Gestion de l`eau - Conseil général de Guadeloupe
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1. BD B 2 Le la Demande 3 E7 IN Le magazine d information Pi Conseil G n ral 1 1 ee PL Envoyez vos photos 3 max accompagn es Vous avez des photos d un texte bref de pr sentation elles seront originales et insolites publi es dans les num ros suivants RTAG 7 ES peyiguad gmail com Regards crois s de Daniel Daniel GOUDOUFFRE et Guillaume ARICIQUE sur les forts de Guadeloupe Fort Napol on Situ sur lle de Terre de Haut dans l archipel des Saintes fait l objet d un classement au titre des monuments historiques depuis le 15 d cembre 1997 r rats Guillaume ARICIQUE DEDA e Fort Fleur d p e 9 de Retour l Emploi Situ sur les hauteurs de la ville de Gosier il surplombe de plusieurs dizaines de m tres la baie a t inscrit monument historique par arr t du 21 mars 1979 Daniel GOUDOUFFRE Fort Delgr s Anciennement fort Saint Charles il domine la ville de Basse Terre en Guadeloupe Il fut un haut lieu de la lutte franco anglaise dans les Antilles puis one de celle des Guadeloup ens contre l esclavage conduit par l officier mul tre et r sistant Louis Delgr s Il a t class monument historique par arr t du 21 no2. EE lt Le magazine d information Pi Conseil G n ral S estimer soi avoir confiance en soi avoir image positive de sa personne contribue l panouissement et la r ussite des relations avec les autres C est en ce sens qu inter viennent les psychologues et les ducateurs sp cialis s du Service d aide la Parentalit du Conseil G n ral de Guadeloupe Dans son bureau situ Grand Camp Michel CASSIN a des dizaines de jeunes en rupture avec leur famille Des enfants plac s l aide sociale l enfance la suite d une d cision judi en raison de maltraitances physiques ou psychologiques Des enfants en grande difficult chez qui cette notion d estime de soi prend une grande place Lestime de soi se construit partir de la rela tion affective que a recu de ses parents au d part pr cise Michel CASSIN Michel CASSIN se souvient de jeune qu il a eu accompagner de 13 ans m re d ficiente mentale avait construit de ses propres mains une petite maison qu elle occupait avec son fils malgr l insalubrit des lieux Apr s deux ans d accompagnement le jeune gar on d cide de cesser tout contact avec l ducateur sp cialis car il ne supporte plus L amour que l enfant re oit de ses parents lui prouve la confiance que ceux ci lui porte C e
3. F Guddelgupe Le magazine d information du Cons il G n ral La Main un espace de solidarit l instar de leurs homologues des autres r gions de France les assistants familiaux Guade loupe se sont r unis sous forme d association et membre de la F d ration nationale des assistants familiaux de France Une structure qui leur permet de garder un lien de solidarit dans une profession o les probl matiques sont communes n est pas rare qu ils aient changer autour de situations auxquelles Assistants familiaux mais pas parents de Malgr sa grande proximit avec les enfants qui lui sont confi s l assistant familial ne doit pas pour autant devenir un parent de substitution doit permettre l enfant de garder le lien avec sa famille afin qu il puisse un jour retrouver son foyer d origine quand cela est possible faut tout d abord aimer les enfants cela va de soi Mais le seul fait d avoir de l amour donner un enfant ne suffit pas ce que le Conseil G n ral vous en confie la garde L agr ment que d livre le Pr sident du Conseil G n ral demande de pr senter toutes les garan ties n cessaires pour assurer le bien tre et la s curit de ainsi que son d veloppement physique intellectuel et affectif Ce sont les travailleurs sociaux du Conseil G n ral qui ont charge d enqu ter et d valuer la famille accueillante pour perm
4. l ments du site Une habitation sucrerie qui daterait du XVII si cle C est tout d abord Nicolas BONHOMME cr ole Marie Galantais qui fut propri taire des lieux entre 1720 et 1740 avant qu il fasse partie du patrimoine de la famille FOSSECAVE puis de la famille BOTREAU ROUSSEL Vers 1860 durant la p riode r volutionnaire Victor ROUSSEL devient le propri taire de l Habitation Trianon C est lui qui en sera le dernier propri taire et qui introduira en Guadeloupe les appareils triples effets Derosne et pour les op rations de cuite Avant l abolition de l esclavage les sucreries uti lisaient essentiellement les nergies naturelles pour le broyage de la canne L Habitation Roussel Trianon t moigne que la modernisation de l industrie sucri re a commenc avant l abolition en recourant des esclaves pour la partie la plus technique du travail la transformation du vesou jus de canne en sucre l aide de la vapeur Apr s l abolition de l esclavage 1848 la main d uvre est alors constitu e des nour veaux libres qui continuent faire fonctionner le syst me Certains d entre eux deviennent les ouvriers qui font tourner l usine et l autre partie cultive les champs de canne qui alimentent les machines de la Guadeloupe n ra 2 222 O 4 z D N gt l A lt
5. 87 CONSEIL G N RAL DE LA GUADELOUPE ELN Le magazine d information Pi Conseil G n ral 22 Assistante familiale Trianon Roussel Mai 2014 NOUVEAU Vues de Guadeloupe vous avez des photos originales et insolites vous voulez les partager avec les lecteurs du P yi Guadeloupe crivez nous Envoyez vos photos 3 max accompagn es d un texte bref de pr sentation elles seront publi es dans les num ros suivants peyiguad gmail com Directeur de la publication Service de Communication et de relations presse Direction du Cabinet R daction Conception R alisation Photos Impression ISSN Tirage Reproduction articles et ou photographies interdite de est traditionnellement le mois des comm morations qui participent du renforcement de l identit guadeloup enne Aussi votre num ro de P yi Guadeloupe se fait un plaisir de vous pr senter l importante manifesta tion F fanmi Devenue rituelle elle a pour ambition de c l brer dignement le 27 mai en reliant entre eux les prin cipaux forts de la Guadeloupe et en les inscrivant dans un programme exceptionnel d animations sportives culturelles et p dagogiques Dans le m me temps nous demeurons attentifs la vie sportive Lopen de tennis et le grand Prix Cycliste viennent point nomm pour nous rappeler que la Guadeloupe est non seulement une terre de sport mais enco
6. au 0590 99 76 63 du Conseil G n ral Le d partement soutient le parcours et l acc s au des b n ficiaires du RSA porteurs de projets de cr ation d entreprise ou d activit par le biais de plusieurs dispositifs Parmi eux l Aide Personnalis e de Retour l Emploi qui vise la prise en charge de tout partie des frais expos s par le b n ficiaire du RSA dans le cadre de sa reprise ou de sa cr ation d activit peut prendre en charge les frais li s la mobilit la garde d enfant ou la formation REPONS KWAEB 13 KOUCH 1 D sirade 6 Enologie 7 S60 Sec SM Ruse Eg e Rire 10 Tressaient Tarlatane GTE 4 Roger llet Reale DOUBOUT lte Ro 1 Etirions 2 Atone Mer 3 Dragons GE 8 Anglais lE 4 Elle Ogres 9 D tel e RN 5 Loues 10 t Cr t FRANS KWAF AN KR Y L 14 Pou r zoud s pwobl m mokwar dasa fo kalkil an kr y l pou konpwann d ktyaj a chak mo men fo mak yo an frans SN HER _ M 11111115 DOUBOUT CORRECTION DE FRAZ 13 FET Fraz omonim 14 AN MITAN PIT BOUG _ TRAP 718910 KOUCH Tifi ki l k l Fo pas pa s boug asa pou f lak a t D l t pou suiv Pwan laj Ka
7. de travail sp ci fiques r paration et assurance de v hicule permis de conduire frais de double r sidence pour partir se former hors du d partement tout en continuant de payer son loyer ici c est du concret quand on vit du RSA et qu on se d bat pour sortir des dispositifs d inser tion ou d assistance pour acc der l emploi durable Si l tat a institu le Conseil G n ral ma trise cependant sa gestion dans le cadre de projets individuels clairement formalis s pour chaque bRSA valorisant ainsi le travail d accom pagnement r alis par nos professionnels de terrain et l implication des conseillers g n raux au sein des instances du RSA Cest le sens de nos efforts quotidiens et de la mobilisation de moyens humains et financiers cons quents afin d am liorer leur situation sociale et leurs chances d acc der l emploi B atrice HATILIP Conseill re g n rale 118111 Ten Le magazine d information SPa Conseil G n ral Roussel Trianon il Le sn j 08 2 En quittant Grand Bourg direction Saint Louis vous ne pourrez manquer les vestiges de cette ancienne situ e bord de route Ouverts en permanence au public les lieux re oivent r guli rement la visite de touristes C est tout d abord son imposant moulin qui invite la d couverte de cette habitat
