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SÉMINFOR 3.: Systèmes d`information pour l`environnement

1. LL 1 1 D 1 1 1 s u in mt 5 Vi Pe wa anan m tk uj m 149 Fig 2 Classiflcation des varlables UD Qa AMD sma amp QE UNDO UR mm oss uma eno mie sa m w Q Q 200 D s um qus P pis AER un AED s b ee dub Partition en 17 classes Sigles des individus de la classe numero c 361 BVO CR SUPERFICIES CEREALIERES TRES DEVELOPPEES 40 A 70 sup tot utilisee PEU D ELEVAGE BOVIN O 19 TETES 100 ha d une U F A 11 Mii LFO OVi PAS DE CULTURES MARAICHERES FRUITIERES PEU DE MAIS O A 40 Z sup tot utilisee ELEVAGE OVIN MODERE 20 39 TETES 100 ha d une U P A 421 FTL TRO PAS DE CULT TROPICALES CULT SPECULATIVE DE L POMME DE TERRE 0 494 sup tot utilises s QU AI ue w VR NEA SEN AUD Qe AU P A GEM uis MBA rl 2 Uim e 41 ELEVAGE BOVIN INTENSIF 60 99 TETES 100 ha d une 00 BV2 ELEVAGES OVIN ET BOVIN DEVELOPFESUAO 59 TETES 100 ha d une U P A 43i MIO PLUS DE 70 en CEREALES sup tot util iseejpas de MAIS ma 00 40 A 70 en CULTURES MARAICHERES ET FRUITIERES Uu
2. de dicion rio de vari veis encore abondamment utilis pour l laboration de tous les dictionnaires de variables du syst me l ments impor tants des dossiers de conception C est enfin dans la m amp me optique qu il est envi sag de r aliser en 1990 le projet SISTRIBU Sistema automatizado de distribui c o de softwares pour mettre en ceuvre un syst me rationnel de distribution des produits de SISGEO avec un contr le ad quat des versions et le suivi n cessaire des destinataires et utilisateurs La figure 10 fournit une id e g n rale des fonc tions qui seront mises en oeuvre par le biais de SISTRIBU CONCLUSION amp PERSPECTIVES Dans le domaine des syst mes d information pour l environnement il existe la fois des bases de donn es monoth matiques disposant de ressources d extraction et s lection d information Le plus souvent les donn es ne sont pas spatialis es ou quand elles le sont il s agit de donn es ponctuelles diverses applications de traitement de donn es spatialis es plus r centes et utilisant des moyens infographiques certaines d entre elles fournissant d j d excellents r sultats Toutefois ces derni res sont g n ralement r alis es avec des donn es sp cifiquement organis es en fonction de cet objectif et ignorent l entr e massive de donn es ainsi que toutes les pr cautions qu elle suppose et qui rel vent de l informatique traditionnelle La caract ristiq
3. 9 Donn es de produits Rapports de produits G rer les produits chimiques En tomo iogiste D4 PRODUITS CHIMIQUES 6 Donn es de susceptibilite Gerer la Rapports de susceptibilit susceptib SUSCEPTIBILITE Fig 2 Diagramme de flot de donn es de niveau 86 La cinqui me application G rer les produits chimiques traite le d p t de produits chimiques en fournissant les ressources de saisie et d actualisation des donn es correspondantes en plus de permettre l mission des rapports op rationnels de ces produits inventaire et rapport descriptif complet Finalement la sixi me application G rer les donn es de susceptibilit offre un moyen d intervenir sur le fichier sont conserv s les param tres de susceptibilit d un insecte d termin par rapport un produit chimique donn Aussi bien la maintenance de celui ci que l mission des rapports crois s corres pondants complet ou simplifi font intervenir l acc s aux d p ts d insectes et de produits chimiques dans la mesure l enregistrement des donn es de suscepti bilit est conditionn l existence des donn es correspondantes de produit chimique et d insecte En plus de ses fonctions intrins ques SISPRAGAS poss de galement des applications qui permettent de r aliser des op rations plus g n rales comme l administration des tables de codification la gestion de rou
4. SANS SANITAIRES gt 227 SOURCE CENSO DE POBLACION Y VIVIENDA INEC 1582 RRR ani AIRE URBAINE DE LA PAROISSE DE QUITO EQUATEUR DOMINANCE SANS SANITAIRES PRESENCE DISJOINTE 1 33 LATRINES 67 108 SANS SANITAIRES 57 198 SANS SANITAIRES 1 33 LATRINES 34 65X SANS SANITAIRES 34 55 SANS SANITAIRES DOMINANCE LATRINES 657 1005 LATRINES 1 33 SANS SANITAIRES 67 188 LATRINES 34 65 LATRINES 1 33X SANS SANITAIRES 34 65 LATRINES PRESENCE EGALE SQ 24 65 1 33 FIGURE 2 Relation EQUIPZHT LOG t 1 1 I 1 l 1 I i i 1 l 1 l t t 1 1 1 t i 1 l l H 1 I l t 1 1 I l I l i LEELLILALLLLLLLZL tot 39 80 4 00 62 90 90 09 25 08 27 99 07 126 03 00 87 teoereresaetesesen wow dm 4 p 03 16 40 22 91 30 t 90 75 9 09 87 4 92 37 99 14 09 04 90 72 40 52 90 63 P 02 27 90 96 80 24 00 5 09 13 83 78 82 40 0 53 90 96 05 92 69 07 12 72 90 12 CELL ELLE LL EE ES LL 90 63 09 06 I l t 1 i 1 l t i l l t 1 1 I t l t t 1 I I I 1 I t I I 1 t f i i 1 l I I sosrsusntanecses Araug PRESENCE DE LA 9t5 4294 24440060 7 100 7 10
5. G rer les observ Clisato instant logiste 93 OBSERVATIONS INSTANTANEES Sellicite le calcul 4 Hise 3 jour G rer les donn es journal 03 OBSERVATIONS JOURNALIERES Donn es suspectes Bell CARACTERISTIQUES Sollicite l mission f S Bulletin agrometeo Clinato Emettre logiste Annuaire Evapotrans es rapports Persistance de valeurs Enregistrements graphiques Sollicite le traitement L Donn es suspectes f G rer les donnees continues Corrections modifications D51 DONNEES CONTINUES Fig 3 Diagramme de flot de donn es niveau 0 de SISCLIMA 301 la g n rotion d un fichier op rationnel de donn es journali res sous une forme permettant diverses applications et disposant de moyens pour la re constitution ventuelle de donn es saisie directe des donn es journali res historiques la production automatique de rapports standards comme un bulletin agrom t orologique mensuel param trable ou l annuaire par variable le calcul automatique de l vapotranspiration potentielle d apr s plu sieurs formules et l mission de rapports de persistance de valeurs pour diverses variables utilis s par les agronomes Bien que des pourparlers soient en cours avec l INEMET Instituto nacional de meteorologia pour la constitution d une base de donn es nationale module central il est actuellement jug
6. Tr s peu de superficies irriqu es de c r ales et de ponnes de terre 462 ONG prd XZ LEO 071 Zones d agriculture maizicole avec levage bovin et ovin intensif 448 Zones de cultures frulti res ou maraich res tropicales tr s sp cialis es lt s cO TRI HHH CE cones de cultures ruiti res ou aataich res moins d velopp es que ci dessus 448 avec levage laitier aod t peu d ovins t de la classe de variables d apr s le Tacor plus le nonbre de est l v plus les caract ristiques sont marqu es Arbre de classification des paroisses D r UR eqfagrgp OSes 460 456 221 458 227 465 111 aso uu 454 E 461 449 462 448 12221 464 156 7 Fig amp lt 2 3 zi 5 8 RTS SA d FP S Ne UT N SASS woe 9 9 NARS SA Ante owe SS ZZ bonu 45 5 S Se S vers ZEZIRNSSSSARAASNAN NUS NE A a F ISON 5 2 424 5 5 TI ys S w W SN W SS AS 55 6 1 64 1 3 BAAD gt gt 9 5 5 58 5 2 lt x NN dat gt aa 4 5625 TS SSS 74 my s ARS Es SS bon SS lt ASS AEE 358 ts WAY 5 473 471 _ 470 459 4551 EQUATEUR SIERRA m d OR DOPIHANTES CULTUR
7. accumuler et donc stocker une masse d information plus ou moins importante Cette pratique videmment inh rente au travail de recherche mais ne se confon dant pas avec lui tait autrefois bas e sur la r daction de fiches cartonn es et sur la constitution de volumineux dossiers rassemblant un mat riau h t rog ne On tend leur substituer aujourd hui des enregistrements informatiques qui impo sent l adoption d autres mani res de concevoir et de r aliser la collecte de l information L informatisation plus ou moins pouss e du corpus constitu au cours d une recherche au del des gains habituellement procur s par l ordinateur volume r duit rapidit d acc s un document etc a selon nous une utilit bien plus importante car elle permet de mettre en ceuvre une tr s grande gamme de techniques d analyse propres autoriser une meilleure validation des hypoth ses de recherche Cela reste bien entendu le principal souci d un chercheur quels que soient sa discipline et le cadre institutionnel dans lequel il exerce Notre pratique de l informatique nous fait penser qu il est souhaitable que l essentiel des op rations d organisation et d analyse de l information soient mai tris es directement par le chercheur On peut s tonner qu il faille encore noncer ce genre de principe qui va de soi dans de nombreux domaines mais qui dans les sciences humaines reste assez peu fr quent Mais la situation volue trop
8. 206 En outre l originalit de ces outils r cemment mis en ceuvre de mani re op rationnelle d but des ann es 80 consiste construire et permettre la com binaison logique de multiples plans d informations multith matiques et multim dias cartes relev s d observations statistiques localis es images a riennes ou satellitaires 2 Des besoins bien cern s faut galement remarquer que la mise en oeuvre de ce nouveau concept correspondu initialement aux besoins de gestion op rationnelle de r seaux gaz lectricit circulation etc de communaut s urbaines ou de gestion de p rim tres forestiers Les imp ratifs de la gestion pr cision chelle de num risation du 10 000 au 25 000 actualisation n cessaire obligation l gale bien souvent justifiaient la r alisation d outils parfois tr s lourds pour l aide la d cision On notera que le contexte de r alisation de ces outils est le plus souvent bien diff rent de celui qui pr vaut dans les organismes de recherche 3 Des applications concr tes Les r alisations concr tes et fonctionnelles dans ces deux domaines gestion urbaine et foresterie sont nombreuses en Am rique du Nord USA et Canada o l on constate le fonctionnement actuel de plus de 100 gros syst mes les exemples de r alisations concr tes dans les autres pays d velopp s sont beaucoup plus rares Le rapport SCOT rel ve quelques exemples tr s int res sants en Europe d
9. la souplesse SISBIO a t cr pour assurer la gestion des donn es brutes d finies dans le premier chapitre Par gestion on entends l ensemble des op rations suivantes 122 la cr ation de la feuille de collecte avec mention de toutes les indica tions n cessaires particuli rement de l emplacement des mesures l informatisation la critique la correction ventuelle le pr traitement des donn es Les calculs effectuer sur les donn es a t scind en deux parties ceux qu il faudra faire de toute mani re et ceux d pendants de l orientation donn e au travail de recherche Ce sont les premiers qu on a appel s le pr traitement Comme le montreront les paragraphes suivants les directrices pr c dentes ont souvent induites des solutions en tous points comparables celles adopt es dans SISOND Il y a cependant une diff rence importante due pour part au sujet trait pour part la chronologie adopt e dans la r alisation des deux syst mes SISBIO est ant rieur au contraire de SISOND utilisable dans la plupart des exp rimentations avec sonde neutrons SISBIO ne sert que pour les trois types d exp rimentations d finis dans le premier chapitre Certes un param trage judi cieux permet d adapter assez facilement les programmes utilis s une plante ayant par exemple un autre potentiel foliaire que le mais pourvue qu elle soit cultiv e en ligne comme lui Mais de toutes fa ons i
10. SISBIO Fig i Sch ma g n ral de la feuille de travail avec LOTUS i mot de passe Description du protocole FICHIER PROTOCOLE de mesures Responsable J d n d z 99 J x j sd 9 i it i tes x scientifique E mot de passe Cr ation de registres de donn es brutes F2 DONNEES DAUTES Fig 2 Diagramme de flot de donn es de 515810 Point de vue du responsable de l exp rimentation 127 ces fichiers translorm s constituent une base de donn es on peut cr er au maximum quatre bases de donn es dans une page de travail les valeurs figurant dans les bases de donn es sont les moyennes par journ e de collecte En plus figurent des valeurs calcul es comme le L A surface foliaire dans le cas des surfaces foliaires ou des grandeurs rep r es maxima minima etc Une difficult impr vue a due tre surmont e avec tous ces programmes Lorsqu on importe avec LOTUS des fichiers num riques externes le blanc entre deux donn es est interpr t comme une s paration Pour viter un d calage dans les donn es lorsque l une d elles est absente on l a remplac e par une valeur absurde Une fois import e par LOTUS cette derni re est consid r e comme une donn e normale qu il faut cependant discriminer De nombreuses facilit s de LOTUS moyennes carts types etc ne peuvent plus alors tr
11. cet indice nous pouvons mainienant faire en sorte que le programme balaye l image automatiquement Apr s chaque criture de coordonn es le nouveau point se d cale vers la droite avec un pas qui peut tre variable Le r sultat du calcul du d calage est soumis au jugement de l op rateur par scintillement des deux portions d images autour des points d appui Les valeurs de d placement ainsi obtenues sont ajout es celles des sur faces de d formation pr c dentes par le programme CALCVEC calculant les vecteurs de d formations L interpolation des surfaces et le recalage des images sont r it r s La surface de d formation donnant la parallaxe s est affin e Cette m thode de recalage conomique compte tenu des tarifs pratiqu s actuellement par les soci t s de services pr sente une grande souplesse et per met l utilisateur de pratiquer diff rents niveaux de qualit de recalage Elle re pose principalement sur les performances exceptionnelles de l oeil lorsqu il tra vaille par scintillement Le contr le visuel permet de mieux suivre les erreurs de d tection de pixels homologues par l indice de dissimilarit On constate par exemple que les agencements de pixels du tissu urbain se marient tr s bien lorsque l on utilise de petites fen tres Les risques d erreur sont apparemment faibles A l inverse certaines formes de parcellaire agricole posent des probl mes importants peut se produire d abord une inversio
12. d utiliser imprimante traceur de courbes et appareil photographique appropri s pour transformer des images digitales en images imprim es ou photographi es 212 Avec ces fonctions disponibles il sera possible de viabiliser diverses am liorations de ces images en particulier de mieux les contraster d en faire une premi re interpr tation en plus de g n rer des sous sc nes qui faciliteront l utilisation de la t l d tection dans les diverses unit s d centralis es de EMBRAPA Pour atteindre tous ces objectifs on envisage d ex cuter les activit s suivantes installation du logiciel HUPS ancien Hacienda et du DMAPS sur l ordinateur central IBM 4341 de l EMBRAPA et d veloppement d une interface permettant l int gration des logiciels en r f rence test et valuation de ces deux nouveaux logiciels de traitement d images l occasion de projets de recherche actuellement en cours au centre des cerrados CPAC EMBRAPA si n cessaire compl ter ces nouveaux logiciels par la mise au point de fonctionnalit s suppl mentaires telles que la g n ration de sc nes sur dis quettes ce qui permettra la visualisation des images sur micro ordinateurs com patibles IBM PC et donc diffusera plus rapidement l utilisation de la t l d tection dans le syst me coop ratif br silien de recherche agronomique SCPA par le biais du module local de SISIMAGEM impl mentation du catalogue d images avec une interlac
13. l ORSTOM face un besoin qui semblait g n ral nous avons t amen s faire des choix techniques sur le mode de repr sentation des donn es cartographiques et les figer pour mieux structurer leur gestion 3 2 L analyse de LEICA L analyse de LEICA repose en fait sur deux types de choix a des choix pr cis et clairs qui correspondent des probl mes pos s ex plicitement crits noir sur blanc conversion des fichiers initiaux codage d finition des fichiers interm diaires optimisation de l acc s aux donn es choix des crit res de s lection d une carte par l utilisateur voir para graphe 2 1 et tableau 3 convivialit du logiciel La gestion des menus est r alis e par un moteur qui stocke dans une pile les informations relatives chaque action de l utilisateur et qui permet un d placement rapide dans l arborescence des choix Les messages d erreur sont syst matiques Enfin l utilisateur garde une trace de son travail fichier profil maintenance du logiciel Conception modulaire et bonne documenta tion technique b des choix impr cis fondus dans un flou artistique et bas s sur des r ponses des probl mes soit trop complexes soit apparemment trop simples soit trop longs r soudre limites du logiciel on ne peut modifier les fichiers originaux utilisation du logiciel celle ci est limit e au Laboratoire d hydrologie portabilit celle ci est li e
14. FACCORDEFENT AU RESEAU D ECGUT DOMINANCE RACCORDEMENT AUX EGOUTS Z 1 33 3 Z 34 65 EAU RP 67 1885 ECOUT RP ABSENCE DES DEUX EQUIPEMENTS 1 33 EAU RP 734 EEX EGOUT RP 84 267 Ainsi les cat gories pr sence disjointe des deux quipements sont la fois bien l ext rieur de la zone principale qui se d gage sur l image et se ca ract risent par une proportion inf rieure de logements quip s par rapport l ilot moyen Cette double analyse am ne l utilisateur les consid rer hors de la zone quip e De m me les cat gories dominance raccordement aux gouts apporais sent former sur l image un bloc homog ne avec les cat gories pr sence gale des deux quipements Cette localisation permet d une part de cr er un seul re groupement pr sence conjointe des deux quipements et d autre part de mettre en valeur un rapport particulier entre les deux quipements en zone qui p e l acc s aux gouts est toujours gal ou sup rieur l acc s au r seau d eau potable La nouvelle carte carte 2 visualise la zone quip e qui se d finit comme la zone de pr sence conjointe des deux variables Les cat gories retenues ne respectent plus la discr tisation ant rieure interne chaque variable en classes disjointes Ceci est rendu possible par le mode de croisement utilis qui consid re comme entit s les combinaisons locales ou strates et non pas les ilots par rapport aux vari
15. assurant le stockage certaines ditions identiques celles de la version micro ordinateur et les communications 38 1 INTRODUCTION La grande dispersion g ographique des unit s de recherche de l ORSTOM n a pas favoris la construction d outils communs de traitement de donn es de base comme la pluviom trie Plusieurs logiciels ont t cr s conduisant la constitution de fichiers divers et sans possibilit de communication ou d change des donn es entre eux A l occasion d un gros travail de mise en forme des donn es de pluies journali res et fort de l exp rience acquise lors de l laboration et de l utilisation du logiciel de gestion de donn es hydrom triques HYDROM le Laboratoire d Hydrologie a d cid de se doter d un outil similaire de gestion des donn es pluviom triques et d en assurer la diffusion L int r amp t d une telle d marche est multiple La r alisation d un outil commun diverses unit s lib re ces derni res des t ches de maintenance et de documen tation et assure un d veloppement correspondant des besoins g n raux for mul s par les utilisateurs De plus l uniformisation du mode de stockage garanti par l utilisation d un logiciel unique permet une gestion plus efficace des don n es qu il s agisse de la constitution ou de la mise jour d une banque partir de donn es acquises de fa on d centralis e ou de la cession de donn es partir de la banque centrale
16. connaitre l aspect g n ral de l individu d terminer est il trapu lanc etc Mais ces notions sont subjectives et si l on cherche les quantifier l on s aper oit vite que la variabilit peut tre importante au sein d une m me esp ce Chez les poissons par exemple entre des individus bien ou mal nourris m les ou femelles et pour un sexe en fonction de l tat de matu rit Pass ces stades l expert rentre beaucoup plus vite dans une d marche de type consultation de cl que lorsqu il voit l objet d terminer La pr sentation l crans d images ou de silhouettes sch matisant les diverses formes pouvant se rencontrer pourrait peut tre faciliter la reconnaissance dans les premi res tapes de la diagnose Mais pas dans tous les cas Dans celui des Characid s par exemple l expert discrimine imm diatement des individus dont l allure g n rale est tr s proche Devant la difficult de formaliser le savoir et la d marche r elle de l expert ma conclusion serait que pour toutes ces approches d application des syst mes experts la biologie il faut garder pr sente la tr s grande complexit de tout ce qui touche au vivant Pour en tenir compte le moyen terme n est pas admis faut soit adopter une d marche ultra r ductrice et se contenter dans notre cas d une cl dichotomique plus ou moins optimis e soit faire un grand bond qualitatif et profiter des atouts des syst mes experts pour g re
17. effectuer cr ation ou impres sion et remplit la date correspondante Apr s v rification de cette derni re le syst me effectue la t che d sir e En particulier il tire au hasard l emplacement des plantes tudier et par voie de cons quence ces informations sont les premi res donn es informatis es 2 23 Informatisation des donn es brutes L utilisateur reporte les noms de fichier et de registre des donn es qu il d sire informatiser et en option indique s il veut leur associer un code Sur les crans venir apparaissent la ou les feuilles de collecte correspondantes La do cumentation s effectue dans l ordre de la collecte 2 24 Critique des donn es brutes L utilisateur communique au syst me le nom du fichier qu il d sire critiquer et ventuellement les noms des registres de d but et de fin de critique les extr mit s de fichier constituent l option par d faut Un rapport de critique est alors imprim Chaque fois que le programme rencontre dans un bloc une donn e douteuse il imprime toutes les donn es du bloc dans l ordre de collecte et sou ligne la ou les donn es douteuses De plus au d but de chaque trait appara t un num ro indiquant le type de contr le effectu entre limites extr mes contr le de donn es entre elles etc 2 25 Cr ation de fichiers de donn es labor es Dans un premier cran l utilisateur choisi un nom de fichier traiter et ventuellement les noms de
18. l accumulation des donn es existantes et la progression du volume de celles ci surtout depuis l apparition de l acquisition automatique dans certains cas Comme j ai d j eu l occasion de le dire l ORSTOM ne peut faire tout partout tr s bien l comme ailleurs il nous faut faire des choix Il faut donc r fl chir la pertinence des bases de donn es que nous r alisons eu gard aux enjeux strat giques du d veloppement Cette r flexion ne doit pas consid rer uniquement la nature des donn es mais aussi leur degr d agr gation les fonc tionnalit s du syst me la possibilit de croisement avec d autres donn es l extension g ographique et le domaine de validit de la base Je pense par ailleurs qu une analyse compar e des travaux de struc turation des bases de donn es effectu s par les diff rentes disciplines de l Institut serait particuli rement int ressante compte tenu des diff rentes natures des don n es collect es et administr es Les uns je pense aux hydrologues aux oc anographes physiciens aux g ophysiciens ou encore aux climatologistes collectent essentiellement des don n es quantitatives le plus souvent sous forme de s ries chronologiques Ils ont donc rapidement utilis l outil informatique pour d velopper et perfectionner pro gressivement des traitements appropri s l acquisition la validation la gestion au traitement et la synth se de ces informations Les avanc es technolo
19. par son type est une succession de points jointifs rep r s en latitude longitude Divers r sultats issus des traitements des donn es champ ordonn ont ga lement une expression de cette forme contourage d isovaleurs vecteur ainsi que ceux qui sont issus de mod les g om triques effectu s pour nos travaux orbito graphie zone d acquisition etc 232 3 2 Modes repr sentation Nous ne nous int resserons qu aux repr sentations amp deux dimensions des donn es pr c dentes l altitude nuages relief n tant pas un facteur pr pond rant pour la restitution de nos travaux Ces repr sentations sont effectu es suivant les techniques infographiques avec deux types d approches li s la technologie disponible avec une forte d pendance du mat riel 3 2 1 Mode Image ov raster L image est la repr sentation la plus labor e d un ph nom ne La valeur du pixel de la donn e image est affect e d une repr sentation li e au p riph rique de restitution pixel d fini galement en ligne et colonne sur celui ci En mode fausses couleurs sur un cran vid o les composantes additives rouge vert et bleu affect es globalement un canal permettent d attribuer une couleur combinaison des trois couleurs de base ou teinte de gris composantes gales chaque compte num rique ou plage de CN si le nombre de repr sentations disponibles du p riph rique est inf rieur au nombre de CN d
20. plus urgent de travailler une nouvelle version de ce module local encore peu utilis en raison des difficult s dues une inter face obsol te La version 3 de SISCLIMA dont la r alisation est envisag e court terme devra compl ter les facilit s disponibles dans la version actuelle par la gestion d pouillement validation et int gration des diagrammes d enregistrement continu de certains param tres des ressources de visualisation graphique des s ries chronologiques obtenues pour n importe quel param tre permettant une critique a posteriori l impl mentation d une interface avec un ou plusieurs progiciel s statistique s pour micro ordinateur de mani re offrir de nouvelles facilit s d extraction et de traitement de donn es niveau local A l occasion de ces nouveaux d veloppements le module local de SISCLIMA sera actualis en fonction des standards les plus r cents de convivialit s curit et int grit propres SISGEO 4 2 SISFITO Depuis le d but des ann es 1980 le CPATSA s est engag dans un pro gramme de constitution de collections botaniques avec l objectif d identifier les ressources floristiques de la r gion du tropique semi aride Par ailleurs le CPATU administre l un des plus grands herbiers de la r gion amazonienne avec plus de 130 000 exsicata face un tel volume d informations ses responsables ont fait plusieurs tentatives d automatisation ces derni r
21. 227 TRAITEMENT DE DONNEES METEOROLOGIQUES SATELLITAIRES ET CONVENTIONNELLES POUR LA CONNAISSANCE DE L ENVIRONNEMENT Dominique DAGORNE RESUME L utilisation de donn es satellitaires pour des programmes de cherche en environnement est maintenant une approche courante Cependant la mise en oeuvre des techniques de t l d tection suppose la disponibilit d un envi ronnement logiciel et mat riel sans que l utilisateur ne se transforme en informa licien chacun son m tier Pour cela nous avons d velopp une cha ne de traitement de t l d tection m t orologique partir des donn es des satellites existants donn es utilis es conjointement avec d autres plus conventionnelles Les sp cifications de d veloppement du syst me logiciel ont t la mise disposition d un outil g n ral de traitement de t l d tection pour des programmes de recherche mis en oeuvre par de non sp cialistes son application partir des donn es conventionnelles et satellitaires m t orologiques avec les modules permettant la mise au point de diverses corrections des fonctionnalit s informatiques bas es sur une approche qualit lo giciel utilisation maintenabilit et portabilit ll est important de distinguer la donn e proprement dite sous forme image ou non d origine satellitaire ou non des repr sentations possibles Ces derni res entit s peuvent tre pr seni es sous forme d image raster o
22. B re o 2s V VE T pur V 6 n u 5 0 Ar 5 5 8 E O D C E gt Pee po cC UE 3 D D no Uu 3 9 5 Z gd E c 8 S S Tug 9 TE G c 925 D 2 9 5 83 6 lt O 3 o 55 8 Q CN 5 EE X uj 5 A AAA AA AA 522202525505 2 A e WI 53522 AAA T T Qu 2225 Qu FER NM a 5055 we 222 anes OA d dtd eer 22225555255 T lt Copyright CNES 1986 Su V gt 5 O O cO v 5 9 9 N o D a un o OD g lt 1 lm I VI g Oo D 3 D gt 9 oec ow 60 G 0 0 Q D lt o k D aS 5 DA i x selon le type de capteur Ic gine Landsat MSS pixel de 80 m celle de 86 est c Mapper pixel de 30 m pour i 5 2 E 2 5 O O st X o 8 x i 53 2 lt lt ec ON O o a 29 5 5 Za D 25 I 5o n 9 n o N E t T FeO v 93 C 9 O L D ge D 0 x m 0 193 On peut calculer ainsi que 40 Km de mangrove ont disparus dans cette zone o le littoral recul en moyenne de 2 km en 10 ans La zone la plus troite de l estuaire s est rompue en mars 87 provoquant un raccourcissemen de 4 km du cours de l estuaire du Sin
23. GU dip amb W c A Uis UM VD VID Sh tS aqui s ELEVAGE OVIN INTENSIF 40 A99 TETES 100 ha d une U F A 501 OV3 IR2 PATURAGES ET SUPERFICIES IRRIGUEES TRES DEVELOPPEES 40 70 Z sup tot util isee 381 FLUS DE 70 EN PRAIRIES IRRIGUEES 301 TR2 CULTURES TROFICALES TRES DEVELUPPEES 40 70 sup tot utilise emsa QUA AD Far QD rds umm ls um UM UA ye quis quy ee ee Qm m OO es Au AMD Qui Au up sm man se ws u u ELEVAGE BOVIN MODERE 20 39 TETES 100 ha d une U 47 BVI QVO TRI PAS n OVIN PEU DE CULTURES TROPICALES O A 40 sup tot utilisee 491 LFI MZ2 FAIBLE Z EN CULTURES MARAICHERES ET FRUITIERES O 40 sup tot utilisee 40 70 EN MAIS ht 90 uis up ab Qj Mu dm des cnp m Dh Guo Ah QUU VID ARP UMP UP UND Me OR a oh infr dA DAD qu ee P 40 IR PA FAIBLE EN SUPERFICIES IRRIGUEES ET EN PATURAGES O 404 5 tot util 44 OVA LEVAGES BOVIN ET OVIN TRES INTENSIFS 100 TETES 100 ha d une U E A um Gu UND GU eue en z im weh Qi D QU CR GP NND _ ON MN NEM ded qux Mo UP pm TUUS UAE s _ ee 48 MZ3 PAO CULTURE DU MAIS TRES DEVELOPFEE gt 7
24. UTILITAIRE DE GESTION DES COPIES DE SECURITE Caracter g n rales Option de copie Param tres du syst me Configurer d M DLT PARAETRES Compte rendu Caract ristiques d installation Nb de copies par fichier Installer Controle de copies Sollicite contr le Donn es de g n rations Contr ler 0211 CONTROLE Proc dures back up 4 Etat de la copie copier Restaurer Etat du fichier D2 CONTROLE Sollicite mission Liste des parametres Emettre Dif PARAHETRES Liste de contr le des copies Fig 9 Diagramme de flot de donn es niveau de SISCOP 314 le prochain l ment de l environnement de d veloppement en cours de constitution pour SISGEO concerne la r alisation posteriori d une aide en ligne Une fonction de syst me d j partiellement impl ment la saisie des textes d aide est utilis e pour faciliter la gestion des textes qui accompagnent les relev s sur le terrain et dont au moins SISSOLOS et SISFITO font un usage im portant De plus d autres d veloppements ont d tre r alis s pour les besoins sp ciliques du projet lorsqu il n existait pas de produit commercial susceptible de les satisfaire Ce ft notamment le cas en 1985 86 lors de la mise au point d un gestionnaire d crans pour TurboPascal depuis substitu par un produit commer cial TURBO SCREEN Ce fit aussi le cas lors de la mise en oeuvre de SISVAR Sistema de
25. chaque r gression afin de d tecter des sous espaces se conformant pas au mod le Autrement dit l tude des r sidus permet de localiser les discordances entre les types de production et les types de milieux Les principaux th mes relatifs au milieu naturel sont extraits de cartes th matiques au 1 5 000 000 publi es par L UNESCO la FAO et l EMBRAPA On proc de la mesure de chaque th me sur un carroyage double niveau un niveau de comptage sur plus de 9 500 carreaux et un niveau statistique com pos de 97 grands carreaux Les cartes analytiques des th mes permettent d appr cier par exemple la g ographie des formations v g tales planche 1 Si le type cerrados existe dans la quasi totalit de la r gion du m me nom son dire d extension principale se limite au Nord du Goias et au Sud du Maranh o La synth se issue de l analyse en composantes principales de l ensemble des variables se rapportant au climat la v g tation aux sols et la topogra phie 18 variables en tout montre l existence de trois grands domaines biog o graphiques et de deux nuances l une climatique l autre topographique Au total ces quatre composantes repr sentent 6096 de l inertie totale planche 2 Le contraste le plus marqu appara t entre le Sud o la v g tation naturelle se fait rare domaine des campagnes m ridionales et le Nord v ritable domaine des plateaux de cerrados carte 2 A Sur la partie Est le
26. d une variable par rapport l autre qu il d crit des strates et non pas les flots et leurs valeurs l organisation du fichier descriptif et sa traduction th matique permettent de r aliser une l gende et une carte carte 1 Cette visualisation simultan e des deux variables montre le poids de la localisation dans leur r partition Elles d fi nissent une zone homog ne Le ph nom ne quipement public que d crivent ces deux variables est de type zonal Ceci est logique en raison de la nature m me de ces deux quipements r seaux centralis s la visualisation spatiale de ces variables permet de d finir une limite d extension de ces r seaux Par ailleurs la sortie rapide des r sultats d une classification et sa r it ra tion avec modification permettent de r fl chir et de d cider du regroupement de classes en fonction de leur proximit ou loignement g ographique Relation FIGURE 1 EQUIPEHT LOG FICHIER DESCRIPTIF ORIGINEL I c R d d d k kk kk kk k l EAU1 sEUsS FICHIER l l 1 1 1 t l l l surf surf tot oo ode e dn d o d n n A 05 37 59 93 01 47 09 43 17 27 02 06 03 91 00 57 dh dee ed e eM dh W d P d wn 1 1 l l j d d x d d H de e dee e X3EAUL d d ETETE EEZ 1 A 33 0 33 0 t 67 A 100 1 34 A 66 34 A 66 1A 33 w kf k k kt kk
27. dure il suffit de lire le fichier des localit s dot des attributs souhait s population coordonn es g ographiques etc de l in grer dans Tigre comme un fichier de donn es ponctuelles ce pourrait tre des stations climatologiques ou des profils de sols et de fixer la taille minimale et maximale des cercles repr sentant la population Ces cartes 1980 et 1989 feront l objet de d veloppements particuli re ment int ressants dans les prochains mois mise plat des densit s par mod le d interpolation cartes de densit s rurales aires th oriques de rayonnement des villes etc 1 2 4 La saisie des cartes d inventaire et l analyse du milieu naturel L INEGI a r alis une s rie de cartes th matiques couvrant certaines chelles tout le pays 1 1 000 000 et 1 250 000 La g ologie la p dologie les climats pr cipitations et temp ratures l usage des sols et la v g tation sont les principaux th mes de cette cartographie d inventaire Cette cartographie est tr s in gale la carte des sols est jug e tr s convenable alors que la carte d usage des sols et de v g tation livre une information de qualit sur la v g ta tion naturelle mais bien peu de choses sur l usage des sols La digitalisation de ces cartes une douzaine par th me a d but en ao t On sait que les types de sols le model les pr cipitations bref les don n es relatives au milieu naturel dont on connait l importance pour l a
28. exhaustivit du syst me d information laborer par rapport aux donn es de l environnement du moins celles effec tivement disponibles par les proc dures de collecte syst matique inventaires En effet pour prendre un exemple simple on peut noter que le module d information sur les sols SISSOLOS mod lise stocke et permet l exploitation de toutes les donn es collect es en routine durant les inventaires p dologiques Cela n aurait pas t possible si l on s tait satisfait d une mod lisation de la seule in formation de sols caract re spatialis dans le cadre d un syst me d information g ographique plurith matique int gr 293 SISGEO Agrociimatologue Analyste de syst mes 1 Applications plurith natiques Zonifi cation mentation r gionale agricole eto sation SISIMAGEM arae SISECSO SISHIDRO Analyste de syst mes Analyste de syst mes 4 Entomolagiste Fig 2 D composition de SISGEO en modules autonomes 294 Les avantages imm diats que l on d duit de la m thode choisie de r alisa tion de modules ind pendants sont nombreux et vidents et constituent autant de justifications de ce choix Les modules autonomes permettent en effet de satisfaire tous les besoins d interrogation identifiables partir des donn es disponibles qu ils soient ca raci re g ographique ou non Ainsi le module d in
29. gionalisation de la consommation des produits p troliers en France 1972 1981 in Bulletin du Comit Fran ais de Cartographie fascicule n 115 Mars 1988 8e Assembl e G n rale de l A C l 13e Conf rence internationale Morelia Mexique 12 21 Octobre 87 M M THOMASSIN La Sierra quatorienne R gionalisation agricole et Analyse des Donn es Vol 1 Texte 626 p Vol 2 Cartographie 28 cartes et plans en couleurs et en noir et blanc Collection Travaux et Documents Editions de l ORSTOM Paris 1988 154 Fig 5 Fond de carte de la Sierra quatorienne 155 Fig 6 L gende de la carte Dominantes culturales Elevage Typologie des paroisses expliqu es par la typologie des modalit s d apr s le Vacor Classe n Caract ristique s 060 444 IRL FAL Zones d levage intensif bovin et ovis prairies irriquees aod rement d velopp es 455 Zones d levage avin intensif avec prairies et cultures irriquees 158 Zones cirbalires sp cialis es avec levage borin culture du mais 1 LEO CRE M224 465 NOD nee Zones c r ali res tr s sp cialis es Absence de mais 453 UD PAS bira Zones d levage laitier rotensif avec prairies irriqu es tr s d velopp es 454 IF HHH 10065 sp cialis es dans les cultures maraich res et ruiti res 461 AZ 34444444 Zones malzicoles sp cialis es pas de p turages i 100 47 CR FTG
30. la fiabi lit des donn es et bien entendu celles ci ne sont plus v rifiables Par ailleurs les r sultats ont t publi s au niveau des municipios ce qui ne permet aucune ana lyse fine de la diversit r gionale Le fait d avoir l INEGI pour partenaire permet bien s r d obtenir les don n es un niveau plus fin aire minimale de recensement ou localit mais le manque de fiabilit des donn es n en est que plus flagrant et oblige de nom breux lissages Enfin la division politique elle m amp me reste sujette caution bien des limites municipales sont encore incertaines et dans tous les cas on a pu constater travers l analyse de la situation fonci re que la r alit tant sociale qu conomique n est pas toujours en rapport loin s en faut la division poli tique en vigueur division f d rale division municipale 324 1 2 3 Les cartes de population Fid le la tradition de l cole g ographique francais on consid re que la carte de population par points de surlace proportionnelle et plus encore l volution dans le temps de ces densit s est une tape incontournable de toute analyse g ographique s rieuse L intervention du th maticien se r sume l analyse de la validit des don n es et la d cision qui en r sulte r aliser la carte ou en abandonner l id s Nous en sommes cette tape Les premiers essais limit s au centre de l tat montrent l extr me facilit de la proc
31. lentement notre go t gr ce en particulier la diffusion de progiciels convi viaux assez faciles utiliser et qui r alisent la majeure partie des fonctions souhait es Ainsi l utilisation de l informatique par un chercheur qui souhaite tre en mesure de pratiquer lui m amp me l organisation et l analyse de ses donn es est bien autre chose que la r alisation de syst mes d information Ces derniers nous pa raissent diff rents sur plusieurs plans 161 En g n ral les syst mes d information visent pas un objectif unique et r pondent plus des pr occupations d am nagement ou de gestion qu des objectifs de recherche lls s adressent des groupes plus ou moins diversifi s d utilisateurs dont les besoins et les qualifications peuvent ire tr s diff rents Se pose donc ici la question des besoins des usagers En effet la notion de syst me d information telle qu on peut l envisager dans le cadre du secteur tertiaire comme dans les banques ou les assurances est sans doute difficile transposer tel que dans le monde de la recherche Autrement dit la demande d un cher cheur n est pas de m me nature que celle des services techniques d une grande m tropole ou bien encore d une soci t p troli re m me si ces organismes d tiennent parfois des donn es utiles au chercheur En effet il est rare que les don n es d tenues par un seul organisme soient suffisantes pour les besoins d une probl matique
32. liens entre donn es et repr sentations ainsi que les diff rents traitements possibles 234 DONNEES REPRESENTATIONS localisation T 1 b ssA s Trrua x3 x x a wawa ah P y x y image mode raster Ld IC p 111 ordonn e 4 du eese oed t graphique FAM iP points discrets 1 x Sy mode vecteur Ll segments cartographiques 1 L Jj Figure 2 Donn es et repr sentations en t l d tection 4 SYSTEME LOGICIEL Nous d crivons ici la r alisation du logiciel TRISKEL d velopp au sein de notre laboratoire sur un environnement mat riel standard calculateur scientifique UNIX trouvera en annexe une description plus d taill e des diverses tionnalit s techniques disponibles 4 1 Structure interne de donn es Ce sous syst me concerne la d finition des formats internes des donn es avec les modules l mentaires d entr es sorties ainsi que des fonctions de ni veaux sup rieurs pour la gestion l acc s et le stockage Ces structures corres pondent globalement la nature des donn es d finies pr c demment Chaque type dans un fichier unique est identifi par un en t te suivi des param tres de la donn e type label taille etc Les diverses donn es peuvent ainsi tre cr es examin es ventuellement modifi es
33. pour certains pro grammes de recherche avec certains partenaires mais posent aussi de nombreux probl mes Encore faudrait il trouver de meilleure coh rence entre diverses tentatives similaires D autres perspectives s ouvrent aussi les SIG pourraient tre outil d aide la synth se volutive En effet comme la FAO l a d j entrepris une certaine chelle et pour certains th mes sur le continent africain l ORSTOM par le biais des SIG pourrait entreprendre la valorisation de certains de ses inven taires dans une optique de synth se sur l Afrique francophone par exemple l effort de standardisation dont certains expos s soulignent d ailleurs la n cessit est probablement un des imp ratifs sur le principe duquel tous pourraient s accorder Mais qu en est il effectivement l ORSTOM Sur les expos s eux m mes il me semble que l on peut y voir trois types de pr occupations dont certaines rel vent plus des th mes abord s dans les deux journ es pr c dentes ler groupe Avec l expos sur le logiciel Neptune autant qu avec ce lui sur Proposition de sch ma de collecte de l information pour le milieu phy sique nous sommes dans le monde des probl mes de saisie plus ou moins di recte de l information de la conception de langage et de terminologie descrip donc l amont des phases de traitement et de restitution 2 groupe Les communications sur le logiciel TRISKEL sur l Atlas in forma
34. sch ma n 1 PLUVIOM est concu de fa on permettre une gestion de toutes les don n es concernant les stations pluviom triques il s agit aussi bien des informations signal tiques localisation quipement vie de la station que des valeurs de hauteur de pluie qui y sont mesur es les fonctions qu il assure sont accessibles simplement par l interm diaire de menus l utilisateur est aid soit par des messages mis par le logiciel au cours des manipulations soit par une documentation regroupant les informations ou recommandations suivre pour mener bien un traitement 2 DESCRIPTION DES DONNEES GEREES PAR PLUVIOM 2 1 Les types de donn es PLUVIOM g re deux types distincts de donn es 2 1 1 Donn es relatives aux stations pluviom triques Identification des postes de mesure Il s agit de l ensemble des informa tions connues lors de l installation du poste localisation nom du site coordon n es altitude date d installation type de mesure capteurs climatologiques associ s 39 LABORATOIRE D HYDROLOGIE D veloppement Maintenance porque centrales Ef es Cession de donn es Support Documentation Diffusion magn tique ou papier Transfert des fichiers par messagerie Banques centrales Hydro Pluviom triques Gestion banques locales Hydro Pluviom triques Version PC AT HYDROM PLUVIOM CENTRES ORSTOM UNITES DE RECHERCHE ORGANISMES EXTERIEURS Sch man 1 Les banques d
35. sociale parfois collective r sultant de la r forme agraire d autre part Dans le cadre d une convention entre le Secretaria de la Reforma Agraria et l INEGI nous avons acc s l int gralit du cadastre rural au 1 50 000 de l tat de Veracruz Apr s de nombreux mois de v rification et de correction de l information nous avons pu proc der la digitalisation de toutes les terres relatives la propri t sociale la moiti de la superficie de l tat de Veracruz quelques 5 000 polygones La reproduction sur support stable est un pr alable indispensable une digitalisation fiable et sans probl me au moment de la jointure des feuilles celle ci a t facilit par la mise disposition au Se 323 cr tariat de la r forme agraire d un syst me informatis de cartographie auto matique syst me HP incompatible On a donc pu proc der la cartographie au 1 100 000 de tout l tat 110 cartes au 1 50 000 La forme tr s g om trique des polygones autorisait cette r duction d chelle et ainsi limitait le nombre de feuilles 27 au 1 100 000 le second pr alable consiste en l attribution des cl s de zone qui seront sdisies au clavier au moment de la digitalisation Dans Mygale logiciel de digi talisation tout polygone comporte un num ro de zone et une cl cette derni re est utilis e au moment de l int gration des donn es descriptives Deux zones peu vent avoir la cl deux affleurement
36. tend sur 300 km entre l Oyapock et le Maroni Le bouclier a une altitude moyenne comprise entre 250 191 et 300 m tres et il est recouvert de for t primaire La plaine c ti re est compo s e de la plaine c ti re ancienne d ge Pl istoc ne terminal et de la plaine c ti re r cente d ge Holoc ne On notera la position particuli re des estuaires du Sinnamary de l Organabo et de la Mana dont les cours sont d vi s vers le nord ouest la suite du transit c tier Les panaches turbides la sortie des em bouchures sont galement bien visibles s agit de la remise en suspension des vases sous l effet des courants de flot et de jusant Une estimation des quantit s de mati re en suspension LOINTIER M 1988 montre que la contribution locale des fleuves et des rivi res la s dimentation c ti amp re est tr s faible et ne repr sente que 1 96 des apports d origine Amazonienne Ces derniers sont estim s entre 11 et 13 10 tonnes par dont 10 20 96 d placent le long des c tes de Guyane EISMA D 1988 2 2 Composition color e standard Sc ne SPOT du 20 octobre 1986 une chelle plus grande SPOT pixel de 20 m permet de mieux iden tifier la succession des zones en rosion Sinnamary de celles en phase de d p t lle de Cayenne et zone de Kourou La structure de la plaine c ti re r cente ap parait nettement avec des l ments morphologiques importants comme les an ciennes ligne
37. une approche de syst me d information pour le contr le des insectes phytophages In S minfor 3 Paris 1989 paraitre 318 SIMPLICIO F amp SECHET P Metodologia para elabora o de um sistema de informac es geoambientais na EMBRAPA In Congresso Brasileiro de geoci ncias e tecnologias aplicadas aos estudos ambientais 1 Rio de Janeiro RJ 1984 non publi SIMPLICIO F MIRANDA J I amp SECHET P Estrat gia da EMBRAPA na realiza o de um sistema geogr fico de informac es ambientais In Congresso Brasileiro de Defesa do Meio Ambiente 1 Rio de Janeiro RJ 1984 Anais Rio de Janeiro Clube de Engenharia 1984 pp 421 8 SOURIS M MIRANDA J I amp SECHET P Captac o de mapas poligonais na mesa digitalizadora In Congresso regional de inform tica 7 Brasilia DF SUCESU DF 1985 non publi 319 LE SYSTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE DE L ETAT DE VERACRUZ MEXIQUE POSITIONS DE RECHERCHE ET OPTIONS METHODOLOGIQUES Luc CAMBREZY RESUME On d veloppera ici les circonstances qui font de ce programme un point de rencontre entre recherche et planification aux trois niveaux d approximations retenus Etat r gion municipe le constat d une information statistique et cartographique abondante bien que tr s in gale peu utilis e et le plus souvent fort mal Les caract res socio conomiques d un espace quelconque Etat R gion ou Municipe comme les aspects relatifs au suppo
38. 218 d offrir des traitements simples histogramme et bidimension nel calcul d aires lecture s lective de pixel navigation dans l image localisation de point amp partir du couple latitude longitude et vice versa op ra tions entre canaux extraction de zones de travail d utiliser l imprimante le traceur de courbes ou des moyens photo graphiques appropri s pour transformer les images digitales en images impri m es ou en photographies Avec toutes ces facilit s les chercheurs plus exp riment s pourront r aliser certaines am liorations des images interpr tations l mentaires et extractions de sous sc nes lesquelles mises disposition dans la base de donn es d images faciliteront grandement l utilisation de la t l d tection dans les divers centres de l EMBRAPA Le module local qui sera d velopp aura une structure semblable celle du module central int gration d un catalogue local avec un prototype de syst me expert une base de donn es locale d images SITIM TIMOR et ou d autres logi ciels de traitement d images Ce module local en plus de sa fonction de capteur d informations pour alimenter le module central disposera galement de moyens de traitement et vi sualisation relativement puissants De tels moyens permettront au chercheur d utiliser les techniques de t l d tection sur son micro ordinateur individuel m amp me s il ne dispose pas de cartes sp ciales comme celles d
39. 3 ACQUISITION Les mesures de sismologie temp ratures de fumerolles et de sol compl t es par des informations m t orologiques sont transmises toutes les deux minutes et demie par les balises ARGOS sous forme de param tres num ris s quinze pour Matthews et dix huit pour Hunter les donn es acquises sur les deux volcans sont actualis es toutes les quatre heures et sont recueillies de facon h liosynchrone par les satellites TIROS huit fois par jour Apr s l mission vers une des trois stations terrestres de r ception les messages sont accessibles moins de trois heures apr s leur acquisition aupr s du centre de distribution CLS de Toulouse deux types d exploitation sont alors r alis s 4 EXPLOITATION ET TRAITEMENT DES DONNEES 4 1 De Noum a Nous interrogeons quotidiennement via le r seau TRANSPAC le centre ARGOS de Toulouse afin de contr ler le bon fonctionnement des stations et l volution ventuelle des param tres A la vue des derni res donn es du dernier passage satellite nous pouvons compl ter l interrogation par la r cup ration de donn es suppl mentaires La capture et l automatisation du traitement de donn es enregistr es au cours des cent derni res heures et disponibles au centre de distribution CLS de Toulouse permet de suivre graphiquement les volutions les plus r centes des param tres mesur s sur les volcans MATTHEWS et HUNTER Apr s acquisition et sauvegarde sous CROSSTALK le pr
40. Comme tout instru ment contenant des composants lectroniques la sonde pr sente une certaine sen sibilit aux variations de temp rature l est possible de compenser ces variations en utilisant la protection de la sonde comme r f rence qu moment du calibrage puis sur le terrain au moment des mesures Cette derni re m thode est controver s e cause de la variabilit des mesures sonde dans la protection et donc peu utilis e 65 1 1 2 Le sol Le sol est consid r ici comme partie fixe ou substrat La partie variable celle qu on mesure est tudi e avec le dispositif exp rimental Le ph nom ne de thermalisation des neutrons dans le sol est perturb par un ph nom ne annexe l absorption variable avec les l ments rencontr s La plupart joue un r le tout fait n gligeable mais certains en faible quantit influent nota blement sur la mesure L exploitation des r sultats d une exp rimentation pourra donc se faire qu apr s talonnage du sol Deux types d talonnage se pratiquent g n ralement l talonnage empi rique et l talonnage chimique Le premier assez grossier a l avantage de pou voir tre r alis facilement et rapidement Le second plus pr cis implique une analyse du sol Une cons quence de cette pr cision est que l talonnage varie avec la g om trie de la sonde Par cons quent dans une m me exp rimentation chaque type de sonde doit correspondre un talo
41. Des programmes d importation ad quats les transforment et en vue des traitements ult rieurs les mettent sous une forme unique dans une page LOTUS Tous les programmes sont pr crits dans une page de travail de LOTUS sans donn es Pour les utiliser on importe cette page on la change de nom on importe dans la page les donn es traiter qu on utilise avec l un ou l autre des deux programmes graphiques Sur la figure on a repr sent le plan sommaire de la feuille de travail avec la localisation approximative des zones r serv es La zone est une colonne dont chaque cellule occupe 70 caract res Elle est divis e en trois parties En on trouve le mode d emploi des programmes en l b la signification de certains choix faits en cours de programme en l c le texte des routines et programmes Dans la zone Il les donn es import es sont trait es Dans la zone Ill sont stock es les bases de don n es LOTUS La zone IV contient certaines variables n cessaires la bonne marche des programmes La zone V est r serv e aux donn es repr senter gra phiquement Les codes appos s en haut et gauche de chaque zone repr sen tent la position de d but de la zone dans la page de travail les programmes d importation de donn es pr sentent en commun les ca ract ristiques suivantes ils permettent d importer en temps un nombre quelconque de fichiers cr s par SISBIO condition qu ils soient du type requis 126
42. H EEE L I 95 0 H tt FE tt i I I EE EE ul I E t I I t tte ERR E EREHE J t 1 I t t 1 1 1 I I l t x t I f I 1 t t J I I 1 I I F4 t j I 1 I I D t J I i l I t t l I I I t HHIHH F E HH I I 10 0 lt 1 1 03 33 8 333 8 1 90 0 nom naio nea 1 I 15 30 1 15 30 1 15 30 HUNTER TEMPERATURE ANE j HUNTER TEMPERATURE 50 ca HUNTER TEMPERATURE 120 ca 1999 SEPTEMBRE 1989 25 0 28 ER E ADR gonna E P 75 0 I I I I I I I I I 1 1 1 1 I I I I I I tti 1 I l I t tt I I I 1 i I H I 1 I i 20 0 t 5 22 5 1 EE I ES 22 8 z I I I I 1 I i I us T I I I I t I I H HBH 1 I HHH i l f l 1 4 8 i i l Hot I It b I I i I I I 15 b i I I ae P re te 20 0 1 1 l 15 30 l 15 30 Exemple 2 100 GLOSSAIRE CIRCE Centre inter r gional de calcul lectronique CNRS CLS Collecte et localisation de donn es satellitaires ARGOS CNET Centre national d tude des t l communications CRG Centre de recherches g ophysiques Garchy CNRS EARN European academic research networ PIRPSEV Programme interdisciplinaire de recherche sur la pr vision et la surveil lanc
43. SIG depuis la saisie des donn es jusqu aux produits finals La question de l chelle est ici accentu s par l tendue de la zone d tude 72000 km la n cessaire pr cision des donn es on saisit toujours l information la plus d sagr g e et la variabilit de la demande On envisagera nature des donn es produits attendus et chelle de saisie planification r gionale planification nationale une n cessaire coordination Les SIG face au probl me de la centralisation le probl me de la participation paysanne aux processus de planifica tion de la production agricole la recherche sous les fourches caudines de la demande usage politique l actualisation permanente la clef du succ s INTRODUCTION A moins de vouloir cr er une base de donn es sont la seule certitude serait qu elle ne sera jamais d aucune utilit on ne se lance pas dans la mise en place d un tel outil sans de s rieuses motivations Qu elle soit destin s la planification ou la recherche plus fondamentale la cr ation d une base de donn es r pond en premier lieu aux contraintes pos es par le stockage et la gestion d un volume important de donn es donn es qu il faudra certainement actualiser et dont le volume ne peut aller qu en augmentant Le choix du syst me informatis permettant la gestion de cette base doit tre guid par l utilisation qu ion souhaite en faire comme par le mode de sentation des co
44. TURBO PASCAL La version compl te est pr vue en francais avec la version 4 0 de TURBO PASCAL et l nous nous heurtons un double probl me D une part il n avait pas t pr vu d s l origine que SISOND pourrait exister en plusieurs langues et ceci va entrainer une perte de temps non n gligeable d autre part le passage en TURBO 4 une refonte partielle du syst me Ceci est sans doute la majeure insuffisance rencontr e dans SISOND on a donn la main tenabilit une d finition par trop restrictive car c est non seulement la possibilit de corriger facilement les erreurs mais aussi et surtout la capacit de s adapter l volution des techniques et de faire voluer le syst me en soi En attendant de r aliser ce travail il y aurait une facon l gante de disposer rapidement d un certain nombre de programmes de traitement R cemment 1987 Roland Poss a crit en BASIC un logiciel de traitement des mesures neutroniques BHYSON 2 tr s complet sur le plan des applications Comme pour les donn es labor es obtenues avec SISOND chaque fichier correspond un seul tube et comprend les m mes informations A la diff rence de SISOND il s agit de fichiers acc s direct crits en code Connaissant la structure des fichiers de BHYSON 2 il suffi rait d crire dans le langage utilis par BHYSON 2 une interface entre les fichiers des deux syst mes REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES CARDON D A SECHET P DINI
45. au sein de la base de donn es images dans leur totalit avec les fichiers descriptifs est imp ratif que ces images soient re cal es g om triquement le syst me de gestion effectuera l extraction en fonction d un point bas et d une taille de pixel d finie On se reportera au fonctionnement d un syst me tel que SAVANE le syst me permet de d terminer la fen tre l chelle les donn es disponibles et leur domaine de validit L utilisation des images peut tre une contemplation m ditative statique Elle peut tre aussi dynamique par animation d images Elle peut tre galement une simple extraction d information statistique descriptive par entit zonale par exemple quantit d eucalyptus dans l ilot 456 Elle peut surtout tre un croisement des informations Quels sont les rap ports entre les zones actuellement en cours d am nagement que l on obtient par analyse des images panchromatiques de SPOT les autorisations de construire et le plan d urbanisme Sur un exemple d une portion de la ville de Quito nous montrerons les tapes de la superposition de deux images enregistr es en oblique par SPOT l une le 23 juin 1986 22 d incidence droite l autre le 26 novembre 1986 8 d incidence gauche Nous montrerons ensuite un produit d riv ces donn es peuvent cr er un mod le num rique de terrain utilisable entre autres pour une restitution en pers pective appel e vision 3D en noir et blan
46. autres structures du ordre pr sentes l int rieur du volume de r f rence Ceci correspond un langage vocabuloire et syntaxe Nous cr ons ainsi une description arborescente avec sp cialisation en descendant la hi rarchie et synth se en suivant le chemin inverse corps naturel horizon sol segments s quence etc Les bases de donn es traditionnelles g rent difficilement une telle informa tion et il semble int ressant d tudier les conceptions de bases orient es objet alin de ne pas perdre les donn es collect es sur le terrain l semble que les lan gages orient s objet pr sentent une structure qui rappelle celles reconnues dans le milieu dit naturel ils offrent en outre la possibilit de manipuler des en fit s non typ es d tendre un logiciel sans modification du sch ma initial INTRODUCTION La p dologie a pour but de comprendre la gen se des sols de pr voir au mieux leur volution de donner les informations n cessaires une mise en valeur La base du travail consiste apr s tude de documents d j existants photos a riennes cartes topographiques cartes g ologiques donn es satelli 332 taires prospecter la zone tudier consigner les donn es de terrain et fournir une carte des sols Si les contours se d duisent essentiellement des documents pr cit s le contenu qui fait l objet de la l gende de la carte provient d une ex ploitation des informa
47. banques l information provient 8096 au moins des Etats d Afrique francophone secteur d intervention prioritaire de l ORSTOM Le reste vient des DOM TOM et de certains pays comme Madagascar ou le Cap Vert des tudes ont n cessit la r cup ration et le traitement des donn es L absence de donn es pour certains pays ne signifie pas inexistence de donn es Par exemple dans le cas de la Nouvelle Cal donie un simple probl me de diff rence entre les formats des fichiers pluviom triques explique que ces donn es n ont pas encore t r cup r es 54 DONNEES PLUVIOMETRIQUES 20 10 J 1850 1900 1950 x DONNEES HYDROMETRIQUES 40 30 20 10 1900 1950 1988 Fig 2 BANQUE DE DONNEES HYDROPLUVIOMETRIQUES REPARTITION CHRONOLOGIQUE DE L INFORMATION 55 d anndee Nombre de stations MONTPELLIER GUNEE 203 4763 DO S D ivOl AN 4 MADAGASCAR A t 2 Fig 3 DONNEES PLUVIOMETRIQUES REPARTITION GEOGRAPHIQUE 7 56 Sag eme 4 7 7 Homo do atations lt Nes NPC Fig 4 DONNEES HYDROMETRIQUES REPARTITION GEOGRAPHIQUE 57 Pour la r partition chronologique on note l allure r guli rement croissante du diagramme de pluviom trie qui s oppose la forme concentr e sur la p riode 1950 1980 du diagramme des donn es hydrom triques Ce fait est d la forte activit des hydrologues de l ORSTOM d
48. cain Compte rendu du S minaire sur la d gradation des paysages ouest africains Dakar Nov 1988 ORSTOM Glossaire de p dologie description des horizons en vue du traitement informatique ORSTOM Init amp Doc Tech n 13 1969 251 RICHARD J F Le paysage un nouveau langage pour l tude des milieux tropi caux Th se de Docteur d Etat Universit de 1985 210p fascicule hors texte 68p ORSTOM Paris 1989 252 1 2 3 4 5 12345678901234567890123456789012345678901234567890 m m m lt lt w lt ed 1 C P PT I C 50 CE I C 50 85 I 5 50 4 E Legh Samasqa se usu aku meant acts sa A e tens I 44 5 C I Ru wae acts C 29 BRS DP I R 50 7 P Lodi ws Sa ERE per xa P 43 B pe Wo orei m P pe I P 38 S PKM C ruya iy deg vasi RE souk walas who A I 41 1 F 111111111111211111111111122111112222221112112111111 E 61 2 EMB I IEMB D 3 650 1 I C50 0 4 C215 I I C215 0 5 C600 I I C600 0 6 C601 I I C601 0 7 DHC5 I 1 I DHC5 1 8 DHC6 I I DHC6 0 9 DASH I 11 I DASH 2 10 DSH8 I I DSH8 0 11 TWIN I 1 111 I TWIN 4 65 707 1111 1111 1 1111 1111 21 1 llI B707 20 66 B720 I 1 1 1 1 I 720 4 67 B727 11 1111 i 1 OLT Ib TLS TD 1 111 B727 19 68 B737 111 111111 1111 J ili 2 1 111I B737 24 69 B747 I 11 11 1 22 k 721 1 111 B747 16 70 8757 I I
49. carte graphique HERCULES ou IBM un pro gramme graphique tr s puissant permet de rep rer les anomalies dans la valeur des comptages neutroniques Quand il s agit d une erreur de digitation elle est videmment corrig e Lorsque la donn e elle m me est en cause plusieurs atti tudes sont possibles Si elle est absurde elle est supprim e mais si elle est simplement douteuse on n a plus le droit de le faire SISOND dans ce cas per met n anmoins l utilisateur de donner son opinion en utilisant le code associ chaque donn e par exemple D pour douteuse Ensuite lorsqu on cr e un fichier de travail donn es normalis es ou donn es labor es ce code permet volont de les liminer ou non sans pour autant les retirer du fichier de donn es brutes Au niveau de l exploitation des r sultats la forme donn e aux fichiers d humidit relative autorise la plus grande souplesse En particulier elle permet d envisager des tudes non pr vues originellement en cr ant un programme ad quat ou en les traitant dans un logiciel du commerce 70 2 3 S curit et simplicit dans Futilisation de SISOND 2 3 1 SISOND et la s curit la s curit a t consid r e trois niveaux la r duction des causes d erreurs et possibilit de contusion le contr le des donn es communiqu es au syst me et la sauvegarde du travail effectu Chaque fois qu il tait possible les informations communiquer au syst me ont t
50. cier un d placement d un demi pixel C est ainsi qu il est plus agr able parce que plus pr cis de travailler sur un pixel doubl 1 3 Cr ation des surfaces de d placement chaque point d appui sont donc associ s un d placement en y dans le sens du d placement du satellite et un d placement en x parall lement la di rection oblique de la vision L interpolation des vecteurs de d placement se fait en deux fois d abord en x puis en y Nous utilisons actuellement le programme Rakoto qui interpole les valeurs du semis de points d appui par tesselation de Voronoi Notons que la surface de d placement en x est l interpolation des valeurs de parallaxe On constate la bonne concordance avec l altitude lorsque l on compare les courbes de niveau de la carte IGM et celles issues de la comparai son des images SPOT 1 4 Premi re rectification g om trique Le programme RECALAGE cr e une nouvelle image dont la g om trie est donn e par les surfaces de d formation La radiom trie du point de coordonn es x y est la radiom trie du point x d placement en x y d placement en de l image recaler La rectification g om trique est donc locale alors que les programmes de rectification g om trique habituels utilisent une fonction g n rale les points d appui inter agissant les uns sur les autres Par analogie le programme DEGRE 1 utilise des surfaces de d place ment planes le progr
51. comme suit il utilise le programme N 4 pour obtenir un rapport de critique de ces donn es apr s v rification il proc de la correction et ventuellement l apposition de codes certaines donn es l aide du programme N 3 Cette derni re op ration peut galement faire partie des attributions du responsable scientifique L utilisateur des donn es utilise SISBIO pour cr er partir des donn es brutes v rifi es les fichiers de donn es labor es qu il utilisera ensuite sous LOTUS 3 2 Fonctionnement g n ral du syst me On ne reviendra pas sur l obtention des donn es brutes et leur v rification d j vues ant rieurement Ce paragraphe se confond avec le traitement des don n es il est r sum par la figure 4 Celui ci se passe en deux phases une phase de jugement port sur les donn es la phase d exploitation proprement dite La premi re phase d bute par la cr ation de fichiers de donn es labor es utilisant la totalit de fichiers de donn es brutes Ces fichiers sont ensuite import s sous LOTUS un par un et ou par groupes choisis en fonction du dispositif exp ri mental et des probl mes rencontr s en cours d exp rimentation Ensuite on les analyse param tre par param tre en utilisant le programme de critique gra phique sous LOTUS afin de rep rer les ventuelles singularit s et de tenter de les expliquer A la diff rence de la critique effectu e par SISBIO ne faisant in
52. complexe sur le papier Dans leur version informatis e chaque individu est constitu par un ou plusieurs enregistrements comportant les variables descriptives figure 1 Leur exploitation par un syst me de gestion de bases de donn es se fait de mani re non optimale et si le nombre d individus est lev il faut un tr s grand nombre d tapes pour parvenir une diagnose Le syst me est tr s sensible aux erreurs et ne peut pas fournir des r sultats pond r s par un coefficient d incertitude Il est en revanche facile mettre jour et modifier Les cl s dichotomiques papier et automatiques sont tr s complexes crire Toute modification ult rieure conduit tr s souvent une refonte globale de 176 Donn es sur environnement Donn es biologiques par esp ce HH Se ele tele nce E a El A 1222 a TE KE FN PN BA EB HIRING TIP a E ES sum a s sma mamaq A ss A Sa mama se te Fig 1 Tableaux a entr es multiples et bases de donnees Voir texte 177 la cl Une version informatis e est d utilisation plus ais e Mais dans tous les cas elles sont extr mement sensibles aux erreurs de r ponse elles ne permettent pas les retours en arri re sauf reprise depuis le d but et n acceptent pas les coefficients d incertitude ni l absence de
53. corps naturel l mentaire est caract ris par un faisceau de traits p dologiques de natures diverses qui lui sont sp cifiques mais qui peuvent varier de fa on parfois importante l int rieur de certaines limites Beaudou 1988 La figure 3 fournit sous la forme d un tableau sch matique la structure de l information sur les sols et leur environnement 1 2 Une premi re exp rience d informatisation La collecte des donn es doit tre simple et tr s souple Le micro ordinateur portable peut tre alors un outil tr s int ressant de saisie directement sur le ter rain Le premier point d velopper est alors un logiciel r pondant aux crit res de souplesse et de simplicit pour l utilisateur et dirigeant l op rateur tout au long de son travail d acquisition ou de contr le des donn es Partant de cette id e un logiciel a t labor par un bureau d tude de Nouvelle Cal donie 1986 Ce programme a t test lors de missions au Cameroun et s est av r tr s contraignant quant la souplesse et surtout difficile utiliser lors de modification des donn es et de leur exploitation Le point positif qui en ressort est l aide la saisie par un syst me hi rarchis de questions r ponses Cette premi re tentative a demand beaucoup de temps une collaboration troite th maticiens informaticiens Les difficult s ont surgi du fait d une m con naissance presque totale de l autre discipline pour chacune
54. cup r s par r seau TOMPAC TRANSPAC depuis Noum a 1189 09 9661 89243 21 12 51 25 0 26 0 23 7 22 3 21 0 24 1 1013 57 1 67 94 0 0 9661 89244 1 14 52 20 0 26 0 23 7 22 3 24 3 23 5 1012 73 1 67 94 0 0 0 9661 89244 5 17 53 19 0 26 0 23 7 22 3 22 7 23 1 1015 78 3 67 94 00 0 9661 89244 9 19 54 18 3 26 0 23 7 22 7 21 3 23 0 1014 79 3 68 94 0 O 9661 89244 13 21 55 18 0 26 0 23 7 22 7 20 7 22 9 1013 73 3 68 95 9661 89244 17 23 56 21 7 26 0 23 7 22 7 20 0 24 0 1015 58 1 68 94 000 9661 89244 21 25 57 22 3 25 0 23 7 22 3 21 0 24 5 1014 58 1 68 94 0 0 0 DHUN1189 09 9662 89244 1 18 235 22 44 27 25 20 75 20 75 20 50 20 50 979 0 58 0 7 1 55 0 0 0 0 4 00 00 0 0 9662 89244 6 38 237 22 36 19 75 20 50 20 75 20 50 20 75 983 5 79 0 3 5 89 0 0 0 3 100 00 00 9662 89244 9 18 238 22 20 19 00 20 75 21 00 20 50 21 00 985 5 80 5 0 0 88 0 0 04 6 000000 9662 89244 11 58 239 22 20 18 75 20 75 21 00 20 75 21 25 986 5 80 2 0 0 88 0 0 0 5 4 0600000 99 Trac s obtenus partir du serveur vid otexte MINITEL du CIRCE MATTHEW TEMPERATURE SOUS ABRI MATTHEW COMPTEUR SISNIQUE NIVEAU 1 MATTHEW TEMPERATURE FUMEROLLE 3 SEPTEMBRE 1989 SEPTEMBRE 1989 SEPTEMBRE 1989 10 0 42 100 0 I I 1 i I I I I I l I I l I I I 1 I l l 1 I l I 1 I I l l I I I I I t 1 I l I 1 t 1 I 20 0
55. d bit plus lev CONCLUSIONS Toutes ces applications ont t d velopp es avec le logiciel implant dans le P ricolor G op ricolor qui permet de r aliser la plupart des traitements utiles en phase d analyse des relations radiom triques avec la th matique recherch e Ainsi la d marche souhait e par un utilisateur non informaticien est rapidement conlort e par le contact direct avec les donn es qui lui permet de d finir les principaux objectifs atteindre par rapport sa probl matique Cette encore une tape de sensibilisation et de prospection des possibi lit s de l outil qu il faut poursuivre d autant que les donn es sont en cours de collecte sur le D partement L utilisation prochaine de donn es Landsat TM et l extension des possibilit s de traitement par le couplage un mini ordinateur renlorceront le potentiel technique et cr atif tout comme l ouverture horizontale d j engag e vers les autres disciplines En d veloppant la banque de donn es satellitaires il est constitu une banque de donn es sur l environnement par le jeu des sp cialistes pr sents ca pables de r pondre demain aux probl mes de recherche pure mais aussi aux effets des grands am nagements sur l environnement barrage de Petit Saut base spatiale d veloppement des zones rurales p n trantes foresti res En ma trisant ce savoir foire propre au milieu il devient possible de r pondre deux vocations sp cif
56. d j la mise en vidence d ambiguit s voire d erreurs dans les ouvrages de d termination il importe de d passer largement ce stade en fai sant appel des routines externes de calcul et des donn es bio cologiques r guli rement actualis es figure 2 Les m rites compar s pour ce type d application des syst mes base de r gles de production de type ESE d IBM et centr s objet sont discut s En conclusion et au del du simple cas d esp ce qui fait l objet du travail actuel l int r t et les contraintes de la r alisation de telles bases de connais sances et de syst mes experts ad hoc sont discut s 1 Ce groupe de travail tait constitu par J F MURAIL du Mus um National d Histoire Naturelle MNHN et de J CRUETTE D PAUGY et L TITO DE MORAIS de l ORSTOM 174 Dans certains cas pr cis avec la baisse des co ts du mat riel et leur convivialit accrue la r alisation d un syst me expert peut s av rer int ressante pour fournir la contrepartie locale un outil de formation et de travail dans le cadre de programmes cens s se poursuivre apr s le retrait de l ORSTOM Pro grammes de contr le biologique long terme en particulier Au niveau des chercheurs la r alisation de bases de donn es individuelles est la r gle Une politique de relative standardisation et de mise en place de bases de connaissances r gionales g r es par des syst mes experts augmente rait les contacts et
57. d ment formalis et suivi d s f vrier 1986 une quipe permanente d informaticiens tait cr e par r solution de la direction ex cutive de l entreprise avec reconnaissance de la participation effective de l ORSTOM Le probl me des droits et devoirs respectifs des deux institutions vis vis des produits et r sultats de SISGEO tait alors pos et compte tenu du caract re pionnier de cette question aura n cessit pr s de trois ans avant de trouver une solution satisfaisante pour les deux partenaires les quipes th matiques de SISGEO sont normalement constitu es de chercheurs d un centre de ressources pour des raisons videntes de facilit de r union Ainsi chacun de ces centres s est il vu attribuer le parrainage d au 298 moins un module th matique dont il assume la responsabilit du d veloppement face aux autres centres Le choix du th me n est pas aveugle mais dict par la comp tence particuli re dont dispose l quipe d valuation elle m me r sultante de l acuit du probl me dans la r gion d intervention Le produit obtenu est en suite destin tre distribu toutes les quipes int ress es La cr ation par l EMBRAPA en 1984 85 de deux nouveaux centres de ressources le CPAP Centro de pesquisa agropecu ria do Pantanal Corumb et le CPATB Centro de pesquisa agropecu ria das terras baixas de clima temperado Pelotas a conduit la distribution des deux modules n
58. d assurer sa p rennit F 49 LA BANQUE DE DONNEES HYDROPLUVIOMETRIQUES DU LABORATOIRE D HYDROLOGIE DE L ORSTOM Gilbert JACCON amp Michel TRAVAGLIO RESUME L information hydrom trique et pluviom trique rassembl e par les hydrologues de l ORSTOM depuis plus de 40 ans constitue une masse de plus de 100 000 ann es de donn es r partie entre 4 400 stations d observations Deux banques de donn es ind pendantes d importance comparable et de structure similaire ont t progressivement constitu es partir de 1967 Leur gestion confi e au Laboratoire d Hydrologie est assur e par les logiciels HYDROM et PLUVIOM Cette communication a pour objet de pr senter ce syst me d information dans son tat actuel Les points suivants sont abord s organisation g n rale donn es nature pr sentation et saisie inventaire r partition chronologique et g ographique de l information actualisation des fichiers cession des donn es moyens INTRODUCTION Les donn es hydrom triques et pluviom triques rassembl es par les hydro logues de l ORSTOM soit directement par les observations des r seaux install s sur les cours d eau d Afrique francophone partir de 1948 ou dans le cadre d tudes de petits bassins versants d s 1952 soit indirectement par la r cup ra tion de donn es provenant d autres sources par exemple des gestionnaires des r seaux pluviom triques nationaux consti
59. de recherche en informatique et enfin de facon pragmatique de donner des indica tions pour des solutions techniques imm diatement op rationnelles 1 BASES DE DONNEES NATURALISTES 1 1 Introduction les exemples de bases de donn es naturalistes sont nombreux l ORSTOM On peut citer un certain nombre de programmes qui visent constituer un herbier herbier de Cayenne un inventaire faunistique syst matique des poissons d eau douce en Afrique de l Ouest un inventaire g ologique un inventaire p dologique RCA Aujourd hui il est naturel d en envisager l informatisation C est naturel ce n est pas automatique ce qui est heureux On peut classer les solutions d inlormatisation en deux grandes cat gories bas es sur deux mod les alternatifs de repr sentation de l information le mod le relationnel et le mod le hypertexte Q C 1 2 Le mod le relationnel 1 2 1 Principes Le mod le relationnel est d crit dans le cadre d une partie de la th orie math matique des ensembles l alg bre relationnelle qui formalise des op rations abstraites d intersection d appartenance d inclusion de projection de produit etc On peut en pr senter les grandes lignes de fa on plus suggestive en mettant en avant les concepts 19 Table ou relation Information mise sous la forme d un tableau rec tangulaire Chaque colonne est appel e un attribut par exemple Table Individus ville pro
60. des parties et ceci accentu par le fait que le seul outil logiciel envisageable alors tait DBASE III Si l on regarde la figure 1 on trouve pour recueillir les informations concernant un site un nombre n d horizons x corps naturels possibles un sous arbre sp cifique chaque corps naturel ou groupe de corps naturels et la possibilit d une ramification pour pr ciser certaines donn es Il est alors difficile d tablir un bilan exhaustif des variables et de pr senter ceci sous forme de tableau Cette difficult pouvait tre r solue par un sch ma cl valeur hi rarchis mal mis en vidence alors S il tait utopique de mettre en place un tableau pr d fini il semble int ressant de b tir a posteriori un tableau des variables effectivement utilis es lors d une campagne et de remplir ce tableau pour un traitement plus conventionnel pr sence ou absence de tel caract res statistique etc est aussi possible de faire remonter l information par synth ses successives qui permettront de remplir les champs type d horizon type de profil C est cette phase d analyse qui doit tre mis en oeuvre actuellement ou tout au moins une bauche car la mise plat du raisonnement de l expert peut s av rer extr mement ardu dans ce domaine 335 Figure 3 gite 1 siten localisation v g tation protil type profil horizon l horizon 25 hori on 4 limite sup limite_inf c naturels tupe horizon analy
