tol rance de la vari t de sorgho aux diff rents stress il a t proc d des mesures morphologiques con
537. ra sauf a la station de T Kout au nord en zone de montagne d passant les 300 mm an Apr s Les conditions naturelles cit es pr c demment nous avons tudi les diff rentes fonctions socio conomiques qui entre en contact direct avec l utilisations de cette ressource importante comme le nombre des populations les activit s agricoles et industriels dans le bassin versant du Zab Est de Biskra en suite on a proc d l valuation des ressources en eau de surface et souterraine reconnues mobilis es et exploit es et la mani re de leur distribution actuelle au niveau de l alimentation en eau potable l utilisations agricoles et industrielles En fin de compte nous donnons une estimation perspective des besoins en eau des diff rents secteurs a court moyen et longue terme et un aper u sur l tat des r seaux d assainissement L affectation des ressources en eau dans le bassin du Zab Est de Biskra la partie la plus importante des eaux mobilis es est destin e la satisfaction des besoins agricole utilisation pour l irrigation avec un volume de 280 6 Hm an soit un taux de 90 03 Toutefois cette dominance est due aux besoins d irrigation qui ne cessent de cro tre Les besoins domestiques tiennent une place pr pond rante dans les pr l vements d eau dans le bassin un volume de 30 81 Hm soit 9 88 de la totalit des ressources mobilis es Le volume consacr pour couvrir les besoins en eau industrielle est
538. rable des zones arides 17 19 12 2013 Autres 7 25 Rare 3 1 2 Conduite de la vigne dans les oasis L tude r alis e a concern galement les principales techniques culturales de la vigne qui sont pratiqu es dans les oasis Ces techniques sont la taille la fertilisation et l irrigation Concernant la taille il s est av r que la majorit des agriculteurs 70 appliquent la taille classique des arbres fruitiers Toutefois la taille pratiqu e dans les oasis n est pas conduite ni selon les esp ces ni leurs besoins Elle consiste liminer les sarments et les rameaux qui se d veloppent en dehors des limites de l espace r serv pour chaque arbre C est une op ration marginalis e et n ob it pas aux normes connues pour chaque esp ce Tous les agriculteurs visit s apportent de fumier avec des doses diff rentes ainsi que des fr quences de 3 4 ans selon les sites La fumure est g n ralement destin e pour la fertilisation de palmier dattier et puisque la majorit des arbres fruitiers sont plac s sous ces palmiers ou entre celles ci elles en profitent Dans les oasis tous les agriculteurs appliquent une irrigation par submersion permettant I irrigation de toute la parcelle tout en couvrant les besoins de toutes les cultures pr sentes palmier arbres fruitiers et cultures maraich res Ce sont les GDA Goupement de D veloppement Agricole ou les puits superficiels qui fournissent l eau d irrigation aux oas
539. ranspiration ETc DI 50 treatment irrigated at the same frequency as FI treatment but with quantity equal to 50 of accumulated ETc during growing period and deficit irrigation during tillering stage DI Dev maturity DI Mat and both stages DI Dev Mat The results showed that soil salinity was significantly affected by irrigation treatments Higher soil salinity was maintained in the root zone with DI S0treatment than full irrigation FI DI Dev DI Dev Mat and DI Mattreatments resulted also in low ECe values This highest soil salinity accompanied with DI 50 treatment reduced barley yield significantly However regulated deficit treatments provide acceptable yields compared to full irrigation treatment Water productivity WP obtained in field experiments corresponds with values reported in the literature and was affected by irrigation treatments The lowest WP values occurred under the FI treatment while the highest values were obtained under DI 50 deficit irrigation treatment However the difference between FI DI Dev DI Mat and DI Dev Mat treatments was not significant The full irrigation FI and deficit irrigation DI Dev DI Mat and DI Dev Mat strategies were found to be a useful practice for scheduling barley irrigation with saline water under the arid Mediterranean conditions of southern Tunisia Key words arid salinity deficit irrigation barley yield water productivity 1 INTRODUCTION Water shortage is one of the most importan
540. ration en sodium augmente en se rapprochant de Sebhkat de Sidi El Hani contrairement l Est de la zone d tude o la concentration diminue pour atteindre sa valeur minimale Par ailleurs la teneur en potassium mesur e Figure 5b est faible par rapport aux autres cations oti les concentrations varient entre 0 29 et 6 meq l Ainsi la zone d tude peut tre scind e en deux zones une l Ouest avec des concentrations sup rieures 0 43 meq l et une autre l Est avec des concentrations comprises entre 0 29 et 0 43 meq l Concernant le calcium la teneur varie entre 19 8 et 66 8 meq l Figure 5c Ce dernier a une tendance de pr senter une r partition inverse a celle du potassium Ceci montre bien que la partie Ouest est caract ris e par des eaux plus charg es en calcium que la partie Est de la r gion d ouled chamekh Pour le magn sium la r partition est caract ris e par une variabilit moyenne Elle est comprise entre 18 4 et 31 5 meq l l exception des zones Nord Ouest et Sud Ouest o la concentration varie entre 5 et 18 meq l Figure 5d La zone Est et la zone Ouest contiennent des eaux souterraines tr s charg es en chlorures Figure 5e La partie centrale contient des eaux souterraines dont la teneur en chlorures ne d passe pas la concentration moyenne 55 meq l Les chlorures ont une tendance de min ralisation tr s forte avec la conductivit lectrique La concentration en ions sulfates est caract ris e p
541. ration en sel souhait e Les traitements se r sument comme suit To eau du robinet titrant environ 1 g l T3 To 3 g l de NaCl 4 g l Ts To 6 g l de NaCl 7 g l 1066 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Les besoins th oriques en eau du mil sont estim s 580 mm ETM 100 Damagnez et al 1962 De Vill le 1965 La fr quence d irrigation tait la m me 10 jours au d but de la culture et une fois par semaine d s le d but de l piaison Les traitements ont t d marr s au stade quatre feuilles Les deux cotypes ont t sem s en trois r p titions Chaque r p tition est repr sent e par un carr de 25 m2 La densit est de 10 plantes au m tre carr Les traitements sont espac s de 3 m et sont entour s dans toutes les directions de lignes de bordure 2 3 Mesures effectu es Les param tres suivis sont morphologiques et aussi m taboliques e La mesure de la hauteur des plantes HAT en centim tres est d termin e l aide d une r gle gradu e du collet de la plante l insertion de la chandelle au stade maturit e Les feuilles ont t compt es pour chaque plante et les dimensions longueur et largeur
542. raux Apr s broyage calcination et min ralisation avec l acide nitrique HNO dilu 1N le dosage des cations changeables et des m taux lourds a t proc d Le dosage du sodium du potassium a t fait sur l extrait obtenu par min ralisation gr ce un photom tre flamme de marque JENWAY Le dosage des m taux lourds a t fait sur l extrait obtenu par min ralisation l aide d un spectrophotom tre absorption atomique analytikjena aux longueurs d onde correspondantes 3 RESULTATS ET DISCUSSION 3 1 Caract ristiques physico chimiques des EUT Les r sultats obtenus CRDA 2008 montrent que les EUT provenant de la station d puration Sfax Sud sont g n ralement alcalins avec un pH qui est gal 7 59 Cette valeur se situe dans l intervalle 6 5 8 5 de la norme tunisienne de r utilisation des EUT De plus la conductivit lectrique CE enregistr e est tr s lev e 6 33 mS cm mais elle ne d passe pas la norme qui est fix e 7 mS cm Cette valeur est par cons quent un indicateur de la forte salinit de ces effluents La valeur lev e de CE est en fait due aux fortes concentrations des chlorures et de sodium qui sont respectivement 1349 mg l et 825 mg l Dans ce sens il est noter que l olivier est un arbre mod r ment tol rant la salinit Selon Chartzoulakis 2005 cette esp ce peut tre irrigu e sans d g ts avec une eau contenant 3200 ppm de sels CE 4 5 mS cm En te
543. rav ins Montpellier 7p Gervy R 1970 Les phosphates et l agriculture Ed Dunod Paris 298 p Hamdy A et Makhlouf A 2002 Advances in soil salinity and drainage management to save water and protect the environment min agr Alg rie p 35 38 Le houerou HN 1995 Bioclimatologie et biog ographie des steppes arides du Nord de I Afrique Diversit biologique d veloppement durable et d sertification Optionme diterran e serie B Monpelier 397 p Lou A 1987 Les oligo l ments en agriculture Ed Nathan Paris 577p Mathieu C et Pieltain F 2003 Analyses chimiques des sols Lavoisier Paris 292 p 1205 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1206 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Expression des prot ines sous le choc de froid chez le bl dur Triticum Durum Desf Mekhlouf A Dehbi F Hannachi A Rouag N Universit Farhat A
544. rcGIS 30 637 646 Nouri N Poorhashemi S A Monavari S M Dabiri F Hassani A H 2011 International Journal of Environmental Research Legal criteria and executive standards of solid waste disposal subjected to solid waste management act 5 971 980 ONAS 2011 Rapport annuel 2010 http www onas nat tn Fr upload telecharge ment telechargement99 pdf Last access June 2012 Rahman M A Rusteberg B Salah Uddin M Lutz A Abu Saada M Sauter M 2013 Journal of Environmental Management 124 An integrated study of spatial multicriteria analysis and mathematical modeling for managed aquifer recharge site suitability mapping and site ranking at Northern Gaza coastal aquifer P 25 e39 Ribeiro P Albuquerque A Quinta Nova L Cavaleiro V Resources Conservation amp Recycling 2010 Recycling of pulp mill sludge to improve soil fertility using GIS tools 54 1303 11 Saaty T L 1980 McGraw Hill New York The Analytic Hierarchy Process 1184 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Relationship between electromagnetic induction measurements with an EM38 and soil water content across Lebna catchment Insaf Mekki Zeineb Jaiez
545. rces et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 correspond sensiblement au climat aridit et les facteurs daphiques interviennent sur le d veloppement de la v g tation Tableau 3 Les relev s floristiques de la zone d tude Esp ces Famille Suaeda monodiana ch nopodiac es Atriplex halimus Suaeda mollis Salsola tetragona 5 CONCLUSION A travers les r sultats obtenus un certain nombre de conclusions peuvent tre d gag es En premier lieu la caract risation des sols de M doukal au laboratoire a r v l que la salinit est lev e avec une alcalinit mod r e une quantit moyenne en gypse et une teneur lev e en calcaire Dans un deuxi me temps les relev s floristique a permis de caract riser les esp ces v g tales de la zone d tude Ils constituent des groupes cologiques daphiques mat rialisent l action des conditions daphiques sur leur composition floristique Ainsi nous pouvons dire qu il existe une relation entre la distribution de la v g tation et le sol tuteur REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Baize D 1988 Guide des analyses courantes en p dologie ed INRRA paris 172p Daoud Y et Halitim A 1994 Irrigation et Salinisation au Sahara Alg rien Secheresse 3 5 pp 151 160 Emberger L 1955 Une classification biog ographique des climats t
546. rches sugg rent que l accumulation des sucres en combinaison avec les prot ines nouvellement synth tis es prot gent les prot ines et les membranes de la d naturation par le froid Dionne et al 2001 Houde et al 1992 trouvent une corr lation entre l accumulation des prot ines thermostables de type WC et l induction de la tol rance au froid chez le bl tendre En comparant les profils des prot ines extraites Parida et al 2004 notent que les polypeptides 31 30 27 16 et 13 kDa forment l essentiel des prot ines pr sentes dans les plantes non acclimat es Les m mes profiles des prot ines sont pr sents chez les plantes acclimat es avec cependant une forte intensit des polypeptides 30 et 31 chez les g notypes tol rants et la synth se de novo d un polypeptide de 26 kDa Parida et al 2004 mentionnent que le contenu prot ique foliaire d troit graduellement sous l effet de l intensit du stress salin Cette diminution des prot ines totales est attribu e l activit croissance des prot ases sous stress et se fait au profit d une augmentation des acides amines L hydrolyse des prot ines par des prot ases lib re les acides amin s qui jouent un r le dans l ajustement osmotique Yen ef al 1997 observent galement l accumulation de cinq polypeptides au poids mol culaire de 40 34 32 29 et 14 kDa sous stress salin Ces polypeptides diff rent du point de vue rapidit d induction apr s imposition du stre
547. re de deux cotypes locaux de mil irrigu s l eau saum tre 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal Cet essai a port sur deux cotypes autochtones de mil collect s travers le territoire tunisien Ces cotypes appartiennent des tages bioclimatiques diff rents sont cultiv s sur des sols de textures diverses et sont irrigu s avec des eaux de qualit m diocre Ces cotypes sont e ZZ cotype collect Zarzis latitude 33 30 longitude 11 07 pr sentant une longue tige et de chandelles fines structure l che Son cycle est assez long et il est productif e HG cotype collect au cap Bon Hammam Laghzaz latitude 36 50 longitude 11 06 poss dant une courte tige et des chandelles larges et compactes C est un mil cycle court et moyennement productif 2 2 Protocole exp rimental Les essais ont t conduits au champ dans une zone semi aride hiver doux Les semis ont t r alis s le 23 mai 2009 la station exp rimentale de l INRA de Tunis latitude 36 51 longitude 10 11 Le sol est d apport alluvial il est profond homog ne et de texture argileuse avec une teneur en l ments fins gt 70 L eau d irrigation utilis e est celle courante titrant 1 g l en NaCl Elle est d livr e aux parcelles par submersion Pour r aliser le stress salin nous avons adopt un dispositif en Split Plotpermettant de donner l eau d irrigation la concent
548. re et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Droubi A Fritz B Tardy Y 1976 Equilibres entre min raux et solutions Programmes de calculs appliqu s a la pr diction de la salure des sols et des dos optimales d irrigation Cahiers ORSTOM s rie p dologie VOL XIV 13 38 Durand JH 1958 Les sols irrigables tude p dologique Alger 190 p Guendouz A Reghis Z Moulla AS 1992 Etude hydrochimique et isotopique des eaux souterraines de la cuvette de Ouargla Rapport 65p Idder A H 2006 Mode de fixation et de cristallisation des sels dans un sol nu non irrigu dans la r gion de Ouargla Th se Mag INA El Harrach Alg rie 100p Idder T Idder A Mensous M 2012 Les cons quences cologiques d une gestion non raisonn e des eaux agricoles dans les oasis du Sahara alg rien Cas de l oasis de Ouargla In Apse C De l eau agricole l eau environnementale R sistance et adaptation aux nouveaux enjeux de partage de l eau en m diterran e Ed Quae Collection Update Sciences amp technologies Versailles France pp 209 218 Nezli IE Achour S Djabri L 2007 Approche g ochimique des processus d acquisition de la salinit des eaux de la nappe phr atique de la basse vall e de loued M ya Ouargla Larhyss Journal 6 121 134 Servant JM 1978 La salinit dans le sol et les eaux caract risation et probl mes d irrigation dr
549. re face ses besoins Khabou 1994 et khabou et al 1996 L irrigation continue l eau saum tre des oliviers engendre une diminution notable de la concentration d amidon Cette diminution r sulte soit de l alt ration de la synth se de l amidon soit d un processus de d gradation Ben Ahmed 2009 Nos r sultats sont en accord avec ceux enregistr s par Misra et Gupta 2005 sous des conditions de salinit Cette diminution significative peut tre la r sultante de l alt ration de la synth se d amidon puisque assimilation du CO est r duite 4 CONCLUSION Le recours aux mycorhizes comme outil biologique pour r duire l effet de la salinit t test et confirm En effet les r sultats obtenus ont permis de d gager le r le jou par Glomus deserticola dans la r duction des effets nocifs de la salinit sur des plantules d olivier Olea europaea L Au niveau des feuilles la salinit a provoqu une diminution de la surface foliaire accompagn e d une diminution de la densit des stomates et une augmentation du nombre des trichomes ce qui a engendr une diminution de la teneur en chlorophylle La densit stomatique ainsi la teneur en chlorophylle est toujours plus lev e chez les plantules mycorhiz es Des r sultats similaires ont t r v l s pour la teneur des feuilles en amidon Ces r sultats ouvrent une nouvelle voie bas e sur la production de plants mycorhiz es pour contourner et r
550. re l effet du froid se r alise par un changement de la composition lipidique de la membrane La pr sente tude se fixe pour objectif d analyse le changement de la composition prot ique foliaire des plantules de bl dur soumises au choc du froid avec et sans acclimatation 2 MATERIELS ET METHODES Trois g notypes de bl dur Triticum durum Desf Waha Martondur et Martondur Waha ont t sem s dans des pots en plastiques de 11 de contenance remplis de terreau raison de dix graines par pot Deux pots ont t sem s par g notype Un pot par g notype a t conduit dans des conditions ambiantes du laboratoire 20 23 C de temp rature moyenne le jour 11 12 heures de photop riode et 60 65 d humidit relative jusqu au stade 3 4 feuilles Ce pot constitue le traitement non endurci T1 Le pot restant a t soumis apr s germination des basses temp ratures de 3 1 C pendant deux semaines pour endurcissement T2 Apr s quoi l ensemble des pots des traitements T1 et T2 a t soumis un choc de basses temp ratures de 5 C pendant 24 heures dans un freezer thermo r glable de marque LMS L exp rience a t r p t e trois fois dans le temps suit la faible capacit volumique du freezer utilis Mesures Teneur en chlorophylle La teneur en chlorophylle a t d termin e sur un pr l vement de 100 mg de mati re fra che du tiers m dian de la derni re feuille bien d velopp e Les chantillons f
551. re les plantes poss dant une TRE sup rieur 62 et celles poss dant une teneur relative en eau inferieur cette valeur Fig 2 Pour les plantes poss dant une TRE sup rieure 62 on note une teneur moyenne en sucres de 80 8 mg g de PF Pour les plantes poss dant une teneur relative en eau inferieur 62 on note une teneur moyenne en sucres de 114 4 mg g soit 29 4 de diff rence Selon la droite de r gression Fig 2 nous pouvons constater que la variabilit de la TRE explique 42 de la variabilit de la teneur en sucre Cette augmentation de la teneur en sucre peut tre la cons quence directe de la perte en eau lors du stress hydrique il s agirait probablement d une concentration passive des sucres ne nous permettant pas de la lier directement un ajustement osmotique car dans ce cas on aurait tendance s attendre plut t une augmentation des sucres plus importante que la baisse de la TRE a ne 604 58 56 54 52 50 48 Teneur relative en eau 46 44 42 40 38 36 34 N 16 N 16 T moins Stress es Moyenne ZI Moyenne Erreur Type 1 08 1 06 1 04 1 02 1 00 0 98 0 96 0 94 0 92 0 90 0 88 0 86 0 84 Concentration en sucres en mg g MF 0 82 0 80 0 78 T moins E Moyenne I Moyenne Erreur Type N 5 Stress es Figure 1 Valeurs moyennes de la teneur relative en eau et de concentra
