Sommaire Octobre 2010 - E
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1. Figure 1 Rep rage simple de site sur arri re plan de carte jaune Du point de vue conceptuel une API est une description abstraite d une interface avec des fonctions pr d finies 11 LME iyii Tarty jee iy f uncriss imbich d wor pile es Genk in AP Fi Spit oreaetapl div spect Bating MHDR h rthlng Smad fhm dir aci shirt er l i a SRP bet e 4 ed zi aHa IKIT TITR Emici Li 7 i TET y GE T i eT ma TEET FaR FP i 4 Pa Pee Len eis diCF gE vere tral ide Hi Pee APES Pa ee Ah th eae Pe Lee rilse telLid Erripitbngs H P AimiFpint ley lisser and dire Figure 2 Configuration pour l exemple de la Figure 1 Pour ce faire il suffit l utilisateur d adapter les coordonn es dans easting 600000 northing 200000 et de d finir un niveau de zoom au moyen de zoom 8 est fr quemment utilis e comme synonyme pour un tel service web la tendance qui se dessine actuellement galement appel e Web 2 0 consiste passer du mod le soar vers les services directement bas s sur l architecture REST A partir de ces g o services il est possible de cr er des applications cartographiques interactives C est en ce sens qu une API en tant que fonction simplifie l utilisation des g oservices existants Lari de geo admin ch par exemple est une API client Javascript qui relie les composants de programme suivants Openlayers pour les repr sentations cartographiques ExtJs2. Cc OF 1S Ok cc des Organisation Soci t Nom Pr nom Adresse E mail
3. URL et est de ce fait la mani re la plus efficace pour diffuser des tuiles GetFeaturelnfo La requ te GetFeaturelnfo optionnelle permet un client wmTs de demander une information sur un objet pr sent une certain position dans une tuile Le service wMTs renvoie les informa tions demand es La requ te GetFeatureInfo peut se faire en plusieurs langages GetFeaturelnfo selon kver En plus des param tres de la requ te GetTile trois nouveaux param tres font leur appraition I la position du pixel de la tuile selon laxe des abcisses J la position du pixel de la tuile selon l axe des ordonn es InfoFormat le format dans lequel les informations sur les objets sont renvoy es Un exemple de requ te selon KvP est http www maps bob maps cgi service WMTS amp request GetFeaturelnfo amp version 1 0 0 amp layer coastlines amp style default amp format image png amp TileMatrixSet WholeWorld_CRS_84 amp TileMatrix 10m amp TileRow 1 amp TileCol 3 amp J 86 amp l 132 amp InfoFormat application gml xml version 3 1 On constate que l on d finit la tuile ainsi que la position dun pixel au sein de cette tuile Un exemple de r ponse est lt xml version 1 0 encoding UTF 8 gt lt ReguralGriddedElevations xmins http www maps bob etopo2 xmins gml http www opengis net gml xmins xsi http www w3 org 2001 XMLSchema instance xsi schemaLocation http www maps bob etopo2 GetFeaturelnfoExample
4. Zurich sera l h te du forum qui se tiendra le vendredi 12 novembre 2010 Si cette rencontre s adresse plus particuli re ment aux signataires de la charte elle est n anmoins ouverte tous Les participants pourront en outre d couvrir les deux difices historiques que sont l H tel de Ville et la Zunfthaus zur Safran Le programme en matin e se d roulera l h tel de ville de Zurich Apr s l accueil par la ville de Zurich les participants seront inform s sur les activit s essentielles du programme e geo ch et plus particuli rement sur la convention sp ciale eGovernment pass e entre les cantons et la Conf d ration le projet du g oportail national le projet Monitoring de l INDG L H tel de Ville de Zurich Apr s la remise du des prix e geo ch nous aurons enfin l occasion de partager avec nos coll gues allemands l exp rience GDI DE dont la structure a largement inspir e la convention mentionn e ci dessus Le lunch se d roula la Zunfthaus zur Safran et sera suivi dans ces m mes locaux de deux ateliers dont les th mes seront le g oportail national la mod lisation des g odonn es Vous trouverez le programme d taill et le bulletin d inscription sous le site e geo ch Si ce nest d j fait inscrivez vous donc imm diatement le d lai d inscription tant fix au 30 de ce mois Je me r jouis de vous rencontrer cette occasion a gen rh Ge
5. acteurs ont convenu d utiliser la variante sp ciale du standard pour prises lectriques conform ment au standard suisse La section suivante d crit de plus pr s un profil pour l impl mentation et l application de g oservices en Suisse Profil d application de g oservices eCH 0056 Les g oservices permettent de se procurer et d utiliser des informations par le biais d Internet sans qu il soit n cessaire que l utilisateur ne poss de lui m me les g odonn es correspon dantes LoGc Open Geospatial Consortium a d fini cet effet une s rie de standards qui sp cifient des interfaces et des protocoles de communication pour les g oservices 3 Comme la plupart des sic prennent d sormais en charge les sp cifications oGc l utilisation des g oservices se d veloppe peu peu La cr ation de l infrastructure nationale de donn es g ographiques de la Suisse vise promouvoir l utilisation large chelle des g odonn es ainsi que l interop rabilit Lutilisation de g oservices constitue ici une solution potentielle L application directe des sp cifications oGc conduirait cependant un paysage de services tr s h t rog ne qui ne permettrait pas d atteindre l objectif d une interop rabilit optimale Pour garantir l impl mentation et l utilisation des g oservices de mani re aussi uniforme que possible en Suisse un profil d application a t d fini pour une s rie de standards occ l
6. d ral de topographie sur la g oinformation OG o swisstopo Online www admin ch ch d sr 5 510 620 1 de pdf Acc s 2010 09 03 Figure 1 Parler de la m me chose ne signifie pas vouloir dire la m me chose Figure 2 Un profil d application sp cifie avec pr cision l application d un standard 6 Bulletin e geo ch 25 10 2010 Horst D ster SOIGIS Un wns conforme oGc d signe une interface du consortium oGc Open Geospatial Consortium qui standardise la fois le format des op rations de requ te et les formes de r ponse correspondantes Cette sp cification a pour objectif de fournir des images cartographiques int gr es dans une architecture de services sur la base d informations g ographiques via le protocole HTTP La communication est assur e via XML Dans le cadre des sp cifications un WMS permet de visualiser des cartes provenant de donn es tram es et de donn es vectorielles qui sont disponibles sur un serveur cartographique Le serveur cartographique fonctionne dans un cadre normalis ind pendant du syst me d exploitation des langages de programmation ainsi que des environnements de d veloppement et des environnements logiciels Pour la repr sentation des cartes demand es il faut un logiciel capable de communiquer via HTTP Dans le cas de figure le plus simple un navigateur Internet est suffisant Avec un WMS on peut visualiser sous forme d image cartographique
