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Protocole - parties I et II ()

1. 45 3 1 Orientation de l habitation U u 45 3 2 Masse thermiques J U U U u u u u J J J J J 45 3 3 Donn es relatives l tanch it l air sisi 45 3 4 Habitations individuelles chauff es l lectricit 1 46 Bruxelles Environnement souhaite remercier la R gion flamande et son agence de l nergie pour la mise disposition de sa m thode pour le certificat de performance nerg tique pour les b timents r sidentiels qui a servi de base la m thode pour le certificat de performance nerg tique pour les habitations individuelles en R gion de Bruxelles Capitale gt Version 28 02 2011 3 I INTRODUCTION ET CHAMP D APPLICATION Version 28 02 2011 4 1 Introduction Ce document d crit la m thodologie que le certificateur r sidentiel devra utiliser en R gion de Bruxelles Capitale lors de l tablissement d un certificat de performance nerg tique pour les habitations individuelles Il est fort probable que ce protocole sera adapt dans le futur et compl t afin de prendre en compte le retour d exp rience acquis lors de la certification de maisons unifamiliales et d appartements 1 1 But et contenu du certificat PEB pour les habitations individuelles Le propri taire du b timent ou son interm diai
2. 14 1 7 Donn es du certificateur u u u u 14 1 8 Num rotation des appartements ments 15 1 9 R f rence juridique ou notariale la partie certifi e du b timent 15 2 D TERMINATION DU VOLUME PROT G DE LA SUPERFICIE BRUTE DE L HABITATION J J J 16 2 1 D finition du volume 16 2 2 D termination du volume prot g plan par tapes 16 2 3 Mesure du volume prot d U 23 Version 28 02 2011 2 2 4 D termination de la superficie brute siennes 26 2 5 Exemples d habitations individuelles pour la d termination du volume prot g et de la Superficie y li u EENS EE EE 27 2 5 1 Maison isol e avec un vide iii 27 2 5 2 Maison mitoyenne r nov e iii 29 KE CEET 31 2 5 4 Maison bel tage iii 33 2 5 5 Villa 4 fa ades avec salle de jeux au grenier 34 2 5 6 Villa Split Level avec garage et remise semlenter s rneer nn 36 2 5 7 Maison bourgeoise 38 2 5 8 Appartement avec des espaces COMMUNS 40 259 Maison de mite r uuu a Ee 41 3 DONN ES SP CIFIQUES DU
3. d s jour non isol volume prot g isol Figure 13 Vue en coupe d une villa 4 fa ades superficie brute rez de chauss e d T bureau cuisine d boros TTT i LZ chambre 1 garage non isol ES volume prot g isol nnn Figure 14 Plan au sol d une villa 4 fa ades chauffage Version 28 02 2011 32 2 5 4 Maison bel tage Cette maison bel tage a t construite en 1970 et n est pas isol e Les fen tres sont munies de double vitrage Les habitations contigu s sont plus profondes et de m me hauteur que la maison bel tage L ouverture entre la cuisine et la salle manger est plus grande que 3 m Etape 1 Aucun espace n est enti rement isol ou d limit par des locaux du volume prot g Etape 2 La cuisine salle manger le salon la salle de bain et la toilette font partie du volume prot g les ouvertures respectivement entre la cuisine et la salle manger et entre la salle manger et le salon sont plus grandes que 3 m Etape 3 Le bureau les chambres le dressing et le hall la cage d escalier sont chauff s et font donc partie du volume prot g Etape 4 La remise et le garage sont tanches l air et l eau ais ment accessibles et praticables et seront valu s l tape 5 Etape 5 La remise et le garage sont chauff s indirectement et seront
4. Pour un appartement le certificateur choisit la fa ade la plus vidente par exemple celle de la salle de s jour Le logiciel permet d introduire les orientations suivantes nord nord est est sud est sud sud ouest ouest nord ouest Pour les valeurs interm diaires il faut toujours arrondir vers l orientation la plus proche Une fois que l orientation de la fa ade a t compl t e le logiciel d duit automatiquement l orientation des autres fa ades Si toutefois cette orientation diff re de ces hypoth ses le certificateur la possibilit d introduire dans le logiciel une autre orientation 3 2 Masse thermique Une distinction est faite entre trois cat gories lourde mi lourde peu lourde l g re Une habitation avec des planchers des murs et des toits ou plafonds massifs b ton ou ma onnerie est class e sous la d nomination lourde Une maison avec une ossature en bois tombe sous la cat gorie l g re gt Une maison avec une ossature en acier sans remplissage massif tombe galement sous la cat gorie l g re Les autres types d habitations tombent sous la cat gorie lt mi lourde peu lourde gt 3 3 Donn es relatives l tanch it l air Si le certificateur dispose d un rapport de mesure de l tanch it lair test blowdoor de l habitation il peut encoder les r sultats de ce test dans le logiciel Il faut cependant que le test d tanch it ait t
5. La superficie brute de l habitation param tre qui influence galement fortement le r sultat du calcul de la performance nerg tique de l habitation d coule galement du volume prot g ll est demand au certificateur de suivre scrupuleusement le plan par tapes d crit ci dessous afin de d terminer le volume prot g de l habitation Chaque fois qu un local ou plusieurs locaux sont une tape inclus dans le volume prot g tape 1 2 ou 3 ou exclus du volume prot g tapes 4 ou 5 il n est plus n cessaire de contr ler si ces pi ces r pondent aux tapes suivantes du plan par tapes Ce contr le ne sera n cessaire que pour les locaux restants Il n existe pas de directives sp cifiques pour les garages v randas etc le plan par tapes doit donc galement tre suivi pour ce type de locaux Les parties d un b timent qui ne se ferment pas sont consid r es comme faisant partie de la m me pi ce Une porte ou une porte fen tre coulissante est consid r e comme un syst me de fermeture d une pi ce l inverse d une tenture Une ouverture un orifice dans le plancher le plafond inf rieure ou gale 3 m donnant sur une cave un grenier est galement consid r e comme un syst me de fermeture Version 28 02 2011 16 Pour les appartements on se base sur le volume prot g de l habitation individuelle et non sur celui de l immeuble Cela signifie que lors de la certification d hab
6. tanche l eau Une porte de garage est en revanche consid r e comme tanche l air et l eau Les locaux dont l acc s depuis le volume prot g est difficile ou carr ment impossible ne font pas partie du volume prot g Ainsi un local qui est uniquement accessible l aide d une chelle et par le biais d une ouverture dans le plafond d une surface inf rieure 3 m ou d un escalier escamotable ne fera pas partie du volume prot g Une toilette dans une cour int rieure contigu au volume prot g mais uniquement accessible par la cour ne fera pas non plus partie du volume prot g La finition du plancher doit galement permettre l utilisation du local Un grenier sans plancher recouvrant les solives ne pourra pas faire partie du volume prot g le sol du local n tant pas praticable Un local ne r pondant pas aux trois crit res de base d finis ci dessus ne pourra pas faire partie du volume prot g Attention le certificateur doit nouveau valuer ces espaces d apr s l tape 1 Version 28 02 2011 19 Les espaces qui r pondent ces crit res sont valu s l tape 5 Etape 5 Chauff indirectement Le chauffage indirect sous entend que l espace est attenant un local qui est chauff directement Les parois entre les deux espaces ne peuvent pas tre isol es cela veut dire qu il ne peut pas y avoir de double vitrage ni d isolation dans ces parois car cela emp cherai
7. g Etape 4 Le hall et le d barras sont tanches l air et l eau ais ment accessibles et praticables Etape 5 Le hall et le d barras sont chauff s indirectement Etape 6 Le hall et le d barras ne satisfont pas aux trois crit res pas de lumi re naturelle par contre l clairage et la hauteur sont conformes e Par contre ce stade le plan d tage ne permettant pas de d terminer si la paroi de gauche du d barras est adjacente ou non une habitation voisine le d barras il est au moins certain que le d barras est majoritairement gt 75 ou enti rement d limit e par des locaux du volume Il fait donc bien partie du volume prot g de l appartement e Le plancher le plafond et les parois int rieures du hall sont en contact avec des espaces chauff s mais ne repr sentent que 72 c d moins de 75 des superficies de d perdition du hall Si le couloir commun est l int rieur de l immeuble le hall est enti rement d limit par des volumes prot g s Il fait donc partie du volume prot g de l appartement o Si le couloir commun est ouvert vers l ext rieur le hall n est pas enti rement d limit par des espaces du volume prot g lt 75 Le hall ne fera dans ce cas pas partie du volume prot g de l appartement Version 28 02 2011 40 TP TEE chambre 1 chambre 2 non isol r volume prot g 9 isol n