8. et emmener chacun d couvrir ou red couvrir notre le travers des activit s qui sont trop rarement en direction des autochtones Comment concilier d veloppement durable et d veloppement conomique dans notre d partement Mahit Perrault Cette question est en fait r p titive pour moi Pendant mes tudes j ai appris que d veloppement durable ne veut pas dire uniquement environnement Le d veloppement durable repose sur 3 pieds comme un tabouret une conomie solidaire une soci t quitable un environnement supportable et viable peut donc avoir de d veloppement durable sans d veloppement conomique responsable gestion des terres pour assurer la s curit alimentaire gestion de l eau et des autres ner gies pour assurer une ind pendance nerg tique valoriser les d marches de d veloppement durable au niveau des entreprises et encourager la production locale en tenant en compte du tissu conomique du territoire majoritairement constitu de TPE et PME Avant tout cela j aimerais vraiment que l objec tif z ro d chet dans la nature et dans les communes soit une priorit sur le territoire La mise en place du tri se fait petit petit mais il y a encore beaucoup de travail pour nettoyer toute la Guadeloupe en attendant que les nouveaux comportements se mettent en place Des grandes villes conomiques avec des millions d habitants sont arriv es a
9. gt JAI Quelques dates essentielles Didier 1669 il existe cet emplacement une sucrerie nomm e Trianon Elle fait partie d une des douze pr sentes sur de Marie Galante 1746 suite au d c s pr matur de Nicolas BONHOMME et de son pouse les tuteurs de leurs enfants vendent l habitation reconnue cons quente pour l poque 1785 Paul BOTREAU ROUSSEL ach te la pro pri t et la d veloppe 1800 construction du moulin vent 1813 un des fils de Paul BOTREAU Louis Hildevert BOTREAU ROUSSEL et son pouse deviennent propri taire de l habitation 1843 un terrible tremblement de terre d truit partiellement le moulin vent La d cision est prise de moderniser les outils de production en construisant une usine vapeur 1855 1863 Victor Hildevert BOTREAU ROUS SEL emprunte pour moderniser l usine D cembre 1873 la famille RETZ propri taire de l usine adjacente Grande Anse rach te la propri t 1874 la famille RETZ ferme l usine de Trianon et la vide de ses machines Les terres continue ront tre cultiv es Un g reur occupera la maison principale 1979 les vestiges de l Habitation RoussekTrianon sont affect s l comus e 1981 le site est class Monuments histo riques L comus e de Marie Galante de Marie Galante est constitu des principales habitations sucreries de d an
10. gulation de l acc s aux ressources g n tiques n taient pas suffisamment pris en compte Rappelons que le projet de loi relatif la biodi versit vise notamment mettre en uvre les obligations d coulant des conventions interna tionales sign es par la France dont celle sur la diversit biologique de 1992 ainsi que les obligations d coulant du Protocole de Nagoya sur l acc s aux ressources g n tiques et le partage juste et quitable des avantages sign par la France le 20 septembre 2011 L 1 El gt PIE 4 Eri i k 4 Le L 4 de la Guadeloupe n ra 2 P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil 28 TN Le magazine d information Pi Conseil G n ral Cependant le dispositif qui int resse princi palement les Outre Mer concerne l acc s aux ressources g n tiques et le partage juste et quitable des avantages d coulant de leur uti lisation s agit ainsi de la mise en uvre par la France du protocole de Nagoya qui permet aux tats signataires de r glementer l acc s leurs res sources g n tiques pour profiter du partage des avantages d coulant de l utilisation de celles ci et affecter lesdits avantages la conservation de la diversit biologique et l utilisation durable de ses l
11. ments constitutifs Ce principe s applique galement aux connais sances traditionnelles associ es aux ressources g n tiques d tenues par les communaut s dites autochtones et locales les avantages b n fi ciant la communaut d tentrice Le projet de loi pr voit une r gulation de l acc s aux ressources g n tiques par la mise en place d un r gime d acc s et de partage des avantages afin d viter la bio piraterie des ressources g n tiques s agit de subordonner l utilisation des ressources g n tiques et ou des connaissances traditionnelles associ es ces ressources des conditions de d claration d autorisation Ainsi l acc s aux ressources g n tiques en vue de leur utilisation des fins de connaissance sur la biodiversit de conservation en collection de valorisation sans intention directe de d veloppement commercial est soumis d cla ration Tandis que l utilisation des ressources des fins commerciales sera soumise une r gime d autorisation pr alable Par cons quent au terme de ce projet de loi l acc s aux ressources g n tiques serait r gul pour toute la biodiversit fran aise mais selon des modalit s diff rentes l essentiel des demandes en particulier les projets de recherche fondamentale rel vera d un r gime d claratif et seuls les projets qui le justifient r ellement par exemple les projets d utilisation des ressources g n tiques de
12. pour briser le silence qui entourait la traite n gri re et l esclavage Des vestiges bien conserv s malgr l usure du temps Plusieurs des b timents constituant l habitation sucri re sont en bon tat de conservation C est le cas notamment de la grande curie un vaste b timent de briques avec des ouvertures en pierre de taille C est aussi le cas du moulin vent dont subsiste la tour en maconnerie en pierre de taille et quelques vestiges de la poutraison Pas loin de l ancien moulin se dresse la chemin e de l usine construite en pierre de taille Le b timent lui tait construit en pierre calcaire Une citerne d eau souterraine situ e l oppos de la chemi n e alimentait en eau les machines vapeur On distingue galement l emplacement de la maison principale La terrasse sur laquelle elle tait install e a probablement t construite au d but du XIX si cle La maison qui comportait un tage tait enti rement construite en bois Apr s le cyclone de 1928 cette maison prin cipale est remplac e par une habitation plus modeste occup e par le g reur de lhabita tion Laquelle habitation sera d truite en 2006 Les petites curies compos es de stalles avec cloisons bois et une rigole au sol pour l coulement des liquides le parc mulets les restes du moulin b tes et les vestiges de la balance dont l emplacement est d limit par quatre f ts de canon compl tent les
13. que chacun prenne conscience des sp cificit s et des particularit s de l endroit o vit Il est important d avoir des rep res et que chacun se sente concern par la construction de notre soci t Le climat social actuel cr par la crise que nous traversons depuis quelques ann es ne facilite pas le resserrement des liens mais en mutualisant les forces et les nergies et surtout en faisant preuve de volont nous pourrions mieux nous conna tre et ainsi pr tendre tre un peuple mieux duqu Le D partement consacre norm ment d ner gie en faveur de l insertion des jeunes auriez vous des id es dans ce sens Perrault Encore une fois je pense que la parole est vraiment la base un dialogue instaurer avec ces jeunes rejet s puisqu il faut les Des quelques rencontres que j ai pu faire avec des acteurs de l insertion il ressort souvent que ces jeunes sont avant tout en manque d affection Cela va para tre un id aliste ou spirituel mais je crois qu il y a un v ritable manque d amour la base dans nos soci t s de consommation o il faut aller vite accumuler parler pour ne rien dire agresser pour avoir Sinon pour qui est des id es d insertion je proposerai des implications dans des chantiers de reconstruction d aides aux personnes avec handicaps dans des h pitaux et plus de sensi bilisation aux activit s artistiques pein