7. des g odonn es provenant d une portion de territoire d fini et d interroger les propri t s des donn es s lectionn es Il nest pas possible de r aliser une analyse des g odonn es Lutilisateur peut acc der un WMS l aide d un navigateur Internet dans lequel la carte fournie par le wms est ensuite affich e Les informations requises pour d finir le mode d affichage de la carte sont transmises au WMS l aide de l URL au moyen de KvP Key Value Pairs Le r sultat de la consultation est retransmis par le wms en tant qu image tram e et visualis dans le navigateur Les WebSIG modernes et les syst mes s1G bureautiques prennent en charge les wMs Pour la communication avec un WMS il existe trois requ tes de base GetCapabilities Cette requ te permet d interroger les m ta informations du wms En guise de r ponse un document xML est envoy l utilisateur Outre des informations g n rales sur le fournisseur du wms ce document contient les formats dition pris en charge les syst mes de r f rence spatiaux propos s ainsi que les couches pour la carte Exemple http www sogis1 so ch cgi bin sogis sogis ortho_wms Request GetCapabilities amp Service WMS amp Version 1 1 1 4 a Les WebSIG modernes et les systemes SIG bureautiques prennent en charge les WMS GetMap Fournit une image cartographique des donn es demand es pour la portion du territoire d finie d
8. et producteurs de g odonn es Il faut donc jeter des ponts afin d interconnecter les solutions existantes trop souvent isol es sur la base de standards techniques et professionnels Mettre en r seau les propri taires de donn es des divers niveaux hi rarchiques Conf d ration cantons communes et priv s afin de rendre leurs donn es accessibles voici le d fi d une infrastructure nationale de donn es g ographiques On parle d interop rabilit c est dire de la capacit que poss dent des syst mes informatiques h t rog nes fonctionner conjointement gr ce l utilisation de langages et de protocoles communs et donner acc s leurs ressources de fa on r ciproque Pour cela il est reconnu que des normes sont indispensables C est pourquoi tout un arsenal de standards certains focalis s sur les donn es g ographiques comme par exemple les g oservices WMS WFS etc Le potentiel des g oservices est norme et de vieux r ves pourraient tre exhauss s au moins du point de vue technique d finitions approuv es par l Open Geospatial Consortium OGC d autres plus g n rales li s Internet sont respecter Ainsi il est alors possible de r aliser de nouvelles applications qui utilisent des g odonn es provenant de sources multiples par le biais d interfaces normalis es ou de g oservices On peut donc mettre au point des applications qui int grent les donn es obtenues d
9. in Schweizer Beh rden Version 1 0 15 Aug 2010 2 http de wikipedia org wiki XaaS Infrastructure_as_a_ Service_ 28laaS 29 3 Cloud Security and Privacy by Tim Mather Subra Kumaraswa my and Shahed Latif ISBN 978 0 596 80276 9 Organisation IT traditionnelle sur site Appl services Virtualisation Serveur M moire donn es R seau Platform as a Service Infrastructure as a Service laas PaaS Appl services Applications Virtualisation Services Software as a Service SaaS L organisation IT d tient le contr le responsabilit avec le fournisseur de cloud computing L organisation IT partage le contr le responsabilit Figure 2 Influence des diff rents mod les de cloud computing sur la gouvernance des organisations IT Clients O Cluster d application geo admin ch pour contenus dynamiques HTTP Diff rents protocoles EC2 Caching Reverse Proxy monitoring eX CCE CEE statistiques Serveur de gestion Tileforge int gration de donn es Storage Cluster pour tuiles cartographiques Figure 3 Infrastructure du g oportail geo admin ch dans l Amazon Cloud 14 Bulletin e geo ch 25 10 2010 Ren Sonney e geo ch Zunfthaus zur Safran 15 Pour la 8 fois le Forum e geo ch propose tous les acteurs de la g oinformation une plate forme id ale pour changer vos opinions et vos exp riences La ville de
10. participants au forum e geo ch qui aura lieu le 12 novembre Zurich auront l occasion de voir de plus pr s quoi ressemblera ce g oportail et participer sa mise au point d finitive puisque sa maquette sera pr sent e et discut e l occasion de l un des ateliers de l apr s midi Ce matin en me rendant mon travail j coutais une interview du commandant de la police du canton de Neuch tel qui parlait de g olocalisation de g or f rencement de g oinformation En entendant ce policier expliquer au journaliste quelle tait la diff rence entre la g olocalisation et le g or f rencement j ai ressenti le chemin parcouru en quelques ann es par ces nouvelles technologies de mise disposition de la g oinformation Au cours de cette interview le commandant expliquait entre autres comment les outils de g or f rencement taient maintenant int gr s aux outils dont dispose la police pour son travail quotidien et comment ils avaient r volutionn leur travail Comme on peut ais ment le voir dans notre vie quotidienne la g oinformation fait maintenant partie de notre vie quotidienne et vouloir s en priver rel ve de la gageure Bien videmment la police nest pas la seule a utiliser de tels instruments et la liste des professionnels utilisant la g olocalisation pour leur travail quotidien ne cesse de s allonger L hiver dernier la fin dune journ e de ski j ai eu l occasion de visiter le cockpi
11. pour l interface utilisateur et GeoExt pour la recherche spatiale et la liaison des composants proprement dits En plus des fonctions l API permet galement aux autorit s f d rales d acc der l ensemble des donn es r f rence spatiale de map geo admin ch Les offices f d raux sont mis en r seau avec la solution existante Comment profiter d une API Les l ments suivants par exemple parlent en faveur de l utilisation concr te de l API de geo admin ch Disponibilit des donn es de geo admin ch donn es homog nes couvrant l ensemble du territoire Structure cartographique hautement performante navigation interface utilisateur conviviale et r utilisable Interop rabilit lev e grace la prise en charge de standards courants et la publication du code source de l API Aucuns co ts d infrastructure ou co ts d infrastructure r duits aucuns co ts pour l actualisation des donn es Grand potentiel de d veloppement des composants OpenLayers GeoExt ExtJS etc utilis s dont le promotion est assur e par la communaut OpenSource Exemple pratique Dans le cas d API1 web pour des repr sentations cartographiques figure 1 exemple de rep rage de site seul le code source HTML d une page web figure 2 doit tre dit dans la plupart des cas Cette op ration est r alisable m me sans connaissances en programmation tant donn que le plus souvent les fournisseurs
