Chapitre 1 - Banque nationale de Belgique
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1. sfip 4 0 obly X sinoq 5 05 uapnid lonuo2 su ssiq 7 y u01 m0 uonejuaumoq s jeue p adno1o H ioddei 24 iz uodinemaq ne ip szu w ss qe3 xne pieog 5 ne Sa anod S bllH ne sapueinsse xne jequapnidoeuu ne s an l i s l neul s inod oddel yey GISSEVN 4 xubinsse l xupinsse p s stid n s p l n pnid lpnuo eee d s nbnpunolut suoneorddy W 6 3 2inpn seu essnquepueA Y LI SUD SAS d 221JJO luaweBeuel 12al014 uedes 4 UU JEN H oueyil nins 18 glun s sodeusemz N S M 5s qu uune ULA Y s nbiuu sjueuedinbz u l eg ueA yy suonele sul s p uons p uedue uen W 1el21209S w BUSING 7 1e49u96 8143497 Ud neqalle d ul lul 1ipny wPsunm 231d juodinemeg seen sinesue gt s p 2621109 a sae2. 2000 2005 2010 2011 2012 2013 Activites non prudentielles prudentielles Cadres Ed Employes Fr Source BNB 1 L augmentation de 2011 s explique par la reprise des activit s de contr le prudentiel de l ex CBFA Le personnel affect aux activit s non prudentielles continue depuis lors diminuer L enqu te de satisfaction parmi le personnel et les entre tiens de fonctionnement ont montr que dans certaines entit s un nombre assez important de collaborateurs connaissent des probl mes de stress li s au travail Ceux ci trouvent leur origine dans l organisation du tra vail le manque de communication et l environnement psychosocial La Banque a mis sur pied un programme de pr vention du stress destin identifier celui ci le g rer et a l viter 22 LA BANQUE NATIONALE EN 1 22 D parts a la retraite et d c s En 2013 la Banque a appris avec regret le d c s du r gent honoraire Jan Hinnekens M Hinnekens a t r gent de notre institution de 1976 1993 La Banque a galement d plor en 2013 le d c s de cinq membres de son personnel M H Baten Mme N De Prez M E Lecoq Mme A Morren M M Van Eynde Marc Leur souvenir sera fidelement garde Par ailleurs la Banque tient a exprimer sa reconnaissance aux membres du personnel de cadre qui ont termin leur carri re M L Aeles M E De Koker M E De Smet M H De Troyer M E Debisschop M H Debremaeker M
3. elle formule une opinion globale ainsi que des constats et exprime des recommandations Ce rap port d inspection met la Banque en mesure d valuer si une action imm diate doit tre envisag e et d ajuster son jugement sur le profil de risque g n ral de l institution lors de l valuation p riodique du risque Le projet NOVA avait pour objectif de r viser fondamen talement la m thodologie de l inspection dans le but de parvenir une harmonisation des inspections et une am lioration de leur efficacit Il a d bouch sur l labora tion d un manuel d inspection qui est d application depuis octobre 2013 Celui ci propose une description claire et univoque du processus d inspection et fixe une m thodo logie formelle II introduit les techniques et concepts les plus r cents en mati re d audit et a permis de revoir les programmes de travail en dessinant des processus stan dardis s Les opinions sont dor navant exprim es sous forme d une cote et les recommandations assorties d un score Le processus d inspection a en outre t largement automatis La m thodologie NOVA est soutenue sur le terrain par la mise en service d un logiciel appel Vision La mise en place de celui ci s inscrit dans le projet global PRIME de r informatisation de l activit prudentielle En 2013 un module Anti Money Laundering AML a galement t mis en place Ce projet qui s inscrit comme son nom l indique dans la lutte anti blanchiment
4. men s tout au long du processus de production Des chantillons de papier ont syst matiquement t pr lev s dans chaque livraison pour en prouver la qualit Le labo ratoire a analys les encres Les signes de s curit visibles l il nu ou lisibles par des machines ont t minutieu sement contr l s durant et apr s la cha ne d impression Enfin l imprimerie de la Banque a servi de centre de for mation pour les techniciens d autres imprimeries appel s produire les nouvelles coupures Au mois de janvier 2014 l Eurosysteme a annonc l mis sion partir du mois de septembre de cette ann e d une nouvelle coupure de 10 euros Ces nouveaux billets se caract risent par l apparition sous forme d hologramme et de filigrane du portrait de la princesse mythologique Europe d o provient le nom de notre continent ainsi que par le renforcement des signes de s curit et de la durabilit du billet En 2012 le Comit de direction de la Banque avait pris acte de l insuffisance du quota de billets en euros allou l imprimerie de la Banque pour permettre celle ci d atteindre un volume d activit viable La recherche d un partenaire n ayant pas abouti le Comite de direction avait opt pour un abandon progressif de la production a l hori zon 2020 Conform ment cette d cision un manager a t recrut au mois de f vrier 2013 Le business plan qui a t approuv dans les mois qui ont su
5. acoustiques et pourvus de protection solaire am lioration de l isolation des murs plafonds froids et r glages individuels Les machines froid dans la centrale nerg tique ont toutes t remplac es La puissance lectrique install e a diminu de 45 96 535 kW La Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 23 puissance de refroidissement n cessaire a d cru de 25 96 Dans les trois derni res ann es tous les compresseurs ont t remplac s par des machines moins voraces en nergie Sachant que par bar de diminution de pression on pargne 7 d lectricit la pression que livrent les machines a t revue la baisse L obtention par la Banque du certificat de performance nerg tique d un b timent public souligne son s rieux dans l approche des conomies d nergie Cette labellisa tion indique en effet que nos bureaux consomment 40 d nergie de moins que la moyenne bruxelloise D autres mesures m ritent encore d tre cit es Conform ment au protocole de Kyoto visant r duire l mission de gaz effet de serre la Banque a d j pris la plus grande part des mesures dans les derni res ann es en rempla ant une dizaine de grandes machines froid environ 100 kW d nergie lectrique et des dizaines de plus petites Environ 800 anciens GSM professionnels ont t recycl s La volont de r duire l mission de CO en mati re de mo bilit a fait l objet de dif
6. per mettra d valuer la conformit et le comportement des organismes face au dispositif de pr vention de l utilisation du syst me financier aux fins de blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme ainsi que du finance ment des armes de destruction massive Le projet AML a pour objectifs de se conformer aux recommandations et aux nouveaux standards internationaux en la mati re du Groupe d action financi re GAFI et de mettre en uvre ces recommandations s agira en effet de d montrer notre conformit ces recommandations lors de la qua tri me valuation de la Belgique par le GAFI qui aura lieu en septembre 2014 La Banque a profit de la simultan it de l introduction du MSU et du lancement de NOVA pour calquer au plus pr s dans ce projet la m thodologie qui sera d application dans le MSU Elle a galement d cid de conserver des l ments qui ne sont pas encore pr vus dans le MSU ou dont l exp rience a prouv qu ils devaient tre conserv s par exemple la formulation de recommandations et leur suivi par les inspecteurs ou la communication d une cote globale Ces l ments seront maintenus pour toutes les institutions contr l es jusqu la mise en uvre op ra tionnelle du MSU et pour toutes les mati res o la Banque est seule comp tente Enfin cette mise jour m thodologique va de pair avec une adaptation du mod le d organisation la Banque a en effet d cid de r unir les inspe
