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1. Rappel de quelques pictogrammes Champ magn tique important _ Attention danger P riodique semestriel du Service Interne de Pr vention et de Protection au travail Bruxellkes Crpitale Commission ce DR F SANARE OEE EE N 6 second semestre 2001 S i P P Info R daction Directeur de la r daction Docteur Isabelle Tagnon R dacteur en chef Docteur Odile Repolt Comit de r daction Bernard Craybeck Ad le Faieta Martine Felix Alexandra Guyonnet Pierre Letocart Raymonde Marli re David Morrison Damien Pivirotto Luc Van den Meersche Anna Wauters Maquettiste David Morrison Publication interne destin e au personnel de la Commission communautaire fran aise et de l Institut Bruxellois Francophone pour la Formation Professionnelle Commission communautaire fran aise S LP P Brochure rue du Meiboom 14 1000 Bruxelles T l 02 209 32 06 Fax 02 209 32 67 Si un de vos coll gues n a pas re u cette brochure veuillez galement nous contacter PROCEDURE A SUIVRE POUR L ACHAT D UN EQUIPEMENT DE TRAVAIL KU Qu appelle t on quipement de travail Le Code du bien tre au travail d finit l quipement de travail de la mani re suivante toute machine ou appareil outil ou installation utilis au travail Cette d finition couvre en r alit tout ce qui est mis la disposition des travailleurs pour l ex cution de leurs t ches que ce
2. une chute par exemple dans lequel l on retrouve fr quemment les bact ries Ces derni res sont contrairement la toxine tr s r sistantes la chaleur Le traitement du botulisme consiste essentiellement maintenir les fonctions vitales menac es par la paralysie des muscles respiratoires par assistance respiratoire et en l administration d anatoxine destin e neutraliser la toxine Les recommandations li es au r chauffement haute temp rature des aliments en conserve avant toute consommation devraient suffire pr venir le d veloppement de la maladie en cas d attaque bioterroriste Le chol ra Le chol ra est une maladie infectieuse bact rienne responsable de diarrh es aigu s et caus e par l ingestion d eau contamin e Le chol ra repr sente surtout une menace pour les populations des pays en voie de d veloppement o existe la malnutrition Le chol ra se traite efficacement par antibiotiques Un vaccin existe mais il est peu efficace 10 Comme pour la peste le niveau d hygi ne lev en Occident et les moyens de lutte disponibles rendent cette bact rie peu int ressante pour les bioterroristes En conclusion l on peut dire que l utilisation des micro organismes d crits comme agents de bioterrorisme reste peu probable dans notre pays en raison du niveau lev d hygi ne de l existence de moyens de diagnostic et th rapeutiques appropri s ainsi que la possibilit
3. cessaires par exemple une ventilation plus importante compte tenu des risques sp cifiques identifi s Il est important que le mat riel soit porteur du label CE attestant qu il est conforme aux exigences essentielles de pr vention de protection et de bien tre au travail En effet si le mat riel ne dispose pas du label CE il devra tre r ceptionn par un organisme agr avant sa mise en service Signalons que l int r t de l arr t royal du 5 mai 1995 r side dans le fait que la l gislation est identique dans tous les Etats membres afin de permettre la libre circulation des biens elle permet par ailleurs de garantir un m me niveau de s curit dans tous les Etats Ce niveau de s curit porte l appellation d exigences essentielles de s curit En pratique Pour les Conseillers en pr vention n tre inform de l achat qu au moment de signer le bon de commande comme le pr voit la l gislation n est pas une bonne pratique En effet si le mat riel n est pas adapt ou s il n cessite des prescriptions compl mentaires c est toute la proc dure qui est recommencer Pour viter ces al as lorsque l acheteur a port son choix sur une machine r pondant un besoin il est pr f rable de consulter le S I P P avec la documentation r colt e ainsi celui ci en examinant les documents mis sa disposition peut en connaissance de cause donner un avis de s curit appropri Il faut to
