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Empowering Health Learning for Elderly (EHLE)

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1. Sandra Alors je peux faire ma sieste dans l apres midi Professionnel de la sant Ne permet pas d viter la sieste dans l apr s midi changer cela en une affermation positive Sandra Oh g nial parce que je suis toujours vraiment fatigu e alors Professionnel de la sant D accord donc si nous ajoutons votre sieste votre sommeil vous avez au total sept heures de sommeil combien d heures au total passez vous dormir Sandra 8 9 heures mais tout ensemble Professionnel de la sant Et que signifie ce j avis l habitude de il ya quelques mois ou il ya quelques ann es Sandra Je ne me souviens pas vraiment quand peut tre quand j tais plus jeune mais vraiment cela diminue depuis des ann es Professionnel de la sant Donc corrigez moi si j ai mal compris mais vous me dites que durant ces derni res ann es vous avez eu moins d heures de sommeil et que vous avez dormi ces heures cons cutivement Sandra Oui c est peut tre simplement parce que je suis g e Professionnel de la sant Vous avez raison de dire que les gens ont tendance avoir besoin de moins de sommeil au fur et mesure qu ils vieillissent et parfois ils se r veillent la nuit c est pourquoi nous vous recommandons de faire la sieste l apr s midi et de faire beaucoup d exercice comme par exemple le samedi avec vos petits enfants Et en dehors de l activit ils vous tiennent compagnie Sandra Vous
2. Seniors actifs adoptez la saine habitude c Alimentation et personnes g es Objectifs Am liorer les connaissances sur la fa on d avoir une alimentation vari e et quilibr e an faisant le lien avec une bonne sant Veiller ce que les participants sachent que la nourriture est une source d nergie pour toutes les activit s de la vie Souligner les propri t s antioxydantes d une bonne alimentation et les effets positifs de ce ph nomene sur le vieillissement en bonne sant Outils Pr sentation NUTRITION ET PERSONNES AGEES Contenu th orique Quels sont les risques Voici quelques risques li s une mauvaise alimentation La malnutrition la malnutrition aussi bien calorique que prot inique est tr s fr quente chez les personnes g es Elle cr e un cercle vicieux qui peut conduire a la perte de fonction et de masse corporelle une perte de l app tit ainsi que l incapacit voir m me le d c s Absence de facteur unique nutritionnel par exemple la vitamine D Le manque de vitamine D peut avoir des cons quences graves pour la sant osseuse y compris l ost oporose l ost omalacie et les fractures la myopathie et le handicap physique L apport en vitamine D peut tre contr l par l alimentation par exemple en mangeant plus de poisson Le manque de vitamine B12 est galement important l apport de celui ci peut aussi tre contr l par l alimentation o 7 A TIO Ob
3. 171 Second Street Suite 300 San Francisco Californie 94105 USA Den ps 2 nm TH wu o 00 79 N o d M 10 Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Comment utiliser le manuel Index A TU tcm 5 E 2 491 emet 6 PLUR ck rcc PDC E at 9 CONTEXTE DE L ANALYSE DE LA PERCEPTION enqu te cscsccsccscsccsccsccccsccscescscescescecescecees 10 LE PROGRAMME DE FORMATION sora nina Ya E YEEEVAR FEM K KMS Pb RI E RYIS 15 CAGE COCA tees csetaeleciecteecees 15 METIO 6 0 24 T TETTE TIE LET ET TE A 18 FORMER LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET DE SERVICES SOCIAUX eee eene nnne 22 Communiquer avec les personnes AGEES cceeccceeecceesecceseccceuecseeneesceuceeeueceseueseeeueeeeeeseseacetenecessees 23 Relations personnelles et sant motionnelle iii 26 Alimentation et personnes g es c cccsesesssssreavavccavsccnsescsausaretavasacavacacacecscuuareravaratavaravavasccauarenane 30 Utilisation des m dicaments chez les personnes g es ss 32 Consommation de tabac chez la personne 8g e cccoccccnnnccncnocnnonacnnonaninonanononarononarononanononarononanononaninons 35 Activit s physiques chez les personnes AGREES occcconccccnnccnonocononannnnonanononannnnnrnnonarononannnnnnannnnnncnonananonasa 36 APPRENDRE AUX PERSONNES AGEES A VIVRE SAINEMENT eee eene rennen nnne nnno 40 E
4. DE VRIES H 1993 Determinanten van gedrag In Gezondheidsvoorlichting en gedragsverandering Edited by Damoiseaux V van der Molen HT Kok GJ Assen Van Gorcum 109 132 D ZURILLA TJ GOLDFRIED MR 1971 Problem solving and behavior modification J Abnorm Psychol 78 107 126 D ZURILLA TJ J 1986 Problem Solving Therapy a social competence approach to clinical interventions New York Springer Ref Type Report D ZURILLA TJ NEZU AM 2001 Problem Solving Therapies In Handbook of Cognitive Behavioral Therapies Edited by Dobson KS Guilford Press 211 245 D ZURILLA TJ NEZU AM 1982 Social problem solving in adults In Advances in cognitive behavioral research and therapy Edited by Kennedy PC New York Academic Press 201 274 EDWARDS A ELWYN G MULLEY A 2002 Explaining risks turning numerical data into meaningful pictures BMJ 324 827 830 FUNNELL MM 2004 Patient empowerment Crit Care Nurs Q 27 201 204 FUNNELL MM ANDERSON RM 2004 Empowerment and self management of diabetes Clin Diabetes 22 123 127 FUNNELL MM NWANKWO R GILLARD ML ANDERSON RM TANG TS 2005 Implementing an empowerment based diabetes self management education program Diabetes Educ 31 53 55 56 61 GURALNIK JM ET AL 1993 Educational status and active life expectancy among older blacks and whites N Engl J Med Jul 8 329 2 110 6 GIGERENZER G EDWARDS A 2003 Simple tools for understanding risks from innumeracy to insight BMJ
5. Manuel d utilisation de la formation EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude ES Education and Culture DG s Lifelong Learning Programme FS x s x x y E hs a Education and Culture CG gt a at i a Lifelong Learning Programme ji Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Manuel d Utilisation de la Formation EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude i n alan E ES e i ane w b Training Un aS aM th a Education and Culture Hi pa Lifelong Learning Programme x s Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude PARTENAIRES ULSS 16 PCT Padoue Italie UNCCAS Union Nationale des centres Communaux d action sociale France Universit permanente de l Universit d Alicante Espagne Centre m dical de l universit d Amsterdam Pays Bas Editeurs Chiara Petrolito Claudio Casotto Concepci n Bru Maria Chiara Corti Nuria Ruiz Giel Nijpels Giorgio de Gobbi Laura Thorogood Laura Welschen Kristine Stempien Auteurs des textes par cat gories Carlos Puerta amp Alfonso Soler Nutrition and Gerontologie Giuseppe Sergi amp Flavio Varotto Nutrition Christian Loison Nutrition activit physique d pendances quotidiennes Lylian Vega Juan Tortosa amp Juan M Cortell Education sportive amp Maurizio Schiavon amp Vincenzo Malatesta Activit p
6. Seniors actifs adoptez la saine habitude alimentation a leur mode de vie a leur activit physique et a la prise d insuline pour r guler leur taux de glyc mie et r duire leur risque cardiovasulaire Le PST peut galement contribuer a augmenter la capacit du patient a r soudre les problemes psychologiques d une facon structur e d augmenter la conviction qu ils seront en mesure de traiter des problemes dans l avenir et donc d am liorer leur auto gestion du diab te Le PST peut tre consid r e comme une s rie d tapes Explication de l intervention et sa raison d tre D finition et explication du probl me D finition d objectifs atteignables pour r soudre des probl mes SMART Cr ation de diverses solutions possibles Evaluation et le choix de la solution Mise en place de la solution choisie en action Evaluation des r sultats NOW BWN nm 20 Ma tion ES ze L Li an T erie al Mo A Training Education and Culture Det gt a ys Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Un exemple de traitement de r solution des probl mes Pour aider les patients diab tiques modifier leur mode de vie des nutritionnistes et infirmi res n erlandais ont utilis un questionnaire qui d crit les diff rentes phases la communication des risques la motivation la d finition des objectifs Les patient
7. discuter des strat gies de communication employ es L exercice est bas sur le contenu pr c demment enseign Dans la premi re partie de l activit les participants sont invit s remplir une fiche sur les techniques de communication employ es et doivent ensuite comparer leurs r ponses entre les groupes Dans la deuxi me partie le groupe va construire le dialogue en ajoutant ce qu il pense manquer et en identifiant les strat gies utilis es A la fin de la session de groupe la session pl ni re permettra aux groupes de comparer les r ponses avec le formateur Le formateur se d place entre les groupes pour clarifier tous les points divergents et r pondre toutes questions potentielles Sandra est une femme de 76 ans qui vit seule son mari est mort il ya deux ans elle a un fils mari qui s appelle Alex Elle est habituellement active et nergique mais dans le dernier mois elle s est plaint de se sentir fatigu e et d avoir des difficult s dormir Professionnel de la sant Bonjour Sandra Sandra Bonjour Professionnel de la sant Alors quel probl me vous am ne ici Sandra Derni rement j ai eu le sentiment d tre tr s fatigu e parce que j ai du mal dormir la nuit Professionnel de la sant Qu est ce que vous voulez dire quand vous dites que vous avez du mal dormir la nuit Sandra je ne dors pas aussi bien que je le faisais avant Professionnel de la sant Est ce que je ne dors pas
8. i n alia ES E y s ane ER E f al Mo A UA Education and Culture CG gp A eT Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude ACTIVITE PHYSIQUE BORTZ W M 1991 We live too short Bantams Books New York pp 217 223 CONONIE CC GRAVESS JE POLLOCK ML PHILLIPS MI SUMMERS C HAGBERG JM 1991 Efect of exercise training on blood pressure in 70 to 79 yr old men and women Med Sci Sport Exerc 23 505 511 FLEG J L MORRELL C H BOS A G BRANT L J TALBOT L A WRIGHT J G AND LAKATTA E G 2005 Accelerated longitudinal decline of aerobic capacity in healthy older adults Circulation 112 674 82 FRASER G E SHAVIK D J 2000 Ten years of life is a matter of choice Arch Intern Med 161 1645 1652 GURALNICK JM SIMONSICK E FERRUCCI L 1996 A short physical performance battery assessing lower extremity function association with serf reported disability and prediction of mortality and nursing home admission J Gerontol Med Sci 49 M85M94 LAWLOR D A 2001 The effectiveness of exercise as an intervention in the management of depression systematic review and meta regression analysis of randomised controlled trials British Medical Journal 202 208 NIEMAN DC WARREN BJ O DONNELL KA DTSON RG BUTTERWORTH DE HENSON DA 1993 Physical activity and serum lipids and lipoproteins in elderly women J Am Geriatr
9. 327 741 744 HAMPSON SE 1997 Illness representations and the self management of diabetes In Perceptions of health and illness Edited by Petrie KJ Weinman J Amsterdam Harwood Academic Publisher 323 347 51 i n alia ES E y s ane ER E f al Mo A UA Education and Culture CG gp A eT Lifelong Learning Programme d l Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude HARDEMAN W JOHNSTON M JOHNSTON DW BONETTI D WAREHAM NJ KINMONTH AL 2002 Application of the theory of planned behaviour in behaviour change interventions a systematic review Psychology and Health 17 123 158 HARDEMAN W SUTTON S GRIFFIN S JOHNSTON M WHITE A WAREHAM NJ ET AL 2005 A causal modelling approach to the development of theory based behaviour change programmes for trial evaluation Health Educ Res 20 676 687 LAKERVELD J BOT SD CHINAPAW MJ VAN TULDER MW VAN OPPEN P DEKKER JM ET AL 2008 Primary prevention of diabetes mellitus type 2 and cardiovascular diseases using a cognitive behavior program aimed at lifestyle changes in people at risk Design of a randomized controlled trial BMC Endocr Disord 8 6 LEVENTHAL L BENYAMINI Y BROWNLEE S DIEFENBACH M LEVENTHAL EL PATRICK MILLER L ET AL 1997 Illness representations theoretical foundations In Perceptions of health and illness Edited by Petrie KJ Weinman J Amsterdam Harwood Academic Publisher 19 45 LIP
10. Control Psychology Edit W H Freeman New York GD BISHOP 1994 Health psychology integrating mind and body Boston MA Allyn amp Bacon LEON RUBIO JM ET AL 2004 Psicolog a de la salud y de la calidad de vida Edit UOC 2004 195 p LEVENTHAL H ET AL 1997 Illness representations theoretical foundations In Perceptions of Health and Illness Edited by Petrie KJ WEINMAN J AMSTERDAM Harwood Academic Press 19 46 PETRIE KJ ET AL 2003 Self regulatory interventions for improving the management of chronic illness In The self regulation of health and illness behaviour Edited by Cameron LD Leventhal H London Routledge 257 277 GALLARDO CARRANZO F 2004 Formaci n para formadores Editorial Formaci n Alcal HEALTHY AGEING EU funded project 2004 2007 http www healthyageing nu 58
11. bagage d une personne g e notamment de sa concentration limit e en donnant des informations qui sont acceptables compr hensives r alisables concr tes et transformables en actions Donner trop d informations sur les risques provoque une sorte de surdit qui paradoxalement renforce l id e originelle n gative La communication professionnelle de connaissances est caract ris e par la pr sence d objectifs clairs atteindre Pour briser le mur qui s pare souvent les professionnels de sant ou sociaux du patient il est n cessaire de commencer par se demander ce que la personne g e pense cela envoie un signal fort que le professionnel s int resse la personne et aux informations pr alables Faire un meilleur usage du temps en prenant soin d avoir une communication ouverte en facilitant le r cit de la personne g e avec des questions structur es qui permettent une meilleure compr hension du patient du point de vue et les connaissances pr alables vite ainsi la r p tition inutile Mourir heureux Il s agit d un support de communication qui peut tre utile dans le module sur la communication qui porte sur la simulation d une consultation entre un m decin et une personne g e de 65 ans malade fumeuse en surpoids et pr sentant une dyslipid mie et des ant c dents familiaux de maladie cardiaque Elle va chez le m decin g n raliste pour un examen m dical et apporte les r sultats de son plus r
12. cent test dans lequel il est clair que son taux de cholest rol est encore plus lev qu auparavant Transcription de la consultation Docteur Je crains que votre taux de cholest rol soit encore plus lev que la derni re fois que je vous ai vu ne vous ai je pas conseill de prendre ces m dicaments pour r duire votre cholest rol PATIENT Mais vous savez qu ils me font mal Docteur Et bien essayez vous de suivre le r gime alimentaire alors PATIENT nerv D sol mais quel r gime DOCTEUR Nous avons parl bien des fois Vous devez r duire votre consommation de graisses animales utiliser de l huile et non du beurre PATIENT Mais vous savez je cuisine je suis un chef cuisinier Mon restaurant est celui pr s de l glise Une fois vous tes m me venu Je m en souviens tr s bien et vous avez command oui vous avez command une sole meuni re et votre femme a command le poisson frit et puis je crois que vous avez tous deux pris du tiramisu DOCTEUR Et bien vous savez que votre restaurant est c l bre pour ses poissons frits une fois de temps en temps Mais revenons d vous Vous ne faites pas d exercice vous fumez vous avez alimentation trop pauvre 24 Lifelong Learning Programme Pa 4 m 4 x Education and Trait ra ning Education and Culture Del v AT at x Lifelong Learning Programme yA Li A th Jr e Empowering Health Learning