12. son fameux rapport annuel 2010 Emerging Technologies Hype Cycle ce mot fourre tout est devenu incontournable dans le secteur de l informatique Ci Pat Paral Tis ae aaa fond ee Poe Acte Siar be T La Dieu Cores A Claud et Plalioons Perel Diu aaar I rae Ty Spaeth ke Speech Trier om 30 Pring Geiri fidojn S A kiniita Mehari Sere Panne Tail Pp 3 Ven Sour hi Li rete Eker E dii p DU Speech Ato Exheme Transachon Proog Bond Een Loco Appir Tan gbke User kirria Wideo TB eater OE Pet ah etre J ninie TY Tente Wa we j i oa erie hibri Serta Cape riers ree hap Ci ee cs BBF i Haan r Pere Lina Lis Cent Cr e Mea 3 bhiir Appr ie Shae this Wetal Asirai Mirik Clon aen r area r bec Years to mainstream adoption Olssthan2 yeas O2teSyears Sip 10 years obsolete domore thon vears before plateau Figure 1 Gartner s Emerging Technologies Hype Cycle pour l ann e 2010 Qu est ce que le cloud computing Le cloud computing est avant tout une nouvelle forme de mise disposition flexible et adapt e aux besoins de services informatiques Il ne s agit pas dune nouvelle technologie mais d une r percussion directe du d veloppement cons quent de technologies tablies commencer par la virtualisation des serveurs et des services web Pour l utilisateur de ressources informatiques ce d veloppement est particuli rement attrayant dans la mesure o il peut d sormais acqu rir quasi
13. tant que licence a un utilisateur mais simplement a mettre disposition l utilisation de ce dernier sous forme de service Cette diff rence est comparable celle entre l achat d un v hicule et un v hicule de location o le d compte s effectue galement en fonction de l utilisation En guise d exemple pour Software as a Service on peut citer Google Docs et le fournisseur CRM Salesforce com En particulier dans le cas d Iaas Infrastructure as a Service on parle fr quemment de Datacenter Abstraction Concr tement cela signifie que l utilisateur de cloud computing a acc s a tout moment au travers d une interface de programmation g n ralement disponible sur Internet API aux ressources informatiques des gigantesques centres de calcul de fournisseurs mondiaux de cloud computing tels que Amazon Microsoft ou Google qui sont disponibles de fa on quasi illimit e du point de vue de l utilisateur Il nest pas surprenant qu avec ce mod le commercial informatique global d un nouveau genre il faille relever non seulement des d fis techniques mais aussi des d fis juridiques for juridique de protection et de respect des donn es de gouvernance etc notamment dans les grandes entreprises et les administrations publiques Pour acqu rir des premi res exp riences avec le public cloud computing il est par cons quent souhaitable de choisir une application ne contenant pas de donn es d entreprise co
14. BULLET Banca D Charmes ou erras ECTS ace eest a ai ers PS bi Je ee Pant Sommaire Octobre 2010 Obs asta 3 Editorial Ren Sonney e geo ch lt P ri rie T cr oP ocr dress ge Forint RU T0 US 4 Les g oservices en g n ral Francis Grin HEIG VD oi Pee Frnt iiia prg moea a DAME Perte o Poe tring ol riage fv nie vena w Forum a lt DCF Types 5 Les g oservices un peu de technique C dric Moullet swisstopo LATTES ets lt nireRegearce _ 6 Standards et profils Exemple du profil d application de g oservices eCH 0056 Peter Staub swisstopo iit Shhh Regs f LR org ee Seen E SS SS See Weve pc Bni Aree Wf bat dent 5 iaeei 7 Web Map Services WMS Horst D ster SO GIS LE FRE 8 Un g oservice Web Map Tile Service WMTS C dric Moullet swisstopo Pour les nuls pas vraiment a 10 Interface pour la programmation d applications David Oesch swisstopo 12 Le g oservice de recherche A nous la carte au tr sor du pirate Jack Rackham Andr Schneider swisstopo 13 Cloud computing Hanspeter Christ swisstopo Point fort Les g oservices web pour les nuls 15 8 me forum e geo ch Zurich L innovation rencontre l histoire Ren Sonney e geo ch Editorial Ren Sonney e geo ch Ch res lectrices chers lecteurs J imagine que vous avez vu ou entendu parler de cette fameuse collection qui s appelle aaaaa pour les nuls aaaaa po
15. Schema xsd gt lt featureMember gt lt GridPoint_etopo2 gt lt elevation gt 503 0 lt elevation gt lt TileRow gt 1 lt TileRow gt lt TileCol gt 2 lt TileCol gt lt J gt 86 lt J gt lt I gt 132 lt I gt lt GridPoint_etopo2 gt lt featureMember gt lt ReguralGriddedElevations gt Cette reponse permet de conna tre l altitude d un certain point de la tuile GetFeaturelnfo selon SOAP Une requ te selon soap pour GetFeaturelnfo est faite en mode POST La r ponse cette requ te se pr sente sous la forme d un fichier XML structur selon soaP qui contient les informations sur la position demand e GetFeaturelnfo selon REST Une requ te selon REST pour GetFeaturelnfo est faite en mode GET Un exemple T URL est http www maps bob etopo2 default WholeWorld_ CRS_84 10m 1 3 86 132 xml Par rapport a la requ te GetTile cette URL est compl t e des informations sur la position au sein de la tuile ainsi que du format dans lequel les informations sont renvoy es 1 http portal opengeospatial org files artifact_id 35326 2 http portal opengeospatial org files artifact_id 4756 David Oesch Nr y chef de projet geo admin ch COSIG D F swisstopo Introduction Les donn es r f rence spatiale sont de plus en plus fr quemment int gr es dans des pages web interactives afin d utiliser ces derni res visuellement en tant que moyen de communication Hors d Internet dans une version hors l
16. d API mettent disposition des recettes de cuisine dans lesquelles il suffit d adapter les valeurs souhait es api de geo admin ch ouvre des possibilit s quasi illimit es des simples rep rages de sites figure 2 jusqu l int gration via le Gps de donn es acquises sur le terrain en passant par la combinaison de jeux de donn es Vous trouverez des exemples suppl mentaires sous geo admin ch la rubrique API 1 www geo admin ch internet geoportal de home services geoservices display_services api_services html 2 http de wikipedia org wiki Programmierschnittstelle 3 www computerworld com s article 43487 Application_ Programming_Interface taxonomyld 11 amp pageNumber 2 4 www geo admin ch internet geoportal de home services geoservices display_services api_services html z NED POUR Le g oservice de recherche A nous la carte au tr sor du pirate Jack Rackham Andr Schneider swisstopo Les temps h ro ques o des aventuriers intr pides et pers v rants partaient la chasse au tr sor sont r volus En effet il nest plus n cessaire de prendre des risques inconsid r s pour semparer le premier du butin Aujourd hui le tr sor est disponible tous de fa on illimit e puisqu un service met les tant convoit es cartes au tr sor gratuitement disposition sur le Web Le tr sor ne correspond bien videmment pas des pi ces d or mais des g odonn es et les cartes a
