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Etude d`opportunité de développement sur le marché de la

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1. C est le cas des infrastructures souterraines en PE PVC b ton comme pour certaines canalisations comportant de l eau de l assainissement ou du gaz Nous introduisons une sonde par exemple une aiguille d tectable w D L Flexitrace dans le r seau tracer ou g or f rencer et nous y envoyons ensuite un signal par le biais de l metteur qui lui est coupl Enfin la fr quence mise par la sonde est re ue par le r cepteur Cette technique est tr s utile pour d tecter les r seaux non conducteurs N anmoins la n cessit d mettre la sonde l int rieur de des ouvrages sans nuire leur fonctionnement rend son applicabilit limit e par les prestataires de d tection Figure 9 D tection lectromagn tique par sonde SEBA KMT Parmi les quatre modes de d tection fournis g n ralement par les Cas n 1 r cepteurs 1l existe le mode sonde En raison de sa conception une sonde fournit une r ponse diff rente lors d une d tection parall le ou perpendiculaire sa direction En premier lieu lors d une d tection parall le nous obtenons trois pics distincts Un petit Un grand Un petit La localisation de la sonde s effectue gr ce au grand pic obtenu Cas n 1 Ensuite lorsque nous croisons perpendiculairement la sonde travers notre d tection par le r cepteur Cas n 2 nous retrouvons une r ponse de pic classique similaire celle du mode Maxi
2. IT 1 2 3 Classes de pr cision Au sens de l arr t du 15 f vrier 2012 les classes de pr cision cartographique des ouvrages sont mesur es partir de leurs enveloppes ext rieures Nous distinguons trois classes A B ou C en fonction de l incertitude maximale de localisation qui est indiqu e par l exploitant de l ouvrage et qui doit tre inf rieure un seuil de tol rance T Ci apr s nous 1llustrons ces trois classes de pr cision tableau 2 Classes de pr cision Arr t du 15 f vrier 2012 Ouvrage ferroviaires ou Ouvrages Ouvrages guid s construits rigides flexibles ant rieurement au ler janvier 2011 Type d ouvrage Tous types d ouvrages Tableau 2 Classes de pr cision selon l arr t du 15 f vrier 2012 Ci apr s l avis de certains professionnels sur la nouvelle r glementation et sur les classes de pr cision gt Veolia Eau IDF a retenu la classe C pour l ensemble des canalisations en service install es avant du 15 f vrier 2012 Elle prend aussi les dispositions n cessaires afin que tous les ouvrages pos s apr s cette date soient g or f renc s en classe de pr cision A constate G rard Bayon charg de l organisation et de la mise en place de la nouvelle r glementation au sein de Veolia IDF Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 10 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Ap
3. INSA Institut National des Sciences Appliqu es Annexe 1 Annexe 2 Annexe 3 Annexe 4 Annexe 5 Annexe 6 Annexe 7 Annexe 8 Annexe 9 Annexe 10 Annexe 11 Annexe 12 Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Sommaire des annexes Exemple de saisie d emprise de chantier sans authentification et liste d exploitants OR AA E E E A E 70 Aper u sur les prestataires d aide la d claration aupr s du GU 71 Code couleurs normalis es des r seaux selon la norme NF P 98 332 74 Compte rendu de la r union du 15 mai 2013 de l Observatoire r gional d Auvergne communiqu s par C Le Loup adjoint chef de d partement de production au sein de l unit d intervention en Provence Alpes C te d Azur France Telecom 75 Notice explicative et exemple de plans joints en r ponse une DT de la part de la CPCU 78 Exemple de plan extrait du SIG de Veolia Eau IDE joint en r ponse une DICT 81 FProcess s DT DICT syntheise en 10 ClaPeS ee era en 0 83 Calendrier de mise en uvre du plan anti endommagement 84 Pr sentation des principaux ouvrages d tecter et des risques aff rents 85 Radargrammes illustrant l importance de la nature du terrain et du post traitement sur les donn es extrait
4. NS Institut National Sciences Appliqu es a IG Institut National des Sciences Appliqu es de Strasbourg M moire de soutenance de Dipl me d Ing nieur INSA Sp cialit TOPOGRAPHIE Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Pr sent le 20 Septembre 2013 par Soufiane LAQBAYLI R alis au sein de l entreprise Alpes Topo 16 Avenue Franklin Roosevelt 13600 La Ciotat Directeur de PFE Correcteurs M J r me Command M Pierre Grussenmeyer Directeur g n ral M Gilbert Ferhat INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Remerciements En premier lieu je tiens remercier vivement les deux fr res associ s de l entreprise de Topographie Alpes Topo Messieurs J r me et Philippe Command pour m avoir donn l opportunit de r aliser cet int ressant Projet de Fin d Etudes au sein de leur structure ainsi que pour leur confiance et leur suivi tout au long de la dur e du projet Par ailleurs je remercie plus particuli rement J r me Command d avoir mis ma disposition les moyens logistiques n cessaires la r ussite du stage et d avoir pris en consid ration l ensemble de mes requ tes Je remercie galement Pierre Grussenmeyer et Gilbert Ferhat mes professeurs r f rents pour les pr cieux conseils et remarques qu ils m ont
5. gt La compl mentarit des techniques de d tection est n cessaire pour une localisation pr cise des r seaux enterr s Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 55 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Instit t de t Natione s Sciences Appliqu es V Choix du mat riel et cr ation du p le Alpes Topo D tection et G or f rencement des R seaux Enterr s V 1 Choix du mat riel Dans le cadre de ce PFE le premier contact avec les constructeurs de mat riel de d tection lors des diff rents forums AFT VST l avis des professionnels et des scientifiques rencontr s ainsi que les diff rentes recherches bibliographiques ont permis de s lectionner chaque fois deux ou trois instruments de d tection et ou de g or f rencement de r seaux souterrains Apr s cette s lection une tude a t men e sur cette instrumentation relevant des trois champs suivants D tecteurs lectromagn tiques couplage de d tecteurs lectromagn tiques et de solutions GNSS et g oradars V 1 1 Instruments de d tection lectromagn tique de r seaux Hormis certains d tecteurs lectromagn tiques manipul s lors de ce projet comme le Rigid SR20 ou le 3M 2573 d autres instruments ont t s lectionn s pour mener une tude aboutissant un choix de mat riel servant la cr ation du p le Alpes Topo D tection et G or f rencement des R seaux Ente
6. 2 Le lev topographique fouille ouverte du c ble HTA a t tabli sur une distance de 25m avec un pas de mesure 1 5m Nous avons respect ce m me pas lors du g or f rencement du c ble fouille ferm e C1 apr s le tableau r capitulatif des carts et de l emg relatif cette deuxi me exp rimentation tableau 8 Association vLoc5000 Station Totale TS15 Hi m A n 1 5 E 11 2 4 6 34 2 3 18 8 6 6 0 4 19 9 4 5 12 9 4 5 EE 14 1 6 5 9 2 1 1 6 6 5 7 5 1 6 0 6 1 3 2 2 9 7 1 3 1 1 4 1 10 5 11 7 4 1 4 5 13 2 12 10 4 3 6 2 11 5 Donn es 13 5 9 9 3 4 2 0 10 7 15 14 6 5 1 11 2 19 1 16 5 70 2 5 15 8 17 6 18 4 5 1 6 20 7 Die 19 5 15 4 5 4 19 6 25 5 21 D gt 7 5 12 5 25 7 22 5 EE 0 8 0 3 2 4 24 6 3 D 4 1 7 8 25 5 5 5 1 9 14 2 15 4 L cm 9 4 3 3 6 0 14 8 emq cm 8 4 Tableau 8 R capitulatif des carts et de l emq de la deuxi me exp rimentation Contrairement l exp rience pr c dente nous constatons que les plus grands carts ne sont pas seulement li s la position altim trique des points En effet ils sont bien r partis avec les m mes ordres de grandeurs sur les trois axes Toutefois les axes X et Z connaissent les plus grands carts avec respectivement des maximums de 32 0 cm et 20 7 cm ainsi que des moyennes des carts Lx 9 4 cm et Lz 6 0 cm contre Ly 3 3 cm Les carts en position li affichent aussi des valeurs tr s importantes avec un maximum de 34 2 c
7. 31 984 31 937 31 864 31 803 31 890 31 841 32 003 31 995 31 860 31 832 31 779 31 800 31 836 31 878 31 761 31 822 31 849 31 772 31 838 31 869 31 891 31 715 31 613 31 707 31 712 31 727 31 715 31 673 31 726 31 724 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e ID Point d tect O I ON a A N me w o N N N N N N N NNN N l nn me ee ee Y ee ee Y ee Y e DE Nn RSS O MO MO On ES EDS RSen O ON MON O ES FoS RS Fr quence de l mission Hz 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 491 Profondeur d tect e mm 939 909 809 843 822 790 882 854 1048 997 876 797 729 863 855 761 538 600 819 828 384 290 575 599 476 588 678 754 704 811 712 629 Intensit re ue mA 32 32 32 33 34 34 34 34 35 34 34 36 36 38 37 37 36 35 39 44 49 49 43 41 41 38 38 36 35 37 36 36 Sens du courant E ES FoS RoS o RoS RES RoS ES RE RoS RoS RE Rcg FRES RoS Reg CQ 2D 0 00 0 00 0 20 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 0 002 CQ Alti 0 00 0 00 0 00
8. France T l com sont en classe B 49 en classe C et seulement pr s de 1 en classe A Par cons quent il reste encore beaucoup de travail avant de satisfaire les exigences de la nouvelle r forme pour la date du 1 janvier 2026 gt Au 27 juin 2013 pour la soci t des Eaux de Marseille 89 5 des r seaux existants sont en classe B et 10 sont en classe C Nous n avons quasiment pas d ouvrages en classe 0 5 hormis ceux qui sont pos s apr s la mise en application de la nouvelle r forme observe Renaud de Carmantrand directeur de l agence de Vitrolles Eaux de Marseille gt A la date du 12 Mars 2013 les ouvrages connus avec une classe pr cision A au sein de la CPCU sont de l ordre de 8 Le reste est automatiquement en classe B affirme Catherine Sarmir r dactrice charg e des relations ext rieures au sein de la CPCU 11 1 2 4 Utilisation du GU IL 1 2 4 1 Utilisation du GU par un exploitant de r seau L exploitant de r seau a l obligation de s enregistrer sur le GU pour chaque zone g ographique commune ou arrondissement o il poss de n importe quel type et cat gorie de r seau qu il g re A travers un fichier tableur csv ou l aide d un formulaire disponible sur le site Internet reseaux et canalisations ineris fr le gestionnaire de r seaux doit transmettre ses coordonn es ainsi que les informations relatives ses ouvrages sur chacune des communes d implantation
9. Les installations de traction lectrique devant tre mises hors tension lors des travaux sur ou proximit afin d viter tout accident Les infrastructures lectriques d clairage public et priv ainsi que les alimentations de t l communication Par domaines de tension T les r seaux lectriques sont class s ainsi gt Basse Tension BT Courant alternatif 50 V lt T lt 1 kV Courant continu 120 V lt T lt 1 5 kV gt Haute Tension type A HTA Courant alternatif 1 kV lt T lt 50 kV courant continu 1 5 KV lt T lt 75 KV gt Haute Tension type B HTB Courant alternatif T gt 50 kV Courant continu T gt 75 kV Les riverains et les travailleurs sur ou proximit des conducteurs qui sont sous tension ou soumis aux ph nom nes d induction magn tique ou de couplage capacitif sont expos s un risque mortel lors d un contact ou d un amor age quel que soit le domaine de tension Par ailleurs lors des courts circuits ces personnes courent des risques significatifs que a soit des br lures des blouissements des effets souffle ou encore des traumatismes sonores I 2 Ouvrages gaziers Nous distinguons deux types d ouvrages gaziers les r seaux de transport et de distribution Les r seaux de transport De diam tres compris entre 2 5 cm et 1 2 m les ouvrages de transport sont g n ralement exploit s en haute pression HP gt 16 bars voire m me dans certains cas en
10. VI 2 2 Traitement des donn es et analyse qualitative La trame informatique envoy e de la part du d tecteur lectromagn tique la station totale contient les donn es relatives la d tection Ces informations sont l ID du point d tect la fr quence d mission Hz la profondeur de l ouvrage d tect m l intensit du courant re u mA et une valeur binaire indiquant le sens du courant 0 1 Ces informations sont par la suite associ es comme annotation au point g or f renc Une fois au bureau nous r cup rons un fichier texte contenant les coordonn es des points au sol de l ouvrage ainsi que des informations relatives la trame de d tection Il fallait soustraire la profondeur annonc e de la coordonn e altim trique afin de r cup rer l altim trie r elle de l ouvrage Nous nous sommes servis une fois encore des logiciels de traitement des donn es et DAO Autocad 3D Covadis afin d tablir les deux polylignes 3D relatives au lev topographique tranch e ouverte et ferm e figure 26 Annexe 11 Trame sortie du carnet de de la station totale Viva TS15 suite la d tection et au g or f rencement d un ouvrage Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 50 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Scien Institut National ices Appliqu es Vue de plan Profil en long Trac du c ble tracnh
11. d tecteur Rigid SR20 et station totale Leica TPS 1200 Passage 3 couplage du RD8000 avec la solution GNSS Trimble GeoXH 6000 dot e d une pr cision tridimensionnelle centim trique Syst me D3E gt Passage 4 couplage du RD8000 avec la solution GNSS Trimble GeoXH 6000 avec kit antenne externe Zephyr ArpentGIS garantissant une pr cision YY Y tridimensionnelle inf rieure 10 cm Syst me D3E photographie 11 Apr s avoir g or f renc la position au sol des deux c bles suivant les indications des d tecteurs lectromagn tiques il a fallu soustraire l altim trie annonc e par la station totale la mesure de profondeur du c ble Cette derni re a t Photographie 11 EEN g olocalisation des c bles not e la main sur un carnet de terrain enterr s avec le syst me Pour le couplage des deux solutions GNSS Trimble avec le RD8000 les mesures de Dat profondeurs annonc es par le d tecteur taient transmises directement aux annotations relatives aux points g or f renc s Elles taient r cup rables directement sur le carnet de terrain des solutions GNSS Cette op ration conomise le temps du traitement et diminue les sources d erreurs relatives la transcription des profondeurs Enfin une fois les mesures enregistr es nous avons enlev les deux c bles VI 1 2 Traitement des donn es Les solutions GNSS nous ont permis de g or f rencer les quatre points de r f rence util
12. gt Arriverons nous obtenir dans les mois qui suivent un v ritable d marrage des Investigations Compl mentaires et des clauses techniques et financi res ainsi qu une meilleure connaissance du guide technique relatif aux travaux proximit des r seaux gt Arriverons nous mieux maitriser la technique du g oradar dans les prochaines ann es ou serons nous capables d inventer une alternative cette technique pour mieux garantir la cartographie des ouvrages non conducteurs de courant Les r ponses ces questions sont primordiales pour garantir la s curit proximit des ouvrages enterr s comme l avait imagin la r forme DT DICT Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 60 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Table des illustrations Figures Figure 1 Organigramme simplifi de la soci t Alpes Topo 4 Figure 2 Localisation des chantiers d Alpes Topo IDE 5 Figure 3 Polygone issue d un fichier de zonage reseaux et canalisations ineris fr 000sessneeeeeessssssssee 10 Figure 4 Pourcentage d ouvrages en classe de pr cision A au sein de diff rents exploitants de r seaux dans la premi re moiti de l ann e 2013 R sultats des entretiens labor s dans le cadre du PFE 0000000000000000 22 Figure 5 Sch ma pr sentant les champs lectromagn tiques in
13. informations suffisantes dans les r ponses aux DR et DICT les exploitants de r seaux avaient l obligation de formuler des r ponses aux diff rentes d clarations Or dans la plupart des cas ils indiquaient seulement l ventuelle pr sence de leurs ouvrages dans l emprise des projets avec souvent une d termination peu pr cise de la localisation des r seaux Cela affectait norm ment la s curit lors des travaux proximit des r seaux gt R le non adapt des mairies dans cette proc dure les mairies recevaient stockaient et mettaient jour l ensemble des donn es relatives aux exploitants de r seaux Elles jouaient ensuite le r le de l interm diaire entre ces derniers et l ensemble des d clarants De telles fonctions sont inadapt es des structures telles que les mairies et ne faisaient que retarder la proc dure DR DICT D cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 relatif au guichet unique cr en application de l article L 554 2 du code de l environnement Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 8 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Ces diff rentes d faillances ont impliqu un nombre non n gligeable d accidents proximit des r seaux avec des d g ts parfois dramatiques En plus la responsabilit sur ces endommagements tait souvent report e sur l ex cutant de
14. jour le besoin n cessaire de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s Par cons quent cela n a pas permis de quantifier le march de Topographie souterraine Apr s cette introduction Partie I ce m moire pr sentera le contexte r glementaire avec les avis de professionnels et les bilans sur les changements entrain s par cette nouvelle r forme Partie II En effet au d part cette tude tait cens e se focaliser juste sur les techniques instruments et m thodes de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s Or 1l s est av r primordial de mener une s rieuse analyse r glementaire nous permettant de comprendre le contexte de cette tude d opportunit Nous exposerons ensuite les techniques et m thodologies de d tection des r seaux enterr s Partie II Puis dans une quatri me partie nous pr senterons des exp rimentations permettant de juger la pr cision du mat riel de d tection et de g or f rencement de r seaux enterr s Partie IV Nous aborderons galement le choix du mat riel ainsi que la cr ation du p le Alpes Topo D tection et G or f rencement des R seaux Enterr s Partie V Enfin nous dresserons une conclusion technique sur ce sujet d tude Partie VI Arr t du 21 janvier 1980 fixant les tol rances applicables aux lev s grande chelle entrepris par les services publics Arr t du 16 septembre 2003 portant sur les classes de pr cisio
15. leur permettant galement de r aliser la gestion d l gu e de leurs d clarations I 2 PROT YS fr La cr ation des sept grands exploitants de r seaux GrDE ERDF GRT gaz Orange RTE et TIGF et Lyonnaise des Eaux PROTYS fr est un portail cr depuis l ann e 2008 Acteur majeur de la s curit et de la protection des r seaux PROTYS membre fondateur de l Observatoire National DT DICT met toute son expertise contribution lors de ses changes avec l AFNOR le Minist re de l Ecologie du D veloppement durable et de l Energie la Direction G n rale de la Modernisation de l tat et le Minist re de l Int rieur Protys fr Ce prestataire de services compte 4500 utilisateurs plus de vingt collaborateurs 4 5 millions d euros de chiffre d affaires 10 millions de documents trait s par an ainsi qu une croissance annuelle de 21 I 3 DICTSER VICES fr Forte de son expertise et suite la reprise des activit s de la soci t Urbann Net City SIG IMAGE a lanc en 2007 sa solution web DICTservices fr Avec plus de 1000 clients en 5 ans d activit DICTservices fr a r alis la plus forte progression du secteur dont un tr s grand nombre d entreprises qui utilisait d autres services I 4 Avis d un expert sur les trois prestataires d aide la d claration France Telecom utilise les trois prestataires d aide la d claration pour diff rentes raisons PROTYS fr est un consortium o
16. seaux Institut National les Sciences Appliqu es II Contexte r glementaire Le Minist re de l cologie du D veloppement Durable des Transports et du Logement a d cid de recadrer les textes r glementaires concernant les travaux proximit des r seaux suite aux diff rents accidents qui ont eu lieu par le pass Ainsi la nouvelle r glementation DT DICT autrement connue selon le nom du plan anti endommagement des r seaux a vu le jour travers diff rents textes de loi d crets et arr t s applicables partir du 1 Juillet 2012 II 1 Plan anti endommagement Issu de la loi n 2010 788 du 12 juillet 2010 du d cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 ainsi que du d cret n 2011 1241 du 5 octobre 2011 et de son arr t du 15 f vrier 2012 le plan anti endommagement a apport plusieurs ajustements et nouveaut s par rapport aux anciennes r glementations comme la cr ation d un Guichet Unique GU en France une meilleure r partition des responsabilit s entre les diff rents acteurs impact s par cette r forme ainsi que la cr ation d un nouvel Observatoire National de DT DICT qui est au sommet de plusieurs Observatoires R gionaux II 1 1 R glementation ant rieure et ses faiblesses Avant l entr e en vigueur de la nouvelle r forme les travaux proximit des r seaux taient encadr s par un contexte r glementaire issu du d cret n 91 1147 du 14 octobre 1991 et de son arr t d appli
17. seaux de chaleur et les ouvrages chimiques et d hydrocarbures Et d autre part des r seaux non sensibles pour la s curit comme les ouvrages de t l communication les canalisations d eau potable et les ouvrages d assainissement Ce m moire ne cible que des r seaux souterrains sans s attarder sur leurs homologues a riens et subaquatiques Cela s explique par le fait que la quasi totalit des prestations de d tection et de g or f rencement des r seaux concerne les r seaux souterrains Sur le territoire fran ais et jusqu au d but de l ann e 2012 plus de cent mille endommagements avaient lieu chaque ann e sur ces r seaux enterr s ou a riens lors des travaux proximit chaque ann e dont 4 500 fuites constat es sur les r seaux de distribution de gaz Point sur la nouvelle r glementation Travaux proximit des r seaux mai 2012 page 6 Par ailleurs plus de 400 accidents sur les r seaux ont eu lieu quotidiennement durant l ann e 2011 Guide Technique relatif aux travaux proximit des r seaux version juin 2012 page 6 Ces nombreux accidents souvent issus de l ignorance de l emplacement exact ou de la sensibilit des r seaux engendrent des d g ts mat riels conomiques et environnementaux Ils provoquent galement la discontinuit du service public assur par les r seaux endommag s ainsi que le ralentissement voire l arr t des travaux sur des longues p riodes Les pires cons
18. t du 15 f vrier 2012 les plans g or f renc s qui accompagnent le r c piss doivent rester compr hensifs en cas de reproduction en noir et blanc Par cons quent il faut adapter la l gende pour ne pas utiliser des couleurs qui ne permettent pas de diff rencier les ouvrages Ces plans doivent contenir gt La cat gorie des r seaux avec la date la plus r cente des modifications gt Les sp cifications de la classe de pr cision pour l ensemble des ouvrages pr sents dans le plan ou pour chaque tron on gt Au moins trois points g or f renc s et espac s de 50 m tres les uns des autres Selon le pr ambule de l arr t du 15 f vrier 2012 cette obligation sera applicable partir du 1 janvier 2019 pour les r seaux sensible en zones urbaines et partir du 1 Janvier 2026 pour les autres cas gt La dimension de l ouvrage si sa g n ratrice sup rieure est mod lis e par un simple trait ou si sa dimension est sup rieure 1 m gt Un cartouche contenant une chelle garantissant une bonne lisibilit et une l gende facilitant la compr hension du plan et de certains l ments compris dans le r c piss me 21 n 0 1 nous les joignons avec Pour les r ponses aux DT et lorsque nous disposons de plans au 20 les l ments de r ponse Pour les DICT nous envoyons aussi un plan au 2000 qui est un extrait de notre SIG comme le font la plupart des concessionnaires de r seaux En plus n
19. 14 Sch ma montrant le principe de la triangulation manuelle 50 et 70 Manuel d d utilisation du vLoc 5000 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 31 Institut National ces Appliqu es INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Scier gt La m thode semi automatique vLoc 5000 l cran d affichage du d tecteur lectromagn tique est dot d une courbe de gausse dont le sommet correspond au centre de la canalisation La suite de la v rification de profondeur reste la m me que pour la m thode manuelle Lors de la d monstration avec le vLoc 5000 nous avons r alis une v rification de la profondeur des ouvrages en se basant sur la m thode de triangulation semi automatique photographie 4 Nous trouvons Z 86 cm et Dag 94 cm d o une erreur sur la d tection de 8 5 Cette importante erreur peut s expliquer par la nature du terrain qui n est pas plat ainsi par la pr sence d un second r seau conducteur du c t de la position cr ant une distorsion du signal Photographie 4 V rification terrain de la profondeur par la m thode de triangulation semi automatique III 2 1 3 Bilan Il a t retenu de cette pr sentation des diff rents d tecteurs photographie 5 que lors d une prestation de d tection lectromagn tique 1l faut que l op rateur soit tr s attentif son environnement et reste humble dans l a
20. A ce jour figure 4 Pourcentage d ouvrages en classe de pr cision A CPCU Eaux de Marseille France Telecom ErdF GrdF Veolia Eau IDF 0 2 4 6 8 10 12 Figure 4 Pourcentage d ouvrages en classe de pr cision A au sein de diff rents exploitants de r seaux dans la premi re moiti de l ann e 2013 R sultats des entretiens labor s dans le cadre du PFE gt Fonds de plan et SIG une n cessit est identifi e et un progr s demandant une volution r glementaire Peu de collectivit s locales et d exploitants de r seaux disposent d un SIG ou de plans grande chelle gt Ex cution des travaux et guide technique clauses techniques et financi res inexistantes guide technique peu connu et rarement mis en pratique et facteur humain n glig gt Constats contradictoires bien accept s mais trop exhaustifs pour certains acteurs difficiles utiliser sur les chantiers de travaux gt Travaux urgents utilisations abusives constat es de cette proc dure simplifi e Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e sn GROUPE INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es R capitulatif de la partie IT Entr e en vigueur depuis le 1 Juillet 2012 la nouvelle r forme DT DICT a vu le jour pour faire face aux endommagements accidentels issus des travaux proximit des r seaux car ils me
21. Cas n 2 Ces deux possibilit s de d tection par le mode sonde permettent la fois la localisation des ouvrages et le contr le de leur position Figure 10 Sch ma d utilisation du mode sonde Manuel d utilisation du vLoc 5000 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 27 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es III 2 1 2 Proc dure et conseils relatifs la d tection lectromagn tique A l issue de deux d monstrations terrain sur diff rents d tecteurs lectromagn tiques vLoc 5000 et le vLoc Pro2 Vivax Metrotech le RD8000 PDL SPX et le d tecteur de 2573 3M et en se r f rant au manuel d utilisation du vLoc 5000 nous avons tabli la m thodologie de d tection lectromagn tique suivante IL 2 1 2 1 Choix du mode de branchement En se basant sur les pr conisations vues dans la partie IIL 2 1 1 2 D tection lectromagn tique en mode actif nous cherchons tant que possible effectuer une d tection en mode actif par raccordement direct l me du r seau tout en se servant des cordons et des pinces crocodiles photographie 2 Le c ble de raccordement d tient deux cordons un rouge et un noir Tout d abord nous commen ons par brancher le cordon rouge l me du c ble Nous relions ensuite le cordon noir une masse ND AU sun si F WE 6i pus appropri e un piqu
22. LYONNAISE DES EAUX FRANCE CR 5A 33000 BORDEAUX 0977428428 see AEROPORT de MERIGNAC Direction de l Aviation 33704 MERIGMAC es CUS Voirie Seme Circonscription 33700 MERIGNAC ses CUB Departement Gestion du Trafic Gestion OR 33000 BORDEAUX DIRA DISTRICT DE GIRONDE 23140 VILLENAVE D ORNOM ve MAIRIE SERVICE TECHNIQUE Voirie Ecisirage Pu 23705 MERIGNAC LEUR ERIEREE VERIZON FRANCE Agence de Bordaaux Fibre opt 33370 ARTIGUES PRES BORDEAUX 0170737997 gt R ponse des exploitants utilisateurs sous format d mat rialis plus rapide et plans plus lisibles gt Partage de projets entre utilisateurs DICT fr gt Fonctionnalit permettant au responsable de projet de partager l ensemble des l ments fournir obligatoirement dans le DCE l entreprise de travaux L ensemble des DT envoy es pr saisie automatique des champs pour la DICT L ensemble des r ponses des exploitants avec plans not s A B ou Les r sultats des IC Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 72 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Scien Institut National ices Appliqu es Annexe 3 Code couleurs normalis es des r seaux selon la norme NF P 98 332 Les op rations de marquage piquetages des r seaux enterr s se font selon des couleurs diff rentes en fonction des diff rents types d ouvrages d tect s en conformit avec la norme NF P 98 3
23. Topographie 5 ann e 29 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es soustraire son rayon la profondeur annonc e par le d tecteur lectromagn tique afin d obtenir la profondeur exacte s parant le sol de la g n ratrice sup rieure de l ouvrage Fl ches d indication de la position de la canalisation Boussole indiquant la direction et le sens du signal R ponse num rique du signal Affichage analogique du signal Fr quence de l mission Profondeur annonc e Les r cepteurs disposent g n ralement de plusieurs antennes qui peuvent tre activ es travers diff rents modes et configurations afin de fournir des r ponses variables au signal re u par les ouvrages enterr s Mis part le mode sonde qui est d velopp dans la partie IIL 2 1 1 3 D tection lectromagn tique par sonde les trois autres modes sont les suivants gt Le mode Nul figure 11 en utilisant des antennes verticales cette configuration du r cepteur offre une r ponse minimum voire nulle l aplomb du r seau conducteur enterr Ce mode est pertinent lors de la d tection des infrastructures souterraines denses N anmoins 1l nous expose aux inexactitudes dues la distorsion du champ lectromagn tique Ainsi 1l est le y mode le moins utilis Figure 11 Sch ma d
24. acc s une partie conductrice et non prot g e par une isolation du r seau nous y Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 26 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Scier hopo errie branchons l metteur avec des pinces crocodiles qui lui sont reli es par des cordons et des c bles connecteurs Ne s appliquant des c bles transportant plus de 35 V que si les mesures s curitaires le permettent ce mode repose g n ralement sur les fr quences de transmission de 512 Hz 640 Hz et 8 kHz Sa combinaison avec une grande puissance et une faible fr quence contribue de mani re significative la r alisation de plus grandes distances de d tection lectromagn tique En outre l metteur est prot g des courants parasites autour de lui Ce qui permet d obtenir les meilleurs r sultats m me en pr sence d une importante zone souterraine dense en r seaux enterr s Figure 8 Sch ma de l metteur en mode de transmission direct par raccordement Manuel d utilisation du vLoc 5000 IT 2 1 1 3 D tection lectromagn tique par sonde La sonde est une petite bobine mettrice de courant qui est aliment e par sa propre batterie interne ou par un transmetteur externe Nous nous servons de la d tection lectromagn tique par sonde lorsque nous sommes en pr sence d un r seau souterrain creux et non conducteur de champs lectromagn tique figure 9
25. avec traitement de donn es georadar com 37 Figure 21 Calage de profondeur apr s traitement de l image radar MDS 38 Figure 22 Vue 3D sur des r seaux enterr s GRED 3D ABEM essssssssssssssssssseeeressssssssssssssssseereeeessssssss 38 Figure 23 Vue de haut et de c t sur les polylignes 3D relatives au trac du c ble principal et du TN 42 Figure 24 Vue sch matique de c t concernant la mise en place du c ble principale 00ssssnoeeneeeeesssss 43 Figure 25 Polylignes 2D illustrant le TN et les trac s relatifs au c ble secondaire fouille ouverte et ferm e 47 Figure 26 Vue de plan et profil en plan sur les polylignes 3D relatives au trac du c ble principal HTA 51 Figure 27 Donn es contribuant au calcul de la pr cision effective du vLoc5000 lors de la deuxi me DDASS AND LUS LEE 1 PRE E E A E E E E E A O EA E E T 51 Photographies Photographie 1 Explosion d un gazoduc suite un endommagement par un engin de chantier Ghislenghein Belsigue y leso DE enre EEN E Ee eae eee ii 6 Photographie 2 Branchement du cordon rouge l me du r seau lectrique onnoneosessssssoooeeeeerssssssss 28 Photographie 3 Param tres d affichage d un d tecteur lectromagn tique 30 Photographie 4 V rification terrain de la profondeur par la m thode de triangulation semi a
