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Lundi 20 octobre - JFR 2015 - Société Française de Radiologie

1. Pascal B roud Pr sident du SRH La nouvelle loi de sant le nouveau plan de d molition du gouvernement Le syndicat des radiologues hospitaliers SRH agit contre le projet de loi sant car il y est d favorable dans son tat actuel Le SRH est favorable la d l gation mais est oppos aux transferts de t ches Le SRH souhaite une place strat gique des m decins dans la gouvernance hospitali re mais ne peut accepter la gouvernance d s quilibr e propos e Le SRH d sapprouve le groupement hospitalier de territoire GHT au sein duquel le radiologue hospitalier serait affect un territoire et une permanence des soins PdS mutualis e sans concertation Le projet de loi d finirait un service public hospitalier SPH ayant toutes les contraintes de la PdS et d accueil de tous les patients appliquant les tarifs du secteur 1 sans aucune attractivit tout en favorisant dans le m me temps un autre secteur libre de son organisation s lectionnant ses activit s et ses patients avec une libert des tarifs Le SRH d nonce l absence de mesures pour augmenter l attractivit de nos tablissements la non volont vidente de quantifier clairement le temps de travail et l oubli de la n cessit d un plan d investissements m dicaux Le SRH se doit d agir contre ce projet de loi pire que la loi HPST Mais il doit agir d s maintenant et non apr s le vote Agir cela veut dire avoir le courage de s
2. Suivi et gestion des donn es d injection Qualit et am lioration des pratiques et optimisation des protocoles Documentation PA b Radimetrics Enterprise Platform Radimetrics Enterprise Platform Recueil Suivi et A de la dosim trie pati Tra abilit AELE de lexposition Rapports et alertes personnalisables ji T i T F B r F rane pgi E di i th i r dar PF F pr s Les a j H iT Al Aa RL 1 p EL il i F iT li fl gs ri T Ur f jr 1 nf man E 4e B 5 10 15 20 25 Le Lateral position mm Fig 2 lastographie ultrasonore d une plaque carotidienne avec visualisation des vecteurs de d formations lors de la contraction systolique renouveler leurs infrastructures de recherche b timents et quipements Entre 1998 99 et 2011 2012 plus d un miliard de financement a t investi pour la recherche et d veloppement en imagerie et de ses sciences connexes Un autre organisme subventionnaire qui supporte la recherche fondamentale dans le domaine des sciences naturelles et de l ing nierie Conseil de recherches en sciences naturelles et en g nie du Canada CRSNG simplique significativement pour soutenir la recherche en g nie biom dical 174 millions de dollars en 2012 2013 Il existe des programmes conjoints entre les IRSC et le CRSNG pour favoriser le transfert des technologies m dicales d velopp es dans les laboratoires en
3. Le a p i Ru SEE L M D 4 AJ BE Wi D E E al l A7 i E 4 d a E M B i LS A Yi g F G d J A gt W h 1 S p A d amp G Ar L S L S T Lu d h S N LL S L S 2 a s A d L N d 7 FO LL BI d y P d d F CP BE d A j h D Ve i a k gt M nes Ve p Tt nait El de A on E Gaar m h 4 L _ nr CD D A LL S ag E L E OS A es Les syst mes Samsung UGEO RS80A UGEO WS80A Elite UGEO H60 sont des dispositifs m dicaux de classe lla fabriqu s par Samsung Medison Co Ltd Cor e du Sud et dont l valuation de la conformit a t r alis e par l organisme certifi T V S D CE0123 IIs sont destin s au diagnostic m dical par imagerie ultrasonore et tre utilis s dans le cadre d examens d imagerie g n rale cardiologiques vasculaires obst triques et gyn cologiques Lisez attentivement la notice d utilisation ainsi que les commentaires relatifs aux examens d imagerie m dicale du Guide de bon usage des examens d imagerie m dicale de la HAS actualis en 2012 Pris en charge par l assurance maladie Ces dispositifs m dicaux sont des produits de sant r glement s qui portent au titre de cette r glementation le marquage CE SAMSUNG ELECTRONICS FRANCE SAS au capital de 27 000 000 RCS Bobigny 334 367 497 Si
4. N anmoins l analyse individuelle demeure difficile devant l h t rog n it des cartographies natives Une am lioration de leur repr sentation telle que l application surfacique corticale pourrait tre plus lisible en routine clinique De par ses caract ristiques techniques PASL est particuli rement adapt e aux populations p diatriques Chez l enfant de multiples applications cliniques apparaissent ces derni res ann es AVC Moya Moya dr panocytose pilepsie tumeurs c r brales pathologies m taboliques Chez le nouveau n la mesure de la perfusion c r brale par ASL reste un challenge technique en raison des particularit s physiologiques du nouveau n et du faible rapport signal sur bruit intrins que de la technique Les particularit s physiologiques du cerveau n onatal n cessitent ladaptation des param tres de marquage des spins art riels d acquisition et de quantification En pratique clinique une connaissance du d bit sanguin c r bral DSC et de sa r gulation permettrait une approche fonctionnelle de la constitution des l sions c r brales chez les nouveau n s risque d asphyxie p rinatale Dans cette indication la mesure du d bit sanguin c r bral pourrait servir de biomarqueur compl mentaire aux donn es de la spectroscopie et de la diffusion ADC et pour guider les th rapeutiques neuroprotectrices comme l hypothermie L ASL peut galement tre utilis e pour tudier les variat
5. et un AVC isch mique la d cision de France avec une exp rience de t l AVC et au apport e en cas de c phal es aux structures thrombolyse ne doit pas tre retard e m Fi CHE 6 2 ANS 8 3 1 j 15 coma Cet nalees QUES COM A IUIS E Touvet gans IE RADIATION DOSE MONITOR RAYONNEMENTS IONISANTS ET SANTE LE BON R FLEXE POUR UNE OPTIMISATION DE LA DOSE DAN DON E PARIO N S E N Mesdquare acteur majeur du march du DACS Dose Archiving and Communication System a t retenue par les groupements R sah IDF et UniHA pour sa solution de gestion de la dose patient Radiation Dose Monitor Ainsi RDM sera d ploy e dans de nombreux CHU et CH durant les quatre ann es de march Gr ce son interface conviviale et ses outils performants RDM r pond parfaitement la r glementation ainsi qu aux attentes des tablissements publics comme priv s Il s inscrit naturellement dans leur d marche de collecte de contr le d analyse et d optimisation des doses d livr es aux patients lors d examens radiologiques RDM est en constante volution Venez d couvrir ses nouvelles fonctionnalit s La gestion sp cifique des patients risques La connexion des modalit s de m decine nucl aire Des nouveaux indicateurs de pratiques La consolidation des donn es en radiologie interventionnelle y 2 et plein d autres nouveaut s eQ We 33 x a n x r L n zj en h a m m US y LP i
6. gon MEDSQUARE 2 www radiationdosemonitor com T l O1 55 25 62 50 e mail contact med square com me AEE T i EAT g a PaM ET e Li a m Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 EL Quelles perspectives en imagerie urologique JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle 5 Diagnostique amp Interventionnelle P Souteyrand Assistance Publique H pitaux de Marseille l session sur les avanc es technologiques en imagerie urologique a abord les deux principaux types de pathologie en pratique courante les infections urinaires et oncologie La modalit privil gi e heure actuelle en recherche comme dans les autres sp cialit s reste PIRM P Ramchandani Philadelphie tats Unis a rappel l int r t de PIRM avec des s quences de diffusion dans le diagnostic des py lon phrites aigu s En cas de diagnostic clinique douteux la diffusion associ e l ADC permet sans irradiation ni injection de produit de contraste le diagnostic Fig 1 Les tumeurs m senchymateuses mixtes et pith liales sont une entit rare de tumeurs b nignes de d couverte fortuite L tude r trospective de G Bertrand H pital Necker Enfants Malades Paris associait notamment IRM et chographie de contraste ces tumeurs sont le plus souvent class es Bosniak III ou IIF sur un terrain de femme en p ri m nopause plus ou moins associ une herni
7. offerts par GE ditions de la SFR 6 bonnes r ponses Cas 4 Bonne r ponse D Hyperplasies Nodulaires focales graisseuses Corneliu Ciorba Laurent Couprie Zineb Dhina Louison Cl ment Drouet Hind Enneddam Alexandre Fitoussi Vincent Gautheron Nicolas Gautier Aline Geara J r me Gendre Ana Germano Guillaume Chassagnon Georges Hayek Said Idri Zouhaier Jrad Wassef Khaled Fran ois Klein Atta Koudjowa Jean Luc Landais Nicolas Laurent Augustin Lecler Nicola Leo Francoise L huillier Sophie Maes Romain Malezieux Audrey Massein Djelloul Mazouzi Ababacar Mbengue Magloire Mekuko Sokeng Favio Mestas Renan Perignon Kevin Premat Thomas Sanzalone Leila Sbihi Laurent Sournac Omar Taoussi Mohammad Nader Toukko Abdehakim Tyazi Cas 5 Bonne r ponse C H matome sous p riost chronique ossifi Fouzi Bala Mohamed Ameur Ben Elhadj Djamel Benabdelmoumene Nadia Bendijeffal Alice Benjamin Kahina Benkaciali Philippe Calvet Amina Dhieb Ben El Hadj Hind Enneddam Ana Germano Arnaud Granier Georges Hayek Said Idri Redouane Kadi Nassima Machane S bastien Moliere Vincent Morel Renan Perignon Raphael Richard Thomas Sanzalone Abdelhafid Sbihi Leila Sbihi Olivia Silbermann Hoffman Cas 6 Bonne r ponse B Scl rose m siale de l hippocampe droit Ibrahim Adlani Touriya Amil Fouzi Bala Djamel Benabdelmoumene Lamia Benamouma Nadia Bendjeffal Alice Benjamin Kahina Benkaciali Erik Bouchard
8. Devant un sein inflammatoire la pathologie b nigne surtout infectieuse est la plus fr quente J Chopier H pital Tenon Paris a distingu deux cas de figure sein lactant pour lequel la pathologie infectieuse est pr pond rante et sein non lactant o les causes infectieuses sont retrouv es associ es des facteurs de risque tabac diab te ob sit En cas de suspicion de malignit des pr l vements Fig 1 Femme de 35 ans sans ant c dent pr sente des douleurs pelviennes et une fi vre L chographie r alis e montre une formation tubul e tubaire gauche dilat e et plicatur e contenu liquidien Il s agit une salpingite aigu gauche sans atteinte ovarienne L Fournier sont r alis s sur toute masse ou ad nopathie avec biopsie cutan e En l absence de signes de malignit un traitement antibiotique d preuve est institu L limination d une mastite carcinomateuse reste un l ment fondamental dans la conduite diagnostique de ces seins inflammatoires Concernant la maladie inflammatoire du pelvis la strat gie d exploration en imagerie a t pr cis e par L Fournier HEGP Paris L infection g nitale peut avoir de lourdes cons quences infertilit GEU et le diagnostic nest pas toujours simple infection infra clinique ou subaigu L chographie par voie sus pubienne et endovaginale est l examen de premi re intention le scanner ou PIRM ont un int r t dans les cas compliq