552. related to the numbers of favorable sites which is limited and second is related to the budgetary resources which should be mobilized to curry out this works according to their high cost In semi arid spaces other constraints are added such have the prevailing climate marked by dryness the zonality of the underground resources and the torrential rains That makes water access hardly From where it is more than necessary to seek easy and applicable solutions by the recourse to collect rainwater by construction of small works such as pools djoubs colature etc which are for long time practiced by agro pastoral populations In Algeria within national program of agricultural and rural development a special fund was created to solve the problems related to the steppe areas development by proportional or final financing according to the importance of the investments Among of eligible actions at this fund the realization of the pools since 2000 to date hundreds of pools were carried out with the profit of the agro pastorals households The poster illustrates a current situation of this type of work carried out by Office of the High Commission with the development of steppe HCDS in a steppe zone with semi arid climate Mots cl s Agro pastorale pool Rainwater harvesting semi arid water scarcity steppe RESUME La collection des eaux pluviales a t et restera toujours l une des solutions pour s approvisionner de l eau dont il f
553. rents g notypes sous les irrigations avec de l eau charg e ou non charg e sont donn es au tableau 1 Pour identifier les caract res qui accompagnent l expression du rendement en grains une comparaison inter essais est faite Nous avons constat que pour les deux essais confondus le rendement en grain a vari de 55 3 225 g m soit 5 5 22 5 qx ha Tableaul1 Ces rendements au sud se rapprochent de ceux obtenus dans les conditions de culture les plus favorables au nord du pays Aissa et Mhiri 2002 La moyenne de rendement de 129 g m quivalent 12 9 qx ha correspond un nombre de grains de 783 par m Ces r sultats sont dans la norme de la production de bl dur en Tunisie Lattiri 1992 La r duction du rendement moyen a t de 31 l essai irrigu par l eau charg e par rapport celui irrigu par l eau douce Tableau 1 Statistiques descriptives des variables PS PMG NG et RG des diff rentes vari t s de bl dur cultiv es aux niveaux des deux essais PS g plante PMG g m NG m RG g m Minimum 0 34 35 357 55 3 Maximum 2 2 53 6 1330 225 Moyenne 0 86 48 783 129 35 PS biomasse stade 2 n uds Z32 PMG le poids de mille grains NG nombre de grains par m RG le rendement en grains 1265 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et A
554. ress hydrique dans la plupart des pays En plus il faut souligner que ces volumes n atrivent pas en totalit l utilisateur elles sont soumises des r ductions li es des contraintes majeures envasement pollution r chauffement climatique insuffisance technique et mauvaise gouvernance elles sont donc r guli rement en diminution La pression induite par la demande a contraint la plupart des pays opter pour des solutions urgentes en consacrant une bonne part de leurs richesses au dessalement de l eau de mer Ses solutions envisag es dans la h te peuvent provoquer l effet boomerang Le march hydraulique alg rien potentiellement fort de ses 22 milliards de dollars attise les convoitises des lobbies de leau 4 Le recours aux eaux non conventionnelles Afin d chapper au stress hydrique et ses cons quences d sastreuses ces pays sont amen s fournir une eau de plus en plus ch re et r pondre aux besoins croissants en eau Ainsi les usines de dessalement d eau de mer d eau saum tre et d purations des eaux us es sont en nette progression Pour certains pays leur survie en d pend enti rement pour d autres elles constituent un compl ment n cessaire 4 1 Dessalement de Peau de mer Le recours au dessalement de l eau de mer a constitu une bou e de sauvetage pour certains pays o la p nurie s est install e il y a longtemps Cette solution alternative relativement rapide mettre en uvre a pe
555. rides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal L exp rimentation a t r alis e sur des individus d oliviers olea europaea L cultivar chemlali plant e sur deux types de sol diff rents Cette vari t est la plus r pandue dans les oliveraies tunisiennes elle occupe 69 de la superficie des oliveraies Bayouth DGPA 2009 Anciennement nomm e Sahli cette vari t occupe la majeure partie des oliveraies de Sfax Elle est auto compatible et caract ris e par une capacit rhizog ne faible une floraison pr coce une productivit lev e et alternante L importante caract ristique de cette vari t qu elle est r sistante la s cheresse catalogue mondiale des vari t s d olivier 2000 2 2 Pr l vement et pr paration des chantillons Les chantillons sont pr lev s chaque mois d une fa on r guli re durant la p riode d tude mars 2012 Juin 2012 Les chantillons fra chement r colt s sont ramen es au laboratoire dans des sacs en plastiques o les feuilles et les brindilles sont s par es chacun part qui sera divis en deux lots Le premier lot est imm diatement conserv dans le
556. rides 17 19 12 2013 3 1 5 Rendement biologique Une analyse de variance au seuil de 1 a montrer que les variations de ce param tre d pendent de g notypes des traitement et de l interaction capacit g n tiquex environnement La figure Smontre une diminution de la biomasse labor e au niveau de essai irrigu par l eau charg e de l ordre de 47 Ce param tre montre que les vari t s am lior es sauf A9 sont mal class s La vari t A9 avec sont taux de r duction n gatif 5 occupe la meilleur place de point de vue tol rance la salinit malgr qu elle ne pr sente pas le meilleur rendement biologique Les vari t s les plus touch es par la salinit sont V8 V36 et V39 avec des taux de r ductions d passants le 70 La vari t qui a donn e le plus grand RB en r gime stress est V49 alors que V8 a donn le rendement le plus m diocre Ce param tre peut tre utilis donc comme crit re de s lection pour la tol rance la salinit Yufeng 2007 Rendement biologique E eau douce E eau charg e G notypes Rendement biologique g m2 Figure 5 Rendement biologique des diff rents g notypes pour les deux traitements 3 1 6 Rendement en paille Une analyse de variance relative au rendement en paille a montr un effet hautement significatif au seuil de 1 des traitements des g notypes et de l interaction traitement g notypes Ben Naceur et al 2001 Donc c est un c
557. rigation DI 50 compared to FI and DI Mat Previous studies have shown that moderate water deficit during the vegetative and maturity stages don t have significant effects on dry matter accumulation of barley and wheat Jamieson et al 1995 The reduction in grain yield associated with the treatment DI 50 was mainly attributed to a significant reduction in yields components data not presented as a consequence of water shortage during flowering and grains formation Indeed continuous deficit irrigation DI 50 caused a reduction in the tillers number and subsequently a reduction in the number of spikes per m2 Due to its effect of reducing the build up of salinity the DI Mat and DI Dev treatments resulted in barley yields comparable with those obtained under FI treatment Barley crop productivity is most sensitive to water stress during jointing flowering and grain filling Sepaskhah 1978 Weltzien and Srivastava 1981 Ceccarelli 1987 Baheri et al 2005 Note that the DI 50 and DI Dev Mat deficit irrigation strategies result in higher salinity in the rooting zone than full irrigation strategy Figure 3 The higher salinity associated with deficit irrigation strategies DI 50 and DI Dev Mat were sufficient to cause reduction in yield of barley Water deficit conditions can aggravate the stress placed on plants growing under saline conditions Successful use of saline waters for irrigation purposes will be linked to irrigation management that
558. rim tre exp rimental El Hajeb OTD Chaal Les traitements hydriques suivants ont t appliqu s e eau ordinaire E1 2 Eau us es trait es dilu e deux fois E 1 3 eau us es trait es dilu es 3 fois et E eau us es trait es non dilu es L essai est form de trois lots compos s chacun de 12 plantes d olivier Un premier lot pour les plantes inocul es par la souche Glomus deserticola M un deuxi me lot pour les plantes inocul es par la souche Gigaspora margarita M gt et un autre pour les plantes t moins non mycorhiz es NM Pour chaque lot les quatre traitements hydriques ont t appliqu s de fa on avoir trois plantes pour chaque type de traitement hydrique et par lot de plantes Le dispositif exp rimental est un essai factoriel comportant 12 traitements et 3 r p titions par traitement Les analyses statistiques de tous les param tres tudi s ont t faites par le logiciel SPSS 20 Statistical Package for the Social Sciences suivant le mod le lin aire g n ral univari en utilisant le test Duncan pour la comparaison des moyennes 2 2 Croissance v g tative des plantes Des mesures ont t r alis es tous les 15 jours d s le d but de l application des traitements hydriques Ces mesures ont concern la longueur cumul e des pousses cm que les plantes ont d velopp A partir des mesures de la longueur cumul e des pousses allongement des pousses a t d duit Pour 1272 Revue des R
559. ritifs gr ce leurs hyphes extra radiculaires d une part et leur r le dans l att nuation de la translocation des m taux lourds en l occurrence le Cd vers la partie a rienne d autre part REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Arias JA Peralta Videa JR Ellzey JT Ren M Viveros MN et Gardea Torresdey JL 2010 Effects of Glomus deserticola inoculation on Prosopis Enhancing chromium and Lead uptake and translocation as confirmed by X ray mapping ICP OES and TEM techniques Environmental and experimental botany 68 139 148 Arriagada C Pereira G Garcia Romera I et Ocampo JA 2010 Improved Zinc tolerance in Eucalyptus globulus inoculated with Glomus deserticola and Trametes versiclor or Coriolopsis rigida Soil biology amp biochemistry 42 118 124 Bedbabis S Ferrara G Ben Rouina B et Boukhris M 2010 Effects of irrigation with treated wastewater on olive tree growth yield and leaf mineral elements at short term Scientia Horticulturae 126 345 350 1276 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Charfi D Medhioub K et Trigui A 2003 Impact des eaux us es pur es sur le sol d El Hajeb et sur le d veloppement de l olivier Sfax Tech
560. rme de fertilisation ces eaux montrent une richesse en l ments fertilisants notamment en azote et en potassium ce qui pourrait entra ner une augmentation du taux de la mati re organique et des l ments nutritifs du sol et par cons quent une am lioration des rendements des plantes cultiv es Concernant les m taux lourds les concentrations sont g n ralement faibles et ne d passent pas les normes l exception du cadmium et du plomb Pour cela l irrigation par les EUT pendant une longue p riode pourrait engendrer une accumulation de ces m taux au niveau du sol ainsi qu une phytotoxicit Concernant les quatre traitements hydriques appliqu s des mesures de la conductivit lectrique de ses diff rents traitements ont montr que la CE des eaux de robinet sont beaucoup moins faibles que celle des EUT Egalement plus on augmente la dilution des EUT plus la CE devient plus faible et par cons quent la salinit de ces eaux devient plus faible et donc convenable l irrigation des plantes d olivier Tableau 1 Tableau 1 La conductivit lectrique CE des diff rents traitements hydriques Traitement CE mS cm EUT 6 33 EUT dilu es 1 2 4 13 EUT dilu es 1 3 3 59 Eau de robinet 2 29 1273 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture e
561. rmettent en outre un ajustement de la production aux ressources disponibles r duisent les pics de demandes et participent aux strat gies d vitement en cas de s cheresse Lambert 1983 Gerik 1990 Radhouane 2006 Nos r sultats ont montr que le nombre de talles n a pas vari de fa on tr s significative quelque soit le stress appliqu Un tel r sultat a t mentionn par Radhouane 2006 sur le mil La feuille est l organe le plus actif de la plante puisqu elle constitue le si ge de toutes les activit s biochimiques L application d une contrainte hydrique mod r e n a pas touch ni le nombre de feuilles ni leur dimensions alors qu en conditions hydriques limitantes les feuille du sorgho subissent un r tr cissement et deviennent plus courtes et plus effil es Des r sultats semblables ont t constat s par De Lacerda et al 2005 et Mutava 2011 chez le sorgho Les plantes irrigu es l eau saum tre pr sentent moins de feuilles form es par plante que le t moin mais plus nombreuses que le stress hydrique Il semble que le sel retarde la formation et la mise en place de nouvelles feuilles sans modifier fondamentalement la cin tique de croissance foliaire Dj et al 2007 Un changement dans le taux de chlorophylle de la feuille est un indicatif relatif de la sant de la plante Carter et al 2002 La r duction de chlorophylle observ e sous stress hydrique s v re est due soit une inhibition d
562. rmination des graines d Hordeum vulgare semble tre pr coce en pr sence de sel et sous les traitements 100 200 et 300 meq I de la solution saline puisque les premi res graines germent d s le premier jour de semis Notons aussi que les traitements 400 et 500 meq I retardent la germination des graines tandis que le traitement 600 meq l inhibe totalement leur germination puisqu on en observe aucune Les graines d Atriplex halimus quant a elles ne r agissent qu au deuxi me jour pour le t moin et les traitements 100 et 200 meq I partir du troisi me jour en ce qui concerne les traitements 300 400 et 500 meq l et jusqu au quatri me jour pour le traitement 600 meq l Les taux finaux de germination les plus lev s sont enregistr s pour les graines d Hordeum vulgare ils sont proches entre les graines d Hordeum vulgare t moins 84 et les graines trait es a des concentrations de 100 200 et 300 meq I de la solution saline 88 82 et 70 En revanche les taux de germination des graines d Atriplex halimus soumises ces trois conditions de stress sont r duits 62 1053 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 44 et 32 comparativeme
563. rmit d att nuer les situations de stress occasionnel ou durable des pays ayant atteint le fond du puits en mati re de pr l vements Le tableau 1 donne une id e sur cet effort et pr sente une estimation des volumes d eau dessal e et mis contribution des eaux de pr l vement 1144 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Tableau 1 Potentialit s en eau de mer dessal e dans certains pays Pays Millions Pr l vement Eau domestique m an Km Km Alg rie 690 27 3 6 11 5 1 32 52 3 Arabie Saoudite 795 31 5 16 3 4 8 1 52 52 3 E A U 342 13 6 1 4 24 4 0 48 71 2 Koweit 240 9 5 0 4 60 0 31 77 4 Libye 130 5 1 2 83 4 6 0 42 30 9 Qatar 83 3 3 0 19 43 6 0 08 100 Tunisie 81 3 2 3 2 7 0 39 20 8 Irak 73 2 8 42 8 1 7 1 28 5 7 Bahre n 56 2 3 0 21 26 6 0 08 70 Oman 32 1 4 1 4 2 2 0 09 35 Y men 9 0 3 3 2 0 009 0 17 5 Total 2531 100 74 5 3 4 5 97 42 2 Le pr sent tableau montre lessor du dessalement dans les pays arabes dont les volumes d passent 2 5 km avec en t te de peloton l Arabie Saoudite 31 suivi de l Alg rie 27 Les volumes d eau dessal e renforcent les pr l ve
564. ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 lev des compos s bioactifs promoteurs de la sant tels que les compos s azot s soufr s glucosinolates et isothiocyanates les compos s ph noliques flavonoides d riv s de l acide chlorog nique et sinapique ainsi que d autres l ments nutritifs vitamine C acides amin s des min raux et des chlorophylles Tian et al 2005 Moreno et al 2006 Borowski et al 2008 Cependant ces compos s bioactifs varient largement en r ponse aux facteurs g n tiques Li et al 2001 agronomiques Fabek et al 2012 et environnementaux tel que la salinisation des terres agricoles Schonhof et al 2007 L pez Berenguer et al 2009 Des estimations r centes indiquent que pr s de 7 de l espace terrestre globale Szabolcs 1994 et 20 50 des terres agricoles irrigu es dans le monde Tanji 2002 Hu et Schmidhalter 2005 sont affect es par la salinit l un des principaux facteurs abiotiques limitant la croissance et la productivit des plantes cultiv es traditionnelles Yamaguchi et Blumwald 2005 Les glucosinolates GSLs sont des compos s soufr s caract ristiques des Brassicaceae ayant des effets favorables sur la sant humaine li s l a
565. roissance par la salinit trouve son explication dans l effet b n fique de Na sur l expansion cellulaire et la balance hydrique Il est appuy dans ce r sultat par Cheesman 1988 qui explique le maintien de la croissance en conditions salines par une compartimentation vacuolaire efficace de Na En revanche Vaadia 1976 et Chapin 1991 l attribuent l accumulation des hormones de croissance en r ponses au sel comme l ABA Amazallag et al 1999 ont mentionn que l ABA est responsable de l acc l ration de la croissance chez le sorgho cultiv en pr sence de sel des concentrations pouvant d passer 300 mM 1069 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 4 CONCLUSION En conclusion nous pouvons dire que sur le plan agronomique le mil pr sente un grand potentiel de d veloppement puisqu il supporte les conditions extr mes d agriculture et fournit des rendements lev s au bout d une saison de v g tation relativement courte Sur le plan fourrager le mil peut tre incorpor dans la ration alimentaire animale Pour ce qui est de la variabilit g notypique les r sultats ont fait ressortir la sup riorit de l cotype origina
566. rons 5 milliards de US en 2007 Le pays a import 5 millions de tonnes en bl en 2006 et devrait doubler ces quantit s en 2015 L examen des facteurs de production montre clairement l abandon du secteur de l agriculture L exemple du rapport entre la surface agricole utile et la population est significatif Figures 3 et 4 Il est en chute dans tous les pays arabes Seuls 7 pays Libye Soudan Tunisie Syrie Maroc Alg rie Irak repr sentant 51 5 des habitants arabes ont un ratio compris entre 0 35 et 0 2 ha hab soit 1ha pour 5 habitants 0 40 0 35 0 30 0 25 8 amp 0 20 Ss a 0 15 0 10 0 05 I 0 00 iit g g o M 2 A YB S g o o 8 g y gos PERS Eee eS REEF 425 S 4 es 5 1 gp Be6E lt A 6 lt oS S A gt om 5 m M O lt Pays j Figure 3 Ratio de la surface agricole utile dans les pays arabes La m me constatation est faite propos du ratio relatif la surface agricole irrigu e dont 7 pays Irak Libye Arabie Saoudite Syrie Comores Soudan Egypte c est dire 59 5 de la population ont un ratio compris entre 0 04 et 0 12 ha hab soit 1ha pour 25 habitants 0 14 0 12 0 10 E 0 08 soe 0 06 a S 0 04 0 02 0 00 2 5 z 5 a u a a 8g o gg g 2 g 2 k o E ag EeceesSRE ZAR iii S SE so BBER lt P z g ays gt Figure 4 Ratio de la surface irrigu e
567. rophyll from leaf tissue without maceration Canadian Journal of Botany 57 1332 1334 Marschner H 1995 Mineral nutrition of higher plants 2 ed Academics Press San Diego CA 423 pp Morales JU Alatorre AH Escalante AA Lopez SB Vazquez HG Diaz Gomez MO 2011 Nutritional Characteristics of Silage and Hay of Pearl Millet at Four Phenological Stages J of Animal and Veterinary advances 10 11 1378 1382 Moreira I Bastos AO Scapinelo C Fraga AL Kutshenko M 2007 Different types of pearl millet Pennisetum glaucum L R Brown on growing finishing pigs feeding Ciencia Rural 37 2 495 O1 Muscolo A Panuccio MR Sidari M 2003 Effects of salinity on growth carbohydrate metabolism and nuttritive properties of Kikuyu grass Pennisetum clandestinum Hochst Plant Sci 164 1103 1110 Naeem M Chohan MSM Khan AH Salah ud Din S 2003 Study of green fodder yield potential nd its components of different pearl millet Pennisetum americanum L varieties under irrigated onditions of Faisalabad Ibid 2 1 74 76 Netondo GW Onyango JC Beck E 2004 Sorghum and salinity I Response of growth water relations and ion accumulation to NaCl salinity Crop Sci 44 3 797 805 Payne WA 2000 Optimizing crop water use in sparse stands of pearl millet Agron J 92 808 814 Radhouane L 2008 Effet du stress salin sur la germination la croissance et la production en grains chez quelques cotypes
