Utilisation des logiciels de photocomposition pour la
Contents
1. voluent de plus en plus vers la division entre la partie traitement de texte et la partie proprement graphi que ou typographique Le traitement de texte pouvant se si tuer sur des machines plus ou moins sophistiqu es machi nes de traitement de texte ordinateur de plus ou moins grande taille qui seraient reli s on line une photo composeuse m me tr s loign e et qui n assurerait que le r le de p riph rique de sortie 11 est vrai que pour les machines de traitement de texte au moins il faut parler de ce type de solution au futur ou au conditionnel tant donn qu l heure actuelle aucun passage direct nfest pos sible entre une machine de traitement de texte et une pho tocbmposeusee Il existe bien des liaisons tablies par ticuli rement chez Adressograph Multigraph mais l aide d interfaces l Une cons quence directe en tous cas en est que l implantation cessera certainement e figurer au nombre des probl mes Mais dans ce cas les programmes inte r ssants pour notre compte se situeraient au niveau du trai tement de texte et non celui de la photocomposeusee Cette volution risquerait d en appeler d autres Notament l apparition d une gamme bien plus vaste d appareils et surtout de petits orient s vers des applica tions diff rentes et ceci peut tre dans des d lais tr s brefs Mais si cette tude se trouvait de ce fait rapide ment caduque nous n aurions finalement que des raisons de nous r2. 8 Villeurbanne Mr Prieur de Linotype France M M R che et Vial de Bayard Presse Mr S bastiani de Fag Berag Mr Traband de l Imprimerie Nationale Mr Trucchi de Graphic Systemslnformatis s et M Vall e de Malesherbes Photocomposition Z INTRODUCTION Tl est tr s vraisemblable que les ann es venir vont voir un d veloppement important deszeelations entre la photocomposition et la documentation de presse La photocomposition en effet est ce proc d qui consiste passer d un document tap la machine sur un support papier ou m me crit la main un document sur film ou sur bro mure pr t pour l impression Et ceci de plus en plus par l inter m diaire d ordinateurs ind pendants ou int gr s dans la photocom poseuse qui re oivent les textes directement en m moire centrale pour les premiers ou par l interm diaire de supports magn tiques bandes disques disquettes Ces ordinateurs sont pourvus de programmes sp cifiques du traitement des textes et de programmes de tri Les textes ressortent justifi s mis en colonne les cou p ures de mots sont assur es entretemps ils ont t rapp l s cor rig s manipul s supprim s remplac s voire class s C est donc pour les besoins de ba photocomposition que chaque jour les textes sont enti rement saisis non sur des matrices de plomb mais sur des supports magn tiques exploitables ensuite par d autres mat riels Mais ils ne sont qu exception
3. t et en particulier de la presse la Mission l Informatique a recueilli les projets de journaux ou entreprises qui visaient instaurer des bases de donn es d actualit A l heure actuelle on en compte douze L AFP Le Monde associ avec Paris Match L Express associ avec Europe 1 Les Echos Le CTIR GECAM AGEFI Hachette Fondation des Sciences Politiques Documentation frangaise Apr s bien des al as les d positaires de projets ont t r unis pour la premi re fois en commun au d but P de l ann e 1980 Ils ont d cid de l opportunit d une tude de march sur les utilisateurs de bases de donn es de presse mener en commun Cette tude serait financ e moiti par le gouver nement moiti par les f d rations Ce qui n emp che pas un certain nombre de journaux de tenter d avancer seuls tant donn la lenteur du cours des v nements En effet la question Avez vous des projets d automatigation pos e une trentaine de centres de documentation de presse en Avril 1979 la moiti r pondaient par l affirmative m me si il est vrai leg Le balaki plus ou moins loign Enqu te r alis e aupr s des membres du grpape presse de l Association des Documentalites et Biblioth caires Sp cialis s En tous cas Le Monde met actuellement en ordinateur ses fichiers annexes auteurs cin ma th atre livres L Union de Reims Jean Claude Gayet maintenan
4. exemple il serait plus simple pour ta recherche d avoir un num ro d dition qui corresponde au num ro min ralogique du d partement plut t qu un num ro al atoiree De m me un accord serait interessant au niveau des intitul s des rubriques qui correspondent le plus souvent au d coupage des secteurs entre r dacteurs et qui g n rent les rubriques du journal dans sa pr sentatione Utilisation L on peut envisager deux sortes d uti 1i sations L utilisation pour un index hi rarchis Dans le cas des mat riels disquette donc posant des probl mes de volume la rubrique serait duhiveau de la disquette exemple disquette litt rature le sous rubrique au niveau du tra vail pr c d de son num ro d enregistrement exemple sous rubrique prix litt raires l int rieur la recherche se fe rait par chaine de caract res sur des termes ro ma oc en M L utilisation des rubrique est pas obligatoire C est le choix qui a t fait L Union o de plus tant donn les habitudes de travail un m me ar ticle pouvait tre saisi par plusieurs clavistes donc cla t en plusieurs endroits Dans ce cas il tait plus rapide de saisir le plan de classement de la documentation et d ef fectuer une nouvelle saisie rien que des titres et des da tes en n utilisant que le canevas propos par les pro grammese 32 L utilisation pour un fivhier inverse Il serait possible de oonstituer un fi chier inver
5. il est possible de visualiser ce qui est en ordi nateur pour connaitre le nombre de lignes crites ou compos es s il y a eu des nouvelles importantes l on pourrait rajouter avoir acc s de la documentation etc On sort finalement le texte sur la photocomposeuse lorsque toutes les op rations de correction ont t faites De plus Le Proven al a un syst me de re cherche documentaire l IRMS Information Retriewal and Management System et la SEMI Soci t d Etudes de Marche et d Informatqque qui est la filiale du Provengal a cr SFIP Syst me de Fabrication Int gr pour la Presse logiciel r alis par eux et commercialis depuis 1975 ate II LES LOGICIELS 22 Nous avons vu pr cedement qu il serait souhaitable d organiser les relations entre la photocomposition et la documentation Mais quelles rela tions Il est possible de les envisager en deux sens le sens donn es cod es photocomposition c est le cas par exemple de l ANPE de Malm qui envoie directe ment en m moire les offres d emploi quotidiennes au journal des travailleurs Ou encore de l Imprimerie Nationale qui offre ses clients la possibilit de leur livrer les don n es sur des supports directement exploitables par la pho tocomposeuse c est le cas notament de la Maison des Scien ces de l Homme ou auparavant du CNRS Le sens photocomposition documen tation est par contre beaucoup moins pratiqu C est par exemple
6. jouir 43 Par contre il faut reconna tre que cette solution ne demande aucun achat de mat riel ni de logiciel et qu une ou des exp rimentations r v leraient peut tre d autres possibilit s encore insoup onn es Car les indices positifs sont suffisants pour que l on puisse penser qu avec un peu d astuce et d esprit de subversion il doit tre possi ble d obtenir un syst me original et satisfaisante Ii n est que de percevoir les r actions quasi visc rales de certains informaticiens ou fabricants de mat riel pour se rendre compte que cette subversion pr ci s ment n est pas un moindre probl me Certains supportent en affet assez mal l id e que ces objets qu ils ont mis au point avec un objectif extr mement pr cis la composition de textes puissent tre d tourn s de leur objectif d origine pour des buts qui leur chappent totalement D autre part beaucoup de centres de calculs enfants g t s des entreprises ne vivent pas comme les centres de documentation qui ont toujours t des parents pauvres dans l id e de faire tour ner un syst me avec le minimum de moyens Et il leur semble futile de chercher proposer des syst mes peu co teux Peut tre est il vrai aussi que face au chef d entreprise un centre de documentation aura du mal faire changer une ma chine crire alors qu un informaticien aura plus de chances d imposer une base de donn es qui ne comportera parfois aucune garantie de qualit