17. dit communication entre des machines Les g oservices permettent donc deux ordinateurs de s changer des informations g ographiques Un autre point est la notion de forme structur e Par l on entend un certain formalisme qui d crit l change d informations Concr tement il s agit de normes r pondant au nom de WMS WFS WMTS ou CSW Cet article a pour but de pr senter les principes g n raux des g oservices Ceux ci seront ensuite d crits s par ment dans les articles suivants Qui dit r seau dit communication entre des machines Communication sur les r seaux Pour imager le propos prenons la communication entre deux tre humains Celle ci ob it a un certain nombre de r gles de bases Allons nous communiquer par oral par crit par chat par signe par twitter par blog ou par signaux de fum e Puis une fois les r gles de base tablies il s agit de d finir un langage de communication On retrouve dans la communication entre machines les m mes aspects Les r gles de bases de la communication sur internet sont tablies par le protocole HTTP Ce protocole peut tre utilis de plusieurs fa ons si bien que diff rents langages ont vu le jour Pour ce qui est des G oservices KVP SOAP et REST sont les langages les plus courants De la m me mani re quentre tres humains ce nest qu une fois que les r gles de base et le langage sont d finis que l change de contenus ou d info
18. e sources multiples et les rendre accessibles sur un g o portail En effet comme les explications et exemples des articles suivants vont le d montrer les bases techniques permettent de r aliser des applications et g oportails tr s int ressants et utiles pour un utilisateur et consommateur de g odonn es Evidemment la mise en place de ces infrastruc tures n cessite du temps et de l argent mais surtout la volont de tous les partenaires de collaborer et de mettre disposition leurs g odonn es souvent encore trop cloisonn es n Navigateur WEB Logiciels SIG D Clients l gers Clients lourds 5 C L G oportails S INDG ss a ois G oportail G oportail G oportail G oportail G oportail un priv f d ral r gional cantonal communal SS que lt b un G oservices Lien entre utilisateurs g oportails avec g oservices et bases de g odonn es sch ma simplifi Propri taires et fournisseurs de g odonn es 4 Bulletin e geo ch 25 10 2010 C dric Moullet swisstopo La loi sur l information g ographique nous donne une d finition des g oservices il s agit d applications aptes tre mises en r seau et simplifiant l utilisation des g odonn es par des prestations de services informatis es y donnant acc s sous une forme structur e On peut ressortir de cette d finition la notion de mise en r seau Qui dit r seau
19. e standard eCH 0056 profil d application de g oservicest actuellement en cours de remaniement Le profil d application contient d une part des directives respecter imp rativement et d autre part des recommandations Les directives prescrivent notamment la version d une sp cification de services par ex WFS 1 0 0 ou bien les syst mes r f rence spatiale qui doivent au minimum tre pris en charge MNo3 WGS84 Les recommandations ont pour objectif l application de sp cifications actuelles qui ne sont pas encore largement tablies par exemple la prise en charge des coordonn es MN95 ou la version WMS 1 3 0 Enfin en raison du renvoi explicite au standard mentionn l art 7 OG o swisstopo le profil eCH 0056 a une port e juridique particuli re Les g oservices pour les g odonn es de base de droit f d ral doivent par cons quent tre conformes eCH 0056 Quellen 1 British Standards Institution BSI Online www bsigroup com gt Standards gt About Standards Acc s 2010 09 06 2 Donaubauer A Utilisation interop rable de bases de g odonn es l aide de g oservices web standardis s Dissertation TU Munich 2004 3 Open Geospatial Consortium OGC Online www opengeospatial org Acc s 2010 09 06 4 eCH 0056 Profil d application des g oservices Online www ech ch gt Standards Acc s 2010 09 03 5 Office f d ral de topographie swisstopo Ordonnance du 26 mai 2008 de l Office f
20. e systemes de r f rence spatiaux de donn es et de sp cifications de symboles Exemple http www sogis1 so ch cgi bin sogis sogis_ortho wms service wms amp VERSION 1 1 1 amp REQUEST GetMap amp L AYERS Orthofoto07 amp STYLES amp SRS EPSG 21781 amp BB OX 633500 243000 636500 245000 amp WIDTH 720 amp HEIGHT 480 amp FORMAT image gif GetFeaturelnfo Un service wMs peut fournir des informations sur un point donn dans l extrait de carte Il s agit toutefois d une fonction optionnelle qui nest pas mise disposition par tous les serveurs Le document GetCapabilities indique si cette requ te est disponible et le cas ch ant pour quelle couche En guise de r sultat elle d livre des informations th matiques d finies pour les donn es de base Exemple http www sogis1 so ch cgi bin sogis sogis_av wms REQUEST GetFeaturelnfo amp SERVICE WMS amp VERSION 1 0 0 amp SRS EPSG 21781 amp BBOX 633500 243000 636500 245000 amp WIDTH 720 amp HEIGHT 480 amp LAYERS bdbed amp QUERY_LAYERS bdbed amp X 200 amp Y 150 amp INFO_ FORMAT text plain GetFeaturelnfo results Layer bdbed Feature 90479812 text Strassen Wege Geb udeerschliessung oid 90479812 art 11 gmde_name Olten archive 0 zeitstand 16 07 2009 Exemple GetMap C dric Moullet swisstopo Le wmTs pour Web Map Tile Service est un standard d crivant la mani re de diffuser des donn es cartographiques sous fo
21. ent des solutions encore trop peu exploit es Mais d abord quelques d finitions Une g odonn e est une donn e r f rence spatiale qui d crit l tendue et les propri t s d espaces et d objets donn s un instant donn en particulier la position la nature l utilisation et le statut juridique de ces l ments Source LG o Un g oservice est une application apte tre mise en r seau et simplifiant l utilisation des g odonn es par des prestations de services informatis es y donnant acc s sous une forme structur e Source LG o Un g oportail est un site Internet sp cialis pour chercher et acc der des g odonn es et des g oservices avec un navigateur Internet Le potentiel des g oservices est norme et de vieux r ves pourraient tre exhauss s au moins du point de vue technique Prenons le cas d un cadastre souterrain grace des g oservices il est possible de r unir en quelques clics dans une application cartographique sur un PC de bureautique ou sur un outil mobile toutes les infrastructures conduites d eaux potables c bles lectriques conduites de gaz etc un endroit g ographique donn et de les visualiser sur un fond cadastral Evidemment toutes ces g odonn es proviennent de diverses bases de donn es r parties et jour L INDG a comme objectif de rendre accessibles sur Internet les diff rentes bases de donn es g ographiques entre utilisateurs
22. et article de comparer ces langages Il est clair qu ils ont chacun des avantages et inconv nients C est aux architectes informatiques de les utiliser bon escient Les normes dans le monde des g oservices se basent pour la plupart sur le protocole HTTP et les langages KVP SOAP OU REST 1 www admin ch ch f rs 510_62 a3 html 2 http fr wikipedia org wiki Hypertext_Transfer_Protocol 3 http fr wikipedia org wiki SOAP 4 http fr wikipedia org wiki Representational_State_ Transfer LA Standards et profils Exemple du profil d application de g oservices eCH 0056 Peter Staub swisstopo rt aly Le Qu est ce qu un standard Dans la quasi totalit des activit s relevant du domaine priv et professionnel nous souhaitons collaborer Les hommes ou les syst mes peuvent collaborer s ils ont une compr hension commune standardis e de la question consid r e Dans le cas de l aptitude des syst mes coop rer on parle d interop rabilit Sous sa forme la plus simple un standard correspond donc la fa on convenue de faire quelque chose Typiquement un standard est publi sous forme de document dans lequel figurent les sp cifications et les r gles techniques correspondantes Aujourd hui les standards sont d finis par des comit s nationaux et inter nationaux qui sont fr quemment support s par l industrie Les standards ne rev tent pas un caract re global au sens strict La
