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L`Ethique de la science et de la technologie - unesdoc

1. un public de tous ges aux enseignants comme aux l ves aux sp cialistes comme aux profanes et dont l ach ve ment est pr vu d ici trois ans L aspect le plus notable de l atelier a t l tendue et la vari t des exp riences qui ont t pr sent es aux participants La question de l acc s des femmes aux sciences n est pas nouvelle et a d j t au centre de nombreux d bats et r u nions Bien que d importants progr s aient t r alis s ce sujet dans cer taines r gions du monde on s accorde n anmoins penser l chelon de la plan te qu il reste beaucoup faire dans les nations aussi bien d velopp es qu en d veloppement cet gard si l on veut tre m me de traiter plus efficacement le probl me il importe de faire la distinction entre les diverses disciplines et cat gories scientifiques tant l chelon horizontal que vertical Cette distinction a pr cis ment t l un des aspects les plus importants de l atelier de Cologne en ce sens que les expos s prononc s ont port sur les diverses disciplines scientifiques savoir la physique la chimie la bio logie l astronomie ainsi que sur des questions touchant l enseignement Ce projet a pour objectif d am liorer l enseignement scientifique dans les coles travers la promotion de m thodes exp rimentales d introduire un appren tissage actif dans les salles de classe en ayant recours l exp rimentation p
2. BULLETIN INTERNATIONAL DE L ENSEIGNEMENT SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE ET DE L DUCATION ENVIRONNEMENTALE DE L UNESCO VOL XXIX No 3 4 2004 L thique de la science et de la technologie e monde est plac devant d immenses d fis la plupart directement ou indirecte ment li s la science Les catastro phes technologiques la d gradation de l environnement et l aggravation du d s quilibre social et conomique entre riches et pauvres ont engendr un soup on de plus en plus marqu vis vis de la science soup on qui porte souvent sur la mise au point et l application des technologies nou velles Ce scepticisme s est encore accru avec le d veloppement de la recherche sous contrat et de la recherche d entreprise L id e de plus en plus affirm e que la science n est pas sans subir la marque de la formation du scientifique de ses int r ts valeurs points de vue et relations avec les autres acteurs de la soci t est un argument suppl men taire en faveur de la n cessit d ensei gner l thique Les scientifiques doivent r soudre des probl mes thiques lorsqu ils se d ci dent pour une discipline d tude et un domaine de recherche lorsqu ils choisissent des projets de recherche lorsqu ils s interrogent sur les modali t s de leurs travaux et sur l attitude adopter en mati re de publication et face aux m dias Comment peut on s assurer qu un scientifique garde un niveau lev d int gr
3. der la page d accueil de l Enseignement des sciences et de la technologie http www unesco org education educprog ste index html EEE AMED o D R union du groupe de personnalit s minentes sur la D cennie des Nations Unies pour l ducation en vue du d veloppement durable e 20 juillet 2004 le Direc teur g n ral de l UNESCO M Ko chiro Matsuura a r uni un groupe de personnalit s de haut niveau sur la D cennie des Nations Unies pour l ducation en vue du d veloppement durable 2005 2014 Ce groupe tait compos d experts minents en la mati re M Alpha Omar Konar pr sident de la Commission de l Unit africaine et ancien pr sident de la R publique du Mali M Akito Arima s nateur et ancien ministre de l ducation de la science des sports et de la culture du Japon M Carl Lindberg sous secr taire d tat au Minist re de l ducation et de la science du Royaume de Su de et M Steven Rockefeller pr sident du Rockefeller Brothers Fund Cette r union devait permettre aux participants de donner l UNESCO des indications sur la D cennie des Nations Unies pour l ducation en vue du d veloppement durable son pro jet de programme d application inter national et sur les activit s pr voir pour le lancement de la D cennie Dans ses remarques liminaires M Matsuura a soulign les liens entre la D cennie et les autres cadres d action internationaux en
4. l adoption de l gislations tr s diff rentes voire contradictoires d un pays l autre Telles sont certaines des principales rai sons qui am nent aujourd hui de plus en plus de gens se poser des question qui autrefois relevaient des comp ten ces des philosophes et th ologiens D o un int r t accru pour l thique dans toutes les parties du monde tant donn que les raisons invoqu es pour s int resser l thique ne sont pas de l ordre de la mode ph m re ou du courant intellectuel passager cet int r t risque de demeurer tout comme les changements qui l ont suscit D s lors la question qui vient naturelle ment l esprit est de savoir ce qu il faut faire Une des priorit s est de d velop per les comp tences dans le domaine de l thique et de s en servir pour r soudre les probl mes qui se posent L thique est l un des premiers domai nes d tude o l humanit ait essay de trouver des rep res par une pen s e disciplin e Comme dans les autres disciplines si l on n glige ce qui a t fait on risque de r p ter des erreurs et fautes d j commises et d avancer des opinions qui se sont d j r v l es insuffisantes L enseignement de l thi que est donc essentiel pour viter des erreurs de ce type pour distinguer les bons arguments des mauvais ainsi que pour apprendre bien argumenter L enseignement de l thique devrait avoir pour premier objectif de donner aux tudiant
5. lectronique enquiries openup co uk www openup co uk Education for rural development Towards new policy responses L ducation pour le d veloppement rural nouvelles r ponses des politiques publiques 2003 406 p coord et dir publ D Atchoarena L Gasperini Cet ouvrage est destin servir de cadre conceptuel l initia tive phare relative l ducation pour les populations rurales lanc e par le D partement du d veloppement durable de la FAO et l UNESCO sous forme de partenariat l occasion du Sommet mondial pour le d veloppement durable en 2002 Le but de cette initiative est de s attaquer aux disparit s entre monde rural et urbain qui pr occupent beaucoup les pouvoirs publics et la communaut internationale dans son ensemble L ouvrage pr sente notamment une nouvelle perspective pour le d veloppement de l ducation dans les zones rurales tudie les tendances et innovations de l du cation de base l intention des enfants des zones rurales et examine des questions de formation et des strat gies pour l enseignement sup rieur afin de favoriser le savoir et les comp tences dans les soci t s rurales Pour toute informa tion compl mentaire s adresser Unit des publications de l IPE 7 9 rue Eug ne Delacroix 75116 Paris France Connexion Nouvelles et publications Adresse lectronique information iiep unesco org www unesco orgiiep www fao org sd 2002 KN1101a_en htm Schoo
6. mie canadienne du voyage et du tourisme ACVT a t cr e en 1995 pour r pondre ces pr occupations de l industrie du voyage et du tourisme Elle a une double mission pr senter les carri res du tourisme aux tudiants qui se pr parent un dipl me d tudes secondaires et en faire la promotion Des comp tences et comportements inculqu s dans l enseignement secondaire du deuxi me cycle peuvent venir compl ter la connaissance des conditions et tendances actuelles du tourisme et du voyage l chelon mondial L Acad mie donne aux l ves qui sont ce niveau la possibilit de b tir les assises d une carri re dans le tourisme tout en poursuivant leurs tudes et en acqu rant les comp tences exig es dans l enseignement sup rieur l duca tion tout au long de la vie et le travail dans l industrie du tourisme Les connaissances des l ves de l Acad mie sont sanctionn es en fonction des normes professionnelles nationales pour les comp tences transf rables tablies par le Vol XXIX NO 3 4 2004 DODDODDDDODODDDODDDDDDDDDODDDDDDODODDDDDODODODDODDODODDDDDODODDDDDDODDDODDDODODDODDODDODDDODODDODDDODODOODOO Le faire et le faire savoir Conseil canadien des ressources humaines en tourisme CCRHT et les comp tences relatives l employabilit 2000 recens es par le Conf rence Board du Canada Le programme de l ACVT et de ses membres s adresse aux l ves du deuxi me cycle du secondaire des grades 10
7. quipe et une m thode de r flexion tout en comptant sur leur propre initia tive et leur propre force Ils d couvrent ainsi que dans le domaine des sciences et de la technologie les id es transcen dent la plupart des diff rences s parant les peuples The Virtual Science City La ville scientifique virtuelle www kidsandscience org La Virtual Science City est un site Web o les jeunes peuvent rendre compte de leurs projets changer leurs id es et leur exp rience ainsi que demander de l aide et l obtenir La Ville scientifique virtuelle est compos e de sept districts repr sentant ce qu ils voient dans leur vie quotidienne l eau l air l nergie la vie la nourriture les mat riaux et les transports Chaque district est dot d un syst me de m tro o ils peuvent voyager et construire des stations sur des th mes qui les int ressent La Ville scientifique virtuelle appartient aux jeunes Ils continuent de la b tir en crivant des sc narios sur des sujets qui leur tiennent vraiment c ur La Ville virtuelle laisse galement la place la communication entre jeunes du monde entier Dans le cadre du Forum ils affichent des articles et r pondent des questions qui ont leurs yeux de l importance pour leur vie quotidienne Par dessus tout la Ville scientifique vir tuelle offre la continuit indispensable pour entretenir leur enthousiasme et leur dynamisme Prenez le temps d tu
8. 11 et 12 qui suivent le programme ordinaire et se sp cialisent dans le tourisme De nombreux projets scolaires et exp rimentaux li s au programme ordinaire ont trait au tourisme Les tablissements secondaires canadiens peuvent participer au programme de l Acad mie diff rents niveaux Lors de la Global Travel and Tourisme Student Confe rence Conf rence tudiante sur les voyages et le tourisme dans le monde qui s est tenue Francfort Allemagne en novembre 2003 deux l ves de l ACVT ont prouv leurs comp tences en mati re de recherche et d animation l occasion de la pr sentation de leur tude de cas sur le tourisme durable dans la r gion du Mont Robson qui fait partie du site des montagnes Rocheuses inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l UNESCO plusieurs tudes de cas sur des parcs nationaux du monde et le tourisme sont pr sent es l adresse suivante http www gttp org html student_cases html Actuellement 20 programmes de l Acad mie sont en cours dans des tablissements secondaires du deuxi me cycle de huit provinces canadiennes tandis que des professeurs et le groupe consultatif de l industrie organisent des sta ges de travail dans l industrie du tourisme pour des l ves de l Acad mie Pour toute information compl mentaire s adresser Bonnie Stevens Directeur ex cutif Acad mie canadienne du voyage et du tourisme 340 MacLaren Street Suite 100 Ottawa Ontario K2P OM6 Canada Ad
9. Activit s ESTEE de l UNESCO pour les programmes d thique mais les chercheurs et enseignants ont peu de possibilit s au niveau international d tablir des contacts ou de recevoir une formation compl mentaire On rel vera galement que les cours d thique doivent tre ouverts aux dif f rences de culture et de tradition Selon les r gions les avis divergent beaucoup sur ce que l on peut consi d rer comme les probl mes thiques les plus br lants Les difficult s sont aussi tout autres selon que l on est dans un pays pauvre o dans un pays riche Pour les pays en d veloppement il importe surtout de renforcer les com p tences thiques par rapport aux nombreux types d exploitation dont ils font l objet accords commerciaux in quitables mauvais traitement des travailleurs prise de contr le des res sources naturelles prise de brevets sur des mat riels biologiques ou des con naissances fond es sur des savoirs tra ditionnels introduction de plantes ou de m thodes d agriculture qui d trui sent les modes de vie traditionnels etc La preuve en est donc que les pays en d veloppement sont les premiers int ress s au renforcement des comp tences thiques L thique est l affaire de tous Nous avons tous des id es sur les probl mes thiques et nous les faisons conna tre Cependant cela ne nous qualifie pas pour enseigner l thique Ensei gner l thique ce n est pas inculquer autrui
10. Nouvelle Z lande les 9 et 10 ao t 2004 Le Colloque a rassembl des profes sionnels de la sant ainsi que des repr sentants d organisations non gou vernementales de d taillants et de pro ducteurs qui ensemble ont cherch renforcer dans le monde entier les initiatives visant accro tre la con sommation de fruits et de l gumes Il Renforcement de l enseignement des sciences et des math matiques dans le secondaire voir Connexion vol xxv n 1 2000 Vol XXIX NO 3 4 2004 s agissait notamment d laborer des programmes efficaces permettant de lutter contre l pid mie internationale de surpoids et d ob sit et de renforcer les partenariats entre le secteur public et le secteur priv pour promouvoir la consommation de fruits et de l gumes Centres R seaux Associations Pour toute information compl mentaire s adresser M Robert Beaglehole Directeur charg des maladies chroniques et de la promotion de la sant ou Mme Ingrid Keller Point focal Initiative visant stimuler la consommation des fruits et l gumes OMS Gen ve Suisse Adresse lectronique kelleri who int lt www who int dietphysicalactivity fruit gt Centres associations et r seaux R seau des sciences pratiques H Sci Une initiative de l Union europ enne Socrates Comenius 3 es d fis auxquels l Europe fait face Le cette p riode d largissement de consolidation et d affirmation de
11. de l homme de l tat d hominid vuln rable celui de ma tre de la terre sur quatre millions d ann es une odyss e dont nous sommes tous curieux de conna tre l aboutissement dans un monde de plus en plus complexe Il traitera 14 th mes regroup s selon les cat gories suivantes 1 Orientations l originalit de l homme la connaissance et la cognition le d veloppement durable au XXIE si cle 2 Vie l information en tant que base de la vie l volution biologique le syst me nerveux et le cerveau 3 Traitement technique de l information l informatique les t l communications et les r seaux la robotique 4 Vie et survie la nutrition et l eau la sant m decine moderne et autres m decines la g n tique et la biotech nologie dans l agriculture la g n tique et la m decine L analyse scientifique dans le cadre de l Odysseum de th mes pr sentant un int r t pour la soci t offrira aux ensei gnants et aux ducateurs des possibilit s exceptionnelles de renforcer leurs connaissances ainsi que celles de leurs l ves L Odysseum de Cologne se veut un centre ouvert de diffusion des connaissances et de dialogue au sein de la soci t La diffusion et la communication de savoirs concernant un large ventail de th mes caract re scientifique technique et social ont ainsi t confi es des groupes et des acteurs concern s Cette approche transpara t dans le site Internet de l Odysseum intitul Vi
12. ditions de l OCDE 2 rue Andr Pascal 75775 Paris Cedex 16 France LATEA MEB M i ARE DIRES EN MTA AEA M UTR b E ES e pomme SNIE 25 ETES GE ETES Fe A 26 Politiques de la science et de l innova tion principaux d fis E DS A DE 5 L FOA D ei aai DE d de eda ere EP ET iain en de la science et opportunit s 66 p 2004 Ce rapport s ap PERCEEL AIT P ET SPFOTUANTES puie sur les r sultats des travaux de l OCDE sur la science et la techno logie pour clairer les discussions de la r u nion de l Organisation de janvier 2004 voir ci dessus Il conclut que pour que la science et la technologie continuent d apporter des solutions des probl mes co nomiques sanitaires et environnementaux les gouvernements des pays de l OCDE doivent notamment rendre la recherche publique plus efficiente et faciliter la concr tisation commerciale de ses r sultats optimiser les incitations la recherche priv e favoriser une interaction plus troite entre les universit s les laboratoires publics les entreprises et la soci t civile encourager le d veloppe ment de ressources humaines dans les disciplines scientifi ques et technologiques et se doter de r gimes de propri t intellectuelle permettant de rentabiliser les investissements dans l innovation tout en encourageant la diss mination du savoir scientifique et technologique Pour obtenir des exemplaires pri re de s adre
13. est pr vu d organiser trois r unions dans le cadre de cette activit Arica Concepci n et Val paraiso qui auront pour th me les p dagogies centr es sur l l ve et cen tr es sur l enseignant dans l ducation environnementale Le syst me d ho mologation devrait faciliter la d finition de certaines normes environnementales permettant d valuer la composante environnementale dans trois domaines de la pratique ducative la p dagogie la gestion des tablissements et les rap ports avec l environnement En collaboration avec la chaire UNESCO sur l enseignement scientifique pour l Am rique latine et les Cara bes l OREALC a galement entrepris la publi cation d une s rie d ouvrages s adres sant aux enseignants et aux formateurs d enseignants en sciences Deux gran des orientations ont t d finies La premi re porte sur l actualisation de la p dagogie de l enseignement des sciences et la seconde compte tenu du rythme vertigineux des changements mondiaux a trait la mise jour du contenu de l enseignement scientifi que Les deux premi res publications correspondant chaque orientation ont t pr sent es lors du troisi me Congr s ib ro am ricain de la chaire UNESCO sur l enseignement scientifi que qui s est tenu au Guatemala du 5 au 9 juillet 2003 Une publication visant promouvoir l int r t pour la culture scientifique cibl e sur les 15 18 ans est en cours d tablissement C
