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RAPPORT ANNUEL - International Atomic Energy Agency

1. gt o o lt Lu 2 O lt He 2 Lu lt Lu a 2 oO oc OH lt H Lu Zz O H lt H Z Lu gt lt processus biochimiques la fixation et la lib ration des r sidus de pesticides et la min ralisation des pesticides On a utilis comme radiotraceurs des compos s marqu s au carbone 14 Les r sultats ont fait appara tre que certains pesticides inhibaient temporairement la croissance microbienne et divers processus biochimiques dans le sol tandis que d autres les stimulaient Avec le temps toutes les applications provoquaient une augmentation des quantit s de r sidus fix s par le sol Par ailleurs la min ralisation de pesticides radiomarqu s tait moins importante dans les sols soumis des applications r p t es de pesticides Les informations obtenues permettront d aider les tats Membres laborer de meilleures strat gies de gestion des pesticides Le Centre FAO AIEA de formation et de r f rence pour le contr le de la qualit des produits alimentaires et des pesticides des Laboratoires de l Agence a Seibersdorf a continu d aider les organismes nationaux charg s de la surveillance des aliments dans les tats Membres en d veloppement renforcer leurs capacit s d analyse des contaminants notamment dans le cadre des activit s suivantes organisation d un atelier RCA aux Philippines et d un cours FAO AIEA interr gional sur les proc dur
2. a lt x j Lu lt SE OH a oO GESTION 32 consultants Quatre vingt douze nationalit s taient repr sent es parmi les 682 membres du personnel occupant des postes soumis a la r partition g ographique GESTION DE L INFORMATION Nombreux sont les objectifs pr sent s dans la Strat gie moyen terme de l Agence qui font explicitement mention du plein usage de la technologie de l information Les activit s Nombreux sont les objectifs pr sent s dans la Strat gie moyen terme de l Agence qui font explicitement mention du plein usage de la technologie de l information sp cifiques l appui de ces objectifs ont port sur l laboration d un module de gestion de l information destin au Programme pour le certificat de gestion sur des projets concernant la rationalisation des bases de donn es et sur un syst me de gestion des documents commun toute l Agence SERVICES INFORMATIQUES Beaucoup de temps et d efforts ont t consacr s au probl me du passage informatique l an 2000 L ensemble de l infrastructure informatique a t test e et les mesures correctives requises ont t prises L effort visant assurer la conformit an 2000 tait achev en novembre et un service sp cial avait t pr vu pour aider d autres d partements de l Agence tester la conformit de leurs propres applications le syst me financier FICS par exemple En outre u
3. l lt o Lu zZ Lu 2 o Lu D lt lt ez LU Es LU D D LI a lt positives se sont transform es en attitudes g n ralement n gatives dans divers pays pour plusieurs raisons Les d cideurs taient pr ts auparavant accepter les arguments techniques en faveur de l lectronucl aire et les valuations techniques de la s ret des r acteurs et des installations de stockage d finitif de d chets Maintenant certains ont adopt une position antinucl aire et d autres ont pris conscience que m me si des plans techniquement acceptables existent ils ne L Agence ex cute de multiples programmes techniques relatifs l ing nierie des r acteurs qui permettent de partager des informations sur l am lioration et le suivi de la performance des centrales peuvent toujours pas aller de l avant sans gagner l acceptation du public Pour ce qui est de l industrie des combustibles nucl aires une augmentation des taux de combustion des coefficients thermiques plus lev s des cycles du combustible plus longs et l emploi de combustible oxydes mixtes MOX sont essentiels pour am liorer l conomie du cycle du combustible nucl aire dans son ensemble En cons quence les compagnies d lectricit et les fournisseurs de combustible ont r cemment lanc des programmes de R D portant sur l am lioration de la conception du combustible et des mat riaux employ
4. R publique islamique d Iran Cours r gional sur l assurance de la qualit des syst mes SPECT Costa Rica S minaire international sur l application th rapeutique des radiopharmaceutiques Inde Atelier national sur la curieth rapie intraluminale et interstitielle R publique islamique d Iran Bases scientifiques de la radio oncologie Afrique du Sud Atelier r gional sur la planification de la sant et l harmonisation de l enseignement Afrique du Sud Cours sur les techniques modernes de curieth rapie Norv ge Cours th orique sur la m thodologie de la recherche clinique Italie Cours sur le recours l imagerie pour la d termination du volume des cibles en radioth rapie Royaume Uni R union des coordonnateurs de projets sur l assurance de la qualit en radioth rapie Australie Cours r gional sur la sensibilisation du public et des professionnels Sri Lanka Cours interr gional sur la planification des traitements cliniques en t l th rapie et curieth rapie Lituanie Cours r gional sur les fondements de l assurance de la qualit clinique en radio oncologie Philippines Cours r gional sur les techniques de pr servation du sein en cas de cancer Maroc Cours sur les bases scientifiques de la radio oncologie principes et m thodes en russe Slovaquie Cours r gional sur les fondements de l assurance de la qualit clinique en radio oncologie Philippines Cours r g
5. 369 288 327 290 263 359 435 98 244 130 152 237 110 144 111 233 305 247 92 211 127 249 85 171 135 239 120 131 165 161 123 122 Tableau A16 ACCORDS PREVOYANT DES GARANTIES suite vi Q Q Q e QR Q L Agence applique aussi des garanties au titre de deux accords INFCIRC 133 et INFCIRC 158 des installations nucl aires situ es a Taiwan Chine Conform ment a la d cision adopt e par le Conseil des gouverneurs le 9 d cembre 1971 selon laquelle le Gouvernement de la R publique populaire de Chine est le seul habilit repr senter la Chine l Agence les relations entre l Agence et les autorit s de Taiwan Chine sont non gouvernementales L Agence applique les accords sur cette base Les accords de garanties conclus en application du Trait sur la zone d nucl aris e du Pacifique Sud Trait de Rarotonga ne sont pas indiqu s s par ment car le Trait dispose que les garanties de l Agence sont appliqu es en vertu d accords quivalents quant leur port e et leurs effets un accord exig propos du TNP en vertu des dispositions reproduites dans le document INFCIRC 153 corrig Au 31 d cembre 1997 les 11 tats parties au Trait Australie Fidji les Cook les Salomon Kiribati Nauru Niou Nouvelle Z lande Papouasie Nouvelle Guin e Samoa et Tuvalu taient couverts par des accords conclus dans le cadre du TNP Une mention dans cette colonne
6. Plusieurs projets ont port sur les capacit s concernant les instruments en particulier la haute r solution et les limites de d tection de l ordre du femtogramme Des chantillons dela mer g e et du golfe Persique ont t analys s pour y d celer la pr sence de m taux l tat de traces d l ments de terres rares et d isotopes de l uranium Une nouvelle mati re de r f rence S diment estuarien IAEA 408 a t produite et est maintenant a la disposition dela communaut scientifique internationale Elle a t certifi e pour des polluants tels que les pesticides organochlor s les hydrocarbures de p trole et les PCB Dans le cadre du programme de l Agence visant appuyer les efforts des Etats Membres pour surveiller la pollution des enqu tes sur la contamination par les hydrocarbures p troliers et les m taux toxiques ont t effectu es dans la zone couverte par l Organisation r gionale pour la protection du milieu marin ROPME dans le golfe Persique En outre des comparaisons interlaboratoires par les techniques d chantillons fractionn s ont t effectu es sur des contaminants m talliques et organiques dans les s diments et le biote avec la participation de laboratoires des r gions de la ROPME de la mer Noire et de la M diterran e MISE EN VALEUR ET GESTION DES RESSOURCES EN EAU Le dixi me Colloque sur l application des techniques isotopiques la mise en valeur et la ges
7. soutient avantageusement la comparaison en termes de co ts avec d autres syst mes de pointe proc d favorise son optimisation et am liore la qualit du service l utilisateur final Les technologies des radiotraceurs et des jauges nucl aires continuent d occuper une place importante dans les projets de coop ration technique nationaux et r gionaux notamment dans les r gions du RCA et des ARCAL Un certain nombre d activit s r gionales ont t men es sur les applications des radiotraceurs des sources scell es et des jauges nucl aires dans les industries p troli re et p trochimique Les principales techniques comprennent l analyse de la distribution des temps de s jour pour la recherche des pannes les radiotraceurs pour l talonnage pr cis du d bit et la d tection des fuites les traceurs pour la r cup ration assist e du p trole les techniques de balayage gamma et neutronique pour l inspection des colonnes et des cuves dans les raffineries de p trole la technique d activation en couche mince appliqu e la surveillance de l usure et de la corrosion et la technique d intercorr lation pour la mesure multiphase du d bit Un guide sur la technologie des radiotraceurs et des sources scell es dans l industrie a t 67 INDUSTRIE RESSOURCES EN EAU ET ENVIRONNEMENT MARIN 68 ENVIRONNEMENT MARIN RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE labor et des manuels pratiques sur le
8. tant les plus importants pour l introduction de la technologie des END dans les Etats Membres Les ouvrages en b ton tels que les batiments les ponts les chauss es les pistes les trottoirs les murs de sout nement les barrages les canaux d gouts les tunnels les r servoirs et les b timents sp ciaux comme les structures de confinement des r acteurs nucl aires offrent un vaste champ pour l application des END Afin d introduire avec succ s cette technique dans les tats Membres en d veloppement il importe d instruire de former et de certifier un grand nombre de personnes dans ce domaine compte tenu de la multitude d ouvrages en b ton qu il faut inspecter et mettre l essai deux de ces r unions des guides ont t labor s sur les END pour les structures en b ton et sur la fabrication d prouvettes pour les END Les trois autres r unions ont servi d finir le programme d enseignement et dresser un questionnaire pour examens universitaires sur les END En outre deux manuels ont t publi s l un sur les END pour le personnel employ dans la gestion industrielle et les contr les de la qualit et l autre sur les essais ultrasoniques des mat riaux SCIENCES PHYSIQUES ET CHIMIQUES OBJECTIF DU PROGRAMME Favoriser la recherche d veloppement sur des applications concr tes de physique et chimie nucl aires afin de r soudre des probl mes pratiques dans les domaines de l nergie de l
9. IAEA TECDOC 1068 Safety measures to address the year 2000 issue at radioactive waste management facilities IAEA TECDOC 1073 Critical groups and biospheres in the context of radioactive waste disposal IAEA TECDOC 1077 Protection of the environment from the effects of ionizing radiation IAEA TECDOC 1091 Inventory of radioactive waste disposals at sea IAEA TECDOC 1105 Report of the international workshop on safety measures to address the year 2000 issue at radioactive waste management and nuclear fuel cycle facilities IAEA TECDOC 1111 The safe management of sources of radiation Principles and strategies Collection INSAG n 11 Basic safety principles for nuclear power plants 75 INSAG 3 Rev 1 Collection INSAG n 12 Management of operational safety in nuclear power plants Collection INSAG n 13 Safe management of the operating lifetimes of nuclear power plants Collection INSAG n 14 Rapport d ensemble sur la s ret nucl aire pour l ann e 1998 IAEA NSR 1998 Regulation of the life cycle of nuclear installations IAEA PDRP 3 Assessment of regulatory effectiveness IAEA PDRP 4 Communications on nuclear radiation transport and waste safety A practical handbook IAEA TECDOC 1076
10. Slov nie Krsko DSRS Slovaquie Bohunice SSRS Maroc Mamoora SSRS d un RR R publique d mocratique du Congo Kinshasa SSRS d un RR Ukraine Ukraine Sud DSRS CEFR R acteur rapide exp rimental chinois DSRS Service d examen de la s ret de la conception SSRS Service d examen de la s ret sismique ou du site FSRS Service d examen de la s ret incendie SWSRS Service d examen de la s ret des logiciels CMRS Service d examen de la gestion de la configuration AMAT Equipe consultative sur la gestion du vieillissement EIPSA APS d agressions internes et externes W atelier RR r acteur de recherche Tableau A6 MISSIONS DE SURETE CONCERNANT LE PROBL ME DE L AN 2000 DANS LES CENTRALES NUCL AIRES Centrale Pays Tchernobyl Ukraine Tchernobyl Ukraine Qinshan Chine Bohunice Slovaquie Zaporojie Ukraine Qinshan Chine Guangdong Chine Zaporojie Ukraine Ukraine Sud Ukraine Ukraine Sud Ukraine Kozloduy Bulgarie Armenia Arm nie Tchernobyl Ukraine Balakovo F d ration de Russie Krsko Slov nie Armenia Arm nie Zaporojie Ukraine Qinshan Chine Ignalina Lituanie Angra Br sil 127 Lu x lt Lu Es zZ lt 128 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A7 MISSIONS D QUIPES D EXAMEN DE LA S RET D EXPLOITATION OSART 1999 OSART Kozloduy VVER Bulgarie Mission de suivi OSART Qinshan REP Chine Visite pr paratoire North Anna REP Etats Unis Pr OSART Chashma REP Pakistan Visite pr p
11. de formation la gestion a t mis au point et test Il vise promouvoir les bonnes pratiques de gestion dans le cadre de politiques de proc dures et d une terminologie communes toute l Agence Sa mise en uvre a d marr en novembre et se poursuivra en 2000 et 2001 pour former des gestionnaires tous les niveaux Un processus de planification des ressources humaines a t labor pour assurer une approche globale de la gestion des ressources humaines et aider d terminer la taille et la composition appropri es des effectifs dans chaque domaine II facilitera galement l application de la politique de rotation du personnel en permettant de recenser les fonctions qui exigent une m moire institu tionnelle et une continuit et celles qui n cessitent un apport constant de sang neuf II servira aussi de base pour pr voir les postes qui deviendront vacants de sorte que le Secr tariat puisse commencer planifier plus en avance le recrutement de futurs candidats la fin de 1999 le Secr tariat employait 2 212 personnes 944 dans la cat gorie des administrateurs et des fonctionnaires de rang sup rieur et 1 268 dans la cat gorie des services g n raux Ces chiffres repr sentent 1 652 positions permanentes 296 temporaires et 174 extrabudg taires ainsi que celles de 58 experts titre gracieux et de 115 2 D A lt Lu Za O lt a Q a O O O GESTION 116 2
12. introduites au Laboratoire d hydrologie isotopique de l Agence Ces proc dures permettront d am liorer la qualit des mati res de r f rence pour substances organiques y compris la r valuation des propri t s isotopiques de neuf talons existants et la production de nouvelles mati res organiques de r f rence pour la mesure des isotopes stables convenant pour les techniques d analyse avanc es Afin d assurer la disponibilit imm diate de mati res de r f rence de base on s efforce d en produire de nouvelles bien avant l puisement du stock Ainsi une mati re devant succ der la mati re de r f rence primaire VSMOW a t produite en grandes quantit s 300 litres La composition isotopique du nouvel talon VSMOW 1 est presque identique celle de l talon VSMOW existant alors que les co ts de production n ont t qu une fraction du prix commercial actuel estim environ 1 2 million de dollars Deux comparaisons interlaboratoires ont t effectu es pour renforcer la pr cision d analyse et la comparabilit des donn es g n r es dans des laboratoires d hydrologie isotopique du monde entier La premi re comparaison a port sur le rapport des isotopes stables dans des chantillons d eau Quatre vingt dix laboratoires ont envoy les r sultats de leurs analyses de quatre chantillons d eau qui leur avaient t exp di s L valuation a montr que ce type de comparaison tait n ces
13. la planification tout au long de 1999 l ann e s est termin e sur un niveau record de promesses Outre 119 la difficult de g rer des montants fluctuants de contributions promises un d fi majeur a t de pr parer tous les syst mes informatiques du programme de mani re les harmoniser avec le nouveau syst me d information financi re de l Agence en 2000 et d assurer le transfert des applications restantes du r seau central au serveur SQL PROGRAMME DE COOP RATION TECHNIQUE Un des grands principes de la Strat gie de coop ration technique est de faire en sorte que le programme r ponde aux besoins des tats Membres et contribue directement la r alisation des principales priorit s en ce qui concerne le d veloppement durable des pays b n ficiaires II a t d montr galement que d s le d part une bonne planification et une conception judicieuse sont essentielles pour obtenir de bons r sultats lors de l ex cution du projet L Agence a donc surtout fait porter ses efforts sur les travaux en amont pour le programme 2001 2002 Une des m thodes qui a permis de connaitre les int r ts et les priorit s des Etats Membres a t d organiser sept r unions r gionales distinctes dans le GESTION DE LA COOPERATION TECHNIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT 120 GESTION DE LA COOPERATION TECHNIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT cadre du programme pour l Europe Celles ci se sont ajout es aux 120 manifestations r
14. tait un projet r gional visant mettre en place S o Paulo Br sil un serveur miroir pour fournir aux utilisateurs des pays d Am rique latine et des Cara bes les services de donn es nucl aires en ligne de l Agence Outre qu il permettra de fournir de meilleurs services ce serveur miroir sera utilis comme installation de formation dans le cadre de futurs cours et ateliers de coop ration technique L autre projet avait pour objet d assurer une plus grande utilisation du r acteur de recherche du Ghana et plus particuli rement de cr er un r seau local pour fournir des services de donn es nucl aires l installation de recherche Une grande base de donn es num riques pour les applications des donn es atomiques et mol culaires a t achev e en ce qui concerne les processus d impact des lectrons sur des mol cules excit es contenant divers isotopes d hydrog ne Les processus de collision dont ces syst mes sont le si ge jouent un r le important dans la cin tique des plasmas basse temp rature En collaboration avec l institut FOM de physique atomique et mol culaire d Amsterdam une nouvelle base de donn es sur l excitation des atomes d h lium par bombardement lectronique ayant fait l objet d une valuation critique a t achev e Ces donn es seront utilis es par les sp cialistes de la mod lisation des plasmas de fusion et de l ing nierie des r acteurs elles le seront galement pour le diagn
15. une liste de tous les Etats Membres de l Agence dans laquelle chaque tat Membre serait rang dans une des r gions mentionn es l artide VI La Conf rence g n rale a demand instamment tous les Etats Membres de l Agence d accepter cet amendement d s que possible conform ment leurs r gles constitutionnelles respectives 20 La Conf rence g n rale apr s avoir examin les observations du Conseil a approuv un amendement du paragraphe A de l artide XIV du Statut de l Agence propos par la Slov nie et visant introduire la budg tisation biennale l Agence Plus t t dans l ann e le Conseil avait approuv les propositions du Secr tariat tendant modifier la programmation biennale CONSEIL DES GOUVERNEURS ET CONF RENCE G N RALE Depuis cet amendement et l amendement de l article VI ont t communiqu s aux tats Membres pour ratification comme l exige le Statut Pendant l ann e le Conseil a examin plusieurs reprises la question du risque de prolif ration du neptunium et de l am ricium R solutions de la Conf rence G n rale en 1999 S agissant du neptunium tout en reconnaissant que son risque de prolif ration est largement inf rieur celui que pr sentent l uranium ou le plutonium le Conseil a autoris le Directeur g n ral appliquer le dispositif de surveillance qu il avait recommand et a reconnu en outre que les activit s de surveillance devaient tre Cote Ti
16. valuation de la s ret l attention du Comit consultatif de l Agence pour les normes de s ret relatives aux d chets s est tourn e vers le probl me de la s ret du stockage d finitif des d chets de haute activit dans les formations g ologiques Un examen pr liminaire de la question a permis de d terminer les points sur lesquels existe un consensus international et ceux sur lesquels les experts ne se sont pas encore mis d accord Un point actuellement l tude concerne les probl mes de s ret qui se posent si l on pr voit une possibilit de reprise ult rieure des d chets plac s dans les d p ts souterrains L Agence proc de actuellement une valuation dont les premiers r sultats ont t pr sent s un atelier sur la r cup rabilit qui s est tenu en octobre pr s de Stockholm et qui a t coparrain par l Agence L atelier a offert l occasion d changes de vues entre les experts et des membres du public sur divers aspects thiques conomiques relatifs la s ret et aux garanties des politiques nationales qui sont tudi es actuellement en vue de permettre la reprise ult rieure des d chets plac s dans un d p t L incidence du probl me informatique de l an 2000 sur les installations de gestion des d chets a t valu e et les r sultats ont t r capitul s dans un document d orientation Un atelier a aussi t organis pour changer des informations sur les mesure
17. Allemagne o des l ments combustibles puis s sont charg s dans des ch teaux de stockage sec et de transport en vue d un entreposage long terme Des m thodes de contr le bas es sur de multiples mesures de confinement et de surveillance C S ont t approuv es pour des installations d entreposage moyen terme en Belgique et en Allemagne qui stockent le combustible puis dans des conteneurs d entreposage sec Les mati res nucl aires faisant l objet de ces mesures sp cifiques n ont pas tre recontr l es aussi longtemps que les mesures C S continuent d apporter une assurance concernant l tat et le confinement des mati res Des mesures de renforcement des garanties ont t introduites dans un stockage d uranium hautement enrichi en Afrique du Sud comprenant notamment l installation de moyens de d tection des mouvements et d un syst me de surveillance avec une capacit de contr le distance Des syst mes ind pendants ou authentifi s ont t introduits dans une usine de retraitement au J apon pour contr ler les solutions contenant du plutonium et pour v rifier les transferts de d chets solides de haute activit et de d chets vitrifi s Des assemblages combustibles MOX exp di s d Europe au J apon ont t v rifi s et scell s en Belgique en France et au Royaume Uni Le fait de v rifier et de sceller les assemblages MOX l usine de fabrication pr sente des avantages et
18. Application de m thodes s lectionn es d analyse des v nements des v nements survenus dans des centrales nucl aires Slovaquie Interface producteur organisme de r glementation pour la s ret des centrales nucl aires Allemagne Gestion de la s ret et de la culture de s ret Bulgarie Am lioration de la s ret d exploitation Slov nie Exp rience des organismes de r glementation en mati re d introduction de techniques informatiques avanc es dans les syst mes de s ret des centrales nucl aires Slov nie Forum sur l analyse de s ret des r acteurs VVER et RBMK F d ration de Russie Atelier sur l examen par l organisme de r glementation de la performance des titulaires d autorisations en mati re de s ret Espagne Cours sur la formation sur simulateur R publique de Cor e Cours sur les quipements m caniques R publique de Cor e Cours sur les g n rateurs de vapeur R publique de Cor e Atelier sur l autorisation des modifications Slov nie Atelier sur la coop ration entre l organisme de r glementation et les autres organismes participant au processus d autorisation R publique tch que Cours sur la gestion des ressources humaines portant plus particuli rement sur la formation et l habilitation R publique de Cor e Cours sur les essais de mise en service et la gestion de projets Chine Cours sur l application du manuel de r f rence pour
19. Argentine Lapep Buenos Aires Division des produits de fission Ezeira Br sil Projet de retraitement Sao Paulo Indon sie RMI Serpong Japon SCF Tokai Mura Ibaraki ken X JAERI Tokai R amp D Tokai Mura Ibaraki ken X PNC Tokai R amp D Tokai Mura Ibaraki ken X Sumitomo Met Mining Tokai Mura Ibaraki ken x Usines d enrichissement y compris les usines pilotes Afrique du Sud Usine d enrichissement Pelindaba x semi commerciale Usine d enrichissement MLIS Valindaba Allemagne UTA 1 Gronau x ANNEXE 154 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Argentine Usine d enrichissement de Pilcaniyeu Pilcaniyeu Br sil Usine d enrichissement premi re cascade Resende Laboratoire d enrichissement Ipero Usine pilote d enrichissement de l uranium Sao Paulo Lab de spectroscopie laser San Jose dos Campos Chine Shaanxi Han Zhang Japon Usine d enrichissement de l uranium Tomata gun Okayama ken x Usine d enrichissement de Rokkasho Kamikita gun Aomori ken D Pays Bas Urenco Almelo x Royaume Uni URENCO E22 Capenhurst D Usine URENCO A3 Capenhurst En outre les installations de R D et les emplacements ci apr s sont associ s a l enrichissement Allemagne URENCO Juliers Br sil Laboratoire d UF Belo Horizonte Japon Asahi Chemical Industry Hyuga shi Miyazaki ken x Laboratoire Hitachi Hitachi shi Ibaraki ken X JAERI Tokai R amp D Tokai Mura Ibaraki ke
20. Atelier sur les talons les comparaisons interlaboratoires et les valuations de performance pour la spectrom trie de masse des faibles activit s et de l environnement tats Unis Atelier sur les laboratoires mobiles de radiologie Ukraine Environnement marin ressources en eau et industrie Atelier d valuation sur la mise au point de mod les hydrologiques Viet Nam Atelier r gional sur l interpr tation des donn es isotopiques et leur int gration aux mod les de sites Afrique du Sud Tableau A26 COURS SEMINAIRES ET ATELIERS EN 1999 suite Cours r gional sur les techniques de gestion des bassins de retenue Philippines Atelier sur l valuation du transfert de technologie pour la mise en valeur des ressources g othermiques Indon sie Cours r gional sur les techniques de corr lation crois e des mesures du d bit dans les syst mes multiphases Malaisie Cours r gional sur les applications des radiotraceurs et des sources scell es dans l industrie p troli re Inde Atelier r gional sur les applications industrielles de la technologie des traceurs et des syst mes de contr le nucl aire Venezuela Cours r gional sur les examens de niveau 3 dans les m thodes d examen des surfaces essais par p n tration et essais par particules magn tiques Pakistan Cours r gional et examen sur les essais radiographiques niveau 2 R publique islamique d Iran Cours r gional sur les
21. Entr en vigueur le 8 septembre 1983 Entr en vigueur le 19 janvier 1995 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 257 394 531 193 528 435 Mod 1 455 217 193 580 544 301 527 495 193 532 371 465 204 435 Mod 3 365 178 164 476 Mod 1 189 236 278 309 463 193 Tableau A14 SITUATION AU 31 DECEMBRE 1999 suite Dominique f Egypte El Salvador c mirats arabes unis quateur c rythr e Espagne Estonie thiopie Fidji Finlande Gabon Gambie G orgie Ghana Gr ce n Grenade c Guatemala c Guin e Guin e Bissau Guin e quatoriale Guyana c Haiti c Honduras c Hongrie les Marshall les Salomon Indon sie Iran R publique islamique d lraq Irlande Islande Italie Jamahiriya Arabe Libyenne Jama que c Japon Jordanie Kazakhstan Kenya Kirghizistan Kiribati Koweit Lesotho Lettonie 10 ao t 1984 26 f vrier 1981 11 juillet 1972 26 septembre 1995 7 mars 1969 16 mars 1995 5 novembre 1987 7 janvier 1992 5 f vrier 1970 14 juillet 1972 5 f vrier 1969 19 f vrier 1974 12 mai 1975 7 mars 1994 4 mai 1970 11 mars 1970 19 ao t 1974 22 septembre 1970 29 avril 1985 20 ao t 1976 1 novembre 1984 19 octobre 1993 2 juin 1970 16 mai 1973 27 mai 1969 30 janvier 1995 17 juin 1981 12 juillet 1979 2 f vrier 1970 29 octobre 1969 1 juillet 1968 18 juillet 1969 2 mai 1975 26 mai 1975 5
22. Italie Japon Norv ge Pays Bas R E CEN Laboratoire de Pu Unit coord tech comb Laboratoire d isotopes Projet uranium m tal Lab de mati res nucl aires Lab d v comb et instr nucl Projet de reconversion Projet de retraitement Stockage pour les garanties PIEF Usine d acrylonitrile DFDF DUF 4 HFFL IMEF KAERI R amp D Balti ES B amp W NNFD BWXT Installation 179 Institut des isotopes RMI LWSCR GSCR CNEN LAB PU JAERI Oarai R D JAERI Tokai R D Kumatori R amp D Laboratoire des mati res uranif res Mitsui lwakuni Ohtake Mitsui Toatsu NDC Lab chaud pour combustible NDC Lab pour combustibles NERL Universit de Tokyo NFD NFI Tokai 2 NRF Installation d irradiation au moyen de neutrons PNC FMF PNC IRAF PNC Oarai R D PNC Tokai R D SCF Showa Kawasaki Sumitomo Chiba Laboratoires de recherche ECN et JRC Fleurus Mol Sao Paulo Sao Paulo Sao Paulo Ipero S o Paulo S o Paulo S o Paulo S o Paulo Taejeon Ulsan Taejon Taejon Taejon Taejon Taejon Narva Lynchburg Virg Lynchburg Virg Budapest Serpong Ispahan Ispahan Santa Maria di Galeria Higashi gun lbaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Sennan gun Osaka Higashi gun lbaraki ken Kuga gun Yamaguchi Takai shi Osaka fu Tokai Mura Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Higashi gun lbaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Tsukuba shi lbaraki ken Higashi gun Ibar
23. autres services de s ret tels que les IRRT et les services INSARR Evaluation int gr e de la s ret des r acteurs de recherche La coordination et la communication avec d autres organisations internationales fournissant des services aux centrales nucl aires en mati re de s ret d exploitation ont en outre t am lior es Les services d examen de la s ret d exploi tation fournis par l Agence visent de plus en plus aider les compagnies d lectricit am liorer leur gestion de la s ret et leur culture de s ret ainsi qu promouvoir l auto valuation en tant que moyen de maintenir une bonne performance en mati re de s ret Une s rie de missions de coop ration technique ont t effectu es afin d aider Electronuclear l exploitant de la centrale nucl aire Angra au Br sil a former du personnel l auto valuation de la culture de s ret Electronuclear continuera a b n ficier de cette assistance durant l application des am liorations recommand es et on a l intention de prendre ces activit s comme mod le pour proposer un vaste programme d assistance int gr d autre tats Membres Les initiatives prises en vue d valuer les activit s d auto valuation des compagnies d lectricit afin de juger de leur efficacit pour ce qui est d am liorer les performances en mati re de s ret d exploitation ainsi que de d terminer comment ces activit s devaient s int grer
24. conomique des questions li es au cycle du combustible nucl aire et l approvisionnement et l utilisation d nergie nucl aire dans des march s de l lectricit volutifs Ces tudes ont pour objet d identifier le r le que pourrait jouer l nergie nucl aire dans le d veloppement nerg tique durable les avantages conomiques relatifs des diff rentes options envisageables pour la production d lectricit les autres obstacles potentiels l utilisation future de l nergie nucl aire et les co ts et avantages environnementaux des options nucl aires et non nucl aires On a continu de doter les tats Membres de capacit s dans ces domaines en diffusant des m thodologies et en dispensant une formation Par ailleurs le programme a t restructur de mani re a lancer une nouvelle activit ax e sur le nucl aire en tant qu option permettant de r duire les missions de gaz effet de serre notamment dans le cadre des m canismes souples pr vus par le Protocole de Kyoto b participer plus activement aux activit s men es EVALUATION COMPARATIVE DES SOURCES D NERGIE 38 EVALUATION COMPARATIVE DES SOURCES D ENERGIE dans le cadre du syst me des Nations Unies en faveur du d veloppement durable ANALYSE DE LA DEMANDE D ENERGIE OPTIONS POUR LA SATISFAIRE ET INDICATEURS DU DEVELOPPEMENT ENERGETIQUE DURABLE Bien que le d veloppement durable soit une n cessit et bien que l apport d nergie soi
25. coop ration technique a continu d augmenter AU total en novembre 1999 445 membres du personnel et plus de 250 experts de coop ration technique avaient fait l objet d un contr le soit une augmentation de 11 et 25 respectivement par rapport la p riode pr c dente Afin d encourager une valuation pr cise de l exposition professionnelle l Agence a organis des exercices internationaux et r gionaux de comparaison interlaboratoires Les laboratoires de dosim trie de l Agence ont aussi particip plusieurs exercices de comparaison interlaboratoires concernant la surveillance individuelle ainsi qu un exercice de surveillance de la zone d exclusion de Tchernobyl l aide d une unit mobile Dans le cadre de projets nationaux et r gionaux de coop ration technique relatifs la s ret radiologique on a fourni un appui technique sous forme de services d experts et de cours ou d ateliers sur la surveillance individuelle les exercices de comparaison interlaboratoires l assurance de la qualit dans les laboratoires de radioprotection et la dosim trie interne Une troite collaboration a t tablie avec d autres organisations inter nationales qui fixent des normes telles que l Organisation internationale de normalisa tion et la Commission lectronique interna tionale Un appui technique a galement t fourni a des missions d intervention en cas d urgence et des op rations sur le terrain sel
26. curit interne notamment des mesures visant r duire les risques d acc s au r seau local par interm diaire de modems la mise au point d une politique de s curit de l information et de proc dures op rationnelles l application de mesures techniques et notamment l application d un syst me pour d tecter les intrusions la mise en place d un acc s distance s curis et l laboration d un plan de remise en tat en cas de catastrophe et la protection physique renforc e d un tage par limitation de l acc s au seul personnel autoris Toutes les applications et l infrastructure informatiques ont t mises en conformit an 2000 De plus un s minaire a t organis en f vrier pour aider les Etats Membres r pertorier les probl mes li s au passage a l an 2000 et une assistance a t fournie un certain nombre d tats Membres pour r soudre ces probl mes Le travail de pr paration s est poursuivi concernant la mise en oeuvre des protocoles additionnels et l application effective ainsi que l application pour essai des mesures du protocole ont permis d acqu rir une exp rience pratique Une version simplifi e des r gles pour la soumission des d clarations pr vues aux articles 2 et 3 du Protocole additionnel a t publi e en avril l intention des Etats qui n ont pas ou qui ont peu de mati res et ou d activit s nucl aires Ces tats ont g n ralement condu un protocole pour le
27. des analyses de s ret reste ad quat Lu lt WW l oO 2 FA Lu Lu D D Ki LU DC lt LI l oO LU LU DC D N Les travaux consacr s r cemment aux indicateurs de s ret ont consist principa lement d finir un cadre pour l tablissement de programmes d indicateurs de performance en mati re de s ret d exploitation dans les centrales nucl aires On a commenc par d finir la notion de performance en mati re de Dans le cadre du programme extrabudg taire sur la s ret des installations nucl aires dans les pays de l Asie du Sud Est du Pacifique et de l Extr me Orient on a mis plus particuli rement l accent sur le renforcement des moyens techniques des organismes de r glementation et des organismes d appui technique s ret d exploitation et par d terminer les attributs de la s ret d exploitation Un ensemble hi rarchis d indicateurs globaux strat giques et sp cifiques a t tabli Des tudes effectu es en installation pilote pendant 15 mois donnent penser que le cadre propos offre une bonne base pour la mise au point d un outil d auto valuation adapt chaque centrale Ces r sultats ont servi de fondement un nouveau PRC sur les indicateurs de s ret Dans le domaine de l analyse probabiliste de la s ret APS l Agence s est concentr e sur l tablissement de priorit s pour
28. environnement de la m decine nucl aire des sciences des mat riaux et de l industrie renforcer l utilisation des r acteurs de recherche et des acc l rateurs existants et aider les laboratoires d analyse nationaux a acqu rir les comp tences n cessaires pour leur permettre de faire reconnaitre la APERCU GENERAL Les activit s men es par l Agence dans le cadre du programme relatif aux sciences physiques et chimiques ont notamment permis d laborer la premi re biblioth que internationale de donn es photonud aires qui a d importantes applications en m decine et pour les travaux de protection Une biblioth que de donn es sur les r actions des particules charg es pour les cyclotrons a usage m dical a galement t achev e Les scientifiques des Etats Membres ont continu a faire appel au centre de donn es nucl aires de l Agence et ce de plus en plus souvent Un nouveau progiciel de spectrom trie gamma a t produit et distribu un grand nombre d tats Membres Des travaux sur le recours aux technologies nucl aires pour le d minage humanitaire ont t entrepris Une formation l instrumentation nucl aire a continu tre fournie aux tats Membres en d veloppement La base de donn es sur les r acteurs de recherche est maintenant disponible sur Internet De nouveaux radiopharmaceutiques au techn tium 99m destin s l imagerie des tumeurs ont t mis au point On a galement mis l accent s
29. et du plutonium dans trois installations En 1999 les tats Unis ont plac sous garanties de l Agence une quantit suppl mentaire de 50 tonnes d uranium faiblement enrichi pour dilution en uranium faiblement enrichi Une nouvelle 1 Agence a inform le Pr sident de la Conf rence du d sarmement qu elle tait pr te a r pondre a toute demande d assistance dans le contexte des r solutions de l Assembl e g n rale des Nations Unies qui prient l Agence de fournir cette assistance m thode de contr le a t d finie et mise en application dans une installation r cemment s lectionn e En juin ont eu lieu des entretiens techniques entre l Agence et les tats Unis concernant une m thode appropri e pour la stabilisation du plutonium sous garanties La campagne de stabilisation doit d marrer apr s juin 2000 et durer environ six mois apr s quoi le plutonium sera stock dans une autre installation L application des garanties au Royaume Uni a t revue pour tenir compte de modifications dans les accords de garanties bilat raux la suite de cette r vision les garanties ont cess d tre appliqu es dans un stockage de combustible puis Le travail s est poursuivi en ce qui concerne la mise au point d un syst me de v rification par l Agence des mati res fissiles provenant d armes et autres mati res fissiles d sign es par la F d ration de Russie et les Etats Unis comme n tan
30. g rer d autres types de r sidus tels que ceux provenant de l extraction et du traitement des minerais d uranium SORETE DES D CHETS STOCKABLES La pression ne s est pas rel ch e pour ce qui est de l adoption de r gles inter nationales concernant la remise en circulation de mat riaux provenant d ins tallations nucl aires Le probl me devient urgent en raison du nombre croissant d installations nucl aires que l on d cide de d classer et en raison de la mise en circulation de mat riaux tels que m taux et b ton destin s tre recycl s L Agence est en train de revoir ses recommandations relatives aux Kl LL oO lt O QO lt D Kl Lu I S LU a yn LI a LU uu D yn principes et crit res concernant la lev e des restrictions r glementaires Dans le m me temps les aci ristes ont commenc r agir au danger que repr sente l entr e dans les circuits internationaux d aciers de rebut contamin s L Agence a parrain avec la Commission conomique des Nations Unies pour l Europe un atelier sur ce sujet auquel ont particip des repr sentants de l industrie Cet atelier a d bouch sur le projet d tablir un code de bonne pratique relatif a la contamination radioactive des aciers de rebut et au contr le de cette contamination Apr s la publication en 1999 d un document de la s rie des Prescriptions de s ret sur les stockages de surface et du guide qui accom pagnait sur l
31. la mise en oeuvre de ces programmes et l tablissement de plans d urgence ont t organis s leurs comptes rendus et leurs conclusions ont t diffus s sur le site Internet L Agence a par ailleurs effectu 20 missions consacr es express ment aux pr paratifs pour l an 2000 dans neuf tats Membres Des dispositions sp ciales ont t prises afin que le centre de l Agence pour les interventions d urgence dispose du personne voulu pendant toute la p riode de transition entre 1999 et 2000 de fa on que les tats Membres puissent acc der des informations authentifi es sur les probl mes de s ret li s l an 2000 dans les centrales nucl aires SURETE RADIOLOGIQUE OBJECTIF DU PROGRAMME Promouvoir la s ret radiologique en laborant des normes de s ret et les prescriptions de l Agence en mati re de radioprotection et en fournissant des conseils et des services aux tats Membres dans le d accident nucl aire ou de situation d urgence radiologique APER U G N RAL Le programme relatif la s ret radiologique a deux objectifs compl men taires savoir la mise au point d un ensemble unifi de normes de s ret faisant l objet d un consensus et l laboration de mesures en vue de l application de ces normes dans les Etats Membres et par le biais d autres organisations internationales Pour atteindre ces objectifs le programme mettait l accent sur plusieurs domaines concernant les activi
32. n ralis es conclu avec la Colombie dans le cadre du Trait de Tlatelolco est entr en vigueur le 22 d cembre 1982 INFCIRC 306 j L accord de garanties conclu dans le cadre du TNP avec la R publique socialiste tch coslovaque INFCIRC 173 qui est entr en vigueur le 3 mars 1972 a continu d tre appliqu la R publique tch que dans la mesure o il concernait le territoire de la R publique tch que jusqu au 11 septembre 1997 date laquelle l accord de garanties conclu dans le cadre du TNP avec la R publique tch que est entr en vigueur k L accord de garanties conclu dans le cadre du TNP avec le Danemark INFCIRC 176 en vigueur depuis le ter mars 1972 a t remplac par l accord du 5 avril 1973 conclu entre les tats non dot s d armes nucl aires membres d EURATOM EURATOM et l Agence INFCIRC 193 mais continue de s appliquer aux ANNEXE les F ro Le Groenland s tant s par d EURATOM compter du 31 janvier 1985 l accord entre l Agence et le Danemark INFCIRC 176 est alors entr nouveau en vigueur en ce qui concerne le Groenland L application de garanties en Finlande en vertu de l accord de garanties TNP publi sous la cote INFCIRC 155 en vigueur depuis le 9 f vrier 1972 a t suspendue le 1er octobre 1995 date laquelle l accord du 5 avril 1973 INFCIRC 193 conclu entre les tats non dot s d armes nucl aires membres d EURATOM EURATOM et l Agence auquel la Finlande a
33. ont t accoupl es a un mauvais moment du cycle oestral M me chez celles qui avaient t accoupl es a un moment propice 25 a 50 n ont pas con u ou ont perdu l embryon dans les deux mois suivants Cette exp rience s est sold e par un gaspillage des ressources disponibles et par des pertes conomiques pour les leveurs Les probl mes que devaient r soudre les fournisseurs de services d ins mination artificielle et les leveurs ont t recens s des strat gies d am lioration ont t mises l essai et les r sultats ont t tudi s C est ainsi qu au Sri Lanka par exemple l appli cation par les leveurs de meilleures m thodes de gestion de la reproduction combin e des services d ins mination artificielle plus efficaces a permis d augmenter de 20 le pourcentage des vaches en lactation un moment donn d accro tre la production laiti re de 30 et d augmenter de 40 le b n fice net des leveurs Ce PRC a aussi permis de mettre au point et de normaliser des m thodes y compris un logiciel appel AIDA Application de la base de donn es sur l ins mination artificielle qui sont maintenant adopt es plus grande chelle dans les tats Membres concern s ainsi que dans d autres dans le cadre de projets de coop ration technique r gionaux et nationaux en Asie en Afrique et en Am rique latine Les Laboratoires de l Agence Seibersdorf ont mis au point un nouveau syst
34. res radioactives Argentine Atelier r gional RCA sur la surveillance radiologique de l environnement et la base de donn es r gionale R publique de Cor e Cours r gional de base sur la s ret des d chets radioactifs R publique de Moldova Atelier de formation d instructeurs sur la d contamination de villages contamin s B larus Cours r gional sur la protection physique des installations et mati res nucl aires R publique tch que Cours international sur les syst mes nationaux de comptabilit et de contr le des mati res nucl aires tats Unis S minaire sur les garanties de l AIEA au XXI si cle R publique de Cor e Atelier de familiarisation avec les activit s de l AIEA et les techniques de mesure par analyse non destructive B larus Ouzb kistan Atelier pour les inspecteurs de l ABACC sur le mat riel et les proc dures de confinement et de surveillance Br sil Argentine Atelier international commun LANL AIEA sur la surveillance radiologique Etats Unis Groupe de travail sur la formation du Comit de coordination interorganisations Autriche Atelier sur l application des garanties de l AIEA Autriche Cours commun AIEA OMD INTERPOL pour enqu teurs des douanes et de la police sur la lutte contre la contrebande de mati res nucl aires et autres mati res radioactives Autriche Malte Exercice d valuation du Groupe d experts de la non prolif ration n
35. riodiques de s ret En cons quence deux missions consacr es la s ret incendie ont t effectu es l une au Pakistan et l autre en Chine et des recom mandations tendant ce que l on se conforme davantage aux normes de l Agence ont t faites Un certain nombre de missions de coop ration technique ont t organis es en R publique islamique d Iran en liaison avec le r acteur VVER 1000 en construction Bushehr Elles ont proc d des examens du risque sismique dela s ret des fondations et du circuit primaire et fait des recommanda tions pour l am lioration du rapport pr liminaire de s ret Un nouveau programme extrabudg taire a t mis sur pied en 1999 pour coordonner et faciliter les actions concernant la fissuration intergranulaire par corrosion sous contrainte dans les tuyauteries en acier inoxydable des r acteurs RBMK Ce programme sera ax sur l am lioration de l inspection en service et de la qualification les valuations approfondies la qualification des techniques de r paration et les m thodes de d contamination Dans le cadre du programme extrabudg taire sur la s ret des installations nucl aires dans les pays de l Asie du Sud Est du Pacifique et de l Extr me Orient on a continu fournir une assistance aux tats Membres de la r gion en mettant plus particuli rement l accent sur le renforcement des moyens techniques des organismes de r glementation et des organisme
36. risation de lign es et de vari t s issues de mutants t moigne des possibilit s qu elles offrent pour compl ter et acc l rer les programmes de s lection s lection l aide de marqueurs analyse dela diversit et tablissement d empreintes aux fins de la protection des vari t s de plantes II a t demand l Agence de dispenser une formation et de communiquer des informations sur ces sujets de mani re favoriser une diffusion plus large et plus efficace des m thodes mol culaires et des techniques de mutation modernes aux programmes d am lioration des cultures dans la r gion PRODUCTION ET SANT ANIMALES Un PRC sur le recours au RIA et des techniques apparent es pour tudier comment am liorer les programmes d ins mination artificielle pour le b tail des r gions tropicales et subtropicales a permis de cr er une base de donn es internationale unique en son genre sur la situation actuelle en mati re d ins mination artificielle dans 14 tats Membres d Asie et d Am rique latine L tude qui a port sur environ 2 000 levages o ont t effectu es pr s de 11 000 ins minations artificielles sur plus de 7 000 vaches a r v l que les taux de conception la suite d ins minations artifi cielles taient souvent bien inf rieurs ce que pr voyaient en g n ral les nombreux organismes pourvoyeurs de ces services En moyenne 17 des vaches jusqu 40 dans certains levages
37. union de comit technique a t organis e Vienne en novembre en vue d examiner les bonnes pratiques en mati re d entreposage long terme du combustible us y compris les combustibles avanc s les combustibles taux de combustion lev et les combustibles MOX Le comportement des mati res la fiabilit et la s ret de diff rentes techniques d entreposage pendant de longues p riodes ont t les principaux sujets de discussion Par ailleurs les activit s de certains tats Membres qui se sont lanc s dans des programmes d taill s concernant le comportement du combustible en rapport avec les techniques d entreposage a sec ont t pass es en revue La gestion du combustible us pour les r acteurs VVER RBMK a t examin e en octobre lors d une r union de comit technique atelier Organis sur l invitation de PURAM et dela centrale nucl aire de Paks Balatonfured en Hongrie et s inscrivant dans le cadre du programme extrabudg taire sur la s ret des centrales VVER et RBMK l atelier a b n fici d un financement du Gouvernement japonais Il a permis d changer des informations sur le fonction nement la surveillance et la maintenance des installations d entreposage de combustible us les m canismes de d gradation du combustible l endommagement ou la rupture d l ments combustibles ainsi que les consi d rations d ordre conomique Un colloque sur l utilisation la s ret et
38. 15 367 Gestion coordination et appui Direction g n rale 5 041 000 4 983 000 4 774 382 95 81 208 618 Organes directeurs 6 374 000 6 306 000 6 457 470 102 40 151 470 Activit s juridiques relations ext rieures et information du public 7 036 000 6 964 000 6 355 036 91 26 608 964 Administration 12 585 000 12 440 000 12 480 472 100 33 40 472 Services g n raux 22 322 000 22 044 000 22 339 865 101 34 295 865 Gestion de l information et services d appui 13 752 000 13 597 000 13 613 958 100 12 16 958 Total partiel 67 110 000 66 334 000 66 021 183 99 53 312 817 Total Programmes de Agence 219 289 000 216 931 000 216 550 762 99 82 380 238 Travaux remboursables pour d autres organismes 4 958 000 4 901 000 5 008 883 102 20 107 883 Tableau A2 FONDS POUR LES PROGRAMMES EXTRABUDGETAIRES EN 1999 Ressources et d penses Projets financ s par un seul Etat Membre Energie d origine nucl aire 233 546 117 200 350 746 104 782 245 964 Cycle du combustible nucl aire et technologie des d chets 289 846 514 130 803 976 409 707 394 269 valuation comparative des sources d nergie 136 104 154 151 290 255 183 266 106 989 Alimentation et agriculture 729 422 66 856 796 278 548 835 247 443 Sant humaine 307 212 118 000 425 212 118 832 306 380 Environnement marin ressources en eau et industrie 1 151 823 865 536 2 017 359 801 430 1 215 929 Sciences physiques et chimiques 26 998 85 956 112 954 53 457 59 497 S ret nucl aire
39. 34 59 025 Cycle du combustible nucl aire et technologie des d chets 5 233 000 5 182 000 5 133 808 99 07 48 192 valuation comparative des sources d nergie 2 909 000 2 881 000 2 867 694 99 54 13 306 Total partiel 12 595 000 12 472 000 12 469 527 99 98 2 473 Alimentation et agriculture 10 566 000 10 474 000 10474114 100 00 114 Sant humaine 6 019 000 5 968 000 5 953 687 99 76 14 313 Environnement marin ressources en eau et industrie 6 516 000 6 452 000 6 422 342 99 54 29 658 Sciences physiques et chimiques8 835 000 8 768 000 8 781 845 100 16 13 845 Total partiel 31 936 000 31 662 000 31631 988 99 91 30 012 S ret nucl aire 5 593 000 5 533 000 5 603 006 101 27 70 006 S ret radiologique 3 382 000 3 346 000 3 397 856 101 55 51 856 S ret des d chets radioactifs 2 130 000 2 107 000 2 183 749 103 64 76 749 Coordination des activit s relatives la s ret 3 062 000 3 029 000 2 824 610 93 25 204 390 Total partiel 14 167 000 14 015 000 14 009 221 99 96 5 779 Garanties 79 752 000 78 876 000 78 984 983 100 14 108 983 S curit des mati res 1 060 000 1 049 000 926 227 88 30 122 773 Total partiel 80 812 000 79 925 000 79 911 210 99 98 13 790 Gestion de la coop ration technique pour le d veloppement Programme de coop ration technique 7 845 000 7 753 000 7 965 819 102 74 212 819 Planification coordination et valuation 4 824 000 4 770 000 4 541 814 95 22 228 186 Total partiel 12 669 000 12 523 000 12 507 633 99 88
40. 5 DL RAPPORT ANNUEL POUR 1999 AGENCE INTERNATIONALE DE L NERGIE ATOMIQUE GC 44 4 AFGHANISTAN AFRIQUE DU SUD ALBANIE ALGERIE ALLEMAGNE ANGOLA ARABIE SAOUDITE ARGENTINE ARM NIE AUSTRALIE AUTRICHE BANGLADESH B LARUS BELGIQUE B NIN BOLIVIE BOSNIE HERZ GOVINE BR SIL BULGARIE BURKINA FASO CAMBODGE CAMEROUN CANADA CHILI CHINE CHYPRE COLOMBIE COR E R PUBLIQUE DE COSTA RICA C TE D IVOIRE CROATIE CUBA DANEMARK GYPTE EL SALVADOR MIRATS ARABES UNIS QUATEUR ESPAGNE ESTONIE TATS UNIS D AMERIQUE THIOPIE F D RATION DE RUSSIE FINLANDE FRANCE GABON G ORGIE GHANA GR CE GUATEMALA HA TI HONGRIE LES MARSHALL INDE INDON SIE IRAN REP ISLAMIQUE D IRAQ IRLANDE ISLANDE ISRA L ITALIE JAMAHIRIYA ARABE LIBYENNE JAMAIQUE JAPON JORDANIE KAZAKHSTAN KENYA KOWE T LETTONIE L EX R PUBLIQUE YOUGOSLAVE DE MAC DOINE LIBAN LIBERIA LIECHTENSTEIN LITUANIE LUXEMBOURG MADAGASCAR MALAISIE MALI MALTE MAROC MAURICE MEXIQUE MONACO MONGOLIE MYANMAR NAMIBIE NICARAGUA NIGER NIGERIA NORV GE NOUVELLE Z LANDE OUGANDA OUZB KISTAN PAKISTAN PANAMA PARAGUAY PAYS BAS P ROU PHILIPPINES POLOGNE PORTUGAL QATAR R PUBLIQUE ARABE SYRIENNE R PUBLIQUE D MOCRATIQUE DU CONGO R PUBLIQUE DE MOLDAVIE R PUBLIQUE DOMINICAINE R PUBLIQUE TCH QUE R PUBLIQUE UNIE DE TANZANIE ROUMANIE ROYAUME UNI DE GRANDE BRETAGNE ET D IRLANDE DU NORD SAINT
41. Agence pour les interventions d urgence a suivi la situation minuit heure locale dans chaque tat Membre poss dant des centrales nucl aires lors du passage du 31 d cembre 1999 au 1 janvier 2000 Tous les pays Encadr 6 Mesures de renforcement des garanties Pr vues par les accords de garanties en vigueur Fourniture par les tats de renseignements descriptifs concernant les nouvelles installations ou les modifications apport es des installations existantes qui contiennent des mati res nucl aires sous garanties Rapports soumis volontairement par les tats sur les importations et les exportations de mati res nucl aires et les exportations d quipements et de mati res non nucl aires sp cifi s Pr l vement par l Agence d chantillons de l environnement dans les installations et emplacements auxquels en application des accords de garanties existants les inspecteurs ont acc s pendant les inspections et les visites de v rification des renseignements descriptifs Recours la surveillance automatique et la t l surveillance pour contr ler les mouvements de mati res nucl aires d clar es dans des installations Recours accru aux inspections court d lai de pr avis Perfectionnement de tout le personnel concern Coop ration plus troite entre l Agence et les syst mes nationaux r gionaux de comptabilit et de contr le des mati res nucl aires Intensification des travaux de collecte et d analy
42. En particulier l Agence a t invit e faciliter la coop ration entre les CRN dans le cadre de projets communs pr sentant un int r t et des avantages mutuels dans le domaine du d veloppement et des applications de la technologie nucl aire est pr vu d organiser une deuxi me r union pour examiner en d tail un nombre de projets initialement limit que les Etats Membres jugent de la plus haute importance l lt o LU zZ LW 2 o Lu D lt lt ez LU Es LU D D LI a lt GESTION Mieux comprendre les besoins des Etats Membres et veiller les satisfaire de fa on plus efficiente et plus efficace En 1999 le Secr tariat a poursuivi son processus de r forme de la gestion la conf rence de hauts responsables en janvier on a mis sp cialement l accent sur une nouvelle approche de l laboration du programme et du budget et sur l efficience de la gestion interne la fin de l ann e on pouvait faire tat d un certain nombre de faits nouveaux significatifs Le plus important d entre eux a sans doute t la d cision d introduire aussi largement que possible la programmation ax e sur les r sultats pour l exercice biennal 2002 2003 Le programme et budget pour l exercice 2001 dont l avant projet initial a t labor pendant l ann e repr sente une transition En pr vision de l introduction de la programmation ax e sur les r sultats le proje
43. Etats Membres et renforcer leur capacit d appliquer de facon efficiente et rentable les techniques de m decine nucl aire in vitro et in vivo pour traiter les probl mes sanitaires importants et entreprendre des recherches fondamentales et diniques dans des domaines pertinents On a par exemple mis particuli rement l accent sur les domaines suivants mise au point de techniques diagnostiques in vivo et in vitro et de proc dures de traitement avec des sources radioactives ouvertes optimisation de la rentabilit des soins de sant gr ce des proc dures de m decine nud aire laboration de cours sur support multim dia et sur Internet transfert de technologie aux tats Membres pour la prise en charge de plusieurs affections cliniques notamment l h patite virale les troubles g n tiques les maladies coronariennes et infectieuses le cancer et les maladies infantiles Dans le cadre d un PRC on a valu en tant que substance sp cifiquement destin e l imagerie des bact ries un nouveau radio pharmaceutique contenant un antibiotique radiomarqu qui se fixe sur les bact ries techn tium 99m Infecton produit d riv de la Ciprofloxacine qui se fixe sur l ADN gyrase de bact ries vivantes et permet de d tecter une maladie infectieuse active L tude laquelle ont particip plusieurs centres et qui a t achev e en 1999 a abouti l laboration d une m thode de d tection des infections bact rie
44. Etats Unis afin d observer une disposition du document INFCIRC 288 141 Lu x lt Lu Z Zz lt 142 Lu x lt Lu Z lt Tableau A17 SITUATION AU 31 D CEMBRE 1999 CONCERNANT LA CONCLUSION DE PROTOCOLES ADDITIONNELS AUX ACCORDS DE GARANTIES tat Allemagne Arm nie Australie Autriche Belgique Bulgarie Canada Chine Chypre Cor e R publique de Croatie Cuba Danemark quateur Espagne tats Unis d Am rique Finlande France G orgie Ghana Gr ce Hongrie Indon sie Irlande Italie Japon Jordanie Lituanie Luxembourg Monaco Norv ge Nouvelle Z lande Ouzb kistan Pays Bas P rou Philippines Pologne Portugal R publique tch que Roumanie Royaume Uni Saint Si ge Slovaquie Slov nie Su de Uruguay Protocole INFCIRC sign le 22 septembre 1998 sign le 29 septembre 1997 entr en vigueur le 12 d cembre 1997 217 Add 1 sign le 22 septembre 1998 sign le 22 septembre 1998 sign le24 septembre 1998 sign le 24 septembre 1998 sign le 31 d cembre 1998 sign le 29 juillet 1999 sign le 21 juin 1999 sign le 22 septembre 1998 sign le 15 octobre 1999 sign le 22 septembre 1998 sign le 1 octobre 1999 sign le 22 septembre 1998 sign le 12 juin 1998 sign le 22 septembre 1998 sign le 22 septembre 1998 sign le 29 septembre 1997 sign le 12 juin 1998 226 Add 1 sign le 22 septembre 1998 sign le 26 novembre 1998 entr en
45. Le d veloppement durable un r le pour l lectronud aire qui a t organis pendant la Conf rence g n rale en est un exemple Les participants venaient de centres de recherche scientifique nationaux et internationaux d organisations inter nationales d organisations non gouverne mentales et de l industrie nud aire Ils ont cherch d terminer si lectronucl aire pouvait tre compatible avec les objectifs du d veloppement durable et si les risques de changements dimatiques mondiaux justifie raient l expansion du nucl aire dans des Le fait nouveau le plus important a sans doute t la d cision d introduire la programmation ax e sur les r sultats pour l exercice biennal 2002 2003 march s plus comp titifs L une de leurs conclusions fondamentales a t que pour contribuer au d veloppement nerg tique durable les nouvelles centrales nucl aires devaient tre concurrentielles sans inter vention du gouvernement et maintenir de hauts niveaux de s ret Par ailleurs une r union sur les centres de recherche nud aire CRN au XXI si cle laquelle ont particip de hauts responsables de CRN de 25 tats Membres a eu lieu Vienne en d cembre L un des objectifs majeurs de cette r union tait de d terminer des moyens d intensifier la coop ration entre les CRN compte tenu des difficult s qu ils connaissent actuellement Un certain nombre de recommandations ont t faites
46. R publique Arabe Syrienne 24 septembre 1969 Entr en vigueur le 5 mars 1973 Entr en vigueur le 4 octobre 1979 Entr en vigueur le 15 octobre 1992 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 Entr en vigueur le 14 juin 1973 Entr en vigueur le 29 f vrier 1972 Entr en vigueur le 3 ao t 1992 Entr en vigueur le 2 octobre 1977 Entr en vigueur le 13 novembre 1990 Entr en vigueur le 18 f vrier 1975 Entr en vigueur le 31 janvier 1973 Entr en vigueur le 14 septembre 1973 Entr en vigueur le 13 juin 1996 Entr en vigueur le 5 septembre 1972 Entr en vigueur le 20 avril 1995 Entr en vigueur le 15 avril 1998 Entr en vigueur le 13 avril 1984 Entr en vigueur le 22 juin 1972 Entr en vigueur le 29 d cembre 1976 Entr en vigueur le 29 f vrier 1988 Entr en vigueur le 1 mars 1972 Entr en vigueur le 29 f vrier 1972 Approuv le 20 septembre 1999 Entr en vigueur le 8 octobre 1994 Sign le 22 d cembre 1988 Entr en vigueur le 13 octobre 1983 Entr en vigueur le 20 mars 1979 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 Entr en vigueur le 1 ao t 1979 Entr en vigueur le 16 octobre 1974 Entr en vigueur le 11 octobre 1972 Adh sion le 1 juillet 1986 Entr en vigueur le 18 mai 1992 191 275 413 193 200 182 409 253 387 228 190 197 524 188 477 551 317 186 246 358 177 185 508 312 279 193 273 216 179 193 Tableau A14 SITUATION AU 31 DECEMBRE 1
47. SI GE S N GAL SIERRA LEONE SINGAPOUR SLOVAQUIE SLOV NIE SOUDAN SRI LANKA SUEDE SUISSE THAILANDE TUNISIE TURQUIE UKRAINE URUGUAY VENEZUELA VIET NAM YEMEN YOUGOSLAVIE ZAMBIE ZIMBABWE Le Statut de Agence a t approuv le 23 octobre 1956 par la Conf rence sur le Statut de AIEA tenue au Si ge de l Organisation des Nations Unies New York il est entr en vigueur le 29 juillet 1957 L Agence a son Si ge a Vienne Son principal objectif est de hater et d accroitre la contribution de l nergie atomique la paix la sant et la prosp rit dans le monde entier AIEA 2000 NOTE Le paragraphe J de l article VI du Statut dispose que le Conseil des gouverneurs r dige l intention de la Conf rence g n rale un rapport annuel sur les affaires de l Agence et sur tous les projets approuv s par l Agence Le pr sent rapport porte sur la p riode allant du 1 janvier au 31 d cembre 1999 Toutes les sommes d argent sont libell es en dollars des tats Unis Les d signations employ es et la pr sentation des renseignements dans le pr sent document n impliquent nullement l expression par le Secr tariat d une opinion quelconque quant au statut juridique d un pays ou territoire ou de ses autorit s ni quant au trac de ses fronti res La mention de noms de soci t s ou de produits particuliers qu ils soient ou non signal s comme marques d pos es n implique aucune intent
48. Santa Marta de Garona Trillo l Vandellos 1 Vandellos 2 Loviisa TVO TVO Il PAKS PAKS II RAPS TAPS ENEL Latina ENEL Caorso ENEL Trino Fugen Fukushima Dai Ichi 1 Fukushima Dai Ichi 2 Fukushima Dai Ichi 3 Fukushima Dai Ichi 4 Fukushima Dai Ichi 5 Fukushima Dai Ichi 6 FOR PPRPPRPPBBPRPRBRBBRBPRPBEB Bb N PRRBRRBRRBEBR N BR Gentilly Pickering Point Lepreau Hai Yan Pusan Pusan Pusan Pusan Ulchin Ulchin Ulchin Ulchin Kyongju Kyongju Kyongju Kyongju Younggwang Younggwang Younggwang Younggwang Juragua Almaraz Almaraz Asco Asco Cofrentes Almonazid de Zorita Santa Mar a de Garona Trillo Vandellos Vandellos Loviisa Olkiluoto Olkiluoto Paks Paks Rajasthan Tarapur Borgo Sabatino Caorso Trino Vercellese Tsuruga shi Fukui ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken xX OX KK Annn AAR x xX XK X xK KK x Xx 145 Lu x lt Lu Es zZ lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Japon suite Fukushima Dai Ni 1 Fukushima Dai Ni 2 Fukushima Dai Ni 3 Fukushima Dai Ni 4 Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Futaba gun Fukushima ken Genkai 1 Higashimatsura gun Saga ken Genkai 2 Higashimatsura gun Saga ken Genkai 3 Higashimatsura gun Saga ken Genkai 4
49. TECDOC 1098 Management of delayed nuclear power projects IAEA TECDOC 1110 Strategies for competitive nuclear power plants IAEA TECDOC 1123 Hydrogeological investigation of sites for the geological disposal of radioactive waste Collection Rapports techniques n 391 State of the art technology for decontamination and dismantling of nuclear facilities Collection Rapports techniques n 395 Hydrogeological investigations of sites for geological disposal of radioactive waste IAEA TECDOC 931 Remote technology in spent fuel management IAEA TECDOC 1061 Procedures and techniques for the management of experimental fuels from research and test reactors IAEA TECDOC 1080 Spent fuel storage and transport cask decontamination and modification IAEA TECDOC 1081 Potential vulnerabilities of nuclear fuel cycle facilities to the year 2000 Y2K issue and measures to address them IAEA TECDOC 1087 Technologies for the remediation of radioactively contaminated sites IAEA TECDOC 1086 Technical options for the remediation of contaminated groundwaters IAEA TECDOC 1088 Storage of spent fuel from power reactors Proceedings of a symposium IAEA TECDOC 1089 Maintenance of records for radioactive waste disposal IAEA TECDOC 1097 Review of the factors affecting the selection and implementation of waste management technologies IAEA TECDOC 1096 Survey of wet and dry spent fuel storage IAEA TECDOC 1100 Stat
50. a moyen et a long terme a eu lieu en mai Vienne Le programme concernant la technologie des d chets radioactifs a port sur les sources de d chets radioactifs l accent tant mis sur les quantit s la r duction du volume des d chets et le d dassement des installations l ex cution des activit s de gestion des d chets davantage concentr es sur les questions de stockage d finitif le transfert et l change de technologie Un Colloque organis Taejon en R publique de Cor e a permis de passer en revue l exp rience acquise en ce qui concerne l application des technologies de gestion des d chets radioactifs provenant des centrales nucl aires et de la partie terminale du cycle du combustible nucl aire L avancement des travaux et 31 CYCLE DU COMBUSTIBLE NUCL AIRE ET TECHNOLOGIE DES D CHETS 32 CYCLE DU COMBUSTIBLE NUCLEAIRE ET TECHNOLOGIE DES DECHETS notamment la situation des programmes nationaux de gestion des d chets radioactifs a t examin la quatri me r union du Comit consultatif sur la technologie des d chets nucl aires en septembre CYCLE DU COMBUSTIBLE ET MATI RES NUCL AIRES L Agence et l AEN OCDE ont pr par un rapport commun sur l impact des op rations d extraction et de traitement du minerai d uranium sur l environnement et l att nuation il a t reconnu que l utilisation accrue du combustible MOX serait le meilleur moyen de fermer le cycle du comb
51. abaisse les co ts en r duisant au minimum les v rifications la r ception Les autres activit s d inspection noter ont t les suivantes Les inspections en Yougoslavie ont repris sans probl me majeur apr s une interruption de quatre mois due aux probl mes de s curit Une v rification du stock physique ainsi que des pr l vements d chantillons de r f rence de l environ nement ont t effectu s L Agence a maintenu une pr sence continue au r acteur surg n rateur rapide du Kazakhstan depuis octobre 1998 pour v rifier la mise sous tui du combustible Plus de 2 000 assemblages avaient t contr l s et emball s en octobre 1999 date laquelle a commenc la stabilisation des assemblages anormaux et leur mise sous tui L op ration devrait tre achev e fin 2000 La coop ration avec les autorit s r gionales ou nationales s est poursuivie Dans le cadre de la nouvelle formule de partenariat avec EURATOM la coop ration dans le domaine de la R D relative aux garanties s est poursuivie en ce qui concerne a le d veloppement d un scell transpondeur pouvant remplacer les scell s m talliques et d une nouvelle g n ration de scell s lectroniques b le d veloppement d une nouvelle g n ration de syst mes de surveillance num rique authentifi s c le d veloppement de plusieurs techniques de contr le non destructif pour la v rification des assemblages combustibles puis s da