8. 08 W m K e Pour une paroi translucide transparente une paroi compos e d un double ou triple vitrage ou une fen tre double vitrage Un plancher sur terre est galement consid r comme d limitation du volume prot g Si n a pas la certitude qu une partie de l enveloppe est isol e on consid re qu elle ne l est pas Si un local est compl tement sur tout le pourtour isol ou d limit par un volume prot g ce local fait partie du volume prot g l en va de m me si la majorit c d gt 75 des superficies de d perdition d un local est isol e ou d limit e par un volume prot g C est par exemple souvent le cas d une cage d escalier qui est enti rement contigu des volumes prot g s l exception des superficies de d perdition du hall d entr e Les locaux qui ne sont pas enti rement isol s ou d limit s par d autres locaux d un volume prot g sont contr l s l tape 2 C est par exemple le cas d une v randa non isol e attenant une maison isol e Version 28 02 2011 17 Exemples e Si seulement la moiti d un local en sous toiture est isol par exemple la partie avant de la superficie de la toiture et pas la partie arri re ce local sera alors consid r comme non isol lors de la d termination du volume prot g e Une habitation est constitu e d un hall d entr e avec une cage d escalier qui de chaque c t et au dessus est contigu des
9. cage d escalier sont alors consid r s comme un seul espace Le couloir de la cave fait d s lors partie du volume prot g La cave 1 la cave 2 et le vide sanitaire ne font pas partie du volume prot g tape 6 De plus leur volume total tant donn que le couloir de la cave a t rajout au volume prot g est sup rieur 25 du volume total de la cave tape 6 Version 28 02 2011 30 2 La hauteur des caves est de 2 1 et chaque cave poss de une grande ouverture laissant entrer la lumi re du jour Dans cette situation la totalit de la cave fait partie du volume prot g tape 6 2 5 3 Villa 4 fa ades Cette villa a t construite en 1981 Les murs creux et le plancher ne sont pas isol s le toit est en partie isol uniquement les versants au niveau du premier tage et le plancher du grenier est isol plancher entre le premier tage et le grenier Le toit est muni d une sous toiture sur toute sa superficie Les fen tres sont quip es de double vitrage Le grenier est accessible depuis l espace de loisirs par le biais d une chelle Les niches et le grenier ne sont pas parachev s Le plancher les briques en terre cuite perfor e peintes et les chevrons structure portante du plafond de l espace de loisirs sont visibles Tous les espaces l exception des niches ont une hauteur de minimum 2 1 m Etape 1 Aucun espace n est enti rement isol ou d limit par des locaux du v
10. chelle superficie brute partir de 2 1 m de hauteur volume prot g coupe superficie brute grenier 2 10 m 2 10m N Figure 7 Superficie brute sous une toiture en pente Les escaliers y compris les vides et ventuellement les ascenseurs sont mesur s chaque tage et donc pris en compte pour le calcul de la superficie brute Version 28 02 2011 26 exemple un vide Figure 8 Exemple d un vide 2 5 Exemples d habitations individuelles pour la d termination du volume prot g et de la superficie brute 2 5 1 Maison isol e avec un vide La maison est totalement isol e et la partie isol e fait partie du volume prot g tape 1 Le plancher du grenier est isol et la pointe du comble n est pas chauff e directement tape 3 la pointe du comble n est pas isol e et n est pas accessible partir du volume prot g de sorte qu il ne fait pas partie du volume prot g tape 4 a dans le hall d entr e un escalier et un vide La superficie de ce vide est sup rieure 4 m et n est donc pas compt e dans la superficie brute Il n est pas non plus tenu compte de la superficie sous la partie inclin e de la toiture dont la hauteur est inf rieure 2 1 m rez de chauss e Le salle ke lavage non isol pen volume prot g legende isol mmm chauffage Versi
11. cr dibilit de la certification de la performance nerg tique il est crucial que tous les certificateurs respectent la m thodologie d crite dans le protocole de mani re que des habitations individuelles identiques obtiennent une valuation identique Toute d rogation au protocole compromet en effet la reproductibilit du certificat Le l gislateur a donc impos Version 28 02 2011 6 dans la r glementation le protocole en tant qu instrument de travail l gal et obligatoire pour le certificateur 1 4 Pr paration de la visite sur site Le certificateur doit au minimum tre en possession des outils cit s ci apr s pour proc der au relev des donn es sur site e t l m tre et ou d cam tre et ou roue d arpenteur e un double m tre e un rapporteur d angle e briquet ou une lampe de poche LED lumi re blanche ou un appareil sp cifique permettant de d terminer la pr sence de coating e appareil photo au minimum pour la photo de l habitation individuelle fa ade principale destin e la premi re page du certificat e boussole orientation du logement e unaimant e un tournevis e machine calculer e une lampe de poche e un formulaire vierge pour la collecte des donn es Le certificateur demandera de pr f rence l avance au propri taire de l habitation s il dispose des donn es suivantes Le b timent a t il d j fait l objet
12. d informatique pour la R gion Bruxelloise Le lien avec cette banque de donn es permet dans la plupart des cas de cr er une adresse reconnaissable et unique pour chaque maison unifamiliale ou appartement Dans un premier temps le certificateur s lectionne dans le logiciel les donn es d adresse commune nom de rue num ro de maison code postal telles qu elles sont disponibles dans la base de donn es URBIS Le certificateur introduit dans le logiciel le nom de la rue de la mani re la plus compl te possible Le logiciel propose alors le ou les nom s de rue le s plus ad quat s disponible s dans la base de donn es URBIS et le certificateur s lectionne finalement le nom de rue se rapportant l habitation La m me proc dure est appliqu e pour le num ro de l habitation Uniquement si le nom de la ou le num ro n apparaissent pas dans la banque de donn es URBIS le certificateur est autoris introduire manuellement ces informations dans le logiciel Mais avant de pouvoir cr er un certificat dont l adresse a t introduite manuellement il sera n cessaire que cette adresse soit approuv e par l IBGE Veuillez vous r f rer au manuel d utilisation du logiciel pour de plus amples instructions sur ce sujet 1 2 Type d habitation individuelle Le certificat fait une distinction entre deux types d habitations individuelles les maisons et les appartements Une maison comprend une seule habitation individuel
13. n 2 la salle de s jour et la Kitchenette ainsi que les chambres coucher 1 2 et 3 sont chauff s directement et font partie du volume prot g Etape 4 Toutes les autres pi ces de l habitation r pondent aux conditions tanches l air et l eau ais ment accessibles praticables et seront valu es l tape 5 Etape 5 La cave la remise le hall du dernier niveau la cage d escalier et la toilette du deuxi me tage sont chauff s indirectement et seront valu s l tape 6 Etape 6 La cage d escalier et l espace usage collectif du sous sol remplissent les trois conditions et sont inclus dans le volume prot g La remise le hall du dernier niveau et la toilette du deuxi me tage ne r pondent pas aux trois conditions hauteur de 2 1 m clairage pr sent mais pas de lumi re du jour Ces pi ces ne feraient d s lors pas partie du volume prot g sur la base de l tape 6 e revanche sur la base de l tape 1 it rative ces pi ces sont ce stade majoritairement 275 ou enti rement d limit es par des volumes prot g s La remise le hall du dernier niveau et la toilette du deuxi me tage font donc partie du volume prot g de l habitation individuelle e La cave ne remplit pas les trois conditions clairage et lumi re du jour mais hauteur inf rieure 2 1 Elle ferait d s lors pas partie du volume prot g sur la base de l tape 6 Sur la base de l tape 1 it r