14. est une Se non gouvernemen tale sans but lucratif dont l objectif est de promouvoir des strat gies nouvelles et int gr es en faveur des filles dans le domaine de l ducation scientifique et technique Elle a t cr e en 2001 par Mme Florence TOBO LOB une Camer ounaise qui a fait ses tudes aux tats Unis et en France afin notamment de rem dier aux in galit s flagrantes qui existent entre les gar ons et les filles dans le domaine de l ducation et qui ont de graves cons quences pour la soci t camerounaise tablie Douala la capitale conomi que du Cameroun la Fondation com prend des hommes et des femmes qui partagent les m mes id aux que sa fondatrice et qui sont d termin s tout faire pour r aliser ces id aux C est pour Connexion Japon recherche d veloppement au Japon ou les politiques scientifiques et techniques dans le reste du monde Les travaux du SFTC portent principale ment sur les domaines ci apr s e sciences de la vie e technologies de l information de la communication e sciences de l environnement e nanotechnologie e nergie e technologie de fabrication e infrastructures e politique en mati re de science et technologie Les principales activit s du centre sont les suivantes e Collecte et analyse d information sur les tendances en mati re de science et technologie avec le con cours d un r seau d experts Le SFTC fait appel pour cette t che
15. fili re sp cifiquement con ue pour former des professeurs de sciences l enseignement du 1er cycle du sup rieur Cette fili re convient particuli rement bien aux candidats qui souhaitent enseigner les sciences dans un tablissement d enseignement universitaire intensif du 1er 2e ou 3e cycle Le soutien financier apport aux tudiants inclut des bourses ainsi qu une aide destin e financer des voyages pro fessionnels pour se rendre des conf rences et proc der des travaux de recherche Les tudiants trangers ayant de tr s bonnes connaissances scientifiques et une excellente ma trise de l anglais sont les bienvenus Pour toute information compl mentaire s adresser Dr Bill Cobern Directeur The Mallinson Institute for Science Education Western Michigan University 3225 Wood Hall Kalamazoo MI 49008 5444 tats Unis d Am rique Adresse lectronique sci ed wmich edu http vww wmich edu science 23 LE ET TECHNO o Fe ee A o D 24 Nouvelles et publications Conf rences ateliers S minaires cole polytechnique de Lausanne Suisse et l Institut indien de tech nologie de Madras Inde orga niseront la deuxi me dition du cours de troisi me cycle sur la technologie et le d veloppement durable intitul e Approches novatrices et int gr es dans les pays mergeants Chen nai Inde du 3 janvier au 15 avril 2005 Pour toute information compl mentaire s adr
16. indiquant que l UNESCO privil giait particuli rement la qualit de l ducation au sein de tous ces programmes Les participants se sont d clar s 2005 2014 g n ralement satisfaits des activit s men es jusque l par l UNESCO en pr paration de la D cennie au cours d un change de vues direct vaste et constructif Ont notamment t soulev s points suivants e la transition du concept d duca tion l environnement la notion d ducation pour le d veloppe ment durable e l laboration du concept de d ve loppement durable jusqu au Som met de Johannesburg de 2002 e la n cessit de tirer les le ons de l exp rience des autres D cennies de tabler sur les acquis qui ont fait leurs preuves et de pr voir les types de structures de suivi indis pensables e les liens entre la D cennie et les autres cadres d action internatio nale notamment l EPT duca tion pour tous la D cennie des Nations Unies pour l alphab tisa tion et le processus des Objectifs du Mill naire pour le d veloppe ment e l importance de la transmission des valeurs cl s e le r le des communaut s confes sionnelles dans le d bat sur l du cation pour le d veloppement durable e le r le important de la culture e la place de l ducation pour le d veloppement durable au sein les d une ducation de qualit et e la n cessit de disposer d indi cateurs appropri s d un suivi efficace
17. information compl mentaire s adresser OCIM 36 rue Chabot Charny 21000 Dijon France Adresse lec tronique http www ocim fr Higher Education and the Challenge of Sus tainability Problematics Promise and Practice L enseignement sup rieur et le d fi de la viabilit Connexion Nouvelles et publications probl matiques promesses et pratique 2004 382 p dir publ B Corcoran A E J Wals Cet ouvrage offre diverses ressources th oriques et pratiques tous ceux qui cherchent int grer la viabilit dans l enseignement sup rieur La viabilit n est pas uni quement tudi e en tant que r sultat et qu approche des sujets abord s mais aussi comme catalyseur du changement p dagogique et de l innovation institu tionnelle l ouvrage explore les diverses probl mati ques li es ce domaine l histoire intellectuelle des perspectives d institutionnalisation de la viabilit dans l enseignement sup rieur et proc de son valuation critique Prix 145 euros 160 dollars des tats Unis dition reli e 50 euros 55 dollars des tats Unis di tion de poche Pour passer commande s adresser Kluwer Academic Publishers Dordrecht Pays Bas http www wkap nl prod b 1 4020 2026 0 29 K ARED H Nouvelles et publications D Conf rence internationale BioEd 2004 Enseignement de la biologie d veloppement durable thique et citoyennet Rio de Janeiro Br s
18. l Union europ enne UE sur la sc ne mondiale donnent l ducation notam ment l ducation scientifique et tech nique une importance particuli re Le R seau des sciences pratiques H Sci qui rel ve du th me Science et technologie du projet Come nius 3 est un projet triennal portant sur des domaines tr s divers Il vise promouvoir et diffuser parmi les enseignants et dans les coles et les conseils de l enseignement aux niveaux national et transnational des m thodes prouv es d enseignement pratique et exp rimental dans toutes les disci plines scientifiques Il s agit principa lement d encourager l enseignement exp rimental des sciences en tant que moyen d am liorer l ducation scienti fique dans les coles et d introduire un apprentissage pratique et exp rimental actif dans les salles de classe Une quipe sp ciale a t charg e de proc der une vaste op ration de relations publiques aupr s des ensei gnants et des ducateurs des coles des minist res de l ducation et des ins tances ducatives afin de d montrer de fa on syst matique les avantages d un recours g n ralis l apprentissage pratique et exp rimental des sciences Des sites Web interactifs et des outils et laboratoires de simulation doivent tre cr s Des kits ducatifs pratiques avec des exp riences et du mat riel d ap pui pr sentant des degr s de difficult divers seront propos s pr par
19. pour un d veloppement dura ble dans la r gion m diterran enne Les personnes int ress es par l tablisse ment d un dialogue sur la r gion m di terran enne sont cordialement invit es contacter l Association Pour toute information compl mentaire s adresser Association U Marinu PO Box 154 20292 Bastia Cedex France Adresse lectronique umarinu wanadoo fr www umarinu com Vol XXIX NO 3 4 2004 Centres R seaux Associations Fondation Kids and Science int resser les jeunes la science et la technologie e but de la Fondation Kids and Sci 12 Fondation pour les enfants et la science est d aider les jeunes voir comprendre et appr cier la science aut our d eux dans leur vie quotidienne Il s agit aussi pour les jeunes d am liorer les choses d en inventer m me parce que tant des enfants ils pensent comme des enfants Ils sont incit s regarder autour d eux toutes les choses de la vie ordinaire et r fl chir aux moyens d y apporter des am liorations La Fondation a quatre objectifs e aider les jeunes d couvrir l int r t et le plaisir de la science et de la tech nologie dans leur vie quotidienne e leur montrer que la science et la technologie sont essentielles au d veloppement de tous les secteurs de la soci t e faire passer ces messages aux jeunes un ge o ils commencent faire des choix d tude et de carri re et o
20. s ESTEE de l UNESCO fesseurs de sciences des parents des jeunes filles et autres parties prenantes comme par exemple les sp cialistes des programmes d ensei gnement scientifique et les femmes scientifiques inciter les jeunes filles se lancer dans des carri res scienti fiques e trouver quelles activit s profession nelles s offrent seront propos es aux jeunes filles qui poursuivront des carri res scientifiques et technologi ques e recommander sur la base des r sultats de l tude des strat gies propices aux jeunes filles dans l enseignement des sciences et des technologies De nombreux s minaires nationaux et r gionaux sur la situation de l duca tion au N pal ont permis de prendre conscience qu il convenait de r viser la politique et les programmes d EST en fonction de l volution du contexte et des besoins de d veloppement du pays Il est par cons quent indispensable de d finir une strat gie reposant sur l exa men de la politique et des programmes en la mati re L une des principales politiques tudier concerne la par ticipation des filles en science et en technologie Il tait donc grand temps de r aliser cette tude sur l int r t port par les filles l enseignement scien tifique et technologique et sur leurs performances et participation dans ce domaine dans le deuxi me cycle du secondaire Pour toute information compl mentaire s adresser Hridaya Bhattacharya Directeur
21. s et analys s Des manuels et des rapports accompagn s de versions lectroniques interactives seront publi s dans plu sieurs langues et diffus s Des modi fications concernant les programmes nationaux d enseignement des sciences seront consid r es et propos es aux autorit s comp tentes Des conf ren ces et des ateliers internationaux seront organis s chaque ann e ainsi que de nombreux cours l intention des ensei gnants et divers concours et activit s scientifiques l intention des l ves Ce r seau devrait tre l amorce d une g n ralisation de l apprentissage pra tique actif des sciences dans les coles de l Union europ enne Le r seau H Sci regroupe 28 institutions de 10 pays europ ens Allemagne Bel gique Chypre Espagne Gr ce Malte Portugal Roumanie Royaume Uni et Slov nie ainsi qu un consortium trans national CoLosS Il est coordonn par l Universidade do Minho Portugal Pour toute information compl mentaire s adresser Manuel Filipe COSTA Universidade do Minho Campus de Gualtar Pt 4710 057 Braga Portugal Fax 351 253 678981 Adresse lectronique Mfcosta fisica Uminho Pt http www uminho pt Indicateurs en science et technologie pour l Espace europ en de la recherche STI ERA L id e d un Espace europ en de la recherche EER est n e de la constatation de trois faiblesses de la recherche en Europe un financement insuffisant l absence d un enviro
22. ses conceptions thiques c est permettre autrui de prendre en toute ind pendance une position sur des pro bl mes thiques Il faut pour cela des comp tences approfondies et largies dans les domaines des th ories et de l argumentation thiques Il appartient aux responsables de l enseignement de l thique de faire en sorte que les ensei gnants aient ces qualifications C est aussi l un des objectifs du programme de l UNESCO sur l thique de la science et de la technologie Activit s ESTEE de l UNESCO Activit s de l UNESCO en ce qui concerne l thique des sciences et des technologies et de l environnement a Division de l thique des sciences LE de la technologie m ne des activit s dans des domaines de l thique appliqu e comme la bio thique l thique de l environnement l thique de l espace extra atmosph rique l thique des sciences et l enseignement de l thique L implication de l UNESCO dans ces domaines r sulte de la recon naissance que les sciences et les tech nologies se situent d sormais dans un contexte international et que le savoir scientifique est partag entre les uni versitaires et les chercheurs du monde entier L impact des nouvelles d cou vertes et des innovations transcende les fronti res nationales m me si les sciences ne se d veloppent pas uni form ment dans tous les pays En outre l valuation sous l angle de l thique des bienfaits et des m faits d avanc es
23. son r seau et transmet les informations recueillies au MEXT et au Conseil pour la politique scientifique et technique du Conseil des ministres CSTP e Recherche sur les tendances dans les principaux domaines de la science et de la technologie Le SFTC s attache des domaines d ter un Fondation Rubisadt Cameroun am liorer la situation de l ducation et notamment de l ducation des filles en Afrique en g n ral et au Cameroun en particulier que la Fondation a t cr e Le continent africain min par des crises conomiques et des conflits arm s r p tition se trouve en effet aujourd hui dans un tat g n ralis d extr me pau vret qui se traduit du fait de la lutte incessante qu il faut livrer pour survivre par une perte des valeurs thiques Au Cameroun l effondrement du sys t me g n ral d ducation est encore aggrav par la faiblesse du taux de scolarisation des filles qui explique en grande partie la proportion tonnam ment r duite de femmes qui acc dent des m tiers scientifiques et techniques Les enqu tes nationales et internatio nales montrent clairement l existence de pratiques flagrantes de discrimina minants pour le progr s de la science et de la technologie analyse les tendan ces et aide les services administratifs tablir des priorit s dans le cadre de la formulation des politiques e Prospective technologique et tud comparative en science et tech
24. tats europ ens savoir la Belgique l Espagne la Finlande la France la Gr ce l Italie Malte la Polo gne le Portugal et le pays h te l Alle magne ainsi que de l Inde d Oman et des tats Unis L atelier a notamment t le cadre d ex pos s et de s ances th matiques de d monstrations pratiques de s ances C atelier international a t organ de pr sentation d affiches et de visi tes dans des tablissements appliquant des m thodes p dagogiques novatrices ax es sur l exp rimentation pratique ainsi que dans une entreprise renom m e sp cialis e dans la production de mat riels p dagogiques scientifiques Les expos s particuli rement int res sants qui ont t faits sur les th mes ci apr s par des sp cialistes des divers aspects de la question de l galit entre les sexes dans l enseignement scientifi que ont donn le ton de la r union e Parit et professions a port sur une tude de l Office national du travail allemand concernant la r partition professionnelle des hommes et des femmes notamment dans le domaine des sciences et de la technologie e Roberta les filles d couvrent les robots a trait d un projet financ par le Minist re f d ral allemand de l ducation et de la recherche qui contredit l id e selon laquelle robots et f minit ne vont pas de pair e Les filles et les sciences une appro che psychologique a abord un projet de recherche men la Fr
25. 11 Gen ve 27 Suisse Adresse lectronique http vww who int health_ leadership apply en Le Dernier voyage de la tortue luth est un documen taire de 28 minutes sur le risque d extinction que la p che industrielle la palangre fait courir un animal apparu il y a fort longtemps la tortue luth Le film est accompagn d un dossier p dagogique r dig par un enseignant califor nien exp riment exer ant dans un tablissement secon daire public Disponible gratuitement pour les enseignants contre renvoi d une description de l activit de la classe l ayant utilis Pour les particuliers et les organisations la vid o co te 15 dollars des tats Unis frais d envoi com pris Pour en obtenir des exemplaires s adresser Robert Ovetz Ph D Save the Leatherback Campaign Coordinator Sea Turtle Restoration Project PO Box 400 Forest Knolls CA 94933 tats Unis d Am rique Fax 1 415 488 0372 www seaturtles org ROSE The Relevance of Science Education La pertinence de l enseignement scientifique v Connexion vol xxvi n 3 4 2001 Quarante pays prennent maintenant part au projet ROSE et des donn es ont t collect es aupr s d environ 40 000 l ves Un rapport exhaustif sur le d roulement du projet est disponible sur le site Web http www ils uio no fors kning rose On peut galement se procurer la version papier gratuite en s adressant Svein Sjoberg lt svein sjoberg ils uio no gt Un examen p
26. CERID Tribhuvan University Katmandou N pal 2 Philippines Disparit s des connais sances scientifiques technologiques et environnementales acquises par les filles et les gar ons dans les ta blissements l mentaires et secon daires philippins L tude qui doit tre entreprise par la Pundasyon sa Pagpapaunlad ng Kaala man sa Agharn sa Pilipinas Fondation pour la promotion de l enseignement scientifique aux Philippines avec le sou tien du Bureau de l UNESCO Bangkok comparera le niveau des connaissances scientifiques technologiques et envi ronnementales acquises par les l ves du grade 6 et ceux de quatri me ann e du secondaire dans certains tablisse ments des r gions 3 et 4 ainsi que dans la r gion de la capitale Elle examinera en outre les disparit s entre gar ons et filles dans le domaine des connais sances scientifiques technologiques et environnementales en fonction des variables ci apr s e test de performance en la mati re e attitude vis vis des sciences de la technologie et de l environnement et int r t pour ces sujets e choix professionnels e degr de sensibilisation et d int r t quant l impact de la science et de la technologie sur la soci t et l en vironnement L tude analysera galement les dif f rences de niveau et d attitude entre les l ves des zones rurales et urbaines dans ces domaines Pour toute information compl mentaire s adresse
27. Cambodge Ses activit s ont t cen tr es sur l laboration de programmes d enseignement le renforcement des capacit s ainsi que la mise au point et la diffusion de mat riels p da gogiques S agissant de l laboration de program mes d enseignement il a r ussi intro duire les sciences de la Terre et les sciences de l environnement dans l en seignement secondaire de la septi me la douzi me ann e d tudes Dans ce contexte des manuels et des livres du ma tre ont t con us publi s et dif fus s dans tout le pays Une formation appropri e a galement t assur e aux sp cialistes charg s de l labora tion des programmes et aux formateurs d enseignants Le manque de ressour ces financi res n a cependant pas per mis jusqu ici d assurer une formation la majorit des enseignants En ce qui concerne l laboration de mat riels p dagogiques le livre du Connexion au Cambodge ma tre intitul Learning for a Sustaina ble Environment pr par par le Bureau de l UNESCO Bangkok et l Universit Griffith en Australie a t traduit de l anglais en khmer et adapt en vue de pouvoir tre utilis au plan local Exp riment sur le terrain en 2002 2003 il sera publi sous peu afin d tre distribu dans tout le pays Une s rie d affiches intitul es Biodiversity in Questions dont le texte a aussi t traduit en khmer seront diffus es d s qu elles auront t publi e