13. diaz pam ketoralac piroxicam e naprossene ticlopidina Quels objectfis fixer Siun patient pr sente plus d une pathologie il sera n cessaire d tablir des priorit s Etudier chaque fois que possible la possibilit d avoir recours un traitement non pharmaceutique pour la personne g e conseils di t tiques cesser de fumer exercice Rappelez vous que l adh sion d une personne g e un traitement se r duit si le nombre de m dicaments augmente Pour faciliter l observance du traitement crire les instructions de dosage sugg rer au patient l utilisation d un pilullier ou d un journal quotidien pour noter quels sont les m dicaments qu ils doivent prendre et quand Cet outil peut tre utilis par les docteurs les infirmi res et les pharmaciens ou tout autre aidant 33 an J Lala a e a Training Education and Culture DG z e Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Groupe d activit s Groupes de 10 personnes 3 sessions de 10 minutes 10 10 10 1 leader pour chaque groupe avec quelques connaisances des m dicaments et de leur utilisation pharmacien docteur ou infirmi re Supports p dagogiques En s ance pl niere une situation de vie r elle est pr sent e une femme de 70 ans prend dix m dicaments a diff rents e vM meme nie ae le doeet Patients vient demander au professionnel d
14. es avec respect et consid ration Cela implique que chaque question a une r ponse m me si ce n est pas sp cifiquement demand par le participant e Les questions doivent tre pertinentes relatives l objet de la formation Tout autre aspect doit tre trait en dehors de l espace de formation e Les questions doivent tre pr cis ment cela des questions Elles ne sont pas des commentaires elles ne sont pas des valuations Nous devons exclure cette possibilit moins que cette demande ne soit express ment formul e par le formateur e Une question ne peut pas jeter le doute sur la connaissance du formateur Personne ne sait tout Il est pr f rable de retarder la r ponse plut t que de donner une r ponse h tive et ventuellement r pondre tort e En formation surtout en dehors de la salle de formation nous devons r pondre aussi rapidement que possible Si n cessaire en disant que nous sommes la recherche d une r ponse mais les participants doivent avoir un retour rapide savoir si la question a t prise en compte et que le formateur travaille sur celle ci Le participant ne peut pas avoir un sentiment de solitude e Ne r pondez pas avec une autre question Bien que cela puisse tre une ressource int ressante cela fait r fl chir les participants sur leurs doutes une question une demande d explication Ceci peut tre mis en ceuvre de trois facons Comment Avec des exemples pr cis L coute a
15. quences diff rentes pour les quatre pays Fig 4 Lorsque l activit physique est mesur e en terme de niveau d activit voici les r ponses obtenues par pays fig 5 France Italy Netherlands Spain B Non fumeur Ancien fumeur B Fumeur Fig 3 Habitude de consommation de tabac par pays 100 80 60 40 20 0 France Italy Netherlands Spain E quotidiennement Occasionnellement jamais I 16 Te I ICY a IN UC OLUTIDUITIIIIQLIUIT VA OUILUUI par pays TOR 2 3 2 a e EEE js Italy Netherlands Spain Physical activity requirirg significant physica cfort B Walks often bring come weight B On their feet for mest of the day without serious effort Fig 5 Fr quence de l activit physique par E activit physique demandant un certain effort pays marche souvent porte un peu de poids E Debout la plupart de la journ e sans trop d efforts B assis la plus grande partie de la journ e 11 ES ws T x an b i X UMS M Training Education and Culture Dei a ae Lifelong Learning Programme m Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude La perception des personnes g es de leur propre sant physique est globalement bonne 60 positive ou tr s positive et seulement 5 en baisse facteur probablement influenc par le fait que les personnes interrog es proviennent de certains segments de la population tud
16. sit c est un probl me croissant dans de EA i nombreux pays europ ens li s une activit physique r duite et a une mauvaise alimentation L ob sit d une personne g e A nd o DAILY CONSUMPTION 7 entra ne une perte g n rale de des fonctions Fig 9 Ves difficult a se lever d une chaise a monter les Vnd escaliers marcher et ainsi de suite et un Pyramid rsque accru de chutes Quatre des cinq SENC principales causes de d c s sur toutes les 2004 personnes sont li es l ob sit Comment motiver le changement de comportement po PES Les r gimes draconiens ne sont pas la solution 30 i n alar ES y M s an A a l Training un ESA a Le ducation and Culture D gt A Pcr yi q Y E ON Lifelong Learning Programme x 4 s a Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Il est n cessaire de changer les habitudes alimentaires au fil du temps y compris celle de la personne ag e et de sa famille Les habitudes alimentaires plus saines sont consid r es comme celles du r gime m diterran en dans les ann es 1950 une alimentation base de c r ales et de tubercules avec peu de viande des poissons gras beaucoup de fruits et de l gumes et moins de mati res graisses et d aliments sucr s Fig 9 Quels sont les objectifs Il est essentiel de s assurer que l individu comprend l importance d une alimentation quilibr e en
17. termes de nutriments et d ingr dients Petit d jeuner et d jeuner devraient tre les plus importantes sources d nergie pour l activit quotidienne tandis que le diner doit tre le repas avec une moindre valeur nerg tique Les aliments conseill s sont des c r ales et des tubercules des fruits et l gumes de la viande du poisson des oeufs des laitages yaourt lait et fromage Les conseils comprennent notamment la r duction des graisses un minimum de pr f rence choisir des mati res grasses v g tales viter les aliments frits utiliser peu de sel boire beaucoup d eau manger beaucoup d aliments antioxydants cacao pain c r ales et l gumes etc et manger une nourriture vari e Renforcer les messages cl s avant tout viter les sucres simples limiter l apport en sel manger trois repas par jour avec un petit d jeuner et un d jeuner plus important manger beaucoup de fruits et l gumes et limiter la consommation d alcool Ne pas oublier les aspects oubli s des aliments la quantit de sucre ajout aux boissons et les boissons prises au moment des repas la quantit d aliments consomm s et le temps pass manger plus vous m cher plus vous vous sentez rasassi s Groupe de travail Des groupes d environ 10 personnes Temps divis en 3 parties de dix minutes 1 meneur pour chaque groupe avec une certaine exp rience dans le domaine de la nutrition m decin nutritionniste une infirmi
18. avez raison quand je suis avec eux je n ai pas autant de pens es n gatives Professionnel de la sant Bien Sandra durant les deux prochaines semaines je souhaite que recommenciez faire la sieste dans l apr s midi et de penser faire au moins une forme d activit physique qui vous fait vous sentir bien comme lorsque vous prenez soin de vos petits enfants Revenez dans deux semaines et dites moi comment vous avez avanc Apr s cela les stagiaires feront un jeu de r le environ 20 minutes afin de tester les strat gies de communication d crites dans l expos Dans chaque groupe les r les seront un professionnel de sant une personne g e et deux observateurs avec une feuille d observation La personne qui joue le professionnel de sant devra r pondre la personne jouant le patient g en utilisant les nouvelles techniques acquises et en suivant le guide sur la feuille de jeu de r le La personne qui joue la personne g e doit r pondre comme il ou elle imagine qu une personne ag e r pondrait dans la vie r elle Les observateurs doivent noter les techniques utilis es Ensuite le groupe discutera des r sultats du jeu de r le 29 Lifelong Learning Programme x 4 s A F 7 x UAE x 1 Educatian ES y a is E x a Training Education and Culture Des gt E pa 5 a t um Lifelong Learning Programme x y A xy Empowering Health Learning for Elderly EHLE
19. croyances sur la pr sence de facteurs qui peuvent faciliter ou entraver le comportement et la perception de ces facteurs Ces croyances peuvent conduire respectivement a une attitude favorable ou d favorable face a un certain comportement a une perception de la pression sociale et a la perception du contr le comportemental En combinaison ils d terminent l intention de comportement Enfin tant donn un degr suffisant de contr le effectif sur leur propre comportement les gens sont cens s mener bien leurs intentions quand l occasion se pr sente 2 La th orie de l autor gulation Elle a t labor e par Lewenthal et ses collaborateurs et sugg re que les personnes vont utiliser des strat gies qui sont bas es sur une compr hension de leur maladie et de nouvelles exp riences La th orie d crit cinq dimensions fondamentales de la repr sentation de la maladie perceptions des peuples et de croyances au sujet d une maladie Identification de la maladie Cause Temps Cons quences Contr le en termes de pr vention et de gu rison 9 La th orie propose l hypoth se que les repr sentations de la maladie jouent un r le important de m diateur des liens entre les menaces de sant et les r actions des personnes elles m mes Ce processus est une dynamique qui change la r ponse quant la perception des patients par les processus de l exp rience et des retours les perceptions peuvent tre influenc
20. de vie sains et ce pour plusieurs raisons Premi rement un cadre permet de concevoir la notion de projet dans le sens o il aide d terminer quels l ments doivent tre inclus dans le projet et pourquoi Deuxi mement il fournit une bonne base pour une valuation de l efficacit de l intervention de la m thodologie et de la mise en oeuvre pratique Troisiemement il permet aux autres de r aliser et d am liorer la m me intervention afin de l utiliser dans leur contexte sp cifique Notre cadre g n rique est bas sur trois th ories la th orie du comportement planifi TPB la th orie de l autor gulation et la th orie du r seau social 15 Education 553 2 I gt erii al rath A train E Education and Culture Dr gs e a X and Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 1 La th orie du comportement planifi TPB nous aide a comprendre comment l quilibre nerg tique du comportement est organis par une construction cognitive Selon cette th orie l action humaine est guid e par trois types de consid rations a les croyances comportementales croyances sur les cons quences probables du comportement et de l valuation de ces cons quences b les croyances normatives les croyances sur les attentes normatives des autres et la motivation pour se conformer a ces attentes c contr ler les croyances les
21. es Les interventions qui sont en mesure d int grer avec succ s des valuations court terme et les transforment en plans d actions sont plus efficaces que ceux dont les valuations sont soit fortement retard es voire inexistantes Ce mod le diff re des autres th ories en mettant l accent sur le r le de l motion faire face la maladie Le mod le relie la perception des gens d une maladie avec des comportements d autogestion 3 La th orie du r seau social voient les relations sociales en termes de noeuds et de liens Les noeuds sont les acteurs individuels au sein des r seaux et les liens sont les relations entre les acteurs Il peut y avoir plusieurs types de liens entre les noeuds Selon la th orie des r seaux sociaux les attributs des individus sont moins importants que leurs relations et leurs liens avec d autres acteurs au sein du r seau Dans cette approche les comportements individuels sont consid r s comme d pendants du r seau de proximit duquel ces individus font partis Par cons quent l objet de l analyse n est pas l acteur individuel et son ou ses attributs mais la configuration du r seau par exemple sa taille sa structure et sa composition En outre les membres du r seau social contr lent et sanctionnent le comportement des autres Dans des r seaux denses avec des liens forts les membres se contr lent les 16 Ma ation ES el dd A x an EP La NT Training Education and Culture Dr
22. for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude PATIENT Docteur mon fr re John vous vous en souvenez bien Il tait maigre a pris tous les m dicaments que lui ont prescrit les m decins lui n a pas mang de frites ou de charcuteries partir du moment o vous les m decins lui ont dit de ne pas le faire et il est mort trois ans apr s 45 ans Et je Je ne vais pas finir comme lui Si je dois mourir je souhaite mourir heureux Instructions pour le travail de groupe Commentaire le patient vous a mis en chec Question Comment r agiriez vous ce point Trouver des r ponses possibles 25 Education and Training Education and Culture Det i i Edu Lifelong Learning Programme y 4 E Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude b Relations personnelles et sant motionnelle Objectifs e Apprendre conna tre l impact des motions sur la sant ainsi que l importance de la r gulation motionnelle e Identifier les ph nom nes motionnels de base motions sentiments et tats d esprit e Percevoir la sant motionnelle comme mode de vie qui peut tre d velopp travers la connaissance et la pratique de strat gies d adaptation Outils Powerpoint RELATIONS PERSONNELLES ET SANTE EMOTIONNELLE Contenu th orique Quels sont les risques Il est important de savoir comment aider une personne g e s exprime
23. gion de la V n tie et l ULSS PCT 6 de Padoue Italie l Union nationale des centres communaux d action sociale UNCCAS France l universit permanente de l Universit d Alicante Espagne et le VU Centre m dical de l universit d Amsterdam Pays Bas Nous remercions galement la Commission europ enne DG Culture pour le cofinancement du projet au sein du programme d apprentissage tout au long de la vie Grundtvig Nous vous invitons visiter le projet www ehle project eu ou il est possible de t l charger tous les documents du projet ES ws L x an C L c ra al q F Training Education and Culture Dr E A Lifelong Learning Programme m Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 2 LE PROJET LE PROGRAMME GRUNDTIG Il n est jamais trop tard pour apprendre Les changements d mographiques en Europe ou aujourd hui les plus de 65 ans repr sentent 16 9 de la population et repr senteront plus de 30 en 2025 repr sentent un d fi pour tous les pays europ ens et exigent la mise en ceuvre de plus en plus urgente de politiques de vieillissement actif visant a am liorer la vie des citoyens avant et apres la retraite La Commission europ enne a d fini comme priorit du programme Grundtvig la cr ation de nouvelles possibilit s d ducation pour les adultes et les personnes g es a risque de marginalisation sociale en raison de leur sor
24. principes directeurs des entretiens de motivation sont l expression de l empathie la d couverte des divergences les r sistances au changement et l aide l autonomie Exprimer de l empathie consiste fournir aux personnes une atmosphere de respect et d acceptation La technique utilis e est appel e l coute active g n ralement consid r e comme la base des entretiens de motivation et recommand e pour la totalit du processus de consultation Le second principe de l interview de motivation MI souligne le foss entre les convictions et les comportements actuels de la personne et de leurs ambitions plus lointaines Lorsque la personne reconnait ces discordances elles ressent souvent un certain m contentement qui rend plus probable la volont de changement Les diff rences sont d couvertes travers l tude des valeurs de la personne et de la facon dont ces valeurs et comportement influencent son mode de vie id al Le troisi me principe en travaillant sur la r sistance est bas sur l id e que proposer un d fi direct la personne r sistante au changement est contreproductif car cela rend g n ralement l individu plus d fensif et plus r sistant au changement L id e est donc plut t d inviter l examen d un nouveau point de vue mais sans l imposer L autonomie de la personne et sa confiance dans sa capacit changer un comportement particulier m me dans des circonstances difficiles doivent si possible to