568. rrigu s avec des eaux de mauvaise qualit saum tre etc A notre humble avis une pareille tude n cessite d tre poursuivie en prenant en consid ration d autres esp ces v g tales comparer avec cette ch nopodiac e En outre des tudes sur le comportement ult rieur de ces deux esp ces en particulier de l orge sous stress salin notamment les phases de tallage de montaison et de maturation fourniraient des r sultats permettant de mieux raisonner l utilisation possible de cette c r ale dans la valorisation des sols valeur agricole m diocre REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Belkhodja M amp Bidai Y 2004 R ponses des graines d Atrilex halimus L la salinit au stade de la germination Revue de la s cheresse 15 4 331 337 Ben Ahmed H Zid E amp El Grignon C 1996 Croissance et accumulation ionique chez l Afrilex halimus Cahiers agriculture 1 365 372 Guerrier G 1983 Capacit s germinatives des semences en fonction des doses graduelles en NaCl importance de transferts sur milieux sod s ou t moin Rev Gen Bot 90 3 21 Bounaqba S M barka Y T amp Zid E 1996 Croissance et d veloppement de trois c r ales bl triticale et prge cultiv es en milieu hydroponique sous contrainte saline Rev R g Ar n sp cial Actes du s minaire interna Acquis scientifiques et perspectives pour un d veloppement durable des zones arides Djerba 5 6 7 d cembre 1996 pp 230 2
569. rs and dry summers and ranging from semi arid to sub humid in relation to the topography and its proximity to the Mediterranean Sea 2 2 Measurements and data collection On the Lebna catchment 70 points representing the range of soil texture topography and land use were chosen for an extensive soil sampling in 0 100 cm soil depths in 0 2 m increments Soil texture were described by the IAO Instituto Agronomico per l Oltremare 20th course professional master remote sensing and natural resources evaluation field survey staff from 2 to 28 April 2000 according to the IAO framework IAO 2002 The measurements were performed in two different time frames at different degrees of soil water saturation The first dataset was collected in October 2012 38 samples and the second dataset in February 2013 70 samples Soil samples were taken with an auger Gravimetric water content was obtained by weighing before and after oven drying at 105 C The soil solution salinity was approximated by measuring the electircal conductivity in a 1 5 dry soil water solution extract Gravimetric results were also converted to volumetric values based on detailed soil mapping at selected sites Measurements of the apparent electircal conductivity were performed with an EM 38 Geonics Limited Mississauga Ontario in the vertical and horizontal mode Details of the method are described in other studies McNeil 1980 The EM38 was operated to obtain both vertical and horiz
570. rt dimensions des feuilles nombre de talles et des feuilles la teneur en chlorophylle et le rendement en mati re verte Les r sultats ont montr que la salinit a agi favorablement sur tous les param tres tudi s sauf sur la hauteur des tiges qui a subi un raccourcissement sous l effet du sel Pour ce qui est de la variabilit g notypique les r sultats ont fait ressortir la sup riorit de l cotype originaire du sud tunisien qui s est distingu par sa haute tol rance au sel En conclusion nous pouvons dire que sur le plan agronomique le mil pr sente un grand potentiel de d veloppement puisqu il supporte les conditions extr mes d agriculture et fournit des rendements lev s au bout d une saison de v g tation relativement courte Sur le plan fourrager le mil peut tre incorpor dans la ration alimentaire animale Mots cl s Cheptel Fourrage Pennisetum glaucum Salinit Variabilit g n tique SUMMARY Traditional farming system still relies mainly on the use of rangelands However this system is not sustainable because it leads to long soil depletion Many other species may be an important food source for cattle but knowledge about them is not extended Among these species pearl millet Pennisetum glaucum may play an important role in increasing livestock productivity by its nutritional value It can be used extensively to support the needs of livestock in a short time by giving good quality forage in the middle of
571. rtante est b n fique sur ces param tres Finalement pour la teneur en mati re min rale N et P les fortes valeurs sont observ s chez les individus conduit en irrigu SSI par rapport ceux conduit en pluvial SM et SS ce qui montre l existence d une relation troite entre l alimentation hydrique et la teneur de ces l ments aussi la nature de sol joue un r le important dans la disponibilit de ces l ments dans la plante Mots cl s olivier stress hydrique RWC chlorophylle carot no des et mati re min rale 1 INTRODUCTION En Tunisie domin e par un climat aride t chaud et sec la temp rature moyenne peut exc der 34 C avec un maximum de 45 C observ durant le mois d ao t un hiver doux et des temp ratures mod r es durant l automne et le printemps 25 et 29 C respectivement Ben Ahmed 2004 Ben Rouina 2007 l une des plantes les plus r pandues est l olivier Olea europaea L Cette plante joue un r le conomique social et cologique important et ind niable Il occupe le tiers des terres labourables et plus de 80 des surfaces r serv es l arboriculture fruiti re Sa grande capacit d adaptation aux avaries du climat et du sol dans ce milieu en font la seule culture rente conomique viable C est pour cette raison que des tudes sont faites concernant son comportement biochimique et cophysiologique vis vis au stress hydrique en plein champ 1247 Revue des R gions A
572. rted the outline of these units and their direction of the spill on a Google Earth image and define the catchment area of each Jessr 3 RESULTS After having collected data on ground we established a data analysis to know the current state of jessour to produce maps as map of delimitation of micro watershed and impluviums of jessours functionality and height of retention of each jessr The area of our micro watershed is 304 7719 ha containing almost 619 jessr with a density of 2 jessr per ha with very varied areas between 3 m and 13 375 m2 Thus the number of non functional units in this micro watershed is 50 units that to say 8 In fact the non functionality caused by the destruction of the dykes caused by the runoff Furthermore the upstream jessour are the most affected by the destruction e Map of delimitation of micro watershed and catchment area of jessour Shows the number and the limit of each jessr Figure 6 Delimitation of micro watershed and catchment area of jessour 1316 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 e Functionality map The jessour colored in yellow those who cannot retain water we can say also a non functional jessour
573. rtement de l avoine Th se magister Universit de Batna 110 pages 1119 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Gomez A Lineres M Tanzin J Solda P 1984 Etude de l incidence des apports de boues r siduaires des sols sableux sur l volution quantitative et qualitative de la mati re organique CR Acd des Sciences 516 524 Guiraud G Fardeau JC Hetier JM 1977 Evolution de l azote du sol en pr sence de boues r siduaires lier Symposium sur la recherche sur les sols et les d chets solides Jamil M Qacim M Umar M 2006 Utilization of sewage sludge as organic fertilizer in sustainable agriculture J Of Applied Sc 6 3 531 535 Mohammad MJ Athamneh BM 2004 Changes in Soil Fertility and Plant Uptake of Nutrients and Heavy Metals in Response to Sewage Sludge Application to Calcareous Soils J of Agronomy 3 3 229 236 OMS 1989 L utilisation des eaux us es en agriculture et aquaculture Recommendations a avis es sanitaires Rapport d un groupe scientifique de l OMS S rie technique 778 Oweis PJM Keatinge JDH Hughes G 1998 Crop evaporation A technique for calculation of its components by field measurement
574. s changent du calcium contre le sodium et le magn sium g n re la saturation des eaux par rapport la calcite aragonite et dolomite Ainsi les argiles au cours de leur gen se peuvent retenir une quantit des sels qui peuvent tre repris par les eaux souterraines Le ph nom ne de dissolution tant d pendant du degr de saturation des eaux vis vis des min raux Tableau 1 Indice de saturation dans les eaux souterraines Variable Min Max Moyenne Is Halite 4 85 3 95 4 44 Is Gypse 0 75 0 01 0 30 Is Dolomite 2 20 2 69 2 43 Is Calcite 1 02 1 45 1 24 Is Aragonite 0 9 1 28 1 04 Is Anydrite 0 96 0 38 0 54 3 5 Etude de la qualit des eaux souterraines en vue d usage agricole L analyse du Taux de Sodium Absorb SAR pour tous les chantillons analys s montre que 62 des 1083 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 puits ont un SAR faible lt 10 et 38 ont un SAR moyen 10 lt SAR lt 20 L valuation du degr d alcalinisation et de sodicit est faite suivant le diagramme de Riverside Les r sultats obtenus affirment que la qualit des eaux d irrigation est m diocre 4 mauvaise ce qui
575. s Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 1 3 Le poids de mille grains PMG Le PMG est g n ralement peu ma trisable car il est fortement li aux effets de l environnement au moment de la formation et du remplissage du grain les stress environnementaux peuvent entrainer une diminution du PMG par alt ration de la vitesse et ou de la dur e de remplissage ce qui se traduit par l chaudage des grains Benbelkacem et Kellou 2000 Oudjani 2009 E eau douce Ti E E z o a Bi eau charg e G notypes Figure 3 Variation de poids de mille grains des diff rents g notypes tudi s en fonction des traitements La figure 3montre que les vari t s V40 V38 V1 V32 et V28 ont un taux de r duction l g rement n gatifs du PMG l exception de V40 19 Cela implique que la quantit du sel n a pas diminu le poids des grains Pour les autres cas les diff rents g notypes ont subi une r duction de leurs PMG ce qui pourrait tre expliqu par les probl mes caus s par la salinit au niveau de la remobilisation des r serves pendant la phase du remplissage EI Midouil et al 2007 donc la salinit affecte dans ces cas la capacit des grains au stockage V41 V27 A7et V49 pr sentent le PMG le plus important alors que V35 et V18 pr sentent le PMG le plus faible qui so
576. s l ments min raux chez des plantules d olivier irrigu es avec des EUT En ce qui concerne Gigaspora margarita Ismail 2009 a remarqu que les plantules d olivier irrigu es avec des EUT et inocul es par cette souche pr sentent des taux lev s en l ments min raux et une croissance v g tative plus importante Egalement Trotta ef al 2006 ont signal que lors d un stress abiotique pr sence d arsenic Gigaspora margarita augmente la surface foliaire et la concentration de phosphore dans les racines d une foug re Preris vittata L 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal conditions d levage et dispositif exp rimental Le pr sent travail a t men l Institut de l Olivier Sfax sous une ombri re o les conditions d levage sont semi contr l es Le mat riel v g tal utilis est constitu de jeunes plantes d olivier g es de 3 ans et issues de boutures semi ligneuses de la vari t huile Chetoui Les plantes d olivier ont t cultiv es dans un substrat inerte et st rilis constitu de sable grossier tamis Le mat riel fongique utilis se compose de deux souches de champignons endomycorhiziens arbuscules qui sont Glomus deserticola M et Gigaspora margarita M2 Concernant les plantes t moins non mycorhiz es NM ces derniers on t remplis directement par du sable grossier sans l ajout de l inoculum Les eaux us es trait es utilis es ont t apport es du p
577. s pur es dans le monde sont r utilis es directement en irrigation CNRS 2007 Le reste est rejet dans la nature Certains pays arabes ont depuis longtemps mis sur ces potentialit s il s agit notamment de l Egypte de la Tunisie de la Jordanie et de l Arabie Saoudite Le tableau 2 montre les potentialit s en eaux us es pur es utilis es par certains pays arabes Tableau 2 Part des eaux us es recycl es dans les pr l vements et l eau agricole Pays Millions Pr l vement E agricole m an Km Km Alg rie 600 37 6 0 1 3 84 15 6 Arabie Saoudite 217 13 3 16 3 1 3 14 59 1 5 E A U 62 3 8 1 4 4 4 0 89 7 Kowe t 83 5 2 0 4 20 0 08 100 Libye 10 0 62 2 83 0 3 2 12 0 5 Tunisie 200 12 3 3 6 6 2 4 8 3 Bahre n 107 6 6 0 21 50 0 11 97 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Oman 10 0 62 1 4 0 7 1 3 0 8 Egypte 225 13 8 59 4 0 4 52 27 0 5 Jordanie 60 3 7 0 88 6 8 0 57 10 Maroc 50 3 1 12 5 0 4 11 38 0 5 Total 1624 100 74 5 2 17 89 55 1 8 L examen de ce tableau montre les efforts que l Alg rie a accomplis ces derni res ann es dans le domaine de
578. s tudes d crivent comment les compos s ph noliques peuvent diminuer comme une cons quence de l exposition des plantes un long terme stress salin Wahid et Ghazanfar 2006 Par cons quent la fa on dont les facteurs abiotiques peuvent influer la teneur en compos s phytochimiques bioactifs des plantes n est pas absolument claire Ces divergences dans la r ponse aux facteurs stressants indiquent l importance du fond g n tique dans la r ponse de brocoli aux facteurs environnementaux comme dans cet article o les r ponses m taboliques secondaires distinctes de deux cvs Naxos et le Parth non sous stress salin ont t refl t es dans les niveaux de GSLs et de d riv s d acide sinapique 5 CONCLUSION L effet de la salinit sur les teneurs en compos s bioactifs diff re entre les deux cvs Naxos et Parthenon indiquant le r le crucial du fond g n tique sur les propri t s nutritionnelles que chaque cultivar acquiert La salinit provoque une augmentation des teneurs en GSLs aliphatiques cvs Naxos et Parthenon et en compos s ph noliques cv Parthenon am liorant ainsi la valeur nutritive de deux cultivars de brocoli Ainsi les champs affect s par la salinit peuvent tre utiles pour la culture de brocoli dans le but d augmenter la production des compos s phytochimiques REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Beekwilder J van Leeuwen W van Dam NM Bertossi M Grandi V Mizzi L Soloviev M Szabados L Molthoff JW Schipp
579. s dans une r gion o le climat joue un r le pr pond rant L vapotranspiration r elle a tendance tre tr s variable dans l espace en tant que cons quence de la disponibilit de l eau dans le sol et l norme fluctuation de pr cipitations On peut remarquer que les zones fort ETCadj sont en concordance avec les zones o la pr cipitation est importante comme indiquent les figures 9 jusqu 14 En effet la pr cipitation est une variable importante dans le bilan d eau qui influe sur d autres variables comme ETCadj surtout que la culture tudi e est en pluviale alors la pr cipitation est un param tre cl pour la mise en uvre d un quilibre de l eau ainsi que facteur indispensable pour l valuation du stress Les r sultats de HidroMORE pour les 3 sc narios dans notre zone d tude montrent comment la pr cipitation annuelle varie Pour la p riode de r f rence la pr cipitation moyenne est de l ordre de 174 mm ainsi qu ETC adj est 162 mm 93 de la pr cipitation A l horizon de 2030 la pr cipitation moyenne est de l ordre de 165 mm Cette quantit d eau qui p n tre dans le syst me de production remonte l atmosph re par ETcadj qui est de l ordre de 160 mm 97 de pr cipitation A l horizon 2090 la pr cipitation moyenne est de l ordre de 139 mm et ETCadj tend vers 133mm 95 de pr cipitation Il est clair que presque toute la quantit d eau re ue par la pr cipitation va se pr senter c
580. s es pur es en irrigation Colloque International sur les Ressources en Eaux Souterraines du Sahara Agence de Bassin Hydrographique du Sahara Ouargla Alg rie 57p Idder T IdderA CheloufiH BenzidaA KhemisR MoguedetG 2013 La surexploitation des ressources hydriques au Sahara alg rien et ses cons quences sur l environnement Un cas typique l oasis de Ouargla Sahara septentrional Techniques Sciences M thodes 5 31 39 Journal Officiel de l Alg rie 1993 Valeurs limites maximales des param tres de rejet des installations de d versement industrielles Journal Officiel de la R publique Alg rienne N 46 du 14 juillet 1993 Alger Journal Officiel des Communaut s Europ ennes 1991 Directive du Conseil du 21 mai 1991 relative au traitement des eaux r siduaire 91 271 CEE Khadraoui A 2004 Eaux et sols en Alg rie Gestion et impact sur l environnement Editions El Khyam Constantine Alg rie 392 p Labbadi K Moukar M 2010 Etude des performances de la station de traitement des eaux us es urbains par lagunage de la ville de Ouargla M moire d ing nieur d tat en cologie et environnement Universit de Ouargla Alg rie 112p Laouali MS Idder T Boubacar Y Kawa R Abba M 2006 Possibilit s d utilisation des eaux us es trait es par lagunage pour l irrigation des plantes foresti res cas de leptadenia hastata et Moringa oleifera Annales de l Universit Abdou Moumouni de Niamey
581. s 16 et 22 Ces r sultats sont prometteurs dans la mesure o la lign e 14 pr sente une tol rance la salinit en plus de sa r sistance au BYDV Najar 2009 La r ponse des grains la contrainte saline au stade germination pourrait tre un indicateur de la tol rance des plantes au sel pour les stades ult rieurs de d veloppement Cependant il est imp ratif d envisager des exp rimentations en plein champ sous des conditions environnementales contraignantes couvrant des stades plus avanc s du d veloppement afin d valuer l impact de la salinit sur le rendement agronomique de ces nouvelles lign es REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Abassi M Najar A Ben Ghanem H Rezgui S et Albouchi A 2012 Comportement vis vis du stress salin de lign es d orge s lectionn es pour leur r sistance au BYDV en Tunisie Revue des r gions arides 29 3 3 13 Abassi M Albouchi A Ben Mansoura A B jaoui Z Rejeb M N et Mougou A 2004 Tol rance de divers clones de peupliers la salinit Annales de L INRGREF 6 17 34 Abdul Baki A A et Anderson J D 1973 Vigour determination in soybean seed by multiplication Crop Science 3 630 633 Brenchley L L Probert R J 1998 Seed germination responses to some environmental factors in the sea grass Zoostera capricorni from eastern Australia Aquat Bot 62 177 188 Hachicha M Job J O Mtimet M 1995 Sols irrigu s et sols sodiques Les sols sal s et la sa
582. s R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Economical the cost of pool represents 50 of drilling Feasible In a steppe zone with semi arid climate where annual precipitations rarely reach 250mm once on seven But the number of daily rainfall that insure pools filling is generally sufficient for the concerned zone as follows Profitable The agro pastorals of the concerned sites were self supplied beforehand by cisterns following their adhesion to program this population could profit from many achievements of pools where the state intervenes by the realization and they take part by maintenance within a conventional framework Pool capacity cover the most of water needs such as house cleaning flushing toilets gardening washing clothes and especially for drinking livestock Environnemental permit to establish a refreshing microclimate around the site Tableau 1 Construction cost Sitel Site2 Cost price by company 1 787 760 DZD 1 734 571 DZD Cost price by self construction 600 000 DZD 600 000 DZD Well cost price 4000 000 DZD 4000 000 DZD Tableau 2 Water uses Sitel Site2 Instantaneous capacity c