61. dire la communication Waniez Dandoy manifeste le souci de produire en l absence de SIG une informatique l g re de recherche permettant de croiser des donn es h t rog nes pour identifier des inter relations en vue d analyser une dynamique spatiale Enfin la communication de L Tito de Morais nous parle d une application de l intelligence artificielle l aide la d termination de poissons d eau douce Tout comme celle de Waniez et Dandoy mais sur un registre diff rent elle d bouche sur une r flexion strat gique quel est l int r t et le co t humain dans une optique de transfert des partenaires de la r alisation de bases de connais sances et de syst mes experts en cologie Et pour les pr c dents est il du r le de la recherche de prendre l initiative de la constitution du SIG Donc cinq communications entendre ce matin cinq d marches originales et autant de questions 119 UTILISATION DE L INFORMATIQUE DANS LA GESTION ET LE TRAITEMENT DE DONNEES BIOLOGIQUES Daniel CARDON RESUME Dans le cadre de la convention ORSTOM IRENA Une s rie d exp rimentations sur mais destin es v rifier la validit d un mod le de pro duction est en cours Trois types de collecte sont op r es comprenant des me sures de surface foliaire et de pois des diff rentes parties de la plante SISBIO est Un syst me informatique cr pour assurer la gestion des donn es correspondantes SISBIO prend en charge
62. doit tre conversationnel suffit en effet d un individu isol tr s cart pour contraindre tous les autres s enfermer dans un seul cr neau D autre part connaitre les noms des individus rentrant dans chaque cr neau s av re int ressant On s est efforc dans le programme zrang d utiliser au mieux la place disponible Ainsi il est facile de d cider du choix des bornes des modalit s en lesquelles sont d coup es les va riables c est dire d terminer ce que l on entend par tr s fort fort moyen faible et tr s faible pour chacune des variables 146 Le listage du fichier Dcodx en annexe r sulte de l application du pro gramme Zrang option D au tableau de donn es ici agriculture levage indique les bornes du d coupage des 9 variables en 34 modalit s Ces bornes correspondent aux bornes initiales le recodage de ces variables la diff rence de celles aff rentes aux autres thames ayant t jug inutile Le tableau analyser croise donc 280 paroisses avec les 34 modalit s is sues des 9 variables pr cit es Sur ces 280 paroisses 42 d entre elles compor tant des lacunes de l information ont t mises en suppl mentaires par le programme qori En analyse des correspondances on appelle l ment suppl mentaire une ligne ou une colonne dont on fient pas compte pour d terminer les axes facto riels mais qui est projet e sur ceux ci Qori permet de mettre en suppl ment
63. donn es il y a deux modes de correction un mode local qui permet de modifier une seule donn e si l on veut un mode global qui permet de remplacer toutes les donn es d une unit et de ses sous unit s Dans le mode local on saisit uniquement la donn e correcte introduite par sa cl d unit et de sous unit quand c est le cas On peut utiliser les deux modes conjointement au cours du m me traitement ll n y a pas de langage de manipulation apprendre pour entrer et mettre jour les donn es il suffit de connaitre les mots cl s global et local qui introduisent le mode de saisie et le vocabulaire du r pertoire 1 6 Interrogation n y a pas non plus conna tre un langage sp cial pour interroger la banque L expression de s lection ne fait appel qu la terminologie usuelle r pertori e aux op rateurs relationnels stricts lt gt et aux op rateurs logiques el ou non De plus on peut utiliser les parenth ses pour condenser son criture et modifier les r gles de priorit des op rateurs en accord avec les r gles de l Alg bre de Boole Enfin celle ci est crite sans format 246 L expression bool enne l mentaire est de la forme A gt B A lt B dans le cas le plus g n ral A est une variable du r pertoire et B est une donn e constante chaine ou une constante enti re L utilisation des op rateurs bool ens amp et sur ces op randes les expressions
64. e sur la figure 1 Les deux banques qui fonctionnent de mani re centralis e sont actuellement install es sur les ordinateurs IBM 3090 du Centre National Universitaire Sud de Calcul CNUSC de Montpellier auquel le Centre ORSTOM est reli par une ligne sp cialis e La gestion et l exploitation des banques sont assur es avec les logiciels HYDROM et PLUVIOM dans leurs versions gros ordinateur par l interm diaire d un terminal IBM 3278 consultation des fichiers et extraction de donn es et de deux micro ordinateurs de type IBM PC pour les changes La consultation des fichiers par terminal est possible par l interm diaire des autres centres de calcul en r seau avec le CNUSC cette proc dure est actuelle ment fonctionnelle pour les hydrologues de l ORSTOM et de l EDF bas s Paris via le CIRCE l existence de versions op rationnelles sur micro ordinateur des logiciels HYDROM et PLUVIOM permet une gestion partiellement d centralis e des banques Le d veloppement de ces versions s est av r d un tr s grand int r t logistique car il a permis la saisie des donn es sur place par les gestionnaires de r seaux ou par les hydrologues dans les diff rents Centres ou Missions de l ORSTOM des changes d informations tr s faciles soit par disquettes proc dure la plus courante actuellement soit par a messagerie ORSTOM ou autre r seau de type TRANSPAC la cr ation de banques nationales Services Hydrologique
65. entit intervenant parmi les diverses m thodes de contr le existantes chimiques physiques biologiques vari tales etc En fait seulement une partie des caract ristiques de chaque entit inter viennent dans le syst me il s agit soit de celles qui interviennant r ellement dans la relation plante insecte soit encore celles qui correspondent aux attribuis morphologiques utilis s pour la reconnaissance identification des insectes Trois relations ont ensuite t mises en vidence relation de susceptibilit d un insecte par rapport un produit chimique relation d ennemi naturel d un insecte par rapport une autre esp ce animale relation d attaque et de contr le entre un insecte et une plante Cette tape de mod lisation s est av r e la plus difficile pendant la phase de conception car certains concepts sp cialement ceux d attaque de contr le et de susceptibilit avaient t initialement attribu s l entit insecte En seconde analyse il a t jug plus satisfaisant de d finir des fichiers sp cifiques pour ces attributs dans la mesure ceux ci correspondent des donn es crois es plante insecte ou produit insecte A un niveau de d tail plus avanc des ensembles r p titifs d attributs ap paraissent pour les insectes ils correspondent chacune des phases de son cycle biologique oeuf larve ou nymphe chrysalide et adulte De la m me facon le concept de plante s
66. es un en semble d individus adjoints en suppl mentaires cette analyse ici les 42 pa roisses pr sentant des lacunes de l information D o le lien de discri avec gorlsup 4 LA CARTOGRAPHIE PROPREMENT DITE Outre les donn es statistiques r sultats de l analyse factorielle et de la C A H le programme carthage utilise des donn es num riques repr sentant le fond de carte pour construire la carte l interpr tation des classes de paroisses en termes de classes de variables agr gats de modalit s gr ce un Vacor a permis d tablir une typologie rement d finie Cf figures 1 et 2 Pour cartographier cette typologie relative aux dominantes culturales et 4 l levage de la Sierra plusieurs tapes ont t n cessaires Tout d abord cr er un fond de carte c est dire num riser la carte Cette num risation a t effec tu e partir du 1 750 000 chelle des cartes de l tude aucun document d chelle plus grande n tant disponible Pour ce faire cr er deux fichiers le premier fichier des coordonn es g ographiques des points au nombre de 1217 choisis comme sommets des lignes polygonales d limitant les unit s administratives paroisses et num rot s s quentiellement le second concernant les contours des unit s administratives elles m mes au total 280 238 principales 42 suppl mentaires assimil es chacune un polygone et d crites par son num ro de cod
67. es entre notre logiciel et certains autres aux fonctionnalit s compl mentaires A ce sujet un effort d homog n isation des donn es voire des m thodes devrait intervenir pour viter une certaine dispersion technique au sein d une m me communaut aux finalit s proches 4 4 Sous syst me image et graphique Compte tenu de l environnement mat riel disponible l aspect restitution d image t d velopp autour de mat riels sp cifiques donc non portables avec des couches d acc s logiciels adapt es Sont concern s la recopie de fichier image sur une imprimante couleur et les changes bidirectionnels avec un envi ronnement sp cialis performant ferm et co teux de traitement et de visuali sation d images affichage cran et manipulation m moire et vid o mise en forme texte etc mais aussi r cup ration de param tres et de donn es image num risation etc Cependant le d veloppement de ces couches a t r alis alin de per mettre une large r utilisation des programmes mis en oeuvre sur des mat riels aux m mes fonctionnalit s La sortie vecteur sur ces mat riels raster a t intro duite permettant la restitution de graphique avec l image les manipulations et restitutions purement graphiques interface mat riel logiciel de base et de haut niveau sont r alis es ind pendamment du mat riel cran traceur gr ce l utilisation de la norme GKS et de programmes d utilitaires dispon
68. fait ensuite sous LOTUS un logiciel du commerce 62 Une qualit indispensable tout travail scientifique est la rigueur possible seulement avec des donn es saines A tous les niveaux SISOND favorise cette ri gueur le programme de critique graphique est rapide d emploi et performant mais seule les donn es absurdes ont le droit d tre supprim es La possibilit d associer un code chaque donn e permet de donner son opinion sans pour autant la supprimer du fichier de donn es brutes Un bon programme de critique permet certes de discriminer les erreurs les plus notoires mais il est tellement plus sain de supprimer les causes d erreur elles m mes C est pourquoi les feuilles de collecte cr es par SISOND ont t voulues claires et agr ables remplir c est pourquoi au maximum on a voulu faire de SISOND un syst me convivial Les crans documenter sont explicatifs les r ponses aux questions autant que faire se peut sans ambiguit une croix en face d une option par exemple et dans le cas de l informatisation de donn es l cran est l image m me de la feuille de collecte Ce faisant on peut confier l informatisation des donn es l observateur de terrain dont le travail se trouve valoris tout en d chargeant le responsable de l exp rimentation Un travail scientifique comporte toujours une certaine part d inconnu et avant de l effectuer compl tement il est bien difficile de pr voir tout ses d velop pemen
69. favoriserait l change d informations au sein des unit s de re cherches et entre elles Elle fournirait en outre des outils de formation des jeunes chercheurs et techniciens des outils de travail pour les chercheurs de sp cialit s voisines ou pour des ichtyologues qui changent d aire g ographique d tude les maillons d un r seau de bases de connaissances internationales La mise en place de bases de connaissances impliquant plusieurs cher cheurs pour la r alisation comme pour l alimentation et la mise jour p rio dique demande un engagement des commissions scientifiques autant dans le cadre de leurs attributions relatives l animation scientifique et au d veloppement des changes que pour la valorisation du travail fourni par les chercheurs pour la r alisation des syst mes INTRODUCTION Dans le cadre d un groupe de travail ORSTOM MNHN nous r alisons une application de l intelligence artificielle l aide la d termination de quelques poissons d eau douce les Characid s de l Afrique de l Ouest Nous avons d laiss pour l instant les Characid s nains 15 genres et plus de 60 espaces dont la syst matique pose actuellement un certain nombre de probl mes non r solus au plan fondamental La famille se d compose donc en 4 genres Tableau 1 comprenant 42 esp ces CHARACIDES D AFRIQUE Genres Alestes Brycinus Hydrocynus Lepidarchus Nains 5 esp ces 31 esp ces 5 esp ces 1 es
70. ficiant d quipements de substitution Ainsi au sein du poste d ficience en quipements 1 sont compris des lots o il y a 1 33 96 de logements quip s de latrines De m me l approvisionnement eau par camion citerne est fortement pr sent dans tous les postes d ficience La pr sentation de la l gende et de la carte oblige une simplification Cependant le d tail et la nature exacte des combinaisons sont disponibles sous la forme du fichier descriptif figure 2 Il permet ainsi de passer rapidement des postes g n raux de la typologie aux combinaisons unitaires r elles et d taill es 270 CARTE 3 509 M 4 r ae w zzy lt woe t ett DM n TT oo CARTE 4 590 e vt alant n eee Apr IDR SPP he ESIDIAIIILIGIGEF PIP 9P9 ragga 7 Peters ut 0 Z N St ILL T a ui r n Hon 77 E L A VP 55 VS N MIL ZZ m M M M 4 eee gta ae ea ee eee e m CEZ Z 1 S N KE SN N SSS Y SSS Nn XN ae N SSS Do r n v ss S
71. financi res signilicativement sup rieures avec moins de r gularit cependant 3 LES GRANDES ORIENTATIONS Quatre principes fondamentaux ont t adopt s pour le projet d s son origine et continuent tre respect s r alisation progressive du syst me par le biais de modules th ma tiques autonomes constitution d quipes mixtes de d veloppement de modules compre nant th maticiens et informaticiens offre de facilit s de stockage et traitement de donn es niveau cen tral et niveau local recherche syst matique de l appui institutionnel pour le projet les raisons qui ont conduit l adoption de ces principes les avantages que l on en tire ainsi que les contraintes qu ils obligent respecter sont d taill s ci apr s 2 1 Modules autonomes La principale caract ristique originale de SISGEO est son d veloppement par modules autonomes Six sous syst mes th matiques ont t d finis figure 2 auxquels viennent s ajouter deux syst mes transversaux pour la manipulation des documents cartographiques SISMAPAS et des images de satellites SISIMAGEM s agit l du principe fondamental dont l adoption et le respect condi tionnent le d veloppement de SISGEO Bien que les raisons de ce choix soient multiples chacune d elles prise isol ment justilierait le principe adopt La premi re raison qui motive le d coupage de SISGEO en modules auto nomes provient de la volont d assurer l
72. forme d un dosage n cessaire pour in viabiliser Une certaine proportion des individus Le dictionnaire des variables labor partir de la structure du SISPRAGAS telle qu elle est pr sent e sur la figure 3 contient dans cette pre mi re version 640 rubriques chacune d elles repr sentant un champ devant tre stock dans l un des fichiers de la base de donn es Plus de 70 tables de codifi cation ont galement t identifi es Une tactique d impl mentation a ainsi t labor e pour le syst me lequel est en cours de sp cification pour une impl mentation sur micro ordinateur PC compatible quip d un disque dur 4 4 Perspectives quant l impl mentation En suivant la m thodologie de travail de SISGEO le projet logique ter min l issue de la phase de conception passe dans les mains de l analyste de sp cification charg de la d finition physique de la base de donn es et des pro grammes qui composent le syst me applicatif Compte tenu de la documentation 88 SISPRAGRS SISPRAGAS 3 a 5 1 4 les G rer les G rer les Vari t s Ennamis Produits G rer les Insectes G rer fittaque 1 1 34 44 5 4 fictual fictual Actual fictual Insectes Vari t s Ennemis Produits 1 2 d d 3 2 4 2 3 2 6 2 oui Caraster Emettre Emettre nsectes Contrdle Vari t s nnemis Produits Suscepti 1 3 Emettre Insectes 3 3 Emett
73. information 2 Autrement dit faut il subor donner la r ponse d importantes questions que posent les rapides mutations de 171 l activit agricole des cerrados la mise sur pied d un syst me d information par vocation port e plus g n rale ce qui en toute hypoth se implique encore plusieurs ann es de mise au point et de travail 2 Dans de telles conditions nous avons choisi une autre voie conduisant dans des d lais plus limit s des r sul fats dont le niveau de validit pourrait tre am lior mais qui n en constituent pas moins un apport au d bat scientifique sur la question N anmoins notre niveau nous avons pris soin d adopter des outils logi ciels qui ne nous sont pas sp cifiques et qui garantissent de ce fait une r elle compatibilit avec un futur syst me d information En adoptant le logiciel SAS au demeurant le principal outil d analyse statistique des chercheurs de nous avons volontairement refus l isolement pr voyant notre participation un futur SIG qui pourra tre r alis un jour si les conditions n cessaires sont r unies C est dans cet esprit qu t implant le module SISECSO Syst me d informations Economiques et Sociales sur le mat riel du centre informatique de l EMBRAPA Brasilia Sans nier le grand int r t des SIG il ne nous semble pas que toute re cherche g ographique m me lorsqu elle fait appel largement la quantification et don
74. l affichage de ce n avec en dessous dans un caisson rectangulaire la trame actuellement choisie pour repr senter les paroisses de cette classe Cf figure 3 importe de noter qu avant l affichage d une premi re version de la carte sont propos es dans des caissons carr s align s aux marges gauche et sup rieure de l cran des trames qu on peut choisir pour remplacer celles propo s es dans de grands caissons rectangulaires associ s aux classes Cf annexe La disposition des trames dans les caissons carr s apparait d s l entr e dans le programme avec un texte offrant de modifier cette palette de 32 trames partir du tableau de 100 Le choix des trames est effectu en conformit avec l interpr tation des classes de paroisses en termes de classes de variables en vue de rendre compte de leurs caract ristiques et traduire les degr s divers de sp cialisation de l agriculture et de l levage Ce choix exprime aussi les affinit s et les oppositions entre classes d limit es sur la carte par des zonages Cf figure 4 Pour ce faire on a jou sur l orientation le pas et la texture des trames la valeur des gris s la forme des l ments graphiques La taille de la paroisse a influ grandement sur le choix du graphisme et il a fallu en effet faire plusieurs parcours avant de l arr ter d finitivement l expression cartographique des paroisses principales se diff rencie des suppl mentaires Sur les cartes de l tu
75. la base de donn es ce qui ouvre le champ une multitude d op rations de gestion sur des donn es qui n ont comme crit re commun comme moyen de liaison que leur lo calisation dans l espace Ces nouvelles op rations entrent bien s r dans le pro cessus normal d interrogation interactive et font partie du cheminement de l utilisateur dans la base de donn es l alg bre relationnelle est ainsi tendue la localisation Cette m thode de gestion de la localisation a des cons quences impor tantes dans l laboration de l information g ographique de base chaque donn e peut en effet tre conserv e dans sa propre implantation spatiale sans r duire les possibilit s de traitements ult rieurs puisque c est le syst me qui se charge de g rer la localisation plus question de carroyage r gulier dans lequel on ram ne toutes les donn es pour pouvoir les comparer en faisant fi de l implantation spatiale d origine Plus question non plus de syst me dans lequel la localisation n est trait e que pour cartographie les donn es localis es ne sont compar es que visuellement par la superposition de sorties graphiques Plus question enfin d avoir pr ciser pour un objet d un certain type son apparte nance g ographique un objet d un autre type la localisation seule suffira tablir cette appartenance Ainsi le P O S ne sera plus une variable de la par celle cadastrale saisi part comme un d coupage th matique de l
76. la mise en oeuvre des fonctionnalit s illustr es sur le DFD de la figure 9 L administration compl te des aspects li s la s curit des fichiers contr le permanent de l tat de chacun des fichiers de la base fonctions de copie et de restauration avec contr le de la situation des volumes de back ups sur dis quette ou disque dur etc est r alis e par le biais de deux fichiers particuliers dits de param tres et de contr le inclure dans chaque syst me h te Dans ces conditions il a t jug opportun d associer dans SISCOP les fonctions propres l installation et la configuration du syst me h te permettant _ galement d entrevoir une conomie substantielle de codification pour les modules mettre au point SISSOLOS b n ficie d j des facilit s partiellement impl men t es pour SISCOP dont la premi re version compl te doit tre livr e dans les mois qui viennent 312 SISGEO SISTAB UTILITAIRE DE GESTION DES LEXIQUES 1 En t te de lexique P Mettre Jour le 13 REPERTOIRE I Compte rendu repertoire Existe l ment POLE LEXIQUES 2 Entr e de lexique _ Caract ristique de lexique Sp cia lettre iste Compte rendu tour les exi ques 1 DL LEXIQUES Soliicite dition I Emettre Rapport de laxiques les q tats Rapport de synonymes Fig 8 Diagramme de flot de donn es niveau 0 de SISTAB 313 SISGEO SISCOP
77. la s curit et la simplicit qu on retrouve dans le confort de l utilisateur Mais de quel utilisateur s agit il 2 Il peut en effet y en avoir plu sieurs et leurs points de vue ne sont pas forc ment identiques Ici on en a consid r trois le responsable scientifique qui a imagin l exp rimentation le responsable de la collecte qui est la cheville ouvri re de l exp rimentation l utilisateur des donn es 64 ll s agit bien s r d une distinction un peu artificielle car la m me personne peut tr s bien remplir les trois r les mais elle est bien pratique dans l analyse des probl mes et nous la retrouverons dans tout ce qui va suivre Enfin sur le plan informatique aucun travail n tant parfait il faut tre non seulement pr t corriger un certain nombre d erreurs mais effectuer des modifications importantes de fond Ce travail doit ventuellement pouvoir tre ex cul par une tierce personne Deux autres qualit s doivent donc galement tre recherch es la maintenabilit et la lisibilit des programmes Le premier chapitre de ce travail a t consacr l analyse du probl me de l utilisation de la sonde neutrons Dans le second on expose les solutions adopt ss pour r soudre ce probl me techniquement en conformit avec les exi gences exprim es ant rieurement Dans le troisi me on montre comment SISOND fonctionne pratiquement 1 ANALYSE DU PROBLEME Dans une exp rimentation a
78. la standardisation mat rielle est en fait une r alit deux options pos sibles N anmoins lors de l achat de quantit s importantes de mat riel informa tique quipement de services au si ge d un laboratoire etc des contrats sont n goci s ou devraient l tre pour un achat group prix r duit Une enqu te pr alable pourrait permettre ceux qui la configuration convient de s quiper d un mat riel donn au meilleur prix sans que cela apparaisse comme une contrainte la question des logiciels est plus complexe Cependant il devrait tre possible apr s enqu te de n gocier aupr s des diteurs de progiciels des li cences d utilisation multisites pour l ensemble du personnel de l Institut Trois conditions essentielles devraient pr sider tout choix 1 tre un logiciel r pandu internationalement 2 tre d un prix abordable 3 pouvoir transmettre facilement les donn es sous forme utilisable sur un mini ordinateur Au sein de l Institut l augmentation des changes transversaux et la r ali sation d outils de formation sont des points d int r t peu discutables Mais et c est l un des points de r flexion du pr sent s minaire quel est l int r t de bases de connaissances au plan international Le passage d un outil de travail et de formation usage interne de quelques dizaines de personnes vers une base connect e un r seau international est un saut qualitatif important Il ne se ju
79. le concours de Raymond VAN DEN DRIESSCHE syst me t exploit par C J HOUNDAGBA pour l analyse des paysages du B nin Ce travail a t l origine de la th se Analyse typologique des paysages d Abomey Zagnanado B nin exploitation d un syst me de pro grammes PLI NEPTUNE La terminologie utilis e est bas e sur la m thode d appr hension du milieu naturel adopt e et enseign e par des chercheurs de diff rentes universit s africaines et que J F RICHARD qui en est l un des princi paux concepteurs expose dans sa th se le paysage un nouveau langage pour l tude des milieux tropicaux Enfin et c est encore sur des donn es factuelles situ es g ographiquement mais d crites avec une terminologie n ayant rien de commun avec les deux pr c dentes que le syst me t exploit dans un but didactique de facon expliquer les diff rentes phases de mise en place d une application et les exploitations les fonctionnalit s que propose NEPTUNE sont celles li es la capitalisa tion de l information trait e saisie validation et mise jour d une part dition s lective des enregistrements stock s et possibilit s d interrogation d autre part Des possibilit s d inventaire de l information contenue sont galement disponibles sous diverses formes notamment graphiques et facilitent une vision synoptique de l tat de la base de donn es Neptune pr sente la caract ristique de traiter de fac
80. mentaires obtenus par transfert de 3 285 images cartes fournies par le micro ordinateur de saisie sur le terrain Le fichier B nin quant lui occupe actuellement 1 450 enregistrements Le r pertoire est mis jour progressivement au fur et mesure que se constitue le fichier Cette facilit permet au chercheur d ins rer des termes veaux dans le cadre d une terminologie susceptible d voluer Naturellement l expert ne saisit que les donn es qu il observe hoplexol par hoplexol et l int rieur de l hoplexol l ment diagnostique par l ment diagnostique Il les introduit respectivement par des cl s num riques qu il donne au syst me sous forme d un entier associ au libell qu il a choisi comme pour n importe quelle variable au moment de la constitution du vocabulaire structur de r f rence De plus l ordre de saisie n a pas d importance et en outre si on saisit plusieurs donn es pour la variable c est la derni re valide qui est stock e dans la banque Tout ceci offre une certaine souplesse pour la saisie sur le terrain surtout en utilisant un moyen informatique d s cette tape la d monstration en a t faite lors de l exp rience la plus r cente notamment au cours des deux missions au S n gal En effet on a not les avantages suivants li s au syst me de saisie informatis e sur le terrain 248 gain de temps puisqu il n y a pas retranscription d un carnet de ter rain pour la sa
81. ne pourra que favoriser les changes entre les scientifiques qui participent l acquisition de donn es de volcanologie en temps r el pour la r duction des risques naturels 97 Exemple 2 Fichiers bruls disponibles au CIRCE r cup r s par r seau TOMPAC TRANSPAC depuis Noum a MATTHEWS 448 9661 32 14488 01 47 14 6 51 75 70 66 81 74 142 97 114 01 67 44 160 09 10 00 50 71 70 63 81 73 148 98 130 01 66 45 160 09 10 00 448 9661 32 14488 03 27 39 5 51 75 70 66 81 74 142 97 114 01 67 44 160 09 10 00 50 71 70 63 81 73 148 98 130 01 66 45 160 09 10 00 448 9661 32 14488 01 47 14 6 75 70 66 81 74 142 97 114 01 67 44 160 09 10 00 50 71 70 63 81 73 148 98 130 01 66 45 160 09 10 00 448 9661 32 14488 03 27 39 5 51 75 70 66 81 74 142 97 114 01 67 44 160 09 10 00 50 71 70 63 81 73 148 98 130 01 66 45 160 09 10 00 HUNTER 448 9662 32 14488 01 33 32 1 235 98 109 83 83 82 82 158 116 01 255 00 01 00 00 00 08 00 01 255 254 254 127 71 209 42 250 248 248 248 248 248 448 9662 32 14488 01 38 31 2 234 99 110 84 84 84 83 169 132 03 255 00 01 01 01 01 08 00 01 255 254 254 164 70 209 42 224 224 224 250 250 248 448 9662 32 14488 01 43 30 2 235 98 109 83 83 82 82 158 116 01 255 00 01 00 00 00 08 00 01 255 254 254 127 71 209 42 250 248 248 248 248 248 448 9662 32 14488 03 13 14 1 235 98 109 83 83 82 82 158 116 01 255 00 01 00 00 00 08 00 01 255 254 254 127 71 209 42 250 248 248 248 248 248 98 Fichiers interpr t s disponibles au CIRCE r
82. nombreux projets se font jour mais demeurent assez flous pour que l on puisse dire citant toujours le rapport SCOT que cette situation est ca ract ristique d une activit nouvelle qui s appuie sur des outils informatiques non encore totalement ma tris s du point de vue la fois de leur d finition et de leur emploi 4 Des outils sur le march L offre industrielle selon ce rapport est domin e par trois constructeurs principaux INTERGRAPH et SYNERCOM qui ont en commun d avoir eu comme point de d part le march du dessin assist par ordinateur et de proposer des syst mes complets plus ou moins ferm s et ESRI environmental systems research institute qui offre un produit logiciel ARC INFO fond sur les bases de don n es relationnelles Au d part les calculateurs exig s taient de taille moyenne grosse 32 bits On constate de plus en plus une volution vers des stations de travail sur micro ainsi que sur des syst mes UNIX Au niveau technique le rapport rep re encore trois goulots tranglement probl me pos par les formules de passage entre images en mode raster et donn es en mode vecteur le co t lev de l acquisition des donn es poste le plus on reux dans les SIG probl me de standardisation des formats d change de donn es nu m riques et coordination de l organisation des bases d information B Quelles lecons pour l ORSTOM Revenant l ORSTOM o la solution SIG n est
83. op rationnelles et pour syst matiser toutes les tapes de s lection des images et de l utilisation post rieure du traitement d images dans la recherche agronomique aussi bien pour l identification de l utilisation actuelle des terres et des surfaces productrices que pour la planification de l occupation de nouvelles surfaces On pr cisera lors de cet expos toutes les directrices qui orientent la mise en oeuvre de SISIMAGEM et qui d finissent une strat gie de d veloppement pour le projet En premier lieu il est n cessaire de souligner que la mise au point de SISIMAGEM ne suppose aucun d veloppement de logiciel de traitement d images si ce n est des ajustements corrections ou interfaces permettant d adapter les progiciels existants et qui ont t choisis pour faire partie de l ensemble des outils int gr s qui constituera le syst me appel SISIMAGEM La figure 2 ci apr s pr sente un diagramme sch matique du projet SISIMAGEM Les personnes directement impliqu es dans la viabilisation de SISIMAGEM sont des informaticiens du DIN D partement d informatique de l EMBRAPA ayant une exp rience de projet et implantation de logiciels sur ordi nateurs centraux et sur micro ordinateurs familiaris s avec l utilisation d outils modernes de CASE Computer Aided Software Engineering de progiciels de bases de donn es et de langages de programmation modernes Ceux ci peuvent de plus s appuyer sur le groupe d intelligence artif
84. par un simple appel Pen dant toutes ces op rations un contr le d erreur appropri est r alis L acc s aux donn es brutes par divers utilitaires diteur dump etc est galement possible ainsi que la red finition de modules d interface suivant d autres principes que ceux d velopp s optimisation possible autre langage etc 235 Les images de dimensions quelconques en lignes colonnes et canaux sont stock es en binaire un pixel tant cod sur 1 ou 2 octets suivant sa dynamique L acc s peut tre global sur un canal ou ligne ligne pour la majorit des trai tements On a ainsi stock et trait une image de 60 Mo issue d une acquisition AVHRR NOAA de 5 000 lignes 2 048 pixels 3 canaux sur 5 un pixel tant cod en temp rature sur deux octets Les donn es cartographiques peuvent avoir deux structures suivant leur taille Pour des bases de donn es importantes gt 1 le stockage est r alis sur deux fichiers avec le descriptif des segments et les donn es proprement dites en binaire Pour des donn es de taille moindre l acc s est de type format avec les outils d extraction depuis le mode pr c dent Les autres donn es localisation champ discret ou ordonn Look Up Table etc sont accessibles directement en mode format 4 2 D codage et mise en forme En l absence d un r seau sp cialis pour l acquisition de donn es satel litaires station d acquisition et de pr traitem
85. param tres relatifs au contr le La troisi me application G rer les vari t s culturales poss de une structure semblable la premi re avec ses trois services de maintenance du d p t de vari t s culturales mission de rapports de vari t s culturales et caract ri sation de vari t s culturales partir de certains attributs morphologiques de par tie de plante Il est possible d obtenir divers rapports de vari t s culturales comme inventaire rapports descriptifs par partie de plante complet ou simplifi et rapport de cycle v g tatif G rer les ennemis naturels constitue l application suivante compos e des deux services de maintenance du d p t d ennemis naturels er d mission de rapports En partant d un insecte d termin on peut obtenir deux listes dis tinctes liste des ennemis naturels et liste des insectes h tes 85 SLSPRAGAS 1 Donn es d insectes G rer les Rapports d insectes H DII INSECTES insectes Donn es d attaque Donn es de contr le Entomo G rer MDS ATAQUE 8 CONTROLE logiste Attaque amp Rapport d attaque contr le et de controle 3 Donn es de vari t s G rer les Rapports de vari t s D2 VARIETES vari t s Donn es d ennemi naturel 4 M 031 ENNEMIS NATURELS les ennemis naturels Rapports d ennemi naturel Identification des insectes Dif INSECTES
86. particuli rement nombreux dans divers domaines g n raux statistique base de donn es graphiques etc ce qui vite des d veloppements co teux de logiciels por leur emploi banalis Compte tenu de ces tendances nous avons entrepris le d veloppement d un logiciel programmes et structures de donn es avec la prise en compte de plusieurs objectifs plus sp cialement li s des aspects sp cifiques de notre acti vit savoir la mise disposition pour des utilisateurs scientifiques non informati ciens de logiciels assurant le traitement de donn es avec ses aspects d codage stockage manipulation croisement et restitution Les programmes d velopp s doivent tre facilement utilisables er adaptables aux demandes des th mes de re cherches II est alors indispensable de disposer d une cha ne ouverte et volutive utilisable en botte outils soit l inverse de certains produits commerciaux de type boite noire des donn es plus sp cialement li es aux produits de t l d tection m t orologique donn es qui n cessitent l application de divers algorithmes pour l laboration de r sultats en valeurs g ophysiques ainsi que pour la restitution cartographique de ceux ci ceci avec l addition d autres sources conventionnelles cartographiques etc une r alisation informatique int grant certains concepts de g nie logi ciel l analyse et l criture avec les aspects d utilisation du produit de maint
87. pas inconnue puisqu elle concerne peu ou prou quatre des huit expos s de cette troisi me journ e que pouvons nous retenir de ces r flexions en dehors de la satisfaction d tre dans le coup et reconnu comme tel Les syst mes du type SIG pour s duisant qu ils soient ne peuvent constituer une panac e une r ponse miracle tous les probl mes de traitement de don n es de l environnement faut en effet user de prudence et bien insister sur la remarque suivante tir e de ce rapport au sujet des exp riences nord am ricaines sur le thame environnement Les SIG ainsi mis en place sont relatifs des probl mes bien cern s et limit s dans l espace On a affaire ici des SIG de taille assez modeste Par ailleurs la FAO justifie l emploi des SIG 1 lorsqu il est n cessaire d assurer un suivi pr cis et r gulier de ph no m nes voluant dans le temps 2 lorsque le traitement g ographique a pour but de fournir un facteur de d cision obtenu par croisement de donn es spatiales 208 Nos objectifs d inventaire nos recherches le plus souvent ne justifient pas l emploi de tels outils encore tr s lourds Par ailleurs les moyens notre disposi tion les contextes dans lesquels nous travaillons ne nous permettent pas toujours la en oeuvre de tels syst mes Par contre comme nous allons pouvoir le v rifier travers certaines com munications de telles solutions semblent viables localement
88. que le RAMTEK quipement digital graphique de haute r solution ait t acquis il y a pr s de dix ans et qu ce jour ses potentialit s n ont pratiquement jamais t exploit es au b n fice de la recherche agronomique priorit a t donn e la mise au point du module central de SISIMAGEM Celui ci est orient vers le traitement et le contr le de disponibilit des images de satellites avec comme objectif de rationaliser l obtention de ces images en vue de leur utilisation par les diverses unit s de l EMBRAPA Pour le d veloppement de cette premi re version on pr voit de mettre en oeuvre l int gration d un catalogue de donn es de t l d tection disponibles avec un prototype de syst me expert une base de donn es d images et les logiciels HLIPS et DMAPS de mani re viabiliser l offre de facilit s permettant de g rer des informations sur les donn es de t l d tection disponibles l EMBRAPA et dans les autres organismes gouvernementaux y compris sur le stock maintenu l INPE Institut de Recherches Spatiales de fournir une orientation sur l utilisation de la t l d tection l intention des chercheurs n ayant que peu d exp rience dans ce domaine par le biais de la mise en oeuvre de ressources d intelligence artificielle d offrir quelques pr traitements de base comme la lecture et la vi sualisation monospectrales bande bande et multispectrales plusieurs bandes au maximum 3
89. qui assure les fonctions n cessaires la mise disposition des donn es Pour d autres le syst me est constitu par l ensemble de donn es lui m me Il nous semble qu un syst me digne de ce nom comprend au moins ces deux composantes Nous allons illustrer ce propos par l expos d une exp rience de simula tion d utilisation d un syst me d information g ographique en projet qu on au rait souhait pouvoir utiliser dans le cadre du d veloppement d une probl ma tique de recherche On tente de r pondre la question Quel est le degr de correspondance entre la dynamique de la production agricole des cerrados r gion de savanes arbor es du centre du Br sil et les principaux contrastes g o graphiques du milieu naturel Nous suivons ici de pr s l article publi par le re vue Mappemonde cit en r f rence 1988 Pour une pr sentation g n rale des cerrados le lecteur pourra se reporter l article de P Waniez dans les Cahiers des Sciences Humaines galement cit en r f rence 1988 2 MILIEU NATUREL ET PRODUCTION AGRICOLE En mesurant au sens plein du terme le poids du milieu on cherche identifier localiser et quantifier le r le du contexte physique sur l mergence des structures spatiales de la production agricole On pr tend d passer ce que L Cambr zy nomme la simple mais frustrante analyse descriptive du milieu natu rel en prenant en compte le temps mais aussi en mesurant les param
90. r alisant une sorte de noire recevant l entr e les donn es de terrain et fournissant la sortie un travail pratiquement achev Cette facon d op rer ne nous parait pas la plus judicieuse Une secr taire utilisant un traitement de texte peut appr cier d tre guid e pas pas Au contraire en recherche scientifique toute contrainte est ennemie de la cr ativit D autre part au niveau du traitement le scientifique sait ce qu il cherche mais pas toujours ce qu il va trouver Un syst me informatique l usage de scienti fiques devra donc respecter autant que faire se peut la libert de l utilisateur tant au niveau du choix des donn es que de celui de leur traitement Enfin il faut le reconnaitre c est agr able de programmer son travail et il faut dans une certaine mesure garder l utilisateur cette possibilit La premi re qualit d un tel syst me devra donc tre la souplesse d emploi la libert de l utilisateur ne saurait cependant tre totale Outre les contraintes techniques il ne devrait pas tre possible de faire n importe quoi avec n importe quelles donn es La seconde exigence du scientifique l gard du syst me est qu il doit favoriser les comportements rigoureux Cette seconde qualit va un peu l encontre de la premi re ce qui dans certains cas impose des solutions de compromis ces qualit s un peu sp cifiques il faut ajouter celles requises de tout logi ciel soit principalement
91. r alisation tait ad quat sa mise en oeuvre Une tude faite en 1984 avait permis de comparer les chances de succ s de tentatives semblables men es par plusieurs institutions au Br sil IBGE SERPRO Projeto RADAMBRASIL INPE On avait conclu que l EMBRAPA comme entreprise de recherche agronomique tr s diversi fi e et disposant d une solide comp tence informatique tait mieux plac e pour mener bien un SIG niveau national Les autres tentatives ont d ailleurs toutes chou depuis un effort important doit tre fait au niveau de la coordination pour assurer l assise institutionnelle garantir l homog n it des modules sur le plan m thodologique et surtout maintenir l existence continue du programme compte tenu notamment de sa dur e exceptionnelle et de la difficult d obtenir les pre miers r sultats surtout en regard de l expectative cr e un certain nombre d activit s secondaires doivent tre men es pour contribuer atteindre les objectifs essentiels de SISGEO Ainsi le programme aura permis d adapter la m thodologie de d veloppement de syst mes de d fi nir des normes de programmation de mettre au point des utilitaires de choisir un environnement de d veloppement et d y former le personnel d laborer un ac cord contractuel sur la valorisation des produits obtenus par la collaboration des deux organismes etc Certaines de ces activit s apparaissent trop souvent comme des d viations inuti
92. radiom triques brutes comme l a tudi RITCHIE 1987 qui d montre galement l importance du canal 0 7 0 8 um pour d finir ce type de relation La combinaison lin aire retenue sur les quatre canaux est de la forme P S il K i 1 Q K i 2 Q K i 3 Q K i 4 Q7 avec valeur du SDE dans la seconde composante i 2 103 187 196 Kli 1 0 7896 Kli 2 0 7244 K i 3 0 1787 Kli 4 0 5776 7 valeur radiom trique de chaque canal MSS 4 5 6 7 Les valeurs radiom triques rep r es sur chaque site sont compar es aux mesures in situ La relation obtenue est log T pp 0 0495 P4 4 6709 r 0 99 figure 5 Let talonnage permet ensuite de classer tous les pixels du fleuve figure 6 et de son estuaire en cinq groupes de turbidit avec une incertitude importante 50 mais qui ne doit pas surprendre vu les conditions exp rimentales Gris 1 T lt 10 mg l Gris 2 10 lt T lt 100 mg Gris 3 100 lt lt 1000 mg l 4 1000 lt T lt 10000 mg 1 Gris 5 T gt 10000 1 La relation exploit e ici s accorde avec celles qui sont expos es dans la litt rature de type R f logT avec un r sultat cartographique en accord avec les observations A partir de la combinaison lin aire des quatre canaux la relation a t appliqu e aux eaux de l estuaire du Sinnamary figure 7 montrant la distribution d cal e vers l aval classes 3 4 5 cause du
93. ramen es des r ponses sans ambigu t type oui ou non O N ou encore une croix en face de l option choisie Lors de la cr ation de fichiers de donn es normalis es ou de donn es labor es l utilisateur a le choix entre un certain nombre d options codes des donn es limin es dates des registres initial et terminal de la p riode d tude etc Chaque fois qu un tel fichier est cr le syst me permet l impression d un rapport comportant tous les d tails utiles noms de fichiers options etc et en particulier la date de cr ation Un tel rapport peut galement tre imprim lors de l informaiisation de coefficients d talonnage ceux ci pouvant tre amen voluer avec l information disponible lors de la documentation d un cran l utilisateur doit communiquer au syst me un certain nombre de donn es pour permettre au programme appel de fonctionner Chacune de ces donn es est v rifi e et en cas de n cessit appel d un fichier inexistant ambigu t sur la t che ex cuter etc appara t un mes sage explicatif d erreur Tant que l cran n a pas t document correctement le programme refuse de passer la t che suivante Dans certain cas galement le syst me envoie un message d avertissement sans pour autant arr ter le processus cr ation d un fichier dont le nom existe d j Si au cours d une session de travail un ou plusieurs fichiers de donn es brutes ont t modifi s le s
94. res date ann e mois codes associ s hauteur mensuelle et commentaires Donn es Num ro de code successions de couples pluviographiques date ann e mois instant hauteur jour heure min 2 3 Organisation des donn es Le logiciel est con u de fa on que l utilisateur puisse s parer les deux types de donn es g r es en deux r pertoires distincts un r pertoire identification qui regroupe les fichiers d int r t com mun tous les utilisateurs de donn es relatives aux stations un r pertoire donn es contenant les fichiers de donn es propres une station une tude une r gion une p riode etc L utilisateur peut tre amen constituer plusieurs r pertoires d un type pour des raisons de commodit ou de s curit Ainsi une organisation pos sible pour un service g rant des donn es de pluie peut se concevoir de la mani re suivante un r pertoire RO contient les modules du logiciel PLUVIOM un r pertoire R1 contient les identifications des stations un r pertoire R2 capitalise les donn es pluviom triques du service depuis l ouverture des stations un r pertoire R3 regroupe les donn es collect es au cours d une ann e Les acc s R2 sont exceptionnels et r serv s aux op rations de mise jour de la banque locale par exemple par les donn es du r pertoire R3 avec une p riodicit de mise jour au choix du gestionnaire et d extraction d
95. res g ographiques deviendra possible et favorisera l valuation et l exploitation des potentialit s agricoles de chaque r gion Pour atteindre cet objectif un programme SISGEO a t d fini et r unit des sp cialistes de chaque th me rencontr s parmi les quipes de cinq centres de recherches de l entreprise et du service des sols avec des informaticiens de la Division de D veloppement de Syst mes du D partement d Informatique du si ge Depuis 1984 l ORSTOM apporte son concours ce projet par le biais de l affectation de personnel et la fourniture de logiciels Pour prendre en compte l tat tr s diff rent dans lequel les informations peuvent tre obtenues pour chaque th me le programme est r alis de facon modulaire th me th me un mod le de saisie stockage structuration et inter rogation des donn es pour un th me d termin est concu et mis au point par collaboration entre les informaticiens du si ge et les sp cialistes th maticiens de l un des centres puis diffus dans toutes les autres unit s On s efforce d ailleurs de faire intervenir le plus grand nombre de sp cialistes de l entreprise principa lement durant la phase de conception Ainsi des syst mes th matiques ont d abord t d finis et couvrent les champs essentiels pour l activit de recherche de l entreprise SISCLIMA pour la gestion des donn es agroclimatologiques SISSOLOS pour l exploitation des in ventaires p dologiques S
96. scintillement et la possibilit de commander un d placement par le clavier num rique La comparaison par scintillement est une m thode fr quente en photom trie Les performances seront nettement meilleures en visualisation noir et blanc 105 Pour des raisons de rapidit il est pr f rable sur les machines SUN actuelles de travailler sur des petites fen tres de 256 256 Il est cependant n cessaire d avoir une certaine surface de comparaison une fen tre de 16x16 par exemple n est pas assez grande pour une bonne interpr tation visuelle COORTOOL est un programme interactif qui s apparente aux programmes de jeux vid o classiques s agit pour l op rateur 1 de pointer avec le curseur sur l image de r f rence un objet identi fiable sur les deux images 2 de lancer le clignotement des deux images et d appr cier le d pla cement relatif de l objet en x et en y 3 d arr ter le clignotement je n ai pas encore g r les v nements pendant le processus de clignotement et de corriger le d calage par les fl ches du clavier 4 de relancer le clignotement etc 5 lorsque l op rateur constate la superposition parfaite du pixel point au d part de l op ration une touche lui permet de stocker les coordonn es des deux pixels homologues On peut archiver m me sans entrainement visuel une centaine de points d appui par heure Notons que cette m thode purement visuelle permet l op rateur d appr
97. sein de cette repr sentation g om trique d termine des classes dans notre cas principalement des classes de d partements chacune desquelles sera affect e ult rieurement lors du trac de la carte une trame unique tandis que les classes de mois d j en vidence sur les graphiques plans nous sont connues a priori la premi re tape d une analyse de donn es sera videmment l introduction de ce tableau dans l ordinateur 143 Le tableau tant saisi suivant un format convenable et d ailleurs tr s souple on entre dans le programme qori d analyse des correspondances Outre un fichier de type texte qui contient sous forme de tableaux des r sultats num riques dont une partie s affiche l cran la fin du d roulement du programme le programme qori cr e des fichiers num riques o sont gard s les m mes r sultats d analyse des correspondances et qui seront ulilis s dans toute la suite des programmes de la chaine dans les programmes planF et planX pour produire les graphiques plans puis dans la classification automatique et enfin dans l laboration de la carte proprement dite Succinctement le programme planF cr e en mode conversationnel des plans croisant deux axes factoriels qui s affichent instantan ment l cran tandis que le programme planX galement conversationnel cr e les m mes gra phiques sur un fichier texte qui peut tre consult gr ce un
98. sentation acc s etc et de faire la d monstration en temps r el de l acc s aux donn es sur deux centres serveurs CLS et CIRCE 1 SURVEILLANCE DES VOLCANS Le volcanisme qui t moigne de la dynamique de notre plan te est associ la cr ation de dorsales localis es essentiellement sous la mer la destruction de cro te oc anique zone od le plancher oc anique s enfonce sous le manteau terrestre et en dehors des fronti res de plaques aux points chauds A ores Hawaii R union Canaries etc Des progr s notables sur la connaissance des volcans ont t enregistr s ces derni res ann es mais chaque difice son histoire ses particularit s et ses activit s propres qu il faut reconstituer et surveiller en permanence La reconstitution des ruptions se lait partir des annales historiques lorsqu elles existent et par des pr l vements et analyses des mat riaux mis au cours des ruptions La surveillance se fait par la mesure permanente de param tres g ophy siques et g ochimiques Sur les quelques 500 volcans actifs la surface de la terre peu sont surveill s et quelques dizaines sont dot s d observatoires perma nents Des pays riches d ploient souvent des moyens importants autour des vol cans Kilauea Piton de la Fournaise etc essentiels pour une meilleure compr hension des m canismes volcaniques et des ph nom nes associ s la dynamique de la terre De tels observatoires r uni
99. sp cialis pour tre analys s en vue de l talonnage chimique de la sonde est noter que pour utiliser cet talonnage il faut galement disposer des mesures de densit s che apparente 1 2 3 Exp rimentation proprement dite En routine et suivant un protocole exp rimental invariable sont effectu es les mesures neutroniques On les ram ne ensuite aux valeurs qui auraient t obtenues avec une sonde comptant 1000 dans l eau valeurs normalis es Pour passer aux humidit s volumiques il faut alors disposer de valeurs d talonnage Au d but on sert de l talonnage empirique puis on utilise les valeurs de talonnage chimique 1 2 4 Destruction du site voir figure 2 Dans une certaine mesure c est une r plique de l installation mais en in versant l ordre des op rations et en beaucoup plus pr cis On r alise une der ni re s rie de profils n utroniques Ensuite on profite de la destruction du site pour pr lever autour des tubes des chantillons de terre suivant la m thode des cy lindres Ceci permet de mesurer la densit s che apparente D autre part la terre retir e correspond cette fois r ellement au volume explor par la sonde Le reste des op rations se d roule comme pour l installation 2 PRESENTATION DE SISOND EN FONCTION DES OBJECTIFS RECHERCHES On fera tout d abord une pr sentation succincte de SISOND et ensuite on verra les solutions techniques adopt es pour tenter de r aliser l
100. sultats obtenus dans l essai pr cit pour plus de pr cision voir CARDON avril 1989 et des difficult s rencontr es 1 PRESENTATION DES DONNEES Avant la mise au point de la m thode de travail pr sent e pr existaient un certain nombre de r sultats issus de travaux ant rieurs Leur tude a permis de d terminer la variabilit approximative de chaque mesure et par voie de cons quence le nombre de r p titions n cessaires l obtention d une pr cision don n e Dans certains cas elle a galement autoris une simplification appr ciable du protocole exp rimental Enfin la connaissance p dologique du terrain exp rimen tal dict l emplacement des parcelles d essai et le mode d chantillonnage Suivant les cas les mesures peuvent tre ou ne pas tre destructives On a donc consid r diff rents types d exp rimentation qui seront expos s succes sivement apr s pr sentation des donn es 1 1 Donn es recherch es Elles sont de trois types des mesures de poids des mesures de longueur et des mesures de surface foliaire Les mesures de poids concerne les diff rentes parties de la plante c est dire racines thalle feuilles et fruits Les mesures de longueur sont la hauteur de la plante la profondeur racinienne et les dimensions du thalle et des feuilles ces derni res permettant d obtenir la surface foliaire 1 2 Exp rimentation destructive Elle concerne la mesure du poids sec des diff rentes pa
101. tres co logiques pour les mettre en relation avec les donn es conomiques et sociales telles qu elles apparaissent dans les statistiques censitaires et les enqu tes an nuelles Certes conf rant au nombre cette place centrale on risque de confondre l image de la r alit construite par l analyse statistique avec cette r a lit elle m me Cependant comment aborder autrement cette immensit de deux millions de kilom tres carr s vivent depuis peu seulement vingt millions d habitants Pour contraignant qu il soit ce passage oblig permet de d passer le stade des valuations plus ou moins intuitives sur les inter relations complexes entre les composantes cologiques et anthropiques du syst me g ographique Engager une recherche sur de telles bases impose la conception d une m thodologie particuli re il faut mettre en relation les donn es statistiques de production agricole avec l ensemble d autres informations comme les cartes sont enregistr s la majeure partie des traits de l environnement physique Il s agit d une pr occupation commune tous ceux qui s int ressent aux Syst mes d Information G ographique SIG Bien que diff rente des techniques utilis es dans les SIG la m thode adopt e ici s inscrit dans une perspective proche et 163 permet de d boucher rapidement sur des r sultats tangibles En effet ne dispo sant ni du temps ni des moyens n cessaires la r alisation d un SIG sur le
102. unie pour la troisi me fois la communaut informatique de l ORSTOM l initiative de la CS7 qui joue l pleinement son r le d animation des activit s transversales de l Institut comme elle l a fait la semaine derni re Montpellier avec les Journ es Laboratoire dans un autre secteur relevant de sa comp tence S minfor 1 le premier s minaire de cette s rie s est tenu Paris en oc tobre 1987 sur le th me des m thodes et outils pour les bases de donn es pour S minfor 2 r alis en septembre dernier Montpellier on avait choisi le sujet de la mod lisation S minfor 3 constitue une occasion de d battre d une question tr s importante pour l ORSTOM et ses partenaires les syst mes d information pour l environnement Tous ces sujets m thodologiques concernent l ensemble des disciplines de l institut de sorte que S minfor constitue un lieu de rencontre privil gi permet tant de favoriser ou consolider le d veloppement d une pluridisciplinarit effective l Institut mais aussi de susciter des changes entre les diff rentes quipes et d identifier les compl mentarit s malgr les contextes extr mement vari s dans lesquels elles doivent s inscrire et travailler faut en effet chercher une conver gence entre nos actions et viter les concurrences entre les quipes 10 Je continuerai donc apporter mon soutien pour la r alisation de ces s minaires annuels en esp rant que S min
103. version actuelle op rationnelle depuis janvier 1989 est utilis e selon deux modes diff rents dans sa version autonome elle permet l administration des tables de codification de n importe quel syst me en temps de conception permettant ainsi une meilleure implication de l quipe th matique des le d but du projet Elle a ainsi pu tre utilis e pour SISSOLOS et SISPRAGAS dans sa version h te elle g re les lexiques en temps d exploitation du syst me une fois mis au point en offrant notamment des ressources de visualisa tion des entr es disponibles pour tous les champs codifi s SISTAB impl mente ainsi la gestion des lexiques pour les versions actuelles de SISMAPAS et SISSOLOS et est d ores et d j utilis dans d autres syst mes SISORC l EMBRAPA et MVR l ORSTOM Le contr le d acc s fond sur l utilisation de mots de passe conserv s dans des lexiques sp ciaux a galement t mis en oeuvre par le biais de SISTAB offrant ainsi finalement un gain de temps appr ciable pour la phase d impl mentation des modules de SISGEO estim environ 15 Une autre fonction est commune l ensemble des syst mes de capitalisa tion d information et m rite une impl mentation ind pendante celle de gestion des copies de s curit Aussi un utilitaire sp cifique a r il t d fini dans cette optique SISCOP Sistema de gestion das c pias de seguranca Le projet logique qui a t labor fin 1988 pr voit
104. vidence propri taires des donn es les choix conceptuels et techniques qui pr sident la r alisation de ces syst mes d information offrent t ils toujours l Institut des bases solides de n gociation Enfin au cours de la derni re session traitant des strat gies de spatialisa tion la pr sentation de SIG syst me d information g ographique doit favoriser une meilleure d finition de ce concept l Institut D autre part Monsieur WINTER suscite propos de ces syst mes une r flexion autour des probl mes d int gration pluridisciplinaire d informations labor es des niveaux diff rents chelle La premi re session intitul e Capitalisation des donn es est introduite par C MULLON et P RENAUD leur communication conjointe pr sente de nouveaux concepts et outils in formatiques susceptibles d apporter une r ponse adapt e aux probl mes aux quels sont confront s les chercheurs de l Institut lors de la mise en place d un syst me d information Deux contextes particuliers servent de cadre pr sentation Le premier est celui du d veloppement d une base de donn es natura listes o les deux mod les relationnel et hypertexte offrent une alternative int res sante Le second est celui de l informatisation d un projet pluridisciplinaire en l occurrence HAPEX Hydrological Atmospheric Pilot EXperimental trois d marches pragmatisme m thode objet sont compar es Gr ce la mise e
105. vue sur ces huit com munications il nous para t utile de vous faire part succinctement des conclusions d un rapport r cemment r dig 1988 la demande du CNES sur l tat de l art dans le domaine de l information g ographique au sens large du terme s entend et plus particuli rement sur les syst mes d information g ographique dans le monde A LES SIG une solution d avenir dans quelle mesure Sans n cessairement reprendre notre compte tous les r sultats de cette enqu te men e par le service de consultance en observation de la terre SCOT dans une optique bien particuli re savoir d finir le march potentiel de SPOT par rapport aux SIG en place ou en projet il nous parait n cessaire de vous faire part de certaines remarques propres nous clairer par rapport aux grandes tendances actuelles dans le monde du traitement informatique des donn es spatialis es 1 Des disponibilit s techniques nouvelles D abord un constat Jusqu tr s r cemment les outils informatiques n apporlaient que des r ponses partielles aux besoins de traitement et de repr sentation de l information g ographique mais la conjonction des diff rentes techniques au d part ind pendantes comme les stations de travail gra phiques les bases de donn es relationnelles les logiciels CAO conception de dessin assist e par ordinateur et les syst mes de traitement d images STI permet maintenant de r pondre ce besoin
106. x 1 200 pixels de dix m tres image SPOT de novembre 1986 angle de prise de vue de 8 gauche Fichier de 800 x 1 000 pixels de dix m tres Pour elfectuer l orientation correcte du couple st r oscopique on rep r les coordonn es images de trois points d appui de altitude Nous avons choisi ici trois points d appui une altitude sensiblement gale 2 650 m tres que nous pouvons rep rer sur la cartographie de l Institut g ographique militaire et sur les images de SPOT 1 184 Point num ro 1 Nov x 598 y 033 gt Juin x2782 y 172 139 Point num ro 2 Nov x 427 y 410 2 187 Juin X 614 y 556 3 184 gt 145 Point num ro 3 Nov x 950 y 672 V 148 Juin x 1134 y 820 V Vecteurs de d placement les vecteurs de d placement ainsi obtenus montrent qu il faut utiliser une rectification par le programme Degr 1 M Rakoto qui effectue la rotation la translation et l homoth tie de l image 1 2 Prise d un premier semis de points d appui St r ogramm trie par scintillement le programme COORTOOL B Lortic crit d apr s les normes du logi ciel PLANETES Rakoto est d riv du logiciel VISUTOOL Son but est d obtenir la liste des vecteurs de d placement de chaque point d appui Chaque vecteur est not sous la forme Yd part Xd part Yarriv e Xarriv e Ce programme provoque l alternance rapide de deux images que nous appellerons
107. 0 sup tot utilisee a Gum um Ue Gua GU ae r z OA i AUS AUD o m H iy OAD Gus eom 600 QUA AP CO a 311 IRO PAS DE CULTURES IRRIGUEES van amd crm a UID aD P A GP QUA heh om s s ey A lue oid VB F rw s s 451 CRO FTO FAS DE CEREALES NI DE POMMES DE TERRE 150 de ces 32 trames sans sortir de carthage d autre part il peut crire des fichiers num riques d crivant des trames nouvelles qui se placent automatiquement la fin du tableau des 100 De l une totale libert pour arr ter les modalit s de l expression cartographique de son choix importe de signaler que le choix des trames peut tre guid conversa tionnellement par l affichage des r sultats de l analyse factorielle et de la classifi cation automatique r sultats qui ne sont autres que l expression la plus simple des similitudes existant entre les r alit s g ographiques correspondant chaque classe On peut en effet demander que s affichent sur un plan croisant deux axes factoriels non seulement les num ros des classes de paroisses pr c d s de la lettre i par exemple i 460 classe n de paroisses dont la composition peut tre recherch e sur les listages de classification automatique et appara tra sur la carte avec une trame particuli re mais aussi
108. 0 000 octets avec 160 Mo pour la banque pluviom trique et 240 pour la banque hydrom trique Cette information repr sente plus de 57 000 ann es de donn es pluviom triques r parties entre 2811 postes de mesure La dur e moyenne d observation est d un peu plus de 20 ans par station et les relev s les plus anciens datent du milieu du si cle dernier 1852 plus de 21 300 ann es de hauteurs limnim triques observ es 1624 stations La dur e moyenne est sup rieure 13 ans et les donn es les plus anciennes datent du d but de ce si cle 1902 Rappelons que deux tiers des hauteurs sont traduites en d bits instantan s et que la banque hydrom trique contient aussi des fichiers de d bits moyens journaliers et des fichiers de d bits dits op rationnels pour lesquels les donn es ont t compl t es et homog n i s es lors de la pr paration de monographies hydrologiques La r partition chronologique des donn es est repr sent e sur les deux dia grammes de la figure 2 pour lesquels la hauteur de chaque rectangle corres pond au pourcentage d ann es situ es dans la d cennie correspondante et la r partition g ographique est illustr e par les cartes sch matiques des figures 3 et 4 sont port s le nombre d ann es et le nombre de stations de chaque Etat repr sent l analyse de ces figures est tr s parlante Pour la r partition g ographique on constate une grande similitude entre les deux
109. 00 1 33 34 66 14 66 I t 1 I t t t l 1 4 2 l 1 1 I l t 1 l l t t 1 1 I l l l l l l t 67 190 9 34 66 61 100 1 33 34 64 1 33 24 66 34 6 1 12 1 33 87 199 1 33 1 33 34 66 1 33 617 109 9 34 66 1 33 34 66 9 34 46 CLA TATA ALE 67 100 Q 24 66 0 47 100 Q 1 190 1 33 34 66 1 33 34 66 1 33 404 1 32 1 33 1 32 34 66 34 6 34 64 67 100 0 67 199 1 33 34 66 0 34 66 1 33 34 66 34 66 1 33 1 33 1 33 1 33 1 33 1 33 1 33 1 33 62 100 1 33 1 33 1 33 34 66 34 66 t I tesecttpasiess t ray L YAuS I t 94269 5253202559 1 tnhntosbt ht RPeeetescersce 1 DEFICI ENCE EN 1 1 I t 3 4 C CIT i 3 4 CCIT i 3 4 C CIT 1 3 4 3 4 C CIT t 3 4 C cit 13 4 C CIT PUITS 3 4 3 4 C CIT 3 4 C CIT 3 4 C CIT 3 4 C CIT 1 3 4 3 4 3 4 C CIT C C1T C CIT 3 4 C CIT 3 4 c cIT 2 3 C C FU avegseetesess 1 x 3 4 374 3 4 3 4 3 4 21 4 2 4 3 4 C CIT C CIT C CIT C CIT C CIT C CIT C CIT C C1IT 3 4 C CIT 3 4 C CIT 13 4 PUL RIVI 13 4 C C
110. 1 5 5 fig 1 l utilisation des points de r f rences fig 2 la fonction barycentrique pour le calcul d interpolation fig 3 La saisie des points de r f rences se fait sur une table digitaliser us 3 en e Me ous I PCL PLLC ss BOG Og ate ont dE LA e lt lt a fig 4 repr sentation filaire volcan Catopaxi Equateur 137 du calcul que sa distance au point interpoler est faible par rapport aux dis tances des autres points au point interpoler figure 2 Cette m thode ne donne pas une surface diff rentiable et n utilisant pas de mod les locaux ou de mod le de variance n cessite une densit de points de r f rence d autant plus grande que les variations du relief sont fortes C est en fonction de cette variation que les points de r f rence doivent tre choisis si cela est possible le fonctionnement du mod le est optimal lorsque la densit des points de r f rence est fonction li n aire de la variation locale Lorsque l on dispose de l altim trie de base sous forme de courbes de niveaux ce choix doit tre fait lors de la saisie des points par l op rateur A partir de ces points le mod le permet d interpoler l altitude en chaque point du plan En fait on va faire ce calcul sur un canevas r gulier maille car r e suffisamment fin pour pouvoir dire que l on conna t par interpolation l altitude en tout point du domaine concern Le
111. 2 une deuxi me fen tre s affiche l cran 338 lt FENETRE D INTERFACE 2 gt ouverture sur le niveau 2 DESOLO profil lac 1 lt horizons gt limi teSup informations initiales Hl limiteInf lorsqu aucun horizon H2 corpsNaturels n a t saisi type d horizon Ajouter Effacer Le bandeau sup rieur affiche le num ro de site sur lequel on travaille La colonne 1 permet d afficher les num ros d horizons du profil courant pr cis dans le bandeau sup rieur L entr e d un nouvel horizon ou la destruction d un horizon existant se fait l aide du menu colonne 1 Les rubriques de la colonne 2 sont en principe fixes le corps naturel c est tout d abord un objet reconnaissable du milieu naturel il sera alors identifi et pr cis par un ensemble de descripteurs Le fait de s lectionner la rubrique CorpsNaturels dans la fen tre 2 ouvre cette nouvelle fen tre 339 lt FENETRE D INTERFACE 3 gt ouverture sur le niveau 3 LESOL lacl gt Hl lt Corps naturels gt Structure grumoclode humite 1 Couleur anguclode Texture sph noclode amerode Reponse libre Ajouter Ajouter Ajouter Effacer Effacer Effacer grumoclode 1 anguclode 3 lt r ponse courante gt ou zone de texte pour l acquisition des r ponses libres Corps Naturels exemple humite 1 structichron 3 1 LISTE DES CORPS NATURELS humite arumite structichron r ducton rhizag s m ton alt rite r golite entaf ronto
112. 3 24 26 24 23 999 82 10 65 88 0 0 O 36 18 23 22 26 24 23 1000 85 10 66 88 0 0 0 37 18 23 21 26 24 22 999 82 9 65 88 0 0 0 38 22 23 21 26 24 23 998 67 1 65 90 0 0 O 39 25 23 21 26 24 24 997 50 1 66 88 0 0 0 40 21 23 24 26 24 23 995 67 1 65 88 0 0 0 41 18 23 23 26 24 23 998 89 9 65 88 0 0 D 0 95 Trac s obtenus partir du fichier 241243 MAT de la page pr c dente Exemple 1 variations de temp ratures degr s C 30 20 ts 60 19 15 100 153 waw 5 30 10 mess temp air passages satellites temp ratures de fumerol les 100 degr s CELL ELITE EC LL BAL UT WaERZSAREBENEENSU f9 29 pp fU C temp fum b passages satellites 96 4 2 Depuis le CNRS GARCHY On pr l ve une fois par jour l ensemble des donn es via micro ordinateur et modem des derni res vingt quatre heures aupr s du centre serveur ARGOS de Toulouse travers le r seau TRANSPAC un changement de format assure le compactage des fichiers qui sont stock s sur disquette Un ensemble de logiciels permet de trier ces donn es suivant l heure de r ception des messages d liminer les doubles et de constituer un fichier de don n es brutes par mois qui est consultable imm diatement Un traitement plus com plet est effectu une fois par jour il consiste liminer les erreurs de transmis sion calculer l heure d acquisiti
113. 5 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE Monsieur CHEVILLOTTE Herv ORSTOM BP 1386 DAKAR HANN SENEGAL Monsieur CORRE Daniel ORSTOM IFREMER 70 29263 PLOUZANE FRANCE Madame COURET Dominique 3 RUE DE LA JONQUIERE 75017 PARIS FRANCE Monsieur CRUETTE Jacques Centre ORSTOM DE BONDY 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur DAGORNE Dominique ANTENNE ORSTOM AUPRES DU CENTRE DE METEOROLOGIE SPATIALE BP 147 22302 LANNION FRANCE 354 Monsieur DANDOY G rard ANTENNE ORSTOM AUPRES DU GIP RECLUS MAISON DE LA GEOGRAPHIE 17 RUE ABBE DE L EPEE 34000 MONTPELLIER FRANCE Monsieur DELCLAUX Francois ORSTOM LABORATOIRE D HYDROLOGIE 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND BP 5045 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE Monsieur DEPRAETERE Christian ORSTOM LABORATOIRE D HYDROLOGIE 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND BP 5045 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE Monsieur DIZIAIN Roland ORSTOM 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur DUCHEMIN Jean Paul ORSTOM CS6 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE Madame DUREAU Francoise ORSTOM DEPARTEMENT SDU 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Madame EMPERAIRE Laure ORSTOM DEPARTEMENT MAA 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE Monsieur FAURE Paul ORSTOM UTGP LFS 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur GIRARD Georges ECOLE DES MINES DE PARIS CENTRE INFORMATIQUE GEOLOGIQUE 35 RUE SAINT HONORE 77300 FONTAINEBLEAU FRANCE M
114. 7 67 100 03 91 34 66 4 02 06 34 66 00 57 4 1 1 33 J 05 37 1 33 EH 1 70 83 t 01 47 33 3 09 43 10 59 93 3 1 0 dede meom oe neo e e ne deo deo k ene ve de nd de de fn t m x fe de de EUSI k fede e e fe e de de dede 67 A 100 t 67 A 100 34 66 34 A 66 1A 33 ode wow n de 0 33 0 tro of ee ecd dex de o o l I 1 1 l l l DE LOGEMENTS DE L ILOT DISPOSANT UN BRANCHEMENT pus THEMATIQUE SOMMAIRE ARR de 9 D d R S de LES de d Ve He de de e de de de Se ede d K de PRESENCE CONJOINTE EGALE DES DEUX EQUIPEMENTS 67 A 100 34 A 67 1 33 DOMINANCE RACCORDEMENT AU RESEAU D EGOUT ok desee dede e deg dede PRESENCE DISJOINTE PRESENCE SEULE RACCORDEMENT AU RESEAU D EAU PRESENCE SEULE RACCORDEMENT AU RESEAU D EGOUT dex 3 T de de He ooi de R De de d fo fee de M R ede e e KE ABSENCE DES DEUX EQUIPEMENTS EERE k M K ft e de fe de k k k Ne h K k e e d fe We OCR M fo KOR K k K R R D R dR dR T 555225232222 ESR ERE N M SR R M R Ee THEMATIQUE SOMMAIRE dog REA UR R e d He R Ne Me Ne de de te K de de doe de Re e deo N M H e PRESENCE CONJOINTE PRESENCE CONJOINTE EGALE DES DEUX EQUIPEMENTS DOMINANCE RACCORDEMENT AU RESEAU D EGOUT PRESENCE CCNJOINTE EGA
115. 9 67 100 67 100 67 190 67 100 62 109 1 15 0 Q Q a Q o o 00000 67 100 9 67 190 Q 67 109 9 67 109 9 67 109 9 8 67 190 67 109 Q 62 100 9 67 100 9 67 190 0 2 Q 34 66 1 15 0 1 15 easevsaecrenssere 90 99 0 9 47 109 62 100 67 199 67 199 67 109 67 108 67 109 67 100 67 190 67 159 67 109 D G ce Q O ww eos G 1 15 1 7 Q 67 109 1 15 0 0 62 102 1 15 6 0 CLLLELLLLLLLELE EL 67 100 0 0 1 13 62 140 8 0 1 15 s a u 272 thonnosecsetethsens 1 1 l I t t 1 l l l l l l l t 1 I t 1 1 1 t t t 1 I l l t i l I 1 t t i i 1 Atin ziri 3 4 I CLASSE HORS COMSINAISON 1 33 1 23 1 33 1 33 1 33 61 199 681 100 47 109 67 190 67 109 1 23 67 109 1 33 67 100 1 33 67 100 1 33 87 199 1 13 67 100 34 88 34 64 34 66 34 66 67 100 67 109 61 109 41 140 61 190 1 33 62 120 1 33 1 33 1 33 34 66 1 33 67 100 1 33 67 100 34 66 61 199 1 33 34 66 34 64 34 66 34 64 34 66 14 66 34 34 65 34 46 34 66 34 66 1 33 34 66 34 66 461 100 1 33 47 109 1 33 14 66 34 66 67 1
116. 987 avec une premi re r union qui s est tenue Brasilia et qui a permis de mieux d finir les objectifs du syst me ceux ci devenant la caract risation des in secles phytophages dans les cultures de basses terres et l indication de m thodes 81 pr f rentielles de contr le La phase de conception s est termin e en d cembre 1988 en donnant lieu au projet logique du module local de SISPRAGAS ver sion 1 0 labor selon la syst matique de SISGEO 2 BENEFICES ATTENDUS L agriculture est une activit de grande importance socio conomique dans la r gion des basses terres de climat temp r Le complexe des insectes phyio phages qui existe dans l agro cosyst me consid r inclut plusieurs esp ces po lyphages qui attaquent les gramin es et en particulier le riz le mais le sorgho ou les p turages et les l gumineuses comme le soja Ces insectes ont une gamme tr s tendue d ennemis naturels comprenant diverses esp ces de pathog nes pa rasitoides et pr dateurs Le groupe des pr dateurs plus sp cifiquement est form d insectes de divers ordres et familles Actuellement et malgr les connaissances d j acquises sur le sujet il est n cessaire de mieux quantifier les indices de pr judices caus s par les insectes phytophages sur le syst me productif ainsi que les b n fices obtenus par l action de leurs ennemis naturels Ceci est d au fait qu il manque encore des informa tions sur les facteurs e
117. A DMQ Mem ria do Primeiro Encontro de M todos Quantitativos da EMBRAPA Brasilia 1982 390p NAGY G amp WAGLE S Geographic data processing in Computing Surveys 11 1 juin 1979 pp 139 181 SECHET P SISSOLOS base de donn es de sols du Br sil In Cahiers ORSTOM S rie P dologie vol XXI n 4 1984 1985 285 307 SECHET P Le projet SISGEO EMBRAPA Br sil tat d avancement In Traite ment des donn es localis es infographie ORSTOM Paris 1986 Coll amp S m ORSTOM 1986 SECHET P M thode d analyse structur e pour le d veloppement de logiciels In S minfor 1 Paris 1987 Coll amp S m ORSTOM 1988 pp 221 48 SECHET P MIRANDA J I amp ASSIS D S Numerizac o de dados cartogr fi cos relato de uma experi ncia In Simp sio Brasileiro de Sensoriamento Remoto 3 Rio de Janeiro RJ 1984 Anais SECHET P ASSIS D S ARAUJO A R amp SAROLDI M J Uso da inform tica no manuseio e na explorac o dos mapas de solos In Congresso Brasi leiro de Ci ncia do Solo 20 Bel m Pa 1985 Programa amp Resumos Bel m SBCS 1985 SECHET P LERISSON D amp SANTOS D T dos Implementac o da captac o de mapas poligonais usando mesa digitalizadora In Congresso Brasileiro de Defesa do Meio Ambiente 2 Rio de Janeiro RJ 1986 Anais Rio de Janeiro Clube de Engenharia 1986 pp 195 212 SECHET P MARTINS J F da S BELARMINO L C amp LOECK A E SISPRAGAS
118. AC LES TIF ITIL IDIIN ZFC IZ ZEE Z2 E KIE ETA ADE EZ DEBE TELO c Partition en 11 classes 1 Sigles des individus de la classe nusaro c 4501 cfe aff off ogo cci bai oa acf ach caf ada bad oga ato boa bao cod ost ath cee oie OV2 v2 CIRI FAL E m s ans 090 ac b o pha ahe ago acs acc ofp oja bga bes bea kor baf keo 09 FAZ IR2 4 331 bod acb bz asc ehf acg of che che age brb ath tee 40 ach odd cub bri ohg bob chb add che bbe bbe bhd thh abb ace ahi bef 455 cca bdo bga cbe ahg ahd cba aho cce bbb ade bah ada aby ait bob tho CRI MZ20 444444 4571 ata afd caa co cog act aan aad ahb hec bhb con ara 183 P gleete 21 YA re A rr 4581 Eni age 019 499 agf afo atb ae atc asp MI aeri nudis ura m a n 0 0 LD D Qr d e I PP rm ur v n v n UT UA D ard or yrP A a 4511 oo oif cab bti boo aco ath cad agg adi ace bof MI 4491 coh bha bgh bof bfh bic bib cod ach coe bee bhi boi bes bfe aoc acd cof bfd bdg IR0 CRO PT0 M art en mt an rm Mmm ee ee m 4521 apo aab bi amb Dii bfb bff bor aed ogg aeo aha bag 835 ege aih aec tic 09 mh ade og bgo bho bhc b