7. l extension du mode conversationnel ouvre plus de pos sibilit sy qu des raisons syndicales puisque l atelier de photocomposition est reien de travail du Syndicaty du Livre et qu il n est pas question sauf cas exceptionnel d utiliser les consoles La seconde difficult provient des fabricants dont la production d index n est pas le centre d inter t majeur sans doute parce qu il n est pas non plus celui des entreprises Un ing nieur commercial pouvait se dire sans cesse plus tonn de l investissement financier que celles ci parvenaient con sentir pour s quiper de mat riels sans cesse plus sophistiqu s sur le plan de la mise en page et de la qualit graphique alors que la demande sur le plan documentaire tait totalement inexistante Il est cependant possible travers les essais faits L Union les catalogues des constructeurs et des contacts au niveau des entreprises d appr hender le probl me A Pensant utile dans un premier temps de donner quelques l ments sue les mat riels de photocomposition 1 tude se poursuivra suivant les axes suivants I Les diff rents mat riels et leur volution II Les logiciels leurs principales fonctions et leurs possibilit s en mati re documentaire III Les avantages et les inconv n nts de ce typefie solution le pollera en meo ple Les diff rents mat riels et leur volution 10 1 Historique La photographie ayant t invent e en 1822 o
8. la frappe au kilom tre Actuellement l on en est la com position informatis e qui permettrait m me distance de stocker les informations mais directement dans une m moire d ordinateur de grande capacit sans qu il en soit gard de trace sur aucun support Toutes les manipulations correction rajouts coupures etc se font sur la m moire centrale Ce qui ne signifie pas qu il n existait auparavant aucun moyen de transmission distance le proc d TTS Tel typesetter permet la transmission par l interm diaire d une bande perfor e par fil ou par radio des impitiisions lectriques qui parviennent aux r cepteurs perforateurs d autres imprimeries o elles reproduisent auto matiquement une nouvelle bande perfor e Notons aussi que la composition automatis e si elle ne n cessite aucun support peut bien entendu prod ire des archives sur un support magn tique ex ploitable ensuite 16 blage et de fonte des composeuses fondeuses de lignes bloc La source d exposition tait une lampe tungst ne lampe filament dont l mission estcpatenue La matrice portant les caract res est immobile et le caract re vient se placer sur la trajectoire du faisceau lumineux b La deuxi me g n ration Il s agit de photocomposeuses cir cuits lectriques qui ont des claviers ind pendants justi etant frappe au kilom tre c est dire non justifi s Ce qui entraine nous l avons vu la co
9. C est l un probl me de pouvoir au sein des entreprises qui d passe notre propos actuel Restent enfin r gler deux probl mes qui se posent non seulement dans le cas de cette application pr cise mais pour toutes les bases de donn es et celles de le presse avec une acuit particuli re en ce moment 44 1 Le vocabulaire Quel vocabulaire allons nous employer Un vocabulaire fix et d termin l avance mais qui aurait l inconv nient de sa fixit dans un domaine o les expressions bougent une tr s grande vitesses Un vocabulaire libre o chacun rentrerait sa documentation avec ses propres termes Pour avoir adopt ce principe La Nouvelle R publique a vu une inflation terri ble de son vocabulaire et estimait un moment que sa perte d information tait de 50 Autre aspect des choses chacun doit il mettre au point son propre vocabulaire ou les journaux parviendront ils instaurer un vocabulaire commun Come nt Bemtxm sera d termin ce vocabulai re peut on l heure actuelle tabler sur une m thode vala ble d indexation automatique Ce type d indexation ayant com me inconv nient de me d crire un texte qu partir de ses propres termes ce qui est consid r par les uns ou les autres comme un handicap plus ou moins importante Ou par une indexa tion manuelle laquelle on reproche souvent son manque d ob jectivit e Actuellement aucune tude ma connaissan ce ne permet de justifier un
10. UNIVERSITE CLAUDE BERNARD LYON I 43 Boulevard du Il Navembre 1918 69621 VILLEURBANNE Dipl me d Etudes Sup rieures Specialis es normalioue documentaire x MEMOIRE DE STAGE x NOTE OE SYNTHESE L vectration de boyi cehs ce photocempors ton poe La documentation Ae AUTEUR Olle KOBERT RIOWDET cies DATE g Mer 1980 lt AsO SO y i one amp A i 6 L UTILISATION DES LOGICIELS DE PHOTOCOMPOSITION POUR LA DOCUMENTATION DE PRESSE O ROBERT RIONDET Je remercie en tout premier lieu Jean Claude GAYET ancien chef du service de docummntation du journal L Union de Reims et actuel charg de mission du Comit Technique Intersyndical de Recherche pour avoir t l initiateur de ce m moire en commen ant utiliser le logiciel de composition de son entreprise pour l laboration d un index et en acceptant de me faire part de son exp rience En second lieu Mr DEWEZE de la Soci t Merlin Gerin amp Grenoble qui a accept de suivre ce m moire Enfin les personnes qui ont bien voulu me recevoir ou me communiquer les documents en leur possession M M Allotru et Mosselin de Siemens Hell Mr Aslanoff de Monotype Mr Burkhard de l International Research Association fot Newspaper Technology Darmstadt M M Chastagner et Laveille de la Soci t Delaroche Le Progr s les Soci t s Compugraphic et Harris France Mr Leoni du Proven al a aa de la Soci t de photocomposition et de photogravure
11. abricants de mat riel informatique se sont pench s sur le probl me Citons quel ques logiciels sans pr tendre aucunement l exhaustivit celui de l imprimerie nationale Siemens l origine COSY 1000 de CII HB DOSY de Siemens CLAD V de Linotype MOPAS de Bobst Graphic PRINTEXT d IBM ou ceux d velopp s par la CERCI qui l heure actuelle met au point celui du Monde Ces programmes doivent permettre de saisir les textes de les rappeler de les corriger de les justi fier de les manipuler voir les fonctions traitement de tex tes et en plus dans le cas des annonces ou des tableaux de bourse ou de r sultats sportifs de mise en page parti culi re et de tri selon un certain nombre de crit res Le logiciel de l imprimerie nationale sp cialement con u pour la production d index permet d tablir trois niveaux de hi rarchie entre les termes et de noter 29 jusqu 42 mots cl s Mais pour interessant qu il soit nous ne nous y attarderons pas nous n tudierons que les possibi lit s offertes par les logiciels de composition uniquement Enfin nous parlerons beaucoup de dis quettes car beaucoup de mat riels fonctionnent avec ce ty pe de support Mais il est bien vident que les gros sys t mes poss dent les m mes fonctions en g n ral et offrent plut t plus de possibilit s notament au plan du stociagee Les fabricants proposent g n ralement en option une sortie sur disque ou bande Mais tou
12. amp la soci t canadienne Microfor dont 1 index lui semble mal fait et de nature doscr diter l image du journal tout autanf qu nuire la commercialisation de son propre index Ou le CTIR Comit Technique Intersyndical de Recherche manation du regroupement d un certain nombre de syndicats professionnels de presse dont le projet d pos la Mission l Informatique se veut commun tous les jour naux C est le probl me que pose a contrario 1 Express qui depuis quelques ann es d j tente de vendre sa documentation toutes coupures confondu es un certain nombre d utilisa teurs dont Europe 1 H C est dans ce cadre que se situe ce m moire qui s est donn pour objectif l int rieur du probl me plus g n ral des relations possibles entre la photocomposition et la documentation de presse d tudier la pertinence de l utili sation des logiciels de photocomposition eux m me En sachant que chaque entreprise fe composant g n ralement que sa propre ong Am production il ne s agirait donc pas alors de constituer par ee moyer du moins une documentation comptant d autres publications Les difficult s La difficult essentielle de cette tude repose sur le fait qu elle est obligatoirement prospective puisque l heure actuelle aucune exp rimentation de longue dur e n a pu tre faite du moins ma connaissance Ce qu il faut sans doute moins attribuer des misons d ordre technique bien que