583. s agricoles oasiens dans e Sud de la Tunisie In D oll V ed Toutain G ed Les syst mes agricoles oasiens Montpellier CIHEAM 1990 p 2 1 2 7 Options M diterran en n es S rie A S min aires M diterran en s n 1 1 Latiri S K Aubry C Dore T et Sebilotte M 1992 Elaboration du rendement du bl dur en conditions semi arides en Tunisie relations entre composantes du rendement sous diff rents r gimes de nutrition azot e et hydrique Agronomie 112 Pp 31 43 Mansour M 1996 Etude comparative de l effet de chlorure de sodium sur trois vari t s de bl tendre M moire fin d tude 37p Mnif L Chaieb M 2004 Efficacit compar e de l utilisation de l eau de pluie en milieu aride par quatre populations d une Poaeae p renne Revue des R gions Arides Tome 1 No sp cial 252 257 Munns R 2002 Comparative physiology of salt and water stress Plant Cell and Environment Vol 25 pp 239 250 Munns R et Tester M 2008 Mechanisms of salinity Tolerance Annual Review of Plant Biology Vol 59 pp 651 681 Munns R et James R A 2003 Screening methods for salinity tolerance a case study with tetraploid wheat Plant and Soil 253 Pp 201 218 Poustini K and A Siosemardeh 2004 Ion distribution in wheat cultivars in response to salinity stress Field Crops Research 85 2 3 125 133 Simon Sarkadi 1 G Kocsy and Z Sebesty n 2002 Effect of salt stress on free
584. s as they acted as pollutants and contributed substantially to the destruction of the aquatic and terrestrial ecosystems Morrison 2001 Vegetables grown under irrigation with wastewaters contain many heavy metals causing serious health hazards to both community and animals Murtaza 2003 This concern is of special importance where untreated sewage is applied for longer periods to grow crops and vegetables in urban lands Du Preez et al Du Preez et al 2000 mentioned that the Vaal River water quality in South Africa has deteriorated over the past 20 years because most of the wastewater of the surrounding densely populated cities was untreated and ended up in this river Historically the Batna Fisdis region is predominantly agricultural but the last four decades witnessed a rapid increase in urban and industrial implantations at the expense of agriculture The resulting growing anthropogenic activities industrialization farming and urban untreated discharges ended up in Oued El Gourzi which represents the principal sewage and runoff collector The hydrological regime of Oued El Gourzi is very irregular and tightly linked to the precipitations In summer it carries solely domestic and industrial effluents and in wet seasons it witnesses violent rise in water level followed by accelerated soil erosion of its basin Zouita 2002 Eleven millions m of treated and untreated sewage coming from the city of Batna are discharged annually into Oued El
585. s causes de l accroissement de l exc s de salinit dans les sols en surface Cette s cheresse a engendr le plus souvent la chute des rendements des cultures et des fois la st rilisation des sols par la destruction de la 1227 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 structure m me D une mani re g n rale les eaux destin es pour l alimentation en eau potable et l irrigation ainsi que celles destin es pour les besoins industriels proviennent surtout des eaux souterraines De point de vue quantit l eau au Sahara est g n ralement disponible et ce gr ce d importants aquif res surtout au bas Sahara Sahara Septentrional mais la qualit physico chimique de cette eau salinit dans certaines r gions est le plus souvent m diocre Cette salinit des eaux dont une partie est d origine g ologique primaire s accroit continuellement par une mauvaise gestion de la ressource en eau et en sols salinisation secondaire Cette situation alarmante illustre parfaitement l absence d une ma trise organisationnelle de distribution et de disponibilit en eau de bonne qualit L accroissement rapide de l utilisation de ces ressources en
586. s de 70 des terres sont irrigu es avec une eau de salinit sup rieure 1 5 g l ce qui a entra n la d gradation des terres par la salinisation 30 des terres irrigu s sont affect s Certains p rim tres irrigu s ont d tre totalement abandonn s CIHEAM 2005 C est donc une vraie menace pour les prochaines d cennies L Etat Tunisien a beaucoup investis pour la r utilisation des eaux us es trait es EUT Cependant sur un volume de 169 millions de m3 collect s seulement 35 millions de m3 ont t r utilis s pour l irrigation contre un objectif de 100 millions de m3 Neubert et Ben Abdallah 2003 Le p rim tre public de Cebala situ dans la basse vall e de la Medjerda a t am nag pour intensifier la production des exploitations agricoles par la REUT Cependant le taux d intensification n a pas d pass 48 depuis 1995 96 CRDA de l Ariana 2005 En outre les EUT r utilis es pour l irrigation ont souvent une charge en sel de 3 4 g l Il faut donc s attendre des pertes de revenus pour les agriculteurs en plus du risque d un exc s de salification des sols Neubert et Ben Abdallah 2003 Ce travail s inscrit donc dans le cadre global de pr servation de l environnement Vermersch 2001 etde conduite d une agriculture durable Il vise donc d terminer le seuil optimum technique et conomique de la r utilisation des eaux us es trait es qui long terme pr serverait la fertilit du
587. s de juillet avec un diam tre plus important 61 8cm Zelfen et une hauteur plus lev Jelma 67 cm Cette baisse de croissance pourrait tre due une diminution de l extension cellulaire qui repr sente l une des premi res r ponses la s cheresse Durand et al 1995 Freitas 1997 et tant donn que la composition foliaire de Stipa tenacissima L en lipides totaux et en acides gras l t est repr sent par un ensemble d acides gras satur s acide laurique acide myristique acide palmitique et acide st arique caract ristiques des tats de r sistance a la s cheresse Mehdadi et al 2006 En hivers f vrier l accroissement est nul pour toutes les populations Malgr les r serves hydriques du sol qui sont lev es l alfa pr sente un ralentissement de sa croissance v g tative Il manifeste une importante sensibilit vis vis des basses temp ratures qui sont d favorables a la poursuite de son processus photosynth tique Cette constatation est mentionn e par Ehleringer et bjorkman 1977 Ehleringer 1978 Acevedo et al 1985 De cela d coule que le cycle v g tatif de l alfa est caract ris par deux p riodes une p riode de vie active au printemps et en automne mais plus intense au printemps et une p riode de vie ralentie en t et en hiver 5 CONCLUSION L alfa Stipa tenacissimaL est une esp ce vivace qui se d veloppe dans une gamme climatique tr s tendue Elle a une
588. s les feuilles a t d tect e chez toutes les plantes non mycorhiz es sauf celles irrigu es par des eaux normales Cependant seules les plantes irrigu es par des EUT non dilu es et inocul es par la souche M ont enregistr une accumulation de Cd dans les feuilles 1 4 ppm alors que chez toutes les autres plantes inocul es aucune trace de Cd n a t r v l e 4 CONCLUSION Durant la p riode d irrigation par ces effluents le suivi de la croissance v g tative a montr que la symbiose mycorhizienne ainsi que irrigation avec des EUT non dilu es ont contribu ensemble une meilleure croissance des plantes d olivier Toutefois la meilleure croissance a t enregistr e chez les plantes inocul es par la souche Gigaspora margarita Concernant la nutrition min rale le dosage des macro l ments et des l ments traces essentiels a permis d appr cier un enrichissement par ces l ments dans les diff rents organes des plantes irrigu es par les EUT et inocul es surtout par la souche Gigaspora margarita Alors qu en ce qui concerne les m taux lourds Les EUT ont contribu une accumulation du m tal toxique Cd dans les organes des plantes Toutefois les mycorhizes et surtout la souche Gigaspora margarita ont permis une r duction de l ascension de ces m taux vers la partie a rienne feuilles Ces r sultats nous ont permis de constater le r le important des mycorhizes dans l absorption des l ments nut
589. s mg oO a 0 morr mr o M 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 Nbre de jours apr s arr t de l arrosage Figure 6 Cin tique d accumulation de la proline chez les deux g notypes V1 et V2 et la moyenne des deux t moins 4 DISCUSSION CONCLUSION Les valeurs obtenues augmentent graduellement au cours de l installation du d ficit hydrique c est a dire en passant des teneurs en eau du sol les plus lev es 50 de la C C vers les teneurs les plus basses 8 33 de la C C 1137 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Il se d gage alors une relation n gative corr lation entre accumulation de la proline et teneur en eau du sol figure 3 d une part et une diversit g n tique entre les vari t s tudi es qui peut tre exploit e dans le criblage en am lioration des plantes La comparaison entre deux g notypes v1 g8 et v2 florence Aurore par rapport l accumulation et la r sorption de la mol cule d gage la m me cin tique d accumulation avec des d calages le long de la p riode de stress globale Les r sultats de cette comparaison mettent en exergue le caract
590. s montre l existence de 5 groupes de vari t s Le premier groupe le plus grand color en vert est form des vari t s ayant les valeurs les plus m diocres des leurs param tres Ce groupe comprend une majorit de vari t s allochtones 8 accessions avec 3 vari t s CHK une locale une am lior e et une PK Le groupe color en rouge pr sente des vari t s ayant un RG et un RB important il est form d une vari t am lior e A9 et d une autre CHK Un troisi me groupe repr sent par la couleur noire comprend les vari t s qui ont des valeurs moyennes pour tous les param tres 5 accessions de ce groupe sont CHK 3 PK 2 am lior s 1 locale et 1 allochtone La vari t A6 forme elle seule un groupe elle est caract ris e essentiellement par le meilleur NGE Enfin la vari t V41 forme aussi un groupe qui pr sente le meilleur NE Dans cette ACP on a not que le RP et la HZ69 sont tr s corr l s Oudjani 2009 encore le RG et le RB sont parfaitement corr l s V32 P y A9 yey VHO 53 952 lt 26V48 V45 lvay2 v38 Yie As Figure 11 Analyse en composantes principales r gime stress gauche projection des variables sur les axes ACP1 et ACP2 droite r partition des vari t s dans le plan des axes ACP1 et ACP2 4 CONCLUSION Le but de notre travail est l valuation et la comparaison du comportement de 30 g notypes d orge conduit sous deux traitements diff rents l un irri
591. s param tres morphologiques 1 Effet du stress salin sur la hauteur longueur de la tige principale de la plante de tomate L volution de la hauteur des plantes de vari t s de tomate soumises trois r gimes salins est illustr e dans la figure suivante 1308 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 100 Tom1 100 Tom2 80 80 so T1 ia o T1 T2 5 2 40 40 7 a 13 3 T 20 2 T3 o 0 10 20 30 45 65 10 20 30 45 65 Temps jours Temps jours VR 100 Tom4 100 0 80 s 80 70 eT1 E 60 T1 60 5 3 12 5 59 72 2 40 3 40 T3 2 30 T3 I 20 gt 20 10 o o 10 20 30 45 65 10 20 30 45 65 Temps jours Temps jours Figure1 Effet de stress salin sur la hauteur moyenne de la plante des vari t s de tomates tudi es La figure 1 exprimant l volution de la hauteur des plantes de tomate en fonction du temps montre que la croissance des tiges en hauteur chez les quatre vari t s est tributaire de la dose de salinit L effet du stress salin sur l volution en hauteur de la plante s accentue avec le temps Chez ces plantes l volution de la hauteur moyenne suit une al
592. s to make quantitative assessments of both salt accumulation in the soil and yield response to full and deficit irrigation strategies with saline water in order to derive an irrigation strategy that save water in irrigated barley reduce salt input and improve water productivity under the arid Mediterranean conditions of southern Tunisia 2 MATERIALS AND METHODS Field experiments were carried out at the experimental station of Arid Lands Institute IRA M denine in southern Tunisia during the growing season 2008 2009 and 2011 2012 on a well drained sandy soil 85 sand 5 clay et 10 loam with low organic matter concentration lt 8 g kg The soil water content at field capacity and wilting point are 12 3 and 6 1 respectively and a bulk density of about 1 61 g cm The total available water for an assumed barley root extracting depth 0 8 m is 78 mm Five irrigation treatments were set up in a randomized complete block design with three replicates The full irrigation treatment FI irrigated with a quantity equal to 100 of cumulative crop evapotranspiration ETc the second treatment irrigated at the same frequency as treatment FI but with quantity equal to 50 of accumulated ETc DI 50 during the whole growing period The water restriction was also applied during tillering DI dev maturity DI Mat and both stages DI Dev Mat Barley cv Ardhaoui seeds were sown during second and fourth weeks of November respectively for the
593. significativement diff rentes P lt 0 05 selon le test Duncun MSO NMSO MSI NMS1 MS2 NMS2 Pour les trichome 620 80 510 5 480 78 450426 380487 320445 et Stomates a ab abc abc be c dapre 125430 170435 200440 220432 250 35 ee Trichomes b b b b 235 25b a resultats obtenus Tableau 1 leur nombre augmente quand la dose de NaCl augmente En effet la densit des trichomes passe de 125 chez les plantes mycorhyz es t moin SO 235 chez les plantes mycorhiz es irrigu es et trait es avec S2 100 mM D apr s le m me tableau on constate que la densit des trichomes est l g rement chez les plantes mycorhiz es en comparaison avec les non mycorhiz es Nos r sultats se coincident avec d autres qui indiquent que la pr sence de trichomes joue un r le t s important dans la r duction des pertes d eau travers les stomates car leur pr sence ralentit la circulation de l air au dessus des stomates diminuant ainsi la transpiration Schwabe et Lionakis 1996 Abassi et al 2012 3 2 Les pigments chlorophylliens Les resultats illustr es dans le graphique Figures 1 et 2 monrent que les teneurs des feuilles en chlorophylles et carot no des diminuent au fur et mesure avec l augmentation de la concentration de Na Cl En effet bien qu elles soient faibles ces pigments sont l g rement plus importants chez les plantes mycorhize s La teneur des feuilles en chlorophylle a b varie de 0 64 mg g de MF
594. soil was sampled with a 4 cm auger every 20 cm to a depth of 80 cm at three sites perpendicular to the drip line and at three sites between the emitters Conceptually these should be areas representing the range of salt accumulations Bresler 1975 Singh et al 1977 Table 1 Chemical composition of irrigation water meq l ECi dS m Ca Mg Na K Co HCo So Cl SARiw 7 6 26 4 48 8 1 4 4 2 32 2 40 0 13 4 For both seasons plant growth was monitoring through measuring the canopy To this end one square meter was selected randomly and photos were taken using a numerical camera therefore analyzed to determine the percentage of cover using Green Crop Tracker software At harvest biomass and grains yield for each elementary plot were determined WP is generally defined as yield ET but economists and farmers are most concerned about the yield per unit of irrigation water applied Thus the WP was calculated as follow WP kg ha mm Yield kg ha applied irrigation mm from planting to harvest an irrigation of 78 mm applied before planting date is not included in the total amount Analysis of variance was performed to evaluate the statistical effect of irrigation treatments on soil salinity barley growth yield and WP using the STATGRAPHICS Plus 5 1 LSD test at 5 level was used to find any significant difference between irrigation treatments means 1218 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes
595. sont d sign s par E hauteur de la zone industrielle et de Kchida E l entr e des eaux brutes de la ville par E la sortie des eaux trait es la STEP de Batna La zone d utilisation des eaux us es est d sign e par quatre points qui sont E4 Es E et E7 Les eaux de l Oued ont fait l objet d analyses physicochimiques le pH la conductivit lectrique l oxyg ne dissous la DBO la DCO les mati res en suspension la turbidit la duret l alcalinit les 1121 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 nitrates l ammonium les orthophosphates les chlorures et les sulfates L analyse bact riologique a port sur la quantification des param tres d origine f cale coliformes totaux coliformes f caux et streptocoques f caux Les r sultats ont montr que les eaux de l Oued El Gourzi pr sentent des valeurs lev es des MES DBO NO NH PO et de la contamination f cale ce qui constitue une menace aux ressources en eau sol et aux milieux r cepteurs Presque toutes les variables de l eau augmentent de l aval vers l amont de l oued et sont plus lev es pendant la saison s che Le diagramme de US Laboratory S
596. ss Trois polypeptides aux masses mol culaires 40 34 29 kDa apparaissent rapidement r ponse pr coce et les deux autres dont la masse mol culaire est de 32 et 14 kDa apparaissent plus tardivement r ponse tardive Guy et Haskell 2005 identifient plusieurs polypeptides de haut poids mol culaires dont la synth se et la pr sence dans le tissu foliaire taient significativement corr l es avec l induction de la tol rance au froid Ils tablirent que des changements d expressions g niques ont lieu au cours de l acclimatation conduisant la synth se de nouvelles prot ines en r ponse au froid Dionne ef al 2001 notent que le g notype tol rant accumule plus de prot ines que le sensible chez le ray grass annuel Poa annua L Les r sultats de la pr sente tude indiquent que l endurcissement induit par les basses temp ratures 2 4 C affecte le contenu en chlorophylle qui est significativement r duite chez les trois g notypes Cette r duction est accentu e pour ce caract re sous choc thermique A l oppos on constate que l endurcissement active la synth se des prot ines solubles chez les trois g notypes L analyse des profils prot iques r v le une r ponse vari e pour les trois g notypes tudi s A ce sujet on note l apparition de nouvelles bandes chez Waha une r pression d une bande pour Martondur Waha une surexpression de bande pour le cultivar Martondur 4 CONCLUSION Le teneur moyenne en c
597. sses Figure 2 qui peuvent atteindre 15 tonnes ha et les effets sur les marges brutes seront n gatifs Pour certaines exploitations les marges brutes pourront m me s annuler Les diminutions des moyennes de ces marges seront situ es entre 13 et 96 selon les exploitations Figure 3 Avec une irrigation suppl mentaire le sel migre en profondeur au del du profil P4 sous l effet de l irrigation par transport convectif Lahlou et al 2000 par l eau qui percole On assiste une r duction de la moyenne de la salinit du sol se situant entre 0 47dS m 2 2 dS m selon les profils et les sols Les moyennes des rendements seront redress es et l augmentation de ces moyennes pourra atteindre 19 tonnes ha Les quantit s d eau suppl mentaires feront voluer positivement les moyennes des marges brutes entre 12 et 62 Les variations des moyennes des rendements du mais de la salinit du sol et des marges brutes sont li es au comportement de chaque sol en fonction de sa structure Badraoui et al 1998 des conditions environnantes et des volumes d eau initiaux appliqu s Tab 1 par chaque exploitation 5 CONCLUSION Les r sultats obtenus ont montr que la salinit des sols va tendre la hausse si on ne prend de mesure pr ventive Inversement la salinit les rendements du mais fourrager vont subir des baisses avec ou sans changement climatique Les nouveaux itin raires techniques adopt s vont r duire le niveau de la s