14. ne serait ce qu en partie d une d claration PEB A t on d j tabli un certificat de performance nerg tique pour ce logement ou un logement semblable dans le b timent Le propri taire dispose t il des plans de l habitation ll peut s agir des plans de la demande du permis comme des plans d ex cution ou des d tails Si ceux ci sont envoy s au pr alable le certificateur peut en faire une copie chelle r duite et ainsi en disposer lors de la visite sur site contr le des dimensions Malheureusement le propri taire ne sera pas toujours en possession des plans de l habitation Dans ce cas le certificateur r alisera le m tr total de l habitation et les constatations qui s imposent Le propri taire dispose t il des dossiers de demande de subside aupr s de la RBC accompagn s des lettres d approbation par exemple la prime nergie et la lettre d approbation Le propri taire dispose t il du rapport de diagnostic des attestations de contr le p riodique et de r ception des installations de chauffage Le propri taire dispose t il des factures suffisamment d taill es des installations et des mat riaux utilis s lors des travaux de r novation isolation briques isolantes b ton cellulaire 1 Arr t du Gouvernement de la R gion de Bruxelles Capitale relatif au certificat tabli un certificateur pour les habitations individuelles Version 28 02 2011 7 Le propri taire dispos
15. r alis conform ment la norme NBN EN 13829 Dans la plupart des cas ce rapport de mesure n est pas disponible et il faut donc travailler avec des valeurs par d faut Si tel est le cas il n y a pas de valeur introduire dans le logiciel Version 28 02 2011 45 3 4 Habitations individuelles chauff es l lectricit Le certificateur indique si l habitation est ou a t chauff e l lectricit Dans le cas d une habitation chauff e l lectricit le degr d isolation de la construction est en g n ral plus lev 11 en d coule une valeur de r sistance thermique par d faut plus favorable si cette isolation n est pas visuellement constatable Version 28 02 2011 46 Annexe 1 Num rotation d appartements Version 28 02 2011 47
16. volume prot g La limite se situe hauteur du plancher du plafond C est par exemple le cas comme repr sent dans les figures ci apr s si l escalier fait physiquement partie de la cave ou du grenier l escalier est en contact direct avec l espace de la cave ou du grenier qui ne fait pas partie du volume prot g et il y une s paration entre la cage d escalier et le volume prot g De ce fait la cage d escalier ne devrait pas premi re vue faire partie du volume prot g mais par souci de simplification elle pourra tout de m me tre consid r e comme faisant partie du volume prot g volume prot g simplification coupe grenier w simplification simplification Figure 2 Simplification pour un escalier qui ne fait pas partie du volume prot g figure de gauche et pour un escalier qui fait partie du volume prot g figure de droite Les traits en pointill s d limitent le volume prot g e Une cage d escalier ou un escalier qui fait partie du volume prot g mais qui est situ e un tage qui ne fait pas partie du volume prot g est consid r e comme ne faisant pas partie du volume prot g La limite se situe hauteur du plancher du plafond Exemple une cage d escalier faisant partie du volume prot g cloisonn e Version 28 02 2011 21 dans le grenier qui ne fait pas partie du volume prot g sera p
17. 86 Pour la d termination des pertes l arr t il est fait une distinction entre les cat gories d ann es de construction suivantes e avant 1970 e de 1970 1979 incluse e de 1980 1989 incluse e partir de 1990 Et enfin pour la production de l eau chaude sanitaire et le taux de charge de la chaudi re il s agit de d terminer si l habitation date d avant 1990 ou non Etant donn que les hypoth ses sont li es des cat gories d ann es de construction il est primordial que l ann e de construction de l habitation soit correcte En cas de doute le certificateur devra choisir la cat gorie la plus ancienne Le propri taire doit pouvoir communiquer l ann e de construction Si celle ci est post rieure 1970 il est imp ratif de v rifier cette date sur le permis de b tir sur des plans d ex cution dat s sur des factures dans les cahiers des charges par une date grav e dans une brique de fa ade Le certificateur peut galement ventuellement s informer aupr s du service de l urbanisme de la commune registre des permis date de la 1 utilisation II est conseill au certificateur de conserver une copie de ces preuves de l ann e de construction dans son dossier En cas de contradictions entre les diff rentes sources au sujet de l ann e de construction le certificateur choisit l ann e la plus r cente Version 28 02 2011 13 Certaines parties de l habitation peuvent galeme
18. CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE POUR LES HABITATIONS INDIVIDUELLES PROTOCOLE G n ralit s Partie Introduction et champ d application Partie Il M thode pour la collecte des donn es du projet et la d termination du volume prot g et de la superficie brute de l habitation x REGION DE BRUXELLES CAPITALE ger Sen O BRUSSELS HOOFDSTEDELIJK GEWEST Protocole Table des mati res INTRODUCTION ET CHAMP D APPLICATION 4 1 INTRODUCTION WE 5 1 1 But et contenu du certificat PEB pour les habitations 5 1 2 M thodologie pour l tablissement d un certificat PEB 5 1 3 But et importance du protocole 6 1 4 Pr paration de la visite sur site ss u u u uuu u u u T 7 2 CHAMP D APPLICATION 9 Il METHODE POUR LA COLLECTE DES DONNEES DU PROJET ET LA DETERMINATION DU VOLUME PROTEGE ET DE LA SUPERFICIE BRUTE DE F HABITAT O eege 11 1 DONN ES DU PROJET rs 12 1 1 Adresse de l habitation individuelle es 12 1 2 Type d habitation individuelle ns 12 1 3 Ann e de construction U u u u u u u 13 1 4 E 14 1 5 Fonction non r sidentielle dans le certificat de performance nerg tique 14 1 6 Num ro du certificat
19. Le certificat de l habitation individuelle portera donc galement sur le salon de coiffure Figure de droite La superficie brute de la partie non r sidentielle est sup rieure ou gale 75 m2 Le salon de coiffure ne sera pas repris dans le certificat de l habitation individuelle Certificat de performance nerg tique Selon l Arr t le certificat de performance nerg tique est tabli par unit d habitation Cependant dans le cas d habitations individuelles identiques c d dans le cas d habitations ayant une g om trie identique et des limites similaires tels que des appartements et des habitations sociales le certificateur peut baser l valuation d une habitation sur celle d une autre habitation repr sentative situ e dans le m me immeuble ou appartenant au m me ensemble et dont les caract ristiques nerg tiques sont identiques Le certificateur reste cependant toujours responsable de l analyse de l authenticit de l information utilis e Version 28 02 2011 10 II METHODE POUR LA COLLECTE DES DONNEES DU PROJET ET LA DETERMINATION DU VOLUME PROTEGE ET DE LA SUPERFICIE BRUTE DE L HABITATION Version 28 02 2011 11 1 Donn es du projet 1 1 Adresse de l habitation individuelle Les donn es d adresse reprises dans le logiciel et sur le certificat de performance nerg tique sont li es la banque de donn es du Brussels Urban Information System base de donn es URBIS du CIRB Centre
20. a on unique chaque habitation individuelle Ce code est automatiquement g n r par le logiciel de certification 1 7 Donn es du certificateur La certification des habitations individuelles est r alis e exclusivement par des certificateurs lt r sidentiels Ces personnes doivent au pr alable se faire agr er aupr s de l Institut Bruxellois pour la Gestion de l Environnement IBGE Les donn es du certificateur sont reprises sur le certificat Il n est pas possible de modifier les donn es du certificateur dans le logiciel Cependant si cela s av re n cessaire ces modifications se feront par le biais de l IBGE Version 28 02 2011 14 1 8 Num rotation des appartements Pour les appartements le certificateur doit introduire dans le logiciel un num ro d appartement C est un num ro complexe qui n est pas repris sur le certificat mais qui est exig pour des raisons administratives La d termination du num ro d appartement se fait selon un protocole sp cifique qui est explicit l annexe 1 1 9 R f rence juridique ou notariale la partie certifi e du b timent Si disponible le certificateur renseignera le num ro de la r f rence juridique ou notariale la partie certifi e du b timent pr sent dans l acte de base Ceci est uniquement d application pour les appartements Si cette information n est pas disponible le certificateur r digera un texte libre de maximum 40 caract res Pour les maisons c
