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2ème phase : mise en place - Bibliothèques de l`Université de

1. 204 le nombre de jours de pr sence d un salari par an ce qui correspond environ 29 semaines J ai donc multipli par 29 les valeurs aller retour afin d obtenir le nombre de kilom tres parcourus sur un an pour chaque salari La derni re tape a consist r aliser la moyenne des kilom tres aller retour parcourus pour un v hicule de fonction par an J ai obtenu la valeur de 25528 6 kilom tres par an et par v hicule de fonction Tableau 16 Les consommations lors des d placements domicile travail des salari s poss dant une voiture de fonction ont t valu es via les factures des cartes Total Chaque voiture de fonction se voit attitrer une carte Total permettant de faire le plein de carburant et chaque carte a un num ro sp cifique J ai pu donc via les factures de ces cartes reporter et cumuler les diff rentes consommations ce qui m a permis d obtenir la valeur de 43775 61 litres sur l ann e 2013 Tableau 16 Pour les d placements des salari s ne poss dant pas de v hicule de fonction il est plus difficile voire impossible de collecter des donn es M me des estimations n ont pas t suffisantes pour d terminer ces donn es vu le nombre trop important de salari De ce fait faute de donn es disponibles ces d placements ont donc t n glig s pour ce Bilan Carbone 1 6 Les d chets L objectif de ce poste est de quantifier les missions indirectes de GES engendr es par l
2. 11 2 Urgences 18 Pompiers 2 ET DITES ICI CHANTIER DE LGV EST EUROPEENNE PHASE 2 ACCES o LID DE RENDEZ MORE pote 3 INFORMER SUR La nature de la pollution fuite hydraulique casse de r seau incendie explosion L importance en volume d bit La zone concern e proximit de rivi re ZNIEFF Q S il y a n cessit de d blayer ou pomper des fluides 4 PR VENIR LE SUP RIEUR HI RARCHIQUE et LE RESPONSABLE QSE 5 PR VENIR LES RIVERAINS si n cessaire 6 VACUER LES MAT RIAUX Purger la zone pollu e Stocker les mat riaux sur une aire tanche en attendant la d pollution 7 OUVRIR UNE FICHE DE NON CONFORMITE Application de la proc dure de Traitement des non conformit s 44 Annexe 3 Fiche technique Oil Sponge vert HALECO Mise jour le 21 10 2009 OIL SPONGE VERT Traitement des d versements d hydrocarbures R f 003 627 73 018 201 91 UTILISATION TANEET DEE O ONO des micro organismes qu il contient Peut tre utilis comme traitement de sol pour d polluer des surfaces contamin es par des hydrocarbures et obtenir dans certains cas la fili re DIB par bioaugmentation DONNEES TECHNIQUES Caract ristiques Conditionnement sacs de 13 5 Kg d une contenance de 25 L Fibres de coton recycl es sous forme de poudre lourde Contient des bact nes classe 1 s lectionn es pour d grader les hydrocarbures re eg ia Jour Absorbe les hydr
3. Nature du sol Nature du site aquatique Niveau d intervention _ Niveau 2 Incendie Description de l intervention Description de l intervention Description de l intervention R alis e le R alis e le R alis e le Responsable du traitement Responsable du traitement Responsable du traitement Nom Visa Nom Visa Nom Visa Contr le du traitement Date du Contr le Contr le satisfaisant Contr le non satisfaisant Observation s ventuelle s s contr le non satisfaisant Nom Pr nom Visa Lev e de la fiche pollution Approbation de l metteur Approbation de la MOEI Nom Nom Date Date Cout de la pollution Chiffrage en Action corrective Ouverture d une FAC non oui Num ro Date 47 Resume Afin de r pondre la l gislation ETF acteur de premier plan l chelle mondiale dans le domaine ferroviaire a entreprit la r alisation de son Bilan Carbone sur la phase production de son projet LGV EE Est 2 phase qui repr sente 106 km de ligne nouvelle grande vitesse reliant Baudrecourt Vendenheim Ce m moire pr sente la d marche ainsi que les r sultats de la phase de collecte de donn es qui serviront au calcul des missions de gaz effet de serre de ce projet La finalit sera de mettre en place un plan d actions visant la r duction de ces missions La politique environnementale d ETF affirme
4. donn es moyenn s se sont vues attribu es un code couleur dans l ensemble des tableaux fournis Ecoact qui est report dans la page L gende de l outil En ce qui concerne la quantification de la consommation de combustible cela se base sur la quantification des litres d bit s lors des pleins des engins Le plein des engins de chantier peut se r aliser de 2 fa ons Y En ligne un camion citerne approvisionne directement sur le chantier les engins v Ala base travaux situ R ding les engins font le plein via une cuve de gasoil Dans le premier cas il n existe aucune tra abilit des diff rents pleins effectu s le long de la ligne en construction On ne peut donc pas savoir le nombre de litres d livr s pour les diff rents engins Dans le second cas lorsqu un plein est r alis partir de la cuve celui ci est automatiquement enregistr au niveau informatique via un syst me de jeton chaque machine poss de un num ro de jeton ce qui permet la tra abilit ainsi que le suivi de la consommation des engins de chantier La consommation que j ai donc calcul pour les diff rents engins de chantier ne tiens donc compte que des pleins r alis la base travaux et non des pleins dit en ligne Les donn es concernant le kilom trage parcouru et la consommation qui d coulent de la mise en place des mat riaux de l activit cat naire Tableau 11 pose de traverse Tableau 12 pose d appareils de voie Ta
5. tablir la n cessit ou non d un traitement suppl mentaire la tra abilit L action cl qui transcrit cette notion de tra abilit est l dition d une fiche pollution Annexe 5 Une fiche pollution est dit e afin de permettre l enregistrement des diff rentes informations la caract risant Cette fiche renseigne sur la date le lieu la nature du polluant l origine le niveau d intervention le contr le du traitement On retrouve galement des photos illustrant les propos cit s Lorsqu une fiche pollution est dit e on parle alors de pollution ouverte Au contraire on parle de pollution ferm e lorsque que celle ci n est plus visible tache d hydrocarbure estomp e par exemple et ne pr sente plus aucun risque pour l environnement On peut alors ce moment d cider de lever la pollution ce qui impose l approbation via signature de l metteur de la fiche le responsable environnement ainsi que de la MOEI Toujours dans un souci de tra abilit l ensemble des fiches pollutions sont enregistr es sur le r seau de l entreprise ainsi que sur le journal de chantier et sont galement regroup es sur un r pertoire des pollutions permettant de chiffrer le taux de fermeture de celles ci Le journal de chantier permet d avoir un suivi journalier de toutes les phases de construction ainsi que de tous les al as qui peuvent arriver Ce dernier permet la MOA et la MOEI d avoir une vue d ensemble de l avancement et des
6. 1484 bigrue Pelle rail route UNAC 315 56 1484 632 52 632 52 Pelle rail route DAEWOO 56 1484 632 52 140 Chargeur 2 56 1484 632 5 Portique de 56 1484 632 52 pose x4 camion pour transfert sur 200 500 300 100 voie Tableau 14 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la mise en place des mat riaux n cessaires la pose des appareils de voie du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2015 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2015 Semestre 1 2015 Wagon pousseur x1 Locomotive x3 48798 75 21617 76 16266 25 2757 4485 Lib rati Groupe mes e lectrog ne corporation LCL AM x3 de Rens 32532 5 14411 84 E loco x2 26 ter Jajenb 97 Tableau 15 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la mise en place des mat riaux n cessaires au ballastage du 2 semestre 2013 au 2 me semestre 2015 S2 2013 Semestre 2 2013 S2 2015 Semestre 2 2015 Code couleur rose valeurs compl ter au fil des semestres code couleur kaki informations non obtenues Auto ballasteur wagon 16 22 train Bourreuse R galeuse x4 4800 pour 1 bourreuse 4800 pour 1 r galeuse n n 7200 pour 1 7200 pour 1 l 14902 pour 4 15500 pour 5 bourreuse bourreuse bourreuses bourreuses Stabilisation 4800 7200 pour 1 7200 pour 1 8589 pour 2 19451 pour 4 r galeuse r galeuse r g r g 7200 7200 325
7. E A Y N 14 10 9 9 9 9 7 7 gt O CC NN w ES i r RS Figure 5 Evolution du nombre de fiches pollutions enregistr es et cl tur es en fonction du temps Re m Nombre de fiches pollutions enregistr es Nombre de fiches pollutions cl tur es 191 Z 120 102 100 80 NB Pollutions mensuelles 60 6 NB pollutions cumul es Cible th orique so des pollutions cumul es Cible des pollutions mensuelles conononos Tendance NB pollutions cumul es 0 e SN X Figure 6 Evolution des pollutions en fonction de l avancement du projet sur la p riode du 01 janvier 2013 au 31 juillet 2014 W Main d uvre Machine Mat riels Mat riaux M thodes W Milieu Figure 7 R partition des pollutions en fonction de leur origine sur la p riode du 31 Juillet 2012 au 31 Juillet 2014 32 quater Par exemple une pollution plus de chance de survenir via l utilisation d engins de chantier que lors d une erreur humaine ou lors d une forte chaleur Malgr le fait que ces pourcentages de r partition des pollutions soient difficilement comparables elles permettent d en tirer une tendance et d aiguiller la mise en place d actions en aval Dans ce cas il serait bon d orienter les actions de pr ventions vers les machines r aliser un entretien plus r gulier rapprocher la v rification des flexibles 2 4 R partition en fonction du type d activit Il est int ressant d tabl
8. Tableau 17 La consommation en eau de la base vie obtenue via les factures est de 250 000 litres pour le 2 semestre 2013 et de 217 000 pour le 1 semestre 2014 Tableau 17 La consommation en lectricit de la base vie obtenue via les factures est de 289 057 KWh pour le 2 semestre 2013 et de 237 055 KWh de janvier 2014 avril 2014 Tableau 17 1 5 D placement du personnel L objectif de ce poste est de quantifier les missions indirectes de GES li es au transport du personnel lors des d placements r alis s avec des v hicules appartenant l Entit v hicule de fonction ou des v hicules personnels Les d placements des salari s sont g n ralement responsables d une partie non n gligeable des missions de GES des entreprises Ceci est encore moins n gligeable dans le cas du Bilan carbone LGV Est europ enne 2 phase En effet la majorit des salari s rattach e a ce projet ne sont pas domicili s aux alentours de celui ci et sont donc b n ficiaire d IGD Indemnit de Grand D placement De ce fait ils sont g n ralement oblig s de loger sur place et de parcourir de nombreux kilom tres pour regagner leur domicile le weekend Nous nous int resserons uniquement ce dernier trajet En effet le nombre de kilom tres est largement sup rieur et de ce fait l impact en termes d missions de GES ce qui rend n gligeable le trajet entre leur logement sur place et R ding Les missions de GES atte
9. Voie Cat naire Base Travaux Les situations d urgences sont donc g r es par le POI Celui ci identifie les moyens et m thodes mettre en place en cas de pollution Le POI d finit les mesures d organisations les m thodes d intervention et les moyens n cessaires que l exploitant doit mettre en uvre pour prot ger l environnement ll couvre toutes les activit s principales identifi es du groupement et celles connexes et entrant dans la conception de l ouvrage Cela concerne les travaux et l exploitation de la base travaux de R ding les bases secondaires et les travaux de la LN Ligne Nouvelle c est dire les travaux de la voie et de la cat naire Les pollutions identifi es lors du projet LGV Est europ enne 2 phase sont les suivantes Y D versement d hydrocarbures sur le sol N1 pollution dite maitrisable Y D versement d hydrocarbures dans l eau N2 pollution dite non maitrisable Pour chacune d elle une fiche d intervention est tablie et d finit la d marche suivre imm diatement apr s la d tection de la pollution Annexes 1 et 2 Figure 4 2 1 Moyens d information Dans le cadre de la formation de base tout nouvel arrivant sur le chantier se voit dispenser d une formation d accueil environnement lors de laquelle il se verra remettre un livret d accueil r capitulatif Tout au long du d roulement du chantier l entreprise a pour r le de mettre en place des actions de sensibi
10. calcul partir d autres donn es et la m thode bilan carbone a pr cis ment t mise au point pour permettre de proc der de la sorte dans un laps de temps raisonnable Inspir des lignes directrices de la norme ISO 14 064 et du GHC Protocol cette m thode doit permettre d obtenir facilement une valuation pertinente des missions de GES d une entit d termin e Au del de l valuation elle pourra initier une strat gie de r duction de l impact des GES notamment par l laboration d un plan de r duction Les chiffres qui permettent de convertir les donn es observables dans l entit en missions de GES exprim es en quivalent carbone sont appel s des facteurs d mission Comme l essentiel de la d marche est bas sur des facteurs d mission moyens cette m thode a pour vocation premi re de fournir des ordres de grandeur Cela n emp chera pas cependant d en tirer des conclusions pratiques si l on souhaite passer l action car bien souvent quelques postes faciles estimer seront pr pond rants dans le total des missions ADEME 2005 1 1 Champ d tude du bilan carbone LGV Est europ enne 2 phase 1 1 1 P rim tre temporel Le p rim tre temporel du bilan carbone LGV Est europ enne 2 phase s tend du deuxi me semestre de l ann e 2013 au premier semestre de l ann e 2015 p riode de r alisation de la phase de construction du projet Cette p riode est variable pour chaque