25. propre language en les persuadant d utiliser leurs propres arguments L intervention doit tre adapt e la personne et ses ressources les entra nant et les guidant ainsi vers la d couverte de leur propre solution Quels sont les objectifs fix s Les questions et reformulations sont auto correctrices le professionnel l aidant ne va pas venir avec des id es pr concues et des solutions toutes faites mais adapter sa propre vision a celle exprim e par la personne g e en examinant le probl me dans sa perspective Telle est l approche dite de contr le de locus interne o le contr le est focalis sur le patient et est donc ax e sur l autonomisation le patient est pouss comprendre les probl mes comme interne en vue de r soudre ces probl mes avec des solutions qui sont aussi personnelles Activit en groupes pluridisciplinaires Groupes d environ 10 personnes Le temps est d environ 20 10 mins Un chef de file pour chaque groupe un m decin une infirmi re un pharmacien ou un autre professionnel Supports p dagogiques 27 NN 553 E gt a ne EF serie al Mo A Traini E e Education and Culture Dr t Ag pL Lifelong Learning Programme y Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Divis s en groupes les participants sont invit s r fl chir une conversation simul e entre un m decin et son patient et
26. ressources de comp tences et de strat gies d apprentissage et l absence de bonnes habitudes d apprentissage e ls recherchent l utilit et l application pratique de la formation S ils ont l impression que ce qu ils apprennent est inutile ils perdront leur motivation porteront leurs int r ts ailleurs et cesseront d apprendre e lls effectuent la formation dans des conditions difficiles parfois avec de la fatigue des pr occupations li es au travail et ou la famille etc La formation n est pas une chose essentielle dans leur vie e lls peuvent avoir une faible estime d eux m mes se sous estiment et ne se pensent pas suffisamment qualifi s pour participer au processus de formation Le mot cl de la r ussite d un formateur est la souplesse Apprendre apprendre est aussi importante pour les formateurs que les tudiants Le formateur efficace peut par exemple e D couvrir le style de formation qui s adapte le mieux une situation et un moment sp cifique e Adopter le genre de comportement qui peut fournir une meilleure r ponse aux attentes des participants e Produire le bon comportement en l adaptant aux r actions du groupe e Tirer les le ons de l exp rience p dagogique Tous les formateurs ont la possibilit de mener des actions de formation selon quatre styles au moins le style de 45 se lia ES uo x i an p n erii al rath A train E Education and Culture Dr gs e a Lifelo
27. 3 Lifelong Learning Programme E se atan en m L it an s A Training un La i a am Education and Culture Dri Lifelo ng Leaning Programme Pa A ri Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Netherlands Fig 8 Corr lation entre les scores moyens de sant motionnelle et le niveau de satisfaction relatif a l alimentation En conclusion une observation importante pour les quatre pays certains d terminants importants pour le bien tre motionnel ont t r v l es Les indicateurs de l adh sion un mode de vie ad quat incluent l intensit de l activit physique la satisfaction son alimentation et la qualit percue de la sant physique La corr lation entre les modes de vie sains et un meilleur niveau de sant motionnelle peut tre percue entre les quatre populations avec un effet important et croissant lorsque la variable trac e augmente par exemple dans Fig 8 En conclusion m me dans la diversit des populations interrog es partir des donn es r cup r es un message de sant important pour les adultes et les personnes g es apparait Adh rer un mode de vie sain est associ un bien tre motionnel mesurable et constant dans les quatre pays en d pit de niveaux de d part diff rents induit par les diff rences g ographiques et culturelle
28. A PA med LL ki ad REG da IHE pas dr esse P us asm si rbd eim AAA Fig 12 PAR Q la disposition des professionnels Pour valuer la motivation du patient g changer les habitudes s dentaires il y a par exemple le questionnaire PAR Q Fig 12 l chelle de Borg est utile pour maintenir un niveau appropri d activit physique et surveiller la fr quence cardiaque L chelle de Borg est utilis e pour estimer le niveau correct de l activit physique en fonction de l exp rience subjective du patient sur la maniere dont chaque activit est fatigante lorsque le patient tente une activit physique il d crit le niveau d effort requis et la fatigue produite Certaines personnes pourraient se sentir niveau AA de l effort 6 lors de la marche d autres lors de l ex cution Pour d velopper la r sistance le patient doit travailler pour arriver un niveau d effort de 13 se sentant ainsi un niveau raisonnable de l effort Pour d velopper la force les personnes doivent atteindre un niveau d effort proche de 15 17 38 lt m ES a 4 an T erie al Mo A Training Education and Culture D p ae a Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Activit s de groupes Groupes de 10 personnes 3 sessions de 10 minutes 1 leader par groupe avec une exp rience dans le domaine de l activit physique docte
29. ABEND C WISEMAN SM GUSTAVSSON G ET AL 1993 Targeting heavy smokers in general practice randomised controlled trial of transdermal nicotine BMJ 1993 306 1308 1312 RUSSELL MAH WILSON C TAYLOR C BAKER CD 1979 Effect of general practitioners advice against smoking BMJ 1979 2 231 235 RUSSELL MAH 1996 Motivati n and treatment in smoking cessation Ponencia en VI Congreso Internacional del Centro Internacional para la Medicina Familiar y XXI Congreso Nacional de Medicina Familiar y Comunitaria Granada 1996 SAMET J 1992 The health benefits of smoking cessation Med Clin North Am 1992 76 399 438 SCHWARTZ JL 1992 Methods of smoking cessation Med Clin North Am 1992 76 451 476 SUZUKI K ITO Y AUKI K et al 2003 The relationship between smoking habits and serum levels of 8 OhdG oxidized LDL antibodies levels of Mn SOD and carotenoids in rural Japanese residents J Epidemiol 13 1 29 37 TATE JC SCHMITZ JM 1993 Aproposed revison of the Fagerstrom Tolerance Questionnaire Addict Bahav 1993 18 135 143 ALCOOL BLOOMFIELD K GRITTNER U KRAMER S GMEL G 2006 Social inequalities in alcohol consumption and alcohol related problems in the study countries of the EU concerted action Gender Culture and Alcohol Problems a Multi national Study Alcohol Alcohol Suppl Oct Nov 41 1 26 36 BLOOMFIELD K GRITTNER U RASMUSSEN HB PETERSEN HC 2008 Socio demographic correlates of alcohol consumption in the D
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31. IBLIOGRAPHIE THEORIES ANDERSON RM FUNNELL MM HERNANDEZ CA 2005 Choosing and using theories in diabetes education research Diabetes Educ 31 513 515 518 513 515 520 AJZEN 1991 The theory of planned behavior Organizational behavior and human decision processes 50 179 211 AJZEN 1988 Attitudes Personality and Behavior Milton Keynes Open University Press BANDURA A Social foundations of thought and action Englewood Cliffs NJ Prentice Hall 1986 BRUG J KREMERS SP LENTHE F BALL K CRAWFORD D 2008 Environmental determinants of healthy eating in need of theory and evidence Proc Nutr Soc 67 307 316 BURKE BL ARKOWITZ H MENCHOLA M 2003 The efficacy of motivational interviewing a meta analysis of controlled clinical trials J Consult Clin Psychol 71 843 861 CARROLL C NAYLOR E MARSDEN P DORNAN T 2003 How do people with Type 2 diabetes perceive and respond to cardiovascular risk Diabet Med 20 355 360 CHRISTAKIS NA FOWLER JH 2007 The spread of obesity in a large social network over 32 years N Engl J Med 357 370 379 CONROY RM PYORALA K FITZGERALD AP SANS S MENOTTIA DE BG ET AL 2003 Estimation of ten year risk of fatal cardiovascular disease in Europe the SCORE project Eur Heart J 24 987 1003 DE VRIES H DIJKSTRA M KUHLMAN P 1988 Self efficacy third factor besides attitude and subjective norm as a predictor of behavioral interventions Health Education Research 3 273 282
32. KUS IM SAMSA G RIMER BK 2001 General performance on a numeracy scale among highly educated samples Med Decis Making 21 37 44 MICHIE S ABRAHAM C 2004 Interventions to change health behaviours evidence based or evidence inspired Psychology and Health 19 29 49 MILLER WR ROLLNICK S 2002 Motivational Interviewing preparing people for change The Guilford Press New York MISSELBROOK D ARMSTRONG D 2001 Patients responses to risk information about the benefits of treating hypertension Br J Gen Pract 51 276 279 MISSELBROOK D ARMSTRONG D 2002 Thinking about risk Can doctors and patients talk the same language Fam Pract 19 1 2 MYNORS WALLIS LM 2001 Problem solving treatment in general psychiatric practice Advances in Psychiatric Treatment 7 417 425 MYNORS WALLIS LM GATH DH DAY A BAKER F 2000 Randomised controlled trial of problem solving treatment antidepressant medication and combined treatment for major depression in primary care BMJ 320 26 30 MYNORS WALLIS LM GATH DH LLOYD THOMAS AR TOMLINSON D Randomised controlled trial comparing problem solving treatment with amitriptyline and placebo for major depression in primary care BMJ 1995 310 441 445 NORRIS SL ENGELGAU MM NARAYAN KM 2001 Effectiveness of self management training in type 2 diabetes a systematic review of randomized controlled trials Diabetes Care 24 561 587 KAMPHUIS CB VAN LENTHE FJ GISKES K HUISMAN M BRUG J M
33. Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 6 FORMER LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET DE SERVICES SOCIAUX Groupe il sera id alement compos d environ 30 35 participants issus de diff rents domaines professionnels sant services sociaux etc La structure est form e par les trois phases cl s du traitement de la r solution de probl mes 1 COMMUNICATION des risques risques de modes de vie malsains 2 MOTIVATION pour changer de comportement 3 OBJECTIFS fixer en cr ant des objectifs SMART Equipement un ordinateur un vid o projecteur des ressources multim dia la documentation et un espace suffisant pour permettre la fois des interventions p lni res et des travaux en groupes pluridisciplinaires activit s pratiques Autres documents Des pr sentations Power Point Vid os Brochures d pliants Journal de sant ou autre support Bibliographie Organisation de chaque module Chaque module dure 1 heure environ Divis en deux sections distinctes un expos th orique 30 minutes env une activit de groupes 30 minutes env La pr sentation du contenu et des exercices se fait comme suit Introduction 5 mins Concepts de base 5 mins Contenu o Les risques et les avantages de leur r duction 5 mins o Messages de base pour le renforcement 5 mins o Objectifs et techniques pour le changem
34. Pr sentation PowerPoint e Guide module pratique e Vid o une vid o d illustration sur le module une exp rience illustrant le message d une personne ag e qui a mis en pratique de bonnes habitudes quant sa consommation de m dicaments apres certaines exp riences qu elle avait v cues e Agenda m dicaments tableau o vous pouvez noter quand vous devez prendre chaque m dicament et o vous pourrez mettre une croix au moment ou vous le prenez pour encourager le respect de la prescription pour viter les oublis ou la mauvaise ingestion e Bo tes amp emballages Ecrivez sur la boite ou l emballage la facon dont le m decin vous a dit de prendre le m dicament et si il doit tre pris avec un repas ou non e Pilulier chaque lundi remplir le pilulier et mettre le bon m dicament dans chaque section selon le l agenda de sant e Brochure donn e aux participants qui contient les messages cl s de la session d Tabagisme et consommation d alcool chez les personnes g es Contenu th orique Outre le contenu th orique du chapitre 6d vous pouvez vous r f rer e Pr sentation Powerpoint Outils pour les activit s pratiques e Pr sentation Powerpoint e Guide du module pratique e Vid o Une vid o d illustration sur le module e Tableau remplir individuellement tableau que les participants remplissent en notant les effets positifs et n gatifs de leur consommation de tabac et d alcool e Agenda des h
35. SMITH D E VINA J CAO G PRIOR R L MEYDANI S N 2000 Effect of long term dietary antioxidant supplementation on Influenza Virus infection Journal of Gerontology Biological Sciences Vol 55A No 10 B496 B503 DE LA FUENTE M GUAYERBAS N CATALAN MP VICTOR V M MIQUEL J 2002 The amount of thiolic antioxidant ingestion needed to improve the immune functions is higher in aged than in adult mice Free Rad Res 36 119 126 NEWBY P K MULLER D HALLFRISCH J ANDRES R AND TUCKER K L 2004 Food patterns measured by factor analysis and anthropometric changes in adults Am J Clin Nutr 80 504 13 NEWBY P K MARAS J BAKUN P MULLER D FERRUCCI L amp TUCKER K L 2007 Intake of whole grains refined grains and cereal fiber measured with 7 d diet records and associations with risk factors for chronic disease Am J Clin Nutr 86 1745 53 SALVADOR CARULLA L HERNANDEZ PIERA E 2004 Desarrollo a lo largo del ciclo vital En Longevidad Tratado integral sobre salud en la segunda mitad de la vida Ed M dica Panamericana 580 638 JOHNSON M L ed 2005 The Cambridge Handbook of Age and Ageing Cambridge University Press 78 88 169 173 G MEZ CANDELA C LORIA KOHEN V LOURENCO NOGUEIRA T Gu a visual de alimentos y raciones Sociedad Espa ola de Diet tica y Ciencias de la Alimentaci n Sociedad Espa ola de Nutrici n b sica y Aplicada 2007 55 Lifelo ng Leaning Programme Pa 4 y
36. Soc 41 1 339 1 344 PAFFENBARGER RS et al 1993 Association of changes in physical activity level and other lifestyle characteristics with mortality among men N Engl J Med 328 538 545 PATE RR PRATT M BLAIR N et al 1995 Physical activity and public health Recommendation from the Centers for Disease Control and Prevention and the American College of Sports Medicine Jama 1995 273 402 407 POSNER JD GORMAN KM 1992 Windsor Landsberg L et al Low to moderate intensity endurance training in healthy older adults Physiological responses after four months J Am Geriatr Soc 40 1 7 RODRIGUEZ BL CURB JD BURCHFIEL CM ET AL 1994 Physical activity and 23 year incidente of coronary Herat disease morbidity and mortality among middle aged med The Honunlulu Heart Program Circulation 89 2 540 2544 RODRIGUEZ A MULLER D C METTER E J MAGGIO M HARMAN S M BLACKMAN M R AND ANDRES R 2007 Aging androgens and the metabolic syndrome in a longitudinal study of aging J Clin Endocrinol Metab 92 3568 72 SANDVICK L ERIKSSEN J THAULOW E ERIKSSEN G MUNDAL R RODAHL K 1993 Physical fitness as predictor of martality among healthy middle aged Norwegian men N Engl J Med 1993 328 533 537 SHERMAN SE D AGOSTINO RB COBB JL KANNEL WB 1994 Does exercise reduce mortality rates in the elderly Experience from Framingham Heart Study Am Heart J 128 965 972 SKELTON N K SKELTON W P 1992 Medical implications o