9. L exposition aux radiations ionisantes reste cependant probl matique En conclusion nous pouvons retenir les recommandations 2013 de PESC concernant la maladie coronarienne stable elles mettent galit et au premier plan les techniques d imagerie d effort m decine nucl aire chographie et au deuxi me plan le stress pharmacologique MN cho ou IRM et laissent une place au coroscanner chez les patients risque mod r de coronaropathie lt 50 m Diagnostique amp Interventionnelle 16 Ds JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 VeRI interventionnel Des techniques et technologies simples et moins simples pour traiter nos patients en canc rologie L Tselikas Gustave Roussy Fig 1 Double cimentoplastie vis e antalgique et de consolidation de C2 et C3 par voie ant rieure sous guidage fluoroscopique et CB CT Cone Beam CT F Deschamps e village interventionnel et ses cours th matiques devenu une institution des JFR attire de plus en plus de jeunes radiologues et radiologues confirm s Cette session organis e par la FRI sous la responsabilit d A Fohlen Caen consacr e aux techniques et au mat riel de vert broplastie ainsi qu aux techniques d ablation percutan e a t anim e par les docteurs O Seror Bondy et F Deschamps Villejuif F Deschamps a d
10. Philippe Calvet Anne Chanson Nathalie David Aurora Rodica Dragomir Hind Enneddam Vincent Gautheron Arnaud Granier Georges Hayek Said Idri Farid Kessaci Nassima Machane Ababacar Mbengue Mehdi Mechakou Marc Molho Vincent Morel Renan Perignon Raphael Richard Thomas Sanzalone Abdelhafid Sbihi Leila Sbihi Laurent Sournac Nadia Sqalli Houssaini Omar Taoussi Mohammad Nader Toukko Pierre Hugues Vivier Stand 1107 Niveau 1 NOUVEAUT 2014 Intuitive Solution RIS PACS FUIT WEB Propos e par la SFR le CERF les F d rations et les Soci t s d organe BACKBONE Git e articulaure Cardidiogue Thorma Cigesus Genio nnasre magenge de itfaze P diatre a k maT Ea ER ii SYSTEMX lulu Editeur amp int grateur de solutions pour l imagerie m dicale www system x fr 0810 664 476 gt Journ es Fran aises de Radiologie DEERE Diagnostique et interventionnelle Interventionnelle Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 Les urgences neuroradiologiques de l organisation la pratique R Bendrihem CHU Caen Canada puis de revoir les principaux pi ges de la ligne m diane kyste collo de n crose du scanner en urgence et de PIRM la phase hypophysaire ainsi qu aux sinus veineux et aigu de PAVC de la face Un coma brutal inexpliqu doit La rapidit dans la prise en charge des AVC faire voquer l occlusion de l art re basilaire est fondamentale et permet de ne pas
11. in Alzheimer disease and mild cognitive impairment a marker for disease severity Radiology 2013 267 221 230 7 Chen Y Wolk DA Reddin JS et al Voxel level comparison of arterial spin labeled perfusion MRI and FDG PET in Alzheimer disease Neurology 2011 77 1977 1985 8 Raoult H Petr J Bannier E et al Arterial spin labeling for motor activation mapping at 3T with a 32 channel coil reproducibility and spatial accuracy in comparison with BOLD fMRI Neurolmage 2011 58 157 167 Pour en savolr sur le m me th me S ance p dagogique Imagerie de perfusion c r brale par marquage des spins art riels 16h00 17h15 Salle 351 SAMSUNG SANT SOLUTIONS POUR LA RADIOLOGIE UGEO RS80A UGEO WS80A Elite UGEO H60 EXCLUSIVIT JFR fl P a PA a S L N LD ER Re i naa a a y TR LS Pr ER Ex S a pp pp LD CE LD CE pp pp al a ER pp LR y gt EE C a a Un em j ER P A E PR gt SU DE PUR F SU Du PR FD ES PR O B E PR 7 an p C a N RE AOAR PR ER LE EE PR a ES N En PR pp on p LE P Ri D g r i E h g A g E g AS d L r y A g y r T 4 J f gt a F a g AN 3 E g j g 4 b a R Y a r i g A g F E a g Th X a d E a N a g A i A il nt nn nn Wi 4 peme E i T 4 S ft li pm h l E a g E L Z D pors A g g D g W nn ii AZ D a N im p LES W
12. l ovaire m tastases l sions primitives et faux amis Le point de vue des radiologues et chirurgiens Salle 342 COURS D INTERET GENERAL Neuroradiologie diagnostique et interventionnelle Imagerie de l orbite l essentiel Salle Maillot COURS D INTERET GENERAL La maladie thrombo embolique veineuse en 7 points cl s Salle 252 COURS D INTERET GENERAL Ultrasons Cytoponctions thyro diennes indications techniques et interpr tation des r sultats Salle 243 S ANCES P DAGOGIQUES L interventionnel mammaire au quotidien S ance organis e par la SIFEM Salle 241 Imagerie de perfusion c r brale par marquage des spins art riels S ance organis e par la SFNR Salle 351 Tout le programme des JFR port e de doigts Avec liapplication mobile JER Organiser et planifier sa visite Consulter le programme Evaluer voter et interagir en s ances D couvrir les exposants des JFR 2014 Se rep rer gr ce aux plans interactifs Application JFR pour plateformes iOS et Android Disponible sur Apple App Store et Google Play Store lt gt Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Diagnostique amp Interventionnelle Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 La radiologie m dicale une longue bataille H Nahum Comit archives et histoire de la radiologie La radiologie est une discipline m dicale Cette affirmation para t aujourd hui une vid
13. t attribu Nathalie LE CLERC manipulatrice dans le service d imagerie an t natale de l enfant et de la femme du CHU de Bor deaux pour son projet de recherche HYPNODOL B n fices de l hypnoanalg sie versus l utilisa tion du MEOPA sur la perception de la douleur de l enfant lors de la cystographie r trograde Il s agit d une tude exploratoire monocentrique randomis e et strati i e comparant une strat gie de prise en charge de la douleur par l hypnose versus la prise en charge de la douleur par l utilisation du MEOPA pour la r alisation de cystographie r trograde chez l enfant entre 3 et 7 ans Ce projet de recherche a t retenu par le jury pour sa construction rigoureuse l ap proche innovante forte retomb es cliniques et son impact sur la qualit de prise en charge des enfants diff rents professionnels de sant La notion de surveillance des activit s du manipulateur devrait dispara tre afin que la description du cadre d exercice professionnel soit en accord avec la r alit L AFPPE souhaite galement que ce nouveau texte l gislatif permette de r gulariser la situation des manipulateurs exer ant en m decine nucl aire et notamment pour la pr paration des m dicaments radiopharmaceutiques La modernisation du cadre l gislatif de la profession sera accompagn e d une r vision du d cret d actes avec la reconnaissance de diff rentes situations dexercice professionnel selon
14. un an 1 D autres tudes r alis es principalement aux tats Unis ont montr l int r t d une prise en charge associant coroscanner en urgence par rapport la prise en charge classique avec hospitalisation et examens non invasifs comme la scintigraphie myocardique dans un deuxi me temps chez des patients risque faible ou interm diaire 2 Les recommandations europ ennes de 2011 sur les syndromes coronaires aigus avaient d j class le coroscanner comme examen pertinent classe Ia 3 JOURN ES FRANCAISES DE RADIOLOGIE DIAGNOSTIQUE ET INTERVENT ONNELLE 16 19 octobre 2015 Pensez le noter d s pr sent dans votre agenda Les JFR seront pr c d es d une journ e de formation le 15 octobre Fig 1 Coroscanner pour douleur thoracique type de syndrome coronaire aigu avec ECG et troponine normaux St nose serr e de l IVA II mais les nouvelles recommandations de 2013 sur langor stable confirment la place grandissante de cette technique dans la prise en charge des patients puisqu elles pr conisent le coroscanner en premi re intention chez les patients symptomatiques risque faible ou interm diaire risque estim Suite page 2 INTERNATIONAL DAY OF RADIOLOGY Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle N Pd Diagnostique amp Interventionnelle Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 S ance p dagogique Le c ur en urgence 10h30
15. www sfip radiopediatrie org ST Soci t d Imagerie de la Femme http www imageriedelafemme org Soci t d Imagerie Thoracique Fa ru FEDERATION D IMAGERIE S namie Diagnostique amp Interventionnelle gt Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 Infections ORL en urgence C Boutet E Benoudiba 1 Service de Radiologie H pital Nord CHU de Saint Etienne 2 D partement de Neuroradiologie CHU du Kremlin Bic tre Pour en savolr sur le m me th me S ance p dagogique Infections ORL en urgence 8h30 9h45 Salle 241 TOSHIBA Leading Innovation gt gt gt Lo de cette s ance th matique co organis e par le Coll ge d Imagerie pour la Recherche et l Enseignement en Otorhino Laryngologie Soci t Francophone d Imagerie T te et Cou CIREOL et la F d ration d Imagerie d Urgence FIU les orateurs se succ deront afin de pr senter des situations d imagerie ORL d urgence rencontr es en pratique courante Tout d abord le Dr Farida Benoudiba Kremlin Bic tre pr sentera les caract ristiques cliniques et radiologiques des cellulites cervicales Lexploration en urgence repose sur la tomodensitom trie spiral e avec un protocole d acquisition apr s injection bi phasique de produit de contraste iod la premi re injection servant l impr gnation tissulaire la second
16. 11h45 Amphi Bordeaux www hitachi medical systems fr Pour en Savoir sur le m me th me Suite de la page 1 entre 15 et 50 4 Dans l introduction de ces nouvelles recommandations de 2013 sont inclus les syndromes coronaires aigus risque faible Fig 1 Quelles indications en urgence Cette nouvelle strat gie de prise en charge ne peut se concevoir quen collaboration troite avec les cardiologues comme cela est pr conis par la charte sign e entre les deux soci t s savantes fran aises de radiologie et de cardiologie 5 Les indications seront limit es au syndrome coronaire aigu sans sus d calage du segment ST l lectrocardiogramme et troponine normale angor instable chez des patients risque faible de pathologie coronaire Il est en effet impossible de r aliser ces coroscanners devant toute douleur thoracique atypique aux urgences au risque d tre submerg de demandes et de d cr dibiliser la technique par des indications mal pos es cet gard le triple rule out consistant liminer en m me temps une embolie pulmonaire une dissection aortique et une st nose coronaire est peu recommand en pratique Il convient plut t de mieux filtrer les demandes dans un parcours de soin d fini en collaboration avec les urgentistes et les cardiologues locaux en sachant qu une embolie pulmonaire proximale peut tre parfois rattrap e par un coroscanner bien interpr t I
17. aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle 5 Pour en savolr sur le m me th me S ance scientifique S ance de communications orales Recherche en imagerie abdominale 10h30 12h00 Salle 253 gehealthcare com Revolution EVO Plus que de la haute technologie Haute D finition 0 28mm de r solution spatiale avec la nouvelle chaine image Clarity Ultra basse dose Jusqu 82 de r duction de dose en routine avec les nouvelles reconstructions It ratives Efficacit optimis e Jusqu 40 de gain de productivit F M E Advancing healthcare together Marque d pos e de General Electric Company Faisons progresser la sant ensemble 1 En pratique clinique l utilisation d ASiR V peut r duire la dose d irradiation du patient en fonction de l examen de la taille du patient et de la localisation anatomique Une consultation avec un radiologue et un physicien doit tre faite pour d terminer la dose appropri e afin d obtenir une qualit image diagnostique pour l examen clinique Les r sultats peuvent varier en fonction des circonstances y compris mais sans s y limiter du type d examen de la pratique clinique et de la technique de reconstruction des images Cette information a t bas e sur une simulation l aide du dispositif GE Healthcare Optima CT660 et est pr sent e seulement titre indicatif Marketing Communications GE Medical Systems S
