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T`ar ta gueule à la récré - Enseignement en Communauté française

1. rinin r i 3 SNA aa vu 225 f croate DATA sa szert gratin A pmrstier gt PA TONE de r ri km 1 grises Cars i area IEEE 1 praka LL LS li Ca TT purs mb piszi Pan B apiri eza first Aill Tia Li 492 vo ei Et kett ig ag sul sta 1 jus Jat chers bars burn T T kal ka b rra des 928 His s ctels i pared SANTIT mar er coude FA M ME a 070 Erti T k ne a 5 wa J Rendez Vous sur WW nal
2. les textes l gaux balisant le terrain retenons en trois D abord l article 8 du d cret Missions qui pr cise que les Pouvoirs organisateurs doivent veiller ce que chaque tablissement duqgue respect des convictions de chacun au devoir de proscrire la violence tant morale que physique et mette en place des pratiques d mocratiques de citoyennet responsable au sein de l cole Le d cret relatif aux enfants victimes de maltraitance sp cifie que compte tenu de sa mission et de sa capacit agir l intervenant dans l ducation la guidance psycho m dico sociale l encadrement est tenu d apporter aide et protection l enfant victime de maltraitance ou celui chez qui sont suspect s de tels mauvais traitements 0 Enfin un arr t du Gouvernement de la F d ration Wallonie Bruxelles en 2008 le pr cise tous les r glements dordre int rieur doivent d sormais mentionner clairement les sanctions et les mesures pr vues l encontre de faits de violences tels que les coups et blessures le racket les actes de violence sexuelle et le fait d exercer sciemment et de mani re r p t e sur un autre l ve une pression psychologique insupportable par menaces insultes injures calomnies ou diffamation Ces actes doivent tre signal s au CPMS 9 Un traitement collectif Pour informer soutenir et accompagner les coles confront es des cas
3. PROF FWB ses effets indiquaient que ce support n induisait pas de diff rences en termes de performances chez les l ves de r centes tudes dont celle que nous avons men e reviennent sur ces r sultats En effet nous avons pu remarquer une am lioration des performances des l ves quand le TBI est partag Les diff rences de r sultats entre ces tudes peuvent tre expliqu es par le fait qu l arriv e des TBI les pratiques et comportements des enseignants n taient pas forc ment en ad quation avec les possibilit s de l outil La r flexion p dago gique relative ce support a donc t au Interaction rime avec partition fil des ann es approfondie et toft e L essayer c est l adopter Bref comme d autres TIC le TBI n est que ce qu en fait l enseignant une fois qu il surmonte ses appr hensions qu il y consacre du temps et trouve un budget pour faire acheter l quipement Le d bat sur son impact n est pas clos Le jeu en vaut il la chandelle Pour r pondre il faut d abord laisser des enseignants exp rimen ter l outil Celui ci de limite que celle de la cr ativit de l enseignant d clare Phi lippe Vanbellinghen enseignant au Lyc e Sainte Croix et Notre Dame Hannut Je vois la m me mati re qu avant mais avec plus de temps pour m occuper des l ves en difficult Et pour les l ves besoins sp cifigues l outil est extraordinaire En tous cas
4. M Nuttens n aimerait pas revenir en arri re J aurais des difficult s s parer J ai refait tous mes cours en fonction de loutil J essaie de r colter un maximum de vid os ou d animations pour illustrer mes cours Cela ma amen y r fl chir davantage rechercher de nouveaux supports plus clairs et avoir un cours plus vari Je pense que cela favorise les diff rentes fa ons d appr hender mati re par la gestion mentale certains sont plus auditifs d autres plus visuels Mais je ne fais pas l impasse pour cela sur les manipulations Je continue exp rimenter dans le r el et appuyer ou expliquer diff remment gr ce au virtuel Cela en jette Et pour ses l ves La vid o et les animations aident mieux comprendre Et on ne doit pas changer de local pour aller voir la vid o Le grand cran capte plus notre attention cest plus anim que le tableau noir et c est plus grand que la t l vision Le professeur compl te les notes en m me temps que nous cest plus facile de suivre sur le TBI Ce serait chouette de l utiliser au cours d histoire ou au cours de langues M Nuttens nutilisait pas les TIC auparavantdanssescours outr speu Pour S bastien Nuttens J exp rimente dans le r el L outil virtuel donne un autre clairage lui cela a t plus facile d entrer dans l usage p dagogique des TIC par le biais du TBI redonne l enseignem
5. 8 sn D C 0 De Boeck coll Le Point sur P dagogie 2012 La n gociation sectorielle dans l enseignement ans le Courrier hebdomadaire du CRISP 2168 2169 Sylvie Kwas chin pr sente les volutions tr s cons quentes de la n gociation sectorielle dans l enseignement francophone de puis une dizaine d ann es Alors que la concertation sociale est r gie depuis son origine par des textes l gaux f d raux ce m canisme subtil a d s adap ter dans l enseignement comme dans d autres secteurs du non marchand la communautarisation partir de 1989 Dans l enseignement un autre mouve ment est l uvre depuis 2004 l int gration progressive de repr sentants des pouvoirs organisateurs des r seaux subventionn s la table d une n gocia tion qui de bipartite devient en quelque sorte tripartite l auteure ne se contente pas d exposer tr s clairement pour qui connait un peu la mati re les volutions r f rences l gales l appui Elle analyse ga lement les deux volutions l uvre et qui posent de vraies questions juridiques entre autres La nouvelle configuration tripartite publique priv e dans l enseignement ne pose pas seulement la question de savoir si telle ou telle revendication sp cifique a t prise en compte Elle concerne plus largement la transformation progres sive des p les d influence et la volont affirm e de minimiser le r le d
6. Fotolia Ilike ta gueule R pandu sur toute la plan te sans doute aussi vieux que l cole elle m me le harc lement entre l ves peut empoisonner la vie des classes des salles d tude des cours de r cr ation et perturber la scolarit des ses acteurs qu ils soient auteurs victimes ou t moins Ce dossier voque les signes qui peuvent mettre la puce l oreille des quipes ducatives et les cons quences possibles de cette forme de violence sur les victimes l propose des outils des m thodes et des services qui peuvent aider les professionnels de l enseignement faire face aux diff rentes formes de harc lement entre l ves l cole Et les pr venir Un dossier r alis par Catherine MOREAU A Vos AR gu rir 120 Mechelen gt internes des coles 21 LAS En responsable 22 De Vilnius Madrid 2283 Pour le bien tre la r cr Sur la sc ne et en coulisses Le harc lement entre l ves l cole c est une violence dans laquelle les pairs t moins actifs ou passifs jouent un r le particulier l insu des adultes onsid r comme un des pr cur seurs des recherches sur les pro bl mes entre agresseurs et victimes le psychologue norv gien Dan Olweus voit trois l ments cl s pour distinguer le harc lement d une simple chamaillerie entre enfants ou adolescents II s agit d une conduite agressive d un ou de plusieurs
7. Les comportements attendus sont clairement d crits l l ve peut s il le d sire demander l adulte de l aider atteindre les objectifs et formuler lui m me des demandes par rapport auxquelles l adulte se positionne La rencontre a aussi montr que dans cette cole les r gles taient connues et claires mais que leur transgression tait peu suivie de sanctions et elle a permis d y rem dier Car il ne suffit pas de mettre des lieux de parole la disposition des l ves observe Bo t ne Le de I empathe r e par le psychologue su dois Anatol Pikas la m thode des pr occupations partag es mise sur la capacit de l agresseur d velopper de l empathie envers la victime et construire des solutions pour changer la situation 0 Elle est utilis e parmi d autres m thodes suivi individuel interventions collectives par le Service de M diation scolaire en R gion wallonne Concr tement elle peut s appliquer dans un cas de harc lement bien rep r dans le cas d un bouc missaire par exemple etsi a bien identifi les protagonistes explique Christophe Bourgois m diateur 20 Le m diateur rencontre individuellement les principaux l ves impliqu s en vitant de porter des accusations Au x brimeur s il explique qu il se fait du souci pour la victime D s que l l ve admet tre conscient de la situation lui demande lui sugg re ce