21. as comprise dans le volume prot g grenier simplification Figure 3 Simplification pour un escalier faisant partie du volume prot g alors que la cage d escalier situ e au grenier ne fait pas partie du volume prot g par souci de simplification Exceptions Une adaptation du plan par tapes est uniquement autoris e dans des situations exceptionnelles par exemple pour une habitation en mauvais tat une habitation avec peu d espaces chauff s La motivation de cette adaptation sera toujours jointe au sch ma pr sentant la d limitation du volume prot g de sorte que le certificateur puisse motiver cette adaptation en cas de contr le ventuel Si le certificateur d sire rajouter un local au volume prot g qui est normalement exclu par le plan par tapes il faudra au minimum que ce local r ponde aux conditions de l tape 6 lumi re ext rieure directe hauteur moyenne de 2 1 m ou plus et point d clairage fixe Version 28 02 2011 22 Le plan par tapes pour la d termination du volume prot g Choque fois qu un local ou plusieurs locaux sont attribu s tapes 1 2 et tape 3 o exclus du volume prot g tape 4 et tape 5 il n est plus n cessaire de contr ler si ces pi ces r pondent aux tapes suivantes du plan par tapes Cela est uniquement n cessaire pour les autres locaux Les garages loggias doivent aussi tre soumis au plan par tapes Et
22. ative cette pi ce n est ce stade pas encore majoritairement 275 d limit e par des volumes prot g s De plus moins de 75 du sous sol font partie du volume prot g de sorte que la cave n est pas automatiquement incluse dans le volume prot g La cave ne fait dans ce cas pas partie du volume prot g de l habitation Version 28 02 2011 42 rez de chauss e chambre 2 et sdb 1 chambre 3 non isol F d volume prot g isol chauffage Figure 25 Plan au sol d une maison de ma tre avec de gauche droite sous sol rez de chauss e premier tage mezzanine L Vide sur bureau s iour amp cain cuisine non isol eg volume prot g isol was chauffage Figure 26 Plan au sol d une maison de ma tre avec de gauche droite deuxi me tage et mezzanine Version 28 02 2011 43 volume prot g non isol pg umaman isol superficie brute legende Figure 27 Vue en coupe d une maison de ma tre Version 28 02 2011 44 3 Donn es sp cifiques du projet 3 1 Orientation de l habitation La fa ade avant ou fa ade principale est prise comme r f rence pour d terminer l orientation de l habitation Dans la plupart des cas ce sera la fa ade c t rue Si l habitation est situ e l angle de deux rues il faut prendre la fa ade de la porte d entr e ou la fa ade situ e sur la de l adresse de l habitation
23. dentiel collecte lors de la visite de l habitation toutes les donn es devant tre introduites dans le logiciel Le calcul de la performance nerg tique des logements est r alis obligatoirement l aide d un logiciel mis par la R gion de Bruxelles Capitale la disposition des certificateurs r sidentiels agr s Version 28 02 2011 5 Les certificats de performance nerg tique obligatoires lors de la vente de la mise en location d habitations ne peuvent donc tre tablis qu l aide de ce logiciel Le calcul de la performance nerg tique ne tient compte que des caract ristiques du b timent Afin de limiter le temps n cessaire l tablissement et donc le co t du certificat de performance nerg tique il est important de limiter le temps de collecte de toutes les donn es ainsi que le temps d encodage dans le logiciel La premi re tape est la collecte des donn es qui ont une influence significative sur le r sultat de la performance nerg tique et qui sont facilement constatables lors de la visite sur place Le calcul tient compte entre autres de l orientation de la g om trie et des caract ristiques thermiques de l enveloppe du b timent Les installations techniques fixes telles que le chauffage la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement ainsi que le type de ventilation et les syst mes nergie solaire sont galement pris en consid ration Cependant il n est pas toujou
24. disposer de lumi re naturelle Et une hauteur moyenne de 2 1 m Et un clairage fixe U A moins que 75 du grenier o la cave fait d j partie du volume prot g Figure 4 Le plan par tapes pour la d termination du volume prot g 2 3 Mesure du volume prot g Le volume prot g d un b timent est calcul sur la base des dimensions ext rieures Le volume prot g ne contient donc pas uniquement le volume d air des locaux mais aussi le volume des parois internes et externes Les parois qui forment la s paration entre deux volumes prot g s distincts appartiennent pour la moiti de leur paisseur chacun des volumes prot g s qu elles s parent Dans la plupart des cas l paisseur des murs peut tre mesur e ou d duite au niveau des baies Cependant si ce n est pas possible il faut tenir compte des paisseurs suivantes 30 cm pour un mur ext rieur 30 cm pour un mur mitoyen 20 cm pour un mur commun entre deux volumes prot g s d un m me b timent exemple entre deux appartements entre un appartement une cage d escalier entre un appartement et un puits d ascenseur 15 cm pour un mur ext rieur vers un espace adjacent non chauff Version 28 02 2011 23 On prend donc en compte l paisseur totale des murs vers l ext rieur le sol les espaces adjacents chauff s ou les vides sanitaires et caves ne faisant pas partie du volume prot g Par contre on prend en compte uni
25. e t il des rapports de chantier ventuels d un dossier d intervention ult rieure DIU ou d tats d avancement des travaux reprenant des informations sur les mat riaux utilis s et sur les installations Le propri taire dispose t il des cahiers des charges propri taire dispose t il de la documentation technique de la chaudi re et des autres installations chauffe eau solaire panneaux photovolta ques refroidissement Dans le cas d immeubles appartements installation de chauffage collective le certificateur demandera au g rant du b timent d tre pr sent lors de la visite des installations techniques si le rapport de diagnostic et les attestations de contr le p riodique de r ception de l installation de chauffage ne sont pas disponibles A t on tenu jour pendant la construction une chronologie de photos d une ou de plusieurs parties de l enveloppe permettant une constatation univoque de la pr sence d isolation Les crit res auxquels ces documents doivent r pondre afin de pouvoir tre pris en consid ration sont explicit s dans le paragraphe justificatifs des parties IV et V Le certificateur doit donc v rifier la fiabilit de toutes les pi ces justificatives ont elles trait au b timent concern s agit il de pi ces originales Le certificateur est tenu de garder pour tous les certificats nerg tiques d livr s une copie de toutes les pi ces justificatives demand es et d
26. e toutes les donn es collect es et ce durant une p riode de cinq ans Le certificateur pourra ainsi se r f rer ces pi ces pour r pondre aux questions pos es par le propri taire ou par l administration lors d un contr le ces documents lui permettant d tayer les donn es introduites Version 28 02 2011 8 2 Champ d application Toutes les habitations individuelles tombent sous le champ d application La d finition suivant le point 1 7 de l annexe 1 de larr t du 21 d cembre 2007 du gouvernement de la R gion de Bruxelles Capitale d terminant les exigences en mati re de performance nerg tique et de climat int rieur des b timents est la suivante Ensemble de locaux vis s l article 5 1 al 2 a de Ordonnance destin s au logement et disposant des quipements d habitation n cessaires pour fonctionner de mani re autonome c est dire disposant au moins d une cuisine de toilettes et d une salle de bains tels que par exemple les maisons unifamiliales les appartements les studios les appart h tel les flat h tel Les immeubles appartements vis s l article 5 1er al 2 b de l ordonnance sont consid r s comme des b timents comprenant plusieurs habitations individuelles Le r sidentiel commun ne tombe pas sous le champ d application du certificat PEB pour les habitations individuelles mais bien sous le champ d application pour les b timents tertiaires R sidentiel commun Ensemble de
27. ette case reste vide Version 28 02 2011 15 2 D termination du volume prot g et de la superficie brute de l habitation 2 1 D finition du volume prot g Ordonnance du 7 juin 2007 concernant la performance nerg tique et le climat int rieur des habitations Art 3 28 Volume prot g l ensemble des locaux du b timent y compris les d gagements que l on souhaite prot ger des d perditions thermiques vers l ambiance ext rieure le sol et les espaces voisins qui n appartiennent pas un volume prot g Font d office partie du volume prot g les locaux d habitation et les autres locaux chauff s ou climatis s ou destin s tre chauff s ou climatis s Inclure un local dans le volume prot g aura plusieurs cons quences e les parois s parant ce local de locaux qui n appartiennent pas au volume prot g devront tre d taill es comme superficies de d perdition e recommandations auront ventuellement trait ces parois e hypoth ses retenues par la m thode de calcul c est dire la temp rature int rieure le facteur de ventilation seront appliqu es ces locaux 2 2 D termination du volume prot g plan par tapes Le volume prot g est un param tre important pour le calcul de la consommation nerg tique de l habitation individuelle C est pourquoi il est de la plus grande importance d appliquer correctement la m thode pour la d termination du volume prot g