14. ruissellement d partement intervient essentiellement en appui aux communes pour tout ce qui concerne l adduction d eau son puration et son assat nissemert r gion soutient les collectivit s et leurs grou pements pour am liorer le bien tre et la sant des citoyens par des investissements visant le respect de l environnement stations d puration r seaux d eaux Travaux prioritaires d am lioration de aides au raccordement au r seau d eau potable pour les b n ficiaires du RSA aides financi re au raccordement au r seau d eau potable aide l acquisition de syst mes usage pri pour la r cup ration des eaux de pluies dite aide la citerne EEE e i 4 mn Yi 27 210 gi 7 Guadeloupe Guadeloupe CONSEIL G N RAL DE LA GUADELOUPE VILLAGE ASSOCIATIF SPECTACLE VIVANT SC NES ARTISTIQUES PROJECTION DE FILM Mu nou sanbl pou sonj sa ki tan INFOLINE 0590 99 79 21 ports L INT GRALIT DU PROGRAMME SUR NOTRE PAGE FACEBOOK CONSEIL GENERAL DE LA GUADELOUPE SUR WWW CG971 FR De FRAME ER RES a D Re EEE SO SCIE LU ER RL M SPEED PE PO DRE ET Re ER PET Ta LR get tec TP Guadeloupe
15. s Parmi les membres de cette association Maguy une dynamique quinquag naire mari e et m re de trois grands gar ons Avant de devenir assistante familiale Maguy dirigeait une soci t de plusieurs dizaines d em ploy s Elle a fait le choix de se reconvertir et trouve son panouissement dans sa nou velle activit avec les deux enfants qui lui sont confi s L assistant familial est quelqu un qui a encore beaucoup d amour donner qui a du temps et qui a envie de venir r ellement en aide ces enfants C est un m tier dans lequel je m panouis confie elle Un m tier qui a des avantages mais qui peine se faire reconna tre Le premier avantage du m tier d assistant familial c est de travailler chez soi avec les enfants qui permet une certaine disponibi lit pour d autres activit s Un travail de c ur comme le dit Maguy LAMBY qui demande d accompagner enti rement les enfants plac s Cela entend le suivi scolaire la sociabilisation du jeune mais aussi de lui donner l affection dont il est priv du fait de sa s paration d avec sa famille Mais cette profession qui est en train de s orga niser en Guadeloupe souffrirait d un certain manque de reconnaissance Les assistants familiaux ont le sentiment que leur m tier n est pas suffisamment reconnu de la Guadeloupe n ra 2 P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil
16. son maire galement vice pr sidente du Conseil G n ral a demand l aide du d partement pour l achat de mat riels roulants Une tractopelle un rouleau compresseur un camion et un gyrobroyeur Du mat riel qui sert d sormais l entretien des voies vicinales la r fection des chauss es et des ponts ou encore l lagage pour la s curisation des lignes de t l phone et d lectricit investissements par le biais du Fonds d Aide aux Communes mais aussi sous la forme d aides sp cifiques C est ainsi que la commune de Capesterre de Marie Galante a r cemment b n fici de 225 euros de subventions Afin de permettre la collectivit de faire l acqui sition de v hicules pour son service technique ce sont 49 500 euros qui ont t allou s Capesterre De m me les travaux de r habilita tion de la d charge et de r fection de la toiture de la biblioth que municipale ont t financ s hauteur de 1 5 euros VILLE DE CAPESTERRE MARIE HALAN de la Guadeloupe n ra 2 P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil G 18 Cest une bouff e d air pour nous On est rest pr s de sx mois sans camion et sans gyrobroyeur alors que la demande de la population tait tr s importante en raison de la forte pluviom trie On avait du mal assurer l enl vement des bran chages pour la s curit des routes par exemple conc de Jean
17. 8 21 ans L accueil peut tre organis au titre de la protection de l enfance ou d une prise en charge m dico sociale ou th rapeutique L assistant familial doit tre titulaire d un agr ment d livr par le pr sident du Conseil G n ral apr s v rification que ses conditions d accueil garan tissent la sant la s curit et l panouissement des mineurs accueillis En cas de circonstances imposant une s paration entre parents et enfant le fondement de la profes sion d assistant familial est de procurer l enfant ou l adolescent confi par le service qui emploie des conditions de vie lui permettant de poursuivre son d veloppement physique psychique affectif et sa socialisation Source Minist re des Affaires sociales et de la Sant f vrier 2014 y aurait en France plus de 48 assistants familiaux pour l accueil de 65 enfants plac s En Guadeloupe les familles d accueil seraient au nombre de 270 de la Guadeloupe n ra 2 P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil Le magazine d information Pau Conseil G n ral La Guadeloupe compte pr s de 69 deurs d emploi dont environ 7 ont moins de 25 ans Pr s de 93 personnes sont couvertes par le Revenu de Solidarit active La grande majorit de ces personnes pr sentent un tr s faible niveau scolaire ce qui complique leur acc s l emploi s agit majoritair
18. CONSEIL G N RAL DELA GUADELOUPE DU CONSEIL G N RAL 28 mai 1 juin 2014 Ten Le magazine d information Conseil G n ral Tournoi ITF Junior du 4 au 20 2014 Dominique Th ophile Pr si G n ral Mic de la Commission jeunesse et sport al Miomir Kecmanovi a Christian Forbin pr si Vainqueur simple hommes a de tennis et Nicolas Moreno de AUX c t s des h tesses d i u tournoi M Ten Le magazine d information Pi Conseil G n ral Pour aider au d veloppement local le Conseil G n ral de Guadeloupe accom pagne l ensemble des communes de l archipel dans la r alisation de leurs Laide accord e par les collectivit s majeures et singuli rement par le D partement aux com munes est primordiale pour leur d veloppement Une r alit que confirme Jean Claude MAES le premier maire adjoint de Capesterre de Marie Galante qui consid re l accompagnement du Conseil G n ral salutaire pour cette petite com mune dont les recettes sont limit es Jusqu ici le Service Technique de la commune devait faire avec du mat riel et des v hicules dont l tat de v tust ne permettait pas de rendre un service efficient la population et qui plus est engendraient des d penses d entretien r cur rentes La collectivit par le biais de
19. Claude Responsable des finances du Service Technique et de l Urbanisme La toiture en bois du b timent situ rue C ran Rosmade qui abrite la biblioth que de la com mune a subi les assauts du temps et du climat La municipalit s est vue contrainte de d placer toute la collection au rez de chauss e en atten dant que des travaux de r habilitation soient effectu s D sormais c est au niveau inf rieur que les employ s de la biblioth que accueillent les administr s CR RO L appel d offres pour la r fection de la toiture et la mise en conformit de la biblioth que est lanc et les travaux ne devraient pas tarder s agit de profiter de la p riode de car me pour d monter et remettre tat la charpente D ici les grandes vacances l tage sup rieur du b timent devrait de nouveau pouvoir accueillir le public et l espace lib r en rez de chauss e pourrait alors abriter le service urbanisme de la mairie Grand Bourg Saint Louis et Capesterre de Marie Galante abritaient toutes trois des d charges sauvages Une situation qu il a fallu r gler pour r pondre aux imp ratifs fix s par le code de l environnement qui institue cette obligation de mettre en conformit les unit s de traitement de d chets R habiliter les lieux rel ve dune d marche citoyenne et s ins re dans la politique d am lioration du cadre de vie mise en place par la municipalit mais r pond galement un souci financ
20. anente Agriculture environnement gt Signature de la convention annuelle 2014 du Contrat de Plan tat R gion 2014 2020 qui d cline les actions effectu es dans une d marche partenariale pour l application de la politique environnementale sur le territoire Pour cette contractualisation 2014 le D partement intervient princi palement sur la mesure d chets dans le cadre du Programme R gional d Aide l Environnement PRAE pour lequel il pr voit une dotation financi re hauteur de 500 euros gt 80 euros pour la commune de Morne Eau pour la construction d une d chet terie au lieu dit Richeval gt 46 875 euros la Ville du Moule pour la mise en uvre de la collecte s lective en porte porte des emballages m nagers recyclables gt 6 379 94 euros la commune de Bouit lante pour l organisation de la 4 dition de l exposition Cap sur la biodiversit sur le th me Alimenterre nourrir la population avec une agriculture familiale et durable gt 5 euros pour l Union D partementale Consommation Logement et Cadre de Vie UDCLCV pour son action de sensibi lisation la pratique du compostage habitat collectif dans le cadre de l appel projets de la R gion Mon archipel mon environnement y gt 8 euros l association Terra Festival pour l organisation du Terra Festival 2014 consacr aux films de l environnement et du d veloppement dura