11. ce fait le nombre de kilom tres entre le lieu de collecte et le lieu de traitement sera d pendant du type de d chet trait Ces valeurs et les diff rentes fili res de traitement sont pr sent es dans le tableau correspondant Tableau 18 2 Suivi des pollutions sur le projet LGV Est europ enne 2 phase Apr s chaque enregistrement d une pollution via l dition de ce que l on appelle une fiche pollution les informations la caract risant sont directement report es dans un fichier qui se nomme R pertoire d enregistrement des fiches pollutions Ce r pertoire renseigne sur diverses informations num ro de fiche date d ouverture niveau d intervention secteur description de la pollution origine activit et cat gorie d engins en causes date de cl ture et permet donc d avoir une vision globale de l ensemble des pollutions survenues depuis le d but du projet De plus un code couleur permet de visualiser si la pollution est dite ouverte ou ferm e 2 1 Taux de cl ture des fiches pollutions Le r pertoire permet de calculer le taux de cl ture des fiches pollutions Ce taux conc de une vision de l avancement du suivi des pollutions et de ce fait est donc tres important En effet il est garant de la mise en place d une notion de tra abilit Le taux de cl ture exprim en pourcentage correspond au nombre de pollutions cl tur es par rapport au nombre de pollutions ouvertes depuis le d but du
12. dans de nombreux pays dans le monde v Cat naires l agence Cat naire et Energie est sp cialis e dans la conception les tudes de r alisation et la pose de lignes de traction lectrique pour tous les types de transport ferroviaires Elle r alise galement la maintenance ou la r paration des syst mes sur le r seau ferr national et international Y ETF Services ETF Services assure la s curit ferroviaire sur les chantiers de construction et de maintenance et est charg e de maintenir une parfaite coordination entre les trains travaux circulant sur les voies et les acteurs humains du chantier 2 Le projet LGV Est europ enne 2 phase Le projet de la LGV Est Europ enne est un projet complet de 406 kilom tres de ligne nouvelle grande vitesse reliant Paris Vendenheim en une heure et cinquante minutes La premi re phase s tant arr t e en 2006 a Baudrecourt pres de Nancy ETF a t mandat pour r aliser la seconde phase qui consiste relier Baudrecourt Vendenheim Figure 1 Cela repr sente 106 kilom tres de plateforme dont un tunnel de 4 kilom tres de long et 16 kilom tres de raccordement 3 La politique environnementale 2013 2015 d ETF Les probl mes d environnement prennent une grande dimension ces derni res ann es Conscient de l enjeu majeur que constitue la pr servation de l environnement dans une soci t ainsi que vis vis de leurs clients visible travers de plus en
13. de construction De m me pour la courbe du nombre cumul de pollutions r elles et th oriques on remarque que celles ci sont loin d tre superposables En effet il y a jusqu un facteur de 5 36 en juillet 2014 de diff rences entre les valeurs des deux courbes ce qui transcrit bien le non respect de l objectif Figure 6 Cet cart si important met en doute l objectivit de l indicateur propos d une unique pollution par mois pour un projet si important 2 3 R partition des pollutions en fonction de la cat gorie d origine Dans l optique de mettre en avant des leviers de r flexion quant aux actions visant r duire les pollutions on peut s int resser la r partition en pourcentage des pollutions en fonction de leur origine D apr s le graphique sur la p riode du 31 juillet 2012 au 31 juillet 2014 on voit qu avec 80 ce sont les machines qui sont responsables de la majorit des pollutions Figure 7 Vient ensuite les m thodes de travail employ es avec 12 suivit de la main d uvre erreur humaine avec 5 puis le milieu par exemple les fortes chaleurs peuvent entrainer le d bordement des r servoirs des engins via la dilatation du gazole avec 3 Cependant ces r sultats sont nuancer En effet ces diff rentes cat gories d origines ne poss dent pas la m me probabilit d entrainer une pollution SIq CE 14 12 10 00 e A N Tia Wo o jo o jo o jo a Sn Va Wo Wo E
14. devenu une priorit Aujourd hui toute activit humaine quelle qu elle soit conduit directement ou indirectement des missions de GES En effet toute action n cessite ou a n cessit une consommation d nergie pour tre effectu e Le principal gaz effet de serre mis par l homme est le gaz carbonique provenant de la combustion des nergies fossiles charbon p trole ou gaz Aujourd hui 85 de l nergie commerciale qui se vend ou s ach te consomm e dans le monde provient de la combustion de ces nergies primaires Dans le cas d un chantier l nergie utilis e sous forme de combustible fioul gazole par les engins de chantier tout comme les mat riaux de construction ont conduit depuis leur extraction jusqu leur livraison et utilisation sur le site du chantier la production de GES Le changement climatique observ ces derni res ann es transcrit l urgence d un tat des lieux quant la quantification de nos missions de gaz effet de serre De ce fait toute entreprise activit administrative ou associative peut l gitimement s int resser aux missions qu elle g n re Afin d agir il est n cessaire d tablir un bilan pour conna tre ses marges de man uvre 4 1 Contexte g n ral du bilan carbone Le bilan carbone est une m thode mise au point par l ADEME Agence De l Environnement et de la Ma trise de l Energie dont le but est de comptabiliser l ensemble des missions de gaz effet de
15. diff rents problemes du chantier R sultats 1 Collecte des donn es du bilan carbone La premi re tape de ma d marche de collectes de donn es s est d roul e sur le chantier En effet avant de me lancer dans la collecte proprement parl j ai d me familiariser avec les diff rentes activit s les diff rents mat riaux et engins mises en uvre Conna tre l environnement dans lequel j allais voluer et certains points techniques fut primordiale dans la compr hension et la r alisation de mes diff rentes missions L ensemble des donn es collect es ont t r f renc es par semestre au sein des tableaux r capitulatifs Les semestres r f renc s par tableau co ncide avec les semestres d activit s des diff rentes cat gories 1 1 G nie civil L ensemble des donn es attenantes l activit G nie civil donn es sur les diff rents terrassements sont manquantes En effet les informations d tenues par Vinci ont t r clam s lors de mon stage mais malheureusement il n y a eu aucun retour de leur part jusqu l heure actuelle Le tableau G nie civil a donc t laiss sans informations En ce qui concerne les activit s du G nie civil un bilan carbone sur cette phase uniquement a t mise en place et c est Setec qui a eu pour mission d en collecter les donn es A ce jour Ecoact n a toujours pas rendu les r sultats suite ces donn es 1 2 Mat riaux ferroviaires L objectif de ce poste est de quan
16. l ensemble du nombre d ordinateurs de t l phones fixes d imprimantes et de traceurs imprimante qui permet d imprimer des plans toujours pour les bureaux d ETF et SETEC J en suis arriv e aux valeurs suivantes 53 ordinateurs 130 t l phones 5 imprimantes 1 traceur Tableau 16 1 4 2 Consommation de papier Ce poste prend en compte tous les achats de papier de la base vie ETF et SETEC Dans la mesure o j ai obtenu les donn es sous forme d un nombre de ramette de papier command j ai pu obtenir sans incertitude significative le poids de papier consomm sur les semestres pris en compte depuis la mise en place de ces bureaux Au total la consommation de papier par an est de 16 3 tonnes Tableau 16 1 4 3 Les locaux Le calcul des missions li es l utilisation des b timents est r alis sur la base des superficies exprim es en m de la dur e d utilisation exprim e en mois ainsi que sur la consommation d eau et d lectricit exprim e respectivement en m3 et en KWh La premi re tape a t de r alis l inventaire des b timents utilis s au niveau de la base vie Les mat riaux de construction de ces b timents n ont pas pu tre renseign la demande d information au fournisseur n a pas aboutie J ai ensuite calcul via les plans d installations la surface en m des diff rents ensembles d installations J ai collect ces donn es par types de site qui sont la base vie qui comprend les bureaux ETF Systra
17. leur volont de s inscrire dans la pr servation de l environnement ce qui passe par la gestion et le suivi des pollutions Afin d appuyer ces propos la d marche de gestion et de suivi des pollutions mise en place lors de ce projet sera pr sent e dans ce m moire Abstract To answer the legislation ETF figure at the world level in the railway domain has begun the realization of its Balance Carbon on the phase production of its project LGV EE Est 2nd phase who represents 106 km of new line high speed train TGV from Baudrecourt to Vendenheim This report presents the method as well as the results of the phase of collecting data which will be used to the calculation of gas emissions with greenhouse effect of this project The end will be to set up an action plan to a reduction of emissions issues The environmental politics of ETF asserts the will to join the conservation of the environment what passes by the management and the follow up of the pollutions So as to root for these comments the method of pollutions management will take place in this memoire
18. limination des d chets directement produits par l Entit Les missions sont calcul es sur la base des quantit s mises en jeu exprim es en tonnes par type de d chets et sur les donn es d activit s kilom tres parcourus et consommation de carburant des fili res de traitement Premi re tape r aliser l inventaire des d chets produits ainsi de leurs fili res de traitements Le projet LGV Est europ enne 2 phase g n re diff rents types de d chets qui sont cartons papier d chets m nagers DIB D chets Industriels banals DIS D chets Industriels Souill s Bombes a rosols Eau hydrocarbures Batteries D chets soudure Bois M taux non ferreux Chaque type de d chets est collect au sein d une benne attribu e ce type uniquement Les bennes sont d ploy es sur diff rents sites en fonction des besoins Base vie BTX GG5 parc cat naire Le tonnage des diff rents d chets a t renseign via les factures ainsi que gr ce un fichier informatique mise en place par le responsable environnement qui tablit la tra abilit de tous les types de d chets en fonction de leur site de collecte Les tonnages des diff rents d chets au cours des semestres sont pr sent s dans le tableau correspondant Tableau 18 Le devenir des d chets varie en fonction du type de ces derniers C est pourquoi on retrouve diverses fili res de traitement valorisation et enfouissement dans notre cas De
19. part des co ts exorbitants engendr s par les projets de r habilitation qui exigent souvent l excavation des sols et le transport on reux des terres vers les installations de d pollution Par ailleurs la l gislation tend se renforcer attribuant les responsabilit s et obligations pour la prise en charge de la r habilitation des sites et pr voyant des mesures pour les sites abandonn s En France dans la l gislation actuelle c est l exploitant de l installation polluante ou le propri taire du terrain contamin qui est rendu responsable de la gestion de la pollution Les traitements mis en uvre pour d polluer les sols sont nombreux et depuis des ann es d j de nouvelles technologies sont en d veloppement La d pollution des sites contamin s par des sources de pollution vari es est contrainte par diff rents facteurs la nature de la pollution tant le premier Toutefois la d pollution d un site encore en activit sera beaucoup plus contraignante que celle d un site ferm Legrand 2006 Les traitements propos s peuvent tre d finis en trois grandes familles les proc d s in situ r alis s dans le sol en tat les proc d s on site traitements sur place des sols excav s les proc d s hors site ou off site ou ex situ n cessitant l vacuation 5 2 Proc d s de d pollution des sols Afin de restaurer les sites pollu s un arsenal de proc dures a t d velopp Ces tech
20. serre directes ou indirectes d une activit ou d un site pendant un an et de les convertir en quivalent carbone q C ou quivalent CO2 q CO2 ADEME Le bilan carbone est un outil destin tenter de r pondre simultan ment diff rents enjeux y enjeux d mographiques surpopulation d s quilibres d mographiques et augmentation continue des consommations nerg tiques Y enjeux de ressources puisement des nergies fossiles et de ressources pas peu difficilement ou co teusement renouvelables enjeux g ostrat giques ind pendance nerg tique et alimentaire enjeux de d veloppement soutenable transition ou bascule vers une conomie d carbon e c est dire reposant sur des nergies n mettant pas de CO en termes de bilan global ainsi qu leurs cons quences climatiques r chauffement climatique d sertification mont e des eaux r fugi s climatiques effondrement de la biodiversit Depuis octobre 2011 le bilan carbone a t transf r l ABC Association Bilan Carbone Cette association cr e en juillet 2011 afin de poursuivre le d veloppement et la diffusion du bilan carbone initi par l ADEME a pour objectif d apporter une approche strat gique en ce qui concerne la mesure des missions de GES de d velopper des solutions m thodologiques et op rationnelles de r duction des missions de GES et d tablir le bilan carbone comme un v ritable r f rentiel internation