26. c ble mise nu qui nous a servi 7 pour le branchement du g n rateur l aide d une pince de serrage Nous avons k Ti d abord choisi une fr quence de 8 89 kHz et une intensit de 500 mA pour pe l mission du courant Or au d but des tests de d tection nous avons constat sur il 4 Kit l cran du vLoc5000 que la boussole repr sentant la distorsion du champ lectromagn tique tait rouge et moiti pleine Cela indique la pr sence d une distorsion ce qui peut affecter consid rablement la mesure de profondeurs En wp s TAISI ESNY TUE ww effet comme l illustre la photographie 12 il existe plusieurs c bles qui sont attach s les uns aux autres et reli s une terre identique La pince induit un signal FER Pete h Raccordement direct sur le sur le c ble que nous souhaitons d tecter cependant par l effet du rebouclage des c ble HTA terres le signal Aller Retour se propage sur les autres c bles Seba KMT 2013 Pour am liorer la qualit de la d tection surtout en altim trie nous avons choisi de diminuer la fr quence de l mission en 989 Hz et ensuite en 491 Hz Il existait certains endroits o nous pouvions avoir un acc s direct au c ble HTA mis nu photographie 13 ou un tube orange le renfermant ainsi nous avons pu confronter sa profondeur d tect e avec la profondeur r elle au m me endroit nous avons d tect l ouvrage trois reprises tou
27. d tection gr ce aux Par ailleurs pour les besoins du g or f rencement nous nous sommes techniques lectromagn tiques munis d une solution GNSS Leica de gamme Viva dot e d une pr cision centim trique Sur le terrain nous arrivions voir la tranch e qui a t effectu e sur la voirie pour le passage du r seau Par ailleurs nous avons pu avoir un acc s la plaque qui renfermait une partie du r seau et o nous avons branch le g n rateur du vLoc 5000 Gr ce cet acc s nous avons pu galement mesurer la profondeur de l installation du r seau gt 40 cm Ainsi avant de commencer la d tection nous avions une id e sur la position de l ouvrage autant en planim trie qu en altim trie Nous avons d abord commenc par une d tection lectromagn tique rapide afin de confirmer la position du r seau avant de passer au g oradar photographie 18 Nous notons que les r sultats annonc s par le d tecteur lectromagn tique semblaient tr s coh rents autant en planim trie qu en Photographie 18 Mat riel d ploy CEEE OR lors de la 3 me exp rimentation altim trie Ensuite nous avons effectu tous les r glages n cessaires pour une bonne d tection avec le g oradar y compris ceux de la constante di lectrique du contraste de limage Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 54 i ISA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r
28. d veloppement d une activit permanente de d tection de r seaux enterr s au sein de la soci t N anmoins cette tude a permis l entreprise de cerner les diff rentes exigences de la nouvelle r forme DT DICT et de faire le lien avec les nouvelles technologies instrumentales relatives au monde de la d tection et au g or f rencement des r seaux enterr s Par ailleurs la satisfaction de la direction d Alpes Topo par rapport cette tude l a pouss investir dans le d tecteur lectromagn tique vLoc 5000 et tudier les possibilit s de location de g oradars pour laborer plus de tests sur cette technologie dans le futur L entreprise est galement en train d tudier de pr s le march de la Topographie souterraine afin de formuler des r ponses des appels d offres dans les prochains mois En effet la soci t consid re que cette tude lui permettra d tre un prestataire de services cr dible sur le march de la d tection et du c or f rencement des r seaux enterr s Enfin le march de la d tection et du g or f rencement des r seaux enterr s en France ouvre plusieurs d bats r glementaires et techniques gt Consid r es comme trop courts pour fournir les meilleurs fonds de plans par la plupart des exploitants de r seaux rencontr s les d lais de 2019 et 2026 inscrits dans le calendrier de la nouvelle r forme DT DICT seront 1ls repouss s
29. dangereuse IT 2 1 2 A quoi servent les DT et les DICT Etablie par le responsable de projet ou son d l gu en amont du d but des travaux la DT vise tablir la compatibilit entre les travaux r aliser et les r seaux existants dans l emprise du projet Elle a pour but de demander galement les r gles techniques de s curit appr hender pendant et apr s les travaux et d tudier la possibilit de mener des IC quand il s agit de r seaux peu pr cis appartenant une classe de pr cision B ou C A d faut de proc der ces investigations le responsable de projet doit pr voir des clauses techniques et financi res dans le march de travaux Quant elle la DICT est tablie par des particuliers ou des entreprises charg es de l ex cution de travaux Elle est remplie partir du formulaire unique DT DICT Cette d claration a pour objectif de montrer aux gestionnaires de r seaux l emplacement exact des travaux projet s et les techniques de qui y sont relatives Elle sert galement demander les consignes de s curit pour viter tout endommagement d ouvrages Il faut noter que le responsable du projet et l ex cutant des travaux doivent tablir autant de DT et de DICT que d exploitants de r seaux concern s cela afin d avoir la totalit des informations n cessaires concernant les ouvrages existants dans l emprise du projet II 2 1 3 Comment et quand tablir les DT et
30. du projet il doit v rifier les r seaux existants dans l emprise des travaux ainsi que la compatibilit entre son projet et les r seaux existants Il est la fois en charge d adresser les DT aux diff rents exploitants de r seaux et d effectuer les op rations de marquage piquetage au sol de la localisation des points singuliers du r seau en s appuyant les plans fournis par les gestionnaires Ces op rations doivent tre tablies selon un code couleur qui r pond la norme NF P 98 332 Par ailleurs si les ouvrages pr sents dans la zone du projet de travaux sont des r seaux sensibles situ s en zones urbaines et appartenant aux classes de pr cision B ou C le ma tre d ouvrage doit obligatoirement proc der des Investigations Compl mentaires IC qui sont men es par ses propres agents homologu s ou confi es un prestataire de services certifi Les frais de ces investigations sont partag s ou pas entre le ma tre d ouvrage et le gestionnaire de r seau selon la classe pr cision d clar e des ouvrages et celle effectivement constat e Par mesures s curitaires de continuit du service public ou de sauvegarde de personnes et de biens il est n cessaire d engager des travaux urgents o le responsable de projet et l ex cutant des travaux sont dispens s d adresser les DT et DICT Toutefois le responsable de projet doit consulter le GU afin de v rifier l inexistence de r seaux sensibles
31. entre 500 et 1000 personnes vacu es lors d un per age accidentel d une conduite de gaz Lyon 20minutes fr En mai 2011 un accident sur une canalisation de fibres optiques dans le projet de tramway de V lizy Villacoublay a provoqu une coupure de plusieurs sites internet dont celui du Minist re de la D fense journaldunet com En novembre de cette m me ann e un endommagement sur une canalisation d eau potable a entrain l inondation d une partie du centre de la ville de Dijon et de l entr e de son principal h pital reseaux et canalisations ineris fr Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 6 i ISA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National je CIeNCE lqu es Ces accidents ont eu lieu malgr l existence dans le pass d une r glementation encadrant les travaux proximit des r seaux C est le cas d un point de vue cartographique des arr t s du 21 janvier 1980 et du 16 septembre 2003 fixant les classes de pr cision et les tol rances relatives aux travaux topographiques Par ailleurs d un point de vue r glementaire il existait des instructions qui prenaient effet jusqu au 1 Juillet 2012 telles que celles issues du d cret n 91 1147 du 14 octobre 1991 et de l arr t du 16 novembre 1994 portant sur les travaux proximit des r seaux C est partir de cette derni re date que l
32. est possible d obtenir titre informatif et sans authentification la liste des gestionnaires de r seaux concern s par l emprise d un chantier en particulier Pour d clarer une zone de travaux un utilisateur d clarant dispose d un espace cartographie permettant de dessiner sous forme d un polygone l emprise de travaux relative son projet sur un fond de carte Les coordonn es des sommets sont d termin es directement par le t l service Une fois cette tape effectu e et l emprise valid e le d clarant re oit un num ro de consultation servant de justificatif qui doit tre Joint aux d clarations envoy es au gestionnaire de r seaux concern Le d clarant re oit aussi le fond de plan contenant son emprise de travaux dessin e une liste des gestionnaires pr sents dans l emprise des travaux ainsi que leurs coordonn es les formulaires de d clarations pr remplis ainsi que la cartographie 7 2 2 2 13 compl te des r seaux souterrains abandonn es et non d mantel s II 1 2 5 Prestataire d aide la d claration Pour faire face la quantit importante de d clarations que les utilisateurs du GU changent ponctuellement il existe des prestataires d aide la d claration comme DICT fr PROTYS fr ou encore DICTSERVICES fr Conform ment l article R 554 6 du d cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 ces prestataires de services prennent en charge l envoi et la r cept
33. f renc s en classe A d un r seau lectrique sur un lin aire de quelques m tres voire quelques dizaines de m tres Nous souhaitions nous brancher sur l ouvrage en raccordement direct pour une d tection pertinente Toutefois les d lais d attente pour r cup rer les plans g or f renc s en classe A de la part de l exploitant de r seaux ainsi que les autorisations d acc s accompagn es et tarif es aux ouvrages nous ont pouss r fl chir autrement sur une exp rimentation plus fiable plus rapide d ex cution et peu couteuse Par ailleurs le choix de l endroit de l exp rimentation tait fait de mani re tre sur un terrain priv qui ne suscite pas d autorisations pour effectuer une fouille d autant plus que nous avons r alis les deux tranch es l aide d une b che Par ailleurs nous avons eu la confirmation travers les plans du jardin de l inexistence de r seaux souterrains susceptibles d tre endommag s VI I 1 4 D roulement de l exp rimentation A c t de la tranch e principale nous avons plac un rep re mat rialis par des clous marqu s par un coup de peinture de couleur jaune et espac s de 25 cm Nous avons ensuite effectu le c or f rencement des c bles tranch e ouverte le long de ce rep re Cette op ration a t tablie l aide d une station totale Leica TPS 1200 photographie 10 qui nous a permis de garantir la position des
34. fallait attendre plusieurs dizaines de minutes pour que le syst me puisse enregistrer l almanach GNSS Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 43 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es VI I 2 2 Analyse quantitative relative au c ble principal VI 1 2 2 1 carts moyens et emq Afin de qualifier la pr cision tridimensionnelle de chacun des quatre chantillons de mesures relatifs aux diff rents passages nous calculons l erreur moyenne quadratique emq qui sert juger la dispersion des observations autour de leur valeur la plus probable Valeur moyenne Dans notre test nous sommes en pr sence d observations directes ind pendantes et de m me pr cision Ainsi l emq est calcul e en fonction des carts apparents et du nombre d observations des quatre chantillons gr ce la formule suivante gt vi EMQ Equ 2 n 1 Avec v L l Ecart apparent autrement appel r sidu de chaque observation li Observation au sein d une des quatre s ries de mesures relatives chaque passage Elle correspond dans notre test la diff rence des coordonn es entre la mesure du lev topographique tranch e ouverte et celle tranch e ferm e Moyenne arithm tique des observations li dans chaque s rie d observations n Nombre d observations au sein d une s rie n l Nombr
35. gler des param tres de migration qui permettent de d terminer la constante di lectrique du milieu auscult et de focaliser les hyperboles de migration en points Nous devons galement corriger la position de la surface en ramenant le premier pic positif zero afin d obetenir des profondeurs correctement cal es figure 21 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 37 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Apr s VAA___O003DZT x VAA 003P 207T x dl s Ne 4 Premier pic positif lames r zero nf TL FRE Figure 21 Calage de profondeur apr s traitement de l image radar MDS Les donn es sont trait es selon des profils parall les et sont affich es soit en 2D ou en 3D figure 22 Elles peuvent tre g or f renc es si nous associons une station GNSS au g oradar Toutefois nous ne pourrons pas garantir la classe de pr siton A avec ce coulage Les tarc s lin aires de r seaux sont aussi transportables sur des logiciels de DAO comme Autocad Figure 22 Vue 3D sur des r seaux enterr s GRED 3D ABEM III 2 2 5 Bilan Etant une technique non destructive le g oradar est un outil qui nous permet de garantir une prestation de d tection des r seaux enterr s Contrairement aux d tecteurs lectromagn tiques le radar du sol nous fournit en temps r e
36. i 5 ZZOZ IANN d z f F Guidage vapeur al i i am Guldape pau ee 8 i 5 ai S3 t i PENS PE Longueur 10 g de S e Echelles gt i ne Patin eau re si Hou teun 1 50 Le Ha t 2 A R r i 2 pa 2 z i 4 gt u a al i i f L b CA Plan de comparaison Vile de Paris 49 00m j y A d dl 5 y Cotes de sol 4 Rodior des ouvrages CP L U hi Charges sur ouvrage CPECU CmnD 1 p 2 3 Soudures partiellement point fixe D O O i 50 rep rees Four l vor a am FIATC EAU ON1S0 LI e ep VALUR ON500 53 ao 90 H OCPCU otre r seau renouvelle vos nergies 4 2 Illustration pour un plan de branchement e Construction d origine lt 2003 gt classe B e Travaux d entretien 2 2006 profil redessin gt classe A na CPEU Compoagnle Portalenne de houtioge UPrbela f f n Tron on WO06B Dessn SOCOFER Puissance LaloriFique 1 580 MW VBrIFIE 73379 Vans Codax 32 Longueur du branchement 21 97 m AED iu Pln n 1 et2 Dant domaine priv 13 60 m VUE EN PLAN TEE TONE MONET CM TEST TT IT Mise jour suite l op ration N 32S10L54 20 15 4014 AVIN ON le 1288 Dote s gt CIN UAA SNTE UTR SIOE anan ermano 44e LI RITm CTO Emprisa porer M o SES LS ar ee Wooo pe an a 2 R a pre image num ris e du profil d origine mi ajage ms
37. i Y x i D POE ee Sa Mai m yl Ao E Se SA BASER AMP PAS domowa masia Cd eat JM Pen Aada Dyn Ech 1 200 BRT SENS N 5876 r A ver ts sem ent sur ledessin N 5761 CPCU engages arespons abi it uniquem ent sur ledess in des l ouvrages qui com pos entson BS propre r s eau toutes les autres amp repr senta ons ne sontdonn es 9 Mag gs qu fre indicaff sans aucune HM Aea w ut garante d ex ac ttude ou j d actualit N ae aa T Q G Be 11 P czi aam urge oair ml automatique l N GMAO E WO6EPO8 1 Kr 91 5 gt Tai A voir rartruche favna d enirollan 32510151 PL 9 _ TRAVAUX a0l1 Op ratian N 35S11 54 1710 6 ou 04 12 96 Ex cution des trovoux du Branchement sur Projet Mice pn Service Tuyau Vapeur q Ex couton des ir DVOEUX du s Branchement Sur Projet Mice en Service Tuyau Vapeur H BB90 Lonpueur Tuyau Enu p 61 307 Lonpueur Entreprise de B nk OWI SOGEX Entreprise de Tuyauferle SOTRADIP Entreprise de calan upe Cularifuge i Tuyau Eau Entreprise de G nle Civil Entreprise de Tuyauter Entreprise de calori Calarituge I Laime de Classes de pr cision JPC Principes et m todes de d duction des classes de pr cision docx 3 _22 CET ee Classe de pr cison selan l orr te du 3P 0 or d lin ta hoo ventuelle des enprlas
38. investigation et les pr cisions des radargrammes sont obtenues en fonction de la nature du sous sol et de la fr quence mise En effet en pr sence de terrains argileux la propagation des ondes lectromagn tiques ne d passe pas 1m de profondeur toutefois en terrain purement calcaire les donn es exploitables sur l image radar peuvent atteindre th oriquement jusqu 6 m de profondeur Concr tement le g oradar peut atteindre une profondeur d investigation variable entre 1 et 3 5 m Avec une antenne de fr quence 300 MHz nous pouvons d tecter des r seaux enterr s jusqu Cible non m tallique une profondeur de 3 5 m Alors qu avec une antenne de fr quence 800 MHZ nous pouvons mali nl tablir une d tection claire entre 0 et 1m figure 18 En planim trie la pr cision en positionnement d pend du savoir faire de l op rateur en termes d utilisation de g oradar de la m thodologie utilis e lors du lev et de l interpr tation des hyperboles issues de la d tection De surcroit nous annon ons une pr cision de 20 de la profondeur pour un terrain moyen sans calage et de 5 de la profondeur pour un terrain favorable pour la d tection apr s post traitement MDS 2013 Figure 18 Taille et g om trie des cibles Exemples de d tection en fonction du sous sol MDS 2013 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 35 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la To
39. la mise en place de la r forme o L application CARMEN a t tout r cemment mise en ligne l adresse suivante http carmen developpementdurable gouv fr 199 reseauxetcanalisations ma Cette application gratuite permet de g n rer les fichiers informatiques correspondants aux zones d implantation des r seaux afin de les charger sur le guichet unique Un mode d emploi est disponible en ligne Un message destination de toutes les communes de France est en cours de pr paration pour les informer de la disponibilit de cette application o L arr t modificatif DTDICT du 19 f vrier 2013 a t publi au JO le 9 mars 2013 o Une r union de synth se et de cl ture des exp rimentations men es Orl ans et Perpignan est organis e le 27 mai 2013 matin e la Grande Arche de La D fense Les principaux acteurs concern s par cette exp rimentation et de mani re g n rale par la r forme y participeront Les perspectives d volution de la r glementation pour tenir compte des enseignements issus de ces exp rimentations seront pr sent es Compte rendu joint de la rencontre avec Claude TURREL pour faire le point sur le fonctionnement de l observatoire Auvergne Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 75 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Le GT 3 sur l ouverture d un fourreau en s curit un outil es
40. le SIG de l exploitant Lien SIG Int gration des coordonn es g or f renc es de l emprise fichier KML Int gration du SIG sur le portail du prestataire d aide la d claration Possibilit de d l guer tout ou partie du processus d instruction des d clarations DICT fr permet aussi de r aliser la gestion d l gu e des DT DICT Les exploitants confient tout ou partie des t ches d instruction des d clarations Depuis la r ception de la d claration jusqu l envoi de la r ponse circonstanci e en passant par l ouverture des plis la num risation et la saisie des informations le rapprochement entre Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 71 SA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux l emprise du chantier et le trac du r seau la pr qualification ou la qualification non concern risqu concern la pr paration des pi ces Joindre la r ponse D l gation du suivi de chantier pour les d clarants R ception les documents fax mail courrier dans le portail num risation des r c piss s int gration automatique des r ponses dans le tableau r capitulatif du chantier IT 2 Les avantages pour les d clarants Source DICT fr Par le GU gt R ception d un email valable 72 heures comprenant e Dossier de consultation plan avec zone d emprise et num ro de consultation GU e Im
41. le d but des travaux Le responsable de projet doit d abord effectuer une consultation du GU d une mani re directe ou l aide d un des prestataires d aide la d claration qui sont certifi s par le t l service Par la suite il obtient la liste des exploitants pr sents dans l emprise des travaux qui il est tenu d envoyer les d clarations de projet de travaux DT Le gestionnaire de r seaux r pond ensuite au responsable de projet l aide d un r c piss qui est accompagn par une r union sur le terrain pour sp cifier l emplacement exact des r seaux si l exploitant ne Joint pas de plans g or f renc s des r seaux sa r ponse Autrement si le gestionnaire est en possession Annexe 4 Compte rendu de la r union du 15 Mai 2013 de l Observatoire r gional d Auvergne communiqu s par C Le Loup adjoint chef de d partement de production au sein de l unit d intervention en Provence Alpes C te d Azur France Telecom Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e sde INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es de ces plans 1l les transmet au responsable de projet en pr cisant leur classe de pr cision Pour les zones o les plans fournis ne sont pas int gralement en classe A elles doivent faire l objet d IC labor s avant le commencement des travaux sous la responsabilit du responsable de pro
42. les r seaux sont de classes C ou si la classe de pr cision th orique s loigne de celle constat e sur le terrain Par ailleurs les branchements de classes B ou C dot s d affleurants visibles depuis la surface et rattach s un ouvrage principal ne font pas l objet d IC si cela est pr vu dans les clauses techniques et financi res 1I 2 2 2 Formations et autorisations des intervenants La pr vention contre les accidents dus aux travaux proximit des r seaux ne repose pas seulement sur la phase pr paratoire et sur la pr cision des plans fournis par les exploitants de r seaux mais aussi sur la comp tence des diff rents acteurs d ex cution de travaux En fait la nouvelle r glementation pr voit la d livrance d une autorisation d intervention et de comp tence pour tout le personnel de l entreprise de travaux concepteurs chefs de chantier conducteurs de travaux op rateurs Sans cette autorisation les employ s de l entreprise de travaux ne peuvent plus travailler proximit des r seaux apr s le 1 janvier 2017 Ces autorisations ne seront pas issues de nouveaux dipl mes mais elles seront plut t sous forme d une adaptation de tests et de dipl mes qui existent d j tout en ajoutant une preuve relative la pr vention contre l endommagement des r seaux lorsque les m tiers correspondants sont concern s par ce sujet Les preuves prendront la forme d une val
43. notent des progr s vidents sur le terrain comme par exemple pour la maintenance des marquages piquetages Toutefois ils insistent sur la profusion des changements et sur la complexit du dispositif ce qui n cessite des d lais pour leur appropriation et leur mise en uvre par tous les acteurs des structures d ex cution de travaux Ils mettent galement en lumi re un ensemble de d faillances gt Les DCE sont souvent incomplets et les IC obligatoires non r alis es gt Les obligations pour les travaux urgents sont parfois non respect es gt Les op rations de marquage piquetage sont d l gu es sans r mun ration gt L ignorance quasi totale du guide technique relatif aux travaux proximit des r seaux gt L absence des classes de pr cision sur la plupart des plans fournis II 3 2 3 2 Veolia Eau IDF En tant qu ex cutant de travaux l entreprise g re 149 communes en IDF qui sont situ es hors Paris Intramuros Depuis le ler juillet 2013 15 mai 2013 l entreprise compte pr s de 9000 ATU dont 1300 seulement durant les weekends et les p riodes d astreinte entre 22h et 7h les jours de la semaine En effet la quantit des ATU est l un des aspects contraignants de cette nouvelle r glementation pour l entreprise Cette nouvelle r glementation nous a cr parfois des incompr hensions avec les collectivit s locales Cela vient du fait que ces derni res ne comprennent pas l ensemble de
44. objectif de l utilisation des techniques intrusives est de mettre nu tous les r seaux qui rentrent dans la zone de travaux afin d avoir une visibilit sur la position de l ouvrage et connaitre aussi pr cis ment son mat riau de construction son diam tre ext rieur son rev tement de protection et ses caract ristiques Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 24 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National nces Appliqu es Clef g om triques Nous pouvons aussi constater les points singuliers comme les changements de direction et de pente ainsi que les organes de coupure et leurs acc s Pour plus de pr cisions sur les recommandations techniques relatives la r alisation d un sondage intrusif vous pouvez consulter le Guide Technique relatif aux travaux proximit des r seaux version juin 2012 page 711 IIL 2 D tection par des techniques non destructives Actuellement il n existe pas de m thode non destructive qui garantit 100 la d tection de tous les types des ouvrages c est pourquoi il faut tudier les diff rentes techniques et les adapter aux diff rents types des r seaux et aux conditions environnementales de la zone de projet IIL 2 1 D tection lectromagn tique ITI 2 1 I Principe Cette technique non intrusive repose sur la d tection des ondes lectromagn tiques qui se diffusent dans un r se
45. que procedure DT DICT 7 ee naredtenceennne sde dates ee ci too 14 IL 2 2 Comment se passe la phase de l ex cution de travaux 7 17 IL 2 3 Quel est le r le des relev s topographiques dans la proc dure DT DICT sssnnonnnnnneensossssssssssseereressssssss 19 IL 2 4 Quels sont les d lais respecter dans le cadre de la proc dure DT DICT 19 IL3 Bilan s r la proced re DICO ss ictesstsnssen sn sed terasneete eee este o Aeae ie Takens enter 20 DES LS BPCO SE ee a a ae en a os 20 ES 2 AVIS CES AO O ea nd ed a a net tt 20 IL 3 3 Avanc es et difficult s de la r forme eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeereeeesrereeeereereeeeeeeeeeereeeeeeeeeeeeereeeeeeeeeeeeeeeeereeeeeees 22 MHI TECHNIQUES ET METHODOLOGIES DE DETECTION DES RESEAUX ENTERRES 24 HI 1 D tection par des techniques destructives sseeeeeceeccccceccccccccccccccccecccecccccecccececcceeccceeceeececececceccececceeeeeceececeecceeeeceese 24 II 2 D tection par des techniques non destructives ssssssessssnssssnsssnnnnnsnnsenesssssseensssnnnnnnssssssee 25 A D BEA ES DS FO le RSI CO GR RO DIF LU EE ATE D A eaaa EE T aE E Ea ir EAn i 25 10222 DECO par o COPA E ae ee E de 33 IIL 2 3 D tection par impulsion acoustique iii 38 IV TESTS SUR DIFFERENTS INSTRUMENTS DE DETECTION ET DE GEOREFERENCEMENT DES RESEAUX ENTERRES eesssssscecccccccsscccccccccsseccccccccossecccccccossseccecccossee 4
46. quences restent celles qui touchent la vie ou la sant de l tre humain Les exemples des endommagements accidentels sur les r seaux sont nombreux sur la sc ne internationale En juillet 2004 une norme explosion a d vast une zone industrielle provoquant 24 morts et 132 bless s suite une fuite de gaz caus e par un engin de chantier Ghislenghein en Belgique aria developpement durable gouv fr photographie 1 Par ailleurs en juin 2010 des travaux proximit d une conduite de gaz non marqu e sur les plans fournis l entreprise de travaux ont caus une fuite de gaz ainsi qu un mort et huit bless s Photographie 1 Explosion d un gazoduc x suite un endommagement par un engin de Cleburne Texas dallasnews com chantier Ghislenghein Belgique lesoir be Sur le territoire fran ais Nous assistons r guli rement des sc nes d endommagements accidentels dont les effets sont dramatiques D abord en juin 2006 quatre goutiers dont un p re et son fils ont connu la mort avec intoxication suite un per age d une poche de gaz d hydrog ne sulfur H2S Poissy Humanite fr En octobre 2007 une explosion de gaz suite un endommagement accidentel d une conduite qui tait enterr e 50 cm de profondeur au lieu des 80 cm r glementaires a provoqu un mort et 47 bless s Bondy IDF LCI fr Par ailleurs en f vrier 2008 36 personnes dont un pompier sont mortes et
47. r seaux enterr s gt Inefficacit de d tection en pr sence d un terrain v g tal ou sous un trottoir en b ton terrain non correctement compact gt Bruitage du signal en pr sence d une circulation dense proximit d un fourreau ou d autres obstacles au dessus ou proximit gt Difficult localiser les branchements de petite longueur gt Risque d endommagement de certaines canalisations par les pulsations inject es De par ces inconv nients cette m thode est de plus en plus abandonn e et remplac e par des techniques de d tection lectromagn tique et de g oradar Ci apr s un exemple de d tecteur acoustique photographie 7 Photographie 7 Appareil HL 5000 H2 de localisation des fuites d eau par m thode acoustique ou gaz traceur Seba KMT R capitulatif de la partie III Actuellement les techniques les plus performantes dans le domaine de la d tection des r seaux enterr s sont la d tection lectromagn tique et le g oradar En effet la premi re technique est tr s utile pour la d tection des r seaux conducteurs de courant et peut tre compl ment e par des sondes intrusives pour pouvoir garantir une d tection des ouvrages non conducteurs N anmoins des autorisations d acc s aux r seaux et une ventuelle coupure du service assur au public par ces derniers rendent cette compl mentarit peu utilis e Pour rem dier cette probl matique l utilisation d
48. radar du sol n apporte aucune information sur la nature des mat riaux leur densit ou sur le diam tre de la canalisation d tect e De plus 1l ne permet pas de d tecter les petits objets ou les ouvrages petits diam tres qui sont install s des grandes profondeurs plus de 2 m De plus il ne permet pas non plus d ausculter les objets parfaitement verticaux Il faut aussi noter que le m tal bloque 100 du signal mis par le g oradar par cons quent nous ne pouvons rien d tecter sous une plaque de m tal ou sous une grille d armatures espacement resserr MDS 2013 gt Contrairement la prestation de d tection lectromagn tique o nous suivons le lin aire du r seau la d tection par le g oradar s av re plus longue sur le terrain car nous avons l obligation de croiser perpendiculairement les ouvrages afin d obtenir des hyperboles illustrant leur position planim trique et leur profondeur N anmoins 1l existe une autre diff rence entre les deux techniques de d tection qui donne l avantage cette fois ci la d tection par g oradar le d tecteur lectromagn tique fournit les profondeurs relatives la diff rence entre le sol et le centre du r seau tandis que le g oradar fournit une profondeur allant jusqu la g n ratrice sup rieure du r seau De ce fait nous n avons pas soustraire le rayon de la canalisation chaque profondeur annonc e par le g oradar gt Les profondeurs d
49. rencement du c ble HTA Us 50 Photographie 15 Mesure de la profondeur r elle du tube contenant le c ble HTA 51 Photographie 16 D monstration du g oradar UtilityScan DEF 54 Photographie 17 Le r seau de fibres optiques accompagn d un c ble permettant sa d tection gr ce aux technigues electromag netiq es ds nae ore TE e aaae a a oire anina 54 Photographie 18 Mat riel d ploy lors de la 3 me exp rimentation Us 54 Photographie 19 Confrontation terrain du RD8000 et du vLoc 5000 nsssssnseennesssssssssssssssssseereesssssssss 56 Photographie 20 Spar 300 Ce DtO DO a me ie 57 Tableaux Tableau 1 Compte de r sultat du SARL Alpes Topo societe com 5 Tableau 2 Classes de pr cision selon l arr t du 15 f vrier 2012 10 Tableau 3 D lais respecter dans le cadre de la proc dure DT DICT 00000nnnnnnnnnessssssssssssssseseeereessssssss 19 Tableau 4 Valeurs communes de conductivit r sistivit et constante di lectrique pour des mat riaux g ologiques communs georadar com sisi 34 Tableau 5 R capitulatif des carts et des emq de la premi re exp rimentation sssessssssssseooeeeeeeessssss 45 Tableau 6 Ecarts moyens et emq des chantillons 2 et 3 en tenant compte du v ritable effet de la proximit CO CAD E EE EE E TT 46 Tableau 7 Ecarts et emg relatifs au c ble secondaire ss 48 Tab