28. ESCO ED PEQ ESD 7 place de Fontenoy 75352 Paris 07 SP France Adresse lectronique esddecade unesco org http portal unesco org education en ev php URL_ID 27234 amp URL_DO DO_TOPIC amp URL_SECTION 201 html 22 Vol XXIX NO 3 4 2004 Connexion Nouvelles et publications Le Festival mondial de la terre www festivaldelaterre org L Association fran aise TERRALLIANCE organisera en juin 2005 le premier Festival mondial de la terre qui sera l oc casion de deux grands v nements 1 une croisi re de charit cinq flottes de bateaux voile reliant les cinq continents afin de cr er un cercle symbo lique autour de la plan te pour sensibiliser le monde aux urgences environnementales 2 la semaine du Festival du 20 au 26 juin 2005 chaque journ e tant consacr e un th me particulier solidarit respect de la plan te concert mondial en faveur de la Terre L objectif du Festival est de sensibiliser les citoyens et les hommes politiques au d veloppement durable permettre l mergence de solutions de remplacement cr er des r seaux mondiaux de solidarit France le Festival sera soutenu par l UNESCO et certains minist res ainsi que par des administrations r gionales d partementales et municipales des ONG et des coles Diverses personnalit s et associations connues pour leur engagement au service de la pr servation de la plan te et qui militent pour la solidarit dans le monde entier sont m
29. ace aux diverses initiatives qui taient mises en uvre par leur syst me ducatif un changement bienvenu par rapport aux ateliers ordinaires Un site Internet a t sp cialement cr pour la diffusion des r sultats de cet atelier et de toutes les informations s y rapportant l adresse suivante http www comenius kbs koeln de home htm L ODYSSEUM K LN Vie Connaissance Avenir Cologne Allemagne Un nouveau centre de diffusion des connaissances ayant pour th matiques l innovation scientifique et l avenir de l humanit est actuellement construit Cologne Allemagne Le centre est baptis Odysseum d apr s l uvre d Hom re qui relate l volution complexe d un individu Sa construction Cologne au c ur d une des r gions les plus actives d Europe dans le domaine de la recherche est la marque d une soci t moderne fond e sur le savoir L Odysseum vise non seulement aborder des disciplines scientifiques sp cifiques mais aussi poser les questions fondamentales suivantes la technologie est elle la panac e O l informatique et la technologie nous m nent elles La violence est elle in vitable Le d veloppement durable est il v ritablement possible Il s int ressera d une part la capacit qu ont les sciences et la technologie de changer nos vies et d autre part aux moyens d exploiter celles ci au profit de la soci t En outre il permettra au visiteur de suivre l volution
30. ar l activit M thodologie mani re dont l activit a t men e valuation de quelle mani re l activit a t elle t jug e Et par qui R sultats l activit a t elle entra n des modifications de comportement dans le s groupe s cible s Les exp riences retenues seront publi es ainsi que le nom et l adresse de leur auteur Pri re d adresser vos contribu tions Le faire et le faire savoir voir adresse en derni re page Nouvelles et publications Nouvelles de la DEDD Apr s le lancement international de la D cennie des Nations Unies pour l ducation en vue du d ve loppement durable DEDD de nombreux pays ont exprim le souhait d en c l brer le coup d envoi au niveau national probablement en avril mai 2005 afin que des manifestations nationales puissent tre organis es dans le monde entier tant donn que certains d entre eux demandent des conseils l UNESCO l Organisation a tenu les 29 et 30 juin 2004 une r union charg e d laborer un document d orientation de quatre cinq pages incluant des suggestions qu elle a d j communiqu es de nombreux pays Le projet de document d orientation est en cours de diffusion y compris par le biais du site Web de la DEDD afin de recueillir des observations et d autres id es avant la mise au point finale du texte Pour toute information compl mentaire s adresser Section de l ducation pour le d veloppement durable UN
31. ation mensuelle tous les participants internationaux Les seules d penses la charge de ces derniers sont les frais de visa et de voyage au d part de leur pays et au retour Des bourses destin es rembourser hauteur de 30 ou plus les frais de transport a rien des participants 500 dollars maximum peuvent tre mises disposition EarthCorps fournit une aide suppl mentaire pour obtenir des visas pour les tats Unis en donnant aux participants au programme des lettres de recommandation en son nom Les participants doivent parler anglais s int resser au travail physique l air libre et tre ouverts d autres cultures Pour toute information compl mentaire s adresser Mark E Howard EarthCorps International Coordinator 6310 NE 74th Street Suite 201E Seattle WA 98115 tats Unis d Am rique Fax 206 322 9312 Adresse lectronique mark earthcorps org www earthcorps org de l cotourisme la vulgari Vol XXIX NO 3 4 2004 Nouvelles et publications Publications diff rents th mes tels que partenariats pour l EDD e petits tats insulaires en d veloppement pauvret et eau www unesco org education desd Fiches d information sur lEDD Une collection de fiches d information sur l EDD a t produite dans le cadre des efforts de l UNESCO pour pr ciser et faire conna tre les grands concepts et messages de l ducation pour le d veloppement durable Ces fi
32. ays et une en Afrique du Sud en juin 2004 qui a accueilli des d l gu s de 22 pays Les principales r solutions adopt es lors de ces conf rences que l on s em ploie actuellement mettre en uvre visent les objectifs suivants e promouvoir l acquisition de comp tences novatrices par le biais de l or ganisation de salons congr s dans les domaines des math matiques et des sciences tous les niveaux e institutionnaliser et r gulariser la formation en cours de service des enseignants tous les niveaux et mettre en place un dispositif r gio nal permettant de suivre et d valuer l impact des programmes de forma tion en cours de service INSET afin de renforcer les activit s en r seau et la collaboration e organiser davantage de conf rences r gionales en vue de traiter les pro bl mes li s aux math matiques et aux sciences en Afrique e inciter les enseignants adopter des approches plus novatrices de l ensei gnement et de l apprentissage e cr er une association r gionale des math matiques et des sciences et maximiser l utilisation des ressources en mettant celles ci en commun e faire en sorte que tous les ensei gnants appliquent des m thodes p dagogiques respectueuses de l galit entre les sexes et que les res ponsables de l laboration des pro grammes scolaires et les producteurs de mat riels p dagogiques adoptent des approches non sexistes La prochaine conf rence qui
33. cer une ligne de d marcation pr cise entre ces types de donn es Par exemple quelles sont les donn es rela tives l environnement qui ne devraient pas en m me temps tre consid r es comme des donn es scientifiques Qui plus est du point de vue des sciences sociales rares sont les donn es dont on peut penser qu elles ne pr sentent pas d int r t scientifique Par ailleurs certaines questions relatives l thique de l espace extra atmosph rique sont du m me ordre que celles qui touchent l thique de l environnement Ainsi la question de la justification de la protection de l environnement se pose aussi en ce qui concerne les corps c lestes et l espace proprement dit en particulier si comme cela semble d sormais probable on d couvre dans un avenir proche l existence d une vie extraterrestre non intelligente D une mani re plus g n rale la conqu te de l espace extra atmosph rique soul ve la question du respect de notre propre plan te Il existe effectivement un lien entre l id e de la d couverte et de la conqu te de nouveaux espaces y compris l espace extra atmosph rique et l exploitation illimit e des ressources naturelles L un des probl mes thiques soulev s par le red marrage de la con qu te spatiale est l appropriation de l espace et des corps c lestes Le fait d installer des stations habit es sur la Lune ou de se poser sur Mars autorise t il certaines nations faire valoir
34. cher d finir les savoirs essentiels dans les domaines de l environnement de la durabilit de la sant et du bien tre ainsi que les r les de la science et des valeurs dans l ducation e tudier et valuer la diversit des approches et des th mes e formuler des recommandations sur les moyens de d velopper la formation la biologie sous l angle en particulier de la durabilit de l thique et de la citoyennet et diffuser les r sultats de la conf rence aupr s des d cideurs et responsables l chelon national et international Organis e en sessions pl ni res et parall les la conf rence a t le cadre d expositions d affiches et de mat riels ducatifs ainsi que de colloques et d ateliers sur les th mes suivants e Enseignement de la biologie sant et bien tre e Enseignement de la biologie environnement et durabilit e Enseignement de la biologie agriculture nutrition et s curit alimentaire e Enseignement de la biologie l re moderne des technologies de l information et des communications e Enseignement de la biologie thique et citoyennet Pour tout renseignement compl mentaire s adresser Faqir Vohra Secr taire g n ral CBE UISB efcie vohra wanadoo fr 30 Vol XXIX NO 3 4 2004 Point de vue L ESPRIT D ENTREPRISE r en 1976 pour favoriser l esprit d entreprise dans le monde le pr l esprit d entreprise offre des individus
35. ches analysent le Sommet mondial pour le d veloppement durable r affirmer l objectif commun le d veloppement durable un concept en volution l ducation pour le d veloppement durable approche transdisciplinaire et instrument pour l action la D cennie des Nations Unies pour l ducation en vue du d veloppement durable 2005 2014 e des th mes transversaux en rapport avec l EDD agriculture biodiversit galit entre hommes et femmes sant D autres fiches d information seront publi es dans les mois venir Pour toute information compl mentaire s adresser Section de l ducation pour le d veloppement durable UNESCO ED PEQ ESD 7 place Fontenoy 75352 Paris 07 SP France Adresse lectronique esddecade unesco org Information and Communication Technologies in Secondary Education Les technologies de l infor mation et de la communication dans l enseignement secondaire 2004 24 p Ce document d orientation labor par l Institut de l UNESCO pour l application des technologies de l information l ducation ITIE Mos cou en collaboration avec la Section pour l enseignement secondaire g n ral de l UNESCO Paris traite un aspect de plus en plus important de l enseignement aujourd hui et demain l utilisation des TIC comme support p dagogique pour les ducateurs et comme instrument d acquisition de connaissances et de comp tences pour les l ves et les jeunes Il analyse les p
36. connaissances et leur d voue ment la cause de l int r t g n ral de contribuer activement l av nement d un avenir meilleur La Fondation Rubisadt s attache donc r aliser les objectifs suivants 17 e contribuer r duire le taux d aban don scolaire des filles e aider les filles acqu rir et d ve lopper confiance en soi respect de soi et compr hension de soi afin d tre en mesure de percevoir et d affronter les d fis et les probl mes qui se posent et de prendre des ini tiatives constructives e tablir un centre de recherche ax sur les probl mes transculturels sp cifiques aux filles s agissant de l ac quisition d une bonne ducation en science et technologie e tablir un partenariat avec au moins cinq grandes institutions d duca tion internationales La Fondation dispense gratuitement un certain nombre d l ves motiv es des cours individuels faisant appel des outils et m thodes d enseignement modernes afin de les aider acc der l enseignement scientifique et tech nique sup rieur Cette action originale U Marinu est une association fran aise situ e en Corse qui se consacre l ducation environnementale Elle est membre du Comit 21 France et du Centre permanent d initiative pour l environnement CPIE et fait partie du R seau des coles associ es de l UNESCO L objectif g n ral d U Marinu est d ap prendre aux enfants de la M dit
37. d avant garde les moyens concr tiser leurs id es Avez vous un projet susceptible de transformer la plan te en un monde meilleur Rolex pourrait vous aider le r aliser Depuis pr s de 30 ans le prix Rolex l esprit d entreprise apporte un soutien financier des projets novateurs qui e nous permettent de mieux conna tre le monde e am liorent la qualit de la vie sur la plan te ou e am liorent la condition humaine Le prix est ouvert tous les candidats quels que soient leur ge leur nationalit ou leurs ant c dents laur ats viennent des quatre coins du monde et l on compte parmi eux aussi bien un ing nieur s n galais qu chauffeur de taxi parisien et un pal ontologue canadien L essentiel est que votre projet soit novateur r alisable et par dessus tout t moigne de votre esprit d entreprise Dates limites d inscription des projets 31 mai 2005 pour l Asie le Pacifique et l Am rique du Nord centrale et du Sud 30 septembre 2005 pour l Europe le Moyen Orient et l Afrique Les cinq laur ats du prix Rolex 2004 s lectionn s parmi 1 703 candidats venus de 117pays ont re u chacun 100000 dollars pour r aliser leur projet Pour toute information compl mentaire s adresser Secr tariat du prix Rolex l esprit d entreprise Bo te postale 1311 1211 Gen ve 26 Suisse T l 41 22 302 22 00 Fax 41 22 302 25 85 Adresse lectronique secretariat role
38. d un enseignement de l thique trois niveaux savoir un niveau l mentaire pour tous les tudiants un niveau plus avanc EEE SE AD o D pour les tudiants en doctorat en g n ral et dans le cadre de cours menant un doctorat en thique e la conception de cours d thique en utilisant notamment les techno logies audiovisuelles et de l informa tion par des organisations telles que l UNESCO e l instauration de partenariats mon diaux ces fins des efforts particu liers tant d ploy s en direction des pays en d veloppement e la cr ation de chaires et de prix UNESCO ainsi que d un conseil international d experts charg de donner des avis l UNESCO et aux tablissements de recherche du monde entier Activit s ESTEE de l UNESCO Ces recommandations sont d j en cours de mise en uvre dans le cadre du programme sur l enseignement de l thique de l UNESCO Dans ce pro gramme l Organisation encourage la cr ation de cours d thique s appuyant sur des programmes internationaux d finis en coop ration avec des experts de divers pays Un appui sera fourni l laboration de programmes d ensei gnement par le biais d un r seau de centres r gionaux de documentation et d information ainsi que d une base de donn es mondiale Observatoire mon dial d thique La cr ation d un fonds de financement de bourses contribuera stimuler la d finition de programme
39. des pr tentions sur des terrains extrater restres L thique est intrins quement li e la nature humaine La d marche morale exige de l tre humain qu il tienne compte de l int r t et de l avis d autrui et ne se laisse donc pas influencer par un manque d empathie son gard Tout acte d une personne humaine peut tre b n fique ou pr judiciable d autres personnes Agir de fa on responsable impose l tre humain d envisager la diff rence des autres esp ces qui peuplent l univers les bons et les mauvais aspects de ses actions Cela suppose l acquisition de savoirs et leur mise en pratique C est dans cette perspective que la COMEST sa derni re session ordinaire Rio de Janeiro Br sil d cembre 2003 a mis l accent sur l enseignement de l thique en adoptant le rapport inti tul L enseignement de l thique Celui ci qui pr conise d enseigner l thique des sciences examine divers moyens de dispenser un enseignement de l thique aux futurs scientifiques et de leur faire prendre conscience des responsabilit s qui seront les leurs Il fixe galement les buts et les priorit s de cet ensei gnement et stipule que son but central devrait tre de d velopper la capacit de l tudiant reconna tre et analyser les probl mes thiques de fa on ce qu il soit capable de se forger ses propres d cisions thiques I recom mande notamment e la mise en place
40. dier de plus pr s l initiative Kids and Science et r fl chissez aux moyens de la mettre en uvre dans votre pays La Kids and Science Foundation se fera un plaisir de vous aider cr er des programmes locaux Pour toute information compl mentaire s adresser Dick Wife Kids and Science Project Coordinator Nieuwe Parklaan 24 2597LD La Haye Pays Bas Adresse lectronique dickwife compuserve com 19 Centres R seaux Associations Peque os Cientificos Les petits scientifiques eque os Cient ficos est une organ non gouvernementale cr e sur le mod le de l association fran aise Les Petits D brouillards par un groupe de jeunes professionnels int ress s par les probl mes environ nementaux actuels et persuad s de la n cessit de d velopper la science et la culture pour tous L organisation a un caract re scientifique et environ nemental et fonctionne aux niveaux national et international d fendant et diffusant les principes fondamen taux de l enseignement scientifique et environnemental afin d am liorer le monde L objectif premier de Peque os Cienti ficos est de contribuer l mergence d une conscience sociale respectueux des valeurs de la conservation de l envi ronnement et du d veloppement dura ble de la vulgarisation scientifique et de la sauvegarde culturelle L organisation a pour but e de mettre sur pied des activit s de formation en vue de la d fens
41. e Connaissance Avenir www odysseum de ainsi que dans le projet de cr ation d un Club Odysseum L Odysseum a l intention de mettre sur pied un r seau l chelle mondiale int grant des institutions qui uvrent dans le m me esprit afin d largir le champ de ses activit s Il a d j commenc rechercher des partenaires et des bailleurs de fonds afin d accro tre les capacit s informatiques de ses syst mes de diffusion de connaissances Pour toute information compl mentaire s adresser SK Stiftung CSC Cologne Science Center c o Stadtsparkasse K ln Hahnenstra e 57 50667 K ln Allemagne ou Forschungsinstitut f r anwendungsorientierte Wissensverarbeitung FAW Armin Frey Projektleiter Helmholtzstra 16 89081 Ulm Allemagne Connexion EEE AD o D 14 ESTEE dans le monde Activit s r alis es dans le cadre du projet SMASSE en Afrique apr s certaines tudes men es D4 Afrique l enseignement des sciences et des math matiques se heu rte divers probl mes dont les plus importants sont les suivants 1 attitude des l ves des enseignants et des autres parties prenantes 2 p dagogie peu satisfaisante du fait qu elle est essentiellement centr e sur l enseignant 3 ma trise imparfaite des contenus dis ciplinaires par les enseignants 4 manque de forums professionnels interactifs pour les enseignants 5 mat riels d enseignement d appren tissa