4. se retrouver avec une machine que l on ne peut pas utiliser faute d un environnement s r Autrement dit il ne faut pas que l installation de la machine cr e un danger pour les utilisateurs d autres machines A l achat il y a galement lieu lorsque cela s ions bts de pbs les quipements n cessaires son entretien Le deuxi me feu vert s applique la livraison Que dit la l gislation Le fournisseur doit d livrer son client un document dans lequel il explique de quelle mani re il a satisfait aux exigences l gales r glementaires ou compl mentaires en mati re de pr vention de protection et de bien tre au travail Lors de ce contr le de r ception le fournisseur doit remettre l utilisateur les documents suivants o Une attestation du fabricant ou de l importateur certifiant que Le mat riel r pond aux prescriptions l gales Le mat riel r pond aux prescriptions compl mentaires de s curit impos es par le S I P P e Le mat riel ne pr sente aucun risque d celable pour les travailleurs par exemple les cha nes de transmission sont prot g es par un grillage fin a Les attestations et d clarations de conformit CE L absence de ces documents entra nera le refus de la r ception En pratique Il est difficile lorsque les documents ne sont pas fournis la livraison de les obtenir ult rieurement surtout si l on a honor les factures Il est donc essentiel de pr voir un
5. soit des machines simples comme une photocopieuse une foreuse ou une tondeuse gazon des machines complexes comme un lave vaisselle industriel avec tapis roulants ou une moissonneuse batteuse les installations comprennent entre autres une chaufferie une cuisine ou un ascenseur Ce m me Code du bien tre pr voit l instauration d une politique de pr vention pour l achat de ces quipements c est la politique du triple feu vert qui remplace l article du R G P T connu sous le nom de 54 Quater CC Le 1 feu vert s applique la commande Que dit la l gislation Le bon de commande doit tre sign par le chef d tablissement et par le Conseiller en pr vention S curit Le Conseiller en pr vention M decin du travail quant lui doit tre consult mais ne doit pas signer le bon de commande Le bon de commande doit stipuler que le mat riel propos sera conforme aux dispositions l gales en vigueur et notamment a Aux dispositions du R G P T a Aux dispositions de l arr t royal du 5 mai 1995 portant ex cution de la directive des Communaut s europ ennes concernant le rapprochement des l gislations des Etats membres relatives aux machines o Aux dispositions de l arr t royal du 12 ao t 1993 concernant l utilisation des quipements de travail Titre VI Chapitre I article 2 1 2 AR du 12 08 1993 MB du 28 09 1993 3 a Aux prescriptions compl mentaires que le S I P P juge n
6. travail musculaire et l autre involontaire en frissonnant Il en r sulte dans les deux cas une diminution des r serves nerg tiques 11 ax L exposition au froid peut entra ner des risques pour la O sant Ces risques peuvent tre localis s possibilit XML d engelures ou spasmes vasomoteurs pisodiques et x r versibles syndrome de Raynaud au niveau des mains et des pieds mais ils peuvent avoir une influence g n rale possibilit de troubles cardiaques cause des vasodilatations et des vasoconstrictions r p t es et importantes des vaisseaux sanguins et des efforts musculaires rupture d un an vrisme dilatation d une partie d un vaisseau sanguin d veloppement de maladies articulaires En cas d accident ou de malaise grave si une personne expos e au froid est retrouv e inconsciente son transport doit se faire en position couch e avec les bras non sur lev s pour viter un apport de sang p riph rique tr s basse temp rature vers la cage thoracique susceptible de provoquer une diminution de la temp rature centrale du corps toujours n faste au niveau cardiaque Il est utile de retenir que les moyens de protection du travailleur en ambiance froide sont repris dans les recommandations de l article 148decies du R G P T et dans l arr t royal du 7 ao t 1995 portant sur l utilisation des quipements de protection savoir Les v tements de protection ils sont essent