52. accord de garanties L Agence ne peut toujours pas v rifier l exactitude et l exhaustivit de la d claration initiale des mati res nud aires faite par la RPDC et ne peut donc pas conclure l absence de d tournement de mati res nucl aires en RPDC Bien que l accord de garanties entre la RPDC et l Agence ait toujours force obligatoire et demeure en vigueur Ku LU p zZ lt o lt ep Lu lt DC lt l Agence ne peut appliquer qu une partie des mesures de contr le requises en RPDC Ces mesures consistent notamment contr ler le gel des r acteurs mod r s par graphite et des installations connexes de la RPDC comme demand par le Conseil de s curit de l ONU et comme pr vu dans le Cadre agr entrela RPDC et les tats Unis d Am rique en octobre 1994 Depuis 1991 les activit s de garanties que l Agence m ne en Iraq au titre de l accord de garanties g n ralis es conclu en vertu du Trait sur la non prolif ration des armes nucl aires TNP s inscrivent dans le cadre du mandat assign l Agence par la r solution 687 et les r solutions connexes du Conseil de s curit de l ONU En 1999 l Agence n a pas t m me de mener les activit s demand es par le Conseil de s curit et n a donc pas pu donner la moindre assurance que l Iraq remplissait ses obligations au titre de ces r solutions Dans ces circonstances compte tenu des exigences de son syst me
53. adh r est entr en vigueur pour la Finlande m L accord de garanties TNP du 7 mars 1972 conclu avec la R publique d mocratique allemande INFCIRC 181 p n est plus en vigueur depuis le 3 octobre 1990 date laquelle la R publique d mocratique allemande a acc d la R publique f d rale d Allemagne L application de garanties en Gr ce en vertu de l accord de garanties TNP publi sous la cote INFCIRC 166 provisoirement en vigueur depuis le 1er mars 1972 a t suspendue le 17 d cembre 1981 date laquelle la Gr ce a adh r l accord du 5 avril 1973 INFCIRC 193 conclu entre les Etats non dot s d armes nucl aires membres d EURATOM EURATOM et l Agence Un accord a galement t conclu en ce qui concerne les Antilles n erlandaises INFCIRC 229 Cet accord est entr en vigueur le 5 juin 1975 L accord de garanties conclu dans le cadre du TNP avec la Nouvelle Z lande INFCIRC 185 s applique galement aux les Cook Niou et Tokelau Un accord de garanties g n ralis es conclu dans le cadre du Trait de Tlatelolco avec le Panama est entr en vigueur le 23 mars 1984 INFCIRC 316 L application de garanties au Portugal en vertu de l accord de garanties TNP publi sous la cote INFCIRC 272 en vigueur depuis le 14 juin 1979 a t suspendue le 1er juillet 1986 date laquelle le Portugal a adh r a l accord du 5 avril 1973 INFCIRC 193 conclu entre les tats non dot s d armes nucl air
54. arr ts prolong s et celle des co ts de renouvellement du combustible L int r t de ce PRC est que si les analyses de l volution des co ts faites au niveau national peuvent tre introduites dans une base de donn es internationale il sera plus facile de faire conna tre les tendances et les meilleures pratiques du secteur et de constituer un ensemble d indicateurs conomiques internationaux Le Syst me d information sur les r acteurs de puissance PRIS de l Agence vise promouvoir l am lioration de la performance d exploitation des centrales nucl aires par la collecte l valuation et la diffusion de donn es sur l exp rience et les pratiques des producteurs d informations sur la performance d exploi tation des centrales nud aires et d analyses des facteurs qui influencent la performance Pour faciliter ce processus une version Le Syst me d information sur les r acteurs de puissance PRIS de l Agence vise promouvoir l am lioration de la performance d exploitation des centrales nucl aires CD ROM de PRIS a t labor e l heure actuelle les deux services PRIS de l Agence MicroPRIS et PRIS PC connexion PRIS par Internet sont utilis s par plus de 600 usagers dans des tats Membres et des organisations internationales En outre on a commenc mettre en place pour PRIS un bureau virtuel Il s agit d un forum Internet qui permet d changer des informations e
55. assur avec succ s le traitement des effluents W RESSOURCES EN EAU ET ENVIRONNEMENT MARIN radiovulcanis Gr ce des activit s intensives de d veloppement et de recherche des films de caoutchouc naturel radio vulcanis caract ris s par une r sistance accrue la traction et au cisaillement et une teneur minimum en prot ines r siduelles ont t synth tis s Les r sultats obtenus ont d j t communiqu s aux industries int ress es et l Inde la Malaisie et la Tha lande ont entrepris la fabrication de produits r alis s partir de caoutchouc naturel radiovulcanis semblerait galement que pour les op rations de r ajustage en particulier l utilisation d acc l rateurs par faisceaux d lectrons basse nergie autoprotecteurs offrira des avantages techniques environnementaux et conomiques Une r union d experts sur la radiosynth se de membranes intelligentes d hydrogels et d absorbants s est tenue a Takasaki J apon La situation actuelle et les nouvelles applications de membranes canaux ioniques ont t analys es et valu es notamment du point de vue de leur utilisation dans les processus de s paration Une autre r union d experts Vienne a examin les aspects techniques et conomiques du traitement des eaux r siduaires par irradiation Des tudes ont montr que les acc l rateurs par faisceaux d lectrons conviennent parfaitement pour de grands d b
56. avril 1990 361 R acteur de recherche Es Salam h 2 juin 1992 401 Argentine R acteur de puissance Atucha f 3 octobre 1972 168 Mati res nucl aires f 23 octobre 1973 202 R acteur de puissance Embalse f 6 d cembre 1974 224 Mat riel et mati res nucl aires f 22 juillet 1977 250 Mati res nucl aires mati res mat riel et installations f 22 juillet 1977 251 Centrale nucl aire Atucha Il f 15 juillet 1981 294 Usine d eau lourde f 14 octobre 1981 296 Eau lourde f 14 octobre 1981 297 Mati res nucl aires f 8 juillet 1982 303 Chili Mati res nucl aires g 31 d cembre 1974 256 Mati res nucl aires g 22 septembre 1982 304 Mati res nucl aires g 18 septembre 1987 350 Cuba Centrale nucl aire et mati res nucl aires 5 mai 1980 281 R acteur nucl aire de puissance nulle et combustible correspondant 7 octobre 1983 311 Espagne Mati res nucl aires h 18 juin 1975 221 Centrale nucl aire de Vandellos h 11 mai 1981 292 Installations nucl aires sp cifi es h 11 mai 1981 291 Inde Mati res nucl aires mati res et installations 17 novembre 1977 260 Centrale nucl aire 27 septembre 1988 360 Mati res nucl aires 11 octobre 1989 374 Toutes les mati res nucl aires soumises 139 aux garanties en vertu de l INFCIRC 154 1 mars 1994 433 Pakistan Mati res nucl aires 2 mars 1977 248 R acteur source de neutrons miniature 10 septembre 1991 393 R acteur nucl aire de puissance 24 f vrier 1993 418 R publique populaire R acteur
57. bit dans les fleuves et les cours d eau en Am rique latine en Asie et en Afrique dans le cadre de projets de coop ration technique de l Agence en recourant aux techniques isotopiques D autres travaux ont permis de constater que les d versements accrus d eaux fluviales sont responsables de l l vation du niveau de la mer Caspienne la suite essentiellement de changements dans les conditions hydro climatiques du bassin hydrographique Un autre domaine auquel une attention particuli re a t accord e ces derni res ann es est celui des applications isotopiques dans les syst mes g othermiques tant pour l valuation hydrologique des r servoirs g othermiques que pour la caract risation des changements dynamiques induits dans ces r servoirs par leur exploitation Sur la base de l exp rience et des donn es recueillies en ce qui concerne les applications pratiques des traceurs et des isotopes en g othermie dans le cadre d un projet r gional de coop ration technique et d un PRC on a tabli un guide sur les techniques isotopiques amp chimiques dans la prospection le d veloppement et Encadr 2 Les agriculteurs de Zanzibar r coltent les fruits de l radication de la mouche ts ts Une quipe d conomistes sp cialis s dans l agriculture et l levage a conclu que l radication dans le cadre d un projet de l Agence de la mouche ts ts Zanzibar en R publique Unie de Tanzanie par
58. centrales nucl aires Tableau A7 Missions d quipes d examen de la s ret d exploitation OSART 1999 Tableau A8 Missions pour l am lioration de la culture de s ret 1999 Tableau AQ Services d quipes d analyse des v nements importants pour la s ret ASSET et activit d examen de l exp rience d exploitation L999 nn ar Mn me E E Tableau A10 Missions d quipes internationales d examen de la r glementation OTTEN Tableau A11 Missions d valuation int gr e de la s ret des r acteurs de recherche INSARR 1999 Tableau A12 chelle internationale des v nements nucl aires INES classement des v nements notifi s 1999 Tableau A13 Nombre d Etats qui avaient des activit s nucl aires significatives la fin de 1997 1998 et 1999 Tableau A14 Situation au 31 d cembre 1999 concernant la conclusion d accords de garanties entre l Agence et des Etats non dot s d armes nucl aires dans le cadre du TNP Tableau A15 Situation au 31 d cembre 1999 concernant la conclusion d accords de garanties entre l Agence et des Etats parties au Trait de Tlatelolco Tableau A16 Accords pr voyant des garanties autres que ceux qui ont t conclus dans le cadre du TNP ou du Trait de Tlatelolco approuv s par le Conseil des gouverneurs au 31 d cembre 1999 Tableau A
59. ces mati res Pour ce qui est du financement de la coop ration technique la demande de la Conf rence g n rale le Conseil a entam des discussions en vue de recommander la Conf rence g n rale des objectifs pour 2001 2002 et des chiffres indicatifs de planification pour 2003 2004 II a charg les ambassadeurs de Finlande et du Mexique de coordonner les consultations avec les tats Membres int ress s Comme la Conf rence g n rale avait demand au Conseil en 1995 de revoir les arrangements pour le financement de l l ment Garanties du budget ordinaire en 2000 au plus tard le Conseil a d cid de lancer des consultations entre les tats Membres int ress s en vue de l approbation des arrangements en juin 2000 L ambassadeur d Espagne a t charg de mener ces consultations La Conf rence g n rale a nomm le Contr leur et V rificateur g n ral des comptes du Royaume Uni comme v rificateur ext rieur des comptes de l Agence pour les exercices 2000 et 2001 Le Conseil a approuv l adoption d un drapeau de l Agence et son utilisation conform ment un code du drapeau qui a t promulgu ult rieurement par le Directeur g n ral Conseil des Gouverneurs 1999 2000 La composition du Conseil des gouverneurs en 1999 2000 la cl ture de la quarante troisi me session ordinaire 1999 de la Conf rence g n rale tait la suivante Afrique du Sud Alg rie Allemagne Arabie Saoudite Ar
60. communiqu e la 21 r union des Parties contractantes la Convention Cette r capitulation est la mise jour d un rapport ant rieur et indut des renseigne ments sur les op rations d immersion dans l Arctique effectu es par ex U nion sovi tique La r capitulation a t tablie l aide d un syst me d information qui terme contiendra des relev s de tous les rejets de mati res radioactives dans l environnement ainsi que des vacuations de d chets solides et des accidents et pertes de mati res radioactives en mer Une s rie de documents de s ret d finissant une politique et des m thodes accept es au plan international pour la limitation des rejets de radionud ides dans l environnement sera bient t achev e Le document principal est un yn LL oO lt O Q lt Ka L Lu I O LU Q Ku Lu Q LU He Lu oO Ku Kl LL oO lt O QO lt D Kl Lu I S LU a yn LI a LU uu D yn guide de s ret qui expose les principes r gle mentaires pour la limitation des rejets il est appuy par un rapport de s ret d crivant une m thodologie recommand e pour l valuation de l impact radiologique des rejets de mati res radioactives dans l atmosph re et dans les eaux de surface Les deux peuvent tre utilis s ensemble pour d finir des limites quantitatives de rejet satisfaisant aux principes interna tionaux actuels de protection radiolog
61. conversion de l uranium a Tokaimura J apon Une r action nud aire de fission en cha ne autoentretenue criticit s est d clench e spontan ment dans une cuve de pr cipitation o l on avait vers une quantit en solution d uranium enrichi repr sentant plusieurs fois la limite sp cifi e La r action en cha ne s est poursuivie de fa on intermittente pendant environ 20 heures jusqu ce qu on l arr te en vidangeant l eau de la chemise de refroidissement entourant la cuve de pr cipitation et en ajoutant du bore la solution Trois employ s qui se trouvaient dans le b timent au moment o la criticit a t atteinte ont d velopp le syndrome d irra diation aigu apr s avoir t expos s un rayonnement direct intense principalement des neutrons provenant de la cuve de pr cipi tation l un d entre eux est d c d le 21 d cembre et un autre tait toujours hospitalis la fin de 1999 Sept personnes qui travaillaient juste l ext rieur du site ainsi que d autres personnes r sidant dans un rayon de 350 m tres autour du b timent ont Encadr 5 Plan d action pour la s ret des sources de rayonnements Ces derni res ann es on a enregistr un certain nombre d incidents lourds de cons quences r sultant de l exposition des sources de rayonnements et des mati res radioactives qui pour une raison o pour une autre ne faisaient pas l objet d un contr le appropri sources or
62. cycle du combustible nud aire et les syst mes nucl aires futurs Cette r union a conclu que quelles que soient les options en la mati re cycle passage unique ou retraitement recyclage il est important de d montrer que la partie terminale du cyde du combustible nud aire peut tre int gralement ex cut e Un groupe consultatif s est r uni en octobre pour formuler un plan strat gique concernant les projets internationaux de R D sur les cycles du combustible et les r acteurs novateurs Une de ses principales recomman dations a t que pour ce qui est dela mise en 33 CYCLE DU COMBUSTIBLE NUCL AIRE ET TECHNOLOGIE DES D CHETS 34 CYCLE DU COMBUSTIBLE NUCLEAIRE ET TECHNOLOGIE DES DECHETS place de cycles et de mod les de r acteurs novateurs le r le de l Agence devrait tre d fini de mani re faciliter la coordination de la R D dans les domaines suivants les technologies facilitant l application des garanties la r duction des d chets fortement radioactifs le retraitement sec les ph nom nes de circulation naturelle et les syst mes aliment s par acc l rateur SOURCES DE D CHETS RADIOACTIFS Les d chets radioactifs proviennent de la production d lectricit par le moyen de l nergie nucl aire et des applications nucl aires dans les domaines de la m decine la recherche et l industrie Un des principes fondamentaux de la gestion des d chets nucl aires est la minimisation qui
63. d veloppement est partie int grante du d veloppement durable de l nergie A cet gard l Agence s efforce d am liorer la capacit des Etats Membres valuer les options qui s offrent eux pour d velopper leur nergie et leur lectricit en leur fournissant les m thodes et les outils de prise de d cision les plus perfectionn s Par ailleurs s agissant de ses outils d aide la d cision et de ses programmes de formation elle a d r agir avec souplesse aux nouvelles r alit s engendr es par la lib ralisation des march s la d r glementation et la r duction des budgets gouvernementaux Cette assistance a t fournie par le biais de projets de coop ration technique au Br sil en Bulgarie en Croatie en gypte en Lituanie au Mexique en Pologne en R publique de Moldova en Slov nie au Soudan et au Viet Nam Dans tous ces pays on s est attach valuer le r le de l lectronucl aire et d autres options nerg tiques dans l expansion future des syst mes d approvision nement en lectricit Des projets r gionaux men s en Europe en Asie et au Pacifique Sud r pondent galement aux besoins des tats Membres dans le domaine de l valuation comparative pour le d veloppement nerg tique durable Par exemple un projet mod le de coop ration technique a t lanc en Pologne pour d finir clairement un cadre de planification nerg tique et pour valuer la comp titivit conomique
64. de Mendoza et de Patagonie d exporter leur production partir des ports chiliens Les exportations de fruits de l Argentine se montent d j environ 500 millions de dollars par an et cet acc s aux march s des pays du Pacifique par l interm diaire du Chili devrait procurer d autres avantages conomiques substantiels l industrie fruiti re argentine Des progr s ont t accomplis dans le cadre d un projet TIS de coop ration technique au Moyen Orient des mouches m diterra n ennes m les st riles ont t rel ch es au dessus de la plaine d Arava tant en J ordanie qu en Isra l l objectif tant d tablir des zones qui seront internationalement reconnues comme tant exemptes de ces mouches et de favoriser les exportations de fruits et de l gumes Les probl mes sensibles de logistique relatifs au transport sur une longue distance de mouches m les st riles jusqu la r gion concern e et aux l chers a riens sur les deux pays ont t r solus de mani re satisfaisante et la cr ation de telles zones a procur ces derniers des avantages conomiques importants On peut mesurer l impact du projet au fait que six r gions agricoles sont maintenant reconnues comme tant exemptes de mouches et que la valeur conomique des exportations de l gumes a t multipli e par cinquante Devant le succ s de ce projet pilote et les avantages que pr sente pour l environnement une utilisation r duite de pesti
65. des installations couvertes par des accords de garanties g n ralis es apr s que des essais sur le terrain eurent t effectu s avec succ s dans 11 tats Membres Le laboratoire blanc de l Agence situ Seibersdorf pr s de Vienne re oit traite et analyse des chantillons et distribue galement des chantillons en vue de les faire analyser par des laboratoires appartenant au r seau de laboratoires d analyse certifi s la fin de 1999 ce r seau comprenait huit laboratoires appartenant quatre tats Membres et EURATOM Les travaux d chantillonnage de l environne ment ont principalement consist pr lever et analyser des frottis dans des usines d enri chissement et dans des installations dot es de cellules chaudes L objectif est de d celer toute activit ventuelle d enrichissement de l uranium au del des taux d clar s et de confirmer que les installations quip es de cellules chaudes ne sont pas utilis es pour des activit s non d clar es telles que la production ou la s paration du plutonium Les accords de garanties pr voient la possibilit d tendre l chantillonnage d autres types d installa tions nucl aires la fin de l ann e des chan tillons de r f rence avaient t pr lev s dans 12 installations d enrichissement dans sept tats et dans 77 complexes quip s de cellules chaudes dans 40 tats et Taiwan Chine Pour l Agence ainsi que pour les tat
66. diagnostiques L talon de r f rence de l Agence a t talonn au PTB le laboratoire d talonnage allemand et des services d talonnage des instruments de mesure utilis s pour la mammographie ont t mis la disposition des tats Membres Des contr les de la qualit des doses et des comparaisons interlaboratoires ont t organis s en vue de v rifier la tra abilit des mesures et de contr ler la performance des LSED Neuf LSED ont particip des comparaisons interlaboratoires des facteurs d talonnage des chambres d ionisation utilis es en radioth rapie et 25 la v rification des dosim tres thermolumines cents TLD utilis s pour la dosim trie aux fins de la radioprotection Dans le cadre du contr le des TLD utilis s en radioth rapie on a v rifi 123 faisceaux mis par des sources au cobalt 60 et des acc l rateurs cliniques employ s par des laboratoires ou supervis s par des LSED Au titre d un projet de l Organisation europ enne de m trologie qui s ach vera en 2000 on a mis au point en colla boration avec des LPED allemand et autrichien des proc dures pour les comparaisons interlaboratoires des facteurs d talonnage pour la radiologie utilis e a des fins th rapeutiques et diagnostiques mammographie On a men une enqu te sur les activit s des membres du r seau de LSED Les r sultats ont montr qu environ 70 des laboratoires participent a des programmes d assura
67. e R acteur TRIGA II 22 septembre 1980 287 Maroc e Combustible pour r acteur de recherche 2 d cembre 1983 313 Mexique e R acteur TRIGA III 18 d cembre 1963 52 138 Siemens SUR 100 21 d cembre 1971 162 Centrale nucl aire Laguna Verde 12 f vrier 1974 203 Nigeria e R acteur de recherche et combustible correspondant 29 ao t 1996 526 Pakistan R acteur PRR 5 mars 1962 34 Barres de surr activit pour KANUPP 17 juin 1968 116 P rou e R acteur de recherche et combustible correspondant 9 mai 1978 266 Philippines e R acteur PRR 1 28 septembre 1966 88 R A Syrienne e R acteur source de neutrons miniature 18 mai 1992 408 et uranium enrichi R publique d mocratique R acteur TRICO 27 juin 1962 37 du Congo e Combustible pour r acteur de recherche 20 septembre 1990 389 Roumanie e R acteur TRIGA 30 mars 1973 206 l ments combustibles exp rimentaux 1 juillet 1983 307 Slov nie e R acteur TRIGA I 4 octobre 1961 32 Centrale nucl aire de KrSko 14 juin 1974 213 Thailande e Combustible pour r acteur de recherche 30 septembre 1986 342 Turquie e Assemblage sous critique 17 mai 1974 212 Uruguay e R acteur URR 24 septembre 1965 67 Venezuela e R acteur RV 1 7 novembre 1975 238 Viet Nam e Combustible pour r acteur de recherche 1 juillet 1983 308 ANNEXE Tableau A16 ACCORDS PREVOYANT DES GARANTIES suite Partie s 2 Objet Entr e en vigueur INFCIRC ii Soumissions unilat rales Alg rie R acteur de recherche NUR h 9
68. effectu es sur des patients Les travaux men s dans le cadre de ce PRC ont pr par la voie l utilisation d analogues de l octr otide marqu au techn tium 99m et permis d tendre le b n fice du recours l imagerie toutes les r gions du monde Le PRC a galement permis de nombreux participants de pays en d veloppement d acqu rir des comp tences dans les domaines interdisciplinaires actuellement concern s par la recherche d veloppement sur les radiopharmaceu tiques notamment la conjugaison et la purification des peptides le marquage du conjugu au techn tium 99m les techniques CLHP de purification et d analyse radiochimique les analyses in vitro de liaison avec le r cepteur et de d placement du ligand et les tudes de biodistribution animales W Ku Lu x O Fe Lu Ku Lu D Ku Se I D a Lu oO zZ Lu O ua Ku Lu D x oO LU Ka Lu D Ku Sa I a Ku LU O zZ Lu O Ka syst mes de t l manipulation utilis s dans le cadre de nombreuses exp riences ont t pr sent s On a galement pr sent des rapports concernant de nouvelles interfaces utilisateur fond es sur Internet qui offrent aux utilisateurs autoris s un acc s complet lecture criture des tableaux d entr e par l interm diaire de logiciels de navigation courants Il y a eu consensus sur le fait qu il tait n cessaire d unifier les diff rents Les principaux r sultats obt
69. en cours de pr paration Une r union de comit technique sur les perspectives des applications non lectriques de l nergie nucl aire a eu lieu a Beijing Elle a pass en revue des informations sur les perpectives et les questions de conception de s ret et d autorisation ainsi que sur le d veloppement d applications non lectriques dela chaleur nucl aire des fins industrielles Il s agit notamment du dessalement de l eau de mer et de la production d hydrog ne sa troisi me r union en juin le Groupe consultatif international sur le dessalement nucl aire INDAG a pass en revue les programmes et projets nationaux en cours dans les Etats Membres et a soulign qu il importait de faciliter la coop ration inter nationale relative aux activit s de d mons tration du dessalement nucl aire a aussi examin les r sultats de la premi re r union d un projet interr gional de coop ration technique sur la conception de syst mes int gr s de dessalement nucl aire qui s est tenue en mai en R publique de Cor e En outre il a recommand que l Agence analyse plus avant les besoins des pays et prenne des mesures de suivi Une tude d taill e de la rentabilit g n rale du dessalement nucl aire a t coordonn e par l Agence Elle a mis en vidence les conditions dans lesquelles le dessalement nucl aire serait comp titif Ces conditions par rapport aux nergies fossiles ont t identifi es e
70. en de recherche sur l nergie atomique l Union internationale des producteurs et des distributeurs d nergie lectrique et l Institut de l nergie nucl aire Ce colloque a montr Qu il existe des technologies prouv es pour g rer les d chets de faible activit de mani re s re conomique et cologiquement rationnelle et qu une exp rience consid rable de ces technologies a t accumul e dans de nombreux tats Membres Que l attention accrue accord e aux technologies permettant de r duire le plus possible la production de d chets et de diminuer le volume de ceux ci ont entra n des r ductions sensibles des quantit s de d chets solides et de la radioactivit qu ils contiennent Que l on continue apporter des am liorations aux technologies utilis es pour le traitement et le conditionnement des d chets radioactifs ainsi ou aus m thodes d tude et de choix des sites pour le stockage d finitif des d chets Que les Etats Membres continuent d examiner diverses options pour la gestion des d chets de haute activit et du combustible us y compris le stockage long terme de ce dernier jusqu ce que l option privil gier pour son stockage d finitif se pr cise Que quelques Etats Membres ayant d importants programmes nucl aires avancent dans la mise au point de concepts pour le choix du site d installations de stockage d finitif de d chets de haute activit Une conf rence tenue Denver t
71. essais non destructifs de structures en b ton Malaisie Cours r gional sur l inspection en service par essais non destructifs dans l industrie Arabie Saoudite Cours r gional et examen sur les essais par ultrasons niveau 2 R publique Arabe Syrienne Cours r gional sur la radiosynth se de mat riaux biologiques Australie Cours r gional sur la mise en valeur de d chets agricoles par radiotraitement Malaisie Cours r gional sur la production et la st rilisation de tissus biologiques Alg rie Cours r gional sur le radiotraitement d eaux us es industrielles et municipales Autriche Cours r gional sur la production et le contr le de radiopharmaceutiques Arabie Saoudite Atelier r gional sur l assurance de la qualit dans la production et le contr le de capsules th rapeutiques l iode 131 Viet Nam Atelier r gional sur l assurance de la qualit dans la production et le contr le de radiopharmaceutiques th rapeutiques R publique de Cor e Atelier r gional sur les bonnes pratiques de fabrication pour la production de g n rateurs de techn tium 99m Chine Cours sur la production et l valuation de tubes recouverts d anticorps utilis s en radio immunodosage et en radio immunom trie Gr ce Atelier r gional sur l assurance de la qualit dans la production de sources de curieth rapie au cobalt 60 Inde Cours r gional sur la formation de v rificateurs des laboratoir
72. et l impact environnemental de diverses options nerg tiques notamment Le forum scientifique de la quarante troisi me Conf rence g n rale a examin la compatibilit du nucl aire avec les objectifs du developpement durable l lectronucl aire et le gaz naturel Le but est de contribuer la mise en place d une quipe nationale d experts qui soit capable d valuer diff rentes options nerg tiques Diff rents sc narios concernant le d veloppement de syst mes nerg tiques seront compar s afin d identifier ceux qui r pondent aux objectifs nationaux en termes de diversification de l nergie de co ts de fiabilit et d impact environnemental Autre exemple un projet national de coop ration technique portant sur une tude de pr faisabilit concernant l introduction de l lectronucl aire Deux groupes de travail nationaux ont t constitu s dans le cadre du projet le premier tant charg d utiliser les outils de planification nerg tique de l Agence MAED WASP et ENPEP pour pr voir la demande d nergie d lectricit laborer des plans pour une expansion cono miquement optimale du syst me lectrique et quantifier les impacts de ces diff rents plans sur l environnement Le second groupe tudiera les questions que pose l introduction de l lectronucl aire du point de vue de la technique de la s ret et du d veloppement de l infrastructure 41 VALUATION COMPARA
73. et le fonctionnement des centrales nucl aires Bulgarie Atelier r gional sur l exp rience en mati re de projets lectronucl aires retard s Br sil Atelier r gional sur la gestion des ressources humaines Slov nie Atelier r gional sur les essais de mise en service et la gestion des projets Chine Atelier r gional sur la d gradation et l inspection des g n rateurs de vapeur France Atelier r gional sur la performance de qualit dans les centrales nucl aires le r le de la direction Hongrie Cours interr gional sur le contr le commande des centrales nucl aires Allemagne Atelier pour l Am rique latine sur la gestion des co ts et des processus Argentine Atelier r gional sur la gestion des ressources humaines notamment la formation et l habilitation R publique de Cor e Atelier r gional sur l homologation des syst mes d essai non destructif Croatie Atelier r gional sur l homologation des syst mes d inspection en service Cuba Atelier r gional sur l optimisation des programmes d inspection en service des composants du circuit primaire Slovaquie Atelier sur la r glementation du d classement Italie S minaire sur le stockage d finitif du graphite nucl aire Royaume Uni Cours r gional sur la conception la fabrication la performance et la partie terminale du cycle du combustible des VVER Slovaquie Atelier pour les utilisateurs du code TRANSURANUS Bulgar
74. et phytosanitaire des aliments et des denr es agricoles se d veloppe de plus en plus et o la recrudes cence des maladies transmises par des bact ries et des parasites pathog nes dans les aliments a port la question dela salubrit des produits alimentaires au premier plan des pr occupations sanitaires du public Les participants la conf rence ont r affirm que la salubrit et l ad quation nutritionnelle des aliments irradi s produits dans de bonnes conditions ne sont plus remises en question quelle que soit la dose absorb e Ils ont aussi reconnu que l irradiation en tant que proc d de pasteurisation d contamination par le froid des aliments d origine animale et v g tale constitue un maillon essentiel du syst me bas sur l analyse des risques et la ma trise des points critiques qui est largement appliqu voire impos par de nombreux pays pour garantir la salubrit de ces denr es Parmi les faits nouveaux concernant la protection des aliments et de l environnement on peut citer la coop ration entre les pays d Asie et du Pacifique dans le cadre du RCA qui a abouti l adoption d un protocole harmonis sur l irradiation comme traitement quarantenaire des produits horticoles frais et l laboration de principes directeurs pour son emploi en tant que traitement phytosanitaire Le protocole et les principes directeurs seront soumis au Secr tariat de la Convention internationale pour la protection des v
75. formation dans le domaine de la science et de la technologie nucl aires Syst me international d information pour les sciences et la technologie agricoles Arrangements r gionaux de coop ration pour la promotion des sciences et techniques nucl aires en Am rique latine Comit international des constantes nucl aires Centre international de physique th orique Conseil mondial de l nergie Commission oc anographique intergouvernementale UNESCO Communaut europ enne de l nergie atomique Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Forum atomique europ en Institut international d analyse de syst mes appliqu e Organisation internationale de normalisation Laboratoire de l environnement marin de l AIEA Monaco Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques Organisation internationale du Travail Organisation latino am ricaine de l nergie Organisation mondiale du commerce Organisation mondiale des douanes Organisation maritime internationale Organisation mondiale de la sant Organisation des Nations Unies pour le d veloppement industriel Organisme pour l interdiction des armes nucl aires en Am rique latine et dans les Cara bes Organisation panam ricaine de la sant OMS Commission p paratoire de l Organisation du Trait d interdiction compl te des essais nucl aires Programme des Nations Unies pour le d veloppement Programme des Nations Unies pour l env
76. g taux Le Centre FAO AIEA de formation et de r f rence pour le contr le de la qualit des produits alimentaires et des pesticides a continu d aider les organismes nationaux charg s de la surveillance des aliments dans les tats Membres en d veloppement renforcer leurs capacit s d analyse des contaminants aux fins de l laboration d une norme inter nationale I1 convient galement de mentionner les progr s accomplis par plusieurs pays asiatiques qui recourent cette technique l chelle industrielle et le fait que de nouvelles installations d irradiation indus trielles sont en construction au Bangladesh en Chine en Inde en R publique de Cor e et en Tha lande Le mandat du Groupe consultatif inter national sur l irradiation des denr es alimentaires ICGFI a t prorog jusqu en 2002 pour renforcer la participation de l industrie alimentaire aux travaux du Groupe et favoriser la diffusion d informations sur la s ret et les avantages de l irradiation des aliments aupr s du public A la demande de lICGFI la Commission FAO OMS du Codex Alimentarius a entrepris de modifier la Norme g n rale Codex pour les aliments irradi s en vue de supprimer la dose limite sup rieure de 10 kGy Un PRC a permis d valuer les incidences d applications r p t es et prolong es de pesticides sur les propri t s des sols ainsi que sur les populations microbiennes et les 47 Lu o
77. gr e contre les mouches des fruits P rou Cours FAO AIEA pour l Asie et le Pacifique sur le d veloppement de l assurance de la qualit pour l analyse de mycotoxines dans l alimentation humaine et animale Philippines Atelier FAO AIEA sur l introduction de mesures d assurance contr le de la qualit dans les laboratoires d analyse de r sidus de pesticides Autriche Sant humaine Cours r gional sur le diagnostic de la n phropathie diab tique par radio immunodosage Inde Cours r gional pour techniciens de m decine nucl aire sur la SPECT cardiaque Tha lande Cours r gional pour sp cialistes de m decine nucl aire sur la scintigraphie par perfusion du myocarde Philippines Cours r gional sur la cardiologie nucl aire Inde Cours r gional sur les techniques faisant appel aux radionucl ides pour le suivi de la n phropathie diab tique R publique de Cor e Cours r gional sur les tudes par perfusion du myocarde l aide de la SPECT Chine Atelier r gional sur les marqueurs tissulaires et s rologiques r cents pour le suivi du cancer du sein Chine Cours r gional sur l application des techniques faisant appel aux radionucl ides en oncologie Slov nie Cours r gional sur la cardiologie nucl aire R publique islamique d lran Hongrie Cours r gional sur le contr le de la qualit et les syst mes SPECT gypte Atelier r gional sur l utilisation efficace de logiciels
78. industrie et dans le domaine de l environnement 1996 1999 Conception d une centrale fusion par confinement inertiel 2000 2004 Plasma dense obtenu par confinement magn tique 2001 2004 Comparaison de configurations toroidales compactes 1998 2002 S ret nucl aire Gestion du vieillissement des c bles du syst me de contr le commande a l int rieur de l enceinte de confinement 1992 1999 laboration de m thodes pour l optimisation des essais de contr le et de la maintenance des quipements li s la s ret dans les centrales nucl aires 1996 1999 Exp rimentation interlaboratoires sur la fragilisation par irradiation et le recuit des soudures m talliques des cuves sous pression des r acteurs VVER 1996 2000 Recherches sur les m thodologies d analyse des incidents 1997 2000 S ret des centrales RBMK par rapport aux v nements externes 1997 2000 Indicateurs pour surveiller la performance de s ret en exploitation 1999 2003 ANNEXE Tableau A25 PROJETS DE RECHERCHE COORDONNEE suite Elaboration de donn es concernant les accidents pour la quantification des risques associ s au transport de mati res radioactives 1994 1999 Limites des valuations radio pid miologiques des effets stochastiques des rayonnements dans le cadre de la radioprotection 1994 2000 Intercomparaison de syst mes de comptage in vivo l aide d un fant me de l homme asiatique de r f rence 1996 1999 Comparaison interlaboratoires
79. innocuit microbiologique des aliments solides en particulier de ceux qui sont consomm s crus ou avec un minimum de pr paration et pour viter une contamination crois e des aliments Les essais de commercialisation et les ventes de denr es effectu s au cours des dix derni res ann es dans une quinzaine de pays ont montr que les consommateurs sont dispos s acheter des produits irradi s lorsqu ils sont inform s de leur innocuit et des avantages qu ils pr sentent Virradiation est utilis e couramment pour assurer la qualit hygi nique des pices et des condiments v g taux s ch s dans plus de 20 pays Un certain nombre d irradiateurs destin s au traitement de denr es alimentaires ont t construits ces derni res ann es ou sont en construction en particulier aux tats Unis et dans certains pays d Asie W l lt Lu zZ Lu o 2 oOo a Lu D lt x lt ez Lu Zz Lu D D LI a lt SURETE Dimensions internationales de la s ret L Agence encourage une culture mondiale de s ret nud aire comprenant trois l ments conventions juridiquement contraignantes normes de s ret accept es l chelon inter national et mesures pour appliquer ces conventions et ces normes En 1999 on a enregistr un certain nombre d v nements et de questions d importance concernant ces trois l ments voir galement l encadr 5 La Convention sur la notification rapide d un acciden
80. installations Envois d chantillons pr lev s lors des inspections d talons de mati res radioactives et d articles contamin s au Laboratoire d analyse pour les garanties Op rations d achat 1998 78 42 304 759 30 34 102 97 165 17 147 891 456 65 86 1 327 74 18 600 19 301 554 656 170 202 1 707 1999 Nombre total 19 39 280 908 32 35 92 96 175 75 150 715 505 134 142 1 328 81 159 21 300 19 718 534 514 289 232 1 423 ANNEXE Tableau A22 APPUI SUPPLEMENTAIRE AUX GARANTIES APPORTE PAR DES ETATS Allemagne Autriche Argentine F d ration de Russie Australie Isra l Belgique Lettonie Canada Pakistan Cor e R publique de R publique tch que tats Unis d Am rique EURATOM F d ration de Russie Finlande France Hongrie Japon Pays Bas Royaume Uni Su de 160 Tableau A23 GROUPES CONSULTATIFS PERMANENTS Comit consultatif international sur la technologie des d chets radioactifs Comit consultatif pour les normes de s ret nucl aire Comit consultatif pour les normes de s ret radiologique Comit consultatif pour les normes de s ret relatives au transport Comit consultatif pour les normes de s ret relatives aux d chets Comit international des constantes nucl aires Comit scientifique du r seau AIEA OMS de laboratoires secondaires d talonnage pour la dosim trie Commission consultative pour les normes d
81. l efficacit avec laquelle la direction instaure et maintient une solide culture de s ret face aux pressions organisationnelles et conomiques et pour apporter une assistance en la mati re Dans le cadre de tous les services il faudrait mettre davantage l accent sur les mesures requises pour compenser le vieillissement des travailleurs du nud aire et la diminution des effectifs ainsi que la perte de la m moire institution nelle Dans le domaine de l am lioration et de la modernisation en mati re de s ret davantage d avis et de services sont n cessaires pour aider les tats Membres prendre des d cisions dans les domaines suivants modernisation et am lioration du mat riel et du logiciel li s la s ret proc dures application de nouvelles normes de s ret recours un processus d cisionnel fond sur le risque et nouveaux indicateurs plus perfectionn s de la performance en mati re de s ret Les efforts d ploy s en la mati re doivent en outre tenir compte des chevauchements ventuels avec les activit s men es par d autres organisations Les am liorations apport es ont consist notamment mieux int grer et coordonner les OSART les ASSET et les services de renforcement de la culture de s ret en confiant les missions et les activit s de formation a des quipes mixtes mission OSART dirig e par le chef d une quipe ASSET par exemple Cette approche a maintenant t tendue a d
82. l inspection de combustible puis court temps de refroidissement progressent normalement De plus un nouveau syst me de scell ultrasons pour utilisation sous l eau a t utilis la piscine de combustible puis du r acteur de Cernavoda en Roumanie Les analyseurs multicanaux de nouvelle g n ration sont introduits mesure que l on retire du service les plus anciens Une nouvelle g n ration de syst mes auto matiques de surveillance du rayonnement x dans les r acteurs CANDU a commenc a remplacer les syst mes vieillissants On a continu a installer des syst mes de surveillance num riques A la fin de 1999 118 syst mes num riques quipant 163 cam ras taient en service ceux ci s ajoutaient 93 syst mes achet s pour installation en 2000 Le premier syst me num rique multicam ras a t install pour essais sur le terrain D autres mesures ont galement t prises pour optimiser l utilisation du mat riel des garanties Un nouveau syst me de programmation des inspections a t mis au point pour aider les trois divisions des op rations dans leur travail Un nouveau syst me a t mis au point pour aider les tats Membres pr parer les d clarations pr vues aux articles 2 et 3 du Protocole additionnel sous forme lectronique pour transmission l Agence Un certain nombre de mesures concernant la s curit lectronique et physique ont t prises pour renforcer la s
83. la d sinfection des eaux us es et de l eau potable la suite d un PRC de l Agence un certain nombre de pays ont entrepris des tudes techniques portant sur ce proc d Encadr 3 Importance de l irradiation des denr es alimentaires Le r le de l irradiation comme traitement sanitaire et phytosanitaire des denr es alimentaires et agricoles a t mis en vidence lors d une conf rence FAO AIEA OMS sur le radiotraitement pour assurer l innocuit et la qualit des denr es alimentaires qui s est tenue a Antalya Turquie en octobre Les principales conclusions de cette conf rence sont notamment les suivantes Linnocuit et l ad quation nutritionnelle des aliments irradi s n importe quelle dose et conform ment de bonnes pratiques industrielles sont bien tablies La Commission du Codex Alimentarius du Programme FAO OMS de normes pour les aliments a d cid d entamer des proc dures en vue d amender la Norme g n rale Codex pour les aliments irradi s de mani re supprimer le plafond de dose fix ant rieurement Virradiation est apparue comme un traitement viable polyvalent et cologiquement rationnel des denr es alimentaires et agricoles qui satisfait aux dispositions pertinentes de l Accord sur l application des mesures sanitaires et phytosanitaires de l Organisation mondiale du commerce Virradiation devrait tre consid r e comme partie int grante des efforts faits pour assurer l
84. la gestion des r acteurs de recherche tenu Lisbonne au Portugal s est int ress particu li rement aux questions suivantes la gestion du combustible us et des d chets provenant de l exploitation et de l utilisation la remise en tat le d classement et le d mant lement des installations le transfert du combustible de r acteurs de recherche gaine en aluminium d un entreposage en piscine un entreposage sec le retour du combustible us dans le pays o il a t enrichi initialement la mise en place d installations r gionales et internationales pour l entre posage interm diaire et terme le stockage d finitif du combustible us Parmi les questions concernant la gestion du combustible us le colloque a relev les points suivants qui doivent tre trait s d urgence la n cessit d laborer dans chaqueinstallation un plan r aliste pour la gestion du combustible us la pr paration et la poursuite des op rations de retour du combustible us dans le pays d origine la n cessit de trouver des solutions r gionales pour les pays qui ont des r acteurs de recherche mais pas de r acteurs de puissance Un cours international organis en mai au Laboratoire national d Argonne par l Agence et les tats Unis d Am rique a port sur les pr paratifs techniques et administratifs requis pour r exp dier dans le pays d origine le combustible us provenant de r acteurs de recherche en p
85. la mise en uvre de techniques de gestion des d chets radioactifs provenant de centrales nucl aires et de la partie terminale du cycle du combustible nucl aire Organis en coop ration avec l AEN OCDE l Institut Un colloque tenu Taejon a montr qu il existe des technologies prouv es pour g rer les d chets radioactifs de mani re s re conomique et cologiquement rationnelle cor en de recherche sur l nergie atomique l Union internationale des producteurs et des distributeurs d nergie lectrique et l Institut de l nergie nucl aire ce colloque a montr qu il existe des technologies prouv es pour g rer les d chets radioactifs de mani re s re conomique et cologiquement rationnelle et que de nombreux tats Membres disposent d une exp rience consid rable en la mati re Depuis que l industrie nucl aire existe les techniques de gestion des d chets provenant de l exploitation de centrales nud aires se sont consid rablement am lior es et continuent de se perfectionner en prenant en compte les facteurs conomiques et environne mentaux L attention accrue accord e aux techniques de minimisation et de r duction du volume des d chets a conduit d importantes r ductions des quantit s de d chets solides Des am liorations continuent d tre apport es aux techniques et m thodes utilis es pour tudier et s lectionner des sites de stockage des d chets et concernant la co
86. la Conf rence g n rale a confirm une liste de tous les tats Membres de l Agence qui a t adopt e par le Conseil dans les deux cas par quatre vingt dix pour cent des membres pr sents et votants dans laquelle chaque tat Membre est rang dans une des r gions mentionn es l alin a A 1 du pr sent article Le Conseil peut ensuite apporter un changement la liste avec la confirmation de la Conf rence g n rale dans les deux cas par quatre vingt dix pour cent des membres pr sents et votants et uniquement apr s qu un consensus sur le changement propos a t r alis au sein de toute r gion concern e par le changement 3 Demande instamment tous les tats Membres de l Agence d accepter cet amendement d s que possible conform ment leurs r gles constitutionnelles respectives comme le pr voit l alin a C ii de l article XVIII du Statut 4 Prie le Directeur g n ral de faire rapport la Conf rence g n rale sa quarante cinqui me session ordinaire sur les progr s r alis s en ce qui concerne l entr e en vigueur de cet amendement W 24 R solution GC 43 RES 8 de la Conf rence g n rale AMENDEMENT DU PARAGRAPHE A DE L ARTICLE XIV DU STATUT CONSEIL DES GOUVERNEURS ET CONF RENCE G N RALE R solution adopt e le 1 octobre 1999 la neuvi me s ance pl ni re La Conf rence g n rale Ayant examin la proposition d amendement du paragraphe A de l article XIV du Stat
87. la base d un assai nissement efficace MISE EN UVRE DES TECHNOLOGIES DE GESTION DES D CHETS RADIOACTIFS Une m thode importante pour valuer la performance des syst mes de stockage d finitif en formations g ologiques et susciter la confiance quant leur s ret est de faire des tudes sur les analogues Un rapport technique a t publi qui pr sente le r le que jouent aujourd hui les informations sur les analogues naturels dans l valuation des mod les de transport par les eaux souterraines pour ceux qui pr voient d entreprendre un programme de recherche dans c domaine De m me pour pouvoir valuer les mod les et les donn es qui servent pr voir le comportement long terme des syst mes de stockage d finitif en formations g ologiques et pour susciter la confiance leur gard un nouveau PRC sur les analogues anthropog niques permettra de comparer le comportement de divers composants d un syst me de stockage avec celui de syst mes similaires qui existent ou qui ont exist sur terre Les processus de migration li s aux art facts anciens et aux mat riaux de construction utilis s dans les temps arch olo giques sont les principaux sujets tudi s dans le cadre de ce PRC CHANGE D INFORMATION ET TRANSFERT DE TECHNOLOGIE CONCERNANT LA GESTION DES D CHETS Un colloque a eu lieu Taejon en R publique de Cor e pour faire le point sur l exp rience acquise dans le monde en ce qui concerne
88. la lutte contre la mouche m diterran enne des fruits Ce dernier a t particuli rement novateur en ce sens qu il a permis a de fixer des priorit s en mati re de recherche pour les d partements techniques de l Agence et de d terminer comment les l ments du programme de coop ration technique pourraient se recouper dans une perspective plus long terme b de se donner pour objectif d am liorer la rentabilit de la technique de l insecte st rile appliqu e la mouche des fruits en la mettant sur le march Les activit s d valuation compl tent et renseignent la programmation En 1999 une valuation des activit s de coop ration technique men es par l Agence pendant dix ans dans le domaine des r acteurs de recherche et des acc l rateurs de faible Le programme de coop ration technique de l Agence a t fortement appuy par les tats Membres gr ce l augmentation des contributions au FCT nergie a t effectu e en m me temps qu un examen des activit s ex cut es dans ce m me secteur au titre du budget ordinaire On a conclu de cette valuation que les projets dans ce domaine taient tr s pertinents les pays y ayant consacr eux m mes des fonds substantiels et que les apports de l Agence contribuaient effectivement la r alisation des objectifs des projets De m me les bons r sultats obtenus en mati re d efficacit indiquaient que les projets avaient atteint leurs
89. la mise en oeuvre de cette m thode sur l am lioration de la qualit et de la coh rence des APS afin d en favoriser l application Deux documents techniques portant l un sur l assurance de la qualit des APS et l autre sur les APS volutives ont t publi s En coop ration avec l AEN OCDE des orientations ont t labor es afin d encourager proc der des examens r glementaires plus approfondis des APS En plus de ces travaux de d velop pement des services d examen par des confr res et des services consultatifs d experts ont t fournis Des missions organis es dans le cadre du Service international d examen par des confr res IPERS ont examin les APS relatives aux arr ts et au fonctionnement basse puissance pour la centrale nucl aire Paks en Hongrie et la centrale V2 de Bohunice en Slovaquie Des experts ont effectu pour l APS relative la centrale nucl aire de Karachi au Pakistan e celle concernant la centrale nucl aire de Kozloduy des examens limit s aux agressions internes et aux analyses de la tenue au feu et aux s ismes S RET DE LA CONCEPTION ET DE L INGENIERIE Les travaux men s actuellement dans ce domaine consistent pour une large part a actualiser les normes de s ret concernant le choix des sites et la conception des centrales nucl aires Des publications consacr es aux questions suivantes sont parues analyse des causes profondes des incendies mise en oeuvre e
90. laboration de pratiques int gr es de gestion des l ments nutritifs et de l eau pour des syst mes 1998 2005 Emploi de techniques isotopiques dans le cadre d tudes sur la gestion des mati res organiques et sur le renouvellement des l ments nutritifs en vue d une production agricole accrue et durable et de la pr servation de l environnement 1995 2000 Emploi de techniques nucl aires et apparent es pour valuer l efficacit agronomique des engrais phosphat s et notamment des phosphates naturels 1993 1999 Evaluation de l rosion des sols par des techniques faisant appel au c sium 137 et des techniques apparent es en tant que base de la conservation des sols d une production durable et de la protection de l environnement 1995 2001 Emploi de techniques nucl aires et apparent es pour la gestion des l ments nutritifs et de l eau dans les zones arides et semi arides en vue d accro tre la production des cultures 1997 2002 Tableau A25 PROJETS DE RECHERCHE COORDONNEE suite Utilisation de boues d puration irradi es pour augmenter la fertilit des sols et le rendement des cultures et pr server l environnement 1995 1999 Emploi de techniques nucl aires et apparent es en vue de d velopper des pratiques de gestion pour des syst mes de production agricole durables sur sols tropicaux acides 1999 2004 Utilisation de sondes ADN radiomarqu es pour l am lioration des cultures 1994 1999 Am lioration de p
91. latex de caoutchouc naturel radiovulcanis RVNRL RCA 1997 2000 Radiotraitement de polym res naturels locaux RCA 1997 2002 tudes de la s dimentation au moyen de radionucl ides de l environnement leur application aux mesures de conservation des sols 1995 2000 Traceurs et isotopes stables dans les tude de la pollution des eaux de surface 1997 2000 tude isotopique du renouvellement des eaux souterraines et d autres effets anthropiques dans les zones priv es d eau 1995 1999 Les techniques isotopiques dans l tude des fluides acides en g othermie 1997 2000 Tableau A25 PROJETS DE RECHERCHE COORDONNEE suite Les techniques isotopiques dans l valuation des syst mes aquif res dans les grandes zones urbaines 1997 2000 R ponse isotopique aux modifications dynamiques dues l exploitation sur longue dur e des syst mes d eaux souterraines 1999 2003 Les techniques isotopiques dans l valuation des eaux souterraines profondes en d placement lent et leur application potentielle l valuation des sites de stockage de d chets 1997 2000 Dynamique du transport des radionucl ides dans les nappes 1997 2001 Technologie des radiotraceurs pour des tudes sur les op rations techniques et l optimisation des processus 1997 2000 Utilisation du radiotraitement pour la st rilisation ou la d contamination de produits et de mati res premi res pharmaceutiques 1998 2001 Validation de protocoles pour l valuation par ra
92. le domaine de l assurance de la qualit qui a permis de renforcer l efficacit et l efficience des activit s de v rification de l Agence En particulier le syst me de suivi par le D partement des jeux de documents d inspection IDP est devenu pleinement op rationnel permettant ainsi l utilisateur de suivre en temps r el un IDP et d alerter le ou les responsables en cas de probl mes n cessitant une action corrective En 1999 environ 3 500 IDP ont t produits par les inspecteurs et ont t soumis des contr les de qualit syst matiques On a continu de surveiller la qualit du syst me de v rification des scell s en utilisant volontai rement des scell s d fectueux et en effectuant des tests en aveugle 91 en tout On a en outre contr l la qualit de la surveillance en examinant des films et des bandes s lectionn s au hasard et en proc dant des contr les approfondis de l application de la surveillance Au cours de l ann e de tels r examens ont t ex cut s pour sept rapports d inspection 107 Ku LU zZ lt o lt 108 ep Lu lt DC lt Le programme de formation pour les garanties a t compl t par de nouveaux cours qui r pondent au besoin d accro tre les aptitudes et les connaissances du personnel des garanties et du personnel des tats Membres En plus des cours pour inspecteurs sur les garanties traditionnelles une format
93. mission exploratoire envoy e au Tadjikistan a proc d une valuation pr liminaire de la situation radiologique dans ce pays En particulier la mission s est attach e valuer la s ret et la s curit des sources de rayonnements dans le contexte du syst me r glementaire existant et s est pr occup e de la s ret de manipulation des r sidus radioactifs provenant des activit s extensives d extraction et de traitement de minerai d uranium qui ont t men es dans le pays L infrastructure et les exigences en mati re de r glementation ainsi que les capacit s techniques ont fait galement l objet d un examen NATION DES ACTIVITES RELATIVES COORDI A SURETE LA OBJECTIF DU PROGRAMME Garantir la coh rence technique des fonctions de l Agence en rapport avec la s ret ainsi que la coh rence avec les activit s de s ret correspondantes men es par les tats Membres et d autres organisations internationales en encourageant la coordination de ces cadre des conventions en fournissant des informations sur les coop ration technique 93 APER U G N RAL Le programme de coordination des activit s relatives la s ret vise garantir la coh rence technique entre les activit s men es par l Agence dans les domaines de la s ret nucl aire de la s ret radiologique et de la s ret des d chets radioactifs Le travail a comport les t ches principales suivantes coordonn
94. n implique nullement l expression par le Secr tariat d une opinion quelconque quant au statut juridique d un pays ou d un territoire ou de ses autorit s ni quant au trac de ses fronti res Les garanties de l Agence exig es par cet accord de projet sont appliqu es conform ment accord de garanties g n ralis es entre l Argentine le Br sil l ABACC et l Agence INFCIRC 435 Les garanties de l Agence exig es par cet accord de projet sont appliqu es conform ment un accord de garanties conclu dans le cadre du Trait de Tlatelolco et concernant l tat en question Les garanties de l Agence exig es par cet ces accord s de projet sont appliqu es conform ment un accord conclu dans le cadre du TNP et concernant l tat en question L application des garanties de l Agence en vertu de cet accord a t suspendue dans l tat en question Des garanties sont appliqu es conform ment l accord de garanties g n ralis es conclu entre l Argentine le Br sil l ABACC et l Agence INFCIRC 435 L application des garanties de Agence au titre de cet accord a t suspendue dans l tat en question cet Etat ayant conclu un accord dans le cadre du Trait de Tlatelolco h L application des garanties de l Agence au titre de cet accord a t suspendue dans l tat en question cet Etat ayant conclu un accord dans le cadre du TNP L application des garanties de l Agence au titre de cet accord a t suspendue aux
95. nucl aires de tous les tats ayant des accords de garanties g n ralis es en vigueur En 1999 les valuations de 18 tats ont t examin es contre dix en 1998 et quatre en 1997 En un second temps ces valuations fourniront un r p re par rapport auquel il sera possible d valuer l information soumise en vertu de l article 2 d un protocole additionnel Afin que la confiance dans les conclusions des valuations reste intacte elles seront mises jour en fonction de l volution des circonstances et les rapports d valuation sur les tats seront revus chaque ann e En 1999 des chantillons de l environnement ont t pr lev s par frottis dans huit usines d enrichissement de cing tats et dans 28 installations dont certaines contenant des cellules chaudes dans 19 tats et Taiwan Chine Des signatures environnementales de r f rence ont maintenant t tablies et l chantillonnage de l environnement est introduit comme mesure d application courante dans ces installations Des mesures et des mat riels divers permettant de renforcer les garanties ont t mis en place dans un certain nombre d installations En ce qui concerne le renforcement du processus d valuation on a commenc par valuer les programmes nucl aires de tous les tats ayant des accords de garanties g n ralis es en vigueur Une formule d inspection al atoire court d lai de pr avis a t mise en app
96. objectifs sp cifiques Les r sultats positifs obtenus en ce qui concerne l efficience ont permis l Agence de conclure que ses apports taient utilis s de mani re appropri e efficace du point de vue des co ts et en temps voulu Toutefois les r sultats les moins satisfaisants en mati re d impact montrent que des probl mes se posent d s lors qu il s agit de transformer les apports en avantages socio conomiques tangibles par le biais des utilisateurs effectifs Plusieurs recommandations ont t formul es sur la base de cette valuation Il convient d augmenter le nombre de projets mod les dans le domaine consid r est n cessaire de planifier au niveau des r gions pour viter de surestimer la demande latente ou d accorder 121 zZ Lu Lu D a O l Lu gt LU Q Lu o D O a Lu 2 KX oO Lu He zZ O lt LU a O O O lt Lu Q Es O yn Lu 12 2 GESTION DE LA COOPERATION TECHNIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT trop peu de poids aux risques de saturation du march II faut avoir recours aux tudes de faisabilit aux analyses co ts avantages et aux m canismes de financement pour impr vus afin de mieux g rer les facteurs de risques associ s a ces projets Enfin il faut accorder la priorit aux probl mes qui se posent actuellement en mati re de s ret et de gestion des d chets avant d inciter investir davantage dans de nouvel
97. p diatrie la cardiologie et la psychiatrie Le troisi me domaine d application est constitu par la mesure des isotopes stables pour d celer la malnutrition qui est consid r e g n ralement comme tant la meilleure m thode d valuation de l impact de l ingestion de vitamines et d autres l ments nutritifs importants Dans ces trois grands domaines l Agence a men d importantes activit s destin es r pondre aux besoins des tats Membres De nouvelles options ont r cemment t adopt es pour tudier la viabilit tissulaire par imagerie tridimensionnelle tomographie de processus chimiques Une autre m thode nouvelle consiste localiser les processus pathologiques m me au cours d une op ration chirurgicale La tomographie par mission de positons TEP est adopt e de plus en plus dans de nombreux pays d velopp s et dans quelques pays en d veloppement pour le diagnostic d un grand nombre de maladies dont le cancer les troubles neurologiques et les maladies coronariennes L inauguration en R publique tch que au mois de novembre d un centre de TEP ayant b n fici d une assistance dans le cadre d un projet de coop ration technique de l Agence a marqu un jalon important cet gard Dans le domaine de la radioth rapie une importante activit de l Agence a consist notamment promouvoir dans les tats Membres le traitement des douleurs osseuses dues des m tastases par injection de s
98. profit toutes les donn es sur la performance d exploitation pour am liorer la performance en mati re de s ret L examen des informations fournies par l analyse des v nements importants pour la s ret restera la pierre angulaire de ce service mais on examinera en outre comment sont utilis es les donn es d exploitation par exemple sur les v nements sans grandes cons quences et les accidents vit s de peu de m me que les Etats Membres ont demand l Agence d laborer des processus globaux pour la gestion des entreprises et des installations nucl aires l exp rience d exploitation acquise ailleurs en vue de r duire les d faillances et l on s int ressera davantage la question de savoir si les mesures correctives sont appropri es prises en temps voulu et efficaces On am liore les services fournis par l Agence dans le domaine de la s ret d exploitation afin de mieux r pondre aux d fis actuels concurrence accrue changements politiques et sociaux et transition conomique ainsi qu aux besoins futurs identifi s par les tats Membres utilisant ces services Lors d une r union de groupe consultatif tenue en d cembre les initiatives prises par l Agence dans ce domaine ont t approuv es et un certain nombre de recommandations ont t faites En ce qui concerne la gestion de la culture de s ret les services fournis devraient comporter des moyens accrus pour examiner
99. programme a t essentiellement ax sur la lutte contre le cancer les maladies infectieuses et la malnutrition l aide de mesures pr ventives En m decine nucl aire on a mis l accent sur l analyse co t efficacit de radiopharmaceutiques peu on reux sur l utilisation des isotopes en biologie mol culaire et sur l application de nouvelles proc dures pour le radio immunodosage En radioth rapie et en radiobiologie on a privil gi le d veloppement de l assurance de la qualit et notamment la mise au point de dispositifs d immobilisation des patients et de protocoles pour les canc reux atteints par le virus VIH En octobre l Agence a t invit e a signer avec le Comit international des Poids et Mesures CIPM l Arrangement de reconnaissance mutuelle pour les laboratoires de m trologie ce qui devrait essentiellement lui permettre entre autres avantages d am liorer les comparaisons interlaboratoires et les audits dela qualit qu elle organise pour les laboratoires secondaires d talonnage pour la dosim trie LSED Pour ce qui est des tudes en mati re d cologie sanitaire on a labor de nouvelles strat gies pour les programmes d intervention sanitaire et renforc le r seau mondial des laboratoires d analyse Lu zZ lt gt T LU bk z lt 9 Lu E lt gt LUI H Z lt ep MEDECINE NUCLEAIRE En 1999 on a poursuivi les efforts visant a sensibiliser davantage les
100. que l on appelle l acc s compl mentaire Au 31 d cembre 1999 le droit d acc s compl mentaire avait t exerc en Australie en Ouzb kistan et Taiwan Chine La sixi me Conf rence d examen du Trait sur la non prolif ration des armes nucl aires TNP a t organis e en tant que premi re tre convoqu e en application des proc dures d examen renforc es qui ont t approuv es en 1995 lorsque le TNP a t prorog pour une p riode ind finie Compte tenu des faits nouveaux survenus pendant les cinq derni res ann es la Conf rence d examen engagera la communaut internationale s interroger sur les moyens de faire en sorte que le syst me de garanties renforc de l Agence continue appuyer de la fa on la plus efficace possible l action en faveur de la non prolif ration nucl aire La poursuite des efforts visant s assurer que tous les Etats parties s acquittent de leur obligation de condure des accords de garanties avec l Agence et qu ils concluent galement des protocoles additionnels est essentielle cet gard RENFORCEMENT D AUDIENCE Ouverture vers des partenaires non traditionnels L un des buts nonc s dans la Strat gie moyen terme est d assurer une interaction efficace avec les partenaires et le public En 1999 on a accord sp cialement l attention des activit s visant atteindre des partenaires inhabituels Le forum scientifique international intitul
101. r gionale concernant la dosim trie individuelle 1996 1999 Comparaison interlaboratoires de la surveillance individuelle de l exposition au rayonnement photonique 1996 2000 Comparaison interlaboratoires et validation du mod le biocin tique d valuation de l incorporation de radionucl ides 1997 2000 Fondements radiologiques des prescriptions concernant la s ret du transport des mati res de faible activit sp cifique et des objets contamin s superficiellement 1997 2001 Gravit des accidents pendant le transport a rien de mati res radioactives 1998 2001 Biodosim trie cytog n tique 1998 2002 Qualit de l image et optimisation de la dose en mammographie dans les pays d Europe orientale 1999 2003 laboration de m thodes permettant de comparer les impacts potentiels des d chets r sultant de la production d lectricit 1997 2000 Perfectionnement des m thodes d valuation de la s ret pour les installations de stockage d finitif de d chets radioactifs faible profondeur ISAM 1997 2000 M thodes de mod lisation et d valuation de la biosph re BIOMASS 1998 2002 167 Lu x lt Lu Es zZ lt 168 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A26 COURS S MINAIRES ET ATELIERS EN 1999 Atelier national sur la planification des projets lectronucl aires Bangladesh Ateliers r gionaux sur le probl me de l an 2000 interface entre la performance des r seaux de distribution d lectricit
