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Informatisation des données archéologiques au centre de

1. rot D GL RETOURNER prom FICHIER M S MODULE wer QECHERCHES DE Der ARRETER LE PARTICULIERES POUR PROGR MODIFICATION OU SUPPRESSION LOGIQUE 3 AUTN CODAGE POUR S PPRCSSION LOGIQUE 4 RETOR ay MOULE wn kee Al m Pavone CREER WII A JNUR Cotter INTERROGER INTERROGATION D UNE BASE DC COWES CHARGEMENT DU MODULE EDITION UTILISER LES P ott tat TONER TRI ALPHA BUSSE tia a vaus qd SUPPALSS 108 DE Dia OARS LA base TRAMSIERER D S LES D UN FICHIER UN AUTRE FICHIER 1 SUPPRIMER PHYSIQUE M DES DONNEES CODES POUP SUPPRESS IOn LOGIQUE Stee game Mu Mo mone wm bo 3 3 ARRET MSCTER o u PROGRAME PROGRAME CALCULS SUR LLS Deia D UNE BASE TAUX CALCUL KO FREQUENCES CALCUL OE LA MOYENNE DU AIN OU WAX D OCCUPATION D LA BISQUETTE AU MODULE Wm orrot mmm 1987 Im ageet CRA CHRS 1982 KiC SES DESCRIPTION 2 3 5 8 FACU 7910511 3459912519 17 18 13 14 15 16 3 9 L Poids Poidsup Long Longsup Larg d Larg s 9456 TATIFS a Dean Ep ai 1 22 23 24 3 wn Ds Ces 32 33 35 36 Cd Dd 25 263 2 5 293 383 28 30 cr an 28 1 TAPER RETURN POUR CONTINUER QL EDITION DICTIONNAIRE A gt x hape d Valeur non controlee A NUMERO 7 6 8 8 8 CODE 1 ins eS a Ee rigine Qi Yr idul Position 3 1 1 2 CODE 4 Ge 1 SCHEER Zeg ontexte Petrog
2. 000000000000000P0 SE II III Quelques possibilit s 00ec000000000000Pe Le syst me retenu par le CRA eneen e e Be 34 a Th mes retenus b Pr sentation c Inconv nients d Exemples d indexation e Conclusion UN AUTRE RESEAU INFORMATIONNEL POSSIBLE 3 LA DOCUMENTATION SUR LES ARCHEOLOGUES COecerecreasesesceseareccoseseccseevoec Do I A Z 1 Les informations prises en compte DPe 2 Collecte 4000000000000000 00c60040000000000c00c00e00c0 De 3 Indexation et remplissage du bordereau e xw we De 4 Index d interrogation et de tri nu Do 5 6 7 TRAITEMENT Format de l diticn 0 De Le devenir du fichier c0 c ceo0cece0c0c00cecec00000P Conclusion p ET DIFFUSION DES DONNEES FACTUELLES I Qu est ce qu une base de donn es de recherches p 56 II Le logiciel MANDOLINE aeeeeeeeeeeeeeeegeeeeeeeeneee 60 III Ces CONCLUSION Le Diotionnaire c c0ce0c0cec0c00c0000000c0c0000Do Le Guide de description ena pue aa eu aa ou o e opo Le Lexique eecccocccoccccccccc ccc cc AER ER ee aa a o e De L Interrogation cc0c00e00c00000000c000000000000 e De Produits de sortie ene eeee ee enee E Renne ene see e De Conclusion sur MANDOLINE sees eeeeere enee ane e De bases sont elles diffusables Zeeeeeeeeeeeeeeee De aeeeeegetgreeeeeereeetseeeseereeeeeneeensensssee fe BIBLIOGRAPHIE EE D 64 62 63 66 66 6 63 td 78 INTRODUCTION I GENERALITES D apr s
3. Claudine TAYOT DESS Informatique Documentaire Universit LYON I Juillet 1984 INFORMATISATION DES DONNEES ARCHEOLOGIQUES AU CENTRE DE RECHERCHES ARCHEOLOGIQUES DU C N R S DELS 984 Je remercie Mr B Helly directeur du C R A de m avoir aocueillie en stage au C R A Je remercie galement le personnel du C R A pour l assistance et le cadre de travail qu il m a procur s tout au long de ces quatre mois TABLE DES MATIERES Introduction NEE o o Po 6 I G n ralit s IILe CRA 3 Organisation et actioON e0c0cc0c0ec0Pe 9 R I D A I II III IV Le Pro jet R I D A enr 006066060 460060 6000 Po ih a pourquo i un r seau 4040406009806000 e eeee eeeeeee e De 4 4 b Structure du r seau PEE EM c Les tapes de R I D A esse Po 15 R I D A 3 le CeeCee soso oeoo He 1 8 Conclusion sur R I D A Ccoccc0000000000000000000 Po 20 Eventuel avenir de R I D Ae c00ccc0c0c0000e000c0c00e000De 21 L AUTOMATISATION de RIDA I APPLICATION A LA BIBLIOTHE QUE DU I II III IV V VI VII CRA coccceccecoc000c0e0000000006000000060000000000000000P 0 Ch Introduction Pr sentation A EE Choix du mat riel 0c0o00000004e00000000400000P0 CG Mise au point des bordereaux 0 e00000000Pe UG RG 227 ET PE EN SE PE E lt Produits de sortie Te Conclusion NEEN 30 L INDEXATION AU CRA Am e a a cece occ cece a een ER e ess eneseeee He 34 I Mat riels et objectifs
4. ACQUISITION Mode d acquisition Pay sur fonds C R A DI contrat CT Command Echange N d inventaire Fournisseur Gratuit 41 Pri A D p t 51 Abonnement IST SPIS autre TI GESTION C R A Tous droits r serv s CNRS CRA Sophia Antipolis 1982 INVENTAIRE des BIBLIOTHEQUES OUVRAGE LOGALISATION Bibl 100 C R A C Bibl 100 U R A n 3 Bibl T00 du CCA Code Bibl EE Cote E80 EE 2 LX CELL AUTEUR 200 Auteur Direct si indirect PPL si organisme 210 2 Sigle si connu renvoi d auteur 2701 FORME MATERIELLE Manuscrit ron o EL Microfiche EL DR Microfilm LI Photocopie TITRE Titre si translitt r BIS Titre traduit CARACTERISTIQUES Dipl me Institution responsable 400 _ Actes de congr s 2 T J o personne vis e A Catalogue DI M langes ou DI Date Ouvrage comm moratif Rapport Cours conf L Autres BIJ Ville 420 Etat galna Pays 4401 J Code COLLECTION Faire aussi bordereau S Titre abr g C R A 18 D 8 360 _ ou 4 d faut titre original ou translitt r et ou traduit ISSN El 203 EDITEUR DIFFUSEUR ou IMPRIMEUR Ville D p Etat Pays code Editeur si imprimeur 760 1 Date l re dition 770 _ J R dition 776 1 _ ou R impression 776 2 _ ou Nelle dition 777 _ Je d Date 780l
5. nombre on effectuera des calculs La date est type d attribut particulier elle est prise en charge par le logiciel Dans le dictionnaire de la base PIPO par exem ple l attribut datation est ainsi d clar Datation 3 O 1 26 3 Code 5 type code num rique intitul 6 LE GUIDE DE DESCRIPTION emt en eae are EE EE EY EE EE E EE EE EE qn Il se pr sente sous le forme d une suite d ins truotions pr o d e chacune d une tiquette II a prinoipalement pour objet la distinction entre attributs faoultatifs et obligatoires Il a aussi pour fonction d orienter la saisie si tel attribut prend telle valeur alors le programme dehandera direotement tel autre attribut en passant sous silence des attributs inter m diaires cf le IF GOTO ELSE GOTO du Batic Cette fonction de s lection des attributs introduire est int ressante elle permet de r unir des descriptions d ob jets n ayant qu un ou deux points communs dans un m me dic tionnare En r sum on a le choix entre les instructions suivantes obligatoires 0 facultatif F commentaire C condition Avant de d clater faoultatif un attribut on in troduit un commentaire qui pr viendra l utilisateur Les in titul s des attributs obligatoires apparaissent automatique ment l cran Par contre on a taper ceux des attributs facultatifs Le message vite les oublis tiquette de l instruction dans le pro
6. 9 SOM Helladique CHALCOLITHI Campanifofmes Cycladique QUE Tombfs M galithiques C ram cord e Terramare Minoen BRONZE ANCIE Ancien et BRONZE MOYEN El Argar Moyen Sub Bor al d Myc nes 3 _ Ca j40d 130 1311 137 _ 33 Be l BRONZE RECFN Champs Chlamps di rnes Nouraghe Proto TRANSITION d arnos Peuples de G om trique AIT FER a lus LR CELTES Hal stal Ph niciens Gr ce ETRUSQUES Celtes Et rusques Archa que GRECS La Tone Grande Classique Sub Atlan Gr ce tiques 5 Ca 300 150 151 159 323 4 Alexandre E HELLENIS 4 Emp Sih aDC 395 Th odo de PALEOCHRE TIENS M rovingiens BYZANCE C lingi HT MOYEN arolinglens AGE 700 7 4gq9 MOYEN AGE Normands Roy de OCCIDENT Huns Normands Roy de Roy de Mor e Pologne CHRETIENS et Roy de France Sicile ISLAM et de CROISADE Bourgogne 00 8 Ca ap DU 8 Renaissance TEMPS MODERNES Gdes d cou _vertes Cine indushidh 9 190 191 192 193 19 195 196 1991 198 9 METHODES ET TECHNIQUES DE L ARCHEOLOGIE ET DISCIPLINES mises en jeu dans les SCIENCES FORMELLES de la NATURE et de la MATIERE 90 OUVRAGES GENERAUX DE METHODE D ACQUISITION ET CONSERVATION IDENTIFICATION 91 Prospection et fouilles 94 Analyse des mat riaux naturels Ecofacts 92 Documentation Enregistrement 95 Analyse desmat riaux fabriqu s Archives Diffusion ou tran
7. Enfin pourquoi ne ps envisager plus longue oh anoe et si les moyens finanoiers le permettent une connexion un r seau europ en Euronet par exemple ou mondial puisque le public est r parti sur toute la plan te 7 Conclusion Au d part simple application de pr paration et d aide la publication IAZ pourrait devenir le point cen tral d un v ritable r seau de diffusion de l information Ise public touoh ne se limiterait plus alors aux seuls aroh o goologues mais s tendrait toute l arch ologie et aux scienoes connexes zoologie anthropologie histoire de l art informatique L id e d un r seau pourrait trouver un soutien dans le d sir de oommunication des arch ozoologues oeux ci d s les ann es 60 ont mis le souhait de se regrou per en 1976 ils cr aient leur conseil international Alors pourquoi pas en 1986 en collaboration avec te CRA leur r seau de diffusion Cependant les objectifs restent modestes dans la mesure o l on n a pas pr vu le raooordement d autres sys t mes de diffusion bibliographique Il faut retenir toutefois que ce projet de consultation distance demeure aujourd hui l tat de souhait s aucun cahier de charges pour l implantation de la base sur serveur n est pr vu avant 1986 TETE 5 5 DOCAR IAZ RAF sont sans doute les pr mices de r alisa tions plus vastes J ai dit de DOCAR qu il ne repr sen tait l heure actuelle qu un outil
8. ISBN gb 405 INDEXATION C R A 800 INDEXATION C C A 805 Mode d acquisition GESTION C R A ACQUISITION Pay sur fonds C R A 1 T contrat 2 j Command Pays 820 J Echange 3 N d inventaire 900 Fournisseur 830 Gratuit ee On etes ns see RTL D p t IST Aute ZL Prix pay BIO Tous droits r serv s CNRS CRA Sophia Antipolis 1982 SAISIE INVENTAIRE des BIBLIOTHEQUES Num ro d enregistrement 10201 DEET TEE EXTRAIT LOCALISATION FORME MATERIELLE Bibl CRA Manuscrit ron o 1 _ Microfiche ET Bibl 100 U R A n La J o Bibl T00 du CCA Code BIL Beete Cote ALT BEE DELT AUTEUR Auteur Direct oO si indirect si organisme 210 2 _ Sigle si connu renvoi d auteur 270 TITRE Titre si translitt r BILI Titre traduit R sum GI Code langue 061 i i A i i EEGEN EXTRAIT D UN PERIODIQUE ou D UNE COLLECTION Titre abr g C R A ou d faut titre complet 620 Si le titre est nouveau remplir un bordereau S si translitt r 65011 Jet ou traduit 6401 S rie Ann e Vol Fasc A EE lee EE ee EXTRAIT D UN OUVRAGE
9. une macro indexation pour les donn es g n rales de la biblioth que et de la documentation Des lexiques plus fins pour les bases de donn es faotuelles est un compromis acceptable Mais on encourt avec elle le risque d une dss mination de I indexa tion avec tout ce que oela implique de r p titions synony Mie A c t de ceci existe aussi un danger de fragmen tation de l indexation relative une forme d donn es fac tuelles les outils de pierre par exemple ou une dis cipline de l aroh ologie si l on oonstruit un lexique par applioation on aura plusieurs types de lexiques pour une forme de recherche discipline ex epigraphie ou forme de donn es ex pollens fossile LO On ne peut passer sans probl me en interrogation d une Base l autre pour une m me sorte d information Or l extension du syst me d indexation aux bases faotuelles du CRA visait harmoniser oes diverses descriptions de l in formation afin d en faoiliter l interrogation Afin de d terminer s il est n cessaire ou non d unifier l indexation des bases faotuelles il faudrait en d finir le public si la consultation de ces bases est propre n laboratoire peu importe que ohaque application comporte son indexation personnelle Cependant si l on compte offrir ces bases au plus grand nombre de chercheurs possibles alors une unification des syst mes s av rerait utile T UN AUTRE RESEAU INFORMATIONNEL
10. AFNOR 1955 18 p NF Z 44 061 Les catalogues d auteurs et d anonymes choix des vedettes Paris AFNOR 1963 23 p NF Z 44 062 classement des noms propres trangers comportant des particules ou d autres l ments accessoires r pertoire de quelques usages nationaux Paris AFNOR 1963 4 p NF Z 44 063 Catalogage des publications en s rie r daction de la notice bibliographique Paris AFNOR 1979 46 p NF Z 46 001 Translitt ration des caract res cyrilliques slaves Paris AFNOR 1971 7 p NF Z 46 002 Translitt ration des caract res arabes en caract res latins Paris AFNOR 1963 6 p FD Z 46 003 Translitt ration de l h breu en caract res latins Paris AFNOR 1964 5 p 30 ISBD S Description bibliographique internationale normalis e pour les publica 31 ISO 32 ISO 33 ISO 34 ISO 35 ISO 36 ISO tions en s rie FIAB Paris BN 1974 Norme internationale ISO 4 documentaiton code international pour l abr viation des titres de p riodiques l re d 1972 03 15 s l ISO 1972 4 p Norme internationale ISO 833 documentation liste internationale d abr viations de mots dans les titres de p riodiques s l ISO 1974 38 p Norme internationale ISO 2108 Documentation syst me internatio nal pour la num rotation des livres
11. B Bibliographie analyti que de pr histoire et protohistoire RIDA II Paris CRA 1976 125 p GARDIN JC Plan de d veloppement d un R seau d Informa tion et de Documentation Arch ologiques RIDA dans le cadre du CRA 1973 1977 Paris CNRS CRA 1972 40 p LABARRE N cf CHARDENOUX M B LE MAITRE J LEQUEUX B RICHAUD A M TROUSSON LIBE RATORE D Le RIDA R seau d Information et de Documentation Arch ologiques essai de r alisation 1974 1979 Paris ADPF 1980 LEQUEUX B cf LE MAITRE J RICHAUD A M TROUSSON LIBERATORE D Application le CCN Le Catalogue Collectif National des Publications en s rie CCN In AGORA SUNIST information 1984 I De 16 17 IV ACTIVITES du SERVICE DOCUMENTATION BESSE BERSET N LEQUEUX B ROSCIAN S R pertoire de la recherohe aroh ologique fran aise Valbonne CRA 1983 2 vol non pagin Dossier de documentation arch ologique 5 LEQUEUX B Documentation en arch ologie au Centre de Recherches Arch ologiques du CNRS In PANORAMA 1983 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne APDCA 1983 pe 65 TI V TRAITEMENT DES DONNEES DE FOUILLES OU COLLECTIONS ET Bases de donnees de recherohes BUCHSENSCHUTZ o Syst mes d aide la gestion des fumil les arch ologiques le syst me CENTRAR et son application sur le gisement de Levroux Archaeological excavation mana geme
12. C q O1 N objet AD L O2 nature A 03 mati re 1 2 L 04 X d 7 05 Y 70 06 Z 26 gt t a Ol N objet AD 2 Z O2 nature d 03 mati re 1 SCH gt 04 X Co 05 Y 5 06 Z 29 3 0 O1 N objet AA 4 Q 02 nature A 03 mati re 1 Z ou x YG 05 Y ED 06 Z oO 23 O1 N objet A 9 V O2 nature G 03 mati rel a mm 04 X d A 05 Y ES 06 Z 2 0 2 DBJET 4888289 HUMERO 4000209 POSITION 25 OBJET 1973 NATURE 4 X 58 Y 57 21 293 TAPER RETURN POUR CONTINUER OBJET 4000218 NUMERO 40098219 POSITION 25 OBJET S NATURE MATI RE ta 46 Y 50 21 283 5 TAPER RETURN POUR CONTINUER Fichier PIPO N labo MoNTP 428 Source Site Jradraon Perta Position 2 1 Surface Contexte Stade f Datation iy Fonction 2 Dist f 027 Section 4 2 Faces 2 Prox f 11 Prox p Poids Larg d 325 Larg p Long fa Larg in Epais Arr D bit o Finit 99 Usure d 1 8 Remarque o OBJET 2005482 NUMERO 2008054092 N labo MONTP 128 Origine 38 NIMES Codognan Site i Position Contexte 2i Datation 411 Source B Petrog 161 Integ 1 Surface 1 Stade f 1 Fonction 2 Forme O Section 12 Faces 2 Cotes 2 Dist f 822 Prox f H 11 Prox p M 5 Poids 63 Long 69 5 Larg d H 33 5 Epais 16 5 D 2 95 Debit 8 Finit 22 Emmanc 8 Usure d 1 Remarque TAPER RETURN POUR CONTINUER
13. MATERIELS Traceur S G B D MANDOLINE STATIST CHADOC INFOGRAPHIE I INFOGRAPHIE II UTILITAIRES Imprimante ies SOFIA Eee STATIST LAST EDITEUR VU S G B D MICROBASE Saisie de textes alphab Saisie de textes par tablette graph APPLE II ot nnexe 2 RIDA x Conf i quia ion g n ral x Chaine do haibement RION 4 9 3YN9IJ CENTRE DE RECHERCHE ARCHEOLOGIQUE BIBLIOTHEQUES Province Lowe se Unites de recherche Services centraux Configuration g n rale du R I D A les liaisons entre utilisateurs gauche changeurs au centre et d positaires droite En noir les liaisons par t lex 4 l int rieur du C R A 15 CHAPITRE 3 DESCRIPTION DE LA CHAINE DE TRAITEMENT DE L INFORMATION SIGNALETIQUE RIDA I Collecte CCA Etude des Bib ext rieures Catalogue EE Bib URA manuel Bib C R A Plan de classement V rification donn es bib D finition y Ecriture des des bordereaux bordereaux trans litt ration Gestion informatique CCA Bib C R A Bordereaux Mat riel informatique Produits de sortie Logiciels geg ii el OUTILS OPERATIONS DE PRODUITS TRAITEMENT DE L INFORMATION documentaire et informatique Figure 2 Chaine de traitement de l information signal tique RIDA I Chm nxe 3 x Badwaux SOX X Nom necommomnded ona S Wiese crd all pou fu mu
14. Si n cessatre remplir un bordereau O Auteur 230 si indirect Titre si translitt r Titre traduit en langue cod e Be li I Liit Ville d dition 700 Etat 710 Pays 720 __ _ Code Editeur si imprimeur Date l re dition 770 770 F A Amen 776 1 _ ou R impression Biest ou Nelle dition 777 _ J d Date 780 Pagination 690 P 0u p pl Seege dg Ou pl INDEXATION C R A 800 E ESR Tee ITT INDEXATION C C A 805 4 EE E ACQUISITION 850 Mode d acquisition GESTION C R A Pay sur fonds C R A GT contrat 2 1 Command Pays 820 cl Echange d i VBE Fourni CET R eis EE Gratuit Ee Depot ET Autre TT prix pay DIO sscsceseeeseeeees Tous droits r serv s CNRS CRA Sophia Antipolis 1982 1 AFNOR 2 AFNOR 3 AFNOR 4 AFNOR 5 AFNOR 6 AFNOR 7 AFNOR 8 AFNOR 9 AFNOR BIBLIOGRAPHIE NF Z 44 050 Catalogues alphab tiques d auteurs et anonymes r daction de la notice bibliographique Paris AFNOR 1975 44 p NF Z 44 051 Catalogues alphab tiques d auteurs et anonymes pr sentation mat rielle de la notice catalographique Paris AFNOR 1976 66 p NF Z 44 060 Catalogues alphab tiques d auteurs et anonymes choix de vedettes collectivit s auteurs Paris
15. diterran en MOM Universit de LYON II et CNRS Centre de recherches arch ologiques CRA CNRS MOM LYON Il CNRS MOM LYON Il CNRS EES 8 KAn oF o Dendrochronologie CRA CNRS RES Comt Fichier d arch ologie CRA CNRS KE lk ge Bel Lou 21 Objets d art pal oli thiques Morphologie et tech nologie des objets pal olithiques Espagne et Maghreb Bibliographie Bibliographie Site de Bouqras FRANCIS Art et Proche Orient Asie CDSH CNRS arch ologie Am rique FRANCIS R pertoire Histoire de l arch olo CDSH CNRS d art et arch ologie gie MOM LYON li CNRS o U Fouillesarch ologiques Epaves romaines de Universit d AIX de GIENS GIENS MARSEILLE QUESTEL Mosaique dans le Mosaiques grecques Universit de PARIS X monde grec OSTE CRA CNRS Ougarit Ras Shamra Site de Ras Shamra MOM LYON il CNRS PERO CRA CNRS atas Outillage de pierre CRA CNRS polie Site de Ras Shamra MOM LYON II CNRS F Salamine Kition MOM LYON II CNRS Site de Kition Bam boula Proche Orient MOM LYON li CNRS D Sites byzantins Arch ologie m di vale Universit de PARIS C St les de Thessalie Epigraphie MOM LYON tt CNRS C Pr 10 PROVENCE ALPES COTE D AZUR ALPES MARITIMES 06 VALBONNE C N R S Inf 10 82 LP 7520 CENTRE DE RECHERCHES ARCHEOLOGIQUES cr ation 1970
16. labor es partir de produits de fouilles CANALETT TES et PEROU Dans ces cas les fouilles constituent l uni que fournisseur de donn es utilic ss manueltement Cette fi li re reste exploiter seuls deux sites fran ais donnent lieu actuellement l entretien de bases de donn es On notera que toutes les sources d information utilis es manuellement ont t requises pour l tablisse ment de ces bases La mati re enfin vient d aires g ographiques et de p riodes propres chaque base Aussi la sp cificit des applications des chercheurs s accomode t elle assez mal de la g n ralit du plan d indexation CRA Quand la to talit d une base porte sur un seul pays et une seule p rio de PEROU P rou et pr histoire il est impossible d utili ser le plan espace temps de la biblioth que du CRA pour PEROU le triplet traduisant P rou et pr histoire ne serait pas pertinent puisqu on devrait le r p ter chaque enre gistrement On sera plut t int ress par une position l int rieur d un p rim tre de fouilles De m me le descrip teur travail de la pierre ne convient nullement PIPO sp cialis e dans l outillage de pierre Un plan d indexation construit pour un fonds g n ral ne peut tre employ pour la description d fonds tr s sp oialis s Cependant on ne lui a pas totalement tourn le dos puisqu il inspire tout de m mel indexation des enregistrements codes num riques Les b
17. s directement des objets tudier Dans oette perspective il tait important de m nager des lexiques ouverts car on risquait toujours de d oouvrir des oaraot ristiques nouvelles en cours d exploita tion Ces caract ristiques engendreraient des descripteurs nouveaux Il faudrait les intro uire dans les lexiques sans avoir bouleverser l agencement de oes derniers C est pourquoi on a opt pour les codes num riques Ce choix pou vait tre influenc par l indexation CRA Toutefois le nombre des descripteurs d un sous lexique est limit par la valeur maximale accord e aux codes num riques variable selon les sous lexiques Avec la num rotation un nouveau mot cl s ajoute simplement la liste de ses consorts 64 les chercheurs tiennent l ouverture des lis tes Elle permet aux bases d voluer de s adapter aux o rientations nouvelles de la recherche Monique Ricq respon sable de PIPO donne un exemple pr cis de oette adaption H ee au d part l attribut position pouvait avoir deux va leurs I ou 2 Mais par la suite nous avons eu intros duire dans la base des objets provenant de s pultures Pour entrer cette nouvelle information il a suffi d ajou ter la valeur 3 pour l attribut position Notons que ce pro bl me est li aux petits syst mes o l on est contraint de cr er des lexiques avant l exploitation Sur Texto on ne cr e pas les lexiques l avance Ceux ci se font par in v