18. le radiologue doit savoir Salle 252 COURS D INTERET GENERAL Les id es re ues en imagerie h patique Salle 352 COURS D INTERET GENERAL Mammographie D tection caract risation cas complexes ou comment s am liorer Salle342 S ANCES P DAGOGIQUES Infections ORL en urgences S ance organis e par la FIU et le CIREOL Salle 241 La t l radiologie aux urgences S ance organis e par la FIU et le groupe SFR T l radiologie Salle 253 JC Ferr 10h30 CT Echo Doppler transcr nien C Gautier FX Himpens Salle 341 Echographie musculosquelettique Le poignet en 10 points A Lhoste Trouilloud V Vuillemin Salle 343 Multimodalit d imagerie digestive L sions kystiques du pancr as PJ Valette Salle 353 Multimodalit du syst me nerveux central Imagerie des pathologies de la substance blanche Salle 361 Echographie des ganglions cervicaux PY Marcy Salle 362 Prise en charge des r actions allergiques aux produits de contraste D Laroche D Journois Salle 364 S ANCES DE COURS COURS D INTERET GENERAL Imagerie du pied hors des sentiers battus Salle 251 COURS D INTERET GENERAL Neuroradiologie diagnostique et interventionnelle Baisse visuelle diplopie quoi faire et quand Salle 252 S ANCE DE DPC Prise en charge en imagerie des tumeurs des parties molles S ance organis e par l ODPC RIM et la SIMS Salle 241 S ANCES P DAGOGIQUES Le polytraumatis qui saigne Du di
19. plusieurs niveaux d encadrement m dical e sur prescription e sur prescription et condition quun m decin puisse intervenir e sur prescription et en pr sence d un m decin Apr s une pr sentation en Conseil des ministres pr vue avant la fin de l ann e cette loi devrait tre examin e par le Parlement au cours du premier semestre 2015 lt P gt Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle l Diagnostique amp Interventionnelle L aboutissement de ce dossier est une priorit port e par PAFPPE et constituera une avanc e majeure pour la reconnaissance du m tier de manipulateur Les repr sentants de l association continueront vous tenir inform s de l volution de ce dossier m 1 Avant projet de Loi relatif la Sant Article 50 III 5 PDF p 59 PRIX COMMUNICATION JEUNE CHERCHEUR Les prix Communication Jeune Chercheur r compense les auteurs de commu nications pr sent es aux JFR sur des travaux r alis es pendant leur ann e de master ou lors de leur th se de sciences A l issue d une s ance tr s anim e et de grande qualit ce vendredi apr s midi le jury compos de membres du groupe de travail de recherche SFR CERF a s lectionn quatre laur ats Marion Roux 1 prix de Master pour la pr sentation de son travail intitul Evaluation fonctionnelle h patique apr s transplantation en spectroscopie phosphore par RMN 3T Charles Mellerio
20. retarder et un angioscanner c r bral art riel doit une ventuelle thrombolyse I Girard Butaz tre r alis en urgence Fig 1 Au del des neurologue Valenciennes nous a rapport rappels s miologiques cette pr sentation tr s son exp rience de t l AVC dans les r gions pragmatiquesoulignel int r tdecommuniquer de l Artois et du Hainault Le syst me instaur directement avec le neurochirurgien repose sur une permanence neuroradiologique notamment en cas d hydroc phalie aigu et neurologique entre sept h pitaux avec un et de r diger un compte rendu assurant une syst me de t l m decine LIRM est r alis e lecture syst matique de l examen et un r le en premi re intention dans ce r seau 94 des p dagogique pour les plus jeunes patients thrombolys s avec un acc s 24h 24et Les stroke mimics sont des d ficits 7j 7 permettant une prise en charge optimale neurologiques brutaux qui peuvent simuler D Iancu Ottawa Canada nous a ensuite un AVC M Tisserand Sainte Anne Paris pr sent la prise en charge radiologique des travers quelques exemples a insist sur AVC au Canada pays l honneur lors de ces l int r t de PIRM pour les diagnostiquer avec JFR 2014 Dans son exp rience le scanner est comme caract ristiques communes l absence examen de r f rence avec un acc s PIRM de syst matisation et d occlusion art rielles Fig 1 L absence d anomalie sur un scanner sans injecti
21. stable de 2013 valident PIRM de stress perfusion comme modalit quivalente ces deux techniques comme cela a t confirm par de nombreuses tudes La p nurie annonc e de techn tium li la fermeture temporaire de plusieurs r acteurs mondiaux dont le r acteur du CEA Saclay Osiris devrait augmenter fortement la demande et les radiologues sp cialis s en imagerie cardiovasculaire doivent s investir dans cette modalit d imagerie cardiaque en plein essor Des ateliers pratiques d enseignement par simulation sont disponibles pour apprendre manipuler les agents vasodilatateurs coronaires utilis s et des stages dans des services r alisant r guli rement ce type dexamen sont accessibles par le dipl me inter universitaire d imagerie cardiovasculaire Seul un investissement de tous sp cialis s ou non permettra le maintien de ces nouvelles techniques passionnantes au sein de la communaut radiologique m R f rences 1 Nasis A Meredith IT Sud PS et al Long term Outcome after CT Angiography in Patients with Possible Acute Coronary Syndrome Radiology 2014 14 132680 2 Litt HI Gatsonis C Snyder B et al CT angiography for safe discharge of patients with possible acute coronary syndromes NEJM 2012 366 1393 1403 3 Hamm CW Bassand JP Agewall S et al ESC Guidelines for the management of acute coronary syndromes in patients presenting without persistent ST segment elevation The Task Force for the management o
22. un v ritable change scientifique bas sur une relation bilat rale tant donn que le Qu bec et la France pr sentent une maturit technologique et acad mique tr s similaire La Soci t Fran aise de Radiologie SFR l Association canadienne des radiologistes CAR la Soci t canadienne fran aise de radiologie SCFR ont une volont de faciliter et soutenir ces changes par l affichage des postes de fellows disponibles et aussi dans la s lection de potentiels boursiers Les activit s de recherche tant souvent int gr es ces stages cliniques nous devrions explorer de mani re plus syst matique la possibilit de compl ter des dipl mes de type Master 2 ma trise en sciences biom dicales pour le Qu bec ou de type doctorat Un m canisme de codirection universitaire franco qu b cois serait tr s attrayant et permettrait de faire le pont entre deux laboratoires partenaires Nous accueillons aussi de nombreux tudiants gradu s la ma trise et au doctorat dans ce contexte il faut favoriser des codirections entre les milieux fran ais et qu b cois Jusqu maintenant les contacts et changes se sont surtout faits par du bouche oreille mais nous n avons jamais pris le temps d asseoir les principaux acteurs de la recherche en imagerie m dicale de nos pays Diagnostique amp Interventionnelle Fig 4 Gel embolisant fait de chitosan CH et d un agent scl rosant Sodium Tetradecyl Sulfate
23. 1 prix de Th se de science pour son travail Power Button sign un nouveau motif sulcal sp cifique des dysplasies corticales focales de la r gion centrale Lambros Tselikas prix de m thodologie pour son travail Etude du transfert de magn tisation intra h patique influence de la st atose et de la fibrose h patique Ga l Dournes prix du sujet innovant pour son travail Faisabilit de l IRM pulmonaire 3D TE ultracourt haute r solution pour l analyse des voies a riennes proximales et distales La remise des prix aura lieu le lundi 20 octobre 13h30 au salon d honneur Le jury f licite l ensemble des candidats pour la qualit de leurs travaux et de leurs pr sentations Leurs travaux sont les gages le l avanc e de notre discipline Les JFR sont possibles gr ce la contribution de C Soci t Francophone d Imagerie t te et cou www Cireol org SIAD Soci t d Imagerie Abdominale et Digestive www lasiad org me FRI FEDERATION DE RADIOLOGIE fl TERVENTIOMMELLE SFICV Soci t Fran aise d Imagerie Cardiaque et Vasculaire WWW SfCV comM E S A Oa U Soci t d Imagerie G nito Urinaire www sigu fr FIC T DU CANCER Soci t Francophone d Imagerie Soci t d Imagerie Musculo Squelettique www sims asso org ES F D RATION D IMAGERIE Bsfip Soci t Fran aise de Neuroradiologie P diatrique et Pr natale www sfnr net
24. FPPE D la continuit des travaux men s depuis plusieurs ann es par PAFPPE en lien troit avec les soci t s savantes m dicales et la Direction G n rale de l Offre de Soins les repr sentants des manipulateurs ont saisi lopportunit du projet de loi de sant publique pour demander le r am nagement du cadre l gislatif et r glementaire de la profession de manipulateur en lectroradiologie m dicale MER En effet depuis plusieurs mois la r flexion relative cette probl matique sest intensifi e notamment lors du colloque organis au mois de janvier 2014 la facult de droit de Nancy La d marche de lAFPPE a permis de convaincre les diff rents interlocuteurs du bien fond de la demande des manipulateurs Elle est en passe de se concr tiser travers la future loi de sant actuellement en pr paration En effet lavant projet publi au mois de juillet dernier int gre l article 50 plusieurs mesures d am lioration et de simplification du syst me de sant dont II 5 Modifier l article L 4351 1 du Code de la sant publique pour pr ciser et simplifier les relations du manipulateur d lectroradiologie m dicale avec les PRIX RECHERCHE MANIPULATEUR SFR AFPPE Pour la troisi me ann e cons cutive la Soci t Fran aise de Radiologie a souhait encourager la recherche param dicale en proposant un prix pour mettre l honneur un projet de recherche manipu lateur Cette ann e le prix a
25. STS qui a t d velopp pour traiter les endofuites apr s r paration endovasculaire des an vrismes par SG Injection dans un mod le canin d endofuites Angiographie A coupe macroscopique B et histologie C D Fr esiimrec A pre Coltorrmd DT Hess urm mener Cart La Lie NE paidion Fig 5 Simulation par ordinateur de la d formation des art res iliaques lors de l insertion de guide m tallique lors de la r paration endovasculaire des an vrismes respectifs autour dune m me table pour pr senter nos plans strat giques et identifier des points d arrimage mon humble avis cest une urgence car il y a une r elle opportunit pour le d veloppement d un espace scientifique francophone comp titif dans le domaine de la recherche en imagerie m Recherche francophone en imagerie abdominale le dynamisme et l excellence en 2014 B Guiu Radiologie H pital Saint Eloi Montpellier Co session co anim e avec Maxime Ronot Beaujon sous l gide du groupe Recherche de la SFR abordera les nouveaut s en recherche exp rimentale et clinique concernant l imagerie digestive et uro n phrologique De nombreux th mes seront abord s d montrant une nouvelle fois l int r t port par la communaut scientifique francophone la recherche en imagerie abdominale Parmi les nouveaut s C Savoye Collet Rouen pr sentera une valuation en colo IRM de la fibrose intestinale dans un mod le de colite