598. ssimilation des ions sulfates Finley 2005 En conditions de salinit une augmentation de la teneur en GSLs a t observ e L6pez Berenguer et al 2008 ce qui sugg re qu en cas de diminution du potentiel hydrique ils pourraient tre impliqu s dans l ajustement osmotique comme une composante d adaptation de la tol rance au sel L6pez Berenguer et al 2009 Cependant plus d informations sont n cessaires concernant l effet d une contrainte externe sur l accumulation des GSLs chez les plantes Les compos s ph noliques qui sont attribu s des effets promoteurs la sant dus leurs propri t s antioxydantes Finley 2005 ont t trouv s en grande quantit chez le brocoli Brassica oleracea var Italica Moreno et al 2006 Il a t montr que la salinit induit des perturbations dans les voies m taboliques secondaires conduisant une accumulation de compos s ph noliques Farnham et al 2004 Le brocoli est une plante mod r ment tol rante la salinit L6pez Berenguer et al 2006 et le m canisme de la tol rance a t tudi par notre quipe depuis de nombreuses ann es Ainsi le but de ce travail tait de comparer les comportements de deux cultivars de brocoli Parthenon et Naxos par rapport la leurs composition en compos s bioactifs et la variation de leurs qualit nutritionnelle en r ponse au stress salin Les effets de deux facteurs salinit cultivar sont analys s individuellement
599. st assur e principalement partir d un exutoire de la nappe calcaire du Turonien avec un d bit de 20 1 s situ au Nord de cette derni re La source d eau porte le nom du Marabou Sid El Haj Ali 1172 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 2 M thodologie Une recherche a t entam e sur l historique de ce syst me mais malheureusement aucune documentation n est disponible seuls des r cits oraux de la population locale Ce n est qu en 2009 que Mr Bakhada s est int ress ce syst me d irrigation traditionnel dont sa contribution a port de la lumi re sur ce dit syst me Face l indisponibilit des documents cartographiques pour la repr sentation spatiale du syst me d irrigation on s est bas sur les photos satellitaires Google Earth 2013 Plusieurs sorties sur le terrain ont t effectu e sur le site pour explorer la zone d tude la diagnostiquer et cibler les l ments constituants de ce syst me En deuxi me tape on a proc d des s ances de photographies de mesures et d entretiens Les entretiens on t r alis s avec des groupes de la population locale de diff rentes g n rations et
600. sujette plusieurs contraintes abiotiques La s cheresse et la salinit sont les deux principaux stress environnementaux qui limitent la croissance des plantes et leurs productivit s Debaeke and Aboudrare 2004 Rozema and Flowers 2008 Abdel Latef 2010 Munns et Tester 2008 Zribi et al 2008 et Niu et al 2010 ont rapport que la r duction de la croissance de la plante Elle est due aux diminutions du potentiel osmotique dans le sol de la conductance stomatique et de la photosynth se Sarda et al 1992 ont apport que la baisse de la photosynth se sous contrainte hydrique est une cons quence de la diminution de la conductance stomatique induite par l abaissement du statut hydrique des feuilles Chaves et al 2008 ont remarqu que les effets de la s cheresse et de l exc s de sel observ s sur la photosynth se sont soit directs 1093 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 comme les limitations de la conductance stomatique soit secondaires tels que le stress oxydatif r sultant de la superposition de multiples contraintes Chartzoulakis et KlapaKi 2000 Dalla Costa and Gianquinto 2002 Antony and Singandhupe 2004 ont observ une dimin
601. summer when perennial crops low yields It has more natural predispositions that allow it to withstand the difficult growing conditions such as lack of water or brackish water Pearl millet is represented by many ecotypes which are all forms of adaptation to heterogeneous environments climates and their changes The objective of this study was to compare the ability to produce feed of two pearl millet ecotypes irrigated with saline water Experimentation was conducted in the field Layout system was Split Plot with two ecotypes of millet and three water treatments two saline treatments and control Parameters measured are vegetative and cover all the aspects that can be used for green feed sheet size number of tillers and leaves chlorophyll content and yield of green matter The results showed that salinity hasa favourable action on all parameters studied except stem height which has been shortened For genetic variability results showed superiority of the ecotype native of southern Tunisia which is distinguished by its high salt tolerance We can conclude that pearl millet has great potential for development as agriculture supports extreme conditions and provides high yields after a relatively short growing season On field level pearl millet can be incorporated into the feed ration Keywords Feed Genetic variability Livestock Pennisetum glaucum Salinity 1065 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meet
602. sur le stress hydrique des plantations ol icoles a fait l objet de la troisi me tape 3 Donn es journali re temp rature et pr cipitation pour les p riodes futures moyennant CMIPS Coupled Model Intercomparison Project phase 5 la communaut scientifique internationale s est mobilis e en particulier au travers du Programme mondial de recherche sur le climat PMRC pour concevoir et r aliser un exercice de simulations du climat pass et futur CMIP 5 Cet effort de recherche tr s exigeant en termes de ressources humaines de puissance de calcul et de stockage de donn es rassemble plus d une vingtaine de centres climatiques dans le monde ayant d velopp une cinquantaine de mod les num riques Le grand d fi du nouvel ensemble de mod les examin s CIMP5 est de r soudre les changements climatiques r gionaux en particulier au cours des prochaines d cennies auxquels les soci t s humaines devront s adapter et de quantifier l ampleur des r troactions dans le syst me climatique Le choix d un mod le et des sc narios pour pr voir l volution du climat de notre zone d tude afin de suivre les param tres du bilan hydrique et le stress moyennant le mod le Hidromore pour les ann es futur a repos sur l tude de Geophysical Fluid Dynamics Laboratory GFDL de NOAA en fait GFDL fournit une information journali re pour la pr cipitation et la temp rature minimale et maximale historique et future pour 8 statio
603. systems aggravated by the individual management water and confrontation with the challenges of climate change This contribution is to know the rules and principles of operation of this system to better preserve and valorize it This value may allow are commendation eventual model suitable for solving the problems of irrigation in arid areas 1171 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Keywords sustainable management subsystemtraditionalirrigation Oasis Boukais ancestralknowledge clock Solar 1 INTRODUCTION Le constat dans les oasis travers le territoire de la Wilaya de Bechar montre que ces derni res sont dans un tat tr s d grad du fait de la disparition du savoir faire ancestral dans la gestion de l eau d irrigation Cependant quelques oasis comme celle de Boukais persiste jusqu l actuel gr ce au maintien de son syst me d irrigation traditionnel ing nieux orchestr par une gestion social participative de l eau Cette contribution vise faire connaitre les r gles les principes et les logiques de fonctionnements de ce syst me pour mieux le pr server et le mettre en valeur En premier temps on entamera l observation et l analys
604. t ristiques des exploitations types retenues Exploitations EXP6 EXP11 EXP20 EXP26 EXP48 EXP64 Type de sol SO22 S026 SO11 SO15 S035 SO19 Texture Limon sable argile Limon Sableux Sable argil Limon argile sable limon e Salinit du sol dS m 0 7 1 2 0 1 17 6 0 4 0 7 0 7a9 0 4 1 3 10 2 8 4 Quantit s d eau m 6000 7000 5000 1 Exploitation type 2 Salinit initiale de chaque exploitation type variant dans les profils et 3 Quantit s d eau d irrigations appliqu es par chaque exploitation pour irriguer le mais fourrager En association avec d autres cultures le mais fourrager utilis pour l alimentation des bovins laitiers est pratiqu par trois exploitations types EXP6 EXP11 EXP20 sur six De ce fait le travail de mod lisation a concern la culture du mais fourrager et on a construit un mod le de culture de base par exploitation type afin d tablir les simulations long terme 2 3 Utilisation du mod le agronomique Pour nos simulations nous avons choisi CropSyst qui est le fruit des recherches continues du d partement de g nie rural de l Universit de l Etat de Washington etqui a t employ pour V valuation des diff rents syst mes de production agricole Il est capable de simuler plusieurs cultures pendant plusieurs ann es cons cutives et permet d tablir la relation entre inputs outputs en ce qui concerne la production v
605. t s celui de la grande rivi re artificielle en Libye r alisant des transferts du sud vers le nord d un d bit de 2 km an sur de longues distances et l exemple alg rien du transfert Ain Salah Tamanrasset sur une distance de 750 km C est partir de 40 forages profonds de 270 m qu un d bit annuel de 36 5 millions m est refoul l aide de 6 stations de pompages ADE 2007 Dans le souci d assentiment et d exploitation quitable des aquif res transfrontaliers les pays riverains se concertent par le biais de convention sur la gestion de ces r serves d eau fossile l une relative au SAS syst me aquif re du Sahara septentrional partag entre l Alg rie la Libye et la Tunisie et l autre relative au NSAS syst me aquif re nubien co propri t entre la Libye l Egypte le Soudan et le Tchad L exploitation des eaux du Nil celles du Tigre et de l Euphrate est elle aussi bas e sur des accords similaires La rar faction des ressources hydriques va elle renforcer ces accords ou va t elle g n rer des conflits Les co ts d investissement ne cessent d augmenter cause de la rar faction les barrages sont de plus en plus on reux comparativement aux volumes d eau stock s les forages sont davantage plus profonds et les canalisations de transfert de plus en plus longues Ce n est pas tant l insuffisance des ressources en eau que l augmentation du co t de sa mobilisation qui constitue le principa
606. t t pr sent des taux de r ductions lev s Pour les param tres cit s pr c demment RG NE et NG les vari t s V38 et V49 ont donn les meilleurs rendements sous stress salin donc pour les agriculteurs qui cherchent le rendement en grain ces vari t s semblent tres les plus appropri s en cas d irrigation avec l eau charg e sinon avec une eau douce les vari t s V49 V39 V36 et V29 sont les plus performantes en terme de RG malgr qu elles pr sentent les taux de r ductions les plus lev s pour ce param tre REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Abbassenne F Bouzerzour H Hachemi L 1997 Ph nologie et production du Advances in Molecular Breeding Toward Drought and Salt Tolerant Crops Ann Agro INA 18 24 36 Benbelkacem S Kellou D 2000 valuation du progr s g n tique chez quelques vari t s de bl dur Triticum turgidum L var durum cultiv es en Alg rie CIHEAM IAMZ pp 105 110 Bennaceur M Rahmoune C Sdiri H Meddahi ML Selmi M 2001 Effet du stress salin sur la germination la croissance et la production en grains de quelques vari t s maghr bines de bl S cheresse 12 167 174 E Midaouil M Benbella M Ait Houssal A Maataoui A Talouizte A 2007 Reponse de quelques genotypes de tournesol Helianthus annuus L au chloure de dodium Revue HTE 136 41 46 El Hendawy M Hu SE Schmidhalter U 2005 Growth ion content gas exchange and water relations of wheat genotypes differing in s
607. t Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 1 Allongement v g tatif des plantes Le suivi de la croissance des plantes durant la p riode d irrigation par les EUT a port sur l allongement des pousses Fig 1 En effet on remarque que les plantes inocul es soit par la souche M Glomus deserticola ou la souche M Gigaspora margarita ont montr une am lioration en hauteur et en nombre des pousses auxiliaires en comparaison avec celles non mycorhiz es Cette am lioration de la croissance chez les plantes mycorhiz es a t enregistr e pour tous les types de traitements hydriques appliqu s lors de cette tude En comparant l effet des deux souches utilis es sur l longation des plantes on note que les meilleurs r sultats ont t observ s chez les plantes inocul es par Gigaspora margarita Les r sultats ainsi obtenus ont t montr s par Porras Soriano et al 2009 qui ont enregistr une am lioration du nombre des pousses ainsi qu une meilleure longation des plantes inocul es par trois diff rentes souches de mycorhizes en comparaison avec les plantes t moins non mycorhiz es M1 M2 WNM E1 2 E1 3 Traitement hydrique Figure 1 Variation de l allongement v g tatif cm en fonction de la souche mycorhizienne et du traitement hydrique Chaque histogramme indique la moyenne de 3 r p titions I cartype Les histogrammes ne portant pas la
608. t durable des zones arides 17 19 12 2013 1 INTRODUCTION Pour une meilleure valorisation des ressources fourrag res tunisiennes l identification de plantes tol rantes aux sels et la contrainte hydrique permettrait certainement d am liorer la production surtout en zones risque comme les r gions arides du sud tunisien o la p nurie d eau et la forte vaporation affectent l quilibre des sels dans le sol Hachicha 2000 Cette situation critique pousse les chercheurs trouver des solutions pratiques telle des cultures moins gourmandes en eau et valorisantes des sols marginaux Cornic et Massacci 1996 Parmi ces plantes lesorgho Sorghum vulgarea L c r ale rustique de la famille des Poac es poss dant un m tabolisme de type C lui conf rant une bonne efficacit photosynth tique et un cycle court d environ 120 jours peut r pondre ces objectifs En effet gr ce son appareil racinaire important et profond ment ancr dans le sol elle peut puiser l eau souterraine pour assurer son bon d veloppement dans un environnement souvent hostile FAO 1997 De plus cette culture estivale contrairement la plupart de nos esp ces fourrag res qui sont des gramin es de saison froide a des besoins faibles en eau Marsalis et al 2010 valorise les eaux saum tres Saberi et al 2011 Et permet d obtenir un volume important de fourrages en vert en t et en d but d automne Edwards et al 2001 Le sorgho poss
609. t espac s de 0 2 m Ainsi chaque unit occupe une superficie de 2 m Figure 1 I Figure 1 Sch ma d une parcelle l mentaire unit exp rimentale Chaque bloc est occup de 30 unit s exp rimentales ayant des dimensions 2m x 1m espac es les unes des autres de 0 5m perpendiculairement leur longueur et de 1 5m perpendiculairement leur largeur Op rations d implantation L orge a t sem e d une fa on avoir 200 plantes m ce r sultat est obtenu en appliquant la formule suivante pour trouver le nombre des graines semer DS densit de semis DS DO DO DO 100 0 1 DO DO densit objective de semis 200 FG facult germinative 0 1 majoration de 10 pour r compenser tout type de perte 1289 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 2 3 Mesure des param tres agronomiques Tout au long des essais on a r alis plusieurs chantillonnages en fonction du cycle de d veloppement des plantes On a fait les pr l vements au cours du stade deux n uds Z 32 du stade pollinisation compl te Z 69 et enfin la maturit pour valuer les composantes du rendement 2 3 1 Le nombre d
610. t factors limiting the crop production in the world Umar 2006 In the Mediterranean regions low rainfall and high temperatures along with high salinity of irrigation water often affect agricultural productions as a result of drought and salinity stress Paranychianakis and Chartzoulakis 2005 This is especially the case in the arid regions of Tunisia where limited supplies of good quality waters and the increasing needs for agriculture intensification are forcing farmers to use high saline waters Irrigation of a wide range of crops is actually expanding around a shallow well having salinity level more than 5 dS m However productivity is usually low and irrigation is applied on routine basis without scheduling and provision drainage This may carry the danger of a rapid soil salinization because of increased salt input Therefore innovations are needed to increase the productivity of water that is available One way to overcome the water shortage and optimize saline water use is through development of a new irrigation scheduling such as deficit irrigation which is not necessarily based on full crop water requirements Zhang et al 2004 found that severe soil water deficit SWD decreased grain yield of winter wheat while slight SWD throughout the growing season did not reduce grain yield or water productivity This result indicates that water supply can be reduced somewhat without significant decrease in grain yield Moreover investigations conducted
611. t observ chez la vari t d olive l huile Chamlali Ben Ahmed et al 2007 Aussi Guerfel et al 2009 ont montr chez la m me vari t que le RWC diminue en fonction de degr de stress hydrique ces valeurs passent de 80 64 apr s un stress s v re Les valeurs lev es du RWC sont dues aux faibles valeurs de la conductance stomatique stomates ferm es en cas du stress qui permettent aux plantes conduit en culture pluviale de transpirer moins d eau que celles bien irrigu es ce qui contribue des valeurs importantes du RWC Ce constat est en accord avec celui observ par Wahbi et al 2005 et Liu et al 2006 3 2 Les pigments photosynth tiques chla chlb chl a b et carot no des Les r sultats consign s sur les Figures 2 3 4 et 5 montrent respectivement que la teneur en chlorophylle a b a b et en carot no des fluctuent dans un m me rythme En effet les teneurs lev es de chaque l ment sont enregistr es chez les arbres cultiv s sur un sol sableux profond et conduit en irrigu s durant la saison printani re Mars et Avril Ces teneurs ont pour valeurs maximales respectives de 1 36 0 87 2 39 et 0 71 mg g de MF pour la chlorophylle a la chlorophylle b la chlorophylle a b et les carot no des Ces teneurs lev es correspondent un apport hydrique important Pluie le 13 04 2012 en plus de l irrigation Au mois de Juin ot les pr cipitations deviennent rares ces valeurs subissent un c
612. t par les voyageurs qui venaient du Tripoli Sa culture a demeur cantonn e dans les oasis littorales Avant 1956 le henn ne couvrait que sur des petites parcelles de Chenini et de Menzel o les plantations sont irr guli res et gagneraient tre faites en lignes chattaoui 1975 Le henn tr s connue pour ses propri t s tinctoriales et astringentes entre dans la composition des infusions destin es combattre les ulc res les diarrh es et la lithiase r nale Floc H 1983 Des rares recherches et tudes ont concern le henn en Tunisie C est en vue de mieux conna tre cette esp ce et particuli rement ces adaptations au d ficit hydrique dont souffrent les oasis que s inscrit ce travail qui se propose pour objectif d tudier l effet du d ficit hydrique sur la croissance et la concentration en quelques solut s organiques des tissus foliaires chez deux provenances du henn Bousaid et Bssisi 2 MATERIEL ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal Le mat riel v g tal utilis dans cet essai est le henn Lawsonia inermis originaire de Gab s Pour mener cet essai deux provenances ont t utilis es Bsissi et Boussaid Les semis ont t r alis s dans des pots de culture en plastique de 4 litres chacun Les pots sont plac s sous serre vitr e a une temp rature fixe gale 26 C et l clairement naturel photop riode 10 heures Dans un premier temps les plantules de deux provenances tudi es