23. exploitation de ses applications commerciales auquel cas elle exploite par exemple les applications de base contenant des donn es a prot ger dans le private cloud et les applications moins critiques dans le public cloud Classification selon des aspects de gouvernance Infrastructure as a Service laaS Par laas on d signe un mod le commercial qui contrairement l achat classique dune infrastructure informatique Mon serveur se trouve dans ma cave pr voit de louer cette derni re la demande Il en r sulte une multitude de possibilit s d application par exemple les pics de charge sont vit s croissance possible sans probl me volutivit les capacit s inexploit es peuvent tre lib r es imm diatement les applications uniques ou rarement r alis es deviennent financi rement accessibles la technologie de visualisation existante permet de tester ais ment les logiciels sur les plateformes les plus diverses Amazon EC2 constitue l application la plus connue d Iaas Platform as a Service PaaS Par PaaS on d signe l approche consistant mettre disposition un environnement ex cutif et ventuellement de d veloppement int gr sous la forme d un service pour lequel l utilisateur doit payer la demande Google App Engine constitue un exemple connu Software as a Service SaaS Par SaaS on d signe un mod le commercial qui consiste non plus a vendre un logiciel en
24. igne pour ainsi dire les repr sentations cartographiques rev tent une grande importance historique dans la diffusion des informations Elles constituent en effet un mode de repr sentation qui est le plus rapidement compris A l aide de repr sentations cartographiques bas es sur le web par exemple map geo admin ch et d api correspondants mis disposition par exemple l API de map geo admin ch l utilisateur peut int grer des cartes dynamiques sur ses propres pages web Concr tement cela permet de localiser ais ment des sites et de les superposer avec d autres donn es g or f renc es Qu est ce qu une API Labr viation Api en anglais application programming interface cest a dire interface pour la programmation d applications correspond a une interface de programmation Celle ci constitue une partie de programme L API en bref Comme dans tout voisinage il arrive de temps en temps que l on se pr te mutuellement des objets par exemple une tondeuse gazon sp cifique qui est mise la disposition d autres programmes par un syst me logiciel en vue de la liaison un syst me Du point de vue conceptuel une API est une description abstraite d une interface avec des fonctions pr d finies Le logiciel proprement dit qui met disposition les fonctions est d sign comme l impl mentation de l apt Le terme API peut tre utilis pour r f rencer une interface
25. inage il arrive de temps en temps que l on se pr te mutuellement des objets par exemple une tondeuse gazon Cela correspond l int gration d applications Le voisin ferm Gustave il ne Le voisin ouvert Oscar constitue L API Anna vous laisse utiliser vous pr tera rien etiltondson le contraire il est ouvert de sorte sa tondeuse si vous lui en faites propre gazon derri re une haute que vous pouvez toujours utiliser la demande en bonne et due cl ture Vous ne pouvez rien son jardin et sa tondeuse et forme avec l instruction lui demander tant donn qu il m me reconfigurer sa tondeuse getMower dans la m me nexiste m me pas de porte dans Mais si vous faites des application Sans cette requ te sa cl ture Une application telle modifications plus importantes vous ne pouvez pas ouvrir la que le voisin ferm Gustave ne que celles autoris es dans le porte donnant sur son jardin et met disposition ni code source manuel vous serez responsable vous ne pouvez pas reconfigurer ni API de son entretien ult rieurement la tondeuse Mais vous pouvez Une application comme le voisin tondre le gazon lorsque vous Oscar ouvert poss de un code le souhaitez Les applications source ouvert vous pouvez telles que api Anna sont en faire ce que vous souhaitez ferm es mais elles poss dent une API et se rencontrent tr s fr quemment sur Internet Tableau 1 l API en bref 10 Bulletin e geo ch 25 10 2010
26. lef valeur En fait il s agit de rajouter un certain nombre de param tres une adresse web comme par exemple http www monbeausite ch mabellepage html cou leurDeLaPage bleu rversion 28 Dans cet exemple on d finit deux clefs couleurDeLaPage et version et associons des valeurs ces clefs Le serveur pourra ainsi lire ces informations et r pondre en fonction de ces informations La m thode HTTP GET est utilis e dans ce cas La r ponse peut tre de plusieurs types Cela peut tre par exemple une image ou une page html SOAP SOAP signifiie Simple Object Access Protocol L id e de base est de transmettre des instructions XML XML signifie Extensible Markup Language Il s agit d un format de fichier texte structur l aide de balises un serveur qui va r pondre galement l aide du format xML Dans ce cas vu que l on transf re un fichier la m thode HTTP POST est utilis e REST REST signifie Representational State Transfer D un point de vue pratique REST se rapproche de KVP mais au lieu d avoir des clefs l entier de l information se retrouve dans l adresse fournie au serveur Pour faire un parall le avec l exemple de KVP une adresse REST serait de la forme http www monbeausite ch mabellepage bleu 28 html On retrouve en fait les m mes informations mais agenc es de mani re diff rentes Comme pour Kvp la r ponse peut tre de plusieurs types Ce nest pas le propos de c
27. ment en temps r el sous la forme de services r seau les capacit s requises pour satisfaire les exigences de son entreprise en mati re de donn es de puissance de calcul et d applications et qu il ma plus besoin de se les procurer lui m me moyennant des processus parfois fastidieux Du point de vue conomique le syst me de facturation pay as you go utilis pour les cloud services transforme les co ts d investissement CapEx en co ts d exploitation proprement dits OpEx ce qui peut avoir des r percussions tr s positives sur la capacit d innovation de l entreprise les d penses d investissement pr liminaire pour l infrastructure informatique souvent tr s lev s 13 dans les projets informatique traditionnels tant supprim es Pour l instant aucune d finition universellement reconnue n a pu s tablir pour le cloud computing N anmoins au cours des derniers mois certaines tentatives de classification semblent s imposer pour le cloud computing Classification selon des aspects li s l exploitation la propri t et l organisation Parmi les aspects li s l exploitation la propri t et l organisation une diff renciation peut tre op r e entre les private clouds pour un groupe d utilisateurs ferm et les public clouds pour un grand nombre d utilisateurs diff rents On parle de hybrid clouds lorsqu une organisation utilise la fois des public clouds et des private clouds pour l