50. seaux la d tection et au g or f rencement d un ouvrage Annexe 11 Trame de sortie du carnet de de la station totale Viva TS15 suite ID Point lev CE20 CE2 1000 LEVI 1 LEVI 2 LEVI 3 LEV 4 LEV S5 LEV 6 LEV 7 LEV 8 LEV 9 LEVI 10 LEVI 11 LEVI 12 LEVI 13 LEVI 14 LEVI 15 LEVI 16 LEVI 17 LEVL18 LEVI 19 LEVI 20 LEVI 21 LEVI 22 LEVI 24 LEVI 25 LEVI 26 LEVI 27 LEVI 28 LEVI 29 LEVI 30 LEVI 31 LEVI 32 LEVI 33 595664 723 595749 787 595699 649 595712 704 595712 763 595712 602 595712 170 595711 622 595710 945 595710 275 595709 893 595709 218 595708 745 595707 874 595707 257 595706 477 595705 881 595704 999 595704 123 595703 356 595702 838 595701 928 595701 238 595698 938 595698 554 595697 014 595696 279 595696 052 595695 470 595694 744 595693 859 595693 310 595692 555 595692 204 595691 650 126059 499 126074 813 126051 652 126107 001 126106 219 126104 857 126103 342 126102 001 126099 972 126098 212 126096 960 126095 651 126093 898 126091 559 126089 494 126087 141 126085 437 126083 368 126080 621 126078 596 126076 907 126073 708 126071 830 126066 782 126065 078 126059 774 126057 956 126057 219 126055 567 126053 377 126051 412 126049 752 126047 511 126046 318 126044 630 38 908 34 532 33 198 32 084 32 098
51. sence de faibles valeurs de l intensit du courant et de la fr quence du signal N anmoins en augmentant la puissance du courant nous pouvons mener la d tection des distances plus importantes mais l intensit maximum est rapidement atteinte car le courant propag est limit par l imp dance du c ble Seba KMT 2013 N B Les distances parcourues lors de la d tection varient entre une centaine de m tres et quelques kilom tres Dax 5 km en fonction des milieux travers s du type de c ble de sa capacit transmettre le signal et de son vieillissement gt Pour les r seaux d nergie et plus particuli rement pour les c bles HTA nous pouvons atteindre une distance de d tection de 2 km Le coefficient de transfert du courant est de 57 ainsi nous constatons une perte de presque la moiti de la vitesse de transmission des ondes lectromagn tiques gt Pour les r seaux de l clairage public nous n atteignons jamais des longueurs faramineuses gt Pour la canalisation en acier ou en gaz nous parcourons de longues distances de d tection allant jusqu 3 4 km gt Pour les ouvrages de transport t l phonique qui connaissent une perte de 8 10 nous pouvons parcourir une distance allant jusqu 5 km Le coefficient de transfert en t l phonie est de 66 et en c ble Data de 80 Radiodetection 2013 Ces derniers ouvrages sont forc ment tr s conducteurs car ils sont dot s de la vitesse de
52. signe le march et Titulaire du march et pr pare les travaux et Envoie 1 DICT chaque exploitant R pond la DICT et y joint des conseils selon techniques de travaux pr vues et les donn es de localisation envoie plan ou RV sur site 1 Pr pare le chantier en fonction des donn es re ues i4 informe son personnel sur la localisation et sur les mesures de s curit 5 Engage les travaux eesesssss CN Chantier Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 82 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Annexe 8 Calendrier de mise en uvre du plan anti endommagement 1 janvier 2014 1 avril 2012 1 juillet 2012 1 janvier 2017 17 janvier 2019 1 janvier 2026 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 83 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Annexe 9 Pr sentation des principaux ouvrages d tecter et des risques aff rents I R seaux sensibles pour la s curit I 1 R seaux lectriques La distinction entre les diff rents types de r seaux lectriques se fait par domaine de tension ou par m thode fonctionnelle travers laquelle nous les classons de la mani re suivante Les r seaux de circulation d nergie
53. technique de d tection repose sur l injection de pulsations par le g n rateur avant que celles ci soient capt es par un r cepteur au niveau du sol Il existe deux m thodes d injection du signal Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 38 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es gt Injection de pulsations sur la canalisation fix e sur l aplomb de l ouvrage par une bride le g n rateur envoie des vibrations qui sont re ues par un acc l rom tre Cette m thode est fr quemment utilis e pour les conduites d eau Elle a l avantage de ne pas susciter la coupure du service au client gt Injection de pulsations sur le fluide contenu dans la canalisation compliqu e pour la mise en uvre cette m thode suscite souvent la pr sence d un repr sentant du concessionnaire du r seau ainsi que la coupure du service assur par l ouvrage aux clients car un acc s direct au fluide est n cessaire Nous pouvons parfois viter l interruption du service par un raccordement sur la prise pression dans le coffret Assurant une d tection des r seaux enterr s 20 cm et adapt e g n ralement aux canalisations non conductrices cette m thode de d tection contient plusieurs inconv nients gt Non indication de la profondeur de d tection elle s av re de ce fait inadapt e la cartographie des
54. transmission la plus lev e ce qui aide augmenter la distance de d tection N anmoins tous les c bles relatifs un type d ouvrage ne sont pas gaux en termes de bonne d tection car leurs vitesses de transmission varient consid rablement selon leur vieillissement Nous remarquons cela lors des tests de l chom trie des r seaux c est dire lors de la recherche des d fauts Radiodetection 2013 IIT 2 1 2 3 D tection par le r cepteur Apr s avoir choisi une fr quence de signal et une intensit de courant sur le g n rateur 1l faut s loigner de quelques m tres du point d injection du courant afin de localiser dans un premier temps grossi rement le r seau Il faut tablir un balayage rapide par le r cepteur dont la fr quence de signal affich e sur son cran doit tre synchronis e avec celle du g n rateur photographie 3 Nous devons ensuite pr ciser la direction du r seau puis v rifier son orientation en plusieurs endroits Par ailleurs 1l faut tourner le r cepteur 90 et voir si la r ponse num rique est bien proche de 0 Enfin il faut effectuer la d tection de l ouvrage tout en enregistrant les valeurs d intensit et de profondeur N B La profondeur annonc e par le r cepteur lors d une d tection lectromagn tique est celle qui s pare le sol au centre de l ouvrage Par cons quent pour la canalisation dont le diam tre est non n gligeable il faut Soufiane LAQBAYLI
55. travaux IL 1 2 Guichet Unique et sp cifications Du fonctionnement issu des articles R554 4 R554 9 du code de l environnement relatifs au d cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 la cr ation d un GU vise rassembler d une mani re exhaustive d une part l int gralit des exploitants de r seaux existants sur le territoire fran ais ainsi que toute information n cessaire leur identification et d autre part toutes les Zones d Implantations des diff rentes cat gories d ouvrages qu ils exploitent Nous notons qu aucune cartographie des r seaux ni classes de pr cision ne sont disponibles sur ce guichet Le GU remplace ainsi Sous forme d un t l service disponible sur Internet la gestion directe des donn es relatives aux exploitants de r seaux par les mairies Par ailleurs c est l Institut national de l environnement industriel et des risques INERIS qui s occupe de la gestion de ce t l service et qui joue le r le d interm diaire entre les utilisateurs du GU impact s par le plan anti endommagement sur le domaine public Il faut noter qu il existe aussi des prestataires d aide la d claration qui jouent le r le d interm diaire entre les acteurs impact s par la r forme et le GU Le financement du t l service se fait par le biais d une redevance annuelle calcul e par l INERIS et pay e par les gestionnaires de r seaux en fonction de la longueur des r seaux qu ils exploit
56. veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Annexe 2 Aper u sur les prestataires d aide la d claration aupr s du GU I Les prestataires d aide la d claration Un prestataire d aide la d claration permet de g rer d une mani re performante le flux quotidien des DT DICT re ues et envoy es par les utilisateurs du GU Il s agit d un outil performant centralisant les d clarations surtout lorsqu il n y a pas une v ritable harmonisation entre les diff rentes filiales d une m me grande structure de gestion de r seaux Selon la s rie d entretiens r alis e lors de ce PFE nous avons pu avoir un aper u sur les prestataires de services les plus fr quemment utilis s par les exploitants de r seaux Il s agit principalement des trois sites Internet I 1 DICT fr Cr en 2000 bien avant l apparition de la nouvelle r glementation DT DICT le portail DICT fr est l inventeur de la DICT sur internet Rassemblant environ 45 000 utilisateurs qui changent plus de 10 millions de documents par an ce portail est consid r actuellement comme le prestataire n 1 de l aide la d claration par rapport aux autres prestataires de services En effet 65 des d clarations DT et DICT ainsi que 32 des r ponses d exploitants passent par ce portail Ce qui rend DICT fr la plateforme qui regroupe le plus grand nombre d exploitants de r seaux
57. 0 N LL Premiere experimeniaAlOih se sserere ereresu srorope oreve v ino o opono o oP OVO Opono EOP OP pepe nc none pc pen enc pen cn en AONADAN UNEO AOPE E EON na Enan 40 VI 1 1 D roulement de l exp rimentation et m thodologie mise en place nnnnneneeseeeeeeereeerersreeeesesresereesreee 40 NELL rarement des CONN OS uenn a E a a ai 42 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e gt INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es D A ee a E 48 VI 2 Deuxi me eXp riIMentatiONM s ss s ssssscssssssccssescscsesesssesesenesesesereseseseresereseresereserenereteresereseresereseresereteres ee 49 VI 2 1 D roulement de l exp rimentation et m thodologie mise en place nnnneneeeeeeeseeeeeeresereeserrererrrererese 49 VI 2 2 Traitement des donn es et analyse qualitative sis 50 NAS AS SCOR oo nn Sd ne de 51 ND E o E E E E E TTE A T EE TE TE T A T TE T TT 53 VL3 Troisieme EXD FICRCE seinesresrssrirsrier rintre soso soso soso opse so sp oosoopsoopsososoobsooosnopsosopespoososososososospsososososesoposoposssososesosososososesosess 53 VLA D monstration Qt SOA ne ae teen bec td canne aa are ot Ne aie 53 N1 3 2 D roulement de lexp rimentatioi seriinin in 54 NAS D E OR ee Den eee Dee De ee a de Re De D 55 V CHOIX DU MATERIEL ET CREATION DU POLE ALPES TOPO DETEC
58. 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 001 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 0 000 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut dt DK dre ances Appliq Annexe 12 Devis relatif la d tection et au g or f rencement d un r seau de fibre optique r alis par Alpes Topo avant l apparition de la nouvelle r forme DT DICT alpes topo 16 Avenue Franklin Roosevelt 13600 La Ciotat Cedex 0442831159 E 0442834066 FORCLUM NUMERIQUE 117 rue du LANDY 93 213 Saint DENIS Ref DEV JC 248 2011 a l attention de M COLLET La Ciotat le 17 10 2011 Monsieur Suite a notre entretien t l phonique du 14 10 11 je vous prie de bien vouloir trouver ci dessous notre meilleure proposition de prix pour la r alisation des relev s topographiques d un r seau de fibre optique soit R colement topographique de pr cision subm trique de 128 5 km d une fibre optique et des chambres associ es vers Aix en Provence Relev Si a a Scan et GPS aya des traces visibles au sol a 250 HT le km soit 62 km x 250 RSR 15 500 HT D tection par induction et relev topographique GPS et tach om tre des secteurs sans trace 425 EHT 16 KM 001 66 5 K X A2G Esisissisenisiscsnreverase 28 262 50 HT Soit
59. 000 avec deux solutions lectromagn tique lectromagn tique Rigid TPS 1200 GNSS Trimble GeoXH 6000 RDS000 PDL SR20 Pr cision centim trique Pr cision lt 10 cm Photographie 8 Instruments contribuant l laboration de la premi re exp rimentation fr radiodetection com ridgid com leica geosystems com d3e fr L exp rience s est d roul e en pr sence de M Lecacheur responsable r gional de l entreprise Radiodetection de M G rard responsable technico commercial de l entreprise D3E d un technicien Alpes Topo et de moi m me La collaboration entre les entreprises Radiodetection et D3E le savoir faire de leurs deux responsables et la possibilit de l association ou de la s paration entre les solutions GNSS et le d tecteur lectromagn tique lors de ces tests taient l un des motifs pour le choix du mat riel qui a servi laborer cette exp rimentation VI 1 1 D roulement de l exp rimentation et m thodologie mise en place VI 1 1 1 Cadre de l exp rimentation Ayant eu lieu dans le jardin d un agriculteur en Ile de France cette exp rimentation a consist creuser une tranch e principale L 5 m 1 0 2 m z 0 6 m avec au milieu une tranch e secondaire qui vient rejoindre perpendiculairement la premi re L 1 5 m 1 0 2 m z 0 6 m photographie 9 Lors de ce test nous avons dispos de deux c bles conducteurs de courant Nous avons plac d abord le premier le lon
60. 13 URL http www fstt org sommaire php LEGIFRANCE GOUV 2013 URL http www legifrance gouv fr RESEAUX ET CANALISATIONS INERIS 2013 URL http reseaux et canalisations ineris fr GEORADARG 2013 URL http georadar com Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 64 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Liste des abr viations AFNOR Association Fran aise de Normalisation AFT Association Fran aise de Topographie ATU Attestation de Travaux Urgents BT Basse Tension BTP B timent et Travaux Publics CERFA Centre d Enregistrement et de R vision des Formulaires Administratifs CMR Canc rog ne ou canc rig ne Mutag ne et Reprotoxique COFRAC Comit Fran ais d Accr ditation CPCU Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain CPFD Conseils Prestations Formation en D tection de canalisations enterr es CRIGEN Centre de Recherche amp Innovation Gaz et Energies Nouvelles de GDF SUEZ DAO Dessin Assist par Ordinateur DCE Dossier de Consultation des Entreprises DICT D claration d Intention de Commencement de Travaux DR Demande de renseignement DT D claration de projet de Travaux EMA Erreur moyenne quadratique FFB F d ration Nationale des Travaux Publics FNEDRE F d ration Nationale des Entreprises de D tection de R seaux Enterr s FNTP F d ration Fran aise
61. 3 Mise en place de l activit de d tection de r seaux au sein d un cabinet de g om tre expert M moire d ing nieur de l Ecole Sup rieure des G om tres et Topographes sp cialit Topographie 46 p R f rences r glementaires Arr t du 16 septembre 2003 portant sur les classes de pr cision applicables aux cat gories de travaux topographiques r alis s par l Etat les collectivit s locales et leurs tablissements publics ou ex cut s pour leur compte JORF n 252 du 30 octobre 2003 p 18546 Arr t du 23 d cembre 2010 relatif aux obligations des exploitants d ouvrages et des prestataires d aide envers le t l service reseaux et canalisations gouv fr JORF n 0301 du 29 12 2010 D cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 relatif au guichet unique cr en application de l article L 554 2 du code de l environnement JORF n 0296 du 22 d cembre 2010 Loi n 2010 788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l environnement dite loi Grenelle II JORF n 0160 du 13 juillet 2010 D cret n 2011 1241 du 5 octobre 2011 relatif l ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques de transport ou de distribution JORF n 0233 du 7 octobre 2011 p 16952 Arr t du 15 f vrier 2012 d application du chapitre IV du titre V du livre V du code de l environnement relatif l ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquat
62. 32 Codes couleurs normalis es des r seaux NF P 98 332 Electricit BT HTA ou HTB et clairage Gaz combustibles transport et distribution et hydrocarbures Produits chimiques Eau potable Assainissement et Pluvial Chauffage et Climatisation T l communications Feux tricolores et Signalisation routi re Zone d emprise multi r seaux I E j B E B B E E 1 i 1 J i Comme le montre la photo suivante o figure Hubert Brerot directeur de la soci t CPFD et pr sident d honneur de la FNEDRE les op rations de marquage des r seaux enterr s se font selon l environnement et la nature du terrain Ici une tige de couleur bleu a t install e pour montrer le passage d un ouvrage d eau Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 73 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Annexe 4 Compte rendu de la r union du 15 Mai 2013 de l Observatoire r gional d Auvergne communiqu s par C Le Loup Din AERIS UII ss an S LES TRAVAUX OBSERVATOIRE REG
63. AQBAYLI Topographie 5 ann e 86 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Annexe 10 Radargrammes illustrant l importance de la nature du terrain et du SATAY t L aA TN JLI AIT OGI I Exemples avec chelles diff rentes sur les deux zones Avant post traitement Apr s post traitement 0 00 2 00 4 00 0 00 2 00 4 00 La nl tu ca Li amp si us D wa pi ma ti 0 00 0 25 0 25 0 50 0 50 0 75 0 75 1 00 die 1 25 en i 1 50 z e 1 50 Wa 175 1 75 2 00 Radargrammes issus d un milieu sableux peu conducteur CRIGEN 2013 Avant post traitement Apr s post traitement 1 000 2 000 3 000 4 000 1 000 2 000 Radargrammes issus d un milieu plus conducteur de terre v g tale CRIGEN 2013 IL Remarques gt Plus un milieu est conducteur plus la d tection est difficile gt Chaque profil radar est pr sent par deux radargrammes Un radargramme brute obtenu sur le terrain et un autre obtenu apr s un post traitement Nous remarquons que nous pouvons am liorer la qualit des images et ainsi en tirer les informations n cessaires sur la mesure des profondeurs de r seaux apr s un post traitement Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 87 Institut National les Sciences Appliqu es Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r
64. CPP PE ES PE PE Pers di lectrique MDS gt M thode directe si nous disposons d un acc s direct au r seau sur le terrain par l interm diaire d un tampon par exemple nous mesurons directement la profondeur de l ouvrage ce niveau l Ensuite nous faisons un passage avec le g oradar sur l ouvrage chantillon d tect au voisinage du tampon En se rendant sur une fonction de r glage de la constante di lectrique nous changeons la profondeur de l ouvrage par celle mesur e ainsi l appareil calcule la nouvelle constante di lectrique Nous r glons galement le contraste de l image radar pour avoir le meilleur affichage possible N anmoins nous n avons pas l obligation d ajuster les filtres de calcul de la profondeur maximale d investigation car ces derniers sont d j pr r gl s par le constructeur pour chacune des antennes pr sentes dans le g oradar Au niveau de l affichage nous obtenons d s la mise en marche du g oradar une bande verte repr sentant la profondeur maximale que peut atteindre l appareil comme l illustre la figure 19 Une fois les diff rents r glages effectu s nous proc dons la d tection de ouvrage concern en le croisant perpendiculairement sur diff rents passages le long de sa trajectoire Pour ce faire il faut porter un il critique sur l environnement du terrain En effet si langle de croisement s loigne de 90 les hyperboles obtenues seront trop aplatie
65. D une mani re plus explicite les principales informations obligatoires qui doivent tre r cup r es par le GU concernant l exploitant de r seaux sont la commune d implantation la cat gorie sensible non sensible ou non sensible forc sensible le type de l ouvrage Eau potable AEP les informations relatives l exploitant nom de la structure adresse et t l phone les ZI ainsi que l ensemble de cat gories de r seaux souterrains abandonn s et non d mantel s par l exploitant IL 1 2 4 2 Utilisation du GU par un utilisateur d clarant Par ailleurs mis part les exploitants de r seaux qui alimentent la base de donn es du GU Les utilisateurs du t l service sont les responsables de projets maitres d ouvrage MOA et maitres d uvre MOE les entreprises ex cutantes de travaux ainsi que les collectivit s territoriales et les services publics Afin d entamer les proc dures r glementaires obligatoires de d claration et pour consulter les prescriptions techniques du gestionnaire des r seaux les utilisateurs doivent consulter obligatoirement la plateforme Internet disponible en permanence et gratuitement Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e sil INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Cette consultation est effectu e avec ou sans la cr ation d un compte utilisateur En effet il
66. ECTRICITE PARIS DT DI EVESA GrDF URG PARIS CELLULE TRAVAUX TIERS GrC PARIS PARIS PARIS 15 PARIS GENNEVILLIERS PARIS 12 FONTENAY SOUS GUYANCOURT CE MALAKOFF DUON 0144681500 0181624701 0144656565 0810390360 0660496916 0142339209 0158782596 L s C S 0144681610 0144708728 0176614701 0144653151 0156920958 0144656565 0247857444 0660496916 JCDecaux France Pans CLIMESPACE RATP GODIESO CPMONPE 0144748946 0144748965 0158761900 RTE GET SUD OUEST Serice Relations Tiers 0130963014 0800948888 0380737496 0130963160 0130963014 0800948888 0146018782 COLT TECHNOLOGY SERVICES IDF BOUYGUES TELECOM Chez INEO INFRACOM 0173015937 0380737355 Haaa BOUYGUES TELECOM chez AXIONE Gestion DT D 92240 MALAKOFF 0178160055 0146018782 fy Ci dessus la liste des exploitants de r seaux enregistr s ce jour sur le t l service r seaux et canalisations sur la base des informations tablies et fournies par les exploitants Cette liste est donc tablie sous la Seule responsabilit des exploitants de r seaux MNERIS ne peut donc pas tre responsable au titre de l utilisation de ces donn es notamment en cas d erreur ou domission L authentification en tant que d clarant est n cessaire afin d obtenir un num ro de consultation du t l service r seaux et canalisations Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 69 INSA Etude d opportunit de d
67. France T l com poss de des parts En fait ce portail est une cr ation des exploitants de r seaux qui est jeune et qui a peu de clients ce jour Il rencontre certains probl mes techniques notamment dans le temps de traitement des demandes qu il est en train de surmonter France Telecom 2013 DICT fr est le leader du march de l aide la d claration Ainsi il nous permet de travailler rapidement et viter d envoyer des courriers Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 70 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Avant d utiliser ce prestataire de services France Telecom ne pouvait pas traiter dans le portail de DICT fr les demandes des utilisateurs qui en sont issues Par cons quent ce prestataire d aide ditait toutes les demandes les envoyait par courrier France Telecom qui lui retournait aussi les r ponses par voie postale A force de se rendre compte de la perte de temps via cette proc dure et vue que la plupart des demandes passent par ce portail France Telecom n a pas pu travailler avec ce prestataire de services France Telecom 2013 DICTSERVICES fr est un prestataire de services qui permet une grande rapidit concernant la r ception et le transfert des demandes ainsi qu un gain d argent vue la productivit effectu e De ce fait France Telecom a choisi de travailler aussi av
68. IONAL DT DICT AUVERGNE LE 15 MAI 2013 A France Telecom MAITRES D OEUVRE GRT GAZ RTE GET Auvergne Ville de Clermont Ferrand 1 Approbation du compte rendu de la r union du 13 f vrier 2013 Le compte rendu de la r union du 13 f vrier 2013 a t approuv l unanimit 2 Pr sentation d un retour sur exp rience d un incident sur le r seau gaz Denis MOLLE nous a pr sent le retour d exp rience d un incident intervenu sur le r seau gaz Lempdes L incident a concern un r seau de moyenne pression et a coup 1475 clients L entreprise a travaill la pelle m canique hors application du guide technique Le co t est estim entre 5 000 et 10 000 surtout du fait de la proc dure obligatoire de r tablir le gaz aupr s de chaque client La DREAL a convoqu le chef de projet l entreprise et le ma tre d uvre GEOVAL qui suite cet incident a renforc ses proc dures et le co t de ses prestations La pr sentation est jointe ce compte rendu 3 Suite des retours sur la mise en uvre de la r forme DT DICT et actions des partenaires PROTYS les entreprises n arrivent pas obtenir le code d acc s pour consulter les DT et ensuite pouvoir tablir leur DICT Il est galement fait part du probl me de passerelle entre DICT fr PROTYS et le guichet unique Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 74 INSA Etude d opportunit de d veloppement su
69. POOR pH Chronovalve HZ Winne t l command e Poteau Incendie 100 R servoir Foalyseur C R servoir de chasse Fil nne hydraulique nne lectrique a a VE O L A Ce plan repr sente un trac sch matique du r seau d eau potable suivant une classe de pr cision C Eau d I k def rAnCcC Toutefois les affleurants pr sents sur chaque branchement et D l gataire du SEDIF quipement du r seau permettent de le localiser avec pr cision W www sedif com EJ e 01 Date d dition du plan 15 4 2013 N a Q INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Annexe 7 Processus DT DICT synth tis en 16 tapes LE PROCESSUS DT DICT SYNTHETIQUE EN 16 ETAPES et Envoie 1 DT chaque exploitant L gende pond la DT et y joint des conseils selon la nature du projet GU GuishetUnigue ee DT D claration de projet de Travaux et les donn es de localisation DICT D claration d Intention de Commencement de Travaux DCE Dossier de consultation des entreprises TMD Transport de mati res dangereuses Exceptions l obligation d investigations compl mentaires cf tape 4 travaux de tr s faible emprise et tr s faible dur e travaux pr s de r seaux non sensibles travaux hors unit s urbaines 7 Choisit l ex cutant Est
70. Rens 1 SOMNAR DES 2 L NIRODUCTON Pen Sen RE 4 L1 Pr sentation de entreprise d accueil dadadaadusadudadudadteadestadadeadetddedeadeus 4 RE SO E E ee A T E A a 4 LL22 OP AE PARA SN eene E ee do a a 4 1 1 3 Activit s client le et r f rences suisses seescescceseeeeeececcccccenseeneeeeccecececeeseeseeescecceceseeseesees 4 1 4 Environnement socio conomique eeeeeeessssssssssssesttterresssssssssssseecettrrrrssssssssssssserererersssssssssseseeeerrerreeessss 5 SDS OO ea a 5 L 1 6 Sujet de l tude et cadre de travail durant le PFE us neneeeeeeneeeeeennnnes 5 L2 Contexte et objectifs principaux de l OL es dineieeies snse tons dteedenenbn aaa aa aaa 6 IL CONTEXTE RP LENIEENT AIRES ans sssneonennt i sn eeene sssetesssatentne sen esse een 6 IL1 Plananu endommagement sscsssssssessssssssessssscsososmsecssossssssossenssscsnscsesacosssnnesssssssnssccsnsesesacosssendes tenseceesnsesecossssss ste 8 JI 1 1 R glementation ant rieure et SCSTAIDIESSES ds diassesedanneschelasenssdinsouesaietessedeseces tele soseneses 8 IL 1 2 Guichet Unique et sp cifications 4 4 item mien nenessden tte vanne tinenesstenobessinitrtenedmededesenesetensse let 9 IL 1 3 Responsabilit s des acteurs impact s par la nouvelle r forme ss 12 IL 1 4 Observatoire National et Observatoires R gionaux DT DICT Vs 14 1E2 Procedure DEDICT esse EE EEE EEE Ea EEEa eia tete iris 14 II 2 1 Qu est ce
71. T DICT Par contre pour le g oradar aucun choix d achat n a eu lieu pour l instant en attendant de faire un canevas d essais sur diff rents sites lors de futurs tests et prestations Par ailleurs pour le choix du mat riel de g or f rencement nous avons opt pour une solution interne En effet l entreprise poss de un large panel de stations totales et de solutions GNSS de pointe 30 Annexe 11 Devis relatif la d tection et au g or f rencement d un r seau de fibre optique r alis par Alpes Topo avant l apparition de la nouvelle r forme DT DICT Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 58 i ISA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National je CIeNCE lqu es VI Conclusion g n rale et perspectives L ignorance de l emplacement exact ou de la sensibilit des r seaux enterr s ainsi que le manque d informations relatives aux travaux proximit de ces ouvrages au sein des entreprises ex cutantes de travaux sont les raisons principales de la plupart des endommagements accidentels sur ces r seaux Les cons quences qui en d coulent sont souvent non n gligeables pour les personnes les biens l environnement et la continuit du service public C est dans ce cadre que la nouvelle r forme DT CICT en vigueur depuis le 1 juillet 2012 a vu le jour en apportant des changements pratiques pour limiter ces d g ts comme l ob
72. TION ET GEOREFERENCEMENT DES RESEAUX ENTERRES essssssseccccccccsccececcccoseccccccccosseccccccccssseceeccesssee 56 VL Choix du materiel nn dt te a dt ananas le nelenateeean etes a 56 V 1 1 Instruments de d tection lectromagn tique de r seaux nsossoeooeeeeeeessssssssssssstettrrersssssssssssssseerereressssss 56 V 1 2 Couplage de d tecteurs lectromagn tiques et de solutions GNSS 57 NS E T E E E E E O T 57 V 2 Cr ation du p le Alpes Topo D tection et G or f rencement des R seaux Enterr s et laboration du devis 58 V 2 1 P le de D tection et G or f rencement des R seaux Enterr s Alpes Topo sssssesssssessssseserserseeseesessee 58 V2 Pliborat on dUd VIS en e E E ee de E en 58 VI CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVES esssssssssssccccccccccecessesessooocooscceccceceesesssssso 59 TABLE DES ILLUSTRATIONS ns essscsesnssnscenecboescnscnsscssopncnsscssnccessobsesnnssssecscoosessstsscscessoones 61 DID OGR APRES enr ces eossie E EEE 63 LISTE DES ABRE YIA TIONS sssssssssnssssssnsniesessessscsssnscsesssscecsntessnssensosssnsesnessencnecetessasssenssess 65 GLOSSAIRE nes E sens dune tees nee ss tete certe eceins E cissscotetessc 66 SOMMAIRE DES ANNEXES ssesisisssirsserporu reroror oren esaun EPEa Or TE r aK EREN F REESS EAE pU ETEei FORENSES ReCO ETSEN Sak 68 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 3 INSA Etu
73. Topographie souterraine D autre part elle poss de d j une id e sur le monde de la d tection et le g or f rencement des r seaux enterr s gr ce notamment aux prestations tablies en 2010 sur le terminal m thanier de Fos sur Mer et en 2011 sur un chantier de localisation d un r seau de fibre optique Aix en Provence C est dans ce cadre que la soci t Alpes Topo a propos ce sujet de PFE intitul Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Ce PFE s est d roul Paris au sein de l agence Alpes Topo IDF Le choix de la localisation se justifie par la pr sence sur place de la plupart des responsables susceptibles de mettre leur exp rience au Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 5 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Scie ci nces Appliqu es service du projet Cette tude s est d roul e galement en grande autonomie tout en conservant un contact permanent avec la direction r gionale et nationale d Alpes Topo pour en valider ses orientations principales I 2 Contexte et objectifs principaux de l tude En France il existe 4 millions de kilom tres de r seaux dont un tiers est a rien et deux tiers sont souterrains et subaquatiques C est le cas d une part des r seaux sensibles pour la s curit comme les r seaux lectriques les ouvrages gaziers les r
74. a nouvelle r forme DT DICT a t mise en application Elle est issue dans un premier temps des directives de la loi n 2010 788 du 12 juillet 2010 dite loi Grenelle 2 mais surtout essentiellement du d cret n 2011 1241 du 5 octobre 2011 qui a abrog le d cret n 91 1147 de son arr t du 15 f vrier 2012 et de l arr t du 19 f vrier 2013 Nous remarquons que la d nomination du sujet du nouveau d cret est la m me que celle de l ancien savoir ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques de transport ou de distribution Ceci montre que la probl matique reste la m me qu il y a 20 ans seuls les moyens utilis s pour y r pondre voluent Lugli 20121 Certes ces changements r glementaires ont eu lieu du fait du grand nombre d endommagements sur les r seaux mais aussi gr ce aux efforts continus de certains organismes comme la ENTP la FFB et la SCOP du BTP qui n ont cess de mettre en lumi re les faiblesses des anciennes r glementations Notamment concernant le manque de pr vention des risques relatifs aux travaux proximit et le report syst matique de la responsabilit des endommagements sur les entreprises de travaux La plupart des exploitants de r seaux et des responsables de projets rencontr s dans le cadre de cette tude reconnaissent les contraintes issues de la nouvelle r forme Toutefois ils ne per oivent pas encore ce