119. ALES ELEVACE 4 459 455 459 454 481 449 852 44g 454 1 i dessus arbre d la partition en 11 classes 157 ANNEXE Variables principales cod es par Dcodx EQUATEUR agriculture elevage 77 EQagrDcodx bornes pour le decoupage des variables le nombre des variables est 9 27 a 5 modalites dont les signes et bornes sont BVO 1 BV2 BV3 BV4 0 2 5 8 10 28 a 5 modalites dont les signes et bornes sont 000 001 002 OU3 004 0 2 5 8 10 29 a 4 modalites dont les signes et bornes sont PAO PAL PA2 PA3 0 3 7 10 30 a 4 modalites dont les signes et bornes sont 20 71 72 MZ3 0 3 7 10 31 4 modalites dont les signes et bornes sont CRO CRI CR2 0 3 7 10 32 2 modalites dont les signes et bornes sont 0 3 33 3 modalites dont les signes et bornes sont LFO 1 1 LF2 0 3 7 34 a 3 modalites dont les signes et bornes sont TRO TR2 0 3 7 35 a 4 modalites dont les signes et bornes sont IRO IRI IR2 IR3 0 3 7 10 159 A PROPOS DES CERRADOS DU BRESIL DE L INFORMATIQUE DE RECHERCHE AUX SYSTEMES D INFORMATION Philippe WANIEZ et G rard DANDOY RESUME Parmi les syst mes d information sur l environnement les Syst mes d Information G ographique SIG occupent une place particuli re Outils tr s lourds multiples usages ils r pondent g n ralement plus directement aux be soins des gestionnaires du territoire qu ceux des chercheurs Une de leurs caract ris
120. AR et les indications des touches fonc tions du pav num rique du micro ordinateur Au niveau de l informatisation des donn es le syst me ayant g n r les feuilles de collecte c est l image exacte de ces feuilles qui apparait sur l cran Les champs documenter sont parcourus dans le m me ordre que lors de la collecte Moyennant quoi l informatisation des donn es peut tre confi e l observateur de terrain Son travail s en trouve valoris et cela d charge d autant le responsable scientifique Mais comment faire coincider cette derni re facilit avec les imp ratifs de s curit La curiosit aidant l observateur peut tre tent de s int resser d autres t ches que la sienne Une fausse manoeuvre est vite faite Un registre cr de facon intempestive peut faire perdre un temps pr cieux Pour cela toutes les taches pr sentant un risque sont prot g es par un mot de passe connu du seul responsable de l exp rimentation 3 FONCTIONNEMENT PRATIQUE DE SISOND On consid re d abord ce fonctionnement vu sous l angle de chacun des trois utilisateurs possibles ensuite on montre comment SISOND suit pas pas les tapes de la r alisation d une exp rimentation neutronique 3 1 SISOND vu par chacun des utilisateurs possibles Le point de vue de chaque utilisateur est illustr par un diagramme de flux de donn es Chaque diagramme est divis verticalement en trois zones La partie gauche est r serv e l utilisat
121. B757 0 71 B767 I 1 1 I B767 2 0 1 2 3 4 5 12345678901234567890123456789012345678901234567890 548 1111 111 111111 1 11111 11 11111111111 1011111011 83241801081145109090222053582001452450062700103943 Fig 2 Fac simile d un extrait de sortie de synopsis 1 Chaque ligne correspond une variable et chaque colonne un enregis trement Pour le niveau unit la pr sence d une donn e est repr sent e par un point l intersection de la ligne et de la colonne qui lui correspondent Pour le niveau de sous unit c est la fr quence d apparition qui est repr sent e 253 L ATLAS DE QUITO METHODES INFORMATIQUES Marc SOURIS RESUME Nous pr sentons dans cet article un prototype de syst me d information g ographique pour la gestion et la planification urbaine dans ses principes comme dans son utilisation pour le projet d Atlas informatis de Quito actuellement en cours Le prototype est con u dans son syst me de gestion de donn es comme une extension du mod le relationnel la gestion des donn es localis es les SGBD n tant pas m me de manipuler des donn es de dimension deux nous avons d velopp des possibilit s de gestion tendant l alg bre relationnel aux donn es localis es restriction spatiale jointure spatiale projection spatiale Ces nouvelles op rations nous permettent de manipuler la localisation par des op ra tions alg briques ou logiques la carte consid r e comme r sultat fina
122. BRAPA est double l ossature principale est form e par un ensemble de vingt et un centres de produits implant s dans les r gions les plus favorables la pro duction et charg s de mener une recherche appliqu e un type d termin de culture v g tale riz soja coton bl etc ou d esp ce animale d levage vache laiti re ch vre ovin Chacun de ces centres est responsable et co ordinateur d un programme national de recherche aupr s duquel tout autre or ganisme universit par exemple peut proposer ses propres programmes de re cherche un financement 290 A Centre de produit db Canro ds ressources Entreprise ou unite d etat Services spaciaux Unit s temporaires Fig 1 Corte de situation des unit s de l EMBRAPA et du SCPA 291 une structuration g ographique est galement assur e par le biais de ses cinq centres de ressources responsables pour la recherche d une meilleure ad quation de l activit agricole aux conditions particuli res offertes par l environnement dans leur r gion physiographique d intervention Ces derniers centres maintiennent trois quipes de recherche distinctes une quipe d valuation des ressources naturelles de la r gion inventaire et caract risation un groupe charg de la recherche sur l exploitation de celles ci et une troisi me quipe responsable pour la recommandation des syst mes de production les mieux adapt s au milieu Qu
123. Base de donnees bio ecologiques Cles informatisees 29 Donn es Base de connaissances Poissons Routines l de calcu lt Syst Expert Mise jour Utilisateur terrain Fig 2 Schema d une base de connaissances sur les poissons deau douce couplee un S E 179 Bloc Strat gie Determine STRATEGIE Bloc Cle Groupe Determine GROUPE POISSON Bloc Bloc Bloc Bloc Bloc Alestes Brycinus Hydrocynus Lepidarchus Nain D termine ESPECE Display GROUPE POISSON Display GROUPE POISSON Display ESPECE Fig 3 Hierarchie des Blocs de contr le et textes de contr le Voir texte 180 groupe des Characid s nains Ce dernier n tant pas pris en compte et le genre Lepidarchus ne comportant qu une seule espace leurs blocs de contr le respectifs comportent qu un ordre d affichage mais pas d autre ordre d termine A titre d exemple pr sente le bloc le plus simple le bloc Hydrocynus qui comprend cing esp ces Le tableau 2 indique pour ce bloc 1 les para m tres qui y apparaissent pour la premi re fois 2 le nom des r gles de pro duction une par esp ce le texte de contr le du bloc qui indique le but et les actions effectuer S il existait un bloc descendant le dernier ordre dirait de passer la main un tel bloc establish 3 le nombre de fois o il faut par courir le bloc 4 le bloc parent 5 un interrupteur pour la remise en ordre permanente des
124. C est ce r f rentiel commun qui permet de comparer la localisation de toutes les donn es g ographiques d une m me base et ce faisant de choisir la projection g ographique servant galement la cartographie des r sultats obtenus La repr sentation graphique se fait d abord sur cran couleur de haute d finition 1100 900 pixels La capacit d affichage 256 couleurs sur 16 mil lions de possibilit s permet l utilisateur de composer son image comme il le souhaite Le syst me lui offre la possibilit de visuoliser les r sultats de ses re qu tes images th matiques donn es ponctuelles associ es des symboles contours r seaux noms et valeurs a le choix des couleurs et des trames il peut cr er modifier des palettes construire sa l gende rajouter des noms et des symboles Toutes ces op rations sont interactives et rendues tr s simples par l utilisation d une souris Toujours directement sur l cran le syst me offre l utilisateur des possibi lit s de calculs m triques distance entre deux points choisis sur l cran le long d une ligne bris e surface d un polygone d fini point par point Ainsi par exemple ayant d fini une fen tre d tude et fait tracer le contour des ilots dans cette fen tre un utilisateur peut savoir imm diatement la largeur d une voie la distance s parant tel lot de tel autre en passant par la voirie le long d un r seau vol d oiseau etc Le syst me en foncti
125. CTION 1 1 Pr sentation du contexte Dans le cadre du projet Atlas informatis de Quito il s agit d tablir comment pourraient tre utilis es les donn es exhaustives fournies par le recense ment national de population et logement afin de servir et aider le travail de la Municipalit premier utilisateur de la base d information urbaine Dans cette optique et pour un g ographe cela signifie entre autre tablir une m thode de traitement de ces variables qui permette tout la fois de r aliser une typologie de l espace urbain en vastes zones ou strates chelle du quartier ou du groupe de quartiers et de retourner ensuite des chelles plus fines l ilot par exemple Dans un autre sens il s agit aussi d tablir des postes th matiques g n raux et de pouvoir acc der facilement aux diff rents descriptifs initiaux Dans un premier temps il a tre choisi de se limiter l tude des donn es propres au logement et de construire une typologie de l espace urbain en fonction des caract ristiques de l habitat 262 La premi re phase du travail a consist voluer comment les outils de manipulation propos s par le syst me permettaient la mise en oeuvre d une telle d marche Ce sont les r flexions attach es cette premi re tape que l on expose ici 1 2 Abordage du syst me d information g ographique SIG Les donn es du recensement de 1982 portant sur le logement ont tre in t gr es au sein de la ba
126. Ces demandes portent toujours sur de faibles quantit s quelques dizaines d ann es La fr quence moyenne des demandes de cession recues par le Laboratoire d Hydrologie et d origine ext rieure l ORSTOM est de l ordre de deux par mois Ces demandes proviennent pour moiti d tudiants ou chercheurs pour moiti de Bureaux d Etudes frangais et trangers Ces demandes sont toujours satisfaites dans le cadre des limites indiqu es ci dessus et une simple compensa tion des frais informatiques engag s est exig e 6 MOYENS La gestion et l exploitation des deux banques sont faites par une quipe sp cialis e form e d un ing nieur et de deux techniciens alors que le d velop pement et la maintenance des logiciels de gestion HYDROM et PLUVIOM sont assur s par une autre quipe compos e d un ing nieur et de deux informaticiens Le co t global de la gestion est de l ordre de 100 000 FF par an hors personnel Cette somme comprend pour moiti les frais d utilisation du CNUSC et pour l autre moiti les frais d amortissement du mat riel du Laboratoire 59 CONCLUSION La banque de donn es hydropluviom triques du Laboratoire d Hydrologie constitue un syst me d information essentiel pour la communaut hydrologique amen e travailler dans la zone inter tropicale car il n a pas d quivalent Cet outil r sulte d une somme d efforts consid rables tant humains que financiers Efforts permanents et sans cesse renouvel s mai
127. Control text display p groupe poisson determine p h espece display p h espece Max instances Parent F CLE GROUP Dyn Rule Order FALSE DisposeWhenDone FALSE I ref it list PARAMETER P_H_ESPECE DisplayToParam ESPECE DetermineToParam PARAMETER P_GROUPE_POISSON DisplayToParam RULE R_HGOLIATH FCBToRules RULE R HFORSKALII FCBToRules RULE R_HVITTATUS FCBToRules RULE R_HBREVIS FCBToRules RULE R HTANZANIAE FCBToRules PARAMETER P H DENTS FCBToParams PARAMETER P H_ ESPECE FCBToParams FCB F_CLE_GROUP DesctoParent It ref me list FCB F_CLE_GROUP ParenttoDesc Tableau 2 Exemple de structure d un bloc de contr le dans ESE 182 RULES RULE R_HBREVIS Rule text IF p_h dents 12 and p h ecailles 3 THEN p h espece H brevis Owning FCBs FCB F STRATEGE FCB F CLE GROUP x FCB F HYDROCYNUS FCB F ALESTES FCB F BRYCINUS FCB F LEPIDARCHUS Rule type Inference ref it list PARAMETER P_H_ESPECE LHSPalnThen ECAILLES TestPalnPrem PARAMETER P_H_DENTS TestPalnPrem It ref me list FCB F_HYDROCYNUS FCBToRules Tableau 3 Exemple de structure d une r gle dans ESE 183 Au niveau de ceux ci la r alisation de bases de donn es individuelles pour usage personnel est courante Une politique de relative standardisation et de mise en place de bases de connaissances r gionales g r es ou non par des syst mes experts augmenterait les contacts transv
128. DAAFS lt Base de donn es a images fa 53 ro fo os 5 2 Sous scene Extraire une sous sc ne Base de donn es Catalogue Fig 8 DFD fonction 3 Extraire les sous sc nes 225 CONCLUSION Le syst me pr sent a pour but d offrir tous les centres du SCPA un ac aux informations et des orientations sur le traitement num rique d images c est un des objectifs majeurs poursuivis par SISIMAGEM Les progiciels actuelle ment disponibles pour le traitement d images seront utilis s avec la finalit de mettre en place des facilit s qui permettent de g rer les informations sur les images disponibles l EMBRAPA et dans d autres organismes d orienter les chercheurs propos de l utilisation des images de satel lites dans des buts bien sp cifiques que ces m mes chercheurs puissent op rer des traitements d images simples tant au niveau du module central en utilisant le RAMTEK accoupl 4 l ordinateur IBM 4381 comme au niveau du module local op rationnel sur micro ordinateur PC compatible disposant d une carte graphique Comme module partiel de SISGEO SISIMAGEM pourra atteindre pr s de soixante institutions de recherche agronomique dans le pays et pourra ainsi ra pidement conduire la formation de chercheurs capables d utiliser la t l d tec tion comme un outil d aide aux tudes sur l environnement l inventaire er l exploitation rationnelle des r
129. DE L ILOT 052 FOSSE SEPTIQUE EUS3 SANS SHYI lt SHY4 1 VARIASLES EGUIPENENT EM 25SITAIRES 3 4 2 3 3 4 2 3 1 2 LATRINES LATRINES L 1 4 SANS L 1 3 SAKSI b 1 2 sans 173 L 1 3 3 4 L 1 4 ANSI f t 1 3 L 2 3 sans 1 4 L 3 4 2 3 SANS f 1 3 L 2 3 SANS 2 3 SAHS 1 1 LATRINES LATRINES LATAINES L 1 4 SANsI 2 3 L 1 3 SANSI 2 3 L 1 3 sans L 1 3 sans L 2 3 SANS L 172 5 51 LATRIHES L 1 4 SANS 374 213 374 374 1 3 1 3 1 2 3 4 3 4 2 3 2 3 1 2 1 3 2 3 1 3 SANS SANS 1 1 3 1 3 SANS 3 4 1 4 SANs 1 I 1 3 b 1 3 54151 172 L 1 2 Sans EDIFICE C lli L A CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO wis 500 EQUIPEMENT APPROVISTONNEMENT EN EAU EYACUATION DES EAUX USEES SANITAIRES e a mw C 4022 0 v DUM DE LOGEMENIS PAR ILOT TYPE SOUS EQUIPEMENT APPROVISIBNNEMENT EVACUATION SANITAIRES EN EAU DES EAUX USEES DOG R P Hors Edifice FOSSE SEPTIQUE LATRINES CAMION CITERNE SANS SYSTEME SANS SANITAIRES PUITS FONTAINE RIVIERE RUISSEAU 4 qiti SOURCE 50 DE POBLACION Y VIVIENDA 1982 AIRE URBAINE DE LA PAROISSE DE QUITO EQUAT
130. E ainsi que les diff rents modules d introduction et de modification de donn es constitue d s lors un syst me d information qui devra nous permettre de r pondre aux objectifs scientifiques du programme de recherche sur Quito Les d veloppements informatiques venir iront dans trois directions faciliter la gestion urbaine en produisant information et simulation en fonction des demandes manant essentiellement de la Mairie de Quito int grer et g rer de nouvelles sources de donn es comme les photo graphies a riennes en utilisant si besoin est de nouveaux moyens de stockage comme les CD ROM rechercher des m thodes d actualisation pour les donn es graphiques 6 LA CONFIGURATION MATERIELLE Fonctionnalit s des logiciels et possibilit s des mat riels sont troitement li es Pour assurer leur coh rence le programme n cessite une configuration in formatique qui doit r pondre plusieurs crit res poss der suffisamment de puissance pour g rer un important volume de donn es traiter la localisation manipuler des images avoir un environnement graphique performant cran couleur de haute r solution p riph riques graphiques classiques d centraliser la saisie graphique sur des postes autonomes De plus l quipement doit tre d un co t total permettant son investisse ment rapide aussi bien pour l Orstom que pour nos partenaires Face ces coniraintes nous avons compos une configur
131. ETALONNAGE BU SOL amp talonnage du sol Responsable scientifique Hot de i Description du protocole exp rimental FL PROTOCOLE EXPERIMENTAL Hot de passe a Cr ation de fF DONNEES BRUTES registres Fig 3 Diagramme de flot de donn es de SISOND Point de vue du responsable de Il exp rimentation 73 tiques de sonde est modifi en cons quence Chaque fois qu une sonde est cali br e on cr e un registre dans le fichier de calibrage ad quat on imprime la feuille de collecte correspondante et quand le travail est termin on grave les r sultats des mesures Le programme n permet pour une exp rimentation donn e l criture des coefficients d talonnage du sol talonnage empirique ou chimique L utilisateur indique le nom de l exp rience le type d talonnage et s il s agit d un talonnage unique pour tous les tubes informatise ensuite ces coefficients horizon par horizon en donnant les limites de chacun d eux Le programme cal cule et grave les coefficients par niveau de mesure Dans le programme n 1 sont d crites les exp rimentations c est dire que pour les num ros d exp rimentation choisis sont communiqu s la date initiale le nombre de tubes le nom de l exp rimentation puis par tube le nombre de r p titions et les niveaux de mesure Ces informations sont ensuite stock es dans le fichier de description de protocoles exp rimentaux En utilisant le
132. EUR DEFICIENCE EN EQUIPEMENTS 1 DEFICIENCE EN EQUIPEMENTS 2 EQUIPEMENTS DE SUBSTITUTION 1 EQUIPEMENTS DE SUBSTITUTION 2 EQUIPEMENTS DE SUBSTITUTION 3 HORS DU SOUS EQUIPEMENT PUBLIC 274 Cette r partition appara t pourtant peu satisfaisante Elle ne donne pas une zone tr s homog ne en comparaison aux trois cartes partielles Elle limine un certain nombre de cas interm diaires Par exemple sont masqu s les flots avec une proportion importante pour les variables eau par camion citerne et fosse septique sans la pr sence des variables relevant du sous quipement sani taires appara t int ressant une fois mise en valeur cette premi re zonification qui repr sente en quelque sorte la partie pure du type sous quipement d essayer de d gager les formes secondaires donc tre tent de r aliser directement la combinaison des huit va riables de sous quipement en une seule fois Le fichier descriptif devient plus complexe le nombre de combinaisons atteint le chiffre de 104 Il eut tre difficile de r aliser une quelconque organisation de ce fichier descriptif sans la connaissance acquise dux tapes ant rieures Les pr c dentes manipulations ont donc permis de simplifier l inlormation dans un premier temps puis de psu peu compl xifier l analyse Des combinaisons de modalil s carte 7 d abord vacu es permettent de mieux d finir les limites et les po
133. Ensuite il d cide du rythme des mesures et des dates de col lecte avec le programme N 2 Ces deux t ches sont prot g es par le mot de passe Responsable des mesures de terrain 128 SISBIO V2 DONNEES BRUTES 2 Impression Feujlles de collecte des feuilles i de collecte vierges DONNEES RAUTES Feuilles de 3 collecte ou rapport de critique Programme de saisie et correction F21 DONNEES BRUTES a Programme de critique Rapport des donn es d critique 9 3 Diagramme de flot de donn es de SISBIO Point de vue de l observateur de terrain 129 SISBIO programme de saisie Donn es SISBIO Brutes programme de SISBIO I pr traitement Donn es Elabor es LOTUS programme de critique graphique Critique grarhique programme de traitement LOTUS Gnaphiques et calculs Fig d Sch ma g n ral de traitement des donn es 130 Le responsable des mesures est charg de toutes les t ches de routines Chaque fois que le responsable scientifique pr voit une collecte de donn es il r alise les op rations suivantes avec le programme 2 il imprime les feuilles de collecte qui servi ront de support amp son travail de terrain apr s chaque collecte il proc de l informatisation des donn es l aide du programme 3 A intervalles r guliers il proc de au contr le des donn es en proc dant
134. FICHIER CARTOGRAPHIQUE DE TYPE CONTOUR 591 9299 Stations pluviometriques du Burkina Faso 10 2 8 2 1 30 13 DD degre dec 9 00 5 00 BMERCATOR EQUIDISTANTE DIRECTE EN TETES 0 12742000005 09 0 0000000000 00 0 0000000000E 00 0 5500000000 01 0 2800000000 01 0 9300000000E 01 0 1550000000E 02 OUAGADOUGOU AERO ARIBINDA BAGASSI BAGUERA TOURCOING BANFORA AGRICULTURE BARABOULE BATIE BEREBA BOHBOROKUY COORDONNEES ET CARACTERISTIQUES BE CHAQUE POINT EXEMPLE DE FICHIER CARTOGRAPHIQUE DE TYPE POINT FTS92 FIG 2 Fichiers Cartographiques Fichiers de travail standard 281 r solution associ e chaque sous contour choisi pourcentage de points s lectionn s projection g ographique et param tres associ s L ensemble de ces param tres est modifiable et visible chaque instant De plus l utilisateur peut m moriser ses choix dans un fichier profil permettant ainsi un travail plus rapide au cours d une session ult rieure Les donn es extraites sont stock es dans des fichiers interm diaires 2 2 Fonction Visualisation Ce module utilisant des routines graphiques propres Apollo permet de visualiser les contours extraits voir exemple sur figure 4 Par ailleurs il est pos sible de superposer ces contours des donn es cartographiques de type point villes stations de mesure stock es dans un fichier FTS92 Ceci permet de comparer des donn es g ographiques d o
135. GIP RECLUS MAISON DE LA GEOGRAPHIE 17 RUE ABBE DE L EPEE 34000 MONTPELLIER FRANCE Monsieur WINTER G rard ORSTOM 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE INDEX PAR AUTEUR 361 INDEX PAR AUTEUR ASSAD E 211 AUBRY A M 241 BEAUDOU A 331 BELARMINO L C 79 BOYER J F 37 CAMBREZY L 319 CARDON D 61 119 COCHONNEAU G 287 COURET D 261 CRESPY A 37 DAGORNE D 227 DANDOY G 159 205 DELCLAUX F 277 FRESNEDA P S V 287 GUISCAFRE J 37 HOUNDAGBA C J 241 JACCON G 49 JUNIOR S R 211 LARDY M 91 LAWIRA C 277 LECHAUVE J J 111 LEMARTRET H 331 LOECK A E 79 LOINTIER M 187 LORTIC 101 MACEDO J 211 MARTIN J Y 117 MARTINS J F da S 79 MULLON C 17 PAMBRUN C 91 RAOUS P 37 RAMBAUD D 349 REMY D 135 RENAUD P 17 RICHARD J F 241 SANTOS D T dos 211 SECHET P 79 201 241 287 SOURIS M 135 253 THO DE MORAIS L 173 TABBAGH 1 91 THOMASSIN M M 141 TRAVAGLIO M 49 WANIEZ P 159 WINTER G 9 ORSTOM Editeur D p t l gal ao t 1990 Impression ORSTOM BONDY ISSN 0767 2896 ISBN 2 7099 1006 3 Photographie de couverture Editions de l ORSTOM clich Patrick S chet 72 route d Aulnay D tail d un appareil rudimentaire de saisie F 93143 BOND Y C dex de documents cartographiques 1982
136. INEC digitalisation de ces modifications et changement des cl s v rification et correction d cembre avril 1989 Disposant des donn es par individu chaque variable a t somm e par ilot pour un certain nombre de ses modalit s le r sultat devenant un attribut sur 259 donn es sur les activit s en rez de chauss e partir du recensement effectu 1987 Chaque c t d ilot a t r pertori et un point saisi pour loca liser les activit s s y trouvant 35 000 points localis s sur les plans au 1 2 000 et saisis mai juillet 1989 quipements de sant par point tablissements d enseignement par point banques entreprises h tels loisirs g ologie et usage du sol sur l aire m tropolitaine avril 1989 divers autres d coupages de la ville secteurs quartiers juin 1989 permettant apr s des op rations d agr gation par exemple la moyenne par secteur de la densit de population de chaque ilot du secteur de repr senter un ph nom ne dans divers d coupages d chelles diff rentes est en cours de saisie l ensemble des points cot s donnant l altitude dans la ville peu pr s un point par croisement de rues ainsi que les courbes de niveaux 10 m tres sur l aire m tropolitaine le dessin du r seau d gout est en cours de pr paration ainsi que l laboration des donn es par tron on Idem pour le r seau d adduction d eau L ensemble SAVANE MYGALE TIGR
137. ISFITO pour administrer les donn es des collections bo taniques et la phytog ographie SISECSO pour g rer les informations de socio conomie au niveau de la commune SISHIDRO pour manipuler les donn es qui se r f rent aux ressources hydriques et SISPRAGAS pour cataloguer les informa tions phytosanitaires lls comprennent un premier module qui utilise les quipements informatiques disponibles dans les centres micro ordinateurs PC compatibles permettant la constitution de bases de donn es locales et leur exploitation en vue d tudes de port e r gionale Un deuxi me module d velopp sur les ordinateurs centraux 288 de l EMBRAPA doit garantir le partage l int grit et la s curit des donn es tout en permettant l utilisation de moyens d analyse plus complets et la r alisation d tudes de port e nationale A c t de ces syst mes th matiques SISGEO pr voit l laboration de sys t mes transversaux SISMAPAS et SISIMAGEM qui permettront d exploiter la g ocodification ainsi que la mise jour permanente que la t l d tection rend possible SIS MAPAS comprend un premier module de saisie de donn es carto graphiques tandis que SISIMAGEM pr voit un module de traitement des images de satellites en vue de leur int gration dans les bases de SISGEO Ces deux lo giciels comprendront un second module de lormation de bases de donn es centrales Le partage et l utilisation compos e de toutes ces informations ser
138. IT PUITS 13 4 PUITS l kee 1 ied A PVO 1 4 1 4 1 4 1 4 1 4 3 4 3 4 3 4 3 4 3 4 I I I HORS DU TYPE SOUS EQUIPEHENT I t t SANS SANS SAHS TAHS SANS 1 4 3 4 SAWS 1 4 344 SANSI BM 2 1 4 F 3 4 1 4 3 4 SANS 1 4 3 4 3 2 F 1 2 ShUS 1 2 f 1 2 SANS ECUIPEMENT DE SUBSTITUTION 1 3 4 F 3 4 F 2 3 3 4 3 4 1 4 3 35 3 4 1 4 SANS Seraesenastes o 1 4 1 8 173 174 SANS t SANS SANS SANS EQUIPEMENT DE SUBSTITUTION 2 3 4 F 1 4 SANSI 2 3 F 1 3 sans 3 4 1 4 S WsI 1 2 1 2 SANS 1 2 v 1 2 sans 1 2 F 1 2 SANSt 1 2 1 2 SANSI 1 2 F 1 2 SANS 2 3 1 3 SANS 1 2 F 1 2 SANSE 2 4 1 4 34451 3 4 F 1 4 SANS 1 2 F 1 2 SAS 1 EQUIPEMENT DE SUBSTITUTION 3 14 5 1 5 1425 1 5 3 4 F 1 4 ShHSI 1 2 1 2 SANS amp k V AUS 4 5 3 lt VARIABLES EAUX DESCRIPTIVES DU SOUS EQUIP HENT GE LOGEMENTS DE 191107 AUG CAMION CITZRME LAUS PUITS FONTAIHE AUS RIVIERE gu RUISSEAU BAUS RCSEAU PUBLIC EUSI EUS2 VARIABLES EVACUATICN DES EAUX USKTS E LOCEMENTS
139. ITALI imb SER Pi caputer TRACEUR DI COURIES IS ISIMAGEM Module Local IHPRIHANT GRAPHIQUE NONITEUR TABLE DIGITALI TARCEUR DE COURBES du syst me SISIMAGEM 217 Les moyens mat riels actuellement disponibles sont ordinateur central IBM 4381 avec un moniteur couleur RAMTEK RM 9300 quipement graphique digital d une r solution de 512 lignes x 640 l ments deux tables digitaliser de format AO un traceur de courbe de grande dimension un traceur de courbe de petite dimension deux micro ordinateurs PC XT de 640 Kbytes de m moire principal et disque Winchester de 30 Mbytes dont un poss dant une plaque sp ciale SITIM deux imprimantes graphiques les moyens en logiciel actuellement disponibles sont HLIPS DMAPS SITIM et TIMOR comme logiciels de traitement d images SQL SRI DIALOG SGI et TurboAccess comme logiciels gestion naires de bases de donn es PSE et ESE comme logiciels d intelligence artificielle SOC et SAS comme logiciels de traitement statistique Cobol Fortran TurboPascal Turbo C Turbo Prolog et Dialog IV Plus comme langages de programmation CSP MOSAICO DFD MOSAICO DEM et DIALOG GER comme outils de g nie logiciel Etant donn d une part la disponibilit actuelle de progiciels d j satisfai sants utilisables sur micro ordinateur type SITIM ou SGI et d autre part le fait
140. J P 1989 Projet pour la mise en place d un r seau de Recherche sur la repr sentation et le traitement de l information G ographique IG Multigraph MGM Monipellier DANDOY G 1986 Textes r unis par Traitement des Donn es Localis es L Infographie l ORSTOM Colloques et S minaires Ed ORSTOM DANGERMOND J 1985 Les Syst mes d information G ographique Bulletin CFC n 96 MANGIN A 1988 Enqu te sur les Syst mes d Information G ographique Ser vice de Consultance en Observation de la Terre SCOT CNES TOULOUSE Y r 211 SISIMAGEM UNE PHILOSOPHIE D UTILISATION DE LA TELEDETECTION A L EMBRAPA Eduardo D ASSAD Jamil MACEDO Deusdeth T dos SANTOS amp Severiano R JUNIOR RESUME SISIMAGEM syst me de traitement num rique d images de t l d fection est l un des sous syst mes de SISGEO syst me d information g ogra phique vocation agricole de l EMBRAPA Son objectif est d offrir ses utilisa teurs des fonctionnalit s qui les aident exploiter les images de satellites les quelles fournissent un ensemble de donn es utilis es dans les tudes de ressources naturelles depuis leur acquisition jusqu la sortie et l interpr tation des r sultats du traitement l s agit d un ensemble de moyens informatiques mis au point pour rendre op rationnelles et syst matiques toutes les tapes de l utilisation du traite ment d images dans la recherche agronomique tant pour l ident
141. L Brodie Future Intelligent Information Systems Al and DataBase Technologies Working Together Readings in Artificial Intelligence and Databases 1988 probl matique des syst mes d information sur l environnement peut ainsi donner lieu la mise en place de collaborations de recherche entre l ORSTOM avec sa vocation multidisciplinaire sa connaissance du terrain et la richesse de ses donn es et les organismes de recherche en informatique dans le domaine des bases de donn es objet mais aussi dans ceux des bases de donn es d ductives et des mod les connexionnistes d apprentissage REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ADIBA M et alii 1987 Le PRC Bases de donn es BD3 Techniques et sciences informatiques Vol 6 n 5 498 505 ABITEBOUL S amp GRUMBACH 5 1987 Bases de donn es objets structur s Techniques et sciences informatiques Vol 6 n 5 382 404 BAILLY C CHALINE J F FERRI H C GLOES amp MARCHESIN 1987 Les langages orient s objet Cepadues Editions BANCILHON amp ROMAKRISHNAN R 1989 An Amateur s Introduction to Recursive Query Processing Strategies in Readings in Artificial Intelligence and Databases J Mylopoulos et M L Bordie editors Morgan Kaufman pp 376 431 MASINI G NAPOLI A COLNET D LEONARD D amp TOMBRE K 1990 Les langages 4 objets Inter ditions GARDARIN G amp VALDURIEZ P 1990 SGBD avanc s bases de donn es o
142. LE DES DEUX EQUIPEMENTS DOMINANCE RACCORDEMENT AU RESEAU D EGOUT PRESENCE CONJOINTE EGALE DES DEUX EQUIPEMENTS R KR R YR X VARRO ON XXE EASIER AU ERR RR ABSENCE OU PRESENCE DISJOINTE PRESENCE SEULE RACCORDEMENT AU RESEAU D EAU PRESENCE SEULE RACCORDEMENT AU RESEAU D EGCUT ABSENCE DES DEUX EQUIPEMENTS Kk e e e ee ede dee enden de de dee KOR R x x A 266 CARTE 1 CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO messe DOC er tom ung oie ee 42 Ta gt 0 t w t ne w n p e a gt b n 0 Ra vea ve Po ow 7 oa 0 4 v serrer NN EQUIPEMENT DOC APPROVISIONNEMENT EN EAU EVACUATION DES EAUX USEES 2 DE LOGEMENTS ILOT po APPROVISIONNEMENT EH EAU Es RESEAU PUBLIC BRANCHEMENT INDIVIDUEL Site L Y gt E EVACUATION DES EAUX USEES E u 7 RESEAU PUBLIC DES EGOUTS g LA E ZA cem INN z eee SOURCE CENSU DE POBLACION Y VIVIENDA INEC 1982 Sa md 007 Om e CNS EOS AIRE URBAINE DE LA PAROISSE DE QUITO EQUATEUR PRESENCE CONJGINTE EGALE DISJOINTE 87 102 RACCORDEMENT AU RESEAU D EAU NJ 24 t6 143 NS 10334
143. LE PROJET HAPEX VUE D ENSEMBLE Figure 3 teurs de Lemp rature et banae altitude relev s botaniques LE PROJET HAPEX DISPOSITIF EXPERIMENTAL Figure 4 26 2 21 Volume des donn es En premi re estimation l ensemble des donn es recueillies serait d environ 1000 bandes magn tiques de densit 6250 bpi ce qui repr sente un total de 30 milliards d octets 2 22 Origine des donn es La multidisciplinarit d un projet comme HAPEX se traduit dans la diversit de la forme des donn es Les hydrologues les climatologues les p dologues les g ologues les botanistes ont tous une pratique du traitement des donn es qui leur est propre et ont d fini des modes de structuration de l information pertinents pour leur probl matique propre 2 23 Forme des donn es l faut noter galement que la diversit des chelles employ es pour recueillir des donn es se traduit galement au niveau de leur structuration Cette diversit est particuli rement impressionnante dans HAPEX figure 5 On note des mesures de ph nom nes aux chelles suivantes chelle du globe et sur une longue dur e mod les climatologiques images des satellites m t orologiques chelle du pays cartes p dologiques cartes du couvert v g tal chelle du bassin versant mod les hydrologiques chelle ponctuelle coupes p dologiques chelle mol culaire mod les d quilibre chimique 2 24 Utilisat
144. LOGIE 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND BP 5045 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE Monsieur REMY Dominique ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur RENAUD Pascal ORSTOM 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE Monsieur SCHWARTZ Andr ORSTOM LABORATOIRE DES SCIENCES SOCIALES 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur SECHET Patrick EMBRAPA SEDE DIN DDS CAIXA POSTAL 04 0315 70770 BRASILIA DF BRESIL Monsieur SONDAG Francis ORSTOM 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur SOURIS Marc MISSION ORSTOM RUSIA NO 220 Y SHYRIS AP 6596 CCI QUITO EQUATEUR Madame THOMASSIN Marie Madeleine 118 BIS RUE GAMBETTA 94120 FONTENAY SOUS BOIS FRANCE Monsieur TITO DE MORAIS ORSTOM LABORATOIRE D HYDROBIOLOGIE BP 165 97323 CAYENNE GUYANE FRANCE Monsieur TRAVAGLIO Michel ORSTOM LABORATOIRE D HYDROLOGIE 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND BP 5045 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE Monsieur TREUIL Jean Pierre ORSTOM SIG 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE 358 Monsieur VAUGELADE Jacques ORSTOM BP 182 OUAGADOUGOU BURKINA FASO Madame VERNEUIL Marie Paule ORSTOM UNITE DE CARTOGRAPHIE 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur VERNEUIL Pierre ORSTOM DEPARTEMENT SDU 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur VIZCONDE Miguel Angel INEGI 11 PONIENTE 1711 PUEBLA PUE MEXIQUE Monsieur WANIEZ Philippe ANTENNE ORSTOM AUPRES DU
145. M K k kk d d l l 1 1 1 265 T de d de d K te de EEEE H H H tEUS1 de k W k de k k k k k n 1 33 34 66 doo ede de e dene de d d e n x DIRECT AU RESEAU PUBLIC D EAU POTABLE RESEAU D EGOUTS MUNICIPAL Ae e e kkh te dt e de d d X surf surf tot dt e de fef e deo de de de d IR 24 70 17 27 02 06 05 37 04 48 t 03 91 00 5 t t deese n f o ev fe tdeo fede eoe k e d d dex 59 93 4 gor d k k k d x i i j l l R d dede K de Ne o x x tEAUL H de H H F d deiode 67 A 100 34 A 66 1 A 33 dededede de e n dx 34 66 t 1A 33 e Ve fe x ft k k e f x k k k H 33 0 932232221522 S 0 Y k w xx K K f k k k k k k k Wo ee e IM DE LOGEMENTS DE L ILOT DISPOSANT D UN ACCES AU DESCRIPTIF ORDONNE CORRESPONDANT A LA CARTE 1 kc H e dede e e eh H d 6051 CPR eee CRASS e k k e 67 A 100 34 A 66 33 k e ee de R f kk k kk d n 67 A 100 34 66 w w k k k H k k k H k k H 0 5 1 33 k K K H K EEEE EEEE 0 ft k kk k kf k kk k FICHIER DESCRIPTIF ORDONNE CORRESPONDANT A LA CARTE 2 RUN x de i 3e 3e fe he efe dee kf SSA SE surf surf tot tEAUL ROR de o H XN XX IZARRZEZISISEZRERERE 29 18 t l I 17 2
146. NT APPROVISIONNEMENT EN EAU EVACUATION DES EAUX USEES DE LOGEMENTS PAR ILOT APPROVISIONHEMENT EN EAU RESEAU PUBLIC BRANCHEMENT INDIVIDUEL Poa EVACUATION DES EAUX USEES 22 RESEAU PUBLIC DES ECOUTS L 2 ee SOURCE CENSO DE POBLACION Y VIVIENDA INEC 1982 AIRE URBAINE DE LA PAROISSE DE QUITO EQUATEUR PRESENCE CONJOINTE ABSERCE OU PRESENCE DISIGINTE 34 1633 EAU RP 67 193 Z ECOUT RP DES DEUX EQUIPEMENTS 14 66 X EAU RP 54 66 EGOUT RP 33 EAU RP 1 33 X RP 269 camion citerne ruisseau ou rivi re vacuation des eaux us es sans syst me fosse septique quipements en sanitaires latrines sans sanitaires Ce sont donc huit variables qu il faut ici traiter conjointement Pour construire la r flexion il a d abord tre choisi de travailler par quipement eau vacuation des eaux us es quipement en sanitaires Le processus de traitement est le m me que celui expos pour la premi re application L analyse spatiale et th matique a abouti hi rarchiser entre elles les va riables descriptives d un m me quipement conserver certaines combinaisons et en liminer d autres jug es non repr sentatives tant du point de vue des va leurs de modalit s auxquelles elles correspondaient que du point de vue de leur localisation spatiale carte 3 Repr sentation simultan e
147. P 5045 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE 356 Monsieur MOUGENOT Bernard ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur MULLON Christian ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur PAUGY Didier ORSTOM AUPRES DU MUSEUM D HISTOIRE NATURELLE LABORATOIRE D ICHTYOLOGIE 43 RUE CUVIER 75231 PARIS CEDEX 05 FRANCE Madame PELLETIER Francoise ORSTOM UNITE D INFOGRAPHIE 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur PELTRE Pierre ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Madame PENNARUN Jeannine ORSTOM 70 74 ROUTE D AULINAY 93140 BONDY FRANCE Madame PERRIER Edith ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur PICHON Gaston ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur PION Jean Claude INSTITUT DE GEOLOGIE 1 RUE BLESSIG 67000 STRASBOURG FRANCE Madame PONCET Yveline ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur POUGET Jean Christophe ORSTOM BP 1020 97178 POINTE A PITRE GUADELOUPE FRANCE Monsieur POUGET Marcel ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur POUYAUD Bernard ORSTOM DEPARTEMENT DEC 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE 357 Monsieur PRAT Christian ORSTOM LFS 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur RAMBAUD Dominique ORSTOM 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur RAOUS Patrick ORSTOM LABORATOIRE D HYDRO
148. PEMENT APPROY ISTONNEMENT EN EAU EVACUATION DES EAUX USEES SANITAIRES DE LOGEMENTS PAR ILOT TYPE SOUS EQUIPEMENT APPROVISIONNEMENT EVACUATION SANITAIRES EN EAU DES EAUX USEES R P Hore Edifice FOSSE SEPTIQUE LATRINES CAMIUN CITERNE SANS SYSTEME SANS SAMITAIRES PUITS FONTAINE RIVIERE RUISSEAU SOURCE CENSO DE POBLACION Y VIVIENDA INEC 1982 AIRE URBAINE DE LA PAROISSE DE QUITO EQUATEUR PRESENCE EAU RESEAU PUBLIC HORS EDIFICE SUBSTITUTS et SANS EQUIPT EQUIPES EQUIPES et SANS EQUIPT SUSSTITUTS EQUIPES et SANS EQUIPEMENT 1 SUBSTITUTS C CIT F SEPT LAT SANS EQUIPT EQUIPES a EQUIPES st SANS EQUIPEMENT LEE HORS DU TYPE SOUS EQUIPEMENT 276 Cependant la r organisation du fichier descriptif est d une ex cution diffi cile La m thode d ordonnancement qui consiste rapprocher les lignes qui se ressemblent g n ralement en s appuyant sur une ou deux variables jug es prin cipales camion citerne par exemple reste une technique peu labor e Elle lie trop troitement analyse des valeurs des variables et interpr tation personnelle de l utilisateur Pour rendre plus efficace ce jeu carte fichier descriptif il est n cessaire d envisager un outil plus rigoureux Un traitement int grant l usage de la matrice BERTIN comme m thode d organisation du fichier descriptif est actuelle ment en cours et donne des r sultats satisfaisants Elle consiste r aliser une analyse multivari
149. RDY avec la collaboration de C ARCHAMBAULT J P EISSEN P MAILLET MONZIER TABBAGH RESUME Le volcanisme tient un r le primordial dans l volution de notre pla n fe on estime qu il dissipe environ le tiers de l nergie thermique du globe y compris le volcanisme des dorsales Beaucoup de pays en voie de d veloppement sont soumis aux risques g ologiques majeurs et notamment aux risques volcaniques Depuis 1985 du d partement TOA entam avec des parte naires francais CNET PIRPSEV CNRS IPG P Universit de Paris VII des collabo rations pour l tude de la pr vision et de la surveillance des ruptions volca niques en vue d apporter sa contribution la r duction des risques volcaniques dans les pays en voie de d veloppement Des mat riels simples et fiables ont t implant s sur deux volcans labora toires Matthew 1986 Hunter 1988 situ s dans le SO Pacifique Ces outils en ti rement automatiques effectuent des mesures m t orologiques thermiques et sis mologiques quotidiennes transmises par voie satellitaire Ces donn es sont ex ploit es de diff rentes fa ons apr s leur mise disposition au centre CLS de Toulouse Argos pr lev es automatiquement chaque jour via le r seau TRANSPAC depuis le centre de Noum a apr s une rapide analyse l observateur com mande d ventuels trac s variation de temp rature de pression histogramme de sismicit On envi
150. RE Jean Francois BOYER amp Anne CRESPY 37 La base de donn es hydropluviom triques du Laboratoire d hydrologie Gilbert JACCON amp Michel TRAVAGLIO 49 SISOND une conception de l informatique mise au service de l usager Daniel CARDON 61 SISPRAGAS un abordage de syst me d information pour le contr le des insectes phytophages Patrick SECHET Jos MARTINS Luiz BELARMINO amp Alci LOECK 79 Acquisition traitement et transmission de donn es de volcanologie J TABBAGH C PAMBRUN amp M LARDY 91 Int gration d imagerie satellitaire dans un syst me d information g ogra phique Bernard LORTIC 101 Compte rendu du rapporteur de session 111 Deuxi me session de la donn e l information aide l interpr tation animateur Jean Yves Martin rapporteur Patrick S chet Expos introductif de l animateur de session 117 Utilisation de l informatique dans la gestion et le traitement de donn es biologiques Daniel CARDON 119 Mod les num riques de terrain le logiciel BABEL Marc SOURIS amp Dominique REMY 135 Cartographie synth tique sur Maclntosh d un ensemble de variables r gio nalis es par un logiciel int gr d analyse factorielle de correspondances de clas sification et de cartographie automatiques Application la r gionalisation agri cole de la Sierra quatorienne Marie Madeleine THOMASSIN 141 A propos des cerrados du Br sil de l informatique de recherche aux sys t mes
151. S SASS N N SN SS WN re ene N SN SS SS y lt 5 X EX CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO TYPE SOUS EQUIPEMENT EVACUATION DES EAUX USEES DE LOGEMENTS DE L 67 105 SANS SYSTEME 57 1284 SANS SYSTEME 1 33 FOSSE SEPTIQUE 94 55 SANS SYSTEME 34 661 FOSSE SEPTIQUE 1 23 SANS SYSTEME 24 66 F SSE SEPTIQUE 94 58 SANS SYSTEME 87 1585 FOSSE SEPTIQUE 1 33 SANS SYSTEME 67 1083 FOSSE SEPTIQUE 67 1083 FOSSE SEPTIQUE SOURCE CENSO DE POBLACION Y VIVIENDA INED 1952 AIRE URBAIKE DE LA PAROISSE DE QUITO EQUATEUR CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO 5005 EQUIPEMENT APPROVISIONNEMENT EN EAU DE LOGEMENTS DE L ILOT S4 B5 CEIT t 15x PUTTS FT R P Hora EDIFICE 67 1882 C CIT ET 1 153 Hors EDIFICE 34 662 C CIT 16 33 PUITS 67 100 1 7 RIVIERE 67 1883 C CIT 1 15 PUITS 67 1883 C CIT 1 15X PUITS 1 73 RIVIERE 87 1883 CAMION CITERNE SOURCE CENSO DE POBLACION Y VIVIENDA INEC 1982 AIRE URBAINE DE L PAROISSE OE QUITO EQUATEUR 271 CARTE 5 CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO ess clc e SE SOUS EQUIPEMENT SR 52 SANITAIRES ee NS SSS iim L CE NNN IRC EN 52 X DE LOGEMENIS DE L ILOT LATRINES A
152. SOLOS SISFITO HOD LOCAL SISFITO S1550L05 A CAL EH AS Pn m amp m m t SISCLIHA HOD CEHTRAL S15HIDR HOD LOCAL SISECSO HOD LOCAL SISHISRO H0D LOCAL 515 50 HOD LOCAL SISPRAGAS LOCAL SISFITO CEHTRAL j SISPRAGAS SISSOLOS HOD CENTRAL T S RAL gemi mm SISCLINA HOD LOCAL SISCLIHA HOD LOCAL SISHIDRO MOD CENTRAL SISECSO HOD CENTRAL SISTITO HOD LOCAL 813 010 HOD LOCAL SISSOLOS LOCAL SISPRAGAS HOD CENTRAL SISHIDRO NOD LOCAL SISECSO HOB LOCAL 515 1930 HOD LOCAL 815 0 HOD LOCAL SISPRAGAS HOD LOCAL SISPRAGAS NOD LOCAL Fig 1 Structure du syst me SISGEQ 215 Ainsi SISIMAGEM Syst me de traitement digital d images de t l d tection pr tend fournir l utilisateur un instrument capable de l aider dans l exploitation des images de satellites lesquelles contiennent un ensemble d informations utiles tant pour l tude des ressources naturelles que pour l analyse de l environnement Cet instrument est pr vu pour l aider dans toutes les tapes de ce travail depuis l acquisition jusqu la production et l interpr tation des r sultats du traitement Il s agit donc d un ensemble de routines informatiques mises au point pour rendre
153. Three dimensional computer vision 296 313 Fig Spinger Verlag American society of photogrammetry 1952 Manual of photogrammetry Washington DC Bertil HALLERT 1960 Photogramm trie Principes de base Lev s g n raux 340p Mc Graw Hill Londres 111 Premi re session Capitalisation des donn es Rapport de session par Jean Jacques LECHAUVE La troisi me dition de SEMINFOR s minaire informatique ORSTOM a t ouverte par Monsieur G rard WINTER Directeur g n ral l occasion de son expos introductif Monsieur WINTER apporte son soutien pour la r alisation de ces s minaires annuels lieu de rencontre privil gi permettant de favoriser le d veloppement d une pluridisciplinarit effective l Institut Apr s avoir affirm la n cessit des syst mes d information pour le d ve loppement Monsieur WINTER a manifest quelques pr occupations relativement chacune des trois sessions de ce s minaire A propos de la premi re consacr e la capitalisation des donn es les r alisations de syst mes d information assur e par des sp cialistes du fait de leur complexit sans cesse croissante font elles l objet de toute l attention n cessaire garantir leur ad quation la probl matique des utilisateurs finaux Quant la deuxi me session intitul e De la donn e l information la question centrale est celle de l acc s l information Nos partenaires sont de toute
154. URBO PASCAL C est la raison pour laquelle cette nouvelle version pr vue en Francais ne pourra tre pr sent e ici 63 INTRODUCTION Originellement ce travail a t r alis pour r pondre un besoin particu lier assurer la gestion des mesures neutroniques d une exp rimentation r alis e dans le cadre de la convention ORSTOM NICARAGUA Son ampleur toutefois d passe largement le probl me abord et la solution propos e essaye de r pondre aux besoins de la plupart des utilisateurs de sonde neutrons En fait la r alisation de SISOND a t un excellent pr texte pour mettre en pratique une conception de l utilisation de l informatique en recherche scientifique Cette conception existait en filigrane dans un travail pr sent ant rieurement SISCLIMA Cardon et al 1987 mais n avait pas t d gag e clairement car elle s tait impos e en cours de r alisation Avec SISOND au contraire les r gles du jeu ont t pos es avant Tout d abord qu est ce que l informatique pour le scientifique un instru ment de travail rien de plus qu un instrument peut on r pondre C est exact mais cet instrument est d une puissance exceptionnelle Par la forme donn e l entr e des donn es peut imposer le protocole de mesures Quant au pro gramme il domine toute la m thodologie de leur traitement Alors pour qui a un peu d informatique la tentation est grande m me involontairement d imposer ses id es en
155. URIS et alii 1985 SECHET et alii 1986 La solution d finitive du probl me de propri t des logiciels entre l EMBRAPA et l ORSTOM permettra la diffusion de cette nouvelle version quelques unit s doi es des moyens mat riels correspondants table digitaliser et traceurs de courbes en particulier en commen ant par le CPAC de mani re promouvoir au sein de l entreprise la digitalisation de documents cartogra phiques si possible selon un standard unique celui propos par SISMAPAS Il sera alors int ressant d envisager les alternatives disponibles pour le traitement application Traiter les cartes 4 9 Utilitaires Dans le contexte de SISGEO au moins deux ou trois projets sont me n s pratiquement simultan ment dans la phase du cycle de d veloppe ment et avec des perspectives d interaction de l ensemble sur le plan g ogra phique au niveau de SISMAPAS il est facile d identifier dans chaque syst me applicatif une partie ind pendante de la nature de l application correspondant un ensemble de fonctionnalit s qu il est n cessaire de mettre en oeuvre pour tous les modules d velopp s comme la gestion des menus le contr le d acc s la gestion des copies de s curit l administration des lexiques etc la partie propre au module en cours de r alisation correspondant aux fonctionnalit s sp cifiques 310 SISGEO 1 Donnees des cartes hanis Donn es das emprunts C
156. Z T D de A S amp MALTEZ M G M 1987 SISCLIMA capitalisation de donn es agroclimatiques au Br sil Hydrol Continent vol 2 n 1 3 14 POSS R 1987 BHYSON 1 2 Logiciel int gr pour le traitement des donn es d humidit s neutroniques Editions de l ORSTOM Collection LogORSTOM Paris 1987 79 SISPRAGAS UNE APPROCHE DE SYSTEME D INFORMATION POUR LE CONTROLE DES INSECTES PHYTOPHAGES Patrick SECHET Jos F da S MARTINS Luiz C BELARMINO amp Alci E LOECK RESUME SISPRAGAS le syst me d informations phytosanitaires de l Entreprise br silienne de recherche agronomique constitue un sous syst me de SISGEO Syst me d informations g ographiques sur l environnement rural Il s agit d un travail r alis conjointement par les entomologistes du Centre de recherche agronomique des basses terres de climat temp r de l EMBRAPA CPATB et de l Universit f d rale de Pelotas UFPel tat du Rio Grande du Sud avec les in formaticiens du D partement d informatique DIN du si ge de l EMBRAPA Brasilia et auquel l ORSTOM apporte son concours L objectif qui a t d fini initialement est la caract risation et le contr le des insectes pr dateurs dans les basses terres de climat temp r Il s agit essen tiellement d un logiciel mis au point pour saisir stocker et divulguer des donn es aff rentes aux nuisances provoqu es par les insectes dans le syst me productif et les m t
157. a fa on d y acc der par l interm diaire des menus propos s les op rations effectuer pour ex cuter un traitement les rappels des touches de fonction utilisables pour une fonction particuli re les messages d erreur leur signitication et les explications ventuelles sur la fa on de corriger l erreur commise la description des fichiers de donn es extraites pour une utilisation en dehors de PLUVIOM 4 4 Journal Chaque op ration effectu e sur les donn es g r es par PLUVIOM est consign e dans un fichier dit journal comportant la date et l heure de r alisa tion de l op ration En sortie du logiciel il est propos l utilisateur de proc der une dition du journal et le cas ch ant sa destruction le but principal de ce journal est de permettre un contr le des acc s ef fectu s dans le fichier de donn es afin de d terminer quel moment une alt ra tion ventuellement d tect e s est produite est alors ais de reconstituer un fichier partir d une sauvegarde ant rieure puis en refaisant les mises jour effectu es depuis la sauvegarde 5 CONCLUSION Dans sa version actuelle PLUVIOM r pond aux besoins des gestionnaires de donn es pluviom triques acquisition contr le change cession Il fait l objet d une diffusion aupr s des unit s ou centres ORSTOM dans le but de maintenir la banque de donn es pluviom triques l exp rience acquise au Laboratoire d Hy
158. ables Le fichier descriptif qui permet de r aliser la d finition des classes pr sente deux utilit s annexes donne les combinaisons r elles par rapport aux combinaisons th orique ment possibles Ceci peut tre un indicateur de la forte ou faible corr lation spa tiale plus le nombre de combinaisons est important plus le comportement d une variable par rapport l autre est diversifi Dans le cas pr sent le nombre de combinaisons th oriques est de vingt deux le nombre de combinaisons r elles de huit ll donne le pourcentage de la surface de l image occup e par chaque combinaison Cela peut servir juger de l importance de telle ou telle combi naison notamment quand les flots lui correspondant sont fortement dispers s et de petite taille ou ne forment pas une plage homog ne facile valuer pour l oeil Cependant ce premier exemple est un cas tr s simple de manipulation sous le syst me d information g ographique nous n avons l que deux variables qui spatialement se r v lent avoir un comportement proche et dont le croisement ne donne jour qu huit combinaisons 4 SECONDE APPLICATION LA DISPONIBILITE CONSTANTE DE L INFORMATION EXACTE UNE CONTRAINTE OU UN APPORT Type mis en valeur sous quipement Variables utilis es approvisionnement en eau puits ou fontaine r seau public hors difice 8 CARTE 2 CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO EQUIPEME
159. aire un sous ensemble de lignes ou de colonnes du tableau soumis l analyse l peut s agir d l ments apportant un axe une contribution telle que l analyse en est perturb e ou encore d l ments pour lesquels certaines donn es sont absentes comme c est le cas ici ou impr cises Souvent il est pr l rable de faire totalement disparaitre ces l ments comme permet de le faire le programme soustab Parfois on d sire projeter en suppl mentaires des l ments qui n appartiennent pas au tableau de base analys pour clairer les r sultats de l analyse et v rifier les hypoth ses qu elle sugg re Si comme il est d usage on place en lignes les individus et en colonnes les variables on aura dans le pre mier cas un tableau exlerne de lignes suppl mentaires et dans le deuxi me cas un fableau externe de colonnes suppl mentaires Nous disons tableau ex lerne parce qu il ne s agit pas d un sous tableau du tableau de base soumis l analyse C est souvent de l adjonction de tableaux externes appropri s que d pendra l interpr tation des donn es principales que l on se propose de repr sen ter sur la carte de synth se le programme qorlsup sert cr er pour un ou plusieurs tableaux sup pl mentaires externes de lignes ou de colonnes un fichier num rique de fac leurs et un listage usuel Dans l tude de la Sierra l analyse d un bloc comportait syst matiquement la mise en suppl mentaires des deux autre
160. amme DEGRE 2 utilise des surfaces qui sont des portions de coniques 106 recale donc l image de droite sur l image de gauche et non pas dans cas l les deux images sur une projection verticale On constate visuellement que le couple d images ainsi obtenu se superpose bien except pour les acci dents de terrain de fr quence lev e Les grandes vall es sont bien marqu es et le scintillement sur cran vid o ne laisse apparaitre que quelques palpitations cra disse apparaitre que quelques palp des vallons de petite taille et des ravins de pente forte 1 5 Affinage du tissu de points d appui le m me programme COORTOOL va effectuer automatiquement mais sous contr le visuel la st r ogramm trie du nouveau couple d images Scit un indice de dissimilarit calcul par la somme des valeurs absolues des diff rences des pixels homologues Lorsque l on calcule cet indice pour la po sition relative des matrices de x n x n cet indice d croit pour passer par un minimum lorsque les pixels des deux matrices sont bien superpos s Si les images ont une radiom trie identique cet indice s annule totalement lorsque les deux matrices sont superpos es correctement suffit donc de noter les valeurs du d placement n et m pour lequel l indice est minimum Le d placement se calcule en effet en colonnes mais aussi en lignes de y m y m le programme COORTOOL utilise la mesure d un indice de dissimila
161. ans le temps semble qu il faille orienter ses choix vers des m thodes plus imm diates et interactives sans n gliger pour autant le dialogue entre th maticiens et concepteurs 113 Le choix technologique face aux exigences d une politique efficace de transfert nos partenaires Au cours du d bat cette question a t formul e en d autres termes doit on syst matiquement d velopper des produits maison Deux communications ont apport une r ponse Dans les deux cas le choix d une r alisation interne a t justifi par les co ts lev s des solutions du commerce Cependant le d bat a permis d entrevoir des positions nuanc es vis vis de cette r ponse semble qu il faille s parer les applications en deux classes celles qui mettent en oeuvre des techniques pointues qui rel vent encore plus ou moins du domaine de la re cherche et les autres Pour cette derni re qui inclut la quasi totalit des syst mes de gestion de donn es il semble que le march offre des solutions abordables fi nanci rement et modul es suivant l envergure des projets Session 2 DE LA DONNEE A L INFORMATION AIDE A L INTERPRETATION 117 Deuxi me session De la donn e l information aide l interpr tation Pr sentation par Jean Yves MARTIN J ai la charge d introduire la deuxi me session de ce S minfor 3 session consacr e au th me de la donn e l information aide l interpr tation Je vais l
162. at fortes pentes hypertropical NEM pentes pentes Saison s che S s che moyenne E d Y C pentes pentes 167 Parall lement la production agricole a fait l objet d une analyse d taill e sur les 843 municipios de la r gion pour lesquels on dispose des r sultats des enqu tes de production Par exemple la premi re composante de production carte 3 traduit l opposition entre d une part cultures commerciales des grands espaces domin es par l association soja et bovins et d autre part les produc tions vivri res principalement haricot et mais Pour mettre en relation les compo santes du milieu naturel avec celles de la production agricole il est n cessaire d accorder ces derni res au carroyage qui devient de ce fait le d nominateur g ographique commun La planche 3 pr sente une application de cette technique la premi re composante de la production Apr s avoir plac le car royage carte 3 sur la carte originale carte 3 A chaque carreau se voit of fecter la valeur m diane des municipios lui appartenant carte 3 C Cette division par dix du nombre d observations de 843 municipios 97 grands carreaux sans doute pour prix une perte d information mais sans qu on observe toutefois une modification des contrastes spatiaux Cela prouve a posteriori la force et lo grande stabilit des configurations g ographiques da
163. ation au cours de laquelle un projet physique est labor Cette communication expose les divers b n fices que l on esp re apporter avec la mise en op ration de cette base de donn es lesquels b n fices ayant eux m mes conduit mieux pr ciser les objectifs du syst me Parmi ces derniers certains se situent bien dans les orientations g n rales de SISGEO tandis que d autres de caract re plus sp cifique font de SISPRAGAS un projet cl pour la programmation de recherche dans le domaine de l entomologie On d crit galement la structure qui a t d finie pour le module et qui constitue le r sultat de l tape de conception consi gn dans le projet logique ou dossier de conception d taill EMBRAPA 1988 1 HISTORIQUE L id e de d velopper un syst me pour l identification la distribution et l inventaire des insectes pr dateurs a surgi initialement en 1986 dans le cadre du programme SISGEO de coop ration entre EMBRAPA et l ORSTOM coor donn par le d partement d informatique DIN de l institution parmi les centres de ressources de l EMBRAPA qui sont les parrains des diff rents modules de SISGEO le Centro de Pesquisa Agropecu ria de Terras Baixas de Clima Temperado CPATB qui dispose de la collaboration des professeurs de l Universit F d rale de Pelotas UFPel a t choisi pour orienter la mise en oeuvre du SISPRAGAS les travaux de la phase de conception ont d but seulement en mai 1
164. ation des donn es 337 3 PRESENTATION DE LA MAQUETTE 3 1 Identification des objets La figure 4 repr sente les entit s reconnues comme objets et ne sont qu une fili re de l arbre de repr sentation de l information Le site c est un ensemble d objets informatiques Cette liste d objets est limit e LOCALISATION VEGETATION GEOLOGIE PROFIL etc L activation de la proc dure initiale dans system transcript fait la premi re fen tre lt FENETRE D INTERFACE 1 gt ouverture sur le niveau 1 DESOLO description d un site Tocalisation informations pr liminaires si v g tation la colonne 1 est vide g ologie sinon ouverture r serv e profil l affichage du site s lectionn en colonne pour la rubrique choisie en colonne 2 Ajout n Afficher Efface n D crire Chaque objet tant d fini ult rieurement La colonne 1 affiche la liste des sites enregistr s Il est alors possible d afficher ou de d crire l une des rubriques de la colonne 2 menu colonne 2 Le menu de la colonne 1 permet d enregistrer un nouveau site d crire ou d effacer l un des sites pr alablement saisi L effacement d truit toute la hi rarchie associ e ce num ro de site une s curit est donc n cessaire Le profil c est une organisation par horizon d un ensemble d objets corps naturels Lorsque l on s lectionn la rubrique profil de la fen tre 1 et que l on envoie le message d crire menu colonne
165. ation des supports quitemps verticaux curvi lignes ou par le d roulement vers la droite ou la gauche En raison de la profusion des mod les disponibles et pour ne pas imposer aux utilisateurs tells mod le s compatible s PLUVIOM est adaptable de nom breux tous 2 num riseurs Pour cela l utilisateur doit pr ciser au logiciel les pa ram tres de communication prendre en compte et la structure du message mis par le num riseur en fonction des caract ristiques de son mat riel Traitement de cartouche m moire morte EPROM Certains pluvio graphes sont quip s de centrales fabriqu s par la soci t ELSYDE assurant le codage des donn es pluviographiques et leur stockage sur des cartouches m moire morte de grande capacit 64000 octets sous forme de date de bas culement des augets PLUVIOM peut traiter les cartouches provenant des diverses g n rations de centrales actuellement disponibles par l interm diaire d un lecteur sp cialis et permet une mise jour des donn es apr s divers contr les 3 1 2 Edition Ce terme recouvre l impression d inventaires de donn es disponibles dans les fichiers d annuaires ou de tableaux de donn es pour des s quences de station ann e d finies par l utilisateur De la liste des stations pluviom triques r pondant des crit res particuliers localisation g ographique date d installation etc peut tre dit e Proces verbal Caract
166. ation informatique qui se compose des mat riels suivants 260 une station de travail MATRA SUN 3 110C munie de 4 Mo de RAM d un disque dur de 140 Mo d un cran graphique 1100 900 pouvant afficher 256 couleurs sur une palette de 16 millions d une console alphanum rique d une imprimante La puissance du processeur 2 Mips le syst me UNIX et le concept de station de travail en font une machine tr s bien adapi e aux fonctionnalit s requises pour la gestion des donn es et leur manipulation gra phique sur cran Seule la capacit du disque est insuffisante un micro ordinateur compatible AT muni d une carte EGA d une im primante et reli e un digitaliseur BENSON 6301 surface utile 1m20 0m80 pour la saisie graphique Le micro est reli la station de travail par une voie asynchrone pour le transtert des fichiers de saisie un traceur plume BENSON 1333 un syst me de recopie d cran Teta scan transfert thermique reli la sortie vid o de la station de travail l ensemble de cette configuration hormis la recopie d cran et la console alphanum rique a t mis en place d but mars 1988 l installation lectrique ayant t fournie par l IGM Jusqu pr sent ce mat riel nous a donn enti re satisfaction l exception d une panne du digitaliseur machine pourtant des plus fiables sa remise en marche n a pas n cessit d intervention technique sp ciali s e Il va sans dire en eff
167. ations correspondant chaque chantillon et mission d une fiche d actualisation consultation et mission op rationnelles c est dire par num ro d chantillon dans l herbier permettant en particulier l impression d tiquettes consultations et missions diverses offrant la possibilit d extraire les donn es de la base par le biais de plusieurs crit res de s lection comme famille localisation g ographique nom vulgaire etc Bien que r alis sensiblement apr s le module local de SISCLIMA la ver sion actuelle de SISFITO souffre galement d une interface encore peu conviviale les premi res utilisations de ce syst me ont aussi montr que la conception pr sentait quelques insuffisances notamment en ce qui concerne l absence de cer tains attributs pourtant consid r s comme essentiels Il est donc pr vu de r aliser court terme la version 2 de SISFITO pour corriger les quelques d fauts et la cunes actuellement identifi s de facon cr er un produit mieux apte une ample diffusion parmi les unit s de l EMBRAPA 4 3 SISSOLOS L laboration d un syst me d administration des donn es de sols collect es l occasion des divers inventaires p dologiques r alis s depuis les ann es 50 au Br sil a fait l objet d un travail de coop ration entre l ORSTOM et l EMBRAPA par le biais du SNLCS Servi o Nacional de Levantamento e Conservac o de Solo de 1981 1984 SECHET 1985 La base de donn e
168. ations entre champs extraction calcul etc reconstitution d image g n ration champ ordonn partir de donn es discr tes en d velop D codage donn es satellitaires adapt s chaque source avec si n cessaire param tres de localisation image et de calibrage radiom trique afin d entreprendre des traitements g ophy siques et g ometriques niveau 1b ou moins m t osat acquisition PDUS EUMETSAT m t osat archive ESOC window B2 etc NOAA format master SATMOS Lannion imageur AVHRR et sondeur TOVS NOAA format HRPT station non normalis origines diverses NOAA GAC LAC NESDIS NIMBUS CZCS Earthnet Liaisons avec autres logiciels utilisation NCAR GKS version 2 0 utilisation GKSbx pour fonctions de base graphique passerelle de donn es depuis et vers divers progiciels micro passerelle de donn es vers divers produits ORSTOM PLANETES TIMOR etc et CMS FIS Vizir etc 241 NEPTUNE UN SYSTEME POUR LA CONSTITUTION ET L EXPLOITATION DE BASES DE DONNEES SUR L ENVIRONNEMENT Anne Marie AUBRY Cossi Jean HOUNDAGBA Jean Fran ois RICHARD amp Patrick SECHET RESUME Initialement con u pour tre appliqu aux donn es de sols collect es par les p dologues le syst me Neptune est un ensemble de programmes op ra tionnels depuis 1980 sur gros syst me CIRCE CNRS ORSAY d velopp au centre ORSTOM de Bondy par Anne Marie AUBRY avec
169. atoire utilisant des fonds de carte fixe Oy 282 BURKINA FASO Resol 107 Stereopolaire Ell ay 1 b E i 96044 usa s oe oe fe toon 448484866 54 w yt w s b b fee i 4 t MILII os fansot na thon Per 1 assesqapa LE LCL EEE CPP ET Ie 0 i v MILLE PR 3 ea caarentuuuaur aus y Ca ae a a Aa 55592004 sm Pe bee rnc con voeviaothnenun ELTETT ALETTE ETETE 7 asia vasa L e sen s 9 9 t 1 4 e 2 COTE a 99159 oat epson veante asov 59589426 S 4440440986 amp Vite Te are He 242242 d s asa FIG VISUALISATION DE DONNEES EXTRAITES 283 r aliser un logiciel d acquisition de carte ACA l aide d une table digitaliser Ainsi cette poque apr s avoir constat un manque de coordination et d information
170. au choix de standard de langage et de repr sentation graphique Une partie est r solue par l adoption du FORTRAN 77 et la partie gra phique serait faire GKS A ce niveau un manque tr s net se fait sentir quant l utilisation d un ou til d analyse adapt la r alisation de programmes scientifiques de moyenne importance Entre le bricolage individuel de l utilisateur qui r sout une quation diff rentielle et le cahier des charges flux et dictionnaire de donn es etc d un outil de gestion de l envergure d HYDROM PLUVIOM il ne reste qu un ensemble de recommandations plut t bas es sur le bon sens faire des programmes mo dulaires viter les GOTO mettre des commentaires 3 3 La programmation de LEICA Aucun probl me signaler 3 4 LEICA Mis part quelques petites modifications qu on pourrait apporter au logi ciel l utilisation de celui ci pose imm diatement la question de la qualit des donn es on aurait pu s en douter 284 Celles ci semblent bonnes mais certains fleuves n apparaissent pas lorsqu on pointe une station pluviom trique Dakar celle ci se re trouve en pleine mer cause d une erreur de 15mn sur la longitude du Cap Vert Et nous n avons pas de solution imm diate pour rem dier ce genre de probl me 4 CONCLUSION En guise de conclusion il nous semble int ressant de poser deux questions carto inlormatiques tant aux utilisateurs qu aux animateu
171. autre part les fr quences d utilisation des donn es Par ailleurs les fichiers s quentiels obtenus partir de la banque peuvent tre trait s par les logiciels statistiques du centre de calcul Circe o elle est implant e 2 EXPERIENCE D UTILISATION On a ce logiciel implant sur le centre de calcul du CNRS Orsay pour traiter les descriptions typologiques de paysages dans le cadre de travaux de recherche de plusieurs g ographes en C te d Ivoire au B nin et S n gal La terminologie congue dans cette m thode d appr hension du milieu natu rel a t am nag e pour l utilisation de Neptune ce qui a conduit les g o graphes de l quipe faire des recherches sur le vocabulaire d analyse typolo gique des paysages dans le sens d une rigueur appropri e au traitement informa 247 lique sans rien abandonner de leurs principes Ainsi les concepts de diagnostics typologiques d velopp s par J F RICHARD dans sa th se RICHARD 1985 qui ont t repris lors de l tude des paysages du B nin r alis e C J HOUNDAGBA sont 4 la base de la structuration des fichiers Pour l analyse des paysages de la r gion d Abomey Zagnanado HOUNDAGBA 1984 au B nin les descriptions relev es sur le terrain taient consign es dans des carnets de terrain tandis que des exp riences plus r centes au S n gal missions 1986 87 utilisaient une saisie directe sur micro ordinateur autonome
172. bjet d ductives et r parties Eyrolles GARDARIN G amp VALDURIEZ 1987 Bases de donn es les syst mes et leurs langages Eyrolles 36 GARDARIN G amp SIMON E 1987 Les syst mes de gestion de bases de don n es d ductives Techniques et sciences informatiques Vol n 5 347 382 CONKLIN E J 1987 Hypertext an introduction and survey IEEE Computer 2 9 september 1987 PINON J M 1989 Multimedia Communication System Tutorial presented at the 13th Urban Data Management Symposium UDMS Lisbon Portugal June 1989 VALDURIEZ P 1987 Objets complexes dans les syst mes de bases de donn es relationnels Techniques et sciences informatiques Vol 6 n 5 pp 405 418 ZDONIK S B amp MAIER D 1990 Fundamentals of object oriented database systems in Readings in object oriented database systems Zdonik et Maier editors Morgan et Kaufmann pp 1 32 37 PLUVIOM UN LOGICIEL DE GESTION DES DONNEES PLUVIOMETRIQUES Patrick RAOUS Jacques GUISCAFRE Jean Francois BOYER amp Anne CRESPY RESUME D velopp au Laboratoire d Hydrologie de l ORSTOM PLUVIOM est un logiciel qui permet la saisie et la gestion de donn es provenant d un r seau d observation pluviom trique L information de base se pr sente sous diverses formes bordereaux remplis par des observateurs plus ou moins fr quemment une ou plusieurs fois par jour ou quelques fois par mois enregistrements g
173. bl me de cet ordre En fait LOTUS n appara t pas avoir t vrai ment concu pour ce type de travail le probl me du z ro donn e nulle ou donn e absente en est un exemple et on peut se demander si son utilisation s impose quand on dispose d un langage informatique puissant tel que le PASCAL ou le BASIC C est pourquoi pour le futur les traitements effectu s actuellement sous LOTUS dans les programmes d importation le seront l aide de programmes ext rieurs crits en PASCAL et non int gr s SISBIO L importation des donn es sous LOTUS se fera lors de la toute derni re phase du traitement celle de la re pr sentation graphique pour laquelle ce logiciel reste difficilement remplacable 133 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES CARDON D A SECHET P DINIZ T D de A S amp MALTEZ M G M 1987 SISCLIMA capitalisation de donn es agroclimatiques au Br sil Hydrol Continent vol 2 N 1 3 14 CARDON D A 1988 Mesures biologiques sur mais mise au point de la m thodologie Rapport multigraphi 10p 6 fig janvier 1988 CARDON D A 1989 Essai de saison des pluies Mesures biologiques Rapport multigraphi 29p avril 1989 CARDON D A 1989 SISOND Une conception de l informatique au service de l usager paraitre dans le 3 me S minaire Informatique de l ORSTOM S minlor 3 Septembre 1989 MORRET J amp TOGOLA D 1985 Effet et arri re effet de la s cheresse sur la croissance de
174. bonne connaissance de cette entit de la part de l ORSTOM de nombreux chercheurs y ont travaill comme par l int r t manifest pour les techniques li es l informatique graphique par les diverses instances de planifi cation f d rales ou de l tat pr sentes Xalapa capitale de l tat de Veracruz S agissant de tout l tat de Veracruz on voit que le travail de digitalisa tion et de capture des seules donn es produites par l INEGI est consid rable La convention est d une dur e de trois ans mais la premi re ann e a t essentiel lement consacr e au montage de l op ration il est donc encore trop t t pour pouvoir dresser un bilan des r sultats Le choix du syst me se justifie videmment par les r sultats attendus une bonne partie de l information disponible tant de nature cartographique le choix devait s orienter vers un outil du type syst me d information g ographique SIG Ce syst me inspir des bases de donn es relationnelles inclue la localisation et g re celle ci comme n importe quel attribut S il est possible d obtenir le r sultat d une interrogation de la base sur imprimante l int r t essentiel d un SIG consiste pouvoir visualiser sur carte sur cran ou traceur le r sultat de la requ te c est la principale diff rence avec les bases de donn es traditionnelles Cette option trouve une justification naturelle en g ographie qui fait de la question sui vanie l essentiel de sa reche
175. bonne pr ci sion La situation du terrain exp rimental en partie en contrebas d une route r guli rement inond e a galement t une source de probl mes L utilisation des codes associ s aux donn es brutes a permis de v rifier l influence de chacun de ces facteurs et ventuellement d liminer les plantes leur correspondant Par exemple il est arriv qu une plante soit sans pis de mais vol etc Sur un chantillon de douze donn es au maximum le poids moyen de fruits pr sentait une singularit suffisante pour tre d tect e par le programme de critique dans LOTUS et un code ad quat permettait d liminer ensuite cette plante de l analyse Le probl me des inondations a t circonscrit de la mani re suivante chacune d elles on a rep r son tendue approximative dans la parcelle touch e on a fait l analyse des donn es en consid rant tout d abord leur ensemble puis ensuite seulement les parties non inond es Les r sultats ont montr s que pour les mesures biologiques l incidence des inondations n tait pas d terminante Au niveau de l utilisation de SISBIO celui ci s est montr un syst me s r pratique d emploi m me pour des utilisateurs n ayant aucune notion d informatique Le syst me dans son ensemble s est r v l tr s souple et a permis avec un minimum de travail de r cup rer des donn es qui autrement seraient rest es probl matiques On peut donc globalement s estim
176. bool ennes l mentaires permet avec les r gles de priorit classique et les parenth ses de formuler toutes les questions Exemple on pourrait rencontrer l expression bool enne l mentaire RADICAL PRIMAIRE STRUCTICHRON pour s lectionner les hoplexols unit s dont au moins un des l ments diagnostiques sous unit s est un structichron va leur de la variable radical primaire En rajoutant amp AUTEUR HOUNDAGBA on extrait seulement ceux d crits par Cossi Jean Houndagba l interrogation fournit un double r sultat une sortie imprim e contenant dans l ordre croissant les num ros des enregistrements unit s qui r pondent la question pos e un fichier de ces m mes enregistrements pr sentant les m mes ca ract ristiques physiques et logiques que le fichier principal Celui ci permet ainsi de poursuivre les op rations de recherche de facon r p t e nested search 1 7 Impression dition Au cours de tous ces traitements ce qui est entr au clavier est imprim tel quel sauf dans le cas o pour mettre en vidence l anomalie d tect e Neptune remplace le point terminal de la donn e par un point d interrogation On peut bien s r diter le fichier avec mise en page totalement ou de mani re s lective en donnant une liste des num ros d unit s 1 8 Autres exploitations Le syst me fournit galement un synopsis compact de quantit d information stock e voir figure 2 et d
177. bre d exp riences d utilisation de cette technique v cues par les sp cialistes de l quipe th matique La figure 3 pr sente le dia gramme fonctionnel de SISIMAGEM et les figures 4 8 montrent le diagramme de chacune de ses applications 219 SISIMAGEM 1 Sollicite diagnostic Recommandations M Diagnostiquen la n cessit PSE ESE Donn es Base de donn es Catalogue Base de connaissances Donn es 2 a image Rapports du catalogue Donn es de catalogue Gerer BD Catalogue 3 Image de satellite Rapports sur les images Gerer Donn es d image BD d images Base de donn es 4 images Base de donn es Catalogue d image Sollicite un traitement Traiter les Rapponts du traitement images HLIPS DRAPS SITIM TIMOR Fig 3 Diagramme de flot de donn es de niveau 0 220 SIS IMAGEM Questions R ponses Recommandations Connaissance fla n cessit 1 Mat riel Disponible Base de Base de donn es Connaissances Catalogue Donn es 4 DFD fonction i Diagnostiquer la n cessit 221 SISIMAGEM Donn es catalogue N Messages d actualisation Base de donn es Catalogue 2 4 Sollicite consultation Consulter ou mettre Catalogue le catalogue Fig 9 DFD de la fonction 2 G rer BD catalogue Image de satellite Pi
178. c Restitution images interface de visualisation et d impression adapt e aux mat riels d veloppements en cours et pr vus suivant disponibilit mat riel pour sta tion de travail X window micro carte traitement interactif de donn es g or f renc es sur console image graphie localisation image etc Traitements g om triques laboration de localisation brutes satellitaires rectifi es cartogra phique mod le de localisation directe et inverse 240 mod le de d formation entre images brute et rectifi e par points d amers ou entre localisations mod le de r chantillonnage image rectification possibilit de mosa que Cartographie base de donn es segments de c te fronti re politique hydrographie de couverture mondiale amp diverses r solutions origine NCAR ou WDBII CIA donn e d un MNT mondial r solution 1 627 de degr s mod les de projections cartographiques classiques st r opolaire Merca tor Lambert etc g n ration d image et de graphique Localisation et angles satellitaires imagerie g ostationnaire M t osat GOES etc imagerie AVHRR radiom tre balayage des satellites d tilants NOAA partir d un mod le d orbitographie d filant zone d acquisition station para m tres de poursuite etc origine SATMOS calculs d angles satellitaires et solaires Traitements de champ manipul