21. 1520 4608 4608 4608 Poteau fin S1 i 2014 9 9 11520 11520 4608 4608 Contrepoids 32 32 2529 2529 f 11520 11520 11520 4608 4608 4608 a Note 11520 11520 11520 4608 4608 4608 sainbuinb sz Tableau 7 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la livraison et de llacheminement des traverses du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2014 Semestre 1 2014 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km S IX S GZ Tableau 8 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la livraison et de l acheminement des l ments des appareils de voies du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2015 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2015 Semestre 1 2015 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km code couleur kaki informations non obtenues por Ex E E EET salidas sz Tableau 9 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la livraison et de l acheminement des l ments des rails du 2 semestre 2013 a ao t 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2014 Semestre 1 2014 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 4o Litres pour 100 km code couleur kaki informations non obtenues 4550 4550 1516 7 1820 1820 606 68 ph her a RS RS S21120 SZ Tableau 10 Kilom tres parcour
22. 2 4046 1 3 Consommation d nergies L objectif est de quantifier les missions de GES li es aux consommations de combustibles et d lectricit par des sources appartenant l Entit 1 3 1 Consommation de carburant Dans le domaine des travaux ferroviaires l activit d engins de chantier et de v hicules de transport est primordiale Le fonctionnement de ce mat riel n cessite la consommation de combustible qui constitue la principale source d mission de GES Le calcul des missions s effectue directement partir des consommations en combustible Le combustible retenu est le gazole unit Litres En ce qui concerne la consommation des engins de chantier les donn es ont d j t pr sent es dans la partie mise en place des mat riaux Tableaux 11 15 Pour la consommation des v hicules de fonction mon approche de collecte des donn es d buter par le rassemblement des factures des cartes Total partir desquelles j ai pu calculer la quantit totale de carburant consomm pour l ann e 2013 qui est de 43775 61 Litres Tableau 16 Pour la consommation des v hicules personnels il n existe aucune tra abilit permettant le calcul de de celle ci L estimation n est pas possible dans ce cas car celle ci aurait men une incertitude trop importante 1 3 2 Consommation d lectricit L lectricit est une source d nergie utilis e dans les b timents via l clairage le chau
23. SL 2002 cuivre 226 000 384 256 bobines Porteur bronze 226 000 358 4 256 bobines C ble de terre cuivre 8000 4 4 bobines 90 CDPA aluminium 212 000 212 212 bobines 10 acier u fi 000 Poteau fin S1 Ader 5000 2606 5 l 2014 poteaux contrepoids Contrepoids fonte I 409 6 1024 blocs a acier 100 000 Boulonnerie ai I 10 galvanis boulons LGV raccordements distinction des deux sens 210 km 24 bis Pour l activit pose de traverses du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2014 les quantit s des mat riaux n cessaires sont les suivantes 98600 tonnes de monoblocs 544 tonnes de patins 1360 tonnes de Fastclips et 34 tonnes de semelles Tableau 2 Pour l activit pose d appareils de voie du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2015 les quantit s des mat riaux n cessaires sont les suivantes 1726 5 tonnes de traverses 1881 6 tonnes de rails et 44 1 tonnes de gardes ballast Tableau 3 Pour l activit pose de rails du 2 semestre 2013 ao t 2014 les quantit s des mat riaux n cessaires sont les suivantes 16 tonnes de coupons de rail l mentaire 540 tonnes de rails de s curit 26373 12 de rails 60 E1 et 3003 kits de soudure Tableau 4 Pour l activit ballastage du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 la quantit de ballast n cessaire est la suivante 1830400 tonnes Tableau 5 1 2 2 Fret des mat riaux Il est ensuite n cessaire de tenir compte du transport de
24. Setec le parking les vestiaires l int grateur le r fectoire et le spie la base travaux qui comprend les b timents et les voies de garages des engins la base militaire La superficie totale de la base vie est de 5885 m et de 37570 m pour la base travaux La base militaire a quant elle une surface de 100 000 m soit 10 hectars Tableau 17 Tableau 16 Consommations de la base vie et d placement du personnel KWh de j janvier 2014 a avril re Distance moyenne parcourue par v hicule par an km v hicule an Consommation totale de 43775 61 pour 2013 carburant OE 28 bis Tableau 17 Superficie dur e de vie des b timents et distance d vacuation des ensembles base travaux base vie et GC5 28 ter L ensemble des locaux administratifs sont ce que l on appelle des algecos qui sont des modules couramment utilis s comme bureaux locaux techniques temporaires Ces derniers seront vacu s la fin du projet et de ce fait la distance d vacuation est galement une donn e prendre en compte Cette derni re a t calcul e via la distance en kilom tres entre le fournisseur et le site de la base vie La distance d vacuation des algecos d ETF Systra Setec et du r fectoire est de 1876 kilom tres aller retour celle des algecos formant les vestiaires est de 136 kilom tres aller retour et de 122 pour le Spie Les donn es concernant l int grateur n ont pas t obtenues
25. UNIVERSIT DE LORRAINE AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d un long travail approuv par le jury de soutenance et mis disposition de l ensemble de la communaut universitaire largie Il est soumis la propri t intellectuelle de l auteur Ceci implique une obligation de citation et de r f rencement lors de l utilisation de ce document D autre part toute contrefa on plagiat reproduction illicite encourt une poursuite p nale Contact ddoc memoires contact univ lorraine fr LIENS Code de la Propri t Intellectuelle articles L 122 4 Code de la Propri t Intellectuelle articles L 335 2 L 335 10 http www cfcopies com V2 leg leg droi php http www culture gouv fr culture infos pratiques droits protection htm DE LORRAINE Universit de Lorraine Q E Q UNIVERSIT S ANE Master Biotechnologies Microbiologie Aliment Nutrition Environnement BIOMANE Sp cialit Microbiologie Environnementale et Sanitaire MES Animation environnement dans le cadre de la construction LGV Est Europ enne 2 phase mise en place du bilan carbone gestion et suivi des pollutions Stage effectu du 03 02 2014 au 08 08 2014 par Morgane Klein Travaux dirig s par Jean Damien Bierre directeur de projet et Philippe Boigey responsable environnement Structure d accueil soci t ETF Groupement d entreprises C2E march VCB Voie Cat naires Base Travaux 39A rue de l t
26. adation des hydrocarbures aromatiques polycycliques approche microbiologique et application au traitement d un sol pollu These de doctorat sp cialit g nie des proc d s Grenoble Institut national polytechnique 278 p BIOGENIE INC 1994 Profil d entreprise Ste Foy OC 1 Boopathy R 2000 Bioremediation of explosives contaminated soils Int biodeter biodeg 46 29 36 Boopathy R 2002 Effect of food grade surfactant on bioremediation of explosives contaminated soil J Hazard Mater 92 103 114 Bourrelier P H Deneufbourg G de Vanssay B 2000 Les catastrophes naturelles le grand cafouillage Ed Osman Eyrolles Sant amp Soci t 262 p BRGM RP 2010 Quelles techniques pour quels traitements Analyses Co ts B n fices Rapport final 403 p Callaway J M 2002 Adaptation benefits and costs measurement and policy issues Environment Directorate Environment Policy Committee OECD Paris France ENV EPOC GSP 2003 10 Campillo M Le Qu au D et al Environnement Risques S curit CNRS rapport de conjoncture 2004 chapitre 5 p117 132 Commission Europ enne Livre Vert Adaptation au changement climatique en Europe les possibilit s d action de l Union Europ enne 2007 Dandin P 2006 volution du climat et s cheresses Congr s de la FNCCR M t o France Direction de la Climatologie De Perthuis C 2009 Et pour quelques degr s de plus Nos choix conomiques fac
27. al 4 2 La m thode bilan carbone La m thode bilan carbone est d abord une d marche Elle repr sente la construction d un projet d valuation et de r duction des missions de GES Le bilan carbone permet une valuation plus ou moins pr cise des missions directes ou induites par une activit conomique ou non ou un territoire on parle alors d missions indirectes Cette m thode se construit a travers 5 tapes cl s qui sont les suivantes 1 La d finition du champ d tude 2 La collecte des donn es 3 L exploitation des r sultats 4 L tablissement d un plan d actions de r duction 5 La mise en place de ce plan A cette d marche il est pr conis de rajouter une tape de sensibilisation l effet de serre en g n ral ou un sujet plus sp cifique qui a pour objectif de compl ter et d enrichir ainsi que de faciliter la transmission des bonnes pratiques et des bonnes informations L intitul bilan carbone d signe tout la fois Y une m thode de comptabilisation des GES Y un tableur Excel pr t l emploi pour effectuer le calcul des missions comparer entre elles les missions d une ann e sur l autre et valuer le potentiel de diverses actions de r duction Y le manuel d utilisation du tableur Y le document d crivant la mise au point de la m thode qui explique notamment comment ont t choisies les valeurs par d faut utilis es dans le logiciel et les s
28. ang 57445 R ding ETB Remerciements Je tiens tout d abord remercier l ensemble de l quipe pour l accueil les conseils et le temps qu ils ont su m accorder lors ce de stage Un norme merci Philippe BOIGEY pour sa p dagogie sa disponibilit et surtout sa bonne humeur et son humour toute preuve Je tiens galement remercier Julien CATU et Jean Damien BIERRE pour la confiance qu ils ont su m accorder Je remercie Polo pour m avoir h berg dans son bureau lors de ce stage Et enfin je remercie vraiment Amandine Gu nol et Jonathan qui ont fortement contribu faire de mon stage une exp rience si plaisante Merci toute l quipe qui se reconna tra Pour finir et pas des moindres tout simplement merci ceux qui sont l depuis toujours ma Famille Sommaire AbTeVIATIONS ins lift i 6 IM FOUU TIOM 8e den de da 7 Pr sentation G entres aina asonansi dasen TAKEN sde ere ida 7 Le projet LGV Est europ enne 2 me phase ionooccccccncccconnconcnconcnnnnccnnnnnnnnnrnnnncnnnn nana nnnnccnn nn 8 La politique environnementale 2013 2015 d ETF coococcccnonccnncccnoncnonnnononcnnncn conc non nn rnnncan cc cnn nnrnn rca 8 Lada a A es 9 4 1 Contexte g n ral du bilan Carbone cnica rindiera ibas 10 4 2 La m thode bilan carbone iii 11 3 La marque Blan Carbone ida 11 4 4 Contexte historique du bilan carbone 12 4 5 Contexte juridique du bilan carb
29. bala frange ou d une serplitere tout en frottant Ne pas rincer Apr s le ne oyage verser le seau dans l couement permettra ainsi de traiter aussi les canalisations CONDITIONS D EMPLOI Se reporter aux conditions d emploi figurant sur l emballage CARACT RISTIQUES Aspect liquide limpide couleur verte Odeur tlieut pH 7 5 8 5 Densit 1 01 Tones des mentions Alipadies dins ce documtrt sos barbes sur notre experience pratique bos sur des tests en Laboruicire Etant donn La grande diversit de circonstance Fatilisati n el des acteurs urecins non pr visibles nous recommaridons de fours tester de nos produis arara leurs afilisathons d finitives das la pratique La pr sente fraiiie de donits h chmiques peur dij avoir del revue n frs Dion de Le wlable perl vous tre envoy e sur simple demande Venios 4343 0710 ZEP INDUSTRIES B V 5 Frankrijkiel 33 2000 Anvers T 02 3470117 F 02 3471395 sales zep be www zepindustries be NL Vieringhweg 30 4612 PN Bergen op Zoom T 0164 250100 F 0164 256710 info zepoeneluxcom waw zepindusiries ni D Falkstra e 11 33602 Bielefeid T 0521 174158 F 0521 5217114 sales zepbenelux com www zepindustrizs de 46 Annexe 5 Fiche pollution Date Heure Commune Responsable POI Description de la situation Cause Origines _ Main d uvre Machine Mat riels Mat riaux M thodes _ Milieu Recueils
30. bleau 13 pose de rails Tableau 14 et ballastage Tableau 15 sont pr sent es au sein des diff rents tableaux cit s Les semestres pris en comptent sont identifi s dans les tableaux Tableau 11 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la mise en place des mat riaux n cessaires l activit cat naire du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 S2 2013 8 bis Semestre 2 2013 S2 2014 Semestre 2 2014 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km d rouleur Camions 2x19t 15360 15360 15360 6144 1x3 Je GR JO GE Nasselle 15360 15360 15360 6144 electrog ne Tableau 12 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la mise en place des mat riaux n cessaires la pose des traverses du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2014 Semestre 1 2014 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km code couleur kaki informations non obtenues pars 216 216 3810 4996 chenille x1 camian 2880 2880 1152 1152 ravillon x1 Camion 1080 1080 432 432 mulsion x1 26 bis Tableau 13 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la mise en place des mat riaux n cessaires la pose des appareils de voie du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2015 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2015 Semestre 1 2015 PES Be 56