75. ages suivent dans l ensemble le trac du lev topographique tranch e ouverte Toutefois le trac du dernier couplage semble s en loigner certains endroits VI 1 2 1 2 Altim trie Vue de c t gt Concernant le dernier couplage nous avons choisi par contrainte de temps de ne prendre que des mesures au milieu de la tranch e pour ne pas tre affect par l effet du coude vertical au niveau des hauteurs l entr e et la sortie de la tranch e principale La vue de c t nous montre que cette polyligne 3D est largement au dessous de celle correspondante au lev topographique tranch e ouverte Ce qui confirme la pr sence d erreurs syst matiques atteignant les mesures GNSS et remettant en question la pertinence de cette solution qui garantit une pr cision inf rieure 10 cm Nous remarquons que sur le dernier m tre de la tranch e principale dans le sens de la d tection illustr e dans la figure 24 les polylignes issues des trois premiers passages affichent une profondeur beaucoup plus importante que celle issue du lev topographique tranch e ouverte 10m La partie du C ble reli e au g n rateur La partie du C ble qui n est reli e rien Sens de la d tection Figure 24 Vue sch matique de c t concernant la mise en place du c ble principale Ce r sultat n tait pas attendu toutefois nous pouvons l expliquer par la proximit de la fin du c
76. ant la m me loi statistique Equ 4 et K prenant des valeurs fix es au pr alable par l arr t en Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 46 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es c Aucun cart en position li ne doit exc der le second seuil T gt Avec T3 1 5 k xx 1 Equ 5 VI 1 2 2 2 2 Respect de la premi re exp rimentation de la classe de pr cision A Nous allons pr sent pouvoir juger si nos calculs d carts et d emq relatifs la d tection et au c or f rencement issus des diff rents chantillons nous permettent de garantir la classe de pr cision A Pour la suite des calculs nous prenons en compte les valeurs suivantes N 15 L 5 6 cm et emq 2 5 cm pour le premier chantillon N 15 L3 4 0 cm 2 6 cm et emg 3 2 cm 1 4 cm pour les chantillons 2 et 3 N 9 L 15 8 cm et emq 4 6 cm pour le quatri me chantillon Avec N le nombre de mesures non affect es par l effet de la proximit de la fin du c ble V rification de la condition c Nous sommes en pr sence 1c1 d un test labor sur un c ble lectrique appartenant la cat gorie des r seaux souples et requ rant un seuil de Tol rance T 50 cm pour garantir la classe de pr cision A Nous remarquons que les N carts lip remplissent cette condition pour nos quatr
77. aphiques sont omnipr sents lors des diff rentes phases de travaux que ce soit lors de la pose des r seaux neufs ou lors de toute extension ou modification de trajectoire Par ailleurs ils sont aussi obligatoires lors de l tablissement des IC Ayant l obligation d tre aussi pr cis en planim trie qu en altim trie ces relev s sont effectuer par un prestataire certifi dans le cas des IC Toutefois s il s agit d un c or f rencement fouille ouverte le prestataire n est pas oblig d avoir une certification Or dans ce cas les plans de r colement de ces r seaux doivent tre absolument en classe pr cision A IL 2 4 Quels sont les d lais respecter dans le cadre de la proc dure DT DICT 3 mois 3 mois 2 jours ouvr s 9 ou 15 jours selon si J i j 2 9 jours maximum apr s dans l absence l envoi est d mat rialis gt i f ue r ception de la DICT jours d une r ponse ou pas jours f ri s non re gt mpris f ri s non compris d un exploitant re D la DICT Consultation du GU pour Etablissement R ception R ponse de ne obtenir les des DT pour des DT par chaque Ro epuon Re pole de 7 Signature Consultation Etablissement DICT par chaque D but des coordonn es chaque chaque exploitant au 7 7 7 i du march du GU des DICT chaque exploitant travaux des exploitant exploitant de responsable gt i 5 exploitant l entreprise gestionnaires concern r seaux d
78. au conducteur de courant Ce dernier peut tre un r seau d lectricit ou de t l phone mais aussi une canalisation dont le mat riau de construction permet le transport du courant C est le cas des ouvrages d eau d assainissement ou de gaz qui sont en cuivre en plomb ou en acier Par ailleurs certains r seaux ne sont pas conducteurs de nature mais ils sont parfois pos s avec des c bles conducteurs de courant de type Plynox qui permettent la d tection C est le cas de certains r seaux de fibre optique Trois m thodes de d tection lectromagn tique sont utilis es selon la nature des r seaux d tecter la possibilit d acc s au r seau la pr sence ou non d affleurant et la finalit de la d tection vitement des endommagements ou fourniture de la cartographie des r seaux IT 2 1 1 1 D tection lectromagn tique en mode passif Cette m thode de d tection est d ploy e sans avoir recours l metteur de courant sur des r seaux conducteurs dot s de leurs propres champs lectromagn tiques figure 5 Elle permet de d tecter les ondes g n ralement induites d une part par les r seaux lectriques dont la fr quence du signal est d environ 50 60 Hz et d autre part par les ondes Radio de basses fr quences allant g n ralement de 16 22 kHz Manuel d utilisation du vLoc 5000 2012 Cette technique de d tection sert localiser grossi rement les r seaux souterrains afi
79. au de m r Salnii 32 i Le d placement du g oradar assure l acquisition du signal retour me 0 00 sous forme de scans et ainsi la formation d un radargramme image radar en coupe relative aux milieux travers es Ce dernier est une repr sentation graphique reposant sur deux axes affich s sur l cran du g oradar Les 050 distances parcourues D sont repr sent es dans l axe des abscisses et les 575 profondeurs d investigation Z ou les mesures de temps T dans l axe des ordonn es figure 16 Il faut noter qu il existe une relation directe entre N on N le temps aller retour n cessaire la propagation des ondes in lectromagn tiques et la profondeur d investigation _ wN o Figure 16 Exemple de radargramme CRIGEN 2013 Sur ce radargramme nous constatons aussi la pr sence d hyperboles de r flexion issues de la rencontre entre les ondes lectromagn tiques et la surface de l objet pr sent sur la structure souterraine figure 17 Ce dernier peut tre un r seau enterr comme o e A aa S N S il peut tre une cavit un engin explosif ou un bloc rocheux A F ta dar amp AOF Le Obiet des donn es radargramme ondes r fl chies Figure 17 Production des hyperboles de r flexion visioreso fr Les domaines d application du g oradar ne se limitent pas uniquement la
80. avec des d tecteurs lectromagn tiques V 1 3 G oradars Les G oradars que nous avons pu manipuler et tudier lors de ce projet sont l UtilityScan DF du constructeur GSSI le DetectorDuo du constructeur IDS et l EasyLocator du constructeur Mala Par ailleurs les tests effectu s sur le g oradar UtilityScan DF nous ont montr les limites de cette technologie en termes de difficult d utiisation sur le terrain et de l interpr tation des r sultats sans ou avec post traitement N anmoins consid r e comme la seule m thode non intrusive pour la d tection des r seaux non conducteurs 1l a t convenu en d cision commune avec les dirigeants de la soci t Alpes Topo de se servir dans un premier temps de cette technologie pour les premi res prestations sans aucun achat de mat riel En effet la location de diff rents mat riels appartenant diff rents constructeurs nous permettra de se rendre Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 57 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es compte au fur et mesure des prestations des v ritables limites de cette technologie ainsi que du mat riel choisir pour continuer l activit au sein d Alpes Topo V 2 Cr ation du p le Alpes Topo D tection et G or f rencement des R seaux Enterr s et laboration du devis V 2 1 P le de D tection et G or f renceme
81. ble qui n tait pas reli un coffret une bo te de jonction entre c bles un cand labre Cela a contribu la perte du signal en s approchant de son extr mit Comme c est le cas dans la r alit Radiodetection 2013 Ainsi nous avons opt pour l exclusion des r sultats du dernier m tre lors de la quantification des erreurs car nous les avons consid r comme des fautes gt Nous constatons aussi que sur les premiers m tres de la tranch e c est dire sur la tranch e non affect e par l effet de la proximit de la fin du c ble les polylignes 3D issues des trois premiers passages restent g n ralement au dessus du trac relatif au lev topographique fouille ouverte En effet la profondeur d tect e est moins importante que la profondeur r elle par mesure s curitaire et pour viter les endommagements des ouvrages souterrains les constructeurs des d tecteurs lectromagn tiques font en sorte que leurs appareils annoncent des mesures de profondeur moins importantes que celles effectivement trouv es Radiodetection 2013 Nous obtenons la formule suivante P Jet ct e P r elle E Pr cision P ceite Equ 1 et non P et ct e Fr elle Pr cision ii Pr eite 8 La station GNSS Trimble de d monstration offrait la possibilit de travailler avec une pr cision centim trique et une seconde inf rieure 10 cm Pour basculer d une solution une autre et tre op rationnel 1l
82. c bles quelques millim tres pr s en se basant sur une station et quatre vis es de r f rences bien r parties en termes d angles et de distances Par ailleurs nous avons choisi de g or f rencer les c bles tranch e ouverte deux fois et calculer la moyenne de leur position pour Photographie 10 G or f rencement des c bles garantir un maximum de pr cision tranch e ouverte suivant un rep re d un pas de 25 cm Ensuite nous avons enterr les c bles de mani re ce qu ils ne soient plus visibles mais aussi pour pouvoir effectuer la d tection dans des conditions r alistes Lors de cette exp rimentation nous avons choisi deux c bles ferraill s chacun d une quinzaine de m tres de mani re ce qu hormis leur partie enterr e il en reste un bout apparent sur la surface d une dizaine de m tres sur lequel nous avons pu nous brancher en raccordement direct avec le g n rateur du RD8000 Nous avons choisi une fr quence d mission de 8 kHz avec une intensit de 20 mA Apr s la fermeture des fouilles nous avons effectu la d tection et le g or f rencement des c bles quatre reprises avec Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 41 Institut National s Sciences Appliqu es SA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux de Passage 1 d tecteur RD8000 et station totale Leica TPS 1200 Passage 2
83. cation du 16 novembre 1994 Conform ment ces r glementations les trois protagonistes qui sont les gestionnaires de r seaux les responsables de projets et les ex cutants de travaux devaient suivre certaines proc dures avant le commencement des travaux tout en respectant des r gles bien sp cifiques d change de donn es En amont des travaux le responsable de projet MOA ou MOE avait l obligation d effectuer une ou plusieurs Demandes de Renseignements DR aupr s des exploitants des r seaux Cela s effectuait en se rendant la mairie qui collectait les coordonn es et les Zones d Implantation ZI des exploitants des r seaux Par la suite une fois choisi l ex cutant de travaux devait envoyer aux diff rents exploitants des D clarations d Intention de Commencement des Travaux DICT et attendre la r ponse avant de d buter les travaux X Au fur et mesure des ann es l ancienne r glementation a montr certaines faiblesses qui emp chaient le bon d roulement des travaux en toute s curit gt Absence de sanctions lors du non respect des d marches administratives peu de DR taient tablies m me si elles taient obligatoires pour l tablissement du projet des travaux L absence de DR conduisait l ignorance des r seaux existants dans l emprise de travaux ce qui conduisait forc ment dans certains cas un endommagement des ouvrages lors des travaux proximit gt Absence d
84. cette r forme de par sa grande densit et son application sur plusieurs tapes dans le temps Par ailleurs l une des contraintes majeures de cette nouvelle r glementation est le surco t engendr pour notre structure En effet nous avons engag une entreprise externe pour d clencher ces consultations d urgence durant les p riodes d astreinte Or nous n avions pas besoin de ce genre de service avant le ler juillet 2012 car nous avions l habitude de r gulariser la proc dure avec uniquement une DICT Par cons quent Il y a du retard du m contentement des gens priv s d eau et des communes o les travaux se d roulent tr s tard ainsi qu un surco t li au service suppl mentaire observe G rard Bayon 11 3 2 3 Prestataires de services de la d tection de r seaux La FNEDRE pr sente un bilan mitig par rapport la nouvelle r glementation Elle estime que les responsables de projet manquent de connaissance au sujet de la r glementation et des techniques de d tection ce qui repr sente des difficult s pour tout contrat relatif une prestation de d tection Elle constate 25 Annexe 8 Calendrier de mise en uvre du plan anti endommagement Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e AE INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es galement l absence des plans g or f renc s qui doivent servir la pr paratio
85. contradictoires sur le terrain I1 3 2 2 Exploitants de r seaux Les exploitants de r seaux ErDF GrDF Lyonnaise des Eaux insistent sur la n cessit du dialogue entre les acteurs impact s par cette nouvelle r forme surtout que cette derni re a entrain un changement culturel consid rable concernant les projets et la prise en compte de l environnement des travaux Pour ces exploitants la nouvelle r glementation encourage l innovation et la recherche pour trouver les meilleures techniques vitant l endommagement des r seaux Les gestionnaires de r seaux mettent galement en lumi re un besoin imp ratif de formation par rapport aux travaux proximit des r seaux de professionnalisation des IC et de connaissance du guide technique Ils consid rent aussi que le partage des fonds de plans g or f renc s n est pas acquis et que l am lioration de la cartographie des r seaux repose sur ces plans qui ne sont pas tous en classe A ce jour Cela rend difficile le respect de l ch ance de 2019 Les exploitants constatent aussi une baisse timide des dommages depuis le d but de l ann e 2012 Ils consid rent que tous les acteurs n adoptent pas encore la r forme et souhaitent plus d accompagnement de la part collectivit s locales Enfin ils proposent de r aliser un chantier pilote par d partement pour servir d exemple Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 20 INSA Etude d opportuni
86. cteur cm profondeur r elle moyenne de 81 2 cm Par ailleurs nous avons calcul la pr cision de la d tection en se r f rant l quation 1 Equ 1 qui est gale 12 8 Cette valeur est nie mesur e cm beaucoup plus importante que celle annonc e par le Point Point Point Point Point constructeur et qui est de 5 12 26 29 30 31 Deux explications sont retenues pour ce r sultat Figure 27 Donn es contribuant au calcul de la pr cision incoh rent effective du vLoc5000 lors de la deuxi me exp rimentation La premi re concerne la distorsion du champ lectromagn tique que nous avons tout de suite constat lors du choix de la fr quence d mission et le second se manifeste dans la mesure de la profondeur r elle prise partir du centre du fourreau orange qui est d une vingtaine de centim tres de diam tre Seba KMT 2013 Ce qui veut dire que nous disposons de quelques centim tres d impr cision sur la mesure de la profondeur r elle de notre c ble HTA Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 51 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es VI 2 3 2 carts moyens et emq Comme pour la premi re exp rimentation nous calculons les carts en position et la moyenne des carts de notre chantillon Or l erreur moyenne quadratique emq sera obtenue gr ce l quation 2 Equ
87. d tection des r seaux enterr s Il existe d autres champs d application comme L tude de pr sence des vertiges arch ologiques La d tection hydrologique et la recherche de l eau L tude stratigraphique d une structure Glacier rocheux La r flexion sur des probl matiques environnementales tude de pollution des sols VNNNVY Y Les tudes g otechniques et ou de g nie civil Localisation de zones d affaissement tude de la stabilit des talus Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 34 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es III 2 2 2 Avantages et limites techniques gt Le g oradar est une technique de d tection non destructive offrant l avantage de d tecter tous les types de r seaux enterr s qu ils soient conducteurs ou non PVC PE ou tout autre polym re b ton plomb fonte composites cuivre acier Avec cette technique nous n avons pas besoin de nous pr occuper des questions de raccordement au r seau et d autorisations d acc s comme c est le cas pour la d tection lectromagn tique Toutefois nous avons besoin d employer notre savoir faire en mati re de d tection par g oradar pour r gler la constante di lectrique relative la nature du sous sol auscult et juger l effet de cette derni re sur la qualit de la d tection gt Le
88. dance tre toujours positive ou toujours n gative C est aussi une 32 erreur biais e dont la distribution a une moyenne diff rente de z ro Q 2 e 2 1 Z 30 Exploitant de r seau Personne physique ou morale qui g re un r seau et en assume la responsabilit D mat rialisation Op ration qui a pour principale cons quence la disparition de la repr sentation mat rielle sous la 32 forme d un document en papier des actions et des obligations Dispersion D composition d un rayonnement lectromagn tique caus e par la variation des caract ristiques du milieu 32 de propagation en fonction de la longueur d onde bS G or f rencement action qui consiste relier un objet et les donn es qui lui sont associ es sa position dans l espace par rapport au syst me r glementaire de coordonn es g ographiques Induction lectrique Ph nom ne qui consiste dans l apparition de charges lectriques sur la surface d un corps non charg au d part et plac dans le voisinage d un champ lectrique produit par un corps porteur de charges lectriques 32 Induction magn tique et couplage capacitif Ph nom nes d influence affectant toute pi ce conductrice situ e le long d ouvrages lectriques a riens haute tension des distances pouvant atteindre deux ou trois cents m tres Ils peuvent notamment se manifester sur des barri res de s curit routi re d
89. dans la zone de travaux Dans le cas contraire il est n cessaire de pr voir un rendez vous sur le terrain dans des d lais commodes la situation d urgence afin de recevoir les consignes de s curit de la part des exploitants Un Avis de Travaux Urgents ATU doit tre envoy aux exploitants et aux collectivit s concern es lors de l engagement de ces derniers II 1 3 3 Obligations des ex cutants des travaux Les entreprises ex cutantes de travaux doivent adresser autant de DICT que d exploitants de r seaux pr sents sur la zone des travaux Elles doivent par la suite attendre une r ponse qui comprend les plans c or f renc s le r sultat des IC et les recommandations relatives la s curit lors des travaux Elles doivent galement g rer les situations accidentog nes et pr venir les endommagements des r seaux Dans ce contexte une autorisation de travaux proximit des r seaux sera rendue obligatoire partir ler janvier 2017 pour les diff rents employ s des entreprises d ex cution de travaux Chef de chantier conducteur d engin 18 Annexe 3 Code couleurs normalis es des r seaux selon la norme NF P 98 332 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 13 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Il faut aussi noter que la responsabilit de l entreprise n est pas engag e lors d un e
90. de c bles de protection cathodique ou de commande de vanne qui servent aussi sa localisation en utilisant des techniques de d tection lectromagn tique Ce qui permet d viter l insertion d une sonde au sein de l ouvrage ou l usage des radars g ologiques dont l utilisation et l interpr tation des r sultats sont parfois complexes En cas d endommagement accidentel sur une canalisation d eau potable il existe toujours le risque d inondation du chantier voire zones proximit Exemple Inondation l entr e de l h pital g n ral de Dijon 2011 II 3 Ouvrages d assainissement De types unitaires ou s paratifs les ouvrages d assainissement sont de g om trie et dimension variables Les canalisations sont principalement constitu es de PVC de PRV de mat riaux de synth se de b ton arm ou de fonte Consid r s comme non sensibles aux yeux de la nouvelle r glementation ces r seaux comportent des grands risques pour les tiers et pour l environnement En effet Lors d un endommagement d une canalisation d assainissement 1l existe d une part des risques biologiques se manifestant par la pr sence de virus parasites bact ries et champignons Et d autre part des risques chimiques illustr s par l ventuelle pr sence de gaz toxiques mortel Exemple Mort de quatre employ s suite une intoxication par H2S lors curage d une chambre sable Poissy 2006 Soufiane L
91. de d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es I Introduction I 1 Pr sentation de l entreprise d accueil I 1 1 Historique Cr e la Ciotat en 1990 par les deux fr res associ s J r me et Philippe COMMAND la soci t Alpes Topo s est impos e au fil des ann es comme un prestataire permanent de services aupr s des principaux groupes du secteur du BTP dans le milieu des grands travaux de terrassement sur le territoire national L ann e 2000 a marqu une grande activit r gionale avec une fid lisation des partenaires locaux En 2004 par le biais de C dric Monribot l entreprise a cr une agence dans la Principaut de Monaco qui est devenu rapidement le prestataire topographique privil gi des grandes soci t s locales comme la SMEAUX En 2011 Alpes Topo a commenc le d veloppement de ses services en Ile de France IDF par le biais de C dric Daures Actuellement l entreprise compte parmi ses effectifs 35 salari s apportant un savoir faire de qualit en termes de prestations topographiques et en ing nierie 1 1 2 Organigramme simplifi G om tre Topographe G om tre Topographe G rant de la soci t Gestion Co G rant de la soci t Informatique Secteur fran ais Etranger Responsable IDF Responsable du secteur Nord et Est de la France Mon gasque Figure 1 Organigramme simplifi de la soci t Alp
92. de gaz avec des explosions et l envoi de chaleur en cas d inflammation Il y a aussi des risques de corrosions de la canalisation lors d un contact non signal Exemple 36 victimes dont un pompier mort et entre 500 et 1000 personnes vacu es lors d un per age accidentel sur une conduite de gaz Lyon 2008 D g ts engendr s par une er ee gaz TT 2008 Photographie de Jo l Philippon 1 3 R seaux de chaleur En termes de mat riau de construction nous distinguons deux types d ouvrages le premier dot d une canalisation en acier isol dont l paisseur varie entre 2 5 et 15mm et la profondeur de pose est en moins quivalente 40 cm et le deuxi me dispose d une canalisation pr isol e avec une mousse de polyur thane Les r seaux de chaleur peuvent contenir de gt L eau chaude Tmaxi 110 C 4 bars lt P lt 20 bars gt L eau surchauff e 130 C lt T lt 180 C 12 bars lt P lt 24 bars gt La vapeur 160 C lt T lt 240 C 5 bars lt P lt 25 bars Comme pour tous les autres r seaux sensibles les risques aff rents un endommagement de ce type de canalisation reste non n gligeable Il s agit en g n ral d accidents issus d un coulement d eau chaude ou d une vaporisation dans l air et qui peuvent g n rer par exemple des brulures graves pour les travailleurs I 4 Ouvrages chimiques et d hydrocarbures De diam tres situ s entre 2 5 cm et 1 5
93. de r ponse de signal En effet le r glage de la sensibilit repose sur le principe d un multim tre aiguille si nous proc dons une d tection en bas de l chelle de la sensibilit nous pouvons d tecter le signal re u de la part du r seau conducteur mais pas son maximum Toutefois quand nous augmentons trop la sensibilit la moindre variation est visible Radiodetection 2013 Hormis l utilisation du mode Max nous pouvons aussi nous aider par l indication des fl ches pour localiser l ouvrage enterr En effet cela s av re tre souvent tr s utile sur le terrain mais parfois pi geux le maximum de signal pourra tre quelque part alors que les fl ches l indiquent ailleurs Cela arrive lors d une distorsion de signal Par cons quent il est demand l op rateur sur le terrain d tre vigilant lors d une prestation de d tection afin de fournir les meilleurs r sultats possibles l aplomb du r seau car toute erreur sur la position planim trique affecte consid rablement la mesure de profondeur annonc e du r seau enterr en suivant le principe de la triangulation FNEDRE C P F D 2013 IT 2 1 2 4 V rification de la profondeur par le principe de triangulation Avant de proc der la v rification de la profondeur des r seaux il faut porter un il critique sur les valeurs annonc es en pr sence d infrastructures souterraines denses ou lors d une d tection sur u
94. du B timent FSTT F d ration France Sans Tranch es Technologies GNSS Global Navigation Satellite System GPS GLONASS Galileo IRNSS Compass GU Guichet Unique HTA Haute Tension type A HTB Haute Tension type B H2S Sulfure d Hydrog ne IC Investigations Compl mentaires IDF Ile de France INSA Institut National des Sciences Appliqu es INERIS Institut National de l EnvirRonnement Industriel et des Risques MOA Ma trise d OuvrAge ou Ma tre d ouvrage MOE Ma trise d uvre ou Ma tre d uvre MP Marquage Piquetage PE Poly thyl ne PFE Projet de Fin d Etude PRV Polyester Renforc de Verre PVC Polychlorure de Vinyle SARL Soci t A Responsabilit Limit e SCOP du BTP Soci t s Coop ratives de Production du B timent et des Travaux Publics SIG Syst me d Information G ographique SIGOR Syst me d Information G ographique de la ville d ORl ans SMEAUX Soci t Mon gasque des Eaux TN Terrain Naturel VST Ville Sans Tranch e ZI Zone d Implantation Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 65 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Glossaire Affleurant partie d un r seau existant visible depuis la surface coffret bouche cl armoire regard l ments de signalisation etc BU Branchement ramification d un r seau de distributi
95. duits par des r seaux souterrains et a riens Manuel d utilisation duy Te 2506 10 ser E EET 25 Figure 6 Sch ma de l metteur en mode de transmission actif indirect par induction 26 Figure 7 Sch ma de l metteur en mode de transmission par utilisation esssssseesseeeeeeeeeeesssssssssssssee 26 Figure 8 Sch ma de l metteur en mode de transmission direct par raccordement sssnosneeeeeeeeeessessseee 27 Figure 9 D tection lectromagn tique par sonde SEBA KMT eeesssssssssssssssssssssssssssssesessssseseeseeeesesereeeeee 27 Figure 10 Sch ma d utilisation d mode SOC daseshdisloneenneseste ses loieeaenieleesleses 27 Figure 11 Sch ma d utilisation du mode Nul Manuel d utilisation du vLoc 5000 ssenseeessseeeeeeeeesns 30 Figure 12 Sch ma d utilisation du mode Large Max ss 30 Figure 13 Sch ma d utilisation du mode Max Manuel d utilisation du vLoc 50001 30 Figure 14 Sch ma montrant le principe de la triangulation manuelle 50 et 70 Manuel d utilisation RO 31 Picar 13 Poociperde Daise SE OR ee tea 33 Figure 16 Exemple de radargramme CRIGEN 2013 ss 34 Figure 17 Production des hyperboles de r flexion visioreso fr ss 34 Fisure 18 Taille et gcometrie des CIDISS are nenna 35 Figure 19 R glage de la constate di lectrique MDS iii 36 Figure 20 Etapes de d tection par g oradar
96. e chantillons Par ailleurs nous trouvons xx 14 0 cm gr ce l quation 5 Equ 5 et en prenant en compte les valeurs suivantes C 2 0 et K 2 11 V rification de la condition b Gr ce l quation 4 Equ 4 nous trouvons T 33 3 cm Avec Pour le premier chantillon N 15 N 2 Pour les trois autres chantillons N 11 ou N 9 N 1 Nous constatons qu aucun cart lip ne d passe le premier seuil T sur les quatre chantillons Ainsi nous remplissons aussi cette condition V rification de la condition Gr ce l quation 3 Equ 3 nous trouvons L 15 8 cm Nous remarquons que la valeur L 5 6 cm du premier chantillon et les valeurs L 4 0 cm 2 6 cm des deux chantillons 2 et 3 sont largement inf rieur au seuil L fix par cette condition Or la valeur L 15 8 cm 15 76 cm est la limite du seuil de cette condition Finalement nous remplissons aussi cette condition pour nos quatre chantillons VI 1 2 1 Analyse de l effet du coude sur le c ble secondaire Lors de cette exp rimentation nous avons plac un c ble Vue de haut secondaire de mani re avoir un coude 90 et de se rendre compte de l impact de ce dernier sur la d tection des r seaux enterr s Par manque de temps sur le terrain nous avons effectu le ih test juste avec l chantillon n 3 du d tecteur lectromagn tique 0 RD8000 avec la solution GNSS Trimble centim tri
97. e choix de l intensit du courant et de la fr quence du signal pour chaque type d ouvrage C est lors des tests sur le terrain en amont de la prestation de d tection que nous effectuons ce choix Dans le cas d une fr quence lev e nous serons en pr sence d une tension forte ce qui implique une meilleure capacit du signal mis se propager dans des milieux peu conducteurs Par cons quent les transmissions en induction et en pince de serrage requi rent des hautes fr quences situ es entre 8 kHz et 65 kHz pour une meilleure propagation du signal N anmoins en mode de raccordement direct nous travaillons plut t sur des basses fr quences situ es entre 512 Hz et 8 kHz afin d viter l effet de la propagation du signal sur les r seaux voisins Il faut pr ciser que lors des deux d monstrations nous avons proc d une transmission de signal en mode direct ou en mode de serrage par pince avec le plus souvent une fr quence de 640 Hz ou de 8 kHz Ces deux fr quences et surtout la premi re offrent un bon compromis entre la bonne propagation du signal sur le r seau d tecter et l annulation du risque de couplage M moire TFE de J F Bach 2013 Par ailleurs nous diminuons g n ralement le d bit de l mission lorsque nous travaillons proximit de notre metteur Agissant comme un g n rateur de courant ce dernier envoie un signal vers le r cepteur qui est de plus en plus pur en pr
98. e d observations exc dantes de chaque s rie Avant de proc der aux diff rents calculs nous tenons apporter les pr cisions pr alables suivantes gt Concernant les trois premiers chantillons nous avons choisi un pas de lev topographique de 25 cm sur une tranch e de 5 m tres Ainsi nous obtenons une vingtaine d observations sur lesquelles nous avons proc d aux calculs des carts moyens L et des emg Toutefois avant d tablir ces calculs nous tions persuad s de retrouver des valeurs de L et d emg assez importantes et non repr sentatives car elles ne tiennent pas compte de l effet de la proximit de la fin du c ble Par cons quent nous avons ainsi recommenc les calculs des L et emq sans prendre en compte les observations sur le dernier m tre ce qui a nettement am lior les r sultats gt Nous aurions pu s parer les calculs planim triques et altim triques car selon le repr sentant de l entreprise Radiodetection la pr cision planim trique annonc e par l appareil est toujours meilleure compar e son homologue altim trique Cependant nous avons pr f r effectuer un calcul tridimensionnel afin d appr cier la pr cision g n rale des appareils de d tection et des deux derniers couplages Dans le tableau ci apr s tableau 5 l ensemble des carts en position entre les coordonn es des trac s des diff rents couplages et ceux du lev topographique fouilles ouvert