8. des locaux et des b timents Je pr pare des dossiers d achat de mat riel et d qui pement didactique je v rifie les stocks de produits d entretien et de consommation Cela va donc de l achat de carburant de chauffage celui du caf pour les distri buteurs en passant par les mouchoirs en papier le sel de d neigement les tables et chaises les craies Le plus gros chapitre c est la gestion des repas quotidiens pr par s par une soci t dans la cuisine de l cole pour plus de 500 l ves des classes maternelles primaires et secondaires Un norme tra vail d encodage de factures C est parfois l occasion de mettre au jour des situations socio conomiques difficiles d assurer une aide temporaire certaines familles PROF 2013 Sacr Coeur Jette En outre j organise et supervise le travail du personnel ouvrier et d entretien six personnes dont quatre ont pu ainsi r int grer le circuit du travail C est le c t so que j appr cie aussi dans mon m tier Vous avez suivi des formations sp cifiques Des recyclages gt Au d part l ancien directeur m a in form e puis j ai suivi pendant un an une formation en comptabilit organis e par l UCL Mons et des formations organis es par le Secr tariat g n ral de l Enseigne ment catholique et par l ASBL Infodidac pour apprendre utiliser les nouveaux logiciels comptables Ce qui m aide beaucoup ce sont de
9. secondaire a lieu du 27 au 31 mai circulaire 4264 http bit ly 14qUCbm L preuve certificative commune au terme du 1 degr secon daire menant au se tient les 13 et 14 juin circulaire 4311 http bit ly ZxHriE Et les preuves li es au TESS auront lieu les 11 et 12 juin circu laire 4310 http bit ly 10lspju Immigration Dans Une br ve his toire de l immigration en Belgique des ann es 1920 aux ann es 2000 une publication de 2003 que la F d ration Wallonie Bruxelles a actualis e Marco Martiniello et Andrea Rea mettent en contexte les vagues successives en montrant la complexit du processus migratoire C est accessible au secon daire disponible gratuitement sur de mande egalite cfwb be et t l char geable http bit y ZRhCPa 10 La cyberd pendance au c ur d une fiction scolaire La classe de 6 primaire de l cole communale de Xhov mont a r alis un petit film dans le cadre d une campagne de pr vention de la cyberd pendance lap sc ne 10 prise 7 Aaaction crie un l ve 7u as oubli d aller chercher notre fils l cole d clame Chaima en 6 primaire l cole communale de Xhov mont Li ge On coupe Tes mots doivent tre comme des couteaux lui explique une animatrice de l quipe de tournage L l ve reprend exprimant cette fois indignation et col re Et son pr tendu Amass de lui r pondre
10. vident malaise dans la classe Certains l ves sont particuli rement effac s parlent peu d autres au contraire prennent beaucoup de place et font tout pour plaire l adulte En classe des l ves se plaignent de maux de t te r p t s ou invoquent divers pr textes pour rentrer la maison Une l ve fugue durant le temps de midi plusieurs b clent les travaux scolaires lass s d tre jug s insult s et trait s d intellos Et puis partir du mois d octobre les parents viennent conter la directrice ce que leur enfant vit l cole Le malaise pour certains l ves dure depuis trois ans Certains refusent d aller l cole et surtout ont appris se taire devant les enseignants par crainte d tre poursuivis en r cr ation et qualifi s de balances En octobre lors d une conf rence sur le harc lement organis e par le Centre local de Promotion de la Sant du Brabant wallon le Bruno Humbeeck permet la directrice de mieux identifier qui se passe dans la classe 16 PROF AVRIL 2013 Que dit la loi 442bis du Code p nal pr voit peine d emprisonnement et ou amende pour quiconque aura harcel une personne alors qu il savait ou aurait d savoir quil affectait gravement par ce comportement la tranquillit de la personne vis e Les peines sont plus lourdes si un des mobiles est la haine le m pris ou l hostilit envers une per
11. II reprend les exercices de Claude Vandersaenen et de Michel Nerou cheff les dessins de Janine Michiels Willkommen in graphoville logiciel d veloppe la capacit d ex pression crite courante et pratique en langue fran aise anglaise et allemande L apprenant circule dans une petite ville et rencontre 50 sonnages associ s chacun une s quence Avec des sketchs imprimables et un guide p dagogique Disponible en ligne http bit ly WpjrX Senne Pour d couvrir le r seau hydrographique de Bruxelles Coor dination Senne a r alis sur base de cartes et de photos un r pertoire de pr sentation des cours d eau bruxel lois http bit ly 15koN3E duquer aux m dias http frflossmanuals net est une mine de documentation autour de logiciels libres GIMP audacity scribus On y trouve Underconnexion un jeu de plateau du style quizz pour r fl chir l ducation aux m dias et aux TIC gt li vret de lanimateur underconnexion Symbioses Le num ro 97 de la revue du r seau Id e consacre son dossier aux outils num riques qui font d sormais partie de notre environne ment www symbioses be Twitter Le n 285 d Afhena traite notamment de l usage de Twitter en classe dans Enseigner avec les TICE 2 http bit ly Y5Sj9M Mais encore Une petite s lection de sites d couvrir e www wapischools be sur les anima tions p dagogiques en Wallonie picarde e www cea fr jeunes a
12. auxquelles on le contraint C est pr cis ment la noblesse du m tier d enseignant d avoir reconna tre et accompagner cet effort Bernard REY En deux mots Ancien professeur du secondaire et ancien formateur d enseignants au Qu bec et en France Bernard Rey est depuis 1995 professeur l ULB dont il a dirig le service des Sciences de l ducation jusqu en 2007 Ses recherches portent sur les particu larit s des apprentissages en milieu scolaire et leurs cons quences sur les difficult s des l ves et sur les pra tiques des enseignants Il est l auteur entre autres de Faire la classe l cole l men taire Paris ESF 2003 Discipline en classe et autorit de l enseignant Bruxelles De Boeck 2004 Riu Avec V CARETTE Savoir ensel aj CN gner dans le secondaire FEU LS Bruxelles De Boeck 2011 7 gt E S N 8 5 8 o C T PSY Cao A mie a Concours mini miss mini mister strings pour gosses images suggestives sur tous les crans de l enfant n f vrier s est tenue au Parlement de la F d ration Wallonie Bruxelles une journ e de consensus sur l hypersexualisation des enfants l initiative de son Comit de l galit des chances entre les hommes et les femmes et de Yapaka lire ci contre L occasion de mieux cerner ce qui est en jeu derri re des sym
13. id es Cadeau X peur Emilie 8 ans Biffez Cherchez l erreur L affiche de la cam pagne est t l char geable et plut t per cutante 5 objets inu tiles We ru i 4 som A chague son univers La issons les grandir 39 LECTURE Quelle scolarit dans les IPPJ La Ligue de l Enseignement et de l Edu cation permanente a publi une tude sur cette question Apr s avoir pos les cadres institutionnel et l gal Val rie Silberberg rend compte des entretiens avec des acteurs des IPPJ de Braine le Ch teau de Fraipont et de Saint Servais L analyse cible une dizaine de th mes parmi lesquels les projets p dagogiques des la m thodo logie mise en place pour scolariser les Jeunes les relations avec l enseigne ment de plein exercice L tude se conclut sur une douzaine de recom mandations http bit ly WFKCFO Ruedesecoles be blog lanc la ren tr e derni re par Dominique Donckels enseignante et graphiste compile ses illustrations sur le th me de l cole et accueille vos histoires courtes illus tr es Rafra chissant Manuels et st r otypes Cemeac tion p riodique des Centres d entrai nement aux m thodes d ducation active a publi Manuels scolaires et st r otypes sexu s clairages sur la situation en 2012 Une analyse de 15 manuels selon une grille croisant la pr sence ou non de st r otypes et la promotion ou non de l galit des g