102. r t qu il rev t pour les tats Membres un document technique a t labor qui analyse diff rents modes de recyclage et de r utilisation diff rents stades du cycle du combustible et dans diff rentes applications nucl aires Cela facilitera la mise en oeuvre de l option recyclage r utilisation en tant qu l ment des politiques de gestion des d chets a l chelon d un pays d un site ou d une installation La r duction du volume des d chets produits pendant le d classement rev t une grande importance parce que dans les prochaines ann es beaucoup d installations devront tre retir es du service dans de nombreux tats Membres Un rapport technique a t labor sur ce sujet II examine les diverses tapes et l ments de la prise de d cision et de la mise en uvre de programmes de r duction du volume des d chets pendant les op rations de d classement Un rapport technique sur la production de d chets correspondant a diff rents cycles du combustible nucl aire a t achev La litt rature sur le sujet consid re le plus souvent les tapes du cyde du combustible prises isol ment mais il n existe pratiquement pas d informations d taill es r capitulant et valuant l impact potentiel de la production de d chets correspondant au cycle entier Ce rapport avait donc pour objet de donner des informations quantit s et principales caract ristiques sur la production de d chets dans diff r
103. res utiles Dans les tudes sur la sant animale les isotopes peuvent tre utilis s comme marqueurs simples robustes et sensibles pour la recherche Ils fournissent des informations sans quivalent sur la fa on dont les aliments du b tail sont dig r s et utilis s ce qui permet de mettre au point des r gimes et des strat gies d alimentation am lior s En outre les techniques isotopiques sont l origine de produits et de m thodes innovants pour l am lioration de l efficacit de reproduction et la lutte contre les maladies Dans le domaine de la lutte contre les ravageurs la technique de l insecte st rile offre des avantages manifestes par rapport aux pesticides chimiques Et l irradiation des aliments est une des rares technologies qui permettent de lutter contre les organismes et les insectes responsables d alt rations et de maladies sans nuire beaucoup aux caract ristiques sensorielles et autres des denr es alimentaires En d cembre 1999 le D partement de l agri culture des tats Unis a donn son approbation l irradiation de la viande rouge A la fin de l ann e on construisait plusieurs installations d irradiation industrielle aux tats Unis pour traiter de grandes quantit s de viande en particulier de viande de boeuf hach e en vue d liminer les bact ries l lt LU zZ LW 2 o Lu D lt pathog nes comme E coli Un irradiateur industriel con u sp cialement pou
104. strict du ruissellement des eaux d irrigation na pas permis d emp cher le niveau du lac d augmenter Une tude multidisciplinaire faisant notamment appel des techniques g ophysiques hydrologiques et g ochimiques ainsi qu des techniques de mod lisation a t effectu e en 1999 pour d terminer la ou les causes de l l vation du niveau du lac Les r sultats des premi res enqu tes donnaient penser que la cause principale pouvait tre une augmentation de l apport d eau provenant des sources submerg es dans la partie sud ouest du lac Toutefois les isotopes stables dans l eau le tritium et le carbone 14 dans le carbone inorganique dissous ont montr de fa on concluante que l l vation du niveau du lac tait due une diminution du d bit de sortie E obligations dela Convention et aux ressources disponibles pour les programmes d am lio ration on a not que toutes les parties contractantes participant la r union prenaient des mesures allant dans le bon sens En 1999 huit pays suppl mentaires ont ratifi la Convention commune sur la s ret de la gestion du combustible us et la s ret de la gestion des d chets radioactifs ce qui porte 13 le nombre total de ratifications La Convention entrera en vigueur lorsqu elle aura t ratifi e par 25 pays dont 15 doivent avoir des centrales nucl aires en service Le 30 septembre un accident de criticit s est produit dans une installation de
105. tat actuel de la chromatographie en phase gazeuse spectrom trie de masse appliqu e la d termination du rapport isotopique en flux continu et sur leurs applications dans les tudes concernant les ressources en eau et les questions d environnement connexes Outre l hydrologie isotopique et la g ochimie la gamme des disciplines utilisant les signatures isotopiques s est consid rablement tendue De ce fait les besoins d instruments d analyse ont radicalement chang dans certains domaines Plusieurs nouveaux proc d s ont t examin s cette r union et l accent a port sur ces nouvelles techniques et sur les techniques optiques pour la d termination des isotopes stables La r union a d fini les besoins les plus urgents en termes de mat riaux isotopiques stables de r f rence pour des substances organiques et a donn des orientations sur les priorit s concernant le programme de l Agence sur les isotopes stables de r f rence Les six volumes de mat riel p dagogique couvrant toute la gamme des applications des isotopes environnementaux en hydrologie ont t achev s Cette documentation qui para tra en 2000 dans la collection Rapports techniques en hydrologie publi e par l UNESCO servira aux participants des cours de l Agence ainsi qu aux instituts p dagogiques et aux universit s dans le monde Conform ment au m morandum d accord r cemment sign entre l Agence et l OMM concernant le R se
106. teborg G teborg G teborg G teborg Beznau Beznau G sgen D niken Leibstadt M hleberg Tchernobyl Neteshin Kouznetsovsk Kouznetsovsk Youjnoukrainsk Youjnoukrainsk Youjnoukrainsk Energodar Energodar Energodar Energodar Energodar Energodar Pelindaba x Ge OO 147 Lu x lt Lu Es zZ lt 148 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Alg rie Allemagne Argentine Australie Autriche Bangladesh B larus Belgique Br sil Bulgarie Canada R acteur NUR R acteur de recherche Es Salam BER 2 FH Furtwangen FRF 2 FRM GKSS FRG1 amp FRG2 KFA FRJ2 SUR 100 SUR 100 SUR 100 SUR 100 SUR 100 SUR 100 SUR 100 Techn Univ AKR Techn Hochschule ZLR Triga MHH Triga DKFZ Triga R acteur de recherche VKT R acteur argentin 1 R acteur argentin 3 R acteur argentin 4 R acteur argentin 6 R acteur argentin O R acteur argentin 8 HIFAR MOATA ASTRA Siemens Argonaut Reactor Triga Il Atomic Energy Research Est Sosny BR1 CEN BR2 CEN BRO2 CEN Venus Thetis IEA R1 RIEN 1 Argonaut RR IPR RI CDTN Assemblage critique de IPEN IRT 2000 Biologie Chimie Physique McMaster NRU BR PPRPPRPPBRBRPRPBBRPRBPRBRNBBRE PRPRPRRBRB e Gah BRRR Alger Ain Oussera Berlin Furtwangen Francfort Garching Geesthacht Juliers Hanovre Kiel Hambourg Ulm Stuttgart Berlin Aix la
107. techniques nucl aires 1994 2002 Approche mol culaire et g n tique pour l obtention de souches permettant le sexage pour des applications sur le terrain dans le cadre de programmes de lutte contre les mouches des fruits faisant appel la technique de l insecte st rile 1994 2001 Automatisation de l levage en masse des mouches ts ts pour les besoins des programmes faisant appel la TIS 1994 2001 163 Lu x lt Lu Z Zz lt Tableau A25 PROJETS DE RECHERCHE COORDONNEE suite Application de la g n tique pour am liorer la TIS en vue de l limination partielle ou totale de la mouche ts ts 1997 2002 Assurance de la qualit des mouches des fruits lev es en masse et relach es 1999 2004 Evaluation des techniques nucl aires pour la colonisation et la production d ennemis naturels des ravageurs des cultures 1999 2004 Etude l aide de radiotraceurs de l impact long terme de l application de pesticides 1994 1999 Validation de m thodes d examen pr alable par chromatographie en couche mince en vue de l analyse des r sidus de pesticides 1996 2002 M thodes pouvant remplacer la chromatographie gazeuse et liquide haute performance pour l analyse des r sidus de pesticides dans les graines 1997 2002 Pr paration par radiotraitement d aliments s rs conservables et pr ts la consommation 1996 2000 tablissement des profils de pathog nes bact riels humains dans les aliments destin s
108. technologies efficientes pour am liorer l exploitation et la maintenance des centrales est un facteur important de leur comp titivit conomique par rapport d autres moyens de produire de l lectricit De plus comme les centrales en service vieillissent une bonne gestion exige l laboration et l application de meilleures techniques d inspection de maintenance et de r paration Pour la conception des centrales futures diverses caract ristiques qui facilitent une inspection une maintenance et une r paration efficientes peuvent tre incorpor es d s le d part Les techniques d am lioration de l exploitation et dela maintenance des REO actuels et futurs ont t examin es lors d une r union de comit technique accueillie par la Nuclear Power Engineering Corporation a la centrale de Kashiwazaki Kariwa du 24 au 26 novembre Organis e dans le cadre du Groupe de travail international de l Agence sur les techniques de pointe pour les REO elle a port sur les themes suivants e Programmes d extension de la dur e de vie des centrales et ou d am lioration de la performance et de la fiabilit e quipements et techniques d inspection de maintenance de r paration et de remplacement des composants e M thodes de r duction des co ts de chargement en combustible et la dur e des arr ts pour rechargement e Progr s en mati re de conception pour l am lioration de l exploitation et de la maintenance La tr
109. total 0 3 million de dollars une fois pris en compte les travaux remboursables pour d autres organismes L objectif pour les contributions volontaires au Fonds de coop ration technique pour 1999 tait fix 73 millions de dollars dont 64 1 millions ont t promis par les tats Membres En 1999 les tats Membres l Organisation des Nations Unies d autres organisations internationales et d autres sources ont vers des contributions extrabudg taires d un montant total de 26 1 millions de dollars voir l annexe tableau A2 dont 10 3 millions titre d appui aux garanties 4 1 millions pour des projets de coop ration technique 1 9 million pour des projets dans le domaine de l alimen tation et de l agriculture 2 5 millions pour la s ret nucl aire et 1 9 million pour l application de la r solution 687 du Conseil de s curit de l ONU relative l Iraq Un montant de 1 2 million de dollars compl t par la contribution de l Agence soit 3 1 millions de dollars a t mis la disposition du Laboratoire de l environnement marin LEM Le solde 4 2 millions de dollars a servi appuyer divers autres projets mis en oeuvre par l Agence Un montant total de 1 9 million de dollars a t administr pour le compte d tablissements de recherche et un montant de 2 4 millions de dollars pour le projet de R acteur thermo nucl aire exp rimental international GESTION DU PERSONNEL Un programme vari
110. uranium 235 42 220 2 707 4 481 13 576 Mati res brutes uranium naturel ou appauvri et thorium 78 418 1 568 11 661 6 940 Mati res non nucl aires Eau lourde 0 509 0 25 a Accords de garanties conclus dans le cadre du TNP et ou du Trait de Tlatelolco et autres accords de garanties g n ralis es b Non compris les tablissements situ s dans des Etats dot s d armes nucl aires y compris les tablissements de Taiwan Chine c Cette rubrique inclut une quantit estim e a 92 tonnes 11 540 QS de plutonium contenu dans du combustible irradi qui n est pas encore d clar e l Agence en vertu des proc dures de notification convenues le plutonium non d clar est contenu dans des assemblages combustibles irradi s auxquels s appliquent un contr le comptable par article et des mesures C S Les chiffres de ce tableau n incluent pas les mati res vis es aux alin as a et b du paragraphe 34 du document INFCIRC 153 corrig Mati res non nucl aires soumises aux garanties de l Agence aux termes d accords du type INFCIRC 66 Rev 2 e e Tableau A19 NOMBRE D INSTALLATIONS NUCL AIRES SOUMISES AUX GARANTIES OU CONTENANT DES MATI RES SOUS GARANTIES AU 31 D CEMBRE 1999 R acteurs de puissance 184 221 11 14 1 E 196 236 R acteurs de recherche et assemblages critiques 148 160 8 8 O 0 156 168 Usines de transformation 12 12 1 1 O 0 13 13 Usines de fabrication de combustible 39 41
111. vigueur le 29 septembre 1999 283 Add 1 sign le 22 septembre 1998 sign le 22 septembre 1998 entr en vigueur le 16 d cembre 1999 255 Add 1 entr en vigueur le 28 juillet 1998 258 Add 1 sign le 11 mars 1998 sign le 22 septembre 1998 entr en vigueur le 30 septembre 1999 524 Add 1 sign le 29 septembre 1999 entr en vigueur le 24 septembre 1998 185 Add 1 entr en vigueur le 21 d cembre 1998 508 Add 2 sign le 22 septembre 1998 approuv le 10 d cembre 1999 sign le 30 septembre 1997 sign le 30 septembre 1997 sign le 22 septembre 1998 sign le 28 septembre 1999 sign le 11 juin 1999 sign le 22 septembre 1998 entr en vigueur le 24 septembre 1998 187 Add 1 sign le 27 septembre 1999 sign le 26 novembre 1998 sign le 22 septembre 1998 sign le 29 septembre 1997 En attendant son entr e en vigueur le Protocole est appliqu provisoirement dans cet Etat avec effet compter de la date de la signature Tableau A18 QUANTITES APPROXIMATIVES DE MATIERES SOUMISES AUX GARANTIES DE L AGENCE A LA FIN DE 1999 Mati res nucl aires Plutonium contenu dans du combustible irradi 503 7 26 4 78 9 76 117 Plutonium s par hors des coeurs de r acteurs 13 6 0 1 53 3 8 375 Plutonium recycl dans des l ments combustibles se trouvant dans des coeurs de r acteurs 7 6 0 4 0 994 Uranium fortement enrichi 20 ou plus d uranium 235 14 1 0 1 10 0 596 Uranium faiblement enrichi moins de 20 d
112. y avait 64 Parties Convention sur la notification rapide d un accident nucl aire reproduite dans le document INFCIRC 335 Entr e en vigueur le 27 octobre 1986 En 1999 deux tats ont adh r la Convention la fin de l ann e il y avait 84 Parties Convention sur l assistance en cas d accident nucl aire ou de situation d urgence radiologique reproduite dans le document INFCIRC 336 Entr e en vigueur le 26 f vrier 1987 En 1999 deux tats ont adh r la Convention la fin de l ann e il y avait 79 Parties Protocole commun relatif l application de la Convention de Vienne et de la Convention de Paris reproduit dans le document INFCIRC 402 Entr en vigueur le 27 avril 1992 La situation du Protocole est rest e inchang e en 1999 avec 20 Parties Convention sur la s ret nucl aire reproduite dans le document INFCIRC 449 Entr e en vigueur le 24 octobre 1996 En 1999 trois Etats ont adh r la Convention la fin de l ann e il y avait 52 Parties Convention commune sur la s ret de la gestion du combustible us et sur la s ret de la gestion des d chets radioactifs reproduite dans le document INFCIRC 546 Ouverte la signature le 29 septembre 1997 En 1999 huit tats ont adh r la Convention la fin de l ann e il y avait 13 tats contractants et 40 signataires Protocole d amendement de la Convention de Vienne relative la responsabilit civile en mati re de do
113. 1 609 601 2461128 4070 729 1 656 247 2 414 482 S ret radiologique 85 401 406 000 491 401 204 289 287 112 S ret des d chets radioactifs 53 211 44 936 98 147 31 923 66 224 Coordination des activit s 181 152 146 332 327 484 137 042 190 442 relatives la s ret 9 945 387 10 321 412 20 266 799 13 538 686 6 728 113 S curit des mati res 424 782 897 240 1 322 022 287 710 1 034 312 Gestion de la coop ration technique pour le d veloppement 162 136 265 656 427 792 253 025 174 767 Direction g n rale 557 235 750 577 1 307 812 807 458 500 354 Services pour les organes directeurs 0 22 835 22 835 14 281 8 554 Activit s juridiques relations ext rieures et information du public 623 592 625 718 1 249 310 700 172 549 138 Administration 38 219 22 000 60 219 55 859 4 360 Total partiel 16 555 667 17 885 663 34 441 330 19 907 001 14 534 329 125 Projets financements multiples nergie d origine nucl aire 105 928 0 105 928 41 570 64 358 Cycle du combustible nucl aire et technologie des d chets 25 716 114 288 140 004 85 936 54 068 Alimentation et agriculture 167 877 124 776 292 653 92 491 200 162 S ret nucl aire 101 257 O 101 257 68 962 32 295 Coordination des activit s relatives la s ret 54 299 O 54 299 54 299 0 Total partiel 455 077 239 064 694 141 343 258 350 883 Organisations internationales Alimentation et agriculture 99 602 1 731 061 1 830 663 1 697 645 133 018 Environnement marin ressources en eau et industrie 110 77
114. 17 Situation au 31 d cembre 1999 concernant la conclusion de protocoles additionnels aux accords de garanties Tableau A18 Quantit s approximatives de mati res soumises aux garanties de l Agence la fin de 1999 Tableau A19 Nombre d installations nucl aires soumises aux garanties ou contenant des mati res sous garanties au 31 d cembre 1999 Tableau A20 Installations sous garanties de l Agence ou contenant des mati res sous garanties au 31 d cembre 1999 Tableau A21 Principaux quipements utilis s et activit s men es AUX AINSI Te TEE Tableau A22 Appui suppl mentaire aux garanties apport par des tats Tableau A23 Groupes consultatifs permanents Tableau A24 Conventions n goci es et adopt es sous les auspices de l Agence et dont le Directeur g n ral est le d positaire situation et faits mouveaux o na ma aa a a a a a a Tableau A25 Projets de recherche coordonn e Tableau A26 Cours s minaires et ateliers en 1999 Tableau A27 Publications parues en 1999 127 128 128 128 128 128 129 129 130 136 138 142 143 143 144 124 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A1 TAT R CAPITULATIF DES ALLOCATIONS DE RESSOURCES AU TITRE DU BUDGET ORDINAIRE ET DE LEUR UTILISATION EN 1999 nergie d origine nucl aire 4 453 000 4 409 000 4 468 025 101
115. 4 4 D 0 43 45 Usines de retraitement 5 5 1 1 D 0 6 6 Usines d enrichissement 11 11 O 0 3 3 14 14 Installations de stockage ind pendantes 58 59 4 4 7 8 69 71 Autres installations 83 94 d PI 2 2 86 97 Total partiel 540 603 30 33 13 14 583 650 Autres emplacements 313 411 3 31 D 0 316 442 tablissements non nucl aires 0 0 1 1 O 0 1 1 a Accords de garanties conclus dans le cadre du TNP et ou du Trait de Tlatelolco et autres accords de garanties g n ralis es b Non compris les tablissements situ s dans des tats dot s d armes nucl aires y compris des tablissements de Taiwan Chine 143 Lu x lt Lu Zz Zz lt 144 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE OU CONTENANT DES MATI RES SOUS GARANTIES AU 31 D CEMBRE 1999 R acteurs de puissance Afrique du Sud Allemagne Argentine Arm nie Belgique Br sil Bulgarie Canada Koeberg 1 Koeberg 2 AVR KWG Grohnde GKN 2 RWE BIBLIS A RWE BIBLIS B KBR Brokdorf KKB Brunsb ttel KKE Emsland KKG Grafenrheinfeld KKI Isar Ohu KKI Isar 2 KKK Kr mmel RWE M lheim K rlich GKN Neckarwestheim KWO Obrigheim KKP Philippsburg 1 KKP Philippsburg 2 KRB Il Gundremmingen B KRB Il Gundremmingen C KKS Stade KKU Unterweser HKG THTR 300 KKW Greifswald 1 KKW Greifswald 2 KKW Greifswald 3 KKW Rheinsberg Centrale nucl aire Atu
116. 7 2001 M thodes combin es de traitement des d chets radioactifs liquides 1997 2001 Comportement long terme des colis de d chets de faible et de moyenne activit dans des conditions de d p t 1997 2002 Recherche sur le comportement du combustible us 1997 2002 Durabilit chimique et valuation de la performance du combustible us et des formes de d chets de haute activit dans des conditions simul es de d p t 1998 2002 D gradation par l hydrog ne et les hydrures des propri t s m caniques et physiques des alliages base de zirconium 1998 2003 Vieillissement des mati res dans les installations de stockage de combustible us 1999 2003 Analogues anthropiques pour le stockage en formations g ologiques de d chets de haute activit et de longue p riode 1999 2003 162 Lu x lt Lu Es Z lt R le du nucl aire et d autres options dans la r alisation des objectifs internationaux concernant la r duction des missions de gaz effet de serre 1999 2001 Estimation des co ts externes li s la production d lectricit dans les pays en d veloppement m thode simplifi e 1999 2001 tudes de cas visant valuer et comparer le r le de diff rentes sources d nergie dans des strat gies d approvisionnement durable en nergie et en lectricit 1997 2000 Impact des exigences en mati re d infrastructure sur la comp titivit du nucl aire 1999 2002 Emploi de techniques nucl aires pour l
117. 8 491 496 602 274 549 801 52 473 Direction g n rale 26 383 1 250 000 1 276 383 1 126 095 150 288 Total partiel 236 763 3 472 557 3 709 320 3 373 541 335 779 Programmes de Agence 17 247 507 21 597 284 38844791 23623800 15 220 991 FAO AGRIS 0 465 259 465 259 410 549 54 710 Note Outre le Fonds pour les programmes extrabudg taires susmentionn les tats Membres et le PNUD ont fourni 4 1 millions de dollars en 1999 pour des projets de coop ration technique au titre du Fonds extrabudg taire de coop ration technique Lu x lt Lu Es zZ lt Tableau A3 DECAISSEMENTS PAR PROGRAMME DE L AGENCE ET PAR R GION EN 1999 Etat r capitulatif de tous les secteurs en milliers de dollars Energie d origine nucl aire 186 1 319 8 328 0 264 7 846 2 687 8 2 632 6 Cycle du combustible nucl aire et technologie des d chets 432 0 120 2 486 7 383 5 983 0 456 0 2 861 4 valuation comparative des sources d nergie 62 9 32 0 139 9 0 0 266 4 102 2 603 4 Alimentation et agriculture 4 966 7 1 684 6 1679 4 1113 7 447 8 523 0 10 415 2 Sant humaine 3 836 4 3071 3 2 461 7 868 8 2 724 7 307 2 13 270 1 Environnement marin ressources en eau et industrie 1 698 2 1520 9 2467 1065 0 3 018 5 0 9 9771 1 Sciences physiques et chimiques 1 464 0 1 281 7 1 110 2 1408 4 2 758 8 109 1 8 132 2 S ret nucl aire 127 8 199 5 860 8 156 9 1977 9 129 1 3 452 0 S ret radiologique 1 100 6 1626 3 15506 11344 1 894 1 31 0 7 337 0 S ret des d c
118. 85 31 octobre 1972 23 mai 1985 26 mai 1970 15 ao t 1994 28 avril 1969 18 septembre 1998 26 mars 1985 5 septembre 1969 3 mars 1970 19 mars 1971 2 juin 1972 8 janvier 1969 8 janvier 1969 24 octobre 1979 25 mai 1995 10 f vrier 1970 8 avril 1986 4 octobre 1995 23 octobre 1978 23 avril 1975 3 mars 1970 6 mars 1973 29 juin 1992 3 janvier 1969 16 octobre 1996 Entr en vigueur le 20 f vrier 1978 Entr en vigueur le 16 septembre 1991 Entr en vigueur le 7 janvier 1997 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 Entr en vigueur le 9 septembre 1996 Entr en vigueur le 18 mars 1997 Entr en vigueur le 5 mai 1994 Entr en vigueur le 10 juillet 1974 Adh sion le 31 juillet 1996 Entr en vigueur le 29 avril 1999 Entr en vigueur le 12 septembre 1997 Entr en vigueur le 11 juin 1982 Entr en vigueur le 14 ao t 1996 Entr en vigueur le 2 ao t 1995 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 Entr en vigueur le 21 janvier 1997 Entr en vigueur le 24 octobre 1989 Entr en vigueur le 6 f vrier 1995 Entr en vigueur le 28 d cembre 1973 Entr en vigueur le 20 septembre 1999 Entr en vigueur le 4 novembre 1987 Entr en vigueur le 29 f vrier 1972 Entr en vigueur le 17 d cembre 1999 Sign le 21 mai 1992 Entr en vigueur le 21 f vrier 1972 Entr en vigueur le 9 septembre 1996 Entr en vigueur le 26 janvier 1973 Entr en vigueur le 14 novembre 1975 Entr en vigueur le 22 novembre 1979
119. 999 suite R publique centrafricaine R publique d mocratique du Congo R publique d mocratique populaire lao R publique de Moldova R publique Dominicaine c R publique populaire d mocratique de Cor e R publique tch que j R publique Unie de Tanzanie Roumanie Rwanda Saint Christophe et Ni ves f Saint Marin Saint Si ge Saint Vincent et Grenadines f Sainte Lucie f Samoa Sao Tom et Principe S n gal Seychelles Sierra Leone Singapour Slovaquie s Slov nie Somalie Soudan Sri Lanka Su de t Suisse Suriname c Swaziland Tadjikistan Tchad Tha lande Togo Tonga Trinit et Tobago c Tunisie Turkm nistan Turquie Tuvalu Ukraine Uruguay c 25 octobre 1970 4 ao t 1970 20 f vrier 1970 11 octobre 1994 24 juillet 1971 12 d cembre 1985 1er janvier 1993 31 mai 1991 4 f vrier 1970 20 mai 1975 22 mars 1993 10 ao t 1970 25 f vrier 1971 6 novembre 1984 28 d cembre 1979 17 mars 1975 20 juillet 1983 17 d cembre 1970 12 mars 1985 26 f vrier 1975 10 mars 1976 1 janvier 1993 7 avril 1992 5 mars 1970 31 octobre 1973 5 mars 1979 9 janvier 1970 9 mars 1977 30 juin 1976 11 d cembre 1969 17 janvier 1997 10 mars 1971 7 d cembre 1972 26 f vrier 1970 7 juillet 1971 30 octobre 1986 26 f vrier 1970 29 septembre 1994 17 avril 1980 19 janvier 1979 5 d cembre 1994 31 ao t 1970 Entr en vigueur
120. AS a t mis sur pied par l Agence pour proc der sur demande des examens de l application du R glement de transport des mati res radio actives au niveau national La premi re mission TranSAS s est rendue en Slov nie en juin juillet pour valuer le cadre l gislatif relatif au transport des mati res radioactives et la r partition connexe des responsabilit s entre les autorit s comp tentes les proc dures d approbation et les dispositions pr vues en mati re d inspection et de pr paration aux situations d urgence Avec l accord dela Slov nie le rapport dela mission a t pr sent la Conf rence g n rale en septembre Dans sa r solution GC 43 RES 11 celle ci a encourag les tats Membres recourir lorsqu il y a lieu au service d va luation de la s ret du transport afin de parvenir aux niveaux de s ret les plus lev s possibles pendant le transport des mati res radioactives Au cours d un examen pr liminaire en vue de l laboration de normes de s ret pour le stockage d finitif des d chets radioactifs en formations g ologiques le Comit consultatif pour les normes de s ret des d chets de l Agence a d limit les domaines dans lesquels il y avait un consensus international ainsi que ceux dans lesquels les experts n ont pas encore des opinions convergentes Les pays qui ont particip une conf rence internationale sur les d p ts en formations g ologiques organis e
121. B larus de Bulgarie de F d ration de Russie de Pologne et d Ukraine dans le cadre de projets r gionaux de coop ration technique pour l Europe D autres missions de s ret se sont rendues au Nigeria o un r acteur source de neutrons miniature est en construction au titre d un accord avec l Agence en R publique d mocratique du Congo pour tudier l rosion du site du r acteur de recherche de Kinshasa et son tat g n ral du point de vue dela s ret ainsi qu en Tha lande afin de fournir une aide en mati re de d livrance d autorisations pour un nouveau r acteur de recherche Des missions d experts se sont en outre rendues au Viet Nam Dalat et en Indon sie Serpong pour aider am liorer des rapports de s ret Une mission a par ailleurs visit le r acteur de recherche de Vin a pr s de Belgrade Yougoslavie qui a t mis l arr t il y a une quinzaine d ann es L tat du combustible us entrepos dans une piscine sur le site a suscit des pr occupations ces derni res ann es la mission avait principalement pour objet d valuer les activit s men es jusque l pour am liorer l tat du combustible et dela piscine et de faire le point de la situation La mission a identifi un certain nombre de probl mes de s ret relatifs ce combustible et au combustible encore pr sent dans le r acteur probl mes qui faute de fonds ne sont pas trait s comme il convient Un c
122. Chapelle Dresde Zittau Mayence Hanovre Heidelberg Rossendorf Constituyentes Ezeiza Rosario Bariloche C rdoba Pilcaniyeu Lucas Heights Lucas Heights Seibersdorf Graz Vienne Dhaka Minsk Mol Mol Mol Gand S o Paulo Rio de Janeiro Belo Horizonte S o Paulo Sofia Chalk River Hamilton Chalk River xX Ge XK XK XK XK K XK S S Se S Se Se Se S Se X Ze x Ge Se KK Ze x lt x x x Xx x x x Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Canada suite Chili Colombie Cor e R publique de Danemark Egypte Estonie Finlande Ghana Gr ce Hongrie Indon sie Iran R p islamique d Isra l Italie Jamahiriya Arabe Libyenne Jama que NRX Slowpoke EACL Slowpoke Ecole Polytechnique Slowpoke Kingston Slowpoke Saskatchewan Slowpoke Univ de Alberta Slowpoke Univ de Dalhousie Slowpoke Univ de Toronto La Reina Lo Aguirre IAN R1 Triga US Universit Kyunghee Hanaro DR 1 DR 3 RR1 MPR R acteur de Paldiski FIR 1 GHARR 1 GRR 1 R acteur d enseignement VVR S M 10 PPNY RSG GAS PPTN TRR HWZPR MNSR IRR 1 AGN 201 Poltec RTS 1 TAPIRO Triga RC1 Triga 2 R acteur IRT Centre de sciences nucl aires PRPRPRPRBBR BR Gott tz Chalk River Ottawa Montr al Kingston Saskatoon Edmonton Halifax Toronto Santiago Santiago Bogota S oul Suwoon Taejon Roskilde Roskilde Inshas Insha
123. Con u pour les pays en d veloppement qui n ont pas les moyens d effectuer des tudes co teuses exigeant un volume important de donn es ce programme peut tre utilis sur ordinateur personnel et n cessite un minimum de donn es II facilite l estimation des co ts environnementaux et externes dela production d lectricit et il aide les utilisateurs laborer des strat gies de r duction de la pollution Le logiciel et la documentation qui l accompagnent couvrent les techniques d estimation et d valuation des effets sanitaires et non sanitaires dela pollution de l air de l eau et du sol imputables aux technologies de g n ration partir des nergies fossile et nucl aire B Glad est disponible sur CD ROM des fins p dagogiques Les essais contr l s sur le terrain ont commenc en juin dans le cadre d un PRC Le progiciel complet y compris une composante am lior e relative terme concernant la demande et l offre d nergie et d lectricit r sultats communiqu s par les tats Membres utilisant les outils du projet DECADES ont permis d am liorer le logiciel d valuation comparative DECPAC sur deux points majeurs En particulier le sous module am lior concernant les dispositifs de contr le de la pollution ainsi que l interface pour le mod le VALORAGUA ont t int gr s dans les outils DECADES ce qui permet de mieux mod liser les strat gies de r duction de la pollution atmosph rique et l
124. ET PHYTOGENETIQUE Dans le cadre d un PRC sur les mutations induites et les biotechnologies apparent es pour l am lioration de cultures industrielles nouvelles et traditionnelles des progr s sensibles ont t enregistr s en ce qui Lu o gt o x o lt Lu 2 O lt He 2 Lu lt Lu x gt l gt o x o lt H Lu z EH lt H z Lu 4 lt concerne la modification de caract ristiques agronomiques l am lioration des rendements et la modification de la qualit de l huile dans les cultures produisant des graines ol agineuses et des fibres Par exemple on a mis au point par s lection des lign es avanc es de soja plus haut rendement avec am lioration de la qualit des graines qui servent produire l huile et les tourteaux destin s l alimentation humaine et animale tandis que l on cr ait des mutants de graines de lin et de Cuphea dont la composition en acides gras est nouvelle et qui peuvent tre Les Laboratoires de l Agence Seibersdorf ont mis au point un nouveau syst me de RIA par auto sensibilisation qui permet de r duire tr s nettement le co t du dosage des chantillons de lait utilis es comme sources d nergie renouve lables biogazole Par ailleurs des lign es de tournesol forte teneur en huile convenant pour la fabrication d huile de cuisson ont t s lectionn es de nouvelles lign es de c
125. Higashimatsura gun Saga ken Hamaoka 1 Ogasa gun Shizuoka ken Hamaoka 2 Ogasa gun Shizuoka ken Hamaoka 3 Ogasa gun Shizuoka ken Hamaoka 4 Ogasa gun Shizuoka ken IKata 1 Nishiuwa gun Ehime ken IKata 2 Nishiuwa gun Ehime ken IKata 3 Nishiuwa gun Ehime ken Joyo Higashi gun Ibaraki ken Kashiwazaki 1 Kashiwazaki 2 Kashiwazaki 3 Kashiwazaki 4 Kashiwazaki 5 Kashiwazaki 6 Kashiwazaki 7 PPPRPRRRBBRPRRBBPRBPRBRBBRPEBEBNBPRBRBBRBRBBBPBRBBBRBRBEBBRPEBP BBB PE EBE Kashiwazaki shi Niigata ken Kashiwazaki shi Niigata ken Kashiwazaki shi Niigata ken Kashiwazaki shi Niigata ken Kashiwazaki shi Niigata ken Kashiwazaki shi Niigata ken Kashiwazaki shi Niigata ken xX O x XK XK XK XK XK Se Se S XK XK XK XK K K Se Se S Se SS XK X K X K X X X XK X XK X X X X S Se Se S Se Se Se S e Ze Mihama 1 Mikata gun Fukui ken Mihama 2 Mikata gun Fukui ken Mihama 3 Mikata gun Fukui ken Monju Tsuruga shi Fukui ken Ohi 1 amp 2 Ohi gun Fukui ken Ohi 3 Ohi gun Fukui ken 146 Ohi 4 Ohi gun Fukui ken Onagawa 1 Oshika gun Miyaki ken Onagawa 2 Oshika gun Miyaki ken Sendai 1 Sendai shi Kagoshima ken Sendai 2 Sendai shi Kagoshima ken Shika Hakui gun Ishikawa ken Shimane 1 Yatsuka gun Shimane ken Shimane 2 Yatsuka gun Shimane ken Takahama 1 Ohi gun Fukui ken Takahama 2 Ohi gun Fukui ken Takahama 3 Ohi gun Fukui ken Takahama 4 Ohi gun Fukui ken Tokai 1 Tokai Mura Ibaraki ken Tokai 2 Tokai Mura Ibaraki ken
126. Honduras l Agence ont t approuv es par la Conf rence g n rale sur recommandation du Conseil des gouverneurs Par la suite l Angola a d pos son instrument d acceptation du Statut devenant ainsi le 130 Membre de l Agence Le Directeur g n ral a soumis au Conseil la strat gie moyen terme SMT de l Agence qui tenait compte des observations des membres du Conseil sur un projet ant rieur et qui devait servir de base pour la formulation des propositions concernant les programmes pour 2001 2005 et la structure du rapport annud de l Agence l avenir Le Conseil a pris note de la strat gie et des observations formul es tant entendu que ce texte de par son caract re volutif pourrait servir de point de d part et de r f rence pour la formulation des propositions concernant le programme La Conf rence g n rale est parvenue adopter une r solution sur la question ancienne de l amendement de l article VI du Statut Dans la r solution GC 43 RES 19 apr s avoir examin les observations du Conseil la Conf rence g n rale a approuv un amendement propos par le apon tel que modifi par la Slov nie et avec de nouvelles modifications relatif au nombre et la r partition des si ges du Conseil dont la taille est ainsi pass e de 35 43 si ges L amendement pr voyait en outre que les nouvelles dispositions n entreraient en vigueur que lorsque le Conseil aurait adopt et la Conf rence g n rale confirm
127. ONE de pas pe S ret radiologique S ret des d chets radioactifs Coordination des activit s relatives la s ret V rification Garanties RER AA ans dome tes See eae ee E EENS S curit d s Maligres 222822 800 etnine NEE EISEN NN OR Ra Ee EEN ER Gestion et renforcement d audience Gestion coordination et appui Gestion de la coop ration technique pour le d veloppement ANNEXE socere 104204 6 POW SE ent LA dede SR das be 24 29 35 40 A7 54 67 77 83 88 91 APERCU GENERAL En 1999 le Secr tariat de l Agence a poursuivi le processus de r forme destin assurer une ex cution plus efficace d un programme de nature contribuer manifestement la satisfaction des besoins des Etats Membres En particulier une Strat gie moyen terme SMT a t d finie et l on a commenc modifier le processus d laboration du programme et du budget Les activit s se sont poursuivies au titre de ce qui a t d fini dans la SMT comme tant les trois piliers du programme de l Agence technologie s ret et v rification Des mesures ont t adopt es pour accro tre la synergie entre les parties du programme qui sont financ es par le budget ordinaire et celles qui le sont par le budget de la coop ration technique Le pr sent aper u g n ral a pour objet de p
128. R Council Proceedings 1998 ITER EDA Documentation Series No 15 S ret nucl aire Topical issues in nuclear radiation and radioactive waste safety Collection Comptes rendus Implementation and review of a nuclear power plant ageing management programme Collection Rapports de s ret n 15 Health and environmental impacts of electricity generation systems Procedures for comparative assessment Collection Rapports techniques n 394 Light water reactor generic safety issues database LWRGSIDB User s manual IAEA CMS 13 RBMK fuel channel integrity IAEA EBP RBMK 05 Anticipated transients without scram for WWER reactors IAEA EBP WWER 12 Final report of the programme on the safety of WWER and RBMK nuclear power plants IAEA EBP WWER 15 AMAT guidelines Reference document for the IAEA Ageing Management Assessment Teams AMATs IAEA SVS 04 DSRS guidelines Reference document for the IAEA Design Safety Review Services IAEA SVS 05 Achieving year 2000 readiness Basic processes IAEA TECDOC 1072 A framework for a quality assurance programme for PSA IAEA TECDOC 1101 Living probabilistic safety assessment LPSA IAEA TECDOC 1106 Root cause analysis for fire events at nuclear power plants IAEA TECDOC 1112 Assessment and management of ageing of major nuclear power plant components important to safety PWR vessel internals IAEA TECDOC 1119 Assessment and management of ageing of major nuc
129. SA Accord r gional de coop ration pour la promotion de la science et de la technologie nucl aires en Am rique latine et dans les Cara bes ARCAL reproduit dans le document INFCIRC 582 Ouvert la signature le 25 septembre 1998 En 1999 deux tats ont sign l Accord la fin de l ann e il y avait 14 signataires 161 Lu x lt Lu Z Zz lt Tableau A25 PROJETS DE RECHERCHE COORDONNEE avec indication de l ann e de lancement et d ach vement Evaluation du partage et de la transmutation des actinides et des produits de fission du point de vue de la s ret de l environnement et de la non prolif ration 1994 2000 Techniques de caract risation des sites utilis es pour la restauration de l environnement 1995 1999 Corrosion du gainage en aluminium du combustible us de r acteurs de recherche dans l eau 1995 2000 Surveillance en ligne a haute temp rature de la chimie de l eau et de la corrosion WACOL 1995 2000 Extrapolation des observations court terme aux dur es d isolement requises pour les d chets radioactifs de longue p riode 1995 1999 Mod lisation du transport de substances radioactives dans les circuits primaires des r acteurs refroidis par eau 1996 2001 Traitement des effluents liquides des mines et des installations de traitement de minerai pendant et apr s l exploitation apr s fermeture assainissement 1996 2001 Techniques de d classement pour les r acteurs de recherche 199
130. Si ge Par ailleurs le protocole additionnel avec le Ghana tait appliqu titre provisoire en attendant son entr e en vigueur Par change de lettres entre le Br sil et l Agence il a t confirm que l accord de garanties condu entre l Argentine le Br sil l Agence brasilo argentine de comptabilit et de contr le des mati res nud aires ABACC et l Agence pour l application de garanties satisfait aux dispositions de l article III du TNP et de l artide 13 du Trait de Tlatelolco qui font obligation au Br sil de conclure un accord de garanties g n ralis es avec l Agence OP RATIONS Les principaux d veloppements concernant la mise en oeuvre de protocoles additionnels ont t les suivants e Les d darations pr vues l artide 2 du protocole additionnel ont t re ues de cinq Etats et ont t ou sont en train d tre valu es tous les compl ments d infor mation ou claircissements n cessaires ont t demand s En outre les mesures pr vues dans le mod le de Protocole additionnel sont intervenues en ce qui concerne Taiwan Chine y compris la r ception et l examen des d clarations faites en vertu de l artide 2 e En vertu des pouvoirs conf r s par le protocole additionnel le droit d acc s compl mentaire a t exerc en Australie en Ouzb kistan et Taiwan Chine L inspection pr vue pour la v rification du stock physique a eu lieu du 22 au 25 janvier 2000 Les inspecteu
131. Stockage HLW ISFS Dukovany Entrep t n 9 de mati res nucl aires sp ciales Entrep t de plutonium Thorp AFRS Stockage central long terme Stockage de Tchernobyl Installation pilote d enrichissement d class e D contamination et r cup ration de d chets Ensemble de cellules chaudes Installation de m tallurgie de l uranium naturel et appauvri UDEC R acteur Es Salam KFA heisse Zellen KFK heisse Zellen KFK IHCH Siemens heisse Zellen KFA Lab Transuran VKT Tec ZTR Installation alpha Usine exp rimentale d UO Laboratoire d uranium enrichi Division des produits de fission Usine de fabrication de combustible LFR Usine de fabrication de poudre d uranium Laboratoire Triple Altura Lab de recherche IRMM Geel CEN Labo CEN D chets Karachi Vlissingen Sacavem Bungang Ri Nyongbyon Bolevec Rez Dukovany Sellafield Sellafield Bohunice Oskarshamn Tchernobyl Pelindaba Pelindaba Pelindaba Pelindaba Draria Ain Oussera Juliers Eggenstein Leopoldshafen Eggenstein Leopoldshafen Karlstein Juliers Eggenstein Leopoldshafen Rossendorf Constituyentes Cordoba Ezeiza Ezeiza Ezeiza Buenos Aires Constituyentes Ezeiza Lucas Heights Geel Mol Dessel x OX KK KK XK Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Belgique suite Br sil Cor e R publique de Estonie Etats Unis d Am rique Hongrie Indon sie Iran R I d
132. TIVE DES SOURCES D NERGIE ALIMENTATION ET AGRICULTURE OBJECTIF DU PROGRAMME Promouvoir la s curit alimentaire durable en favorisant la mise au point et le transfert de m thodes nucl aires et de biotechnologies sa des cultures et l levage d accroitre la biodiversit et d am liorer la qualit et l hygi ne des denr es alimentaires APERCU GENERAL Dans le cadre de ce programme les efforts visant a d velopper des technologies et a mettre au point des pratiques respectueuses de l environ nement pour renforcer la s curit alimentaire ont marqu des progr s Grace aux techniques isotopiques et aux rayonnements on a obtenu des informations scientifiques suppl mentaires sur les engrais azot s et sur l utilisation de l eau par le bl et adopt en cons quence des pratiques qui ont permis d am liorer ou de maintenir les rendements tout en r duisant les applications d engrais azot s et la pollution des eaux souterraines par les nitrates En combinant des techniques de mutation avec des biotechnologies modernes on a obtenu chez les plantes cultiv es des caract ristiques pr sentant un int r t conomique L emploi de techniques de radio immunodosage RIA et de m thodes associ es a permis de faire des recom mandations aux tats Membres pour am liorer l ins mination artificielle accro tre la production laiti re et lutter contre des maladies animales importantes La technique de l insec
133. Tomari 1 Furuu gun Hokkaido Tomari 2 Furuu gun Hokkaido Tsuruga 1 Tsuruga shi Fukui ken Tsuruga 2 Tsuruga shi Fukui ken Kazakhstan BN 350 1 Aktau Lituanie Ignalina 2 Visaginas D Mexique Laguna Verde 1 1 Alto Lucero x Laguna Verde 2 al Alto Lucero x Pakistan KANUPP 1 Karachi D Chasnupp 1 1 Kundian ANNEXE Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE Pays Bas Philippines Roumanie R P D de Cor e R publique tch que Slovaquie Slov nie Su de Suisse Ukraine Borssele Centrale de Dodewaard Centrale de Bataan Cernavoda 1 Nyongbyon 1 EDU 1 EDU 2 Temelin A1 EMO 1 V 1 V 2 Kr ko Barseb ck 1 Barseb ck 2 Forsmark 1 Forsmark 2 Forsmark 3 Oskarshamn 1 Oskarshamn 2 Oskarshamn 3 Ringhals 1 Ringhals 2 Ringhals 3 Ringhals 4 KKB Beznau KKB Beznau II KKG G sgen KKL Leibstadt KKM M hleberg Centrale nucl aire de Tchernobyl Khmelnitski 1 Rovno 1 amp 2 Rovno 3 Ukraine Sud 1 Ukraine Sud 2 Ukraine Sud 3 Zaporojie 1 Zaporojie 2 Zaporojie 3 Zaporojie 4 Zaporojie 5 Zaporojie 6 NN PRPPRRBPBBRRBBBRBR e NNNEB BPRPBPBR PRPPRPRBBRBRBRNBRW R acteurs de recherche et assemblages critiques Afrique du Sud SAFARI 1 L AGENCE suite Borssele Dodewaard Morong Bataan Cernavoda Nyongbyon Dukovany Dukovany Temelin Bohunice Mochovce Bohunice Bohunice Kr ko Malm Malm Uppsala Uppsala Uppsala Oskarshamn Oskarshamn Oskarshamn G
134. a formation et la participation des campagnes oc anographiques pour pr lever les chantillons marins dans l oc an Austral et au large des c tes marocaines Dans le cadre de ses travaux relatifs la gestion des ressources en eau l Agence a mis au point une m thodologie isotopique pour valuer le renouvellement des eaux souterraines dans les zones qui manquent d eau Cette m thodologie aidera les tats Membres dans la gestion de leurs ressources en eau Les travaux visant affiner les techniques de mesure et d interpr tation des donn es isotopiques se sont poursuivis les questions sp cifiques de gestion des RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE ENVIRONNEMENT MARIN ressources en eau dans tel ou tel Etat Membre tant trait es dans le cadre du programme de coop ration technique Dans le domaine des applications industrielles des PRC ont permis de mettre l accent sur les techniques de radiotraitement pour la fabrication de biomat riaux et de caoutchouc vulcanis Les travaux ont port sur l utilisation des faisceaux d lectrons pour traiter l eau pollu e et les effluents industriels contamin s par des mati res organiques et ont suscit de nombreuses tudes pilotes en vue d ventuelles applications grande chelle Des tats Membres en d veloppement ont re u de la documentation et b n fici de cours de formation sur les proc dures d essais non destructifs et sur l utilisation des traceurs et des jauges n
135. age de le faire En Europe centrale et orientale on d bat de la n cessit d achever la construction de certaines centrales Quelques unes seront termin es et des tranches vieillissantes seront mises l arr t dont certaines plus t t que pr vu En Asie on continue pr voir une expansion de l lectronucl aire notamment en Chine en Inde au Japon et en R publique de Cor e C est la r gion o le recours l lectro nucl aire a des chances de s tendre court terme Cependant la crise financi re que l Asie du Sud Est a connue en 1998 et 1999 fait que l accroissement de la demande d nergie dans la r gion sera moins fort que pr vu Pour que la contribution de l lectronucl aire la satisfaction durable des besoins nerg tiques mondiaux s accroisse il faudra satisfaire un certain nombre de crit res comp titivit conomique accrue recours des technologies de pointe tant pour la production d lectricit que pour des applica tions nouvelles comme le dessalement et accroissement de la confiance du_ public notamment dans la s ret d exploitation des centrales et du stockage d finitif Au cours de la d cennie coul e l industrie lectrique a connu des changements fonda mentaux dans de nombreux pays Aujourd hui la fourniture d lectricit n est plus un monopole des gouvernements ou de quelques fournisseurs La production et la vente aux consommateurs finals s effectuent dans
136. aires F d ration de Russie Cours r gional de formation d instructeurs sur l tat de pr paration et l assistance m dicales en cas d accident radiologique R publique tch que Cours r gional sur l tat de pr paration m dicale et l assistance m dicale d urgence en cas d accident nucl aire et radiologique cho 1 Hongrie Cours r gional sur la biodosim trie et le diagnostic des effets sanitaires d une exposition aux rayonnements ionisants Turquie Cours r gional de formation d instructeurs sur les strat gies et les proc dures de surveillance l tablissement de rapports et la transmission des donn es en anglais Ukraine Cours r gional de formation d instructeurs sur les strat gies et les proc dures de surveillance l tablissement de rapports et la transmission des donn es en russe Ukraine Cours r gional de formation d instructeurs sur l tat de pr paration aux situations d urgence radiologique en anglais Slov nie Cours r gional de formation d instructeurs sur l tat de pr paration aux situations d urgence radiologique en russe F d ration de Russie Cours r gional sur l valuation et l inspection de la s ret dans les installations m dicales industrielles et de recherche Lituanie Cours r gional sur la protection et la s ret radiologiques en m decine B larus Cours r gional sur la conception l application et la gestion de programmes
137. ait le 25 mars 1995 L accord de garanties pertinent se r f re la fois au TNP et au Trait de Tlatelolco Cet tat et l Agence ont proc d un change de lettres confirmant que l accord entre l Argentine le Br sil l ABACC et l Agence relatif l application de garanties qui est entr en vigueur le 4 mars 1994 INFCIRC 435 satisfait l obligation incombant l Argentine aux termes de l article Ill du TNP de conclure un accord de garanties avec l Agence L change de lettres est entr en vigueur la date de son approbation par le Conseil des gouverneurs Cet Etat et l Agence ont proc d un change de lettres confirmant que l accord de garanties conclu dans le cadre du TNP satisfait l obligation qui incombe l tat en vertu de l article 13 du Trait de Taltelolco de conclure un accord de garanties avec l Agence L change de lettres est entr en vigueur la date de son approbation par le Conseil des gouverneurs L application des garanties en vertu d un accord conclu avec le Mexique dans le cadre du Trait de Tlatelolco qui tait entr en vigueur le 6 septembre 1968 INFCIRC 118 a t suspendue apr s la conclusion d un accord avec le Mexique dans le cadre du Trait de Tlatelolco et du TNP INFCIRC 197 Un accord de garanties a t conclu avec le Panama dans le cadre la fois du Trait de Tlatelolco et du TNP cet accord n est pas encore entr en vigueur Le Protocole additionnel c
138. aki ken Higashi gun Ibaraki ken Higashi gun Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Kawasaki shi Kanagawa ken Sodegaura shi Chiba ken Kjeller x x x x x xX Se Se Se KK KK KK OK xX Se Se KK Se e Ze 157 Lu x lt Lu Es zZ lt 158 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Pologne Institut de chimie et de g nie nucl aires Varsovie Institut de recherche nucl aire Swierk D R P D de Cor e Assemblage sous critique Pyongyang x R publique tch que Institut du combustible nucl aire UJP Zbraslav x Laboratoires de recherche Rez X Suisse E I R Wtrenlingen D CERN Gen ve x Turquie Usine pilote de combustible nucl aire Istanbul X Ukraine Tchernobyl tranche 4 Tchernobyl Stockage Khmelnitski FF Neteshin KHFTI Kharkov Stockage FF Rovno Kouznetsovsk Stockage Ukraine Sud Youjnoukrainsk Stockages FF Zaporojie Energodar Assemblage sous critique de S bastopol S bastopol Etablissements non nucl aires Cuba Stockage d quipements Prov de La Havane a Une mention dans cette colonne n implique nullement l expression par le Secr tariat d une opinion quelconque quant au statut juridique d un pays ou territoire ou de ses autorit s ni quant au trac de ses fronti res Note L Agence appliquait aussi des garanties six r acteurs de puissance cinq r acteurs de recherche ou assemblages critiques une usin
139. amme de services de contr le de la qualit des analyses SCQA concernant les radionud ides dans l environ nement marin un exercice de comparaison portant sur le s diment du lagon de Fangataufa IAEA 384 a t achev et une mati re de r f rence a t distribu e laquellea t certifi e pour 20 radionucl ides anthropiques et naturels ce qui porte 38 le nombre total de ces mati res De nombreux laboratoires des tats Membres ont utilis ces mati res de r f rence pour l assurance contr le de la qualit des analyses l laboration de nouvelles m thodes et la formation L appui au programme de coop ration technique de l Agence s est traduit notamment par le renforcement scientifique et technique du projet de coop ration technique intitul valuation du milieu marin dans la r gion de la mer Noire Ce projet a permis de renforcer les capacit s d valuation de la radioactivit marine et de coordonner la surveillance l chelle r gionale II a par ailleurs mis en vidence l absence d informations ant rieures dans cette r gion sur le polonium 210 naturel auquel est imputable la majorit de la dose re ue par les voies d exposition marines Les moyens d velopp s dans le cadre de ce projet ont donc permis d acqu rir de nouvelles informations sur le polonium 210 Les chronologies des s diments ont t tudi es en employant la technique de datation au plomb 210 afin de reconstituer l histoi
140. ance aux Etats et la mise en oeuvre de ressources extrabudg taires cette fin Le programme a continu de progresser en 1999 avec plus de r gularit dans les moyens budg taires fournis par les tats Le document INFCIRC 225 Rev 4 a en outre t publi Un certain nombre d actions sont en cours pour fournir une documentation suppl mentaire aux tats et renforcer la mise en oeuvre l chelle mondiale des recommanda tions qui y sont contenues Par ailleurs l Agence a tenu une r union d experts pour examiner s il y avait lieu de r viser la Convention sur la protection physique des mati res nucl aires Ce travail se poursuivra par un examen approfondi destin d terminer les bases d une ventuelle r vision Enfin un atelier sur la menace de r f rence a eu lieu Prague la demande du Gouvernement tch que L Agence a continu recevoir des demandes de missions IPPAS Service consultatif international sur la protection physique destin es valuer les syst mes nationaux de protection des tats demandeurs En 1999 il y a eu des missions IPPAS en Lituanie et au P rou plus une mission pr paratoire au B larus L Agence a assur le suivi de ces missions et galement de missions IPPAS pr c dentes Les donateurs et b n ficiaires parmi les nouveaux tats ind pendants se sont r unis en mars pour assurer la coordination de la coop ration technique dans le domaine de la protection physique Des
141. ance en cas d urgence publi pendant l ann e a t utilis avec la documentation habituelle au cours de deux ateliers sur la surveillance en cas d urgence dans la zone d exclusion de 30 km autour de Tchernobyl qui ont t organis s l intention de 22 pays En 1999 on a lanc un nouveau service d examen de la pr paration aux cas d urgence EPREV Une m thodologie a t mise au point et une premi re mission pilote l a appliqu e en Indon sie L exp rience acquise est utilis e pour la r vision du projet de proc dures d ex cution On a entrepris une r vision en profondeur des proc dures d intervention en cas d urgence de l Agence et de la formation associ e que l on a ensuite mises l essai au cours d un exercice international accueilli par le Canada On a proc d une tude de faisabilit sur l utilisation d Internet pour l change d infor mations sur les cas d urgence et mis au point une proposition d taill e visant cr er un r seau d intervention en cas d urgence qui d crit les exigences de performance pour les tats souhaitant fournir une aide dans le cadre de la Convention sur l assistance en cas d accident nucl aire ou de situation d urgence radiologique trois reprises l Agence a fourni en 1999 une assistance la suite de situations d urgence radiologique e En Turquie pour donner des avis sur le traitement des personnes surexpos es une source au cobalt 60 retir e de
142. ar l organe centrali sateur d INIS pour un total de 234 309 pages Par ailleurs 6 217 documents num ris s 117 2 D A lt Lu Za OC lt a Q a O O O GESTION 118 2 a lt j Lu lt SE OH a O oO GESTION 413 094 pages ont t envoy s par des Etats Membres II y a eu au total 9 476 documents 647 403 pages en 1999 En outre 50 CD ROM ont t produits pendant l ann e ce qui porte le total a 131 CD ROM depuis le d but de la num risation La production de tous les CD ROM de documentation non commercia lis e est pr sent interne ce qui repr sente pour l Agence des conomies non n gligeables La 27 r union consultative annuelle des agents de liaison INIS s est tenue en mai Vienne pour fournir des orientations sur la poursuite des op rations INIS cette r union qui a accueilli un nombre record d agents de liaison un certain nombre de d cisions et de recommandations ont t formul es notamment la r vision de l accord de participation INIS La cinqui me r union du comit technique conjoint INIS ETDE a eu lieu en octobre Knoxville tats Unis d Am rique Elle a port sur l examen d un ventail de sujets int ressant la fois INIS et l ETDE l issue des r unions mentionn es ci dessus deux mesures importantes ont t prises un syst me simplifi de classement commun par sujet INIS ETDE a t adopt et sera m
143. araitre de fortes augmentations des facteurs d utilisation et une r duction du nombre des arr ts non programm s des r acteurs En outre de nombreuses centrales nucl aires en service sont conomiques notamment celles dont les investissements en capital ont t amortis ou annul s Aujourd hui l exception peut tre des centrales hydro lectriques les centrales nucl aires bien g r es avec de faibles d penses de combustible et des frais d exploitation et de maintenance qui diminuent constamment sont souvent parmi les centrales lectriques les moins co teuses exploiter Cet avantage a suffi pour inciter des propri taires de centrales existantes investir dans des programmes d extension de la dur e de vie et des augmentations de la capacit totale de production des centrales Les pressions concurrentielles et la restructuration en cours de l industrie lectrique pourraient aboutir a de nouvelles r ductions des co ts gr ce en particulier un regroupement des activit s de gestion d exploitation et de maintenance Dans le cas des centrales nucl aires tant existantes que nouvelles l Agence a aid les tats Membres accro tre la comp titivit compte d ment tenu de la s ret Ainsi elle a fourni des analyses et des services d experts et collect et diffus des informations sur la r duction des d penses initiales l extension de la dur e de vie l am lioration des perfor mances et la r duct
144. aranties en 1999 le Secr tariat n a d cel aucune indication de d tournement des fins militaires ou des fins inconnues de mati res nud aires qui avaient t d clar es et soumises aux garanties ou d utilisation abusive d installations d quipements ou de mati res non nucl aires soumis aux garanties Toutes les informations dont dispose l Agence tayent la condusion selon laquelle les mati res nucl aires et les autres articles qui avaient t soumis aux garanties sont rest s affect s a des activit s nucl aires pacifiques ou qu il en est d ment rendu compte par ailleurs En 1999 l Agence en tait aux premi res tapes de l application des protocoles additionnels aux accords de garanties protocoles additionnels Ayant achev l valuation de toutes les informations sa disposition en ce qui concerne deux tats y compris les r sultats des activit s ex cut es dans le cadre de leurs accords de garanties g n ralis es et de leurs protocoles additionnels l Agence n a trouv aucune indication soit de d tournement de mati res nucl aires d clar es soit de pr sence de mati res ou d activit s nud aires non d clar es dans ces tats Pour les autres tats qui ont un accord de garanties g n ralis es et un protocole additionnel en vigueur l valuation des informations disponibles n est pas encore compl te La R publique populaire d mocratique de Cor e RPDC continue de ne pas respecter son
145. aratoire Temelin VVER R publique tch que OSART Bugey REP France Mission de suivi OSART Embalse RELP Argentine Mission de suivi OSART Palual REP France Visite pr paratoire Belleville REP France Mission de suivi OSART Yonggwang REP R publique de Cor e Visite pr paratoire Muhleberg REB Suisse OSART G sgen REP Suisse Tableau A8 MISSIONS POUR L AMELIORATION DE LA CULTURE DE SURETE 1999 Renforcement de la culture de s ret Br sil Angra Examen par des confr res de l auto valuation Br sil Angra Atelier sur la gestion de la culture de s ret Bulgarie Ledenika Tableau A9 SERVICES D QUIPES D ANALYSE DES V NEMENTS IMPORTANTS POUR LA SURETE ASSET ET ACTIVIT D EXAMEN DE L EXP RIENCE D EXPLOITATION 1999 S Slovaquie Bratislava S Arm nie Medzamor Z Ukraine Ukraine Sud S Inde Kakrapar S S minaire ASSET de pr sentation des orientations pour l auto valuation des centrales S4 Atelier ASSET sur l analyse des causes profondes des v nements Z Examen par des confr res d auto valuations d v nements d exploitation dans la centrale Tableau A10 MISSIONS D QUIPES INTERNATIONALES D EXAMEN DE LA R GLEMENTATION IRRT 1999 Pr IRRT Indon sie Pr IRRT Viet Nam Examen global Slov nie Tableau A11 MISSIONS D EVALUATION INT GR E DE LA SORETE DES R ACTEURS DE RECHERCHE INSARR 1999 Examen de la s ret d exploitation BR II Belgique Examen de la s ret d exploitation Otaniemi Finland
146. arbade b Belize d Bolivie b Br sil c Chili Colombie Costa Rica b Dominique d El Salvador b quateur b Grenade b Guatemala b Guyana b Ha ti b Honduras b Jama que b Mexique b e Nicaragua b Panama f Paraguay b P rou b R p Dominicaine b Saint Christophe et Ni ves d Sainte Lucie d Saint Vincent et Grenadines d Suriname b Trinit et Tobago b Uruguay b Venezuela b En outre les accords de garanties suivants ont t au Trait g 11 octobre 1983 18 janvier 1994 26 avril 1977 25 avril 1969 4 novembre 1994 18 f vrier 1969 30 mai 1994 18 janvier 1994 6 septembre 1972 25 ao t 1969 25 ao t 1993 22 avril 1968 11 f vrier 1969 20 juin 1975 6 f vrier 1970 6 mai 1996 23 mai 1969 23 septembre 1968 26 juin 1969 20 septembre 1967 24 octobre 1968 11 juin 1971 19 mars 1969 4 mars 1969 14 juin 1968 14 f vrier 1997 2 juin 1995 11 mai 1992 10 juin 1977 27 juin 1975 20 ao t 1968 23 mars 1970 tats Unis d Am rique France Pays Bas b Royaume Uni Entr en vigueur le 9 septembre 1996 Entr en vigueur le 18 mars 1997 Entr en vigueur le 12 septembre 1997 Entr en vigueur le 14 ao t 1996 Entr en vigueur le 18 mars 1997 Entr en vigueur le 6 f vrier 1995 Entr en vigueur le 10 juin 1997 Entr en vigueur le 5 avril 1995 Entr en vigueur le 22 d cembre 1982 Entr en vigueur le 22 novembre 1979 Entr en vigueur
147. articulier dans les tats Membres en d veloppement Le cours a port galement sur la pr paration du rapatriement de combustible us provenant de r acteurs de recherche russes la F d ration de Russie devant en principe mettre en uvre dans un futur proche un programme de reprise de ce combustible la session de septembre de la Conf rence g n rale il a t annonc que le Gouvernement des tats Unis tait pr t collaborer avec la F d ration de Russie et l Agence en ce qui concerne la gestion et l entreposage du combustible provenant de r acteurs de recherche russes et financer une r union tripartite sur ce sujet La r union qui a eu lieu en d cembre a permis de faire le point sur la situation du combustible provenant de r acteurs de recherche d origine russe dans le monde et de d finir les domaines prioritaires qui n cessitent une tude plus pouss e Les discussions de la deuxi me r union du Groupe detravail international sur les options du cycle du combustible nucl aire ont port sur les questions relatives au cycle du combustible nucl aire et plus particuli rement celles li es sa partie terminale La r union a permis de cerner de nombreux sujets concernant cette partie terminale du cycle qui ont t r examin s en novembre lors d une r union de comit technique consacr e aux facteurs jouant un r le d terminant dans la strat gie long terme concernant la partie terminale du
148. assser en revue les probl mes et les d veloppements que le monde nucl aire a connus en 1999 dans l optique de l Agence et en fonction de son programme ne se veut pas exhaustif mais plut t centr sur un certain nombre de th mes choisis situation actuelle de l lectronud aire avantages que conservent les techniques li es au nucl aire dans les domaines de l alimentation et de l agriculture de la sant humaine s de la gestion des ressources en eau et de la surveillance de l environnement 1 efforts faits par l Agence pour instaurer une culture de s ret mondiale efforts d ploy s en vue de la conclusion de protocoles additionnels aux accords de garanties et passage des garanties int gr es ouverture vers des partenaires non traditionnels et meilleure compr hension des besoins des Etats Membres et satisfaction de ces besoins de mani re plus efficiente et efficace TECHNOLOGIE Electronucl aire cycle du combustible et gestion des d chets Situation actuelle de lectronucl aire L lectronuc aire contribue dans une large mesure la satisfaction des besoins mondiaux d lectricit En 1999 il a fourni en gros un sixi me de l lectricit produite dans le monde Comme il s agit d une technologie de pointe capitalistique environ 83 de la capacit mondiale de production d lectricit nucl aire sont concentr s dans les pays industrialis s Au niveau r gional c est en Europe occidentale que
149. ations pour la conception l achat l installation et les essais de r ception du mat riel et des syst mes de collecte et d valuation de donn es et concernant le laboratoire d analyse pr vu sur le site de l usine NFL de retraitement de combustible de Rokkasho Deux s ries de discussions techniques ont eu lieu entre l Agence et la RPDC en 1999 Des probl mes de routine ont pu tre r gl s mais aucun progr s n a t fait concernant les questions qui restent sans solution depuis longtemps y a eu toutefois progr s tangible pour ce qui concerne la pr servation par la RPDC des informations que l Agence estime n cessaires pour v rifier l exactitude et l exhaustivit de la d daration initiale de la RPDC L Agence n est toujours pas en mesure de conclure qu il n y a pas eu d tournement de mati res nucl aires qui auraient d tre plac es sous garanties Le Groupe d action de l Agence na pas pu remplir son mandat en Iraq conform ment aux r solutions pertinentes du Conseil de s curit de l Organisation des Nations Unies et donc n a pu fournir aucune assurance que l I raq se conforme ses obligations Le Groupe a centr son effort sur l am lioration de son syst me informatique et de ses moyens d appui pour les analyses et les inspections a aussi effectu des analyses complexes de l information accumul e apr s des ann es d inspection Une inspection pour v rification du stock physique devait se d r
150. ats Unis en novembre a montr que les tats Membres recourent diverses options pour la gestion du combustible us et des d chets de haute activit Lors de cette conf rence il a t indiqu Que les tats Unis la Su de et quelques autres pays optent pour le stockage d finitif direct tout en pr voyant des possibilit s plus tendues de reprise Que la France le Japon la F d ration de Russie et le Royaume Uni consid rent le combustible us comme une ressource et le retraitent en vue de r cup rer le plutonium pour le recycler dans des r acteurs eau ordinaire sous la forme de combustible MOX Qu un certain nombre de pays effectuent des recherches sur la s paration et la transmutation des actinides longue p riode en vue de r duire le volume et l activit des d chets Que d autres pays en particulier ceux dont les programmes nucl aires sont modestes ou dont l conomie est fragile entreposent le combustible us dans des piscines sur le site des r acteurs ou dans des installations centralis es W lt D Lu Zz LU D D LI a lt de plantes pr sentant un ventail plus large de caract ristiques souhaitables en particulier un rendement plus lev et une qualit d huile am lior e Ces types de plantes devraient tre mis prochainement sur le march en tant que vari t s nouvelles am lior es dans plusieurs Etats Membres Les applications hydrologiques des techniques isot
151. au mondial de mesure des isotopes dans les pr cipitations un comit directeur scientifique a t cr pour conseiller les deux organisations sur les aspects op rationnels du r seau sa premi re r union tenue en juillet Vienne l volution long terme du r seau a t examin e et des mesures sp cifiques ont t d finies On a achev la mise au point d un logiciel destin faciliter l int gration des isotopes en hydrologie gr ce une base de donn es commune sur les tudes hydrologiques men es dans les tats Membres Ce logiciel appel ISOHIS Syst me d information sur l hydro logie isotopique est disponible sur Internet et est diffus aux contreparties nationales des projets de coop ration technique de l Agence ainsi qu une cinquantaine d instituts Un guide d utilisation des techniques isotopiques et chimiques dans la mise en valeur et la gestion de r servoirs g othermiques a t achev II fournit la base th orique et explique comment utiliser les techniques isotopiques dans la prospection et la gestion de r servoirs g othermiques II devrait faciliter la formation de personnel dans les tats Membres et am liorer l ex cution des projets de coop ration technique de l Agence dans ce domaine Des laboratoires d analyse dans les Etats Membres ont recu une assistance pour am liorer leurs proc dures d analyse chimique gr ce une s rie d intercomparaisons auxquelles ont parti
