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Éducation - Entretiens 2015

1. LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 ne preuve indubitable de ce m pris Cependant l acc s au titre de psychologue depuis 1992 a ermis une meilleure reconnaissance dans l institution en concordance avec l appui des parents et es enseignants l inscription sur les listes des professionnels ADELI 2 en fait partie Les psychologues u premier degr ont donc jou un r le singulier et original dans l volution des pratiques et du ositionnement de la profession dans un milieu parfois hostile Ils ont t de tous les combats pour une arification du m tier et son insertion dans le tissu social Led Q 2 uellement la situation est en volution positive car le minist re de l ducation semble accepter in la cr ation d un corps de psychologues de l ducation qui soit clairement distinct des celui des enseignants De plus cette cr ation va enfin permettre de recruter des psychologues ext rieurs l institution et de tous les champs de la psychologie C est I une avanc e d cisive Il y a donc de nouvelles t ches qui vont se pr senter pour les psychologues dans les tablissements scolaires de la maternelle l universit Le corps unique de psychologues est une avanc e d cisive mais pas sufisante II va exister dans ce corps de fonctionnaires deux types d activit s encore trop disparates savoir une pratiq
2. Efectivement la soci t qui accompagne le jeung enfant dans son d veloppement n est plus exactement la m me e que celle que cet enfant connaissait voici 30 ans l interg n rationnel plus en zones Urbaines que rurales n a plus loa place qu il vait l poque o les grands parents pouvaient tre Un point d appui en cas de difficult s d tous Grdres des jeunes parents Les femmes et c est une bonne chose ont davantage de bostes responsabilit qu elles n en avaient l poque ce qui leur forc ment modifi fondamentalement les attentes de ces mamans isol es impose un temps d travail certainement moins souple Mais les familles monoparentales organis es autour d une femme seule sontelles Aussi beaucoup plus fr quentes qu elles ne l taient alors ce qui Dani le D louvin autre d l ANAPSYpe Association Nationale des Psychologues pour la petite sociales L ariePaule Thollon Behar responsable du p le Peti L an d veloppement socio cognitif Claire Leconte professeur m rite de psychologie de l ducation analyse les conditions rendant possible le r le de tout psychologue sans tiquette dans toutes les missions d velopper tout au e Enfance ducation du centre de formation continue de l cole Rockefeller Lyon elle analyse le r le actuel du psych
3. Z R sultats M me si l s enfants accueilants manifestent des scores moyens d anxi t et de d pression inf rieurs ceux de la population du m me ge no r sultats montrent qu accuelllr chez soi n enfant en p acement constitue une exp rience devi complexe notamment de parles remani ments relationnels amiliaux et personnels du ele requier La mani re dontes enfants accueilants parlent leur exp rience monte clairement l existence d une dyramidue singuli re de socialisation professionnelle ur certa enlisement dans l prouv br ut d une relation marqu e par des dificult s ainsi qu une mis en tension des appartenances familiales Hinalement nous mettonsen vidence deux postures et conceptions d l accuei LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE Nancy LES 4 5 6 Jun 2015 oppos es selon que les enfants pensent et vivent le rapport l enfant accueilli dans une perspective de care o de prestation de services Celles ci sont alors comprises comme une construction chafaud e dans la cohabitation avec les enfants plac s impliquant une laboration singuli re de modalit s de faire face et d adaptation la situation d accueil ainsi que nombre d enjeux familiaux et identitaires Si l int r t d une telle recherche semble vident pour comprendre les implications du dispo
4. Coordonn par Antonietta SPECOGNA ma tres de Conf rences en psychologie Universit de Lorraine Pascal OLIVIER Psychologue cinicien et psychoth rapeute dipl m de l cole de Psychologues Pratici ns execanten cabinet lib ral et en institution formateur en Psychologie et en Psychoth rapie enseignant l Universit de Psychologie de Paris 8 enseignant IFSI contact cabinetpsy com Christophe LUXEMBOURGER Nadine DEMOGEOT Antonietta SPECOGNA Matres de Conf rences en psychologie Universit detorraine Site Hb ration CLSHNancy et ESPE Ge Lorraine 57950 MontignyLesMetz Interpsy EA 4432 VSHtorraire USR3267 Z Christophe luxembourger univorraine fr Annie VIGNERON Psychologue scolaire doctor nte universit d Angers sousla direction de Berat Fromage laboratoire LPPL YPRES EA 4638 Z apa vigneron sfrfr L onard VANNETZEL Psychologue chef de projet d la recherche actionr dacti euren chef adjoint re ue ANA membre fondateur de l APPEA Robert VOYAZOPOULOS Psychologue d l ducation national chef de projet de la recherch action enseignant l EPP Paris membre fondateur de lAPPEA Du ion psyChom triqu au bilan h rapeutque Evoluion des ous et de exercice du psychologue au sain du bilan psychologique Pascal OLIVIER AU d b r du XXE si cle lors de la cr ation des outils psychom triques Alfred Binet avait un objectif de diagnos
5. NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 rement consid r e diagnostic de schizoph la plupart du temps icile fam liol Ce e fratrie effet nie SOUS En s engendr es par le fai Lez tries soient amen iques front de schizo Davtian 2003 Gerace 1993 d implication la donc d tudier maladie de leur fr re sc e a qualit de vie de ces frairies ainsi ussi bien que ces fra Ur les tudes l65 concernan andaradis s questionnaires s thode Dixfr es s urs de patients souffrant de sch ge 40 6 ans 15 5 Un entretien sermnistru tur d e es vivre avec plus ou moins r s souvent les premi dt gies sp ci s ur de paient sou pou C faire phr nie sont rares l objectif ici que leurs strat gies de coping au ait Le moyen de d entendre leurs rois guestionnai de qualit de vie la SF 36 Short Form de strat gies de coping adapt aux co rouble psychique le FCQ Family Copin de vi apparement 1 1 issus de l chantillon pathologie m dical em Q na O Q O Bag D pas lt L R sultats Les pr sents r sultats t moign les fratries de patients souffrant de schizo QdV psychique population g n rale 36 Health s mportemen urvey tep s detan gQueshonn e S 36 ont t compar s ceux obtenus pour
6. e recherche est compos e de cheroh utomatique et en psychologie Cette tude exploratoire int resse les es patterns oculom trig tite enfance soucieux d observer etde comp cocement des anomalies peuvent tre suspect s igue actuellement une vin te de comprendre comments articulent travaux en lien avec la nt observe son i 9 th o is La aine e de echerche n place trois disposit magedans 1e du je puis de sa fo fs miroi mE r O sur u esprit e IgiNnaux q Sfl chie veloppement EMIL d enfants rencont es tapes constitutives de la constructi di question ne photo E Enfant s en on nent OUS re n clairag soi que de P a que les acteurs de la pe P d u e NOUVEOU sS OCESSUS in ues NOUS r nseighent sur les p Ur la compr hension des op rations constit identit Par ekempl nous t dions ir s P eurs psyc end Nos r centes analyses qui tu ellectuels sSOUs acen ives tant de l consci inement les rapports de co val misses en th ories de l esprit et l langage notamment la Capacit s auto d sig eringu istio hologues e pour mie je me l qu UE en sys es pa uX ag dient ents vol Le me ainsi ir lorsgue ation tion seta pportent ence de entre les entre
7. Annie VIGNERON gt a D mi Q c O Q O D s le d but de l cole n rythme d apprentissage est impos implicitement l colier La plupart des enfants s y conforment mais certains demeurenten retard s r le reste du groupe Ceux ci s essouflent ef se d couragent Ils adoptent des strat gies d vilement qui accroissentl cart avec les autres l ves Dans les missions du psychologu l cole celle quif it l objet de le plupartdes sollicitations conceme l valuation l aide de tests psychom triques Les enseignants qui font ces demand s s interrogent par rapport leurs l ves qui ne suiv ntpos le rythme des autres D autres investigations peuvent tre effectu es pour proposer des r m diations adapt es Une autre mission est de favoriser l mergence etia r alisation du d sir d apbrendre ede r ssiflors de suivis psychologiques lors que les d marchesl s plus courantes partent des pr bl mesrencontr s d termin s parles valuations diverses l accompagnement avec l preuve d s Trois Arbr s s appui sur l s r ssources de l enfant et l expression de son exp rience C est une d marche holistique qui s appuie sur la psychologie humaniste de Carl Rogers et Une approche ph nom nologique p rtir de dessins etr cits d arbres l enfant explore ses ressources et ses dificult s envisage des sol tions aux probl mes rencontr s revisite son
8. Classification intenational d oncetionnement du handicap et de l sant Gen ve OV ONU 2006 Convention relative aux droits des personnes handicap es New York ONU Rochat P 2009 Ofhers in Mind Social Origins of Self Conseiousness New York NY Cambridge University Press Rogers C R 1970 Le d veloppement de la personhe Paris Dunod Schmitt M J 2007 D termination du handicap et valuation des b soins Action Europ enne des Handicap s Voyazopoulos R Vanretzel LEynard LA 2011 L examen psychologique avec l enfant t l utilisation des mes res Conf rence de consensus et analyses compl mentaires Paris Bunod LES R SUM S am Q z O Q O Bag D pas lt L Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 4 Approches diff rentes de l ducation Recherche et pratique pour enfants haut potentiel et enfants fout venant Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h46 12h45 Coordonn par Maria PEREIRA DA COSTA Universit Paris Descartes Sorbonne Paris Cit Laboratoire Adaptation Individu Travail EA 4469 Institut de Psychologie 71 avenue Vaillant 92100 Boulogne Bilancourt mora pereira parisdescartes fr Marion BOTELLA Laboratoire Adaptations Travail Individu EA 4469 Universit Paris Descartes Jean No l FOULIN Laboratoire de psychologie sant et qualit devie EA4139 Universit de Bo
9. dans le r cit site rftp eurekai lorrai e eu jahio Jahia fr act alites actu 22094 ner e valuation psychologique des situations d handioan de lenf ntet de l adolescent R sultat dE la recherche action conduite par APPEA avec le soutien de la CNSA L onard VANNETZEL Robert VOYAZOPOULOS pa a loi 2006 1 IM Po de l autonomie ges iNCApaci Mi l important appareil g sur l s paradigmes Fougeyrollas 1998 constitue d sorma imitant o entravan ar ACCOMpagner d partementaux un des Personnes Handicap es 2008 les quipes p unerefont en profondeur des l gislations et dispositifs en charge de l ga D puistle d but des ann es 2000 or assiste en France comme dans la plupart des pays occidentaux it des droits et des chances 02 est embl ma le hang is la r sul islatif d ploy dans le cadre de cette r vol ique ell red fnit la notion de handicap e th oriques internationaux comme la CIF et le PPH ONU 2006 OMS 2001 iCap ne renvoie plus une quelconque infi U ION SO mi s etdes d pengd nees tous les ges de la vie Schmit 2007 culturelle Gohet 2007 n p rim tre en s alignant atteinte ou d ficience tante n gative des interactions entre la pe ses activit s et participations civiques Ces Dou vec le G eversements th oriques sans pr c dent iques pourl va rSO