7. quation de sa capacit informatique est cruciale ce qui a incit le Comit de direction de la Banque faire soutenir son exercice stra t gique 2015 2020 par un appel une expertise externe dans ce domaine Cette consultance devra partant de la capacit informatique actuelle et de l volution attendue des besoins en la mati re dans les diff rents services de la Banque laborer un plan strat gique pour l informatique de la Banque pour les cinq ann es venir Ce plan devra non seulement comprendre un trajet de transformation fonctionnel et d infrastructure mais galement un volet relatif au management des comp tences ainsi que des recommandations en mati re de gouvernance Le consul tant basera ses propositions sur une analyse de la situation actuelle et de son volution mais devra galement inclure un exercice de benchmarking Durant l ann e sous revue le d partement informatique a accompagn les volutions de notre environnement et nourri diff rents projets de plus long terme C est ainsi qu il a entre autres fourni le support informatique pour le projet NOVA soutenant les inspections aupr s des ins titutions financi res ainsi que pour les changements de plateformes du syst me de compensation et du syst me de liquidation de titres Securities Settlement System Il a veill l extension de la plateforme de suivi et de comptabilisation des transactions de billets Cash Single Shared Platform CashSSP un
8. D Den e M L Eicher M M M M M M M mer mmc J E J Fran ois R Haenecour Ch Jacob L Janssens J M Plisnier M Van Caenegem E Van Horenbeeck Elle remercie galement les employ s dont la carri re s est achev e au cours de l ann e coul e M H Baten Mme M Bernard M J M Bertini Mme Ch Bosmans Mme D Bosseloo M Ph Broze M H Cautaerts Mme Ch Collombon Mme 1 Courard TANT QU ENTREPRISE l BNB Rapport 2013 M G Daneau M A De Bakker M L De Clerck M H De Grauwe Mme L De Jonghe M M De Ruyck M J P Debaes M P Dekerckheer M D Dewulf Mme A M Driessens Mme F Elias Mme M Floryn Mme Ch Hayois M F Hubert M F Jaspers M D Jossaar M P Lafleur M K Lecluyse Mme L Leroy M G Maire M A Meersschaut Mme S Mergan M H Nijs Mme M Potoms Mme M Potoms Mme M Ch Quenon Mme N Raulier Mme V Regnier M J Renders M P Ryckaert M D Saerens Mme F Sauwen Mme Ch Spiliers Mme R Steyls M W Stievenard M G Suykens M J M Swerts Mme A Theys Mme F Tonglet M F Van Den Bergh Mme Ch Van Der Biest Mme M Van Diest M W Van Erp Mme A M Van Mellaert M P Van Molle Mme M C Van Snick Mme G Van Vaerenbergh M R Vanausloos M F Vandenbroeck Mme N Vandewinckel M 1 Vanwynsberghe Mme P Vouez 1 3 Entreprise durable La Banque a depuis de nombreuses ann es opt pour le concept
9. audit et tre dispos es r pondre tout moment leurs questions En fin de compte elles devront tre en mesure de d montrer la solidit de leur bilan et de leur situation financi re Toujours dans l optique d une am lioration constante de la qualit de la supervision prudentielle le Comit de di rection de la Banque a lanc d s l automne 2012 un projet ambitieux de renforcement m thodologique de la fonction d inspection Ce projet a abouti l automne 2013 sous ORGANISATION DU CONTR LE BANCAIRE Core host Autre host Source BNB 12 l LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE l BNB Rapport 2013 Banques soumises au contr le direct du MSU Autres tablissements Inspection prudentielle Contr le de qualit Meilleures pratiques Int grit des donn es Banques soumises au contr le indirect du MSU Banques et entreprises d investissement hors du champ d application du MSU l appellation de NOVA New Organisation for Valorisation of Audit En mati re prudentielle les inspections sont en effet la fois essentielles et irrempla ables Elles consti tuent autant d enqu tes approfondies men es d ordinaire au sein m me des institutions qui permettent de d pister les lacunes dans la fa on dont celles ci organisent leurs activit s et g rent leurs risques et de prendre des mesures correctrices Apr s chaque inspection la Banque tablit un rapport o
10. d entreprise durable En la mati re 2008 devait tre marqu d une pierre blanche puisque l entreprise s est vu d cerner cette ann e l le label Entreprise ecodynamique de l Institut bruxellois pour la gestion de l environnement IBGE assorti de deux toiles Cette dis tinction r compensait les efforts consentis par la Banque dans le domaine environnemental Le label d une dur e de 3 ans a t renouvel en 2011 avec une toile suppl mentaire 2014 verra s op rer un r examen de la Banque au regard des crit res pos s par l IBGE Parmi les actions entreprises et les r sultats engran g s durant l ann e sous revue relevons l organisation d une semaine durable l occasion de la semaine bio en juin 2013 Celle ci a permis de promouvoir diff rents aspects du projet d entreprise durable Chaque jour le personnel a t sensibilis un th me environnemental nergie habitat r duction de la consommation et recy clage alimentation et mobilit En mati re d conomies d nergie les gains les plus imm diats ont t r alis s dans les ann es coul es Diff rents investissements de remplacement ont t parachev s ou entam s durant l ann e sous revue La premi re partie du projet de r novation du b timent BNB1 b timent construit par Van Goethem la sortie de la Seconde Guerre mondiale a t r alis e Elle portait sur 7 800 m avec installation de fen tres aux verres supe isolants
11. d int r t sans risque e Le financement des entreprises en Belgique analyse sur la base des tableaux des ressources et emplois D CEMBRE Projections conomiques pour la Belgique Automne 2013 Tendances des syst mes de taxation au sein de l UE Mesure de l inflation tat des lieux et enjeux Ce que l volution de l inflation nous apprend sur la courbe de Phillips implications pour la politique mon taire e R sultats et situation financi re des entreprises en 2012 e Le bilan social 2012 VVorking Papers 241 The influence of the Taylor rule on US monetary policy e 242 Flemish maritime ports Li ge port complex and the port of Brussels Report 2011 e 243 The fragility of two monetary regimes The European Monetary System and the Eurozone e 244 Funding liquidity market liquidity and TED spread A tvvo regime model e 245 Robustifying optimal monetary policy using simple rules as cross checks e 246 Household and firm leverage capital flows and monetary policy in a small open economy e 247 The BIS and the Latin American debt crisis of the 1980s 248 The relationship between slack resources and firms exporting behavior e 249 The role of financial frictions during the crisis An estimated DSGE model e 250 Bank reactions after capital shortfalls e 251 Why firms avoid cutting wages Survey evidence from European firms e 252 The distribution of debt across euro area countries The role of individ
12. de gestion des risques La dimension des provisions techniques restera un point d attention g n ral pour l ensemble des entreprises donnant galement lieu des missions d inspection sur le sujet Ces travaux porteront entre autres sur la confor mit du niveau desdites provisions aux exigences du r f rentiel belge actuel Solvabilit 1 notamment eu gard l observation de la tendance de plusieurs entreprises anticiper le calcul des Best Estimate Liabilities cf ci apr s Il sera galement question d analyser le degr de pr pa ration des assureurs quant au calcul des Best Estimate Liabilities vu les modifications fondamentales apport es par Solvabilit II TANT QU ENTREPRISE 2013 En outre l impl mentation des mod les internes en vue du calcul des exigences r glementaires en capital sous le r gime de la directive Solvabilit II Solvency Capital Requirement SCR est galement suivie r guli rement par les services sp cialis s de la Banque Par ailleurs les exigences actuelles de la Banque et les nouvelles orientations europ ennes pr paratoires la directive Solvabilit Il en mati re de syst me de gou vernance forment le nouveau cadre prudentiel relatif ce domaine La port e des contr les exercer concernant les syst mes de gouvernance sera adapt e en cons quence Ceci concernera notamment l valuation des structures organisationnelles et op rationnelle
