Home

Renforcement des activités de l`Agence concernant les sciences, la

Contents

1. Int gration de consid rations relatives aux eaux souterraines dans la gestion int gr e du bassin du Nil qui a t approuv pour le cycle de CT pour 2009 2011 et qui est mis en uvre en partenariat avec le Fonds pour l environnement mondial FEM et le PNUD s est tenue GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 3 Page 4 Vienne en janvier 2009 Le projet vise fournir la base scientifique ainsi que l appui institutionnel et strat gique n cessaires pour int grer un aspect eaux souterraines dans la planification et la gestion de l cosyst me du Nil en tant que composante essentielle du d veloppement durable du bassin fluvial Les pays suivants y participent Burundi gypte thiopie Kenya Ouganda Rwanda Soudan R publique d mocratique du Congo et R publique Unie de Tanzanie Dans le cadre du m me partenariat AIEA FEM PNUD un autre projet r gional impliquant l rythr e l thiopie le Kenya l Ouganda et la R publique Unie de Tanzanie intitul ntroduction de l hydrologie isotopique pour l exploration et la gestion des ressources g othermales dans le syst me du Rift en Afrique est aussi en cours d ex cution 13 Un projet de coop ration technique sur les aquif res des gr s de Nubie AGN qui a t approuv en 2006 et qui est aussi ex cut en collaboration avec le FEM et le PNUD avec la participation de l gypte de la Libye du Soudan et du Tchad progresse Il a donn jusqu pr sent les r sultats
2. 15 ce jour plus de 25 tats Membres ont offert de collaborer avec le PACT selon diverses modalit s Les organismes de lutte contre le cancer de ces pays ont mis disposition leurs installations y compris leurs h pitaux et leurs centres de formation en r ponse l appel lanc par la Conf rence g n rale pour la fourniture d un appui au PACT Le PPO a visit un certain nombre d tablissements sp cialis s dans certains de ces tats Membres en vue d informer leurs responsables des plans du PACT et d explorer les domaines potentiels de collaboration Nombre de ces tablissements sont en mesure de jouer le r le de centres d excellence r gionaux pour la formation th orique et pratique la lutte contre le cancer 16 L obstacle primordial au renforcement des capacit s de lutte contre le cancer dans les pays revenu faible ou interm diaire qu il s agisse du traitement ou de la pr vention r side dans la formation th orique et pratique du personnel dans tous les domaines de la lutte contre le cancer cet gard la perte de sp cialistes form s r cemment au profit de pays revenus plus lev s est particuli rement pr occupante Pour mettre en place des moyens durables de lutte contre le cancer dans les pays revenu faible ou interm diaire il faut accro tre radicalement le nombre des professionnels form s la lutte contre le cancer Des installations et des outils accrus sont n cessaires pour
3. 2 Dans sa r solution GC 52 RES 12 A 4 la Conf rence g n rale a invit l INDAG continuer de servir de cadre des activit s de conseil et d examen concernant le dessalement nucl aire Le troisi me mandat de l INDAG s est achev fin 2008 Dans le cadre des efforts d harmonisation des mandats de tous les groupes de travail techniques du D partement de l nergie nucl aire une version r vis e du mandat de l INDAG rebaptis Groupe de travail technique sur le dessalement nucl aire TWG ND a t adopt e 3 Le TWG ND a tenu sa premi re r union en juillet 2009 Le huiti me bulletin d information sur le dessalement nucl aire sera publi en septembre 2009 C Activit s de l Agence 4 Conform ment la recommandation de PINDAG mentionn e dans la r solution GC 52 RES 12 A 4 l Agence labore actuellement un ensemble de documents et logiciel relatifs au dessalement nucl aire pour fournir des instructions sur le lancement de programmes de dessalement dans les tats Membres La premi re version a t diffus e en juillet 2009 L Agence continue de mettre jour et de r viser le logiciel d valuation GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 5 Page 2 conomique du dessalement DEEP avec l aide de consultants externes La nouvelle version DEEP 3 2 a t diffus e d but 2009 et a fait l objet d une analyse comparative pr liminaire Elle comporte de nouveaux gabarits permettant d inclure les cycl
4. e infrastructure industrielle pour appuyer les programmes lectronucl aires nationaux e gestion des activit s de choix des sites pour les centrales nucl aires et e interactions entre les r seaux lectriques et les centrales nucl aires B 4 Appui global en mati re d infrastructure 20 Conform ment l approche int gr e de l Agence pour le d veloppement de l infrastructure le NPSG coordonne l assistance fournie par l ensemble des d partements de l Agence dans le domaine du d veloppement de l lectronucl aire En vue de regrouper les informations provenant de diff rentes bases de donn es de toute l Agence ainsi que de planifier et d ex cuter plus efficacement ses activit s une base de donn es sur les bilans nationaux en mati re d infrastructure est mise en place actuellement sous les auspices du NPSG 21 L Agence dispense une formation l utilisation des outils de planification nerg tique afin d aider les tats Membres d terminer si l lectronucl aire a sa place dans leur bouquet nerg tique Sur les 80 pays participant au renforcement des capacit s de planification nerg tique dans le cadre de projets de coop ration technique 29 proc dent une valuation de l lectronucl aire 22 Le programme d assistance l gislative propose des s minaires annuels sur le droit nucl aire des ateliers et des s minaires nationaux et r gionaux une assistance bilat rale pour la r
5. la pr servation des connaissances nucl aires Depuis septembre 2008 elle a publi les documents suivants Planning and Execution of Knowledge Management Assist Visits for Nuclear Organizations AEA TECDOC 1586 Fast Reactor Knowledge Preservation System Taxonomy and Basic Requirements collection nergie nucl aire n NG T 6 3 et Development of Knowledge Portals for Nuclear Power Plants collection nergie nucl aire n NG T 6 2 Elle a effectu des visites d assistance au Kazakhstan et en Malaisie pour dispenser une assistance une formation et des conseils concernant les meilleures pratiques et strat gies en mati re de gestion des connaissances et a organis un cours r gional Vienne sur le d veloppement de la cyberplateforme et du t l enseignement du R seau asiatique d enseignement en technologie nucl aire ANENT au cours duquel les participants d Asie ont re u une formation l utilisation du portail et de la cyberplateforme de l ANENT En avril 2009 Agence a sign un accord avec l Institut cor en de recherche sur l nergie atomique pour assurer conjointement la maintenance et le fonctionnement du syst me web de l ANENT Elle a galement sign un accord en juin 2009 avec le R seau europ en pour l enseignement des sciences nucl aires en vue de renforcer la formation th orique dans le domaine nucl aire au niveau mondial notamment en laborant de nouveaux mat riels didactiques cours et programmes
6. En sus des innovations technologiques des approches innovantes sur le plan institutionnel pourraient tre essentielles pour l introduction de nouveaux mod les de r acteurs en particulier de r acteurs mobiles de faible ou moyenne puissance Un projet de publication sur les questions juridiques et institutionnelles li es aux installations nucl aires transportables a t tabli en 2009 Il examine les probl mes pr cis notamment les questions relatives la s ret la s curit aux garanties la responsabilit nucl aire et l infrastructure que posent les r acteurs fabriqu s dans une usine puis transport s jusqu au site de l utilisateur Dans le cadre du PC sur les probl mes de mise en uvre relatifs au recours l lectricit nucl aire dans les petits pays SMALL les pays participants d terminent les options applicables dans les petits pays en mati re de gestion des d chets les valuent et d terminent les nouvelles mesures institutionnelles et techniques requises ventuellement dans chaque cas B 6 Forum de dialogue de l INPRO 14 Le Forum de dialogue de INPRO fait suite sous une forme largie l ancienne activit de l INPRO relative aux crit res communs d utilisation Il a pour objectif de r unir les d tenteurs et les utilisateurs de technologie pour examiner les innovations tant techniques qu institutionnelles souha itables la planification nucl aire long terme au niveau natio
7. pid miologie du cancer organis s par le Centre international de recherche sur le cancer CIRC Par ailleurs 20 participants d Afrique et d Am rique latine ont t form s l assurance de la qualit en radioth rapie aux Laboratoires d Argonne aux tats Unis en 2008 5 la fin de 2007 et en 2008 le PACT a facilit la participation de 18 m decins et infirmi res de pays africains un atelier annuel au Burkina Faso sur l octroi de soins palliatifs Il a parrain la participation de sept responsables de la lutte contre le cancer de six pays africains au Congr s de l Organisation africaine pour la recherche et l enseignement sur le cancer DAREC ainsi que d un expert de chacun des six sites mod les au deuxi me Congr s international de la lutte contre le cancer tenu au Br sil la fin de 2007 6 Des repr sentants de quatre sites mod les ont pris part un forum sur la planification de la lutte contre le cancer organis Gen ve conjointement par l American Cancer Society ACS et le PACT l intention des pays en d veloppement avant le Congr s mondial sur le cancer 2008 de l Union internationale contre le cancer UICC auquel un repr sentant de chacun des six sites mod les a particip gr ce l aide fournie par le PACT Dans le cadre du programme de CT plusieurs sp cialistes africains du cancer ont re u en Afrique du Sud au Canada et en Inde une formation en physique m dicale et en radioth rapie fina
8. 25 L Agence contribue ces efforts notamment en fournissant une assistance en m decine radiologique travers des projets de CT avec l espoir que le financement n cessaire pour chaque site mod le proviendra de diverses sources y compris de donateurs locaux et ext rieurs Les appareils de radioth rapie dont a fait don MDS Nordion Best Medical dans le cadre du PACT ont t inaugur s en R publique Unie de Tanzanie et au Nicaragua en mai 2008 et mars 2009 respectivement L appareil de radioth rapie Bhabhatron offert par le gouvernement indien galement dans le cadre du PACT devrait tre inaugur au Vietnam au cours du troisi me trimestre de 2009 F Financement et mobilisation de ressources 26 Depuis le lancement du PACT les efforts d ploy s pour obtenir des ressources en sa faveur ont permis de recueillir des contributions volontaires des promesses de contributions des subventions des pr ts long terme et des dons en esp ces en mat riel et en nature sous forme de services d experts et de formations d un montant sup rieur 23 millions de dollars ou d en faciliter la mobilisation Ce montant comprend les contributions extrabudg taires re ues depuis septembre 2007 de 11 tats Membres En interne les contributions volontaires et les affectations de fonds provenant de l exc dent budg taire pour 2004 par 56 tats Membres la fin de septembre 2007 ont fourni le soutien indispensable pour tablir le Bureau du
9. France Inde Indon sie Italie Japon Kazakhstan Maroc Pakistan Pays Bas R publique de Cor e R publique tch que Slovaquie Suisse Turquie Ukraine et Commission europ enne CE B 2 valuations des syst mes d nergie nucl aire l aide de la m thodologie INPRO 7 Le manuel d utilisation de la m thodologie INPRO en neuf volumes intitul Guidance for the Application of an Assessment Methodology for Innovative Nuclear Energy Systems IAEA TECDOC 1575 a t publi en f vrier 2009 Ce manuel comprend un volume contenant un aper u g n ral et des volumes th matiques aspects conomiques s ret des r acteurs s ret du cycle du combustible environnement gestion des d chets r sistance la prolif ration protection physique et infrastructure La m thodologie INPRO peut servir pour des valuations des syst mes d nergie nucl aire l appui de la planification long terme et de la prise de d cisions concernant les programmes lectronucl aires aux niveaux national r gional ou mondial Elle convient la fois pour les pays ayant des programmes nucl aires bien tablis qui souhaitent valuer des syst mes d nergie nucl aire existants ou futurs et pour les pays qui souhaitent se lancer dans des programmes nucl aires nouveaux L Agence propose en outre pour ces valuations un module de soutien comportant une formation des missions d appui aux tats Membres et une aide pou
10. L Agence suit une approche int gr e et globale du renforcement de l infrastructure Cette approche fait appel aux comp tences disponibles dans tous les d partements de l Agence et l on a mis en place des m canismes destin s faciliter la coordination interd partementale notamment par l interm diaire du Groupe d appui l nergie d origine Dans le document intitul Situation internationale et perspectives de l lectronucl aire GOV INF 2008 10 GC S2YINF 6 il est indiqu que d apr s les pr visions basse et haute de l AIEA le nombre approximatif de nouveaux pays qui exploiteront des centrales nucl aires d ici 2030 serait compris entre 5 et 20 respectivement GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 8 Page 2 nucl aire groupe de coordination interne comptant des repr sentants de l ensemble de P Agence Pour plus de d tails voir la section B 4 ci apr s 5 En vue de favoriser l change d informations entre les tats Membres l Agence d veloppe ses bilans lectronucl aires nationaux en invitant d autres pays en train d introduire l lectronucl aire y contribuer en plus de ceux qui participent d j On actualise maintenant le format des bilans afin de pouvoir y faire figurer les informations fournies par les pays qui en sont aux stades de la planification de leur programme lectronucl aire 6 Afin d accro tre l efficacit de l assistance qu elle fournit aux tats Membres l Ag
11. PACT et le rendre op rationnel 27 Le solde du Fonds Nobel de l AIEA pour la nutrition et la lutte contre le cancer a servi financer des activit s r gionales de formation au titre du PACT Les dons mentionn s pr c demment du Fonds de OPEP pour le d veloppement international d un montant de 500 000 dollars l appui de trois sites mod les et de 300 000 dollars pour un projet a de CT relatif la conc roth rapie en Uruguay ont t transf r s l Agence en 2008 et 2009 Ainsi qu il a t indiqu plus haut les partenaires d ex cution du PACT en particulier l ACS PUICC et le NCI des tats Unis ont aussi aid financer des activit s travers un appui en nature pour la formation des missions imPACT et un soutien technique des tats Membres La valeur des contributions de ce type qui ont t apport es depuis 2007 est estim e plus de GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 8 1 million de dollars Les activit s de programmation du PACT ont en outre b n fici des comp tences d un radioth rapeute financ en partie par le gouvernement japonais depuis la fin de 2007 et d un sp cialiste de la lutte contre le cancer financ par le gouvernement suisse 28 Les initiatives du PACT ont par ailleurs facilit la mobilisation de ressources bilat rales Ainsi la coordination par le PPO de l appui apport l chelle de l Agence pour l laboration de propositions techniques sur la base des
12. Pozna Pologne en d cembre 2008 et la 17 session de la Commission du d veloppement durable CDD 17 New York en mai 2009 Lors de la COP 14 l Agence a organis deux manifestations parall les avec l Agence polonaise de l nergie nucl aire et PAEN Elle a galement fait para tre une publication sp ciale intitul e Climate Change and Nuclear Power 2008 qui fournit des informations sur tous les aspects de l lectronucl aire dans le contexte des pr occupations actuelles concernant les changements climatiques et expose les points de vue nationaux de sept pays Cette brochure confirme la diversit des raisons militant en faveur de l introduction ou du d veloppement de l lectronucl aire att nuation des changements climatiques s curit des approvisionnements nerg tiques instabilit des prix des combustibles fossiles et pollution atmosph rique r gionale notamment de m me que les pr occupations qui subsistent par exemple en mati re de s ret d exploitation de prolif ration et de stockage d finitif des d chets L Agence a accru encore sa visibilit conform ment ce que les tats Membres avaient demand en ouvrant sur place un centre d information qui a fonctionn pendant toute la conf rence pour distribuer des publications et r pondre aux questions Lors de la CDD 17 elle a organis une manifestation parall le sur les liens entre les strat gies concernant le climat l utilisation de
13. acteurs innovants Deuxi mement il a achev l tude de sc narios interr gionaux et intrar gionaux portant sur des syst mes nerg tiques aliment s par des r acteurs de faible puissance Troisi mement dans le cadre d un arrangement conclu avec l AEN plusieurs de ses participants ont pris part un exercice d analyse comparative de la circulation forc e et de la circulation naturelle d un caloporteur plomb bismuth s inspirant des essais r alis s dans la boucle HELIOS l Universit nationale de S oul R publique de Cor e Le rapport final sur ce PRC est en cours d laboration 6 L Agence a pr par un rapport sur les m thodes d valuation de la comp titivit des RFMP qui recense les m thodes mod les et outils d valuation de la comp titivit de l implantation de RFMP Elle y tudie les aspects qui sont importants lorsque l on compare un grand nombre de r acteurs de faible puissance avec un nombre plus restreint de r acteurs plus puissants notamment les conomies d chelle l acc l ration de l apprentissage gr ce la multiplicit des tranches le partage d installations sur un site la planification des tranches le calendrier des travaux de construction la simplification de la conception et l volution des taux d int r t pendant la construction 7 L Agence a entrepris une s rie d tudes de cas sur l implantation concurrentielle de RFMP pour diff rentes applications ex cut es par des quipes
14. aire de Shandong Elle a confirm la faisabilit de l utilisation du r acteur de chauffage nucl aire NHR 200 pour produire 120 000 m d eau dessal e par jour par distillation effets multiples et thermocompression de vapeur MED TVC ainsi que 250 000 m d eau dessal e par jour par le proc d hybride osmose inverse MED OI MED 15 En 2008 Cuba a achev l aide du logiciel DEEP de l AIEA une tude de faisabilit du dessalement de l eau de mer visant valuer le dessalement une chelle r duite des eaux saum tres de petites les faiblement peupl es M me si les r sultats de l tude ont exclu le recours l nergie nucl aire le logiciel DEEP a permis en particulier d identifier les variables ayant le plus d incidences sur le co t total de l eau pour les diff rentes solutions de dessalement GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 5 Page 4 16 La France continue d laborer des syst mes d appui technique aux tudes sur le dessalement nucl aire et collabore avec l Inde pour la validation et l application de mod les de traitement et la r cup ration d l ments pr cieux uranium germanium magn sium et rubidium par exemple pr sents dans la saumure produite lors du dessalement de l eau de mer Elle tudie galement avec la Libye la possibilit de coupler le r acteur nucl aire de recherche de Tajoura une unit exp rimentale de dessalement ainsi que la faisabilit de produire