28. ffage direct Chauffage direct metteur de chaleur Les espaces quip s d metteurs de chaleur font partie du volume prot g Tous les metteurs de chaleurs fix s au mur dans le sol ou au plafond tels que radiateurs convecteurs po les syst me de rayonnement par le mur sol ou plafond air chaud rayonnement par halog ne ou infrarouge sont consid r s comme des metteurs de chaleur Ainsi une v randa quip e de simple vitrage mais chauff e par des radiateurs fait partie du volume prot g La pr sence d un appareil de chauffage mobile dans un local n est pas un indicateur permettant d inclure ce local dans le volume prot g De m me une chaudi re de chauffage central n est pas consid r e comme un metteur de chaleur A titre d exemple la pr sence d une chaudi re dans un grenier ne permet pas d inclure syst matiquement le grenier dans le volume prot g Les locaux qui ne sont pas quip s d metteurs de chaleur fixes sont valu s l tape 4 Etape 4 Etanch it l air et l eau acc s ais et praticable Tous les locaux qui ne sont pas tanches l air et l eau ne font pas partie du volume prot g Ainsi une toiture dont les tuiles sont visibles de l int rieur n est pas tanche l air et l eau Pour faire partie du volume prot g il faut au minimum une sous toiture ou un voligeage c te c te Une cave sous eau ne peut galement pas tre consid r e comme
29. ilis e comme salle de jeux et est chauff e le reste du grenier ne l est pas Les deux espaces ont une hauteur minimale de 2 1 m mais ne disposent pas d clairage naturel Etape 1 La v randa est quip e de fen tres avec double vitrage et est donc consid r e comme isol e Etape 2 La cuisine la toilette et la salle de bain font partie du volume prot g Etape 3 La salle de s jour la chambre le bureau et la salle de jeux sont chauff s directement et font donc partie du volume prot g Etape 4 Les autres espaces hall buanderie garage grenier et cave r pondent aux crit res de base tanch it l air et l eau et seront donc valu s l tape 5 Etape 5 Les autres espaces hall buanderie garage grenier et cave sont chauff s indirectement et seront donc valu s l tape 6 Etape 6 Le hall la buanderie et le garage r pondent aux trois crit res et font donc partie du volume prot g Le grenier au dessus du garage la cave n ont pas d apport d clairage naturel et ne sont pas entour s par des espaces du volume prot g Ils ne font donc pas partie du volume prot g Version 28 02 2011 34 Vu que l acc s la cave qui fait physiquement partie de la cave se trouve un niveau rez de chauss e qui fait partie du volume prot g l escalier de la cave est inclus dans le volume prot g un plancher fictif au dessus de l escalier de la cave est consid r comme s
30. itations individuelles dans des immeubles appartements les pi ces communes telles que les escaliers ascenseurs couloirs communs etc ne font pas partie du volume prot g de l habitation individuelle consid r e Le certificateur pr sume que les locaux int rieurs de propri t s contigu s tels qu un appartement adjacent ou un espace de circulation int rieur commun sont chauff s Les locaux int rieurs de propri t s contigu s doivent donc tre consid r s comme des volumes prot g s Le certificateur tient toujours jour un croquis plans et coupe verticale repr sentant le volume prot g de l habitation individuelle afin de motiver la d limitation du volume prot g du logement en cas de contr le ventuel Etape 1 Local isol ou d limit par d autres locaux d un volume prot g Les diff rentes couches d isolation thermique composant les parties horizontales verticales ou diagonales de l enveloppe parois forment la d limitation du volume prot g Lors de la d termination du volume prot g il faut que toutes les constructions opaques ou toutes les constructions transparentes translucides d une partie de l enveloppe ou toutes les constructions soient isol es afin que cette partie de l enveloppe soit consid r e comme isol e On entend par paroi isol e e Pour une paroi opaque une paroi constitu e d un mat riau dont le coefficient de conductivit thermique est inf rieur ou gal 0
31. le Il est cependant galement possible d y rencontrer une fonction non r sidentielle Chaque appartement d un immeuble appartements doit disposer de son propre certificat Chaque appartement doit galement disposer de son propre num ro d appartement voir 1 8 Les studios appart h tels et flat h tels sont consid r s comme des appartements Pour les maisons le certificateur introduit dans le logiciel les informations relatives au type de construction maison 4 fa ades maison 3 fa ades maison mitoyenne galement appel e 2 fa ades ou de rang e Ces informations ne sont pas demand es dans le cas d appartements Version 28 02 2011 12 1 3 Ann e de construction L ann e de construction est cruciale pour d terminer la consommation nerg tique En l absence d informations relatives l paisseur de l isolation le logiciel se basera sur des hypoth ses ou valeurs par d faut qui seront fonction de l ann e de construction Les hypoth ses utilis es lors du calcul relatif l enveloppe de l habitation paisseur de l isolation d pendent des cat gories d ann es de construction suivantes e jusqu en 1970 e 1971 1985 incluse e de 1986 1995 incluse e partir de 1996 Lors du calcul relatif au chauffage les hypoth ses utilis es pour le rendement de combustion d pendent des cat gories d ann es de construction suivantes e avant 1975 e de 1975 1985 incluse e partir 19
32. lle de terrasse e saillies pour les toitures plates saillies ou goutti res d un toit inclin dont la largeur est inf rieure ou gale 1 m e des colonnes ind pendantes e les saillies d un mur ext rieur qui n entourent pas un espace int rieur par un mur en saillie e une pointe de comble non isol Le c t sup rieur du plafond marque alors la limite sup rieure du volume prot g Version 28 02 2011 24 exemple Gg niche lt 0 5 m fait parti du volume prot g niche gt 0 5 m ne fait pas parti du volume prot g collone ext rieur ne fait pas parti du volume prot g vide gt 4 parties en saillies ne ne fait pas parti de la font pas parti du superficie brute volume prot g Figure 5 Mesure du volume prot g niche vide parties en saillie etc Les conduits d a ration situ s l int rieur d une habitation ainsi que les niches dans les fa ades dont l emprise horizontale est inf rieure 0 5 m sont pas soustraits du volume prot g G superficie brute L volume prot g lt o superficie de d perdition legende Figure 6 Mesure du volume prot g saillies promontoires etc Version 28 02 2011 25 2 4 D termination de la superficie brute La superficie brute de l habitation individuelle est la somme des superficies des planchers de tous les tages faisan
33. locaux du volume prot g et l habitation du voisin qui par d faut est consid r e comme un volume prot g le plancher est sur terre et seule la porte d entr e est non isol e et en contact avec l ext rieur La superficie de la porte est inf rieure 25 de la superficie totale de d perdition du hall d entr e Le hall d entr e fait donc partie du volume prot g e Une maison de rang e est constitu e de deux niveaux et d un espace grenier sous la toiture qui est inclin e Le toit du grenier est isol Les fa ades avant et arri re ne sont pas isol es et montent jusqu 0 5 m tre de haut dans le grenier Les deux fa ades lat rales sont des murs mitoyens la maison est donc en contact gauche et droite avec une autre maison Si la superficie des parois non isol es fa ades avant et arri re est inf rieure 25 de la superficie totale de d perdition du local le local est consid r comme isol Par contre si les fa ades lat rales ne sont pas mitoyennes pas de constructions adjacentes la part de surface non isol e est sup rieure 25 et d s lors le local est consid r comme non isol e local qui est enti rement entour d autres locaux faisant partie d un volume prot g fait partie du volume prot g Attention ce premier stade du plan par tapes le volume prot g n est pas encore enti rement d fini tant donn que tel est justement l objectif du plan par tapes C est