14. l initiative du Centre d Archives pour l Histoire des Femmes Carhif et d Anne Morelli d un ouvrage proposant des le ons mod les mixtes o les femmes apparaissent aux c t s des hommes comme de v ritables actrices de l histoire politique sociale conomique et religieuse Et cela dans le respect des programmes et des m thodes utilis s pour l enseignement de cette mati re l ouvrage paru le 29 avril se compose de 25 lecons mo d les sur l Antiquit grecque et romaine et le Moyen ge p riodes abord es aux 1 et 2 degr s du secondaire Pour chaque p riode les auteures ont d ter min des th mes Former les jeunes Sparte Ath nes le berceau de la d mocratie pour l Anti quit grecque La f odalit dent chr tien pour le Moyen ge l occasion de montrer par exemple que certaines femmes furent suzeraines et vassales note Eliane Gubin Et pour chacune de ces le ons elles pr cisent le contenu les objectifs des documents des exemples de consignes des exercices de synth se pour les l ves Catherine MOREAU 1 Marissai C en collaboration avec Gusin E JACQUES et A Femmes et hommes dans l histoire un pass commun Antiquit Moyen ge Bouge Labor ducation 2013 avec le soutien de la F d ration Wallonie Bruxelles et de l Institut pour l galit des Femmes et des Hommes Pr voir les dates de cong
15. les chaussures taille 40 et le rouge l vres de sa maman la maison C est toute l importance fondamentale du jeu qui chez l enfant n est pas une activit de loisir mais est indispensable sa construction psychique parce que c est sa fa on de s approprier le monde de s essayer tre au monde par des jeux symboliques mais en toute s curit S il agit sous influence du narcissisme des adultes l enfant est sous l emprise de d sirs qui ne sont pas les siens Que peuvent faire les enseignants les ducateurs s ils sont confront s un comportement de cette nature P Avant de dire ce qu ils pourraient faire Je voudrais voquer la probl matique de l expression de ces comportements qui sont souvent des fa ons de d noncer des PROF 2013 ph nom nes de maltraitance Ce que la plupart des enfants ne peuvent pas dire en mots qu ils sont soumis de la pornographie ou la sexualit explicite des adultes voire pire ils l expriment comme a Les mots ne viennent d ailleurs parfois jamais Quand vous voyez ces mini miss quand vous voyez un gosse avec de faux tatouages un blouson de cuir et des allures de petite frappe vous voyez bien que c est outrancier Ce sont des mani res de sexualiser pr matur ment les comportements des enfants Le paradoxe c est que la soci t affiche une permissivit norme et en m me temps II y a une esp ce de pudibonderie propos d
16. pour qu ils s accrochent mieux au cours Du c t de la recherche appliqu e une autre fa cette de mon m tier travaille notam ment mod liser le flux sanguin au sein des art res pour permettre au chirurgien d opter pour le pontage ad quat et de pr venir les risques d chec Vous avez tudi et vous travaillez dans un domaine o les femmes ne se bousculent pas Difficile gt Apprendre la biom canique avec une jeune femme rend sans doute mes tu diants plus attentifs rires Mais je crois que ce qui les motive c est surtout le lien tabli entre les concepts et les applica tions concr tes Pour le reste je puise mon quilibre notamment dans de so lides liens d amiti s tiss s depuis l ensei gnement secondaire avec une dizaine de copines Ce r seau social c est une pr cieuse ressource pour vivre les moments plus difficiles et aller de l avant Propos recueillis par Catherine MOREAU 25 _ FOCUS ent avec l espoir de De la la 3 en un une fameuse carotte Depuis la rentr e 2011 le projet 15 r unit les quipes des trois classes de 1 secondaire compl mentaire de l Ath n e Lucie Dejardin r parties sur les sites de Seraing et d Ougr e Objectif permettre aux l ves de pallier leurs lacunes d acqu rir de bonnes m thodes de travail et si possible de gagner leur passeport pour la 3 secondaire projet mis sur orbite dans l ath n e li geois
17. s Le Gouvernement de la F d ration Wallonie Bruxelles a approuv et transmis au Par lement le d cret cadre permettant de les cong s et vacances sans limite dans le temps Aujourd hui Ils sont fix s avec deux ans d avance et pour deux ann es successives l exception du 27 septembre les dates prises en compte pour les jours de cong sont les f ri s l gaux ne tombant pas pendant des vacances 1 et 11 novembre lundis de P ques et de Pentec te 1 mai Ascension Le nombre de jours de classe annuel est d finitivement fix 182 Une pol mique est n e propos des appellations reprises dans ce projet cong s d automne d hiver au lieu de Toussaint No l Le Cabinet de la ministre de l Enseignement obligatoire souligne qu elles figuraient d j en 2002 dans les Arr t s du Gouvernement fixant les dates de cong Quant la possibilit pour une cole de d roger au calendrier elle fut d j autoris e par Arr t en 1984 PROF AVRIL 2013 SFMQ LA r f rence de toute formation professionnelle Le Service francophone des m tiers et qualifications SFMQ con oit des profils m tiers et formation qui servent de r f rence l ensemble des acteurs de l enseignement et de la formation professionnelle PROF Jos Soblet vous pr sidez la Chambre enseignement formation du SFMQ Comment fonctionne ce Service P Jos Soblet 11 se compose d une Chambre des m ti
18. voir une ann e sabbatique dans la carri re de chaque enseignant qu il consacrerait d une part sa formation et d autre part au remplacement d enseignants temporairement absents ce qui laisserait sa place pendant un an un d butant et viterait que les nouveaux enseignants soient de simples variables d ajustement PROF 2013 travail et cohorte de d butants Voici les tendances g n rales les plus importantes que les chercheurs en d duisent par rapport au risque de sortie end ans les trois ou les cinq ann es le dipl me est la principale variable associ e au risque ceux qui n ont pas de titre p dagogique sont plus expos s le taux de sortie est plus lev chez les hommes les 25 29 ans sont plus expos s les conditions d emploi la 1 ann e influencent fortement la probabilit de sortie Un exemple Les d tenteurs d un dipl me de l enseignement sup rieur sans titre p dagogique ont une probabilit de sortie 12 82 fois sup rieure aux instituteurs primaires La 4 section de l tude a suivi les 1 833 jeunes sortis en 2002 des fili res p dagogiques des hautes coles Huit ans plus tard 78 5 d entre eux travaillent dans le secteur de l ducation Au cours de ces huit ans apr s leur sortie de l cole 7 2 n apparaissent jamais dans ce secteur 40 4 semblent y faire une carri re continue et 52 4 n y travaillent qu certains moments de la p riod
19. 62 7 50 4 49 6 secon moyen 0 396 0 052 daire Proportion d l ves de 18 ans amp 65 1 61 4 Proportion d l ves libres 0 9 z tions qui Redoublement et retard 01 2010 01 2011 sont Taux de redoublement scolaris 25 4 18 5 fictives Taux de redoublement g n r 23 7 18 2 dont taux de redoubl internalis 78 8 62 6 aussi par Taux de redoublement accueilli 19 0 72 0 degr Taux d l ves en retard 85 7 79 9 Taux d l ves retard de d 1 51 6 45 8 forme Le chiffre 1 4 PROF 2013 La stat 41 Pensions du dossier papier au num rique A terme la num risation des donn es de carri re devrait faciliter la vie de l administration et du membre du personnel du secteur public en mati re de pension charge du Tr sor public haque travailleur civil peut d s 55 ans recevoir une estimation de ses conditions de pension et l tat de ses prestations de l ann e Le projet CAPELO Carri re publique lectronique tend cette proc dure au secteur public et donc aux enseignants explique Jean Louis Verdy de l Administration g n rale des Personnels de l Enseignement Des objectifs difficiles dans le tout au papier Mais depuis le 1 janvier 2011 l administration num rise les tats de service M Verdy Sil dispose des donn es en temps r el le Service f d
