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EMVT91_3 [12.83 Mo] - Revue d`élevage et de médecine

1. 264 Retour au menu Mean number ticks per animal 150 BD decoloratus ma mu B annulatus 100 50 O N D J F M A M J J A S month Fig 1 Dynamics of Boophilus During the dry season most cattle go on transhumance where there is neither access to acaricide spraying nor dipping The Fulani herdsmen also maintain a meticulous hand deticking policy but this hardly reduces the effect on immediate disease transmision as only engorged ticks are seen and picked The prospects for the eradication of ticks in Africa are dim 15 When tick control is the only measure taken against tick borne disease it should be as intensive as possible especially where susceptible breeds are concerned with the disadvantage that a precious endemic stability as regards babesiosis and anaplasmosis may be lost for local breeds In order to maintain this stability an integra ted tick control programme including acaricides pasture spelling resistant cattle and genetic manipulations might lead to a great success This practice contributes to numerically reducing subse quent tick populations and its effect is thus not negligible as far as the epidemiology is concerned EPIDEMIOLOGIE Acknowledgements Our thanks go to the technicians of the Veterinary Laboratory CRZ Bambui who always assisted us both in the field work and the laboratory MM Sali DJANGO William ATANGA Moses MOKOM and Mrs Mary FONM BOHA NDI C
2. Belabo Bertoua YAOUNDE toudi Mban joo Obala Fig 1 Provenance des bovins du march d Etoudi 310 n P 436 6 180 7 EJES 38 4 126 4 EN 28 299 291 295 294 19 3 191 20 195 155 1 141 Technique de r colte La r colte se faisait main nue une fois tous les 15 jours de juin 1985 mai 1986 Cinq animaux dociles choisis au hasard sont couch s par terre et attach s Les tiques sont collect es sur diff rentes parties du corps fig 2 et directement introduites dans l alcool 70 pour conservation avant d tre tudi es au laboratoire Fig 2 R gions anatomiques d une femelle Gudali 1 oreilles 2 t te 3 cou 4 pattes aisselles espaces interdigitaux 5 toupillon 6 anus 7 testicules mamelles 8 reste du corps Analyses statistiques Pour v rifier si d autres facteurs comp titions influen cent la dynamique des tiques sur l h te il importe de cal culer les corr lations entre les diff rentes esp ces d un m me genre et entre les divers genres Ce calcul a t fait sur le programme d ordinateur MSTAT 17 L indice quotidien moyen IQM a t calcul selon la for mule suivante IQM N D o N est le nombre de tiques r colt es lors d un pr l vement par h te selon l esp ce et la stase D la dur e moyenne de fixation sur l h te selon l esp ce et la stase exprim e en jours Cet indice repr
3. Comme en 1987 l interaction M x L a t trouv e signifi cative Il existe deux raisons cela D une part la quanti t initiale des semences dans le sol est diff rente d une localit l autre L effet du semis sur la lev e est d autant plus important que les plaines sont d grad es comme In Enheren et Tidjajiwen D autre part Tidjajiwen la lev e a t relativement bonne avec le traitement semis et pi tinement par rapport celle obtenue avec la m me m thode dans les autres localit s Ici elle a t r alis e avec une humidit suffisante alors que dans les autres localit s en 1988 le sol n tait pas suffisamment humide pour effectuer le travail correctement Tin Tabakat on remarque que la plaine n est pas totalement d grad e car la lev e enregistr e sur le t moin a t de 22 8 plantes m tabl V La densit la plus lev e a t not e avec la m thode semis et tra vail sec soit une densit de 97 5 plantes m Le semis en poquets a aussi donn un r sultat assez bon Le semis dans les fissures n a pas entra n d augmen tation des densit s A in Enheren la m thode semis et pi tinement n a pas sensiblement augment la densit car le travail n a pu tre effectu en temps voulu En effet la r alisation de In Enheren 0 5 0 7 49 4 106 1 52 7 156 9 17 8 6 0 _ 84 4 284 5 473 240 9 4 4 369 99 8 75 3 47 0 k k cette m thode
4. los ganaderos semin mados de Rep blica Centroafricana Mbororo Es desmontable facilmente transportable y sin manejo complejo Es de unos 30 FF al maximo 1 500 F CFA el precio de coste de una trampa Palabras claves Glossina fuscipes fuscipes Lucha contra los insectos Trampa bipiramidal Protecci n de la ganader a Ganadero Peul Rep blica Centroafricana Retour au menu ENTOMOLOGIE BIBLIOGRAPHIE 1 CHALLIER A EYRAUD M LAFAYE A LAVEISSIERE C Am lioration du rendement du pi ge biconique pour les glossines Diptera Glossinidae par l emploi d un c ne inf rieur bleu Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1977 15 283 286 2 CUISANCE D Bilan de quatre missions d appui l unit de lutte contre les glossines dans le cadre du projet national de d velop pement de l levage Maisons Alfort Rapport IEMVT BDPA SCETAGRI 1988 62 p 3 CUISANCE D GOUTEUX J P CAILTON P KOTA GUINZA A N DOKOUE F POUNEKROUZOU E DEMBA D Probl matique d une lutte contre les glossines pour la protection de l levage z bu en R publique centrafricaine Soc r belge Ent 1991 35 sous presse 4 GOUTEUX J P BLANC F Co t du pi ge bipyramidal ts ts ANDE Bangui ORSTOM ANDE 1990 3 p 5 GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F La lutte par pi geage contre Glossina fus cipes fuscipes pour la protection d
5. die doit tre men e afin de mieux conna tre la valeur nutritive effective de la GCDSG et son effet des taux lev s dans des r gimes alimentaires propos s diff rentes phases de croissance des poulets de chair Retour au menu L tude conomique succincte r alis e sur la base du prix de vente des graines de coton 23 francs CFA kg actuellement pratiqu par les usines d grenage de la Compagnie lvoirienne pour le D veloppement des Textiles CIDT permet de penser que la graine de coton pourrait tre valoris e de mani re rentable dans l alimen tation animale Toutefois l int r t macro conomique d une telle utilisation est fonction des possibilit s alterna tives de valorisation notamment dans les huileries CONCLUSION AAA AAA U Dans l ensemble les r sultats obtenus montrent que la graine de coton d cortiqu e issue de vari t s sans gos sypol pourrait constituer une nouvelle ressource alimen taire de bonne valeur nutritive pour les monogastriques YO T Use of dehulled glandless cottonseed DGCS in broiler diets in C te d Ivoire Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 355 360 The use of dehulled glandless cottonseed DGCS as protein and ener gy sources in broiler diets was tested comparing four diets with either 0 10 15 or 20 DGCS No significant effect on the live weight gain in the broilers was noted at 14 28 42 days of age For the whole expe rimental period
6. 1971 24 381 389 13 O KELLY J C SEIFFERT G W The effect of tick Boophilus microplus infestation on the blood composition of Shorthorn x Hereford cattle on high and low planes of nutrition Aust J biol Sci 1970 23 681 690 14 UILENBERG G Notes sur les bab sioses et l anaplasmose des bovins Madagascar Revue Elev M d v t Pays trop 1970 23 4 439 454 15 UILENBERG G Ticks and tick borne diseases of veterinary interest in Europe and Africa prospects for control and eradication Jn JOHN STON L A Y COOPER M G eds Ticks and tick borne diseases Sidney Australian Veterinary Association 1980 Pp 1 3 16 WHARTON R H NORRIS K R Control of parasitic arthropods Vet Parasit 1980 6 135 164 17 WILKINSON P R Pest management concepts and control of tick paralysis in British Columbia J ent Soc Br Colum 1968 65 3 9 265 Retour au menu PATHOLOGIE Pig trypanosomosis comparative B C O Omeke f anaemia and histopathology D O Ugwu OMEKE B C 0 UGWU D O La trypanosomose porcine an mie et histologie compar es des organes lymphoides Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 267 272 Apr s avoir infect exp rimentalement des porcs par des esp ces pathog nes de Trypanosoma brucei brucei et de Trypanosoma congo lense le premier se montrant plus virulent que le second les auteurs ont tudi un syndrome d an mie accompagn
7. N effectif X moyenne S cart type estim CV coefficient de variance en p cent 1 donn es moyennes de la ferme 2 donn es moyennes de deux fermes un papillon Chilo aleniella Strand Pyralidae Crambinae et un dipt re de la famille des Tephritidae du genre Tephraciura Les chenilles perforent la chaume et s installent au centre de celui ci Selon le stade de leur d veloppe ment elles peuvent se d placer de un quatre entre noeuds Ce mouvement m canique ainsi que leur nutri tion entra nent la destruction des tissus internes des chaumes dont elles se nourrissent Le chaume peut avoir un plusieurs trous localis s dans un entre noeud ou non Le tableau indique les taux d attaque des parasites dans les p turages de chaque ferme et pour l ensemble des deux fermes L analyse de la variance a deux criteres de classification montre qu il n y a pas de diff rence significative entre les deux fermes Par contre on observe une diff rence hau tement significative entre les p turages de deux fermes avec une probabilit inf rieure 0 001 Une analyse de la variance un crit re de classification dans chaque ferme confirme la grande variabilit entre p turages ferme de Djumali 4 9 et ferme de Nioka 5 23 avec pour toutes les deux une probabilit inf rieure 0 01 Le test de Newman et Keuls montre que les moyennes des p turages 5 et 3 ne sont pas significativement diff rentes pour
8. Recherche vulgarisation et d veloppement rural en Afrique noire Paris Minist re de la Coop ration 1987 245 p BOUTRAIS J Des Peul en savanes humides D veloppement pastoral dans l Ouest centrafricain Paris ORSTOM 1988 387 p Etudes et Th ses CHALLIER A EYRAUD M LAFAYE A LAVEISSIERE C Am lioration du rendement du pi ge biconique pour glos sines Diptera Glossinidae par l emploi d un c ne inf rieur bleu Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1977 15 283 286 CUISANCE D GOUTEUX J P CAILTON P KOTA GUINZA A N DOKOUE F POUNEKROUZOU E DEMBA D Probl matique d une lutte contre les glossines pour la protection de l levage z bu en RCA Soc r belge Ent 1991 sous presse GENTIL D Quelques interrogations au sujet de la m thode formation et visites Jn Colloque de Yamoussoukro Recherche vulgarisation et d veloppement rural en Afrique noire Paris Minist re de la Coop ration 1987 245 p GOUTEUX J P La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafri caine II Caract ristiques du pi ge bipyramidal Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 295 299 GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F La lutte par pi geage contre Glossina fus cipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine
9. le pi ge est d abord Le pi ge doit tre plac l abreuvoir et d pli tre bien visible Ti kanga koukou ni alingbi a zi yani Alingbi a zia koukou ni na ndo so abagara kozoni si ay k gno ngou ti ala da koukou ni alingbi t douti nga na ndo so p r ay k da mingui p p Puis le pi ge est mont et accroch un Support branche piquet l aide de ficelle ou de liane Na p ko ni akanga koukou ni na ndouzou na t r ti mb ni k k so alou na s ss ouala na t r ti mb ni maboko ti k k so ay k na ndouzou 3baguettes de bois souple sont coup es aux dimensions et sont plac es de chaque c t Alingbi a fa ak t wokongo k k ota ti zia na mbagu si koukou ni a kp ngba ndjoni RATA NS yA 3 ll faut couper les herbes et les branches pour que le pi ge soit bien visible et au soleil Ay k ndjoni afa ap re na amaboko ti k k so kou ay k na t r t koukou ni si l assou da ndjoni ITS Les mouches entrent dans fa bouteille et sont tu es Fad angoungou ti kob la ti lango alinda na ya ti nganga ti koukou ni si ala koui ENTOMOLOGIE Si le pi ge est d chir il doit tre r par recousu avec du fil et une aiguille Tongana koukou ni assourou alingbi ti fou ni na soua na kamba s ngu LA A ANREDEN Pendant la transhumance les pi ges sont d mont s et pli s pour tre replac s aux nouveaux abreuvoirs Tongana ala y ti
10. terre le sol est balay apr s la fauche de la paille photo 2 pour les r colter Les grains m l s la terre sont ensuite pur s par vannage Une partie non n gligeable reste terre et sert alors de semence pour Pann e suivante Au Gourma la r colte peut commencer en ao t et durer jusqu en novembre Photo 1 Homme en train d effectuer la r colte au panier 363 Retour au menu J B Aune Photo 2 Femme en train de balayer une plaine fonio Les grains sont importants pour l alimentation de la popu lation du Gourma et le surplus obtenu est vendu sur les march s locaux 9 A la demande de l Aide de l glise Norv gienne AEN le Federal Institute for Geoscience and Natural Resources a fait une tude sur les conditions p dologiques de deux plaines a fonio tabl 1 En se fondant sur ces informa tions on peut conclure que la fertilit du sol Tin Tabakat est moyenne et qu elle est faible Akarkara Le pH est faiblement acide Les caract ristiques physiques de ces deux localit s sont moins favorables que les conditions chimiques en raison de la cro te qui se forme en surface emp chant l infiltration de l eau et provoquant TABLEAU I Analyses chimiques et physiques des sols de deux plaines fonio D apr s Hoffmann 8 Tin Tabakat Akarkara 0 4cm 4 35cm 0 10cm 10 39 cm pH KCl Carbone org p 100 8 0 3 P acc ppm 16 1 1 CEC m
11. 100 g 13 6 2 2 9 6 8 0 Ca ch m 100 g 6 9 6 7 4 8 5 1 Mg ch m 100 g 3 5 3 4 2 4 2 9 K ch m 100 g 1 0 0 3 0 7 0 2 Na ch m 100 g lt 0 1 0 1 lt 0 1 0 1 Base saturation p 100 83 86 82 100 Sable p 100 3 18 27 41 Limon p 100 54 35 53 37 Argile p 100 43 47 20 22 Densit du sol 1 40 1 58 1 46 1 63 Porosit p 100 47 0 40 3 44 8 38 4 Texture Argile Argile Limon Limon limoneuse fin CEC capacit d change de cations 364 le ruissellement La texture trouv e indique que le sol dans les deux cas a probablement une r tention d eau assez forte 8 Suite aux derni res ann es de s cheresse beaucoup de plaines fonio se sont d grad es surtout celles qui ne retiennent pas longtemps l eau de ruissellement Cette tude se propose d analyser les facteurs qui influencent de de r g n ration des plaines d grad es MAT RIEL ET M THODE le rendement du fonio afin de mettre au point une m tho 1 1 Un test de germination a t effectu pour valuer la qua lit des semences de fonio utilis es pour la r g n ration Des chantillons de semences d origines diverses ont t achet s sur le march de Gossi Leur pourcentage de germination a t test en bo te de Petri Il a t r alis quatre parall les une bo te de P tri un parall le par chantillon chaque parall le comportant 50 graines Au d but
12. 3 088 610 3 329 707 3 820 860 3 092 712 F1 30 2 624 3 240 1987 F2 45 1 848 3 684 3 426 732 Moyenne DN f rentes p riodes de coupe Les r sultats obtenus tabl 1 ont permis de tracer les graphiques des figures 2 et 3 La figure 2 pr sente les rendements moyens annuels de B ruziziensis en fonction des diff rentes doses entre 1985 et 1987 La figure 3 permet d observer la r ponse de cette plante la m me fr quence de coupe pendant la p riode d tude Il ressort que la fertilisation azot e assu re un accroissement de la production fourrag re de B ruziziensis bien que celle ci ne soit pas r guli re Les placeaux non fertilis s ont en moyenne produit respecti vement en 1985 1986 et 1987 2 36 2 31 et 1 20 t ha de MS contre un maximum pour les placeaux fertilis s de 3 94 4 18 et 3 46 t ha de MS avec des doses d azote hectare de 90 80 et 80 unit s soit une augmentation par rapport au t moin de 66 80 et 76 p 100 En 1985 des rendements de 3 7 4 5 et 5 7 tha de MS ont t obtenus avec des doses d azote l hectare de 80 80 et 90 unit s aux fr quences respectives de 30 45 et 60 jours tabl alors que les parcelles t moins n ont produit que 2 4 2 4 et 2 2 t ha de MS Il n y avait pas de diff rence bien marqu e entre les parcelles t moins et les parcelles fertilis es en raison probablement du fait qu la suite d un mauvai
13. 3 36 and significantly different P lt 0 01 from the mean PCV value of 37 3 3 7 obtained from the uninfected turkeys Eleven out of the 89 positive cases were clinical cases Four critically sick turkeys died one day after treat ment Chloroquine phosphate at 5 mg kg body weight administred i m daily for 3 days or 250 mg tablets given orally for 5 days as well as a parenteral administration of pyrimethamine 0 3 mg kg body weight for 2 days were effective in the treatment of the infection Key words Turkey Plasmodium spp Malaria Chloroquine phosphate Pyrimethamine Nigeria 286 References 1 BARNES H J Plasmodium spp infecting turkeys in Northern Nigeria Vet Rec 1974 95 218 219 2 BIERE R W ELEAZER T H ROEBUCK D E Sedimentation rate PCV buffy coat value and rectal temperature of chickens and turkeys at various ages J Ver med Ass 1964 144 7 727 3 COLES E H Veterinary clinical pathology Philadelphia Saunders 1968 4 GARNHAM P C C Malaria parasites and other haemosporida Oxford Blackwell 1966 P 652 656 5 HERMAN C M Malaria in turkey Am J Hyg 1976 34 22 25 6 HUCHZERMEYER F W Further observations on an outbreak of malaria in turkeys Rhod vet J 1976 7 3 7 HUDSON J R Cited by GARNHAM In Plasmodium durae in a sick turkey in Kenya 1966 P 652 8 LEVINE N D Genus plasmodium protozoan parasites of domestic animals and ma
14. BAYEMI P H EKUE P N TAROUNGA B Preliminary observations on ticks and tick borne diseases in the North West Province of Cameroon I Babesiosis and anaplasmosis Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 263 265 i During a survey on ticks and tick borne diseases in the North Western Cameroun at the Bamenda cattle market the ticks identified were Boophilus annulatus 20 and B decoloratus 80 More than 50 of the ticks were collected during the dry season Of 524 blood smears 47 3 were positive for Babesia bovis 31 1 for B bigemina and 2 2 for Anaplasma marginale 19 4 were negative Key words Tick Babesiosis Anaplasmosis Cattle Cameroon References 1 BIDA A Epizootiological and pathological study of bovin dermato philosis Kirchi in Northern Nigeria Ph doct thesis Zaria Nigeria Ahmadu Bello Univ 1973 2 BLOOD D C RADOSTITS O M HERNDESON J A Veterinary medicine 6th ed London Bailli re et Tindall 1983 Pp 867 875 3 CALLOW L L Ticks and tick borne diseases as a barrier to the intro duction of exotic cattle to the tropics Wid Anim Rev 1978 28 20 25 4 GRESTY R H C Control of cattle ticks by dipping Span 1971 14 16 18 5 HOLTZMAN J STAATZ J WEBER M Livestock marketing in the North West province North West province marketing study Michigan State University consultants to USAID Yaound and COOP MUT Ministry of Agriculture 19
15. Bombacaceae Genre Adansonia A digitata F 56 75 85 88 43 44 6 65 A digitata FR 68 85 86 88 56 32 78 74 Genre Bombax ho B costatum F 69 85 85 87 60 27 164 74 Capparidaceae Genre Boscia B senegalensis F Combretaceae Genre Anogeissus A leiocarpus JP 93 63 69 2 9 58 32 43 54 59 24 36 3 9 38 347 Retour au menu S T Fall triple et l essai r p t a une semaine d intervalle il y a donc six r p titions par mesure Un t moin de digestibilit connue est introduit dans chaque s rie pour le contr le D gradabilit in situ dans le rumen 3 4 15 Les animaux sont les m mes que ceux utilis s pr c demment dans la m thode de Tilley Terry Cing grammes d chantillon broy sont introduits dans un sachet de nylon 10 15 cm porosit de 46 microns tissu Blutex Tripette et Renaud scell la chaleur Six sachets par chantillon sont plac s dans le rumen de chaque taurillon une demi heure apr s le premier repas du matin Apr s 3 6 9 24 48 et 72 heures d incubation ils sont retir s et lav s par massage sous le robinet jusqu ce que l eau soit claire Ils sont ensuite s ch s a l tuve 80 C Un temps z ro est r alis par lavage l eau d un sachet contenant une prise d essai Deux mesures ont t r alis es sur trois bovins soit six r p ti tions par aliment et temps d incubation Les teneu
16. Carte 1 Voies d entr e et axes de propagation de la fi vre aphteuse dans le Nord B nin d partement du Borgou durant la saison s che 1990 1991 Symptomatologie La symptomatologie est classique et caract ristique 2 Une chute brutale de la lactation une anorexie et une forte fi vre pr c dent l apparition d une stomatite aigu tr s douloureuse trahie par une salivation abondante Des aphtes apparaissent sur la muqueuse buccale sur la langue et au niveau de l espace intergidit entra nant de fortes boiteries Les l sions se compliquent fr quemment d infections bact riennes secondaires De nombreux avortements compl tent le tableau clinique alors que les l sions mammaires sont peu observ es Dans huit troupeaux examin s en janvier 1991 aux alen tours de Nikki 319 animaux le taux de morbidit tait de 80 100 p 100 celui de la mortalit des adultes avoisi nait 2 p 100 Ce taux chez les veaux g s de 0 3 mois atteignait 80 p 100 261 Retour au menu Communication TABLEAU I Moment d apparition localisation et importance des foyers de fievre aphteuse au B nin ae Animaux Ann e Mois Localit malades 1987 Mai Juin Juillet Ao t Septembre 1988 Mars 1989 Mars 1990 Mars 8 10 Juillet 9 Ao t 3 Novembre 1 2 9 D cembre 1 2 4 5 6 8 9 1991 Janvier 1 2 6 7 8 9 10 11 2 906 F vrier 4 5 6 7 8 10 11 2 433 Mars 4 7 6 783 Avril 4 7 8 92 Mai
17. HAMAD A A Primera observaci n de la hepatitis infecciosa necrosante black disease en cabras nubienses en Sud n VIROLOG A Breve nota 277 HOUSAWI F M T ABU ELZEIN E M E Ectima contagioso en la cabra i de la colocaci n de pendiente de oreja PROTOZOOLOGIA 279 OTESILE E B AKPAVIE S 0 FAGBEMI B 0 OGUNREMI A O Patogenicidad de Trypanosoma brucei brucei en cerdos infectados experimentalmente Breve nota 283 ORAJAKA L J E ANENE B M DIKE M C Prevalencia de los par sitos de la plasmodiosis en la pava en la regi n de Nsukka estado de Anambra Nigeria ENTOMOLOGIA 287 GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F La lucha con tram pas contra Glossina fuscipes fuscipes para la protecci n de la ganader a en Rep blica Centroafricana I Puesta a punto de una trampa adaptada a un medio de ganaderos semin mados 295 GOUTEUX J P La lucha con trampas contra Glossina fuscipes fuscipes para la protecci n de la gana der a en Rep blica Centroafricana II Caracter sticas de la trampa bipiramidal 301 BLANC F GOUTEUX J P CUISANCE D POUNEKROZOU E LE MASSON A NDOKOUE F MAINGUET M D AMICO F LE GALL F La lucha con trampas contra Glossina fuscipes fus cipes para la protecci n de la ganader a en Rep blica Centroafricana IM Vulgarizaci n en medio Mbororo 255 Retour au menu 309 BAYEMI P H Din mica estacional de la infestaci
18. L incorporation de GCDSG dans les rations de d marra ge et de croissance des taux de 10 20 p 100 n a pas eu d effet significatif sur le poids et le gain de poids a 14 28 ou 42 jours d ge P gt 0 05 Le gain moyen quotidien GMQ augmente de 23 49 g entre le d but et la fin de l essai On observe un effet significatif de l interaction entre l ge et le r gime alimentaire sur l ing r alimentaire et l indice de consommation P lt 0 01 En effet alors qu au cours ALIMENTATION NUTRITION TABLEAU III Performances pond rales taux de mortalit et de malformation des pattes Taux de GCDSG p 100 0 Poids vif Poids d part g Poids a 14 jours g Poids 28 jours g Poids 42 jours g Taux de mortalit p 100 Handicap s p 100 Les moyennes figurant sur la m me ligne et portant la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes P gt 0 05 Poulets pr sentant une malformation quelconque des pattes TABLEAU IV Ing r alimentaire et indice de consommation Taux de GCDSG p 100 Consommation d aliments Indice de consommation g aliment g gain de poids 0 14 jours 15 28 jours 29 42 jours 0 28 jours 0 42 jours des deux premi res semaines le taux de GCDSG n a pas eu d effet significatif sur l ingestion alimentaire et l indice de consommation P gt 0 05 on observe en seconde p riode 15 28 j que les animaux recevant
19. Les p turages naturels de la r gion de Nioka font partie des savanes de haute altitude de l est du Za re Les sols d rivent soit des roches granitiques relativement abon dantes soit des micaschistes talschistes ou chlorito shistes qui les accompagnent Certains terrains provien nent des roches quartzitiques ou basiques 4 Parmi les bonnes esp ces fourrag res locales on ren contre Setaria sphacelata Tr s bien app t e par le b tail elle produit l hectare 60 tonnes de mati re verte par an et pr sente apr s 14 semaines la composition chi mique suivante 4 43 p 100 de mati re grasse 30 64 p 100 de cellulose brute et 16 p 100 de prot ines brutes 8 C est une plante galement utilis e dans la lutte anti rosive 6 Cependant S sphacelata a plusieurs ennemis notam ment Sphacelotheca sp et un microl pidopt re qui para sitent ses influorescences 6 ll en est de m me de Tilletia ayressi Berl et Mass associ a Fusarium sp et de Ustilago sp 8 Des oiseaux non cit s mangent aussi ses graines 6 Dans la pr sente tude on a proc d une enqu te pr liminaire afin d identifier d autres insectes parasites des chaumes On a trouv galement utile d valuer leur taux d attaque dans les p turages naturels exploit s d une mani re extensive au Centre de recherches de Nioka de 1 INERA BP 111 Nioka via Bunia Zaire 2 Unit de Zootechnie FSA Gx 5800 Gembloux Belgique Rec
20. Protozoology Animal products Helminthology Range management Entomology Mapping Remote sensing 257 Current topics EPIDEMIOLOGY Short note 261 DEHOUX J P HOUNSOU VE G Outbreak of foot and mouth disease in North Benin during the 1990 1991 dry season 263 NDI C BAYEMI P H EKUE F N TAROUNGA B Preliminary observations on ticks and tick borne diseases in the North West Province of Cameroon I Babesiosis and anaplasmosis PATHOLOGY 267 OMEKE B C O UGWU D O Pig trypanosomosis comparative anaemia and histopathology of lym phoid organs Short notes 273 HAMID M E MOHAMED G E ABU SAMRA M T HAMAD A A First report of infectious necrotic hepatitis black disease among Nubian goats in Sudan VIROLOGY Short note 277 HOUSAWI F M T ABU ELZEIN E M E Orf infection following ear tagging in goats PROTOZOOLOGY 279 OTESILE E B AKPAVIE S 0 FAGBEMI B 0 OGUNREMI A 0 Pathogenicity of Trypanosoma brucei brucei in experimentally infected pigs Short note 283 ORAJAKA L J E ANENE B M DIKE M C Prevalence of malaria parasites in turkeys of the Nsukka area in the Anambra State Nigeria ENTOMOLOGY 287 GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D NDOKOUE F LE GALL F Control of Glossina fuscipes fuscipes by traps to protect livestock in the Central African Republic I Design and development of a suitable trap to seminomadic breeders 295 GOUTEUX J P
21. alimentation des poulets de chair en C te d Ivoire Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 355 360 L utilisation de graines de coton d cortiqu es sans gossypol GCDSG comme source de prot ines et d nergie dans l alimentation des pou lets de chair a t test e en comparant quatre rations contenant 0 10 15 ou 20 p 100 de GCDSG Il n y a pas eu d effet significatif sur le gain de poids vif des animaux 14 28 et 42 jours d ge Sur l ensemble de la p riode exp rimentale 0 42 jours le taux de GCDSG dans l aliment n a pas eu d effet significatif sur la quantit ing r e Cependant le r gime 20 p 100 de GCDSG a donn un indi ce de consommation plus lev que ceux en contenant 10 ou 15 p 100 Le taux de mortalit n a pas t affect mais on observe une tendan ce l augmentation de la fr quence de malformations des pattes Sur la base d un prix th orique des GCDSG de 42 6 francs CFA kg incorporation dans la ration diminue le co t alimentaire et augmen te la marge brute par animal pour les aliments contenant 10 ou 15 p 100 de GCDSG Celles ci pourraient constituer une nouvelle ressource int ressante pour l alimentation des volailles Mots cl s Poulet de chair Alimentation Graine de coton Efficience nutritionnel le Gain de poids C te d Ivoire INTRODUCTION EE L utilisation du tourteau de coton comme source de pro t ines dans l alimentation des volail
22. and 35 6 3 3 res pectively The difterence between the mean PCV value of the infected and uninfected turkeys was highly significant P lt 0 01 The mean PCV values for the infected males and females showed no significant difference P gt 0 05 However that of the uninfected males showed a highly significant difference P lt 0 01 from the females Of the 11 very clinically sick turkeys 4 died 36 4 Six of the sick turkeys were placed on a treatment regimen of chloroquine phosphate at rate of 5 mg kg body weight and 1 0 ml vitamin B complex intramuscularly i m daily for 3 days Three responded favourably to treatment while 3 that were critically ill and already recumbent died one day after the start of treatment One other sick turkey was successfully treated with pyrimethamine at a rate of 0 3 mg kg body weight administred m daily for 2 days Apart from one more death the rest of the clinical cases were successfully treated each with a 250 mg chloroquine phosphate tablet orally in water daily for 5 days along with orange juice dissolved in the solution to compensate for the drug s bitterness and give energy to the animals Necropsy findings revealed an atrophic spleen that was hard and fibrous the liver was slightly firm with chronic congestion heart and gizard were reduced in size The intestinal contents were mucoid in nature while the gizard contained greenish material and the crop contained no feed materia
23. pour le biconique et 68 8 4 4 pour les diff rents mod les monoconiques et pyramidaux r unis Retour au menu Exp rimentation de diff rents mat riaux L utilisation du plastique poly thyl ne comme mat riau de construction du pi ge n a t exp riment e qu en Ouganda sur G fuscipes fuscipes LANCIEN comm pers Le plas tique a donc t essay en RCA et compar au mat riau traditionnel le tissu Ses caract ristiques sont donn es dans l article suivant 12 Les essais r alis s font appara tre une sup riorit significative du plastique sur le tissu lors d essais en carr latin 204 p 100 0 005 lt P lt 0 01 et en comp tition 163 p 100 0 01 lt P lt 0 025 mais des r sul tats diff rents dans un autre essai en carr latin 77 p 100 diff rence non significative La courbe de r flectivit du plastique dans le spectre visible et le proche UV visible par les ts ts 20 est donn e en figure 4 Cette repr sentation graphique est un moyen objectif et pratique de caract riser la couleur et permet une comparaison avec d autres mat riaux exp riment s par ailleurs 20 23 Le plastique utilis pr sente un pic dans le bleu 450 475 nm avec une r flecti vit d environ 40 p 100 identique celle des tissus bleu phtalog ne 18 20 23 D apr s LAVEISSIERE et al 23 une forte r flectivit dans le bleu serait une condition essen tielle de l attractivit Cette color
24. t adopt l int rieur du pou lailler M thode Au cours des cing premiers jours un clairement continu lumi re diurne lumi re artificielle nocturne a t main tenu dans le poulailler La dur e totale d clairement a t r duite 18 h par nycth m re en ramenant la dur e de l clairement nocturne 6 h Une temperature de 32 35 C tait maintenue dans les parquets pendant la pre mi re semaine l aide d un chauffage lectrique L eau et l aliment taient disponibles volont Des vaccinations ont t faites contre la maladie de Newcastle et la bron chite infectieuse a 5 et 25 jours d ge et contre la maladie de Gumboro 12 et 28 jours d ge Un anticoccidien a t administr dans l eau de boisson 12 et 27 jours d ge pendant quatre jours cons cutifs A 14 28 et 42 jours d ge les animaux ont t pes s individuellement Retour au menu A ces dates la consommation d aliment correspondant aux deux semaines pr c dentes a t mesur e pour chaque parquet De m me les morts et les animaux pr sentant une malformation des pattes ont t d nombr s La graine de coton enti re est livr e par les usines d grenage du coton aux huileries et leveurs au prix de 23 francs CFA kg On pourrait donc estimer le prix de la graine d cortiqu e 42 6 francs CFA kg tant donn que le rendement au d corticage est en moyenne de 54 p 100 1
25. tat humide n a pas augment le rendement par rapport au t moin probablement parce que le labour a perturb la semence commen ant germer et parce que l humidit du sol n tait pas propice un bon labour Pour l ensemble des sites en 1988 les meilleurs rende ments en paille ont t obtenus avec la m thode du semis et travail sec suivie de la m thode du labour a sec sans semis tabl VIII La seule localit o le semis et pi tinement a t effectu de mani re convenable est Tidjajiwen avec un r sultat satisfaisant si l on tient comp te du fait que le semis a t effectu 42 jours apr s celui des autres m thodes Ceci met en vidence la possibilit d obtenir une r g n ration avec cette m thode si le tra vail est fait au moment propice Il en ressort que le semis dans les fissures n a pas donn un r sultat satisfaisant L interaction M x L pour le rendement en paille est signifi cative comme pour le rendement en grains Les explica tions de cette interaction sont trait es dans la partie concernant la lev e L indice de rendement s est r v l sup rieur pour les par celles o un labour avait t effectu fig 2 Seules celles labour es ont permis aux plantes d achever leur cycle en raison des meilleures conditions hydriques Retour au menu TABLEAU VIII Rendements en paille kg ha 1988 Tin In Ina Tidja Moyenn
26. ties a b c Dans la pratique l assemblage de ces trois parties se fait simultan ment Les tirets indiquent les lignes d assemblage ENTOMOLOGIE Fig 3 Sch ma de d coupe et de montage du gousset de tissu pour la fixa tion des baguettes pour la d coupe des mat riaux assemble facilement 20 a 25 pi ges par jour Il est recommand de percer le bas du pi ge pour viter l accumulation d eau de pluie FONCTIONNEMENT AAA eae Montage L leveur se procure trois baguettes souples d environ un metre les p tioles minc s de palmiers font parfaitement l affaire Chaque baguette est introduite dans un gousset et pli e pour p n trer le deuxi me gousset Un petit cor don de tissu est fix au milieu de chaque c t et s atta chant la baguette permet un bon d ploiement du pi ge Celui ci est suspendu par le syst me de capture proxi mit de l abreuvoir pr s des berges l aide de cordes artisanales ou lianes dans un endroit aussi visible que possible de pr f rence ensoleill surtout en saison des pluies 297 Retour au menu J P Gouteux Entretien Il est imp ratif de surveiller la mont e des eaux pour reculer le pi ge des berges en p riode de crue Les d chirures sont r par es avec du fil coudre Le pi ge ne n cessite aucune op ration manuelle particuli re les ts ts prises tant tu es par le syst me de capture Il est possible de compter les mouch
27. ts pour la capture et la lutte Essais comparatifs et description de nou veaux syst mes de capture Trop Med Parasit 1986 37 61 66 GOUTEUX J P NOIREAU F SINDA D FR ZIL J L Essais du pi ge pyramidal contre Glossina palpalis palpalis Rob Desv dans le foyer du Niari R gion de la Bouenza R publique populaire du Congo Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1986 24 3 181 190 GOUTEUX J P SINDA D Community participation in the control of tsetse flies Large scale trials using the pyramid trap in the Congo Trop Med Parasit 1990 41 1 49 55 GOUTEUX J P SINDA D Field trials of various models of the pyramid trap on Glossina palpalis in the rod Ent exp applic 1990 54 281 286 GREEN C H The effect of colour on trap and screen orientated responses in Glossina palpalis palpalis Rob Desv Diptera Glossinidae Bull ent Res 1988 78 591 604 GREEN C H The use of two coloured screens for catching Glossina palpalis palpalis Rob Desv LA us Glossinidae Bull ent Res 1989 79 81 93 GREEN C H FLINT S An analysis of colour effects in the performance of the F2 trap against Glossina palidipes Austen and G morsitans morsitans Westwood Diptera Glossinidae Bull ent Res 1986 76 409 418 HARGROVE J W Improved estimates of the efficiency of traps for Glossina morsitans morsitans Westwood and G palidipes Austen Diptera Glossinidae
28. 11 12 13 14 13 16 17 18 19 20 354 BIPEA Recueil des m thodes d analyse des Communaut s europ ennes Paris BIPEA 1976 DIAGAYETE M Untersuchungen zur Eiweiterung der Kenntnisse ber den futterwert West Africa mischer Futterpflanzen Diploomagraringenieur Univ Hohenheim 1981 DOREAU B M VERITE R CHAPOUTOT P M thodologie de mesure de la d gradabilit in sacco de l azote des aliments dans le rumen Bull tech Cent Rech Zoot v t Theix 1987 5 7 FALL S T Utilisation digestive par les ruminants domestiques de ligneux fourragers disponibles au S n gal M thodologie et premiers r sultats Dakar ISRA LNERV 1988 89 p Alim Nutr n 59 FALL S T Utilisation d Acacia albida et de Calotropis procera pour am liorer la ration des petits ruminants au S n gal In WILSON R T MELAKU A eds African small ruminant research and development Addis Abeba ILCA 1989 P 155 167 GROUZIS M SICOT M A method for the phenological study of browse population in the Sahel the influence of some ecological factors Jn LE HOUEROU H N ed Browse in Africa the current stage of knowledge Addis Ababa ILCA 1980 P 233 240 GUERIN H Alimentation des ruminants domestiques sur p turages naturels sah liens et sah lo soudaniens tude m thodolo gique dans la r gion du Ferlo au S n gal Th se doct ing agronome Montpellier EN
29. 2 for increasing the productivity of meat yielding in pig breeding in Vietnam Revue lev M d v t Pays trop 1991 41 3 361 362 The author presents the results of a study on the effect on indigenous pigs of berberine tannate bertamix a growth promotor extracted from Cossinium fenestratum Gaertn Colebr and trunck bark of Terminalia che 362 bula Retz which are available in large amount in Vietnam The addition of Bertamix at the rate of 5 p 1000 in the diet for the pigs aged 3 5 months improves the weight gain by 21 and feed conversion by 17 3 with a reduction of 0 76 forage unit kg of weight increase The interest of use Bertamix asa growth promotor for meat pigs in Vietnam is discussed Key words Pig Berberine tannate Growth promotor Feed conversion factor Vietnam Bibliographie 1 HUNG T M ef al La palmitine Ses propri t s antibiotiques et son effet dans le traitement de la diarrh e blanche des porcelets Revue Sci Tech agric Hanoi 1981 1 38 40 En vietnamien 2 LIEM N Contribution la recherche sur la botanique et la chimie de Cossinium fenestratum These s Sciences Univ Hanoi 1982 En vietna mien 3 LIEM N et al Recherches sur le tannate de berb rine chez quelques plantes m dicinales du Vi tnam Revue Univ militaire Hanoi 1979 19 12 19 En vietnamien 4 LIEM N et al Identification des alcaloides du vang D ng Cossinium fenestratum Revue pharm Vi t
30. 262 et Karimama Malanville n est donc pas due un hasard ces villes sont situ es au centre de zones par o transi tent nombre de troupeaux Le virus s est propag vers le sud et vers l ouest le long des axes de transhumance il a galement t favoris par la campagne annuelle de vaccination antibovipestique janvier 1991 et par la tenue hebdomadaire des march s b tail La fi vre aphteuse est end mique au B nin 3 Sur la base de la symptomatologie quelques foyers spora diques sont r pertori s r guli rement Mais le pays conna t p riodiquement une recrudescence de la mala die Ainsi une pizootie tout aussi redoutable a touch le Borgou durant l ann e 1987 Jusqu pr sent aucune mesure n a t prise pour limiter ou enrayer cette infection au B nin alors que plusieurs pays voisins entreprennent des campagnes de vaccina tion antiaphteuse Au contraire durant l pizootie les mouvements et les regroupements continuaient d avoir lieu tel point que dans plusieurs r gions de nombreux leveurs pr f raient ne pas amener leurs animaux la vaccination contre la peste bovine Conclusion Bien que les autres grandes end mies soient contr l es par des campagnes annuelles de vaccination la fievre aphteuse continue de s vir parfois de mani re tr s spec taculaire au B nin Quand on constate les pertes occasionn es r guli re ment par une pizootie de la fi vre aphteuse
31. 9 Par analogie avec les antibiotiques intestinaux qui utilis s faible dose comme additifs alimentaires peuvent avoir un effet b n fique sur la croissance et le d veloppement des animaux le Bertamix pourrait tre consid r comme un activateur de croissance chez le porc L objectif de la pr sente note est de mettre en vidence l int r t de ce produit dans l am lioration des per formances de croissance des porcs au Vi t nam Mat riel et m thode Le Bertamix La pr paration se pr sente sous la forme d une poudre soluble de couleur brun jaun tre obtenue apr s d coc tion de la tige de la plante v ng dang Cossinium fenes tratum Gaertn Colebr Menispermaceae et de l corce de la plante chi u li u Terminalia chebula Retz Combretaceae 2 5 7 8 Les animaux Les exp riences ont t effectu es sur une dur e de trois mois et trois reprises sur les porcs de race locale Mong cai g s de 3 5 mois Les taux de Bertamix dans la ration journali re des cinq lots de porcs soumis l tude 1 Centre d Application de la Science et de la Technique Danang Vi t nam Adresse actuelle 3 5 Tran Quy Cap Danang Vi t nam Recu le 12 9 1989 accept le 21 5 1991 Bertamix ND Entreprise pharmaceutique n 34 Vi t nam Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 361 362 ALIMENTATION NUTRITION sont les suivants 1 3 5 7 et 9 p 1000 Les porcs du lot t moin recev
32. BEAUX M F GOUET H GOUET J P MORLEGHEM P PHILIPPEAU G TRANCHEFORT J VERNEAU M STAT ITCF manuel d utilisation Paris ITCF 1988 153 p 2 CHALLIER A Perspectives d utilisation des syst mes attractifs toxiques dans la lutte contre les glossines Diptera Glossinidae Revue lev M d v t Pays trop 1984 37 n sp cial 31 59 3 CHALLIER A EYRAUD M LAFAYE A LAVEISSIERE C Am lioration du rendement du pi ge biconique pour les glossines Diptera Glossinidae par l emploi d un c ne inf rieur bleu Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1977 15 283 286 4 CHALLIER A LAVEISSIERE C Un nouveau pi ge pour la capture des glossines Glossina Diptera Muscidae Description et essais sur le terrain Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1973 11 251 262 5 CUISANCE D Bilan de quatre missions d appui l unit de lutte contre les glossines dans le cadre du projet national de d velop pement de l levage Maisons Alfort Rapport IEMVT BDPA SCETAGRI 1988 62 p 6 CUISANCE D Le pi geage des ts ts Maisons Alfort IEMVT 1989 172 p tudes et synth ses n 32 7 CUISANCE D GOUTEUX J P CAILTON P KOTA GUINZA A N DOKOUE F POUNEKROUZOU E DEMBA D Probl matique d une lutte contre les glossines pour la protection de l levage z bu en RCA Soc r belge Ent 1991 35 sous presse 293 Retour au menu J P Gouteux
33. I Mise au point d un pi ge adapt un milieu d le veurs semi nomades Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 287 294 LE MASSON C REMAYEKO A Les leveurs Mbororo tude socio conomique Bangui ANDE 1990 227 p NAIGEON C M Bororos de RCA Arriv s depuis un demi si cle ils cherchent un nouveau mode de vie Intertropiques 1984 6 4 7 307 Retour au menu ENTOMOLOGIE Dynamique saisonni re de infestation par les tiques Ixodoidea des bovins commercialis s Bayemi P H BAYEMI P H Dynamique saisonni re de l infestation par les tiques Ixodoidea des bovins commercialis s dans la r gion de Yaound Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 309 318 Parmi les esp ces de tiques identifi es au Cameroun huit ont t r colt es sur les bovins a Yaound Amblyomma variegatum Boophilus annulatus B decoloratus Haemaphysalis aciculifer Hyalomma nitidum Rhipicephalus longus Rh lunulatus Rh sulcatus Trois especes Hm aciculifer H nitidum et Rh lunulatus ont t identifi es dans cette r gion pour la premi re fois La pullulation de Rhipicephalus et Hyalomma est observ e en saison des pluies Boophilus abonde toute l ann e avec une concentration maximale la fin de la grande saison s che Enfin Amblyomma aussi r colt en grande quantit toute l ann e a une infestation minimale en grande saison des pluies Un seul individu une fem
34. Insect control Popularization Technology transfer Bypiramidal trap Mbororo stockbreeder The Central African Republic 306 d appropriation territoriale un facteur de cette s denta risation Ce point m rite d tre tudi au cours des prochaines ann es CONCLUSION LAA Les principaux aspects a prendre en compte dans la vul garisation d une technique sont la descente l change et la remont e de l information Les moyens assurant une bonne diffusion du message vers les int ress s existent en R publique centrafricaine et sont diversifi s Les le veurs ont particip non seulement aux discussions concernant l innovation mais aussi son adaptation devant aboutir l appropriation du th me technique Enfin des voies ont t cr es pour une remont e fruc tueuse des informations D ores et d j cette exp rience constitue la premi re tentative de prise en charge de la lutte contre les ts ts par les leveurs eux m mes REMERCIEMENTS EE Cette recherche a t effectu e dans le cadre de ANDE avec un cofinancement Gouvernement centrafricain Banque mondiale FIDA Fonds Europ en de D velop pement et Fonds d Aide et de Coop ration FAC France BLANC F GOUTEUX J P CUISANCE D POUNEKROZOU E LE MASSON A N DOKOUE F MAINGUET M D AMICO F LE GALL F La lucha con trampas contra Glossina fuscipes fuscipes para la protecci n de la ganader a en Rep blica
35. N 1 Earley Gate Reading RG6 2AT England Recu le 13 12 1989 accept le 16 4 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 309 318 dans la r gion de Yaound Cameroun objectif la collecte et l identification des tiques a Yaound leur localisation sur les bovins leur variation saisonni re et son implication pour la pathologie bovine MAT RIEL ET M THODE SSCs Localisation Yaound qui se situe a une altitude moyenne de 760 m est comprise entre 11 et 11 13 de longitude Est et entre 3 50 et 4 50 de latitude Nord Climat Il est de type tropical humide Les donn es climatiques enregistr es la station m t orologique de Yaound pendant les 12 mois de l tude montrent un total de 1 883 mm d eau Les temp ratures relev es situent la moyenne des minima 19 3 0 5 C et celle des maxima 28 5 1 2 C tabl Il y a alternance de quatre sai Sons la grande saison s che d cembre f vrier la peti te saison des pluies mars juin la petite saison s che juillet ao t et la grande saison des pluies septembre novembre L humidit relative est plus marqu e pr s du sol et est inversement proportionnelle l ensoleillement V g tation Les environs de Yaound sont domin s par des forma tions secondaires La for t est de type semi d cidu Les endroits humides qui sont des prairies mar cageuses sont occup s par des raphiales et pt ritophytes 10 Dans la r
36. Puisque Boophilus annulatus et Amblyomma variegatum parasitent les bovins pendant toute l ann e les babe sioses l anaplasmose et la cowdriose peuvent tre d pis t es a toute saison Pour la suite de cette tude Yaound les tapes sui la recherche de la dur e des diverses stases de d veloppement des esp ces de tiques vantes sont envisag es rencontr es la fr quence des maladies transmises ainsi que les m thodes de lutte contre ces Ixodoidea REMERCIEMENTS Je voudrais exprimer ma gratitude au Dr Paul MERLIN sans qui ce travail n aurait pu tre r alis Ma reconnais sance va galement au Dr Tarounga BERAMGOTO McHUGH et L onard BONONO Retour au menu BAYEMI P H Seasonal dynamics of tick infestations Ixodoidea in cattle in the area of Yaound Cameroon Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 309 318 Among the tick species identified in Cameroon eight were found in cattle in Yaound Amblyomma variegatum Boophilus annulatus B decoloratus Haemaphysalis aciculifer Hyalomma nitidum Rhipicephalus longus Rh lunulatus Rh sulcatus Three species Hm aciculifer H nitidum and Rh lunulatus were identified for the first time in Yaound Rhipicephalus and Hyalomma were abundent during the rainy season Boophilus was abundent throughout the year with a maximum concentration at the end of the long dry sea son Amblyomma which was encountered in
37. and in five goats many stomach flukes of Paramphistomum cervi were found attached to the rumen ASS a X Photo 1 Ventral aspect of the liver of a goat infected with black disease showing an extensive area of necrosis According to the method of COWAN and STEEL 5 and STERNE and BATTY 8 the organism photo 2 isolated from the necrotic livers was identififed as C novyi type B Rabbits and guinea pigs inoculated intramuscularly with the suspension of the organism 0 5 ml of 10 cells ml died 24 h after inoculation Rabbits inoculated intrave nously with either the cell suspension or the cell free extract died after 48 h showing generalized speticaemia This was also the case for the guinea pigs inoculated intradermally with the cell free extract showing severe dermo necrotic reactions C novyi type B was isolated in pure culture from the livers and muscles of the rabbits and guinea pigs with the cell suspension In all 18 goats immature and mature F gigantica were extracted from the excised bile ducts Twenty faecal samples out of 50 were found positive for Fasciola eggs Photo 2 Short chains of Gram positive rods in impression smears from the necrotic areas of the livers of goats Gram s stain x 500 Photo 3 Extensive areas of liver necrosis surrounded by neutrophils and lypmhocytes H amp E x 65 274 Retour au menu The snails collected trom water canals were identified as L natalensis Sections
38. ces crit res d efficacit de simplicit et de co t MAT RIEL ET M THODE Un pi ge est compos de deux parties le corps propre ment dit qui est la partie attractive et le syst me de cap ture o sont recueillies les ts ts Ces deux composants sont donc tudi s s par ment Au total sept syst mes de capture fig 1 sont compar s en utilisant le pi ge biconique c ne inf rieur bleu 3 et sept mod les de pi ge fig 2 Si la forme joue un grand r le dans l effica cit d un pi ge la nature des mat riaux et leur couleur influent directement sur l attractivit Le plastique poly thyl ne bleu et noir mat riau nouveau a t compar sur le terrain aux tissus classiquement utilis s Les princi paux sites d tude sont les rivi res Mbi et Ban dans la zone agro pastorale de Yeremo 170 km l ouest de Bangui 287 Retour au menu J P Gouteux D Cuisance D Demba F N Dokoue F Le Gall Fig 1 Syst mes de capture a cage Roubaud sur son support apical mont sur piquet tous les autres syst mes sont suspendus b bouteille c sac de capture sec avec une m che de tissu d sac de capture p trole e cage bouteille f nasse en tulle g syst me invers Les syst mes b c g et f ont t trait s l insecticide Description des syst mes de capture La figure 1 pr sente les diff rents mod les de syst me de capture qui ont t test s La cage Roubau
39. dipping has been less effective and too expensive Bovine babesiosis and anaplasmosis are characterized by a high body temperature 40 42 C anorexia hae moglobinurea anaemia jaundice general weakness reluctance to move and death sometimes occurs with very little warning Affected animals may exibit irritability and agression There may be also signs of cerebral derangement such as circling head pressing mania and convulsions Diagnosis Anaplasma and babesia were readily detected in blood smears from areas such as the tail tip or ear in live ani mals and from organs such as the brain kidney heart liver spleen and lung in dead animals Anaplasmosis and babesiosis were diagnosed by thin to thick blood films fixed in methanol stained with Giemsa and examined microscopically for the intraerythrocytic forms Thick blood films for the detection of parasitaemia were of considerable value as they allowed the detection of much lower numbers of parasites than with thin blood films 263 Retour au menu Communication Necropsy findings Haemorrhage of the endocardium congestion of the brain and visceral organs marked swelling of the spleen jaun dice anaemia excess quantities of thick granular bile and haemoglobinurea were common observations in animals which died from anaplasmosis and babesiosis Results Two species of ticks were identified Boophilus annulatus and Boophilus decoloratus Tables and Il lt was
40. grad DTMA proche de 40 p 100 l exception de C glutinosum Pour les familles les plus repr sent es il est possible de comparer les r sultats entre esp ces et parfois m me entre organes Chez les Mimosaceae les mati res azot es des gousses d A albida A adansonii et A tortilis ainsi que les feuilles d A senegal ont les vitesses de d gradation les plus lev es 6 6 7 et 11 p 100 respectivement Inversement les feuilles d A albida celles d A ataxa cantha A sieberiana et A seyal ont la DTMA et la vitesse de d gradation de l azote les plus faibles c et DT varient respectivement de 1 3 2 5 et de 34 48 p 100 Les autres chantillons de Mimosaceae gousses d A raddiana feuilles d A albida occupent une position interm diaire Parmi les Combretaceae l chantillon de C glutinosum a la DTMA la plus lev e 72 p 100 ceux de C nigricans et A leiocarpus DTMA 46 et 24 p 100 respectivement sont peu d gradables en d pit de leurs teneurs en MAT lev es 140 et 195 g kg de MS respectivement Certaines esp ces n appartenant pas aux familles des l gumineuses et des Combretaceae se distinguent par une teneur en MAT comprise entre 120 et 230 g kg de MS une d gradation imm diate de cet azote a allant de 40 85 p 100 une vitesse de d gradation comprise entre 4 et 11 p 100 et finalement une d gradation apres 72 h de l ordre de 80 p 100 il s agit de Bombax cost
41. les femelles TABLEAU XI Variation de l indice quotidien moyen 10M d infestation Mois J J A S A variegatum MCE 0 08 0 0 1 67 0 6 0 2 0 05 0 6 0 26 0 7 0 98 10 59 B decoloratus Rh longus Rh lunulatus Rh sulcatus 3 6 4 0 007 0 0 015 0 0 0 ms o o o A i gi 00 NI O pal 07 0 2 0 0 H nitidum EN e 8 3 3 z L larves N nymphes 3 m les femelles B annulatus Cette esp ce pr f re les pattes et les parties g nitales Sa phase parasitaire s tend sur toute l ann e B decoloratus Elle suit la courbe des variations de B annulatus mais une plus grande chelle En plus des deux sites pr cit s elle se localise au tronc Rhipicephalus Seuls les imagos taient pr sents sur les bovins 314 E om oor ow foo joe 0 0 0 03 0 02 0 006 03 0 06 0 13 0 06 0 016 0 03 0 016 ollo olojo o o O G as Y Rh longus Quelques individus seulement ont t r colt s sur tout le corps avec 40 p 100 de pr f rence pour les pattes Rh lunulatus Son activit sur l h te d finitif est presque nulle en grande saison s che Mais elle r appara t d s l arriv e des pluies et atteint son plus haut niveau d infestation en juillet Ele n est pas rencontr e au cou mais 95 p 100 se localisent au tou
42. me site en 1988 Moyenne de toutes les localit s sauf d In Enheren 1988 Mesur dans les cuvettes 368 Retour au menu AGROPASTORALISME TABLEAU V Nombre de plantes par m observ es suivant les diff rentes m thodes de r g n ration en 1988 M thode de r g n ration Tin Tabakat 1 T moin 22 8 2 Semis en poquets 77 2 3 Sans semis travail sec 57 3 4 Semis et travail sec 97 5 5 Semis et pi tinement 63 1 6 Semis dans les fissures 25 2 Moyenne ppds 5 p 100 Interaction M x L cours des essais est de loin inf rieure celle d termi n e In Enheren en 1987 sur une partie de la plaine non d grad e o une densit de 1 541 plantes m a t enregistr e tabl Ill Pour l ensemble des localit s en 1988 la meilleure lev e fut celle avec la m thode du semis et labour sec 167 6 plantes m tabl V On peut noter que la lev e avec un semis en poquets 98 2 plantes m a toujours t sup rieure la lev e observ e avec la m thode sans semis labour du sol sec 41 4 plantes m Avec cette derni re m thode la lev e a eu tendance tre sup rieure celle du t moin 18 4 plantes m bien que la diff rence ne soit pas signi ficative Dans une tude de r g n ration avec d autres esp ces sur sol limono sableux au Burkina Faso il a t montr qu un labour du sol avec une herse a augment la lev e et la survie des plantes 12