21. ble Insertion gt 40 euros pour la reconduction du dispositif d aide la pratique artistique et sportive en faveur des jeunes issus de foyers b n ficiaires du RSA dans le cadre du PDI avec une prise en charge de 155 enfants gt 88 000 euros la Maison Saint Vincent Paul et 55 000 euros Acajou Alter natives au titre de contribution au fonc tionnement du Centre d H bergement et de R insertion Sociale CHRS de jour et l accompagnement des b n ficiaires du Revenu de Solidarit Active gt 10 euros chacune des associations Alternative 119 B thel Solidarit et On pal pou vans au titre du soutien du au fonc tionnement de leurs piceries solidaires Action sociale gt 200 euros pour l Association Pour Adultes et Jeunes Handicap s pour la mise en conformit et l quipement d une villa destin e abriter un Service d Accompagnement Comportemental Sp cialis SACS pour usagers souffrant d autisme ducation gt 34 340 euros pour 10 tablissements scolaires en vue de la r alisation de s jours et d changes linguistiques et culturels gt 33 911 55 euros aux six coll ges pri v s sous contrat d association au titre de l investissement global calcul au prorata de leur effectif Q 2 O O Le O No C 1 D D N 07 gt
22. cale ces imp ratifs 5 d finissent par voie de cons quence les op rations qui peuvent faire l objet de cofinancement par ces fonds Ces programmes transmis aux instances com munautaires tr s r cemment ne demeurent pour l instant que des propositions dans l attente de leurs validations par la Commission Europ enne Ces validations devraient intervenir au cours du second semestre 2014 226 TN Le magazine d information Pau Conseil G n ral M me si ne peut pas encore noncer pr ci s ment les types de dossiers qui pourront tre soutenus au titre de la programmation 2014 2020 1 est compter que les demandes de financement devront s inscrire dans la strat gie de l Union Europ enne et r pondre aux objectifs fix s par la Commission Quelle sera la philosophie du Conseil G n ral dans le cadre du prochain programme tionnel 2014 2020 De mani re g n rale le D partement entend nement jouer son r le dans le cadre du partenariat local qui associe l tat la R gion et le D partement la gouvernance des fonds europ ens Plus sp cifiquement et comme les nouvelles dispositions relatives l organisation du FSE lui en laissent la possibilit le D partement en sa qualit de chef de file de l insertion s est positionn pour assurer au titre du PO FSE tat la gestion d une partie des cr dits FSE dans le cadre d une subvention globale en ne retenant pas dans son p
23. ciennes usines centrales et de vestiges de moulins vent comprend gt l Habitation Murat ancienne habitation sucrerie du XVIIE si cle gt la Mare au Punch et l Usine de Pirogue gt l ancienne Usine de Dorot habitation caf et coton appartenant la famille DOREAU puis habitation sucri re et production de rhum gt la vingtaine de moulins vent dont le Conseil G n ral est propri taire sur de Marie Galante agent qui mouille le maillot fait partie de ceux que l on nomme les hommes en noir 41 ans Didier Philippe GENIES est arbitre de football au sein du Club Sportif Moulien Ce p re de deux enfants a choisi de se mettre au service de sa passion en endossant le r le peut tre le plus ingrat sur le terrain sein de la collectivit d partementale Didier est technicien en charge de la logistique et de la s curit des manifestations culturelles C est lui qu il revient de faire respecter la r glementation lors de grands rendez vous comme par exemple fanmi Faire respecter les r gles c est aussi son r le sur les terrains de foot du d partement bitre de Promotion d Honneur R gionale apr s avoir volu en Division d Honneur Philippe s adonne sa passion depuis 1997 Personnage central sur le terrain le r le de l arbitre n en reste pas moins ingrat selon Philippe GENIES Lhomme est amen com mettre
24. culture Dans tous les cas les notions d esp ces sauvages ou cultiv es m ritent d tre clarifi es compte tenu des incidences financi res qui en d coulent Jupe du Conseil G n ral Ces travaux visent cr er une banque de don n es interactive sur les habitudes socioculturelles des Carib ens en mati re de soins de sant primaire par les plantes m dicinales dans un objectif de pr servation et de valorisation d une pharmacop e carib enne et ont plus globalement impact le d veloppement conomique et la lutte contre le ch mage en favorisant l mergence de petites unit s de production Jacques GILLOT a par cons quent demand au Ministre de l cologie de tenir compte des alertes exprim es afin d int grer au projet de loi les pr cisions n cessaires une gestion quitable de la biodiversit en Guadeloupe pr servant au mieux les Int r ts conomiques des acteurs locaux de la fili re plantes et reconnaissant nos savoirs ancestraux A Le magazine d information G n ral Assistante familiale plus qu un m tier une vocation Comme chaque ann e les assistants familiaux de Guadeloupe taient r unis pour une jour n e de d tente avec les enfants qui leur sont confi s Un d jeuner champ tre aux Abymes tait le cadre de cette rencontre annuelle initi e par La Main l association autour de laquelle ils se sont organis
25. des erreurs mais l arbitre lui n a pas droit l erreur confiet il Et les erreurs de l arbitre sont d autant plus stig matis es lors des rencontres enjeux C tait le cas ce o Philippe GENIES devait arbitrer le match opposant le premier du classement de PHR au troisi me sur le stade de Petit Canal Am biance survolt e du c t des supporters venus nombreux pour cette rencontre entre Canaliens et Abymiens Une victoire de ces derniers tait synonyme d accession la division sup rieure mes d buts un match comme aurait g n r une certaine pression mais maintenant je prends ce match comme un autre M me si je que les regards seront beaucoup plus dirig s vers les arbitres avec l exp rience on arrive g rer tout cela Les qualit s pour tre un bon arbitre Pour Didier GENIES un bon arbitre outre sa condition physique est avant tout un psy cho p dagogue Arbitre mais avant tout amoureux de foot Comme je dis souvent aux dirigeants et aux nous avons la m me passion mais nous n avons pas les m mes enjeux simplement De belles exp riences Parmi les tr s belles exp riences de Philippe un stage FIFA organis au Mexique en 2008 pour les arbitres ayant particip la Coupe de Monde de football Trois Guadeloup ens dont Philippe ont eu la chance d tre s lectionn s pour ce rendez vous 90 P
26. driv m tal koul Anba kout Madanm ki p d Tifi a fw Lann L t ki an Am rique Dloanm d y 0 COS A FO Fo toutmoun Gras boug asa tini b t asi lat toujou Woul 1 Moun ki ka f l k l 2 Lakou hay Py pou t t s kou mato F kol 4 Ka rann pw p Yo adan tout branch Yo yonn d y l t a Gwayav 5 Twa women Moun enm manj sa 6 Sy k sy ktan Toutmoun ponmoun Mari a Fatima 7 Ta travay ka f yo mal d parfwa Moun ki ka viv an p yi Philippines 8 S sel mem p km l Sa moun ka manj Fo toutmoun resp t sa Gras tini b t asi lat toujou 10 S li ka bay l d P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil G n ral de la Guadeloupe Baie Mahaulf Abymes 15562 1 eilc Anse Bertrand ss L M G D A H 1 1 Bouan e 9 e D sirade Gosiel Goyave Gourbeyre Grand Bourg Lamentin Le Moule Morne l EQU Petit Bourg Petit Canal Pointe Noire Pointe Pitre Port Louis Saint Louis Saint Claude Saint Fran ois Sainte Anne terre de Haut Trois Rivi res Terre de Bas Vieux Habitanis 9 19 Vieu
27. e titre il faut indiquer que tous les conseillers g n raux sont destinataires de ces textes et invit s participer aux travaux de cette Com mission dont le secr tariat est assur par la direction des Affaires Juridiques La Commission des Affaires Communautaires et Juridiques apr s analyse de cette d roga tion au droit commun pour les DOM met soit un avis favorable ou d favorable voire m me D r serv en explicitant dans cette hypoth se les r serves ainsi mises ou les motifs de la proposition de rejet du texte En ce qui concerne les types de textes juri diques soumis au Conseil G n ral la Collectivit D partementale a mis dans ce cadre 6 avis au titre de l ann e 2013 portant notamment sur les textes suivants gt projet d article pour la loi de finances gt projet de loi d avenir pour l agriculture l alimentation et la for t gt projet de d cret relatif l emploi d avenir Dans la programmation 2007 2013 en cours d ach vement l tat est autorit de gestion pour l ensemble des 4 fonds europ ens que sont le FEDER le FSE le FEADER et le assure donc la gestion la mise en uvre et le suivi des programmes li s ces fonds Un partenariat local sous l gide de l tat asso ciant la R gion et le D partement t mis en place Il vise travers les diverses instances ainsi cr es permettre ces trois autorit s locales d examiner et de se p