26. affecter les images ASL Par ailleurs les h t rog n it s des flux vasculaires peuvent conduire des estimations erron es de la perfusion En effet lorsqu il existe un ralentissement des flux art riels les art res contiennent encore des spins marqu s ce qui se traduit par une augmentation du signal intra art riel sur les cartes de perfusion l inverse un shunt art rio veineux conduira la pr sence anormalement pr coce de spins marqu s dans les structures veineuses Dans ces circonstances la perfusion du parenchyme c r bral est alors sous estim e En pratique ce type d erreur de mesure peut tre globalement corrig en adaptant le TI choisi l h modynamique du patient En revanche des diff rences r gionales peuvent persister en cas d anomalies focales Cela tant ces informations sur les h t rog n it s des temps de transits vasculaires peuvent tre avantageusement utilis es en pratique clinique pour mieux identifier les variations h modynamiques de la perfusion c r brale 3 L ASL est une technique sensible mais peu sp cifique Un hypersignal en ASL peut avoir diff rentes significations artefact ralentissement circulatoire shunt art rio veineux ou encore hyperd bit cortical L interpr tation des r sultats repose sur une bonne connaissance m thodologique et un contr le exigeant de la qualit des acquisitions La topographie de anomalie de signal vasculaire ou parenchymateuse es
27. agnostic l embolisation S ance organis e par la FRI Salle Passy Exp rience alg rienne en imagerie digestive et du cancer du sein S ance organis e par la SARIM et la SFR Salle 342 Organisation de l urgence en France et au Canada S ance organis e par l AFPPE et l IFMEM Salle 352 Le c ur en urgence S ance organis e par la SFICV et la FIU Amphi Bordeaux S ANCES SCIENTIFIQUES Neuroradiologie vasculaire et interventionnelle S ance organis e par la SFNR Salle 242 Pathologies infectieuses et parasitaires S ance organis e par le GREF Salle 243 Recherche en imagerie abdominale S ance organis e par le groupe SFR Recherche Salle 253 Imagerie interventionnelle en s nologie et appareil g nito urinaire S ance organis e par la FRI Salle Maillot Urgences en imagerie S ance organis e par la FIU S ANCE DE CAS CLINIQUES Radiologie thoracique des urgences S ance organis e par la SIT et la FIU Amphi Havane Amphi Bleu 12h15 CC Apport de l chographie dans la prise en charge des dysthyro dies J Tramalloni H Monpeyssen Salle 362 Diagnostique amp Interventionnelle 12h30 S ANCE DE CAS CLINIQUES Imagerie des urgences Thorax traumatismes cr niens et traumatismes faciaux S ance organis e par la FIU et la SFR Juniors Amphi Bordeaux S ANCE D INTERPR TATION Imagerie oncologique S ance organis e par la FIC Amphi Bleu WORKSHOP Nouveaux outils inter
28. bsence d irradiation ou d injection de produit de contraste Une quantification du d bit sanguin ainsi que des mesures it ratives sont r alisables en routine clinique L interpr tation des images ASL repose sur une bonne connaissance m thodologique et un contr le exigeant de la qualit des acquisitions m R f rences 1 Ferre JC Bannier E Raoult H et al Arterial spin labeling ASL perfusion techniques and clinical use Diagnostic and interventional imaging 2013 94 1211 1223 2 Deibler AR Pollock JM Kraft RA et al Arterial spin labeling in routine clinical practice part 1 technique and artifacts ANR American journal of neuroradiology 2008 29 1228 1234 3 Alsop DC Detre JA Golay X et al Recommended implementation of arterial spin labeled perfusion MRI for clinical applications consensus of the ISMRM perfusion study group and the European consortium for ASL in dementia Magn Res Med Epub ahead of 8026 2014 4 Deibler AR Pollock JM Kraft RA et al Arterial spin labeling in routine clinical practice part 2 hypoperfusion patterns AJNR American journal of neuroradiology 2008 29 1235 1241 5 Dei bler AR Pollock JM Kraft RA et al Arterial spin labeling in routine clinical practice part 3 hyperperfusion patterns AJNR American journal of neuroradiology 2008 29 1428 1435 6 Binnewijzend MA Kuijer JP Benedictus MR et al Cerebral blood flow measured with 3D pseudocontinuous arterial spin labeling MR imaging
29. chronique chez le rat avec l objectif d valuer lavenir l efficacit des traitements anti fibrose en IRM Dans un mod le canin d an vrisme de l aorte abdominale G Soulez Montr al voquera la technique d lastographie quasi statique dans l valuation pr et post th rapeutique des endofuites Cette technique chographique tudie les d formations systolo diastoliques dans le plan axial et semble performante dans la d tection des endofuites et la caract risation de l organisation du thrombus apr s r paration endovasculaire L imagerie de perfusion est galement pr sente cette ann e puisque M Bouaboula Paris rapportera l int r t pr dictif des param tres de perfusion volume et flux sanguin tissulaire coefficient de perm abilit de surface valu s au scanner apr s traitement antiangiog nique n oadjuvant des cancers du rein Toujours en scanner mais cette fois gr ce la technique d analyse spectrale provenant d une acquisition double nergie source unique C Roy Strasbourg d montrera sur une grande s rie 210 patients qu il est possible d obtenir des images d excellente qualit avec un agent de contraste faible concentration iod e 250 mgl ml Une tude particuli rement innovante rapport e par L Tselikas et Luciani Cr teil sur un mod le murin de st atoh patite non alcoolique NASH nous permettra d explorer la captation de fer par les macrophages valu e apr s i
30. ci t s savantes SFR SFICV La manipulation des b tabloquants est simple et ne doit pas tre un frein l implication des radiologues d autant que la g n ralisation dans les ann es venir des nouvelles machines tr s rapides devrait en limiter l utilisation Et l IRM LIRM cardiaque est tr s int ressante la phase aigu pour mettre en vidence l d me et ou la n crose myocardique et il a t montr quelle tait plus sensible que l lectrocardiogramme pour le diagnostic de petits infarctus ou de sid ration myocardique N anmoins son utilisation en urgence nest pas applicable pour l instant en France m me si cest le cas dans d autres pays LIRM est tr s utile en semi urgence dans les syndromes coronaires aigus coronaires saines pour le diagnostic d infarctus reperfus de myocardite ou de syndrome de Tako subo par exemple Par ailleurs la diffusion de PIRM de stress est pr coniser dans la prise en charge pr coce SENSE AND VISUALIZE ULTRASOUND ARIET TA CHOGRAPHE DE NOUVELLE G N RATION tes vous pr t tenter cette exp rience innovante en ultrasons www tryarietta com VISITEZ NOUS AU STAND N 100 NIVEAU 1 HALL PASSY des syndromes coronaires aigus sans sus d calage de ST ST risque interm diaire notamment en remplacement partiel de la scintigraphie myocardique ou de l chocardiographie de stress 6 Les recommandations europ ennes sur langor
31. ci a t possible gr ce la collaboration entre les organismes subvention naires de recherche au niveau f d ral et provinciaux pour augmenter le financement des infrastructures en imagerie et leur op ration Il faut souligner les contributions significatives de l Association canadienne des radiologistes CAR et des associations de radiologie provinciales qui ont fait des efforts importants pour augmenter le parc d quipement en imagerie dans nos h pitaux D autres organismes tels que la Fondation radiologique canadienne FRC et la Canadian Heads of Academic Radiology CHAR soutiennent galement des projets de recherche par le biais de subventions Radimetrics Enterprise Platform Fig 1 Syst me EOS avec reconstruction 3D du syst me musculosquelettique partir de deux projections orthogonales basse dose n ce qui concerne le gouvernement f d ral la recherche m dicale est subventionn e par les Instituts de recherche en sant du Canada IRSC Ces organismes financent essentiellement lop ration des projets de recherche et des bourses salariales pour tudiants et jeunes chercheurs La Fondation canadienne pour l innovation FCI cr e en 1999 est un organisme qui permet tous les secteurs des sciences m dicales ou non de Solution int gr e injection et exposition Bayer HealthCare Certegra Point of Care Optimisation Tra abilit Partage de donn es d injection
32. e obtenir une bonne opacification des vaisseaux lors de lacquisition Le champ d exploration recommand va de la base du cr ne jusqu au diaphragme Les l ments diagnostiques portent sur l infiltration de la graisse sous cutan e l paississement des tissus mous la recherche de collection et d ad nopathie Il faudra rechercher si des panchements gazeux diss quant les espaces cellulo apon vrotiques existent Fig 1 Une attention particuli re doit tre port e sur les vaisseaux ces infections tant haut risque de thrombose veineuse et sur l effet de masse sur les fili res a ro digestives pouvant conduire une intubation trach ale difficile dans ce contexte L extension ventuelle au m diastin redoutable doit tre pr cis e Enfin on recherchera le point de d part de l infection le plus souvent dentaire carie abc s ou pharyng angine phlegmon Les infections ORL sont les principales pourvoyeuses de complications infectieuses endocr niennes comme le montrera ensuite le Dr Claire Boutet Saint Etienne Ces complications peuvent tre infectieuses ou vasculaires Les complications infectieuses comprennent les empy mes sous et extra duraux les m ningites les abc s et les enc phalites Les complications vasculaires sont les thromboses veineuses les art rites et spasmes art riels Lexploration de ces complications justifie la r alisation d une IRM c r brale en urgence associant d
33. e PIRM Dans les deux cas ces distinctions pourraient avoir un impact sur la prise en charge Pour les cancers du rein l objectif de PIRM serait de permettre de diff rencier les hauts des bas grades Fig 1 Exemple de py lon phrite aigu diagnostiqu e en IRM P Ramchandani pas d anomalie sur la s quence T1 mais un hypersignal diffusion avec hyposignal ADC du rein droit qui correspond un foyer de n phrite selon la classification de F hrman Pour les paississements des parois py liques la distinction entre paississement b nin et malin par l ADC permettrait d orienter voire d indiquer des ur t roscopies diagnostiques en cas d h maturie microscopique Cette session uro radiologique a montr l importance des d veloppements en cours et venir en IRM non seulement pour les pathologies infectieuses mais oncologiques m aussi D tection de l isch mie myocardique quatre techniques des dizaines de protocoles et des milliers de possibilit s M Ohana CHU Strasbourg bordant des th matiques pointues cette s ance p dagogique organis e par la SFICV et les Soci t s fran aises de radiologie et de cardiologie a permis de faire le point sur une probl matique clinique quotidienne comment d tecter et quantifier une isch mie myocardique Que ce soit pour un bilan pr op ratoire le check up d un patient risque ou l exploration d un angor d effort il est capital de pouv
34. e Kerviler Alain Luciani Jean Fran ois M der Jean Pierre Pruvo Alain Rahmouni Directeur de la publication Jean Pierre Pruvo Tirage 5 000 exemplaires Imprim par Barbou impressions RCS Bobigny B572 188 357 Soci t Fran aise de Radiologie Tous droits de reproduction strictement r serv s Le pathologies inflammatoires de la femme ont fait l objet d une s ance p dagogique organis e par E Poncelet et I Thomassin Naggara sous l gide de la SIFEM S Richard H pital Tenon Paris a rappel les signes cliniques de cancer du sein inflammatoire une entit rare qui reste de mauvais pronostic ryth me cutan localis ou tendu l ensemble du sein d me du sein dans son ensemble ou pr dominant au niveau des quadrants inf rieurs et de l ar ole et chaleur locale Le diagnostic est clinique mais des biopsies sont recommand es La mammographie montre le plus souvent une distorsion trab culaire L chographie permet le bilan d extension locor gionale et guide les biopsies LIRM est utile pour valuer la r ponse la chimioth rapie n odjuvante La mastectomie curage axillaire et la radioth rapie sont ensuite syst matiques afin d assurer le contr le locor gional de la maladie Cette strat gie th rapeutique r duit le risque de rechute Cependant il est n cessaire de d finir des param tres biologiques pronostiques et pr dictifs pour am liorer les strat gies de prise en charge