13. c illes font ensuite l objet d un tri en m moire ou sur dis que puis sont stock es sur disque Les crit res de tri sont g n ralement les crit res de priorit ou d encombre ment c est dire que toutes les annonces de grand format viendront en t amp te le crit re alphab tique le style la rubrique De plus les articles appartenant au m me groupe ou la m me rubrique peuvent tre reproduits automatiquement selon le mode de tri d sir Par exemple il est possible de s lectionner les annonces d une rubrique ou d un groupe de rubriques pour une dition ou une date de pa rution d termin e Enfin il est possible de croiser deux crit res et de ressortir par exemple les annonces de telle taille et de telle rubrique ce qui distingue les gros titres des br ves ou parfois plusieurs crit res cat gorie surfa cer ordre alphab tique L on voit done bien les possibili t s offertes par ces programmes notament pour la cr ation d un fichier inverse ou de rubriques que l on pr f rerait voir figurer en clair plut t que cod es a Les chaines et les formats Les chaines et les formats sont des termes dont la signification varie suivant les constructeurse Nous essaierons de cerner le fait tel qu il est possible de le synth tiser La chaine ou le format est constitu da un identificateur suivi de et d une chaine de caract res Cet identificateur g n ralement de quelques signes est le plu
14. e i d iden tification du document ce qui peut tre pr cieux notament lors de l volution des rubriques Impression justification sortie photocomposeuse ve sont des fonctions qui peuvent ser vir pour diter et diffuser l index soit l int rieur soit l ext rieur Ou pour communiquer une recherche sur un th me pr cis Dans ce cas l index se pr sentera sous le forme de rubriques de niveaux diff rents les textes tant class s l int rieur par ordre chronologique Dans certains cas kiex ils peuvent galement l tre alphab tiquement si l on peut feife appel un programme de tri d annonces d une liste alphab tique de termes renvoyant aux num ros d articles correspondants ces num ros tant de pr f rence significatifs par eux m me et d une Liste des articles class s par num ro c Les programmes de tri Pour obtenir un index tri il n est pas toujours possible de faire intervenir a post riori un programme de tri Dans ce cas il faut l avoir employ d s le d parte Les programmes d annonces ont d s l origine la possibilit de plusieurs niveaux de rubriques de l ordre de quatre Ces rubriques peuvent tre aussi 57 nombreuses qu on le d sire Ensuite les annonces peuvent tre class es par exemple dans les annonces immobili res les ven tes de villas dans le d partement de l Ain seront class es par ordre alphab tique de localit s Toutes les annonces sont saisies en vra
15. e option plut t qu une autre alors qu il serait bon de pouvoir mesurer les inconv nients de 1 inflation des termes par rapport ceux de la subjectivit M me au del il serait bon de s in erro ger sur le concept m me d objectivit dont on sait quel point il peut tre d battu Nous sommes de plus renvoy s cette occasion l analyse dames que nous ne pouvons faire ici des relations entre documentalistes et journalis tes car ce reproche de manque d objectivit est plus souvent 46 la question vague si la r ponse donn e a pu satisfaire ou a t suivie d une autre et si possible l analyse de dia logues entre documentalistes et journalistee permettant de d terminer les glissements de sens entre la premi re gues tion pos e et la derni res vette recherche devrait tre doubl e d analyses de demandes de lecteurs car si ces derniers ont toujours t tr s nombreux s adresser aux services de documentation ils taient consid r s jusqu maintenant comme un public secondaire les documentalistes tant l essentiellement pour les journalistes Cette vis e risque beaucoup de s inversere Et ces demandes ext rieures extr mement nombreuses qui cofitaient cher au journal parce que pour donner les r ponses g n ralement gratuites il fallait parfois un ou m me des postes de documentalistes suppl men taires pemwent se r v ler non plus seulement un service apr s vente cofiteux mais un
16. ections et renvoy s la m moire centrale avec les indications de caract res 18 corps justification 34 puis traitls par l ordinateur pour ex cuter les ultimes corrections le cas ch ant Le film est produit par la photocomposeuse qui est command e par la m moire centrale 4 L volution Selon le guide de la photocomposition 1977 l volu tion des techniques s oriente suivant les trois axes suivants terminaux de saisie correction terminaux de sorties imprimante et photocompo seuses i syst mes informatiques A quoi l on pourrait rajouter la lecture optique qui suppri merait la frappe au kilom tre et dont la vitesse est celle de 15 20 op rateurs sur clavier Mais l h ure actuelle ce mat riel ne donne pas que des r sultats satisfaisants et certaines entre prises ont du l abandonner apr s l avoir adopt Terminaux de saisie correction Depuis 1977 l enregistrement des textes s effectue sur des supports magn tiques disques souples sur des claviers de sai sie proches des machines de traitement des textes Les claviers vid o 0 nouveau type comportent un micro processeur et deviennent un poste complet de traitement de textes saisie calibrage stockage du texte avec lecteur et syst me de correction Sur certains mat riels on utilise un crayon lectronique pour manipuler des touthes qui permettent d obtenir plus grand plus petit italique gras 19 Terminaux de sortie L
17. er malgr le faible co t des disquettes et pas forc ment plus mania ble donc d un inter t relatif Quant au disque dur il con tiendrait um mpis et demi de Croix ou dix jours de quo tidien r gional douze amp ditions Au niveau des titres et des chapeaux on parvient encore des manipulations importantes une dis quette pour Ceux semaines de La roix une pour 100 27 jours au plus et 60 jours au moins pour un quotidien r gio nal une dition c est dire deux trois moise Ceci pour des disquettes de 600 000 caract res Sans cela il faut encore diviser ces chiffres par deux 11 y aurait une solution qui consis terait r partir d s le d part les disquettes selon les rubriques adopt es par la photocomposition Et m me en sous rubriques Pour diverses raisons il ne serait pas forc ment int ressant d aller au del Entre autres parce que les re cherches les plus ais es ne se font pas obligatoirement dans les index les plus hi rarchis s D autre part suivant le pro duit documentaire que l on voudrait obtenir les manipula tions pourraient se trouver d multipli es d autant lors de la saisie Cette solution est grosso modo celle adopt e par Madeleine Desbans au R publicain lorrain dont toute la documentation est trait e par une machine de traite ment de textes qui ne travaille qu avec des disquettes cha que mois les informations contenues sur une disquette sont dispatch es su