152. aux syst mes de t l d tection et la r alisation d un large ventail de mesures dans les oc ans du monde entier en 1999 ont permis de continuer confirmer que les retomb es mondiales des essais nucl aires effectu s dans l atmosph re restent la principale source anthropog nique de radio nucl ides dans les oc ans bien que les niveaux aient nettement baiss Des radio nucl ides ont galement t utilis s pour tudier le transport de divers polluants plomb polluants organiques r manents etc dans les oc ans et par l interm diaire de la cha ne alimentaire marine L irradiation l aide de faisceaux d lectrons est unetechnique efficiente de purification des d chets industriels gazeux et liquides Un grand projet d puration des gaz de fum e r sultant de la combustion du charbon qui est ex cut en Pologne aboutira la mise en service d une installation de d monstration en 2000 Dans le domaine de la protection de l environnement des donn es techniques et conomiques ont montr une nouvelle fois que les acc l rateurs d lectrons constituent le moyen le plus appropri pour traiter de grandes quantit s d eaux claires et d eaux us es En outre les am liorations apport es aux acc l rateurs au cours des derni res ann es augmentation du taux de conversion de l nergie et de la puissance ont accru les possibilit s pratiques d utiliser cette technologie pour la d contamination et
153. bes on a mis en place un syst me de contr les r ciproques de la qualit in situ qui permet des physiciens de divers tablisse ments de radioth rapie de la r gion de proc der des mesures de contr le de la qualit dans d autres h pitaux et d autres pays Soixante treize faisceaux de sources au cobalt 60 et trois faisceaux d lectrons ont t v rifi s dans des installations industrielles et des tablissements de recherche des tats Membres par l interm diaire du Service inter national d assurance des doses Lu zZ lt gt T Lu m z lt 9 Lu Z lt gt WwW zZ lt 9 Un projet r gional de coop ration technique visant mettre en place un cours de physique m dicale de niveau ma trise qui soit commun l Am rique latine a t entrepris Le cours qui sera organis successivement dans plusieurs universit s r gionales vient de commencer au Venezuela apr s examen crit des candidats de la r gion Certains d entre eux b n ficieront d une bourse de l Agence pour suivre cet enseignement bas sur un programme commun qui sera dispens par des professeurs de plusieurs pays TUDES EN MATI RE DE NUTRITION ET D ECOLOGIE SANITAIRE Les techniques nucl aires et isotopiques ont t utilis es pour am liorer les techniques de surveillance de la nutrition et d terminer des strat gies efficaces pour des plans d inter vention nutritionnelle concernan
154. c 25 septembre 1975 Entr en vigueur le 11 mars 1982 300 Viet Nam 14 juin 1982 Entr en vigueur le 23 f vrier 1990 376 Y men R publique du 1 juin 1979 Yougoslavie R p f d rative de_u 4 mars 1970 Entr en vigueur le 28 d cembre 1973 204 Zambie 15 mai 1991 Entr en vigueur le 22 septembre 1994 456 Zimbabwe 26 septembre 1991 Entr en vigueur le 26 juin 1995 483 a Les renseignements donn s dans les colonnes 1 et 2 ont t fournis Agence par les gouvernements d positaires du TNP une mention dans la premi re colonne n implique nullement l expression par le Secr tariat d une opinion quelconque quant au statut juridique d un pays ou territoire ou de ses autorit s ni quant au trac de ses fronti res Le tableau ne contient pas de renseignements concernant la participation de Taiwan Chine au TNR b Un accord de garanties g n ralis es sui generis avec Albanie est entr en vigueur le 25 mars 1988 INFCIRC 359 c L accord de garanties pertinent se r f re la fois au TNP et au Trait de Tlatelolco d Cet Etat et l Agence ont proc d un change de lettres confirmant que l accord entre l Argentine le Br sil l ABACC et l Agence relatif l application de garanties qui est entr en vigueur le 4 mars 1994 INFCIRC 435 satisfait l obligation incombant l Argentine aux termes de l article Ill du TNP de conclure un accord de garanties avec l Agence L change de lettres est entr en v
155. ce domaine et formuler des recommandations pour l avenir Il a not que les mod les de r acteurs haute temp rature RHT turbine gaz actuellement l tude conviennent tr s bien pour le dessalement nud aire en mode de cog n ration et a recommand qu ils soient inclus dans les activit s de l Agence relatives Lu ba lt x LU oO gt zZ Lu zZ O7 o O Q Lu o o Lu zZ LW LI D lt Lu l S D PA Lu D O a LI D Lu Lu au dessalement nucl aire Il a aussi recommand que les futures r unions sur les RRG soient consacr es a l laboration de crit res de s ret et d autorisation pour les RHT modulaires ainsi qu aux activit s associ es d analyse de s ret et de dassifi cation des quipements La r union finale de coordination d un PRC sur la conception et l valuation de syst mes d utilisation de la chaleur pour le R acteur d essai haute temp rature a eu lieu en octobre au J apon Elle a port notamment sur le reformage a la vapeur du m thane pour la production d hydrog ne et de m thanol l utilisation d une turbine a gaz pour la production d lectricit le reformage du m thane au dioxyde de carbone pour la production de m thane ou de gaz de synth se la production d hydrog ne par s paration thermochimique de l eau et la conversion de charbon et la r cup ration accrue du p trole Un document technique sur les r sultats de ce PRC est
156. cel lulaire de la conjonctive et la maladie de Hodjkin sont plus de cing fois plus fr quents Les participants la r union ont abord le probl me de la prise de d cisions y compris celle consistant n administrer aucun traitement dans le traitement radioth ra peutique des patients atteints par le virus VIH qui ont une esp rance de vie limit e en raison du seul virus du SIDA et ont r dig un document donnant des avis cliniques La fourniture de donn es pid miologiques par l OMS CIRC sur l augmentation du nombre de cancers ont favoris ces activit s Les travaux relatifs la mise au point de protocoles diniques pour le traitement radio th rapeutique des cancers du col de l ut rus des m tastases osseuses et des cancers de l oesophage a un stade avanc dans les pays en d veloppement ont progress La m thode la Lu zZ lt gt T Lu m z lt 9 Lu E lt gt LUI H Z lt ep plus r cente a obtenu le prix du protocole le plus innovant au congr s de la Soci t europ enne de curieth rapie La s lection des patients est maintenant achev e et les r sultats pr liminaires semblent satis faisants L analyse d finitive et la publication des r sultats sont pr vues en 2000 Lors d une r union de groupe consultatif sur un syst me d bit de dose lev avec chargement diff r d une microsource organis e en avril Vienne on a examin les avantages qu
157. centrales nucl aires En particulier on a fourni une assistance au Bangladesh l gypte au Maroc la Turquie et au Viet Nam dans les domaines dela planification lectronucl aire des tudes de faisabilit et du d veloppement des infrastructures Une base de donn es a t labor e pour le Syst me d information sur la performance conomique du nucl aire NEPIS Celui ci contient des informations sur plusieurs aspects de la performance conomique notamment les co ts d exploitation et de maintenance la s ret et les indicateurs conomiques et op rationnels Le premier projet pilote visant recueillir et valider un ensemble initial de donn es a t achev en juin Dans ce contexte on a pr par un document technique sur l laboration d un syst me d information sur la performance conomique du nucl aire permettant de renforcer la comp titivit des centrales Ce document traite des transformations des march s de l lectricit et de l environnement commercial et donne des conseils aux producteurs sur l optimisation de la performance conomique et technique Un nouveau PRC sur les m thodes nationales de corr lation des objectifs de performance et des co ts d exploitation et de maintenance a t lanc Il est ax sur l optimisation de ces co ts l identification des l ments fort et faible co t des activit s d exploitation et de maintenance la d termination de l impact financier des
158. cha Centrale nucl aire d Embalse Centrale nucl aire Armenia BR3 Mol DOEL 1 DOEL 3 DOEL 4 Tihange 1 Tihange 2 Tihange 3 Admiral Alvaro Alberto Angra 1 Admiral Alvaro Alberto Angra 2 Kozloduy l Kozloduy l Kozloduy lll Bruce Bruce B Darlington N G S BR PRPRNNRBPPRPRBRBPRBRBBPRBRBBBRPR BBP BB BR PRPRRPRNFBF N BR N Le Cap Le Cap Juliers Grohnde Neckarwestheim Biblis Biblis Brokdorf Brunsb ttel Lingen Grafenrheinfeld Ohu bei Landshut Essenbach Geesthacht M lheim K rlich Neckarwestheim Obrigheim Philippsburg Philippsburg Gundremmingen Gundremmingen Stade Unterweser Hamm Lubmin Lubmin Lubmin Rheinsberg Lima Embalse Medzamor Mol Doel Doel Doel Tihange Tihange Tihange Angra dos Reis Angra dos Reis Kozloduy Kozloduy Kozloduy Tiverton Tiverton Bowmanville x xX OX x Se XK XK XK Se S S Se S Se Se Se S Se SS X x Ge KK KK XK Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Canada suite Chine Cor e R publique de Cuba Espagne Finlande Hongrie Inde Italie Japon Gentilly 2 Pickering G S Point Lepreau G S Centrale nucl aire de Qinshan Kori 1 Kori 2 Kori 3 Kori 4 Ulchin 1 Ulchin 2 Ulchin 3 Ulchin 4 Wolsong 1 Wolsong 2 Wolsong 3 Wolsong 4 Younggwang 1 Younggwang 2 Younggwang 3 Younggwang 4 Juragua Almaraz 1 Almaraz 2 Asco 1 Asco 2 Cofrentes Jos Cabrera
159. change de vues sur les raisons de ces diff rences En particulier bien que les principes de la Commission interna tionale de protection radiologique relatifs l intervention soient normalement ceux qu il convient d appliquer aux environnements contamin s les crit res adopt s dans de nombreux pays sont plut t ceux qui sont associ s aux pratiques Le colloque a soulign la n cessit pour la communaut interna tionale de poursuivre l effort en vue de formuler des recommandations claires bas es sur des principes scientifiques et sur un bon jugement professionnel Dans le prolongement de son programme d valuations de la situation radiologique sur les sites o ont t effectu s des essais d armes nucl aires l Agence a commenc s occuper de l examen des lieux en Alg rie o des essais d armes ont t effectu s par la France dans les ann es 60 En avril le Gouvernement du Kazakhstan a d cid de fermer de mani re permanente le r acteur rapide BN 350 Aktau Il a t demand l Agence d aider coordonner le projet de d classement et d apporter une assistance technique pour le travail de planification En ao t l Agence a accueilli une r union de coordination sur les probl mes li s la pr paration de l installation pour un arr t de longue dur e afin de mieux comprendre les questions qui se posent et de d terminer l assistance qui est d j fournie dans le cadre d accords bilat raux Une
160. chniques de multiplication C est celle des multi apex qui s est r v l e la plus efficace en abaissant le pourcentage de chim risme de 100 7 apr s trois repiquages On a galement utilis certaines techniques des dihaplo des telles que la culture d anth res pour acc l rer l identification de mutants r cessifs et purifier des mutants s lectionn s du riz Chez la vari t Taipei 309 l embryogen se du pollen tait plus lev e dans les anth res cultiv es provenant de la deuxi me culture de plantes donneuses apr s r colte de la culture principale que dans celles issues de la premi re culture Un s minaire FAO AIEA organis en octobre Manille a fait le point sur l tat actuel et l orientation future des techniques de mutation et des techniques apparent es de g n tique mol culaire appliqu es la phyto biologie et l am lioration des cultures Les expos s des participants ont montr clairement les progr s d cisifs qui ont t accomplis et l impact des techniques de mutation sur la mise au point et l utilisation de vari t s am lior es des diverses cultures qui jouent un rdle conomique important dans la r gion De l avis g n ral les techniques de mutation devraient servir non seulement am liorer les cultures principales mais aussi domestiquer celles qui ont un potentiel conomique L utilisation des techniques apparent es de g n tique mol culaire pour la caract
161. cides on se pr pare tendre les activit s de lutte contre la mouche m diterra n enne des fruits l aide de la TIS dans le nord a Gaza et dans d autres r gions agricoles aussi bien en Isra l qu en J ordanie En Jama que on a entrepris des l chers hebdomadaires de lucilies bouch res st riles qui constituent la phaseterminale d un travail de pr paration intensif consistant tablir un projet national d radication de la lucilie bouch re proc der des valuations conomiques et environnementales former le personnel recueillir des donn es de r f rence et mettre en place une infra structure Compte tenu de ces activit s actuellement en cours les perspectives d une radication de cet insecte nuisible pour le b tail en J amaique semblent prometteuses On entreprend des travaux pr paratoires en vue du lancement d un projet d radication similaire Cuba qui avec la R publique Dominicaine est le dernier pays de la r gion tre actuellement infest par cet insecte Une nouvelle souche de mouche m diterra n enne des fruits sexage g n tique a t mise au point aux Laboratoires de l Agence Seibersdorf Cette souche qui contient du mat riel g n tique d un grand nombre de populations de mouches m diterran ennes des fruits est le produit d une translocation qui permet d accro tre la stabilit pendant l levage en masse et d att nuer certains probl mes de con
162. cip une soixantaine de laboratoires en Asie au Moyen Orient en Afrique et en Am rique latine Ces activit s ont permis de recenser les domaines dans lesquels il faudrait am liorer les proc dures pour avoir des r sultats chimiques acceptables En un an des am liorations des r sultats d analyse ont t enregistr es dans 47 de ces laboratoires Techniques isotopiques pour lutter contre la contamination par l arsenic L exposition l eau potable contamin e par l arsenic touche des millions de personnes au Bangladesh et constitue un probl me tr s grave de sant publique La Banque mondiale a lanc un projet de 44 millions de dollars pour lutter contre ce fl au L une des alternatives est d exploiter les aquif res profonds comme nouvelles sources d eau potable Toutefois on ne dispose pas de crit res fiables permettant d valuer les cons quences long terme de cette option Un nouveau projet de coop ration technique a t entrepris en 1999 pour d montrer les avantages que pr sente l int gration de l hydrologie isotopique dans la lutte contre la pollution par l arsenic au Bangladesh Ce projet a t formul la suite d initiatives prises par le Sous Comit des ressources en eau du Comit administratif de coordination des Nations Unies qui a charg l Agence de diriger les activit s hydrog ologiques et g ochimiques Ce projet de l Agence s est traduit par la d finition de crit res isotopiques p
163. colonne d eau durant la p riode des pr l vements et que les estimations des flux de carbone fond es sur les d s quilibres de ces radionud ides naturels concordent parfaitement avec les mesures directes effectu es in situ SURVEILLANCE ET TUDE DE LA POLLUTION MARINE On a continu de recourir aux techniques isotopiques faisant appel au carbone en les associant des m thodes de s paration chromatographique en phase gazeuse pour d tecter et valuer les sources de mati res organiques comme le carbone pr sentes dans l environnement marin On a galement effectu des tudes sur les variations du carbone 13 dans les mol cules de lipides synth tis es par les cultures de divers organismes photosynth ti ques Des diff rences notables dans les rapports isotopiques du carbone ont t observ es dans les mol cules de lipides synth tis es par un m me organisme et dans des mol cules appartenant la m me dasse de lipides Ces diff rences seront toutes prises en compte pour d terminer les sources de marqueurs biologiques et pour mieux comprendre les processus biochimiques dans l environnement Un spectrom tre de masse Finnigan haute r solution couplage inductif pour l analyse l mentaire a t mis en place en 1999 Les op rations de pr paration et d analyse d chantillons ont t perfectionn es de mani re faire pleinement usage des possibilit s d introduction d chantillons flux peu lev
164. constitu le sujet d une r union de comit technique sur la recherche relative la fusion qui a eu lieu Lisbonne en juin Un large ventail de syst mes de contr le du plasma et de commande des machines ainsi que des Peptides marqu s au techn tium 99m pour l imagerie des tumeurs L introduction de l octr otide marqu l indium 111 en imagerie des tumeurs neuro endocrines a marqu un nouveau tournant dans la mise au point de radiopharmaceutiques et a ouvert la voie aux agents base de peptides qui offrent de vastes possibilit s des fins diagnostiques et th rapeutiques Toutefois l octr otide marqu l indium 111 n est pas id al en imagerie en outre il est co teux et il n est pas disponible dans les pays d pourvus de cyclotron Disposer d octr otide marqu au techn tium 99m permettra d appliquer cette technique dans pratiquement tous les pays un co t raisonnable Mettre au point un tel agent partir d un analogue de l octr otide tait l objectif d un PRC qui a t achev en 1999 Les travaux r alis s dans des laboratoires en Europe en Asie et en Am rique latine ont abouti la mise au point d un complexe au techn tium 99m prometteur qui pr sente des propri t s similaires a celles de l octr otide marqu l indium 111 dans des tudes effectu es en laboratoire Ce compos a permis d obtenir des images de qualit comparable voire sup rieure lors d tudes pr liminaires
165. contribue assurer la coh rence et l impact de sa propre programmation la cr ation de liens avec le secteur public peut contribuer la durabilit des r sultats En 1999 la r gion Asie de l Est et Pacifique a organis un s minaire pour aider les homologues de projets commercia liser leurs capacit s aupr s des utilisateurs finals En Indon sie et en Malaisie des tudes de cas ont montr comment ces pays ont int gr certaines de leurs activit s de R D dans le syst me de production du pays En Chine et au Pakistan ces m mes activit s ont t commercialis es directement ou par le biais de soci t s subsidiaires Il ressort clairement de ces quatre cas que pour que les tablissements nucl aires aient un r le jouer dans le contexte du d veloppement socio conomique g n ral le mieux qu elles puissent faire est de cr er des revenus et de parvenir ainsi l autonomie et la durabilit Le th me de l autonomie int resse aussi l Am rique latine leur 16 r union de coordination technique les tats parties l accord ARCAL ont adopt des proc dures pour la s lection de Centres de ressources r gionaux Trente et un centres candidats ont fait l objet d une premi re s lection a partir d une liste de 65 centres possibles beaucoup d entre eux ont maintenant t examin s par l Agence Ceux qui ont les qualifications techniques requises seront pr sent s aux membres d ARCAL pour la s lectio
166. ction d lectricit La durabilit des barrages est une question tr s pr occupante pour de nombreux tats Membres Cette question soul ve en fait plusieurs probl mes Le premier est la fuite d eau qui risque de mettre en p ril la stabilit Plusieurs projets de coop ration technique visent d velopper l application des techniques de l hydrologie isotopique aux tudes sur la durabilit des barrages du barrage m me ou de repr senter un gaspillage de la ressource naturelle Le second est li l envasement du r servoir qui s il n est pas trait correctement risque de r duire consid rablement la vie utile du barrage Plusieurs projets de coop ration technique dont un sur les fuites de barrages en Afrique visent d velopper l application des techniques de I hydrologie isotopique aux tudes sur la durabilit des barrages Le recours ces m thodologies est en train de s tendre la r gion de l Asie et du Pacifique et incorpore les concepts du Plan th matique sur la durabilit des barrages qui a t labor cette ann e Un projet mod le de coop ration technique sur les ressources en eaux souterraines dans la vall e de Caracas au Venezuela s est achev avec l talonnage d finitif du mod le math matique de l aquif re L application du mod le qui se fonde sur des donn es isotopiques a r v l qu une augmentation de 20 seulement des taux de pompage actuels risqu
167. currentiels sur la part de march future du nucl aire les cons quences d une d cision ventuelle d abandonner le nucl aire concernant les missions qui ont une incidence sur la qualit de l air l acidification et les changements climatiques ainsi que le r le que pourrait jouer l lectronucl aire tr s long terme dans la r duction des missions de gaz effet de serre L NERGIE NUCL AIRE DANS LES STRAT GIES D APPROVISIONNEMENT DURABLE EN ENERGIE Depuis des ann es l Agence fournit des donn es des informations et des outils d analyse qui permettent aux pays de prendre des d cisions r fl chies sur la meilleure mani re de satisfaire leurs besoins nerg tiques Ces outils ont t distribu s plus d une centaine de pays et 12 organisa tions internationales En 1999 les travaux de mod lisation ont t ax s sur la cr ation de versions am lior es des outils de planification nerg tique de l Agence les plus utilis s notamment DECPAC MAED WASP et ENPEP qui permettent de faire des valuations comparatives des options nerg tiques d analyser la demande d nergie et d lectricit de planifier l expansion des syst mes de production d lectricit et les syst mes nerg tiques int gr s et d valuer la r duction des gaz effet de serre Avec la restructuration des syst mes lectriques dans le monde les compagnies nationales d lectricit ont t privatis es les
168. d j t approuv es pour publication par la Commission consultative pour les normes de s ret ACSS Dans la cat gorie g n rale des normes de s ret c est dire celle des normes qui int ressent plus d un domaine de la s ret une publication de la s rie des Prescriptions de s ret sur l infrastructure juridique et gouvernementale pour la s ret a t approuv e par le Conseil des gouverneurs Une publication de la s rie des Prescriptions de s ret sur la conception des centrales nucl aires a t approuv e par l ACSS et sera soumise pour approbation au Conseil des gouverneurs Une autre publication de cette s rie sur l exploitation des centrales nud aires a t approuv e en septembre par le Conseil Dans le domaine de la s ret radiologique trois guides de s ret sur la protection contre l irradiation professionnelle coparrain s par l Agence et le Bureau international du travail ont t publi s Ils fournissent des recomman dations g n riques qui sont pour l essentiel ind pendantes dela profession des travailleurs Dans le domaine de la s ret des d chets les publications de la s rie des Prescriptions de s ret sur le stockage en surface des d chets radioactifs ont t publi es et celles sur la gestion des d chets avant stockage y compris le d classement ont t approuv es par le Conseil des gouverneurs En outre des guides de s ret sur l valuation de s re
169. d avancement de la mise au point de mod les hybrides ainsi que leur r le potentiel compte tenu de la situation actuelle et des perspectives du nucl aire dans le monde Par ailleurs l examen a permis de proposer des options et des orientations pour les activit s de l Agence dans le domaine des syst mes aliment s par acc l rateur T IE DES DECHETS OBJECTIF DU PROGRAMME Faciliter le transfert de technologie et l change d informations entre les Etats Membres fournir sur demande assistance et conseils concernant la formulation et la mise en uvre de strat gies pour les activit s li es au cycle du combustible nucl aire et les programmes de gestion des d chets radioactifs en tenant d ment compte de l efficacit de la s ret du respect de l environnement et de la applicables et avec les bonnes pratiques en la mati re APERCU GENERAL Les activit s de l Agence dans le domaine du cycle du combustible nucl aire ont t ax es sur l offre et la demande d uranium et les questions cologiques li es l extraction et au traitement du minerai les probl mes imm diats concernant les mat riaux pour r acteurs et la technologie du combustible comme ceux li s un taux de combustion plus lev la gestion du combustible us les questions et les bases de donn es concernant le cycle du combustible nucl aire Un colloque sur les technologies du cycle du combustible MOX pouvant tre mises en uvre
170. dans le lait des ruminants Indon sie Atelier AIEA AFRA sur la production de traceurs iod s pour le radio immunodosage de la progest rone par auto sensibilisation Egypte Cinqui me r union de coordination l appui de la surveillance de la peste bovine R publique Arabe Syrienne Atelier r gional FAO AIEA sur le contr le interne de la qualit du dosage immuno enzymologique ELISA pour le diagnostic de la peste bovine et la d termination des probl mes li s cette technique S n gal Cours r gional FAO AIEA sur le diagnostic et le suivi de la fi vre aphteuse Tha lande R union de groupe de travail sur la formation des ins minateurs artificiels l valuation de la fertilit sur le terrain et la gestion de bases de donn es Afrique du Sud Deuxi me atelier sur les proc dures de quarantaine requises pour la cr ation d une zone exempte de mouches des fruits Tacna et Moquegua P rou Cours interr gional FAO AIEA sur l utilisation de la technique de l insecte st rile et de techniques apparent es pour la lutte contre les insectes ravageurs sur de vastes zones tats Unis Cours r gional FAO AIEA sur les techniques utilis es pour l limination partielle ou totale de la lucilie bouch re de l ancien monde sur de vastes zones Malaisie Troisi me r union du groupe de travail sur les mouches des fruits dans l h misph re occidental Guatemala Deuxi me cours national sur la lutte int
171. dans les services relatifs la s ret d exploitation se sont poursuivies Compte tenu du vif int r t manifest par l industrie nucl aire et des organisations gouvernemen tales l Agence a publi un document d orientation sur l auto valuation de la s ret d exploitation des centrales nucl aires afin d aider ces organismes assurer une focalisation accrue sur la s ret d exploitation Dans le domaine de la gestion de la s ret les Etats Membres ont demand l Agence d laborer des processus globaux pour la gestion des entreprises et des installations nucl aires Les am liorations apport es y compris la mise au point de principes directeurs de services d valuation d ateliers et d outils d auto valuation seront incorpor es dans les services OSART ASSET relatifs la culture de s ret Une r union de comit technique organis e au Canada l appui de cette initiative a permis de proc der un large change d informations sur les pratiques r gle mentaires et l exp rience en mati re de gestion de la s ret et de culture de s ret aux niveaux de l entreprise et des hauts responsables de la r glementation S RET DES REACTEURS DE RECHERCHE Les missions INSARR effectu es en Finlande et en Belgique ont t moign de l int r t accru que l on porte ce service en Europe occidentale et septentrionale et sept missions de s ret ont t envoy es dans des r acteurs de recherche du
172. de recherche au Japon Ces mesures ont consist installer un moniteur d action nement des portes pour d tecter les transferts de combustibles irradi s du coeur la piscine de d sactivation dans un r acteur et un moniteur de puissance thermohydraulique sur le circuit primaire dans l autre r acteur Ce dernier quipement sera utilis pour confirmer les op rations d clar es et contribuer garantir l absence d une production non d clar e de plutonium Dans une usine d enrichissement au Royaume Uni un moniteur suppl men taire pour la surveillance continue de l enrichissement a t mis en service dans la partie nouvelle ajout e l usine et des lecteurs de pesons lectriques en ligne ont t talonn s et mis en service Des inspections inopin es ont t effectu es pour essai dans une usine d enrichis sement au Br sil L application r guli re de la mesure est pr vue pour 2000 Une nouvelle m thode de contr le comportant des mesures non destructives automatiques pour une usine de fabrication de combustible MOX en Belgique a t introduite La m thode indut l application de la nouvelle formule de partenariat avec EURATOM Une m thode analogue est l essai dans une deuxi me usine de fabrication de combustible MOX en Belgique et devrait devenir d application courante en 2000 Du mat riel automatique pour mesures non destructives est utilis sur une base r guli re dans une installation en
173. de garanties et conform ment l accord de garanties de l Iraq l Agence avait pr vu pour d cembre 1999 une v rification du stock physique des mati res nucl aires soumises aux garanties en Iraq afin de v rifier la pr sence des mati res en question Cette inspection n a pas pu avoir lieu en d cembre 1999 parce que le Gouvernement iraquien n a d livr les visas n cessaires aux inspecteurs qu en janvier 2000 Au 31 d cembre 1999 il y avait 224 accords de garanties en vigueur avec 140 tats et avec Taiwan Chine voir l annexe tableau A14 A la fin de 1999 des accords de garanties satisfaisant aux dispositions du TNP taient en vigueur avec 128 Etats Un accord de garanties TNP est entr en vigueur avec l Azerba djan en avril Un accord de garanties condu dans le cadre du TNP et du Trait portant cr ation d une zone exempte d armes nucl aires en Asie du Sud Est est entr en vigueur avec le Cambodge en d cembre Le Conseil des gouverneurs a approuv les textes d accords de garanties TNP avec le Kowe t et l Oman Ces accords n taient pas encore entr s en vigueur la fin de l ann e la fin de 1999 des protocoles additionnels aux accords de garanties pour 46 tats avaient t approuv s par le Conseil des gouverneurs voir l annexe tableau A17 Huit protocoles taient en vigueur avec l Australie l Indon sie le J apon la J ordanie Monaco la Nouvelle Z lande l Ouzb kistan et le Saint
174. de l Agence l efficacit r glementaire l impact sur la s ret de la d r glementation et des changements dans la gestion la contamination des conteneurs de 95 LA SURETE A COORDINATION DES ACTIVITES RELATIVES 96 COORDINATION DES ACTIVITES RELATIVES A LA SURETE transport et le probl me informatique de l an 2000 ont fait l objet de discussions Les hauts responsables ont de mani re g n rale appuy les bonnes pratiques de r glemen tation efficace identifi es lors des changes PDRP ainsi que le travail accompli dans le domaine des indicateurs mais ont mis en garde contre l utilisation d indicateurs pour effectuer des comparaisons entre pays IIs ont d fini l ind pendance de facto de l autorit de r glementation l gard des influences politiques comme une condition importante Un point fort de l activit de ces derni res ann es a t le projet mod le sur le renforcement des infrastructures de s ret radiologique et de s ret des d chets dans plus de 50 tats Membres pour la prise de d cisions techniques correctes S agissant des changements dans le domaine de la gestion ils ont soulign le besoin d outils r glementaires pour suivre les changements de propri t des centrales les restructurations et des r ductions de personnel Ils ont discut de l interpr tation des niveaux de contamination non fix e dans le R glement de transport de l Agence Un manu
175. de neutrons isotopiques et r duire ainsi le risque de contamination radioactive de l environnement Une r union de comit technique sur les questions d actualit dans le domaine de la th rapie par capture neutronique a t organis e en juin Vienne Cette r union est venue point nomm car certains exploitants de r acteurs de recherche envisagent de participer des travaux dans ce domaine La r union a soulign que cette th rapie n avait pas encore fait ses preuves et qu il n tait gu re opportun que d autres installations engagent les d penses consid rables qui sont n cessaires pour mettre en place des essais cliniques de th rapie par capture neutronique Lu x O Fe Lu Ku Lu D Ku Se I D a Lu oO zZ Lu O ao Ku Lu D x oO LU Ka Lu D Ku Sa I a Ku LU O zZ Lu O Ka Les activit s d appui aux activit s de coop ration technique ont notamment consist surveiller des projets concernant l utilisation de r acteurs de recherche et d acc l rateurs et soutenir des projets relatifs l utilisation de faisceaux de neutrons et des projets relatifs de nouveaux r acteurs La mise au point d un faisceau pour des tudes de diffraction des neutrons en Gr ce qui sera utilis pour des travaux de recherche financ s par l Union europ enne est un r sultat important qui a t obtenu dans le cadre d un projet relatif un r acteur de r
176. de recherche et mati res d mocratique de Cor e nucl aires correspondantes h 20 juillet 1977 252 Royaume Uni Mati res nucl aires 14 d cembre 1972 175 Viet Nam R acteur de recherche et combustible correspondant h 12 juin 1981 293 Amend e en 1994 pour tenir compte de la fourniture de mati res nucl aires destin es a tre utilis es dans la centrale atomique de Tarapur TAPS qui doivent tre soumises aux garanties la demande des fournisseurs L amendement est entr en vigueur le 12 septembre 1994 INFCIRC 433 Mod 1 Amend e en 1985 de mani re couvrir des installations nucl aires sp cifi es L amendement est entr en vigueur le 8 novembre 1985 INFCIRC 291 Mod 1 Corr 1 Lu x lt Lu Z Zz lt Tableau A16 ACCORDS PR VOYANT DES GARANTIES suite Partie s 2 Objet Entr e en vigueur INFCIRC iii Accords conclus avec des Etats dot s d armes nucl aires sur la base d offres de 140 Lu x lt Lu Es Z lt soumission volontaire Chine Mati res nucl aires dans les instal lations choisies sur la liste d installations communiqu e par la Chine tats Unis Mati res nucl aires dans les instal lations choisies par l Agence Mati res nucl aires dans les instal lations choisies sur la liste d installations communiqu e par la F d ration de Russie France Mati res nucl aires dans les instal lations soumises aux garanties Mati res nucl aires dans les instal lations cho
177. de surveillance radiologique individuelle R publique tch que Cours r gional de base sur la radioprotection F d ration de Russie Cours national sur la radioprotection pour responsables de la radioprotection L ex R publique yougoslave de Mac doine Cours national sur la radioprotection dans la pratique m dicale R publique de Moldova Cours national sur la radioprotection et l assurance de la qualit en m decine Lettonie Cours r gional pour le personnel des organismes de r glementation sur le contr le des pratiques m dicales en radioth rapie Mexique Atelier r gional sur la radioprotection et le contr le r glementaire dans les applications industrielles des sources de rayonnements Chili Deuxi me comparaison interlaboratoires sur la surveillance radiologique individuelle et atelier sur la dosim trie individuelle externe Guatemala 173 Lu x lt Lu Z Zz lt 174 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A26 COURS S MINAIRES ET ATELIERS EN 1999 suite Cours national sur l tat de pr paration et l intervention en cas d urgence pour des organismes nationaux panam ens Panama Cours national sur les aspects m dicaux des accidents radiologiques Argentine Cours r gional sur la radioprotection en diagnostic aux rayons X Br sil Cours r gional sur la radioprotection et la s ret nucl aire Argentine Cours r gional sur la s ret du transport des mati
178. de traitement d images portables Kenya Maroc Cours r gional sur l utilisation et la production de r actifs pour diagnostic de g notypage R publique de Cor e Atelier r gional sur le d pistage de l hypothyro die n onatale Tha lande Atelier r gional sur les programmes nationaux de d pistage de l hypothyro die n onatale R publique de Cor e Atelier r gional sur les aspects m thodologiques de l utilisation de marqueurs tumoraux pour la ferritine et l antig ne carcino embryonnaire Ghana 169 Lu x lt Lu Z Zz lt 170 Lu x lt Lu Z lt Tableau A26 COURS S MINAIRES ET ATELIERS EN 1999 suite Atelier r gional sur le radio immunodosage des marqueurs tumoraux pour le diagnostic et le suivi du cancer R publique islamique d Iran Atelier r gional sur l enseignement et l valuation des m thodes de d pistage et de confirmation de l h patite C l aide du radio immunodosage Costa Rica Cours r gional sur les techniques isotopiques et mol culaires pour le diagnostic des maladies transmissibles et la lutte contre ces maladies Afrique du Sud Atelier r gional sur le contr le de la qualit des syst mes SPECT a t tes simples et multiples Arabie Saoudite Cours r gional sur la maintenance des gamma cam ras R publique Arabe Syrienne Cours r gional sur le contr le de la qualit des acc l rateurs lin aires employ s des fins m dicales
179. deux voies d exposition ont entra n une forte accumulation de contaminants dans la glande digestive Des personnes qui consommer aient ces c phalopodes ne subiront gu re d effets n gatifs dus une telle bio accumulation et r tention de contaminants dans un organe non comestible de la seiche mais en revanche les grands pr dateurs marins comme la baleine qui se nourrissent de calamars risquent d tre expos s de fortes concentrations de m taux toxiques passant dans leur cha ne alimentaire Un tel m canisme de transfert pourrait expliquer les tr s fortes concentrations de cadmium et de divers m taux lourds chez les baleines et autres mammif res marins cibles dans une esp ce marine donn e t retenue dans leurs tissus L accumulation accrue d argent chez une esp ce vivant sur le fond marin Cassiopea est tout fait frappante et donne penser que cette esp ce particuli re pourrait servir de bio indicateur dela contamination par l argent laquelle est son tour un marqueur chimique pour les eaux us es domestiques Qui plus est cette esp ce de m duse se nourrit essentiellement par photosynth se des petites cellules de plantes situ es dans ses propres tissus Les tudes par radiotraceurs effectu es dans des conditions de lumi re ou d obscurit donnent penser que ces cellules peuvent effectivement jouer un grand r le dans l absorption et la r tention de ces contaminants par la m duse L
180. diographie de la corrosion et des d p ts dans les conduites 1997 2000 Sciences physiques et chimiques Mise au point d outils et d instruments de d pannage informatis s 1996 2000 Logiciels sp cialis s pour la spectrom trie gamma 1997 2000 Application des techniques nucl aires l identification des mines anti personnel 1999 2002 Analyse de masse de l hydrog ne l aide de neutrons 1997 2000 Actualisation de la biblioth que WIMS 1998 2002 Analyse des transitoires dans les r acteurs de recherche 1995 2000 Application des faisceaux d ions dans le domaine d nergie MeV pour la mise au point et la caract risation de mat riaux semi conducteurs 1997 2000 Mise au point d agents au techn tium 99m pour l imagerie de r cepteurs du syst me nerveux central 1995 2000 Peptides marqu s au techn tium 99m pour l imagerie de sites r cepteurs p riph riques 1995 2000 166 Optimisation des proc dures de synth se et de contr le de la qualit pour la pr paration de peptides marqu s au fluorure 18 et l iode 123 1997 2000 Mise au point de trousses de radio immunodosage de marqueurs tumoraux 1997 2000 Validation de techniques nucl aires pour l analyse de m taux pr cieux et rares dans les concentr s de minerais 1997 2000 Biomol cules marqu es recherchant les cellules canc reuses pour radioth rapie cibl e 1997 2000 Applications de la physique des plasmas et des technologies de la fusion en ing nierie dans l
181. e Tableau A12 ECHELLE INTERNATIONALE DES EVENEMENTS NUCLEAIRES INES CLASSEMENT DES EVENEMENTS NOTIFIES 1999 En dessous de l chelle Ecart 2 1 Anomalie 4 2 Incident 14 3 Incident grave 3 4 Accident 1 accident de Tokaimura Tableau A13 NOMBRE D ETATS QUI AVAIENT DES ACTIVITES NUCLEAIRES SIGNIFICATIVES A LA FIN DE 1997 1998 ET 1999 1997 1998 1999 tats o des garanties ont t appliqu es en vertu d accords TNP ou TNP Tlatelolco 563 583 60 Etats o des garanties ont t appliqu es en vertu d accords Tlatelolco 2 1 1 tats o des garanties ont t appliqu es en vertu d autres accords de garanties g n ralis es 1 0 0 tats o des garanties ont t appliqu es en vertu d accords INFCIRC 66 Rev 2 4 4 4 DAN o des garanties ont t appliqu es en vertu d accords de soumission volontaire 5 5 5 Etats pour lesquels aucun accord de garanties n tait en vigueur 4 1 1 a Non compris l Iraq o les activit s en mati re de garanties ont continu tre englob es dans celles qui ont t men es en application de la r solution 687 du Conseil de s curit o Quelques tats signataires d accords du type INFCIRC 66 Rev 2 pour lesquels les garanties appliqu es en vertu de ces accords n ont pas encore t suspendues bien que des accords TNP ou d autres accords de garanties g n ralis es soient entr s en vigueur n ont t pris en compte dans ce tableau qu au titre des accords TNP Les ta
182. e am liorer les outils d valuation des risques et d finir les domaines priori taires pour les tudes isotopiques Le Plan th matique relatif la s ret et la durabilit des barrages qui en est r sult a d fini les objectifs et clarifi le r le des techniques nucl aires dans la gestion des barrages pour la collecte d informations destin es aider les utilisateurs finals prendre des d cisions concernant l orientation l optimisation et la protection des investissements Une mesure de suivi particuli re a consist organiser en novembre un atelier de formation sur le recours l hydrologie isotopique pour les tudes sur la s ret et les fuites de barrages que le BATAN a accueilli Yogyakarta en Indon sie Les applications des techniques li es au nucl aire dans le domaine de la sant humaine s tendent La principale est constitu e par la radioth rapie pour gu rir du cancer ou dans les cas incurables traiter la douleur qu il occasionne Comme autre exemple on peut citer les actes diagnostiques relevant de la rubrique g n rale de la m decine nucl aire Ces actes consistent administrer des sources radioactives ouvertes qui comme elles sont non invasives par nature donnent des indications importantes sur les fonctions organiques et permettent de d tecter pr cocement les anomalies Ces actes diagnostiques sont utiles dans un large ventail de sp cialit s m dicales allant de la
183. e tokamak ITER Les r sultats obtenus par le tokamak TRIAM 1M montrent qu un r glage minutieux de la puissance de chauffage permet d am liorer le confinement et la g n ration de courant Les r sultats du dispositif h lico dal de grande taille font appara tre une am lioration constante des performances des longueurs d impulsion allant jusqu 35 secondes forte puissance ayant t obtenues Des rapports ont galement t pr sent s au sujet d un mod le exhaustif mis au point pour le transport et la g n ration de courant d lectrons qui est capable de d crire des modes de confinement faible avec transport r duit dans des plasmas cisaillement faible invers et b tas polo daux lev s Ces donn es sont n cessaires pour le contr le du transport interne qui constitue une question vitale pour le contr le du plasma dans ITER Un r sum de cette r union et d un certain nombre de m moires sera publi dans la revue Fusion nucl aire La r union finale de coordination des recherches pour un PRC sur les applications techniques industrielles et environnemen tales de la physique des plasmas et de la technologie de la fusion a eu lieu en novembre Vienne Les sujets suivants ont notamment t examin s traitement de surfaces l aide de plasmas pour en am liorer les propri t s en laboratoire et dans l industrie application de la technologie des plasmas au traitement des d chets gazeux liqu
184. e centrale nucl aire tout de suite apr s le passage l an 2000 V RIFICATION Importance des protocoles additionnels aux accords de garanties et des garanties int gr es Lesyst me des garanties de l Agence est destin donner des assurances quant l utilisation exclusivement pacifique des mati res et installations nucl aires II comprend des mesures techniques tendues visant v rifier de fa on ind pendante l exactitude et l exhaustivit des d darations faites par les tats au sujet de leurs mati res et activit s nucl aires II s agit principalement des activit s de v rification effectu es dans les installations ou autres emplacements contenant des mati res nucl aires des quipements ou des mati res non nucl aires soumis aux garanties qui ont t d dar s par les tats Depuis 1992 la suite de la d couverte du programme nud aire clandestin de l Iraq le Conseil des gouverneurs a adopt ou approuv diff rentes mesures qui visent renforcer le syst me des garanties voir l encadr 6 Ces nouvelles mesures se r partissent en deux cat gories La premi re comprend les mesures appliquer en vertu des pouvoirs juridiques conf r s par les accords de garanties en vigueur La seconde cat gorie comprend les mesures appliquer en vertu de pouvoirs juridiques compl mentaires conf r s par des protocoles additionnels aux accords de garanties conclus sur la base du mod le de Protoc
185. e ci ne n cessite pas la cr ation d un produit d activation longue p riode elle est notamment utile en sciences des mat riaux en analyse des aliments en m decine et en cologie pour obtenir des images de pratiquement n importe quel l ment y compris de certains l ments l gers importants comme l hydrog ne et le carbone Une base de donn es sur les sections efficaces des particules charg es pour la production de radio isotopes usage m dical a t achev e Elle comprend 26 r actions concernant les radio isotopes les plus importants pour le diagnostic et 22 r actions concernant la surveillance des faisceaux qui sont importantes pour les utilisateurs de plus de 200 cyclotrons usage m dical Biblioth que de param tres d entr e de r f rence pour la mod lisation des r actions nucl aires Les valuateurs de donn es nucl aires dans les tats Membres ont recours de nombreux calculs de physique nucl aire pour interpoler des valeurs correctes entre les mesures disponibles et s assurer que les valeurs finales recommand es respectent les lois de la physique notamment en mati re de conservation de l nergie Les principales m thodes th oriques utilis es pour valuer les donn es relatives aux r actions nucl aires en dessous de 100 MeV se fondent sur des mod les optiques et statistiques Ces calculs n cessitent un grand nombre de param tres d entr e qui sont d duits de comparaisons pou
186. e compos PCB tait concentr essentiellement dans la paroi de l organisme et dans les podia plut t que dans les organes externes L tude de la cha ne alimentaire par radiotraceurs a montr par ailleurs que le type de la nourriture contamin e influen ait fortement le degr d assimilation du PCB par l animal puis sa r partition entre les diff rents tissus Les divergences importantes dans la localisation des diff rents contaminants dans les tissus des diff rents organismes marins constituent l un des r sultats des plus frappants de toutes les tudes de laboratoire entreprises sur les radiotraceurs d o la difficult de g n raliser sur le comportement d une dasse de contaminants dans le biote marin Il ne fait pas de doute que les m thodologies des radiotraceurs sont tr s prometteuses comme moyen rapide et relativement bon march de suivre le comportement des contaminants et d identifier les organes et les tissus cibles dans une esp ce marine donn e Les travaux effectu s en mer ont continu porter sur l valuation de la s questration et del imination du carbone des eaux de surface dans le nord ouest de la M diterran e Les tudes sur les s ries chronologiques longues couvrant pr sent plus d une d cennie 1987 1999 commencent porter leurs fruits en r v lant des tendances fr quence de plus d une ann e En plus du cyde annuel o les fortes exportations de carbone se produisent e
187. e d puiser l aquif re avant 15 ans soit bien plus t t qu escompt L utilisation de ce mod le devrait am liorer l exploitation et la gestion de cet important aquif re urbain 65 RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE ENVIRONNEMENT MARIN APPLICATIONS INDUSTRIELLES Le radiotraitement appara t pr sent comme une technique respectueuse de l environ nement pour des proc d s industriels faisant moins appel la chimie et pour la d pollution des effluents On a par ailleurs beaucoup plus recours ces derni res ann es aux rayonnements ionisants pour la synth se et la modification des mat riaux base de polym res employ s dans le secteur des soins sanitaires et des plastiques Les r sultats d un PRC r cemment achev sur letraitement par irradiation de l eau des eaux r siduaires et des boues ont d montr les avantages des rayonnements ionisants pour r soudre les probl mes li s aux d chets liquides On a tudi la possibilit de d contaminer l eau pollu e et les eaux r siduaires en combinant plusieurs m thodes de traitement par rayonnements ionisants et autres agents Cette technologie a t adopt e par l industrie et des installations chelle industrielle sont en exploitation Dans le cadre d un autre PRC r cemment achev sur l utilisation du radiotraitement pour la pr paration de biomat riaux pour des applications m dicales on a pu d montrer les avantages et les propri t s uniques d
188. e dont lectronucl aire pourrait contribuer atteindre les objectifs internationaux en mati re de r duction des missions de gaz effet de serre Le forum scientifique organis en septembre l occasion de la quarantetroisi me session de la Conf rence g n rale avait pour titre Le d veloppement durable Un r le pour l ectronucl aire II a examin la question essentielle de la compatibilit du nucl aire avec les objectifs du d veloppement durable Les opinions ont diverg sur le sens du mot durabilit sans que l on parvienne une condusion concernant les bases sur lesquelles il conviendrait de juger l lectronucl aire dans ce contexte On s est fortement exprim en faveur de l application de crit res communs niveaux d mission consid rations conomiques par exemple tous les syst mes de production d nergie La question des compromis in vitables entre les crit res a t voqu e mais n a pas t r solue Le probl me des changements climatiques mondiaux a t largement d battu et des opinions divergentes ont t exprim es sur le point de savoir s il justifierait une expansion du nucl aire ou s il aurait un impact tangible sur les crit res principalement conomiques qui sont actuellement utilis s Pour ce qui est des aspects conomiques de l lectronud aire les centrales existantes se d fendent bien en g n ral m me dans les march s d r gle ment s et l
189. e en Afrique l aide de techniques d immunodosage 1997 1999 Elaboration et validation de m thodes normalis es d utilisation de la r action en cha ne de la polym rase et de techniques mol culaires apparent es pour un diagnostic am lior et rapide des maladies animales 1997 2001 Suivi de la pleuropneumonie contagieuse bovine en Afrique l aide de m thodes enzymo immunologiques 1997 2002 Emploi de techniques nucl aires et apparent es pour laborer des dosages simples du tanin afin de pr voir et d am liorer la s ret et l efficience de l alimentation de ruminants avec du feuillage d arbres tanin 1998 2003 valuation de l efficacit des strat gies de vaccination contre la peste aviaire et la maladie de Gumboro l aide de techniques d immunodosage pour accro tre la production aviaire en Afrique 1998 2002 Prot ine non structurale de virus de maladies du pied et de la bouche pour diff rencier animaux vaccin s et infect s 1999 2004 Etudes sur le comportement d accouplement de la mouche m diterran enne en cage sur le terrain 1993 1999 Attractifs am lior s pour accro tre l efficacit des op rations de r duction des populations de mouches ts ts et des syst mes de protection utilis s dans le cadre des campagnes d limination partielle ou totale des mouches ts ts 1994 2002 Am lioration de la technique de l insecte st rile TIS par transformation g n tique des arthropodes au moyen de
190. e en Europe orientale Ce centre qui a t mis en place dans le cadre d un projet de coop ration technique de l Agence comprend des installations radiochimiques sp cialis es dans la production d un traceur m tabolique largement utilis en cardiologie et en oncologie II est pr vu de produire ce traceur et de le distribuer aux h pitaux de la R publique tch que Des donn es d analyses destin es la certification comme mati re de r f rence de deux algues IAE A 392 et IAE A 413 ont t examin es Les r sultats montrent que l exercice de certification a t un succ s et que les deux mati res peuvent tre certifi es pour une vingtaine d l ments environ Les travaux men s aux Laboratoires de l Agence Seibersdorf dans le domaine de la chimie ont notamment consist mettre en place un syst me de qualit respectant les indications 1SO 17025 aider les laboratoires des tats Membres d Europe orientale am liorer leur niveau d assurance de la qualit en mettant en place un syst me de qualit participer un atelier pour v rificateurs et pr parer du mat riel de contr le des comp tences pour valuer la performance de ces laboratoires APPLICATIONS DE LA PHYSIQUE DES PLASMAS ET RECHERCHE SUR LA FUSION NUCL AIRE CONTR L E Des activit s de recherche sur la fusion nucl aire contr l e sont men es dans environ une cinquantaine d E tats Membres de l Agence afin de pouvoir utiliser u
191. e gaz a effet de serre au titre du MDP lors d un colloque inter national tenu Ottawa Canada Deux applications du nud aire pourraient pr senter un int r t particulier l avenir le dessalement et la production de combustibles synth tiques Une tude approfondie de l conomie g n rale du dessalement nucl aire par rapport au dessalement l aide d nergie fossile a t coordonn e par l Agence Elle a mis en vidence les conditions dans lesquelles le dessalement nucl aire serait comp titif Les conclusions ont t tir es tant de calculs effectu s avec le logiciel du Programme d valuation conomique du dessalement de l Agence que de recherches ind pendantes ex cut es dans des tats Membres En ce qui concerne les combustibles synth tiques un PRC achev en 1999 a fourni des informations techniques compl mentaires pour le R acteur d essais technologiques haute temp rature qui fait actuellement l objet d essais de d marrage au J apon Ce projet portait sur l utilisation de chaleur nud aire pour le reformage la vapeur de m thane en vue de produire de l hydrog ne et du m thanol la dissociation thermochimique des mol cules d eau pour produire de l hydrog ne et la conversion du charbon en combustibles synth tiques Si la comp titivit peut tre l un des facteurs importants dans le d bat nucl aire l acceptation par le public est elle aussi d terminante Les attitudes g n ralement
192. e l nergie sur l am lioration de l exploitation et de la performance des centrales nucl aires ont t rationalis s en vue d une utilisation plus efficiente des ressources Les activit s concernant la formation du personnel des centrales ont t r orient es sur la n cessit de pr server des capacit s et des comp tences importantes du fait d un vieillissement du personnel En mati re de d veloppement de la technologie on a mis davantage l accent sur des examens g n raux de la situation et la diffusion d informations Les l ments d un plan strat gique pour un projet international de R D sur les cycles du combustible nucl aire et les centrales nud aires innovants ont t labor s La mise en commun et la pr servation des donn es techniques ont fait l objet d une attention accrue et des ateliers et des activit s de formation portant sur des aspects particuliers du d veloppement et des applications de l lectronud aire ont t organis s LI D lt LU l S D PA Lu D O a LI D Lu LU PLANIFICATION MISE EN OEUVRE ET PERFORMANCE DE L ELECTRONUCLEAIRE Dans ce domaine les travaux visent a faciliter l change de donn es d exp rience et a fournir une assistance aux tats Membres en ce qui concerne la planification des programmes lectronud aires et les analyses conomiques y compris les analyses de la rentabilit des am liorations et dela prolongation de la dur e de vie des
193. e pilote de transformation de l uranium deux usines de fabrication de combustible deux installations de stockage et une installation de recherche d veloppement situ s Taiwan Chine Tableau A21 PRINCIPAUX EQUIPEMENTS UTILISES ET ACTIVITES MENEES AUX FINS DES GARANTIES Systemes de mesure gamma Syst mes a bas pouvoir de r solution Sondes Syst mes a haut pouvoir de r solution analyseurs Analyseurs multicanaux portatifs D tecteurs Systemes de mesure neutronique T tes de d tection pour les mesures neutroniques actives T tes de d tection pour les mesures neutroniques passives Electronique de comptage par coincidences neutroniques Systemes de mesure pour le combustible irradi Dispositifs d observation de l effet Tcherenkov Syst mes de mesure des rayonnements pour le combustible irradi lectronique de mesure pour le combustible irradi Autres syst mes de mesure Dispositifs pour les caract ristiques physiques Syst mes de surveillance optique Appareils photos Syst mes vid o cam ra unique Syst mes vid o cam ras multiples Postes de visionnage Scell s Scell s v rifiables in situ Syst mes de surveillance radiologique Activit s Scell s embout m tallique distribu s Scell s embout m tallique v rifi s Envois d quipements et de fournitures Transports la main d quipements et de fournitures Envois de mati res et de produits chimiques de r f rence dans les
194. e plomb est un autre m tal toxique que des particules peuvent lib rer sous une forme dissoute plus biodisponible dans des zones commeles estuaires g n ralement soumises de grandes variations de salinit Des crevettes des estuaires expos es du plomb 210 ont accumul rapidement les radiotraceurs dissous et atteint en deux jours seulement des facteurs de concentration allant jusqu 100 Dans le cas du plomb pr s de la moiti de la quantit absorb e tait 59 RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE ENVIRONNEMENT MARIN 60 INDUSTRIE RESSOURCES EN EAU ET ENVIRONNEMENT MARIN localis e dans l exosquelette dont la crevette se d barrasse p riodiquement mesure qu elle se d veloppe Pour les m taux r actifs en surface comme le plomb ce type de m canisme physiologique peut expliquer la faible r tention m tallique chez cette esp ce de crevette et en fin de compte pour l homme le transfert restreint du plomb travers la cha ne alimentaire marine Le transfert et le devenir des contaminants toxiques organiques peuvent aussi tre valu s par les techniques nucl aires Des toiles et oursins de mer par exemple qui vivent au fond des mers ont t expos s au compos chimique n 153 le polychlorobi ph nyl PCB marqu au carbone 14 extr mement toxique pr sent dans l eau et dans leur nourriture naturelle On s est aper u que l eau tait la principale voie d absorption et que c
195. e pr sentent les appareils de curieth rapie quip s de telles sources On a surtout not le revirement qui s op re aussi bien dans les pays d velopp s que dans les pays en d veloppement o ces syst mes sont utilis s de pr f rence aux appareils faible d bit de dose car ils permettent d administrer un traitement de curieth rapie aux patients en consultation externe au lieu de les hospitaliser comme d habitude deux ou trois jours En ce qui concerne la radioth rapie de haute technologie une r union de comit technique a t organis e en vue de faire le point sur l tat actuel de la radioth rapie par capture de neutrons par le bore Les participants la r union ont examin la situation actuelle dans ce domaine apr s 50 ans d efforts visant exploiter la r action entre neutrons et bore dans un r acteur pour le traitement des tumeurs du cerveau et d autres tumeurs malignes Ils ont conclu qu en d pit du perfec tionnement des techniques d utilisation du faisceau de neutrons les r sultats ce jour n ont fait appara tre aucun avantage dinique qui justifierait de les d velopper au del du stade exp rimental DOSIMETRIE ET RADIOPHYSIQUE M DICALE A l invitation du CIPM l Agence a sign Arrangement sur la reconnaissance mutuelle des talons nationaux de mesure et des certificats d talonnage et de mesurage mis par les laboratoires nationaux de m trologie l Arrangement sur la reco
196. e probl me et du nombre de logiciels non normalis s qui y seraient employ s Dans le cadre du programme de travail de l Agence relatif au probl me informatique de l an 2000 deux rapports sur les mesures qui permettent d y faire face dans les installations m dicales ont t labor s et diffus s sur le site Internet de l Agence WorldAtom Un atelier organis Vienne et deux missions d assistance ex cut es en Bolivie et au Costa Rica ont galement t consacr s cette question S RET DES SOURCES DE RAYONNEMENTS ET S CURIT DES MATI RES RADIOACTIVES Devant la persistance des incidents impliquant des sources radioactives qui pour diverses raisons n ont pas t soumises un contr le appropri on a tabli un plan d action dans lequel figurent une s rie de mesures visant am liorer le contr le de ces sources On a aussi commenc les travaux de cat gori sation des sources dont l importance primordiale a t reconnue Un autre domaine dans lequel l Agence se montre active depuis quelques ann es est celui des enqu tes sur les accidents Elle a enqu t r cemment sur des accidents survenus en G orgie en Turquie en R publique islamique d Iran et en F d ration de Russie et mis au point une base de donn es qui contient les informations recueillies sur les causes et les cons quences de tous ces v nements Elle a aussi r dig des rapports de s ret sur le retour de l information r
197. e que ces attaques se produisent dans les zones pollu es et soumises des variations d apports en nutriments Des m duses benthiques et p lagiques ont t soumises dans des conditions exp rimentales contr l es une m me s rie de m taux et de radionud ides qui s est ensuite accumul e et a Les m thodologies des radiotraceurs L ENVIRONNEMENT MARIN sont tr s prometteuses comme moyen Les tudes nucl aires exp rimentales ont t ax es sur l utilisation des radiotraceurs pour valuer la bio accumulation la r tention et les facteurs de transfert de radionud ides radiolo rapide et relativement bon march de suivre le comportement des contaminants et d identifier les organes et les tissus giquement importants et de m taux lourds toxiques dans les organismes marins mondialement pr sents dans les cha nes alimentaires oc aniques La mise en place au LEM de l AIEA de nouveaux aquariums exp rimentaux capables de simuler diff rents cosyst mes marins a grandement facilit les tudes par radiotraceurs d esp ces difficiles maintenir en captivit comme les c phalopodes ou calamars esp ce pr datrice servant de source d alimentation de base tant aux mammif res marins qu aux humains Afin de suivre l absorption et la r partition des radionucl ides et des m taux dans ces animaux ubiquitaires la seiche commune a t expos e de l eau et des aliments contenant des radiotraceurs Ces
198. e s ret Conseil international de la recherche sur la fusion Groupe consultatif international pour la s ret nucl aire Groupe consultatif international sur le dessalement nucl aire Groupe consultatif international sur l irradiation des denr es alimentaires Groupe consultatif permanent sur l application des garanties Groupe consultatif permanent sur l assistance et la coop ration techniques ANNEXE Tableau A24 CONVENTIONS NEGOCIEES ET ADOPTEES SOUS LES AUSPICES DE L AGENCE ET DONT LE DIRECTEUR GENERAL EST LE DEPOSITAIRE SITUATION ET FAITS NOUVEAUX Accord sur les privil ges et immunit s de l AIEA reproduit dans le document INFCIRC 9 Rev 1 La situation de l Accord est rest e inchang e en 1999 avec 67 Parties Convention de Vienne relative la responsabilit civile en mati re de dommages nucl aires reproduite dans le document INFCIRC 500 Entr e en vigueur le 12 novembre 1977 En 1999 un tat a adh r la Convention la fin de l ann e il y avait 32 Parties Protocole de signature facultative concernant le r glement obligatoire des diff rends reproduit dans le document INFCIRC 500 Add 3 Entr en vigueur le 13 mai 1999 la fin de l ann e il y avait deux Parties Convention sur la protection physique des mati res nucl aires reproduite dans le document INFCIRC 274 Rev 1 Entr e en vigueur le 8 f vrier 1987 En 1999 un tat a adh r la Convention la fin de l ann e il
199. e strat gie int gr e visant optimiser la radioprotection dans les centrales nucl aires en mettant l accent sur l change d informations et la formation Le nombre de participants l ISOE qui est administr par un Secr tariat g r conjointement par l Agence et l AEN OCDE augmente r guli rement la fin du mois de novembre 1999 dix compagnies d lectricit de neuf pays repr sentant 31 r acteurs de puissance et sept organismes de r glementation en taient membres Le projet concernant l Asie englobe la mise au point d un programme de formation sur l optimisation de la radioprotection et l organisation d ateliers de formation l intention de dirigeants et de radioprotection nistes La radioprotection dans le cadre des applications m dicales pr sente un int r t croissant Un guide de s ret de l Agence sur la radioprotection lors d expositions m dicales est en cours d laboration et des rapports sur ce m me sujet tablis en collaboration avec l OMS l OPS et la Commission europ enne ont t achev s de m me qu un recueil de recommandations concernant la r glemen tation de la radioprotection et de la s ret en radioth rapie Ces documents sont publi s par l OMS Le probl me informatique de l an 2000 est particuli rement pr occupant dans le domaine m dical compte tenu du grand nombre d tablissements dans le monde entier qui utilisent du mat riel susceptible d tre touch par c
200. echerche APPLICATIONS RADIOCHIMIQUES Lors d un s minaire international sur les applications th rapeutiques des radiopharma ceutiques organis Hyderabad Inde en janvier on a examin les d veloppements actuels et les tendances futures concernant cette branche prometteuse de la m decine nucl aire On a mis en particulier l accent sur l utilisation de radionud ides metteurs b ta et alpha comme marqueurs de biomol cules tels que les anticorps monoclonaux et les peptides La situation actuelle et les tendances futures de la technologie des cibles et du traitement pour la production en cydotron de radionucl ides importants en m decine ont t examin es avec l aide de consultants Compte tenu des besoins des pays en d veloppement qui se sont dot s de cyclotrons pour la production de radionucl ides on a condu que des travaux de recherche d veloppement suppl mentaires taient n cessaires pour am liorer les techniques de pr paration des cibles solides Cela se traduirait galement par une meilleure utilisation des cyclotrons et une plus grande disponibilit de radionucl ides importants tels que le palladium 103 qui incorpor dans des sources scell es est maintenant un radionucl ide extr mement important pour le traitement du cancer de la prostate L inauguration en novembre d un centre PET quip d un cyclotron Prague a t un v nement important car c est le premier tablissement de ce genr
201. ejon D Danemark M tallurgie Roskilde D Egypte FMPP Inshas 2 Espagne Usine de fabrication de combustible ENUSA Juzbado Inde Zone d assemblage du combustible c ramique Hyderabad x EFFP NFC Hyderabad x Indon sie Installation exp rimentale d l ments combustibles IEBE Serpong D Installation de production d l ments combustibles pour r acteurs de recherche IPEBRR Serpong x Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Iran R p islamique d Laboratoire de fabrication de combustible Ispahan Italie Fabnuc Bosco Marengo x Japon JNF Yokosuka shi Kanagawa ken D MNF Tokai Mura Ibaraki ken D NFI Kumatori 1 Sennan gun Osaka x NFI Kumatori 2 Sennan gun Osaka x NFI Tokai Tokai Mura Ibaraki ken D PFPF Tokai Mura Ibaraki ken x PPFF Tokai Mura Ibaraki ken x Kazakhstan Usines m tallurgiques Ulbinski Kamenogorsk R P D de Cor e Usine de fabrication de combustible nucl aire Nyongbyon Roumanie Romfuel Pitesti Colibasi x Su de ABB V steras Usines de retraitement chimique y compris les usines pilotes Allemagne WAK Eggenstein Leopoldshafen D Inde PREFRE Tarapur D Italie EUREX Saluggia x ITREC Trisaia Rotondella x Japon Usine de retraitement de Tokai Tokai Mura Ibaraki ken x 153 R publique populaire Laboratoire de radiochimie Bungang Ri Nyongbyon d mocratique de Cor e En outre les installations de R D et les emplacements ci apr s sont associ s au retraitement