99. e du SEDIF Renaud de Carmantrand de la Soci t des Eaux de Marseille Manuel Nardi de la Soci t Mon gasque des Eaux SMEAUX Jean Pierre Brazzini de la F d ration France Sans Tranch es Technologies FSTT et Hubert Brerot et Christophe Norgeot de la F d ration Nationale des Entreprises de D tection de R seaux Enterr s FNEDRE Je remercie galement tous les ing nieurs de vente les technico commerciaux ainsi que les scientifiques avec qui une rencontre a t organis e pour approfondir le sujet des techniques et instruments de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s et pour juger la qualit des appareils qui s en rapportent C est le cas de Samuel Sainte Luce et J r me Xavier de MDS GSSD de Benoit Noel d ABEM France IDS de Francis Lagache de T D Williamson MALA de Thierry Lecacheur de Radiodetection SPX de St phane Delafontaine de SEBA KMT VIVAX METROTECH d Olivier G rard de D3E Electronique de Nicolas Schaller de Geotopo Hubert Brerot de CPFD Conseils Prestation Formation en d tection de Canalisations enterr es ainsi que des scientifiques Emeline Drouet et Louis Gorintin du Centre de Recherche amp Innovation Gaz et Energies Nouvelles de GDF SUEZ CRIGEN Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e se INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Sommaire REMER 8 D DE DANS PP
100. e manuelle comme pour le RD8000 ou le vLoc Pro 2 il faut laborer chaque fois une d tection avec diff rents mode et constater les carts annonc s Ce qui entraine une perte de temps sur le terrain gt L affichage simultan de la profondeur et de l amplitude du courant sans n cessit d une man uvre de l op rateur pour choisir ces informations V 1 2 Couplage de d tecteurs lectromagn tiques et de solutions GNSS Un couplage de d tecteur lectromagn tique et de solution GNSS un processus tabli afin de r cup rer les informations issues de la d tection directement sur le carnet de l instrument topographique Cela sert obtenir les v ritables coordonn es tridimensionnelles des ouvrages d tect s en prenant en consid ration la mesure de profondeur d tect e Au d but de ce PFE nous avons eu affaire deux couplages qui sont le syst me SPAR 3000 de la soci t Geotopo et le couplage du RD8000 avec des solutions GNSS Trimble commercialis par la soci t D3E D une part les r sultats des exp rimentations sur la solution propos e par la soci t D3E issus de la partie VI 1 Premi re exp rimentation ont montr la pertinence de ces couplages quant la pr cision de la d tection la satisfaction des exigences de la classe de pr cision A et au gain de temps sur le terrain et lors de la phase de traitement de donn es D autre part le syst me SPAR 300 introduit lors de la d monstratio
101. e ouverte Echelle 1 500 a x d s g j f Trac du c ble tracnh e ferm e vloc5000 Station totale Viva TS15 Figure 26 Vue de plan et profil en plan sur les polylignes 3D relatives au trac du c ble principal HTA D un point de vue qualitatif nous remarquons que l cart entre les trac s du c ble HTA fouille ouverte et ferm e est petit Toutefois les vues de haut et de c t sont illustr es une grande chelle du fait de la longueur importante du trac Le v ritable juge pour quantifier ces carts sera une analyse quantitative pertinente VI 2 3 Analyse quantitative VI 2 3 1 Pr cision effective Comme pour le r glage de la fr quence d mission du g n rateur du vLoc5000 lors de cette exp rimentation nous avons profit de la pr sence de certains endroits o nous avons pu avoir un acc s l ouvrage pour prendre des mesures des profondeurs r elles de ce dernier photographie 15 ces m mes endroits nous nous sommes plac s avec notre d tecteur lectromagn tique pour obtenir la profondeur d tect e et ainsi v rifier la donn e constructeur concernant la pr cision de d tection 5 P Photographie 15 Mesure de la profondeur r elle du tube contenant le c ble HTA Comme l illustre la figure 27 en cinq endroits diff rents nous avons trouv un cart moyen de 10 4 cm Profondeur entre la profondeur d tect e et mesur e ainsi qu une annonc e par le d te
102. e pr cision A M me si le couplage du RD8000 avec la solution GNSS Trimble GeoXH 6000 centim trique a fait ses preuves quant l efficacit sur le terrain et la pr cision des r sultats la combinaison entre le d tecteur et la solution GNSS GeoXH 6000 d cim trique a montr ses limites Cette derni re combinaison nous a annonc une position altim trique de l ouvrage d tect beaucoup plus profonde que la vraie position lev e tranch e ouverte Or un tel r sultat pourra conduire directement un endommagement de l ouvrage lors des travaux de forage Comme cit auparavant dans la partie VI 1 2 1 2 Altim trie dans le monde de la d tection et tout en restant dans les pr cisions annonc es par les d tecteurs il vaut mieux annoncer une position de l ouvrage moins importante que plus importante Cependant nous remarquons que ce couplage r pond aussi parfaitement que les trois autres aux exigences de la classe de pr cision A Finalement la pr sence d un coude dans l installation d un ouvrage enterr ne nuit pas forc ment sa bonne d tection Or les carts en position la moyenne des carts et les emq seront plus grands que ceux relatifs la d tection et au g or f rencement d un ouvrage quasiment rectiligne Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 48 Institut National s Sciences Appliqu es SA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie de
103. e projet de r seaux Le responsable de projet et la DT L ex cutant de travaux et la DICT Tableau 3 D lais respecter dans le cadre de la proc dure DT DICT Un processus plus labor expliquant la d marche DT DICT est disponible sur le site du minist re du d veloppement durable Veolia Eau IDF tient des statistiques sur le temps de traitement et la moyenne des exploitants concern s par chaque ATU et constate une baisse consid rables de ces attestations gr ce l inscription de la majorit ces exploitants sur le GU Annexe 7 Processus DT DICT synth tis en 16 tapes Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 19 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es II 3 Bilan sur la proc dure DT DICT II 3 1 Appr ciation g n rale Selon J Brazzini vice pr sident de l association France Sans Tranch es Technologies FSTT anciennement Comit Fran ais pour les Travaux Sans Tranch e sur le territoire fran ais nous constatons gt Une v ritable r ussite du GU avec une r duction de 3 5 du nombre d endommagements suite aux travaux proximit des r seaux entre les ann es 2011 et 2012 gt Une multiplication du nombre des d clarations DT et DICT tablies Deux fois plus de DT que de DR gt Des formulaires Cerfa g n ralement bien remplis gt Une multiplication des op rations de marquage pi
104. ec lui au niveau national m me s il s agit d une petite structure et qu il est un concurrent direct de PROTYS fr o l entreprise poss de des parts France Telecom 20131 France Telecom 2013 Entretien avec Christian Le Loup adjoint chef de d partement de production au sein de l unit d intervention en Provence Alpes C te d Azur France Telecom sur l impact de la nouvelle r glementation DT DICT sur l entreprise France Telecom Draguignan 2013 II Les avantages d utilisation d un prestataire d aide la d claration Les portails de ces prestataires d aide la d claration permettent un gain consid rable de temps et d nergie la fois aux exploitants de r seaux et aux d clarants IT 1 Les avantages pour les exploitants de r seaux Source DICT fr Pr remplissage automatique du r c piss partir des l ments de la DT DICT Envoi des r ponses en lot Des offres d accompagnement l enregistrement sur le Guichet unique Outils d aide la d cision pour les exploitants de r seaux Te AA ic Exemple le polygone z 4 Su Ici l ouvrage apparait en bleu et la zone d emprise en noir a i gt a L emprise des travaux ne croise pas le polygone d implantation de Jire PEL l ouvrage n I2 La distance entre l emprise des travaux et l ouvrage est affich e r E pour aider la qualification du dossier Des solutions d interop rabilit avec
105. ection lectromagn tique g oradar acoustique marqueurs au regard des contraintes environnementales susceptibles de perturber la d tection nature des canalisations et des terrains canalisations parall les courants vagabonds Ces conclusions sont corrobor es par le CRIGEN MDS 2013 Entretien avec J r me Xavier lors de l exp rimentation portant sur l appr ciation de la qualit du g oradar Utility Scan DF Aix en Provence 2013 CRIGEN 2015 Entretiens avec Emeline DROUET CRIGEN amp A HALLIER MASTER 2 IPGP sur la g od tection des r seaux enterr s au Centre de Recherche et Innovation Gaz Energies Nouvelles Saint Denis 2015 R capitulatif de la partie VI Les trois exp rimentations tablies dans cette partie pr sentent des tests de pr cision relatifs des d tecteurs lectromagn tiques des couplages de ces derniers avec des stations totales et des solutions GNSS et des g oradars Nous pouvons en tirer les conclusions suivantes gt G n ralement les r sultats pour la d tection lectromagn tique ont t satisfaisants par rapport aux exigences cartographiques impos es par la classe de pr cision A introduites par la r forme DT DICT gt Les r sultats du g oradar sont apparus peu probants et ont confirm les interrogations des professionnels par rapport la d tection tridimensionnelle assur e par cette technique compl mentaire la d tection lectromagn tique
106. ection par g oradar gt Un mode suscitant du post traitement enregisrement du radargramme issu de chaque passage Etant similaire au post traitement GNSS ce mode nous permet d am liorer la qualit des donn es fournies en termes de pr cision sur la localisation La figure ci apr s figure 20 illustre les tapes suivre pour l extraction de donn es issues d une d tection par g oradar Enre gistrement de donn es Traitement de donn es Di 1 KED ll r yi DDD Distance Profondeur R sultats Op ration terrain Figure 20 Etapes de d tection par g oradar avec traitement de donn es georadar com 111 2 2 4 Traitement de donn es Apr s avoir effectu la d tection nous transf rons les radargrammes enregistr s vers un poste de travail dot d un logiciel sp cial de traitement de donn es comme GRED HD de la soci t ABEM ou Radan 7 de l entreprise MDS Avant d ouvrir le fichier radar nous commen ons par v rifier les options d auto sauvegarde d unit s de traitement Ensuite nous ajustons le gain d affichage afin d obtenir la meilleure visualisation possible en fonction du contrast choisi et des hyperboles appartenant aux diff rents profils Par ailleurs si nous sommes en pr sence de mesures bruit s nous appliquons un filtrage ad quat permettant d am liorer la qualit de l image radar Nous avons aussi la possibilit de r
107. ectrique 3 D finition selon la norme AFNOR NF S70 003 1 32 D finition selon le Guide Technique relatif aux travaux proximit des r seaux 33 D finition selon le Grand dictionnaire terminologique Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 66 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Poly thyl ne PE vari t de mat riau plastique constitutif d une canalisation Polychlorure de vinyle PVC vari t de plastique R flexion Ph nom ne par lequel une onde tombant sur la surface de s paration de deux milieux de propagation dou s de propri t s diff rentes retourne dans le milieu d o elle provient R fraction Ph nom ne caract ris par le changement de la direction de propagation d un rayonnement lequel changement est d termin par les variations de la vitesse de propagation dans un milieu optiquement non homog ne ou 4 32 au passage d un milieu un autre R seau partie d un ouvrage pouvant contenir des l ments lin aires de canalisation des quipements ou accessoires et 31 des branchements Travaux urgents travaux non pr visibles effectu s en cas d urgence et justifi s par la s curit la continuit du 31 service public ou la sauvegarde des personnes ou des biens ou en cas de force majeure Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 67
108. el observatoire cr depuis f vrier 2011 sert limiter les accidents dus aux travaux proximit des r seaux souterrains et am liorer la s curit relative leur ex cution En plus de cet observatoire national Il existe au niveau r gional de chaque f d ration des travaux publics une charte de bons comportements et un observatoire qui est compos des principaux acteurs locaux Ces derniers se r unissent p riodiquement et analysent en commun les causes des endommagements afin de trouver des solutions futures Au niveau de certains observatoires r gionaux un comit de concertation est aussi cr afin de trancher sur certains conflits concernant des petits dommages mat riels entre les entreprises de travaux et les exploitants de r seaux Par cons quent 1l faut noter que dans les r gions dot es de ce comit les litiges qui leur sont soumis ne vont plus en contentieux II 2 Proc dure DT DICT IL 2 1 Qu est ce que la proc dure DT DICT Les r seaux souterrains sont invisibles ce qui est la fois un avantage du fait de leur emplacement au sous sol sans aucune g ne sur la surface et un inconv nient quand il s agit de traiter la question de la pr cision de leur localisation Cette proc dure DT DICT a t labor e pour limiter le risque d endommagement de ces ouvrages Entr e en vigueur partir du 1 juillet 2012 cette proc dure pr voit l tablissement de certaines d marches avant
109. ence et justifi s par des raisons s curitaires la pr servation de biens et de personnes la continuit du service public ou en cas de force majeur Tout autre motif non cit pr c demment ne peut justifier l tablissement de travaux urgents Ne n cessitant pas d effectuer des DT ou des DICT ces travaux sont labor s imm diatement apr s le recueil des informations relatives la s curit concernant les r seaux sensibles existant dans l emprise de travaux Ces informations sont obtenues de la part des gestionnaires de r seaux sensibles apr s la consultation du GU directement ou d un des prestataires d aide la d claration Elles sont obtenues par l un des trois moyens d ploy s pour ce genre de situation d urgence T l phone Mail ou Fax d urgence ou par le m dia d une rencontre sur le terrain entre l ex cutant de travaux et un repr sentant de l exploitant de r seaux concern s dans des d lais commodes la situation d urgence Afin d avoir une trace de cette Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e Are Institut National Sciences Appliqu es SA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux intervention 1l est obligatoire d envoyer un formulaire CERFA d Avis de Travaux Urgents ATU dans les plus brefs d lais aux gestionnaires de r seaux et aux collectivit s locales impact s par ces travaux La nouvelle r f
110. ent de leur sensibilit et du nombre des communes o 1ls sont pr sents II 1 2 1 Zones d Implantation En application de l article 554 1 du d cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 nous retenons les d finitions suivantes La zone d implantation d un ouvrage est la zone contenant l ensemble des points du territoire situ s moins de 50 m tres du fuseau de l ouvrage Pour les ouvrages lin aires il est retenu une zone de largeur constante contenant l ensemble des points situ s moins de 50 m tres du fuseau de l ouvrage Par ailleurs le fuseau d un ouvrage ou d un tron on d ouvrage est le volume contenant l ouvrage ou le tron on d ouvrage d termin partir de sa localisation th orique de ses dimensions de son trac compte tenu de l incertitude de sa localisation et pour un ouvrage a rien de sa mobilit selon l environnement dans lequel il est situ Selon l article 4 de l arr t du 23 d cembre 2010 il faut noter que pour les ouvrages de distribution eaux gaz r seaux de chaleurs en zone urbaine lorsque tous les points du territoire de la commune sont situ s moins de 300 m tres de l ouvrage l exploitant en informe le t l service Cette information tient lieu de fourniture du plan de la zone d implantation pour la commune consid r e Une ZI renferme l ensemble des points situ s moins de 50 m tres de l ouvrage et doit tre labor e avec une incertit
111. enterr s La demande de g or f rencement des r seaux enterr es est en nette progression en t moigne les nombreux appels d offre lanc s la fois par des exploitants de r seaux et des collectivit s territoriales pour l am lioration de la cartographie des r seaux dont ils sont responsables mais aussi par les responsables de projets qui souhaitent tablir des Investigations Compl mentaires Toutefois la d tection de r seaux enterr s est un corps de m tier part enti re qui demande une tude approfondie De ce fait l installation d une activit de d tection permanente au sein d une entreprise de Topographie doit se faire l aide de formations et tudes pr alables d appoint afin de garantir une qualit dans la prestation fournie et de pr venir tout risque d endommagement des r seaux lors des travaux Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 59 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Il faut pr ciser que la soci t Alpes Topo a d j assur certaines prestations de d tection et de g or f rencement de r seaux enterr s dans le pass En effet l exp rience que poss dent les responsables nationaux et r gionaux ainsi que certains techniciens de l entreprise par rapport l utilisation des d tecteurs lectromagn tiques et des g oradars aidera consid rablement au
112. es li des moyennes arithm tiques de ces carts L et des emq Nous prenons en compte au d part l ensemble des mesures L1 emq et ensuite juste celles qui sont non affect es par la proximit de la fin du c ble L3 emqp Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e _ 44 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Sci Institut National ences Appliqu es Echantillon 1 Echantillon 2 Echantillon 3 Echantillon 4 Passage Passage SR20 Station Passage Passage RD8000 Station totale totale RD8000 Station GNSS RD8000 Station GNSS cm cm centim trique cm d cim trique cm Distances m Donn es D V O O C O C Q O Xx Q S R sultats Tableau 5 R capitulatif des carts et des emq de la premi re exp rimentation VI 1 2 2 1 1 Analyses sur les trois premiers chantillons En excluant les mesures effectu es sur le dernier m tre nous remarquons que le premier chantillon nous annonce la meilleure valeur d emq la meilleure dispersion des carts lipp autour de leur moyenne arithm tique L3 Autant dire que ce r sultat tait d j pr visible car d un c t le d tecteur lectromagn tique RD8000 est plus performant que le SR20 en termes de pr cisons de d tections annonc es par le constructeur et de qualit du signal D un autre c t les r sultats d une association RD8000 Station totale do
113. es Topo I 1 3 Activit s client le et r f rences La soci t Alpes Topo fournit diverses prestations permettant de subvenir aux besoins de nombreuses entreprises de BTP Nous citons parmi les prestations propos es gt Topom trie de pr cision Polygonales de pr cision Lev de TN Implantations R colements gt Topographie classique autorouti re ferroviaire et a roportuaire Techniques GNSS gt Calculs de cubatures R alisations de profils gt Auscultation et contr le d ouvrages d art Guidage d engins Travaux souterrains gt R ception de travaux Suivi de situation Gestion informatique Proc dures Projets La diversit des activit s et des partenaires ainsi que la forte pr sence sur le territoire national et l tranger constituent la force de la soci t Alpes Topo Ci apr s vous trouverez une liste non exhaustive des r f rences de l entreprise gt 1993 94 95 tunnel de l Escallette A75 Centrale Nucl aire de Flamanville et Piste d essai Renault BEC Fr res RER Paris ligne 13 BOUYGUES gt 2005 06 chantier routier en R publique de DJIBOUTI COLAS M tro de MARSEILLE CAMPENON BERNARD Immeuble Le Saint Georges MONACO ISOLETANCHE amp RICHELMI gt 2013 terminal m thanier de Dunkerque SOLETANCHE Grand stade de Bordeaux Vinci Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e ve INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topograph
114. es du SOLAR 22 ce ces de er i ninr se cn ed ceci Ea 88 Trame de sortie du carnet de de la station totale Viva TS15 suite la d tection et au gcorelerencement MOMIE een memes en ne etes Den de ee ne cpu 89 Devis relatif la d tection et au g or f rencement d un r seau de fibre optique r alis par Alpes Topo avant l apparition de la nouvelle r forme DT DICT 90 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 68 GROUPE INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es La saisie de l emprise de chantier par le d clarant ainsi que l obtention de la liste des exploitants contacter se fait sur la rubrique Outils gt Tracer votre emprise de chantier sur le site Internet reseaux et canalisations ineris fr L exemple ci apr s est extrait d un acc s la cartographie sans authentification 1 Pr postiennement 2 kacer l emprise de men chantier 3 Op rations Adresse Gu chanter Q 75011 O vader j d ryj rey P gj he La Esptofants_j T Unites s minatret O R seau trotres Q U R sean roues G O Bstmerts gt O Parete cocata LA Carte o E Photographes s ri EE CE CT NI T SS JCDecaux France Paris GENNEVILLIERS 0660496916 0147780057 0660496916 0182660234 CPCU ERDF UNITE RESEAU EL
115. es tendeurs m talliques de vignes des fils barbel s des cl tures des v hicules des engins des grues etc Le couplage capacitif s accro t avec la tension de l ouvrage inducteur et l induction magn tique avec l intensit du courant inducteur Cette derni re propri t explique que le ph nom ne d induction est renforc quand le circuit inducteur est affect par un d faut ou un court circuit ou encore dans le cas i Ey 31 d une induction cr e par un ouvrage de traction quand une motrice lectrique circule Lev topographique Ensemble des op rations destin es recueillir sur le terrain les mesures n cessaires l tablissement d une carte topographique Les mesures effectu es lors d un lev topographique sont de deux ordres le lev planim trique qui permet de d terminer la position des d tails dans un plan horizontal et le lev altim trique qui 32 donne la position de ces m mes points au dessus ou au dessous d un plan horizontal de r f rence Permittivit Grandeur dont le produit par le champ lectrique est gal l induction lectrique Pr cision d une mesure La finesse avec laquelle une estimation approche la moyenne d une longue s rie d estimations 2 A o e 32 effectu es sur le m me objet dans des conditions similaires e 2 e 2 b ea Hi 32 Puissance lectrique Puissance fournie un moteur par un r seau d alimentation l
116. et de terre fourni avec l metteur qui doit tre Photographie 2 Branchement du cordon f TET PRE rouge l me du r seau lectrique install e sur une terre ind pendante terre v g tale grille prot geant un arbre de l eau Ainsi le signal transmis par le g n rateur traverse le cordon rouge pour aller vers la prise de potentiel II traverse la conduite pour revenir par la terre ind pendante Si nous souhaitons d tecter d un c t sp cifique du r seau il est recommand dans l emplacement du g n rateur de choisir une terre ind pendante plac e le plus loin possible de l autre c t du r seau et un angle droit par rapport son lin aire Seba KMT 2013 Par ailleurs il faut tre vigilant pour que la pose de la masse m tallique du g n rateur du courant soit sans risque de blessures ou de d gradation de la v g tation pr sente sur la terre En plus par une confirmation issue d une d tection en mode passif cette masse doit tre loin de tout r seau conducteur ou d une de ses chambres et de toute structure m tallique comme des grillages Dans le cas ch ant le signal peut ventuellement retourner sur ces l ments au lieu que cela se fasse sur la masse A noter galement que la qualit de la terre conditionne fortement la transmission du signal En effet plus la terre est bonne surtout en terme d humidit plus nous montons en puissance au niveau du g n rateur Par a
117. ette deuxi me exp rimentation a r ussi remplir les trois conditions exig es par l article 5 de l arr t du 16 septembre 2003 portant sur les classes de pr cision applicables aux cat gories de travaux topographiques Ainsi les r sultats de d tection et de g or f rencement issus de cette deuxi me exp rience r pondent aux exigences de la classe de pr cision A Seba KMT 2015 Entretien avec St phan Delafontaine lors de l exp rimentation portant sur l appr ciation de la qualit du vLoc5000 Paris 2013 VL3 Troisi me exp rience VL 3 1 D monstration du g oradar Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 53 Institut National ices Appliqu es INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Scien Lors d une semaine de visite au si ge de l entreprise Alpes Topo la Ciotat nous avons pu organiser une rencontre avec l entreprise MDS photographie 16 ainsi qu une d monstration sur le terrain de son g oradar UtlutyScan DF Nous avons pu manipuler ce radar du sol et d tecter une grande partie des r seaux d lectricit d eau potable et d assainissement existants sur une partie de la c te situ e devant le si ge de la soci t Toutefois nous nous sommes rendus compte tout de suite de la complexit de la d tection surtout que nous ne disposions pas de r seaux sp cifiques d tecter et sans plans indiquant la posi
118. ette un acc s suffisant pour placer la pince autour de lui Toutes les pinces sont optimis es pour fonctionner des fr quences sp cifiques comprises entre 8 kHz et 65 kHz Par ailleurs l metteur de courant ne permet la s lection que d une fr quence adapt e la pince Ne suscitant aucune liaison avec la terre et particuli rement pratique pour d tection des r seaux d nergie ce mode r duit consid rablement les risques de confusion entre les r seaux conducteur trop proches Ainsi il permet une d tection plus pr cise que celle qui est garantie par le mode de transmission par induction N B lors d une prestation de d tection utilisant ce mode de transmission il arrive parfois d tre serr un corps peint comme le cas de certains cand labres appartenant l clairage public N anmoins comme la peinture est une mati re isolante il est normal que nous n arrivons pas d tecter l ouvrage souhait Pour rem dier la question 1l faut disposer de toutes les habilitations n cessaires et en particulier dans ce cas celle relative au risque lectrique afin de pouvoir ouvrir les coffrets n cessaires pour se brancher dessus Figure 7 Sch ma de l metteur en mode de transmission par utilisation d une pince de serrage Manuel d utilisation du vLoc 5000 gt Le mode de transmission direct par raccordement figure 8 en se r f rant ce mode d s que nous avons la possibilit d
119. faire les trois conditions de l article 5 de l arr t du 16 septembre 2003 V rification de la condition c Nous remarquons que les N valeurs de lip sont inf rieures T2 50 cm Avec N 19 pour l chantillon de mesures consid r es lors de cette exp rimentation Ainsi nous respectons cette condition V rification de la condition b Gr ce l quation 4 Equ 4 nous trouvons toujours T 33 3 cm Avec aussi xx 14 0 cm issue de l quation 5 Equ 5 Par ailleurs comme N 19 nous obtenons une valeur de N 2 Nous constatons qu un seul cart en position lip 34 2 cm d passe le seuil T sur tout l chantillon de mesures Ainsi nous respectons aussi cette condition V rification de la condition Nous obtenons toujours L 15 8 cm gr ce l quation 3 Equ 3 Nous remarquons que L 14 8 cm est inf rieure L 15 8 cm Ainsi nous remplissons aussi cette troisi me et derni re condition VI 2 4 Bilan du test Ayant eu lieu au sein du site de construction du Minist re de la D fense cette exp rience a t enrichissante du fait de la pr sence de v ritables conditions de terrain avec une d tection et un g or f rencement d un c ble HTA engendrant une distorsion du champ lectromagn tique Ces conditions ont contribu obtenir des valeurs importantes d carts et d emq par rapport la premi re exp rimentation Toutefois c
120. fournis lors de ce PFE Sans oublier l administration de l INSA de Strasbourg pour le suivi et l organisation des soutenances J adresse un grand merci C dric Daures responsable Alpes Topo le de France IDF ainsi que tous les techniciens de l entreprise pour leur accueil leur disponibilit et leur sens du partage Par ailleurs ils ont apport une aide consid rable pour l aboutissement de ce projet dans ses diff rentes phases notamment lors des exp rimentations labor es sur le mat riel de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s J adresse mes remerciements toutes les personnes qui m ont pr sent des contacts avec qui J ai pu changer pour enrichir ce PFE Je cite 1c1 Martin Dubourg J r me et Philippe Command C dric Daures et C dric Monribot Par la m me occasion je tiens remercier tous les responsables au sein des diff rents organismes en lien avec mon PFE avec qui le contact r gulier a permis d apporter un regard critique sur le cadre r glementaire et d analyser l impact de ce dernier sur leurs structures Il s agit de Christian Le Loup de France Telecom Caterine Sarmir Thibault Keraro et Jean Pierre Champault de la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain CPCU Michel Tranier et Antoine Bureau de GRDF Fran oit le Devehat d ERDF Flavian Dalmas du bureau d tudes et ma trise d uvre Ing valor G rard Bayon de Veolia Eau IDF d l gatair
121. g de la tranch e principale ensuite nous avons install le deuxi me de mani re ce qu il fasse un coude de plus ou moins 90 La profondeur des deux tranch es et aussi celle de la pose des Photographie 9 NE EE OENE c bles taient en moyenne de 60 cm Une telle valeur reste au d ploy es pour la premi re exp rimentation dessus de la profondeur minimale de la pose des ouvrages qui est de 50 cm Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 40 Institut National des Sciences Appliqu es SA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux VI 1 1 2 Objectif de l exp rimentation Cette exp rimentation vise comparer les coordonn es tridimensionnelles des deux c bles avant et apr s la fermeture de la tranch e afin d appr cier la pr cision planim trique et altim trique gr ce un calcul d erreurs moyennes quadratiques et d carts apparents la fois des d tecteurs lectromagn tiques et des couplages RD8000 Solutions GNSS Trimble GeoXH 6000 La tranch e principale aurait pu suffire pour cette appr ciation Toutefois le choix d ajouter une tranch e secondaire et la mise en place du second c ble ont pour but d illustrer l effet du coude sur la d tection des ouvrages souterrains VI 1 1 3 Choix de l exp rimentation A la base cette exp rimentation devait avoir lieu en milieu urbain en se basant sur des plans g or
122. ie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es I 1 4 Environnement socio conomique L entreprise Alpes Topo a choisi d adopter un statut juridique de soci t responsabilit limit e SARL Ce dernier est particuli rement adapt aux petites et moyennes entreprises Etant le type de soci t le plus r pandu en France il pr sente comme avantages la possibilit pour les associ s non dirigeants d tre salari s et une responsabilit des associ s limit e aux apports Toutefois ce statut pr sente certains inconv nients comme le formalisme de fonctionnement ainsi que les frais du formalisme de constitution La gestion de la comptabilit financi re du si ge social d Alpes Topo situ la Ciotat est confi e un expert comptable Cette externalisation permet un gain consid rable de temps d nergie et d efficacit Selon le bilan comptable d Alpes Topo l actif repr sentant tout ce que poss de l entreprise b timents fonds de commerce mat riel stock quivaut au passif repr sentant tout ce que doit l entreprise aux actionnaires aux fournisseurs l tat la banque Il s agit d un montant de 1 834 900 calcul sur une p riode de douze mois de l ann e 2011 societe com Le tableau ci apr s tableau 1 repr sente le compte de r sultat qui est un document de synth se faisant partie d tats financiers et ayant pour fonction d indiquer la performance de l e
123. illeurs il est recommand durant les p riodes s ches d arroser cette masse afin d augmenter la puissance du courant due la grande capacit de conduction de l eau impure Ainsi nous am liorons la qualit de d tection de r seaux conducteurs Radiodetection 2013 Avec les cordons 1l ne faut surtout pas travailler sur un r seau sous tension car l isolation n est pas extraordinaire et l appareil n est pas prot g Par exemple lorsque nous d tectons un r seau d clairage public il faut s assurer que l interrupteur ne soit pas en marche au niveau de l armoire Pour rem dier la question 1l existe un connecteur de c bles sous tension qui permet de prot ger la machine Radiodetection 2013 IIL 2 1 2 2 Param trage de l metteur du courant Nous agissons sur l metteur en r glant les param tres de l intensit du courant et de fr quence du signal Ces r glages sont effectu s en fonction de la qualit du branchement de la qualit de la terre du type de l ouvrage d tect et de son imp dance de la longueur que nous souhaitons parcourir et de la perturbation du signal caus e par la pr sence de r seaux conducteurs proximit En absolu il n existe aucun compromis Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 28 i ISA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National je CIeNCE lqu es concernant l