28. nfidentielles ou sensibles afin de ne pas se heurter d j au service juridique interne Dans son r le de prestataire de services sp cialis s siG de la Conf d ration dans le cadre de la mise en uvre de la loi sur la g oinformation LG o en vigueur depuis juillet 2008 swisstopo mise avec succ s depuis quelques mois sur les services d infrastructure EC2 puissance de calcul la demande et s3 espace m moire la demande d Amazon Web Services aws Linfrastructure mise en place en priorit pour le g oportail de la Conf d ration dans Amazon Cloud permet swisstopo de monter en puissance ais ment et rapidement et par cons quent de r agir des variations de charge court et long terme par ex suite des communiqu s de presse ou des fluctuations saisonni res Les co ts engendr s cet effet sont faibles car d une part seul le temps serveur effectivement requis est factur et d autre part en raison de l utilisation cons quente du logiciel Open Source sans licences payantes il nest g n r aucun frais de licence suppl mentaires cette occasion En dehors des co ts mod r s swisstopo profite galement du fait qu il n a plus besoin de se pr occuper de mat riels physiques sur Internet et que les ressources en personnel ainsi lib r es peuvent tre investies dans des d veloppements d avenir de son activit de base 1 Willy M ller Uwe Heck Vorstudie zu Cloud Computing
29. odonn es wFs par exemple dans l impl mentation d un g oportail Cela permet alors d acc der directement au butin indiqu par la carte au tr sor Dans le cadre d un g oportail un g oservice de recherche recherchant des g odonn es est souvent confondu avec un g oservice de localisation recherchant des emplacements En Suisse ce g oservice de recherche est disponible via geocat ch comme on peut le constater dans les exemples ci dessus Actuelle ment environ 3500 cartes au tr sor y sont disponibles et beaucoup d autres vont encore y tre publi es afin d assurer une utilisation optimale du futur g oportail national Les avantages de ce g oservice par rapport l application sont principalement les suivants La recherche et la gestion des m tadonn es peuvent tre int gr es directement dans les processus utilisant des g odonn es Un layout personnalis peut tre utilis pour la recherche et la pr sentation des m tadonn es Le g oservice csw ne permet pas seulement de senrichir mais il permet galement de d velopper nos valeurs de g n rosit et de partage En effet on peut y saisir et diter ses propres cartes au tr sor afin quelles soient disponibles tous sans utiliser l application mais en utilisant l op ration Transaction Cette op ration est cependant encore tr s peu impl ment e actuellement Avec l utilisation de cette fonctionnalit l appellation service de ca
30. oinformation Impressum bulletin e geo ch 25 Octobre 2010 Renseignements Editeur e geo ch e geo ch R daction Ren Sonney e geo ch c o Office f d ral de topographie Conception MKR Consulting AG Berne Seftigenstrasse 264 case postale Maquette Atelier Ursula Heilig SGD G mligen CH 3084 Wabern Impression swisstopo Tirage 2450 ex 650 fran ais 1800 allemand T l phone 41 31 963 21 11 Photos swisstopo COSIG e geo ch auteurs Fax 41 31 963 24 59 E mail info e geo ch www e geo ch Talon r ponse Vous pouvez galement faxer cette carte de r ponse au 031 963 24 59 ou passer par commande directement sur www e geo ch Toujours inform s au sujet du programme e geo ch Veuillez nous faire r guli rement parvenir le bulletin e geo ch nombre d exemplaire allemand nombre d exemplaire fran ais par courrier par e mail Merci de nous faire parvenir la brochure e geo ch Le concept de mise en uvre de la strat gie f d rale pour l information g ographique nombre d exemplaire allemand nombre d exemplaire fran ais Merci de nous faire parvenir la charte e geo ch nombre d exemplaire allemand nombre d exemplaire fran ais Merci de nous faire parvenir la brochure Recommandations pour l harmonisation des g odonn es de base au sein des communaut s d informations sp cialis es nombre d exemplaire allemand nombre d exemplaire fran ais mpat ri CUT HET rh 74 e BP Le
31. on Highest scale denominator Detailed resolution Lowest scale denominator Repr sentation d un Tile Matrix Set contenant plusieurs Tile Matrix TopLeftCorner TileMatrixMaxY gt r TileMatrixMinY gt 4 NS TileMatrixMinX 0 1 0 TileRow axis 11 1 MatrixHeight 1 MatrixHeight 1 Tile indices TileMatrixMaxX TileCol TileRow lence poe ey eon TileCol axis 1 0 MatrixWidth 1 0 MatrixWidth 1 1 MatrixWidth 1 MatrixHeight 1 TileWidth in pixels TileHeigth in pixels Repr sentation d une Tile Matrix avec son origine en haut gauche On retrouve dans cette requ te les diff rents param tres d finis pr cedemment Aucune dimension n a t pr cis e dans ce cas La r ponse cette requ te est une tuile donc une image de format PNG GetTile selon SOAP Dans un contexte web cette solution fait peu de sens car une r ponse selon soaP implique l encapsulation des donn es images dans un fichier XML chose peu logique et peu efficace C est pourquoi cette possibilit nest pas pr sent e ici GetTile selon REST Une requ te selon REST pour GetTile est faite en mode GET Un exemple d URL est http www maps bob etopo2 default WholeWorld_ CRS_84 10m 1 3 png Par rapport une requ te selon Kvp les param tres sont simplement ordr s dans l URL Cette mani re de faire correspond aux principes m mes du web savoir l acc s des ressources travers des
32. ple http www geocat ch geonetwork srv eng csw request GetRecords amp service CSW amp resultType results_with_summary amp namespace csw http www opengis net cat csw 2 0 2 amp typeNames csw Record amp constraintLlanguage FILTER amp constraint_language_version 1 0 0 amp constraint lt ogc Filter xmins ogc http www opengis net ogc gt lt ogc PropertylsEqualTo gt lt ogc PropertyName gt creator lt ogc PropertyName gt lt ogc Literal gt Rackham lt ogc Literal gt lt ogc PropertylsEqualTo gt lt ogc Filter gt En r ponse je re ois une liste de toutes les cartes au tr sor de Jack Rackham Ces derni res y sont d crites tr s succinctement avec par exemple le titre une petite description et un identifiant Si vous essayez cet exemple vous verrez que jusqu aujourd hui Jack Rackham n a d voil qu un seul de ses tr sors 3 Lidentifiant va me permettre d obtenir les informations d taill es c est dire la fameuse carte au tr sor de Jack Rackham Pour ceci j utilise l op ration GetRecordByld qui va me retourner le jeu de m tadonn es complet y correspondant Exemple http www geocat ch geonetwork srv fra csw request GetRecordByld amp outputSchema GM03_2Record amp id 2dbf2179 1f51 463a a1f0 bb9b4c43e7ae Concr tement la mise en ceuvre pertinente de ce g oservice de recherche consiste l utiliser juste avant un g oservice de consultation WMS WMTs ou de t l chargement de g