15. appui pr op rationnel aux activit s relatives la TIS essentiellement en proposant une formation des services d experts et du mat riel 4 Fin 2008 l Agence et la Commission de l UA ont entrepris de resserrer leur partenariat en officialisant le cadre de collaboration appuyant la Campagne pana fricaine d radication de la mouche ts ts et de la trypanosomiase Dans le cadre de leurs politiques internes proc dures ressources et mandats respectifs PUA et l AIEA s emploient trouver un accord sur les questions et modalit s de coop ration suivantes a planification et mise en uvre de la collecte de donn es de r f rence et valuation de la faisabilit de campagnes de GIRER contre le probl me de la ts ts et de la trypanosomiase b laboration de descriptifs de projets appropri s pour solliciter les donateurs potentiels c assistance la formation et au renforcement des capacit s d suivi et valuation de l ex cution des projets de la PATTEC UA e planification laboration financement et conduite de cours f recherche appliqu e et mise au point et validation de m thodes pour rem dier aux lacunes et obstacles techniques et pour am liorer l efficacit et l efficience des projets op rationnels sur le terrain g participation mutuelle des r unions ateliers cours et autres activit s et manifestations en mati re de coordination des politiques de planification et de recherche et h appu
16. assurer la formation th orique et pratique de nouveaux sp cialistes de la radioth rapie dans leurs tablissements d origine autant que possible et aussi pour conserver le personnel existant en lui dispensant une formation professionnelle continue 17 En 2008 le PACT a lanc un projet destin acc l rer la formation th orique et pratique la lutte contre le cancer gr ce au concept de R seau r gional de formation en oncologie appuy par une Universit virtuelle de lutte contre le cancer afin de faire en sorte que les sommes investies dans les programmes de renforcement des capacit s la technologie et les installations pour lutter contre le cancer aient un impact maximal sur la sant publique et soient synergiques et durables D ici la fin de 2009 un plan relatif la cr ation titre exp rimental du premier centre r gional de formation la lutte contre le cancer sera achev et soumis en vue de son financement par le PACT et ses partenaires Des discussions avec les pays d accueil potentiels et avec l OMS et d autres partenaires du PACT ont d but la fin de 2008 en coordination avec la Division de la sant humaine pour concevoir le premier r seau r gional de formation la lutte contre le cancer et en planifier la mise en uvre L Agence d terminera les programmes d tude de base n cessaires dans les principales disciplines de la lutte contre le cancer qui pourraient tre enseign s par l interm
17. aux questions int ressant les pays qui envisagent de se lancer dans l lectronucl aire a eu lieu en novembre 2008 Mumbai Inde 24 En outre le Groupe d appui la formation th orique et pratique qui comprend des repr sentants de tous les programmes sectoriels contribue activement l harmonisation de la pr paration et de l application des mat riels de formation th orique et pratique destin s tre utilis s par les pays qui envisagent de se lancer dans l lectronucl aire C Futurs enjeux 25 Eu gard au fait que certains tats Membres pr voiront peut tre de commander leur premi re centrale nucl aire dans un proche avenir on s attachera plus particuli rement fournir davantage de conseils sur les besoins en mati re de pr paration de l infrastructure durant la phase qui suit la passation d un contrat pour la premi re centrale nucl aire Des orientations sp ciales fond es sur l exp rience internationale r cente seront labor es en vue d aider un pays g rer et ex cuter plus efficacement la phase de construction 26 En r ponse aux pr occupations concernant les ressources humaines n cessaires l appui des programmes lectronucl aires nouveaux et en expansion l Agence organisera une conf rence internationale sur la mise en valeur des ressources humaines pour l introduction et l expansion de programmes lectronucl aires Abou Dhabi mirats arabes unis en mars 2010 Cett
18. contre le cancer et l autre dans la r gion Asie et Pacifique intitul Appui la lutte contre le cancer au plan national Chaque projet vise aider les tats Membres tablir des plans strat giques nationaux tr s complets de lutte contre le cancer en favorisant l octroi de la formation n cessaire sur une base r gionale aux fins de la planification et de la mise en place de la lutte contre le cancer ainsi qu en rendant l Agence mieux m me de fournir des missions imPACT titre de service aux tats Membres Deux r unions r gionales de planification et de coordination ont t organis es avec l OMS et les tats Membres participants l une en gypte juin 2009 et l autre Vienne juillet 2009 et ont rassembl au total 76 participants d tats Membres d Afrique et d Asie Ces ateliers ont b n fici de l appui d experts d organismes partenaires du PACT comme les bureaux r gionaux de l OMS l ACS le CICR l UICC et le R seau international pour l tude et le traitement du cancer INCTR 11 L Agence a en outre collabor troitement avec l Organisation panam ricaine de la sant OPS l laboration d un projet sous r gional intitul Pr vention du cancer et soins anticanc reux complets en Am rique centrale et en R publique dominicaine dont la mise en uvre a d but en 2008 12 L Institut national fran ais du cancer INCa a fourni deux experts pour appuyer les r unions sur la plan
19. cours r gionaux en Asie et en Am rique latine sur le d veloppement de d p ts en surface ou en faible profondeur 13 En 2008 des p nuries de radio isotopes m dicaux et industriels importants en particulier de molybd ne 99 se sont produites cause de l indisponibilit r p t e de certains des quelques grands r acteurs de recherche vieillissants utilis s pour la production cet gard l Agence a publi en ao t 2008 un document intitul Optimization of Research Reactor Availability and Reliability Recommended Practices collection nergie nucl aire n NP T 5 4 qui rassemble les enseignements tir s de l exploitation de divers r acteurs de recherche tr s utilis s et recommande des pratiques pr cises pour les op rations et la maintenance en vue d am liorer la performance Elle organise galement un PRC sur la production de molybd ne 99 partir de cibles l uranium faiblement enrichi UFE 14 L Agence encourage la collaboration r gionale pour am liorer l utilisation des r acteurs de recherche de faible ou moyenne puissance En 2008 elle a organis une r union technique sur la planification strat gique de l utilisation des r acteurs de recherche dans la r gion m diterran enne qui a abouti la cr ation du R seau d utilisateurs des r acteurs de recherche de la M diterran e M RRUN Des associations de r acteurs de recherche ont galement t form es dans les r gions Eur
20. d tudes sur la fin de vie du second Ces PRC traiteront de la convection naturelle dans le r frig rant au niveau du pl num sup rieur de la cuve d un r acteur neutrons rapides refroidi par sodium de la r partition de la temp rature et de la puissance dans des situations hors quilibre et des ph nom nes de circulation naturelle du sodium dans le c ur des r acteurs neutrons rapides 19 Le troisi me PRC porte sur l utilisation d acc l rateurs pour simuler les effets des rayonnements sur les mat riaux Il a pour objectif d associer la simulation par acc l rateurs la mod lisation th orique des effets des rayonnements pour faciliter la mise au point de nouveaux mat riaux de structure r sistant aux rayonnements pour des syst mes nucl aires avanc s et sa premi re phase comporte des tudes d endommagement par irradiation sur de l acier renforc par dispersion d oxydes mat riau de structure avanc susceptible d tre utilis dans les assemblages combustibles pour r acteurs neutrons rapides refroidis par sodium et en fusion nucl aire 20 Le quatri me PRC nouveau qui porte sur la mod lisation du combustible des taux de combustion accrus traite des questions relatives au comportement du combustible des r acteurs eau ordinaire REO des taux de combustion tr s lev s c est dire sup rieurs 65 000 MW j t pour ce qui est des rejets de gaz de fission et des interactions m caniqu
21. d implantation concernant les RFMP dans les tats Membres d sireux d introduire ce type de r acteur l avenir iii les progr s r alis s dans la mise en uvre de cette r solution au Conseil des gouverneurs et la Conf rence g n rale sa cinquante troisi me session ordinaire 2009 La pr sente annexe r pond cette demande B Activit s de l Agence 2 L Agence continue de promouvoir la mise au point et l implantation de RFMP s rs s curis s conomiquement viables et r sistants la prolif ration et de pr ter assistance aux pays en d veloppement int ress s y compris pour le dessalement nucl aire et la production d hydrog ne voir annexe 5 dans le cadre des activit s du projet Technologies et questions communes aux RFMP financ par le budget ordinaire Ces activit s qui sont con ues pour favoriser la mise au point de technologies habilitantes essentielles et le r glement de probl mes d infrastructures primordiaux pour les diff rents types de RFMP innovants viennent compl ter le Projet international sur les r acteurs nucl aires et les cycles du combustible nucl aire innovants INPRO 3 Les activit s susmentionn es fournissent une assistance aux pays en d veloppement qui s int ressent aux RFMP en favorisant l change d informations et en ex cutant des recherches coordonn es sur certains sujets relatifs la mise au point et l valuation de la technologie GOV 2009 49
22. de l cher sur le terrain des mouches m les st riles lev es en masse 18 En f vrier 2009 le CIRDES a accueilli un atelier de formation de l Agence sur l isolement de l ADN et la d tection des agents pathog nes et des symbiotes chez la ts ts par amplification g nique PCR ainsi que la deuxi me RCR du PRC intitul Am lioration de la TIS appliqu e aux mouches ts ts gr ce des recherches sur leurs symbiotes et agents pathog nes Pendant l atelier huit participants de plusieurs tablissements collaborateurs africains ont t form s aux techniques mol culaires standard utilis es pour valuer la pr sence du virus des glandes salivaires chez la ts ts ainsi que les symbiotes de cette mouche La RCR s est pench e sur l tat de la recherche et de la mise au point de m thodes pour produire des connaissances sur le virus des glandes salivaires chez la ts ts et pour laborer des outils de gestion de ce virus et a valu le r le des agents pathog nes et des symbiotes dans les campagnes de gestion int gr e des populations de mouches ts ts l chelle r gionale comportant un volet TIS 19 L Agence a organis une r union de consultants Vienne du 6 au 8 f vrier 2009 sur l tablissement d une tude de conception pour un syst me de l chers a riens de mouches ts ts On a tir parti de l exp rience acquise dans le cadre de l chers de mouches des fruits et de lucilies bouch res adu
23. de l eau dessal e l aide d un r acteur eau sous pression REP 17 Le Japon continue exploiter des usines de dessalement dans dix r acteurs de puissance pour la production d eau d appoint 18 En avril 2009 l Inde a mis en service l unit de dessalement par distillation multiflash produisant 4 500 m d eau par jour situ e l usine de d monstration du dessalement nucl aire de Kalpakkam Cette usine de d monstration est coupl e la centrale nucl aire de Madras Il s agit du troisi me et du dernier en date des projets de d monstration du dessalement nucl aire men s avec succ s par l Inde dont la premi re usine de dessalement nucl aire par vaporation basse temp rature coupl e au r acteur de recherche CIRUS L Inde continue d tudier la possibilit de coupler une usine de dessalement nucl aire au r acteur de recherche Dhruva Trombay et d int grer une grande usine de dessalement son r acteur eau lourde avanc 19 Des tudes men es en Indon sie font appara tre que la part de l lectronucl aire en 2025 pourrait atteindre 4 de la production totale d lectricit L Indon sie pr voit de recourir l lectronucl aire en mode de cog n ration pour la production d lectricit et le dessalement de l eau de mer 20 Le Pakistan construit actuellement une usine de d monstration du dessalement l aide de la MED distillation effets multiples qui
24. de mer au moyen de l nergie nucl aire Celui ci porte principalement sur le recours aux nouvelles technologies pour un dessalement nucl aire plus s r et plus conomique et appuie les travaux de R D dans le domaine des technologies de dessalement nucl aire visant produire de larges volumes d eau dessal e de mani re conomique et durable Il est particuli rement adapt aux pays en d veloppement qui s int ressent l nergie nucl aire pour le dessalement de l eau de mer et la cog n ration GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 5 Page 3 D change d informations 10 L Agence continue offrir un cadre international pour l change d informations et de donn es d exp rience sur le dessalement nucl aire et notamment sur la conception l exploitation le couplage la s ret les impacts sociaux et environnementaux et la surveillance de l eau dessal e produite par les usines de dessalement 11 En mars 2009 en coop ration avec l Institut cor en de recherche sur l nergie atomique l Agence a organis une r union technique sur les applications non lectriques de l nergie nucl aire Daejeon R publique de Cor e La r union a principalement port sur le dessalement nucl aire et la production d hydrog ne et a notamment recommand l Agence de promouvoir une plus grande collaboration entre les tats Membres sur les applications non lectriques de l nergie nucl aire 12 Le site int
25. doit tre coupl e la centrale nucl aire de Karachi L installation devrait tre achev e et mise en service d ici la fin de 2009 21 La F d ration de Russie poursuit les travaux de construction d une centrale nucl aire de cog n ration mont e sur barge flottante pour la production de chaleur et d lectricit Cette installation fait appel au petit r acteur eau sous pression KLT 40S qui pourrait galement tre utilis pour le dessalement 22 La R publique de Cor e value actuellement les plans de la prochaine phase du projet SMART qui visera obtenir de l autorit charg e de la d livrance des licences l agr ment d un mod le type 23 Outre sa coop ration avec la France mentionn e plus haut la Libye utilise actuellement le progiciel commercial de simulation de processus APROS acquis dans le cadre d un projet de coop ration technique de l AIEA qui permet de mod liser et d analyser le couplage d usines de dessalement thermique et de r acteurs nucl aires Ce progiciel a t auparavant utilis pour valuer les donn es de conception d usines de dessalement thermique produisant 1200 m d eau dessal e par jour pr sentes sur le site industriel de production d eau par dessalement Tripoli Libye 24 Aux tats Unis dans le cadre du Partenariat mondial pour l nergie nucl aire GNEP le Laboratoire national d Argonne a achev d but 2009 une valuation conomique pour un pa
26. final sur la premi re activit intitul Common User Considerations CUC by Developing Countries for Future Nuclear Energy Systems Report of Stage 1 Cette derni re publication pr sente les conclusions d experts de pays en d veloppement qui envisagent de se doter de centrales nucl aires court terme ou qui font des pr visions l horizon 2050 12 L Agence a tenu en d cembre 2008 un atelier technique consacr essentiellement la m thodologie d valuation aux missions INIR et aux fonctions des organismes d application du programme d nergie nucl aire NEPIO Cet atelier qui a t coparrain par les gouvernements du Canada de la Chine des Etats Unis d Am rique de la F d ration de Russie de la France de l Inde du Japon et de la R publique de Cor e a rassembl plus de 40 tats Membres et a confirm que l approche par tapes expos e dans le document intitul Milestones in the Development of a National Infrastructure for Nuclear Power et les documents connexes tait largement utilis e B 3 Documents en pr paration 13 Un nouvelle base de donn es accessible en ligne qui sera disponible d ici la fin de 2009 fournira des informations techniques approfondies et jour sur la situation en ce qui concerne les diverses options existantes et en cours d laboration dans le monde entier en mati re de technologie nucl aire Elle est destin e principalement aux pays envisageant d
27. il ne soit pas un tat Membre de l AIEA le Swaziland participera au projet en utilisant la fois ses propres ressources et une aide fournie par des partenaires comme l OMS GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 1 Page 6 octroy dans le cadre de la PATTEC Gr ce aux ressources allou es au titre du projet r gional de CT sur la ts ts et la contribution d un expert en g nie de l quipement d autres conseils ont t fournis au Burkina Faso pour la conception d une nouvelle installation d levage en masse de ts ts et une liste d taill e a t dress e pour lachat d quipements destin s aux insectariums gr ce au pr t de la BAfD 17 La derni re r union de coordination de la recherche RCR du projet de recherche coordonn e PRC portant sur l am lioration et l harmonisation du contr le de la qualit des activit s largies de production de st rilisation et d utilisation sur le terrain de la ts ts s est tenue Addis Abeba thiopie du 13 au 17 octobre 2008 Ce PRC a produit des normes en mati re d information et de contr le de la qualit pour a le traitement et la gestion de l alimentation en sang des mouches ts ts b l quipement et le mat riel des insectariums pour la ts ts c les proc dures d levage en masse de la ts ts d la compatibilit et la comp titivit des mouches m les lev es en masse pour l accouplement et e les proc dures standard de gestion et
28. of Damaged Nuclear Fuel et Costing of Spent Fuel Storage Dans le cadre d un PRC sur l valuation de la performance du combustible us et la recherche dans ce domaine SPAR II on a proc d l examen final des r sultats de la compilation et de l valuation de l exp rience de diff rents pays ayant des installations d entreposage du combustible us en piscine et sec On a accord une attention prioritaire aux m canismes de d gradation affectant les mat riaux d l ments combustibles aussi bien intacts qu endommag s Un nouveau PRC SPAR IIL a t lanc en 2009 Ses travaux portent sur le m me sujet mais mettent l accent sur l entreposage long terme Les pr paratifs de la Conf rence internationale sur la gestion du combustible us des r acteurs de puissance qui se tiendra du 31 mai au 4 juin 2010 Vienne Autriche ont commenc 11 Le R seau international pour le d classement IDN a t cr lors de la 51 session de la Conf rence g n rale en 2007 en vue d am liorer la circulation des connaissances et des donn es d exp rience entre ceux qui s occupent du d classement et d encourager les organismes des tats Membres d velopp s contribuer aux activit s des tats Membres ayant besoin d assistance en mati re de d classement Il dispense une formation pratique aux planificateurs et responsables dans ce domaine afin d acc l rer le d classement des installations nucl a