18. verra que les dix compartiments r glementaires ne suffisent pas pr ciser tous les pays et r gions d Europe II a donc fallu op rer des regroupements par exemple I 6 Balkans Roumanie Hongrie Bulgarie Yougaslavie On imagine le bruit que cela provoquera lors de l interrogation Je ne pourrai obtenir les documents portant uniquement sur la Hon grie On trouve les m mes regroupements dans la liste des objets d tudes o le descripteur 044 classe 04 l homme et les mat riaux technologies de pase ight amp la fois textile peau bois os ambre Ceoi g ne entre autres lors de l indexation des th mes de recherche d une quipe d arch ologues comment indiquer que ces chercheurs sont sp cia lis s dans l tude des premiers tissus par exemple 1 EUROPE BENELUY ILES BRITA CENTRE BALKANS ITALIE GRECE POLOGNE IBERIE NIQUES SCANDINAVIE SUISSE ROUMANIE SICILE EGEE TCHECOSLOVA ALLEMAGNE HONGRIE QUIE URSS AUTRICHE BULGARIE jusqu i _ YOUGOSLAVIE E al d Oural _ o TOUTES PERIODES 0 105 107 PREHISTOIRE Tardenoisien PALEOLITHI QUE MESO LITHIQUE Bor al 4 Ca 6000 d o 9 TEMPS e o fa Ch S B lt w 109 Danhbien Danubien NEOLITHIQUE Cardial C ram lin aire C ran PRECERAMIQUE Peu Richar Poterie Lin aire amp CERAMIQUE dien Cortaillod Star evo imprim e Tripolje Atlantique Chass en Windmill Hill Cucuteni Lagozza e 3 3000
19. 301 3 8 CODE 7 gt Descripteurs Source 361 223 CODE 8 6 Type absenk bre Fonction 7 0 CODE 9 nombre Integ 7 8 8 686 CODE 18 Surface 3 B 1 224 CODE ii Forme 3 8 1 1 7 CODE 12 Dist f 30 1 3 9 CODE 13 Dist p 30 1 3 0 CODE 14 Prox f 3 8 1 252 CODE 15 Prox p 3 8 1 i CODE 16 Faces 3 O 1 241 CODE 17 Cotes 3 6 1 245 CODE 18 Section 3 0 1 272 CODE 19 Poids 7 60 8 4 8 CODE 28 Poidsup 2 8 8 CODE 21 Long 7 600 5 9 CODE 22 Longsup 2 8 O 8 O CODE 23 Larg d 7 0 8 5 CODE 24 Larg in 7 86 0 5 CODE 25 Larg p 7 0 89 5 CODE 26 Epais 7 608 4 8 CODE 27 Cd 7 6 68 3 6 CODE 28 D 7 0 0 3 8 CODE 29 Dd 7 00 3 0 CODE 38 Debit 38 1 4 0 CODE 31 Finit 301 4 0 CODE 32 Ennanc 3 6 1 3 8 CODE 33 Stade f 3 1 1 3 CODE 34 Usure d 3 8 1 3 9 CODE 35 Renarque 3 8 1 217 CODE 36 Site 2 68 6 38 CODE 37 Cec d 08 8 0 CODE 38 EDITION DICTIONNAIRE HUMERO 7 POSITION 5 i OBJET 1 9 NATURE 786 MATIERE S 3 x 7 8 Y 7 zl 7 9 22 7 9 TAPER RETURN OOOO 000 GG KEE KE KE vk EE KREE OH OH m to ss as sas unes ee oo ce POUR CONTINUER Mi 005 Gr CH Ee Gl NY 1 BASE DE DONNEES CAN LEXIQUE NUMERO 1 1 B4 CH2 2 B4 CH2B 3 C4 CH2 4 D4 CH2 5 E4 CH2 6 F4 CH2 7 G4 CH2 8 D5 CH2 9 25 CH2 10 FS CH2 11 G5 CH2 12 D6 CHZ 43 E6 CH2 14 F6 CHZ 15 66 CH2 16 C7 CH2 17 D7 CH2 18 E7 CH2 19 F7 CH2 20 G7 CH2 2
20. Berlinsots d en Haut RZ CP 71400 VILLE AUTUN PAYS FR TEL 01 MINISTERE EDUCATION NATIONALE DZ Univ de Dijon D RCP 670 04 RP 5 2 bd Gabriel RZP CPR 21100 VP PP wre INTERROGATION QUESTIONNAIRE 4 PRODUIT QUESTIONS an NOM FRIZOT PRE Michel 01 MINISTERE INDUSTRIE ET RECHERCHE Of N R S DZ Service d architecture antique 04 Bureau de Dijon INDEX 9232340627064 AF 3 1 CNRS 40 AR EQUIPE 1 CNRS SAA Did mbr EALi mbr 2 SUPDIE mbra CRA ST CA AC NA A0 PF VP DIJON NOM GUILLAUMET PRE Jean Paul Di MINISTERE EDUCATION NATIONALE DZ Univ de Dijon O RCP 670 04 3 INDEX 15240454952 AF LSCNRG 40 DR EQUIPE 1 CNRS RCPE7B mbr URAZS mbra CRA URA NA AC ST 00 VP DIJON NOM REY CORUATS PRE Jean Paul Di MINISTERE EDUCATION NATIONALE D Univ de Dison 03 Faculte des Sciences humaines 04 INDEX D71 106 700 AF 5 ZiUniv Disons PR EQUIPE 1 CNRS URAIS mbr CRA URA LIAD NA VP DIJON NOM REY COQUAIS PRE Jean Paul 01 MINISTERE EDUCATION NATIONALE DE Univ de Dijon 03 Faculte des Sciences humaines 04 INDEX 0271 200 AF 2 Univ Dison PR EQUIPE 1 CNRS GISET mbr URAIS mbr CRA URA LIAD NA VP DIJON FIN D EDITION NOMBRE DE REPONSES 4 cETIGUETE GUEST IDNCS L TOUT ZX DE SORTIES ETIQUETTES DOCAR MINISTERE EDUCATION NATIONALE Unive de Dijon Fac
21. CCA et la biblioth que du CRA sont tr s voisins s m8me d coupage par type de document ouvrage p riodique pratique ment les m mes champs pr sent s quasiment de la m me fa on x BRUN Patricia Informatisation de la biblioth que du Centre de Reoherohes Arch ologiques du CNRS Notes Inter nes n 65 Valbonne nov 1983 25 2 PRESENTATION La biblioth que du Centre de Recherohes Aroh ologiques CNRS a t or e en 1977 lors de l installa tion de l ohelon oentral Sophia Antipolis Ce Sans tre sp cialis e dans un domaine particulier de l aroh ologie sa fonotion d finie lors de sa or ation est de couvrir l en semble de la disoipline de la pr histoire et de l aroh olo gie de toutes poques et tous oontinents ainsi que les m thodes et techniques de l roh ologie et des soiences annexes s y rapportant La g n ralit du fonds provient de la position centrale de la bibliokh que dans le r seau d information dont elle constitue la plaque tournante elle doit en effet pouvoir satisfaire les demandes d information des divers ser vioes de l chelon oentral ainsi que d une trentaine d Uni t s de Recherches Arch ologiques anim es de pr coupations toutes diff rentes les unes des autres Comme le pr voyait RIDA ap G part 4112 a un r d i tairrusion impos par son appartenance un r seau que de consultation Elle poss de aotuellement un fonds relativement
22. CCN les URFIST Unit R gionale pour la For mation l Information Scientifique et Technique ou par le SUNIST Jusqu pr sent la DBMIST a totalement pris en charge les co ts d utilisation du CCN La mise en acces public de cette banque de donn es va modifier cette situation et tous les utilisateurs devront payer les services et les produits Les tablissements producteurs de donn es pour le CCN b n ficieront de tarifs pr f rentiels et de certains pro duits gratuits ctnnexe DES x de point de d pat BE annexes PA quationnaie IAZ DOCAA x Produk d in euog at Ven x Produit d Prouf LIST OF CURRENT RESEARCH PROJECTS 1982 71 Main specialisation is on a mammals b birds c reptiles d amphibians e fishes f molluscs g insects h other groups 2 Working on material from a North America b South America c Australia New Zealand Pacific region d South Eastern Asia e Central and Northern Asia Western Asia g Africa south of the Sahara h Europe and Northern Africa i China 3 The work is concentrated on material from a special period no or G L Mengoni Goflalons la f 2b 3 Prehistoric hunter gatherers and pasto ralists Management of animal resources in arid lands with amphasis on camelids and taphagomic processes EE rr a a Australia I Davidson la 2c h 3 European Upper Palaeolithic Australian Prehistory Completing work on Spanish Prehistory
23. Eesen 5 3 Exploitation d une base de donn es Handling of data basis 5 4 Edition d une revue concernant l arch ozoologie nom de la revue Edition of a journal concerned with archaeozoology name of journal aa ateeteeeoeeeeeeeetegeeeeeeeEee egeeegeeeeegegsgeereeseeseee eg eseeegg eees 5 5 Membre d un comit de lecture d une revue concernant 1 arch ozoologie nom de la revue Member of reading committee for a journal concerned with archaeozoology name of journal EE Sege e o eeneeergsesegsgeegseseegeesgseas ses eseeegeeegssg aseseeeeeeeeseeees 5 TRAITEMENT DE L INFORMATION Data processing 5 1 Constitution et organisation de collections de r f rence 5 6 Autre Other E eg Ae Pees S ass SN gia Re wie e ee e Citez parmi vos publications les 3 plus importantes et les repr sentatives Please men tion your three more important and representative pub ications i DEET ere cri titre Trier OT E eusovooeooeon DEET ETES EEE EEE EEECECEEEEEE EEE EEE CEE EEEE 0040000600000004 00006008 601 CS H 000 00 00 DRETT se eeeseseees ee oenteeeeeeteegeeeeegeeeeggeeegggenesggeeegseeg esgeegegseggdpgtggtegaege ken gt PRE rn rae KEEN fea EE E Se ais 3 ra d GE P nee D ies 47 DA i 5 D 0 00 POO TSAO SEES ESOS EEHSEEHES HOH LOCOS ESO O SHES HERE ESES OEP ES D I e C co0cc00cu00000000400004000000006600006p0606
24. Eskimo sites for prey predator models in the late historic period analysis of fish remains from Port George 1978 season molluscan remains from the old brow region of the Yukan Canada R W Casteel la b e f 2a 3 no Subfossil fish remains fossil fish re Mains Pliocene Late Pleistocene paleoclimatology using fish remains seasonal dating using incremental growth structures from various animals S L Cumbaa la b c e 2a b g 3 no Bos bison butchering study from 19th C site in Saskatchewan faunal analysis of mid 14th c Iroquois longhouse in Quebec comparative osteology of larger Canadian freshwater fishes fau nal analysis of 18th c Fortress Louisbourg Nova Scotia ANNUAIRE DE L ARCHEDZOOLOGIE Ve CONFERENCE I C A Z BORDEAUX 1986 retourner Nathalie DESSE BERSET C R A C N R S Sophia Antipolis F 06565 VALBONNE CEDEX ARCHAEOZOOLOGICAL DIRECTORY I C A Z Vth CONFERENCE BORDEAUX 1986 to be send back to Nathalie DESSE BERSET C R A CNRS Sophia Antipoiis F 06565 VALBONNE CEDEX NOM Name ss zaeseeesrssasenree PRENON First name soso zeeeeeegeseee ADRESSE PROFESSIONNELLE Universit Laboratoire Institut af Professional address University Laboratory Institute dad eee See ee EN danses ee e d ne 6 0 ADRESSE PERSONNELLE Personal address Rue street EE EE FONCTION enseignant chercheur conservateur technicien DUTY tracher research scientist
25. POSSIBLE LA DOCUMENTATION SUR LES ARCHEOLOGUES oteteototetoteototetetotototeteteotoPete Apr s l arr t pr matur duplan RIDA le servi oe de documentation du CRA s est conoentr sur la diffusion d un autre type d informations la documentation sur les arch ologues L chelon central du CRA collecte les rensei gnements conoernant les quipes de chercheurs et les cher cheurs eux m mes fran ais et peut tre par la suite trangers Il existait d j des fichiers manuels mais la mi se jour en tait trop lourde g rer Th mes de recher ohes adresses professionnelles voluent constamment aussi les r pertoires papier sont ils souvent p rim s Par ailleurs en acc l rant les traitements l informatique permet d ac oro tre le nombre de renseignements relatifs aux aroh olo gues Enfin on aimerait que la plupart de ces fichiers soient interrogeables distance et c est l la troisi me raison de l informatisation Le service documentation de CRA travaille aotuel lement sur trois applications la base DO C A R informatisation du fiohier ma nuel du m me nom traite des adresses des arch ologues Elle a principalement pour but l dition d tiquettes adres ses Exolusivement r serv e au ue natan du secteur documentation elle n est pas appel e constituer le noeud d un r seau d information le fichier I A Z w sur lequel j ai travaill et qui m nera au meilleur des oas une d
26. TA d bibliographies sp cialis es dans des domaines bien pr cis que l on ne trou vera pas dans d autres servioes d informations Plut t que de r p ter ce que font les autres on compl te la diffusion de l information arch ologique Le transfert sur syst me MULTICS permettra de diversifier encore les produits de sortie interrogation sur plusieurs ann es Cependant le centre de calcul de l INRIA n envisage pas de se transformar en centre ser veur Or le souhait des biblioth caires est de d velopper l interrogation th matique interactive du fonds de la bi blioth que non plus en looal mais l chelle sinon na tionale du moins r gionale On retrouve dans ce voeu le th me de RIDA I Mais BIBLARCHEOL implant e sur serveur ne fe rait elle pas double emploi avec les bases du CDSH Non dans la mesure o elle traite de l arch ologie en g n ral le CDSH n en traite qu une partie D autre part gr ce la compatibilit de son syst me descriptif avec les normes des biblioth ques elle pourrait apporter sa contribution au projet de Catalogue Collectif National L INDEXATION AU CRA le leoteur aura remarqu que nulle part dans la pr sentation de la Base de donn es de la biblioth que je n ai fait allusion l indexation C est que celle oi si elle a bien t r alis e par le servioe information A l poque de RIDA I pour le C C A et la biblioth que de vait s tendre tous
27. ajout par rapport l ensemble des ohercheurs sur les macromammif res fai sait qu on ne pouvait le classer dans les mots cl s J en ai donc fait une affixe au mot cl macromammif res On a donc macromamm 1 phantg Ainsi lors de l interrogation le sp cialiste des l phants sortira soit avec les autres cher cheurs sur les macromamnif res moyennant une tronoature droite soit seul Pour les phrases pertinentes j ai cr des champs notes Enfin les mots ol s de la zone orientation de la recherche seront transcrits sous forme num rique Cette pr sentation g ne la leoture de le fiche mais elle aco l re la saisie et permettra l inversion du champ orientation En effet comme on le voit sur la photocopie d un question naire Annexe ces mots cl s consistent en expressions lon gues II y en a plusieurs par cheroheur La num rotation donne par exemple Li UTILISATION CONSOMMATION gt ORIENTATION EPISODIQUE a 3 pi Les mots cl s 160 240 390 430 560 autres sur le questionnaire renvoient au champ Note l indexation propos e n est dono pas celle du CRA jug e trop g n rale Seul le champ orientation de La recherche qui set de champ d indexation pour un chercheur se pr sente sous forme d une suite de triplets Il regroupe m thodes et techniques et objets d tude Mais les des cripteurs utilis s ne proviennent pas du ptam dd classement D autre part on retrouve le
28. alimentaires du Bassin M diterra n en et des plantes du Quaternaire d Europe Collection de r f rence de l ichthyofaune dul a quicole et marine de l Europe occidentale et du Golfe arabique Pr 14 banques de donn es informatis es Gestion informatis e de la biblioth que RIDA R seau d Information et Documentation ar ch ologique Donn es ost om triques des macromammif res du N o lithique europ en J DESSE Donn es m triques sur M rovingiens et Gallo Romains L BUCHET Outillage lithique du P rou J LESAGE Documentation arch ologique N DESSE BERSET B LEQUEUX S ROSCIAN St les fun raires de Thessalie B HELLY Outillage de pierre polie M RICO autres Formation sp cialis e et information des chercheurs l Stages de formation du niveau 3 me cycle dans le cadre des accords internationaux du CNRS ost ologie calcul informatique pho togramm trie biblioth que 2 Colloques et tables rondes 3 Accompagnement de la recherche assistance conseil Personnel 5 chercheurs sur poste 11 ing nieurs 19 techniciens ALLAIS Jean Marie ITA CNRS arch ol m di vale ANTOINE Dominique ITA CNRS saisie BALLADE H l ne ITA CNRS dessin BARISANO Emilio Chercheur associ CNRS traitement d images BONFIGLIO Christine ITA CNRS saisie BRUN Patricia ITA CNRS biblioth que BUCHET Luc ITA CNRS anthropologie BUI THI MAI Marie ITA CNRS palynologie C
29. au CRA In Pa norama 1981 des applications informatiques en arch ologie H Ducasse Valbonne ed APDCA 1982 p 3I 38 TEXIER P J PENDIAG un logiciel pour la r alisation de plans de r partition et de profils partir des donn es de fuilees In Arch ologues et Ordinateurs Valbonne 1984 5 p 6 18 Lettres d info du CRA 22 III TRAITEMENT ET DIFFUSION DE L INFORMATION BIBLIOGRAPHIQUE Bibliographie et Informatique les disciplines humanistes et leurs bibliographies l ge de l informatique travaux du Centre de Documentation et Bibliographie philosophique di CNRS GIS 777 Techniques nouvelles en Scinnces de 1 Hom me univ Franche Comt Centre de Documentation et Bi bliographie philosophiques Paris d Maison des Scien ces de l Homme 1982 Table ronde du CNRS Besan on 19 20 nov 1982 BRUN P Informatisation de la biblioth que du Centre de reoherches arch ologiques du CNRS Valbonne impr CRA 1983 N tes Internes 65 CHARDENOUX M B LABARRE N Una base de donn es bi bliographiques en pr histoire et protohistoire interrogea ble en ligne Francis Im Arch ologues et Ordinateurs Valbonne 1982 2 p 8 I0 CHAUVEINC M Le r seau bibliographique informatis et l aoo s au document Paris d d organisation 1982 295 p Syst mes d information et de documentation Van Slype DEMUOLE J P WERNER LEQUEUX
30. cialis es en arch ologie autres que les chercheurs eux m mes L indexation gagnera en facilit d acc s ce qu elle perdra en finesse II s agirait d un r seau GENERAL d ar ch ologie r or pour recourir un exemple imaginaire il parait vident qu un sp oialiste des bouteilles vin de la Bourgogne m di vale aura du mal trouver les doouments par lant de l volution du pelage du chat Tabby Abyssin en fono tion de la domestioation s il doit employer des descripteurs qu il ne connait pas foro ment En fait l ensemble des ar oh ologues aujourd hui admet bien ceci des postes de do cumentalistes sont r olam s par les quipes Enfin l id e d un r seau RIDA III plane dans la pens e des aroh ologues ainsi F DJINDJIAN x souhai te voir se d velopper un plus grand nombre de r seaux entre les ordinateurs g rant des B D de chercheurs of in Lettre d information Arch ologues et Ordinateus VALBONNE CRA 1983 3 n 384 Ainsi ce n est ni un d faut de conception mis part peut tre pour RIDA II ni un manque de besoin des oheroheurs qui a condamn RIDA mais des causes purement pratiques manque de personnel L id e demeure toutefois x responsable du cours intensif europ en d informatique appliqu e l arch ologie latente pr te ressurgir d s que l oooasion se pr sente ra pour elle de se concr tiser dams sa totalit ou quasi totalit M me si le projet de oet immense r
31. clarent pr ts ao qu rir le mat riel n cessaire au minimum microordina teur imprimante et modem Chaque quipe alimenterait avec ses propres donn es une base centrale implant e sur un ser veur Tout le monde participerait la d finition du contenu et de la structure Mais la base OSTEO actuellement seule base op rationnelle en ost om trie pourrait logiquement servir de source d inspiration On op rerait une saisie d centralis e partir des mioro ordinateurs de chaque quipe Les membres de ce r seau pourraient interroger et commander des produits de sortie 11 s agissait d un r seau de travail et de diffusion Les personnes concern es sont encore arr t es par les questions de cofit et de choix du serveur Si l ins tallation sur serveur s av rait impossible elles se propo sent de proo der par change de disquettes Cependant le public des bases de recherches me semble trop restreint pour rentabiliser leur exploitation sur serveur H LERREDE responsable d une base sur les bouoles m rovingiennes s en rendait compte Aussi pr ooni sait il d ouvrir les bases plusieurs domaines afin d lar gir en cons quenoe le nombre des utilisateurs Ceci revient renoncer A La sp cificit de ces applications Les bases ainsi oon ues deviendront plus volumineuses p us grand nom bre de champs par enregistrement donc plus difficilement ex ploitables Da sp cifit de La basefd pendra de ses finalit
32. curator technician la IR RISE X 10200 Vi GJ e ebe AFFILIATION imac Centre A echerche Laboratoire Mus e Affiliation fermer Resedtch penter Laboratory Museum EN PNA Eege FORMATION PRINCIPALE DE DEPART Ma in original trai ing Sciences humaines arch ologie archaeology ethnologie ethnology 7 san sciences sociologie sociology D pr n stolre prahistory BS autre othi Sciences de la terr Scienc s te Ta Hej Earth sciences AE ies ve Hs se pe ge Ga san nue pe 74 a Se d le pal ontologi animale S vert br s vertebrates animal palaeontology invert br s invertebrates L m decine medicine D v t rinaire veterinary medicine D Sciences exactes et informatique math mat iques mathematics D i comput tng D Exact and computing sciences Stati stique statistics D RECN RCHES ACTUELLES CURRENT RESEARCH ES Part de la recherche consacr e aux faunes associ es aux gisements anciens Part of research devoted to faunas connected to ancient sites 30 de iO DOMAINES DE SPECIALISATION Piela a of special sation he d EE nacronanmi feres macronannals D micromammi f res micromamels oi Seaux birds reptiles reptiles amphibiens amphibians _ poi ssons fishes ee Me e mol lusques molluscs pD insectes insects o autre a SE explicit ious ENEE EE EEN AIRE S GEOGRAPHIQUE S ceographical area
33. de travail propre au service documentation Seulement DOCAR poss de tous les l ments n cessaires sa transformation en R pertoi re des Arch ologues fran ais et m me par la suite tran gers Que l on masque les adresses personnelles et il for mera une base ouverte un vaste public pour une consul tation distance Sa simplicit une seule unit documen taire l arch ologue et deux groupes d informations adres ses professionnelles plus renseignements sur la reoherche facilitera sa maintenance une op ratrice de saisie et une ou deux documentalistes suffiront Mais qui aurait la responsabilit de la gestion de DOCAR sur un serveur Bien s r le CRA organisme centralisateur de la majeure partie de la recherche arch ologique fran eai se a bien pour mission de recueillir et diffuser Mnfor mation relative aux arch ologues fran ais Mais la base DOCAR si elle devient le noeud d un r seau s adressera un public r parti sur tout le territoire et dont les pr oc cupations d passent parfois le cadre de l arch ologie socio logie zoologie Elle concernera un secteur de l acti vit scientifique et oulturelle fran aise Il serait donc logique que le projet fut soutenu l chelon national par les minist res tut laires du CRA Culture Recherche et In dustrie Education RAF S av rgra plus diffioilement diffugable sous la forme automatis e il faudra en am nager l interrogation harm