10. des Co au long de la vie des vertus fh rapeutiques le psychologue du sportetle m decin du sport ontils des espaces de dialogue re construire l articulation identit singuli re qui permet de parlera premi re personne du sing lier tandis que l miettemen tives Une confrontation entre un d marche e ssentiellement centr e sur lo personne et une d marche essentiellement centr e s rla performance s rhumain permettra ainsi de Caract ris r es d marches d une clinique d sport ont permis la d clinaison de c s points aveugles La pratique Sportiv peut ell tre consid r e comme une addiction comportementale l gdlis e l emprise psychologique et le principe de SOUMISSION mp tences d ces Hrois temps aurd pour fonction de mettr en exergue cete dial ctique aui es l uvre dans l s espaces d la psyChologie ta recherche d unit conduit da rech rche d une conduit la recherche d re identit unifi e qui permet de parler lapremi re personne du pl riel n LES R SUM S T X lt D m Q c O Q O Led am Q R O Q O Bag D pas lt L Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 cela nous nous permettrons d affirmer que c est cette dialectique qui permet la psychologie du sport d tre un parangon de la Psychologie Ce sera alors Une bonne
11. udre une t che De n entre les styles d un individ scolaire etc De plus de nomb igence contribueraient la mani ns voulu tudie e do U E nt la personnalit d si toutes ces in s choisi tro is diff rents Niveaux leurs inte que la personnalit la cr ativit les t des styles d intelligence et de habi rois niveaux dans trois coles utilisan n 61 Classique Nous avons valu leur cr aiif EPOC Lubart Besan on Barbot 201 des p da et s cognitives De aisonnement cognitif 1 leur style de plus des caract euses d tudes ont montr que les styles Le style d intelligence est Un_concept crucial dans le domaine de l ducation En effet identifier la de ces siyles sur l ducation l enseignement et l valuation dans les coles peut gar adaptation de l enfant face aux apprentissages Style d intelligence est f rents concepts des styles d apprentissage pens e Sternberg 2012 Il correspond la mani re pr ure informa f rentielle que les OS jours la majorit des tudes Un i act NOUS gogies diff pens e et l inventaire des styles de pens e de Sternberg r vis 2007 de Kolb 1999 Les r sultats ont montr s des diff rences signiicati entes n NAT d apprentissage respectivement inventaire 35 istques telles que l ge l
12. 111 11 33 Laveault D 2004 Interactions ntre formation et valuation de a r gulation entre acte rs fleurs r les a gulation des apprentissages Mesur et valuati n en ducation 27 1 5167 Lubart T 2003 Psychologie de la cr ativit Paris Armand EGlin Beneath B Boutard C Albert C 2006 Chronosdict es Outils d valuation des perormances orthograbhiques avec et sans contraintes temporelles d CE La la troisi me Paris Ortho Edition Berninger VW Swa nson H L 1994 Modification ofthe Hayes and Hower model to explain b ginning and developing writing n E Butterfield d Advances in Cognition and Educational Practice vol 2 Children s Writing Noward a Process Theory of Development of Skilled Writing 6 57 82 GreenwicR CT JAIL Press Hayes J R Flower L 7 1980 Identifying the organization of writing processes In EL W Gregg EXR Steinberg eds Cognitive processes in writing P 3 30 Hilsdal NJ Lawrence Erlbaum Liratni M Wagner Pry R 2012 Performances d criture de 12 enfants h ut potentiel intellectuel ANAE 11671 9 Pereira Da Costa M Botell M 2014 Presentation of fe website l ve pr filer toot for identifying some strengihs nd weaknesses of pupils 17 International Conterence on Excalle hce on Education Boulogne Bilanco ri France Soppelsa R Ab retd M 2012 valuation de l criture chez l adolescent Le BHK Ado
13. NA itli Sur les 30 derni res ann es les enjeux pour a profession se sont fortement modifi s Les psychologues du champ de l ducation et de l ducation sp cialis e auront c ur de r aliser e bilan de ces 30 ans et d ouvrir les perspectives 34 de leur avenir DF F ye A 201 am Q pa O Q O Bag D pas lt L ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Q 1 Petite enfance Quels espaces et quels mod les de pr vention Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h46 12h45 Coordonn par Claire LECONTE Professeure m rite en psychologie de l ducation Universit de Lille 3 Dani le DELOUVIN Psychologue clinicienne petite enfance A NA PSY pe Association Nationale des Psychologues pour la petite enfance pr sidente 1995 2008 Claire LECONTE Professeure m rite en psychologie de l ducation Yniv rsit d Lille s Paule THOLLON BEHAR Psychologue docteure en psychologie responsable P le Petite Enfanc duGatien Centre de Formation Continue Ecole Rockefeller lt LYyon Pr sentation g n rale 1985 2015 80 anside vie duHitre prot g de Psychologue Comment sonr le ail volu au cours et depuis ces 30 ans 2En particulier Nn ce quiConcerne l accompagnement des jeunes enfants Ces jeunes enfants ontils eux m mes volu 7 Ourest Ce leur environnement qui l a fait
14. cle c est moins le b b qui a chang que la soci t dans laquelle il nat et grandit Les multi accueils ont pris la place des cr ches classiques les gestionnaires priv s ont fait leur apparition avec les entreprises de cr che la rentabilit devient Une donn e incontournable apr s avoir t un concept tabou Face ces volutions subies les professionnels de la petite enfance vivent des situations paradoxales et des tiraillements entre les valeurs professionnelles construites pendant leurs formations et eurs exp riences ant rieures et les contraintes actuelles en particulier financi res Porcher para tre Le risque est grand d un mal tre au travail d une perte de sens des pratiques Dalhberg Pence oss 2012 et d une d t rioration de la qualit de l accueil de l enfant et de ses parents Led La communication aura pour objectif d envisager les r les et missions du psychologue aupr s des professionnels de cr che visant une am lioration des pratiques ducatives et p dagogiques ous proposons l hypoth se suivante le psychologue peut accompagner les quipes ef les soutenir dans l objectif de la qualit de l accueil en d veloppant leur r fexivit La qualit de l accueil regroupe pour nous l ensemble des conditions garantissant le bien tre de l enfant ainsi que son d veloppement socio cognitif Sur le pla
15. des c n de 36 suje ent d un q aire MGg S repr sentatifs de ualit de vi phr ni comparativem 47 8 100 et strat gies de coping majoritairement em ent cel izophr nie nt particip cette tude H 3 F 7 nviron 30 min tait propos aux participants afin souffrance et ang isses N 5y a s it d l entretien les participants remplissaie es Un questionnaire de r cueil de donn es sociod mographiques n questionnai ge et dl 1998 et Un qu stionnai les a yant un membre pr sen iano etak 1996Y Les scores de quai nt re re tant un t tr les appari s selon ge et le sexe a population fran a QAdV psychique fra ces fratries sont les s e de la population g ries 37 7 100 p 0 ploy es par sur le mainti n social 2 4 et c ntr es sure probl me 2 3 4 permis de constater que certain d tre eux m mes porteurs d cel parents dans leur r le d aidan t Discussion conclusio s th mes taient r currents dans les d rraumatique de lo premi re hospitalisation lal stigm tisation de la pathologie du fr re de la s ur pr sence d angoisses telles quela peur de transmettre la pathologie leurs enfants la peur ise sans e psychique moins satisfaisante chez n rale 24 Les rat gies de coping centr es Les entretiens nous ont galement iscours de ces fratrie s
16. Scolaire 7 L exp rimentation concernant l accueil d l ves haut potentiel au centre d information et d orientation de Noisy le Sec permet de penser que l action du conseiller d orientation psychologue en direction des l ves haut potentiel pourrait se situer diff rents niveaux aider l laboration ainsi qu la r alisation des projets d orientation des jeunes haut potentiel contribuer la mise en uvre des conditions de la r ussite scolaire de ces l ves contribuer au rep rage et la prise charge des jeures haut potentiel en dificult accompagn r ces je nes et leurs parents travers l information les c nseils l coute et le SOUTIEN aider les enseignants mieux Comprendrele profil scolaire de l l ve pour faciliter le didlogue avec celui ci et sa famille ou pour faciliter la construction d n projet professionnel Pour parvenir pleinement amp atteindre ces objectifs il esFindispensable que les conseillers puissent b n ficier d une fofmaftion sp cifique dans le domaine d haut potentiel Bibliographie Authier M L wy P 1996 tes arbres d conndissances Paris ditions ka D couverte Brown A L Campione JE 1995 Concevoir une communaut de jeunes l ves l ons th oriques el pratiques Revue fran aise de p dagogie
17. de d ficience intellectuelle Guillemette et Boisvert 2003 Cela impose de mieux comprendre la mani re dont es liens se nouent et voluent Pour r pondre cette question ila t d cid d couter ce que les personnes auront une DI l g re o moyenne ont dire transmettre de leur point de vue subjectif et r trospectif concernant leurs liens familiaux et extrafamiliaux de l enfance l ge adulte ceci avec une approche interdisciplinaire en psychologie et en sociologie Deux hypoth ses sont test es la premi re concerne le fait que les liens l ge adulte sont d pendants de ce qui a t v cu dans la fratrie durant l enfance la seconde hypoth se concerne l existence d une relation entre ce qui est v cu au sein du lieu d ducation milieu ordinaire versus milieu sp cialis et les liens extrafamiliaux et familiaux l ge adulte M thode Pou ravailler ces hypoth ses 23 adultes 20 35 ans membres d une fratrie ont t rencontr s trois reprises Ces 23 sujets se r partissent en 2 groupes 12 sujets ont fait leur parcours scolaire en milieu sp cialis partir de l IME les 11 autres sont rest s en milieu ordinaire jusqu leur orientation en IMPro partir de 14 ans Lors du premier entretien semi direciif les repr sentations conscientes et pr conscientes concernan les relations fraternelles et extrafamiliales sont interrog es Au cours de la deuxi me rencontre la passation du Family Appercept