28. ement de femmes isol es d environ 35 ans et qui contredisant st r otypes et id es re ues revendiquent un acc s l emploi Faiblesse majeure de notre public en insertion les b n ficiaires sont confront s d importants probl mes de sous qualification Environ 3 sur 4 ont quitt l cole en troisi me Un Guade loup en sur 5 est en situation dillettrisme et on d nombre pr s d un millier de jeunes qui sortent chaque ann e du syst me scolaire sans dipl me et qualification Ainsi vou s bien malgr eux aux petits boulots et emplois aid s l espoir de ces jeunes se heurte au manque d emploi manque de logement manque d argent manque de solidarit dans les familles manque de confiance en soi se teinte de pessimisme ou 6 dans des chemins de traverse drogue alcool violence d linquance d scolarisation et grossesses pr coces solitude et repli sur soi Dans ce contexte la question de l insertion sociale et professionnelle d un grand nombre de nos compatriotes constitue plus que jamais la prio rit des lus de notre collectivit La coh sion sociale aujourd hui encore apparat comme le fondement de toute politique Cest tout le sens que la politique d insertion qu a d finie Jacques GILLOT parce qu elle n vacue aucun sujet emploi formation sant logement r ussite scolaire vie sociale et qu elle est mise en uvre avec un ma tre mot les plus faible
29. endre en compte l am nagement du Sentier de la c te Est destin recevoir des activit s de promenade p destre pr cisait le cabinet missionn par la municipalit de Capesterre de Marie Galante pour la r alisation d un diagnostic environnemental et d un plan de r habilitation de la d charge Dans les communes rurales comme Capesterre de Marie Galante le soutien du Conseil G n ral de Guadeloupe est indispensable pour permettre la mise en uvre des projets structurants et l acqui sition des quipements n cessaires leur d veloppement Ainsi gr ce aux subventions accord es la Municipalit a pu r aliser les investissements n cessaires son d veloppement conomique et touristique l am lioration du cadre et des conditions de vie de ses administr s deux des axes prioritaires de sa politique Aujourd hui il reste trouver les solutions visant une v ritable continuit territoriale afin que le transport des biens et des personnes vers et au d part de Marie Galante soit moins on reux De nombreux d fis restent relever et face la baisse des dotations de l Etat aux collectivit s territoriales le soutien du Conseil G n ral de Guade loupe est plus que jamais n cessaire nos territoires Marl ne BOURGEDOIS MIRACULEUX Maire de Capesterre de Marie Galante vice pr sidente du Conseil G n ral VOTE par le Conseil G n ral le 24 avril 20 4 2 Commission Perm
30. ervice sp cifique aux particuliers pour facili ter l acc s au r seau d eau potable cas des communes et du Conseil G n ral ou dans un objectif de d veloppement durable cas du Conseil R gional La gestion de l eau est assur e soit directement par les collectivit s ou les EPCI 15 via des r gies directes soit via un contrat 85 liant la collectivit ou l EPCI l une des trois structures priv es pr sentes sur le territoire guadeloup en la G n rale des Eaux la Nantaise des Eaux la Compagnie Guadeloup enne de Service Public CGSP La loi stipule que les communes et EPCI tablissent pour chaque service d eau ou d assainissement dont ils sont responsables un r glement de ser vice d finissant les prestations assur es par le service d eau ainsi que les obligations respectives de l exploitant et des abonn s Le r glement de service qui doit tre port la connaissance de constitue le contrat entre le distributeur et le consommateur particulier Dot es de comp tences propres en mati re de protection de l environnement les collectMit s ter ritoriales sont charg es de l assainissement des eaux us es de la mani re suivante communes ou EPCI contr le des installations d assainissement pri et collectif d limitent les zones d assainissement collectifs et priv veillent limiter limperm abilisation des sols pour favoriser l coulement des eaux pluviales et de
31. ettre la prise de d cision de la Protection Maternelle et Infantile 5 sont confront s avec leurs pensionnaires pour mener bien leur mission a besoin de se retrouver a besoin de parler besoin d changes souligne Maguy LAMBY Le d jeuner champ tre organis le mai fait partie de ces occasions d changes en dehors du cadre professionnel Leurs enfants taient au centre de cette Journ e festive ponctu e d animation et de jeux leur attention substitution Les accueillants sont d ailleurs form s au d ta chement avec l enfant qui leur est confi Le d part d un enfant pour sa famille d origine est synonyme de r ussite pour l assistant familial et pour le Conseil G n ral Devenir assistant familial une d marche tr s encadr e L agr ment d livr est dune dur e de ans renouvelable mais est conditionn une forma tion obligatoire que doit suivre l assistant familial Une formation d une dur e totale de heures sur 18 mois comprenant un stage pr paratoire de 60 heures l accueil d enfants pour pouvoir commencer l activit Au terme de ces 300 heures de formation le candidat se voit d livrer le Dipl me d tat d Assistant Familial DEAF L assistant familial selon les textes L assistant familial exerce une profession d finie et r glement e d accueil permanent son domi cile et dans sa famille de mineurs ou de jeunes majeurs de 1
32. ier La collectivit se serait en effet vue p nalis e financi rement en cas de non respect de la r glementation en vigueur Cette d charge sauvage situ e sur la c te Est de Marie Galante 200 m tres de la mer recevait jusqu en 2008 les ordures m nag res et assimil es de la commune Une v ritable plaie abritant de nombreux chiens errants un nid bact ries dont la municipalit est fi re de s tre d barrass La d charge intercommunale de Folle est aussi en cours de r habilitation pour tre r am nag e pour le transf rement des d chets des trois communes de Marie Galante vers la Guadeloupe pour leur traitement de la Guadeloupe n ra 2 P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil La d charge pourrait laisser place un projet touristique Plusieurs sc nari quant la destination du site sont envisageables Parmi eux un remodelage consistant terrasser le massif de d chets afin de lui conf rer des pentes assurant l coulement des eaux de surface et la stabilit du massif puis couvrir les d chets par un complexe de sols d tanch it artificielle Autre sc nario envisageable une reconversion du site pour usage ouvert au grand public Le Mot du Maire de Capesterre de Marie Galante On peut ainsi pr voir des aires de jeux des jardins d agr ment ou une aire de repos La r habilitation finale du site peut tout aussi bien pr
33. ion C est sans nul doute le plus beau moulin vent de l ile est construit en pierre de taille tout comme la chemin e qui la jouxte et dont le bon tat de conservation surprend Une sucrerie class e monument historique Cest 1981 que les ruines de la sucrerie Trianon ont t class es monuments historiques Les lieux sont la propri t du Conseil G n ral de la Guadeloupe qui en assure l entretien la protection et la valorisation Aux c t s de 17 autres monuments et sites patrimoniaux li s l histoire et la m moire de l esclavage l Habita tion Roussel Trianon est inscrite dans La Route de l esclave Traces M moires en Guadeloupe Un guide des circuits de l esclavage r alis par comit scientifique sous l gide de la commission D veloppement culturel et gestion du patrimoine site d couviir La visite des lieux est enti rement libre et pas de parcours particulier suivre Le visiteur peut donc choisir sa d ambulation travers les b timents de l ancienne habitation Cest dans le plus grand calme que vous pourrez d couvrir le site Une qui tude que seuls les bruis sements d ailes des tourterelles et le chant des merles viennent troubler Ce sont les r sidents permanents de l habitation mais ne comptez gu re sur eux pour vous en faire la visite du Conseil G n ral Un projet qui s inscrit dans le cadre de La Route de l esclave lanc 1994 par l UNESCO