29. pour l ANENT 6 Gr ce des examens par des pairs des bases de donn es des formations des PRC ainsi qu la publication de documents d orientation technique et de r f rence l Agence aide les tats Membres int ress s am liorer la performance des centrales nucl aires en exploitation Les documents publi s depuis septembre 2008 portent sur la surveillance en direct pour l am lioration de la performance collection nergie nucl aire n NP T 1 1 et NP T 1 2 le remplacement des composants lourds collection nergie nucl aire n NP T 3 2 le r le des syst mes de contr le commande dans les projets d augmentation de la puissance collection nergie nucl aire n NP T 1 3 l introduction de syst mes num riques de contr le commande collection nergie nucl aire n NP T 1 4 les effets de la fragilisation par irradiation de l acier des cuves sous pression des r acteurs collection nergie nucl aire n NP T 3 11 et la maintenance ax e sur la fiabilit TECDOC 1590 Avec la collaboration de l AEN et du Centre commun de recherche de la Commission europ enne deux PRC sur les analyses techniques d taill es de l int grit structurelle des cuves sous pression des r acteurs ont t achev s 7 L int r t pour la prospection l extraction et la production d uranium continue de cro tre Depuis septembre 2008 des r unions sur la prospection d uranium les meilleures pratiques en mati r
30. tre des taux de survie et de dispersion plus lev s que pr vu La pr paration de la phase TIS op rationnelle propos e contre la ts ts se pr sente ainsi sous de bons auspices GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 1 Page 4 11 Un examen externe et interne g n ral men en 2003 2004 sur les activit s de l Agence relatives la mouche ts ts a notamment conduit poser le principe selon lequel l Agence doit contribuer aux efforts des tats Membres visant cr er des zones exemptes de mouche ts ts selon une approche progressive et conditionnelle de la planification et de la mise en uvre comportant quatre phases Comme il est propos que le STEP passe la phase op rationnelle 4 le Bureau des services de supervision interne OIOS de l Agence a organis fin 2008 un examen externe de l tat d avancement de ce projet en vue de d terminer si toutes les conditions taient r unies pour que l Agence fournisse une assistance pour la phase op rationnelle 4 comportant un volet TIS L examen a port sur des aspects ayant trait la gestion l administration et la logistique ainsi que sur des questions techniques et a permis de conclure que bien que la zone du projet semble se pr ter la cr ation d une zone exempte de mouches ts ts qu un personnel d vou soit disponible pour le projet et que le laboratoire et les activit s de terrain du STEP aient enregistr des progr s importants plusieurs que
31. veloppement En 2009 le PPO a particip au Sommet mondial LIVESTRONG sur le cancer tenu Dublin Irlande L Agence a par ailleurs conclu un accord avec une soci t ind pendante du secteur des m dias et de la communication le mondofragilis Group pour la r alisation conjointement avec le CIRC et l UICC du documentaire intitul Cancer is 2008 afin de sensibiliser au cancer et la situation internationale en mati re de lutte contre cette maladie Le PACT apporte en outre des contributions aux fins de l examen des Objectifs du Mill naire pour le d veloppement qui aura lieu au sein du Conseil conomique et social de l ONU en 2009 et encourage faire du cancer une priorit pour les pays en d veloppement Il a par ailleurs tenu des s ances d information et des r unions avec des organismes bilat raux de d veloppement en vue de sensibiliser aux initiatives de lutte contre le cancer et d obtenir un appui en leur faveur 33 Le PACT continue consacrer des ressources la communication par le biais de son site web qui est mis jour continuellement avec des nouvelles des informations et des descriptifs concernant les activit s r gionales et de projet et qui donne acc s aux ressources et aux publications Ce site web accueille de plus en plus de visiteurs et devrait devenir terme une plateforme importante pour la collecte de fonds En outre on a tabli une brochure des affiches et des mat riels d information sur
32. 6 Un nouveau rapport de la collection Energie nucl aire consacr la participation des parties prenantes fournira des informations sur l association des parties prenantes y compris le public au processus de planification pour une premi re centrale nucl aire 17 Un autre rapport nouveau de la collection nergie nucl aire sur l valuation de la technologie pr sentera des outils permettant de choisir en connaissance de cause entre les divers mod les de r acteurs disponibles en proposant des orientations techniques et une d marche syst matique applicable quel que soit le mod le 18 L Agence tablit en outre une vaste tude sur les m thodes de construction actuelles classiques et avanc es et leur application ventuelle pour la construction de nouvelles centrales nucl aires Ce rapport incorporera les donn es d exp riences et les enseignements tir s de projets r cents de construction nucl aire et d crira les avantages et les inconv nients de chacune de ces techniques de diff rents points de vue tels que les d penses d investissement et les co ts de construction le calendrier et l assurance de la qualit 19 On a en outre commenc travailler quatre autres rapports devant tre publi s en 2010 sur les questions suivantes e diff rentes formes de contrats et de propri t possibles pour les centrales nucl aires comme les contrats construction propri t exploitation et la propri t r gionale
33. GC 53 3 Annexe 7 Page 2 pour ces r acteurs Elles impliquent une participation active d experts tant de pays en d veloppement que de pays d velopp s 4 L Agence a labor un rapport sur les caract ristiques nominales pour la mise en uvre de la d fense en profondeur de r acteurs de petite ou moyenne puissance qui sera publi en 2009 dans la collection nergie nucl aire sous la cote NP T 2 2 Elle y pr sente des m thodes pour mettre en uvre la d fense en profondeur dans les RFMP conform ment aux d finitions et recommandations figurant dans la norme de s ret de l AIEA NS R 1 aidant ainsi les ventuels utilisateurs de RFMP innovants valuer le potentiel technique d ensemble des RFMP dot s de caract ristiques nominales de s ret passive y compris leurs possibles impacts dans des domaines autres que celui de la s ret Dans ses annexes elle y d crit les tudes conceptuelles et les caract ristiques nominales de suret de 11 mod les avanc s de RFMP repr sentant 5 fili res 5 En 2009 l Agence ach vera un projet de recherche coordonn e PRC sur des r acteurs de faible puissance sans rechargement sur place auquel participent 16 tablissements de neuf tats Membres de l AIEA Le PRC a couvert plusieurs domaines Premi rement il a permis de mettre au point et de tester une m thode tenant compte du risque pour justifier une r duction de la planification des interventions d urgence hors site pour les r
34. L Agence a pos un jalon important en permettant aux tats Membres d avoir plus facilement acc s l analyse des isotopes stables dans des chantillons d eau un nouvel instrument pour l analyse isotopique qui recourt une technique de spectroscopie laser a t test et adapt leur intention Cet appareil qui co te environ le quart du prix des spectrom tres de masse actuels permet d effectue des analyses quivalentes des co ts d exploitation et de maintenance tr s faibles L Agence aide les tat Membres lorsqu il y a lieu l acqu rir dans le cadre de leurs projets de coop ration technique Une vingtaine d entre eux devraient se le procurer et commencer l utiliser avant la fin de 2009 8 Des scientifiques techniciens des tats Membres ont t form s l utilisation de cet instrument l valuation des r sultats et aux proc dures de contr le de la qualit au cours de plusieurs activit s de formation de l AIEA Cette derni re a aussi labor un guide audiovisuel montrant comment assembler mettre en service et utiliser l instrument qu elle mettra bient t la disposition des tats Membres 9 En 2008 l Agence a achev un PRC visant comprendre la dynamique des cycles de l eau et du carbone dans l atmosph re l aide d isotopes Neuf pays ont particip la collecte de plus de 10 000 chantillons d humidit de l air et d eau des plantes sur 51 sites Les r sultats ont p
35. S pour estimer les co ts des r acteurs refroidis par gaz et l application ventuelle des normes de s ret de l Agence pour l examen de certains syst mes de r acteurs du GIF L Agence a dispens une formation l utilisation de l ECONS plusieurs tats Membres et un atelier a t organis cette fin en octobre 2008 L atelier a mis un vidence les am liorations apporter au logiciel pour mieux analyser les mod les plusieurs tranches les mod les modulaires et les mod les de cog n ration GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 7 Page 1 R acteurs de faible ou moyenne puissance RFMP Mise au point et implantation A Contexte 1 Dans la r solution GC S1YRES 14 B 2 la Conf rence g n rale a pri le Directeur g n ral de continuer promouvoir la mise au point de RFMP s rs s curis s conomiquement viables et r sistants la prolif ration y compris pour le dessalement et la production d hydrog ne l a invit mobiliser des fonds d amor age et obtenir un financement appropri aupr s de sources extrabudg taires pour contribuer l ex cution de toutes les activit s de l Agence li es la mise au point et facilitant l implantation de RFMP innovants l a pri de faire rapport sur i la situation du programme lanc pour aider les pays en d veloppement int ress s par les RFMP ii les progr s enregistr s dans les activit s de recherche d veloppement de d monstration et
36. a base de la demande de financement qu il a adress e initialement l Union europ enne Conjointement cela le r seau r gional de formation en oncologie mentionn au paragraphe 17 ci dessus sera mis en place Des propositions de financement ont d j t labor es et soumises un donateur potentiel et d autres sont en pr paration 31 La cr ation d un fonds de dotation le Fonds du PACT la Fondation nationale pour la recherche sur le cancer NFCR offrira un cadre aux donateurs tant individuels qu institutionnels des tats Unis pour la fourniture d un appui en faveur d initiatives du PACT La collecte de fonds priv s aux tats Unis a t lanc e au Si ge de l Organisation des Nations Unies New York en octobre 2007 par le Directeur g n ral de l AIEA l occasion GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 9 d une manifestation qui a rassembl plus de 80 sp cialistes minents du cancer militants et philanthropes La NFCR a offert plusieurs reprises des fonctionnaires du PPO la possibilit de d velopper les relations avec des donateurs potentiels aux tats Unis gr ce notamment leur participation une r union de haut niveau sur la recherche d veloppement en oncologie En d cembre 2008 l occasion d une visite du Directeur g n ral Monaco Son Altesse S r nissime le Prince Albert II de Monaco a offert un d ner de gala Monte Carlo pour pr senter le PACT des donat
37. a question C Programme commun OMS AIEA de lutte contre le cancer 19 En s appuyant sur la coop ration sans cesse croissante avec les bureaux r gionaux de POMS et le CIRC dans la coordination des examens imPACT et la mise en uvre des initiatives du programme relatif aux sites mod les et conform ment plusieurs r solutions des organes directeurs tant de POMS que de l Agence des arrangements relatifs un programme commun OMS AIEA de lutte contre le cancer sont entr s en vigueur le 12 mars 2009 la suite de leur signature par les directeurs g n raux des deux organisations Ce programme commun a pour objectif g n ral d intensifier l laboration et la mise en uvre de vastes programmes nationaux de lutte contre le cancer et notamment le d veloppement des capacit s en mati re de canc roth rapie l accent tant mis en particulier sur les pays revenu faible ou interm diaire 20 Les principaux domaines d int r t commun sur lesquels porte ce programme sont les suivants i mise en place et renforcement des capacit s en mati re d enregistrement des cas de cancer et de planification de la lutte contre le cancer ii renforcement de l appui fourni aux pays mettant en uvre des mesures et des interventions de pr vention du cancer iii fourniture d un appui aux pays tablissant et valuant des programmes de d tection pr coce afin que les cancers curables soient diagnostiqu s en temps voulu iv accroiss
38. ageurs l chelle r gionale GIRER en vue de cr er dans certaines r gions des zones exemptes de mouches ts ts et de la maladie qu elles transmettent contribue la solution d un probl me cl la base de la pauvret rurale et de l ins curit alimentaire 3 L ann e derni re l Agence a continu de renforcer son partenariat avec la PATTEC UA et de contribuer la mise en uvre du plan d action de cette derni re travers trois projets r gionaux de coop ration technique dont deux ont t approuv s pour le cycle de coop ration GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 1 Page 2 technique CT 2009 2011 L appui de l Agence est fourni par le biais de projets nationaux de CT sur la ts ts au Botswana en thiopie au Kenya en Ouganda au S n gal au Tchad et au Zimbabwe En outre d autres tats Membres touch s par la mouche ts ts comme le Burkina Faso et la R publique Unie de Tanzanie ont b n fici d un appui dans le cadre d un projet r gional de CT sur la ts ts L un des nouveaux projets r gionaux de CT dans ce domaine r pond express ment la n cessit de lutter contre l infestation d une zone transfrontali re commune l Afrique du Sud et au Mozambique par cette mouche Au titre de ces projets nationaux et r gionaux contre la ts ts l Agence a continu d aider les pays b n ficiaires en mati re d tudes de faisabilit de renforcement des capacit s et d
39. apie Theratronics de MDS Nordion en 2008 Un accord largi de donateur est en cours de n gociation avec Best Medical GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 7 sensibilisation et de mobilisation de ressources aux fins de la mise en uvre du programme national de lutte contre le cancer Les projets des sites mod les ont mis en vidence les progr s qui peuvent tre r alis s en mettant profit les synergies existant entre les partenaires internationaux pour collaborer avec les homologues nationaux dans les pays revenu faible ou interm diaire La plupart des sites mod les ont tabli des comit s directeurs qui laborent des strat gies et des plans d action nationaux de lutte contre le cancer qu ils recommandent pour adoption et ex cution par leur gouvernement Des propositions de projets pr cises ont t tablies pour certains volets des programmes de lutte contre le cancer en Albanie au Nicaragua et en Tanzanie et ont t financ s en partie par des dons du Fonds de l OPEP pour le d veloppement international et l Association f minine de l ONU Les sites mod les aident d j sensibiliser les donateurs et le public en faveur des futures initiatives nationales r gionales mondiales financer au moyen de dons plus importants Une fois que les sites mod les auront t pleinement valu s au cours des cinq ann es venir cette formule pourrait tre transpos e avec succ s dans d autres pays faibles ressources
40. ati res premi res la viabilit long terme de l lectronucl aire y ont t abord s 9 En mai 2009 l AIEA a organis la Conf rence internationale sur la rem diation des terres contamin es par des r sidus radioactifs Astana Kazakhstan Cette conf rence a port sur les nouvelles technologies la planification du cycle de vie les m canismes de financement les questions de r glementation et la participation des parties prenantes voir galement GC S3 INF 2 En outre l Agence a prorog un projet r gional de CT lanc en 2005 faisant intervenir les quatre tats Membres d Asie centrale dans la rem diation de sites d extraction et de traitement de l uranium Ce projet a notamment pour objectif d laborer un cadre r glementaire coh rent dans toute la r gion ainsi qu un plan d action g n ral pour la pleine mise en uvre des programmes environnementaux 10 Le volume total du combustible us entrepos continue de cro tre et les p riodes d entreposage escompt es continuent de s allonger pour atteindre 100 ans Des activit s de l Agence portent sur les techniques d entreposage du combustible us et le comportement long terme du combustible us et des composants des d p ts Depuis septembre 2008 l Agence a publi le document Spent Fuel Reprocessing Options AEA TECDOC 1587 Deux documents ont t approuv s pour publication mais n ont pas encore t publi s Management
41. ation et la transmutation d actinides mineurs et de certains produits de fission longue p riode ainsi que la technologie des acc l rateurs Une r union satellite sp ciale intitul e Projets europ ens de r acteurs de transmutation neutrons rapides MYRRHA XT ADS a t consacr e plus particuli rement aux mod les de r acteurs fission rapides et aux cycles du combustible susceptibles de r duire les inventaires de combustible us et le volume de d chets de haute activit gr ce l utilisation d isotopes fissiles L Agence collabore avec le Centre international de physique th orique CIPT de Trieste pour la formation th orique et pratique concernant les syst mes hybrides L Atelier avanc sur les codes types pour les r actions de spallation et l Atelier sur les donn es concernant les r actions nucl aires pour les technologies des r acteurs avanc s en fournissent deux exemples r cents GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 6 Page 6 23 Depuis septembre 2008 l Agence a publi des rapports sur les options en mati re de retraitement du combustible us IAEA TECDOC 1587 et sur les applications avanc es des centrales nucl aires refroidies par eau IAEA TECDOC 1584 Ce dernier rapport examine la possibilit d tendre l utilisation des r acteurs refroidis par eau au dessalement de l eau de mer au chauffage urbain la fourniture de chaleur pour des processus industriels et la fourniture d l
42. bjectif d valuer les pratiques actuelles en mati re d utilisation de l eau de d finir des strat gies de conception et d exploitation pour accro tre l utilisation rationnelle de l eau et de proposer des moyens de promouvoir la gestion de l eau dans les centrales nucl aires moyen et long termes 7 L Agence a mis au point et publi un document de la collection nergie nucl aire sur les impacts environnementaux du dessalement nucl aire Le rapport porte la fois sur ses impacts n gatifs tels que la pollution saline et sur ses impacts b n fiques comme la conservation des ressources naturelles existantes en eau Il donne des instructions pr liminaires pour l valuation des impacts environnementaux et socio conomiques dans le cadre d une tude int gr e de faisabilit du dessalement nucl aire 8 Le projet de recherche coordonn e PRC sur les progr s dans les applications de la chaleur industrielle d origine nucl aire devrait s achever en 2009 Il a pour objectif d valuer les applications possibles de la chaleur basse et haute temp ratures fournie par des r acteurs haute temp rature pour la production d hydrog ne nucl aire et dans le cas de la chaleur r siduelle pour le dessalement de l eau de mer Un document technique faisant tat des r sultats du PRC est en cours d laboration 9 En 2009 l Agence a lanc un nouveau PRC sur Jes nouvelles technologies de dessalement de l eau