18. de l ACOPF Conseiller d Ori ntationbPsychologue et Directeur honoraire d CIO Ge Metz ancien charg de cours amp H universii de Paris 8 Pr sentation g n rale LE statut des psychologues de l ducation nationale conna t une volution tr s importante attendue d puis des d cennies Fensemble psychologues premier et second degr s vont se retrouver dans Un m me Corps avec dex champs distincts d activit s C est une avanc e fondamentale pour la econnaissance de ld profession de psychologue dans une structure d tat qui jusqu pr sent iIgnorait superbement les probl mes sp ciiques rencontr s par ces professionnels dans l exercice de urs fonctions Le symposium a pour t che de donner la parole des coll gues qui exercent des res divers dans les deux Champs d intervention et qui questionnent l avenir de la profession au sein de l ducation nationale UN m tier ancien red finir Jacques GARRY Les psychologues du premier degr de l ducation nationale appel s commun ment psychologues scolaires ont Une histoire mouvement e Ils sont n s dans les espoirs de l apr s guerre plan Langevin Wallon aupr s des coles parisiennes puis de province avec pour t ches principales de participer l orientation des enfants en grandes dificult s scolaires et ou comportementales l usage des tests faisait partie de l arsenal du psychologue des coles et le minist re lui demandait
19. fense Dans la pratique du bilan psychologique il est important de rappeler qu un seul test ne doit pas tre interpr t isol ment et doit toujours s inscrire au sein d un bilan complet et d un regroupement d l ments Mais comment rendre le bilan th rapeutique au del des r sulta obtenus aux tests du bilan psychom trique LES R SUM S fonction du patient lukm me de sa vie de ses attentes de ses besoins et de ce qui pourrait l aide Un chiffre qui cat gorise le patient dans Une case mais plut t Une analyse du fonctionnement e De m me pour l analyse d un test du Rorschach il ne s agit pas de cat goriser le patient mais de Depuis plusieurs ann es le psychologue a centr l analyse de ces tests vers le patient lui m me et non plus seulement envers un r f rentiel M me si ce dernier est toujours prendre en compte les H EE D S S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 ne fois que le psychologue a acc s ces l ments il s agit d en faire une restitution pertinente et utile our le patient Code de d ontologie des psychologues 2012 Le psychologue doit bien entendu endre des pr cautions sur le fond et la forme de sa restitution aussi bien oralement que par crit Mais urtout le professionnel doit se saisir de cet change de restitution avec le patient pour que ce dernier uisse apprendre des l ments
20. histoire distance de ses dificult sen se projetant dans l arbre et uvre d nouvell s p rspeciives d volution Les tudes effect es entre 2012 et 2014 sur d ux groupes d enfants scolaris s en cole l mentaire montrent que l arbre est un support d identiication et de proj ciion quee l ves s approprient facilement Des volutions positives se manifestent dans l attitude en classe Aes r sultats scolaires et l efficience cognitive pour la plupart d entre eux Dans la bremi re tude 6 nfants composant le groupe exp rimental b n ficient d un dccompagnement avec l or ve des Trois Arbres Les r s ttats sont compar s ceux de 2 a tres groupes compos s chacun d six enfants galement l ur b n ficie d enseigneme tspar une enseignante sp cialis e l autre de h rapies en CMPTous les enfants passent au d but et la fin del tude n testcognitit I WISCT1V et une preuve scolaire L EPOCY Les scores des enfants du premier groupe sont S ignificativ rmment sup rieurs Ceux des deux autres Dans la seconde tude les r sultats de l accompagnem nt de dix enfants d groupe xp rimer tal sont compar s avec ceux de dix autres enfants qui ne b r fcient d aucun suivi Tous l s enfants passent les m mes preuves que ceux de ta premi re tude L s r sultats du groupe ex
21. place de sujet en devenir contribuer les aider dans leur sUbjectivation prendre en compte des dificult s I faut du temps Il faut du tem des propositions d aide puissent tre accept es pour qu une alliance soup psychologue aupr s de la es entourent qui uvren injonctions de rapidit de Pr venir c est d abord accueillir e petite enfance a engage ps pour lisser des liens de confiance pour que e puisse se construire tre couter a implique qu n ne sache pas l avance ce guaiva se produire mais qu on soit pr t l entendre dans une pr senceerun accompagnement dtffentifs attentionn s Faceauxinjonctions de performances ducatives t des exigences de rentabilit face l envahissement des outils manag riaux et des conceptions consum ristes dans le champ dela petite enfance nombreux encore sont les psychologues cliniciens travaillant aupr s des petits enfants et de ceux qui pour guede tempes de l enfance soit respect ef ne soit pas somis aux entabilt d monde des adultes La pr ve ti on pr venante n est pas l aide des apprentissages performants nilure aid la normalisation d s cond ites sociales L trique est d ontologique stnon nsc e dans des march s publics de rentabilit Le champ de la psychologie reconnu comme sciences humaines n peut pas tre ne doit pas omnipotence
22. relations avec autrui et participer la vie collective en s identifiant et en se dif renciant s individualisant Finalement l objet de cette recherche est de mieux comprendre ce qui facilite ou ce qui fait obstacle au d veloppement des liens avec les pairs l ge adulte qui soient satisfaisants pour l adulte qui a une d ficience intellectuelle Led tre f re ou s ur d adulte avec Trisomie 21 Lise LEMOINE Beno t SCHNEIDER La place des fr res et s urs devenus adultes d adultes T21 AT21 a donn lieu bien moins d investigations que celes des enfants jeunes Pourtant ces relations construites durant les ann es d enfance se posent de fa on particuli re lors de la vie adulte avec le vieillissement des parents La fratrie s interroge sur sa responsabilt quant un susceptible relais quand les parents seront trop g s pour continuer accompagner leur enfant avec handicap celles et al 2007 voire seront d c d s responsabilit s inanci res tut laires choix du lieu de vie Iurnbull Turnbull 1990 Si les tudes ant rieures ont pris en compte Un certain nombre de variables proximit g ographique des lieux de r sidence sexe des fr res et s urs caract ristiques de la famille des sujets Villeneuve Goupil et Gascon 2011 aucune tude n a explicitement pris en compte la sp cificit des modes d accueil des sujets T21 lors de leur vie adulte Or l
23. son enseignement au profil sp cifique de chaque l ve Actuellement El ve rofleur est d velopp pour des coll giens mais notre ambition est de d velopper cet outil sur des ves de primaire et des lyc ens Nous souhaitons galement adapter le contenu des cat gories p cifiques de la population l ves d crocheurs enfant haut potentiel l ves en grande ficult scolaire Ce travail de longue haleine nous semble fondamental pour am liorer la prise en compte des caract ristiques individuelles dans le contexte de l apprentissage scolaire Q 0 D O OO ON ao Q Nous pr sentons ici l outil ainsi que des profils caract ristiques de diff rentes populations l ves haut potentiel l ves d crocheurs l ves tout venant Apprendre ef pratiquer sa cr ativit Des vakur ef des disposiifs en actes par la d marche des arbres de connaissance Aude RAMSEIER Sabine OPPLIGER T A D mi Q c O Q O Cette contribution s appuie s r une d marche des arbres de connaissances Authier L vy 1996 qui a t conduite dans une Classe d l ves de 9 10 ans Un processus d apprentissage par d setayage progressif Laveault 2004 a t men dans lebut de Taire concevoir d s actvi s de math matique et de fran ais par les l ves pour le rs pairs Des dispositifs de prod ctionet d va
24. sultats et d tre plus engag dans son Le site web l ve profleur d velopp au sei ensionnelle semble d sormais plus adapt e pour der r ussir l cole Un uel de l l ve lui permet g n ralement d obtenir de parcours scolaire n du laboratoire Adapta tion Individu Travail est un outil d valuation destin assister les enseignants o les conseillers d orientation dans cette LES R SUM S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Z optique Pereira Da Costa Botella 2014 Ila t d velopp pour maintenir l attention des l ves durant la r alisation de t ches cognitives conatives et motionnelles Au travers d une interface graphique dynamique des aspects vari s sont valu s potentiels raisonnement style de pens e style apprentissage int r ts acad miques et capacit s motionnelles Le profil de l l ve est directement sent sous un format simple pour l l ve o Un peu plus complet pour l enseignant El ve ofileur n a pas pour objectif de remplacer un bilan psychologique complet de l l ve mais de mettre disposition des enseignants un outil d valuation rapide et rigoureuse du profil multivari de l l ve fin de leur donner des informations essentielles pour la connaissance de l l ve Ensuite il appartient Led sa l enseignant d ajuster
25. v cu les psychologues ac timit de parler de leur souffrance en toute l gi te maladie psychique o encore peur de devoir prendre la suite des n Ces r sultats pr liminaires t moignent de la d tresse psychique des fr res et s urs_ayant un eyfr re s ur souffrant de schizophr nie Nos entretiens ont galement permis de souligner l caract re ill gitime que ces fratries accordaient leur souffrance psychique Aussi uels n auraient ls pas Un r le jouer dans la cr ation et le d veloppement de programmes psycho ducatifs sp cialement d di s aux fratries dans le but de permettre ces fratries LES R SUM S 2 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Bibliographie Almodovar J P 1981 Les exp riences fraternelles dans le d veloppement de l enfant In Soul M d Fr res et s urs p 29 43 Paris ESF Beauregard K 2003 Qualit de la relation fraternelle et adaptation des fr res et s urs plac s conjointement ou s par ment n famille d accueil Th se de doctorat Universit de Montr al Davtian H 2003 Les fr res et s urs de malades psychiques r sultats de l enqu te et r flexions Paris Unafarn Dayoan C PineHJacaquemin S Scelles R 2011 Le placement conjoint de fratries regards crois s de professionnels sur leur pratique Bulletin de psychologie 64 4 329 37
26. 51 La mesure du d v loppernentde l inteligence Chez les jeunes enfants CNSA 2008 Guide d Evaluation des besoins d compensation Paris La documentationde la CNA Fougeyrollas P 1998 La classification qu b coise du processus de production duhandicapefla r vision d la IDH Handicaps et Inadaptations Les cahiers de CINERHI 79 80 84108 Fromage B 2011 L preuve des Trois A br s bilan de situation accompagnement et d velobeement de laersonne Paris 1rrPress Fromage B 2012 Le bilan psychologique N aid de l breuve des fr is Arbres manu l d utilisation Par s EGrotest Gohet P 2007 Bilan dela mise en uvre de la loi du 1 H vrier 2005 t de lamise en place des Maisons D bart mentales des Personnes Handicap es Minist re du trav il des relati ns sociales et dela solid rit Luxembourger C Trognon A 201 Muiationde l identit nonciative au sein d unjeu de langage tude d s formes d auto d signations dans leurs expressions verbales gest elles eft extrodinguistiques R ducation Orthophonique 246 731 Morgenstern A 2010 JE comme AUTRE Mise ren mots de l ali rit et de l identit dans le langage de l enfant in L Dufaye L Gournay ds L Alt rit dans l s th ories del nonciation 6 115 135 Paris Ophrys Morgenstern A 2006 Un je enconsfru tion Gen s del auto d signation chez le j un enfant Paris Ophrys OMS 2001