34. ispositifs de reconnaissance des acquis de l exp rience de promotion et d accompagnement de la cr ation d activit gt mesure 3 3 2 dispositifs d insertion des b n ficiaires de minima sociaux et d appui aux acteurs de l insertion Afin de favoriser l atteinte de ces objectifs la Commission europ enne propose de concentrer Au niveau europ en les progr s accomplis dans la r alisation de ces priorit s seront mesur s l aune de grands objectifs gt un emploi pour 5 de la population g e de 20 64 ans gt 3 du de l Union investi dans la Re cherche gt l atteinte des objectifs dits 20 20 mati re de climat et d nergie un taux d abandon scolaire ramen au dessus la barre des 10 et au moins 40 des jeunes g n rations ayant obtenu un titre ou un dipl me gt la r duction de 20 millions du nombre de personnes menac es par la pauvret les cr dits allou s sur les interventions porteuses de la plus grande valeur ajout e par rapport la strat gie europ enne Les modalit s de concentration propres chaque cat gorie de r gion sont sp cifi es pour chacun des 4 fonds europ ens Les programmes de financement issus des fonds structurels europ ens qui sont labor s dans le cadre du partenariat local entre l tat la R gion et le D partement et dans le respect des comp tences de chacun traduisent de mani re op rationnelle l chelle lo
35. it qui consiste planifier d velopper distribuer et g rer l utilisa tion optimale des ressources en eau En Guadeloupe la difficult de cette gestion se pose en terme de pr servation de milieux aquatiques p nurie car me ma trise de la distribution taux de fuites valu environ 50 de l eau capt e noter qu au niveau national 2009 le rendement moyen du r seau est de 76 Ainsi pour 4 litres mis en distribution 1 litre d eau n est donc pas distribu Le Conseil G n ral de la Guadeloupe accom pagne financi rement les collectivit s dans leurs travaux destin s am liorer et s curiser la distribution d eau potable dans les communes rurales Cest l ensemble des techniques et m thodes visant traiter les eaux us es dans un objectif de sant publique et de pr servation de notre cadre de Les eaux us es doivent tre trait es sur place dans des stations d purations individuelles des fosses septiques ou envoy es vers des stations d puration sans qu elles ne stagnent en surface o elles deviendraient nocives pour l homme et afin de minimiser la pollution avant de les retourner au milieu naturel une fois pur es On parle d assainissement collectif pour les zones raccord es au r seau d gout et qui p es d une station d puration traitant les rejets urbains Au del de leur cadre l gal d intervention les collectivit s d veloppent une offre de s
36. pr sent s comme ce qui est normal ce qui ne facilite pas les mod les d ducation sauf si au sein de la cellule familiale mais aussi l cole on arrive leur apprendre faire le discernement 41 de la Guadeloupe n ra 2 22 O N O gt LLI lt gt e Le magazine d information G n ral J aime beaucoup le mot discerner c est apporter un regard critique sur ce qu on lit ce qu on voit C est analyser notre propre r action et prendre du recul pour ne pas se laisser emporter par ces programmes tr s commerciaux faut se rappeler que le leitmotiv des m dias c est de gagner de l argent Que ce soit avec un documentaire sur la vie des stars en perdition ou sur la mise en avant des actions citoyennes Cest donc au spectateur de choisir une fois qu il conna tra le manuel d utilisation Sadik Le r le des m dias est pr pond rant en ce qui concerne l ducation des jeunes Mat heureusement pour ces derniers l ducation ne semble pas tre une priorit On voit et on entend de tout n importe quelle heure Les jeunes sont tr s attentifs et tr s sensibles ce qu ils peuvent apprendre travers les m dias classiques t l radio journaux mais encore plus lorsqu il s agit des nouveaux m dias S
37. re une terre de champions Les sportifs les supporters le public en g n ral vibrent tous l unisson avec ces manifestations qui ont fait l honneur de la Guadeloupe Souvent bien del de nos comp tences l gales nous continuons travailler dans l int r t de la Guadeloupe De nombreux engagements solidaires en t moignent la table ronde sur l eau la vie de la commission Affaires communautaires et juridiques le m tier d accueillant familial prouvent que votre Conseil G n ral ne d sempare jamais et qu il est sur tous les fronts de la vie quotidienne des Guadeloup ens Entre c l brations respect de la m moire collective responsabilit encouragements et d couvertes P yi Guadeloupe affirme de plus en plus sa volont d tre l coute et de rendre compte de nous m mes Jacques GILLOT S nateur de la Guadeloupe Pr sident du Conseil G n ral de la Guadeloupe n ra 2 P yi GUADELOUPE Magazine d Information du Conseil G Guadeloupe DISTRIBUTION PRODUCTION La distribution d eau d signe l ensemble des r seaux et les compagnies assurant la dis tribution de l eau potable jusqu au robinet des particuliers L eau rendue potable est achemin e sous pres sion dans des r servoirs ou des ch teaux d eau puis elle est stock e dans des lieux de stockage publics avant d tre relay e par des tuyaux priv s pour arriver jusqu nos robinets La distribution de l eau potable est
38. rim tre la politique de la ville 1 Les actions concern es par cette subvention globale visent renforcer les dispositifs en mati re d insertion notamment ceux mis en uvre dans le cadre du Programme D partemental d Insertion PDI afin de favoriser le retour des personnes les plus loign es de l emploi et soutenir l int gration sociale et citoyenne des publics les plus vuln rables am liorer la gouvernance de l insertion sur l ensemble du territoire en mettant en place les outils et dispositifs n cessaires une meilleure coordination des acteurs renforcer la structuration l ing nierie et la professionnalisation du secteur de l Economie Sociale et Solidaire ESS Dans un contexte marqu par une situation nomique difficile un taux de ch mage lev avec comme corollaire une explosion des d penses sociales la charge du D partement un ame nuisement des dotations de l tat l objectif est de parvenir maximiser l effet levier des cr dits du FSE au service d une politique d insertion renouvel e Ten Le magazine d information Pi Conseil G n ral La collectivit d partementale met un avis d favorable au projet de loi relatif la biodiversit La commission des affaires juridiques et communautaires de la collectivit a mis un avis d favo rable au projet de loi sur la biodiversit consid rant que les int r ts des d partements d outre mer concernant la r
39. rononcer coll gia lement sur les diff rents projets faisant appel aux cr dits europ ens ce titre le D partement gt est consult pour avis par les services ins tructeurs responsables de l op ration depuis le d p t du dossier jusqu son archivage gt participe aux Pr comit s instances tise par fonds qui rendent un avis sur les aspects techniques conomiques et finan ciers des op rations pr sent es gt se prononce au sein de l instance d cision nelle qu est le Comit R gional Unique de Programmation CRUP sur les attributions des aides Par ailleurs afin de g rer de mani re efficiente le fonds europ en d di aux dispositifs relevant du Programme D partemental d Insertion savoir le Fonds Social Europ en le Conseil G n ral a souhait b n ficier d une subvention globale ce titre le D partement s est vu confier qualit d organisme interm diaire par d l gation de l tat une partie des cr dits du FSE au b n fice des structures et op rateurs en capacit d agir dans le champ de l inclusion sociale et de l emploi Une convention sign e le 26 juillet 2013 avec l autorit pr fectorale d l gue sous forme d une subvention globale de 4 21 500 de cr dits FSE au Conseil G n ral la gestion des trois dispositifs suivants gt mesure 1 1 6 dispositif d accompagnement et de pr paration l emploi gt mesure 2 2 2 d