43. butions volontaires pour ses travaux sur des RFMP innovants Jusqu pr sent aucune contribution n a t re ue C Activit s des tats Membres 12 Plusieurs tats Membres ont des mod les de RFMP pr ts tre implant s Il s agit notamment des r acteurs eau lourde sous pression RELP CANDU 6 650 MWe d EACL au Canada et des RELP 202 et 490 de NPCIL en Inde ainsi que des mod les de r acteurs chinois eau sous pression de 300 MWe et de 610 MWe 13 Les travaux de construction r cemment entrepris de RFMP eau lourde sous pression en Inde et en Roumanie se d roulent dans les d lais et selon le budget tabli Les discussions sur deux r acteurs suppl mentaires CANDU 6 en Roumanie en sont un stade avanc 14 Des RFMP innovants sont en train d tre mis au point pour toutes les principales fili res de r acteurs et certaines combinaisons non traditionnelles Plus de 45 concepts et mod les sont actuellement diff rents stades d avancement dans le cadre de programmes de recherche d veloppement R D nationaux ou internationaux impliquant aussi bien des pays d velopp s que des pays en d veloppement La plupart pr voient la possibilit d tre destin s des applications non lectriques comme le dessalement nucl aire ou la production d hydrog ne ou facilitent explicitement ces applications Les paragraphes suivants r capitulent ceux d entre eux qui ont soulev le plus d int r t La p riode fix
44. ce minist rielle ont eu lieu Istanbul Turquie en mars 2009 Les ministres de l eau de pr s d une centaine de pays ont notamment examin les questions ci apr s en tant qu aspects importants des grandes priorit s internationales dans le domaine de l eau i am lioration de la compr hension des impacts du changement climatique et des modifications de l utilisation des sols sur les ressources en eau GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 3 Page 2 les processus hydrologiques naturels et les cosyst mes ii valuation de l volution des conditions hydrologiques des v nements hydrologiques extr mes et de la forme et de la fonctionnalit de l infrastructure existante dans le contexte de la compr hension des impacts du changement climatique et des modifications de l utilisation des sols sur les ressources en eau iii appui aux recherches scientifiques la formation ainsi qu la mise au point et l adoption de nouvelles technologies dans le domaine de l eau et promotion de leur emploi pour une utilisation et une gestion durables des ressources en eau B 1 Sensibilisation aux travaux de l Agence et r le de l hydrologie isotopique dans la gestion des ressources en eau 4 Plusieurs activit s ont t ex cut es au titre du programme de l AIEA sur les ressources en eau l occasion des manifestations internationales susmentionn es pour sensibiliser aux travaux de l Agence et au r le de l hydrologie isotopique dans la gestion d
45. ces de la technologie et des applications nucl aires figurent dans le Rapport d ensemble sur la technologie nucl aire 2009 GC 5S3YINF 3 dans le Rapport annuel pour 2008 GC 53 7 en particulier dans la partie Technologie et dans le Rapport sur la coop ration technique pour 2008 GC S3YINF 4 Recommandation e Il est recommand que le Conseil prenne note des annexes 1 8 du pr sent rapport et autorise le Directeur g n ral pr senter le rapport la Conf rence g n rale sa cinquanti me troisi me session GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 1 Page 1 Appui la Campagne panaf ricaine d radication de la mouche ts ts et de la trypanosomiase de l Union africaine PATTEC UA A Contexte 1 sa cinquante deuxi me session en octobre 2008 la Conf rence g n rale dans sa r solution GC 52 RES 12 A 3 a engag les tats Membres renforcer leur appui technique financier et mat riel aux actions que m nent les tats africains en vue de la cr ation de zones exemptes de mouches ts ts et a pri le Secr tariat en coop ration avec les tats Membres et des organisations internationales de renforcer par le biais du budget ordinaire du Fonds de coop ration technique et d autres partenariats son appui aux activit s de R D et au transfert de technologie dans les tats Membres africains afin de compl ter les actions qu ils m nent pour cr er et tendre ult rieurement des zones exemptes de mouc
46. daction et l examen de lois nationales ainsi que des formations individuelles Ce programme couvre toutes les branches du droit nucl aire savoir la s ret nucl aire la s curit nucl aire les garanties et la responsabilit en mati re de dommages nucl aires En GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 8 Page 5 outre le Bureau des affaires juridiques tablit un deuxi me volume du manuel de droit nucl aire qui portera sur tous les l ments d un cadre juridique national complet en mati re nucl aire 23 Dans le domaine de la s ret l Agence tablit actuellement un nouveau guide de s ret sur l infrastructure qui fournira une feuille de route concernant les normes de s ret l intention des pays qui se lancent dans une premi re centrale nucl aire Le projet sera examin par plusieurs comit s de s ret en 2009 et 2010 Dans le prolongement de deux ateliers qui se sont tenus en juillet et d cembre 2008 respectivement un atelier sur les nouveaux venus dans le domaine nucl aire et les actions de coop ration internationale qui doit avoir lieu en novembre 2009 se penchera sur les besoins des nouveaux venus et sur les moyens d changer des donn es d exp rience et de renforcer la coop ration entre les pays fournisseurs et les nouveaux venus Une conf rence internationale sur l assurance de la s ret aux fins d un d veloppement nucl aire durable dans le cadre de laquelle une s ance sp ciale a t consacr e
47. de sp cialistes d tats Membres Ces tudes portent notamment sur la mise au point d un logiciel pour un mod le ouvert c est dire tr s flexible et adaptable destin analyser l int r t d investir dans les RFMP comparer ces derniers des r acteurs plus puissants et valuer une chelle nationale leur comp titivit pour diverses applications Les r sultats seront r capitul s dans un rapport de la collection nergie nucl aire et le logiciel qui est en cours d laboration sera mis la disposition des tats Membres 8 Avec la participation de huit tablissements de recherche d Argentine de France d Inde d Italie de la F d ration de Russie et des tats Unis l Agence a lanc un nouveau PRC sur l laboration de m thodologies pour l valuation de la performance des syst mes de s ret passive dans les r acteurs avanc s dont l objectif principal est de d terminer des analyses et des essais communs pour valuer la fiabilit de ces syst mes Ce PRC ex cut en coop ration avec le D partement de la s ret et de la s curit nucl aires faciliterait le recours des GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 7 Page 3 m thodes tenant compte du risque pour l optimisation de la conception et l homologation sur le plan de la s ret de futurs r acteurs avanc s y compris des RFMP contribuant ainsi renforcer la s ret et am liorer la rentabilit 9 En sus des innovations techno
48. derni res ann es des donn es de r f rence ont t collect es sur la r partition de la population cible de Glossina palpalis gambiensis la g n tique des populations de ts ts et la pr valence du nagana chez le b tail Gr ce ces donn es la zone totale d intervention dans les r gions des Niayes au nord de Dakar et de La Petite C te au sud est de Dakar a t estim e 1300 km Des activit s de r duction seront lanc es dans des exploitations commerciales fin 2009 S agissant du volet TIS des l chers exp rimentaux sont pr vus au deuxi me semestre de 2009 dans certaines zones des Niayes avec des m les st riles provenant du Centre international de recherche d veloppement sur l levage en zone sub humide CIRDES au Burkina Faso cet gard le Laboratoire FAO AIEA d agronomie et de biotechnologie tabli Seibersdorf et le CIRDES ont commenc laborer et valider des m thodes de transport longue distance de m les st riles r frig r s Il est pr vu de proc der des l chers op rationnels dans la zone du projet en 2010 13 L irradiateur au c sium 137 utilis au CIRDES pour les activit s de TIS ayant d pass sa dur e de vie pr vue l Agence contribue aux efforts visant tudier des options pour le stockage d finitif de la source vis e et obtenir en remplacement une source de rayons X Afin d viter que les activit s de TIS ne soient de ce fait perturb es pendant c
49. des sciences slovaque Smolenice 7 et 8 mai 2009 6 Compte tenu de la n cessit de dispenser une formation aux coordonnateurs nationaux des projets de la PATTEC UA non seulement sur les questions techniques mais aussi sur les principes de gestion des projets le bureau de coordination de la PATTEC UA a organis en collaboration avec le Management Development Institute MDI et avec le parrainage de la GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 1 Page 3 Banque arabe pour le d veloppement conomique en Afrique BADEA un cours portant sur la gestion strat gique de projets approche m thodologique de la lutte contre la mouche ts ts et de son radication Manzini Swaziland 23 f vrier 13 mars 2009 L Agence a fait dans le cadre de son projet r gional de CT sur l Appui l emploi de la technique de l insecte st rile pour la lutte l chelle d une r gion contre la mouche ts ts et la trypanosomose phase Il plusieurs expos s sur les principes de planification des op rations de GIRER contre la ts ts et l option d une composante TIS et sur les principes de gestion dans le cadre de programmes grande chelle de lutte et d radication d insectes 7 Fin 2008 le guide FAO AIEA pour les tudes de r f rence sur la ts ts dans le cadre de la lutte int gr e contre les ravageurs l chelle d une zone a t publi dans la collection Production et sant animales de la FAO puis diffus aupr s des ch
50. diaire de l universit virtuelle au moyen de mat riels standardis s existants et nouveaux Le projet de l universit virtuelle devrait tre ex cut au cours du cycle 2010 2011 Certains donateurs ont d j fait savoir qu ils souhaitaient collaborer avec l Agence sur ce projet 18 En avril 2009 le PACT et la Division de la sant humaine ont accueilli durant la Conf rence internationale sur les progr s en radio oncologie une manifestation parall le au cours de laquelle d minents experts et de grands fabricants de mat riel de diagnostic et de radioth rapie ont t invit s d battre de la mise au point de mat riel de canc roth rapie qui soit abordable pour les pays en d veloppement et adapt techniquement leurs besoins Cette manifestation a rassembl plus de 80 participants de 19 soci t s et il a t recommand d tablir un groupe consultatif form d experts de centres de canc rologie d tats Membres 2 Afrique du Sud Alg rie Argentine Br sil Canada Chine Cuba Espagne tats Unis d Am rique F d ration de Russie France Gr ce Hongrie Inde Isra l Malaisie Maroc Monaco Pakistan Philippines Pologne R publique de Cor e R publique tch que Tha lande Tunisie Turquie et Uruguay GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 5 en d veloppement de fabricants de mat riel de radioth rapie ainsi que de repr sentants de POMS et de l Agence pour poursuivre les discussions sur l
51. e conf rence aura pour objectif de contribuer aux politiques et strat gies nouvelles ou renforc es en mati re de ressources humaines pour l lectronucl aire
52. e d extraction et de traitement de l uranium les m thodes et quipements avanc s d extraction et de traitement de l uranium la rem diation de sites d extraction et des questions environnementales ont t organis es Vienne et Amman Jordanie la 52 session de la Conf rence g n rale en 2008 l Agence a galement relanc le programme de l quipe d valuation de sites de production d uranium UPSAT Cette quipe cr e en 1996 n a jamais t sollicit e tant donn le d clin de l industrie mondiale de production d uranium cette poque Elle effectuera des examens la demande des tats Membres Il s agit d examens par des pairs visant changer des donn es d exp rience et des pratiques de travail ainsi qu fournir des avis sp cialis s ind pendants au niveau international 8 En 2009 de nouveaux projets de CT sur le cycle de production d uranium ont d marr en Alg rie en Argentine au Br sil en Chine en gypte en Jordanie et au Venezuela et des projets r gionaux ont t lanc s en Afrique et en Am rique latine En juin 2009 l Agence a organis le Colloque international sur l uranium mati re premi re du cycle du combustible GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 4 Page 3 nucl aire exploration extraction production offre et demande conomie et questions environnementales URAM 2009 Tous les aspects du cycle de production d uranium de la disponibilit des m
53. e pour leur implantation varie entre 2012 et 2030 15 En Russie les travaux de construction d une centrale pilote flottante de cog n ration de 300 MWth 70 MWe dot e de deux r acteurs KLT 40S refroidis l eau ont commenc en juin 2006 La date de son implantation a t fix e 2012 Il est pr vu de construire GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 7 Page 4 cinq centrales de ce type ainsi que deux centrales dot es de r acteurs ABV de 11 MWe pour des clients de la F d ration de Russie 16 Plusieurs mod les de REP int gr s sont un stade avanc de mise au point et certains pourraient tre pr ts tre implant s vers 2015 2020 Le mod le IRIS de 335 MWe mis au point par un consortium international dirig par Westinghouse Electric Company tats Unis est celui dont les essais et la mise au point sont les plus avanc s L Argentine a commenc le processus d autorisation d un prototype de 27 MWe du mod le de r acteur CAREM de 150 300 MWe En R publique de Cor e le mod le SMART de 330 MWth destin une centrale de cog n ration en est aux premiers stades de sa mise au point 17 En Inde les travaux de construction du premier r acteur avanc eau lourde de 300 MWe qui est destin la cog n ration devraient commencer au d but de la prochaine d cennie Ce r acteur est con u pour fonctionner avec du combustible au U Pu Th il utilise de l eau ordinaire bouillante comme caloporteur et de l eau l
54. ectricit et de chaleur pour la production d hydrog ne en pr sentant un aper u d applications exemplaires des possibilit s qu elles offrent des probl mes qu elles soul vent et des solutions possibles 24 Par ailleurs des pr paratifs sont en cours en vue de deux conf rences de l Agence savoir la Conf rence internationale sur les possibilit s et les enjeux pour les r acteurs refroidis par eau au XXT si cle pr vue Vienne en octobre 2009 et la Conf rence internationale sur le th me R acteurs neutrons rapides et cycles du combustible connexes enjeux et possibilit s qui aura lieu Tokyo Japon en d cembre 2009 D Coordination avec le GIF 25 L Agence continue participer aux activit s des groupes de travail du Forum international G n ration IV GIF et comme observateur celles de son groupe de politique g n rale Les relations compl mentaires entre l INPRO et le GIF ont t d finies conjointement et des informations d taill es ont t diffus es ce sujet sur leurs sites web respectifs Un plan d action conjoint avec le GIF tabli en f vrier 2008 est en cours d ex cution et des domaines de synergie suppl mentaires sont actuellement l examen dans le cadre du groupe de politique g n rale du GIF et du comit directeur de l INPRO 26 La coop ration avec le GIF comporte notamment l utilisation par l Agence du mod le d valuation conomique ECON
55. ement de l acc s aux traitements y compris la radioth rapie et d autres traitements et renforcement de leur efficacit en vue de gu rir les cancers et de prolonger la vie productive v accroissement de l acc s une prise en charge efficace de la douleur et aux soins palliatifs vi promotion de la recherche sur la pr vention et la lutte contre le cancer vii renforcement des capacit s nationales requises pour g rer et valuer de vastes programmes nationaux de lutte contre le cancer et viii mobilisation de ressources pour renforcer les capacit s aux fins d une approche globale de la lutte contre le cancer dans les tats Membres 21 Dans le cadre du Programme commun les efforts seront ax s initialement sur la mise en uvre int grale des six sites mod les du PACT mais la collaboration ne sera pas limit e ces pays Suivant le niveau des ressources disponibles d autres sites mod les pourront tre d finis et appuy s Le Programme commun offrira le cadre permettant aux deux organisations de mettre profit leurs domaines de comp tence respectifs et d instaurer une approche plus coordonn e et plus solide de la lutte contre le cancer dans les pays revenu faible ou interm diaire Dans la pratique il faudra donc collaborer avec les tats Membres afin d int grer les activit s relatives au diagnostic et au traitement dans les plans de lutte contre le Les programmes nationaux de lutte contre le cancer com
56. ence tudie en outre comment elle pourra participer comme il convient la coordination de l appui en mati re d infrastructure pour l introduction de l lectronucl aire entre les organisations internationales de m me que dans le cadre de la coop ration bilat rale avec des tats Membres B 1 Coop ration technique 7 Il y a trois fois plus de nouveaux projets de coop ration technique CT relatifs l introduction de l lectronucl aire pr vus au cours du cycle 2009 2011 qu il n y en avait pendant le cycle 2007 2008 Ainsi qu il a t indiqu plus haut plus de 60 tats Membres b n ficient d un appui travers 38 projets nationaux et six projets r gionaux parmi lesquels figurent la fois des projets qui taient d j en cours et des projets qui ont d but pendant le nouveau cycle Comme suite l accroissement de la demande partir de 2009 l Agence a adapt les responsabilit s de fa on que davantage de fonctionnaires consacrent du temps Pappui aux projets de CT en tant que responsables techniques L Agence continue en outre enrichir son fichier d experts internationaux disponibles pour des missions de CT Elle a aussi am lior l acc s aux rapports techniques et standardis la pr sentation des documents afin de faciliter la planification et l ex cution des activit s dans le domaine de l infrastructure 8 Une des questions prioritaires dont ont fait tat de nombreux pays en
57. ercheurs du personnel charg de la lutte contre la ts ts et des responsables de la planification de l laboration et de lapplication de mesures d intervention contre la ts ts et de disciplines connexes Ce guide est utilis pour plusieurs projets nationaux de la PATTEC et permettra la collecte normalis e des donn es de r f rence indispensables pour une planification et une mise en uvre plus efficaces des activit s de lutte contre la ts ts Les donn es de r f rence devraient terme servir quantifier les efforts de lutte 8 En thiopie l Agence a continu d appuyer le projet gouvernemental d radication de la mouche ts ts dans le sud STEP et a approuv un nouveau projet de CT sur la cr ation d une zone exempte de mouches ts ts dans le sud de la vall e du Rift qui a commenc en 2009 L Agence et la FAO ont continu d ex cuter des activit s du projet financ par le Japon au titre du Fonds des Nations Unies pour la s curit humaine UNTFHS qui s intitule Cr ation d une zone exempte du probl me de la ts ts et de la trypanosomiase dans le sud de la vall e du Rift en thiopie et assistance aux communaut s rurales pour le d veloppement de l agriculture et de la production animale L UNTFHS a approuv l utilisation de fonds restants jusqu la fin 2009 Dans le cadre de ce projet l Agence a continu de fournir une assistance au centre STEP d levage et d irradiat