7. d tablir une collaboration avec les services de sant publique pour mettre en place une strat gie de r ponse ad quate en cas d attaque D apr s un article publi dans la revue de m decine g n rale de novembre 2001 CHAUD EN HIVER LUTTER CONTRE LE FROID CHAUD EN HIVER LUTTER CONTRE LE FROID AV a Ar F SAT L tre humain a une temp rature constante Cette constance de temp rature est n cessaire au bon fonctionnement de ses diff rents organes tels que le c ur les poumons les organes abdominaux et bien s r le cerveau Ceux ci constituent le noyau central de l organisme La zone p riph rique comprend la peau le tissu cellulaire sous cutan et les muscles ammm Lorsque le corps humain est soumis des temp ratures tr s basses pour diminuer les pertes de chaleur un ph nom ne de vasoconstriction r tr cissement des vaisseaux sanguins p riph riques peau mains pieds et de vasodilatation ouverture des vaisseaux sanguins profonds s installe avec comme cons quence une acc l ration de la fr quence et du travail cardiaque Cette redistribution de la circulation sanguine des r gions voisines de la surface de l organisme vers les organes profonds assure le maintien de la chaleur centrale du corps le plus longtemps possible L individu peut tenter de maintenir sa temp rature interne en augmentant sa production de chaleur de deux fa ons l une volontaire par l ex cution d un
8. e clause avec l aide du service 4 suivant l article 5 de l arr t royal du 5 05 95 5 juridique dans les appels d offre et dans le contrat par laquelle on sp cifie que la facture ne sera pas pay e sans ces documents Il doit en tre de m me avec le manuel d utilisation qui doit tre en fran ais C est le seul l ment par lequel vous puissiez faire pression pour obtenir satisfaction Le troisi me feu vert s applique la mise en service Que dit la l gislation Le Conseiller en pr vention S curit r dige un rapport constatant le respect des lois et r glements en mati re de pr vention de protection et de bien tre au travail Ce rapport devra tre sign par le Conseiller en pr vention M decin du travail lors de sa plus proche visite dans l tablissement En pratique La mise en service ne se limite pas examiner la machine D autres actions doivent tre entreprises parmi lesquelles a La formation des utilisateurs concernant e Le mode d utilisation l inspection et l entretien e Les dispositifs de s curit existants et les quipements de protection individuelle porter gants lunettes par exemple a L affichage des consignes de s curit Dans la mesure du possible elles seront plac es sur la machine Ces consignes seront galement communiqu es par crit toutes les personnes susceptibles d utiliser ladite machine professeurs personnel technique l ves Les consignes peuv
9. ent tre de simples pictogrammes port du masque des lunettes de s curit par exemple ou un panneau mural reprenant les man uvres de s curit o La conclusion d un contrat avec un organisme agr pour les contr les l gaux lorsque la loi l exige par exemple pour les ascenseurs les quipements de gymnastique et murs d escalade les compresseurs Suivre la proc dure l galement recommand e par le Code du bien tre est un gage de s curit pour tous et un objectif suivre pour r duire le nombre d accidents du travail LE BIOTERRORISME Qu est ce que le bioterrorisme Le bioterrorisme peut tre d fini comme tant l utilisation de virus de bact ries de champignons ou de toxines substances produites par les spores des bact ries les spores tant les organes reproducteurs dans le but de provoquer une maladie ou le d c s d tres humains d animaux ou de plantes Quels sont les moyens de diss mination des agents du bioterrorisme Deux modes de transmission sont m me de toucher un grand nombre de personnes e La diss mination digestive Certains micro organismes induisent une maladie par l ingestion des toxines qu ils produisent la maladie se d clare rapidement Il s agit principalement de la toxine botulique responsable du botulisme dont la gravit est li e l apparition de paralysies musculaires surtout respiratoires Ce type de contamination est difficile
10. es Professionnelles dans la vaccination contre l h patite B 15