40. rquoi on le fait comme faut s attar der sur le contexte de la Guadeloupe et de sa population son histoire son environnement sa culture et viter d appliquer la lettre ce qui se fait ailleurs sans r fl chir Nous sommes dans une soci t matriarcale encadr e par un syst me patriarcal et dans une m thode de transmission orale bas e sur 2 langues rien que D o toute la lourde t che de tenter de trouver un mod le d ducation Au del des convic tions personnelles de chaque parent la parole reste le un point commun partag par toutes les soci t s Comprendre la fa on dont s organise la construction de ses phrases cerner la facon dont on s exprime dans sa langue je crois que ce sont des cl s Je fais en fait un lien tr s fort entre illettrisme et rejet des jeunes Je suis tr s contente d avoir appris r cemment qu en Guadeloupe des coles maternelles et primaires apprenaient en cr ole S approprier ce qui nous appartient et conna tre la construc tion de son langage est important pour d faire des blocages d apprentissage et du coup de transmission de valeurs de mod les sociaux C est un peu faire un raccourci mais c est quelque chose que l on retrouve dans toutes les soci t s qui ont subi les interdictions de parler leur langue maternelle basque Sadik faudrait selon moi d abord faire gran dir le sentiment de fiert guadeloup enne
41. s D aucuns objecteraient que nous n avons pas comp tence en mati re d emploi et de formation mais pour autant ces politiques publiques figurent au c ur des pr occupations des b n ficiaires du RSA D s lors l insertion conomique et profes sionnelle doit s inscrire comme un enjeu cardinal du Programme D partemental d Insertion C est pour cela que nous avons mobilis des enveloppes budg taires consid rables 241 pour le paiement de l allocation RSA 15 ME pour financer le Programme d partemental d Insertion dont 11 ME d di s l insertion professionnelle et conomique des bRSA Cette priorit est mise en uvre d une mani re qui nous est propre dans la proximit d un accompagnement individualis conduit c te c te avec l allocataire du RSA et dans la compl mentarit de ce que la R gion et l tat proposent C est un dispositif d tat que g re le Conseil G n ral afin de contribuer lever les freins et obstacles se dressant sur le parcours des b n ficiaires du RSA pour leur permettre d acc der une formation emploi une cr ation d activit De mani re tr s concr te dot e d un bud get de 1 2 ME permet l attribution d aides finan ci res de tr s nombreuses difficult s garde d enfants achat de mat riel p dagogique petit Investissement pour lancer une entre prise frais de transport et de repas acquisition de v tements
42. s fins commer ciales seront soumis autorisation Rappelons sur ce point que dans une correspondance en date du d cembre 2013 le S nateur et Pr sident du Conseil G n ral Jacques GILLOT avait interpel le Ministre de l cologie du D velop pement Durable et de l nergie sur ce m me projet de loi En effet si l ex cutif d partemental a accueilli avec faveur l arriv e d un texte l gislatif ant les dispositifs r glementaires existants sur la biodiversit il a affich son inqui tude vis vis du dispositif d acc s aux ressources g n tiques pour toute la biodiversit sauvage fran aise Les conditions d octroi des permis soul vent localement de grandes interrogations au regard du principe d galit devant la loi mais aussi au regard de la s curit juridique Ainsi les porteurs de projet de recherche fondamen tale en seraient exon r s alors que tous les autres op rateurs du vendeur sur le march aux laboratoires pharmaceutiques seraient soumis l obligation d un permis sans que la question du co t de ces autorisations ne soit voqu e 29 de la Guadeloupe n ra P yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil Le magazine d information Par cons quent le s nateur Gillot a estim qu il serait plus opportun de s curiser les conditions de pr l vement dans le milieu naturel et de sou tenir la durabilit de l esp ce par la
43. service travail en partenariat avec la Protection Maternelle et Infantile mais galement la Caisse d Allocations Familiales les Centres Communaux d Action Sociale les Centres M dico Psychologiques mais galement diff rentes associations et clubs sportifs de Guadeloupe B amp 1 magazine d informatio La Commission des Affaires Communautaires et Juridiques est charg e de proc der avant la d lib ration de la Commission Permanente ou de l Assembl e Pl ni re l analyse des textes projets de d cret et de loi qui pr voient un dispositif sp cifique pour les DOM ou m me pour les COM collectivit s d Outre mer relevant de l article 74 de la constitution En effet il importe de souligner que nonobstant des d lais de r ponse souvent tr s courts qui lui sont impartis par les services de l tat le Conseil G n ral s attache examiner les textes en question dans le cadre de la commission pr cit e avant que la commission permanente ne se prononce d finitivement est souligner que la Commission Permanente a pour ce faire d l gation du Conseil G n ral par d lib ration en date du 31 mars 2011 La Commission des Affaires Communautaires et Juridiques met donc un premier avis sur les projets de d cret ou de loi dont le Conseil G n ral est saisi en vertu de l article L 3444 7 du code g n ral des collectivit s territoriales c
44. st cette confiance qui fait d faut ces enfants souffrant de carence affective qui sont orient s vers les ducateurs sp cialis s du service L enfant maltrait physiquement ou stigma tis en parole r guli rement d veloppe une image n gative de lui m me C est au cours d entretiens individuels que l ducateur sp cia lis d termine les difficult s rencontr es par l enfant qu il doit accompagner Des s ances de travail qui demandent au lable de nouer une relation de confiance avec le jeune en difficult condition sine qua non pour arriver quil se projette dans l avenir le regard de quelqu un qui conna t la r alit de ses conditions de vie d plorables la veille de ses 18 ans il reprend confiance en lui et accepte de nouveau l accompagnement de l ducateur sp cialis Devenu bachelier et quoiqu ayant d sormais d pass l ge d tre suivi le jeune homme continue de solliciter le conseils de son ducateur pour l orienter dans ses choix professionnels L aide sociale l enfance est cens e prendre en charge les jeunes jusqu de 21 ans mais souvent cet accompagnement va au del en raison du d sint r t que leur manifeste leur y a l approche individuelle de l ducateur sp cia lis avec les enfants qui lui sont confi s mais le d veloppement de l estime de soi peut galement faire l objet de travail en atelier s agit l souvent d accompagner des adultes e
45. t singuli rement des m res de famille sur l image qu elles ont d elles au cours d ateliers maquillage coiffure ou cuisine par exemple velyne TELCHID a elle m me eu travailler avec de jeunes mamans en pr sence de leurs enfants La psychologue du Service d aide la Parentalit a t en mesure d observer et d ajus ter le comportement de ces jeunes m res pour Quand la maman arrive de nouveau avoir confiance en elle s aimer suffisamment se trouver des qualit s elle est m me de donner ses enfants du positif C est ce moment que les relations peuvent s am liorer famille partir de leur placement Tr s peu de jeunes plac s et suivis par le Conseil G n ral ont t accept s dans leur famille l issue de leur placement permettre de recr er le lien avec leurs enfants L volution des jeunes et des enfants passe par la vie quotidienne Cest dans ce type d activit que peut leur permettre d apprendre se conna tre exprimer leurs motions leurs sen timents Ce qui est beaucoup plus difficile dans un face face consid re velyne TELCHID L estime de soi est donc un l ment fondamental l quilibre et l panouissement de tout un chacun travail partenarial en faveur des enfants Le Service d Aide la Parentalit regroupe 9 psychologues et 14 ducateurs sp cialis s r par tis sur circonscriptions dans l archipel Le
46. tistes talentueux qui ont besoin du public pour grandir et se faire au del des fronti res guadeloup ennes Je crois beau coup dans les industries culturelles et cr atives comme pilier du d veloppement conomique d un territoire Depuis mars 2014 un guide papier a t dit pour recenser les v nements annuels en Guadeloupe et les professionnels l v nementiel est en vente la Librairie G n rale Jasor Je souhaite qu au fil des ann es ce projet devienne un v ritable outil de r f rence pour s organiser en r seau innover et rayonner Sadik En ce qui concerne mon actualit je continue la promotion de mon 2 album k wouv avec la sortie tr s bient t d un nouveau clip vid o Cet t si tout se passe comme pr vu je devrais pouvoir proposer mon public une tourn e Antilles Guyane avant de cl turer par un concert Paris au mois d octobre En parall le je continue mon action travers des parrainages et d autres actions envers la jeunesse dont certaines impuls es par le Conseil G n ral NDLR Sadik est notamment le parrain de l dition 2014 de l op ration StArt la Guadeloupe a des talents aux c t s de la marraine la plasticienne Ana s VERSPAN de la Guadeloupe 2 n ra O on en 2 Lo O N gt l lt