124. imer car 1l prend en consid ration plusieurs facteurs comme la complexit du terrain auscult l environnement de travail ainsi que la nature et la longueur des ouvrages d tecter Cela rend difficile l tablissement d un devis pour les op rations de d tection N anmoins deux solutions sont retenues pour rem dier ce probl me un forfait au m tre lin aire ou un forfait l heure D apr s un recensement labor dans le cadre de ce PFE tout comme l entreprise Alpes Topo 80 des prestataires de services de d tection et de g or f rencement de r seaux ont r pondu un appel d offre o 1ls adoptent la solution du forfait au m tre lin aire N anmoins elle est loin d tre la plus avantageuse En effet si la deuxi me solution prend en compte le temps pass sur le terrain et celui n cessaire pour le traitement des donn es la premi re se base sur la d tection du m tre lin aire sans prendre en compte l ensemble des facteurs susceptibles de ralentir la prestation R capitulatif de la partie V Le choix du mat riel qui servira au d veloppement de l activit de d tection des r seaux enterr s au sein d Alpes Topo n tait pas une mission simple surtout pour les d tecteurs lectromagn tiques Cela vient du fait que les diff rents instruments test s lors des exp rimentations pr sent es dans ce m moire ont r pondu aux exigences r glementaires impos es par la r forme D
125. ion et le d tecteur de 2573 3M Gisors 2013 Radiodetection 2013 D monstration terrain avec Thierry Lecacheur sur le d tecteur lectromagn tique RDS8000 PDL Marne la Vall e 2015 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 32 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut Nat Applique IIL 2 2 D tection par g oradar ITI 2 2 1 Principe Le g oradar autrement appel le radar g ophysique ou encore le radar du sol est une technologie complexe qui repose sur le ph nom ne de propagation des ondes lectromagn tiques mission par une antenne r fraction ou transmission dans le sous sol avec une dispersion ondulatoire et r cup ration du signal retour par une antenne de r ception Ainsi l examen de ces ondes lectromagn tiques capt es nous r v le l identit de la structure souterraine et des ventuels r seaux enterr s qui y sont pr sents Contrairement aux g oradars fr quentiels dont le d veloppement et la recherche sont toujours en cours d laboration et qui connaissent beaucoup de limites instrumentales la majorit des g oradars sont de nature impulsionnelle Ils sont g n ralement compos s d une ou plusieurs antennes mettrices r ceptrices d un ordinateur de bord traitant le signal et permettant sa visualisation et d un support contenant un chariot roues codeuses et un odom tre Les g oradars envoie
126. ion des DT DICT aupr s du GU Ils accompagnent les d clarants dans leurs d marches et sont r mun r s directement par ces derniers Toutefois 1ls doivent s acquitter d une redevance envers le GU bas e sur une convention annuelle fixant les modalit s d utilisation et de transfert des donn es leur fiabilit et s curit ainsi que la nature des donn es accessibles en acc s professionnel 11 1 2 6 Financement du GU Les articles R 554 10 R 554 17 du d cret n 2011 762 du 28 juin 2011 et l arr t du 16 juillet 2013 traitent la question du financement du GU Le GU est financ par le m dia de redevances annuelles pay es par les exploitants de r seaux en fonction des longueurs cumul es des ouvrages exploit s sensibles et non sensibles pour la s curit ainsi que par les prestataires d aide la d claration en fonction du nombre de r gions couvertes par les services de prestation Le calcul de ces redevances prend aussi en compte d autres param tres fix s annuellement par le ministre charg de la s curit des r seaux de transport et de distribution de sorte ce que les frais de cr ation de maintenance d exploitation et de mise jour du GU soient rentabilis s II 1 3 Responsabilit s des acteurs impact s par la nouvelle r forme II 1 3 1 Obligations des exploitants de r seaux Tous les exploitants de r seaux y compris les collectivit s territoriales devaient s enreg
127. iques de transport ou de distribution JORF n 0045 du 22 f vrier 2012 p 2988 Arr t du 19 f vrier 2013 encadrant la certification des prestataires en g or f rencement et en d tection des r seaux et mettant jour des fonctionnalit s du t l service reseaux et canalisations gouv fr JORF n 0058 du 9 mars 2013 p 4265 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 63 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Documentation technique Vivax Metrotech Manuel d utilisation du vLoc 5000 Guichet Unique Guide Technique relatif aux travaux proximit des r seaux version juin 2012 Sites Internet DICT 2013 URL http www dict fr DICTSERVICES 2013 URL http www dictservices fr PROTYS 2013 URL http www protys fr OBSERVATOIRE NATIONAL DT DICT 1 2013 URL http www observatoire national dt dict fr RESEAUX INFOS TRAVAUXG 1 2013 URL http www reseaux infos travaux fr LAVIEDESRESEAUX 2013 URL http laviedesreseaux fr VISIORESOG 2013 URL http www visioreso fr SOCIETE 2013 URL http societe com ABEMFRANCE GEORADAR 2013 URL http www abemfrance georadar eu RADIODETECTION 2013 URL http fr radiodetection com SEBAKMT 2013 URL http www sebakmt com fr MDS PARIS 2013 URL http www mds paris com FNEDRE 2013 URL http www fnedre org FSTT 20
128. is s par la station totale Cela nous a permis de caler toutes les mesures issues des quatre passages dans un m me syst me local de coordonn es VI 1 2 1 Analyse qualitative relative au c ble principal A travers la visualisation des diff rentes polylignes 3D reliant les points relev s fouille ouverte et ceux issus des quatre passages tranch e ferm e nous avons pu tablir une base de comparaison qualitative Pour ce faire nous nous sommes servis des logiciels de traitement de donn es Autocad 3D Covadis afin d tablir le trac de ces polylignes Ci apr s les vues de haut et de c t relatives aux r sultats issus du c ble mis dans la tranch e principale figure 23 Profil en long a a RE RE Vue en plan TE Terrain Naturel TN Cable atranch e ouverte RD8000 Station Totale SR20 Station Totale RD800 Solution GNSS centim trique US NE RD800 50lution GNSS d cim trique Figure 23 Vue de haut et de c t sur les polylignes 3D relatives au trac du c ble principal et du TN Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 42 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Nous pouvons d j tablir certaines remarques vis vis de la planim trie et l altim trie des diff rents trac s VI 1 2 1 1 Planim trie Vue de haut Nous constatons que les polylignes 3D issues des quatre pass
129. istrer aupr s du GU avant le ler avril 2012 en sp cifiant la longueur des ouvrages qu ils exploitent Cet enregistrement devait tre compl t avant le 30 Juin 2013 par les Zones d Implantations ZI des r seaux r alis s avec une exactitude maximale de 10m Toutefois jusqu cette date ils doivent continuer mettre jour les plans de leurs r seaux galement aupr s des mairies Annexe 1 Exemple de saisie d emprise de chantier sans authentification et liste d exploitants contacter RESEAUX ET CANALISATIONS INERIS fr 13 A la date du 15 05 2013 aucun exploitant de r seaux interrog dans le cadre du PFE n a mis en disposition la cartographie des ouvrages souterrains en arr t d finitif et non d mantel s Cela vient du fait de l ignorance des r seaux Annexe 2 Aper u sur les prestataires d aide la d claration aupr s du Guichet Unique 15 D cret n 2011 762 du 28 juin 2011 fixant les modalit s d application de l article L 554 5 du code de l environnement 16 Arr t du 16 juillet 2013 fixant le bar me hors taxes des redevances pr vues l article L 554 5 du code de l environnement pour l ann e 2013 l Date repouss e au 1 Janvier 2014 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e TEA INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Les gestionnaires des r seaux sont aussi tenus de formuler une r
130. itionnement Par ailleurs la mise en place de l metteur est effectu e la verticale du r seau tracer ou g or f rencer en se r f rant aux plans issus de la r ponse la DICT et aux affleurants visibles sur le terrain N anmoins cette m thode poss de des limites techniques telles que le risque de confusion lors de la transmission du signal qui est diffus sur les r seaux conducteurs proches de l ouvrage d tect Cela peut influencer consid rablement la pr cision des mesures planim triques et celle de la profondeur Ainsi ce mode est utilis parfois pour effectuer le trac des r seaux conducteurs souterrains du fait de sa rapidit d ex cution de la non n cessit de branchement l metteur sur le r seau N anmoins il est formellement d conseill de s en servir pour des prestations de g or f rencement car 1l est le mode de transmission le moins pr cis Figure 6 Sch ma de l metteur en mode de transmission actif indirect par induction Manuel d d utilisation du vLoc 5000 gt Le mode de transmission par utilisation d une pince de serrage figure 7 lorsque le r seau conducteur est accessible mais dot d une isolation emp chant tout raccordement direct ou qu il est sous haute tension nous utilisons un couplage du g n rateur avec une pince circulaire serr e autour du r seau et qui y induit un champ lectromagn tique Encore faut il esp rer que le r seau perm
131. ivent th oriquement tre plus pr cis que ceux issues d un couplage RD8000 Solutions GNSS centim trique Cependant nous constatons que les moyennes arithm tiques des carts L sont relativement lev es ce qui nous a amen chercher le maximum des carts Pour le premier chantillon l cart maximum qui est de 10 9cm est situ au milieu de la s rie de mesures Or concernant les deux chantillons suivants les carts maximums sont respectivement de 10 4 cm et 9 5 cm et ils sont situ s la fin des s ries de mesures En plus les trois carts qui pr c dent ces maximums sont aussi importants Cela nous am ne poser l hypoth se que l effet de l approche de la proximit du c ble n affecte pas seulement le dernier m tre mais plut t les deux derniers m tres sur les chantillons 2 et 3 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 45 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Nous calculons nouveau les moyennes arithm tiques L et les emq en se basant sur les onze premiers carts que nous r sumons dans le tableau qui suit tableau 6 Echantillon 3 EEU get Couplage RD8000 Station Couplage SR20 Station totale GNSS centim trique L cm 4 0 2 6 emq3 cm 3 2 1 4 Tableau 6 Ecarts moyens et emq des chantillons 2 et 3 en tenant compte du v ritable effet de la p
132. jet Ce dernier r dige par la suite un document de consultation des entreprises DCE Une fois l entreprise retenue elle doit consulter directement le GU ou via un prestataire d aide la d claration Ensuite elle adresse ses d clarations d intention de commencement de travaux DICT aux gestionnaires de r seaux Ces derniers doivent formuler une r ponse sous un d lai de 9 jours ou de 15 jours si la demande n est pas d mat rialis e Si l entreprise de travaux ne re oit pas de r ponse sous ces d lais elle envoie une lettre de rappel qui laisse deux jours suppl mentaires l exploitant de r seaux pour r pondre Enfin pour un bon commencement des travaux en toute s curit le responsable de projet effectue les op rations de marquage et de piquetage en fonction des plans fournis I1 2 1 1 Que contient un DCE Le dossier contient principalement les documents suivants gt Le plan du projet l chelle ad quate milieu rural 1 500 1 2 000 milieu urbain 1 50 1 200 gt Les DT et les r c piss s des r ponses ces demandes comportant les cat gories et les classes de pr cision des r seaux gt Les r sultats des Investigations Compl mentaires ou les clauses techniques et financi res dans le cas ch ant gt Les modalit s d arr t et de reprise des travaux sans p nalit s pour l entreprise qui estime qu une suspension de travaux est n cessaire suite une situation
133. l d origine qui se caract rise par une image pixellis e IN IL LA Les conditions n cessaires une qualification en classe A sont illustr es i apr s Si elles ne peuvent tre satisfaites le dessin doit tre consid r en classe B CPCU INGENIERIE SERVICE SPECIALITES TECHNIQUES amp METHODES 185 RUE DE BERCY 75012 PARIS JPC Principes et m todes de d duction des classes de pr cision docx Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 77 CPCU Notre r seau renouvelle vos nergies 4 1 Illustration pour un plan de Corps de Rue Cartouche e Construction d origine lt 2003 gt classe B e Travaux d entretien gt 2006 profil redessin gt classe A JN250 1009 Vue en plan Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain 185 RUE DE BERCY 75579 PARIS CEDEX 12 STATISTIQUE BRT CPCU N 3300 loco de vannas 39 4 y Entretien structurant 2010 Rue FALGUIERE folio 139 95 144 108 y F 14 cum man EL LA EE f j l f D ff f nr PLAN Echelle 1 200 29 95 1954 og prenne hante vor des ergrbes sur La vue en plan MULTI ET DU TT TS TT A SE TI PUR 3 Noture du rev tenent isolant Conducteur de travaux a LEIN DESINE PAR DATE MIVERFE PAR CPCU INGENIERIE SERVICE SPECIALITES TECHNIQUES amp METHODES 185 RUE DE BERCY 75012 PARIS JPC Principes et m todes de d duction des cla
134. l des images radar de l infrastructure auscult e permettant la localisation tridmensionnelle des r seaux souterrains qu ils soient conducteurs ou non Cette technologie suscite un grand savoir faire gt Lors de sa manipulataion sur le terrain en propc dant aux diff rents r glages et calages de l appareil et en interpr tant avec pertinence les images radar gt Lors du post traitement qui permet d am liorer la qualit et la pr cision du rendu lorsque les donn es sont bruit es La prestation par g oradar peut ne pas aboutir parfois des r sultats satisfaisants notamment en pr sence d un terrain trop conducteur ou d un ouvrage de petit diam tre et dont la nature de mat riau est proche de celle du terrain De ce fait nous insistons sur la compl mentarit des techniques de d tection pour garantir une prestation de qualit Nous commen ons toujours par la d tection lectromagn tique car c est la technique la plus s re et celle qui fournit g n ralement les meilleurs r sultats en termes de pr cision de localisation des r seaux enterr s IIL 2 3 D tection par impulsion acoustique Contrairement la d tection lectromagn tique la d tection par m thode acoustique est une autre technique non destructive qui sert d tecter g n ralement les r seaux non m talliques Elle est actuellement l une des m thodes les plus pertinentes pour rep rer les ouvrages et branchements en plastique Cette
135. leau 8 R capitulatif des carts et de l emq de la deuxi me exp rimentation 52 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 62 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Bibliographie Ouvrages revues et m moires Baumann O 2011 Les travaux proximit des r seaux r form s Le moniteur n 5593 4 F vrier p 45 48 Cornette G amp Galley V 2011 G or f rencement des r seaux enterr s des techniques de relev la gestion d un cadastre du sous sol Revue XYZ n 127 2 trimestre p 24 28 72 Maillard J P 2012 l environnement des r seaux de transport et de distribution d cr t e ou le r colement dans la lumi re Revue XYZ n 130 1 trimestre p 32 33 70 Polidori L amp Costa G 2011 R seaux enterr s s curit fiabilit Revue G om tre n 2087 Edition Publi Topex d cembre p 30 42 60 Lugli T 2011 Les r seaux enterr s savoir avant de creuser M moire d ing nieur de l Ecole Sup rieure des G om tres et Topographes sp cialit Topographie 45 p Ruggeri P 2013 Impact de la r forme Anti endommagement des R seaux sur la qualit et les pr cisions topographiques demand es dans les marches publics de travaux M moire d ing nieur de l Ecole Sup rieure des G om tres et Topographes sp cialit Topographie 48 p Bach J P 201
136. les DICT Le formulaire CERFA n 14434 01 de d claration DT DICT est obtenu gratuitement sur le site du GU La consultation de ce t l service permet galement de tracer et d obtenir le plan de l emprise du projet ainsi que la liste des gestionnaires qui exploitent des r seaux dans cette emprise La DT est aussi utile dans le cas d une ventuelle incompatibilit d tect e entre le projet r aliser et les ouvrages existants dans la zone de travaux Par cons quent nous les responsables de projets sont amen s parfois porter une r vision ou une modification sur leur projet en fonction de la r ponse la DT Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e ados INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Cette d claration doit tre envoy e suffisamment en avance car la proc dure DT DICT est assez longue et peut s alourdir encore plus lorsque le responsable de projet doit effectuer des IC La DICT doit galement tre transmise bien en amont du commencement des travaux pour pouvoir r ceptionner des r ponses en amont de ce d marrage Dans certains cas 1l est n cessaire de r aliser plusieurs d clarations pour un m me projet comme lorsque l emprise de travaux gt Contient plusieurs exploitants de r seaux existants gt Concerne plusieurs communes gt Exc de une superficie de 2 ha gt Se rapporte des
137. ligation de disposer de tous les documents n cessaires au bon d roulement du chantier avant le d but des travaux Il s agit des r ponses aux DT DICT des consignes de s curit re ues de la part des exploitants de r seaux ainsi que des r sultats des Investigations Compl mentaires assur es par les responsables de projets Parmi les autres am liorations apport es par la nouvelle r forme nous citons la cr ation d un Guichet Unique recensant l ensemble des coordonn es et des Zones d Implantations relatives aux exploitants de r seaux une meilleure r partition des responsabilit s entre les diff rents acteurs impact s par cette r forme une meilleure gestion des travaux d urgence la cr ation d un nouvel Observatoire National de DT DICT et une obligation de certification pour les acteurs amen s travailler proximit des r seaux Par ailleurs la d tection et le g or f rencement de r seaux doivent tre labor s par des entreprises sp cialis es surtout pour l tablissement des Investigations Compl mentaires Lors de ce m moire nous avons pu d velopper le contexte r glementaire de l tude travers une analyse des textes de loi mais aussi via l avis de certains professionnels rencontr s Nous avons aussi dress un bilan de cette r forme quelques mois apr s sa mise en application Par ailleurs ce rapport pr sente les diff rentes techniques et instruments de d tection e
138. lon Nous remarquons que les carts constat s sur le quatri me chantillon sont importants avec un cart moyen de 15 8 cm un cart maximum de 23 cm et un cart minimum de 10 cm Toutefois m me si l emq est plus importante par rapport aux quatre chantillons elle reste relativement petite par rapport l cart moyen Nous d duisons ainsi qu il existe un syst matisme issu du g or f rencement par la solution GNSS garantissant une pr cision inf rieure 10 cm Ce syst matisme est surtout r percut sur la mesure altim trique puisque les carts li sont beaucoup plus importants que les li et liy VI 1 2 2 2 Respect de la classe de pr cision A VI 1 2 2 2 1 Conditions de l article 5 de l arr t du 16 septembre 2003 L article 5 de l arr t du 16 septembre 2003 portant sur les classes de pr cision applicables aux cat gories de travaux topographiques fixe trois conditions a b et c qui doivent tre remplies pour qu un chantillon de N objets soit d une classe de pr cision xx a L cart moyen en position L doit tre inf rieur au seuil L Avec L xx 1 Equ 3 et C le coefficient de s curit des mesures de contr le 2 x C b Le nombre N d carts d passants le premier seuil T n exc de pas l entier imm diatement sup rieur 0 01 N 0 232 x VN 1 Avec T k xx 1 Dr fonction du nombre n de coordonn es 1 2 ou 3 et suiv
139. loppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es L ensemble des ouvrages de t l communications y compris les quipements de r partition et de raccordement garantissent aux clients des services t l phoniques ADSL de multim dia de t l surverllance M me si ces r seaux ne sont pas consid r s comme sensibles pour la s curit ils sont tr s sensibles la vie conomique surtout de l interruption des services offerts par ces r seaux surtout pour des clients dits sensibles comme les centres hospitaliers gouvernementaux industriels sensibles administratifs Exemple Coupure du site internet du Minist re de la D fense suite un accident sur une canalisation de fibres optiques dans le projet de tramway V lizy Villacoublay 2011 II 2 R seaux d eau potable Pour ces ouvrages la fonte constitue la mati re principale de la canalisation utilis e Ensuite vient des mat riaux comme l acier le b ton le PE le PVC le plomb Avant que l eau potable arrive chaque usager il passe par une chaine constitu e par trois axes principaux qui sont le traitement production le stockage transport et la distribution La canalisation relative ce dernier axe supporte des pressions comprises entre 2 et 10 bars Par ailleurs celle de transport peut supporter m me des pressions allant de 3 jusqu 80 bars Elle peut tre parfois accompagn e
140. m et un minimum de 4 cm Par ailleurs la moyenne des carts L et l erreur moyenne quadratique emq sont aussi tr s importantes par rapport aux r sultats issus de la premi re exp rimentation Cela ne remet en aucun cas la pertinence de d tection du d tecteur lectromagn tique vLoc5000 par rapport ses homologues Rigid SR20 et RD8000 En effet une autre hypoth se est retenue en plus de la distorsion des champs lectromagn tiques et qui se manifeste dans les conditions de l exp rimentation Lors du premier test nous tions en pr sence d un test laboratoire avec un grand soin lors de la mise en place du c ble ferraill mais surtout lors de son enterrement afin qu il ne change pas de position Cependant cette deuxi me Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 52 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es exp rimentation nous met dans des vraies conditions de terrain avec un c ble HTA laiss nu pendant plus d une semaine avant qu il soit enterr par des engins m caniques Nous pouvons imaginer que dans ce cas il changera forc ment de position d une mani re plus significative que lors de la premi re exp rimentation VI 2 3 2 Respect de la classe de pr cision A Comme pour la premi re exp rimentation nous pourrons constater si les diff rentes valeurs lip L et emq arrivent satis
141. m et de pressions de service allant de 1 bar 100 bars les canalisations transportant les objets chimiques et hydrocarbures sont quasiment identiques en termes de mat riau de construction que celles de transport gazier Nous retrouvons aussi de l acier envelopp en CMR PE bitume de p trole fibres min rales avec une ventuelle protection m canique Par ailleurs toujours comme pour les ouvrages de transport gazier ces r seaux chimiques et d hydrocarbures sont rep rables gr ce aux m mes l ments qui sont pos s proximit et non par sur l aplomb du r seau Les fuites issues de ces ouvrages proviennent principalement des corrosions et de fissurations des canalisations Elles peuvent engendrer du bruit extr me des anoxies des inflammations des explosions et des endommagements de l environnement autour II R seaux non sensibles pour la s curit II 1 R seaux de t l communication Les r seaux de t l communication sont g n ralement aliment s en tension continue de 48 V et en intensit qui ne d passe pas les 60 mA Toutefois certaines installations suscitent plus de tension 110 V voire m me 400 V De diam tres allant de 2 8 cm 10 cm les canalisations enrob es de b ton sont g n ralement fabriqu es en PVC Elles contiennent g n ralement des c bles en cuivre ou des fibres optiques Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 85 INSA Etude d opportunit de d ve
142. mensionnelle en angle et en distance que l appareil Leica TPS 1200 utilis pour la premi re exp rimentation En effet la proc dure labor e par Leica concernant la connexion GNSS et Station Totale D tecteur de c bles et de canalisations Vivax vLocPro requiert un appareil d une gamme Viva tel que station totale Leica Viva TS15 disponible Alpes Topo IDF Par ailleurs Alpes Topo tait parmi les premiers prestataires de services qui ont essay ce couplage automatique puisque cette proc dure a t labor e peu de temps avant le test Nous avons par la suite tabli un retour au concessionnaire Leica par rapport cette proc dure pour pouvoir lui apporter quelques modifications que nous avons pu d couvrir lors de ce couplage VI 2 1 4 D roulement de l enregistrement des donn es Deux personnes se sont aid es pour effectuer l op ration de d tection et de g or f rencement du c ble HTA photographie 14 Une fois que la premi re personne avait d tect le c ble elle enregistrait la trame du point d tect qui est envoy e directement sur le carnet de la station Totale L op rateur topographe se mettait sur la m me position que celle du d tecteur lectromagn tique et enregistrait le point topo et ainsi nous avons pu obtenir les coordonn es tridimensionnelles du point ainsi que les annotations relatives sa d tection Photographie 14 D tection et g or f rencement du c ble HTA
143. moyenne pression B 50 mbar lt MPB lt 400 mbar Ces ouvrages compos s d acier envelopp en CMR PE bitume de p trole ou rev tement exp rimental avec une ventuelle protection m canique sont rep rables l aide de certains l ments de couleur jaune pos s proximit Ces l ments avertisseurs peuvent tre par exemple des bornes situ es proximit ou des plaques de rep rage Les ouvrages de distribution Nous pouvons classer ces ouvrages selon la pression support e et le mat riau de construction gt La basse pression BP lt 50bars est utilis e dans des ouvrages en PE acier fonte ductile t le bitum e ou plomb gt La moyenne pression ou B 50 mbar lt MPA lt 400 mbar 400 mbar lt MPB lt 4 bar est commode des ouvrage en PE acier ou cuivre gt La moyenne pression C 4 bar lt MPC lt 25 bar est d ploy e pour des ouvrages en PE jusqu 8 bar ou en acier Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 84 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Le stitut Natior Apt liq 205 Ces ouvrages de distribution sont g n ralement rep rables gr ce aux bornes aux affleurant pos s sur le surface du sol ou parfois m me gr ce la pr sence de grillage avertisseur Les risques li s un contact accidentel avec les ouvrages gaziers peuvent tre tr s dramatiques Ces accidents peuvent tre des fuites
144. n du Trimble Express de Geotopo est l un des couplages les plus performants sur le march de la d tection lectromagn tique de par ce qu il offre comme possibilit de mesure et de cartographie en 3D en une seule op ration de visualisation du r seau en temps r el de r duction de l ambigu t des erreurs En plus consid r par Hubert Brerot comme un instrument sp cialement d di au besoin du march de Topographie des r seaux enterr s le SPAR 300 offre une ergonomie du fait de l int gration d un d tecteur lectromagn tique de pr cision et d une solution GNSS dans le m me instrument Photographie 20 En effet tous les capteurs sont synchronis s et fix s sur la canne Profondeur Photographie 20 Spar 300 Geotopol La manipulation de ces deux syst mes nous a permis de se rendre compte de la n cessit d en choisir un pour laborer avec qualit et rapidit les prestations de d tections qui concernent les r seaux conducteurs N anmoins le couplage r ussi vu dans la partie VI 2 Deuxi me exp rimentation que nous avons tabli dans les deux derniers mois du projet entre le vLoc5000 et la solution TPS Leica Viva nous a permis de choisir afin de d marrer l activit de la d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s conducteurs au sein d Alpes Topo En effet l entreprise dispose de plusieurs solutions TPS et GNSS Leica Viva dont le couplage se fera
145. n applicables aux cat gories de travaux topographiques r alis s par l Etat les collectivit s locales et leurs tablissements publics ou ex cut s pour leur compte D cret n 91 1147 du 14 octobre 1991 relatif l ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques de transport ou de distribution Arr t du 21 avril 2011 pris en application du d cret n 91 1147 du 14 octobre 1991 relatif l ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques de transport ou de distribution LOI n 2010 788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l environnement D cret n 2011 1241 du 5 octobre 2011 relatif l ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques de transport ou de distribution 7 Arr t du 15 f vrier 2012 pris en application du chapitre IV du titre V du livre V du code de l environnement relatif l ex cution de travaux proximit de certains ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques de transport ou de distribution 8 Arr t du 19 f vrier 2013 encadrant la certification des prestataires en g or f rencement et en d tection des r seaux et mettant jour des fonctionnalit s du t l service reseaux et canalisations gouv fr Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 7 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r
146. n d viter de poser l metteur de courant leur aplomb ou proximit Elle est efficace m me sur profondeurs importantes allant jusqu 3 5 i Figure 5 Sch ma pr sentant les champs m Toutefois elle conna t rapidement une perturbation lectromagn tiques induits par des r seaux souterrains et a riens Manuel d utilisation du vLoc 5000 lectromagn tique externe du fait de l ventuelle pr sence des r seaux a riens proximit IIT 2 1 1 2 D tection lectromagn tique en mode actif Cette technique de d tection est d ploy e avec l utilisation d un metteur de courant dont la fr quence du signal mis doit tre la m me que celle du r cepteur Pour effectuer la d tection en mode actif il existe trois modes de transmission diff rents Annexe 9 Pr sentation des principaux ouvrages d tecter et des risques aff rents Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 25 INS Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National Sciences Appliqu es gt Le mode de transmission indirect par induction figure 6 ce mode est utilis lorsque le contact avec le r seau conducteur d tecter n est pas possible pour tablir un branchement direct Pour tablir la transmission nous positionnons l metteur sur la surface du sol l aplomb de l ouvrage afin qu il puisse y induire une fr quence de pos
147. n de ces prestations une difficult d acc s aux r seaux un prix de prestations de d tection souvent trop bas pour garantir des prestations de qualit et des comp tences variables de la part des prestataires en termes de savoir faire relatifs la d tection des r seaux Toutefois elle affirme qu un processus d am lioration de la qualit des prestations relatifs la d tection qualification interne processus de certification est cours de r alisation I1 3 3 Avanc es et difficult s de la r forme Ci apr s un bilan sur la r forme DT DICT gt GU une excellente disponibilit avec 95 des longueurs des r seaux enregistr es sur l ensemble du territoire fran ais Toutefois l ergonomie est am liorer gt Formulaires DT DICT un apport certain de la DT pour les projets par rapport la DR et une d mat rialisation totale demand e par les utilisateurs gt IC un progr s pour la s curit cependant ces op rations ont besoin de professionnalisation de demandes d acc s aux ouvrages et des autorisations de voirie Par ailleurs elles requi rent un allongement de d lais d tude et engendre un surco t allant de de 5 15 gt Marquage piquetage un d but de mise en application sous la responsabilit des responsables des MOA ou de leurs d l gu s Par ailleurs une normalisation est attendue pour garantir leur qualit gt Cartographie peu de g or f rencement de r seaux en classe