31. carbone consult le 15 juin 2014 Ficot D Pl nier G Soci t s de services et bilan carbone en ligne Disponible sur http www fr capgemini consulting com blog the voices of capgemini consulting 2012 05 societes de services et bilan carboner consult le 15 avril 2014 Chazal C Bilan carbone la France exclut toujours les missions import es en ligne Disponible sur http www actu environnement com ae news RAC emissions importees methode de calcul GES 22401 php4 consult le 02 ao t 2014 ABC Pour la transition vers une soci t sobre en carbone en ligne Disponible sur http www associationbilancarbone fr consult le 15 mai 2014 Kovarik P La taxe carbone aura un impact nul sur les carburants en 2014 assure Ayrault en ligne Disponible sur http www 2ominutes fr societe 1225997 20130921 taxe carbone impact nul carburants 2014 assure ayrault consult le 17 juin 2014 ISO ISO 14064 3 2006 Gaz effet de serre Partie 3 Sp cifications et lignes directrices pour la validation et la v rification des d clarations des gaz effet de serre en ligne Disponible sur http www iso org iso fr catalogue_detail csnumber 38700 consult le 26 f vrier 2014 40 R seau nergie habitat Les lois Grenelle 1 et 2 en ligne Disponible sur http www reseau energie habitat fr lesengagementsdugrenelle lois grenelle 1 et 2 html consult le 23 mars 2014 Ecoact Qui sommes n
32. ces mat riaux depuis le fournisseur jusqu au site de stockage puis du site de stockage jusqu au lieu d utilisation sur le chantier Seul le fret depuis le dernier fournisseur a t pris en compte pour le Bilan Carbone En effet il est difficile de conna tre la provenance exacte de tous les produits ainsi que les modes de transports utilis s chaque tape Le transport des mat riaux s effectue soit par la route via les camions soit par les rails via les trains Pour ce poste de transport des mat riaux les missions de GES sont calcul es sur la base des kilom tres et de la consommation de combustible affect s au fret par route et par rail J ai donc d r unir les informations concernant le kilom trage parcouru et la consommation qui en d coule En r gle g n rale le kilom trage fut assez facile obtenir compte tenu du fait que je ne me suis int ress e qu au dernier fournisseur Ce kilom trage correspond aux aller retours effectu s lors des diff rents semestres d activit s En ce qui concerne les consommations du fret routier consommation des camions celles ci ont t estim es en partant du principe qu un poids lourd consomme 40 litres de gasoil pour 100 kilom tres parcourus et se sont vues attribuer un code couleur sp cifiant leur estimation Ce code couleur additionn de sa description a t report dans la page L gende des tableaux r capitulatifs Cependant je n ai pas pu r aliser ce m me type d es
33. chantier Le nombre total de pollutions depuis le d but du projet au 31 juillet 2014 est de 102 Figure 5 Sur la p riode du 31 juillet 2012 au 31 juillet 2014 le taux de cl ture est de 43 14 soit 44 fiches cl tur es Figure 5 travers ce graphique on observe que ce taux diminue avec l avancement du chantier SIQ TE Tableau 18 Tonnage consommation et distance d vacuation vers la fili re de traitement des diff rents d chets g n r s par le projet S2 2012 semestre 2 2012 S1 2013 semestre 1 2013 S2 2013 semestre 2 2013 S1 2014 semestre 1 2014 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km D SE VET EN D RG A RE EP TR os ae rss camonseme vaorsaon 168 DT asa camion vemne Entoissement 70 a o camion varsan asa moe o r 08 o 24 0 Am a y ass me Comores Eneassement Sie oe o aee a e N broyage An AAA IC Camion benne Camion benne Enfouissement 0 105 Camion benne Ente 2 4 Valorisation a A N Bois en me Camion benne P broy age es E carl SEE Or ceci est tout a fait coh rant avec le fait que les activit s de construction de la voie et des cat naires ont d but es lors du second semestre 2013 en Ao t pour la grande majorit augmentant donc consid rablement le nombre d engins en activit s et de ce fait le nombre potentiel de source de pollution Autre poi
34. dant dans ce type de d marche il faut toujours garder l esprit que les actions propos es soient r alisables et coh rentes dans leurs mises en place sur le terrain 3 Suivi des pollutions quelles am liorations apporter Le p le OSE Qualit S curit Environnement prend de plus en plus de place au sein des entreprises tous domaines confondus La gestion de l environnement tant faire partie int grante de l ensemble des activit s des entreprises S investir dans une d marche d am lioration continue de son fonctionnement et de son organisation est souvent per ue comme contraignante pour certains mais celle ci apporte sur le long terme un v ritable b n fice l Entit en question Dans cette d marche ETF a pour objectif de g rer au mieux l impact de son activit sur l environnement ce qui passe par la pr vention et le suivi des pollutions ventuelles G rer le suivi de ces derni res passes par la notion de tracabilit A l heure actuelle tous doit tre anim par cette notion quel que soit le domaine d expertise La mise en place des fiches pollutions d un r pertoire d enregistrement de ces fiches et de l enregistrement de ces derni res sur le journal de chantier transcrit ce souhait de transparence et de tracabilit Mais dans la d marche d am lioration continue quelles am liorations pourraient tre apport es Lors de mon stage j ai particip a l laboration d un tableau de bord OSE qui n a
35. disposons de deux types de produits biorem diants Y Oil Sponge absorbant cologique permettant une biod gradation des hydrocarbures en CO2 H20 et biomasse par l action naturelle des micro organismes qu il contient Peut tre utilis comme traitement de sol pour d polluer des surfaces contamin es par des hydrocarbures Annexe 3 Y Natura sol nettoyant biologique diluer dans l eau contenant un m lange de bact ries sp cialis es et extraits fermentaires sp cialement adapt s pour le traitement des t ches d huile sur les sols en b ton ciment pierre c ramique carrelage pav s autobloquants dalles gravillons lav s bitume et autres types de sols poreux Annexe 4 En ce qui concerne les niveaux de pollution aux hydrocarbures N2 d versement d hydrocarbures dans l eau une cellule d valuation doit tre constitu e pour valuer la pollution et proposer des actions appropri es aux types de pollution Une fiche d intervention d crit la d marche suivre Lors de mon stage aucune pollution de ce niveau n est survenue Cette cellule est constitu e de la MOEI de la MOA et ses repr sentants du constructeur des entreprises expertes De plus l information doit tre diffus e aux organismes suivant pompier pr fecture police des eaux DDASS DREAL Mairie 2 3 2 Suivi des pollutions Le suivi des pollutions s effectue en deux points la r alisation de visites sur les pollutions d j constat es afin d
36. e au risque climatique Paris Pearson 304 p Dumas P 2006 L valuation des dommages du changement climatique en situation d incertitude l apport de la mod lisation des co ts de l adaptation cole des Hautes tudes en Sciences Sociales Th se pr sent e par Patrice Dumas en vue d obtenir le grade de Docteur de l EHESS Sp cialit conomie de l Environnement Th se soutenue publiquement le 5 janvier 2006 EEA 2007 Climate change the cost of inaction and the cost of adaptation 74 p Eurovia 2012 M moire d veloppement durable 93 p Eurovia 2012 Bilan des missions des Gaz a Effet de Serre d Eurovia Atlantique 34 p Eurovia 2012 Bilan des missions des Gaz a Effet de Serre d Eurovia Lorraine 38 p Eurovia Poitou Charentes Limousin 2011 Bilan d mission de GES ann e 2011 69 p GIEC Climate Change 2007 Bilan 2007 des changements climatiques Contribution des Groupes de travail Il et Ill au quatri me Rapport d valuation du Groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat Gen ve GIEC Climate Change 2001 Contribution of Working Group Ill to the Third Assessment Report of the Intergovernmental Panel on Climate Change IPCC GIEC B Metz O Davidson R Swart and J Pan Eds Cambridge University Press Cambridge 167 299 Havard M Gazeau JC 2010 Rapport sur l obligation d laboration d un bilan d missions des gaz effet de serre pr vue par l article 26 du Projet d
37. e loi portant Engagement National pour l Environnement 45 p ITOPF 2013 Elimination et traitement des hydrocarbures et des d bris guide d informations techniques 12 p Jancovici JM 2006 Le Plein s il vous pla t Paris Seuil 185 p Jancovici JM Le Treut H 2000 L effet de serre Allons nous changer le climat Paris Flammarion 217P Jancovici JM 2005 L Avenir climatique Quel temps ferons nous Paris Seuil 284 p Kalin R M 2004 Engineered passive bioreactive barriers risk managing the legacy of industrial soil and groundwater pollution Curr Opin Microbiol 7 227 238 Khan F I Husain T and Hejazi R 2004 An overview and analysis of site remediation technologies J Environ Manage 71 95 122 Legrand C Solerieu M Goglio E 2006 Traitement des sites et des sols pollu s Territorial Editions Voiron 85p Leroi P Diziain R Saigault JF 2005 Construction de haute qualit environnementale l implication des r gions Paris Institut d Am nagement et d Urbanisme de la R gion Ile de France 66 p Lochu S 1998 valuation des quantit s de carbone stock Rapport la Mission interminist rielle de l effet de serre octobre 1998 94 p Milition C 2007 Caract risation des communaut s procaryotique impliqu es dans la biorem diation d un sol pollu par des hydrocarbures et d veloppement d outils d analyse haut d bit les bio puces ADN Th se de doctorat sp cia
38. entes Malgr le fait que ces pourcentages de r partition des pollutions soient difficilement comparables elles permettent d en tirer une tendance et d aiguiller la mise en place d actions en aval Entretien et approvisionnement Parc cat naire 1 x catenaire Terrovialr Ballastage Acheminement 13 Bourrage 21 M Pose de voie V1 E Pose de voie V2 MBallastage E Bourrage E Acheminement M Tx cat naire routier E Tx cat naire ferroviaire E Parc cat naire H Parc voie E Construction destruction BTX E entretien et approvisionnement engins Figure 8 R partition des pollutions en fonction de leur type d activit d origine sur la p riode du 31 Juillet 2012 au 31 Juillet 2014 33 bis Discussion Compte tenu des objectifs de r duction des missions de GES l valuation carbone du projet LGV Est europ enne 2 phase a vocation valuer et hi rarchiser les diff rentes sources d missions de GES li es la r alisation d un projet C est un bilan global exprim en quivalent CO2 et r alis sur un p rim tre qui int gre les diff rentes phases du projet la phase de conception la phase de construction phase lors de laquelle j ai eu pour mission de collecter les donn es ainsi que la phase d exploitation et de maintenance Ce bilan global qui est une v ritable valuation carbone a pour objectifs de donner les grands ordres de grandeurs sur les missions et les conomies de GES d clair
39. envisageables pour ce bilan partir des r f rentiels internationaux existants des diff rents p rim tres de comptage et des outils disponibles La norme SO 14 064 Partie 1 sp cifie les principes et les exigences au niveau des organismes pour la quantification et la r daction de rapports sur les missions de GES et leur suppression Cette norme fait tat des exigences pour la conception la mise au point la gestion la r daction de rapports et la v rification de l inventaire de GES d un organisme ISO 2006 Le dernier examen de cette norme a t r alis en 2009 et sera nouveau effectu en 2014 les normes ISO sont r examin es tous les 5 ans 5 Pollution et d pollution des sols 5 1 Contexte g n ral sur la d pollution des sols Depuis plusieurs d cennies les activit s humaines engendrent une production de plus en plus importante de produits chimiques potentiellement toxiques pouvant tre d vers s accidentellement ou non dans l environnement Ainsi les risques pour la sant publique et le bon fonctionnement des cosyst mes sont de plus en plus importants et pr occupants La d pollution des sites contamin s est donc devenue une pr occupation majeure en raison d une part de l impact de cette pollution sur l environnement et la sant li e notamment la propagation de mol cules dangereuses dans le milieu et leur transfert dans les nappes phr atiques et dans la cha ne alimentaire et d autre
40. er sur l utilit carbone du projet et d approcher la rentabilit carbone du projet d identifier les axes d am lioration permettant d int grer dans la conception des actions de ma trise et de r duction des missions de GES Au final nous pourrons savoir si le projet LGV Est europ enne 2 phase pr sente un bilan carbone positif en d autres termes si les r ductions d missions permises d passent les missions g n r es par le projet 1 Les zones d ombres du bilan carbone La m thode du bilan carbone permet d valuer en ordre de grandeur les missions de GES engendr es par l Entit consid r e La qualit du r sultat d pend de la qualit des donn es entrantes exhaustivit de l inventaire des sources pr cision des donn es d activit s Les limites du bilan carbone se situent principalement dans l incertitude li e la capacit collecter des donn es de qualit pouvant impliquer certaines approximations Des pr cautions importantes concernant la collecte d informations sont donc prendre en compte La plus grosse difficult r side dans la collecte de donn es pr cises par exemple comment collecter pr cis ment le nombre de kilom tres parcourus entre le domicile et le travail de chaque employ d une entreprise de 400 personnes Comment collecter pr cis ment le nombre de kilom tres parcourus par les engins de chantier Comment savoir avec pr cision le type de v hicule qu ils utili