43. munologie 18 partir du plasma par le laboratoire de l UNCEIA Maisons Alfort Le test de CHI d ind pendan ce a t utilis pour l analyse statistique 14 R SULTATS EE volution pond rale Apres le v lage J 0 post partum le poids moyen des 30 temelles Ndama et 30 Baoul est respectivement de 256 10 36 kg et 178 63 19 kg Les valeurs moyennes des h matocrites sont 31 96 4 23 p 100 pour les Ndama et 30 26 4 10 p 100 pour les Baoul L ensemble des femelles Ndama et Baoul ont perdu res pectivement 5 et 5 5 p 100 de leur poids moyen au 30 jour post partum 7 et 6 p 100 au 40 jour Les valeurs moyennes de l h matocrite ont chut de 21 7 p 100 chez les Ndama et 17 p 100 chez les Baoul La chute de poids est sensible chez les femelles qui ont v l pendant la saison s che d cembre janvier Au cours de cette saison la baisse est progressive jusqu au 40 jour post partum chez les Baoul et au 50 jour chez 320 les Ndama fig 1 Le minimum de poids moyen est enre gistr entre le 40 et le 50 jour post partum avec une perte moyenne de 11 p 100 pour les deux races Chez les femelles qui ont v le au d but des saisons des pluies f vrier mars l volution pond rale est croissante apr s une chute de 1 30 p 100 pour les Ndama et 3 20 p 100 chez les Baoul au 10 jour post partum Une diff rence significative P lt 0 05 a t observ e J40 entre l ampleur
44. n por garrapatas Ixodoidea de los bovinos comer cializados en el rea de Yaund Camer n BIOLOG A REPRODUCCI N 319 DJABAKOU K GRUNDLER G LARE K Involuci n uterina y nuevo ciclo post partum en hem bras tripanotolerantes Ndama y Baoul 329 FAYE B MULATO C Factores de variaci n de los par metros proteo energ ticos enzimaticos y minerales del plasma en el dromedario de Djibouti f 335 THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influencia de la castraci n parcial y total sobre los par metros de matanza y de descuartizamiento de moruecos Poulfouli del extremo norte de Camer n 7 ALIMENTACION NUTRICION 345 FALL S T Digestibilidad in vitro y degradabilidad in situ en la panza de forrajes le osos disponibles en pastos naturales en Senegal Primeros resultados 355 YO T Utilizaci n directa de semillas de algod n descascarilladas de variedades sin gosipol en la ali mentaci n de pollos de engorde en Costa de Marfil Breve nota 361 TUONG N P Nota sobre la utilizaci n del tanato de berberina Bertamix WD como activador de creci miento en la cr a de cerdos en Vietnam AGROPECUARIA 363 AUNE J B Regeneraci n de los llanos a Panicum laetum en el Gourma Mali 373 PAMO E T Influencia de la fertilizaci n nitrogenada y de diferentes ritmos de explotaci n sobre Brachiaria ruziziensis Germain y Evrard en Adamaoua Camer n Breve nota 381 KATUNGA MUSALE M BALO
45. nutritionnels et relation avec la pathologie Th se doct Univ Languedoc Montpellier 1990 230 p n 91 5 ALLAIN C C POON L S CHAN C S G RICHMOND N FU P C Enzymatic determination of total serum cholesterol Clin Chem 1974 20 4 470 475 332 10 11 12 13 15 16 19 20 21 22 23 24 29 26 AT 28 29 30 Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION ATEEQ G KOUIDER S KOLB E Untersuchungen tiber den Gehalt des Blutes von Kamelen an Erythrozyten an H moglobin und an Leukozyten iiber den Anteil der verschiedenen Leucozytenformen in Blut sowie tiberden Gehalt des Serums an Gesamteiweiss an Harnstoff und an Cholesterin sowie an AspAT un dan AlaAT in Abh ngigkeit vom Alter und vom Geschlecht Arch exp VetMed 1984 38 5 664 675 AUDRU J CESAR J FORGIARINI G LEBRUN J P La v g tation et les potentialit s pastorales de la R publique de Djibouti Maisons Alfort IEMVT 1987 384 p BARNOUIN J EL IDILBI N CHILLIARD Y CHACORNAC J P LEFAIVRE R Micro dosage automatis sans d prot inisation du 3 hydroxybutyrate plasmatique chez les bovins Annis Rech vet 1986 17 2 129 139 BARNOUIN J PACCARD P Facteurs de risque nutritionnels de la pathologie h patique dans les troupeaux bovins laitiers en France Can vet J 1988 29 915 920 BEAUX M F GOUET H GOUET
46. on peut discrimi ner de fa on plus marqu e les animaux en fonction de leur origine g ographique Les param tres t moins du niveau nerg tique glucose BOH et azot ur e et les param tres min raux magn sium cuivre d pendent tr s fortement de la r gion d origine des animaux Valeur Param tres Valeur de F discriminants de F 24 19 Magnesium 17 18 14 21 Ur e 14 85 7 16 C ruloplasmine 14 80 6 77 BOH 14 61 4 19 Cuivre 12 78 4 09 Glucose 9 44 La projection des individus sur le plan d fini par les axes discriminants 1 et 2 fig 1 permet de visualiser claire ment l opposition du groupe 1 Rift de l Afar au groupe 5 r gion du Sud Ouest sur l axe horizontal et les groupes 3 et 4 r gions d Ali Sabieh du Bara Yer et levages p ri urbains au groupe 2 plaine c ti re d Obock sur l axe Fig 1 Projection des individus 52 dromadaires et des centres de gravit des cing r gions sur le plan d fini par les axes discriminants 290 Retour au menu B Faye C Mulato vertical Un seul individu est mal class Il s agit d une jeune femelle n 17 qui bien qu appartenant la r gion d Obock groupe 2 pr sente un profil plasmatique plus proche des animaux de la r gion du Rift Atar groupe 1 L ensemble de ces r sultats indique donc l existence de liens entre les oligo l ments et le statut nerg tique et prot ique
47. rence significative entre les jeunes 31 3 3 5 et les adultes 33 5 3 3 La teneur en ur e plasmatique mg 100 ml subit galement de grandes variations rapport de 1 10 entre les valeurs extr mes et les m les pr sentent des valeurs significati vement plus faibles 23 3 13 5 vs 39 17 2 Les teneurs en AGL mmol l ont une distribution bimodale et des valeurs plus basses chez les femelles 0 16 0 11 vs 0 23 0 05 Le cholest rol ne pr sente aucune variation selon l ge ou le sexe La teneur en phospholipides mg 100 ml ne varie pas non plus en fonction de l ge mais on note des valeurs plus faibles chez les femelles 21 3 5 9 vs 27 1 8 2 A l inverse les triglyc rides mg 100 ml ne varient pas en fonction du sexe mais sont inf rieurs chez les jeunes 21 5 7 6 vs 36 2 15 4 Param tres min raux La dispersion des valeurs de la calc mie mg 100 ml est troite et on constate des valeurs plus basses chez les animaux adultes 10 83 0 5 vs 11 3 0 6 mais pas de TABLEAU I Teneurs plasmatiques observ es en l ments min raux biochimiques et enzymatiques chez le dromadaire Djibouti Param tres Valeurs 5 plasmatiques Movenne extr mes Unit s ug 100 mi 70 120 ug 100 ml 70 120 mg 100 mi 9 10 5 mg 100 ml 2 28 Normes bovines C ruloplasmine AGL Cholest rol Phospholipides h l 3 2 0 8 6 2 3 1 NO BIOLOGIE REPRODUCTION d
48. sanitaires suffisantes avant la r ouverture de leurs fronti res Un groupe ad hoc a t cr au sein de l OIE Son rapport r dig en sep tembre 1990 contenait une premi re synth se des informations scientifiques disponibles et donnait un certain nombre d indications quant aux risques de diffusion a l occasion des mouvements internationaux Il soulignait notamment que les changes de lait produits laitiers semence cuirs et peaux d origine bovine pouvaient tre poursuivis sans restrictions particuli res car aucun de ces produits n avait de pouvoir infectieux d celable En outre des recomman dations proches des dispositions en vigueur au sein de la Communaut euro p enne ont t faites pour les bovins vivants et les viandes bovines en prove nance des pays o l incidence de la BSE tait lev e c est dire en fait du Royaume Uni seuls les animaux n ayant pas consomm de farines contenant des prot ines de ruminants pouvaient tre export s Les abats taient quant eux interdits Enfin Il fallait apporter toute garantie du point du vue de la sant publique en ce qui concernait les viandes provenant d levages o la BSE avait t signal e Au Royaume Uni il convenait dans la pratique d liminer la plus grande quantit possible de tissus nerveux et lymphatique au moment de la d coupe des car casses Le Comit international de l OIE assembl e pl ni re des chefs des services v t rinaires d
49. sente le nombre estim de tiques d une esp ce et d une stase donn es qui sont suppos es avoir termin leur repas de sang un jour donn 2 Retour au menu Les temps moyens de gorgement 2 ont t pris comme suit A variegatum larves 8 2 jours nymphes 6 3 jours femelles 13 5 jours m les 50 jours Boophilus s jour complet des femelles 21 jours Rh lunulatus femelles 13 jours m les 40 jours ces temps ont t appliqu s aux autres esp ces de Ahipicephalus H niti dum femelles 6 jours m les 30 jours R SULTATS NA Les tableaux Il VI repr sentent des collectes annuelles faites sur dix animaux Les tableaux VII X contiennent les r sultats des collectes mensuelles sur dix animaux Seul le tableau XI pr sente l indice quotidien moyen par animal TABLEAU II Localisation de Amblyomma variegatum Pattes aisselles Oreilles Localisation 54 22 18 A variegatum 15 208 53 M O1 N O Y ENTOMOLOGIE Amblyomma variegatum Les larves ont t r colt es 10 mois sur 12 de juin mars avec trois pics juin septembre et d cembre Plus de 50 p 100 de ces larves sont trouv es la t te et aux oreilles Les nymphes sont pr dominantes aux pattes et aux parties g nitales Leur activit s tend de septembre mai elle est plus marqu e en grande saison s che novembre mars Quant aux imagos plus
50. sions classiques ont t observ es chez les ch vres atteintes et le virus a t r isol et iden tifi partir d elles Il faut garder l esprit la menace de cette affection occasionn e par la mise en place d une boucle l oreille dans les r gions o l ecthyma contagieux s vit de fa on end mique Mots cl s Ch vre Ecthyma contagieux Arabie Saoudite Introduction Orf is a world wide disease of sheep and goats 5 It is caused by a parapoxvirus of the family poxviridae 2 The virus is highly epitheliotropic 1 The main sites of infection in the affected animals are the lips and nostrils Spread to other parts of the body is not frequent however lesions are seen at locations such as the gums perineal skin udder and tail 5 The virus gains access into tis sues through abrasions or wounds Orf infection in sheep and goat in Saudi Arabia is wides pread 3 1 Department of Microbiology and Parasitology College of Veterinary Medicine and Animal Resources King Faisal University POB 1757 Al Ahsa 31982 Saudi Arabia Regu le 29 1 91 accept le 18 6 1991 VIROLOGIE In the present communication we describe the first recor ding of orf infection involving the ears following ear tag ging in goats Materials and Methods Two newly ear tagged six month old orf seronegative indigenous goats were housed with two sheep and two goats which had been experimentally infected with the orf v
51. 0 42 days the feed intake was not affected by the level of DGCS in the feed However the feed conversion ratio was higher for the diet with 20 compared with those containing 10 or 15 Mortality rate was not affected but the number of birds with leg abnormalities tended to increase with DGCS level in the diet For a DGSC price of 42 6 F CFA kg its inclusion in the diet caused a decrease in feed costs and an increase in the gross margin per animal for chicks fed 10 or 15 DGCS This product may constitute a new feed ingredient that can be advantageous in poultry feeding Key words Broiler chicken Feeding Cottonseed Feed efficiency Live weight gain C te d Ivoire BIBLIOGRAPHIE ALIMENTATION NUTRITION Son utilisation offre la possibilit de formuler des rations hautement nerg tiques La vulgarisation actuelle des vari t s glandiess devrait permettre terme de dispo ser d importantes quantit s de graines dont une partie plus ou moins importante pourrait tre valoris e dans l alimentation animale L int r t conomique de son utili sation pour les volailles sera fonction de son prix de cession REMERCIEMENTS L auteur tient remercier les responsables du d parte ment des cultures industrielles de l IDESSA et particuli rement M Yougo OURAGA pour avoir bien voulu mettre notre disposition la mati re premi re utilis e au cours de cette tude YO T Utilizaci n directa de semillas de alg
52. 001 TABLEAU I Exp rience 1 poids d abattage calculs de rendement mesures et indices de carcasse HHESERE quartier en poids et pour centage de la carcasse chaude pour les trois groupes B1 TI et SS B1 Param tre n 5 m S Poids vif jeun kg 37 12 4 029 47 58 Poids vif vide kg 33 06 3 700 41 96 Poids carcasse chaude complete kg 19 96 2 427 24 56 rendement brut p 100 53 7 0 93 51 6 rendement vrai p 100 60 3 0 91 58 7 Poids carcasse chaude sans rognons kg 18 64 2 104 23 28 rendement brut bis p 100 50 2 0 84 48 9 rendement vrai bis p 100 56 4 0 80 29 9 compacit 0 33 0 029 0 39 Graisse p rir nale en kg 1 24 0 318 1 07 en p 100 6 2 0 85 44 Graisse omentale en kg 2 1 0 543 1 72 en p 100 5 6 1 28 3 6 NFI B C 6 1 2 02 10 2 A x B mm 1 106 155 2 1 500 T te avec cornes en kg 2 00 0 267 3 32 en p 100 5 4 0 317 7 0 Peau avec poils en kg 2 23 0 284 3 51 en p 100 6 0 0 49 7 5 4 pieds en kg 0 78 0 078 0 91 en p 100 2 1 0 22 1 9 Organes intracavitaires en kg 3 52 0 322 4 37 en p 100 9 5 0 47 9 2 Total 5 quartier en kg 10 60 1129 13 82 en p 100 28 6 1 05 29 2 1 test de Kruskal Wallis 6 000 45 80 6 237 F 5 30 5 184 40 58 5 848 F 4 76 3 073 24 00 3 374 F 3 63 ns 0 75 52 4 1 67 F 4 38 0 80 59 2 1 93 2 20 ns 2 968 23 10 3 083 F 4 66 0 90 50 5 1 90 F 2 20 1 92 57 0 2 30 F 1 17 ns 0 033 0 38 0 041 F 5 0
53. 1 200 m Ce parc a un sol ferralitique sur basalte ancien ll est relativement acide pH 5 55 et riche en mati re organique avec un complexe absorbant pr sentant une capacit d change de 15 20 meq en surface et un rapport C N de 17 Il est cependant pauvre en bases changeables Le climat de la r gion est de type soudano guin en att nu par l altitude avec des pr cipitations moyennes annuelles 1960 1985 de 1 706 2 mm pr sentant un pic en ao t 9 Pendant l tude 1985 1987 les pr cipitations ont vari entre 1 570 mm 1985 et 1 451 5 mm 1987 soit une r duction d environ 17 5 p 100 par rapport la moyenne long terme et de 7 5 p 100 par rapport l ann e de d mar rage de l essai Le nombre de jours effectifs de pluie est pass de 133 jours en 1985 114 jours en 1987 soit une r duction par rapport la moyenne de 32 4 p 100 et 14 2 p 100 par rapport l ann e 1985 fig 1 373 Retour au menu E T Pamo Pluies mm 1985 Nombre de jours 200 de pluie 100 Pr cipitations pendantaires Nombre de jours de pluie Pluies mm 200 0 QT gt t fa fu Pr cipitations pendantaires Nombre de jours de pluie Pluies mm 1986 Nombre de jours de pluie Pr cipitations pendantaires Nombre de jours de pluie Nombre de jours de pluie 15 10 fH a rule Mitt po N p J Fig 1 Pr cipitations pentadaires et n
54. 1990 On arrival at Nsukka they were quarantined in a fly proof house for 6 weeks During this period they were screened for haemoparasites dewormed with Piperazine Adepate and given Amprolium in the feed They were maintai ned on a concentrate diet 16 crude protein at a rate of 1 4 to 1 6 kg pig day At the end of acclimatisation the pigs were randomly divi ded into three equal groups A B and C of 6 each and kept in three separate pens Pigs in group A were infec ted with strain Y58 98 of T brucei while those in group B were infected with strain Y58 35 of 7 congolense Both pathogenic trypanosomes were obtained from the Nigerian Institute for Trypanosomiasis Research NITR Vom where they were characterized Pigs in group C were left as uninfected controls To obtain trypanosome strains for the pig infection a sample was first injected into a group of mice at NITR They were brought live to Nsukka At peak parasitaemia mice were bled using disodium ethylene diamine tetra acetic acid EDTA as anticoagulant Each trypanosome suspension was diluted to a known concentration using a phosphate buffered saline PBS solution About 1 8 x 10 trypanosomes of a particular strain was injected intraperi toneally to each pig in the respective groups Pigs were monitored daily for clinical symptoms and for levels of parasitaemia according to methods described by ASHMANN and SEED 3 Haematological value inclu ding packe
55. 1991 44 3 277 278 Orf lesion around the hole made by the tag on the goat s ear 277 Retour au menu Communication Discussion Orf virus tropism is highly epitheliotropic and lesions are usually associated with the lips and nostrils The involv ment of other parts of the body has been less frequently described However only one report describing ear infection of sheep by the orf virus following ear tagging was publi shed so far 1 Our present paper describes the first record of orf tag infection in goats The results confirm that ear tagging could be an efficient port of entry for the orf virus and for a subsequent development of infection The scab material from the infected goats yielded enough virus material to be detected with AGID and CFT tests against the reference orf antiserum Further confirmation was also made by isolation of the virus in cell culture and its serological identification using the AGID and CFT tests Though ear tagging is not a common practice in Saudi Arabia we consider that it might represent a risk of orf virus dissemination among sheep and goats Acknowledgements The authors would like to thank Dr A A GAMEEL for the photographs and discussion 278 HOUSAWI F M T ABU ELZEIN E M E Orf infection following ear tagging in goats Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 277 278 This communication describes the first record of orf infection in goats fol lowing ea
56. 3 Projet de d veloppement de l levage bovin dans le Borgou Minist re du d veloppement rural et de l action coop rative MDRAC rapports men suels et annuels Parakou B nin 1986 1991 Retour au menu Communication Preliminary observations on ticks and tick borne diseases in the North West Province of Cameroon I Babesiosis and anaplasmosis C Ndi P H Bayemi EN Ekue B Tarounga NDI C BAYEMI P H EKUE P N TAROUNGA B Observations pr liminaires sur les tiques et les maladies transmises par les tiques dans la province du Nord Ouest du Cameroun I Bab siose et anaplasmose Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 263 265 Une enqu te sur les tiques et les maladies transmises par les tiques dans la province du Nord Ouest du Cameroun au march au b tail de Bamenda a t effectu e Les tiques identifi es ont t Boophilus annulatus 20 p 100 et B decoloratus 80 p 100 Plus de 50 p 100 de ces tiques ont t collec t es au cours de la saison s che Sur 524 talements de sang 47 3 p 100 ont t positifs pour Babesia bovis 31 1 p 100 pour B bigemina et 2 2 p 100 pour Anaplasma marginale le reste a t n gatif soit 19 4 p 100 Mots cl s Tique Bab siose Anaplasmose B tail Cameroun Introduction Ticks and the disease they transmit are of great importan ce to both developed and developing nations 9 espe cially those whose economies are
57. 365 373 FAYE B TISSERAND J L Probl mes de la d termination de la valeur alimentaire des fourrages pr lev s par le dromadaire Options m d S r S minaires 1989 2 61 65 FENELON J P Qu est ce que l analyse de donn es Paris Lefonen 1981 GHOSAL A K APPANNA T C DWARAKNATH P K A note on the effect of short term water deprivation on certain blood characteristics in the camel Indian J Anim Sci 1975 45 2 105 108 GODET J GUEDDA M SAID ELMI ABBAS DOGALI Notes sur l levage camelin en R publique de Djibouti ISERT rapport section Sciences Humaines 1985 Pathologie et Alimentation Djibouti P 32 41 GRILLET C FAYE B Fractions lectrophor tiques des prot ines plasmatiques chez la brebis Adale thiopie Revue lev M d v t Pays trop 1987 40 1 83 88 2237 Retour au menu B Faye C Mulato 334 31 32 33 34 IN 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 IBRAHIM M S MOHAMED A R EL BALKEMY F A OMRAN H ALMAKAWI M F Etude de l activit de l Ivomec chez le chameau Action antiparasitaire et incidence sur l tat g n ral Res Bull Univ Zagazig Egypt 1982 14 p KHAN A A KHOLI 1 S A note on variations in blood serum cholesterol in camel before and during rut Indian J Anim Sci 1973 43 2 1094 1095 LAMAND M Influence of protein intake on per os zinc deficiency treatment
58. 4 8 p 100 n 58 L cart moyen entre les deux valeurs est de dix points de digestibilit Les r sultats sont pr sent s par famille esp ce et orga ne tabl 1 Des diff rences apparaissent entre groupes et l int rieur d une esp ce selon l organe et l ge de celui ci Toutefois au regard des 600 esp ces ligneuses identi fi es dans la zone soudano sah lienne les effectifs tu di s ici ne permettent pas de proc der des comparaisons entre familles et genres l effectif le plus lev par famille tant de sept esp ces Mimosaceae Le classement qui peut tre fait d apr s les tableaux n est donc pas d finitif ni g n ralisable Ces donn es sont avant tout destin es a illustrer les variations de digestibili t des ligneux Certains r sultats m ritent cependant d tre soulign s en particulier ceux relatifs des familles des esp ces ou des organes chantillonn s plusieurs reprises Avec une DIVMO moyenne sup rieure 70 p 100 les organes des esp ces appartenant aux familles des Asclepiadaceae Balanitaceae et Euphorbiaceae sont les plus digestibles Pour les familles des Mimosaceae l exception d A ataxacantha et d A sieberiana Papilionaceae Bombacaceae Capparidaceae Polygalaceae et Tiliaceae la DIVMO comprise entre 45 et 63 p 100 est interm diaire tandis que celle des Anacardiaceae Caesalpiniaceae Combretaceae l except
59. 40 unit s d azote l hectare on obtenait une production qui ne diff rait de celle obtenue avec la dose de 90 que dans les proportions permises par le hasard 376 Rendement t ha de MS 6 Moyennes 0 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Rendement t ha de MS 45 jours 0 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Rendement t ha de MS 6 1985 5 1986 3 ZA A 1987 i 1 0 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Fig 3 Rendement de Brachiaria ruziziensis en fonction des diff rentes doses d azote aux m mes fr quences de coupe pendant la p riode d tude En 1986 l ajustement des donn es de production en fonction des doses d engrais aux diff rentes fr quences de coupe fig 4 a fourni les quations sui vantes F1 Y 2660 19 24 92 N 0 07 N R 0 21 F2 Y 2204 64 14 98 N 0 07 N R 0 85 F3 Y 2083 70 45 54 N 0 21 N R 0 93 M Y 2315 82 21 17 N 0 02 N R 0 87 Retour au menu Rendement t ha de MS 1985 M Moyenne 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Rendement t ha de MS 6 1966 M Moyenne 5 F3 F2 4 M _ F1 3 CE Pa 2 1 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Rendement t ha de MS 6 1987 5 M Moyenne 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Fig 4 Ajustement des rendements de mati re s che sous diff rentes doses d azote et fr quences de coupe en 1985 1986 et 1987 AGROP
60. 44 3 295 299 The author describes the properties and manufacturing of a bipyra mid trap Building details are provided It is easy to handle settle and dismantle for transportation and does not need any special prepara tion such as an insecticidal impregnation Its cost price is about 30 FF 1 500 CFA francs The use of this trap by semi nomadic breeders is actually submitted to a large scale evaluation programme Key words Glossina fuscipes fuscipes Insect control Bipyramidal trap Livestock protection Peul breeder Central African Republic 298 DISCUSSION A ___0QBD EE Ce prix peut tre facilement compress par la r cup ra tion des bouteilles l abaissement du prix de la confection 4 FF en fonction de la production la suppression de divers frais vitables lachat en plus grande quantit de mat riaux d o la possibilit d un co t total pour un pi ge inf rieur 24 FF 1 200 F CFA CONCLUSION Le pi ge bipyramidal am liore de dix fois le meilleur rap port efficacit co t du pi ge biconique Il fait actuellement l objet d une valuation en vraie grandeur dans le cadre d une lutte autog r e par les leveurs semi nomades de R publique centrafricaine Mbororo La strat gie d utili sation de ce pi ge ne vise pas ici une radication des ts ts m me localis e mais un all gement de la pression vectorielle dans les points de contact ts ts b tail les por
61. Ces r sultats confirment ceux obtenus chez les porcs par LARUE et al 15 et sugg rent que les mauvaises performances observ es par les autres auteurs avec des graines de vari t s clas siques 6 7 9 17 pourraient tre dues a la pr sence de gossypol dans ces graines L inclusion dans les formules alimentaires de GCDSG a entra n une augmentation du taux de mati res grasses MG atteignant 12 p 100 dans les r gimes 20 p 100 de graines Les performances r alis es montrent qu en milieu tropical des taux lev s de MG peuvent tre sup port s sans inconv nients majeurs Sur l ensemble de la p riode exp rimentale la consommation alimentaire et le gain de poids vif n ont pas t significativement affect s par la pr sence de GCDSG dans l aliment Cependant au cours de la p riode 15 28 j on a observ un effet significativement favorable de la GCDSG sur l indice de consommation Ceci pourrait tre attribu a un effet extra calorique de la graisse contenue dans la graine ou une sous valuation de la valeur nerg tique r elle de ces r gimes En effet certains auteurs ont observ que l incorporation d huile d origine v g tale ou animale dans des rations iso nerg tiques permettait d am liorer le gain de poids et l indice de consommation 12 par un effet extracalorique de l huile sur l utilisation des nutri ments de la ration 8 21 Cependant
62. Control of Glossina fuscipes fuscipes by traps to protect livestock in the Central African Republic II Characteristics of the bipyramidal trap 301 BLANC F GOUTEUX J P CUISANCE D POUNEKROZOU E LE MASSON A N DOKOUE F MAINGUET M D AMICO F LE GALL F Control of Glossina fuscipes fus cipes by traps to protect livestock in the Central African Republic II Popularization of trapping in Mbororo breeders 253 254 Retour au menu j 309 BAYEMI P H Seasonal dynamics of tick infestations Ixodoidea in cattle in the area of Yaound Cameroon BIOLOGY REPRODUCTION 319 DJABAKOU K GRUNDLER G LARE K Post partum uterine involution and oestrus cycle resumption in trypanotolerant Ndama and Baoul cows 325 FAYE B MULATO C Factors of variation of mineral biochemical and enzymatic parameters in the blood plasma of dromedaries in Djibouti 335 THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influence of partial and full castration on the slaughter parameters and on meatcuts of Poulfouli rams in the Far North Cameroon FEEDING 345 FALL S T In vitro digestibility and in situ rumen degradability of browse plants from natural pastures in Senegal First results 355 YO T Use of dehulled glandless cottonseed DGCS in broiler diets in C te d Ivoire Short note 361 TUONG N P Note on the use of berberine tannate BertamixND for increasing the productivity of meat yielding in pig
63. Cuivre Albumine Ur e Cholest rol Phospholipides Glucose Magn sium C ruloplasmine Glucose Sexe R gion discriminants Pourcentage de bien class s 94 2 Seuils de signification P lt 0 001 P lt 0 01 P lt 0 05 Les enzymes h patiques atteignent des seuils critiques si on se r f re aux normes de l esp ce bovine dans la r gion du Sud Ouest et surtout dans la r gion d Ali Sabieh Analyses multidimensionnelles Analyse en composantes principales sur les donn es centr es r duites On analyse un tableau i x j o repr sente les individus 52 dromadaires et j les valeurs plasmatiques des 15 param tres mesur s On ne commentera que la matrice des corr lations tabl Ill les r sultats graphiques de ACP r apportant que peu d informations int ressantes Les coefficients de corr lation les plus significatifs sont relev s entre le cuivre et la c ruloplasmine 0 720 d une part entre phospholipides et cholest rol 0 674 d autre part Les enzymes h patiques sont galement bien corr l es entre elles 0 467 L analyse discriminante Elle est appliqu e sur le tableau des donn es initiales i x j en fonction respectivement de l ge du sexe et de l origine g ographique des animaux tabl IV Les para m tres les plus discriminants sont les triglyc rides pour l ge le cuivre et la c ruloplasmine pour le sexe Cependant il appara t nettement que l
64. F 3 81 ns T te avec cornes en kg 2 20 0 175 2 89 0 183 F 58 98 en p 100 6 2 0 35 7 0 0 63 F 9 16 Peau avec poils gen kg 2 69 0 297 3 63 0 390 F 29 38 en p 100 7 6 0 91 8 8 0 79 F 7 17 0 4 pieds en kg 0 84 0 099 0 87 0 045 F 0 68 ns en p 100 2 4 0 25 2 1 0 15 F 6 83 Organes intracavitaires en kg 3 72 0 443 4 42 0 440 F 10 21 en p 100 10 5 0 81 10 7 0 68 F 0 22 ns Total 5 quartier en kg 10 85 0 884 13 26 1 170 F 19 29 0 86 1 52 F 4 35 ns en p 100 30 7 1 t test modifi 2 transformation logarithmique La lettre m indiquera la moyenne et la lettre s l cart type de l chantillon En cas d application du test de Newman Keuls les lettres a b et c sont plac es derri re les moyennes et les groupes suivis d une lettre diff rente sont statistiquement diff rents R SULTATS Les tableaux et Il reprennent les diff rents param tres et indices li s la carcasse aux d p ts adipeux et au d veloppement musculaire ainsi que les diff rentes par ties du cinqui me quartier 338 Les poids et proportions des morceaux de la d coupe de r f rence sont repris aux tableaux Ill et IV Les propor tions de muscles graisse os et d chets de la d coupe tissulaire ainsi que les r sultats de l analyse CHIMIQUE des gigots figurent au tableau V DISCUSSION FIELD 11 fait remarquer que la comparaison des rende ments d abattage d pend d
65. H Veterinary clinical pathology 3rd ed Philadelphia Saunders Co 1980 Pp 113 114 FIENNES R N T W Haematological study in trypanosomiasis of cattle Vet Rec 1954 66 423 434 IGBOKWE LO Dyserythropoiesis in animal trypanosomiasis Re Elev M d v t Pays trop 1989 43 3 423 429 IKEDE B 0 LOSOS G J Pathogenesis of Trypanosoma brucei infection in sheep I Clinical signs II Cerebro spinal fluid changes III Hypophyseal and other endocrine lesions J Comp Path 1975 85 1 23 31 33 36 37 44 IKEDE B 0 MARGAREL L TERRY R J Anaemia in trypanosomiasis Mechanism of eryhtrocyte destruction i in mice infected with Trypanosoma congolense or Trypanosoma brucei Acta trop 1977 34 53 60 ILEMOBADE A A BALOGUN T F Pig trypanosomiasis effects of infection on feed intake live weight gain and carcase traits Trop Anim Hith Pr od 1981 83 128 136 KAGERUKA P Trypanosomose dans les levages porcins du bas Za re Revue Elev M d v t Pays trop 1987 40 1 49 53 KELLY W R Veterinary clinical diagnosis 2nd ed London Bailli re Tindall 1977 Pp 261 296 KILLICK KENDRICK R GODFREY D G A close association between Glossina tachinoides and TESI pigs near Nsukka Eastern Nigeria Ann Trop Med Parasitol 1963 57 2 225 231 LOSOS G J IKEDE B 0 Review of the pathology of diseases in domestic and laboratory animals caused b
66. L tude de la rentabilit conomique des rations test es a t effectu e sur cette hypoth se de prix L ensemble des donn es recueillies a t analys a l aide du programme STAT ITCF en prenant en compte le fac teur r gime alimentaire R pour l analyse du poids vif et des gains de poids mod le 1 le r gime alimentaire R et l ge A pour l analyse de l ing r alimentaire et l indi ce de consommation mod le 2 La prise en compte du facteur ge dans le mod le 2 permet de mesurer l effet de l interaction entre le r gime alimentaire et l ge des animaux sur l ing r alimentaire et l indice de consomma tion Mod le 1 Yik u Ri eik Mod le 2 Yijk u Ri Aj R A ij eijk u moyenne g n rale Ri effet de l aliment i Aj effet de l ge j R A ij effet de l interaction entre I aliment i et l ge j eijk variation r siduelle En cas d effets significatifs des facteurs tudi s les moyennes des traitements sont compar es a l aide du multiple range test de Newman et Keuls Les taux de mortalit et d animaux pr sentant des malfor mations de pattes ont t compar s l aide du test de khi R SULTATS C Performances zootechniques Les r sultats relatifs aux performances pond rales l ing r alimentaire l indice de consommation aux taux de mortalit et de malformations des pattes sont r sum s dans les tableaux III et IV
67. PONS ce US Dept Agriculture 1976 485 TRONCY P M ITARD J MOREL P C Pr cis de parasitologie v t rinaire tropicale Maisons Alfort IEMVT Paris Minist re de la Coop ration 1981 Manuels et pr cis d levage n 10 Retour au menu K Djabakou G Grundler K Lare DJABAKOU K GRUNDLER G LARE K Involution ut rine et reprise de cyclicit post partum chez les femelles trypanotol rantes Ndama et Baoul Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 319 324 Ce travail porte sur 30 femelles Ndama et 30 femelles Baoul entrete nues sur p turage de Panicum maximum au Centre de Recherche et d Elevage d Av tonou Togo CREAT situ dans la zone soudano guin enne de l Afrique occidentale Les v lages se sont r partis sur deux saisons 17 femelles Ndama et 15 femelles Baoul ont mis bas pendant la saison s che d cembre janvier 13 femelles Ndama et 15 femelles Baoul au d but de la saison des pluies f vrier mars Les femelles qui ont v l pendant la saison s che ont perdu environ 10 p 100 de leur poids le 30 jour post partum celles qui ont v l au d but de la saison des pluies environ 2 p 100 seulement La dur e de involution ut rine n est pas influenc e par la saison de v lage P gt 0 05 En moyenne involution globale de Put rus est achev e 31 4 jours post partum chez les Ndama et a 30 7 jours chez les Baoul L influence de l ge sur l inv
68. Sp F feuilles FL fleurs FR fruits G gousses de l gumineuses E corces JP jeunes pousses jeunes rameaux feuilles Papilionaceae Genre Pterocarpus P erinaceus F Autres familles Anacardiaceae Genre Heeria H insignis JP Asclepiadaceae Genre Calotropis C procera F C procera FR C procera Bombacaceae Genre Adansonia A digitata EF A digitata FR Genre Bombax B costatum F Capparidaceae Genre Boscia B senegalensis F Combretaceae Genre Anogeissus A leiocarpus JP Genre Combretum C glutinosum JP C nigricans JP 1 350 Retour au menu D gradation P 100 100 80 Dre TT TT 40 5 RE fe 7 20 A 0 Temps h 0 3 6 9 24 48 72 e A adansonii A albida A ataxacantha A sieberiana A senegal AR A seyal Fig 1 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in situ feuilles de Mimosaceae D gradation P 100 100 80 A 0 3 6 9 24 48 72 60 40 20 B rufescens _ P reticulata P sp Fig 3 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in situ feuilles de Caesalpiaceae D gradation P 100 ol emps S 0 3 6 9 24 48 72 o C procera A digitata 4 B costatum B senegalensis de C n
69. al d a 49 y al d a 44 mientras que ambas razas tienen el ciclo al d a 60 seg n el criterio de morfo log a ov rica En cambio la subida de la progesteronemia muestra que 50 p 100 de las vacas Ndama y 50 p 100 de las Baoul recobra ron el ciclo respectivamente al d a 34 y al d a 40 post partum La evo luci n del peso ligada con el pastoreo de las hembras amamantado ras parece ser la causa de la variaci n del plazo de nueva aparici n del ciclo despu s del parto luego del intervalo entre los partos Palabras claves Bovino tripanotolerante Bovino Ndama Bovino Baoul Ciclo estral Intervalo entre partos Influencia de la edad Togo 2973 Retour au menu K Djabakou G Grundler K Lare 324 BIBLIOGRAPHIE sa DO T a E o 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 BADINAND F Involution ut rine Jn CONSTANTIN A MEISSONIER E d L ut rus de la vache anatomie physiolo gie pathologie Paris Soci t fran aise de buiatrie 1981 P 201 211 BASTIDA P TROCONIZ J VERDE 0 SILVA O Effect of restricted ne on ovarian activity and uterin involution in Brahman cows Theriogenology 1984 21 525 532 CHICOTEAU P La reproduction des bovins trypanotol rants In R union ITC Banjul Gambie 1988 CHICOTEAU P La reproduction des bovins tropicaux Rec Med vet 1991 167 3 4 241 247 DAWSON F L M Accuracy of rectal palpation in di
70. albumine 35 et le parasitisme intestinal induit des pertes massives en albumine chez le mouton 30 Ceci peut sans doute expliquer en partie les corr lations n gatives observ es entre albumine et c ruloplasmine prot ine d inflamma tion et entre Palbumine et la GGT enzyme t moin de l atteinte notamment d origine parasitaire des canaux biliaires La corr lation positive entre la GGT et la GLDH 0 647 est comparable celle observ e chez les bovins 0 575 par BARNOUIN et PACCARD 9 mais ce coefficient d pend essentiellement du niveau des atteintes h pa tiques 4 Variations g ographiques Bien que par leurs d placements incessants les droma daires puissent temp rer l effet r gional li une homo g n it des ressources fourrag res l origine g ogra phique des animaux dans cette tude para t fortement marquer le profil sanguin moyen On ne discutera dans cette partie que des effets remarquables BIOLOGIE REPRODUCTION Les animaux en provenance du Rift Afar r gion 1 pr sentent un profil moyen laissant supposer une alimenta tion d assez bonne qualit offerte par la dominante ligneuse de la ration essentiellement compos e de feuilles d Acacia 2 dont on sait la richesse en mati res azot es 26 Dans la r gion d Obock le profil observ signe surtout un tat g n ral d ficitaire Sur les troupeaux p turant dans les formations c ti res Avicennia et Ceriops man gr
71. ana plasmose Il est pr sent toute l ann e et ces maladies peuvent donc tre rencontr es tout moment Cependant seul B annulatus transmet facilement la bab siose mais son petit nombre moins de 6 8 femelles gorg es par animal ne permet pas l tablisse ment d une pr munition pr coce et donc une situation end mique stable 22 Rhipicephalus Rh longus est collect e en nombre tr s r duit En thiopie il faut aussi une pluviom trie sup rieure 1 200 mm pour qu elle infest normalement les h tes d finitifs 18 L infestation par Rh lunulatus est optimale en petite sai son s che Au Nigeria 50 p 100 de cette esp ce se limi te la saison des pluies 12 Yaound comme dans la province de Shoa en thiopie sa p riode de pullulation est plus longue que celle des autres esp ces 18 Rh sulcatus se limite aussi la petite saison s che Dans le nord ouest du Cameroun elle parasite les bovins pendant toute la saison des pluies 11 Hyalomma nitidum La phase parasitaire des adultes se situe entre ao t et octobre Le pic est atteint en septembre Au Nigeria les imagos sont collect s en mai et ao t 12 C est la seule esp ce qui ne figurait pas dans les travaux de MOREL et MOUCHET en 1965 16 car son identit n tait pas reconnue l poque 316 Haemaphysalis aciculifer Un seul individu dont l identification a t confirm e par P C MOREL sous le couvert de P MERL
72. and man a comparison of values obtained by manual or automatic chromatographic titrimetric colorimetric and enzymatic methods Reprod Nutr D v 1984 24 4 469 482 DON S MIYADA V BAYSINGER S NOHICA R M NAKAMURA N Albumine quantification by Dye Binding and salt fractionation technique Clin Chem 1972 18 1 52 56 ELDIRDIRI NL SULIMAN H B SHOMMEIN A M Normal serum activities of some diagnostic enzymes in dromedary camel in Sudan Vet Res Commun 1987 11 3 201 203 ELTOHAMY M M SALAMA A YOUSEF A E A Blood constituents in relation to the reproductive state in she camel Camelus dromedarius Beitr trop subtrop Landwirtsch TropenVetMed 1986 24 4 425 430 FAYE B Statut nutritionnel du b tail dans la R publique de Djibouti Rapport de mission INRA Theix Paris Minist re de la Coop ration 1989 112 p FAYE B GRILLET C La carence en cuivre chez les ruminants domestiques de la r gion d Awash Ethiopie Revue Elev M d v t Pays trop 1984 37 1 42 60 FAYE B GRILLET C TESSEMA A Teneur en oligo l ments dans le fourrage et le plasma des ruminants domestiques en thiopie Revue Elev M d v t Pays trop 1986 39 2 227 237 FAYE B KAMIL B LABONNE M Teneur en oligo l ments dans les fourrages et le plasma des ruminants domestiques en R publique de Djibouti Revue Elev M d v t Pays trop 1990 43 3
73. avec le sac c L utilisation exclu sive par la suite du syst me b pour les exp rimentations de mod les de pi ge a permis de montrer que pour un total de 2 623 G fuscipes fuscipes captur es le pourcen tage de sortie variait de 10 a 3 p 100 avec une moyenne de 5 4 p 100 Dans le syst me b un effet de serre s ajoute l insecti cide pour tuer les glossines tr s sensibles la chaleur Il reste donc fonctionnel m me sans insecticide et demeure pr f rable aux autres par sa simplicit Incluant dans ce cas les glossines qui meurent avant d avoir pu y p n trer 290 TABLEAU II Comparaison de diff rents mod les de pi ges A H voir texte et fig 2 nombre de G fuscipes fuscipes captu r es dans chaque carr latin exprim en pourcentage par rapport au pi ge de r f rence biconique n total des captures F valeur du test F de Snedecor trans transformation normali sante F na test de non additivit de Tukey Les s parations indiquent des diff rences significatives avec le mod le de r f ren ce selon la m thode de Dunnett au seuil de 5 p 100 Dans les deux derniers carr s latins trois variantes du pi ge bipyrami dal ont t test es A 100 H 209 H 163 H 181 H 212 C 48 A 100 A 100 H 171 H 190 G 42 F 61 D 57 H 147 H 172 F 4 C 52 E 55 A 100 A 100 B 40 E 45 F 39 B 76 B 126 E 27 D 42 C 35 a US a
74. breeding in Vietnam RANGE MANAGEMENT 363 AUNE J B Regeneration of the Panicum laetum plains in the Gourma region in Mali i 373 PAMO E T Response of Brachiaria ruziziensis Germain and Evrard to nitrogen fertilization and diffe rent cutting frequencies at Adamaoua Cameroon Short note 381 KATUNGA MUSALE M BALONGA R FERNANDEZ J Preliminary note on the enemies of Setaria sphacelata Schum Stapf and Hubbard in Nioka Zaire 385 Book review Nunes 2gapnu Epidemiolog a Farmacolog a Toxicolog a S M A RI O Patologia Biolog a Reproducci n Virolog a Alimentaci n Nutrici n Bacteriolog a Zootecn a Gen tica Parasitolog a Econom a de la ganader a Protozoolog a Producciones e industrias animales Helmintolog a Agropecuaria Entomolog a Cartograf a Teledetecci n 257 Actualidad EPIDEMIOLOG A Breves notas 261 DEHOUX J P HOUSOUN VE G Epizootia de fiebre aftosa en el norte Benin durante la estaci n seca 1990 1991 263 NDI C BAYEMI P H EKUE F N TAROUNGA B Observaciones preliminares sobre las garra patas y las enfermedades transmitidas por las garrapatas en la provincia del Noroeste de Camer n I Babesiosis y anaplasmosis PATOLOG A 267 OMEKE B C O UGWU D O Tripanosomosis del cerdo Comparaci n de la anemia y de la histopa tolog a de los rganos linfoideos Breve nota 273 HAMID M E MOHAMED G E ABU SAMRA M T
75. cage Roubaud classiquement utilis e Ce pi ge est plus efficace que les pi ges biconiques pyramidaux ou monoco niques essay s en RCA Le pouvoir discriminant du protocole en carr latin et l usage du pi ge avec ou sans insecticide sont discut s Mots cl s Glossina fuscipes fuscipes Pi ge bipyramidal Lutte anti insecte Protection de l levage leveur Peul R publique centrafri caine INTRODUCTION EEE ECO Cet article est le premier d une s rie o seront expos s les dift rentes tapes et les r sultats d un programme de recherche sur la protection de l levage en zone de sava ne humide par pi geage Ce programme a t lanc par CUISANCE 7 dans le cadre de l Agence Nationale de D veloppement de l levage ANDE en RCA La mise au point d un nouveau pi ge a constitu la pre miere tape de ce programme Dans les prochains articles seront successivement examin s la description la fabrication et le co t du pi ge utilis Il la vulgarisa tion de la m thode Ill enfin son impact pizootiologique et zootechnique valu par des essais en vraie grandeur IV Le choix d une strat gie de lutte bas e sur le pi geage en association ventuelle avec d autres m thodes t fait par CUISANCE la suite de plusieurs missions 1 ORSTOM BP 893 Bangui R publique centrafricaine 2 IEMVT CIRAD c o ORSTOM BP 5045 34032 Montpellier Cedex France 3 ANDE BP 1509 Bangui R pu
76. cet effet favorable de la GCDSG n a pu tre mis en vidence au cours de la p riode suivante 29 42 j pour les r gimes 10 ou 15 p 100 de GCDSG Pour la ration 20 p 100 on a not au cours de cette p riode une ingestion alimentaire plus lev e et une diminution significative de l efficacit de conversion de l aliment Ce r sultat quelque peu h t rogene et inattendu semble indiquer que les niveaux nerg tiques effectifs des rations alimentaires utilis es au cours de cette p riode 29 42 j n taient pas identiques ce qui pourrait provenir d une erreur de fabrication de for mulation ou d valuation des mati res premi res On a observ que la fr quence des malformations de pattes tend a s accroitre P gt 0 05 avec l augmentation du taux de GCDSG Bien que non significative cette aug mentation semble sugg rer que l incorporation de GCDSG dans l aliment r duit l assimilation des l ments min raux et ce d autant plus que le taux d incorporation est lev KENSETT et al 12 ont observ que laug mentation du taux de MG dans la ration entra ne une diminution de la fixation du phosphore et du calcium dans le tibia des poulets g s de quatre semaines De m me GRIFFITH et al 10 ont montr que la digestibilit du calcium diminuait fortement avec un aliment contenant un taux lev de MG Ces diff rents r sultats sugg rent qu une tude approfon
77. de 47 0 p 100 et le plus faible de 2 5 p 100 tabl Il Une relation lin aire entre le taux de germination et la date du semis a t recherch e sans donner une rela tion significative N anmoins le taux de germination a eu tendance augmenter au cours de l essai tabl Il Le r sultat obtenu pour le premier semis s est distingu des r sultats obtenus pour les autres dates de semis et c est pourquoi la corr lation n a pas t trouv e signifi cative Un essai r alis en conditions de terrain en 1987 indique qu il existe une dormance dans les semences car la lev e en 1988 s est av r e aussi lev e que celle de 1987 Or aucun semis n a t r alis sur ce terrain en 1988 tabl IV Cette dormance peut contri buer de fa on tr s importante emp cher la d grada tion des plaines fonio car m me si la production grai ni re choue enti rement une ann e il restera normalement assez de semences pour assurer la ger mination l ann e suivante Les r sultats de ces essais d montrent qu il est important de tester le taux de germination avant de proc der une r g n ration par semis grande chelle Quantit de semences dans le sol La lev e obtenue sur les chantillons de sol plac s en pots et arros s et celle obtenue sur les terrains d o pro viennent les chantillons ont t tudi es Les r sultats montrent que sur les plaines d grad es il reste peu de semences
78. des sympt mes cli niques caract ristiques les modifications h matologiques et d histo pathologie des organes lymphoides Les p riodes moyennes d incuba tion ont t de 4 7 jours et on a observ des niveaux g n ralis s mais variables de la parasit mie et de la pyrexie sans mortalit Les autres sympt mes ont t l hyper mie des h morragies p t chiales conduisant des plaques ou des l sions de l innap tence de la d shydratation avec ou sans ascites La trypanosomose a abaiss significativement P lt 0 01 la valeur de l h matocrite PCV la concentration en h moglobine et les globules rouges Elle a par contre accru la num ration diff rentielle des globules blancs des animaux infect s Les trypanosomes taient localis s dans les tissus lympha tiques qu ils ont d truits et dont les l sions essentielles taient des h morragies la prolif ration des infiltrations par les mononucl aires la d formation des follicules et la n crose ou la fibrose des tissus Les auteurs mettent bien en vidence les effets significatifs r sultant de l immunosuppression l rythrophagocytose et par voie de cons quen ce des infections secondaires qui sont le lot de la production porcine dans les zones de trypanosomoses end miques Mofs cl s Porc Trypanosomose An mie Histopathologie Organe lymphoide Nigeria INTRODUCTION A Recent findings on African trypanosomosis 1 11 confirm th
79. diminuer la production des annexes de la peau ce qui explique aussi la diff rence en poids La proportion de l ensemble des organes intracavitaires n est significative dans aucune des deux exp riences Le total g n ral du cinqui me quartier pr sente une diff rence significative en poids entre les Burdizzo et les deux autres groupes mais les proportions ne diff rent pas non plus CONCLUSION Le castr la pince de Burdizzo poss de dans l ensemble un rendement d abattage sup rieur a celui du b lier entier et du castr short scrotum mais des varia BIOLOGIE REPRODUCTION tions significatives apparaissent lors du retrait de la grais se p rir nale et ou du contenu visc ral A ge gal comme c est le cas dans les deux exp riences d crites cet avantage perd de sa valeur dans la mesure ou le gain de poids tres sup rieur de entier et du short scrotum compense ceci La carcasse du castr la pince poss de significative ment plus de graisse interne et externe que l entier ce que prouvent les diff rents param tres mesur s ou calcu les ainsi que la d coupe tissulaire et l analyse chimique des gigots Par contre l entier et le castr partiel poss dent plus de muscles Le plus grand d p t de tissus adi peux chez le castr vient tayer les pr somptions qui d coulaient du calcul de l indice de consommation 21 La castration provoque clairement un glissement vers larri re train du po
80. disponible p 100 0 6 0 6 0 6 0 6 Cellulose p 100 3 6 4 5 5 1 5 7 Mati res grasses p 100 7 8 9 6 11 12 3 Prix F CFA kg 70 67 5 66 2 65 6 La farine de poisson utilis e contenait 21 p cent de cendres 57 p cent de prot ines et 4 p cent de mati re grasse Sa teneur en EM a t estim e 2 800 kcal kg Composition du pr mix par kg vit A 3 000 000 UI vit E 2 500 U vit B2 1 000 mg vit D3 1 250 000 UI vit K 1 111 mg vit B12 2500 mg Contient aussi sulfate de cuivre sulfate de fer acide nicotinique iodate de calcium oxyde de mangan se oxyde de zinc chlorure de choline s l nium Teneur en nutriments calcul e suivant les donn es de FINRA 11 356 NO 00 OMOMOMO DWO 0D00 NEO ORAOZ 0O0 ENO 000 Cellulose p 100 Mati res grasses p 100 Prix F CFA kg uo D a on o gt N oo oi on Composition du pr mix par kg vit A 3 000 000 UI vit E 2500 UI vit B2 1000 mg vit D3 1 250 000 Ul vit K 1 111 mg vit Bi2 2 500 mg Contient aussi sulfate de cuivre sulfate de fer acide nicotinique iodate de calcium oxyde de mangan se oxyde de zinc chlorure de choline s l nium Teneur en nutriments calcul e suivant les donn es de l INRA 11 Ces aliments ont t usin s sur la station puis distribu s aux poussins raison de quatre parquets par traitement Un dispositif en blocs a
81. dry matter respectively Variation fac tors linked to species age and plant parts were observed and a provi FALL S T Digestibilidad in vitro y degradabilidad in situ en la panza de forrajes le osos disponibles en pastos naturales en Senegal Primeros resultados Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 345 354 Para evidenciar la utilizaci n digestiva de los forrajes le osos dispo nibles en pastos naturales de las zonas sudanesa y saheliana del Senegal se determinaron la digestibilidad in vitro m todo de Tilley Terry y la degradabilidad en la panza in situ De 58 muestras analizadas in vitro la digestibilidad in vitro de la materia seca es de 51 por termino medio con extremos de 88 a 26 p 100 La digestibilidad in vitro de la materia org nica vari de 84 a 15 con un promedio de 42 p 100 Se realizaron 38 perfiles de degradaci n en la panza en 24 especies Son respectiva mente de 59 y 57 p 100 la degradabilidad media de proteinas brutas y la de la materia seca Se observaron factores de variaci n seg n la espe sional classification of studied species proposed Key words plant Fodder Ruminant Zn vitro digestibility Jn situ degradability Senegal cie el rgano y la edad Se propone una jerarqu a provisional de las especies estudiadas Palabras claves Planta le osa Forraje Rumiante Digestibilidad in vitro Degradabilidad in situ Senegal Browse BIBLIOGRAPHIE A A RR aa 10
82. enzymatic method for determination of serum choline containing phospholipids Clin Chem Acta 1977 79 83 98 TARTOUR G Copper status in livestock pasture and soil in Western Sudan Trop Anim Hlth Prod 1975 7 87 94 TOPPS J H THOMPSON J K Blood characteristics and the nutrition of ruminants London Ministry of Agriculture Fish and Food Dept of Agriculture and Fish for Scotland HMSO 1984 34 p WASFI LA HAFEZ A M EL TAYEB F M EL TAHER A Y Thyroid hormones cholesterol and triglyceride levels in the camel Res vet Sci 1987 42 418 WHABI A A ABDEL GARDIR S E NEIMAT A A IDRIS O F Plasma electrolytes and minerals of normal camels in the Sudan Jn Camels and camelids Uppsala Cockrill W R 1979 P 431 437 YAGIL R The desert camel Comparative physiological adaptation Basel Karger 1985 164 p Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION Influence de la castration partielle E Thys J Hardouin A Verhulst THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influence de la castra tion partielle et totale sur les param tres d abattage et de d coupe des b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 335 343 Dans le cadre de l tude sur l influence de la castration totale et par tielle sur les performances des b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun les auteurs ont compar les param tre
83. et min raux dans le plasma chez le dromadaire de Dyibouti 335 THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influence de la castration partielle et totale sur les para m tres d abattage et de d coupe des b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun ALIMENTATION NUTRITION 345 FALL S T Digestibilit in vitro et d gradabilit in situ dans le ramen de ligneux fourragers disponibles sur paturages naturels au S n gal Premiers r sultats 355 YO T Utilisation directe des graines de coton d cortiqu es de vari t s sans gossypol dans l alimentation des poulets de chair en C te d Ivoitre Communication 361 TUONG N P Note sur l utilisation du tannate de berb rine BertamixND comme activateur de crois sance dans l levage des porcs au Vi t nam AGROPASTORALISME 363 AUNE J B R g n ration des plaines Panicum laetum dans le Gourma malien 373 PAMO E T R ponse de Brachiaria ruziziensis Germain et Evrard la fertilisation azot e et diff rents rythmes d exploitation en Adamaoua Cameroun Communication 381 KATUNGA MUSALE M BALONGA R FERNANDEZ J Note pr liminaire sur les ennemis de Setaria sphacelata Schum Stapf et Hubbard Nioka Zaire 385 Analyse bibliographique pRetty 94 menu Epidemiology Pharmacology Toxicology C ON N S Pathology Biology Reproduction Virology Feeding Bacteriology Zootechny Genetics Parasitology Livestock economy
84. from the livers of goats revealed an extensive zone of necrosis photo 3 surrounded by a cellular infil trate composed of neutrophils and lymphocytes There was a marked disfiguration and extensive damage of the liver parenchyma and severe haemorrhage There was cirrhosis and the bile ducts were thickened fibrosed and contained white and red cells and debris Treatment Control Ranide rafoxanide MSD Agavet in combination with antibiotics Oxytetracycline or Amoxicillin were not suc cessful in the treatment and control of black disease in goats but markedly reduced the mortality rate among the flock Comparative discussion Black disease has been reported from many parts of the world 2 including the Sudan 1 However this is the first report of the disease in goats The disease among goats was found to be quite similar to that described in sheep 1 2 4 The outbreak occurred among both male and female goats This finding is in keeping with those of BAGADI 2 and JAMIESON et al 7 Black disease is caused by the a toxin of C novyi type B in necrotic liver tissue 1 2 8 In the present investiga tion the extensive liver damage seen was probably produ ced by F gigantica in all goats in addition to C tenuicollis cysts in seven goats Mature F gigantica were easily extracted from the disten ded bile ducts of goats livers This result supported the finding of ABU SAMRA et al 1 who extracted mature F giganti