20. Ayant dans un cours de langue trang re r unir des informa tions sur un sujet afin d en parler devant les autres ils seront attentifs l exactitude de ces informations plut t qu la qualit linguistique et la fluidit de leur expres sion Ces l ves ex cutent les op rations demand es mais sans percevoir les enjeux de savoir dont elles sont porteuses Ce sont les m mes l ves qui la plupart du temps ne per oivent pas non plus les enjeux d apprentissage de ces m mes ac tivit s Ils sont dans la docilit 115 accom plissent strictement qui leur est deman d afin d ob ir au maitre et de se mettre en r gle avec l institution Au contraire les l ves qui r ussissent ne cherchent pas d abord ob ir mais ob issent parce qu ils estiment que l activit demand e va contribuer leur apprentissage De ce fait ils se sentent responsables de leur apprentissage et hi rarchisent les dif f rents aspects de l activit en fonction de ce qu ils jugent le plus important pour apprendre Les l ves qui ne voient pas cet enjeu sont dans la stricte ob issance la consigne sans se poser de question sur l utilit de l exercice Ils attendent en fait que l apprentissage s op re en eux sans qu ils en soient ac teurs par le seul fait de la conformit aux directives La cons quence p dagogique c est qu il est Indispensable de faire formuler par les l ves eux m
21. M diateur de la Wallonie et de la F d ration Wallonie Bruxelles Rue Lucien Nam che 54 5000 NAMUR T l 0800 19 199 courrier mediateurcf be An nos lecteurs Si vous souhaitez recevoir la version lectronique du magazine plut t que sa version imprim e envoyez nous un courriel prof cfwb be avec le nom et le num ro matricule de la personne retirer de notre liste de destinataires Merci pour votre collaboration Pour votre confort de lecture certains liens hyper texte ont t raccourcis gr ce l application http bit ly Ces liens ont t v rifi s le 26 avril 2013 Fotolia Helder Almeida SOMMAIRE De la 1 la 3 en un une fameuse carotte l Ath n e Lucie Dejardin Seraing et Ougr e le projet 15 offre des l ves qui ont chou au terme d une 1 secondaire commune la possibilit de combler leurs lacunes et de r cup rer l ann e initialement perdue T ar ta gueule la r cr Moqueries insultes coups humiliations rumeurs colport es sont le lot d un nombre croissant d enfants et d adolescents D o l urgence de rep rer les signes du harc lement entre l ves l cole d y apporter des rem des et de mener des actions pr ventives PROF FWB Jean Michel Clajot 2 Pour mesurer le bien tre 24 co construit du savoir num rique D Souvenirs d cole 25 milie M
22. animateurs coordonnent la s ance apportent leurs conseils et r digent un compte rendu Le Fabcamp vise sup pl er la formation continu e pour am lio rer par un contact direct sur le terrain les usages num riques des enseignants Le premier atelier du jour aborde la typo logie des TBI et les principaux logiciels p dagogiques lire ce sujet notre dos sier en pages 28 35 M Mottet inter vient Nous avons r alis une dizaine de vid os sur le TBI disponibles via 1EcolesTV La biblioth que de notre site abrite aussi un mode d emploi d un des logiciels d uti lisation de TBI 7 Le second atelier travaille sur les tablettes Trois syst mes d exploitation co existent Apple Android et Microsoft Sur chacun on peut t l charger des applications payantes ou gratuites Certaines sont sp cifiques un syst me Quelques unes sont multi syst mes La plupart trouvent des quivalents sur chacun des syst mes Elles sont souvent li es des micro points du programme Ce sont les applications transversales qui sont le plus souvent uti lis es En vrac on apprend qu il y a des applications pour la dict e la conjugal son le calcul la confection d tiquettes tigliss Ces s ances sont gratuites et ouvertes tous Si une cole souhaite accueillir un atelier elle se manifeste aupr s de Tech nofutur TIC 8 e Pa D 9 http bit ly 17G4Eaa 2 www scmhannut be page iEcolesTV
23. cible les l ves orient s en 1 ann e compl mentaire S au terme d une 1 ann e commune C infruc tueuse II leur permet non seulement de combler leurs lacunes mais galement de b n ficier des apprentissages de 2 ann e commune Au terme de cette 15 les l ves qui r ussissent les preuves externes cer tincatives en fran ais et math et qui atteignent au moins 50 dans tous les cours obtiennent le certificat d ensei gnement secondaire du premier degr 26 Ils sont donc admis en 3 ann e r cup rant l ann e initialement per due Les autres l ves poursuivent leur scolarit en 2 ann e commune Nous n avons pas r invent l eau chaude pr cise Danielle Fuger pr f te des tudes Nous avons utilis le d cret tel quil existe afin de mettre les l ves dans les meilleures conditions possibles Concr tement plut t que de r partir les l ves de 15 dans les classes de 1 commune l cole les regroupe dans des classes ho mog nes de taille restreinte 16 l ves maximum afin de pouvoir personnaliser au mieux les s quences d apprentissage en fonction de plan individuel d appren tissage PIA de chacun Les quatre heures d activit s compl mentaires sont rempla c es par des heures de rem diation en fran ais en math et en langues Le 15 janvier si les l ves ont r ussi les examens de 2 et montr leur motiva tion le conseil de guidance les ad
24. de son cercle de relations il pourrait reproduire ce comportement pour retrouver un sentiment de puissance et une estime de soi lt d grad e par la Han sanction Si on veut aider tous les acteurs victime agresseur et t moins sortir de l il faut les amener exprimer et comprendre Fotolia Chlorophylle ce qui a t v cu et rechercher des solutions Et collaborer avec leur famille en vitant des accusations r ciproques tellement courantes entre cole et parents On peut aussi mettre en place des mesures mat rielles davantage de surveillance dans la cour de r cr ation accompagnement de la victime la sortie de l cole Et maintenir le contact pour voir si les mesures portent leurs fruits Bref de quoi permettre la reconstruction quelle que soit son intensit il faut couter la souffrance de la victime Je pense aussi que le harc lement reste un sujet tabou pour les enseignants sans mauvaise volont on craint de victimiser un l ve on minimise on lui trouve m me parfois des torts 15 Pour se mettre la puce l oreille Quels signes peuvent mettre les enseignants sur la piste d une situation de harc lement Les sp cialistes sont unanimes un changement de comportement de l enfant ou de l adolescent inexpliqu par d autres facteurs elon la p dopsychiatre Nicole Catheline chez les jeunes enfants ce sont souvent
25. de ressources et de sensi bilisation du Minist re fran ais de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative on trouve notamment trois petits films Les claques Les injures Les rumeurs qui peuvent introduire la discussion en classe e Child Focus a d velopp un dos sier p dagogique avec des fiches de travail pour aider les enseignants des 1 et 2 degr s de l enseigne ment secondaire renverser la pres sion de groupe et cr er des liens solidaires dans la classe www bit ly 14LQF16 e Niets crit par Nick Balthazar et mis en sc ne par Annik Notte aborde le sujet de la diff rence travers diff rents th mes dont le harc lement scolaire La pi ce peut tre compl t e par des dossiers p dagogiques des animations et des d bats http bit ly WIFUOB e La F d ration des Centres plura listes de Planning familial a cr Le langage des motions des cartes utiliser d s les classes maternelles pour identifier les motions et trou ver les mots justes pour exprimer ses motions et d velopper sa capacit entendre les motions et besoins de l autre www bit ly WSVRwv 23 Larecre net Le site Le ons et exer cices interactifs au Fondamental devient www larecre net Avec pr s de 700 exercices le ons et t l charge ments de documents p dagogiques il s adresse toutes les classes du fon damental belge et du primaire fran ais