148. n ouvrage dot d un coude significatif Cela vient du fait de la pr sence dans ces cas du ph nom ne de la distorsion du champ lectromagn tique Manuel d utilisation du vLoc 5000 C est de cette remarque que vient l id e de l installation d une tranch e secondaire lors de la premi re exp rimentation d velopp e dans la partie VI 1 Premi re exp rimentation Pour contr ler la profondeur annonc e par le r cepteur nous effectuons une m thode de v rification reposant sur le principe de triangulation figure 14 Cette derni re s effectue d une mani re semi automatique sur le d tecteur vLoc 5000 et d une mani re manuelle d autres d tecteurs comme le RD8000 PDL et le vLoc Pro2 gt La m thode manuelle la v rification de la profondeur Z s effectue avec le mode Large Maximum selon deux modes de triangulation 50 et 70 Pour ce faire nous commen ons par nous positionner l aplomb du r seau avec une r ponse num rique du signal 100 ensuite nous d calons le r cepteur d un c t et d un autre de cette position jusqu ce que la r ponse num rique du signal atteigne 70 50 Enfin nous marquons au sol les deux positions A et B dont la distance D 8 ou la moiti de la distance Dyg doit tre quivalente la profondeur annonc e par le d tecteur o 70 70 50 50 alt 6 3 a l I t Z D Z D AB E 2 AB Figure
149. ndommagement sur un branchement non localis ou localis avec pr cision de classe C Toutefois un constat contradictoire doit tre rempli entre l ex cutant de travaux et l exploitant du r seau II 1 3 4 Les sanctions relatives au manquement aux obligations Entr es en vigueur la date du 1 Javier 2013 des sanctions administratives sont appliqu es en cas de manquement aux obligations de la part d un des acteurs impact s par la nouvelle r forme DT DICT il s agit d une amende de 1500 doubl e en cas de r cidive Cette somme est consid r e plus comme symbolique que dissuasive par la plupart des professionnels Par ailleurs p nalement et en cas de non respect des r gles de s curit entra nant une mise en danger des blessures ou la mort d autrui les sanctions sont plus lourdes Il s agit d une amende pouvant atteindre jusqu 80000 et une peine d emprisonnement allant de 6 mois 5 ans Il faut noter galement que tout endommagement d un r seau de transport gazier est sanctionn d une amende de 25000 pour les entreprises n ayant pas effectu leurs DICT et de six mois d emprisonnement plus 80000 d amende pour les entreprises qui se sont abstenues d informer l exploitant lors d un endommagement de d un de ses ouvrages II 1 4 Observatoire National et Observatoires R gionaux DT DICT Consid r comme le prolongement de l observatoire National DR DICT ce nouv
150. ni la s curit g n rale gt Travaux labor s par les particuliers sur des propri t s priv es et ne suscitant pas de permis de construire gt Travaux n ayant aucun impact sur les r seaux souterrains situ s l ext rieur de la ZI et loign s de tout r seau a rien d une distance minimale de 5 m tres gt Travaux urgents justifi s par la force majeure ou par la s curit relative au service public aux personnes et aux biens II 2 1 5 Comment et quand r pondre aux d clarations L exploitant de r seaux a l obligation de formuler des r ponses aux demandes des d clarants en utilisant un r c piss formulaire CERFA n 14435 01 qui doit tre rempli conform ment aux explications relatives une notice explicative Ce dernier doit contenir la signature du responsable de projet accompagn e de son nom Le formulaire peut tre accompagn ou non des plans des ouvrages existant selon leur disponibilit et le choix de l exploitant 7 Notice explicative pour la d claration de projet de travaux DT la d claration d intention de commencement de travaux DICT et leurs r c piss s Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 16 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es IL 2 1 5 1 En cas de non accompagnement du r c piss par les plans cartographiques des r seaux dans l emprise des t
151. nt ress s de proposer des pistes et des id es concr tes afin de d finir pr cis ment les tenants et les aboutissants ainsi que le budget et les financements de ce groupe de projet Chacune des personnes qui mettra des id es tablira et enverra au CA une note crite pour d crire l objet et la consistance pr cise de chacune de ses id es dans un d lai permettant que ce GP puisse d marrer l horizon de l automne 2013 b Le suivi des indicateurs pour la collecte des donn es la maille des d partements semble privil gi e Il y aura 2 familles d indicateurs les nationaux et les r gionaux Certains indicateurs seront fournis par les exploitants et d taill s la maille d partementale pour alimenter les observatoires Les observatoires devront d marcher les exploitants locaux pour leur demander d adh rer la d marche d alimentation des indicateurs Information des collectivit s en plus des r unions de sensibilisation l Observatoire national sugg re que soient progressivement mises en place des collectivit s relais dans chaque r gion puis d partement Ces collectivit s relaieront les informations et les bonnes pratiques aux collectivit s de leurs sph res de proximit respectives Pour cela il sera propos aux Observatoires r gionaux d organiser des s minaires d partementaux et d y inviter les collectivit s dont celles qu ils auront pu identifier comme relais potentiels Point sur
152. nt des R seaux Enterr s d Alpes Topo Le p le de D tection et de G or f rencement des R seaux Enterr s au sein d Alpes Topo verra le jour l issue de cette tude Certes l entreprise a d j en sa possession deux d tecteurs lectromagn tiques de marque Rigid SR20 et avait d j tablit certaines prestations de g olocalisation des r seaux Toutefois ces derni res ont eu lieu avant l apparition des nouvelles exigences entrain es par la r forme DT DICT C est la raison pour laquelle la soci t Alpes Topo a souhait men cette tude visant comprendre les changements philosophiques entrain s par la nouvelle r glementation ainsi qu choisir les mat riels de d tection et de g or f rencement ad quats pour le besoin du march de la Topographie souterraine Ce p le sera bas en r gion parisienne tout en rayonnant sur l ensemble du territoire fran ais ainsi que sur la principaut de Monaco Pour ce faire une formation interne pour l ensemble des techniciens de l entreprise aura lieu dans les mois venir ce qui leur permettra d tre op rationnels pour les premi res prestations de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s Cela se passera videmment sous la supervision des deux co g rants de la soci t ainsi que des responsables r gionaux V 2 2 Elaboration du devis Le co t relatif aux travaux de d tection des r seaux est difficile est
153. nt un enchainement de courtes impulsions une grande vitesse allant de 1 50 ns sur la structure d tect e Une premi re partie de ces impulsions est absorb e par le milieu souterrain ensuite une seconde partie est r fract e lors de la rencontre d une discontinuit physique dans le milieu auscult enfin une troisi me partie est r fl chie capt e et enregistr e par le g oradar sous forme d un profil temps figure 15 Cette troisi me partie est un ensemble d chos successifs relatifs aux param tres de permittivit ou de conductivit de la structure souterraine explor e Ces chos permettent l identification la fois des diff rentes interfaces entre les strates et des l ments souterrains singuliers comme le cas des r seaux d tecter Figure 15 Principes de base du g oradar georadar com Contraste di lectrique Et 69 lt 0 Enregistrement Radar en continu A Amplitude sh na 3 1 Fi k ES ji Fra mil EN ANR Temps sn re yii ii IDA Mh MN Y i oa 1N De Hal m A EAE ALIN iT LU KERIN ear 4 K an HREN ii MIRAT i i O AN ou transmise Etant une fraction de la vitesse de lumi re 8 10 m la vitesse de propagation des ondes lectromagn tiques est conditionn e par les milieux travers s et leurs constantes di lectriques Par ailleurs variant entre 10 MHz 2 GHz les fr quences utilis es par les antennes d un g oradar imp
154. ntreprise sur une p riode donn e Compte de r sultat au 31 12 2011 12 mois EU Chiffre Valeur EBE Exc dent Brut R sultat RCAI R sultat We Production Ho PM a R sultat net d affaires ajout e d exploitation d exploitation Avant Imp t 2 601 200 2 601 200 2 082 400 197 700 194 100 210 500 144 600 Tableau 1 Compte de r sultat du SARL Alpes Topo societe com L 1 5 Alpes Topo IDF Cr e depuis 2011 par C dric Daures sous la supervision des fr res associ s Alpes Topo IDF est la plus r cente des agences de l entreprise Or en deux ans cette structure compte d j sept techniciens qui assurent une forte mobilit dans la r gion parisienne sur le Nord et sur l Ouest de du pays figure 2 Les r f rences de l agence sont nombreuses dont ci dessous quelques exemples gt Terminal m thanier de Dunkerque SOLETANCHE Bachy Razel Bec gt Zoo de Vincennes Bouygues B timent gt Campus Val de Bi vre de Gentilly Vinci Construction Cnivertuire d Alnee Tona IDE gt Boulogne Zac le Seguin Eiffage construction Bouygues B timent Figure 2 Localisation des gt Grand stade de Bordeaux SOLETANCHE Bachy Vinci Construction chantiers d Alpes Topo IDF 1 1 6 Sujet de l tude et cadre de travail durant le PFE La soci t Alpes Topo a d une part senti l opportunit que repr sentent les nouvelles r glementations en mati re de march de
155. ode de la triangulation d velopp e dans la partie IIL 2 1 2 4 V rification de la profondeur par le principe de triangulation Le RD8000 nous permet galement ce contr le sauf qu il est effectu d une mani re manuelle qui n est pas tr s fiable En effet la m thode automatique est beaucoup plus pr cise que la m thode manuelle o nous devons choisir un gain 100 sur le bargraphe affich l cran du r cepteur Comme il s agit de recherche de gain automatique le bargraphe talonne plus de 100 Du coup nous perdons en termes de pr cision de contr le FNEDRE C P F D 2013 gt L affichage du sens du courant sur l cran du r cepteur m me pour les grandes fr quences du g n rateur sup rieures 8 kHz Mis part la direction du courant qui circule dans le r seau son sens qui est d termin selon l emplacement du g n rateur est aussi d cisif pour le choix de l ouvrage d tecter L affichage du sens du courant supprime le risque de confusion lors de la d tection surtout en zone souterraine dense Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 56 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es gt L affichage automatique de la distorsion du champ lectromagn tique dans la boussole qui apparait sur l cran du r cepteur Afin de se rendre compte de cette distorsion d une mani r
156. on ou de collecte desservant un client individuel ou un nombre tr s Nr i 29 limit de clients Classes de pr cision Classes de pr cision cartographique des ouvrages mesur e partir de leurs enveloppes ext rieures classe un ouvrage ou tron on d ouvrage est rang dans la classe A si l incertitude maximale de localisation indiqu e par son exploitant est inf rieure ou gale 40 cm et s il est rigide ou 50 cm s il est flexible ou 80 cm pour les ouvrages de g nie civil ant rieurs au 01 01 2011 associ s au transport ferroviaire ou guid classe B un ouvrage ou tron on d ouvrage est rang dans la classe B si l incertitude maximale de localisation indiqu e par son exploitant est sup rieure celle relative la classe A et inf rieure ou gale 1 5 m classe C un ouvrage ou tron on d ouvrage est rang dans la classe C si l incertitude maximale de localisation indiqu e par son exploitant est sup rieure 1 5 m ou s il n est pas cartographi Conductivit lectrique Grandeur qui caract rise l aptitude d un corps ou d une solution laisser passer le courant lectrique C est l inverse de la r sistivit Entreprise d ex cution de travaux personne physique ou morale assurant l ex cution des travaux y compris si elle 31 intervient comme sous traitant ou comme membre d un groupement d entreprise de Erreur syst matique Forme d erreur ayant ten
157. onage est lui aussi propre chaque ouvrage Il doit tre de format SHAPE shp qui est un format cr par la soci t ESRI et qui est utilis par des logiciels tels qu AutoDesk Maplnfo MapServer Le fichier de zonage est g n r par la suite gr ce un logiciel SIG figure 3 4o l dde EN a s a Rieux M nchy Saint loi a lt B rnrr m Figure 3 Polygone issue d un fichier de zonage reseaux et canalisations ineris fr II 1 2 2 Cat gories d ouvrage En application de l article 554 2 du d cret n 2010 1600 du 72 juillet 2010 nous distinguons deux cat gories d ouvrages selon l atteinte la s curit humaine mat rielle et environnementale gt Les ouvrages sensibles pour la s curit il s agit des canalisations mini res et celles de transport contenant des hydrocarbures et des produits chimiques des canalisations de transport et de distribution de gaz combustible et d eau glac e des r seaux de chaleur des canalisations de transport de d chets des lignes lectriques et d clairage public ainsi que des installations servant la circulation ferroviaire ou guid e gt Les ouvrages non sensibles pour la s curit mais d une grande importance pour le public et pour la vie conomique 1l s agit des r seaux de communications lectroniques des canalisations industrielles et des canalisations d eau potable industrielle ou de protection contre les incendies
158. orme est arriv e avec pleins de changements mais lun des effets les plus importants tait le lancement des ATU En effet dans le cadre du contrat de d l gation du service publique Veolia Eau IDF a l autorisation permanente d intervention sur le domaine publique pour les travaux urgents et ceux de r paration des endommagements et des fuites sur la canalisation mais pas pour la pose des r seaux neufs ou ceux ne relevant pas du crit re de l urgence L autorisation en question est une permission de voirie qui permet Veolia Eau IDF d intervenir 24h 24 et 7j 7 observe G rard Bayon Il ajoute De fa on g n rale jusqu 22h en tant qu ex cutant de travaux Veolia eaux IDF r pare les ouvrages endommag s sans complications En effet une fois L ATU lanc e il faut attendre le retour des plans ou un rendez vous sur le terrain Ce qui entraine plus ou moins une heure et demi de d calage des travaux En revanche apr s 22h il existe certaines complications parfois les r ponses aux ATU sont moins videntes obtenir comme pour le cas des services d astreinte qui ne sont pas forc ment au courant de la nouvelle r glementation S ajoute cela le probl me de la nuisance aux riverains certes ils n ont pas d eau mais ils ont du bruit Alors s ils sont priv s d eau et de sommeil cela pose d normes probl mes IL 2 3 Quel est le r le des relev s topographiques dans la proc dure DT DICT Les relev s topogr
159. ous proposons souvent un rendez vous sur place susceptible d tre pris rapidement en fonction de l urgence de la demande Cela afin de localiser notre r seau de mani re plus pr cise que sur les plans observe G rard Bayon IL 2 2 Comment se passe la phase de l ex cution de travaux II 2 2 1 V rifications avant le d but des travaux Avant le d but des travaux il faut que l ex cutant v rifie la pr sence des DICT des r ponses aux DICT des r sultats des IC et des ventuelles recommandations techniques des exploitants de r seaux Ayant l obligation de disposer des autorisations d intervention proximit des r seaux avant le 1 janvier 2017 le personnel de l entreprise ex cutante de travaux doit tre tenu au courant de l emplacement des r seaux 71 Annexe 5 Notice explicative et exemple de plans joints en r ponse une DT de la part de la CPCU Annexe 6 Exemple de plan extrait du SIG de Veolia Eau IDF joint en r ponse une DICT Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 7e INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es pr sents sur l emprise du projet ainsi que et des mesures de s curit adopter Par ailleurs les op rations de marquage et piquetage doivent tre maintenues en bon tat pendant toute la dur e des travaux La responsabilit de l entreprise est cart e si
160. pliqu es gt En tant qu exploitant de r seaux GrDF vise g or f rencer le maximum de ses ouvrages en zone urbaine pos s avant le 1 janvier 2012 en classe A avant le 1 janvier 2019 Or cette op ration parait compliqu e et non n cessaire partout En effet il n y a jamais eu de travaux sur les lotissements et les zones artisanales construites dans les ann es 2000 Alors l urgence n est pas de les g or f rencer Au 2 mai 2013 GrDF poss dait 10 des ouvrages en classe 5 en classe C et 85 en classe B La majorit de ces r seaux sont r ellement en classe sauf qu il faut trouver une proc dure pour le prouver Ce qui appuie ces propos c est le fait de rencontrer en moyenne 4000 accrochages an avec moins de 10 caus s par est un cart entre le plan et le r seau affirme Michel Tranier directeur territorial GrDF gt A la date du 3 juin 2013 pr s de 90 des r seaux souterrain d ERDF sont en classe B Non pas du fait de leur positionnement relativement par rapport aux fonds de plans mais en raison de la mauvaise qualit de g or f rencement ou de l absence de la cartographie de ces fonds de plans constate Fran ois Le Devehat consultant au sein de la direction technique d ERDF gt Selon Christian Le Loup adjoint chef de d partement de production au sein de l unit d intervention en Provence Alpes C te d Azur France Telecom Au 26 juin 2013 environ 50 des r seaux enterr s de
161. pographie des r seaux des Scien Institut National ces Appliqu es III 2 2 3 Proc dure de d tection par g oradar Cette proc dure est inspir e des d monstrations terrain de deux g oradars bi fr quentiels de marques GSSI et IDS Tout d abord apr s avoir mis en marche le g oradar sur le terrain nous le calons en profondeur Pour ce faire nous rentrons une valeur de constante di lectrique pr d finie si nous connaissons parfaitement la nature du sol Toutefois comme c est rarement le cas nous proc dons diff remment en for ant le g oradar calculer cette constante par deux m thodes gt M thode indirecte sur la zone auscult e nous effectuons un passage rapide avec le radar du sol sur n importe quel ouvrage chantillon qui nous garantit une d tection nette C est dire que l hyperbole issue de sa d tection doit tre claire au niveau de l affichage de l image radar Ensuite nous faisons correspondre une hyperbole th orique fournie avec une fonction relative au r glage de la constante di lectrique celle effectivement trouv e pour l ouvrage chantillon Cette correspondance est effectu e sur le pic et sur la forme de l hyperbole figure 19 Nous pouvons r p ter cette op ration sur d autres ouvrages chantillons pr sents sur la zone auscult e afin de calculer une moyenne des constantes di lectriques obtenues et accroitre ainsi la pr cision de la profondeur
162. ponse aux DT DICT dans un d lai maximum de 9 jours ou de 15 jours en cas de r ception non d mat rialis e En plus des plans joints ces d clarations et des classes de pr cision des ouvrages existants dans la zone des travaux 1l faut transmettre toutes les consignes de s curit n cessaires pour le bon d roulement du chantier pr cautions prendre en consid ration selon la nature des interventions la configuration des ouvrages les recommandations techniques li es aux points singuliers les dispositions adopter en cas d endommagement d un r seau sensible la possibilit de consignation de l ouvrage Les exploitants doivent galement garantir l am lioration continue de leurs donn es cartographiques en menant leurs propres campagnes de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s et en prenant en consid ration les IC r alis es par les ma tres d ouvrage Ils ont l obligation de cartographier avec une classe de pr cision A les nouveaux ouvrages pos s apr s ler juillet 2012 et de r pondre aux DT DICT avec des plans g or f renc s la date du ler janvier 2019 pour les r seaux sensibles en zone urbaine et la date du ler janvier 2026 dans les autres cas IT 1 3 2 Responsabilit s des MOA MO E La nouvelle r glementation pr voit une responsabilit renforc e du responsable de projet qui doit pr parer en amont la r alisation des travaux En effet d s la phase de la conception
163. pproche de son travail En effet les ventuels coffrets de gaz et d lectricit pr sents sur le terrain ne sont pas le fruit du hasard S ils sont l c est parce qu il existe aussi des r seaux auxquels il faut porter une attention particuli re lors de la d tection car ils peuvent en tre des l ments perturbateurs Il faut travailler tant que possible en mode de transmission directe par le g n rateur et en mode de r ponse maximale par le r cepteur Il faut aussi r gler les param tres de fr quence du signal et de l intensit du courant pour garantir un maximum de pr cision sur la d tection Par ailleurs il faut tre vigilant quant l eventuelle pr sence de la distosion du champ lectromagn tique En dernier lieu il ne faut pas oublier la fois d enregistrer les Photographie 5 Pr sentation du vLoc 5000 le vLoc Pro2 Vivax Metrotech du param tres de d tection et de soustraire le rayon de la canalisation s il RD8000 PDL SPX et du d tecteur 2573 est non n gligeable la profondeur annonc e En outre 1l faut effectuer F8 r guli rement un contr le terrain des profondeurs par la m thode de triangulation Seba KMT 2013 FNEDRE CP F D 2013 D monstration terrain avec Hubert Brerot FNEDRE C P F D Stephan Delafontaine et Frank Veelenturf Seba KMT Vivax Metrotech sur les d tecteurs lectromagn tique vLoc 5000 et le vLoc Pro2 Vivax Metrotech le RDS000 PDL Radiodetect
164. prim s de d claration DT DICT partiellement pr remplis e Compl tude de chaque imprim autant que d exploitants gt Envoi des d clarations et suivi des r ponses manuellement Par le prestataire d aide la d claration Saisie unique du formulaire pour l ensemble des destinataires Affichage imm diat de la liste des exploitants du Guichet unique Affichage liste compl mentaire d exploitants non encore enregistr s ayant du r seau Envoi et suivi des d clarations par la plateforme avec num ro consultation GU alerte tra abilit YYY Y archivage valeur probante D lai de r ponse aux DT raccourci Preuve d envoi d une lettre de rappel en mode site quivalente au LRAR vY vV Sogelink CALUIRE ET CUIRE Y 14 D connexion en Ma soci t Mes projets Owtils OT MERIGN DICTr NES CT Mihe Mnntrrimt use Lista des anploitnnts du Guichet Unique miss jour Le 22 09 2012 Societe cp Commune Tel Urgence W RTE GET GASCOGNE 33270 FLOIRAC au 0558339900 WERDF Direction R gionale Aquitaine Nord GROL 33700 MERIGNAC 0810233033 COFRANCE TELECOM ORANGE UI AQUITAINE POLE 40000 MONT DE MARSAN 0558055959 CO NUMERICABLE FT DROZD BEANADETTE DT ON 77427 CHAMPS SUR MARNE 0170014629 le Le Le Le a Le se CONSEIL GENERAL CRD ENTRE DEUX MERS AIVI 23700 MERIGNAC 0656121520 CH ILIAD 75008 PARIS 08 INEO INFRACOM POUR BOUYGUES TELECOM PE 21000 DLON T 0380737495
165. profondeurs renseign es par l exploitant de r seaux Par exemple selon le r glement de voiries les r seaux souterrains doivent tre enterr s une profondeur minimale de 70 cm au dessous des voiries et de 50 cm au dessous des trottoirs Par cons quent les entreprises ex cutantes de travaux savent qu elles peuvent creuser jusqu une vingtaine de centim tres au de de ces profondeurs sans utilisation de techniques douces et sans s attendre des surprises Toutefois il faut toujours tre prudent lors de ces travaux car nous ne sommes jamais l abri d un endommagement accidentel comme ce fut le cas en 2007 Bondy o les travaux de creusement devaient tre r alis s une profondeur de 60 cm et o une conduite de gaz tait plac e une profondeur de 50 cm au lieu de 80 cm Lors de ces travaux sur la voirie et en absence d un grillage jaune avertissant la pr sence de la canalisation de gaz une perforation accidentelle s est produite Cet accident a provoqu une explosion meurtri re avec des d g ts humains et mat riels dramatiques un mort et 47 bless s par br lures ainsi qu un caf restaurant en partie souffl Souvent l entreprise ex cutante de travaux connait la nature des ouvrages qu elle cherche En amont des travaux de terrassement elle a l obligation de disposer des recommandations techniques et des plans issus des r ponses aux DT DICT Ces plans contiennent des rep re
166. que Echelle 1 50 La d tection n tait pas aussi ais e que sur le c ble principal du fait de la pr sence du coude En effet le signal re u n tait pas tr s stable Radiodetection 2013 Terrain naturel TN C ble tracnh e ouverte _ RD8000 Solution GNSS centim trique Figure 25 Polylignes 2D illustrant le TN et les trac s relatifs au c ble secondaire fouille ouverte et ferm e Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 47 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Nous choisissons d analyser seulement la planim trie pour illustrer l effet du coude horizontal Nous remarquons ainsi d apr s la figure 25 que les deux trac s relatifs au c ble secondaire se chevauchent avec certains espacements entre les deux que nous quantifierons ainsi lt Echantillon 3 D apr s le tableau c t tableau 7 nous remarquons Couplage RD800 Solution GNSS sur les carts lix nous disposons d une valeur centim trique maximum de 12 1 cm d une valeur moyenne de 7 8 Gi x em a cm et d une emq de 3 5 eig A pr sent nous allons voir si nous satisfaisons les trois 5 8 5 0 7 6 83 6 8 107 conditions de l article 5 de l arr t du 16 septembre 56 28 6 2 Po Dee Me vo eurs f B ea V rification de la condition c l ensemble des carts Ecarts 11 0 4 9 PA Ne li sont inf
167. ques amp M thodes DESTINATAIRES R ponses aux DT DICT 1 OBJET Cette note est tablie titre transitoire pour permettre aux demandeurs de DT DICT recevant en retour les plans statistiques de CPCU de d duire les classes de pr cision nouvellement introduites par la r glementation en attendant que leurs rep rages soient report s directement sur les documents CONTEXTE L arr t du 15 02 2012 sur les travaux proximit des r seaux enterr s demande aux exploitants d indiquer sur leurs plans la classe de pr cision qualifiant la fiabilit de la repr sentation de leurs ouvrages En raison du d veloppement historique de son r seau et conjointement du patrimoine documentaire qui l accompagne les plans dits Statistiques de CPCU peuvent repr senter sur un m me document des portions d ouvrages r alis es et donc dessin es diff rentes poques et selon diff rentes m thodes Ceci conduit une h t rog n it possible de classes de pr cision sur un m me plan selon les parties d ouvrages repr sent es CPCU va entreprendre un travail de rep rage des classes de pr cision sur l ensemble de la collection de ses plans statistiques 5000 environ au cours du premier semestre 2013 Par anticipation cette note d crit les principes et m thodes de qualification qui ont t retenues par CPCU et qui permettront aux utilisateurs de d duire d s maintenant les classes de pr cision qui appara tront explicitement
168. quetage sur l emprise des travaux IL 3 2 Avis des acteurs 11 3 2 1 Collectivit s territoriales La ville d Orl ans pr sente un bilan plut t positif de la nouvelle r forme DT DICT du point de vue des diff rents acteurs impact s Au niveau gt Des responsables de projet la localisation des r seaux est mieux d termin e mais des efforts doivent tre encore tablis dans ce sens Par ailleurs les projets qui sont galement mieux pr par s connaissent un co t de pr paration de 5 gt Des exploitants de l clairage public mise en place d une nouvelle organisation du service avec une am lioration notable de la cartographie des r seaux gt Des gestionnaires du domaine public tablissement d un nouveau r glement de voirie ainsi qu une meilleure coordination entre les services internes notamment en ce qui concerne le Syst me d Information G ographique de la ville d Orl ans SIGOR L agglom ration de Perpignan consid re la r forme comme tant ambitieuse et complexe appr hender Impliquant des changements fondamentaux en termes de gestion de projets et de travaux cette r forme requiert une am lioration de la cartographie ainsi que le d veloppement d un Syst me d Information G ographique SIG au sein de l agglom ration Par ailleurs la pratique des instructions relatives cette r forme implique plusieurs difficult s comme la complexit de la mise en place des IC et des constats
169. r le march de la Topographie des r seaux j Institut National des Sciences Appliqu es Tous les exploitants doivent mettre leur ZIO jour au 1 juillet 2013 Obligation d envoyer la copie des DT aux conseils g n raux c est inscrit dans les r glements de voirie La permission de voirie est donn e avant le lancement du march La DREAL n a pas encore sanctionn mais poursuit le pr ventif Sur les 4 premiers mois de l ann e 23 dommages gaz ont t signal s au lieu de 27 en 2012 France Telecom a toujours 85 de DT DICT conjointes L entreprise est d sormais structur e pour effectuer des investigations compl mentaires 4 Actions de l observatoire national DT DICT Un nouveau membre a t int gr l observatoire ACNET Action de Coordination Nationale des Entreprises de T l communication ce qui porte 43 membres au sein de l observatoire national Mise en place d ici fin 2013 d un appel propositions d actions aupr s des observatoires r gionaux Engagement de l Observatoire national sur 2 sujets importants a La d tection des r seaux r flexion sur des travaux de recherche appliqu e et de veille pour augmenter le niveau de comp tence g n rale d une part et d autre part la mise en place d op rations de d tection pour en tirer des enseignements pratiques sur le terrain Un nouveau groupe de projet sera consacr ce sujet Pour cela il sera demand aux membres i
170. ravaux Au sens du II de l article R 554 2 du code de l environnement D cret n 2011 1241 du 5 octobre 2011 article 4 une r union sur site doit tre organis e par l exploitant de r seaux afin d apporter l ex cutant de travaux les informations relatives la localisation de l ouvrage Le gestionnaire de r seaux doit proposer un rendez vous l ex cutant dans le d lai maximal de r ponse la DT DICT 9 ou 15 jours L ex cutant des travaux est libre de refuser un rendez vous courte ch ance Il appartient dans ce cas l exploitant de le contacter nouveau Par ailleurs l exploitant doit effectuer sous sa responsabilit des IC permettant de lever toute incertitude sur la localisation des ouvrages s ils sont en classe B ou C Pour ce faire Il dispose d un d lai suppl mentaire de 15 jours jours f ri s non compris Dans le cadre d une r ponse une DICT l exploitant doit effectuer les op rations de marquage piquetage r glementaires sous sa responsabilit et ses frais sauf si cela a d j t fait dans le cadre de la r ponse la DT correspondante Ces op rations doivent tre effectu es selon les normes communes et feront l objet d un compte rendu qui est remis obligatoirement l ex cutant des travaux IL 2 1 5 2 En cas d accompagnement du r c piss par les plans cartographiques des r seaux dans l emprise des travaux Selon l article 7 de l arr
171. rieurs T 50 cm 3 6 4 0 5 4 o rz me me Nous obtenons cette fois ci xx 12 24 cm car i i i k 2 42 du fait de la consid ration seulement des deux L7 1 7 2 4 Boi coordonn es planim triques dans les calculs L cm 7 8 na Ch 3 5 V rification de la condition b aucun cart li n est sup rieur T qui est gale 33 3 cm V rification de la condition a L 7 8 cm lt D 13 7 cm k 2 42 cm et xx 12 24 cm Tableau 7 Ecarts et emg relatifs au c ble secondaire Ainsi nous remplissons les trois conditions impos es par l article 5 de l arr t du 16 septembre 2003 et nous satisfaisons les exigences de la classe de pr cision sur la d tection et le g or f rencement de notre c ble secondaire VI 1 3 Bilan du test Avec le d tecteur lectromagn tique Rigid SR20 nous obtenons une pr cision effective de d tection de 8 M me si cette valeur semble importante vue les conditions strictes du test cela n emp che pas que nous arrivons satisfaire la classe de pr cision A avec cet appareil Quant au d tecteur lectromagn tique RD8000 PDL il nous assure une pr cision effective de d tection de 5 25 qui est beaucoup mieux que celle du SR20 et qui n est pas loin des 5 de pr cision th orique annonc e par le constructeur En plus selon les r sultats de test associ avec une station totale ou une solution GNSS centim trique cet appareil nous permet de satisfaire la classe d