11. iels Un temps de travail adapt avec pause Des boissons chaudes caf th soupe entre autres mais pas d alcool Une boisson alcoolis e provoque un bref sentiment de r chauffement li la concentration locale de l alcool dans la bouche et l sophage mais induit rapidement une vasoconstriction qui accentue encore une hypothermie corporelle En effet lorsque l alcool passe dans la circulation sanguine il agit comme un vasoconstricteur pendant plusieurs dizaines de minutes De plus cette action a lieu dans la circulation sanguine profonde Une alimentation adapt e apport suffisant en calories tout en respectant un minimum de di t tique inutile de manger quatre fois par jour une choucroute au lard gras et saucisson Les quipements de protection individuelle destin s pr server tout ou une partie du corps contre les effets du froid doivent poss der un pouvoir d isolation thermique et une r sistance m canique adapt s aux conditions pr visibles d emploi et au type d effort physique effectuer Avoir trop 12 chaud dans un v tement mal adapt peut tre dangereux pour la sant lorsque l effort physique s arr te et que la personne reste dans une ambiance froide Les mat riaux constitutifs et autres composants des quipements de protection individuelle destin s la protection contre le froid doivent tre caract ris s par un coefficient de transmission du flux thermique a
12. ns les cosyst mes des puces de rongeurs sauvages et domestiques partout travers le monde Elle persiste galement en raison de la grande r sistance des bact ries dans les sols infect s et de celle des puces de rongeurs contamin s Comme agent du bioterrorisme la diss mination est li e l inhalation d un a rosol de germes d clenchant une peste pulmonaire tr s contagieuse en quelques jours avec fi vre toux essoufflement et crachats sanglants 9 Il n existe pas de vaccin efficace pour pr venir cette forme de peste qui se traite par antibiotiques Heureusement le niveau lev d hygi ne dans les pays occidentaux rend l utilisation de la peste comme agent de bioterrorisme tr s peu probable Le botulisme Le botulisme est une maladie caus e par une bact rie le clostridium botulinum qui produit une toxine substance attaquant le syst me nerveux en provoquant une paralysie des muscles et notamment les muscles de la respiration mena ant ainsi les fonctions vitales L intoxication est le plus souvent d origine alimentaire due la consommation d aliments en conserve contamin s par la bact rie lors de leur pr paration qui sont ensuite absorb s sans tre suffisamment r chauff s la toxine produite par la bact rie est en effet rapidement inactiv e haute temp rature 100 C La maladie peut galement se transmettre par la peau la suite de plaies souill es par le sol lors d
13. organiser si l on peut dire sauf pour les agglom rations disposant de r servoirs d eau dans lesquels des toxines peuvent tre d vers es e La diss mination a rienne De nombreux agents peuvent tre transmis par voie a rienne o Ils agissent en se multipliant au sein de l h te et induisent une maladie apr s une p riode d incubation de dur e variable Pendant la p riode d incubation il n y a aucun sympt me Un des moyens de toucher un grand nombre de personnes est de diss miner ces agents au cours d v nements publics impliquant un grand nombre de personnes sport La diss mination s effectue l aide d a rosols par exemple 7 Les syst mes de conditionnement d air peuvent galement contribuer la diss mination d agents biologiques ou chimiques Quel est le risque de contamination de personne personne en cas d attaque bioterroriste Le risque est li l agent contaminant et son degr de contagiosit Les toxines du botulisme par exemple et certains micro organismes comme l anthrax sont peu contagieux De ce fait celui qui est ventuellement contamin ne transmettra pas la maladie son entourage En cas de menace r elle des vaccins efficaces existent contre certaines maladies comme la variole ou un traitement pr ventif par antibiotiques comme dans le cas de l anthrax peut tre instaur dans l entourage de cas suspects Par contre d aut
14. ou la pluie ou neige le froid ou les projections Le syst me du v tement en 3 couches comporte plusieurs avantages e L ajustement de l isolation thermique en fonction de la production de chaleur e L emprisonnement d un maximum d air immobile l air immobile tant un excellent isolant thermique Ainsi le vent cr e le 13 d placement des mol cules d air chaud immobilis es dans la texture du v tement et induit un effet d favorable sur l isolement e L adaptation la morphologie ce qui a pour effet de limiter les mouvements d air entre la peau et le v tement et par cons quent les pertes de chaleur Par ailleurs certaines r gles doivent tre respect es Les v tements doivent tre secs et en bon tat Enti rement mouill un v tement perd pr s de la moiti de son isolation et risque d accumuler par l eau et la vapeur d eau le froid ambiant L air du tissu est remplac par l eau qui est un tr s bon conducteur du froid La mouillure des v tements peut venir non seulement de l ext rieur sous l effet de la pluie des embruns ou d une immersion mais aussi de l int rieur partir de la sudation Il est donc difficile de se prot ger la fois de l humidit ext rieure et d liminer l eau mise par la peau Des tissus modernes fabriqu s selon des proc d s particuliers de tissage de microfibres sont constitu s de micropores imperm ables l eau liq