58. ermis de mieux comprendre le processus des cycles de l eau et du carbone et notamment de quantifier les flux de carbone et d vaporation partir de la surface des sols La quantification de ces flux est un moyen de valider les mod les de circulation g n rale utilis s pour simuler l impact du changement climatique sur le cycle de l eau 10 Apr s la publication en 2007 de Atlas de l hydrologie isotopique pour l Afrique un deuxi me atlas d hydrologie isotopique a t publi en 2008 Il contient quelque 16 000 relev s isotopiques provenant de projets de l Agence ex cut s entre 1973 et 2007 dans 16 tats Membres de la r gion Asie et Pacifique Ces atlas facilitent l acc s des donn es historiques qui peuvent tre exploit es pour la gestion des ressources en eau l chelle locale et r gionale ainsi que pour la formulation de futurs projets de CT 11 La version fran aise d une publication AIEA UNESCO largement utilis e sur les Isotopes de l environnement dans le cycle hydrologique a t publi e en 2008 pour favoriser la pratique de l hydrologie isotopique et la formation dans ce domaine dans les pays francophones La publication originale est ainsi maintenant disponible en anglais en espagnol et en fran ais B 3 Cr ation de capacit s et mise en valeur des ressources humaines par le biais de la coop ration technique 12 La r union de lancement d un projet r gional de coop ration technique intitul
59. ernet de l Agence pour le dessalement nucl aire www iaea org NuclearPower Desalination continue de donner acc s toutes les publications pertinentes de l AIEA sur l tat de la technologie du dessalement nucl aire d eau de mer et sur ses activit s en cours et futures E Activit s des tats Membres 13 L Alg rie pr voit d valuer le potentiel de l nergie nucl aire pour la production d lectricit et d eau dessal e Elle a achev une tude pr liminaire de faisabilit du dessalement de l eau de mer l aide de r acteurs nucl aires sur deux sites potentiels Mostaganem et La Macta Selon les conclusions de l tude le dessalement nucl aire est plus comp titif que le dessalement traditionnel au moyen d nergie fossile 14 En 2007 la Chine a lanc les travaux de construction de la centrale nucl aire de Hongyanhe qui devrait entrer en service en 2012 Cette centrale devrait produire de l lectricit ainsi que 100 000 m d eau dessal e par jour qui sera utilis e sur place et servira lapprovisionnement en eau potable des fins domestiques La centrale nucl aire de Ningde devrait galement proc der au dessalement nucl aire Sa construction a d marr d but 2008 et sa mise en service est pr vue pour 2013 Sa capacit de dessalement est de 11 000 m d eau par jour qu elle utilisera comme eau d appoint Une tude de faisabilit a t achev e sur l installation de dessalement nucl
60. es de Rankine un mod le d taill d analyse du co t du transport de l eau une meilleure interface et des gabarits plus s curis s Plusieurs tats Membres soutiennent ces efforts en fournissant des experts titre gracieux 5 l aide de ressources extrabudg taires vers es par le Centre international Abdus Salam de physique th orique CIPT l Agence a organis un atelier sur la technologie et la performance des syst mes de dessalement qui s est tenu Trieste Italie du 11 au 15 mai 2009 Des scientifiques et ing nieurs de plusieurs tats Membres ont t form s l valuation de la technologie et de la performance des sources d nergie et des syst mes de dessalement de l eau Cet atelier couvrait les diff rentes combinaisons de proc d s de dessalement au moyen de sources d nergie diverses telles que les cycles combin s les turbines gaz la combustion de charbon et les r acteurs nucl aires et comportait des valuations conomiques r alis es l aide du logiciel DEEP 6 l aide de ressources extrabudg taires vers es par les tats Unis on a entrepris en 2009 des travaux ont d marr sur les sources d eau nouvelles et suppl mentaires comme l eau recycl e ou dessal e pour les centrales nucl aires refroidies par eau ainsi que sur les mesures d efficience permettant de r duire la quantit d eau qu elles utilisent Un document technique en cours d laboration a pour o
61. es pastilles gaine Les donn es mod liser sont fournies par l Agence de l OCDE pour l nergie nucl aire et le projet de r acteur de Halden 21 Une tude sur la production prot g e de plutonium est effectu e conjointement avec l Institut de technologie de Tokyo Cette tude examine la r sistance intrins que la prolif ration et en particulier une proposition tendant m langer 1 d actinides mineurs par exemple de neptunium du combustible l oxyde d uranium faiblement enrichi pour REO de fa on que le combustible us contienne suffisamment de plutonium pour qu il perde son int r t aux fins de la fabrication d armes en raison de la forte chaleur de d croissance et de l mission spontan e de neutrons qui en r sulteraient 22 Les activit s de l Agence relatives aux acc l rateurs portent la fois sur les syst mes hybrides et le recours des acc l rateurs pour la recherche concernant les mat riaux avanc s et sur d autres sujets en rapport avec les techniques nucl aires innovantes En mai 2009 l Agence a organis en coop ration avec la Soci t nucl aire am ricaine la Conf rence internationale sp cialis e sur les applications nucl aires exp rimentales et l utilisation des acc l rateurs On y a examin les tendances nouvelles en mati re d applications des acc l rateurs y compris la recherche sur les mati res nucl aires les syst mes hybrides pour l utilis
62. es processus des plans d urgence pour le relogement temporaire des colonies de mouches ts ts ont t labor s afin que les travaux concernant la TIS au S n gal puissent se poursuivre comme pr vu GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 1 Page 5 14 Pour aider r soudre le probl me transfrontalier pos par la ts ts et la trypanosomiase dans le nord est de l Afrique du Sud et le sud du Mozambique l Agence a approuv un nouveau projet r gional de CT sur l Appui la cr ation d une zone exempte de mouches ts is dans le sud du Mozambique et le nord est de l Afrique du Sud Une premi re r union technique r gionale a t organis e Hluhluwe dans le KwaZoulou Natal Afrique du Sud les 23 et 24 mars 2009 qui a rassembl des repr sentants des services v t rinaires de l Afrique du Sud du Mozambique et du Swaziland de la PATTEC UA de la FAO et de PAIEA La r partition des deux esp ces de mouches ts ts en Afrique du Sud au Mozambique et au Swaziland a t tudi e et il a t convenu que de nouvelles donn es entomologiques de r f rence devaient tre collect es Un cours r gional sur la collecte de ce type de donn es est pr vu Maputo d but 2010 S agissant du volet TIS propos contre la ts ts dans le cadre de la campagne de GIRER les colonies existantes des deux esp ces cibl es seront utilis es comme mat riel reproductif pour un centre d levage grande chelle Comme pour le
63. es ressources en eau Deux s ances d apprentissage ont t organis es au Si ge de PONU dans le cadre des 16 et 17 sessions de la CDD des Nations Unies Intitul es Technologies innovantes pour des d cisions judicieuses dans la gestion des ressources en eau et Accroissement des disponibilit s en eau et utilisation durable de l eau gr ce une valuation exhaustive des ressources en eau elles ont t suivies par de nombreux participants de divers horizons Deux autres v nements organis s parall lement sur la planification combin e de l utilisation de l nergie de l eau et des terres ont galement connu une forte affluence 5 Le programme sur les ressources en eau a produit du mat riel d information et des donn es scientifiques visant diffuser les r sultats des travaux de l Agence aupr s du public et des experts des tats Membres Des stands d information ont t dress s lors de l exposition sur l eau organis e Saragosse Espagne en ao t 2008 lors du 5 Forum mondial de l eau tenu Istanbul Turquie en mars 2009 et lors de la r union de l Union g ophysique europ enne qui s est tenue Vienne en avril 2009 Un film produit par l Agence sous le titre Search for Water a t pr sent toutes ces occasions Ce film actuellement disponible sur le site web de l Agence d crit les probl mes que pose la gestion des ressources en eau et pr sente le sujet de l hydrologie isotopique d
64. eurs potentiels Le PPO continue d velopper les contacts nou s cette occasion Un appui pr cieux a t apport par la KONICOPF qui s efforce de collecter des fonds en faveur du PACT depuis 2007 en sollicitant de petits dons souvent mensuels aupr s des entreprises et des citoyens cor ens et a d j vers 30 000 dollars en esp ces pour des projets du PACT Enfin deux nouveaux donateurs sont venus se joindre aux autres en 2008 savoir l Association f minine de ONU qui a vers 7 000 euros et la United Nations Federal Credit Union UNFCU qui a vers 5 000 dollars Ces fonds ont t affect s des propositions particuli res visant r pondre aux besoins de soins palliatifs d adultes et d enfants atteints de cancer en Afrique G Sensibilisation et communication 32 La sensibilisation au fardeau global du cancer dans les pays revenu faible ou interm diaire reste un des principaux d fis pour le PACT La Fondation Lance Armstrong LAF a en 2008 demand au PPO des conseils sur l organisation de son initiative mondiale et a depuis formalis un partenariat avec l Agence gr ce un arrangement pratique pour le PACT La LAF a obtenu de tr s bons r sultats aux tats Unis pour ce qui est de la prise en charge des patients canc reux par eux m mes et de la mobilisation de ressources et le PACT compte profiter de sa coop ration aux efforts mondiaux de la LAF pour lutter contre le cancer dans les pays en d
65. herche RA Vin a En 2008 on a commenc fabriquer le mat riel con u sur mesure pour nettoyer et pr parer l eau dans le bassin combustible us en vue du remballage du combustible Le remballage devrait commencer cet automne Tout le combustible devrait tre transport en F d ration de Russie en une seule exp dition en 2010 Il se trouve actuellement dans une piscine du b timent du r acteur am nag e pour son entreposage temporaire GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 5 Page 1 Production conomique d eau potable l aide de r acteurs nucl aires A Contexte 1 Dans sa r solution GC 52YRES 12 A 4 la Conf rence g n rale a not que le dessalement de l eau de mer au moyen de l nergie nucl aire tait techniquement faisable et g n ralement rentable et qu il avait t d montr avec succ s Elle a en outre not qu un certain nombre d tats Membres avaient exprim leur int r t pour le dessalement de l eau de mer au moyen de l nergie nucl aire Elle a invit le Directeur g n ral poursuivre les activit s visant aider les tats Membres int ress s par le dessalement de l eau de mer au moyen de l nergie nucl aire et l a pri de faire rapport sur les progr s r alis s au Conseil des gouverneurs et la Conf rence g n rale sa cinquante troisi me session La pr sente annexe r pond cette demande B Groupe consultatif international sur le dessalement nucl aire INDAG
66. hes ts ts La Conf rence g n rale a galement engag instamment le Secr tariat renforcer la cr ation de capacit s et appuyer l tablissement de centres r gionaux de formation dans les tats Membres touch s afin de promouvoir la mise en valeur des ressources humaines n cessaires pour l ex cution de projets nationaux et r gionaux op rationnels de la PATTEC et a soulign la n cessit d accro tre la coop ration avec la Commission de l Union africaine UA et d autres partenaires r gionaux et internationaux notamment la FAO et POMS afin d harmoniser les activit s conform ment au plan d action de la PATTEC UA et de fournir des orientations ainsi que des services d assurance de la qualit pour la planification et la mise en uvre des projets nationaux et sous r gionaux de la PATTEC UA La Conf rence g n rale a pri le Directeur g n ral de faire rapport sur les progr s r alis s dans la mise en uvre de cette r solution au Conseil des gouverneurs et la Conf rence g n rale sa cinquante troisi me session ordinaire 2009 B Faits nouveaux intervenus depuis la session ordinaire de 2008 de la Conf rence g n rale 2 L Agence continue d accorder un rang de priorit lev ses efforts de contribution au d veloppement agricole en particulier dans les tats Membres africains Ainsi le transfert de la technique de l insecte st rile TIS dans le cadre de la gestion int gr e des rav
67. i mutuel de leurs programmes respectifs lors de manifestations visant mobiliser des ressources 5 Les six projets coordonn s par la PATTEC UA au Burkina Faso en thiopie au Ghana au Kenya au Mali et en Ouganda d nomm s pays de la liste I de la PATTEC UA qui ont b n fici de pr ts et subventions de la Banque africaine de d veloppement BAD ont fait l objet fin mai 2009 d un examen mi parcours coordonn par la BA D dans le cadre duquel s est tenue une r union des coordonnateurs nationaux de la PATTEC UA Tunis 26 28 mai 2009 Conform ment leurs mandats respectifs la FAO POMS et l AIEA ont continu de conseiller ces pays pour l examen de leurs plans de travail des tapes de mise en uvre et des d lais en fonction des ressources disponibles en diffusant des informations dans le cadre de r unions et du Programme de lutte contre la trypanosomiase africaine PLTA Les tats Membres touch s par la mouche ts ts ont continu de b n ficier du syst me d information du PLTA auquel l AIEA la FAO POMS et d autres partenaires contribuent Deux r unions du PLTA ont t organis es l ann e derni re avec la participation des coordonnateurs nationaux des projets de la PATTEC savoir la 14 r union des coordonnateurs du groupe consultatif du PLTA Kampala Ouganda 14 et 15 octobre 2008 et la 13 r union du comit du programme du PLTA au centre de conf rences de l Acad mie
68. ification de la lutte contre le cancer avec des tats Membres francophones d Afrique qui ont eu lieu lors des deux derni res sessions de la Conf rence g n rale En 2008 l Institut national br silien du cancer a pr sent une proposition concr te pour une coop ration technique en mati re de radioth rapie aux fins de la formation de sp cialistes du cancer d Am rique latine et d Afrique dans les domaines de la radioth rapie de la physique m dicale ainsi que de l assurance et du contr le de la qualit Il y est donn suite conjointement avec le D partement de la CT en vue de sa mise en uvre 13 Le Tata Memorial Centre indien a fourni d importants services d experts pour les examens imPACT en plus du vaste programme de formation en radio oncologie y compris la certification qu il a propos aux pays ayant proc d un examen imPACT Les boursiers qui y participent sont plac s par l interm diaire du programme de CT 14 Un des partenaires les plus r cents du PACT est l Organisation des instituts europ ens du cancer groupement europ en d int r t conomique OECI GEIE organisation qui regroupe pr s de 60 instituts de recherche et de soins anticanc reux de toute l Europe L OECI poss de des comp tences dans les domaines de la d livrance des autorisations et de l accr ditation et mettra ses instituts disposition pour la formation de boursiers du PACT GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 4
69. introduire l lectronucl aire mais devrait aussi tre utile aux fournisseurs et aux gouvernements s int ressant au d veloppement de l lectronucl aire 14 De nouveaux rapports de la collection nergie nucl aire sur l am lioration des perspectives en mati re de financement des centrales nucl aires les responsabilit s et les attributions des NEPIO les responsabilit s et les attributions des organismes propri taires exploitants et la planification des effectifs pour les nouveaux programmes lectronucl aires ont t achev s et il est pr vu de les publier en 2009 Le dernier de ces rapports traite essentiellement des comp tences et des ressources humaines dont ont besoin les principaux organismes chacune des trois phases du d veloppement de l infrastructure ainsi que des programmes de formation th orique ou pratique qui peuvent aider se doter de ces comp tences Un nouveau guide de la collection nergie nucl aire intitul Policies and Strategies for Radioactive Waste Management a aussi t achev et devrait tre publi d ici la fin de 2009 GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 8 Page 4 15 L Agence tablit galement un rapport r vis et augment sur l valuation des soumissions pour les centrales nucl aires Ce document fournira des orientations pratiques sur la proc dure d appel d offres y compris le cahier des charges et sur l valuation technique et conomique des soumissions 1
70. ion des mouches ts ts de Kaliti Addis Abeba pour l levage en masse de la principale esp ce cibl e Glossina pallidipes ainsi que d une autre esp ce Glossina fuscipes fuscipes pr sente dans une petite partie de la zone du projet 9 Le Laboratoire FAO AIEA d agronomie et de biotechnologie poursuit ses travaux relatifs l laboration d une strat gie de gestion du virus des glandes salivaires qui fait obstacle l levage en masse de l esp ce Glossina pallidipes en particulier en thiopie Les trois axes de la strat gie de gestion du virus sont les suivants a emp cher la r plication virale l aide d antiviraux disponibles dans le commerce b inhiber l infection virale en bloquant certains g nes du virus l aide de la technique d interf rence ARN et c neutraliser P infection virale l aide d anticorps sp cifiques du virus 10 Les activit s coordonn es par la FAO ont aid recenser des possibilit s pr cises de d veloppement rural pour les communaut s de la zone du projet et tablir en coop ration troite avec le bureau agricole r gional d Awassa ainsi qu avec les services de vulgarisation en mati re d agriculture et d levage un plan visant apporter des am liorations sp cifiques l levage productif d esp ces animales En 2008 des l chers exp rimentaux de m les st riles effectu s s par ment sur une zone de 100 km Arba Minch ont fait appara
71. ires retir es du service travers le monde En 2008 il a organis des ateliers sur la fragmentation des composants accueillis par le SCK CEN Belgique ainsi que sur la gestion et la lib ration des mati res accueillis par l ENRESA Espagne Les efforts d ploy s en 2009 portent principalement sur les moyens de rendre le r seau enti rement autonome et renforcent l assistance directe entre les participants 12 Suite au succ s du R seau international sur le d classement l Agence a lanc un R seau international pour le stockage d finitif des d chets de faible activit DISPONET lors d une r union technique tenue en avril 2009 rassemblant des repr sentants de 21 tats Membres Le r seau DISPONET traite du stockage d finitif des d chets de tr s faible faible et moyenne activit ainsi que des sources radioactives scell es retir es du service dans des installations de stockage en surface ou sous la surface y compris dans des forages Il vise coordonner GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 4 Page 4 l appui aux tats Membres dont les programmes sont moins avanc s en organisant des activit s de formation et de d monstration Les membres du r seau DISPONET ont propos d accueillir onze ateliers et cours en 2009 et 2010 On pr pare actuellement un atelier international en France sur le contr le radiologique et la surveillance de l environnement apr s exploitation des installations de stockage d finitif ainsi que des