85. gion d Etoudi o se trouve le march b tail on note une action concomitante de l homme et des ani maux ll y a une volution vers les genres herbac es et ligneux des savanes voisines Ceux ci sont associ s d autres genres fourragers tels que Brachiaria Panicum Pennisetum en composition avec Eupatorium odoratum consid r e comme une peste v g tale dans la r gion L humus recouvre g n ralement les sols qui sont riches en oxyde et hydroxyde de fer 17 309 Retour au menu P H Bayemi TABLEAUI Donn es climatologiques enregistr es de juin 1985 mai 1986 mm 166 5 118 5 T temp rature M maxima m minima P pluviom trie Animaux Les bovins en vente au march d toudi Yaound pro viennent surtout de l Adamaoua de l Est et rarement de Banyo fig 1 Les animaux jeunes et adultes plus de 18 mois sont de races locales Gudali Banyo Gudali Ngaound r Aku Bororo ou leurs crois s Ils n taient pas trait s contre les tiques au lieu de vente et y ont s journ pendant plusieurs semaines En g n ral un ani mal n tait examin qu une seule fois e Quelques r gions d levage Maltam bovin Kousseri Routes HH Chemin de fer Mora Barri re de Mb Mokol Maroua Yagoua Kaele a Garoua Tignere Ngaound r u Banyo Ci Kumbo Tibati Meinganga aroua Boulai Bamenda e Foumban Yoko
86. gou ti gui fini p r na mb ni ndo ay k ndjon ti loungoula koukou ni ti gou ti zia na fini ndo ti gnongo ngou ti a bagara OA DS En saison des pluies lorsque l eau monte il faut placer le piege plus haut Na tango ti ngou nzapa tongana ngou assoukou mingui ay k ndjon a kanga koukou ni na ndouzou a hon ti kozo ni ORSTOM LEM VT FNE C ANDE 1990 Fig 3 Fiche technique sur le pi geage Ce document existant galement en Fulfuld fran ais est diffus aussi largement que possible ce produit est int gr dans le r seau de vente de la FNEC de la m me fa on que les autres fournitures pour l levage SUIVI DE LA DIFFUSION ET RETOUR DE L INFORMATION A Le suivi de l adaptation est indispensable pour valuer l impact et la qualit de la diffusion du message Il est galement n cessaire dans le cas d une utilisation l chelon national pour appr hender les probl mes ven tuels et pour leur apporter des solutions techniques Trois voies sont utilis es les chefs de poste les agents des ODV les g rants des d p ts FNEC Les notes prises par les chefs de poste sont collect es par les chefs de secteur et transmises leur direction r gionale sous forme de rapports trimestriels Les agents des ODV rendent compte au service d Entomo protozoo logie de leurs activit s Les g rants de d p t des phar macies FNEC doivent remplir une fiche pour chaque pi ge vendu Cette fiche doit re
87. importante mortalit L utilisation chez les poules pondeuses d aliments contenant 15 20 p 100 de graines de coton a eu pour effet la diminu tion de lingestion alimentaire et du poids vif des poules et une chute du taux de ponte 9 Contrairement ces r sultats obtenus avec des graines haute teneur en gossypol l utilisation des graines de coton glandless en remplacement du ma s et du tourteau de soja n a pas eu d effets n gatifs sur le gain de poids des porcs et a per mis d am liorer leur indice de consommation 15 De par leur teneur en lipides et en mati res azot es les graines de coton des vari t s sans gossypol pourraient constituer une mati re premi re int ressante pour lali mentation des monogastriques MAT RIEL ET M THODE RE L essai a t r alis l Institut des Savanes de Bouak C te d Ivoire du 5 juillet au 16 aout 1990 Au cours de cette p riode la temp rature moyenne tait de 23 8 C et le taux d humidit moyen de 88 6 p 100 Mat riel Six cent quatorze poussins d un jour de souche Vedette pesant en moyenne 42 g ont t r partis en 16 lots homog nes de 38 39 poussins et lev s dans des par quets de 6 m chacun d un poulailler au sol semi ouvert La liti re tait constitu e par des balles de riz Des graines de coton glandless vari t GL7 r colt es en 1989 ont t acquises apr s grenage puis d cortiqu es pour s parer la coque essentiellement
88. in sheep Annis Rech v t 1985 16 3 285 287 LAMAND M Influence of molybdene and sulfur on copper metabolism in sheep Comparison of elemental sulfur and sulfate Annis Rech v t 1989 20 103 106 LAMAND M LEVIEUX D Effects of infection on plasma levels of copper and zinc in ewes Annis Rech v t 1981 12 2 133 136 MAZUR A Contribution l tude de infiltration lipidique du foie chez la vache laiti re en d but de lactation Th se doct Univ Clermont II 1986 n 40 ORLIAC D Contribution l tude de la biochimie sanguine de dromadaires et de ch vres sahariens Th se doct V t Toulouse 1980 n 71 PERK K LOBL K A study of the serum proteins and ANOA of the camel and their relations to its resistance to heat and thirst Refuah vet 1961 18 3 163 168 RICHARD D G RARD D La production laiti re des dromadaires Dankali thiopie Revue lev M d v t Pays trop 1989 42 1 97 103 ROWLANDS G J A review of variations in the concentrations of metabolites in the blood of beef and dairy cattle associated with physiology nutrition and disease with particular reference to the interpretation of metabolic profiles Wrid Rev Nutr Diet 1980 35 172 235 SOLIMAN M K SHAKER M Cytological and biochemical studies on the blood of adult she camels Indian vet J 1967 44 989 995 TAKAYAMA M ITOH S NAGASAKI T TANIMIZU I A new
89. l tuve une temp rature d environ 90 C pour l estimation de la mati re s che rendement en kg de MS ha L ensemble de ces r sut lats a t soumis l analyse de variance 15 Les diff rences entre traitements diff rentes doses et p riodes de coupe quand elles existaient ont t s par es par la m thode de s paration des moyennes de DUNCAN 15 R SULTATS La production de B ruziziensis en mati re s che l hec tare MS ha a t utilis e comme param tre d valuation pour la r ponse de ce fourrage la fertilisation et aux dif Retour au menu TABLEAU I Rendement moyen de Brachiaria ruziziensis kg ha de MS sous diff rentes doses d azote unit s ha Fr quence Ann e de coupe E jours F1 30 2 454 2 075 2 943 fre EEE 2 513 3 254 3672 3428 Moyenne 2 905 582 1085 F2 45 2449 18079 3104 3 60 2191 2953 3585 3 289 3 819 43152 2708 4 547 4 110 3461 5 687 3 070 844 3790 1 131 Moyenne 2365 150 2278 599 3 211 334 3 450 1 026 F1 30 2 698 2717 3 070 1986 F2 45 2 169 2 987 3385 F3 60 2 070 Moyenne 3 508 3 968 2 312 338 3071 402 3 474 456 4 215 3 571 456 3 295 865 4 187 195 2 893 3 728 4357 3816 445 3941 1 554 2 534 4356 3009 3115 4 231 4147 4 770 3 975 893 3 229
90. la ferme de Djumali ainsi que 3 et 5 pour la ferme de Nioka Il en est de m me pour les p turages 2 et 4 dans les deux fermes Le p turage 1 est diff rent des autres dans chaque ferme L absence de diff rence significative entre fermes expli querait uniformit de leur taux d infestation Malgr le taux non n gligeable d infestation de S spha celata a Nioka une bonne proportion des plantes parasi t es reste verte Ceci s expliquerait par le fait que les chenilles n ont pas d truit tous les vaisseaux conducteurs 382 TABLEAU II Les oiseaux pr dateurs des graines de S sphacelata N Nom latin Nom vernaculaire 1 Estrilda nonnula Hartlaub Kpite 2 Estrilda menalotis Temminck Sonchu 3 Poliospiza Serinus i striolatus Hastert Bii 4 Poliospiza Serinus burtoni tangajicae Granvik Silili 5 Lonchura Spermestes cucullata Swainson Krukru de la plante Cependant certains chaumes sont coup s par les chenilles qui rongent partir de l int rieur les alentours de celui ci provoquant l assechement de la par tie sup rieure Quant aux oiseaux le tableau II pr sente ceux qui ont t observes en train de manger les graines de S sphacelata Tous ces oiseaux se prom nent en bande d importance variable et se nourrissent des graines des gramin es des genres Digitaria Setaria Poa Sporobolus Cynodon Panicum Is mangent galement des insectes et des termi
91. la p riode d tude aucune diff rence significative P gt 0 01 entre les trois fr quences n a cependant t constat e Mots cl s Brachiaria ruziziensis Engrais azot Fr quence de coupe Cameroun INTRODUCTION EE a La partie septentrionale du Cameroun est couverte par un ensemble de p turages de type nature et tat vari s principalement exploit s par les ruminants L valuation de ces parcours laisse apparaitre une production v g ta le de plus en plus limit e due a un certain nombre de facteurs pr cipitations variables vents dess chant pau vret plus ou moins grande du sol rosion mauvaise gestion des parcours et surtout surexploitation de la plu part d entre eux Cette d terioration des ressources pas torales engendrent souvent de vastes d placements des leveurs la recherche de l eau et de l herbe L accroissement de la production agricole et la cr ation des ranchs dans certaines zones n ont fait qu aggraver la situation des troupeaux du secteur traditionnel et conduit rechercher des m thodes permettant d am liorer la pro duction de ces parcours Dans cette perspective depuis 1 INADER D partement des Productions Animales BP 222 Dschang Cameroun Regu le 8 1 1991 accept le 6 6 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 373 380 en Adamaoua Cameroun 1955 plus d une centaine d esp ces fourrag res ont t test es la Station de Recherch
92. large quantities all year round had a minimum infestation rate during the long rainy season Only one female tick of Hm aciculifer was collected Key words Tick Cattle Localization Seasonal dynamic Cameroon BIBLIOGRAPHIE ENTOMOLOGIE BAYEMI P H Din mica estacional de la infestaci n por garrapatas Ixodoidea de los bovinos comercializados en el rea de Yaund Camer n Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 309 318 Entre las especies de garrapatas identificadas en el Camer n ocho fueron colectadas en bovinos en Yaund Amblyomma variegatum Boophilus annulatus B decoloratus Haemaphysalis aciculifer Hyalomma nitidum Rhipicephalus longus Rh lunulatus Rh sulcatus Tres especies Hm aciculifer H nitidum y Rh lunulatus fueron encontrados en la zona por la primera vez La pululaci n de Rhipicephalus y Hyalomma se observe durante la estaci n lluviosa Boophilus abunda todo el a o con m xima concentraci n al fin de la gran estaci n seca En fin Amblyomma tambien colectados en gran cuantitad a lo largo del a o presenta su m nima infestaci n durante la gran estaci n de lluvias Una nica hembra de Hm aciculifer fu encontrada Palabras claves Garrapata Bovino Localizaci n Din mica estacional Camer n 1 AJAYI S A FABIYI J L UMO 1 Clinical bovine anaplasmosis and babesiosis in Friesian cattle An outbreak in Nigeria and its control Wrid Anim Rev 1982 43
93. lignine en tannin et en d autres facteurs antinutritionnels L accent doit tre mis actuellement sur l examen des fractions pari tales h mi cellulose cellulose lignine et azot es azote soluble d gradable li aux parois indigestibles sur les m thodes enzymatiques cellulases prot ases et bio logiques digestibilit in vivo in vitro et in situ de mesure de leur disponibilit digestive et sur la mesure des perfor mances chez l animal Les variations li es aux stades de r colte aux conditions d chantillonnage et de conservation aux techniques d analyse ne permettent pas de proc der des comparai sons rigoureuses et d taill es des r sultats il est cepen dant possible de mettre en parall le les classifications d esp ces obtenues par les diff rents auteurs 2 10 11 En ce qui concerne les feuilles d Acacia albida une DMS moyenne 53 p 100 proche de nos r sultats a t rap port e par DICKO en 1979 cit par le HOUEROU 13 avec la m thode in vivo Cependant l cart assez impor tant 14 points observ au cours de l tude entre le d but et la fin du cycle janvier ao t montre une nette influence du stade ph nologique Pour les gousses la DIVMS a t Stable aucune variation d ordre ph nologique n a t observ e Les r sultats ont t sup rieurs ceux de DICKO mais les dates de r colte n ayant pas t men tionn es il
94. located in the Sudano guinean savanna of West Africa Two cal ving seasons were observed 17 Ndama and 15 Baoul cows gave birth during the dry season December January and 13 Ndama and 15 Baoul cows at the beginning of the rainy season February March The cows which calved during the dry season lost about 10 of their body weight 30 days post partum the cows which had calved at the beginning of the rainy season lost only about 2 of their average body weight The duration of the uterine involution was not influenced by the calving sea son P gt 0 05 On an average the overall uterine involution was achie ved 31 4 days post partum for the Ndama and 30 7 days for the Baoul cows The influence of the age of the cows on the uterine involu tion was significant P lt 0 05 Young cows 4 5 years old in both breeds had almost all completed their uterine involution by 30 days post par tum Fifty percent of the Baoul and Ndama cows had been seen in heats by 49 and 44 days post partum respectively According to the examina tion of the ovarian morphology 50 of the cows of both breeds were estimated as cyclic 60 days post partum However the increase in plas ma progesterone concentrations above 0 5 ng ml showed that 50 of the Ndama and Baoul cows had resumed their sexual cycle 34 and 40 days respectively post partum The weight gain depending on the fee ding of these trypanotolerant lactating cows on pasture seemed to be
95. nam Hanoi 1985 annuel 5 LOI D T Les m dicaments et les plantes m dicinales du Vietnam Hanoi Ed Sciences et Techniques 1981 En vi tnamien 68 78 num ro 6 MEKAWI M Effect of berberine alkaloid on Vibrio cholerae and its endotoxine J Egypt Bull Ass 1966 49 554 558 7 TAP N Caract ristiques g obiologiques du V ng D ng Cosa fenestratum au Vi t nam Revue Pharm Vi t nam Hanoi 1985 P 42 49 num ro annuel 8 TUONG N P Production de m dicaments et acc l rateur de croissance partir des plantes m dicinales autochtones et leur utilisation dans l leva ge des porcs J Quangnam Danang 1988 16 2 3 En vietnamien 9 TUONG N P et al Effet th rapeutique des formes pharmaceutiques de Cossinium fenestratum sur la diarrh e blanche des porcelets et la diarrh e des porcs Revue Sci Tech agric vietnamien Hanoi 1986 9 417 421 En Retour au menu AGROPASTORALISME R g n ration des plaines a Panicum J B Aune Blaetum dans le Gourma malien AUNE J B R g n ration des plaines Panicum laetum dans le Gourma malien Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 363 372 Panicum laetum fonio sauvage est une gramin e annuelle dont les semences sont utilis es comme aliment Apr s les ann es de s cheres se r centes dans le Gourma au Mali beaucoup de plaines se sont d grad es Le but principal de cette tude a t de t
96. obser ved that the head ears and tail were the least infested Of the 524 blood smears prepared from animals infested by these ticks 248 47 3 were positive for Babesia bovis 163 31 1 for Babesia bigemina 12 2 2 for Anaplasma marginale and 203 smears were negative Discussion and Conclusion Even though transmission experiments were not carried out it is almost certain that in the North West Province of Cameroon babesiosis and anaplasmosis are transmitted by ticks of the genus Boophilus Boophilus annulatus and Boophilus decoloratus Babesia bovis infection is by far TABLE I Localisation of Boophilus spp on cattle much greater than that by Babesia bigemina The incidence of anaplasmosis is almost insignificant 2 2 MERLIN ef al 10 suspected the presence of babesiosis here due to the abundance of Boophilus spp Even though the inciden ce of Babesia is apparently high it would have been much higher if blood from Babesia animals was not always infec tive which was not the case 14 The seasonal variation of ticks in the North West Province of Cameroon does not seem to correspond with any variation of Babesia in cattle This may be in keeping with the fact that there is no exact correlation between the percentage of erythrocytes which contain Babesia and the severity of the clinical symptoms and that a positive smear in all cases confirms the diagno sis but a negative smear does not eliminate i
97. obtenido con el m todo de la siembra seguida por el trabajo con la azada Sin embargo un trabajo s lo con la azada tambi n puede facilitar la regeneraci n El trabajo del suelo mejora la cosecha y aumenta el crecimiento de las plantas La siembra de hoyo no di resultados satisfactorios Aunque el m to do siembra y trabajo del suelo en seco necesita un mano de obra importante la productividad de 2 kg de granos por hora de trabajo indica que el m todo puede ser operacional en gran escala Palabras claves Panicum laetum Regeneraci n vegetal Labranza Mali 1 ADAM G Note sur les gramin es fourrag res de la presqu le du Cap Vert S n gal Revue lev M d v t Pays trop 1954 7 87 101 2 BOUDET G D sertification ou remont e biologique au Sahel Cah ORSTOM S r Biol 1977 12 293 300 3 CHASE R G BOUDOURESQUE E A study of methods for the revegetation of barren crusted Sahelian forest soils In RENARD C VAN DEN BELDT R J PARR J F eds Soil crop and water management in the Sudano Sahelian zone Proceedings of an international workshop 11 16 Jan 1987 Niamey Niger ICRISAT Sahelian Centre 1989 P 125 136 4 CISS LB La r g n ration des terrains d grad s In PENNING DE VRIES F W T DJITEYE M A d La productivit des p turages sah liens Wageningen PUDOC 1982 P 440 449 Oo 0 I DH Un Tombouctou Mali 1980 DIXON
98. of the pigs consequently died although infected groups gained less body weight than the controls which appeared healthy TABLE I Incubation period levels of parasitemia and body weights of pigs experimentally infected with Trypanosoma bru cei brucei A and Trypanosoma congolense B Animal groups A B C controls 6 6 6 11 7 8 33 23 Variables Number of pigs used incubation period days average Levels of parasitemia average Mean body weights kg at start of experience at slaughter 04 2 0 9 59 6 1 4 96 3 1 7 09 8 3 6 56 3 0 9 75 0 1 3 18 7 1 6 Mean weight gain 3 5 2 4 5 4 2 0 Parasitemia fluctuated including a parasitemia in some individual pigs P lt 0 05 268 Clinical symptoms were similar for both groups of infected pigs except that they appeared more severe for those in group A Symptoms included fluctuating pyrexia 38 4 41 4 C hyperaemia and parasitaemia loss of appetite petechiations of the ears genitals and ventral abdomen and dullness Later on dehydration ascites and scrotal plaques and or lesions were observed Figure 1 shows that both trypanosomes significantly P lt 0 01 and progressively lowered the haematological values except for the WBC differentials that rather ten ded to increase table Il Values for control pigs were C Contr
99. on ne peut que s interroger sur le fait qu aucune mesure ne soit prise pour en limiter les effets Remerciements Nous tenons remercier l Animal Virus Research Institute pour avoir eu l amabilit d effectuer les examens confir mant la pr sence d anticorps antiaphteux gang les s rums envoy s DEHOUX J P HOUNSOU VE G Outbreak of foot and mouth disease in North Benin during the 1990 1991 dry season Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 261 262 An outbreak of foot and mouth disease damaged the North Benin during the 1990 1991 dry season November to May Coming from outside the Benin it spread out very quickly in the country essentially because of trans humant herds No measures have been taken to limitate this sickness which is endemic and which regularly exhibits outbreaks in Benin Antibodies to types A O and SAT2 of the foot and mouth disease virus were detected in the sera during this outbreak Key words Borgou cattle Foot and mouth disease Benin Bibliographie 1 ABU ELZEIN E M E NEWMAN B J CROWTHER J R BAR NETT LT R McGRANE J J The prevalence of antibodies against foot and mouth disease in various species of sudanese livestock following natural infection Revue Elev M d v t Pays trop 1987 40 1 7 12 2 BLOOD D C RADOSTIS O M Foot and mouth disease FMD in veterinary medicine 7th ed London Bailli re Tindall 1989 P 824 831
100. pouvant assurer un r tablissement du fonio tabl Ill Sur les plaines non d grad es la quantit de semences restant dans le sol peut tre tr s lev e 429 semences germ es par kg de sol Lorsqu il y a eu TABLEAU II Pourcentage de germination des diff rents cotypes sem s des moments diff rents cotype 11 6 13 5 2715 15 0 Tez Fintrou Hinen In Ejeren In Enheren Betelon Engassivan In Assin In Abram Indiaman In Garo 25 6 9 7 24 7 Moyenne ppds 5 p 100 366 Retour au menu TABLEAU III Relation entre le nombre de semences germ es par kg de sol sec dans des chantillons et la germination naturel le observ e sur les plaines d o proviennent les chantillons Germination naturelle par kg de sol sec par m Nbre de semences germ es In Alata 428 9 In Enheren 297 7 1 541 2 Tin Tabakat 28 7 826 4 Tin Tabakat Il 23 3 226 4 Ufebet 162 0 Imbassasoten 194 0 Tin Tabakat III 18 0 In Enheren ll 0 0 Ufebet II Akarkara Tidjajiwen Tidjajiwen II ppds 5 p 100 moins de 6 2 semences germ es par kg de sol dans les chantillons la germination naturelle n a jamais d pass 18 plantes par m Les plaines ayant moins de 10 plantes par m peuvent tre consid r es comme tr s d grad es Si le nombre de plantes par m peut atteindre environ 1 500 la plaine n est pas d grad e Celles ay
101. qu ils expriment Ces crit res permettent d estimer l acceptabilit de l inno vation par les leveurs La technique n entraine pas de changements dans le syst me de production En effet rien ne change dans la conduite de l levage La technique est simple et ne demande aucune autre mesu re d accompagnement Le rapport revenu mon taire suppl mentaire co t de l innovation est lev et l augmentation de la charge de travail n est pas trop forte Le prix relativement bas du pi ge 2 000 F CFA doit tre compens par les conomies sur les achats de m dica ments et les gains de productivit Il est trop t t pour esti mer ce suppl ment de revenus mais les frais engag s restent r duits Il faut en moyenne 5 pi ges par leveur soit 10 000 francs c est dire le tiers des d penses faites pour l achat des trypanocides L installation et l entretien du pi ge exigent peu de temps seule la surveillance au moment des pluies et des crues demande plus d attention Une remarque cependant alors que ce sont les leveurs qui s quipent en pi ges ce sont g n ralement leurs enfants qui sont charg s de les placer de les relever en cas de crue ou de les net toyer les femmes recousent les d chirures La vulgarisa tion d velopp e ici essaye de tenir compte de ces groupes sociaux L achat des pi ges par l leveur lui m me est un puissant facteur d int r t quant leur entre tien et leur pr servati
102. sultats Certains sont vi tables telles les erreurs humaines ou la pr dation des mouches captur es par les fourmis surtout D autres le sont beaucoup moins interactions avec des h tes circulation ou stationne ment pr s des pi ges interactions entre pi ges lorsque les points de capture sont trop AppIecnes et les populations glossiniennes faibles interactions lieux jours soit entre le climat et les carac t ristiques des points de capture par exemple l effet d une journ e venteuse sur des points de capture plus ou moins l abri du vent du fait de leur environnement bota nique etc Le faible pouvoir discriminant du dispositif exp rimental en carr latin est ici flagrant pour la mise au point de certains param tres du pi ge tels que la dimension et la 292 forme de l ouverture Ce probl me avait d j t remar qu lors d valuations de l effet de la taille du pi ge biconique sur le rendement une premi re exp rimenta tion par GOUTEUX et al 13 avec des pi ges de taille inf rieure au standard n avait pas permis de mettre en vidence des diff rences significatives celles ci ne sont apparues que lors d une seconde exp rimentation utili sant des pi ges plus grands que le standard 9 Cependant il est remarquable de constater que dans les deux cas l exp rience montre une constante et stric te proportionnalit entre la taille du pi ge et son rende me
103. suspension optimale A quelle hauteur faut il suspendre ce pi ge pour avoir la meilleure efficacit DAGNOGO et GOUTEUX 9 ont montr l importance de ce param tre qui peut d pendre de la structure du pi ge et du comportement de l esp ce cible Un essai a donc t entrepris fig 5 Par rapport a la position la plus basse de 0 5 cm au 200 n 544 F 20 882 Fna 0 689 O 1 2m Fig 5 Nombre total de G fuscipes captur es N en fonction de la hauteur au dessus du sol R sultat d un carr latin n total des captures F valeur du test F de Snedecor P lt 0 0005 Fna test de non additivit de Tukey non significatif Les ensembles de points pr sentent des diff r ences significatives entre eux selon la m thode de Dunnett Ces mesures ont t effectu es par le Dr Louis MARTIN du CNRS USTL Montpellier que nous remercions ici pour son aimable colla boration Par contre l int r t des attractifs olfactifs additionnels accessibles aux leveurs tels que l odeur d urine de boeuf est en cours d va luation 291 Retour au menu J P Gouteux D Cuisance D Demba F N Dokoue F Le Gall dessus du sol le rendement du pi ge d cro t jusqu 40 p 100 pour une hauteur de 40 50 cm Il est inf rieur 10 p 100 pour une hauteur sup rieure 1 6 m Aucune diff rence li e au sexe n est observ e les m les et les femelles volent a la m me hauteur khi 2 54 pour 5 d
104. the main reason for such variations of resumption of the oestrus cycle after calving and hence for the variation in the calving intervals Key words Trypanotolerant cattle Ndama cattle Baoul cattle Oestrous cycle Calving interval Age effect Togo BIOLOGIE REPRODUCTION CONCLUSION L involution uterine est globalement achevee le 30 jour post partum quelles que soient la race la saison de v la ge la variation pond rale seul le rang de v lage l ge peut tre pris en compte Pour la reprise de cyclicit apr s parturition le v lage au d but des pluies permet d avoir un intervalle v lage v la ge plus court On peut faire l observation originale selon laquelle on n a pas int r t faire v ler t t en saison s che Dans ce dernier cas seules 50 p 100 des femelles sont cycl es 50 jours post partum ce qui ne permet pas d avoir un intervalle moyen v lage conception de 90 jours soit un intervalle entre v lages d un an La reprise de l activit ovarienne chez les vaches trypanotol rantes allaitantes d pend de l volution pond rale et de ali mentation Il serait int ressant de s assurer qu un apport ali mentaire compl mentaire pendant la saison s che corrigerait le d s quilibre entre l exportation par la lactation et l ingesta et raccourcirait ainsi la dur e de la reprise de cyclicit apr s le part chez les bovins trypanotol rants REMERCIEMENTS EE Nous r
105. the pigs table Ill particularly in those infected with T b brucei Plates 1 5 show that the trypanosomes destroyed the tis sue structure of the lymphoid organs General lesions included massive haemorrhage perivascular accumula tion of mononuclear cells and Russel bodies prolifera tion and distorsion of primary and secondary follicles tis sue necrosis and or fibrosis DISCUSSION AAA EE The results indicate the adverse effects of certain species of trypanosomes on the lymphoid functions of pigs Both pathogens used were properly classified at NITR and Retour au menu cannot be mistaken for T simiae 13 usually assumed to be the only strain pathogenic to pigs AGU and BAJEH 1 reported that the fatal outbreak of trypanosomosis in pigs at Mkar Gboko in the Benue State of Nigeria was due to 7 b brucei These authors further infected pigs experimentally and confirmed this adverse effect In the same way KAGERUKA 11 noted the T congolense was more prevalent and destructive to pigs than other try panosomes in Zaire In the present work both strains of trypanosomes were confirmed to be pathogenic to pigs Although both trypanosomes failed to cause mortality in the adult pigs similarity in clinical symptoms changes in hae matological values of infected pigs were noteworthy Anaemia was evident in both infections However accor ding to the results 7 b brucei appeared to be more virulent than the T congolense
106. travail sec mon trent que bien que la lev e soit faible un rendement rela tivement bon peut tre obtenu quand les conditions hydriques le permettent Il est donc possible que pour ces plaines un labour soit plus efficace qu un semis pour obtenir une r g n ration Dans une autre tude r alis e au Mali sur d autres esp ces il a aussi t montr que l effet d un semis en poquets a beaucoup vari 4 Les chiffres concernant les rendements en grains doivent tre interpr t s avec pr caution car il a t difficile de les d terminer avec exactitude Pour avoir un chiffre correct du rendement en panier il faut effectuer plusieurs r coltes au fur et mesure que les grains arrivent maturit Or dans les essais r alis s ici une seule r col te en panier a t effectu e pour chaque localit Les chiffres des rendements balay s sont galement incer tains car des eaux de ruissellement sont survenues sur toutes les plaines apr s que les grains soient tomb s terre en emmenant probablement une partie En raison des incertitudes li es aux chiffres du rende ment en grains il est utile d tudier l effet des m thodes de r g n ration en consid rant les rendements en paille tabl VIII En 1987 sur la parcelle travaill e l tat sec Imbasassoten il a t nettement plus lev qu avec les autres traitements tabl VIII Le travail du sol l
107. valeurs similaires a nos r sultats 11 0 6 UII Aucune r f rence n a t trouv e concernant le taux de GLDH plasmatique dans cette esp ce Les variations li es l ge et au sexe comment es dans la litt rature sont minemment contradictoires et nos r sultats ont montr que le facteur de variation le plus important tait repr sent par la r gion Relations entre les diff rents param tres plasmatiques La c ruloplasmine enzyme activit oxydasique asso ci e 6 ou 8 atomes de cuivre est donc troitement cor r l e la cupr mie Le coefficient de corr lation observ dans notre chantillon 0 720 est hautement significatif mais l examen du nuage de points fig 2 semble indiquer que pour les valeurs tr s basses de la cupr mie l activit oxydasique de la c ruloplasmine n est pas modifi e ce qui avait d j t observ en Ethiopie 23 L quilibre de la ration influe sur la digestibilit des oligo l ments 33 C ruloplasmine ua 41 4 e ee e oem 6 6 0 090 ce o e e 00 ee os ce e 31 8 ee Cuivre pg 100 ml 7 122 Fig 2 Variations du taux de c ruloplasmine en fonction de la cupr mie plasmatique chez le dromadaire de Djibouti Retour au menu On note d ailleurs une relation entre les hypocupr mies et les taux lev s d AGL et de phospholipides les animaux en d ficit prot o nerg tique qui o
108. with a note on the effect of the concentration of accompanying host odour on efficiency Bull ent Res 1980 70 579 587 LAVEISSIERE C Les glossines Guide de formation et d information S r lutte antivectorielle Gen ve OMS 1988 91 p LAVEISSIERE C COURET D GREBAUT P Recherche sur les crans pour la lutte contre les glossines en r gion foresti re de C te d Ivoire Mise au point d un nouvel cran Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1987 25 3 4 145 164 RUPP H Contribution la lutte contre les ts ts Influence d toffes attractives impr gn es de DDT sur Glossina palpalis ssp martinii Zpt Acta trop 1952 9 4 289 293 VALE G A The trap orientated behaviour of tsetse flies Glossinidae and other Diptera Bull ent Res 1982 72 71 93 VALE G A HARGROVE J W A method of studying the efficiency of traps for tsetse flies Diptera Glossinidae and other insects Bull ent Res 1979 69 183 193 Retour au menu ENTOMOLOGIE La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine J P Gouteux Bll Caract ristiques du pi ge bipyramidal GOUTEUX J P La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fus cipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine II Caract ristiques du pi ge bipyramidal Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 295 299 L auteur
109. 05 The plates were then incubated in BTL jars in an atmosphere of hydrogen and carbon dioxide obtained by a gas generating kit Oxoid Ltd London After checking for purity through several subcultures the isolates were further subcultured on sheep blood agar plates and incubated under anaerobic conditions for routi ne tests Pathogenicity and toxigenicity A randomly selected isolate was suspended in phosphate buffered saline to give a concentration of 10 orga nisms ml A cell free filtrate of the isolate in cooked meat medium was prepared by centrifugation of the culture at 4 000 rpm for 15 min at 4 C and then passed through a millipore filter 0 22 u Six rabbits and four guinea pigs were used One rabbit was inoculated intravenously with 0 5 mi of the above suspension The second rabbit was inoculated intramus cularly with a similar dose of the suspension to which 0 2 ml of 5 sterile calcium chloride was added The third rabbit was inoculated intravenously with 1 ml of a cell free filtrate The fourth fifth and sixth rabbits were used as controls and inoculated intravenously with sterile phosphate buffered saline intramuscularly with sterile phosphate buffered saline to which sterile calcium chlori de was added and intradermally with a sterile filtrate of cooked meat medium One guinea pig was inoculated intramuscularly with 0 5 mi of the suspension to which 0 2 ml of 5 sterile calcium choride was added The sec
110. 2 ns 18 177 Valeur F 8 07 2 99 ns 6 55 0 267 0 48 ns 111 2 95 ns 0 109 4 37 ns 0 35 3 07 ns 0 678 8 82 1 51 3 64 ns 0 244 17 2573 7 85 2 39 ns 22 75 Retour au menu E Thys J Hardouin A Verhulst TABLEAU V R sultats de la d coupe tissulaire de deux car casses de l exp rience 2 en p 100 de la carcasse ressuy e et analyse chimique de deux gigots en p 100 du produit frais B2 T2 n 1 n Carcasse ressuy e kg 18 0 19 3 muscles 54 4 55 2 OS 19 2 20 4 graisse 22 2 19 1 d chets 4 2 5 3 Analyse gigot humidit 56 2 59 4 prot ines 17 4 19 9 mati res grasses 20 7 14 9 cendres 6 4 6 2 retrait de la graisse p rir nale dont la proportion est plus importante chez les castr s Burdizzo rend la diff rence en carcasse chaude significative et fait dispara tre la dif f rence significative en rendement brut Le fait que l on tienne compte ou non du contenu visc ral influence ga lement le calcul du rendement Ce dernier point est conforme aux observations faites par PRESCOTT et LAMMINGS 16 Le rendement d abattage des castr s dans cette exp rience n est donc significativement sup rieur celui des deux autres groupes que si on tient compte de la graisse p rir nale et si on utilise le poids vif contenu visc ral inclus C est donc un avantage en faveur du castr la pince qu il faut n anmoins relativiser g
111. 354 Pour valuer l utilisation digestive des ligneux fourragers disponibles sur p turages naturels des zones soudanienne et sah lienne du S n gal leur digestibilit in vitro m thode de Tilley Terry et leur d gradabilit dans le rumen m thode in situ sont d termin es Sur 58 chantillons analys s in vitro la digestibilit in vitro de la mati re s che est en moyenne de 51 avec des extr mes de 88 a 26 p 100 La digestibilit in vitro de la mati re organique a vari de 84 a 15 avec une moyenne de 42 p 100 Trente huit profils de d gradation dans le rumen sont r alis s sur 24 esp ces Les d gradabilit s moyennes des mati res azot es totales et de la mati re s che sont respectivement de 59 et 57 p 100 Des facteurs de variation li s l esp ce l organe et l ge ont t observ s Une hi rarchie provisoire des esp ces tudi es est propos e Mots cl s Plante ligneuse Fourrage Ruminant Digestibilit in vitro D gradabilit in situ S n gal INTRODUCTION EE Les ligneux repr sentent une part importante de la bio masse fourrag re disponible au Sahel Suppl ment pro t ique pour les bovins arbres et arbustes fourragers peu vent constituer la base de l alimentation des petits ruminants pendant une grande partie de la saison s che Leur principal crit re de valeur est la teneur en mati res azot es qui peut atteindre 35 p 100 de la mati re s che avec des valeurs moyennes p
112. 3R IRE PROTOZOOLOGIE clinical manifestations of cases encountered during the study and the effect of infection on the packed cell volu me PCV are presented The efficiency of chloroquine phosphate and pyrimethamine in the treatment of the infection was also studied Materials and Methods Two hundred and two turkey blood samples randomly col lected from turkey farms and turkey sellers at various markets within the Nsukka area between August 1988 and May 1989 were examined for malaria parasites Giemsa stained thin blood films made from ethylene diamine tetra acetic acid EDTA anticoagulated blood obtained from the wing vein of the turkeys were used in the diagnosis of infection Each stained slide was tho roughly screened for malaria parasites At least 100 oil immersion fields OIF were examined before a smear was considered negative and 10 50 OIF were examined in positive cases depending on the degree of parasitae mia 1 The PCV of the sampled turkeys was determined 3 Statistical significance of the difference between the mean PCV of infected and uninfected turkeys was eva luated by Student s t test and that of the difference in infection rates among sexes age groups and manage ment systems by the Khi X test 12 Results The distribution of the infection turkeys with malaria para sites according to the management system age and sex is shown in table Out of the 202 turkeys 94 males and 108 females sa
113. 4 0 355 0 85 0 415 F 1 51 ns 1141 3 4 1 32 F 6 64 0 471 1 57 0 646 F 1 09 ns 0 85 3 4 1 16 6 03 8 47 9 1 2 72 H 2 44 ns 1 220 4 1 664 195 3 F 11 15 0 282 3 26 0 459 F 24 79 0 46 7 1 0 23 F 38 41 0 690 3 74 0 595 F 11 03 1 58 8 2 1 36 F 4 23 0 089 0 91 0 102 F 3 70ns 0 13 2 0 0 06 F 1 81ns 0 527 4 02 0 476 F 4 08 0 41 8 8 0 68 F 202ns 1 782 13 51 1 906 F 6 04 1 59 29 5 1 84 F 0 53 ns 337 Retour au menu E Thys J Hardouin A Verhulst TABLEAU H Exp rience 2 poids d abattage et calculs de rendement pour les groupes B2 et T2 Param tre Poids vif jeun kg 35 35 2 979 41 38 2 849 F 17 09 Poids vif vide kg 31 91 3 049 37 23 2 743 F 13 45 Poids carcasse chaude compl te kg 18 93 1 839 21 23 1 658 F 6 90 rendement brut p 100 53 4 1 18 51 3 2 26 F 5 75 rendement vrai p 100 59 3 0 62 56 6 2 17 t 3 34 1 Poids carcasse chaude sans rognons kg 18 08 1 666 20 43 1 452 F 9 05 rendement brut bis p 100 51 1 1 04 49 4 2 27 t 1 93 ns 1 rendement vrai bis p 100 56 7 0 67 54 5 2 34 t 2 48 1 compacit 0 33 0 022 0 36 0 029 F 6 29 Graisse p rir nale en kg 0 77 0 195 0 73 0 309 F 0 10 ns en p 100 4 1 0 84 3 4 1 15 F 1 87 ns Graisse omentale en kg 1 40 0 394 1 44 0 758 F 0 01 ns en p 100 4 0 0 92 3 4 1 61 F 0 66 ns NFI B C 6 0 1 25 7 8 2 23 F 4 00 ns 2 A x B mm 1 078 156 6 1273 234 5
114. 41 2 BARRE N CAMUS E tude pid miologique de la cowdriose aux Antilles IEMVT Mission Antilles Guyane 1983 Rapport annuel 1983 3 CAMUS E BARRE N La cowdriose Revue g n rale des connaissances Maisons Alfort IEMVT 1982 tudes et synth ses n 4 4 CAUTAM O P Cycle de vie de Boophilus annulatus Indian J Anim Sci 1982 52 7 502 p 5 GUEYE A MBENGUE M DIOUF A SEYE M Tiques et h moparasitoses du b tail au S n gal La r gion des Niayes Revue lev M d v t Pays trop 1986 39 3 4 381 393 6 HOOGSTRAAL H African Ixodoidea Ticks of the Sudan Cairo Egypt U S Naval Med Res Unit 1956 3 1101 p 7 ILCA International Livestock Centre for Africa Livestock production in sub humid zone of West Africa A regional survey Addis Ababa ILCA 1979 184 p 8 IRZ Institut de Recherches Zootechniques Rapports annuels 1983 1984 1985 Yaound IRZ 11 12 13 14 15 16 MBAH D A Mortalit s dues aux rickettsioses trypanosomoses piroplasmoses et streptotrichoses chez six g notypes de bovins Wakwa Cameroun 1982 Revue Sci Tech Yaound 1982 2 2 3 81 87 MBITA MESSI H J C Contribution l tude des types chorologiques de quelques esp ces de la r gion de Yaound M m ma tr Botanique Univ Yaound 1984 MERLIN P TSANGUEU P ROUSVOAL D Dynamique saisonni re de l infestation par les tiq
115. 66 79 0 54 58 0 93 24 41 84 68 66 47 55 43 69 21 Retour au menu 31 37 26 34 34 44 21 28 38 44 60 72 44 50 346 chantillons Genre Combretum C aculeatum F C glutinosum F C nigricans F Genre Guiera G Senegalensis F Ebenaceae Genre Diospyros D mespiliformis F Euphorbiaceae Genre Securinega C virosa Polygalaceae Genre Securicada S longepedunculata JP Rubiaceae Genre Feretia F apodanthera F Tiliaceae Genre Grewia G bicolor F G bicolor FR PO GO NO Ro 58 49 DIV p 100 63 85 43 47 47 51 40 38 43 F feuilles FL fleurs FR fruits G gousses de l gumineuses 58 el 25 31 19 70 63 36 90 E corces JP jeunes pousses jeunes rameaux feuilles 36 37 Retour au menu ALIMENTATION NUTRITION TABLEAU IT D gradabilit in situ de la mati re s che des ligneux Premiers r sultats Param tres Param tres D gradation au de la D gradation au de la temps t p 100 d gradation DT temps t p 100 d gradation DT chantillons W chantillons ee 6h 24 hl 48h b c 100 6 h 24 hl 48 h 100 p p 100 100 h L gumineuses Genre Combretum Mimosaceae C glutinosum JP 1 52 Genre Acacia C
116. 7 186 D apr s les rapports mensuels et annuels du Projet de d veloppement de l levage bovin dans le Borgou 3 1 Karimama 2 Malanville 3 Banikoara 4 Kandi 5 Segbana 6 Sinende 7 Kalale 8 Ndali 9 Nikki 10 Parakou 11 Tchaourou Ce terme vague d signe les cas de bovins particuli rement atteints par la maladie au sein des troupeaux contamin s Un animal malade met environ un mois se remettre Les leveurs essentiellement de l ethnie Peul qui connaissent et redoutent cette infection soignent les l sions avec du p trole de l huile de karit et parfois du cresyl Identification du virus En janvier 1991 au plus fort de l pizootie 18 s rums ont t pr lev s partir du sang de bovins Borgou provenant d un troupeau particuli rement touch par la maladie Ces s rums ont t congel s 20 C et envoy s par courrier l Animal Virus Research Institute Pirbright Royaume Uni 1 Le laboratoire a confirm la pr sence d anticorps antiaph teux dans les s rums contre les types viraux A O et SAT 2 Discussion En m me temps qu au B nin plusieurs pays limitrophes Niger Togo Burkina Faso PETIT comm pers ont connu une recrudescence de la fi vre aphteuse Le type viral SAT 2 a t incrimin dans ces pays Le d clenchement de la maladie correspond l installa tion de la saison s che p riode d importants mouve ments de transhumance L apparition de l infection Nikki
117. 7 m les adultes et 5 jeunes m les en provenance de cinq r gions naturelles de Djibouti a concern 15 param tres biochi miques Les valeurs observ es tendent admettre des tats de subca rence en oligo l ments cuivre 60 7 ug 100 ml zinc 46 2 u1g 100 mi mais non en calcium 9 5 mg 100 ml ni en magn sium 2 3 mg 100 ml bien que dans ce dernier cas les carts soient grands 1 1 3 9 Par ailleurs les dromadaires de Djibouti semblent en tat de d ficit nerg tique 63 7 mg 100 ml pour le glucose 0 025 mmol l pour le BOH 0 17 mmol l pour les acides gras libres mais le niveau azot alimentaire serait globalement satisfaisant ur e 35 9 mg 100 ml albumine 32 7 g l Les lipides plasmatiques cholest rol phospholipides triglyc rides signent les particularit s m taboliques du dromadaire respectivement 19 5 22 4 et 26 6 mg 100 ml Le facteur g ographique est pr pond rant sur les facteurs zootechniques pour expliquer les diff rences entre les profils observ s Les caract ristiques des cinq r gions sont discut es en rela tion avec le profil moyen observ sur les animaux Mofs cl s Dromadaire Biochimie Enzyme Teneur en l ments min raux Plasma Djibouti INTRODUCTION D Les param tres plasmatiques peuvent constituer des indi cateurs plus ou moins fid les de l tat nutritionnel des animaux Ils permettent de d tecter d ventuelles carences alimentaires et de diagnostiquer p
118. 79 98 p 6 JONHSON L A Y HAYDOCK K P The effect on cattle tick Boophilus microplus on production of Brahma cross and British breed cattle in Northern Australia Aust Vet J 1969 45 175 179 7 LITTLE D A The effect of cattle tick infestation on the growth rate of cattle Aust Vet J 1963 39 6 10 8 MBAH D A Mortalit s dues aux rickettsioses trypanosomoses piro plasmoses et streptothricoses chez six g notypes de bovins a Wakwa Cameroun Revue Sci Tech Yaound I 1982 2 3 81 87 9 McKOSKER P J Global aspects of management and control of ticks of veterinary importance Vol II Rome FAO Animal Production and Health Division 1979 46 p 10 MERLIN P TSANGUEU P ROUSVOAL D Dynamique sai sonni re de l infestation des bovins par les tiques Lxodoidea dans les hauts plateaux de l Ouest du Cameroun I Etude de trois sites autour de Bamenda pendant un an Revue Elev M d v t Pays trop 1986 39 3 4 367 376 11 MERLIN P TSANGUEU P ROUSVOAL D Dynamique sai sonni re de l infestation par les tiques Yxodoidea dans les hauts plateaux de l Ouest du Cameroun II Elevage extensif traditionnel Revue Elev M d v t Pays trop 1987 40 2 133 140 12 O KELLY J C SEEBECK R M SPRINGELL P H Alterations in host metabolism by the specific and anorectic effects of the cattle tick Boophilus microplus Il Changes in blood composition Aust J biol Sci
119. ADF NADF en parti culier pour A seyal dont DIAGAYETE 2 signale un taux de NADF de 11 p 100 de l azote total sup rieur la moyenne 6 p 100 des esp ces qu il a tudi es Cependant WOODWARD et REED 20 rapportent une bonne utilisation digestive de l azote pour cette esp ce Pour DIAGAYETE 2 des teneurs lev es en tannins seraient responsables de la faible d gradabilit des feuilles d A albida Les r sultats mettent en vidence des variations irr gu li res quelquefois non explicables Si la famille l esp ce et l organe peuvent tre des crit res de variation vidents les variations ph nologiques sont difficiles analyser En effet la plupart des esp ces d crites ont un cycle v g tatif variable en fonction du site et de l ann e La temp rature ne semble pas avoir un effet aussi important que la pluvio m trie et sa r partition ainsi que l hygrom trie la photop riode et le mode d exploitation qui influent fortement sur la croissance et le cycle des ligneux 6 Pour contourner ces variations les r coltes d chantillons doivent tre accom pagn es de comm moratifs complets d crivant l organe son stade de d veloppement le site et la date de pr l ve ment ainsi que le mode de conservation CONCLUSION ee ers L tude de l utilisation digestive des ligneux fourragers par les ruminants a mis en vidence une grande disper sion des r sultats selon les esp ces l ge et l orga
120. ASTORALISME Si ces ajustements semblent int ressants pour les fr quences de coupe de 45 et 60 jours comme en t moi gnent les coefficients de d termimation relativement le v s R 0 85 et R 0 93 respectivement il ne le sont pas pour la fr quence de coupe de 30 jours R 0 21 En effet 21 p 100 seulement de la variabilit des rende ments en fonction des doses peuvent tre expliqu s par la courbe de r gression Au cours de cette deuxi me ann e d tude aucun optimum de production n a pu ga lement tre d termin La production en 1987 a accus une baisse de 12 p 100 par rapport l ann e 1985 et de 17 p 100 par rapport ann e 1986 en d pit du fait que l essai tant d j implan t l tude d marra plus t t et le nombre de coupes fut plus important six pour les fr quences de 30 jours quatre pour les fr quences de 45 jours et trois pour les fr quences de 60 jours Certes il y a eu une r duction des pr cipitations d environ 117 mm mais leur r partition dans l ensemble tait relativement bonne fig 1 c Bien que la fertilisation azot e augmente l efficacit de l utilisation de l eau 6 gr ce une bonne exploitation du sol par les racines stimu l es par l azote 4 le d ficit probable des autres l ments fertilisants au cours de cette troisi me ann e a sans doute t le facteur limitant l ext riorisation maximale de l effet de l azote Dans des conditions simil
121. Agrostologie des r gions chaudes Vol 1 2 3 Gembloux FSA 1984 2 DAGNELIE P Th ories et m thodes statistiques Vol 2 Gembloux Presses agronomiques 1975 3 FREDERIC HOHN KACKSON K C M G SCATER M A The birds of Kenya Colony and the Uganda Protectorate London Gurney and Jackson 1938 1592 p 4 FROMENT D Am nagement et exploitation des p turages pr dominance de Hyparrhenia de la r gion de Nioka Bull Inf INEAC 1960 9 1 49 70 5 GOODWIN D Estrildid finches of the world British Museum Natural History Oxford University Press 1982 328 p 6 HECQ J La jach re et les cultures AA ME F en Haut Ituri Bull Inf INEAC 1956 3 203 213 7 INERA Rapport annuel Zaire 1977 119 p 8 MICHEL G Trois plantes fourrag res du Congo belge Brachiaria mutica Forsk Stapf Brachiaria ruziziensis Germain et Evrard Setaria sphacelata Schum Stapf et Hubbard Bull agric Congo belge 1960 LI 3 567 602 9 PRIGORINE A Les oiseaux de l Itombwe et de son hinterland Vol I Tervuren Mus e Royal d Afrique Centrale 1971 10 TATON A Les principales associations herbeuses de la r gion de Nioka et leur valeur agrostologique Bull agric Congo belge 1949 XL 2 1884 1900 383 Retour au menu i Analyse bibliographique LEBRUN J P STORK A L Enum ration des plantes a fleurs d Afrique tropicale Vol 1 G n ralit s et Amporraceae a Pandaceae Conservato
122. Centroafricana III Vulgarizaci n en medio Mbororo Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 301 307 Los autores describen la problem tica del traslado de tecnolog a que constituye la adopci n por los ganaderos Mbororo de la lucha con trampas Glossina fuscipes fuscipes principal vector de las tri panosomosis del ganado es objeto de la lucha por medio de la tram pa bipiramidal La vulgarizaci n de dicha t cnica se funda en las estr cturas establecidas para el desarrollo de la ganader a en Rep blica Centroafricana Se describen y se comentan las vias y las medios de esta vulgarizaci n Palabras claves Glossina fuscipes fus cipes Lucha contra los insectos Vulgarizaci n Traslado de tecno log a Trampa bipiramidal Ganadero Mbororo Rep blica Centroafricana Retour au menu ENTOMOLOGIE BIBLIOGRAPHIE A A AS 10 11 12 BELONCLE G Comment associer les producteurs pour une approche participative de la recherche et de la vulgarisation Jn Colloque de Yamoussoukro Recherche vulgarisation et d veloppement rural en Afrique noire Paris Minist re de la Coop ration 1987 245 p BENOR D BAXTER M La vulgarisation agricole par la formation et les visites Washington Banque Mondiale 1984 191 p BERNARD A La vulgarisation dans le cadre de ANDE Bangui ANDE 1988 BILLAZ R LEFORT J Recherche d veloppement et vulgarisation Jn Colloque de Yamoussoukro
123. D Cuisance D Demba F N Dokoue F Le Gall 294 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 DAGNELIE P Th orie et m thodes statistiques Applications agronomiques Vol 2 Gembloux Presses ons 1978 463 p DAGNOGO M GOUTEUX J P Essai sur le terrain de diff rents insecticides contre Glossina palpalis Rob Desv et Glossina tachinoides Westwood I Effet r pulsif de OMS 1998 OMS 2002 OMS 2000 OMS 18 et OMS 570 Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1983 21 29 34 DAGNOGO M GOUTEUX J P Comparaison de diff rents pi ges ts ts Diptera Glossinidae en C te d Ivoire et au Congo Revue Elev M d v t Pays trop 1985 38 4 371 378 GOUTEUX J P Analyse statistique des exp riences en carr s latins de taille 4 5 ou 6 Analyse de variance test d additivit de Tuckey Brazzaville ORSTOM N 02 RAP ENT MED 84 1984 8 p GOUTEUX J P La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafri caine IT Caract ristiques du pi ge bipyramidal Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 295 299 GOUTEUX J P CHALLIER A LAVEISSIERE C Modification et essais du pi ge glossines Diptera Glossinidae Challier Laveissi re Cah ORSTOM S r Ent m d Parasit 1981 19 87 99 GOUTEUX J P LANCIEN J Le pi ge pyramidal ts
124. E Pathogenicity of Trypanosoma brucei A O Ogunremi E brucei in experimentally infected pigs OTESILE E B AKPAVIE S O FAGBEMI B 0 OGUNREMI A O Pathog nicit de Trypanosoma brucei brucei chez des porcs infect s exp rimentalement Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 279 282 Une infection exp rimentale de porcs g s de 4 5 mois avec une souche de Trypanosoma brucei brucei a entrain une parasit mie le v e de l anorexie de la fi vre et une diminution d un tiers de l h ma tocrite PCV Des manifestations nerveuses de tournis et de tremble ment des ant rieurs Sont apparues chez l un des animaux dont l autopsie a r v l une m ningo enc phalite s v re et la pr sence de trypanosomes dans le cerveau Ces r sultats confirment que T b bru cei est susceptible de causer une affection grave chez les porcs Mots cl s Porc Infection exp rimentale Trypanosomose Trypanosoma brucei brucei Nigeria INTRODUCTION RE eT By preventing the utilisation of vast areas of grass land tsetse transmitted animal African trypanosomo sis is the most important constraint to livestock pro duction in Subsaharan tropical Africa 8 At present tsetse flies infest approximately ten million km of Africa affecting 38 countries It is considered that seven million km of this area would otherwise be sui table for livestock 9 The most important trypanoso me infection of pigs is Trypa
125. E D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F Control of Glossina fuscipes fuscipes by traps to protect livestock in the Central African Republic I Design and development of a suitable trap to seminomadic breeders Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 287 294 Search for a new trap model in order to enable the Peul breeders to control Glossina fuscipes fuscipes was made by studying separately the capture system the design of the trap the building materials The result was the development of a pyramidal trap in polyester mosquito netting and polyethylene blue and black sheets It is not impregnated with any insecticide but uses a dry capture device which leads to killing and keeping of the flies Its efficiency is 3 to 4 times larger than that of the classical Roubaud cage The trap was also more effi cient than any other biconic pyramid and monoconic traps already known or designed Some problems linked to the latin square experi mental method and the interest of an insecticidal impregnation or not of the trap are discussed Key words Glossina fuscipes fuscipes Bipyramidal trap Insect control Livestock protection Peul breeder Central African Republic BIBLIOGRAPHIE ENTOMOLOGIE REMERCIEMENTS Cette recherche a t effectu e dans le cadre de ANDE avec un cofinancement Gouvernement centrafricain Banque mondiale FIDA Fonds Europ en de D veloppement Fonds d Aide et de Coop ration FAC France No