35. e P ii D ARE i lt p GURE 5 i 14h00 15h30 Distributeur Bayer Healthcare S A S 13 rue Jean Jaur s 92815 Puteaux France Mars 2014 animaux Cette plateforme pr clinique travaille Salle 25 RADIMETRICS est un dispositif m dical de classe 1 Pour plus d informations lire attentivement la notice d utilisation Te 7 a EURE Sec ER si un ogri nter aique qi L des ont es Produit de troitement avec le d partement de radiologie du G r al d G AHIDE osim trie et des outils tout au long du flux de travail de radiologie pour le m decin prescripteur le radiologue le 4 A manipulateur le m decin de responsable de la Sn lee anione aT aami Il RT CHUM les deux structures tant connect es un C pleinement aux syst mes PACS existants au ioan des normes DICOM et HLZ RADIMETRICS fait un suivi de la dose Solutio Picture Archiving and Communication System omparaison absorb e m organe r gion de la dose efficace CIPR 60 et CIPR 103 du PDL de l IDSV et du SSDE Fabricant Medrad nr i a r syst matique inc One Medrad Drive Indianola PA 15051 0780 U S A Distributeur Bayer Healthcare S A S 13 rue Jean Jaur s ou syst me d archivage et de transmission d Images Yy q 92815 Puteaux France Mars 2014 e a 1 Manuel d utilisation Certegra et documentation technique P3T 2 Manuel d utilisation Radimetrics PACS d di la recherche Les chercheurs J 1 k e o Plate forme d entr
36. e de r clamer avec force que la direction des laboratoires radiologiques soit exclu sivement r serv e des m decins Une pol mique passionn e dure plusieurs ann es y participent l Acad mie de m decine laquelle le ministre de l Int rieur le docteur Georges Clemenceau a demand son avis l Acad mie des sciences le Conseil de surveillance de Assistance publique de Paris le Syndicat des radiologistes D innombrables commissions d lib rent d in nombrables rapports concluent souvent de mani re contradictoire Ce nest que peu de temps avant la Premi re Guerre mondiale que l Assistance publique prend position la direction des laboratoires radiologiques ils se d nom meront Services de radiologie quelques ann es plus tard doit tre exclusivement confi e des m decins des concours sont ouverts cet effet Les situations acquises sont n anmoins respec t es Contremoulins restera en fonction jusqu sa retraite en 1934 date laquelle il transf rera son laboratoire l h pital de Saint Germain en Laye C est cette m me ann e 1934 qu une loi reconna t l obligation du dipl me de docteur en m decine pour tout utilisateur des rayons X dans un but diagnostique ou th rapeutique en exercice lib ral aussi bien qu hospitalier m Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 La loi de sant publique une opportunit pour les manipulateurs F Voix Pr sident de l A
37. e py lique L int r t d voquer ce diagnostic est d envisager un traitement avec pargne n phronique J Garnon CHU Strasbourg proposait une tude de faisabilit de biopsies r nales sous guidage IRM Cette technique outre l int r t en termes de radioprotection permet un guidage avec contr le en temps r el de la position de l aiguille dans plusieurs plans Dans certains cas de figure les biopsies n taient r alisables que sous contr le IRM les cibles n tant pas visibles en chographie ou en scanner Les contraintes techniques et organisationnelles restent les principaux cueils de ces biopsies L tude pr liminaire de D Portalez IUCT Oncopole Toulouse a mis en vidence une collaboration radiologue radioth rapeute dans la prise en charge du cancer de prostate Les traitements focaux sont en essor pour le cancer de prostate et n cessitent un rep rage pr cis des localisations tumorales Dans cette prise en charge les radiologues r alisent non seulement des biopsies de prostate compl mentaires fusion IRM chographie mais ils participent aussi au positionnement des grains d iode au contact de la tumeur Lobjectif de ce traitement est de limiter encore plus une complication invalidante de la curieth rapie l ur trite Les pr sentations d E Tricaud CHU de Bordeaux et Labani CHU de Strasbourg partageaient des objectifs similaires affiner nos diagnostics en oncologie urologique gr c
38. ence incontest e Il a n anmoins fallu des d cennies pour la faire admettre couverts par un physicien Wilhelm Roentgen les rayons X ont d abord t consid r s par les physiciens comme une sorte de chasse gard e Roentgen adresse son m moire un physicien Henri Poincar qui incite Barth l my et Oudin r aliser les premi res radiographies et qui les pr sente l Acad mie des Sciences C est encore un physicien d Arsonval qui dans les semaines suivantes pr sente d autres clich s radiologiques l Acad mie des Sciences Il existait depuis 1891 une Soci t fran aise d lectroth rapie elle s annexe la radiologie en 1901 et prend le nom de Soci t d lectroth rapie et de radiologie Les physiciens y sont nombreux avec quelques grands noms de la science fran aise Marie Curie d Arsonval C est le m rite d Antoine B cl re Fig 1 m decin des h pi taux de mesurer tr s vite l importance m dicale de l examen radiologique Dans un article inti tul La radiologie m dicale aux m decins il crit Un clinicien comp tent est mieux apte au maniement m dical des rayons X que le plus minent physicien f t ce le professeur Roentgen lui m me B cl re veut une radiologie clinique proche du malade d gag e de l emprise des Fig 1 Antoine B cl re 1856 1939 Chef du Service de M decine de l H pital Tenon DC CLOS Madame et Monsieur le Pr Guy Pa
39. eprise Sur le lieu de prise en charge E p fondamentaux et cliniciens peuvent travailler sur des 23502 0314 L FR RI 03 2014 0005 Bayer HealthCare SAS au capital de 47 857 291 14 706 580 149 RCS Lille mm I Hea P DR protocoles de recherche pr cliniqueset cliniques pour du scanner cardiaque et de la v nographie r trograde par l valuation pr op ratoire des veines cardiaques Suite page 5 d gi Fj par l innovation Choisir un nouvel chographe impliquait auparavant de faire de multiples compromis Avec Philips Affiniti tablissez rapidement et en toute confiance des diagnostics pr cis La performance par l innovation la productivit par l ergonomie Nouvel chographe Affiniti d couvrir sur le stand Philips Healthcare durant les JFR 2014 Niveau 1 Hall Ternes Mio tions Ait innovation et vous Le syst me Philips Affiniti est un dispositif medical de classe Ila fabriqu par Philips Healthcare et dont l valuation de la conformit a t r alis e par l organisme certifi BSI 0086 Il est destin au diagnostic m dical par imagerie ultrasonore Les actes diagnostiques sont pris en charge par les organismes d assurance maladie dans certaines situations Lisez attentivement la notice d utilisation Ce dispositif m dical est un produit de sant r glement qui porte au titre de cette r glementation le marquage CE Nouvel chographe Philips Affin
40. er la collaboration franco qu b coise sur la technologie EOS avec un partenaire industriel qui a permis la commercialisation en Europe et au Canada Fig 1 le d veloppement de l lastographie ultrasonore pour la caract risation de la vuln rabilit vasculaire plaque carotidienne et an vrisme aortique dont les r sultats seront pr sent s par plusieurs tudiants lors des Journ es Fran aises de Radiologie 2014 Fig 2 la navigation de particules magn tiques th rapeutiques dans le syst me vasculaire en IRM en collaboration avec le laboratoire de nanorobotique de l cole polytechnique Fig 3 la conception d un gel embolisant et scl rosant actuellement licenci un partenaire industriel Fig 4 la conception d un logiciel de fusion recalage lastique 2D 3D pour la r paration endovasculaire d an vrisme ou le d veloppement d un logiciel permettant la simulation des proc dures de r paration endovasculaire des an vrismes en collaboration avec des partenaires industriels Fig 5 De nombreux leaders de la radiologie qu b coise et fran aise ont travers l Atlantique afin de compl ter leur formation l tranger et rapporter dans leur milieu respectif une expertise particuli re coupl e une fa on de faire diff rente Certains ont m me oubli leur billet de retour et ont fait leur carri re sur l autre continent Ces changes ont t extr mement b n fiques car il s agit d
41. es s quences de diffusion FLAIR T2 T1 T1 apr s injection de gadolinium sans et avec saturation de la graisse Les l sions infectieuses ORL sp cifiques de l enfant nous seront rappel es par le Dr Bogdana Tilea Paris La masto dite complique les fr quentes otites moyennes aigu s de l enfant tandis que l thmo dite survient au d cours d une rhinopahryngite La suspicion d une atteinte orbitaire cellulite phlegmon abc s sous p riost justifie une exploration TDM avec injection Il faut savoir penser la surinfection de kystes du tractus thyr oglosse devant une augmentation brutale du kyste situ dans 67 des cas en regard de l os hyo de avec signes inflammatoires locaux Le Dr Marie Gavid chirurgien oto rhino laryngologue Saint Etienne nous pr sentera la prise en charge m dicale et chirurgicale de ces cellulites et abc s cervicaux Le traitement repose ainsi sur une antibioth rapie active sur les germes ana robies et a robies de la sph re ORL pendant 10 14 jours et une chirurgie d ex r se Fig 1 Cellulite cervicale avec collections et panchements gazeux diss quant compliquant un phlegmon amygdalien droit chez un patient de 50 ans de tous les tissus n cros s et infect s source de r cidive de l infection La cervicotomie peut tre compl t e par une sternotomie ou une thoracotomie en cas de collection profonde m diastinale des lames descendues partir de la cervicotomie suf
42. evables on ne doit pas l oublier Pour faire de la radiologie on a moins besoin de connaissances m dicales que de l instruction des physiciens C est seulement en 1945 que la Soci t d lec troth rapie et de radiologie dispara tra en fusionnant avec la Soci t de radiologie m di cale que B cl re a fond e en 1909 Mais n a t on pas vu la querelle entre m de cins et physiciens resurgir chaque fois qu une nouvelle m thode d imagerie est apparue cho graphie tomodensitom trie IRM PET scan Dans les h pitaux ce sont d abord les photo raphes qui se sont int ress s aux rayons X A l h pital Necker Gaston Contremoulins Fig 2 form par Marey l inventeur de la chronophotographie organise un laboratoire met au point des appareils d crit des techniques d examen publie de nombreux articles cr e une biblioth que et une radioth que insiste sur les dangers des rayons X la Salp tri re Albert Londe Fig 3 auquel succ de Charles Infroit Fig 3 Albert Londe 1858 1917 effectuant une radiographie la Salp tri re en 1896 a une activit aussi importante Chimiste de formation il invente lui aussi des appareils et pr sente des clich s l Acad mie des sciences Des photographes comme Contremoulins ou Londe comp tents inventifs chefs de laboratoire actifs sont difficilement contournables malgr la t nacit d Antoine B cl re Il ne d sarme pour tant pas et continu