27. 67 Kagan rappelle que la PMI Protection Maternelle et Infantile a cr e premier poste de psychologue en 1954 Pour la petite histoire ce fut aussi mon premier poste de psychologue en 1980 Or Kagan pr cise alors que si le nombre de psychologues n a pas volu leur int gration l quipe m dicosociale s am liore et leur activit ne cesse d voluer Elle signale ainsi qu il ne s agit plus seulement de d celer les retards mais surtout de r duire les tensions et d adapter au mieux l enfant ses conditions de vie Le 19 octobre 2009 Pierre Suesser pr sident du syndicat national des m decins de PMI fait Une conclut sa conf rence en disant que notre rencon fondamentale dans la pr vention psychologique en conf rence intitul e Pr vention psychologique et petite enfance pratiques de la PMI ceci dans le cadre d une journ e de perfectionnement des p dopsychiatres d exercice public Certes il voque a pr sence du psychologue au sein de l quipe mais au m me titre que le conseiller conjugal Il tre d aujourd hui s av re bel et bien n cessaire et faveur du jeune enfant et de sa famille n est videmment pas question de revendiquer pour le psychologue une place part dans une telle quipe mais il est important tout simplement d y reve ndiquer SA place D ailleurs dans un document de conseil g n ral de pr sentation des missions de la PMI on n
28. Guilemette F Boisvert D 2003 l entrevue de recherche qualitative avec des adultes pr sentant une d ficience intellectuelle Recherches qualitatives 23 15 26 Kaplan C 1988 The biological children of foster parents in the foster family Child amp Adolescent Social Work 5 4 281 298 Le Gall D 2010 l ments pour une analyse de la fraternit d accueil dans un contexte de circulation des enfants Recherches sociologiques et anthropologiques 41 2 75 95 En ligne hHp rsarevues org 275 Lemoine L 2010 l insertion professionnelle d adultes porteurs de trisomie 21 liens entre profils cognitifs contextes de vie autonomie et qualit de vie Unpublished doctoral dissertation Universit de Lorraine Nancy France Lepl ge A Ecosse E Verdier A Perneger TV 1998 The French SF 36 Health Survey Translation Cultural Adaptation and Preliminary Psychometric Evaluation Journal of Clinical Epidemiology S1 71 1013 1025 doi 10 1016 50895 4356 98 00093 lt 6 agliano L Guarneri M Marasco C Tosini P Morosini P L Maj M 1996 A new questionnaire assessing Coping strategies in relatives of patients with schizophrenia development and factor analysis Acta Psychiatrica Scandinavica 94 4 224 228 doi 10 1111 j 1600 0447 19906 009853 x Scelles R 2010 Liens fraternels et handicap Toulouse r s Scelles R Picon I Dayan C 2007 Le placement conjoint de fratries Rev
29. In JM Alboaret J Corraze eds Entretiens de Psychomotricit 2012 6 66 76X Paris Les Entretiens M dicaux Tebbs TJ 2010 Some Thoughts on the Implications of Ghassib s Theory for Gifed Education Gifted and Talented international Yates C BerningerV AbbotTR 4994 Writing problems in intellectually gifed childfen Journalforthe Education ofthe Gifed 18 131 155 LES R SUM S Led gt a D mi Q c O Q O am Q pa O Q O Bag D pas lt L Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 5 ducation Nationale Un statut pour tous les ges Symposia n 2 jeudi 4 juin 16h30 18h30 Coordonn par Jacques GARRY membre du Bureau national du SNP puis dela FFPP jusqu en 2005 co responsable de la commission ducation de la FFPP ancien psychologue du premier degr Marseille et dans le Pacifique sud Francine CORMAN Psychologue de l ducation 1 degr membre du CA de l AFPEN repr sentante de la FFRP au sein delo commission Education de l EFPA F d ration Europ enne d Associations de Psychologues xNEPES Network of European Psychologists in the Educational System Jacques GARRY Membre du Bureau national du SNP puis d la FPR jusqu en 2005 co responsable dela commission ducation dela FFPR ancien psychologue du premier degr Marseille et dansle Pacifique sud Dominique HOCQUARD Pr sident
30. N ne et son environnem Le EV uridiscip a base d expertises exte nes COM inaires Support officiel pour gis valuat M La recherche action conduite par l APPE et acteurs associatifs du tissu social fran ois depuis janvier 2013 a n logistiqu e fran ais l tude tait structur e autour de trois phases indissociab qui y si gent valuent les besoins de la personne notammen e celles des psychologues r alisant des valuations ent ateur a cr des guichets uation des besoins de compensation les Maisons D partementales ion du handicap CNSA sur nobilis la plupart des d cideurs Elle avait pour objectif d tudier la probl ma valuation psychologique des enfants et des adolescents en situation de handicap dans le nouveau panorama th orique e igue de th se de es une phase d analyse et de syn La phase de recherche est compos e de trois axes probl matique de l valuation selon diff rents angles de vue a litt rature une phase de communication et une phase de recherche proprement dite indissociables permettant de trianguler la 1 L valuation psychologique en MDPH comment les quipes pluridisciplinaires en charge de l valuation des besoins se figurent elles la nature l utilit la pertinence les limites aa de l valuation psychologique Comment l
31. Utilisent elles Qu ont elles en dire Cet axe est tudi via des Focus Group r alis s aupr s de 11 quipes de MDPH ainsi que 207 questionnaires recueillis aupr s de personnels participant des valuations d enfants et d adolescents 2 Les constats et repr sentations des psychologues comment per oiventils les changements li s aux lois sociales et la notion de handicap Comment con oiventiils et r alisentils leurs LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 valuations Quels sont leurs besoins et attentes 39 Entretiens individuels semi directifs avec des psychologues de l Education Nationale de la sant du m dico social lib raux 3 La communication des r sultats des valuations psychologiques d enfants 263 comptes rendus d valuation psychologiques ont t recueillis et tudi s via une analyse de contenu une analyse lexicom trique et des statistiques descriptives Led l ensemble a donn lieu un colloque national les 9 10 avril 2015 La pr sente communication vise pr senter les principaux r sultats de la recherche et les perspectives pour la profession dans la continuit de la Conf rence de consensus sur l examen psychologique de l enfant et l utilisation des mesures FFPP AFPEN SFR ACOP Voyazopoulos Vannetzel Eynard 2011 T A D mi Q c O Q O Bibliographie Binet A Simon Th 19
32. aboration du lien fraternelest amen tre ponctu e par le type d accueil et le projet de vie des AT21 d autant plus que leuresp rance d vie augmente Nous avons ainsi choisi d tudier les effets du mode d accueil sur les repr sentations du lien fraternelqu labore la fratrie d AT 1 comparativement celles de eurs parents des effets du mode d accuell de l AP2T Quatre modes d accueilsont pris en compte ente insertion professionnelle en mile ordinaire etretour en famille sans autre sol tion d acc eil Nous formulons comme hypoth se que le degr de satisfaction ressenti par les fr res et S urs et les par nis d AP est d autant plus lev que le degr d aut omie des A1 autoris parle mode d accueil est marqu T A D mi Q c O Q O thode 57 parents et 43 fr res t s urs d APT onmt t interrog s dans le cadre d une tude plus arge Lemoine 2010 visant42 jeunes adultes T21 g s de 20 35 ans Les sujets ont t interrog s pa questionnaire dans un premier temps il leur tait demand sils estimaient que la solution d accueil retenue pour leur f re s ur enfant leur apparaissait saisfaisante pour l AF2T p is pour euxm mes en tant que r re s ur parents guis p r leurs erfants o leurs barents Les s jets taient ensuite invit s justifier leu ponse Les r sultats qu
33. antitatifs ont t analys s en termes de fr quences etles donn es qualitatives l on t par analyse de contenu via une grile d analyse par cat gories th matiques construite had hoc Les r sultats quantitatifs mettent en vidence Que les fr res et s urs des AP1 rins r s MO ESA et FAS per oivent majoritairement ces contextes de vi comme adapt s et ce d autant plus que ce milieu est proche d un m de d insertion ordinaire L accueil en famille ne l urGappardit pas tr ure solution satisfaisante Les parents des AT21 ins r s manifestent globalement lEs m mes tendances mais ils per oivent ces contextes de vie Comme plus adapt s bourd ATP2T que ne l stinentles fr res et s urs ils estiment galement gue ces solutions sont pl s adapt es pour eux m mes que pour leurs autres enfants Les r sultats qualitatifs viennent pr ciser ces r sultats 8 Contribuer mettre jour 1 des diff rences d sensibilit entretratrie erbarents pour expli iter les degr s de satisfaction partag s 2 des diff rences de points de Vue avec une expression plus directe dela fratrie pourtrad ire les dificult s de prise en chargeTamiliale de FAP2T 3 une difficult apparente por laratrie abord rla question de l avenir deleurfr re o s ur 121 C est la prise en compte de ce
34. atia Armeng l Ramonville SEAgne Er s call 1007 b b s 2006 Ya Hil encore une petite nfance P Corps et c ur actes du colloque d s 25 ans de l ANAPSYpe sous la direction de Sylviane Giampino Ramornville StAgne r s Les enfants au carr U e pr vention qui ne tourne pas rond Collectif Pasde0deconduite Ramonville S Agne r s 20H Prendre soin du jeune enfant et de son entourage Dossier coordonn par Dani le Delo vinHin Psychologues t Psychologies bull n 232 232 avril 2014 Dalhlberg G Moss P Pence 2072 Au del de la qualit dans l accueil et l ducation de la petite enfance les langages de l valuation Ramorville S Agne Er s Leconte C 2014 Desryifimes de vie aux rhmesscolaires un histoire sans fint ditions PUS call S voirs Mieux Piaget J 1967 Biologie et connaissance Paris Gallimard Porcher A paraire DeT intranduilit la sa t au travail Thollon Behar MP 2009 l analyse de la pratique dans la petite enfance un mod le so0io cognitif Le journal des Psychologues R 270 LES R SUM S Led T A D mi Q c O Q O am Q z O Q O Bag D pas lt L Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 2 Famille et familles Des fr res et des s urs en situation singuli re E Symposia n 6 samedi 6 juin 14h80 16h30 Coordo
35. connaissances raisonnement strat gies de t ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 aitements cette cat gorie de scripteurs verrait la qualit de sa production crite compromise par la faiblesse des processus de bas niveau Les travaux dans le domaine sont peu nombreux et leurs r su Berninger et Abbott 1995 montre que les enfants et ado les habilet s de bas niveau par rapport aux enfants ordinai concluent que le probl me ta l objectif principal de l tude est de d velopper la connaissance et criture n est pas pr sent chez tous les enfan d apprentissage de l crit chez les adolescents HPI en comparant leurs p composantes de la production crite aux performances d adol scents onnels et des processus concep des processus transcripti Vingt deux adolescents en cos de profil cognitif pa scolaris s en 6 me dans un Cing composan Les donn es son en co r de uels estl obje h t rog ne et 20 ticip l tude Les deux groupes taie l ge urbain CO es de la production cfi graphomotrice l orthographe Toutes les preuves ont t administr es en haut potentiel intellectuel crit res 125 en adolescents ordinaires P nt appa grou raitemen nt Des r sul e ont valu es pes escents HPI pr sen profil Of cogn i s par l ge ge m