34. locaux vis s l article 5 1er al 2 j de destin s au logement et dans lesquels les quipements d habitation cuisine salle manger toilettes et salle de bain etc sont en tout ou en partie communs tels que par exemple les h tels les auberges les auberges de jeunesse les motels les pensions les tablissements p nitentiaires et de r ducation les maisons de repos les internats compris tous les locaux annexes n cessaires l activit En fin de construction d un nouveau b timent l Institut d livre un certificat PEB sur la base de la d claration et le notifie au d clarant Si ce certificat existe et est encore valable il n est alors pas n cessaire d effectuer les d marches pour obtenir un nouveau certificat Combinaison d une affectation r sidentielle et non r sidentielle Il est possible que dans une habitation individuelle il y ait galement une affectation non r sidentielle comme un salon de coiffure un magasin une pharmacie un cabinet de m decin un bureau d assurance Un certificat PEB doit tre r alis pour chaque habitation individuelle Les locaux adjacents qui ont une affectation telle que vis e aux points 1 2 1 10 de l annexe 1 de l Arr t du gouvernement de la RBC du 21 d cembre 2007 d terminant les exigences en mati re de performance nerg tique et de climat int rieur des b timents et qui ont une superficie inf rie
35. lors pas consid r comme une superficie de d perdition Variante 3 Dans cette variante on suppose que la remise du rez de chauss e n est pas accessible par la cuisine mais uniquement par le jardin Comme ce local est isol il fera partie du volume prot g tape 1 Version 28 02 2011 28 2 5 2 Maison mitoyenne r nov e Cette habitation de 1930 a t partiellement r nov e en 2005 La toiture a t remplac e et isol e Au rez de chauss e l annexe arri re existante a t remplac e par une extension isol e salon Les habitations contigu s sont plus hautes et plus profondes que la maison La cave dont la hauteur est de 2 08 n est pas parachev e et qui est utilis e comme pi ce de stockage est accessible par un escalier et n est pas s par e du hall de la cage d escalier formant donc avec ces derniers un seul espace physique Etant donn que la superficie de l ouverture vers la cave ou vers le grenier est inf rieure m2 le couloir la cave et le hall la cage d escalier sont consid r s comme deux locaux distincts grenier la s jour chambre 1 salle manger fausse cave cuisine mnnn rez de chauss e non isol volume prot g ERA isol chauffage Figure 11 Plan au sol d une maison mitoyenne r nov e Version 28 02 2011 29 Etape 1 Le salon fait par
36. ne buanderie semi enterr s Le bureau est chauff la buanderie ne l est pas La buanderie dispose d une fen tre vers le jardin une hauteur suffisante 2 1 m et dispose d un clairage fixe Le grenier n est pas isol et il ny a pas de sous toiture Dans ce grenier une chambre a t am nag e Cette chambre a au moins 2 1 m de hauteur dispose de deux fen tres c t rue et d un clairage fixe Etape 1 Aucun espace n est enti rement isol ou d limit par des locaux du volume prot g Etape 2 La cuisine la salle de bain et la toilette font partie du volume prot g Etape 3 La salle de s jour le bureau et la chambre 1 sont chauff s directement et font donc partie du volume prot g Etape 4 Toutes les autres pi ces l exception du grenier r pondent aux crit res de base tanches l air et l eau et ais ment accessibles et praticables et seront valu es l tape 5 Le grenier n est pas tanche l air ni l eau et n est pas ce stade d limit un volume prot g Le grenier ne fait donc pas partie du volume prot g Etape 5 La buanderie la remise le hall couloir et la chambre 2 sont chauff s indirectement et seront valu s l tape 6 Etape 6 Le hall couloir et la buanderie r pondent aux trois crit res et font de ce fait partie du volume prot g La remise situ e la cave est aussi incluse dans le volume prot g car 75 de la cave font partie du v
37. nruuuu chauffage Figure 23 Plan au sol d un appartement avec espaces communs cuisine s jour non isol volume prot g isol superficie brute Figure 24 Vue en coupe d un appartement avec espaces communs 2 5 9 Maison de ma tre Cette maison de ma tre mitoyenne r nov e du 19 si cle dispose d un tage semi enterr sous sol se composant d un bureau d une cave d une remise d une salle de r union et d un bureau Le bureau et la salle de r union sont chauff s la cave et la remise non La cave dispose d une fen tre et d une porte donnant sur l espace couvert et donc sur l ext rieur a une hauteur suffisante 2 1 m et dispose d un point d clairage fixe Version 28 02 2011 41 L espace usage collectif de la cave est adjacent la cage d escalier de la maison Le toit en pente du dernier tage est isol et pourvu d une sous toiture Au dernier niveau un entresol a t am nag Cet tage pr sentant pour une partie une hauteur inf rieure 2 1 m dispose d un point d clairage fixe et de deux tabati res c t Etape 1 Aucun espace n est enti rement isol ou d limit par des locaux du volume prot g Etape 2 La cuisine la salle de s jour la salle manger la salle de bain n 1 et la toilette du rez de chauss e font partie du volume prot g Etape 3 Le bureau et la salle de r union le bureau du dernier tage et l entresol la salle de bain
38. nt avoir t r nov es ou agrandies post rieurement c est pourquoi il est possible d introduire dans le logiciel l ann e ventuelle de r novation ce par partie de l enveloppe Cette proc dure est expliqu e plus en d tail dans la partie IV L ann e de r novation doit tre justifi e de la m me mani re que l ann e de construction Dans le cas o les travaux de r novation se sont d roul s sur plusieurs ann es le certificateur encodera dans le logiciel l ann e du commencement des travaux 1 4 Photos Le certificateur prendra au minimum une photo de la fa ade principale vue de la rue lors de la visite de l habitation Cette photo sera digitalis e Le certificateur ins rera cette photo au moyen du logiciel en premi re page du certificat de performance nerg tique 1 5 Fonction non r sidentielle dans le certificat de performance nerg tique Le certificateur devra cocher dans le logiciel si le certificat de performance nerg tique est d livr pour une habitation comportant une fonction non r sidentielle Une case cocher est galement pr vue cette fin sur le formulaire de collecte des donn es Les directives suivre pour la prise en compte ou non de la partie non r sidentielle dans le certificat de performance nerg tique d une habitation individuelle sont expliqu es dans la partie chapitre 2 1 6 Num ro du certificat Le num ro du certificat est un code unique qui permet d identifier de f
39. olume prot g Etape 2 La cuisine la salle de bain rez de chauss e et la toilette font partie du volume prot g Etape 3 La salle de s jour le bureau la salle de bain n 2 les chambres et le hall hall de nuit sont chauff s et font partie du volume prot g Etape 4 Le grenier au dessus du 1 tage est uniquement accessible l aide d une chelle partir de l espace de loisirs et est exclu du volume prot g Cette pi ce est en effet difficilement accessible Les autres pi ces la remise rez de chauss e le garage l espace de loisirs et les niches 1 tage sont tanches l air et l eau praticables et ais ment accessibles et seront valu es l tape 5 Etape 5 Les autres pi ces la remise rez de chauss e le garage l espace de loisirs et les niches 1 tage sont chauff es indirectement et seront valu es l tape 6 Etape 6 La remise rez de chauss e le garage et l espace de loisirs r pondent aux trois crit res hauteur de min 2 1 m lumi re du jour directe et clairage fixe pr sent et font donc partie du volume prot g Les niches 1 tage ne r pondent pas aux trois crit res d finis pas de lumi re du jour hauteur inf rieure 2 1 m et ne font donc pas partie du volume prot g Toutefois dans un souci de simplification les niches peuvent tout de m me tre comptabilis es dans le volume prot g Version 28 02 2011 31 espace de loisirs
40. olume prot g La chambre 2 au grenier r pond galement aux trois crit res et peut donc galement tre incluse dans le volume prot g Version 28 02 2011 38 grenier rez de chauss e tage cave chambre 2 non isol volume prot g G ss isol nannan chauffage legende Figure 21 Plan au sol d une maison bourgeoise chambre 1 cuisine s jour salle de bains alle de lavag bureau non isol Es volume prot g isol superficie brute Figure 22 Vue en coupe d une maison bourgeoise Version 28 02 2011 39 2 5 8 Appartement avec des espaces communs Cet appartement est situ au 4 tage d un bloc d appartements de 7 niveaux Ce bloc d appartements n est pas isol Pour le certificat de performance nerg tique d un appartement seul le volume prot g de l appartement devra tre d termin Les espaces communs ne font donc pas partie du volume prot g Cependant les habitations contigu s ventuelles et les espaces communs sont importants pour la d termination du volume prot g Etape 1 Aucun espace n est enti rement isol ou d limit par des locaux du volume prot g Etape 2 La cuisine de m me que la salle de s jour la toilette et la salle de bain font partie du volume prot g Etape 3 Les chambres coucher sont chauff es directement et font donc partie du volume prot