47. ture danse musique th tre D ailleurs la mise en situation peut tre aussi de bonnes exp riences comme le th tre forum pour redonner un cadre ces jeunes pour qu ils retrouvent l espoir l envie de vivre et d avoir des ambitions Sadik En mati re d insertion des jeunes il me semble qu il y a une volont manifeste de faire voluer les choses Je pense que la culture est un domaine qui peut proposer galement de nombreuses solutions d insertion Le d velop pement et l apprentissage des m tiers de la musique de chez nous et d ailleurs peuvent tre une voie exp rimenter Que pensez vous du r le des m dias dans l ducation des jeunes Perrault Les m dias comme les r seaux sociaux sont des outils et comme tout outil il y normalement un manuel d utilisation J ai grandi en baignant dans les ann es 80 avec des dessins anim s pleins de combats et de sang et je ne suis pas violente pour autant m me si en r alit il s agissait de mangas ja ponais avec toute la culture nippone derri re valeur de l int grit de la loyaut de l amiti une morale Ce que je peux constater aujourd hui m me sl je n ai plus de t l depuis 12 ans c est que les m dias diffusent des programmes bruts et brutaux des clips aux journaux t l vis s remplis de faits divers en passant pas des t l r alit s dans lesquelles sexe argent facile motions n gatives sont largement
48. un service public confi aux collectivit s territoriales qui d terminent librement leur mode de gestion soit directement soit en d l guant ce service une entreprise priv e La production d eau potable correspond tion permettant de produire de l eau potable partir des eaux naturelles L eau qui est capt e l tat brut peut avoir diverses origines cours d eau plans d eau nappes souterraines sources Le traitement n cessaire d pend fortement de la qualit de la ressource l eau du aur 1 201 4 sur re 210 AVIN EU 14 En Guadeloupe 9 collectivit s se partagent la com p tence en mati re de distribution d eau potable Syndicat Intercommunal d Alimentation Eau et d Assainissement de la Guadeloupe SIAEAG Communaut d Agglom ration du Nord Grande Terre CANGT Communaut d Agglom ration de Cap Excellence Communaut de Communes de Marie Galante Commune du Lamentin Commune de Sainte Rose Commune de Deshaies Commune de Pointe Noire Communaut d Agglom ration du Sud Basse Terre En Guadeloupe seul le Conseil G n ral est producteur d eau brute Elle est destin e l irrigation et l eau potable elle est alors transport e l unit de pota bilisation pour tre rendue potable selon les normes en vigueur GESTION ASSAINISSEMENT AIDES AUX PARTICULIERS Guadeloupe La gestion de l eau est l activ
49. ur internet l information est sans limites et les reports sur les comportements sont ind niables c est outil double tranchant Comment selon vous uvrer familiariser les Guadeloup ens la n cessit de pr server et valoriser les atouts de notre biodiversit Mahit Perrault a d j beaucoup d acteurs en Guadeloupe qui travaillent en ce sens je crois qu il aura une g n ration trop tard sans porter de jugement bien s r mais juste de constater que des habitudes ont t prises et quil arrive un certain ge o il est tr s dif ficile de d faire ces programmes jeter ses d tritus dans la nature br ler ses d chets avec des pneus c est comme Par contre il est possible d duquer la jeunesse arrive Et c est ce que font les enseignants les associations de sensibilisation les cin astes les institutions On m a d j souvent dit que les changements de comportements dans une famille viennent souvent des enfants Sadik faut que nous puissions prendre conscience d abord de la richesse de notre biodiversit dont on parle trop souvent uni quement dans le but de faire du tourisme Ca doit tre aussi le moyen de rendre fier le Guadeloup en il est temps que ces diff rents atouts s inscrivent dans la conscience collec tive afin qu ils soient encore mieux pr serv s et d fendus par l ensemble de la population Il faut informer encore plus souvent
50. vec des moyens mais surtout des volont s politiques pour mettre en uvres des actions en ce sens d bloquer des budgets pour r mun rer des emplois en ce sens Une ville propre et un territoire nettoy donnent envie d y rester de se balader d investir pour un touriste de s y attarder et de d penser Et la boucle est boucl e Sadik Notre d partement est plein de ri chesses mais pour concilier d veloppement durable et conomique il faudrait que nous soyons capables de changer notre fa on de consommer Nous importons des produits qui sont faits base de produits locaux Il serait pr f rable de faire fonctionner la production agricole afin de cr er de l emploi Le recyclage des d chets aussi est un exemple concret pour la cr ation d nergie Dans d autres pays les mat riaux de r cup ration offrent aussi des solutions de cr ation sans limites notamment pour les artistes mais aussi dans la construction pourquoi pas chez nous Parlez nous de votre actualit quels sont vos projets en cours Perrault Je suis la responsable du site internet www kkfet com qui relaie les informations artistiques et culturelles en Gua deloupe J ai cr ce m dia car je voulais vraiment donner envie aux gens et avant tout donner l information sur les possibilit s souvent gratuites de pouvoir s merveiller par l art danse exposition musique th tre mode gastronomie Nous avons des ar
51. vembre 1977 Daniel Le magazine d information Pi Conseil G n ral Le Transport la Demande T A D Le 0 est une prestation d aide sociale mise en place par le Conseil G n ral dans le cadre du plan transport et qui permet de se d placer de porte porte pour les loisirs ou le travail s adresse aux personnes g es de 75 ans et plus b n ficiaires de Personnalis e d Autonomie ou aux personnes qui ne peuvent marcher sur une distance sup rieure 200m Le service est mis en uvre par un transpor teur autoris et habilit cet effet par le Conseil G n ral Pour ce faire sur rendez vous pris l avance le transporteur vient chercher la per sonne son domicile pour l emmener son point d arriv e et assurer son retour Le magazine d information L Aide de Retour l Emploi AP RE Le Conseil G n ral dans le cadre du Plan D par temental d Insertion tient rendre les b n fi claires du RSA acteurs de leur insertion Pour tout renseignement Conseil G n ral Boulevard du Gouverneur Felix Ebou 97100 BASSE TERRE 0590 93 78 00 L aide du Conseil G n ral accord e pour ans est 50 du montant du trajet avec un maxi mum de 30 par trajet et dans la limite de 5 trajets par semaine Les usagers souhaitant b n ficier de dispositif sont pri s de contacter la Direction de Autonomie
52. x Fort
53. yi GUADELOUPE Le Magazine d Information du Conseil G n ral de la Guadeloupe Le magazine d information du Conseil G n ral Mahit PERRAULT Misi SADIK Chanteur amp musicien Responsable du site Internet www kkfel com L ducation est fondamentale la construction de toute soci t Que faudrait il corriger sur ce point en Guadeloupe Perrault Oui l ducation est fon damentale dans une soci t C est elle qui construit l individu et qui lui permet d tre pa noui dans sa Elle est d abord donn e sein de la famille au travers de la soci t et via les m dias un moment donn selon les prises de conscience de chacun je pense qu il y a un besoin de vouloir se r duquer Selon les histoires personnelles et les sch mas appris 1 a une n cessit de r apprendre par soli m me pour s accomplir et tre heureux but de la vie quand m me Je crois quil a une certaine confusion entre duquer et enseigner et il est vrai qu en Gua deloupe comme en France hexagonale on l impression que de plus en plus les parents pris par le quotidien de la travail factures soucis confient le r le d ducation des enfants aux institutions coles centres de loisirs et la t l Que ce soit duquer ou enseigner je crois tr s fortement faut se pencher sur le mode de transmission la mani re de le faire Le pou
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