13. dure d valuation des risques Parmi les groupes bancaires relevant du MSU 15 sont tablis en Belgique II s agit pour six d entre eux de leur si ge prin cipal Argenta AXA Banque Bank of New York Mellon Belfius Dexia et le groupe KBC et pour deux d entre eux d une filiale belge caract re syst mique BNPP Fortis et ING Belgique Les autres entit s belges des groupes Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 11 bancaires relevant du MSU sont des filiales ou des succur sales dont les activit s en Belgique sont relativement limi t es par rapport l ensemble consolid D s lors ce sont huit banques ou groupes bancaires six banques home et selon toute vraisemblance deux banques host qui seront soumises aux analyses et valuations pr alables la phase op rationnelle du MSU La Banque a d cid d aligner sans tarder l organisation de son contr le bancaire sur cette nouvelle architecture de surveillance et sur le calendrier du MSU compter de novembre 2013 la population des banques et les collaborateurs du contr le bancaire ont t r partis en trois nouveaux groupes Les grandes banques sous la surveillance directe de la BCE l avenir l quipe de contr le d sign e pour chaque banque ou groupe bancaire fera d s le lan cement de la phase op rationnelle du MSU partie int grante de l quipe de surveillance conjointe oint Supervisory Team qui contr le
14. la demande du ministre f d ral des Finances la Banque a publi en d cembre une tude visant l informer des cons quences attendues de l introduction en Belgique d un principe d arrondissement sym trique 5 cents pr s pour les montants totaux pay s en magasin La conclusion en a t que cet arrondissement serait de nature r duire l insatisfaction des consommateurs l gard du nombre de pi ces de diff rentes d nominations ainsi que les co ts support s par les commer ants les banques la Monnaie royale et la marge la Banque nationale Cette mesure ne devrait pas avoir d effet notoire sur l inflation en Belgique Compte tenu de la perception de la population belge que la disparition des pi ces de 1 et 2 cents pour rait entra ner une acc l ration de l inflation la Banque a recommand d apporter un soin particulier a l informa tion du public Le gouvernement a d cid de suivre l avis de la Banque quant ce principe de l arrondissement sym trique sur le total pay la caisse En 2013 l Eurosyst me a publi l ensemble des r sultats de l enqu te r alis e en 2010 2011 aupr s des m nages en vue d valuer leur comportement dans l allocation de leur patrimoine Les r sultats pour la Belgique ont fait l objet d une large diffusion dans les medias et donn lieu la publication par la Banque d une analyse plus fouill e Celle ci sera suivie en 2014 et au del par la communication d autres trava
15. ll nu pnid nbillod ulssog a jenen ne n old uonuangid ej anod l lul SPD ueA D nbiulouo2 ol lul asAjeuy 5 02 4 Sue Iq s p lenu wung D Ip3 D s p Saje ua y sanbiWouo2s 011u uoneulio u id V wudu l g v l g v b r lq sd A nbnsne s 5 a ainpuofuo gt q xneuolbai g xneuoneu sado ssop 0 5 s nbnsnes v nbnsnes H s v eunoy 7 DOS 12 lPLE ES uonensiululpy l neq r1 3 s uleulnu s inoss l s p uons n GOIA 1 11 SSEH s GODINA 1 renon ualooaueA N lenu asie 4 1 Inddy unulno Ud s b ls UONE QH BSSIUS H s ni ueebe7 4 xne1njdi2s sjuauualed suaysen 5 221H0 Peg 3 solo lppiyy n eq 7 221 JO 1401 OPEL d s ulewny s inoss y swoo a SYJEN 1 bisa o s p n pnid lonuo s p s nbueq s p
16. neuvi me participant la banque centrale d Estonie Vers la fin de 2013 les postes de travail destin s permettre aux services d assurer la continuit des activit s en cas de n cessit qui taient abrit s la succursale d Anvers ont t relocalis s chez un op rateur priv dans la r gion bruxelloise et le projet Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 19 20 LA BANQUE NATIONALE EN de mise a niveau du centre de donnees en fonction des derniers standards d efficacit et de s curit a t lanc Parmi les activit s de support les services touchant aux b timents et aux installations techniques se doivent eux aussi de suivre et d anticiper l volution des activit s de l institution La Banque est par ailleurs fort soucieuse de son empreinte environnementale la partie 1 3 revient plus particuli rement sur les efforts qu elle d ploie en tant qu entreprise durable Le plan de r novation des bureaux entam depuis plu sieurs ann es d j sous l appellation de Master Plan immobilier s est poursuivi par la r habilitation compl te de pr s de 4000 m de bureaux Des travaux importants vont tre prochainement accom plis dans deux b timents embl matiques de la Banque D s 2014 la verri re de la grande salle des guichets du b timent Van Goethem inaugur en 1954 sera rempla c e dans le respect du style caract ristique de ce b timent Le toit de verre qui la prot
17. possibilit s de pr sentation d une grande clart et une fonction de recherche de qualit DotStat offre galement une interface efficace avec Excel propose plusieurs possibilit s d exportation et procure un soutien la nouvelle norme en mati re de protocole d change de statistiques SDMX Tout comme les tudes conomiques les travaux statis tiques propos s par la Banque entendent s adapter aux r alit s de la sixi me r forme de l tat belge afin de dis poser de suffisamment de chiffres de qualit pour assurer un monitoring efficace des entit s f d r es D s 2009 la Banque avait sign un contrat avec les trois r gions du pays afin qu une tude de faisabilit soit r alis e concer nant le d veloppement de statistiques macro conomiques r gionales 18 LA BANQUE NATIONALE EN Les domaines d finis englobent l tablissement des comptes des communaut s et r gions ainsi que des admi nistrations locales les composantes de l optique d penses au niveau r gional et enfin la croissance conomique r gionale en fr quence trimestrielle Cette tude de faisabilit ayant d montr que les statis tiques vis es pouvaient tre r alis es et les r gions ayant emis le souhait de continuer dans cette voie la Banque a d cid de poursuivre le projet Celui ci a d marr en juin 2013 et s tendra jusqu d cembre 2014 La Banque nationale est un centre tr s important de col lecte et de diffusion
18. res joue en effet un r le important dans l exercice de la politique mon taire de l Eurosyst me car il constitue une donn e cruciale dans l valuation des gages d pos s par les institutions financi res en contrepartie de la fourniture de liquidit s Dans l exercice de la surveillance prudentielle aussi une vision approfondie ind pendante et objective du risque de cr dit sur les clients des institutions financi res consti tue un atout important L ICAS est un syst me d valuation du cr dit qui estime les risques de d faut de paiement dans le chef des entre prises non financi res Il utilise cet effet des techniques statistiques avanc es et applique une expertise micro co nomique aux banques de donn es conserv es la Banque nationale savoir la Centrale des bilans et les centrales des cr dits avec un r le majeur pour la nouvelle Centrale des cr dits aux entreprises Apr s examen minutieux par la BCE et l Eurosyst me l ICAS de la Banque a t approuv par ces institutions Partiellement op rationnel depuis le d but 2014 le sys t me sera tendu dans le courant de la pr sente ann e un sous ensemble de grandes entreprises non financi res d termin selon des crit res qui seront tablis en concer tation entre divers services de la Banque Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 15 16 LA BANQUE NATIONALE EN Les missions que la Banque exerce aussi bien dans