41. on 28 02 2011 27 Figure 9 Plan au sol d une maison isol e avec un vide wc J salle de boins d 2 non isol pim volume prot g isol 4 superficie brute Figure 10 Vue en coupe d une maison isol e avec un vide Variante 1 Dans cette variante la pointe du comble toiture fa ades est isol et le plancher du grenier le plafond du 1 tage ne l est pas Le grenier n est pas accessible Dans ce cas la pointe du comble fait partie du volume prot g tape 1 La superficie de la pointe du comble n est cependant pas prise en compte dans la superficie brute de l habitation car cet espace n est pas accessible Les parties inclin es de la toiture sont enti rement consid r es comme des superficies de d perdition l inverse du plancher du grenier plafond du 1 tage Variante 2 Si tant la pointe du comble que le plancher du grenier le plafond du 1 tage sont isol s la pointe du comble fait galement partie du volume prot g vu qu il est isol sur tout son pourtour tape 1 Mais ici aussi le grenier n tant pas accessible sa superficie n est pas prise en compte dans la superficie brute du volume prot g Les parties inclin es de la toiture sont calcul es en tant que superficies de d perdition et le plancher du grenier le plafond du 1 tage n est d s
42. pourquoi il n est pas encore possible de d terminer d finitivement si un local est enti rement entour d autres locaux du ou d un autre volume prot g Dans la suite du plan par tapes et avant de conclure qu un local ne fait pas partie du volume prot g il faudra donc rev rifier ult rieurement si le local n est pas enti rement entour par les autres locaux d un volume prot g Etape 2 Une cuisine une salle de bain et une toilette Suivant la d finition d une habitation individuelle avanc e par du 21 d cembre 2007 de la RBC concernant les exigences en mati re de la performance nerg tique et du climat int rieur des b timents annexe 1 celle ci est quip e au minimum d une cuisine d une toilette et d une salle de bain Le volume prot g devra donc galement comporter au moins une cuisine une salle de bain et une toilette Si sur la base de l tape 1 il n y avait pas encore de cuisine de salle de bain ou de toilette faisant partie du volume prot g il faudra rajouter ce volume prot g une cuisine une salle de bain et une toilette chaque fois celle qui s impose comme la principale Les autres locaux y compris les autres cuisines salles de bain et toilettes seront soumis aux crit res de l tape Version 28 02 2011 18 Une cuisine ouverte am ricaine pr sente dans un local a pour cons quence que tout le local appartient d s lors au volume prot g Etape 3 Chau
43. quement la moiti de l paisseur d un mur commun entre deux volumes chauff s donc 15 cm pour les murs mitoyens 10 cm pour les murs communs entre deux volumes prot g s du m me b timent Dans la plupart des cas l paisseur des planchers peut tre mesur e hauteur des escaliers Cependant si ce n est pas possible il faut tenir compte d une paisseur standard de 30 cm aussi dans le cas d un plancher sur terre Dans le cas de deux volumes prot g s du m me b timent on prendra en compte la moiti de l paisseur soit 15 Pour un plancher sur terre le volume du plancher en dessous du niveau du sol sera galement pris en compte dans le volume prot g Dans le n ud plancher fa ade la ligne continue du volume prot g se situe l ext rieur de la fa ade et en dessous du plancher La ligne qui entoure le volume prot g est l ext rieur des fa ades et au dessus des pannes de toiture Par analogie avec la d termination des autres superficies le m me raisonnement est appliqu pour les toitures en pente ou toitures plates c d que l on utilise ici galement les dimensions ext rieures donc le dessus du rev tement de couverture Si l paisseur de la toiture n est pas connue on appliquera une valeur par d faut de 30 cm Comme l indiquent les exemples ci apr s les l ments suivants ne sont pas repris dans le volume prot g e volume occup par un rebord de toiture ou l extension d une da
44. re est charg d effectuer la demande d un certificat de performance nerg tique et de le mettre disposition d acheteurs potentiels de candidats locataires Avec le certificat de performance nerg tique ou certificat PEB les acheteurs et locataires potentiels auront disposition un document leur permettant de comparer le niveau de performance nerg tique de diff rents logements disponibles sur le march de la vente ou de la location En premi re page le certificat PEB indique en grands caract res la performance nerg tique du logement laquelle est la consommation th orique annuelle calcul e par m tre carr de superficie brute de l habitation en kWh d nergie primaire par m et par an Cette valeur doit permettre l acheteur ou au locataire potentiel d valuer le caract re conomique de l habitation sur le plan de la consommation nerg tique Plus cette valeur est petite plus faible sera la consommation nerg tique de cette habitation Outre la consommation nerg tique calcul e le certificat renseigne galement sur l mission annuelle de CO en kg de CO par et par an et contient des recommandations standards qui d coulent de l encodage de param tres simples Le certificat de performance nerg tique des habitations individuelles peut exclusivement tre tabli par des certificateurs r sidentiels 1 2 M thodologie pour l tablissement d un certificat PEB Le certificateur r si
45. remise et le garage sont chauff s indirectement et seront donc valu s l tape 6 Etape 6 Le hall de nuit r pond aux trois crit res et fait donc partie du volume prot g Le garage et la remise situ s dans la cave r pondent seulement deux des trois crit res La hauteur est en effet de seulement 2 08 m Ces pi ces ne sont pas totalement contigu s des pi ces du volume prot g et ne font donc pas partie du volume prot g e L escalier du garage vers la cuisine ne fait pas partie du volume prot g fait physiquement partie du garage Cependant cet escalier sera par simplification inclus dans le volume prot g Le plancher du rez de chauss e et les murs entre le garage et la cuisine et entre le hall et le bureau sont consid r s hauteur de l escalier comme des superficies de d perdition AUSSI chambre 1 ES Gei A A 1 2 rez de chauss e 1 2 non isol volume prot g isol mmm chauffage Figure 19 Plan au sol d une villa split level avec garage et remise semi enterr s Version 28 02 2011 37 chambre 2 bureau hall s jour non isol 1 volume prot g isol superficie brute Figure 20 Vue en coupe d une villa split level avec garage et remise semi enterr s 2 5 7 Maison bourgeoise Cette maison bourgeoise mitoyenne non isol e du 19 si cle dispose d un bureau et d u
46. rs vident de constater sur place toutes les donn es n cessaires au calcul de la consommation nerg tique d une habitation individuelle existante C est pourquoi le pr sent protocole d finit une m thode qui permet d effectuer le calcul malgr les donn es manquantes Cette m thode est bas e sur des hypoth ses qui sont fonction de diff rents param tres ann e de construction constatations ou absence de constatations et qui doivent tre utilis es comme valeurs par d faut Le logiciel calculera enfin sur la base des donn es introduites par le certificateur r sidentiel ci apr s d nomm certificateur la consommation nerg tique du logement qui sera convertie en consommation d nergie primaire en tenant compte de la source d nergie c d le mazout le gaz l lectricit le charbon ou encore le bois En divisant la consommation annuelle d nergie primaire par la superficie de l habitation obtient un nombre ou une valeur qui permet la comparaison de la consommation nerg tique de diverses habitations Cette valeur est reprise sur le certificat de performance nerg tique et sert de base l attribution du label Apr s que le certificateur a rendu un certificat PEB d finitif il re oit ce dernier par e mail Il imprime un exemplaire original en fran ais et en n erlandais sur une feuille A4 blanche 120 g m et le transmet au propri taire de l habitation 1 3 But et importance du protocole Pour la