179. c l informatique doivent n cessairement se traduire par le montage d un syst me d informations g ographiques l importance de l infrastructure et des moyens n cessaires la mise en place de tels syst mes doivent nous inciter la plus grande circonspection et cela d autant plus qu on peut souvent imaginer des palliatifs certes moins performants mais correspondants la dimension des moyens dont le g ographe peut disposer en g n ral REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES DANDOY G 1986 Quelques remarques sur les applications de la cartogra phie assist e par ordinateur en France ORSTOM Colloques et s minaires Traitement des donn es localis es pp 89 92 DANGERMOND J 1982 Classification des l ments des logiciels utilis s habi tuellement dans les syst mes d informations g ographiques CFC Bulletin n 96 pp 7 22 WANIEZ P 1988 Base de donn es pour la recherche g ographique la dy namique spatiale agricole des cerrados du Br sil ORSTOM Cahiers des Sciences Humaines 24 2 pp 251 270 WANIEZ P DANDOY G 1988 Milieu naturel et productions agricoles pr sentation d une m thode pour les cerrados du Br sil RECLUS Mappe monde 1988 4 pp 14 17 173 DETERMINATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR BASE DE DONNEES CLE INFORMATISEE OU SYSTEME EXPERT L TITO DE MORAIS RESUME Depuis octobre 1988 un groupe informel de travail 1 sur les appli cations de l intelligence artificielle
180. c et en composition color e Ces donn es sont enfin recal es sur la cartographie utilis e dans l ensemble des images SPOT Th matic Mapper mais aussi leurs d riv es mod les num riques de terrain classifications th matiques sont disponibles visualisables et manipulables par l atlas informatis 1 SUPERPOSITION DE DEUX IMAGES 1 1 Constitution du couple st r oscopique La proc dure d crite tient compte d une situation un peu particuli re de l application g ographique la ville de Quito est situ e dans une r gion de relief accident avec un fort gradient d altitude On passe en 25 km de 2 000 m tres au Rio Guyalabamba 4 500 m tres au sommet du volcan du Pichincha Si les d formations des images peuvent amp tre dues aux variations d altitude du satellite ou de l avion roulis ou lacet les diff rences les plus importantes sont dues au relief Si l on peut parler de d formation en r gion plane il vaudrait 104 mieux parler de g om tries diff rentes en r gion montagneuse Or si l on veut avoir une chance raisonnable d obtenir des images sans nuage il faut pouvoir se contenter d images du satellite SPOT en prises de vue obliques Superposer ces images revient traiter le relief et la d marche d crite est une d marche de photogramm trie Nous utiliserons les deux images SPOT panchromatiques suivantes image SPOT de juin 1986 angle de prise de vue de 22 droite Fichier de 1 000
181. c la normale la surface La visualisation de chaque facette en fonction de la luminosit r fl chie donne une excellente repr sentation du relief figure 5 repr sentation par luminosit avec ombrage l ombre port e peut tre rajout e sur le dessin Le calcul se fait en affectant une valeur donn e luminosit ambiante toutes les facettes qui ne peuvent tre directement atteintes par un rayon lumineux figure repr sentation par pente ou par orientation horizontale figure 7 repr sentation par luminance Les valeurs de r tlectance d une image satellitaire sert clairer le MNT faut pour cela disposer d une image re cal e g ographiquement sur le mod le num rique figure 8 Dans toutes ces repr sentations les parties cach es sont bien s r limin es algorithme du peintre sur cran ligne d horizon pour traceur plume partir de la repr sentation sur cran le trac sur papier se fait par re copie sur imprimante jet d encre ou transfert thermique rendant par les ni veaux de gris l intensit de chaque pixel 139 minosi repr sentation par lu fig 5 140 fig 8 repr sentation par luminance image SPOT recal e sur le MNT pa visucaval B Lortic 141 CARTOGRAPHIE SYNTHETIQUE D UN ENSEMBLE DE VARIABLES REGIONALISEES PAR UN LOGICIEL INTEGRE D ANALYSE DES DONNEES Marie Madeleine THOMASSIN RESUME L article d crit l ensemble des ressources of
182. car les r sultats attendus pour un atlas sont essentiellement visuels Mais le projet d Atlas de Quito n est pas seulement la constitution d un ouvrage con u ou fabriqu gr ce des machines c est galement la constitution d un outil permettant de faciliter Facc s l information d am liorer la connaissance et donc la r flexion sur les probl mes de gestion de la ville C est la cr ation d un tel outil que nous nous sommes attach s et c est dans ce sens que sont con us les d veloppements informatiques faits autour de ce projet 1 GESTION DES DONNEES L informatique nous avant tout de syst me informatif Pour une appli cation du type atlas il est d abord n cessaire de disposer d un syst me de ges lion de donn es performant Ici nous avons multitude de sources de donn es qui sont pour la plupart g ographiques et il s agit bien s r de g rer galement cette localisation dans l espace H faut pouvoir comparer juxtaposer superposer s lectionner etc afin de produire l information sur laquelle sont effectu s les trai fements et produits les r sultats La gestion de ces donn es n cessite la fois puissance et souplesse le syst me que nous d veloppons nomm TIGRE essaye de r pondre ces objectifs Le mod le relationnel est la base de notre syst me de gestion de don n es laissant l utilisateur le choix de la navigation dans l ensemble des donn es c est le mod le la fois le p
183. ceptables Les logiciels modulaires extensibles maintenables r utilisables en un mot standards doivent devenir une r alit La cl du succ s de la communaut scientifique faisant appel l informatique est le LOGICEL et la cl de la r ussite du logiciel est la STANDARDISATION 239 ANNEXE DESCRIPTIF TECHNIQUE DU LOGICIEL TRISKEL D velopp l Antenne ORSTOM de Lannion Centre de M t orologie Spatiale Auteur DAGORNE D Ecrit sur calculateur scientifique UNIX en FORTRANZ7 et il est utilis localement avec une console de traitement d images PERICOLOR 1500 MSI et une imprimante couleur impact COLORPLOT DONNEES Image de taille quelconque ventuellement multispectrale pixel cod sur 1 ou 2 octets Chaque image peut tre g or f renc e par une donn e de lo calisation Champs spatiaux ordonn grille ou discret points segments cartographiques FONCTIONNALITES Gestion des donn es interface vers les structures de donn es stockage acc s etc Traitements d images disque transfert support magn tique format normalis archivage restitution ou quelconque transfert disque extraction canal ou zone op rations classiques dynamique arithm tique logique statistique g o m trique locale filtrage par convolution par l ment structurant etc op rations avanc es appliqu es nos donn es analyse suite d images reconnaissances de forme et
184. che d velopp s l Institut Dans un premier temps en prenant le cas d une banque de donn es natu ralistes les possibilit s d implantation partir des mod les relationnels sur micro ou mini ordinateur et du mod le hypertexte sont voqu es La seconde partie est consacr e l tude d un grand programme pluridisciplinaire et aux possibilit s d application des m thodes orient es objet Une comparaison sur ce cas parti culier avec des m thodes plus classiques est galement avanc e INTRODUCTION Nous avons donn cette communication d introduction au troisi me s mi naire informatique de l ORSTOM un titre tr s g n ral l est souhaitable pour en comprendre les objectifs de la replacer dans le cadre du d veloppement de l informatique scientifique l ORSTOM et notamment dans celui de la politique d ensemble mise en place par la Mission Technique Informatique Cette politique est bas e sur l id e qu il faut concevoir le processus d informatisation d un orga nisme de recherche de facon dynamique comme une dialectique entre de nou velles possibilit s technologiques et de nouvelles expressions de besoins et bien entendu en se donnant des imp ratifs d adaptation et d efficacit C est une politique de standards Unix tcp ip SQL X Windows Postcript de projets adapt s RIO r seau informatique ORSTOM de veille technologique et d animation scientifique S minfor S mi naires de format
185. colloques seminalfes SEMINFOR 3 Syst mes d information pour l environnement OU Troisi me s minaire informatique de l ORSTOM Bondy du 26 au 28 septembre 1989 Editions de l ORSTOM INSTITUT FRANCAIS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT EN COOPERATION SEMINFOR 3 Systemes d information pour l environnement Troisi me s minaire informatique de l ORSTOM Bondy du 26 au 28 septembre 1989 Editions de l ORSTOM INSTITUT FRANCAIS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT EN COOPERATION Collection COLLOQUES et SEMINAIRES PARIS 1990 Commission scientifique des sciences de l ing nieur et de la communication Mission technique Informatique amp Mission technique Formation S minfor 3 Troisi me s minaire informatique de l ORSTOM Bondy 26 28 09 89 Syst mes d information pour l environnement Textes recueillis et pr sent s par Patrick S chet La loi du 11 mars 1957 n autorisant aux termes des alin as 2 et 3 de Particle 41 d une que les copies ou reproductions strictement r serv es a l usage priv du copiste et non desti n es une utilisation collective et d autre part que les analyses et les courtes citations dans un but d exemple et d illustration toute repr sentation ou reproduction int grale ou partielle faite sans le consentement de l auteur ou de ses ayants droit ayants cause est illicite ali n aler de l article 40 Ce
186. comme un r sultat acquis Le second est beaucoup moins classique il est donc n cessaire de v rifier sa stabilit Dans chaque parcelle un emplacement est donc tir au hasard in tervalles r guliers et la plante qui s y trouve tudi e de fa on compl te La sta bilit des coefficients est v rifi e en fin de cycle sur l chantillon constitu par l ensemble de toutes les plantes Cette tude limit e est mise profit pour effec tuer une autre v rification celle de la profondeur racinienne 2 PRESENTATION DU SYSTEME DE TRAITEMENT DES DONNEES Dans une pr sentation g n rale on exposera les objectifs poursuivis en cr ant SISBIO ainsi que la composition de ce syst me ensuite on d taillera le r le de chacun de ses programmes pris en particulier enfin on consid rera la fin du traitement des donn es dans LOTUS 2 1 Pr sentation g n rale de SISBIO 2 11 Objectifs de SISBIO Ces objectifs sont de deux ordres ceux ayant trait aux qualit s informa tiques recherch es dans le syst me et le r le de SISBIO dans le traitement des donn es biologiques Les premiers taient en filigrane dans un travail pr sent ant rieurement CARDON amp al 1987 et on les retrouve clairement explicit s dans un autre syst me SISOND pr sent au cours du m me s minaire Quatre grands prin cipes ont guid s la conception de SISBIO la rigueur impos e l utilisateur la s curit la simplicit d emploi
187. compl t d ici la fin de cette ann e en offrant toutes les facilit s n ces saires la gestion de toutes les informations aff rentes aux profils de sols Pour 1990 il est envisag de mettre en oeuvre deux nouvelles applications g rer les crit res fonction originale de SISSOLOS dont l objectif est de permettre la cr ation et la mise jour d un ensemble de r gles int gr es la base de donn es et permettant d effectuer une critique plus apur e sur les donn es mais aussi de les classer d laborer automatiquement les classes de potentialit s etc transf rer les donn es qui permettra de faire passer des informa tions depuis le module local vers le central capitalisation mais aussi d extraire les donn es de la base centrale pour les manipuler correction interactive avec le syst me sur micro ordinateur Cette fonction est bien s r tr s importante pour l ensemble de SISGEO en plus du simple transfert physique dont les modalit s restent d finir compte tenu du contexte l op ration doit s accompagner d un contr le d acc s ad quat ainsi que de routines de transtormation adaptation et agr gation d sagr gation des informations transf rer entre les deux modules 4 4 SISPRAGAS s agit du module th matique le plus r cent de SISGEO mis en vidence tardivement pour int grer les donn es phytosanitaires tr s importantes pour le syst me productif agricole C est l quipe d entomologi
188. cran couleur 19 pouces streamer et terminal alphanum rique en compl ment pour la restitution traceur CALCOMP 8 plumes Pas de restitution couleur pas d imprimante laser 2 4 Probl mes rencontr s On n entrera pas dans le d tail des probl mes rencontr s tant ils sont nombreux On se limitera ici leur num ration changements de mat riel communication entre la France l Equateur et le Mexique formation du personnel acc s aux donn es validation actualisation etc Deux questions m ritent ce pendant une attention particuli re la restitution cartographique d une part le d veloppement informatique d autre part On a vu en effet que la carte est le r sultat privil gi de toute interroga tion de la base S il s agit d une cartographie de travail dont l objet est avant tout de produire des documents utiles pour la r flexion on peut sans doute se satisfaire d un traceur pour le dessin au trait et d une impression type Tetha Scan pour les plats et trames en couleur 327 Ces impressions sont en revanche de qualit tout fait insuffisante s il s agit d dition L impression sur imprimante laser noir et blanc est tr s satisfai sante mais ne r gle pas le probl me de l dition des cartes en couleurs de grand format Quant aux p riph riques du type Vizir Intergraph leur prix reste encore tr s prohibitif La question du d veloppement informatique constitue un autre goulot d tranglement Une
189. cult s sont n anmoins apparues durant les quelques premi res ann es d exploitation de ce syst me 304 quant l acc s physique la base en l absence d un v ritable r seau de communication de donn es au Br sil quant l acc s logique dans la mesure l utilisateur potentiel doit poss der des connaissances minimales de p dologie de statistique utilisation de SAS d informatique utilisation de VM CMS voire de communication utilisation de KERMIT difficiles r unir pour une seule personne quant la qualit des donn es stock es compte tenu de la forme adopt e pour la capitalisation des informations via bordereaux de codification remplis par des stagiaires et en l absence de possibilit conversationnelle de correction et mise jour la mise jour utilisant normalement les proc dures ori ginales de traitement par lots Aussi a t il t pr vu de d velopper le module local de SISSOLOS dont la conception a d but la mi 1988 avec l orientation des p dologues de l antenne r gionale Nordeste du SNLCS pour r soudre toutes ces dilficult s tout en facilitant simultan ment l ensemble des activit s de bureau qui intervien nent au cours de la r alisation d un nouvel inventaire p dologique Le dia gramme de flot de donn es de niveau O du module local de SISSOLOS est pr sent figure 5 Un premier prototype version 1 0 est op rationnel depuis juillet 1989 et doit tre
190. d information Philippe WANIEZ amp G rard DANDOY 159 D termination assist e par ordinateur base de donn es cl informatis e ou syst me expert L TITO DE MORAIS 173 8 Traitement de donn es satellitaires pour la connaissance de l environnement en milieu tropical applications en Guyane Marc LOINTIER travail pr sent sous forme de poster 187 Compte rendu du rapporteur de session 201 Troisi me session strat gies de spatialisation animateur G rard Dandoy rapporteur Dominique Rambaud Expos introductif de l animateur de session 205 SISIMAGEM une m thodologie pour l utilisation de la t l d tection l EMBRAPA Deusdeth SANTOS Eduardo ASSAD amp Severino JUNIOR 211 Traitement de donn es m t orologiques satellitaires et conventionnelles pour la connaissance de l environnement Dominique DAGORNE 227 NEPTUNE un syst me pour la constitution et l exploitation de bases de donn es sur l environnement Anne Marie AUBRY Cossi Jean HOUNDAGBA Jean Francois RICHARD amp Patrick SECHET 241 Un prototype de syst me d information g ographique pour la planification urbaine et son utilisation Quito Equateur Marc SOURIS 253 Exemple de manipulation de donn es int gr es un syst me d information g ographique Dominique COURET 261 Extraire visualiser et archiver une carte avec LEICA Francois DELCLAUX amp Claudio LAWIRA 277 SISGEO une m thodologie d administration des d
191. de imprim es en couleurs les aplats re pr sentaient les premi res les lign s et tiret s repr sentaient les secondes selon l importance des lacunes de l information Dans le cas pr sent on a traduit le ca ract re incertain de l appartenance une classe en superposant des lignes obliques l ches trame n 13 la trame individualisant la classe d appartenance suppos e Le programme carthage permet en effet de combiner des trames suffit pour cela dans le fichier de fond de carte de faire figurer deux fois la m me paroisse la premi re comme appartenant une classe donn e la seconde comme appartenant la classe des suppl mentaires Lorsque la carte s av re pleinement satisfaisante on peut imm diatement imprimer ce qui s affiche l cran et galement le saisir comme un fichier image que l ordinateur permet de modifier par un logiciel graphique pour ajouter des 151 Fig 3 Dominantes culturales et levage Plans graphiques issus de 1 Sapa axe jae id Pera 1448 51 332 j30 j43 i36 P JE iii iii E UfkeqfagrBb js axed 1450 130 axe3 1454 j27 EQUR eqfagrBb axes 50 1448 k 47 144464 J ose j43 axel i459 38 i454 27 152 Fig 4 Interpr tation des 11 classes de paroisses de la termes de classes de variables MELLEL ATSLA TATE T LEME SELON I V
192. de probabilit de mise en oeuvre effective et de diss mination REMERCIEMENTS les auteurs remercient Julio Jos Centeno da Silva Gla cia Soares da Silva Pinto chercheurs du CPATB EMBRAPA Ida Cristina Lago Milton de Souza Guerra Professeurs de l UFPel et Miriam Cristina Galante Gomes analyste de syst mes du DIN EMBRAPA pour leur collaboration lors de la formulation du projet logique de SISPRAGAS REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BORROR D J amp DELONG D M Introductio ao estudo dos insetos Edi o Bra sileira Rio de Janeiro USAID Programa de publicag es did ticas 1969 660p CAVERO E S GUERRA M S amp VIEIRA V V Inseticidas Acaricidas Toxicologia Receitu rio agron mico Livroceres 1985 424 EMBRAPA DIN amp Projeto l gico de SISPRAGAS Brasilia 1988 230p Diffusion restreinte 90 GALLO D NAKANO O SILVEIRA NETO S CARVALHO R P L BATISTA G C De BERTI FILHO E PARRA J R P ZUCCHI R A amp ALVES S B Manual de entomologia agr cola Paulo Ed Agron mica Ceres 1978 531p GANE amp SARSON T Structured systems analysis tools and techniques Prentice Hall Inc Englewood Cliffs New Jersey 1979 25 p KING A B S amp SAUNDERS J L The invertebrete pests of annual food crops in Central Am rica London Overseas Development Administration 1984 166p KOGAN M amp HERZOG D C Sampling methods in Soybean
193. de bases de donn es il pr sente en outre une certaine convivialit gr ce sa facilit d utilisation sur le terrain due la souplesse de la saisie sans codes et sans format aux mises jour locales d une donn e pour une unit et sous unit identifi es en rentrant simplement la donn e 250 au fractionnement volont de la saisie stockage avec les modes de saisie global local altern s aux interrogations faciles exprimer et aux extractions rapides l absence g n rale de langage de manipulation de format de formalisme et l emploi d un minimum de param tres dans les proc dures Ce syst me est de plus particuligrement bien adapt une recherche en volution l on peut proposer la cr ation de nouveaux diagnostics qui peuvent venir compl ter les listes En r sum on peut rappeler les caract ristiques essentielles du syst me entr e des donn es en un langage proche du langage naturel d fini par les utili sateurs sans format et sans ordre obligatoire mises amp jour globales ou locales altern es volont interrogations ne faisant intervenir aucun langage de mani pulation car n utilisant que les op rateurs relationnels simples et les trois op ra teurs logiques appliqu s aux variables et donn es du vocabulaire de r f rence avec une criture elle aussi en format libre De plus le syst me est ind pendant de la terminologie choisie d charge l utilisa
194. de recherche qui n cessite en g n ral la combinaison d informations en provenance de sources multiples De plus celles ci s appuient sur des nomenclatures h t rog nes et donc partiellement incompatibles par exemple les nomenclatures de m tiers ou les csp et se rapportent des individus statistiques aux contours variables tablissements entreprises soci t s En outre ces donn es se pr sentent sous des formes vari es relev s d observation ponctuels cartes g ographiques documents crits archives photographies etc De cette complexit qui semble atteindre son paroxysme dans les sciences qui comme la g ographie recourent des informations d origine et de nature tr s vari es d coulent deux cons quences importantes D une part notre courte exp rience en la mati re nous a appris que la mise sur pied de tels syst mes imposait une s gmentation plus ou moins nette des diverses t ches de collecte de codage d enregistrement et de mise disposition des donn es La r alisation d un syst me d information r pondant des objectifs multiples et r guli rement mis jour ne peut tre que le fait d une quipe dispo sant d importants moyens tant en mat riel qu en personnel Derri re cette re marque transparait la notion de service de donn es On peut penser que seule une modeste proportion des programmes de recherche de l ORSTOM est en me sure de r pondre de telles exigences Pour notre pa
195. de taille des caract ristiques externes comme la rugosit la pilosit et la couleur et des caract ristiques de distribution quand elles s appliquent racine feuille et fleur Dans le cas de la feuille les composants internes limbe gousse ligule auricule et p tiole sont de plus d crits Il en va de m me pour la fleur p doncule s pale p tales glu melles sup rieure et inf rieure gyn c e et androc e ces deux derniers avec leurs parties galement d compos es Les champs qui ont t identifi s pour les produits chimiques constituent trois cat gories diff rentes identification donn es du registre et caract risation La caract risation comprend des informations sur la toxicologie le mode d action et les classes de produit insecticide n maticide fongicide acaricide etc Le d p t appel donn es d attaque et de contr le contient des informa tions sur l identification phase d insecte et partie de plante l attaque et le contr le Les caract ristiques de l attaque sont le local l poque mesur e en terme de stage du d veloppement physiologique de la plante et les sympt mes Les donn es de contr le sont form es de l unit de mesure pour le niveau de contr le et des recommandations Finalement dans le d p t de donn es de susceplibilit on trouve les cl s identifiant le produit chimique et l insecte ainsi que les attributs qui mesurent l effet de ce produit sur l insecte sous la
196. dence trois ser vices maintenance du d p t d insectes mission de divers rapports sur les sectes et caract risation de ceux ci Le premier service permet d inclure d exclure et de modifier toutes les donn es d insectes tandis que le second permet d extraire ces m mes donn es sous formes d tats op rationnels inventaire rap ports descriptifs etc Le troisi me service offre la possibilit d identifier les in sectes au moyen de certains de leurs attributs morphologiques comme forme d aide au diagnostic l application G rer les donn es d atlaque et de contr le rend possible la saisie des donn es d attaque et de contr le par le biais des deux premiers services l existence de l insecte et de la vari t culturale consid r s dans les fichiers correspondants est v rifi e cette occasion Le troisi me service fournit le moyen de croiser les donn es de l insecte avec celles de la vari t culturale pour n importe quelle culture en utilisant deux types de consultations En entrant avec une vari t culturale d termin e on peut extraire tous les insectes qui l attaquent mais aussi en partant d un insecte on peut s lectionner toutes les vari t s cultu rales que celui ci attaque Le dernier service met les rapports les plus complets du syst me croisant les attributs de phase d insecte avec les attributs de partie de plante en y ajoutant les caract ristiques de l attaque correspondante ainsi que les
197. des grandes qualit s du syst me Savane Mygale Tigre etc est d tre c est d ailleurs le souhait des utilisateurs qui me sure qu ils progressent dans la manipulation de l outil comme dans leur r flexion se trouvent soudain bloqu s dans l usage qu ils pensaient faire du syst me Etant perfectible le probl me n est pas insurmontable mais cela implique la pr sence sur place d un membre permanent de l quipe d infographie de ORSTOM ILLUSTRATIONS L int gration du graphique constitue une tape essentielle du processus dans la d marche de cr ation du syst me d information g ographique Pour vi ter les probl mes ult rieurs de recalage un fond de carte de r f rence unique est indispensable trac des c tes limites d tats routes etc En fonction des th mes et de l information disponible la digitalisation s effectue par feuilles au 1 50 000 1 100 000 ou 1 250 000 C est au moment de l int gration du graphique dans la base qu on r alise la jointure des feuilles figure 1 La figure 2 repr sente un mod le num rique de terrain du Cofre de Perote vu de la Sierra 2 1 et vu de l Altiplano 2 2 L utilit des MNT est fonction de l chelle de saisie Au 1 250 000 celui ci n a qu une valeur illustrative et p dagogique l inverse une digitalisation des courbes de niveau au 1 50 000 permet de mieux comprendre la topographie de d tail et justifie la superposition d une information vari
198. des variables d vacuation des eaux us e type sous quipement r sultat final carte 4 Repr sentation simultan e des variables d approvisionnement en eau type sous quipement r sultat final carte 5 Repr sentation simultan e des variables d quipement en sanitaires type sous quipement r sultat final On constate que la zone globalement d termin e varie peu d une carte l autre plus homog ne pour eau plus tendue pour sanitaires moins ten due mais dans les limites d termin es par eau pour vacuation des eaux us es Ensuite pour aboutir une vision synth tique des modalit s d quipement type sous quipement une repr sentation de l espace commun aux trois r par titions retenues a tre demand e L organisation du fichier descriptif figure 2 permet de d finir les diff rents variations de la pr sence commune des trois sous quipements en approvisionnement en eau vacuation des eaux us es et quipement en sanitaires et donne une r partition en cinq postes allant de la d ficience en quipements la pr sence d quipements de substitution carte 6 Repr sentation de la pr sence conjointe des modalit s rete nues comme descriptives du type sous quipement en approvisionnement en eau vacuation des eaux us es et quipement en sanitaires La d finition des postes d ficience en quipement ne signifie pas forc ment absence de logements b n
199. des volumes d information et des principaux traitements d bouchant sur une base de grande taille sur des gros d bits et sur une exploitation multi utilisateurs 1 achat du logiciel et du mat riel Mini ordinateur sous le syst me UNIX partir de 60 000 F Logiciel INGRES environ 100 000 francs mais gratuit sur SUN pour les applications recherche 2 structuration de la base d finition des tables et des fonctions principales 3 programmation des principales fonctions Programmes de saisie de mise jour et d interrogation programmes de calcul suivant les cas de 12 36 mois de programmeur 30 000 francs par mois en prestation de service 4 mise en forme et saisie du r trospectif co t de saisie en sous traitance d environ 2 centimes le caract re 5 mise en exploitation Avantages et limitation volume d information en fait illimit interrogation distance possible r partition effective structure relationnelle effective et compl te avec contraintes d int grit gros d bit transactionnel langage de requ tes standard SQL 1 3 Le mod le Hypertexie 1 3 1 Principes Le mod le Hypertexte est un des premiers modes propos s pour structurer l information contenue dans les bases de donn es multi m dia c est dire de grands ensembles d informations de structures diff rentes textes tableaux num riques photographies sch mas sons films le mod le Hyp
200. diteur de texte et ensuite imprim sur papier On entre ensuite dans le programme de CAH Classification Ascen dante Hi rarchique Ce programme a de multiples fonctions notamment le trac de l arbre la cr ation de tableaux d aides l interpr tation d une grande utilit pour le prati cien de la classification automatique et tout particuli rement pour le g ographe Le programme consulte alors le fichier num rique des facteurs qui t cr par le programme qori d analyse des correspondances sans lequel le programme de classification automatique ne pourrait s ex cuter il lit ces facteurs et par des calculs de distances il range les uns avec les autres les l ments qui sont le plus proches Ceci fait il nous reviendra d extraire de l arborescence ainsi construite une partition destin e tre traduite cartographiquement En bref il s agit de retenir de la classification ascendante hi rarchique qui comporte dans l exemple retenu au dessus des 95 l ments d partements 94 noeuds une sous hi rarchie la base de laquelle se trouvera une partition par exemple en neuf classes avec au dessus de ces neuf classes des r unions suc cessives en classes sup rieures jusqu parvenir au sommet Pour effectuer un tel choix de facon tout fait cons quente il faut avoir une connaissance approfon die des r sultats de la classification et c est pourquoi l on pr voit apr s une premi re consu
201. domaine semi aride se rattache au monde nordestin carte 2 B Le climat hypertropical ainsi que les fortes pentes cartes 2 C et 2 0 viennent influencer localement les caract ris tiques des deux premiers domaines 164 Figure n 1 M thode d tude des relations Milieu naturel Production agricole Cartes gu milieu ENQUELES de preauciion egritale FAN et PEM naturel Matrice d information Mairice d information Spetiale spattale milieu naturel Droduciions egricoles Y cartes analytiques Compasantes Compasanies principales gu principales Ge 73 milieu naturel production agricole Y Matrice q information Milieu ei proguctrons m a mogeles r gression multiple 165 Pianche 171 FORMATIONS VEGETALES proportion dans chaque carreau o o D D b lt M e k u w 5 n D A K romorphes plus de 85 ed 19 48 21 54 85 C J moins de 54 inexistant D Cuitures plus de 20 C Cerrados plus de 89 10 C moins de 3 62 C moins de 62 k L inexistant N 2129 166 it O lt e Lu O e v lt Z O e homog n it relative A Plateaux de cerrados aride B Semi Campagnes m ridionales semi aride semi aride 34 KL moyenne campagnes moyenne cerrados D Influence des C Influence du clim
202. drologie par son utilisation en vraie grandeur conduit pr voir une volution de PLUVIOM le recours des logiciels d aide la programmation plus r pandus et de plus en plus performants permettrait une am lioration sur la forme Ainsi l utilisateur acc derait aux fonctions du logiciel de fa on plus attrayante et sur tout plus rapide menus d roulants utilisation possible de la souris De plus il pourrait disposer d une documentation int gr e aide en ligne apparais sant sur demande expresse et associ e chaque fonction chaque champ des grilles de saisie 47 Ces am liorations qui accroitraient le confort de l utilisateur resteraient toutefois secondaires par rapport celles qui pourraient tre effectu es sur le fond L utilisation d un langage unique performant tous les niveaux traite ments num riques communications avec les p riph riques gestion de fichiers et disposant d un environnement riche biblioth que de programmes vari s condui rait un logiciel homog ne dont la maintenance et l extension seraient facilit es Le recours un outil multilangage de gestion de fichiers permettrait d augmenter les possibilit s d j offertes par PLUVIOM d utiliser ou extraire les donn es g r es Ces am liorations qui int greraient les diverses remarques et requ tes des utilisateurs de la version actuelle passeraient par une refonte compl te du logiciel mais pourraient tre un moyen
203. ds de ce type de produit la programmation se r v lant g n ralement plus lourde plus restrictive et moins performante qu avec un langage de programmation classique Une tude compa rative de ces produits commerciaux serait n anmoins n cessaire d autant qu ils s am liorent rapidement et de mani re continue et leurs restrictions disparaissent progressivement A propos des mod les num riques de terrain c est sur ses applica tions potentielles que la discussion a surtout eu lieu On peut en effet en d duire une cartographie des pentes d orientations des courbures de la ligne de plus grande pente mais aussi les r seaux de thalwegs ou de cr tes et les limites de bassins versants tous param tres fort utiles pour l hydrologie de surface par exemple D autres applications peuvent tre r alis es dans d autres disciplines comme la g ologie Les travaux en cours l ORSTOM ne diff rent en fait que par les algo rithmes choisis pour l interpolation entre les points cot s Une mise en coh rence est pr vue au niveau des fichiers de sortie Actuellement ces tudes sont r alis es en utilisant des stations de travail dans l imm diat il n est pas envisageable que ces applications soient op rationnelles sur PC compatibles surtout en raison des temps de traitement prohibitifs avec un processeur relativement peu performant Deux communications ont permis d attirer l attention sur les logiciels exis tants dans le commerce et permet
204. du fichier et du registre afin d viter toute confusion Dans ce cas et sur option choisie en d but de programme l image de la feuille de collecte apparait ensuite une se conde fois pour permettre l utilisateur d adjoindre un code chaque donn e 2 2 Pr sentation des programmes de SISBIO De cette pr sentation sont exclus les programmes d installation et de BACKUP 115 sont examin s un un dans leur ordre logique d utilisation 2 21 Description d exp rimentation Jusque neuf exp rimentations peuvent tre d crites simultan ment Dans un premier cran l utilisateur choisi les num ros des descriptions d exp rimentations documenter redocumenter ou effacer Ensuite pour chacune d elles il docu mente les donn es suivantes une description sommaire le nom en 5 lettres du fichier de donn es correspondant le type de ces donn es la date du semis Pour chaque bloc il faut enfin indiquer les num ros des rang es extr mes qui constituent sa partie utile et la distance en m tres qui s pare les extr mit s utiles du bloc du d but de chaque rang e 124 2 22 Cr ation de registres dans les fichiers de donn es Ce programme un double r le puisqu il permet galement l impression des feuilles de collecte En apposant un X dans le champ contigu leur des cription sommaire l utilisateur s lectionn les exp rimentations avec lesquelles il d sire travailler Ensuite il choisit le type de tache
205. e Figure Figure 2 2 Figure 2 1 6ct 331 PROPOSITION D UN SCHEMA DE COLLECTE DE L INFORMATION POUR LE MILIEU PHYSIQUE APPROCHE LANGAGE ORIENTE OBJET Herv LEMARTRET amp Alain BEAUDOU RESUME Le milieu naturel est assez complexe et vari pour qu il soit difficile de recueillir une information qui repr sente bien l objet que l on veut tudier Tradi tionnellement on utilise des termes du langage courant pour d crire le milieu physique avec l ambiguit que cela peut g n rer et l immense quantit d information non organis e qu il faut ensuite manipuler Le travail est celui d experts et bien souvent la communication des informations se fait difficilement Le traitement d une telle information proc de g n ralement par synth ses successives de textes de variables partiellement quantifi es ou estim es Dans ces conditions la recherche et la mise en place d une automatisation de la saisie et du traitement des donn es para t peu r aliste appara t qu il faut utiliser un langage sp cialis pour cr er les bases de donn es ce langage doit dans la mesure du possible refl ter l organisation du milieu tudi A partir de cette hypoth se nous avons labor un sch ma d acquisition des donn es qui prend en compte l existence de toute une suite de structures emboit es reconnaissables dans le milieu physique Chaque structure reconnue est identifi e et quantifi e par rapport aux
206. e intelligente Le logiciel est con u de fa on pouvoir tre utilis par des personnes n ayant que peu de connaissances en informatique De plus les donn es stock es avec ce module pourront tre utilis es directement dans les versions post rieures Enfin toutes les ressources qui doivent tre impl ment es dans SISIMAGEM le se ront sous l orientation d un responsable th matique ce qui est une forme de fami liariser les chercheurs avec les outils d velopper d s le d but de leur conception INTRODUCTION Depuis le d but des ann es 1980 l EMBRAPA tente de doter les unit s de recherche du Syst me coop ratif de recherche agronomique SCPA d outils infor matiques capables d aider ces quipes principalement des centres de ressources dans la r alisation de leurs travaux de recherche c est dire depuis les inven taires de ressources naturelles jusqu l utilisation de ces informations dans les op rations de zonage par exemple C est avec cet objectif que le projet SISGEO Syst me d informations sur l environnement agricole a t cr Pour mener bien le d veloppement de ce projet au fil du temps cer taines directrices fondamentales ont t tablies lesquelles doivent permettre la participation effective des chercheurs sp cialis s lors de l laboration des modules correspondant chaque th me qui intervient dans le syst me actuellement sol climat v g tation native donn es phytosan
207. e nance correction extension et celui de la r utilisation sur d autres sites portabilit et avec d autres logiciels Ces facteurs conduisent une approche structur e modulaire et hi rarchique des programmes la d finition pr cise des structures de donn es et l utilisation de normes de fait en informatique scientifique Un syst me g n rique de traitement des donn es d environnement peut tre sch matis sur la figure 1 BASE d lt lt DONNEES gt ACQUISITION gt DE lt gt TRAITEMENTS 0 1 jpoNNEES l RESTITUTION EI Figure 1 Syst me g n rique pour l environnement 230 ll y a quatre fonctions de bases satisfaire ACQUISITION Les donn es doivent tre introduites dans le syst me et d cod es BASE DE DONNEES Les donn es doivent tre organis es et stock es pr tes tre restitu es TRAITEMENT Les donn es doivent tre trait es analys es manipu l ss crois es synih tis es etc RESTITUTION Afin d tre exploit es les donn es mises en forme et les r sultats des traitements doivent tre visualis s et imprim s et ceci sous forme d images et de graphiques S il est envisageable de disposer d une configuration mat rielle pour cha cune des fonctions pr c dentes un simple micro ordinateur PC compatible peut en r aliser l ensemble une petite chelle le succ s des extensions fu
208. e le nombre de sommets pla c s sur ses contours et les num ros de ces sommets Pr cisons que les mesures de la latitude et de la longitude ont t effec tu es en mm partir d une origine situ e au nord ouest de la feuille H n a pas t n cessaire de se soucier de l chelle du document servant de base la num risation le programme de cr ation des fichiers num riques mettant les nombres l chelle commode pour l ex cution du trac de la carte le programme litxcarte a permis de compiler les fichiers de coordon n es de points et de contours des paroisses pour cr er un fond de carte au for mat voulu par carthage l convient de souligner qu il rend possible galement la v rification unit par unit de la validit des contours de chacune d elles Plu sieurs parcours exploratoires ont permis de corriger les erreurs commises lors de la saisie Pour imprimer le fond de carte on se sert de la trame n 12 Cf figure 5 En outre carthage propose l utilisateur un choix de trames pratique ment illimit car d une part lui sont directement accessibles 32 trames prises dans un tableau de 100 l entr e du programme et il peut modifier le choix 148 Fiy 1 Consommation mensuelle du gazale Fratre par d partement 1972 1941 par A Moussaoui SSS SS frence gazole Egg EIE D ee EL JE France gazole lc E mm END wm ea
209. e agricole du CPATB qui a endoss la responsabilit de ce module vu la pr pond rance de cet aspect dans la r gion des basses terres de climat temp r essentiellement consacr es aux rizi res et l levage du sud du pays Une pr sentation exhaustive de la conception qui a t faite pour le mo dule local de SISPRAGAS Sistema de informac es fitosanit rias fait l objet d un article sp cifique dans s minaire S chet et alii 1989 305 SISGEO 1 Crit res pour les inventaires 1 Gerer les Crit res pour l util potent criteres D3 CRITERES 2 LEGENDE Donn es de legende Rapports de legende Surfaces caicul es L gende d ident SISMAPAS Coordonn es de profil Monter la l gende ordonn e l gende R sultats des analyses physico chimiques Profiis extraits 3 LABORA TOIRES sislab G rer les profils Donn es de profils PROFILS PEDOLOGUE incoh rences et omissions 4 D3j CRITERES V rifier les donn es DLII LEGENDE 5 Sollicite l mission Emettre Bulletin technique la notice 6 Transf rer les donn es Compte rendu de transfert 51859109 centra Fig 9 Diagramme de flot de donn es niveau 0 de SISSOLOS 306 La phase suivante de sp cification qui a r cemment d but se limite ac tuellement la r alisation d une premi re version me
210. e au titre que des proc dures statistiques d analyse de donn es Elle fait appel la m me technique visuelle d analyse de l image que celle utilis e en interpr tation cartographique ce qui facilite le passage fichier descriptif carte 277 EXTRAIRE VISUALISER ET ARCHIVER UNE CARTE AVEC LEICA Fran ois DELCLAUX amp Claudio LAWIRA RESUME Au d part des fichiers de donn es cartographiques mondiales fron ti res rivi res lacs mers sans possibilit de les exploiter ni de les visuali ser l arriv e LEICA logiciel d extraction interactif pour la cartographie appli qu e logiciel assurant les trois fonctions d extraction de visualisation et d affichage en clair ASCII de donn es cartographiques s lectionn es par l utilisateur Le chemin parcouru de l analyse la programmation nous avons t amen s aborder syst matiquement les points suivants d finition des crit res de s lection des donn es cartographiques par l utilisateur choix de la zone et du type de contours quelle r solution densit de points quel type de projection cartographique jusqu o pousser la convivialit du logiciel menu aide en ligne gestion de fichiers profile optimisation de l exploration des fichiers de la banque en testant dif f rents algorithmes portabilit et maintenance du logiciel sur quelle machine quel lan gage 2 quelle norme graphique 2 int gration de ces
211. e cl sp cifi e si elle n existe pas d j dans le dictionnaire R sultat description active la proc dure dont le nom est sp cifi par la ru brique s lectionn e effaceMenul1 te le n de site s lectionn de la liste des cl s du dic tionnaire R sultat Un garde fou est n cessaire car toute l inlormation associ e cette cl est d truite listch1 et listch2 affectent respectivement s lection et s lection2 les valeurs rep r es dans les colonnes 1 et 2 menull et menul2 construisent respectivement les menus li s aux colonnes 1 et 2 open ouvre la fen tre de dialogue utilisateur Cette fen tre est con ue avec un bandeau sup rieur affichant le nom du travail en cours deux ouvertures permettant l affichage des num ros de site d crits ou en cours de description pour la colonne 1 et les rubriques traiter pour la colonne 2 La partie droite est r serv e au texte profil passe les commandes l objet profil en construisant la fili re du dictionnaire Resultat si elle n existe pas sauvegarde sauve le dictionnaire Resultat dans le fichier sp cifi l extension du fichier est FIL Un fichier BAK est cr 341 Exem pla Arbre correspondant AFFICHAGE site laci bei Horizon profil structichron 3 couleur 10 YR 3 4 Horizon structure amerode ln H1 H2 texture A luni VA couleur 10 YR 32 humite structichron 3 structichron 3 lapidon 1 tex
212. e corriger on verra comment les notions de classes et de m thodes associ es se pr tent la r utilisation du code 30 er a ra eee 5 attributs attributs m thodes m thodes OBJET 1 ams 5 attributs messag m thodes message 4 ORIET 2 allributs m thodes message 3 message 2 OBJET 4 attributs i 387 m thodes rem T OBJET 8 lt gt attributs re m thodes SCHEMA D ENSEMBLE D UN SYSTEME ORIENTE OBJET Figure 31 2 4 1 Messages an cartographie des tats de surface carte raster satellite carte zone simulation pluie utilisateur relev s pluvio relev s pluvio d bits relev s pluvio vapo relev s pluvio infiltration d bits vapo infiltration pedo infiltration eco pedo evapo eco evapo vapo atmosph re atmosph re relev s pluvio classification relev s ponctuels image raster supervis e 32 2 4 2 Classes TERRITOIRE description g ographique dition de la description g ographique TERRITOIRE HYDRO ensemble de cours d eau ensemble de points cot s MNT extraction de bassins versants repr sentation 3 D TERRITOIRE PEDO ensemble de zones p dologiques repr sentation 2 D TERRITOIRE ECO ensemble de zones cologiques repr sentation 2 D des flux ZONES suite de points contour calcul de
213. e d double en culture et vari t culturale tels que 83 SISPRAGAS Ennemi naturel fttaque et contr le L Susceptibilit Produit chimique Q u s s 7 un te Phase Lure II us Pantie de plante 9 1 R sultats de la mod lisation des donn es 84 les vari t s culturales d une m me culture se diff rencient par le biais d un ou plusieurs attributs morpho physiologiques Enfin le concept de partie de plante comme racine feuille fleur tige etc a t mis en vidence dans la mesure o il s agit des divers composants de la vari t culturale qui peuvent tre attaqu s in dividuellement par un insecte au cours d une certaine phase de son d veloppement 4 2 Analyse fonctionnelle Conform ment la m thode utilis e par l quipe du projet SISGEO et qui a t pr sent e lors d un s minaire pr c dent SECHET 1987 le travail de conception se poursuit par une analyse fonctionnelle laquelle s appuie sur l laboration de diagrammes hi rarchis s de flot de donn es Le diagramme de niveau le plus g n ral repr sent sur la figure 2 montre Fexistence de six fonc tions qui constituent les applications de SISPRAGAS La premi re application G rer les insectes met en vi
214. e der nier niveau est repr sent par la variable r ponse La variable descriptSoil est initialis par l arbre des questions r ponses de ce niveau Les autres variables servant g rer cette fen tre et ses ouvertures M thodes affichlist affiche la liste des corps naturels d j entr s affichlist2 affiche la liste des descripteurs correspondant au corps naturel s lectionn affichlist3 affiche la liste des r ponses possibles pour le descripteur s lectionn affichText attiche la liste des corps naturels dans la partie texte en bas de la fen tre affichtext1 affiche dans la partie texte un commentaire si aucun corps naturel n a t saisi Sinon permet d afficher la r ponse courante affichtextl aString from aDispacher accepte aString comme r ponse ou remise jour pour la rubrique s lectionn e et l ins re dans le dictionnaire affichtext2 affiche la liste des corps naturels dans la partie texte ajouteMenul 1 permet d ajouter un corps naturel au travers d une fen tre de dialogue 343 ajouteMenuL2 ajout d un descripteur dans le dictionnaire questions r ponses ajouteMenuL3 ajout d une r ponse possible dans le dictionnaire des questions r ponses effaceMenul 1 enl ve un corps naturel du dictionnaire des r ponses effaceMenul2 enl ve un descripteur du dictionnaire ques tions r ponses effaceMenul3 supprime une r ponse possible du dictionnaire des descripteurs d
215. e des ruptions volcaniques TRANSPAC Transmission de donn es par paquets INSU Institut national des sciences de l univers Centre de t l observation informatis e des volcans FNET R seau fran ais des machines Unix EUNET R seau europ en des machines Unix 101 INTEGRATION D IMAGERIE SATELLITAIRE DANS UN SYSTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE Bernard LORTIC avec le concours de M RAKOTO D REMY amp F PELLETIER RESUME La tentation est grande pour tout op rateur d un syst me de bases de donn es localis es de pouvoir g rer toute l imagerie a rienne ou spatiale dis ponible sur le domaine g ographique de la base La n cessit est imp rieuse pour tout utilisateur de donn es satellitaires d images quasi verticales par voies informatiques de registrer les images don n es de dill rentes dates sous un m amp me r f rentiel La pr sente communication montre sur l exemple de la ville de Quito quels sont les probl mes r soudre l image est constitu e de pixels jointifs sa repr sentation et son stockage ne peuvent se faire que sous une projection d finie Dans le cas contraire il faudrait transcoder chaque pixel en ajoutant les coordonn es explicitement toute image de la surface de la plan te comporte des d formations distorsion due aux optiques du capteur roulis lacets tangage de plate forme satellite ou avion relief les donn es images sont tr s
216. e don n es en direction de services ext rieurs ou pour des besoins internes de fonctionnement 42 3 DESCRIPTION DU LOGICIEL 3 1 Les fonctions disponibles sch ma n 2 PLUVIOM dispose de trois fonctions 3 1 1 Mise jour La mise jour des donn es g r es par PLUVIOM peut tre r alis e de diff rentes mani res selon le type de donn es et le support de stockage de l information Traitement de documents crits bordereaux d observateur rapport de tourn e etc La saisie ou correction s effectue directement dans le fichier de la donn s correspondante partir du clavier Transformation de donn es stock es sur support magn tique Sous r serve qu elles soient dans un format reconnu des donn es externes peuvent tre transform es aux fins de mise jour de la banque g r e par PLUVIOM L utilisateur pr cise alors les s quences de station ann e devant faire l objet de la transformation D pouillement automatique d enregistrements graphiques l interm diaire d un num riseur l utilisateur peut traiter les enregistrements obtenus sur les appareils pluviographiques De nombreuses options sont param tr es atin de permettre le d pouillement d enregistrements tr s divers que ce soit par le type d enregistrement diagrammes bandes continues par la p riodicit des relev s journalier hebdomadaire etc par le syst me de mesure augets siphon pes e etc par le mode de gradu
217. e donn es hydropluviom triques 40 Description des appareils Ces informations regroupent toutes les caract ristiques des enregistreurs qu il s agisse du syst me de mesure augets siphon etc ou du type d enregistreur tambour table d roulante codeur Elles sont n cessdires pour permettre un traitement correct des supports de donn es recueil lies diagrammes bandes cartouches m moire l aide de p riph riques appropri s num riseur lecteur de cartouches Historique Toutes les informations non quantitatives et dat es suscep tibles de caract riser les postes pluviom triques figurent dans cette rubrique Il s agit essentiellement de changement d observateur de d placement du poste de modification de l environnement de date de visite ou d entretien de changement d appareil etc Elles permettent l utilisateur de s informer sur toute modification survenue qu cours de la p riode d observation 2 1 2 Donn es de pluie Pluies journali res Sont regroup es dans cet ensemble les hauteurs de pluie mesur es de fa on quotidienne au moins Des codifications permettent de distinguer qualitativement les valeurs mesur es ros es traces neige relev s group s et de leur attribuer un crit re de fiabilit Pluie pas de temps variable Ce sont les donn es issues du traitement des enregistrements de diverse nature bandes cartouches etc obtenus sur des pluviographes Les donn es pluviogra
218. e faire bri vement N tant pas informaticien je n ai videmment pas de commentaires faire sur les aspects proprement informatiques des cinq communi cations qui seront pr sent es tout l heure Je parlerai simplement en tant que Pr sident de la CS7 Commission qui co organise avec la Mission Technique de l Informatique la s rie des S minfor Vous savez que l une des missions des Commissions Scientifiques est l animation des disciplines dont elles ont l apanage Cela veut dire conforter la l gitimit et la vitalit scientifiques de ces disciplines dans notre Institut C est un exercice difficile car l ORSTOM ces disciplines de la 57 VIST l informatique et le traitement des donn es la physico chimie analytique sont des disciplines sans objet Sans objet parce qu elles n ont pas d velopper de programmes propres de recherche mais intervenir en appui sur les objets des autres disciplines Pour bien jouer ce r le d appui la recherche ses repr sen tants ici les informaticiens doivent entretenir deux qualit s d une part mainte nir un haut niveau de comp tence en tant les acteurs d une veille scientifique et technologique c est dire tre les analystes du d veloppement de l informatique et de la technologie concern e au plan national et international et les diffuseurs et les formateurs de ces d veloppements l int rieur de l ORSTOM D autre part celle d tre ouverts aux probl matiques des aut
219. e l AGRHYMET Centre de Formation en AGRonomie HYdrologie et MET orologie de Niamey pour hydrom trie et de l ASECNA Agence pour la SECurit de la Navigation A rienne de Dakar pour la pluviom trie C est dans le cadre d une convention tripartite entre le CIEH Comit Inter africain d Etudes Hydrauliques l ASECNA et l ORSTOM que la banque pluvio m trique des 13 Etats membres du CIEH Benin Burkina Faso Cameroun Congo C te d Ivoire Gabon Mali Mauritanie Niger RCA S n gal Tchad et Togo a t actualis e pour la p riode 1966 1980 Cette convention dont les travaux seront achev s en fin d ann e a t financ e par le FAC Fond d Aide et de Coop ration les travaux men s par une quipe compos e d un ing nieur et d un assistant a dur quatre ann es M me en consid rant l importance et la qualit des r sultats fichiers complets v rifi s et critiqu s annuaires pluviom triques dit s pour chacun des pays concern s cet exemple montre l ampleur d un tel travail Quelle que soit l importance que l on accorde l actualisation des fichiers et les opportunit s qui se pr sentent cette op ration ne peut tre faite n importe quel prix Par exemple la saisie directe de fiches d observateurs ou de diagrammes implique la constitution d quipes sp cialis es pour ces travaux aussi exigeants que fastidieux Ceci a t fait entre 1970 et 1980 pour la 58 constitution des fichiers h
220. e l ORSTOM La r alisation d un syst me expert peut s av rer int ressante pour fournir la contrepartie locale un outil de formation et de tra vail programmes de contr le biologique long terme en particulier suivi des lacs de barrage etc Dans ces cas si le produit est bien fini il est envisageable de vendre le syst me expert l organisme finan ant l op ration ou la soci t d exploitation En revanche il serait souhaitable que tout biologiste venant op rer une r vision syst matique d un groupe ou de la faune ou flore d une r gion d bou chant sur une nouvelle cl de d termination le fasse sous forme de syst me ex pert Avec un bon g n rateur ce travail n implique pratiquement aucune sur charge de travail hormis l apprentissage du fonctionnement du g n rateur et peut m amp me le faciliter et constituer un excellent test de la coh rence de la cl 181 La r alisation de simples bases de connaissances bio cologiques est d un tout autre ordre Li es ou non un syst me expert ces bases permettraient de regrouper les informations dispers es sur un grand nombre de supports parfois introuvables voire non publi es et destin es dispara tre avec la cessation d activit du chercheur FOCUS CONTROL BLOCKS CONTROL HYDROYNUS Parameters PARAMETER P_H_ESPECE PARAMETER P_H DENTS Rules RULE R_HTANZANIAE RULE R HBREVIS RULE R HVITTATUS RULE R HFORSKALII RULE R HGOLIATH
221. e la don n e Des modes plus labor s de repr sentation d images peuvent tre mis en oeuvre sur cran monochrome et pour des images multicanales avec l affectation d un canal par couleur de base composition color e vraies couleurs Si les m thodes de traitements colorim triques des images permettent d avoir des repr sentations tr s r alistes et des mises en vidence de ph no m nes le tout accompagn d une mise en page l gende texte etc afin d en faciliter l exploitation il est important de se souvenir de la subjectivit de cette repr sentation subjectivit li e au manque de sensibilit du r cepteur oeil et la fascination facile par de belles images d un public non averti en va de m me pour les repr sentations sur papier en recopie de fichier softcopy de l imagerie o l on affecte une combinaison de couleur de base soustractive dans ce cas une plage de comptes num riques de l image sur un p riph rique d impression couleur et ce suivant diverses technologies Un autre inconv nient de ce type de repr sentation est son absence ac tuelle de normalisation li e aux contraintes s v res de temps r el pour les op ra tions interactives de traitement d images sur des configurations d di es La distinc tion introduite entre donn e et repr sentation est alors inexistante les manipula tions envisag es pouvant avoir lieu aussi bien sur la source en m moire image du calculate
222. e normalement un support physique unique capable d autoriser une utilisation partag e des facilit s mises disposition c est dire les donn es et les traitements possibles Uns des ambi tions de SISGEO est videmment de permettre l acc s partag aux donn es de l environnement recueillies pour tout le territoire national et stock es par les soins dans un premier temps des quipes des centres de ressources de EMBRAPA Le premier syst me mis au point SISSOLOS r pond cet objectif et conserve sur les ordinateurs centraux du si ge de l EMBRAPA Brasilia toutes les informations qui correspondent aux lev s p dologiques r alis s durant une tren taine d ann es au Br sil totalisant environ 12 000 profils de sols Cette seule approche est n anmoins apparue insulfisante compte tenu en particulier des difficult s que les chercheurs des unit s d centralis es doivent sur monter pour acc der l ordinateur central surtout en l absence d un v ritable r seau de communication de donn ss encore en cours de mise en place au Br sil SISGEO se propose en fait de r aliser syst matiquement deux modules pour chacun de ses syst mes th matiques un module dit local destin une ample diffusion parmi les quipes producirices d informations et essentiellement orient vers la saisie et la validation des donn es du th me consid r au niveau d agr gation le plus d taill un module dit central en version uni
223. e partie de cet expos d crit bri vement les caract ristiques es sentielles du syst me existant en insistant sur les aspects qui ont permis de le r exploiter dans une autre situation que celle laquelle il avait t initialement destin Le chapitre suivant est consacr la pr sentation de ses applications dans le cadre d tudes g ographiques et sert d illustration pour l utilisation du syst me Le texte se termine par la description sommaire du projet de r alisation d un nouveau logiciel sur micro ordinateur issu de l exp rience acquise gr ce Neptune et labor pour r pondre aux demandes des g ographes africains 243 1 DESCRIPTION DE NEPTUNE 1 1 G n ralit s le syst me NEPTUNE est destin traiter les donn es obtenues par un observateur lors de la description de l objet qu il souhaite repr senter sur support magn tique Il poss de la particularit d autoriser son utilisateur employer les mots ef expressions d une terminologie proche du langage naturel terminologie usuelle qu il a lui m me d finie et qu il peut enrichir comme il le d sire sans n cessiter l apprentissage de termes trangers sa propre discipline Le logiciel n est pas li une discipline particuli re mais il impl mente un mod le hi rarchique deux niveaux c est dire qu il permet de repr senter des donn es structur es selon une hi rarchie p re fils par exemple profil horizon hoplexol l ment dia
224. e programme n 5 on critique les donn es normalis es en observant l volution chronologique de chaque tube ou en les comparant entre eux avec le programme n 3 on corrige les donn es normalis es avec le programme n 7 on cr e les fichiers d humidit relative Bien s r quand parviennent les r sultats de l talonnage chimique ils sont informatis s l aide du programme n CONCLUSION SISOND a t test durant tout un cycle de culture et s est r v l un ins trument de travail particuli rement pr cieux par le c t complet de sa gestion et par sa souplesse d utilisation des donn es Par exemple au cours d une m me journ e il permet l impression des feuilles de collecte et une fois le travail de ter 77 rain effectu l informatisation et la v rification des donn es Ce traitement en temps presque r el pr sente de nombreux avantages entre autres il permet de d tecter alors qu il en est encore temps les erreurs de manipulation H faut ce pendant admettre qu un certain nombre d imperfections ont du tre limin es ce qui parait normal avec un syst me de pr s de 40 000 instructions mais par conception de SISOND ceci n a pas entrain de surcroit de travail inadmissible ll reste cr er les programmes d exploitation des donn es celle ci se fai sant jusqu pr sent avec un logiciel du commerce LOTUS 1 2 3 En version originale SISOND est en espagnol et programm avec la version 3 0 de
225. e sol initialize un symbole with unHorizon initialise le dictionnaire des descripteurs partir du fichier descript fil et fait pointer r ponse sur la zone du dictionnaire Reponse appropri e listl ch aString oriente partir de la r ponse s lectionn e en co lonne 1 la description sur la branche des descripteurs appropri s list2ch aString affecte la valeur aString selectedName 2 selectedName3 est remis nil list3ch aString affecte la valeur aString selectedName3 si aString est diff rent de Reponse libre alors le dictionnaire Resultat est com pl t avec cette valeur menulist1 retourne le menu de la colonne 1 menulist2 retourne le menu de la colonne 2 menulist3 retourne le menu de la colonne 3 open ouvre une fen tre de description de corps naturel sauveMerul 1 sauvegarde du dictionnaire questions r ponses 4 UNE PROPOSITION DE TRAITEMENT DE CETTE INFORMATION L objectif est de synth tiser de proche en proche la masse de donn es et de cr er des ensembles qui permettent de r pondre plus rapidement et plus effi cacement aux questions pos es par des utilisateurs cultivateurs services ruraux etc ou d veloppeurs et de faciliter l laboration des l gendes de cartes p dologiques 4 1 Cheminement et r gles permettant de d terminer le type d horizon Les corps naturels sont tout d abord regroup s en trois ensembles faisant d j appa
226. e synth tis e en un objet structur propre l change et c est dans cette op ration de synth se pr alable que surgissent les hiatus de dialogue Avec la repr sentation objet notamment avec le concept encapsulation les tenants d une discipline en associant des m thodes des objets contr lent naturellement les modes d acc s leurs don n es et peuvent donc les mettre simplement la disposition de leurs partenaires dans les autres disciplines 34 2 4 4 La solution objet implications pratiques On trouve actuellement sur le march des langages orient s objet Smalltalk C Object Pascal Microsoft Pascal V O etc On trouve galement mais souvent sous forme de prototype des SGBD orient s objets ORION VBASE GBASE IRIS GEMSTONE 2 et des extensions objet des SGBD relationnels SABRINA POSTGRES EMPRESS etc Ainsi alors que la solution orient e objet semble tr s s duisante pour l inlormatisation des projets multidisciplinaires il est n cessaire aujourd hui de la consid rer sous un angle exp rimental Les utilisateurs actuels doivent envisager d essuyer les pl tres tant qu une solution bien standardis e ne se sera pas impos e 2 5 Comparaison des trois solutions mise en place rapide diff r e exp ri mentale aide la nulle importante importante conceptualisation tr s contraignante souple faible statique efficacit du s
227. e utilis es et la programmation videmment compliqu e les programmes graphiques sont de deux types ceux comparant diff rentes grandeurs de la m me base de donn es ceux comparant une m me grandeur suivant diff rentes bases de donn es Toutes les repr sentations se font en fonction du nombre de jours coul s depuis le semis Les premiers en particulier permettent de suivre l volution simul tan e dans le temps pour chaque param tre de sa valeur de son cart type et de ses valeurs maxima et minima 3 UTILISATION ET ANALYSE CRITIQUE DU SYSTEME DE TRAVAIL PRESENTE Le fonctionnement de SISBIO n est pas simple pour cela on lui a consacr tout le premier paragraphe Ensuite on a consid r l utilisation du syst me dans son ensemble pour le traitement des donn es Dans le dernier paragraphe on s appuie sur les donn es d j trait es pour porter un jugement 3 1 Fonctionnement de SISBIO Pour rendre plus clair le fonctionnement de SISBIO on a consid r l existence de trois utilisateurs potentiels le responsable scientifique le respon sable des mesures de terrain et l utilisateur des donn es s agit en fait d une di vision un peu arbitraire et la personne peut tr s bien remplir les trois fonc tions Les r les respectifs des deux premiers utilisateurs sont sch matis s dans les figures 2 et 3 le responsable scientifique concoit l exp rimentation et la d crit l aide du programme N 1
228. eau donnant les consommations mensuelles de quatre produits p troliers L interpr tation directe en termes de ces 48 variables devient difficile sinon impossible I faut donc proc der l agr gation de ces va riables et donc consid rer en quelque sorte un fableau interm diaire donnant par exemple au lieu des consommations en gazole fuel lourd fuel domestique carburant auto mois par mois les consommations de chacun de ces produits sui vant des p riodes plus longues choisies selon le produit saison enti re moiti de l ann e m me dans certains cas trois quarts de l ann e oppos es la p riode t etc De sorte que l utilisateur finalement plac en pr sence d un tableau d une dizaine de colonnes et de pourcentages calcul s sur ce tableau par le programme d aide l interpr tation et disposant de graphiques plans s affichent les sigles de ces agr gats de variables pourra comprendre sans peine l interpr tation des classes de d partements cr es L interpr tation de la classification se fait donc en termes d agr gats de variables et partant la cartographie La l gende de la carte distingue pour chaque produit selon des p riodes variables les exc dents ou les d ficits par rapport la moyenne forts ou faibles des consommations mensuelles de 1972 1981 De l la n cessit d une recherche au niveau des modes d expression graphique l utilisation des symboles s tant av r e peu satisfa
229. ecteur flux ou de repr sentation trois dimensions bloc diagramme est quasi imm diate avec certains progiciels qu il est alors n cessaire d interfacer avec les structures de donn es existantes L utilisation d une norme graphique si elle permet de rationaliser les d veloppements lourds par l ind pendance mat rielle et logicielle doit cependant tre abord e avec pr caution puisqu il peut exister des solutions ponctuelles donc moins portables pour les programmes et donn es pour bon nombre de probl mes interface carte PC par exemple logiciels noire etc 3 2 3 Evolution probable est toujours possible de repr senter un graphique sous forme image en codant le pixel position profondeur de fa on ad quate sur le p riph rique concern l apparition r cente d cran m moire bit map tend r unir au ni veau du mat riel au moins les deux voies distinctes de repr sentations infogra phiques Au niveau du logiciel et en l absence de norme unificatrice la mise en oeuvre de programmes de visualisation d images est toujours li e l environnement existant malgr des efforts de rationalisation en ce sens visuali sation d image en mode GKS interface image standard normalisation mat rielle 3 3 Syst me de traitement Compte tenu des d finitions pr c dentes le syst me logiciel d velopp pour nos besoins est sch matis sur la figure 2 qui met en vidence les diff rents
230. eline changes in French Guiana Quaternary of South America and Antartic Peninsula vol 5 J Rabassa Ed A A Balkema Publ Rotterdam RITCHIE J C et al 1987 Using Landsat MSS data to estimate suspended sedi ments in Moon Lake Mississipi Remote sensing of Environment 23 65 81 ROCHE M A 1977 l estvaire du Kourou en Guyane Francaise possibilit s d alimentation en eau d une usine de p te de bois et risques de pollution par rejets industriels dans l estuaire Rapport ORSTOM 80 pp WADWORTH A amp Petit M 1987 SPOT un satellite pour l oc anographie CNES SPOT 1 utilisation des images bilan r sultats YAYER 1937 Compte rendu de la mission pour l tablissement de la carie S H O M n 5884 r gion de Sinnamary 201 Deuxi me session De la donn e l information aide a l interpr tation Rapport de session par Patrick SECHET Chacun des cinq expos s de cette deuxi me session a donn lieu un ra pide d bat sur des points soulev s le plus souvent l initiative du conf rencier On retiendra essentiellement les quelques points suivants l int r t d utiliser des programmes commerciaux tableur par exemple pour exploifer facilement les donn es stock es dans une banque et r aliser des applications non pr vues graphiques en particulier et par cons quent non programm es lors de la mise en oeuvre du syst me Il convient toute fois de se limiter une utilisation des fonctions standar
231. elques unit s sp ciales ou temporaires vocation essentiellement technologique compl tent avec le si ge administratif et de soutien technique de l entreprise ce dispositif La coop ration internationale avec les instituts de recherche fran ais CIRAD et ORSTOM a d but fin 1980 les chercheurs du CIRAD interviennent g n ralement dans les centres de produits avec une recherche plus finalis e tandis que ceux de l ORSTOM conduisent g n ralement des programmes com muns avec les quipes d valuation des centres de ressources 1 2 Historique Dans le domaine des syst mes d information pour l environnement un premier travail commun le projet SISSOLOS a t men par F ORSTOM avec le SNLCS Servi o Nacional de Levantamento e Conserva o de Solos pour conduire la r alisation d une base nationale de donn es de sols S chet 1985 Durant la phase de d veloppement 1981 83 ce travail a b n fici d un appui technique essentiel du DMQ Departamento de M todos Quantitativos unit centrale du si ge de l EMBRAPA l on a rapidement pris conscience de la n cessit de syst matiser et discipliner l acc s aux donn es de l environnement sous la pression de la demande des quipes d valuation des trois centres de ressources alors existants En effet les chercheurs du CPAC Centro de pesquisa agropecu ria da re gido dos Cerrados Brasilia du CPATSA Centro de pesquisa agropecu ria da regido do Tr pico S
232. ements de syst me d information la probl matique g n rale de l informatisation s est d plac e et que l on met de moins moins l accent sur la variabilit des donn es et de plus en plus sur la variabilit des traitements Le but d une informatisation n est plus d appliquer des traitements constants des jeux de donn es diff rents mais d appliquer des traitements en volution permanente une base d information remise jour certes mais dont la structure est peu pr s constante Les concepts de base de la programmation objet sont les suivants objet Entit reconnue par le syst me et identifi e par une r f rence unique Par exemple point rectangle individu classe Collection d objets ayant les m mes propri t s statiques attri buts et dynamiques m thodes Par exemple l ensemble des points coordon n es d placer afficher l ensemble des rectangles points extr mes agrandir afficher l ensemble de tous les individus nom pr nom ge adresse changer d adresse encapsulation Une m thode n est applicable un objet que lorsqu elle fait partie des m thodes de la classe de cet objet message Donn e d clenchant l ex cution d une m thode li e une classe et s appliquant un objet de cette classe le destinataire Par exemple agrandir le rectangle X donner l age de l individu Marcel 29 hi rarchie des classes Une classe A est une sous classe de B si les
233. emi Arido Petrolina er du CPATU Centro de pesquisa agropecu ria da regi o do Tr pico Umido Bel m essentiellement engag s dans des op rations de zonification agricole de leurs r gions respectives n ces sitaient tous d un appui informatique pour acc der aux donn es g n ralement existantes mais pratiquement indisponibles Un groupe de travail a donc t cr en mai 1982 l occasion du Pri meiro Encontro de M todos Quantitativos da EMBRAPA EMBRAPA 1982 pour mettre sur pied une strat gie de r alisation d un syst me d information g ogra phique vocation rurale appel SISGEO Plusieurs r unions r alis es en 1982 et 1983 sous l impulsion du DMQ EMBRAPA et de l ORSTOM ont permis de d finir les modalit s d laboration du syst me et de participation de l ORSTOM les travaux ne d butant effectivement qu l arriv e mi 1984 des chercheurs francais affect s au programme Daniel Cardon au CPATU et Patrick S chet au DMQ 292 Durant les cinq ann es qui se sont coul es l effort de l ORSTOM cr cette coop ration s est maintenu au niveau de deux chercheurs ou ing nieurs affect s d but 1986 Philippe Waniez tait affect au CPAC peu avant le d part de Daniel Cardon et en mars 1987 G rard Cochonneau rejoignait Patrick S chet Brasilia tandis que Philippe Waniez quittait le CPAC en fin d ann e Bien entendu l EMBRAPA allouait dans le m me temps des ressources humaines et
234. en un tronc commun identique pour toutes et trois parties chacune sp cifique d un type de donn es Ils fonc tionnent suivant le sch ma g n ral suivant sur la vid o un cran explicatif avec un certain nombre de champs de donn es documenter pour pouvoir poursuivre il faut que ces champs soient remplis de fa on acceptable sinon apparaissent des messages d erreur peut passer l cran suivant ou revenir l cran ant rieur condition bien s r qu il y en ait un dans tous les cas on peut revenir au menu principal Certaines op rations sont irr versibles cr ation de fichiers ou de registres dans les fichiers de donn es brutes etc et par cons quent comportent un risque Pour limiter ce risque elles sont prot g es par un mot de passe dont la gestion est assur e par le programme d installation Si celui ci n est pas connu l op ration est annul e et suivant les cas il peut y avoir retour au menu principal Autant que faire se peut les causes d erreur lors de la documentation des crans ont t limit es choix d option par le caract re X apparition de la liste des r ponses possibles dans une fen tre etc Dans tous les cas des explications circonstanci es apparaissent en gris pour faciliter la documentation des champs de donn es Dans le cas de l informatisation des donn es brutes c est l image exacte de la feuille de collecte qui apparait avec indication des noms
235. encombrantes une image SPOT repr sente peu pr s 30 M ga octets pour l A l Q Nous disposons en d but de programme de sept images les solutions doivent pouvoir int grer l imagerie a rienne sur Quito la derni re mission de photo a rienne est de les solutions adopt es par FA I Q proposition CNRS CNES point s st r oscopiques par vid oplotter recalage g ographique par cr ation des surfaces de d formation par interpolation corr lation automatique par la m thode SSDA it ration du processus l int r t de cette m thode est de pouvoir disposer de donn es constam ment am lior es alors qu actuellement l int gration est ch re et unique Une d monstration pourra tre faite des outils et des r sultats sur des images de Quito prise de vue de quatre dates tr s diff rentes et de Marnes la Vall e prise de vue de quatre dates d origines tr s diverses 102 INTRODUCTION On peut r ver de disposer d un syst me d information total Ce qui impli querait que l on dispose en chaque point de l espace temps de toutes les infor mations disponibles Ce type de syst me est partiellement r alis en m decine l on imagine actuellement des syst mes de repr sentation du corps humain en trois dimensions permettant de mieux r f rencer visualiser et transmettre les diff rentes pathologies On r alise ainsi un corch visuel dans lequel on peut plonger l oeil sinon la mai
236. enregistrer les codes de facon trans parente pour l utilisateur en se servant en temps du r pertoire qui lui est d sign et des donn es saisies par l utilisateur dans le langage usuel choisi Cette saisie op re sans ordre impos ni format le point est utilis comme s parateur de donn es et il n y a pas d autres contraintes d criture voir figure 1 1 3 Entr e des donn es Les donn es sont introduites avec deux cl s logiques correspondant la structure unit et sous unit Ces cl s sont deux variables enti res choisies par l utilisateur et identifient respectivement l unit l int rieur de la banque et relati vement cette unit le num ro de la sous unit 244 Neptune Donn es utilisateur R pertoire Fig la Sch ma d entr e des donn es tiode de saisie Cl d acc s l unit d sign e Variable quantitative Variable qualitative GLOBRL E 2667 H S3S LIMITE IRREGULIERE DIFFUSE L H S53 EN Ch TRAN 14S5 A PHASE HUNO FERRUGINEUSE EST ORGA EN MICROHORIZONS REE 2005 Doi MAT APPUNITE 88 BRUN GRISATRE D 2 PHA LHUNO FERRUGINEUX D 7 STI POTERIE AS saa Information additionnelle Cl d acc s la sous unit d sign e Rep re de d but d information additionnelle Fig ib Exemple de donn es l entr e 245 Le sch ma d introduction des donn es est ainsi le suivant cl logique de l unit donn e