36. de la sci nce Oy au scientisme au risque de faire chuter tre nouveau ass rvi la dimension humaine Commentiespecterles mihmes des enfants l s plus jeunes les aoorns des psychologues Claire LECONTE Pourquordans Une table ronde sur espaces et mod les de pr ventions chez le jeune enfant aborder l probl matique du r spect des rythmes de Ces enfants Simplement et parce qu on l a t p oubli toutes ces derni res ann es parce que le rythme est Une propri t de la vie g n tiquemen t programm qui n cessite qu on le connaisse bien si on ne veut pas cumuler les erreurs d catives qui vont finalement mettre mal l enfant Ces connaissances sont malheureusement absente s de toutes les formations que ce soit des m decins des assistantes maternelles des pu riculrices sans parler des parents Comment d s lors prot ger les besoins de ces enfants en plein d veloppement Or l analyse que j ai faite d une vo ution du r le du psychologue charg des jeunes enfants m indique qu on a Untravail mener y compris en formation initiale aupr s des psychologues pour les convaincre que l ducation la sant est Une mission importante qu ils doivent s approprier pour participer efficacement la pr vention de divers t oubles chez le jeune enfant Dans un article datant de 19
37. del elle s endistingue aussi et surtout parle cadre de la protection de l Enfance temporalit inh rente au dispositif d accueilet selon nous l importance de la sph re travail qui m diatise et oriente fortement les rapports entre enfants Ainsi dans la mesure o le cadre du placement s institu la crois e des sph res familles t professionnelles nous avons cherch comprendre comment ces exp riences fraternelles sont habit es parles dimensions d travailet de comment l enfant accueillant dev nu adolescent vit ce dispositif d accueilfamilial Z thode Dans le cadre d une th se de doctorai des donn es aualitatives et quantitatives ont t ecueilles aupr s de 45 adolescents accueillants g s de 1 L 18 ans Nous avons articul ur traitement statistique de nos questionnaires parmiesquels nous pouvons citer le Questionnaire s res Relations Fraternelles de Cla s Poirier et Arseneault 2003 l chelle R vis d Anxi t Manifeste de Reynolds et Richmond 1978 l ch lle Composite de D pression pour ehfant de B mdt 1986 une analyse lexico gt m trique de l int gralt de notre corpus via le logiciel Alc ste et n analyse aq alltative de contend de quatre entretiens Dans ce cadre Chaque nouvel analyse d coulait des r sultats de la pr c dente
38. e ndividu interagit avec son er actions voluaient et comment scolaire CE2 C 1 et CM2 afin ions avec des facteurs tels avons vu des enfants des Montessori n 45 Freinet aglieri 1998 leur potentiel des styles d apprentissage Ves en re les types de p dagogie concernant les styles d apprentissage en fonction du niveau des enfants De plus nous avons observ des performances cr atives plus lev es chez les enfants b n iciant d une p dagogie alternative La contribution du COP dans la scolarisation de l l ve haut potentiel Jos de VALVERDE l l ve haut potentiel fait partie des l ves besoins ducatifs particuliers en tant que tel cet l ve questionne l ensemble de la communaut ducative Celle ci doit avoir pour ambition de se donner les moyens de l accueillir de le reconnditre de le comprendre et de lui permettre de r ussir Si les parents les enseignants ne prennent pas en compte les caract ristiques de l enfant haut potentiel celui ci sera contraint de se conformer aux exigences d une ducation et d un enseignement qui ne correspondent pas ses besoins Du coup il risque de ne jamais d velopper son potentiel et de ce LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 fait de passer inaper u La scolarisation d un l ve hau
39. e peut que constater qu la question qui LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 pouvez vous rencontrer la PMI le psychologue apparat en dernier dans la liste apr s la liste des personnels m dicaux et param dicaux apr s les assistants sociaux et apr s les conseillers conjugaux et familiaux Enfin un tudiant de fin de formation en psychologie relate le stage qu il a pu faire en PMI en 2006 or voici ce qu il dit Ainsi ce stage m a paru int ressant car il permettait la d couverte d une structure inconnue dans laquelle je ne pensais pas la pr sence d un psychologue et le point qui m a le plus tonn est le fait qu il s agissait d un travail d orientation et non th rapeutique Ce stage m offrait de d couvrir une fonction un r le de psychologue diff rent des repr sentations que je me faisais On ne peut que s interroger sur la place dans la formation des psychologues la fois de ces lieux d insertion professionnelle mais aussi des r les autres que celui consistant r aliser des prises en charge h rapeutiques Ce constat fut confirm lors de ma pr sence aux ateliers de concertation pour la efondation de l cole particuli rement celui intitul sant l cole o les seuls professionnels semble econnus taient les m decins et les infirmi res scolaires II nous a fallu intervenir syst
40. ement d la psychologie d Sport est contemporain des volutions des n ormes des tre sant et sporive des demandes complexes ont merg L objectif de ce symposium sera ainsi de montrer Dans un premier temps les z hes critiques O se sont rencontr es d s professionnels venan des praticiens et d s chercheurs Geuvrant dans le champ de la psycholog e d sport t d horizons diff rents et l gitimant l ur droit d se servir de la psychologie du sport Ainsi depuis la r connaissanee l gale du Tit e d psychologue en 1985 deux territoires majeurs se sont d velepp s quelquefois en compl men arit quelquefois n autarci celui o lareconnaissance l gale du Titre de psyChologu en 1985 fait force de Loret celui O de nouvelles pratiques psychologiques nese sentent pas GhIIg s de tenir com cultures spor pte de cette l gislation de 1985 Dans un deuxi me t mps de Quelles fa ons une d marche clinique s adapte aux exigences des Dans un troisi me temps les nouveaux champs ouverts par la psychologie du sport qui de mettre en lumi r les points aveugles des cult res sportives Trois q estions serviront d s pports iorement co professionnelles o des processus pervers de manipul ti n 7 En associant a pratiqu physique tou nsenti que peuvent exercer des entraineur s r des athl tes sons
41. ion Test outil syst mique projectif permet de travailler avec les repr sentations plus inconscientes concernant la famille et les relations Finalement le dernier entretien de recherche perme de construire le sociogramme de chaque sujet et donne ainsi des informations sur l tendue et la vari t du r seau social De plus l analyse relationnelle du sociogramme permet de rep rer l lectivit des liens construits avec les membres du r seau Les r sultats de ces trois rencontres doivent permettre l analyse des lens familiaux et extrofamiliaux De plus cette recherche vise l exploration du lien entre les comp tences sociales d velopp es au sein de la fratrie pendant l enfance Scelles 2010 et les comp tences sociales LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 effectivement utilis es pour la cr ation de liens extrafamiliaux l ge adulte Toutes les donn es recueillies sont exclusivement issues des entretiens men s avec les sujets Cette perspective doit permettre de mieux comprendre le lien entre le d veloppement des comp tences sociales et l inclusion soit de rep rer les facult s du sujet engager des
42. luation 6nt t mis sur pied pour favoriser l mergence d processus d cr ativit Chez l s l ves que no s qualfierions d ns ce contexte comme tant la capacit r aliser une production aquisoit 1a fois nouvell etadapt e au contexte dans lequelelle se manifest tubart 2003 p 10 Naousa d v lopperons dans le cadre d une perspective situ e tele que d crite dans a d marche de comm naut s d apprenants d Brown et Campione 1995 La cr ativit sera abord e comm unconceptiransversal quis applique l apprentissage des math matiques etau fran ais le se d ploie de Mmani re individuellk o collective au niveau des projets labor s par les l ves l objectif vis de cette Communication est de pr senter la d marche concr t v cue porla communaut classe afin de mettre er vidence les dispositifs autour de l arbre de connaissance qui ont favoris la cr ativit ainsi que les productions d l ves r alis es dans le cadre de l apprentissage des math matiques t du fran ais Nous voque rons galementle syst me de Valeurs explici en classe Howden Kopiec 1997 s0n r le dans l mergence dela cr alivit chezles l ves ainsi que Son lien avec un climat de class favorable aux apprentissages Performances compar es en bproduction crie d adolescents HH et adol seents foutvenont A
43. mandine PEYREBRUNE Jean No l FOULIN Maria PEREIRA DA COSTA L tude pr sente lt est consacr e l analyse des composantes de 1a prod ction crite chez des adolescents Haut P tentielintellectuel MPN Les mod les d apprentissage de la production crite 6 9 Berninger Swanson 1994 mettent en avant la distinctior entredes processus transcriptionn ls o de bas niveau ex cution graphique ef orthographe principalement et des processus Conc pti els o de haut niveau plantication formulation r vision Ces deux groupes de processus entrent en comp tition dans la g stion de l fprod ction crite shbien que la qualit des textes crits mais aussi la quantit de texte produit d pendent largement de la mafirise d s processus de bas niveau Chez le scripteur d butante co t temporel t cognitif d traitement des processus transcriptionhels serait l une des raisons pour l squelles l gestion dedeur production crite est essentielementconsacr e la mise en texte avec ne pl niicatior et ne r vision particuli reme tr duite Le manque de maitrise voire les difficult s de gestion des habil t s transcriptionnell s Caract riseraient galement une parti des personnesHPLIs ensuit qu en d pit de capacit s g n rales reconnues comme LES R SUM S em Q nj O Q O ELA D pas lt L Q sup rieures
44. matiquement pour rappeler que les psychologues de l ducation nationale contribuent aussi la bonne sant des l ves Je montrerai qu informer en tant que psychologues les parents mais aussi les enseignants les atsem es assistantes maternelles les animateurs de centres de loisirs sur les connaissances avoir quant au d veloppement des rythmes de l enfant biologiques mais aussi psychologiques et les conditions de leur respect afin de pr server chez cet enfant Un d veloppement harmonieux n est pas un luxe quand je vois les parents que je rencontre qui me disent tre p diatres ou m decins g n ralistes et me remercient de l apport que je leur ai fait car disentls cela va les amener changer leurs pratiques la maison o encore vaes aider aider leurs patients qui viennent consulter pour des troubles du sommeil de leur enfant Oui les missions d information d ducation amp lasant sont des missions magistrales du psychologue pour aider les jeunes enfants bien s d velopp r et bien vivre Bibliographie Des psychologues a pr s des touhp tits pour Quoi faire Sous la directiof de D Delouvin Ramonvile S Agne r s coll 1001 b b s 2005 l coute des b b s t de ceux qui les nfourent Actes du olloque des 20 ans de l ANA PSY pe sous la direction d S Giampino et la coordination de D Delouvin etD R