34. du Proche Orient resp J F JARRIGE Les d buts de la s dentarisation au Proche Orient resp J CAUVIN Centre de recherches sur l Italie du Sud la Grande Gr ce et les les et sur la colonisation grecque en M diterran e resp M CEBEILLAC GERVASONI Etablissement de la s quence stratigraphique et chronologique de Suse et de la Susiane du VIe mill naire av J C au XIIIe si cle de notre re resp G DOLLFUS Arch ologie de la Syrie m ridionale et de la Jordanie resp J M DENTZER URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA 22 24 25 26 27 28 30 31 32 33 33 Pr 16a Les monuments anciens de l Islam et leurs inscriptions resp J SOURDEL THOMINE Centre de recherches Alfred Merlin ar ch ologie pal ochr tienne resp N DUVAL Pr histoire des r gions andines resp D LAVALLEE Habitat et soci t en Lyonnais Dauphin et Savoie du Ve au XIe si cle resp J F REY NAUD et M COLARDELLE Centre de recherches numismatiques Ernest Babelon resp J N BARRANDON Pr histoire et technologie resp J TIXIER L Asie centrale pr islamique resp P BERNARD Arch ologie du Golfe et de l Iran oriental resp S CLEUZIOU Protohistoire g enne resp R TREUIL Arch ologie du Mexique et d Am rique Centrale resp B BECQUELIN Protohistoire celtique resp Ch PEYRE SHEMA DE LA NOUVELLE CONFIGURATION INFORMATIQUE DU C R A LOGICIELS
35. es la r flexion et la reconstitution du pass qui sont consid r es com me l objectif principal de la recherche Deuxi mement l emploi de l informatique conduit les chercheurs clarifier et unifier leurs syst mes de des cription Mais pour certains un syst me sot rique consti tuait une arme de protection des donn es Longtemps la re oherche arch ologique a t tr s compartiment e Aujourd hui encore tous n admettent pas la communication Tout d abord le dialogue arch ologue informati cien ne eau jours sans heurt Ils ont tant coeur le th me de leur recherche qu ils d veloppent une certaine possessivit Celle ci leur 7 fait oraindre le rapt de leus informations C est le oons tat qu a mis K Griffiths dans sa oonf rence sur 1 historique g n ral et prospective du d veloppement de l in formatique et de ses appli catione dans le cadre du cours intensif europ en Informatique et Math matiques appliqu es l aroh ologie Il notait que la banalisation de l in formatique n a pas toujours le soutien des premiers utili sateurs qui voient chapper une partie de leur pouvoir par le partage de leurs connaissances Mais de plus en plus la r tioence psychologique au partage de l information cette r tention quasi naturelle des chercheurs leur indi vidualisme tend reculer en partie gr ce l utilisation ou l exploitation de banques de donn es S Cacaly L informatisation d
36. fiohier manuel oomplet avant de le reprendre et le plier aux exigences de la maohine Les r f rences de biblioth que sont actuellement gaisies au fil des entr es sans tapes de tri manuel Mais je pense que l importanoe accord e encore actuellment aux produits papier et la pr pond rance en 1972 de fichiers manuels dans les biblioth ques ont leur place dans ce choix Je m appuie pour avan cer oela sur l organisation de la biblioth que du CRA o k fichier manuel a encore bien autant d importance que le fi chier automatis Mais on trouvera aussi une raison d ordre pratique l outil informatique n tait peut tre pas pr t pour accueillir le projet temps d criture des logiciels d acquisition du mat riel Or le fiohier central pour justifier son existence devait certainement tre op ration nel le plus vite possible d o l amalgame de photocopies qui ont form un fichier disparate mais d j interrogeable L informatisation de RIDA I cependant sera d crite dans le chapitre consacr au traitement de l information dans la ba se BIBLARCHEOL ger 20 III Conolusions sur R I DA Le R seau d Information et de Dooumentation Arch ologiques a t interrompu en 1979 en ce qui oonoer ne le CCA La moiti des donn es sur les publications en s rie avait t saisie Il n y avait pas de produit RIDA I a chou surtout faute de moyens en personnel et mat riel impossibilit d implan
37. important 3 environ 5 000 ouvrages 4 000 tir s part 800 titres de p riodiques et collections 5 800 cartes et archives Son accroissement avoisine I 000 doouments par an ouvrages et tir s part et 450 titres de p riodiques oou rants Le facteur socroissement n a pas t le plus d cisif dans le choix de l Informatique pour g rer la biblio th que L int r t de l automatisation r sidait surtout dans le fait qu on obtiendrait partir d une saisie unique des produits de sortie diversifi s pouvant r pondre aux demandes des utilisateurs qu ils soient sur plaoe ou dis tance L informatisation tudi e depuis 1977 fut effeoti ve en 1979 x BRUN Patricia Informatisation de la biblioth que du Centre de Recherches Arch logiques du CNRS NOTES INTERNES n 65 VALBONNE nov 1983 3 CHOIX DU MATERIEL Ce ohoix fut conditionn par deux n cessit s a Besoin d une saisie en oaract res r iohes b Souoi de translitteration des alphabets non latins Clavier et imprimante devaient offrir les lettres accen tu es et un ventail suffisant de signes diaoritiques pour traduire les alphabets non latins Le C R A a finalement acquis un micro ordina teur Logakax 4500 qui de 1977 1982 enr gistra et trai ta les donn es de la biblioth que Cependant sa m moire centrale limit e 24 KO interdisait oertains traitements base de recherohe r trospective Aussi partir d av
38. logiciel utilis est TEXTO syst me documen taire mis au point par CHEMDATA autorisant le traitement et la consultation de donn es de toutes sortes TEXTO en tout premier lieu offre aux personnes peu initi es aux myst res de l Informatique une grande aisanoe d utilisation Les documentalistes auront ainsi la capaoit de d cider plei nement de la struoture de leurs fichiers des compositions et forme de leurs produits de sortie formatage de 1 di tion constitution des index _ En outre on appr cie la fonction de chafnage de deux fichiers pour la fabrication de RAF BE E GO hom ATHOR us Th me drakkar s AN Dock nom Tife Livio Th me Epigraphie Dou 63 nom o ULAYA Th me lt RAF A laigua RA F2_ personnes Un fichier des personnes est cha n au fichier Von Trene DRAKWKARS NOM Tite Livio THEME 2 p graphic Bo E des quipes II est saisi part C est la cl du document dans RAF 2 qui op re la jonction avec RAF I Le champ Ref de RAF I pointe sur l enregistrement correspondant de RAF 2 Les champs d un enregistrement RAF 2 sont d olar s dans le dooument de param tres de RAF I entre g et gt s Els sont dono aussi des champs d un enregistrement RAEI lors de la demande d dition ils sont lus dans RAF 2 et dit s en bon ne place au niveau du champ REF dans le produit RAF Tse ci dessus lors de Pa saisie a
39. s la diffusion des donn es ou leur exploitation par quelques personnes 34 S il n existe pas de r seau d exploitation distanoe des bases de recherohes la collaboration n en est pas moins pr sente pour l ur conception entre les person nes int ress es par les m mes th mes Ainsi L Chaix oon servateur du d partement Zoologie du Museum d histoire na turelle de Gen ve contribue alimenter OSTEO STELES DE THESSALIE est fournie avec la participation de Berlin Ouest Le d veloppement de la mise en commun des t ches et informations toutefois pas encore admis par l ensemble des arch ologues aiguisera les besoins de circulation de donn es Cette circulation respectera videmment les imp ra tifs de protection de l information Le v ritable probl me si l on passe par les serveurs r side dans la rentabilisa tion de bases r serv es quelques sp cialistes Le microserveur apporte une solution tant que la base commune ne prend pas trop d ampleur La r union des petites bases dans un r seau l chelle nationale cf pro jet RIDA III aurait l avantage de regrouper tous les utili sateurs de bases arch ologiques Mais la gestion en serait trop lourde pour des organismes isol s La n cessit de logioiets adapt s la complexi t des services calculs mod lisation sorties graphiques et d un personnel tr s qualifi augmentent les cofits de fonctionnement sur serveur Mais en ce qui conoerne l l
40. seau v hiou lant trois types d informations n est pas enoore imagina ble dans un proche avenir des r seaux monoinformationnels en arch ologie sont d j con us biblioth que ou oonce vables L AUTOMATISATION DE RIDA I APPLICATION A LA BIBLIOTH AUE DU CRA QCC c n 0 00 0 0 0 UU I INTRODUCTION e J insisterai sur l informatisation de la biblio th que du C R A inoluse dans le plan RIDA I plut t que sur l ensemble de l automatisation de ce nier pour 3 raisons a La biblioth que a jou le r le de biblio th que pilote dans le pan RIDA x Non seulement elle alimente une Base de donn es op rationnelle BIBLARCHEOL mais elle a de plus inspir d autres organismes Trois autres formations URA 6 d Aix en Provence URA 26 de Lyon et Paris I utilisent le syst me de la biblioth que pour g rer un fonds sur le Moyen Age saisie et dition des pro duits de sortie sont op r es Valbonne Ne peut on voir l un d but d harmonisation du traitement automatis deg fonds de biblidh ques sp cialis es en aroh ologie b L autre partie de l automatisation de RIDA I portait sur le CCA constitution d une importante Base de donn es g r e par le SGBD Sofia J Le Maftre au oentre de caloul du Pharo Marseille sur IRIS 80 Mais comme nous l avons dit plus haut la base du CCA a aotuel lement cess d tre exploit e c Les bordereaux mis au point pour le
41. sie des alphabets non latins les syst mes d aide au raisonnement a Recherche sur les alphabets non latins GUENOCHE A HAINSWORTH M Outils informatiques pour ja saisie le traitement et l tude des textes en langues 8 5 id ographiques ou alphabet non latin Rapport final du contrat de I AIP Informatique et Sciences Humaines Paris Ecole Normale Sup rieure sine data 80 p Programmation et Sciences Humaines Avec la collaboration de Ph Fran ois J C Frottier Ph Matterat F Picard et al HAINSWORTH M Les derniers Scribes du Pharaon Apple II et I B M In s Panorama 1981 des applications informatiques en arch ologieu lt Valbonne APDCA 1982 pe 53 60 MEYRIAT J La Ma trise des alphabets non latins In Bibliographie et Informatique les disciplines humanistes l ge de I informatique travaux du Centre de Documen tation et Bibliographie philosophiques Paris Maison des Sciences de l Homme 1983 Table ronde CNRS Besan on I9 20 nov 1982 b Syst mes d aide au raisonnement et de mod lisation DORAN J Mod lisation de syst mes culturels Rodelling cultural systems In Cours Intensif europ en Informatique et Math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg 3 Conseil de l Europe 1983 7 p GALLAY A L Ordinateur comme aide au raisonnement en ar ch ologie Un cas particulier la n cropole du Petit Chas seur Th
42. 1 A4 CH2 22 FS CH3 23 E5 CH3 24 05 CH3 BASE DE LEXIQUI 1 ECLAT 2 OUTIL 42 NUCLEUS 4 0S 5 BLOC 6 PIERRE 46 CHARBON Ay ch3 CC chi F5 ch 3 f Ai D cho AS hi Ct d 5 As mwb E ch ct ch 3 25 d 3 D hi GS d 3 DONNEES CAN NUMERO 2 BASE DE DONNEES CAN LEXIQUE NUMERO 3 1 SILEX 2 CHAILLE 3 QUARTZ 4 AUTRES 34 25 26 It 28 23 be 5 2 52 SR DER ou 4g 34 37 Fig 1 BASE DE DONNEES CAN DICTIONNAIRE NUMERO 700 80 POSITION 511 00 OBJET 100 00 NATURE 700 00 MATIERE 531 00 X 700 00 Y 700 00 Zi 700 00 Z2 700 ud BASE DE DONNEES CAN GUIDE DESCRIPTION NO 0 1 A 0 2 3 4 B B 4 4 D Bi NANOS CODE CODE CODE CODE CODE CODE CODE CODE COVE LONGUE LIN gt CANALETTES Ce n e Z lt 26 CARRE d d COUCHE O1 N objet 0 GS 02 nature Uf 03 mati re 1 nee 4 S 5 H A 04 x Ay 05 Y 06 Z 9 CH z V Ol N objet AD G 6 02 nature 03 mati re 1 3 04 x Lo 05 Y 7 06 Z q 3 4 OI N objet ci 6 E 02 nature 4 03 mati re 1 2 a 04 X 05 Y S 06 Z A 9 be or N objet AC 6X e 04 X Af 02 nature LI 03 mati re 1 05 Y Ze 06 Z 173 O1 N objet AO 69 02 nature 4 03 mati re 1 Z 04 X b 0 05 Y Ge 06 z LGA L O1 N objet Ad 0 02 nature Y 03 mati re 1 a oz 49 ov 9 06 z O LN O1 N objet AD 31 02 nature A 03 mati re 1 Z xX 04 X OR oe x ZE 06 Z 202
43. 2000000900r400200 ca400000090406090000900000000400 00000 Pr Jo ERR R RR MU d DRE DO VH kale e s oes DRE PTT EEE TES LISE TE EEE EC EEE TETE EEE EEEEEEEEEE EE EEE EEE EEE ET ELLE EEEEE EEE EEE EEE LEE LEE b ratte 2 s panded ere LIST OF ADDRESSES ARCHAEOZOOLOGISTS 1982 Argentine Archaeozoologist G L Mengoni Gofialons Lic Inst de Ciencias Antr 25 de Mayo 217 10 Piso 1002 Buenos Aires Australia Archaeozoologists I Davidson M A Dept of Preh and Arch The Univ of New England Armidale N S W 2351 K Gollan M A Preh Dept R S Pac S A N U P O Box 4 Canberra A C T 2601 Dr J hope Dept of Preh The Research School of Pac Stud P 0 Box 4 Canberra A T C 2600 Dr D R Horton Austr Inst of Aboriginal Stud Acton House Acton A C T Postfach 417 Burgring 7 A 1014 Vienna Prof Dr E Thenius Palaontol Inst Universitatstr 7 II 1010 Vienna I Dr P Wolff Naturhist Museum Wien Burgring 7 1014 Vienna Belgium Archaeozoologists Dr A Gautier Lab voor Palaeontologie Rijks univ Gent Rozier 44 9050 Gent Drs W van Neer Koninkl Mus voor Midden Afrika Afd Preh en Arch 1980 Tervuren Prof Dr G Markov Zool Inst Boulevard Russki 1 Sofia Canada Archaeozoologists Dr F R Bernard Fisheries and Oceans Pacific Bi ological Station Nanaimo B C K Biddick Center f Medieval Studies Univ of Toronto Ontario M5S LA5 Dr A Bisaillon Fac de Med Vet C
44. ARRIER Andr ITA CNRS topographie photogramm trie CHEVALIER Jean ITA CNRS dessin DESSE Jean CR CNRS pr histoire ost ologie DESSE BERSET Nathalie ITA CNRS documentation arch ol orientale 83 Pr 15 DUCASSE Henri CR CNRS informatique FOURTET Muriel ITA CNRS dessin FRANCOIS Jeannine ITA CNRS secr tariat GARCZYNSKI Paul ITA CNRS architecture GARZO Roberte ITA CNRS standard GELHAY Jos ITA CNRS pr paration document ation GIRARD Michel ITA CNRS palynologie HAINSWORTH Michael ITA CNRS informatique HELLY Bruno MR CNRS Antiquit classique LAMBERT Jo l TA CNRS dendrochronologie LEQUEUX Brigitte ITA CNRS documentation LESAGE Jean CR CNRS pr histoire calcul MAINJONET Monique ITA CNRS documentation biblio th que e MATHERY Muriel ITA CNRS secr tariat PALLIER Andr ITA CNRS reprographie PALLIER Lucette ITA CNRS relations ext rieures PERROT Chantal ITA CNRS dactylographie POYET Mich le ITA CNRS photographie REY Michel ITA CNRS photographie RICQ Jean Claude ITA CNRS physique RICQ Monique ITA CNRS min ralogie ROSCIAN Suzanne ITA CNRS documentation SINTES AIOUTZ Madeleine ETA CNRS g ographie carto graphie j TROUSSON LIBERATORE Dominique ITA CNRS informatique EE e HOLZERNY Marie France biblioth que TTA Chercheurs libres ARNAUD Guy pal opathologie os br l s et immerg s ARNAUD Sylvie pal opathologi
45. CNRS et des minist res de tutelle du CNRS S il se r alisait DOCAR serait pr t s y inolure Par contre la diffusion des r sultats de recher ches s av re peu ais e mettre en oeuvre dans le oadre des serveurs Nous l avons dit leur public est trop restreint pour compenser lew maintenance d autant plus qu elles r olament un personnel sp cialis et offrent des services so phistiqu s imposant le recours des p riph riques vari s Tables tra antes traceurs de courbes vor cette diffusion dans la mesure o elle ne viole pas le secret de la recherche importe de plus en plus aux chercheurs D sormais la diffusion des connaissan oes et des r sultats de la recherche figurent au m me titre que la recherohe ou l enseignement parmi les fonotions oonstitutives du statut de chercheur S Cacaly Le lan cement d un programme de soutien la promotion de donn es sp cialis es par la DBMIST est une cons quence de l int r t accru pour la communication des donn es de recherches Pour palier au manque de consultants on pour rait envisager par exemple un r seau commun toutes les banques d arch ologie et ou d histoire de l antiquit sub divis en sous r seaux de producteurs interrogateurs privi l gi s pour chaque base oe qui donnerait une sorte de r seau maill l ensemble des bases serait ou non centrali s sur Ka SE Reie e t B ase gl ioi les bases sont sur des serveurs di
46. DA I RIDA II RIDA III RIDA I serait r alis par le service information du CRA Il devrait tre le premier op rationnel RIDA II et III seraient confi s aux cheroheurs eux m mes consid r s comme plus comp tents pour l indexation et l analyse de leum recherohes Je ne partage pas totale ment cet avis estimant que les chercheus risquent de r aliser une indexation trop pointue pour un public somme toute g n ral c est dire appartenant n importe quel autre domaine de l arch ologie voire une soienoe oonnexe zoologie informatique e d orienter la reoherohe dans le sens de pr o cupations contemporaines non de la r alisation du dooument mais de celle de l analyse ou indexation Une indexation trop fine implique pour le public non sp cia liste le recours lors de l interrogation un lexique sp oialis voire un mioroth saurus La mise au point de oe dernier inoombe dans oette optique au chercheur lui m me Tout cela impose une suroharge de travail 4 cette personne dont l emploi du temps est d j si lourd Ceci explique d ail leurs le fait que RIDA II Fichiem analytiques ne se soit pas maintenu Or RIDA II serait sans doute conoevable si le taohes dooumentaires revenaient des cheroheurs ou autres sp cialistes form s amp la documentation et employ s uniquement oes op rations Cependant il serait utopique de vouloir trouver un e documentaliste sp oialis e dans chaqu
47. EOL la saisie se fera par SOX puis les donn es stock es sur disque souple seront transf r es sur le syst me Multics o elles seront stock es et trait es par Texto HB68 SOUS interrogation SOUS PRO DE TEXTO SOX BIBL TRI TRANSFERT catalogues listes th matiques par transpac D GT ee On continue g rer les bases documentaires sous TEXTO Les bases de reoherohes restent sur micro en local actuellement elles sont surtout exploit es par les cher cheurs du centre et sont peu volumineuses Une telle r partition a t guid e par des ba soins de capacit de stockage et de puissance rapidit de traitemants et diversit des produits Le facteur conomi que surtout lourdement appuy la d cision d appliquer une informatique r partie Saisie et correotions sont moins co teuses en local En ligne leur dur e alourdirait la facture des transmissions De plus on risquait des coupures impor tunes donc ne perte d informations La r partition des t ches informatiques entre un micro ordinateur et un gros a t propos e dans le trai tement des donn es de fouilles Un micro ordinateur aux a bords du site servirait enregistrer directement l infor mation et fournir quelques produits dition simple comp tages qui pourraient orienter le cours des recherches Une entr e sur un r seau de transmission autoriserait le transfert des enregistrements un centre plus im
48. I ORGANISATION DU CRA Cr en I97I il a transf r en 1977 son che lon central Sophia Antipolis Il figure un l ment d une struoture arborescente a Il appartient un groupe de laboratoires du CNRS implant s Valbonne Laboratoire d Etudes de Physi que des Solides et Energie Solaire Centre d Etudes b II m ne lui m me une double vie puisqu il est amp la fois laboratoire propre et chelon central d un r seau compos d une trentaine d Unit s de Recherches Associ es URA dispers es dans toute la Franoe L ohelon oentral se d coupe en services admistratifs teohniques graphique imprimerie photo de Recherches palynologie ost om trie de traitement de l information secteur biblio th que documentation informatique On peut voir dans le regroupement de la biblio th que de la dooumentation et de l informatique en un seul secteur le souoi d optimiser la gestion et la diffu sion de l infor mation en favorisant la collaboration entre les partenaires Le secteur BDI sert galement les URA II en r sulte un besoin permanent de circulation de la documentation que celle ci soit bibliographique ou qu elle porte sur des r sultats de recherche 40 2 ACTION DU CR A Lorsqu on a projet en 1972 la oonstruction d un r seau g n ral d information on a d luoider les be soins des cheroheurs On a pu alors d gager trois types d informations 3 bibl
49. ISBN s l ISO 1972 2p Norme internationale ISO 2709 Documentation disposition des don n es sur bande magn tique pour l change d informations bibliographi ques s l ISO 1973 5 p Norme internationale ISO 3297 Documentation num rotation inter nationale normalis e des publications en s rie ISSN l re d 1975 01 15 s l ISO 1975 4 p Recommandation ISO R 843 syst me international pour la translit t ration des caract res grecs en caract res latins l re d corrig e s l ISO 1968 7 p A r z 24 HARMONIE Harmonisation de la description des documents au sein du C N R S mode d emploi pour les bases de donn es trait es Imprimerie Nationale Paris C N R S C D S H 1978 95 p 25 HARMONIE Harmonisation de la description des documents au sein du CN RS 1979 Paris C N R S C D S H 1979 129 p ibli i change pour les monographies 26 INTERMARC M Format bibliographique d chang Manuel Paris Groupe INTERMARC BN 1975 INTERMARC S format bibliographique d change pour les publications en s rie ma nuel Paris s n 1979 216 p 27 ISBD CM International standard bibliographic description for cartographic mat rials IFLA committee on cataloguing London IFLA 1979 28 ISBD M Description bibliographique internationale normalis e pour les monogra