41. ersement d hydrocarbures se produit les moyens mat riels mis disposition sont les suivants Y Les engins sont syst matiquement dot s de kits anti pollution en cas de fuite accidentelle Y Pr sence de pompes et de bacs de vidange pour faciliter les vidanges des machines et pour r cup rer les liquides de fuite Y Pr sence de bacs de r tentions atelier stockage Y Tapis absorbants mis disposition Y Produit bior mediant 2 3 D marche de traitement 2 3 1 Gestion des pollutions Les pollutions aux hydrocarbures de niveaux N1 d versement d hydrocarbures sur le sol repr sentent la totalit des pollutions survenues ce jour sur le projet LGV Est europ enne 2 phase en phase de construction Pour ces pollutions le traitement est r alis par le groupement Lors d une pollution dite maitrisable la premi re tape pour le responsable environnement et moi m me est de constater sur place la nature huile hydraulique ou gasoil et l tendue de la pollution La deuxi me tape est de contenir la pollution si celle ci ne l est pas notre arriv e sur le site Pour ce faire nous disposons de boudins absorbants contenus dans les kits pollution de sable de li ge et de tapis absorbants qui ont tous pour but d absorber le surplus de mati re afin d emp cher toute diffusion de la pollution et de prot ger les zones sensibles Venait ensuite la phase d application de produit biorem diant Nous
42. ette probl matique que se sont articul es les missions qui ont anim mon stage Dans le cadre de sa d marche d administration exemplaire et en application de l article 75 de la loi n 2010 788 du 12 juillet 2010 portant sur l engagement national pour l environnement ETF a donc souhait r aliser une valuation des missions de ses GES via l laboration du bilan carbone en phase de construction du projet LGV Est europ enne 2 phase selon la m thodologie mise en place par le minist re en charge du d veloppement durable Dans cette lign e mon objectif fut de collecter et de mettre en forme les donn es de ce bilan carbone afin de les transmettre au prestataire Ecoact mandat par ETF pour transcrire ces valeurs en termes d missions de GES Le projet LGV Est europ enne 2 phase est soumis un plan d assurance environnement qui pr sentent les objectifs environnementaux La gestion et le suivi des pollutions en font partis Pour r pondre cela j ai donc eu pour second objectif de r aliser le suivi des traitements des pollutions intervenants sur le projet tant sur le terrain qu au niveau logistique Mat riels et m thodes 1 Contexte m thodologique du bilan carbone Dans la tr s grande majorit des cas il n est pas envisageable de mesurer directement les missions de gaz a effet de serre r sultant d une action donn e La seule mani re d estimer ces missions est alors de les obtenir par le
43. eurs semaines plusieurs mois voire plusieurs ann es dans les conditions les moins favorables et souvent incomplet en particulier en ce qui concerne les hydrocarbures lourds 5 5 Pollution aux hydrocarbures quels produits utiliser En cas de pollution aux hydrocarbures 4 grandes familles de produits sont utilisables les dispersants les produits de lavage les absorbants et les biod gradants Con us pour favoriser ou acc l rer la biod gradation des hydrocarbures ces derniers contribuent la restauration des sites pollu s ou au traitement des d chets issus de pollutions Etant utilis s dans l environnement naturel il est logique que ces produits fassent l objet de contr les pour s assurer de leur innocuit Des proc dures visant les homologuer agr er ou approuver ont t instaur es dans les pays d velopp s Elles permettent d tablir des listes de produits autoris s ou recommand s En France la majorit des m thodes de tests ont fait l objet de normalisation aupr s de l Association Fran aise de Normalisation AFNOR biodegradable hydrocarbons 1 kg Figure 2 Sch ma repr sentant le ph nom ne de biod gradation des hydrocarbures via l activit des microorganismes comp tents 16 bis 6 Objectifs De nos jours la r ussite d un projet tel que le projet LGV Est europ enne 2 phase passe galement par sa capacit a r duire son empreinte environnementale C est autour de c
44. faciliter la compr hension sur l incertitude et l obtention de certaines donn es j ai ins r en amont des diff rents tableaux r capitulatifs une l gende sous la forme d un code couleur Figure 3 1 1 5 Outil de collecte des donn es L ensemble des donn es collect es ont t retranscrites dans un outil de calcul fourni au d but de mon stage et qui se compose de 8 tableaux Excel qui correspondent aux 8 cat gories d activit s suivantes g nie civil cat naire traverses appareils de voie ballast consommation bureautique machines et b timents Chaque tableau qui correspond un type d activit est organis autour des diff rents postes d mission attenants celle ci L ensemble de ces tableaux n est pas un outil fig c est pourquoi j ai donc t libre de le modifier si cela tait justifi et coh rant par exemple en rajoutant un poste d mission ou au contraire en en supprimant car il n tait pas pr sent sur ce chantier Cependant je n ai effectu aucune modification C est cet ensemble de 8 tableaux que j ai transmis la fin de mon stage l organisation Ecoact qui est charg d exploiter ces r sultats gr ce aux facteurs d missions produits par l ADEME Ces facteurs d missions vont permettre de transcrire mes donn es en quivalant carbone qui repr sente les missions de GES proprement parl Par la suite Ecoact fournira ETF le tracer du bilan carbone qui permettra l entreprise d e
45. ffage ou encore le fonctionnement de l quipement informatique par exemple mais aussi pour le fonctionnement des groupes lectrog nes utilis s sur le chantier Pour valuer ces missions il est n cessaire de conna tre la quantit d nergie en kWh kilowatt Pour valuer ces quantit s j ai donc du rechercher rassembler puis consulter les factures afin de comptabiliser ces donn es La consommation d lectricit est quant elle de 289057 kWh pour l ann e 2014 et de 237055 kWh de janvier 2014 avril 2014 Tableau 16 AU niveau des activit s ferroviaires tableaux Cat naire Traverses Appareils de voie Ballast la consommation des groupes lectrog nes attenants chaque activit m a t impossible collecter 1 4 Locaux administratifs et logistiques L objectif de ce poste est de quantifier les missions indirectes de GES li es a l immobilisation de biens durables utilis es par l Entit La nature de ce poste se compose des b timents de bureaux fixes ou temporaires du mat riel bureautique et des v hicules de fonction utilis s par l Entit Seules les donn es de superficies et de distance d vacuation int greront l ensemble des b timents pr sents sur la base vie Pour les autres donn es seuls les bureaux d ETF et de Setec sont pris en comptes au sein de la base vie 1 4 1 Mat riel bureautique Ce poste regroupe l ensemble des quipements composant le parc informatique J ai donc recens
46. ir un outil permettant de visualiser la r partition des pollutions en fonction du type d activit d origine En effet il faut savoir exploiter au mieux les donn es dont on dispose afin d en tirer des actions pr ventives ou correctrices Cela est facilit par le r pertoire d enregistrement des fiches pollutions qui permet de visualiser les types d activit s qui sont sources de cet v nement D apr s le graphique on observe que sur la p riode du 31 Juillet 2012 au 31 Juillet 2014 ce sont les activit s de bourrage et d entretien et d approvisionnement des engins qui sont les sources majoritaires de pollution avec tous deux un pourcentage de 21 Figure 8 Vient ensuite l activit de pose de voie et d acheminement avec les pourcentages respectifs de 19 Voie 1 et 10 Voie 2 et 13 Les travaux cat naires routiers et ferroviaires le ballastage et les activit s du parc cat naire sont l origine d une minorit de pollutions environ 5 et m me 1 pour le parc cat naire De tels r sultats permettent d orienter les actions d informations environnementales comme les quarts d heures environnement par exemple l encontre des types d activit s sources de la majorit des pollutions Cependant ces r sultats sont galement nuancer En effet il faut garder l esprit que le taux d activit des engins de chantiers n est pas une valeur constante De plus chaque type d activit est constitu d un nombre d engins de natures diff r
47. jet DDASS Direction D partementale des Affaires Sanitaires et Sociales DREAL Directions R gionales de l Environnement de l Am nagement et du Logement DIB D chets Industriels banals DIS D chets Industriels Souill s GC Base militaire GES Gaz Effet de Serre GHG Protocol Greenhouse Gas Protocol GIEC Groupe d experts Intergouvernemental sur l Evolution du Climat IIGCC Institutional Investors Group on Climate Change LGV Ligne Grande Vitesse LN Ligne Nouvelle MOA Maitrise d OuvrAge MOE Maitrise d OEuvre Interne ONG Organisation Non Gouvernementale PAE Plan d Assurance Environnement POI Plan d Organisation des Interventions PNAQ Plan National d Affectation des Quotas OSE Qualit S curit Environnement WBCSD World Business Council for Sustainable Development WRI World Resources Institutes Introduction 1 Pr sentation de l entreprise Depuis 1898 ETF issue de rapprochements successifs des soci t s Jardin et Billiard S E l Deh et Montcocol est un acteur du d veloppement des transports en France et a l tranger Depuis le 1er Janvier 2013 les activit s d Eurovia Travaux Ferroviaires et Europ enne de Travaux Ferroviaires ont t rapproch es au sein d une entreprise unique ETF pour la poursuite de ses activit s au niveau national et son d veloppement l international ETF filiale d Eurovia groupe Vinci est un acteur de premier plan l chelle mondiale L e
48. lisation aux personnels en fonction des risques potentiels sur l environnement des activit s exerc es et fournira aux personnes concern es les fiches descriptives environnement pour compl ter le livret d accueil R guli rement l ensemble des salari s se voit dispenser par l encadrement des sessions de sensibilisation sur les th matiques g n riques d chets bruit pollution de l eau et des sols que l on appelle des quarts d heures environnement Ces ETR y D tection d une pollution ou d un facteur de pollution D versement d hydrocarbures lt 50L sur le sol ballast piste MAITRISABLE D versement d hydrocarbures gt 50L sur le sol ballast piste ou dans l eau NON MAITRISABLE a Application de la fiche Application de la fiche d intervention d intervention C N1 N2 Figure 4 Logigramme du POI 21 bis th matiques sont en lien direct avec le projet et peuvent tre compl t es par des themes sp cifiques suite a des incidents ou pollutions afin de faire partager le retour d exp rience De plus des fiches d interventions sont communiqu es l ensemble du personnel et affich es en permanence sur les diff rents site Ces derni res renseignent sur les num ros appeler la chronologie de la conduite tenir ainsi que les renseignements fournir 2 2 Moyens mat riels AU niveau des machines les sites d entretien et de garage des engins et machines si un d v
49. lit g nomique et cologie microbienne Clermont ferrand Universit des sciences de la vie et de la sant 440 p Paseri J 2013 Politique Environnementale d ETF 2013 2015 Perchet GT 2008 Etude de la biorem diation de s diments contamin s par des compos s organiques nitres persistant Th se de doctorat sp cialit sciences des agroressources Toulouse Institut national polytechnique 125 p Perfumo A Banat I M Marchant R and Vezzulli L 2007 Thermally enhanced approaches for bioremediation of hydrocarbon contaminated soils Chemosphere 66 179 184 Philibert C 1998 L conomie du changement climatique et la th orie de l actualisation Agence de l Environnement et de la Ma trise de l nergie Paris Secteur Satolas Chantier et environnement Analyse de la solution propos e 137 152p Serrano A Gallego M Gonzalez J L and Tejada M 2007 Natural attenuation of diesel aliphatic hydrocarbons in contaminated agricultural soil Environ Pollut Stern N 2006 Review on the Economics of Climate Change 700 p WBCSD et WRI 2001 Le Protocole des gaz effet de serre Une norme de comptabilisation et de d claration destin e l entreprise 97 p Biblioth que municipale de Lyon Bilan Carbone en ligne Disponible sur http www guichetdusavoir org viewtopic php t 38620 consult le og mars 2014 Wikip dia Bilan Carbone en ligne Disponible sur http fr wikipedia org wiki Bilan_