18. es tudes se portent actuellement sur les possibilit s du laser de la fibre optique des cristaux liquides ces derniers ne sont pas encore utilis s De plus en plus les photocomposeuses auront sortir non seulement des textes mais aussi des images et m me des images couleurs qui auront t auparavant digitalis es Les syst mes Un ordinateur peut tre int gr par exemple dans les claviers et dans les photocomposeuses sp cialement les petites soit autonome et connect un ou plusieurs p riph riques Dans ce cas on a un syst me A ce moment le traitement des textes se fait en conversationnel Les photocomposeuses de toutes tailles deviendront de plus en plus des p riph riques de syst mes de trai tement de textes g r s par des ordinateurs ou des micro processeurs R Djeddah Directeur commercial de Linotype France Guide de la photocomposition 1977 Un aper u d un syst me peut tre donn partir des installations du Proven al une pr maquette est tablie d apr s les pr visions d articles et apr s une distribution des lignes Les articles viennent s ins rer dedans Ils sont tap s dans les agences et envoy s en m moire Ils sont rapp l s pour la correction et la mise en page Pendant ce temps les d p ches d agences arrivent directement en m moire et peuvent tre consult es partir de leur rubrique leur heure d arriv e ou leur provenance 20 A tout instant
19. ion par claviste la liste des effac s ou celle des articles dis para tre lors de la prochaine purge la sauvegarde la plupart du temps les informations so t enregistr es en double sur des supports diff rents Les articles peuvent tre automaticuement effa c s la date de parution limite indiqu e Ils peuvent tre sauvegard s si l on met une date limite tr s loign e ou en fonction de crit res du type identification activit date de parution Il est possible de les garder en archivage ou de garder un texte jusqu une purge manuelle l Notons que dans certains syst mes un num ro d identification ne peut qu tre unique Un messa ge d erreur sera automatiquement envoy si l on se trompe et donne un num ro en double ou de forme erron e Cet aspect est double tranchant car s il est un garde fou contre les fautes de frappe il peut constituer une limitation il faut faire intervenir dans le num ro un l ment constament changeant comme la date pour parvenir archiver par exemple deux articles sur l cole maternelle publique parus tous les deux en page 6 b Les tonctions de traitement de texte ve sont les fonctions que ne sont pas originales par rapport aux machines de traitement de texte Suivent les mod les de mat riel nous aurons bien entendu des possibilit s diff rentes Nous examinons ici l ensemble de ces fonctions sans r f rence un constructeur pr cis ou une entrepri
20. l autre service offert par l Imprimerie Nationale apr s r ception des documents et leur organisation en in dex l aide d un logiciel particulier d velopr par leur 23 service informatique et Siemens le client peut demander recevoir outre le document papier la bande magn tique avec le texte tout en capitales et d barrass de ses ins tructions typographiques Ceci pour une sortie imprimante des stocks documentaires des statistiques etc Selon les auteurs du livre L infor mation demain une exp rience est galement en cours au Chicago Tribune o tout l enregistrement doit tre conser v sur disque pour servir de mati re premi re une future base de donn es Un classement sera ult rieurement pratiqu par codification C est aussi le sens des essais qui ont t men s L Union de Reims par J C Gayet et qui sont maintenant poursuivis par P D Pomart utiliser the logiciel Tui m me pour la production d index Il semble galement que des recherches de ce type soientmen es actuellement par le groupe allemand Springer Pourquoi alors qu existent l heure actu lle des logiciels documentaires assez performants L in ter t est bien s r essentiellement conomique Cette solu tion applicable imm diatement et sans frais dans tous les journaux utilisant la photocomposition n est bien s r pas parfaite L absence de logiciel appropri ne permet pas d articuler logiquement les descripteurse Mais i
21. l est n anmoins possible de classer les articles dans une sorte d index fort utile Si techniquement les essais faits L Union ne pr sentent aucune difficult s rieuse d autres obstacles apparaissent ils sont li s aux concep 24 tions du syndicat du livre qui refuse toute personne documentaliste n appartenant pas la corporation l u tilisation des claviers crans permettant le dialogue avec le syst me JC Gayet Journal de la Communication Avril 1980 Et i1 est tr s vraisemblable que ce sont des raisons syndicales beaucoup plus que techniques qui ont jusqu maintenant frein toutes les vell it s en ce domaine Ce qui nous am nera examiner successivement les deux probl mes suivants Comment peut se r gler le probl me d implantation Quelle est la valeur du logiciel de composition pour la documentation pour quelle qualit de documentation 1 L implantation race au probl me pos par le syndicat du livre dont te souci est de maintenir l emploi alors que les nouvelles techniques ont profond ment boulevers tent le nombre d ouvriers que les qualifications attach es aux postes plusieurs solutions existent Une premi re solution est du type de celle de L Union la n gociation pour obtenir le droit d utiliser les claviers L autorisation apr s de longues discussions a fini par tre donn e Mais on a tout Lieu de penser que ce type de solution rigque de rester excep
22. lication dans l entreprise IBM terminaux 3270 Imprimante IBM 3287 Claviers crans 3278 UC 3274 Logiciel Printext Bibliographie fin CII Manuel d utilisation du COSY 1000 Linotype Manuels d utilisation du MVP et du CLAD V Catalogues Compugraphic LU Li
23. mposition programm e On est pass de 88 OOO 400 000 signes heure puis 2 Mil lions La source d exposition source x non puls missions lumineuses sous forme de d charge Les carac teres sont group s en alphabets sur des plaques La matrice est en mouvement et l exposition du caract re se fait pendant la rotation la vol e 1 ee Le texte est frapp sur une bande perfor e puis justifi e par le passage de cette bande en ordinateur Une se conde bande perfor e est produite susceptible de commander l uni t photographique de layphotocomposeuse ou parfois d une composeuse fondeuse Une preuve du film est envoy e l auteur pour les corrections Celles ci se font sur le film la main c La troisi me g n ration Ce sont des photocomposeuses tube cathodique les caract res apparaissent sur l cran et sont imm diatement photographi s par une cam ra leur faisant face Mais ces ca ract res ne sont plus mat rialis s nulle part ils sont ins 17 crits sous forme de digits binaires On parvient la vitesse de 11 millions de signes heure La source d exposition est un tube A rayons cathodiques un faisceau d lectrons vient frapper une couche de phosphore dont le tube est recouvert Les matrices sont des grilles n gatives de caract res La quatri me g n ration Ce sont les photocomposeuses laser La source d exposition est le laser mission lumineuse intense Le
24. n comptait d j en 1936 plusieurs brevets pour la fabrication de photocomposeuses C est en 1949 aux USA que la soci t Intertype produisit la premi re photocomposeuse Fotosetter qui fut install e l Imprimerie Mame Tours En 1945 un autre type la Lumitype due un lyonnais avait t mise au point Elle est actuellement au Mus e de l Imprimerie de Lyon Ancien H tel des Echevins En 1945 15 photocomposeuses diff rentes taient en exploitation En 1968 il y en avait 45 7 En 1972 80 En 1978 une centaine 2 Le principe La photocomposition est un proc d de composition permettant d obtenir directement sur film ou sur papier par l in term diaire d une op ration photographique les textes destin s a tre imprim s en offset h liogravure ou typogravure J ROBERT l Univers des photocomposeuses Elle est le travail qui pr c de 1 impression assemblage de caract res en lignes de taille identiques choix des caratt res dusxkaxkax mise des textes au format despages Cette phase se termine par l obtention d une matrice qui tait autrefois en plomb et qui est maintenant un film photographique pour l im pression offset Ce mode de composition se d veloppe tr s rapi dement au point que des journaux se trouvent maintenant oblig s zgi de s y adapter pour la simple raison qu il devient de plus en plus difficile de trouver des pi ces de rechange pour les anciens mat riels Si l on peut d cele