237. ent ces donn es sont obtenues sur support magn tique Les multiples sources amp traiter doivent alors tre d cod es pour tre converties dans les structures de donn es internes du logiciel d application Elles comportent g n ralement en plus de la donn e image brute ou pr trait e des niveaux variables diverses informations indispensables pour la suite des traitements g ophysiques ou g om triques envisag s g olocation angles de vis e etc Si certains pr traitements ne sont pas inclus dans la four niture il peut tre int ressant d y proc der d s ce stade au moyen de divers mod les externes localisation calibrage radiom trique etc les donn es conventionnelles sont saisies manuellement ou lues sur support magn tique Elles peuvent tre galement accessibles sur certains environnements de stockage sp cialis s comme le Syst me Mondial de Transmission d informations m t orologiques M t orologie Nationale Paris partir d un cal culateur quip de moyens de communication puis transform es en respectant leur format interne 4 3 Traitements Ceux ci peuvent tre tr s vari s et correspondent essentiellement des outils m thodologiques de base Nous ne traiterons pas des d veloppements sp cifiques th matiques crits pour les besoins de nos programmes de recherche 4 3 1 Traitement d imagerie Ce module assure des manipulations de donn es image avec les op ra tions de tra
238. ent les activit s scientifiques transversales regroup es sous le vocable de Sciences de l ing nieur et de la communication Ces disciplines sans objet de recherche propre dans notre maison constituent des partenaires pour les autres domaines scientifiques repr sent s par les programmes de recherche en cours Elles peuvent ainsi jouer un r le pour favoriser la pluridisciplinarit autour des d marches de l informatique de l analyse physico chimique ou encore de la communication Comme je l ai annonc aux r centes journ es de septembre il nous faut r fl chir sur notre dispositif institutionnel dans ce domaine constitu par les mis sions techniques Je suis toutefois convaincu qu il nous faut maintenir et renforcer ces comp tences ces ing nieurs et techniciens jouent un r le indispensable de veille technologique et nous permettent l appropriation des nouvelles m thodes Je d clare ouvert le troisi me s minaire informatique de l ORSTOM S minfor 3 je souhaite que vos travaux soient f conds et que chacun tire les meilleurs b n fices de cette rencontre 15 Session 1 CAPITALISATION DES DONNEES 17 SYSTEMES D INFORMATION SUR L ENVIRONNEMENT NOUVEAUX OUTILS NOUVEAUX CONCEPTS Christian MULLON amp Pascal RENAUD RESUME Les auteurs pr sentent dans ce document quelques d veloppements r cents de l informatique et montrent comment ceux ci peuvent trouver des appli cations dans les programmes de recher
239. ent lors des n gociations dans l int r t de l Institut dans son ensemble toutes disciplines confondues 13 Strat gies de spatialisation La derni re session est consacr e aux strat gies de spatialisation les SIG sont des outils tout fait novateurs encore qu il me semble que ce concept rev t l int rieur de notre maison diverses acceptions qu il est pour le moins n cessaire de clarifier C est un sujet tr s important et la r flexion qui va tre amorc e jeudi devra se poursuivre la semaine prochaine au niveau de l UR 3 Analyse des organisations r gionales et gestion des milieux agro pastoraux du d partement MAA l occasion du groupe de travail Analyse compar e des mod les pour l information spatialis e ACMIS Je crois important de susciter une r flexion vis vis de l chelle d int gration pluridisciplinaire En effet petite chelle c est dire sur de grands espaces la mise en regard des informations n aura pas le m me degr d efficacit que l int gration des grands volumes de donn es dont on disposera avec un SIG sur la r gion g ographique mais avec un niveau de d tail beaucoup plus pouss N anmoins il me semble qu il existe une combinaison disciplinaire f conde chaque chelle CONCLUSION En r sum je voudrais insister sur l importance que rev tent mes yeux les instruments et m thodes de traitement de l information l ORSTOM et plus g n ralem
240. entomology New York Springer Verlag New York Inc 1980 587p LARRA F M Principios de resist ncia de plantas insetos Pira icaba Ed Livro ceres 1978 207p MARANHAO Z C Morfologia geral dos insetos S o Paulo Nobel 1978 396p MAXWEEL F G amp JENNINGS P R Breeding plant resistant to insects New York John Wiley amp Sons 1980 683p RAWITSCHER F Elementos b sicos de bot nica 8a edi o S o Paulo Editora Nacional 1979 382p REISSIG W H HEINRICHS E A LITSINGER J A MOODY K FIEDLER L MEW T W amp BARRION Illustrated guide to integrated pest mana gement in rice in Tropical Asia Los Bands International Rice Research Institute 1986 41 Ip SECHET P M thode d analyse structur e pour la mise au point de logiciels In S minfor 1 Premier s minaire informatique de l ORSTOM Paris ORSTOM 1987 pp 221 48 SECHET P FRESNEDA P S V amp COCHONNEAU G SISGEO une m thodo logie d administration des donn es de l environnement rural In S minfor 3 Troisi me s minaire informatique de l ORSTOM Paris ORSTOM 1989 SILVEIRA NETO S NAKANO O BARBIN D amp VILLA NOVA N A Manual de ecologia dos insetos S o Paulo Ed Agr nomica Ceres 1976 419p WIGGLESWORTH V B The principles of insect physiology London Methuen amp Co ltd 1965 741p 91 ACQUISITION TRAITEMENT ET TRANSMISSION DE DONNEES DE VOLCANOLOGIE J TABBAGH C PAMBRUN amp AA LA
241. er satisfait Deux points cependant dans l utilisation de LOTUS m ritent r flexion la mise au point des programmes sous LOTUS simples exige beaucoup de temps et d attention le temps de traitement est consid rable et on peut se demander s il ne faudrait pas r duire l utilisation de ce logiciel CONCLUSION Cette conclusion est double car on y s pare les deux phases du traitement informatique soit la gestion des donn es brutes et le traitement des donn es qui en sont issues SISBIO s est r v l un outil pr cieux notamment par le c t complet de sa gestion des donn es Ainsi au cours d une m me journ e il permet d imprimer les feuilles de collecte et une fois le travail effectu d informatiser les donn es et 132 de les v rifier Ce travail en temps presque r el simplifie la gestion des dates de collecte et permet quand il en est encore temps de d tecter les erreurs de mani pulation SISBIO s est r v l galement un syst me tr s s r tant au niveau des fi chiers cr s que de l informatisation et de l utilisation des donn es Enfin sa souplesse d utilisation lui permet volont de supprimer des fichiers de sortie les donn es correspondant certaines plantes certains blocs ou m me une par tie quelconque de la parcelle Ceci a d ailleurs eu une application dans l essai analys une inondation inopportune ayant affect une partie d une parcelle d essai on a pu en mesu
242. er usage ou apr s toute r paration il convient sous peine de perdre tout le travail effectu de calibrer chaque sonde 1 2 2 Phase d installation voir figure 1 Au cours de la phase d installation on recueille les chantillons de terre pr lev s la tari re lors de la mise en place des tubes et on note avec soin les profondeurs correspondantes Ensuite on installe les tubes et imm diatement apr s on effectue un ou plusieurs profils avec la sonde 66 91SDND Etalonnage chimique Echantillons Installation k du dispositif Humidit s exp rimental Profils pond rales neutroniques Etalonnage Husidit s empirique volumiques Densit s che apparente 1 Installation du dispositif exp rimental Mesure de Humidit s volumiques Etalonnage empirique Fig 2 Destruction du dispositif exp rimental Echantillons de gol Profils neutroniques Destruction du dispositif exp rimental 3 4 a a Etalonnage chimique 67 Les chantillons de terre pes s s ch s et pes s nouveau donnent l humidit pond rale Par estimation de la densit s che apparente ou par sa mesure dans un site voisin il est alors facile de passer aux valeurs d humidit volumique La comparaison avec les mesures de sonde fournit un premier talon nage empirique Les chantillons de terre s ch s sont ensuite envoy s dans un centre
243. errantes dans les fichiers coordonn es altitude etc ou signalant l op rateur des valeurs tr s fortes intensit hauteur journali re etc Les s quences ann e station pour lesquelles l utilisateur d sire effectuer une t che extraction dition etc sont contr l es le chevauchement des demandes par exemple pour interdire des r p titions dans les fichiers extraits ou les di tions Toute anomalie est signal e par un message apparaissant l cran et pr cisant l op rateur le type d erreur commise 4 2 Aide la saisie Le recours des touches programm es pour effectuer certaines t ches simples comme la duplication ou l effacement de champ ou plus complexes tel que l affichage d enregistrement suivant ou pr c dent le dernier enregistrement vi 45 Choisissez le fichier auquel vous voulez acc der ou les fonctions ex cuter pet les touches cu puis validez votre choix par la touche Retour Charict 1 Fichier identification des PAYS 2 Fichier identification des STATIONS 3 Fichiers des PLUIES JOURNALIERES 4 Fichier des PLUIES MENSUELLES 5 Fichier des DOSSIERS DE STATIONS 6 Foactions pour le uaitcascat de la PLUVIOGRAPHIE 7 Fonctions UTILITAIRES Figure A Meau principal de PLUVIOM Choisissez la proc dure d pla ant la fl che par et validez votre choix par la touche retour chariot 1 Configurer le aum riscur 2 G rer l historique de l apperc
244. ersaux et favoriserait l change d informations au sein des UR et entre celles ci Elle fournirait en outre des outils de formation des jeunes chercheurs et techniciens des outils de travail pour les chercheurs de sp cialit s voisines ou changeant d aire g ographique d tude les maillons d un r seau de bases de connaissances internationales La mise en place de bases de connaissances r gionales trans disciplinaires passe par l existence d une politique informatique souple qui favorise une relative standardisation sans imposer trop de contraintes rebutantes C est l un des ser penis de mer du d veloppement informatique des grandes institutions ou soci t s l exp rience a montr que les services informatiques centraux ont une ten dance naturelle d velopper selon une finalit et une probl matique propres en r duisant les liens avec les utilisateurs ext rieurs Une autre tendance tant le repli sur l informatique administrative par nature plus codifi e et moins fantasque que celle des chercheurs Par ailleurs le d veloppement et les prix de la micro informatique ont ha bitu les utilisateurs une tr s grande vari t de configurations mat rielles et surtout logicielles Toute tentative de standardisation sera n cessairement ressentie comme une brimade et tout choix contest Cependant deux voies qui ma connaissance ne sont pas utilis es sys t matiquement pourraient tre explor es
245. ertexte appel parfois suggestivement mod le navigation nel est ainsi une facon de structurer une base de donn es multi m dia de facon pouvoir en extraire des informations pertinentes figure 2 Les concepts les plus importants du mod le Hypertexte sont carte Support l mentaire d information pile Ensemble de cartes pouvant tre consult es la suite les unes des auires base de donn es hypertexte Ensemble de piles contenant des cartes qui peuvent tre li es les unes aux autres de facon tr s souple fond Structure de cortes 23 est tr s important de noter ce qui diff rencie ce mod le des pr c dents mod les de repr sentation de l information il peut y avoir dans une pile des cartes de fond diff rent Le mod le Hypertexte est particuli rement adapt pour un logiciel se substituant ce qui est un outil fondamental du chercheur naturaliste le carnet de terrain Celui ci peut comporter sous une forme d cid e par le seul chercheur selon ses manies des informations de toute sorte comme des relev s d observations des adresses des collages photographiques des notes de lecture des remarques sur le sujet des remarques hors sujet qu il veut pouvoir consulter tr s librement sans proc dures pr tablies De la fa on que pour le mod le relationnel on peut indiquer les implications pratiques du choix du mod le Hypertexte au sein d une
246. es ann es sans succ s La r alisation d un travail en commun a ainsi t propos e fin 1985 par l quipe de SISGEO et a donn lieu la r alisation du module local de SISFITO Sistema de informac es flor sticas co parrain par ces deux centres de ressources la version 1 1 op rationnelle depuis juin 1989 a t sp cifiquement pour automatiser le maximum d activit s qui interviennent dans la gestion des collections botaniques depuis la saisie des informations de la fiche de terrain jusqu au traitement des consultations les plus courantes Le diagramme de flot de donn es de la fonction administrer l herbier de ce module et qui fait l objet de la figure 4 met en vidence les applications essentielles de SISFITO 302 5156 0 ACHINISTRER L HERBIER 2 1 Fiche de terrain y Fiche de terrain Mat riel Identifier i Incorporer 02 HERBIER NANUELLE ss complam Fiche de correction Compte rendu Sollicite consultation 7 Etiquettes Botaniste Rcc der par Consultation num ro de PI GL TABLES 1 herbier Sollicite mission 2 4 Emettre divers rapports listing 2 5 Consulte par nom vulgaire Consulter par Donn es par vulgaire Hom vulg Fig 4 Diagramme de flot de donn es niveau 1 de SISFITO 303 mise jour des donn es de l herbier avec possibilit d inclusion ex clusion et modification des inform
247. es mains des chercheurs en informatique Ce que nous ne sommes pas ces syst mes permettent tr s facilement l acc s aux bases et routines ext rieures il nous a paru important dans cette premi re approche de d cortiquer le m canisme du savoir de l expert biologiste et c est cela que nous avons tout d abord consacr nos efforts les premi res conclusions auxquelles nous sommes parvenus et qui sont bri vement cit es au d but de ce texte nous posent cependant un probl me fon damental celui de l analyse d images r alis e par l expert biologiste pour orienter sa diagnose La reconnaissance visuelle d un individu int gre tr s rapi dement un grand nombre de param tres sans que l expert en ait m me v ritablement conscience Cela se traduit par une phrase du type cette individu a un aspect de X ou ressemble un X Or dans l tat actuel aucun syst me in formatique n est en mesure de r aliser une telle op ration Et le seraient ils un jour que de tels syst mes resteront longtemps d un co t lev et disproportionn pour l usage envisag ici Si poussant plus loin l analyse de la d marche de l expert on le prive du contact visuel avec l chantillon en passant par un interm diaire que l expert interroge par exemple la d marche change L expert privil gie les aspects bio cologiques lieu de r colte en particulier pour r duire l ventail des possibili _ 185 t s Puis il cherche
248. es objectifs pr sent s en introduction 2 1 Pr sentation succincte de SISOND 2 1 1 Les programmes de SISOND SISOND dans sa version actuelle comprend dix programmes r partis de la fa on suivante deux programmes informatiques BACKUP et installation six programmes de gestion de donn es brutes deux programmes d exploitation de donn es Sauf pour le BACKUP ces programmes n cessitent d informations pour pouvoir fonctionner Celles ci sont communiqu es au travers de un ou plusieurs crans comportant chacun un certain nombre de champs documenter 68 On retrouve dans les donn es brutes les trois l ments pr sents dans toute exp rimentation neutronique Un programme est consacr a la gestion des caract ristiques de sonde et au calibrage p riodique et un autre la gestion des coefficients d talonnage du sol de chaque exp rimentation Les quatre derniers g rent les donn es relatives aux exp rimentations elles m mes Ils remplissent les fonctions suivantes gestion des protocoles exp rimentaux cr ation de registres dans les fichiers de donn es et impression des feuilles de collecte informatisation ou correction des donn es brutes critique graphique le premier des deux programmes d exploitation transforme les donn es brutes en donn es moyennes normalis es Autrement dit il calcule les valeurs qu on obtenues avec une sonde comptant 1000 dans l eau et s il y a plu si
249. espace c est lors de l interrogation des donn es que l on pourra tablir le P O S pour chaque parcelle Si l on veut modifier le P O S on pourra le faire ind pendam ment des parcelles et trouver ensuite par une op ration de gestion de donn es l impact de la modification sur les parcelles concern es Par cette m thode de gestion de la localisation les op rations de simulation sont rendues possibles et faciles mettre en oeuvre Garder chaque objet dans sa propre implantation spatiale avec la possi bilit de comparer et de mettre en relation la spatialisation de diff rents objets met bien s r en vidence les probl mes de validit de la localisation des objets d chelles spatiales diff rentes ou plus g n ralement de validit diff rente pour leur localisation ne sauraient tre joints sur cette localisation sans grande pr caution 256 3 LES TRAITEMENTS Le syst me de gestion nous offre donc gr ce ces op rations de base la possibilit de d velopper sur un ensemble de donn es de nombreux traitements sp cifiques C est le second aspect du syst me d velopp qui doit offrir des trai fements sortant du cadre strict du syst me de gestion Ces possibilit s sont sans en faire l num ration compl te l tude des donn es par des moyens statistiques simples moyenne fr quence cart type histogrammes corr lations r gressions histogrammes bi dimensionnels la cr ation de nouvelle
250. essources naturelles br siliennes REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BORLAND International Inc Data Base Toolbox 1987 163p BORLAND International Inc Turbo Graphix Toolbox 1985 254p BORLAND International Inc Turbo Pascal 4 0 1987 629p EMBRAPA DIN Manual do sistema de de sistemas especialistas PSE Brasilia 1987 123p EMBRAPA NTIA Manual do software de recupera o de informac es SRI Campinas 1989 EMBRAPA NTIA Manual do software cientifico SOC Campinas 1987 ENGESPACO Manual do sistema de tratamento de imagens SITIM S o Jos dos Campos 1986 ENGESPACO Manual do sistema geogr fico de informac es SGI S o Jos dos Campos 1987 GANE C amp SARSON T Structured systems analysis tools and techniques Prentice Hall Inc Englewood Cliffs New Jersey 1979 256p IBM Manual do Cross system product CSP application development user s guide 1988 179p IBM SQL Data system terminal user s reference for VM system product 1984 214p 226 IESA Tecnologia de sistemas Mosaico DFD 1988 148p IESA Tecnologia de sistemas Mosaico DEM 1987 160p MAGRI J A DIALOG Plus Interativo 1988 Ed Atlas PARROT J F amp CHEVILLOTTE H TIMOR Traitement d image par micro ordina leur Paris 1987 ORSTOM 5 p SAS Institute Inc SAS User s guide basics 1985 1290p SOFT Manual preliminar do DIALOG GER 1989 203p Traduction libre Patrick S chet ao t 1989
251. et que le manque de maintenance sur place constitue le principal probl me technique auquel nous pouvons tre conlront et qu aucune r ponse satisfaisante ne peut actuellement lui tre apport e 261 EXEMPLE DE MANIPULATION DE DONNEES INTEGREES A UN SYSTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE Dominique COURET RESUME La pr sente communication relate une exp rience d exploitation d un syst me d information g ographique pour la r alisation de cartes th matiques partir des donn es qui y sont int gr es Elle s appuie sur les exp riences faites dans le cadre du projet d Atlas informatis de Quito avec les donn es du recen sement national de population et logement de la zone del Rosario et du Comit del Pueblo et en utilisant les moyens disponibles du syst me Savane L objectif est de construire une typologie de l espace urbain en fonction des caract ristiques de l habitat en utilisant une d marche initialement bas e sur la recherche d une organisation naturelle des variables disponibles d tect e par Une analyse multivari e pr alable Les deux applications pr sent es montrent que la complexit augmente ra pidement avec le nombre de variables et de leurs modalit s pris en compte dans l analyse Elles mettent galement en vidence la n cessit d un travail al lern entre la repr sentation cartographie et la simplification du fichier descriptif repr sentatif des modalit s visuoliser 1 INTRODU
252. eur la partie centrale aux programmes et la partie de droite aux produits tant ceux n cessaires l utilisation du programme qu ceux r sultant de son fonctionnement Chaque programme s inscrit dans rectangle dont la partie sup rieure donne le num ro et la partie inf rieure son r le dans le syst me Lorsqu un produit est n cessaire son fonctionnement il est reli la partie sup rieure du rectangle S il en est issu il est reli la partie in f rieure Deux types de produit repr sent s diff remment sont consid r s les sorties imprimantes et les fichiers de donn es appel s FO F1 F2 Remarque Pour simplifier l criture on a donn le nom FO aux fichiers de donn es de calibrage et de description de sonde et appel F2 les deux fichiers de donn es brutes 3 1 1 Point de vue du responsable de l exp rimentation figure 3 ll a un acc s prot g par un mot de passe dans quatre programmes Le programme n O est lui seul un v ritable sous syst me charg de la gestion de tout ce qui concerne les sondes neutrons c est dire leurs caract ristiques et le calibrage p riodique Chaque fois qu une nouvelle sonde est utilis e ou qu un incident se produit avec une sonde en service le fichier de caract ris 72 5 95 OND Hot de passe Feuilles de donn es de calibration calibration des sondas FBI CALIBRAGE SONDE Hot de passe 6 Description et H FGI
253. eur de l horizon analys associ ce coefficient permet de classer cet horizon en HI ou dans le groupe HN en s appuyant sur le tableau suivant 346 Coefficient X SI Epaisseur de l horizon groupe sup rieur 1 2 3 4 5 6 7 8 Les horizons de type HH ils ne sont pas class s conform ment aux crit res des horizons HI et respectent les r gles suivantes soit sH et sN les sommes des pourcentages des corps naturels de type H et de type N Si sH sN gt 40 si sH sN gt 3 alors l horizon est de type HH Les horizons de type HA ils n ont pas t class s en type ou HH Les r gles suivantes sont alors applicables soit s et sN le total des pourcentages des corps naturels de type et de type N Si s sN gt 50 si s sN gt 3 alors l horizon est de type HM Si l horizon ne peut tre class dans un des groupes d j d fini il sera plac dans l ensemble des horizons de type HN Remarque tous les types d horizon ou regroupements de corps naturels sont utiles pour organiser de proche en proche l information mais n apparaissent pas un utilisateur ventuel 4 2 Les types de profils Le type de chaque horizon tant connu soit par traitement des donn es soit par d termination de l expert la succession verticale de ces horizons est le crit re de classement en ANAPEXOL HUMOAPEXOL ORTHOAPEXOL ANHUMOAPEXOL 347 CONCLUSION L ob
254. eurs r p titions il en fait la moyenne Le second programme transforme les va leurs pr c dentes en humidit s volumiques raison d un fichier par tube de son dage neutronique Dans l tat actuel de SISOND les tudes s ach vent en im portant ces derniers fichiers dans un logiciel du commerce qui dans notre cas est LOTUS 1 2 3 2 1 2 Les fichiers de donn es de SISOND LES FICHIERS D ENTREE Ce sont tous les fichiers de donn es brutes auxquels il faut ajouter un fichier de description de sonde et un fichier de description de protocoles exp ri mentaux A chaque sonde correspondent un fichier de donn es de calibrage et un fichier de coefficients d talonnage du sol Pour chaque exp rimentation il y a deux fichiers Le premier est r serv aux ventuelles mesures de r f rence avant et apr s exp rimentation et aux commentaires Le second permet de stocker les donn es brutes de terrain Tout ces fichiers sont susceptibles de modifications dans n importe quel registre lls sont donc acc s direct Pour les fichiers de donn es de terrain il fallait trouver un d nominateur commun toutes les exp rimentations afin de l utiliser comme registre Ce d no minateur est la r p tition tubs Pour des raisons d occupation de l espace disque on a limit le nombre de niveaux de mesures par tube 22 Chaque registre comporte donc l espace n cessaire au stockage d une r p tition de ces 22 donn es et un certain nombre d info
255. fert par le logiciel MacSAIF pour le traitement de variables r gionalis es et en particulier l aspect d aide l interpr tation qui utilise les m thodes statistiques de l analyse des donn es analyse factorielle de correspondances et classification ascendante hi rarchique s appuyant d abord sur un cas simple pour ensuite montrer le proces sus de traitement g n ral dans le cas de donn es complexes r qu rant un co dage pr alable l auteur met en vidence les trois tapes principales du travail choix du d coupage en modalit s des variables traiter choix de la partition et choix des trames utilis es sur la carte L utilisation des diff rents programmes qui composent le logiciel et qui permettent de r aliser chacune de ces tapes est d crit et les principales difficul 165 d application sont relev es et illustr es par des exemples INTRODUCTION Le but de cette communication est de montrer aux g ographes aux cher cheurs des autres disciplines ainsi qu aux sp cialistes et responsables de la plani fication la vari t de ressources que pr sente ce logiciel Mac SAIF Au chercheur isol sur le terrain il permet partir d une base de donn es complexes de cr er une carte de synth se int grant les informations l mentaires apport es par des variables dont le nombre et le format ne sont soumis aucune contrainte Pour pr senter ce logiciel on a fait tr s largement appel aux notices des pro
256. fession ge J r me 34 Bordeaux Viticulteur Alain 24 Bondy Commercant H l ne 56 Paris M decin Laurent 18 Angoul me Sans Marcelle Bordeaux Sans Base de donn es Ensemble de tables pouvant avoir des attributs communs Par exemple Table Individus nom a ville profession ge J r me 34 Bordeaux Viticulteur Alain 24 Bondy Commer ant H l ne 56 Paris M decin Laurent 18 Angoul me Sans Marcelle Bordeaux Sans Table Ville Ville Population A roport Paris 2 000 000 oui Bondy 45 000 non Angoul me 87 000 non Lyon 800 000 oui Requ te Manipulation l mentaire de l information contenue dans la base interrogation mise d jour Exemples S lectionner tous les individus de la base ayant une profession et les classer par age croissant Ou encore S lec lionner tous les individus de la base habitant dans une ville ayant un a roport 20 Jointure Op ration qui consiste croiser des informations se trouvant dans deux tables distinctes d une m me bass de donn es Ce qui est important et qui explique en partie les succ s du mod le rela tionnel est l existence d un langage de requ te standard SQL Il existe d autres langages de requ te QUEL QBE QBF mais en g n ral ils sont li s l offre d un d veloppeur et ne sont pas normolis s Un autre trait important du mod le relationnel r side dans le principe de normalisation des bases de donn es relationnelles l ex
257. fichiers cartographiques ASCII dans l organisation plus g n rale des fichiers de travail standard FTS mise en place au Laboratoire d hydrologie Toutes ces questions n ont pas forc ment recu de r ponse ad quate no tamment au niveau de la portabilit Mais leur prise en compte aux diff rentes tapes de l laboration de LEICA a permis la r alisation d un logiciel relativement propre sur le plan de sa conception informatique sur le plan de son utilisation des fins cartographiques 1 INTRODUCTIONIS Avant de rentrer dans le vif du sujet il est bon de pr ciser certains points qui seront autant de points de rep r notamment pour ceux qui ont une exp rience plus ou moins approfondie de la cartographie 1 1 Une cartographie tr s tr s appliqu e Dans ce qui suit ce que nous appelons pompeusement cartographie correspond en fait une gestion tr s simplifi e de donn es cartographiques 278 de gestion au sens banque base de donn es aucune fonction d alimentation ni de modification zonage non pris en compte mais possible par une voie d tourn e fichiers cartographiques grossiers s quentiels ASCII accessibles sous diteur 1 2 Les besoins cartographiques au Laboratoire d hydrologie Une part croissante des programmes de recherche en hydrologie fait appel la repr sentation spatiale de donn ss telles que la pluie ou le relief Les outils de traitement et de repr sentat
258. films son langage de requ te graphique langage de requ te normalis SQL structuration interrogation calcul interfacage naturel au coup par des tables produites coup par une requ te avec les langages de calcul les plus courants 2 PROGRAMMES MULTIDISCIPLINAIRES 2 1 Un exemple de programme muliidisciplinaire le projet HAPEX HAPEX signifie Hydrological Atmospheric Pilot Experimental C est un grand projet scientifique international plac sous la responsabilit de Michel HOEPFFNER responsable de l UR Continent Atmosph re S ries Climatiques du d partement TOA Les organismes participants sont fort divers ORSTOM CNRM LAMP Universit de Dijon Universit de Toulouse Ill s agit d un projet de mod lisation du bilan hydrologique et du bilan nerg tique en climat tropical sec l ensemble des ph nom nes pris en compte dans un tel projet est repr sent sur la figure 3 ci apr s la zone d tude est de un degr carr 110km x 110 km tandis que la figure 4 pr sente le dispositif exp rimental mis en oeuvre 2 2 Probl matique de l informatisation d un projet multidisciplinaire On concoit les difficult s de l informatisation d un programme comme HAPEX Elles proviennent de multiples sources 25 411 Gf plu e fenctionnement du circulation stmoaph rique vapolranspiration Ael foncttonnement infiltration fonctionnement hydrique du sci
259. for 4 et les suivants abordent quelques uns des nombreux sujets que constituent les instruments et m thodes modernes d acquisition gestion et traitement de l information comme la t l d tection l acquisition automatique et la t l transmission les syst mes experts le g nie lo giciel etc et l assimilation de celles ci par les quipes de l Institut COMMENTAIRES SUR SEMINFOR 3 Pour revenir S minfor 3 permettez moi de faire une remarque pr limi naire pourquoi ne pas avoir choisi comme th me Syst mes d information pour le d veloppement plut t que Syst mes d information pour l environnement 2 Le terme environnement a pour moi un double sens celui qui se rap porte l cosyst me local et celui global de l chelle plan taire devient de plus en plus vident que bon nombre des probl mes de d veloppement des pays tropicaux trouvent leur origine dans les dilficult s ren contr es pour la pr servation du patrimoine que constituent les ressources natu relles d un territoire Le plus souvent ces difficult s sont elles m mes issues de l inad quation entre les activit s humaines et la gestion de l espace celle ci se d veloppe faut se garder toutefois de ramener tous les probl mes de d velop pement des probl mes de gestion d environnement De plus l ORSTOM n a pas pour objet d tudier l environnement plan taire S il le fait partois c est parce que le d veloppement doit se r aliser
260. formations agroclimatolo giques SISCLIMA permet il de faire des tudes d vapotranspiration potentielle pour affiner la d termination des param tres des diverses formules existantes par exemple De plus chaque module peut bien s r tre utilis ind pendamment des autres sans avoir attendre la conclusion du syst me global hypoth tique dans tous les cas puisque d pendant d un effort important de mod lisation lequel ce jour reste en grande partie faire principalement dans le cas des donn es socio conomiques ou phytosanitaires pour ne citer que les plus complexes II faut remarquer par ailleurs que les donn es de la plupart des thames ne sont pas naturellement structur es g ographiquement en raison notamment du mode de collecte C est le cas par exemple des donn es hydrologiques ou cli matologiques rattach es des lieux d observation ponctuels postes stations existe bien entendu quelques tentatives de spatialisation de ces informations r ali sation d isolignes m thode d abattement etc mais la mise en ceuvre en est encore tr s sporadique et une syst matisation para t encore impossible aucune m thode n ayant encore fait l objet d un consensus Ceci revient dire que les donn es des diff rents th mes ne sont g n ra lement pas toutes disponibles sous forme de cartes sauf cas particulier condi tionnant par cons quent la possibilit de r alisation d un syst me int gr l ex
261. giciel dBASE Ill environ 8 000 francs 2 structuration de la base d finition des tables et des fonctions principales 3 programmation des principales fonctions Programmes de saisie de mise jour et d interrogation programmes de calcul suivant les cas de 3 12 mois de programmeur 30 000 francs par mois en prestation de service mise en forme et saisie du r trospectit co t de saisie en sous traitance d environ 2 centimes le caract re 5 mise en exploitation Avantages et limitation volume d information En th orie illimit de fait difficult d exploiter des base de l ordre de 10 M gaoctets 21 SHO Paris Tables its Foutnlsse ts Parsonnel Aix Facturas G1lenta Alb Figure 1 Exemple de base de donn es r partie Haut parleur visi de 10 30 Watts DESSIN Voir Ampll Tuner Plaline Vendu par JBC Tela G PILE ELEMENTS liens avec d autres fiches de la m me pile Connexion 12 rue Pel s Paris Tel Vendeur LORY PILE DISTRIBUTEURS tien avec un p riph rique Figure 2 Exemple de base de donn es hypertexte 22 structure relationnelle En apparence seulement pas de contr le d int grit pas de langage de requ te d claratif eg pa ngag q langage de programmation proc dural propre dBASE gag prog P Prop 1 2 3 Mini ordinateur avec Ingres Marche suivre O premi re estimation
262. giques dues nos quipes dans tous ces domaines sont significatives D autres comme les p dologues les botanistes ou les oc anographes biologistes par exemple se sont heurt s d embl e au probl me de la complexit taxonomique et de la manipulation de donn es descriptives pour lesquelles des m thodes d administration satisfaisantes ont t mises au point mais qui restent difficiles traiter Enfin plus r cemment la dimension g ographique commence tre prise en compte par l interm diaire des SIG pour la repr sentation des informations dites spatialis es L ORSTOM est encore bien plac pour faire en sorte que les avanc es des uns et des autres soient assimil es par tous tant il est vrai que les donn es de l environnement pr sentent toutes des degr s divers ces trois dimensions tem porelle taxonomique et spatiale Toutes ces donn es d observation constituent en effet des mesures m me lorsqu elles sont quantitatives il ne faut pas oublier qu elles sont associ es une cl qui repr sente le rattachement de cette mesure un lieu une date etc laquelle est qualitative La derni re pr occupation que j voquerai propos de cette premi re ses sion est inh rente au risque de s paration que je per ois entre le gestionnaire des donn es et les utilisateurs potentiels de la base Les premiers syst mes d information r alis s l ORSTOM taient le fait de quelques sp cialistes th ma ticiens n
263. gnostique Dans ce mod le la sous unit deuxi me ni veau est l int rieur de l unit premier niveau un sous ensemble identifiable de variables dont on rencontre plusieurs occurrences AUBRY 1987 Le nombre de sous unit s par unit et le nombre de variables de chacun des niveaux varient selon les applications 1 2 Fonctionnement g n ral les donn es que le syst me manipule sont soit qualitatives avec ou sans relation d ordre soit encore quantitatives enti res partir de la r flexion sur la structure des informations qu on veut repr senter tape de conception on constitue d abord un r pertoire encore appel nomenclature glossaire catalogue ou lexiques dans un module qui est ind pen dant de la banque elle m me et qui contient la description des donn es sens SGBD C est en se r f rant ce r pertoire que le syst me reconna tra v rifiera et stockera les donn es qui lui sont fournies le syst me est modulaire constitu de trois ensembles en interaction le r pertoire ou un des r pertoires quivalents les programmes en binaire ex cutable les donn es elles m amp mes C est sur les donn es et sur le r pertoire que l utilisateur agit D abord c est lui m me qui constitue le r pertoire fichier s quentiel o il d crit ses donn es et ce qu il souhaite entrer dans la base Quant au fichier des donn es c est le syst me qui se charge de le formater et d y
264. grammes publi es par le Pr J P et F Benz cri dans les Cahiers d Analyse de Donn es Apr s avoir bri vement rappel le traitement par l analyse des donn es c est dire par l analyse factorielle des correspondances AFC et la classification ascendante hi rarchique CAH du cas le plus simple le tableau de contingence on a abord le cas des donn es complexes ou requ rant un codage pr alable Logiciel MacSAIF Syst me d analyse des informations cr par le Professeur et F BENZECRI Laboratoire de statistique Universit de Paris VI 142 Le r le des programmes de cr ation de tableaux a t illustr partir de leur application aux donn es relatives l agriculture et l levage de la Sierra quatorienne La carte de synth se construite par le programme carthage traduit une typologie clairement explicit e en d limitant des zonages dont le graphisme exprime les affinit s entre classes 1 ANALYSE DES DONNEES DANS LE CAS D UN TABLEAU SIMPLE Partons d un exemple de g ographie conomique le tableau de donn es croisant l ensemble des d partements de la France avec un ensemble de va riables les consommations mensuelles du gazole de 1972 1981 Ce tableau comporte 95 lignes correspondant aux 95 d partements tran ais la Corse tant consid r e comme constituant un seul d partement rang s depuis l Ain jusqu au Val d Oise dans l ordre de leurs num ros min ralogiques le tab
265. griculteur interviennent de fa on importante dans le niveau d efficacit des syst mes agraires et des unit s de production comme dans la possibilit th orique ou r elle de supporter des charges de population qui vont en augmentant malgr l exode rural Dans cette perspective c est moins le support cologique comme objet d tude qui nous int resse que la facon dont les soci t s agroires l investissent l interpr tent et l exploitent C est moins le substratum g ologique et la p dogen se qui importent que ce que l agriculteur retire du sol en pr servant ou non la fertilit c est moins le total annuel des pr cipitations que la r partition des pluies dans l ann e c est moins une recherche pointue sur les syst mes d rosion h rit s ou en vigueur que la topographie qui en r sulte qui elle est quotidiennement parcourue par l agriculteur Par ailleurs les cartes topographiques de l INEGI au 1 50 000 livrent une information essentielle pour l interpr tation des faits agraires la topographie et le r seau hydrographique permettent une lecture quasi imm diate des probl mes 325 que peuvent poser les pentes le model l accessibilit les points d eau etc Il faut donc profiter la fois de la richesse de cette information et des possibilit s de calcul qu offre l ordinateur Une demande sp cifique du Minist re de l agriculture de l tat nous a conduit r aliser un MNT au 1 50 000 du Cofre de Pe
266. groclimatologie pour des t ches plus scientifiques d interpr tation tout en valorisant le travail de l observateur 4 SITUATION ACTUELLE ET PERSPECTIVES A ce jour juillet 1989 six produits sont actuellement mis la disposition des utilisateurs de SISGEO dont trois modules th matiques locaux SISCLIMA 2 SISHTO 1 1 et SISSOLOS 1 0 un module th matique central SISSOLOS un syst me transversal SISMAPAS 2 0 et un utilitaire SISTAB 1 1 Le processus de production tant continu il permet d entrevoir d sormais la sortie permanente d au moins trois produits par an chiffre qui prend toute sa valeur si on le com pare la production globale de logiciels de l institut ou de l EMBRAPA La situation actuelle du programme ainsi que ses perspectives d volution court terme peut tre d taill e par modules th matiques syst mes transversaux et utilitaires op rationnels 4 1 SISCLIMA Le CPATU comme les autres centres de ressources de l EMBRAPA a t amen depuis sa cr ation installer maintenir et op rer un r seau significatif de stations agrom t orologiques permettant une valuation du climat de la r gion du tropique humide Le cumul des informations ainsi g n r es pendant les deux derni res d cennies a conduit l quipe responsable la r alisation de SISCLIMA Sistema de informac es agrometeorol gicas en collaboration avec l quipe de SISGEO dans le but d en automatiser le traitement Les objec
267. hd bie bg bfc bei bio afe bih 0 4 rm a m eee 4481 ci pag ogh tao paa obb re Ar ee A UU UU Ua FII a y ofd cdo odg odi c odd cto off cog oid ofe ofh i cab bfa ofc cod cde ouo BV OYO TXZZTZZ2ZJ32TZIYTTYZZZIZZIZIZZXWYXIXLTLTEXITIZEEIITIIIZZEZXIETRITCZIKEITZZTZIZIZZIRERIEWEXI CZKZIETCZIZTEEITZGyTE EXIEEIIJZIIZXLEISERIXXZXEIIZETSYITNNITXKETERSESR IRI 450 10 2 Byz 8 470 l WW FAZ 1 2 __ 9 474 4 1 l l I 453 CR214 4 4 M t 4 i l I 465 i I I I l 459 183 I 44 _LF24444444 472 451 _ MZ3 PADIA 447 IR 1 449 CRD PTO 4441 452 04 6V4 4 44 1 m on m 8 _ Tienen 469 I 454 OVOE 1 ci dessus arbre d gt la partition en 11 classes 153 titres et d abord pour assembler les diff rentes parties qui constituent la Sierra du nord au sud au nombre de quatre Lorsqu on d sire revenir sur le choix des trames il n est que d utiliser la possibilit qu offre le programme de recommencer depuis le d but toutes les op rations que nous avons sommairement d crites choix d une paletie appropri e de 32 trames parm
268. hodes possibles pour leur contr le Compte tenu du peu d information dont on dispose sur les aspects les plus importants pour l tablissement de syst mes rationnels de contr le d insectes le d veloppement de la premi re version du syst me a t limit aux donn es qui se r f rent la r gion des basses terres de climat temp r o l activit agricole poss de une grande importance socio conomique ce qui rend d autant plus significatif l impact des insectes phytophages La version initiale du module local actuellement en cours de d veloppe ment pr tend atteindre les objectifs suivants cataloguer les insectes d importance conomique et les caract riser partir des aspects g n raux de leur morphologie g rer les informations disponibles sur le comportement des insectes y compris l influence des facteurs biotiques et abiotiques administrer les donn es de vari t s culturales qui interviennent dans la relation plante insecte g rer les donn es de symptomatologie de l attaque des insectes ainsi que les aspects qui se r f rent la tol rance des insectes aux produits chimiques les plus utilis s stocker les informations sur le contr le des insectes et automatiser l indication de m thodes pr f rentielles de contr le des insectes pr dateurs On se propose d exposer la m thode qui a t adopt e pour la concep tion de ce syst me les raisons qui ont motiv le choix de la structure d
269. i 100 consultation des r sultats de l analyse des donn es affectation de nouvelles trames tout ou partie des classes des unit s territoriales consid r es CONCLUSION Du fait de son caract re conversationnel le logiciel Mac SAIF permet de remodeler volont les trois tapes principales du travail d abord choix et d coupage en modalit s des variables retenues gr ce au programme zrang en suite choix de la partition adopt e en conjuguant les crit res statistiques et crit res proprement cartographiques enfin choix des trames utilis es sur la carte cr es et pr sent es l cran par le programme carthage REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES J P amp F BENZECRI Notices d utilisation des programmes du logiciel Mac SAIF NOT CORR CAH NOT CRE TAB NOT PROG CART in C A D Vol n 1 7 72 1989 J P BENZECRI D Aristote l analyse multidimensionnelle logique et ontologie dans l induction statistique LOG STAT in C A D Vol XIII N 3 pp 325 338 1988 dans cet article est publi e la carte de la consommation du gazole en France due A Moussaoui J P BENZECRI O vit on le mieux en France 9 repr sentation cartographique de l analyse de 33 variables CARTE VIE FRANCE in C A D Vol XIII n 3 pp 349 366 1988 M M THOMASSIN Cartographie automatique fond e sur l Analyse des Don n es une application sur micro ordinateur du programme carthage la r
270. iales mises en ceuvre et utilis es pour l laboration des donn es Le cas le plus vident est celui de la cartographie des donn es socio co nomiques collect es dans le cadre de la division politico administrative en vigueur Celle ci permet sans doute une bonne approche du probl me mais reste forc ment r ductrice si l on veut bien admettre que les distributions spatiales ren contr es notamment dans les pays du Tiers Monde seront beaucoup mieux per cues au travers d autres partitions sans rapport avec la division administrative en vigueur milieu naturel syst mes agraires unit s agro cologiques syst mes de relation aires culturelles etc Cette approche suppose que la capture des donn es soit dans la mesure du possible toujours r alis e au niveau de d sagr gation le plus fin Le syst me doit ensuite permettre de regrouper ces donn es selon la partition spatiale souhait e des donn es de population trait es en fonction d un d coupage fond sur le milieu naturel bassin versant unit morpho p dologique etc des statis tiques agricoles r agglom r es en fonction d une division culturelle ethnique ou linguistique des donn es relatives au support cologique interpr t es en fonction d une cartographie des syst mes agraires 1 2 Premiers r sultats 1 2 1 Le cadastre rural Au Mexique la tenure de la terre se partage en deux grandes rubriques la propri t priv e d une part et la propri t
271. ibles 237 4 5 interface utilisateur syst me int gre les sous syst mes pr c dents et ventuellement les ma nipulations th matiques concern es par assemblage au sein d un programme ulili sateur adapt l environnement la figure 3 illustre les possibilit s mat rielles des stations de travail actuelles traitement source destination depuis et vers divers p riph riques communs disque dur m moire ou sp cifiques entr es sorties syst mes d acquisition de donn es visualisation cran restitution papier l exemple trivial est le chargement d une donn e image disque sur l cran de visualisation mais on peut en imaginer d autres avec l utilisation simultan e de plusieurs fen tres chacune ayant une fonction diff rente SOURCE DESTINATION F 1 donn es TT syst mes d I L acquisition disque dur L2 1 m algorithme m moire m moire L utilisateur See il po pouces disque dur visualisation T restitution Ll osteo ee uj L __exploitation Figure Environnement utilisateur Les diff rents traitements ont t con us comme des entit s ind pendantes entit s susceptibles de produire un logiciel applicatif g n ral libre service ou plus d di vers un type d exploitation particulier recherche d veloppement op rationnel par l appel des librairies d utilitaires existantes gestion traite
272. iciel a t conditionn e la signature d un accord particulier entre l EMBRAPA et l ORSTOM sur la propri t des logiciels qu ils soient d velopp s en commun ou propres l une ou l autre des deux parties L laboration de cet avenant s est montr e particuli rement la borieuse et difficile mais le probl me semble avoir trouv une solution d finitive tout r cemment ce qui devrait permettre la lib ration d HYDROM pour son utili sation comme prototype de SISHIDRO 4 7 SISIMAGEM Le d coupage de SISGEO en modules th matiques autonomes a permis de mettre en vidence deux fonctions transversales essentielles conduisant la d fi nition de deux syst mes m thodologiques SISMAPAS Sistema de processamento autom tico dos dados carto gr ficos pr vu pour manipuler les informations g ographiques qui se pr sentent sous la forme de cartes polygonales ind pendamment du th me de r f rence SISIMAGEM Sistema de processamento digital das imagens de satelites pour mettre en oeuvre les ressources de la t l d tection et les possibilit s de mise jour des informations g ographiques que celle ci laisse entrevoir C est l quipe du CPAC Brasilia qu a t confi le soin de mener bien la r alisation de ce dernier module Celui ci fait l objet d un projet sp cial depuis plusieurs ann es compte tenu en particulier de l existence d un quipe ment sp cifique de traitement num rique des images sy
273. icielle du DIN qui est d j l auteur du progiciel PSE Prototypage de Syst mes Experts et galement sur celui du Noyau Technologique d Informatique pour l Agronomie actuellement coupl avec le CTI Centre Technologique d Informatique organisme gouverne mental qui s occupe de la recherche en informatique dans le but de conqu rir l ind pendance technologique nationale dans ce domaine et qui d j mis au point le SOC logiciel scientifique et le SR Logiciel de R cup ration d Information des sp cialistes en agrom t orologie p dologie et v g tation de l EMBRAPA avec une grande exp rience de l application des techniques de t l d tection notamment en utilisant le traitement digital des images de satellites Ceux ci comptent galement sur l appui du D partement de G osciences de l UnB Universit de Brasilia et du NMA Noyau de veille par satellite sur l environnement de l EMBRAPA 216 GRAPHIQUE HOHITEUR TOILE DIGLTALI SER omputer laprimante Graphique Rani teur RARTER TRACEUR DE COURSES Table Digitalisee IHPRIUART GRAPHIQUE 105989400 RAHTIK Traceur Disques 3375 de courbes Pi onputep TABLE DIGITALI TRACEUR BE COURSES HIHCHESTE 38 n3 Structure SISIMAGEM Module Local TMPRIMANTE GRATHI QUE HONITEUA RANTES DIS
274. iel 32 bits flottants ll poss de M gaoctets de m moire vive et un disque dur de 20 M gaoctets Un lecteur de disquettes permet l change d information avec l ext rieur Le clavier est muni d une boule roulante et le moniteur couleur permet la restitution en haute r solution d une surface de 512 x 512 pixels Les p riph riques sont constitu s d une streamer d un d rouleur de bandes 1600 6250 BPI d une tablette graphique 46 x 30 cm d une imprimante noir et blanc d une imprimante couleur jet d encre ACT d une carte d extension pour couplage avec un autre ordinateur SUN 4 Les logiciels comprennent un logiciel de base pour le traitement d image un logiciel sp cifique T l d tection G op ricolor 189 1 2 Principales fonctions du logiciel t l d tection Les fonctions de visualisation permettent l affichage multicanaux pano ramique sur 16 plans 512 512 composition color e rapide op rateur en femps r el sur les quatre op rations arithm tiques histogrammes profils tables de fonction vid o optimisation locale de densit visualisation d images 16 bits animation sur 48 plans Les traitements possibles sont des anamorphoses g om triques angulaires ou par amers le filtrage lin aire et l utilisation des filtres sp ciaux Kirsch Sobel Robert Gradient l laboration d index de v g tation et brillance la fusion d images et mas
275. ification de utilisation actuelle des terres ou des surfaces productrices qu en vue de l am nagement de nouvelles r gions La premi re version du premier module actuellement en cours de d ve loppement se base sur l quipement central de traitement graphique digital de l EMBRAPA un RAMTEK RM 9300 Il est destin au contr le de la disponibilit des images de satellites dans le but de rationaliser l obtention des images qui sont utilis es par les diverses unit s de l EMBRAPA Les fonctionnalit s pr vues permettront de maintenir une administration ad quate du mat riel de t l d tection disponible l EMBRAPA et dans les autres institutions publiques en plus des in formations sur le stock d images disponibles l Institut de recherches spatiales INPE base sera utilis e par un syst me expert qui orientera les chercheurs ayant peu de connaissances dans le domaine l utilisation des fonctions de t l d tection d utiliser le mat riel RAMTEK pour effectuer des pr traitements de base lecture et visualisation monospectrale bande bande et multispectrale plusieurs bandes au maximum trois d utiliser cet quipement pour des traitements simples histogramme mono et bidimensionnel calcul de surface lecture s lective de pixel navigation dans l image localisation d un point partir de sa latitude et de sa longitude et vice versa op ration entre canaux extraction de zones de travail
276. illage des stations pluviographiques 3 Saisir ou corriger des donn es pluviographiques 4 Traiter les cartouches m moire morte OEDIPE de ELSYDE 5 Inventoner des donn es pluviographiques 6 Editer des donn es pluviographiques Aide aux touches de fonction F1 retour au menu pr c dent OK O N SF retour au DOS Figure B Menu secondaire traitements des donn es pluviographiques Choisissez la proc dure en d pla ant la fl che par 1 o ct validez votre choix par In touche retour chariot 1 Tranformer les identificatious de STATIONS provenant d use autre configuration 2 Transformer des PLUIES JOURNALIERES provenam d une autre configuration 3 Transformer l HISTORIQUE APPAREILLAGE provenant d unc autre configuration 4 Transformer des DONNEES PLUVIOGRAPHIQUES proveaant d une autre configuration Aides aux touches de fooction F1 retour au menu pr cedeat OK O N SF1 retour au DOS Figure C Menu secondaire utilitaires de transformation de donn es ext ricures donn es PLUVIOM 46 sualis est g n ralis La signification de l ensemble des touches utilisables est accessible l utilisateur par lecture directe l cran chaque fois que cela a t possible sinon l utilisateur peut faire d filer sur l cran la signification de chaque touche 4 3 Documentation Le manuel d utilisation rassemble toutes les informations n cessaires l utilisateur les diverses fonctions et l
277. information laquelle on a abouti les probl mes rencontr s ainsi que les pers pectives court terme pour le d veloppement du logiciel correspondant 80 INTRODUCTION La connaissance des facteurs de l environnement qui pr sentent une influence sur l agriculture est importante pour le d veloppement de celle ci Dans cette optique l Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecu ria EMBRAPA r alise un projet appel SISGEO Sistema de Informac es Geoambientais destin rendre accessibles sur ordinateur les donn es de l environnement rural comme soutien direct ses programmes de recherche La m thodologie utilis e pour la mise au point d un tel syst me est d crite par ailleurs dans le m me s minaire S chet et al 1989 Les probl mes phytosanitaires qui interviennent dans les syst mes productifs agricoles doivent tre pris en compte parmi les divers param tres consid r s par SISGEO dans ses diff rents modules Face la difficult de structurer un module capable de tenir compte simultan ment de tous les aspects inh rents ces probl mes on a con u le syst me SISPRAGAS dont les objectifs initiaux concer nent l identification et le contr le des insectes qui constituent des nuisances pour les principales cultures d importance conomique Ce syst me en cours de mise au point suit la strat gie g n rale mise au point pour les modules de SISGEO Il se trouve actuellement en phase de sp cifi c
278. ion de collaboration avec les instituts de recherche en Informatique INRIA LAFORIA de Paris VI LRI de Paris XI est vident que le th me des syst mes d information sur l environnement est un des th mes r currents des programmes scientifiques de l ORSTOM De nombreux projets sont en effet confroni s cette th matique observatoires celui du Sahel syst mes d informations localis es Atlas de Quito SIG Vera Cruz etc mod les de changement global Projet 18 syst mes de production Programme Delta Central du Niger De nombreuses exp riences et des projets de mise en place de syst mes d information sur l environnement sont conduites l ORSTOM et seront pr sen t es lors de ce s minaire Nous souhaitons ici tudier d une fa on g n rale quelles sont les implica tions des d veloppements informatiques actuels dans deux domaines particuliers celui des bases de donn es naturalistes et celui des programmes multi discipli naires Cela afin de montrer qu en prenant le point de vue de la recherche en informatique pour aborder des th mes de recherche sp cifiques de l ORSTOM on peut d finir une probl matique originale Notre objectif est ici de montrer comment les outils et les concepts actuellement labor s en informatique s appliquent aux besoins des chercheurs de l ORSTOM de montrer comment l originalit des syst mes d information sur l environnement peut tre un sujet
279. ion des donn es Une des difficult s de l inlormatisation d HAPEX provient de ce qu la diff rences des projets de gestion dans un projet de recherche le but est de trouver un mod le acceptable non de faire tourner un mod le existant la mise en place du mod le sera progressive l objectif n est pas la r p tabilit mais une tude globale Or la plupart des m thodes d informatisation et des produits logiciels ont t d finis pour la mise en place de projets de gestion et se r v lent peu adapt s 2 3 Solutions pour l informatisarion d un projet multidisciplinaire Le probl me de l informatisation d un projet multidisciplinaire r side dans l int gration dans un ensemble unique d un acquis informatique au sein de chaque discipline et de nouvelles questions provenant de contacts multidisci plinaires Nous proposons ici d tudier comment se pr sentent trois solutions standards que nous d finissons de fa on sch matique comme pragmatisme m thode et objet 27 mod les climatiques globaux temp rature vents n bulosit mod le mod les atmosph rique de E pluie mod le hydrologique bassin versant mod les mod les p dologiques d infiltration mod les du fonctionnement hydrique du sol mod les du fonctionnement mod les cologiques hydrique du du couvert v g tal couvert v g tal LE PROJET HAPEX SCHEMA LOGIQUE Figure 5 28 2 3 1 La solution pragmatique Cette
280. ion progressive d outils de g nie logiciel adapt s au contexte de d veloppement de l quipe informatique comme diteur de diagrammes hi rarchiques aide la programmation structur e outil d aide la conception etc Adoption et mise au point d un environnement de d veloppement appropri la r alisation des syst mes de capitalisation d information gestionnaire de grilles d crans utilitaires de gestion de lexiques en ligne syst me normalis de s curit contr le d acc s proc dures d installation Cette facon de travail ler permet d assurer la meilleure homog n it possible entre les produits mis au point facilitant ainsi l acceptation par les quipes th matiques d utilisateurs tout en rationalisant le d veloppement et en facilitant la maintenance pour l quipe informatique recherche constante de la convivialit maximale des produits du moins pour les modules locaux Cet aspect est tout fait fondamental tant 299 donn que l on souhaite la plus grande diffusion possible en m me temps que l on entend mettre ces outils la port e d un personnel technique interm diaire On peut illustrer l int r t que repr sente cet objectif avec le module local de SISCLIMA pour lequel l essentiel du traitement saisie validation mission des bulletins mensuels et annuaires etc est r alis par les propres observateurs des stations climatologiques permettant de lib rer le sp cialiste en a
281. ion sont en cours de d veloppement et le besoin apparait alors de superposer ces visvalisations de ph nom nes physiques iso valeurs par exemple des fonds de carte g ographiques de pays bassins ver sants rivi res villes stations de mesure Il est donc n cessaire de mettre la disposition des utilisateurs des modules de fabrication de visualisation et d utilisation de fichiers fond de carte Ceci nous a amen d finir des standdrds de fichiers cr er diff rents logiciels de traitement cartographiques et int grer le tout dans la structure in formatique du Laboratoire voir figures 1 et 2 1 3 Contexte de r alisation de LEICA Suite la mise disposition d une bande magn tique contenant des don n es cartographiques mondiales nous nous sommes trouv s face des fichiers trop importants 12 Mo pour l Afrique et peu pratiques traiter codage binaire IBM Nous avons d cid de mettre en place un outil LEICA Logiciel d Extraction Interactif pour la Cartographie Appliqu e permettant l extraction de ces donn es selon certains crit res la visualisation de ces donn es et leur archivage dans des fichiers ASCII FTS Fichier Travail Standard le logiciel a t crit en FORTRAN 77 et tourne sur station de travail APOLLO 2 FONCTIONNALITES DE LEICA Un certain nombre de probl mes se sont pos s avant pendant et apr s la r alisation de ce logiciel Cependant avant de d crire comment ceux ci o
282. ionnel sur gros syst me et malgr la r alisation d une interface terrain permettant la saisie in situ l int r t de concevoir et mettre au point un syst me complet et autonome sur micro ordinateur est apparu vident ne serait ce qu en vue d une diffusion plus ample et du transfert d une technologie ad quate pour les pays en d veloppement Un tel lo giciel permettra en effet aux chercheurs int ress s d tre totalement ind pendants et de garder la maitrise de leurs donn es tout en maintenant la coh rence scien tifique garantie par l utilisation d une m thode commune de description De plus l exp rience acquise par l exploitation de NEPTUNE et de son interface terrain a aussi conduit les g ographes de l quipe mieux identifier les informations recueillir in situ par rapport ce qui peut tre obtenu par l tude des documents disponibles rapports documents cartographiques etc On se propose donc de r aliser un logiciel sur micro ordinateur capable de supporter la saisie la validation et l exploitation de l information que l on peut recueillir sur l organisation des milieux et l tat des ressources naturelles se lon l approche typologique laquelle ont adh r les scientifiques participants au S minaire sur la d gradation des paysages ouest africains qui s est tenu Dakar en novembre 1988 MBOW amp RICHARD 1988 A l occasion de la r alisation de ce travail une nouvelle r flexion appro fondie sera
283. ions PINSON LJ amp WIENER R An introduction to Object Oriented Programming and Smalltalk Addison Wesley publishing company ROCHE C amp LAURENT J P Les approches orient es objets et le langage LRO2 Technique et science informatiques 1989 8 1 pp 21 40 SMALLTALK V 286 Object oriented programming system tutorial programming handbook Digital Inc 349 Troisi me session Stat gies de spatialisation Rapport de session par Dominique RAMBAUD La troisi me session intitul e Strat gies de Spatialisation comportait huit expos s et interventions amenant la r flexion sur la constitution d une base ou lo structuration d un ensemble de bases sur l environnement dans le domaine des donn es spatialis es Les questions pos es ou interventions faites apr s les diff rents expos s permettent de d gager les quelques points suivants Dans la d marche de l appropriation de l outil mis en oeuvre dans les pays o nous intervenons il convient de d velopper largement le partenariat dans ce domaine l implication de nos partenaires dans l acquisition des outils informatiques non encore ma tris s par eux du point de vue la fois de leur d finition et de leur emploi est parfois tr s prononc e soit au contraire peu accentu e faut travailler ce que le partenariat se concr tise et soit plus actif notamment en Am rique latine Pour ce qui est du d veloppement des logiciels il serait souhaitable de faire
284. iproquement est apparue dans les d bats Cette d pendance n est pas toujours bien ressentie par les g ographes et elle d pend en outre du degr d implication de chaque sp cialiste par rapport aux techniques de son interlocuteur Il faut veiller ce que les th maticiens aient la possibilit de s approprier et d utiliser les outils propos s par les informaticiens qui ont besoin d utilisateurs de toutes disciplines et de toutes origines Mais il arrive que dans un programme de recherche limit dans le temps l acquisition et le traitement de l information ne soient pas compatibles avec les d lais impos s y l un risque d erreur car informaticiens et th maticiens doivent mener ensemble et simultan ment l analyse conceptuelle du syst me de donn es LISTE DE PARTICIPANTS 353 LISTE DES PARTICIPANTS Monsieur ANDRIANASOLO Hoja ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Madame AUBRY Anne Marie ORSTOM 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur BEAUDOU Alain ORSTOM C O AMBASSADE DE FRANCE JALAN M H THAMRIN 20 JAKARTA PUSAT INDONESIE Monsieur BOURSIER Patrice UNIVERSITE DE PARIS SUD LABORATOIRE DE RECHERCHE INFORMATIQUE 91405 ORSAY FRANCE Monsieur CAMBREZY Luc Apartado Postal 544 91000 XALAPA VER MEXIQUE Monsieur CARDON Daniel ORSTOM IRENA CARRETERA NORTE APARTADO POSTAL 5123 MANAGUA NICARAGUA Madame CHAUME R gine ORSTOM 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND BP 504
285. iques de l Institut en mati re de recherche d change et de transfert de technologie au niveau r gional et international 100000 10000 1000 100 Fig 5 Relation radiom trie turbidit merum y T 1 eS CER TT Ran Ej piper MEME turbidit en mg l I Se QNT Des de H 2 ees ER ET E at EEE 1 8 pa 4 z Wu E ee i Es Lc Si BAA F RE 2 51 TS 68 NEN ME T U 3 ea eS ee E Kn SERM Rn v ee x 79 ran log T 0 0495 Rad 4 6709 r 0 99 SSS i 100 110 120 130 140 150 160 170 180 190 200 L6T 198 Figure Localisation des sites de pr l ve ment d eau et limites des cing zones de lurbidit d finies partir de l talonnage radiom trie turbidit obtenue gr ce aux v rit s terrain r olis es le m me jour que le passage du satellite 30 octobre 1976 En gris clair les faibles turbidit s en gris fonc les plus lev es Copyright INPE 76 Figure 7 Sur la m me image Landsat 76 zs application de la classification gt 1 pr c dente un estuaire d NC pourvu de v rit s terrain simulta n es Sinnamary T EN Copyright INPE 76 199 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BOYE M amp CRUYS H 1961 New data of the coasta
286. ir de capteurs non imageurs ou de donn es ex ternes sondeurs atmosph riques pour les capteurs passifs radars imageur non pour les capteurs actifs micro ondes grille de valeurs etc Les corrections g om triques rectification d images produisent galement des pixels artificiels issus des mod les de reconstitution de l image brute satelli taire ou non 231 3 1 2 Param tres g om triques de l image Toutes les donn es images sont g or f renc es c est dire qu chacun des pixels il est possible d associer un point de la surface du globe d fini en la titude et longitude Ceci est r alis en certains points d une grille de l image matrice de localisation par les mod les de navigation de l imagerie satellitaire mod le d orbitographie et de capteur ou des mod les de projection pour les images reclifi es g om triquement suivant une r f rence cartographique Des m thodes d interpolations permettent de connaitre la localisation de tous les points d une image et inversement de positionner dans l image tout rep rage g ographique De m me il est possible de calculer en ces points de localisation diverses caract ristiques g om triques plus sp cifiques des donn es satellitaires comme les angles de vis e ou d clairement etc 3 1 3 Champs spatialis s ll est vite apparu que le type de donn e image utilis seul tait insuffisant notamment pour des tudes il est n cessaire de d
287. is vis de la limnim trie du Rio Paran qui conditionne l tat d inondation ou d exondation de tout le Pantanal Mato Grossense 307 SISGEO Donn es des lexiques DLJ LEXIQUES ti 3 gregation D2 VARIABLES AGREGEES 2 Ensembles d agr gation Etabiir les ensembles d agr gat Donn es socio conomi ques 3 Sollicite ajustements Donn es socio conomiques IBGE Compl te les donn es Compte rendu compl ment Compl ter agr ger les donn es Equipe d 23 HOUUEHENTS IBGE Equipe de 4 Sollicite d sactivation Hettre Compte rendu mise jour Hise jour Jour les donn es socio con 3 Sollicite les rapports DA DONHEES S0CIO ECONOMIQUES S lection les donn es 6 Crit res de s lection Donn es s lectionn es Lexiques s lectionn s Extraire les donn es p nod local Fig 6 Diagramme de flot de donn es niveau O de SISECSO 308 Dans l tat actuel des ressources disponibles pour g rer les informations hydrologiques de la r gion essentiellement fournies par un r seau de stations maintenu par le DNOS il est apparu que le logiciel de gestion des donn es hydrom triques mis au point par l ORSTOM dans son laboratoire d hydrologie Montpellier serait satisfaisant surtout depuis la parution d une version en portugais Toutefois la mise disposition de ce log
288. isante et de lecture peu ais e comme chacun sait la cr ation de nouvelles trames par le programme carthage s est r v l e indispensable 2 2 Tableau des donn es requ rant un codage pr alable Un des cas les plus simples est celui des tableaux de r ponses un ques tionnaire clos 145 Lorsque l utilisateur non programmeur se trouve confront et c est tr s sou vent le cas du g ographe un tableau de donn es croisant un ensemble d unit s administratives avec un ensemble de variables num riques h t rog nes il se trouve dans la situation que s il avait traiter un tableau de r ponses un ques fionnaire clos chaque r ponse est initialement not e comme un num ro de modalit En effet en d coupant en p sous intervalles successifs l intervalle de va riation d une variable continue on peut coder celle ci comme une variable dis cr te p modalit s On peut donc assimiler la variable une question et la cir conscription au sujet qui y r pond Un tel tableau doit tre clat sous forme bi naire en z ro un en attribuant chaque modalit une colonne Le tableau pris pour exemple d application est extrait du tableau d ensemble ayant servi de base une tude de la r gionalisation agricole de la Sierra quatorienne Cf bibliographie croisant 238 paroisses avec 48 va riables les 26 premi res relatives au milieu physique et ses potentialit s les 9 suivantes l agric
289. isie sur support magn tique pas d erreurs inh rentes aux transcriptions En outre il n y pas d erreur non plus qui r sulte d un codage quel conque que la validation soit faite par le logiciel qui identifie les expressions comme admissibles par rapport un vocabulaire qu on lui a donn par ailleurs ou faite l aide d une saisie conversationnelle par menu explicite Actuellement l enseignement de la m thode d appr hension du milieu natu rel dont J F RICHARD est un des principaux concepteurs se fait dans plusieurs universit s africaines francophones et une vingtaine de chercheurs de cette cole l enseignent et l utilisent sur le terrain en Afrique Cette m thode a pour but une meilleure connaissance du milieu naturel avec toutes les applications que cette connaissance draine avec elle L apport de l utilisation de Neptune a permis d s pr sent de cerner quelques probl mes li s l utilisation de l informatique et de mieux d finir certaines parties du vocabulaire de description 3 PROJET MICRONEPTUNE C est gr ce cette exp rience que les demandes de nos partenaires y compris celles qui ont d j t formul es officiellement de r aliser un syst me r pondant mieux leurs contraintes mat rielles et logistiques l heure de la microinformatisation et de la banalisation de mat riels portables et n anmoins puissants se sont tourn es vers notre quipe Compte tenu de ce que Neptune tait op rat
290. ison Recherche Planification contribue orienter ce type de pro gramme dans une course l information toujours plus fiable er toujours plus actualis e Cette spirale difficilement vitable impose la mise en place d un important dispositif de collecte et de correction de l information Ceci implique aussi la par ticipation active de nombreuses institutions agriculture sant etc celle ci est co teuse en personnel mais implique surtout une adh sion totale des instances politiques qui seules peuvent favoriser cette n cessaire coop ration 320 Probl matique g n rale et th mes d tude Au del des thames d tude qui ont t retenus mais un SIG est par na ture dynamique on insistera surtout sur un aspect essentiel de la recherche S agissant d un nouvel outil les SIG autorisent la mise au point et l emploi de nouvelles m thodes difficilement envisageables sans les techniques li es l informatique graphique c est par exemple le cas pour l tude du milieu phy sique et de ce que les soci t s agraires en font Ainsi l exploitation exhaustive de l information contenue dans la carte au 1 50 000 altim trie hydrographie doit permettre un renouvellement des tudes de model et de l hydrologie de surface La substitution des MNT mod les num riques de terrain aux classiques cartes de pentes en est un exemple L chelle les probl mes d chelle se posent toutes les tapes de la mise en place d un
291. isposer de donn es plus conventionnelles Ces derni res peuvent prendre deux formes suivant leur origine Dans le cas d une mesure ponctuelle une ou plusieurs composantes re lev s d une station par exemple le champ produit est du type discret Chaque point de mesure est alors parfaitement rep r au sein de la sph re terrestre par ses coordonn es g ographiques et ventuellement par son altitude Pour des donn es synth tiques comportant ventuellement des valeurs multiples labor es par divers calculs m thodes g ostatistiques r sultat de mo d le de pr vision analyse climatologique mod le num rique de terrain MNT etc les valeurs se pr sentent sous la forme d un maillage deux dimensions ou int grant l altitude 3D r guli rement r parti et rep r spatialement suivant une repr sentation cartographique La similitude est grande entre les types de donn es champ ordonn et image de par leur expression sous forme matricielle La diff rence tient la taille respective des donn es et un mode diff rent de codage et d acc s lors de l implantation informatique 3 1 4 Segments cartographiques Les images brutes ou redress es ainsi que les divers champs doivent pou voir tre superpos s avec des donn es cartographiques classiques telles que trait de c te fronti res politiques ou r seau hydrographique par exemple La donn e est alors une suite de segments Chacun de ceux ci identifi
292. iste un ensemble de r gles contraignantes sur la structuration des tables Ainsi la premi re r gle de normali sation consiste imposer une forme rectangulaire pour toutes les tables Les autres r gles de normalisation visent viter toute redondance de l information assurer son int grit c est dire viter des contradictions dans l information stock e la prot ger dans le cas d interrogation et de mise jour simultan es d une base par un grand nombre d utilisateurs On doit noter galement que les syst mes mis en place dans le cadre du mod le relationnel permettent d en assurer la r partition c est dire qu il y a possibilit pour les diverses tables de se trouver physiquement sur des ordinateurs diff rents et connect s en r seau figure 1 Nous pr sentons maintenant avec leurs implications pratiques deux possi bilit s d implantation de bases de donn es relationnelles 1 2 2 Solution Micro ordinateur avec dBASE On doit remarquer en premier lieu que DBASE n est pas proprement parler un syst me relationnel et qu en particulier jusqu de r centes versions il n int grait pas le langage SQL Marche suivre 0 premi re estimation des volumes d information et des principaux traitements d bouchant sur une base de taille moyenne et sur une exploitation mono utilisateur 1 achat du logiciel et du mat riel Micro ordinateur de type IBM PC 20 000 50 000 francs Lo
293. istence de donn es d j labor es sous forme spatiale l approche ainsi adopt e a videmment pour principal inconv nient de rendre plus lointaines les perspectives d atteinte de l objectif global du syst me propos inconv nient partiellement compens par la fourniture continue des r sultats interm diaires que constituent les modules ind pendants SISGEO apparait ainsi plus souvent comme une politique d informalisation des donn es de l environnement que comme une v ritable tentative de r alisation d un syst me d information g ographique Enfin le d veloppement en modules autonomes permet d entrevoir un b n fice additionnel pour F ORSTOM dans la mesure o la plupart des produits obtenus sont susceptibles d tre utilis s par d autres quipes de l Institut dans d autres contextes soit tels quels soit le plus souvent apr s adaptation soit en core en utilisant simplement les l ments obtenus l issue des tapes initiales dossier de conception d taill On peut percevoir d ores et d j plusieurs possi bilit s de ce type au moins pour SISCLIMA et SISMAPAS syst me de traitement automatis de documents cartographiques 295 2 2 Equipes mixtes et responsable th matique Le d veloppement d un module th matique n cessife une premi re r flexion sur les fonctions qu il est essentiel d automatiser pour la discipline consid r e faut alors concilier deux objectifs diff rents celui du sp cialis
294. itaires socio conomie hydrologie cartographie et t l d tection 213 l implication croissante des centres de ressources dans le d veloppe ment du projet comme forme de garantir un appui institutionnel toujours plus important l utilisation imm diate des outils partiels interm diaires mis au point que sont les modules du syst me SISGEO de garantir l int gration des outils interm diaires 1 LE SYSTEME SISGEO Dans un premier temps un syst me d informations p dologiques 51550105 a d abord t d velopp sur ordinateur central sous l orientation du Service National de Lev et Conservation des Sols SNLCS EMBRAPA Avec ce premier r sultat il a t possible de stocker sur support magn tique pr s de 12 000 profils de sols et pratiquement tous les inventaires r alis s jusqu maintenant par le SNLCS au Br sil Post rieurement compte tenu de l avanc e de la micro informatique d une part des difficult s d acc s que l utilisation d un quipement central pr sente d autre part comme il a pu tre constat avec SISSOLOS on s est plut t appli qu mettre au point des outils orient s vers la r alisation de bases de donn es th matiques locales Avec ce type d outils les travaux d inventaire peuvent tre grandement facilit s et de plus le travail ult rieur de transcription peut tre mini mis voire totalement supprim et avec lui les erreurs qu un travail aussi fasti dieux e