50. mat riaux us 26 1 3 Consommation d nergies hante Rd Anse ici 27 1 3 1 Consommation de carburant 27 1 3 2 Consommationd l ctricit s 528 A AA en te 27 1 4 Locaux administratifs et logistiques 28 14 1 Mat riel DUre aut qUe ue Mann ardt de re fr entendre 28 4 2 CONSOMMAUONAe API opta lili Ar tn a died 28 1 43 Les a A Ram a a EN Ed dre EE 28 1 5 D placement du personnel sisi 29 1 61es A A Ra 30 2 Suivi des pollutions sur le projet LGV Est europ enne 2 phase 31 2 1 Taux de cl ture des fiches pollutions stunt ennemi 31 2 2 Evolution des pollutions au cours du projet nent 32 2 3 R partition des pollutions en fonction de la cat gorie d origine sesser 32 2 4 R partition en fonction du type d actIVIRe cti din ba 33 DISCUSSION AA ds 34 1 Les zones d ombres du bilan carbone 34 2 Comment tirer b n fice de son bilan carbone ooooocccnnnoccccnoccccnonnnnnnnnnnnonanncconnncnonnn nono nnnnnnannnno 35 3 Suivi des pollutions quelles am liorations apporter coooonoccccnnocccononcnnononcnnnnnnnnnnnnnnonannnnonnnnnnos 35 R f rences bibliographiques 37 O ni ecnerarr Annee cents nerep nass ana r ue een NSE nos an u rond a KSAS KSAS EAS teen au onu une 42 Abreviations ABC Association Bilan carbone ADEME Agence De l Environnement et de la Ma trise de l Energie BTX Base Travaux CCE Contribution Climat Energie CDP Carbon Disclosure Pro
51. microorganismes au milieu ou au d chet traiter Il est possible de combiner des actions de bioaugmentation avec des actions de biostimulation 5 4 La biod gradation des hydrocarbures Les hydrocarbures sont des compos s organiques biod gradables Ils peuvent cependant avoir des effets toxiques importants sur la flore et la faune lorsqu ils sont pr sents en grandes quantit s Or les fortes pollutions ponctuelles aux hydrocarbures ne sont pas rares notamment sur des chantiers tel que celui de la LGV Est europ enne 2 phase On appelle biod gradation des hydrocarbures l ensemble des transformations des cha nes carbon es par l action des micro organismes Au fil du temps les hydrocarbures peuvent tre d grad s en compos s plus l gers jusqu une conversion compl te en gaz carbonique et eau Une partie du carbone est utilis e par les microorganismes pour se multiplier et former de la biomasse qui n cessite en outre de l azote et du phosphore Figure 2 La capacit puratrice des micro organismes se trouve limit e par plusieurs facteurs Y La nature des hydrocarbures les paraffines lin aires et les aromatiques l gers sont facilement d grad s mais les hydrocarbures ramifi s les polyaromatiques lourds les r sines et les asphalt nes le sont beaucoup plus difficilement Y La disponibilit des l ments nutritifs il en r sulte que la biod gradation des hydrocarbures est un processus lent plusi
52. misant l nergie et en la rendant plus d carbon e La loi Grenelle propose travers 57 articles une s rie d engagements dont la lutte contre les changements climatiques et la ma trise de la demande d nergie La loi Grenelle Il met en uvre le cadre et les principes d finis par la loi Grenelle I Le bilan des missions de GES figurait d j dans l article 75 de la loi n 2010 788 du 12 juillet 2010 dite Grenelle Il mais c est le d cret n 2011 829 du 11 juillet 2011 qui a d crit les dispositions r glementaires d finissant les modalit s d application du dispositif Ce d cret rend obligatoire la r alisation d un bilan de GES pour les entreprises de plus de 500 salari s pour l Etat les r gions les d partements les communaut s urbaines les communaut s d agglom ration et les Communes ou communaut s de communes de plus de 50 000 habitants les autres personnes morales de droit public de plus de 250 personnes Un premier bilan qui sera rendu public devra donc tre remis avant fin 2012 puis tre mis ajour tous les 3 ans Un Rapport sur l obligation d laboration d un bilan d missions des GES pr vu par l article 26 du Projet de loi portant sur l Engagement National pour l Environnement a t produit courant mars 2010 afin de pr parer la mise en uvre pratique de ces bilans d missions de GES Ce rapport fait dans sa seconde partie le point sur les r f rentiels m thodes contenus et p rim tres
53. n es serait donc un point tudier via par exemple l laboration d un plan permettant de regrouper des notions des r gles dans la d marche de collecte des informations qui serviront au calcul des missions de GES De plus l am lioration de la qualit des donn es d entr es pour les ann es suivantes passe par le suivi r gulier des donn es d activit par exemple au travers de la tenue de registres 2 Comment tirer b n fice de son bilan carbone Compter pour savoir Savoir pour agir Agir pour r duire Cette citation transcrit parfaitement l esprit avoir dans la d marche de r alisation d un bilan carbone Outre l obligation l gislative le bilan carbone permet d tablir un v ritable plan d action de r duction des GES si celui ci est exploit de fa on ad quate Mais quelle est l int r t de r duire ses missions de GES part le fait d avoir bonne conscience et de se forger une image plus verte Qui dit r duction des missions de GES dit r duction de ces co ts et donc b n fice conomique qui fait forc ment cho aupr s de tout industriel ou entrepreneur En ce qui concerne les pistes d action on peut par exemple mettre en place une d marche visant optimiser les performances nerg tiques en incluant une formation et une sensibilisation du personnel aux missions de GES ainsi que des fiches de bonnes pratiques environnementales par poste d mission visant la r duction de ces derni res Cepen
54. n des GES n cessite pr alablement que ces missions soient comptabilis es C est ainsi qu en 1998 n e le protocole des GES ou GHG Protocol institu conjointement par le WBCSD World Business Council for Sustainable Development et le WRI World Ressources Institutes Protocole des Gaz effet de serre Ce protocole se d finit comme un partenariat multilat ral unique constitu d entreprises d ONG et de gouvernements qui tablit les bases du savoir dans le domaine de la comptabilisation et de la d claration des Gaz a effet de serre WBCSD amp WRI 2001 La m thode bilan carbone mise au point entre mi 2000 et fin 2003 pour le compte de l ADEME et de la Mission Interminist rielle pour l Effet de Serre par Jean Marc Jancovici poursuit cette volont de mesurer avec pragmatisme les missions de GES 4 5 Contexte juridique du bilan carbone en France L entr e en vigueur du Protocole de Kyoto a rendu effectif l objectif de stabilisation des missions Fran aises de GES Avant le vote de la fameuse loi Grenelle Il c est le groupe de concertation et d information sur les inventaires d missions GCIIE qui avait pour mission d am liorer les m thodes d inventaire des GES Ce groupe se r unissait hauteur de trois fois par an Les lois Grenelle et Il ont pour objectif la r duction des consommations d nergie et de leur contenu en carbone Elles veulent r duire radicalement les missions de GES en cono
55. n tirer un plan d actions de r duction de ces GES ad quate Valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km Valeurs moyenn es Valeurs moyenn es en partant d une consommation de 10 Litres pour 100 km Informations compl ter au fil des semestres Informations manquantes engin intervenant uniquement dans le tunnel Figure 3 L gende des 8 tableaux r capitulatifs de collecte des donn es 20 bis 2 Contexte m thodologique de la gestion et du suivi des pollutions Une pollution est une situation risque connue mais impr visible Il est donc important de se pr occuper de ces risques et de mettre en place un plan d urgence qui permettra une r action rapide et efficace en cas de survenance d un tel v nement Le projet LGV Est europ enne 2 phase est soumis un PAE Plan d Assurance Environnement et de ce fait une fiche proc dure sp cifique doit tre r alis e pour certaines activit s risque ce qui inclut les pollutions aux hydrocarbures Dans ce cas pr cis il s agit de d crire les mesures prendre par le personnel du chantier en cas de pollution accidentelle Le document d application est le POI plan d organisation des interventions Cette proc dure d crit les modalit s d interventions en cas de pollutions accidentelles et elle concerne l ensemble du projet LGV Est Europ enne 2 me phase March
56. nantes a ce poste sont bas es sur les donn es suivantes le nombre de v hicules de fonctions utilis s ainsi que leur puissance fiscale moyenne les d placements domicile travail de l ensemble des salari s poss dant une voiture de fonction via les kilom tres parcourus et la consommation totale de carburant de l ensemble des v hicules de fonction les autres d placements domicile travail et weekend des salari s hors voiture de fonction via le les kilom tres parcourus 29 Cependant le projet LGV Est europ enne 2 phase compte pr s de 400 salari s ce qui rend impossible la collecte de l ensemble de ces donn es Le nombre de v hicule de fonction est de 66 avec une puissance fiscale moyenne de l ordre de 9 chevaux Tableau 16 Pour le kilom trage des d placements domicile travail de ce Bilan Carbone j ai r alis une moyenne des kilom tres parcourus aller retour gr ce au listing anonyme des kilom trages du personnel de la base vie qui m a t fourni par le service des ressources humaines Ce listing pr sentait le nombre de kilom tres aller entre le domicile et la base vie situ R ding Ma premi re tape a donc t de multiplier par 2 chacune de ces valeurs afin d obtenir le nombre de kilom tres aller retour La deuxi me tape a t de d finir combien de semaines par an un salari effectu cet aller retour domicile travail De mani re g n rale on consid re en moyenne
57. niques emploient des proc d s m caniques physiques et ou chimiques afin d liminer les contaminations Gr ce ces m thodes les polluants sont immobilis s extraits et ou d truits afin de r duire leurs impacts sur la sant et sur l environnement Khan et al 2004 Kalin 2004 Cependant ces proc d s peuvent tre tr s invasifs pour les cosyst mes trait s car d une part ils n cessitent souvent l excavation des mat riaux pollu s ce qui bouleverse les environnements et d autre part ils peuvent entra ner le rejet de compos s toxiques pour les formes de vie Il existe cependant une alternative ces techniques invasives permettant de limiter ces effets n fastes la rem diation biologique Cette approche utilise les capacit s naturelles de certains organismes d grader les polluants parfois m me jusqu leur min ralisation Serrano et al 2007 Ce type de d contamination qui implique les v g taux phytorem diation et ou les microorganismes biorem diation sont souvent consid r s comme r serv s une cat gorie restreinte de compos s comme les hydrocarbures p troliers l gers ou adapt s des conditions particuli res L int r t de ces techniques r side essentiellement dans le fait qu elles ne n cessitent ni excavation ni transport ce qui rend leur mise en uvre bien moins co teuse 5 3 La biorem diation La biorem diation est bas e sur l utilisation de souches microbiennes bact ries e
58. nt prendre en compte dans l appr ciation de ce taux de cl ture c est le facteur temps En effet se rendre sur les pollutions prend du temps sachant que le p rim tre couvrir correspond aux 106 km du trac de la LN 2 2 Evolution des pollutions au cours du projet Ce graphique permet d avoir une vision globale du suivi des pollutions survenues sur la p riode du 01 janvier 2013 au 31 juillet 2014 Le nombre total de pollutions sur cette m me p riode est de 102 Figure 5 En ce qui concerne le nombre de pollution mensuel on remarque une augmentation de celui ci partir d octobre 2014 avec la multiplication par un facteur 7 En effet de janvier septembre 2013 il ne survient qu une voire aucune pollution par mois alors qu en octobre nous en avons 7 Ceci est coh rent avec les d buts des activit s de construction de la ligne qui ont d but pour la majorit en ao t 2014 Deux pics sont atteints en mars et juillet 2014 avec 14 pollutions par mois Pour les autres mois ce nombre est compris entre 5 et 10 Figure 6 Id alement l objectif du nombre de pollutions mensuel est fix a un Cet indicateur mis en place par le responsable environnement du projet n est r git par aucun texte r glementaire mais permet de fixer une cible de taux de pollution mensuel A partir d octobre 2013 on remarque que le nombre r el de pollutions mensuel d passe largement la cible ce qui co ncide encore une fois avec l augmentation du taux d activit s
59. ntreprise est sp cialis e dans la construction et la maintenance d installations ferroviaires fixes sur les r seaux ferr s nationaux les r seaux de transport urbain ainsi que sur les embranchements industriels Cette large palette de comp tences techniques couvre les m tiers de la voie du g nie civil ferroviaire de la cat naire de la s curit ferroviaire de la distribution d nergie et de la signalisation Implant e en France comme l tranger ETF a contribu b tir les infrastructures de transport sur rail de ces derni res d cennies voies grande vitesse voies sur b ton voies de tramway sur fer et sur pneu m tros automatiques Les principaux domaines d activit s d ETF sont les suivants Y Les r seaux ferr s construction des lignes grande vitesse et renouvellement haut rendement sous interruption courte de la circulation Y La maintenance des voies nationales renouvellement de voies renouvellement d appareils de voie renouvellement de traverses et de rails soudures aluminothermiques et lectrique bourrage m canique l assainissement de plateforme ferroviaire le retraitement de ballast le g nie civil et la signalisation ferroviaire Y Installations terminales embranch es ETF r alise la pose et la maintenance des r seaux industriels et priv s ainsi que la construction de gares multimodales Y Transports urbains ETF construit et entretien des lignes de m tro et de tramway