19. titulaires des comptes et contrats pourront elles aussi exercer titre gratuit leur droit de consultation et si n cessaire demander sans frais la rectification ou la sup pression de donn es inexactes La Banque nationale est charg e de la gestion de cette centrale pour le compte du SPF Finances elle a pu mobiliser pour ce faire du person nel pr c demment affect la centralisation des protets mission reprise depuis septembre 2013 par la Chambre nationale des huissiers de justice de Belgique dans le cadre du Fichier central des avis de saisie de d l gation de cession de r glement collectif de dettes et de prot ts TANT QU ENTREPRISE 2013 Dans le courant de l ann e 2013 le grand public a pu entrer en contact avec la premi re coupure de la nouvelle s rie Europe des billets en euros celle de 5 euros L imprimerie de la Banque nationale a t tr s fortement impliqu e dans les travaux pr paratoires l impression de ce billet et ce d s 2009 Si le dessin original n y a pas t r alis les sp cialistes de la Banque ont eu pour mission de traduire celui ci en une coupure la fois belle et s re et susceptible d tre imprim e en masse Ce processus a t men de bout en bout par le seul atelier de la Banque nationale Celui ci a ensuite t d sign par la BCE comme imprimeur test puis premier imprimeur pilote Des centaines de tests manuels et automatis s ont t
20. 1 La Banque nationale en tant qu entreprise 1 1 Faits marquants L v nement le plus marquant qui se soit produit dans notre environnement de banque centrale et d autorit de supervision au cours de l ann e sous revue est sans conteste la d cision de mettre en uvre le m canisme de supervision unique MSU partir du 4 novembre 2014 D s cette date les 128 principaux groupes bancaires de la zone euro verront leur supervision s effectuer selon des r gles tr s largement identiques par la Banque centrale europ enne non sans l appui des autorit s de supervision nationales Les banques de moindre importance et les compagnies d assurance resteront quant elles supervi s es par les autorit s nationales Le fonctionnement de ce m canisme a t d crit avec pr cision dans le volume consacr l volution conomique et financi re L organisation du contr le bancaire la Banque sera fortement influenc e par la mise en uvre de ce m ca nisme qui se d roulera en deux phases la phase de transi tion entre novembre 2013 et novembre 2014 et la phase op rationnelle du MSU partir du 4 novembre 2014 Durant la phase de transition les grands groupes ban caires de la zone couverte par le MSU seront soumis une valuation compl te Cette valuation consiste en une analyse d taill e des actifs analyse du bilan compos e d un examen de la qualit des actifs et d un test de r sis tance et une proc
21. ancier des actions de la Banque VVVVVV bnb be info nbb be T l 32 2 2212111 Kristin Bosman Secr tariat g n ral T l 32 2 221 46 28 Fax 32 2 221 31 60 pressoffice nbb be Herwig Smissaert chef du service Titres T l 32 2 221 43 28 Fax 32 2 221 32 05 securities nbb be 26 l LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE l BNB Rapport 2013 ADRESSES Bruxelles boulevard de Berlaimont 14 Li ge place St Paul 12 14 16 1000 Bruxelles 4000 Li ge T l 32 2 221 2111 T l 32 4 230 62 11 Fax 32 2 221 31 00 Fax 32 4 230 63 90 info nbb be liegesg nbb be Courtrai President Kennedypark 43 Mons avenue Fr re Orban 26 8500 Kortrijk 7000 Mons T l 32 56 27 52 11 T l 32 65 39 82 11 Fax 32 56 27 53 90 Fax 32 65 39 83 90 kortrijksg nbb be monssg nbb be Hasselt Eurostraat 4 3500 Hasselt T l 32 11 29 92 11 Fax 32 11 29 93 90 hasseltsg nbb be D partements et services voir le site internet Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 27 quenajai s nbi H ds s ll uuone do suonouoq Uu ssiel q 77 SEYIY ae enoy2s y uonesiueb1o 7 l l qeldulo e612g u p uPA y s b 2191002 siens A ul s4soin3 q feuoneul n uoneulpioo2 T amp 212PUEUI PHILS y
22. ar lesquelles les cybercriminels am nent les utilisateurs de services bancaires lectroniques communiquer leurs codes de s curit personnels Le cadre de r f rence dans lequel s exerce le contr le prudentiel des entreprises d assurance et de r assurance a t d taill dans le Rapport 2013 volution cono mique et financi re partie R glementation et contr le prudentiels chapitre 3 En ce domaine l agenda de la Banque a t largement d termin par la pr paration de l entr e en vigueur de la directive europ enne Solvabilit Cette r forme r gle mentaire du monde de l assurance vise favoriser une meilleure gestion des risques pr sents dans les entreprises d assurance et de r assurance et mieux adapter les exigences de solvabilit aux risques r ellement encourus par ces soci t s Parmi les points qui ont sp cialement retenu et conti nueront de retenir l attention de la Banque dans ces mati res citons l valuation du niveau de pr paration des entreprises en mati re de dispositif d valuation interne des risques Own Risk amp Solvency Assessment ORSA l s agit d analyser la d marche m thodologique que les entreprises adoptent en mati re d valuation prospective des risques propres et de techniques et crit res mis en uvre pour leur gestion Cela implique de couvrir les aspects de gouvernance et de strat gie ainsi que les pro cessus et les proc dures en mati re
23. cteurs au sein d un m me service partir de novembre 2014 Parmi les th mes importants examin s dans le cadre des inspections figurent le fonctionnement et la qualit de la gestion des risques l organisation et la gestion des risques des activit s de march la gestion du risque de cr dit et du risque de liquidit le contr le du r seau de d tail l ad quation des provisions techniques dans les compagnies d assurance ou encore l application de la r glementation relative la pr vention du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme En ce qui concerne la validation de nouveaux mod les et le suivi des performances de mod les pr c demment valid s l essentiel des activit s a port de nouveau sur le risque de cr dit qui motive le gros des exigences de fonds propres des tablissements L attention s est port e par ailleurs sur les mod les de valorisation au juste prix et ce en raison de la disparition progressive du filtre prudentiel du portefeuille d instruments qualifi s de disponibles la vente Available For Sale AFS dans B le II Quelques nouveaux dossiers ont en outre t trait s dans le cadre du risque op rationnel et de march ainsi que de l ICAAP International Capital Adequacy Assessment Process En mati re de pratique du contr le une importance par ticuli re a t accord e en 2013 la protection contre les cyber risques en g n ral et aux projets d externalisation d
24. de donn es et d informations micro conomiques comme en t moignent sa Centrale des bilans ainsi que ses centrales de cr dits aux entreprises et aux particuliers Compte tenu de l expertise de la Banque dans la gestion s curis e de grandes quantit s de don n es le l gislateur lui a confi la t che de mettre en place et de g rer le Point de contact central instaur par l arr t royal du 17 juillet 2013 D s le mois de mai 2014 c est donc la Banque nationale que seront centralis s les num ros de comptes bancaires d tenus en Belgique par les personnes morales et physiques r sidentes et non r sidentes Le volume repr sent par ces donn es peut tre valu environ 60 millions de comptes d tenus par 16 millions de clients Ce registre mentionnera ga lement les types de contrats conclus par ces clients avec les tablissements financiers par exemple les conventions de cr dit hypoth caire de vente temp rament d un montant sup rieur 200 euros de leasing de pr t temp rament etc Les redevables d information sont les tablissements de cr dit de paiement les soci t s de bourse etc Leurs d clarations ne contiendront en aucun cas les montants relatifs aux comptes et contrats r pertori s La consulta tion sera s curis e et limit e des personnes mandat es par l administration fiscale dans le cadre d une proc dure strictement d finie par la loi Les personnes morales et physiques