295. j t r alis es et font r f rence en la mati re L interpr tation et le traitement des donn es satellites appor tent une information globale homog ne dans l espace et surtout quantitative La migration vers l ouest des bancs de vase et des espaces interbancs une vitesse moyenne de l ordre du kilom tre par an introduit de profondes modifications morphologiques et s dimentaires le long des rivages et des marais LOINTIER M amp PROST M T 1986 mais aussi dans les estuaires et leurs embouchures LOINTIER M amp ROCHE M A 1988 les effets oc aniques qui se font sentir en g n ral jusqu 30 km vers l amont deviennent plus ou moins pr pond rants selon la position du banc de vase ayant pour principale cons quence la trans formation des effets dynamiques de la mar e et de l extension de la remont e saline Les tudes ant rieures d crivant les syst mes estuariens deviennent la plu part du temps obsol tes et il convient de les situer dans leur nouveau contexte surtout lorsque l on raisonne en termes d am nagement de la plaine c ti re 2 1 Composition color e standard Sc ne LANDSAT MSS du 30 octobre 1976 L chelle de travail avec Landsat MSS pixel de 80 m est tr s adapt e l tude des processus c tiers globaux et la classification des grandes unit s th matiques de la zone littorale On observe en traitement standard la partie nord du bouclier Guyanais et de la plaine c ti re qui s
296. jectif de cette maquette tait de montrer des p dologues l int r t des Langages Orient s Objets pour acqu rir et organiser les donn es relatives au sol donn es emboit es hi rarchis es ayant trait au domaine p dologique proprement dit mais aussi la botanique la g ologie la climatologie etc La Programmation Orient e Objet s est av r e un atout majeur dans l laboration de cette maquette pour les raisons suivantes les concepts des Langages Orient s Objets sont bien adapt s la vari t de l information et sa structuration hi rarchique l int grit des donn es est assur e par la notion d encapsulation propre aux LOO int gration des donn es et des m canismes charg s de les manipuler la repr sentation par objet rend ais e l adjonction d une nouvelle branche d information d finie comme un nouvel objet Un objet tant d fini l ajout de nouvelles m thodes se con oit tr s normalement Ces proc dures peuvent tre test es individuellement par l envoi de message partir du clavier l objet consid r ce qui rend la mise au point plus facile et plus rapide que dans une programmation classique La richesse de l environnement SmallTalk permet apr s s y tre bien familiaris de b tir rapidement un travail et d y associ du graphisme gr ce l interface graphique Ces diff rents arguments font que l Approche Orient e Objet hormis la richesse de l environnement plus s
297. l aide la d termination des poissons d eau douce s est r uni r guli rement L objectif court terme est la r alisation d un syst me expert d aide la d termination des Characid s d Afrique de l Ouest Le travail se d roule en cinq tapes analyse de la d marche de l expert lors d une diagnose syst matisation de la d marche et r alisation de la base de connaissances mise en place du syst me expert criture des blocs de contr le et des r gles de production tests etc mise en place des routines externes de calcul traitement num rique des donn es m triques et m ristiques am lioration de l interface utilisateur et tests finaux Le travail est actuellement dans la troisi me phase a permis de tirer certaines conclusions relatives la d marche de l expert Celui ci proc de par analyse d images i e la m morisation de certaines esp ces et par analogie pour les esp ces voi sines En cas d insucc s ou pour confirmation il y a utilisation d une cl de d termination m moris e ou consult e Les donn es m ristiques nombre de bran chiospines rayons dents etc ont alors une grande importance la r alisation de la base de connaissances et l importance des donn es cologiques et biog ographiques pour l orientation initiale ou la confir mation de la diagnose la mise en place du syst me expert Si la r alisation d une cl in formatis e permet
298. l devient le r sultat interm diaire d une s rie d op rations de gestion et de manipulation de donn es Le syst me d veloppe un certain nombre de fonctionnalit s propres aux donn es localis es dont le principe est toujours de cr er des attributs en mettant les objets en relation sur un crit re d appartenance ou de distance s lection des points une distance donn e d une zone crit re d appartenance d une zone une autre etc tout en conservant le principe de la gestion relationnelle le sys t me est galement tendu la manipulation d objets particuliers comme les images satellites les photographies a riennes objets qui grace des op rations sp cifiques d veloppant l aspect multi m dia et la gestion orient e objet sont in t gr s dans le processus relationnel Toutes les fonctionnalit s d velopp es autour de ce syst me trouvent leur application au niveau de la planification urbaine Nous effectuons la mise en oeuvre concr te du prototype dans le cadre du projet d Atlas informatis de Quito men par l ORSTOM avec plusieurs institutions quatoriennes Institut G ographique Militaire Municipalit de Quito Institut Panam ricain de G ogra phie et d Histoire L aire m tropolitaine de Quito est confront e des probl mes de croissance de fonctionnement d approvisionnement et un tel outil va per mettre en facilitant l acc s l information d am liorer la connaissance et donc la r f
299. l faut intervenir directement dans la programmation 2 12 Pr sentation g n rale A l appel de SISBIO apparait un menu g n ral invitant l utilisateur choi sir l une des options suivantes programme d installation programme de BACKUP description d exp rimentation cr ation de registres dans les fichiers de donn es et impression des feuilles de collecte informatisation des donn es critique des donn es pr traitement des donn es fin A chaque option correspond un caract re Apr s avoir rentr ce caract re au clavier se d roule le programme choisi puis il y a retour au menu g n ral sauf pour la derni re option Deux types de fichiers sont utilis s par ces programmes les fichiers servant stocker les donn es entr es au clavier dans le syst me qui sont acc s direct appel s fichiers de donn es brutes les fichiers cr s par programme partir des premiers en caract res ASCII et acc s s quentiel ou fichiers de donn es labor es Les deux premiers programmes sont une copie peine modifi e de leurs quivalents dans SISOND Leur r le est principalement de protection En particu lier il n est pas possible de sortir du syst me sans sauver les fichiers de donn es brutes modifi s au cours de la session de travail 123 Les autres programmes constituent le syst me proprement dit Comme il y a trois types de donn es chacun d eux est divis
300. l sedimentary formations in French Guiana Proceedings of the 5th Interguiana Geol Conf Geologi cal Survey Depart Georgetown 145 168 EISMA D 1988 Dispersal of Amazon Supplied particulate matter Chapman Conference on the fate of particulate and dissolved components within the Amazon Dispersal System River and Ocean AGU Charleston Wild Dunes L H DELFT 1962 Demerara Coastal Investigation Report on siltation of Deme rara bar channel and coastal erosion in British Guyana Delft Hydraulics Lab The Netherlands 240 p LOINTIER 1984 Dynamique des eaux et de l intrusion saline dans l estuaire du Sinnamary Guyane Fr ORSTOM Cayenne LOINTIER M amp PROST M T 1986 Morphology and hydrology of an equato rial coastal swamp example of the Sarcelle Swamp in French Guiana Quaternary of South America and Antartic Peninsula vol 4 59 77 J Rabassa Ed A A Balkema Publ Rotterdam LOINTIER M amp ROCHE M A 1988 Quatri mes journ es hydrologiques de l ORSTOM Colloques et S minaires 328 p LOINTIER M amp PROST M T 1988 Environnement c tier des Guyanes Rapport interm diaire ORSTOM Nov 1988 70 p LOINTIER M amp PROST M T 1988 Coastal sedimentalion and local rivers sup ply in French Guiana comparisons with the Amazon Chapman Conference on the fate of particulate and dissolved components within the Amazon Dispersal System River and Ocean AGU Charleston Wild Dunes PROST 1988 Shor
301. l un de ces dictionnaires est modifi en cours de session La saisie est effectu e en s lectionnant la r ponse voulue dans la colonne appropri e Une r ponse libre est toujours possible dans l ouverture texte centre droit 3 2 Structure et m thode des classes d finies 3 21 La classe SITE Dans ce contexte cette classe est une fen tre ouverte sur les premiers ni veaux d un arbre R sultat Les variables d instance permettent de g rer cette fe n tre et ses trois ouvertures M thodes figure 5 initialize cette proc dure se charge d ouvrir le fichier de travail et de r organiser le dictionnaire partir des informations contenues dans le fichier s lectionn Si le fichier vient d tre cr le dictionnaire R sultat est vide La fen tre est ensuite ouverte pour le dialogue open affichage offre la possibilit de visualiser dans la zone de texte les informations concernant le site point dans la colonne 1 pour la rubrique s lec tionn e colonne 2 Cette routine active la proc dure afficheResult with qui se charge de l affichage effectif format affichl pr sente dans la colonne 1 la liste des sites existants C est une collection tri s par ordre alphab tique des clefs de niveau 1 du dictionnaire Resultat affichl2 liste les rubriques traiter dans la colonne 2 alfichtextl crit dans la zone texte droite des directives ventuelles de saisie ajouteMenuL1 prend en compte la nouvell
302. le l est clair que ce r sultat m me compl t par la cartogra phie et l tude des r sidus ne constitue en aucun cas une fin en soi Il ne s agit que d un des l ments d interpr tation d un ensemble d information beaucoup plus vaste Mais cette d marche permet de mieux valuer le degr de correspon dance entre la dynamique de la production agricole des cerrados et les princi paux contrastes g ographiques du milieu naturel 168 ETUR rA ri TEM NEUSS HC ena i De i241 Beare UE SES EE TART area s LS TERE fond municipal B Carroyage sur Planche n 3 CULTURES ELEVAGE EN 1983 1984 Facteur n i A Lissage sur 843 municipios o Uo gt L t ue o t 3 6 e L 5 e ma s C J Haricot haricot mais trac approximatif soja bovins soja bovins moyenne Haricot mais haricot mais C moyenne Ul soja bovins soja bovins 169 Figure n 2 COMPOSANTES DU MILIEU NATUREL ET PRODUCTIONS AGRICOLES productions commerciales des grands espaces productions vivri res 1983 1984 R2 0 35 milieu nature SE arde R 0 46 F7 Productions reductions productions commerciales des Hands espaces F4 milieu naturel R 0 39 F1 Productions Produclions WWT res productions comm erciefes ge
303. le les commentaires suivanis la deuxi me application Etablir les ensembles d agr gation doit permettre l utilisateur de d finir pour chaque extraction effectuer parmi les donn es de l IBGE quelle r gle d agr gation doit tre appliqu e en raison no tamment des changements du d coupage municipal intervenant entre chaque recensement une fonctionnalit appel s d sactivation a galement t con ue pour remplacer un ensemble d informations par un autre plus r cent le premier tant du coup devenu obsol te Bien que tout le d tail des DFD et de la description des l ments de don n es ait t r alis courant 1988 la phase de sp cification de ce module n a pas encore pu d buter faute de disponibilit de personnel analyste de sp cifica tion Une possibilit de reprise de ce travail est n anmoins pr visible d ici la fin 1989 4 6 SISHIDRO SISGEO pr voyait d s son origine un module sp cifiquement consacr aux ressources hydriques baptis SISHIDRO Sistema de informac es hidrol gicas le quel toutefois n a jamais t prioritaire compte tenu du peu de moyens dont dis pose l EMBRAPA dans le domaine hydrologique malgr l importance que rev tent ces param tres pour l agriculture notamment dans certaines r gions pique semi aride par exemple Les chercheurs du CPAP ont n anmoins manifest leur int r t pour la r alisation de ce syst me vu leurs pr occupations v
304. leau a 12 colonnes qui sont les mois de Janvier D cembre A l intersection par exemple de la ligne Ard che et de la colonne Juillet on lit le nombre 236 ceci signifie que la consommation en gazole dans le d partement de l Ard che au cours du mois de Juillet des ann es 1972 1981 a t au total de 236 centaines de m Ce tableau de donn es va tre soumis tel quel l AFC l analyse de ce tableau montrera d abord une opposition entre les d partements caract ris s par une importante consommation hivernale et tr s faible consommation estivale et ceux o pr domine la consommation estivale ou tout au moins les d partements elle s av re moins r duite qu il n est le cas en moyenne Apparaitra ensuite le cas des d partements betteraviers forte consommation automnale Alin de mettre en vidence avec pr cision cette structure et ult rieurement de produire une carte repr sentant la r gionalisation de ces consommations diff renci es selon les saisons nous devons utiliser l ensemble des ressources de l analyse des donn es l analyse factorielle qui assigne d apr s le tableau initial des coordonn es ou facteurs chacun des d partements ainsi qu chacun des mois Autrement dit qui traduit en termes de proximit sur un graphique les res semblances existant entre individus et entre variables ainsi que les affinit s des uns avec les autres et ensuite la classification automatique au
305. les alors qu elles sont indispensables pour surmonter les difficult s rencontr es dans le d roulement du programme un quilibre doit tre recherch entre la n cessit de pas aban donner certains modules du programme sous pr texe par exemple du peu d int r t d une quipe th matique pour le travail propos et la tentation de consolider les premiers r sultats acquis lesquels constituent g n ralement une avance significative par rapport ce qui existe hors SISGEO l quipe s est jusqu maintenant efforc s de mener de front l ensemble des th mes en favori sant les modules locaux tout en maintenant une activit minimale au niveau cen tral SISIMAGEM SISECSO Ceci n est pas toujours facile compte tenu de l absence de motivation parfois rencontr e chez les quipes th matiques pour ce type de travail dont les r sultats tardent venir Bien entendu le programme s accompagne galement d un certain nombre d aspects positifs sur le plan de la coop ration entre les deux institutions notamment gr ce la dimension des champs couverts et sa position strat gique au si ge du partenaire br silien L exploitation des liens troits ainsi cr s entre les deux partenaires est susceptible de s intensifier pour leur b n lice mutuel Avec SISGEO l EMBRAPA s est r solument engag e dans une politique claire de valorisation des donn es du milieu rural par le biais de la constitution de syst mes d informatio
306. les donn es moyennes journali res g n ralement suffi santes pour les applications de type inventaire Par ailleurs la r alisation pr alable du module local permet de familiariser les utilisateurs potentiels la manipulation informatique de leurs donn es et constituera l avenir le moyen d acc s la base centrale il sera ainsi possible 297 d extraire un ensemble d informations de la base centrale partir d un module local quelconque et inversement d alimenter ou r alimenter lo base centrale partir du module local d ment autoris pour la r gion consid r e Enfin pour certains th mes l laboration ou l utilisation d un module local auront t le pre mier contact des th maticiens avec l informatique le syst me aide ainsi intro duire un d but de culture informatique dans certaines disciplines l EMBRAPA Avec cette philosophie de travail SISGEO devient apparemment tr s com plexe puisque le nombre de ses modules double Toutefois il est important de remarquer que les fonctionnalit s impl ment es dans l un et l autre module sont totalement compl mentaires les seules redondances existent au niveau des mo dules m thodologiques en particulier pour celui de traitement des images de sa tellite SISIMAGEM qui doit mettre en oeuvre des op rations semblables aux deux niveaux ASSAD et alii 1989 De plus la structure ainsi envisag e pour le syst me induite par le contexte institutionnel pr
307. lexion sur les probl mes de gestion de la ville La base de donn es est constitu e partir de l information existante sai sie du d coupage en ilots avec int gration de donn es sur les quipements l infrastructure le foncier les constructions saisie du d coupage en unit de re censement avec int gration des donn es censitaires saisie des diff rents secteurs administratifs de la ville saisie de donn es du milieu physique sur l aire m tropo litaine altitude utilisation du sol g ologie et galement gr ce l information r colt e par des enqu tes sp cifiques exhaustives recensement des activit s par 254 exemple comme par sondage d mographie migration vuln rabilit aux risques naturels etc Toutes ces donn es sont analys es confront es de mani re tirer la fois un bilan th matique de la situation existante et une vision prospective en vue de la planification urbaine red finition du POS zones d interventions priori taires am nagement des zones d extension INTRODUCTION Nous pr sentons ici les m thodes et moyens inlormatiques mis en oeuvre pour le projet ATLAS DE QUITO qu il s agisse de mat riel ou de logiciel Informatiser un atlas exige de savoir faire au moins trois choses saisir des donn es dont la plupart sont localis ss donc galement saisir des plans g rer et trailer des donn es donc poss der un syst me appropri et cartographier des donn es
308. logiciel Babel cr e une grille de 1024 1024 pixels Par abus de langage cette grille de points est galement appel e mod le num rique de terrain Elle n est en fait que le r sultat du mod le 2 LA SAISIE DES POINTS DE REFERENCE Les points de r f rences sont saisis position valeur l aide d une table digitaliser reli e un micro ordinateur figure 3 Nous avons utilis Mygale PC pour la digitalisation des exemples pr sent s dans cet article Les points isol s sont saisis un par un cas des cartes bathym triques par exemple Les courbes de niveaux sont saisies en y choisissant suffisamment de points pour respecter la fois l aspect de la courbe et la distance entre les courbes adjacentes ce sont les points saisis sur la courbe qui servent directement de points de r f rence Une approche plus efficace sera d interpr ter la forme de la courbe de mani re optimiser le choix des points de r f rences l op rateur n ayant plus alors qu digitaliser la courbe d une mani re classique Les points sont saisis sur plusieurs feuilles si n cessaire dans l exemple pr sent ici du Cotopaxi Equateur la saisie a t faite en 16 feuilles repr sentant plus de 80000 points de r f rence pour une surface de 50 km2 Echelle de saisie 1 50 000 quidistance des courbes de niveaux saisies 40 m Les points saisis sont ensuite recal s dans leur projection formant un ensemble unique dans lequel l utilisateur
309. ltation de rentrer dans le programme CAH pour demander bon escient une sous hi rarchie Quant aux aides l interpr tation nous nous bornerons souligner l importance du listage Vacor qui donne l interpr tation des classes par leurs profils c est dire directement en termes des variables du tableau des donn es 144 2 CAS DES DONNEES COMPLEXES OU REQUERANT UN CODAGE PREALABLE 2 1 Tableau de contingence avec un nombre lev de variables Cet exemple de la consommation mensuelle du gazole est particuli rement simple parce que d une part le profil de chaque ligne c est dire la suite des quotients des l ments de la ligne par leur total est directement interpr table on dit qu il s agit d un tableau de contingence et que d autre part le nombre des variables colonnes du tableau n est pas tr s lev Si le nombre des variables est lev on peut par le programme faire un Vacor expliquant la hi rarchie des d partements i non par les variables elles m mes les mois mais par les classes jq de la partition de l ensemble des variables qu il vient d obtenir par classification des mois Dans le cas d un en semble de douze variables seulement les douze mois de l ann e l interpr tation de la classification et donc celle de la cartographie directement en termes de ces variables est possible et facile Mais prenons dans le domaine un tableau 48 colonnes le tabl
310. lus simple et le plus performant en terme de fonctionnalit L interrogation des donn es avec TIGRE est interactive le r sultat d une op ration de gestion sert d entr e l op ration suivante ce qui per met l utilisateur de construire sa requ te et d aboutir apr s un cheminement qui peut tre complexe un r sultat ayant fait intervenir un grand nombre de sources de donn es diff rentes et reli es entre elles au fur et mesure de ce cheminement quand les op rations demand es le requi rent 255 2 GESTION DE LA LOCALISATION Particularit essentielle du syst me de gestion que nous d veloppons pour g rer les donn es de l Atlas de Quito devoir g rer des donn es g ographiques Prenant exemple sur la gestion relationnelle des donn es nous avons tendu les principes de cette gestion au traitement de la localisation Ce qui signifie que les op rations classiques s lection jointure c est dire croisement sur un crit re commun seront galement disponibles pour la localisation s lection sur un espace g ographique par fenestrage par masquage croisement de deux objets sur leur localisation on les met en relation s ils sont au m me endroit s ils sont telle distance l un de l autre le crit re de mise en relation tant toujours ici bas sur la distance La localisation est une donn e intrins que tout objet localis pourra sur ce crit re tre compar tout autre objet localis de
311. me est examin de fa on critique tant dans sa conception que dans sa r alisation s appuyant sur une description rapide du syst me on s est dans ce r sum limit mentionner les particularit s les plus originales de SISOND avec dans chaque cas l objectif poursuivi et exposer bri vement l insuffisance la plus notoire rencontr e Trois l ments interviennent dans les mesures de sonde neutrons la sonde que l on ram ne une sonde standard par des calibrages r guliers le site qui humidit gale conditionne la r ponse d une sonde standard et exige donc un talonnage l humidit volumique qui est le param tre recherch Ces trois l ments se retrouvent dans SISOND mais seul le traitement r serv aux mesures d humidit est consid r ici SISOND prend en charge les mesures d humidit avec la sonde de la collecte l exploitation Une unit per met la description une fois pour toutes de chaque exp rimentation une seconde la cr ation pour chaque collecte de donn es d un registre dans le fichier ad quat et l impression des feuilles de collecte correspondantes et une troisi me l informatisation ou la modification des donn es de terrain la critique tant effec tu e l aide d une unit graphique Une derni re unit permet alors de cr er pour chaque tube tudi un fichier d humidit s volumiques partir des donn es critiqu es L exploitation ult rieure de ces donn es se
312. men e sur la structuration des informations amp repr senter sur la d fi nition des attributs caract ristiques de chaque entit et sur les relations existantes entre ces derni res 249 Les fonctionnalit s essentielles de ce logiciel seront disponibles s r mat riel autonome portable de facon permettre la saisie et la validation des donn es sur le terrain ainsi que des ressources minimales d interrogation sur un fichier de campagne Des fonctionnalit s compl mentaires seront impl ment es pour per mettre la constitution et la gestion de bases de donn es compos es de plusieurs fichiers de campagne cr s par utilisation de glossaires compatibles le logiciel sera op rationnel sur micro ordinateur compatible IBM PC por table autonome avec au moins 512K de m moire centrale et deux unit s de m moire externe int gr es On cherchera rendre le logiciel aussi convivial et fiable que possible compte tenu toutefois du public scientifique vis des condi tions particuli res d utilisation et de l aspect p dagogique que l on souhaite donner au projet les traitements sur micro ordinateur donnent l autonomie et l ind pendance en l absence desquelles le chercheur sur le terrain se voit priv du moyen de contribuer efficacement l ensemble des recherches sur les paysages Ind pen damment de la seule n cessit d un mat riel peu co teux il est essentiel de ne pas avoir diff rer les traitements ni se d place
313. ment standard restitution etc et de d veloppements sp cifiques 238 5 CONCLUSIONS Le d veloppement du logiciel TRISKEL est une illustration des possibilit s pratiques de mise en oeuvre d une station de travail pour les tudes d environnement int grant diverses donn es provenant de multiples sources t l d tection dont satellitaires conventionnelles ou base de donn es La d marche suivie est de construire des sous syst mes ind pendants interlac s avec des structures de donn es puis de r aliser un interface utilisateur l aide d un syst me d exploitation puissant et portable Les divers produits disponibles l ont t ind pendamment des mat riels en mettant l accent sur les aspects logiciels structures de donn es mode de repr sentation analyse et criture de programmes de quo lit utilisation de normes etc C est un exemple de d veloppement utilisable par une large communaut d utilisateurs scientifiques voire op rationnels en liminant les duplications co teuses de certains investissements humains Les concepts de base en font un syst me dynamique qui peut tre facilement implant et modifi pour diverses utilisations Ce syst me peut galement voluer vers le haut avec des technologies de pointe ou tre adapt aux nouveaux toujours plus puissants et peu co teux mat riels personnel Le d fi d aujourd hui est de g n rer du logiciel applicatif des co ts de d veloppement ac
314. merce ou un programme de sa composition pour achever le traitement 3 2 Utilisation de SISOND dans la r alisation d une exp rimentation On suppose que la premi re installation a t effectu e donc que les unit s et directory de travail et de BACKUP sont document s et la disquette BACKUP cr e On consid re l exp rimentation type du paragraphe 1 2 et on suit pas pas les op rations effectu es dans SISOND pour sa r alisation 74 STSOND F2 DONNEES BRUTES a Impression Feuilles de des feuilles collecte de collecte vierges F2 DONNEES BRUTES Feuilles de collecte document es 3 Responsable des mesures de terrain Programme de saisie et correction F2 DONNEES HAUTES 5 Programme de critique des donn es Fig 4 Diagramme de flot de donn es de SISOND Point de vue de l observateur de terrain 75 SISOND F2 DONNEES BRUTES 4 FB CALIBRAGE SONDE Cr ation de fichiers de onn es normalis es F4 DONNEES NORMALISEES F6 ETALONNAGE DU SOL ation de hiers de onn es Utilisateur des donn es F7 DONNEES ELABOREES FICHIERS DE TRAVAIL Rapports graphiques etc Fig 9 Diagramme de flot de donn es de SISOND Programes ext rieurs Fortran Basic Pascal Lotus Point de vue de l utilisateur des donn es 76 3 2 1 Op rations de routine A l aide du programme n O on d finit les diff rentes sondes disp
315. n Cependant ce type de syst mes ne d crit pas vraiment l objet en trois di mensions mais plut t une s rie de surfaces en pelures d oignons bien position n es dans l espace trois dimensions Heureusement l approche g ographique privil gie pour le moment la sur face de la plan te On n envisage pas de coder chaque point de l espace quelle que soit sa profondeur Ce qui est en question c est plut t la surface terrestre dans un r f rent cartographique avec une s rie d attributs comme la pente l altitude mais aussi la population la v g tation la g ologie les donn es clima tiques etc Ce qui veut dire que l approche actuelle reste une approche cartogra phique avec les pr suppos s de projections ellipsoides de r f rence surfaces et points immat riels y aff rents Nous resterons dans ce cadre traditionnel pour r pondre au d sir de l utilisateur d un syst me de bases de donn es localis es qui voudrait pouvoir g rer toute l imagerie a rienne et spatiale disponible sur un do maine g ographique D autre part l utilisateur de donn es satellitaires images verticales ou obliques reste tributaire de techniques maintenant habituelles comme le fait que traitement d image doit n cessairement s effectuer sous une forme matricielle qu elle soit carr s ou hexagonale Pour faire se correspondre pr cis ment des images de dates et provenances diff rentes cet utilisateur doit donc empiler des matrices de pi
316. n oeuvre de concepts novateurs l approche objet faciliterait une meilleure int gra tion de l acquis informatique des disciplines partenaires et des nouvelles questions manant de la conjugaison de ces derni res 112 Cinq communications ont t pr sent es au cours de cette premi re journ e devant un public assez large Certes le planning relativement serr n a pas tou jours permis de longs changes entre les participants Cependant bon nombre de questions de fond ont t abord es et les d bats confirment la n cessit de pour suivre et m amp me d intensifier l effort dans les domaines suivants l application _ d une _ m thodologie C est un imp ratif pour l informatisation des grands syst mes de gestion de donn es l int grit des syst mes de donn es l analyse conceptuelle du sys t me ne peut tre r alis e que conjointement par les th maticiens et les informati ciens La valeur de l information d pend troitement des contr les de validit auxquels sont soumises les donn es les choix technologiques La strat gie retenue doit favoriser la poli tique de transfert nos partenaires cela est favoris actuellement par une infor matique peu co teuse et o la notion de standard est omnipr sente l ergonomie Les th maticiens doivent et peuvent s approprier facile ment les outils d velopp s le d bat a t plus particuli rement nourri propos des questions suivantes La circulati
317. n de la re mont e saline vers l amont Enfin une relation radiom trie turbidit est test e partir des donn es Landsat MSS acquises en simultan it avec des mesures de la qualit de l eau INTRODUCTION L utilisation des donn es de t l d tection a rospatiale pour la connaissance de l environnement est un domaine qui a recu une impulsion nouvelle ces deux derni res ann es par la mise en orbite avec succ s des satellites francais SPOT L tat de l art en mati re de traitement et d interpr tation des images s est enrichi depuis une quinzaine d ann es par l exploitation des multiples informations obte nues avec les satellites LANDSAT depuis leur lancement La banque de donn es radiom triques que constitue l image ne prend r ellement corps aux yeux des diverses sp cialit s qu apr s une combinaison judicieuse des canaux et des trai tements dont l aboutissement est la cartographie sp cifique r pondant un objectif pr cis C est donc devenu un savoir faire en relation avec le sp cia liste de terrain que l volution des mat riels et des logiciels ont rendu op ration nel et perfectible Ce processus a permis le rapprochement de l homme de ter rain avec la vision satellitaire ce qui assure une plus value certaine en regard des d marches habituelles Pour la Guyane riche en sp cialistes de terrain cet outil pr sente un int r t vident connaissant les difficult s d exploration de certaines
318. n des valeurs de luminance du m me champ cause d un changement de saison II existe un grand nombre de zones de forme incertaine et au contenu mal transcrit par l image satellite l chelle de travail Les pixels de for t par exemple sont diffi cilement mariables Mais visuellement on se rend compte aussi des limites de cette m thode sur un terrain comme celui de Quito profond ment entaill de ravines abruptes La pente y est souvent si forte qu une des deux images ne montre pas le fond de 108 la vall e cas des vall es nord sud Il peut se produire aussi si le fond est g om triquement visible une confusion entre l ombre propre versant lui m me et l ombre port e sur l autre versant qui permet pas de marier les pixels de fond de vall e cas des vall es est ouest 2 VISUALISATION 3D Le fait que la m thode de recalage d velopp e implique la cr ation d une maquette num rique de terrain nous a amen cr er un certain nombre de sous produits comme la visualisation en perspective Le premier exemple va illustrer la souplesse de cette m thode visuelle le recalage g om trique d une image panchromatique avec l image clairement issue du programme ECLAIR D R my s effectue tr s rapidement par la m thode d crite pr c demment En effet la corr lation visuelle entre une image SPOT et une image de la projection verticale du mod le num rique de terrain MNT qui respecte l azim
319. n g ographique et donn es issues de la t l d tection la fois d introduire de nouvelles donn es pour des objets exis tants dans la base de donn es comme sur chaque lot la valeur tant calcul e uniquement sur les pixels appartenant l ilot une moyenne de radiom trie un indice de densit de v g tation un cart type local ou plus g n ralement la va leur d une classification de l image et galement de d velopper de nouvelles techniques de traitement en t l d tection par zone plut t que par pixel l ment tudi n est plus seulement le pixel ou le groupe de pixels mais l ensemble des pixels correspondant au sol une r alit physique ou th matique connue et corr l e si possible la donn e recherch e sur l image Pour de telles op rations le recalage de l imagerie satellitaire sur une projection g ographique connue du syst me est n cessaire les op rations sont ensuite rendues simples par la coexistence dans le syst me TIGRE des structures vectorielle et matricielle pour la localisation 257 4 LES RESTITUTIONS Le troisi me aspect du syst me que nous d veloppons concerne bien 0 l aspect cartographie et repr sentation graphique Notons tout d abord que nous avons choisi de conserver la localisation en coordonn es g ographiques globales longitude latitude ce qui nous donne un r f rentiel commun quelle que soit l origine de la donn e g ographique chelle projection
320. namary 2 5 Traitement multitemporel n 2 Donn es LANDSAT 76 et SPOT 86 sur la zone de Kourov A l inverse du r sultat pr c dent le ph nom ne observ ici correspond une progradation de la ligne de rivage de 2 km cons cutif au d placement d un banc de vase pendant les ann es 80 85 sur lequel la mangrove s est install e tr s rapidement figure 3 2 6 Aspect qualitatif de la distribution des eaux de surface de l estuaire du Sinnamary en tiage Donn es LANDSAT 76 et SPOT 86 Les mesures de terrain LOINTIER 1984 dans cet estuaire montrent que l opacit est lev e avec une disparition du disque de SECCHI entre 0 5 et 1 2 m tre Les profondeurs mesur es tant sup rieures au m tre dans tous les cas on ne peut pas aftribuer les variations de la radiom trie enregistr e aux va aoe bathym triques surtout avec les canaux utilis s dans le rouge et infrarouge l index de Brillance V 2 2 calcul sur la zone d estuaire dans les bandes Landsat 5 et 7 et SPOT 2 et 3 quasiment homologues permet de clos ser les pixels selon une chelle de valeurs croissantes qui traduit l augmentation des valeurs radiom triques Cet index montre ainsi qualitatiyement la distribution des masses d eau de surface Pour un d bit proche 64 m s le 30 octobre 76 et 80 m s le 20 octobre 1986 il est remarquable de constater la similitude de cette distribution dix ann es d intervalle avec quelques nuances due
321. nce graphique ainsi que de nombreuses fonctions d dition et de correction gra phique Il permet de saisir des zones des lignes des points ainsi que des l ments non th matiques pour constituer des fonds cartographiques Si le domaine saisir est grand il peut tre d coup en feuilles qui seront digitalis ss s par ment C est l int gration des donn es graphiques dans la base et le recalage en coordonn es g ographiques qui assurera le bon placement de chaque feuille saisie dans l ensemble g ographique la base de donn es sur Quito se compose actuellement des donn es suivantes donn es d occupation du sol par lot Le d coupage des flots propre aux donn es de la Mairie de Quito a t saisi 6500 lots saisis 110 feuilles distinctes l chelle 1 2 000 La saisie a t effectu s d avril septembre 1989 Apr s formation des trois op rateurs l ensemble des lots a t re dessin sur support ind formable puis digitalis le temps de saisie sur la table tant l g rement inf rieur au temps de dessin Chaque feuille a ensuite t v rifi e cl s digitalisation des arcs puis corrig e si n cessaire dur e deux mois donn es de population et logement du recensement de 1982 La saisie des 6200 ilots du recensement de 1982 de l INEC Institut national qua torien de statistique t effectu e par modification du fond municipal dessin des modifications d apr s les plans de l
322. nde taille et choix possible de l chelle de sortie mais peu de choix de couleurs ou de trames 258 efficaces est souvent long et difficile d obtenir un document d une bonne qualit graphique et plusieurs essais sont g n ralement n cessaires Pour les cartes de travail un bon compromis est offert par la recopie d cran noir et blanc ou couleur qui sur une taille r duite donne de bons r sultats graphiques et une fa cilit d utilisation incontestable Gestion traitements repr sentation des r sultats pour cela il faut bien s r commencer par constituer la base de donn es sur la ville de Quito c est gale ment un aspect important de notre travail Les donn es doivent tre recens es valu es int r t co t volume fiabilit avant d tre saisies et int gr es dans la base de donn es L information g ographique pose le probl me de la saisie de la localisa lion Nous avons donc d velopp un programme sp cifique de saisie graphique MYGALE PC Conform ment au principe de la gestion relationnelle chaque th me est saisi s par ment si plusieurs th mes sont pr sents sur une carte La saisie graphique avec MYGALE PC se fait sur une table digitaliser munie d une loupe de grande pr cision la saisie se lait la pr cision de 0 1 mm et reli e un micro ordinateur Le programme offre une saisie gra phique supervis e contr le de la fermeture des zones de la coh re
323. nnage 1 1 3 Le dispositif exp rimental le dispositif exp rimental est compos d un certain nombre de tubes verti caux destin s recevoir la sonde la possibilit de tubes horizontaux n a pas t retenue dans SISOND Les mesures sont effectu es un certain nombre de niveaux qui peut varier d un tube l autre et suivant un nombre de r p titions galement variable 1 2 Conception de l exp rimentation avec sonde neutrons Tout d abord pourquoi se rattacher une conception particuli re alors qu on voulait donner SISOND la plus grande g n ralit possible Un syst me informatique est une r alisation concr te qui ne peut donc s appuyer que sur des l ments concrets Pour garder SISOND une grande g n ralit on a essay de d finir l exp rimentation la plus ample possible de facon englober la plupart des exp rimentations r elles Une exp rimentation se d roule en trois temps la phase initiale ou instal lation l exp rimentation proprement dite et la phase finale ou destruction du site Ces trois phases seront successivement examin es mais auparavant il convient de dire quelques mots des op rations de routine qui se r alisent r guli rement durant toute la conduite de l exp rimentation 1 2 1 Op rations de routine Une exp rimentation est conduite avec une ou plusieurs sondes neutrons la sonde est un instrument d licat En pr vision d une panne toujours possible avant tout premi
324. nnaissances d sir On rappellera donc bri vement les objectifs du programme de recherche initi par ORSTOM au Mexique 321 1 OBJECTIFS ET PREMIERS RESULTATS 1 1 Objectifs Depuis mai 1989 une quipe de chercheurs et ing nieurs de ORSTOM travaille la mise en place d un syst me d information g ographique pour l tat de veracruz Mexique Comme pour Atlas informatis de la ville de Quito le choix s est port sur l utilisation de l ensemble de techniques mat riels et logiciels d velopp es par l atelier d infographie de l ORSTOM Savane Tigre et Mygale Ce programme de recherche fait l objet d une convention sp cifique entre l ORSTOM et Instituto Nacional de Estadisticas Geografia e Infor matica Le Mexique plus de deux millions de km2 80 millions d habitants est administrativement divis en 32 tats L tat de Veracruz comporte 207 munici Dios pour une superticie d environ 71 000 km2 est une institution comparable l IGN et l INSEE d pendant du minist re du plan et du budget Cet institut est responsable de la cartographie topographique diff rentes chelles comme de la cartographie d inventaire clas sique g ologie p dologie v g tation climats Par ailleurs l INEGI est galement maitre d oeuvre des divers recensements r guli rement lev s tous les dix ans population agriculture conomie Le choix de l tat de Veracruz se justifie par une
325. ns dans le cas l on identifie la n cessit d tudes pour fournir un compl ment d information Le syst me est concu et structur de fa on ce qu il puisse tre utilis par des personnes peu au fait des techniques de l informatique laissant ainsi pr voir une utilisation plus g n rale 82 3 OBJECTIFS Pour pouvoir b n ficier des avantages d crits ci dessus il a t n cessaire de pr voir les objectifs suivants pour SISPRAGAS cataloguer les insectes d importance conomique que l on rencontre dans l agrosyst me des Basses Terres de Climat Temp r caract riser ces insectes partir des aspects g n raux de leur morphologie administrer les informations qui se r f rent au comportement des in sectes y compris l influence des facteurs biotiques et abiotiques g rer les donn es de vari t s culturales qui interviennent dans la relation plante insecte enregistrer les donn es sur les sympt mes de l attaque des insectes stocker les informations qui concernent le contr le des insectes et automatiser l indication de m thodes de contr le pr f rentielles 4 DESCRIPTION DU SYSTEME 4 1 Mod lisation des donn es La mod lisation des donn es effectu e pour SISPRAGAS conduit au dia gramme d entit s relations pr sent sur la figure 1 Trois entit s de base ont t identifi es insecte plante ef produit chimique Cette derni re entit a t intro duite comme unique
326. ns les cerrados condition de l application de cette m thode Est elle transposable des ensembles g ogra phiques plus r duits moins fortement structur s et abord s d autres chelles 2 Nous n en sommes pas certains On r it re la m me op ration pour les deux autres composantes de la production agricole productions temporaires productions permanentes et produc tions du Nordeste Ces deux ensembles de donn es les quatre composantes biog ogra phiques et les trois composantes de la production agricole se rapportant la m me maille le carroyage sont mises en relation par des mod les de r gression multiple Par exemple deux composantes du milieu naturel sont corr l es de ma ni re significative avec l opposition productions commerciales des grands espaces productions vivri res La figure 2 montre que ni le domaine semi aride ni les fortes pentes ne favorisent l implantation des productions commerciales des grands espaces A l inverse les productions vivri res se localisent de mani re pr f rentielle dans ces types de milieux contraignants sur le plan agricole Cette observation met sur la voie d une interpr tation en terme de dualit des syst mes de production mettant en valeur des espaces diff rents Dans ce cas le poids du milieu physique est incontestable mais n apparait jamais comme d terminant d ailleurs le taux de variance expliqu e n atteint dans le cas pr sent que 3596 de la variance tota
327. ns th matiques autonomes mais int gr s dans une ap proche commune Ce travail suppose terme que l on r ussisse entrainer les autres institutions charg es de l administration niveau national des divers th mes impliqu s par exemple en fournissant d embl e le module local Une telle d marche est en voie d aboutir pour les donn es de climatologie avec l INEMET 317 Dans le cas de F ORSTOM il apparait que l acc s aux donn es des pays partenaires va rapidement devenir impossible d autant que l Institut se d gage volontairement des op rations de type inventaire o il avait jusqu pr sent ex cell Sa participation des op rations de constitution de bases de donn es comme au Mexique en Equateur au Br sil en Indon sie etc si elles sont bien formalis es apparaissent ainsi comme de nature inverser cette tendance De plus le savoir faire dans ce domaine est peu r pandu et pr cieux ce qui sup pose une consolidation des connaissances acquises l ORSTOM mais encore trop dispers es S minfor devrait y contribver REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ASSAD E D MACEDO J SANTOS D T dos amp JUNIOR S R SISIMAGEM une philosophie d utilisation de la t l d tection l EMBRAPA In S minfor 3 Paris 1989 paraitre CARDON D SECHET P DINIZ T D amp MALTEZ M SISCLIMA capitalisation de donn es agroclimatiques au Br sil In Hydrol continent vol 2 n 1 1987 3 14 EMBRAP
328. nsfert g n ral sur support magn tique restitution archivage de trai tement classique arithm tique dynamique convolution statistique etc ainsi que divers autres plus sp cifiques d velopp s pour nos applications analyse d images multitemporelles 236 4 3 2 Traitement de champs ll consiste en manipulations des donn es de ce type et en g n ration d images partir de champs ordonn s Un module l mentaire de reconstitution de grille partir de donn es discr tes est galement disponible et il est pr vu terme d y inclure des m thodes volu es de g ostatistique 4 3 3 Traitements g om triques Ce module assure la parfaite transparence g om trique de diverses sources l concerne les tapes de superposition d informations spatialis es graphie champs avec l image ainsi que la restitution cartographique de ces r sultats rectification La ma trise de ces tapes permet terme l utilisation de m thodes multisource mullitemporelles partir des donn es disponibles celles ci pouvant tre quelconques et des pas de r solution spatiales spectrales et tem porelles tr s diff rents Ces traitements int grent plusieurs mod les projection cartographique lo calisation d images satellitaire orbitographie capteur etc d formation r chantillonnage image 4 3 4 Acc s d autres logiciels Nous avons d velopp des passerelles de reformatage de donn
329. nt t abord s nous allons expliciter les principales fonctionnalit s de LEICA 2 1 Fonction Extraction Cette fonction point de d part de LEICA permet l utilisateur d extraire un fond de carte c est dire un groupe de segments constitu s chacun d un en semble de couples de coordonn es x y en s lectionnant les param tres suivants voir liste d taill e sur le tableau 3 continent fen tre g ographique couple latitude longitude minimales maximales nature du contour et du sous contour 279 L INFORMATIQUE ET L HYORGL GiS L DONNEES F T S nor lt MOOELES ARISTEMENT DE LOS INTERPOLATION VICUALIBATION STAYISTIOUES EDITION vt poor sent FONCTION DE WTEORADON D TRANSFERT DE DOMMEES SPRTIALISEES Figure 1 L Informatique au Laboratoire d Hydrologie 280 9101 BURKINA FASO 26 10F8 2 DD Odegre_dec 0 00 0 00 BMERCATOR EQUIDISTANTE DIRECTE EN TETES 0 1274200000 09 0 0000000000E 00 0 0000000000 00 0 6000000000 01 0 3000000000E 01 0 9000000000 01 0 1600000000E 02 CONTOUR 3 SOUS TYPE 1 5 82 15 70 5 65 CONTOUR 3 SOUS TYPE 5 45 _ 15 87 5 43 CONTOUR 3 SOUS TYPE 2 9 44 2 82 3 08 9 79 3 12 3 9 96 3 47 3 9 93 3 98 4 9 71 4 31 COORDONNEES OES POINTS DE CHAQUE CONTOUR CONTOUR 3 SOUS TYPE 1 2 78 9 00 CONTOUR 3 SOUS TYPE 1 2 90 9 11 2 99 9 10 CONTOUR 3 SOUS TYPE 1 2 84 12 49 2 92 12 42 3 00 12 37 EXEMPLE
330. ntes du noir vers le blanc on observe des discontinuit s dans la distribu tion des radiom iries dans la partie interm diaire de l estuaire Cette premi re tape d un traite ment montre l h t rog n it du m lange des eaux Copyright CNES 1986 195 Sur la composition color e on d finit la limite amont du contact entre les eaux fluviales et les eaux m lang es l extension est plus importante vers l amont pour le fleuve Kourou que sur le Sinnamary a t bien observ dans nos tudes et s explique par la valeur diff rente du rapport du volume d eau douce apport par le fleuve au volume d plac dans l estuaire pendant un cycle de flot Ce rapport Vs Mg est de 20 pour le Sinnamary et seulement de 2 pour le Kourou qui subit une influence oc anique plus grande 2 9 Traitement des donn es SPOT 1986 sur la partie m diane de l estuaire du Sinnamary Les tudes hydrologiques vitesse d bits oscillants salinit et charge en suspension ont conduit penser que la propagation des l ments pr sents dans l estuaire en particulier les vases s effectuait vers l amont par oscillations et dilu tion successives au cours de plusieurs cycles de mar e ROCHE M A 1977 Sans toutefois confirmer une telle hypoth se un index de Brillance appliqu aux donn es SPOT dont les valeurs sont croissantes du noir vers le blanc sur le do cument figure 4 montre des discontinuit s dans la dist
331. ntra ne n cessairement De plus les centres de ressources mais aussi les autres unit s de recherche de l EMBRAPA peuvent tirer profit de cette automatisation pour aider la r ali sation des travaux de recherche les plus divers En effet la micro informatique offre d sormais une s rie de logiciels de traitement qui combin s avec les sys t mes d informations ainsi mis au point permettent une norme gamme de traite ment de donn es susceptibles de fournir de pr cieuses informations Avec cette nouvelle orientation du projet des logiciels permettant la cr a tion sur des quipements de type PC compatible de bases locales de donn es de sols de climat de v g tation native de donn es phytosanitaires d hydrologie de socio conomie et m me de cartographie sont progressivement mis la disposition de toute la communaut scientifique du SCPA La figure 1 ci apr s pr sente un diagramme sch matique du projet SISGEO 2 LE SYSTEME SISIMAGEM Conform ment cette philosophie de travail la t l d tection a besoin galement de disposer d un outil capable de permettre la cr ation de bases lo cales d images tout en autorisant un minimum de traitements primaires en plus d une base centrale partag e disposant de ressources permettant des traitements plus avanc s et plus complets 214 d D 5 I 81 5 G Hodule Local Hodule Local SISCLIHA SISCLINA HOD LOCAL SIS
332. objets de la classe appartiennent la classe B Ainsi la classe des rectangles de surface 1 est une sous classe de la classe des rectangles h ritage Transmission des propri t s d une classe vers une sous classe Par exemple toute m thode applicable la classe des rectangles sera applicable aux rectangles de surface 1 Mais attention ne pas confondre sous classe et composants une sous classe est une sp cialisation les triangles rec tangles sont une sous classe des triangles alors que les composants sont des parties les sommets sont les composants d un triangle l est important de noter que dans un syst me orient objet les requ tes sont dynamiques Une requ te un message de l utilisateur se propage dans le syst me d clenchant son tour en cha ne toute une s rie de nouveaux mes sages figure 6 Dans un syst me traditionnel les requ tes sont plus statiques le syst me r pond imm diatement toute requ te qui lui est adress e On notera galement que les bases de donn es hypertexte sont con ues partir des principes de la repr sentation objet 2 4 Repr sentation orient e objet de l information d un programme multidisciplinaire Pour donner une id e de la souplesse de la repr sentation orient e objet essayons de donner un premier sch ma de la construction d un sous ensemble des donn es d un projet comme HAPEX Ce sch ma est manifestement incomplet et inexact Mais en essayant de l
333. ogramme ARGOS crit et compil sous TurboBASIC permet la mise en forme des don n es apr s suppression des redondances et des valeurs inutiles et cr e un fichier tri exploitable par un logiciel graphique GRAPH IN THE BOX par exemple On peut donc tracer l cran et imprimer un ensemble de param tres pour une p riode maximum de quatre jours voir exemple 1 94 Exemple 1 Donn es r cup r es aupr s de CLS ARGOS Toulouse via TOMPAC TRANSPAC depuis Noum a 0448 241 10 243 00 09661 Prog 00448 09661 NO LOCATION 241 13327 4 35 56 69 72 09661 NO LOCATION 242 19037 80 72 117 99 5 43 59 70 65 164 10 65 44 80 74 112 96 159 09 10 00 227 19 64 45 36 55 70 68 159 09 10 00 80 72 114 100 42 60 70 67 171 10 66 44 80 73 114 98 159 09 10 00 187 11 62 44 159 09 10 00 09661 NO LOCATION 241 15107 3 35 56 69 72 03661 NO LOCATION 242 20417 80 72 117 99 5 43 59 70 65 164 10 65 44 80 74 112 96 159 09 10 00 227 19 64 45 36 55 70 68 159 09 10 00 80 72 114 100 44 62 70 65 171 10 66 44 80 75 122 98 159 09 10 00 235 15 64 45 159 09 10 00 suite passage 37 42 ARGOS READY LOGOUT Fichier ci dessus remis en forme avant trac 241243 MAT FICHIER 241243 MAT DONNEES MATTHEW DATE 241 10 243 00 FORMAT Tair Tso11 Tsol2 5013 5014 Ubat Patm Hr TfumA TfumB TfumC 42 20 23 22 26 24 23 998 93 11 62 88 43 19 23 21 26 24 22 996 100 19 64 90 44 20 23 21 26 25 23 998 100 15 64 90 35 18 2
334. ominateur commun aux cing communications que nous allons entendre l analyse et le traitement des donn es chacune est vraiment singuli re ce qui t moigne aussi de l inventivit et de la multiplicit des initiatives Ainsi chacune met l accent sur un aspect oU Une question particuli re qui situe bien la nature et l objet de la d marche qui a abouti la cr ation du syst me d information pr sent Ainsi Daniel Cardon a eu avec SISBIO le souci de mettre au point un syst me de gestion de donn es fiables pour des exp rimentations L utilisation des donn es tant tr s cibl e mod les de croissance et de production il insiste beaucoup sur la question de la collecte La communication de Marc Souris et Dominique R my sur le logiciel BABEL insiste moins sur l utilisation d un syst me que sur les modalit s de sa cr ation en vue de r soudre des probl mes de calcul et de repr sentation de relief trois dimensions pour g n rer des mod les num riques de terrain Les deux communications suivantes celle de Marie Madeleine Thomassin et celle de Philippe Waniez et G rard Dandoy sont parentes dans la mesure o elles traitent toutes deux de syst mes int grant des variables localis es mais leur probl matique de d part diff re largement La premi re manifeste la volont de parvenir des interpr tations et ce au prix d une r elle sophistication de la par tie calcul et analyse de correspondances Au contraire peut on
335. on de l environnement tablie par ces g ographes INTRODUCTION Au d but des ann es 1970 une quips ORSTOM dirig e par Raymond VAN DEN DRIESSCHE d veloppait un ensemble de programmes informatiques destin s la constitution et la gestion d une base de donn es p dologiques Un tel syst me baptis Pos idon tait sp cialement mis au point pour permettre l administration des donn es descriptives de profils de sols et s appuyait sur l utilisation des glossaires de p dologie ORSTOM 1969 Informatique et Biosph re 1971 Op rationnel sur gros syst me Pos idon a d voluer en fonction de changements de mat riels Univac IBM de langages Fortran PL 1 et de la r alisation de fonctions compl mentaires La derni re version appel e Neptune est implant s sur le CIRCE Orsay depuis 1980 AUBRY et alii 1984 En 1981 une quipe de g ographes en qu te d un outil informatique pour manipuler les r sultats de la description des paysages s est int ress e ce logiciel L adaptation faite a permis d utiliser le syst me dans un autre contexte en montrant son ind pendance par rapport au domaine d application moyen nant la satisfaction de ses hypoth ses de base Les utilisations qui ont t faites depuis 1984 sur des fichiers en vraie grandeur par les g ographes en Afrique de l Ouest conduisent sugg rer la r alisation d une nouvelle version op rationnelle sur micro ordinateur portable La premi r
336. on de l information ce propos certains d veloppements exp riences souvent enrichissantes titre personnel sont ils toujours une n cessit Le manque d information est trop souvent l origine de r alisations redondantes Cette constatation sugg re que le RIO favorise le rapprochement des concepteurs de logiciels Le Chef de la propose d tudier la mise en place d un syst me de news et ventuellement d une banque de programmes accessibles tous par le r seau Si techniquement cette r alisation peut amp tre envisageable elle n cessite cependant de trouver des disponibilit s en personnel ll faut galement voquer l opportunit qu offre le r seau d ouvrir plus lar gement les banques de donn es ORSTOM la communaut scientifique Si au cun expos n a abord concr tement cette fonctionnalit il existe n anmoins des r alisations qui y ont recours Le choix d une m thodologie dans la conduite d un projet de r alisation d un sys t me d information La solution propos e par une des communications fait l objet d une controverse Le grief majeur est certes la rigidit des proc dures de mise en oeuvre Les contraintes de temps fix es par les programmes sont souvent inconci liables avec les d lais inh rents au d veloppement de la m thode M me si les documents issus de la longue phase de conception pr sentent de l int r t il s av re que la phase d impl mentation est trop diff r e d
337. on de la taille de la fen tre et de la projection utilis e donne tous ces r sultats en m tres Egalement sur l cran on peut y d finir directement des objeis comme des zones th matiques des donn es ponctuelles des r seaux et ce soit pour cr er un masque de s lection g ographique par exemple on trace une ligne le long d une portion de voie puis on demande la zone se trouvant moins de 10 m tres de cette ligne pour pouvoir ensuite s lectionner les activit s se trouvant dans cette zone soit pour effectuer des simulations ainsi sur une image th ma tique repr sentant par exemple le prix du m tre carr par lot image cr e partir des donn es de la base et visualis e sur l cran on y d finit directement une zonification que l on veut tester en vue d am liorer le d coupage des taux d imposition Pour chaque lot on cr e une nouvelle variable indiquant l appartenance de l ilot telle ou telle zone ce qui permet ensuite par une op ration d agr gation de variables par ilot sur les zones de calculer pour chaque zone un indice partir des donn es dont on dispose sur les lots comme la den sit de population la densit du b ti le revenu moyen des habitants etc La sortie cartographique sur papier se fait gr ce un traceur plume ou un syst me de recopie d cran les possibilit s graphiques d un traceur sont tr s diff rentes de celles d un cran meilleure d finition graphique gra
338. on efficace les don n es descriptives non quantitatives en utilisant la notion de glossaire ensemble de tables de codification encore appel nomenclature qui permet de valider ce type de donn e la saisie Il permet ses utilisateurs de d finir librement les tables utiliser avant la cr ation de la base puis de remplir mettre jour consulter et diter toutes ces tables au cours de l exploitation du syst me tant pour la constitution que pour l exploitation de la base de donn es 242 La r olisotion de ce travail repose sur une repr sentotion des donn es de l environnement selon un mod le hi rarchique deux niveaux hoplexol l ment diagnostique par exemple Ce mod le h rit de la conception originale est simple et pr sente l avantage de pouvoir s adapter de nombreux objets d tude en offrant les fonctions de base du traitement des donn es moyennant seulement une d finition appropri e du glossaire Pour r pondre un projet propos par une quipe de g ographes physi ciens de gestion de l environnement biophysique ouest africain on se propose de r aliser une nouvelle version de Neptune susceptible d apporter un outil de traitement d centralis des donn es g ographiques collect es sur le terrain Celle ci sera op rationnelle sur micro ordinateur PC compatible portable et autonome et impl mentera un mod le hi rarchique tendu plusieurs niveaux qui corres pond une repr sentati
339. on encore d but s SISHIDRO Co rumba la r gion du Pantanal tant confront e des probl mes d inondation p riodique et SISPRAGAS Pelotas en raison de l importance conomique de l aspect phytosanitaire dans la r gion des rizi res et d levage du sud du pays De ceite facon la totalit du r seau de centres de ressources de l EMBRAPA est impliqu e dans l enjeu de SISGEO 3 ASPECTS METHODOLOGIQUES Compte tenu de ce que la coordination du syst me global est encore ac tuellement confi e des informaticiens les aspects m thodologiques du pro gramme en constituent sans aucun doute un point fort La pr occupation la plus importante est d assurer la p rennit des produits d velopp s ainsi que leur plus large diffusion dans tout le syst me EMBRAPA L institutionnalisation de SISGEO contribue pour une bonne part en m me temps que les aspects ci dessous d taill s utilisation d une m thodologie de d veloppement rigoureuse et for mellement document e Cet aspect tr s important qui touche aussi bien la partie conceptuelle que celle d impl mentation a d j fait l objet d une description cir constanci e au cours de 1 et reste pionnier pour l Institut S chet 1987 En particulier les modules voluent progressivement sous la forme de versions successives de plus en plus perfectionn es et bien s r compatibles entre elles au niveau des bases de donn es produites assimilat
340. on est utilis e dans le processus de gestion de l information elle permet galement la repr sentation cartographique des r sultats d une inter rogation au m me titre qu une sortie des r sultats sur imprimante C est l attribut localisation qui est alors repr sent comme r sultat du processus de gestion 2 2 La nature des param tres stocker Les donn es graphiques peuvent tre des points localisation des stations m t orologiques par exemple des r seaux hydrographie routes etc ou des zones affleurement g ologique parcelles etc Les localisations ponctuelles peu vent tre saisies au clavier si les coordonn es g ographiques sont connues dans les autres cas la saisie se d roule sur la table digitaliser Dans la mesure du possible l inlormation doit toujours tre saisie au ni veau le plus fin la digitalisation de la carte des pr cipitations on pr f rera la saisie des donn es qui ont servi son laboration la capture des donn es censifaires par municipio on privil gera la saisie des m mes donn es pour chaque localit Comme on l a d j mentionn c est cette d sagr gation de l information qui permet de s affranchir d un d coupage priori de l espace 2 3 La configuration mat rielle La configuration install s au Mexique est la suivante pour la digitalisation table Benson 6301 micro PC AT disque dur 20 m gas carte EGA pour le traitement station SUN 3 60
341. on et la valeur des param tres physiques partir des formules de conversion et des constantes d talonnage alin de cr er un fichier de donn es interpr t es pour chaque mois De plus des logiciels ont t d velopp es pour permettre des consultations partir du syst me Vid otexte Minitel partir du traitement effectu pr c demment on peut obtenir sous forme de courbes ou de donn es la variation quo tidienne ou mensuelle d un param tre voir exemple 2 l ensemble de ces donn es disponible au CIRCE est stock dans une banque de volcanologie lanc e l initiative de PIRPSEV et maintenant prise en charge par l INSU Toutes les donn es conserv es sous forme d un fichier de donn es brutes et d un fichier de donn es interpr t es sont accessibles par les moyens t l matiques par la communaut d utilisateurs CONCLUSION Le d veloppement de r seaux t l observ s sur des volcans actifs n cessite un examen m thodique des donn es leur analyse rapide entrainera terme la mise en place de syst mes experts capables de mettre en vidence les varia tions significatives et de d clencher des alertes L interconnexion des centres de calcul par les r seaux FNET EARN EUNET et donc du RIO dont la multiplication des points d acc s est en cours devrait permettre de ramener vers les pays en d veloppement les don n es pr c demment acquises La mise en place de messageries informatiques RIO
342. on informaticiens ils avaient donc pour le moins ceux l comme utilisa 12 teurs De plus en plus les nouveaux syst mes sont pris en charge par des quipes sp cialis es dans ce type de travail parce qu ils sont plus complexes mettre en ceuvre en tenant compte des facilit s nouvelles d aide la r alisation il faut n anmoins veiller ce qu ils r pondent bien aux besoins des scientifiques et favoriser l appropriation de cet outil par ces derniers De la donn e l information aide l interpr tation La deuxi me session m est apparue peu d velopp e et je m interroge sur les raisons de cette relative pauvret d autant que le reproche a souvent t foit aux chercheurs de l ORSTOM de se contenter de collecier des donn es et de laisser d autres le soin de les interpr ter Pour certains cet tat de fait n a pas fondamentalement chang Je crois toutefois n cessaire de pond rer cette opinion En effet capitaliser n est pas simplement accumuler de sorte que les bases de donn es et syst mes d information apportent en r alit une valorisation significative des donn es Les donn es y sont mises en forme et sont disponibles avec un certain nombre de fonctionnalit s de base d extraction de s lection d inventaire d dition etc ce qui constitue d j en soi un premier effort d utilisation et une aide substantielle l interpr tation Pourtant l acquisition directe par un chercheur conf
343. on veut l utiliser avec d autres plantes que le mais se cultivant en ligne il sera n cessaire d intervenir directement dans la programmation du syst me INTRODUCTION Dans le cadre de la convention IRENA ORSTOM au NICARAGUA sont en cours de r alisation une s rie d exp rimentations sur mais destin es la v rifica tion d un mod le de croissance et de production Ces exp rimentations compren nent videmment des mesures biologiques l objet de ce travail est la description de leur gestion et de leur traitement l aide de l ordinateur 120 Les donn es collect es le mode de collecte et le nombre de r p titions correspondent un mode op ratoire pr cis mis au point l aide de r sultats pr liminaires CARDON janvier 1988 Une pr sentation succincte en sera faite dans le premier chapitre L utilisation de l informatique s est effectu e en deux tapes la gestion des donn es brutes c est dire la collecte l inlormatisation la critique et le pr traitement de ces donn es l aide d un lo giciel cr cet effer SISBIO leur traitement proprement dit avec un logiciel du commerce LOTUS 123 Ces deux phases seront examin es successivement dans le second chapitre Ce syst me de travail a t test de juin octobre 1988 un essai sur mais ayant t r alis durant cette p riode Le dernier chapitre sera consacr la fa on pratique de l utiliser et son analyse critique en fonction des r
344. onibles et on pr voit un calibrage initial Cette premi re op ration est indispensable car une s curit dans le programme n 2 emp che de d finir une collecte de donn es avec une sonde qui n est pas calibr e 3 2 2 Phase d installation Avec le programme n 1 on d finit le protocole de mesure du premier calibrage empirique Avec le programme n 2 on cr e les registres correspondant une collecte de donn es et on imprime la feuille de collecte Avec le programme n 3 on informatise les donn es brutes Avec le programme n 5 ces donn es sont critiqu es en comparant les r p titions Avec le programme n 3 on corrige les donn es Avec le programme n 4 en sp cifiant qu il s agit d un talonnage empi rique on cr e un fichier de donn es normalis es importables par tout type de programme ext rieur au syst me Apr s calcul des coefficients d talonnage on les informatise avec le programme n est noter que vu de SISOND la phase de destruction du site est tout fait identique la phase d installation 3 2 3 Exp rimentation proprement dite Avec le programme n 1 on d finit le protocole de mesure Par collecte de donn es on r p te la s quence suivante du paragraphe pr c dent programme n 2 programme n 3 programme n 5 programme n 3 Pour exploiter les donn es on r alise les op rations suivantes avec le programme n 4 on cr e un fichier de donn es normalis es avec l
345. onn es de l environnement rural Patrick SECHET G rard COCHONNEAU amp Paulo FRESNEDA 287 Syst me d information g ographique pour l tat de Veracruz Mexique programme pilote INEGI ORSTOM Luc CAMBREZY 319 Proposition d un sch ma de collecte de l information pour le milieu physique Herv LE MARTRET amp Alain BEAUDOU 331 Compte rendu du rapporteur de session 349 Liste des participants 353 Index par auteur 361 9 EXPOSE INTRODUCTIF DE SEMINFOR 3 G rard WINTER Directeur g n ral de l ORSTOM INTRODUCTION Je me r jouis de la tenue de cette rencontre organis e conjointement par la Commission scientifique des sciences de l ing nieur et de la communication 57 et la Mission technique informatique MTI Je r ponds avec satisfaction l invitation de Jean Yves Martin amp Patrick S chet de la CS7 d introduire les tra vaux de ce s minaire comme mon pr d cesseur l avait fait pour S minfor 1 en 1987 C est avec un grand plaisir que nous accueillons un repr sentant de nos partenaires Ing nieur Miguel Angel Vizconde directeur de g ographie l INEGI qu Mexique institut avec lequel nous menons un de nos projets de coop ration les plus r ussis Soyez le bienvenu Monsieur Vizconde Je vous remercie de nous faire l honneur de participer cette rencontre je suis s r que vous nous aiderez ne pas perdre de vue la finalit de toutes les actions de nos quipes le d veloppement Voici donc r
346. onsieur GUILLOT Bernard ORSTOM AUPRES DU CENTRE DE METEOROLOGIE SPATIALE BP 147 22302 LANNION FRANCE Monsieur GUISCAFRE Jacques ORSTOM 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND BP 5045 34032 MONTPELLIER CEDEX FRANCE Monsieur HARDY Bernard ORSTOM UNITE DE CARTOGRAPHIE 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE 355 Monsieur JACCON Gilbert ORSTOM LABORATOIRE D HYDROLOGIE 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur LARDY Michel ORSTOM BP 5 NOUMEA CEDEX NOUVELLE CALEDONIE FRANCE Monsieur LE BOZEC Jean Francois ORSTOM SIG 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE Monsieur LEMARTRET Herv ORSTOM LIA 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur LECHAUVE Jean Jacques ORSTOM IFREMER BP 70 29263 PLOUZANE FRANCE Monsieur LORTIC Bernard ORSTOM LIA UNITE DE TELEDETECTION 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur MADEIRA Jos ORSTOM 70 74 ROUTE D AULNAY 93140 BONDY FRANCE Monsieur MALARD Pierre ORSTOM SIG 213 RUE L FAYETTE 75010 PARIS FRANCE Monsieur MANGIN Andr SCOT CONSEIL 18 AVENUE EDOUARD BELIN 31055 TOULOUSE CEDEX FRANCE Monsieur MARCHAL Jean Yves 19 RUE LEVERT 75020 PARIS FRANCE Monsieur MARTIN Jean Yves ORSTOM CS7 213 RUE LA FAYETTE 75010 PARIS FRANCE Monsieur MEUNIER Francois ORSTOM UNITE DE CARTOGRAPHIE 70 74 ROUTE AULNAY 93140 BONDY FRANCE Madame MICHAUX Monique ORSTOM 2051 AVENUE DU VAL DE MONTFERRAND B
347. ont ga rantis par un syst me d int gration qui constituera la derni re tape de SISGEO comportera deux niveaux le premier fera l int gration des bases de donn es implant es sur le site central le second mettra en coh rence les modules dispo nibles dans chaque centre Dans l tat actuel de r alisation d but 1989 des logiciels sont op ra tionnels dans les domaines de climat sols v g tation et traitement de cartes On esp re terminer cette ann e un nouveau module de SISSOLOS et une premi re version de SISPRAGAS en plus de versions plus compl tes de SISFITO et de SISMAPAS Cette communication pr sente la m thode qui t choisie pour l laboration de ce travail compte tenu des traitements envisag s et des probl mes rencontr s dans le contexte particulier de r alisation Elle fait aussi le point sur l tat d avancement du programme et ses perspectives moyen terme INTRODUCTION L utilisation agricole des ressources naturelles d un pays doit se faire d une facon ordonn e et productive en se fondant sur la connaissance scientifique du monde rural de mani re produire de bons r sultats conomiques tout en pro t geant l environnement d une exploitation pr judiciable Les donn es de sols climat v g tation ressources hydriques ainsi que les informations phytosanitaires ou encore de nature socio conomique sont saires l activit agricole et au Br sil font l objet d inven
348. ont stock es en clair code ASCII dans des fichiers s quentiels 3 2 Les acc s aux fonctions et aux r pertoires de donn es Les 41 fonctions de PLUVIOM sont accessibles partir d un menu principal igure et de douze menus secondaires affect s au traitement des donn es d un type figure ou aux fonctions utilitaires d un m me type pour les diverses donn es figure La s lection l ex cution d une fonction le retour au menu partir duquel la fonction a t requise sont enti rement g r s par PLUVIOM A l entr e dans le logiciel l utilisateur d finit les r pertoires contenant les donn es sur lesquelles il d sire travailler durant toute la session L utilisation de PLUVIOM ne n cessite donc aucune connaissance particu li re relative aux langages de programmation utilis s Seules des notions l mentaires sur le syst me d exploitation DOS des micro ordinateurs sur lesquels PLUVIOM est install sont utiles notamment en ce qui concerne l organisation arborescente en r pertoire des supports de donn es 4 DESCRIPTION DE L ENVIRONNEMENT L utilisateur est assist divers niveaux au cours d un travail effectu avec PLUVIOM 4 1 Contr les de saisie Toute saisie manuelle est soumise un contr le dans le but d viter les traitements partir de param tres incorrects Ainsi toutes les donn es sont soumises un test de validit interdisant l introduction de valeurs ab
349. ontr ler Pi DII CATALOGUE DE DOCURENTS rateu gt a Sues Controle des emprunts fcartoth que A Sollicite consultation Donn es du catalogue 2 Donn es de digital Carte et corrections finomalies as coupures Corrections digital Restitution de controle pi D2 COUPURES 3 Pointage G rer les gt D3 COORDONNEES Coordonnees eoordonnees 4 Crit res d interrogation Traiter es cartes Systenes L gendes hemat Fig Diagramme de flot de donn es niveau 0 de SISMAPAS 311 Pour les modules d velopp s par l quipe qui ont tous comme point commun d tre orient s vers la capitalisation de l information g n ration de bases de donn es la mise en oeuvre des fonctionnalit s communes l ensemble des modules repr sente certainement pas moins de 50 de l effort global n cessaire la r alisation de chaque syst me Il s est donc av r judicieux de consacrer une partie des ressources disponibles la r alisation des composants les plus couramment rencontr s dans les modules de SISGEO et non disponibles commercialement pour laborer progressivement un environnement de d veloppement Le premier utilitaire qui a fait l objet d une impl mentation sp cifique per met l administration des lexiques SISTAB Sistema de administrac o de tabelas de codificactio offre les fonctionnalit s illustr es sur le DFD pr sent figure 8 La
350. op ration de recherche 1 3 2 Modalit s d implantation Hypercard Marche suivre O valuation des volumes et des principales fonctions 1 acquisition d un Maclntosh de 20 000 50 000 francs le logi ciel Hypercard est fourni en standard avec le Maclntosh 2 ventuellement acquisition d un Scanner 12 000 francs 3 r alisation de la saisie r trospective 4 mise en exploitation 1 3 3 Modalit s d implantation constitution d un CD ROM Un CD ROM est un disque laser vendu dans le commerce On peut aujourd hui de fa on tr s simple le connecter un micro ordinateur obtenant ainsi un p riph rique de tr s grande capacit 500 MO d acc s assez rapide un petit peu plus lent qu un disque dur traditionnel d acc s en lecture seulement de gros d bit Marche suivre O analyse pr alable des volumes et des besoins des utilisateurs 1 recueil de l information 2 programmation de l interface utilisateur de un solution Hypercord six mois solution adapt e de programmeur Co t par un fa onnier 100 000 francs 3 saisie de l information 24 4 presse du CD ROM Co t 50 000 francs 5 diffusion du CD ROM Co t du lecteur 10 000 francs et co t du disque 400 francs On notera que le march francais d tre quip 1 3 4 Comparaison des deux mod les num riques texte donn es est actuellement loin num riques texte images
351. opre de l EMBRAPA est compa tible avec sa vocation nationale dans la mesure ot les bases centrales devront progressivement tre implant es dans les institutions appropri es SISHIDRO au DNAEE SISFITO l IBDF SISCLIMA l INEMET etc 2 4 Institutionnalisation de SISGEO Un programme d une telle envergure n a de chances d aboutir que s il est connu et devient progressivement un v ritable projet de l entreprise dans lequel il men et non de la seule quipe de r alisation L institutionnalisation du pro gramme constitue une pr occupation constante de ses animateurs et sa recherche rev t diverses formes l utilisation de sigles associ s celui de l EMBRAPA est une forme simple et conomique de faire prendre conscience de l existence du programme Un cran de pr sentation normalis rappelle pour chaque produit le rattachement SISGEO et la collaboration EMBRAPA ORSTOM le d p t de la marque SISGEO est actuellement envisag chaque nouveau d veloppement fait l objet de l laboration d un avant projet d ment cautionn par les autorit s des unit s concern es de l quipe th matique chef du centre de ressources et de l quipe informatique chef du DIN D partement d informatique de l EMBRAPA qui a pris la suite du DMQ pour la coordination de SISGEO De cetie fa on chaque activit partielle s inscrit dans la programmation de soutien de recherche des unit s consid r es devenant un projet