613. te le nombre de capitules le nombre de grains la biomasse a rienne la maturit BMa en g le poids moyen d un grain pm1g rapport du rendement grainier sur le nombre de grains en mg grain l indice de r colte ir le rendement grainier en g L analyse de la variance ANOVA a deux facteurs stress hydrique et accession avec un niveau de risque a 0 05 a t r alis e Le test non param trique de Kruskall Wallis KW a t utilis pour la teneur en sucre Les analyses statistiques ont t effectu es l aide du logiciel STATISTICA 6 1 3 RESULTATS 3 1 Teneur relative en eau et sucres solubles Les valeurs de la TRE pour feuilles transpirantes sont en g n ral comprises entre 60 et 95 selon les esp ces et les conditions environnementales Dans notre tude la teneur relative en eau moyenne des plantes t moins est de 54 Fig 1 C est une valeur tr s faible qui pourrait refl ter un stress g n ral pr sent dans la serre probablement une cons quence des temp ratures lev es observ es sous serre durant la p riode de la floraison Ces temp ratures ont d augmenter la demande en eau qui n a pu tre satisfaite par les apports quotidiens Les plantes stress es poss dent une TRE moyenne de 41 soit une diff rence de 13 par rapport aux plantes t moins Cependant cette diff rence n a pas t r v l e significative par l analyse de la variance Table 2 La teneur relative en eau ne varie pas
614. technologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 L utilisation des boues r siduaires domestiques pour am liorer la production agricole constitue s rement cet effet une d marche s duisante Tester et al 1982 conduisent une exp rimentation pour tudier la r ponse la f tuque lev e aux apports de boue et d eaux us es Ils notent que l amendement du sol avec les boues des eaux r siduaires am liore la nutrition azot e de la f tuque comme elle stimule la croissance racinaire en comparaison avec la v g tation d un sol non amend Chez le ray grass Guirard et al 1977 observent une augmentation de la concentration de l azote dans les tissus des plantes conduites sur sol amend avec des boues r siduaires Cherak 1999 note un am lioration de la capacit de tallage herbac e chez l avoine conduite sur sol amend e avec des boues r siduaires La boue est consid r e comme un substrat susceptible de contribuer au maintien du stock humique des sols et par cons quent d am liorer leur stabilit structurale leur capacit d change cationique et leur capacit de r tention d eau Gomez et al 1987 Kirkham 1974 note que les apports de boue au cours de 4 ann es successives ont lev la teneur en mati re organique du sol des 15 premiers cm de surface de 1 2 2 4 Selon Sachon 1995 la boue r siduaire incub e d veloppe
615. temperatures Plant Cell Environ 23 893 902 Zerrad W Hillali S Mataoui B S El Antri S et Hmyene A 2006 Etude comparative des m canismes biochimiques et mol culaire de r sistance au stress hydrique de deux vari t s de bl dur Actes Congr s International de Biochimie Agadir 09 12 Mai 2006 6p 1216 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Impact of deficit irrigation with saline water on yield soil salinization and water productivity of barley in arid regions of Tunisia Fathia El Mokh Kamel Nagaz Laboratoire d Aridoculture et Cultures Oasiennes Institut des R gions Arides de Medenine 4119 Tunisia Email fathiamokh yahoo fr SUMMARY Field studies were conducted for two years to determine the effects of irrigation regimes with saline water 7 6 dS m on soil salinity yield and water productivity of barley in the arid region of Tunisia Barley was grown on a sandy soil and drip irrigated with well water having an ECi of 7 6 dS m For two years a complete randomized block design with three replicates was used to evaluate five irrigation regimes Full treatment FI was irrigated with an amount equal to 100 of cumulated crop evapot
616. tenu en chlorophylle Cette r duction est cependant relativement moindre apr s endurcissement Les r ponses varient en fonction des g notypes et du traitement impos Apr s endurcissement Martondur affiche un contenu en chlorophylle plus stable que sans endurcissement L endurcissement am liore la stabilit de la chlorophylle de Waha comparativement au traitement sans endurcissement La chlorophylle de Martondur Waha est la plus instable sous choc du froid apr s ou sans endurcissement Ces r sultats sugg rent que le g notype Martondur r pond mieux l endurcissement et qu il porte des g nes induisant l expression cLMW_HSP qui prot gent le PSII des effets du stress rendant la chlorophylle relativement plus stable sous l effet des basse temp ratures 3 2 Teneurs en prot ines solubles L analyse de la variance des prot ines solubles montre des effets stress g notype et une interaction stress x g notype significatifs Tableau 3 Ces r sultats indiquent que l endurcissement active l accumulation des prot ines solubles cependant les g notypes valu s r pondent diff remment l endurcissement Tableaux 3 et 4 Ainsi apr s endurcissement et en moyenne des trois g notypes la quantit des prot ines totales est de 38 6 sup rieure celle not e chez le traitement non endurci et soumis au choc du froid 1211 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Arid
617. the physiology and biochemestry of Olea europaea Environmental and Experimental Botany 65 210 219 Franks P and GD Fraquah 2001 The effect of exogenous abcisic acid on stomatal development stomatal mechanics and leaf gaz exchange in Trade scantia Virginia Plant Physiol 125 935 942 HADJADI S 2009 Contribution l tude de l effet de la salinit sur des marqueurs biochimiques proline et sucres solubles de plantes juv niles d Atriplex halimus L et d Atriplex canescens Pursh Nutt M moire de Magister en Biochimie et analyse des bioproduits Univer Kasdi Merbah Ouargla 100 p Hartmut K L 1987 Chlorophylls and cartenoids Pigments of photosynthetic Biomembranes Journal Methods in Enzymology Volume 148 350 381 HAYASHI H MURATA N 1998 Genetically engineered enhancement of salt tolerance in higher plants In Sato Murata N Ed Stress Response of Photosynthetic Organisms Molecular Mechanisms and Molecular Regulation Elsevier Amsterdam 133 148 Jones H G 1983 Plant and microclimate Adequative approach to environmental plant physiology Cambridge Univ Press Cambridge U K Kasraoui M F Denden M Braham M Garcia M et Lamaze T 2004 Comportement physiologique de deux vari t s d olivier Olea europaea L soumises une contrainte hydrique Annales de VINGREF 6 49 67 Khabou W 1994 Contribution l etude de la rhizogen se sous conditions control es de I olivier Chemlal
618. tion Leurs r ponses seront compar es des vari t s sensibles ce virus en l occurrence Manel et notamment Rihane cette derni re connue pour son adaptation au milieu aride et semi aride Les r sultats ont montr une variabilit dans la r ponse des lign es d orge aux doses de sel appliqu es L effet de la salinit n a t significativement per u par les lign es test es qu au del du seuil 3g l NaCl Sous le seuil le plus s v re 12g l la lign e 14 et la vari t Rihane ont montr un meilleur comportement comparativement la vari t Manel et aux lign es 16 22 et 12 Cette derni re a montr une sensibilit ce seuil de salinit Mots clefs BYDV germination lign es r sistantes orge salinit 1 INTRODUCTION La salinit touche environ 70 de la surface mondiale soit 930 millions d hectares Ces surfaces sont en progression cause de la salinisation due l irrigation non contr l e et au d frichage FAO 2006 En Tunisie les eaux d irrigation provenant des barrages pr sentent une charge en sel de 2 3g l alors que celles des puits profonds titre de 4 7g l Hachicha 1995 La mauvaise gestion de ces eaux a induit une alt ration par le sel du quart des superficies irrigu es Hachicha et al 1998 En c r aliculture les irrigations de compl ment sont souvent r alis es avec des eaux charg es sans tenir compte de la tol rance des esp ces cultiv es Face cette une contrainte majeur
619. tion en sucres mg g PF des plantes t moins et des plantes stress es Tableau 1 Valeurs moyennes des param tres tudi es chez les plantes t moins et les plantes stress s pour chaque accession Moyennes RdG Pmlg BMa TRE g plante nb gpp nb cpp mg g plante ir 56 84 2 95 117 25 7 75 28 35 15 1 0 2 USDA6 n 4 ET 19 74 ET 1 16 ET 45 13 ET 1 5 ET 19 ET 2 21 ET 0 1 56 36 2 42 50 5 3 25 54 45 10 27 0 28 T moins USDA23 n 4 ET 24 84 ET 1 48 ET 31 79 ET 0 5 ET 40 62 ET 4 66 ET 0 19 38 1 72 75 4 22 68 7 74 0 22 USDA29 n 4 ET 23 23 ET 0 82 ET 34 32 ET 1 41 ET 4 85 ET 2 92 ET 0 08 Vartouggourt 66 11 4 90 4 75 43 5 15 75 0 25 n 4 ET 10 24 ET 1 56 ET 21 64 ET 1 25 ET 11 85 ET 4 79 ET 0 05 63 19 3 33 138 66 5 25 28 09 16 03 0 21 USDA6 n 4 ET 30 39 ET 0 83 ET 76 26 ET 3 4 ET 11 26 ET 5 66 ET 0 02 31 47 0 97 35 2 66 27 57 6 85 0 12 Stress es USDA23 n 4 ET 14 96 ET 0 89 ET 31 65 ET 1 15 ET 22 01 ET 4 77 ET 0 07 35 07 1 5 67 4 25 24 18 6 65 0 21 USDA29 n 4 ET 27 73 ET 0 77 ET 46 24 ET 1 7 ET 8 88 ET 2 97 ET 0 03 Vartouggourt 35 64 2 1 60 4 5 30 43 11 9 0 18 n 4 ET 17 73 ET 0 94 ET 17 93 ET 1 29 ET 6 11 ET 3 55 ET 0 09 TRE teneur relative en eau RdG rendement grainier nb gpp nombre de grains par plant nb cpp nombre de capitules par plants pmi
620. tion g ochimique et le processus d accumulation des sels et leurs influences sur le sol Les r sultats obtenus montent que les eaux de la nappe phr atique sont extr mement sal es et leurs conductivit s lectriques sont tr s lev es pouvant atteindre 171 9 dS m L application de l indice de saturation travers le logiciel PHREEQC pour les diff rents min raux pr sents dans l eau phr atique montre un ordre pr cis de pr cipitation de ces min raux Les carbonates pr cipitent en premier suivis des gypsites et enfin de l halite REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BG 2003 Etude d assainissement des eaux r siduaires pluviales et d irrigation Mesures compl mentaires de lutte contre la remont e de la nappe phr atique Rapport de la mission II B Caract risation environnementale de la situation actuelle Bonard amp t Gardel Lausanne pp 17 18 Boukhris K 2012 Mode de d gradation des aridosols par pr cipitations salines saisonni res approche g ochimique Cas de la cuvette de Ouargla M moire de fin d tudes d ing nieur en Ecologie Universit Kasdi Merbah Ouargla Alg rie 75 p Daoud Y Halitim A 1994 Irrigation et salinisation au Sahara Alg rien S cheresse vol 5 03 151 160 1031 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridocultu
621. tion semi contr l s dans le parcelle de centre de formation professionnelle agricole de Degache Cetteexp rience est accompagn e par des essais chez diff rents agriculteurs de Tozeur fin d valuer leur adaptation comparativement la vari t am lior e t moin Rihane aux conditions des agriculteurs Pour la s lection des g notypes d orge nous avons adopt une approche int grative qui comporte une s lection selon des crit res de croissance et de rendement L analyse en composantes principales montre que les deux axes ACPI et ACP2 repr sentent 70 35 de la variabilit totale L axe ACP1 repr sente 49 13 de la variabilit totale Il repr sente une combinaison lin aire des param tres RG RB et RP L axe ACP2 repr sente 21 22 de la variabilit totale il est influenc par les valeurs NE PMG HZ69 NGE Le rendement en grain et le rendement en paille semblent repr senter les variables les plus importantes g n r es par cette ACP Cette ACP montre que le RG est bien corr l avec le RB par contre le plus le NE est lev plus le NGE est faible L analyse de la variance de parcelle EI Manachi Degache a montr une diff rence significative entre les g notypes pour la majorit des param tres morphologiques mais pas pour le rendement Des interactions g notype x traitements sont observ es pour les diff rents param tres indiquant une large variabilit g notypique pour la salinit Par ailleurs cette tud
622. tions ont t soumises une analyse de la variance un facteur tudi amendement Lorsque analyse de variance a une diff rence significative un niveau de signification et pour savoir les traitements consid r s qui diff rent significativement on effectue une comparaison des moyennes de ces traitements l aide du test de Newman et Keuls La r alisation des calculs est effectu e l aide du logiciel Assistat 3 RESULTATS ET DISCUSSION Les r sultats d analyse de l eau d irrigation sont illustr s dans le tableau 2 Les valeurs moyennes des variables physicochimiques de l eau d irrigation montrent qu elles sont bien acceptables respectant les normes des eaux d irrigation OMS 1989 Ayers et al 1985 l exception des chlorures et du potassium qui se trouvent en quantit s l g rement excessives Ceci n impose pas de restrictions leur utilisation pour l irrigation Les caract ristiques du sol et boues sont donn es au Tableau 3 Le sol utilis dans l exp rimentation est l g rement alcalin carbonat et moyennement d pourvu de mati re organique La bouel 6mois pr sente des teneurs lev es en mati re organique et en sels la boue2 22 mois est riche au moment l exp rimentation en nitrates et en mati res organique quant la boue3 boue de sucrerie elle est relativement d pourvu de mati re organique d ficitaire en phosphore L analyse de variance indique un effet traitement
623. tome VIII A pp 99 109 Laouali MS Atta S Abdoulaye H Alzouma Z Ibro G Marafa D Saadou M 2009 Valorisation des eaux us es pur es pour la production du bois nergie et du fourrage au Niger S cheresse 20 4 367 72 Mensous M 2011 Etude du syst me actuel de gestion des eaux us es dans l oasis de Ouargla These de Magister en Ecologie saharienne et Environnement Universit de Ouargla Alg rie 150 p 1112 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Effets des boues r siduaires et de sucrerie sur les propri t s du sol et la productivit de Porge Hordeum Vulgare L var Jaidor D Gol a L Tamrabet M Kribaa N Ababsa S Boudjabi S Tamrabet Laboratoire CAM Universit L Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie D partement de Chimie Universit L Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie Laboratoire RNAMS Universit L Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie D partement de Hydraulique Universit L Ben Mhidi Oum El Bouaghi 04000 Alg rie T l Fax 032 429039 0667779137 Email d69_golea yahoo fr RESUME Une exp rimentation a t conduite sous serre en plastique au D partement des Sciences
624. touggourt de l ordre de 59 9 et de 47 5 respectivement USDA29 poss de un rendement stable mais qui demeure le plus faibles des quatre accessions tudi es en conditions normales Au m me titre que le rendement la biomasse a rienne Tab 1 n est pas affect e de la m me fa on par le stress hydrique chez les quatre accessions USDA6 poss de une biomasse a rienne relativement lev e et qui reste assez stable entre les plantes t moins et les plantes stress es USDA29 poss de aussi une biomasse a rienne stable entre les plantes t moins et stress s mais qui demeure faible Le 1036 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 stress hydrique provoque une baisse de la biomasse a rienne assez cons quente chez Vartouggourt et USDA23 de 24 4 et de 49 9 respectivement Le nombre de capitules par plante Tab 1 ne semble pas tre tr s affect par le stress hydrique sauf chez USDA6 pour laquelle on note la plus importante diminution de l ordre de 32 2 mais cette baisse ne semble pas affecter le rendement des plantes stress es puisque ce dernier est plus lev chez les plantes stress es compar celui des plantes t moins Le nombre de grains p
625. traitements de sel Le facteur 2 repr sente les deux traitements d irrigation Le nombre des r p titions appliqu es est 3 Chaque r p tition comporte 3 pots par vari t et par traitement combin 2 4 Param tres mesur s La conductance stomatique Elle est mesur e Mi mars par un porom tre Decagon dvices Pullman WA durant un jour clair entre 10 h et 12h La valeur moyenne calcul e par vari t et par traitement correspond trois mesures effectu es sur des feuilles appartenant aux deux derniers tages foliaires Le Rendements en fruits Apr s une premi re r colte effectu e le 29 05 2010 Le rendement obtenu est exprim en gramme par plante Le Pourcentage des fruits n cros s Le pourcentage des fruits n cros s _ Nombre des fruits n cros 100 Nombre total des fruits r colt s 2 5 tude statistique L analyse de la variance ANOVA a t faite par le programme SAS 2000 Chaque donn econstitue la moyenne d au moins trois mesures Pour lacomparaison des moyennes le test de Newman Keuls au seuil de 5 a t utilis 3 RESULTATS ET DISCUSSIONS 3 1 La conductance stomatique La conductance stomatique a t significativement r duite sous l effet du stress salin et hydrique Figurel Cependant Le stress combin affecte plus la conductance stomatique que lorsque le stress appliqu est simple En effet pour le traitement combin S I 60 mM 50 RFU la conductance stomatique diminue respect
626. trasting environments Euphetica 36 265 273 English M J J T Musick and V V N Murty 1990 Deficit irrigation In Management of Farm Irrigation Systems eds G J Hoffman T A Howell and K H Solomon ASAE Monograph Michigan pp 661 663 Hussain G and A AL Jaloud 1998 Effect of irrigation and nitrogen on yield yield components and water use of barley in Saudi Arabia Agriculture Water Management 36 55 70 Jamieson PD Francies GS Wilson DR and Martin RJ 1995 A drought influences on grain yield of barley wheat and maize N Z J Crop Hortic Sci 23 55 66 Khalil F A S A Ouda and M M Tantawy 2007 Predicting the effect of optimum irrigation and water stress on yield and water use of barley crop J Applied Sc Res 3 1 1 6 Maas EV and GJ Hoffman 1977 Crop salt tolerance current assessment J Irrigation and Drainage Division ASCE 103 105 134 Nagaz K Toumi I Masmoudi MM and Ben Mechlia N 2008 Soil Salinity and Barley Production under Full and Deficit Irrigation with Saline Water in Arid Conditions of Southern Tunisia Agricultural Journal Nagaz K and N Ben Mechlia 1998 Barley production under different irrigation regimes with two water qualities Agricoltura Mediterranea International Journal of Agricultural Science 128 1 28 33 Nagaz K and N Ben Mechlia 2000 Nitrogen and water quality effects on yield and water use efficiency of barley Hordeum vulgare L cv Ardha
627. tration lev e en flore m sophile a robie Entre autre la contamination f cale est not e par la pr sence d un degr lev en coliformes totaux coliformes f caux en streptocoques f caux et en bact ries sulfito r ductrices rendant l eau impropre l irrigation Les Analyses bact riologiques ont mis en vidence une contamination des eaux de toutes les stations par les coliformes f caux qui atteignent des valeurs de l ordre de1400 10 CF 100 ml Par ailleurs les valeurs les plus lev es de coliformes totaux sont observ s au courant du mois de janvier L installation d un r seau des collectes et d vacuation des eaux us es allant de faire des analyses biologiques p riodiques permettent de mieux cerner ce probl me afin de pr server ce patrimoine biologique du risque de l eutrophisation REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Barnaud G 1997 Conservation des zones humides concepts et m thodes appliqu s leur caract risation Th se doctorat Universit de Rennes 1 Rennes France 451 p Boumezbeur A 2001 Atlas des zones humides alg riennes d importance internationale 2eme dition ATLAS 56 p Duffour A P 1977 E coli The Faecal Coliform 48 58 In Hoadely A W and B J Dukta eds Houhamdi M et Samraoui B 2008 Durnal and nocturnal behaviour of ferruginous duck Aythya nyroca at lac des oiseaux northest Alg ria Ardeola 55 1 59 69 Houhamdi M et Samraoui B 2002 Occupation sp