202. el sur la communication dans le domaine de la s ret nucl aire de la s ret radiologique et dela s ret du transport et des d chets a t publi II d crit les principes et les m thodes de communication pour toute une s rie de publics cibles et pr sente certaines questions fr quemment pos es ainsi qu une r capitulation des messages d s qu il y aurait lieu de transmettre Dans le prolongement de cette publication un Rapport de s ret est en pr paration qui aidera les autorit s r glementaires tablir une strat gie pour assurer une communication efficace avec diff rents publics et dans diff rentes situations Les publications en question se proposent d accro tre la confiance du public dans le contr le des sources de rayonnements et dans les activit nucl aires Une nouvelle section sur le site Internet de l Agence http www iaea org ns coordinet donne des informations sur la coordination des activit s en mati re de s ret en plus de celles contenues dans les sections existantes sur la s ret nucl aire NUSAFE et sur la s ret radiologique et la s ret des d chets RasaNet CoordiNet comprend des r f rences sur la totalit des normes de s ret de l Agence et sur d autres publications li es la s ret sur les activit s d change d informations sur la s ret et les PRC et sur les relations de l Agence avec d autres organisations inter nationales dans les domaines li
203. elative l exp rience pratique acquise dans la manipulation des sources radiologiques et sur les le ons tir es des accidents survenus dans le domaine de la radioth rapie Les travaux d crits ci dessus concernent essentiellement des v nements accidentels imputables la n gligence des d faillances du mat riel et au manque de connaissances et de formation Toutefois la possibilit que des sources OU des mati res radioactives soient d lib r ment utilis es mauvais escient constitue aussi un sujet de pr occupation Aux termes d un m morandum d accord sign par l Agence et l OMD en 1998 une coop ration accrue a t recommand e dans des domaines tels que l change d informa tions et la formation Un comit technique mixte s est r uni en juillet pour faire le point des progr s et pr parer de nouvelles coop rations entre les deux organisations Les essais en laboratoire de mat riel pour la surveillance aux fronti res au Centre de recherche autrichien de Seibersdorf ont t achev s Les syst mes s lectionn s sont maintenant install s en vue d essais sur le terrain la fronti re entre l Autriche et la Hongrie ainsi qu l a roport international de Vienne Des exigences minimales internatio nalement accept es pour les syst mes de surveillance aux fronti res ont t d finies sur la base des essais en laboratoire Le principal r sultat de ce projet sera de faciliter la t che aux tat
204. embre 1993 513 302 232 231 193 547 261 192 193 277 226 193 525 299 543 235 174 420 283 214 172 193 215 193 282 265 255 258 504 390 199 434 131 Lu x lt Lu Es zZ lt 132 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A14 SITUATION AU 31 D CEMBRE 1999 suite L ex R publique yougoslave de Mac doine 30 mars 1995 Liban 15 juillet 1970 Lib ria 5 mars 1970 Liechtenstein 20 avril 1978 Lituanie 23 septembre 1991 Luxembourg 2 mai 1975 Madagascar 8 octobre 1970 Malaisie 5 mars 1970 Malawi 18 f vrier 1986 Maldives 7 avril 1970 Mali 10 f vrier 1970 Malte 6 f vrier 1970 Maroc 27 novembre 1970 Maurice 8 avril 1969 Mauritanie 26 octobre 1993 Mexique c 21 janvier 1969 Micron sie tats f d r s de 14 avril 1995 Monaco 13 mars 1995 Mongolie 14 mai 1969 Mozambique 4 septembre 1990 Myanmar 2 d cembre 1992 Namibie 2 octobre 1992 Nauru 7 juin 1982 N pal 5 janvier 1970 Nicaragua c 6 mars 1973 Niger 9 octobre 1992 Nigeria 27 septembre 1968 Norv ge 5 f vrier 1969 Nouvelle Z lande p 10 septembre 1969 Oman 23 janvier 1997 Ouganda 20 octobre 1982 Ouzb kistan 7 mai 1992 Palaos R publique de 14 avril 1995 Panama c q 13 janvier 1977 Papouasie Nouvelle Guin e 13 janvier 1982 Paraguay c 4 f vrier 1970 Pays Bas 0 2 mai 1975 P rou c 3 mars 1970 Philippines 5 octobre 1972 Pologne 12 juin 1969 Portugal r 15 d cembre 1977 Qatar 3 avril 1989
205. enant des sp cialistes de ces questions Le Syst me de notification des incidents IRS qui est exploit conjointement par l Agence et l AEN OCDE a re u 112 rapports sur des v nements en 1999 ce qui a port le nombre total de rapports compris dans la base de donn es plus de 2 800 Les informations contenues dans cette base de donn es sont destin es aux techniciens et leur diffusion est restreinte mais un rapport r capitulatif sur l exp rience d exploitation acquise au cours de la p riode 1996 1999 a t tabli pour distribution g n rale On a effectu deux tudes sur des cat gories particuli res d v nements savoir les v nements qui d notent une violation des limites et conditions d exploitation et les v nements li s aux interactions entre les proc dures et les facteurs humains PR PARATIFS POUR L AN 2000 Un projet sp cial a t mis sur pied afin d aider les Etats Membres r soudre le probl me informatique de l an 2000 dans les centrales nucl aires voir l annexe tableau A6 Dans le cadre du r le de centre d change d informa tions qu elle a jou l Agence a notamment cr un site Internet pour rendre les informations largement et ais ment accessibles Elle a publi un document d orientation indiquant les mesures prendre pour g rer le probl me de l an 2000 En outre trois ateliers consacr s respectivement la planification des programmes relatifs l an 2000
206. ents cycles du combustible nucl aire et sur leur gestion ult rieure Le stockage d finitif sur le site c est dire la mise en stockage permanent d une installation nud aire ou de parties de celle ci l int rieur du site o l installation tait construite et exploit e a t propos il y a quelques ann es et r alis dans quelques cas L exp rience acquise et les perspectives des politiques nationales en la mati re ont fait l objet d un document technique qui a t publi Ce document devrait galement r pondre aux besoins des pays en d veloppement qui ont des r acteurs de recherche et d autres petites installations nucl aires La restauration de l environnement est une source importante de d chets radioactifs lorsqu on assainit des sites qui ne correspondent pas aux normes existantes en mati re de lev e des contrdles Un PRC sur les techniques de caract risation des sites utilis es pour la restauration de l environ nement a t achev et la r union finale de coordination de la recherche a eu lieu au Br sil Le document technique issu de ce projet dresse un bilan complet des diff rentes techniques in situ et de laboratoire utilis es pour r soudre les probl mes li s aux contami nations d origines diverses II souligne aussi l importance d une caract risation pr cise et exhaustive ainsi que la n cessit de proc der de nouvelles v rifications mesure que le travail avance ce qui est
207. enus dans le domaine des applications environne mentales des d charges de plasma ont notamment t les suivants mise au point et essai sur le terrain d un syst me prototype de pyrolyse a plasma pour le traitement des d chets m dicaux syst mes afin de faciliter la collaboration distance la recherche sur la fusion parce que toutes les grandes installations exp rimentales existantes appuient de nombreux groupes qui participent de fa on interactive des exp riences en cours partir d autres endroits et qu il en ira de m me pour celles que l on est actuellement en train de mettre en place La physique de mode H confinement lev et les barri res de transport dans les plasmas de fusion confinement magn tique ont t tudi es lors d une r union de comit technique tenue Oxford Royaume Uni en septembre Les r sultats ont montr une am lioration du confinement et de la stabilit gr ce des barri res de transport internes et p riph riques dans divers dispositifs lors d impulsions longues cisaillement magn tique invers par un grand nombre de m canismes de contr le On sait maintenant que les barri res de transport sur les bords du plasma dans les r gimes de confinement lev sont tout aussi importantes que le confinement nerg tique global L objectif court terme est de reproduire des r gimes favorables turbulences faibles sur les bords du plasma dans plusieurs dispo
208. er la mise au point et l examen des normes de s ret de l Agence administrer et le cas ch ant mettre en oeuvre des conventions relatives la s ret appuyer la recherche et le d veloppement favoriser l change d infor mations concernant la s ret coordonner l appui technique aux projets concernant la s ret dans le cadre du programme de coop ration technique de l Agence COORDINATION DES ACTIVIT S RELATIVES LA SURETE POLITIQUES ET NORMES DE SURETE Le Groupe consultatif international pour la s ret nucl aire I NSAG a produit quatre publications Le premier rapport The Safe Managenent of Sources of Radiation Principles and Strategie traite des principes g n raux applicables la s ret de toutes les sources et montre que les concepts de base dela s ret 94 COORDINATION DES ACTIVITES RELATIVES LA SURETE nucl aire de la radioprotection et de la s ret des d chets peuvent tre pr sent s de mani re concr te Le second rapport Basic Safety Principles for Nuclear Power Plants est une mise jour de la publication 75 INSAG 3 de 1988 et d veloppe le concept de culturedela s ret en d crivant les bonnes pratiques de gestion de la s ret et de surveillance des comportements en mati re de s ret La troisi me publication Management of Operational Safety in Nuclear Power Plants d veloppe plus amplement un ensemble d l ments universels pour un syst me efficace Un v ne
209. ermis de passer en revue les r sultats qui ont t obtenus et de voir ce qui reste faire Cette conf rence qui tait organis e par l Agence en coop ration avec la Commission europ enne et l AEN OCDE a donn lieu la pr sentation d expos s sur la situation et les plans nationaux de tous les pays qui exploitent des r acteurs de type sovi tique savoir l Arm nie la Bulgarie la F d ration de Russie la Hongrie la Lituanie la R publique tch que la Slovaquie et l Ukraine La conf rence a conclu que des progr s consid rables avaient t accomplis notamment en ce qui concerne les cadres l gislatifs et r glementaires nationaux et l ind pendance et la comp tence technique des organismes de r glementation nucl aire On a d termin qu il fallait encore faire porter les efforts sur un certain nombre de points tels que les pouvoirs d ex cution des organismes de r glementation la d l gation de responsa bilit s appropri es en mati re de s ret aux exploitants et le maintien et le renforcement d une culture de s ret efficace On a insist en particulier sur les moyens d apporter les am liorations maximales en mati re de s ret avec des ressources limit es par exemple en intensifiant les changes d information et en laborant des rapports d analyse de la s ret de haute qualit qui offrent une base solide pour fixer l ordre de priorit des mesures d am lioration Une partie de plus en
210. es rayonnements ionisants dans la pr paration et la modification des polym res pour des applications biom dicales Parmi les applications les plus caract ristiques on a not l am lioration de la sensibilit des plaques de microtitrage des fins diagnostiques les enrobages greff s par irradiation r agissant aux stimulations pour des dispositifs de contr le de marche arr t la radiosynth se de microparticules et de nanoparticules pour l immobilisation des enzymes et les syst mes de transport de substances m dicamenteuses la pr paration d hydrogels pour les bandages et les drains la radiosynth se d hydrogels pour l adminis tration de substances m dicamenteuses effet retard contr l et pour des produits de contact dans des applications ultrasoniques Un PRC achev en 1999 a port sur les propri t s physiques du caoutchouc naturel Technologie par faisceaux d lectrons pour la d pollution de l eau et des eaux r siduaires Les am liorations r alis es ces derni res ann es dans la technologie des acc l rateurs faisceaux d lectrons meilleure conversion de l nergie et puissance d livr e accrue et la recherche men e dans les tats Membres montrent que les acc l rateurs conviennent pour le traitement grande chelle de l eau pollu e Des op rations l chelle pilote ont galement montr que la d contamination et la d sinfection des eaux us es et de l eau potable sont c
211. es utilisateurs en 1999 Des rapports officieux donnant de br ves descriptions des services des bases de donn es et des codes de traitement des donn es disponibles peuvent galement tre consult s sur Internet la suite de travaux men s en coop ration avec d autres centres de donn es nucl aires un nouveau fichier sur la dosim trie des r acteurs RRDF 98 et une biblioth que de sections efficaces valu es pour les interactions nucl aires entre particules faiblement charg es ont t mis la disposition des utilisateurs Le fichier peut tre utilis pour d rouler les spectres des neutrons frappant la paroi de la cuve sous pression d un r acteur afin de d duire les d placements de r seau imputables aux neutrons Cette information est importante pour l valuation de la dur e de Diffusion de donn es nucl aires 1995 Recherches partir des principales bases de donn es nucl aires sur Internet Recherches de donn es nucl aires sur Telnet 4 400 Information sur CD ROM Recherches en diff r 19550 1996 1997 1998 1999 40 6 830 8 970 5 700 12550 2 700 2 180 205 420 800 1 900 15995 2 290 vie de la cuve sous pression du r acteur La biblioth que peut galement tre utilis e pour des applications int ressant la fusion et l astrophysique Un nouveau progiciel lt ZVView qui permet un affichage graphique interactif des sections efficaces des r actions nud a
212. es d assurance de la qualit appliqu es aux analyses de mycotoxines et de r sidus de pesticides Seibersdorf mise en place d un syst me d information international sur les contaminants et les r sidus dans les aliments qui permettra d obtenir via Internet http www INFOCRIS iaea org des infor mations actualis es sur les m thodes d chan tillonnage et d analyse des contaminants qui limitent le commerce des aliments et des denr es agricoles et mise au point de m thodes plus simples pour l analyse de divers r sidus Par ailleurs un atelier sur les principes et les pratiques relatifs a la validation des m thodes organis en Hongrie a permis de mettre au point des principes directeurs pour la validation en laboratoire de m thodes d analyse des compos s organiques l tat de traces qui seront examin s aux prochaines sessions des comit s du Codex sur les r sidus de pesticides et les r sidus de m dicaments v t rinaires pour tre convertis en normes Codex SANTE HUMAINE OBJECTIF DU PROGRAMME Renforcer la capacit des Etats Membres en d veloppement de traiter les probl mes sanitaires importants par la mise au point et l appli cation de techniques nucl aires et connexes dans des domaines o elles pr sentent un avantage par rapport aux m thodes traditionnelles ou dans les domaines o elles constituent elles m mes la m thode traditionnelle APER U G N RAL Comme pr c demment le
213. es membres d EURATOM EURATOM et l Agence L accord de garanties conclu dans le cadre du TNP avec la R publique socialiste tch coslovaque INFCIRC 173 qui est entr en vigueur le 3 mars 1972 continue d tre appliqu la Slovaquie dans la mesure o il concerne le territoire de la Slovaquie Un nouvel accord de garanties TNP conclu avec la Slovaquie a t approuv par le Conseil des gouverneurs le 14 septembre 1998 L application de garanties en Su de en vertu de l accord de garanties TNP publi sous la cote INFCIRC 234 en vigueur depuis le 14 avril 1975 a t suspendue le 1er juin 1995 date a laquelle l accord du 5 avril 1973 INFCIRC 193 conclu entre les tats non dot s d armes nucl aires membres d EURATOM EURATOM et l Agence auquel la Su de a adh r est entr en vigueur pour la Su de L accord de garanties conclu dans le cadre du TNP avec la R publique f d rative socialiste de Yougoslavie INFCIRC 204 qui est entr en vigueur le 28 d cembre 1973 continue d tre appliqu la R publique f d rative de Yougoslavie dans la mesure o il concerne le territoire de la R publique f d rative de Yougoslavie 135 Lu x lt Lu Z Zz lt 136 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A15 SITUATION AU 31 D CEMBRE 1999 CONCERNANT LA CONCLUSION D ACCORDS DE GARANTIES ENTRE L AGENCE ET DES TATS PARTIES AU TRAIT DE TLATELOLCO2 Antigua et Barbuda b Argentine c Bahamas b B
214. es mesures effectu es l aide de bobines de Mirnov ont montr que les turbulences magn tiques se composent de deux l ments des fluctuations large bande caus es par des micro instabilit s et des modes coh rents ces derniers tant associ s la rotation d un lot magn tique m 2 l int rieur dela colonne de plasma Un nouveau ph nom ne a t observ dans la trajectoire unique d un faisceau d ions lourds inject le volume chantillon la zone d ionisation secondaire permettant d ventuelles mesures du plasma s est divis en deux parties Une r union de comit technique sur l exploitation de dispositifs magn tiques a fusion en r gime permanent a eu lieu Fukuoka Japon en octobre Les sujets suivants ont notamment t examin s tokamaks et stellarators impulsions longues et configurations avanc es technologies requises pour l exploitation de dispositifs magn tiques fusion en impulsions longues composants faisant face au plasma sc narios de chauffage et de g n ration de courant syst mes de contr le et de diagnostic pour l exploitation en impulsions longues th orie mod lisation Des rapports ont t pr sent s au sujet de plusieurs nouveaux dispositifs actuellement en construction qui auront des longueurs d impulsion comprises entre 300 et 1 000 secondes et des courants de plasma de 1 2 MA c est dire une longueur d impulsion comparable celle qui est pr vue pour l
215. es nucl aires d analyse Bolivie Cours r gional sur l talonnage et la m trologie en analyse nucl aire Chili R unions de groupes de travail pour la pr paration d un programme d harmonisation des proc dures d assurance de la qualit en radiopharmacie Cuba Argentine Cours r gional sur la pr paration et le contr le de la qualit de l iode 131 MIBG en diagnostic et th rapie Br sil Atelier r gional sur la formation l assurance contr le de la qualit des techniques nucl aires d analyse Autriche Sciences physiques et chimiques Cours r gional sur la maintenance la r paration et l talonnage des lectrom tres et des chambres d ionisation en Am rique latine Br sil Cours r gional sur l alimentation lectrique Malaisie Cours r gional sur la d termination des pannes d instruments nucl aires Indon sie Formation collective de boursiers la maintenance d instruments de spectroscopie nucl aire Laboratoires de l Agence Seibersdorf Atelier national pour sp cialistes de l environnement Ghana Cours national sur le conditionnement du courant et la mise la terre Zambie Atelier r gional sur la gestion des installations de r acteurs de recherche gypte S ret nucl aire Cours interr gional sur homologation environnementale des quipements importants pour la s ret des centrales nucl aires Espagne 171 Lu x lt Lu Z Zz l
216. es pratiques scientifiques et techniques L quipe de l Agence a effectu l examen en novembre et a conclu que le processus qui a abouti choisir le site lui paraissait la fois raisonnable et appropri et qu il prenait en compte les aspects g ologiques et les questions li es l acceptation par le public L quipe a galement conclu que le site d veghuta lui semblait en principe ad quat pour y installer un d p t destin recevoir des d chets de faible et de moyenne activit provenant de l exploitation et du d classement de centrales nucl aires EVALUATION COMPARATIVE DES SOURCES D ENERGIE OBJECTIF DU PROGRAMME nucl aire dans le contexte des cha nes nerg tiques compl tes de la source a la distribution afin de promouvoir le d veloppement nerg tique durable dans des march s de l lectricit de plus en plus place d un syst me d approvisionnement durable en nergie et aider les tats Membres prendre en toute connaissance de cause des d cisions 37 APER U G N RAL Des m thodologies ont t mises au point dans le cadre du programme concernant l valuation comparative des sources d nergie afin que les tats Membres puissent laborer des politiques et prendre des d cisions en connaissance de cause Ces outils permettent notamment d valuer compara tivement toutes les options en mati re d approvisionnement nerg tique de mani re exhaustive et de faire l analyse
217. es syst mes composante hydro lectrique importante Une version multisource du mod le E coS ense a t mise au point pour valuer les impacts sanitaires et environnementaux de la pollution et les co ts externes qu ils entra nent l aide de la m thode des voies multiples Celle ci prend en compte toutes les sources de pollution d un pays ou d une r gion Le mod le a t int gr aux outils du projet DECADES de l Agence pour permettre une analyse approfondie des diff rentes strat gies de production d lectricit Il importe de donner l lectricit nucl aire la place qui lui revient dans le d bat inter national sur les changements dimatiques 39 EVALUATION COMPARATIVE DES SOURCES D NERGIE 40 EVALUATION COMPARATIVE DES SOURCES D ENERGIE puisqu elle pr sente l avantage de n entra ner que des missions minimes de gaz effet de serre Un PRC a t lanc pour tudier le r le de l lectronucl aire et d autres options nerg tiques dans le respect des objectifs internationaux concernant la r duction des gaz a effet de serre II a trois objectifs sp cifiques am liorer les outils de planification nerg tique et d valuation comparative de l Agence de sorte qu ils se pr tent mieux l analyse des questions li es l valuation de la r duction des gaz effet de serre laborer des recommandations m tho dologiques offrir un cadre pour mener des tudes sur la mani r
218. est essentiel d valuer les facteurs conomiques li s l ectronucl aire Un certain nombre d tudes ont t effectu es dont quelques unes en collaboration avec d autres organismes qui examinent la comp titivit et l avenir conomique de l lectro nucl aire en g n ral ainsi que l conomie de certains aspects du cycle du combustible nucl aire Une d elles a abouti la publication d un document technique intitul Strategies for Competitive Nuclear Power Plants Strat gies pour la comp titivit des centrales nucl aires IAEA TECDOC 1123 D autres tudes ont t engag es notamment une sur la gestion de la responsabilit dans les phases de d classement et de stockage d finitif des d chets du cycle nud aire et une autre sur la n cessit d approches rentables en mati re de s ret des centrales nucl aires Dans le m me ordre d id e un PRC concernant l impact des prescriptions concernant l infrastructure sur la comp titivit des centrales nucl aires a t lanc La premi re r union de coordination de la recherche a t organis e en d cembre Exemple des synergies que l Agence cherche a tablir avec d autres organisations inter nationales une tude a t r alis e en collaboration avec l AEN OCDE qui tend jusqu 2100 les projections long terme concernant la demande et l offre d nergie et d lectricit et adapte ces projections pour tudier l impact des march s con
219. ette derni re pour mettre au point des techniques mol culaires isotopiques qui permettent de d tecter rapidement et avec pr cision les souches de TB r sistantes plusieurs types de m dicaments On esp re que cela ne profitera pas seulement la population locale mais que cela contribuera aussi aux efforts internationaux et ceux de l OMS pour lutter contre la tuberculose De m me en Asie de l Ouest les efforts de l Agence pour planifier la gestion des ressources en eau ont t harmonis s avec les travaux d autres organisations internationales et intergouvernementales comme l UNESCO la Commission conomique et sociale des Nations Unies pour l Asie occidentale l Organisation de la Ligue arabe pour l ducation les sciences et la culture et le Centre arabe d tude des zones arides et des terres non irrigu es Lors d une r union de coordination tenue en f vrier 1999 les repr sentants de ces organisations ont aid d finir la port e et les objectifs d un projet r gional visant utiliser l hydrologie isotopique pour valuer l efficacit de la recharge artifidele d eaux souterraines gr ce des r servoirs de surface et g rer les aquif res d eaux souterraines d t rior s par la salinit On envisage d incorporer ces tudes isotopiques dans les projets des organisations susmen tionn es concernant les ressources en eau Si l harmonisation des travaux de l Agence avec ceux d autres organisations
220. forts pour encourager les tats Membres participer au programme de base de donn es sur le trafic illicite l Agence a organis un s minaire r gional au Kazakhstan en d cembre Le s minaire a apport la preuve de la d termination des pays d Asie centrale et du Caucase coop rer la lutte contre le trafic illicite en outre les D importantes am liorations ont t apport es au logiciel utilis pour l exploitation de la base de donn es sur le trafic illicite sept tats participants ont annonc leur intention d adh rer au programme de base de donn es sur letraficillicite D importantes am liorations ont t apport es au logiciel utilis pour l exploitation de la base de donn es sur le trafic illicite Ces am liorations r pondent l largissement du champ de la base de donn es qui permet de recevoir davantage d informations de multiples sources En outre les capacit s d extraction et de diss mination des donn es ont t accrues Alors que ces derni res ann es le nombre d incidents signal s diminuait cela n a pas t le cas au cours des deux derni res ann es Une analyse d taill e est en cours pour rechercher les raisons de cette augmentation PROTECTION DES MATI RES NUCL AIRES Le programme de l Agence visant renforcer la protection des mati res nucl aires est de cr ation r cente C est en 1995 que le Conseil des gouverneurs a approuv des activit s d assist
221. gation des responsabilit s Reconnaissant la n cessit d un changement d approche on a accord la priorit la formation la gestion en se fixant comme double objectif de rationaliser la gestion des programmes et l utilisation des ressources et d instaurer une culture de l organisation unique grace l application de normes de bonne gestion dans toute l Agence L id e centrale de la nouvelle politique de formation la gestion est d laborer et d appliquer un programme de formation la gestion faisant appel presque exclusivement des formateurs internes tant donn que l accent est mis principalement sur les pratiques de gestion propres l Agence C est la premi re fois qu un tel programme de formation est labor au sein du syst me des Nations Unies A la fin de l ann e les divers modules du programme avaient tous fait l objet d essais pilotes et le premier cycle complet avait t organis Un vaste processus de planification des ressources humaines a t introduit afin d assurer un rapport plus troit entre les besoins des programmes et les ressources humaines et de r duire le travail administratif Ce processus servira galement de base pour l tablissement de pr visions des vacances de postes qui permettront aux tats Membres de commencer plus t t rechercher des candidats l lt o LU zZ LW o Lu D lt Les demandes d admission de Angola et du
222. gentine Australie Autriche B larus Bolivie Br sil Canada Chili Chine Cor e R publique de Cuba gypte tats Unis d Am rique F d ration de Russie Finlande France Gr ce Inde Indon sie Japon Jordanie Nigeria Norv ge Pologne R publique Arabe Syrienne Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord Singapour Slovaquie Soudan Su de Uruguay Le Pr sident du Conseil pour 1999 2000 tait S E Sergio de Queiroz Duarte Br sil Les Vice Pr sidents taient S E Tom Gr nberg Finlande et S E Miroslav Lip r Slovaquie I R solution GC 43 RES 19 de la Conf rence g n rale AMENDEMENT DE L ARTICLE VI DU STATUT R solution adopt e le 1 octobre 1999 la neuvi me s ance pl ni re La Conf rence g n rale a b Rappelant sa d cision GC 42 DEC 10 dans laquelle elle a notamment pri le Conseil des gouverneurs de pr senter son rapport sur une formule qui aura t mise au point au sujet de l amendement de l article VI du Statut ainsi que toutes les r solutions et d cisions ant rieures sur la question Ayant examin la proposition d amendement de l article VI du Statut pr sent e par le Japon conform ment au paragraphe A de l article XVIII du Statut qui figure dans l annexe 1 au document GC 42 19 Ayant galement examin la proposition de modification de l amendement japonais pr sent e par la Slov nie conform ment au paragraphe A de
223. gionales organis es pour ex cuter ce programme r gional Ces r unions ont permis aux pays de la r gion a de discuter et de d finir leurs priorit s b de participer a la formation sur la conception des projets c de planifier ensemble des projets sp cifiques avant de soumettre des propositions de projet Un bon exemple est la r union qui a t organis e en novembre pour planifier des projets r gionaux dans les domaines de la L harmonisation des travaux de l Agence avec ceux d autres organisations contribue assurer la coh rence et l impact de sa propre programmation s ret et de l nergie nucl aires De hauts responsables des organismes de r glemen tation et des centrales nucl aires des pays de la r gion ont rencontr l Agence des repr sentants des pays et des organisations donateurs Ils se sont mis d accord sur des plans de travail d taill s pour 2000 et sur la port e d importants projets pour le cycle 2001 2002 dans les domaines pr cit s Un autre moyen d assurer la coh rence du programme de l Agence a t d harmoniser ses objectifs avec ceux d autres agences des Nations Unies En Afrique par exemple l OMS s int resse particuli rement aux maladies contagieuses en particulier la malaria et la tuberculose La r apparition r cente de la tuberculose est un probl me majeur de sant publique dans des pays comme l Afrique du Sud L Agence a commenc travailler avec c
224. hets radioactifs 290 8 112 5 74 0 34 5 506 9 0 0 1018 7 Coordination des activit s relatives la s ret 185 1 184 8 91 8 79 2 90 9 56 6 688 4 Garanties 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 S curit des mati res 0 0 0 0 0 0 0 0 309 7 0 0 309 7 Gestion de la coop ration 126 technique pour le d veloppement 413 3 633 3 1 080 0 200 1 260 2 502 1 3 089 0 Activit s juridiques relations ext rieures et information du public 0 0 4 9 0 0 0 0 186 0 0 0 190 9 Services g n raux 0 0 0 0 5 7 0 0 0 0 0 0 5 7 Gestion de l information et services d appui 26 2 89 2 31 9 12 5 45 5 39 2 244 5 Tableau A4 SERVICE INTERNATIONAL D EXAMEN PAR DES CONFR RES IPERS EXAMENS D APS 1999 APS Pr IPERS Niveau 1 Karachi Pakistan KANUPP CANDU APS Basse puissance et arr t Budapest Paks Hongrie Paks VVER 440 213 APS Basse puissance et arr t Piestany Slovaquie Bohunice V2 VVER 440 213 Lu x lt Lu Zz z lt Tableau A5 SERVICES D EXAMEN DE LA SURETE DE L INGENIERIE ESRS CONCERNANT LE SITE ET LES AGRESSIONS EXTERNES 1999 Pays Site Centrale Service Cor e R publique de AMAT Roumanie Cernavoda CMRS et EIPSA Chine Lianyunggang DSRS et W lran R publique islamique d Bushehr SSRS et DSRS Bulgarie Kozloduy SSRS Chine CEFR DSRS Chine Qinshan 3 SWSRS Arm nie Medzamor SSRS et DSRS Turquie Akkuyu SSRS Turquie Istanbul SSRS d un RR Kazakhstan Balkash SSRS et W Pakistan Chashma DSRS et FSRS Pakistan KANUPP AMAT
225. ib ralis s En revanche les nouvelles sont fortement concurrenc es par le gaz naturel et le charbon et ne sont comp titives que l o ces ressources ne sont pas facilement accessibles Le point de vue commun qui est ressorti des diff rents expos s est que la consommation d lectricit devrait augmenter consid rablement Toutefois les participants ont t tr s partag s sur le r le que l lectronucl aire jouerait ou devrait jouer pour r pondre cette croissance Un point central tout au long du d bat et qui a t soulign par de nombreux orateurs est que l lectronucl aire doit devenir concur rentiel par lui m me et ne pas compter sur l introduction de taxes pour la protection de l environnement ou sur des mesures de restriction des missions de gaz effet de serre C est ce point ainsi que la n cessit de continuer maintenir le plus haut niveau de s ret possible qui ont t jug s comme les conditions les plus importantes pour que l ectronucl aire contribue au d veloppement durable de l nergie La r daction de la partie du Rapport d ensemble sur la technologie nucl aire Distribution des mod les informatiques de l Agence en 1999 Nombre de mod les ou de logiciels de planification distribu s DECADES MAED tats Membres A5 68 Organisations internationales 8 Totaux 59 AIS WASP ENPEP FINPLAN VALORAGUA E 59 22 44 112 6 3 109 65 22 A7 DECADES Bases de don
226. ibles 111 o Lu lt o Lu Q LU a o LW o Le programme de l Agence en 1999 Gestion et renforcement d audience GESTION COORDINATION ET APPUI OBJECTIF DU PROGRAMME Fixer la direction g n rale et les grandes orientations donner des avis juridiques assurer la coordination et fournir un appui administratif afin que l Agence s acquitte de fa on efficace et efficiente de son mandat ACTIVIT S JURIDIQUES Une assistance en mati re l gislative a continu d tre fournie aux Etats Membres pour leur permettre de d velopper leur l gislation nud aire L accent a t mis sur l interaction entre les experts techniques et juridiques de l Agence et ceux des Etats Membres Cinq tats Membres en particulier ont re u une assistance sous forme d observations ou d avis qui leur ont t communiqu s par crit sur des aspects particuliers de leur l gislation nationale qu ils avaient pr sent s l Agence pour examen Des avis ont galement t fournis sur e Les questions d ordre l gislatif li es a la gestion des d chets radioactifs pays de la mer Baltique e Les questions d ordre l gislatif li es l laboration d une infrastructure juridique r gissant les d chets radioactifs imputables aux activit s d extraction et de traitement de l uranium et au d dassement pays d Europe centrale et orientale et Nouveaux tats ind pendants e La r forme de la respon
227. ides ou solides dangereux rapport entre le plasma basse temp rature et la technologie de fusion tudes physiques fondamentales sur ces sujets Ce PRC a notamment permis d intensifier la collaboration interlaboratoires et d offrir davantage de possibilit s de formation des tudiants de pays en d veloppement Les principaux r sultats obtenus dans le domaine des applications environnementales des d charges de plasma ont notamment t les suivants mise au point et essai sur le terrain d un syst me prototype de pyrolyse plasma pour le traitement des d chets m dicaux construction d un dispositif d charge barri re di lectrique silencieux qui permet de produire faible co t de l ozone gazeux Ce dernier syst me a t essay pour traiter des eaux us es limination d organismes biologiques pour liminer les compos s sulfur s du charbon et pour liminer la vapeur d eau du gaz naturel qui accompagne le p trole Lu D x O Lu on Lu D N Se I D a Lu O zZ Lu oO o Le programme de 2 4 l Agence en 1999 S ret SURETE NUCLEAIRE OBJECTIF DU PROGRAMME Aider atteindre et maintenir un haut niveau de s ret dans les harmonisation des normes et des standards au niveau international et la fourniture d avis et de services APER U G N RAL Les activit s men es dans ce domaine ont vis essentiellement appuyer les efforts fait
228. ie Cours interr gional sur les pr paratifs techniques et administratifs pour l envoi de combustible us de r acteurs de recherche vers le pays d origine tats Unis Cours interr gional sur la planification lectrique et lectronucl aire l aide du Programme d valuation de l nergie et de l lectricit ENPEP tats Unis Cours r gional Europe sur l valuation comparative du nucl aire et des autres options et strat gies de production d lectricit en vue d un d veloppement nerg tique durable Italie Cours r gional RCA sur l utilisation des outils DECADES et du mod le FINPLAN de l Agence pour l analyse du r le du nucl aire dans le contexte de la privatisation du secteur de l lectricit Pakistan S minaire r gional RCA pour l change d informations et de donn es d exp rience sur les efforts nationaux d laboration de bases de donn es sp cifiques aux pays pour l valuation comparative Tha lande Cours national sur l utilisation du mod le MAED de l Agence pour la projection de la demande d lectricit Soudan Atelier sur l estimation l aide d une m thode simplifi e des co ts externes li s la production d lectricit dans les pays en d veloppement Italie Atelier sur l change de donn es d exp rience concernant l am lioration de la planification lectrique par incorporation de l valuation comparative dans les tudes d aide la prise de d cisi
229. igueur la date de son approbation par le Conseil des gouverneurs L application de garanties en Autriche en vertu de l accord de garanties TNP publi sous la cote INFCIRC 156 en vigueur depuis le 23 juillet 1972 a t suspendue le 31 juillet 1996 date laquelle accord du 5 avril 1973 INFCIRC 193 conclu entre les tats non dot s d armes nucl aires membres d EURATOM EURATOM et l Agence auquel l Autriche a adh r est entr en vigueur pour l Autriche 134 et f Cet Etat et l Agence ont proc d un change de lettres confirmant que l accord de garanties conclu dans le cadre du TNP satisfait l obligation qui incombe l tat en vertu de l article 13 du Trait de Tlatelolco de conclure un accord de garanties avec l Agence g L accord de garanties TNP conclu avec la R publique f d rative socialiste de Yougoslavie INFCIRC 204 qui est entr en vigueur le 28 d cembre 1973 continue d tre appliqu la Bosnie Herz govine dans la mesure o il concerne le territoire de la Bosnie Herz govine h Cet tat et l Agence ont proc d un change de lettres confirmant que l accord de garanties conclu dans le cadre du Trait de Tlatelolco satisfait l obligation qui incombe l tat en vertu de l article III du TNP de conclure un accord de garanties avec l Agence L change de lettres est entr en vigueur la date de son approbation par le Conseil des gouverneurs i Un accord de garanties g
230. implique la fois une production moindre et la r duction des quantit s de d chets d j produites Les avantages de la minimisation sont de permettre une meilleure utilisation des ressources et de r duire les co ts du traitement et de l entreposage des d chets Un document intitul Minimization of Waste from Uranium Purification Enrichment and Fua Fabrication Minimisation des d chets provenant de la purification de l uranium de l enrichissement et de la fabrication de combustible a t publi qui passe en revue les pratiques actuelles et l exp rience acquise en mati re de r duction du volume des d chets d exploitation et de d classement produits dans la partie initiale du cycle du combustible Cette information peut aider les tats Membres prendre leurs d cisions d investissement et planifier l am lioration de leurs installations Un l ment important dela minimisation est le recyclage r utilisation des mati res utilisables que contiennent encore les diff rents r sidus produits dans les installa tions du cycle du combustible nucl aire sous produits mati res consomm es et non consomm es dans les proc d s composants et quipements et qui sans cela seraient consid r es comme des d chets L avantage conomique et la r duction de l impact sur l environnement sont des incitations puissantes au choix de l option recyclage r utilisation tant donn l importance de ce sujet et l int
231. informations la suite d entretiens avec des repr sentants du Gouvernement japonais l Agence a envoy une quipe d experts a Tokaimura la mi octobre pour y effectuer une mission d enqu te pr liminaire Le rapport des experts a t publi peu apr s leur retour Un comit d enqu te cr par la Commission de s ret nucl aire de l Agence japonaise pour la science et la technologie a publi son rapport en d cembre Une cause sous jacente de l accident a t l ignorance du risque de criticit qui a rendu possible la cause directe savoir le non respect des proc dures La fa on dont les responsabilit s sont r parties entre la Commission de s ret nucl aire les autorit s de r glementation et l exploitant a aussi jou un r le Cet accident a galement mis en lumi re l absence de normes internationales de s ret applicables certains types d installations autres que les r acteurs en particulier en ce qui concerne leur s ret criticit On avait d j pris conscience de cette lacune et propos un programme de travail afin de d terminer les nouvelles normes qui pourraient tre n cessaires Accro tre la s ret des r acteurs en Europe centrale et orientale et dans l ex Union sovi tique a t un objectif majeur au cours de la d cennie coul e Une conf rence inter nationale sur le renforcement de la s ret nucl aire en Europe orientale qui a eu lieu Vienne en juin a p
232. installations pr cis tout en tenant compte du cycle du combustible nud aire de cet tat ainsi que de ses autres particularit s AU 31 d cembre 1999 il y avait 224 accords de garanties en vigueur pour 140 tats et Taiwan Chine Des protocoles additionnels concernant 46 tats ont t approuv s par le Conseil des gouverneurs Huit sont en vigueur et un est appliqu provisoirement en attendant son entr e en vigueur En outre des mesures figurant dans le mod le de Protocole additionnel sont appliqu es Taiwan Chine En 1999 l Agence a continu n gocier des protocoles additionnels avec les tats sur la base du mod le de Protocole additionnel 1 faut maintenant s acheminer vers l adh sion universelle au Protocole additionnel Ce n est qu une fois que l on aura obtenu cette 15 l lt LU zZ LW 2 o Lu D lt sl lt acs WwW PA LUI 2 acs Lu a lt adh sion universelle que la communaut internationale pourra tirer pleinement profit du syst me de garanties renforc En 1999 un effort consid rable a t consacr aux mesures visant renforcer le syst me des garanties dans son ensemble L Agence a continu accorder beaucoup d importance au maintien d une coop ration troite avec les syst mes nationaux ou r gionaux de comptabilit et de contr le des mati res nucl aires afin d accro tre l efficacit et l efficience de la v rificati
233. iode d origine militaire Carlsbad au Nouveau Mexique II s agit du premier d p t g ologique profond de d chets au monde TECHNOLOGIES DES RAYONNEMENTS ET DES ISOTOPES Avantages des techniques li es au nucl aire dans les domaines de l alimentation et de l agriculture de la sant humaine de la gestion des ressources en eau et de la surveillance de l environnement Dans la Strat gie moyen terme de l Agence labor e au cours de l ann e on a pour le programme relatif aux technologies des rayonnements et des isotopes donn la priorit quatre domaines alimentation et agriculture sant humaine gestion des ressources en eau et environnement Quelques uns des avantages que pr sentent les techniques nucl aires dans ces domaines sont expos s ci apr s en m me temps que certains des progr s accomplis en 1999 voir aussi les encadr s 2 4 Dans le domaine de l alimentation et de l agri culture les techniques nucl aires pr sentent notamment l avantage de fournir des donn es quantitatives sans quivalent sur les taux d rosion du sol et sur la dynamique des l ment nutritifs et de l eau dans le syst me sol plante de donner la possibilit de mettre au point par induction de mutations de nouvelles vari t s de meilleure qualit plus haut rendement et tol rant mieux le stress et d offrir des outils essentiels pour l analyse et l identification de plantes pr sentant des caract
234. ion l application des garanties renforc es a t organis e en particulier pour montrer comment valuer l information provenant des Etats et pr parer les rapports d valuation sur les tats comment prendre les pr cautions voulues pour la s curit des informations pour actualiser et am liorer la connaissance par les inspecteurs des principes et pratiques des garanties renforc es et pour accro tre encore les connaissances des inspecteurs concernant le cycle du combustible et la prolif ration nucl aires Une formation a aussi t dispens e au personnel des tats Membres pour les aider remplir leurs obligations telles qu elles d coulent des accords de garanties Des cours internationaux et r gionaux ont t organis s pour le personnel des SNCC en inscrivant parmi les sujets les garanties renforc es et plus pr cis ment le mod le de Protocole additionnel les exigences des articles 2 et 3 du mod le de Protocole additionnel et d autres sujets la demande du Conseil des gouverneurs ont t tablis de nouveaux rapports qui fournissent des renseignements suppl men taires sur les incidences juridiques techniques et financi res des diverses options face au risque de prolif ration du neptunium et de am ricium En septembre le Conseil a d cid d autoriser la mise en oeuvre d une m thode de surveillance du neptunium la fin de 1999 l Agence avait commenc a proc der a un change de let
235. ion l mentaire de fractions de particules en suspension dans l air PM et PM On a entrepris des tudes pid miologiques au titre de ces projets afin d tablir un lien entre les r sultats des analyses chimiques et les maladies pulmonaires et autres diagnostiqu es dans les populations et chez les travailleurs expos s Pour appuyer les activit s de contr le de la qualit des analyses on a proc d en recourant diverses techniques d analyse une comparaison interlaboratoires pour d terminer des l ments mineurs et des l ments traces dans les poussi res urbaines pr lev es en l occurrence Vienne et Prague et introduites artificiellement dans des filtres air pour en valuer l h t rog n it On a ainsi pr par un grand nombre de filtres et on les a caract ris s pour les utiliser ult rieu rement quand il s agira de tester la comp tence des laboratoires participants On a officialis encore davantage le r seau international de laboratoires d analyse pour la mesure de la radioactivit dans l environ nement ALMERA en invitant par courrier les Etats Membres d signer un ou plusieurs laboratoires pour le r seau Plus de 40 pays ont r pondu en proposant au total 74 laboratoires On a proc d au premier test de comp tence qui portait sur l analyse du plutonium de l am ridum du strontium 90 et de radionucl ides metteurs gamma A l appui de l assurance de la qualit des a
236. ion d empi ter sur des droits de propri t et ne doit pas tre consid r e non plus comme valant approbation ou recommandation de la part de l Agence L expression tat non dot d armes nucl aires est utilis e avec le m me sens que dans le Document final de la Conf rence d Etats non dot s d armes nucl aires 1968 document A 7277 de l ONU et dans le Trait sur la non prolif ration des armes nucl aires On peut obtenir d autres informations sur les activit s de l Agence et sur l ensemble des bases de donn es accessibles aupr s de la Division de l information et partir de la page d accueil du site Internet de l Agence http www iaea org worldatom Pour contacter Agence s adresser Division de l information Agence internationale de l nergie atomique B P 100 Wagramer Strasse 5 A 1400 Vienne Autriche T l phone 43 1 2600 0 T l copie 43 1 26007 M l Official Mail iaea org LISTE DES ABREVIATIONS ABACC AEN AFRA AGRIS ARCAL CICN CIPT CME col EURATOM FAO FORATOM IIASA ISO LEM AIEA OCDE OIT OLADE OMC OMD OMI OMS ONUDI OPANAL OPS OTICE PNUD PNUE PRC QS RAF RAS RAW RBMK RCA REB REL RELP REO REP UNESCO UNSCEAR Agence brasilo argentine de comptabilit et de contr le des mati res nucl aires Agence de l OCDE pour l nergie nucl aire Accord r gional de coop ration pour l Afrique sur la recherche le d veloppement et la
237. ion des frais d exploitation et de maintenance A la quarantetroisi me session ordinaire 1999 de la Conf rence g n rale les tats Membres ont demand l Agence d aider les pays valuer le r le de l lectronucl aire compte tenu des grands probl mes d environnement et des besoins nerg tiques dans le monde II a t convenu que cette assistance devrait consister notamment faciliter l acc s aux informations pertinentes sur l importance de l lectronud aire pour parvenir un d veloppement durable dans les pays en d veloppement et pour att nuer les missions de gaz effet de serre Des efforts concert s ont t faits pour fournir aux tats Membres et des instances internationales des informations concernant le r le que pourrait jouer le nud aire dans les suites donner au Protocole de Kyoto sur les changements climatiques Dans le cadre de ces efforts trois ateliers sur le r le potentiel de l lectronucl aire dans le cadre du M canisme pour un d veloppement propre MDP ont t organis s Ces efforts ont comport en outre des changes de vues avec les d l gu s la cinqui me session de la Conf rence des parties CoP 5 la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques tenue Bonn et la pr sentation d un document sur la mise en oeuvre ventuelle de projets ectronucl aires dans les pays en d veloppement en vue de l att nuation des missions d
238. ional sur les techniques modernes et la dosim trie en curieth rapie gypte Atelier r gional sur les r seaux AIEA et ESTRO de v rification externe de la qualit en radioth rapie Gr ce Cours interr gional sur la planification des traitements en radioth rapie l aide de syst mes ROCS Lituanie Cours interr gional sur les proc dures d talonnage et l assurance de la qualit dans les laboratoires secondaires d talonnage pour la dosim trie Cuba Atelier r gional sur les m thodes harmonis es d talonnage des faisceaux en radioth rapie externe AFRA Maroc Cours r gional sur l application de la chimom trie et des statistiques l valuation des donn es sur les particules en suspension dans l air et des analyses d chantillons d a rosols au noir de carbone Indon sie Cours r gional pour l Asie et le Pacifique sur les applications des techniques isotopiques en nutrition humaine portant plus particuli rement sur les programmes relatifs aux micro l ments nutritifs Tha lande Cours sur l assurance de la qualit Autriche Atelier r gional sur le pr l vement et la pr paration d chantillons Br sil Cours national sur l utilisation d isotopes en nutrition humaine gypte Atelier sur les m thodes efficientes d valuation des incertitudes en chimie analytique Finlande D termination de radionucl ides dans des chantillons d aliments et de l environnement Japon
239. ique Le respect de ces limites devrait tre confirm par des programmes appropri s de surveillance des sources et de l environnement lesquels sont d crits dans un autre guide de s ret qui lui aussi sera bient t achev Une r capitulation des op rations de rejet de d chets radioactifs dans les oc ans l chelle mondiale a t tablie Les recommandations actuelles sur la limitation des rejets ont pour but la protection des tres humains vivant dans l environ nement affect par le rejet consid r Toutefois on se soucie de plus en plus de l environnement lui m me et de la protection des esp ces autres que l homme titre de premi re mesure en ce sens un document de discussion a t publi concernant la protection de l environnement contre les effets des rayonnements ionisants S RET DES D CHETS R SIDUELS On commence tout juste de voir appara tre des politiques internationales concernant l assai nissement des zones et des sites o ont t pr sents des r sidus radioactifs Pour faciliter le consensus sur des principes et crit res a cet gard et en vue de diffuser l information concernant l exp rience nationale et interna tionale l Agence a organis un colloque a Arlington en Virginie tats Unis Les d bats ont montr comme on pouvait s y attendre que des politiques diverses sont actuellement adopt es dans les diff rents pays La r union a permis un premier
240. ires recherch es dans les bases de donn es nucl aires exp rimentales et valu es de l Agence a t mis disposition En outre on a mis au point un nouveau programme facilitant l affichage de statistiques concernant l acc s aux services de l Agence sur Internet r parties par exemple en fonction du sujet ou de la r gion g ographique ce qui constitue un retour d information utile sur l volution des besoins des utilisateurs Un PRC sur la compilation et l valuation de donn es photonucl aires pour les applications a t achev la r union finale de coordination des recherches ayant eu lieu Tokyo en octobre Ce projet a permis de produire la premi re biblioth que internationale de donn es photonud aires qui fournit sous une forme appropri e pour les calculs relatifs au transport des informations sur 164 isotopes importants pour la m decine les travaux de protection et d autres applications Un nouveau PRC sur l laboration d une base de donn es pour l analyse par activation neutronique rayons gamma instantan s a t mis en route Cette base de donn es qui se pr sentera sous forme lectronique et sous forme imprim e comprendra les donn es les plus r centes concernant 80 l ments intensit s facteurs K sections efficaces neutroniques et nergies des rayons gamma de capture par exemple et accroitra les possibilit s offertes par cette technique d analyse puissante tant donn que cell
241. ironnement Programme de recherche coordonn e Quantit significative R gion Afrique R gion Asie de Est et Pacifique R gion Asie de l Ouest R acteur a tubes de force refroidi par eau ordinaire mod r par graphite ex URSS Accord r gional de coop ration sur le d veloppement la recherche et la formation dans le domaine de la science et de la technologie nucl aires R acteur a eau bouillante R acteur a eau lourde R acteur a eau lourde sous pression R acteur a eau ordinaire R acteur a eau sous pression Organisation des Nations Unies pour l ducation la science et la culture Comit scientifique des Nations Unies pour l tude des effets des rayonnements ionisants TABLE DES MATIERES Aper u g n ral i ina ee ee eee eek Me dea eee ee E EN Conseil des gouverneurs et Conf rence g n rale LE PROGRAMME DE L AGENCE EN 1999 Technologie nergie d origine nucl aire Cycle du combustible nucl aire et technologie des d chets valuation comparative des sources d nergie Alimentation et agriculture Sant Humaine s si eee sh dia Run ane ee anda en den ane acne SES Environnement marin ressources en eau et industrie Sciences physiques et chimiques S ret S ret nucl air 542 NN uma daube seb EES e ei Se
242. is en service au 1 janvier 2000 l harmonisation des deux thesaurus INIS et ETDE va tre achev e afin de cr er un thesaurus unique INIS ETDE d ici la fin du premier trimestre 2000 Ces deux mesures devraient permettre de r duire le co t de pr paration des donn es d entr e tout en am liorant la coh rence de l analyse par sujet Une nouvelle technologie a permis de mettre en uvre un projet de t l enseignement sur Internet pour former les utilisateurs d INIS La premi re phase du projet a t achev e en 1999 Le t l enseignement pr sente entre autres avantages une formation la demande et un acc s continu aux moyens de formation l galit des chances d acc s la formation une formation sp cifique offerte chaque utilisateur une mise jour ais e du programme de cours et la possibilit pour les utilisateurs d imposer leur propre rythme d acquisition de la formation STION DE LA COOPERATION TECHNIQUE UR LE DEVELOPPEMENT OBJECTIF DU PROGRAMME Fournir un appui en mati re de gestion pour concevoir ex cuter et valuer les programmes de coop ration technique de mani re efficace et efficiente APERCU GENERAL L ann e coul e a t marqu e la fois par le d but de la mise en uvre du programme de coop ration technique pour 1999 2000 et par le lancement de la planification du programme pour 2001 2002 Si les incertitudes concernant le montant des contributions promises ont compliqu
243. isies par l Agence F d ration de Russie Royaume Uni iv Autres accords de garanties g n ralis es Albanie Toutes les mati res et installations nucl aires Argentine Br sil Toutes les mati res nucl aires dans toutes les activit s nucl aires v Autres accords de garanties Afrique du Sud tats Unis Afrique du Sud France Argentine f tats Unis i Autriche h tats Unis Br sil Allemagne h Br sil f tats Unis i Colombie tats Unis Cor e R publique de tats Unis Cor e R publique de h France Espagne Allemagne h Espagne Canada h Espagne h tats Unis i Inde Canada h Iran R publique islamique d h Etats Unis Isra l tats Unis Japon h Canada h Japon h France Pakistan Canada Pakistan France Philippines h tats Unis Portugal h Etats Unis i Su de h tats Unis Suisse h Etats Unis i Turquie h Etats Unis i Venezuela h Etats Unis i 18 septembre 1989 9 d cembre 1980 10 juin 1985 12 septembre 1981 14 ao t 1978 25 mars 1988 4 mars 1994 26 juillet 1967 5 janvier 1977 25 juillet 1969 24 janvier 1970 26 f vrier 1976 31 octobre 1968 9 d cembre 1970 5 janvier 1968 22 septembre 1975 29 septembre 1982 10 f vrier 1977 9 d cembre 1966 30 septembre 1971 20 ao t 1969 4 avril 1975 20 juin 1966 22 septembre 1972 17 octobre 1969 18 mars 1976 19 juillet 1968 19 juillet 1969 1 mars 1972 28 f vrier 1972 5 juin 1969 27 mars 1968
244. issions et visites de suivi OSART effectu es depuis 1991 a t mise la disposition des compagnies d lectricit des tats Membres sur c d rom De plus en plus on fournit une assistance et des avis techniques l occasion des examens OSART Dans le cadre de l assistance fournie la suite de missions OSART pour encourager l auto valuation de la s ret d exploitation trois s minaires sur la m thodologie OSART ont t organis s en France la demande des autorit s pakistanaises des missions d assistance technique ont t mises sur pied apr s la visite pr OSART effectu e la centrale nucl aire de Chashma pour aider le personnel de l organisme exploitant et de l organisme de r glementation qui doit maintenant se pr occuper essentiellement des questions de s ret d exploitation alors que l on passe de l tape des travaux de construction celle de la mise en service et du d marrage Dans le domaine de la s ret d exploitation un nouveau service baptis PROSPER Examen par des confr res de l exp rience relative la performance en mati re de s ret d exploitation a t lanc II tend le champ Lu ba lt x LU l O za LU Lu ba Ku Lu oO lt Lu l S D Es Lu H Lu D yn des examens effectu s dans le cadre des services ASSET quipes d analyse des v nements importants pour la s ret la capacit d une centrale de bien mettre
245. istribution des sols s dimentation dans les zones en aval et dans les plaines d inondation ainsi quela fraction de sol rod qui est transf r comme s diment dans les eaux de surface Gr ce au PRC une m thodologie standard a pu tre d finie elle sera disponible sous forme de manuel En outre des inventaires de r f rence pour les deux radionucl ides dans diff rentes parties du globe ont t constitu s permettant d identifier des zones o les concentrations dans le sol taient suffisamment importantes pour pouvoir appliquer les m thodologies d finies dans le cadre du PRC Par ailleurs le PRC et les r sultats obtenus ont t pr sent s a une r union du R seau europ en pour la recherche sur le changement a l chelle du globe ENRICH lequel utilise le c sium 137 et le plomb 210 pour tablir et talonner des mod les g n raux de circulation atmosph rique Un PRC sur l valuation isotopique du taux de renouvellement des aquif res dans les zones d ficitaires a permis de mieux int grer les techniques isotopiques d autres m thodes hydrologiques et g ochimiques pour valuer le taux de recharge des nappes souterraines et retracer son histoire Des informations isotopiques et hydrologiques d taill es ont t relev es dans 44 sites de r f rence situ s essentiellement dans des r gions arides Elles ont fourni des estimations sur le taux de recharge v rifi es par des travaux de recherche appli
246. its d eau et d eaux r siduaires et compte tenu du nombre excessif d op rations requises dans les applications environnemen tales il est pr f rable d utiliser plusieurs acc l rateurs de faible puissance qu une seule installation de forte puissance la lumi re de l exp rience accumul e avec des syst mes pilotes et des syst mes fonctionnant plein rendement il s av re que le traitement des eaux us es par faisceaux d lectrons soutient avantageusement la comparaison en termes de co ts avec d autres syst mes de pointe Un projet de coop ration technique de deux ans a t lanc en Europe avec l objectif long terme de transf rer la technologie des rayonnements pour le traitement des eaux us es industrielles et municipales L objectif a court terme est de faire mieux connaitre et mieux accepter les avantages des rayonnements appliqu s au traitement des d chets liquides Des services de consultant ont t sollicit s pour valuer la situation et les tendances en ce qui concerne la mise au point de logiciels pour les tudes l aide de traceurs Un logiciel sur la distribution des temps de s jour pour la recherche des pannes et l analyse de proc d a t recommand comme norme pour plus d une trentaine de groupes de sp cialistes des traceurs dans les tats Membres Ce logiciel facilite l extraction d informations sur le il s av re que le traitement des eaux us es par faisceaux d lectrons
247. ive materials IAEA TECDOC 1074 Generic procedures for monitoring in a nuclear or radiological emergency IAEA TECDOC 1092 Directory of national competent authorities approval certificates for package design special form material and shipment of radioactive material 1999 Edition IAEA TECDOC 1107 177 Lu x lt Lu Z Zz lt 178 Lu x lt Lu Es lt Tableau A27 PUBLICATIONS PARUES EN 1999 suite Report of the international workshop on safety measures to address the year 2000 issue at medical facilities which use radiation generators and radioactive materials IAEA TECDOC 1108 Safety assessment plans for authorization and inspection of radiation sources IAEA TECDOC 1113 Intercomparison for individual monitoring of external exposure from photon radiation IAEA TECDOC 1126 Report on the preliminary fact finding mission following the accident at the nuclear fuel processing facility in Tokaimura Japan IAEA TOAC Safety assessment for near surface disposal of radioactive waste Collection Normes de s ret WS G 1 1 Decommissioning of nuclear power plants and research reactors Collection Normes de s ret WS G 2 1 Decommissioning of medical industrial and research facilities Collection Normes de s ret WS G 2 2 Near surface disposal of radioactive waste Collection Normes de s ret WS R 1 Application of radiological exclusion and exemption principles to sea disposal
248. l article XVIII du Statut qui figure dans le document GC 43 12 Ayant aussi examin le rapport et les recommandations du Conseil des gouverneurs figurant dans le document GC 43 12 qui constituent les observations du Conseil au sujet de la modification susmentionn e de la proposition japonaise qui a t propos e par la Slov nie Ayant galement examin les observations du Conseil sur la proposition japonaise susmentionn e d amendement de l article VI 1 Approuve la modification susmentionn e propos e par la Slov nie l amendement de l article VI propos par le Japon 2 Approuve l amendement propos par le Japon tel que modifi au paragraphe 1 du dispositif et avec de nouvelles modifications par lequel l article VI du Statut de l Agence est amend comme suit Remplacer le paragraphe A de l article VI du Statut de l Agence par ce qui suit A Le Conseil des gouverneurs est compos comme suit 1 Le Conseil des gouverneurs sortant d signe comme membres du Conseil les dix huit Membres les plus avanc s dans le domaine de la technologie de l nergie atomique y compris la production de mati res brutes les si ges pourvus par d signation tant r partis entre les r gions mentionn es ci apr s comme suit Am rique du Nord Am rique latine Europe occidentale Europe orientale Afrique Moyen Orient et Asie du Sud Asie du Sud Est et Pacifique Extr me Orient k NN N MS MM 2 La Conf
249. l aires soumises aux garanties en tonnes Plutonium contenu dans du combustible irradi 565 593 609 Plutonium s par se trouvant hors du coeur des r acteurs 57 6 62 4 67 Plutonium recycl se trouvant dans des l ments combustibles dans le coeur de r acteurs 5 7 2 8 0 Uranium fortement enrichi 20 5 21 4 21 2 Uranium faiblement enrichi Mati res brutes 49 282 49 483 49 408 108 648 90 622 91 647 analys s d autres fins li es aux garanties Le LAG a re u et soumis des mesures de pr s lection 175 chantillons de l environ nement qui ont t ensuite distribu s au r seau de laboratoires d analyse L quipement du LAG en instruments d analyse a t am lior par l acquisition d un spectrom tre de masse par thermo ionisation pour l analyse des mati res nud aires et d un spectrom tre de masse mission d ions secondaires pour la mesure de l uranium et du plutonium dans les particules microscopiques provenant de produits pr lev s dans l environ nement Le microscope lectronique balayage du LAG a t am lior par l addition de deux cristaux analyseurs X permettant des mesures plus sensibles de l uranium du plutonium et de l am ricium contenus dans les particules microscopiques recueillies a l int rieur de cellules chaudes Les activit s du projet J NFL concernant l laboration d une m thode de contr le se sont poursuivies Le travail a continu concernant l tablissement des sp cific
250. l exportation par dosages microbiologiques de qualit assur e 1998 2002 L irradiation comme traitement phytosanitaire d aliments et de produits agricoles 1998 2002 valuation de m thodes d analyse pour d terminer la contamination par mycotoxines d aliments pour l homme et les animaux 1999 2003 Classification des syst mes de sol partir des facteurs de transfert de radionucl ides du sol des plantes de r f rence 1999 2003 Sant humaine Production locale et valuation de r actifs primaires pour le radio immunodosage de l alpha foeto prot ine 1997 2000 tablissement de types mol culaires pour la gestion des tuberculoses multi r sistantes 1997 2000 Corr lation g notype ph notype dans la thalass mie et la dystrophie musculaire 1998 2000 Imagerie des os par SPECT pour les cas de douleurs dorsales inexpliqu es 1997 2000 Relation entre le reflux v sico ur t ral la py lon phrite et les cicatrices r nales chez les enfants atteints d infections r currentes des voies urinaires 1997 1999 valuation de radiopharmaceutiques au techn tium 99m pour le diagnostic et la prise en 164 charge th rapeutique du cancer du sein 1997 2000 Imagerie nucl aire in vivo pour tude des infections et des inflammations 1996 1999 Diagnostic de sous types des h patites B et C par des techniques nucl aires in vitro 1999 2002 Diagnostic de la maladie de Chagas par une combinaison d antig nes et de sondes radiomarqu es 1999 2001 Nor
251. la d tection des mati res radioactives franchissant des fronti res ainsi que sur les mesures prendre en cas d incidents de trafic illicite A noter galement dans le cadre des efforts de l Agence pour am liorer la s curit des mati res radioactives l assistance fournie un tat Membre pour d tecter des sources gar es et pour les entreposer convena blement lorsqu elles ont t retrouv es Cette assistance a t fournie au titre d un projet de coop ration technique Lu 2 o O Q lt x a LU He Lu ba Ku LI D O O Q lt o LU Lu o yn SORETE DU TRANSPORT DES MATIERES RADIOACTIVES L Agence a mis en place un nouveau service TranSAS Service d valuation dela s ret du transport qui examine sur demande l application du R glement de transport des mati res radioactives de l Agence le R glement de transport dans les pays La premi re mission s est rendue en Slov nie en juin juillet 1999 Elle y a valu le cadre l gislatif relatif au transport des mati res On a entrepris une r vision en profondeur des proc dures d intervention en cas d urgence de l Agence et de la formation associ e que l on a mises l essai au cours d un exercice international radioactives et le partage des responsabilit s entre les organismes comp tents les proc dures d approbation et les dispositions prises pour les inspec
252. la coop ration technique en Asie la formation en cascade notamment dans le domaine de la maintenance R publique de Cor e Cours sur des indicateurs de s ret propres aux centrales pour le suivi de la performance en mati re de s ret d exploitation Chine Inde Pakistan Cours sur l auto valuation et les examens par des confr res Chine Cours sur les m thodes de d tection de correction et de pr vention des erreurs humaines Inde Cours sur la formation th orique et pratique la s ret R publique de Cor e Cours sur le vieillissement et la prolongation de la dur e de vie des centrales R publique de Cor e S ret radiologique Cours professionnel r gional de base sur la radioprotection R publique Arabe Syrienne Atelier r gional sur la notification l autorisation l inspection et les mesures d ex cution France Atelier r gional sur la mise en place de services nationaux de surveillance individuelle externe portant plus particuli rement sur la dosim trie par thermoluminescence l exploitation et la gestion C te d Ivoire Atelier r gional sur la radioprotection et l assurance de la qualit en radiologie diagnostique Ghana Tableau A26 COURS SEMINAIRES ET ATELIERS EN 1999 suite Cours universitaire sup rieur r gional sur la radioprotection Afrique du Sud Exercice d intervention en cas d urgence pour un r acteur de recherche Australie Atelier r gional RCA s