352. ou dans des programmes d di s des applications routini res comme c est le cas dans les recherches men es Lannion en oc anographie et en climatologie estimation des pluies par satellites 1 INTRODUCTION les communaut s scientifique et op rationnelle des sciences de l environnement m t orologistes climatologues oc anographes hydrologues doivent faire face de nouvelles sources d information ainsi qu de nou velles technologies tant pour l acquisition que pour la manipulation ou la restitu tion des donn es Ceci r clame de plus en plus de comp tences techniques in dispensables pour la mise en oeuvre de moyens et de m thodes de traitements gr ce des environnements logiciels et mat riels sans pour cela que le th maii cien du domains concern ne se transforme en sp cialiste du traitement de l information A chacun son m tier Les outils logiciels que nous pr sentons ont t con us dans le cadre du support technique une quipe de recherche pluridisciplinaire utilisant des don n es de t l d tection satellitaires d environnement ou m t orologiques par op position aux donn es d observation de la terre en conjonction avec des don n ss plus classiques c est dire des relev s conventionnels aux stations des r sultats de climatologie des donn es de cartographie etc la m thodologie globale mise au point est utilis e en d veloppement et de fa on op rationnelle dan
353. ou pr visibles et particuli rement en Am rique Latine la perspective de travailler sur le sujet avec un partenaire de la taille de l EMBRAPA tait prometteuse La m thodologie envisag e et la strat gie de r alisation adopt e pour ce syst me ont t d finies tr s t t et amplement discut es notamment au cours de r unions scientifiques SIMPLICIO amp SECHET 1983 SIMPLICIO amp alii 1984 Cette communication pr sente les caract ristiques les plus significatives de l approche adopt e avec les avantages et probl mes qui en d coulent eu gard au contexte particulier de ce programme Elle termine en faisant le point de l tat d avancement et des perspectives actuelles de SISGEO 1 CONTEXTE INSTITUTIONNEL ET HISTORIQUE 1 1 Le contexte institutionnel L EMBRAPA a t cr e en avril 1973 pour regrouper et mettre en coh rence les activit s de recherche agronomique exerc es par un certain nombre d organismes r gionaux rattach s au Minist re de l Agriculture comme l IPEAN Bel m l IPSul Pelotas le DNPS Rio de Janeiro etc Aujourd hui l entreprise compte plus de 8 000 employ s dont pr s de 2 000 chercheurs r partis dans environ une cinquantaine d implantations sur tout le territoire national c est probablement apr s le CNRS en France le plus im portant partenaire institutionnel de l ORSTOM La carte pr sent e figure 1 situe g ographiquement toutes ces unit s La structure de l EM
354. ous cette forme Une discussion d bute ensuite sur l opportunit d une normalisation des ou tils choisis pour ce type de travail choix du logiciel pour le moteur d inf rence elle semble conclure dans cette voie mais apr s une r flexion men e par discipline Session 3 STRATEGIES DE SPATIALISATION 205 Troisi me session Strat gies de spatialisation Pr sentation par G rard DANDOY Dans la pr sentation de s minaire sur les syst mes d information sur l environnement la troisi me journ e intitul e Strat gies de Spatialisation est consacr e une r flexion strat gique sur l ventualit pour l institut de constituer une base ou de structurer un ensemble de bases sur l environnement Au vu de la multiplicit des initiatives dans ce domaine dont t moigne l vidence ce s minaire la question parait d une actualit br lante Ce d autant plus que ces nombreuses initiatives ressemblent un foisonnement dont la coh rence ne para t pas vidente La diversit des th mes abord s des finalit s des contextes et des moyens mis en oeuvre pour la collecte le traitement et la restitution des donn es spatialis es justifie pleinement la tenue de ce troisi me s minaire et parti culi rement de cette journ e de r flexion globale sur nos choix scientifiques techniques et m thodologiques dans le domaine des donn es spatialis es Or avant de pr senter tr s globalement un point de
355. ouvert par Monsieur G rard WINTER Directeur g n ral de l ORSTOM son discours introductif est reproduit ici En parall le aux expos s pr par s par les intervenants il a t l occasion de pr sentation de posters et de plusieurs d monstrations de logiciels tant sur PC compatibles que sur stations de travail sous environnement UNIX Vingt deux communications ont t pr sent es et organis es en trois ses sions capitalisation des donn es de la donn e l information aide l interpr tation et strat gies de spatialisation Chacune des sessions a t bri ve ment introduite par l animateur tandis que le rapporteur a fait un r sum des points les plus marquants des d bats tous ces textes sont recueillis dans ce volume COMITE DE LECTURE Bernard LORTIC Yveline PONCET et Pascal RENAUD SECRETARIAT DU SEMINAIRE Patrick SECHET 4 La maquette de cet ouvrage t enti rement compos e au centre ORSTOM de Brasilia Br sil 7 SOMMAIRE Ouverture Discours introductif G rard WINTER Directeur g n ral de l ORSTOM 9 session capitalisation des donn es animateur Pascal Renaud rapporteur Jean Jacques Lechauve Expos introductif de l animateur de session Syst mes d information sur environnement nouveaux outils nouveaux concepts Christian MULLON amp Pascal RENAUD 17 PLUVIOM un logiciel de gestion des donn es pluviom triques Patrick RAOUS Jacques GUISCAF
356. p ce env 60 esp Tableau 1 Genres et nombre d esp ces composant les poissons Characid s d Afrique Nous avons utilis le g n rateur de syst mes experts ESE d IBM 175 Le travail se d roule en cing tapes 1 Analyse de la d marche de l expert lors d une diagnose 2 Syst matisation de la d marche et r alisation de la base de connaissances 3 Mise en place du syst me expert criture des blocs de contr le et des r gles de pro duction tests etc 4 Mise en place des routines externes de calcul traitement num rique des donn es m triques et m ristiques 5 Am lioration de l interface utilisateur et tests finaux Le travail est actuellement dans la phase 3 L expert biologiste proc de tr s souvent par analyse d images i e par m morisation de certaines esp ces et par analogie pour les esp ces voisines En cas d insucc s ou pour confirmation il y a utilisation d une cl de d termination m moris e ou consult e Les donn es m ristiques nombre de branchiospines rayons dents etc ont alors une grande importance Au cours de la diagnose l expert s loigne souvent de la stricte phylog nie Il fait appel des caract res qui n ont que peu ou pas de valeur phylog n tique mais qui un niveau donn de la d termination peuvent tre d un grand int r t pratique Par exemple des poissons de plusieurs esp ces tr s diff rentes peuvent avoir le nombre de branchios
357. p cifique SmallTalk est il me semble indispensable pour aborder ce probl me apparait toutefois que si SmallTalk est bien adapt la r alisation d une maquette il serait cependant n cessaire pour la mise en place d une base de donn es de faire appel des langages alliant l efficacit de programmation classique et les possibilit s de programmation objet comme par exemple CT S il est important de saisir l information avec souplesse et convivialit de l organiser la stocker il est aussi indispensable de concevoir un syst me de caract risation des horizons des sols des paysages La multiplicit des approches possibles rend imp ratif l orientation de la r flexion en fonction d un objectif bien d fini programme de d veloppement par exemple REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BAILLY C CHALLINE J F FERRI H C GLOESS P Y amp MARCHSIN B Les langages orient s objets Cepadues Editions BEAUDOU A G Recherche d un syst me d information pour le milieu physique M moire de th se de doctorat d Etat en G ographie Paris 1 d cembre 1988 DETIENNE F Une revue des tudes psychologiques sur la compr hension des programmes informatiques Technique et science informatiques 1989 8 1 pp 5 20 348 DUCOURNEAU R amp HABIB M La multiplicit de l h ritage dans les langages objets Technique et science informatiques 1989 8 1 41 62 MEVEL amp GUEGUEN T Smalltalk 80 Eyrolles Edit
358. phiques se pr sentent sous la forme de couples instant hauteur de pluie pr cipit e depuis l instant pr c dent Elles peu vent inclure d autres valeurs permettant l utilisateur de contr ler le bon fonction nement du syst me enregistreur d rive d horloge ou la stabilit du syst me de mesure hauteur recueillie au seau totalisateur 2 2 Structure des donn es Les donn es d crites pr c demment sont r parties dans cinq fichiers principaux identification des stations en association avec une table d identification des pays description de l appareillage dossier des stations pluviom trie journali re donn es pluviographiques Ces fichiers sont organis s en enregistrements identifi s par une cl et contenant toutes les donn es qui y sont associ s voir tableau ci apr s Pour li miter au maximum la place qu elles occupent les donn es sont stock es dans un format binaire Pour tous ces fichiers l organisation dite s quentielle index e a t retenue Elle permet une localisation extr mement rapide de chaque enre gistrement dans des fichiers qui peuvent atteindre des tailles consid rables et dans lesquels une recherche s quentielle conduirait des temps de r ponse tr s longs 41 Identification Num ro de code nom de la station localisation des stations 10 chiffres type d appareil mesure associ e Pluies journali res Num ro de code 31 valeurs de hauteurs journali
359. pines cependant un niveau bas de la hi rarchie ce caract re peut permettre de s parer deux esp ces tr s voisines ll y a en effet deux aspects dans la d termination avec des possibilit s d imbrication multiples une approche phylog n tique regroupant les esp ces suivant des cri t res syst matiques en genres familles ordres etc Elle fait tr s souvent appel des caract res difficilement observables internes microscopiques voire ontog n tiques observables seulement certains stades du d veloppement une approche pratique faisant appel des crit res plus facilement observables mais pas toujours l Les regroupements effectu s ne correspondent alors pas n cessairement aux groupes zoologiques Woolley et Stone ont publi en 1987 un article comportant une br ve dis cussion sur les divers syst mes d identification taxonomique tableaux entr es multiples cl s dichotomiques papier cl s et tableaux informatis s 115 pr sen taient galement un syst me expert fond sur des r gles de production fonction nant en chainage arri re adapt la d termination des insectes d une famille d Hym nopt res Depuis cette date d autres approches ont t d velopp es Et notamment en France l Universit Claude Bernard de Lyon et l INRIA Gre noble sont tudi s des syst mes centr s objet Shirka les tableaux entr es multiples sont d une gestion extr mement
360. plusieurs g notypes de mais In Les besoins en eau des cultures Conf rence internationale Paris 11 14 sept 1984 INRA Paris 1985 352 359 135 MODELES NUMERIQUES DE TERRAIN LE LOGICIEL BABEL Marc SOURIS amp Dominique REMY RESUME Le calcul et la repr sentation du relief en trois dimensions est un outil important dans beaucoup de domaines comme la g ographie bien s r la g o morphologie la g ologie l hydrologie etc dehors de l aspect purement technique calcul des pentes ruptures coulements etc la simple visualisation en 3D sous l angle et l incidence voulus apporte un compl ment p dagogique im portant lorsqu il s agit de ph nom nes spatiaux faisant intervenir le relief C est surtout dans ce but que nous avons d velopp le logiciel Babel programme permettant la cr ation de mod les num riques de terrain et leur visualisation sous forme de bloc diagrammes 1 LA CREATION DU MODELE Quelles donn es altim triques conserver pour rendre compte du relief 2 D s que l on ne r pond pas l altitude de tous les points on doit r soudre le probl me du quoi garder probl me de la mod lisation et du comment re trouver les points inconnus probl me de l interpolation Plusieurs r ponses ont t apport es chacune constitue un mod le num rique de terrain MNT le support les points que l on connait et que l on garde est un cane vas r gulier l int rieur duquel on appliq
361. polite cluton dermilite biof ron Le bandeau sup rieur affiche le site courant et le n d horizon s lectionn La premi re colonne permet comme dans les fen tres pr c dentes de sai sir ou de supprimer des corps naturels La colonne 2 donne la possibilit de mo difier le questionnaire de base dont les r ponses possibles figurent dans la co lonne la plus droite r ponses qui peuvent tre r actualis es menu colonne 3 La fen tre texte au centre et droite affiche la r ponse courante si elle est pr alablement saisie On peut la modifier ou par le choix du label r ponse libre saisir une r ponse complexe ou peu commune qu il n est pas n cessaire de voir figurer dans la liste des r ponses possibles ce choix ne modifiera pas le fichier questions r ponses L acquisition des informations est support e par un objet dictionnaire Ce dictionnaire peut tre initialis par chargement d un fichier s il existe d j des donn es saisies Ces fen tres sont des ouvertures sur ce dictionnaire Les associ es servent corriger compl ter consulter les informations qui y sont enregistr es etc Les descripteurs et les r ponses possibles ne sont fig es Un fichier de base peut tre constitu et mis jour en cours de travail sur le terrain les fe n tres tant galement ouvertes sur des dictionnaires questions r ponses 340 La sauvegarde est donc n cessaire si
362. portable Dans tous les cas ces donn es taient ensuite transf r es sans traitement pr alable sur le site central Les traitements eux m me corrections des donn es mises jour des r pertoires interrogations et extractions s lectives se faisaient naturellement sur le centre de calcul La structure hi rarchique arborescente deux niveaux structure p re en fants permis de traiter l unit HOPLEXOL d finie par 300 variables 800 carac t res d information additionnelle libre mais restituable donc pouvant servir de base par exemple des mises jour des r pertoires forment une zone purement textuelle qui compl te l enregistrement Chaque hoplexol peut contenir jusqu 20 ELEMENTS DIAGNOSTIQUES sous unit s chacun d entre eux pouvant tre renseign l aide de 35 variables et une zone de 20 caract res d information additionnelle libre Les deux niveaux permettent de traiter les strates per ues en un point o le chercheur fait un relev strates de v g tation dans l atmosph re et couches dans le sol avec pour chaque strate les l ments diagnostiques qu il y reconnait On peut fournir quelques valeurs indicatives dans le cas concret du fichier S n gal le r pertoire contient 2 000 valeurs de variables qualitatives et une cha ne de 35 000 caract res repr sentant les textes correspondants Le fichier des donn es contient 741 enregistrements de 3 800 octets avec pr s de 20 000 informations l
363. preuve de plus de professionnalisme dans la mise au point Comme cela existe pour la gestion il importe de d finir rapidement des m thodes proposables aux scientifiques cela suppose une mise en coh rence des outils utilis s et des processus de standardisation qui constituent la clef de la r ussite d un logiciel Faut il mieux d velopper en utilisant un progiciel commercial plut t qu une programmation standard Cela d pend essentiellement de la sp cificit des objectifs bien particuliers mise en oeuvre d un langage naturel difficult s des saisies de donn es sur le terrain et aspect peu conventionnel de ces donn es A propos de l interfa age entre le logiciel utilis et l outil statistique il appara t que son existence est n cessaire l usage cet interlacage est ais faire suivant un format donn il suffit de d velopper des modules partir du noyau de la matrice existante Ces divers modules sont r alis s la demande de g ographes ou d autres utilisateurs praticiens d autres disciplines Il s agit de mener ce niveau une r flexion approfondie sur la meilleure facon d int grer dans toutes ces disciplines les informations labor es aux diff rents niveaux d tude spatiale Cela rejoint le souci signal plus haut de favoriser une politique active de transfert de la m thodologie nos partenaires 350 Enfin la question maintes fois voqu e de la d pendance informaticiens th maticiens et r c
364. que implant e sur un syst me serveur muni de lacilit s d extraction et de traitement d information Celui ci ga rantit en plus de l acc s partag la s curit des donn es impossible assurer avec des modules locaux g r s par les quipes th matiques Le module local est pr vu pour permettre d j un certain nombre de trai tements sur les donn es r gionales saisies en favorisant des travaux de recherche m thodologiques ou fondamentaux l quipement de toutes les unit s de l EMBRAPA en PC XT compatibles s tant g n ralis partir de 1986 ces mo dules locaux sont op rationnels sur ce type de configuration En passant du module local au module central les donn es devront subir une agr gation dans la mesure les applications priori le plus souvent g o graphiques qui doivent tre r alis es sur un ensemble plus important de donn es s accommodent normalement d un niveau de synthase plus lev s agit l d une mani re de r soudre l pineux probl me de propri t des donn es puisque ainsi les producteurs de donn es conservent un dioit de propri t exclusive sur celles ci du moins au niveau le plus fin On peut illustrer ce fait avec le module correspondant aux donn es climatologiques pour lequel le module local conserve et traite des donn es niveau horaire dites instanta n es trois observations par jour et registres continus tandis que le module cen tral ne devra recevoir que
365. ques la combinaison lin aire de canaux la conversion RVB en Intensit Teinte et Saturation 15 la corr lation d images l analyse en composantes principales la classification par minimum de distance la classification par maximum de vraisemblance l apprentissage sur parcelles test la classification par d coupage d un histogramme bidimensionnel 1 3 Les donn es disponibles en 89 Trois sc nes Landsat d octobre 1976 et deux sc nes SPOT d octobre 1986 ont t acquises depuis la mise en oeuvre de l atelier il s agit des sc nes suivantes rep r es selon la grille de r f rence LANDSAT 244 056 r gion Cayenne lracoubo du 30 Octobre 1976 LANDSAT 245 056 centr e sur estuaire du Maroni du 31 Octobre 1976 LANDSAT 245 057 centr e sur Maripasoula du 31 Octobre 1976 Pour ces images les caract ristiques communes sont les suivantes l va tion solaire de 50 degr s azimut de 120 degr s tr s peu nuageuse et de bonne d finition pour la qualit capteur MSS et r solution de 80 m tres prise de vue 09 02 heure locale SPOT 691 340 r gion Cayenne Kourou du 20 Octobre 1986 SPOT 689 339 r gion Sinnamary du 20 Octobre 1986 Ces deux sc nes ont t respectivement acquises par HRV2 et HRVI en m me temps avec un d pointage du capteur de 26 degr s l heure locale de prise de vue est 11h16 Pour ces derni res images les caract ristiques comm
366. r gles s utilise en chainage avant 6 un interrupteur permettant de fixer un temps d ex cution 7 la liste des objets auxquels le bloc fait r f rence 8 la liste des objets qui font r f rence au bloc La structure d une r gle est la suivante Tableau 3 1 le texte de la r gle avec les pr misses IF AND et une ou des conclusions THEN clause d action 2 le bloc auquel la r gle est rattach e 3 le type de r gle 4 la liste des objets auxquels la r gle fait r f rence et 5 la liste des objets qui font r f rence la r gle tout moment il est possible d interrompre le d roulement du programme pour faire appel une base ext rieure ou une routine de calcul 2 INTERET ET COUT HUMAIN DE L REALISATION DE BASES DE CONNAISSANCES ET DE SYSTEMES EXPERTS EN ECOLOGIE Par sa dur e la r alisation d un syst me expert d aide la d termination per se ne se que dans des cas pr cis existence d un plan important de formation de techniciens et de cher cheurs locaux Le rapport int r t temps investi peut alors devenir favorable existence d un programme long terme au sein duquel il est pr vu que se succ dent plusieurs biologistes dont la connaissance de la faune locale n est pas acquise Un syst me expert peut alors grandement faciliter la t che des nouveaux arrivants existence d une volont de suivi long terme cens se poursuivre apr s le retrait d
367. r ponse Leur avantage tant qu il en existe un grand nombre sur papier qui ont t prouv es et am lior es au fil des ann es Les syst mes centr s objet sont ceux dont la philosophie et la structure se rapprochent le plus des crit res de la syst matique mais pas n cessairement de la d marche de l expert r alisant une identification Les objets et leurs regrou pements peuvent tre reli s aux notions d esp ce de genre de famille etc Leur classification hi rarchique est voisine des structures arborescentes de la classifica tion La cr ation de la base demande en g n ral une r organisation de la cl de d termination utilis e mais les modifications et les mises jour sont ais es Les syst mes base de r gles de production sont dans leurs versions ini tiales des cl s informatis es optimis es D j dans ces premiers stades ils ap portent cependant d importantes am liorations par rapport aux simples cl s d tection d erreurs coefficient d incertitude meilleure gestion des r ponses mul tiples et des r ponses manquantes historique et justification de la diagnose en fin de parcours etc Ce type de syst me est celui dont la conception et l utilisation se rapproche le plus de la d marche r elle d un expert effectuant une diagnose Comme lui il est essentiel que le syst me puisse faire appel des connaissances autres que celles d une cl dichotomique C est dire des base
368. r dans un centre de calcul avec les probl mes d acc s l endroit se trouve le mat riel mais aussi au mat riel lui m me que cela comporte quand ce n est pas en M tropole Cette d centralisation doit donner des chances gales chaque chercheur o qu il travaille et quelles que soient ses possibilit s financi res d apporter des tudes r gionales les connaissances qu il acquiert au moyen des interroga tions qu il pourra multiplier sur ses donn es C est en effet partir de ces interrogations que le chercheur d couvre confirme ou infirme des r gles d interaction entre les objets manipul s qui pourront ult rieurement servir la construction de bases de connaissances Sans cette d centralisation il serait mat riellement et physiquement exclu de ce processus et ce malgr toute la bonne volont scientifique et politique des confr res des pays d velopp s CONCLUSION Le logiciel Neptune constitue un outil de recherche pr sentant divers avan tages pour les sciences de l environnement il s agit d abord d une aide la constitution d une terminologie des criptive pour structure arborescente deux niveaux permet de constituer cette terminologie par approches successives r gies par des choix rigoureux il aide l apprentissage de cette terminologie dans le cadre de for mation et d enseignement annotation et rejet de ce qui n est pas conforme Comme outil op rationnel de constitution
369. r des bases de connaissances vari es qui cherchent tre aussi exhaustives que possible Ceux qui se sont int ress s la mod lisation des interactions biologiques se sont vite retrouv s face des ph nom nes analogues Des mod les simples peuvent tre extr mement f conds Lotka Volterra mod les de gestion des stocks etc mais d s que l on veut aller plus loin il faut aller tr s vite tr s loin REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES WOOLEY J B amp STONE N D 1987 Application of artificial intelligence to systematics SYSTEX a prototype expert system for species identification Syst Zool 36 3 248 267 187 TRAITEMENT DE DONNEES SATELLITAIRES POUR LA CONNAISSANCE DE L ENVIRONNEMENT EN MILIEU TROPICAL APPLICATIONS EN GUYANE Marc LOINTIER RESUME Premier syst me de traitement d images satellites install dans la zone Antilles Guyane le laboratoire de t l d tection du centre ORSTOM de Cayenne est exclusivement tourn vers les applications en milieu tropical dans un espace r gional d fini par chaque discipline de recherche botanique s dimentologie p dologie hydrologie etc Apr s un rappel des caract ristiques de la machine on pr sente l apport de la donn e satellite aux tudes hydrologiques en zones d estuaire et en rivi re qui font appara tre la n cessit de conna tre la dynamiques des bancs de vase se d placant d est en ouest le long du littoral conditionnant l extensio
370. ra tre des notions de fertilit ou tout au moins des possibilit s de contraintes pour une mise en valeur agricole 344 ENSEMBLE I ENSEMBLE A ENSEMBLE N topolite sous ensemble H dermi lite lapidon humi te eciuton st rite arumite t phralite r ducton m lanumite domabion s m ton n crumite biof ron isalt rite sous ensemble M n crophytion allot rite structichron rhizag entaf ron rudique oxydon rhizophyse hydrophyse leuciton cryptag vertichron entaf ron lutique entaf ron ar nique le volume occup par un corps naturel au sein d un horizon est d terminant et les quantifications assign es chaque objet permet de calculer leurs proportions respectives donn es en pourcentage Si ce chiffre fait r f rence un corps naturel de l ensemble alors le tableau suivant permet de donner un coefficient de contrainte coellicient x 345 Corps naturel Quantification crit re Nature des dimension l mentaire en de duret l ments l ments st rite soluble pauci non soluble pauci fragi fragi fragi duri duri duri p tro p tro lapidon pauci et pauci entaferon fragi rudique fragi fragi p tro duri semeton gt 50 non soluble non soluble sotuble reducton jsalt rite allot rite Les valeurs associ es ce coefficient sont chelonn es de 1 8 et comprises de la fa on suivante 1 est le niveau de contrainte le plus lev et 8 le plus faible L paiss
371. raphiques provenant de pluviographes de diverses natures enregistrement sur m moire EPROM provenant galement de pluviographes de rapports de tourn es d inspection ou d installation de postes de mesure Le logiciel dispose de toutes les fonctions permettant l introduction de ces donn es de base dans les divers fichiers correspondants identification historique des stations pluviom trie journali re etc soit partir de bordereaux saisie au clavier par op rateur soit partir de p riph riques sp cialis s num riseur pour les diagrammes pluviographiques lecteur de cartouches EPROM l permet galement d obtenir des ditions sous des formes diverses destin es au contr le ou la publication de tout ou partie des donn es disponibles Enfin il est quip de fonctions de communication assurant aussi bien la mise jour par des don n es provenant d autres syst mes ou logiciel que la mise disposition de ces donn es pour des applications non assur es par PLUVIOM Deux versions compatibles sont utilisables une Version micro ordinateur sous syst me d exploitation MS DOS ou compatible munie de facilit s d utilisation fonctions s lectionn es dans les menus masques d cran rendant plus ais e la saisie aide affich e l cran documentation d taill e etc une version plus sommaire implant e sur gros syst me ordinateur IBM 3090 du Centre National Universitaire Sud de Calcul
372. raux d ilots une partition pour chaque variable et ont conduit la d finition des premi res manipulations 2 1 La d finition de trois types g n raux d ilots ls correspondent aux regroupements des variables ici pr sent es dans l ordre des contributions la formation des trois axes Premier type r cent et quipement public statut d occupation propri t approvisionnement en eau r seau public branchement individuel quipement en sanitaires WC particuliers vacuation des eaux us es r seau public des gouts mat riau sol plancher vinil carrelage ou similaires mat riau toit Eternit Ardex ou similaire type d habitat appartement nombre de chambres 3 ou 4 chambres mat riau toit dalle de b ton toit en terrasse mat riau murs b ton briques ou parpaings 263 Deuxi me type ancien transform type d habitat location en Residencial 3 mat riau toit tuiles approvisionnement en eau r seau public branchement collectif statut d occupation location mat riau sol parquet traditionnel nombre de chambre 1 chambre quipement en sanitaires WC collectifs mat riau murs Adobe ou Tapia 4 nombre de chambres O chambre population 2 personnes mat riau toit mat riaux multiples activit pratiqu e dans le logement artisanat statut d occupation gratuit population 1 personne Troisi me
373. rche pourquoi l et pas ailleurs Pourquoi l plus qu ailleurs On touche l une des questions pos es dans ce S minfor celle de la repr sentation des connaissances Le syst me TIGRE permet une production rapide simple et interactive de cartes th matiques dans la projection souhait e On peut augmenter ou r duire loisir le nombre de paliers graphiques calculer des surfaces des rapports des 322 pourcentages entre attributs bret s pargne de longues heures de travail au trefois pass es colorier de nombreux brouillons de cartes pour voir ce que ca donne tape pr alable une ventuelle mise au propre Le premier int r t du syst me le plus s duisant aussi pour le n ophyte rel ve donc de ce qu il est convenu d appeler la cartographie automatique en core que ce vocable recouvre une r alit bien diff rente selon le mat riel utilis Mais lorsqu on travaille sur les localisations et les combinaisons de ph no m nes dans l espace on se rend bien vite compte qu il convient de multiplier les d coupages de l espace La carte a ses vertus mais il s agit toujours d une sch matisation de la r alit permettant de rendre celle ci intelligible dans cette perspective on peut avoir de d coupage a priori de l espace C est prin connu mais on oublie pourtant trop souvent que les organisations spatiales dot es d un statut propre n ont rien voir avec les d limitations territor
374. re celui ci un pou voir critique sur les donn es difficilement transf rable de sorte qu il poss de un privil ge norme pour l interpr tation des observations qu il a lui m me r alis es la remarque qui me vient l esprit l occasion de ce deuxi me groupe d expos s concerne le probl me de propri t des donn es Cette question est fondamentale dans la mesure l on prend progressivement conscience de la valeur de l information qu elle soit ou non scientifique Les donn es collect es sur l environnement appartiennent videmment aussi nos partenaires d ailleurs l ORSTOM a d ores et d j assur un certain nombre d op rations de transfert base de donn es hydrologiques fonds documentaires etc faut en tout cas se pr parer n gocier avec le partenaire le droit d acc s aux donn es en vue de r aliser les applications souhait es les programmes scientifiques qu ils pr voient ou non la r alisation d un syst me d information devraient d sormais se pr occuper de cet aspect Dans cette optique la politique men e par les hydrologues me para t judi cieuse Elle consiste en effet utiliser les logiciels de gestion de donn es d j mis au point par l Institut HYDROM par exemple comme monnaie d change pour garantir l acc s aux donn es faut bien s r pouvoir toujours disposer librement de notre savoir faire constitu par ces logiciels ce qui suppose qu on l utilise avec discernem
375. re Vari t s 2 4 Emettre Attaque Fig 3 Tactique d impl mentation structure du syst me 89 disponible dans le projet logique l quipe d impl mentation n a pas besoin de recourir constamment l quipe th matique mais seulement lorsque certaines tapes bien d finies du projet sont termin es pour approbation Compte tenu de la taille relativement importante de ce syst me il est actuellement envisag de disposer d une premi re version op rationnelle en moins de douze mois laquelle devra tre pr sent e au prochain congr s br silien d entomologie agricole pr vu Recife en juillet 1990 CONCLUSION l laboration du projet logique de SISPRAGAS d montre que l int gration de sp cialistes de disciplines diff rentes dans ce cas pr cis la biologie et l informatique est possible au point de structurer des logiciels dot s de caract ris tiques propres de soutien de recherche De tels syst mes pr sentent une meilleure chance d tre accept s par la communaut scientifique correspondante car ils respectent les principes de base de la discipline consid r e lesquels sont fournis par l quipe th matique De plus la participation des professionnels de l informatique permet de garantir que les fondements essentiels du traitement des donn es s curit et int grit normalisation des fichiers etc sont incorpor s conf rant ainsi au produit final un bon niveau de cr dibilit et une plus gran
376. rer l effet ou plus exactement l absence d incidence r elle Une insuffisance notoire est cependant d plorer son manque de souplesse au niveau de la d finition du protocole de travail SISBIO a t cr pour faciliter un travail d termin Certes par un param trage judicieux on peut peu de frais modifier le syst me et l adapter une autre exp rimentation pourvu qu il s agisse de plantes poussant en ligne Cette t che cependant ne peut tre effectu e sans modifier le source du syst me SISBIO n est donc pas un produit exportable L importation sous LOTUS des fichiers de sortie de SISBIO permet d achever le traitement des donn es et d obtenir des graphiques tr s clairs direc tement utilisables dans des rapports ou publications L utilisation de programmes crits sous LOTUS et ensuite test s a limin toute erreur de traitement et permis d homog n iser les documents de sortie Cette utilisation de LOTUS a galement permis de mieux cerner les limites de ce type de logiciel Tout d abord le traite ment est lent jusque 45 minutes si on utilise le programme d importation avec toutes les donn es relatives uns exp rimentation Ensuite l criture la correction et la modification des programmes sous LOTUS s est av r e particuli rement malais e Un programme de plus de 100 instructions devient tr s vite inextricable alors que des programmes 10 fois plus performants crits en PASCAL ne pr sen tent aucun pro
377. res disciplines pour une meilleure utilisation de l outil informatique De ce point de vue une manifestation comme celle qui nous r unit me pa rait tre un outil privil gi d animation de la discipline informatique nous y avons une information et un d bat entre les divers utilisateurs venant de diverses disciplines de l outil sur le th me choisi Nous avons aussi des restitutions de la veille scientifique et technologique l expos d hier de Pascal Renaud et Christian Mullon en t moigne Instrument d animation S minfor est aussi un lieu de forma tion r ciproque pour ses divers participants Il est galement pour la CS7 un sup port d valuation S minfor 2 avait permis de faire le point sur l activit de mo d lisation Nous esp rons que S minfor 3 permettra de faire un point qui rende bien compte de l activit de l Institut dans le domaine des syst mes d information sur l environnement et qu il permettra d alimenter la r flexion strat gique qui constituait l une des dimensions de l appel aux communications dans quel sens et quelles conditions orienter ces d veloppements l avenir Cette r flexion trouvera sans doute un cho lors de la session de demain sur les Syst mes d Information G ographiques Mais les organisateurs appelaient aussi une r flexion de nature technique et une r flexion de nature m thodologique 118 Pour revenir la session d aujourd hui on peut dire que si il y a bien un d n
378. ribution des radiom tries dans la partie interm diaire de l estuaire proprement dit Ces observations sont utiles pour juger de la qualit du m lange des eaux et permet d valuer ainsi les limites d un mod le math matique lin aire de pro pagation des l ments dissous Une v rification de terrain serait tr s int ressante mais on sait combien il est illusoire de r aliser des mesures le jour d un passage satellite moins de metire en place un dispositif permanent d observation ce qui ne se justifie pa encore pour nos tudes 2 9 Qualit des eaux Exploitation d une simultan it entre des mesures de qualit des eaux sur le Kourou et la vue Landsat une coincidence exceptionnelle Une partie des pr l vements d eau r alis s pendant l tiage de 76 sur le Kourou se sont d roul s la veille et le jour m me du passage du saiellite 9h Heure locale sur cinq sites r partis entre l embouchure et 30 km en amont En d pit du faible nombre de pixels situ s en rivi re et sans effets de bor dure il a t test une relation entre la radiom trie et la turbidit Apr s plusieurs combinaisons de canaux permutations circulaires des canaux dans le calcul des index de v g tation et de brillance c est dans la seconde composante d une ACP sur les quatre canaux que l on trouve une corr lation acceptable dans la quelle le canal s est r v l amp tre tr s important Ce calcul est effectu partir des valeurs
379. rigine diff rente ce qui pose assez souvent des probl mes d licats Apr s visualisation l utilisateur peut effectuer une nouvelle extraction ou au contraire archiver d finitivement ses donn es 2 3 Fonction Archivage Le programme cr e un fichier ASCII s quentiel FTS9 1 selon des caract ristiques d finies par l utilisateur puis il r cup re les donn es stock es dans les fichiers interm diaires et les crit dans le fichier utilisateur 3 CONCEPTION DE LEICA Nous pr sentons ici les probl mes rencontr s au cours de la r alisation de LEICA sous les aspects techniques et m thodologiques tout en les situant par rapport une politique globale de l informatique au Laboratoire d hydrologie et ORSTOM 3 1 La p riode avant LEICA ll y a deux ans les premiers besoins en fonds de carte s exprim rent au Laboratoire 1 solution Bricoler des fichiers de couples x y et tracer des lignes joignant ces points 29 solution Utiliser ce qui pouvait d j exister ailleurs CNUSC Maison de la G ographie ORSTOM La premi re solution tant coup s r source de complications ult rieures la deuxi me solution r v lant peu de choses ce peu tant impossible r cup rer pour diverses raisons nous avons d marr notre propre cuisine cartogra phique ce qui a abouti cr er nos standards de fichiers cartographiques FTS91 et FTS92 points de passage oblig s de tout logiciel du Labor
380. ristiques d installation techniques du de station syst me enregistreur SAISIE SAISIE TEA Fichier identification Fichier doss ers Fichier historique des stations des stations appareiliage III 4 s dp V G V G Q G UD s s Liste des Liste de dossiers des Liste stations stations appareillage DONNEES RELATIVES AUX STATIONS PLUVIOMETRIQUES Pluviogramme Bordereau Cartouche d observateur Oedipe importation de E donn es ext neures SAISIE SMS Importation ext rieures Fichier des pluies journah res de donn es pluvograpniques Exportation de g donn es Tableaux Exportation de Annuawes donn es Tableaux DONNEES DE PLUIE PLUVIOMETRIE PLUVIOGRAPHIE Sch man 2 Principales fonctions du Logiciel PLUVIOM 44 3 1 3 Mise disposition En raison de leur format de stockage et du mode de gestion des fichiers les donn es sont assez difficilement accessibles par l utilisateur qui veut proc der des traitements particuliers Des extractions de tout ou partie des divers fichiers identification ou donn es sont pr vues Elles permettent l utilisateur de constituer des fichiers dans lesquels les donn es s
381. rit sur une maille hexagonale de treize pixels Pour un d placement de plus ou moins cinq lignes et plus ou moins dix colonnes y a malheureusement beaucoup de contusion surtout comme c est le cas g n ral quand les images sont de dates diff rentes Pour viter ces erreurs on introduit pr alablement au contr le visuel final des conditions de validit de l indice On peut citer simplement le cas des grandes surfaces uniformes pour les quelles l indice sera presque toujours tr s faible l indice ne sera pris en compte que si la variance a une valeur forte 52 53 145 65 35 89 89 89 184 89 I suse EE ERE I 34 I 134 34 134 I 34 871 89 188 88 I 88 I I I I 156 51 33 52 I 154 87 I 185 89 1881 84 I I I I 59 I 26 55 1521 53 185 I 89 87 84 I 186 Aoi ete eS See I ecc ses 125 58 59 57 154 85 86 84 87 89 107 Exemple de calcul de l indice de dissimilarit sur une matrice de 3x3 l indice est gal 733 pour n et m gaux z ro I 521 53 145 651 35 89 89 89 189 89 I I I 341134 34 1341 34 871 89 188 I I I 156 I 51 33 521 154 871185 89 188 I 84 I I I 590 26 56 152 53 185 I 89 87 84 I 186 125 58 59 57 154 85 86 84 87 89 l indice est minimum gal 386 pour la position y 1 et x Pr c demment le programme demandait l op rateur de choisir lui m me ses points d appui Gr ce
382. rmations compl mentaires destin es fa ciliter la gestion du fichier Pour des raisons similaires dans les fichiers de coeffi cients d talonnage chaque registre correspond aux coefficients relatifs un seul tube Pour tous les fichiers comportant des mesures neutroniques donn es de ter rain calibrage il est possible de donner un avis qualitatif sur la donn e sous forme d un code de une lettre Dans ce cas il faudra donc entendre par donn e l ensemble valeur de la mesure et code associ Les fichiers de donn es normalis es ont t construits comme des fichiers de donn es de terrain dans une exp rimentation ne comportant qu une seule r p ti tion Ils sont donc regroup s avec les fichiers d entr e 69 LES FICHIERS DE SORTIE Le fichier de sortie ou fichier de donn es labor es par opposition aux donn es brutes constitue la premi re tape de l exploitation des donn es Chaque tube de sondage poss de son individualit et doit tre tudi s par ment Du point de vue de l utilisateur des donn es ce n est plus l exp rimentation dans son ensemble qui importe mais les donn es d humidit volumique obtenues dans chaque tube pris s par ment Il y a donc un fichier par tube D autre part ces fichiers doivent pouvoir tre import s par des logiciels du commerce ou tre lus dans des programmes cori us par l utilisateur ind pendamment du langage de programmation Pour toutes ces raisons les fichiers de
383. rmine la m thode ad quate activer la m thode est reconnue dans la classe du receveur si elle a t d finie ce ni veau ou dans l une des classes ascendantes le r sultat est nouveau un objet LA CLASSE la classe permet de d finir un mod le pour un ensemble de donn es et de proc dures HIERARCHIE ET HERITAGE une nouvelle classe est sous classe d une classe d j d finie dans Smalltalk et h rite donc des structures et m thodes de ses ascendants L h ritage est le principe par lequel un objet poss de toutes les caract ristiques de l objet partir duquel il est cr structure et fonctions Il pos s de de plus ses propres champs et m thodes Ici il n existe pas d h ritage mul tiple ce qui r sout le probl me de conflit ventuels Le fait de pouvoir envoyer un message unique diff rents objets limite le vocabulaire m moriser La sortie sur imprimante des objets chaine de caract re tableau entier etc peut tre le r sultat d un message unique affichage que chaque objet comprend si cette m thode est d finie dans la hi rarchie des classes correspondantes la m thode ad quate est alors activ e notion de polymorphysme 2 2 La fen tre principale de smalltalk Le programme de la fen tre Transcript est activ par le menu standard et fait apparaitre le menu sp cifique permettant de sauvegarder les informations sai sies en fin de travail ou de lancer le processus de saisie et manipul
384. rote volcan dominant la ville de Xalapa capitale de l tat de Veracruz On souhaite cependant confronter cette d marche qui pour tre s duisante n a pas encore fait toutes ses preuves la carte classique des pentes Dans les deux cas l id e qui n est plus tr s neuve est de superposer de l information th ma tique usage des sols par exemple la carte des pentes comme au MNT ce d veloppement sera sans doute r alis dans les prochains mois 1 2 5 La cartographie des syst mes agraires C est sur ce th me que nous percevons les meilleures possibilit s d usage de l image satellite surtout si celle ci est int gr e au syst me d information g o graphique une manipulation qui est pr cis ment autoris e dans Tigre Cependant un premier travail r alis dans le cadre d un PEPS Programme d valuation pr liminaire SPOT a au moins d bouch sur le r sultat qu il tait illusoire d esp rer en tirer une carie d usage des sols sans la mise en place d une logistique co teuse achat de nouvelles sc nes personnel qualifi plein temps etc qui au bout du compte n assure pas plus d une cartographie fiable Enfin on peut s interroger sur la validit d une carte d usage des sols qui serait le clich fid le d une situation un moment donn la date de prise de vue mais qui ne dirait rien des successions culturales des rotations des jach res lorsqu il y en a mais surtout des dynamiques rapides obser
385. rs et responsables informaticiens en mati re de diffusion de fonds de carte informatis s l ORSTOM peut on envisager un outil centralis ou r parti permettant d obtenir des fichiers cartographiques fiables sous un format standard pour tel ou tel pays en mati re de m thode d analyse existe t il ou est il possible d acqu rir des outils ou une formation permettant de fabriquer du logiciel intel ligemment sans tre oblig de passer par des m thodes complexes n cessitant un investissement trop important REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BERNARDET X 1989 La Cartographie et l informatique M moire BTS ORSTOM Montpellier DELCLAUX F 1989 Les fichiers FTS ORSTOM Hydrologie Montpellier LAWIRA C 1988 Notice d utilisation de LEICA ORSTOM Hydrologie Montpellier 285 PARAMETRE CHOIX POSSIBLE Continent Fen tre g ographique Contour sous contour R solution Projection g ographique Afrique Couple de longitude latitude maximum et minimum exprim es en d mn sec Iles cotes et lacs Principaux cotes et lacs Principaux 11 5 cotes et lacs suppl mentaires Iles et lacs interm diaires Iles et lacs mineurs Principaux lacs intermittents Lacs intermittents secondaires R cifs Principaux marais salants Marais salants secondaires Principales calottes glaciaires Calottes glaciaires secondaires Glaciers Les cours d eau Principaux fleuves ou rivi res permanents Principaux fleuves o
386. rt cologique sont rarement situ s dans leur environne ment spatio temporel Il s ensuit que la plupart des tudes ayant pour finalit la planification du d veloppement des activit s agricoles se r sument un cata logue sans int r t des variables habituelles hydrographie v g tation climats population etc d s lors le SIG apparait comme un outil permettant de lever l habituel goulot d tranglement que constitue la gestion et le traitement de l information l apporte un plus essentiel trop peu pris en compte au Mexique mais les planificateurs ont conscience de cette lacune la mise en perspective dans l espace des ph nom nes tudi s ceite perspective comme celle qui lui est li e l analyse en terme de synth se est aussi celle des chercheurs au moins de ceux pour qui l espace est une variable incontournable Elle l est fortiori lorsque l tude des organisations r gionales est au centre de la probl matique scientifique des disciplines impli qu es dans le programme d mographie bio g ographie g ographie etc Mise en place du SIG aspects techniques et institutionnels On voquera ici l ensemble des probl mes que posent la mise en place d un SIG dans un pays du Tiers Monde depuis la question du transfert de technologie tous les pays ne sont pas aptes le recevoir jusqu l infrastructure quipement et personnel qu exige un tel programme La nature m amp me de l outil comme la lia
387. rt nous avons pu observer au Br sil la grande difficult qu il y a pour mettre en place et maintenir une structure somme toute assez lourde lorsque les cadres institutionnels sont d ficients D autre part et contrairement ce que nous affirmions plus haut les in formaticiens en tant que d tenteurs des m thodes et techniques de syst matisation ont un r le central jouer dans l laboration de v ritables syst mes d information entendus comme services de donn es d int r t g n ral Reste que cette position strat gique peut conduire des difficult s de communication avec les diff rentes composantes ayant voir avec un syst me donn Lorsque l information obtenue apr s de nombreuses ann es de terrain devient accessible une collectivit l aide de moyens aussi puissants que les syst mes d interrogation modernes il est normal que des r ticences se fassent jour pour la cession des donn es Une solution peut tre entrevue dans la constitution de co 162 mit s scientifiques compos s des chercheurs concern s Ceci signifie qu en aucun cas la r alisation d un syst me d information ne devrait tre conduite par un formaticien L informaticien apporte un outil aux possibilit s certes immenses mais qui reste un outil et non une machine faire des miracles Dangermond J 1982 Enfin une ambigu t subsiste sous le vocable syst me d information Pour certains le syst me se limite au logiciel
388. rties de la plante l exception du poids racinienne En outre compte tenu de leur int r t conomique ont t mesur s en fin de cycle les poids sec et humide de grain Chaque par celle est divis e en six blocs et dans chaque bloc sont effectu es deux r p titions en des points tir s au hasard Le poids racinienne est obtenu en appliquant une fonction la somme des poids des autres parties de la plante Cette fonction est un des produits de l tude mentionn e ant rieurement 121 1 3 Exp rimentation non destructive C est la mesure des dimensions de la plante soit pour chacune d elles sa hauteur les dimensions du thalle et pour les feuilles N 9 12 15 la longueur et la plus grande largeur Pour chaque feuille un coefficient multiplicatif permet d obtenir sa surface partir des dimensions Pour avoir la surface foliaire de la plante il suffit d appliquer un second coefficient la somme des surfaces des trois feuilles consid r es CARDON janvier 1988 Chaque parcelle est divis e en 6 blocs et dans chaque bloc sont effectu es 5 r p titions en des points tir s au hasard i 1 4 Exp rimentation de v rification Elle concerne l exp rimentation non destructive Les deux coefficients appli qu s dans la mesure de la surface foliaire ont t obtenus dans l tude ci dessus r f renc e Le premier est tr s voisin de celui trouv par d autres auteurs MORREY amp TOGOLA 1985 et peut donc tre consid r
389. s ainsi qu un certain nombre de va riables relatives aux coordonn es g ographiques et la superficie des paroisses en colonnes et les 42 paroisses d j mentionn es en lignes L exploitation des listages relatifs aux l ments suppl mentaires t d terminante pour l interpr tation du tableau principal et la d finition des sept facteurs issus de l analyse et ce d autant plus que les coordonn es g ographiques et la taille des paroisses facilitaient l association entre certains secteurs de la Sierra et ou cer tains types de paroisses bassins versants et les caract ristiques exprim es par les demi axes consid r s Enfin le programme diseri partant de deux fichiers num riques de fac teurs le fichier des centres de classes et le fichier des individus permet d affecter chaque individu au centre dont il est le plus proche Dans la mesure o chaque individu est cens relever d une classe il s agit de ce qu on appelle classique ment une proc dure de discrimination d o le nom du programme Un exemple 147 simple est fourni par l application l ensemble des individus paroisses est l ensemble des i usuels et les centres sont les iq centres de gravit des classes d une partition des i obtenues par CAH soit les onze classes de la partition Cf figures 3 et 4 Dans la pratique discri servira particuli rement affecter des centres r sultant de l analyse d un premier ensemble de donn
390. s termes le domaine de validit de l image CONCLUSION Nous voyons le caract re tr s empirique du processus de recalage d images Choix d un r f rentiel immuable de pr f rence outils de recalage ind pendants de la technologie d acquisition de l image et des qualit s intrins ques et extrins ques au syst me imageur Constatons que l ensemble de la d marche est dict e par une croyance peut tre bien naive la cartographie existante est un r f rentiel admissible Quelques questions restent en suspens que faire en l absence de cartographie D autres quipes de l ORSTOM nous donnent la solution utilisons NOAA CZCS M t osat et une m thode de recalage qui tient compte des param tres intrins ques l outil comment recaler des donn es de grande chelle par exemple une mission de photographie a rienne au 1 5 000 me les donn es images sont elles ind pendantes les unes des autres doit on utiliser certaines propri t s pour simplifier le travail de recalage Divers points de la proc dure de recalage d crite ci dessus peuvent et vont tre am lior s par exemple par l utilisation de l algorithme de Viterbi qui peut acc l rer la d tection des points homologues Mais d s maintenant m thode tr s souple est utilisable par bien des quipes de recherche 110 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES W E L GRIMSOM 1981 From images to surfaces MIT Press 1981 Y SHIRAI 1987
391. s Nationaux ou r gionales Organismes inter tatiques ind pendantes mais associ es Les Etats assument la gestion de leurs r seaux de collecte et sont seuls propri taires de leurs donn es mais la compatibilit des formats et des logiciels rend possible une coop ration troite copie de s curit des fichiers appui informatique pour la maintenance et l actualisation des logiciels formation des personnels 51 CENTRE ORSTOM DE MONTPELLIER CNUSC IBM 3090 UTILISATEUR EXTERNE EDF DISQUETTE z s RESEAU TELEPHONIQUE COMMUTE ETHNIC DAS 5 CAMPAC RENPAC EH cn j JA l 1 N gt i i Cr I lt 12 j a La J Fig 1 BANQUE DE DONNEES HYDROPLUVIOMETRIQUES ORGANISATION GENERALE 52 2 DONNEES 2 1 Type de donn es L information originale r partit en deux grandes cat gories les donn es pluviom triques et les donn es hydrom triques Dans la premi re l information originale est simple c est une hauteur de pluie observ e durant un intervalle de temps fixe par exemple 24 h pour les pr cipitations journali res ou variable pour les intensit s de pluie enregistr es por des pluviographes La donn e est donc un nombre toujours positif compris entre 0 et 150 000 sachant que l unit utilis e est le dixi me de mm et que la dur e maximale de cumul est en pratique d une ann e L informa
392. s ainsi constitu e re groupe actuellement les informations correspondant plus d une centaine de lev s diverses chelles ex cut s par diverses institutions du pays Ce syst me constitue ainsi le module central de SISSOLOS Sistema de in formac es ol gicas stocke sur les ordinateurs du site central de l EMBRAPA Brasilia deux IBM 4341 sous VM CMS en voie de substitution par un IBM 4381 biprocesseur sous MVS deux collections de donn es distinctes les profils de sols pour lesquels les informations qui se r f rent aux conditions de son environnement la description morphologique et aux r sultats des analyses physiques et chimiques de chaque horizon ainsi qu l analyse mi n ralogique de chaque fraction granulom trique sont conserv es les unit s cartographiques de la carte des sols constitu es d associations plus ou moins complexes de sols de diff rentes classes les compo santes Pour ces unit s le syst me administre la description des caract ristiques de leur environnement et leur composition taxinomique Ces informations sont accessibles par le biais de routines d extraction stan dardis es d ment document es permettant l dition de sorties normalis es ou le traitement via le progiciel statistique SAS Statistical Analysis System des inter rogations simples ou compos es faisant intervenir n importe quel attribut de profil ou d unit cartographique Un certain nombre de diffi
393. s cer rados nous avons concu une m thode fond e sur un carroyage constituant le point de rencontre du d coupage administratif de la statistique avec les multiples aires d extension des cat gories climatiques phyto cologiques ou p dologiques Ceci permet d appr cier les relations entre les composantes du milieu naturel et celles de la production agricole La m thode adopt e privil gie donc la mesure figure 1 Les stocks d information se rapportent d une part au milieu naturel sous forme de cartes th matiques et de l autre la production agricole sous forme d enqu tes an nuelles de 1977 1984 A partir de ces gisements d information on cherche laborer des matrices d information spatiale afin d obtenir une description plus ou moins synth tique du milieu naturel et des productions agricoles A chaque tape diverses cartes sont r alis es afin d appr cier la r partition g ographique des types de milieu et des types de production obtenus par analyse en composantes principales A ce stade on peut enfin proc der la mise en relation des grands contrastes spatiaux exprim s par les composantes principales c est dire cher cher expliquer la variation observ e sur chaque composante de la production par celle des diff rentes composantes du milieu H s agit alors d un probl me classique de mod lisation par r gression multiple L tape ult rieure consiste examiner les cartes de r sidus propres amp
394. s de donn es bio colo giques phylog n tiques et des routines externes de calcul figure 2 Ces der ni res permetient notamment de replacer statistiquement les valeurs m triques et m ristiques de l individu tudi au sein des intervalles ou des clines de valeurs observ es pour les diff rentes esp ces dans diff rentes r gions In fine le r sultat de la consultation doit fournir outre le nom de l esp ce l ensemble des informa tions y aff rentes et contenues dans les diff rentes bases La modification et la 4 jour des bases annexes sont ais es celles de la base centrale et des r gles de production proche de la cl dichotomique reste difficile car certains changements peuvent alt rer la structure m me de la base et exiger sa r criture partielle 1 DETAIL DU SYSTEME EXPERT DEJA REALISE Le syst me est organis en blocs de contr le de trois niveaux hi rarchiques Figure 3 Le premier bloc est pr vu pour tester les intentions de l utilisateur Non v ritablement op rationnel pour l instant il pourra entre autres permettre de choi sir entre le chainage avant ou arri re le cl groupe permet de d terminer la variable but interm diaire GROUPE POISSON c est dire de choisir entre un des quatre genres ou le 178 Mise jour Base bibliographique Travaux de Donnees taxonomiques cl s de d termination papier syst matique Mise jour
395. s de l unit dans un ordre quelconque information additionnelle ventuelle ensuite cl logique de sous unit donn es correspondantes et infor mation additionnelle ventuelle autant de fois qu il y a de sous unit s le nombre maximal en ayant t fix lors de la d finition de la base tape de sp cification ll est noter que si on entre plusieurs donn es valides pour une variable c est la derni re qui est enregistr e D autre part on n entre que les donn es ef fectivement pr sentes Enfin toutes ces donn es cl s comprises sont saisies sans format impos 1 4 Validation des donn es La validation des donn es saisies est r alis e automatiquement par le sys t me par comparaison avec le r pertoire auquel on fait r f rence Il v rifie en particulier que les donn es appartiennent bien aux domaines de valeurs qui sont pr cis es dans le r pertoire et il annote en sortie les donn es non reconnues 1 5 Mises jour Pour faire les mises jour on peut agir la fois sur le r pertoire et sur les donn es Le r pertoire est mis jour en y ajoutant les donn es qu ensuite il recon Les variables quantitatives y ont leurs bornes celles ci peuvent tre modi fi es Les variables qualitatives y ont toutes leurs valeurs admissibles exprim es sous forme de chaines de caract res ces listes peuvent tre enrichies de syno nymes et de termes suppl mentaires Pour les
396. s de rivages ou cheniers qui s parent les diff rentes phases d accumulation fine holoc ne Cette d finition permet aussi d analyser les diff rentes masses d eau des estuaires et des rivi res de plus de 80 m tres de largeur 2 3 Utilisation des effets induits par l acquisition oblique des donn es SPOT Le d pointage de 26 degr s du radiom tre lors de la prise de vue du 20 octobre 1986 met en vidence les ondes comme la houle se propageant la surface de l oc an WADWORTH A amp PETIT M 1987 Le filtrage par une matrice de r haussement am liore le document d origine Nous avons choisi ici une formule du type 1 1 1 1 9 1 1 1 1 qui fait apparaitre la houle et sa diffraction figure 1 son passage pr s de l embouchure ainsi que le panache turbide du fleuve Sinnamary d une sur face de 10 km 2 4 Traitement multitemporel n 1 Donn es LANDSAT 76 SPOT 86 et TM 88 sur la zone de Sinnamary Le traitement multitemporel de trois sc nes prises dix et douze ann es d intervalle permet de donner avec une pr cision de quelques pixels des l ments quantitatifs sur les transformations du littoral et sur l tendue des zones in tertidales aux diff rentes dates LOINTIER M amp PROST M T 1988 La super position est r alis e par translation l aide de plusieurs points d appui apr s rotation des images et r duction la m me chelle figure 2 eur Figure 1
397. s donn es du fichier n 1 la partie prot g e du programme n 2 permet de cr er un registre de donn es brutes une date donn e avec une sonde donn e dans le fichier choisi 3 1 2 Point de vue de l observateur de terrain figure 4 Une fois un registre cr le responsable des mesures de terrain utilise le programme n 2 pour imprimer la feuille de collecte Apr s documentation de celle ci les informations qui y figurent sont informatis es l aide du programme n 3 Les donn es brutes sont alors soumises au programme graphique de cri tique Par comparaison des r p titions on d tecte les anomalies s en suit une correction ventuelle l aide du programme n 3 3 1 3 Point de vue de l utilisateur des donn es figure 5 A partir des donn es brutes l utilisateur des donn es cr e avec le pro gramme IN 4 un fichier de donn es normalis es Pour cela il dispose d un certain nombre d options En particulier il peut liminer les donn es correspondant certains codes utiliser ou non les mesures sonde dans la protection comme r f rence etc le programme n 7 lui permet alors de transformer les donn es normali s es en donn es d humidit volumique Comme pr c demment il a le choix entre un certain nombre d options qui sont ici le type d talonnage le nom des fichiers cr s le directory dans lequel ils sont grav s etc les donn es labor es sont ensuite import es dans un logiciel du com
398. s en vue de leur int gration dans un syst me plus vaste 2 Plus g n ralement est il du r le de la recherche de prendre l initiative de la constitution de SIG compte tenu de l importance des moyens qu implique ce genre d op ration 160 1 GESTION DES DONNEES DE RECHERCHE ET SYSTEM ES D INFORMATIONS Les organisateurs du S minaire informatique de l ORSTOM SEMINFOR ont choisi pour l dition 1989 la troisi me d aborder la question des syst mes d information sur l environnement Pour contribuer la discussion collective les auteurs du pr sent texte proposent quelques r llexions propos de la place des syst mes d information dans leur pratique de recherche en g ographie r gionale Au del des slogans et des projets pharaoniques ou gadgets inlormatiques SEMINFOR 3 semble une excellente occasion de pr ciser ce qu on doit entendre par syst mes d information sur l environnement ce qu on peut en attendre dans le cadre des programmes de recherche visant la production de connaissances nou velles quels sont les avantages de l approche par les syst mes d information sur des m thodes plus l g res Afin d viter tout malentendu disons d embl e que la notion de syst me d information nous apparait assez diff rente de la gestion des donn es qu un chercheur doit op rer tant sur le plan des objectifs atteindre que sur celui de la m thodologie suivre Dans le cadre de travaux de recherche empirique on est toujours amen
399. s g ologiques de nature ou dans le cas qui nous occupe ici un m me ejido dont les terres sont distribu es en plusieurs parcelles Dans le cas de la propri t sociale l attribution des cl s a t dict e par l existence d une enqu te r cente r alis e l INEGI l Encuesta nacional agro pecuaria ejidal de novembre 1988 L int gralit de cette enqu te a t saisie sur gros syst mes par les services informatiques centraux de l INEGI On a donc repris la m me codification cl du municipio suivie de la cl de l ejido Apr s la digitalisation les deux tapes importantes sont celles de l int gration dans une relation du graphique les cartes et des attributs les va riables de l enqu te Tigre permet l ouverture d autant de relations que l on souhaite tenure de la terre d mographie p dologie etc Chaque relation av torise le stockage et le traitement d un maximum de soixante attributs 1 2 2 Le traitement du recensement de population de 1980 Dans un pays la d mographie si dynamique on peut s interroger sur la pertinence du traitement d un recensement aussi ancien celui ci se justifie pourtant dans la perspective d une comparaison graphique bien s r avec les r sultats du prochain recensement de population de 1990 auquel on se pr pare d j reste que le traitement de ce type de donn es pose quelques probl mes Pour commencer ce recensement n a pas tr s bonne r putation quant
400. s grands espaces 170 3 CE QU AURAIT PU APPORTER UN SYSTEME D INFORMATION SUR L ENVIRONNEMENT Bien qu ayant choisi de ne pas adopter la voie des syst mes d information nous regrettons de n avoir pu disposer de tels outils En effet ceux ci pr sentent de nombreux avantages qu on peut r partir en deux groupes D une part les syst mes d information simplifient l acc s aux sources Ils rendent disponible une grande quantit d information de diverses origines sur une th me large comme par exemple l agriculture du Br sil Un tel outil n est r alisable qu avec la participation directe des producteurs de donn es rassembl s dans un cadre institutionnal proportionn la dimension du sujet trait D autre part si l on avait dispos d un SIG on aurait pu partir des cartes conserv es en ordinateur d river plusieurs des tableaux des donn es et non pas un seul comme le traitement manuel nous a permis de la faire de ma ni re artisanale Ainsi il aurait t ais de tester la validit de plusieurs nomen clatures diff rentes et de choisir la mieux adapt e la probl matique Par exemple les caissons de la carte des sols ont t regroup s afin de rendre compte de leur valeur agronomique face une exploitation moderne et m cani s e parti pris est parfois discutable pour certaines parties des cerrados On aurait pr f r pouvoir formuler et tester des hypoth ses alternatives Enfin nous avons choi
401. s justifi s par les r sultats obtenus REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES COCHONNEAU G 1987 HYDROM un Logiciel de Gestion des Donn es d un R seau d Observation Hydrom trique In S minfor 1 ORSTOM Paris 1988 RAOUS 1989 Un Logiciel de Gestion de Donn es Pluviom triques In S minfor 3 ORSTOM Paris 1990 61 SISOND UNE CONCEPTION DE L INFORMATIQUE MISE AU SERVICE DE L USAGER Daniel CARDON RESUME SISOND est partie d un ensemble de deux syst mes cr s pour g rer respectivement les donn es de sondage neuironique et les donn es biologiques d une exp rimentation men e au Nicaragua SISOND a t pr f r dans cet ex pos en raison de sa plus grande g n ralit mais les deux syst mes pr sentent une communaut de conception et des facilit s identiques Plus qu un expos sur les possibilit s de SISOND ce travail se veut une r flexion sur la conception de l informatique au service du chercheur Cette r flexion s est plac e au niveau de l analyse du syst me Elle a abouti la recherche d un certain nombre de priori t s qui leur tour ont induit la m thode de r alisation Le plan de l expos suit ce cheminement En introduction est expliqu e cette conception de l informatique en fonction d elle dans la premi re partie est analys le probl me particulier des mesures neutroniques dans la seconde on passe la r alisation pratique en conclusion le syst
402. s plusieurs domaines applicatifs Ce sont des m thodes g n rales qui pr sentent l int r t d avoir une expression informatique sous la forme d un logiciel r pondant des sp cifications pr alables utilisation d finition des donn es r alisation Ce logiciel est r utilisable ind pendamment du domaine d application vu la g n ralit des concepts utilis s et un degr moindre il est galement ind pendant de l environnement mat riel disponible 2 SPECIFICATIONS DE REALISATION Les tendances actuelles des sciences de l environnement peuvent se r sumer en une augmentation des volumes de donn es traiter par suite de lo en service de nouveaux capteurs de t l d tection actifs passifs partir de vecteurs mobiles satellites d filants et g ostationnaires moyens a roport s ou fixes radar avec des expressions de donn es de diff rentes formes image ou et ceci des r solutions spatiales temporelles et spectrales tr s vari es la disponibilit de bases de donn es centralis es accessibles par r seau et disposant de toutes les informations conventionnelles v hicul es dans le domaine m t orologique par le Syst me Mondial de Transmission 229 des moyens de traitements d centralis s toujours plus performants avec Une quasi standardisation autour d quipements personnels ou de stations de travail scientifiques la disponibilit de progiciels cl s en main
403. s pro bablement aux heures de mar e diff rentes On notera que les faibles valeurs sont situ es en rive droite les plus lev es en rive gauche au niveau de l largissement de l estuaire Ceci traduit une remise en suspension des vases plus importante par petits fonds entre 1 5 et 2 m tres 2 7 Extension des ph nom nes oc aniques vers l amont LANDSAT 76 composition color e standard Les conditions de prise de vue du clich Landsat mar e haute et en p riode d tiage correspondent aux conditions les plus favorables de l extension maximale vers l amont de la des vases d embouchure et du coin sal L tude hydrologique de l estuaire du KOUROU ROCHE M A 1976 et du SINNAMARY a permis de constater que les limites vers l amont de ces deux ph nom nes taient voisines quelques centaines de m tres pr s La composition color e standard met parfaitement en vidence le contact entre les eaux fluviales et celles qui ont subi un m lange oc anique Par ce biais on d termine ainsi la limite de la remont saline dans les deux estuaires Figure 3 Exemple de c te progradation sur la zone de Kourou Comparaison obtenue par superposition des images de 1976 et 1986 En noir la position du banc de Kourou en 1986 dans sa partie distale Copyright CNES 1986 INPE 76 w oe gt Figure 4 Index de Brillance appliqu aux donn es SPOT sur le Sinnamary dont les valeurs sont croissa
404. s registres de d but et de fin de traitement Ensuite il indique le nom du ou des fichiers cr s ainsi que le directory dans lequel ils devront tre grav s Enfin une option permet de d cider si les registres de ces fi chiers se rapporteront aux donn es relatives un bloc ou une seule plante Dans tous les cas chaque registre portera mention des noms du fichier de don n es brutes et du registre trait s de la date du num ro du bloc et du nombre de jours coul s depuis le semis Dans le ou les crans suivants on a la possibilit de discriminer certaines donn es individuellement en utilisant les codes par exemple les donn es de code D souvent utilis pour d signer les valeurs douteuses et ou g ographique ment En effet il est possible dans les limites de la parcelle de d limiter jusque 9 rectangles dont la superficie sera exclue ou au contraire seule retenue pour tudier les donn es 125 2 3 Traitement des donn es sous LOTUS Dans un travail de recherche il faut bien entendu disposer d un fil conducteur en fonction duquel on d termine les param tres mesurer et les exp rimentations pour les obtenir N anmoins au niveau du traitement des donn es il y a toujours des surprises et il est tr s difficile sinon impossible de pr voir tous les d veloppements d une tude afin de les int grer un syst me informatique Pour cette raison la fin du traitement des donn es biologiques est effectu e dan
405. s un logiciel du commerce beaucoup plus souple pour ce genre de travail On dispo sait de LOTUS 1 2 3 ce logiciel permet des sorties graphiques particuli rement claires ce sont les raisons pour lesquelles il a t utilis Le risque d erreur augmente avec le nombre d op rations effectu es En particulier il faut en faire plus d une trentaine titres l gendes et unit s comprises pour cr er un graphique sous LOTUS est tr s contraignant de se rappeler tous les d tails d une pr sentation adopt e surtout si on r alise des graphiques avec des donn es de nature diff rentes Les instructions utilis es sous LOTUS peuvent tre regroup es pour former de v ritables programmes qu on peut tester limi nant ainsi le risque d erreurs et assurant l homog n it de la pr sentation des produits Ces instructions pr sentent certes tout les l ments d un v ritable lan gage informatique boucles appel de routines etc mais elles n ont ni la ri chesse ni la clart ni l environnement de langages volu s tels que PASCAL BASIC ou FORTRAN On a donc r serv la cr ation de tels programmes aux cas ou la r p titivit et ou le risque d erreur le justifiaient La v rification de la m thodologie s effectue avec un nombre r duit de donn es donc sans programme et il serait trivial d expliquer l usage fait de LOTUS dans ce cas Pour chacun des deux autres types de donn es il existe deux formes de fichier de sortie de SISBIO
406. s variables par classification par calcul num rique par calcul logique par agr gation en plus un certain nombre d op rations propres aux donn es locali s es Ce sont le calcul de surface de p rim tre de valeur d appartenance ou agr gation sur un crit re g ographique moyenne de points dans une zone de zones zones etc la cr ation d un masque de s lection g ographique par rapport certains objets par exemple l espace d fini par la condition de se si tuer moins de 10 m tres des portions d un r seau ayant une caract ristique donn e l interpolation g om trique et la cr ation de bloc diagrammes Ces traitements s inscrivent encore dans le processus d interrogation inter active de la base de donn es on fait un histogramme pour rechercher les seuils de classification d une variable on classifie la variable on fait une s lection sur certaines classes on calcule un effectif sur le r sultat etc D autres op rations plus sp cifiques seront trait es comme des macro commandes pour r pondre des probl mes bien pr cis Ces modules seront alors d velopp s au dessus du syst me de gestion en se servant de ses possibi lit s mais sans s inscrire dans le processus d interrogation interactive Autre possibilit importante le croisement avec les images num riques provenant des satellites d observation de la terre En effet la gestion de la locali sation permet en faisant coincider informatio
407. sage terme la mise en place d un syst me expert interrog quotidiennement depuis le CTIV centre de t l observation informatis des volcans CRG GARCHY le centre Argos de Toulouse fournit les donn es des derni res 24 heures trait es pour partie limination des redon dances elles sont transf r es vers la banque de donn es de volcanologie cr e au CIRCE Orsay Un fichier de donn es brutes et un fichier de donn es inter pr t es sont ainsi accessibles tous les utilisateurs potentiels via les moyens t l matiques habituels Le CIRCE distribue galement les donn es sous formes graphiques et num riques sur un serveur VIDEOTEX ce qui permet tous les possesseurs d un Minitel d avoir acc s l essentiel suivi en cas de crise Toutes les donn es enregistr es depuis le d but d une op ration peuvent tre appel es 92 De plus des fichiers sur disquettes sont constitu s au centre de recherches de Garchy et au centre ORSTOM de Noum a qui assure galement la mise disposition de certaines donn es aupr s du service m t orologique de Nouvelle Cal donie L objectif est une participation un observatoire mondial pour l acquisition de donn es de volcanologie en temps r el et une collaboration la pr paration d une d cennie internationale 1990 2000 pour la r duction des risques naturels Nous proposons donc d exposer partir des outils utilis s les proc dures retenues tri repr
408. se B nu Cc PD EC De MEME EE C EE E s humite 1 humite 1 structichron 3 3 lt poc nm structure texture etc STRUCTURE DE L INFORMATION SUR LES SOLS ET SON ENVIRONNEMENT TABLEAU SCHEMATIQUE gt Figure 4 l gite 1 siten localisation v g tation type profil 2 toriron 1 horiron 2 limite_sup limite_inf c_naturels tupe horizon analyses humitei humite 1 structichron 3 3 couleur structure 336 2 LES PRINCIPES DES LOO 2 1 SmallTalk un langage orient objet La programmation comporte une activit de transfert de connaissances du domaine du probl me pos au domaine informatique F Detienne L acquisition de sch ma est fondamental pour mettre en oeuvre ce transfert s acquiert bien par l exemple c est pourquoi le tutorial de SmalTalk m a t d une aide pr cieuse mais souvent insuffisante Rappelons bri vement les concepts de base L OBJET donn es et proc dures sont regroup es autour de l id e unique qu est l objet Les proc dures tant charg es d exploiter ces donn es l association des donn es et des m canismes qui en contr lent l utilisation au sein d une m me entit assure l int grit des donn es ces donn es ne pouvant tre manipul es que par un m canisme propre l objet dont elles font partie envoi de messages L ENVOI DE MESSAGES c est l unique moyen d intervention sur les objets L objet receveur du message d te
409. se comms variables du plus petit r f rentiel spatial dis ponible c est dire l ilot La m thode de recodage adopt e est la sommation par lot des valeurs absolues des diff rentes modalit s des variables du logement De 13 variables au niveau du logement on aboutie 72 variables au niveau de lot Face un tel volume d information l utilisateur peut opter pour diff rents cheminements Une premi re attitude est d avoir d cid des diff rents indicateurs du ph nom ne que l on cherche mettre en vidence et d utiliser les possibilit s du syst me pour juger de la r partition spatiale de ce ph nom ne au travers du comportement g ographique d un de ses indicateurs Une seconde attitude possible est de mettre en valeur une organisation spontan e des variables disponibles et de chercher d finir le ou les ph no m nes qu elle met en vidence C est dans le sens de cette seconde d marche que nous avons abord l utilisation du SIG 2 METHODE D ORGANISATION DU TRAITEMENT Le syst me d information g ographique ne comporte pas de module per mettant la r alisation d analyses de donn es multivari es Pour d cider de l ordonnancement du traitement conjoint des variables et d une partition pour chaque variable une analyse factorielle des correspondances puis une classitica tion ascendante hi rarchique ont tre faites l ext rieur du syst me Elles ont donn comme r sultats la d finition de trois types g n