60. ocarbures dans la terre et en surface Incm rable avec taux de cendres 3 lmufuge Mode d emploi En traitement de sol in situ 1 sac 8 n sur une profondeur de 20 30 cm Retourner la terre de la zone traiter afin de bien l a rer M langer Oil Sponge Vert cette terre meuble Ensuite arroser plusieurs fois avec de l eau pour que le milieu soit humide et propice la biod gradation Apres 45 jours votre sol redevient stable et fertile son changement de couleur en atteste HALECO 1951 avenue d Orange B P 303 84706 Sorgues cedex FRANCE Tel 33 04 90393966 Fax 33 04 90 39 39 79 www halecofr clients haleco fr Fiche Technique HALECO 45 Annexe 4 Fiche technique Natura Sol Natura Sol biosph re Nettoyant biologique pour sols de garages et industries M lange de bact ries specialis es et extraits fermentaires sp cialement adapt s pour le traitement des t ches d huile sur les sols en b ton ciment pierre c ramique carrelage pav s autobloquants dalles gravillons lav s bitume et autres types de sols poreux Rend les sols beaucoup moins glissants plus de s curit pour les employ s Sans rin age conomie de temps et d argent pH neutre sans attaque sur les supports Bact ries b n fiques pour l environnement Sans bact ries modifi es g n tiquement Sans attaque sur les fibres des balais elles restent propres plus longtemps et ne d gagent
61. one en France nani 13 Pollution et d pollution des sols A n tee nt M tata 14 5 1 Contexte g n ral sur la d pollution des sols 14 5 2 Proc d s de d pollution des sols 14 53 La blorem diation srtiesi nette A ANSE GE 15 5 4 La biod gradation des hydrocarbures 16 5 5 Pollution aux hydrocarbures quels produits utiliser 2 16 6 Objectifs eaa RSR M ne RSR N Sn dci a ie 17 Materiels et m thodes sus serais Hanah ena eaaa da ea ania naaien in aeai 18 Contexte m thodologique du bilan carbone nano nn cnn anar narccancnnn 18 1 1 Champ d tude du bilan carbone LGV Est europ enne 2 phase 18 Lt Perimetre tempore lr sn nine ER dia 18 1 1 2 P rim tre EOI UE rares e ananas ed 18 1 1 3 P rim tre d mission sise 19 1 1 4 Collecte des donn es et estimation ss 19 1 1 5 Outilde collecte d sdonn es iii dinar entente 20 2 Contexte m thodologique de la gestion et du suivi des pollutions 21 3 1 Moyens DINO eae ne dr den Terre On et der 21 2 2 MOYens Mat riels uns na a aa eaa e a E dir Ne 22 2 3 Demarche detritos 22 2 3 1 Gestion des Pals ld eee ten 22 2 3 2 SUIVI d s POIIUTIONS ii A RE nr 23 RESUME een A nan Sn eee cn tee nina ere 24 1 Collecte des donn es du bilan carbone 24 A Noms han En MAR Mn fine ne ne Me nt La nr 24 1 2 Mat riaux ferroviaires eee 24 1 21 Quantit des Matera Unicos 24 A A A A Re ME ER ere 25 1 2 3 Mise en place des
62. ources utilis es ADEME 2010 4 3 La marque Bilan Carbone Le bilan carbone est en France une marque d pos e Bilan Carbone De ce fait l utilisation de cette appellation est r serv e aux membres et licenci s de l ABC Le Bilan Carbone est la d marche de comptabilisation et de r duction des missions de GES la plus utilis e en France Comment devenir membre de l ABC La r alisation d un Bilan Carbone en interne ou en tant que prestataire est conditionn e par deux l ments avoir suivi une formation sp cifique et avoir souscrit une licence Bilan Carbone pour l ann e en cours Les formations Bilan Carbone permettent d acqu rir les connaissances essentielles l utilisation de la m thodologie et des outils n cessaires Dans un souci de qualit elles sont un pr requis pour devenir titulaire d une licence Bilan Carbone et pouvoir acc der l ensemble des outils Bilan Carbone associ s Ces formations sont valables vie et permettent toute organisation comptant parmi son effectif un salari membre de l ABC de devenir titulaire d une licence Bilan Carbone ABC 2014 Cependant pour faciliter la lecture et la compr hension j utiliserais uniquement le terme bilan carbone la place de l intitul de la marque d pos Bilan Carbone au sein de ce m moire 4 4 Contexte historique du bilan carbone Il n existe pas ce jour d tude
63. ours du changement climatique pourraient repr senter 5 20 du PIB mondial en 2050 alors qu un contr le des missions de GES et leur stabilisation a un niveau acceptable ne couteraient que 1 du PIB mondial Stern 2006 Cette d monstration est un engagement l action pour tous les acteurs conomiques politiques institutionnels et citoyens Des lors la contribution des Travaux Publics vis vis de cet enjeu est de 3 ordres Y Exercer sa responsabilit soci tale en mati re de changement climatiques Y R pondre au challenge de la croissance durable d abord en mettant disposition des op rateurs conomiques les savoirs faires adapt s ensuite en r pondant aux attentes de la communaut et de nos clients en mati re de performance carbone des activit s Y Saisir de nouvelles opportunit s de march s nergies renouvelables Nucl aire technologies de l information et de la communication et de management identification des doubles dividendes conomies de ressources et d missions de GES Depuis environ un si cle et demi la concentration des GES dans l atmosph re ne cesse d augmenter Les scientifiques pr voient des hausses de temp rature sans pr c dent Elles pourraient avoir des cons quences dramatiques sur nos soci t s C est pourquoi mettre en place les incitations les technologies et les m thodes n cessaires l mergence de politiques de r duction des missions de GES est
64. ous en ligne Disponible sur http www eco act com solutions de compensation carbone qui sommes nous consult le 15 juin 2014 41 Annexes Annexe 1 Fiche d intervention Na FICHE D INTERVENTION N1 D versement sur le sol MAITRISABLE 1 SUPPRIMER L ORIGINE DE LA POLLUTION Eteindre l engin obturer le trou relever le bidon 2 CONTENIR LA POLLUTION avec le kit antipollution El Mettre les gants 2 Entourer la pollution avec les boudins absorbants et prot ger les zones sensibles avaloirs cours d eau E Disposer des feuilles absorbantes ou du produit absorbant sur le liquide polluant et tapoter pour absorber l ensemble du produit Disposer les boudins et les feuilles absorbantes dans le sac d chets B D poser le sac d chets dans le bac d chet pr vu cet effet 3 VACUER LES MAT RIAUX POLLU S D poser les mat riaux dans le bac d chet pr vu cet effet 4 PR VENIR LE SUP RIEUR HI RARCHIQUE 5 RECHARGER LE KIT ANTIPOLLUTION 6 OUVRIR UNE FICHE DE NON CONFORMITE Application de la proc dure de Traitement des non conformit s Annexe 2 Fiche d intervention N2 FICHE D INTERVENTION N2 D versement sur sol ou dans l eau NON MAITRISABLE 1 SI POSSIBLE CONTENIR LA POLLUTION Eteindre l engin obturer le trou si possible mettre en place une barri re anti pollution en prot geant les zone sensibles avaloirs ET TELEPHONER AU
65. parties suivantes aiguillage interm diaire c ur et sortie 640m 4 160 acier y par appareil 1881 6 El ments b ton muret El ments 90 b ton EA b ton garde 10 pde E reil 44 1 ballast ferraillage PP 340000 51 25 bis HE Tableau 4 Ouantit s de mat riaux n cessaires l activit pose de rail du 2 semestre 2013 ao t 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 I Rame LRS Coupon rail l mentaire 16 qui comprennent coupon de rail l mentaire 50 E6 Rail de s curit 540 60 E1 26373 12 55 E2 50 E6 I Kit Soudure 3003 kits Tableau 5 Quantit s de mat riaux n cessaires l activit ballastage du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S2 2014 Semestre 2 2014 1830400 25ter Jajenb sz Tableau 6 Kilom tres parcourus et consommation de carburant r sultant de la livraison et de l acheminement des l ments de la cat naire du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S2 2014 Semestre 2 2014 Code couleur bleu valeurs moyenn es en partant d une consommation de 40 Litres pour 100 km Fil de contact fin S1 2014 0 0 06 06 E 11520 11520 4608 4608 4 11520 11520 11520 4608 4608 4608 Cable de terre HN 11520 11520 4608 4608 CDPA 11520 11520 1
66. pas de mauvaises odeurs Compatible avec les s parateurs d hydrocarbures Favorise la s paration de phase entre les hydrocarbures et l eau Ininflammable Tensioactifs biodegradables plus de 95 Contient des bact ries ultra sp cialis es L action biologique des cu tures de bact ries continue llminer les odeurs d ongine organique cr ent un bio fllm qui facilite les nettoyages successifs Contient des extralts termentalres actifs activite biologique nettoyante et super degralssante Instantanee assure un nettoyage en profondeur surfaces poreuses el Ir guii res UTILISATEURS Id ai pour nettoyer les sols Industriels de garages les centres de r paration rapide d automobiles les concessionnaires les hangars des municipalit s des ecoles les aires de stationnement les gares les a roports les garages les Industries et entrep ts les centres de production d nergie etc S UTILISE AVEC Nos doseurs automatiques pulv risateurs surpresseurs el autoiaveuses APPLICATION Diluer de 1 3 dans de l eau tede de pr f rence maximum 40 C Ne laisse pas de traces la dilution recommand s particulierement sur les surfaces lisses marbre granite etc Pour s assurer d une dilution pr cise Il est recommand d utiliser un doseur automatique Ne pas diluer plus de 48 heures l avance id alement diluer la quantit n cessaire pour la joumee Appliquer la solution sur le sol raide d un
67. pas encore t valid Ce tableau de bord pr sente partir des axes d engagements d ETF dans les trois domaines qualit s curit environnement les diff rentes actions men es ainsi que leurs objectifs op rationnels Pour juger de la r alisation ou non de ces objectifs des indicateurs ont t propos s avec pour chacun une cible chiffr e atteindre L int r t de ce tableau de bord est de r aliser un suivi mensuel de ces indicateurs dans le but d avoir une vision g n rale de la r alisation des objectifs du p le OSE et de permettre d initier des actions associ es c est l objectif du plan d action OSE associ ce tableau Ce plan d action remplit mensuellement pr sente les actions pr ventives ou correctives qui ont t mises en place pour atteindre les cibles fix es dans le tableau de bord Par exemple un des indicateurs environnementaux est le taux mensuel de pollutions que nous avions pr alablement fix 1 Nous avons pu voir que nous sommes largement sup rieur cette cible ce qui semble mettre en doute l objectivit de cette indicateur Il serait donc n cessaire d augmenter la cible 5 pollutions mensuelles par exemple Cependant le point noir de ce tableau de bord est le suivant il n existe aucun listing d indicateurs OSE ni aucunes cibles associ es ce qui rend difficile de d terminer l objectivit de ceux pr sent s dans le tableau Etablir un listing fixe des indicateurs suivre dans le domaine fe
68. plus d appels d offre ETF affirme sa volont d agir dans ce domaine afin de s adapter en permanence aux attentes de ses parties prenantes ainsi qu aux volutions r glementaires Cette volont anime leur politique environnementale 2013 2015 ETF se doit donc d tre acteur dans ce domaine et de fixer des objectifs travers lesquels la politique d EUROVIA 2012 2015 sera relay e Cette politique environnementale se d cline autour des principaux enjeux mondiaux que sont la lutte contre le changement climatique le recyclage et la pr servation des ressources naturelles la pr servation de la biodiversit Convaincue que ces grandes th matiques n cessitent une analyse et une compr hension globale mais exigent un traitement local tenant compte des caract ristiques des milieux o elles interviennent EUROVIA a con u sa politique environnementale en int grant le grand principe du d veloppement durable Agir local penser global Le changement climatique est l un des probl mes conomique social et environnemental majeurs auxquels nous serons confront s au cours du XXI me si cle Les activit s humaines d placements utilisation d nergies fossiles diverses etc engendrent un effet de serre additionnel qui amplifie l effet de serre naturel ayant permis le d veloppement de la vie sur terre Cela fait d j plusieurs ann es qu EUROVIA se mobilise sur ce sujet essentiel Un important travail a t r alis afin de suiv
69. poste d mission est sera pr cis e au sein des tableaux de collecte des donn es 1 1 2 P rim tre g ographique Le p rim tre g ographique du bilan carbone LGV Est europ enne 2 phase s tend sur 106 km ce qui correspond la distance de ligne grande vitesse de Baudrecourt Moselle Vendenheim Alsace Au sein de ce p rim tre outre les activit s de construction que l on retrouve le long de la LGV ilexiste trois sites distincts Y la base vie ensemble des bureaux servant la gestion du projet v la base travaux BTX support logistique aux op rations d installation des diff rents syst mes et quipements ferroviaires de la LGV Est europ enne 2 phase v la base militaire GC5 lieu de stockage du ballast 1 1 3 P rim tre d mission L Entit vis e par la m thode du bilan carbone est l ensemble des activit s sur lesquelles l utilisateur souhaite proc der l valuation et ou la d claration de ses missions de GES On distingue les missions de GES selon 3 cat gories de p rim tres conform ment la norme ISO 14 064 et au GHG Protocol qui sont les missions directes issues des mat riels des v hicules et des proc d s d tenus ou contr l s par l Entit les missions indirectes li es la consommation d nergie import e et les autres missions indirectes li es l activit de l Entit mais provenant de sites ou d op rations poss d s ou contr l s par un