50. Mr Djindjian responsable technique du cours d t informatique et arch 4olcyvie l arch ologie est demeur e pendant longtemps r ticente l informatisa tion Les revues sp cialis es s ouvraient peu aux tudes et projets d automatisation des fichiers En cela les arch o logues ne faisaient que r fl ter un tat d esprit propre aux sciences humaines S Cacaly x rappelle que le plus grand nombre des humanistes saisis d une fi vre obsidionale ont toujours craint l irruption des techniques informatiques dans leurs champs d tudes De fait entre les d us de l in formatique et ceux qui lui furent hostiles a priori les sciences de l homme ont longtemps constitu un bastion de r sistance l ordinateur L informatique s est infiltr e dans l arch om trie et l arch ologie quantitative partir de 1965 environ Dans ces disciplines base de mesures elle assumait la fonction calcul Parmi les premi res ap plications on compte l laboration de tableaux statistique Ceci n est pas surprenant l ordinateur de cette poque tant avattout un calculateur Au fur et mesure du d veloppement des logi ciels et du mat riel les autres parties de 1 arch ologie s int ress rent peu peu l assistance de la recherche yr ordinateur A partir de 1970 apparaissent des syst mes de gestion de donn es complexes exe SATIN produit du LISH Marseille et parall lement on met au point les gran des bases de
51. P 5000 St Hyacinthe Quebec J2S 7C6 P T Bobrowsky B A B Sc 7709 Pat terson Avenue Burnaby British Columbia Dr R W Casteel Dept of Arch Simon Fraser Univ Burnaby British Columbia V5A 156 Dr S L Cumbaa Zooarch Identification Centre 322 Catherine Str Nat Mus of Nat Sc Ottawa Ontario KIA OM8 Dr J C Driver Dept of Archaeology Simon Fraser Univ Burnaby B C V5A 1S6 Dr I Heathcote c o Dr Louis Levine West Asia Dept Royal Ontario Mus 100 Queen s Park Toronto Ontario M5S 2C6 M Julien B Sc Fac de Med Vet C P 5000 St Hyacinthe Quebec G2S 5C6 C P Koch Dept of Anthr Erindale College Univ of Toronto Mississauga Ontario L5L 1C6 J S McCormick c o Dept of Anthr Stephen Leacock Building McGill Univ 855 Sherbrookst W Montreal Quebec H3A 217 Dr J Pi rard Fac de Med Vet C P 5000 St Hyacinthe Quebec G2S 5C6 A M Rick M Sc Zooarch Identification Centre Nat Mus of Nat Sc Ottawa Ontario KIA OM8 Dr D G Steele Dept of Anthr The Univ of Alberta Edmonton Alberta T6G 2H4 M Wilson M A Dept of Arch Univ of Calgary Calgary Alberta T2N IN4 Interested Ms D J Berg M A Dept of Anthr Erindale College Univ of Toronto Mississauga Ontario L5L 1C6 China People s Republic of Archaeozoologist Chow Ben Shun M A The Inst of Arch Chinese Acad of Soc Sc 27 Wangfujen Dajie Beijing Czechoslovakia Archaeozoologists Dr C Ambros Arch
52. PIPO re montant 1980 la plus r cente ayant d but en 1982 Cet cart de date correspond la p riode d panouissement de tel les bases sur microordinateurs dans la recherche arch ologi que en g n ral Le travail du CRA refl te bien une vol tion d ensemble Mais d o proviennent les donn es ainsi mani es et stock es Dans l ensemble on a retenu des donn es nu m riques ou textuelles Seule STELE DE THESSALIE lance un pont entre les donn es factuelles et bibl graphiques en les incluant toutes deux Deux sources alimentent donc cette ba se des p riodiques et monographies pour les donn es bi bliographiques des r sultats d exp riences ou d observations Son contenu bi partite lui conf re une place particuli re parmi les bases de chercheurs mais assure sa fid lit l objectif initial du CRA la diffusion simul tan e de renseignements bibliographiques documentaires analyses bibliographiques et factuelles Les p riodiques et th ses sont aussi suscepti bles de fournir donn es num riques et textuelles OSTEO Mais la seconde source est la plus sollicit e PIPO OSTEO TELES ce qui n tonnera en rien puisqu il s agit pr cis ment d automatiser des r sultats de recherches pratiques Sen apport est encore grossi par les renseignements issus d enqu tes OSTEO PIPO Enfin les fouilles offrent une masse d informa tions aptes au traitement automatique On compte au CRA deux bases
53. PO O non dat I cardial picardial 2 chass en I sir 3 n olithique final chaloo we 2 probable 4 bronze ancien N 5 bronze moyen et final 3 possible 6 autre 43 bronze ancien possible Avoir d clarer les lexiques lors de la d fini tion de la base interdit de toute fa on l id e de cr er un th saurus adapt un type de recherche Cette num rotation active l indexation et la sai sie La possibilit d avoir les lexiques en ligne la l g m t des outils documentaires sont favorables sans doute la saisie sur le site m me lors d enregistrement de r sul tats de fouilles Lors de l dition on peut demander le d codage des valeurs lexiqu es Un programme de conversion permet d afficher le descripteur en toutes lettres alors qu il a vait t saisi en code Ceci laisse la voie ouverte une exploitation documentaire ditions de listes Dictionnaire lexique et guide de description servent d finir la base Ils correspondent au ler module de MANDOLINE Leur contenu est tout moment modifiable suppression modifications ajogt d attributs ou d instruc tions Le seoond ooncerne la gaisie et les mises jour de donn es Le troisi me module g re les interrogations Il agitsur les 3 fichiers composant la base le fichier d finition le fichier donn es le fichier produits de sortie 66 L INTERROGATION Une question s exprime sous forme
54. Palaeoethnological reconstruction interpretation modelization exploitation of animal o 3 1 Analyse quantitative chasse p che domestication 1 7 Quantitative analysis hunt fishing domestication NN D 3 3 M thodes de d comptes Methods for co nting BEE 3 3 Evaluation de la quantit de nourriture consomm e Estimation of food consumption sise des aoe sa eo EG 3 4 Approches des probl mes d mographiques approaches to demographic problems 3 5 Acquisition et production de nourriture Purchase and production of food 3 6 D finition des soci t s en fonction de l animal pastoralisme levage p che Definition of Societies according to animal pastoralism breeding fishing 3 7 Reconstitution des techniques de chasse p che Reconstruction of hunting fishing techniques SNE DEET 3 8 Taphonomie Zaphonomy EE CO OOO CRT TIE eesessaseesene 3 9 Autre Other ENEE Seed 4 PROCESSUS DE DOMESTICATION Domestication process 4 1 Evolution des esp ces svolution of species d alre dete se se Hd ue 4 2 Origines des esp ces domestiques origins of domestic species 2 4 3 Autre other eee SEAN RENE BE S ofans Constitution and organization of reference collectiong 00 00ceces000r 5 2 Informatisation des donn es computerization of data eene EE EE
55. RMONIE d harmonisat de la descrip tion des documents au sein du CNRS ont galement t con sult s On trouvera ci joint des exemples de bordereaux S 0 X Le recours ces normes et recommandations avait pour but d optimiser la compatibilit de oe Syst me de biblio graphie automatis e avec d autres syst mes d autres biblio th ques On n avait pas le d sir de faire un travail isol mais bien au contraire de s ouvrir plus ou moins long terme d autres r alisations afin par exemple de faoili ter les changes d informations 5 LE LOGICIEL SOX Au d part auoun logiciel g n ral con u pour la gestion d une biblioth que n existant pour logabax 4500 un logioiel fut mis au point sur plaoe qui r pondait au nom S OX et tait charg du traitement et de la gestion de la biblioth que S 0 X se pr sente oomme une cha ne modulaire de programmes informatiques pour la gestion d une biblio th que Il g re les bordereaux S O et X et r alise le fonotions de saisie oorreotion dition de cahiers d inventaire par type de bor dereau dition de fiohes dition d une liste d aoquisition th matique dition d une liste d aoquisition alphab tique reoherohe s lective Les enregistrements sont en format fixe Chaque type de bor dereau remplira un fichier donn Les trois fiohiers sont stook s sur un disque dur 5 M O Chacun dispose de ses propres programmes Les fichiers ne son
56. Une biblioth que locale pour participer l enrichissement du CCN doit signer avec le Centre R gional auquel elle est rattach e une convention dont l objet essentiel est de garantir l accessibilit des documents signales dans le CCN et en retour de garantir a la biblioth que locale des services avantageux et certains produits gra tuits Le CCN s adresse un tr s large public d utilisateurs depuis les chercheurs et les tudiants jusqu au grand public Pour lui donner un plus large acces la DBMIST tudie la mise en format videotex du CCN Du rep rage du document primaire 4 la commande Le CCN s inscrit dans la chaine de la recherche documentaire qui va de l interrogation d une banque de donn es sur un sujet d fini la commande des documents originaux Apr s avoir rep r dans le CCN la biblioth que qui conserve le document primaire l utilisateur final peut le commander par l interm diaire du centre documentaire qu il a l habitude de fr quenter Afin d acc l rer les d lais de fourniture des documents la DBMIST a mis en place entre les biblioth ques universitaires un r seau de messagerie lectronique Cette commande en ligne compl te et renforce la pertinence du CCN Utilisation facile Le logiciel d interrogation est tr s simple d utilisation et permet une assistance tout niveau par une commande SOS N anmoins une formation de courte dur e peut tre dispens e par les centres r gionaux du
57. aboration de ces ba ses l informatique r partie constituerait une bonne solution elle mettrait des logiciels et moyens la port e d quipes qui seules ne pourraient lesacqu rir 22 CONCLUSION Dans le domaine de l Informatisation des don n es le CRA par l interm diaire de son secteur BDI et de ses ohercheurs m ne une aotivit intense 11 poss de d j un fichier pour sa biblioth que trois pour La documentation plusieurs pour les r sultats de recherches Son service in formatique est l origine de quelques syst mes de gestion de donn es A l exception de IAZ et RAF toutes lesapplica tions ont t lano es sur micro ordinateurs Certaines d en tre elles ont fourni des fonds documentaires importants et r clament des traitements d ensemble infaisables sur micro BIBLARCHEOL reoherche r trospective sur plusieurs ann es par ex La liaison avec le DPS 8 de l INRIA r soud ces questions et ouvre la voie l Informatique r partie D sormais le CRA poss de d un c t des mi cro ordinateus TEKTRONIX 4051 APPLE II ANS d autre part un acc s au centre de calcul de l INRIA organis au tour d un HB68 DPS3 On cherchera utiliser au mieux cet te organisation en proc dant comme suit on conservera les mioro ordinateus 3 en mode local pour des travaux simples ou portant sur un fonds limit traitement des bases de donn es de recherches Pour assurer saisie et mise jour de BIBLAR CH
58. ail banalis s dans une architecture de r seau peu vent apporter une solution globale La construotion de tels r seaux subit des en traves co t des transmissions manque de serveurs sp cialis s embouteillage des li gnes aooroissement des temps de trasmission Les serveurs sont tablis autour de gros ou mini ordinateurs Mais on commenoe parler pour la diffusion des bases g r es sur microordinateur de mioroserveurs acces sibles par t l tel partir de terminaux minitel II exis te une application l arch ologie r alis e gr ce au syst me VIDOC x La structure de r seau s accorde la diss mi nation des quipes de chercheurs II y a en France huit quipes qui se consacrent l ost om trie II serait sans doute int ressant pour elles de g rer une base commune Gr x In Aroh ologie et Ordinateur 1983 n 4 P 22 Lettre d information du CRA 20 LO ce oelle ci elles oollaboreraient plus troitement La collaboration se mat rialiserait sous forme d changes de donn es et oomparaisons de r sultats La dispersion g ogra phique ne serait plus faoteur d isolement Le projet de r seau de oommunication de donn es en ost om trie compatible aveo des syst mes trangers la base Knoood de Verpmann en Allemagne occupe aotuellement l esprit des ost ologues Rien n est encore d finitivement d cid mais le projet in t resse plusieurs oheroheurs qui se d
59. alynologie constitution de collections de comparaisons data tion min ralogie ost ologie palynologie p trogra phie r alisation d un syst me de gestion et de traite ment en particulier sur micro ordinateur de bases de donn es arch ologiques calcul cartographie dition r alisation de produits documentaires et de bases de donn es bibliographies sp cialis es donn es m triques en ost ologie etc mise jour du R pertoire de la Recherche arch olo gique fran aise documentation individuelles Ost ologie humaine Anthropologie des populations du bas Empire et du haut moyen ge en Europe de l Ouest L BUCHET Anthropologie de l Asie centrale de l ge du Bron ze au VIe si cle de notre re L BUCHET Ost ologie animale D termination et analyse de faunes n olithiques d Europe et du Moyen Orient Vall e de l Aisne Bel gique Suisse occidentale J DESSE Mise au point de m thodes d analyse de l ichthyo faune fossile J DESSE Ost om trie de Capra Ibex bouquetin et de Alces alces lan J DESSE Ost om trie de macromammif res en cours Capra Ibex J DESSE Faunes malacologiques marines du plioc ne et du quaternaire m diterran en J CATALIOTTI Pal obotanique Pal oclimatologie des p riodes M solithique et Pr 12 N olithique dans les Alpes et la R gion m diterran enne M BUI THI MAI Le passage du Magdal nien l Azilien chr
60. appork RAF A RBF QZ loc de H edition 3 T doct REF h6 I A Z Annuaire International de l Arch ozoo logie ocoupe une place p riph rique dans le servioe do cumentation En effet s il est bien trait sous la respon sabilit d une dooumentaliste du CRA mme Desse Berset aveo les moyens techniques offerts par le CRA il a toutefois t command par une assembl e internationale de chercheurs l I C A Z International Council for Archeozoology qui tiendra en 1986 Bordeaux sa Ve conf rence C est cette occasion que sera diffus I4annuaire Peut tre sera t il possible d interroger I A Z distance d j lors de la oon f rence IAZ doit contenir des informations relatives aux arch ozoologues On entend par arch ozoologue tout cher cheur s int ressant aux influences de la Nature sur l Homme et r ciproquement au oours des ges l tude de la domesti cation offre un exemple vident L arch ozoologie est une discipline r cente Elle diff re de la pal ontologie la quelle se contente d observer la succession des esp ces Il en d coule que les arch ozoolog es proviennent en fait de formations aussi vari es que botanique zoologie anthro pologie m decine v t rinaire d ne Seranformations prises en comptes e ZO ologues mais les pr c dents 1976 1981 r alis s manuelle ment tenaient en une ou deux annexes en fin d ouvrages in formtifs 1976 une liste des arc
61. ases de recherches naissent de la collabo ration entre le service informatique et les chercheurs eux m mes Le premier assure la formation des utilisateurs la saisie et la maintenance lesseconds ont leur charge la d finition et l organisation du contenu ainsi que la d ter mination des produits de sortie Leur t che consiste D limiter le th me tudi dans la base S lectionner les objets qui entreront dans la base Retenir les crit res descriptifs d un objet D finir les caract ristiques d un enregistrement champs facultatifs obligatoires ordre des champs Former les lexiques des champs descripteurs Pr voir les produits de sortie en fonction des buts atteindre Confectionner ces produits interrogation tri CE 2 LE LOGICIEL MANDOLINE Auoun logiciel commeroial ne convenant aux be soins des arch ologues les informaticiens du CRA ont mis au point des syst mes de gestion On attendait de oes der niers une utilisation facile conviviale avec appren tissage rapide du syst me une certaine vari t de traite ments calculs Deux syst mes de gestion sur microor dinateur de bases de donn es de recherches ont t cr s Tout d abord MANDOLINE J Le Ma tre pour Tektronix 405I version 32 KO puis MICROBASE P Fran ois pour APPLE I II II et III MANDOLINE traite la plupart des bases cit es plus haut OSTEO est g r e par MICROBASE sur APPLE II U
62. ation d un index n acc l re t el lepas l interrogation Les index d interrogation seront mis jour au tomatiquement par une d claration dans le document des pa ram tres du fichier Gar n prinoipe n les utilisera sou vent Les index de tri ne seront fabriqu s qu au mo ment des ditions dition de travail ou d finitivement en fin de saisie 5 Format de l dition TEXTO permettant des formats d dition sophisti qu s nous pouvons d cider d s le stade de la saisie de la mise en page des fiches Pour ce faire nous mettons au point un document d dition Nous avons le choix du titre voire du surtitre des intitul s des champs des caraot es de s paration marge contenu et de finition Nous pla ons en outre un document par page Cependant nous ne pouvons pla cer deux ohamps sur une m me ligne exemple Code Postal Ville Le syst me de gestion est tout de m me tr s souple changement toujours possible des param tres d dition Je or e un second dooument d dition EADE en pr vision des ventuelles sorties d tiquettes adresses Par EADE on dite les adresses professionnelles uniquement sur une lon gueur de ligne compatible aveo le format d une tiquette 6 Le devenir du fichier Pour l dition papier on a le choix entre une imprimante rapide ou la photocomposition Si l on choisit 5 3 l imprimante il faudra une maohine dot e d un oonvertis seur de oarao
63. avait pour but le C C A la gestion de la biblio th que de l chelon central Le CCA serait un norme fiohier central oui con tiendrait les signalement localisation et les tats de colleotion d taill s des publications en s rie ouvrages ex traits doouments graphiques int ressant l arch ologie dam les biblioth ques et centres de documentation fran ais depuis leur or ation En fait l ampleur de la t che a fait qu on s est limit au traitement des publioations en s rie Apr s s lection des biblioth ques ext rieures se lon l importance de leur fonds consaor l aroh ologie on a retenu 24 tablissements en plus des biblioth ques des 26 U R A Cela constituait la gestion collecte tri classe ment de 50 fonds auxquels s ajouterait partir de 1977 la biblioth que de I chelon central Or l automatisation de ce fichier tait pr vue comme une tape ult rieure du projet ce qui peut surprendre si l on consid re la masse de donn es saisir trier et in terclasser On avanoe l argument suivant il fallait cen AY traliser l information avant que de la traiter automatique ment D o l tape pr paratoire de photooopie des fichiers des biblioth ques qui a dur trois ans Une fois r alis le fiohier manuel on passe la mise au point de bordereaux de saisie Mais tri et olassement op r s manuellement n taient ils pas envisageables automatiquement Pourquoi oonstruire un
64. centres r gionaux dont 22 en province et 10 en Ile de France a partir de la collecte des donn es effectu e aupr s des biblioth ques et centres de documentation de leur r gion La saisie de nouvelles localisations ou leur mise jour est effectu e en conversationnel soit par le centre r gional soit par chaque participant pour les donn es qui le concernent Cette d centralisation extr me des proc dures permet 4 la banque de donn es d tre quotidiennement jour S La coh rence du catalogue et le bon fonctionnement du r seau CCN sont garantis par un Centre National C est lui qui effectue la mise a jour et les corrections dans le fichier bibliographique national e L unicit du catalogue permet d une part une meilleure pertinence l interrogation et d autre part l dition de nombreux sous produits dont des catalogues tri s la fois sur des crit res g ographiques th matiques et bibliographiques page 177 Un outil au service de la communaut nationale Le CCN est une realisation de la Direction des Biblioth ques des Mus es et de l Information Scientifique et Technique DBMIST mais le reseau du CCN ne se limite pas au monde universitaire il comprend des centres documentaires de toute taille de toute discipline et tout sta tut administratif et juridique La MIDIST qui a inscrit le CCN dans le champ de ses actions et la Direction du livre et de la lecture en sont des partenaires pour sa mise en oeuvre
65. collection of fauna from Australia for research and teaching K Gollan la dogs c d 3 Post Pleistocene Australia and Pacific J Hope la 2c 3 no Study of faunal remains from archaeological and palaeon tological sites in Australia and New Guinea with emphasis on taphonomy and palaeoecology D R Horton la b c 2c 3 no The study from material from a megafaunal site in Victoria and material from archaeological sites in Queensland New South Wales Tasmania and Western Australia Austria P Wolff la b 2f h 3 no Belgium A Gautier la f 2f g h Capsian North Africa all periods Belgium Proto historic Rwanda Neolithic Egypt W van Neer la 2h 3 Stone Age Iron Age in Africa Study of the faunal re mains from the Matupi Cave a Stone Age site in Ituri Zaire D J Berg la b e 2a 3 no F R Bernard If 2a b 3 Pliocene recent Guide to marine bivalves NE Pacific catalogue of bivalvia E Pacific K Biddick see U S A la b 2h 3 no Animal management and land use on the fen edge Peterborough B B quantitative aspects of skeletal frequency distributions and the reconstruction of natural and cultural processes con tributing to these frequencies medieval live stock accounts as supplementa ry sources for the understanding of medieval animal management P T Bobrowsky la e f 2a 3 no Bivariate and multivariate analysis of musk oxen metrical data from Banks Island archaeozoology of copper