628. tres informations collect es ont concern l historique des exploitations leurs identifications leurs syst mes de production et d irrigation les cultures install es la taille des troupeaux bovin et ou ovins s il y a lieu 2 2 Choix des exploitations types Les exploitations enqu t es sont au nombre de 83 et de taille allant de 1 170 ha Elles pr sentent toutes la caract ristique d tre irrigu es avec des eaux us es trait es En se basant sur certains crit res de discrimination retenus des exploitations enqu t es et l aide d un outil statistique permettant une analyse en composante principale ACP Philippeau 1986 nous avons pu reproduire une image composite Perrot et al 1993 que l on essaie de d crire en termes de p les d agr gation aussi nettement diff renci s que possible Cette analyse a t utilis e pour identifier des classes d agriculteurs selon des axes de tendance Hanafi et al 2007 Elle nous a permis d isoler 6 groupes distincts d exploitations capitalisant le maximum d l ments de ressemblance et de choisir 6 exploitations EXP 6 EXP11 EXP20 EXP26 EXP48 et EXP64 Ce choix a t renforc par le crit re type de sol auquel appartient chaque exploitation type Les exploitations retenues pour cette tude dot es de leurs caract ristiques ainsi que les quantit s d eau appliqu es initialement pour irriguer le bl dur sont regroup es dans le tableau 1 Tableau 1 Carac
629. ts in vitables du processus d limination des mati res polluantes contenues dans l eau us e Elles comprennent en fait des d chets de nature tr s vari e selon les tapes du traitement et selon le proc d de traitement pratiqu dans les installations Une fois trait e la boue r siduaire peut tre valoris e en agriculture Ademe 2000 Jarde 2002 Chatha 2002 Tamrabet et al 2006 En effet l utilisation agricole des boues r siduaires r pond d une part au besoin en mati re organique qui dans les conditions climatiques des pays sud m diterran en sont rapidement min ralis es au besoin d entretien organo min ral des sols dont le d ficit est acc l r par les techniques modernes de 1113 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 production et d autre part aux potentialit s du sol en tant que syst me purateur et de recyclage Dudkkwski 2000 Benmouffok et al 2005 En effet les sols trait s avec des boues r siduaires gardent plus longtemps l humidit et la v g tation installe sur de tels sols un syst me racinaire plus d velopp comparativement aux sols non trait s Tester et al 1982 Les boues r siduaires lib rent progr
630. tural economics n 2 Elsevier Dorin B Paillard S 2009 Agriculture et alimentation du monde en 2050 pour un d veloppement durable Agrimonde INRA CIRAD 2 me Ed 265p Flichman G 1997 Bio economic models integrating agronomic environmental and economic issues with agricultural use of water CIHEAM IAMM Options M diterran ennes S r A n 31 pp 327 336 Frank M D Beattie B R and Embleton M E 1990 A Comparison of Alternative Crop Response Models American Journal of Agricultural Economics 72 4 pp 597 603 Hanafi S Zairi A Ruelle P Le Grusse P Ajmi T 2007 Typologie des exploitations agricoles un point de d part pour comprendre les performances des syst mes irrigu s Actes du troisi me atelier r gional du projet Sirma Lahlou M Badraoui Met Soudi B 2000 Mod lisation de l volution de la salinit et de Valcalinit dans les sols irrigu s S minaire Intensification agricole et qualit des sols et des eaux Rabat 2 3 Mlaouhi S 2002 Contr le de la salinit pour la pr servation de la fertilit du sol dans un p rim tre irrigu dans la basse vall e de la Medjerda Th se de Master l IAM de Montpellier 124 p Mlaouhi S Boujelben A Elloumi M et HchichaM 2010 Simulations 4 long terme avec un mod le biophysique des rendements en fonction de la salinit du sol dans la basse vall e de la Medjerda parus dans les Annales de l INRGREF 2010 14 Num ro s
631. ture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 3 2 6 Un syst me bourr des valeurs Le syst me d irrigation Boukais est un construit humain quirepr sente un t moin des rapports entre les groupes sociaux dans le Sud de la m diterran e et symbole de la culture d adaptation et de la ma trise de l eau dans les zones arides C est un savoir faire ancestral transmet de g n ration autres d une fa on orale et par apprentissage Il est un exemple d autonomie et du savoir vivre ensemble bas sur le regroupement organisation collective la tol rance solidarit la coop ration et la collaboration 3 2 7 Une gestion ancestrale qui assure la durabilit Ce syst me d irrigation assure les objectifs de la gestion durable int gr e des ressources en eau la durabilit des ressources participation l chelle locale et faisabilit en termes de co ts et quit depuis plusieurs si cles 4 CONCLUSION Ce syst me d irrigation est un mod le de gestion durable Il fait rentrer en harmonie l art de la maitrise de l eau de l quit et de la coh sion sociale avec l tat de l cosyst me Son maintien dure depuis plusieurs si cles Il repr sente un patrimoine culturel et historique et un cach identitaire qui devrait tre pr serv et valoriser La valorisation peut permettre dans le domaine technique la pr conisation d un ventuel m
632. tyle la plus lev e suivie de Manel et des lign es 22 et 14 alors que les lign es 16 et 12 d veloppent la plus faible croissance Tableau 4 Effet de NaCl sur la longueur de l picotyle des lign es d orge 12 14 16 22 et de Manel et Rihane NaCl g l 12 14 16 22 Manel Rihane 0 29 63 hijk 60 c 38 73 fgh 51 32 de 76 ab 78 a 3 25 21 jkl 52 84 cde 33 44 hi 43 3 fg 68 98 b 75 ab 6 13 77 mno 55 46 cde 10 78 nopq 32 5 hij 50 ef 58 25 cd 9 6 17 opq 36 gh 6 82 opq 20 Im 26 ijkl 37 2 gh 12 2 9 q 13 mno 5 24 pq 14 mno 19 Imn 23 kl NB Les moyennes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 Les t moins des lign es 12 16 et 22 ont montr la longueur de la radicule la plus lev e comparativement la lign e 14 Manel et Rihane Comme il a t le cas pour l picotyle la radicule a t significativement inhib e par les doses croissantes de NaCl Tableau 5 Sous 3g 1 seule la lign e 12 enregistre une r duction significative de la longueur de sa radicule de l ordre de 34 Sous 6g 1 les lign es 12 14 16 et 22 montrent une r duction significative de leur croissance radiculaire de l ordre de 33 27 28 et 26 alors que Manel et Rihane maintiennent une croissance similaire aux t moins Sous 12g l Rihane montre la radicule la plus longue 58 mm alors que la lign e 12 d veloppe la plus faible 19 mm Les lign es 14 16 22 et Manel d veloppent une longueur moyenne de l ordre d
633. u Les volumes pr lev s sont valu s 180 km soit un taux de 65 des ressources renouvelables induisant une 1148 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 dotation moyenne annuelle de 421 m par habitant Un groupe de 32 de la population s accapare de 57 des pr l vements et la plupart des pays l exception du Soudan et du Liban qui utilisent d j plus de 40 de leurs ressources en eau renouvelables Les volumes pr lev s sont destin s 75 vers l agriculture l Egypte et l Irak consacrent respectivement 50 km et 40 km ce secteur Le secteur domestique utilise 19 et le secteur industriel 6 Il faut souligner que ces volumes n arrivent pas enti rement aux utilisateurs pour cause de mauvaise gestion La situation sur le terrain est plus dramatique Les rendements d utilisation de l eau sont tr s faibles et la situation du stress hydrique d rive plus rapidement vers la limite l tale tir e par la croissance d mographique Cette situation contraint les pays investir dans le dessalement de l eau de mer et la r utilisation des eaux us es pur es en esp rant amoindrir la crise hydrique Au total les quantit s d eau d
634. u 1 Les diff rents g notypes d orge cultiv s G notypes code origine Rihane A6 Am lior Tej A7 Am lior konouz AS Am lior Manel A9 Am lior Barley M denine V28 Autochtone Ardhaoui V29 Autochtone Saudi V41 Autochtone Arbi Abidh V32 Autochtone PK 30109 VI Allochtone PK 30046 V2 Allochtone PK 30163 V3 Allochtone PK 30118 V5 Allochtone 100 1B V22 Allochtone 111 4A VIS Allochtone 1288 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 16 2A V35 Allochtone 113 1B V40 Allochtone Australian V37 Allochtone ICARDA 20 V8 Allochtone 51 1B V21 Allochtone 186 AD V27 Allochtone AD 87 V26 Allochtone CHK36 V38 Allochtone CHK38 V36 Allochtone CHK39 V44 Allochtone CHK53 V47 Allochtone CHK 6 V39 Allochtone CHK 37 V43 Allochtone CHK 9 V45 Allochtone CHK 2 V48 Allochtone CHK 1 V49 Allochtone 2 2 Dispositif exp rimental Le dispositif exp rimental est un dispositif al atoire complet randomis avec trois r p titions Chaque parcelle l mentaire plot ou unit exp rimentale est occup e par une vari t donn e et est constitu e de dix rangs de 1 m de long qui son
635. u test de Duncan a 0 05 qui a permis de faire une comparaison entre les diff rents traitements 3 RESULTATS ET DISCUSSIONS 3 1 Le contenu relatif en eau RWC Les r sultats consign s sur la Figure 1 montrent que le RWC est tributaire du mode de conduite de la culture Chez les arbres irrigu s SSI recevant l quivalent de 415 mm de pluie par an ce param tre est continuellement lev en fonction du temps Il volue entre un minimum de 87 48 au mois de mars et un maximum de 93 38 au mois de juin La faible valeur du RWC durant le mois du mars d coule de la date tardive de la reprise de l irrigation des oliviers qui entam e au d but de ce mois Ce retard d coulant d une cueillette tardive des olives fin f vrier 2012 a induit un d ficit hydrique durant cette p riode Durant les mois d apr s les valeurs du RWC ont augment pour atteindre un maximum de 93 38 au mois de juin et en plein r gime d irrigation Chez l olivier conduit en pluvial les valeurs du RWC diff rent selon la nature du sol SM et SS En effet elles atteignent 92 37 et 91 52 au mois de mars durant la saison pluviale Ces valeurs diminuent en fonction du temps et atteignent 87 24 et 84 44 au mois de mai Au mois de juin quand le climat devient sec le RWC reste constant chez les oliviers voluant sur le sol sableux SS et baisse davantage 82 74 chez les individus cultiv s sur un sol marginal SM Statistiquement les diff rences
636. ue CC est devenue d actualit au niveau international ainsi que national Il est important ce moment d orienter les tudes et les recherches vers analyse des impacts et les strat gies d adaptation L objectif de cette tude est d valuer le stress hydrique de l olivier sous l effet du CC dans le Sud Est tunisien bassin versant d oued Oum Zessar M denine moyennant la mod lisation hydrologique mod le HidroMORE Les donn es de la pluviom trie et de la temp rature ont t collect es partir des stations disponibles alors que celles pour les sc narios futures horizons 2030 et 2090 ont t obtenues en utilisant le Coupled Model Intercomparison Project phase 5 CMIPS GFDL HIRAM C360 Le param trage du mod le a t effectu en se basant soit sur les tudes d ja entreprises dans la r gion et des estimations ont t faites pour les autres param tres En comparaison avec la p riode de r f rence 1996 2005 et suite a l augmentation de la temp rature de 1 C et 5 C et la diminution de la pluviom trie 5 4 et 20 ETO enregistrera une augmentation de 3 et 9 ainsi qu une diminution de ETCadj de 2 et 18 respectivement pour les horizons 2030 et 2090 Mots cl s Changement climatique GFDL HidroMore oleiculture stress hydrique SUMMARY Climate change CC is a main issue of interest at the international as well as the national levels It is important at this stage to guide t
637. ues Les param tres analys s sont la conductivit lectrique CE le pH le r sidu sec RS et les l ments majeurs CI Ca Mg K Na SO et HCO La mesure de la CE a t r alis e par la m thode de Richard l aide d un conductim tre et celle du pH par la m thode l ctrom trique l aide d un pH m tre lecture directe Pour les l ments majeurs les m thodes utilis es sont la colorom trie pour le sulfate la Titr m trie pour le chlorure et le bicarbonate et la spectrophotom trie pour le sodium le calcium et le potassium Les coordonn es g ographiques X Y Z de chaque point d eau ont t mesur es l aide d un GPS Global Positionning System Ces coordonn es ont t la base des donn es trait es par le logiciel ArcView afin de d terminer la r partition spatiale des l ments chimiques analys s La figure 2 pr sente la localisation des puits pr lev s 1080 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Eg Ouled Chamekh Puits Figure 2 Localisation des puits Les diagrammes de Piper de Pheereq et de Riverside ont t utilis s pour l tude hydrochimique des eaux Le diagramme de Pip
638. ugmente avec le temps pour les diff rents traitements Chez la provenance Bsissi et apr s deux mois de l application d un stress hydrique mod r R 50 CC la surface foliaire passe de 9 79 6 03 cm soit une r duction de 38 36 Pour Boussaid la surface foliaire est plus r duite que Bsissi et passe de 8 88 5 51 cm La r duction tant de l ordre de 37 98 Soumises a un stress hydrique s v re R 25 CC les deux provenances Bsissi et Boussaid pr sentent respectivement des valeurs moyennes de la surface foliaire de l ordre de 4 10 et 3 04 cm L application de ce stress induit des r ductions importantes de la surface foliaire Ces r ductions sont de 58 13 chez Boussaid et de 65 79 chez Bsissi Chez les deux provenances tudi es on note une r duction de la surface foliaire en fonction du stress hydrique A 25 CC Cet effet est plus important chez Bsissi qui peut tre consid r e comme la provenance la moins tol rante au stress hydrique 3 2 Effet du stress hydrique sur la teneur en sucres solubles totaux La variation de la teneur en sucres solubles totaux chez les deux provenances tudi es est port e dans la figure 2 15 b x 3 B 8 v a 2 10 b massisi a a 52 D a BOUSAID n a o 9 5 w S 5 D c v 5 v c e 0 T RO Rte R gime hydrique Figure 2 Variation de la teneur en sucres solubles chez les deux provenances du henn Boussa d et Bssisi en
639. uitiers puis culture mara ch res ou c r ales Ce travail r alis Deggache 33 58 19N 8 12 59 E a port sur l valuation du comportement de 26 g notypes de bl dur Triticum turgidum ssp durum irrigu s avec deux niveaux de salinit d eau Cette valuation s est bas e sur des param tres morphologiques hauteur mati re s che et surface foliaire physiologiques valeur SPAD et s lectivit ionique Na et K et agronomiques nombre d pis m nombre de grains m poids de mille grains et rendement en grains L analyse de la variance du comportement vari tal a d voil une diff rence significative entre les g notypes et entre les niveaux de salinit de l eau d irrigation ainsi qu une interaction g notype x salinit Les r sultats obtenus r v lent que les vari t s autochtones Mahmoudi Sbay et Derbazi se distinguent par une tol rance la salinit en maintenant un rendement et un comportement semblable aux t moins non stress s A l oppos les vari t s am lior es ont t class es parmi les g notypes sensibles De plus on a remarqu que la tol rance la salinit des g notypes test es est inversement corr l la concentration des ions Na dans les feuilles et qu il y a une corr lation positive entre la tol rance la salinit et la s lectivit K Na En termes de rendement absolu le g notype Om Rabiaa a montr le meilleur rendement sous irrigation par de l eau non
640. ulture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 1286 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Etude du comportement morpho physiologique et agronomique vis a vis la tol rance a la salinit chez des accessions d orges Hordeum vulgare L cultiv es dans un cosyst me oasien Kadri karim Aloui Dhouha Makhlouf Souhayla Zied Hammami Trifa Youssef ICentre r gional de recherche en agriculture oasienne BP62 route de Tozeur km 1 2260 Degach Tunisie Institut National d agronomie de Tunis Cit Mahrajen Menzeh 1 1080 Tunis Tunisie RESUME L orge est consid r e comme une culture importante en Tunisie Toutefois le d veloppement de cette culture et l am lioration de son rendement sont limit s par la salinit des sols et des eaux d irrigation L utilisation de vari t s tol rantes la salinit est devenue imp rative Dans le but d valuer le comportement de trente g notypes de l orge Hordeum vulgare L comparativement aux vari t s t moins am lior es vis vis la salinit dans les conditions aride de r gion de Djerid une exp rience a t conduite en condi
641. ultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 monthly temperatures ranging from 6 6 C in the winter to 25 1 C in the summer Annual precipitation occurring mostly in winter averaged 221 2 mm ONM 2006 The soils of the region are silty clay with high calcareous content Cherak 1999 Oued El Gourzi and its basin encompass many towns among which the major urban complex of the city of Batna with about 350000 inhabitants 2 2 Sampling procedures and analyses A short term field survey of Oued El Gourzi was carried out in order to locate the important sources of pollution Water sampling sites include locations of the main effluent discharges hereafter coded as E E2 E3 E4 and Es as well as the points where El Gourzi effluents were supplied for irrigation purposes E4 Es Es and E Figure 1 The distance from the first sampling site and the least one is about 15 km Water was sampled from January to June on four unequally spaced sampling periods S January 9 S March 1 S April 17 and S4 June 2 Water samples were collected in triplicate The midstream surface water samples were collected using acid washed wide mouth polyethylene plastic bottles The samples were kept in a cool place over ice and transported to the laboratory for analysis The selected parameters for the estimation of surface water quality characteristics were temperature T pH electrical conductivity EC
642. un puisement du sol De nombreuses autres esp ces v g tales peuvent s av rer tre une ressource alimentaire importante pour le b tail seulement les connaissances leur sujet sont peu tendues d o une sous utilisation Parmi ces esp ces le mil Pennisetum glaucum est susceptible de jouer un r le majeur dans augmentation de la productivit de l levage par sa valeur alimentaire car il peut tre utilis pour subvenir abondamment aux besoins du b tail dans un temps court en donnant un fourrage de bonne qualit au milieu de l t lorsque les cultures p rennes donnent de faibles rendements tout en qualit qu en quantit Il poss de de plus des pr dispositions naturelles qui lui permettent de supporter les conditions de culture difficiles tel le manque d eau ou les eaux de qualit m diocres Egalement le mil est repr sent par de nombreux cotypes qui sont autant de formules d adaptation l h t rog n it des milieux des climats et leurs modifications respectives L objectif de cette tude est de comparer l aptitude l exploitation fourrag re de deux cotypes locaux de mil irrigu s l eau saum tre L essai a t r alis en plein champ Le dispositif exp rimental comporte deux cotypes de mil et trois traitements hydriques deux traitements salins et un contr le Les param tres agronomiques mesur s concernent tous l aspect v g tatif pouvant tre exploit pour l affouragement en ve