25. e jouer cette ch ance et de quel personnel quantitativement et qualitativement a t elle besoin cette fin Cet exer cice sera men bien dans le courant 2014 La Banque disposera alors d une vision plus claire de son avenir cinq ou six ans Comme beaucoup d institutions du pays la Banque va se trouver confront e dans les ann es qui viennent au d part la retraite de la g n ration dite du baby boom Il faudra non seulement d finir combien de personnes sont n cessaires l accomplissement des mis sions qui auront t d finies mais aussi veiller pr server le know how pr sent dans notre entreprise cette fin la Banque durant l ann e sous revue a accord une importance particuli re l adaptation de ses processus en mati re de ressources humaines par exemple en mettant sur pied une quipe de HR business partners qui assurera le relais entre le d partement des Ressources humaines et les diff rentes entit s administratives de la Banque On peut souligner en cette mati re que la r affectation du personnel de la succursale d Anvers a t couronn e de succ s et que la reconversion des coll gues de l imprime rie se pr pare dans de bonnes conditions et avec tout le respect qui leur est d Comme dans toute entreprise moderne l informatique a pris une dimension v ritablement strat gique dans la capacit de la Banque r aliser ses missions Vu l vo lution de ces derni res l ad
26. es activit s T des tablissements financiers par le recours des syst mes de cloud computing en particulier Internet est en effet rapidement devenu un r seau externe critique tant pour la prestation de services au monde ext rieur clients r seau d agences agents d l gu s etc que pour le fonctionnement interne des tablissements sou mis au contr le Parall lement l utilisation d internet par les tablissements et leur d pendance par rapport cet outil induisent des risques lev s en mati re de s curit et de continuit pour les syst mes IT internes et externalis s et pour les services internet propos s 1 II s agit de services T qui sont propos s la demande et en ligne par des fournisseurs de services IT sp cialis s Dans ce cadre il est fr quemment fait usage de techniques de virtualisation et d internet en vue de rendre les services IT plus extensibles et plus flexibles Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 13 14 LA BANQUE NATIONALE EN Une collaboration troite a t tablie avec Febelfin et la Federal Computer Crime Unit notamment afin de combattre la fraude bancaire par internet Il est remarquable de constater cet gard qu en Belgique pratiquement toutes les fraudes bancaires par internet en 2013 d coulent de techniques frauduleuses sp cifiques g n ralement des usurpations d identit par courriel suivies d un contact t l phonique p
27. es pour s adapter au mieux aux r alit s de l UE avec certaines diff rences de pr sen tation Il s agit dans tous les cas d accro tre la pertinence conomique et descriptive du syst me de comptabilit nationale en ces temps de mutation conomique et ins titutionnelle rapide Si les modifications introduites par le SEC 2010 sont nom breuses et techniques impliquant une r vision en profon deur du syst me et un affinement des m thodes de calcul elles visent capter des r alit s qui ont des cons quences concr tes et quotidiennes pour les agents conomiques et les analystes Elles permettent en particulier de mieux refl ter la mondialisation de l conomie mobilit interna tionale accrue des ressources nationales le d veloppe ment de l conomie de la connaissance meilleure prise en compte des frais de recherche et d veloppement etc et la financiarisation croissante de l conomie composition Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 17 plus d taill e du secteur financier La Banque organisera la communication sur l introduction du SEC 2010 entre autres gr ce un site web qui y sera consacr La version 6 du manuel de la balance des paiements MBP6 a t d velopp par le FMI en collaboration troite tant avec d autres institutions internationales notamment europ ennes qu avec les offices statistiques nationaux Elle d finit des lignes directrices pour l uniformisati
28. f rentes initiatives Depuis f vrier 2013 les voyages en avion intraeurop ens s effectuent en classe conomique Notre empreinte cologique s en trouve r duite de 50 tonnes de CO par an Les trois instal lations de vid oconf rence disponibles et les possibilit s de conf rence t l phonique ont t promues afin de r duire le nombre de voyages en avion Un syst me de r servation a t mis au point tandis qu un manuel d utilisation tait diffus et des s ances de d monstration propos es La Banque s est inscrite l op ration Bike to Work visant stimuler l utilisation du v lo pour se rendre au travail Nouvelle participante la Banque n en a pas moins d cro ch la 7 place du Winter Trophy de ce concours 1 4 Liste des publications de 2013 Revue economique JUIN Projections conomiques pour la Belgique Printemps 2013 Dynamique structurelle du commerce ext rieur de la Belgique e La d mographie des entreprises Ampleur et dynamique de l endettement en Belgique et dans la zone euro e Le patrimoine immobilier par secteur institutionnel SEPTEMBRE L conomie belge dans les cha nes de valeur ajout e mondiales Une analyse exploratoire e D coupl s et r silients La transformation du r le des pays mergents dans un monde interconnect Structure et r partition du patrimoine des m nages une analyse men e sur la base de la HFCS e Causes et implications de la faiblesse des taux
29. g q BEL TON s siud nu p 4n slA M an sp a S186IIH ue f 19 42eM LEN PWO siu b g SUO an sip s3 u s uef an ul Ano5 lA iesen sio ucuq s uPul s p un siulul np 3ue u s id y u o2 on y LOZ a ne nbueg 1210521 ul leb 153 2 enbueg l lPb 153 L 28 LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE l BNB Rapport 2013
30. ge sera quant lui enlev et remont au niveau du 4 tage Les fa ades int rieures qui seront r nov es cette occasion deviendront ainsi des murs int rieurs avec la cl des gains importants en mati re d isolation thermique L h tel du gouverneur quant lui va voir son toit r nov et isol ses deux tages sup rieurs seront r habilit s pour abriter 55 nouveaux postes de travail Pour pou voir effectuer ces travaux le mus e de la Banque a t temporairement ferm et la Banque s en excuse aupr s de son nombreux public Durant les travaux l h tel un mus e temporaire accueillera les visiteurs dans un espace TANT QU ENTREPRISE 2013 aisement accessible dans le batiment sis 3 boulevard de Berlaimont voir 1 5 Contacts D ores et d j le batiment du mus e a t pourvu d une nouvelle entr e dissoci e de celle de l h tel ainsi que d une nouvelle zone d accueil avec vestiaires et sanitaires Comme on l a voqu plus haut la Banque se pr pare moderniser son centre de donn es informatiques dans la oul e on pr voit de nouvelles installations de ventilation et de conditionnement d air Un deuxi me groupe lec rog ne sera galement mis en place ce qui permettra la Banque de disposer d une double source d alimen ation lectrique d urgence En mati re d installations echniques citons en outre le remplacement des groupes rigorifiques dans la centra
31. ire du cr dit aux soci t s non financi res Monetary financial institutions interest rates Bank Lending Survey COMMERCE EXT RIEUR Bulletin mensuel et trimestriel COMPTES FINANCIERS e Comptes financiers de la Belgique COMPTES NATIONAUX e Comptes trimestriels des secteurs Comptes trimestriels Premi re estimation des comptes annuels Comptes des administrations publiques Comptes d taill s et tableaux Tableaux des ressources et des emplois Comptes r gionaux Le compte satellite des institutions sans but lucratif DONN ES MICRO CONOMIQUES e Centrale des cr dits aux particuliers Rapport statistique 2013 e Chiffres cl s mensuels La Banque publie trimestriellement sous format lectronique les statistiques des cr dits autoris s et utilis s qui sont repris dans la Centrale des cr dits aux entreprises La Centrale des bilans quant elle met les donn es relatives aux comptes annuels qu elle collecte la disposition de divers groupes cibles et ce sous diverses formes informatiques Une impression du cd rom Donn es chiffr es des comptes annuels normalis s peut galement tre demand e Enfin la Centrale des bilans publie sur une base r guli re des chiffres cl s relatifs la d mographie et la sant financi re des entreprises belges Autres publications e Rapport d entreprise 2012 Activit s gouvernance et comptes annuels e Rapport 2012 volution conomique et financi re Financial Stabil