70. re et d analyser l efficacit nerg tique de leurs industries et de privil gier les investissements permettant d accro tre leur sobri t nerg tique Ce travail va se poursuivre par la mise disposition de chaque site dans le monde d un tableau de bord nergie missions qui servira au pilotage local et global de l efficacit nerg tique d EUROVIA et ses filiales Les plans d actions qui en LGV Est europ enne Le trac de la Phase 2 Figure 1 Trac de la phase 2 du projet LGV Est Europ enne 8 bis d couleront aborderont l ensemble des aspects suivants mat riel organisation m thodes technique achats de fournitures transports et nergies renouvelables Dans le cadre de cette d marche ETF a mise en place un plan d action de r duction de gaz a effet de serre GES s tendant sur trois ans 2012 a 2015 qui se d cline autour de cinq axes prioritaires Nous conna tre suivi de nos consommations et missions sensibilisation et formation coconduite 1 4h environnement coconception technique et proc d s Bilan CO2 mat riels et b timents am liorations investissements organisation m thode transport production chantiers Paseri 2013 4 Le bilan carbone L enjeu du changement climatique est fondamental par la globalit de ses impacts et par son influence dans le temps Les conclusions du rapport de l conomiste Nicholas Stern sur ce th me sont claires les c
71. rroviaire serait donc un point am liorer dans cette d marche d am lioration continue du p le OSE R f rences bibliographiques ADEME 2006 Traitement biologique des sols pollu s recherche et innovation 92 p ADEME 2005 Calcul des facteurs d missions et sources bibliographiques utilis es version 3 0 56 p ADEME 2010 Guide des facteurs d missions Version 6 1 Calculs des facteurs d missions et bibliographie utilis e 81 p ADEME 2010 Un outil pour conna tre les missions de gaz effet de serre d une entreprise ou administration Le bilan carbone ADEME 2005 Bilan carbone d une entreprise industrielle ou tertiaire guide m thodologique version 3 0 7p Ambrosi P 2004 Amplitude et calendrier des politiques de r duction des missions face aux risques climatiques le ons des mod les int gr s Th se de doctorat Paris Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales 289 p Apesa 2008 Dossier technique les chantiers verts retour d exp rience 3 p Association Bilan Carbone 2014 Synth se enqu te flash 2014 6 p Autorit environnementale Conseil g n ral de l environnement et du d veloppement durable 2013 Avis d lib r de l Autorit environnementale sur le projet de modernisation de la ligne ferroviaire Toulon Hy res section La Pauline Hy res 83 12 p Beauzamy B 2011 Le Bilan Carbone erreurs m thodologiques fondamentales 34 p Bidaud C 1998 Biod gr
72. s priorit s Ces donn es sont agr g es par type d activit s avec l id e que chaque activit doit tre parlante minima pour un responsable op rationnel au sein de l entit concern e qui pourra ainsi aider l obtention de certains l ments et se demander dans quelle mesure il pourra agir pour faire baisser les missions correspondantes Les donn es peuvent tre directement disponibles en interne dans l entreprise comme par exemple l nergie avec les KWh consomm s disponibles sur les factures les intrants quantit de mat riel achet e la quantit de d chets g n r s par l entreprise etc Dans d autres cas il est en revanche n cessaire de solliciter d autres parties prenantes les fournisseurs si on souhaite remonter en amont pour calculer les missions dues au fret des mat riaux les salari s pour valuer leurs d placements domicile travail Certaines donn es sont donc faciles collecter alors que dans d autre cas les donn es sont plus difficiles voire impossible obtenir Dans ma d marche de recherche des donn es je n ai pas pu obtenir l ensemble des valeurs souhait es De ce fait j ai donc tait expos a deux cas de figures Y Les donn es sont manquantes ou impossible obtenir ou extrapoler et ont t l gend es sous informations manquantes Y Les donn es ont pu tre extrapol es ou moyenn es et ont t l gend es sous valeurs moyenn es Afin de
73. s synth tiques permettant de retracer la gen se de la m thode du bilan carbone N anmoins on peut consid rer qu elle s inscrit dans une r flexion n e l chelle mondiale officialis e par les rapports d valuation du GIEC Groupe d experts Intergouvernemental sur l Evolution du Climat cr en 1988 par l Organisation m t orologique mondiale et le programme des Nations unies pour l environnement Le GIEC qui r unit les plus grands scientifiques mondiaux sur la question du climat a pour mission g n rale de proc der un examen critique de la litt rature scientifique mondiale publi e afin d en d gager une synth se pertinente dans le but d clairer les d cideurs Gr ce lui les connaissances scientifiques sur le changement climatique ont t largement relay es vers l opinion publique En 1995 un nouveau rapport a conduit au protocole de Kyoto qui est un trait international visant l engagement des pays industrialis s r duire leurs missions de certains GES responsables du r chauffement plan taire de 5 en moyenne Ce dernier est entr en vigueur le 16 f vrier 2006 et a t ratifi ce jour par 183 pays dont la France et l exception notable des tats Unis Les GES d finis par ce protocole de Kyoto sont le dioxyde de carbone CO2 le m thane CH4 l oxyde nitreux N20 les hydrofluorocarbones HFC les hydrocarbures perfluor s PFC et l hexafluorure de soufre SF6 L objectif de r ductio
74. sent r cent ou ancien etc Nous voyons au travers de ces quelques exemples que la collecte de donn es est un point n vralgique du bilan carbone et peut constituer une limite son interpr tation La collecte des donn es qui est l tape de base dans la d marche de calcul des missions n est pas assez encadr e Se rendre compte de l incertitude d une donn e est une chose mais savoir l valuer en est une autre Quelles sont les limites de l incertitude d une donn e Comment juger de la coh rence de telle ou telle donn e Des questions qui laissent entrevoir le manque de lignes directrices et explicatives dans la r alisation de collecte Par ailleurs c est une valuation qui porte sur un crit re environnemental unique l impact sur l effet de serre Il n y a pas d autres crit res pris en compte comme par exemple les d chets la pollution de l eau ou de l air la pollution des sols la biodiversit etc Autre limite du bilan carbone est qu il n est pas possible de le comparer a un autre En effet un bilan carbone se r alise pour une structure donn e dans un p rimetre bien d fini produit site de production ou groupe entier Ainsi les diff rences d chelle interdisent toute comparaison en raison de la variabilit des donn es d entr e donn es macro conomiques utilis es conventions de calcul prise en compte ou non d missions indirectes hors territoire L am lioration des m thodes de collectes des don
75. t ou champignons et consiste utiliser ces derni res afin de d grader des contaminants Boopathy 2000 Il existe des micro organismes capables de d grader efficacement des polluants comme les produits p troliers les huiles et les graisses les hydrocarbures mono et polycycliques les BPC biph nylpolychlor s etc En plus d liminer les compos s ayant des effets n fastes pour l environnement cette technique permet de diminuer les co ts d assainissement Biog nie 1994 Tout comme les autres traitements les proc d s de biorem diation peuvent tre regroup s en 2 sous parties la premi re consacr e aux traitements de d pollution in situ sur le site m me la seconde aux traitements hors site De plus cette d gradation microbienne de la pollution peut aussi tre am lior e soit par adjonction d agents stimulant les microorganismes endog nes Perfumo et al 2007 soit par ajout de microorganismes purateurs endog nes ou exog nes Jacques et al 2007 Ces proc d s sont nomm s respectivement biostimulation et bioaugmentation La biostimulation consiste diminuer ou supprimer les facteurs environnementaux qui limitent l action des bact ries Il peut s agir d ajouter des l ments nutritifs avec des fertilisants de supprimer toute carence en oxyg ne ou d am liorer la biodisponibilit du polluant Le recours des fertilisants est la technique la plus courante La bioaugmentation consiste ajouter des
76. tiers La m thode utilis e ici consiste passer en revue tous les flux physiques flux de personnes d objets d nergies de mati res premi res etc par activit qui concernent la phase de construction de la LGV Est europ enne 2 phase Les activit s vis es par ETF sont les activit s suivantes g nie civil activit cat naire pose de traverse pose de rail pose d appareil de voie ballastage consommation bureautique machines et b timents Une fois ces activit s d finies il faut identifier au sein ce celles ci les postes d missions qui vont tre comptabilis s Dans le cas de ce projet ces derniers sont Y Les d placements domicile travail du personnel Y Les consommations d nergies lectricit gaz naturel gazole Y Les immobilisations b timents administratif mat riel informatique Y Les intrants ensemble des biens achet s pour le fonctionnement et le d roulement du projet mat riaux de construction fournitures de bureau etc Y Lefret d placement routier et ferroviaire Y Les d chets d chets g n r s par le projet 1 1 4 Collecte des donn es et estimation L objectif de l tude n est pas d obtenir un bilan des missions la tCO2e pr s mais bien d avoir une vision g n rale de celles ci et surtout de savoir o agir L int r t du bilan carbone est d identifier les marges d action afin de r duire leur impact et de hi rarchiser les actions mener selon le
77. tifier les missions indirectes de GES engendr es lors de l acheminement des mat riaux depuis le fournisseur jusqu leur mise en place sur leur site d utilisation L importance de ce poste r side dans le fait que l activit de construction repose sur l utilisation des mat riaux et par cons quent leur transport 1 2 1 Quantit des mat riaux La premi re tape pour chaque activit ferroviaire fut la v rification de l inventaire des mat riaux n cessaires aux diff rentes phases d activit pr sent es dans les tableaux J ai ensuite d termin les quantit s de mat riaux utilis es en tonnes sur les semestres d activit de la cat gorie de construction en question cat naire ballast Ces quantit s ont t obtenues via le dialogue avec les diff rents responsables d activit s qui sont charg s de la commande des diff rents mat riaux Pour l activit cat naire du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 les quantit s des mat riaux n cessaires sont les suivantes 384 tonnes de fils de contact 358 4 tonnes de porteurs 4 tonnes de c bles de terre 212 tonnes de CDPA 4000 tonnes de poteaux 409 6 tonnes de contres poids et 10 tonnes de boulonneries Tableau 1 Tableau 1 Ouantit s de mat riaux n cessaires l activit cat naire du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S2 2014 Semestre 2 2014 Fil de contact 3
78. timation pour les consommations des trains fournisseurs car la consommation d une locomotive d pend fortement du nombre de wagons et de leurs charges informations dont je ne disposais pas Les donn es concernant le kilom trage parcouru et la consommation qui d coulent de l acheminement des mat riaux de l activit cat naire Tableau 6 pose de traverse Tableau 7 pose d appareils de voie Tableau 8 pose de rails Tableau 9 et ballastage Tableau 10 sont pr sent es Tableau 2 Quantit s de mat riaux n cessaires l activit pose de traverse du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2014 Semestre 1 2014 Traverse Monobloc B ton 95 Acier 5 98600 Tonnes pour l ensemble des traverses Fonte Bois Patin 2 Patins traverse polyur thane Attaches Tableau 3 Quantit s de mat riaux n cessaires l activit pose d appareil de voie du 2 semestre 2013 au 1 semestre 2015 S2 2013 Semestre 2 2013 S1 2015 Semestre 1 2015 Plancher traverses Fastclip Semelle Acier 95 Plastique 5 Caoutchouc 213 go b ton i dez f de 2 42 3 r f rences 10 segi metres traverse diff rentes ferraillage 544000 tonnes pour l ensemble des traverses 1360 tonnes pour l ensemble des traverses 34 tonnes pour l ensemble des traverses 1726 5 Rail 4 types selon les
79. us et consommation de carburant r sultant de la livraison et de l acheminement du ballast du 2 semestre 2013 au 2 semestre 2014 S2 2013 Semestre 2 2013 S2 2014 Semestre 2 2014 Code couleur rose valeurs compl ter au fil des semestres code couleur kaki informations non obtenues 48000 48000 19299 903 au sein des diff rents tableaux cit s Les semestres pris en comptent sont identifi s dans les tableaux 1 2 3 Mise en place des mat riaux Les missions attenantes ce poste sont calcul es sur la base de la distance parcourue et de la consommation en combustible La mise en place des diff rents quipements ferroviaires n cessitent l intervention de divers engins de chantier list s dans chaque tableaux et ce pour chaque activit Idem que pour le fret des mat riaux ma recherche sur les donn es d activit s s est donc bas e sur le kilom trage parcouru et la consommation associ e Le kilom trage correspond aux aller retours effectu s lors des diff rents semestres d activit s Les d placements des agents associ s la mise en place des mat riaux n ont pas t pris en compte car ces derniers sont intra ables et minoritaires dans l mission de GES Il n existe aucun moyen de savoir le nombre de kilom tres exact parcourus pour les diff rents engins de chantier De ce fait j ai donc t oblig de moyenner ces valeurs en me basant sur les estimations des diff rents responsables d activit s Ces

2ème phase : mise en place - Bibliothèques de l`Université de

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