42. e il faut avoir une certaine id e de ce que ce mot signifie On entend par thique l interrogation syst matique sur ce qui est vrai et faux bien et mal Elle consiste se pencher sur les diff rents principes moraux et en faire une valuation critique Dans bien des cas nos principes survivent cet examen minutieux Cependant la r flexion critique r v le souvent que certains principes ne sont pas satisfai sants il faut les modifier ou les liminer totalement Il arrive que l on trouve d autres principes plus satisfaisants pour les remplacer L thique a pour but de trouver un ensemble de principes moraux que l on a de bonnes raisons d accepter et qui doivent servir de guide dans l existence L tude de l thique est donc importante non seulement pour notre vie personnelle mais aussi pour affermir les points de rep re et les comp tences que les tres humains en tant que communaut doivent avoir pour faire face avec des chances de succ s raisonnables aux difficult s du pr sent et de l avenir Les difficult s thiques les plus graves que la communaut mondiale con na t aujourd hui sont souvent li es la science la recherche scientifique ainsi qu l laboration et aux applications des technologies nouvelles notamment des biotechnologies Les applications de la science et de la technologie reten tissent sur presque tous les aspects de notre existence d placements com munication internationa
43. e de surveillance et d valua tion de la biodiversit de la Smithsonian Institution a annonc la tenue Front Royal Virginie tats Unis d Am rique de deux cours respectivement intitul s Biodiversity and Monitoring Course Cours sur la biodiversit et la sur veillance du 8 mai au 10 juin 2005 et The Smithsonian Environmental Leadership Course Cours sur le lea dership en mati re d environnement de la Smithsonian Institution du 11 au 23 septembre 2005 Pour toute information s adresser Smithsonian institution MAB Training Program PO Box 37012 Attn MRC 705 Washington D C 20013 7012 tats Unis d Am rique Adresse lectronique ohm ic si edu www si edu simab Quatri me symposium international sur les gaz effet de serre autre que le CO2 NCGG 4 Fourth International Symposium on Non CO2 Geenhouse Gases Science Control Policy and Implementation organis par la Sec tion pour un air pur aux Pays Bas du VVM CLAN Utrecht Pays Bas du 4 au 6 juillet 2005 Pour tout renseignement compl mentaire s adresser VVM PO Box 2195 NL 5202 CD DEN BOSCH Pays Bas Fax 31 73 62 16 985 Adresse lectronique http www ncgg4 n La huiti me Conf rence de l Interna tional History Philosophy and Science Teaching Group Groupe international d enseignement de l histoire de la phi losophie et de la science se tiendra Leeds Royaume Uni du 15 au 18 juillet 2005 avec la participation de sc
44. e et de la conservation de l environnement de la diffusion de la science et de la sauvegarde de culture e d organiser des r unions festivals expositions et des manifestations publiques conformes en harmonie avec ses objectifs et d y participer e de diffuser l information relative venezuela l environnement la science et la culture par le biais de tous les m dias imprim s audiovisuels ou autres e d tablir des relations de travail avec d autres organisations experts en vue d laborer des projets culturels scientifiques et environnementaux e de promouvoir la recherche ainsi que le renforcement des capacit s des particuliers des communaut s et des organisations dans les domai nes de l enseignement scientifique environnemental et culturel e de favoriser la cr ation et la conso lidation de groupes environnemen taux culturels et scientifiques au sein des communaut s Son programme est ax sur quatre grandes actions 1 Les co coles cette activit qui s adresse aux coles a pour but de fournir aux participants les outils n cessaires l instauration d attitu des respectueuses de l environne ment 2 La vulgarisation culturelle qui consiste promouvoir un sentiment d identit nationale par le biais de diverses manifestations consacr es la danse la musique des Jeux etc 3 La vulgarisation scientifique qui vise transmettre des principes d coulant des scienc
45. eie Universit t de Berlin qui ouvre de nouvelles perspectives sur un sujet tr s d battu e Choisissez la chimie des concours pour les filles a examin un projet exp rimental mis en uvre en Rh nanie du Nord Westphalie Allema gne destin stimuler l int r t des filles pour la chimie par le biais de concours e galit des sexes et approche exp ri mentale des sciences a t pr sent par le KompetenZZentrum de Biele feld et l Universit de Brunswick e Exp rimentations pratiques a t pr sent par la soci t Leyboldt Didactic Ces expos s ont t suivis par la pr sentation de r sultats de recherche pertinents ainsi que de projets ax s sur l exp rimentation pratique ex cut s avec succ s en Europe et dans d autres r gions des d monstrations d exp riences caract re scientifique et tech nologique r alis es par des filles des s ances de pr sentation d affiches des visites dans des tablissements scolaires appliquant des m thodes d enseigne ment scientifique pratique novatrices et une visite dans une entreprise r put e de fabrication de mat riels p dagogi ques scientifiques Parall lement la ville de Cologne a pr sent le projet relatif la cr ation de l Odysseum K ln voir ci apr s un centre ambitieux de type nouveau consacr la vulgarisation de questions relatives aux sciences la technologie et l environnement qui s adressera
46. embres du comit de soutien Le site Web du Festival regroupera un certain nombre d initiatives en faveur de la plan te et du d veloppement durable et cr era des liens entre diverses organisations du monde entier TERRALLIANCE recherche des partenaires locaux pour organiser avec elle le Festival dans chaque pays du monde et f d rer les manifestations locales Nous serions heureux de conna tre le nom d associations ayant pour mission la conservation de la plan te et la solidarit internationale qui seraient susceptibles d organiser le Festival dans leur pays Pour toute information compl mentaire s adresser M Pierre Laronde Association TERRALLIANCE T l 33 1 49 77 71 30 Adresse lectronique terralliance wanadoo fr Soutien financier des tudiants pr parant un master ou un doctorat d enseignement des sciences en 2005 La Western Michigan University WMU accepte actuellement les candidatures un master doctorat d enseignement des sciences pour l automne 2005 La Facult d enseignement des sciences de la WMU offre un large ventail de comp tences recherche sur l ensei gnement et l apprentissage d une discipline scientifique particuli re programme et enseignement scientifique de la maternelle au bac histoire philosophie des sciences et nature des sciences et de l enseignement scientifique th orie de l apprentissage questions socioculturelles et programme d valuation La WMU propose galement une remarquable
47. en ces sur les politiques et recherches en mati re d ducation en vue du d veloppement durable EDD 2 recenser les tudes r sultats de recherches et les exemples de meilleures pratiques en mati re d EDD dans divers domaines de l en seignement tels gestion scolaire laboration des programmes forma tion des enseignants mise au point de mat riels d enseignement appren tissage valuation syst matique des acquis en mati re d EDD actions et d fis locaux dans le cadre de la mise en uvre d activit s li es la DEDD D cennie pour l ducation en vue du d veloppement durable 2005 2014 3 d battre de questions strat giques et politiques concernant l innovation et la recherche p dagogique afin KCE ET TECHR SE Fe aa NN o Ni 10 de contribuer aux pr paratifs de la DEDD 4 d finir des id aux et programmes en mati re d EDD fond s sur la recher che dans des contextes r gionaux nationaux de d veloppement et veiller ce qu ils soient adapt s au programme de l APEID et 5 renforcer l tablissement de parte nariats et de r seaux en vue d un vaste partenariat international pour la formulation de politiques tendant la mise en uvre de la DEDD Les recommandations relatives la con tribution la c l bration de la DEDD figurent dans le rapport de la r union Pour en obtenir des exemplaires pri re de s adresser M Ryo Watanabe Directeur de la coop rati
48. ence et ses diff rentes disciplines mais aussi aux diff rents aspects et types d approches de l enseignement et de l apprentis sage Enfin le s minaire a atteint les objectifs fix s Pour obtenir des exemplaires du rap port pri re de s adresser M Azmi Zakaria Directeur Educational Plan ning Research and Development PRD Minist re de l ducation Malaisie S minaire r gional sur la politique la recherche et le renforcement des capacit s au service de l innovation ducative en vue du d veloppe ment durable Tokyo Japon 27 juillet 3 ao t 2004 Ce s minaire r gional a t organis par l Institut national japonais de recherche sur les politiques de l ducation NIER et le Programme Asie Pacifique d inno vation ducative en vue du d veloppe ment APEID du Bureau de l UNESCO Bangkok Il a servi de suivi la R union de d veloppement strat gique NIER UNESCO APEID f vrier 2004 et la R union d valuation des quipes mobiles de formateurs mars 2004 activit s mises en uvre dans le cadre du 7e cycle de programmation adopt par les tats membres participant l APEID avec le soutien de la commis sion nationale japonaise pour l UNESCO et du Minist re japonais de l ducation de la culture des sports des sciences et de la technologie MEXT Le s minaire a r uni des d cideurs et des experts de diff rentes disciplines en vue de 1 partager des informations exp ri
49. enius 3 Hands on Science H Sci Les sciences par la pratique de la Commission europ enne par le Bureau des affaires scolaires de la ville de Cologne Allemagne D une dur e de trois jours l atelier s adressait des scientifiques des enseignants et des tu diants des personnalit s politiques des repr sentants de groupes de d fense des droits des femmes des responsables de l ducation et des repr sentants du secteur industriel Il tait motiv par le fait que malgr leur progression con sid rable dans tous les aspects de la vie sociale et les nombreuses avanc es scientifiques et technologiques qu on leur doit les femmes sont encore forte ment sous repr sent es dans tous les grands domaines scientifiques M me si les deux derni res d cennies ont vu une am lioration marqu e de l acc s des femmes aux sciences les jeunes filles et les femmes continuent de se heurter un certain nombre d obstacles au niveau des tablissements scolaires et des universit s qui les d couragent tout d abord d opter pour des tudes en sciences et en technologie et ensuite de choisir d exercer une activit profession nelle dans ces domaines En r unissant les divers acteurs concern s l atelier avait pour but de susciter un d bat des changes de vues et de donn es d exp rience ainsi que des contacts et de favoriser ainsi la recherche de solu tions possibles Les participants comptaient des repr sentants d
50. enseignement l Universit catholique Pontificia du Chili de Santiago du Chili Le S minaire de l Universit de Concepci n comp tait au nombre de ses participants outre des enseignants des formateurs d enseignants et des chercheurs ainsi que des tudiants Atelier sur les savoirs de base scientifiques et technologiques Cet atelier a t organis dans le con texte du projet relatif au renforcement des capacit s en faveur de l duca tion pour tous EPT voir Connexion vol xxix n 1 2 2004 Buenos Aires Argentine les 12 et 13 juillet 2004 Ses objectifs taient les suivants d finir l orientation du projet au moyen d une tude de la situation r gnant dans l EST sur le plan socio conomique et celui de la parit signaler des exemples de bon nes pratiques cet gard en sugg rant des moyens de les adapter en vue de renforcer les capacit s des enseignants et d finir des indicateurs utiliser pour d terminer ce qu est et ce que n est pas l EST Connexion Activit s ESTEE de l UNESCO R union sur le r le de l enseignement scientifique dans l ducation en vue du d veloppement durable EDD Cette r union r gionale s est tenue Buenos Aires du 14 au 16 juillet 2004 et a accueilli des participants venant d Argentine du Chili de Cuba du P rou et d Uruguay ainsi que des experts de France et d Espagne Les principaux th mes suivants y ont t abord s probl mes et pers
51. ent et d apprentissage des sciences et des math matiques et discutent des questions y aff ren tes Des repr sentants de l Australie de Brun i Darussalam du Chili des tats Unis d Am rique de Hong Kong d Indon sie du Japon de Malaisie du Mexique de Nouvelle Z lande de Singapour et de Tha lande y ont assist Le s minaire avait six objectifs 1 d velopper les ressources humaines gr ce au partage des comp tences et des connaissances entre les pays membres de l APEC 2 am liorer les comp tences et les connaissances des enseignants du cateurs en sciences et math mati ques du secondaire 3 pr senter des meilleures pratiques et innovations dans le domaine de l enseignement et de l apprentissage des sciences et des math matiques dans le secondaire 4 assurer le perfectionnement des pro fesseurs en utilisant des technologies ducatives novatrices dans l ensei gnement et l apprentissage 5 faire conna tre certaines meilleures pratiques en mati re d enseigne ment des sciences et des math ma tiques ayant fait leurs preuves dans des pays membres de l APEC et per mis ceux ci d am liorer la qualit de l ducation 6 cr er un cadre pour la mise en r seau et le partage d informations de comp tences de strat gies de mise en uvre et de m canismes d enseignement des sciences et des math matiques Les expos s avaient non seulement trait aux diff rents niveaux de la sci
52. erran e devenir des adultes responsables pour ce qui est des affaires concernant leur mer qu il s agisse des menaces cologji ques de la pluralit culturelle de chaque soci t ou de la n cessit d tablir un dialogue interculturel pour contribuer d velopper une culture de la paix U Marinu veut faire de la M diterran e une aire coculturelle avec une identit et une histoire commune faite non seu lement d ententes et de conflits mais aussi d l ments fondamentaux d une m me culture Cette culture quoique complexe doit tre appr hend e par une d marche intellectuelle pluridimen sionnelle Autrefois simple notion g o graphique la M diterran e est devenue la source d un sentiment d apparte nance une communaut culturelle Il est donc important que les habitants de la r gion jeunes et vieux prennent Centres R seaux Associations ne pr tend nullement se substituer au syst me d enseignement classique en place Il s agit de soutenir les capacit s des filles en science et technologie avec le concours d institutions publi ques et d entreprises priv es nationales et internationales Les activit s s articulent autour de trois grands axes 1 cr er de futures responsables de sexe f minin en dispensant aux jeu nes filles une formation scientifique et technique ad quate ainsi qu en assurant la formation des profes seurs et en encourageant la recher che d veloppement 2 m
53. es exp rimenta les des enfants des jeunes et des enseignants sur un mode pratique accessible et ludique 4 L co communaut qui suppose l organisation d ateliers pour les communaut s afin de leur fournir les outils qui leur permettront de vivre dans un environnement sain En dehors de ces activit s Peque os Cientificos organise sp cialement pour les enfants les jeunes et les ducateurs des ateliers consacr s la vulgarisation culturelle l enseignement environne mental et aux sciences Chaque mois l organisation publie un article sur un sujet d actualit sur son site Web l adresse suivante http www peque noscientificos net Pour toute information compl mentaire s adresser Peque os Cientificos Urb Los Chaguaramos Calle Bellas Artes ent Av Facultad y Las Ciencias Qta Campi Piso 1 Apto 3 Caracas Venezuela Fax 0058 212 693 89 29 Adresse lectronique pequenoscientificos pequenoscientificos net Acad mie canadienne du voyage et du tourisme Le XXIE si cle apporte des d fis et des possibilit s dans un contexte de mondialisation du march tenant aux progr s technologiques et la lev e des barri res commerciales Les syst mes d enseignement doivent doter les tudiants des outils connaissances comp tences et attitudes n cessaires pour r ussir dans ce nouvel environnement Gr ce au soutien et aux conseils des milieux de l enseignement et de l industrie l Acad
54. es projets en cours relatifs l laboration de nouveaux indicateurs des demandes de propositions et d tudes des liens permettant d acc der des bases de donn es etc pour 15 tats membres de l Union europ enne les tats Unis et le Japon La plupart des indicateurs STI ERA sont tablis par l unit Comp titivit analyse conomique et indicateurs de la Direction g n rale de la recherche Les donn es brutes n cessaires pour tablir ces indicateurs sont r unies par Eurostat Office statistique des communaut s europ ennes qui les collecte aupr s des offices statistiques nationaux et les fournit l unit pour laboration et calcul en collaboration avec lui Pour toute information compl mentaire s adresser http www cordis lu indicators Allemagne Autriche Belgique Danemark Espagne Finlande France Gr ce Irlande Italie Luxembourg Pays Bas Portugal Royaume Uni et Su de La carence en vitamine A qui touche plus de 250 mil lions d enfants de moins de 5 ans dans le monde est aujourd hui la principale cause des cas de c cit que l on pourrait viter Pour lutter contre cette situation l Institut national fran ais de recherche pour le d veloppement IRD a men de 1999 2001 une tude d impact sur la diversification du r gime alimentaire en fonction de l uti lisation des ressources locales au Burkina Faso Deux ans apr s l introduction de l huile de palme ou huile rouge ext