66. d quation bool enne ou avec les op rateurs lt C gt lt Elle est du type lt attribut Sale valeur gt E v VI 2 Le plus int ressant noter au sujet de l inter rogation est d tablir des questionnaires par sauvegarde sur une diskette donn e et la d finition d une interrogation On pourra r utiliser le questionnaire un autre stade d vo lution de la base sans avoir reoommencer strat gie de re cherohe et interrogation Ceci permet d obtenir des tests sur des chantillons de plus en plus vastes et vari s J avais remarqu galement cette possibilit sur Texto en cr ant un dialogue d interrogation Cela gagne du temps lors de 1 exploitation On peut de m me sauvegarder la d finition des produits de sortieque l on aura r aliser r guli rement PRODUITS DE SORTIE MANDOLINE pr voit un certain nombre de produits de sortie Un produit est d fini par un num ro n intitul un type Ce sont des produits d dition de calcul et de traitement statistique x dition simple format e au moyen d un guide d dition contenant des instructions de saut de page saut de ligne tabulation x comptage nombre d objets r pondant a une question calcul de sommes moyennes carts type entre les valeurs d attributs num riques x tableaux de donn es objets r pondant 4 une question attributs num riques x index num ros des objets r pondant un
67. donn es bibliographiques automatisation des bulletins signal tiques Art et Arch ologie du CDSH C est par les stages colloques conf rences ouvrages que CACALY S Les banques de donn es des sciences de l homme et de la soci t le centi me et la centaine Paris ed Ajour 1984 Sciences et Techniques d Infor mation Minist re de l Education Nationale DBMIST l id e du recours l informatique a fait son chemin parmi les arch ologues La vogue de la micro informatique d clen chera cemmdant la multiplication des applications la recherche Aujourd hui les seiences humaines ont du moins en apparence combl leur retard puisque coupl es avec les sciences sociales dans les statistiques du CNRS et la DBNIST elles fournissent 57 des banques de donn es issues de la recherche Les domaines arch ologie et histoire repr sentent 30 x de cet ensemble Si l on pr cise encore que l ar ch ologie est l origine des 2 3 des bases historiques le quart si on lui associe l histoire de l antiquit on situe ra sans peine la place de choix conquise par elle en cette mati re Le succ s acquis par l informatisation des donn es de la recherche arch ologique est d bien s r la cons truction des logiciels adapt s aux besoins des utilisateurs mais aussi ce qu une part du travail de l arcl ologue s a dapte au traitement informatique Ce dernier d leste le chercheur de t amp ches lon gues
68. e os br l s et immerg s CATALIOTTI Jean conchyliologie DOUHERET Robert ost ologie ROUET Albert p trographie Equipe rattach e l Echelon central Laboratoire conservation restauration et de recherches voir plus loin Var Draguignan Pr 16 Equipes URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA URA 1 2 3 4 20 membres du C R A Chypre et le Levant resp M YON Centre de recherches arch ologiques m di va les resp J DECAENS Laboratoire de c ramologie resp M PICON Pyramides memphites et arch ologie m roiti que resp J LECLANT Le royaume de Mari resp J C MARGUERON Laboratoire d arch ologie m di vale m diter Centre Jean B rard ran enne resp G DEMIANS D ARCHIMBAUD Arch ologie et histoire des pays assyro baby loniens resp P GARELLI Arch ologie et cultures du Nil moyen resp F GEUS Irrigation et peuplement en Asie Centrale resp J C GARDIN Centre d tudes pour la protohistoire de l Est dela France resp J P MILLOTTE Peuplement protohistorique de l Europe nord occidentale resp G BAILLOUD Pr histoire des Hauts plateaux thiopiens et de leurs abords resp J CHAVAILLON Recherches et tude des monuments inscrits figur s et architecturaux dans les r gions de civilisation grecque resp P ROESCH Le r le du B louchistan entre la civilisa tion de l Indus et celle
69. e Computer as an aid to reasoning in archaeology An application the Petit Chasseur necropolis In Cours intensif europ en Informatique et Math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Conseil de l Europe 1983 I5 p GARDIN JC Aide au raisennement en arch ologie Aid to reasoning in archaeology In Cours intensif europ en 3 In formatique et Math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Cogseil de l Europe 1983 21 p LAGRANGE N S RENAUD M _ Simulation d un raisonne ment aroh ologique desoription de l application d un syst me expert le syst me SNARK In Panorama 1983 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne APDCA 1983 P 3I 64 RENAUD M cf LAGRANGE M S note APDCA Association pour la Promotion et la Diffu sion des Connaissances en Arch ologie Beamer xPwentakion du CRA d R A F X Configuration infemah que du CRA Livret LES BANQUES DE DONN ES DES SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCI T Es 0 STEL IRE eee oa C ustrie pr historique Mus e de l homme Mus um national d Histoire Naturelle CDSH CNRS See CA CANALETTES FRANCIS Pr histoire et protohistoire Des origines de l homme l apparition de l criture Mus e des Antiquit s nationales de Saint Germain en Laye CNRS ARCH OLOGIE Maison de l Orient M
70. e question 6 MANDOLINE est compatible avec ceftains logiciels d application Il y en a actuellement deux j CHADOC 3 logioiel de traitement num rique et statistique mis au point par l Universit de Nice INFOGRAPHIE trac de cartes plans de r par titions histogramme nuages de points de H Ducasse Ces logiciels traitent les produits de sortie afin d obtenir des r sultats plus complexes cartes cour bes 68 CONCLUSIONS SUR MANDOLINE eee MANDOLINE est au service du personnel des URA et du labordire du CRA C est un syst me de gestion complet qui a d j permis des applications diverses et a fourni des produits satisfaisants par exemple par interfaoe avec le logioiel INFOGRAPHIE des trao s de fonds de cartes des plans de r partition d objets sur un site partir de PIPO L interface avec des logiciels de traitement est pr cieux car il permet d obtenir en une seule session de travail des produits achev s On appr oie le guide de des cription pour le pilotage de la saisie et l astuce du pro gramme de d codage des descripteurs lors de l dition des r ponses une question le codage num rique acc l re la saisie la d codage intervenant pour rendre l enregistrement lisible sams peine par tout consultant Int ressante est aussi la possibilit de stocker les questionnaires et d fini tions de produits de sortie quon aura employer souvent Parmi les reproches on rel vera la
71. e secteur voire dans chaque recherche Toutefois J P Demoule analy sant les oauses de l chec de l unique application RIDA II faisait remarquer que dans les r seaux trangers op rations nels analyses et indexations taient l apanage de certains chercheurs qui devenaient du m me coup chercheurs dooumenta listes C est aussi oe qui se fait au CDSH Mais les ana lystes n y ont pas une sp cialisation extr mement pointue Quant RIDA III les B D factuelles mises au point par les chercheurs ne sont pas saffisamment diffus es aupr s du publio des arch ologues pour que l on puisse com menter les effets de l indexation sur l interrogation Beau coup en sont enoore un stade exp rimental II RIDA 3 le CCA Il est int ressant de d tailler ce projet de Recherohe bibliographique sur titre oar il d finit le fonotionnement aotuel de la biblioth que enti rement au tomatis e de l chelon oentral du CRA RIDA I devant permettre de localiser l infor mation c est la oonnexion biblioth ques ext rieures Ou des URA du CRA chelon central du CRA utilisateurs qui sera tablie En fait le projet pr voyait la colleote par la suite des services de dooumentation De plus on aurait voulu regrouper tous les types de documents ouvrages ex traits tir s part publications en s rie cartes RIDA I est en effet troitement li la notion de CATALOGUE COLLEC TIF de 1 ARCHEOLOGIE CCA RIDA I
72. eologick Ustav SAV 949 21 Nitra Hrad Dr Z Kratochvil Archeologick Ustav CSAV Sady Osvo bozeni 19 662 03 Brno Dr R Musil Inst of Geology and Palaeontology Univ J E Purkyne Kotlarska 2 611 37 Brno L PeSke Archeologick stav CSAV Letensk 4 Prague I Interested Dr M Beranov Archeologick Ustav SAV Letensk 4 Prague I Dr O Sterba Kv tna 8 60365 Brno Universitetsparken 15 2100 Copenhagen Dr T Hatting Zoologisk Mus Universitetsparken 15 2100 Copenhagen Dr U Mghl Zoologisk Mus Uni versitetsparken 15 2100 Copenhagen Dr N Noe Nygaard Islandsvej 11 2800 Lyngby J Richter Univ Inst f Historisk Geology amp Palaeontology r he wH INTERROGATION ST NAIRE S PRODUIT 1 LISTING QUESTION S amp TOUT DGCAR EX DE PRODUITS DOCAR NUMERO 30002902 DATE 831110 TYPE PRE Miche NOM FRIZOT CODE AD 3 CODEX Z RUE 2 rue Jules d Arbaumont R CP 21188 VILLE DIJON PAYS FR TEL 80 65 32 15 O1 MINISTERE INDUSTRIE ET RECHERCHE OZ C N R S D tr Service d architecture antiaue 04 Bureau de Dijon RP 36 rue Chabot Charny REP lt CPP 21080 VP DIJON PP FR TELP AF 1 CNRS 49 OR EQUIPE 1 CNRS SAA Did mbr EA1i mbr 2 SUPQ1E mbr INDEX 933 062 064 CRA ST CA AC NA A0 PF NUMERO 2000505 DATE 840326 TYPE 1 PRE Jean Paul NOM GUILLAUMET CODE AD 3 CODEX 3 RUE Les
73. ersion des champs au moyen de la commande INDEX En mise jour automatique tout nouveau descripteur est invers et class dans l index D o un plus grand confort pour l utili sateur La num rotation est aussi impos e par des con traintes d ordre mat riel le TEKTRONIX 4051 n a que 32 KO de m moire centrale Les donn es sont sock es sur diskettes ou cassettes ce qui entraine une fragmentation de la base g nante lors des traitements interrogation tri En m nageant un gain de place appr ciable la num r tation dimi nue la fragmentation et facilite l exploitation Elle per met de rester dans le nombre de caract res propos s par le logiciel Enfin les codes num riques sont de longueur plus r guli re que les desoripteurs alphanum riques Or on tra vaille en format fixe On vite donc une perte de place Ainsi pour l attribut datation de PIPO il faudrait pr voir environ 30 caract res pour bronze moyen et final probable alors que d autres descripteurs tels autre chass en n en occupent pas I0 Les codes num riques quant eux varient de I 2 ou 3 caraot res Enfin la num rotation favorisera l ajout de pr cisions aux descripteurs Alors qu avec une indexation lit t rale on aurait d m nager affixes ou notes on se contente 65 aveo la num rotation d ajouter un chiffre l expression num rique traduisant le descripteur exemple lexique de l attiibut datation dans PI
74. es donn es en arch ologie ne constitue pas encore loin s en faut une routine bien tablie Les tentatives fusent de partout venant grossir les rangs des bases op rationnelles Les recherches conti nuent tourn es vers le d veloppement des syst mes d ai de au raisonnement de saisie et traitement des alphabets non latin hi roglyphes cun iformes mod lisation des syst mes culturels 78 BIBLIOGRAPHIE I GENERALITES INFORMATIQUE et ARCHEOLOGIE oo Actes du Congr s International Informatique et Soienoes humaines Univ Li ge Lab d analyse statistique des lan gues anoiennes Li ge Univ de Li ge LASLA 1983 932 p Advances in computer archeokogy Arizona State univ Dept of anthropologg Tempe Arizona State univ dept of An thropology 1983 Banques de donn es du CNRS et de l Universit CDST Paris d CNRS 1983 297 p CACALY s Les banques de donn es des soiences de l homme et de la Sooi t Le centi me et la centaine Paris d Jour 1984 Sciences et techniques d information Min de l Education Nationale DBMIST CLEUZIOU S DEMOULE JP Enregistrer g rer traiter les donn es aroh ologiaues IN L Arch ologie aujourd hui Schnapp A Paris Hachette 1980 P 87 132 DJINDJIAN F Introduction m Informatique et aux matl matiques appliqu es en arch ologie Introduction to data processing and mathematics appl
75. es qui leur taient communs et a d velopper des mots cl s sur ces th mes seu lement C est donc une maoro indexation qu a r alis e le CRA a Les th mes retenus Ils sont au nombre de quatre Ce sont la datation la localisation la m thode les objets d tude Ils correspondent aux trois questions de base d une recher che b Pr sentation On a opt pour une pr sentation num rique Non seulement elle acc l re la saisie mais elle a aussi pour but de facibiter l indexation en supprimant les h sitations de l indexeur par exemple inutile de se demander si l on va mettre o ramique ou poterie les deux termes sont tra duits par le m me indioe num rique Comme on le remarquera sur les exemples oi joints les th mes l arch ologie en g n ral et M thodes et techni ques de l Arch ologie sont pr sent s sous forme de lis tes de dix classes chaque classe tant subdivis e en dix SES On voit le plan de d coupage en lasses et desorip teurs de oes th mes les desoripteurs d une classe de chaque th me Les deux plans de d ooupage pour O et 9 donnent une id e de la g n ralit du th saurus A leur lecture on s aper oit qu il tente de regrouper tout oe qui intervient dans la qu te de l aroh ologue Je noterai en outre que lors de l indexation d un docu ment seuls les triplets sont utilis s Par exemple pour d orire mon exemple totalementimagina
76. et r p titives Il se manifestera sous formes d appli cations plus ou moins complexes allant du logiciel de sai sie au syst me expert Les travaux pr paratoires la r flexion s a v rent fastidieux une partie des fonds des mus es et col lections priv es sont demeur s in tudi s parce que l on n a vait pas eu le temps de s atteler au labeur impos par les tris classifications ealouls statistiques L utilisation de programmes Somptage et de statistique permet tout en acc l rant la t amp che de retenir un nombre de crit res plus important par objet et de grossir le fonds tudi Dans le cas d application sur micro on sera limit quand m me par les capacit s du mat riel il ne faut pas entraver les temps de traitements Les programmes graphiques trac de courbes d histogrammes de dessins ont un avenir certain aupr s x 29 bases op rationnelles 8 en cours des chercheurs par eux on obtient en peu de temps et r p tition des graphiques vari s Ils ont aid l analy se Possibilit par exemple d obtenir des coupes d un si te selon divers axes mais aussi la publication o ils compl tent l assistance apport e par les logiciels traite ments de texte Les travaux plus sp cifiques de l arch ologie comme la prospection et les fouilles trouvent galement de puis peu leurs syst mes de gestion automatis e qui ont pour particularit d tre utilisables sur le site m
77. eul probl me r side dans le choix d une ine dexation commune garante de l acc s au document L informa tion doit r pondre aux demandes de r f rences et looaliser les biblioth ques poss dant ces derni res On s est accor sur l option d une indexation double Un champ MACLE oon tiendra une macro indexation n cessaire une premi re ap proche d un fonds assez g n ral Dans un second champ libre chaque partioipant reproduira ses propes mots cl s Ainsi on pourra interroger sur l ensemble ou sur un fonds localis Les divers membres ont mis sur pied un document de param tres La notice contient dix champs communs Quel ques bordereaux seront enregistr s pour test Les biblioth ques conoern es doivent harmoniser leurs descriptions par exemple les nom pr nom JAMIN Amadis JAMIN JAMIN Amadis donnera JANIN A JAMIN A JAMIN A La biblioth que du CRA ici est en bonne posi tion Sa normalisation lui vite oes mises joure D autre part elle a t seule en mesure de pr senter un plan de classement pour une macro indexation Celui ci semble avoir t approuv par l ensemble Ce r seau ne sera pas une r surection de RIDA I mais i en portera la marque localisation des tablisse ments indexation Un autre projet plus lointain pr voit l chelon national de relier les biblioth ques et centres a documentation fran ais en arch ologie II manerait de la DBMIST du
78. ff rents S Cacaly proposait un r seau de oe genre mais avec pour centre de gravit les bases Francis que les petites bases alimenteraient en donn es factuelles engen re 6 La multiplication des petites bases difi es Souvent au moyen de logiciels maison augmente le danger d incompatibilit des syst mes de gestion entre eux et avec les syst mes de diffusion On y pense etl on y travaille de plus en plus Ainsi par exemple Microbase poss de un interface avec un programme de reformatage des fichiers en fichiers D I T Data International Transfert A 1 ohelon national la Direction Information Scientifique et Techni que a entre autres missions celle d harmoniser mat riels et logiciels Ceci entra nera peut tre un certain recul des logiciels priv s remplac s peu peu par les logiciels com merciaux adapt s aux besoins des chercheurs qui commencent appara tre Mais avant de parler de diffusion il faut admet tre la collaboration Son d veloppement parmi les arch olo gues gene constituer un des apports de l informatique aux m thodes de travail des chercheurs Le premier apport et le plus important r side dans un changement net de la fa on dont on con oit la recher che Les tris et classifications de collections se montraient auparavant si longs et ardus qu ils devenaient souvent le but primordial de l effort de l arch ologue D sormis les heu res gagn es par le traitement sont consacr
79. fil Ceci correspondait 83 demandes cf Panorama 1983 des Applications Informatiques Le nombre des demandes n autorisait gu re l installation de DOCAR sur un serveur D autre part on remarque que DOCAR fournit les produits de satie de La documentation C est oe qui m a fait dire qu il s agissait purement et simplement d un outil du service documentation et non d une base ouver te tout public Par contre I Z s il ne contient qu environ 600 documents I000 2000 car doouments n cessite une cer taine richesse de produits de sortie nombreux index et une pr sentation int ressante des documents le but tant I di tion d un annuaire papier le logiciel utilis jouera le r le d aide la publication RAF quant alle conti berg une base de grand envergure puisqu y seront oonsign es des informations por tant sur les quipes et leurs th mes de recherches ainsi que sur les membres de ces quipes et leurs propres sujets d tudes deux unit s documentaires qui conduiront la cr ation de deux fichiers relier entre eux pour qu ils soient capables l occasion de se fondre en un seul Pour ces deux bases on profitera du oonfort m nag par les gros syst mes puisque l on acc dera au kbb Ride l INRIA Inst National de Reoherohe en Informatique et Au tomatique install sous syst me MULTICS L aoo s un gros syst me r soud les probl mes de stockage voqu s propos de DOCAR Le
80. gramme code commentaire A D C FACULTATIF PLUMAGE E Le plumage a pour code machine 9 code facultatif Finalement le guide de description est un progem me facilement manipulable par l utilisateur Le fait qu il y ait des champs obligatoires repr 6 3 sente une lourdeur dans la gestion des bases il faut pr voir une valeur pour tzluire le manque de donn es dans un oes champs Cela impose aussi l utilisateur d entrer lors de la saisie les indicatifs de champs faoultatifs en bonne place l ordre de saisie des attributs tant immuable Par contre d olarer facultatifs les champs les moins utilis s acc l re la saisie cela vite des retour chariot puis que le champ n est pas demand syst matiquement LE _LEXIQUE II regroupe les sous lexiques de la base Tout attribut d clar de type descripteur est associ obliga toirement un sous lexique Chaque sous lexique est num rot son num ro tant sa clef d acc s Il se compose de la liste des termes retenus pour d crire l attribut et des co des leur correspondant On a refus de cr er pour les bases de Recher ches d imposants th sauri consid rant que de tels ouvra ges seraient sous utilis s dans le cadre de la description de corpus limit s et tr s pr cis On se borne aux termes qui seront effectivement employ s pour rendre compt des objets de la base conoevoir On part de l observation du corpus Les descripteurs sont tir