72. isposition y compris des partenariats avec les m dias locaux nationaux et internationaux pour atteindre ses objectifs et que le PPO en consultation avec les d partements comp tents de l Agence et POMS le cas ch ant continue d aider les tats Membres en d veloppement tablir des plans nationaux de lutte int gr e contre le cancer La Conf rence g n ral a pri le Directeur g n ral de lui faire rapport sur la mise en uvre de cette r solution sa cinquante troisi me session ordinaire 2009 B Appui aux tats Membres pour le renforcement des capacit s de lutte contre le cancer 3 Depuis septembre 2007 le PPO s est attach essentiellement faciliter la formation des professionnels de la sant s occupant de la lutte contre le cancer dans les pays revenu faible ou interm diaire en mettant l accent sur les sites mod les de d monstration du PACT en GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 2 Albanie au Nicaragua en R publique Unie de Tanzanie Sri Lanka au Vietnam et au Y men La contribution en nature que l Institut national du cancer NCI des tats Unis continue d apporter a permis 42 professionnels d sign s par le PACT de participer aux cours d t sur la pr vention et la lutte contre le cancer au NCI en 2008 et 2009 4 Le PACT a en outre facilit en 2008 et 2009 la participation de huit chercheurs en canc rologie des sites mod les des cours sur l enregistrement et l
73. it et a permis pour la premi re fois d tablir des plans plus long terme 4 L Agence a publi son premier rapport de situation complet sur INPRO la fin de 2008 Ce rapport rend compte en d tail de l tat d avancement de toutes les activit s de PINPRO en 2008 des r alisations marquantes et des produits ex cut s Il a t communiqu tous les tats Membres de PATEA 5 Au d but de 2009 les activit s de PINPRO ont t regroup es au sein des cinq domaines d intervention suivants sur lesquels s articule galement le plan d action de PINPRO pour 2010 2011 GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 6 Page 2 a valuations des syst mes d nergie par la m thode INPRO labor e au cours de la phase 1 b tablissement d une vision globale sur une nergie nucl aire durable c Promotion des innovations en mati re de technologie nucl aire d Promotion des innovations en mati re d arrangements institutionnels e Forum de dialogue de l INPRO domaine transversal visant favoriser l change d informations entre les d tenteurs et les utilisateurs de technologie nucl aire 6 Depuis septembre 2008 le nombre des membres de l INPRO s est accru avec l adh sion de l Italie et du Kazakhstan L INPRO compte maintenant 30 membres au total Afrique du Sud Allemagne Argentine Arm nie B larus Belgique Br sil Bulgarie Canada Chili Chine Espagne tats Unis F d ration de Russie
74. ium d une puissance nominale de 10 MWe et dont l intervalle entre deux rechargements du combustible est de 30 ans La Commission de la r glementation nucl aire des tats Unis a commenc l examen d une demande d agr ment pr alable en 2007 et le processus officiel d octroi de licence devrait commencer en octobre 2010 La construction d un r acteur de d monstration et les essais de s ret sont pr vus pour la premi re partie de la prochaine d cennie 21 Aux tats Unis deux soci t s priv es ont acquis les droits de propri t intellectuelle n cessaires pour commencer les tudes techniques de deux r acteurs de faible puissance sans rechargement sur place un r acteur NuScale refroidi par eau et un r acteur Hyperion Power Module conduits de chaleur employant du combustible d composable l hydride d uranium GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 8 Page 1 Appui au d veloppement de l infrastructure pour l lectronucl aire A Contexte 1 Dans la r solution GC 52 RES 12 B 2 la Conf rence g n rale a reconnu que le d veloppement et la mise en uvre de l infrastructure appropri e pour appuyer l introduction de l lectronucl aire et son utilisation s re et efficiente constituent une question d importance notamment pour les pays qui envisagent et planifient l introduction de l lectronucl aire Elle a aussi rappel ses r solutions GC S0YRES 13 B 2 et GC 49YRES 12 G sur les approches destin es a
75. l de cancer pour chacun des pays demandant un examen imPACT en se servant des bases de donn es existantes de l Agence de la strat gie de coop ration OMS pays et d autres donn es provenant de sources librement accessibles 9 Le PACT a aussi tabli en collaboration avec POMS un questionnaire imPACT d taill portant sur tous les domaines de la lutte contre le cancer notamment sa planification l enregistrement et la surveillance des cas de cancer les issues et l valuation du cancer la pr vention le traitement et la gu rison du cancer les soins et le soutien palliatifs le transfert GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 3 des connaissances et la formation la sensibilisation et l ducation les soci t s civiles et la mobilisation de ressources Ce questionnaire est normalement adress au minist re de la sant une fois que le profil national de cancer susmentionn a t tabli et examin par les autorit s Le PPO peut organiser des ateliers nationaux dans le cadre de la mission pr imPACT afin de r unir toutes les parties prenantes pour discuter du remplissage du questionnaire L examen imPACT complet est planifi et ex cut la suite de la mission pr imPACT 10 Le PACT a collabor avec le D partement de la CT et la Division de la sant humaine dans le cadre de deux projets r gionaux de CT du cycle 2009 2011 l un en Afrique intitul Appui l laboration de programmes exhaustifs nationaux de lutte
76. la durabilit de l nergie nucl aire Trois PC sont en cours d ex cution Dans le cadre du PC sur les r acteurs avanc s refroidis par eau on effectue des tudes tant exp rimentales que th oriques sur la circulation naturelle dans les syst mes de r acteurs le m lange et la stratification dans les grands bassins la fiabilit des syst mes passifs et certaines caract ristiques des barres de combustible annulaires Les pays participant au PC consacr la recherche sur les enjeux technologiques li s l vacuation de la chaleur par les caloporteurs m taux liquides et sels fondus du c ur des r acteurs haute temp rature COOL d terminent les propri t s des caloporteurs haute temp rature valuent les probl mes li s au traitement de ces caloporteurs tablissent des lignes directrices pour la conception des composants qui seront en contact avec les caloporteurs haute temp rature et mettent au point des m thodes pour la surveillance et le contr le en ligne de la chimie des caloporteurs haute temp rature Le PC sur le syst me d vacuation de la chaleur r siduelle dans le cas des r acteurs refroidis par m tal liquide a pour objectif d tablir et d talonner des codes informatiques pour l analyse de l vacuation de la chaleur r siduelle dans les r acteurs refroidis par m tal liquide GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 6 Page 4 B 5 Innovations en mati re d arrangements institutionnels 13
77. le PACT qui sont disponibles dans plusieurs GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 10 langues officielles de AIEA La collaboration avec la Division de l information de l Agence a d bouch sur l tablissement de reportages d int r t humain et public ainsi que d expos s multim dias et de communiqu s de presse et sur la production d un deuxi me message d int r t public qui est diffus r guli rement sur CNN International Conjointement avec le service m dical du CIV et la Division de la sant publique le PPO a organis des manifestations l occasion de la Journ e du cancer au Centre international de Vienne en 2008 et 2009 afin de sensibiliser le personnel du CIV le corps diplomatique et les visiteurs au cancer et ses cons quences pour les pays en d veloppement H Accomplissement du mandat dans le domaine du cancer 2010 et au del 34 Si des progr s ont t accomplis sur un certain nombre de fronts comme on l a vu plus haut il reste beaucoup faire dans tous les domaines d activit du PACT Pendant le reste de 2009 et tout l exercice biennal 2010 2011 une priorit fondamentale consistera rendre le Programme commun OMS AIEA de lutte contre le cancer pleinement op rationnel et en maximiser les avantages pour ce qui est de l acc l ration de l ex cution des programmes en faveur des tats Membres et du renforcement du potentiel de mobilisation de ressources Le PPO continuera coo
78. les am liorations y apporter Les membres de PINPRO participant au PC sur les cycles du combustible pour les syst mes nucl aires innovants gr ce l int gration des technologies FINITE choisiront conjointement un cycle du combustible innovant particulier tudier l valueront en utilisant la m thodologie INPRO recenseront les probl mes fondamentaux en mati re de s ret de d chets de prolif ration et d conomie et d termineront les volutions institutionnelles et techniques qui seraient n cessaires pour mettre en uvre le cycle du combustible retenu Le PC sur la satisfaction des besoins nerg tiques en p riode de p nurie de mati res premi res au XXI si cle RMI analyse les sc narios de la demande et de l offre d nergie long terme en mettant particuli rement l accent sur la durabilit des mati res premi res exig es par diff rentes options d approvisionnement en nergie y compris l lectricit nucl aire les applications nucl aires non lectriques et les options non nucl aires Le quatri me PC qui porte sur le cycle du combustible U Th ThFC explore les options fond es sur le thorium pour le cycle du combustible B 4 Innovations en mati re de technologie nucl aire 12 Les activit s men es dans ce domaine ont pour objectif de favoriser la collaboration entre les membres de l INPRO sur certaines technologies nucl aires innovantes et la R D connexe qui contribuent
79. llecte de fonds moyen terme qui ciblera les fondations les donateurs bilat raux et multilat raux ainsi que le secteur priv et les philanthropes individuels Une tude effectu e en 2007 2008 par une soci t sp cialis e dans la collecte de fonds a valid l approche du PACT tout en concluant que le PACT tait bien plac pour mobiliser les ressources consid rables qui sont n cessaires pour s attaquer la crise du cancer dans les tats Membres Il convient aussi de noter que des personnalit s connues et des sp cialistes de la lutte contre le cancer ont fait savoir qu ils taient pr ts aider le PACT dans ses efforts de mobilisation de ressources 30 Le plan de mobilisation de ressources pour les sites mod les dont il a t rendu compte en 2007 est bien avanc un tiers environ des fonds requis ayant d j t fournis gr ce aux diverses formules d crites plus haut Les efforts d ploy s actuellement en vue de recueillir des fonds suppl mentaires consistent essentiellement contacter les principaux donateurs bilat raux et priv s d j impliqu s dans des activit s des sites mod les sans rapport avec le cancer en vue de les sensibiliser au probl me du cancer dans les pays en d veloppement et de leur fournir des informations sur les projets des sites mod les pour lesquels des fonds sont sollicit s Le PPO continue explorer des possibilit s de financement plus importantes en faveur de la r gion Afrique sur l
80. logiques des approches innovantes sur le plan institutionnel pourraient tre essentielles pour l implantation de nouveaux mod les de r acteurs en particulier de r acteurs mobiles de faible ou moyenne puissance Un projet de publication sur les questions juridiques et institutionnelles des installations nucl aires transportables labor en 2009 examine des probl mes pr cis notamment des questions de s ret de s curit de garanties de responsabilit nucl aire et d infrastructure pour des r acteurs fabriqu s dans une usine puis transport s vers le site de l utilisateur 10 L Agence a aussi commenc des travaux sur la mise au point d un nouveau combustible r sistant pour les RFMP quip s d un c ur dur e de vie ultra longue Les consultations avec des experts des tats Membres ont permis de recenser plusieurs types de combustibles potentiels qui conviendraient des r acteurs de faible puissance quip s d un c ur dur e de vie ultra longue ainsi qu ventuellement des r acteurs puissants Ces combustibles comme CERMET et METMET peuvent atteindre des taux de combustion tr s lev s et leur utilisation peut tre am lior e 11 En r ponse l invitation qui lui a t adress e de mobiliser des fonds d amor age et d obtenir un financement appropri aupr s de sources extrabudg taires l Agence a envoy des lettres des tats Membres pour solliciter aupr s d eux des contri
81. ltes r frig r es pour la d termination des besoins sp cifiques en mati re de gestion d incubation et de l chers de mouches ts ts adultes r frig r es La r union a permis de pr ciser les param tres respecter comme les conditions de gestion et d incubation ainsi que les volumes de mouches ts ts afin d orienter les efforts dans l laboration de m thodes pour l emballage des m les leur transport du centre d levage vers la zone o ils seront l ch s et leur l cher Un groupe de participants la r union impliqu s dans des l chers op rationnels de mouches des fruits grande chelle au Mexique et en Am rique centrale a pr sent un mod le de prototype pour le transport et le l cher de mouches ts ts adultes r frig r es Le groupe proc de actuellement l assemblage de ce prototype pour essais par l Agence 20 Le Laboratoire d agronomie et de biotechnologie a achev ses travaux d essai et de dosim trie pour l irradiation par rayons X et a conclu que les appareils d irradiation de ce type pouvaient tre utilis s en remplacement des irradiateurs isotopiques dont l achat et le transport international sont de plus en plus difficiles et soumis restrictions GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 1 Programme d action en faveur de la canc roth rapie A Contexte 1 sa cinquante et uni me session ordinaire tenue en septembre 2007 la Conf rence g n rale a dans la r solu
82. mation et en particulier la cr ation de R seaux r gionaux de formation en oncologie et d une Universit virtuelle de lutte contre le cancer pour former du personnel dans tous les domaines du traitement du cancer Le PACT pr voit certes de consacrer des ressources consid rables ces activit s mais il continuera dans la mesure du possible offrir des examens imPACT tous les pays demandant une assistance Il continuera aussi de travailler avec POMS et d autres partenaires un programme global pour lutter contre le cancer dans le monde en d veloppement d une mani re efficace et durable GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 3 Page 1 Recours l hydrologie isotopique pour la gestion des ressources en eau A Contexte 1 sa cinquante et uni me session tenue en septembre 2007 dans sa r solution GC S1YRES 14 A 4 la Conf rence g n rale a pri le Directeur g n ral de continuer intensifier les efforts visant une utilisation accrue des techniques isotopiques et nucl aires pour la valorisation et la gestion des ressources en eau dans les pays int ress s gr ce des programmes appropri s et en intensifiant la collaboration avec des organismes nationaux et internationaux d aider les tats Membres avoir ais ment acc s des installations d analyse isotopique de poursuivre les travaux sur la gestion des eaux souterraines de renforcer les activit s qui contribuent la compr hension du climat et de
83. me 2007 et pri le Directeur g n ral de renforcer les activit s de l Agence li es au d veloppement de techniques innovantes en particulier gr ce une meilleure coordination des activit s des groupes de travail techniques et de INPRO La Conf rence g n rale a en outre pri le Directeur g n ral de faire rapport sur les progr s r alis s au Conseil des gouverneurs et la Conf rence g n rale sa cinquante troisi me session ordinaire 2009 2 En r ponse cette demande le pr sent rapport r sume les activit s men es dans le cadre de PINPRO et d autres activit s de l Agence relatives aux techniques nucl aires innovantes B Activit s de l INPRO B 1 tat d avancement g n ral du projet 3 Comme suite aux 11 recommandations formul es dans le Rapport sur l valuation du programme 2007 GOV INF 2008 3 organigramme de l INPRO a t rationalis afin d accro tre sa souplesse et un plan d action commun a t tabli en vue de d terminer la port e des activit s et les apports requis des diff rents d partements concern s de l Agence Le projet de programme et budget de l Agence pour 2010 2011 a indiqu les liens entre l INPRO et les autres programmes de l Agence Bien que l INPRO reste encore financ en grande partie par des contributions extrabudg taires un tat Membre s est engag en 2008 fournir des ressources pour l INPRO pendant cinq ans ce qui en a accru la stabil
84. ment durable de l environnement et des ressources en eau dans le bassin sup rieur du Lempa soulignent l approche transfrontali re Con us pour appuyer des programmes de d veloppement de grande envergure et la prise de d cisions strat giques ils ont t mis en uvre avec un profond souci des besoins de la r gion et une forte impulsion de la part des dirigeants Les capacit s techniques nationales ont t renforc es de nouveaux outils ont t introduits des r seaux techniques ont t cr s et de nouveaux produits comme des cartes hydrog ologiques ont t labor s renfor ant ainsi les connaissances et facilitant la prise de d cisions avis es et la coop ration au del les fronti res B 4 Etablissement de partenariats et collaboration accrue avec d autres organismes des Nations Unies 19 Pour ouvrir de nouvelles perspectives de coop ration dans le domaine de la gestion des bassins fluviaux le programme de l AIEA sur les ressources en eau a particip la deuxi me tude conjointe internationale sur le Danube organis e par la Commission internationale pour la protection du Danube ICPDR L tude a t ex cut e en 2007 tout au long des 2 400 km GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 3 Page 6 du fleuve de sa source en Allemagne jusqu la mer Noire C tait la premi re fois que des isotopes taient utilis s dans l tude sur les eaux du Danube Les donn es isotopiques ont servi de r f rence pour la sur
85. nal et le syst me mondial d nergie nucl aire et pour changer des informations leur sujet 15 Les travaux de l INPRO sur les crit res communs d utilisation ont t achev s en 2008 et un rapport final intitul Common User Considerations CUC by Developing Countries for Future Nuclear Energy Systems Report of Stage 1 collection nergie nucl aire n NP T 2 1 a t publi en mai 2009 Cette publication pr sente les conclusions des experts des pays en d veloppement qui envisagent de se doter de centrales nucl aires Un second rapport qui fournira des donn es g n rales et davantage de d tails est en pr paration C Autres activit s de l Agence en mati re de technologie nucl aire innovante 16 L Agence favorise la collaboration entre les tats Membres sur certaines technologies nucl aires innovantes et la R D correspondante Cette collaboration est d velopp e par l interm diaire de plusieurs groupes de travail techniques s occupant par exemple des r acteurs eau avanc s des r acteurs neutrons rapides et des options pour le cycle du combustible nucl aire ainsi que de projets de recherche coordonn e PRC La coordination de ces activit s avec l INPRO est assur e travers le plan d action commun pour l ensemble de l Agence 17 Deux PRC en rapport avec les innovations en mati re de technologie nucl aire ont t achev s en 2008 Un PRC sur les pertes au cours des proce