43. f acute coronary syndromes ACS in patients presenting without persistent ST segment elevation of the European Society of Cardiology ESC ESC Committee for Practice Guidelines Eur Heart J 2011 32 2999 3054 4 Montalescot G Sechtem U Achenbach S et al Task Force Members 2013 ESC guidelines on the management of stable coronary artery disease the Task Force on the management of stable coronary artery disease of the European Society of Cardiology Eur Heart J 2013 34 2949 3003 5 Joffre F Boyer L Dacher JN Gilard M Douek P Gueret P Recommendations for training in cross sectional cardiac imaging J Radiol 2009 90 1172 1175 6 Heitner JF Klem I Rasheed D et al Stress Cardiac MR Imaging Compared with Stress Echocardiography in the Early Evaluation of Patients Who Present to the Emergency Department with Intermediate Risk Chest Pain Radiology 2014 271 56 64 HITACHI Inspire the Next AC COKA illuminate the change Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 La recherche en imagerie m dicale au Canada Diagnostique amp Interventionnelle JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle G Soulez Radiologie Radio Oncologie et M decine Nucl aire Universit de Montr al Chercheur National FRQ S L imagerie m dicale est un des axes prioritaires de la recherche et d ve loppement au Canada et a connu une expansion significative dans les dix derni res ann es Ce
44. fisent en l absence de collection m diastinale La chirurgie se basant sur la cartographie l sionnelle des espaces cervicaux elle insistera sur l importance pour les chirurgiens de la description dans nos comptes rendus de l extension scanographique m Exclusivit s JFR 2014 INFINIX ERGONOMIE ET ACCESSIBILIT Configuration 5 axes modulable exclusive Nouveaux outils de r duction de dose Dose Tracking System et Spot fluoroscopie Syst me multi t ches temps r el D couvrez sur le stand votre salle virtuelle d angiographie Infinix i gt ULTRASONS SCANNER www toshiba medical fr IRM X RAY SERVICES Les dispositifs d imagerie m dicale Infinix sont de classe Ilb Conformit valid e par l organisme de certification TUV Rheinland 0197 Fabriqu s par TOSHIBA MEDICAL Sys tems Pour un bon usage merci de vous reporter aux manuels d utilisation Prise en charge par l Assurance Maladie des examens r alis s sous certaines conditions consultez les modalit s sur ameli fr JFRE Journ es Fran aises de Radiologie TM Diagnostique et interventionnelle 3 Interventionnelle Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 R ponses et gagnants aux cas du jour Prix Louis Delherm 400 offerts par la FNMR r compensent le gagnant de la semaine Alice Benjamin Leila Sbihi et Omar Taoussi Cas 1 Bonne r ponse D Conflit ischio f moral secondaire une ent sopathie des ischio jamb
45. gagnants aux cas du jour 13 Reportages 14 16 Lundi 20 octobre otidien des Journ es Fran aises de Radiolo 1e Diagnostique et Interventionnelle Au c ur de l urgence O Vignaux Service de Radiologie A H pitaux Universitaires Paris Centre Universit Paris Descartes L_ techniques d imagerie cardiaque non invasives comme le scanner ou PIRM se sont consid rablement d velopp es ces derni res ann es Le scanner cardiaque ou coroscanner a b n fici des progr s technologiques comme l am lioration de la r solution temporelle moins de 100 ms et les larges couvertures 128 256 ou 320 d tecteurs technologie bitube qui autorise sur les machines de derni re g n ration des acquisitions en moins d un battement cardiaque Surtout les machines 64 coupes sont devenues la r f rence en particulier aux urgences et les publications r centes ont mis en valeur l apport du coroscanner dans les douleurs thoraciques aigu s Une valeur pr dictive n gative lev e du coroscanner En effet le coroscanner pr sente une tr s haute valeur pr dictive n gative sup rieure 98 dans toutes les s ries incluant des 64 coupes ou plus permettant d exclure une origine coronaire en cas d examen normal Ces donn es ont t confirm es par l absence de survenue d v nements cardiaques majeurs chez les patients avec un coroscanner normal comme l a confirm une tude r cente avec un suivi clinique
46. ge social Samsung Electronics France Ovalie CS 2003 1 rue Fructidor 93484 St Ouen Cedex Date d tablissement 15 09 2014 R f rence HME AD4 092014 Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 8h30 CCE Comment je fais un cho Doppler des vaisseaux supra aortiques initiation FX Himpens C Gautier Salle 341 Echographie musculosquelettique La hanche en 10 points V Vuillemin A Lhoste Trouillaud Salle 343 Multimodalit du pelvis f minin Imagerie et masses pelviennes S Dechoux I Thomassin Naggara Salle 353 Multimodalit de l imagerie urologique Contenu scrotal C Roy Salle 361 Atelier d chographie TI RADS faux n gatifs et positifs et images pi ges J Tramalloni G Russ Salle 362 Imagerie cardiaque en pratique JF Deux M Sirol Salle 364 S ANCES DE COURS COURS APPROFONDI IRM pratique en imagerie de la femme Amphi Bleu COURS THEMATIQUE Management Burn out des soignants qualit de vie au travail des professionnels Salle 251 COURS THEMATIQUE Imagerie ost o articulaire de la main et des doigts Algies nerveuses et vasculaires de la main Amphi Havane COURS D INTERET GENERAL Ultrasons Quelle imagerie pour le diagnostic et le bilan d une hyperparathyro die primaire Salle 243 COURS PRATIQUE Imagerie Ant natale Les membres d pistage ce que vous devez dire et ne pas dire Salle 242 COURS D INTERET GENERAL Anomalies cong nitales cardiovasculaires ce que
47. i Havane Salle 242 Pathologies digestives infectieuses et parasitaires S ance organis e par le GREF Salle 243 Imagerie cardiaque S ance organis e par la SFICV Salle 251 Imagerie oncologique S ance organis e par la FIC Salle 342 Les manipulateurs et l imagerie en coupe S ance organis e par l AFPPE et l IFMEM Salle 352 JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle 16h00 CCE Comment je fais un examen Doppler des art res digestives JM Corr as Salle 341 Echographie musculosquelettique R gion scapulaire et plexus N Sans F Lap gue Salle 343 Multimodalit des urgences abdominales et pelviennes Imagerie de la douleur de la fosse iliaque gauche chez un sujet g V Cartier C Ridereau Zins Salle 353 Prise en charge des d tresses vitales Prise en charge de l arr t cardio respiratoire B Vivien Salle 364 S ANCES DE COURS COURS APPROFONDI IRM pratique en imagerie ost o articulaire Amphi Bleu COURS THEMATIQUE Management La gouvernance des grandes entit s d imagerie Salle 251 COURS THEMATIQUE Imagerie des urgences vasculaires Les h morragies digestives Amphi Bordeaux COURS THEMATIQUE Masse du poignet et des doigts imagerie et anatomo pathologie Amphi Havane COURS D INTERET GENERAL Cardiovasculaire diagnostique et interventionnel Imagerie des art res des membres inf rieurs quoi de neuf en 2014 Salle 242 COURS D INTERET GENERAL Tumeurs de
48. iers Basma Abdellaoui Alice Benjamin Mariem Amouri Zahaf Salma Ayadi Fouzi Bala Andras Barta Bachir Battata Zeineb Ben Lakhdar Anne Chanson Aurora Rodica Dragomir Marie Florin Mikael Fontarensky Dominique Fournier Vincent Gautheron Aline Geara Georges Hayek Said Idri K vin Premat Jean Luc Landais Fran oise L Huillier Marianne Roux Massinissa Saoudi Loic Mehu Favio Mestas Sebastien Moliere Romaric Ne Nezha Ouazzani Taibi Renan Perignon Leila Sbihi Omar Taoussi Damien Verdier Mazen Yanes Cas 2 Bonne r ponse E M lio dose Matthieu Dat Akayi Paul Ardilouze Zeineb Ben Lakhdar Lamia Benamouma Alice Benjamin Benoist Capon Mikael Fontarensky Ana Germano Pascal Guinet Edith Koning Jean Luc Landais Favio Mestas Sebastien Moliere Zentar Nora Renan Perignon Lamia Rezgui Marhoul Leila Sbihi Omar Taoussi Damien Verdier Cas 3 Bonne r ponse C Kyste dermo de Ibrahim Adlani Pia Akl Fouzi Bala Lamia Benamouma Alice Benjamin Kahina Benkaciali Philippe Calvet Zineb Dhina Louison Hind Enneddam Liviu Florescu Jerome Gendre Ana Germano Georges Hayek Said Idri Zouhaier Jrad Wassef Khaled Jean Luc Landais Augustin Lecler Nicola Leo Sophie Maes Romain Malezieux Audrey Massein Kevin Premat Leila Sbihi Laurent Sournac Omar Taoussi Abdehakim Tyazi Pierre Hugues Vivier S ance d interpr tation Imagerie neurologique Les gagnants sont Leila Sbihi et Herv Dumas 400
49. ions dynamiques de la perfusion et tudier les propri t s fonctionnelles de la vascularisation c r brale L tude fonctionnelle de la perfusion c r brale en ASL repose sur les variations temporelles du flux sanguin c r bral lors de l administration d un agent vasomoteur inhalation de CO injection d ac tazolamide L tude de la r serve vasculaire permet ainsi de mieux caract riser les d ficits neurologiques d origine h modynamique dans la pathologie art rielle st no occlusive Des travaux pr liminaires ont galement montr que la r serve vasculaire tait alt r e dans la maladie d Alzheimer Les perspectives de d veloppement en ASL sont nombreuses IRM fonctionnelle et angiographie dynamique L ASL offre la possibilit d une tude de l hyperperfusion induite par une activation neuronale et ainsi l obtention de cartographies fonctionnelles d activation corticale ASLf 8 LASLFf dispose d avantages par rapport l effet BOLD quantification absolue des modifications induites moindre sensibilit la contamination veineuse et meilleure reproductibilit et sp cificit spatiale L ASL est aussi utilis e pour l obtention d ARM cervico enc phaliques sans injection LARM ASL dynamique tr s haute r solution temporelle lt 100ms est obtenue par l utilisation d acquisitions rapides et synchronis es au cycle cardiaque Conclusion La s quence ASL pr sente de nombreux avantages comme l a
50. iti vos c t s chaque jour wWww philips com affiniti Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 Suite de la page 3 Chemosmboliention without targeting a microcarriors TMMC Biodegradable TMMC ary Antitumor drug Magnetic nanoparticle B Th rapeulic magnetic IC Chemoemnboliration with Before left MRI ta ing Fu F Fig 3 Navigation de particules magn tiques charg es de doxorubicine B vers le lobe gauche du foie C D l aide de gradients magn tiques en IRM favoriser le transfert technologique Actuellement cinq laboratoires fondamentaux sont regroup s dans cet axe de recherche avec des ing nieurs biom dicaux et des radiologues qui travaillent dans le domaine des ultrasons lastographie et rh ologie biomat riaux endovasculaires fusion et traitement de l image avec des pointes d expertise en radiologie interventionnelle vasculaire et neurovasculaire imagerie h patique mammaire cardiaque et musculosquelettique Ces quipes de recherche travaillent conjointement avec les chercheurs du Campus de l Universit de Montr al mais aussi avec l cole polytechnique qui est affili e l Universit de Montr al et l cole de technologie sup rieure Ceci a permis le d p t de 15 brevets dans les 10 derni res ann es dont quatre sont actuellement licenci s des industriels Parmi les exemples de transfert technologique nous pouvons cit