25. n ordinateur soit la photocomposeuse di rectement Ils donnent galement des instructions typographiques Soit le clavier est justifiant soit le clavier n est pas justifiant et le claviste tape au kilom tre et envoie le texte l unit centrale Le texte parvient l unit centrale soit en 12 passant par une bande perfor e qui a t produite par le clavier ou un support magn tique soit directement Crunk ms 6 Lo Aano Shana te de Ll Unies es plhotoarry roe de 3 Rope RF La photocomposeuse transcrit sur film ou sur papier photo le texte original par l interm diaire d un syst me optique qui peut modifier la taille du caract re On a des sh mas diff rents suivant le type de mat riel et le rythme de travail de production que l on veut ob tenir Prenons trois exemples 13 Une petite photocomposeuse seule avec un micro progesseur incorpor et les donn es saisies par un claviste unique hegre a a ae Hake AARE Des claviers perforateurs de bandes Sur les bandes sont indiqu es les codifications qui sont interpr t es par la photocomposeuse Des syst mes mod lables avec un ordinateur om innra Ce m Y ar DE lo Cri we 5 614 ous Ce que l on appelle composition programm e est n e avec l ordinateur on confie l ordinateur le soin de r aliser les changements de caract res coupures de mots mise en page elle est donc pr c d e de
26. nancement suffisant pour survivre Alors m me que l on ne connait pas encore les prix d acc s qui seront ult rieurement pratiqu s l exp rience de V lizy fait r ver beaucoup de directeurs de journaux surtout parmi les r gionaux ou la presse sp ciali s e Si bient t il suffit d un appel l cran pour connai naitre l enneigement des stations de sports d hiver les offres d emploi les ventes de maisons les programmes de cin ma les pharmaviens de garde les avis de d c s et les cours de la bourse le tout fourni entrem l de publicit que restera t il aux journaux L on sait que la publicit repr sente facilement pour eux 70 des recettes et que les r gionaux sont beaucoup achet s pour leurs pages locales et pratiques Or comme le remarque Louis Guery dans le bulletin N 65 du centre de fommation des journalis tes s il est vrai que le journal peut lui m me tre la banque d informations de T l tel on se rend compte qu il n y a rien 14 d automatique ni d obligatoire et qu il n est pas seul pouvoir remplir ce r le Un directeur de journal n affirmait il pas que le vid otexte tait un pis tolet que l on pesait devant lui et qu il n avait plus qu appuyer contre sa tempe Presse Actualit Avril 1980 Et ceci dans un d lai extr mement bref le rapport du Syn dicat de la Presse hebdomadaire et p riodique de D cembre 1979 constate l clatement du monopole de la presse crite se fera dans deu
27. nellement gard s la plupart du temps ils sont effac s dans les 48 heures A priori cela peut sembler unep rte de temps consid rable si l on veut ensuite saisir a nouveau le texte ou des parties de texte pour constituer une base de donn es C est ce qui explique que pour la presse le probl me de l archivage du texte entier pose un probl me sp cifique There is one important fact working in the long range for the full text system in the case of newspapers The newspapers are the only institution to have the text in electronic form nobody else has it In the long rang their competitive edge in the information systems will be pretty such based on this factor Anybody can set up a collection of microfilms but bc s only the newspapers that has the banc right for the electronic text before it goes to photocom position J Hannuksela Helsinki Congr s de l IFRA 1978 Si pourtant l heure actuelle il est impos sible pour des questions de volume et de co t de conserver des textes entiers sur ces supports les choses risquent d voluer tr s rapidement avec l ap parition du vid odisque Mais de toute mani re ind pendament de cet archivage total ne devrait il pas tre possible de reprendre les textes pour n en conserver que certaines parties et les organiser en index Mais comment proc der La question n a pas encore t tudi e de tr s pr s Et pourtant selon Dani le Degez Vathaire Le Monde c est l un des pr
28. ngr s de l IFRA sur la documentation de presse 1978 Congr s de 1 IFRA sur la photocomposition 1979 Livres Guide de la photocomposition 1977 Collection Compte fils J ROBERT L Univers des photocomposeuses Collection Caract res Compagnie fran aise d Edition v s s U La chose imprim e Six pays face l informatigation Documentation fran aise L information demain par LEPIGEON et WOLTON Documentation fran aise Rapports de stage L indexation automatique Data presse DINDOYAL M moire de DESS d Informatique documentaire Lyon I 1979 Rapports de visite ou de stage la photocomposition de Presse Oc an La Croix Les Echos Le Matin La Voix du Nord La Charente libre Herald Tribune Bibliographie suite Catalogues Pr sentation du syst me SPIP du Provencal Graphic System Ecrans GS 454 et 854 VP et APS 5 GS 1110 GS terminaux intelligents s rie GS 100 Siemens Hell Hell crans de visualisation DS 2032 et 2038 Appareils de visualisation et mise en page Digiskop 2048 Hell Liste de r f rence de Hell Syst mes et quipe ments de photocomposition Digiset Digiset 20T1 7 Klischograph 1 79 Hell Reproduction lectronique Mon type Syst me 3000 Mon type avec lasercomp Catalogue Bobst Graphic Harris Harris 2220 et 2530 Entretiens 1979 29 30 31 Mai 1979 Centre de marketing graphique IBM et le traitement de texte Les probl mes de pub
29. obl mes prioritaires que les journaux devraient aborder en commun lors de la constitution de bases de donn es de presse Des tudes dont les frais pourraient tre partag s dans le cadre d une coop ration doivent tre r a is es pour pr parer les choix techniques logiciels liens avec la photocomposition type de saisie utilisation ou non de microfiches ou microfilms indexation aveqou sans th saurus m thode d indexatio n quel niveau type de produits documentaires acc s amp la base directement ou par l interm diaire de documentalistes liens avec les bases ext rieures lesquelles et comment etc Congr s de l IFRA 1978 Il est bien vident que ce probl me fait partie de tout un contexte qui est celui de la constitution des bases de donn es d actualit pour lesquelles l inter t des uns et des autres commence s veiller depuis peu La situation de la presse Il y a encore dix huit mois la documen tation de presse n tait paatiquement pas automatig s sauf La Nouvelle R publique qui tient automatiquement l index de on propre journal et tr s peu de journauxpensaient s rieusement une automatigation mis part Le Monde L Express et l AFP dont le processus d automati sation g n ral est enclanch depuis un certain temps Aya but de l ann e 1979 la suite du rapport Nora Minc et de la loi de D cembre 1978 pr voyant l octroi de cr dits pour l informatisation de la soci
30. oble avait d montr une prolif ration extraordinaire en qu lques ann es de ces mini centres de renseignements Enfin les r ponses aux scolaires tudiants et professeurs compris qui repr sentent 60 du public ext rieur du onde et les banques assurances etc qui con tribuent pour une part plus minime sa composition et deman dent soit l acc s des documents particuliers soit une re cherche de r f rences sur un sujet d termin Mais si un journal diffuse des listes d a dresses sur un sujet ou des synth ses documentaires etc qui fournira cette mati re premi re Dans certaines entreprises elle est actuellement le fait des documentalistes Et l on com prend la crainte exprim e par D Wolten de voir je travail 52 de jourialiste envahi par celui des documentalistes En r a lit les situations et comp tences locales qui provoquent des disparit s l heure actuelle m neront sans doute des tats de faits tr s divers rar rapport la photocomposition l on voit bien l inter t que l on peut avoir garder les textes compos s pour un acc s a posteriori ce que peut apporter la capacit de stockege du vid odisque qui helheureusement ne peut encore de mani re satisfaisante conserver et restituer des images et la n cessit parall le de mettre sur pied un mode d acc s rapide et simple muxxinfoxmmixums ces textes Plus pr cis ment sur le sujet de ce m moi re pourrait on