410. ses SISPRAGAS enregistre les donn es de viabilit certains caract res morpholo giques utilis s pour la reconnaissance et les variables qui mesurent l effet des facteurs physiques de l environnement sur le d veloppement de la phase en question Dans le cas particulier de la phase oeuf il existe galement un en semble de donn es inh rentes la ponte Pour les phases larve nymphe et adulte les informations qui se r f rent au comportement telles que l habitude et la forme de l attaque les conditions de l environnement favorables l attaque etc 87 apparaissent galement Enfin pour la phase de chrysalide il y a en plus des donn es sp cifiques comme le lieu de r alisation par rapport la partie de plante ou le type de protection de chrysalide est int ressant de noter que SISPRAGAS pr voit d associer aux donn es stock es un attribut de qualit de l information empirique adapt e ou appropri e j Pour le d p t de vari t s culturales les donn es stock es se divisent en trois groupes identification avec la classification de la culture et l identit de la vari t culturale caract ristiques agronomiques et classes du cycle de d velop pement avec les limites de chaque stage Les caract ristiques agronomiques correspondent la morphologie des di vers l ments de la plante racine tige feuille fleur et fruit Pour chaque com posant on a essentiellement des caract ristiques
411. si d adopter un carroyage dont le degr de finesse d pend directement du maillage municipal Un d coupage plus fin serait souhai table pour am liorer l appr ciation de la vari t des situations et ainsi accroitre le niveau de validit des r sultats Ainsi l existence d un SIG sur les cerrados voire sur l ensemble du Br sil serait sans aucun doute de nature am liorer la validation des r sultats obtenus En introduisant une plus grande souplesse et rapidit d exploitation des docu ments originaux on pourrait proc der divers regroupements de variables ou d unit s spatiales afin d atteindre une meilleure connaissance du milieu agricole 4 CHAQUE RECHERCHE SON SYSTEME Nous regrettons la non disponibilit d un syst me d information sur l environnement de la production agricole du Br sil et plus pr cis ment encore des Cerrados constituerait en effet un facteur de d veloppement important permettant de mieux appr cier et maitriser une activit d importance strat gique pour ce pays et cette r gion Bien que l EMBRAPA ait depuis de nombreuses ann es cette pr occupation en promouvant le syst me SISGEO force est de constater que la recherche tr s trop rapidement pr sent e ici et r alis e avec des moyens bien inf rieurs ceux dont dispose SISGEO reste impossible mener avec SISGEO Face 4 cette absence les chercheurs g ographes que nous sommes doi vent ils r aliser leur propre syst me d
412. sibles effectu e en France fin 1982 et relat e lors d une communication un congr s br silien de t l d tection SECHET et alii 1984 la perspective de SISGEO a permis d entrevoir une utilisation plus g n rale d un module SISMAPAS sp cifiquement mis au point pour permettre la ma nipulation des documents cartographiques sur ordinateur dans la mesure o l on admet que les informations spatialis es de chaque th me peuvent tre repr sen t es sous la forme de cartes polygonales Les possibilit s offertes par un syst me de ce type ont d ailleurs fait l objet d une description exhaustive SECHET et alii 1985 La conception du module local de SISMAPAS a t naturellement confi e l quipe du SNLCS Rio de Janeiro qui comptait alors sur l appui d un ing nieur cartographe Le projet logique qui a t r alis au cours de l ann e 1986 pour le premier module correspond aux fonctionnalit s pr sent es sur le dia gramme de flot de donn es de la figure 7 La premi re version disponible de puis avril 1988 impl mente l application Contr ler la cartoth que La seconde version op rationnelle depuis le d but de cette ann e met en oeuvre galement la deuxi me application Administrer les coupures partir d une adaptation du logiciel MYGALE mis au point par l quipe d infographie de l ORSTOM et que l quipe de SISGEO avait d cid d adopter la suite de l examen de plusieurs m thodes possibles SO
413. solution fait appel au bon sens et recommande de laisser chaque quipe mono disciplinaire utiliser les outils qu elle ma trise d j d finir des r gles pour la constitution et l utilisation des bases de donn es constitu es d finir des formats de donn es standards qui seront utilis s lors des rencontres multidisciplinaires 2 3 2 La solution m thodique Cette solution qui a t tr s en vogue il y a quelques ann es et qui apr s exp rimentation semble voir son champ d application se restreindre progressive ment consiste baser toute la strat gie informatique sur l utilisation d une m thode d informatisation MERISE AXIAL qui repose sur l id e qu une formalisation du syst me d information dans toutes ses composantes organisationnelle op rationnelle temporelle est possible et qu il existe des outils de repr sentation adapt es sch mas logiques et conceptuels des donn es et des traitements pr conise un certain nombre d tapes allant du g n ral au particulier sch ma directeur analyse pr alable analyse d taill e planification du d velop pement r alisation du d veloppement et mise en exploitation aboutit la mise en place d un atelier de g nie logiciel et d une base de donn es la plupart du temps avec un mod le relationnel 2 3 3 La solution objet Le principe de base de la programmation objet repose sur la constatation qu au fur et mesure des d velopp
414. sortie sont des fichiers s quentiels de caract res ASCII type TEXTE 2 2 La rigueur et la souplesse dans l utilisation de SISOND On montre comment ces deux directrices ont t respect es simultan ment lors de l tablissement du protocole de mesures de la conduite de l exp rimentation et de l exploitation des r sultats SISOND accepte jusque 20 tubes de mesures par exp rimentation Par tube il peut y avoir jusque 9 r p titions et entre 2 et 22 niveaux de mesure Les protocoles de mesures sont ind pendants d un tube l autre Par cons quent SISOND permet de suivre peu pr s toutes les exp rimentations possibles avec sonde neutrons Par contre une fois le protocole exp rimental tabli c est l ordinateur qui imprime les feuilles de collecte et moins de prendre des libert s avec les indications qui y figurent l observateur est tenu de respecter de facon rigoureuse le plan de collecte Une erreur exp rimentale est cependant toujours possible et il a t laiss une possibilit de r cup rer les donn es collect es des niveaux incorrects Cette facilit de changer pour une collecte certains ni veaux de mesure est soumise une restriction importante seul le responsable de l exp rimentation peut l utiliser Une fois les donn es informatis es le programme calcule alors par interpolation les valeurs des comptages neutroniques aux ni veaux pr vus dans le protocole de mesures Si l ordinateur comporte une
415. sous la contrainte de pr server cet environnement le travail d laboration des syst mes d information pour l environnement r pond ainsi directement la mission assign e l Institut qui est de contribuer au d veloppement des pays partenaires par la voie des recherches qu il m ne en coop ration avec ceux ci l y r pondra d autant mieux que seront pris en compte tous les aspects de l environnement physique biologique et humain d o l int r t particulier que repr sente les Syst mes d information g ographique SIG pour le d veloppement Il est vident que l ORSTOM occupe une position privil gi e pour la mise au point de ce type d outils nous devons en faire une de nos priorit s J ai constat l examen de la programmation de cette rencontre que les organisateurs ont identifi trois sessions distinctes la capitalisation de l information de la donn e l information et strat gies de spatialisation C est partir de cette grille de lecture que je me pose un certain nombre de questions que je soumets la r flexion des participants ce s minaire et auxquelles je souhaiterais que des l ments de r ponse soient apport s 11 Capitalisation de l information En ce qui concerne cette premi re session au cours de laquelle seront pr sent es plusieurs bases de donn es monoth matiques je ferai trois constatations La premi re concerne la question de la s lection de nos actions dans ce domaine face
416. ssant des moyens mat riels et humains im portants ne peuvent tre syst matiquement install s sur des volcans aux cycles ruptifs espac s les plus menagants et souvent situ s dans les pays en d veloppement 2 MOYENS D INVESTIGATION les transmissions spatiales facilitent la mise en oeuvre terre d observatoires automatiques C est l initiative de PIRPSEV en 1981 et avec la participation du CNET Service Environnement qu a t entreprise une exp rience de t l observation sur l Etna l exp rience acquise a t transpos e et adapt e en 1986 l initiative de l ORSTOM sur deux il ts volcaniques du S O Pacifique Matthews et Hunter 93 Les techniques spatiales permettent d assurer des mesures automatiques et permanentes pour un ensemble de param tres significatifs en regard des difices concern s Cette surveillance s apparente une sonnette d alarme capable de pr venir la communaut scientifique de la persistance de ph nom nes anormaux susceptibles d entra ner une investigation avec des moyens plus importants le syst me de transmission spatiale utilis ARGOS est associ des moyens informatiques et t l matiques qui facilitent le traitement et la distribution de l information la fois aupr s de pays dont les volcans sont sous surveillance s ils disposent de moyens de communications associ s aux r seaux de transmis sion de donn es et aupr s de la communaut scientifique concern e
417. ssentiels pour l tablissement de syst mes rationnels de contr le des insectes cons quence il est important de rendre accessibles par le biais d un syst me d information automatis les donn es qui se r f rent la composition entomofaunistique de la r gion des basses terres la bio cologie des insectes au niveau de leur impact sur le syst me productif et aux nouvelles alternatives de contr le Un tel syst me l instar des autres modules de SISGEO sera post rieu rement divulgu et implant dans les autres r gions du Br sil par le biais des unit s de l EMBRAPA en d butant par les centres de ressources SISPRAGAS consistera en un logiciel appropri la saisie au stockage et la divulgation des informations sur l importance des insectes dans les syst mes productifs de la r gion des basses terres et sur les m thodes de contr le corres pondanies permettra de pronostiquer l attaque des insectes et de recommander la meilleure m thode de contr le partir du croisement des param tres biolo giques avec les autres informations de l environnement parmi lesquels le climat assume un r le pr pond rant Au del d un simple stockage de donn es SISPRAGAS introduira le trai tement automatis des donn es en soutien une activit de recherche de l entreprise l enromologie conomique dans ce cas pr cis De plus il servira galement pour indiquer des priorit s de recherche en diff rentes r gio
418. st me RAMTEK et logiciel ERMAN 1 acquis par l EMBRAPA 1983 La m thode d approche qui a t adopt e pour assister au moyen de techniques num riques le t l d tecteur dans son exploitation des images de satellites depuis leur acquisition jusqu la sortie et l interpr tation des r sultats du traitement est largement comment e dans un autre article pr sent ce m me s minaire ASSAD et alii 1989 le module central actuellement en cours de r alisation doit permettre l administration d un catalogue g n ral d images l utilisation int gr e sur le site central de plusieurs logiciels de traitement d images ainsi que l extraction de sous sc nes susceptibles d tre manipul es sur des configurations de moindre co t bas es sur des micro ordinateurs PC compatibles module local par le biais des logiciels appropri s existants SITIM TIMOR etc 4 8 SISMAPAS Lors de la r alisation de SISSOLOS et avant que naisse l id e de SISGEO il est vite apparu n cessaire de compl ter les fichiers de la base de donn es de sols par une repr sentation sur ordinateur de l arrangement g ogra phique des unit s cartographiques de la carte des sols sans laquelle il tait im possible de r pondre la plupart des interrogations de nature g ographique 309 La difficult particuli re que constitue la mod lisation d une information spatialis e a t l occasion d une enqu te approfondie sur les alternatives pos
419. st rieure du produit mis au point par les autres quipes de la m amp me discipline Cette forme de travail a t rapidement jug e pr f rable pour la r alisa tion des syst mes de soutien la recherche tels que les modules de SISGEO un travail plus individuel de d veloppement informatique par les propres th mati ciens par ailleurs couramment pratiqu en particulier par les chercheurs de l ORSTOM pour les raisons suivantes implication plus forte des utilisateurs potentiels du produit d s le d but de sa mise au point meilleure qualit des produits sur le plan scientifique due l intervention d un groupe de sp cialistes plut t que d une seule personne double comp tence meilleure qualit des produits sur le plan informatique du fait de sa r alisation par une quipe de professionnels garantie d institutionnalisation du produit cr apport e la for malisation du projet qui fait intervenir une quipe bidisciplinaire et par le partage de responsabilit s au niveau des deux g rances th matique et informatique l ne parait cependant pas indispensable que soit appliqu e cette r gle pour toutes les initiatives informatiques mais seulement pour des projets de sys t mes de soutien de recherche qui rev tent normalement un caract re plus uni versel que les autres r alisations dans le domaine 296 2 3 Module central et module local La r alisation d une base de donn es suppos
420. stes du type sous quipement Ainsi le coin sud ouest de l image se d finit avant tout par la pr sence en faible proportion d approvisionnement en eau par r seau public branchement hors difice Par ailleurs la position des ilots dans l chelle th matique allant de la d ficience la plus importante la pr sence d quipements publics elle m me chang e Par exemple les lots de la cat gorie Equipements de substitution 2 sur la premi re carte carte se trouvent r partis en trois cat gories diff rentes de Substituts sur la seconde carte carte 7 Enfin on a pu avancer dans la d finition du sous quipement Il se caract rise par quatre formes principales au niveau de l ilot association logements sans quipement et logements b n ficiant d quipements de substitution proportion sup rieure de sans quipement association logements b n ficiant d quipements de substitution et logements sans quipement proportion sup rieure des logements avec quipe ment de substitution association logements quip s r seaux publics et logements sans quipement pr sence de logements approvisionn s en eau par r seau public branchement hors difice Ce travail met ainsi en valeur des formes interm diaires qui modifient l image pr alable ville quip e ville non quip e et tablie le poids des modes d quipement de substitution On voit bien comment le jeu de manipulation en
421. stifie 184 mon avis qu en liaison avec les efforts d autres organismes notamment le MNHN dans le cadre du programme existant d informatisation et d interconnexion entre les Museums europ ens Celui ci devrait aller outre les as pects conservation et catalogue de sp cimens pour devenir une vraie base de donn es bio cologiques En tout tat de cause de tels projets impliquant plusieurs chercheurs pour la r alisation comme pour l alimentation et la mise jour p riodique des bases demande un engagement des commissions scientifiques autant dans le cadre de leurs attributions relatives l animation scientifique et au d veloppement des changes que pour la valorisation du travail fourni par les chercheurs pour la r alisation des syst mes CONCLUSIONS Je reviendrai pour terminer sur le travail que nous avons r alis Les sys t mes experts ont des avantages certains sur les autres proc d s en tant qu outils d aide la d termination Le choix entre tel ou tel syst me expert se fait en fonc tion du crit re que l on souhaite privil gier l objet et sa description syst mes centr s objet ou la d marche de l expert syst mes base de r gles de production Nous avons choisi cette derni re approche parce que les outils informatiques y sont plus d velopp s actuellement et que notre approche est plus biologique et utilitaire qu informatique Les syst mes cen tr s objet sont encore entre l
422. stitue un travail fastidieux et est une source d erreurs nombreuses si une v rification syst matique n est faite l enregistrement graphique continu ou diagramme journalier hebdo madaire mensuel obtenu avec des appareils enregistreurs tambour o table d roulante Le d pouillement des diagrammes est d sormais effectu avec une table num riser op ration longue et d licate Les hydrologues de l ORSTOM travaillent encore la mise au point de logiciels performants permettant une saisie exhaustive de l information contenue dans le diagramme et sans proc dures manuelles interm diaires les fiches de jaugeages bordereaux originaux tablis sur le terrain par les hydrom tristes qui doivent tre d pouill s avant ou au moment de la saisie 53 les donn es m moris es sur m moires magn tiques par les pluvio graphes du type OEDIPE ou les centrales hydrologiques du type CHLOE les donn es t l transmises par les stations quip es de balises met trices ARGOS ou METEOSAT et enregistr es par des stations de r ception Pour ces deux derni res cat gories l information est facilement accessible N anmoins un traitement pr alable est absolument n cessaire les donn es doivent tre filtr es relormat es quelquefois compact es 3 INVENTAIRE DES DONNEES La masse d information actuellement stock e sur disques et bandes magn tiques au CNUSC est de l ordre de 400 m gaoctets 400 00
423. surface ZONES PEDO caract ristiques p do calculs de masses ZONES ECO caract ristiques co mod les cologiques OBS PONCTUELLES OBS PONCTUELLES PEDO ensemble de coupes OBS PONCTUELLES ECO ensemble d co syst mes localis s 5 OBS PONCTUELLES PLUVIO ensemble de s ries pluvio OBS PONCTUELLES LIMNI ensemble de s ries limni OBS PONCTUELLES ATMO ensemble de s ries atmo 33 SERIES DE MESURES suite de points T F T repr sentation graphique calculs statistiques SERIES PLUVIO lieu description du pluviom tre calculs de cumuls SERIES LIMNI lieu description du limnim tre courbe d talonnage calcul de d bits SERIES ATMOSPHERIQUES description du capteur calculs de flux CARTE PONCTUELLE ensemble de points de cartes CARTE RASTER ensemble de pixels CARTE ZONE ensemble de zones 2 4 3 Repr sentation objet et multidisciplinarit Au sein d une discipline on manipule naturellement des objets des classes et des m thodes et en quelque sorte on pratique la repr sentation objet comme Monsieur Jourdain faisait de la prose Dans la pratique multidisciplinaire l emploi ma tris de la repr sentation objet offre un int r t suppl mentaire Les difficult s de dialogue proviennent de ce qu au sein d une discipline on a tendance rester propri taire de son infor mation dans sa d finition et son contenu Avant que l change ne se fasse avec une autre discipline l information disciplinaire doit tr
424. t dans la discrimination de groupes d ilots Elles interviennent principalement dans la d finition des groupes b ti r cent et quipement public et sous quipement Un traitement des variables quipements du logement a donc d cid pour mettre en vidence ces deux types 3 PREMIERE APPLICATION L APPORT DE L REPARTITION SPATIALE DANS L DEFINITIOM DE CLASSES PERTINENTES mis en valeur b ti r cent et quipement public Variables utilis es approvisionnement en eau r seau public branchement individuel vacuation des eaux us es r seau public des gouts Pour r aliser le traitement conjoint de ces deux variables partir des ou tils du syst me il a tre proc d en trois tapes 1 cr ation de deux nouvelles variables 96 de logements de l ilot approvisionn s en eau par r seau public branchement individuel de logements de avec vacuation des eaux us es r seau public des gouts 2 discr tisation de ces deux nouvelles variables en 4 casses 3 repr sentation conjointe des deux variables sur une image Sont affect s la m me combinaison l ensemble des lots qui correspon dent la pr sence locale de deux modalit s particuli res de l une et l autre va riable La description de ce croisement est donn e par le fichier descriptif figure 1 fourni par le syst me conjointement l image Ce sont ces diff rentes combinaisons
425. taires de la part de divers organismes Toutefois les informations qui en r sultent sont h t rog nes la plupart d entre elles tant d acc s difficile souvent non publi es leur diversit et leur volume rendent impraticable l utilisation de moyens conventionnels d utilisation Par ailleurs l Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecu ria EMBRAPA dans le but de d velopper des produits et des techniques adapt s aux conditions agro cologiques de chaque r gion entretient des quipes multidisciplinaires de chercheurs dans chaque grande zone climatique Aussi ces quipes mirent rapi 289 dement en vidence la n cessit d laborer un syst me d informations g ogra phiques permettant un stockage ad quat sur ordinateur des donn es de l environnement agricole et facilitant la r cup ration et la diffusion de ces infor mations sous forme de rapports ou de cartes D s la mi 1982 sous l impulsion et la coordination des informaticiens du si ge de l EMBRAPA l ensemble des chercheurs concern s d cidait de collaborer la r alisation du Sistema de informac es geoambientais SISGEO pour la quelle le concours de l ORSTOM tait sollicit Pour l institut l int r t d un tel programme tait vident s agissant d une tentative de valorisation des connaissances accumul es sur le milieu rural do maine de comp tences traditionnelles de nos chercheurs Bien que des exp riences analogues taient d j en cours
426. tant de r aliser des tudes statistiques avec des donn es spatialis es sur Maclntosh L une et l autre prouvent qu il est pos sible d obtenir d excellents r sultats peu de frais de sorte que la question est pos e sur la r elle n cessit des syst mes d information g ographique Une ana logie est d ailleurs faite avec les projets de r alisation d atlas qui constituent galement des investissements importants g n ralement non justifi s par une seule application Le plus souvent une approche plus pragmatique est possible et recommandable Le sujet de la constitution de syst me expert offre l occasion de d finir les conditions satisfaire pour d buter un tel travail souvent utile dans les do maines naturalistes il existe une complexit taxonomique particuli re pro gramme scientifique long terme tablissement d un plan de formation Une d 202 cision politique est alors n cessaire et de toutes fa ons il n est pas clairement tabli qu une syst matisation des syst mes experts l Institut soit recommand e Un participant souligne d ailleurs qu il existe une alternative nouvelle la d marche du syst me expert bas e sur des r gles de production celle des re cherches actuelles sur la conservation et la repr sentation de la connaissance On note en elfet que l expertise ne se pr sente pas priori sous forme de r gles et qu il faut r aliser un effort conceptuel important pour la formaliser s
427. tation L int gration la base de donn es permet d obtenir cette information pour chacun des lots De il sera relativement facile d obtenir pour chacun des flots le nombre de b timents construits entre deux dates d acquisition d images diff rentes 109 Les fichiers images ont toujours des tailles tr s importantes Sur la surface couverte par la ville de Quito nous avons actuellement suffisamment d images pour devoir cr er une banque de 200 M gaoctets 96 Mo pour les images SPOT panchromatiques 24 Mo pour les multispectrales 70 Mo pour une image de Th matic Mapper Toute acquisition d imagerie fera grossir la banque tr s rapidement Les fichiers images sont donc stock s s par ment ventuellement sur bande magn tique ou dans l avenir sur disque vid o Par contre leurs fichiers de gestion seront constamment ini gr s au syst me Ces fichiers de gestion doivent comporter des renseignements propres l image la date et l heure le type du capteur la ou les fen tres radiom triques la r solution d origine les param tres d ensoleillement des renseignements li s leur int gration la base de donn es et au syst me de gestion les coordonn es du point bas gauche de l image la taille du pixel la projection utilis e etc Le syst me de gestion de la banque de donn es indique l utilisateur quelles sont les images disponibles et la taille du pixel utiliser en d autre
428. te th maticien sou cieux de se voir affranchir des t ches les plus routini res de son activit scienti fique et celui de l informaticien pr occup par la capitalisation de l information et son ventuelle spatialisation Le syst me d informations phytosanitaires SISPRAGAS illustre bien la pos sibilit de conflit entre les deux objectifs SECHET et alii 1989 est ensuite indispensable de proc der la mod lisation de l information qui va int grer la base de donn es cr er ce qui ne peut tre fait qu en addi tionnant les comp tences scientifiques des th maticiens aux comp tences techniques des informaticiens l existe par cons quent pour chaque module de SISGEO une quipe th matique et une quipe informatique ayant respectivement leur t te le res ponsable th matique du module et un analyste de conception sorte de chef de projet informatique Le choix des fonctions automatiser est effectu d un commun accord entre ces deux sp cialistes tandis que l quipe th matique assure la fourniture des informations scientifiques et que l quipe informatique est respon sable de l impl mentation du module selon les normes g n rales d finies pour SISGEO Par sa propre motivation et par son renom dans la communaut scienti fique nationale le responsable th matique joue un r le important pour l approbation du projet de d veloppement du syst me par les bailleurs de fonds et aussi pour l acceptation po
429. tervenir la fois que les donn es d une seule collecte celle ci met en relief les anomalies dans l volution dans le temps des valeurs prises par les diff rents param tres Elle permet donc une analyse beaucoup plus fine La deuxi me phase d bute par un retour SISBIO Eventuellement et en fonction des r sultats pr c dents on associe certaines donn es de nouveaux codes Ensuite on prend une d cision quant aux donn es utiliser dans les fi chiers de donn es labor es Ces fichiers sont alors import s sous LOTUS La suite du travail se fait l aide des programmes existant lorsqu il s agit d une tache courante Dans le cas contraire les op rations sont r alis es directement dans ce logiciel 131 3 3 Critique du syst me de travail Les donn es biologiques sur mais obtenues au cours d un essai de saison des pluies r alis dans le cadre du programme cit en introduction t ana lys es par cette m thode Cet essai comprenait trois parcelles deux mais plu vial avec des densit s de peuplement diff rentes la troisi me avec la plus forte des densit s pr c dentes et irrigation d appoint L essai s est d roul de juillet fin octobre 1988 Un rapport interne a t r dig CARDON avril 1989 auquel on pourra se reporter pour plus de pr cision les conditions exp rimentales mauvaises herbes mal contr l es maladies vols m mes ont cr une h t rog n it peu compatible avec une
430. teur d une codification fastidieuse et de l apprentissage d un langage de commande le plus souvent li un SGBD quel qu il soit L utilisateur doit essen tiellement d finir la terminologie utilis e dans son domaine scientifique qui est en registr e dans le r pertoire et sert de r f rence pour tous les traitements REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES AUBRY A M et al From POSEIDON to NEPTUNE Software for environmental surveys In Burrough et Bie S W Ed Soil information systems technology Bolkesjo 41 45 1984 AUBRY A M NEPTUNE logiciel de traitement de donn es descriptives mise en place et traitement d une application ORSTOM Bondy 1987 DRME ORSTOM Poseidon rapport final de convention 400p 1975 diffusion restreinte HOUNDAGBA C J Analyse typologique des paysages d Abomey Zagnanado R publique Populaire du B nin Exploitation d un syst me PL1 NEPTUNE Th se de 3 me cycle Universit Louis Pasteur Strasbourg 28 p 1984 Informatique et Biosphare Glossaire de p dologie description de l environnement en vue du traitement informatique Informatique amp Biosph re ed 1971 ISSS Working group meeting on soil information systems Data input and data structure pp 17 21 Wageningen Hollande 1975 ISSS Working group meeting on soil information systems Poseidon pp 68 70 Druzba Bulgarie 1977 MBOW L S amp RICHARD J F Gestion de l environnement biophysique ouest afri
431. tifs de ce module dont le d veloppement a d but en 1984 est de rendre disponibles plus rapidement les informations collect es avec un meil leur niveau de confiabilit tout en all geant les taches de gestion de stations d laboration du bulletin agrom t orologique mensuel et de fourniture de don n es qui incombent aux chercheurs responsables CARDON et alii 1988 le module local op rationnel dans sa version 2 depuis avril 1988 est utilisable sur micro ordinateur PC compatible et impl mente les ressources de sai sie validation et traitement des donn es les plus routini res Les applications ac tuellement disponibles sont illustr es l aide du diagramme de flor de donn es pr sent figure 3 et permettent la saisie des donn es collect es pour les trois horaires d observation par le biais d un programme conversationnel la critique automatique des informations stock es partir d un en semble de param tres valeurs maximales et minimales le plus souvent fournis et modifiables en routine par le responsable de la station 300 SISGED 1 Donn es de lexiques G rer les 1 lexiques Rapports de lexiques LEXIQUES 2 Caract ristiques de station G rer les gt 102 CARACTERISTIQUES caracteris de station Rapport de caracter 3 Bulletins d observations Station faroe Corrections Donn es suspectes
432. tines compl tes de copie et restauration des fichiers le contr le d acc s ou encore la param trisa lion de l interface syst me utilisateur Ces fonctions g n rales sont impl ment es par le biais d utilitaires sp cifiques SISTAB SISCOP etc mis au point dans le cadre du programme SISGEO 4 3 Analyse des donn es L tape suivante de la m thodologie est constitu e par l analyse des don n es au cours de laquelle les flots de donn es identifi s en chacun des dia grammes labor s durant la phase pr c dente sont d crits syst matiquement en termes de champs On d taille de cette facon tous les attributs inh rents chaque entit qui intervient dans le syst me ainsi que tous les param tres des sollicita tions rapports de consultations etc Ensuite chaque l ment de donn e champ identifi est sp cifi rigoureusement en ce qui concerne ses caract ris tiques d int r t pour le traitement informatique comme le type la taille le masque d dition l algorithme de validation etc Cette derni re tape conduit l laboration d un dictionnaire de variables pour le syst me Pour le d p t d insectes les attributs consid r s appartiennent deux ca t gories distinctes classification comprenant d nominations scientifique et popu laire et leurs synonymes et biologie du d veloppement avec les caract ristiques de toutes les phases du cycle de vie de l insecte Pour chacune des pha
433. tion hydrom trique est au contraire multiple Elle comprend des hauteurs d eau lues sur des chelles limnim triques ou enregistr es par des limni graphes des mesures de d bit instantan es consid r es comme telles identi fi es par un couple d bit mesur hauteur associ e les d bits instantan s ou moyens sur une p riode tr s rarement mesur s directement en g n ral calcul s partir des hauteurs d eau par l interm diaire d un bar me de tarage qui est aussi une donn e de la banque chacune des deux banques pluviom trique et hydrom trique est associ un fichier des stations n cessaire pour l identification et la caract risation du point de mesure Les l ments stock s dans ces fichiers sont des informations signal tiques diverses nom de la station situation g ographique coordonn es altitude quipement date de mise en service et bref historique du fonctionnement etc 2 2 Pr sentation et Saisie des donn es originales Les donn es originales se pr sentent sous plusieurs formes diff rentes sui vant leur nature et le support sur lequel elles se trouvent au moment de la saisie On distingue le bulletin ou la fiche mensuelle original rempli par un observateur une ou plusieurs fois par jour heures fixes C est la source d information la plus fr quente encore aujourd hui autant pour les relev s pluviom triques que pour les hauteurs limnim triques La saisie de ces donn es con
434. tions recueillies sur le terrain Cette phase de traitement des donn es est ce jour exclusivement manuelle et demande des mois de travail d un expert J ai volontairement utilis dans le paragraphe pr c dent le terme d expert car si un personnel qualifi et exp riment est amen tr s souvent produire ce genre de carte les processus mis en oeuvre sont de type expert i e les m ca nismes font appel l acquis des connaissances et l exp rience fruit de nom breuses ann es de travail dans ce domaine les documents fournis cartes p dologiques cartes d aptitudes culturales etc sont par la suite seuls utilisables et la masse de donn es de terrain cahiers de terrain fiches de description etc sont inexploit s et quasiment inexploitables il faut bien l admettre 1 L PROBLEMATIQUE PEDOLOGIQUE Pour pallier cette perte d information il tait n cessaire de constituer des bases de donn es et dans cet objectif un glossaire de p dologie a t publi De nombreuses fiches de terrain ont t propos es am lior es puis en d finitive non retenues pour de multiples raisons souplesse ergonomie retranscription ex ploitation des donn es etc l essor actuel des micro ordinateurs portables serait il la solution ce probl me 2 la cartographie p dologique tend se marginaliser au profit d tudes sp cialis es o le nombre des variables est restreint et limit et o le traitement fait surto
435. tiques majeure consiste permetire l int gration et le traitement de donn es spatialis es d origine de forme et de nature diff rentes La disponibilit d un tel outil d information pour r pondre une probl matique de recherche en g ographie par exemple est donc tr s souhaitable Or partant d un cas concret celui de l tude de la dynamique spatiale des productions agricoles des cerrados du Br sil il a fallu faute d avoir dispo sition un v ritable SIG mettre au point une m thode facilitant la mise en relation de l information issue de cartes th matiques sur l environnement physique avec des statistiques municipales de production agricole Cette d marche qui n est qu un palliatif l absence de SIG conduit l obtention rapide de r ponses certains aspects d un probl matique ne se limi tant pas aux seules relations entretenues par le milieu naturel et la production agricole Suivre une telle voie o l optique de recherche est privil gi e et non pas la gestion territoriale demeure compatible avec la future mise en place d un SIG tout en apportant une solution partielle qui pourrait ventuellement trouver d autres applications Autrement dit la raret des SIG fonctionnels et accessibles ne conduit elle pas le chercheur se forger des outils moins lourds tout en adoptant des techniques standardis es Deux questions se posent alors comment assurer la compatibilit entre bases de donn es th matique
436. tis de Quito et le SIG Veracruz ont en commun de traiter de syst mes logi ciels int gr s vocation multitk matique et multim dia et finalit cartographique 3 groupe Avec SISGEO et SISIMAGEM que l on peut dissocier il s agit d une importante collection de bases de donn es th matiques autonomes mais int gr es dans une approche commune selon les propres termes de P Enfin inclassable quoique posant une question concr te et pertinente l expos sur LEICA aborde le probl me de la mise disposition d une base de fonds de cartes num ris s Comme on le constatera donc ces diverses initiatives paraissent le plus souvent ind pendantes les unes des autres d une part et d autre part faire fi des logiciels disponibles sur le march Or pour revenir notre perspective strat gique la question fondamentale de cette journ e me parait tre la suivante Si l on est d accord avec la conclusion de D DAGORNE selon lequel La cl du succ s est le logiciel et la cl de la r ussite du logiciel est la standardisa lion comment assurer cette standardisation sans pour autant bloquer ce foison 209 nement d initiatives individuelles ou de petits groupes Nous ne pourrons sans doute pas r pondre cette question fondamentale dans cetie seule journ e mais souhaitons le puisse t elle contribuer clarifier le d bat partir d informations r ciproques REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES CHEYLAN
437. toutes les op rations de cette gestion depuis la collecte jusqu l exploitation des donn es de l exp rimentation c est dire la cr ation de la feuille de collecte l informatisation des donn es la critique et la correction de celles ci ainsi que leur utilisation La fa on dont SISBIO s acquitte de cette t che d pend de la conception g n rale du syst me et des priorit s qui lui sont attach es Pour remplir pleine ment son r le le programme doit tre simple d utilisation mais suivant la fonction des utilisateurs le bien fond de cette appr ciation peut varier notablement Trois utilisateurs potentiels ont t identifi s l op rateur qui saisit les donn es le res ponsoble scientifique qui conduit l exp rimentation et l utilisateur des donn es Vu sous l angle de ces trois utilisateurs la conception de SISBIO a t guid e par quatre grands principes la rigueur la s curit la simplicit et la souplesse La pr sente communication expose successivement la conception et les objectifs du syst me ainsi que les techniques adopt es pour les atteindre L utilisation pratique de SISBIO est galement pr sent e en suivant pas pas toutes les tapes d une exp rimentation SISBIO a t test durant un cycle de culture et s est r v l un instrument de travail pr cieux tant par le c t complet de gestion que par sa souplesse d utilisation ou encore par l aspect de s curit des donn es Toutefois si
438. tre repr sentations spa tiales et ordonnancements du fichier descriptif a permis la construction de la d fi nition du type sous quipement On comprend ais ment comment il est ensuite possible d tudier les diff rentes formes dans leurs diversit interne tant donn la taille du fichier descriptif ordonn correspondant 275 ee itl i i CL 500 sms er 4 8 Sees Z272 4 ee EER a ss F T E Tl gt A F TZ 22 DOA n ae aa u E Z 3S EXEC EE SH lt A da E E x4 LA ESS SR RRR F N NL we ri 4 m jill es Wm lt P tv T T lt FF ILL I 9 Kaaa SUBSTITUTS et SANS EQUIPT SANS SYST D EVACUATION SUBSTITUTS C CIT F SEPTIQUE LATRINES et SANS EQUIPT SUBSTITUTS C CIT FUSSE SEPTIQUE et LATRINES SUBSTITUTS C DIT F SEPT LAT SANS EQUIPT EQUIPES SUBSTITUTS C CITERNE F SEPTIQUE SANS EQUIPT EQUIPES SUBSTITUTS C CITERNE LATRINE SANS EQUIPT EQUIPES CARACTERISTIQUES DU LOGEMENT SECTEURS ROSARIO COMITE DEL PUEBLO EQUI
439. ts possibles Pour cette raison au contraire des fichiers de donn es brutes qui sont acc s direct les fichiers d humidit s volumiques sont s quentiels et en caract res ASCII Ceci permet leur importation dans des logiciels du commerce leur utilisation ais e avec tout type de langage informatique et leur modifi cation dans un traitement de texte Une autre qualit remarquable de SISOND est sa s curit d emploi Un syst me de BACKUP obligatoire et RESTAURATION ventuelle de tous les fichiers de donn es brutes modifi s le garantit contre les incidents de fonctionnement D autre part les op rations dangereuses comme cr ation ou suppression de fichiers ou de registres ne peuvent tre effectu es que par les utilisateurs connais sant le mot de passe Un facteur important n a cependant pas t pris suffisamment en consid ration celui de la maintenance On a consid r que celle ci se limitait la cor rection des erreurs r siduelles et la compl mentation du syst me En fait si on veut donner un travail informatique une certaine p rennit il faut qu il puisse b n ficier aux moindres frais des derni res am liorations dans le langage utilis et des nouveaux outils mis disposition SISOND a t crit en langue espagnole avec la version 3 0 de TURBO PASCAL et par conception n cessitera une refonte importante pour pouvoir b n ficier des avantages de l environnement li la version 4 0 de T
440. ttant en oeuvre l application G rer les insectes Des facilit s sophistiqu es de r cup ration d information se ront impl ment es cette occasion pour permettre la s lection des insectes soit partir de la d nomination populaire principale soit encore partir du nom scien tifique abr g genre esp ce de mani re respecter les habitudes traditionnelles des entomologistes La pr sentation de cette version est envisag e pour la mi 1990 si le sch ma physique s av re satisfaisant des ressources analogues pourront tre mises en oeuvre pour les vari t s culturales 4 5 SISECSO Le module consacr aux donn es socio conomiques a t pris en charge par l quipe d conomistes du CPAC confront e aux s rieux probl mes pos s par la r gion des savanes qui connait une forte expansion de l activit agri cole Le travail de conception qui a t r alis jusqu ici pr voit le d veloppement d un logiciel destin syst matiser l obtention et faciliter la manipulation des in formations conomiques et sociales utilis es dans la recherche agronomique La version initiale du module central est pr vue pour traiter seulement les donn es de recensement d mographique production agricole et levage au ni veau de la commune provenant de l IBGE Instituto brasileiro de geografia e estatistica La figure montre le diagramme de flot de donn es de niveau qui a t labor pour ce travail lequel appel
441. tte repr sentation ou reproduction par quelque proc d que ce soit constituerait donc une contrefa on sanctionn e par les articles 425 et suivants du Code p nal ISSN 0767 2896 ORSTOM 1990 5 AVANT PROPOS les s minaires informatiques de l ORSTOM S minfor sont des r unions organis es conjointement par la Commission Scientifique des Sciences de l Ing nieur et de la Communication CS07 et la Mission Technique Informatique MTI avec un soutien financier de la Mission Technique Formation MTF Elles se proposent essentiellement de r unir les acteurs de l informatique l Institut quelles que soient leurs disciplines de rattachement autour d un th me m thodologique relevant des techniques de traitement automatis de l information Ainsi S minfor 1 s est tenu au si ge de l ORSTOM a Paris du 06 au 08 octobre 1987 pour r pondre la question Bases de donn es et syst mes d information quelles m thodes Le deuxi me s minaire a eu lieu au Centre ORSTOM de Montpellier du 26 au 28 septembre 1988 pour aborder un sujet intitul La mod lisation aspects pratiques et m thodologie La troisi me dition de S minfor a t organis e au Centre ORSTOM de Bondy du 26 au 28 septembre 1989 sur le thame des Syst mes d information pour l environnement dans le but de faire connaitre l tat actuel des r alisations de l Institut dans ce domaine et de favoriser une r flexion collective S minfor 3 a t
442. tuent une masse d information consid rable C est en 1967 que le Bureau Central d Hydrologie bas Paris a d cid d informatiser la gestion de ces donn es Un long et fastidieux travail de saisie sur cartes perfor es a t entrepris et poursuivi durant plus d une d cennie Parall lement des programmes FORTRAN ont t d velopp s par les hydro logues eux m mes afin d exploiter cette information sur les ordinateurs du CNRS CIRCE Plusieurs tapes successives passage des cartes perfor es aux bandes puis disques magn tiques programmes de gestion en COBOL utilisation de termi naux d veloppement progressif de logiciels de gestion ont conduit la cr ation 50 de deux banques de donn es l une pour l hydrom trie l autre pour la pluvio m trie ind pendantes dans leur organisation et leur gestion mais toutes deux plac es sous la responsabilit du Laboratoire d Hydrologie d sormais bas au Centre ORSTOM de Montpellier Cette communication laisse volonta rement de c t les descriptions techniques sur l organisation interne et les outils de gestion de ces banques qui sont respectivement HYDROM et PLUVIOM Le premier a fait l objet d une pr sentation tr s d taill e par son auteur G Cochonneau lors de SEMINFOR 1 Cochonneau 1987 Le second sera pr sent dans ce SEMINFOR 3 par l un de ses auteurs P Raous par une communication et une d monstration 1 ORGANISATION GENERALE Elle est sch matis
443. ture AL structure grumoclode 1 anguclode 3 couleur texture structure structichron 3 10 YR 3 2 AL grumoclode 1 anguclode couleur 5 YR 4 4 structure amerode texture L lapidon 1 Figure 5 342 3 22 La classe PROFIL Les variables d instance sont utilis es pour g rer cette fen amp tre et ses ouver tures Le champ r ponse est initialis par un sous arbre du dictionnaire Resultat M thodes affichl1 affiche la liste des horizons existants d j pour ce profil affichl2 affiche la liste des descripteurs affichtext affichage dans textPanel des directives ventuelles de saisie ajouteMenul 1 routine du menu de la colonne 1 Ajout d un horizon d crire corpsNaturels permet d ouvrir une fen tre de description des corps naturels effaceMenull supprime un horizon existant initialise un symbole initialis reponse et numeroSite et proc de l ouverture de la fen tre limitelnf faire limiteSup faire listchT aSTRING initialise s lection par aString listch2 oString initialise s lection2 par aString et proc de activation de la routine s lectionn e retourne le menu pour la colonne 1 menul2 retourne le menu pour la colonne 2 open description de la fen tre et de son fonctionnement typeHorizon faire 3 23 La classe CORPS NATUREL C est une fen tre ouverte sur le dernier niveau de l arbre Resultat C
444. tures via le passage aux stations de travail et aux environnements sp cialis s par l interconnection de plusieurs mat riels en r seau est alors li la standardisation du logiciel applicatit d velopp et la transparence des donn es 5 DONNEES ET REPRESENTATIONS 3 1 Nature des donn es 3 1 1 Image La donn e l mentaire d une image est la valeur du pixel celui ci tant d fini par sa position ligne colonne et ventuellement son canal si la mesure est effectu e travers plusieurs fr quences spectrales Les premi res donn es manipul es ont t des images brutes issues des capteurs satellitaires m t orologiques radiom tres balayage avec la valeur du pixel en Compte Num rique cod e sur plusieurs bits de 10 Cette valeur est issue du syst me de num risation de la mesure dans le domaine spec tral du capteur essentiellement visible et infra rouge dans notre cas Apr s traitements radiom triques algorithmes g ophysiques corrections di verses la valeur du pixel image peut avoir une signification quantitative bien diff rente de sa valeur initiale d o la n cessit de pr voir la mesure de celui soit directement dans l image en valeur physique soit travers une table de correspondance CN valeur est galement possible d avoir des donn es sous forme d images synth tiques issues de traitements plus ou moins sophistiqu s de reconstitution de pixels part
445. type sous quipement type d habitat Mediagua 5 quipement en sanitaires sans sanitaires vacuation des eaux us es sans syst me approvisionnement en eau puits ou fontaine approvisionnement en eau r seau public branchement hors difice approvisionnement en eau camion citerne vacuation des eaux us es fosse septique quipement en sanitaires latrines mat riau sol terre mat riau toit zinc ou similaires mat riau sol brique ou ciment approvisionnement en lectricit sans approvisionnement en eau ruisseau ou rivi re 2 2 Une partition pour chaque variable en quatre classes Ces classes permettent de positionner les ilots par rapport la r partition d ensemble de la variable s agit de classes de pourcentages de logements par ilots g n ralement 096 1 3396 34 6696 et 67 10096 qui d finissent les diff rentes situations possibles par rapport l ilot moyen absence proportion inf rieure proportion proche proportion sup rieure 3 Residencial maison de location ot l on peut disposer au moins d une habitation allant de la pi ce simple l appartement 4 Adobe ou Tapia torchis ou pis 5 Mediagua Habitat d un seul niveau et ayant un toit compos d un seul pan 264 2 3 La d finition des premi res manipulations les r sultats de l analyse multivari e permettent de d gager l importance des variables d quipement du logemen
446. u Nord et surtout en Hollande syst me g n ral pour la planifi cation nationale INSYRON prenant en compte donn es du milieu et donn es sur la population et l habitat Les organismes internationaux en particulier la FAO s int ressent aussi aux SIG La FAO a en cours p riode 85 90 un SIG portant sur 29 cartes th matiques au niveau du continent africain chelle 1 5 000 000 pour la planification et la synthase g n rale Cet organisme favorise galement des projets nationaux ou r gionaux en Afrique et semble jouer un r le pilote dans ce domaine La situation en France est voqu e dans ce rapport travers le cas des SIG urbains soci t ICOREM Toulouse du SIG exp rimental conduit par le BRGM sur le vignoble du Vaucluse Ce rapport cite enlin les tentatives de l ORSTOM au Br sil et Mexique Mais au niveau des r alisations la France gu re la pointe dans ce domaine et vrai dire elle parait en retard Cf conclusion n 5 du rapport SCOT Pour r sumer on constate donc 19 que de nombreux SIG se trouvent op rationnels comme outils de ges tion et d aide la d cision dans trois types d applications th matiques gestion des r seaux gestion urbaine gestion des p rim tres forestiers 29 que d autres applications fonctionnelles sont cours de r alisation avec cette fois des objectifs de planification globale ex hollandais ou d tudes et synth ses Cf FAO 207 3 que de
447. u SITIM puisque certains logiciels comme TIMOR offrent d j des facilit s int ressantes de traitement et restitution d images malgr une vi sualisation de faible qualit L interconnexion du module central avec le module local sera faite dans les deux sens c est dire qu il existera la possibilit d alimenter le module central par le module local mais aussi que les donn es et ressources de la base centrale seront partag es et accessibles par le biais du module local De cette fa on les changes d information l acquisition de nouvelles images les traitements et les am liorations de celles ci seront rationalis s et par voie de cons quence il en sera de de la diffusion de ces donn es parmi la communaut scientifique br silienne On pr tend aussi de cette fa on atteindre la communaut scientifique internationale dans la mesure o les r seaux de communication de donn es se d veloppent de plus en plus Une des pr occupations majeures de l quipe de mise au point du SISIMAGEM concerne la facilit d utilisation de ses ressources par des personnes peu familiaris es avec l ordinateur Dans cette perspective l quipe th matique cherchera transf rer la technologie c est dire qu elle orientera l quipe infor matique dans le but d automatiser le maximum de connaissances scientifiques et techniques de la t l d tection en m me temps que le savoir faire pratique indis pensable h rit du grand nom
448. u de graphique vecteur Il en ressort que le traitement d images n est qu une des composantes du logiciel parmi plusieurs autres possibles dont les fonctionnalit s graphiques en mode GKS et la manipulation de donn es spatialis es d finies en latitude et lon gitude Ces derni res donn es peuvent se pr senter sous forme de champ or donn climatologie r sultat de mod le etc de points discrets relev s aux stations ou de segments cartographie le logiciel prend en compte la plupart des sources possibles de donn es satellitaires m t orologiques d filants ou g ostationnaires avec les l ments in dispensables permettant les corrections radiom triques calibrages effets des angles de vis e et g om triques localisation La disponibilit d outils de transparence g om trique permet la superposi tion et la restitution cartographique de donn es multisources satellitaires ou non diverses r solutions spatiales ou temporelles et ceci sous forme quelconque les divers modules de traitements les structures de donn es et les inter faces de repr sentation image ou graphique sont utilisables sous n importe quel environnement informatique aux p riph riques pr s de visualisation et d impression 228 Les outils d crits trouvent un emploi dans un logiciel g n ral d application en t l d tection dans divers d veloppements avec l utilisation de librairies de gestion de donn es et de repr sentations
449. u rivi res suppl mentaires Fleuves ou rivi res interm diaires Fleuves ou rivi res mineurs Principaux fleuves ou rivi res intermittents Fleuves ou rivi res intermittents interm diaires Fleuves ou rivi res intermittents mineurs Les fronti res d tat Fronti res stables Fronti res instables Autres lignes de d marcation Les fronti res internes des pays S paration interne dans un pays USA 0 1 100 pour chaque contour sous contour St r opolaire sph rique ou elliptique Lambert s cante I Mercator quatoriale Mercator transverse universelle Mercator quidistante directe Lambert conforme Tableau 3 Liste des param tres d extraction de fonds de carte 287 SISGEO UNE METHODOLOGIE D ADMINISTRATION DES DONNEES DE L ENVIRONNEMENT RURAL Patrick SECHET Paulo S V FRESNEDA amp G rard COCHONNEAU RESUME L EMBRAPA Entreprise Br silienne de Recherche Agronomique est amen e collecter des donn es de sols climat v g tation de fa on compl ter les informations sur l environnement dont elle a besoin pour mener bien ses programmes de recherche notamment ceux qui visent une exploitation rationnelle des ressources du milieu rural Compte tenu du volume important de ces donn es et de la difficult de manipulation qui en r sulte il a t d cid de les rendre disponibles sur ordina teur De cette mani re la composition de toutes ces informations partir de cri t
450. ue pour interpoler une fonction don n e qui peut tre bilin aire biquadratique bicubique sur maille rectangulaire li n aire sur triangulation isoc le etc le support est un canevas irr gulier l int rieur duquel on applique une fonction donn e g n ralement bilin aire sur triangulation le support est un canevas irr gulier partir duquel on applique une fonction de type barycentrique le support est un canevas irr gulier partir duquel on applique un mod le statistique permettant d valuer l altitude la plus probable en un point quelconque Krigeage Nous appellerons points de r f rence les points du plan qui servent de support au mod le et permettent l interpolation Bien s r ces points ne sont pas quelconques ils doivent tre choisis en fonction du mod le utilis m me dans le cas d un canevas irr gulier Nous avons choisi de mettre en oeuvre une m thode barycentrique Le ca nevas pour un tel mod le peut tre irr gulier La m thode de calcul consiste en une interpolation de type barycentrique sur les huit points de r f rence les plus proches du point interpoler r partis dans les huit portions du plan figure 1 l importance d un point de r f rence tant d autant plus grande dans le r sultat 136 p vl 8 P 505 K p2 v2 Pij Pm x NX m p7 V7 by d Pij p2 j p6 v6 SFA p3 v3 Id Pa p tv4Y X E m
451. ue essentielle du programme SISGEO est de constituer une tentative de rapprochement entre les syst mes d information constitu s l initiative des chercheurs de chaque th me du milieu naturel et les nouvelles applications d analyse g ographique de l environnement permises par le d veloppement des techniques infographiques Pour l instant le syst me peut tre utilis comme un ensemble de fichiers de base seule la totale int gration des donn es fournies par les modules th ma tiques dans un syst me capable de manipuler la spatialisation des informations permettra de tirer profit de l ensemble des donn es accumul es en accord avec les standards d finis par les sp cialistes de chaque discipline au moment de col lecter et analyser les observations qui les concernent 315 SISGEO SISIRIBU SYSTEME DE DISTRIBUTION DE LOGICIELS 1 Attributs utilisateurs G rer les Dil UTILISATEURS Compte rendu Utilis 2 Donn es de versions G rer les D2 LOGICIELS logiciels 3 Composition Sollicite envoi Traiter les R f rences utilisateur Compte rendu traitement m commandes Version ant rieure Disquettes tiquettes documentation D3 Fig 10 Diagramme de flot de donn es niveau 0 SISTRIBU 316 Un tel programme est videmment tr s ambitieux et suppose qu un certain nombre de pr cautions soient prises il a fallu d abord s assurer que le cadre institutionnel de
452. ulture et l levage les 13 derni res aux crit res socio co nomique Tableau d ensemble d coup respectivement en 3 blocs bloc 1 bloc 2 bloc 3 A chacun des blocs ainsi form s et au bloc d ensemble ont t adjoints des l ments suppl mentaires des variables en colonnes et des indivi dus 42 paroisses en lignes Le tableau de la pr sente application croise donc 280 paroisses dont 42 en suppl mentaires avec les 9 variables aff rentes l agriculture et l levage 3 LE ROLE DES PROGRAMMES DE CREATION DE TABLEAUX Quelques programmes de cr ation de tableaux suffisent l utilisateur non programmeur pour d pouiller par lui m me une enqu te par questionnaire et analyser un ensemble de variables h t rog nes recueillies sur le terrain La pr sente notice est consacr e un ensemble de tels programmes Le plus important de ces programmes zrang sert ranger observer et d couper les variables d un tableau ranger c est dire ordonner par valeurs croissantes observer en affichant des tableaux de valeurs des histogrammes des croisements et m me des cartes analytiques servant tablir celle qui rendra compte de la synth se g n rale des donn es effectu e par l analyse des correspondances et la classification automatique d couper en fixant un ensemble de modalit s et en cr ant un tableau de num ros de modalit s ou un tableau binaire Un programme cr ant des histogrammes
453. unes sont les sui vantes mode XS canaux 1 2 et 3 r solution 20 m tres couvert nuageux im portant sur les zones de for t pour la qualit L heure de la basse mer aux iles du Salut tait 12h10 190 Une collaboration avec les organismes de recherche BRGM ENGREF CNES et d am nagements EDF DAF DDE permet de constituer une banque de donn es images sur support magn tique qui s toffe chaque projet nou veau Ainsi trois nouvelles sc nes Landsat Thematic Mapper d une r solu tion de trente m tres sur six canaux ont t acquises r cemment 1 4 Consultation catalogue Plusieurs consultations des images existantes ont t demand ss au cours de l ann e notamment aupr s de l INPE au Br sil g rant les demandes concer nant LANDSAT TM sur l Am rique Latine Pour SPOT les consultations catalogue sont facilit es par l acc s via le r seau TRANSPAC au serveur BRAMS de Toulouse Cette possibilit nous a permis de suivre l volution des sc nes acquises pendant les p riodes aux demandes de programmation 2 ETUDES DES ESTUAIRES ET DES FLEUVES DE GUYANE A L AIDE DES TRAITEMENTS DE DONNEES LANDSAT MSS ET SPOT Le littoral de la Guyane appartient Fun des plus importants syst mes mondiaux de c tes basses et envas es entre l Amazone et le delta de l Or noque PROS M T 1988 De nombreuses observations YAYER 1937 BOYE 1961 et tudes DELFT L H 1962 ont d
454. ur que sur son expression graphique traitement vid o Ceci est le cas dans la plupart des domaines de l imagerie qui ne s int ressent qu l aspect pu rement visuel du r sultat robotique g n ration d images synth tiques m dical etc C est pourquoi dans notre domaine il importe de ne pas faire l amalgame entre traitement d images et t l d tection si parfois la donn e satellitaire ou non peut tre trait e directement en tant que repr sentation sur ce type de mat riel 233 3 2 2 Mode graphique ou vecleur On cherche repr senter une donn e par des moyens graphiques issus de la technologie des traceurs Ce mode est en volution constante au niveau mat riel par l introduction de la couleur de l interactivit et des techniques de rasteri sation rendu possible par les progr s et les co ts de la technologie cas des consoles graphiques des cartes additionnelles sur PC et de certains traceurs L acc s un p riph rique s effectue par des couches de logiciels sp ciali s s Ces couches peuvent tre disponibles avec les fonctions de base graphiques interface virtuel au sein de normes garantissant l ind pendance du mat riel norme GKS dans le domaine 2D De plus il est possible d acc der dans des biblioth ques sp cialis es des fonctions de hauts niveaux permettant des repr sentations de donn es Pour les champs ordonn s l utilisation de fonctionnalit s de contourage de v
455. urant cette p riode dans le secteur de la gestion des r seaux et des tudes de bassins repr sentatifs 4 ACTUALISATION DES FICHIERS La disponibilit d une banque performante est un objectif pour tout service ou organisme gestionnaire d un r seau d acquisition et de traitement de donn es naturelles est fondamental que cette banque soit r guli rement actualis e La cr ation de la banque hydropluviom trique de l ORSTOM s est av r e n cessaire pour la mise en forme d une masse de donn es d j existantes consid rable et rapidement croissante et pour le traitement d une information de base fondement de tous les travaux de synth se r gionale Jusqu au d but de la pr sente d cennie l ORSTOM produisait ses propres donn es essentiellement en hydrom trie Le probl me est que l ORSTOM ne g re plus de r seaux sauf dans quelques cas isol s et que les postes d observation se trouvent pour plus de 90 l tranger L actualisation de nos fichiers est donc aujourd hui directement li e aux opportunit s qui se pr sentent dans le cadre de conventions bilat rales avec les gestionnaires de r seaux ou de contrats d tudes n cessitant Une mise jour des s ries existantes La faible densit de donn es pour la p riode post rieure 1979 montre que l actualisation est loin de pr senter un caract re syst matique En Afrique francophone la m morisation des donn es a t plac e sous la responsabilit d
456. ut appel l outil statistique Il n en demeure pas moins que le sol doit tre appr hend comme un objet complexe et voluant dans un milieu climat v g tation topographie g ologie g omorphologie activit humaine etc qui lui est propre et hors duquel l interpr tation de ph nom nes particuliers pourrait tre sujet caution Envisageons alors les renseignements concernant le sol comme un tout Il semble plus judicieux de sch matiser par un arbre la branche profil est seule tre quelque peu d taill e pour donner un aper u de la complexit de information Au niveau des corps naturels chaque sous arbre peut tre diff rent c est dire donner lieu un sch ma de description sp cifique 1 1 Rappel de quelques d finitions concernant le sol Profil p dologique coupe verticale d un sol allant de la surface la roche m re figures 1 amp 2 Horizon dans la coupe verticale d un sol ou profil couche g n ralement horizontale qui se distingue par ses caract ristiques p dologiques Cette notion permet de situer verticalement limite sup rieure limite inf rieure les corps natu rels et de quantifier ces entit s reconnues les unes par rapport aux autres 333 CLIMAT 1 2 ET Corps naturels Figure 2 Le profil horizons et corps naturels 334 Corps naturel le plus petit ensemble structural naturel homog ne recon naissable l oeil nu qu il soit possible de d limiter Le
457. ut du soleil dans ce cas 140 est tr s facile par sv perposition des ombres le programme VISUCAVAL Lortic permet alors de visualiser l image panchromatique en 3D La luminance produit de l clairement par le facteur de r flexion de la surface terrestre nous est donn e par l image satellitaire la posi tion de chaque point est donn e par le MNT cr par le logiciel BABEL M Souris est possible aussi d utiliser la surface de d formation comme une valeur des altitudes et l imagerie multispectrale peut donner l clairement multispectral La composition color e classique en t l d tection est alors pr sent e en relief 3 INTEGRATION L BASE DE DONNEES Pour int grer de l imagerie la base de donn es g ographiques il im porte de choisir la projection utilis e le plus fr quemment par les divers utilisa teurs car les transformations de projections ne sont pas encore envisag es L op ration de recalage effectu e pr c demment entre deux images obliques doit s effectuer en vue du recalage entre les images et la cartographie disponible La digitalisation par l AIQ d une cartographie au 1 2 000 de l IGM re pr sentant les limites des p t s de maisons dans une projection UTM Les images SPOT et Th matic Mapper disponibles sont recal es sur cette projection Cette technique nouvelle ouvre un vaste domaine d utilisation Nous pou vons ainsi obtenir par l imagerie satellitaire la densit de v g
458. v es dans les cam pagnes li es au cr dit l volution des cours des produits agricoles o volution du r seau routier Ces premiers travaux nous orientent donc vers la recherche d une proc dure qui serait celle d une cartographie des paysages et syst mes agraires fon d es sur les crit res visuels classiques photo interpr tation cet gard l image SPOT panchromatique s av re d un grand int r t reste que la couver ture compl te de l tat de Veracruz signifierait l acquisition d une vingtaine d images SPOT ce qui ne peut relever des attributions de l ORSTOM 2 LES TECHNIQUES 2 1 La description du syst me On ne d crira ici que l architecture et la philosophie g n rale du syst me Tigre Pour de plus amples d tails nous renvoyons le lecteur aux diverses publi cations de Marc Souris et al L information g ographique est complexe et vari e donn es multiples h t rog nes de sources tr s diverses cartes t l d tection spatiale relev s de terrain donn es statistiques Ces donn es n ont souvent aucun lien a priori 326 entre elles autre que leur localisation dans l espace qui peut tre donn e sous des formes tr s diverses L originalit du syst me a t d tendre le principe de la gestion relationnelle des objets que ce soit des zones des lignes des r seaux des points et ind pendamment de leur mode de stockage et repr sentation Enfin si la localisati
459. va d finir une fen tre de travail pour cr er le mod le nv m rique gr ce au programme d interpolation 3 LA VISUALISATION Cr er un mod le num rique de terrain peut servir beaucoup de choses Nous allons nous int resser ici la visualisation en trois dimensions car avant tout traitement cette visualisation apporte un compl ment p dagogique important pour tous les probl mes faisant intervenir le relief 138 Le MNT est une grille de points cot s Repr senter cette grille en 3D choix de la rotation et de l incidence de l observateur par rapport au rep r de base peut se faire de plusieurs mani res repr sentation filaire Seules certaines lignes de la grille sont trac es l impression du relief peut tre bonne mais d pend de l angle de rotation les lignes sont celles de la grille C est n anmoins la seule m thode de repr senta tion sur traceur plume figure 4 repr sentation par luminosit Une source de lumi re est plac e sui vant un angle de rotation et une incidence choisies Chaque maille de la grille espace entre quatres points adjacents re oit et refl te une quantit de lumi re fonction de la position de sa normale avec les rayons lumineux supposera toujours la source de lumi re l infini donc des rayons lumineux parall les Cette quantit de lumi re est donn e par la loi de Lambert intensit proportion nelle au cosinus de l angle de la direction de la lumi re ave
460. vec sonde neutrons interviennent trois l ments l instrument de mesures le milieu et le dispositif exp rimental Dans le premier paragraphe on analysera le r le de chacun d eux ensuite on explicitera la conception de l exp rimentation sur laquelle SISOND a t b ti 1 1 Les l ments intervenant dans une exp rimentation neutronique 1 1 1 La sonde neutrons La sonde neutrons permet la mesure non destructive de la quantit d hydrog ne pr sente dans le sol soit en pratique la quantit d eau Elle se compose principalement d une source de neutrons rapides d un compteur de neutrons thermalis s et d une lectronique associ e La r ponse de la sonde des conditions donn es d pend de ces trois l ments et de sa g om trie c est dire de la facon dont ils sont assembl s Pour tester une sonde on la place dans des conditions de r f rence et on effectue pendant des p riodes de temps d termin es des comptages neutroniques Ces conditions de r f rence sont le plus souvent un baril d eau et parfois la sonde dans sa protection verrouill e Par construction la r ponse de la sonde dans l eau est voisine de 1000 ou d un autre multiple de 10 et pour exploiter les donn es on les ram ne g n ra lement celles d une sonde id ale comptant 1000 dans l eau Cette r ponse peut subir des d rives dans le temps des calibrages p riodiques sont donc recommand s et sont indispensables apr s toute intervention
461. xels Ces deux imp ratifs cartographie et matrice de points ramen s des pr tentions modestes ou du moins envisageables ont conduit d finir des outils et un ensemble de proc dures utilisables pour int grer l imagerie a rienne ou spatiale dans un syst me d information g ographique Nous nous situons d lib r ment dans le cadre d un institut tel que l ORSTOM et dans les applications en cours actuellement avec le syst me SAVANE M Souris Cette m thode est destin e satisfaire aussi bien l AKQ Atlas informatis de Quito que l atlas r gional de l tat de Veracruz ou des tudes de terroir au S n gal Nous allons d crire une m thode de recalage d images tape indispen sable leur int gration dans une banque de donn es images pour extraire une fen tre apr s d finition de la zone d tude et de croiser donn es images avec les autres informations de la base Comment int grer des images a riennes et spatiales avec une cartographie dans un syst me de gestion de cette information g ographique 103 Nous avons suivi quelques principes le recalage d images se fera suivant une projection d termin e Car on ne peut travailler que sur une matrice de points repr sentant une projection plane n est pas envisageable pour des questions d encombrement de stocker la donn es en coordonn es g ographiques auxquelles seraient associ es des va leurs de radiom trie les images sont stock es
462. xels d images Base de donn es d images 222 3 1 t Rapport de mise amp jour dur BD d isages Base de donn es Catalogue Donn es 3 2 d images fictualiser la catalogue Enbrapa 5 15 IMAGEM Fig 6 DFD de la fonction 3 G rer BD d images 223 SISIMAGEM 4 1 Vision monospectraie Sollicite visualisation Visualiser les images Donn es d image Pixels d image HLIPS DMAPS Base de donn es Base de donn es Catalogue d images donn es 22 Pixeis d image d image Histogramme unidimensionnel Sollicite histogramme les Histogramme multidimensionnel Histogrammes CHLIPS DMAPS eer ne 4 3 Sollicite extraction de zone Zone de travail Extraire Donn es d image FEE Pixels d image HLIPS DMAPS Base de donn es Base de donn es Catalogue d images T d image Sollicite calcul de surface Surface calcul e Calculer les surfaces HLIPS DMAPS gt 4 5 Sollicite navigation Point localis Haviguer dans Donn es d image 109093 Pixels d image HLIPS DMAPS Base de donn es Base de donn es Catalogue d images d image Messages de traitement Trai ter les canaux HLIPS DMAPS Fig 7 DFD de la fonction 4 Traiter les images 224 SIS TMAGEM Base de donn es Catalogue 5 1 Sollicite une sous sa ne Messages de navigation Chercheur Haviguer dans les images CHLIFS
463. ydrom triques partir des archives du Bureau Central d Hydrologie Ce n est plus le cas maintenant et l quipe charg e de la mainte nance des fichiers au Laboratoire d Hydrologie n a plus les moyens de mener des op rations de saisie sinon pour des volumes de donn es tr s limit s afin de compl ter des s ries La d marche actuelle du Laboratoire est de conduire une politique de r cup ration des donn es d j saisies disquettes ou bandes magn tiques car touches EPROM ou donn es t l transmises Pour cela une coop ration est syst matiquement recherch e avec nos anciens partenaires pour la cr ation de banques hydrologiques locales l aide des logiciels HYDROM et PLUVIOM Cette politique doit permettre de faciliter les changes de donn es et de rendre possible des mises jour p riodiques en particulier des s ries les plus impor tantes par leur amplitude et leur repr sentativit r gionale S CESSION DES DONNEES Les seules donn es cessibles sont les donn es en l tat c est dire les donn es originales non critiqu es qui repr sentent environ 8096 du total pour la banque hydrom trique La cession de donn es des organismes autres que les Services comp tents des pays concern s peut tre faite qu avec l accord de ces derniers La seule exception concerne la cession des tudiants ou Laboratoires uni versitaires de donn es n cessaires pour des travaux de recherches ou de th ses
464. yst me de gestion efficacit du syst me de d veloppement aide la mise en place de mod les forme des statique dynamique requ tes possibilit de prototypage faible faible naturelle 35 CONCLUSION Nous avons essay dans cette communication de montrer qu un certain nombre d outils actuellement d velopp s en informatique semblent particuli re ment convenir la mise en place des syst mes d information sur l environnement notamment dans le domaine des bases de donn es naturalistes et celui des grands programmes multidisciplinaires Parmi ces outils certains sont imm diate ment op rationnels le mod le relationnel et le mod le Hypertexte et nous recommandons tr s instamment aux chercheurs de l institut de tenir compte de leurs possibilit s dans le montage de leurs op rations de recherche D autres principalement issus de la formalisation objet en sont une tape exp rimentale et leur utilisation dans les programmes doit tre envisag e en collaboration avec les laboratoires de recherche dans le domaine faut savoir que ceux ci sont demandeurs d exp riences en grandeur nature AI DB integration requires theo retical and experimental work Experimental Al DB systems should be developped now to help identify difficult issues and to build a technology base for AI DB inte gration Do not wait for the theoretical problems to be solved before constructing AI DB systems M
465. yst me impose leur sauvegarde dans la disquette BACKUP avant de le quitter Inversement si le syst me a t quitt de facon bru tale panne de courant etc les fichiers modifi s sont restaur s dans leur tat ant rieur partir de la disquette BACKUP 2 3 2 Cot pratique et simplicit d emploi de SISOND Dans chaque programme l utilisateur est amen documenter un ou plu sieurs crans Pour faciliter cette t che ceux ci comportent toutes les indications n cessaires Parfois dans une fen tre apparaissent des informations com pl mentaires date des derni res collectes de donn es code des sondes dispo nibles etc Enfin si ces indications se r v laient insuffisantes il est toujours pos sible de faire appel au programme d aide Le texte en clair correspondant aux donn es documenter apparait alors sur l cran Dans un cran on est amen documenter des champs de donn es pas ser d un champ l autre ou au pr c dent etc Dans un programme on est amen passer d un cran au suivant ou au pr c dent revenir au menu g n ral etc Toutes ces op rations s effectuent en utilisant des commandes appro pri es Les indications n cessaires leur maniement apparaissent automatique 71 ment dans des menus de bas de page au fur et mesure de leur n cessit Ces menus ont t normalis s au niveau de SISOND et autant que faire se peut utili sent la fois les commandes de WORDST
466. zones peu carto graphi es et pour r aliser les tudes n cessaires estimer l impact de nouveaux am nagements sur l environnement 188 faisceau de constats a donn lieu une s rie d actions engag es d s 1986 aupr s de l Etat et de la R gion Guyane Ces d marches ont t concr ti s s par l implantation en janvier 88 d un syst me de traitement d image num rique Cayenne Celui ci remplit les quatre fonctions essentielles d un tel sys tame lecture stockage des donn es radiom triques visualisation traitement nu m rique et production de documents de travail et de documents labor s 1 ASPECTS TECHNIQUES DU LABORATOIRE DE TRAITEMENT D IMAGES Depuis 1988 le syst me fonctionne avec Fappui des structures et des moyens de l ORSTOM Le mat riel est un P ricolor 1500 d origine MS2I qui poss de un ventail de logiciels sp cifiques au traitement des donn es de t l d tection Les raisons qui ont guid ce choix ont largement tenu compte de l loignement du site de la m tropole de l aspect op rationnel de la machine munie de ses p riph riques et des utilisations p dagogiques possibles stages cueil de chercheurs trangers etc 1 1 Description du mat riel er caract ristiques techniques l unit centrale est un PERICOLOR 1500 ordinateur muni des processeurs suivants 1 bits programmable arithm tique 32 bits flottants parall le 128 bits programmable matric

SÉMINFOR 3.: Systèmes d`information pour l`environnement

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