126. ID 13 ALLAIN et al 5 et TAKAYAMA et al 42 Analyses statistiques Les donn es statistiques classiques moyenne cart type histogramme sont tablies partir du logiciel STAT ITCF 10 Pour la comparaison de populations remplissant les conditions d homosc dasticit on a uti lis l analyse de variance calcul de F et dans le cas contraire le test U de MANN et WITHNEY La compa raison des moyennes observ es s est appuy e sur le scriptives multidimen analyse en compo santes principales ACP et l analyse discriminante test t classique Les analyses de sionnelles 27 utilis es sont AD R SULTATS On examinera successivement les valeurs enregistr es sur l ensemble de l chantillon leur variation en fonction de l origine g ographique des animaux et les facteurs dis criminants prioritaires ge sexe r gion naturelle Retour au menu Valeurs observ es sur l ensemble de l chantillon tabl Param tres prot o nerg tiques Les glyc mies en mg 100 ml sont significativement plus basses chez les femelles 60 3 25 3 vs 78 7 3 par rapport aux m les et chez les adultes par rapport aux jeunes 58 5 25 4 vs 73 4 23 7 Dix sept p 100 des animaux ont des valeurs de BOH inf rieures a la limite de sensibilit des appareils de mesure et on ne note pas de variation significative selon l ge ou le sexe L albumine g l varie peu mais on note une diff
127. IN a t identi fi C est une esp ce vivant en climat humide dans les fourr s 14 et se gorgeant surtout sur les ongul s sau vages Elle peut tre contract e par les bovins aux abords des ruisseaux CONCLUSION Cinq genres d Amblyommidae ont t trouv s au march de bovins de Yaound Amblyomma Boophilus Rhipicephalus Hyalomma et Haemaphysalis Trois des huit esp ces correspondant ces cing genres n avaient pas encore t identifi es dans cette zone 15 16 19 20 Il s agit de Rhipicephalus lunulatus Hyalomma niti dum et Haemaphysalis aciculifer Les deux premi res ont t probablement introduites dans la r gion par l importa tion r guli re de b tail du nord du pays puisque ce sont des tiques de savanes et de steppes sud soudan ennes 14 Or R evertsi ce de savane et de steppe dont l habitat est situ dans des r gions o la pluviom trie annuelle est comprise entre 400 et 1 000 mm d eau Il est donc possible que cette tique ne s adapte pas au climat de la r gion de suppos e abondante dans Adamaoua n a pas t pr lev e C est aussi une esp Yaound ce qui reste v rifier par levage dans des cages en milieu naturel Pour toutes les esp ces de tiques rencontr es les sites pr f rentiels des m les sont toujours les m mes que pour les femelles Plus de 50 p 100 de la charge parasi taire se localise aux pattes et aux parties g nitales
128. J P PHILIPPEAU G TRANCHEFORT J VERNEAU M Manuel d utilisation du logiciel STAT ITCF Paris ITCF 1987 BELLANGER J LAMAND M M thode de dosage du cuivre et du zinc plasmatique Bull tech Cent Rech Zoot v t Theix 1975 20 53 54 BIAGI G SALUTINI E Sul comportamento della calcemia fosforemia e magnesemia nel Camelus dromedarius somalo di diversa eta e sesso Nota IH Annali Fac Med vet Univ Pisa 1982 35 201 216 BUCOLO G DAVID H Quantitative determination of serum triglycerides by the use of enzymes Clin Chem 1973 19 476 482 CHACORNAC J P BARNOUIN J RABOISSON T Micro dosage automatis de la c ruloplasmine plasmatique par mesure de l activit oxydasique chez les bovins et les ovins Reprod Nutr D v 1986 26 2a 417 427 CHANDRASENA L G EMMANUEL B GILANPOUR H A comparative study of glucose metabolism between the camel and the sheep Comp Biochem Physiol 1979 62 837 840 CHANDRASENA L G EMMANUEL B HAMAR D W HOWARD B R A comparative study of ketone body metabo lism between the camel and the sheep Comp Biochem Physiol 1979 64 109 112 CHIERICATO G M WARFA A A SCHIAPELLI M P Influenza del sesso su alcune variabili ematochimiche del dromeda rio Riv Zootec Vet 1986 14 3 196 199 CHILLIARD Y BAUCHART D BARNOUIN J Determination of plasma non esterified fatty acid in herbivores
129. MS avec une dose de 90 unit s d azote l hectare a t obtenu en 1985 compar au t moin ceci indique une augmentation de 66 p 100 Cependant l ajustement des donn es Y 2272 69 7 69 N R 0 84 n a pas permis d obtenir un optimum de production En 1986 la production maximale moyenne de 4 1 ha de MS a t obtenue avec la dose de 80 unit s d azote hectare L augmentation compar e au t moin tait de 80 p 100 L ajustement des donn es moyennes Y 2315 82 21 17 N 0 02 N tait relativement plus int ressant R 0 87 La production moyenne maximale en 1987 a t beaucoup plus faible 3 46 t ha de MS refl tant ainsi les r sultats d ensemble de cette ann e L augmentation moyenne compar e au t moin a t de Retour au menu 76 p 100 L ajustement des donn s moyennes d quation Y 1970 95 34 04 N 0 22 N a cependant fourni de biens meilleurs r sultats comme l indique son coefficient de d termination R 0 92 particuli rement lev Un optimum de production de 3 27 t ha de MS a t observ avec la dose de 70 unit s d azote l hectare Il semble donc que la fertilisation azot e m me a de faibles doses 50 unit s de N l hectare am liore la production fourra g re de B ruziziensis et puissent convenir aux leveursen d pit de leurs moyens financiers limit s La poursuite de ce travail dans le milieu traditionnel permettra de mieux cerner l aspect fi
130. NGA R FERNANDEZ J Nota preliminar sobre las plagas de Setaria sphacelata Schum Stapf y Hubbard en Nioka Zaire 385 Comentario bibliogr fico 256 Retour au menu ACTUALIT Le point sur l enc phalopathie spongiforme bovine et ses cons quences L apparition chez les bovins au milieu des ann es 1980 d une nouvelle maladie voisine de la tremblante du mouton a eu d importantes cons quences dans les pays atteints et sur leurs changes commerciaux Appel e enc phalopathie spongiforme bovine ou BSE selon les initiales de son nom en anglais elle a t reconnue pour la premi re fois en Grande Bretagne en novembre 1986 mais le premier cas clinique y tait vraisemblablement PPRA d s avril 1985 Depuis l incidence de la BSE n a fait que cro tre dans ce pays pour atteindre environ 15 000 cas par an en 1990 et 1991 D autres pays savoir l Irlande puis la Suisse et la France ont galement signal quelques cas sur leur territoire res pectivement 46 10 et 5 au 31 d cembre 1991 Les problemes auxquels ils ont d faire face sont de deux ordres tout d abord restaurer ou maintenir la confiance des consommateurs dans la salubrit des pro duits qui leur taient livr s et r tablir au moins partiellement les courants d expor tation interrompus par les autorit s sanitaires des pays traditionnellement clients notamment en Afrique du Nord et au Moyen Orient Ceci a t possible gr ce aux r
131. Num te y apoenu pid miologie Pharmacologie Toxicologie Pathologie Biologie Reproduction SOMMAIRE Virologie Alimentation Nutrition Bact riologie Zootechnie et g n tique Parasitologie Economie de l levage Protozoologie Productions et industries animales Helminthologie Agropastoralisme Entomologie Cartographie T l d tection 257 Actualit PID MIOLOGIE Communications 261 DEHOUX J P HOUNSOU VE G pizootie de fi vre aphteuse au Nord B nin durant la saison s che 1990 1991 263 NDI C BAYEMI P H EKUE F N TAROUNGA B Observations pr liminaires sur les tiques et les maladies transmises par les tiques dans la province du Nord Ouest du Cameroun I Bab siose et ana plasmose en anglais PATHOLOGIE 267 OMEKE B C O UGWU D O La trypanosomose porcine an mie et histologie compar es des organes lympho des en anglais Communication 273 HAMID M E MOHAMED G E ABU SAMRA M T HAMAD A A Premi re observation de l h patite infectieuse n crosante black disease parmi des ch vres nubiennes au Soudan en anglais VIROLOGIE Communication 277 HOUSAWI F M T ABU ELZEIN E M E Ecthyma contagieux chez la ch vre cons cutif la mise en place de boucle l oreille en anglais PROTOZOOLOGIE 279 OTESILE E B AKPAVIE S 0 FAGBEMI B 0 OGUNREMI A O Pathog nicit de Trypanosoma brucei brucei chez des porcs infect s exp ri
132. R M PETERSON A E Tiny soil channels determine water infiltration Crops Soils Mag 1972 24 5 11 12 GILLET H Etude des p turages du ranch de l Ouadi Rim J Agric trop Bot appl 1960 7 615 708 HEINONEN R Soil management and crop water supply 4th ed Uppsala Swedish University of Agricultural Sciences 1985 HOFFMANN R Soils and land capability of Gossi Mali Hannover Bundesanstalt f r Gewissenschaft und Rohstoffe 1987 MAHMOUD M G Le cercle de Gourma Rharous ou le haut Gourma central Directions r gionales de Coop ration Gao et 10 NAEGELE A F G Plantes fourrag res spontan es de 1 Afrique a s che Donn es techniques EMASAR phase II vol 3 Rome FAO 1977 510 p 11 SIVAKUMAR M V K KONATE M VIRMANI S M of West Africa Mali Patancheru ee Pradesh ICRISAT 1984 ICRISAT Information Bulletin n 19 12 TOUTAIN B Essais de r g n ration m canique de quelques parcours sah liens d grad s Revue lev M d v t Pays jc 1977 30 2 191 198 372 Retour au menu AGROPASTORALISME R ponse de Brachiaria ruziziensis Germain et Evrard a la fertilisation azot e et diff rents rythmes d exploitation E T Pamo PAMO E T R ponse de Brachiaria ruziziensis Germain et Evrard la fertilisation azot e et diff rents rythmes d exploitation en Adamaoua Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 373 380 U
133. SAM 1987 211 p GUERIN H FRIOT D M BAYE N RICHARD D DIENG A R gime alimentaire des ruminants domestiques bovins ovins caprins exploitant les parcours naturels sah liens et soudano sah liens IT Essais de description du r gime par l tude du comportement alimentaire Facteurs de variation des choix alimentaires et cons quences nutritionnelles Revue Elev M d v t Pays trop 1988 41 4 427 440 HARRINGTON G WILSON A D Method of measuring secondary production from browse In LE HOUEROU H N ed Browse in Africa the current stage of knowledge Addis Abeba ILCA 1980 P 255 260 KON A R GUERIN H RICHARD D Contribution la mise au point d une m thode d tude de la valeur nutritive des fourrages ligneux Maisons Alfort IEMVT 1989 P 789 809 tudes et synth ses n 30 KONE A R RICHARD D GUERIN H Teneur en constituants pari taux et en mati res azot es de ligneux fourragers d Afrique occidentale Jn XVI congr s international des herbages 4 11 octobre 1989 Nice France Versailles Association fran aise pour la production fourrag re 1989 Vol IT p 947 948 LAMPREY H F HERLOCKER D J FIELD C R Report on the stage of leas of browse in West Africa In HOU ROU H N ed Browse in Africa the current stage of knowledge Addis Abeba ILCA 1980 P 33 54 LE HOU ROU H N Chemical composition and nutritive value of browse
134. SAMRA M T HAMAD A A First report of infectious necrotic hepatis black disease among Nubian goats in Sudan Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 273 275 In a flock of 425 female and male Nubian goats in the Khartoum Province an outbreak of a disease causing sudden death of 18 apparently healthy goats occurred 11 females and 7 males 3 6 years old Adult Fasciola gigantica were found in the livers of all goats and in seven of them Cysticercus tenuicollis cysts These organs showed necrotic and severe his topathological changes Clostridium novyi type B was isolated from necro tic areas of all livers and found to be highly pathogenic and toxigenic to laboratory animals The disease was diagnosed as infectious necrotic hepa titis black disease Faecal examination revealed the presence of F gigan tica eggs Lymnaea natalensis snails were found to be prevalent in the water canals As the Khartoum Province is regarded as an endemic area for black disease routine vaccination is highly recommended for its control in goats and sheep Key words Goat Infectious necrotic hepatitis Clostridium novyi type B Fasciola gigantica Sudan References 1 ABU SAMRA M T EL SANOUSI S M IDRIS S D BAGADI H O SALAM 1 S A ALI B H MUSA B E Infectious necrotic hepatitis black disease among Sudanese sheep Revue Elev M d v t Pays trop 1984 37 422 429 2 BAGADI H O Infectious necrotic hepati
135. a est nette ment plus lev e que sur le t moin 25 2 kg ha et avec le semis en poquets 41 0 kg ha Le semis et pi tinement a chou pour les raisons expos es pr c demment On remarque que le rendement total Inajourour pour le semis et travail sec a t de 385 kg ha ce qui peut tre consid r comme satisfaisant L interaction M x L trouv e s exlique par les diff rences initiales de d gradation des plaines comme expliqu plus haut TABLEAU VII Rendement total en grains rendement en panier rendement balay suivant les diff rentes m thodes de r g n ration en 1988 kg ha 1 T moin 73 2 24 8 2 Semis en poquets 121 3 3 Sans semis travail sec 223 3 4 Semis et travail sec 385 0 5 Semis et pi tinement 26 1 6 Semis dans les fissures Moyenne ppds 5 p 100 Interaction M x L 370 En comparant la lev e tabl V et le rendement en grains tabl VII on s aper oit que la lev e obtenue avec la m thode sans semis travail sec a t inf rieure dans toutes les localit s celle obtenue avec le semis en poquets et inversement en ce qui concerne le rendement en grains Ceci pourrait s expliquer d une part par les meilleures conditions hydriques sur les parcelles labou r es et d autre part par la r partition h t rog ne des semences sur les parcelles semis en poquets Les r sultats du traitement sans semis
136. a peau avec poils et la t te avec cornes ont t pes s Pour les deux derni res l aide d une bascule dynamom trique pr cision 50 g et les autres sur une bascule lectronique Ohaus pr cision 1 g On proc de galement la pes e des morceaux de d coupe 50 g pr s La moyenne des poids des deux gigots et des deux paules est calcul e En ce qui concerne la d coupe tissulaire on pese s pa r ment 1 g pr s pour chaque morceau de d coupe de semi gros les muscles les tissus adipeux les os et les d chets On a mesur suivant la m thode d crite par BOCCARD et al 4 la longueur du gigot F et de la car casse K sur la carcasse ressuy e A partir du poids de la carcasse chaude sans rognons ni graisse p rir nale et de la longueur K de la carcasse on calcule un indice de compacit adapt de VAN DE VOORDE et VERBEKE 24 selon la formule comp poids carcasse chaude K Lors de la d coupe de r f rence plusieurs mesures sont galement faites sur la section obtenue par la s paration des trains avant et arri re On mesure partir de l apophyse pineuse de L2 et vers la gauche une distance gale un dixi me de la longueur F et l aide d un pied coulisse l paisseur de la graisse sous cutan e C l paisseur B et la largeur A du long dorsal A partir de ces mesures on calcule le Net Fleshing Index de THWAITES el al 18 NFI B C et l
137. a surface A x B de la coupe du muscle 16 fig 1 Ez Fig 1 Mesures effectu es sur la coupe du long dorsal Retour au menu Analyse statistique Pour les mesures faites individuellement les groupes de chaque exp rience ont t compar s par analyse de variance Pour la premi re exp rience o un sujet man quait dans le groupe SS l quilibrage a t fait par lesti mation de Yates La normalit de la distribution a t contr l e l aide du calcul des coefficients de Pearson et l homog n it de la variance par la m thode de Bartlett Les r sidus suspects ont t recherch s par la m thode de Grubbs Les moyennes ont t compar es entre elles par le test de comparaison multiple de Newman Keuls d s que l analyse de variance tait significative 5 p 100 13 BIOLOGIE REPRODUCTION En cas d h t rog n it de variance et si aucune transfor mation n tait interessante la comparaison a t faite par un t test modifi Si la distribution s cartait fortement de la normalit et si aucune transformation ne donnait de resultats le test non param trique de Kruskal Wallis a t utilis 17 Le niveau de signification sera conventionnellement repr sent de la mani re suivante dans les tableaux ns non significatif P gt 0 05 significatif 0 01 lt P lt 0 05 hautement significatif 0 001 lt P lt 0 01 tres hautement significatif P lt 0
138. agnosis of ovarian function in the cow Vet Rec 1975 96 218 221 GOFFAUX M M thode de d tection de l oestrus chez les bovins levage Ins m 1974 144 3 25 GYAWU P Some factors affecting the reproductive efficiency in Ndama cattle in Ghana and Gambia In Rapport de r union de coordination AEA reproduction Addis Abeba 1988 P 1 4 Communication personnelle non publi e JEANNIN P AGYAMANG K CLIFFORD D MUNRO C DWINGER R Reproductive performance of Ndama cattle kept under village management in Gambia n African trypanotolerant livestock network meeting Nairobi Kenya 1987 Pp 174 183 o LAHLOU KASSI A LAKDISSI H Radioimmunoassay technique and reproductive management of livestock in North Africa In Nuclear technique in tropical animal diseases and nutritional disorders Vienna IAEA 1984 P 1648 1652 LAMMING G E Milk progesterone for assessing response to treatment of subfertiity in cattle In Proceedings of the IVth inter national congress on Reprod Artif Inse Madrid 1980 41 3 293 299 LANDAIS E Analyse des syst mes d levage bovin s dentaire du nord de la C te d Ivoire Maisons Alfort IEMVT 1983 789 p Etudes et synth ses de l IEMVT n 9 RALAMBOFIRINGA A Note sur les manifestations du cycle oestral et sur la reproduction des femelles Ndama Revue Eley M d v t Pays trop 1978 31 1 91 94 ROSENBERGER G Examen c
139. aient une ration journali re sans addition de Bertamix L aliment de base contenait 3 030 kcal d ner gie m tabolisable par kg et 123 g de prot ines digestibles par kg valeurs estim es Le pourcentage d animaux atteints de diarrh e a t d termin ainsi que leur gain de poids et leur consomma tion d aliment Dans la pr sente note les r sultats expos s ne concer nent que ceux de la derni re exp rience R sultats Les r sultats enregistr s montrent que l addition de Bertamix l aliment des porcs un taux appropri se manifeste par une am lioration du gain de poids large ment due la diminution du pourcentage d animaux atteints de diarrh e A partir du taux de 5 p 1000 et au dessus ce syndrome dispara t tabl Par ailleurs on note que l addition de Bertamix la ration journali re des porcs des taux variant de 1 9 p 1000 am liore la croissance et le rendement de 6 21 p 100 Les meilleurs r sultats sont obtenus avec le r gime 5 p 1000 tabl Il En particulier l indice de TABLEAU I Pourcentage des porcs atteints de diarrh e sous l influence de l addition du Bertamix dans la ration journali re Pourcentage des porcs atteints de diarrh e au cours de l exp rience Lot t moin Lot tudi Lot tudi Lot tudi III Lot tudi IV Lot tudi V TABLEAU II Evolution du poids moyen kg des porcs ave
140. aires en pr sence de potasse et de phosphore PAMO et PIEPER 8 ont obtenu des r sultats beaucoup plus int ressants Avec la fr quen ce de coupe de 30 jours aucune diff rence significative P gt 0 05 n a t observ e entre le t moin et les parcelles fertilis es except avec la dose de 80 unit s d azote hectare Plusieurs raisons a cela parmi lesquelles le d s quilibre entre les l ments fertilisants dans le sol et parfois le mauvais pandage des engrais A la fr quence de 45 jours une diff rence significative P lt 0 05 est observ e entre le t moin et les parcelles fertilis e tabl 1 mais aucu ne entre les parcelles trait es A la fr quence de coupe de 60 jours les r sultats obtenus sur parcelles fertilis es et non fertilis es ont t tels qu on peut tre certain de l effet de la fertilisation azot e de faibles doses Ceci semble confirmer l hypoth se selon laquelle un ryhtme d exploita tion relativement long cette plante fourrag re r ussit extraire des parcelles non fertilis es autant d l ments nutri tifs que sur les parcelles fertilis es avec de faibles doses En revanche avec les syst mes de p ture au rythme d exploitation court la fertilisation semble n cessaire pour maximiser la production fourrag re Dans ces conditions la plante tout en exploitant les l ments nutritifs du sol utilise plus facilement l apport fait par l engrais et donc s exprime rait plus rapi
141. ant dans cette tude une lev e comprise entre 100 et 300 plantes par m peuvent tre consid r es comme peu d grad es mais si plusieurs ann es de suite se r v laient d fici taires en eau une d gradation totale pourrait en r sulter Du fait que peu de plaines aient t tudi es en ce qui concerne la corr lation entre la germination des chan tillons et la lev e naturelle il est difficile d tablir une rela tion fiable entre ces deux param tres A la lecture du tableau Ill on remarque que la corr lation entre les deux param tres cit s n est pas totale mais malgr tout rela tivement bonne r 0 82 Relations entre le fonio et les esp ces cohabitantes Dans les chantillons arros s artificiellement d autres esp ces apparurent Parmi celles ci les plus courantes furent Echinochloa colona L Link Eragrostis pilosa L P Beauv Corchorus tridens L et Alysicarpus ovalifolius Schum J Leonard Des corr lations entre le nombre de plantes de fonio et le nombre de plantes de chacune de ces autres esp ces ont t recherch es sans donner de r sultats fiables Du fait que peu de plaines furent exami n es il est difficile d tablir une telle relation AGROPASTORALISME Effet du labour sur l humidit la densit apparente du sol et l ensablement des plaines Le travail du sol a augment son humidit et a diminu sa densit apparente dans l essai men Tin Tabakat en 1988 f
142. ant la saison s che 50 p 100 de ces derni res sont cycl es cette date avec un poids moyen de 240 32 kg Les 50 p 100 des Baoul ayant v l la m me saison sont cycl es le 52 jour avec un poids moyen de 166 15 kg Ce d calage dans le d lai de reprise de l activit ovarienne pourrait tre expliqu par le fait qu au 40 jour post partum certaines femelles Baoul non encore cycl es avaient atteint un faible poids incompatible avec l initiation d une ovulation et le d but de d velop pement de corps jaunes Mais au 52 jour avec une croissance pond rale d environ 2 4 p 100 elles ont retrouv leur poids seuil La diff rence entre les d lais de reprise de cyclicit observ e chez les deux groupes de Baoul qui ont v l au cours des deux sous saisons serait due au retard accus par celles qui n ont pas repris leur poids seuil de cyclicit pendant la saison seche Le poids seuil moyen o 50 p 100 des femelles sont cycl es peut tre estim 170 kg pour les Baoul et 236 kg pour les Ndama DJABAKOU K GRUNDLER G LARE K Post partum uterine involution and oestrus cycle resumption in trypanotolerant Ndama and Baoul cows Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 319 324 This work refers to 30 Ndama and 30 Baoul cows kept on pasture Panicum maximum at the Research and Breeding Centre of Avetonou Togo Centre de Recherche et d Elevage Avetonou Togo CREAT which is
143. apparition et la propagation de la maladie au nord du B nin dans le d partement du Borgou qui compte plus de 600 000 bovins essentielle ment de race taurine Borgou soit pr s de 70 p 100 du cheptel b ninois Elle confirme la pr sence du virus aph teux au B nin Situation pid miologique L epizootie s est d clench e en novembre 1990 p riode coincidant avec le d but de la saison s che La maladie s est introduite par deux voies Karimama et Malanville au nord et Nikki l est A partir de ces deux r gions l infection s est r pandue tr s rapidement dans le d par tement du Borgou Celui ci a t enti rement contamin en janvier 1991 Le virus a ensuite progress vers les d partements de l Atakora et du Zou carte 1 tabl Le plus grand nombre d animaux malades a t observ en janvier 1991 l pizootie perdant en virulence et en intensit les mois suivants Il faut noter que seule l esp ce bovine a t touch e aucun cas n aurait t observ chez les ruminants et chez les porcs 1 Projet de d veloppement pastoral int gr dans le Borgou BP 23 Parakou B nin Re u le 24 5 1991 accept le 18 9 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 261 262 EPIDEMIOLOGIE NIGER BURKINA FASO arimama Malanville o 4E Bankoara an M Novaa BORGOU Sinende ATAKORA Ndalig ol arako aiff chag La NIGERIA y otonou GOLFE DE GUIN E
144. ar ailleurs des troubles pathologiques subcliniques Les facteurs de variation physiologiques voire pathologiques sont assez bien connus chez la plupart des esp ces 40 44 Pour le dromadaire les donn es sont plus fragmentaires voire rarissimes pour certains param tres et on ne dispose pas toujours de normes sanguines bien d finies Le statut nutritionnel des dromadaires dans le contexte g o climatique et alimentaire de la R publique de Djibouti est essentiellement tributaire des ressources fourrag res du milieu Dans un pr c dent article 25 ont t examin es les teneurs en oligo l ments dans les fourrages et le plasma des quatre esp ces de ruminants domestiques que l on rencontre Djibouti La pr sente tude a pour but de d terminer les valeurs de certains param tres prot o nerg tiques min raux et enzyma 1 Laboratoire d Ecopathologie INRA Theix 62122 Ceyrat France 2 Mission fran aise de coop ration BP 203 Nouakchott Mauritanie Regu le 2 2 1990 accept le 28 5 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 325 334 tiques en relation avec l origine g ographique des trou peaux r gions naturelles et ou syst me de production particulier et des caract ristiques zootechniques comme l ge et le sexe MAT RIEL M THODE CHOIX DES SITES AAA A aa oops Les animaux et leur environnement L tude porte sur 52 dromadaires de races locales Dankali et race dite G
145. ariations g ographiques tabl II Les glyc mies sont significativement inf rieures dans la r gion du Sud Ouest et la plaine d Obock l inverse des animaux en zone p riurbaine et du Rift de l Afar qui par allleurs pr sentent des taux lev s en BOH L ur mie est plus basse dans le Rift de l Afar et surtout dans la plaine d Obock C est dans cette r gion qu on note galement les valeurs les plus lev es en AGL En revanche les param tres du m tabolisme lipidique ne varient pas selon les r gions de m me que lPalbumin mie La c ruloplasmin mie comme la cupr mie est plus faible dans la r gion du Sud Ouest et dans la plaine c ti re d Obock La cupr mie est significativement plus basse chez les animaux de la plaine c ti re d Obock la zinc mie est inf rieure chez les femelles laiti res des zones p riur baines et de la r gion d Ali Sabieh Aucune variabilit r gionale ne concerne la calc mie ce qui para t logique compte tenu des m canismes de contr le hom ostatique bien connus pour cet l ment En revanche le taux de magn sium plasmatique est plus faible chez les animaux de la plaine c ti re d Obock et de la r gion du Sud Ouest 397 Retour au menu B Faye C Mulato TABLEAU II Moyennes des teneurs plasmatiques des l ments min raux biochimiques et enzymatiques chez le dromadaire dans cing zones g ographiques de Djibouti Plaine Rift de nee Elevag
146. ars 1988 avec 57 mm Dix sept femelles 319 Retour au menu K Djabakou G Grundler K Lare Ndama et 15 femelles Baoul ont v l pendant la saison s che 13 femelles Ndama et 15 Baoul au d but de la saison des pluies Une observation biquotidienne d une heure 6 h 30 7 h et 17 h 30 18 h est effectu e afin de d tecter les chaleurs Tous les dix jours partir du v lage jusqu la reprise de cyclicit post partum sur chaque femelle ayant v l les examens suivants ont t effectu s une pes e par bascule une prise de sang par ponction de la veine jugulaire pour mesurer l h matocrite et doser la progest rone d cantation du plasma une palpation rectale L involution ut rine est consid r e comme termin e lorsque la taille de l ut rus mesur e selon l chelle de ROSENBERGER 13 et adapt e au format des animaux n volue plus 1 La reprise de l activit ovarienne peut tre appr ci e trois niveaux 16 19 le comportement avec les premi res chaleurs caract ri s es par l acceptation du chevauchement la morphologie ovarienne caract ris e par la pr sence d un organite ovarien fonctionnel palpable corps jaune et ou follicule a antrum hormonal une femelle est consid r e comme cycl e lorsqu elle pr sente un premier taux de progest rone plasmatique sup rieur 0 5 ng m 17 Le dosage de la progest rone a t effectu par radioim
147. asmosis and babesiosis Materials and Methods Tick collection Ticks were handpicked from cattle assembled at the Bamenda cattle market and from the sedentary cattle at the Animal Research Centre Bambui CRZ The above mentioned market serves as a collection market for local grazers and as a consumption distribution market for butchers and cattle traders from all over the North West Province of Cameroon 5 Tick collection was carried out at the market once per fortnight from October 1987 to September 1988 in cattle which after purchase were usually intended for slaughter at the Bamenda municipal abattoir 5 Tick collection was carried out directly into 8 screw cap bottles containing 70 alcohol the bottles being labelled according to the parts of the animal s body from which the ticks were being picked namely head neck ears legs genitalia anus tail and rest of body Identification of the ticks was carried out in the Veterinary Laboratory of the Centre de Recherches Zootechniques CRZ Blood smears were made from these cattle simul taneously with tick collection Clinical symptoms Most of the clinical observations were made on cattle at the CRZ These animals being sedentary their health sta tus can readily be monitored and every year they are vac cinated against rinderpest pasteurellosis blackquarter and anthrax However tick infestations remain a real pro blem at the centre because acaricide spraying instead of
148. at trypanosomes other than Trypanosoma simiae are pathogenic to pigs Similar observations have been made here at the Veterinary Teaching Hospital of the University of Nigeria Nsukka Anaemia is a consistent finding 2 and tends to adversely limit livestock production 10 14 It is suggested that consequent destruction of lymphoid organs predispose infected animals to severe anaemia Besides normal functions of lymphoid organs including body defence mechanisms and erythropoiesis 4 15 are impaired To what extent this is true for pigs is subject to proper inves tigations 1 Department of Veterinary Physiology and Pharmacology University of Nigeria Nsukka Recu le 9 11 90 accept le 26 5 91 Pfizers Nig Ltd Merck Sharpe and Dohme Ag Vet Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 267 272 of lymphoid organs In view of significance being placed on this disease 1 11 in the recent times the present study was carried out to comparatively evaluate haematological parameters and histopathology of certain lymphoid organs lymph nodes spleen and liver of pigs experimentally infected with pathogenic strains of Trypanosoma brucei brucei and T congolense Findings are related to pig productivity in endemic areas MATERIALS AND METHODS SSCS Eighteen crossbred pigs aged between 11 and 13 months were purchased from a tsetse free area of Northern Nigeria and used in the study between November 1989 and August
149. ation para t assez stable Une tude spectrophotom trique en cours indique qu apr s six mois d exposition on observe cependant une diminution de la r flectivit de 3 4 p 100 dans le bleu Le plastique est beaucoup moins cher que le tissu et pr sente de surcro t une bonne r sistance m canique une exposition prolong e au soleil et aux intemp ries 10 mois pour le bleu plus de 20 mois pour le noir ll a donc t retenu Affinement du mod le bipyramidal Diff rents param tres du pi ge tels que la forme et la taille de l ouverture la hauteur de la pyramide en tulle moustiquaire la hauteur des crans noirs l int rieur de cette pyramide ont t test s fig 3 Aucun des huit essais na permis de faire ressortir une diff rence signifi 40 5 6 7 8 x 100 nm 3 4 Fig 4 Pourcentage de r flectivit pour une longueur d onde donn e par rapport celle d un blanc pur du plastique bleu utilis dans la confection du pi ge bipyramidal ENTOMOLOGIE cative entre ces variantes D autres essais compl men taires utilisant notamment la m thode de la comp tition sont en cours La forme actuelle du pi ge r sulte donc d un compromis o intervient surtout le co t des diff rentes solutions L am lioration du pi ge reste videm ment possible et souhaitable mais le co t des exp riences d affinement du mod le ne se justifie plus par les gains possibles de rendement Hauteur de
150. atum et Adansonia digitata Bombacaceae Calotropis procera Asclepiadacee Grewia bicolor Tiliaceae et Boscia senegalensis Capparidaceae On les consid re provisoirement comme les esp ces offrant le plus d int r t parmi celles tudi es pour la suppl mentation azot e du cheptel en saison s che Des essais in vivo sont en cours pour mieux pr ciser leur valeur ali mentaire Exceptions Acacia sieberiana A seyal NDLR Combretum aculeatum n a pas t tudi par la m thode in situ NDLR 349 Retour au menu S T Fall TABLEAU III D gradation in situ de l azote des ligneux Premiers r sultats Param tres D gradation au de la temps t p 100 d gradation Param tres dela d gradation a D p p 00 100 D gradation au temps t p 100 chantillons p chantillons 6 h 124 hi 48 hi 72h 1 L gumineuses C nigricans F 1 48 53 57 Mimosaceae Genre Guiera Genre Acacia G SenegalensisF 1 44 A adansonii F A adansonii G 9 Polygalaceae A albida G 5 Genre Securidaca A albida F 4 S longepe A ataxacantha F 1 dunculata JPi1 h o A senegal F on B 1 OO O1 00 A seyal F 2 Tiliaceae A sieberiana F 2 Genre Grewia tortilis G 7 G bicolor F 12 150 67 91 92 39 56 Caesalpiniaceae Genre Bauhinia B rufescens F Genre Piliostigma P reticulata F P
151. based largely upon cattle Bovine anaplasmosis and babesiosis are suppo sed to be enzootic in Cameroonian indigeneous cattle 8 10 even though outbreaks of cattle disease are rare The status of these diseases in both the highly susceptible exotic and the relatively resistant indigenous breeds in Cameroon is unknown Ticks and tick borne diseases have long been incrimina ted as major obstacles to efficient livestock production and production losses may be due to tick irritation worry compounded by irritation and allergic responses blood losses from feeding and physical damage to hide paralysis or toxicosis deaths or debilitating effects pre disposition of animals to infections such as dermatophilo sis and transmission of pathogenic organisms 1 3 4 6 7 12 13 16 17 Even though the existence of ticks in the North West Province of Cameroon has been well established 10 11 no effort has been made to correlate this existence with the diseases they transmit in this region In a recent epidemiological survey of cattle in the 1 IRZ Bambui POB 51 Bamenda Cameroon 2 CRZ Wakwa POB 65 Ngaound r Cameroon Recu le 16 3 90 accept le 16 4 91 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 263 265 EPIDEMIOLOGIE North West Province particular attention was paid to the localisation of Boophilus spp in cattle their seasonal variation and the occurrence of the diseases they transmit here mainly anapl
152. blique centrafricaine Re u le 17 12 1990 accept le 17 6 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 287 294 ENTOMOLOGIE La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine I Mise au point d un pi ge adapt un milieu d leveurs semi nomades d expertise 5 7 La solution du pi geage au probl me de la lutte contre les trypanosomoses animales dans le contexte de la RCA suppose l existence d un pi ge r pondant trois conditions il doit tre efficace contre le vecteur principal Glossina fuscipes fuscipes il doit tre facilement utilisable par les communaut s d leveurs centrafricains Peuls semi nomades c est a dire d montable et transportable d entretien simple ne n cessitant pas de manipulations complexes en particu lier sans impr gnation d insecticide ce qui limine les crans forme la plus simplifi e des syst mes attractifs toxiques et r p t es c est dire muni d un dispositif tueur lui permettant de fonctionner sans intervention humaine quotidienne il doit tre d un co t comp titif envisageable dans le cadre du budget familial moyen de ces leveurs pour diminuer le nombre de traitements pr ventifs ou curatifs du b tail Aucun pi ge existant ne satisfaisait ces contraintes Une recherche exp rimentale a donc t entreprise pour mettre au point un pi ge mieux adapt
153. bra State Nigeria L J E Orajaka B M Anene M C Dike ORAJAKA L J E ANENE B M DIKE M C Pr valence des parasites de la plasmodiose chez la dinde dans la r gion de Nsukka tat d Anambra Nigeria Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 283 286 Des talements de sang provenant de 202 dindes 94 m les et 108 femelles de la r gion de Nsukka au Nigeria ont t examin s pour y rechercher des agents du paludisme 44 1 p 100 des animaux examin s avec un intervalle de confiance de 95 p 100 taient infect s par des Plasmodium spp dont 46 8 p 100 de m les et 41 7 p 100 de femelles Sur 175 adultes et 27 jeunes g s de 6 16 semaines 45 7 et 33 3 p 100 respectivement ont t reconnus infect s 20 sur 60 des dindes lev es en syst me intensif et 65 sur 142 en semi intensif taient infect es La valeur moyenne de l h matocrite pour les animaux parasit s tait de 29 95 3 36 p 100 Ce r sultat est significativement diff rent P lt 0 01 de la valeur moyenne de 37 3 3 7 obtenue partir des animaux sains 11 des 89 cas positifs pr sentaient des formes cliniques Quatre dindes dans un tat critique sont mortes un jour apr s le d but du traitement Les m dicaments suivants se sont montr effi caces phosphate de chloroquine la dose de 5 mg kg de poids vif admi nistr quotidiennement par voie intramusculaire pendant 3 jours ou sous forme de comprim s dos s 250 mg pa
154. c l ge mois Exprim en unit s fourrag res par kg de gain de poids l indice de consomma tion est de 4 39 pour le lot t moin et de 3 63 pour le lot recevant la ration contenant 5 p 1000 de Bertamix 361 Retour au menu Communication consomation feed conversion factor montre une r duc tion de 0 76 unit fourrag re kg de gain de poids par rap port au t moin correspondant 17 3 p 100 Discussion L addition de Bertamix au taux de 5 p 1000 dans la ration journali re des porcs g s de 3 5 mois induit un effet activateur de croissance semblable celui des anti biotiques L effet stimulant du produit sur la croissance est sans doute d la berb rine et aux six autres alca lo des extraits de Cossinium fenestratum dont la palmiti ne et la jatrorrhizine qui sont des antibact riens remar quables 1 3 4 5 9 L acide pyrogallique extrait de l corce de Terminalia chebula est dou d une propri t bact riostatique et antidiarrh ique qui contribue renfor cer l effet activateur de croissance des autres alcaloides mentionn s Enfin la berb rine neutralise les toxines des bact ries intestinales comme l endotoxine de Vibrio pestis d couverte en 1966 par M MEKAWI 6 Conclusion Ces r sultats ouvrent de nouvelles perspectives pour la pro motion de l levage des porcs charcutiers au Vi t nam TUONG N P Note on the use of berberine tannate Bertamix
155. ca trom the livers of affected sheep The same workers reported the isolation of both C novyi type B and C sordelli from the livers of affected sheep in the Khartoum province In the current outbreak only C novyi type B was isolated from the livers of goats This strain was found to be more pathogenic and toxigenic to labora tory animals than the strains recovered from the soil and normal livers of sheep by BAGDI and SEWELL 3 Conclusion The presence of Fasciola gigantica and C tenuicollis has been reported in the Khartoum province 1 6 In the pre sent work F gigantica eggs in faecal samples and the prevalence of L natalensis snails were demonstrated These facts highly suggest that the Khartoum province is an endemic area for black disease PATHOLOGIE It is strongly suggested that massive and routine vaccina tions of goats and sheep should be conducted in the Khartoum province using the Heptavac vaccine Hoechst pharmaceuticals UK Ltd England which has proven to be efficient in controlling the disease among sheep 1 This treatment should be applied rather than dosing the animals with fasciolicides and antibiotics which have limi ted effects in the current outbreaks and are only useful in reducing the mortality rate rather than in controlling the disease However treating the animals with fasciolicides is also recommended to control fascioliasis which predis poses to the disease HAMID M E MOHAMED G E ABU
156. carcasse est mise ressuyer en chambre 222 Retour au menu E Thys J Hardouin A Verhulst froide 4 C pendant 30 h pendue par les pattes arri re maintenues cart es distance constante par un tinet de 21 cm Apr s ressuyage la carcasse est d coup e suivant une d coupe de r f rence adapt e la r gion et d riv e en partie de celle mise au point par BOCCARD ET DUMONT 2 en France et en partie de la d coupe hol landaise d crite par HUIZINGA et JAALSMA 14 On peut la r sumer comme suit La carcasse est gard e enti re Dans un premier temps le train post rieur est s par du train ant rieur entre la premi re et la deuxi me vert bre lombaire Le train pos t rieur est s par ensuite en trois morceaux deux gigots et une selle prolong e par le morceau de queue par incision de la symphyse pelvienne incision bilat rale des ailes de lilium et par incision de la paroi abdominale sui vant une ligne perpendiculaire au rachis On proc de ensuite de chaque c t la lev e de l paule et le collier est s par du coffre par une incision entre la sixi me et la septi me vert bres cervicales On obtient ainsi sept mor ceaux de d coupe de semi gros deux gigots deux paules la selle le coffre thorax et le collier Dans chacun des deux groupes de la deuxi me exp rien ce une carcasse a t choisie pour une d coupe tissulai re On s est efforc d obtenir des carcasses de poid
157. catus Xx Rh lunulatus Rh longus x Rh sulcatus B annulatus Xx 0 454 0 138 B decoloratus lt ENTOMOLOGIE TABLEAU XIII Analyse de corr lation entre les genres Corr lation Probabilit Amblyomma 0 145 Boophilus Amblyomma An inicaphalis Amblyomma lema Boophilus ane Rhipicephalus X Hyalomma une m me zone l interpr tation des r sultats vis vis de la dynamique des tiques ne sera bas e que sur les sai sons Amblyomma variegatum Du point de vue num rique cette esp ce vient en deuxi me position 5 environ 18 p 100 Alors que dans le nord ouest du Cameroun MERLIN et al 11 ne r coltent pas les larves sur les bovins celles ci le sont Yaound o la pr sence des petits mammif res sauvages et des oiseaux h tes pr f r s des pr imagos 18 est diminu e du fait de l urbanisation Les nymphes pullulent en grande saison s che 11 15 En grande saison des pluies les imagos passent leur p riode parasitaire la moins forte lls apparaissent vers la fin de la saison s che les m les en premier Le sex ratio nombre de m les pour une femelle atteint son maximum les femelles viennent ensuite 6 En juin le sex ratio est sensiblement gal a un C est une p riode de copulation intense suivie par une phase de ponte juillet ao t une phase larvaire septembre et une phase nymphale novembre mars ll y a donc une seule
158. cellulosique de l amande Le produit ainsi obtenu a t s ch au soleil Un chantillon a t ensuite pr lev pour l analyse bro matologique suivant les m thodes d crites par l AOAC 2 L analyse chimique a donn la composition suivante par rapport la mati re s che 31 6 p 100 de prot ines brutes 38 1 p 100 de mati res grasses 10 8 p 100 de cellulose brute et 5 6 p 100 de cendres La teneur en nergie m tabolisable vraie estim e suivant l quation de SIBBALD 22 est d environ 4 800 kcal kg de MS 355 Retour au menu T Yo Quatres rations ont t formul es contenant 0 p 100 ali ment t moin 10 15 20 p 100 de GCDSG Pour qu elles soient chimiquement iso nerg tiques et isoazot es lPincorporation progressive de GCDSG fut associ e une augmentation de la part du son de bl 25 francs CFA kg par substitution au ma s 55 francs CFA kg et la farine de poisson 160 francs CFA kg sans recherche d un optimum conomique Les teneurs en min raux furent ajust es entre les traitements En p riode de d marrage 0 28 jours les aliments contenaient environ 3 000 kcal EM kg d aliment et 22 2 p 100 de prot ines En p riode de croissance 29 42 jours le taux de prot ines dans les rations a t ramen 20 p 100 Des doses croissantes de lysine et de m thionine synth tiques ont t incorpo r es aux r gimes contenant de la GCDSG pour en quili brer les concentrations en aci
159. chez le castr a la pince et de l avant train chez le m le entier ou le short scrotum ce qui est en accord avec d autres auteurs 1 6 15 La comparaison des proportions des morceaux pris un par un montre une diff rence significative pour tous sauf pour les paules ALVI 1 avait galement observ ce dernier point Les castr s ont des gigots et une selle plus d velopp s que ceux des entiers et des short scrotum et un cou moins d velopp Le coffre du castr est moins d velopp que celui de l entier mais le short scrotum ne diff re d aucun des deux Ces observations co ncident avec celles trouv es dans la litt rature les diff rences pouvant provenir de l utilisation d une d coupe de r f rence diff rente ou de l ge auquel la comparaison est faite Dans l exp rience 2 les diff rences en selle et coffre ne sont plus significatives alors qu elles le restent pour le gigot ll est important de noter que si cette plus grande propor tion de gigot chez le castr peut premi re vue para tre un avantage pour celui ci ce n est pas le cas dans le contexte tudi Une enqu te effectu e parmi les bou chers de la ville de Maroua 19 permet de se rendre compte que la viande de gigot est la premi re tre incorpor e aux tas fabriqu s avec les abats et les os Ces Retour au menu tas co tent souvent moins cher au kilo que les ensembles cou paules c tes
160. cidence de la BSE sur le territoire ne justifiait pas cette mesure Les dispositions r glementaires prises l int rieur des pays atteints n ont pas pour autant r solu leurs probl mes d exportations de produits d origine bovine en l absence d un consensus international sur les pr cautions prendre afin d viter la diss mination de la maladie au niveau mondial C est tout d abord au sein de la Communaut conomique europ enne que des dispositions sanitaires ont t prises en 1990 pour r glementer les changes de bovins vivants et de viandes Rien cependant n a t pr vu pour les farines de viande et d os car elles n entraient pas dans le champ des produits couverts par une directive communautaire Les d cisions sont donc rest es de la comp tence des Etats membres Il s av re au moins pour l Irlande et la France que les mesures d interdiction relatives aux farines import es du Royaume Uni ont t prises trop tardivement puisque des cas ont pu tre rapport s selon toute proba bilit a une source alimentaire Mais les perturbations engendr es par la BSE ne se sont pas cantonn es aux limites de la CEE Pour cette raison l assistance de l Office international des pi zooties OIE a t requise tant par les pays atteints que par ceux ayant une demande int rieure en lait et en viande bovine satisfaire et qui taient pr ts s approvisionner aupr s des premiers moyennant la pr sentation de garanties
161. cids in domestic chicks and muscovy ducklings Annis Zootech 1986 35 79 85 NESER J A GRIMBECK P J LANGFORD M J NEL P W Gossypol poisoning in pigs J S Afr vet Ass 1988 59 104 NJIKE N C Cottonseed meal as substitute for groundnut cake in the diet of baby chicks E Afr agric For J 1975 44 59 69 NZEKWE N M OLOMU J M Cottonseed as substitute for groundnut meal in the ration of laying chickens and growing tur keys J Anim Prod Res 1984 4 57 71 RYAN J R KRATZER F H GRAU C R VOHRA P Glandless cottonseed meal for ines and breeding hens and broiler chicks Poult Sci 1986 65 949 955 SCOTT M L NESHEIM M C YOUNG R J Nutrition of the chicken 2nd ed Ithaca New York Scott and Associates Publishers 1976 555 p SIBBALD LR The effect of dietary cellulose and sand on combined metabolic plus endogene energy and amino acid outputs of adult cockerels Poult Sci 1980 59 836 844 WALDROUP P W Cottonseed meal in poultry diets Feedstuffs 1981 53 21 24 YO T Low gossypol cottonseed meal as a substitute for soybean meal in broiler diets Bouak IDESSA CE 1990 9 p Agribiologicae Research 1991 44 para tre YO T BOUCHEL D KOUAO BROU J Effets de diff rents niveaux de compl mentation d un fourrage vert Panicum maximum par la graine de coton m lass e sur la croissance de taurillons Baoul en post sevrage Rev
162. ck Aust J exp Agric Anim Husb 1981 21 268 271 11 FIELD R A Effect of castration on meat quality and quantity J Anim Sci 1971 32 849 857 12 FRECHOU H L levage et le commerce du b tail dans le Nord du Cameroun Paris ORSTOM 1966 13 GOUET J P Les comparaisons de moyennes et de variances application l agronomie Paris ITCF 1974 14 HUIZINGA J JAALSMA H Handboek vlees en vleesprodukten Amsterdam Agon Elsevier 1970 15 LIRETTE A SCOANE J R MINVIELLE F FROEHICH D Effects of breed and castration on conformation classifica tion tissue distribution composition and quality of lamb carcasses J Anim Sci 1984 58 6 1343 1357 16 17 18 19 20 21 22 2 24 Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION PRESCOTT J H O LAMMING G E The effects of castration on meat production in cattle sheep and pigs J Agric Sci 1964 63 341 357 SOKAL R R ROHLF F J Biometry 2nd ed New York W H Freeman and Company 1981 THWAITES J C YEATES M T M POGUE R F Objective appraisal of intact lamb and mutton carcasses J Agric Sci 1964 63 415 420 THYS E tude sur les bouchers de petits ruminants exer ant dans la ville de Maroua Extr me Nord Cameroun Tropicultura 1990 8 2 74 77 THYS E DE WILDE R HARDOUIN J VERHULST A Influence de la castration tardive 2 12 mois d age sur l
163. contenant des prot ines pro venant de ruminants a l exception des prot ines du lait afin d liminer le facteur pid miologique pr dominant de propagation que constitue la contamination par voie digestive en l absence de tout traitement reconnu efficace pour d truire ou inactiver l agent responsable On note toutefois quelques disparit s Celles ci concernent l abattage subvention n des troupeaux o un cas a t diagnostiqu si une telle d cision est conce vable l o l incidence de la maladie est faible sa r percussion sur l volution de la maladie au Royaume Uni serait tr s faible pour un co t tr s lev Les diff rences portent galement sur les esp ces auxquelles s applique l interdiction d incorporer des farines de viande et d os dans leur nourriture Royaume Uni toutes les esp ces Irlande et Suisse tous les ruminants France seulement les bovins Il fallait aussi viter tout risque de contamination de l homme par son alimentation Les autorit s du Royaume Uni ont donc pris d s 1989 des d cisions bas es sur les connaissances relatives la tremblante Elles ont abouti au retrait syst ma tique de la consommation des abats enc phale moelle pini re amygdales thy mus rate et intestins lorsque ceux ci proviennent de bovins g s de plus de six Retour au menu VIROLOGIE mois Si une mesure similaire a t prise en Suisse on a cependant consid r ailleurs que la faible in
164. cor dent cependant pas avec ceux de PAMO et PIEPER 8 travaillant dans les m mes conditions avec l azote en pr sence du phosphore et du potassium travers ces r sultats il apparaissait clairement que la fr quence de coupe de 30 jours fournissait de mani re r guli re de meilleurs rendements Les r sultats de la pr sente tude semblent indiquer que la fertilisation azot e seule accro t 378 Rendement t ha de MS Moyenne 30 45 60 jours Fr quence de coupe Fig 5 Rendement de Brachiaria ruziziensis en fonction des diff rentes fr quences de coupe le d ficit des autres l ments min raux du sol ce qui ne permet pas B ruziziensis en l espace de 30 45 jours de pouvoir en extraire suffisamment du sol pour assurer une bonne croissance Cependant en 60 jours la plante a relativement plus de temps pour mieux utiliser les min raux compl mentaires du so qui lui sont n cessaires La tendance l puisement du sol en d autres elements que celui apport par la fertilisation accentuant le d ficit serait l origine de la chute de production observ e en 1987 CONCLUSION Il appara t que la fertilisation azot e m me de faibles doses am liore le rendement de B ruziziensis Cette aug mentation en moyenne de 72 p 100 par rapport au t moin pendant les trois ann es d tude a t obtenue avec la dose de 80 unit s d azote l hectare Un rendement moyen de 3 9 t ha de
165. crease as compa red to the controls However these relatively good results were not as interesting as those obtained with nitrogen in the presence of phos phorus and potassium Polynomial adjustment of the mean gave also good results as shown by the relatively high coefficient of determina tion R 0 84 in 1985 0 87 in 1986 and 0 92 in 1987 Cutting frequen cies of 30 and 45 days yielded more consistent results Yet no signifi cant difference P gt 0 01 was observed between the three cutting frequencies during the study period Key words Brachiaria ruziziensis Nitrogen fertilization Cutting frequency Cameroon AGROPASTORALISME les r sultats les plus r guliers ll serait donc int res sant de pr coniser ces fr quences car elle permettent une exploitation relativement intensive du milieu et d offrir ainsi aux animaux un fourrage jeune et nutriti vement plus riche capable de mieux satisfaire leurs besoins REMERCIEMENTS ESA Nous tenons a remercier Mme Juliana TELEU techni cienne sup rieure MM Constantin EKOTO MENGUE Jean OWONA technicien Bernard MBELE prospec teur botanique Samuel BOBOJI agent technique du CRZ de Wakwa pour leur collaboration lors de cette tude PAMO E T Influencia de la fertilizaci n nitrogenada y de diferentes ritmos de explotaci n sobre Brachiaria ruziziensis Germain y Evrard en Adamaoua Camer n Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 373 380 En el C
166. d a pr c demment utilis e en RCA et un sac de capture renfermant du p trole ou du gazole d Elle a t exp riment e au Congo 16 La nasse de tulle impr gn e d insecticide avec le haut du pi ge f est le syst me actuellement employ en Ouganda LANCIEN comm pers Les autres sont soit d riv s de mod les existants comme la bouteille impr gn e d insecticide b des syst mes analogues tant utili s s au Zimbabwe CUISANCE comm pers soit in dits 288 se MS 17 tl i SS SSS 6 eZ i b3 7 Fig 2 Mod les de pi ge A biconique B pyramidal C D E F G monoconiques E Vavoua F du CRTA H bipyramidal Partie hachu r e couleur noire non hachur e couleur bleue Le haut du pi ge est en tulle moustiquaire blanc telles les cages e et g pour la capture des insectes vivants e ou tu s par l insecticide g Les sacs de capture ont galement t utilis s sec avec une m che de tissu ou de tulle impr gn e d insecticide c Les syst mes b e et g sont fabriqu s l aide de bouteilles de plastique de r cup ration le syst me e comporte en plus un dispositif anti retour tube de polystyr ne perc pilulier qui facilite sa fixation sur un c ne de bouteille Description des mod les de pi ge test s Les mod les de pi ge sont pr sent s la figure 2 Ils ont tou
167. d cell colume PCV haemoglobin concentra tion Hb red cell corpuscules RBC and white cell cor 267 Retour au menu B C O Omeke D O Ugwu puscules WBC were determined on a regular basis and according to the methods of KELLY 12 and COLES 5 All pigs were weighed at the start of the experiment and at slaughter Upon slaughter aspirates were taken from the lymph node spleen and liver and injected intraperitoneally into groups of healthy mice Tail blood of these mice was microscopically examined each day for at least 10 days for the presence of trypanosomes Part of each lymphoid organ was rinsed twice in PBS and cut into two so that impression smears were made from the freshly cut sur faces Smears were stained with Grunwald Giemsa and examined under the microscope for presence of trypano somes The other part was fixed in Zenker s formol solu tion for 24 h washed in running water for 24 h processed through isopropanol chloroform series and embedded in paraffin wax Sections were cut at 5u mounted on clean slides and stained with Erhlich s haematoxylin and eosin for microscopic studies RESULTS SS _ _ A A Mean incubation periods of 4 and 7 days maximum fluc tuating levels of parasitaemia of 8 and 23 trypanosoes per high power microcopic field HPF and onset of clini cal symptoms after 6 and 11 days post infection were recorded for T b brucei and T congolense infected pigs respectively table None