86. nalyse isotopique GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 3 Page 5 16 La premi re r union organis e au titre du projet RCA intitul valuation de l volution de la qualit de l eau douce l aide d isotopes de l environnement et de techniques chimiques pour une gestion am lior e des ressources approuv pour 2009 2011 s est tenue Kuala Lumpur Malaisie en avril 2009 Les participants ont examin des probl mes mergents et les besoins prioritaires en mati re de mise en valeur et de gestion des ressources en eau et ont t sensibilis s aux avantages et la rentabilit des techniques isotopiques appliqu es pour comprendre les interactions entre eaux de surface et eaux souterraines et les connexions entre les aquif res ainsi que les m canismes de r alimentation de ces derniers et de migration des contaminants dans les eaux souterraines La r union a par ailleurs aid l Agence mieux comprendre les besoins les plus urgents des tats Membres dans le domaine et d finir avec eux les solutions les plus appropri es pour y r pondre dans le cadre du projet De ce fait la cr ation de capacit s dans des secteurs pr cis de l hydrologie isotopique b n ficiera d une attention particuli re de m me que des initiatives de coop ration r gionale 17 Le Moyen Orient tant une r gion aride semi aride il est n cessaire d tudier la possibilit de stocker de l eau gr ce une r alimentation artificielle de certain
87. nc e par le PACT 7 En coordination avec le D partement de la CT la Division de la sant humaine les bureaux r gionaux et nationaux de POMS et d autres partenaires cl s 13 missions post imPACT ont t effectu es dans les six sites mod les En outre des missions imPACT compl tes ont eu lieu Madagascar et en R publique de Moldova et des missions pre imPACT ont t effectu es sur demande en Mongolie en Ouganda et en R publique dominicaine Ces missions ont t ex cut es l aide de contributions de l Espagne de Monaco et de la Nouvelle Z lande et avec le concours technique du R seau international de lutte contre le cancer France ce jour plus de 60 tats Membres ont demand des missions imPACT 8 Les missions imPACT outre qu elles valuent le fardeau que repr sente le cancer au niveau national et la situation en mati re de planification de ressources et de capacit s li es cette maladie correspondent aussi un effort d ploy conjointement au niveau international pour offrir des possibilit s de renforcement des capacit s de formation et de sensibilisation du public Afin d aider les tats Membres dans ce processus un outil d auto valuation imPACT que les tats Membres utilisent avant les missions imPACT afin d aider tablir des donn es de r f rence a t actualis en collaboration avec POMS En outre le PPO a labor un mod le pour l tablissement du profil nationa
88. nt appris comment coordonner leurs efforts pour int grer pleinement l utilisation des techniques isotopiques combin es des techniques traditionnelles dans le d veloppement du secteur de l eau La cr ation dans le cadre de AFRA de centres r gionaux d sign s pour des services d analyse et la formation favorise la coop ration r gionale la cr ation de capacit s et un recours accru aux m thodes isotopiques 15 Dans le cadre d une activit similaire ex cut e au niveau sous r gional des repr sentants de cinq tats Membres francophones d Afrique de l Ouest B nin Burkina Faso Cameroun Niger et R publique Centrafricaine ont particip en mars 2009 une r union de coordination sur l introduction et l harmonisation de projets de coop ration technique consacr s aux ressources en eau La r union avait pour objet d examiner d optimiser et de finaliser les plans de travail des diff rents projets pour assurer la bonne mise en uvre des apports planifi s relatifs la mise en valeur des ressources humaines pour l hydrologie isotopique et les syst mes d information g ographique SIG ainsi qu la planification des activit s sur le terrain Les participants ont tudi les sites et le d lai fix pour la collecte des chantillons d eau aux fins de l analyse isotopique ainsi que les conditions respecter pour l analyse des donn es On leur a galement pr sent le nouvel instrument de spectroscopie laser pour l a
89. op ration nucl aire internationale KONICOF et MDS Nordion Best Medical International Le PPO a continu rechercher des partenariats potentiels de collaboration avec d autres grands organismes s occupant du cancer E Sites mod les de d monstration du PACT 24 Comme il a t indiqu plus haut les sites mod les de d monstration du PACT ont t tablis en collaboration avec l OMS en vue de faire figurer le cancer en bonne place dans les pr occupations mondiales en mati re de sant et d aider les pays revenu faible et interm diaire attirer de nouvelles ressources Par le biais des sites mod les I AIEA PACT POMS le CICR PUICC l INTRC et d autres partenaires aident les autorit s nationales concevoir financer et ex cuter des projets ax s sur les priorit s propres aux pays en mati re de lutte contre le cancer Les organismes concern s ont chacun selon son mandat fourni des comp tences techniques pour la mise en place l am lioration ou le d veloppement des capacit s en mati re d enregistrement des cas de cancer de pr vention et de d tection pr coce de diagnostic et de traitement ainsi que de soins palliatifs Ils continuent faciliter la formation th orique et pratique du personnel de canc rologie dans tous les domaines et aider le gouvernement les ONG et les soci t s du cancer dans leurs activit s de Best Medical International a acquis la ligne de produits de radioth r
90. ope orientale Cara bes et Asie centrale Outre ces associations d finies g ographiquement un r seau de r acteurs de recherche orientation th matique sur lPanalyse des contraintes r siduelles et des textures destin e aux partenaires industriels STRAINET a galement t cr 15 L Agence a continu d apporter un appui aux tats Membres participant aux programmes internationaux de r exp dition du combustible de r acteurs de recherche vers son pays d origine la demande du Portugal et du programme des tats Unis relatif l acceptation du combustible nucl aire us de r acteurs de recherche trangers l Agence a pass un contrat pour l enl vement au Portugal et le rapatriement aux tats Unis de 7 kg de combustible us l uranium hautement enrichi jouant ainsi pour la premi re fois ce r le dans le rapatriement de combustible vers ce pays Dans le cadre du programme de renvoi du combustible d origine russe pour r acteurs de recherche l Agence a aid rapatrier en F d ration de Russie du combustible PUHE de Bulgarie de Hongrie et de Lettonie 16 Le projet de coop ration technique portant sur le rapatriement de combustible us du r acteur de recherche RA de l Institut de Vin a en Serbie s est poursuivi conform ment au calendrier pr vu En juin 2009 la F d ration de Russie a accept de recevoir tout le combustible us soit 2 5 tonnes d UHE et d UFE provenant du r acteur de rec
91. ourde comme mod rateur Son concepteur le Centre de recherche atomique Bhabha est en train d entamer les n gociations pr alables l autorisation avec l Office indien de r glementation de l nergie atomique 18 La Chine est en train de mettre au point le HTR PM modulaire chaque module ayant une capacit de 250 WWth soit 100 MWe Il s agit d un r acteur haute temp rature refroidi par gaz lit de boulets coupl un cycle indirect de conversion de l nergie vapeur supercritique La d monstration d un module de taille r elle est pr vue pour 2013 Une demande de licence a t d pos e et est actuellement l examen Une configuration de centrale deux modules de 200 MWe est pr vue pour la version commerciale de ce r acteur 19 En Afrique du Sud la strat gie de la conception du r acteur modulaire lit de boulets PBMR de 165 MWe un r acteur haute temp rature refroidi par gaz lit de boulets qui devait initialement tre coupl un cycle direct de Brayton et une turbine gaz a t modifi e Il sera d sormais coupl un cycle vapeur indirect Sa d monstration en grandeur r elle est pr vue pour 2014 et ses futures configurations seront des centrales de 4 et de 8 modules 20 Au Japon la soci t Toshiba met au point en coop ration avec l Institut central de recherche de l industrie lectrique CRIEPI et Westinghouse Electric Company le r acteur 4S refroidi au sod
92. portent quatre volets fondamentaux 1 pr vention du cancer l accent tant mis sur les strat gies int gr es de pr vention des facteurs de risque 2 d tection pr coce diagnostic et d pistage pr coces 3 diagnostic et traitement et 4 soins palliatifs GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 2 Page 6 cancer du pays fond s sur les lignes directrices et les strat gies de POMS relatives la lutte contre le cancer dans chaque r gion D Constitution de partenariats suppl mentaires 22 Le PACT a continu explorer toutes les possibilit s pour constituer de nouveaux partenariats Les arrangements pratiques mod les pour le PACT ont t mis au point en 2007 pour formaliser la collaboration entre l Agence et les partenaires internationaux dans la fourniture d un appui aux activit s de lutte contre le cancer dans les tats Membres Des arrangements individuels ont t conclus avec le CIRC l INCTR POECI PUICC le Programme pour une technologie appropri e en sant PATH l Alliance pour la pr vention du cancer du col de l ut rus ACCP la Fondation Lance Armstrong LAF et Axios 23 D autres partenariats pr cieux ont t tablis ces deux derni res ann es avec l ACS C Change l Institut national fran ais du cancer INCa l Autorit tch que de s ret nucl aire l Universit d Oxford l Institut pour la soci t ouverte OST le Tata Memorial Centre Inde la Fondation cor enne pour la co
93. ppuyer le d veloppement de l infrastructure lectronucl aire 2 La Conf rence g n rale a encourag le Secr tariat entreprendre des valuations des approches et des options appropri es pour r pondre aux besoins en infrastructure en vue d appuyer l introduction de technologies lectronucl aires et leur utilisation s re s curis e et efficiente pour les tats Membres qui envisagent ou planifient l introduction de l lectronucl aire et a pri le Directeur g n ral de faire rapport sur les d veloppements en rapport avec cette question au Conseil des gouverneurs et la Conf rence g n rale sa 53 session Le pr sent rapport r pond cette demande B Travaux men s depuis la 52 session de la Conf rence g n rale 3 Au cours des trois derni res ann es le nombre des tats Membres demandant une assistance l Agence pour tudier la possibilit d introduire l lectronucl aire est pass plus de 60 Nombre de ces pays commencent tout juste se pencher sur les questions voulues pour prendre une d cision en connaissance de cause au sujet de l lectronucl aire et le nombre des pays dont l Agence pr voit qu ils exploiteront leur premi re centrale nucl aire au cours des prochaines d cennies est plus restreint Le pr sent rapport r sume les efforts d ploy s par l Agence pour r pondre aux demandes de tous les tats Membres concernant l introduction de l lectronucl aire 4
94. r la mise en uvre l analyse et l valuation des r sultats Jusqu ici sept pays ont d clar souhaiter proc der de nouvelles valuations nationales l aide de la m thodologie INPRO savoir l Afrique du Sud le B larus la Chine l Indon sie Isra l le Japon et le Mexique 8 Un atelier de coop ration technique sur les outils de AIEA pour l valuation des syst mes d nergie nucl aire aux fins de la planification et du d veloppement long terme a t organis en juillet 2009 l appui des activit s de formation l emploi de la m thodologie INPRO Il a r uni 46 scientifiques de 41 tats Membres de l AIEA 9 Deux projets de collaboration PC INPRO dans le cadre desquels des membres de l INPRO coop rent sur des questions techniques particuli res sont en cours d ex cution et concouront tous deux au d veloppement et l application de la m thodologie INPRO Le premier porte sur la r sistance la prolif ration analyse des voies d acquisition de d tournement PRADA le second sur l valuation du comportement des dispositifs de s ret passive des r acteurs gaz PGAP Le projet PRADA permet d analyser les voies d acquisition et de d tournement et contribue renforcer la solidit des barri res la prolif ration Le projet PGAP a pour objet de proposer une d finition accept e au niveau international pour la fiabilit des syst mes passifs thermohydrauliques ain
95. rdonner les contributions de l Agence au Programme commun en mettant initialement l accent sur les sites mod les Ult rieurement les activit s pourront tre tendues des tats Membres suppl mentaires dans chaque r gion notamment en r pondant aux demandes pour des examens imPACT au moyen des ressources extrabudg taires disponibles 35 Le probl me le plus crucial pour le PACT au cours des trois cinq prochaines ann es sera d apporter des bienfaits tangibles aux citoyens de tous les pays des sites mod les et de parvenir d montrer que les organismes internationaux peuvent coop rer et extraire des synergies en vue de maximiser leur impact individuel et collectif En outre le PACT s efforcera de continuer acqu rir de l exp rience sur le terrain et d obtenir un aper u du probl me du renforcement des capacit s en oncologie dans les pays faible revenu Lorsque l AIEA POMS et d autres acteurs cl s consid reront que cette phase progresse de mani re satisfaisante sous r serve de son valuation par des experts ind pendants le PACT sera en mesure d tendre ses activit s de collecte de fonds d autres pays en d veloppement en pr sentant les r sultats obtenus aux principaux donateurs afin de faire passer les efforts de mobilisation de ressources l chelle sup rieure Les sites de d monstration actuels du PACT tant en voie d ach vement une attention particuli re devra tre accord e la for
96. recommandations du rapport imPACT relatives au renforcement du programme national de lutte contre le cancer au Ghana a d bouch sur des pr ts long terme du Fonds de l OPEP pour le d veloppement international et de la Banque arabe de d veloppement conomique en Afrique d un montant total de 13 5 millions de dollars De la m me mani re les contreparties du site mod le au Vietnam ont port au cr dit des initiatives du PACT en tant que catalyseur le soutien bilat ral apport par l Australie et l Autriche en vue de former jusqu 30 sp cialistes et de fournir jusqu six appareils de radioth rapie L encouragement et le soutien des efforts bilat raux sont un domaine auquel le PACT s efforcera de faire une large place dans sa strat gie de mobilisation de ressources La confiance des donateurs dans le soutien ces projets a t renforc e par le solide appui technique apport par l AIEA et POMS 29 Le PPO continue rechercher des sources de financement non traditionnelles pour ses activit s Le recrutement de fonctionnaires sp cialis s dans la collecte de fonds en 2009 a permis de solliciter davantage les donateurs individuels plus modestes afin de tirer tout le parti possible du soutien qu ils peuvent apporter par le biais du site web du PACT http www cancer iaea org qui est en mesure de recevoir des dons d un montant allant jusqu 10 000 euros L Agence met la derni re main une strat gie globale de co
97. rtenaires pourraient fournir l assistance n cessaire pour l ex cution d activit s de laboratoire et de terrain en pr vision d une phase op rationnelle d application de la TIS Moyennant des ressources suppl mentaires cette phase pourrait commencer pendant le cycle actuel de CT 2009 2011 16 Le Burkina Faso a suivi les conseils techniques de l Agence de mani re exemplaire Ax es sur le bassin fluvial du Mouhoun comme premi re zone d intervention contre la ts ts les donn es g or f renc es disponibles sur la pr sence et l abondance des esp ces de cette mouche ainsi que sur la trypanosomiase transmise par la ts ts ont t saisies dans un syst me d information g ographique SIG pour appr hender et analyser la situation concernant la ts ts et la trypanosomiase Les informations compl mentaires n cessaires ont t collect es en suivant l approche syst matique expos e dans le guide FAO AIEA pour les tudes de r f rence sur la ts ts L ann e derni re l Agence a fourni un ensemble jour d images satellitaires haute r solution de toute la zone d intervention et a tabli un contrat pour la classification de l utilisation la couverture des sols Des activit s de r duction des populations de ts ts ont t entreprises en faisant appel des quipes de terrain form es qui taient disponibles ainsi qu au mat riel de r duction obtenu au moyen du pr t de la BAfD Bien qu
98. s aquif res et d exploiter ces aquif res durant les p riodes de s cheresse Dans le cadre d un projet ARASIA intitul Application des isotopes et des techniques g ochimiques l tude de la r alimentation artificielle des nappes souterraines approuv en 2005 l Agence aide les pays participants effectuer des tudes pertinentes et a contribu la mise en valeur des ressources humaines pour l interpr tation de donn es chimiques et isotopiques destin es des tudes sur la r alimentation artificielle l chantillonnage sur le terrain et l analyse en laboratoire ainsi que pour la mod lisation de donn es g ochimiques Les r sultats de ces recherches g ochimiques et isotopiques d taill es ont permis de caract riser les sites tudi s et de fixer des crit res pour la s lection des meilleurs emplacements cette fin 18 Les activit s de coop ration technique en Am rique latine ex cut es par l Agence depuis 2007 ont t ax es sur l valuation d aquif res transfrontaliers ce qui a permis de d gager des enseignements utiles et d obtenir des r sultats techniques qui sont n cessaires pour consolider les connaissances scientifiques et techniques appuyant la coop ration r gionale et les efforts d ploy s par les autorit s nationales pour formuler des plans d action strat gique Deux projets r cemment achev s l un sur la Gestion int gr e durable du syst me aquif re du Guarani et l autre sur le D veloppe
99. s autres projets de CT sur la mouche ts ts AIEA fournira une assistance cette initiative sous r gionale en suivant rigoureusement son approche progressive et conditionnelle de la planification et de la mise en uvre 15 L assistance fournie par l Agence pour l tablissement d une capacit nationale de lutte contre la ts ts l aide de la TIS au Kenya a permis de r aliser des progr s importants ces derni res ann es Dans le cadre du projet national de CT Gestion int gr e de la mouche ts ts et de la trypanosomose l chelle d une r gion dans la vall e de Lambwe des techniques de g n tique des populations ont t introduites une colonie de l esp ce Glossina pallidipes a t tablie et des orientations ont t donn es pour la r duction intensive des populations de ts ts l chelle d une zone avant application de la TIS Une colonie de 20 000 mouches femelles de l esp ce Glossina pallidipes est d j disponible pour entreprendre des l chers pilotes de m les st riles en 2009 Les techniques de g n tique des populations ont confirm l isolement de la premi re zone cibl e la vall e de Lambwe et le niveau atteint de r duction de la ts ts semble permettre le lancement des activit s faisant appel la TIS Aucune note de concept n ayant t pr sent e pour le cycle de CT 2009 2011 de l AIEA on s efforce actuellement de d terminer comment l Agence ou d autres pa