26. des diff rents acteurs impliqu s L tape suivante a consist observer les principales similitudes et diff rences de pr vention et de lutte dans les diff rents pays avant de d velopper et de proposer au niveau europ en une strat gie de mise en uvre de lutte contre le harc lement Cela a abouti un ensemble de conseils Aux directeurs il est recommand T teurs et pairs mentors ans le peloton europ en le Royaume Uni souvent cit comme un bon l ve a pris un ensemble d initiatives Depuis 1998 une loi oblige les coles mettre en place des mesures de pr vention assorties de sanctions contre le harc lement Dans un grand nombre d tablissements des enseignants tuteurs prennent en charge le bien tre de groupes d l ves entre 20 et 30 Des pairs mentors des l ves plus g s qui encadrent des plus jeunes peuvent faire appel ces tuteurs dans des cas o l intervention d un adulte est n cessaire En outre les l ves qui rencontrent des besoins particuliers d int gration peuvent compter sur le soutien d un l ve de confiance pendant les quelques mois 22 suivant leur arriv e dans l cole Pour r soudre les cas de harc lement certaines quipes ducatives appliquent une approche r paratrice II s agit de poser des questions Comment peut on impliquer ceux qui ont t touch s trouver la voie suivre ou Comment chacun peut il agir diff re
27. des logiciels sp cifiques Avant de boucler votre budget n oubliez pas de compter le service apr s vente et les lampes conclut le formateur les classiques ont une dur e de vie entre 10 000 et 20 000 heures 400 la lampe quasi le prix d un projecteur Les prix cit s ici le sont titre indicatif PROF AVRIL 2013 ls ne pourraient plus faire sans Comment investir bon escient dans un TBI PROF a rencontr trois responsables qui t moignent de la strat gie de mise en place de ce mat riel our r pondre la demande de mat riel audiovisuel de ses coles le r seau de la F d ration Wallonie Bruxelles lance chaque ann e une circulaire Ily a un an elle s est accompagn e d un appel projets innovants qui a t moign d un vif int r t pour le TBI explique Fr d ric Degee responsable de la Direction des Activit s parascolaires et des Centres de D paysement et de plein Air Cette ann e le r seau a achet 26 fixes et mobiles pour 29 coles parmi celles qui ont rentr un dossier Contre deux l an pass PROF FWB Les fixes r pondent aux crit res suivants un cran tactile une diagonale de 4 195 cm minimum un format 4 3 des hautparleurs int gr s un logiciel d installation compatible pour Windows Vista Seven Mac Linux un stylet un syst me de fixation murale ou un support pied et un c ble de liaison ordin
28. diff rentes explique Fabrice Huin formateur FCC Smart Promethean Legamaster Epson Chez Smart la surface sensible du Smartboard est tactile Elle s utilise aussi avec des stylets sans pile de couleurs diff rentes et un frotteur qui Fabrice Huin Vu son cout le TBI n est pas LA priorit des coles Mais il a son int r t font office de souris chaque coin des cam ras situent la pointe du stylet ou le bout du doigt avec une belle pr cision Deux personnes peuvent l utiliser simultan ment Avec la s rie 600 il faut compter 4 200 pour une installation compl te tableau avec hautparleurs projecteur bras c blage goulottes installation deux stylets logiciel formation de mise de route support La s rie 800 tactile multitouch pour plusieurs utilisateurs atteint 4 500 1 La surface de projection de l Activboard de Promethean abrite une trame de capteurs lectriques qui donne tr s pr cis ment la coordonn e du stylet sans pile Deux personnes peuvent l utiliser en m me temps quatre dans la version tactile Dans la gamme 300 l installation compl te revient 3300 et 3 950 pour la gamme 500 32 Le ebeam de Legamaster est constitu d un logiciel et d une plaquette de 20 cm sur 5 cm On connecte ou sans fil cette plaquette son PC et son projecteur et on la colle sur le c t gauche ou droit de la surface de projection que l on ch
29. e historiquement l id e qu il faille s parer les populations pour maximiser l efficacit du processus d en seignement apprentissage alors que la finalit de l enseignement sp cialis reste l int gration Selon l auteur le sp cialis a adopt mod le d interven tion proche du mod le m dical S il a permis de nombreuses avanc es et au premier chef l acc s la scolarisation de la quasi totalit des enfants besoins sp cifiques de 6 18 ans des critiques ont progressivement amen remettre en cause ce mod le s gr gatif et pr ner l int gration puis l inclusion lire ce sujet le dossier paru dans notre num ro de septembre 2009 L auteur distingue l une et l autre et fait le point sur un d bat qui n est pas vid entre partisans de l inclusion totale pour des raisons thiques et poli tiques et d fenseurs d une vision p dago gique de l inclusion plus pragmatique INCLUSION SCOLAIRE Phipp Teniti ipii H Apr s avoir d ve p penget lopp les fondements politiques p dago giques et scienti fiques de l inclusion Philippe Tremblay voque les conditions d une cole inclu sive puis quatre pratiques inclusives pro bantes x ayant un effet d ampleur impor tant et convenant d ailleurs tous les l ves le tutorat l apprentissage coop ratif l enseignement direct explicite et l enseignement strat gique
30. en arri re M me si la rigueur ou l aust rit est de mise ici aussi il n est pas question de gros sous dans ce num ro mais des relations parfois houleuses entre l ves dans notre dossier consacr au harc lement Aux mani res de le d celer de le contrer de le pr venir Une cole nous a permis de prendre appui sur une situation v cue qui sert de fil conducteur ces pages nous l en remercions vivement Changement de d cor dans notre second dossier centr sur le tableau blanc interactif comment le choisir comment l int grer dans ses pratiques Et nous ouvrons ce 17 num ro de votre magazine par une importante recherche centr e sur les enseignants d butants en Belgique francophone A e voil que resurgit l pineuse question des moyens Bonne lecture Didier CATTEAU R dacteur en chef Quand je pense a il atfendre 213 apres T C pour Qu on Sache Que Car est i dewre d une femme Une Histoire plus f minine p 8 33 Bag 02 600 09 64 R daction R dacteur en chef Didier Catteau Journalistes Patrick Delm e Catherine Moreau Mise en pages Olivier Vandevelle Comit d accompagnement Hafsa Ben Zouien Alain Berger Alain Faure ric Fr re V ronique Fr re Lise Anne Hanse Martine Herphelin Anne Hicter Jean Pierre Hubin pr sident Chantal Kaufmann Jean Michel Motte Arlette Vanderkelen Daniel Plas et Willy Wastiau En couverture Le harc lement en
31. fr quentes r unions d conomes venus d coles libres bruxelloises Nous y dis cutons de sujets divers des assurances de la performance nerg tique des b ti ments et nous changeons tuyaux et bonnes pratiques Ce travail en r seau nous permet de nous tenir au courant et de nous entraider dans ce m tier o l on est souvent tr s seul Votre travail a t il volu au fil des ann es P Quand j ai commenc il aura bient t vingt ans la comptabilit tait simple des recettes percevoir et des d penses payer Au fil des ann es g rer cette grande ASBL qu est deve nue l cole est de plus en plus lourd et complexe S ajoutent plusieurs contr les n cessaires effectu s par un r viseur par le Service de la v rification comptable Direction g n rale de l Enseignement obligatoire qui v rifie l utilisation des subventions de fonctionnement L ACTEUR 4 Des du caf du sel de d neigement Montrant un impressionnant trousseau de cl s Genevi ve Milicamps sourit Voil le symbole de mon travail son travail Educatrice conome au Centre scolaire du Quels sont selon vous les bons et moins bons c t s de ce m tier gt Il m oblige continuer sans cesse apprendre me d passer Le revers de la m daille c est que l on se fait d vorer Les 37 heures de travail hebdomadaire ne suffisent pas et il est rare que je ne passe pas l cole pendan