45. n m thodologique il s agit d une approche empirique tay e sur diff rentes exp riences conduites avec des quipes La r flexivit peut s exercer dans des dispositifs plus ou moins classiques ou novateurs l analyse de la pratique Thollon Behar 2009 est sans doute la forme de travail la plus pr sente dans les structures et les demandes sont en augmentation constante Elle pr sente l int r t pour les participants de pens r n quipe les situations probl mes existe d autres d marches d intervention du psychologue proche de l recherche action et que nous appelons d marches participatives L quipe choisit Une probl matique en lien avec la qualit de l accueil de l nfantet de sa famille Ensuite ell met en ce vre ure m thodologie pour prouver ses hypoth ses observations entretiens questionnair s etc Les donn es lt recueilles analys es permetient d nvisager des modifications profondes et d rables d s pratiques T A D mi Q c O Q O Le psychologue n est alors pas dans un r le de prescripleur des bonnes afif des professionnelles parfois mal per u par les quipes dans la mesure o il provoque des perturbations exog nes danse sens piag tien Piaget 1967 Dans la d marche participative accompagne le processus de recherche de quipe qui se questionne et labore partir d ne perturbation endog ne issue d ce ques
46. nn par Beno t SCHNEIDER professeur en psychologie de l ducation Laboratoire Interpsy EA 4432 Universit de Lorraine ww Benoit schneider univ lorraine fr Michel BOUTENQUOI MCF HDR en psychologie sociale Laboratoire EA3188 Universit de Franch Comi Laurent BOYER AMarseile Universit EA 3279 Research Unit Marseille 13284 France Cl mence DAYAN Psychologue clinicienne docteur en psychologie clinique et psychopathologie CAMSP de l h pital Mignot av des Bouleaux 78190 Trappes Z clemdayan hotmai Ccom Lise LEMOINE MCF ESPE Ge l Acad mie de Paris Laboratoire Interosy EA 4432 niversit de LGrraine M Lise Lemoine uni Graine Aurore MAZZA MAINPAIN Docteure en psychologie sociale Laboratoire EA3188 Universit de Franche Comit 2 Jean Pierre MINARY Professeur en psychologie sociale Laboratoire EA3188 Universit de Franche Comt L a PLESSIS tudi nt AxMGrseille Universit LPOLSEA 3278 13621 Ax en Provence France Anne Laure POUJOL Psychologue d ciorante en psychologie Laboratoire PSYNCA Universit de Rouen 76451 Mont SaintAignan onnelaurepoujol hoimaiLCom Benoit SCHNEIDER Professeur en psychologie de l ducation Laboratoire Interesy EA 4432 Universit de Lorraine Benoit schneider unidorraine f H l ne WILQUIN MCE AMarseille Universit LPCLS EA 3278 13621 Aix en Provence France Pr sentation g n rale Les relatio
47. ns entretenues au sein de la fratrie sont souvent d cisives pour la formation humain Pour autant elles repr sentent un domaine plut t r cent de l tude de la psych la famille celle ci s tant longtemps focalis e sur les relations entre parents et enfants Peu s est d un tre ologie de peu on nterrog sur les caract ristiques du lien fraternel en consid rant l influence du groupe fraternel sur chacun de ses membres le lien fraternel comme matrice du lien social ou encore le lien fraternel comme exp rience singuli re dans la grande divers t des configurations d coulant du nombre de l ge du sexe des membres de la fratrie et de leur inscription dans le d sir parental Mais la prise en compte progressive et encore trop modeste de l importance de cette relation apparaf LES R SUM S t d autant OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 plus n cessaire que l on consid re les situations sp cifiques et probl matiques auxquelles peuvent tre confront s les membres de la fratrie Deux types de situations justifient un regard singulier du fait de l importance que prend l exp rience fraternelle les enfants s par s de parents temporairement emp ch s dans leur fonction parentale les fr res et les s urs de personnes handicap es o confront es la maladie psychique Si les uns et les autre
48. ns les tablissements Enfin les psychologues devront s efforcer de particiberautant que de besoin l volution de la recherche enpsychologie comme beaucou p d entre euxle font d j dans le cadre institutionnel l volution encours est porteuse d espoir i est indispensable que les psychologues de l ducation dans leur ensemble participent activement ces grands changements gt A D m Q c O Q O Les praticiens delonentation danse champ la psychologie Quelles volutions Quels r les Quelles responsabilit s Dominique HOCQUARD Les pratiques d orientation figurent parmi l s premi res applications de la psychologiescientfique du d but du si cle d rnier C on ues l origine comme des Activit s expertes essentiellement pr scriptives et fond e sur des logiques d quationnistes elles s adressent alors essentiellement des j unes qui quittent l cole En Hr ce d s l s ann es 20 c st l cole Unique et un peu pl s tard la voldnt de coordonner les diff rents ordres d enseignement qui j stifi rard installer avec les outils de l psychologie orientation au sein del cole Du diaghostic de la psychotechnique p riode des tests la pris en compte du sujet dans son d veloppement et ses qu tes identitaires l orientation va suivre une ongue volutionli e aux progr s de la psychol
49. nt aboutir d b r 2016 la publication des d crets sur la constitution du corps et la finalisation des circulaires d application des d crets C est en juin concours de recrutement de psychologues d l EN au niveau M2 de psychologie suivi d une ann e de 2017 que devrait avoir lieu le Te on ldemeure encore quelques incertitudes et questionnements concernant les conditions d application de c s d crets Quelles sont les perspectives soutenues par l AFPEN Quels int r ts pou l s psychologues d 1 d gr pour l cole et ses Usagers LES R SUM S 6 La p Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 sychologie du sport Un parangon de la psychologie qui t moigne depuis 30 ans Symposia n 4 de ses morcellements et de son unit vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Gilles LECOCQ ILEPS Cergy et CRP URIV g lecocq ileps org Bernard ANDRIEU Professeur de philosophie Universit de Rouen CETAPS Z bondrieu59 orange f Armelle FAVRE Psychologue du spor Z ov _a yahoo fr Gilles LECOCQ ILEPS Cergy et CRP URV M o lecocq ileps org Ana lle MALHERBE Psychologue du spor Z cnoele malherbe gmaileom Pr sentation g n rale Le d velopp pratiques et des techniges qui onhd structur les GUlUres so tives depuis 1T985 Ainsi en ducation performance au travail et performance en direction
50. occasion d envisager des perspectives qui permettent celle ci de se doter d un ancrage culturel consistant et d une assise scientifique qui se met au service des besoins humains et soci taux Du corps vivant au corps v cu quelle psychologie du sport Bernard ANDRIEU La COMMUNICONON engagent au service de Gb vVenon des conduites doLantes Un exemple d avplcabilt et d abolcation en psychologie Armelle FAVRE Entre alliances h rapeutques et Mjonctions culturelles De quelques points aveugles delapsychologie d soor Gilles LECOCOQ Accompagner l expertise et l performance Un m tierimpossibl pourle psychologue du sport Ana lle MALHERBE LES R SUM S
51. ogie et aux nouvell s formes d rganisation du travail Elle se situe aujourd hui dans des environnements culturels renouvel s t dans d s contextes socio conomiques largeme t marqu s par l incertitude efl appet lib ral des sujets entrepreneurs de eur vie Comment d s lors appr cienier le d psychol gue en charge de l orientation des l ves et des tudiants Quedire aussides berspectives offertes par l s mod les et les outils qu il utilise Face une sorte de sacralisation de l efficience op ratoire que permettent notamment les nouveaux outils num riques on se demandera quelles conditions l orientation initiale comme possibilit d une laboration psychologique structurante comme intitation fpenser s n Gvenir Ses ressources ses exp riences tsa capacit se projeter dans diff rentes stuations personhelles et professionnelles peut tre envisag e autrement que dars la forme postmoderne d un Usage desoirinstrumentalis une poqie o dons l champ de l ori ntation l psychologie est he cienc particuli rement expos e aux demandes oficielles dejustification et de l gitimation dela part des d cideurs politiques r fl chir aux finalit s des pratiques du psychologue pourrait s v rertr s ulil car op sous estimeres enjeux s0ocio conomiques au c ur de la refondation des m tiers de l d
52. ologue en cr che en militant pour que ce r le se joue aussi dans l accompagnement et le soutien des quipes pour am liorer que faire se peut les conditions d accueil garantissant le bien tre de l enfant ainsi que son long de la petite enfance soit jusqu 6 ans pour permettre chaque enfant de devenir cet enfan enfance lance an plaidoy r pour une psychologie pr venante travers ce plaidoyer elle revendique principalement quele psychologue clinicien uvre au respect du temps de l enfance que son action ne soit ni Une Gid des apprentissages performants ni une aide la normalisation des conduites L ayant plaisir apprendre avant tout lui vitant d tre tr s t t confront l chec non constructif La cr che comme l cole maternelle doivent imp rativement devenir des lieux bienveillants des lieux o comme le r clame Albert Jacquard on aide l enfant s tonner s interroger questionner o encore comme le revendique Viviane Bouysse IGEN on aide l enfant passer du bien vivre au bien devenir en s appuyant sur deux id es prot ger et contenir Dans tous les cas le r le du psychologue est pr pond rant LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Le psychologue en cr che aujourd hui Un soutien la r flexivit des quipes Marie Paule THOLLON BEHAR AU XXIe si
53. ors d congr s d Analyse Freudienne en mars 2015 Psychanalyse et ducation N place du sujet dans l d c tion aujeourd h i De quoi parle on quand on parl d pr vention Les textes reldiifs la PMLef aux lieux d accueil ont des cbjectifs de pr vention clairement pr sent s ais le glissement d une pr vention pr vendnte au profit d une pr vention pr dictive est alarmant La loi de pr vention de la d linquance amplifi des mesur s de contr le social au nom dela lutte contre la d linquance LE tissage fin d licat et progressit d une pr vention ouvert est devenu une v ritable nasse quiemprisonne LES R SUM S em Q nj O Q O EL D pas lt L Q Comment pr server des pratiques cliniques et institu sp cifique des b b s des parents et des professionne Faire acte de pr vention dans le champ dela pet et du lien social Ni pr visibilit ni pr d terminism Is ite enfance c est avant tou ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 La petite enfance se trouve tre la terre d lection de la pr vention Oui e donc ionnelles respectueuses partir d une coute soutenir du lien psychique sa naissance le b b d pend de son entourage et de la mani re dont on l aidera grandir Pr v nir c est pr server aux tout petits leur