253. la part du nucl aire dans la production d lectricit a t la plus lev e l an dernier 30 En France en Belgique et en Su de sa APER U G N RAL lt ez LU Es LU D D LI a lt part a t respectivement de 75 58 et 47 En Am rique du Nord elle a t de 20 pour les Etats Unis et de 12 pour le Canada En Asie elle a t de 43 pour la R publique de Cor e et de 36 pour le apon Malgr cette contribution importante de l lectronucl aire l approvisionnement mondial en nergie aux niveaux tant r gional que national il n y a pas de consensus sur son avenir En Am rique du Nord aucune commande de centrale nucl aire n a t pass e Les centrales nucl aires de construction r cente en particulier celles qui sont standardis es se caract risent notamment par des d lais de construction nettement plus courts et des frais d exploitation plus faibles au cours des deux derni res d cennies et le nombre des r acteurs en service a commenc a diminuer En Europe occidentale selon toute probabilit la capacit nud aire restera a peu pr s son niveau actuel au cours des quelques ann es venir II y aura des augmentations de capacit pour certaines tranches et la dur e de vie de centrales existantes sera prolong e Aucun pays de la r gion n a d cid pour le moment de construire de nouvelles centrales nucl aires encore que la Finlande envis
254. la technique de l insecte st rile s est traduite par des gains substantiels dans le secteur de l levage L levage peut tre pratiqu dans des zones agricoles o il tait impossible auparavant et l limination de la trypanosomiase permet d introduire des races plus productives Selon le rapport alors qu un m nage agricole seulement sur trois poss dait du b tail en 1985 1986 quatre exploitants sur cinq en levaient en 1999 Plus d un tiers de la production laiti re totale de Zanzibar est fourni maintenant par des races am lior es et il existe une forte demande pour des races crois es ou pures parmi la population de Zanzibar mais seulement 5 environ du cheptel sont constitu s par des races am lior es Gr ce aux donn es de r f rence tablies par les conomistes on pourra d terminer dans quelle mesure les possibilit s nouvelles de d veloppement de l levage et de l agriculture grace l limination du probl me de ts ts et de la trypanosomiase se concr tiseront dans les ann es venir W l lt WW zZ LW 2 o Lu D lt sl lt acs Lu PA Lu 2 acs Lu a lt l utilisation des ressources g othermiques m thodes maniement des donn s gd inter pr tation decdles ci En 1999 des r unions ont t organis es avec des responsables de projets de la Banque mondiale pour tudier les probl mes de gestion des barrages et aider le personnel de la Banqu
255. lantes industrielles nouvelles et traditionnelles au moyen de mutations induites et de biotechniques apparent es 1994 1999 Recours a la biologie cellulaire et a la biotechnologie et notamment aux techniques de mutation pour cr er de nouveaux g notypes de banane int ressants 1994 1999 Am lioration g n tique de cultures sous utilis es et n glig es dans les pays a faibles revenus connaissant un d ficit alimentaire grace aux techniques d irradiation et apparent es 1998 2003 Caract risation mol culaire de g nes mutants contr lant des traits importants pour l am lioration des plantes de semence 1999 2004 Mutation de caract res de la racine et performance des plantes alimentaires annuelles 1999 2004 Accroissement de l efficacit du suivi des programmes de lutte contre la trypanosomiase et la mouche ts ts en Afrique par les techniques radio immunologiques et parasitologiques 1993 1999 Recours au radio immunodosage et des techniques apparent es pour tudier comment am liorer les programmes d ins mination artificielle pour le b tail des r gions tropicales et subtropicales 1994 1999 Recours des techniques enzymo immunologiques pour le diagnostic et le traitement de la fi vre aphteuse en Asie du Sud Est 1994 1999 Emploi de techniques nucl aires et colorim triques pour mesurer l apport en prot ines microbiennes par les aliments locaux des ruminants 1996 2001 Suivi et surveillance s rologique de la peste bovin
256. le 10 juin 1997 Entr en vigueur le 22 avril 1975 Entr en vigueur le 10 mars 1975 Entr en vigueur le 23 juillet 1996 Entr en vigueur le 1 f vrier 1982 Entr en vigueur le 23 mai 1997 Sign le 6 janvier 1975 Entr en vigueur le 18 avril 1975 Entr en vigueur le 6 novembre 1978 Entr en vigueur le 14 septembre 1973 Entr en vigueur le 29 d cembre 1976 Entr en vigueur le 23 mars 1984 Entr en vigueur le 20 mars 1979 Entr en vigueur le 1 ao t 1979 Entr en vigueur le 11 octobre 1973 Entr en vigueur le 18 mars 1997 Entr en vigueur le 12 juin 1996 Entr en vigueur le 18 mars 1997 Entr en vigueur le 2 f vrier 1979 Entr en vigueur le 4 novembre 1992 Entr en vigueur le 17 septembre 1976 Entr en vigueur le 11 mars 1982 528 435 Mod 1 544 527 532 Mod 1 465 435 Mod 2 476 306 278 513 Mod 1 232 231 525 299 543 235 265 197 246 316 279 273 201 514 Mod 1 379 Mod1 400 Mod 1 269 414 157 300 conclus avec des tats parties au Protocole additionnel Entr en vigueur le 6 avril 1989 Approuv par le Conseil en juin 1998 Entr en vigueur le 5 juin 1975 366 229 Approuv par le Conseil en septembre 1992 a e g d Les informations reproduites dans les colonnes 1 et 2 ont t communiqu es par le Mexique en sa qualit de d positaire du Trait de Tlatelolco Outre les tats num r s dans la colonne 1 Cuba a sign le Tr
257. le 9 novembre 1972 Sign le 22 novembre 1991 Sign le 14 juin 1996 Entr en vigueur le 11 octobre 1973 Entr en vigueur le 10 avril 1992 Entr en vigueur le 11 septembre 1997 Sign le 26 ao t 1992 Entr en vigueur le 27 octobre 1972 Entr en vigueur le 7 mai 1996 Entr en vigueur le 21 septembre 1998 Entr en vigueur le 1 ao t 1972 Entr en vigueur le 8 janvier 1992 Entr en vigueur le 2 f vrier 1990 Entr en vigueur le 22 janvier 1979 Entr en vigueur le 14 janvier 1980 Sign le 10 novembre 1977 Entr en vigueur le 18 octobre 1977 Entr en vigueur le 3 mars 1972 Entr en vigueur le 1er ao t 1997 Entr en vigueur le 7 janvier 1977 Entr en vigueur le 6 ao t 1984 Adh sion le 1 juin 1995 Entr en vigueur le 6 septembre 1978 Entr en vigueur le 2 f vrier 1979 Entr en vigueur le 28 juillet 1975 Entr en vigueur le 16 mai 1974 Sign le 29 novembre 1990 Entr en vigueur le 18 novembre 1993 Entr en vigueur le 4 novembre 1992 Entr en vigueur le 13 mars 1990 Entr en vigueur le 1 septembre 1981 Entr en vigueur le 15 mars 1991 Entr en vigueur le 22 janvier 1998 Entr en vigueur le 17 septembre 1976 183 201 403 541 180 514 575 187 400 379 268 276 259 173 538 245 320 193 264 269 227 241 426 414 381 133 Lu x lt Lu Es zZ lt Tableau A14 SITUATION AU 31 DECEMBRE 1999 suite Vanuatu 24 ao t 1995 Venezuela
258. lear power plant components important to safety PWR pressure vessels IAEA TECDOC 1120 Self assessment of operational safety for nuclear power plants IAEA TECDOC 1125 A simplified approach to estimating reference source terms for LWR designs IAEA TECDOC 1127 S ret radiologique Safety of radiation sources and security of radioactive materials Collection Comptes rendus Radiation protection and safety in industrial radiography Collection Rapports de s ret n 13 Assessment of doses to the public from ingested radionuclides Collection Rapports de s ret n 14 Occupational radiation protection Collection Normes de s ret RS G 1 1 Assessment of occupational exposure due to intakes of radionuclides Collection Normes de s ret RS G 1 2 Assessment of occupational exposure due to external sources of radiation Collection Normes de s ret RS G 1 3 National competent authorities responsible for approvals and authorizations in respect of the transport of radioactive material List No 30 1999 edition IAEA NCAL 30 Organization and implementation of a national regulatory infrastructure governing protection against ionizing radiation and the safety of radiation sources IAEA TECDOC 1067 Intercomparison and biokinetic model validation of radionuclide intake assessment IAEA TECDOC 1071 Safety measures to address the year 2000 issue at medical facilities which use radiation generators and radioact
259. les installations Le programme de coop ration technique de l Agence a t fortement appuy par les tats Membres gr ce l augmentation des contributions au Fonds de coop ration technique FCT Toutefois les ressources estim es ont beaucoup fluctu et certaines promesses et contributions importantes n ont t re ues qu au dernier mois de l ann e Pour faire face cette situation incertaine l Agence s est appuy e sur le principe de la programmation dynamique La principale soupape de s ret a t qu un plus grand nombre de projets ai que d habitude ont pu tre rendus op rationnels gr ce non seulement des ressources extrabudg taires mais aussi au versement de contributions promises tardivement des projets d un montant de plus de 5 6 millions de dollars sont devenus op rationnels pendant l ann e IIs ont fait l objet d une s lection rigoureuse l aide des crit res suivants a qualit b partage des co ts avec le gouvernement b n ficiaire ou un autre donateur c consid rations li es au principe de la due prise en compte c est dire prise en compte de la situation d un pays eu gard ses promesses de contributions au FCT et leur versement effectif et le cas ch ant aux d penses de programme recouvrables Par ailleurs on a donn la pr f rence aux projets r gionaux afin qu un maximum d tats Membres puissent b n ficier de la mise en op ration de projet
260. lication dans une usine japonaise de fabrication de combustible uranium faiblement enrichi Des r p titions d inspections de ce type ont eu lieu dans les trois autres usines de fabrication de combustible uranium faiblement enrichi et apr s une phase d essai la pleine application est pr vue en 2000 dans quatre installations Une m thode de contr le comportant le recours aux inspections al atoires bref d lai de pr avis est actuellement test e dans une usine de fabrication de combustible uranium faiblement enrichi en Espagne La phase d essai est presque achev e et la mise en application r guli re est pr vue pour 2000 Une nouvelle m thode de contr le pour la v rification du transfert en stockage sec du combustible CANDU puis est en cours de discussion avec le Canada Cette m thode consiste obtenir des empreintes en proc dant des mesures non destructives permettant l identifi cation propre de chaque conteneur de combustible Les empreintes seront conserv es dans une base de donn es et 101 Ku LU p zZ lt o lt Ki Lu zZ lt o lt utilis es ensuite pour v rifier n importe quel moment l identit des conteneurs La m thode a pour but de r duire la pr sence d inspecteurs de l Agence dans l instal lation lors du transport des conteneurs au site de stockage De nouvelles mesures de contr le ont t appliqu es dans deux r acteurs
261. lir un m canisme pour rechercher les causes de ces carts persistants et les r soudre et afin de d terminer les raisons pour lesquelles certains dosim tres soumis uneirradiation compl mentaire n ont pas t renvoy s pour analyse On a aussi not les probl mes qui se posent dans les h pitaux qui ne participent pas r guli rement des contr les externes 102 installations de radio th rapie de 92 h pitaux situ s pour la plupart en Europe orientale et en Asie qui n avaient jamais t v rifi es auparavant ont t incluses dans le programme de dosim trie par thermoluminescence AIEA OMS ce qui a permis de constater que 65 seulement des Lors d un PRC sur l application de techniques nucl aires pour la pr vention de maladies d g n ratives chez les personnes g es on a tabli un protocole pour la normalisation des techniques nucl aires et isotopiques r sultats obtenus lors de cette premi re parti cipation se situaient dans la fourchette de 5 Compte tenu du retour d information positif sur l aide que fournit l Agence pour mettre en place des programmes nationaux d assurance de la qualit en radioth rapie au moyen de la dosim trie par thermoluminescence cinq nouveaux pays ont b n fici d une assistance dans le cadre d un PRC pour entreprendre des programmes nationaux En outre dans le cadre d un projet de coop ration technique concernant l Am rique centrale et les Cara
262. logiciel est utilis dans plus de 300 centres de m decine nucl aire pour diverses applications cliniques dans le cadre de projets de modernisation de gamma cam ras coupl es des ordinateurs individuels standard et de la formation l acquisition et au traitement des images en m decine nud aire e Production d une cassette vid o sur le contr le de la qualit de cam ras scintillation simple t te qui a t utilis e dans diverses activit s de formation et qui vient compl ter un document technique de l Agence sur le contr le de la qualit des instruments de m decine nucl aire IAE A TECDOC 602 e Prorogation du programme de formation distance destin des techniciens de m decine nud aire d Afrique et d Am rique latine Afin d int grer les services de m decine nud aire dans les syst mes de soins de sant et de favoriser l uniformit et la normalisation en ce qui concerne la mise en place de l infras tructure l enseignement la formation les soins aux patients et la recherche on a organis une r union de groupe consultatif pour laborer un manuel pratique de m decine nucl aire en s inspirant des publications relatives aux normes de s ret de l Agence RADIOBIOLOGIE APPLIQU E ET RADIOTH RAPIE On a continu tre attentif aux besoins des tats Membres en d veloppement en les aidant d terminer et acqu rir les techniques de traitement curatif et palliatif du cancer par
263. luations SAEP ont apport une contribution pr cieuse l aboration du programme et budget pour 2001 et de la Strat gie moyen terme SMT La SMT d crivait les buts de l Agence plus longue ch ance et ses objectifs sp cifiques pour la p riode quinquennale 2001 2005 et sp cifiait galement les moyens envisag s pour atteindre ces objectifs Elle visait montrer comment l Agence comptait tre per ue la fin de cette p riode quinquennale La SMT repose sur l approche de l organisation unique en vertu de laquelle toute les activit s pertinentes quel que soit le secteur du programme dont elle d pendent sont int gr es en fonction des trois piliers constitu s par la technologie la s ret et la v rification Les priorit s g n rales indiqu es pour chaque but de la SMT se fondent sur les crit res ci apr s e Responsabilit s statutaires et obligations juridiques de l Agence e D cisions des organes directeurs de l Agence et degr de priorit que les Etats Membres attribuent aux diverses activit s e Opportunit que l Agence joue un r le de chef de file par rapport d autres organisations Toutefois on n a pas tent dans la SMT de fixer des priorit s pr cises Celles ci devront en principe tre tablies dans les propositions relatives au programme et budget qui seront labor es sur la base de la Strat gie et des observations faites son sujet par les tats Membres Une a
264. malisation du traitement de l hyperthyro die par l iode 131 en vue d optimiser les doses de rayonnements et les r actions au traitement 1994 1999 Efficacit et toxicit de radiopharmaceutiques au samarium 153 pour le traitement de m tastases douloureuses du squelette 1996 1999 Relation entre infection r currente du syst me respiratoire inf rieur reflux gastro oesophagien et asthme bronchique chez l enfant 1999 2003 Comparaison de logiciels pour applications cliniques dans les laboratoires de m decine nucl aire au moyen de logiciels fant mes d velopp s par COST B 1999 2003 Elaboration et validation d un syst me de communication par Internet pour les tudes techniques et cliniques en m decine nucl aire 1998 2001 Applications cliniques de radiosensibilisateurs en radioth rapie du cancer 1994 2001 Essai clinique randomis de radioth rapie associ e la mitomycine C pour le traitement de tumeurs avanc es de la t te et du cou 1994 2003 Recours la radioth rapie dans le traitement des cancers avanc s 1995 2000 Combinaison de l hyperthermie r gionale et de la radioth rapie pour le traitement de cancers localement avanc s 1997 2002 M thodes de radiologie applicables en radioth rapie clinique augmentation du nombre de fractions par semaine 1998 2005 ANNEXE Tableau A25 PROJETS DE RECHERCHE COORDONNEE suite Marqueurs du virus HIV chez les patientes trait es par radioth rapie pour un cancer du col de l ut r
265. mars 1970 8 juin 1976 11 f vrier 1970 14 f vrier 1994 11 juin 1970 5 juillet 1994 18 avril 1985 17 novembre 1989 20 mai 1970 31 janvier 1992 Entr en vigueur le 3 mai 1996 Entr en vigueur le 30 juin 1982 Entr en vigueur le 22 avril 1975 Entr en vigueur le 10 mars 1975 Adh sion le 5 avril 1989 Entr en vigueur le 24 novembre 1997 Entr en vigueur le 2 d cembre 1977 Entr en vigueur le 22 mars 1973 Adh sion le 1 octobre 1995 Sign le 3 d cembre 1979 Entr en vigueur le 8 ao t 1978 Sign le 29 septembre 1997 Entr en vigueur le 17 f vrier 1975 Adh sion le 17 d cembre 1981 Entr en vigueur le 23 juillet 1996 Entr en vigueur le 1 f vrier 1982 Approuv en juin 1986 Entr en vigueur le 23 mai 1997 Sign le 6 janvier 1975 Entr en vigueur le 18 avril 1975 Entr en vigueur le 30 mars 1972 Entr en vigueur le 17 juin 1993 Entr en vigueur le 14 juillet 1980 Entr en vigueur le 15 mai 1974 Entr en vigueur le 29 f vrier 1972 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 Entr en vigueur le 16 octobre 1974 Entr en vigueur le 21 f vrier 1977 Entr en vigueur le 8 juillet 1980 Entr en vigueur le 6 novembre 1978 Entr en vigueur le 2 d cembre 1977 Entr en vigueur le 21 f vrier 1978 Entr en vigueur le 11 ao t 1995 Sign le 18 mars 1998 Entr en vigueur le 19 d cembre 1990 Sign le 10 mai 1999 Entr en vigueur le 12 juin 1973 Entr en vigueur le 21 d c
266. me de RIA par auto sensibilisation qui fait appel un anticorps monoclonal pour la mesure de la progest rone contribuant ainsi au d velop pement des techniques de RIA appliqu es au dosage de la progest rone pour r soudre les probl mes sur le terrain et fournir des services diagnostiques pr sentant un int r t direct pour les leveurs Ceci permet de r duire tr s nettement le co t du dosage des chantillons de lait et encourage des laboratoires nationaux s lectionn s des tats Membres se doter des moyens n cessaires la production des r actifs essentiels Dans le cadre de projets de coop ration technique on a dispens une formation et mis en place l infrastructure n cessaire pour permettre chaque r gion g ographique d tre en mesure de satisfaire ses propres besoins en mati re de RIA et pour favoriser la durabilit des applications qui permettront d am liorer la production animale La fi vre aphteuse est toujours une des principales maladies qui limitent la production animale et le commerce du b tail En Asie un PRC con u pour en am liorer le diagnostic et suivre les efforts d ploy s pour lutter contre cette maladie et l radiquer a t achev Gr ce la participation de laboratoires v t rinaires de la r gion il a permis de mettre au point de valider et de normaliser des tests sp cifiques et sensibles aux fins du diagnostic On s est assur de la comp tence des laboratoi
267. ment enrichi UF Pelindaba D Argentine Installation de production d UF Pilcaniyeu Usine de transformation d UO C rdoba S Canada CAMECO Port Hope x Chili Lab exp de transformation Santiago x Japon Usine de transf JCO Tokai Mura Ibaraki ken X Ningyo R amp D Tomata gun Okayama ken x PCDF Tokai Mura Ibaraki ken D Lu x lt Lu Es zZ lt 152 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Mexique Usine pilote de fabrication de combustible Salazar D Roumanie Usine de fabrication de poudre d UO Feldioara Su de Ranstad Mineral Ranstad Usines de fabrication de combustible y compris les usines pilotes Afrique du Sud Fabrication de combustible MTR Pelindaba x Fabrication de combustible uranium faiblement enrichi Pelindaba D Allemagne Adv Nuclear Fuels Lingen x NUKEM Wolfgang x Siemens Uran deux unit s Hanau x Siemens MOX Hanau X Argentine Usine exp rimentale Constituyentes Usine de fabrication de combustible Ezeiza Usine de fabrication de combustible Constituyentes Belgique BN MOX Dessel x FBFC Dessel D FBFC MOX Dessel Br sil Usine de fabrication de combustible Resende x Canada CRNL Fuel Fabrication Chalk River D Installation de fabrication de combustible Chalk River x GEC Inc Toronto D GEC Inc Peterborough x Zircatec Port Hope x Chili UMF Santiago Cor e Usine de fabrication de combustible R publique de CANDU Taejon D KNFFP Ta
268. ment majeur a t la premi re r union d examen des parties contractantes la Convention sur la s ret nucl aire tenue en avril et dont l Agence assurait le secr tariat de gestion de la s ret Le dernier rapport Safe Management of the Operating Lifetimes of Nuclear Power Plants traite du maintien dela s ret dans une installation vieillissante Avec ces publications l INSAG a achev son quatri me mandat de trois ans Les activit s du service de discussions entre confr res sur les pratiques r glementaires PDRP ont indus un change de vues sur l valuation de l efficacit r glementaire Le but tait de d finir les constatations et pratiques communes qui aideront les Etats Membres II a t possible d identifier les caract ristiques d un organisme r glementaire efficace qui pourront tre utilis es comme indicateurs Les d bats ont t r sum s dans un rapport sp cial de la s rie PDRP visant au renforcement des bonnes pratiques r glementaires La conclusion du rapport d finit l efficacit r glementaire comme une combinaison de m thodes traditionnelles audits auto valuation des divers programmes et leur mise en oeuvre et de nouvelles techniques telles que le recours des programmes anticipatifs internes d am lioration de la s ret des examens par des confr res et des inspections par des organismes ext rieurs AU total sept normes de s ret nouvelles ou r vi
269. mmages nucl aires reproduit dans le document INFCIRC 566 Ouvert la signature le 29 septembre 1997 En 1999 un tat a adh r au Protocole la fin de l ann e il y avait deux tats contractants et 14 signataires Convention sur la r paration compl mentaire des dommages nucl aires reproduite dans le document INFCIRC 567 Ouverte la signature le 29 septembre 1997 En 1999 deux tats ont adh r la Convention la fin de l ann e il y avait deux tats contractants et 13 signataires Prorogation de l Accord r gional de coop ration pour l Afrique sur la recherche le d veloppement et la formation dans le domaine de la science et de la technologie nucl aires AFRA reproduit dans le document INFCIRC 377 Entr en vigueur le 4 avril 1995 En 1999 deux tats ont adh r la Prorogation de l Accord la fin de l ann e il y avait 26 Parties Deuxi me Accord portant prorogation de l Accord r gional de coop ration sur la recherche le d veloppement et la formation dans le domaine de la science et de la technologie nucl aires 1987 RCA reproduit dans le document INFCIRC 167 Add 18 Entr en vigueur le 12 juin 1997 La situation de l Accord est rest e inchang e en 1999 avec 17 Parties Accord compl mentaire r vis concernant la fourniture d une assistance technique par l AIEA RSA En 1999 un tat a conclu l Accord la fin de l ann e il y avait 89 Etats qui avaient conclu l Accord R
270. mod le pour la gestion des ressources en eau dans la plaine de Tadla L analyse isotopique de quelque 150 chantillons en 1999 a fourni des donn es cruciales permettant de mettre l essai plusieurs des hypoth ses formul es ant rieurement en ce qui concerne la mise au point du mod le hydrologique Des sp cialistes de l hydrologie et des isotopes du service des eaux et du centre nud aire au Maroc ont particip a un atelier pour examiner et interpr ter les donn es recueillies au titre de ce projet Un nouveau projet de coop ration technique r gional a t lanc sur le d veloppement durable des ressources en eaux souterraines Ce projet auquel participent sept pays d Afrique australe et orientale a pour objectif de faciliter l int gration des techniques isotopiques avec les techniques non nucl aires pour la mise en valeur et la gestion des ressources en eau Les techniques isotopiques ont galement t appliqu es dans un projet de coop ration technique int ressant la Chine Costa Rica le Salvador l Indon sie les Philippines et la Tha lande la surveillance des conditions hydrologiques dans les r servoirs g othermiques ce qui s est traduit par une baisse des co ts de production de l lectricit En outre le projet au Salvador a permis de d velopper la capacit d utilisation des techniques g ochimiques pour pr dire et ma triser l entartrage du r servoir et accro tre sa vie utile pour la produ
271. n es et m thodologies pour l valuation comparative des sources d nergie ENPEP Progiciel d valuation de l nergie et de l lectricit FINPLAN Mod le de planification financi re MAED Mod le pour l analyse de la demande d nergie VALORAGUA Valor Agua valeur de l eau WASP Wien Automatic System Planning Package E sugg r e par le Conseil des gouverneurs sa r union de mars a t achev e Le rapport donne un bref r sum des principaux v nements qui se sont produits en 1999 dans le domaine de l nergie nud aire et examine ensuite les perspectives de lectronucl aire dans les ann es et les d cennies venir Les co ts et la comp titivit la confiance et l acceptation du public ainsi que le d velop pement durable de l nergie figurent parmi les questions trait es L Agence a poursuivi ses analyses dans le cadre des activit s du Groupe intergouverne mental sur les changements climatiques dela Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et de l valuation mondiale de l nergie entreprise commune du PNUD du D partement des affaires conomiques et sociales des Nations Unies et du Conseil mondial de l nergie Cette valuation sera une contribution importante des Nations Unies au CDD NU 9 en 2001 L Agence y participe en tablissant un chapitre sur les ressources nerg tiques APPUI AUX TATS MEMBRES La cr ation de capacit s dans les pays en
272. n hiver et au printemps et les faibles exportations en t et en automne une oscillation interannuelle d environ quatre ans semble se produire dans le flux du carbone vers les fonds En outre les apports sporadiques mais intenses de poussi re saharienne transport e a la surface de la mer peuvent provoquer des augmentations des flux de carbone la fois sous l action directe de fines particules terrestres et par accroissement dela productivit biologique de la colonne d eau effets de fertilisation Ces changements op r s a diff rentes chelles de temps font ressortir la complexit des m canismes qui interviennent dans la production de mati re particulaire organique dans les eaux de surface dans la r duction concomitante du dioxyde de carbone dissous et dans la capacit Nouveaux aquariums exp rimentaux au Laboratoire de l environnement marin Monaco Cette ann e a vu le d marrage et l expansion des nouvelles installations exp rimentales modernes du Laboratoire de l environnement marin destin es la recherche et la formation en radio cologie marine Ces laboratoires sp ciaux sont quip s de diff rents m socosmes de 70 3 OOO litres Les aquariums contr l s peuvent tre r gl s automatiquement diff rentes temp ratures et salinit s afin de simuler parfaitement diff rents cosyst mes marins des estuaires la haute mer Cela a permis l application des radiotraceurs et des m thodol
273. n X NDCU Lab Tokai Mura Ibaraki ken X PNC Tokai R amp D Tokai Mura Ibaraki ken X Centre de R D Toshiba Kawasaki shi Kanagawa ken x Pays Bas Urenco Almelo X Installations de stockage ind pendantes Afrique du Sud Stockage des d chets Pelindaba Installation de stockage en vrac Pelindaba D Stockage d uranium fortement enrichi sous vo te d isolement Pelindaba D Stockage de tuyauteries Thabana Pelindaba x Allemagne Bundeslager Wolfgang ANF UF Lager Lingen x KFA AVR BL Juliers S KFA AVR Juliers x BZA Ahaus Ahaus NCS Lagerhalle Hanau Energiewerke Nord GmbH Lubmin D Energiewerke Nord ZLN Lubmin Transportbehalterlager Gorleben TR Halle 87 Rossendorf Kernmateriallager Rossendorf Argentine Magasin central Ezeiza x Magasin central Constituyentes Stockage de mati res nucl aires Constituyentes Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Australie Belgique Br sil Bulgarie Canada Danemark Etats Unis d Am rique F d ration de Russie Finlande France Hongrie Inde Indon sie lraq Italie Japon Kazakhstan Lituanie Stockage sous vo te d isolement Belgoprocess Elbel Stockage sous eau Stockages d Aramar 2 Installation de production d UF Stockage a long terme Mati res nucl aires Stockage de conteneurs de combustible irradi Stockage a sec Douglas Point Gentilly 1 Stockage de combustible irradi EACL Recherche PUFDSF Magasin Ris
274. n a tabli les principaux modes de r partition de ces isotopes L valuation des sources de radioactivit marine due aux activit s humaines montre que les retomb es mondiales constituent toujours la plus grande source de radioactivit dans les oc ans m me si dans certaines zones elles sont inf rieures aux rejets imputables aux installations de retraitement 57 RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE ENVIRONNEMENT MARIN 58 ENVIRONNEMENT MARIN RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE du combustible nucl aire en mer d Irlande et en mer du Nord par exemple ou l accident de Tchernobyl en mer Baltique et en mer Noire Des radioanalyses ont t effectu es sur une grande vari t d chantillons pr lev s dans les oc ans Indien et Pacifique et dans la mer Caspienne Les r partitions uniformes du strontium 90 du c sium 137 du plutonium et de l am ricium observ es dans le nord de l oc an Indien confirment que les retomb es mondiales constituent la principale source de radioactivit marine d origine humaine dans cette r gion Les taux d activit plus lev s du plutonium 238 plutonium 2394240 observ s dans l oc an Indien sont dus la pr sence dans les eaux de surface de r sidus de plutonium 238 provenant du satellite SNAP qui s tait consum a haute altitude au dessus du canal du Mozambique en 1964 La comparaison des profils du plutonium dans la colonne d eau obtenus au cours de diverses exp ditions da
275. n d arrangements subsidiaires aux accords de garanties une nouvelle Partie g n rale des arrangements subsidiaires ainsi que 117 formules types nouvelles ou r vis es sont entr es en vigueur La Partie g n rale des arrangements subsidiaires l accord de garanties avec EURATOM INFCIRC 193 a t r vis e et mise jour Elle devrait entrer en vigueur dans un avenir proche En outre la Partie g n rale des arrangements subsidiaires pour un protocole additionnel est entr e en vigueur pour un tat Le Laboratoire d analyse pour les garanties LAG et le R seau de laboratoires d analyse NWAL ont analys 664 chantillons de mati res nucl aires et d eau lourde et ont communiqu 1 384 r sultats pour la v rification des d clarations des exploitants d installations concernant leur comptabilit mati res Par ailleurs 181 chantillons ont t 1997 1998 1999 2 499 2 507 2 495 10 240 10 071 10 190 Scell s pos s sur des mati res nucl aires ou sur du mat riel des garanties qui ont t enlev s et v rifi s ult rieurement y compris les scell s pos s conjointement avec EURATOM 24 943 26 824 28 044 Films de surveillance optique examin s 1 500 932 ab yat Bandes vid o examin es 4 010 4 884 5 033 chantillons de mati res nucl aires analys s 888 645 664 R sultats d analyse de mati res nucl aires communiqu s 2 150 1 610 1 587 chantillons de l environnement analys s 585 497 511 Mati res nuc
276. n destructives e Les essais sur le terrain se sont poursuivis concernant un REO en R publique de Cor e et des REO au J apon Des syst mes de t l surveillance pour application r guli re ont t install s dans deux REO en Suisse et deux REO et un stockage de combustible puis en Afrique du Sud l application r guli re devant commencer dans tous les REO en Suisse au cours de l ann e 2000 e Les essais sur le terrain d un syst me de t l surveillance complexe pour la v rification du transfert en stockage sec de combustible CANDU puis en Argentine se sont poursuivis dans le cadre d un programme d appui conjoint e Les plans pour l tablissement d une installation d essai de dispositifs de t l surveillance au Si ge de l Agence ont t achev s Des relais de trame pour le transfert s curis de donn es ont t mis en place au bureau r gional de l Agence Toronto ainsi qu en Afrique du Sud En ce qui concerne la mise au point de mat riel voir l annexe tableau A21 dix syst mes avec leur logiciel ont t modifi s et am lior s 19 ont t d velopp s et valu s et six autoris s pour emploi lors des inspections La mise au point d un nouveau logiciel pour le mini analyseur multicanal l am lioration de l actuel scell lectronique VACOSS et le d veloppement de nouveaux types de scell s lectroniques ainsi que d un nouveau d tecteur au tellurure de cadmium zinc plus perfectionn pour
277. n et du traitement de l uranium pr occupent particuli rement un certain nombre d tats Membres leur concen tration en radionucl ides est g n ralement faible mais il s agit de radionucl ides p riode extr mement longue et leur volume peut tre consid rable La gestion de ces d chets a t le th me de missions de l Agence au Br sil et au Tadjikistan L Agence a entrepris un projet sp cial de grande ampleur pour aider les tats Membres faire face au probl me informatique de l an 2000 paul e par des experts des tats Membres elle a labor des documents l lt o LU zZ LW 2 o Lu D lt donnant des conseils aux op rateurs d installa tions nucl aires d installations de gestion des d chets radioactifs et d installations m dicales utilisant des g n rateurs de rayonnements ou des mati res radioactives Des ateliers ont t organis s sur la pr paration des centrales nucl aires des installations de gestion des d chets et des installations m dicales pour le passage l an 2000 et un atelier sp cialement consacr la question de l tablissement de plans d urgence pour les centrales nucl aires a eu lieu en novembre L Agence a galement envoy sur demande 20 missions dans des centrales nud aires de neuf tats Membres pour examiner les dispositions que celles ci avaient prises en vue du passage l an 2000 et leur donner des avis ce sujet Le Centre de l
278. n finale On a d cid que la liste des centres d sign s qui couvrent toutes les parties de la r gion et de nombreux sujets sera r examin e tous les trois ans Trois tablissements sp cialis s dans la r paration et la maintenance de diff rents types d instruments nucl aires fonctionnent d ja comme des Centres de ressources r gionaux Comme 1999 tait la premi re ann e du cycle de programmation un gros effort a t fait pour am liorer la qualit des projets par la formation d homologues nationaux avant que des propositions de projets soient soumises a l Agence Un nouveau programme de formation sur la conception et la planification des projets a t mis au point au Laboratoire national d Argonne gr ce au financement du D partement de l nergie des Etats Unis Ce programme comprend une formation a l utilisation de l outil de suivi con u par l Agence pour renforcer l ex cution des projets pendant le prochain cycle Plusieurs ateliers de suivi ont t ensuite organis s par les b n ficiaires du cours dans leurs pays respectifs PLANIFICATION COORDINATION ET VALUATION Les outils qui servent concevoir les programmes avec les pays et les r gions dans le cadre du travail en amont sont notamment les produits qui r sultent des exercices de planification th matique Deux exercices de ce type ont t men s bien en 1999 dans les domaines de la s ret et la durabilit des barrages et de
279. n fonction d exemples de trois r gions typiques d une vaste gamme d options faisant appel au nud aire et aux combustibles fossiles et de deux sc narios conomiques La salinit et la temp rature de l eau de mer la capacit des installations les co ts de construction et les taux d int r t faisaient partie des param tres consid r s Dans le domaine des r acteurs refroidis par m tal liquide et des syst mes nucl aires nouveaux pour la production d nergie et la transmutation des actinides l Agence a notamment lanc un PRC sur les programmes et les m thodes nouveaux de r duction des incertitudes du calcul des effets de la r activit pour les r acteurs rapides a m tal liquide L objectif est de v rifier de valider et d am liorer les m thodes et les programmes de calcul des coefficients de r activit dans les r acteurs br lant du plutonium et des actinides mineurs par la comparaison des m thodes des valeurs de constantes nucl aires et des programmes et sur la base des r sultats exp rimentaux obtenus et utilis s par diff rents tablissements Cette activit rev t un int r t particulier du fait de l utilisation ventuelle du plutonium de qualit militaire dans les r acteurs rapides Un groupe consultatif a proc d un examen d taill des programmes nationaux de R D sur les syst mes aliment s par acc l rateur ll s agissait de dresser le bilan de ces programmes et d valuer le degr
280. n fran ais un en russe et un en espagnol SYST ME INTERNATIONAL D INFORMATION NUCL AIRE INIS INIS compte actuellement 122 participants dont 103 pays et 19 organisations inter nationales La base de donn es INIS sur Internet a re u un grand nombre de demandes d inscription en 1999 On comptait 1136 utilisateurs enregistr s b n ficiaires d un acc s payant ou gratuit pour 3 210 utilisateurs en tout La base de donn es INIS a continu d tre disponible sur CD ROM et a t diffus e en 1999 448 abonn s titre payant ou gratuit Dans le cadre d un arrangement de coop ration entre l Agence et la Banque de donn es de l AEN OCDE 406 programmes informatiques sur 4 667 ont t distribu s des utilisateurs dans les tats Membres de l Agence qui ne sont pas membres de l OCDE lesquels ont envoy deux programmes sur 62 Deux nouveaux modules le sous syst me de produits INIS OPS et le syst me d enregis trement INIS IRS ont t d velopp s pour le syst me de traitement de donn es INIS L IRS permet l enregistrement en ligne de toutes les entr es enregistrements bibliographiques et documentation non commercialis e connexe en texte int gral sous forme de copie imprim e ou lectronique II rationalise galement la transmission directe de la documentation non commercialis e au syst me de num risation INISIS En 1999 3 259 documents non commercia lis s ont t num ris s p
281. n jour comme source d nergie les m mes r actions de fusion nucl aire que celles dont le soleil et les toiles sont le si ge Afin de promouvoir une collaboration internationale utile un nombre important d tats Membres dans divers domaines de la recherche d veloppement sur la physique des plasmas et la fusion contr l e l Agence fournit une assistance en organisant diverses activit s telles que des conf rences des r unions techniques et des PRC Ces activit s facilitent les changes d informations techniques encouragent la coop ration entre de grands laboratoires et des pays en d veloppement favorisent les applications d riv es aident les Etats Membres en d veloppement a renforcer leurs programmes de recherche et appuient les activit s de conception technique du projet ITER Une r union de comit technique sur la th orie analytique du transport qui a eu lieu a Kloster Seeon Allemagne en juin a permis de d battre d un large ventail de th ories sur la physique des plasmas qui visent a pr dire le taux de perte de chaleur transport d un plasma thermonucl aire confinement magn tique Des simulations tridimension nelles sur ordinateur du d placement des particules du plasma utilisant des millions de coordonn es mettent en vidence des courants ou des flux zonaux de plasma qui traversent le champ magn tique et provoquent des flux de chaleur locaux rapides La th orie des plasmas est main
282. n syst me d alimentation lectrique non interruptible a t install de sorte que les ordinateurs centraux et l infrastructure de r seau sont d sormais totalement prot g s contre toute interruption fortuite de courant Un plan d urgence et de transition avait galement t pr vu pour r duire au maximum tout incident pouvant r sulter du passage informatique l an 2000 la fin de 1999 on a examin avec la soci t Microsoft les moyens d am liorer et de rationaliser les proc dures de l Agence relatives aux licences L Agence est en train de finaliser avec Microsoft un Accord Entreprise qui lui permettra de r duire le co t total de possession TCO en r alisant des conomies gr ce la standardisation au regroupement des besoins mondiaux en produits logiciels aux meilleurs rabais et la diminution des frais g n raux li s aux proc dures de suivi des licences et de commande La cr ation du syst me d information sur les correspondants a progress avec la migration vers un environnement client serveur du syst me de listes de diffusion qui se trouvait sur l ordinateur central En outre OASIS le site Intranet g n ral de l Agence et le syst me de dossiers de pays ont re u un appui op rationnel Les t ches du programme ont comport ce qui suit e Appui pour r am nager et d velopper largement le syst me de traitement des donn es INIS e Extension du syst me d information sur les r ac
283. nalyses effectu es dans le cadre d tudes environnementales on a caract ris l aide de diverses techniques d analyse deux mati res savoir les lichens IAEA 336 et AEA 338 pour d terminer leur composition l mentaire Dans le cadre d un PRC concernant l homme asiatique de r f rence on a proc d l analyse de divers l ments traces en vue de la certification d une mati re de r f rence pour l alimentation japonaise Lu zZ lt gt T Lu m z lt 9 ENVIRONNEMENT MARIN RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE OBJECTIF DU PROGRAMME Am liorer l aptitude des Etats Membres surveiller et valuer la radioactivit dans l environnement marin afin de prot ger celui ci et utiliser des techniques nucl aires et des isotopes de l environnement pour mieux comprendre et valuer les processus marins et la pollution marine recourir aux techniques isotopiques et nucl aires appropri es 56 APER U G N RAL Le programme de l Agence sur l environnement marin reste ax sur la protection des oc ans et des mers c ti res gr ce la surveillance et l valuation de la radioactivit ainsi qu l utilisation des techniques nucl aires et isotopiques pour comprendre le devenir et le comportement des polluants Les contributions les plus notables de l Agence en 1999 ont t le d veloppement des capacit s l assurance de la qualit la diffusion de mati res de r f rence et de m thodes l
284. nce de la qualit pour la radioth rapie par le biais de services postaux de dosim trie par thermo luminescence ou de visites dans les h pitaux Par ailleurs pr s de 30 des LSED ont commenc talonner des sources et du mat riel de curieth rapie et 20 commenceront bient t le faire En ce qui concerne la dosim trie des rayons X 40 des LSED talonnent des instruments utilis s en radiologie diagnostique Le service postal d assurance des doses AIEA OMS charg de surveiller l talonnage des faisceaux de radioth rapie utilis s dans des h pitaux du monde entier a v rifi 377 faisceaux dont 228 taient des faisceaux mis par des sources au cobalt 60 et 149 des faisceaux de rayons X de haute nergie mis par des acc l rateurs cliniques Le pourcentage des carts situ s dans la fourchette des limites acceptables 5 est pass d environ 65 dans le pass 81 en 1998 87 En ce qui concerne les carts situ s en dehors de cette fourchette l Agence a lanc un programme de suivi r gulier en contactant les h pitaux soit directement soit par l interm diaire de l OMS OPS pour trouver l origine de ces carts et soumettre les TLD des irradiations successives Apr s analyse de ce programme on a constat que 39 des h pitaux avaient am lior leurs r sultats au cours d une irradiation compl mentaire mais que 18 des carts subsistaient En cons quence l Agence est en train d tab
285. ndary Standard Dosimetry Laboratories IAEA WHO SSDL 99 SSDL newsletter Nos 40 41 Nuclear geophysics and its applications Collection Rapports techniques n 393 Stability and stabilization of polymers under irradiation IAEA TECDOC 1062 Production technologies for molybdenum 99 and technetium 99m IAEA TECDOC 1065 Characterization of ceramics and semiconductors using nuclear techniques IAEA TECDOC 1069 Optimization of production and quality control of therapeutic radionuclides and radiopharmaceuticals IAEA TECDOC 1114 NDT A guidebook for industrial management and quality control personnel Collection Cours de formation n 9 Ultrasonic testing of materials at Level 2 Collection Cours de formation n 10 17th IAEA Fusion Energy Conference Collection Comptes rendus Nuclear Fusion Vol 39 Yokohama Special Issues 1 and 2 selected papers from the 17th IAEA Fusion Energy Conference Nuclear Fusion Vol 39 No 12 ITER Physics Basis Environmental and industrial applications of nuclear analytical techniques IAEA TECDOC 1121 Tableau A27 PUBLICATIONS PARUES EN 1999 suite Intercomparison of alpha particle spectrometry software packages with the companion diskette containing the set of test spectra and programs used for analysis IAEA TECDOC 1104 ITER Newsletter ITER Final Design Report Cost Review and Safety Analysis FDR and Relevant Documents ITER EDA Documentation Series No 14 ITE
286. nge d informations sur les progr s technologiques permettant d am liorer la rentabilit des REO actuels et futurs Il a aussi recommand de mettre davantage l accent sur les techniques permettant d accro tre la s ret et sur la mise en commun et la pr servation des donn es techniques En outre la participation de jeunes ing nieurs au d veloppement de la technologie de l lectro nucl aire a t consid r e comme prioritaire Un PRC sur la cr ation d une base de donn es relative aux propri t s thermophysiques des mat riaux pour REO et REL a t lanc L objectif est de favoriser l change d informa tions du domaine public sur ces propri t s afin d am liorer la conception et la s ret Une base de donn es sur les propri t s dans les conditions normales de transitoire et d accident grave qui fera l objet d un examen par des confr res sera cr e sur Internet Des efforts sont en cours pour valuer de fa on critique les donn es sur les propri t s thermo physiques et recommander les exp rimenta tions r aliser lorsque les donn es manquent actuellement ou que des incertitudes doivent tre r duites Les mat riaux pour REO et REL qui seront tudi s comprennent ceux des combustibles du gainage des tubes de force et de la calandre les absorbeurs et les mat riaux de structure le comportement des liquides et des m langes en conditions d accident grave sera aussi tudi L utilisation de
287. nickel dans la fragilisation par irradiation des aciers des cuves Le contrdlecommande est un domaine d dans la performance des centrales nud aires Pour fournir des conseils et des informations on a mis en place une base de donn es sur les syst mes d appui aux op rateurs OSSDB qui contient des informations sur les caract ristiques les plus pertinentes de ces syst mes Elle est ax e sur les utilisateurs leurs besoins et les avantages de ces syst mes L objectif de la strat gie de coop ration technique de l Agence est de promouvoir le d veloppement socio conomique en contribuant de fa on efficiente aux activit s consacr es des priorit s essentielles en mati re de bien tre Au titre de cette strat gie un appui technique a t fourni dans des domaines tels que la mise en uvre de nouveaux projets lectronucl aires et le d veloppement des infrastructures nucl aires nationales y compris la formation de personnel l infrastructure la gestion de la dur e de vie des centrales et l am lioration de la gestion op rationnelle La plupart des activit s de coop ration technique ont t men es en Europe en Asie et dans le Pacifique D VELOPPEMENT DE LA TECHNOLOGIE DES R ACTEURS NUCL AIRES DE PUISSANCE Le Groupe de travail international sur les techniques de pointe pour les r acteurs eau ordinaire s est r uni Vienne en mai et a conseill de continuer de donner la priorit l cha
288. nnais sance mutuelle pour le r seau AIEA OMS de LSED permettant ainsi aux laboratoires de m trologie des rayonnements ionisants des pays en d veloppement qui sont membres du r seau de LSED d acc der une reconnais sance internationale sans pr c dent dans le pass et de faire reconna tre au niveau inter national leurs talons et leurs certificats d talonnage La signature de cet arrange ment impose naturellement des contraintes strictes sur la performance des LSED et obligera a rendre plus strictes les conditions fix es pour l acceptabilit des r sultats des comparaisons interlaboratoires et des contr les de la qualit organis s par l Agence pour les LSED Le r seau AIEA OMS de LSED comprend actuellement 70 laboratoires et six organismes nationaux LSED dans 59 Etats Membres 1 comprend galement 15 membres affili s des laboratoires primaires d talonnage pour la dosim trie LPED et cing organisations internationales coop rantes Un LSED cr au Vietnam dans le cadre d un projet de coop ration technique a t admis en tant que nouveau membre du r seau Au total 70 talons nationaux et chambres d ionisation de r f rence ont t talonn s l Agence pour les Etats Membres environ 80 d entre eux servaient la radioth rapie et 20 la radioprotection L Agence a galement achev la mise au point d talons de mesure des faisceaux utilis s pour la mammographie des fins
289. nnes d une sensibilit de 85 et d une sp cificit de 83 Un PRC r gional sur la normalisation du traitement de l hyperthyro die par l iode 131 en vue d optimiser les doses de rayonnements et les r actions au traitement a t achev Au cours d un essai th rapeutique al atoire bas sur le concept de la dose absorb e 900 patients atteints d hyperthyroidie ont t trait s l iode 131 des doses de 90 ou 60 Gy Les meilleurs r sultats ont t obtenus dans le groupe qui avait re u la dose la plus lev e 90 Gy On a galement observ qu il tait possible de r duire sensiblement l activit de l iode 131 administr e en utilisant le lithium en tant qu adjuvant Un PRC pr c dent avait aid certains Etats Membres a se doter de moyens pour produire du samarium 153 dans leurs r acteurs Par la suite un nouveau PRC clinique visant a valuer l efficacit et la toxicit de radio pharmaceutiques au samarium 153 EDTMP pour le traitement de m tastases douloureuses du squelette a t entrepris L analyse des donn es concernant 417 patients qui avaient t ainsi trait s et suivis pendant 16 semaines a montr que les douleurs taient sensiblement att nu es chez 73 d entre eux chez lesquels on n a observ que des effets h matologiques minimes ou faibles et aucune toxicit syst mique En outre chez 82 des patients qui avaient r agi au traitement la prise d analg siques apr s la th ra
290. ns et de plantes basses qui permettraient de surveiller long terme la pollution atmosph rique dans ces zones On s est servi des techniques nucl aires et des techniques d analyse connexes pour d montrer la pr sence de polluants environnementaux non radioactifs On a galement entrepris une comparaison interlabo ratoires d chantillons de lichens pour appuyer les activit s de contr le de qualit n cessaires W On a appliqu la technique cin tique utilisant le deut rium comme marqueur pour valuer la prise de lait maternel et la composition corporelle en recourant a la spectroscopie infrarouge et a la spectrom trie de masse isotopique Un projet mod le de coop ration technique entrepris au S n gal a permis de l implanter avec succ s sur le terrain et de fournir une assistance technique a d autres pays africains En outre la suite d un PRC sur les valuations isotopiques de la nutrition maternelle et infantile aux fins de la pr vention des retards de croissance chez l enfant cette technique est largement employ e dans les pays d Am rique latine et au Pakistan ainsi que dans le cadre d un nouveau PRC sur les valuations isotopiques pour surveiller la croissance des nouveau n s entrepris en collaboration avec le programme de surveillance de la croissance de l OMS Selon l OMS et d autres organisations inter nationales les maladies chroniques li es au Vieillissement deviennent un probl me s rieux dans de n
291. ns le cadre des programmes d appui des tats Membres d des essais de surveillance distance et de transfert de donn es dans une installation en Allemagne et une en Su de La coop ration entre l ABACC et l Agence s est poursuivie Des proc dures ont t mises au point pour permettre d utiliser ou r aliser en commun des mat riels des inspections inopin es et des cours de formation La coop ration de l Agence avec les syst mes nationaux de comptabilit et de contr le du J apon et de la R publique de Cor e en vue d accro tre l efficience des inspections comprend l utilisation commune de mat riel des garanties et la mise au point de proc dures cet effet Les discussions entam es en vue de renforcer encore la coop ration avec les SNCC se poursuivent Les activit s men es dans les tats dot s d armes nucl aires ont t les suivantes Un projet tripartite Chine F d ration de Russie Agence relatif l enrichissement a t achev Ce projet visait mettre au point dans une usine d enrichissement en Chine une meilleure m thode de contr le utilisant la technologie russe de centrifu gation gazeuse Les mesures sugg r es sont maintenant mises en oeuvre Suite la d cision prise en 1993 par les tats Unis de soumettre aux garanties de l Agence les mati res nucl aires retir es des programmes militaires l Agence a continu inspecter les mati res contenant de l uranium fortement enrichi
292. ns le nord ouest de l oc an Pacifique a permis de mettre en vidence concernant les concentrations de cet l ment dans l eau de mer des diminutions consid rables avec le temps Les quantit s de s diments contenant du plutonium calcul es partir de donn es stock es dans la base de donn es sur la radioactivit marine mondiale diminuent lorsqu on se d place des sites d essais des les Marshall vers la zone centrale du nord ouest et vers le nord est de l oc an Pacifique Ces calculs concordent avec des observations ant rieures qui ont montr que le nord ouest du Pacifique a t touch par des retomb es la fois mondiales stratos ph riques et troposph riques imputables aux essais nucl aires effectu s sur les atolls de Bikini et de Enewetak et dans les les Marshall tandis que le nord est du Pacifique n a t touch que par des retomb es mondiales Les analyses de l hydrog ne 3 du strontium 90 du c sium 137 du plutonium et de l am ricium dans les eaux de surface et dans la colonne d eau de la mer Caspienne indiquent que les bassins profonds marins sont ventil s rapidement le temps de renouvellement des eaux tant estim 200 ans environ Les taux de radionucl ides observ s dans l eau de mer peuvent s expliquer par les retomb es mondiales et aucune autre source de radioactivit marine due l homme n a pu tre relev e sur les sites d chantillonnage tudi s Dans le cadre du progr
293. nstruction et l exploitation des installations elles m mes Un certain nombre d activit s ont t entreprises pour aider les tats Membres en d veloppement se doter des capacit s 35 CYCLE DU COMBUSTIBLE NUCL AIRE ET TECHNOLOGIE DES D CHETS 36 CYCLE DU COMBUSTIBLE NUCLEAIRE ET TECHNOLOGIE DES DECHETS n cessaires pour g rer leurs d chets radioactifs dans de bonnes conditions de s ret Par exemple les m thodes et les proc dures de gestion des d chets avant stockage ont fait l objet de d monstrations r gionales dans des installations de traitement et d entreposage en exploitation au Chili aux Philippines en F d ration de Russie et en Turquie Ces d monstrations ont permis par exemple d acqu rir une exp rience pratique du traitement et de l entreposage de d chets solides et liquides de faible activit Les tats Membres ont aussi re u une aide en ce qui concerne la gestion s re de sources de rayonnements scell es et us es en particulier des sources de radium non utilis es Par exemple des sources us es de radium ont t conditionn es et transf r es dans des d p ts pour stockage long terme en Chine au Costa Rica en Jama que au Pakistan au P rou et en R publique Unie de Tanzanie avec l aide d quipes d experts br siliens pour l Am rique latine d Afrique du Sud pour l Afrique et d quipes nationales en Chine et au Pakistan L quipe pakistanaise aidera en out
294. nt le deuxi me semestre de 1999 Elles ont examin dans quelle mesure le cadre juridique et r glementaire est appropri et l organisme de r glementation est habilit faire respecter les lois et les r glements et elles ont valu le syst me de notification d autorisation et de contr le des sources de rayonnements les ressources financi res et humaines existantes et le nombre de personnes ayant re u une formation appropri e Les r sultats de ces examens indiqueront la marche suivre pour l ex cution du projet mod le Dans le cadre d un projet de coop ration technique le logiciel du Syst me d infor mation des autorit s de r glementation RAIS a t traduit d anglais en arabe en espagnol en fran ais et en russe et distribu plus de 40 tats Membres I se compose des cinq modules suivants inventaire des sources de rayonnements et des installations d irradiation processus de d livrance des autorisations inspections et mesures d ex cution dosim trie du personnel soumis une exposition professionnelle et indicateurs de performance pour chaque installation ainsi que pour l ensemble du programme r glementaire Un nouveau projet r gional de coop ration technique destin am liorer la radiopro tection professionnelle dans des centrales nucl aires en Asie ainsi qu un projet similaire pour l Europe et le Syst me d information sur la radioexposition professionnelle ISOE font partie d un
295. ogies isotopiques pour valuer le transport le comportement et le devenir des radionucl ides et des contaminants toxiques l tat de traces dans des environnements marins d licats comme les zones c ti res de la M diterran e et de l Atlantique les r cifs coralliens tropicaux et les r gions p lagiques temp r es Des titulaires de bourses de l Agence et d autres stagiaires des tats Membres ont commenc utiliser ces installations afin d valuer l utilit de divers organismes marins comme esp ces bio indicatrices pour diff rents contaminants mesur s dans le cadre des programmes nationaux respectifs W accrue de l oc an a absorber le dioxyde de carbone de l atmosph re Parall lement ces tudes vis e dimatique les techniques nucl aires ont t mises profit dans une exp rience in situ pour comparer les mesures du flux descendant de particules et de carbone avec les estimations par ordinateur de l limination des particules des eaux de surface Trois mod les de pi ges s diments couramment utilis s par la communaut oc anographique internationale ont t d ploy s en mer pendant un mois au printemps et on a compar les flux mesur s avec des estimations indirectes des flux de carbone bas es sur les d s quilibres entre le thorium 234 et l uranium 238 On a constat queles r sultats obtenus avecles trois mod les de pi ges correspondaient la dynamique des particules dans la
296. oisi me r union du Groupe de travail international sur les techniques de pointe pour les r acteurs eau lourde a eu lieu Vienneen juin Elle a notamment recommand que les travaux dans ce domaine se poursuivent dans deux directions vision strat gique a long terme et activit s techniques Elle a recommand aussi d accorder davantage d attention aux aspects du d veloppement technologique des REL qui int ressent la s ret Les r acteurs de faible puissance sont ceux dont la puissance lectrique ou la puissance thermique quivalente est inf rieure 300 MWe celle des r acteurs de moyenne puissance se situant entre 300 et 700 MWe Ces r acteurs de faible ou moyenne puissance RF MP constituent une option valable pour la production d lectricit dans les pays ayant des r seaux de distribution de faible capacit ou dans des r gions isol es Ils peuvent aussi servir pour des applications non lectriques et pour la cog n ration telles que le dessalement de l eau de mer et le chauffage urbain ainsi que pour la production de chaleur industrielle haute temp rature En 1999 les travaux sur les RFMP ont comport la tenue en octobre Vienne d une r union de groupe consultatif sur l laboration d un plan strat gique pour un projet international de recherche d veloppement sur des cycles du combustible nucl aire et des centrales nucl aires novateurs II en est r sult un ensemble de recommandations c
297. okai Mura Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Kawasaki shi Kanagawa ken Tokai Mura Ibaraki ken Semipalatinsk Almaty Riga Bangi Selangor Ocoyoacac Halden Kjeller Tachkent Tachkent Rawalpindi Rawalpindi Delft Petten Petten Lima Lima Quezon City Diliman Swierk Swierk Swierk Sacavem Damas Kinshasa KK KK X X X Se Se S Se SS Se Se S S Se Se OK Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite R publique populaire Assemblage critique 1 Bungang Ri Nyongbyon x d mocratique de Cor e IRT 1 Bungang Ri Nyongbyon x R publique tch que LR O 1 Rez x R acteur d enseignement de l Universit VR 1P 1 Prague x VVR S 1 Rez D Roumanie Triga Il 1 Pitesti Colibasi x VVR S 2 Magurele x Slov nie Triga Il 1 Ljubljana x Su de RR de Studsvik 2 Studsvik Suisse AGN 211P 1 Bale x Crocus 1 Lausanne D Proteus 1 W renlingen D Saphir 1 Wtrenlingen D Thailande TRR 1 1 Bangkok x Turquie Centre de recherche et de formation nucl aires Cekmece 1 Istanbul x ITU TRR Triga Mark II 1 Istanbul x Ukraine RR de Kiev 1 Kiev IR 100 RR 1 S bastopol Uruguay Centro Investigaciones 151 Nucleares 1 Montevideo x Venezuela RV 1 Altos de Pipe D Viet Nam R acteur de recherche de Dalat 1 Dalat Lam Dong x Yougoslavie R p f d de RA RB 2 Vinca x Usines de transformation y compris les usines pilotes Afrique du Sud Usine de transformation Pelindaba D Usine de production d uranium forte
298. older farms in Africa IAEA TECDOC 1102 The South American fruit fly Anastrepha fraterculus Wied Advances in artificial rearing taxonomic status and biological studies IAEA TECDOC 1064 Development of a female medfly attractant system for trapping and sterility assessment IAEA TECDOC 1099 Product quality control irradiation and shipping procedures for mass reared tephritid fruit flies for sterile insect release programmes Irradiation as a quarantine treatment of arthropod pests IAEA TECDOC 1082 Use of nuclear and related techniques in studies of agroecological effects resulting from the use of persistent pesticides in Central America IAEA TECDOC 1116 Facts about food irradiation 2 dition ICGFI Safeguarding our harvest ICGFI Irradiation and trade in food and agricultural commodities ICGFI Enhancing food safety through irradiation ICGFI Consumer attitudes and marketing response to irradiated food ICGFI The safety of poultry meat from farm to table ICGFI Handbook for mould room for teletherapy IAEA PRTM 4 Techniques for high dose dosimetry in industry agriculture and medicine Proceedings of an international symposium IAEA TECDOC 1070 Calibration of brachytherapy sources guidelines on standardized procedures for the calibration of brachytherapy sources at Secondary Standard Dosimetry Laboratories SSDLs and hospitals IAEA TECDOC 1079 SSDL network charter IAEA WHO network of Seco
299. ole additionnel approuv par le Conseil des gouverneurs Lorsqu elles seront pleinement appliqu es dans un tat les mesures de renforcement pr vues par un accord de garanties compl t par un protocole additionnel permettront l Agence de tirer des condusions quant au non d tournement de mati res nucl aires d clar es et l absence de mati res et activit s non d dar es dans cet tat On entend par garanties int gr es la combinaison de toutes les mesures de contr le applicables par l Agence en vertu des accords de garanties g n ralis es et des protocoles additionnels qui permet dans la limite des ressources disponibles detirer ces conclusions avec le maximum d efficacit et d efficience L laboration d un concept d un plan et d une approche pour les garanties int gr es a progress en 1999 sous la direction d un groupe de sp cialistes de l Agence Ce projet b n ficie de l appui d un certain nombre Pour renforcer les garanties il est essentiel de recourir davantage dans le cadre du r gime d inspection normal des inspections bref d lai de pr avis d tats Membres et des conseils techniques du Groupe consultatif permanent sur l appli cation des garanties SAGSI et d experts techniques ext rieurs Le concept que l on est en train de mettre au point pr voit une approche au niveau de l tat consistant appliquer des m thodes de contr le int gr es des types d
300. olloque sur l utilisation la s ret et la gestion des r acteurs de recherche s est tenu Lisbonne en septembre Les probl mes de s ret qui ont t le plus souvent voqu s lors de ce colloque taient ceux qui affectent les r acteurs de recherche anciens lesquels sont d sormais en majorit dans le monde Parmi les questions sp cifiques qui ont t examin es figuraient la gestion du vieillis sement l actualisation des rapports de s ret la documentation et les examens p riodiques de la s ret la gestion du combustible us et le d classement ACTIVIT S R GLEMENTAIRES CONCERNANT LA S RET NUCL AIRE On continue pr senter de nouvelles demandes pour le service IRRT et le nombre des missions souhait es au cours des trois ann es venir est lev En 1999 une mission Lu lt LWW l oO 2 FA WW ke Lu oO D Ki LU DC lt LI l oO Lii LU oO D N IRRT deux missions pr IRRT et quatre visites pr paratoires pour des missions pr vues en 2000 ont t men es a bonne fin A l origine le service IRRT portait essentiel lement sur la r glementation de la stret nucl aire Or beaucoup d organismes de r gle mentation demandant de telles missions sont aussi charg s de la s ret radiologique de la s ret des d chets radioactifs et de la s ret du transport en sorte qu un nombre croissant de missions sont effectu es par des quipes compr
301. ombreux pays en d velop pement en particulier dans ceux o la situation nutritionnelle et d mographique est en train de changer On a lanc un PRC sur l application de techniques nucl aires pour la pr vention de maladies d g n ratives chez les personnes g es afin de d terminer les m canismes de d clenchement de ces maladies et de d finir de meilleures m thodes de pr vention AU cours de la premi re r union de coordination de la recherche organis e en mai Vienne on a tabli un protocole pour la normalisation des techniques nucl aires et isotopiques notamment de l valuation d un mod le hom ostatique pour mesurer la sensibilit l insuline et des m thodes de d termination de la composition corporelle des substrats et du m tabolisme de l nergie Une r union de groupe consultatif sur la nutrition laquelle ont particip des sdenti fiques de pays d velopp s et de pays en d veloppement des repr sentants de l OMS et de l Institut sur les l ments traces pour l UNESCO s est tenue en novembre Elle avait pour objet de faire le point sur les travaux de l Agence relatifs la nutrition et de mettre au point des recommandations pr cises sur le d veloppement des techniques isotopiques appliqu es aux domaines concernant la sant humaine en vue de projets et activit s futurs Dans le cadre de deux PRC on a tabli un r seau mondial de stations de surveillance pour d terminer la composit
302. on Pour renforcer les garanties il est essentiel de recourir davantage dans le cadre du r gime d inspection normal des inspections bref d lai de pr avis lesquelles donneront des assurances suppl mentaires quant aux op rations d clar es d une installation Des visites inopin es fr quence limit e sont d j effectu es r guli rement dans des usines d enrichissement et un syst me similaire d inspections al atoires court d lai de pr avis dans des usines de fabrication de combustible l uranium faiblement enrichi a t mis au point et exp riment en 1999 En 1999 on a galement continu mettre au point et appliquer des technologies de v rifi cation avanc es et notamment des d tecteurs am lior s des syst mes de surveillance num riques de nouveaux scell s et des syst mes de v rification automatique Les progr s technologiques r cents ont rendu possible l introduction de syst mes de t l sur veillance La t l surveillance permettra peut tre de r duire la fr quence des inspections d accro tre la capacit d examen et d valuation des donn es et de d tecter distance tout v nement important du point de vue des garanties et d y faire face rapidement Son efficience pourra d pendre des particularit s de l installation concern e et de l infrastructure de communication de l tat Des chantillons de l environnement ont t r guli rement pr lev s en 1999 dans