81. h ozoologues class s par pays I98I s une liste des arch ozoolog es class s par pays une liste des th mes d tudes des cher cheurs La version 1986 se dissooiera de ses anc tres en ce qu elle constituera un document part enti re o sera brass e une plus grande vari t de renseignements D autre part sa pr sentation ohangera 3 on aura une s rie de fiches compl t es d index L unit documentaire reste le chercheur Celui ci se d finit par 19 I son adresse professionnelle son affiliation ventuellenmt II sa formation de d part sa sp cialit au sein de l aroh ozoologie les aires g ographiques qu il tudie les p riodes dont il est sp cialiste III Les sites sur lesquels il travaille ou a travaill Les orientations principales ou secondaires de sa recherche IV trois r f rences bibliographiques qui ren dent compte de ses travaux et publications Une fiche fournira donc un riche panorama des activit s d une personne Certaines donn es paraftront redondantes par exemple sp cialit et orientations de la recher che En fait sp cialit se traduit au moyen d une ma cro indexation On trouvera les mots cl s macro mammif res oiseaux reptiles Orientation r pond un souci d affinement de l indexation il s agit de l o rientation des reoherches l int rieur m me de la sp cia lit 2 COLLECTE Elle
82. ictionnaire le lexique et le guide de description x Jacques Le Ma tre auteur du logiciel MANDOLINE pr cise encore la d finition de Jean Lesage Selon lui les bases de donn es de recherches se rapportent en g n ral au mat riel sur lequel porte le travail imm diat de l ar ch ologue Les bases de donn es de cette cat gorie se ront en g n ral constitu es pour l tude de probl me bien d finis validation d hypoth se par des traitements statis tiques sur un chatillon par exemple Voici les principales bases de donn es de re cherches trait es actuellement au CRA CANALETTES L Meignen plans d industrie pr his terique sur une fouille OSTEO J Desse ost om trie mesures d ossements PEROU J Lesage tude arch ologique du mat riel lithique de la pr histoire andine P rou PIPO M Rica de Bouard outillage de pierre polie STELES DE THESSALIE B Helly arch ologie et pi graphie des st les th ssaliennes en cours d laboration x LESAGE J Math matiques et Ordinateurs en Arch olo Sie In Arch ologues et Ordinateurs 1983 n 4 Valbonne Sophia Antipolis Centre de Recherches Arch ologiques Lettres d Information du Centre de Recherches Arch ologi ques 20 5 Cette liste met en vidence la diversit des do maines couverts en m me temps que la sp cialisation de cha que base Toutes sont r centes la plus ancienne
83. ie Collecte chasse p che Agriculture domestication des plantes Elevage domestication des animaux Alimentation cuisine V tements parure Habitat s pultures constructions en dur cf 064 Transport v hicules bateaux Commerce m trologie voyages itin raires Guerre arts militaires SR Cette impr cision est impliqu e par le souoi de macroindexation L ajout du seoond ohamp en indexation li bre pourvoit un affinement de la description Ainsi pour sa lettre d information sur l arch ologie Gf Sediterran ant S Roscian documentaliste au C R A a besoin des documents parlant de La Provence et non de toute la France Aussi ce qui peut l int resser est index par exemple de la fa on suivante indexation CCA 132 os FRANCE indexation CRA PROVENCE Dans l exemple des doouments portant sur la Hongie on aurait pu ajouter Hongrie dans le champ indexation CRA d exemples d indexation Le champ CCA re oit au maximum 3 triplets Le premier est compos l aide des tableaux espace temps les suivants sont issus des listes objets d tudes et m tho des et techniques Des p riodes ou th mes pr ois risquant de revenir souvent ont t pr ois s dans les tableaux espace temps par exem ple sur le tableau Europe I la crois e de la case I talie Sicile 7 et de la case Moyen ge Occident Chr tiens et Islam Croisades 8 on lit Norma
84. ied to archeology IN Cours Intensif europ en informatique et math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Conseil de l Euro pe 1983 19 p DJINDJIAN F LEREDDE H BJINDJIAN Finformai DUCASSE H Panorama 1981 des Applications informati ques en arch ologie Valbonne ed ADPCA 1982 DUCASSE H Panerama 1983 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne d ADPCA 1983 202 p DUCASSE H Syst mes dooumentaires banques de don n es aroh ologiques usage de recherche en France Docu mentation systems 3 archaelogical data banks used for re seards in France In Cours intensif europ en informati que et math matique appliqu es l arch ologie Strasbourg Conseil de l Europe 1983 9 p GAROIN JC Evaluation de l Informatique appliqu e aux sciences humaines comme moyen de promotion scimntifique IW Bibliographie et Informatique les disciplines hu manistes et leurs bibliographies l ge de l informatique travaux du Centre de Documentation et Bibliographie scien tifique Paris Maison des Sciances de l homme 1982 p 165 GRIFFITHS M Historique g n ral et perspective du d vdoppement de l informatique et de ses applications G n ral history and development projects of data processing and its applications IN Cours intensif europ en informatie que et math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Consei
85. iel MANDOLINE mis au point par J Le MAITRE vais DOCAR ne cess de s a ccroftre introduction d trangers aussi le stockage de ses donn es sur disquettes devient il probl matique 7 dis quettes en fin 82 Cette fragmentation interdit les traite ments sur l ensemble de la base Aussi aimerait on le voir install sur le disque lourd de l AMS Le public tait d fini lors de sa or ation r serv aux besoins du service Dooumentation qui l utilisera prinoipalement pour adresser les lettres d informations ventuellement renseigner des organisateurs de colloque L information ne se limi te pas toutefois aux adresses On indique aussi les pr oocupations professionnelles des personnes enregistr es Ce ci est utile pour s lectionner les destinataires d un docu ment par exemple ou retenir les participants tel collo que Le fait que DOCAR enregistre des adresses person nelles suffirait en emp cher aotuellement l implantation sur serveur Mais l ajout d un ohamp quipe au bordereau assure la compatibilit de DOCAR avec le futur RAF On re DOCAR en 1983 oontenait environ 4500 signalements de personnes et I000 institutions x Actuellement au LISH Marseille kb trouve l le souci d harmonisation du traitement des don n es au CRA Les produits de sortie D CAR oonsistaient en 1 82 en 125 listes d tiquettes adresses 27 listes alphab tiques 5 listes d information sur pro
86. indice anch o 1 et 3 Sophia Antipolis 06565 VALBONNE CEDEX t l 93 33 30 30 resp Bruno HELLY MR au CNRS Jean Marie ALLAIS dir adjoint source de financement C N R S Domaine de recherches ne L Echelon Central install Valbonne a pour mission de g rer administrativement les quipes URA de r pondre aux demandes de travaux ou de servi ce par des interventions sp cialis es sur proposi tion des quipes arch ologiques en deuxi me niveau ake d exp rimenter sur les m thodes d investigation d analyse d information utilisables par les arch o logues e de d velopper la formation professionnelle a d assurer la diffusion de l information et des r sultats de la recherche ia Pour la description des URA et des laboratoires ext rieurs voir les chapitres URA et le Laboratoire de Conservation Restauration et Recherches de Dragui gnan activit s de lab cartographie c ramologie data tion absolue dendrochronologie dessin documentation dition min ralogie ost ologie humaine et animale pal obotanique palynologie p dologie s dimentologie 33 Pr 11 p trographie photographie traitements informatiques traitement d images Recherches en cours collectives bio arch ologie et arch o g ologie tudes des vestiges osseux des pollens des mat riaux et contex tes min raux et s dimentaires d finition des proc dures de pr l vements ost o logie p
87. iographiques r f rences dooumentaires analyses bibliographiques texte factuelles num riques textuelles textuel les et num riques Les deux premi res formes ont port sur les fonds des biblioth ques et centres de documentation puis sur le personnel de la recherche arch ologique La troisi me est engendr e par les recherches elles m mes Plut t que de se sp cialiser dans le traitement d un type donn le C R A les a tous pris en charge II lui fallait donc manier de fa on harmonieuse et rationnelle des donn es divergentes de par leur nature textuelles num ri ques bibliographiques et leur origine A cette difficult venait s ajouter le probl me de la diffusion La structure clat e du Centre n cessitait la cr ation de r seaux qui regrouperaisnt des quipes dis s min es et parfois isol es Le projet auquel j ai fait al lusion ci dessus RIDIA a chou mais le concept de r seau d information occupe toujours les esprits et sa mat rialisation ne semble pas impossible dans l avenir L informatisation des donn es au C R A se dis tingue donc par la vari t des applications Le C R A pro duit 75 des bases de donn es issues de la resherohe cf S Cacaly et par le souci de la diffusion d j peti te chelle puis I ohelon national voire international Dans un premier temps nous prendrons contact avec RIDA aujourd hui disparu mais dont le spectre inspire touj
88. ire de la culture du pissenlit on utiliserait 052 Agriculture domestioation des plantes L originalit du plan de olassement r side surteutidans le croisement des th mes datation et localisation Au lieu d a voir un indice pour l poque un autre pour le lieu on oom pose oes indices raison d un ohiffre pour la date et deux pour le lieu afin de r aliser un triplet qui d termi nera le th me spatio temporel du document traiter Par exemple un dooument t moin de l Italie l poque de la Renaissamea sera index par s 197 H 9 7 GE T ae Renaissanoe les descripteurs comme on le voit dans l exem ple joint sont r partis sur un tableau dont l axe des or See donn es est ocoup par les indices d poque et l axe des ab cisses par les indices de r gions Le premier l ment cor respond tcujours la localisation au sens large conti nent grande r gion il y a un tableau par continent ou grande r gion On pouvait se permettre de regrouper espace et temps en un m me descripteur car ces deux facteurs sont indissociables dans la d finition d une recherche ou d un document arch o logique Cette pr sentation en tableau facilite par sa clart la consultation du plan de classement D autre part la combi naison des deux facteurs en un mot cl simplifie l interro gation en effet il est d j possible par une seul ques tion d isoler un ensemble de doouments se rapportant une r gio
89. l g rement all g es si l on obtenait une collaboration aveo la Direction des Bi blioth ques qui est l origine du projet C C N informatis D autre part je pense qu un r seau tel RIDA II serait aujourd hui concevable amp quelques oonditions Que les projets ne soient pas laiss s l initiative des laboratoires mais fassent l objet d un programme d appli cation Comr e dans le oas de RIDA I il y aurait une s lec tion Celle oi viserait retenir en priorit les th mes de reoherches int ressant particuli rement la communaut et sur lesquels l information est difficile aoqu rir Sans foro ment impos quoique ce soit ce programme pourrait avoir valeur inoitative 12 Mais oette condition en implique une seconde Que les t ohes d analyses et indexation ne soient pas consid r es comme un suroroft de travail la oharge du chercheur mais oomme des oocupations professionnelles part enti re En olair qu une personne oheroheur form la dooumentation dooumentaliste tr s sp cialis soit employ e uniquement analyser et indexer Deux probl mes entravent donc ce projet de r seau de bibliographie analytique s l un d ordre administra tif mise au point d un plan formation d arch ologues do cumentalistes or ation de postes l autre d ordre scientifique il faut faire admettre tous les arch ologues que l indexation peut au pire tre confi e des personne sp
90. l de l Europe 1983 9 p KDARIC D VAN BINST P Informatique et Sciences humai nes IN Aotes du Congr s International Informatique et Scienoes humaines Li ge Univ de Li ge LASLA 1983 pe 513 6 LEREDDE H DJINDJIAN F Le Traitement automatique des donn es en arch ologie IN Dossiers de l arch ologie Fontaine l s Dijon 1980 42 p 52 69 LESAGE J Math matiques et ordinateurs en arch ologie IN Arch ologues et Ordinateurs Valbonne Lettres d Information du Centre de Recherches Arch ologi ques 1 re partie 1982 2 pe 3 7 2 me partie 1982 3 p 5 II fin 1983 4 p 5 IO TROUSSON LIBERATORE D cf DUCASSE H TROUSSON LIBE RATORE D VAN BINST P cf KLARIC D II PRESENTATION de LOGICIELS NON COMMERCIAUX MIS AU POINT POUR L ARCHEOLOGIE DJINDJIAN F Standards mat riels et logioiels et ser vices informatiques l horizon 1985 In Arch ologie et Ordinateurs Valbonne impr CRA 1983 n 4 p II 17 Lettres d Information du Centre de Recherohes Arch ologi ques 20 DUCASSE H Un syst me s lectif de trac de fonds de cartes ou d unit s de fouilles et de repr sentations pla nes de distribution d objets sur micro ordinateur Valbonne impr CRA 1981 Notes internes 29 DUCASSE H Un syst me s lectif de trac de fonds de cartes ou d unit s de fuuilles et de repr sentatior pla nes de di
91. le un public non sp oialis et tout d abord comment r pondre aux befoins de chaque sp cialiste Une solution envisageable aurait t je pense de juxtaposer des lexiques ou des micro th sauri On aurait 35 pu ventuellement dans un second temps relier ces micro th sauri les uns aux autres par regroupement des parties com munes ou syst me de renvois afin d obtenir un th saurus vi sant l exhaustivit C e t t une entreprise digne de Ba bylone On aurait obtenu un inextricable r seau dy motes ol s o auraient fleuri de plus ou moins nombreux oas de sy nonymie Cet assemblage aurait risqu de ralentir l indexation temps de consultation encourager les h sitations des indexeurs h sitation pour une notion mal d finie entre des termes voi sins interdire l interrogation par le plus grand nombre impossibilit de conna tre toutes les finesses du syst me De plus l aroh ologie comporte trop de sibdi visions pour que l on veuille r aliser un tel amalgame Enfin il aurait fallu cr er la plupart de ces lexiques ou th sauri car il n existe actuellement encore que des embryons de syst mes d indexation dans les diver ses disciplines arch ologiques On pouvait galement se passer d outil de norma lisation du vocabulaire et laisser l utilisateur lui m me d crire ses informations en langage naturel je propose cette sclution car on est souvent tent de l ado
92. lenteur des traitements Mais ceci est un probl me de mat riel L auteur de oe reproohe comparait Mandoline Microbase g r sur Apple dont la m moire oentrale poss de une capacit double de celle du Tektronix 4051 On note aussi la rigidit d un syst me qui emp che la transformation en fichiers principaux de sous fiohiers d interrogation Ce n tait pas 14 sa fina lit premi re II devait surtout produire partir d un seul fichier principal le fichier de saisie le maximum de produits de sorties oourbes histogrammes tableaux plans tous produits qui soulagent l arch ologue en lui laissant plus de temps libre pour la r flexion et la reconstitution 6 3 CES BASES SONT ELLES DIFFUSABLES Elles ne sont pas diffugables on s en doute aupr s d un publio nombreux et vari Tout d abord leur extr me sp cialisation suffit en limiter l accessibilit un groupe de oonsultants comp tents Ensuite un souci de protection de la reoherche interdit de divulguer leur con tenu au del d un cercle de collaborateurs Pourtant l id d une circulation des donn es faotuelles n est pas inconcevable Elle est vue sous l an gle d une mise en commun des ressources informatiques Fran ois Djindjian remarquait propos de la vogue des mioroordinateurs chez les arch ologues La microinfor matique ne r soud pas tous les probl mes Seules des ressources distribu es serveurs sp cialis s postes de trav
93. les types de donn es C est en effet une particularit du C R A et un vestige de RIDA que de vouloir permettre l acc s au moyen d une m me indexation toutes les formes d informa tion analytique signal tique objets Nous allons voir comment le syst me d indexation a t mis sur pied et les changements qu il faut lui apporter pour l adapter aux bases factuelles 34 I MATIERE ET OBJECTIFS Le d veloppement d un syst me d indexation est d fini notam ment par s l information d orire les besoins des utilisateurs Le fonds indexer au d part limit une sort de doouments les orits tait susceptible de s tendre d autres informations quipes d aroh ologues objets aussi divers qu os de gazelle th tre galloromain oampe ment de chasseurs d l phants Finalement la mati re indexer au C R A se di vise en deux prties oontradictoires des informations g n rales revues telles Ar oh ologia des informations tr s sp cialis es se rap portant un domane de l Arch ologie voire un th me de re cherches L indexation servirait charpenter les recher ches bibliographiques sur des th mes pr cis et les recherohes factuelles les quelles ont pour but l tablissement de cour bes graphiques plans profils 2 QUELQUES POSSIBILITES Comment satisfaire les besoins de finesse dans l indexation sans rendre celle ci imp n trab
94. me gr ce la mobilit des micro ordinateurs 0 Buschenschutz cr a l un des premiers syst mes satisfaisants CENTRARS Enfin on m ne des recherches sur Les syst mes d aide le r flexion en arch ologie On cite SNARK cf biblio Il reste un domaine de la recherche que je n ai pas encore mentionn la diffusion de l information Les bases bibliographiques textuelles et num riques existent Mais comme nous le verrons plus en d tail la diffusion n en est pas encore vraiment ma tris e Cependant les pro jets ne manquent pas L informatique est donc employ e selon deux ob jectifs en tant qu outil de travail elle laisse l arch ologue plus de temps pour la r flexion et offre des r sul tats plus nombreux et pr cis en tant qu outil de stockage gestion et diffusion de l informatique elle aide la constitution de bangues de donn es bibliographiques factuelles ou mixtes biblio graphique factuelle La pr sentation de l informtisation des donn s en arch ologie me semblait justifi e par la place qu occupe cette science dans les applications informatiques en sciences humaines et sociales II serait vain de vouloir offrir un panorama de toutes les r alisations existantes ou en cours En tant que documentaliste je d crirai uniquement l action du CRA Gentre de Reoherches Aroh ologiques qui m a acoueil lie l oocasion de ce stage II Le CR A 2 ORGANISATION ET ACTION
95. n contexte international La revue GERMANIA en Allemagne l Abracts of Council for British Arohaeology CBA en Grande Bretagne pour ne citer qu eux ont men chaoun dans son pays respectif des exp riences de r seau d information bibliographique sp cia lis e dans le domaine de l Arch ologie La France a oonnu plusieurs tentatives dans d autres domaines des sciences humaines linguistique phi losophie Par rapport tous oes r seaux et aux bases de donn es du CDSH Pr histoire Art et Arch ologie RIDA pr sentait une originalit int ressante ses cr a teurs se proposaient de proposer la diffusion de l informa tion sous ses formes brutes et bibliographiques Les divers types de donn es seraient mis en relation et se compl te raient les uns les autres afin de r pondre au mieux aux be soins des chercheurs en mati re de documentation Par exemple un oheroheur qui se passionnerait pour la culture du pissenlit l poque n olithique pour rait par l interm diaire de oe seul r seau interroger en principe au moyen d une m me indexation 1 une base technique de palynologie tude des pollens pour obtenir des informations pratiques telles que oourbes ou tableaux de oonoentration dans les oouohes n olithiques de tel site 2 un fichier bibliographique analytique afin de trouver dans quels artioles ou ouvrages oes informations ont t tudi es 3 un fichier bibliographique signal
96. n et une poque donn es c Inconv nients Je profiterai de cette allusion l interroga tion pour parler du tri et faire remarquer que si l on a vait plac les lieux en ordonn e et les poques en abcis se on aurait obtenu sans probl me des tris par pays po que classement des documents par pays avec tri des po ques l int rieur du pays Le I 9 7 cit plus haut serait devenu I al 9 Europe Italie Epoque Renaissanoe On aurait eu aussi I 78 Italie moyen ge Actuellement tel qu est agenc le pan le classement se fait par poque avec tri des pays l int rieur d une poque IOO toutes p riodes Europe IOI toutes p riodes Ib rie 102 toutes p riodes Franoe H Mhocsoses Kal oe pr histoire Ib rie Or on aimerait avoir IIO Europe Ib rie toutes p riodes III Europe Ib rie pal olithique II2 Europe Ib rie N olithique Un tri des poques par pays est demand aotuellement II permet entre autres de se faire une id e du patrimoine arch ologique d une r gion ou des aspects de la recherche ar h ologique dans un pays D autre part une classifioation num rique n est pas toujours tr s harmonieuse Dans certaines clas ses des desoripteurs demeurer nt inemploy s par ex 095 096 097 pour les outils documentaires alors que dans d autres la subdivision en IO paraitra trop juste Si l on se reporte 4 l exemple joint de tableau espace temps on