100. s sols l nergie et l eau et a pr sent les r sultats d une tude de cas concernant la mise au point d un outil quantitatif int gr pour une planification combin e de l utilisation de l nergie de l eau et des sols 4 L Agence a organis en avril 2009 une Conf rence minist rielle internationale sur l nergie nucl aire au XXT si cle accueillie par le gouvernement chinois Beijing Chine La conf rence a pass en revue la situation et les perspectives de l nergie nucl aire y compris les progr s technologiques et a examin les mesures n cessaires une plus grande expansion de l lectronucl aire Dans son r sum le pr sident de la Conf rence a not que tout en respectant le droit de chaque tat d finir sa politique nerg tique nationale conform ment ses obligations internationales les participants dans leur grande majorit ont affirm que l nergie nucl aire en tant que technologie prouv e propre s re et comp titive contribuerait de plus en plus au d veloppement durable de l humanit au cours du XXI si cle et au del 5 Les Etats Membres sont de plus en plus nombreux disposer de programmes de gestion des connaissances nucl aires ou en laborer L Agence effectue des visites d assistance GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 4 Page 2 dispense des formations et fournit des documents de r f rence Elle facilite la mise en r seau et contribue directement
101. si qu une m thode pour en valuer la fiabilit GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 6 Page 3 B 3 Vision globale 10 Dans le domaine touchant la vision globale des sc narios concernant les perspectives et les enjeux de l nergie nucl aire au XXI si cle sont l tude et en cours d laboration Une publication sur les sc narios mondiaux et les tendances r gionales en mati re de d veloppement de l nergie nucl aire au XXT si cle est en pr paration et para tra la fin de 2009 Elle analyse la contribution possible des syst mes d nergie nucl aire la satisfaction des besoins nerg tiques des diff rentes r gions et les d marches possibles en mati re institutionnelle et technologique et leur effet sur la mise en uvre des innovations requises 11 Quatre PC sont en cours dans ce domaine Le PC concernant l architecture globale des syst mes nucl aires innovants faisant appel des r acteurs neutrons thermiques et rapides comportant des cycles du combustible ferm s GAINS utilise les pr visions existantes des besoins nerg tiques mondiaux et r gionaux jusqu en 2100 et analyse les diff rents syst mes d nergie nucl aire y compris les synergies entre les diverses technologies et les tapes du cycle du combustible examine les options possibles en mati re d approvisionnement pour r pondre la demande pr vue et value ensuite les m thodes d analyse utilis es et d termine
102. son impact sur le cycle de l eau et de continuer mettre en valeur les ressources humaines dans le domaine de l hydrologie isotopique Elle l a en outre pri de lui faire rapport sa cinquante troisi me session ainsi qu au Conseil des gouverneurs sur les progr s r alis s dans la mise en uvre de cette r solution B Faits nouveaux intervenus depuis la session ordinaire de 2007 de la Conf rence g n rale 2 ses 16 et 17 sessions la Commission du d veloppement durable CDD des Nations Unies a concentr ses travaux sur l agriculture le d veloppement rural les sols la s cheresse la d sertification et l Afrique o l eau est un probl me crucial et intersectoriel Ces sessions ont permis aux gouvernements l ONU et d autres acteurs importants y compris au secteur priv de raffermir leur d termination s attaquer la crise mondiale des prix alimentaires de relever les d fis de la faim et de la malnutrition et de contribuer la r alisation des objectifs du Mill naire pour le d veloppement OMD ainsi que des objectifs et des engagements du Sommet de Johannesburg On y a soulign que les objectifs de l radication de la pauvret de la s curit alimentaire et de la gestion durable des ressources naturelles en particulier des ressources en eau taient interd pendants et devaient tre trait s de mani re coh rente et int gr e 3 Le 5 Forum mondial de l eau et sa conf ren
103. ssus de s paration dans les syst mes de partition et de transmutation afin de r duire le plus possible les effets long terme sur l environnement a permis d tablir une relation quantitative entre l impact environnemental des d chets stock s d finitivement et la r duction des l ments transuraniens dans les d chets compte tenu des pertes lors de la s paration partir de l on a fix des valeurs cibles pour la r duction des l ments transuraniens qui correspondent aux pertes actuelles Un PRC sur les ph nom nes de circulation naturelle la mod lisation et la fiabilit des syst mes passifs s est pench sur le recours la circulation naturelle et aux syst mes passifs dans 20 mod les de r acteurs avanc s de r f rence refroidis par eau Douze GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 6 Page 5 ph nom nes influant sur la circulation naturelle ont t caract ris s notamment le comportement du liquide en grands bassins l effet des gaz incondensables sur le transfert thermique lors de la condensation la condensation sur les structures de confinement et les interactions vapeur liquide 18 Quatre PRC en rapport avec les techniques nucl aires innovantes ont d but en 2008 Deux d entre eux qui ont trait aux r acteurs neutrons rapides sont li s des programmes exp rimentaux men s l un sur le r acteur MONJU au Japon et l autre sur le r acteur PH NIX en France dans le cadre du red marrage du premier et
104. stions cl s devaient tre r gl es de mani re satisfaisante avant que ce projet ne passe en phase op rationnelle et que l Agence ne l appuie Ces questions comprennent le d veloppement du syst me de gestion de projets la production de m les st riles plus grande chelle et la r duction intensive des populations de mouches ts ts dans toute la zone y compris le parc national de Nech Sar Il faut en outre s efforcer d obtenir les ressources suppl mentaires requises pour mener le projet bonne fin L Agence et d autres partenaires comme la FAO et le PLTA aideront les autorit s thiopiennes combler les lacunes relev es et apporteront leur plein appui au lancement de la phase op rationnelle 4 d s que toutes les conditions n cessaires seront r unies 12 L Agence a continu de fournir une assistance et des conseils techniques au S n gal au titre d un projet national de CT nouvellement approuv sur la Mise en uvre de la phase pr op rationnelle pour la cr ation d une zone exempte de Glossina palpalis gambiensis l aide de la technique de l insecte st rile TIS Gr ce l appui solide du gouvernement et la collaboration du Centre de coop ration internationale en recherche agronomique pour le d veloppement CIRAD et de l Institut fran ais de recherche pour le d veloppement IRD d excellents progr s ont t r alis s au titre de ce projet et d un projet de CT ant rieur Ces deux
105. suivants i mise au point d une analyse des parties prenantes au niveau r gional d une analyse des liens de cause effet et d une analyse de la gouvernance pour tous les pays ii organisation de la toute premi re r union des parties prenantes sur l aquif re nubien en gypte et au Soudan iii recrutement d une quipe qui se consacre la mod lisation de l aquif re nubien en 2009 et iv deuxi me r union du comit directeur en janvier 2009 14 En 2009 un projet r gional intitul Cr ation de capacit s pour appuyer la planification la mise en valeur et la gestion des ressources en eaux r gionales et sous r gionales en Afrique a t lanc dans le cadre de AFRA avec l appui de l Agence L objectif g n ral de cette entreprise laquelle participent 15 tats Membres est de doter l Afrique de moyens d int grer les techniques isotopiques dans la planification la mise en valeur et la gestion durable des ressources en eau de la r gion en appuyant et en renfor ant des centres de formation r gionaux et en fournissant des services d analyse Pendant sa premi re r union de coordination tenue en avril 2009 Kampala Ouganda les participants ont chang leurs donn es d exp rience sur l utilisation des techniques d hydrologie isotopique dans la gestion des ressources en eau et ont recens les domaines o celle ci peut tre am lior e S appuyant sur une tude d activit s ant rieures les tats Membres o
106. tion GC 51 RES 14 A 2 r affirm les pr occupations des tats Membres devant les souffrances des canc reux et de leurs familles en particulier dans les pays en d veloppement faibles ressources et appel l attention sur la grave menace que le cancer fait peser sur le d veloppement conomique Elle a pri le Directeur g n ral de continuer de plaider de recueillir un appui et de mobiliser et d allouer des ressources pour la mise en uvre du Programme d action en faveur de la canc roth rapie PACT en tant que l une des priorit s de l Agence de continuer de proposer de renforcer et de faciliter la participation de l Agence des partenariats internationaux avec des donateurs non traditionels en vue de poursuivre d velopper et mettre en uvre le PACT et de poursuivre les consultations avec le Directeur g n ral de l OMS sur la faisabilit d un programme commun l Agence et l OMS pour la pr vention et le traitement du cancer la lutte contre cette maladie et les travaux de recherche la concernant 2 La Conf rence g n rale a recommand de poursuivre le d veloppement en consultation avec les tats Membres des missions imPACT missions int gr es du PACT en tant que service de l Agence que le PPO Bureau du PACT continue ses activit s de sensibilisation au fardeau du cancer dans le monde men es dans les pays revenu faible ou interm diaire et cet gard qu il utilise tous les moyens sa d
107. ture Review Missions Guidance on Preparing and Conducting INIR Missions a t publi e en 2009 Les missions INIR sont des examens par des pairs coordonn s par l Agence GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 8 Page 3 que des quipes d experts internationaux effectuent en se fondant sur le document Evaluation of the Status of National Nuclear Infrastructure Development L objectif et la port e d un tel examen sont adapt s aux besoins de l tat Membre demandeur Comme dans le cas d une auto valuation la mission INIR est destin e aider le pays d terminer les lacunes dans le niveau actuel de d veloppement de son programme par rapport aux tapes pr vues et y rem dier efficacement gr ce entre autres une coop ration internationale et notamment au programme de coop ration technique de l Agence La premi re mission INIR devrait avoir lieu au cours du second semestre de 2009 11 Depuis la 52 session de la Conf rence g n rale le Projet international de 1 Agence sur les r acteurs nucl aires et les cycles du combustible nucl aire innovants INPRO a publi en 2009 deux documents susceptibles d aider les tats Membres valuer la viabilit long terme de leurs programmes lectronucl aires savoir le manuel d utilisation de la m thodologie INPRO en neuf volumes et une publication intitul e Lessons Learned from Nuclear Energy System Assessments NESA using the INPRO Methodology ainsi qu un rapport
108. u ainsi que le Service g ologique des tats Unis devrait tre lanc en 2010 22 Le R seau d analyse pour l hydrologie isotopique IHAN qui r pond aux besoins en analyse de projets de coop ration technique de PRC et des r seaux isotopiques mondiaux a t tendu et comprend maintenant 17 nouveaux laboratoires de 15 tats Membres Allemagne Argentine Autriche Br sil Chili gypte El Salvador France Maroc Mexique Pakistan Pays Bas Pologne Tunisie et Vietnam GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 4 Page 1 Activit s de l Agence dans le domaine de l nergie nucl aire 1 La pr sente annexe r sume les points saillants des activit s de l Agence relatives l eau potable aux technologies nucl aires innovantes aux r acteurs de faible ou moyenne puissance et au d veloppement de l infrastructure lectronucl aire qui ne sont pas trait es dans les annexes 5 6 7 et 8 respectivement 2 L actualisation 2009 des projections haute et basse de l Agence concernant la croissance mondiale de l lectronucl aire a entra n leur r vision la hausse Dans la projection basse actualis e la capacit lectronucl aire mondiale atteint 511 GWe et dans la projection haute actualis e elle atteint 807 GWe en 2030 contre 372 GWe la fin de 2008 3 L Agence a particip la 14 session de la Conf rence des Parties la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques COP 14
109. une mani re compr hensible aussi bien pour les scientifiques que pour les non sp cialistes L exposition de l Agence Saragosse comprenait aussi des pr sentations des affiches et d autres ouvrages portant sur l utilisation des isotopes pour la gestion des ressources en eau Elle a accueilli plus de 15 000 personnes et a t tr s appr ci e aussi bien par les organisateurs que par les visiteurs Les autres stands d information de l Agence ont aussi t tr s fr quent s 6 L Agence a coparrain une conf rence internationale sur les eaux souterraines et le climat en Afrique Kampala Ouganda Ses interventions ont contribu faire mieux comprendre comment l utilisation des isotopes aide comprendre l impact du changement climatique sur la r alimentation des nappes phr atiques La conf rence a t la premi re examiner la contribution des eaux souterraines l am lioration des moyens de subsistance en Afrique dans des conditions de d veloppement rapide et de changements climatiques Elle a d bouch sur l tablissement d une feuille de route indiquant aux d cideurs comment s adapter aux impacts du changement climatique sur les ressources en eau En outre elle a GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 3 Page 3 soulign la n cessit d accro tre la coop ration r gionale en ce qui concerne l valuation des ressources en eau B 2 Acc s am lior aux techniques isotopiques et l information 7
110. veillance de l impact du changement climatique sur l hydrologie fluviale mais aussi ont permis de mieux comprendre l hydrologie fluviale et les sources des nutriments et ont contribu une coop ration transfrontali re plus efficace pour atteindre les objectifs de la directive cadre de l Union europ enne dans le domaine de l eau 20 En collaboration avec le FEM l Agence a organis en 2008 une tourn e internationale pour trois quipes de gestion d aquif res l aquif re de Guarani en Am rique latine et en Afrique les aquif res du nord ouest du Sahara et d Illumeden Le voyage d tude qui s est d roul dans plusieurs lieux des tats Unis sous la houlette du Service g ologique de ce pays avait pour objectif de mettre en commun les connaissances les donn es d exp rience et les meilleures pratiques en vue de renforcer la gestion des aquif res transfrontialiers des tats Membres concern s Il a servi de tremplin la cr ation d un r seau de sp cialistes travaillant des projets sur les eaux souterraines soutenus par le FEM et a permis d int grer des techniques isotopiques dans ces projets 21 L Agence a labor un concept de partenariat destin accro tre sous sa direction le nombre d valuations nationales des ressources en eau dans les tats Membres Ce partenariat dont le concept a t formul en coop ration avec le PNUD la FAO l UNESCO POMS et d autres membres de l ONU Ea
111. visageant d introduire l lectronucl aire est celle de la mise en valeur des ressources humaines en sorte que celle ci et la planification des effectifs tiennent une place importante dans nombre de projets de CT pertinents D une mani re plus g n rale comme le contenu des projets couvre toute l tendue des programmes de l Agence pour les 19 questions relatives l infrastructure recens es dans le guide de la collection nergie nucl aire intitul Milestones in the Introduction of a National Nuclear Power Programme NG G 3 1 une approche int gr e de l laboration des plans de travail et de la conduite des missions est n cessaire pour l ex cution des projets B 2 Publications et ateliers 9 la fin de 2008 l Agence a publi le document Evaluation of the Status of National Nuclear Infrastructure Development collection nergie nucl aire n NG T 3 2 qui est troitement li celui intitul Milestones in the Development of a National Infrastructure for Nuclear Power dont il est question ci dessus Cette publication offre une base pour une auto valuation ou une valuation par des experts ext rieurs de l tat de l infrastructure d un pays Une telle valuation peut constituer un moyen efficace pour un tat Membre de recenser les lacunes et les besoins existants en vue de mieux planifier son programme 10 Une brochure sur un nouveau service de l Agence intitul e ZNIR Integrated Nuclear Infrastruc
112. y Ly IAEA N VV L atome pour la paix Conseil des gouverneurs 2a GOV 2009 49 GC 53 3 Conf rence g n rale 21 ao t 2009 Distribution g n rale Fran ais Original anglais R serv usage officiel Point 5 de l ordre du jour provisoire du Conseil GOV 2009 58 Point 18 de l ordre du jour provisoire de la Conf rence g n rale GC 53 1 Renforcement des activit s de l Agence concernant les sciences la technologie et les applications nucl aires Rapport du Directeur g n ral R sum En r ponse aux r solutions GC 51 RES 14 et GC 52 RES 12 de la Conf rence g n rale le pr sent document contient des rapports de situation sur l appui la Campagne panafricaine d radication de la mouche ts ts et de la trypanosomiase de l Union africaine PATTEC UA annexe 1 le Programme d action en faveur de la canc roth rapie annexe 2 le recours lhydrologie isotopique pour la gestion des ressources en eau annexe 3 les activit s de l Agence dans le domaine de l nergie nucl aire annexe 4 la production d eau potable l aide de r acteurs nucl aires annexe 5 les activit s de l Agence visant mettre au point des techniques nucl aires innovantes annexe 6 les r acteurs de faible ou moyenne puissance annexe 7 et le d veloppement de l infrastructure lectronucl aire annexe 8 e D autres informations sur les activit s de l Agence dans le domaine des scien
113. ys partenaire du GNEP L tude a conclu que la cog n ration pour la production d lectricit et d eau douce au moyen d un r acteur eau sous pression tait non seulement GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 5 Page 5 une raison viable pour le d veloppement de l nergie nucl aire mais qu elle pouvait galement g n rer des revenus substantiels 25 Plusieurs autres pays envisagent de lancer au niveau national ou multilat ral des programmes de d monstration du dessalement nucl aire ou du dessalement dans le cadre d une cog n ration Il s agit notamment de l Arabie saoudite de l gypte des mirats arabes unis de la Jordanie du Kowe t de la R publique arabe syrienne et d autres pays du Conseil de coop ration du Golfe Bahre n Oman et Qatar GOV 2009 49 GC 53 3 Annexe 6 Page 1 Activit s de l Agence visant mettre au point des techniques nucl aires innovantes A Contexte 1 Dans la r solution GC 52 RES 12 B 3 la Conf rence g n rale a encourag les tats Membres int ress s envisager ensemble de mettre au point et de d ployer des syst mes d nergie nucl aire innovants recommand de poursuivre les travaux men s cette fin par le Projet international sur les r acteurs nucl aires et les cycles du combustible nucl aire innovants INPRO engag le Secr tariat se pencher sur les recommandations relatives l INPRO pr sent es dans le Rapport sur l valuation du program

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Bond Manufacturing 66770BOND Instructions / Assembly  LUKE – learning underlying knowledge of experts – User Manual  Das Schmiersystem perma PRO C - DWT-Munk  Forecast 5 User Manual Forecast 5 User Manual  Ver．2 発売開始  Dear Exhibitor:  Manual de Instalaçao POWERMAX M DC Indoor  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file