54. oyen 11 l chantillon tait compos majori l habi ats partiels r v len a compr hension erfo ordi orin naires let graphomoltrice la qua a formulation t la composition detextes crits narratifs et exposi des difficult s qui affecten s quelque peu discordants L tude de Yates tent Un cart significatif dans es Cependant Liratni Wagner et Pry 2072 s haut potentiel des difficult s les principales rise respective mMances dans la ma c int r t if homog ne et 130 entre 90 et 110 ont ans Tous taient ement de gar ons Cipa cogni itif si t tifs es processus de basniveab comme dne d graddtion de l criture sup rieur le r gro pe d ge une vitesse d critur inf rieure le r groupe d ge et des probl mes orfographiques v loppement des stes d appr nissoges chezlesentants de 8 17 ans Effet delenvironnemen tscolaire ef d facteur IRdivduels Marie THILLOT Maria PEREIRA DA COSTA Todd LUBART matre et l impac contribuer une meil Un terme g n rique consen cognitifs O encore de suel lorsq u l on par individus ont pour traite sugg rent Un lien si pe de p dagogie niveau dime environnement Kolb 2006 Pour l t dg comparative n c valuer le d veloppemen significatif Nous avo ous avon ion et r so e des di
55. p rimental sont sup rieurs ceux du groupe contr le Ainsi des enfants qui se sentai nt hors ourse dans l cole mettent jour leurs ressources les exp rimentent lls sort acteurs de le r changement En d couvrant et installant leur propre rime non en fonction d une norme pr tablie mais gr ce l exp rience v cue ils donnent du sens leur vie d colieretinstaurent un nouveau rapport l cole aux apprentissages et a x autres LES R SUM S am Q nijs O Q O uag D pas lt L Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 EMILE et le je du miroir La construction de l identit chez le jeune enfant Christophe LUXEMBOURGER Nadine DEMOGEOT Antonietta SPECOGNA LA COMMUN iroir Identi entretien to a conscien des technologies Nouvel de la conscience de soi ication vise pr sente t Langage noncia us les trois mois et ten tion ce de soi et de l identit Nos chez l enfant toutvena l appu uid un montage vid oles r sultats d une recherche employant les d investigation eye tracking au service de l tude du d nt g de 15 48 mo imp des r cits nonciatifs chez l en es process us l oeuvre nous int ressons particu uridisciplin lorsgue fant mettent e enfa i remen aire participant cet l av rnemen
56. rd pointe la question de la continuit de la prise en charge que peuvent assurer des parents vieilissants Comment enfin comprendre et aborder les situations de crise auxquelles sont confront s les fr res et s urs desujets schizophr nes gt A D mi Q c O Q O Des exp riences fotemeles entr enfants accueilants et accueillis Aurore MAZZA MAINPAIN Jean Pierre MINARY Michel BOUTENQUOI Si les enjeux du placement familial itre permanent dans le cadr de l Aide Sociale l Enfance concernent videmment entot pr emientieu les enfants d plac s d une famille lautre l accueil constitue n anmoins ur v nement particulier a r gard du syst me familial et plus encore des enfants accueillants Par RoS travaux NSus avons Cherch mieux saisir la sing lart des exp riences fraternelles Almodovar 1981 susceptibles de se tisser entre enfants accueillants et accueillis au del des configurations relationnelles tradfionn llementissues d lerfliation o de la recomposition Bien qu il soit en effet possible d rapprochercGertains l ments avec ce quise pass dans d s famill s recompos es la mani re de faire famille o dratrie en famille d accueil reste singuli re lle en diff re tour d abord sensiblement dans1a mesure O la personne quis adjoint la femille n est pas un adulte n beau parent mais Un enfant sans son ascendant AU
57. rdeaux Todd LUBART Laboratoire Adapt tions Trav il Individu EA 4469 Universit Paris Descartes Sabine OPPLIGER Formatrice et rtiste plasticienne Charg es d e seign m nt la Hate cole P dagogique de Vaud en Suisse HEP Vaud Suisse Maria PEREIRA DA COSTA Laboratoire Adaptations Travail ndiidu A 4469 Universit Paris D scartes Amandine PEYREBRUNE Laboratoire de psychologie sant et qualit de vie FA 4139 Universit de Bordeaux Aude RAMSEIER Psychologue et enseignante Marie THILLOT L abor toire Adaptations Travail ndividu EA 4469 Universit Paris Descartes Jos de VALVERDE Conseiller d orientation psychologue membre associ au LAT EA 4469 Universit Paris Descartes l ve profileur Un ouil de connaissance des enfants pour l adaptation de la p dagogie AU Maria PEREIRA DA COSTA Marion BOTELLA La r ussite scolaire est souvent associ e aux comp tences acad miques e Toutefois les recherches portant sur la personna it ou les facteurs environn l intelligence g n rale ementaux sont plus rares mais ces travaux soulignent l importance de consid rer ces facteurs et leur impact sur la r ussite scolaire Tebbs 2010 Une approche multidim comprendre et identifier les forces et les faiblesses des l ves et ainsi les ai enseignemen ajust au fonctionnement individ meilleurs r
58. s commencent attirer l attention l int r t des chercheurs et des praticiens s av re d autant plus justifi que ces situations se r v lent bien des gards illustratives des volutions de la famille au cours de ces derni res d cennies dans leurs dimensions d mographiques sociologiques et thiques On est donc amen consid rer les effets de ces derni res sur la psychologie des membres de la famille et sur leurs relations et par suite sur les types d accompagnement que les institutions peuvent m me en place kad Ce symposium propose d aborder et d illustrer ces questions partir des apports de plusieurs travaux de recherche quelles conditions et selon quelles modalit s une exp rience fraternelle peut elle s laborer au sein d une nouvelle famille une famille d accueil que d aucun consid re comme une des figures de la pluriparentalit contemporaine Quelle exp rience fraternelle se construit entre enfants d une m me famille au sein d un dispositif de suppl ance familiale et comment peut elle tre tay e Si les fr res et s urs de personnes handicap es ou malades commencent attirer l attention la prise en compte du point de vue des sujets porteurs de handicap eux m mes est d un abord plus r cent encore Comment envisager la relation fraternelle et son volution lors de l acc s la vie adulte des membres de la fratrie et qua
59. s diff rents aspects qui peut contribuer faire merger la sp cificit de la position tr ternelle Qualit et ve ef sirat gies de Coping des raies dont un e f re s ur soufre de schizophr nie L a PLESSIS H l ne WILQUIN Laurent BOYER La schizophr nie touche aujourd h i environ 1 de la pop lation Le caract re invalidant de cette pathologie infl e s r l mourage du malade consiituant une charge motionnelle importante L fet de la d sinstitutionalisation condu it d ailleurs souvenrtles patients UN reto r aux sources ces derniers LES R SUM S Q ENTRETIE se tournant vers leurs pore ph nom ne oblige les familles s acclim nts consid r s com accumulation de stresseurs est nomm e fa me ater aux les premiers aidan deau lequel influe sur la qua occupe une place importante au sein les premiers pisodes psychotiques lai sont v cus l adolescence p riode du m me toit Les fr res et s urs du proch spectateurs de ces pisodes Cette sit face aux dificul de ces fan ssan e SO t bien Nilles e doit tre particu M SO ue u rant laq uffran le toute la famille v de schizophr nie sont uation les conduit utiliser des st d tre fr vent pr sager d u it ts et le dom sympt mes de la pathologie Dans la litt rature ce it de vie des familles La donc S FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE
60. s pour am liorer le dispositif Au moyen d entr tiens cliniques de recherche men s aupr s d enfants etde professionnel l quipe derecherche a analys plusieurs situations de violence ratemelle fin dg saisir d une part ce qi s tait jou dans ces crises raterrell s et d autre part ce qui avait t mis en place par les professionnels pour y faire face partir d Une analyse critique de ces pratiques plusieurs pistes de travai ontr i d gag ss approfondir le travail sur les liens fraternels repenser la mani re de travailler avec les parents se doter d outils d valuation de la qualit des liens fraternels pour rep rer les dificult s et intervenir pr cocement former les professionnels au travail de groupe et en groupe Dans cette COMMUNISOION MoUs pr senterons ces travaux en expliciant le processus de construction du lien fraternel eterexplorant la structuration de ce lien e tre des enfants qui ont v cu une situation de placement Lesliens fatemels etle processus de construction des lens exrafamilaux Le point de vae d adultes qui ont une d ficience intelectuele Anne Laure POUJOL L d veloppement de la soci t inclusive am ne les personnes d ficientes intellectuelles D cr er des lens Sociaux extrafamiliaux Or la litt rature rel ve l existence de difficult s relationnelles dans les situations
61. sitif pour l enfant accueillant nous pouvons aussi ais ment imaginer les enjeux d un Accueil d grad pour l enfant accueilli au del d tre un simple facteur potentiel les probl mes d un enfant accueillant peuvent constituer un signal d un risque d chec du placement Kaplan 1988 En ces termes ces exp riences fraternelles d accueil peuvent galement fre appr hend es comme une forme d analyseur des familles d accueil et plus largement du placement familial Le Gall 2010 La recherche sur les sp cificit s du lien fraternel offre nombre de donn es M orig es fondamentales pour penser les configurations fraternelles particuli res mais s int resser auxconfg r ations particuli res des exp riences fraternelles permet aussi d interroger en retourle syst me fraternel tel qu ent ndu tfaditionnellement am Q na O Q O Bag D pas lt L Les fratries en vilage SOS Cl mence DAYAN Une recherche initi e par l association SOS Vilages d Enfants a t conduite de 2007 2010 pour mieux analyser les pratiques professionnelles conc rnantl accompagnement dE fratri s plac es conjointement partir de l exoerisg des professionnels t des t moignages desenfants il s agissaitd identifieres indications et les contreindications du placement conjoint de rep rer Es probl mes e tles b r iices de ce mode de prise e charge d ouvrir d s piste