15. res micro organismes sont tr s contagieux C est le cas de la peste et de la variole La contamination par les gouttelettes de salive peut tre pr venue par le port d un masque facial et par l adoption des r gles d hygi ne fondamentales lavage des mains d sinfection du mat riel Quels sont les agents les plus susceptibles d tre utilis s Cinq agents semblent d apr s les experts des Etats Unis repr senter la plus grande menace pour la sant publique il s agit des micro organismes suivants la variole l anthrax la peste la toxine botulique et le chol ra Les aspects principaux de ces agents seront examin s ici La variole La variole une maladie virale est radiqu e depuis 1979 La vaccination obligatoire dans notre pays jusqu en 1984 a t supprim e depuis cette date La variole se caract rise par une ruption de boutons de type v sicules remplis de liquide qui recouvrent tout le corps le risque de mortalit est tr s lev ainsi que celui li des s quelles neurologiques l enc phalite Comme agent du bioterrorisme la variole peut tre diss min e par a rosols tant contagieuse elle peut s auto entretenir une fois l pid mie d clench e 8 La seule pr vention possible est la vaccination dans cette optique la Belgique a d cid de cr er un stock de vaccins en pr vision d une ventuelle attaque biologique sans organiser toutefoi
16. s une campagne de vaccination syst matique tant donn les risques non n gligeables d enc phalite vaccinale Comme la variole est caus e par un virus l administration d antibiotiques est inefficace L anthrax L anthrax appel galement maladie du charbon en raison de la l sion de couleur noire apparaissant sur la peau en cas de maladie cutan e est caus par un bacille tr s largement r pandu dans la nature Seuls sont expos s un risque les leveurs de moutons les v t rinaires et les travailleurs de la laine La maladie peut se manifester sous deux formes la forme cutan e inoffensive et la forme pulmonaire elle souvent mortelle La forme pulmonaire est caus e par l inhalation des spores organes reproducteurs des bact ries d anthrax qui en se logeant dans les poumons entra nent en quelques jours une maladie respiratoire avec fi vre malaise fatigue et essoufflement La maladie se traite l aide d antibiotiques tr s efficaces Il existe galement un vaccin aux U S A qui pr sente des effets secondaires non n gligeables Comme ce vaccin n existe qu en petites quantit s l heure actuelle il ne pourrait tre utilis en urgence en Cas d attaque bioterroriste La peste Cette maladie tr s contagieuse est connue depuis longtemps elle est caus e par une bact rie et touche l tre humain et certains rongeurs La maladie persiste gr ce une solide implantation da
17. uide mais perm ables la vapeur et permettent ainsi de r soudre partiellement ce probl me Le coton m me s il offre un confort de port agr able est d conseill Celui ci est tr s hydrophile absorbe l eau et finit par tre tremp tr s rapidement si l effort musculaire est important Les v tements doivent tre p riodiquement renouvel s Le nettoyage r p t et ou l usure diminuent leur efficacit Les microfibres se distendent par les lavages et s chages r p titifs et les propri t s des enduits textiles disparaissent Porter une protection de la t te cagoule bonnet ou capuchon Le t te est une source de grande d perdition de chaleur Une cagoule avec des orifices pour la respiration qui permettent d viter la formation de glace partir de la vapeur d eau expir e est particuli rement appropri e De m me une cagoule tr s enveloppante et d bordant largement le plan de la face assure une tr s bonne protection gr ce la cr ation d un microclimat devant le nez et la bouche Des lunettes prot gent l il des effets du vent et vitent les gelures de la corn e Porter des chaussures avec des semelles antid rapantes et isolantes et des chaussettes adapt es Les chaussures doivent 14 permettre une petite circulation de Pair afin d viter la mac ration Le la age ou les syst mes de serrage des chaussures autour des pieds et des chevilles ne doivent pas g ner la circulation sang