97. nds Roy de Si cile 187 Ou encore N olithique pr c ramique et c ra mique fAtlantique 2 orois avec Italie Sioile 7 don ne 127 Poterie imprim e Lagozza Des th mes qui par leur tendue risquaient de poser probl me aux indexeurs ont t d limit s de la m me fa on Ainsi invasions barbares occupe l poque pal ochr tien Bysance Haut Moyen Age 7 des cases pays allant de 2 6 savoir les descripteurs 172 176 Ces pr cisions faoilitent encore l indexation en vitant des doutes sur les poques et pays Ge el oonolusions Le plan de olassement facilite l indexation par sa nettet impossibilit d h siter entre deux termes Il oherche couvrir 1 plus grand nombre de types de documents possibles maoro indexation Cependant il est difficilement applicable tou tes les banques factuelles En effet prenons par exemple PIPO M RICQ PIPO traite d un seul type d objets outils de pierre polie dans une r gion pr cise Midi m diterra n en de la France une poque d finie fin VIe mill nai re IInd mill naire av J C II serait vain de remplir dans cette base un ohamp CCA La r p tition des triplets II2 et 122 er de OU pal o See T d s Ree rhique m so n ol G n aurait aucun sens II me parait difficile de mettre au point une indexation qui satisfasse la totalit de la communaut ar ch ologique La solution actuellement adopt e
98. ne base sous MANDOLINE se pr sente comme une suite d enregistrements oompos s chacun d une s rie de couples attribut valeur L attribut correspond au champ des bases documentaires Dans un attribut on traduira une oaraot ristique de l objet tudi taille poids position II existe des attributs multivaleurs UN enregistrement re groupe les informations relatives un objet MANDOLINE se divise en trois modules d finition de la base dictionnaire guide de description lexique _ sous lexique E LU saisie mise amp jour interrogation des donn es gestion des produits de sortie L arch ologue d finit les attributs dans le dic tionnaire de la base Les attributs 4 descripteurs sont mis en rapport avec des sous lexiques l ensemble des sous lexi ques constituant le lexique Un guide de description ba lisera la saisie 6 LE DICTIONNAIRE Il comprend la liste nominative des attributs accompagn s de leurs caract ristiques type longueur mono ou multivaleur Il tablit une relation entre un intitul d at tribut et son code machine On autorise plusieurs types d attributs nombre d cimal texte date code num rique descripteur On a distingu descripteur de texte oar il impli que l existence d un lexique un attribut cod descripteur sera associ un sous lexique non un texte De m me code num rique et nombre diff rent sur un attribut cod
99. nnuaire N h sitez pas proposer d autres mots cl s si vous le jugez n cessaire j COCHER orientation essentielle 2 orientation pisodique lt TREND OF RESEARCH key words this heading is meant to index the directory Do not hesitate to propose other key words if you find it necessary CHECK main trend 2 episodic trend cocher x check x E 1 TECHNIQUES D IDENTIFICATION METHODOLOGIE Tdentification techniques methodola 1 1 ph ddl 2 FY ne anatomie compar e morphologie morphoscopie SIT TTT Species determination comparative anatomy morphology morphoscopy histology 1 2 Ost om trie osteometry SES EE gees EE TE 1 3 Pal ontologie Palaeontology Seege SC e ees 1 4 Microchronologie Microchronology See Nee NEEN dr ENNEN AN dass se se 1 5 Techniques de pr l vements Sampling techniques ccccccccccccccuce weeks 1 6 Autire Other 2 utilisaient demons SSES lee ses Sek 5 2 UTILISATION CONSOMMATION Utitization consumption a ei Sack 0 2 1 Al imentation Food Sege SEIN e sevda d Sieg d dee 2 2 Techniques de d carnisation de boucherie de cuisine Butchering and cooking techniques s e soso coccecececces 2 3 Outillage parure Bone industry 2 4 AUtre Other nas us enge sde 3 RECONSTITUTION PALEO ETHNOLOGIQUE INTERPRETATION MODEL ISATION EXPLOITATION WW ANIMALE
100. nt aid systems the CENTRAR system and its use on the Levroux site In Cours intensif europ en informatique et math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Con Seil de l Europe 1983 II p CROZIER BRELOT C L Etablissement de banques de donn es en gyptologie In Actes du congr s international Informa tique et Sciences Humaines LIEGE univ de Li ge 1983 pe 247 257 DESSE J La Base de donn es ost om triques KNOCQO GS TEO In Nouvelles de 1 arch ologie 1983 II p 43 44 DUCASSE H Infographie et cartographie en arch ologie Computer graphics and cartography in archaeology In Cours intensif europ en Informatique et Math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Conseil de l Europe 1983 IIp DUCASSE H MEIGNEN L Repr sentation graphique de distribution d objets sur micro ordinateur application aux donn es d une fouille pr historique In Cours intensif eu rop en Informatique et Math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg Conseil de l Europe 1983 IO p DUCASSE H RICQ de BOUARD M cf RICQ de BOUARD M LAMBERT G Vid otex et arch ologues une rencontre pos Sible Vid ot x and archaeologists a possible meeting point In Cours intensif europ en Information et Math matiques appliqu es l arch ologie Strasbourg conseil de l Euro pe 1983 19 p LESAGE J Analyse discriminan
101. oniser l indexation ses mises jour seront fr quentes et complexes Si donc le r seau national des biblioth ques et centre de documentation fonds sp cialis s en arch olo gie voit le jour le service documentation du C R A four nira une information 4 trois degr s renseignements sur les quipes arch ologiques renseignements sur les arch ologues renseignements sur les arch ologues sp cialis s TRAITEMENT ET DIFFUSION DES DONNEES F dc VE Au C R A est informatis e une troisi me forme de S donn es les donn es faotuelles ou de reoherches Cette au tomatisation a vraiment d but pour tous les pays aux alen tours de 1972 Mr F Djindjian affirme que l on a relev les premi res applications informatiques aux environs de 1970 J Desse CRA responsable de la base OSTEV note qu en osteom trie les premi res tentatives remontent 1972 Avec le d veloppement des micro ordinateurs partir de 1976 1978 on a multipli essais et projets Une interroga tion du fichier IAZ dans son tat aotuel r v le qu aujour d hui pour l arch ozoologie sur 57 cheroheurs 30 informa tisent des donn es et sur oes 30 22 exploitent une base de donn es pr s de la moiti des personnes concern es Nous nous limiterons bien videmment l action du C R A mais nous nous demanderons dans quelle mesure un projet tel RIDA III pourrait de nas jours aboutir et nous ohercherons si la oollaboration par les
102. onolo gie et climatologie dans les Alpes le Jura les Py r n es la Bourgogne M GIRARD R alisation d un syst me informatis de traitement appliqu l information dendrochronologique J LAM BERT P trographie Etude de l outillage de pierre polie au N olithi que des Alpes aux Pyr n es origine et circulation des objets et ou des mati res premi res M RICQ Datation Affinage d une nouvelle m thode de datation par thermoluminescence par mesure de temp rature d mis sion J C RICQ Physico chimie des mati res osseuses application pratique l arch ologie J C RICQ Arch ologie Recherches sur la vie des cit s thessaliennes l poque classique hell nistique et romaine B HELLY Informatique T l d tection spatiale appliqu e l arch ologie E BARISANO Traitements d images de photographies digitali s es E BARISANO Syst me d enregistrement et traitement informati s des caract res hi roglyphiques M HAINSWORTH Informatique graphique et arch ologie H DUCASSE Applications graphiques li es aux traitements sta tistiques H DUCASSE Analyse conception et mise au point des logiciels H DUCASSE D TROUSSON Maintenance des logiciels H DUCASSE D TROUSSON Conseil assistance aupr s des utilisateurs H DUCASSE D TROUSSON Typologie lithique construite partir d exploita tion statistique et informatique J LESAGE Forme d expre
103. ouble existence puis qu il rev tira la forme d un annuaire papier et celled une x mme on le verra plus loin cette application ne d pend pas vraiment du servioe information du CRA base de donn es qui pourrait tre install e sur oentre serveur le R pertoire de l Aroh ologie Fran aise R A F en cours d laboration sous sa forme automatis e qui sera pla o sur serveur Grenoble RAF s int gre dans le d sir de diffusion de l information nourri nouveau par le CRA Un tel type de diffusion r pond plusieurs be soins Il facilite la oorrespondance recherche d adresse dition tiquettes la diffusion s lective d informations recherche des th mes d tudes la r nion de oolloques Les trois applioations de la documentation r unissent en fait les grandes alternatives de l informatisation en ar ch ologie ohoix de l information diffuser pr oise pour IAZ et DOCAR plus complexe pour RAF choix du publia restreint pour DOCAR limit mais avec un souhatd largissement pour IAZ g n ral pour RAF choix du syst me micro syst me en looal ou acc s amp un gros ordinateur choix du logiciel li au choix pr o dent mis au point localement ou g n ral DOCAR fichies dux services limit s tiquet tes adresse interrogation de structure simple un seul fichier compos d une suite d enregistrements est g r sur TEKTRONIX 4051 On a utilis le logic
104. ours les projets actuels de r seau De plus il a en SE quelque sorte d termin le plan d informatigation du C R A il pr voyait une biblioth que automatis e et des bases de donn es de recherches et l on peut consid rer que le travail de la dooumentation est en partie une cons quence de son extinction Par la suite nous examinerons les deux r ali sations encore op rationnelles du projet RIDA Biblarch ol et le plan d indexation du CRA Celui ci fait l objet d un ohapitre patriculier car il donne l exemple d une tentative de traitement des donn es L oeuvre de la documentation se pr sentera oomme un nouvel ensemble d applications au servi ce d un public r parti l int rieur et l ext rieur du territoire Je d taillerai l une d elle puisque j ai parti cip son laboration et je ferai le point 14 aussi des projets de formules de diffusion Enfin je consacrerai un chapitre aux bases de donn es de reoherches car elles soul vent plusieurs pro bl mes typiques de l informatique documentaire convivia lit des logiciels compatibilit des syst mes entre eux tentation de l informatique r partie R I D A Avant propos M me si le R seau d Information en Dooumenta tion Arch ologique n a pas connu la r ussite et les d ve loppements que pouvaient bon droit esp rer ses conoep teurs il me semble indispensable de 1 pr senter ioi Et oe pour plusieurs raisons II se situe dans u
105. par aire g ographique ou type de carte d th matique On notera la survivance des fichiers manuels m me s ils sont dit s par programme Actuellement les biblioth caires consid rent qu ils leur procurent dans nombre de cas un gain de temps par rapport une interrogation des fichiers automatis s Console pas toujours libre proo dure de con nextion temps pour poser question lorsqu il s agit de re chercher un nombre limit de fiches La biblioth que n tant pas ax e sur la consultation les interrogations ne sont pas trop fr quentes Si elles venaient se multiplier alors les interrogations deviendraient valables B PRODUITS DE DIFFUSION DE L INFORMATION liste d acquisition th matique diffus e tous les deux mois toutes les URA liste alphab tiques la demande servent l tablissement de bibliographies sp cialis es C DIFFUSION SELECTIVE Produits d interrogation 3 listes th matiques ou alphab tiques 23 30 7 CONCLUSIONS La biblioth que de l chelon central du C R A fid le dans sa politique aux objegotifs de R I DA est ax e sur la diffusion et non sur la consultation Par cons quent les biblioth caites doivent constamment prospeoter afin de se faire connaftre des autres organismes ex R union de 1 ADBS au CRA Cette extraversion entraine un manque de temps pour les t ches de d pouillement Aussi pr f re t on se limiter r aliser un petit
106. phies en un ou plusieurs volumes FIAB Paris BN 1973 29 ISBD NBM Intcrnational standard bibliographic description for non book mat rials IFLA committee on cataloguing London IFLA international office for UBC 1977 60 p pape 16 ooo une application le CCN OOO Le Catalogue Collectif National des Publications en s rie CCN Une banque de donn es bibliographique et factuelle Le CCN est le premier catalogue collectif fran ais interrogeable en conversationnel par tous les autres documentaires et les chercheurs Le CCN permet d identifier des r f rences bibliographiques fournies par des banques de donn es documentaires gr ce au recensement de 250 000 titres de p riodiques de son fichier central qui est fond sur la banque de donn es du Centre International d Enregistrement des Publications en S rie CIEPS s Le CCN permet de localiser imm diatement 100 000 revues de toute origine et de toute discipline dans plus de 2 000 biblioth ques et centres de documentation fran ais e Le CCN est le premier catalogue collectif associ un r pertoire informatis des biblioth ques participantes RBCCN qui renseigne sur les modalit s d acc s et les services que rendent les autres documentaires signal s La mise jour de ce r pertoire est constante et instantan e Premier syst me fran ais de catalogage partag Le CCN est aliment par une saisie d centralis e effectu e par 32
107. portant do t des p riph riques n cessaires On obtiendrait ainsi des r sultats pr liminaires et on supprimerait l tape de rem plissage des bordereanx Enfin gr ce l informatique r partie de pe tits laboratoires peu quip s acc deraient une plus grande vari t de services Elle sera donc s rement appel e se d velopper en arch ologie Cependant la question de la diffusion de l in formation par les voies t l matiques reste pos e Nous l a vons vu gr ce aux soins des documentalistes biblioth cai res et informaticiens du CRA les bases bibliographiques et et documentation DOCAR et RAF sont compatibles avec d au tres syst mes Elles sont pr tes s int grer dans des r seaux d information Or derni rement Mr Helly direeteur du CRA a mis l id e d une base de donn es bibliographiques FRANTIQ regroupant des fiohiers de biblioth ques et des bi bliographies pour les sciences de l antiquit Sur les cing h tablissements contact s Lyon Bordeaux Besangon Valbonne Aix quatre aoceptent cette fusion dans l imm diat Aix les rejoindra d s qu il poss dera la configuration informatique n cessaire On a choisi TEXTO pour logioiel oar il est d j commun plusieurs centres C est le SUNIST l le d Abeau qui g rera la base Il a d j regu le CCN catalogue colleotif national des publications en s rie Aussi FRANTIQ peut cors tituer un apport pour lesmonographies Le s
108. pter dans le trai tement des soienoes humaines dont elle sauvegarde la multi plicit d interpr tations litt rature philosophie Mais si elle satisfait l indexeur qui n a plus compl ter son travail d analyse du dooument par une recherche du terme ad quat dans une liste plus ou moins restreinte elle entrave contre l interrogation M me en cherchant reconstituer le oheminement mental de l analyste le demandeur d infor mation ne pourra pas d couvrir tous les mots retenus pour la desoription du document Ii en r sultera un plus ou moins ai profond silenoe de la s ance d interrogation De plus oha que mot utilis oomme desoripteur allant s ajouter ses cong n res dans le fichier inverse du ohamp des mots cl s on obtiendra un lexique suroharg Ainsi la biblioth que de l Institut franco al lemend de est encombr e d un lexique de I2 000 termes qu elle ne peut clarifier 3 LE SYSTEME RETENU PAR LE C RA L indexation est partag e en deux champs LI indexation CCA g n rale obligatoire r gl e par un plan de classement un champ d indexation libre facultatif pour les diffusions sur profil ou les reoherches particuli res On a de la sorte donn la priorit l indexa tion g n rale tout en autorigant une description plus fine Le seul moyen de d crire l aide d un outil simple des informations relatives tous les domaines de l aroh ologie consistait r unir les th m
109. re pa pier Mais ils auront aussi une fonotion importante au ni veau des sorties papiers provisoires ils permettront d ob tenir des ditions tri es Par exemple on veut l dition du fichier IAZ tri par pays puis l int rieur de chaque pays par nom I On cr e un index de tri ayant comme champ source les Pays PAY comme ohamps r sultats le nom NOM et la r f rence de la fiche NUM L index contiendra les pays tri s alphab tiquement et les noms tri s alphab tiquement en fonction des pays et les r f rences des fiches of il lustration 2 On utilise la commande XRE qui doit lister le fichier tri selon un index donn ici PAYNOMIX X et dans le formt d fini par les param tres d dition cou rants E d verser le r sultat du tri dans un fichier r sul tat auquel on donnera un nom R 3 on imprime le fichier r sultat par une commande MULTICS aooessible sous TEXTO EOR Nom Fichier R sultat nt pour donner l ordre sans quitter TEXTO D roulement des manoeuvres on souligne les messages TEXTO I LIGNE 59 INDEX Index r sultat PAYNOMIX faire un index d interrogation y n N champs sources PAY 1 40 champs r sultats NOM 1 40 NUM I 4 SE Rmq 3 la ligne implioite est de 79 caract res Pour que l index apparaisse oorrectement align on a d calouler une longueur de ligne optimale ioi 59 caract res 1 40 3 pour oonstruire l index Texto p
110. rendra en oompte la cha ne de oaract res situ e entre le ler et le 40 me caraot re Texto la fin envoie un message indiquant le nombre d enregistrements tri s et le nombre d articles in troduits dam l index 20 XRE 3 index souroe PAYNOMIX ler dernier artiole A fichier r sultat VOYAGEUR Rma Return signifie qu on prend en compte la totalit de l index 3 EOR VOYAGEUR nt Rmg 3 nt signifie que l on d sire recevoir un message MULTICS nous indiquant la fin de l impression D apr s le manuel d utilisation TEXTO les index d interrogation sont inutiles sur un fichier contenant moirs de I000 doouments Mais nous avons ici des champs longs SIT renferme jusqu 20 articles chaque article contenant souvent une cinquantaine de caract res Un test d interrogation sans index sur environ 50 documents donnait des temps d attente inqui tants jusqu 50 sec pour ob tenir une r ponse L adjonotion d index d interrogations fait tomber les temps Been pr s une seo J inverse les champs les plus susceptibles d tre interrog s SITE AIRES GEO Voioi la liste des champs invers s NOM PAY Pays LAB laboratoire GEO aires g o PER p riodes SPE sp cialit SIT sites CLE mots cl s d orientation de la Recherche L index sur SIT tait indispensable ce chang Mie et com plexe Sur NOM il ne s imposait pas vraiment il y a un nom par fiche aussi la cr
111. riel que l on ne pouvait trouver qu l chelon national De lui on re tiendra surtout la diffusion par un m me r seau d informati ns signal tiques analytiques et factuelles D I IV Eventuel avenir de RIDA qe Le travail d j op r ne sera certainement pas per du Les biblioth caires dooumentalistes informaticiens qui ont oon u le r seau ont toujours d s 1974 1975 veill lui assurer un maximum de oompatibilit aveo d autres syst mes par exemple 3 Au niveau bibliographique on avait pr vu que le CCA serait raccordable au CCN Catalogue Collectif Na tional projet l chelle nationale de la Direotion des Biblioth ques Ce racoordement possible mais non pr vu ac tuellement sera peut tre une oocasion de r surreotion pour le C C A avec cependant des modifications puisqu il se rait fondu dans le C CN La base CCA n est plus exploit e Mars ille Si le mi amp fo AMS ne pouvait suffire stocker et g rer un tel fi chier lors de l interruption 6 000 titres de publications en s rie 300 000 titres d ouvrages et extraits dans le fis chier manuel A peu pr s la moiti des titres de publication en s rie taient saisis dans la base CCA l acc s au syst me d exploitation Multics et au logiciel Texto offrirait quant lui les possibilit s techniques d une reprise Resteraient tudier les cofits d une telle exploitation Les charges ne pourraient elles tre
112. ril 1983 la gestion de la biblioth que fut elle transf r e sur un mioro ordinatew AMS IOO de 2gKO de m moire oentrale Les informations sont stock es sur disque dur 2x5 MO de capacit un disque contenant environ un an d aoquisitions ce qui permet entre autres l obhntion de listes d acquisition sur un an 4 MISE AU POINT DES BORDEREAUX II y a un bordereau par type de doouments S s publications en s rie S suppl ment O 3 ouvrages X tir s part C 3 cartes A archives V visuels Les trois premiers types de bordereau sont pratiquement iden tiques ceux d finis par le plan RIDA Pour les metire au point documentalistes et biblioth caires ont tudi 3 a les normes et recommandations existantes b les syst mes existants ou en cours E Les bordereaux sont oonformes aux recommandations du MA NUEL DE REFERENCE RELATIF AUX DESCRIPTIONS BIBLIOGRAPHI QUES LISIBLES PAR MACHINE de 1 UNISIST Paris Unesco 1974 et aux principes de Ir ISDS pour les publications en s rie Pour les produits de sortie autres que les pu blications en s rie on a suivi les oonseils de 1 ISBD On a galement tudi le format d ohange INTERMARC oar la BN envisageait de l utiliser Celui oi traitait des ouvrages et extraits mais non des publicat ons en s rie Le syst me AGAPE utilis la B U de Nice des tin la r alisation d un catalogue collectif des p riodi ques et le projet HA