33. rmations peut commencer C est ce niveau qu interviennent les normes WMS WES WMTS ou csw qui d crivent le contenu et la signification du contenu Le protocole HTTP Si il y a bien une chose que vous utilisez tous les jours ah vous ne le saviez pas c est le protocole HTTP Hypertext Transfer Protocol Chaque fois que vous ouvrez votre navigateur et entrez une adresse http www monbeausite ch mabellepage html vous utiliez le protocole HTTP pour visualiser une page du World Wide Web Vous faites ainsi implicitement appel a une ressource d un serveur distant et cr ez donc une communication entre votre ordinateur et ce serveur Ce protocole propose plusieurs m thodes Dans le cadre des g oservices deux m thodes sont essentiellement utilis es La m thode GET c est la m thode par d faut qui permet d obtenir le contenu d une ressource comme http www monbeausite ch mabellepage html Dans ce cas le navigateur demande au serveur de lui fournir la page mabellepage html La m thode post cette m thode permet de transmettre au serveur une information On va ainsi poster a une certaine adresse une information qui va tre trait e par le serveur Les langages KVP SOAP et REST Les langages utilisent le protocole HTTP et d finissent la mani re dont les informations sont chang es entre le serveur et le client KVP KVP signifie Key Value pair Un essai de traduction serait paire de c
34. rme de tuiles pr d finies WMTS est un compl ment wMs Par rapport WMS WMTS a pour avantage principal d offrir de meilleures performances dans la diffusion de donn es cartographiques Le revers de la m daille est une moins grande flexibilit que le wms WMTS nest ainsi pas recommand quand les donn es sont mises jour de mani re tr s fr quentes ou quand il est n cessaire d offrir une symbologie la demande Le fait de pr g n rer les tuiles implique que les niveaux de zoom et la symbologie sont d finis l avance et ne peuvent tre modifi s la demande Les requ tes WMTS WMTS supporte trois requ tes savoir GetCapabilities GetTile et GetFeaturelnfo Les deux premi res sont obligatoires alors que GetFeaturelnfo est optionnelle GetCapabilities La requ te GetCapabilities a pour but de renseigner sur le contenu du service WMTS Celle ci peut se faire selon trois langages diff rents GetCapabilities selon KVP Un exemple de requ te selon KvP est http www maps bob maps cgi service WMTS amp version 1 0 0 amp request GetCapabilities Les param tres service version et request sont envoy s au serveur Celui ci envoie un fichier XML qui contient les informations sur le service wMS GetCapabilities selon SOAP Une requ te selon soap pour GetCapabilities est faite en mode POST Un exemple de fichier XML envoy est lt xml version 1 0 encoding UTF 8 gt lt soap Envelope
35. structure et l application des standards sont marqu es par les d veloppe ments techniques locaux ainsi que par des aspects culturels La figure 1 repr sente cette probl ma tique partir de l exemple des prises lectriques Afin de surmonter les obstacles li s aux diff rents standards il faut soit adapter et harmoniser ces derniers de mani re globale soit disposer de moyens pour assurer des transformations entre les diff rents syst mes Les standards peuvent galement tre pr cis s pour des applications particuli res l aide de profils d application Qu est ce qu un profil d application Dans de nombreux cas les standards ne sont pas applicables directement de mani re judicieuse Ils sont trop abstraits ou trop g n raux ils sont souvent trop vastes ils sont difficilement applicables aux exigences locales sp cifiques Il faut par cons quent d finir des profils afin de pouvoir appliquer les standards de fa on optimale dans un environnement particulier et donc permettre une meilleure interop rabilit Le profil d un standard correspond une restriction ou une extension de la sp cification de ce standard D une mani re g n rale un standard contient des l ments obligatoires qui doivent bien entendu tre respect s galement dans un profil Les r gles du standard doivent dans tous les cas tre respect es pour une restriction ou une extension Sur la figure 2 les deux
36. t dune dameuse Quand on voit les difficult s que nous prouvons a nous rep rer dans le brouillard en plein jour il n tait donc pas surprenant d y trouver un GPs ces machines travaillant la plupart du temps de nuit Par contre je ne m attendais pas y trouver un syst me d information du territoire pour g rer l ensemble des pistes du domaine skiable l paisseur de la neige chaque endroit de celles ci les r serves de neige etc Bref comme on peut ais ment le voir dans notre vie quotidienne la g oinformation fait maintenant partie de notre vie quotidienne et vouloir sen priver rel ve de la gageure Parmi les diff rentes m thodes et moyens nous permettant d obtenir et de mettre disposition des informations g ographiques il faut citer en premier lieu les g oservices web On en parle tout le temps on les cite en long et en large mais sait on vraiment ce qu il y derri re ces g oservices En tous les cas je fais partie de ceux qui nont qu une notion trop vague de ce que sont et de ce que font ces g oservices Je remercie donc les auteurs qui mont permis de me sentir un peu moins nul apr s la lecture de leurs contributions Bonne lecture Francis Grin ae HEIG VD E h k Il existe de plus en plus de g odonn es et afin de pouvoir les utiliser sans tre oblig de recopier des gigabytes de donn es sans parler des probl mes de mises jour sur les bases copi es les g oservices offr
37. talogage Catalog Services selon l oGc devient plus pertinente que service de recherche Dans cet article seules les op rations les plus utilis es ont t illustr es Pour comprendre la signification et l utilisation des autres op rations une documentation plus compl te est disponible sous geocat ch ou directement dans les sp cifi cations de occ Techniquement ce g oservice peut tre utilis avec les langages KVP SOAP et REST Bon plaisir dans votre recherche Il vaut mieux savoir tout chercher que chercher tout Savoir P Mendelson 1 Open Geospatial Consortium 2 Avec le sch ma GMO3Record la r ponse est d livr e dans le format im GMO3 INTERLIS XML D autres formats sont cependant possibles Une documentation compl tes est disponible sous www geocat ch internet geocat fr home documentation csw html 3 www geocat ch internet geocat fr home documentation csw html 4 www opengeospatial org standards cat 5 voir article de C dric Moullet Les g oservices un peu de technique p 5 12 Bulletin e geo ch 25 10 2010 omputing C est au plus tard depuis que Gartner l une des entreprises les plus r put es dans le domaine de l tude et de l analyse de march dans l industrie technologique mondiale a d clar le cloud Vs computing l informatique dans les nuages Hans Peter Christ comme tant le principal moteur de l industrie swisstopo informatique dans