31. ode de fin de travail est annonc par un num ro d identifizatione Forme du num ro le num ro d identification a une forme dif f rente suivant les logiciels et se compose d un nombre va riable de signes g n ralement une partie obligatoire et une partie facultative f Prenons un exemple gt 1204 1108 02 ou 20 11 265 6 sont des num ros courts et chacune des par ties peut tre significative par exemple d un num ro d arti cle num ro d dition de rubrique et de sous rubrique de page de date de fr quence de parution titre nombre d in sertions pour une annonce type d article r dactionnel annon ces ou courrier libres opinions etce Il serait done possible d utiliser une partie de ces renseignements tant pour le classement pue pour la re cherche Soit que ces num ros soient eux m me indicateurs de rubriques dans un syst me d index hi rarchis soit qu ils soient simplement num ro d ordre d article auquel renverrait un fichier inverse Mais il est bien vident que pour utiliser ce sust me pour la recherche documentaire il faut avoir des ru briques cod es num riquement donc de pr f rence peu e niveaux si l on veut mener des recherches plus ais es 31 Dans cette optique il serait souhaita ble qu il y ait communication entre la photocomposition et le documentation au moment de l implantation des syst mes et du choix des significations accord es telle ou telle par tie du num ro Par
32. ormats pour l tablissement de la liste inverse entre autres ou d uh fichier de renvois permettant l tablissement de relations entre les termes et qu il serait possible de consulter volont lors des recherches A ce moment l aspect de leur utilisation neus int resseraht moins que l aspect consultation aw vf af es ol 340m III LES PROBLEMES EN SUSPEND x 1 Tl est bien vident que nous n avons pas r gl tous les probl mes et ceci essentiellement faute d exp rimentation Les salutions trouv es pour maf triser le volume d information dans le cas des disquettes risquent d impliquer un certain nombre de manipulations Il n est pas prouv qu au d part au moins la saisie soit plus rapide que les op rations actuelles d indexation et de fichage par contre le temps gagn au moment de la ree cherche selon JC Gayet est vident Quant l aspect qualitatif il faut noter que nous n avons que la possibilit e recherches unitermes du moins partir de ce qui nous a t donn de voir Cet inconv nient pourrait tre corrig par la possi bilit d tablir des chainages entre les termes Parmi les deux solutions trouv es celle de l index peut dtrevBatisfaisante pour les journaux o la documentation est tr s performante Celle du fichier inverse a pour inconv nient sa rigidit de vocabulaire et des difficult s de mise jour 4 2 Il est possible aussi que les mat riels
33. r derri re cette pouss e une logique de march et de commercialisation d un produit nouveau il faut dire aussi que l on parvient obtenir des r sultats tr s interessants sur le plan de la qualit graphique et que la compo sition programm e ou informatis e utilisant un ordinateur est pleine de possibilit s qui ne sont pagencore toutes cern es Pourtant comme le remarquent souvent les per sonnels la rigidit des horaires est plus grande il est couteux de pratiquer des corrections d auteur le montage des pages est plus long on dispose de moins de souplesse qu avec le plomb l chelon nehent des papiers est pr cis et les plannings structur s D autre part selon A Santa Maria du Corrie re della Sera il ne semble pas que les frais de production baissent sauf si les r dacteurs se mettent eux m me au clavier Congr s de 1 IFRA 1979 C est d ailleurs ce que font d j amp nombre de journalistes am ricains ou ceux du Proven al C est ce qui est pr vu Presse Oc an Et pourtant la photocomposition a d j per mis de supprimer un tr s grand nombre de postes de travail au niveau des ouvriers du Livre et en a d qualifi un certain nombre d au tres Et l volution n est pas termin e Comment se _passent pratiquement les choses L auteur ou une secr taire frappe son texte Le texte est transmis l atelier de photocompo sition Le texte est tap par des clavistes sur des claviers reli s soit u
34. r plusieurs en fonction de leurs rubriques et la disquette dupliqu e pour des raisons de s curit Au total si une solution est sans doute possible au niveau d une retenue de r f rences il est diffi cile d envisager s rieusement que les disquettes concurren cent les techniques actuelles d archivage microfilm papier Signalons que des photocompose ses Siemens entre autres pr voient une sortie automatique des textes sur microfilm ou microfichese Selon JC Gayet deux il serait possible d obtenir quatre type de travaux 28 un index des articles parus class s th matiquement la mise jour des biographies en retenant syst matique ment les parties de texte concernant tel ou tel personnages les r sultats lectoraux l enregistrement dans une partie de la m moire r serv e la documentation des r f rences diautres documents ce qui impliquerait alors une nouvelle saisie congr s de 1 iFRA 1979 Ces possibilit s ne sont peut tre pas les seules et une exp rig ntation en laisserait sans doute d couvrir d autres Mais s il est possible d obtenir un prodait documentaire de quelle qualit pourrait il tre Quelles possibilit s offrent r ellement les logiciels 3 Les logiciels Il existe une douzaine de fabricants de ma terrolg de photocomposition qui g n ralement d veloppent leur propre logiciel sauf Compugraphic D autre part un cer tain nombre de soci t s de service et de f
35. s carac t res sont enti rement digitalis s sur des supports magn tiques Le laser peut tre reli un ordinateur pour engendrer les images digitalis es de caract res sur des tubes rayons cathodiques Le laser sert aussi l analyse des documents maquettes mise en page et leur transfert sur des mat riaux sensibles transfert direct ou distance Pour les photocomposeuses partir de la troisi me g n ration le syst me de correction est plusieurs pas sages Elles vont jusqu la mise en page titres et folios compris Pomnite arhan La bande justifi e engendre sur la photocom pseuse une version lisible sur papier photo moins cher que le film uniquement destin recevoir les corrections Une bande de corrections est produite puis mix e 4 l originale ce qui donne une deuxi me version lisible Systemes crans de visualisation Il s agit de tubes cathodiques connect s d une part un clavier et d autre part un ordinateur programm pour r pondre l cran Pour les corrections l op rateur corrige di rectement partir de l cran Syst mes de saisie sur crans de visualisation connect s Ils ne donnent pas automatiquement lieu une preuve lisible sur papier Tout est corrig et mis en page sans avoir donn lieu la perforation d une bande Les textes entrent directement en m moire centrale de grande capacit pour tre trait s imm diatement Ils sont rapp l s pour les corr