303. on que de besoin Lu 2 o O O Q lt x ba LU He Lu ba Ku SURETE DES DECHETS RADIOACTIFS OBJECTIF DU PROGRAMME Promouvoir la gestion s re des d chets radioactifs notamment la s ret des d chets stockables rejetables et r siduels par l laboration et l application de normes de s ret appropri es et par la et de ui aux accords internationaux pertinents fourniture d un a services dans le cadre de ces accords selon que de besoin OBJECTIF Le programme relatif la s ret des d chets a t ax sur la mise au point d un ensemble complet de normes de s ret accept es au plan international avec la participation active des Etats Membres et sous l autorit d un comit consultatif international Une publication de la cat gorie Prescriptions de s ret et un guide de s ret sur le stockage en surface des d chets radioactifs ont t publi s de m me que deux guides de s ret sur le d classement Plusieurs autres documents de s ret y compris un texte sur la limitation des rejets ont t presque achev s Un colloque international s est tenu Arlington tats Unis pour traiter de la question des d chets r siduels Des avis sur des questions particuli res de gestion des d chets ont t fournis un certain nombre d tats en particulier d tats qui n ont pas de centrales nucl aires et n ont gu re d infrastructure pour g rer les d chets mais qui ont
304. oncernant l appui de l Agence dans ce domaine et l identification de neuf projets possibles Un groupe consultatif et des consultants ont pass en revue l exp rience d exploitation de r acteurs de faible puissance pour la propulsion de brise glace et de cargos Il a t admis que avec quelques modifications de leur conception ces r acteurs pourraient tre utilis s soit pour la production d lectricit soit pour des applications non lectriques telles que le chauffage urbain et le dessalement Une tude de la rentabilit du dessalement nucl aire a mis en vidence les conditions dans lesquelles il serait comp titif par rapport aux nergies fossiles notamment dans les r gions isol es Les r sultats des diverses r unions seront pr sent s ensemble dans un document technique Les r acteurs refroidis par gaz RRG peuvent fonctionner haute temp rature offrant la possibilit d une efficience accrue pour la production d lectricit et d applications de la chaleur industrielle haute temp rature IIs suscitent un int r t accru au niveau inter national comme en t moignent la construction et la mise en service de deux r acteurs de recherche de ce type au J apon et en Chine ainsi que deux projets internationaux d tude de tels r acteurs Le Groupe de travail international sur les r acteurs refroidis par gaz s est r uni au Royaume Uni en septembre pour passer en revue les activit s dans
305. oncerne les Etats ne faisant pas partie de l Am rique latine ni des Cara bes qui sont responsables de jure o de facto de territoires situ s dans les limites de la zone g ographique tablie par le Trait 137 Lu x lt Lu Z Zz lt Tableau A16 ACCORDS PR VOYANT DES GARANTIES AUTRES QUE CEUX QUI ONT ETE CONCLUS DANS LE CADRE DU TNP OU DU TRAITE DE TLATELOLCO APPROUVES PAR LE CONSEIL DES GOUVERNEURS AU 31 DECEMBRE 1999 2 Partie s 2 Objet Entr e en vigueur INFCIRC L Agence tant partie chacun des accords ci apr s on a mentionn seulement l les Etat s partie s auxdits accords i Accords de projet Argentine c Siemens SUR 100 13 mars 1970 143 R acteur RAEP 2 d cembre 1964 62 Chili d R acteur Herald 19 d cembre 1969 137 Colombie d Combustible pour r acteur de recherche 17 juin 1994 460 Espagne e R acteur Cora 23 juin 1967 99 Finlande e R acteur FIR 1 30 d cembre 1960 24 Assemblage sous critique FINN 30 juillet 1963 53 Ghana e R acteur de recherche et combustible correspondant 14 octobre 1994 468 Gr ce e R acteur GRR 1 L mars 1972 163 Indon sie e Charge suppl mentaire pour r acteur TRIGA 19 d cembre 1969 136 Fourniture d uranium enrichi 15 janvier 1993 453 Fourniture d uranium enrichi 15 janvier 1993 454 Iran R p islamique d e R acteur UTRR 10 mai 1967 97 Jamaique e Combustible pour r acteur de recherche 25 janvier 1984 315 Japon e JRR 3 24 mars 1959 3 Malaisie
306. onomiquement viables Plusieurs tats Membres ont mis profit les r sultats de travaux de R D men s dans le cadre d un PRC sur le traitement par irradiation des eaux des eaux us es et des boues Les exemples ci apr s illustrent l application de cette technologie grande chelle 66 INDUSTRIE Des eaux souterraines contenant des compos s organiques chlor s en Basse Autriche ont t trait es par irradiation par faisceaux d lectrons parall lement l addition d ozone La d min ralisation compl te des polluants a t r alis e et tous les tests de toxicit effectu s sur l eau trait e se sont av r s n gatifs La ville de Voronej en F d ration de Russie a eu recours aux rayonnements ionisants pour traiter des eaux souterraines contenant un d tergent provenant d activit s industrielles Un acc l rateur faisceaux d lectrons mobile mis au point aux Etats Unis a servi d montrer le traitement de tous les types de d chets aqueux Des eaux souterraines fortement contamin es en Allemagne et des eaux souterraines contamin es aux Etats Unis par un additif p trolier ont t trait es avec succ s grace ce syst me mobile Des effluents d une grande entreprise chimique au Br sil ont t trait s l chelle pilote par faisceaux d lectrons Une installation pilote construite en R publique de Cor e dans une usine de traitement des eaux r siduaires provenant de la teinture de textiles a
307. ons Br sil Formation collective r gionale sur l irrigation fertilisante et le recours aux techniques nucl aires dans la gestion de l eau et des l ments nutritifs Jordanie S minaire r gional FAO AIEA sur la vulgarisation des pratiques d agroforesterie Sri Lanka Atelier r gional sur l valuation de la dynamique des l ments nutritifs et de l eau dans les syst mes de culture Chili S minaire FAO AIEA sur les techniques de mutagen se et la g n tique mol culaire pour l am lioration des plantes tropicales et subtropicales dans la r gion Asie et Pacifique Philippines Tableau A26 COURS SEMINAIRES ET ATELIERS EN 1999 suite Atelier r gional FAO AIEA sur l exp rience pratique des techniques mol culaires et de mutagen se Autriche Atelier d examen et de planification pour l Asie et le Pacifique sur les strat gies de compl mentation alimentaire et la gestion de la reproduction du b tail Myanmar Premi re r union de coordination du projet AIEA AFRA sur l augmentation et l am lioration de la production de lait et de viande Maroc R union de coordination et examen mi parcours du projet AFRA Il 47 laboration et valuation sur le terrain de compl ments alimentaires pour animaux Madagascar Atelier r gional sur la peste porcine africaine S n gal Atelier r gional AIEA RCA sur le radio immunodosage en phase solide par auto sensibilisation pour la mesure de la progest rone
308. opiques ont gagn en importance dans le monde entier ces derni res ann es et sont utilis es pour r soudre un large ventail de probl mes auxquels on se heurte dans la d termination la valorisation et la gestion des ressources en eau Les applications des isotopes ont fait la preuve des avantages techniques et conomiques qu elles pr sentent dans de nombreux domaines de l hydrologie Les techniques isotopiques constituent aussi un outil important pour comprendre et recons tituer les conditions climatiques responsables des cydes hydrologiques actuels et pass s On am liore les mod les dela circulation g n rale pour la simulation des conditions climatiques actuelles gr ce des donn es sur la composition isotopique de l eau contenue dans la pluie et la neige Les ph nom nes p riodiques tels que El Ni o entra nent court terme d importants changements dans le r gime des pr cipitations et l on tudie leur impact sur la gestion des ressources en eau par des techniques isotopiques Les isotopes stables et radioactifs offrent en outre un outil sans quivalent pour tudier l origine des polluants atmosph riques et leur contribution au r chauffement de la plan te Dans la plupart des pays d velopp s les ressources en eaux souterraines sont valu es couramment l aide de techniques isotopiques Comme exemple de travaux r cents on peut citer le fait que l on est parvenu mieux d terminer l origine du d
309. ostic de plasmas faible temp rature INSTRUMENTATION NUCL AIRE La r union finale de coordination des recherches pour un PRC sur les outils logiciels pour la spectrom trie gamma a eu lieu en octobre Ce PRC portait sur le traitement des donn es nud aires et les nouveaux codes et biblioth ques de spectrom trie gamma pour ordinateurs personnels la suite de ce PRC on a mis au point de nouveaux progiciels sur les sujets suivants mesures concernant des spectres obtenus l aide d un d tecteur iodure de sodium bas niveau spectres gamma obtenus avec des d tecteurs Ge de haute puret pics d annihilation largis par effet Doppler biblioth ques de donn es sur le rayonnement gamma corrections pour co ncidences v ritables calculs d efficacit pour des sources de grande taille analyse de spectres gamma partir de biblioth ques de donn es Ces nouveaux codes informatiques aideront les tats Membres mesurer de fa on plus pr cise les constituants des mati res dans de nombreux domaines tels que la physique la chimie les sciences de la vie l industrie l arch ologie et la surveillance de l environnement Un nouveau PRC sur l application des techniques nud aires la d tection des mines terrestres antipersonnel a t lanc en 1999 La premi re r union de coordination des recherches a eu lieu a Zagreb Croatie Cette r union a soulign l int r t que pr sentent les m thodes nucl aires
310. oton cycles de v g tation plus courts et rendement en fibres am lior ont t produites et de nouvelles vari t s de colza de moutarde de tournesol et de coton r sistantes aux insectes nuisibles et aux maladies ont t identifi es Ce PRC a aussi permis de mettre au point des marqueurs mol culaires pour le soja le tournesol Cuphea et le coton d isoler et de transf rer des g nes porteurs de propri t s lipidiques particuli res r sistants aux insectes nuisibles et la s cheresse et de proc der l change de mat riel g n tique de g nes isol s et de s quences d ADN entre les pays participants Quatre vingt treize nouvelles entr es ont t enregistr es dans la base de donn es FAO AIEA sur les vari t s de mutants officiellement mises en circulation AU total 1 961 vari t s mutantes de plus de 163 esp ces de plantes diffus es dans 62 pays sont maintenant r pertori es dans cette base de donn es Afin d accro tre la probabilit de s lection de vari t s mutantes de bananier et de plantain r sistant aux maladies qui est actuellement limit e par le chim risme les Laboratoires de l Agence Seibersdorf ont simul une mutagen se in vitro de m rist mes multi cellulaires en induisant une mixoplo die et en utilisant la cytom trie de flux comme moyen de d tection II a t ainsi possible d observer et de comprendre le processus de dissociation de chim res gr ce diff rentes te
311. ouler en d cembre 1999 conform ment l accord de garanties TNP entre l Iraq et l Agence L inspection avait pour but de v rifier les mati res nucl aires Un nouveau syst me a t mis au point pour aider les tats Membres pr parer les d clarations pr vues aux articles 2 et 3 du Protocole additionnel relevant de cet accord l installation de stockage de Tuwaitha La v rification a t effectu e en janvier 2000 TUDES ET APPUI Avec l ach vement en d cembre 1998 du projet relatif la t l surveillance a commenc la mise en oeuvre de ces syst mes aux fins des garanties I convient de noter en particulier ce qui suit e Dix sept syst mes ont t install s et dix mis en service Par ailleurs 25 syst mes ont t achet s pour installation en 2000 Une analyse co t b n fice a t effectu e pour appuyer la planification de la mise en oeuvre future de la t l surveillance e Un syst me de t l surveillance a t install dans un grand r acteur de recherche au Canada en tant qu l ment d une nouvelle m thode de contr le e La seconde phase d un projet de t l sur veillance dans une usine de fabrication de combustible MOX au J apon est presque termin e Le projet comprenait la transmission de l installation au bureau Ku LU p zZ lt o lt 106 yn Lu zZ lt o lt r gional de l Agence de donn es provenant d analyses no
312. our valuer la s ret des nappes souterraines profondes et il a fourni des informations cruciales dont on ne disposait pas malgr les efforts consid rables d ploy s dans l utilisation des technologies non nucl aires E 63 RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE ENVIRONNEMENT MARIN 64 ENVIRONNEMENT MARIN RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE Les efforts pour instaurer une synergie avec d autres organismes se sont poursuivis dans le cadre d un processus consultatif entre l OMM l UNESCO et des tablissements scientifiques des tats Membres en vue de lancer une nouvelle initiative intitul e Programme international sur les isotopes dans le cycle hydrologique II s agit d int grer a part enti re l hydrologie isotopique dans les programme d hydrologie des universit s et de cr er dans le cadre du Programme hydrologique international de l UNESCO des comit s nationaux qui faciliteront les applications de l hydrologie isotopique dans les secteurs de l eau et du climat dans les tats Membres une r union consultative avec l UNESCO et l OMM en d cembre il a t d cid de demander officiellement au Conseil intergouvernemental PHI UNESCO sa r union en 2000 que ces comit s nationaux soient constitu s dans le cadre des comit s PHI L une des missions de l Agence est de fournir dans le monde entier des mati res de r f rence pour l analyse isotopique A cette fin on a am lior la pr cision et la
313. ources radio actives ouvertes en vue de les pallier provisoirement AU cours de la derni re d cennie la radio th rapie a fait de plus en plus appel l imagerie par tomodensitom trie et r sonance magn tique pour am liorer la d finition des tumeurs en vue de la localisation des cancers Une meilleure visualisation des tumeurs canc reuses a accru la pr cision des syst mes fournis au titre de projets de coop ration technique de l Agence pour l immobilisation des patients et la planification des traitements afin de veiller ce que la partie irradi e du patient ne d passe que tr s l g rement les limites de la tumeur La contamination de l environnement est une pr occupation mondiale L Agence assure une surveillance de la contamination radioactive et des contaminants non nucl aires dans le milieu marin en collaboration avec le PNUE et la COI UNE SCO II est n cessaire de bien conna tre le comportement des radionucl ides dans l oc an pour valuer les cons quences qu ils pourraient avoir sur l environnement ou la sant humaine Les connaissances ainsi acquises pourraient alors offrir une base pour l valuation rapide l avenir de l impact de rejets ventuels dus des accidents qui se produiraient dans des installations nucl aires ou des sites de d chets nucl aires situ s sur le littoral ou au transport maritime de combustible us et de d chets de haute activit L utilisation de nouve
314. ouveau n s en collaboration avec l OMS en partie RCA 1999 2002 Application de techniques nucl aires pour la pr vention de maladies d g n ratives ob sit et diab te non insulinod pendant chez les personnes g es 1998 2002 Techniques isotopiques pour examiner l incidence des infections et autres pathologies de la prime enfance sur les tats diarrh iques la mal assimilation et les troubles de croissance 1999 2003 Recherche appliqu e sur la pollution de l air l aide de techniques d analyse nucl aires et apparent es dans la r gion Asie et Pacifique RCA 1995 1999 165 Lu x lt Lu Z Zz lt Evaluation l aide de techniques d analyse nucl aires et apparent es des niveaux et des effets sur la sant de particules en suspension dans l air dans les industries d extraction d affinage et de travail des m taux 1996 2000 Recours aux techniques d analyse nucl aires et apparent es pour la validation et l utilisation de plantes comme bio indicateurs des micropolluants de l atmosph re 1997 2002 Le cycle du mercure dans les environnements contamin s ses effets sur la sant tudi s au moyen des techniques nucl aires 1999 2004 Environnement marin ressources en eau et industrie tudes sur la radioactivit marine dans le monde 1998 2001 Utilisation du radiotraitement pour la pr paration de biomat riaux pour des applications m dicales 1995 1999 Am lioration des propri t s physiques du
315. par le D partement de l nergie des tats Unis Denver ont publi une d claration commune indiquant les domaines sur lesquels ils sont d accord Une conf rence de l Agence organis e Cordoue Espagne en mars 2000 a donn une occasion suppl mentaire d oeuvrer en faveur du consensus La question des d chets r siduels c est dire les r sidus radioactifs d activit s men es dans le pass comme les essais d armes nucl aires et l extraction et le traitement de minerais m talliques a particuli rement retenu l attention ces derni res ann es Un consensus sur des principes et des crit res de s ret appropri s commence appara tre progressivement par exemple de nouvelles recommandations de la Commission inter nationale de protection radiologique sur le traitement des situations d exposition prolong e chronique ont t approuv es en 1999 et seront publi es en 2000 Afin de contribuer l obtention d un consensus et de diffuser des informations sur les exp riences nationales et internationales l Agence a organis un colloque Arlington tats Unis Les discussions ont confirm que des politiques diff rentes ont t adopt es ou sont en voie d adoption dans les pays concern s Ce colloque qui a permis d amorcer des changes d informations sur les raisons de ces diff rences d approche a marqu un progr s vers la convergence des efforts internationaux Les r sidus de l extractio
316. parties int ress es Une autre question qui pr occupe la communaut des utilisateurs de r acteurs de recherche est celle du combustible us compte tenu en particulier du fait que les tats Unis pr voient de mettre fin leur programme de rapatriement du combustible d ici le milieu de l ann e 2006 Dans la pratique cela signifie que faute d autre solution appropri e pour l vacuation du combustible us il faudra peut tre fermer un grand nombre de r acteurs de recherche pourtant productifs On a soulign que de nombreux r acteurs de recherche ne pourraient continuer fonctionner que si l on mettait ult rieurement en service des installations r gionales ou internationales d entreposage et de stockage d finitif du combustible us Un nouveau PRC a soulign l int r t que pr sentent les m thodes nucl aires pour la d tection des mines terrestres Lors d une r union de comit technique sur les applications des sources de neutrons aliment es par acc l rateur tenue Debrecen Hongrie la mise au point r cente de petits g n rateurs de neutrons lectrostatiques portables tube scell a t examin e On a soulign l int r t potentiel des sources de ce type dans des domaines tels que le d minage humanitaire l analyse l mentaire et l industrie Dans de nombreux cas les sources de neutrons tube scell ou confinement lectrostatique inertie pourraient remplacer les sources
317. pheline En 1999 l Agence a contribu faire face des cas graves de surexposition imputables de telles sources en Turquie et au P rou et elle a continu fournir une assistance la G orgie o de nombreuses sources ont t d couvertes depuis la dissolution de l Union sovi tique Pour faire face la r p tition de ces v nements un plan d action sur la s ret des sources de rayonnements et la s curit des mati res radioactives a t labor Ce plan expose un programme de travail que l Agence pr voit d ex cuter dans les ann es venir en s appuyant au maximum sur les initiatives en cours telles que le projet mod le de coop ration technique visant renforcer les infrastructures de s ret radiologique et de s ret des d chets dans les tats Membres lorsque cela est n cessaire et les travaux men s en collaboration avec l OMD et INTERPOL en ce qui concerne la pr vention et la d tection du trafic illicite et les mesures pour le combattre Les principaux l ments du plan d action en mati re de r glementation couvrent les activit s de l Agence qui visent Le renforcement des programmes nationaux de r glementation concernant la s ret des sources de rayonnements et la s curit des mati res radioactives ainsi que l entreposage ou le stockage d finitif des sources retir es du service La d tection et l intervention d urgence La r cup ration et l assainissement La formation es
318. pie a t sensiblement r duite voire compl tement arr t e on consid re donc qu il est extr mement rentable de traiter ainsi ce type de patients Le transfert de technologie de m decine nud aire aux tats Membres en d velop pement dans le cadre de projets de coop ration technique a notamment inclus les activit s suivantes e Utilisation de sondes et d amorces ADN radiomarqu es pour d pister les familles atteintes par le syndrome de l X fragile et la dystrophie musculaire au Costa Rica Parmi les 17 familles chez lesquelles a t d tect le syndrome de IN fragile 73 personnes ont particip aux tests diagnostiques et parmi les 18 chez lesquelles avait t d pist e une dystrophie musculaire 72 personnes ont particip aux tests Les personnes concern es ont t inform es du risque d avoir un enfant atteint de ces maladies e Transfert des m thodes relatives au dosage immuno radiom trique de la prot ine PS2 et aux r cepteurs des oestrog nes mises au point dans le cadre d un PRC sur le diagnostic de tissus mammaires canc reux aux participants un cours r gional organis pour dix pays de l Asie de l Est e Transfert sept pays d Am rique latine d une nouvelle m thode peu on reuse et synth tique de d pistage du virus de l h patite C base de peptides mise au point par le Costa Rica e Mise au point d une nouvelle version non prot g e du logiciel Portable Image Processing Ce
319. plans ont galement t tablis pour r pondre aux besoins d tats individuels une autre r union des tats donateurs et b n ficiaires la quatri me r union annuelle du Programme d appui technique coordonn tenue Vienne en novembre l accord s est fait sur la n cessit d assurer la durabilit des syst mes de contr le nucl aire et le besoin de formation et de mat riel en vue de combattre l utilisation ill gale de mati res nucl aires Un cours de protection physique sur la conception des syst mes a t organis en R publique tch que pour des personnes venant d tats d Europe orientale et de l ex Union sovi tique Un atelier pr sentant une introduction aux questions de protection physique a t tenu Chypre pour des responsables du Moyen Orient et d Afrique du Nord Des ateliers r gionaux concus pour aider les Etats renforcer leurs syst mes de contr le des mati res nud aires sur la base des garanties de l Agence ont t organis s au B larus en mai et en Ouzb kistan en octobre L Agence a apport une contribution au programme du groupe d experts de la non prolif ration du G 8 en tablissant la liste des points de contact dans les tats qui auraient pour fonction dans une situation de crise d acheminer rapidement les informa tions essentielles pour les transmettre aux hauts responsables Un essai du syst me a t effectu en juin pour voir si des am liorations seraient poss
320. plus importante du travail de l Agence en mati re de s ret concerne le renforcement des organismes nationaux de r glementation Les questions de r glementation occupent galement une place essentielle dans le programme relatif la s ret des installations nucl aires dans les pays d Asie du Sud Est du Pacifique et d Extr me Orient parmi lesquels figurent des tats qui ne poss dent pas encore de centrales nucl aires mais qui envisagent de recourir l option nucl aire Le service IRRT Equipe internationale d examen de la r glementation de l Agence a re u pour la premi re fois des demandes d Etats Membres d Europe occidentale et septentrionale Le mandat du service IRRT a galement t tendu afin delui permettre de s occuper si on le lui demande de la s ret radiologique et de la s ret des d chets radioactifs et des transports Ces derni res ann es les responsables de la r glementation ont de plus en plus prouv le besoin de d montrer l efficacit de leurs activit s L Agence a commenc travailler l laboration d outils permettant d valuer l efficacit dans le domaine r glementaire La nouvelle norme de s ret de l Agence sur l infrastructure juridique et gouvernementale de s ret pourrait servir de base pour l laboration d outils d auto valuation destin s aux organismes de r glementation Un nouveau service le Service d valuation de la s ret du transport TranS
321. pour la d tection des mines terrestres et la possibilit d associer des capteurs nucl aires d autres moyens pour localiser de tels objets lorsqu ils sont enfouis Les travaux suivants ont notamment t men s aux Laboratoires de l Agence Seibersdorf e Mise en place d installations de formation la conception et la r paration de modules lectroniques fond s sur la technologie du montage en surface TMS e laboration de trousses didactiques pour la formation l lectronique nucl aire y compris des trousses TMS et photo volta ques fond es sur l nergie solaire pour des instruments alimentation lectrique discontinue e Mise au point et essai d un syst me d exploration original logiciel et mat riel pour des d tecteurs au tellurure de cadmium zinc de grande taille utilis s dans des appareils de spectrom trie gamma portables e Construction de sources d lectricit miniatures pour des travaux de spectrom trie gamma sur le terrain et am lioration du mat riel et du logiciel pour une nouvelle g n ration de moniteurs de rayonnements portables e Elaboration et mise en oeuvre d un progiciel Windows 95 NT pour un module d analyse par fluorescence X r flexion totale e Adaptation en vue de leur application pratique de proc dures optimales de pr paration des chantillons pour l analyse par fluorescence X et formation la r alisation de mesures tr s pr cises parties par millia
322. producteurs ind pendants ont eu acc s au syst me et les march s de l lectricit bas s sur les soumissions d offres ont t ouverts pour stimuler la concurrence L Agence a mis l hydro lectricit pourra tre distribu la fin de 2000 L examen par des confr res de la base de donn es techniques de r f rence RTDB qui contient des informations sur les aspects techniques conomiques et environne mentaux des divers l ments des cha nes nerg tiques a t men bien dans le cadre du projet interorganisations DECADES Les Exemple des synergies que I Agence cherche a tablir avec d autres en roe des travaux visant petite ne organisations internationales une tude nouvelle m thologie WASP de planification de l expansion des syst mes pour tenir compte de r alis e en collaboration avec AEN OCDE tend jusqu 2100 les projections long ces changements En particulier on a commenc laborer de nouveaux outils de planification du syst me lectrique qui fourniront aux tats Membres des informations sur la fa on dont les centrales nucl aires existantes peuvent soutenir la concurrence sur le nouveau march de l lectricit et sur les moyens d int grer de nouvelles centrales dans les plans de d velop pement a long terme La mise au point du logiciel B Glad pour l estimation et l valuation des co ts externes li s la production d lectricit est achev e
323. ptimisation de la r cup ration de ressources min rales gr ce aux jauges nucl aires portables de faible activit e Modification des polym res naturels grace au radiotraitement e Installations de d monstration pour le stockage d finitif des d chets hospitaliers et le traitement des eaux us es industrielles gr ce aux rayonnements Les avantages que les tats Membres de la r gion du RCA devraient en retirer se traduiront par la mise en place de technologies nucl aires avanc es et intrins quement s res pour r soudre les probl mes Stimul par les r sultats obtenus dans d autres r gions un projet sur les END dans l industrie a t entrepris en Asie occidentale Il vise mettre en place et perfectionner des groupes de sp cialistes des END pour exploiter ce potentiel technologique dans les secteurs de l industrie et du g nie civil et pour d marrer un processus de formation et de certification du personnel effectuant des END Il est surtout ax sur la formation th orique et pratique d un noyau de personnes dans chaque tat Membre afin de r pondre aux imp ratifs des normes internationales telles que ISO 9712 Ces personnes peuvent ensuite poursuivre leur formation et certification dans leur pays puis d velopper les capacit s locales en mati re d END pour le contr le de la qualit des produits industriels Cing r unions de groupe consultatif ont t organis es sur les sujets consid r s comme
324. qu e sur le terrain et variant de quelques fractions de millim tre quelques dizaines de millim tres par an Contrairement aux m thodes hydrologiques dassiques la m thodologie isotopique est parfaitement appropri e pour l valuation du taux de renouvellement naturel des eaux souterraines dans des environnements arides Le rapport final sur ce PRC sera publi en 2000 La derni re r union de coordination de la recherche pour un PRC sur l application des techniques isotopiques l valuation des eaux souterraines profondes se d pla ant lentement et ventuellement l valuation de sites de stockage d finitif de d chets s est tenue en ao t septembre Vienne cette occasion la m thode de datation au krypton 81 a t utilis e dans le Grand Bassin Art sien d Australie pour estimer des ges d eaux souterraines de l ordre de plusieurs milliers d ann es Ce travail en collaboration de sept instituts et de l Agence a semble t il fourni pour la premi re fois des informations fiables sur des eaux souterraines de cet ge En outre les r sultats du PRC offrent un outil suppl mentaire pour l valuation de la s ret de sites g ologiques pour le stockage d finitif des d chets nucl aires Les nouvelles techniques de d termination du rapport des isotopes stables des l ments l gers et les mati res de r f rence n cessaires cet effet ont t examin es lors d une r union de groupe consultatif sur l
325. qui en a t tir e est qu en cas de suppl mentation en vitamine A aux fins de l enrichissement des aliments et de l am lio ration de l alimentation la technique de la dilution isotopique faisant appel a la vitamine A marqu au deut rium se r v lait tre moins invasive que d autres m thodes tradi tionnelles utilis es pr c demment pour valuer les r serves dans le corps comme celle qui consiste mesurer directement le taux de Vitamine A par des biopsies du foie Combin e d autres m thodes traditionnelles savoir la d termination de r tinol dans le s rum et l empreinte cytologique oculaire cette technique permet de d finir plus pr cis ment le bilan vitamine A notamment dans les groupes vuln rables tels que les enfants les femmes enceintes et celles qui allaitent Lichens et Mousses Des indicateurs biologiques de la pollution environnementale Les lichens et d autres plantes basses qui n ont pas de racines tirent leurs nutriments directement de l air Si les mati res absorb es ne sont pas m tabolis es ce qui est le cas pour de nombreux m taux lourds radioactifs ou stables elles s accumulent dans ces plantes au fil du temps On a entrepris un PRC pour valuer dans quelle mesure divers organismes pouvaient servir d indicateurs biologiques du d p t dans l atmosph re d l ments traces En cons quence on a recens dans diverses zones climatiques plusieurs types de mousses de liche
326. r Risr D chets Stockage de Pu sous vo te d isolement Usine Y 12 Casemate Mashinostroitel nyi Zavod Magasin TVO KPA COGEMA UP2 amp UP3 Stockage central de radionucl ides MVDS AFR TC et ISFSF Tuwaitha Emplacement C Compes Deposito Installation nucl aire Essor Stockage Essor Centre de recherches KUFFS Fukushima Dai Ichi SFS N S Mutsu RSFS RSFS Stockage de thorium Ulbinski Stockage a sec de combustible irradi Lucas Heights Dessel Beveren Tihange Ipero S o Paulo Kozloduy Chalk River Chalk River Tiverton Gentilly Chalk River Pinawa Pickering Roskilde Roskilde Hanford Wash Oak Ridge Tenn Golden Col Ehlektrostal Olkiluoto La Hague Budapest Paks Tarapur Serpong Tuwaitha Saluggia Ispra Ispra Ispra Kyoto Futaba gun Fukushima ken Mutsu shi Aomori ken Kamikita gun Aomori ken Kamikita gun Aomori ken Kamenogorsk Visaginas x x x XxX Xx Xx x x Xx x Xx 155 Lu x lt Lu Es zZ lt 156 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Pakistan Pays Bas Portugal R P D de Cor e R publique tch que Royaume Uni Slovaquie Su de Ukraine Autres installations Afrique du Sud Alg rie Allemagne Argentine Australie Belgique D p t de Hawks Bay Stockage Covra Instalagao de Armazenagem Stockage de combustible nucl aire Stockage Skoda
327. r s dans le processus d change d informations ont t accomplis au cours de l ann e et le nombre d tats participants est pass de 60 en 1998 68 en 1999 Des programmes de formation sp cialement concus pour r pondre aux besoins des services nationaux concern s autorit s r glementaires douane police des fronti res ont t ex cut s Dans le prolongement d activit s communes pr c dentes l OMD INTERPOL la Commission europ enne et l Agence ont organis des formations a Vienne et a Malte Des essais en laboratoire de mat riel de d tection et de surveillance ont t r alis s et des essais sur le terrain ont commenc La question dela mise au point de normes internationales pour la protection physique des mati res nud aires a t discut e lors de nombreuses r unions et s minaires avec toujours pour objectif d accroitre le caract re contraignant et uniforme de ces normes Le pr sent chapitre ne porte que sur la partie du programme qui a trait la s ret La description qui suit porte sur la s curit des mati res nucl aires On trouvera dans le chapitre S ret radiologique des informations sur les activit s de l Agence concernant la s curit des mati res radioactives autres 110 wn Lu D lt yn Lu a WU DC D O LU Ki que les mati res nucl aires dont la protection pose avant tout des probl mes de s ret INFORMATION Dans le cadre de ses ef
328. r s utile pour leurs programmes nationaux de s ret nucl aire en mentionnant non seulement les examens par des confr res men s par d autres parties contractantes mais aussi l auto valuation que suppose la pr paration des rapports nationaux Malgr les variations entre parties contractantes quant aux niveaux partir desquels elles ont commenc d appliquer les Encadr 4 Recours aux techniques isotopiques pour aider lucider les causes de l l vation du niveau d un lac en thiopie Le niveau du lac Beseka situ en Ethiopie dans la Rift Valley s l ve continuellement depuis plusieurs d cennies si bien que la superficie du lac qui tait de 6 km en 1967 atteint actuellement environ 40 km2 Cette augmentation a pos de s rieux probl mes de gestion de l environnement en entra nant notamment l inondation de p turages de terres cultiv es de routes et de voies de chemin de fer Dans le pass la r alimentation du lac tait assur e par les pr cipitations le ruissellement des eaux de surface dans le bassin versant les eaux souterraines et les eaux de ruissellement provenant de sources thermales situ es proximit Du fait de l l vation du niveau du lac les sources thermales sont maintenant submerg es Une tude effectu e dans les ann es 70 a attribu l l vation du niveau du lac un accroissement du ruissellement provenant de zones irrigu es voisines Toutefois un contr le plus
329. r produire de l eau potable conomiquement 1 octobre GC 43 RES 16 Recours intensif l hydrologie isotopique pour la gestion des ressources en eau 1 octobre GC 43 RES 17 Renforcement de l efficacit et am lioration de l efficience du syst me des garanties et application du mod le de protocole 1 octobre GC 43 RES 18 Mesures contre le trafic illicite de mati res nucl aires et d autres sources radioactives 1 octobre GC 43 RES 19 Amendement de l article VI du Statut 1 octobre GC 43 RES 20 Personnel Composition de l effectif du Secr tariat de l Agence 1 octobre GC 43 RES 21 Personnel Les femmes au Secr tariat 1 octobre GC 43 RES 22 Application des r solutions du Conseil de s curit de l Organisation des Nations Unies relatives l Iraq 1 octobre GC 43 RES 23 Application des garanties de AIEA au Moyen Orient 1 octobre GC 43 RES 24 Examen des pouvoirs des d l gu s 1 octobre CONSEIL DES GOUVERNEURS ET CONFERENCE GENERALE 22 CONSEIL DES GOUVERNEURS ET CONFERENCE GENERALE ex cut es sur une base volontaire S agissant de l am ricium bien qu l heure actuelle il n y ait pratiquement pas de risque de prolif ration le Conseil a d cid que le Directeur g n ral devrait lui rendre compte selon que de besoin sur l accessibilit de cette mati re et sur les nouveaux programmes des tats dans ce secteur Le Conseil a demand tous les tats de prot ger et surveiller
330. r traiter les fruits et l gumes frais contre les mouches des fruits tait en construction Hilo Hawaii et devrait entrer en service d ici juin 2000 Ces exemples illustrent l volution positive de l opinion publique en ce qui concerne le r le de l irradiation des aliments Ils compl tent en outre les efforts faits par l Agence pour diffuser aupr s du public des informations Comme l on continue recourir aux mutations radio induites pour produire des vari t s pr sentant des caract ristiques importantes sur le plan conomique 93 vari t s nouvelles ont t enregistr es dans la base de donn es FAO AIEA Le nombre total de vari t s de plus de 163 esp ces v g tales cultiv es dans 62 pays est pass 1 961 Dans le cadre de travaux connexes men s gr ce un PRC l induction de mutations par irradiation dans concernant l innocuit et les bienfaits de des plantes industrielles comme le soja le l irradiation des aliments colza et le coton a permis d obtenir des types Encadr 1 Technologies disponibles pour la gestion des d chets et d p ts g ologiques requis Un colloque tenu Taejon R publique de Cor e en ao t septembre a examin l exp rience acquise dans l application des technologies de gestion des d chets radioactifs provenant des centrales nucl aires et de la partie terminale du cycle du combustible nucl aire Il a t organis en coop ration avec l AEN OCDE l Institut cor
331. radioth rapie promouvoir l assurance de la qualit clinique pour tous les aspects du traitement des patients et en mettant continuellement jour les informations dont dispose l Agence sur les techniques actuellement utilis es en radio oncologie pour d terminer celles qui pourraient faire l objet d une diffusion plus tendue Toutes ces activit s ont t pleinement int gr es dans le programme de coop ration technique de l Agence essentiel lement dans le cadre de projets r gionaux On a r dig un manuel pour montrer comment utiliser les dispositifs peu co teux d immobili sation des patients que l Agence a mis au point et fournis en 1998 et on l a galement distribu dans le cadre de projets de coop ration technique pertinents On a aussi organis en Tunisie un atelier interr gional sur ce m me sujet Une r union de groupe consultatif sur le r le de la radioth rapie appliqu e au traitement On a r dig un manuel pour montrer comment utiliser les dispositifs peu co teux d immobilisation des patients que l Agence a mis au point et fournis des sid ens a t organis e Vienne en octobre C est l un sujet d une importance capitale pour l Afrique subsaharienne o la proportion de s ropositifs peut d passer 25 dans certains groupes de population Les cas de nombreux cancers associ s cette maladie notamment la maladie de Kaposi le lymphome non hodgkinien le cancer spino
332. rd de concentrations d iode et d arsenic dans des chantillons d eau UTILISATION DE R ACTEURS DE RECHERCHE ET D ACCELERATEURS DE FAIBLE NERGIE tant donn que 60 des r acteurs de recherche existant dans le monde ont 30 ans ou plus leur vieillissement est une question dont on se pr occupe de plus en plus Afin d examiner cette question et d autres sujets connexes l Agence a organis un colloque international sur l utilisation la s ret et la gestion des r acteurs de recherche pr s de Lisbonne en septembre On a d termin que certains ph nom nes li s au vieillissement comme la corrosion l endommagement par irradiation et la r duction de la fiabilit des composants constituaient des probl mes cruciaux qui n cessitaient des programmes d inspection en service nergiques En outre on a insist sur le fait qu une documentation appropri e et une planification pr coce du d classement taient importantes pour les r acteurs anciens On a galement soulign le fait que le nombre de r acteurs de recherche actuellement en projet l tude et en construction est plus important qu il ne l a jamais t au cours de la p riode r cente et que la plupart de ces r acteurs sont plus puissants que dans le pass environ 20 MW tant donn l volution de la situation un grand nombre de ces installations doivent pour pouvoir rester viables laborer un plan strat gique en coop ration avec toutes les
333. re conditionner les sources us es de radium dans d autres tats Membres d Asie Le Groupe de contact d experts pour la coop ration internationale avec la F d ration de Russie dans le domaine de la gestion des d chets radioactifs a d cid lors de sa r union en Norv ge d informer directement les dirigeants des pays du G 7 G 8 sur les probl mes li s aux d chets nucl aires et au combustible us qui se posent en F d ration de Russie et de leur demander de l aide pour r soudre ces probl mes Le texte final de la communication du Groupe de contact a ensuite t envoy au Pr sident du Groupe de travail du G 7 G 8 sur la s ret nucl aire et plusieurs membres du Groupe de contact l ont transmise leurs repr sentants nationaux En mai l Autorit hongroise de l nergie atomique a demand l Agence d organiser dans le cadre de son Programme d valuation et d examen technique de la gestion des d chets un examen par des confr res des travaux de recherche sur le choix d un site de stockage d finitif de d chets de faible et de moyenne activit et sur la candidature du site d veghuta Elle a demand en particulier une valuation a du processus de s lection du site et notamment de son cadre r glemen taire b des tudes scientifiques pr para toires afin de d terminer leur conformit aux prescriptions et recommandations inter nationales c de la question de savoir si l on utilise les bonn
334. re d un projet de recherche sur la radioactivit marine mondiale MARS appuy par le Gouvernement japonais l Agence a particip l exp dition ANTARES IV organis e par des organismes fran ais dans l oc an Austral Il a t proc d au pr l vement d chantillons d eau de surface de trois profils hydriques 5 000 m tres de profondeur ainsi que de plancton et de poissons II s agit d tudier le mouvement vertical des radio Un syst me novateur de surveillance de la radioactivit marine par moniteurs gamma fixes avec transmission des donn es par satellite a t mis au point par le LEM de AIEA nucl ides dans l oc an Le LEM a pour la premi re fois effectu directement bord des analyses du thorium 234 courte p riode en faisant appel aux techniques les plus r centes Les d s quilibres thorium 234 uranium 238 ont servi tudier le transport des particules de la zone photique sup rieure vers les eaux plus profondes AU cours de la premi re r union de coordination de la recherche pour un PRC sur la radioactivit marine mondiale un syst me d informations g ographiques a t mis au point pour valuer la radioactivit marine dans les oc ans et les mers On a pris comme isotopes repr sentatifs des radionucl ides provenant d activit s humaines dans l environ nement marin l hydrog ne 3 le carbone 14 le strontium 90 l iode 129 le c sium 137 le plutonium et l am ricium et o
335. re de la contamination de diff rentes zones de la mer Noire La pr sence dans cette mer de strontium 90 et de c sium 137 achemin s par les grands fleuves a t mise en vidence et la surveillance de 14 points au large des c tes de la mer Noire a t entreprise Un nouveau projet de coop ration technique sur la surveillance de la pollution marine fait le point sur la contamination de la partie sud dela mer M diterran e par des radionucl ides des m taux lourds et des compos s organiques Simultan ment une capacit r gionale est mise en place dans les tats Membres d Afrique du Nord en vue de la surveillance de la pollution marine Dans le cadre de ce projet une croisi re a t organis e conjointement par l AIEA et le Maroc pour valuer la contamination de l eau de mer du biote et des s diments au large des c tes atlantique et m diterran enne du Maroc En outre les mesures effectu es bord pendant la croisi re ont permis d obtenir des profils haute r solution de param tres physiques et chimiques tels que la conductivit la temp rature l oxyg ne dissous et les nitrates et nitrites pr sents dans la colonne d eau TRANSFERT DES RADIONUCLEIDES DANS On s int resse tout particuli rement en ce moment un autre groupe d organismes marins le plancton g latineux m duses dont la prolif ration p riodique pose des probl mes tant l industrie de la p che qu celle du tourisme On pens
336. rence g n rale lit comme membres du Conseil des gouverneurs a Vingt deux Membres en tenant d ment compte d une repr sentation quitable au Conseil dans son ensemble des Membres des r gions mentionn es l alin a A 1 du pr sent article de mani re que le Conseil comprenne en tout temps dans cette cat gorie quatre repr sentants de la r gion Am rique latine quatre repr sentants de la r gion Europe occidentale trois repr sentants de la r gion Europe orientale cinq repr sentants de la r gion Afrique trois repr sentants de la r gion Moyen Orient et Asie du Sud deux repr sentants de la r gion Asie du Sud Est et Pacifique et un repr sentant de la r gion Extr me Orient Lu lt ba Lu Z Lu Lu oO z Lu a Lu LL zZ O O Lu wn ba Lu zZ ba Lu gt D O o yn Lu Q l Lu wn O O AMENDEMENT DE L ARTICLE VI DU STATUT cont b Deux autres membres parmi les Membres des r gions suivantes Europe occidentale Europe orientale Moyen Orient et Asie du Sud c Un autre membre parmi les Membres des r gions suivantes Am rique latine Europe orientale et ll Ajouter la fin de l article VI le nouveau paragraphe suivant K Les dispositions du paragraphe A du pr sent article approuv es par la Conf rence g n rale le 1 octobre 1999 entrent en vigueur quand les conditions nonc es au paragraphe C de l article XVIII sont remplies et que
337. res participants en proc dant un exercice d assurance de qualit externe Le d veloppement de ces moyens diagnostiques dans la r gion a eu notamment pour r sultats le lancement d un programme multidonateurs de lutte contre la fi vre aphteuse et d radication de cette maladie en Asie et la cr ation en Tha lande Lu x gt 3 O x O lt Lu z lt He z Lu lt Lu a 2 oO oc OH lt H Lu Zz O H lt H Z Lu gt lt d un laboratoire r gional de haute s curit servant de laboratoire de r f rence pour cette maladie LUTTE CONTRE LES INSECTES ET LES RAVAGEURS En Argentine un projet mod le de coop ration technique sur l radication de la mouche des fruits l aide de la TIS a procur des avantages conomiques importants aux provinces du Rio Negro de Neuquen et de Mendoza Non seulement les applications d insecticides ont fortement diminu dans les vergers commerciaux mais le volume et la qualit de la production des fruits de dimat temp r se sont notablement am lior s depuis le d but du projet et plusieurs vall es de culture fruiti re ont t d clar es exemptes de mouches des fruits Point tr s important ce projet a fait que le Chili pays voisin d j reconnu au niveau international comme tant exempt de la mouche des fruits la suite d un pr c dent projet TIS a pu permettre aux industries fruiti res des provinces
338. rigueur des travaux d analyse du Laboratoire d hydrologie isotopique de l Agence au moyen d un nouveau dispositif d quilibrage pour la mesure des isotopes stables oxyg ne 18 hydrog ne 2 dans l eau Ce dispositif dont la construction revient nettement moins cher que celle du mod le courant que l on trouve dans le commerce am liore la pr cision des mesures de 5180 et 52H d un facteur 2 environ par rapport aux syst mes courants En outre la double analyse de 82H par la m thode courante et par la m thode d quilibrage de pr cision appliqu e a tous les chantillons d eau a am lior encore la fiabilit des r sultats isotopiques Une m thode novatrice et fiable a t mise au point pour d terminer la composition isotopique de l humidit de l air Elle utilise des r sines mol culaires pour absorber l humidit aux fins de l analyse en laboratoire et permet de se passer d agent de refroidis sement pour le pr l vement d chantillons Entre autres applications importantes cette m thode sert dans les tudes sur le bilan hydrique des lacs dans des zones loign es o il n est pas possible de se procurer de l azote liquide ou de la neige carbonique Elle permettra d am liorer l ex cution de projets de coop ration technique futurs sur la dynamique des lacs Deux nouvelles m thodes d analyse du rapport des isotopes du carbone dans les mati res organiques et du rapport des isotopes de l oxyg ne ont t
339. riv Le site Internet de l Agence WorldAtom a t remani pour tre mieux m me de g rer un nombre croissant de demandes de l ext rieur La base d informations en ligne a t largie notamment dans les domaines de la s ret de l nergie nud aire des r acteurs de recherche et des installations du cycle du combustible nucl aire et des pages suppl mentaires y ont t ins r es pour une pr sentation ponctuelle de travaux d actualit de l Agence et d v nements nucl aires qui retiennent l int r t des m dias et du public Comme nouvelle publication il convient de mentionner une brochure d taill e sur les travaux des Laboratoires de l Agence Seibersdorf Par ailleurs un certain nombre d expositions ont t organis es tant Vienne que dans les tats Membres et cinq s minaires sur l information du public se sont tenus en Chine Cuba en R publique tch que en Egypte et au J apon Parmi les nouveaux films produits pour les Etats Membres et d autres d bouch s outre les productions de l Agence sur Semipalatinsk deux l un sur l hydrologie isotopique et l autre sur le trafic illicite ont t financ s essentiellement par des sources extra budg taires Le premier Harnessing the Atom porte sur le r le de l Agence dans les applications nucl aires pacifiques la non prolif ration et la s ret tandis que le second Three Voices parle de femmes ayant choisi une profession dan
340. rs ont pu v rifier la pr sence des mati res nucl aires soumises aux garanties en Iraq e Les tests se sont poursuivis sur deux sites au J apon en vue de donner l Agence aux autorit s nationales et aux op rateurs une exp rience de l application des mesures pr vues dans le mod le de Protocole additionnel Les tests visaient principa lement l acquisition d une exp rience pratique concernant l acc s compl men taire et l acc s r glement a des sites nucl aires complexes y compris les aspects logistiques et concernant l chantillonnage de l environnement e En attendant l entr e en vigueur du protocole additionnel pour les pays de l Union europ enne et d EURATOM des consultations avec EURATOM ont commenc en ce qui concerne l application des mesures du protocole additionnel titre d essai sur des sites s lectionn s cet effet e Le Royaume Uni a soumis volontairement d s avant l entr e en vigueur du protocole additionnel une d claration initiale Cette d claration volontaire est en cours d examen par l Agence et sera ensuite discut e avec le Gouvernement du Royaume Uni Cette initiative volontaire qui pourrait comprendre des tests relatifs l acc s compl mentaire aidera le Gouvernement et l industrie accumuler une exp rience et prendre conscience des probl mes de mise en oeuvre En ce qui concerne le renforcement du processus d valuation on a commenc par valuer les programmes
341. rtes en azote tandis que l on utilisait un humidim tre neutrons pour valuer l quilibre hydrique du sol et l vapotranspiration des cultures La chrono logie des applications d engrais a t d terminante pour l efficacit L apport d engrais azot s en deux temps un tiers au moment du tallage et deux tiers a celui de la montaison du bl selon les quantit s recommand es localement a provoqu des pertes importantes sp cialement pendant la premi re application avec un taux de r cup ration de 35 seulement La r cup ration a t de 62 pendant la seconde application Le fait de r duire 20 de la quantit annuelle la premi re application et de passer 80 pendant la seconde a permis de r duire le lessivage des nitrates et d accro tre l efficacit d utilisation des engrais Une augmentation r aliste de 5 du taux global de r cup ration des engrais azot s repr sente une conomie d environ 100 millions de dollars par an pour les pays en d veloppement producteurs de bl L irrigation a t bien g r e dans tous les pays cit s pr c demment l exception de deux o l on a observ un lessivage des nitrates pendant la campagne culturale et o une meilleure gestion de leau pourrait permettre d conomiser 30 de la quantit utilis e actuellement Un syst me d appui la d cision incorporant le mod le CERES bl a permis d expliquer les diff rences entre les rendements de bl obtenu
342. s Paldiski Otaniemi Legon Accra Attiki Budapest Budapest Jogjakarta Serpong Bandung T h ran Ispahan Ispahan Soreq Palerme Milan San Piero a Grado Santa Maria di Galeria Santa Maria di Galeria Pavie Tajura Kingston xX Se KKK KK Ze x x OX Se KK Ze 149 Lu x lt Lu Es zZ lt 150 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A20 INSTALLATIONS SOUS GARANTIES DE L AGENCE suite Japon Kazakhstan Lettonie Malaisie Mexique Norv ge Ouzb kistan Pakistan Pays Bas P rou Philippines Pologne Portugal R A Arabe Syrienne R p d m du Congo DCA FCA HTR HTTR JMTR JMTRCA JRR 2 JRR 3 JRR 4 KUCA KUR NCA NSRR RR de l Universit Rikkyo R acteur de l Universit Kinki R acteur Musashi TCA TODAI TTR VHTRC R acteur d essai Kourchatov VVR K IRT Puspati Triga Mark III HBWR Halden JEEP II Photon VVR SM PARR 1 PARR 2 HOR HFR LFR RP O RP 10 PRR 1 Agata amp Anna Ewa Maria RPI MNSR Triga Il PPPRRBBRPRRWRRRBRBRBRBEB Rw Oarai Machi Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Kawasaki shi Kanagawa ken Higashi gun Ibaraki ken Higashi gun Ibaraki ken Higashi gun Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Tokai Mura Ibaraki ken Osaka Sennan gun Osaka Kawasaki shi Tokai Mura Ibaraki ken Nagasaka Kanagawa ken Higashiosaka shi Osaka fu Kawasaki shi Kanagawa ken T
343. s l chelon intergouvernemental pour renforcer la s ret nucl aire dans le monde entier Elles ont t ax es sur l aboration de normes de s ret communes la fourniture de toute une gamme de services d experts la promotion des changes d informations sur les questions de s ret et l octroi d un appui pour la recherche coordonn e men e dans les tats Membres En ce qui concerne les normes de s ret nucl aire les activit s ont consist principalement examiner r viser et laborer des normes de s ret nucl aire concernant l infrastructure juridique et gouvernementale ainsi que le choix des sites la conception et l exploitation des centrales et des r acteurs de recherche nucl aires Dans le cadre des services d examen de la s ret d exploitation l accent a t mis davantage sur la gestion de la s ret la culture de s ret et auto valuation EVALUATION DE LA SURETE DES CENTRALES NUCLEAIRES Deux rapports de s ret consacr s l un la mise en oeuvre de programmes de gestion des accidents et l autre l analyse des accidents dans les centrales nucl aires ont t achev s Le premier traite principalement de la contribution de la gestion des accidents la d fense en profondeur Le rapport sur l analyse des accidents donne des exemples de bonnes pratiques pour les analyses d terministes de la s ret des centrales nucl aires et traite des exigences respecter pour que le niveau de qualit
344. s la s ret Le manua d utilisation de l chelle interna tionale des v nements nucl aires INES a t mis jour Le service INES a re u 26 notifications en 1999 14 v nements concernaient des centrales nucl aires et 12 des installations nucl aires autres que des centrales Huit v nements concernaient des sources radioactives Le niveau 4 accident n entra nant pas de risque important hors du site assign l accident qui s est produit en septembre l usine de retraitement et de fabrication de combustible de Tokaimura au J apon est le niveau le plus lev qui ait t atteint depuis l introduction de l Echelle en 1990 APPUI AU PROGRAMME DE COOP RATION TECHNIQUE Un appui a t apport plus de 150 projets de coop ration technique li s la s ret repr sentant un budget annuel d environ 15 millions de dollars et plus de 70 cours et ateliers Un point fort de l activit de ces derni res ann es a t le projet mod le sur le renforcement des infrastructures de s ret radiologique et de s ret des d chets dans plus de 50 tats Membres Une m thode syst matique d identification des priorit s de l assistance analogue celle propos e dans le projet mod le est appliqu e l assistance en mati re de s ret nucl aire La premi re tape consiste mettre au point des profils nationaux de s ret nucl aire d crivant la situation dans chacun des tats Membres dot
345. s L une concerne les lectrons de fuite combien d lectrons seront acc l r s comment sont ils confin s et quoi peut on s attendre en ce qui concerne l impact des lectrons sur la premi re paroi des tokamaks La seconde concerne les ions rapides De nombreux aspects du comportement des ions rapides dans les tokamaks sont bien compris mais on a besoin de mieux conna tre leurs propri t s de confinement dans les stellarators ainsi que le r le des instabilit s d Alfv n cin tiques et non lin aires dans les syst mes confinement magn tique Une r union de comit technique sur la recherche l aide de petits dispositifs fusion tenue en octobre Chengdu Chine a permis de constater qu une am lioration des performances et du diagnostic du tokamak HL 1M s tait traduite par une am lioration du confinement et de la reproductibilit des d charges de plasma les syst mes de diagnostic ont galement t am lior s On a constat en outre que les exp riences d injection de faisceaux mol culaires supersoniques avaient donn des r sultats prometteurs et que le dopage gazeux pour les tudes sur le transport des impuret s semblait jouer un r le important dans la compr hension des m canismes de contr le des plasmas de fusion II a galement t rendu compte d tudes magn tohydrodyna miques effectu es l aide de bobines de Mirnov et de faisceaux d ions lourds pour tudier le bord du plasma L
346. s al Le programme a galement b n fici en 1999 d une r duction substantielle des co ts standard li s aux experts Une des principales t ches entreprises par l Agence en 1999 a t la mise au point d interfaces entre les applications informatiques de la coop ration technique et le nouveau syst me d information financi re de l Agence II a fallu galement remplacer les syst mes et composants de syst mes qui fonctionnaient encore sur le r seau central par des solutions dient serveur En outre les op rations li es aux proc dures financi res de la coop ration technique ont t rationalis es et la budg tisation et le contr le financier des projets ont t simplifi s On a consid ra blement court la dur e des cycles de financement de la coop ration technique et des chiffres plus r cents sont d sormais disponibles Annexe Tableau A1 Etat r capitulatif des allocations de ressources au titre du budget ordinaire et de leur utilisation en 1999 Tableau A2 Fonds pour les programmes extrabudg taires en 1999 Tableau A3 D caissements par programme de Agence et par r ciom Me EE Tableau A4 Service international d examen par des confr res IPERS Examens APS MIO Tableau A5 Services d examen de la s ret de l ing nierie ESRS concernant le site et les agressions externes 1999 Tableau A6 Missions de s ret concernant le probl me de l an 2000 dans les
347. s es une de la s rie des Prescriptions de s ret et six guides de s ret ont t publi es Et il y en a actuellement 72 en pr paration Dans ce nombre figurent une publication commune de la s rie des Fondements de la s ret rempla ant les trois publications actuelles de cette s rie sur les installations nucl aires la protection radiologique et les sources et la gestion des d chets radioactifs et neuf publications de la s rie des Prescriptions de s ret compl t es par un certain nombre de guides de s ret sur les sujets suivants e Plans et interventions d urgence deux guides e Infrastructure juridique et gouverne mentale Sept guides e Exploitation des centrales nucl aires 11 guides e Conception des centrales nucl aires 12 guides e Evaluation du site pour les centrales nucl aires six guides e S ret des r acteurs de recherche quatre guides e Activit s pr alables au stockage des d chets radioactifs six guides e Stockage des d chets radioactifs deux guides e Assainissement des zones contamin es un guide Il y a en outre 12 guides de s ret en pr paration qui compl tent les textes publi s dela s rie des Prescriptions de s ret dans les domaines de la s ret radiologique huit guides des rejets d effluents deux guides et des r gles de transport deux guides Sur ces 72 normes dix quatre Prescriptions de s ret et six guides de s ret ont
348. s petites quantit s de mati res qui suspend la plupart des dispositions d taill es de la partie Il d un accord de garanties g n ralis es Le Secr tariat a continu de mettre au point usage interne des principes qui visent garantir que l acc s compl mentaire pr vu par le protocole additionnel se fait de mani re efficiente techniquement efficace et non discriminatoire Les directives pour les sites ont t achev es et sont maintenant appliqu es elles comprennent des recomman dations pour le choix des endroits des sites ne sont pas obligatoires ils peuvent cependant tre demand s par un tat ou par l Agence Un mod le type a t tabli et utilis pour la n gociation de ces arrangements subsidiaires Un mod le a t galement tabli et utilis pour les communications officielles aux tats pr vues l artide 10 du mod le de Protocole additionnel au sujet des activit s effectu es par l Agence Des d clarations de ce type ont t envoy es un tat l Australie concernant des visites au titre de l acc s Un programme a t tabli pour nn i GER continuer a mettre au point les concepts auxquels l acc s sera demand Les directives p p pour l acc s compl mentaire aux installations d class es font l objet d une derni re mise au point ainsi que les directives pour les autres emplacements d clar s comme contenant des relatifs aux garanties int gr es ainsi que les direc
349. s proc dures les normes et le contrdle de qualit pour les travaux de tracage et de jaugeage ont t compil s Ces documents faciliteront le transfert de technologie et l autorisation de groupes de sp cialistes du tra age et du jaugeage dans les pays en d veloppement Un projet mod le de coop ration technique sur les applications des radiotraceurs pour am liorer la r cup ration du p trole a t entrepris en janvier en Chine La m thodologie pour l valuation de la communication entre puits et de l huile r siduelle au moyen de la technique des multitraceurs a t mise au point et essay e sur le gisement p trolif re de Dagang Un nouveau compos radiotraceur a t pr par essay et valid pour des applications grande chelle dans 30 gisements p trolif res en exploitation o l on a enregistr une augmentation de la r cup ration du p trole de 10 environ Une r union de groupe consultatif s est tenue en d cembre pour recenser les questions prioritaires au plan industriel dans la r gion de l Asie et du Pacifique et pour formuler des propositions de projets pour l Agence en 2001 et 2002 La r union a relev quatre secteurs industriels prioritaires pour lesquels les propositions de projets suivantes ont t formul es e Diagnostic et optimisation des proc d s dans l industrie p troli re chimique gr ce aux essais non destructifs END aux radiotraceurs et aux sources scell es e O
350. s afin d assurer une exploitation s re et fiable des r acteurs dans les conditions dont il a t question ci dessus En liaison avec ces programmes l Agence s est en 1999 attach e plus particuli rement faciliter l change d informations sur l am lioration de la qualit et des propri t s des combustibles dioxyde d uranium et MOX ainsi que des barres de commande l am liora tion de la conception et des performances du combustible en vue de son utilisation des taux de combustion lev s la r duction de la corrosion et l optimisation de la technologie du fluide de refroidissement Un Colloque inter national sur les techniques du cycle du combustible MOX pouvant tre mises en oeuvre moyen et long terme qui s est tenu Vienne en mai a examin la situation et les tendances en ce qui concerne le recyclage du plutonium dans les r acteurs de puissance De nombreuses le ons ont t tir es des accidents de Three Mile Island et de Tchernobyl II tait vident que les facteurs humains avaient t en grande partie a l origine des deux accidents et qu il tait n cessaire de mieux comprendre le r le des agents dans l exploitation des centrales L industrie a r agi et continue r agir en modernisant l agencement des salles de commande de mani re fournir des informa tions daires et essentielles aux op rateurs en am liorant la formation et les proc dures et en effectuant des enqu tes internes e
351. s d appui technique Parmi les activit s men es en 1999 figurent un cours r gional sur la s ret des r acteurs de recherche un examen de l organisme malaisien de r glementation des missions pr alables l envoi d quipes internationales d examen de la r glementation IRRT qui ont t effectu es en Indon sie et au Viet Nam et un atelier sur la fonction de r glementation en Tha lande quatre missions consacr es la s ret de la conception un examen de la s ret d un r acteur rapide exp rimental et deux ateliers sur l APS en Chine ainsi qu une mission d experts en Indon sie dans le domaine de la pr paration pour les cas d urgence S RET D EXPLOITATION Quatre missions OSART quipes d examen de la s ret d exploitation ainsi que quatre visites pr paratoires des missions pr vues en 2000 et quatre visites de suivi ont t effectu es en 1999 voir l annexe tableau A7 Les missions ont identifi des possibilit s d am lioration de la s ret d exploitation dans un certain nombre de domaines dont la gestion de la s ret d termination et diffusion des r sultats attendus par la direction en mati re de s ret la surveillance et la maintenance pr ventive l tat et la propret de l installation le comportement humain la protection radiologique les proc dures de la centrale et l assurance de la qualit La base de donn es OSMIR qui contient les r sultats de toutes les m
352. s de centrales nucl aires qui re oivent une assistance de l Agence Un projet pilote dans un tat Membre a t achev en 1999 Au cours de l ann e 1999 30 cours et ateliers sur la s ret nucl aire ont t organis s dans le cadre de projets de coop ration technique pour aider des organismes de r glementation d exploitation et d appui technique L Agence met au point un ensemble de cours standardis s trois niveaux connaissances de base th oriques comp tence professionnelle g n rale et comp tences dans des domaines sp cifiques Le but n est pas seulement d offrir des cours de formation mais aussi d laborer des mat riels didactiques en particulier des manuels de telle fa on que les tats Membres puissent utiliser ces ressources dans leurs propres activit s de formation Un des premiers cours standardis s de ce type est le Cours de formation professionnelle de base sur la s ret nucl aire destin au personnel des organismes r glementaires des organismes exploitants et des groupes d appui technique Ce cours de neuf semaines a t organis pour la premi re fois Saday en France avec la coop ration de l Institut national des sciences et techniques nucl aires Dans le domaine de la s ret radiologique et de la s ret des d chets 46 cours et ateliers ont t organis s la plupart au niveau d une formation sp cialis e Toutefois le Cours th orique sup rieur de radioprotec