38. u tr sor aux m tadonn es c est dire la description des g odonn es Concernant ce service pacifique puisqu il n y a plus besoin de se battre contre de m chants pirates il s agit du csw Catalog Service for the Web un standard de l occ Ce service de catalogage est appel plus commun ment service de recherche C est d ailleurs avec cette derni re appellation qu il appara t dans l ordonnance sur la g oinformation OG o Art 2 h service de recherche service Internet permettant la recherche de g oservices et de jeux de g odonn es sur la base de g om tadonn es correspondantes Un cas d application classique du csw peut tre constitu des trois phases suivantes dans chaque exemple la premi re ligne correspond l URL du serveur mettant disposition le g oservice de recherche 1 Avant de me plonger dans ce nouveau g oser vice je lis le manuel d utilisation Celui ci obtenu par l op ration GetCapabilities me permet de conna tre entre autres la description g n rale du service les op rations et param tres utilisables et les crit res de recherches disponibles Exemple d appel de cette op ration http www geocat ch geonetwork srv eng csw request GetCapabilities amp service CSW 2 Je me concentre ensuite sur les cartes au tr sor disponibles par l op ration GetRecords en posant par exemple la question suivante Quest ce qui a t mis disposition par Jack Rackham Exem
39. une fonction individuelle ou un ensemble d api d une organisation Son objectif est par cons quent d fini par le contexte dans lequel elle est utilis e Vous trouverez une description simple dans le tableau 1 Comment fonctionne une API Dans le cas des applications web une API est constitu e d un code source Ce dernier permet au propri taire d une page web de cr er sa propre application le code source int gr envoie une s rie de requ tes pr d finies et les param tres de retour font l objet dun traitement ult rieur en fonction des besoins Il existe un grand nombre de g oservices qui transmettent des informations par le biais de requ tes HTTP Une api web Lari une interface de programmation est un terme port e extensible que les d veloppeurs tout comme les fournisseurs pr nent comme une solution miracle a tous types de probl mes Les API peuvent malgr tout tre tr s simples et performantes Elles sont devenues indispensable dans l utilisation quotidienne d Internet et sont le plus souvent utilis es pour acc der un service particulier WMS REST SOAP etc D une mani re g n rale les API offrent moins de flexibilit en tant que code source ouvert mais davantage en tant qu applications ferm es Imaginez que vous avez trois voisins le voisin ferm Gustave le voisin ouvert Oscar et l API Anna Chacun d entre eux est comparable une application informatique Comme dans tout vois
40. uvant tre selon les cas remplac par Excel Word Office etc mais aussi par la photo la cuisine ou la guitare Cette collection a pour ambition de r pondre aux questions des utilisateurs peu exp riment s qui ont envie de trouver des explications simples leurs probl mes qu ils soient d ordre informatiques ou de tout autre nature Nous sommes certainement tr s nombreuses et tr s nombreux ch res lectrices et chers lecteurs a avoir entendu parler de notions de techniques de programmes ou de g oservices sans savoir exactement de quoi il en retourne ni comment a fonctionne r ellement En imaginant ce bulletin e geo ch que vous tenez dans les mains j avais donc envie de faire sans vouloir naturellement pr tendre un tel professionnalisme une sorte de les g oservices web pour les nuls La diffusion de l information g ographique par les moyens lectroniques les plus modernes est devenue une r alit quotidienne et les m thodes de diffusion ne cessent de s adapter aux besoins croissants des utilisateurs Le lancement dans le courant de l t du g oportail de l administration f d rale http map geo admin ch ne vous a sans doute pas chapp Ce g oportail pr figure ce que sera notre g oportail national destin r pondre l article 10 de la Loi f d rale sur la g oinformation qui stipule que les g odonn es de base relevant du droit f d ral sont accessibles la population Les
41. veur WMTS service le nom du service en l occurence WMTS Param tre obligatoire request le nom de la requ te en l occurence GetTile Parametre obligatoire version le num ro de version Actuellement la version 1 0 0 est valable Parametre obligatoire layer le nom de la couche concern e Param tre obligatoire style un nom de style pr d fini mis a disposition par le service wmTs Param tre obligatoire format le format d image renvoyer Param tre obligatoire tileMatrixSet un jeu de tuile pour la couche pr d finie Il s agit d une r f rence lentier de la pyramide Param tre obligatoire tileMatrix une matrice de tuiles correspondant un niveau de zoom du TileMatricSet Param tre obligatoire tileRow le num ro de la tuile selon l axe des abcisses Param tre obligatoire tileCol le num ro de la tuile selon laxe des ordonn es Param tre obligatoire dimensions la norme WMTs offre la possibilit de d finir z ro une ou plusieurs dimensions Il s agit par exemple d une information temporelle comme la date de saisie des donn es Un exemple de requ te selon KvP est http www maps bob maps cgi service WMTS amp request GetTile amp version 1 0 0 amp layer etopo2 amp style default amp format image png amp TileMatrixSet WholeWorld_CRS_84 amp TileMatrix 10m amp TileRow 1 amp TileCol 3 8 Bulletin e geo ch 25 10 2010 Coarse resoluti
42. xml ns soap http www w3 org 2003 05 soap envelope gt lt soap Body gt lt GetCapabilities service WMTS xmlns http www opengis net ows 1 1 gt lt AcceptVersions gt lt Version gt 1 0 0 lt Version gt lt AcceptVersions gt lt AcceptFormats gt lt OutputFormat gt application xml lt OutputFormat gt lt AcceptFormats gt lt GetCapabilities gt lt soap Body gt lt soap Envelope gt La r ponse a cette requ te se pr sente sous la forme d un fichier xML structur selon soaP qui contient les informations sur le service WMTS GetCapabilities selon REST Une requ te selon REST pour GetCapabilities est faite en mode GET Un exemple T URL est http www maps bob 1 0 0 WMTSCapabilities xml Un exemple de visualisateur utilisant un service WMTS pour diffuser les images a riennes La librairie OpenLayers permet l affichage des donn es On retrouve dans cet URL un num ro de version du service une requ te WMTsCapabilities et une extension qui indique le format de retour La r ponse cet URL est un fichier XML qui contient les informations sur le service WMTS GetTile La requ te GetTile permet un client WMTS de demander une tuile ceci pour une certaine pyramide d une certaine couche et selon un certain format Le service wMTs renvoie la tuile demand e La requ te GetTile peut se faire en plusieurs langages GetTile selon KVP Plusieurs param tres peuvent tre envoy s au ser
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