32. html 6 angelique chevreau technofuturtic be PROF AVRIL 2013 PROF FWB Je voyais les maths comme un jeu Emilie Marchandise qui enseigne la biom canique aux futurs ing nieurs le r p te il faut ancrer les apprentissages de math matiques de sciences dans la vie concr te PROF O vous ram nent vos souvenirs d cole les plus lointains 2 milie Marchandise Dans petite cole n erlandophone o mes pa rents convaincus qu il faut tre bilingue Bruxelles m avaient conduite en 1 ma ternelle munie de quelques mots de base dank u pipi doen Puis en 4 primaire J ai rejoint toujours en n erlandais le Lyc e Mater Dei Woluwe Saint Pierre o nous tions vingt l ves francophones sur vingt quatre L d j contrairement d autres mati res o II fallait apprendre et retenir Je voyais les maths comme un jeu Quand on avait saisi les r gles on pouvait s amuser et r aliser des choses bien concr tes Vous avez donc choisi une option maths fortes dans le secondaire gt Pas tout fait pour me donner une formation litt raire mes parents m ont inscrite en fran ais au Sacr C ur de Lindthout en latin grec deux branches dont le c t logique m amusait aussi En 4 j ai renforc ma formation en math 6 heures tout en gardant le latin si bien qu il ne restait que 2 heures par semaine pour un cours d initiation scientifique qui alterna
33. l immersion la suite d une interpellation d un parent l quipe ducative a d cid de s impliquer aussi dans les TIC ordinateurs et TBI compris Briers Maarten Notre projet TBI est un projet d cole r fl chi Cette d cision prise celle ci a rentr un projet cole num rique 0 qui fut retenu l quipe ducative y explique vouloir travailler notamment avec un pour am liorer ses pratiques p dagogiques et avoir un Impact positif sur le cheminement socioprofessionnel de ses l ves Elle a privil gi un tableau mobile pour transformer tous les tableaux de classe en TBI faciliter tous les apprentissages notamment en n erlandais et viter les d placements inutiles des enfants en les laissant parmi leurs r f rentiels et leurs outils 0 Briers Maarten y enseigne en n erlandais en 1 et 2 primaires Lorsqu il entre en classe retentit un Goeie morgen Meester Maarten Dans un cours de lecture en n erlandais l instituteur utilise le TBI pour une palette vari e d activit s Avec un projecteur qui d voile une parcelle du tableau cach il d couvre les nouveaux mots un un puis les lit avec toute 34 la classe Clic Une liste de mots et deux colonnes invitent les l ves trier les mots comprenant a ou aa Puis les l ves viennent encercler avec le stylet ces sons dans des couleurs diff rentes M Maarten demande tous de noter les mots da
34. le compare avec les donn es en sa possession et les adapte au besoin Aux personnes qui ont introduit une demande de pension qui prendrait cours le 1 Janvier 2013 ou au del le SdPSP transmet d j un aper u de carri re pour les prestations ant rieures au 1 janvier 2011 Elles ont trois mois pour le contester en tout ou partie aupr s du responsable de leur dossier au sein de l AGPE terme le seul interlocuteur pour ce dossier sera le SdPSP Bref des donn es plus vite s curis es moins d interlocuteurs de d marches et de travail pour l administration et l usager 9 Pa D 9 http bit ly Z9L9C0 lundi et vendredi de 9h 13h www tilthelgium be En pr sentant Crimes de sang Une exposition sur la vie le Mus e de la Vie wallonne Li ge cherche analyser le ph nom ne du crime dans ses dimensions historiques et actuelles Jusqu au 15 septembre Parall lement il organise en soir e un cycle de conf rences Regards sur le crime Infos http bit ly YeMI8t l international intelligent ironman creativity contest est un concours international en anglais organis par le Minist re de l ducation ta wanais pour le secondaire Les quipes 4 6 r alisent un projet th matique en 72 h via des preuves en sciences naturelles sciences sociales et ducation physique Infos et inscriptions jusqu au 31 mai http bit 1y 106052W l Atomium fait d couvrir l architecture en Belgique a
35. les parents qui voient les premiers signes troubles du sommeil irritabilit agressivit vis vis de l entourage maux de ventre refus d aller l cole Les enseignants peuvent observer une d t rioration brusque ou progressive des r sultats scolaires chez un bon l ve car l anxi t diminue les capacit s d attention Ils peuvent aussi remarquer certains troubles du comportement agitation col re attitude provocante ou au contraire isolement repli sur sol Le psychologue norv gien Dan Olweus l affirme les jeunes victimes sont souvent seules et exclues du groupe de leurs pairs durant les r cr ations et le temps de midi ou choisies en dernier lieu lors des jeux d quipe Certaines tentent de rester proximit de l adulte au cours des r cr ations Chez l adolescent les premiers signes traduisent plut t des strat gies pour faire cesser le harc lement II faut donc s inqui ter de tout changement de comportement dans le domaine scolaire si l l ve arrive syst matiquement en retard s il d clare r guli rement avoir oubli son mat riel scolaire qui a pu tre d t rior par les harceleurs et surtout s il reste isol et s absente fr quemment Lorsque ces strat gies pour viter le harc lement ne fonctionnent pas la victime tentera souvent ensuite de se d fendre par des attitudes agressives et d sorganis es car elles comportent d j un sentiment d impuissance et de d sar
36. les taux de sortie varient aussi beaucoup Instituteurs primaires et AESI sortent le moins 13 9 et 16 7 end ans les cinq ans les AESS et titulaires d un CAP le plus 31 5 et 30 les instit maternel le s tant 25 3 quitter le m tier Les chercheurs ont t surpris de constater que les d butants exer ant au sein d un tablissement tr s d favoris ne pr sentent pas de probabilit s de sortie plus lev es que les autres Mais ils n ont pu pousser l analyse ce sujet Des analyses plus complexes tablissent des relations entre ces probabilit s de sortie et diff rentes variables individuelles de lieu de travail niveau r seau de conditions d emploi mois d entr e et charge de 4 800 d butants pour 3 300 postes L tude divulgu e d but mai indique que chaque ann e 4 800 nouveaux enseignants sont engag s pour un maximum de 3 300 quivalents temps plein ETP C est en par tie d la vari t des fonctions Selon les chercheurs on pourrait imaginer n engager au maximum que 4 200 enseignants voire moins ce qui nous rapprocherait un peu du nombre de dipl m s p dagogiques sortant chaque ann e 3 500 maximum et r duirait d autant le ph nom ne de p nurie Et de sugg rer quatre pistes acc l rer les attributions de postes en d but d ann e r duire les trop fortes distinctions entre les statuts de prioritaires et non prioritaires d velopper la coordination entre PO pr
37. m diateur scolaire fait voluer ce projet Nous avons invit des juristes pour mieux connaitre nos responsabilit s et leurs limites dans ce PR F AVRIL 2013 domaine r uni divers services Child Focus M dia Animation le Service Cyber coles pour comprendre leurs modalit s d intervention dans les coles Dans toutes les coles des sensibilisations ont t propos es aux enseignants aux ducateurs aux l ves et aux parents Le groupe a cherch int grer dans les r glements d ordre int rieur une charte pour le bon usage des technologies de la communication l cole Nous avons cr une page Facebook sur laquelle nous postons des liens vers des articles sur le sujet Je surfe responsable a essaim vers six autres coles secondaires et une cole fondamentale Au d part de la r flexion et du mat riel d velopp s par le groupe porteur chacune a organis ses propres projets Bien s r Dans mon cole les auteurs identifi s organiseront en collaboration avec Child Focus une sensibilisation des autres l ves Plus largement le groupe de r flexion projette de puiser dans le nombre total de p riodes professeurs des coles pour engager un coordinateur charg notamment de cr er un site Internet o les quipes p dagogiques pourraient trouver toutes les r f rences l gislatives entre autres Ce coordinateur nous informerait aussi sur les nouveaux concepts avant que nou