32. ity Review 2013 Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 25 Note au Conseil des Ministres Analyses des deux propositions de r formes diminution de la TVA sur l lectricit et r ductions de charges salariales dans des zones sp cifiques Groupe d experts Comp titivit et Emploi GECE novembre 2013 e Co t salarial subventions salariales productivit du travail et effort de formation des entreprises Groupe d experts Comp titivit et Emploi GECE juillet 2013 Le poids conomique des institutions sans but lucratif en Belgique Edition 2013 e Cons quences de l introduction en Belgique d un principe d arrondi sym trique a 5 cents pr s pour les montants totaux pay s en magasin d cembre 2013 1 5 Contacts SERVICES SI GES O LES SERVICES SONT OFFERTS HEURES D OUVERTURE Billets et pi ces de monnaie Caissier de l tat Centrale des bilans Centrales des cr dits aux particuliers Biblioth que scientifique Mus e RENSEIGNEMENTS Bruxelles boulevard de Berlaimont 3 Courtrai Hasselt Li ge et Mons Bruxelles rue Montagne aux Herbes Potag res 57 Bruxelles boulevard de Berlaimont 3 de9h 15h 30 du lundi au vendredi de 10h a 17 h tous les jours sauf le dimanche de 10 h 17 h du lundi au vendredi Site internet Demandes de renseignements Personne de contact pour la presse Personne de contact pour le service fin
33. ivi comporte certains investissements n cessaires la poursuite de la production des billets en euros d ici 2020 comme le remplacement d une presse par une machine de seconde main r vis e ainsi que l adaptation de la climatisation de l atelier de production est galement pr vu d adopter certaines mesures de s curit suppl mentaires D ici 2020 l imprimerie se consacrera donc principale ment la production des billets en euros et le personnel partant a la retraite sera remplace par du personnel tem poraire Apr s cette ch ance une quipe limit e se chargera de l achat de billets d autres imprimeries et des t ches connexes de contr le de qualit et de logistique Le know how engrang par les quipes de recherche et d veloppement design et origination sera valoris dans un centre d expertise capable de suivre les innovations technologiques en mati re d impression des billets au pro fit de l ensemble de l Eurosyst me et galement charg de l analyse des contrefa ons Toujours dans le domaine du billet de banque la Banque a t d sign e comme centre d exp dition unique pour tous les billets tests de la nouvelle s rie de billets en euros Cette t che consiste r ceptionner des billets tests en provenance de diff rentes imprimeries les r partir les r emballer et les exp dier aux banques centrales natio nales de la zone euro et ce pour toutes les d nominations de la nouvelle
34. le cadre de l Eurosyst me qu la demande des autorit s publiques belges requi rent qu elle dispose de capacit s d tude et de recherche de pointe dans les domaines conomique et financier Dans ce cadre les projections conomiques pour la Belgique que la Banque diffuse deux fois par an dans sa Revue conomique constituent une source d information importante pour guider les observateurs dans leur dia gnostic de la situation conomique du pays Cette capa cit de pr vision a t sollicit e par le gouvernement en cours d ann e pour objectiver l analyse des perspectives des finances publiques au niveau des entit s f d r es et des pouvoirs locaux Depuis la conclusion de l accord rela tif la sixi me r forme de l tat la Banque se doit en effet de d velopper son expertise de mani re suivre de ma ni re plus approfondie les d veloppements des politiques conomiques men es par les r gions et les communaut s Un renforcement de ses capacit s a t initi en ce sens tant en termes d tudes que de statistiques voir plus loin En 2013 la Banque a poursuivi ses efforts pour renfor cer galement ses capacit s d tude dans le domaine financier compte tenu de ses missions prudentielles Elle se pr pare galement pauler la BCE dans le cadre de l valuation approfondie de l tat des grandes banques et de mani re plus structurelle dans l exercice de ses respon sabilit s de surveillance des ban
35. le de refroidissement Ceux ci am liorent fortement le rendement dans la production d eau glac e et r pondent aux nouvelles normes l gales en mati re de gaz effet de serre Une nouvelle cuisine sera install e dans le courant de l ann e 2014 En mati re de s curit une tude portant sur les agences de la Banque a men a des travaux encore en cours dans diff rents si ges l administration centrale diff rentes zones sensibles telles que le Centre lectronique l Imprimerie et la Caisse centrale sont d sormais prot g es par des appareils de contr le d acc s biom triques Une bonne gestion du patrimoine immobilier impose aussi quelquefois de se dessaisir de b timents C est ainsi que celui du Club sportif de la Banque a t vendu la com mune de Berchem Sainte Agathe La proc dure de vente du b timent de la succursale d Anvers a t entam e en toute transparence Enfin le b timent dit c EPHEC rue d Assaut Bruxelles a galement t vid d but 2014 dans la perspective d une vente 1 2 Ressources humaines 121 Evolution de l effectif La Banque a proc d l engagement de 47 nouveaux collaborateurs sous le r gime d un contrat dur e ind termin e afin de r pondre aux besoins croissants en mati re de contr le prudentiel et pour pouvoir continuer garantir un service optimal dans tous les domaines N anmoins l effectif du personnel a diminu de 32 uni t s 2 071 qui
36. nt voluant tr s rapidement la Banque en tend galement jouer le r le de facilitateur dans l change d informations au sein du secteur afin de promouvoir la meilleure protection possible des infrastructures de march contre les cyber menaces Vu l tendue de ses responsabilit s la Banque accorde elle m me une grande attention sa politique de ges tion des risques d entreprise Comme expliqu dans le Rapport d entreprise 2012 au point 2 1 2 3 la Banque a ainsi d cid fin 2013 d am liorer la coh rence et la coordination de la gestion des risques d entreprise en appliquant un nouveau mod le qui regroupe tous les risques non financiers sous une coupole risques op rationnels dont la gestion est confi e un Operational Risk Manager Les responsabilit s de celui ci ont t inspir es des meilleurs standards internationaux ainsi que des mod les de risque en usage au sein du SEBC Le gestionnaire du risque op rationnel est galement en charge de la continuit de l activit business continuity et de l organisation de la gestion des crises op ration nelles dans le secteur financier Son quipe et lui m me d pendent du Secr taire de la Banque la fois dans le droit fil des missions de l Eurosyst me en mati re de politique mon taire et pour servir ses activit s prudentielles la Banque a mis sur pied un n House Credit Assessment System ICAS Le risque de cr dit des entreprises non financi
37. on internationale des statistiques de balance des paiements Cette mise jour s est effectu e dans un mouvement parall le celui qui a t conduit pour les comptes natio naux afin de garantir la coh rence entre les statistiques macro conomiques domestiques et ext rieures Comme le SEC 2010 le MBP6 cherche mieux capter les d veloppements de l conomie mondiale intervenus depuis la pr c dente r vision et entre autres le d velop pement des innovations financi res Il marque galement un int r t accru pour les donn es relatives la position ex t rieure globale qui refl te la situation patrimoniale d une conomie vis vis du reste du monde Concr tement cette nouvelle m thodologie entrera en vigueur en 2014 et se traduira par un certain nombre de reclassements entre rubriques et par l obtention d un niveau g n ral de d tail plus lev Par ailleurs l ann e 2014 verra le remplacement l application statistique Belgostat par un nouvel ins trument Bien connue du public Belgostat permettait jusqu ici la consultation par Internet des riches bases de donn es statistiques de la Banque Cette application sera remplac e par DotStat propos e par l OCDE sous la forme d une communaut collaborative Les membres de celle ci s engagent d velopper le programme statistique ensemble le partager innover et changer entre eux leur exp rience dans un esprit de ma trise des co ts Outre des