37. abitudes quotidiennes Les participants sont divis s en trois groupes chaque groupe discute de leurs habitudes li es au tabagisme et l alcool Ils doivent ensuite valuer si ces habitudes sont bonnes ou non pour la sant e Brochure donn e aux participants qui contient les messages cl s de la session 42 b Education y we r A Training Education and Culture D y gt i Y tix Lifelo ng Leaning Programme y M im A y Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude e Activit s physiques chez les personnes g es Contenu th orique outre le contenu th orique du chapitre 6e vous pouvez vous r f rer e Pr sentation Powerpoint Outils pour les activit s pratiques e Pr sentation Powerpoint e Guide du module pratique e Vid o 1 et vid o 2 pr sentant l exp rience d autres personnes et le message d une personne g e qui fait de l exercice r guli rement e Agenda un outil que les participants utilisent pour indiquer leur activit physique quotidienne e Des cartes flashs Cartes d endurance cardiovasculaire force et quilibre et des exercices de flexibilit e PAR Q Questionnaire con u pour une premi re valuation et analyse des contre indications ventuelles li es la pratique de toute activit physique e Brochure donn e aux participants qui contient les messages cl s de la session 43 Education And Educa
38. aider l usager d couvrir et employer ses propres capacit s afin de prendre en main sa propre sant Cette approche vient de l id e que bien que les m decins infirmi res travailleurs de la sant et les soignants soient des experts dans les traitements m dicaux et les soins l individu est certainement le meilleur expert de sa propre vie et doit donc avoir la responsabilit premi re dans la prise de d cision En cons quence les services sociaux et de sant deviennent une collaboration entre la personne et le professionnel de la sant et des services sociaux Ce dernier r le d expert conseil est moins mis en vidence l existe plusieurs strat gies pour accroitre la responsabilisation de l usager Dans ce projet nous pensons que nous pouvons responsabiliser les personnes g es en 3 tapes 1 par la communication des risques li s des comportements particuliers 2 en les motivant pour le changement et 3 en leur enseignant comment d finir des objectifs SMART sp cifiques mesurables r alisables pertinents et planifi s sur la fa on de changer leur mode de vie Ces outils seront expliqu s plus en d tail ci dessous Mais pourquoi pensons nous pouvoir aider ces personnes adopter un mode de vie sain par le biais de l application de ces trois tapes La r ponse se trouve dans notre cadre th orique L utilisation d un cadre conceptuel est important dans les projets et tudes qui souhaitent promouvoir des modes
39. anish general population Scand J Public Health 36 6 580 8 HOUGAKU H FLEG J L LAKATTA E G SCUTERI A EARLEY C J NAJJAR S DEB S AND METTER E J 2005 Effect of light to moderate alcohol consumption on age associated arterial stiffening Am J Cardiol 95 1006 10 MAKELA P GMEL G GRITTNER U KUENDING H KUNTSCHE S BLOOMFIELD K ROMM R 2006 Drinking patterns and their gender differences in Europe Alcohol Alcohol Suppl Oct Nov 41 1 8 18 VESTAL R E MCGUIRE E A TOBIN J D ANDRES J D NORRIS R MEZEY E 1977 Aging and ethanol metabolism Clinical Pharmacology and Therapeutics 21 343 354 57 M S m am x a an Las Le ETS xx Training ducation and Culture DX gt en Lifelong Learning Programme A E Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude COMMUNICATION J EUROBAROMETRE sant et nutrition http ec europa eu health ph publication eb food fr pd Pratiquer la bienveillance Par l coute active et l empathie de Xavier Cornette de Saint Cyr Auteur Roselyne Fayard Pr face ditions Jouvence Livre blanc Ensemble pour la sant une approche strat gique de l union europ enne pour 2008 2013 http ec europa eu health ph overview strategy health strategy fr htm AJZEN ICEK 1991 The theory of planned behaviour Organizational behaviour and human decision processes 50 179 211 BANDURA A 1997 Self efficacy
40. bac chez la personne g e Objectifs Renforcer la sensibilisation sur la consommation de cigatrettes comme comportement destructif et viter Habiliter les personnes g es changer leur comportement et leurs habitudes de vie la responsabilit par l auto contr le Outil Pr sentation Powerpoint CONSOMMATION DE TABAC CHEZ LES PERSONNES AGEES Contenu th orique Quels risques Les probl mes li s au tabagisme actif et passif sont pr sent s ainsi que les effets n fastes du tabac combin s des modes de vie non sains La maladie pulmonaire obstructive chronique MPOC est l une des maladies les plus fr quentes chez les fumeurs et est encore plus fr quente chez les personnes g es 90 des cas surviennent apr s l ge de 65 ans Le tabagisme est associ a un risque lev de d ces dus aux maladies cardiovasculaires aux maladies pulmonaires et aux tumeurs Le tabagisme passif est galement associ un risque plus lev de maladie Comment motiver changer La personne g e est souvent uniquement motiv e pour arr ter de fumer quand il ou elle tombe gravement malade Il est toutefois important de les aider comprendre qu arr ter de fumer am liore la qualit de vie a des bienfaits pour la sant et augmente l esp rance de vie e Avant tout il est important d aider la personne se d cider d arr ter de fumer gr ce l utilisation de messages positifs comme les conomies effectu
41. bar Da H A Cras MON Tube LO amb m ps Ley ieg m LL pi pim im ri CR yia ard plang Es become mud mere pipoa ictus Pun ya in nos Er by r a os m Ku ba bbs UP pou an after ua agri aal N Pan PRA c hall pies pon cmi cl nde par ct ballon mac sari poms mm ug ACTUA OM AA rur dnos DIUI EODD GEO puc A A Tuus Geo agua Wa Dm AT A Rui remesa ao Ll Ll Ll Ev Tus Feri pais m quie terii whew pru du paul air be lbe pesi mis kerr qun Bad riri pase es pru were mi duimp pensi animar Ds qaa hala paar dias bota gi ISLE Ri dd phi era li a De jaa Lars a hans ai asa proies jiw cams hast kai de hip char dl ba made marte bf ali ia phir ei Lil n B B i an quas diet emer a sas arm a mni cam dis ami isi pra add aao de ptura mireg u a miles des lor iaa males aliia Bo gis Masd poses dd dd d ni ib m ps Li DO m ope ee f arg prie resp wh pes read ner run egy i YES to onc or more q m m s mart simu mms Nia ep pri C pna cag a CENT pcs LE e ew ee cade kn pus l ai pma min ed boues te pus am foe xem bet LL ee CT CR pop arr cated comp s be os pai ma at leo ed be acum ol im ary miss ad ra ici es de ir PTICA T ee i iam erum mure ni i oe im l ma ER ERR A mic Bead r Fe mee Em en pee inim PM MP SR PLA ken eg E eo 4 ee mel eine ee ee a a e a I T T ee e a a T U e e i e ae o T a ao a SR Gus PA M MUT ERF RER D O E LP A PE F A A UN SORS ROM aes E PS A dorada pd im d ee wi lr des A
42. bien signifie que vous dormez environ quatre heures par nuit Sandra Maintenant que j y pense je vais au lit 10 heures et je me r veille 4h du matin Professionnel de la sant Alors vous dormez pendant six heures Sandra Oui Professionnel de la sant D accord donc plus de quatre heures par nuit Sandra Oui Professionnel de la sant Yat il des nuits o vous dormez plus longtemps Sandra Mm peut tre le samedi o je m occupe de mes petits enfants je me r veille un peu plus tard Professionnel de la sant Donc corrigez moi si j ai tort vous m avez dit que vous dormez g n ralement six heures par nuit et que le samedi quand vous prenez soin de vos petits enfants vous dormez plus longtemps et de vous sentir plus repos Sandra Oui probablement je doit tre encore plus fatigu e que d habitude Ils sont gentils mes petits enfants mais tres dynamiques Sandra intelligent et vif comme leur grand m re Sandra ha ha Oh j ai oubli que j ai arr t de faire ma sieste l apr s midi parce que je suis inqui te elle m emp che de dormir la nuit Professionnel de la sant Et cela a t il chang quelquechose Sandra Non 28 Education No y A al Mo ma A E Es Education and Culture Del gt t a 5g and Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Professionnel de la sant proposez une reformulation ici
43. ces de ce changement 3 de renforcer et souligner la r ussite et l exp rience acquise et 4 de donner la connaissance l individu La communication avec les personnes g es n est ni uen confession ni une consolation mais une communication professionnelle qui utilise des objectifs sp cifiques et des ressources Le dialogue individu professionnel doit suivre le mod le de la question du professionnel de la r ponse du patient de la strat gie de reformulation du professionnel qui r sume la r ponse recue et v rifie la compr hension Il est galement important de poser des questions en adoptant une certaine ligne de conduite afin de s assurer que le patient g est en mesure de comprendre l information qui lui est donn e et de se familiariser avec le changement effectuer Pour cette raison il est n cessaire de trouver un point de contact et donc encourager le patient parler en utilisant les questions nautres d encadrement avec 26 i n alan E y i ane h ai Training lr add El fat a Y AT ait Educacion and Cuibure Leu x ps a Lifelong Learning Programme 4 Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude toujours la possibilit d une alternative par exemple Mangez vous Versus Pensez vous manger trois repas par jour ou avez vous parfois saut un repas La question semble neutre mais c est un moyen pour obtenir les renseignement
44. clines changer leurs modes de vie Cette id e est centrale dans le mod le d auto r gulation de Lowenthal 1997 qui est bas sur l hypoth se que les connaissances d un patient sur le diab te et son traitement par exemple peut d terminer ses comportements face la maladie Comprendre l volution les causes les cons quences et l identit exacte de la maladie augmente sa capacit la contr ler cette fin il est important d utiliser des m thodes efficaces de communication des risques par exemple en utilisant des repr sentations visuelles plut t que des statistiques et des donn es scientifiques Il est galement important de se concentrer sur les avantages du changement de comportement plut t que les cons quences n gatives si on n adopte pas de changements perte de la sant ann es de vie 18 se alan ES p x i an p gt Eni x e E train Es Education and Culture Dr gt s Ag Lifelong Learning Programme Pa 5 y y Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude ll L entretien de motivation L entretien de motivation MI motivationnal interview est une br ve s ance d change centr e sur le patient et con ue pour accro tre la motivation tudier et r soudre d ventuelles ambigu t s Durant ces derni res ann es ces entretiens de motivation ont t une technique importante utilis e dans les interventions relatives au comportement Les quatre
45. cription pourrait tre dommageable et environ 2096 ne croient pas que cela soit possible Les diff rences notables dans la quantit et le type de m dicaments consomm s apparaissent dans les quatre pays europ ens tudi s Le groupe francais le plus g et avec le plus faible niveau d ducation est le groupe qui consomme le plus de m dicaments le plus souvent antidouleurs contre la tension art rielle et les somnif res Le groupe n erlandais le plus jeune consomme nettement 12 ini X uu Traini Es Education and Culture DG 9p A Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude moins de m dicaments tandis que les groupes de l Italie et l Espagne montrent une consommation tres similaire en termes quantitatif On peut faire l hypoth se que cette diff rence de consommation peut aussi tre attribu e des diff rences dans l accessibilit et la facilit de la prescription de ces m dicaments dans les diff rents pays et pas seulement aux caract ristiques de la population Fig 7 Pourcentage de consommation de m dicaments par type de m dicament et par pays La perception par les personnes g es de leurs propres capacit s mn moniques et cognitives est tr s diff rente dans chaque pays mais tr s nette dans tous les groupes d ge diff rents Dans l ensemble les personnes ont mentionn qu elles avaient de la difficult se souvenir des bons mots po
46. ctive Le participant peut ainsi confirmer que ce que le formateur a entendu est exactement ce qu il voulait dire ou corriger l interpr tation Les formateurs peuvent rapidement pr ciser le probl me par des questions et proposer des solutions 46 Education ES e y and A La TE Y Training Education and Culture D gt E a e Lifelong Learning Programme A os Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude L coute compr hensive transmettre a l interlocuteur le sentiment que nous sommes d accord avec ce qu il dit par des messages tels que c est vrai vous avez raison etc L coute s lective pose des questions ouvertes sur les aspects essentiels de l information qui nous est transmise en orientant le message vers ce que nous voulons savoir Afin de d finir cette section nous indiquons les attitudes li es a la bonne coute et les techniques qui permettent d y parvenir Les comp tences des bons formateurs ne se distinguent pas seulement par leur capacit manager des groupes communiquer efficacement ou aider ces groupes acqu rir certaines capacit s Les autres qualit s se situent entre la capacit d improvisation la cr ativit ou les comp tences li es la gestion des ressources dans les salles de formation qui sont aussi tr s importantes et aident rendre la session plus exceptionnelle e Audiovisuel les vid o
47. de l activit au gymnase 2 fois par semaine Le dimanche promenade d une heure peu pr s Il a d cid de reprendre un programme d exercices afin d optimiser les resultats obtenus Quel est le profil de la personne Situeriez vous la personne dans le groupe d butant interm diaire ou avanc Quelles questions poseriez vous afin de d couvrir tous les facteurs de risque possibles Quelles devraient tre les objectifs de la personne Comment augmenter l activit et quelle fr quence dE E P Em 39 Education y and nd m Training a PLACE N 4 E alo duo and Culture Del Fa ee x Lifelong Learning Programme Pa A N A Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 7 APPRENDRE AUX PERSONNES AGEES A VIVRE SAINEMENT La section suivante comprend six suggestions de lecons qui peuvent tre utilis es lorsque l on travaille avec des groupes de personnes g es Les le ons comprennent des informations utiles et des outils pour la promotion de modes de vie sains Le mat riel est con u pour tre utilis par les professionnels m decins infirmi res pharmaciens et autres professionnels dans le contexte de l ducation des adultes de s minaires ou de traitement groupes de th rapie Les documents pertinents pour chacun des modules disponible en int gralit sur le CD qui accompagne ce manuel sont pr sent s ici en r sum un simple clic sur chaque t
48. e ee s Lasix cpr furosemide ior J cpr furosemide sant pour avoir des conseils sur la facon scie Seloken cpr metoprololo D PIRE tied amet debe fa on de traiter sa douleur au genou 59 g 4 JJ j j j j ORARIO lt Coumadin cpr warfarin Pour l aider suivre ses prescriptions les _ sivestincpr simvastating participants se divisent en groupes ou travaillent individuellement et essayent de remplir l agenda Fig 11 y compris le Halcion triazolam nom du m dicament et le meilleur Fig 11 Agenda Sant moment ou il convient de prendre celui ci Tant la prescription que le nom comercial des m dicaments doivent tre utilis s 10 minutes Dans leurs groupes les participants r fl chissent alors sur le nombre de doses les interactions possibles entre les m dicaments les produits base de plantes et l alimentation Ils devraient galement tenir compte de la douleur au genou pour formuler des conseils 10 minutes Enfin les groupes se r unissent et tous les participants tentent de parvenir un consensus sur l agenda et les mesures adapt es sur le traitement 34 Education and Training rial and Coltem DC a NS m 2 Pr MN Es itelong Learning Programme A a x Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude e Consommation de ta