55. esser IIT Madras Environmen tal amp Water Resources Engg Division Chennai 600 036 Inde Adresse lec tronique mohan civil itm emet in ou EPF Lausanne ISTE HYDRAM Institut des sciences et technologies de l envi ronnement ENAC b timent GR 1015 Lausanne Suisse Adresse lectronique tsd epfl ch The European Forum on Science and Society 2005 A major European debate on the future role of science in society and of society in science Le Forum europ en science et soci t 2005 un d bat euro p en sans pr c dent sur le r le attendu de la science dans la soci t et celui de la soci t vis vis de la science organis par la Commission europ enne Direction g n rale de la recherche Bruxelles Belgique du 9 au 11 mars 2005 Pour toute information s adresser Martine Devalck Commission europ enne DG venir Recherche RTD Direction C Science et soci t unit C 1 Strat gie et politique Bureau SDME 4 04 B 1049 Bruxelles Belgique Adresse lectronique Martine Devalk cec eu int Le IVe Congr s international des val ologues se tiendra Saint P ters bourg Russie du 19 au 21 avril 2005 Pri re de s adresser M Vladimir V Kolbanov D partement de val ologie Acad mie d enseignement p dagogique sup rieur de Saint P t rsbourg h 11 rue Lomonosova Saint P terbourg 191002 Russie Adresse lectronique k224 inbox ru ou kolbanov atlant ru Le Programm
56. et de comptes rendus r guliers sur l action men e au titre de la D cennie Les participants ont consid r que l UNESCO occupait une position unique pour jouer le r le de chef de file et de coordonnateur pour la D cennie qui tait une occasion en or pour quiconque se consacrait l ducation Ils ont d battu de diverses questions pratiques notam ment le lancement de la D cennie aux niveaux international r gional et national et les logos utiliser Les membres du groupe ont r af firm leur attachement personnel la cause de la D cennie et leur souhait de continuer faire partie du groupe tout en recommandant que la com position de celui ci soit tendue de fa on repr senter les femmes et la soci t civile Pour toute information compl mentaire s adresser Section de l ducation pour le d veloppement durable UNESCO adresse la derni re page Adresse lectronique esddecade unesco org Vol XXIX NO 3 4 2004 La Commission mondiale d thique des connaissances scientifiques et des technologies COMEST de l UNESCO s est engag e mettre en uvre cette D claration Mais qu est ce au juste que l thi que Qu est ce qu elle recouvre Quel est son champ d application Quelles en sont les limites et les caract ristiques Pour appr cier v ritablement le r le de l thique dans l utilisation et le d veloppement venir de la science et de la technologi
57. et ouvrage est le fruit d une initiative conjointe de l OREALC de groupes de recherche sur l ensei gnement scientifique des Universit s de Valence et d Alicante Espagne et de l Institut p dagogique latino am ricain et cara b en IPLAC de Cuba Sa r dac tion fait suite une baisse d int r t des l ves de l enseignement secondaire pour les mati res scientifiques qui se traduit par une p nurie de candidats l enseignement scientifique sup rieur Le manque d int r t pour les tudes scientifiques pour ne pas dire le rejet total de ces derni res associ aux r sul tats tr s faibles des l ves est un sujet de vive pr occupation dans la r gion Pour toute information compl mentaire s adresser Beatriz Macedo Sp cialiste r gionale de l ducation UNESCO Santiago Enrique Del Piano 2058 Providencia Santiago Chili Adresse lectronique unesco unesco cl an Activit s ESTEE de l UNESCO i ATON PoR Investir dans l ducation les sciences et la technologie Le point de vue des conomistes et des entrepreneurs INVESTIMENTOS Penn Enee LENS Dr D un sE d amada PECENE nvestimentos em Educa o Ci ncia I e tecnologia o que pensam os eco nomistas Investir dans l ducation les sciences et la technologie le point de vue des conomistes 2004 190 p et Investimentos em Educa o Ci ncia e tecnologia o que pensam os empres rios Inves
58. ettre en place un p le d excellence fond sur un centre de ressources le renforcement des capacit s et un programme d changes 3 cr er un Institut Rubisadt avec notamment la construction d une cole faisant appel aux meilleures m thodes p dagogiques U Marinu France conscience du fait que ce sentiment d appartenance fait partie de leur iden tit La mer M diterran e est comme un laboratoire du monde en volution faisant face des d fis du XXIE si cle tels que la surpopulation l opposition entre les pays riches et les pays pauvres le fondamentalisme et toutes sortes de pollution L Association U Marinu appuie donc pleinement la D cennie des Nations Unies pour l ducation en vue du d veloppement durable U Marinu organise chaque ann e depuis 11 ans en collaboration avec de nom breuses associations locales et r giona les un festival de la mer Mer en f te qui donne lieu une coop ration entre plusieurs pays du pourtour m diterra n en l Alg rie l Espagne la France l Italie le Liban le Maroc la Rouma nie et la Tunisie Le festival de 2004 s est tenu Alger et Tunis et celui de 2005 se d roulera Ath nes Barcelone Beyrouth Constanza et Tanger Y par ticipent des coliers ainsi que des asso ciations d ducation de type classique et non classique ces derni res jouant un grand r le dans les pays du Sud Depuis le sixi me festival les enseignants chercheurs et autres pa
59. ge inadapt s 6 facteurs administratifs Pour traiter ces probl mes un syst me appel INSET acronyme anglais pour formation th orique et pratique en cours de service destin aux profes seurs de math matiques et de sciences en activit a t mis en place dans le cadre du Projet SMASSE Le projet pr voit galement la tenue de s minaires de formation s adressant des personnels de haut niveau de l ducation s occupant de sciences et de technologie notam ment des inspecteurs de l ducation des administrateurs de circonscriptions sco laires et des chefs d tablissements ainsi que la fourniture d un appui l organisa tion de congr s tudiants sur les math matiques les sciences et la technologie et des associations th matiques Le Projet SMASSE a galement t l origine de la cr ation de l Association pour le renforcement de l enseignement des sciences et des math matiques dans le secondaire en Afrique occiden tale orientale centrale et m ridionale SMASSE WECSA qui offre l occasion aux sp cialistes de l enseignement des math matiques et des sciences de l en semble de l Afrique la possibilit de se r unir pour changer des id es L association a tenu ce jour quatre conf rences r gionales dont deux au Kenya en f vrier 2001 et juin 2002 voir Connexion vol xxviii n 1 2 2003 une au Ghana en juin 2003 laquelle ont particip des repr sentants de 18 p
60. i un environnement malsain tue chaque ann e plus de trois millions d enfants traite de questions aussi diverses que l incidence d vastatrice et largement inconnue de la pollution atmosph rique l int 27 EEE AD a D 28 rieur des b timents des mauvaises conditions sanitaires et de questions nouvelles complexes comme le changement climatique Prix 27 dollars des tats Unis 21 FS pour les pays en d veloppement Pour commander s adresser OMS marketing et diffusion 1211 Gen ve 27 Suisse Adresse lectronique publications who int en ligne http bookorders who int WHO Guidelines Developing Information on Proper Use of Traditional Complementary and Alternative Medicine Directives de l OMS d velopper l information sur le bon usage des m decines traditionnelles compl men taires et alternatives 2004 109 p Ces directives ont t labor es par l Organisation mondiale de la sant OMS l intention des autorit s nationales de sant afin de d finir en fonction du contexte des informations fiables en vue de l utilisation des m decines alternatives par le consom mateur Les effets ind sirables des m dicaments issus de m decines alternatives ont plus que doubl en trois ans tant donn que les m decines traditionnelles compl mentaires et alternatives restent pour une large part non r glement es les consommateurs du monde entier doivent tre inform s et avoir
61. ientifique adopt e cette Conf rence il est dit que Tous les scientifiques devraient s enga ger respecter des normes thiques rigoureuses et il faudrait tablir sur la base des normes pertinentes non c es dans les instruments internatio naux relatifs aux droits de l homme un code de d ontologie l usage des professions scientifiques La respon sabilit sociale des chercheurs exige qu ils respectent des normes tr s rigoureuses de qualit et d int grit scientifique diffusent leurs connais sances participent au d bat public et forment les jeunes g n rations Les programmes d enseignement des sciences devraient inclure l thique scientifique ainsi qu une formation concernant l histoire la philosophie et l impact culturel de la science Plus loin le Cadre d action affirme son paragraphe 71 L thique et la responsabilit de la science devraient faire partie int grante de l enseignement et de la formation dispens s tous les scien tifiques Il importe d inculquer aux tudiants une attitude positive de r flexion d veil et de sensibilisation aux dilemmes thiques qu ils risquent de rencontrer dans leur vie profession nelle Il conviendrait d encourager de mani re ad quate les jeunes scientifi ques respecter les principes thiques fondamentaux et les responsabilit s de la science et s y conformer Agenda pour la science Cadre d action UNESCO 1999 Pour acc
62. ientifiques d historiens d ducateurs de philosophes de math maticiens et de sp cialistes des sciences cogniti ves Date limite de pr sentation de communications de 500 mots fin janvier 2005 Adresse lectronique ihpst2005 blueyonder co uk Pour toute information s adresser wwwihpst org ou Mick Nott Conference Secretary ihpst2005 blueyonder co uk EarthCorps International ONG but non lucratif travaillant sur le terrain en vue de r soudre localement des probl mes environnementaux qui se posent l chelle mondiale organise Seattle Washington tats Unis d Am rique un cours de formation gratuit d une dur e de six mois le programme EarthCorps EC qui r unit de jeunes repr sentants de 18 25 ans d organisations internationales pour leur enseigner le b a ba de la r g n ration de l environnement de l organisation communautaire de la remise en tat des cours d eau et de la construction de chemins de randonn e La formation prodigu e par EarthCorps est id ale pour quiconque s occupe de l environnement et d autonomisation de la communaut participe la lutte contre l rosion au reboisement au d veloppemen sation aupr s des jeunes et ou l instauration de moyens de subsistance durable respectueux de l environnement Non seulement le programme EarthCorps est gratuit mais en fait il fournit une assurance un h bergement individuel chez l habitant le mat riel n cessaire et une alloc
63. ifier mutuellement leurs id es et les diriger avec discernement Prix 95 euros Pour passer commande s adresser www KluwerOnline nl ou http www sprin geronline com sgw cda frontpage 0 11855 5 40410 22 33478477 000 html Teaching Secondary Science with ICT Les TIC au ser vice de l enseignement scientifique dans le secondaire 2004 192 p dir publ R Barton adopte une approche pratique pour am liorer l enseignement scientifique en uti isant les TIC tout en examinant les questions p dagogiques plus vastes qui inspirent et sous tendent cette approche L ouvrage est pr sent du point de vue de l enseignant et tudie des questions comme la s lection des ressources a mani re de pr parer les plans de cours l incidence des TIC sur l organisation de la classe et leur influence sur valuation permettant ainsi aux enseignants d utiliser plus efficacement les outils disponibles en la mati re Utile tous ceux qui interviennent dans l enseignement scientifique cet ouvrage est particuli rement pr cieux pour contribuer au perfectionnement professionnel sur le ieu de travail au sein du d partement d enseignement des sciences d un tablissement scolaire Prix 17 99 livres sterling en dition de poche 55 livres sterling reli frais d envoi en sus Adresser les commandes Marketing Dept Open University Press McGraw Hill House Shoppen hangers Road Maidenhead Berkshire SL6 2QL Royaume Uni Adresse
64. il 13 18 septembre 2004 BioEd 2004 conf rence internationale sur le th me Enseignement de la biologie d veloppement durable thique et citoyennet a t coparrain e par l Union internationale des sciences biologiques UISB la Fondation Oswaldo Cruz du Br sil l Union internationale des sciences de la nutrition UISN l UNESCO et le LDES de l Universit de Gen ve La conf rence visait e tudier les liens entre les sciences biologiques l environnement le d veloppement durable et la soci t e promouvoir la formation la biologie ainsi que des r formes de l enseignement de la biologie dans le but d y int grer les notions de durabilit sant bien tre thique et citoyennet e formuler des recommandations visant am liorer l enseignement de la biologie dans le monde entier l appui de la D cen nie des Nations Unies pour l ducation en vue du d veloppement durable proclam e pour la p riode 2005 2014 Ses principaux objectifs taient les suivants e laborer un programme de travail concernant l enseignement de la biologie dans l optique du d veloppement durable de l thique et de la citoyennet et d finir des lignes directrices pour sa mise en uvre dans les pays d velopp s et en d veloppement e associer les responsables scientifiques et les dirigeants l ensemble de l entreprise ducative formelle et informelle y compris l ducation et la formation publiques e s atta
65. ion et changes dans le domaine de l enseignement scientifique Le 21 avril 2004 s est tenue sur ce th me une r union laquelle ont par ticip une cinquantaine d enseignants des niveaux l mentaire et secondaire et de chercheurs en enseignement des sciences ainsi que des repr sentants d tablissements de formation p da gogique Les d bats ont t centr s sur les aspects suivants e l change de donn es d exp rience e la mise jour du contenu de diverses mati res scientifiques ainsi que de toutes les mati res indissociables de l enseignement et de l apprentissage des sciences e l utilisation de la p dagogie des sciences et de la psychologie de l ap prentissage comme bases de mise jour Ult rieurement deux groupes d en seignants ont t constitu s afin de travailler sur la question de la promo tion de l enseignement scientifique Les activit s du premier groupe seront ax es sur le premier cycle et celles du second sur l enseignement dispens entre 11 et 14 ans Les deux groupes ont pour objectif d engager une r flexion sur une m tho dologie interactive dans le cadre de laquelle les pratiques p dagogiques seraient fond es sur les r sultats de la recherche p dagogique d une part et d autre part les probl mes identifi s par les enseignants seraient examin s dans le cadre de recherches p dagogi ques dont les r sultats seraient ensuite utilis s pour la formation p dagogi
66. it scientifique et veille la qualit de ses travaux quand la relation qu il entretient avec les autres acteurs tels que les universit s les pouvoirs publics les entreprises et les organisations du commerce inter national change Comment faire en sorte que le jeune scientifique sache mieux distinguer le bon du mauvais et se sente responsable sur le plan social comme sur le plan environnemental Aujourd hui la plupart des gens admettent qu il faut d finir de bon nes strat gies en vue d un d velop pement durable l enseignement de thique peut apporter une contribu tion d cisive aux efforts de durabilit Les valeurs thiques sont le principal facteur de coh sion sociale en m me temps que l instrument de changement et de transformation le plus efficace Si on prend l thique de la durabilit notre responsabilit morale devant les g n rations futures rev t une impor tance primordiale Pour assumer cette responsabilit nous devons chercher un quilibre et une continuit entre la satisfaction des besoins d aujourd hui et les probl mes de l avenir Les Nations Unies ont d j pris des mesures en faveur de l enseignement de l thique En 1999 une initiative pour renforcer l enseignement de l thique a t prise lors de la Conf rence mondiale sur la science organis e Budapest Hongrie par l UNESCO et le CIUS Au paragraphe 41 de la D claration sur la science et l utilisation du savoir sc
67. l Science in Africa learning to teach teaching to learn L enseignement des sciences dans les coles africai nes apprendre enseigner enseigner apprendre 2004 224 p est un manuel destin au primaire et au premier degr du secondaire qui traite divers probl mes auxquels en Afrique les professeurs de sciences sont confront s actuellement en classe Mis au point par une quipe pana fricaine r unissant 13 ducateurs sp cialis s en sciences sous les auspices du Forum africain pour une culture scien tifique et technologique des enfants AFCLIST ce manuel est crit et pr sent de fa on tre facilement accessible Chaque sujet est trait comme une histoire issue de la propre exp rience de l auteur et illustr e par des bandes dessin es Cette approche narrative mode de transmission de l information traditionnel en Afrique rend les id es faciles saisir tandis que des notes en marge d finissent les notions essentielles De courts exercices la fin de chaque histoire encouragent les enseignants tablir un rapprochement entre les id es et leur situation personnelle Prix 22 00 dollars des tats Unis TVA comprise Pour toute information compl mentaire s adresser M Prem Naidoo Directeur AFCLIST Universit du KwaZulu Natal Private Bag X540001 Durban Afrique du Sud Fax 27 31 262 8044 Adresse lectronique gobindda ukzn ac za Le Rapport sur la sant dans le monde changer le co
68. l id e d exercer un m tier dans la science et la technologie peut leur para tre attrayante e tablir les bases d une soci t dans laquelle les citoyens comprennent et appr cient la n cessit de la science et de la technologie Les enfants et la science tait au d part un projet financ par l Union euro p enne afin de montrer aux jeunes que la science et la technologie peuvent exercer une influence r elle sur leur vie quotidienne laquelle elles sont indis pensables et sont aussi tr s amusantes En 2003 sont n s le premier village scientifique Moenichkirchen Autriche et le site Web Kids and Science tant donn le succ s du programme 2003 l initiative labore des projets scolaires cr e des villages scientifiques dans toute l Europe 2004 2005 et constitue un r seau international afin d tablir la liaison entre les jeunes du monde entier La Kids and Science Foundation travaille avec les jeunes de la fa on suivante Villages scientifiques Dans le village scientifique des jeu nes se retrouvent pour passer une Connexion semaine en compagnie de scienti fiques et d couvrir les plaisirs de la science et de la technologie C est l que germent leurs id es et qu ils les concr tisent individuellement ou collectivement Le personnel du village qui comprend des tudiants dot s d un vaste ventail de comp tences p dagogiques et scientifiques tra vaille en troite coop ratio