51. l faut n anmoins souligner l apport du scanner cardio thoracique pour le diagnostic diff rentiel des douleurs thoraciques aigu s y compris les syndromes aortiques aigus Une n cessit de formation Ces nouvelles donn es pourraient tre tr s prochainement valid es en France par des pr conisations reprenant les recommandations europ ennes Ceci oblige encore plus aujourd hui la communaut radiologique se former cette technique d imagerie cardiaque non invasive et ce d autant que des connaissances minimales gt en imagerie cardiaque sont maintenant indispensables pour interpr ter un scanner thoracique cardio thoracique avec les scanners de derni re g n ration ultra rapides Mis part la synchronisation l lectrocardiogramme et de rapides r visions anatomiques il para t peu compliqu pour un radiologue r alisant r guli rement des angioscanners carotidiens r naux ou des membres inf rieurs d tre rapidement comp tent pour reconna tre un coroscanner normal tr s pathologique ou douteux respectivement exclusion de la maladie coronaire coronarographie rapide ou poursuite du bilan par une imagerie de l isch mie La formation aux logiciels cardiaques est tr s bien r alis e par chaque constructeur et ces logiciels sont de plus en plus rapides intuitifs et ergonomiques Des comptes rendus types de coroscanner devraient tre rapidement disponibles en ligne sur les sites des so
52. llardy ont r uni une collection de plus de 500 cartes postales concernant l imagerie m dicale Tr s vari es elles donnent un aper u de l volution technique et des installations Certaines montrent avec humour la perception non m dicale de ces rayons myst rieux Un diaporama permet de d couvrir cette collection avant qu elle ne soit accessible sur le serveur de la SFR niveau 3 hall Havane AGO C O S F Fig 2 Gaston Contremoulins 1869 1950 r glant un compas pour corps tranger intracr nien physiciens il veut que l acte radiologique soit un acte m dical ins r dans la s quence diagnostique et th rapeutique Les r ticences sont nombreuses les oppositions sont vives Les physiciens n en tendent pas se d poss der de la radiologie L interpr tation d un clich radiologique crit l un d entre eux n est qu une v ritable pes e analy tique puisque les rayons X d terminent le poids atomique des corps et que les diff rentes teintes ne sont autres que des valuations de poids atomique Pour ces pes es d licates qui n ces sitent de tenir compte d une foule de facteurs il faut de toute n cessit avoir une instruction de physicien laquelle peu de m decins peuvent pr tendre On n glige de dire se d sole un membre de la Soci t d lectroth rapie par qui les progr s de la radiologie ont t obtenus c est aux physiciens que nous en sommes red
53. milieu clinique et aussi des programmes conjoints entre les IRSC ou le CRSNG avec les industries qui favorisent des financements pour le transfert de technologies m dicales entre les universit s l industrie et les milieux cliniques Parall lement aux organismes f d raux chaque province a un organisme qui soutient la recherche m dicale au niveau provincial Au Qu bec lorganisme des Fonds de recherche du Qu bec Sant FRQ S encourage surtout l mergence et le recrutement des jeunes chercheurs par l octroi de bourses salariales et aussi de fonds de d marrage Un accord entre le FRQ S et la F d ration des m decins sp cialistes du Qu bec permet de garantir aux cliniciens chercheurs une r mun ration pour leur permettre de consacrer 50 de leur temps en recherche Tous ces octrois que ce soit au niveau f d ral et provincial sont extr mement comp titifs les taux de r ussite sont de lordre de 15 20 pour les programmes purement acad miques et de 30 40 pour les programmes en partenariat avec l industrie Ceci peut entra ner une certaine pr carit dans les quipes de recherche et nous a oblig s faire des regroupements strat giques et former des quipes multidisciplinaires fortes centr es autour de th matiques de recherche pertinentes en insistant sur le transfert des connaissances en milieu clinique titre dexemple l Universit de Montr al a regroup au centre de recherche du Centre ho
54. mment des fibres sous endocardiques am liorant sa reproductibilit et ses performances diagnostiques L chographie de stress est sensible non irradiante et peu ch re ce qui en fait un excellent examen de d pistage L IRM de perfusion est une alternative fiable la scintigraphie J N Dacher Rouen a insist sur la n cessit d un examen complet et complexe couplant morphologie cin tique perfusion de repos et sous stress pharmacologique vasodilatateur et tude du rehaussement tardif LIRM permet ainsi de d tecter des isch mies r versibles et de stadifer des isch mies constitu es viable non viable ce qui en ferait un examen pertinent chez le patient coronarien connu Le scanner de perfusion est comme la rappel D Mandry Nancy une technique jeune encore en valuation r serv e aux machines haut de gamme Couplant un stress pharmacologique et une analyse morphologique des coronaires il pr sente l int r t d explorer la fois la cause la st nose coronarienne et la cons quence l isch mie rpr tation Isch mie r versible li e l effort Isch mie constitu e Fig 1 D termination de l isch mie r versible ou constitu e en imagerie IRM et TDM de perfusion avec rehaussement tardif RT Source TechasithT et al JACC Cardiovax Imaging 2011 r versible ou irr versible permettant de cibler les st noses parlantes
55. njection d USPIO ultra small particules of iron oxide l avenir il est possible que la dysfonction macrophagique mise en vidence par ce nouveau produit de contraste dans la NASH ouvre des perspectives enthousiasmantes dans le diagnostic et le suivi de cette pathologie dont l enjeu clinique est majeur Fig 1 La recherche en radiologie interventionnelle ne sera pas en reste puisque J Frandon Grenoble en collaboration avec l quipe de Marseille rapportera un travail sur les mouvements des reins avec la respiration sans et avec aiguille 22G et 18G en place Enfin le Pr P Soyer nous pr sentera les r sultats Fig 1 Imagerie de l inflammation macrophagique dans un mod le murin de st atoh patite S quences T1 avant et apr s injection de nanoparticules d oxide de fer chez des souris ayant d velopp une st atoh patite colonne de gauche et des t moins colonne de droite Il existe une diminution de la capture macrophagique des USPIO dans la st atoh patite Remerciements Pr Alain Luciani et Dr Lambros Tselikas finaux de l tude SECURE valuant le profil de tol rance de l acide gadot rique Dotarem chez plus de 35000 patients Par la richesse de ces th matiques cette session d montre une nouvelle fois le dynamisme et l excellence de la recherche francophone en imagerie abdominale Venez nombreux d couvrir les nouveaut s qui feront peut tre l imagerie de demain m JFRE Journ es Fran
56. oci t en Commandite Simple au capital de 85 418 040 Euros 283 rue de la Mini re 78533 Buc Cedex France RCS Versailles B315 013 359 2014 General Electric Company Tous droits r serv s GE Healthcare une branche de General Electric Company Mentions obligatoires Revolution EVO Le syst me est con u pour produire des images en coupe du corps par reconstruction informatique des donn es de transmission des rayons X prises sous diff rents angles et selon diff rents plans y compris les acquisitions axiales cin h lico dales volum triques cardiaques et synchronis es Ces images peuvent tre obtenues avec ou sans produit de contraste Ce syst me peut inclure l analyse des signaux et l quipement d affichage les supports de l quipement et du patient les composants et les accessoires peut galement inclure le traitement de donn es et d images pour produire des images dans diff rents plans transaxiaux et reformat s Les images peuvent tre ensuite post trait es pour produire des plans d imagerie ou des r sultats d analyse suppl mentaires Le syst me est destin aux applications de tomographie rayons X de la t te du corps entier du c ur et du syst me vasculaire chez des patients de tous ges Ces r sultats sont pr cieux pour le diagnostic des maladies traumatismes ou anomalies ainsi que pour la planification les indications et le suivi th rapeutiques Classe Ilb Fabricant GE Healthcare Japan Co
57. oir r pondre cette question simple le patient a t il d j fait ou est il risque de faire une isch mie myocardique Quatre modalit s d imagerie chacune en d veloppement continuel peuvent tre utilis es Toutes analysent les cons quences sur le myocarde d un effort physique ou d un stress pharmacologique Des anomalies apparaissant l effort ou lors d un stress pharmacologique mais non pr sentes au repos signent l isch mie r versible Fig 1 tandis que la normalit des examens d effort ou de stress permet d exclure la maladie isch mique Comme le rappelle B Songy Saint Denis la scintigraphie myocardique avec preuve d effort reste la technique de r f rence fiable reproductible et offrant de bonnes possibilit s de quantification de valeur pronostique et de suivi Les nouvelles cam ras d tecteurs CZT am liorent la sensibilit par 6 et la r solution spatiale par 3 tout en abaissant la dose environ ImSv elles assoient encore plus la place de cet examen En imagerie PET des traceurs de la perfusion myocardique sont en cours d valuation et pourraient permettre une quantification de la r serve coronaire L chographie de stress pr sent e par S Lafitte Bordeaux a beaucoup b n fici des am liorations informatiques permettant une quantification 3D voire 4D des modifications de la contraction myocardique l effort valuation de la d formation et du strain nota
58. on pour les AVC de fosse post rieure et les Le stroke mimic le plus fr quent est pour coma doit faire r aliser un angioscanner art riel V C du r veil L angioscanner et le scanner l aspect secondaire une crise d pilepsie Il a PE nee EOCENE E AEE Ge perfusion sont utilis s pour une meilleure sera suspect en imagerie par une atteinte s lection des patients et apportent des l ments corticale pure ou des topographies sp cifiques pronostiques En parall le l tude ESCAPE pulvinar hippocampe diaschisis c r belleux Dormont Piti Salp tri re Paris et laquelle participe le centre d Ottawa value le et splenium du corps calleux Identifier JY Gauvrit CHU Pontchaillou Rennes r le du traitement endovasculaire des AVC les stroke mimics permet d viter une ont organis une s ance dominicale sur les Concernant les urgences neuroradiologiques thrombolyse inutile de proposer un traitement urgences neuroradiologiques sous l gide de A Bertrand Piti Salp tri re Paris nous a sp cifique adapt et d optimiser l occupation la FIU et de la SFNR Cette s ance a permis rappel les diagnostics ne pas m conna tre des lits des unit s neuro vasculaires En cas d aborder l organisation de la prise en charge sur le scanner modalit la plus utilis e dans ce de doute l issue de PIRM entre un stroke des accidents vasculaires c r braux en contexte Une attention particuli re doit tre mimic