49. e understand risk two randomized trials in distinct populations Ann Intern Med 146 256 265 SANTE EMOTIONNELLE ELFENBEIN H A MARSH A amp AMBADY N 2002 Emotional Intelligence and the recognition of emotion from the face En L F Barrett amp P Salovey eds The wisdom of feelings Processes underlying emotional intelligence New York Guilford Press pp 37 59 GOLEMAN D 1995a Emotional intelligence New York Bantam Books MAYER J D AND COBB C D 2000 Educational policy on emotional intelligence the case for ability scales In R Bar On amp J D A Parker Eds The handbook of emotional intelligence San Francisco Jossey Bass SALOVEY P MAYER J D AND CARUSO D 2002 The positive psychology of emotional intelligence In C R Snyder y S J Lopez Eds The handbook of positive psychology pp 159 171 New York Oxford University Press VALLES A 2004 Programa DIE Desarrollando la inteligencia emocional Madrid EOS 53 NN 553 E gt ane ER E f al Mo A Es Education and Culture D t A 5g Lifelong Learning Programme d l Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude MEMOIRE ET ATTENTION Birren J amp Schaie K W Eds 2001 Handbook of the psychology of ageing 52 Edition San Diego Academic Press Labouvie Vief G 1985 Intelligence and cognition In J Birren amp Schaie W eds Handb
50. e vie Il en r sulte une grande pertinence d actions destin es promouvoir la sant et la participation des activit s li es la sant motionnelle au maintien d un mode de vie en bonne sant au bien tre motionnel la fonction cognitive et au vieillissement sain L apprentissage r glement et syst matique et les initiatives de promotion sanitaire permettent la localisation des exp riences de vie pour les personnes g es dans un cadre d orientations des propositions et des conseils pour vivre sainement Pour cr er une bonne habitude il faut r p ter les comportements et si ces comportements sont r gis par les connaissances acquises dans les formations ce sera plus facile pour cr er de bonnes habitudes et am liorer la qualit de vie globale des personnes ag es La promotion de la sant motionnelle peut tre d velopp e travers l apprentissage et la pratique des strat gies d adaptation qui permettent de d velopper de saines habitudes motionnelles De cette maniere les individus adultes peuvent appliquer les connaissances acquises pour parvenir une vie quotidienne saine dans un contexte la fois personnel et interpersonnel les aidant ainsi am liorer leur condition physique afin de pr venir les risques de maladies de se prot ger contre la d pression pour traiter l anxi t de facon efficace et pour renforcer leur syst me immunitaire En outre dans le cas des personnes g es il devient
51. ent 5 mins o Vid o 2 min Activit pratique avec des jeux de r le ou exercices 20 mins D bat v rification et conclusions en groupes ou en s ances pl ni res 10 mins 22 Education and Education and Culture Dro gt Lifelo ng Leaning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude a Communiquer avec les personnes ag es Objectifs D terminer la strat gie de communication qui facilite la communication avec les personnes g es et la rendre plus efficace Outil Pr sentation Powerpoint COMMUNICATION AVEC LES PERSONNES AGEES Contenu th orique Pour duquer une personne ag e sur la sant il est n cessaire de comprendre les difficult s de ce type de communication une capacit d attention limit e et de compr hension d un langage technique le temps de consultation limit e la pr sence de pr jug s ou de connaissances pr existantes qui sont difficiles a changer le peu de motivation a changer ou le contraire ie des attentes excessives sur ce que les professionnels peuvent faire etc La personne g e face a un profesionnel de la sant ou de services sociaux n est pas une table rase mais a des pr jug s des convictions des informations des habitudes et des souvenirs et donc elle interprete et filtre les messages qui lui sont envoy s Afin de r ussir a communiquer avec une personne g e il est n cessaire de mett
52. ersonnes vers le changement garantissant ainsi la pertinence et l accessibilit de tous les documents que nous avons inclus Le cadre th orique de notre projet est bas sur la th orie du comportement planifi et sur le mod le d autor gulation Celui ci soutient que nous devons informer les gens sur les risques li s a la sant afin d aboutir des changements de comportement Par cons quent une information ad quate et claire a t une grande priorit pour tout le mat riel de la bo te outil La th orie du comportement planifi sugg re que nous devons travailler sur l attitude des gens et leur intention de changer Cela peut tre fait en les incitant examiner pourquoi le changement de comportement est important et en leur fournissant des outils qui les aident changer Les outils tels que l entrevue motivationnelle et l tablissement d objectifs ont t utilis s dans bon nombre des documents fournis dans la mallette de formation Enfin tous les outils sont bas s sur l approche de la responsabilisation aider les personnes g es utiliser leur propre capacit de changement Et c est exactement ce que nous avons l intention de promouvoir le projet EHLE 49 Lifelong Learning Programme m Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Remarques finales par le partenaire coordinateur Regione Veneto En conclusion de nombreux d fis attendent les pro
53. es une meilleure sant une meilleure estime de soi et en donnant le bon exemple aux autres ll est galement important que les strat gies soient d termin es en collaboration avec le patient Des strat gies utiles sont fournies par l OMS la strat gie MPOWER e Cela implique des conseils planifi s planification de contr les r guliers pour surveiller le comportement des patients qui ont d cid d arr ter de fumer le choix de strat gies diff rentes selon les personnes et selon le niveau ou elles se situent s ils n ont pas encore arr t en utilisant des chelles de d cision pour commencer en consid rant l id e d abandon en appuyant sur l auto capacit chez celles et ceux qui sont sur la bonne voie renoncer d finitivement e est fondamental de cr er et de maintenir une relation stable et un contact r gulier avec la personne afin d viter les rechutes Le professionnel de sant doit connaitre l histoire de la personne l aider comprendre les besoins et les motivations qui la pousse fumer et donc ainsi concevoir des comportements alternatifs possibles Le professionnel de sant devrait galement fournir du mat riel d information offrir un soutien psychologique et des m dicaments n cessaires pour le fumeur qui s est engag cesser de fumer En cas de rechute du patient qui se produit dans 35 Education and da Training MAP ul dre Tal N i AS i Education and Culture Del FL Life
54. essentiel de ralentir la d t rioration des capacit s cognitives ce qui est un apprentissage de sant qui a un impact sur le bien tre motionnel et favorise 48 Lifelong Learning Programme x E i n alan E Ed i ane Lo Training Un Ed e a Education and Culture D p wt Lifelong Learning Programme y Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude la sant et la qualit de vie des personnes g es puisque la m moire et l attention sont indispensables la vie quotidienne Les cadres conceptuels comme outil de cr ation de bo tes outils de haute qualit de la formation la contribution de l Universit libre d Amsterdam Dans le projet EHLE nous avons d velopp un ensemble d outils de formation avec deux objectifs renforcer l autonomie des personnes g es faire des choix clair s dans les domaines de la sant et de leur mode de vie et laborer et communiquer des messages clairs et simples sur ces sujets La bo te contient beaucoup de mat riel ax sur ces deux objectifs et bas sur un cadre th orique L utilisation d un cadre th orique de base de la bo te outils est importante car il nous a aid concevoir la bo te outils et choisir les modules et leur contenu D velopper les th mes dans le cadre conceptuel signifiait que nous devions nous demander comment ce contenu ou ce type de mat riel aller nous aider amener les p
55. et Vid o 2 documentaire sur les motions qui sert lancer un d bat sur cette question e Brochure b Alimentation et personnes ag es Contenu th orique outre le contenu th orique dans le chapitre 6ter vous pouvez vous r f rer a e La pr sentation Powerpoint Outils pour les activit s pratiques e Pr sentation Powerpoint e Guide module pratique e Vid o 1 Vid o 2 et Vid o 3 Deux vid os d illustration sur le module e Tableau remplir individuellement un tableau que les participants utilisent pour enregistrer leurs habitudes alimentaires et noter celles qui sont bonnes et mauvaises e Agenda sant un outil que les participants utilisent pour transf rer cing de leurs bonnes habitudes de sant dans leur quotidien e Agenda des habitudes quotidiennes les participants sont divis s en trois groupes chaque groupe discute de leur alimentation Il est ensuite demand d valuer si leur alimentation est saine ou non e Brochure donn e aux participants qui contient les messages cl s de la session 41 Education and Education and Culture Del Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude c L usage des m dicaments chez les personnes g es Contenu th orique outre les contenus th oriques du chapitre 6c vous pouvez vous r f rer e Pr sentation Powerpoint Outils pour les activit s pratiques e
56. f obesity Losing pounds gaining years Postgrad Med 92 151 156 SNOW C M SHAW J M WINTERS K M WITZKE K A 2000 Long term exercise using weighted vest prevents hip bone loss in postmenopusal women Journal of Gerontology Medical Sciences 9 M 489 M 491 STRATTON JR LEVY WC CERQUEIRA MD SCHWARTZ RS ABRASS IB 1994 Cardiovasculr responses to exercise Effects f aging and exercise training in the healthy men Circulation 1994 89 1 648 1 655 U S DEPT OF HEALTH AND HUMAN SERVICES HEALTHY PEOPLE 2000 National health promotion and disease prevention objectives Washington DC U S Dept Of Health and Human Services 1991 DHHS publication PHS 91 50212 ZHENG H LUO M SHEN Y MA Y KANG W 2008 Effects of 6 months exercise training on ventricular remodelling and autonomic tone in patients with acute myocardial infarction and percutaneous coronary intervention J Rehabil Med Oct 40 9 776 9 TABAC 56 cel aft CN 553 gt and a Traini TAN CE Traini Es Education and Culture Del gt t Ag ams e i Lifelong Learning Programme y Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude AGENCY FOR HEALTH CARE POLICY AND RESEARCH AHCPR 1996 The Smoking Cessation Clinical Prectice Guideline Panel and Staff The Smoking Cessation Guideline 275 1270 1280 JAME 1996 BMJ 1993 Imperial Cancer Research Fund General Practice Research Group Effectiveness of a
57. fessionnels sanitaires et sociaux qui travaillent pour promouvoir la sant et le bien tre de nos a n s et pour r duire l impact du mode de vie non sain sur leur risque de d velopper des maladies li au handicap physique et cognitif La pr vention des maladies chroniques du handicap d une perte d autonomie implique une approche int gr e de promotion de la sant une approche qui combine la promotion de modes de vie sains avec des actions visant lutter contre les in galit s sociales et conomiques L ducation est l outil le plus puissant connu par en sant publique pour r duire les in galit s de sant et c est l un des m dicaments les moins chers si on le compare des m dicaments puissants utilis s en m decine pr ventive et curative Gr ce cette boite outil nous esp rons avoir mis disposition du lecteur et du professionnel un ensemble d instruments visant am liorer l apprentissage tout au long de la vie des capacit s de nos adultes plus g s et donc am liorer leur sant physique et motionnelle et finalement leur qualit de vie 50 X E n Education and nd Training VH x E z i ta E a Education and Culture xs Jp AN T cel aft CN 553 gt and a Traini TAN CE Traini Ee Education and Culture Del e LE ae Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 10 B
58. gt E a e Lifelong Learning Programme A os Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude uns les autres plus fortement que dans des r seaux ouverts ou partiellement connect s avec des liens faibles en partie parce que dans les r seaux de liens plus solides plus de possibilit s de sanctions existent Les deux premi res th ories d crivent l importance d habiliter les gens a adopter un mode de vie sain En fournissant des informations accessibles sur les risques pour la sant les patients sont susceptibles de changer leurs perceptions selon le modele d autor gulation de Lewenthal En cons quence les gens vont changer leur attitude en changeant de comportement qui est inclus dans la th orie du comportement planifi Enfin les personnes pourraient tre plus motiv es a changer leur mode de vie par des moyens qui permettent de r duire le risque de d velopper des maladies graves Enfin la th orie des r seaux sociaux met en lumi re l importance d accorder l attention sur le r seau social dont la personne g e fait partie du le r seau d amiti s les relations sociales et familiales 17 n n E a AS ane 1 E F al Mo A Training Education and Culture D SE Lifelong Learning Programme Pa wu Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude b M thodologie La m thodologie du projet EHLE est bas e s
59. hysique Alberto Plaza amp Antonio Vall s Psychologie Encarna G mez amp Myriam Cano Umberto Gallo amp Sandra Scapolo Pharmacologie Antonio L pez V ctor Sarri n amp Abel Villaverde Claudio Casotto amp Laura Bracconeri trairtement des donn es statistiques et graphiques Caterina Angelini Cosimo Guerra consommation de tabac Stefano lvis amp Maria Assunta Longo communication avec le patient Gilles Vangrevelynghe Communication et sant motionnelle Anna Galiazzo amp Elena Chinellato sant motionnelle Laura Welschen amp Giel Nijpels Th ories et outils Traduction francaise Laura Thorogood V ctor M Pina Medina amp quipe de l UNCCAS Le projet europ en EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude a t cofinanc par la commission europ enne dans le cadre du programme d apprentissage tout au long de la vie Grundtvig Les opinions et id es nonc es dans ce document n ont pas t adopt es ou approuv es par la Commission europ enne et ne refl te pas une position officielle de la commission europ enne La commission europ enne d cline toute responsabilit quant l utilisation de ce document Cet ouvrage a t publi avec la licence Travail collectif Pas d Utilisation Commerciale Pas de Modification 2 5 France Pour lire une copie de la licence visitez le site Web http creativecommons org licenses by nc nd 2 5 it ou envoyer une lettre Creative Commons
60. iants d une universit pour les personnes g es et personnes qui se r f re un centre de sant En fait parmi les personnes interrog es France Italy Netherlands Spain seulement 5 ont des difficult s dans leurs activit s quotidiennes de base m ireselev Melve moyen Mbas BDA une proportion tr s faible par Fig 6 Satisfaction avec sa propre sant physique rapport la population g n rale du m me ge Les personnes interrog es sont satisfaites de leur alimentation et fournissent les r ponses suivantes la question sur la fa on dont ils se consid rent satisfaits de leur propre alimentation La plupart des personnes interrog es mange trois repas par jour mange au moins une portion de fruits et l gumes par jour et mange de la viande ou du poisson deux fois ou trois fois par semaine Il existe galement des impr vus dans ces statistiques par exemple 14 des personnes mangent des repas froids quotidiennement et 2396 mangent un dessert tous les jours La consommation de m dicaments est la partie dans laquelle les r sultats diff rent le plus largement et dans lequel les situations les plus diff rentes mergent dans chaque pays Environ un quart du total des personnes interrog es consomment des m dicaments non prescrits par le m decin auto prescrits ou recommand s par des amis ou des parents Seuls 5096 des personnes interrog es estiment qu un m dicament achet en pharmacie sans pres