168. de 75 p 100 se localisent aux pattes aux testicules et aux mamelles Ils sont pr sents toute l ann e o Boophilus Ce genre repr sente 77 p 100 du total des tiques r col t es tabl Ill ll peut se gorger sur toutes les parties de l animal sauf au toupillon Queue Anus 1 4 102 MEN 3 8 1 7 Reste du corps Testicules mamelles Total p 100 112 3 m les 2 femelles TABLEAU III Localisation de Boophilus Pattes Testicules Reste Localisation T te Cou Oreilles Queue Anus du Total p 100 aisselles mamelles corps Larves 24 8 35 5 29 21 9 87 128 60 107 90 189 134 795 2 8 2 37 4 79 3 77 5 B annulatus 24 6 183 540 120 288 48 382 2220 B decoloratus 258 968 182 1 903 1 7 876 535 1424 333 2517 1 959 2857 2998 11704 8 m les femelles 311 Retour au menu PH Bayemi TABLEAU IV Localisation de Rhipicephalus Pattes Localisation T te Queue Anus Total p 100 aisselles 5 DO E IC 3 2 83 16 5 7 518 Rh sulcatus 3 ps 3 Rh lunulatus 3 9 1 131 3 3 m les femelles TABLEAU V Localisation de Hyalomma nitidum Reste Localisation T te Cou Oreilles du Total p 100 corps anes Pattes aisselles mon g
169. de l essai chaque bo te a re u 2 5 cm d eau et les jours suivants 2 cm d eau par jour ont t ajout s assu rant une humidification suffisante pour la germination L eau utilis e tait bouillie puis refroidie Le soleil tait la seule source de lumi re Les r sultats furent relev s huit jours apr s la mise en germination Pour d terminer la quantit de semences pr sente dans le sol des chantillons furent pr lev s sous forme de 10 carr s mesurant 20 x 20 cm pris au hasard sur la plaine tudi e Les deux premiers centim tres du sol furent pr lev s l emplacement des carr s A partir de chaque chantillon 450 et 500 g de sol ont respectivement t _ utilis s pour d terminer la quantit de semences restant dans le sol en 1987 et 1988 A cet effet une couche de sable fut plac e au fond de sachets en plastique et pour chaque sachet un chantillon corrig par le poids fut dispers sur la couche de sable Les sachets furent pla c s de mani re al atoire dans une cour et arros s deux fois par jour La germination du fonio ainsi que celle d autres esp ces a t enregistr e en 1987 et en 1988 Le nombre de jours jusqu a la floraison fut d termin en 1987 Pour connaitre la pr cocit du fonio les sachets ayant plus de 10 plantes par poquet furent d mari s a raison de 10 plantes par poquet et le moment ou 50 p 100 des plantes atteignirent la f
170. de ma triser l intervalle entre v lage et ins mination f condante d augmenter la productivit num rique en raccourcissant l intervalle entre v lages Ce travail sur les femelles Ndama et Baoul s inscrit dans la d marche des investi gations n cessaires a la ma trise et l optimisation de la reproduction d crite par THIBIER 17 MAT RIEL ET M THODE A A L tude d bute au mois de novembre soit la fin de la saison des pluies sur un effectif de 35 femelles Ndama et 33 femelles Baoul positives au diagnostic de gestation avant v lage par palpation rectale Trente Ndama et 30 Baoul issues de ces femelles ont t s lectionn es partir des valeurs de l h matocrite Ces femelles allai tantes ont t entretenues sur un p turage de Panicum maximum Elles ont leur disposition de l eau et des pierres l cher Un taureau p nis d vi muni d un licol marqueur a t introduit dans le troupeau pour la d tec tion des chaleurs Un couloir de contention quip d une balance avait t install sur une parcelle de p turage affect e aux animaux L ge moyen des femelles rete nues est de 6 3 2 4 ans pour les Ndama et 7 2 8 ans pour les Baoul Le moment de v lage la d livrance ainsi que toute la pathologie post partum ont t r pertori s Les v lages se sont r partis sur la saison s che d cembre janvier 1988 avec 2 15 mm de pluie et le d but de la saison des pluies f vrier m
171. de perte de poids chez les femelles qui ont v l durant la saison s che et celle des animaux qui ont v l au d but de la saison des pluies 4 Xu Ne 6 ds A N A siop 2 a i d argi 12 fl lo mt 4 te tae a 0 10 20 30 40 50 60 e Ndama S s Baoul Ss s He Ndama D p1 g Baoul D pl Fig 1 volution pond rale en fonction des saisons de v lage poids au jour 0 post partum 0 p 100 de poids vif Involution ut rine Si on analyse la r partition de l involution ut rine en fonc tion des jours post partum celle ci est termin e le 30 jour pour 80 p 100 des femelles Ndama et 63 p 100 des Baoul Globalement not est achev e 30 6 7 jours et 31 3 4 jours post partum respectivement chez les Baoul et les Ndama La fin de l involution ut rine est pratiquement gale un mois chez les deux races La dur e de celle ci n est pas influenc e par la saison de v lage P gt 0 05 59 p 100 des Baoul et 68 p 100 des Ndama qui ont v l pendant la saison s che 67 et 92 p 100 des Baoul et Ndama qui ont mis bas au d but des pluies ont achev leur involution ut rine le 900 jour apr s le part Le d lai d involution est plus rapide chez les jeunes que chez les femelles plus ag es P lt 0 05 comme illustre la figure 2 Ainsi pres de 100 p 100 des jeunes ont leur involution ut rine achev e 30 jours seuls 60 p 100 des vac
172. de reprise sont les m mes suivant les saisons de v lage Avec la composan te hormonale le d lai de la reprise est pratiquement gal un mois chez les femelles Ndama et Baoul qui ont v l au d but des pluies En consid rant le taux de progest rone plasmatique comme crit re des manifestations cycliques apr s le part on peut estimer 34 jours le d lai de reprise de cyclicit ovarienne chez les femelles Ndama et 40 jours chez les Baoul Relation entre les crit res La comparaison des crit res comportemental et hormonal montre que l cart moyen entre les d lais de reprise est de 10 jours environ 50 p 100 des Ndama sont cycl es le 44 et le 34 jour respectivement selon les compo santes comportementale et hormonale 50 p 100 des Baoul le 49 et le 40 jour pour les m mes composantes L influence de la saison de v lage sur cet cart n est pas sensible chez les deux races Ces constatations peuvent s expliquer par l absence compl te d oestrus observ au 10 jour post partum au cours des deux sous saisons les premi res Ndama et Baoul vues en chaleur le sont partir du 20 jour En revanche et selon la composante hormonale pour les deux races quelques femelles appa raissent cycl es partir du 10 jour Cette relation entre les deux m thodes d montre la plus grande pr cision de la d tection de l activit ovarienne par le dosage de la progest rone plasmatique L exactitude d
173. dement travers une production lev e L ajustement polynomial des rendements en fonction des diff rentes doses d azote aux diff rentes fr quences de coupe fig 4 a permis d obtenir les quations suivantes F1 Y 2562 89 3 79 N 0 19 N R 0 37 F2 Y 1874 14 53 13 N 0 37 N R 0 93 F3 Y 1475 89 52 77 N 0 49 N R 0 75 M Y 1970 95 34 04 N 0 22 N R 0 92 377 Retour au menu E T Pamo Ces ajustements ont produit des r sultats variables mais relativement bons compar s a ceux des ann es pr c dentes Davantage de variabilit des rendements en fonction des doses pouvait tre expliqu e cette ann e l par la courbe de r gession L optimum de pro duction n a pu tre observ avec la fr quence de coupe de 30 jours Mais avec les fr quences de 45 et 60 jours les optima de production de 3 78 et 2 90 t ha de MS ont t obtenus avec les doses respectives de 72 et 54 unit s a l hectare DISCUSSION E _O__L Uo Les r sultats de ce travail concordent bien avec ceux de RIPPSTEIN 14 et PAMO et YONKEU 11 qui tra vaillaient avec un niveau de fertilisation relativement lev et m me ceux de PAMO 7 utilisant des niveaux de fertilisation comparables L intervalle de dispersion des mesures par rapport la moyenne indiqu e sur les figures 2 et 3 montre que la variation de rendement par traitement pour chaque ann e est rest e relativement homog ne alors
174. des amin s La composition des r gimes alimentaires et leurs teneurs en nutriments calcul es suivant les donn es de l INRA 11 sont indiqu es aux tableaux et Il TABLEAU I Composition des aliments de d marrage 0 28 jours Taux de GCDSG p 100 Matieres premi res p 100 Mais Farine de poisson Graine de coton Remoulage de bl Farine basse riz Tourteau de coton Huile de palme Phosphate bicalcique Carbonate de calcium Sel de cuisine Pr mix Lysine M thionine A kA Teneur en nutriments calcul e TABLEAU II Composition des aliments de croissance 29 42 jours Taux de GCDSG p 100 Mati res premi res p 100 Mais Farine de poisson Graine de coton Remoulage de bi Farine basse riz Tourteau de coton Phosphate bicalcique Carbonate de calcium Sel de cuisine Pr mix Lysine M thionine Teneur en nutriments calcul e nergie kcal EM kg Prot ines N x 6 25 p 100 Lysine p 100 O Dd O wo O O 1 aa no Oo ae No 60 ere no amp ne M thionine p 100 Acides amin s soufr s p 100 Calcium p 100 Phosphore disponible p 100 lt Energie kcal EM kg 3000 2996 3005 3009 Prot ines N x 6 25 p 100 22 2 22 2 22 2 22 2 Lysine p 100 1 2 1 2 1 2 1 2 M thionine p 100 0 6 0 6 0 6 0 6 Acides amin s soufr s p 100 0 9 0 9 0 9 0 9 Calcium p 100 1 5 1 5 1 5 1 5 Phosphore
175. des animaux d une part et la pr minence du facteur g ographique pour discriminer les populations de dromadaires du point de vue de leur profil m tabolique d autre part La discussion abordera essentiellement ces deux points DISCUSSION A La diversit des sexes des ges des stades physiolo giques et des ressources alimentaires sur un nombre limi t d animaux constitue sans doute une restriction a la signification des r sultats mais permet aux valeurs globa lement observ es d tre consid r es comme repr senta tives de la diversit des situations Valeurs observ es chez le dromadaire D apr s CHANDRASENA et al 15 le dromadaire pr sente une glyc mie normale de l ordre de 80 a 140 mg 100 ml sensiblement sup rieure celle observ e chez les autres ruminants A l inverse les taux de BOH sont tr s inf rieurs ceux des autres esp ces de rumi nants 16 Or les valeurs observ es a Djibouti sont net tement plus faibes pour la glyc mie et l g rement sup rieures pour le BOH signifiant sans doute un fort d ficit nerg tique Les teneurs en AGL du dromadaire sont comparables celles des bovins contrairement aux taux de cholest rol et de phospholipides tr s inf rieurs et au taux de trigly c rides l g rement sup rieur 22 Ces r sultats corro borent ceux partiels d autres auteurs 17 32 36 37 45 Les r f rences concernant l ur mie chez le dromadaire sont nombreuses
176. discussion Des formateurs restaient quelque temps chez les acheteurs de pi ges Actuellement des techni ciens profitent des tourn es de routine des agents de l Animation Mutualiste sur le r seau des GIP pour joindre nouveau les leveurs et r pondre leurs suggestions sur le pi geage Les chefs de poste et de secteur d levage Les 143 agents de la CFCV ont re u des pi ges dont ils exposent le fonctionnement et l entretien lors des visites aux leveurs Ces techniciens ont t recy cl s soit lors des sessions de formation continue soit l occasion de tourn es D autres s ances de mise jour sont r guli rement organis es L efficaci t de ces agents d pend beaucoup de la qualit des contacts individuels qu ils entretiennent avec les le veurs FABRICATION COMMERCIALISATION ET DISTRIBUTION La fabrication du pi ge et sa vente sont prises en charge par le D partement des intrants de la FNEC qui dispose de toute la logistique n cessaire et en premier lieu d un important r seau de distribution 15 d p ts couvrant presque tout le pays Le prix de vente de 2 000 francs CFA 9 permet un b n fice de 25 p 100 en excluant les frais lev s occasionn s par la distribution Cependant Retour au menu gt MONTAGE ET ENTRETIEN DU PIEGE AN DE CONTRE LES TS TS KODE TI LEKENGO NA TI BATANGO KOUKOU TI ANDE NDALI TI A NGOUNGOU TI KOBELA TI LANGO Pour tre pos
177. dl ll est donc recommand d utiliser le mod le pyramidal contre G fuscipes fuscipes en le pla ant au ras du sol DISCUSSION ME Les premiers essais ont imm diatement mis en vidence un comportement particulier de G fuscipes fuscipes vis vis des pi ges notamment une tendance plus marqu e p n trer dans les cavit s sombres que G palpalis d o l efficacit sup rieure des pi ges de type biconique par rapport aux mod les monoconique ou monopyramidal Cette tendance avait t galement suspect e chez G fuscipes quanzensis pour laquelle les pi ges monoco niques donnaient souvent de moins bons r sultats que les biconiques GOUTEUX non publi Ces premi res donn es ont permis d orienter les recherches et de tester un mod le bipyramidal l origine du pi ge mis au point pour ANDE L attractivit d un pi ge est proportionnelle sa surface visible 10 13 L adjonction d ailettes sur le pi ge bico nique exp riment e au Congo 10 augmente significati vement les captures Le nouveau mod le bipyramidal am liore ses performances par rapport au pi ge bico nique par un accroissement de sa surface attractive tout en adoptant la simplicit de la forme pyramidale qui per met d en r duire le co t Quel protocole exp rimental utiliser L exp rimentation en carr latin demande une rigueur et une attention extr mes En effet de tr s nombreux facteurs peuvent intervenir pour fausser les r
178. doit suivre imm diatement le retrait de leau Ceci explique le meilleur r sultat obtenu Tidjajiwen Pour indiquer le taux de germination des semences lors des essais en terrain pour In Enheren et Tidjajiwen avec le traitement semis et travail sec on s est bas sur le poids de 1 000 grains de semences Le pourcentage trou v en 1988 a t respectivement de 15 6 et 2 6 p 100 II est remarquer qu en 1988 le pourcentage de germina tion des semences test es en bo te de Petri savoir 25 5 p 100 est assez proche de celui obtenu sur le ter rain In Enheren savoir 15 6 p 100 Aucun effet significatif des traitements 1 2 et 3 n est apparu dans l analyse pour l ensemble des deux ann es D veloppement des plantes La biomasse produite en 1987 sur les plaines tudi es a t tr s faible car les pluies ont t insuffisantes La pro duction en grains a chou mais pour se rendre compte de l effet des diff rentes m thodes de r g n ration sur le d veloppement des plantes les observations portant sur la lev e et le tallage ont t enregistr es tabl VI A Ufebet les plantes des parcelles travaill es se sont av r es nettement plus longues 25 3 cm que celles des parcelles t moins 7 9 cm Le labour a aussi augment le tallage bien que ce r sultat ne soit pas significatif A In Enheren les plantes des parcelles travaill es en semis et pi tinement ne se sont pas d velopp es a
179. donne la description et le mode de fabrication du pi ge bipyramidal Ce pi ge fait actuellement l objet d un programme d valuation en vraie grandeur dans le cadre d une lutte anti ts ts autog r e par les leveurs semi nomades de R publique centrafricai ne Mbororo Il est d montable facilement transportable et ne demande aucune manipulation complexe Le prix de revient d un piege est d environ 30 FF au maximum 1 500 francs CFA Mots cl s Glossina fuscipes fuscipes Lutte anti insecte Pi ge bipyramidal Protection de l levage leveur Peul R publique centrafricaine INTRODUCTION eras Un des premiers imp ratifs de mise en place d une lutte anti ts ts autog r e par les leveurs est de disposer d un pi ge au co t relativement bas compatible avec le budget moyen d un leveur centrafricain et pouvant tre comp titif avec le co t des traitements pr ventifs et cura tifs des tryoanosomoses 3 Les d penses familiales moyennes en produits v t ri naires s l vaient en 1990 36 600 francs CFA par an 6 Une enqu te aupr s de la F d ration Nationale des Eleveurs Centrafricains FNEC montre que les trypano cydes B r nil Trypamidium Novidium repr sentent 65 a 75 p 100 des chiffres globaux de vente de ces produits 2 Le montant consacr la lutte contre les trypanosomoses est donc de 23 a 27 000 francs CFA Le pi ge pr alablement utilis en R publique ce
180. dorra y temblores de los miembros ante riores ocurrieron en uno de los animales la autopsia demostr una meningo encefalitis grave y la presencia de tripanosomas en el cerebro Dichos resultados confirman que 7 b brucei puede causar una enfer medad grave en los cerdos Palabras claves Cerdo Infecci n experi mental Tripanosomosis Trypanosoma brucei brucei Nigeria 301 Retour au menu E B Otesile S O Akpavie B O Fagbemi A O Ogunremi 282 REFERENCES A _____ A A a ee 10 11 12 13 AGU W E BAJEH Z T An outbreak of fatal Trypanosoma brucei brucei infection of pigs in Benue State of AER Trop Vet 1986 4 25 28 HERBERT W J LUMSDEN W H R Trypanosoma brucei A rapid matching method for delete estimating the host s parasi taemia Expl Parasit 1976 40 427 431 IKEDE B 0 HILL D H AKPOKODJE J U Clinicopathological changes in horse naturally infected with Trypanosoma bru cei Nig Vet J 1973 2 13 17 IKEDE B 0 LOSOS G J Trypanosomal meningoencephalomyelitis with localization of T brucei in the brain of a dog Trans R Soc trop Med Hyg 1972 66 357 IKEDE B 0 LOSOS G J Spontaneous canine trypanosomiasis caused by T brucei Meningoencephalitis with extravascular localization of trypanosomes in the brain Bull epiz Dis Afr 1972 20 221 228 ISOUN T T ANOSA V O Lesions in the reproductive organs of s
181. dromedarios de Djibouti parecen tener un deficit energ tico 63 7 mg 100 ml para el glucosis 0 025 mmol l para el BOH 0 17 mmol l para los cidos grasos libres pero el nivel nitroge nado alimenticio es globalmente satisfactorio urea 35 9 mg 100 ml albumina 32 7 g l Los l pidos plasm ticos colesterol fosfol pidos triglic ridos indican las particularidades metabolicas del dromedario respectivamente 19 5 22 4 y 26 6 mg 100 ml El factor geogr fico es preponderante sobre los factores zoot cnicos para explicar las dife rencias entre los perfiles observados Se discuten las caracter sticas de las cinco regiones con relaci n al perfil medio observado en los animales Palabras claves Dromedario Bioqu mica Enzima Tasa de elementos minerales Plasma Djibouti 1 ABDALLA O M WASFI L A GADIR F A The Arabian race camel normal parameters I Haemogram enzymes and mine rals Comp Biochem Physiol 1988 90 2 237 239 2 ABDO MSS HASSANIEN N M MANNA M E HAMED M Electrophoretic pattern of serum proteins in the Arabian camel Indian vet J 1987 64 10 841 844 3 ABU DAMIR H TARTOUR G ADAM E L Short communication mineral contents in livestock in Eastern Sudan Trop Anim Hith Prod 1983 15 15 4 AISSAOUI C Enzymes circulantes OCT GLDH GGT a localisation h patique chez la vache laiti re Facteurs de variation physiologiques
182. e gal compte tenu du gain en valeur absolue du poids de carcasse observ pour les entiers et les short scrotum Dans la seconde exp rience l avantage du castr en rendement d abattage est plus significatif car aucune diff rence n est observ e apr s retrait du contenu visc ral et de la grais se p rir nale Le fait que l entier et le short scrotum aient une t te et une peau plus lourdes que le Burdizzo influen ce galement la diff rence en rendement d abattage L absence de diff rence significative en graisse de rognons dans l exp rience 2 peut tre attribu e la dur e beaucoup plus courte que la pr c dente En valeur absolue la quantit dans les deux groupes est tr s inf rieure a celle observ e dans l exp rience 1 Les m mes remarques peuvent tre faites pour la graisse omentale Les diff rences significatives en d p ts majeurs de grais se interne graisse p rir nale et omentale dans la pre mi re exp rience expliquent les diff rences observ es en indice de consommation la fabrication de graisse n ces sitant beaucoup plus d nergie que celle des autres tissus 340 21 L indice de consommation des castr s de la secon de exp rience est galement influenc malgr le peu de diff rence de d p t adipeux observ 20 L indice de compacit est statistiquement diff rent dans les deux exp riences Les carcasses des b liers entiers et des short scrotum sont plus compacte
183. e puis congel d s le retour Djibouti ville au maximum apr s un d lai de cing jours 0 C 326 Analyses de laboratoire et choix des param tres Le statut min ral des animaux est recherch par dosage des macro l ments calcium magn sium et des oligo l ments cuivre zinc Ces param tres sont en partie d pendants du statut physiologique de l animal cas du calcium en d but de lactation et de l apport alimentaire Ces min raux ont t dos s par spectrophotom trie absorption atomique selon la m thode d crite par BEL LANGER et LAMAND 11 Pour les analyses biochimiques et enzymatiques on a utilis un analyseur transfert monocanal informatis Isamat Isa Biologie selon les m thodes classiques pr conis es pour ce type d appareil 8 14 18 19 Les para metres mesur s sont les indicateurs du statut nerg tique glucose 3 hydroxybutyrate BOH acides gras libres AGL les indicateurs du statut azot albumine ur e les indicateurs de l int grit organique en particulier du foie gamma glutamyl transf rase mot et glutamate d shydrog nase GLDH la c ruloplasmine Cp prot ine de transport du cuivre et t moin des processus inflammatoires D autres param tres de nature lipidique t moins du sta tut nerg tique des animaux triglyc rides cholest rol phospholipides sont mesur s respectivement selon les m thodes de BUCOLO et DAV
184. e sasoten Tabakat Enheren jourour jiwen 1988 1527 2 2 6 410 4 28 2 1 724 9 69 3 564 6 157 6 2 061 3 81 8 769 6 614 0 2 518 5 312 9 1 077 9 T moin 689 4 119 9 Semis en poquets Travail sec sans semis 1 121 4 777 5 Semis et travail a sec Semis et pi tinement Semis dans les fissures Sans semis travail l tat humide 8 Semis travail l tat humide 509 6 33 8 192 1 Y D Om A Q N 719 6 426 8 160 2 1 668 3 208 0 281 4 100 3 566 7 Moyenne ppds 5 p 100 Interaction M x L Indice de rendement P 100 3y E T moin O Semis en poquets E Travail sec YU Travail du sol Semis 20 E Semis et pi tinement PPDS 5 P 100 7 3 15 13 6 25 10 5 0 Fig 2 Indice de rendement Moyenne de trois localit s Besoin en main d oeuvre et productivit Une tude r alis e pour d terminer le besoin en main d oeuvre des diff rentes techniques indique qu un travail du sol la houe est une m thode exigeante Pour semer et effectuer un travail la houe d un sol sec il a fallu 63 h ha contre 39 h ha pour le semis en poquets Cette diff rence est en r alit plus importante car les hommes AGROPASTORALISME se fatiguent plus avec le semis et labour sec notam ment CISSE 4 donne un besoin en main d oeuvre de 450 h ha pour travailler un sol sec Pour valuer la productivit mo
185. e climat est caract ris par une grande saison des pluies avril juillet une petite saison des pluies septembre novembre et deux saisons s ches une grande d cembre mars et une petite juillet ao t 1 CREAT BP 27 Agou Gare Togo Regu le 18 9 1990 accept le 18 9 1991 Centre de Recherche et d Elevage d An tonou Togo Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 319 324 BIOLOGIE REPRODUCTION Involution ut rine et reprise de cyclicit post partum chez les femelles bovines trypanotol rantes Ndama et Baoul La saison de monte se situant entre f vrier et ao t les v lages sont enregistr s d s le mois de novembre jusqu au mois de mars avec un pic r gulier au mois de janvier La pr sente tude couvre la p riode allant du d but de la grande saison s che jusqu au d but de la grande saison des pluies On note une grande variation de l intervalle entre v lages cons cutifs chez les bovins trypanotol rants 3 Ce para metre varie en fonction de l origine des animaux de l ge du mois de v lage de l ann e du type d levage et de la pathologie La restauration de la cyclicit apr s v lage en est une composante essentielle 11 l intervalle v lage v lage d pend surtout de la reprise de cyclicit L objectif de ce travail est d tudier la dur e de l involution ut rine et la date de reprise de cyclicit post partum Ces donn es permettront par une meilleure gestion
186. e l levage en R publique centrafricaine I Mise au point d un pie adapt un milieu d le veurs semi nomades Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 287 294 6 LE MASSON C REMAYEKO A Les leveurs Mbororo tude socio conomique Bangui ANDE 1990 227 p 299 Retour au menu F Blanc J P Gouteux D Cuisance E Pounekrozou A Le Masson F N Dokoue M Mainguet F D Amico F Le Gall BLANC F GOUTEUX J P CUISANCE D POUNEKROZOU E LE MASSON A N DOKOUE F MAINGUET M D AMICO F LE GALL F La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafri caine HI Vulgarisation en milieu Mbororo Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 301 307 Les auteurs d crivent la probl matique du transfert de technologie que repr sente l adoption par les leveurs Mbororo de la lutte par pi gea ge Cette lutte est dirig e contre le principal vecteur des trypanoso moses du b tail Glossina fuscipes fuscipes et utilise le pi ge bipyrami dal La vulgarisation de cette technique s appuie sur les structures mises en place pour le d veloppement de P levage en R publique cen trafricaine Les voies et les moyens de cette vulgarisation sont d crits et comment s Mots cl s Glossina fuscipes fuscipes Lutte anti insecte Vulgarisation Transfert de technologie Pi ge bipyramidal lev
187. e la palpation transrectale des ovaires est surtout influenc e par la taille du tractus g nital et la sai son de v lage variation pond rale alors que la compo sante comportementale d pend non seulement du tau reau d vi et des femelles mais aussi de la fluctuation des poids corporels Certaines femelles cycl es d apres la composante hormonale ont chapp l int r t du tau reau d vi environ 6 p 100 au 10 jour post partum La composante hormonale appara t donc de loin la plus fiable car elle repose sur une r alit biologique mesurable et objective Effet de l ge L effet de l ge sur le d lai de reprise de l activit ovarien ne n est pas significatif DISCUSSION O es La dur e de l involution ut rine observ e chez les Baoul et les Ndama 1 mois est comparable ce que d autres auteurs ont d crit 1 2 4 La dur e de l involution ut rine varie en fonction de l ge rang de v lage 1 2 elle est 322 tardive chez les femelles g es L influence significative de la saison de v lage n a pas t observ e chez les deux races L efficacit de l observation biquotidienne des chaleurs est li e d une part la pr sence sexuelle du taureau d vi d autre part au dispositif marqueur Ainsi le tau reau d vi au cours de certaines tentatives pour se d barrasser du licol peut craser le marqueur ce qui n cessite un renouvellement r gulier des crayons mar q
188. e la prise en compte ou non de certaines parties de l animal Ceci se v rifie dans la premi re exp rience Tout d abord on y constate que le Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION TABLEAU III Exp rience 1 diff rents morceaux de d coupe en poids et pourcentage de la carcasse ressuy e pour les groupes BI TI et SS Param tre n 5 n 5 Valeur F Poids carcasse ressuy e kg Gigot moyenne en Kg en p 100 Selle en Kg en p 100 Epaule moyenne en Kg en p 100 Coffre en kg en p 100 Collier en kg en p 100 Arri re train complet en kg en p 100 TABLEAU IV Exp rience 2 diff rents morceaux de d coupe en poids et pourcentage de la carcasse ressuy e pour les groupes B2 et T2 Param tre Poids carcasse ressuy e kg Gigot moyenne enk en p cent Selle en kg en p cent Epaule moyenne en kg en p cent Coffre en kg en p cent Collier en kg en p cent Arri re train complet en kg en p cent m S 22 64 2 847 3 05 0 417 13 5 0 42 2 51 0 337 11 1 0 35 2 12 0 229 9 4 0 25 7 72 1 248 34 1 1 80 2 04 0 167 9 1 1 12 8 61 1 154 38 1 0 75 0 558 0 82 0 334 0 25 1 178 0 73 0 202 0 88 1 145 0 40 0 273 0 90 0 167 0 21 0 634 1 36 1 09 ns 42 59 5 90 3 11 ns 9 18 4 52 15 43 5 91 1 4
189. e las diferentes categorias de animales para evi denciar las ventajas de unos y otros conforme al mercado de la carne y de explicar algunas observaciones notadas anteriormente tratando se de ndices alimenticios Se constata que el inter s de matar ani males castrados con pinza es m nimo a pesar de algunas ventajas de rendimiento El m todo favorece el desarrollo proporcional del cuar to trasero que no tiene en el contexto local la misma importancia que en otra parte El precio del animal castrado es superior en el mercado lo que lo hace menos atractivos para el carnicero El animal castrado tiene generalmente m s grasa lo que causa indices de consu mo m s elevados Se comprob que el animal castrado parcialmente por el m todo del short escroto presenta rendimientos semejantes a los de moruecos enteros Palabras claves Carnero Poulfouli Morueco Castraci n Rendimiento a la matanza Descuartizamiento Camer n 342 ALVI A S The influence of sex status on the yield of retail cuts and carcass composition of sheep Fleischwirtschaft 1980 60 1 4 718 723 2 BOCCARD R DUMONT B L tude de la production de dE chez les ovins I La coupe des carcasses d finition d une d coupe de r f rence Annls Zootech 1955 9 355 363 3 BOCCARD R DUMONT B L LEFEBVRE J tude de la production de la viande chez les ovins X Relations entre la com position anatomique des dif
190. e poisson entra ne une diminution du co t de Fali ment tabl et Il Le calcul de la marge brute a t effec tu en supposant que les animaux pr sentant des malformations des pattes sont systematiquement cart s de la commercialisation qui s effectue sur pied Sur cette base on observe aue utilisation d aliment contenant 10 20 p 100 de GCDSG permet de diminuer le co t ali mentaire cependant seuls les aliments en contenant 10 ou 15 p 100 ont permis d augmenter la marge brute par poussin d marr par rapport l aliment t moin tabl V TABLEAU V valuation conomique Taux de GCDSG p 100 10 Total poussins d part 155 153 152 154 Co t total poussins 185 F CFA poussin Co t total aliment Co t total aliment poussins Morts Handicap s 7 Nbre poulets commercialis s 144 Poids moyen kg Recettes vente 600 F kg 140 836 144 893 1138 638 131 058 72 452 63 651 28 675 28 305 28 120 28 490 42 008 40677 38 066 38 917 70 683 68 982 66 186 67 407 8 2 6 8 Marge brute sur cout aliment poussins 70153 75 911 Marge brute par poussin d part 496 Poulets pr sentant une malformation quelconque des pattes DISCUSSION SEE Se Les performances pond rales acceptables r alis es au cours de cette tude avec des rations contenant des taux lev s de GCDSG crues montrent que ce produit est bien 358 valoris par les poulets de chair
191. e que les donn es soient normales ou que la transformation en racine carr e 02 soit la plus normalisante d o l int r t de tester pour chaque carr la transformation ad quate 289 Retour au menu J P Gouteux D Cuisance D Demba F N Dokoue F Le Gall TABLEAU I Comparaison de diff rents syst mes de capture a g voir texte et fig 1 nombre de G fuscipes fuscipes captu r es dans deux carr s latins exprim en pourcentage par rap port au syst me de r f rence cage Roubaud n total des cap tures F valeur du test F de Snedecor trans transformation normalisante F na test de non additivit de Tukey Les s pa rations indiquent des diff rences significatives avec le modele de r f rence a selon la m thode de Dunnett au seuil de 5 p 100 p f 228 b 185 b 217 d 178 C 175 g 141 d 153 Cc 137 e 125 f 130 a 100 a 100 n 362 235 F 5 046 5 345 Trans x log x 1 Fna 2 162 1 082 Diff rences significatives au seuil de 5 p 100 pi ge La mise en comp tition des syst mes d et f ne montre pas de diff rence khi 2 04 La m me m tho de confirme l quivalence des sacs avec p trole d ou insecticide c Le d nombrement des mouches mortes recueillies dans le bas du pi ge permet d estimer la proportion des ts ts chapp es Seules quelques mouches 10 p 100 peu vent ressortir du syst me b contre 32 p 100 avec la nasse f et 56 p 100
192. echerches entreprises tout particuli rement au Royaume Uni pour acqu rir des connaissances sur la BSE qui permettent de concevoir des mesures sanitaires propres liminer tout risque aussi hypoth tique soit il de transmission de la maladie l homme et aux animaux D s 1988 d butaient en Grande Bretagne des tudes pid miologiques visant d terminer l origine de cette affection Les r sultats ont permis de conclure que les bovins avaient t expos s l agent d une enc phalopathie spongiforme transmissible EST par l interm diaire d aliments contenant des prot ines de ruminants en l occurrence des farines de viande et d os Des incertitudes subsis tent encore quant l identit de cet agent il s agirait soit de celui de la tremblan te du mouton soit d un agent causant une EST adapt e aux bovins L augmentation de l exposition l agent au sein de la population bovine du Royaume Uni a r sult selon toute vraisemblance de modifications survenues en 1981 82 dans les techniques de fabrication d aliments pour le b tail Dans la plupart des usines de retraitement des d chets d origine animale l arr t de Putili sation de solvants pour extraire les graisses a jou un r le essentiel En ce qui concerne les caract ristiques de la maladie la BSE ressemble a la tremblante par sa longue p riode d incubation deux huit ans au moins ses 257 258 Retour au menu sympt mes son incidence selon l
193. elle de l esp ce Hm aci culifer a t trouv e Mots cl s Tique Bovin Localisation Dynamique saisonni re Cameroun INTRODUCTION EE a sl L am lioration de l levage des bovins en Afrique se heurte a plusieurs obstacles parmi lesquels les maladies transmises par les tiques Nombre d auteurs ont valu les dommages causes par ces acariens 1 7 Il en res sort que la lutte contre les agents pathog nes doit com mencer par un contr le syst matique des tiques Or la difficult rencontr e dans ce contr le r side dans le fait que pour chaque esp ce il est important de conna tre sa biologie et son r le vectoriel 13 C est dans cette perspective que des tudes ont t men es au Cameroun RAGEAU 19 20 puis MOREL et MOUCHET 15 16 ont identifi les diff rentes esp ces de tiques et leur r partition g ographique Les travaux de MBAH 9 dans le nord du pays et de MERLIN et al 11 dans le nord ouest ont permis de d terminer respectivement les mortalit s du b tail dues aux tiques et leur dynamique saisonni re La r gion de Yaound est une zone de for t quatoriale o il existe un int r t croissant pour l levage de la race bovine Ndama Peu de donn es y existent sur les Ixodoidea pou vant entretenir certaines enzooties Cette tude a pour 1 Institut de recherches zootechniques BP 1457 Yaound Cameroun Adresse actuelle University of Reading Department of Agriculture
194. emercions particuli rement les Drs M THIBIER et P CHICOTEAU pour leur collaboration Ce travail a t financ par le projet FAO GCP RAF 190 IEA DJABAKOU K GRUNDLER G LARE K Involuci n uterina y nuevo ciclo post partum en hembras tripanotolerantes Ndama y Baoul Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 319 324 Se estudi la reproducci n de 30 hembras Ndama y 30 hembras Baoul pastoreando Panicum maximum en el centro de Investigaciones y de Ganader a de Avetonou Togo CREAT locali zado en la zona sudano guinea de Africa occidental Los partos ocur rieron durante dos estaciones 17 hembras Ndama y 15 hembras Baoul parieron durante la estaci n seca diciembre enero 13 hem bras Ndama y 15 hembras Baoul a principios de la estaci n lluviosa febrero marzo Las hembras que parieron durante la estaci n seca perdieron unos 10 p 100 del peso al d a 30 post partum las que parieron a principios de la estaci n lluviosa s lo unos 2 p 100 La estaci n de parto no influencia la duraci n de la involuci n uterina P gt 0 05 Por termino medio se acaba la involuci n global del tero a 31 4 d as post partum en los Ndama y a 30 7 d as en los Baoul La influencia de la edad sobre la involuci n uterina es significativa P lt 0 05 es m s r pida en las jovenes de 4 5 anos Basandose sobre el comportamiento se nota que 50 p 100 de las hembras Baoul y Ndama tienen el ciclo respectivamente
195. ennes m les et femelles de la Province de Khartoum on a not l apparition d une maladie causant la mort soudaine de 18 animaux en bonne sant apparente 11 femelles et 7 m les g s de 3 6 ans Des douves adultes Fasciola gigantica ont t trouv es dans le foie de tous les animaux malades et pour sept d entre eux des kystes de Cysticercus tenuicollis Les foies ont r v l des changements importants histopathologiques et des foyers de n crose Clostridium novyi type B a pu tre isol partir des zones de n crose dans tous les foies et s est r v l hau tement toxique et pathog ne pour les animaux de laboratoire Le diagnostic a t celui de l h patite infectieuse n crosante ou black disease L examen des f ces a confirm la pr sence d oeufs de F gigantica et des lymn es Lymnaea natalensis ont t trouv es en abondance dans les canaux d adduction d eau Comme la province de Khartoum est consid r e comme une zone d end mie de l h patite infectieuse n crosante la vaccination syst matique des ch vres et des moutons est hautement recommand e pour lutter contre cette affection Mots cl s Ch vre H patite infectieuse n crosante Clostridium novyi type B Fasciola gigantica Soudan Introduction and case history An outbreak occurred among 425 female and male Nubian goats of the Khartoum province in the El Kabashi area The goats were 3 6 years old The owners reported
196. entro de Investigaciones zoot cnicas de Wakwa Camer n se estudi la influencia de dosis reducidas de nitrogeno y de diferentes frecuencias de corte sobre Brachiaria ruziziensis Germain y Evrard Se utiliz una distribuci n factoriel con siete dosis bajo forma de sul fato de amoniaco a 21 p 100 0 40 60 70 80 y 90 unidades de nitro geno por hect reo y tres frecuencias de corte 30 45 y 60 d as repe tida cuatro veces Los resultados de tres a os mostraron que la fertilizaci n nitrogenada aseguraba una aumentaci n significativa P lt 0 01 de la producci n forrajera de Brachiaria ruziziensis pero sta no regular Las parcelas no fertilizadas producieron de 1985 a 1987 respectivamente 2 36 2 31 y 1 19 t de MS por un m ximo de 3 94 4 18 y 3 46 t de MS para las parcelas fertilizadas con dosis res pectivamente de 90 80 y 80 unidades de N por ha sea una aumenta ci n con relaci n a los testigos de 66 80 y 76 p 100 Estos resultados relativamente satisfactorios no son tan interesantes como los obteni dos con nitrogeno en presencia del f sforo y del potasio El ajusta miento polinomial de los datos medios tambien di buenos resultados como lo muestran los coeficientes de determinaci n R 0 84 en 1985 0 87 en 1987 y 0 90 en 1986 relativamente elevados Las frecuencias de corte de 30 y 45 d as resultaron los m s regulares Durante el per iodo de estudio sin embargo no se constat ninguna diferencia signi ficat
197. ervations montrent que la r duction des densit s de ts ts en saison s che n est significative qu au bout d un mois Cependant d faut d puiser les populations de G f fuscipes l action du pi ge se traduirait par un impact sur la transmission des trypanosomoses en diminuant le contact b tail ts ts et en liminant les glossines g es qui sont pid miologiquement les plus dangereuses Dans cette optique le pi geage a pour but d am liorer la situation sanitaire du lieu et non l radication des popula tions de ts ts La vulgarisation consiste faire conna tre cet outil a r a liser sa diffusion dans le milieu leveur et promouvoir son utilisation ad quate La R publique centrafricaine dispose pour cela de deux puissantes infrastructures PANDE et la FNEC LA TECHNIQUE DE PI GEAGE UNE INNOVATION SIMPLE CAE GENTIL 8 propose une typologie des innovations bas e sur les caract ristiques suivantes importance des changements apport s l innovation est elle simple irradiante ou s agit il d un syst me coh rent de techniques le rapport co t efficacit en argent et en temps de travail Cet aspect est en cours d tude et fera l objet du prochain article de cette s rie 302 le risque encouru la rapidit du resultat Pinnovation r sulte des discussions et des exp rimenta tions avec les leveurs et appara t comme une r ponse aux probl mes
198. es taient encore jeunes A Akarkara et Ufebet le semis dans un sol humide n a pu tre effectu en raison du manque d eau Les resul tats sur ces sites mettent en vidence le caract re indis pensable du semis pour obtenir une r g n ration des plaines fonio tabl IV Les r sultats de 1988 indiquent la m me tendance que ceux de 1987 tabl V Les densit s obtenues apr s un semis ont t plus lev es en 1988 qu en 1987 ce qui peut s expliquer par de meilleures conditions hydriques et par l augmentation de la quantit de semences cette ann e l Cependant la densit la plus lev e not e au TABLEAU IV Nombre de plantes par n observ es suivant les diff rentes m thodes de r g n ration et dans les diff rentes localit s en 1987 M thode de r g n ration In Enheren T moin Semis en poquets Semis et travail du sol sec Semis et pi tinement Sans semis travail l tat humide Semis travail l tat humide Semis en cuvettes Semis la vol e BN N ONJANO0OC0O O O IQ amp ND gt Hb o0ooo0oUNnooo Moyenne 11 ppds 5 p 100 E 20 Interaction M x L Tin Tabakat Akarkara Ufebet Moyenne 0 0 9 7 0 0 7 2 4 2 1 6 30 1 0 0 26 8 14 2 1 6 17 6 26 1 120 9 41 5 0 4 3 9 5 0 4 0 0 9 51 6 20 0 6 n s n s Lev e en 1987 Lev e sur le m
199. es 20 21 Il est simple ment rappel que abattage des animaux des deux expe riences a eu lieu au m me ge soit 15 mois age moyen auquel 67 5 p 100 des b liers sont commerciali s s sur les march s de la r gion 23 Le groupe de b liers de la premi re exp rience castr s partiellement par la m thode du short scrotum sera intitu l SS les groupes d entiers T1 ou T2 suivant exprriente et les castr s Burdizzo B1 et B2 Procedure d abattage et de d coupe l abattage se d roule sur dix jours L ordre d abattage des b liers est d fini par un tirage au sort pr alable Apres avoir je n pendant 24 h l animal est saign par rupture des veines jugulaires et des art res carotides sans tourdissement pr ablable La carcasse chaude est ce qui reste de l animal apr s d pouillement visc ration et ablation de la t te et des pieds La t te est s par e de la carcasse entre l occipital et la premi re vert bre cervi cale les pieds de devant sont sectionn s entre le carpe et le m tacarpe et les pieds de derri re entre le tarse et le m tatarse La carcasse n est pas fendue et la queue est maintenue enti re avec le toupillon Les testicules sont enlev s Les rognons et la graisse p rir nale n tant nor malement pas enlev s Maroua deux sous types de carcasse chaude sont consid r s un avec rognons et graisse p rir nale et l autre sans Apres retrait de ces derniers la
200. es Grand Bara Sud ee Para males l Afar peca p riurbains Ali Sabieh Ouest Dies Cuivre 59 67 ug 100 ml Zinc 52 96 ug 100 ml Calcium 9 39 mg 100 ml Magn sium 1 90 mg 100 ml Glucose 98 75 62 33 49 8 mg 100 ml BOH 0 037 0 018 0 008 mmol l Ur e 55 57 46 81 42 91 mg 100 ml Albumine 34 25 32 8 32 05 g l C ruloplasmine 35 17 36 33 65 UO AGR 0 145 0 204 0 139 mmol l Cholest rol 21 25 20 28 17 77 mg 100 ml Phospholipides 24 25 22 55 19 42 mg 100 ml Triglyc rides 11 79 34 39 25 52 mg 100 ml 5 7 8 8 8 5 UI 3 0 27 4 16 4 UI TABLEAU III Matrice des corr lations entre les diff rents param tres plasmatiques mesur s sur le dromadaire Djibouti Seuil de signification 1 p cent pour les chiffres en caract res gras et 5 p cent pour les autres Triglyc rides Cholest rol Phospholipides 219 BOH Glucose AGL 296 Ur e Albumine 339 C ruloplasmine Cuivre Zinc Calcium 361 Magn sium Gamma GT 290 GLDH 439 361 294 TRG CHO PHO BOH GLU URE ALB CER CUI ZIN CAL 328 Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION TABLEAU IV Valeur de F pour les variables significativement discriminantes de la population cameline en fonction de Page deux niveaux adulte et jeune du sexe deux niveaux male ou femelle et de la r gion cing r gions Age Parametres Parametres discriminants Triglyc rides C ruloplasmine Zinc
201. es Ndama la saison de v lage n a pas une influen ce significative P gt 0 05 Ces d lais en fonction de la race respectivement de 60 et 52 jours apr s le part pour les Baoul et les Ndama cycl es pendant la saison s che ne sont pas significati vement diff rents P gt 0 05 De m me au d but de la saison des pluies ils sont sensiblement identiques chez les deux races En prenant l acceptation du chevauche Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION ment comme critere des manifestations cycliques la pr cocit sexuelle apr s le part est de 49 jours chez 50 p 100 des Baoul et de 44 jours chez 50 p 100 des Ndama cycl es Critere ovarien Cette composante est celle du clinicien 15 Des ovaires de petite taille pois haricot noisette ont t palp s chez plus de 50 p 100 des femelles Ndama et Baoul mais cet indice ne permet pas d affirmer que l animal est en anoestrus Du fait de la petite taille des ovaires des fluc tuations molles sugg rent des follicules pr ovulatoires Des corps jaunes ont t palp s tant chez les vaches vues en chaleur que chez les autres sur environ la moiti des deux races La r partition des femelles estim es tre cycl es pr sence des corps jaunes d apr s cette com pasante est la suivante 20 jours post partum 6 p 100 des femelles Baoule et 8 p 100 des Ndama 30 jours post partum 13 p 100 des Baoul et 14 p 100 des Ndama 40
202. es Pays membres a pris note de ce rapport en mai 1991 et a demand que les recommandations labor es par le groupe ad hoc fassent l objet de dis 259 260 Retour au menu positions inclure dans le code zoo sanitaire international recueil des r gles sanitaires recommand es par OIE dans les changes internationaux d animaux et de produits animaux La commission du code zoo sanitaire international avec l aide des membres du groupe ad hoc a tabli un projet de chapitre particulier sur la BSE auquel a t adjoint un document tr s d taill justifiant chacune des mesures codifi es Ce projet de chapitre sera soumis l approbation du Comit international de POIE lors de sa prochaine session g n rale en mai 1992 En cas d accord il constitue ra la position officielle de l OIE sur ce sujet Le groupe ad hoc et la commission du code ont cependant laiss en suspens les probl mes li s l usage de produits d origine bovine a des fins th rapeutiques chez l homme ou les animaux car ils ont consid r s que ceux ci taient essen tiellement du ressort de l Organisation mondiale de la sant OMS L OMS pleinement consciente des interrogations soulev es dans nombre de pays a organis une r union de sp cialistes en novembre 1991 Les recomman dations labor es au sein de l OIE ont t approuv es lors de cette r union qui a permis d tablir des directives sur l limination de tout risque professionnel m
203. es Zootechniques de Wakwa 12 parmi lesquelles seule Brachiaria ruzizien sis a fait une lente p n tration chez certains leveurs Brachiaria ruziziensis est une gramin e p renne qui dans de bonnes conditions de culture et sans fertilisation peut produire 3 4 t ha de mati re s che sur les collines et pla teaux a pres de 19 t ha MS en moyenne dans les bas fonds 10 Diff rentes tudes ont montr que les plantes fourrag res r pondaient de mani re variable la fertilisa tion Dans certains cas elle peut entra ner une importante augmentation de la production fourag re 1 2 5 17 dans d autres cas cette fertilisation semble l augmenter tr s peu 13 16 Les travaux men s sur B ruziziensis 14 17 Wakwa ont montr que ce fourrage y r pondait assez bien Ces tudes ont cependant t conduites avec diff rentes associations d engrais parfois des doses lev es Dans le contexte conomique actuel il semble peu probable de voir les leveurs adopter cette pratique L azote est g n ralement consid r comme un facteur de rendement favorisant la croissance des tissus des v g taux et il est apparu n cessaire de rechercher quelle pou vait tre la r ponse de B ruziziensis de faibles doses d azote seul et a differents rythmes d exploitation ENVIRONNEMENT l L tude a t conduite dans le parc V3 de la Station de Recherches Zootechniques de Wakwa situ une altitu de moyenne de
204. es p riodiquement ou lors de l vacuation du trop plein des captures COUT DU PI GE EN R PUBLIQUE CENTRAFRICAINE LL Mat riaux Tulle moustiquaire le prix d achat hors taxes du metre en France est de 5 60 FF Le prix d achat rendu Bangui incluant tous les frais annexes transport transitaire est d environ 8 FF m 400 F CFA m soit pour un pi ge 6 FF Plastique bleu et noir le prix d achat hors taxes du kg en France est de 26 50 FF 1 kg 12 5 m environ soit un prix de revient Bangui incluant tous les frais annexes d environ 3 FF m 150 F CFA soit pour un pi ge environ 3 FF pour le noir et 7 FF pour le bleu Autres mat riaux et accessoires le prix des autres mat riaux achet s sur place pour la fabrication d un pi ge est le suivant K Othrine 0 16 FF ficelle 0 34 FF bouteilles 2 00 FF fil coudre 0 10 FF soit un total de 2 60 FF Le co t de la totalit des mat riaux d un pi ge est donc de 18 60 FF soit environ 20 FF ou 1 000 F CFA Fabrication Le prix pay par unit au tailleur est de 6 FF auquel on peut ajouter comme frais annexes et participations diverses 4 FF ce qui fait un total de 10 FF par pi ge Le co t total d un pi ge est donc de 30 FF ou 1 500 francs CFA GOUTEUX J P Control of Glossina fuscipes fuscipes by traps to pro tect livestock in the Central African Republic II Characteristics of the bipyramidal trap Revue Elev M d v t Pays trop 1991
205. es perfor mances de b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1990 43 2 187 191 THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influence de la castration partielle et totale sur les performances de croissance et de conversion alimentaire de b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1989 42 2 267 274 THYS E HARDOUIN J VERHULST A Aspects conomiques de l application de la castration partielle ou totale sur les b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 2 215 220 THYS E NJOBDI O AHMADOU N WADUKA D OUMAROU J DJIBRILLA S WOUYIE D Observations sur la commercialisation des ovins dans le d partement du Diamar Province de l Extr me Nord Maroua DPEPIAEN CNEZV 1988 VAN DE VOORDE G VERBEKE R Conformatie en karkas karakteristieken bij slachtrunderen Landbouwtijdschrift 1979 32 1 115 126 343 Retour au menu ALIMENTATION NUTRITION Digestibilit in vitro et d gradabilit in situ dans le rumen de ligneux fourragers disponibles sur p turages S T Fall naturels au S n gal Premiers r sultats FALL S T Digestibilit in vitro et d gradabilit in situ dans le rumen de ligneux fourragers disponibles sur p turages naturels au S n gal Premiers r sultats Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 345
206. es than in females lt may be concluded that this disease is prevalent in the Nsukka area of Nigeria and results in a high morbidity and mortality in turkeys It was shown that when applied early chloroquine phosphate or pyrimethamine was effective in the treatment of this disease Acknowledgements The authors appreciate the contributions of Professor K S HEGDE of the Department of Veterinary Parasitology and Entomology University of Nigeria Nsukka in assisting in the interpretation of slides and Mr 285 Retour au menu Communication A B CHIME chief Laboratory Technologist and Mr C ANYAOHA of the Veterinary Teaching Hospital U N N for their technical assistance ORAJAKA L J E ANENE B M DIKE M C Prevalence of malaria parasites in turkeys of the Nsukka area in the Anambra State Nigeria Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 283 286 Blood smears of 202 turkeys 94 males and 108 females in the Nsukka area Nigeria were examined for malaria parasites Among the turkeys examined 44 1 95 confidence interval 0 441 0 069 were infected with Plasmodium spp 46 8 males and 41 7 females A total of 175 adults and 27 growing turkeys aged 6 16 weeks were examined and 45 7 and 33 3 respectively were infected Twenty out of 60 reared turkeys under intensive management systems and 65 of 142 turkeys managed semi intensi vely were infected The mean PCV value for the infected turkeys was 29 95
207. est difficile d expliquer ces diff rences En ce qui concerne les gousses de B rufescens des r sultats sup rieurs 51 contre 39 p 100 ont t obtenus par le m me auteur L tat actuel de nos r sultats ne permet pas d interpr ter ces diff rences ainsi que les variations de digestibilit de Securinega virosa chantillons r col t s la m me p riode et celles de Balanites aegyptiaca entre les r coltes de juillet et novembre La place qu occupent ces esp ces dans les cosyst mes pasto raux sah liens justifie la poursuite des analyses pour pr ciser la cause de ces variations Les DIVMS et DIVMO ont une volution parall le La dif f rence plus importante entre DIVMS et DIVMO observ e chez les ligneux par rapport aux fourrages classiques doit r sulter du fait que les ligneux sont probablement plus riches en min raux solubles dans le m lange salive artifi cielle et jus de rumen La d gradabilit de la mati re s che est un crit re assez int ressant pour appr cier app tibilit gale l ingestibi lit des aliments En effet la quantit ing r e est en troi te liaison avec la vitesse de d gradation de la mati re s che dans le rumen I faudrait cependant associer cette derni re avec la pr sence ventuelle de substances cer Retour au menu taines pouvant tre toxiques et antinutritionnelles qui peuvent limiter app tibilit des es
208. et tr s variables mais comparables nos observations 2 12 37 ll en est de m me pour l albumin mie 28 37 La calc mie et la magn s mie apparaissent tout a fait comparables aux valeurs de la litt rature pour le droma daire 12 37 41 46 et comparables a celles des bovins 3 25 Les valeurs plasmatiques en oligo l ments cuivre zinc peu nombreuses dans la litt rature oscillent dans la majorit des cas entre 70 et 120 ug 100 ml 1 3 21 24 43 46 ce qui correspond aux valeurs g n ralement observ es chez les bovins bien que la comparaison inter esp ce dans une m me zone g ographique indique 330 que les dromadaires pr sentent en moyenne des cupr mies plus lev es 22 23 43 Les valeurs moyennes relev es Djibouti paraissent donc plut t plus faibles moy 60 7 19 100 ml mis part les r sultats de FAYE et GRILLET 23 dans la vall e de l Awash en Ethiopie moy 45 ug 100 ml Les taux de zinc plasmatique observ s a Djibouti sont tres inf rieurs ceux relev s par divers auteurs 21 24 31 Seuls les r sultats d ABDALLA et al 1 sont compa rables moy 41 ug 100 ml z z On dispose de tr s rares donn es sur les enzymes h pa tiques du dromadaire ELDIRDIRI et af 20 observent des taux de GGT l g rement sup rieurs aux n tres 19 6 5 0 Ul I mais proches de ceux d ABDALLA et al en 1988 18 0 7 4 UI l alors que ORLIAC 37 rel ve des
209. eur Mbororo R publique centrafricaine INTRODUCTION D Apr s la mise au point par GOUTEUX et al 10 d un outil adapt le pi ge bipyramidal 9 l Agence Nationale de D veloppement de l Elevage ANDE d butait en sep tembre 1990 sa diffusion parmi les leveurs en RCA D s sa conception le programme de lutte contre les ts s avait pour objectif la prise en charge financi re et tech nique par les leveurs de la lutte par pi geage Ceci constituait une innovation puisque la lutte antivectorielle pour la protection de l levage n a jamais d pass en Afrique centrale le cadre des services sp cialis s 1 Kitchener House 6 Garden terrace EH16 5QH Edimburgh cosse Royaume Uni 2 ORSTOM BP 893 Bangui R publique centrafricaine 3 IEMVT CIRAD c o ORSTOM BP 5045 34032 Montpellier Cedex France 4 ANDE BP 1509 Bangui R publique centrafricaine Recu le 6 5 1991 accept le 18 9 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 301 307 ENTOMOLOGIE La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection _ de l levage en R publique centrafricaine III Vulgarisation en milieu Mbororo Apres un bref rappel des caract ristiques de l levage Peul en R publique centrafricaine et les exigences du pi ge ts ts la technique du pi geage est analys e en la comparant une grille des innovations Apr s la des cription des moyens disponibles les voies e