38. prudentiel des infrastructures des march s financiers une attention par ticuli re est accord e la gestion ad quate des risques op rationnels ce qui comprend entre autres les mesures prises par ces infrastructures pour garantir la continuit de leur activit Durant l ann e sous revue et suite au constat g n ralis d une croissance des cyber menaces cette attention s est particuli rement focalis e sur la cyber s curisation des infrastructures de march Afin de favoriser l change d informations entre les infrastructures de mar ch propos des cyber risques et de la mani re d y faire face la Banque a organis en 2013 une table ronde o elle a invit non seulement ces infrastructures mais galement d autres entreprises et institutions concern es telles la Federal Computer Crime Unit ou la Cyber Emergency Team belge CERT be Parmi les th mes abord s citons l identifi cation et l volution des cyber menaces l organisation de la communication et de l interaction entre infrastructures de march superviseurs et autorit s l impact des cyber menaces sur l organisation de la continuit de l activit ou encore la mise sur pied de bonnes pratiques en mati re de cyber s curisation en ce compris la fa on de r agir en cas d incident La cyber s curit restera sans aucun doute un sujet important dans le domaine de l oversight et du contr le prudentiel des infrastructures de march Dans un environneme
39. ques partir de novembre 2014 Une partie de ses efforts a vis perfectionner ses outils conom triques pour mieux prendre en compte les interactions entre conomie r elle et conomie financi re Vu l importance pour la coh sion de la zone euro et l effi cacit de la politique mon taire de s assurer que les pays membres pr sentent des fondamentaux sains les nou velles proc dures europ ennes de gouvernance donnent davantage de poids la surveillance des d s quilibres macroeconomiques Ces questions font l objet d un suivi pouss dans les banques centrales de l Eurosyst me et la Banque s emploie galement fournir un bon niveau d expertise en la mati re Ses conomistes participent de mani re active au r seau de recherche Competitiveness Research Network mis en place par l Eurosyst me en 2012 et dont les conclusions compl tes devraient tre rendues disponibles d ici 2015 Par ailleurs dans le cadre du plan de relance adopt fin 2012 le gouvernement a confi un groupe d experts constitu de repr sentants de la Banque du Bureau f d ral du plan du Conseil sup rieur de l emploi de la Direction g n rale statistique et information conomique du Conseil central de l conomie et d Eurostat la mission d analyser l impact des subventions qui all gent le co t du TANT QU ENTREPRISE 2013 travail en Belgique et dans les trois principaux pays voisins Ces sp cialistes ont e
40. ra le groupe bancaire sous la direction d un coordinateur de la BCE et confor mement aux formules de gouvernance du MSU Durant la phase de transition les quipes de surveillance concern es se chargeront de l valuation compl te Les banques locales qui resteront sous la surveillance de la Banque mais pour lesquelles la BCE exercera un contr le horizontal les quipes de contr le de la Banque effectueront le contr le en premi re ligne de ces tablissements conform ment aux r gles et proc dures que d finira la BCE pour ce groupe de banques 1 Le contr le dit home est le contr le effectu dans le pays d origine de la banque au niveau de consolidation le plus lev 2 Le contr le dit host est le contr le des filiales ou succursales des banques d origine trang re effectu dans le pays d accueil la BCE assure la surveillance en deuxi me ligne mais peut dans certains cas intervenir directement dans la proc dure de surveillance Les tablissements qui ne tombent pas dans le champ d application du MSU les succursales des banques rele vant du droit d tats non membres de l Espace cono mique europ en ainsi que les soci t s de bourse restent soumises au contr le de la Banque selon les r gles et proc dures qu elle a d finies cet effet conform ment aux dispositions l gales et r glementaires en la mati re en coh rence toutefois avec les r gles et bonnes pra tiques du MSU Pour fai
41. re face l augmentation sensible de la charge de travail d coulant des activit s de pr paration du MSU plus pr cis ment pour l analyse du bilan des principaux groupes bancaires les tests de r sistance et le syst me d valuation des risques et viter que ces activit s ne s exercent au d triment du contr le de base r gulier de l ensemble des tablissements la Banque a d cid de renforcer les quipes de contr le en recrutant de nouveaux collaborateurs en d tachant temporairement des collaborateurs d autres services et en faisant appel des consultants pour la gestion du projet Comme dans ORGANISATION DU CONTR LE BANCAIRE d autres tats membres une large part du travail de ter rain li l examen de la qualit des actifs sera de surcro t sous trait e des r viseurs externes La coordination des activit s de pr paration du MSU est confi e un groupe de pilotage et une quipe de projet op rationnelle qui s int greront ensuite dans la structure institu e au niveau du MSU L valuation compl te constituera une gageure non seulement pour l autorit de contr le mais aussi pour les banques participantes qui seront amen es fournir des efforts consid rables L valuation repose en effet sur une vaste collecte de donn es qui doivent r pondre des normes de qualit lev es et tre fournies dans des d lais exigeants Les banques devront par ailleurs accueillir les imposantes quipes d
42. rme informatique du CEC a quitt la Banque vers la plateforme technique du sys t me de paiement de la soci t bancaire fran aise STET Syst mes technologiques d change et de traitement Depuis 1974 la Banque avait assum le fonctionnement op rationnel des applications informatiques du CEC ainsi que l administration de ses organes de gestion Elle jouait donc la fois les r les d overseer et d op rateur Avec la migration du CEC vers la plateforme de systemes de paiement CORE de STET la Banque ne remplit plus de fonction op rationnelle elle se concentrera donc sur son r le d overseer des syst mes de paiement belges Le CEC reste une entit juridique belge dont l exploitation opera tionnelle est exerc e en France La Banque coop rera avec la Banque de France pour l change d informations relatives la plateforme tech nique qui seraient utiles ses t ches en mati re d oversight Simultan ment la migration le fonctionnement du syst me de paiement a t revu en profondeur Apr s la crise financi re la Banque en tant qu overseer avait recommand de limiter les risques lors du d nouement de paiements d j chang s mais pas encore liquid s C est pourquoi le CEC a introduit la pratique de cinq cl tures pour l change et la liquidation dans le courant de la jour n e au lieu d une cl ture en fin de journ e comme c tait le cas jusqu en mars 2013 En mati re d oversight et de contr le