69. ldstein IUCN T l copie 33 1 45 68 56 26 autoris e mais elle est sollicit e et encourag e veuillez envoyer vos R dacteur en chef D Bhagwut T l messagerie d bhagwut unesco org coupures de presse si vous en utilisez 32 Vol XXIX NO 3 4 2004
70. les moyens d acc der un traite ment appropri s r et efficace Les directives donnent des conseils simples et faciles suivre sur les points surveiller ainsi qu une br ve liste de questions fondamentales suscep tibles de contribuer faciliter le bon usage de la m decine traditionnelles et alternatives Elles indiquent aux pouvoirs publics comment pr parer des informations facilement accessibles et travailler avec les m dias pour sensibiliser et duquer la population Elles sugg rent de plus plusieurs structures et processus de sant n cessaires pour promou voir le bon usage des m decines traditionnelles et alterna tives Pour toute information compl mentaire s adresser Daniela Bagozzi Responsable de la communication technologie de la sant et produits pharmaceutiques Organisation mondiale de la sant 20 Avenue Appia 1211 Gen ve 27 Suisse Adresse lectronique bagozzid who int _http www who int medicines library trm Consumer pdf All of Us Environmental Education Dossiers n 42 Le num ro 42 des dossiers de l ducation relative l en vironnement intitul Nous tous est consacr aux conflits li s l environnement Dans l histoire de l humanit les ressources la soif de terres de combustibles d eau le d sir de nourriture etc ont bien souvent suscit des conflits Une d t rioration de l environnement due par exemple au r chauffement mondial qui menace d aggraver la situation da
71. lisation immi gration pluralisme culturel mise au point d armes nouvelles gestion des ressources naturelles environnement etc Nombre des possibilit s que d gage la science sont destructrices et n gati ves Mais la science peut aussi am liorer les conditions de vie et permettre d tre mieux inform des besoins des habi tants d autres parties du monde et de les aider davantage Connexion L thique de la science et de la technologie Au cours des derni res d cennies la prise de conscience de ces probl mes thiques et de la n cessit d y faire face s est rapidement d velopp e Ce regain d int r t pour l thique semble essen tiellement d sept facteurs 1 La rapidit du changement On a autant publi au cours des 12 derni res ann es que pendant toute l histoire de l humanit qui a pr c d Il est difficile de mesurer les changements mais s ils ont un lien avec la rapidit des publica tions nous pourrions bien conna tre en quelques ann es davantage de changements que les g n rations pr c dentes n en ont connus pen dant toute leur vie 2 La multiplication des contacts interculturels Ce facteur n a pas seulement pour effet de nous faire mieux comprendre que nombre de nos normes et valeurs sont condi tionn es par notre culture mais de nous amener nous interroger sur celles que nous devons accepter et sur les raisons de les accepter 3 Les communications transna tionale
72. lus d taill et jour de ce projet sera pr sent dans le prochain num ro de CONNEXION Vol XXIX NO 3 4 2004 Centres R seaux Associations Science and Technology Foresight Center e Science and Technology Foresight Center STFC a t cr en 2001 par l institut national de politique en mati re de science et de technologie NISTEP du Minist re japonais de l ducation de la culture des sports de la science et de la technologie MEXT La mission du centre consiste soutenir la politique nationale en mati re de science et de technologie en fournissant aux d cideurs des infor mations actuelles et exhaustives sur les questions importantes qui se posent dans les domaines scientifique et technique au Japon et dans le reste du monde Le STFC r alise r guli rement des tudes gr ce son r seau d experts qui compte plus de 3 000 sp cialistes relevant des secteurs industriel universitaire et public Il publie en outre une revue mensuelle en japonais intitul e Tendances en mati re de science et technologie qui comprend deux parties la premi re porte sur les questions les plus r centes en mati re de sciences de la vie de technologies de l information et de la communica tion d environnement etc tandis que la seconde analyse de fa on approfon die les tendances technologiques qui se font jour dans certains domaines pr cis ainsi que d autres questions comme la a Fondation Rubisadt
73. n avec les Jeunes Les matins sont consacr s des ateliers les apr s midi des jeux et d fis caract re scientifique e technologique tandis que les soir es sont ax es sur la communication et les aventures et que les jeunes peuven les animer eux m mes Les villages scientifiques sont des lieux intenses regorgeant d activit s et qui r ussissent tr s bien motiver les jeu nes lesquels motivent et int ressent leur tour leurs amis Le choix des participants d pend pour une large part des enseignants qui organisent des projets dans leurs tablissements dans le cadre de l initiative Les enfants et la science au cours de l ann e scolaire Projets scolaires My Better World Mon meilleur des mondes Ces projets lib rent l nergie des jeunes et laissent libre cours leur cr ati vit afin qu ils exploitent leurs propres id es pour am liorer le monde autour d eux Travaillant en quipes ils con juguent leurs talents individuels pour atteindre des objectifs en suivant les r gles appliqu es dans l environnement r t s normal de travail des entreprises Pou cela ils doivent aussi prendre contac avec des scientifiques qui exercent dan des entreprises et des organisations afin qu ils les aident comprendre les pro bl mes et les solutions possibles ainsi que la mani re de prendre les bonnes d cisions En termes p dagogiques les jeunes apprennent les avantages d un travail en
74. nement que celui fond sur les droits des tres vivants compte tenu des relations d in terd pendance troite existant entre les tres humains et leur environnement Prenons l exemple des gorilles quel int r t pr sente pour les tres humains la pr servation de cette esp ce Est ce la proximit g n tique des tres humains et des gorilles Est ce la simi litude de leurs organisations sociales Est ce parce qu ils ont des sensations ou des sentiments Chacune de ces hypo th ses donne entendre qu il existe une hi rarchie au sein des animaux et que l on a donc peut tre int r t prot ger les gorilles mais pas n cessai rement d autres esp ces en danger La notion de d veloppement durable souvent voqu e lorsqu on parle d en vironnement a t fortement critiqu e par les thiciens de l environnement Elle est en effet troitement li e l id e de d veloppement conomique dont on sait qu il implique la destruction de l environnement En effet historique ment le d veloppement conomique s est toujours fond sur une exploita tion illimit e des ressources naturelles Cette approche appelle des claircisse ments et une analyse plus pouss e C est afin d examiner ces questions de favoriser une prise de conscience Connexion Activit s ESTEE de l UNESCO leur gard et d tudier les possibilit s d action internationale que la Division de l thique des sciences et des tech
75. nimum n cessaire en mati re d ducation pour r pondre aux besoins de la mondialisation Il investit actuellement plus dans l duca tion que beaucoup de pays de la r gion environ 4 3 de son PIB mais des erreurs pass es se sont traduites par une forte p nurie de ressources dont t moigne le fait entre autres qu il compte encore 30 millions d analpha b tes En ce qui concerne les sciences et la technologie le nombre d articles publi s l chelon international a aug ment mais la diff rence de la Cor e du Sud de la Malaisie et de plusieurs autres pays le Br sil n a pas su exploiter ses connaissances pour d velopper des technologies et des brevets L ducation les sciences et la techno logie n ayant toujours pas t d cr t es priorit s nationales le Bureau de l UNESCO Brasilia a d cid de solliciter l avis de responsables nationaux cet gard et de publier leurs points de vue dans une s rie d ouvrages de mani re intensifier les efforts visant donner un rang r solument prioritaire l ac quisition de savoirs et l ducation dans l optique du d veloppement de la nation Les deux premiers ouvrages de cette s rie dont il est question plus haut ont d j t publi s en portugais Pour le premier ouvrage 16 conomistes de renom national et international y com pris des s nateurs d anciens ministres des finances des hauts fonctionnaires de l ONU et des universitai
76. nnement susceptible de stimuler la recherche et d en exploiter les r sultats ainsi que le morcellement des activit s et la dispersion des ressources L objectif de l initiative d Espace europ en de la recherche conjugue trois notions compl mentaires et interd pendantes e la cr ation d un march interne de la recherche zone de libre circulation des connaissances des chercheurs et de la technologie afin d intensifier la coop ration de stimuler la comp tition et de parvenir une meilleure r partition des ressources e une restructuration du tissu de la recherche europ enne notamment par une meilleure coordination des activit s et politiques nationales qui repr sentent la majeure partie des recherches men es et financ es en Europe Connexion D 15 Centres R seaux Associations e l laboration d une politique europ enne de la recherche qui ne s occupe pas uniquement du financement des activi t s mais tienne galement compte de tous les aspects pertinents des autres politiques europ ennes et nationales Parmi les diverses activit s de EER citons notamment l talonnage des comp tences et performances la cartographie de l excellence la science et la soci t la prospective en mati re de science et de technologie et les indicateurs en science et technologie Le site de l EER consacr ces derniers STI ERA comprend des publications actuelles concernant les indicateurs d
77. nologie Avec le concours d experts comp tents le SFTC r alise tous les cing ans une tude de prospective technologique afin de saisir quelle sera l orientation de l volution technologi que au cours des 30 prochaines ann es Il compare la situation actuelle et future du Japon s agissant de certaines technologies essentielles dans divers domaines par rapport celle des tats Unis et de grands pays euro p ens Les r sultats de l tude sont publi s dans les rapports du NISTEP D Pour toute information compl mentaire s adresser STFC institut national de politique en mati re de science et technologie Minist re de l ducation de la culture des sports de la science et de la technologie MEXT 2 5 1 Marunouchi Chioda ku Tokyo 100 0005 Japon Adresse lectronique stfc nistep go jp http www nistep go jp index e html tion tous les niveaux qu il s agisse de l acc s l ducation de l abandon scolaire de la prise de d cisions ou des responsabilit s sociales Nul n ignore qu en Afrique les filles sont g n rale ment tenues l cart de ces secteurs pour des raisons culturelles sociales et conomiques d o le tr s faible nom bre de femmes qui occupent des postes de responsabilit Or que ce soit en Afrique au Came roun ou ailleurs il ne peut y avoir de d veloppement sans la participation de tous ceux hommes et femmes qui sont capables gr ce leur ducation leurs
78. nologies de l UNESCO a constitu un groupe d experts sur l thique de l en vironnement auquel elle a confi le mandat suivant 1 r aliser une tude sur l tat actuel de l thique de l environnement et 2 aider la Division pr parer un docu ment d orientation sur l thique de l environnement qui proposerait des actions dans ce domaine y com pris la d finition des grandes lignes d une d claration internationale L tude sur l tat actuel de l thique de l environnement sera publi e en tant que premier volume de la collection Ethics of Science and Technology Series of UNESCO Parmi les autres questions dont s occupe la Division de l thique des sciences et des technologies celles qui touchent l thique de l espace extra atmos ph rique ont un rapport avec l envi ronnement La surveillance de la Terre par des satellites et les donn es obte nues partir des satellites soul vent trois types de questions d ordre moral 1 l in jad quation entre les donn es et leurs utilisateurs 2 l conomie des satellites et 3 la qualification des donn es La COMEST a recommand de distin guer entre trois types de donn es satel litaires les donn es scientifiques dont l acc s doit tre gratuit les donn es environnementales qui doivent pouvoir tre accessibles en cas de besoin et les autres donn es qui sont strictement commerciales et soumises une logi que commerciale Mais il est difficile de tra
79. ns certaines des r gions les plus pauvres du globe peut facilement entra ner des p nuries alimentaires Prot ger l environnement et prot ger la paix doivent donc aller de pair Il est indispensable de conserver les ressources terres tres de trouver d autres solutions que de lutter pour se les approprier lorsqu elles sont rares et de parvenir stopper la violence arm e qui d truit la nature et les tres humains partout dans le monde Produit par le Centre UNESCO de Catalogne Mallorca 285 08037 Barcelone Espagne Fax 34 457 58 51 http www allofus net Nouvelles et publications Conceptualisation of Environmental Education Con ceptualisation de l ducation relative l environnement 2003 254 p par Zdravka Kostova vise am liorer l ducation relative l environnement en faisant appel aux principes du d veloppement durable L ouvrage qui cou vre une p riode de 30 ans tudie la th orie et la pratique p dagogiques de l ducation relative l environnement le sens des concepts qu elle emploie son syst me con ceptuel et sa contextualisation et propose pour ce type d enseignement un mod le novateur discutant les crit res et m thodes permettant d en d terminer l efficacit En bulgare seulement Pour toute information d ordre commercial s adresser Bookshop of the Department of Information and In service Teacher Training Librairie du D partement de l information et de la formation en cou
80. ns du monde et que depuis Majorque ils peuvent aider am liorer la Terre qui nous abrite tous Il a en outre aid les enfants qui y participaient acqu rir une grande confiance en eux m mes Tout au long de l ann e scolaire l activit a galement servi de catalyseur un projet de correspondance lectroni que et postale sur le m me th me avec sept coles australienne br silienne canadienne colombienne roumaine rwandaise et s n galaise En dehors des liens qui se sont cr s entre les enfants des divers pays ce projet a t un excellent exemple d int gration d l ves venus de divers horizons Envoy par Guillem Ramis i Moneny Ca n P l 8 07009 Es Pla de na Tesa Mallorca Espagne Adresse lectronique guiramis terra es Les lecteurs sont invit s nous communiquer leurs exp riences sur le TERRAIN dans les domaines de l ensei gnement des sciences de la technologie et de l environnement qui supposent le recours l enseignement et l apprentissage mais sans se limiter n cessairement aux l ves et aux professeurs Aussi br ves que possible les communications doivent comprendre les rubriques suivantes Lieu localit o l activit a t men e Groupes cibles groupes auxquels l activit s adressait Introduction informations g n rales et raisons qui ont motiv l activit Objectifs quel tait le r sultat escompt Ressources mat riels et financement exig s p
81. olitiques nationales de l duca tion dans le contexte du d veloppement de la soci t en tenant compte des questions thiques psychologiques et juridiques l enseignement et l apprentissage en vue de la soci t de l information le r le des TIC dans l enseigne ment secondaire ainsi que pour la qualit de l enseignement et les mesures prises par l UNESCO pour qu il en soit fait bon usage dans l ducation Pour toute informa tion compl mentaire s adresser UNESCO IITE 8Kedrova St Bld3 Moscou 117292 F d ration de Russie Fax 7 095 129 7225 Adresse lectronique info iite ru http wwwr iite unesco org Connexion Le Compendium statistique de la science et de la technologie 52 p 2004 a t tabli pour la r union au niveau minist riel du Comit de la politique scientifique et technologique CPST de l OCDE Organisation de coop ration et de d veloppement cono miques qui s est tenue les 29 et 30 janvier 2004 Il pr sente une large gamme d indicateurs les plus pertinents pour les politiques et compa rables au niveau inter national disponibles ce jour dans le domaine de la science et de la technologie En fonction de quatre grands axes l innovation et la R amp D les ressources humaines consacr es la science et la technologie RHST les brevets et autres domaines TIC mondialisation structures industrielles Pour en obtenir des exemplaires s adresser
82. on internatio nale NIER Tokyo Japon Le Bureau de l UNESCO Bangkok pr pare actuellement trois tudes sur la parit des sexes et l EST La pre mi re est men e au N pal la deuxi me va d buter aux Philippines et la troi si me est r alis e par le Centre r gional pour l enseignement des sciences et des math matiques de l Organisation des ministres de l ducation du sud est asiatique SEAMEO RECSAM en Indo n sie en Malaisie et au Myanmar Ces tudes ont pour but ultime de trouver les moyens de motiver les jeunes filles afin qu elles embrassent des carri res scientifiques 1 N pal Les jeunes filles et l en seignement scientifique et techno logique int r t performances et participation dans le deuxi me cycle du secondaire Cette tude est men e par le Centre de recherches sur l innovation ducative en vue du d veloppement CERID Tri bhuvan University Katmandou N pal avec le soutien du Bureau de l UNESCO Bangkok Ses objectifs sont les suivants e entreprendre une tude documen taire fond e sur le souci de la parit entre les sexes dans les plans natio naux actuels d ducation et dans les programmes concernant les filles dans l EST e d couvrir quel int r t les jeunes filles portent la physique la chimie et la biologie dans le deuxi me cycle du secondaire et recenser leurs per formances dans ces disciplines e tudier comment de l avis des pro Activit