62. sur lui m me les comprendre et en tirer une valeurajout e pour son volution personnelle De plus le patient peut apporter des l ments compl mentaires voir critiques sur les conclusions du psychologue Cette synth se permet une analyse plus juste plus interactive et donc plus appropriante du patient La restitution devient alors un r el levier th rapeutique Une nouvelle approche am ricaine de l valuation th rapeutique pointe cette transition du bilan psychologique une forme de psychoth rapie br ve Hinn Chudnik 2014 C est en cela que le bilan psychom trique devient un bilan th rapeutique Au del des l ments que le psychologue a pu faire jaillir des tests et bilans psychologiques c est la relationnel l change avec le patient sa compr hension et sa possibilit d appropriation des l ments qui en font Un l ment th rapeutique 20Q0C TD ON Led Cette mani re d appr hender le patient dans son entit enti re et non plus seulement sur un l ment diagnostic ou de cat gorisation revoit bien la dimension globale et humaine que le psychologue doit avoir envers son patient et la pertinence d un bilan psychom trique qui devient alors un bilan th rapeutique Des enfants hors course l cole l aide du psychologue avec l Epreuve des rois Arbres
63. surtout de remplir les nouvelles classes sp cialis es h riti res des classes de perfectionnement du d but du Xe si cle partir de 1960 les psychologues ont peu peu pris plus d autonomie en s int ressant la souffrance des enfants dans l institution largissant le champ des interventions vers les enfants stigmatis s dans les classes L int gration des handicap s fait aussi partie de l activit des psychologues scolaires Leur r le a vite t reconnu par les parents et les enseignants mais le plus souvent c est vers a dimension p dagogique que l institution a voulu les maintenir en les ratachant des structures de seaux d aide GAPP puis RASED Parall lement les psychologues de l ducation dans le premier degr ont lutt pour obtenir une formation de qualit qui les rapprochai it de celle des autres psychologues formation de haut niveau universitaire avec titre reconnu puis statut Cette qu te est encore en cours oficiellement car le minist re a mis beaucoup de temps pour accepter ce que la pratique ef les efforts de formation individuelle avaient d j fait depuis longtemps Le m pris affich pour ces professionnels dans l institution est essenti tr s durement l absence de statut de psychologue les psychologues scolaires ont le statut de professeurs des coles correspondant leur formation de base et leur place dans l cole est
64. t en 1945 que le premier psychologue scolaires dud degr est nomm Gr nobl sur les conseils d Henri Wallon C est en 1962 qu est cr e T AFPS sSoCiation Fran aise des Psychologues Scolaires et en 2007 lors de son congr s ARCACHON quel AFPS devient Psychologues de l Education Nationale De la psychologie scolaire FPEN AssSociation Fr n ais des lak psychologig del ducation psychologues de l col se sont dapt s aux volutions soci tales et a x diff rentes dispositions gales qui ont de fait red finileur cadre ef leurs modalit s d intervent L icip activement aux groupes de travail qui ON ont abo ti l adoption de la loi ientation et de programmation pour la refondation d l cole de psychologues de l ducation y ont b a ucoup gagn en termes de la R publique l 5 juin 2013 Les nouvelles Perspectives s offrent donc Nous un seul corps de econnaissance et de l gitimit psychologues de la maternelle universit un statut r conn u pouf les psychologues du premier nat Ces volutions sonten cours d sTagiairisa ecrutement Une repr sentation des psycholog es tous les ch lons de la hi rarchie de l ducation degr une autre modalit de ionale flexion ef d criture avec les repr sentants de la profession et du minist re Elles devraie
65. t potentiel doit r pondre deux objectifs lui apporter les savoirs dont il a besoin en tenant compte de son fonctionnement intellectuel sp cifique et aider r duire le d calage entre le domaine socio affectif et intellectuel On sait que l inadaptation scolaire est l un des facteurs d identification des enfants intellectuellement pr coces ous abordons icila question de l aide que peuvent apporter les conseillers d orientation psychologues COP dans la scolarisation d enfants et d adolescents haut potentiel rencontrant des dificult s ravers deux tudes de cas Comme les psychologues scolaires les conseillers d orientation psychologues ont une mission d expertise celle ci doit tre d velopp e dans le suivi du parcours scolaire de l l ve et dans le cadre de l orientation Si les conseillers sont moins concern s par le rep rage ils ont un le capital pour aider les enseignants mieux comprendre le profil scolaire de l l ve pour faciliter le dialogue avec celui ci et sa famille o pour faciliter la construction d un projet professionnel Louis Ramond 2013 ous avons fait appel deux tudes de cas Le premier cas est celui d un l ve scolaris l cole primaire et pr sentant des troubles d ficitaires de l attention avec hyperactivit Le second cas porte sur un l ve d crocheur scolaris en classe de remobilisation dans le cadre de la MLDS Mission de Lutte contre le D crochage
66. tic quand cr a la premi re chelle de mesure de l intelligence Binet Simon 1951 Cette d rni r a d puis t d velopp e approfondie et Uniformis e par de nombreux auteurs dont le c l bre Daniel Wechsler Le but de cette d marche tait bas sur Une analyse quantitative des sujets s agissair d outils bas s sur des crit res d tude sp cifiques de la soci t Gr goire 2000 l individu ne b n ficioi pas de retours o d l ments psychologiques lui permettant une aide l introspection o nmieux tre mais Uniquement une cat gorisation et une s lection des patients suivant des crit res pr tablis Tout au long des d cennies suivantes et encore aujourd hui la norme de l utilisation des outils du psychologue est la comparaison des moyennes des normes et donc des pairs chelle d eficience intellectuelle chelles et tests de personnalit tests scolaires analyses qualitative et personnelle des r sultats de la personne sont percevoir et comprendre e dans son volution personnelle Par exemple une chelle de Wechsler ne donne pas Un score o des particularit s de ce dernier dans sa mani re d appr hender les l ments de son environnemen comprendre ses sch mes de pens es sa perception des l ments des ventuels dysfonctionnemen et m canismes de d
67. tionn ement Ce posiionnementn cessite une comp tence paficuli re le psycholog e doit tre form l recherche l volution des pratiques des psychologues dansta petite enfance depuis 1986 45e situe sans doute dans ce passage d un r le de prescripieur un soutien lar fexivit et d accompagnement du q estionn ment des quipes que ce soit dans l analyse de la pratique o dansia d marche de recherch adton Plaidoyer pour une psyChologie pr v nante pour la petite enfance Dani le DELOUVIN Beaucoup de choses ontchang engans Ya ilava c e No s vivons dans Une soci t quis emballe et se pr cipite dans des valeurs marchandes technocratiques o tout est quantii quartiiabl o se d lite le lien social et dans le m metemps o la vie psychique estrabattue des comportements Si les institutions territoriales recrutent plus de psychologues ceux ci sont plus sollicit s comme des substituts psy tout faire SOS d pannage Des psy polyvalents ef format s voire rentables serait ce l la fin des psychologues cliniciens qui uvraient depuis des d cennie s dans des institutions errioriales d di es l petite enfance Dans le cadre del ANAPSV pe entoutcas les psychol gues ont travaill depuis Toujours garantir une Certaine pr vention cf les_ interventions r centes de Dominique Ratia Armengol Sylviane GiampinoetD ni le Delouvin l
68. ucation et de l orientation le psychologue risque de faire bon march d bien et du bien c mm n quil d ciare poursuivre LES R SUM S Entre aider le sujet maximiser son capital humain pou d marche de coaching et l accompagner r f ch et citoyenne il y a sans doute la place non pas pour une nouvelle psychologie mais pour une pratique esponsable de la psychologie consciente de ses fin s accorde dire que s orienter consiste davantage pouvoir se ra ravers du dialogue et des interactions rechercher le sens de soi danse collectif il n est alors pas inutile de pr ciser le r le social que peuvent jouer dans ces situations les psychologues de l Education nationale que sont les conseillers d orientation I semble qu en ce d but de XXE si cle dans une Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 mieux l accorder aux crit res de l employabilit sa vie du point de vue d une activit critique s et de la cons quence de ses actes Si l on conter l autre s inventer au p r 70 am Q O Q O Bag D pas lt L es d o De R cemment l AFPEN amp par iode furieusement lib rale le psychologue ne puisse viter d con ans de psychologie l cole primaire etapr s Francine CORMAN duire une telle r flexion C es
69. ue centr e sur l aide aux enfants en dificult ducation d veloppement et apprentissage et une autre plus ax e sur l orientation professionnelle ducation d veloppement et conseils en orientation scolaire et professionnelle bien qu il soit vident que les probl mes rencontr s dans les tablissements du secondaires ne peuvent s y r duire alors qu il y a une nette mont e du malaise de la jeunesse dans ces structures pour ne rien dire de celle des enseignants D gt 0D0Q0TDC EN I y a donc bien des t ches communes et c est sans doute l un des enjeux majeurs des n gociations avec le minist re il existe des r sistances dans la profession et au sein des organisations syndicales et professionnelles mais rien n est d finitif sur ces points Les psychologues de l ducation nationale quel que soit leur lieu d exercice sont avant tout au service des usagers de l cole publique et les souffrances se ressemblent beaucoup m me siles solutions propos es sont forc ment tr s diff rentes en fonction des ges et du lieu social avec l institution Le no v au corps doit aussi se donner pour t che et r flexion de travailler au niveaude l instif tion elle m me en offrant son xpertise et ses savoirs faire aupr s des enseignants et en permettant la ransformation progressive du lien d s enfants jeunes parents et professionnels da
70. ue internationale de l ducation familiale 2 79 85 Scelles R Bouteyre E Dayan C Picon I 2007 ro pe fratri d enfants_ayant un fr re o une s ur handicap leurs indications et leurs effets Revue francophone deda d ficienc intellectuell 8 31 43 Rexhaj S 2012 Les strat gies de copinghezles proches aidants de personnes atteintes de schizophr ni M moire deMaster in dit Lausanne Universit de Lausanne Thomas J 1998 Faut il placerestratries en familles d accueil 1h B Camdessust d La fratrie m connue p 139 156 Paris ESF Turnbull A P Turnbull H R 1900 Families professionals and exceptiondlity Aspecial partnership Colombus Ohio Merril Villeneuve M Goupil G Gascon H 201F Relations l ge adulte entre l s personnes pr sentant une d ficience intellectuel t leur fratrie Revue francophone deta d ficience intell ctuelle 22 98 1H Winance M 2004 Handicap et ormalisation Analyse des transformations du rapport la n rme dans lesinstitutions t les interactions Politix 17 66 201 227 LES R SUM S Led T X lt D m Q c O Q O em Q pa O Q O EL D pas lt L Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 3 L valuation et le bilan Regards crois s de psychologues et de sp cialit s Symposia n 3 vendredi 5 juin 9h00 11h00

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