38. ou la maison diff rentes activit s lire des textes tracer des figures observer des objets ou des ph nom nes souligner des mots ou des expressions chercher des informations r diger des textes effectuer des calculs etc Pour l enseignant il est vident que ces activit s ne se bornent pas l acte ma t riel mais qu elles ont un rapport avec des savoirs acqu rir par exemple si on demande des l ves de tracer des cercles ce nest pas seulement pour que des cercles soient trac s c est pour leur faire saisir certaines propri t s g om triques du cercle De m me si on leur demande de lire un texte l activit ne s puise pas dans la simple lecture On lit en vue de l acquisition d un savoir d une comp tence par exemple on lit un texte argumentatif pour s entrainer comprendre ce type de texte ou bien on lit un texte pour y rep rer l usage des temps des verbes ou bien encore on lit un texte parce qu il relate tel v nement historique ou bien parce qu il d crit tel ph nom ne biologique etc Toute acti vit scolaire a un sens second qui ren voie un Savoir Or si les l ves sans difficult savent comme une vidence que les activit s que l enseignant leur fait faire visent des savoirs en revanche d autres ne le soup onnent pas Ayant tracer des cercles ils vont se focaliser sur la qualit du trac et ne pas porter attention aux propri t s g om triques
39. physiques Selon Fabrice Huin formateur au sein de la Formation en Cours de Carri re FCC l impact d une lampe classique en plein regard de l usager du TBI quivaut celui du soleil Une tude r alis e en France en 2010 2011 recommande d incliner le TBI de quelques degr s pour un meil leur confort visuel de choisir une mise en forme justifi e des textes et afin de maintenir l attention des l ves de diver sifier les t ches ou de r duire le temps d utilisation des TBI pour une m me acti vit 45 minutes maximum Le comme les autres TIC n est pas innovant en lui m me Ce sont les pra tiques en amont que les TIC peuvent favo riser ou dynamiser qui le sont explique l enseignant crivain Bernard Collot Dans tous les cas il faut qu enseignants et enfants se les approprient Le for mateur belge Pascal Dewaele ajoute que les TIC sont pr sentes dans le monde Nos l ves y baignent Les utiliser au cours rend l enseignement moins agressif moins hostile Et sil faut passer par l pour sau ver des l ves en plus j tais je suis et res terai pr t le faire Des l ves plus performants Sur les impacts ducatifs du TBI le Pr Thierry Karsenti Universit de Mon tr al associ deux chercheurs Simon Collin et Gabriel Dumouchet estime que si de nombreux crits sur les TBI existent tr s peu ont cherch mesurer les avantages sur la r ussite
40. ratifi condition que soient finalis s en priorit avant d cembre 2013 les l ments non concr tis s des accords pr c dents et que le dialogue social se poursuive sur l en tr e et la fin de carri re sur la formation et sur les normes et tailles des classes SLFP et APPEL ne l ont pas sign tandis que le Segec en a ratifi le volet ensei gnement obligatoire sous r serve d une bonne fin du groupe de travail Aide aux directions du fondamental Les raisons de ces r serves ou refus figurent sur les sites Internet des Instances concern es D C 9 Document disponible sur www enseignement be index php page 25347 PROF AVRIL 2013 L INFO 4 Am liorer la lecture en primaire Entre 2006 et 2011 les r sultats des l ves de 4 primaire l tude Pirls centr e sur la ltt ratie ont faiblement progress et restent moyens L quipe de l ULg qui se charge de Pirls chez nous met des pistes d explication et sugg re des leviers d am lioration n F d ration Wallonie Bruxelles 3 916 l ves de 206 classes dans 127 coles ont particip l tude Pirls centr e sur la litt ratie L objectif au del des r sultats est d appr hender des l ments de contexte en lien avec les performances parce qu ils peuvent constituer des leviers d am lioration C est la raison des questionnaires contextuels compl t s par les l ves directeurs enseignants et parents Les per
41. renforcent la coop ration et la reconnaissance de la di versit des comp tences des l ves seraient plut t encourager car elles permettent de soutenir les contacts positifs entre l ves et de diversifier les opportunit s de valorisation constructive eee Voir notamment Oweus D Violences entre l ves harc lements et brutalit s Les faits les solutions Paris ESF 1999 Beon J P On reste frileux au sujet du harc lement l cole dans Actualit s sociales hebdomadaires 10 septembre 2010 p 34 http bit ly 18117qA 8 Desourre G L enfant ni loup ni agneau Namur rasme 1995 3 BAUDOUIN N GALAND B V L influence du contexte de la classe sur le harc lement entre l ves dans Pr venir les violences l cole Paris PUF 2012 p 123 136 UN CAS V CU 1 Indices d un malaise dans une classe D s septembre je sens un climat de classe particulier un refus dans ce groupe de 24 l ves d accepter les limites et les r gles tablies dans l cole relate No lle Cattelain institutrice en 6 primaire l Ecole communale de Lauzelle Louvain la Neuve On peut parler d une tentative de prise de pouvoir progressive d un groupe sur l cole poursuit Bernadette Moors la directrice Les commentaires n gatifs ne se limitent pas au champ de l cole ils se prolongent via
42. ses atouts ses limites les crit res d un bon achat Outre les r ponses ces questions ce dossier donne la parole aussi des utilisateurs de terrain D Libres propos 36 Les difficult s des l ves et le m tier d enseignant Cot psy 38 Hypersexualisation ni banaliser ni diaboliser 1 Lectures 40 Tableau de bord 41 Inclusion scolaire TABOR or not TABOR D votre service 42 Pensions du dossier papier au num rique Carte PROF 43 Une nuit e gratuite en Auberge de jeunesse 3 PROF FWB L INFO Enseignants d butants Environ 35 des enseignants d butants quittent le m tier dans les cinq ans mais seulement 20 des d tenteurs d un titre p dagogique et moins encore parmi les instituteurs primaires Une tude publi e d but mai permet de mieux cerner les d buts de carri re Des plus de dix ans un chiffre r sumait la situation 40 des enseignants ne le sont plus apr s cinq ans L tude men e par Bernard Delvaux Vincent Dupriez UCL Girsef et Matthieu Veinstein ULB Metices sur les trajectoires des jeunes enseignants apporte de nombreuses nuances 0 mi parcours d une recherche de quatre ans financ e par le Fonds de la Recherche scientifique FNRS l quipe pr conise de d placer le d bat sur les d butants 0 Sans n gliger leur accompagnement il faudrait s interroger sur les rapports de force trop in gaux entre
43. sexe ou du Centre pour l galit des chances et la lutte contre le racisme pour les crit res REPROCUEZ Av TUITE E CASE T de couleur de peau d origine nationale ou ethnique d orientation sexuelle de conviction religieuse ou philosophique de caract ristique physique de handicap Vis vis de l auteur qui doit galement tre cout les sanctions disciplinaires pr vues dans le r glement d ordre int rieur des coles doivent tre adapt es la gravit des faits Elles peuvent prendre la forme d une remarque orale de jours de renvoi d un contrat disciplinaire approuv l l ve et ses parents pr cisant les r gles de fonctionnement de l cole les am liorations comportementales atteindre les sanctions en cas de non respect Ou d une exclusion qui risque videmment d exporter le probl me Des sanctions r paratrices viseront elles responsabiliser l auteur du harc lement l aider d velopper de l empathie et chercher avec lui un moyen de r parer le tort caus Ce travail peut prendre plusieurs formes Comme une m diation entre agresseur et victime men e par le 5 le M diateur scolaire ou les quipes mobiles 9 Ou un travail de responsabilisation r daction d une lettre d excuse D autres interventions enfin peuvent cibler les l ves spectateurs pour les inviter d noncer des situations de harc lement m