643. ur assurer les besoins de tout le pays d une population de 30 millions il faut une superficie cultiv e en c r ales de 7 5 millions d hectares En revanche si la m me culture est men e en r gime irrigu le rendement moyen est de 50 q ha ceci assure la ration annuelle de 50 personnes et n cessite une superficie irrigu e de 1 5 millions d hectares Cette production n cessitera un volume d eau de 1 2 km avec une dose moyenne de 8000 m ha Si les surfaces irrigu es ne repr sentent que 17 des surfaces cultiv es dans le monde elles assurent 50 de la valeur ajout e par l agriculture FAO 2004 La valeur agricole ajout e par travailleur Tableau 3 qui est un indicateur de productivit donne un aper u sur l efficacit du travail de la terre Tableau 3 Valeur agricole ajout e par travailleur R gion Valeur ajout e en Pays d velopp s 2 5 Pays en d veloppement 2 4 MENA 2 1 Alg rie 1 1 Egypte 2 9 Syrie 4 1 Maroc 4 8 Tunisie 3 9 Y men 1 8 Comores 0 6 Australie 3 1 France 6 1 Autriche 6 8 Monde 2 4 Source FAO 2004 Il est d montr selon la FAO que pour combler les d ficits nutritionnels induits par la croissance de la d mographie et la faiblesse de la production celle ci doit augmenter de 60 Les superficies irrigu es doivent augmenter de 265 millions ha en 2008 331 millions ha en 2050 ce qui n cessitera 500 km d eau en plus Mais en raison du manque d eau la m
644. uses Afin de mieux cerner l volution spatio temporelle de la pollution biologique et ses incidences sur le fonctionnement de cet hydrosyst me La recherche et l identification des souches a t r alis e par la galerie API 20E et la galerie classique et le d nombrement microbien m thode NPP 3 PRESENTATION ET DISCUSSION DES RESULTATS 3 1 Recherche et d nombrement 3 1 1 Coliformes totaux La recherche des coliformes est primordiale du fait qu un grand nombre d entre eux vivent en abondance sur les mati res f cales des animaux sang chaud et de ce fait constituent des indicateurs de premi re importance Duffour 1977 Pour le Lac des Oiseaux les coliformes totaux sont plus importantes dans les points L2 et L3 que dans le point L1 durant la premi re compagne ces valeurs diminuent et deviennent nulles au cours des autres compagnes La concentration maximale a t enregistr pendant le mois de janvier 16 10 CT 100ml au point L2 tandis que le point L1 pr sente les effectifs les plus faibles 20000000 7 15000000 7 10000000 7 5000000 77 0 Le Bare y i OU 0 0 as S Ss a2 temps Figure 2 Evolution des coliformes totaux 1104 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives p
645. ution du rendement en fruit au fur et mesure que la salinit s l ve et le manque d eau est important Selon Hsiao 1993 et Rubio et al 2010 la baisse de rendement total en cas de stress hydrique ou salin est due la r duction de la croissance et des assimilats En effet Kulkarni and Phalke 2009 ont rapport qu en cas de stress hydrique ou n importe quel autre stress abiotique il ya une diminution significative de la photosynth se et par cons quent une r duction de la quantit de m tabolites Selon la litt rature le piment est consid r parmi les esp ces l gumi res sensibles ou mod r ment sensibles au sel Cornillon et Palloix 1997 Aktas et al 2006 Navarro et al 2010 et au manque d eau Rhim et al 2002 Dorji et al 2005 Ferrara et al 2011 D autres travaux ont signal que ces deux contraintes n affecte pas uniquement le rendement mais augmente l incidence de la n crose apicale R him et al 1999 2013 Zhani et al 2012 L objectif de cette tude est d valuer les effets d un stress hydrique et salin sur la conductance stomatique le rendement et l incidence la n crose apicale chez deux vari t s locales de piment Baklouti et Midass 2 MATERIELS ET METHODES 2 1 Mat riel v g tal Le mat riel v g tal utilis dans cette exp rience est repr sent par deux vari t s locales de piment Baklouti et Midass Baklouti c est une vari t locale s lectionn e par
646. utions proposed is the search for plants that can cope with abiotic stresses and also could provide an income to farmers In this context sorghum Sorghum vulgarea l Hardy plant grows in many tropical regions and used for food and feed could achieve this objective Experimental design includes five treatments control 100 ETM two water regimes 70 and 35 ETM ETM and two salt treatments 3 and 6g 1 Agronomic parameters measured all vegetative aspects that can be used as green fodder number of tillers leaf number and size of chlorophyll The results showed that the application of moderate water stress decreased slightly the height of the stem and leaf chlorophyll content In contrast when water treatment is very severe all the parameters have been reduced For salinity as well as moderately or severe improved dimensional leaves and tillering was observed However the number and chlorophyll content of leaves showed a slight decline These results are encouraging because they can enhance the sorghum forage level in the difficult conditions of southern Tunisia especially in the current context of climate change Keywords feed sorghum south of Tunisia 1087 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppemen
647. v and DI Mat treatments The last two treatments gave also high IWP values as compared to full treatment FI The deficit irrigation treatment with less irrigation water of about 22 DI Dev Mat gives WP values comparable with those obtained under FI D Dev and DI Mat treatments Therefore the results show that irrigation water requirements for barley crop can be reduced without a significant yield reduction by adopting deficit irrigation strategies during development and maturity stages DI Mat DI Dev and DI Dev Mat Table 2 Water productivity WP kg ha mm under different irrigation treatments Treatments IWPd IWPg TWPd TWPg 2008 2009 FI 13 47 11 36 10 04 8 47 DI 50 22 36 17 32 13 28 10 30 DI Dev 13 82 11 48 10 01 8 32 DI Mat 14 58 12 71 10 50 9 15 DI Dev Mat 15 53 12 00 10 78 8 33 LSD 5 1 844 1 317 1 839 1 289 2011 2012 FI 24 46 14 38 15 7 9 23 DI 50 35 4 18 62 18 12 9 53 DI Dev 25 82 14 87 1711 9 01 DI Mat 30 35 16 39 17 12 9 24 DI Dev Mat 271 15 58 16 46 9 46 LSD 5 7 497 6 601 5 384 3 301 4 CONCLUSIONS This two year field study indicated that barley yield was affected by irrigation treatments Barley grain yields obtained under DI 50 deficit treatments were significantly lower than those obtained with full irrigation treatment FI Dry matter production was affected by irrigation treatments especially with DI 50 The higher salinity associated with the deficit irrigation treatments were sufficient to cause reducti
648. vrier Juillet Novembre RS ES 7 g y 2 24 27 3 E s o 3 4 5 E 4 D 7 5 2 Z 5 4 s 5 6 4 Jelma f Omlagsab 7 4 Jelma f 4 Guira temps mois Essaloum temps mois Omlagsa Zelfan b a b Figure 1 Variation du potentiel hydrique de base Ybase a et du potentiel hydrique de midi min b pour le mois de f vrier juillet et novembre dans les cinq stations Jelma Essalloum Zelfen Oumlagsab et Guira Param tres physiologiques Conductance stomatique du matin Gs Les moyennes de la conductance stomatique du matin sont de l ordre de 29 07 46 33 70 22 73 66 et 125 11 mmol m s pour le mois de juillet 28 77 99 33 57 66 56 22 et 59 55 mmol m s pour le mois de novembre et 28 28 73 22 52 83 54 56 et 48 5 mmol m s pour le mois de f vrier respectivement a Jelma Oumlagsab Guira Essalloum et Zelfen Figure 2 a L analyse statistique montre une diff rence significative entre les sites et entre les dates au seuil de 5 1241 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Conductance stomatique de mi journ e Gsmin Les moyennes de la conduct
649. vue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Une mol cule un m tabolite primaire de contraintes m sologiques la proline Benlaribi M Merghem R Zerafa C et Chaib G Universit Constantine 1 Facult des Sciences de la Nature et de la Vie D partement de biologie et cologie v g tales Email benlaribi_mos yahoo fr 1 INTRODUCTION L homme exploite la production primaire des v g taux pour son bien tre Il l utilise dans la majorit des cas pour son approvisionnement nergique et alimentaire Actuellement il s int resse davantage a la productivit dont l explication rel ve d une connaissance approfondie des v g taux et de leurs fonctions biologiques notamment physiologiques Ainsi au cours de l exploitation des agrosyst mes ou syst mes agers l homme oriente la production dans le sens qui l int resse ou qui suscite son int r t Le syst me ager le plus d velopp dans nos pays est le systeme c r alier qui est bas essentiellement sur trois esp ces a savoir Hordeumvulgare L orge utilis e de nos jours surtout pour l alimentation animale soit en vert soit en grain 2n 14 Triticum aestivum L bl hexaploide 2n 42 ou
650. waste water treatment plant is differed from the other sampling sites by high values of dissolved oxygen suggesting high reduction of organic load through activated sludge treatment The second group includes the stations E and E which differed from the other sampling sites by their high levels of mineralization and turbidity Stations located downstream the wastewater treatment plant WWTP form a transition zone E4 Es Es and E which is intermediate between water types in E and in E E2 The water chemistry in this zone results largely from mixing of well oxygenated treated wastewater with raw and partially treated wastewater with minor changes along the stream due to additional discharges or to environmental conditions Nevertheless the samples taken far from the main sites of discharge E and E2 showed an improvement in water quality characteristics Water quality varied also according to the sampling seasons which showed the following increasing pattern water pollution S gt S3 gt S gt S4 Figure 4 Water DO is significantly correlated with Trb r 0 89 NH r 0 91 and Alk r 0 88 Table 1 The parameters negatively correlated with the water DO contribute to the water pollution Measurements of alkalinity in polluted water consist largely of measurement of HCO Cornaz 2004 Variables axes F 1 and F2 75 85 99 Observations axes F1and F2 75 85 4 3 ros igi Ss J 4 ra E2 A le E5 SES
651. wastewater irrigation and the mycorrhizal symbiosis was evaluated on the basis of agronomic physiological eco physiological and biochemical attributes From the results it was clear that the treated wastewater irrigation and the mycorrhizal fungi enhance the growth and the enrichment of tissues of olive plants by the macro elements and the essentials metal However treated wastewater increases the heavy metal accumulation on tissues of plants Cd The presence of mycorrhizal fungi decreased the ascension of this heavy metal to the leaves of olive plants Key words Olea europaea L treated wastewater endomycorrhiza heavy metals growth mineral uptake 1 INTRODUCTION La valorisation agricole des eaux us es trait es EUT constitue un moyen non n gligeable pour combler en partie le manque d eau Bien que cette source d eau soit b n fique dans le domaine agricole gr ce sa richesse en l ments nutritifs les EUT peuvent galement avoir des impacts d favorables pour la sant publique et l environnement Dans les eaux us es les m taux lourds sont extr mement nombreux Les plus abondants sont le Fer le Zn le Cu et le Pb Les autres m taux comme l aluminium le chrome l arsenic le s l nium le mercure le cadmium le molybd ne le nickel etc sont pr sents l tat de traces Tous ces m taux peuvent s ils d passent un seuil constituer un risque sanitaire significatif pour les humains et les animaux ainsi que
652. ween SWC and ECa measured with the EM38 used in the vertical and horizontal mode The regression data are shown in Table 3 Soil moisture at each sampling depth was regressed against ECa Coefficients of determination r for linear regression model between ECa and soil moisture were calculated ECa was significantly positively correlated with SWC and the 1187 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 correlation values were higher in deeper sampling depths Figure 2 The correlation r varied from 0 2 to 0 7 and were also significant Table 2 Soil ECa is related to measured SWC so that the regression equations are available to predict soil moisture for each soil ECa value O O SWC 0 6 ECa H 25 72 oO oO SWC 0 14 ECa H 15 63 R 0 25 O Q SWC 0 29 ECa V 16 14 re re g ES O O g 8 A a SWC 0 5 ECa V 19 89 a R 0 74 2 o o O 10 20 30 40 50 60 70 0 10 20 30 40 50 60 70 ECa mS m ECa mS m Figure 1 Relationship between the SWC and ECa EM38 for the horizontal ECa H and the vertical mode ECa V wet season on the left and dry season on the right The relationship of soil ECa to soil moisture reflects the major influ
653. which is much more difficult to construct since it building requires a lot of investment in labor and materials Catchment area impluvium Considered as a watershed of jessr It s naturally delimited by dividing line of water between the jessour rass ou thbaba jesser ou kliss ouajah Figure 3 profile of a tabia and jisr 8 Figure 4 Jessr filled with water 1315 Revue des R gions Arides Num ro Sp cial n 35 3 2014 Actes du 4 me Meeting International Aridoculture et Cultures Oasisennes Gestion des Ressources et Applications Biotechnologiques en Aridoculture et Cultures Sahariennes perspectives pour un d veloppement durable des zones arides 17 19 12 2013 Figure 5 Schematic representation of jessour 9 Data collect To prepare our database of jessour we re going to take for each jessr e GPS points at the center of each terrace Length width of terrace and height of retention of jessr Length and height and the functional status of each dyke tabia Type of spillway and direction of discharge that is drown directly on the map by arrows Soil occupation The retention capacity retention surface and the surface of impluvium catchment area have been calculated using a computing tool for calculating as Microsoft excel and mapping software as Arc view Gis 3 2 For mapping satellite imagery from Google Earth with a definite scale has been used in order to identify the jessours Then we repo
654. x Ainsi des am liorations pourraient faites citons e Affiner davantage les donn es d entr es et le param trage du mod le e Utilisation de plusieurs images sat llitales e Prise en compte des am nagements de collecte des eaux de ruissellement et de crues e Int grer des sc narios d adaptation irrigation d appoint etc REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Allen RG Tasumi M 2003 Application of SEBAL for western US water rights regulation and planning International Workshop Use of Remote Sensing of Crop Evapotranspiration for Large Regions Ben Zaied M 2009 Etude d impact des am nagements CES par application des mod les hydrologiques Cas du bassin versant d oued Oum Zessar M moire de Master ENIT Gonzalez Piqueras J 2006 Evapotranspiracion de la Cubierta Vegetal mediante la Determinaci n del Coeficiente de Cultivo por Teledetecci n Tesis Doctoral Universidad de Valencia Ouessar M 2007 Hydrological impacts or rainwater harvesting in wadi Oum Zessar watersheds southern Tunisia Ph D thesis faculty of bioscience Engineering Ghent university Ghent Belgium 154 p Ouessar M Bruggeman A Abdelli F Mohtar H Gabriels D Cornelis WM 2009 Modelling waterharvesting systems in the arid south of Tunisia using SWAT Hydrol Earth Syst Sci 13 10 2003 2021 Taamallah H 2003 Carte p dologique de la Jeffara Rapport interne projet Jeffara IRA IRD Tunis www tutiempo net en 1201
655. xtr mement lev e attest e par des valeurs de conductivit s clectiques qui varient d amont en aval du sens d coulement de 25 7 dS m 171 9 dS m Par ailleurs les r sultats des analyses anioniques et cationiques mettent en vidence une sup riorit remarquable du sodium parmi les cations sa teneur augmente de 168 48 meq l en amont 978 26 m q en aval et du chlore parmi les anions sa teneur augmente de 218 31 medq l 1225 35 meq ce qui conf re ces eaux un faci s chimique dominant chlorur Sodique L tude de l indice de saturation des composantes halites anhydrites et aragonites montre que la dissolution des formations gypseuses est due l augmentation de l alcanisation des eaux d une part et la pr cipitation de I aragonite de la calcite et de la dolomite d autre part La sensibilit des min raux l indice de saturation met en vidence une pr cipitation prioritaire des l ments carbonat s suivie des gypsites et en dernier lieu de l halite Mots cl s Alg rie g ochimie Nappe phr atique oasis de Ouargla SUMMARY The study presented is interested to geochemical surface water characterization and examination of the process of precipitation of salts in a plot in texture uncultivated Sandy located in the oasis of Ouargla The results rise that the waters of this slick possess extremely high salinity attested by eclectic conductivities values that vary upstream downstream flow directi
656. y N is the number of observations samples 2 4 Implementation of artificial neural networks ANNs period 1995 2004 In this study a ANN of the multilayer perceptron MLP type with one input layer hidden layer and output layer was used The transfer function in the networks was logsigmoid Networks with a single hidden logsigmoid layer are by far the most frequently used network topology probably because they are capable of approximating any function with a finite number of discontinuities Cybenko 1989 as long as sufficient training is performed The software used to implement all ANNs is Matlab v7 4 precisely artificial neural networks toolbox built in Matlab A backpropagation BP algorithm was employed to train our MLP neural networks Levenberg Marquardt LM a second order nonlinear optimization technique was chosen from the various BP training algorithms available for use in this study The LM algorithm is widely applied to many different domains and is faster and produces better results than other training methods The number of hidden neurons is determined by trial and error step by step one by one method using 2 3 30 neurons within hidden layer for each neural model ANN and after each training run RMSE and R were calculated using only the test data set to find the optimal number of hidden neurons Table 2 Table 1 represent a summary of climatic data combinations used to implement ANNs developed It s interest
657. y various interdependent factors Its assessment remains still subjected to the errors and its measurement by lysimeters is very tedious This tool lysimeter is reserved to research centers consequently lysimetric data are rarely available Thatprocessis dependent on pedoclimatic and environmental conditions the modelling constitute an appealing alternative in order to assess crop water requirement from reference evapotranspiration ETO at miscellaneous scale of space and time with a view to schedule irrigation basing on climatic variables as inputs In order to ensure a good accuracy of crop water requirements assessment we have recourse to alternatives solutions With the continuous increase in power of computers expansion and development of data processing technologies and soft computing many tools were designed for researchers allowing to create their own models which are used for rational water resources management To build his model a researcher dispose a lot of methods ranging from numerical mathematical and Statistical methods to techniques originating from artificial intelligence Ackley et al 1985 like expert systems Bradshaw et al 1991 Recknagel et al 1994 genetic algorithms D Angelo et al 1995 and artificial neural networks i e ANN Colasanti 1991 The design of classical models mathematical statistical and conceptual models is relatively difficult taking into account the disparity between the rigidity of mode

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