36. s cas l on aura inter t soit mettre un seul mot cl en d but d enregistrement soit les mettre en s rie en fin de texte e Duplication il est possible de dupliquer soit sous la m me identification soit sous une identification diff rente Par exemple un article sur l attribution du prix woncourt Antonine Maillet pourra trehupliqu automatique ment au Canade aux personnalit s la litt rature Ou l on dupliquera le N d article en face de chaque terme o l on d sire le voir figurer aecherche Il existe de nombreux processus de recherche qui sont fonction des mat riels IL est de plus en plus rare de devoir faire une recherche uniquement par chaine de caratt res Les mat riels ont de plus en plus de capacit s d adressage Suivant les cas l on aura pour seule possibilit la recherche au niveau du travail ou job a ter min nous l avons vu par le w d identification et ensui te une recherche par chaine de caratt res ou en plus l appel des premiers mots du texte ou la recherche par chaine de caract res sur l ensemble du texte ou la possibilit d en registrer des recherches mener simultan ment accompagn es des commandes mettre en oeuvre 36 Archivage 11 est possible de demander l archivage soit en fixant une date limite soit sans la fixer Dans ce cas les textes sont conserv s jusqu une nouvelle d ciston changement d identification Il est possible de changer l
37. s il prendra tr s certainement une dimension d cupl e Il est n cessaire que la suite de 50 Millions de Consommateurs des jour naux fassent la preuve qu ils peuvent prendre une part dans les informations diffus es par T l tel ou par vid otexte et dans beaucoup de cas il sera difficile de passer par des sup l exp rience que les documentalistes ont enmagasin dans le domaine du contact avec le public L on peut distinguer grosso modo trois champs d action qui pourraient tre d velopp s D une part le d veloppement de l acc s aux informations pratiques comme celles cit es plus haut sur lesquelles nous ne reviendrons pas D autre part l aspect plaque tournante de l information Car le travail des documentalistes n est pas uniquement un r le de conservation de documents mais se si tue aussi en aval de l informetion Et ceci par diff rents moyens l heure actuelle coups de t l phone pour un journa liste press suggestions d articles en fonction de ses lec tures tablissement de synth ges recueil d adresses intex gration un r seau de centres de documentation et cet as pect peut tre d autant plus importan une poque o nais sent beaucoup de groupes groupements groupuscules c mit s de soutien de d fense centre d informations de documenta tion associations etc dont certains centres gardent d j syst matiquement les adresses Une tude effectu e sur la vile le de cren
38. s souvent alphanum rique la suite de cet identificateur la cha ne de caract res suivant les repr sente soit une suite d instructions typographiques touches du clavier comme corps 12 italique m igre soit des donn es de pr sentation colonne un tant de lignes retour la co ionne deuxeee soit une chaine de caract res r p ter le titre d un livre qui figurera en bas de page toutes les 20 pages dans l imprimerie de labeur ou iir le pr sident di recteur g n ral de la soci t Sacilor metz qui sera r p ter plusieurs fois dans le m me texte ou encore un terme seul Les formats ou chaines peuvent tre d finis par le claviste qui les remplit les utilise et les vide ou d termin s l avance et prot g s contre tout ef facement ils serviront soit reproduire une s rie d instruction Re appel de leur identifica teur par exemple pour les instructions toujours sembla bles pour tous les titres de premi re page soit r p ter auto matiquement une chaine de caract res longue soit rechercher un terme dans un texte ou plusieurs textes ou un terme pour en ins rer un autre Le nombre de ces formats ou leur dimen sion varie suivant les mat riels esas ire limit s ou quasi infini Il est possible de constituer une bib blioth qye de formats et la prot ger Les formats peuvent tre chain s entre eux L on peut concevoir diff rents types d utilisation de ces f
39. se de la mani re suivante Serait saisi non le plan de classement mais la liste des termes du th samrus ou du vocabulaire employ et ceci totalement alphab tiquement ou selon cer tains niveaux de hi rarchie Les articles concern s ne seraient pas imm diatement la suite mais ne figurereaient que les num rds d identification Ce premier fichier renverrait un au tre fichier o chaque article ou partie d article identi fi par son num ro serait pr sente Cette seconde solution permettrait une in exeation plus fine et prendrait moins de place puisqu n ne serait pas dans l obligation de dupliquer les articles dans les diff rentes rubriquese 59 Les fonctions Il existe plusieurs types de fonctions les fonctions de suivi de production les fonctions de traitement de texte les fonctions sp cifiques des annonces en particulier a Les fonctions de suivi de production les statistiques par la lecture du dis que souple un sommaire est tabli pour connaitre l tat des travaux contenus sur les disques Il est ainsi possible d obtenir des renseignements pour le suivi de la fabrica RTE dune O ag enu EE zLcombremert rer page 173 tion textes photocompos s tat d avancement pour la r daction encombrement par page ou par rubrique 11 serait interest de pouvoir conserver les renseignements concer nant le longueur et l encombrement du texte photocompos L on obtiendra encore la product
40. se pr cise Chaque cas particulier comporte bien entendu ses possibilit s et ses limites La saisie Un premier choix est celui de la saisie a priori du plan de classement ou de l utilisation du num ro d identification Un second choix au niveau d une nouvelle saisie des textes ou de la r cup ration de ce qui existe ous avons vu plus haut les raisons qui pouvaient motiver ce type de choix Suivant ces choix l op ration de saisie mettra donc en oeuvre soit 146 fonckong saisie soit celles de s lection S lection d placement remplacement m lange de textes Dans le tas o l on travaille sur deux dis quettes ou deux supports il est possible de d terminer avec le curseur les parties de texte titre chapeau signa ture faire passer d une disquette l autre et le cas ch ant les mots cl s ou les l gendes de photos La s lec tion peut se faire au niveau des mots caract res lignes phrases paragraphes blocse Certains crans se divisant en deux il est possible de v rifier en appelant les biblioth ques que le travail s accomplit correctement Suppression Avec les fonctions d effacement on retire les parties que l on ne veut pas conserver Insertion L on rajoute des mots cl s un r sum la date etcere 35 Au niveau de l introduction des mots cl s il faut tudier le type de mat riel dont on dispose le type d adressage et le type de recherches possibles Suivant le
41. service permanent et qui ne sera plus gratuit parce que les moyens mis en oeuvre pour l offrir ne le permettront pluse Un questionnaire pass il y a un an aupr s de 28 journaux du groupe presse de 1 ADBS donnait les r sultats suivants pour les demandes sur un mois demandes int rieures visites t l phones sorties dessiers 27 250 5 250 500 500 1000 1000 1500 1500 a 2900 ne savent pas 4 demandes ext rieures visites t l phones oourrier 20 220 10 250 200 6 Ul ural 500 a 1000 5 1000 1500 1 1500 2700 3 ne savent pas ou ne re oivent pas 5 E De CONCLUSIONS la presse a t elle encore un avenir 8 S il fa t se pr occuper s rieusement des demandes du public c est que la presse est en train de prendre un grand tournant La prise de conscience pour beaucoup est r cente Elle date g n ralement du rapport Nora Minc pour d autres du livre de Lepigean et Wolton 1979 ou de la rencontre du 12 Novembre dernier organis par l Institut international de communication et l associa tion Telequal sue le th me le match du si cle t l texte contre papier En tous cas la presse s interroge depuis peu seulement Il a t sympt matique de voir le nombre de vocations tardives suscit es par la proposition du gouvernement de financer des bases de donn es Quel est le probl me Il s agit de sa voir tout bonnement si la presse aura encore des lecteurs ou un fi