172. roximit de la fin du c ble Apr s ces ajustements nous pouvons constater pr sent que le couplage RD8000 Station GNSS centim trique offre les meilleurs r sultats en termes de moyenne arithm tique et d emq sur les carts lipt Cela semble incoh rent car combin e avec le d tecteur RD8000 la solution GNSS centim trique offre des meilleurs r sultats que la station totale Cette anomalie est susceptible de venir d erreurs syst matiques commises lors du premier passage et qui sont relatives une concentration sur les fl ches plut t que sur le maximum du signal lors de la prise des mesures avec le d tecteur lectromagn tique A pr sent nous allons garder les r sultats issus des onze premi res mesures des chantillons 2 et 3 pour le calcul de la pr cision de d tection des deux d tecteurs lectromagn tiques Rigid SR20 et RD8000 Nous disposons des profondeurs moyennes 50 37 cm 49 13 cm et des moyennes sur les carts de L3 4 03 cm 2 58 cm respectivement pour le d tecteur lectromagn tique Rigid SR20 et le d tecteur lectromagn tique RD8000 Gr ce l quation 1 Equ 1 nous obtenons une pr cision de d tection de 8 00 pour le SR20 et de 5 25 pour le RD8000 Avec une telle pr cision proche des 5 annonc e par le constructeur et une emg de 1 4 cm le RD8000 montre sa performance et sa pertinence par rapport la d tection des r seaux enterr s VI 1 2 2 1 2 Analyses sur le dernier chantil
173. rr s Il s agit des deux appareils vLoc Pro2 et vLoc 5000 de la soci t Vivax Metrotech et de l instrument RD8000 de la soci t SPX comme l illustre la photographie 19 Issu de la partie I V Tests sur diff rents mat riels de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s les r sultats des exp rimentations tablies sur ces deux d tecteurs lectromagn tiques ont montr qu avec ces derniers nous pouvons satisfaire les exigences de la nouvelle r glementation DT DICT quant la classe de pr cision A En plus lors d une d monstration terrain de ces instruments qui est effectu e avec Hubert Brerot directeur de la soci t CPFD et pr sident d honneur Photographie 19 Confrontation terrain du RDS8000 et du vLoc 5000 de la FNEDRE nous avons trouv que les deux instruments fournissent les m mes r sultats en termes de qualit de signal et de profondeur annonc e sur diff rents types de r seaux Ces r sultats semblables issus de la manipulation des deux instruments ont compliqu le choix du mat riel Toutefois certains d tails nous ont permis de prendre une d cision quant au mat riel adopter pour d velopper l activit de d tection au sein de la soci t Alpes Topo C est le vLoc 5000 qui a t retenu pour cet effet Les raisons qui ont motiv ce choix sont les suivantes gt Le contr le terrain automatique de la profondeur des ouvrages d tect s par la m th
174. s et la constante di lectrique m diocre Enfin nous tablissons lors de chaque croisement de l ouvrage si n cessaire des op rations de marquage piqutage pour identifier les ESS E E S ONE N Photographie 6 Marquage au sol par bombe de peinture lors d un croisement d un r seau par g oradar r seaux sur le terrain photopraphie 6 Il faut tre vigilant sur le terrain lors de la d tection par g oradar car la moindre erreur ou oubli de calage peut fausser consid rablement les donn es de localisation de l ouvrage auscult Par ailleurs il faut savoir diff rencier les hyperboles relatives aux r seaux et celles relatives aux objets parasites comme les cavit s ou les blocs rocheux enterr s Il faut galement tre plus vigilant en pr sence d une infrastructure dense car il existe un risque consid rable de confusion entre les r seaux Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 36 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux nal fe Appliqu es Institut Natio Concernant l enregistrement des donn es issues de la r flexion des ondes lectromagn tiques il peut s effectuer par deux modes gt Un mode simple sans n cessit de post traitement prise d Imprim Ecran lors de chaque passage par c oradar du radargramme qui illustre les hyperboles et les profondeurs obtenues C est le mode le plus fr quemment utilis par les prestations de d t
175. s pour r f rencer de la zone du projet qui peuvent tre des points connus en planim trie et en altim trie ou des objets durs comme des bords de trottoirs ou des affleurant visibles Sur le terrain 1l faut proc der au marquage piquetage au sol de la position des ouvrages avant le d but des travaux de terrassement tout en d portant tout trac susceptible d tre effac Cette op ration de marquage piquetage est effectu e sous la responsabilit du MOA qui la d l gue parfois au MOE ou aux prestataires de services de g od tection et g or f rencement ou m me parfois aux entreprises ex cutantes de travaux Par ailleurs il est important de faire le lien entre l environnement de la zone de projet et les plans des r seaux fournis En effet il faut constater la chauss e et son ventuel affaissement ainsi que les l ments de rep rage plaques coffrets Il arrive parfois que le trac d un r seau ne corresponde pas vraiment la r alit du terrain comme par exemple lorsque nous constatons qu un ouvrage passe au bord d un arbre car nous savons au pr alable que cela n est pas possible En effet le r glement de la voirie pr voit un rayon de 2m partir du centre de l arbre o aucun r seau ne doit passer Dans ce cas 1l faut commencer par un terrassement la pelle m canique jusqu une certaine profondeur 45 cm par exemple ensuite 1l faut continuer creuser avec des techniques douces L
176. s r seaux de Radiodetection 2013 Entretien avec Thierry Lecacheur lors de l exp rimentation portant sur lappr ciation de la qualit du mat riel de g or f rencement et de d tections des r seaux souterrains Le Mesnil Aubry 2013 VI 2 Deuxi me exp rimentation VI 2 1 D roulement de l exp rimentation et m thodologie mise en place VI 2 1 1 Cadre de exp rimentation Cette exp rimentation s est d roul e sur le site de construction du groupement des tats et des services centraux du Minist re de la D fense au quartier de Balard situ dans le quinzi me arrondissement de Paris Elle a eu lieu en pr sence de M Delafontaine repr sentant de l entreprise SEBA KMT men d un d tecteur lectromagn tique vLoc5000 d un technicien Alpes Topo et de moi m me Ce m me technicien avait effectu au pr alable le lev topographique fouille ouverte d une trentaine de m tres d un c ble HTA attach d autres c bles prot g souvent par un tube orange en plastique et couvert par un grillage avertisseur plac au dessus L id e de notre exp rimentation tait de revenir une fois la fouille ferm e et de d tecter et g or f rencer le c ble enterr Cela afin de proc der des analyses qualitatives et quantitatives similaires celles tablies pour la premi re exp rimentation VI 2 1 2 R glage de la fr quence de mission Nous avons trouv sur le site une partie du
177. sar a VWP en par Vopaur ONBO Eau DNSD Lomme w sers O PROFIL Ech 1 100 Mise en page additionnelle du e sur Em profil redessin tel que relev RTE 066 200 048 l j 5 FAA BBG 824 974 i les canracdomaires TE mr Ce Les charges etbs altiu des sol cor espo nden t Etat delavotb au moment de l ta bisse men tdu phn Lu tisateur s ass ure ra de bura ctu at Les charges hi reures 0 70m sous chau ss e ou 0 50m sous trotto ts ont b r sultat des d rogatbns obtenues bca bme ntp our pemmettre b fra nchissement de zone s enco mbr es Path vapen a Fath mmu a Vike de Parie 52 00 p 3 3 COUE C Ech Coffrouue tod OlIn perdu Dolle orr e gt coul e sur place GROUPE INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 80 LEGENDE O Poteau Incendie 150 D D tendeur M dicalis To D charge O Robinet DI nne papillon Prise de potentiel i Joint isolant pz nne papillon en chambre Poteau Incendie priv A Intercom Branchement sensible p Branchement M Purge CZ Bome fontaine o nne ronde i LD Bouche Incendie priv e Chloration sci mises N Clapet XY FR E nne ronde en chambre Bouche Incendie 100 g Galerie Plaque pleine O Bouche de lavage nne Stop Fluid amp 0
178. seaux Institut National je CIeNCE lqu es Toutefois nous n avons pas r ussi ressortir des hyperboles relatives au r seau m me en concentrant notre attention sur l affichage issu de l antenne 800 MHZ par rapport cet ouvrage qui tait plac une petite profondeur Nous avons r initialis les mesures issues de la roue codeuse Ensuite nous avons ensuite essay sur diff rents endroits espac s de quelques kilom tres le long de l ouvrage mais sans aucun r sultat exploitable La seule hypoth se retenue par rapport ces r sultats d cevant est la nature du sol qui ne favorise pas l utilisation du g oradar Toutefois le sol ne semblait pas argileux MDS 2013 VI 3 3 Bilan du test Les r sultats du g oradar pr sent s ici sont apparus peu probants le r seau de fibre optique n a pas t localis par le g oradar bien qu il ait t pr alablement d tect par la technique lectromagn tique Nous rappellerons que des hyperboles ponctuelles traces de racines amas rocheux sont malgr tout apparues dans des zones relativement loign es du r seau mais jamais proximit Le remblayage de la tranch e du r seau de fibre optique par un mat riau trop conducteur pourrait expliquer l absence de r sultats au voisinage du r seau Des mesures de r sistivit auraient permis de confirmer cette hypoth se CRIGEN 2013 Il est noter que les r sultats ici pr sent s n ont
179. sses de pr cision docx Profil en long image num ris e du profil d origne At at NO N N d 3 SC SS 23082 n EUR DE ELOPPEE voir cortouche re MIRE sexune M o us c C Ir SE EG c CE nd EE g 134 L 130 139 BOE H amp pP Purge d arr gt A N CMAD E M E Regard non loco lis 1ts J f i F IR B LA LE i F P iJ a E F 7 fx Com pansol y r ay CNTIOMAO ES GE 1 T pa nt fixe TANG f ji a H Campensateur pou PTT TTN GMAO E SWTGC15 h H d j r R MINE EE BE L jff nt 7 1 7 NT se Ai N il e m o D _ Dao fs Compenonteur Vapeur T pis it ETAREN M N CMAD V SW1BC14 IT tt Sais lv oha0 55 oJ 7 560 o o o O 9 ur Vopev canreens mrs BMAD N 5W16C1 0 y tam o A 70 o 1 Chambre de O ririri N l f IR 5 Trav aux Se d entretien ia GUIRI Tron on SW16 Projet N 080 001 1 Vapeur DN 500 Eau 50 VERS LA PLACE FALGUERE C LB i 89 90 Sairetien struclurant 2DD9 ARRETE ESEC ENE OO i e C E ge es S in PZZ LIL D 4 r fi i Mise en page additionnele du profil redessin i A f j AL TE 4 10 1 tel que relev Jip l H Ai q ii AIN 10 4 Al il IT A AF H od SEPEREN
180. sur les plans une fois cette r vision d envergure achev e PRINCIPES GENERAUX CPCU applique depuis 2003 le r colement fouilles ouvertes par des cabinets de g om tres qualifi s pour les travaux neufs de d veloppement ou de modification de ses canalisations et branchements Elle a tendu cette pratique depuis 2006 aux travaux d entretien occasionnant une ouverture sur caniveau d un lin aire sup rieur 6m En cons quence e Classe A pr cision du trac lt 0 40m sur les dessins tablis suite un relev fouilles ouvertes e Classe B 0 40m lt pr cision du trac lt 1 50m sur les dessins issus de la num risation des calques historiques originaux METHODES D ANALYSE DES PLANS Les pisodes de travaux construction initiale ou intervention d entretien sont rep rables en premier lieu par les encarts descriptifs des travaux mis en page dans les cartouches et en second lieu par les limites de leurs emprises g ographiques report es sur les vues en plan et les profils en long La liaison entre les deux se fait via un identifiant pr sent aux deux endroits e Le num ro de projet nom de bapt me affect la canalisation pour les travaux de premi re construction e Le num ro d op ration pour les travaux d entretien D autre part le profil en long des ouvrages ayant t relev s fouilles ouvertes a t redessin et est mis en page d une mani re additionnelle se rep rant par un aspect diff rent du profi
181. t de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Selon Michel Tranier directeur territorial GrDF La r glementation a t tr s ambitieuse sur l laboration des IC qui se sont av r es complexes comme proc dures D une part le g oradar est loin d tre une science exacte et d une part les entreprises utilisent des pelles m caniques et travaillent avec des d cam tres et non des GPS pointus ce qui n est pas tr s ad quat avec le g or f rencement en classe Par cons quent cela cr e un cart entre la r alit du terrain et ce qu imaginait la r glementation Nous constatons que les responsables de projets MOA et MO ne respectent souvent pas la nouvelle r glementation dans la constitution des appels d offre En effet ils n tablissent ni les IC ni m me parfois les DT Le pire c est que les entreprises de travaux r pondent ces appels d offre m me sans la pr sence de ces l ments primordiaux qui servent garantir la s curit lors des travaux constate Christian Le Loup 11 3 2 3 Ex cutant de travaux IL 3 2 3 1 FNTP Pour les FNTP la s curit se gagne en partie en amont des travaux par une v rification de la pr sence de tous les documents n cessaires au bon d roulement du chantier avant son d but ainsi que par une bonne connaissance des textes r glementaires qui sont bien labor s coh rents et consensuels Ils
182. t obtenus que sur un seul site d essai Pour une meilleure repr sentativit de la technique un canevas d essais plus approfondi associant entre autres plusieurs natures de terrain aurait t n cessaire pour conclure quant la performance r elle de la technique A titre d exemple sur un chantillon de 20 70 chantiers selon les diff rents mod les de g oradars test s 10 mod les simple et double fr quence le CRIGEN rapporte un taux de d tection variant de 60 90 selon la nature du sol avec une pr cision de 10 20 cm en planim trie et de 10 50 cm en altim trie Ces r sultats rapport s sont globalement satisfaisants mais montrent tout de m me que le g oradar n est pas une technique de d tection infaillible Une conductivit trop forte du sol est la principale limite de la technique g oradar Notons qu aucune technique n est aujourd hui universelle la d tection lectromagn tique s av rera inefficace sur un r seau PE l o le g oradar pourrait permettre sa d tection En revanche la d tection lectromagn tique est pertinente pour localiser une canalisation m tallique sur un terrain argileux l o le g oradar pourrait s av rer inefficace La compl mentarit des techniques de d tection est une notion garder l esprit pour parvenir une localisation pr cise des r seaux enterr s Une m thodologie rigoureuse de d tection doit associer chacune des techniques de d t
183. t actuellement en cours de test 5 Intervention de B nito BRUZZO Pr sident de l Observatoire IDF des risques travaux sur r seaux L observatoire IDF a t cr en 2002 Une r union est faite toutes les fins de trimestre Les exploitants apportent des statistiques avec un canevas sp cifique Les incidents taient tr s nombreux except la ville de Paris Sur Paris les incidents sont surtout r alis s dans des zones priv es Depuis 10 ans les endommagements ont chut de 60 en IDF M BRUZZO a particip l laboration de la r forme et de nombreuses informations ont t faites depuis sa parution Des travaux sont galement engag s avec l ducation nationale pour faire int grer cette r forme dans les formations techniques Au 2 semestre il y aura un arr t modificatif de ce d cret Depuis le lancement de cette r forme les dommages ont baiss de 37 Il participe aussi au comit strat gique du guichet unique pour le faire voluer Concernant celui ci 99 des r seaux sensibles sont r pertori s Le r seau propane n est pas r pertori partout M BRUZZO a rappel que de d marrer un chantier sans avoir els informations sur les r seaux sensibles taient interdits Il a expliqu galement que les DT DICT conjointes ne devaient pas tre utilis es pour des march s de longue dur e et des contrats d entretien En 2005 l observatoire a cr un comit de conciliation Il se r unit tous les 3 mois avec 5 en
184. t de g or f rencement des r seaux enterr s qu il s agisse de d tection lectromagn tique ou de g oradar Pour chacune de ces techniques une m thodologie rigoureuse de d tection a t d velopp e en se basant sur les d monstrations et les exp rimentations sur le terrain Nous avons eu la chance d tablir trois tests de pr cision lors de ce projet sur des d tecteurs lectromagn tiques des couplages de ces derniers avec des stations totales et des solutions GNSS et sur des g oradars G n ralement les r sultats pour la d tection lectromagn tique taient satisfaisants par rapport aux exigences cartographiques impos es par la classe de pr cision introduites par la nouvelle r forme DT DICT Par ailleurs le d tecteur lectromagn tique s av re tre un outil d avenir pour les entreprises de Topographie et les cabinets de GE souhaitant se lancer dans l activit de la d tection de r seaux Toutefois les r sultats du g oradar sont apparus peu probants et ont confirm les interrogations des professionnels par rapport la d tection tridimensionnelle assur e par cette technique est loin d tre infaillible Actuellement des tudes sont en cours de r alisation notamment par des centres de recherche comme le CRIGEN pour appr hender les ph nom nes li s cette technique Pour r sumer la compl mentarit des techniques de d tection est n cessaire une localisation pr cise des r seaux
185. t en passant par les fr quences d mission du g n rateur suivantes 8 89 kHz 989 Hz et 491 Hz Les valeurs de profondeurs affich es par le d tecteur taient respectivement de 62 cm 67 cm et 68 cm alors que la profondeur mesur e tait de 77 cm jusqu au milieu du tube orange renfermant le c ble HTA Par cons quent nous Photographie 13 R glage de la 2 s b 2 x f d i i d avons choisi de travailler avec la fr quence la plus basse des trois et qui tait de a g n rateur par des tests de 491 Hz pour la suite de l exp rimentation En effet ce choix est plut t logique mesures de profondeurs car plus la fr quence est basse plus le signal est pur Or m me avec ce choix judicieux nous restions toujours confront s au ph nom ne de la distorsion du champ lectromagn tique du fait que la boussole du vLoc 5000 tait toujours remplie en rouge lors de la d tection Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 49 titut Natione 5 Sciences Apg lique es INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux nstitut N il le VI 2 1 3 Couplage vLoc5000 et station totale Leica Viva TS15 Apr s avoir r gl la question de la fr quence d mission du g n rateur nous nous sommes pench s sur la probl matique de l envoi de la trame de d tection du vLoc5000 notre station totale Leica Viva TS15 Cette derni re est de meilleure pr cision tridi
186. tion approximative du passage des ouvrages Suite cette d monstration tr s satisfaisante un rendez vous cette semaine m me a t organis pour laborer une exp rimentation sur le g oradar Photographie 16 D monstration du g oradar UtilityScan DF VI 3 2 D roulement de l exp rimentation Cette troisi me exp rimentation a eu lieu Aix en Provence une cinquantaine de kilom tres du si ge de la soci t Alpes Topo en pr sence de M Xavier repr sentant de l entreprise MDS de M Command directeur g n ral de l entreprise Alpes Topo et de moi m me L objectif de cette exp rimentation tait de v rifier que le g oradar nous permet de r pondre aux conditions impos es par la classe de pr cision A L entreprise Alpes Topo avait effectu un lev topographique fouille ouverte sur plusieurs kilom tres d un r seau de t l communication et plus sp cifiquement de fibre optique Le long de l ouvrage en question un c ble conducteur a t install proximit permettant ainsi de le d tecter th oriquement aussi bien avec un d tecteur lectromagn tique qu avec un g oradar photographie 17 Ayant la certitude qu il faut coupler les techniques lors de la d tection de r seaux souterrains nous nous sommes servis la fois d un Photographie 17 Le r seau de fibres d tecteur lectromagn tique vLocPro2 et d un g oradar UtliityScan DF ip Poe permettant sa
187. trepreneurs et 5 repr sentants des exploitants Les d cisions sont prises l unanimit Le comit ne regarde pas le prix Il recherche les responsabilit s 180 affaires uniquement TP sont trait es avec 33 la responsabilit est divis e 50 50 33 la responsabilit est celle du concessionnaire 33 la responsabilit est celle des entreprises La partie qui saisit le comit doit transmettre tous les l ments concernant l incident r c piss s de DICT plans etc Ensuite tous ces documents doivent tre adress s 3 semaines avant la date du comit pour tre tudi par chaque participant Chaque repr sentant nomm par un exploitant se doit d interroger sa hi rarchie au pr alable car chaque dossier doit obtenir une r ponse unanime des participants Le Pr sident a remerci les participants et les a convi s au d jeuner La prochaine r union a t fix e le mercredi 25 septembre 2013 9h la FRTP kk kkk kk U3 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 76 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut dt vire Sciences Appliqu Annexe 5 Notice explicative et exemple de plans joints en r ponse une DT de la part de la CPCU O CPCU OBJET Lecture des Plans Statistiques ns Principes et m thodes de d duction des classes de pouon arr t du 15 02 12 INFORMATION ENTITE INGENIERIE Sp cialit s Techni
188. ttent en p ril la continuit du service public ainsi que la s curit des personnes des biens et de l environnement D un c t Cette r forme a entrain des changements pratiques tels que Une obligation de disposer de tous les documents n cessaires au bon d roulement du chantier avant le d but des travaux DCE r ponses aux DICT Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 23 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es ITI Techniques et m thodologies de d tection des r seaux enterr s II 1 D tection par des techniques destructives Nous entendons par technique destructive toute m thode de sondage qui repose sur un terrassement m canique et ou manuel dans le but de chercher les ouvrages ne pas accrocher lors des travaux proximit tout en maintenant leur fonctionnement Il existe deux types de techniques de fouille gt M caniques g n ralement d ploy es lors des premi res dizaines de centim tres o nous avons la certitude de l inexistence du risque d endommagement de l ouvrage gt Douces utilis es l approche de l ouvrage sur les derni res dizaines de centim tres de fouille Elles sont souvent tablies la main ou l aide d un camion aspirateur Lors des travaux de terrassement 1l faut adapter les techniques de fouille selon la nature du sol et des
189. u g oradar qui lui peut d tecter tous les types de canalisations se d veloppe grande vitesse Toutefois cette technologie pr sente certains inconv nients comme la d pendance de la nature du terrain auscult C est pourquoi des recherches sont en train d tre d velopp es pour appr hender les ph nom nes li s cette technique La d tection acoustique reste peu utilis e car elle ne permet d obtenir que la position planim trique des r seaux sans aucune information sur leur profondeur Enfin une m thodologie universelle de d tection n existe pas ce jour c est la raison pour laquelle il faut en adapter une diff rente au cas par cas pour chaque type de r seaux et chaque nature de terrain Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 39 SA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National des Sciences Appliqu es IV Tests sur diff rents instruments de d tection et de g or f rencement des r seaux enterr s VL 1 Premi re exp rimentation Un test multifonctionnel a t labor lors de ce PFE afin de juger la pr cision de diff rents instruments de g olocalisation des r seaux souterrains et leur capacit r pondre aux exigences de la classe de pr cision A Les appareils qui ont servi laborer ce test sont illustr s ci dessous photographie 8 D tecteur D tecteur Station Totale Leica Couplage du RD8
190. uation de comp tences l aide d un QCM dont les objectifs sont la v rification de la ma trise de la r glementation DT DICT le r le des diff rents intervenants les principaux types de r seaux et leurs risques la lecture du terrain et la reconnaissance de son environnement la lecture des plans 11 2 2 3 Endommagements Dans le cas d un endommagement accidentel parvenu sur un r seau sensible 1l est n cessaire d arr ter les engins d alerter dans l imm diat les secours et l exploitant concern d am nager une zone de s curit et d accueillir les secours et de se mettre leur disposition Lors d un accident sur un r seau non sensible il faut pr venir l exploitant concern dans le plus bref des d lais en fonction de la gravit de la situation Dans les deux cas un constat contradictoire devra avoir lieu entre l entreprise ex cutante de travaux et l exploitant de r seaux L arr t des travaux sur le chantier n est pas juste limit aux endommagements de r seaux mais aussi l ventuelle pr sence des r seaux non signal s sur les plans fournis l ex cutant de travaux ou d un cart important entre ces plans et l tat du sous sol Dans ce cas l entreprise est tenue d informer par crit le responsable de projet sur la gravit de la situation 11 2 2 4 Travaux urgents Les travaux urgents sont des interventions non pr visibles labor es en cas d urg
191. ude g n rale de 10 m Cependant il est plus judicieux de prendre en consid ration des points situ s plus de 50 m dans le cas d un r seau dont le lin aire est approximatif r seau dont le lin aire est caract ris par une courbure et pr sent le long d une rue Cela afin que la ZI englobe une plus grande surface contenant l ensemble du r seau souhait Les ZI sont rentrer directement par le m dia des exploitants de r seaux sous forme de fichiers de zonage sur le site du GU Attach e un seul ouvrage un fichier de zonage n est pas une d limitation exacte des ouvrages mais bien une zone de s curit extrapol e Il est repr sent sous forme d une surface polygone contenant jusqu 3 millions de sommets g or f renc s dans un des deux syst mes WGS84 non 1http www reseaux et canalisations ineris fr ll Arr t du 23 d cembre 2010 relatif aux obligations des exploitants d ouvrages et des prestataires d aide envers le t l service reseaux et canalisations gouv r Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 9 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National de t Naton Sciences Apt lic ju es projet EPSG 4326 ou RGF93 non projet EPSG 4171 Toutefois il est demand de ne pas fournir de zones r f renc es en projection Lambert93 ou UTM Comme pour la d nomination la cat gorie et la typologie le fichier de z
192. ulsion sont relativement hautes Le choix d une fr quence conditionne la fois la profondeur potentielle d investigation et la r solution spatiale distance minimale entre deux discontinuit s susceptibles d tre diff renci es par le g oradar Ainsi pour les fr quences les plus lev es qui sont aux alentours de 1 GHz elles fournissent des meilleures r solutions spatiales des images radars pr cises mais des petites profondeurs et vis versa Hormis la fr quence d mission la nature du sol conditionne aussi consid rablement la qualit de la d tection et les profondeurs atteintes Ainsi la profondeur est plus lev e en pr sence de milieux r sistants Sable b ton granite calcaire sec et moins lev e en pr sence de milieux conducteurs Argile marne humique georadar com Tableau 4 77 Annexe 10 Radargrammes illustrant l importance de la nature du terrain et du post traitement sur les donn es extraites du g oradar Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 33 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux des Scien Institut National Conductivit R sistivit Constante di lectrique Sciences Appliqu es m 2 10 10 Calcaire sec id 4 10 10 j z 5 7 i 6 8 5 5 6 Gr s grio 210 500 3 10 4 5 Chartzite HSE 10 10 6 30 5 6 Eoches salines MEET ES 10 10 Glace 10 3 10 ia 3 10 10 Eau douce 104 10 E
193. un montant total de sssssssssessssssessssesssssssesescssssssossesess 43 762 50 HT Rendu des fichiers au format DWG dans le syst me Lambert 93 sous forme d une poly ligne 2D et emplacements des chambres par triangle valid par Graphland Ech ance 121 5 km le 17 02 2012 7 0 km le 24 02 2012 Restant a votre enti re disposition pour toutes pr cisions suppl mentaires et vous remerciant pour cette consultation Cordialement Fax 04 42 89 40 66 S A R L au capital de 114 000 Euros R C Marseille B 353 775 935 SIRET 355 3 755 vuuuu vuue Au 1112 7 Compte 30077 01010 0000250231 D 23 Soci t Marseillaise de Cr dit 7 Boulevard Gu rin 13600 La Ciotat Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 89
194. utilisation du mode Nul Manuel d utilisation du vLoc 50001 gt Le mode Large Maximum figure 12 en utilisant une seule antenne horizontale ce mode fournit une r ponse maximale au centre du signal re u Lorsque les c bles et canalisations sont enterr s des profondeurs importantes ce mode nous sert effectuer une premi re d tection grossi re avant de passer une configuration plus pr cise du r cepteur qui est le mode Max Enfin ce mode nous sert galement lors de la v rification de profondeur par la m thode de triangulation manuelle Figure 12 Sch ma d utilisation du mode Large Max Manuel d utilisation du vLoc 5000 gt Le mode Max figure 13 en utilisant deux antennes horizontales ce mode fournit aussi une r ponse maximale au centre du signal re u Il s agit bien du mode de localisation le plus pr cis des trois car nous nous servons de deux antennes permettant une identification remarquable du pic Figure 13 Sch ma d utilisation du mode Max Manuel d utilisation du vLoc 5000 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 30 INSA Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux Institut National les Sciences Appliqu es Lors d une prestation de d tection avec le mode Max il est primordial de r gler la sensibilit de d tection en choisissant la r ponse ad quate du signal Il est g n ralement conseill de travailler aux alentours de 70
195. utomatique 32 Photographie 5 Pr sentation du vLoc 5000 le vLoc Pro2 Vivax Metrotech du RD8000 PDL SPX et du CC ON e E E E 32 Soufiane LAQBAYLI Topographie 5 ann e 61 12 a 5 INSA As Etude d opportunit de d veloppement sur le march de la Topographie des r seaux aeneo les Sciences Appliqu es Photographie 6 Marquage au sol par bombe de peinture lors d un croisement d un r seau par g oradar 36 Photographie 7 Appareil HL 5000 H2 de localisation des fuites d eau par m thode acoustique ou gaz traceur SN E S A 39 Photographie 8 Instruments contribuant l laboration de la premi re exp rimentation fr radiodetection com ridgid com leica geosystems com d3e fr nnssnssssssssssssoeeerrnrsssesssssssssssseeeereee 40 Photographie 9 R alisation des deux tranch es d ploy es pour la premi re exp rimentation s0000 40 Photographie 10 G or f rencement des c bles tranch e ouverte suivant un rep re d un pas de 25 cm 41 Photographie 11 g olocalisation des c bles enterr s avec le syst me D3E 42 Photographie 12 Raccordement direct sur le c ble HTA nnsnonoseeeseessessesssssssessesssessseseseseseseeseeeeeeeeeereeeee 49 Photographie 13 R glage de la fr quence mission du g n rateur par des tests de mesures de profondeurs 49 Photographie 14 D tection et g or f
196. zones non c te c te et loign es les unes des autres de plus de 50 m tres S1 la DICT est dissoci e de la DT cette derni re doit tre envoy e en premier lieu Par ailleurs l emprise de travaux prendre en compte lors de l envoi de la DICT n est pas forc ment la m me que celle jointe la DT car elle est susceptible d tre modifi e suite la prise en compte des r sultats des IC par le responsable de projet N B Les d clarations sont renouveler si les travaux ne sont pas engag s dans les trois mois qui suivent la consultation du GU ou d un prestataire d aide la d claration sauf si la commande conclue avec l ex cutant de travaux pr voie une d rogation ce d lai II 2 1 4 Quand tre dispens d tablir les DT et DICT Il existe certains travaux qui ne sont pas concern s la proc dure DT DICT Il s agit selon l article 554 3 du d cret n 2010 1600 du 20 d cembre 2010 des gt Travaux qui ne suscitent pas d excavation d enfoncement ou de forage terrestre et n impliquant pas de compactage surcharge ou vibration du sol gt Travaux agricoles et horticoles concernant la surface des terres sans affectation du sous sol situ une profondeur de 40 cm ou plus Il s agit entre autres des travaux agricoles saisonniers tels que l arrosage et la r colte gt Travaux souterrains de modification ou d entretien des r seaux qui ne touchent ni leur int grit

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