113. s Europe _ Proche et Moyen Orient Afrique du Nord Europe Near and Middle East Northern Africa Afrique au sud du Sahara Asie centrale et septentrionale LI Africa south of Sahara N Central and Northern Asia Asie du sud est TT Am rique Nord et Centre Am rique du Sud DJ South Eastern Asia North and Central America South America Australie Nouvelle Z lande r gion du Pacifique p Australia Ney Zealand Pacific Region PERIODE S DE SPECIALISATION oui yes non no _ Chronological period s of specialization Dr CISCr expliCit 000c000000000000000000000000 0000000 Sens SITES Enum rer les sites dont les faunes vous sont confi es et cocher x les informations compl mentaires maximum 20 sites Detail the sites whose faunas are placed in your charge and check x the supplementary information maximum 20 sites e 4 Nom DU DIRECTEUR NOM DES SITES DE LA FOUILLE Name of sites ES Name of project head d of excavation ique moyen sup rieur Middle Upper Palaeolithic ue Mesclithic cement publ 7 Recently published site e en cours d Histoire Histo Site under stud Protohistoir protohistory Classique Classical e 3 v Sue E E i o M di vale gt Actuelle Medieval Actual Lower Palaeolithic M solithi s a Sone atan ORIENTATION DE LA RECHERCHE mots cl s le but de cette rubrique est d tablir une indexation de l a
114. s th mes datation p riode et localisation sires g ographiques L organisation du bordereau n est pas inoompatible avec l ajout ult rieur de l indexation C R A Celle ci aurait au moins le m rite d u nifier la desoription des p riodes de sp cialisation un chiffre correspondant un intervalle d ann es quelque soit sa d nomination en Franoe en Grande Bretagne ou en Chine 4 Index d interrogation et de tri Ils ont d fini l agencement des champs Ainsi on a d coup la zone adresse en champs labo rue ville pays afin de pouvoir fabriquer un index d interrogation sur les laboratoires un autre sur les villes des index de tri Pays ville labo Pays ville nom On flanquera l annuaire des index suivants PAYNOMIX classement des nom des arch ozoologues par pays ref VILLABIX classement des laboratoires par ville et pays GEONOMIX aires g ographiques tudi es noms ref PERIODIX p riodes noms ref sgoe SITNOMIX sites noms ref CLENUMIX orientations des reoherohes et noms TEXTO rendant tr s ais e la cr ation d index on a pu oompl ter l annuaire par ces listes de renvois des fiches pr cises Ceci correspond soit aux index d un livre soit ses annexes Ces index auront deux fonctions Villabix qui est une liste sans renvoi une r f rence C est en tout cas ce r le que joueront les index de tri puisqu dit s ils seront plao s en fin de l annuai
115. se au point dan badewaux X Pr semkakim du CON SAISIE INVENTAIRE des BIBLIOTHEQUES Num ro d enregistrement 029 PUBLICATIONS en SERIE TYPE DE PUBLICATION P riodique Archives LOCALISATION Collection ou s rie S rie de tir s part 4 Autre BY settee eka ieee ee EE nd Bibl cra CJ Bibl Do U R A n ty FORME MATERIELLE Bibl T00 du CCA Code Bibl Manuscrit ron o IL Microfiehe 31 Microfilm Photocopie 41 Autre TITRE Si titre d j enregistr remplir un bordereau S Titre Boo si translitt r 310 1 _ Titre traduit Titre usuel et ou renvoi B30 T Titre C R A 340 EEN LS S N 8701 J ou LS B N B90 Titre imm diatement pr c dent Remplir un bordereau S pour ce titre si la collection est poss d e par la biblioth que Titre suivant Remplir un bordereau S pour ce titre si la collection est poss d e par la biblioth que Code langue 061 Gs dt b L s CARACTERISTIQUES Organisme Vile 420 Etat 430 Pays 440 _ _j Code R sum IT Index annuel Z ou cumulatif 3 T suppl ment EL faire aussi bordereau S ou O EDITEUR DIFFUSEUR ou IMPRIMEUR Ville i Pays 720 4 _J Code Editeur si imprimeur ETAT DE COLLECTION Num ros parus Etat de la collection de la biblioth que E pour suite INDEXATION C R A 800 C EEEEEEELEEEEEEEEE avec cere ses essss ess sessssesessessesessesessese INDEXATION C C A
116. se fait par l envoi de questionnaires aux chercheurs eux m es Ce mode de moissonnage des donn es pr sente des inconvients il est long d lais postaux temps de stationnement ohez les personnes concern es il n ces site un d pouillement minutieux harmonisation des r ponses v rifications 3 il ralentit la saisie temps de d co dage Mais c est pratiquement le seul moyen de joindre des arch ozoologues diss min s sur toute la surface de la Ter re Les distances couvrir emp cheraient l envoi sur pla ce de personnes charg es de la collecte 3 L indexation le remplissage du bordereau Les questionnaires r unissent les th mes nono s oi dessus et proposent oomme on le voit l annexe pour chaque zone une s rie de mots ol s plus une ligne autre Au d part les propositions plac es dans hutre devaient tre consid r es comme des motol s Or elles taient de plu sieurs types des expressions pr oises valant pour plusieurs fiches des termes caract risant bien un reoherohe donn e mais non un groupe des remarques fantaisistes des phrases Seul le premier cas sera source de mots cl s nouveaux Le second toutefois ne devait pas tre limin Il provient effeotivement de sp cialistes mondiaux quasi ment uniques ainsi Miohel Beden qui est r put pour ses recherches sur les pachydermes a ajout c t de macro mammif res l phants L unicit de cet
117. sform s Artefacts 93 Conservation Restauration 96 Datation Mus ographie A TRAITEMENT FORMEL 97 Disciplines formelles 98 Disciplines formelles en arch ologie 980 931 982 983 98 DISCIPLINES FORMELLES EN ARCHEOLOGIE eee Arch ologie th orique j M thodes qualitatives typologies traditionnelles stylistique M thodes quantitatives math matiques statistiques chantillon nages taxinomie s riation informatique sauf bases de donn es CF 923 M thodes logiques pist mologie g n rale analyse de discours simulation intelligence artificielle O L ARCHEOLOGIE EN GENERAL SES OBJETS D ETUDE MATERIELS ET CULTURELS ET LES DISCIPLINES DES SCIENCES HUMAINES qui s y rapportent 00 OUVRAGES GENERAUX COUVRANT PLUSIEURS CONTINENTS ANTHROPOLOGIE TECHNOLOGIE L homme en soci t Les fabrications Arts amp Techniques 1 Langues 04 Traitements des mat riaux 2 Syst mes de pens e religions 05 Activit s de base Produits outils pratiques 3 Histoire Anthropologie 06 Activit s ludiques artistiques culturelle Produits instruments pratiques L ARCHEOLOGIE CONSTITUEE 07 Branches tablies 08 Organisation 09 Outils documentaires 050 051 052 053 054 055 056 057 058 059 05 CULTURE MATERIELLE Pratiques produits outils CEA Culture mat rielle en g n ral outillage g n ral conom
118. ssion des l ments math matiques statistiques et informatiques pour les chercheurs des sciences humaines J LESAGE 3 Pr 13 Documentation 8 Recherche documentaire sur le Proche Orient N DESSE BERSET Pr paration d un annuaire sur l arch ozoologie N DESSE BERSET i Etude sur la documentation et l enseignement ar ch ologique en France B LEQUEUX j Recensement des associations arch ologiques B LEQUEUX S ROSCIAN REY Inventaire des documents audiovisuels B LEQUEUX Recherche documentaire sur le Midi M diterran en S ROSCIAN Action documentaire biblioth que 6000 volumes environ et 3000 tir s part 400 p riodiques environ publications j 8 p riodiques Lettre d Information Arch ologues et ordinateurs responsable H DUCASSE Lettre d Information Arch ologie du Midi M diterran en responsable S ROSCIAN Lettre d Information Arch ologie Orientale responsable N DESSE BERSET Bulletin d Information m rottique URA 4 respon sable Prof J LECLANT collections Notes internes diffusion sur demande exclusive ment Collection du Centre de Recherches Anrch ologiques aux Editions du C N R S Notes et monographies techniques Dossier de documentation arch ologique 6 n faits en 1982 Publications arch ologiques avec d autres diteurs publics et priv s corpus Constitution d une collection de r f rence de pol lens des plantes
119. stribution d objets sur micro ordinateur In Pa norama 1981 des applications informatiques en Arch ologie H DUCASSE DUCASSE H TROUSSON LIBERATORE D Documentation tech nique du logiciel Mandoline de gestion et traitement de donn es sur Tektronix 4051 version 32 Ko Valbonne impr CRA juin 1983 67 p Notes internes n 54 DUCASSE H TROUSSON LIBERATORE D Logioiel SOX chdi de traitement et de gestion de la biblioth que notice d u d utilisation Valbonne CRA 1984 36 p Notes Internes 68 FRANCOIS P MICROBASE un syst me documentaire pour mi cro ordinat ur APPLE II In 3 Panorama 1983 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne d APDCA 1983 p 121 133 GOSSELIN A Informatisation du traitement graphique des donn es de terrain en aroh ologie utilisation du program me GRAPHE Montr al UQAM Lab d arch ologie 1978 289p GUENOCHE A LAST logiciel conversationnel d analyses statistiques sur micro ordinateur In Panorama 1983 des traitements de donn es en arch ologie H Ducasse Valbonne d APDCA 1983 p II3 20 LAMBERT GN CARTEREAU M BUSCHENSCHUTZ O Le progiciel CENTRAR In Arch ologues et Ordinateurs Val bonne 1984 n 5 p I9 21 Lettres d Informations du CRA 22 LE MAITRE J MANDOLINE un syst me de gestion et de traitement de donn es sur micro ordinateur
120. t res pauvres en oaraot res riohes La saisie a t op r e partir d un olavier caraot res riches grand d bit et apte recevoir un papier de bonne qualit La photooomposeuse pagant Be SS la qualit d un produit d imprimerie C est la SEMI Soci t d Etude de March en Informatique Marseille qui s oocuperait de la photocomposition Mais l dition ne correspondra pas l ultime tape de la vie de ce fichier puisqu il deviendra peut tre une base de donn e implant e sur serveur Pour que ce peut tre devienne une certitude il faudra atten dre 1986 date laquelle 1 ICAZ au vu du fichier ache v donnera ou non son accord Si la diffusion de IAZ par l interm di aire d un serveur prenait oorps alors serait mis sur pied un nouveau r seau d information de port e limit e puisqu il se restreindrait au milieu des arch ozoologues Les noeuds en seraient les suivants A 3 la communaut des chercheurs en arch ozoologie B la documentaliste du CRA C 3 le serveur la base IAZ mise p Ae apport ew oonsultation WI emande d informtior Z oonsultation Rmq en A par demande d information je prends en oomp te le cas du chercheur isol qui n a pas de point d aoc s au r seau Le serveur serait sans doute le CICG Centre Interr gional de Caloul de Grenoble qui travaille sur syst me MUBTICS organis autour d un ordinateur On y acc derait par le r seau TRANSPAC
121. t le trans fert de la dooumentation oomme nous allons le voir mainte nant Les quelques lignes ci dessus font d j sentir au leoteur l ambition du projet RIDA Un tel plan ne pou vait se d rouler en une seule phase aussi l a t on soin d en trois programmes que je pr senterai dans les termes des auteurs du RIDA car ils d finissent olairement la na ture de ces applications Chaque programme correspond un x cf LE RIDA R seau d Information et de Documentation Ar ch ologiques essai de r alisation 1974 1979 par J Le Ma tre B Lequeux A M Richaud D Trousson Liberatore Paris 9 r Anatole de la Forge 75017 A D P F 1980 16 des servioes d information aroh ologique mentionn s oi de sous 3 nt la reoherohe bibliographique sur titre c esf dire le rep rage des biblioth ques poss dant tel ou tel ar ticle p riodique ouvrage ou collection d sign par un titre plus ou mcins complet 2 La recherche bibliographique sur contenu c est dire le rep rage des titres d ouvrages ou d artiole relatifs tel ou tel sujet dans les diff rents secteurs l aroh ologie 3 La recherche faotuelle o est dire le rep rage des objets ou monuments de tous ordres r pondant tel le ou telle description exprim e dans les termes de langage naturels ou documentaires partiouliers A ces trois niveaux d activit documentaire sont donn s les noms abr g s suivants RI
122. t reli s que lors de la confection des produits de sortie On ne peut donc mani puler qu une seule sorte de bordereau la fois Il est im possible en outre de proposer un quatri me type de borde reau et serait diffioile de modifier les trois existants Mais pourquoi n avoir pas eu recours un S G BD H Duoasse et D Trousson Liberatore auteurs de S 0 X r pondent ainsi il n existe pas sur les S G B D par oe que oe n est pas leur fonotion des modules sp cifiques d dition de oahier d inventaire de liste d acquisition 3 il aurait donc fallu quand m me les concevoir les programmer et les mettre au point oe qui repr sente une part non n gligeable des fonctions n cessaires l exploita tion d une biblioth que x le logiciel tant oongu pour une biblioth que de diffusion il tait important d aocorder la priorit aux produits de sortie De plus le logiciel devait pouvoir g rer des bordereaux adapt s aux normes des biblioth ques x DUCASSE H TROUSSON LIBERATORE D Logioiel SOX Cha ne de traitement et de gestion de la biblioth que Notice d utilisation Notes Internes n 68 Janv 1984 E geg 6 LES PRODUITS DE SORTIE Ils faoilitent la gestion de la biblioth que et la diffu sion de l information A PRODUITS DE GESTION cahier d inventaire fichiers olass s par ordre alphab tique et th matique a alphab tique auteur anonyme b p riodiques o cartes
123. tantes Mieux valait mettre en valeur oes derni res c est dire tirer un meilleur par ti des ressouroes dooumentaires existantes sans les dou bler ni les bouleverser x RIDA n avait pas pour but de r volutionner l in formation aroh ologique les fonds existants repr sentaitnt une conomie de temps voire de moyens mais d en optimiser la diffusion Les notions de dispersion et de ooh rence va lent aussi pour les donn es factuelles De m me on a respec t les projets de ohaoun plut t que de chercher constituer une maorobase en aroh ologie x Plan de d veloppement d un r seau d information et de Documentation Arch ologique 1973 77 J C Gardin PARIS CNRS 1972 ep 45 b STRUCTURE _DU RESEAU Il s agira d un r seau en toile trois noeuds 3 l soit les biblioth ques soit les bases de documentation factuelles 2 les utilisateurs en principe les Unit s de Reoherohe Arch ologique du CRA DA 3 3 Un point central o seront assur es la collecte des donn es la r oeption des demandes d acquisi tion l envoi des r ponses toutes t ches assur es par le service information du CRA le leoteur trouvera ci jointe la sh matisation des liaisons instaur es par ce r seau avec leur liste On notera que RIDA n excluait pas les liaisons directes entre les utilisateurs et les points d information Il se conten tait de les faoiliter en acc l rant et organisan
124. te multivari e d un mat riel lithique d Am rique Mexique In Panorama 1981 des applications informatiques en arch ologie Valbonne 3 APDCA 1982 p 177 199 LESAGE J Application d un SGHD l tude d un mat riel lithique op rations pr liminaires In Panorama 1953 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne APDCA 1983 pe 155 F 202 MALFOY JM cf LAHANIER C MEIGNEN L DUCASSE H of DUCASSE H MEIGNEN L MEIGNEN L CAN base de donn es concernant les objets d une fouille pr historique en vue d un traitement info graphique In Panorama 1983 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne APDCA 1983 n TA7 154 RICQ d gt BOUARD t Une base de donn es des outils de pi erre polie sur micro ordinateur In Panorama 1983 des traitements de donn es en arch ologie Valbonne APDCA 1983 p 107 II2 RICQ de BOUARD M DUCASSE H Les Outils lithiques po lis du Sud de la France formalisation des donn es arch olo giques et analytiques en vue d un traitement informatique Paris CNRS 1983 37 p Notes et Monographies teohniques 15 VERPMANN H P the Knocod system for processing data on animal bones from archaeological sites In Peabody Mu seum Bulletins U S A Cambridge Harward univ 1978 2 De I49 167 D VI Coup d oeil sur les traitements l tude ou en oours d application deux exemples de recherches b i
125. ter le SGBD Sofia mis au point par J Le Ma tre Marseille sug mif ordinateur La base de donn es du CCA g r e par Sofia sur Iris 80 Marseille centre de caloul du Pharo a t peut tre provisoirement abandonn e Seule la biblioth que du CRA continue A fonctionnerselon les directives de RIDA I RIDA II n a oonnu qu une seule applioation pr et proto histoire europ ennes sur l initiative de J P Demoule U ra 12 Ce programme devait d s le d part se limiter quelques projets pilotes Le fait que la mise au point de d pouillement analytique pour tel ou tel secteur ait t laiss l initiative des quipes p se d un certain poids dans les raison de oet chec Les chercheurs peu int res s e par les t ches documentaires et tr s pris par leur pro pre travail n ont pas voulu se lanoer dans cette entrepri se En effet on a d oid de suspendre l application devant l absence d analyses fournies par les oheroheurs au CDSH charg de la saisie et du traitement informatique RIDA III les bases de donn es factuelles se multiplient dans les divers laboratoires mais elles ne sont pas regrou p es en un r seau RIDA tait le projet original et qui r pondait parfaitement aux besoins d arch ologues souvent isol s par rapport aux sources d information Cependant sa latitude faisait qu un centre seul ne pouvait le mener bien Il n cessitait une certaine mobilisation en personnel et en mat
126. tique qui lui permettrait de looaliser les documents s lectionn s lors de l tape 2 De plus il utiliserait ce m me r seau pour ach miner sa demande d aoquisition ou de reproduotion des docu ments d sir s Bien s r chaque fonotion de RIDA pouvait tre utilis e isol ment j ai simul ici le cas de plein reoours RIDA qui implique que le r seau ait acquis son entier d veloppement Ce qui n a pas t le cas aetueitement oomme nous le verrons plus loin d I LE PROJET RIDA a Pourquoi un r seau Jusqu 1972 date d mission du projet les biblioth ques soit sp cialis es soit poss dant un fonds important en arch ologie taient dispers es dans tout le pays Leurs fonds n taient pas toujours g r s avec coh ren ce et leur utilisation s av rait souvent difficile pr t souvent impossible horaires A oela il faut ajouter la dispersion et I isolement du public ainsi que son manque d outils bibliographiques en 72 on cite seulement Bull signal tique du CNRS sections Pr histoire et Arch olo gie R pertoire d Art et d Arch ologie pour s lection ner localiser et acqu rir des document BT architecture en r seau convient bien la struoture olat e du CRA On aurait pu se lancer dans la cr ation d une norme biblioth que centralis e accessible depuis plusieurs points et qui aurait sans nul doute concurreno dans leur domaine les biblioth ques exis
127. ulte des Sciences humaines A l attention ae Monsieur REY COGUALIS ped Gabris 21920 DIJON ROH m1 mi MINISTERE INDUSTRIE ET RECH C N R 3 Service d arc seeture antique e Di wor 1 C i IO nt D Sa my bg geck CR m or d w R 1 attsention ce Cone Ui ZE rue Chabot Charny 310800 DIJON MINISTERE EDUCATION NATIONALE Univ de Dijon RCP 678 l attention de Monsieur GUILLAUMET D Z bd Gabriel 21108 DIJON Gun exe x organisation MANDOLINE x manque mm e MICRO IDASE x ictiannaue vide de co ciphin x x ee ve CAN x Boderxaux CAN et PIPO che CAN ave eb samo alti ibul faca lraril A H x Niche PIPO Sch ma de l organisation du syst me MANDOLINE Saisie MANDOLINE D finition et Interrogation mise jour mme Produits FICHIERS Donn es de Diction Lexique Guide de naire sortie Description LOGICIELS ER INFOGRAPHIE X Ul lt D APPLICATION e Fipure microbase COLATION Matzet toiros SC DE DOLLS DAYS LME vua BASE DE Dot BASE Of mmer CREATION D m Tote INLTIALISATION dm FICHIER A ZERO DOIFICATEON OCS ang TRES D UN Hoa AFFICHAGE OCS PARA TRES pn Titre 4 FICMAGL On erem D EXREGISTEENENTS Dm Pienice i 5 SUPPRESSION D UN Tioite PAPE CAT ND PADRE TRE S br frai 7 arre m E ge 7 l s BASE OC mert PINOT DE DONELS torne DAIS o FICHIER 1 FICHIER 1
128. voies t l matiques de chercheurs dispers s existe ou est en passe d exister QU EST CE QU UNE BASE DE DONNEES DE RECHERCHES Les bases du CRA origines des donn es L informatisation ioi r side en un ensemble tr s flou manusorits hi roglyphiques ossements boucles m rovingiennes restes de foyers habitations lles sont de plus en plus d termin es par un th me d tude pr cis la base OSTEO par exemple se borme au traitement d ossements de quelques esp ces en vue de d finition de classes d ge et de sexe PIPO ne traite que de pierres polies issues du midi m diterran en de la France entre les VIe et Ile mill naires avant J C Les bases produites sont par cons quent relativement peu volumineuses seule une quipe ou deux Le alimentent C est pourquoi on peut enoord S rer sur micro ordinateur Elles diff rent donc des bases documentaires plus massives destin es une consultation plus large par tant de plus en plus g r es sur gros syst mes cf les ba ses du CBSH RAF BIBLARCHEOL Ces quelques r flexions s appuient sur les consi d rations de sp cialistes de la question Jean Lesage crs CNRS distingue les bases de d nn es documentaires des bases de donn es de recherohes ces derni res tant sp cifiques d un domaine d fini constitu es en vue de traitements logi ques et statistiques et de plus construites par l utilisa teur lui m me qui d finit la d

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