59. opposer au syst me et tous ses rouages cela veut dire aussi prendre des risques accepter de perdre de l argent Agir cela veut dire expliquer les raisons de l opposition Agir cela veut dire aussi proposer des alternatives et un autre projet Le projet du SRH pour l imagerie hospitali re s articule autour de plusieurs points e La cr ation de plateaux d imagerie mutualis s complets et diversifi s conform ment l article 33 de la loi du 10 8 10 centr s sur un projet m dical commun int grant la PDS e l volution statutaire des PH dont leur libre choix d effectuer de 1 10 demi journ es hebdomadaires e La permanence des soins qui doit tre partag e et en cas de PDS mutualis es les r mun rations qui doivent tre cumul es e La valorisation des actes d imagerie ind pendamment des GHS e Une politique d investissements m dicaux en imagerie adapt e aux besoins des patients e Le d veloppement de la radiologie interventionnelle Au coeur de l urgence La recherche en imagerie m dicale au Canada 3 Recherche francophone en imagerie abdominale le dynamisme et l excellence en 20141 5 Perfusion par marquage des spins art riels aspects techniques et applications cliniques Programme du jour La radiologie m dicale une longue bataille 10 La loi de sant publique une opportunit pour les manipulateurs 11 Infection ORL en urgence 12 R ponses et
60. rporation Repr sentant GE Medical Systems SCS Buc GMED 37618 Toujours se r f rer aux instructions d utilisation avant utilisation et lire attentivement toutes les instructions afin de s assurer de la bonne utilisation de l quipement m dical JB253955FR Le Quotidien des JFR Lundi 20 octobre 2014 Diagnostique amp Interventionnelle Perfusion par marquage des spins art riels aspects techniques et applications cliniques JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle J Hodel JC Ferr S Verclytte M Proisy M Rodallec A Krainik 1 Neuroradiologie CHRU Lille 2 Service de Radiologie H pital Saint Joseph Paris 3 Service de Neuroradiologie CHU de Rennes 4 Service de Radiologie H pital Saint Philibert Lille 5 Service de Neuroradiologie CHU de Grenoble L perfusion par marquage des spins art riels ou arterial spin labeling ASL est une technique IRM non invasive de quantification du d bit sanguin c r bral LASL utilise un marquage s lectif des protons du sang art riel par des impulsions de radiofr quence sans injection de produit de contraste Aspects techniques LASL repose sur une double acquisition des images l tage c r bral l une avec marquage des protons art riels et lautre sans marquage acquisition contr le 1 2 Le marquage s lectif des protons art riels est r alis au niveau des vaisseaux du cou par des impul
61. s La radiofr quence consid r e comme la technique de r f rence est actuellement concurrenc e par les micro ondes plus rapides permettant d obtenir des zones d ablation plus larges avec en revanche l exposition plus de risques La cryoth rapie est une technologie tr s prometteuse notamment pour les l sions avec un contact pleural qui peut tre r alis e sous simple s dation voire sous anesth sie locale L lectroporation avait montr des r sultats pr coces tr s encourageants mais suite de multiples r cidives l essai multicentrique international de phase I a t interrompu Deux proc dures film es en partie retransmises et comment es pendant la session ont permis de bien se rendre compte du d roulement de ce type de proc dures Cette session th matique passionnante a permis de voir en d tail les bases indispensables d un large panel de proc dures percutan es de vert broplastie et d ablation modalit s th rapeutiques qui vont sans aucun doute modifier les prises en charge dans les ann es venir m Reportage Imagerie de la femme enflammez vous M Florin H pital Bichat Paris Quotidien des Journ es Fran aises de Radiologie R dacteurs en chef Jean Pierre Laissy Samuel Merran R dacteurs adjoints Myriam Edjlali Goujon Olivier Naggara Isabelle Thomassin Marie Tisserand Comit ditorial Louis Boyer Philippe Devred Guy Frija Eric d
62. sions de radiofr quence Le principal type de marquage des spins utilis est le marquage pseudo continu PCASL qui utilise des trains d impulsions de tr s courte dur e Apr s le marquage un d lai appel PLD post labeling delay ou temps d inversion TT est n cessaire pour permettre aux protons marqu s de migrer vers le parenchyme c r bral Ce d lai varie en routine clinique entre 1 et 3 secondes et devrait tre adapt l ge du patient Fig 1 L ASL n cessite une acquisition rapide des images Selon les constructeurs le type d acquisition est soit lecho planar imaging EPI en 2D ou le fast spin echo FSE en 3D Les avantages de l acquisition 3D FSE sont un TI homog ne dans le volume la possibilit de fusionner les images ASL avec d autres s quences ou encore la r duction des artefacts de susceptibilit magn tique Les cartes de perfusion c r brale sont obtenues en soustrayant les images contr les des images marqu es Il faut noter que PASL pr sente un faible rapport signal sur bruit et qu il est donc n cessaire d acqu rir plusieurs dizaines de couples d acquisitions marqu es et contr les L ASL est r alisable 1 5 T mais la qualit des images est am lior e 3T en raison de l augmentation du rapport signal sur bruit et de l allongement du T1 des tissus et du sang marqu Artefacts et s miologie Les artefacts de susceptibilit magn tique et de mouvements peuvent
63. spitalier de l Universit de Montr al CHUM h pital universitaire francophone de Montr al un Le Canada a l honneur S ances p dagogiques Organisation de l urgence en France et au Canada 10h30 11h45 Salle 352 Danielle BOU La t l chographie au Qu bec Guylaine ARSENAULT H modynamic au c ur de l action S ances scientifiques Recherche en imagerie abdominale 10h30 12h00 Salle 253 Gilles SOULEZ Suivi des an vrismes de l aorte abdominale apr s traitement endovasculaire dans un mod le canin par lectrographie vasculaire quasi statique Urgences en imagerie 10h30 12h00 Amphi Havane Jiamin ZHENG Avez vous bien regard L sions m connues du traumatisme ferm et p n trant de l abdomen Comment les viter 2 e axe de recherche sp cifique en imagerie autour d une Imagerie plateforme de recherche pr clinique qui associe cardiaaue CERTEGRA est un dispositif m dical de classe l Pour plus d informations lire attentivement la notice d utilisation IRM ansiosranhie animale ultrasons avec une qu Non ie de Soc La Paeon peg poi gestion AA sais l injection use latef sl F P d fi J par un produit de contraste partir de dispositifs ainsi que l change de ces informations avec d autres APT rm mod lisation anim 1 fi dispositifs du service d imagerie Fabricant Medrad inc One Medrad Drive Indianola PA 15051 0780 U S A Mi
64. t un l ment clef de l interpr tation Applications cliniques Le principal int r t de la s quence ASL est de pouvoir obtenir des informations sur la perfusion Fig 1 Image native de perfusion ASL A et cartographie reconstruite du d bit sanguin B obtenues chez un sujet sain de 35 ans valeur du TI 1500 ms Il est important d analyser les images natives pour s assurer de l absence d art facts La cartographie de d bit sanguin c r bral permet quant elle une interpr tation quantitative des donn es c r brale chez des sujets pour lesquels l injection de gadolinium nest pas recommand e comme les patients insuffisants r naux Les applications cliniques de PASL sont nombreuses notamment pour les pathologies neuro vasculaires tumorales et neurod g n ratives 4 5 L int r t de PASL a notamment t soulign pour le bilan des accidents isch miques transitoires ou la mise en vidence d une collat ralit dans le cadre de l accident isch mique aigu L tude de la perfusion c r brale en ASL est pertinente dans le bilan des maladies neurod g n ratives en compl ment des s quences morphologiques Chez les patients atteints de la maladie d Alzheimer l utilisation de PASL r v le l existence de zones d hypoperfusion dont l extension et l intensit sont corr l es la gravit clinique et dont la topographie est globalement superposable aux r gions hypom taboliques d tectables en TEP FDG 6 7
65. taill travers de multiples exemples les techniques et sp cificit s de la vert broplastie dans le traitement des patients en canc rologie En plus de son indication dans la prise en charge de la douleur par stabilisation des microfractures et destruction des fibres nociceptives la cimentoplastie a galement un r le de stabilisation Des abords uni ou bi p diculaires par voie post rieure ant rieure ou trans buccale permettent un acc s l ensemble des os du rachis Fig 1 Ces traitements sont souvent associ s des th rapeutiques anti tumorales potentiellement fragilisantes Les deux pr sentations magnifiquement illustr es ont couvert l ensemble des modalit s d ablation en radiologie interventionnelle oncologique h patique et thoracique O Seror apr s avoir d taill les bases physiques du traitement par radiofr quence a soulign l int r t de la radiofr quence multipolaire Les micro ondes l ablation par laser et la cryoth rapie sont les autres techniques d ablation thermique pr sent es dans le traitement des qui ont suivi tumeurs h patiques primaires et secondaires L lectroporation irr versible seule technique non thermique a manifestement un r le jouer dans le traitement des l sions hilaires du fait de sa tr s bonne tol rance notamment biliaire Lors de la derni re communication F Deschamps est revenu sur la particularit des traitements ablatifs pulmonaire
66. u s L endom trite montre un paississement de l endom tre et une r tention liquidienne h t rog ne La salpingite Fig 1 peut n avoir aucune traduction en imagerie ou montrer une dilatation de la trompe contenu liquidien avec des plicatures voire un repli sur elle m me septas incomplets ou un paississement pari tal en roue dent e Les infections tubo ovariennes prennent deux formes la tubo ovarite ou l abc s tubo ovarien Enfin les diagnostics diff rentiels devant des douleurs pelviennes f briles ont fait l objet d une pr sentation dE Pages Bouic CHU Montpellier Devant une grosse trompe douloureuse la torsion d annexe doit tre limin e aspect unilat ral tour de spire et ovaire augment de volume avec parfois une origine tumorale Tout abc s tubo ovarien n est pas d origine gyn cologique notamment chez la patiente m nopaus e avec une fr quence importante des pathologies digestives avec atteinte secondaire gyn cologique Ainsi devant une pelvi p ritonite l origine digestive est plus fr quente m
67. ventionnels d di s l oncologie OncoSuite S ance organis e par PHILIPS HEALTHCARE Salle Passy PHILIPS 14h00 Echo Doppler Aorte et art res des membres inf rieurs initiation P Milon ATELIERS Salle 341 Echographie musculosquelettique Le genou en 10 points R Guillin JB Pialat Salle 343 Multimodalit Caract risation des l sions h patiques focales fr quentes MA Pierredon Foulongne Salle 353 Dosim trie patient Radioprotection du patient en radiologie interventionnelle V Vidal E Bigand J Desrousseaux Salle 361 Anomalies f tales d couvertes au premier trimestre cas cliniques Du d pistage la prise en charge B Broussin JM Jouannic S ANCES DE COURS COURS APPROFONDI IRM pratique en imagerie thoracique Amphi Bleu Salle 364 COURS D INTERET GENERAL Imagerie post op ratoire du cr ne des vaisseaux enc phaliques et du rachis Salle 252 COURS D INTERET GENERAL La hanche arthrose rhumatismes et proth ses Salle 351 S ANCES P DAGOGIQUES L pistaxis du diagnostic l embolisation S ance organis e par la FRI Salle Passy Nouveaut s en imagerie du sein et du pelvis S ance organis e par la SIFEM Salle Maillot Urgences traumatiques du rachis S ance organis e par la SIMS et la FIU Amphi Bordeaux Biopsies guid es S ance organis e par la FIC S ANCES SCIENTIFIQUES Imagerie digestive th rapeutique et biliaire S ance organis e par la SIAD Amph

Lundi 20 octobre - JFR 2015 - Société Française de Radiologie

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