43. s des syst mes de contr le interne des fonctions de contr le ind pen dantes de la gestion actif passif de la r assurance et de la sous traitance Ces activit s seront men es en parall le avec des travaux relatifs l analyse des business models Ces travaux por teront sur les entreprises d assurance appartenant aux groupes complexes le processus d analyse entam en 2013 par l examen pr liminaire de dossiers pilotes va se poursuivre Comme nous l avons signal propos du projet Anti Money Laundering une mission du Groupe d action financi re GAFI est programm e en 2014 aupr s de la Banque dont l objet visera l valuation de la conformit technique et de l efficacit du dispositif de contr le mis en uvre par les autorit s belges comp tentes en mati re de pr vention de l utilisation du syst me financier aux fins du blanchiment de capitaux et du financement du terro risme Les quipes op rationnelles du service de contr le prudentiel des entreprises d assurance et de r assurance seront sollicit es pour valuer l efficacit des contr les En mati re d oversight des syst mes de paiement pour les petits paiements le Centre d change et de compen sation CEC c est dire la chambre de compensation automatis e qui permettait l change et la liquidation des paiements entre les banques actives en Belgique a connu en 2013 une mutation fondamentale Fin mars de l ann e sous revue la platefo
44. s rie Tous les co ts li s cette activit sont pris en charge par la BCE La Banque assure galement la r daction et la distribution des sp cifications techniques de toutes les nouvelles coupures Anvers la fermeture du cash center d une impor tante banque commerciale ayant fortement r duit le traitement des valeurs dans le si ge local de la Banque le Comit de direction avait d cid de la fermeture de celui ci Le 1 octobre la succursale a mis un terme ses activit s Fin d cembre elle a t compl tement ferm e voir 1 2 Ressources humaines En cons quence deux machines de tri sont revenues d Anvers vers la Caisse centrale au si ge de Bruxelles pour reprendre l activit r siduelle du si ge ferm en mati re de tri des billets Ce service a d ailleurs t r am nag pour optimaliser le flux logistique tandis que l isolation sonore et le confort g n ral taient am lior s Les volutions rapides de notre environnement de travail obligent notre entreprise s adapter en permanence avec souplesse et r activit faut aussi pouvoir tracer un cap de moyen terme en se fixant des objectifs et en identifiant les probl mes r soudre C est la raison pour laquelle la Banque a lanc un vaste chantier de r flexion prospective pour d finir comment elle souhaite se profiler l hori zon 2020 Quelles t ches la Banque veut elle continuer accomplir coup s r Quel r le souhaite t ell
45. u aussi pour mission d analyser branche d activit les diff rences de co ts salariaux et de productivit entre la Belgique et les trois principaux pays voisins et d obiectiver les efforts de formation des entre prises au regard de la norme de 1 9 de la masse salariale fix e par la loi D but juillet 2013 ce groupe d experts Comp titivit et emploi a remis au gouvernement son rapport intitul Co t salarial subventions productivit du travail et effort de formation des entreprises Celui ci a t compl t en novembre d une note la demande du Conseil des ministres consacr e l analyse de deux r formes examin es en son au sein du gouvernement savoir une diminution de la TVA sur l lectricit et des r ductions de charges salariales dans des zones sp cifiques Ces tudes ont t publi es Le m me groupe d experts a t invit poursuivre ses travaux en 2014 en particulier en vue d affiner les constatations faites au mois de juillet Enfin la mi 2013 la Banque a lanc en partenariat avec des universit s belges un programme de recherche visant tudier les d terminants de l un des composants essentiels pour le potentiel de croissance de l conomie savoir la productivit totale des facteurs Les r sultats seront communiqu s les 16 et 17 octobre prochains lors du colloque scientifique international que la Banque orga nise tous les deux ans depuis le d but du si cle A
46. ual characteristics institutions and credit conditions Belgian Prime Nevvs Cette publication trimestrielle en langue anglaise est le fruit d une collaboration entre la Banque le service public federal Finances SPF Finances et plusieurs Primary Dealers 24 l LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE l BNB Rapport 2013 e 58 Special topic Laying sound foundations for the future to build confidence in the short run e 59 Special topic The recent budgetary actions taken by the federal government in Belgium in the context of the most needed structural fiscal consolidation path e 60 Special topic Positive developments and remaining challenges for a stable financial system serving the economy in Belgium lessons from the 2013 NBB Financial Stability Review e 61 Special topic Five years after Lehman Where does Belgium stand Publications statistiques La Banque met de tr s nombreuses statistiques macro conomiques la disposition du public sur son site internet et via sa base de donn es statistiques Belgostat Des abonnements peuvent tre souscrits pour les mises jour de tables sp cifiques Les publications et les communiqu s de presse sont galement disponibles en format lectronique sur le site de la Banque STATISTIQUE G N RALE Bulletin Statistique Indicateurs conomiques pour la Belgique Enqu te aupr s des consommateurs Enqu te semestrielle sur les investissements Enqu tes sur la conjoncture e Observato
47. ux de recherche men s en partenariat entre des conomistes de la Banque et d uni versit s belges En 2014 la Banque parall lement au reste de l Euro syst me proc dera une deuxi me enqu te sur le m me th me La Banque est galement un institut statistique important ce qui lui permet de disposer de donn es de premi re main dans l exercice de ses missions tant en mati re de politique mon taire que dans le domaine prudentiel Durant l ann e sous revue la Banque a pr par l intro duction en Belgique pour 2014 des nouvelles versions de deux syst mes statistiques le nouveau syst me europ en de comptabilit nationale SEC 2010 et le nouveau manuel de balance des paiements MBP6 Les cadres de comptabilit nationale utilis s par les dif f rents pays sont harmonis s internationalement ce qui permet des comparaisons Le processus de r vision de ces cadres d marre au niveau le plus englobant celui des Nations unies et du Syst me de comptabilit nationale qui en est sa cinqui me version SCN 2008 Pour l UE ces principes sont ensuite traduits au niveau du syst me europ en des comptes SEC 2010 puis r percut s au niveau national C est cette derni re tape que la Banque a pr par e en 2013 le nouveau SEC 2010 entrant en vigueur en septembre 2014 La plupart des nouveaut s du SEC 2010 refl tent celles introduites dans le SCN 2008 cependant elles se trouvent transposees et pr cis
48. valents temps plein la fin de 2013 Pour attirer de nouveaux collaborateurs la Banque a organis au mois de novembre un job event o les personnes int ress es ont pu recevoir toutes les informa tions sur les postes disponibles La grande affluence que cet v nement a connue d montre que la Banque reste un employeur attractif surtout pour les jeunes dipl m s Le 1 octobre la succursale d Anvers a mis un terme a ses activit s Fin d cembre la succursale a t compl te ment ferm e Tous les membres de son personnel ont t accompagn s pour trouver une nouvelle affectation soit l administration centrale soit dans un autre si ge Le d partement des Ressources humaines a pr sent ses HR business partners qui sont appel s accompagner et soutenir le management en ligne dans les diff rents pro cessus des ressources humaines L accent est mis sur leur r le d assistance et d avis Ils ne reprendront pas les t ches et responsabilit s du management en ligne mais vu leur expertise dans le domaine des ressources humaines ils offriront une r elle valeur ajout e pour mieux piloter la gestion du personnel dans les diff rents services Rapport d entreprise LA BANQUE NATIONALE EN TANT QU ENTREPRISE 21 VOLUTION DE L EFFECTIF 0 quivalents temps plein au 31 d cembre 3000 3000 2120 2101 2103 071 2000 1927 R Bz 2000 1500 1500 1000 1000 500 L 500 0 0
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