210. f rentes r gions de l agneau Annis Zootech 1976 25 1 95 110 4 BOCCARD R DUMONT B L PEYRON C tude de la production de la Winnie chez les ovins VII Relations entre les dimensions de la carcasse d agneau Annis Zootech 1964 13 367 378 5 BOCCARD R DUPLAN J M Etude de la production de la viande chez les ovins III Note sur l influence de la vitesse de croissance sur la composition corporelle des agneaux Annis Zootech 1961 10 31 38 6 BUTTERFIELD R M REDDACLIFF V J THOMPSON J M ZAMORA J WILLIAMS J Changes in body composi tion relative to weight and maturity of Australian Dorset horn rams and wethers 2 Individual muscles and muscle groups Anim Prod 1984 39 259 267 7 BUTTERFIELD R M ZAMORA J THOMPSON J M REDDACLIFF K J Changes in body composition relative to weight and maturity of Australian Dorset horn rams and wethers 1 Carcass muscle fat and bone and body organs Anim Prod 1984 39 251 258 8 DE WILDE R Studie van een methode ter bepaling van eiwit en energieretenties bij mestvarkens at op karkasanalyse Mededelingen Faculteit Diergeneeskunde Rijksuniversiteit Gent 1977 20 3 4 9 DINEUR B OUMATE O THYS E Enqu te PAE sur l levage des ovins caprins dans Extr me Nord Cameroun Maroua FONADER 1985 10 EGAN J P RUSSELL D W Growth and wool production of wethers and induced cryptorchids in a Poll Merino flo
211. g n ration par an STRICKLAND et al 21 qui ont valu le cycle minimal de A variegatum 141 jours pensent que dans les r gions a deux saisons des pluies cette tique peut pr senter deux g n rations par an Ce n est pas le cas ici a cause des phases jeun parfois tr s longues pass es au sol 315 Retour au menu P H Bayemi Du point de vue pathologique une seule nymphe ou un adulte infect e et gorg e est capable de transmettre la cowdriose 3 Cette maladie peut tre d pist e pendant toute l ann e La pullulation des adultes en mars avril entra ne des riques de dermatophilose Boophilus Les courbes de variation des deux esp ces B decolora tus et B annulatus peuvent se superposer Quoique B annulatus soit moins abondante ces deux tiques sont sensibles de mani re synchrone aux facteurs les affec tant B annulatus ne profite pas de la baisse de l inciden ce de B decoloratus pour prendre sa place sur l h te 8 L accroissement de l infestation des Boophilus aux sai sons s ches 21 peut tre d au fait que la p riode d ovi position se r duit avec l augmentation de la temp rature 4 la dur e du cycle est donc r duite et il y a pullulation des adultes D autre part en fin de saison s che l affai blissement des animaux diminue leur r sistance aux tiques qui vont se fixer en grand nombre et se gorger plus rapidement 11 Le genre Boophilus est vecteur de bab siose et d
212. ge son volution Les l sions anatomopatho logiques rappellent aussi celles de cette maladie ainsi que d autres EST chez d autres esp ces Des diff rences existent cependant entre la BSE et la tremblante la transmission maternelle constitue un v nement exceptionnel en ce qui concerne la BSE parmi les tentatives de transmission par voie orale ou par inoculation intrac r brale la souris d une grande vari t de tissus provenant de cas confirm s de BSE seules celles ayant fait appel de la mati re c r brale ont ce jour t concluantes Les pays atteints ont mis en place des mesures nationales de lutte contre la maladie en tenant compte de l ensemble de ces informations Celles ci se res semblent bien des gards elles pr voient toutes l obligation de d clarer toute suspicion de BSE d abattre les animaux concern s et de d truire leur carcasse en cas de confirmation du diagnostic l instauration de syst mes de surveillance pid miologique permettant de r per torier si possible tous les cas gr ce une information appropri e des leveurs des v t rinaires praticiens et des agents des services v t rinaires intervenant sur le terrain la mise en place de circuits permettant aux laboratoires habilit s pratiquer les examens anatomopathologiques n cessaires au diagnostic de recevoir l enc phale des bovins suspects l interdiction de nourrir les bovins avec des farines
213. heep and goats infected with T vivax Tropenmed parasit 1974 24 469 476 trypanosomiasis London George Allen and Unwin 1970 Pp 751 773 MURRAY M MORRISON W L WHITELAW D D Host susceptibility to African trypanosomiasis In BAKER J R MULLER R ed Advances in parasitology London New York Academic Press 1982 21 16 86 MURRAY M TRAIL J C M GROOTENHUIS J G Trypanotolerant livestock potential and future exploitation Outlook on Agriculture 1984 13 43 51 McLENNAN K J R The epizootiology of trypanosomiasis in livestock in West Africa Jn MULLIGAN H W ed The African RICKMAN L R ROBSON J The testing of proven Ti ypanosoma br cei and rhodesiense strains by the blood incubation infec tivity test Bull WHO 1970 42 911 916 STEPHEN L E Pig trypanosomiasis in Africa Commonwealth agricultural bureaux Farnham Royal 1966 P 05 STEPHEN L E Clinical manifestation of trypanosomiasis in livestock and other domestic ou In MULLIGAN H W ed The African trypanosomiasis London George Allen and Unwin 1970 Pp 774 794 VOHRADSKY F Clinical signs daily rate of infection physical changes of the blood and pathomorphological changes in cattle artificially infected by Trypanosoma vivax Revue Eley M d v t Pays trop 1971 24 251 263 Retour au menu Communication Prevalence of malaria parasites in turkeys of the Nsukka area in the Anam
214. hes g es de 7 ans ou plus recouvrent leur ut rus P 100 de femelles 5 7 Age ans MI Ndama Baoul Fig 2 R partition p 100 en fonction de l ge des Baoul et des Ndama ayant termin l involution ut rine 30 jours post partum Reprise de l activit ovarienne Critere comportemental Le comportement oestral a t essentiellement reconnu par l acceptation du chevauchement Au vu des r sultats des manifestations d oestrus obtenus partir des observations biquotidiennes on remarque que les vaches en chaleur sont suivies par le taureau d vi et m me par les veaux surtout au d but de la sai son des pluies Dans la journ e les femelles en chaleur broutent pr s du taureau En fonction des saisons de v lage la diff rence entre les pourcentages moyens des femelles Baoul et Ndama cycl es par la composante comportementale est signifi cative P lt 0 05 Cette diff rence se traduit par un allon gement de la p riode de reprise de cyclicit chez les Baoul 60 jours contre 38 pour celles qui ont v l au d but des pluies et les Ndama 52 jours contre 36 qui ont v l pendant la saison s che Cette pr cocit de la reprise est appr ci e par le d lai moyen apr s v lage au terme duquel 50 p 100 des parturientes ont t vues au moins une fois en chaleur Ce d lai de reprise de cyclicit selon les saisons est significativement diff rent P lt 0 05 chez les Baoul chez l
215. idifi e puis la filtra tion Sous vide avec un creuset Alundun n 3 pr alable ment tar Apr s dessiccation puis calcination les pourcentages de mati re s che et de mati re organique disparus repr sentent respectivement la digestibilit in vitro de la mati re s che DIVMS et celle de la mati re organique DIVMO Chaque chantillon est incub en 345 S T Fall TABLEAU I Digestibilit in vitro des ligneux Premiers r sultats Valeurs moyennes extr mes DIV p 100 chantillons L gumineuses Mimosaceae A ataxacantha A nilotica A nilotica A senegal A seyal A A Sieberiana tortilis tortilis 0 111010 1 710 Caesalpiniaceae Genre Bauhinia B rufescens B rufescens Genre Cordyla C pinnata F Genre Piliostigea P reticulata JP aon Papilionaceae Genre Pterocarpus P erinaceus F Autres familles Anacardiaceae Genre Heeria H insignis Genre Sclerocarya S birrea TI Asclepiadaceae Genre Calotropis C procera FL C procera F Balanitaceae Genre Balanites B aegyptiaca TI Bombacaceae Genre Adansonia A digitata Genre Bombax B costatum F Capparidaceae Genre Boscia B senegalensis FR Genre Maerua M angolensis F Combretaceae Genre Anogeissus A leiocarpus F AD U le COND N POR 61 33 53 88 12 12 56 66 50 81 30 39 50 36 42 43 53 30 37 51 56
216. ids de l animal Les gigots sont plus lourds mais l int r t conomique pour le boucher n appa ra t pas dans le contexte local 19 Le cinqui me quartier qui est galement important pour le boucher de la r gion ne pr sente pas de diff rence notable entre les diff rents types d animaux On peut donc conclure que l int r t d abattre un castr est minime pour le boucher Les chiffres collect s sur les march s et pr sent s dans une pr c dente publication 22 ont montr que le castr co tait sur pied environ 20 p 100 plus cher que le b lier entier Le castr par la m thode du short scrotum a dans l ensemble des performances tr s proches de celles de l entier REMERCIEMENTS Be e a Nous remercions le Dr J DE BORGHGRAVE de l Institut de M decine Tropicale d Anvers pour l introduction la section d abattage et de d coupe des petits ruminants de l abattoir de la ville d Anvers Nous remercions galement le Pr R DE WILDE de la Facult de M decine V t rinaire de l Universit de Gand ainsi que MM H DE RIJCKE et E MAES pour l analyse chimique des gigots 341 Retour au menu E Thys J Hardouin A Verhulst THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influence of partial and full castration on the slaughter parameters and on meatcuts of Poulfouli rams of the Far North Cameroon Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 335 343 Within the study on the influence of partial and full ca
217. iff rences li es au sexe Dans l chantillon on remarque une repartition bimodale des valeurs en magn sium plas matique Les taux observes mg 100 ml chez les femelles sont significativement plus faibles que chez les males 1 1 0 6 vs 2 3 0 2 mais on ne rel ve aucune difference li e a l ge Les valeurs du cuivre et du zinc plasmatique ug 100 ml indiquent une grande dispersion avec une distribution normale La cupr mie chez les dromadaires adultes est significativement plus faible que chez les jeunes 56 4 25 7 vs 68 8 15 9 et moins lev e chez les temelles que chez les males 55 4 21 8 vs 83 1 16 2 cn ne note aucune diff rence pour le zinc Le taux de c ruloplasmine unit s oxydasiques est inf rieur chez les animaux adultes 34 4 2 8 vs 36 6 2 8 et chez les femelles 34 7 2 6 vs 38 9 1 2 l instar de ce qui se passe pour la cupr mie avec laquelle la c rulo plasmine est corr l e Param tres enzymatiques T moins plus ou moins sp cifiques des atteintes h pa tiques les parametres enzymatiques d passent les seuils jug s critiques chez les bovins dans 13 5 p 100 des cas pour la GLDH Il s agit dans la plupart des cas de femelles pour lesquelles les valeurs moyennes en UII sont significativement plus lev es 16 1 3 5 vs 5 4 3 1 que chez les m les On ne note aucune variation li e a l ge La GGT ne varie pas en fonction de l ge ou du sexe des animaux V
218. ig 1 Dans un sol texture limono argileuse pr s de Niamey l humidit du sol a aussi augment suite au travail du sol Cependant l effet du labour a t nette ment moins marqu l ann e suivante 3 Diff rentes hypoth ses peuvent tre avanc es pour expli quer l augmentation de l humidit Tout d abord le travail la houe cr e des asp rit s la surface du sol qui aug mentent la capacit de stockage de l eau la surface permettant un laps de temps plus important pour Pinfiltra tion 7 Ensuite le labour peut entra ner une augmenta tion de la porosit du sol Les r sultats indiquent qu une Humidit volumique P 100 40 M T moin O Travail sec PPDS 5 P 100 1 7 21 2 30 18 7 20 10 0 Densit apparente du sol kg DM 2 00 F Temoin O Travail sec 1 757 PPDS 5 P 100 0 03 Fig 1 Effets des m thodes de r g n ration sur humidit volumique et sur la densit apparente du sol Tin Tabakat en 1989 367 Retour au menu J B Aune telle modification a eu lieu car la densit apparente du sol a t trouv e plus faible apr s le labour Ceci permet au sol d emmagasiner plus d eau Enfin il existe dans le sol des pores contenant de l air Or quand la surface est submerg e d eau il faut que l air dans le sol sorte afin que l eau puisse y p n trer C est en cr ant des asp rit s la surface que l on facilite cette infiltratio
219. igricans G bicolor Fig 5 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in situ feuilles d autres familles ALIMENTATION NUTRITION D gradation P 100 100 80 AAA A TO 20 0 Temps h 0 3 6 9 24 48 72 adansonii A albida 60 40 p tortilis Fig 2 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in situ gousses de Mimosaceae D gradation P 100 80 60 40 20 F Temps h 0 3 6 9 24 48 72 o P erinaceus Fig 4 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in situ feuilles de Papilionaceae D gradation P 100 CF Temps h 0 3 6 9 C procera A digita ta 80 60 40 20 24 48 72 Fig 6 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in situ fruits d autres familles 351 Retour au menu S T Fall D gradation P 100 100 80 0 3 6 9 24 48 72 H insignis A leiocarpus C glutinosum g C nigricans Fig 7 Cin tique de d gradation dans le rumen des mati res azot es totales MAT de ligneux fourragers mesur e par la m thode in s
220. in d oeuvre le plus faible Cependant la m thode semis en poquets n a pas donn de r sultats convaincants dans cette tude La m thode semis et pi tinement est difficile mettre en pratique car elle doit tre r alis e dans un laps de temps de 3 4 heures ce qui exige une bonne organisation Les m thodes impliquant un labour du sol ont donn un rendement bien sup rieur aux autres m thodes La produc tivit moyenne de 2 0 kg de grains par heure de travail avec la m thode semis et travail du sol sec indique que celle ci peut tre rentable dans le contexte du Gourma mais l incertitude li e ce chiffre n cessite la poursuite de l tude Il faut toutefois remarquer qu une productivit au dessus de 1 kg de grains par heure de travail doit tre consid r e comme satisfaisante au Gourma Avant d entreprendre des op rations de r g n ration plu sieurs facteurs doivent tre pris en consid ration Tout d abord il semble que les plaines partiellement ou enti re ment d grad es actuellement ne retiennent pas l eau plus de un ou deux jours apr s une grande inondation Les bas fonds des plaines o l eau stagne plus longtemps ne sont pas d grad s Il en r sulte qu une r g n ration des parties hautes des plaines peut r ussir une ann e de bonne pluvio 371 Retour au menu J B Aune m trie mais dans le cas de plusieurs ann es d ficitaires la d gradation se reprodu
221. in tropical West Africa In LE HOU ROU H N ed Browse in Africa the current stage of knowledge Addis Ababa ILCA 1980 P 261 289 McLEOD Plant tannins Their role on forage quality Nutr Abstr Rev 1974 14 11 803 815 ORSKOV E R The use of nylon bag technique for the evaluation of feedstuffs Trop Anim Prod 1980 5 195 213 REED J D HOVARTH P J ALLEN M S VAN SOEST P J Gravimetric determination of soluble phenolics including tannins from leaves by precipitation with trivalent ytterbium J Sci Fd Agric 1985 36 255 261 RIVIERE R Manuel d alimentation des ruminants domestiques en milieu tropical Paris Minist re de la Coop ration 1978 P 472 481 Manuels et pr cis d levage n 9 STAT ITCF Programme informatique r dig par les ing nieurs Paris ITCF TILLEY J M A TERRY R A A two stage technique for the in vitro digestion of forage crops J Br Grassld Soc 1963 18 104 107 WOODWARD A REED J D Influence des substances polyph noliques sur la valeur nutritive des fourrages ligneux Synthese des recherches men es par le CIPEA Bull CIPEA 1989 35 2 13 Retour au menu ALIMENTATION NUTRITION Utilisation directe des graines de coton d cortiqu es de vari t s sans gossypol dans l alimentation des poulets de chair T Yo YO T Utilisation directe des graines de coton d cortiqu es de vari t s sans gossypol dans l
222. infected pigs lacked subcu taneous or abdominal fat and were lean The lymph nodes especially the prescapular subcutaneous and those of the lumbar region were markedly enlarged The brain of the pig that showed nervous signs was grossly congested and focal grey areas of necrosis were present on the cerebral cortex Microscopical examination of tissues of all infected pigs revealed moderate haemosiderosis erythrophagocyto sis neutrophilic and eosinophilic infiltration of the white pulp as well as a mild macrophage and plasma cell hyperplasia in the spleen The ovarian lesion was cha racterized by mild eosinophilic lymphocytic and macro phage infiltrates into the connective tissue In addition there was sludging of lymphocytes and neutrophils in Retour au menu many blood vessels In all infected pigs a marked congestion and oedema was observed in the lymph nodes with medular and subscapsular spaces contai ning moderate neutrophilic infiltrates A moderate macrophage hyperplasia was also seen in the medular area of the lymph nodes In the pig that exhibited ner Photo 1 Histological section of the cerebrum of a pig showing meningitis with vasculitis and perivascular lymphocytic cuffs H E x 1400 OTESILE E B AKPAVIE S O FAGBEMI B O OGUNREMI A O Pathogenicity of Trypanosoma brucei brucei in experimentally infected pigs Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 279 282 An experimenta
223. ion de C aculeatum et Rubiaceae variant de 32 36 p 100 est m diocre Parmi les 16 chantillons de feuilles de l gumineuses repr sentant 11 esp ces quatre ont eu des DIVMO tr s faibles proches de 30 p 100 Acacia ataxacantha A sie beriana Piliostigma reticulata cinq ont eu des DIVMO faibles entre 30 et 50 p 100 Acacia albida 1 sur 2 A seyal 1 sur 3 A tortilis Bauhinia rufescens Cordyla pin nata et sept ont eu des DIVMO moyennes ou fortes sup rieures 50 p 100 Acacia albida 1 sur 2 A seyal 2 sur 3 A nilotica A senegal Pterocarpus erinaceus Les feuilles de certaines esp ces r colt es diff rentes p riodes mettent en vidence des variations saison ni res Ainsi les feuilles d Acacia albida r colt es en jan vier sont plus digestibles que celles de juin DIVMO 57 contre 43 p 100 respectivement De m me les feuilles de Cordyla pinnata pr lev es en novembre sont plus digestibles que celles d ao t DIVMO 44 et 34 respecti vement La DIVMO des gousses de l gumineuses ne semble pas li e celle des feuilles pour Acacia albida et Acacia tor tilis les gousses sont plus digestibles que les feuilles 55 Retour au menu contre 42 p 100 et 68 contre 44 p 100 respectivement tandis que pour Acacia nilotica 51 contre 69 p 100 on observe le contraire Pour les feuilles fleurs et fruits des autres familles les DIVMO sont tr
224. ique tropicale Liste des ouvrages floristiques contemporains pour les divers pays et r gions d Afrique tropicale L ouvrage complet est pr vu en quatre volumes II devrait alors regrouper environ 20 000 esp ces Erratum Article RICHARD D GUERIN H FRIOT D MBAYE N Teneurs en nergies brute et digestible de fourrages disponibles en zone tropicale Revue lev M d v t Pays trop 1990 43 2 225 231 P 228 1 colonne ligne 4 lire EBf en kcal kg MO 4 623 4 155 MATf 2 au lieu de EBf en EE MO 4 623 5 155 MATE 2 385
225. ira BOUDET 2 a constat en tu diant le d veloppement de la v g tation au Gourma de 1970 a 1977 que ces parties hautes taient les plus touch es par la s cheresse notament en 1973 1974 La cause principale de la d gradation est probablement le facteur hydrique un apport en semences ne le modifie pas Le labour change les conditions d humidit d un terrain mais son effet ne dure que quelques ann es comme cela a t montr lors d une tude r alis e au Niger sur un sol limono argileux 3 Ce sont les ann es d ficitaires en pluie qui constituent un probl me pour l alimentation humaine De ce fait les actions entreprises sur le fonio devraient privil gier les rendements AUNE J B Regeneration of the Panicum laetum plains in the Gourma region in Mali Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 363 372 The Panicum laetum wild fonio is an annual cereal the grains of which are utilised for human consumption As a consequence of the recent droughts in Gourma Mali many Panicum laetum plains have been degraded The principal objective of this research program was to find a method for the regeneration of the degraded plains The results showed that few seeds were found in the degraded soils Technically there are no problems in regenerating the degraded areas The best method for regeneration has proved to be seed broad casting followed by hoe tillage However a simple hoe tillage without seed broadcasting ca
226. ire et jardin botaniques de la ville de Gen ve Gen ve 1991 249 p Diffus par Conservatoire botanique Editions Case postale 60 CH 1292 Chambesy GE Suisse ISBN 2 8277 0108 1 Prix 40 FS La flore de l Afrique tropicale est encore insuffisamment connue Ainsi de 1953 1976 8 109 esp ces nouvelles pour la science d Afrique et de Madagascar ont t d crites Il en r sulte qu la faveur des nombreuses r visions qui lui sont consacr es on d couvre un nombre assez important de changements dans la nomenclature qui rendent plus difficile le travail des divers utilisateurs des binoms de plantes C est l intention de ces derniers qu a t r alis cet ouvrage qui donne une vue panoramique et chiffr e de la flore de l Afrique tropicale Le pre mier volume qui s tend selon la s quence syst matique des familles d HUTCHINSON des Annonac es aux Pandac es regroupe 101 familles 714 genres et 6 122 esp ces spontan es Les synonymes r cents sont indi qu s de m me que les flores dans lesquelles les esp ces sont d crites si une planche repr sentant l ensemble de la plante consid r e existe elle est cit e Une abondante bibliographie moderne est donn e diff rents niveaux syst matiques famille genre esp ce Les g n ralit s regroupent divers chapitres dont Aper u sur l exploration botanique de l Afrique tropicale Richesse floristique des pays et r gions d Afr
227. irus ten days before The animals were observed daily for symptoms Feed and water were provided ab ib Results On day 16 post exposure the ear tagged goats started to show papules around the edges of the holes made by the metal punch photos 1 2 The papules enlarged and the area became thick A week later the lesions became nodular and very hard and scabs appeared The goats were otherwise clinically normal At this stage scabs were collected in sterile bottles and the virus was identi fied using the complement fixation CF 6 and the agar gel immunodiffusion AGID 8 tests employing a refe rence orf antiserum supplied by CRVL Weybridge Surrey England The scab material was also made into 10 suspension and inoculated into lamb testicle cell culture as described by PLOWRIGHT et al 4 The scab virus gave a line of complete identity against the reference orf antiserum The cell culture showed cell rounding by day 6 and complete detachment of the mono layer was observed by day 12 post inoculation The isola ted virus was concentrated 25 times using polyethylene glycol PEG BDH England and was reacted against the reference orf antiserum using AGID and CF tests as above It gave a complete line of identity with the AGID test and was positive with the CFT test A similarly concentrated non inoculated cell culture did not give line with AGID and were negative with CFT Photos 1 2 Revue Elev M d v t Pays trop
228. ith Giemsa and exa mined for trypanosomes RESULTS AA A ey Clinical findings and haematology The mean prepatent period of parasitaemia was 4 5 0 6 SD days Subsequently there was undulating parasitae mia in infected pigs with peaks occurring at intervals of 5 8 days in each animal Peak parasitaemia in individual infected pigs varied from 107 to 10 trypanosomes per m blood fig 1 A rise in the mean rectal temperature of infected pigs became apparent at 4 dpi fig 2 Thereafter the mean rectal temperature of infected pigs remained higher than No Co Parasitaemia log y O 40 30 20 PCV 3 10 0 10 20 30 40 50 Days post infection Fig 1 Mean packed cell volume and parasitaemia of infected and control pigs 280 Rectal temperature C 40 0 39 0 40 50 Days post infection 0 10 20 30 Fig 2 Mean rectal temperature of infected and control pigs 1 infected pigs C controls that of the controls even though the values fell to normal levels at intervals in individual pigs The peak of rectal temperature in individual pigs varied from 41 1 to 41 8 C By 50 dpi the mean packed cell volume had fallen by 34 i e from 40 to 26 fig 1 Infected pigs were ano rexic weak recumbent and very lean A pig started sho wing intermittent circling and wobbling of the hindlegs as from 46 dpi Pathology At necrospy the carcasses of
229. itu jeunes pousses d autres familles Relations entre d gradabilit th orique et d gradation La d gradabilit th orique DT est bien expliqu e par la d gradation mesur e a 24 h d incubation P lt 0 01 laquelle semble tre un bon indicateur de la d gradabilit des ligneux tabl IV y1 0 78 x 1 5 3 n 28 r 0 96 ETR 3 3 y2 0 79 x 2 5 4 n 28 r 0 89 ETR 7 4 avec y1 DTMS x1 d gradation de la mati re s che 24 h d incubation y2 DIMA x2 d gradation des MAT 24 h d incubation Une confirmation de ces quations sur un nombre plus important d observations simplifierait l tude de la cin tique de d gradation in situ des ligneux Une corr lation significative est observ e P lt 0 01 entre DIVMS et d gradation in situ 9 24 et 48 h d incubation Pour 14 18 et 17 observations r a t respectivement de 0 57 0 75 et 0 84 et l erreur standard de 14 11 et 10 p 100 TABLEAU IV Coefficients de corr lation entre d gradation au temps t et d gradabilit DT 3 ons os 352 Temps d incubation h DISCUSSION Dans la litt rature les donn es concernant la digestion in vivo in vitro ou in situ des ligneux des zones tropicales sont rares contrairement aux r sultats d analyses chi miques qui sont nombreux mais peu utilisables En effet la cellulose brute et les MAT ont une faible signification pour ce type d aliments riches en
230. iva P gt 0 01 entre las tres frecuencias Palabras claves Brachiaria ruziziensis Fertilizante nitrogenado Frecuencia de corte Camer n 379 E T Pamo 380 Retour au menu BIBLIOGRAPHIE 11 13 14 13 16 17 GUERIN H Exploitation de p turage de Stylosanthes et de Brachiaria en culture s che R publique de C te d Ivoire CRZ 1977 P turage n 1 34 p HOLECHECK J L Fertilizer effects on above ground biomass of four species J Range Mgmt 1982 35 39 42 MADER E L The influence of certain fertilizer traitments on native vegetation of Kansas prairie Ph D dissertation University of Nebraska 1956 116 p McKELL C M JONES M B PERRIER E R Root production and accumulation of root material on fertilized range Agron J 1962 59 459 461 MESSAGER J L R sultats acquis sur Brachiaria ruziziensis en r gion soudano guin enne Fiche technique R publique de C te d Ivoire CRZ 1978 P turage n 7 38 p OWENBY C E HYDE R M ANDERSON K L Effects of clipping and supplemental nitrogen and water on loamy upland bluestem range J Range Mgmt 1969 23 341 346 PAMO E T Rangeland response to low levels of nitrogen fertilization and cutting intensities on the Adamawa Plateau Cameroon Revue Elev M d v t Pays trop 1989 42 4 591 598 PAMO E T PIEPER R D Effect of nitrogen fertilization in combination with potas
231. jours 8 p 100 des Bao l et 12 p 100 des Ndama 50 jours 10 p 100 des Baoul et 6 p 100 des Ndama 60 jours 15 p 100 des Baoul et 28 p 100 des Ndama D apr s cette distribution le pic des pourcentages est enregistr le 60 jour post partum chez les deux races En fonction des saisons 9 et 16 p 100 des femelles Baoul et Ndama sont cycl es pendant la saison s che contre 42 et 52 p 100 au d but des pluies En se r f rant la palpation ovarienne comme crit re de cyclicit le d lai de reprise de l activit ovarienne peut tre graphi quement estim 60 jours chez les femelles Baoul et e jours chez les Ndama Critere hormonal Une femelle est dite cycl e lorsque le taux de progest ro ne plasmatique est au moins une fois sup rieur 0 5 ng ml L estimation du d lai au terme duquel 50 p 100 des parturientes ont eu au moins une fois une concentration de progest rone circulante sup rieure 0 5 ng ml indique que la saison s che a tendance retar der la date de reprise de cyclicit apr s v lage 52 jours chez les Baoul 40 chez les Ndama alors que la saison des pluies la raccourcit 28 jours chez les Baoul et les Ndama mais la diff rence entre les fractions de femelles cycl es par le dosage de la progest rone n est significati ve que chez les Baoul P lt 0 05 321 Retour au menu K Djabakou G Grundler K Lare En fonction de la race les d lais
232. l Discussion The result of this study shows a high Plasmodium spp infection rate 44 1 among turkeys in the Nsukka area of Nigeria The clinical disease 12 4 and high mortali PROTOZOOLOGIE Photo 2 Turkey blood smear showing infestation with developmental stages of Plasmodium spp from another farm ty rate 36 4 recorded agree with the report of other workers 5 6 7 and indicate that turkey malaria is of significant economic importance to the poultry industry The study did not show any sex age or management sys tem related predisposition of turkeys to infection with malaria parasites The clinical and post mortem findings were similar to those described by other workers 1 6 8 The absence of feed materials in the crop of 4 dead birds suggests that they were anorexic for many days before death The effects of drugs on starved and very weak birds may have contributed to the death of some of the turkeys soon after treatment The significantly lower PCV value of infected turkeys indi cates anaemia which is a key symptom of turkey malaria 6 10 A significantly higher PCV value was recorded in uninfected males than in uninfected females Similar reports of higher PCV value in normal male turkeys than in females have been made 2 9 11 However the similarity in PCV values among the infected male and female turkeys may suggest that Plasmodium spp infection of turkeys reduces the haematocrit more in mal
233. l infection of 4 to 5 month old pigs with a stock of Trypanosoma brucei brucei resulted in a high parasitaemia anorexia pyrexia and a decline in the packed cell volume by one third Nervous sign of circling and wobbling of the hind legs occurred in one of the pigs which at necropsy revealed a very severe meningo encephalitis and the presence of trypanosomes in the brain These results confirm that 7 b brucei might cause a severe disease in pigs Key words Pig Experimental infection Trypanosomosis Trypanosoma brucei brucei Nigeria PROTOZOOLOGIE vous signs the brain lesion was a very severe meningo encephalitis which was characterized by a very severe lymphocytic infiltrates into the meninges vasculitis per ivascular cuffs photo 1 and glia nodules in the brain tis sue The presence of trypanosome nuclei both in the brain tissue and in the blood vessels was confirmed in Giemsa stained sections Motile trypanosomes were seen in the wet mounts made from CSF while the Giemsa stained smears also contained trypanosomes Similar lesions were not seen in the brain of the remai ning three infected pigs and no lesions were observed in the control pigs DISCUSSION A The observations on parasitaemia recta temperature and packed cell volume in this study are consistent with those reported for virulent species of African trypano somes 11 The results also indicate that the stock of T brucei used in this study could ca
234. lativement faible de la variabilit des rendements en fonction des doses qui peut tre expliqu e par la courbe de r gression En 1986 avec la fr quence de coupe de 30 jours une production maximale de 4 35 t ha de MS a t obtenue avec la dose de 80 unit s d azote l hectare Des rende ments beaucoup plus faibles non significativement diff rents P gt 0 05 du rendement de la parcelle t moin ont t obtenus avec les doses de 40 70 unit s d azote l hectare ceci tait galement d un mauvais pandage de l engrais La fr quence de coupe de 45 jours a fourni 37 Retour au menu E T Pamo Rendement t ha de MS Moyennes 0 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Rendement t ha de MS 0 40 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Rendement t ha de MS 50 60 70 80 90 Unit s de N ha Fig 2 Rendement de Brachiaria ruziziensis aux diff rentes fr quences de coupe en fonction des doses croissantes d azote une production maximale de 4 23 t ha de MS avec 80 uni t s d azote l hectare Une diff rence significative P lt 0 05 est apparue entre les productions obtenues avec les doses comprises entre 80 et 90 et celles comprises entre 0 et 70 Avec la fr quence de coupe de 60 jours la diff rence tait beaucoup plus marqu e entre les par celles fertilis es et non fertilis es En effet il n y a pas eu de diff rence significative entre les parcelles fertilis s Ainsi avec
235. le r gime 20 p 100 ing rent moins d aliment et ont un meilleur indi ce de consommation que ceux qui consomment la ration t moin P lt 0 01 Cet avantage est toutefois compens au cours de la p riode suivante 29 42 j par une consommation d aliment et un indice de consommation plus lev s P lt 0 05 Sur l ensemble de la p riode exp rimentale 0 42 j lPincorporation de GCDSG n a pas eu d effet significatif sur la quantit d aliment ing r e P gt 0 05 Le r gime en contenant 20 p 100 a cependant donn un indice de consommation plus lev que ceux 10 ou 15 p 100 Les taux de mortalit observ s sont de 5 2 p 100 pour les r gimes 0 et 20 p 100 et de 1 3 et 3 9 p 100 res pectivement pour ceux avec 10 et 15 p 100 de GCDSG Les diff rences entre traitements ne sont pas significa 357 Retour au menu T Yo tives P gt 0 05 Le nombre de poulets pr sentant une malformation des pattes tend a augmenter avec le taux d incorporation de GCDSG passant de 3 3 p 100 pour l aliment t moin a 4 6 6 6 et 7 1 p 100 respectivement pour les aliments contenant 10 15 et 20 p 100 de GCDSG Toutefois les diff rences entre traitements ne sont pas significatives P gt 0 05 valuation conomique de l utilisation de GCDSG Sur la base d un prix de la GCDSG de 42 6 francs CFA kg on observe que l augmentation du taux de graines dans la ration en substitution au ma s et la fari ne d
236. les est tr s r pandue et a fait l objet de nombreuses tudes 5 16 18 19 23 Des travaux r cents ont montr qu il est possible de remplacer dans les r gimes alimentaires pour volailles le tourteau de soja par le tourteau de coton sans gossypol pourvu que l on corrige sa faible teneur en lysine 3 13 20 24 L exp rience men e avait pour objectif de tester l effet de l incorporation dans les rations de la graine d cortiqu e sans gossypol GCDSG sur l ing r alimentaire l volu tion pond rale et les performances conomiques des poulets de chair de souche industrielle Si la graine de coton est largement utilis e dans l alimen tation des ruminants 4 14 25 il y a peu d tudes concernant les monogastriques vraisemblablement en raison de l effet n faste du gossypol pr sent en quantit lev e dans les graines des vari t s classiques Les essais d utilisation de ces graines ont g n ralement 1 Institut des Savanes IDESSA D partement levage BP 633 Bouak C te d Ivoire Avec la collaboration technique de Kouassi YA Re u le 10 10 1990 accept le 6 6 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 355 360 en C te d Ivoire donn des r sultats peu favorables avec les monogas triques Ainsi pour les porcs 6 17 et les rats 6 7 incorporation dans les rations de graines crues enti res ou d cortiqu es a entra n une chute des performances de croissance et une
237. linique des bovins Maisons Alfort Ed du Point V t rinaire 1979 526 p SCHWARZ D M thode statistique l usage des m decins et des biologistes Paris Flammarion M decine Selenice 1963 275 p THIBIER M Recours par un praticien au laboratoire d hormonologie Bull G T V 1976 5 1 7 THIBIER M Le cycle sexuel des mammif res domestiques 1 Description du oes sexuel de la vache Econ M d anim 1976 17 117 134 THIBIER M Method of setting up study on the reproduction of trypanotolerant livestock n Rapport de r union de coordination IAEA reproduction Addis Abeba Ethiopie 1988 5 p THIBIER M SAUMANDE J Estradiol 17B and progesterone concentration in J car venous plasma in cows J Steroid Biochem 1975 6 1435 1437 THIMONIER J Analyse de l activit ovarienne dans les groupes de femelles Zn Ma trise des cycles sexuels chez les bovins INRA SERSIA 1976 P 61 67 Retour au menu BIOLOGIE REPRODUCTION Facteurs de variation des parametres proteo energetiques enzymatiques B Faye et min raux dans le plasma C Mulato NM chez le dromadaire de Djibouti FAYE B MULATO C Facteurs de variation des param tres prot o nerg tiques enzymatiques et min raux dans le plasma chez le dromadai re de Djibouti Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 325 334 L analyse du plasma de 52 dromadaires 27 femelles adultes 13 jeunes femelles
238. loraison fut not La lev e naturelle d termin e par l observation de 10 carr s mesurant 0 5 x 0 5 m fut galement enregistr e tout pres de la localit d o proviennent les chantillons Des essais sur le terrain furent men s pour trouver une m thode de r g n ration des plaines fonio Le dispositif exp rimental fut celui du bloc de Fischer trois r p ti tions Pour diminuer l erreur exp rimentale les blocs furent orient s perpendiculairement la pente formant ainsi une seule ligne de fa on viter qu un bloc plac en amont d un autre puisse influencer les conditions Retour au menu hydriques du bloc plac en aval par action sur le ruissel lement En 1987 les parcelles contenues dans les blocs avaient une dimension de 2 5 x 8 m La distance entre les parcelles tait de 0 5 m En 1988 chaque parcelle avait une dimension de 3 x 8 m et l cartement entre parcelles tait de 0 75 m pour l essai Tin Tabakat et de 0 5 m dans les autres L cartement entre les blocs tait de 2 m pour les deux ann es Au total dix m thodes de r g n ration ont t test es Lorsqu une m thode comportait un labour celui ci tait effectu la houe Les m thodes se d composaient comme suit 1 T moin sans travail du sol et sans semis 2 Semis en poquets sur un sol sec En 1987 les poquets taient distants de 40 cm dans les quatre directions cardi nales En 1988 l cartement entre les poq
239. me th orique pour les agents travaillant dans les abattoirs les chercheurs des labo ratoires ou les v t rinaires praticiens Ces directives portaient galement sur la collecte le traitement et l utilisation des produits usage m dical extraits tissu laires catgut pr par s partir de mati res d origine bovine Ces recommanda tions devraient recevoir bient t une large diffusion Cependant bien des questions sur les enc phalopathies spongiformes transmis sibles restent encore sans r ponse nature des agents responsables m ca nismes g n tiques influen ant leur expression moyens de les inactiver totale ment ou de les d tecter chez un tre vivant L mergence r cente de la BSE aura eu pour avantage nonobstant les difficult s et les craintes qu elle a suscit es de relancer l int r t port ce groupe de maladies On peut donc esp rer que dans un proche avenir des progr s d cisifs interviendront pour parfaire les connais sances que nous en avons Enfin sur un sujet aussi sensible que la BSE l chelle mondiale il tait essentiel que l OIE et l OMS favorisent l instauration d un dialogue et d une collaboration entre les pays La communaut internationale attend des r ponses claires et pr cises sur une maladie o les certitudes absolues sont rares et o la seule approche envisageable repose sur une valuation des risques bas e sur des informations scientifiques fiables et r actualis e g
240. ment et enfin une tude d taill e du co t DESCRIPTION AAA AAA Corps du pi ge Ce pi ge photo 1 n a ni arceau ni c ne m talliques Sa forme est donn e par trois baguettes de bois d un metre environ Ces baguettes sont amovibles maintenues par un gousset de tissu aux deux extr mit s Le pi ge st suspendu il ne n cessite donc pas de piquet de m tal Il est pliable il tient dans une enveloppe 21 x 29 7 cm et donc facilement transportable Syst me de capture Le syst me de capture choisi apr s des essais compa ratifs 5 est compos d une bouteille de plastique souple en poly thil ne de haute densit PEHD enfi ch e sur un c ne de bouteille d coup e Celui ci fait fonction de dispositif anti retour et de point d attache d une cordelette qui servira la suspension du pi ge Le syst me se vide par le goulot ferm par un bouchon Une solution d insecticide pass e dans la bouteille del tam thrine dilu e 10 mg l est suffisante pour impr gner les parois de fa on durable Ceci pr sente surtout l int r t d emp cher la pr dation des glossines tu es par les fourmis car les mouches captur es ne survivent pas longtemps insolation l int rieur de la bouteille effet de serre 295 Retour au menu J P Gouteux Photo I Pi ge bipyramidal en place pr s d un abreuvoir Ce syst me est paradoxalement la fois le plus efficace puisqu un pi ge quip de ce sys
241. mentalement en anglais Communication 283 ORAJAKA L J E ANENE B M DIKE M C Pr valence des parasites de la plasmodiose chez la dinde dans la r gion de Nsukka Etat d Anambra Nigeria en anglais ENTOMOLOGIE 287 GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F La lutte par pi gea ge contre Glossina Juscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine I Mise au point d un pi ge adapt un milieu d leveurs semi nomades 295 GOUTEUX J P La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine II Caract ristiques du pi ge bipyramidal 301 BLANC F GOUTEUX J P CUISANCE D POUNEKROZOU E LE MASSON A N DOKOUE F MAINGUET M D AMICO F LE GALL F La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fus cipes pour la protection de l levage en R publique centrafricaine III Vulgarisation en milieu Mbororo 249 250 Retour au menu 309 BAYEMI P H Dynamique saisonni re de l infestation par les tiques Ixodoidea des bovins commercia lis s dans la r gion de Yaound Cameroun BIOLOGIE REPRODUCTION 319 DJABAKOU K GRUNDLER G LARE K Involution ut rine et reprise de ates post partum chez les femelles bovines trypanotol rantes Ndama et Baoul 325 FAYE B MULATO C Facteurs de variation des param tres prot o nerg tiques enzymatiques
242. micranthum Fj 1 54 A adansonii F 1165 86 87 88 43 45 11 7 72 C nigricans JP 1 34 A adansonii G 11 50 73 77 80 48 32 5 8 64 C nigricans Fi A albida G 1 49 71 74 76 32 44 78 57 Genre Guiera A albida F12 47 59 65 69 42 30 33 52 G senegalensis F A ataxacantha F 1 40 45 47 52 42 16 1 2 42 A senegal Fi 1 52 82 82 83 28 55 111 1 64 Polygalaceae A seyal F 2 41 54 65 69 28 39 48 47 Genre Securidaca A seyal FL G 1 52 61 71 72 45 32 3 95 S longepe A seyal G 11 43 65 71 72 26 47 7 8 52 dunculata JP 1 77 A sieberiana F 1 42 54 67 89 33 56 2 8 47 A tortilis Gi1 43 64 68 70 25 45 821 51 Tiliaceae A tortilis F 1 41 58 63 65 33 33 5 7 49 Genre Grewia G bicolor 59 es enre Bauhinia l l F feuilles FL fleurs FR fruits G gous i B r ufescens F 40 59 66 70 35 35 4 7 50 E corces JP Une pousses jeunes ee a e Genre Piliostigma 145 47 50 40 49 53 55 35 20 4 7 44 P reticulata F P sp F Papilionaceae Genre Pterocarpus P erinaceus F 50 68 72 81 43 38 32 56 Autres familles Anacardiaceae Genre Heeria H insignis JP 42151153 66 39 28 1 8 45 Asclepiadaceae Genre Calotropis C procera F 72 88 96 98 47 50 9 5 78 C procera FR 56 84 90 93 34 59 81 68 C procera E 16
243. mpled 89 44 1 95 confidence interval 0 441 0 069 were infected with malaria para sites Fourty four 46 8 of the males and 45 41 7 of the females were infected A total of 175 adults and 27 growing turkeys aged 6 16 weeks were examined and 80 45 7 and 9 33 3 respectively had malaria parasites in their blood Of the 60 turkeys under an inten sive management system 24 40 were infected while 65 45 8 of the 142 turkeys managed semi intensively were infected Infection rates did not show any significant difference P gt 0 05 between sex age groups and mana gement systems Most of the positive cases presented eryhtrocytic deve lopmental stages of the parasites photos 1 2 Eleven clinical cases were recorded The predominant cli nical symptoms were depression dullness fever ano rexia dyspnoea and cyanosis of the comb and wattle Greenish diarrhoea mucopurulent discharge from the nostrils and eyes corneal opacity terminally progressive anaemia and emaciation were also observed Leg weak ness with most of the affected turkeys assuming ventral recumbency with bluffed feathers disequilibrium and swollen eyelids were recorded Haematological examina tion showed a fall in the PCV values range of 27 33 and a high degree of parasitaemia with developmental stages of the parasites photo 1 4072 Retour au menu Communication TABLE I Management system age and sex distribution of turkey
244. n et compt Les jeunes repousses sans longs entre noeuds n taient pas compt es car elles ne sont g n ralement pas attaqu es ce stade On a ainsi d nombr dans chaque aire de comptage le nombre de chaumes total et celui des chaumes parasit s Dans l interpr tation statistique on a tenu compte de l influence des facteurs p turage et ferme Le mod le d velopp est un mod le hi rarchis deux crit res de classification p turages dans les fermes p turages tant subordonn fermes Avant d effectuer l analyse de variance on a pr alablement transform les donn es afin de stabiliser les variances Les tests s effectuant sur des proportions on a utilis la transformation angulaire selon la formule suivante 2 Y 2arc sin vX o X pourcentage par rapport l unit Y nouvelle variable L analyse de la variance a t r alis e sur la nouvelle variable Y R sultats et discussion Apres culture des chenilles les insectes obtenus ont t identifi s la section d Entomologie du Mus e Royal d Afrique Centrale Tervuren et au British Museum Natural History Londres Outre les insectes et para sites nomm s par HECQ 6 et MICHEL 8 on a trouv 381 Retour au menu Communication TABLEAUI Taux d attaque des chenilles en p cent des chaumes P turages de la ferme de Djumali P turages de la ferme de Nioka 24 14 21 11 1 67 9 10 31 79 43 17
245. n 2nd ed Mineapolis Burges 1959 9 MCCARTNEY M G Total blood and corpuscular volume in turkey hens Poult Sci 1952 31 184 10 McKEE R W Studies on malaria parasites VII Methods and tech niques of cultivation J Exp Med 1946 84 583 11 RHIAN M WILSON W O MOXON A L Compositor of blood of normal turkeys Poult Sci 1944 23 224 12 STEEL R G TORRIE H H Principles and procedures of statistics 2nd ed New York McGraw Hill Inc 1980 P 87 Retour au menu J P Gouteux D Cuisance D Demba F N Dokoue F Le Gall GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F La lutte par pi geage contre Glossina fuscipes fuscipes pour la protection de levage en R publique centrafricaine I Mise au point d un pi ge adapt un milieu d leveurs semi nomades Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 287 294 La recherche d un nouveau pi ge destin la prise en charge par les leveurs centrafricains Peuls de la lutte contre Glossina fuscipes fuscipes a t r alis e en exp rimentant s par ment le syst me de capture le corps du pi ge et les mat riaux Le r sultat est la mise au point du pi ge bipyramidal en tulle et plastique bleu et noir Il n est pas impr gn d insecticide mais utilise un syst me de capture sec tuant et conservant les glossines dont le rendement est de deux quatre fois celui de la
246. n 5 En 1987 il a t observ Ufebet et In Enheren une accumulation de sable sur les parcelles labour es Les asp rit s cr es par le labour avaient pi g ce sable au moment des temp tes Cette accumulation a t la plus prononc e Ufebet et la hauteur moyenne de sable atteignit 14 cm sur les parcelles labour es En 1988 ces dunes avaient disparu La formation des dunes de sable sur les plaines fonio peut rendre le balayage de celles ci tr s difficile car les grains sont m lang s au sable Cependant comme ce ph nom ne s est produit sur seulement deux des neuf plaines tudi es et que les dunes avaient disparu l ann e suivante il ne repr sente pas un obstacle majeur la technique du labour La lev e dans les essais de r g n ration Certaines m thodes de r g n ration test es en 1987 ont nettement am lior la lev e des plantes tabl IV Cependant il faut souligner que l effet des traitements 1 2 et 3 n est pas significatif pour l ensemble des localit s Dans ce cas c est seulement l interaction m thode M x localit L qui est significative Ce r sultat est d a une p riode de s cheresse intervenue apr s la lev e des plantes tuant la totalit de celle ci dans les parcelles sem es sec In Enheren avant que le d nombrement n ait lieu Sur ces parcelles aucune deuxi me vague de germination n a t observ e A In Enheren en 1987 la meilleure lev e a
247. n 156 168 229 1078 1039 F 2286 4629 3506 7 225 4771 Trans logx 1 logx 1 logx 1 logx 1 x F na 0 002 0 262 0497 2571 1 461 Diff rences significatives au seuil de 5 p 100 Exp rimentation de diff rents mod les de piege Les r sultats sont pr sent s dans le tableau ll Les pre miers essais ont confirm les r sultats obtenus par CUI SANCE et CAILTON en RCA comm pers avec un score du pi ge biconique toujours sup rieur celui des mod les monoconiques bien que les diff rences ne soient pas toujours significatives au test F Des mod les de pi ge comportant comme le pi ge biconique une cavit sombre apparemment tres attractive pour G fus cipes fuscipes ont t essay s ce qui a permis de s lec tionner le prototype du pi ge bipyramidal Le bilan des essais donne pour le pi ge bipyramidal H une efficacit environ deux fois plus lev e que celle du biconique 182 p 100 et environ quatre fois plus lev e que celle des diff rents mod les monoconiques 409 p 100 L effi cacit moyenne de ces derniers n est en effet que de 42 et 47 p 100 de celle du biconique alors que celle du pi ge pyramidal se situe 81 p 100 Ces diff rences entre les pi ges ne sont pas li es au sexe de G fuscipes fuscipes En effet le pourcentage de femelles captur es pour chaque type de pi ge est remarquablement constant 67 0 4 3 pour le pi ge bipyramidal 67 1 5 8
248. n also facilitate regeneration Tillage increases plant emergence and enhances plant growth Sowing of the seeds into pockets did not give a satisfactory result Despite the fact that the method of seed broadcasting and hoe tillage has a high labour demand the labour productivity of 2 0 kg grain per man hour indi cates that this method can be implemented on a large scale Key words Panicum laetum Regeneration Tillage Mali BIBLIOGRAPHIE dans les plaines qui ne sont pas encore d grad es l aide de diguettes permettant une gestion du ruissellement et ou par un labour du sol Les r sultats obtenus indiquent qu un tel travail de la terre peut tre op rationnel grande chelle REMERCIEMENTS 1 i Je tiens remercier l glise Norv gienne et les Drs Kare RINGLUND Pierre HIERNAUX ainsi que Belco OUREIBA pour leur aide AUNE J B Regeneraci n de los llanos a Panicum laetum en el Gourma Mali Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 363 372 Panicum laetum es una gram nea salvaje cuyas semillas se utilizan como pienso Despu s de los a os recientes de sequ a en el Gourma en Mali muchos llanos se deterioraron Determinar un m todo para regenerar los llanos a Panicum laetum fue el objeto principal de este estudio Los resultados demuestran que en los llanos deteriorados pocas semillas quedan Seg n los ensayos sobre terreno es posible dicha regeneraci n El mejor xito fue
249. n effet irritant succ de l effet l tal dans le cas d utili sation de pyr thrinoides de synth se 9 Ceci peut dimi nuer l efficacit du pi geage en cas de r impr gnations incorrectes sous dos es mal faites trop espac es dans le temps le danger de la manipulation de l insecticide par les communaut s ne doit pas tre sous estim Il est n ces saire d utiliser des gants et de tenir le produit hors de por t e des enfants enfin et surtout les essais r alis s au Congo ont montr l efficacit d un pi geage sans insecticide 15 Le pi ge bipyramidal est l un des produits de l cole ouest africaine lanc e par CHALLIER L attractivit de la couleur bleue exerc e sur les ts ts a t mise en vi dence empiriquement par RUPP 24 sur des crans de Retour au menu tissu puis par CHALLIER et al 3 en utilisant le pi ge biconique L analyse du spectre de r flectivit des diff rentes couleurs attractives n a eu lieu que beaucoup plus tard 18 19 20 Toutefois le succ s du pi ge biconique et de ses d riv s monoconiques ou pyramidaux n est pas mettre sur le compte de ce qui ne serait qu une scien ce empirique du pi geage 25 Il s agit plut t selon nous d une approche pragmatique qui repose sur des connaissances entomologiques approfondies et tient compte des contextes cologique conomique et humain GOUTEUX J P CUISANC
250. nancier et la rentabilit de l op ration Elle condui ra galement a entrevoir dans un contexte beaucoup plus large l effet de cet effort d intensification de la production fourrag re sur le milieu naturel en g n ral et les possibili t s de sa reconstitution en particulier Il na pas t observ en moyenne de diff rence significative entre les trois fr quences de coupe tes t es Celles de 30 et 45 jours ont cependant fourni PAMO E T Response of Brachiaria ruziziensis Germain and Evrard to nitrogen fertilization and different cutting frequencies at Adamaoua Cameroon Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 373 380 A study was conducted to evaluate the response of Brachiaria ruzi ziensis Germain and Evrard to low rates of nitrogen fertilization and different cutting frequencies at Wakwa Research Station A factorial design with seven levels of nitrogen in the form of ammonium sulfate at 21 0 40 60 70 80 and 90 units of N ha and three cutting fre quencies 30 45 and 60 days in four repetitions was used The results of three years of studies showed that nitrogen fertilization significantly P lt 0 01 increased the production of Brachiaria ruzi ziensis However this increase was not regular Unfertilized plots yielded between 1985 and 1987 2 36 2 31 and 1 96 tons of DM ha ys 3 94 4 18 and 3 46 tons of DM ha for fertilized plots with 90 80 and 80 units of N ha This indicates a 66 80 and 80 in
251. nce de Burdizzo sur les performances des b liers Poulfouli il tait important de comparer aussi les param tres d abattage des diff rentes cat gories d animaux Ceci devait permettre de v rifier dans le contexte local si les avantages attribu s au castr par diff rents auteurs sont r els Un rendement sup rieur et une plus grande valeur conomique du gigot par un meilleur d veloppe ment de ce morceau sont les plus souvent cit s Par ailleurs la comparaison des performances en conversion 1 Institut de M decine Tropicale Service de Production Animale Tropicale Nationalestraat 155 B 2000 Anvers Belgique Re u le 16 10 1990 accept le 19 2 1991 Revue Elev M d v t Pavs trop 1991 44 3 335 343 et totale sur les param tres d abattage et de d coupe des b liers Poulfouli de l extr me nord du Cameroun alimentaire 20 21 avait montr un besoin plus important d nergie pour le castr la pince par rapport au b lier entier et au b lier castr partiellement par la m thode du short scrotum La mesure des param tres li s aux d p ts adipeux devenait donc n cessaire Cette tude permet de situer le castr partiel dans le contexte de la production de viande MAT RIEL ET M THODE Les conditions g n rales des deux exp riences tech niques dur e d embouche mode d levage prophylaxie conditions d alimentation et de logement ont t d crites dans les publications ant rieur