353. s de s ret relatives au probl me informatique de l an 2000 dans les installations de gestion des d chets radioactifs et du cycle du combustible nucl aire notamment sur l exp rience acquise l tablissement de priorit s les strat gies d vitement et les plans d urgence Le document d orientation et les r sultats de l atelier ont t communiqu s tous les tats et pr sent s sur la page d accueil de l Agence http www iaea org L aide de l Agence a t demand e par l organisme r glementaire br silien pour la d livrance de l autorisation n cessaire une installation de bitumage pour les d chets provenant de l exploitation de la centrale nucl aire Angra 2 Dans le cadre de son programme de coop ration technique l Agence a envoy une quipe d experts pour examiner l installation et a fait des recommandations la contrepartie br silienne en ce qui concerne sp cialement la n cessit d un plan d essais de mise en service et celle d une planification plus pouss e afin de tenir d ment compte du probl me du stockage final des d chets S RET DES D CHETS REJETABLES En r ponse une demande des Parties contractantes la Convention sur la pr vention de la pollution des mers r sultant de l immersion de d chets et autres mati res Convention de Londres de 1972 une r capi tulation des op rations de rejet de d chets radioactifs dans les oc ans l chelle mondiale a t
354. s le domaine nucl aire et occupant actuellement des fonctions l Agence GESTION FINANCI RE sa r union de juin le Conseil des gouverneurs a adopt des amendements au R glement financier de l Agence qui entreront en vigueur au 1 janvier 2002 de sorte que la programmation biennale puisse tre pleinement appliqu e pour le cyde 2002 2003 Le Conseil a par ailleurs suspendu titre exceptionnel l application de la r gle 3 01 en 2001 consid r e comme ann e de transition En septembre la Conf rence g n rale a approuv l amendement du paragraphe A de l artide XIV du Statut pour autoriser la budg tisation biennale Une fois que cet amendement sera entr en vigueur l Agence pourra accompagner la programmation biennale d ouvertures de cr dits biennales comme c est la pratique dans d autres organismes des Nations Unies En mai le plan de mise en route du Syst me de gestion des informations financi res de l Agence AFIMS a t achev En raison des contraintes de temps et du probl me de non conformit an 2000 de l actuel syst me de gestion financi re FICS de l Agence on s est fix comme objectif pour la phase pr vue pour janvier 2000 d appliquer le syst me avec un nombre minimum de modules On a entrepris les discussions et les pr paratifs pour la phasell pr vue pour la mi 2000 apr s migration et installation en fin d ann e La derni re semaine de d cembre le transfert des bilans comp
355. s par les divers pays et de pr voir l impact de la chronologie des applications sur l assimilation de l engrais par les cultures et de l utilisation de l eau d irrigation sur le lessivage des nitrates Les Laboratoires de l Agence Seibersdorf ont achev un projet interr gional de coop ration technique sur l assurance de qualit externe Dans le cadre d un PRC des progr s sensibles ont t enregistr s en ce qui concerne la modification de caract ristiques agronomiques l am lioration des rendements et la modification de la qualit de l huile dans les cultures produisant des graines ol agineuses et des fibres pour les mesures du rapport entre l azote total et l azote 15 par spectrom trie d mission optique dont l objectif tait de cr er un r seau de laboratoires r gionaux capables de proc der des analyses pr cises Des tablis sements d Argentine du Chili de la C te d ivoire du Guatemala de la Malaisie du Mexique de la R publique Arabe Syrienne de la Tha lande et de l Uruguay ont pleinement satisfait aux exigences et peuvent tre recommand s comme laboratoires r gionaux du r seau La recherche de laboratoires comp tents souligne les efforts faits pour accro tre l efficacit de l utilisation des engrais azot s dans les pays en d veloppement qui en 1996 en ont utilis plus de 50 millions de tonnes pour un montant de 15 milliards de dollars S LECTION DES PLANTES
356. s pour la s lection l installation et la mise en oeuvre du mat riel de d tection pour la surveillance aux fronti res dans les ports et dans les a roports En coop ration avec l OMD et INTERPOL un cours de sensibilisation de cinq jours sur la contrebande nucl aire l intention des enqu teurs des douanes et de la police s est tenu Vienne en septembre En outre un cours commun avec galement la partici pation de la Commission europ enne s est tenu Malte en novembre l intention de fonctionnaires des services des douanes et des contr les aux fronti res On a tabli un plan d action dans lequel figurent une s rie de mesures visant am liorer le contr le des sources radioactives Le Secr tariat travaillant en coop ration troite avec l OMD et INTERPOL a tabli un guide de s ret sur la pr vention la d tection et l intervention en cas de trafic illicite de mati res radioactives Les r gles mesures de contr le et m thodes d crites dans ce guide doivent aider les agents des douanes de la police des fronti res et autres agents de l autorit ainsi que les organes de r glemen tation et autres organes comp tents des tats Membres dans leurs efforts face au probl me du trafic illidte de mati res radioactives La coop ration avec les tats Membres concernant la mise en oeuvre des recomman dations du guide de s ret portera principa lement sur les proc dures applicables pour
357. s qui ont accept les dispositions du mod le de Protocole additionnel la pr paration et la manipulation de l information qui en r sulte repr sentent une nouvelle t che Un syst me informatique pour les donn es li es au Protocole a t mis en place en 1999 pour traiter toutes les informations fournies par les tats en application de leur protocole additionnel et pour les aider pr parer les d clarations pertinentes La confidentialit des informations sensibles fournies par les tats est assur e par un r gime de protection strict Lorsqu il a approuv ce r gime en 1997 le Conseil des gouverneurs a soulign l importance de la confidentialit et la n cessit de proc der des examens p riodiques L examen le plus r cent a eu lieu en juin 1999 Afin de fournir des donn es de r f rence pour des comparaisons des renseignements concernant les programmes nucl aires des Etats pour lesquels des accords de garanties g n ralis es sont en vigueur sont valu s en permanence et les conclusions de ces valuations sont examin es chaque ann e En 1999 on a examin les r sultats des valuations des donn es de r f rence concernant les programmes nucl aires de 18 tats contre 10 en 1998 et 4 en 1997 Le mod le de Protocole additionnel pr voit les pouvoirs et les m canismes n cessaires pour que les inspecteurs de l Agence aient davantage acc s aux emplacements voulus dans un tat Membre c est ce
358. sabilit civile nud aire en coop ration avec l AEN OCDE et la Commission europ enne e Les d finitions de base pour un r gime juridique nucl aire national et l ind pendance de l organisme de r glementation r gion Europe e La consolidation d un cadre juridique ad quat pour les applications s res et pacifiques de l nergie nucl aire pays de l Asie de l Est et du Pacifique e Le d veloppement d un cadrejuridique r gissant la responsabilit civile en mati re de dommages nud aires et de pr paration et d intervention pour 113 2 D A lt Lu Za O lt a Q DC O O O GESTION 114 2 a lt x j Lu lt SE OH a oO GESTION les situations d urgence radiologique pays de l Asie de l Est et du Pacifique e L laboration d une l gislation nucl aire INFORMATION DU PUBLIC Le Directeur g n ral a approuv une nouvelle politique d information du public et de renforcement d audience dans le but d accro tre l interaction de l Agence avec les Une nouvelle politique d information du public et de renforcement d audience vise a accro tre l interaction de l Agence avec les conducteurs d opinion les m dias et la soci t civile conducteurs d opinion les m dias et la soci t civile et de toucher des partenaires la fois traditionnels et non traditionnels par exemple dans les organisations non gouverne mentales et le secteur p
359. saire car une tr s forte proportion des laboratoires a communiqu des donn es en dehors de la fourchette acceptable Certains des laboratoires ont pris des mesures correctives pour am liorer la pr cision de leurs analyses En thiopie l exploitation d un nouvel aquif re est en train d tre d velopp e afin de satisfaire environ 40 des besoins en eau d Addis Abeba la capitale l heure actuelle quelque 25 puits de production ont t pr par s mais la production a t retard e par manque d une strat gie appropri e d exploitation et de gestion des eaux souterraines Un projet de coop ration technique de l Agence aide int grer les techniques isotopiques pour obtenir des informations hydrologiques susceptibles d aider mettre sur pied une strat gie d exploitation et de protection ad quate de la zone de pompage Ces efforts s ajoutent ceux d autres donateurs bilat raux et multilat raux qui aident galement les autorit s locales comp tentes dans la gestion de la distribution d eau Les conditions hydrologiques des eaux souterraines dans de multiples aquif res de la plaine de Tadla r gion conomiquement importante dans l est du Maroc font l objet d une caract risation l aide des techniques de l hydrologie isotopique dans le cadre d un projet de coop ration technique l appui d un autre projet du PNUD D partement des affaires conomiques et sociales de l ONU en vue de mettre au point un
360. se d informations partir des d clarations faites par les tats conform ment aux accords de garanties et de sources librement accessibles Pr vues par le mod le de Protocole additionnel Fourniture par les tats d informations sur tous les aspects de leur cycle du combustible nucl aire et d un droit d acc s pour les inspecter Fourniture par les tats d informations sur tout emplacement d un site nucl aire et d un droit d acc s ces emplacements pour des inspections a court d lai de pr avis Fourniture par les tats d informations sur la recherche d veloppement li e au cycle du combustible nucl aire et de facilit s d acc s Fourniture par les tats d informations sur la fabrication et l exportation d quipements sensibles li s au nucl aire et de facilit s pour l inspection des sites correspondants sur leur territoire Pr l vement d chantillons de l environnement dans des emplacements autres que ceux pr vus dans les accords de garanties Acceptation des proc dures simplifi es de d signation d inspecteurs et octroi ceux ci par les tats de visas valables pendant au moins un an pour des entr es multiples Octroi l Agence du droit d utiliser des syst mes de communication internationaux W lt D Lu Zz Lu D D LI a lt exploitant des centrales nucl aires ont confirm l Agence qu aucun v nement ayant un impact direct sur la s ret ne s tait produit dans aucun
361. sitifs exp rimentaux dont la taille et les param tres du plasma sont diff rents avant de les extrapoler ITER Le fonctionnement en mode H haute densit avec rechargement en combustible partir du c t champ lev permet d obtenir un bon confinement de mode H et une densit de plasma lev e proche de la limite de densit empirique de Greenwald Un tel mode de fonctionnement peut pr senter des avantages importants pour un r acteur fusion Une r union de comit technique tenue Naka Japon en octobre a eu pour th me de discussion les particules de haute nergie dans des syst mes confinement magn tique La production d lectrons de fuite pendant les disruptions dans les plasmas des tokamaks qui passait jusque l pour up ph nom ne anodin utilis principalement pour analyser la turbulence magn tique est maintenant consid r e comme une menace s rieuse pour la premi re paroi des futurs tokamaks de grande taille Des m canismes fiables permettant de l viter doivent tre valid s en vue de leur application ITER Les recherches th oriques en cours contribueront au d veloppement de la th orie n o dassique des ions rapides on a mis au point un mod le cin tique non lin aire qui prend en compte les effets cin tiques de toutes les esp ces de particules dans les plasmas b ta lev Plusieurs questions doivent encore tre r solues dans le cadre de travaux exp rimentaux et th orique
362. son tui vendu en tant que ferraille et participer la recherche d une seconde source ventuelle e Au P rou pour fournir des avis m dicaux sur le traitement d un soudeur expos une source l iridium 192 non prot g e e Au Ghana pour aider remettre en place une source de radiographie industrielle l iridium 192 qui tait rest e bloqu e en dehors de son bo tier En outre l Agence a continu d aider la G orgie mettre au point des plans qui permettront de localiser et de mettre en lieu s r des sources abandonn es dans le pays apr s l clatement de l Union sovi tique Le Syst me d intervention en cas d urgence de l Agence a t activ la suite d un accident de criticit survenu l usine de combustible nucl aire de Tokaimura au J apon L intervention imm diate s est limit e la collecte d informations et leur diffusion aux tats Membres tant donn que le Japon n a pas demand l aide de l Agence pour faire face cette situation d urgence Toutefois une mission pr liminaire d enqu te s est rendue au Japon deux semaines apr s l accident pour recueillir des informations et tablir un rapport sur les causes imm diates les cons quences et les s quelles de l accident SERVICES OP RATIONNELS DE SURVEILLANCE ET DE PROTECTION RADIOLOGIQUES La demande de services de surveillance et de protection radiologiques pour les membres du personnel de l Agence et les experts de la
363. ss es entre les pr visions th oriques et les mesures effectives Afin de codifier ce processus de choix des param tres et par cons quent d am liorer la qualit et l uniformit des valuations de donn es nucl aires on a ex cut un PRC dont l objectif tait d laborer une biblioth que de param tres d entr e de r f rence RIPL Le principal produit de ce PRC est le fichier de d part RIPL qui d crit les r actions nucl aires dues aux neutrons aux protons et aux rayons gamma incidents ainsi ou aus noyaux d hydrog ne 2 et 3 et d h lium 3 et 4 Le RIPL fait l objet d un document technique de l Agence IAEA TECDOC 1034 qui donne une description compl te de la biblioth que et indique les crit res de s lection des param tres Les sujets trait s sont notamment les suivants masses atomiques et d formations niveaux discrets param tres de r sonance neutronique moyens param tres du mod le optique densit s des niveaux fonctions de densit du rayonnement gamma distributions angulaires dans le continuum W Ku Lu x O Fe Lu a Lu D a Se I D a LI O zZ Lu oO ua Ku Lu D x oO LU Ka Lu D Ku Sa I a Ku LU O zZ Lu O Ka On a appuy deux projets de coop ration technique dont l objectif tait d accro tre l utilisation qui est faite dans les r gions des services de donn es nucl aires offerts par l Agence et des fournisseurs locaux Le premier
364. t 172 Lu x lt Lu Z lt Tableau A26 COURS S MINAIRES ET ATELIERS EN 1999 suite Cours r gional sur le contr le r glementaire des centrales nucl aires Royaume Uni Cours r gional cours professionnel de base sur la s ret nucl aire France Cours r gional de formation d instructeurs la s ret nucl aire y compris l utilisation de simulateurs pour la formation du personnel technique des centrales nucl aires Slov nie Cours avanc sur les techniques de mod lisation pour les tudes probabilistes de s ret EPS y compris l analyse de la fiabilit humaine les d faillances de cause commune les EPS de niveau 2 concernant les arr ts et un aper u des applications des EPS Espagne Avantages que retirent le producteur et l organisme de r glementation d examens p riodiques de la s ret Hongrie valuation de la s ret des modifications de centrales l accent tant mis sur la modernisation du contr le commande et les probl mes d interface homme machine Slov nie laboration et validation de proc dures d exploitation d urgence pour une pr vention et une att nuation efficaces de l endommagement grave du c ur Slovaquie Extension du cycle de vie des centrales nucl aires maintenance directe optimisation de la maintenance inspection en service applicabilit des sp cifications techniques Slov nie Probl mes de s ret des r acteurs RBMK Lituanie
365. t pour le stockage en surface sur le d dassement des centrales nucl aires et des r acteurs de recherche et sur le d classement des installations m dicales industrielles et de recherche ont t publi s Pour aider harmoniser et clarifier la terminologie utilis e dans diff rentes normes de s ret un glossaire unique de la s ret couvrant la terminologie de la s ret nud aire de la s ret radiologique de la s ret du transport et de la s ret des d chets a t tabli II a d abord pour but d indiquer aux r dacteurs et r viseurs des normes de s ret en quel sens l Agence utilise des termes particuliers mais il peut aussi pr senter de l int r t pour ceux qui lisent et qui appliquent les normes dans les tats Membres Le glossaire sera disponible sur le site Internet de l Agence CONVENTIONS RELATIVES LA SURETE L v nement majeur de l ann e en ce qui concerne les conventions relatives la s ret a t la premi re r union d examen des Parties contractantes la Convention sur la s ret nucl aire qui s est tenue en avril a Vienne et dont l Agence assurait le secr tariat la fin de 1999 il y avait 52 Parties contractantes la Convention Le nombre d tats contractants parties la Convention commune sur la s ret de la gestion du combustible us et sur la s ret de la gestion des d chets radioactifs a d pass la moiti du nombre requis pour l en
366. t externes sur la performance d exploitation L Agence ex cute de multiples programmes techniques relatifs l ing nierie et la technologie des r acteurs qui permettent de partager des informations sur l am lioration et le suivi de la performance des centrales et sur l volution de la technologie des r acteurs avanc s et leurs applications Toutefois seul un fonctionnement s r des centrales existantes dans le monde entier pendant de nombreuses ann es et l absence d accident majeur apporteront une d monstration claire et convaincante en mati re de s ret La gestion des d chets radioactifs et du combustible us pose aujourd hui un s rieux probl me d acceptation par le public Un des principaux bienfaits de l lectronucl aire est qu il n entra ne pas d missions de grandes quantit s de polluants atmosph riques y compris les gaz effet de serre mais il est confront un probl me de perception particulier en ce qui concerne la gestion des d chets savoir la croyance g n ralis e dans le public non averti que le combustible us et les d chets de haute activit ne peuvent pas tre g r s de mani re s re long tame Or la gestion de ces formes de d chets court terme tant qu une surveillance peut tre garantie ne pose pas de probl me et des installations d entreposage ont t construites pour ces d chets Sur le site tant des Centrale nud aires que des r acteurs de recherche le comb
367. t s de recherche pertinentes l laboration de documents consensuels non ant des prescriptions et des guides les compl tant et la mise au point de manuels et autres documents visant faciliter l application des normes par les organismes de r glementation Nombre de ces documents servent d assise des projets de coop ration technique notamment au projet mod le concernant le renforcement des infrastructures de s ret radiologique et de s ret des d chets dans plus de 50 tats Membres En outre des efforts consid rables ont t consacr s l intervention en cas d urgence notamment aux activit s ex cut es dans le cadre de la Convention sur la notification rapide d un accident nud aire et de la Convention sur l assistance en cas d accident nucl aire ou de situation d urgence radiologique Pour appuyer ces activit s on a organis des programmes de recherche des cours des conf rences et d autres r unions d change d informations dans le cadre du programme de coop ration technique Lu 2 o O O Q lt x ba LU He Lu ba Ku LI D O O Q lt o LU H uu D yn RADIOPROTECTION Pour d terminer les progr s accomplis jusqu a pr sent au titre du projet mod le de coop ration technique relatif au renforcement des infrastructures de radioprotection des quipes d examen par des confr res se sont rendues dans un groupe repr sentatif de 14 tats participants penda
368. t d am liorer l efficience de l interaction de l Agence avec ses tats Membres L un des avantages majeurs est la possibilit de disposer d informations int gr es et jour sur les projets Un nouveau module la Base de donn es inter nationale sur les tuyauteries des centrales nud aires a t achev II comprend des informations sur les propri t s des mat riaux des tuyauteries l examen non destructif des tuyauteries et les d faillances de tuyauteries Le logiciel ayant t labor l entr e de donn es fournies par les tats Membres devrait commencer vers la fin de 2000 Dans le domaine de la gestion de la dur e de vie des centrales nucl aires un PRC sur le Lu ba lt x LU oO zZ Lu zZ O7 a O Q Lu o o Lu Z WW LI D lt LU l S D PA Lu D O a LI D Lu LU maintien de l int grit structurelle des cuves sous pression des r acteurs a t achev Plusieurs recommandations concernant des activit s ult rieures ont t formul es Ainsi les 18 tats Membres participant au PRC ont recommand d utiliser l acier de r f rence de l Agence comme base de comparaison pour de futures tudes internationales sur les mat riaux des cuves sous pression En outre il a t recommand de mener d autres recherches sur l application des r sultats des programmes de surveillance l valuation de l int grit des cuves et sur le m canisme d action du
369. t de l ensemble de la Biblioth que SERVICES DE CONF RENCE D IMPRESSION DE PUBLICATION ET DE TRADUCTION Au cours de l ann e les services de publication d impression de documentation de conf rence et de langues de l Agence ont fusionn en une seule entit administrative On a ensuite commenc am liorer la coordination et a rationaliser les activit s notamment par le biais de syst mes bas s sur Internet ce qui pr sentera des avantages en amont galement Le site Internet de la revue Fusion nucl aire a t am lior et on a commenc d velopper un site commercial lectronique de l Agence pour les publications destin es la vente Le volume total de traductions et de comptes rendus officiels a t de 26 501 pages standard contre 28 875 l ann e pr c dente Cette baisse est imputable essentiellement aux restrictions impos es sur le nombre et la longueur des documents et une diminution de la demandeinterne de traductions Dans le domaine de l impression le nombre total de copies imprim es et de travaux connexes li s aux programmes de l Agence l exclusion des travaux remboursables pour d autres organismes a t de 75 016 012 pages contre 84 586 953 en 1998 Les activit s de publication ont compris la production au total de 142 ouvrages rapports num ros de revues et brochures en anglais voir l annexe tableau A27 En outre deux ouvrages ont t publi s en chinois deux e
370. t de programme et budget pr sente des justifications des objectifs amp des indicateurs de performance jusqu au niveau des sous programmes Le Conseil des gouverneurs a accept titre exceptionnel que le programme et budget ne couvre qu une p riode d un an afin de pouvoir synchroniser les cycles biennaux de l Agence avec ceux des autres organisations du syst me des Nations Unies c est dire faire en sorte qu ils commencent une ann e paire Des propositions visant en sorte que malgr la disposition de son Statut pr voyant une budg tisation annuelle l Agence ait davantage recours la programmation biennale ont t pr sent es dans le courant de l ann e et approuv es par le Conseil En septembre la Conf rence g n rale a approuv une modifi cation du Statut qui permettra de recourir la budg tisation biennale titre de mesure compl mentaire une fois que cette modification aura t ratifi e par le nombre d tats requis Des valuations SAEP Syst me d analyse de l ex cution des programmes ont t effectu es au cours du premier semestre de l ann e pour les programmes sectoriels 1 2 et 3 nergie d origine nucl aire et cycle du combustible Sciences et applications nucl aires et S ret nucl aire s ret radiologique et s ret des d chets Bien qu il ait t reconnu que les priorit s des programmes devaient tre accept es par les tats Membres les recommandations des va
371. t en particulier des groupes vuln rables de r gions en d veloppement travers le monde A cet gard un projet de plan th matique intitul valuations isotopiques pour accro tre la valeur des interventions nutritionnelles a t labor afin de servir de mod le pour des projets r gionaux de coop ration technique dans les r gions Am rique latine et Asie de l Est et Pacifique Le projet concernant l Am rique latine est ax sur l valuation des programmes d intervention nutritionnelle l aide d isotopes Celui concernant la r gion Asie de l Est et Pacifique a pour principal objectif de mesurer l efficacit d une suppl mentation en multinutriments l aide d isotopes stables On a entrepris d valuer dans des pays en d veloppement les r serves de vitamine A dans le corps et la biodisponibilit de la provitamine A en recourant la cin tique in vivo et la m thode qui fait appel au r tinol 2H Les r sultats ont permis d avoir une id e plus pr cise des r serves de r tinol dans le corps entier et d tablir un bilan vitamine A chez les m res et les enfants La technique isotopique susmentionn e peut tre utilis e pour surveiller ce bilan quand on value l efficacit des programmes de suppl men tation en vitamineA En outre un PRC sur la mise au point et l application de techniques isotopiques aux tudes sur l apport en vitamine a t achev La principale condusion
372. t examen de la gestion du vieillis sement valuation et gestion des principaux composants des centrales nucl aires qui sont importants pour la s ret et m thode simplifi e pour l estimation du terme source de r f rence aux fins de la conception des REO En outre des directives ont t publi es pour les services de l Agence portant sur l examen de la s ret de la conception et pour ses quipes d valuation de la gestion du Vieillissement Des services d examen de la s ret de l ing nierie ont t fournis sous la forme de missions de coop ration technique et d ateliers organis s dans 20 tats Membres voir l annexe tableau A5 Les missions effectu es dans le cadre du Service d examen de la s ret de la conception y compris les questions de s ret li es la gestion de la configuration et du vieillissement se sont rendues au Pakistan en R publique islamique d Iran en Roumanie et en Ukraine La majorit des missions consacr es aux agressions internes externes ont t constitu es par des valuations sismiques de centrales existantes Les missions de ce type ont pour objet de faire b n ficier des centrales du retour d exp rience d autres pays et ainsi d harmoniser les pratiques internationales et d optimiser l utilisation des ressources La s ret incendie constitue en outre un probl me de s ret d exploitation fondamental auquel on accorde de plus en plus d attention dans les examens p
373. t nucl aire et la Convention sur l assis tance en cas d accident nucl aire ou de situation d urgence radiologique ont t adopt es apr s l accident de Tchernobyl survenu en 1986 En 1999 l Agence a fourni une assistance d urgence quatre tats Membres La Convention sur la s ret nucl aire qui est entr e en vigueur en octobre 1996 encourage les pays ayant des centrales nucl aires prendre l engagement juridique de maintenir un haut niveau de s ret Outre qu elle leur impose des obligations en ce qui concerne des points pr cis tels que le choix des sites la conception la construction et l exploitation des centrales nucl aires la Convention oblige les Parties contractantes soumettre p riodiquement en vue de leur examen par des confr res lors de r unions d examen des Parties contractantes des rapports sur le respect de ces obligations La premi re de ces r unions d examen a eu lieu Vienne en avril Au cours de la r union qui a dur deux semaines les Parties contractantes ont examin chaque rapport national ainsi que les questions et les observations qui avaient t pr sent es Elles ont adopt un rapport de synth se tabli par consensus qui indique succinctement les principales conclusions des d bats et les questions qui ont t jug es importantes pour continuer renforcer la s ret nucl aire l avenir Les parties contractantes ont reconnu que le processus d examen avait t t
374. t plus n cessaires a des fins de d fense Par ailleurs le travail relatif a un r gime mod le de v rification s est poursuivi et l tude des dispositifs Ku LU p zZ lt o lt 104 ep Lu lt DC lt techniques employer pour la v rification du plutonium ayant des caract ristiques classifi es notamment des composants d armes nucl aires en est au stade du d veloppement de prototypes pleinement op rationnels Des modalit s financi res ont t examin es et le travail est en cours pour pr parer les mesures requises en vue de l adoption et de l application de nouveaux accords bilat raux entre l Agence la F d ration de Russie et les tats Unis En attendant que la Conf rence du d sarmement entame les n gociations sur un trait interdisant la production de mati res fissiles destin es tre utilis es dans des armes nucl aires et d autres explosifs nucl aires L Agence a examin les aspects techniques dela v rification qui deviendrait n cessaire Le Directeur g n ral a inform le Pr sident de la Conf rence du d sarmement que l Agence tait pr te r pondre toute demande d assistance dans le contexte des r solutions de l Assembl e g n rale des Activit s de v rification Inspections effectu es Journ es d inspection Nations Unies qui prient l Agence de fournir cette assistance Des progr s ont t r alis s dans la n gociatio
375. t un facteur cl dans toutes les activit s de d veloppement socio conomique personne n a mis au point d indicateurs du d velop pement nerg tique durable Ces indicateurs sont devenus d autant plus n cessaires queles travaux actuels dans ce domaine ont t ax s sur des indicateurs g n raux de d velop pement durable L Agence avec l aide des tats Membres et d autres organisations internationales a donc lanc un projet pour tablir un ensemble coh rent d indicateurs permettant de mesurer et de surveiller le d veloppement du secteur nerg tique compte tenu des objectifs du d veloppement durable Avec de tels indicateurs on pourrait a valuer le r le de l nergie dans les strat gies de d veloppement durable b apporter les modifications requises aux bases de donn es et aux outils d analyse de l Agence de mani re ce qu ils soient mieux m me de prendre en compte les questions du d veloppement nerg tique durable c aider les tats Membres d finir leur strat gie nerg tique conform ment aux objectifs du d veloppement durable Encore am lior s ces indicateurs seront soumis la Commission du d velop pement durable des Nations Unies pour examen sa neuvi me session CDD NU 9 en avril 2001 Pour la premi re fois on y discutera des rapports entre nergie et d veloppement durable tant donn que le d veloppement durable a n cessairement une forte composante conomique il
376. t une composante essentielle de toutes ces activit s Les l ments d appui du plan d action visent les personnes ou institutions qui ont int r t ce que l on essaie de r gler le probl me des sources orphelines comme les entreprises de recyclage des m taux les usines m tallurgiques et les installations destin es recevoir des d chets non radioactifs Les fabricants et les fournisseurs de syst mes de surveillance ou de d tection sont galement concern s Le plan d action a t approuv par la Conf rence g n rale en octobre W l lt Lu zZ Lu o 2 oOo a Lu D lt x lt ez LU Es LU D D LI a lt re u des doses d passant la limite annuelle fix e pour le public Des mesures de pr caution ont t prises autour du site tant donn que cet accident a eu un impact grave sur le site mais n a entra n aucun rejet important de mati res radioactives en dehors du site il a t class au niveau 4 de l chelle internationale des v nements nucl aires INES ce qui repr sente le niveau le plus lev depuis l introduction de l chelle en 1990 L Agence a pris contact avec les autorit s japonaises comp tentes afin de d terminer les Une partie de plus en plus importante du travail de l Agence en mati re de s ret concerne le renforcement des organismes nationaux de r glementation faits pour pouvoir r pondre d innombrables demandes d
377. tables du FICS l AFIMS s est d roul avec succ s Le nouveau syst me a t mis en service le 1 janvier 2000 Pour 1999 la Conf rence g n rale a ouvert des cr dits d un montant de 224 2 millions de dollars pour le budget ordinaire de l Agence sur la base d un taux de change de 12 70 schillings autrichiens pour 1 dollar des Etats Unis dont 219 3 millions de dollars concernaient les programmes de l Agence voir l annexe tableau A1 Ce dernier montant a t ramen 216 9 millions de dollars pour tenir compte du taux de change moyen des Nations Unies effectivement enregistr pendant l ann e savoir 12 8671 schillings autrichiens pour 1 dollar des Etats Unis Le budget ordinaire pour 1999 au taux de change de 12 8671 schillings autrichiens pour 1 dollar des Etats Unis s levait 221 8 millions de dollars dont 212 2 millions devaient tre financ s par des contributions des tats Membres calcul es selon le bar me des quotes parts de 1999 4 9 millions par des recettes correspondant aux travaux remboursables pour d autres organismes et 4 7 millions par d autres recettes diverses Les d penses effectu es en 1999 au titre du budget ordinaire de l Agence se sont lev es 221 5 millions de dollars dont 216 5 millions concernaient les programmes de l Agence Le solde non utilis du budget pr vu pour les programmes de l Agence s est lev 0 4 million de dollars et le solde non utilis du budget
378. te st rile TIS a continu de contribuer largement la lutte contre les insectes nuisibles pour les cultures et le b tail et leur radication tandis que le r le de l irradiation en tant que traitement sanitaire et phytosanitaire des aliments et des produits agricoles tait de plus en plus reconnu Enfin le Centre FAO AIEA de formation et de r f rence pour le contr le des produits alimentaires et des pesticides aux Laboratoires de l Agence Seibersdorf a intensifi son assistance aux tats Membres en ce qui concerne la qualit et la salubrit des denr es alimentaires Lu a 2 oO oc OH lt H Lu Zz O H lt H Z Lu gt lt GESTION DES SOLS ET DE L EAU ET NUTRITION VEGETALE Un PRC sur l emploi des techniques nucl aires pour am liorer l efficacit de l application d engrais azot s au bl irrigu auquel ont particip l Afghanistan le Chili la Chine l gypte l Inde le Mexique le N pal le Pakistan et la R publique Arabe Syrienne a t achev En d pit de la p nurie d eau et du co t croissant des engrais les agriculteurs ont tendance utiliser ces deux ressources de mani re excessive pour tenter d augmenter au maximum la production agricole appau vrissant ainsi les r serves en eau et polluant les eaux souterraines avec les nitrates On s est servi d engrais marqu s l azote 15 pour valuer le taux de r cup ration des engrais par les cultures et les pe
379. tenant en mesure de pr dire les conditions dans lesquelles des barri res de transport internes peuvent r duire le taux de perte de chaleur du plasma et am liorer ainsi l exploitation Un r sum des d bats de la r union va tre publi dans la revue de l Agence Fusion nucl aire Une autre r union de comit technique sur la physique et la technologie du chauffage par r sonance cyclotronique lectronique CRCE pour les dispositifs fusion a t organis e Oarai J apon en octobre Le CRCE pourra tre utilis l avenir pour r duire les modes de d chirement supprimer les oscillations en dents de scie et contribuer au maintien des barri res de transport internes dans les tokamaks Apr s avoir inject des impulsions thermiques par d charges micro ondes dans un plasma on peut calculer la diffusivit thermique partir de la vitesse laquelle les impulsions thermiques se propagent Plusieurs laboratoires travaillent la mise au point de gyrotrons capables de produire environ 1 MW en r gime constant et avec un bon rendement c est dire gt 30 On est en train de mettre au point des fen tres en diamant qui en raison de leur faible pouvoir d absorption des micro ondes et de leur conductivit thermique lev e permettent de transmettre une puissance beaucoup plus lev e que les fen tres ordinaires sans se fissurer Le contr le l acquisition des donn es et la participation a distance ont
380. teurs de puissance pour couvrir les applications non lectriques des centrales nucl aires e Conception et d veloppement de sites Internet pour les r acteurs de recherche et pour le syst me d information sur l hydrologie isotopique e Elaboration d un syst me d aide la tenue jour et la publication du Manuel administratif SERVICES DE BIBLIOTH QUE La deuxi me version de la page d accueil dela Biblioth que du CIV VICLNET a t labor e et mise la disposition des utilisateurs L acc s rationalis des utilisateurs l information lectronique constitue son principal atout En outre VICLNET donne acc s 72 revues lectroniques en abonnement 190 revues Internet gratuites et 4 grands services d information lectronique de m me qu la recherche la commande et la livraison lectronique en ligne de rapports techniques et de normes la fois des collections de la Biblioth que du CIV et de sources externes Qui plus est un r seau de CD ROM a t cr et mis en service comme module int gr la page d accueil La Biblioth que du CIV a migr vers un nouveau syst me int gr de logiciel de biblioth que STAR Libraries Ce syst me permet de rationaliser encore l acc s des utilisateurs aux sources d information lectronique et de d velopper de nouveaux services pour les utilisateurs dela Biblioth que Il permettra galement d am liorer l efficience et l efficacit du fonctionnemen
381. tion d j existant qui a normalement lieu dans chaque r gion g ographique tous les deux ans au moins a t tenu Buenos Aires en Argentine cours en espagnol tabli depuis longtemps qui couvre galement la s ret nucl aire J ohannesburg en Afrique du Sud en anglais Damas en R publique Arabe Syrienne en arabe et Dubna en F d ration de Russie en russe La pr paration de mat riel pour les cours a t un point fort des activit s visant tablir un programme durable d enseignement et de formation dans les tats Membres Parmi les initiatives ont figur la standardisation des mat riels didactiques et supports audio visuels la production de mat riel didactique multim dia CD ROM et vid os pour compl ter les mat riels imprim s Et un appui a t fourni pour la phase d essai d un projet d enseignement distance auquel partici paient l Australie la R publique de Cor e l Indon sie la Mongolie la Nouvelle Z lande les Philippines et la Tha lande 97 COORDINATION DES ACTIVIT S RELATIVES LA SURETE Le programme de _ l Agence en 1999 V rification GARANTIES OBJECTIF DU PROGRAMME D terminer par la mise en oeuvre du syst me de garanties de Agence si les Etats se conforment aux engagements qu ils ont pris en vertu de leurs accords de garanties avec l Agence APER U G N RAL Dans l ex cution des obligations de l Agence en mati re de g
382. tion des ressources en eau s est tenu en mai Vienne Organis par l Agence tous les quatre ans il tait coparrain par l UNESCO l OMM et l Association internationale des sciences hydrologiques AISH Des pr sentations ont t faites sur les applications des isotopes l hydrologie des eaux de surface la gestion des ressources en eaux 61 RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE ENVIRONNEMENT MARIN 62 ENVIRONNEMENT MARIN RESSOURCES EN EAU ET INDUSTRIE souterraines aux ph nomenes de changement dimatique et a la gestion de l environnement Une table ronde y a t organis e sur les besoins futurs de la recherche d veloppement en hydrologie isotopique et sur l appui que doit accorder l Agence tant la recherche qu aux applications dans ce domaine Un PRC achev en 1999 a permis d am liorer les m thodologies d application des techniques Les r sultats d un PRC sur l application des techniques isotopiques l valuation des eaux souterraines profondes se d pla ant lentement offrent un outil suppl mentaire pour l valuation de la s ret de sites g ologiques pour le stockage d finitif des d chets nucl aires isotopiques en utilisant les concentrations des retomb es de c sium 137 et de plomb 210 pour valuer les taux d rosion des sols et de s dimentation II a t d montr que la radioactivit de l environnement peut servir valuer l rosion et la red
383. tions et la pr paration aux cas d urgence Les prescriptions du R glement de transport sont incorpor es dans les r glements d autres organisations internationales tels que le R glement type annex aux Recommandations des Nations Unies relatives au transport des marchandises dangereuses les r glements europ ens relatifs au transport par route et voie ferr e les Instructions techniques de l Organisation de l aviation civile interna tionale et le Code maritime international des marchandises dangereuses de l Organisation maritime internationale Pour favoriser et simplifier ce processus le Comit consultatif pour les normes de s ret relatives au transport a approuv un nouveau cycle d examen du R glement de transport qui est harmonis avec les cycles de r vision d autres organismes des Nations Unies Dans le cadre de ce nouveau cycle qui a d but en l an 2000 le R glement de transport sera examin tous les deux ans et une dition r vis e sera publi e si besoin est URGENCES RADIOLOGIQUES On a poursuivi les travaux relatifs la mise au point d un ensemble de normes de s ret r vis es pour la pr paration et les interventions en cas d urgence On s efforce plus particuli rement de faire coparrainer ces normes par d autres organisations internatio nales concern es afin de promouvoir la coh rence et l uniformit dans le traitement des cas d urgence Un document technique sur les proc dures de surveill
384. tives m thodes et crit res de mise en oeuvre qui seront n cessaires mati res nucl aires Le travail concernant le syst me de garanties renforc s est poursuivi l accent portant sp cialement sur l int gration des activit s traditionnelles de v rification des mati res et des nouvelles mesures de renforcement Un programme a t tabli pour continuer mettre au point les concepts relatifs aux garanties int gr es ainsi que les directives m thodes et crit res de mise en oeuvre qui seront n cessaires La premi re priorit est l laboration d une m thode de contr le int gr e pour les REO sans combustible MOX Ce programme est ex cut l int rieur du D partement et coordonn par lui avec l aide qu apportent un groupe d experts des garanties le Groupe consultatif permanent sur l application des garanties et un certain nombre de programmes d appui des Etats Membres Deux r unions techniques de coordination avec la participation d experts de neuf programmes d appui nationaux se sont tenues Vienne pour faire le point et d finir les orientations pour l avenir en ce qui concerne l laboration de m thodes de contr le int gr es Selon les protocoles additionnels conclus sur la base du mod le de Protocole additionnel INFCIRC 540 des arrangements subsidiaires compl mentaire des sites de cet Etat et concernant les conclusions tir es de ces activit s Un effort a t fait dans
385. tr e en vigueur de la Convention Une troisi me r union informelle des signataires et d autres tats int ress s s est tenue Vienne en octobre pour mettre au point les r gles et directives qui s appliqueront au processus d examen lorsque la Convention sera en vigueur compte tenu de l exp rience acquise lors de la r union d examen de la Convention sur la s ret nucl aire la fin de 1999 il y avait 13 tats contractants dont neuf avec des centrales nucl aires en service et un total de 40 signataires Le Panama et la Belgique sont devenus Parties contractantes la Convention sur la notification rapide d un accident nucl aire et la Convention sur l assistance en cas d accident nucl aire ou d urgence radio logique portant le nombre de parties contractantes 84 et 79 respectivement L application de la Convention sur la notification rapide a t demand e une fois propos d une source au cobalt 60 qu on croyait gar e en Turquie et l Agence a rempli les fonctions qui lui sont assign es en notifiant les tats voisins et en fournissant des informations tous les tats Membres L application de la Convention sur l assistance a t demand e formellement l occasion d urgences au Ghana au P rou et en Turquie CHANGE D INFORMATIONS SUR LA SURETE A la r union annuelle de hauts responsables de la r glementation tenue a Vienne au moment de la session ordinaire de la Conf rence g n rale
386. tr le de qualit associ s aux souches pr c dentes Elle a t exp di e en Afrique du Sud et en Australie pour tre nouveau mise l essai dans le cadre de programmes d radication de la mouche m diterran enne des fruits l aide de la TIS et sera fournie des installations d Argentine du Chili des tats Unis du Guatemala et du Portugal Une unit prototype d levage des mouches ts ts mise au point pour r duire les co ts de l levage en masse et plus perfectionn e qu un mod le ant rieur fabriqu aux Laboratoires de l Agence Seibersdorf a t exp di e trois installations africaines pour tre valu e dans des conditions locales et avec diff rentes esp ces de mouches ts ts Son fonction nement exige un protocole simple qui fixe le nombre correct et le sexe des mouches introduire dans les cages de production Ce protocole a t valu et appliqu l entretien courant des colonies de mouches Seibersdorf permettant ainsi de r aliser des gains importants de temps et de main d oeuvre PROTECTION DES ALIMENTS ET DE L ENVIRONNEMENT Une conf rence internationale sur l emploi de l irradiation pour garantir la salubrit et la qualit des aliments organis e en octobre Antalya Turquie a permis d valuer la situation actuelle et les perspectives futures dans ce domaine Elle s est tenue un moment o l irradiation mieux accept e en tant que traitement sanitaire
387. tre GC 43 RES 1 Demande d admission l Agence pr sent e par le Honduras GC 43 RES 2 Demande d admission Agence pr sent e par l Angola Date d adoption 27 septembre 27 septembre GC 43 RES 3 Mise en oeuvre de l accord entre Agence et la R publique populaire d mocratique de Cor e relatif l application de garanties dans le cadre du Trait sur la non prolif ration des armes nucl aires 1 octobre 1 octobre GC 43 RES 4 Comptes de Agence pour 1998 GC 43 RES 5 Ouverture de cr dits au budget ordinaire de 2000 1 octobre GC 43 RES 6 Allocation de ressources au Fonds de coop ration technique pour 2000 1 octobre GC 43 RES 7 Le Fonds de roulement en 2000 1 octobre GC 43 RES 8 Amendement du paragraphe A de l article XIV du Statut 1 octobre GC 43 RES 9 Bar me des quotes parts pour les contributions des Etats Membres en 2000 1 octobre GC 43 RES 10 S ret des sources de rayonnements et s curit des mati res radioactives 1 octobre 21 GC 43 RES 11 S ret du transport des mati res radioactives 1 octobre GC 43 RES 12 Protection radiologique des patients 1 octobre GC 43 RES 13 Mesures pour renforcer la coop ration internationale dans les domaines de la s ret nucl aire de la s ret radiologique et de la s ret des d chets 1 octobre GC 43 RES 14 Renforcement des activit s de coop ration technique de l Agence 1 octobre GC 43 RES 15 Plan pou
388. tres avec les Etats concern s pour l acquisition de renseignements et l application des mesures requises pour le dispositif de surveillance du neptunium Pour ce qui est de l am ricium le Conseil a conclu qu actuellement il n y avait pratiquement aucun risque de prolif ration mais il a demand au Directeur g n ral de l informer le cas ch ant des d veloppements en ce qui concerne la disponibilit d am ricium et l existence dans des tats de programmes qui pourraient permettre d acqu rir cette mati re Par mesure d conomie le pr sent document a t tir a un nombre restreint d exemplaires Les repr sentants sont pri s de bien vouloir apporter leur exemplaire en s ance SECURITE DES MATIERES OBJECTIF DU PROGRAMME Aider les Etats Membres gr ce des activit s de formation la fourniture de services d experts et de mat riel et a l change d infor mations en ce qui concerne la protection des mati res nucl aires et permettront le cas ch ant de d tecter des cas de trafic et d intervenir APER U G N RAL 109 o LU lt o Lu Q LU a o K o L objet essentiel du programme sur la s curit des mati res tait d aider les Etats Membres tablir les syst mes n cessaires pour emp cher que des mati res nud aires et autres sources radioactives ne soient d tourn es pour tre utilis es des fins non autoris es De nouveaux prog
389. ts dot s d armes nucl aires signataires d accords du type INFCIRC 66 Rev 2 en vigueur ne sont pas pris en compte Des garanties sont aussi appliqu es des tablissements nucl aires de Taiwan Chine D apr s les informations dont l Agence dispose pour l ann e consid r e 129 Lu x lt Lu Es z lt 130 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A14 SITUATION AU 31 D CEMBRE 1999 CONCERNANT LA CONCLUSION D ACCORDS DE GARANTIES ENTRE L AGENCE ET DES TATS NON DOT S D ARMES NUCL AIRES DANS LE CADRE DU TNP Afghanistan Afrique du Sud Albanie b Alg rie Allemagne m Andorre Angola Antigua et Barbuda c Argentine d Arm nie Arabie Saoudite Australie Autriche e Azerba djan Bahamas c Bahre n Bangladesh Barbade c B larus Belgique Belize f B nin Bhoutan Bolivie c Bosnie Herz govine g Botswana Br sil d Brun i Darussalam Bulgarie Burkina Faso Burundi Cambodge Cameroun Canada Cap Vert Chili h Chypre Colombie i Comores Congo Cor e R publique de Costa Rica c C te d Ivoire Croatie Danemark k Djibouti 4 f vrier 1970 10 juillet 1991 12 septembre 1990 12 janvier 1995 2 mai 1975 7 juin 1996 14 octobre 1996 27 novembre 1968 10 f vrier 1995 15 juillet 1993 3 octobre 1988 23 janvier 1973 27 juin 1969 22 septembre 1992 10 juillet 1973 3 novembre 1988 31 ao t 1979 21 f vrier 1980 22 juillet 1993 2 mai 1975 9 ao t 19
390. ucl aire Autriche Atelier r gional sur la base de donn es sur le trafic illicite Kazakhstan Atelier sur la menace de r f rence R publique tch que Atelier sur la comptabilit et le contr le des mati res nucl aires Autriche Atelier r gional sur la protection physique des mati res et des installations nucl aires Chypre Cours international sur la protection physique tats Unis Tableau A27 PUBLICATIONS PARUES EN 1999 Nuclear power reactors in the world Collection Donn es de r f rence n 2 Operating experience with nuclear power stations in Member States in 1998 13 dition Publication annuelle Verification and validation of software related to nuclear power plant instrumentation and control Collection Rapports techniques n 384 Modern instrumentation and control for nuclear power plants A Guidebook Collection Rapports techniques n 387 World survey on nuclear power plant personnel training IAEA TECDOC 1063 Specification of requirements for upgrades using digital instrument and control systems IAEA TECDOC 1066 Technical support for nuclear power operations IAEA TECDOC 1078 Quality assurance within regulatory bodies IAEA TECDOC 1090 The impact of the year 2000 issue on electricity grid performance and nuclear power plant operation in Bulgaria the Russian Federation and Slovakia IAEA TECDOC 1095 Evaluating and improving nuclear power plant performance IAEA
391. ucl aires MESURE ET EVALUATION DES RADIONUCLEIDES DANS L ENVIRONNEMENT MARIN Un syst me novateur de surveillance de la radioactivit marine par moniteurs gamma fixes avec transmission des donn es par satellite a t mis au point par le LEM de l AIEA et a t install en avril dans la baie de Monaco pour mise l essai et valuation des r sultats II peut enregistrer et transmettre des informations sur des radionucl ides metteurs gamma dans l eau de mer et sur une s rie de param tres dont la temp rature de l eau de mer la salinit la vitesse et le sens du courant mais aussi g n rer des enregistre ments continus long terme de la radio activit marine en des points d observation r partis dans toutes les mers du globe Tr s utile pour l valuation de l impact d installa tions nucl aires dans des situations normales ou d urgence et pour l inventaire des sites d immersion de d chets il peut galement servir de syst me sentinelle au large des c tes ou en haute mer dans les zones de p che ou le long des grands axes de navigation Le syst me s est bien comport sur une p riode d essai de huit mois atteignant comme pr vu la sensibilit de 4 Bq m pour la concentration de c sium 137 dans l eau II sera en principe install en 2000 en mer d Irlande pour tudier le transport long terme du c sium 137 rejet par l installation de retraitement de combustible nud aire de Sellafield Dans le cad
392. un environnement fortement concurrentiel En 1999 la tendance la conclusion de contrats de tarification de courte et non plus de longue dur e induite en partie par l existence de centrales au gaz bon march s est poursuivie Pour concurrencer les centrales combustible fossile notamment les petites centrales au gaz qui peuvent souvent tre amorties plus rapidement qu une centrale nucl aire il serait n cessaire d abaisser les d penses d investissement initiales et de r duire les frais d exploitation et de maintenance de l lectronucl aire Un processus de planifi cation int gr tenant compte de tous ces facteurs d s le lancement d un programme lectronucl aire peut tre utile cet gard Les centrales nucl aires de construction r cente en particulier celles qui sont standar dis es se caract risent notamment par des d lais de construction nettement plus courts et des frais d exploitation plus faibles Cette am lioration des performances tient un certain nombre de facteurs parmi lesquels figure la restructuration en cours des compagnies d lectricit consistant notamment dans l adoption de m thodes de gestion plus modernes l octroi d une formation approfondie et la mise en commun de l exp rience indus triele L am lioration constante des perfor mances dans le monde entier au cours de la d cennie coul e ressort de divers indicateurs publi s par l Agence et par l UMEN qui font app
393. ur la radioprotection et l assurance de la qualit y compris l optimisation de la dose collective r sultant de la radiologie diagnostique Malaisie Atelier r gional RCA sur la radioprotection professionnelle Australie Cours r gional RCA sur la s ret radiologique en radiographie industrielle Indon sie Atelier r gional RCA sur les recommandations actuelles de la CIPR et les normes de AIEA Inde Formation collective a la conception l application et la gestion de programmes de protection et de s ret radiologiques en radiographie industrielle Malaisie Atelier national sur la radioprotection en radiologie diagnostique radioth rapie et m decine nucl aire Myanmar Atelier national sur la radioprotection et l assurance de la qualit en radiologie diagnostique Autriche Formation collective l utilisation et a la maintenance du lecteur de dosim tres thermoluminescents Harshaw Allemagne Formation collective la radioprotection et l assurance de la qualit en radiologie diagnostique Royaume Uni Formation collective a la radioprotection et l assurance de la qualit en radioth rapie Belgique Cours sur la s ret du transport de d chets radioactifs R publique Arabe Syrienne Cours professionnel r gional de base sur la radioprotection R publique Arabe Syrienne Cours r gional sur l optimisation de la radioprotection dans la conception et l exploitation des centrales nucl
394. ur les bonnes pratiques de fabrication et l assurance de la qualit AQ des radiopharmaceutiques En ce concerne les techniques de radioanalyse un effort croissant a t fait pour introduire des proc dures de contr le de la qualit et d AQ dans les laboratoires des Etats Membres Dans le domaine de la fusion nucl aire l Agence a aid laborer un m morandum d accord r vis entre l Union 9 Lu 3 x O Lu on Lu D Ku Se I D a Lu O zZ Lu oO o Ku Lu D x oO LU Ka Lu D Ku Sa I a Ku LU O zZ Lu O Ka europ enne la F d ration de Russie et le Japon concernant l ex cution du projet de r acteur thermonucl aire exp rimental international ITER DONNEES NUCLEAIRES ET ATOMIQUES POUR LES APPLICATIONS L utilisation des services de donn es nucl aires de l Agence par les scientifiques des tats Membres a augment de fa on constante Comme l indique le tableau ci dessous le nombre de consultations individuelles par l interm diaire d Internet http www nds iaea or at des principales bases de donn es nucl aires qui sont conti nuellement mises a jour et rassemblent des donn es nucl aires exp rimentales et des biblioth ques de donn es valu es provenant de projets nationaux a augment de plus de 30 en 1999 Le nombre de recherches sur Telnet apr s avoir diminu en 1998 en raison de la concurrence croissante d une interface Web dont l
395. us 1999 2000 Caract risation et valuation de techniques de mesure des doses lev es aux fins de l assurance de la qualit du radiotraitement 1995 1999 Mise au point d un programme d assurance de la qualit de la dosim trie en radioth rapie dans les pays en d veloppement 1995 2000 Mise au point d un programme d assurance de la qualit pour les laboratoires secondaires d talonnage pour la dosim trie LSED 1996 1999 D termination de la dose l aide de chambres d ionisation parall les planes dans l utilisation th rapeutique de faisceaux d lectrons et de photons 1996 1999 laboration d un code de bonne pratique pour la d termination de la dose d irradiation par des faisceaux de photons d lectrons et de protons partir d talons de mesure de la dose absorb e dans l eau 1997 2000 Biodosim trie par r sonance paramagn tique lectronique 1998 2000 tudes internationales comparatives de ost oporose l aide de techniques isotopiques 1994 2000 Mise au point et utilisation de techniques isotopiques pour l tude du m tabolisme de la vitamine A 1995 1999 Projet concernant l homme asiatique de r f rence phase 2 ingestion et teneur dans les organes d l ments traces importants en protection radiologique RCA 1995 2000 valuations isotopiques de la nutrition maternelle et infantile en vue d emp cher les retards de croissance 1996 1999 valuations isotopiques pour surveiller la croissance des n
396. us and trends in spent fuel reprocessing IAEA TECDOC 1103 Minimization of waste from uranium purification enrichment and fuel fabrication IAEA TECDOC 1115 Use of natural analogues to support radionuclide transport models for deep geological repositories for long lived radioactive wastes IAEA TECDOC 1109 Compliance monitoring for remediated sites IAEA TECDOC 1118 On site disposal as a decommissioning strategy IAEA TECDOC 1124 Water chemistry and corrosion control of cladding and primary circuit components IAEA TECDOC 1128 Nuclear decommissioning A proposed standardized list of items for costing purposes Strategies for competitive nuclear power plants IAEA TECDOC 1123 Energy electricity and nuclear power estimates for the period up to 2020 dition de juillet 1999 Collection Donn es de r f rence no 1 175 Lu x lt Lu zZ lt 176 Lu x lt Lu Es Z lt Tableau A27 PUBLICATIONS PARUES EN 1999 suite Soils newsletter Vol 22 Nos 1 et 2 Mutation breeding newsletter No 44 Mutation breeding review No 11 Animal production and health newsletter Nos 30 and 31 Insect and pest control newsletter Nos 53 and 54 Plant breeding and genetics newsletter Nos 3 and 4 Nuclear based technologies for estimating microbial protein supply in ruminant livestock IAEA TECDOC 1093 Development of feed supplementation strategies for improving the productivity of dairy cattle on smallh
397. ustible nucl aire et d utiliser le plutonium s par d ventuels dommages cologiques s agit du premier rapport sur ce sujet il souligne l importance des bonnes pratiques environne mentales si l on veut qu au XXIE si cle l uranium soit une source durable de combustible 11 donne un aper u des activit s et des probl mes environnementaux li s la production d uranium sur la base des r ponses de 29 pays une enqu te Un colloque sur les techniques du cycle du combustible MOX pouvant tre mises en oeuvre moyen et long terme organis en mai Vienne en coop ration avec l AEN OCDE a permis d examiner des questions comme la conception la technologie l utilisation la performance la s ret les garanties le transport et la gestion du plutonium s par civil et militaire ainsi que les options possibles concernant les cydes avanc s II a t reconnu qu avec plus de 2 000 assemblages MOX pour lesquels il a fallu 85 tonnes de plutonium fabriqu s et charg s dans des r acteurs de puissance l activit industrielle du recyclage est arriv e maturit On ma trise la technologie les installations les institutions et les proc dures sont en place et l on dispose ou l on disposera des capacit s n cessaires pour faire face l augmentation pr vue des quantit s de plutonium civil s par provenant de la production d lectricit On a not que dans un futur proche le nombre des pa
398. ustible us peut tre entrepos sous eau ou a sec de mani re s re et fiable encore que certaines installations d entreposage de combustible us soient maintenant pleines ou presque Cependant on admet g n ralement qu a plus long terme la solution la plus appropri e r sidera dans le stockage d finitif grande profondeur Dans de nombreux pays les plans relatifs des d p ts g ologiques n ont progress que lentement voire pas du tout en 1999 Beaucoup d tats r examinent leurs politiques nationales en s effor ant de d terminer pour la gestion des d chets les solutions qui sont la fois s res et acceptables par le public et d inspirer confiance dans ces solutions On accorde par exemple une attention accrue l id e d enfouir les d chets grande profondeur mais sous une forme r cup rable au lieu de consid rer le stockage g ologique comme une solution irr versible II est d sormais admis qu il faut gagner la confiance du public gr ce un dialogue et un change permanents entre toutes les parties concern es de fa on que le stockage g ologique profond soit finalement reconnu comme une solution s re et valable Des progr s ont n anmoins t r alis s dans le domaine de la gestion des d chets radio actifs en 1999 voir encadr 1 En particulier une mesure importante prise aux tats Unis a t constitu e par l ouverture de l usine pilote d isolement de d chets longue p r
399. ut de l Agence figurant dans l annexe 2 du document GC 43 24 qui a t soumise par la Slov nie conform ment au paragraphe A de l article XVIII du Statut Ayant galement examin le rapport et la recommandation du Conseil des gouverneurs sur la proposition d amendement figurant dans le document GC 43 24 qui constitue les observations du Conseil sur l amendement soumises conform ment l alin a C i de l article XVIII du Statut Approuve l amendement susmentionn tendant remplacer les mots chaque ann e par les mots tous les deux ans dans la premi re phrase du paragraphe A de l article XIV du Statut E Le programme de l Agence en 1999 Technologie ENERGIE D ORIGINE NUCLEAIRE OBJECTIF DU PROGRAMME Aider les Etats Membres leur demande planifier et ex cuter des Etats Membres am liorer la s ret la fiabilit et la rentabilit de leurs centrales nucl aires en encourageant le progr s de l ing nierie et de la technologie la formation l assurance de la qualit et la moderni APERCU GENERAL Des r examens internes et externes ont conduit reformuler le programme en 1999 On a davantage mis l accent sur la planification des programmes lectronucl aires utilisant des r acteurs de faible et moyenne puissance dans les pays en d veloppement Les travaux sur l rosion et la corrosion de composants des centrales et sur les effets de la d r glementation des march s d
400. utilisation est plus facile s est stabilis environ 2 000 par an ce qui montre que les outils de recherche de donn es interactifs fond s sur Telnet ont encore la pr f rence d un certain nombre d utilisateurs sans doute ceux qui ont des connexions Internet faible d bit L Agence s est dot e des capacit s voulues pour produire et distribuer des versions CD ROM de ses principales bases de donn es nucl aires Ainsi les utilisateurs qui ne sont pas reli s Internet peuvent eux aussi acc der rapidement gr ce leur ordinateur aux m mes donn es que celles qui taient disponibles sur le serveur de donn es nucl aires au moment o le CD ROM a t produit En outre le CD ROM est le support que pr f rent les scientifiques qui utilisent des biblioth ques de donn es de grande taille dont le contenu est relativement statique La biblioth que FENDL 2 qui contient une somme consid rable de donn es en est un bon exemple Comme l indique le tableau ci dessous le nombre de CD ROM distribu s en r ponse des demandes individuelles de donn es a doubl en 1999 Le nombre des recherches en diff r qui comprend principalement les r ponses des demandes de documents imprim s a augment de 15 en 1990 Afin d essayer de limiter les co ts environ 50 des rapports dela collection INDC NDS ont t mis disposition sur Internet Plus de 1200 rapports de cette collection ont t t l charg s par l
401. utre question qui a t examin e pendant l ann e est celle de savoir comment d terminer l volution des priorit s aux fins de la programmation de l Agence dans le domaine des applications nucl aires tant dans le cadre du programme de coop ration technique que du programme ordinaire Deux nouvelles m thodes ont t propos es examiner les domaines dans lesquels les gouvernements des Etats Membres investissent eux m mes des fonds publics ce qui montre l int r t qu ils y portent et tudier les politiques de pr t des institutions financi res internationales Afin d essayer d accro tre la synergie entre les programmes financ s par le budget ordinaire et les programmes de coop ration technique un ensemble de principes de gestion pour l laboration et l ex cution du programme de coop ration technique ont t labor s et approuv s Ces principes qui sont fond s sur le concept de gestion par d centralisation fonctionnelle constituent un cadre d finissant les responsabilit s dans ce domaine l Agence Les pratiques de gestion interne ont constitu l autre principal th me de r forme pendant l ann e la suite de la conf rence de hauts responsables on a constitu des groupes de travail charg s de d terminer les domaines rationaliser et de proposer des modifications appropri es L un des sujets les plus importants qui ont t retenus a t l am lioration de la gestion gr ce la d l
402. ys qui recyclent le plutonium devrait s accroitre l objectif tant de r duire les stocks de plutonium s par li s aux contrats de retraitement existants M me si l utilisation accrue du combustible MOX l avenir d pend de l introduction commerciale de syst mes de r acteurs avanc s tels que les r acteurs rapides il a t reconnu que cela serait le meilleur moyen non seulement de fermer le cycle du combustible nucl aire et d utiliser le plutonium s par mais aussi de br ler les actinides radioactifs longue p riode qui sont accumul s dans le combustible us En ce qui concerne l appui aux activit s de coop ration technique un atelier a t organis Pamporovo en Bulgarie l intention des utilisateurs du code de calcul TRANSURANUS la suite du troisi me s minaire international sur la performance la mod lisation et l exp rimentation du combustible VVER Mis au point par l Institut pour les l ments transuraniens de la Commission europ enne ce code de calcul a t modifi afin de mod liser le comportement du combustible VVER Ces modifications ont ensuite t valid es par la base de donn es commune AE N OCDE AIEA IFPE Gr ce ce code de calcul les tats Membres pourront homologuer ce combustible l aide des donn es sur le comportement du combustible dans diff rentes conditions T moignant de l importance croissante de l entreposage long terme du combustible us une r

RAPPORT ANNUEL - International Atomic Energy Agency

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