61. itre permet d acc der au contenu complet Equipement PC projecteur des ressources multim dia la documentation et suffisamment d espace pour les interventions et le travail de groupe Supports p dagogiques Pr sentations Powerpoint Vid os pour chaque module Brochures Agenda sant Tableau compl ter Bibliographie Organisation de chaque module Chaque module dure environ une heure et est divis en deux sessions l introduction th orique environ 30 min et l activit pratique environ 30 mn e Introduction 5 mns e Concepts de base 5 mns e Contenu o Risques et avantages 5b mns o Messages cl s et renforcement 5 mns o Objectifs et outils pour le changement 5 mns e Modules vid o 2 minutes e Des activit s pratiques exercices et Jeux de r les 20 mns e R ponse de contr le d bats et conclusions soit en groupes ou en s ances pl ni res 10 mns 40 Education j T y and ga j p Training Education and Culture DG y dx 497 Lifelong Learning Programme as A MN Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude a Lasant motionnelle Contenu th orique outre le contenu th orique dans le chapitre 6a vous pouvez vous r f rer e La pr sentation Powerpoint e Leguide du module th orique e Leguide du module pratique Outils pour les activit s pratiques e Pr sentation Powerpoint e Vid o 1
62. llent ou sont b n voles aupr s des personnes g es MA tion ES ws L Li an erie al Mo A Training Education and Culture D p ae ed Lifelo ng Leaning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 4 CONTEXTE DE L ANALYSE DE LA PERCEPTION enqu te L analyse de la perception de la sant et du bien tre des personnes g es a t men e sur 1200 personnes de plus de 55 ans Le questionnaire envoy comportait des questions pour obtenir des donn es sociales et d mographiques ainsi que des donn es sur le mode de vie y compris la consommation d alcool l usage des m dicaments les habitudes alimentaires le tabagisme l activit physique et la propre perception par les personnes de leur bien tre motionnel Il y a une grande diversit des caract ristiques de personnes interrog es dans les quatre pays La r partition selon l ge et le niveau d enseignement varie norm ment et elle est int gr e dans l ensemble des variables examin es Ces diff rences sont dues au fait que les populations tudi es sont structurellement diff rentes tudiants de l Universit permanente de Alicante en Espagne patients usagers d un district en Netherlands Spain particulier pour la V n tie en Italie E 55 64 ans E 65 74 ans participants a une tude longitudinale de ne Plus de 85 ans l Universit d Amsterdam en Hollande et u
63. long Learning Programme Pa A yi Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 75 80 des cas le professionnel de sant ne devrait pas bl mer le patient mais plut t les soutenir en utilisant a nouveau l chelle de decicion e Dans l aide apport e a une personne pour l arr t du tabac il est important que le professionnel de sant dispose d un cadre ouvert et d un esprit positif et qu il adopte le langage du changement usage de questions ouvertes de r fl xion de synth se de confirmation et utilisation d affirmations de motivation Le test dit de Fagerstr m est particuli rement utile pour d couvrir la d pendance la nicotine et le questionnaire de motivation est utile pour valuer la motivation au changement Quels ojectifs fixer Quelques suggestions SMART respiration diaphragme la exercices de r sistance respiratoire PEP Mask et les techniques de distraction pour arr ter de penser la cigarette D autres interventions peuvent tre effectu es par les diff rents professionnels de sant pour aider les fumeurs g s selon que le patient est facile conseil minimal auto m dication cours pour l arr t du tabac risques multiples cours pour arr ter de fumer prescription de m dicaments th rapie comportementale ou gravement malades polyth rapie th rapie du comportement Groupe d activit interview de motivation Groupes de 10 pers
64. nction across the lifespan Psychoneuroendocrinology 30 3 225 242 2005 Carskadon M A Brown E D Dement WC Sleep fragmentation in the elderly relationship to daytime sleep tendency Neurobiol Aging 321 7 1982 Soler A 2008 Una perspectiva psicosociobiol gica aplicada a la Geriatr a preventiva salud calidad de vida y edad biol gica Doctoral Thesis 455 493 Greene G 2008 Review of Insomniac N Engl J Med 359 13 1412 13 September 2008 CONSOMMATION DE MEDICAMENTS Consejo General de Colegios Oficiales de Farmac uticos EL MEDICAMENTO Con zcalo GU A PARA EL FARMAC UTICO TEXTO BASE DEL PROGRAMA DE EDUCACI N SOBRE EL MEDICAMENTO Ministerio de Sanidad y Consumo EL ABECEDARIO DE LOS MEDICAMENTOS Noviembre de 2003 Formaci n en Promoci n y Educaci n para la Salud disponible en http www msc es profesionales saludPublica prevPromocion promocion formacion formacionGrados htm FORO DE ATENCI N FARMAC UTICA DOCUMENTO DE CONSENSO January 2008 Generalitat Valenciana Conselleria de Sanitat Cons ltenos Informaci n sobre su medicaci n November 2008 ALIMENTATION Le guide nutrition a partir de 55 ans Collection La sant vient en mangeant et en bougeant publi par l INPES grand public http www inpes sante fr CFESBases catalogue detaildoc asp numfiche 932 Le guide nutrition partir de 55 ans Collection La sant vient en mangeant et en bougeant publi par l INPES pour les professio
65. nels de soins de sant et de services sociaux afin de les aider communiquer directement avec les personnes g es Il s agit donc d une bo te a outils de formation reposant sur cing grands domaines th matiques l alimentation et la nutrition l utilisation des m dicaments les activit s physiques et les d pendances quotidiennes tabagisme consommation d alcool et autres facteurs de risque et la sant motionnelle Dans le cadre des activit s du projet une session de formation a t labor e Elle est destin e Responsabiliser les personnes g es et les aider faire des choix clair s dans les domaines de la sant et d un mode de vie saine D velopper et communiquer des messages clairs et simples sur les aliments et les modes de vie saines LE GROUPE CIBLE qui voulons nous toucher Afin de responsabiliser les personnes g es le projet EHLE a pour objectif de travailler principalement avec des professionnels de sant m decins g n ralistes infirmi res pharmaciens mais aussi avec des professionnels de services sociaux et des b n voles qui travaillent quotidiennement avec les personnes g es Ils sont donc les destinataires de ce kit de formation professionnelle que le projet vise cr er Education x and Le Training EUM Y AS Le Education and Culture DG gt A a m x M Lifelong Learning Programme m Aa AN Empowering Health Learning for Elderly EHLE Se
66. ng Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude l instructeur centr s sur les contenus p dagogiques le style du n gociateur la p dagogie est caract ris e par une r partition des pouvoirs entre le formateur et les participants le style de l animateur le formateur porte une attention aux besoins des l ves et les aide apprendre et enfin le style de l expert conseil dans ce cas le formateur a une action passive et est enti rement au service des participants pour leur offrir des conseils sur toute question p dagogique A chaque style correspond une situation existante et le formateur efficace est capable de changer le style en fonction des exigences sp cifiques du moment de la formation coute Les participants ne sont pas des spectateurs passifs Ils doivent assumer un r le actif dans leur propre processus d apprentissage Ici nous nous r f rons l importance d couter et comment on peut doit couter et comment il est possible d am liorer cette capacit Dans toute situation les participants des actions de formation pensent des probl mes qu ils souhaiteraient r soudre et qui par cons quent les am nent poser des questions Les questions ne repr sentent pas seulement une demande d information par un participant mais sont des indicateurs du processus de formation e Toutes les questions sont int ressantes et doivent tre trait
67. nicotine patch in helpin people stop smoking Results of randomised trial in general practice BMJ 1993 306 1304 1308 EDWARS G ARIF HODGSON R 1982 Nomenclatura et classification des problemes li s la consommation de drogue et alcool M morandum OMS Bulletin de l Organisation Mondiale de la Sant 1982 60 499 520 FAGERSTROM KO 1994 Measuring degree of physucal dependence to tobacco smoking with referente to individualitation of treatment Addict Behav 1994 3 235 241 KENFORD SL FIORE MC JERENBY DE SMITH SS WETTER D BAKER TB 1994 Predicting Smoking Cessation Who will quit with and without the nicotine path JAMA 1994 271 589 594 MORROW J D FREI B LONGMIRE A W GAZIANO J M LYNCH S M SHYR Y STRAUSS W E OATES J A ROBERTS J 1995 Increase in circulating products of lipid peroxidation F2 Isoprostanes in smokers Smoking as a cause of oxidative damage The New England Journal of Medicine Vol 332 1198 1203 n218 May 4 PETO R LOPEZ AD BOREHAM J THUN M HEALTH C 992 Mortality from tobacco in devoloped countries indirect estimation from national vital statistics Lancet 1992 339 1268 1278 RAW M 1993 Smoking module In Helping People Change Health Educati n Authority 1993 RICHMON RL KEHOE LA WEBSTER IW 1993 Multivariate models for predicting abstention folowing intervention to stop smoking by general practitioners Addiction 1993 88 1127 1135 RUSSELL MAH STAPLETON JA FEYER
68. niors actifs adoptez la saine habitude LE PARTENARIAT les partenaires du projet EHLE Le projet r unit quatre pays partenaires France Italie Espagne et Pays Bas v Le gouvernement r gional de la V n tie ULSS 16 Unit locale sanitaire et social Padoue Italie v L Union nationale des centres communaux d action sociale UNCCAS Paris France v L universit permanente d Alicante Alicante Espagne v Le centre m dical de l universit d Amsterdam Amsterdam Pays bas n n S e gt gt n E ETE al Mo A Traini E e Education and Culture Del gt er Fora i Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 3 ACTIVITES ANALYSE DES PERCEPTIONS La premiere activit du projet l analyse de la perception a t men e dans les quatre pays europ ens impliqu s dans le projet Elle r vele les caract ristiques socio d mographiques et de sant par le biais d un questionnaire envoy a 1200 personnes g es de 65 ans et plus dans le District 1 de l ULSS PCT 16 de la V n tie les seniors g s de 55 ans ou plus l Universit d Alicante en Espagne les plus de 65 ans b n ficiaires de services sociaux et de sant de l UNCCAS en France et en Hollande les personnes g es qui participaient d ja a une tude longitudinale de l Universit d Amsterdam PROGRAMME DE FORMATION Sur la base des r sul
69. nnels 54 Ma tion ES ze L Li an T erie al Mo A Training Education and Culture Det gt a ys Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude http www inpes sante fr CFESBases catalogue detaildoc asp numfiche 959 Le guide nutrition pour les aidants des personnes g es Collection La sant vient en mangeant et en bougeant publi par l INPES pour les aidants http www inpes sante fr CFESBases catalogue detaildoc asp numfiche 941 Le guide nutrition pour les aidants des personnes g es Collection La sant vient en mangeant et en bougeant publi par l INPES pour les professionnels de sant http www inpes sante fr CFESBases catalogue detaildoc asp numfiche 959 Programme National Nutrition Sant http www mangerbouger fr MASORO E J YU B P BERTRAND H A 1982 Action of food restriction in delaying the aging process Proc Natl Acad Sci USA Vol 79 4239 4241 HARRISON D E ARCHER J R ASTLE C M 1984 Effects of food restriction on aging separation of food intake and adiposity Proc Natl Acad Sci USA Vol 81 No 6 1835 1838 DIMAURO S SPALLINA G LEOTTA C GIARDINA M DIFAZIO l MALAGUARNERA M DISTEFANO A 1998 The effects of caloric restriction and controlled physical exercise on hypertension in the elderly Archives of Gerontology and Geriatrics 27 1 8 HAN S N MEYDANI M WU D BENDER B S
70. onnes 3 fois 10 minutes 10 10 10 minutes 1 leader par groupe pharmacien docteur infirmi re ou autre expert Supports p dgaogiques Dans chaque groupe deux personnes ont choisi de faire un dialogue entre le m decin et la personne fumeur la fin de l interview le reste du groupe commente les tapes la progression et la conclusion qu ils ont entendu guid s par le chef de groupe 10 minutes Ils discutent ensuite les prochaines tapes possibles par exemple planifier une visite de suivi et comment ces prochaines tapes peuvent tre planifi es avec le patient 10 mins La brochure Avec les ann es l apprends mieux respirer est alors remise Elle explique les diff rentes techniques pour soutenir les patients dans l arr t du tabac et les participants discute alors du contenu 10 mins f Activit s physiques chez les personnes g es Objectifs Am liorer la sensibilisation sur l am lioration de la qulit de vie par la pratique d une activit physique r guliere qui contribue galement pr venir de futures maladies Fournir des outils qui contribuent a renforcer l activit et promouvoir une activit physique s curitaire pour les personnes g es et les malades chroniques 36 Education And Education and Culture Del Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Outils Presentation powerpoin
71. ook of the Psychology of Ageing New York Academic Press Lawton M P 1977 The impact of environment and aging behavior In J E Birren amp K W Schaie Eds Handbook of the Psychology of ageing New York Van Norstrand Reinhold Moos R H amp Lemke S 1985 Specialized living environments for older people In J E Birren amp K W Schaie eds Handbook of Psychology of Ageing 2nd Edition New York Van Norstrand Reinhold Smits C H Deeg D M amp Schmand B 1999 Cognitive functioning and health as determinants of mortality in an older population American J Epidemiology 150 9 978 86 Fern ndez Ballesteros R amp Calero M D 1995 Training effects on intelligence of older persons Archives of Gerontology and Geriatrics 20 pp 135 148 Edelstein B 2000 Clinical Geropsychology Clinical Psychology Review 20 681 683 Kandel E R Schwartz J H amp Jessell Eds 2000 Principles of Neural Science 4th Edition New York McGraw Hill SOMMEIL ET REPOS Montes Rodr guez C M Rueda Orozco P E Arteaga Ur as E Aguilar Roblero R Prospero Garc a O De la restauraci n neuronal a la reorganizaci n de los circuitos neuronales una aproximaci n a las funciones del sue o Revista de neurolog a ISSN 0210 0010 Vol 43 No 7 pp 409 415 2006 Maldonado E F Carranque G C Med Psicosom No 69 70 pp 9 13 2004 Lupien S Fiocco A Wan N et al Stress Hormones and Human Memory Fu
72. r C est parce qu elles souffrent souvent de d pression masqu e ou sous jacentes que l expression ou la verbalsation de leurs probl mes est rendue plus difficile certains estiment m me cela honteux Pour cette raison les professionnels de soins ou de services sociaux ont besoin de rechercher un point de contact qui leur permet de parler par exemple en utilisant des Questions neutres de cadrage au sujet de leur famille les enfants etc ces questions semblent neutres mais sont en fait un moyen utile pour arriver l information d sir e La relation entre la personne g e sa famille et les professionnels de la sant et des services sociaux est une partie fondamentale de toute strat gie de r ussite Nous devons aussi nous souvenir que la r sistance au changement est un aspect physiologique de l tre humain chacun d entre nous d termine une strat gie efficace pour la gestion de sa vie quotidienne et que cela et son cort ge d effets n gatifs est plus fort chez une personne g e Comment motiver le changement de comportement Une approche r ussie est ax e sur l autonomisation qui visent donner le pouvoir l individu sur sa propre vie Les professionnels de sant ou de services sociaux doivent suivre les tapes suivantes menant au changement 1 conna tre et de comprendre le probl me et trouver des ressources pour y faire face 2 aider la personne changer les comportements pertinents et vivre avec les cons quen