42. t charg de mission au CTIR a fait des tentatives pour utiliser le logiciel de photocomposition pour la production d un index Le Provengal regoit directement en m moire d ordinateur les d p ches d agences de presse Le R publicain lorrain apx s avoeis fait traiter ses coupures de presse par une machine de traitement de texte feit mecmrterrarrt txat tes ses drepestttves 50 Millions de Consommateurs doit participer amp l exp rience de V kizy A c t de solutions lourdes qui sont aussi les plus performantes actuellement l on voit donc na tre des tentatives pour participer au mouvement avec des solutions moins couteuses Sans que l on puisse bien distinguer l heure actuelle tant donn l volution rapide des mat riels et surtout des petits si les utilisateurs en auront partoutfla m me satisfaction ni quelles solutions co ncideront le mieux avec les options poli tiques encore prendre Citons un exemples particuli rement d battu actuellement les journaux parviendront ils trouver une solution commune et des formules compatibles les unes aves les autres Chacun doit il avoir sa propre base sur son propre produit et tre en relation avec les autres Ou chacun va t il mettre au point une base qui int grerait non seulement sa propre pre duction mais aussi celle des autres Les enjeux conomiques sont assez vidents C est tout le probl me que pose actuellement Le Monde avec le proc s fait
43. taliste est dans la sal le de photocomposition quelque soit le type de mat riel 29 Quel produit documentaire Tout d abord que veut on faire De l ar chivage des index de quel type en retenant quels l ments 26 Il faut ici envisager les probl mes d encom brement La question bien s r se pose diff rement suivant que l on a affaire un gros syst me dans lequel les infor mations entrent directement en m moire et peuvent sortir int gralement sur bande ou disque magn tique ou que L on ne travaille qu avec des disquettes pour support Dans le pre mier cas il n y a pas de frobl me d encombrement dans le second il faut compter tr s pr cis ment avec la capacit des disquettes Un calcul fait sur le journal La Croix montre qu il repr sente chaque jour annonces et publicit s comprises 500 000 signes dont 40 O00 de titres et de cha peauxe Selon JC Gayet un quotidien r gional d une douzaine d ditions en repr sente 2 3 millions Par contre si l on ne conserve qu 5 Le les plus EROT RENE et les chapeaux d une dition on tombe sane 6000 amp 10 000 pre A ati 4 Si les disquettes les plus r pandues con tiennent 250 000 caract res et que les plus importantes peu vent en contenir jusqu 600 000 il est simple de faire le calcul une Groix enti re repr sente une disquette double face et il faudrait archiver une disquette par jour On aurait um gain de place mais ce serait plus ch
44. tes les entreprises n en pos s dent pas L appareillage suppl mentaire repr sente dans le cas des bandes environ 150 OOOF et plut t moins pour les disquese 4 Les enregistrements Un enregistrement est compos d une identification d un texte d un code de fin de texte et d indications de gestion Ils sont enregistr s la suite l un de l autre tandis qu une biblioth que de donn es com portent leur num ro d identification et leur adresse se constitue automatiquement Lorsque le travail se fait sur disquette celle ci est souvent divis e en 120 travaux parfois 60 ou 80 qui eux m me peuvent tre divis s nouveau L on peut enregistrer des articles la suite 1 un de l autre ils seront trait s ensemble jusqu la ren contre du code fin de travail a Le zone de gestion Elle fournit les renseignem ments suivants la nature du texte r dactionnel annonces l origine N de claviste des informations statistiques nombre de mots la date de parution la date de p remption des informations pour l archivage ventuel du textee 230 Dans certains cas l aide d instruc tions donn es au pupitre ou faisant partie des instructions accompagnent l article les articles pourront d s leur en tr e tre tiquett s pour une sortie automatique apr s enre gistrement sur un ou plusieurs p riph riques bande magn ti que imprimante etc b L identification Chaque enregistrement d fini par un c
45. tionnele Pour des journaux r gionaux comme Le Progr s ou Le Provengal qui ont des terminaux reli s l ordinateur central dans chacune de leurs agences r gio 25 nales il suffirait la documentation d avoir acc s au cla vier dans la journ e avant son utilisation par le clavistee Mais m me pour d autres entreprises il existe des solutions peu co teuses surtout si la documentation et la photo composition parviennent un accord lors de l achat du mat riel ou de son renouvellement Parmi des l ments du syst me utilisables il est possible de citer les suivants un terminal de saisie correctione un micro ordinateur et une console de visualisation ume petite photocomposeuse type MVP qui pourrait font tionner soit on line soit off line Mais dans ce dernier cas part l inter t de la sortie facile d un index on pourrait mettre ce type de mat riel en comp tition avec a autres machines de traitement de texte ou des mini ordirna teurs Nous pourrons donc consid rer Soit que le documentaliste a acc s une bande sur laquelle a t archiv le journal complet par l interm diaire du terminal d une agence Soit que le documentaliste a r cup r la ou les disquettes portant le travail de la veille et les amis en lecture sur son prore mat riel qui peut avoir la possibilit de travailler sur deux disquettes la fois L une en lecture l autre en criture Soit que le documen
46. tout simplement de cette mani re former le personnelddocumentaire Est ce qu il vaudrait mieux attendre qu un accord naisse entre les journaux pour la constitution de babes de donn es ou peut on consid rer que l on pourrait obtenir rapidement et sans trop de frais un produit interm diaire en attendant que soit construite une solution commune mais plus longue mettre en oeuvre et plus co teuse Au total r en n est jou ant du c t des r les tenir par les uns et les autres que de l avenir de le presse Mais ces probl mes sont dans un sens xmukxk secondaires et relatifs par rapport cette autre question ue l information passe par les journalistes les documentalis tes ou qui que ce soit par le journal le t l vision ou d au tres canaux l n est pas le probl me Mais pourra t elle res ter multiple et de qui sera t elle le fait Ce sere certaine ment une des grandes batailles conomique gtout autant qu i d ologique des quelques ann es venir ROBERT RIONDET lyon le 5 Mai 1980 BIBLIOGRAPHIE Revues _ La petite peur de la grande presse Le Point du 3 D cembre 1979 Le traitement de texte et la photocomposition un mariage de rai son texte communiqu sans r f rences _ La t l informatique M tiers graphiques N 403 du 7 Novembre 1979 Bulletins du CIMAB _ Echos de la Presse et de la Publicit N 1159 Rapport du SPHP du 24 D cembre 1979 Actes de congr s Co
47. x ou trois ans les r seaux et les banques de donn es seront effectives d ici 5 ans l utilisation de l informatique sera g n ralis e dans 10 15 ans Evolu tion in luctable par ailleurs les possibilit s et les mo yens de transmission les plus modernes les capacit s de mettre en m moire et de stocker les informations ne seraient d aucune utilit s ils ne d bouchaient sur des nouveaux mo yens de diffusion de la presse crite aux nouveaux m dias Les journaux auraient sans doute 0 inter t s entendre souligne le rapport du SPHP Voeu pieux quand on sait ce qui se passe la Mission l Informatique pour les bases de donn es Et puis s entendre pour faire quoi pour avoir une part dans les nouveaux modes de transmission pour rester tout de m me parmi les producteurs d information pour pouvoir os une place dans la vie locale pour xzxgas que ne disparaisse pas tout ce qui ne serait pas mono pole d Etat C est l o tout ce qui est documenta tion peut prendre une place importante e que les documen talistes ont une place prendre ou d fendre et que les prochaines ann es peuvent tre d termiantes pour la profession Tout d abord parce que ce qui tait con sid r parfois comme fonds mort par les journalistes peut tr s bien se r v ler vivant pour le public s il ne l tait d j Pour beaucoup de doaimentalistes l aspect de service public des journaux n est pas une nouveaut mai
Download Pdf Manuals
Related Search