83. onna tre des droits des entit s ou des organismes particuliers parce qu ils ont une valeur intrins que Si l on r pond par l affirmative se pose ensuite la question de savoir qui des droits peuvent tre reconnus toutes les cr atures vivantes ont elles des droits en tant que telles Ou seulement les tres Vol XXIX NO 3 4 2004 dou s de sensations Ou uniquement les cr atures ayant un niveau d intelli gence suffisant De l avis de certains thiciens de l environnement l individu n est pas le seul pouvoir avoir des droits c est aussi le cas de l esp ce ou de l cosyst me auxquels il appartient voire de l ensemble de l cosyst me terrestre hypoth se Ga a La pr servation de l environnement peut se justifier par la reconnaissance de droits aux cr atures autres qu humai nes Non seulement les tres humains mais aussi l ensemble des autres tres vivants ou certains d entre eux ont une valeur intrins que Cela tant d autres thiciens pr tendent que le meilleur instrument de protection de l environ nement est l valuation de l impact des transformations de ce dernier sur la vie humaine Une valuation au plan moral devrait donc se fonder sur l valuation des cons quences d actions Mais com ment valuer ces cons quences Fau drait il par exemple tenir compte de consid rations esth tiques Ce point de vue utilitaire n est pas n cessairement moins favorable l environ
84. pectives en mati re de contribution de l en seignement scientifique l ducation en vue du d veloppement durable et difficult s rencontr es pour assurer un enseignement scientifique quitable et de qualit qui contribue efficacement l ducation en vue du d veloppe ment durable Les participants se sont essentiellement attach s d terminer les moyens d orienter l enseignement scientifique dispens aux enfants et aux jeunes de la r gion en faveur de l duca tion en vue du d veloppement durable La pr sence parmi eux de chercheurs d enseignants de directeurs d tablisse ment et de formateurs d enseignants a permis l instauration d un d bat f cond visant d finir des strat gies d action futures Les strat gies labor es ont t analys es en d tail le dernier jour de la r union lorsque ont t examin s divers moyens susceptibles de contri buer une meilleure perception de la nouvelle situation plan taire et de susci ter des attitudes et des comportements tendant promouvoir le d veloppe ment durable Outre ces activit s l OREALC a engag une collaboration avec le Minist re chilien de l ducation et la Commis sion nationale de l environnement CONAMA en vue de perfectionner le syst me d homologation des co les environnementales L OREALC a t charg d assurer un soutien aux groupes de coordonnateurs r gionaux responsables de l homologation de ces tablissements Il
85. pement durable L ouvrage se compose de neuf parties commencer par l cologie principes th mes et application continue avec l ducation d fis psychop dagogie et ducation relative l environnement et s ach ve avec l cologie humaine la d gradation socio cologique et le d veloppement dura ble En espagnol seulement Pour toute information compl mentaire s adresser Instituto Cultural Boliviano Alem n Casilla 648 Sucre Bolivie Adresse lectronique gmielke mara scr entelnet bo www icba sucre edu bo Notions de culture scientifique et technologique Concepts de base perc es historiques et conceptions fr quentes 2001 480 p par Marcel Thouin Contrairement d autres ouvrages sur ce sujet cette publication s adresse un public de non sp cialistes Il vise faciliter l acquisition de connaissances scientifiques et techniques de base sans formules et sans quations dans les domaines de la physi que de la chimie de l astronomie des sciences de la Terre de la biologie de la technologie et des math matiques en pr sentant par exemple la nature de l activit scientifique dans sa perspective historique Il permet ainsi aux lecteurs de saisir en quoi certaines lois et th ories fondamentales ont pratiqu des perc es importantes l poque o elles ont t formul es De plus en comparant constamment les principaux concepts scientifiques et technologiques fondamentaux et les conception
86. que Cette r flexion tient compte d apports de l enseignement scientifique de la psychologie de l apprentissage de la sociologie et bien entendu du progr s scientifique Les travaux des deux grou pes visent promouvoir l change de donn es d exp rience sur la pratique de la classe L OREALC UNESCO s est engag soutenir les travaux des deux groupes dans les domaines technique intellectuel documentaire et bibliogra Vol XXIX NO 3 4 2004 phique ainsi qu stimuler les changes entre enseignants membres des grou pes et ceux d autres pays de la r gion S minaire de formation pour les enseignants les formateurs d enseignants et les chercheurs en sciences Au cours de la derni re semaine d avril 2004 un s minaire de formation sur l enseignement des sciences s adres sant des enseignants des formateurs d enseignants et des chercheurs s est d roul l Universit de Concepci n Chili Organis sous les auspices de la Facult des sciences de l ducation et du Bureau r gional pour l ducation ce s minaire se fondait sur les travaux de G Soussan sur l enseignement des sciences exp rimentales voir Connexion vol xxix n 1 2 2004 dont l objet est de contribuer la for mation en cours de service des ensei gnants de m me que des formateurs d enseignants en sciences L ouvrage se rapportant ces travaux avait t auparavant pr sent une centaine de responsables de l
87. r Merle Tan Directeur institut national pour le d veloppement de l enseignement des sciences et des math matiques NISMED Universit des Philippines Diliman Quezon City Philippines 3 Le SEAMEO RECSAM Int r t participation et performances des jeunes filles dans le domaine des sciences et des math matiques tude de cas en Indon sie en Malai sie et au Myanmar Cette tude est r alis e par la Division de la recherche du Centre r gional pour l enseignement des sciences et des math matiques de l Organisation des ministres de l ducation du sud est asia tique SEAMEO RECSAM Elle porte sur la participation et les performances des jeunes filles en sciences et en math ma tiques et leur int r t pour ces disciplines dans le deuxi me cycle du secondaire et a pour but e d tudier et de comparer le degr d int r t des jeunes filles pour la poursuite de carri res orient es vers les sciences et les math matiques et leur degr de participation des activit s ayant trait ces discipli nes dans les trois pays membres de la SEAMEO savoir l Indon sie la Malaisie et le Myanmar e analyser les performances en scien ces et en math matiques des jeunes filles qui aimeraient faire carri re dans des professions orient es vers les sciences et les math mati ques Vol XXIX NO 3 4 2004 e avoir des entretiens avec les l ves choisies leurs professeurs de scien ces ma
88. r centes ainsi que des promesses et des dangers potentiels que renferment les d couvertes scientifiques et les innovations technologiques n est pas l apanage de certains pays ou person nes l thique rel ve de l humanit tout enti re C est pourquoi tous les tats membres de l UNESCO devraient tre associ s au travail de r flexion d analyse et d valuation visant d terminer ce qui est bon valable souhaitable ou acceptable dans le d veloppement des sciences et des technologies Dans le domaine de l thique de l en vironnement les travaux de l UNESCO et de sa Commission mondiale d thi que des connaissances scientifiques et des technologies COMEST ont t au d part en 1999 ax s sur l eau douce lls ont d bouch sur l adoption d un ensemble de recommandations par la COMEST 2001 et la publica tion mai 2004 d une brochure intitu l e l eau et la gouvernance quelques exemples des meilleures pratiques thi ques dans laquelle cinq exemples de bonne gestion thique de l eau douce sont pr sent s et analys s Sur un plan moral plus g n ral il est n cessaire de clarifier les arguments en faveur de la pr servation de l environne ment et de d terminer la mesure dans aquelle celui ci doit effectivement tre pr serv L une des principales questions qui se pose cet gard est de savoir si a protection de l environnement se justifie par l existence de droits c est dire s il faut rec
89. raite d elaeis guinensis dans le r gime alimentaire on a observ que la consommation volontaire de cette huile avait consid rablement r duit la carence en vitamine A tant chez les enfants que chez les m res Des solutions sont l tude afin de mieux diffuser l information sur ce produit de la commercialiser plus largement et de l intro duire dans les cantines scolaires Pour toute information compl mentaire s adresser Francis Delpeuch IRD 213 rue de La Fayette 75480 Paris Cedex 10 France Adresse lectronique delbeuch ird fr L Organisation mondiale de la sant OMS a lanc un nou veau programme en vue de former la prochaine g n ration de responsables de la sant Ce programme est financ pour quatre ans par une donation de 5 millions de dollars des tats Unis provenant de la Fondation Bill et Melinda Gates De brillants jeunes professionnels de la sant seront recrut s par l interm diaire du Health Leadership Service pour participer un programme de travail et de forma tion visant pr cis ment renforcer les connaissances et comp tences indispensables pour jouer un r le dirigeant dans le domaine de la sant tous les niveaux national r gional et mondial Le programme commence le 2 f vrier 2005 au Si ge de l OMS et durera exactement deux ans Pour toute information compl mentaire s adresser Health Leadership Service HLS EIPIHRH LMF Organisation mondiale de la sant 20 avenue Appia 12
90. ratique Le r seau H Sci qui regroupe 28 institutions dans 10 pays europ ens ainsi que le consortium international d universit s CoLos rel ve du domaine th matique Sciences et technologie dans l ducation du r seau COMENIUS 3 La dur e du projet est de trois ans http www uminho pt v p 15 Vol XXIX NO 3 4 2004 non formel primaire secondaire et sup rieur de m me que la recherche et l emploi On notera que gr ce la pr sence permanente et active d l ves filles et gar ons tout au long de l atelier il a t possible aux parti cipants d valuer personnellement les r actions de ceux qui taient le plus concern s par le th me trait Il faut en effet savoir que dans la majorit des r unions portant sur l EST destin aux l ves et aux tudiants ceux ci alors ESTEE dans le monde qu ils sont l objet m me des r unions brillent le plus souvent par leur absence ou au mieux n apparaissent que sous la forme de chiffres dans divers types de statistiques formul es et rassembl es par des adultes Les participants ont donc eu la possi bilit d observer des filles utiliser divers appareils techniques en g n ral mani pul s par des gar ons non seulement dans le cadre de leurs activit s scolaires habituelles mais galement dans celui de l atelier Celui ci a par ailleurs permis d engager un dialogue avec des filles et des gar ons afin de juger de leurs r ac tions f
91. res ont r dig des articles dans lesquels ils ont d fendu l id e qu il convenait d laborer d urgence des politiques publiques pertinentes et coh rentes dans les domaines de l ducation des sciences et de la technologie face une mondialisation inexorable Dans le second ouvrage 29 entrepreneurs br siliens influents d montrent les avanta ges qu il y a consid rer l ducation les sciences et la technologie comme liE STREN TA ERA EGUCAC DI Ci tCia E TE L Le des priorit s strat giques essentielles dans leurs secteurs de production Il ressort clairement des articles r dig s par les conomistes comme par les entrepreneurs que l ducation et la connaissance constituent des domaines d investissement privil gi s qui peuvent aider le pays venir bout des in gali t s sociales et de la pauvret Plusieurs modalit s d action y sont sugg r es qui seront reprises dans le Pacte pour l ducation qui est actuellement mis au point et dont l objectif est de proposer non seulement de nouvelles politiques mais aussi diverses solutions de finan cement Ce processus a le soutien de personnalit s importantes la chambre des repr sentants et au sein du secteur de la production et de la soci t civile Gr ce ce projet l UNESCO esp re servir v ritablement la cause du Br sil Les premiers entretiens avec des repr sentants du gouvernement et des membres de partis d opposition ont d bu
92. resse lectronique bstevens cthrc ca www cthrc ca careerplan_catt shtml DODDODDODODODDDDDODDODDDODDDDDDDODDDDDDODDDDDDODDDDDDODDDDDDODDDDDDODODDODDDDDDDDDDODDDDDDODDDDODDODDDDDDDODDDDDDODDDDDDODDDODDDDDDDDDODDOO DODOOODODODODODODODOODDODODODODODODODODOODODODODODODODOODODODODODODODODOOODODODODO0O00O00O0O Connexion Le faire et le faire savoir Conna tre la Charte de la Terre et vivre en la respectant Majorque Espagne Lieu l activit s est d roul e l cole publique Blanquerna de Marratx Majorque Groupes cibles elle s adressait aux l ves de l cole primaire l mentaire grade 6 et a galement t mise en uvre dans des classes de soutien et de rattrapage pour l ves en difficult Introduction parce que Majorque est une le o vivent des immigrants venus de nombreux pays et de tous les continents un projet d tude de la Charte de la Terre pour les enfants dans le cadre d un atelier photographique a t mis en uvre durant l ann e scolaire 2003 2004 Ce projet intitul Conna tre la Charte de la Terre et vivre en la respectant s adressait 60 l ves travaillant globalement sur le texte de la Charte de la Terre dans trois cours distincts de langue catalan castillan et anglais de connaissance de l environnement d enseignement artistique Objectifs l objectif premier tait de personnaliser les principes thiques de la Charte de la Terre et de faire com prendre a
93. rs d emploi des enseignants Universit de Sofia Bul Tsar Boris Ill n 224 Sofia 1619 Bulgarie Adresse lectro nique zbkostova yahoo com Le Centre for Science and Environment CSE Centre pour la science et l environnement a publi une s rie de cinq Rapports sur l tat de l environnement en Inde Reports on the State of India s Environment Il s agit d un outil essentiel qui fait prendre davantage conscience des questions environnementales et analyse les questions et probl mes environnementaux de l Inde Cette s rie donne galement un aper u du travail entrepris par des organi sations gouvernementales et non gouvernementales Le premier rapport d crit les liens entre d veloppement et environnement le deuxi me les grands changements envi ronnementaux intervenus en Inde le troisi me la nature du d fi que pose un d veloppement cologiquement viable le quatri me fait un tour d horizon des traditions indiennes en mati re de r cup ration de l eau de pluie et le cinqui me r unit des informations concernant les initia tives dans le secteur rural et la crise du secteur urbain Pour toute information d ordre commercial s adresser Society for Environmental Communications 41 Tughlakabad Insti tutional Area New Delhi 110062 Inde Introduction to Environmental Engineering and Science deuxi me dition Introduction l ing nierie et aux sciences environnementales 2004 560 p par R S Gupta fourni
94. rticipants se r u La Fondation compte 12 enseignants de niveau secondaire ainsi que des con seillers d ducation qui dispensent cha que ann e 1 400 heures de cours au total Elle a tabli des contacts avec plusieurs institutions camerounaises s oc cupant d enseignement scolaire notam ment le Comit pour l galit des sexes du Minist re de l ducation nationale et les minist res des finances et de l urba nisme ainsi qu avec la Cit des Sciences et de l Industrie et l Universit Paris VIII en France et le Somerset MicroScience Laboratory en Afrique du Sud Pour toute information compl mentaire s adresser Mme Florence Tobo Lob Pr sidente de la Fondation RUBISADT B P 3397 Douala Cameroun T l fax 237 342 69 97 Adresse lectronique tobolobe yahoo fr nissent r guli rement pour changer leurs exp riences et r fl chir diverses questions ayant trait la culture l en vironnement et au d veloppement dura ble La premi re r union organis e par l UNESCO s est tenue en 1999 Bastia France et avait pour th me La forma tion pour une cocitoyennet En 2000 le th me retenu pour la r union de Tunis tait L ducation pour un avenir viable autour de la M diterran e en tant que contribution une culture de la paix En 2002 U Marinu en collaboration avec l UNESCO a organis Tanger Maroc la deuxi me r union transdisciplinaire sur l ducation
95. s Actuellement le Bureau de l UNESCO Phnom Penh s emploie mettre en uvre dans la commune de Koh Sla un projet exp rimental sur l utilisation de technologies appropri es qui est centr sur l utilisation durable de l eau douce et de l nergie aux fins de la paix et du d veloppement Ce projet a t int gr dans des programmes d al phab tisation des adultes de forma tion professionnelle et d enseignement primaire non formel s adressant des jeunes non scolaris s Le Bureau s ef force d obtenir la coop ration techni que d experts du Bureau de l UNESCO Jakarta en vue d laborer et de produire un manuel d utilisation facile destin aux villageois apprenants Un centre d apprentissage communau taire mod le est par ailleurs en cons truction Des technologies appropri es et les meilleures pratiques en mati re d EDD y seront enseign es et feront l objet de d monstrations pratiques en vue d am liorer la qualit de la vie et de r duire la pauvret Pour toute information compl mentaire s adresser Supote PRASERTSRI Sp cialiste du programme en ducation UNESCO Phnom Penh PO Box 29 38 Samdech Sothearos Blvd Phnom Penh Cambodge Adresse lectronique s prasertsri unesco org D 11 12 ESTEE dans le monde ESTEE dans le monde Atelier international les filles et les sciences Cologne Allemagne 3 5 juin 2004 is dans le cadre du r seau Socra tes Com