18. uine Enfiler des gants ou des moufles ET POUR CEUX QUI PARTENT AUX SPORTS D HIVER La pratique d un sport d hiver demande un minimum de pr paration physique gymnastique exercices d endurance et d assouplissement pour pr venir les accidents ne pas n gliger la qualit _des verres solaires surtout en haute montagne ou sur glacier verres filtrant les rayons ultraviolets 100 et au moins 30 des infrarouges suivre les consignes de montagne ou des pistes conna tre et respecter ses limites physiques et s chauffer avant le d part s enduire de cr me solaire pour se prot ger du froid et du soleil s alimenter et boire r guli rement Enfin il n est pas conseill de skier par une temp rature inf rieure 10 C surtout lorsque le taux d humidit est lev l humidit accumul e diminuant l isolation au froid voir plus haut Arr t du Gouvernement de la Communaut fran aise du 13 juillet 2001 sur le harc lement moral Moniteur belge du 17 ao t 2001 Arr t royal du 20 mars 2001 modifiant l arr t royal du 28 juin 1983 tablissant une nomenclature sp cifique pour prestations de soins en mati re d assurance maladies professionnelles Moniteur belge du 12 avril 2001 Cet arr t permet le remboursement du Twinrix Adult Smithkline Beecham vaccin contre l h patite A et B aux travailleurs susceptibles de b n ficier de l intervention du Fonds des Maladi
19. ujours exiger que la documentation fournie comporte une copie de la d claration de conformit CE Il est remarquer que la proc dure du 17 feu vert ne fait pas double emploi avec le fait que les quipements doivent disposer du label CE le Conseiller en pr vention n examine pas seulement la machine mais galement de quelle mani re dans quelles circonstances et dans quels lieux celle ci est utilis e En effet on peut imaginer qu une machine dite CE soit enti rement conforme pour tre utilis e par des adultes form s alors qu il serait n cessaire de l adapter au moyen de doubles commandes ou d ajouter des arr ts d urgence en cas d utilisation par des l ves inexp riment s Un quipement s installe aussi dans un environnement de travail une machine bien que certifi e CE pourrait pr senter des 3 AR du 12 08 93 article 8 1 dangers en fonction de son emplacement Supposons que l on d sire installer dans un atelier de carrosserie un poste souder pr s d une installation de d graissage utilisant des solvants plusieurs solutions sont possibles pour pr venir le risque d incendie soit installer une ventilation soit placer une cloison ou encore loigner les deux postes de travail l un de l autre Toutes ces solutions n ont pas le m me co t et ne se mettent pas en uvre de la m me fa on Il est pr f rable de chiffrer ces am nagements avant l achat voire m me de les budg tiser plut t que de
20. ussi faible que l exigent les conditions pr visibles d emploi Inutile par exemple pour un alpiniste d emporter un sac de couchage en duvet de canard r sistant au froid par _20 C si celui ci passe ses nuits en refuges chauft s Id alement les protections vestimentaires doivent tre tudi es de mani re ce que le froid accumul pendant la dur e du port y compris les extr mit s des doigts des orteils et de la t te n atteigne en aucun cas le seuil de la douleur A ce sujet le refroidissement des extr mit s entra ne une diminution de la dext rit La capacit effectuer des mouvements fins des doigts est r duite et peut tre l origine d un accident du travail Par ailleurs ces quipements doivent conserver le degr de souplesse exig par les gestes accomplir et les postures prendre Il doivent s opposer dans la mesure du possible la p n tration de l eau ou neige Les connaissances acquises dans le domaine de la protection vestimentaire contre le froid dans la pratique des activit s d hiver raid ski raquettes promenades par exemple a permis de mettre en vidence l int r t du port des v tements en 3 couches e La couche interne avec les sous v tements ordinaires ou si n cessaire isolants e La couche moyenne avec le pull ou le polaire ou v tement de travail pour le maintien de la chaleur e La couche externe avec le v tement de protection contre l humidit

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