73. re en place certaines strat gies sp cifiques Le langage doit tre adapt celui qui coute mais pas n cessairement simplifi S il est n cessaire d utiliser un langage technique n oubliez pas de l utiliser dans son contexte et de toujours demander En avez vous d j entendu parler Savez vous ce que cela signifie Lorsque vous communiquez avec une personne g e il est n cessaire de prendre en consid ration que tout ce que vous dites aura un effet sur ses proches mais peut tre aussi une aide ou un obstacle dans la r alisation des objectifs fix s L attitude gagnante est celle de la communication professionnelle des connaissances plut t que de la communication spontan e dans le sens d automatique Si vous pouvez imaginer une cam ra vid o qui montre votre interaction avec la personne g e nous pouvons voir que la communication spontann e prend pour acquis que la personne qui nous parlons a compris Cela ouvre la voie des malentendus des insinuations une mauvaise interpr tation et une baisse g n rale du niveau de la communication La communication professionnelle est caract ris e par la pr sence d objectifs clairs r alisables 23 Education p X ae and 1 i a Training ares A A E unte Education and Culture HL A Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Dans la transmission des informations on doit tenir compte du
74. re ou un autre expert Supports p dagogiques L objectif du travail de groupe est de se rappeler les aliments consomm s au cours des dernieres 24 heures et de d couvrir les opinions des autres concernant les habitudes alimentaires Les Fig 10 Agenda Sant participants sont divis s en groupes multidisciplinaires et invit s remplir le tableau Fig 10 avec leur consommation de nourriture pour la journ e pr c dente 10 min Par pair les participants changent alors leurs tableaux et chacun exprime son opinion sur la quantit et le type d aliments consomm s 10 min la fin en session pl ni re chaque groupe commente un tableau sur l alimentation de leur groupe soulignant les bonnes habitudes alimentaires et les mauvaises 10 min 31 EE p L x it an w Traini AX PTS M Education and Culture Du ae a Pu Lifelong Learning Programme x A Ay nm Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude d Utilisation des m dicaments chez les personnes g es Objectifs Accro tre le niveau de connaissances concernant les risques li s la polyth rapie et au mauvais usage des m dicaments Le pharmacien est un professionnel qui sert la sant du patient disponible pour r pondre des questions ou pour dissiper tout doute sur les m dicaments que le patient prend Outils Pr sentation po
75. rogramme d apprentissage tout au long de la vie de la Commission europ enne Ce manuel est destin toutes celles et ceux actifs dans le domaine sanitaire et social qui durant leur travail entrent en contact et interagissent avec des personnes g es afin de favoriser leur bonne sant et bien tre social Parmi eux sont donc incluent les m decins les pharmaciens les th rapeutes en r ducation les di t ticiens et nutritionnistes psychologues travailleurs sociaux aides domicile personnes exer ant des soins de sant domicile ou en institution etc Nous ne voudrions pas exclure les b n voles les travailleurs des organisations sans but lucratif ou les formateurs impliqu s dans la formation formelle et informelle des adultes et les personnes g es Le pr sent dossier de formation leur est d di La mallette de formation est con ue pour tre un instrument multim dia flexible dans la communication pour la sant et pour des messages de vie saine dans le cadre d un apprentissage continu en s appuyant sur la capacit inn e des individus apprendre tout au long de la vie de facons diverses et avec des effets diff rents L ducation est un puissant moyen de promotion sociale un outil indispensable dans la promotion de la sant et dans la recherche d une qualit de vie dont la valeur a t confirm e par de nombreuses tudes Nous tenons remercier tous les partenaires du projet pour leur contribution La r
76. s e Pr sentations multim dia e Tryptiques et affiches e Mat riel d enseignement interactif e learning 47 Education uo x A i MN Training il y E ai x x _ Education and Culture Dr y Ri and Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 9 CONCLUSIONS Promotion de la sant comme vecteur de promotion sociale des personnes g es la perspective de l UNCASS En mati re de sant publique il est connu qu en g n ral plus le statut social d une personne est lev meilleure est sa sant En mati re de sant publique il est galement connu que la promotion de la sant de l ducation et de l information am liore non seulement l tat de sant mais aussi le statut social de la population cible De la m me mani re que la scolarisation et l ducation formelle favorise le bien tre social et la r ussite d une personne l ducation sanitaire et sociale pousse vers de meilleurs niveaux de qualit de vie de la personne cible ou du groupe cible de l intervention cf tude de Whitehall men e en Angleterre Participation des initiatives en ducation pour la sant comme moyen de promouvoir la sant motionnelle la contribution de l Universit d Alicante La recherche m dicale fournit de plus en plus de d couvertes sur la relation existant entre le corps et l esprit Il semble que l esprit joue un r le puissant dans la sant et la qualit d
77. s Notre travail promouvoir des initiatives visant am liorer les modes de vie et les habitudes des personnes g es est donc pleinement tay par les donn es recueillies aupr s de nos citoyens g s Adopter un mode de vie sain est efficace non seulement pour r duire le risque d effets ind sirables mais aussi pour augmenter le bien tre personnel et motionnel des personnes qu elles vivent en Italie en France en Espagne ou aux Pays Bas 14 v EE ES p a t an e n E p ra Nc xq train Ee Education and Culture Dr j ame Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 5 LEPROGRAMME DE FORMATION a Cadre conceptuel L objectif du projet EHLE est de donner aux personnes g es la possibilit responsabilisation autonomisation de faire des choix clair s dans les domaines de la sant d un mode de vie et d velopper et veiller communiquer des messages clairs et simples sur l alimentation et les modes de vie sains Cet objectif est bas sur l approche responsabilisation de l usager permettre aux usagers ou dans ce projet les personnes g es d utiliser leurs propres ressources internes et leurs propres capacit s afin de prendre en main et g rer leur propre sant L approche de la responsabilisation de l usager s est d velopp e dans les ann es 1990 et a t d finie comme une intervention destin e
78. s les pays europ ens pourraient tre vit es gr ce des mesures de pr vention appropri es LE PROJET EHLE quelles sont les activit s mises en ceuvre i n alan E Ed i ane Lo Training Un Ed e a Education and Culture D p wt Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Financ dans le cadre du programme Grundtvig d apprentissage tout au long de la vie de la commission europ enne le projet EHLE Responsabilisation et apprentissage de la sant aupres des personnes ag es est le r sultat d une troite collaboration entre quatre pays europ ens Italie France Espagne et Hollande Le projet vise en particulier a Am liorer la formation des personnes qui travaillent avec les personnes g es Cr er un mod le de formation novateur valable travers toute l Europe Promouvoir la diffusion du projet au travers de productions et de la distribution du mat riel de formation Promouvoir l change de connaissances et d exp riences afin d obtenir des r sultats valables dans le domaine de l apprentissage tout au long de la vie pour les personnes g es RESULTATS ce que nous voulons r aliser Le but du projet est de d velopper un programme de formation standardis pour les quatre pays partenaires et la cr ation ventuelle d une bo te outils de formation disponibles pour tous les profession
79. s ont t en mesure d adopter cette technique pour d finir leurs propres objectifs 3 DEFINITION DU PROBLEME quel est le probl me Par exemple tabac exc s de poids faible niveau d activit physique et ainsi de suite 4 D FINITION DES OBJECTIFS REALISABLES Par exemple je tiens faire plus d activit physique au moins 30 minutes d activit physique objectif mesurable tous les jours programm 5 R FLEXION quelles sont les solutions possibles Aller la gym faire du v lo pour aller au supermarch ou au travail aller courir avec un ami et ainsi de suite 6 VALUATION DE SOLUTIONS Quels sont les avantages et les inconv nients de chaque solution Rechercher la meilleure solution aller la gym est cher le v lo pour me rendre au supermarch est possible mais pas r aliste parce que les achats sont trop volumineux aller au travail en v lo est envisageable mais pas quand il pleut etc 7 MISE EN OEUVRE LA SOLUTION e patient rentre chez lui et essaye d atteindre l objectif choisi ou message retenir 8 EVALUATION DU RESULTAT e r sultat a til t atteint Si on d couvre que les objectifs choisis sont trop difficile r aliser il est possible de les red finir Si au contraire ils taient trop faciles l effort peut tre augment par exemple en ajoutant une activit suppl mentaire par exemple courir avec un ami 21 Educatian and Tratnin E Education and Culture Du
80. s sante MO Ole essaie tino ar utis P Thr TERI IRObU EUH TUIS NU SN bU NEN MEN E E E 41 Alimentation et personnes RS de ee aa a OOD ne cea eer te 41 L usage des m dicaments chez les personnes g es sisi 42 Tabagisme et consommation d alcool chez les personnes g es 42 Activit s physiques chez les personnes AGREES essen nnne enne nnne nnns 43 PLANIFICATION ET ACCREDITATION DE LA FORMATION scsccccscscsscscccescsccscsccccscsccscsceccscees 44 Suggestions pour la planification de la formation sisi 44 Suggestions pour les formateurs qui travaillent avec des personnes g es ccccceeessceeecseeeeeeeenees 45 CONCLUSIONS P se H RR 48 OO A PI 51 Education ae x x id WO i Training TU Ea n x am Education and Culture Di Fi Ls a T e x Lifelong Learning Programme p Jig yD a y NM 553 E gt ane ER serie al Mo A Traini E e Education and Culture D de le JA Lifelong Learning Programme y Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 1 Pr face Ce manuel est un guide d utilisation du Pack de formation produit dans le cadre du projet Ehle responsabilisation et apprentissage de la sant pour personnes g es qui a t d velopp entre 2008 et 2009 par quatre pays europ ens Italie Espagne France et Hollande Il a t d velopp au sein du programme Grundtvig p
81. s souhait s Si la personne g e est toujours incapable de r pondre clairement recommencer reposer la question en termes plus simples afin de d couvrir les sympt mes L tape suivante consiste trouver des exceptions positives au probl me pr sent et celles ci doivent tre trouv es en utilisant les ressources propres de la personne g e par exemple Y at il des moments o cela ne vous arrive pas Le but est de proposer une solution qui copie les exceptions positives et d inviter la personne g e revenir et raconter ses exp riences en maintenant ainsi la motivation la promotion du dialogue et ainsi de suite Reformuler permet de simplifier l entretien de v rifier que les deux parties ont bien compris et aide cartographier le probl me vitez de poser d autres questions apr s avoir cout les premi res r ponses car il est important de synth tiser ce que vous avez entendu en utilisant les m mes termes qui vous ont t donn s par la personne g e en minimisant ainsi la r sistance au changement la personne g e aura le sentiment que la solution est en elle N oubliez pas d ajouter la phrase cl S il vous pla t corrigez moi si je me trompe pour encourager le dialogue et vous assurer que la personne se sent comprise La technique r flective est au c ur du processus d information d une personne g e aider l individu a d couvrir ses propres strat gies et solutions en utilisant son
82. sagers des services sociaux pour UNCASS en Fig 2 Distribution de l ge des interview es pour pais France Au vu de l ge il est noter qu en Hollande les 55 64 ans repr sentent pr s de 70 du total et les plus de 85 ans 0 En France en revanche les 55 64 ans repr sentent 17 et les plus g s 21 Les niveaux d ducation sont beaucoup plus lev s dans l chantillon espagnol environ 43 des personnes interrog es poss dent un dipl me les m diums en Hollande et faibles en France et en Italie o moins de 10 ont un dipl me Un autre facteur qui influe sur le mode de vie est le lieu de r sidence des personnes interrog es En Espagne et en Hollande environ 80 des personnes interrog es proviennent de villes relativement importantes gt 50 000 habitants et seulement 3 4 de villages et de zones rurales En France pr s de 25 des personnes interrog es proviennent de zones rurales moins dens ment peupl es 10 and m Training Education and Culture Det E Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude En g n ral les personnes dorment entre 6 et 8 heures par nuit m me si environ la moiti ne consid re pas leur sommeil satisfaisant La plupart ne fument pas ou ont renonc fumer m me si l Italie se distingue par un pourcentage plus lev de fumeurs actifs 1896 figure 3 L alcool est consomm avec des fr
83. t ACTIVITE PHYSIQUE CHEZ LES PERSONNES AGEES Contenu th orique Quels sont les risques Les probl mes li s une activit physique r duite sont ob sit perte de tonus musculaire diab te et vieillissement pr matur De faibles niveaux d activit physique sont caract ristiques de l poque moderne en occident ou le travail est beaucoup plus m canis et peu de personnes se d placent pied et en v lo Comment motiver au changement Le professionnel de sant devrait travailler avec le patient g changer son mode de vie Il ya de nombreux avantages avoir une vie active en particulier en termes de pr vention de maladies primaires et secondaires diab te cancer du c lon cancer du sein ost oporose chutes et fractures caries et ainsi de suite mais aussi pour g rer une maladie chronique hypertension art rielle maladies cardiaques AVC et ob sit Il existe des difficult s importantes quant la sensibilisation sur la priorit et l importance lev e de pratiquer une activit physique parmi les adultes et en particulier les personnes g es Un probl me cl dans ce domaine est un niveau g n ralement faible de motivation chez les personnes g es C est le travail du professionnel d informer et de sensibiliser l importance de l activit physique et d aider les personnes se fixer eux m mes des objectifs stables et stimulants 37 Education and Culture Du Educa
84. t de donner une r troactivit aux participants sur les travaux pratiques tre prudent avec le temps e Le programme est tr s dense il est important de tenir des conf rences dans la limite de temps de 30 minutes et de respecter l ordre correct des modules 44 Education and Education and Culture Del Lifelong Learning Programme Pa Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude b Suggestions pour les formateurs qui travaillent avec des personnes ag es Tous les formateurs doivent surtout se poser deux questions essentielles avant de commencer un processus p dagogique e Que devront faire les participants pour mettre en pratique de la meilleure fa on possible ce qu ils apprennent au travers des modules EHLE e Comment les modules de la formation EHLE peuvent ils utilis s le plus efficacement possible Nous ne devons pas valuer les caract ristiques des personnes qui assistent a la pr sentation des modules de formation EHLE Qui sont ils Sont ils vieux Quel est le vocabulaire qu ils connaissent Quelles sont leurs connaissances ant rieures Quel est leur int r t pour cette formation Comment un adulte apprend Afin de placer un adulte dans une situation de formation nous devons prendre en compte les aspects suivants e Les adultes peuvent ne pas avoir suivi de formation pendant une longue p riode des difficult s peuvent d couler du manque de