96. s l Internet la t l vision satellitaire et les autres m dias qui franchissent les fronti res nationales suscitent des questionnements thi ques particuliers puisque par exem ple ce qui est interdit dans un pays peut tre licite dans un autre 4 L affaiblissement des traditions thiques En quelques g n rations les remparts des traditions thiques la famille les institutions religieuses les groupes sociaux etc ont petit petit perdu de leur influence et doutent qu ils puissent donner un avis comp tent face aux nouveaux probl mes thiques 5 Les possibilit s accrues qu of frent la science et la technolo gie Les progr s de la science et de la technologie ont fortement ren forc les capacit s de l tre humain faire le bien et le mal Nos actes peuvent donc avoir des cons quen ces consid rables 6 Le souci de l environnement L accroissement de l impact humain sur l environnement et par voie de cons quence la d t rioration de celui ci ont amen les esprits se pr occuper davantage du d velop pement durable en appliquant le principe de pr caution face des syst mes complexes dont le fonc tionnement n est pas parfaitement compris 7 Les progr s de certaines tech nologies Notamment en ce qui concerne la technologie g n tique qui peut faire na tre des situations radicalement diff rentes de tout ce que l humanit a connu auparavant Ces progr s ont abouti
97. s internationaux L valuation de la qua lit des programmes et leur homologa tion ventuelle constitueront l une des t ches d un comit consultatif d ex perts en cours d tablissement Pour toute information compl mentaire s adresser Henk ten Have Directeur Division de l thique des sciences et des technologies UNESCO 1 rue Miollis 75015 Paris France Adresse lectronique h tenhave unesco org Les activit s de l UNESCO dans le monde Activit s ESTEE de l UNESCO en Am rique latine ans le domaine de l enseignement Re et technologique et de l ducation environnementale le Bureau r gional de l UNESCO pour l ducation en Am rique latine et dans les Cara bes a essentiellement pour fonctions e de soutenir l laboration et la dif fusion de programmes d enseigne ment de mat riels et de pratiques caract re novateur e d encourager la mise en uvre de changements dans la formation ini tiale et en cours de service des ensei gnants en sciences e de promouvoir l acquisition de savoirs de base scientifiques e de renforcer les liaisons par r seau e de cr er des interfaces dans le cadre d activit s communes entre des uni versitaires des formateurs des cher cheurs en enseignement des sciences et des enseignants Dans ce contexte les activit s suivan tes ont t r alis es par l OREALC UNESCO au cours du premier semestre 2004 et dans les Cara bes Format
98. s correspondantes les plus r pandues dans le grand public il permet au lecteur de comprendre la culture scientifique et technologique Prix 39 95 dollars Adresser les commandes ditions Multi Mondes 930 rue Pouliot Sainte Foy Qu bec G1V 3N9 Canada Fax 418 651 6822 Adresse lectronique multimondes multim com Modeling Theory in Science Education La th orie de la mod lisation dans l enseignement scientifique 2004 252 p par Ibrahim A Halloun est l aboutissement de plus de 20 ans de travail pour laborer une th orie p dagogique qui favorise l approche exp rimentale et de m thodes d in vestigation et de th ories scientifiques qui font largement appel la mod lisation Il s adresse principalement des chercheurs et des tudiants dipl m s dans le domaine de l enseignement des sciences et peut servir de r f rence majeure aux professeurs de science qu ils soient en forma Vol XXIX NO 3 4 2004 tion ou en exercice L ouvrage insiste autant sur le contenu des cours que sur la m thode p dagogique et d appren tissage et pr sente des aspects pratiques qui ont souvent prouv leur utilit en favorisant un apprentissage int ressant et quitable de la physique et d autres disciplines scientifiques au niveau du secondaire et du sup rieur Il est pr sent de mani re d voiler diverses id es des l ves en particulier celles qui ne cadrent pas avec la science et les aider v r
99. s la capacit de reconna tre et d analyser des probl mes thiques pour pouvoir prendre des d cisions sur la fa on thique d agir Cet objectif recouvre plusieurs objectifs secondai res e sensibiliser les tudiants aux probl mes thiques e donner une meilleure id e des disci plines thiques et apporter plus de clart dans les questions d thique e acqu rir la capacit de replacer les probl mes thiques dans un cadre plus large expliciter les choix qui un I ji EEE Fe IL KE pe p 7 Trio rouri s offrent et montrer comment leurs diverses cons quences positives et n gatives sont per ues par ceux qu ils concernent e d velopper les comp tences en mati re d argumentation et d ana lyse thique e d terminer les domaines o la pra tique sociale ou la l gislation vont l encontre de positions thiques qui semblent bien fond es Actuellement nombre de pays man quent de gens convenablement quali fi s C est vrai pour de nombreux pays riches comme des pays en d veloppe ment Cependant alors que les pays riches peuvent faire face ce probl me en laborant des programmes de ren forcement des comp tences en thi que les pays en d veloppement auront besoin du soutien de l tranger pour acqu rir ce type de comp tences Dans de nombreux pays en d veloppement non seulement il y a p nurie d ensei gnants qualifi s et de mat riels r cents
100. s magis traux et des activit s de groupe con sacr es e l enseignement scientifique dans le primaire promouvoir l enseigne ment scientifique et technologique pour tous un d fi relever e la pr paration du mat riel p dago gique par les professeurs de sciences eux m mes e aux bourses pour jeunes scientifi ques m rites l exp rience de la SEAMEO Organisation des ministres de l ducation du sud est asiatique e des activit s interactives d en seignement apprentissage et la pr paration de mat riel de haute technologie peu co teux e l valuation scientifique sur la base des performances et l aide de rubriques Une conf rence publique sur le th me du Mat riel scientifique de haute technologie peu co teux laquelle de hauts fonctionnaires du Minist re de l ducation et des responsables et membres de l Association pour l enseignement des sciences Brun i BASE ont assist a galement eu lieu Connexion Activit s ESTEE de l UNESCO Asie et Pacifique S minaire sur les meilleures pra tiques et innovations en mati re d enseignement et d apprentissage des sciences et des math matiques dans le secondaire Penang Malaisie 18 22 juillet 2004 Le s minaire a r uni des ducateurs des pays membres de l APEC Orga nisation de coop ration conomique Asie Pacifique pour qu ils t moignent de meilleures pratiques en mati re d enseignem
101. se tiendra au Rwanda en juin 2005 devrait attirer des repr sentants de pays beaucoup plus nombreux Pour toute information compl mentaire s adresser Bernard Njuguna Head SMASSE Project PO Box 30596 Nairobi Kenya T l copie 254 2 573811 Adresse lectronique info smasse org Quatri me Colloque international Fruits et l gumes cinq fois par jour Christchurch Nouvelle Z lande 9 10 ao t 2004 apr s le Rapport sur la sant dans le monde 2002 au moins 2 7 mil lions de d c s par an sont imputables une consommation insuffisante de fruits et de l gumes Les maladies chroniques sont d sormais l origine de 60 des d c s et de 49 de la charge de morbidit dans le monde D j 79 de ces maladies survien nent dans les pays en d veloppement En outre on d nombre plus d un mil liard de cas de surcharge pond rale chez l adulte dont au moins 300 mil lions de cas d ob sit Le nombre de diab tiques dans le monde actuelle ment estim 171 millions est appel doubler d ici 2030 Dans les pays en d veloppement le nombre des dia b tiques devrait augmenter de 150 au cours des 25 prochaines ann es Face ces statistiques alarmantes l Or ganisation mondiale de la sant OMS et la Produce for Better Health Founda tion PBH ont coparrain le quatri me Colloque international Fruits et l gu mes cinq fois par jour qui s est tenu Christchurch
102. sser ditions de l OCDE voir adresse ci dessus h SCIENCE mamen a mea en amer amea A L tat de la science iia en Afrique 35p 2004 par Roland The siata Waast fait partie de la of science in Afica si pe res s rie tudes finan c e par le Minist re fran ais des affaires trang res et la Com mission europ enne Fond sur les travaux d un groupe d une vingtaine de cher cheurs pour la plupart locaux il porte sur les 15 pays ci apr s Afri que du Sud Alg rie Burkina Faso Came roun C te d lvoire gypte Kenya Madagascar Maroc Mozambique Nig ria S n gal Tanzanie Tunisie Zimba bwe Bilingue anglais fran ais Pour en obtenir des exem plaires s adresser Minist re des affaires trang res DGCID 37 quai d Orsay 75007 Paris France La version fran aise est disponible l adresse suivante http www france diplomatie fr cooperation dgcid publications etu des_02 02 pdf 04 pdf Nouvelles et publications Educaci n Ambien Edecaci n Ambient tal Integral para un p ui Futur Sast n bl Futuro Sostenible DH ducation environ Gard Miele nementale int gr e pour un avenir dura ble 2004 218 p par G Mielke Il s agit de la troisi me et derni re version d un ouvrage didacti que l intention des coles dont l objec tif sp cifique est de contribuer la D cen nie de l ducation au service du d velop
103. t et ce stade les r sultats sont encourageants Le prochain ouvrage de la s rie qui doit tre publi sous peu sera consacr au point de vue des journalistes Pour toute information compl mentaire s adresser au Directeur UNESCO Brasilia SAS QDOS Lote 06 Bloco H Ed CNPg BICT UNESCO 9andar 70070 914 Brasilia DF Br sil Adresse lectronique brasilia unesco org Vol XXIX NO 3 4 2004 u cours des huit premiers mois de 2004 le Bureau de l UNESCO Bangkok a men les activit s d ESTEE suivantes dans la r gion de l Asie et du Pacifique Atelier sur l enseignement scientifi que dans le primaire Brun i Darussa lam 12 17 mars 2004 Cet atelier a t organis par l Associa tion pour l enseignement des sciences Brun i Brun i Association for Science Education BASE dans le cadre de la semaine nationale des sciences orga nis e chaque ann e avec le soutien du Bureau de l UNESCO Bangkok 120 professeurs de sciences du primaire des personnes ressources de la F d ra tion internationale des associations de professeurs de sciences FIAPS de l Ins titut national d enseignement des scien ces et des math matiques au service du d veloppement National Institute for Science Education and Mathematics Education for Development NISMED de l Universit des Philippines et de l Universit de Brun i Darussalam y ont notamment particip L atelier comportait des cour
104. t les rudiments n cessaires pour com prendre la technologie g rer les ressources contr ler la pollution et d ment respecter les r glementations Cette version compl tement mise jour et largie propose notamment un nouveau chapitre sur l analyse des risques et de l incertitude ainsi que des sujets comme l hydrologie les sciences des sols l exploitation mini re ainsi que les politiques les programmes et les rapports int rimaires les plus r cents sur des questions environnementales essen tielles I commence par d tailler les principes scientifiques de base tels qu ils s appliquent l environnement puis passe en revue les notions fondamentales concernant l eau l air et les ressources terrestres les menaces qu el les font peser sur l environnement et les solutions que l ing nierie apporte dans chaque cas Prix 89 dollars des tats Unis dition reli e Pour toute information compl Vol XXIX NO 3 4 2004 mentaire s adresser Janet Wolfe Marketing Manager Government Institutes Scarecrow Press Inc 4501 Forbes Boulevard Suite 200 Lanham MD 20706 tats Unis d Am rique Fax 1 301 429 5748 Adresse lectronique http govinst scarecrowpress com La lettre de l OCIM n 94 de juillet ao t 2004 intitul e Faut il traiter de l actualit scientifique et comment est consacr e la tr s int ressante question de savoir comment concilier culture scientifique et information Pour toute
105. th matiques et leurs parents afin de d terminer les facteurs qui expliquent leur int r t et leur par ticipation des activit s carri res dans le domaine des sciences et des math matiques e tudier l opinion des ducateurs en sciences math matiques des pas sionn s de sciences au sein de la communaut et autres parties pre nantes sur ce qui suscite et accro t l int r t des jeunes filles et leur par ticipation des activit s carri res en Activit s ESTEE de l UNESCO rapport avec les sciences math mati ques e d terminer des politiques pratiques en vigueur ayant trait la partici pation des femmes des carri res orient es vers les sciences et les math matiques dans les pays con cern s il faudra peut tre s adresser cette fin aux tablissements d en seignement sup rieur et aux minist res de l ducation Pour toute information compl mentaire s adresser Azian Abdullah Directeur SEAMEO RECSAM 11700 Glugor Penang Malaisie Lucille C Gregorio Sp cialiste de l enseignement scientifique et technologique Programme d innovation ducative en vue du d veloppement en Asie et dans le Pacifique APEID UNESCO Bangkok Fax 66 02 391 0866 Adresse lectronique Ic gregorio2UNESCOBKK ORG Activit s relatives l ducation en vue du d veloppement durable EDD epuis 1997 le Bureau de l UNESCO D Phnom Penh s emploie active ment mettre en uvre l EDD au
106. tir dans l ducation les sciences et la technologie le point de vue des entrepreneurs 2004 203 p sont deux publications du Bureau de l UNESCO au Br sil dont l objet est d intensifier un d bat d cisif et indispensable au sein de la soci t br silienne sur les moyens d encourager et de drainer des investissements priv s et publics vers des domaines d une importance capi tale pour le d veloppement national comme l ducation les sciences et la technologie cette fin et dans le cadre de la pr paration du Pacte pour l ducation le Bureau de l UNESCO Brasilia l Institut culturel Ita la Fon dation Ben Sangari et le Minist re de l ducation ont demand un certain nombre d experts et de personnalit s nationales de faire conna tre leur point de vue sur l int r t de proc der des investissements judicieux et viables dans ces domaines Il s agit de souligner aupr s de la soci t br silienne et de ses principaux res ponsables l importance de l ducation des sciences et de la technologie dans le contexte d une soci t mondialis e Malgr les progr s enregistr s par le pays sur le plan quantitatif l ensei gnement de base de la premi re la huiti me ann e d tudes est prati Bureau de l UNESCO au Br sil quement g n ralis et l enseignement secondaire ainsi que l enseignement postsecondaire se sont largement d ve lopp s le Br sil est encore loin d at teindre le niveau mi
107. urs de l histoire pr conise une strat gie globale de lutte contre le VIH sida qui associe la pr vention le trai tement les soins et le soutien long terme Jusqu ici le traitement a t l l ment le plus n glig dans la plupart des pays en d veloppement pr s de 6 millions d habi tants de ces pays vont mourir dans un proche avenir s ils ne re oivent pas un traitement or seuls 400 000 d entre eux taient soign s en 2003 Le Rapport envisage l avenir au del de 2005 pour expliquer comment les organisations internationales les gouvernements nationaux le secteur priv et les communaut s peuvent conjuguer leurs efforts pour faire face au VIH sida tout en renfor ant leurs syst mes de sant dans l int r t durable de tous T l charger depuis le site ci apr s http www who int whr 2004 en Pour obtenir une version imprim e s adresser Rapport sur la sant dans le monde Organisation mondiale de la sant 1211 Gen ve 27 Suisse Fax 41 22 791 4870 Adresse lectronique whr who int Inheriting the World The Atlas of Children s Health and the Environment Le monde en h ritage atlas de la situation sanitaire environnementale des enfants 2004 64 p par B Gordon R Mackay E Rehfuess Cet atlas illustr de cartes et de graphiques en couleurs montre les menaces auxquelles les enfants sont partout confront s en insistant sur l impact de la pauvret sur leur sant II explique o et pourquo
108. ux enfants qu ils taient des citoyens du monde que l interculturalit est une bonne chose et que l duca tion nous conduit uvrer pour la paix et la coop ration dans le monde entier commencer par l endroit o nous vivons Ressources mat riels et cr dits normalement fournis par l cole M thodologie l objectif premier du projet tant la compr hension des principes thiques de la Charte de la Terre et leur appropriation par les l ves chacun e a 21 Nouvelles et publications pris des photos et fait des commentaires sur les personnes les plantes les animaux et les choses qui son avis exprimaient directement les valeurs nonc es dans la Charte de la Terre pour les enfants pr par un dossier personnel contenant ses notes dessins tudes lettres extraits de revues et bas sur les photos qu il elle avait prises appris fabriquer son propre livre en plastifiant et reliant les textes et d autres travaux trois livres ont t laiss s l cole en t moignage du projet valuation les l ves leurs parents et les enseignants ont jug cette activit tr s positive Bien que les photos prises par les enfants aient t de qualit variable bonnes ou mauvaises elles expriment clairement les espoirs des enfants et leur confiance en l avenir R sultats le principal r sultat de ce projet a t de faire prendre conscience aux enfants du fait qu ils sont des citoye
109. xawards com Connexion 31 Pour acc der la page d accueil de l Enseignement des sciences et de la technologie http www unesco org education educprog ste index html N B Du fait d un manque de personnel il n est plus possible de traiter les demandes concernant des changements dans la liste d adresses sans le NUMERO D ABONNEMENT en haut droite au coin de l tiquette portant l adresse Sauf indication contraire toute correspondance concernant Connexion doit tre adress e La R daction Connexion UNESCO ED SVE STE 7 place de Fontenoy 75352 Paris C dex 07 France Fax 33 1 45 68 56 26 Courrier l d bhagwut unesco org N B La r daction ne garantit pas qu elle r pondra tout courrier non sollicit Connexion y H LES Conseil ditorial Arbres sauv s ke S s Ce num ro est imprim sur du papier President r Daniel 5 Edit par l UNESCO recycl non blanchi au chlore Sous directeur g n ral pour l ducation Secteur de l ducation Connexion est galement publi dans W Iwamoto d autres langues En anglais il s inti 3 2 7 place de Fontenoy tule Connect en espagnol Contacto M J Pigozzi 75352 Paris 07 SP en russe Kontakt en arabe Arra M Nalecz bita en chinois Lianjie et en hindi France Sampark O Hall Rose J Connexion est gratuit La reproduction S Sj berg IOSTE T l 33 1 45 68 08 09 de son contenu est non seulement W Go

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