252. ne tude a t conduite la Station de Recherches Zootechniques de Wakwa Cameroun pour valuer la r ponse de Brachiaria ruziziensis Germain et Evrard de faibles doses d azote et diff rentes fr quences de coupe Un dispositif factoriel avec sept doses sous forme de sulfate d ammoniaque 21 p 100 0 40 60 70 80 et 90 unit s d azote hectare et trois fr quences de coupe 30 45 et 60 jours en quatre r p titions a t utilis Les r sultats sur trois ann es ont montr que la fertilisation azot e assurait une augmentation significative P lt 0 01 de la production fourrag re de Brachiaria ruziziensis mais celle ci n tait pas r guli re Les placeaux non fertilis s ont produit de 1985 1987 respectivement 2 36 2 31 et 1 19 t de MS contre un maximum de 3 94 4 18 et 3 46 t de MS pour les parcelles fertilis es avec des doses respec tives de 90 80 et 80 unit s de N par ha soit une augmentation par rap port aux t moins de 66 80 et 76 p 100 Ces r sultats relativement satis faisants ne sont pas aussi int ressants que ceux obtenus avec l azote en pr sence du phosphore et du potassium L ajustement polynomial des donn es moyennes a galement fourni de bons r sultats comme le mon trent les coefficients de d termination R 0 84 en 1985 0 87 en 1986 et 0 92 en 1987 relativement lev s Les fr quences de coupe de 30 et 45 jours ont donn les r sultats les plus r guliers Pendant
253. ne Si les ligneux peuvent tre riches en nergie brute et en mati res azot es totales leur utilisation digestive peut tre m diocre certains stades de d veloppement et pour certains organes Un plus grand nombre d analyses est n cessaire pour pr ciser ces variations et am liorer l identification des esp ces les plus performantes Notons cependant une concordance des r sultats in vitro et in situ quant la bonne digestibilit d A nilotica A seyal et A tortilis Mimosaceae Calotropis procera Asclepiadaceae Securicada longepedunculata Polygalaceae Boscia senegalensis Capparidaceae Adansonia digitata et Bombax costatum Bombacaceae 353 Retour au menu S T Fall FALL S T In vitro digestibility and in situ rumen degradability of browse plants from natural pastures in Senegal First results Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 345 354 To evaluate the apparent digestibility of trees and shrubs browsed in Sahelian and Sudanian areas of Senegal an in vitro method was used Tilley and Terry s method dry matter IVDM and organic matter IVOM digestibility as well as an in situ method intra ruminal degradability of dry matter and nitrogen In 58 analysed samples the average IVDM and IVOM were 51 and 42 ranging from 26 to 88 and from 15 to 84 respectively A total of 38 degradation profiles in sacco involving 24 species gave a mean degradability of 59 and 57 for nitrogen and
254. nosoma simiae which usually causes a fulminating and fatal infection 11 Trypanosoma brucei and T congolense run a mild course in pigs 7 11 During a survey on blood parasites of pigs in Ibadan Nigeria a case of 7 b brucei infection with an unusually high parasitaemia was observed in a local pig This paper gives the results of investigations on the pathogenicity of this 7 6 brucei stock in the pig 1 Department of Veterinary Medicine University of Ibadan Ibadan Nigeria 2 Department of Veterinary Pathology University of Ibadan Ibadan Nigeria 3 Department of Veterinary Microbiology and Parasitology University of Ibadan Ibadan Nigeria Regu le 12 2 1991 accept le 11 6 1991 Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 279 282 MATERIALS AND METHODS EN Experimental animals Six female Large White pigs 4 to 5 months of age were obtained from a farm near lbadan They were dewormed with piperazine citrate at a dosage of 400 mg per kg live weight screened for blood parasites and confirmed to be free of trypanosomosis The pigs were housed in a fly proof accomodation and fed a commercial growers ration Pfizer Livestock Feeds Ibadan Nigeria throughout the study period Male Albino mice were obtained from the experimental Animal Unit of the College of Medicine University of Ibadan Trypanosoma brucei stock The stock was obtained from an anaemic local pig at slaughter at the Ibadan Municipal G
255. nt Un tel r sultat ne peut qu tre difficilement attri bu au hasard Il semble qu une trop forte variabilit de l activit journali re des glossines puisse masquer dans les carr s latins des diff rences d efficacit r elles Ce probl me a t galement soulev par HARGROVE 21 qui propose une m thode complexe utilisant des grilles lectriques surdimensionn es 26 susceptibles selon nous d introduire d autres biais Une autre approche int ressante par sa simplicit pourrait tre celle de la mise en comp tition de deux pi ges mais elle a l inconv nient de tester seulement l efficacit courte distance de chaque pi ge l attractivit des deux pi ges grande distance tant confondue C est n an moins une excellente m thode de comparaison des sys temes de capture et de certains d tails de forme ou de structure d un pi ge Pourquoi un pi ge non impr gn d insecticide et non un syst me attractif toxique SAT 2 Les raisons en sont les suivantes la simplicit de la m thode est une donn e essentielle pour l utilisation communautaire l impr gnation p rio dique d insecticide introduisant une complexit Suppi mentaire les mouches tu es par l insecticide ne sont pas visuali s es Or ceci est un facteur essentiel de participation 7 insecticide deltam thrine co te relativement cher et augmenterait le prix des pi ges u
256. nt 3 100 leveurs envi ron Le D partement de l Animation Mutualiste DAM s occupe de l encadrement et de la dynamisation de ces GIP Se rattache galement la FNEC le D partement des Intrants DI qui assure la commercialisation et la distri bution des produits n cessaires l levage m dica ments cl tures sel natron La diffusion de la technique se r alise en association avec ces diff rentes structures g 1 D ROULEMENT DE LA VULGARISATION E BILLAZ et LEFORT 4 consid rent pour des vulgarisa tions de ce type plusieurs niveaux la d monstration l information la fourniture d intrants et le suivi de I adapta tion Les op rations de d monstration et vulgarisation ODV Elles ont lieu dans le cadre mixte SE CFCV et r pon dent aux deux premiers niveaux Sur la demande des grands ardos chefs coutumiers une quipe de tech niciens est plac e dans une r gion d levage Ils ont pour charge d enseigner aux leveurs l utilisation du pi geage Ils leur fournissent un nombre suffisant de pi ges pour prot ger leurs abreuvoirs et assurent en leur pr sence les diff rentes op rations pose entre tien relev Les premi res ODV utilisaient le pi ge biconique 6 et ont dur un an Elles ont servi gale ment de base exp rimentale pour appr cier l efficacit de la technique du pi geage et mettre au point les inno vations n cessaires son utilisation communautaire D
257. nt donc tendance mobiliser leurs r serves corporelles pr sentent une plus faible capacit d utilisation des oligo l ments de la ration Ceci peut se traduire par un statut plasmatique d ficitaire Phospholipides et cholest rol sont des l ments constitu tifs de lipoprot ines et sont associ s aux m mes fonc tions au sein de ces macromol cules En cons quence il est parfaitement logique d observer un coefficient de cor r lation tr s significatif En revanche les relations lipides min raux sont plus complexes Divers auteurs ont obser v des relations entre hypocalc mie hypomagn s mie et d viation du m tabolisme lipidique lipolyse chez la vache laiti re 36 Chez les ruminants la lipomobilisation s accompagne toujours d une hypomagn s mie D ailleurs on constate que les animaux de la r gion d Obock sont les plus d fi cients en magn sium Or leur glyc mie est faible et le taux d AGL tr s lev par rapport aux animaux des autres r gions ce qui semble aller dans le sens d une lipomobili sation accrue sur des individus en d ficit nerg tique YAGIL 47 observe chez le dromadaire en phase de d shydratation une augmentation de l ur mie et de la magn s mie et une baisse du calcium On ne poss de pas de donn es concernant l tat ventuel de d shydra tation dans le cadre de cette tude L hypercupr mie d origine inflammatoire s accompagne d une diminution des taux plasmatiques d
258. ntercurrent diseases 13 14 15 ACKNOWLEDGEMENTS This work was carried out with a grant from the International Foundation for Science IFS Stockholm Sweden grant no B 1222 1 to whom we are very grate ful We acknowledge cooperation received from the Veterinary Departments of Anatomy Pathology and Microbiology and Parasitlogy and Entomology University of Nigeria Nsukka We are also grateful to AJANA NWAOKWU for typing the MANUERA OMEKE B C 0 UGWU D O Tripanosomosis del cerdo compara ci n de la anemia y de la histopatolog a de los rganos linfoideos Revue lev M d v t Pays tr op 1991 44 3 267 272 Los autores infectaron experimentalmente cerdos con especies pat genas de Trypanosoma brucei brucei y Trypanosoma congolense sien do el primer m s virulento que el segundo Estudiaron un s ndrome de anemia con s ntomas cl nicos caracter sticos modificaciones hema tol gicas e histopatolog a de los rganos linfoideos El periodo medio de incubaci n fue de 4 a 7 d as y se observaron niveles generalizados pero variables de la parasitemia y de la pirexia sin mortalidad Otros s ntomas fueron congesti n hemorragia causando placas o lesiones inapetencia deshidrataci n con o sin ascitis La tripanosomosis reduzco significativamente P lt 0 01 el valor del hematocrita PCV la concentraci n de hemoglobina y los eritrocitos En cambio aument el recuento diferencial de los leucocitos de l
259. ntrafricaine tait le pi ge biconique 1 dont le prix se situait en 1990 1 ORSTOM BP 893 Bangui R publique centrafricaine Recu le 17 12 1990 accept le 17 6 1991 Diminaz ne Chlorhydrate de chlorure d isom tamidium Chlorure d homidium Ce dernier prix n tant obtenu que gr ce la fabrication dans un atelier de la FNEC des parties m talliques du pi ge piquet cage support apicale arceau et tant encore volontairement sous estim id Pyr r thrinoide de synth se commercialis sous le nom de K Othrine par Roussel Uciaf C E 25 g l Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 295 299 dans une fourchette de 7 500 15 000 Francs CFA ce qui est tr s lourd pour le budget d un leveur LE MAS SON comm pers De fait aucun exemplaire de ce pi ge commercialis en 1990 par la FNEC au prix de 7 500 francs CFA n a t vendu Le pi ge bipyramidal est un nouveau pi ge con u dans le cadre d un programme de recherche de l Agence Nationale de D veloppement de l levage ANDE sur la protection de l levage en zone de savane humide Ce piege a t mis au point dans un but d autogestion de la lutte par les leveurs en tenant compte des contraines impos es par cette strat gie Les essais ayant permis sa conception font l objet de la premi re partie de cet article 5 La pr sente partie en donne le mode de fabrication fa on mat riaux la description le fonctionne
260. nulle est alors test e par un kh R SULTATS AAA Lors de ces exp riences un total de 7 303 G fuscipes fuscipes a t captur auquel s ajoutent quelques rares G fusca congolensis qui ne sont pas prises ici en consi d ration Exp rimentation de diff rents syst mes de capture Les r sultats sont donn s dans le tableau En estimant arbitrairement que le nombre de mouches ayant visit chaque syst me est peu pr s quivalent ces r sultats montrent qu un nombre significatif de ts ts s chappe des syst mes de capture les moins performants La cage Roubaud a se distingue par l inefficacit de son disposi tif anti retour Ce ph nom ne est encore accentu quand le support apical utilis c ne m tallique embo t sur un piquet n est pas grillag ou recouvert de tulle Dans ce cas un essai comparatif avec la nasse impr gn e 1 montre pour cette derni re une efficacit 3 6 fois sup rieure 122 glossines contre 34 F 5 0 3 336 P lt 0 025 Les syst mes b c d g donnent les meilleurs r sultats L efficacit est 1 5 2 fois sup rieure la cage Roubaud avec support recouvert de tulle a Le syste me f nasse de tulle montre une efficacit variable mais ceci est probablement d au fait que nombre de mouches parviennent s chapper pour mourir hors du La transformation logarithmique log x 1 est en g n ral normali sante Mais ce n est pas toujours le cas il arriv
261. od n descascarilladas de variedades sin gosipol en la alimentaci n de pollos de engorde en Costa de Marfil Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 355 360 Se comprob la utilizaci n de semillas de algod n descascarilladas sin gosipol SADSG como fuente de proteinas y de energ a en la alimen taci n de pollos de engorde al comparar cuatro raciones conteniendo 0 10 15 o 20 p 100 de SADSG No se observ ning n efecto significa tivo sobre el aumento de peso vivo de los animales a 14 28 y 42 d as de edad Durante los 42 d as de la experimentaci n el porcentaje de SADSG en el pienso no tuvo efecto significativo sobre la cantidad ingerida Sin embargo con 20 p 100 de SADSG se obtuvo un indice de consumo superior al notado con 10 o 15 p 100 La tasa de mortali dad no vari sino se observ una tendencia a la aumentaci n de la frecuencia de malformaciones de las patas A partir de un precio te rico de las SADSG de 42 6 francos CFA kg la incorporaci n en la raci n disminuye el coste alimenticio y aumenta la ganancia bruta por animal para los piensos conteniendo 10 o 15 p 100 de SADSG Estas podr an constituir un nuevo recurso interesante para la alimen taci n de las aves de corral Palabras claves Pollo de engorde Alimentaci n Semilla de algod n Eficiencia alimenticia Aumento de peso Costa de Marfil ANCEY G LETENNEUR L Etude de l utilisation rationnelle des sous produits agro ind
262. oin la classifi cation Pour une DTMS lev e de l ordre de 70 p 100 on peut avoir des vitesses de d gradation comprises entre 6 et 11 p 100 par heure En revanche une DTMS faible inf rieure 50 p 100 correspond toujours des vitesses de d gradation faibles de l ordre de 2 5 p 100 Les DTMA sont troitement li es aux DTMS r 0 68 mais pas aux teneurs en mati res azot es relation non significative r 0 09 Pour faciliter la compr hension de l expos seuls les r sultats relatifs la d gradation des mati res azot es seront comment s En effet l utilisation digestive de l azote semble tre le crit re le plus impor tant pour classer les ligneux suivant leur valeur nutritive pour le cheptel sah lien en saison s che L examen des valeurs extr mes prises par la DTMA met en vidence une tr s faible disponibilit de l azote d Anogeissus leio ALIMENTATION NUTRITION carpus DTMA 24 p 100 et celles tr s lev s de Bombax costatum DTMA 86 p 100 et de Boscia sene galensis DTMA 85 p 100 Les mati res azot es des chantillons de Asclepiadaceae Bombacaceae Capparidaceae et Polygalaceae ont t les plus d grad es DTMA sup rieure 70 p 100 et c proche de 8 p 100 Celles des l gumineuses et de Tiliaceae ont eu un profil interm diaire DTMA comprise entre 50 et 70 p 100 Enfin Pazote des Anacardiaceae et des Combretaceae a le plus souvent t faiblement d
263. ols TC Infected with T congolense TB Infected with Tf brucei brucei c PCV P 40 100 30 24 Hb g 100 ml 14 12 10 14 0 14 28 42 56 70 Pre and post infection days Fig 1 Mean body temperature packed cell volume and haemoglobin concentration of pigs infected with trypanosome Retour au menu PATHOLOGIE TABLE II Mean RBC and WBC differentials of pigs experimentally infected with Trypanosoma brucei brucei and T congolense Blood cell Post infection weeks types 2 0 2 4 6 8 Presence of trypanosomes A RBC x 105 mm 6 8 4 1 WBC x 10 mm 7 0 15 1 neutrophiles 31 8 21 7 lymphocytes 52 0 72 3 monocytes 3 8 4 7 eosinophiles 0 8 0 3 basophiles Presence of trypanosomes y ve 2 RBC 6 2 5 5 4 8 WBC 6 4 8 3 18 5 neutrophiles 41 5 29 3 28 3 lymphocytes 52 2 64 7 17 3 monocytes 5 0 5 0 5 7 eosinophiles 1 2 0 6 0 3 basophiles 0 3 Presence of trypanosomes ve 6 a ve 5 C RBC 6 1 6 2 5 9 58 5 0 5 9 WBC 7 4 7 0 6 8 69 6 8 6 8 neutrophiles 36 3 37 4 36 3 39 6 38 0 38 0 lymphocytes 54 0 54 6 56 0 57 0 55 0 56 4 monocytes 6 7 5 6 4 6 3 0 42 4 0 eosinophiles 2 4 1 4 1 1 24 2 8 2 7 basophiles 0 6 RBC red blood corpuscles WBC white blood corpuscles number of pigs positive with trypanosome
264. olution ut rine est significative P lt 0 05 elle est plus rapide chez les jeunes de 4 5 ans Cinquante pour 100 des femelles Baoul et Ndama sont cycl es respectivement le 49 jour et le 44 jour en se basant sur la composante comporte mentale alors que les deux races sont cycl es le 60 jour selon le crit re de morphologie ovarienne Par contre l l vation de la progest ro n mie montre que 50 p 100 des Ndama et 50 p 100 des Baoul ont retrouv leur cyclicit le 34 et le 40 jour post partum respective ment L volution pond rale d pendant de l alimentation au p tura ge des femelles allaitantes semble tre a Porigine de la variation du d lai de reprise de cyclicit apr s le part donc de l intervalle entre v lages Mots cl s Bovin trypanotol rant Bovin Ndama Bovin Baoul Cycle oestral Intervalle entre v lages Influence de l ge Togo INTRODUCTION DS La connaissance des param tres de reproduction consti tue une base primordiale de la rentabilit de l levage des bovins trypanotol rants de l Afrique Le CREAT situ dans la zone soudano guin enne de l Afrique occidenta le entretient depuis 1975 un cheptel bovin trypanotol rant Ndama Baoul sur des p turages am lior s Le mode d levage est de type allaitant avec un syst me rotatif des parcelles de p turage domin par Panicum maximum Les bovins sont soumis un calendrier sani taire bien suivi L
265. ombre de jours de pluies en 1985 1986 et 1987 MAT RIEL ET M THODE A L essai a d but avec la saison des pluies de 1985 Un dispositif factoriel avec sept doses d azote sous forme de sulfate d ammoniaque 21 p 100 0 40 50 60 70 80 et 90 unit s a l hectare et trois fr quences de coupe F1 30 jours forte F2 45 jours mod r e F3 60 jours faible en quatre r p titions soit un total de 86 par celles exp rimentales a t utilis Avant la mise en place de l essai le terrain a t pr par par labour dress la charrue soc 20 cm de profondeur suivi d un pas sage de rotavator Le semis tait mis en place sur des planches de 2 m x 10 m d limit es par des piquets en fer et s par es par des all es de 1 m Sur chaque planche quatre lignes de semis taient trac es avec une profon deur de 3 cm environ et intervalle de 40 cm B ruzizien sis tait sem la main Deux mois environ apr s le semis on a effectu la coupe de r gularisation 15 cm de la surface du sol et la fertilisation aux doses ci dessus mentionn es puis plus tard apr s chaque coupe 374 Pendant les p riodes de coupe et pour viter les effets de bordure le fourrage tait limin sur un m tre chaque extr mit de la planche et 47 cm de chaque c t Ainsi B ruziensis tait coup sur une surface utile de 1 06 m x 8 m dans chaque parcelle pes et un chantillon de 500 g pr lev et s ch
266. on L innovation ne fait pas encourir de risques Le risque est nul car il y a toujours la possibilit de recou rir aux trypanocides L utilisation des pi ges ne constitue pas une alternative mais un suppl ment pour la lutte Actuellement les leveurs ne per oivent pas de risques ventuels mais ceci reste confirmer Les r sultats du pi geage sont imm diatement visibles La m thode pr sente l int r t de visualiser les mouches captur es d s sa mise en place C est un facteur de moti vation essentiel plus concret pour l leveur qu une va luation pr cise de l impact conomique La trypanosomose est l un des probl mes pour les quels les leveurs demandent une intervention des Services de l Elevage Cette maladie wadahounde en Foulfould revient comme un leitmotiv dans leurs conversations Par Retour au menu ailleurs l adaptation de la technique a t r alis e dans leurs campements et les fils des leveurs ont particip aux essais pr liminaires Cette technique entre dans la logique de fonctionnement de ces levages de par sa maniabilit le pi ge est ais ment d plac d un abreuvoir a l autre ou vers les points d eau de transhumance LES VOIES ET MOYENS DE LA DIFFUSION EE En R publique centrafricaine deux organismes intervien nent dans le domaine de l levage l ANDE et la FNEC L Agence Nationale de D veloppement de Elevage regroupe le Service d Entomo proto
267. ond guinea pig was inoculated intradermally with 0 1 mi of the cell free filtrate to test for dermo necrotic reations The third and fourth guinea pigs were used as controls and were inoculated intramuscularly with a sterile phosphate buffered saline to which a sterile calcium chloride solution was added and with a sterile fil trate of cooked meat medium respectively Parasitological examination Livers and faecal samples were examined and snails were collected from the water canals in the grazing areas Histopathological examination All the livers and different organs from the experimentally inoculated laboratory animals were fixed in 10 formol saline processed embedded in wax cut at 5 um and stained with haematoxylin and eosin and Gram s stain 273 Retour au menu Communication Results Post mortem examination of all dead goats showed engorgement and petechial haemorrhages of the subcu taneous blood vessels A blood stained serous fluid was present in abnormally large amounts in the pericardial thoracic and peritoneal cavities The liver was dark and congested and showed yellow necrotic areas ranging from 0 5 to 6 0 cm in diameter photo 1 These necrotic areas were surrounded by a zone of hyperaemia Migratory tracts and holes made by liver flukes were also seen The bile ducts were fibrosed and the gall bladders were distended In seven goats many parasitic cysts of C tenuicollis were found attached to the livers
268. one marqu e par une s rie de foss s d effondrement Der Elwa Gaggad Hanl bordure du lac Abb et caract ris e par une steppe arbor e a Acacia asak et tortilis des steppes succulentes Suaeda des formations ligneuses a Hyphaene thebaica des steppes herbeuses Cymbopogon schoenanthus et des zones inondables a Tamarix niloti ca Zones p riurbaines Il ne s agit pas d une r gion naturelle mais d levages p riurbains intensifs ville de Djibouti constitu s de trou peaux de chamelles laiti res destin s approvisionner les populations urbaines en lait cru Les animaux re oi vent une alimentation riche en concentr s sorgho mais Ces zones constituent un syst me de production particu lier Pendant la p riode d tude les animaux n taient pas en transhumance donc en situation plut t stable dans une r gion donn e Pr l vements Les pr l vements ont t r alis s au cours du mois de d cembre 1988 en saison fraiche et s che Les droma daires ont t soumis un pr l vement sanguin de pr f rence le matin lorsque les animaux sont concentr s autour des points d eau Le sang total est pr lev la jugulaire dans un tube Sarstedt contenant une goutte d anticoagulant Liquemine puis centrifug sur place 4 500 t min pendant 10 min et le plasma collect avec un filtre h maties Le pr l vement plasmatique est conserv la temp rature de la glace fondant
269. os animales infectados Los tripanosomos se situaban en los tejidos linf ticos que destruyeron y cuyas lesions esenciales eran hemorragias la prolifera ci n de las infiltraciones por los mononucleares la deformaci n de los fol culos y la necrosis o la fibrosis de los tejidos Los autores eviden cian bien los efectos significativos resultando de la inmunosupresi n la eritrofagocitosis y en consecuencia infecciones segundarias que ocurren generalmente en las cr as de cerdo en las zonas de tripanoso mosis endemicas Palabras claves Cerdo Tripanosomosis Anemia Histopatolog a Organo linfoideo Nigeria 271 Retour au menu B C O Omeke D O Ugwu 272 REFERENCES D I A LA 14 15 16 17 18 AGU W E BAJEH Z T An outbreak of fatal Trypanosoma br ucel brucei infection of pigs in Benue State of Nigeria Trop Vet 1986 4 25 28 ANOSA V O Haematological and biochemical changes in human and animal trypanosomiasis Part II Revue Elev M d v t Pays trop 1988 41 3 277 281 ASHMANN P U SEED J R The effects of photoperiod and T brucei gambiense infection on the reproductive organs of male Microtus montanus J reprod Fert 1974 40 51 60 CALVAO CASTRO B HOCHMAN A LAMBERT P N The role of host immune response in the development of tissue lesions associated with African trypanosomiasis in mice Clin expl Immunol 1978 33 12 18 COLES K
270. overnment abattoir with a parasitaemia of 10 trypanosomes per ml blood After staining with Giemsa the parasites were identified as a T brucei species The organisms were infective for mice When subjected to the blood incubation infectivity test 10 infectivity of the parasites for mice was aboli shed by the action of human serum but not bovine or porcine serum The parasites were thus identified as Trypanosoma b brucei Experimental protocol Four of the 6 experimental pigs were inoculated intrave nously with mouse blood containing approximately 5 x 10 motile T brucei parasites The remaining two pigs served as non infected controls Every other morning between 9 and 10 a m the body temperature was measured with a rectal thermometer and blood was collected from an ear vein into two hepari nized haematocrit centrifuge tubes for determination of packed cell volume and parasitaemia as described by HERBERT and LUMSDEN 2 All pigs were euthanised at the end of observation 50 days post infection dpi Tissues for histopathology were fixed in 10 buffered formalin processed routinely for histopathology and stained with haematoxylin and eosin Selected sections were stained with Giemsa or Martin 279 Retour au menu E B Otesile S O Akpavie B O Fagbemi A O Ogunremi Scarlet blue Wet mounts were made from the cerebrospi nal fluid CSF and examined for trypanosomes Smears made from CSF were also stained w
271. oves les d ficits min raux sont particuli rement pro nonc s 25 Ils sont li s des taux tr s faibles en min raux des formations v g tales consomm es 22 mais compte tenu des valeurs galement tr s basses de la gly c mie et de l ur mie observ es dans cette r gion le d fi cit para t aussi nerg tique et azot Cette situation de carence a d j t observ e par GODET et al 29 mais sa nature non pr cis e La combinaison d une hypomagn s mie relativement marqu e et d une lipomobilisation traduite par une mon t e des AGL et une glyc mie faible a d j t voqu e Ceci appuie encore l hypoth se d un d ficit nerg tique grave Le niveau nerg tique de la ration alimentaire des da melles en levage p riurbain est largement sup rieur celui des autres dromadaires du pays Ces animaux re oivent une ration base de grains sorgho ma s par fois associ s des fourrages verts Les apports azot s paraissent excessifs et l ur mie moyenne 55 5 mg 100 ml est bien plus lev e que les normes g n ralement observ es dans cette espece 6 Une partie des animaux de la r gion d Ali Sabieh Bara Yer p turait dans les fourr s Salvadora persica plante buissonnante pauvre en cuivre et zinc riche en molybde ne soufre selenium et magn sium 22 et d assez bonne valeur azot e 26 Or ces animaux pr sentent des taux de magn sium sanguin bien sup rieurs ceux rele
272. p ces ligneuses et de ce fait leur ingestion Ainsi les feuilles et gousses de l gumineuses les feuilles de Calotropis procera Guiera senegalensis et Adansonia digitata distribu es aux ovins aux taux de 10 50 p 100 de la ration sont totalement consomm es m me si les animaux ne les acceptent qu apr s 15 jours d adaptation Ceci n est pas le cas pour Boscia senegalensis esp ce pourtant tr s d gradable mais dont les jeunes pousses sont quasiment rejet es alors que les feuilles g es sont accept es par les mou tons FALL non publi Une substance peut tre antinu tritionnelle teneur ou forme variable en fonction de l ge est rechercher pour expliquer ces variations de consommation En ce qui concerne la d gradation des mati res azot es les r sultats obtenus 48 h d incubation ont t compa rables ceux de KONE 10 pour les feuilles d A adanso nii et de P reticulatum ainsi que les jeunes pousses d A albida et de B rufescens Ils sont en revanche diff rents pour les feuilles d A seyal A ataxacantha A albida et C nigricans tabl V Ces diff rences pourraient s expliquer par des facteurs de variation d j cit s mais aussi par des conditions d exp rimentation non identiques chan tillons esp ces animales race r gime alimentaire tissu de nylon environnement WOODWARD et REED 20 signalent une bonne digestibilit de l azote des feuilles d A adansonii avec de
273. p Science Agricultural University of Norway Box 41 1432 As NLH Norv ge Recu le 10 9 1990 accept le 4 5 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 363 372 L esp ce consid r e ici le fonio sauvage Panicum lae tum Kunth cro t dans toute la zone sah lienne du S n gal Ethiopie 10 C est une gramin e annuelle qui peut atteindre une hauteur de 30 60 cm La panicule de l inflorescence est longue de 7 5 15 cm le caryopse est elliptique jaun tre et long de 1 5 m 10 L appellation fonio dans cet article ne concernera que Panicum lae tum Le fonio pousse en g n ral dans des d pressions limono argileuses souvent temporairement inond es Ses besoins hydriques sont satisfaits par les pluies et les eaux de ruissellement Ces derni res peuvent provenir de bassins versants loign s de plusieurs kilom tres et constituent l apport majeur pour d veloppement de la plante Le fonio pousse parfois en peuplement dense constituant alors des prairies continues et tendues Il serait capable de fleurir toute l ann e selon l humidit 1 et la peturg ne compromet pas sa reproduction 6 La r colte du fonio s effectue en deux tapes Dans un premier temps la r colte est effectu e en balan ant la hauteur des inflorescences un panier sp cialement con u pour recueillir les grains d tach s par le mouvement photo 1 Ensuite lorsque les grains rest s sont m rs et tombent
274. pillon O o h al Retour au menu Rh sulcatus Elle r side surtout aux oreilles et accessoirement au tou pillon Le parasitisme des adultes se limite la petite sai son s che juin ao t Le reste de l ann e elle se fait plus rare Hyalomma nitidum Ne se rencontre pas la t te et aux oreilles mais plus de 34 p 100 aux parties g nitales 30 p 100 la queue et 24 p 100 aux pattes tabl V Sa pr sence varie pro portionnellement la pluviom trie Haemaphysalis Un seul individu a t trouv aux pattes Hm aciculifer femelle DISCUSSION AN Deux esp ces animales sont en comp tition dans un bio tope si du fait de la concurrence une esp ce dispara t Ici il n y pas de comp tition entre les huit esp ces de tiques pr lev es Cette hypoth se a t v rifi e par des tests statistiques en calculant les corr lations entre les diff rentes esp ces d un m me genre et entre les divers genres tabl XII et XIII Ces analyses montrent qu il n y a ni comp tition entre ces diff rents groupes ni m me corr lation sauf pour A sul catus se localisant la conque auriculaire et A lunulatus se gorgeant au toupillon r 0 86 P lt 0 1 p 100 Cette tude ayant t men e sur des animaux p turant dans TABLEAU XII Analyse de corr lation entre les esp ces de Rhipicephalus ef celles de Boophilus Rh longus 0 044 1 0 027 1 Rh lunulatus X 0 866 0 Rh sul
275. pour une dur e de vie de 16 mois deux ans Coupe La coupe des mat riaux de ce pi ge tulle et plastique a t con ue de fa on ce que la fabrication du pi ge ne laisse aucune perte il n y a pas de chute Pour un pi ge il faut 0 90 m de plastique noir en 1 00 m de large 2 25 m de plastique bleu en 1 00 m de large 0 75 m de tulle moustiquaire en 1 20 m de large Le d tail de la coupe de ces mat riaux est donn en figu re 1 Un rouleau de tulle permet la confection de 40 pi ges un rouleau de plastique plus de 450 et 1 000 pi ges respectivement pour le bleu et le noir c2 F ig 1 Sch ma de d coupe des mat riaux A tulle moustiquaire en 1 2 largeur a 1 m B plastique bleu bl 0 5 m b2 1 m C plastique noir cl 0 6 m c2 1 2 m Les tirets indiquent les lignes de d coupe Il faut trois parties num rot es de 1 3 de chaque mat riau pour faire un pi ge voir fig 2 Retour au menu Assemblage L assemblage des trois parties du pi ge se fait simulta n ment fig 2 Une marge de 1 2 cm est r serv e pour les ourlets L ouverture du pi ge est ensuite d coup e selon un gabarit Les goussets sont r alis s comme indiqu sur la figure 3 Un tailleur avec un aide a 3 Fig 2 Assemblage du pi ge a pyramide sup rieure en tulle b pyrami de inf rieure bleue c crans inf rieurs noirs d pi ge compos des par
276. qu elle est comparativement plus impor tante entre ann es Ceci refl te probablement l h t rog n it globale des conditions climatiques pendant la p rio de d tude L analyse biostatistique des r sultats pour chaque ann e et au sein de chaque fr quence de coupe puis entre fr quences de coupe a permis de constater l effet significa tif P lt 0 05 de la fertilisation de m me que celui de la fr quence de coupe sur le rendement de B ruziziensis Ces r sultats relativement int ressants ne sont pas aussi satisfaisants que ceux obtenus par MADER 3 ou PAMO et PIEPER 8 avec les m mes doses d engrais en pr sence de 100 unit s de phosphore et 100 unit s de potassium par hectare La r ponse des plantes fourrag res la p ture est la fois influenc e par la fr quence de coupe ou de p ture et son intensit La fr quence de p ture est li e au rythme de passage du troupeau dans un parc et par rapport au temps total de repos que conna t le parc Trois fr quences de coupe une hauteur d environ 15 cm simu lant trois rythmes de passage des animaux ont t utili s es L essai a montr que les fr quences de coupe de 30 et 45 jours ont fourni les r sultats les plus r guliers alors que la fr quence de 60 jours produisait des r sul tats plus variables tabl fig 5 En effet en 1985 et 1986 la fr quence de 60 jours a fourni les meilleurs r sultats et les moins bons en 1987 Ceux ci ne con
277. qu en zone tropicale extensive le statut nutritionnel des animaux est associ essentiellement l espace utilis par les troupeaux et qu on peut d finir ainsi un statut co nutritionnel FAYE B MULATO C Factors of variation of mineral biochemical and enzymatic parameters in the blood plasma of dromedaries in Djibouti Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 325 334 Fifteen blood plasma parameters mineral biochemical and enzyma tic in 52 dromedaries 27 adult females 7 adult males 5 young males and 13 young females from five natural areas in Djibouti were analy sed According to observed values Djiboutian dromedaries exhibited trace element deficiencies concerning copper 60 7 ug 100 ml and zinc 46 2 ug 100 ml but not calcium 9 5 mg 100 ml or magnesium 2 3 mg 100 ml although the standard deviation was large in the lat ter case 1 1 3 9 Moreover dromedaries in Djibouti seemed to be energy deficient 63 7 g 100 ml for glucose 0 025 mmole l for BOH 0 17 mmole l for FFA but the dietary protein level seemed to be satisfactory urea 35 9 mg 100 ml albumine 32 7 g l The metabolic peculiarities of dromedaries explain the values of plasma lipids cho lesterol 19 5 phospholipid 22 4 and triglyceride 26 6 mg 100 ml The geographical factor prevails over the zootechnical factor age sex for explaining the differences between observed profiles The characteris tics between the five natural areas are di
278. r alis sans r p tition et avec trois hommes travaillant ensemble 365 Retour au menu J B Aune Les donn es des diff rents essais furent trait es avec des analyses de variance et de r gression L effet des m thodes de r g n ration pour l ensemble des sites sur une ann e fut test contre l interaction m thodes locali t s puis contre l erreur r siduelle Dans le cas d une ana lyse effectu e sur deux ann es l effet des m thodes de r g n ration fut test contre l interaction m thodes ann es Le seuil pour lequel les r sultats sont consid r s comme significatifs est de 5 p 100 Les niveaux de pro babilit 0 05 0 01 et 0 001 sont respectivement indi qu s par L abr viation n s signifie non significa tif au niveau de probabilit de 0 05 R SULTATS ET DISCUSSION AAA A A A Diff rents aspects de la r g n ration sont examin s savoir la qualit des semences la quantit de semences dans le sol l effet des traitements sur les conditions hydriques du sol la lev e dans les essais le d veloppe ment des plantes les rendements en grains et en paille le besoin de main d oeuvre et les m thodes pr coniser Qualit des semences Avant de commencer les essais sur le terrain il a t jug n cessaire de r aliser une valuation de la qualit des semences De grandes diff rences sont apparues en ce qui concerne le pourcentage de germination Le plus lev a t
279. r ce aux r sultats de la recherche m dicale et v t rinaire Dr T CHILLAUD Chef du service de l Information et des changes internationaux Office international des pi zooties OIE 12 rue de Prony 75017 PARIS Retour au menu Communication pizootie de fi vre aphteuse au Nord B nin durant la saison seche 1990 1991 J P Dehoux G Hounsou Ve DEHOUX J P HOUNSOU VE G pizootie de fi vre aphteuse au Nord B nin durant la saison s che 1990 1991 Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 261 262 Durant la saison s che de 1990 1991 novembre mai une pizootie de fi vre aphteuse a ravag le nord du B nin Provenant des pays voisins ta maladie s est r pandue tr s rapidement dans la r gion essentiellement par l interm diaire des troupeaux transhumants Aucune mesure n existe jusqu ce jour au B nin pour limiter cette infection end mique qui conna t r guli rement des flamb es de recrudescence Des pr l vements s rolo giques ont r v l que les types viraux 0 et SAT 2 ont s vi durant cette pizootie Mots cl s Bovin Borgou Fi vre aphteuse B nin Introduction La fi vre aphteuse est une maladie ubiquiste et bien connue En Afrique o elle demeure end mique elle peut constituer un des nombreux obstacles au d velop pement de l levage Elle s vit r guli rement au B nin mais le virus n y avait pas encore t type La pr sente note d crit l
280. r sultat de la d coupe haoussa qui est plus fr quemment appliqu e dans la r gion 12 Le castr de la seconde exp rience retenu pour la d cou pe tissulaire a une carcasse plus grasse que le b lier entier ce qui est confirm par l analyse chimique du gigot tabl V Les diff rences en proportion de muscles sont minimes ainsi que celles en tissu osseux Le taux en humidit des morceaux a t influenc par le fait que les gigots destin s analyse chimique taient d coup s au d part et qu ils ont t conserv s congel s La perte en humidit en a t acc l r e Le taux de cendres lev est semble t il en rapport avec le pourcentage lev de tissu osseux des carcasses L analyse du cinqui me quartier tabl et Il permet de constater un d veloppement beaucoup moins important de la t te chez le castr ce que confirme la litt rature 7 16 Ceci est li au moindre d veloppement des cornes qui a pu tre observ lors de l abattage dans les deux exp riences La peau avec poils du castr est moins lourde que celle des entiers et des short scrotum BUTTERFIELD et af 6 trouvent une diff rence significative entre castr s et entiers apr s la tonte La peau en elle m me est donc d j plus lourde Par ailleurs EGAN et RUSSELL 10 ont observ une diff rence entre le castr partiel par cryptorchidie induite et le castr en ce qui concerne la quantit de laine produite La castration semble
281. r tagging Typical orf lesions were observed in the affected goats and the virus was reisolated and identified from them The threat of orf infection following ear tagging should be kept in mind in orf endemic regions Key words Goat Orf infection Saudi Arabia References 1 ALLWORTH M B HUGHES K L STUDDERT M S Contagious pustular dermatitis orf of sheep affecting the ear ie tagging Aust Vet J 1987 64 61 62 2 FENNER F BACKMANN P A GIBBS E P J MURPHY F A STUDDERT M J WHITE D O Jn Veterinary virology London Academic Press 1984 3 HOUSAWI F M T ABUELZEIN E M E AMIN M M AFALEO A I Contagious pustular dermatitis orf in Saudi Arabia 1991 in press 4 PLOWRIGHT W WHITCOM M A FERIS R D Studies with a strain of contagious pustular dermatitis virus in tissue culture Arch Ges Virusforsch 1959 9 214 231 5 ROBINSON A J BALLASU T C Contagious pustular dermatitis orf Vet Bull 1981 51 771 782 6 ROMERO MERCHDO C H McPHERSON E A LAING A G LAWSON J B SCOTT G R Virus particles and antigens in ae mental orf scabs Arch Ges Virusforsh 1973 40 152 158 7 SAHNEY A N DUBEY S C MALIK B S Diagnosis of conta gious pustular dermatitis in sheep and goats by agar gel precipitation test Ind Vet J 1973 50 605 607 Retour au menu E B Otesile S O Akpavie B O Fagbemi PROTOZOOLOGI
282. r voie orale pendant 5 jours et la pyrim thamine par voie parent rale la dose de 0 3 mg kg PV pendant deux jours Mots cl s Dinde Plasmodium spp Paludisme Phosphate de chloroquine Pyrim thamine Nigeria Introduction Malaria parasites have been observed in the blood of tur keys from several countries of the world 4 In Nigeria turkey malaria has been reported in the Onitsha area of Eastern Nigeria 4 and in the Zaria area of Northern Nigeria 1 However while in the former region a large number of turkeys was examined and only a single infec tion recorded in the latter region an infection rate of 4 13 8 was observed out of 29 local turkeys examined Plasmodium spp infection has been associated with clini cal diseases and mortality in turkeys 1 5 6 The clinical and pathological findings in the disease included depres sion anorexia diarrhoea lassitude dullness dyspnoea anaemia splenomegaly and hepatomegaly Apart from some reports 1 4 only very little information is available on malaria parasites of turkeys in Nigeria This study was undertaken to investigate the prevalence of infection of turkeys with Plasmodium spp in the Nsukka area of Nigeria and the distribution of animals according to the management system age and sex The 1 Faculty of Veterinary Medicine University of Nigeria Nasukka Nigeria Recu le 31 7 91 accept le 18 9 91 Darna Clar M nd v t Dave tenn 1001 AA 2
283. rand de Somalie r partis en 10 m les et 42 femelles et en 18 jeunes et 34 adultes ani maux en ge de se reproduire Les animaux proviennent de cinq r gions naturelles carte 1 telles qu elles sont d crites par AUDRU et al 7 et FAYE 22 RIFT AFAR a CS da MER ROUGE i f Fe ELEVAGE PERI URBAIN REGION DU l SUD OUEST agna 450 TES p 29h ln AE Gaggad la nid Ei in 1 262 REGION D ALI SABIEH ET DU BARA ing Carte 1 R gions naturelles tudi es et lieux de pr l vement sanguin des dromadaires m les 3 femelles 2 adultes A ou jeunes J Rift de l Afar Les animaux pr lev s p turent dans la zone nord carac t ris e par une v g tation dispers e Rhighozum soma lense entrecoup e par la steppe arbustive d Andabba Acacia ehrenbergiana et la zone d nud e d Otoye 325 Retour au menu B Faye C Mulato Plaine c ti re d Obock La plupart des animaux tudi s subsistent dans les man groves formations v g tales Ceriops tagal et Avicennia marina A l int rieur des terres on rencontre des fourr s unisp cifiques Salvadora persica R gion d Ali Sabieh Cette zone comprend le Grand et le Petit Bara au nord o cohabitent zones d nud es et steppe Cymbopogon schoenanthus et le massif d Arrey au sud couvert d une steppe o dominent Acacia etbaica et des fourr s Salvadora persica R gion du Sud Ouest C est une vaste z
284. ratique conduit une grande instabilit moyen terme un campement n est occup en moyenne que 8 7 ann es 11 La transhumance de saison s che demeure la r gle dans 76 p 100 des cas 11 En 301 Retour au menu F Blanc J P Gouteux D Cuisance E Pounekrozou A Le Masson F N Dokoue M Mainguet F D Amico F Le Gall R publique centrafricaine o subsistent encore de riches p turages intacts cette attitude qui peut para tre la plus adapt e risque cependant de poser des probl mes long terme Pour un troupeau moyen de 125 b tes 18 p 100 du budget annuel est consacr aux d penses d levage 11 et 80 p 100 soit pr s de 30 000 francs CFA concerne les m dicaments trypanocides 7 Cette somme qui ne permet pas une chimioprophylaxie syst matique des trypanosomoses du b tail pourrait tre utili s e en partie pour la lutte contre le vecteur G f fuscipes esp ce riveraine Le nouveau mod le de pi ge propose 10 r pond a des crit res d efficacit de prix et de facilit de manipulation Install par les leveurs sur les abreuvoirs ce pi ge est cens r duire la pression glossinienne ce point de contact pr f rentiel b tail ts ts abaissant la transmis sion des trypanosomoses un niveau supportable Le pi geage comporte n anmoins des incertitudes la pra tique d une transhumance itin rante ne permet pas cette technique d tre pleinement efficace Les premi res obs
285. retreatment with a ferrous sulfate solution J Anim Sci 1975 40 648 654 DAGHIR N J Nutrients requirements of laying hens under high ous conditions Jn Poultry production in hot climates 2nd DLG Symposium Goslar Germany June 16 18 1985 P 81 98 FITZSIMMONS R C NEWCOMBE M MOUL 1 E The long term effects of feeding ground and whole cottonseed to laying hens Can J Anim Sci 1989 69 425 429 GRIFFITH F D GRAINGER R B BEGIR J J The effect of dietary fat and cellulose on apparent calcium digestibility 1 in growing chickens Poult Sci 1961 40 1492 1497 INRA L alimentation des animaux monogastriques porc lapin volaille Paris INRA 1984 282 p KENSETT B C HO S K TOUCHBURN S P Influence of level pi dietary fat on the growth of dwarf chickens Poult Sci 1980 59 2065 2070 KOUAKOU B tude comparative du touiteau de soja et du tourteau de coton sans gossypol sur les performances des poulets de chair M m fin tudes agron Abidjan ENSA 1987 48 p KUTCHES A J CHALUPA W TREI J Delinted cottonseed improves lactation responses Feedstuffs 1987 17 16 17 LARUE C KNABE D A IZARD R S TANKSLEY T D Glandless cottonseed kernels for starter grower and finisher swine J Anim Sci 1987 64 1051 1059 MOHAMED K LARBIER M LECLERCQ B A comparative study of the digestibility of soyabean and cottonseed a amino a
286. roches de 15 p 100 Ils sont donc plus riches en mati res azot es que les herba c es dont la teneur d cro t de 15 20 p 100 de la mati re s che en d but de cycle des valeurs inf rieures 5 p 100 au stade pailles sur pied qui constitue l essen tiel de la biomasse en milieu et fin de saison s che De nombreux travaux ont d j port sur la composition chimique des esp ces ligneuses consomm es en milieu tropical 2 7 11 13 Il existe cependant peu de donn es sur leur utilisation digestive tant pour la disponibilit de la mati re organique que des mati res azot es On sait que les teneurs en lignine peuvent tre importantes et jouer un r le inhibiteur dans la disponibilit de l azote et de la mati re organique les teneurs en constituants pari taux 1 Institut S n galais de Recherches Agricoles ISRA Laboratoire National d Elevage et de Recherches V t rinaires LNERV BP 2057 Dakar S n gal Avec la collaboration technique de B DIAW et W GOUDIABY Regu le 13 12 1989 accept le 24 9 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 345 354 diff rent suivant l organe et le stade ph nologique mais les facteurs de variation sont cependant peu connus De m me l influence n gative des tannins sur la valeur nutri tive des ligneux est souvent cit e 2 14 16 20 Ce travail a pour but d valuer la digestibilit in vitro et la d gradabilit dans le rumen de ligneux fou
287. rouver une m thode pour r g n rer les plaines Panicum laetum Les r sultats font appara tre que sur les plaines d grad es il reste peu de semences Les essais sur le terrain ont montr que techniquement il est possible de r g n rer les plaines fonio sauvage La m thode qui a donn le meilleur r sultat est celle du semis suivi d un travail la houe Cependant un travail la houe seul peut aussi faciliter la r g n ration Le travail du sol am liore la lev e et augmente la croissance des plantes Le semis en poquets n a pas donn de r sultats satisfai sants Bien que la m thode semis et travail du sol sec soit exigean te en main d oeuvre la productivit de 2 0 kg de grains par heure de travail indique que la m thode peut tre op rationnelle grande chelle Mots cl s Panicum laetum Restauration couverture v g tale Travail du sol Mali INTRODUCTION L tude fut men e au Mali dans le Gourma carte 1 Cette zone est caract ris ee par une pluviom trie moyenne de 150 350 mm 11 avec une variabilit interannuelle importante La plus grande partie des pluies tombe pendant les mois de juillet ao t et septembre fleuve oute fronti re NIGER _ 1 500 000 TOMBOUCTOU Gourma Rharous Ufebet e Inajourour e Bambara Maud Douentza 77 BURKINA FASO Y ne 7 Carte I Gourma malien 1 Department of Cro
288. rragers des zones sah lienne et soudano sah lienne du S n gal Les r sultats devraient contribuer identifier les esp ces ayant les meilleures valeurs nutritives et pour certaines d entre elles d crire leurs variations saisonni res Les essais ont t r alis s de 1987 1989 au LNERV ISRA de Dakar S n gal MAT RIEL ET M THODE SN E chantillons lis ont t r colt s dans le Ferlo zone sah lienne et le Sine Saloum zone sah lo soudanienne tabl et Il puis s ch s au soleil et pass s au broyeur marteau quip d une grille de 1 mm Les chantillons analys s in vitro et ceux tudi s in situ ne sont pas les m mes mais les r sultats obtenus ont t compar s pour confronter les hi rarchies des esp ces tablies par les deux techniques Digestibilit in vitro La m thode en deux temps de TILLEY et TERRY 19 a t appliqu e pour valuer la digestibilit de 58 chan tillons Le jus de rumen a t pr lev sur trois taurillons fistul s du rumen et d un poids moyen de 250 kg Ils rece vaient de la paille de riz volont 1 kg de tourteau d ara chide et 75 g de poudre d os en deux repas par jour 8h et 14 h La prise d essai de 0 5 g d chantillon subit deux traitements de 48 h chacun La premi re incubation est r alis e dans un m lange de salive artificielle et de jus de rumen filtr On proc de ensuite une attaque enzyma tique par une solution de pepsine ac
289. rs en mati re s che dessiccation l tuve 80 C et en mati res azot es totales m thode de Kjedahl ont t d termin es sur le substrat et le r si du La d gradabilit DT des aliments est fonction de leur vitesse de d gradation mesur e in situ dans le rumen et de la vitesse de transit k des petites particules qui est estim e 6 p 100 h 15 La cin tique de d gradation a t appr ci e par un ajustement exponentiel exprim par l quation D a b 1 e ou D p 100 repr sente la d gradation mesur e au temps t a p 100 la fraction imm diatement d gradable b p 100 la fraction d gradable a une vitesse c p 100 h La d gradabilit th orique DT est calcul e par la relation DT a bc c k k repr sentant le turnover des parti cules dans le rumen soit 6 p 100 h Les ajustements ont t effectu s pour la mati re s che et les mati res azot es avec une r gression non lin aire du logiciel STAT ITCF 18 R SULTATS Digestibilit in vitro Cinquante huit chantillons provenant de diff rents organes de trente esp ces d arbres ou d arbustes fourra gers ont fait l objet de mesures tabi Les r sultats sont 348 tr s Variables d une esp ce ligneuse une autre La DIVMS varie de 26 88 p 100 la moyenne tant de 51 p 100 La DIVMO et la DIVMS varient dans le m me sens Les deux param tres sont bien corr l s r 0 97 erreur stan dard
290. s TABLE HI Localisation of Trypanosoma brucei brucei A and T congolense B in lymphoid organs of infected pigs Pig Post infection Organ smears Mean incu slaughter bation in Group identity week L N Spleen Liver N Spleen Liver mice days y E A Tb 2 P P P 4 2 Tb 4 P P P 4 6 Tb 6 P P i P 5 1 Tb 8 P P P ome Tb 9 P 6 2 Tbe 10 P P P 5 0 B Te 2 9 6 Tc 4 A 7 2 Tc 6 P 6 9 Te 8 10 2 Tc 9 E 9 6 Te 10 9 0 level of parasiternia P positive i e trypanosomes isolated in mice 269 B C O Omeke D O Ugwu Photo I Pig lymph node showing infiltration of monocyte and Russel s bodies Photo 2 Pig lymph node lymphocyte repopulation due to T B brucei infection H E x 80 Photo 3 Reactive nodules areas of tissue necrosis and or fibrosis and lymphoid depletion due to T congolense infection Photo 5 Pig liver showing mononuclear cells germ cell degeneration and enlargement of interlobular spaces H amp E x 160 due to T b brucei infection 270 Photo 4 Pig spleen showing depletion of lymphoid tissue and hyperpla sia of reticular cells around sheaths of arterioles H amp E x 32 due to T congolense infection normal Trypanosomes were found abundantly in the lym phoid organs of
291. s pandage d engrais on observait quelques jours apr s des signes de br lis sur certaines parcelles la reprise en tait retard e affectant la produc tion ult rieure Les r sultats obtenus au cours de cette premi re ann e ont t relativement int ressants car compte tenu des d lais de mise en place des essais il y 4065 3380 3773 3789 29767 2602 3117 209 2535 1 968 605 2913 548 3300 357 3186 774 3089 305 3 467 1 252 3 184 628 2 527 594 b c b les moyennes sur les lignes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 p 100 b c les moyennes dans les colonnes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 p 100 a eu un nombre limit de coupes trois pour les fr quences de 30 jours deux pour celles de 45 jours et une pour celles de 60 jours L ajustement polynomial des rendements en fonction des diff rentes doses aux diff rentes fr quences de coupe fig 4 a permis d obtenir les quations suivantes F1 Y 2391 89 9 35 N 0 27 N R 0 72 F2 Y 2222 22 13 93 N 0 02 N R 0 31 F3 Y 2203 21 18 49 N 0 14 N R 0 70 M Y 2272 69 7 69 N 0 14 N R 0 84 Ces ajustements ont fourni des r sultats variables comme en t moignent les coefficients de d termination parfois relativement bas Ceci sugg re que c est une par tie re
292. s t fabriqu s au m me moment et avec les m mes mat riaux tissu plastique et tulle moustiquaire L attrac tivit peut varier consid rablement d une nuance de bleu une autre 13 ou selon le maillage du tulle 10 D autre part l exposition au soleil modifie l intensit de la colora tion Le pi ge biconique de CHALLIER et LAVEISSIERE 4 c ne inf rieur bleu A est compar avec le mod le pyramidal B de GOUTEUX et LANCIEN 14 et les mod les monoconiques C D E F et G Vavoua E de LAVEISSIERE 22 de MEROT et al F cf CUI SANCE 6 aux crans crois s bleu noir C comme ceux du pi ge pyramidal et analogue au pi ge utilis au Zaire par le BCT POCHET comm pers jupe D de GOUTEUX et SINDA 17 ou encore in dits G Le BCT Bureau Central de la Trypanosomose organisme charg de la lutte contre la maladie du sommeil au Za re Retour au menu Fig 3 Variantes du pi ge bipyramidal ayant fait I objet d essais en carr s latins hauteur de la pyramide sup rieure 1 ligne hauteur des crans noirs l int rieur de la pyramide sup rieure 2 ligne forme et dimension de l ouverture 3 ligne hauteur de l ouverture 4 ligne Le chiffre en haut de chaque pi ge indique le pourcentage des captures par rapport au mod le standard mod le bipyramidal H a t mis au point au cours de ces essais et d crit en d tail dans la par