85. tats obtenus par l analyse de la perception les partenaires espagnols et n erlandais ont cr un programme de formation visant fournir de nouvelles connaissances et de nouvelles comp tences la fois th oriques et pratiques pour ceux qui travaillent avec les personnes g es Ces comp tences permettront aux professionnels de sant et de services sociaux de mieux guider et interagir avec les personnes g es en leur donnant les outils pour faire des choix nutritionnels responsables et des choix de style de vie PILOTE DE FORMATION Le syst me de formation EHLE a ensuite t test en Italie et en France durant quatre formations pilotes deux par pays L objectif g n ral de cette formation pilote tait de promouvoir des m thodes efficaces pour communiquer des messages de sant aux personnes g es Plus pr cis ment l issue de la journ e les participants avaient des preuves scientifiques pertinentes en mati re de promotion de la sant aupr s des personnes g es et avaient des techniques pour employer la m thode la plus appropri e de communication afin de promouvoir la sant dans le groupe cible BOITE A OUTIL DE LA FORMATION L ensemble du mat riel scientifique m thodologique et de communication acquis durant le projet et affin durant les tapes du projet de formation pilote font partie des outils finaux de formation Cette boite outils est concue pour donner un appui concret et pratique ceux qui travai
86. tian and Tratnin E Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude Quels objectifs Des interventions courtes ou intensives individuelles ou en groupes sp cifiques ou de grande envergure tous ces l ments peuvent varier en fonction des opportunit s et de la n cessit Il est galement important d expliquer les risques et les avantages du changement de comportement et d aider les personnes d finir des Objectifs SMART tout en acceptant que la perfection n est pas r alisable Essayez plut t de d finir des objectifs atteignables pour les personnes ag es comme par exemple de monter l escalier plut t que de prendre l ascenseur de faire le m nage seul et de se rendre pied dans les boutiques voir la pyramide des activit s propos es Le type d exercice mod r fort la fr quence la dur e et l intensit doivent tre modifi s en fonction du changement d sir am liorer la r sistance cardiovasculaire la force l quilibre et ainsi de suite Certains niveaux d exercies diff rent selon le niveau initial de la personne d butant interm diaire ou avanc Il est toujours important de faire participer la famille et les amis de la personne g e dans les strat gies de changement de comportement dans le cadre de l activit physique Il existe plusieurs outils amp ENERO EE Hogar viri ll a el epa rar PEIS popa
87. tie pr coce des systemes d ducation formelle et de la formation Les avantages de l investissement dans l ducation des adultes incluent des chances plus importantes pour des emplois professionnels et une augmentation g n rale des prestations sociales en termes d am lioration de la sant et du bien tre individuel Les recherches men es sur les personnes g es ont montr que ceux qui sont impliqu s dans des activit s d apprentissage b n ficient d une meilleure sant avec pour cons quence une Fig 1 Proportion des citoyens g s gt 65 ans dans l UE r duction de leurs d penses de sant Source European Health For All Database WHO Europe ann es 1997 2004 Il n est jamais trop tard pour apprendre En effet la possibilit d apprentissage est li e la possibilit d am liorer la qualit de vie en g n ral De meilleures informations et de meilleures opportunit s d emploi provoquent une r duction des d penses en allocations de ch mage une meilleure sant et ainsi de suite L apprentissage de modes de vie sains est un facteur cl dans la promotion de la sant et la qualit de vie des personnes g es Il est essentiel d aider les personnes g es faire de meilleurs choix en termes de nutrition et de mode de vie et communiquer des messages clairs et simples pour les aider et les garder en bonne sant Selon les donn es de l Organisation mondiale de la Sant 5096 des incapacit s dan
88. tion and Culture Del Lifelong Learning Programme Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude 8 PLANIFICATION ET ACCREDITATION DE LA FORMATION a Suggestions pour la planification de la formation Comme vous pouvez le constater la formation EHLE s articule autour de six modules alimentation saine usage de m dicaments tabagisme l activit physique la sant motionnelle communication le tout adress aux personnes g es Chaque module dure environ une heure et est divis en deux sections distinctes e Th orique 30 mn env e Activit s en groupes 30 min env La partie conf rence vise fournir aux participants des connaissances et des preuves scientifiques concernant le sujet abord alors que la seconde partie est destin e am liorer les comp tences dans la communication de ce savoir et promouvoir un changement de comportement travers des tudes de cas simulations etc Vu la densit des modules il est possible voir pr f rable de diviser la formation en deux journ es journ es divis es par module et non pas en journ es th oriques et pratiques QUELQUES REMARQUES GENERALES e Le travail de groupe est fondamental pour am liorer a la fois l attention et l implication des participants la partie pratique est indispensable pour tous les modules e l invitation revenir en session pl ni re apr s le travail de groupe est importante car cela perme
89. tres rem des L effet iceberg est tr s commun dans lequel seule une partie des rem des consomm s sont prescrits par un professionnel de la sant qui n est pas elle m me au courant de ces autres m dicaments Ces derniers peuvent causer des interactions avec le traitement d autres m dicaments Il est galement important de reconna tre qu un effet secondaire d un m dicament est souvent trait comme une maladie ind pendante et ainsi le traitement et la prescription commencent faire boule de neige Comment motiver au changement Toujours demander au patient s il prend d autres m dicaments en vente A libre ou des rem des base de plantes d informer le patient de certaines BENEFICIO RISCHIO j Ma alian ES ws x an E L c al rath Training Education and Culture Dei a ae Lifelong Learning Programme m Empowering Health Learning for Elderly EHLE Seniors actifs adoptez la saine habitude denr es alimentaires qui modifient l effet d un m dicament par exemple le pamplemousse changements sur les statines Si le patient doit prendre un m dicament lui conseiller de prendre des m dicaments bien connus qui ont un risque bien connu profil b n fice pour le patient Selon Beers certains m dicaments doivent tre totalement vit s par les personnes g es ou en association avec certaines pathologies d s qu une alternative plus s re existe ex e fluraz pam
90. ur physioth rapiste infirmi re ou autre expert Supports p dagogiques Dans les groupes les participants discutent d un cas de la vie r elle Ils leur est demand de d cider si l objet de l tude de cas est un niveau d butant interm diaire ou avanc Distinguant les facteurs de risque ils doivent alors tablir un programme d exercices adapt s aux besoins les objectifs les tapes et ainsi de suite e tude de cas A Une femme de 65 ans Elle est en bonne sant et ne prend pas de m dicament Elle a jou au volleyball r guli rement jusqu l ge de 25 ans puis a progressivement r duit son activit Au cours des 20 derni res ann es elle n a gu re pratiqu Sa motivation pour commencer pratiquer de nouveau est qu elle a remarqu une prise de poids graduelle au cours des cinq derni res ann es e tude de cas B Un homme g de 72 ans Un peu de pression art rielle qui est trait e avec des m dicaments Il a toujours pratiqu une activit sportive et il a t entra neur durant les 20 derni res ann es Il a d cid de reprendre un programme r gulier d exercices afin de mieux contr ler sa pression sanguine e tude de cas c Un homme g de 66 ans Il est en bonne sant prend seulement des hypoglyc miques oraux pour une augmentation du taux de glyc mie Il a fait de l activit agonistique dans le pass et continue encore l activit physique en alternant de la piscine 2 fois par semaine avec
91. ur l approche du changement de comportement selon laquelle il est possible d inciter une personne changer son comportement risque ou allant a l encontre d une bonne sant en intervenant trois niveaux 1 COMMUNICATION DES RISQUES li s au mode de vie augmentation ou am liroation de la compr hension du probl me par la personne 2 LA MOTIVATION changer 3 D FINITION DES OBJECTIFS SMART sp cifiques mesurables r alisables ad quats et planifi s Par exemple marcher trois fois par semaine pendant trente minutes On commence avec des objectifs court terme et on passe ensuite des objectifs plus long terme Ce qui suit est une description de certaines techniques m thodologiques qui peuvent tre utilis es pour aider ces personnes changer leurs comportements Toutes les techniques d crites ici peuvent tre adop es s par ment mais sont encore plus efficaces si elles sont utilis es comme partie d une intervention en trois phases la communication des risques la motivation et la d finition des objectifs l Comunication des risques l a t d montr que les gens sous estiment les risques de d velopper des complications graves En outre les explications quant aux risques formul es par les professionnels de sant le sont bien souvent en terme de pourcentage de personnes qui vont potentiellement d velopper des complications En cons quence de cette faible communication les patients ne sont pas en
92. ur les choses se souvenir des noms de personnes ou alors o ils avaient mis des choses mais ils oublient rarement de transmettre des messages importants ou ne se sentent pas d sorient s l ext rieur Les personnes les plus g es mentionnent ces sympt mes le plus fr quemment Afin d valuer la perception de son propre bien tre motionnel une chelle a t cr e capable de r sumer les r ponses toutes les questions dans ce domaine Cette chelle mesure le bien tre motionnel de facon cumulative par exemple se sentir utile plein de vie le d sir d apprendre et les rencontres fr quentes avec les amis et la famille En moyenne le rapport n erlandais et espagnol montre un bien tre plus important une cote de 3 12 et 3 10 points respectivement tandis que les rapports Italiens et francais montrent une moyenne de 2 75 et 2 76 Ces diff rences d o il ressort que les n erlandais et les espagnols jouissent d un bien tre sup rieur par rapport aux italiens et aux francais peut tre expliqu en partie par les diff rentes caract ristiques d age de statut social et de sant dans les diff rents groupes et pas seulement par des facteurs g ographiques ou culturels Une analyse plus approfondie qui efface les effets de ces facteurs de confusion potentiels pourrait d montrer si ces diff rences existent r ellement entre les diff rentes populations ou si elles sont le r sultat de diff rents groupes expos s 1
93. us deux tre soutenus car ce sont parmi les meilleurs pr dicteurs des r sultats th rapeutiques L individu peut tre pris en charge en insistant sur les r ussites pass es renforcement positif la pr sentation d exemples de succ s d autres personnes remodelage et l expression d une conviction que la personne peut changer Ill Traitement de r solution des problemes Le traitement de r solution de probl mes PST est la construction d une s rie d activit s concr tes pour rem dier aux probl mes La technique a t l origine d crite par D Zurilla et Godfried puis d velopp e et perfectionn e par D Zurilla et Nezu La PST peut tre d finie comme le processus comportemental auto cognitif par lequel une personne cherche des solutions efficaces adapt es sa situation sp cifique Le PST s est montr efficace avec les patients souffrant de d pression mais est potentiellement utile dans le traitement de toute maladie o le patient a de multiples probl mes dans sa vie quotidienne et n est pas s r de savoir comment se comporter face ceux ci Par exemple les patients atteints de diab te peuvent trouver le PST utile car ils en ont besoin pour faire face des probl mes nombreux et complexes Ces patients doivent tre attentifs leur 19 Educatian and Da Training MEUS i MES e Education and Culture DG 5 ei t QU yx Lifelong Learning Programme A P ES nm Empowering Health Learning for Elderly EHLE
94. viewing a systematic review and meta analysis Br J Gen Pract 55 305 312 STEVENS RJ KOTHARI V ADLER Al STRATTON IM 2001 The UKPDS risk engine a model for the risk of coronary heart disease in Type Il diabetes UKPDS 56 Clin Sci Lond 101 671 679 Erratum in Clin Sci Lond 2002 102 679 THORNETT AM MYNORS WALLIS LM 2002 Credibility of problem solving therapy and medication for the treatment of depression among primary care patients Med Sci Monit 8 CR193 CR196 VAN DER WT VAN STEENKISTE B STOFFERS HE TIMMERMANS DR GROL R 2007 Primary prevention of cardiovascular diseases in general practice mismatch between cardiovascular risk and patients risk perceptions Med Decis Making 27 754 761 VAN STEENKISTE B VAN DER WT STOFFERS HE KESTER AD TIMMERMANS DR GROL R 2007 Improving cardiovascular risk management a randomized controlled trial on the effect of a decision support tool for patients and physicians Eur J Cardiovasc Prev Rehabil 14 44 50 VAN STEENKISTE B VAN DER WT TIMMERMANS D VAES J STOFFERS J GROL R 2004 Patients ideas fears and expectations of their coronary risk barriers for primary prevention Patient Educ Couns 55 301 307 WEINMAN J PETRIE KJ 1997 Perceptions of health and illness In Perceptions of health and illness Edited by Petrie KJ Weinman J Amsterdam Harwood Academic Publisher 1 17 WOLOSHIN S SCHWARTZ LM WELCH HG 2007 The effectiveness of a primer to help peopl
95. werpoints MEDICAMENTS ET PERSONNES AGEES Contenu th orique Quels risques Le paradoxe des m dicaments ils sont la fois rem de et poison Polyth rapie et utilisation de m dicaments inappropri s peuvent provoquer de graves r actions ind sirables particuli rement chez les personnes g es Ces r actions sont la cinqui me cause de d c s chez les patients admis l h pital et il est calcul que plus des 2 3 de ces cas sont pr visibles et vitables Le vieillissement entra ne des changements physiologiques importants en ayant un impact sur les effets des m dicaments la r duction de la fonction gastrique d importants changements dans le fonctionnement du foie modifications du nombre des h patocytes et la production d albumine r duit et des reins r duction du nombre de glom rules et d bit sanguin r duit Malgr le fait que les personnes g es sont les principales utilisatrices de m dicaments la population des personnes g es est syst matiquement exclue des essais cliniques Cela explique en partie pourquoi la connaissance des effets ind sirables potentiels des nouveaux m dicaments sur les personnes g es est si rare La polyth rapie chronique consommation de plusieurs m dicaments en m me temps est une tendance croissante parmi les personnes g es et est essentiellement due la pr sence de plus d une pathologie et ou l utilisation g n ralis e des cours des m dicaments et au

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