47. t le flux thermique qui est perpendiculaire la paroi Exemples e Une v randa est contigu un espace chauff Le mur entre la v randa et la pi ce de s jour n est pas isol et n est perc que de fen tres avec du simple vitrage Cette v randa est consid r e comme chauff e indirectement e Une v randa contigu un espace chauff Le mur entre la v randa et la pi ce de s jour n est pas isol Mais dans ce mur il y a une fen tre quip e d un double vitrage Dans ce cas le certificateur partira du principe que cette v randa n est pas chauff e indirectement e Un grenier non isol est accessible par une cage d escalier qui n est pas chauff e directement Le plancher du grenier entre le grenier et le reste du volume prot g est isol Pour le reste le grenier n est pas en contact avec des locaux chauff s Ce grenier n est de ce fait pas chauff indirectement Les espaces qui sont chauff s indirectement seront valu s l tape 6 Les espaces qui ne sont pas chauff s indirectement ne font pas partie du volume prot g Attention le certificateur doit nouveau valuer ces espaces d apr s l tape 1 Etape 6 Autres crit res Si un local r pond aux trois conditions ci apr s le certificateur peut galement le consid rer comme faisant partie du volume prot g 1 disposer de lumi re naturelle directe fen tre coupole 2 et avoir une hauteur libre moyenne de 2 1 m o
48. t partie du volume prot g et dont la hauteur libre est d au moins 2 1 m l exception des locaux en sous sol destin s des places de parking caves locaux techniques et endroits de stockage m me s ils font partie du volume prot g La superficie est calcul e sur la base des dimensions ext rieures des murs de fa ade en pr sumant que les planchers sont d une pi ce continus c d que l on consid re qu il ny a pas d interruption au niveau des murs int rieurs et parois gaines techniques cages d escalier et puits d ascenseur Les vides espace ouvert cr par l absence d un plancher ne sont pas pris en compte dans le calcul de la superficie brute de l habitation si la superficie du vide est sup rieure 4 m Pour d terminer l paisseur des parois on applique le m me raisonnement que pour le calcul du volume prot g Pour les espaces avec des faux plafonds le certificateur doit mesurer la hauteur jusqu au faux plafond Les superficies dont la hauteur est inf rieure 2 1 m par exemple sous un toit inclin ne font donc pas partie de la superficie brute l exception des niches telles que d crites dans la premi re lt simplification additionnelle gt du paragraphe 2 2 Dans le cas d un toit inclin il n est g n ralement pas vident de mesurer sur place la superficie brute Il est alors plus simple de d duire ou de mesurer cette superficie sur la base d un croquis en coupe de la toiture l
49. tie du volume prot g car toutes les parois d limitant ces espaces sont isol es ou adjacentes d autres espaces du volume prot g Etape 2 La cuisine salle manger physiquement un seul local et la salle de bain font partie du volume prot g Etape 3 Les chambres sont chauff es et font donc partie du volume prot g Etape 4 Le grenier la cage d escalier et les caves sont tanches l air et l eau ais ment accessibles et praticables Etape 5 Le grenier la cage d escalier et les caves sont chauff s indirectement Etape 6 La cage d escalier r pond aux 3 crit res Les locaux de la cave et du grenier remplissent pas les 3 conditions les fen tres ne garantissent pas une luminosit directe suffisante et la hauteur du vide sanitaire est inf rieure 2 1 m et ne font donc pas partie du volume prot g Le volume prot g est donc d limit par le plancher du rez de chauss e Le grenier est ce stade enti rement isol et d limit par les autres parties du volume prot g et fait donc partie du volume prot g PA SECH L grenier X 7 D Z chambre 3 chambre 2 cuisine salle manger s jour e 2 e non isol ed volume prot g 9 Een isol superficie brute Figure 12 Vue en coupe d une maison mitoyenne r nov e Variante 1 Si l ouverture vers la cave est plus grande que 3m2 le couloir de la cave et le hall la
50. u plus 3 et disposer d un point d clairage fixe Les locaux situ s au sous sol ou au grenier qui ne r pondent pas ces trois crit res ne font donc pas partie du volume prot g moins que 75 de la cave ou du grenier ne fassent d j partie du volume prot g sur la base des conditions pr c dentes Si un local dans une cave ou un grenier fait partie du volume prot g il est galement permis de prendre en compte le couloir d acc s circulation ce local dans volume prot g Version 28 02 2011 20 Les locaux qui ne r pondent pas aux crit res num r s ci dessus ne font pas partie du volume prot g Attention le certificateur doit nouveau valuer ces espaces d apr s l tape 1 En cas de doute quant l appartenance au volume prot g le certificateur choisira de ne pas inclure le local dans le volume prot g Simplifications additionnelles En vue d viter des contours trop capricieux pour le calcul des superficies de d perdition le certificateur peut appliquer les simplifications suivantes e Les petites niches sous un toit inclin dont la superficie totale est inf rieure ou gale 10 de la superficie brute de l tage o elles se trouvent sont prises en compte dans le volume prot g e Une cage d escalier ou un escalier vers un local qui n est pas compris dans le volume prot g mais qui est situ e un tage faisant partie du volume prot g sera inclus e dans le
51. uperficie de d perdition simplification salle de jeux garage non isol r volume prot g isol superficie brute Figure 17 Vue en coupe d une villa 4 fa ades avec salle de jeux au grenier Version 28 02 2011 35 rez de chauss e veranda NARRU MANI chambre chambre R LOL ESP Mi salle de bains bureau TUE grenier K 1B grenier non isol volume prot g isol ninn chauffage Figure 18 Plan au sol d une villa 4 fa ades avec salle de jeux au grenier 2 5 6 Villa Split Level avec garage et remise semi enterr s Cette villa 4 fa ades 1965 poss de un garage et une remise semi enterr s L habitation n est pas isol e Le garage et la remise sont directement accessibles et munis de fen tres ainsi que des points fixes d clairage une hauteur de 2 08 m Etape 1 Aucun espace n est enti rement isol ou d limit par des locaux du volume prot g Etape 2 La cuisine la toilette et la salle de bain font partie du volume prot g Version 28 02 2011 36 Etape 3 La salle de s jour le bureau et les chambres sont chauff s et font donc partie du volume prot g Etape 4 Tous les autres espaces r pondent aux crit res de base tanch it l air et l eau et seront donc valu s l tape 5 Etape 5 Le hall hall de nuit la
52. ure 75 m et inf rieure la celle de l habitation individuelle sont repris dans le certificat Arr t du Gouvernement de la R gion de Bruxelles Capitale relatif au certificat PEB tabli par un certificateur pour les habitations individuelles article 3 paragraphe 3 Version 28 02 2011 9 Si la superficie brute de la partie non r sidentielle adjacente est plus grande ou gale 75 m ou que cette superficie est sup rieure la superficie brute de la partie r sidentielle c d des locaux d habitation cette partie du logement sera consid r e comme tant un b timent tertiaire Cela signifie qu en cas de vente ou de mise en location et ce d s l entr e en vigueur de la r glementation relative aux b timents tertiaires un certificat nerg tique de type tertiaire devra tre mis pour l affectation non r sidentielle COUPE coupe habitation habitation habitation habitation habi salon de coiffure tation salon de coiffure Figure 1 Exemple d un certificat de performance nerg tique pour une habitation unifamiliale avec un salon de coiffure L habitation unifamiliale de la Figure 1 poss de galement une fonction non r sidentielle plus pr cis ment un salon de coiffure Figure de gauche La superficie brute de la partie non r sidentielle est inf rieure 75 m et inf rieure la superficie brute de la partie r sidentielle
53. valu s l tape 6 Etape 6 La remise r pond aux trois crit res et fait donc partie du volume prot g La porte de garage est munie de 4 ouvertures translucides qui laissent passer la lumi re du jour de sorte que le garage fait partie du volume prot g rez de chauss e tage 2 UN AN D mmnpn cuisine solle salle chambre 1 de bains Chambre 2 dressing s jour 1 Lun mm innnan s non isol volume prot g legende isol nnnnnni chauffage Figure 15 Plan au sol d une maison bel tage Version 28 02 2011 33 chambre chambre 2 1 salon salle manger garage d barras non isol volume prot g ess isol superficie brute Figure 16 Vue en coupe d une maison bel tage 2 5 5 Villa 4 fa ades avec salle de jeux au grenier Cette villa 4 fa ades non isol e date de 1970 En 1992 une v randa double vitrage non chauff e a t accol e l habitation Entre la pi ce de s jour et la v randa se trouve une porte fen tre coulissante la v randa est utilis e comme salon suppl mentaire Dans la cuisine se trouve un escalier donnant acc s la cave qui fait office de remise Celle ci est enti rement en sous sol et n est donc pas quip e de fen tres Le grenier se situe au dessus du garage Une partie de ce grenier est ut

Protocole - parties I et II ()

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