293. s inappetence dehydration and or ascites Trypanosomosis significantly P lt 0 01 lowered the packed cell volume PCV haemo globin concentration and red blood cells but elevated white blood count differentials of infected pigs Trypanosomes were localised in and destroyed the lymphoid tissues the major lesions of which inclu ded haemorrhages mononuclear infiltration prolification and distor sion of follicles and tissue necrosis or fibrosis Significant effects of resultant immunosuppression erythrophagocytosis and hence secon dary infections to pig production in trypanosome endemic areas are highlighted Key words Pig Trypanosmosis Anaemia Histopathology Lymphoid organs Nigeria PATHOLOGIE ty According to ANOSA 2 the resultant immunological complexes and the activation of the complement and mononuclear phagocytosis system are mainly respon sible for this disease Several research workers 6 16 18 consider that extra and intravascular haemolysis haemodilution and inhibition of erythropoesis are major factors to trypanosomosis anaemia IKEDE et al 9 associated the mechanisms of anaemia with types of trypanosomes because of their variations in strain anti genicity It is clear that trypanosomosis is characterized by the destruction of lymphoid tissues the effects of which inclu de immunosuppression erythrophagocytosis 7 and hence a poor animal performance especially as they are prone to secondary i
294. s d abattage et de d coupe des diff rentes cat gories d animaux afin de d gager les avantages des uns et des autres par rapport au march de la viande et d expliquer certaines observations faites ant rieurement en mati re d indices alimentaires Les auteurs constatent que l int r t d abattre des animaux castr s la pince est minime malgr certains avantages de rendement La technique favorise le d veloppement proportionnel de l arri re train qui n a pas dans le contexte local la m me impor tance qu ailleurs Le prix sup rieur du castr sur le march le rend galement moins attrayant pour le boucher La tendance d poser plus de graisse chez le castr est l origine des indices de consom mation plus lev s Enfin on a pu constater que le castr partiel par la m thode du short scrotum pr sente des performances similaires celles des b liers entiers Mots cl s Mouton Poulfouli B lier Castration Rendement l abattage D coupe Cameroun INTRODUCTION EE n l De toutes les productions de l levage ovin dans la r gion de l extr me nord du Cameroun la viande est le produit le plus important L abattage priv est beaucoup plus fr quent que pour les bovins ce qui explique que les statis tiques officielles soient sous valu es 9 Dans le cadre de l tude sur l influence de la castration partielle par la m thode du short scrotum et de la castra tion totale par la pi
295. s infected with malaria parasites in Nsukka area Nigeria Sex Sr Source of sample Number Number Number sampled infected infected No M F Male Female 1 Mrs Okeke s Farm 3 1 2 66 7 A A _ 2 Mrs Onyirioha s Farm 1 34 Mr Ngozika s Farm 1 33 3 4 Uzoagba Farm 5 5 Ifesie s Farm 1 6 Agusiobo s Farm 7 Agu Brothers Farm 17 7 Ezeugwu s Farm 11 Mr E Okonkwo s Farm 12 Ugwuany s Farm 1 50 2 40 3 1 25 Il TTC Rd Farm 19 Enugu Ezike Market 20 Oye Orba Market 22 Mr Okator s Farm 2 10 1 50 23 Obollo Afor Market 4 2 2 100 24 Mr Emejuru s Farm 4 9 1 25 25 Artisan Market 8 2 el 194 108 44 46 8 27 175 9 33 3 80 45 7 intensive management system semi intensive management system percentage of number examined in each category 284 Retour au menu Photo 1 Turkey blood smear showing developmental stages of Plasmodium spp Arrowed with high parasitaemia The mean PCV values for infected and uninfected turkeys were 29 95 3 36 and 37 3 2 8 respectively and tor the infected male and female turkeys 30 7 2 8 and 29 2 3 5 respectively The uninfected males and females represented 39 3 1
296. s or 09 o Adla ar Le pi ge capture et tue les ts t56 vecteur de la trypanosormiase De a as Acheter moins de m dicaments Kuku ay k gbou na mbagus lo y k fa angoungou so ayeke ga na kobela ti a bagan Kuku akanga l gue ti vo ayoro mingui ORSTOM LEMVT F NE C AN D E 1990 Wy ca Fig 2 Cette affiche placard e dans tous les points de vente de la FNEC d p ts est distribu e l chelon des postes et des secteurs d levage 304 lutte contre les ts ts et le dessin d un pi ge Enfin des messages radiophoniques compl tent cette cam pagne Le r seau des GIP Il constitue une courroie de transmission pr cieuse per mettant de toucher l ensemble de la chefferie traditionnel le qu il est indispensable d associer a ce genre d op ra tion De plus il a t tabli qu en moyenne chaque leveur membre en informe ensuite trois autres par contact direct LE MASSON non publi Cette forme de vulgarisation est recommand e par BELONCLE 1 qui s il remet en question la n cessit d un encadrement rap proch insiste en revanche sur la participation des int ress s aux discussions autour des innovations ainsi qu a leur adaptation Au cours du mois de septembre 1990 le service d Entomo protozoologie a profit des r unions des f d rations de GIP pour informer les ardos obtenir leur aval et r aliser des d monstrations visite aux abreuvoirs et
297. s plus ou moins gal la moyenne du groupe La d coupe est faite la main l aide d un bistouri et de pinces dents de souris On s pare le tissu musculaire des tissus adi peux intermusculaires et sous cutan s et des os Sont consid r s comme d chets et s par s les grands ten dons les ganglions les gros vaisseaux sanguins et les gros nerfs Un des gigots de chacune des deux car casses retenues a t congel 20 C et l analyse des composants organiques a t faite suivant la m thode de DE WILDE 8 La composition tissulaire du gigot est celle qui donne la meilleure pr diction de celle de la carcasse enti re 3 Pes es mesures et calculs Les b liers ont t pes s jeun juste avant le sacrifice pour d terminer le poids vif PV a l aide d un harnais et d une bascule dynamom trique cadran d une pr cision de 200 g La carcasse a t pes e trois reprises l aide de la m me bascule chaud avec rognons et graisse p rir nale chaud apr s retrait de ces parties et apr s ressuyage Le contenu visc ral estomac intestins et vessie a t pes pour d termination du PV vide suivant la formule PV vide PV jeun contenu visc ral On a calcul ensuite pour les deux types de carcasses chaudes le rendement brut poids carcasse x 100 PV et le rendement vrai poids carcasse x 100 PV vide 336 Les organes intracavitaires thorax et abdomen les pieds l
298. s que celles des castr s la pince Ceci indique que ces derniers sont plus d velopp s au point de vue musculature Le calcul de la surface du long dorsal A x B en exp rience 1 d montre un d veloppement de ce muscle plus important chez les groupes T1 et SS ce qui est conforme la litt rature qui indique ou une sup riorit ou une quivalence 1 6 Cet indice ne diff re pas en seconde exp rience malgr une tendance une importance plus grande de la surface chez l entier Une dur e plus longue de lexp rience aurait peut tre permis l accentuation de cette dif f rence Il n y a pas de diff rence significative en valeur de l indice NFI dans les deux exp riences malgr une valeur plus petite chez les castr s ce qui indique une plus grande paisseur de la graisse sous cutan e et ou moins de muscle Deux explications peuvent tre avanc es la pre mi re se base sur le fait que la graisse lombaire est d veloppement tardif 14 Une diff rence n a donc peut tre pas encore pu s tablir Par ailleurs BOCCARD et DUPLAN 5 ont constat qu une croissance pond rale rapide permet galement un d p t de gras plus impor tant Les entiers et les short scrotum ont donc pu tre avantages par l alimentation En ce qui concerne l tude des proportions des morceaux de d coupe on observe un d veloppement nettement plus important de l arri re train
299. s valeurs peu diff rentes des n tres 85 contre 92 p 100 Ils mentionnent aussi une haute teneur en substances ph noliques TABLEAU V D gradabilit des MAT 48 h d incubation Comparaison de r sultats p 100 Esp ces Organes Acacia adansonii Feuilles Acacia albida Jeunes pousses 91 86 Acacia albida Feuilles 20 53 Acacia ataxacantha Feuilles 22 50 Acacia seyal Feuilles 82 56 Boscia senegalensis Fruits 92 Boscia senegalensis Feuilles Bauhinia rufescens Jeunes pousses Combretum nigricans Feuilles Piliostigma reticulata Feuilles Il n y a pas que des substances toxiques qui peuvent limiter app tibilit ALIMENTATION NUTRITION Les amplitudes de variation de la vitesse de d gradation c et de la d gradation imm diate a des MAT ont t tr s grandes Elles constituent des crit res de classifica tion importants car elles d terminent la disponibilit des nutriments dans les pr estomacs En effet certaines esp ces d gradation rapide comme les genres Boscia ou Calotropis devraient engendrer une l vation rapide du taux d ammoniac dans le rumen elles seront donc plus indiqu es pour la suppl mentation des RUADE pauvres en azote La non disponibilit des MAT des feuilles d A ataxacan tha A sieberiana et A seyal est explicable par une teneur en lignine tr s lev e 10 et surtout par un fort pourcentage d azote bloqu dans
300. s variables d une esp ce une autre sans qu il soit possible en l tat actuel des r sultats d attribuer les diff rences un genre ou une famille Par exemple les feuilles de Combretum aculeatum tr s app t es ont une DIVMO moyenne plus lev e que celle de Combretum nigricans 58 contre 25 p 100 De m me Heeria insignis et Sclerocarya birrea bien que de la m me famille ont des feuilles de digestibilit tr s diff rente 24 et 48 p 100 respective ment Parmi les chantillons tudi s certains sont tres digestibles on retiendra en particulier les feuilles et fleurs de Calotropis procera celles de Balanites aegyptiaca Combretum aculeatum Maerua angolen sis Securinega virosa et Securidaca longe pedunculata D gradation et d gradabilit le rumen Les taux de d gradation de la mati re s che et des mati res azot es des chantillons aux diff rents temps d incubation et les param tres du mod le d ORSKOV 15 sont donn s aux tableaux Il et Ill et aux figures 1 7 La d gradabilit th orique de la mati re s che DTMS et celle des mati res azot es DTMA ont des variations parall les de 34 78 p 100 et de 24 86 p 100 avec des valeurs moyennes respectives de 57 et 59 p 100 Les chantillons peuvent tre class s comme pr c demment et les esp ces ayant les meilleures DIVMO sont aussi celles qui sont les plus d gradables in situ mais il n est pas possible de pousser plus l
301. scussed in relation to mean profile observed on the animals Key words Dromedary Biochemistry Enzyme Mineral content Plasma Djibouti BIBLIOGRAPHIE En R publique de Djibouti on peut globalement constater que les dromadaires sont plut t en d ficit min ral cuivre et surtout zinc et que la couverture nerg tique n est pas assur e pour la plupart des animaux REMERCIEMENTS Nous tenons remercier le Dr LAURENT du Minist re de la Coop ration et le Dr KAMIL du Service de l levage et des P ches de Djibouti sans qui cette tude n aurait pas t possible Nous remercions galement J P CHACORNAC J C TRESSOL Fran oise LESCOURRET et G SAINT MAR TIN pour l aide qu ils nous ont apport e FAYE B MULATO C Factores de variaci n de los par metros pro teo energ ticos enzimaticos y minerales del plasma en el dromadario de Djibouti Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 325 334 Se analizaron 15 par metros bioqu micos a partir del plasma de 52 dromedarios 27 hembras adultas 13 hembras jovenes 7 machos adultos y 5 machos jovenes proviniendo de cinco regiones naturales de Djibouti Los resultados evidencian estados de subcarencia de oli goelementos cobre 60 7 ug 100 ml cinc 46 2 ug 100 ml de ningu na manera de calcio 9 5 mg 100 ml ni de magnesio 2 3 mg 100 ml aunque en el ltimo caso las diferencias sean importantes 1 1 3 9 Por otro lado los
302. sium and phosphorus and cutting frequency on the yield of Brachiaria ruziziensis in Adamawa plateau Cameroon XVI International Grassland congress 4 11 october 1989 Nice France Versailles The French Grassland Society 1989 P 111 112 PAMO E T YONKEU S tude de l volution de quelques param tres climatiques de l environnement pastoral de Wakwa Adamaoua Cameroun Revue Sci Tech S r Sci zootech 1986 2 3 19 35 PAMO E T YONKEU S Comportement de quelques esp ces fourrag res dans les bas fonds du ranch SODEPA Faro Adamaoua Cameroun ln Actes du s minaires r gional sur les fourrages et l alimentation des ruminants 16 20 novembre 1987 N Gaound r Cameroun Maisons Alfort IEMVT Yaound MESRES 413 425 tudes et Synth se de PIEMVT n 30 PAMO E T YONKEU S R ponse du p turage naturel la fertilisation azot e sur sol basaltique en Adamaoua camerounais XVI Congr s international des herbages 4 11 octobre 1989 Nice France Versailles Association fran aise pour la production fou rag re 1989 P 69 70 PIOT J Culture fourrag re et levage extensif conditions de 1 Adamaoua Colloque sur l levage Fort Lamy Tchad 1969 35 sec 8 2 799 805 RANZI F LONG R L PLAINTER L T Effects of nitrogen fertilization on native grassland J Range Mgmt 1968 21 287 291 RIPPSTEIN G tude sur la v g tation de l Adamaoua volution conserva
303. sormais la rotation des quipes d un campement l autre est mensuelle et les piagas ne sont plus fournis gratuitement 303 Retour au menu F Blanc J P Gouteux D Cuisance E Pounekrozou A Le Masson F N Dokoue M Mainguet F D Amico F Le Gall Les supports mat riels de la diffusion vulgarisation Ces ODV sont restreintes quelques points ce qui est insuffisant m me si la vulgarisation par dessus la haie permet au message d atteindre un nombre plus impor tant d leveurs Pour multiplier la diffusion une collabo ration avec le D partement Animation Mutualiste de la FNEC et la Cellule de Formation et de Coordination de la Vulgarisation de ANDE tait indispensable Ceux ci ont contribu la mise au point des moyens n ces saires la diffusion savoir une affiche publicitaire fig 2 une fiche technique sur le pi geage et ses modalit s fig 3 un diaporama mettre la disposition des formateurs De plus la carte d leveur attestant l adh sion la FNEC en th orie non obligatoire mais en pratique for tement recommand e notamment vis vis des autori t s locales servira galement de support la diffu sion de la technique avec au dos une mention je Em EEE E BATA A BAGARA TIE DJONI NDALI TIA NGOUNGOU TI KOBELA TI LANGO NA LEGUE TI KUKU sor oa Tna ES eg a ye Use SR PROTEGER VOTRE BETAIL CONTRE LES TSE TSE AVEC LE PI GE A N D E ESA RES A e
304. strains This may be due to the pre ferential localisation of T b brucei in tissues as opposed to T congolense that localises more in the blood 8 17 This agrees with observations made by LOSOS and IKEDE 14 that fever is more significant with T brucei while anaemia is more prominent with T congolense infection In both infec tions there was destruction of lymphoid tissues leading to impairment of their functions Pig production is adversely affected IGBOKWE 7 similarly observed dyserythro poises due to erythroid injury and depressed erythroprotein and haemoglobin synthesis in infected animals The mechanisms leading to trypanosomosis anaemia are basically the same for all animals However it remains unclear which factors determine its pathogenici OMEKE B C O UGWU D 0 Pig trypanosomosis comparative anaemia and histopathology of lymphoid organs Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 267 272 Anaemia with characteristic clinical symptoms haematological changes and histopathology of lymphoid organs was observed follo wing experimental infection of pig with pathogenic species of Trypanosomosa brucei brucei and Trypanosoma congolense the for mer being more virulent than the latter Mean incubation periods were 4 and 7 days and generalized fluctuating levels of parasitaemia and pyrexia without mortality were observed Other symptoms inclu ded hyperaemia petechial haemorrhages leading to plaques or lesion
305. stration on the performances of Poulfouli rams of the Far North Cameroon the authors compared the slaughter parameters and the meatcuts of the different categories of animals with the aim of verifying the advan tages of each category relative to the meat market and to explain pre vious observations on the feed conversion ratios They observed that despite the advantage of a higher slaughter index there was only a small interest in slaughtering Burdizzo castrated rams especially because of the larger development of the hindquarter which is of les ser economic importance in the local conditions in contrast to obser vations made elsewhere The larger development of fat explains the higher feed conversion ratio in castrated rams Finally it was obser ved that the partially castrated rams by the short scrotum technique exhibited similar performances as the entire rams Key words Pulfuli sheep Ram Castration Dressing percentage Meatcuts Cameroon BIBLIOGRAPHIE THYS E HARDOUIN J VERHULST A Influencia de la castra ci n parcial y total sobre los par metros de matanza y de descuartiza miento de moruecos Poulfouli del extremo norte de camer n Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 335 343 Durante el estudio sobre la influencia de la castraci n total y parcial sobre los rendimientos de moruecos Poulfouli del extremo norte de Camer n los autores compararon los par metros de matanza y de descuartizamiento d
306. t 3 ES 3 9 128 1 H nitidum CE AE Total 3 11 150 g m les femelles TABLEAU VI R capitulatif par r gion anatomique Pattes Testicules Reste Localisation T te Cou Oreilles Queue Anus du Total p 100 aisselles mamelles corps Grand total 691 1 561 3 622 477 1110 3970 3201 517 4 31 10 33 Pourcentage 23 96 3 16 7 34 26 26 21 17 100 100 3 m les 2 femelles 312 Retour au menu ENTOMOLOGIE TABLEAU VII Variation saisonni re de Amblyomma variegatum ICE CNN 93 56 A variegatum 5 3 86 Es 82 Sex ratio m les femelles TABLEAU VIII Variation saisonni re de Boophilus Larves 12 9 33 0 2 9 5 29 21 10 AM 10 Nymphes 33 66 171 109 33 85 84 72 Na 32 20 1 9 15 11 el 66 100 3 B annulatus 9 10 109 61 144 11 16 28 40 39 38 3 42 281 196 244 98 114 291 391 274 B decoloratus y 323 581 773 844 414 433 859 1115 1131 686 317 394 8 m les Y femelles TABLEAU IX Variation saisonni re de Rhipicephalus Nymphes 3 Ah longus 2 3 Rh lunulatus e Rh sulcatus Nh gd m les Y femelles 31 U Retour au menu P H Bayemi gt TABLEAU X Variation saisonni re de Hyalomma nitidum we Ts ps a sl eoye Sear o 3 16 H nitidum 0 2 6 m
307. t obtenue avec les m thodes du semis en cuvettes du semis et pi ti nement et du semis et travail l tat humide La bonne lev e dans les cuvettes pourrait tre attribu e de bonnes conditions hydriques dans celles ci car les cuvettes retien nent l eau re ue apr s inondation Aucune lev e n a t observ e sur les parcelles sem es la vol e Ceci tait pr visible car la surface du sol a s ch tr s vite La lev e en 1988 sur le terrain exp rimental d In Enheren de 1987 fut enregistr e Aucun travail n avait alors t effec tu sur ce terrain en 1988 Il ressort du d nombrement que l effet des m thodes de r g n ration persiste encore en 1988 et qu aucune lev e n a t observ e sur le t moin tout comme en 1987 tabl IV Ce sont des semences qui n ont pas germ en 1987 qui assurent la lev e en 1988 parce que les plantes de ces parcelles en 1987 n ont pu atteindre leur maturit Ce r sultat met en vidence que l effet des traitements peut durer au moins deux ann es Les r sultats obtenus Tin Tabakat en 1987 sont moins nets que ceux des autres localit s tabl IV Le semis et pi tinement est la m thode qui a donn le meilleur r sultat La lev e enregistr e avec la m thode du semis en cuvettes a t tr s faible Ceci s explique par le fait que les plantes qui se trouvaient dans les cuvettes ont t noy es par une inondation survenue quand ell
308. t 2 From the ticks collected Boophilus decoloratus was the dominating species tables Il These ticks represented more than 80 of the Boophilus ticks collected More than 50 of the Boophilus spp were collected during the dry season fig 1 However cattle were infested by the three stage larva nymph adult of Boophilus throughout the year and the number of Boophilus ticks in each ani mal varied greatly in the course of the year Part of animal ii Rest of A Head Ears Neck Legs Genitalia Anus Tail body Total by Larva 0 8 31 67 48 60 0 9 223 1 4 Nymph 2 27 388 309 254 153 0 98 1231 7 8 B annulatus 0 0 20 215 147 13 0 30 425 2 7 0 3 26 537 300 4 0 80 950 60 B decolaratus 18 13 429 554 568 367 1 650 2 600 16 5 97 53 1 567 2 492 2 599 1 056 4 2 469 10 337 65 63 2461 4174 3916 1653 5 3396 15760 100 TA 06 15 61 26 48 24 84 10 48 0 03 21 16 100 TABLE IHI Sesonal variation dynamics of Boophilus spp 0 D J Larva 1 18 36 16 14 Nymph 51 113 167 142 136 162 12 B annulatus amp 22 54 121 39 73 17 9 F 34 141 249 91 69 119 48 E decoloratus amp 99 191 282 735 417 298 58 507 904 1294 1876 1267 1029 554 Rainfall 216 66 0 27 7 15 90 2 338 8 T max C 29 25 2 25 8 26 2 27 4 26 2 T min C 15 9 15 4 14 4 14 9 16 9 17 3 a
309. t me a un rendement quivalent deux ou trois pi ges identiques quip s de cages Roubaud et le moins cher ll ne co te que 125 F CFA contre plus de 2 500 F CFA pour la cage Roubaud et son support FABRICATION SE Mat riaux Le tulle moustiquaire utilis Ondine fournisseur Tarare France r f 1121 AA maille DT6 est vendu sous forme de rouleaux de 30 4 m de long et 1 2 m de large ll est 100 p 100 en polyester avec une maille de 2 5 mm Les films plastique fabricant Plastherm Montreuil France ref films PE Laize n 4021 bleu et n 1821 noir sont en poly thylene et pr sent s sous forme de rou leaux de 1 03 m de large pesant 100 kg soit l quivalent d un peu plus de 1 000 m par rouleau La coloration du 296 film bleu est donn e de fa on objective par sa courbe de r flectivit 5 Les deux films ont t mis au point sp cia lement par la firme pour faire des pi ges a ts ts utilis s l origine en Ouganda LANCIEN comm pers Ces deux produits sont caract ris s selon cette firme par une r sistance de 300 C la chaleur de 8 la lumi re et qualifi e d excellente la migration Plastherm Comm pers 19 10 1990 Le pourcentage d opacit du bleu est environ de 10 p 100 celui du noir de 8 p 100 Leur dur e de vie dans des conditions d ensoleillement maximal ainsi que les modifications de la coloration sont en cours d tude lls sont garantis par le fabricant
310. t moyens utili s s pour la diffusion et la vulgarisation ainsi que pour le suivi valuation sont expos s UNE CONCEPTION DE LA LUTTE ANTIVECTORIELLE ADAPT E AU MILIEU PEUL En R publique centrafricaine le cheptel bovin est consti tu 95 p 100 de z bus trypanosensibles d tenus par les Peuls Mbororos Ces leveurs arriv s via le Cameroun dans les ann es 1920 se sont r pandus sur tout le territoire jusqu la limite des zones infest es actuellement par G m submorsitans 12 Leur pratique de l levage est celle d une occupation maximale de l espace un levage extensif auquel s ajoute une strat gie de fuite en cas de probl mes d ordre sociologique ou zoosanitaire peut s agir de conflits avec les villageois agriculteurs ou de probl mes avec leur propre chefferie dus par exemple des impositions trop fortes La d gra dation des p turages ou des contraintes sanitaires trop fortes p ripneumonie peste bab siose ou trypanoso moses peuvent galement conduire les leveurs se d placer La surexploitation anarchique des savanes her bac es entra ne leur envahissement par les ligneux et Therbe du Laos Chromolaena odorata Cette d grada tion qui va en s amplifiant est actuellement tr s impor tante l ouest du pays dans les anciennes zones d leva ge D autre part la pullulation des tiques est favoris e par l utilisation pendant plusieurs ann es des m mes p tures Cette p
311. tes 3 5 9 Conclusion Le taux d infestation observ nous incite a rechercher si cette situation est temporaire ou permanente Une tude beaucoup plus approfondie du cycle volutif des chenilles durant toutes les saisons de l ann e et celle des d g ts caus s par les chenilles et les oiseaux sur la production en mati re verte et en graines serait int ressante dans la perspective d une lutte efficace contre ces ennemis F Retour au menu Remerciements Nous remercions vivement les Drs U DALL ASTA et M LOUET du Mus e Royal d Afrique Centrale pour l identifi cation des insectes et des oiseaux ainsi que le Dr M SHAFFER du British Museum Natural History pour nous avoir aid s identifier les papillons KATUNGA MUSALE M BALONGA R FERNANDEZ J Preliminary note on the enemies of Setaria sphacelata Schum Stapf and Hubbard in Nioka Zaire Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 381 383 A preliminary study of Setaria sphacelata s enemies in farms of the Research Centre of Nioka Zaire has led to the identification of insects the caterpillars of which are parasites of the stubble The frequency at which the stubble is attacked by caterpillars is far from being negligible Several bird predators of seeds have also been identified Key words Setaria spha celata Noxius insect Caterpillar Predatory bird Zaire AGROPASTORALISME Bibliographie 1 COMPERE R
312. that over a period of 60 hours 18 healthy goats 11 females and 7 males were found dead overnight without clinical signs They added that a similar acute disease with sudden death of 64 goats had occurred among this flock between late Autumn and early Winter over the last two years 1988 1989 The area was repeatedly visited and blood films were stai ned with polychrome methylene blue and anthrax was excluded The carcasses were opened and subjected to a thorough post mortem examination The whole liver of each dead goats was removed kept in a sterile polythene bag and immediately transported in an ice box to the laboratory 1 Department of Medicine Pharmacology and Toxicology Faculty of Veterinary Science University of Khartoum POB 32 Khartoum North Sudan 2 Department of Microbiology Faculty of Veterinary Science University of Khartoum POB 32 Khartoum North Sudan Recu le 10 9 1990 accept le 23 4 1991 Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 273 275 PATHOLOGIE Materials and Methods Bacteriological examination Impression smears were made from freshly cut surfaces of the necrotic areas fixed with heat and stained with Gram s stain Freshly prepared cooked meat medium was inoculated with a portion of the necrotic liver and incuba ted at 37 C for 48 h Another portion was streaked onto freshly prepared 10 sheep blood agar to which cystei ne hydrochloride was added to a final concentration of 0
313. tie II de cet article 12 Plusieurs variantes ont fait l objet d essais compara tifs fig 3 Les mod les A B C et D comportent quatre crans int rieurs alors que les mod les E F G et H men comportent que trois Protocoles exp rimentaux Le principal dispositif exp rimental utilis est le carr latin o six pi ges sont test s simultan ment en six lieux diff rents pendant six jours en subissant des permutations al atoires chaque jour Les r sultats font l objet d une analyse de variance apr s v rification de la normalit et ENTOMOLOGIE de l absence d interaction test d additivit de Tukey En cas de non additivit le carr latin est rejet 3 cas sur 21 Les r sultats des captures sont exprim s en pour centage des captures du pi ge et du syst me de capture de r f rence pi ge biconique et cage Roubaud 4 La comparaison avec ce mod le de r f rence est faite par le test de Dunnett 8 Les analyses statistiques ont t effectu es l aide du logiciel STAT ITCF version 4 1 et de programmes r alisables sur HP 41 11 Les r sultats non significatifs ne sont pas pr sent s La comparaison de deux pi ges par leur mise en comp tition a galement t utilis e avec profit comme m thode compl mentaire deux pi ges sont plac s en vis vis plusieurs jours d affil e aux m mes emplacements ils sont ensuite permut s pour viter tout effet lieu L hypo th se
314. tion r g n ration et am lioration d un cosyst me p tur IRZ CIRAD 1985 Publ n 5 STEEL R G TORRIE J H Principles and procedures of statistics New York McGraw Hill Book Co 1980 633 p STODDART L A SMITH A D BOX T W Range management New York McGraw Hill Book Co 1973 532 p YONKEU S RIPPSTEIN G PAMO E T Effet des doses croissantes de phosphore sur la production fourrag re du Brachiaria ruziziensis Germain et Evrard sur sol basaltique r cent en Adamaoua Revue Sci Tech S r Sci zootech 1986 2 4 39 49 Retour au menu Communication Note pr liminaire sur les ennemis de Setaria sphacelata Schum Stapf et Hubbard Nioka Zaire M Katunga Musale R Balonga J Fernandez KATUNGA MUSALE M BALONGA R FERNANDEZ J Note pr liminaire sur les ennemis de Setaria sphacelata Schum Stapf et Hubbard Nioka Za re Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 381 383 L tude pr liminaire faite sur les ennemis de Setaria sphacelata dans les deux fermes du Centre de recherches de Nioka Za re a permis d identifier quelques insectes dont les chenilles parasitent les chaumes L incidence de l attaque des chaumes par les chenilles para t non n gligeable Quelques oiseaux pr dateurs des graines ont galement t identifi s Mots cl s Setaria sphacelata Insecte nuisible Chenille pr datrice Oiseau nui sible Za re Introduction
315. tion d pen dra de la ma trise sanitaire qui passe notamment par un contr le des glossines pour viter leur prolif ration dans ces zones La protection de abreuvoir par lins tallation de pi ges est elle une manifestation de la s dentarisation ou en renforcant le sentiment C est ce qui est arriv dans les ann es 1978 1979 dans la r gion de Sarki ou tait install e une laiterie industrielle puissant facteur de s dentarisation L invasion de la r gion par des glossines venues de la Mb r au nord contribua a disperser les troupeaux BOU TRAIS 1988 p 335 BLANC F GOUTEUX J P CUISANCE D POUNEKROZOU E LE MASSON A N DOKOUE F MAINGUET M D AMICO F LE GALL F Control of Glossina fuscipes fuscipes by traps to protect livestock in the Central African Republic III Popularization of trapping in Mbororo breeders Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 301 307 The authors present the problem of acceptance of the trapping tech nic for tsetse control in the Mbororo community and the populariza tion strategy used This method concerns the main vector of cattle trypanosomosis Glossina fuscipes fuscipes and utilizes the bipyrami dal trap These strategies are based upon the national structures pro vided in the Central African Republic to develop livestock breeding Methods of these marketing operations are described and discussed Key words Glossina fuscipes fuscipes
316. tions de galeries d frich es par les leveurs pour abreuver leurs b tes Son utilisation dans d autres contextes et d autres fins est envisageable protection de ranch lutte int gr e etc En Centrafrique c est la m me esp ce de ts ts G fuscipes fuscipes Newstead 1910 qui est le principal vecteur des trypanosomoses animales dans les zones d levage et de la maladie du sommeil T brucei gambiense Dutton 1902 dans le plus grand foyer du pays Nola en zone foresti re Con u l origine pour un programme de recherche sur la protection de l levage l utilisation de ce pi ge dans le cadre de la sant humaine pourra donc tre une heureu se retomb e Le d tail pr cis des calculs des co ts est donn dans un rapport disponible sur demande l auteur 4 Le pi ge bipyramidal est actuellement commercialis par la FNEC 2 000 F CFA dans son r seau de vente et 1 750 F CFA pour les Groupements d Int r t Pastoraux GIP GOUTEUX J P La lucha con trampas contra Glossina fuscipes fus cipes para la protecci n de la ganader a en Rep blica Centroafricana IT Caracter sticas de la trampa bipiramidal Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 295 299 El autor describe la trampa bipiramidal y el modo de fabricaci n Actualmente se desarrolla un programa de evaluaci n de la trampa con arreglo a una lucha contra las moscas tse ts automanejada por
317. tis black disease of sheep Vet Bull 1974 44 386 388 3 BAGADI H O SEWELL M M H An epidemiological survey of infectious necrotic hepatitis black disease of sheep in Scotland Res vet Sci 1973 15 49 53 4 BLOOD D C RADOSTITIS O M HENDERSON J A Veterinary medicine 6th ed London Bailli re et Tindall 1983 P 546 548 5 COWAN S T STEEL K J Manual for the identification of Medical bacteria 2nd ed Cambridge The University Printing House 1974 6 EISA A M EL BADWI El S SAAD M B A IBRAHIM AM EL GEZULLI A Y Check list and first records of helminth parasites of domestic and wild animals reported in the Sudan during the period 1902 A Sudan J vet Res 1979 1 55 63 7 JAMIESON S THOMPSON J J BROTHERSTON J G Studies in black disease I The occurrence of the disease in sheep in the North of Scotland Vet Rec 1948 60 11 14 8 STERNE M BATTY 1 Pathogenic Ode Boston Butterworths and Co Ltd 1975 275 Retour au menu Communication Orf infection following ear tagging in goats F M T Housawi E M E Abu Elzein HOUSAWI F M T ABU ELZEIN E M E Ecthyma contagieux chez la ch vre cons cutif la mise en place de boucle l oreille Revue Elev m d v t Pays trop 1991 44 3 277 278 Ceci est la premi re description de l ecthyma contagieux chez la ch vre cons cutif la mise en place de boucle l oreille Les l
318. u le 6 5 1990 accept le 14 5 1991 Revue lev M d v t Pays trop 1991 44 3 381 383 AGROPASTORALISME l institut National pour l tude et la Recherche Agronomique INERA situ dans la sous r gion de Plturi au nord est du Zaire Des oiseaux pr dateurs des graines ont aussi t identi fi s Compte tenu de l importance de S sphacelata il a paru utile de poursuivre l identification des ennemis de cette plante Nioka Les r sultats permettront de compl ter les observations faites par d autres auteurs en vue d am lio rer la surveillance des risques ventuels pouvant entrai ner la baisse de sa productivit Mat riel et m thode Cette tude a d but en octobre 1986 pour se terminer en ao t 1987 Les chenilles taient r colt es sur des chaumes parasit s et lev es dans des flacons et des bo tes de Petri conte nant de la ouate r guli rement imbib e d eau et couverte d une gaze En juillet et ao t 1987 un comptage des plantes parasit es a t effectu dans les deux fermes du Centre Djumali et Nioka Cing p turages naturels ont t choisis dans chaque ferme et dans chaque p turage cinq aires de 50 m 5 x 10 m prises au hasard ont fait l objet d un comptage syst matique de cette plante Le choix de ces p turages et de la localisation des aires de comptage tait guid par un recouvrement d au moins 60 p 100 de sphacelata chaque chaume tant minu tieusement exami
319. ue Elev M d v t Pays mops 1990 43 4 529 534 Retour au menu Communication Note sur l utilisation du tannate de berberine Bertamix comme activateur de croissance dans l levage des porcs au Vi t nam N P Tuong TUONG N P Note sur l utilisation du tannate de berb rine Bertamix comme activateur de croissance dans l levage des porcs au Vi t nam Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 361 362 Les auteurs pr sentent les r sultats d une tude sur l effet du tannate de ber b rine Bertamix comme activateur de croissance pour les porcs Extrait de Cossinium fenestratum Gaertn Colebr et de l corce du tronc de Terminalia chebula Retz deux plantes largement disponibles au Vi t nam L addition du Bertamix au taux de 5 p 1000 dans le r gime alimentaire de porcs g s de 3 5 mois entra ne un gain de poids de 21 p 100 et am liore l indice de consommation de 17 3 p 100 soit une r duction de 0 76 UF kg de gain de poids Son int r t pour accroitre les performances de croissance chez le porc charcutier au Vi t nam est discut Mots cl s Porc Tannate de berb rine Facteur de croissance Indice de consomma tion Vi t nam Introduction Le tannate de berb rine encore appel Bertamix a t efficacement utilis dans les ann es 1984 1988 pour le traitement des diarrh es blanches des porcelets et de la diarrh e des porcs en g n ral 1
320. ues Ixodoidea des bovins dans les hauts plateaux de l Ouest du Cameroun Revue Elev M d v t Pays trop 1986 39 3 4 377 379 MOHAMED A D Seasonal incidence of Ixodoidea ticks of cattle in Northern Nigeria Bull Hlth Prod Afr 1977 25 3 273 293 MOREL P C Morphologie biologie et r le pathog ne des tiques Maisons Alfort IEMVT 1976 73 p MOREL P C Study on Ethiopian ticks Acarida Ixodoidea Maisons Alfort IEMVT 1980 332 p MOREL P C MOUCHET J Les tiques du Cameroun Ixodidae et Argasidae Annis Parasit hum comp 1958 33 1 2 69 111 MOREL P C MOUCHET J Les tiques du Cameroun Ixodidae et Argasidae Annis Parasit hum comp 1965 40 4 477 496 317 P H Bayemi 318 17 13 19 20 21 22 Retour au menu MSTAT Statistical package Michigan State University Crop and soil sciences Agricultural economics Institute of International Agriculture 1985 PEGRAM R G HOOGSTRAAL H WASSEF H Y Ticks Acari Ixodoidea of Ethiopia Distribution ecology and host relationships of species infesting livestock Bull ent Res 1981 71 339 359 RAGEAU J Ixodoidea du Cameroun Bull Soc Path exot 1951 44 7 8 441 446 RAGEAU J Cl pour l identification des tiques du Cameroun Annis Parasit hum comp 1953 28 5 6 399 441 STRICKLAND R K TOBERT K GERRISH R R HOURRIGAN J L SCHUBERT G O Ticks of veterinary
321. uets d une m me ligne tait de 0 25 m et la distance entre les lignes de 0 5 m Les poquets ont t confectionn s a l aide d une houe a une profondeur d environ 2 cm Les semences ont t mises dans les poquets et ces derniers pi tin s 3 Travail la houe sec sans semis 4 Semis et travail a la houe sec Les semences ont t sem es la vol e et le semis a t suivi par un labour 5 Semis et pi tinement Le semis a t effectu sur un sol humide juste apr s le retrait d une inondation Le sol tait ce moment l bien meuble et l enfouissement des semences a t effectu par pi tinement humain 6 Semis dans les fissures du sol Le sol de quelques unes des plaines est craquel l tat sec On peut mettre l hypoth se que les semences sont prot g es du ruissellement par le r seau de fissures Le semis fut r ali s la vol e suivi par un balayage de la parcelle pour s assurer que les grains tombaient dans les fissures 7 Travail la houe l tat humide sans semis 8 Semis et travail la houe l tat humide Un semis la vol e a t suivi d un labour 9 Semis en cuvettes de 0 5 m de c t et 4 6 cm de profondeur creus es alors que le sol tait humide Les cuvettes taient distantes les unes des autres de 0 5 m dans les quatre directions cardinales Les semences furent plac es dans chaque cuvette et recouvertes par une couche de sable d une ha
322. ueurs La chute physiologique du poids moyen le 10 jour post partum chez les deux races au cours des deux saisons pourrait tre l origine de l absence d oestrus cette date Il semblerait que l instinct maternel tende masquer l expression normale de l oestrus rendant plus difficile sa d tection chez les vaches allaitantes 12 L exactitude de la palpation transrectale des ovaires d pend du clinicien Certains auteurs 5 ont estim l erreur 33 p 100 la taille r duite des ovaires asso ci e aux variations de l volution pond rale au cours de la saison s che peut tre une source suppl mentaire d erreur a Tous les auteurs 9 10 15 consid rent le dosage de la progest rone comme une m thode objective et pr cise par rapport aux autres composantes Le d lai de reprise de la cyclicit post partum observ e ici chez les Baoul allaitantes 40 jours post partum est plus court que ce que rapporte CHICOTEAU au Burkina Faso 4 de m me celui des Ndama 34 jours post par tum 7 8 L volution pond rale qui d pend de l alimen tation des bovins au p turage serait une des causes de la variation de la rapidit de la reprise d activit sexuelle au cours des deux sous saisons Au 30 jour post partum les femelles des deux races qui ont v l pendant la saison seche ont perdu environ 10 p 100 de leur poids corporel A la m me p riode les femelles Baoul q
323. ui ont v l au d but de la saison des pluies en ont perdu 1 2 p 100 tandis que les Ndama ont repris leur poids initial Ainsi le cro t pond ral est un peu plus rapide chez les Ndama que chez les Baoul qui ont mis bas au d but des pluies Les diff rences sont trop faibles cependant pour qu elles exercent un effet signifi catif sur la reprise de l activit sexuelle 50 p 100 des deux races sont cycl es la m me date 28 jour avec un poids moyen de 171 10 kg pour les Baoul et 233 26 kg pour les Ndama Au 40 jour post partum p riode ou le minimum de poids moyen est enregistr 163 15 kg chez les femelles Baoul ayant v l pendant la saison s che aucune n est cycl e L absence d activit ovarienne serait li e au d s quilibre entre l exportation par la lactation allaitement des veaux et l ingesta En effet la perte de poids corporel enregistr e chez les femelles pendant la saison s che est Retour au menu due non seulement au d ficit d apport alimentaire mais aussi au fait que l exportation par l allaitement des veaux est sup rieure aux possibilit s d ingestion des femelles ces derni res puisent donc dans leurs r serves pour compl ter Le d lai de la reprise d activit sexuelle est beaucoup plus long lorsque le niveau alimentaire est faible Malgr la baisse de poids de 10 5 p 100 enregistr e le 40 jour chez les Ndama qui ont v l pend
324. us remercions ici le Dr A KOTA GUINZA pour la bienveillante attention qu il a toujours accord e nos travaux Nous sommes galement redevables toute l quipe du Service d Entomologie de l ANDE pour son aide sur le terrain GOUTEUX J P CUISANCE D DEMBA D N DOKOUE F LE GALL F La lucha con trampas contra Glossina fuscipes fuscipes para la protecci n de la ganader a en Rep blica Centroafricana I Puesta a punto de una trampa adaptada a un medio de ganaderos semin mados Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 287 294 Con el objeto de realizar una nueva trampa destinada a los ganaderos centroafricanos Peul para la lucha contra Glossina fuscipes fuscipes se experimentaron separadamente el sistema de captura el cuerpo de la trampa y los materiales As se puso a punto la trampa bipiramidal de tul y pl stico azul y negro que no est impregnada con insecticida pero que captura en seco al matar y conservar las glosinas El rendi miento es de dos o cuatro veces superior al de la jaula de Roubaud clasicamente utilizada Dicha trampa es m s eficaz que las bic nicas piramidales o monoc nicas ya conocidas o ineditas Se discuten el poder discriminante del protocol en cuadrado latino y el uso de la trampa con o sin insecticida Palabras claves Glossina fuscipes fus cipes Trampa bipiramidal Lucha contra los insectos Protecci n de la ganader a Ganadero Peul Rep blica Centraoafricana 1
325. use economic losses through anaemia and invasion of the central nervous sys tem which invariably terminates fatally 3 4 5 The meningoencephalitis observed at histopathology and the presence of trypansoomes in the CSF and brain tis sue explains the signs of central nervous system distur bance observed in one of the pigs This observation has not been previously shown in pigs infected with T brucei although meningoencephalitis has been observed in the dog and horse naturally infected with 7 brucei 3 4 5 VOHRADSKY 13 and ISOUN and ANOSA 6 reported the presence of endometritis and cystic ovaries in cattle and sheep infected with T vivax The lesions were not observed in pigs infected with T brucei in the present study although eosinophilic and macrophage infiltrates were observed in the ovarian connective tissue of infec ted pigs The present results thus support a previous finding in Northern Nigeria that 7 brucei may cause a severe rather than a mild syndrome in infected pigs 1 OTESILE E B AKPAVIE S O FAGBEMI B O OGUNREMI A O Patogenicidad de Trypanosoma brucei brucei en cerdos infecta dos experimentalmente Revue Elev M d v r Pays trop 1991 44 3 279 282 Una infecci n experimental de cerdos de 4 a 5 meses de edad con una cepa de Trypanosoma brucei brucei provoc una parasitemia elevada anorexia fiebre y una disminuci n de una tercera parte del hematocri ta S ntomas nerviosos de mo
326. ustriels par l levage et aquaculture Paris SEDES Maisons Alfort IEMVT 1989 466 p 2 Association of Official Analytical Chemists AOAC Official methods of analysis 12 th ed Washington AOAC 3 BESANCON P HENRY O ROUANET J M Valeur nutritionnelle compar e des farines d lipid es de coton glandless et de soja In Le cotonnier sans gossypol une nouvelle ressource alimentaire Actes du colloque IDESSA CIDT TRITURAF Abidjan C te d Ivoire 26 27 novembre 1985 P 97 110 4 CALVET H Graine et tourteau de coton en embouche intensive Jn Embouche intensive des bovins en pays tropicaux Actes du colloque Dakar S n gal 4 8 d cembre 1973 Maisons Alfort IEMVT 1974 P 63 68 5 CAMPBELL L D Canola meal as a substitute for cottonseed meal in the diet of broiler chickens Nutr Rep Int 1988 37 371 377 359 T Yo 360 6 10 11 12 13 14 3 16 17 18 19 20 21 22 23 24 2 Retour au menu CLAWSON A J MANER J H GOMEZ G MEJIA O FLORES Z BUITRAGO J Unextracted cottonseed in diets for monogastric animals 1 The effect of ferrous sulfate and calcium hydroxide in reducing gossypol toxicity J Anim Sci 1975 40 640 647 CLAWSON A J MANER J H GOMEZ G MEJIA O FLORES Z BUITRAGO J Unextracted cottonseed in diets for monogastric animals 2 The effect of boiling and oven vs sun drying following p
327. utant que celles des parcelles semis et travail l tat humide Ce r sultat pourrait s expliquer par les meilleures conditions hydriques lorsque les parcelles ont t travaill es fig 1 Le fonio Sauvage est consid r par les autochtones comme une esp ce ayant un cycle court Un essai r alis en pot en fait la preuve En semant le 4 ao t 1987 le cycle du semis jusqu 50 p 100 de floraison a t de 27 jours L hivernage est au Gourma de courte dur e et la pr cocit du fonio fait que celui ci doit tre consid r comme adapt aux conditions sah liennes 240 Retour au menu J B Aune TABLEAU VI Effets des m thodes de r g n ration sur la longueur des plantes et sur le tallage Ufebet et In Enheren en 1987 in Enheren Longueur cm Ufebet Tallage talles plante Longueur cm T moin Semis et travail sec Semis et pi tinement Semis et travail l tat humide Semis dans les cuvettes ppds 5 p 100 Rendements et indice de rendement En 1988 un rendement en grains a t obtenu dans toutes les localit s sauf a Tidjajiwen tabl VII L effet des traitements est trouv significatif dans toutes les localit s sauf In Enheren Pour l ensemble des sites le meilleur rendement a t obtenu avec la m thode sans semis travail sec 196 7 kg ha Il est remarquer que la pro ductivit avec le labour sans semis 99 6 kg h
328. uteur de 1 2 cm 10 Semis la vol e sur un sol humide sans labour Les plaines suivantes furent retenues en 1987 et en 1988 pour les essais de r g n ration les traitements qui y furent effectu s sont indiqu s entre parenth ses In Enheren 20 km au sud de Gossi 1987 1 2 4 5 7 8 9 10 In Bassasoten 50 km au sud ouest de Gossi 1987 1 2 4 5 7 8 9 10 AGROPASTORALISME Tin Tabakat a 20 km au sud est de Gossi 1987 1 2 4 5 7 8 9 10 Akarkara a 15 km au sud ouest de Gossi 1987 1 2 4 Ufebet 50 km au nord est de Gossi 1987 1 2 4 Tin Tabakat a 20 km au sud est de Gossi 1988 1 2 3 4 5 6 In Enheren a 20 km au sud de Gossi 1 988 1 2 3 4 5 Tidjajiwen 15 km au sud de Gossi 1988 1 2 3 4 5 Inajourour 20 km a l est de Gossi 1988 1 2 3 4 5 Lorsque la m me plaine fut retenue a la fois en 1987 et en 1988 la localisation de l essai sur la plaine fut diff ren te Les semis furent effectu s a raison de 15 kg ha en 1987 et de 40 kg ha en 1988 La quantit de semences a t augmentee en 1988 pour obtenir une population a dense que celle de 1987 Les taux de germination pour les semences ro 1987 et en 1988 sont respectivement de 32 7 et 25 5 p 100 Ces taux sont calcul s par un test en bo te de Petri On note cependant que le pourcentage de ger mination est d termin plus pr cis ment pour la semence
329. utilis e en 1987 que pour celle utilis e en 1988 Le taux de germination pour la semence utilis e en 1987 a t calcul en se fondant sur sept essais diff rents s talant du 13 mai au 6 ao t alors qu en 1988 il r sulte d un seul essai r alis le 1er octobre La lev e dans les essais de r g n ration fut d termin e par l observation de dix carr s mesurant 0 5 x 0 5 m pris au hasard dans chaque parcelle le nombre de plantes de fonio dans chaque carr fut compt La hauteur et le tallage des plantes furent d termin s par les mesures effectu es sur 20 plantes prises au hasard dans chaque parcelle Les rendements en grains furent d termin s d abord par r colte au panier puis deux trois semaines plus tard par balayage de chaque parcelle A Tin Tabakat seul le balayage fut r alis car les grains taient tomb s terre avant la r colte au panier La paille et les grains ont t s ch s avant d tre pes s Pour tudier l influence des m thodes de r g n ration sur l humidit du sol trois chantillons de sol furent pr le v s avec des cylindres ayant un volume de 100 cm pour chacune des trois r p titions des traitements tudi s Les chantillons ont ensuite t pes s l tat humide et l tat sec Pour avoir une indication du nombre de personnes n cessaires la r alisation des diff rentes m thodes une tude annexe fut men e sur des parcelles de 700 m L essai fut
330. v s par d autres auteurs 12 ainsi que des ur mies tr s fortes ce qui pourrait signifier une atteinte r nale Peut on imputer galement ce profil min ral particulier des ressources alimentaires les taux lev s en GLDH t moins d une atteinte h patique non parasitaire En effet la combinaison d une hypermagn s mie d une ur mie assez forte et d une mont e de la GLDH pourrait faire soup onner un processus toxique h pato r nal dont la consommation exclusive de fourr s Salvadora et Cadaba pourrait tre l origine D ailleurs les animaux broutant ce type de v g tation pr sentent des diarrh es naus abondes qui rappellent des TpOMSE de molyb d nose 22 La r gion du Sud Ouest plus h t rog ne ne r v le pas de variations remarquables du profil La mont e de GLDH ou le d ficit magn sique observ chez quelques animaux de la plaine d Agna expliquent les moyennes observ es sur l ensemble de la r gion Le d ficit en cuivre chez les troupeaux de la r gion du lac Abb affecte l ensemble des esp ces p turant dans la zone 25 et est associ au 331 Retour au menu B Faye C Mulato statut min ral des fourrages caract ris par un exc s de molybd ne et de soufre l ments antagonistes bien connus du cuivre 34 CONCLUSION EE O La r gion naturelle d origine des animaux repr sente le facteur le plus discriminant des profils m tabo liques Ce r sultat permet de consid rer
331. venir au service et per mettre de dresser la carte de diffusion des pi ges Les g rants re oivent la visite mensuelle de contr leurs des intrants qui collectent les fiches cette occasion DISCUSSION CR AA Quel est le mode d action du pi ge pour un leveur Mbororo Pour un scientifique celui ci r side dans son attractivit et son efficacit r sultant de l association des 305 Retour au menu F Blanc J P Gouteux D Cuisance E Pounekrozou A Le Masson F N Dokoue M Mainguet F D Amico F Le Gall couleurs bleu et noir Les leveurs d un naturel pourtant curieux et inquisiteur n ont pratiquement jamais pos de questions a ce sujet Il serait int ressant de r aliser une enqu te afin de mieux cerner la mani re dont ls per oi vent le pi ge Une meilleure connaissance de la repr sentation culturelle du pi geage par les leveurs permet trait peut tre de trouver les facteurs cl s pour sa diffusion Une tude de ce type fournirait de toute fa on une aide pr cieuse la vulgarisation Les Mbororos de Centrafrique ne sont pas encore sta bilis s ni socialement ni g ographiquement comme le r v lent les d placements et les installations de chefferies ainsi que la persistance des migrations 12 Contrastant avec la mobilit traditionnelle Peul s amorce un processus de s dentarisation Les zones disponibles pour l levage se r duisent progressive ment Le d roulement de cette s dentarisa
332. y T congolense 1 vivax T brucei T rhodesiense and T gambiense Vet Path 1972 9 1 71 MUSOKE A J NANTULYA V M BARBET A F KIRONDE F McGUIRE T C Bovine immune response in the deve lopment African trypanosomiasis specific antibodies in variable surface glycoproteins of T brucei Parasitol Immunol 1981 3 97 106 OMAMEGBE J 0 ORAJAKA L J E EMEHELU C 0 The incidence and clinical forms of naturally occurring canine trypa nosomiasis in the veterinary Clinical in Anambra State of Nigeria Bull Anim Hlth Prod Afr 1984 32 1 23 29 SSENYONGA G S Z ADAM K M G The number and morphology of trypanosomes in the blood and lymph of rats infected with Trypanosoma brucei and Trypanosoma congolense Parasitology 1975 70 255 261 SULIMAN N B FELDMAN B F Pathogenesis and etiology of anaemia in trypanosomiasis with special reference to Trypanosoma brucei ans Trypanosoma evansi review Protozool Abstr 1989 13 2 37 45 Retour au menu Communication First report of infectious necrotic hepatitis black disease among Nubian goats in Sudan M E Hamid G E Mohamed M T Abu Samra A A Hamad HAMID M E MOHAMED G E ABU SAMRA M T HAMAD A A Premi re observation de l h patite infectieuse n crosante black disease parmi des ch vres nubiennes au Soudan Revue Elev M d v t Pays trop 1991 44 3 273 275 Dans un troupeau de 425 ch vres nubi
333. yenne il faut se baser sur le rendement moyen de l ensemble des quatre localit s tabl VII et non sur celui des trois localit s o seule une r colte fut effectu e Il en r sulte que la m thode semis et travail du sol sec a augment le rendement par rap port au t moin d environ 129 kg ha 196 7 24 8 x 3 4 A Inajourour cette augmentation fut m me de 311 kg ha Ceci permet de calculer que la productivit a t en moyenne de 2 0 kg de grains par heure de travail 129 kg ha pour 63 h ha et Inajourour de 4 9 kg de grains par heure 311 kg ha pour 63 h ha Dans le contexte du Gourma ces chiffres indiquent que la m tho de semis et travail du sol sec peut tre une m thode rentable Cependant il est probable que ce besoin en main d oeuvre par hectare soit sous estim mais d un autre c t il est possible que la diff rence de rendement entre le t moin et la m thode impliquant un labour soit galement sous estim e En effet certains de ces essais furent men s dans des localit s tr s d grad es o l aug mentation du rendement a t faible ou nulle CONCLUSION En se fondant sur les r sultats obtenus on peut conclure que la r g n ration est techniquement possible L effica cit des diff rentes m thodes doit tre valu e en consi d rant leur rendement et leur besoin en main d oeuvre Les m thodes semis en poquets et semis et pi tine ment ont le besoin en ma
334. zoologie SE ainsi que la Cellule de Formation et de Coordination NI VULGARISATION SEANCES FORMATION DIFFUSION PIEGE y AUTO DIFFUSION o gt RETOUR DE L INFORMATION ACTIVITES FORMATION VULGARISATION Fig 1 La FNEC et PANDE sont concern es par la diffusion de la tech nique du pi geage La FNEC inclut le D partement des intrants DI le D partement de l animation mutualiste DAM et r unit les Groupements d int r t pastoral GIP Au sein de l ANDE les services concern s sont la Cellule de formation et de coordination de la vulgarisation CFCV et le Service d entomo protozoologie SE La CFCV supervise les chefs de sec teur et les chefs de poste CP Le SE organise les Op rations de d mons tration et vulgarisation ODV qui concernent le pi geage ENTOMOLOGIE de la Vulgarisation CFCV dont le fonctionnement s inspire du syst me formation et visites 2 3 Ce service s appuie sur 143 agents de terrain r partis dans toutes les zones d levage du pays 33 chefs de secteur supervisant 110 chefs de poste lls sont char g s entre autres de la diffusion des messages er niques La F d ration Nationale des lus Centrafricains regroupe les repr sentants des leveurs Sa base est constitu e par des associations nomm es Groupement d Int r t Pastoral GIP qui constituent un r seau plus ou moins dense suivant les r gions de 116 coop ratives rassembla

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