44. ve en relative difficult Si c est le cas cela am ne d embl e s interroger sur les pratiques de lecture tant individuelles et familiales que scolaires Enfin les informations recueillies lors de l tude Pirls 2006 permettent de pointer des caract ristiques p dagogiques en mati re de lecture qui nous distinguent des pays plus performants et que la note de synth se num re Envoyer un message clair sur les seuils atteindre Quelles solutions Pour les auteures les dispositifs didactiques les pratiques et les m thodes permettant d am liorer les comp tences en lecture font l objet d un large consensus dans la communaut scientifique Cependant wles actions de diffusion et de formation entreprises Jusqu ici n ont pas r ussi modifier en profondeur les pratiques d enseignement l chelle de l ensemble du syst me Elles sugg rent donc premi rement En F d ration Wallonie Bruxelles 23 des l ves de 4 primaire ont atteint le niveau lev l tude Piris 2011 et seulement 2 9 le niveau avanc PISA 2009 l ves de 15 ans pointait une proportion de bons et tr s bons lecteurs comparable la moyenne P ROF 2013 d envoyer un message clair aux enseignants du primaire en fixant des seuils atteindre moyen et long termes pour la compr hension en lecture Deuxi mement il sagit d intensifier les actions de formation da
45. 65zh0 Au moins on agit V ronique Leboutte l explique Plus les 2 au cours d anglais Je travaille la m morisation la visualisa tion Cela prend norm ment d ner gie et il faudrait davantage d heures de rem diation Mais c est l occasion d aider des l ves sen sortir re prendre confiance Au moins agit on ne se contente pas de se plaindre dernier je ny croyais pas trop enchaine Delphine Saint R my Cette ann e nous avons des preuves En math cela n cessite de fr quents allers retours dans les mati res de 1 et de 2 En fin d ann e m me s ils ne passent pas en 3 les l ves ont appris une m thode de travail ils sont rescolaris s Avant on appelait ces l ves les dou blants observe St phanie Schleipfen bauer Maintenant on dit plus volon tiers ceux quon va tirer en avant motiver Ce sont parfois des enfants peu encadr s ou qui matern s en pri maire ont mal v cu la transition vers le secondaire et b tement perdu un an Cela demande d tre toujours derri re eux car souvent ils manquent de moti vation et de en eux Dans mon cours de fran ais les plus dyna miques tirent les d motiv s et certains obtiennent de meilleurs r sultats que des l ves de 2 qui ont r ussi une 1 Raphael Delaitte ajoute J ai adh r au projet par souci de lutter contre l chec Ces l ves sont souve
46. Christophe Bourgois Elle am ne les agresseurs r fl chir aux cons quences de leurs actes hors de l influence du groupe Mais elle peut difficilement s appliquer dans des cas graves dintimidation ou quand n prouve aucune empathie http bit ly ZWWBzj PROF AVRIL 2013 Fotolia Helder Almeida ln E 1 4 A A I y Dans le Brabant wallon et Bruxelles dix sept coles secondaires du r seau libre ont construit le projet Je surfe responsable Rencontre avec une de ses chevilles ouvri res Nicole Lewahert directrice de l institut Maris Stella Laeken Nicole Lewahert 2007 direc trice adjointe de l Institut de l Enfant J sus Nivelles j ai d g rer un probl me d uti lisation abusive d un espace blog par des l ves En collaboration avec Infor Jeunes et le Service de M diation scolaire de Wal lonie je leur ai fait organiser une sensibili sation pour d autres l ves partir de constats communs des directeurs et sous directeurs du Centre d enseignement secondaire Brabant wallon ouest 10 coles nous avons con u le projet Je surfe responsable Ses objectifs g rer ensemble les difficult s d velopper des m thodes de sensibilisation et r fl chir des sanctions constructives ducatives et coh rentes Depuis quatre ans un groupe de r flexion r unissant des directeurs et un
47. Facebook Des clans se forment et certains l ves arrivant difficilement se positionner passent de l un l autre 14 PROF AVRIL 2013 Une rosion de la confiance en soi Quelles peuvent tre les cons quences psychologiques du harc lement sur un l ve Deux questions Patrick Spapen psychologue l H pital Brugmann Bruxelles Patrick Spapen Leur gravit d pend de l ge de l l ve de la dur e du harc lement et surtout de l coute et du soutien qu il peut trouver dans l entou rage familial et scolaire D o l impor tance de rep rer les sympt mes ce qui n est pas toujours ais souvent culpabi lis e honteuse menac e parfois la vic time aura tendance ne pas se plaindre La principale cons quence c est une rosion de la confiance en soi Si l enfant ne veut pas ou ne peut pas s appuyer sur autrui pour trouver une solution il prouve un sentiment d abandon Et si le harc lement se prolonge par besoin de comprendre la violence dont il est victime il peut s imaginer responsable et coupable ce qui peut provoquer stress anxi t ou d sespoir Cela peut se manifester par un recours la violence comme moyen d expression par un d crochage scolaire voire m me dans des cas extr mes par le d sir de disparaitre Ce dernier cas ne doit pas tre vu comme une volont de se donner la mort mais bien comme une solution un probl me qui dure ai depuis trop longtem
48. Il existe une offre en formation continu e FCC Ceca oc et des ressources en ligne lire notre compl ment ce dossier sur www enseignement be prof Reste que la situation en formation initiale est fort h t rog ne Les instituteurs usagers du TBI disent conserver c t un tableau noir ou un affichage pour exposer les r f rentiels et le cadre p dagogique de la classe L id al est d avoir un TBI par classe pour viter un d placement vers la cyber classe la perte de ces r f rentiels le risque qu il soit squatt par quelque s chanceux Dans le secondaire on ressent moins le besoin d afficher les r f rentiels Reste qu il faut aussi s curiser ce mat riel dans un nombre de locaux plus cons quent e Le bon fonctionnement du cours d pend du bon fonctionnement du mat riel e Enfin le TBI peut renforcer les pratiques frontales de certains enseignants ce que la plupart des conseillers p dagogiques d plorent Une recherche action cole num rique fourni quatre TBI la Haute cole provinciale de Hainaut Condorcet et six des coles fondamentales partenaires Eeur projet Eclaircie sur le tableau noir le TBI illumine la classe value les plus values et limites du TBI gr ce plusieurs actions Primo les ateliers de formation professionnelle et les cours de TIC fournissent aux tudiants les bases pour inclure le TBI dans des s quences d apprentissage De plus les instituteurs part
49. LE MAGAZINE DES PROFESSIONNELS DE L ENSEIGNEMENT Num ro 17 _ TE ah ta queule Depuis que PISA est sorti des c nacles sp cialis s pour squatter les pages soci t de tout m dia qui se respecte il faut avoir jou les Robinson Cruso pour m connaitre le cr do serin par l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques OCDE qui en ch ur avec le FMI et d autres instances internationales entend donner le la de toutes les politiques cens es nous sortir des orni res de l tat Providence Investir dans l ducation c est garantir l essor conomique et la prosp rit de nos enfants Maxime facile int grer dans tout programme de gauche droite la vraie question restant celle du thermom tre charg de mesurer ce progr s La richesse du pays Le taux d activit des dipl m s versus non dipl m s La capacit d innovation l chelle du bonheur national brut a Mais soit investir donc Quelle surprise alors d entendre au milieu de ce printemps glacial les protestations de dizaines de milliers de Portugais descendus dans la rue pour d fendre l cole publique et rejeter un plan d conomies impos au pays par ses bailleurs de fonds en change d un pr t de 78 milliards d euros Un plan d conomies qui passerait par la suppression de milliers de postes d enseignants et par l augmentation des frais de scolarit charge des familles Un pas en avant deux pas
50. ais aussi les autres membres du personnel de l cole comme les ducateurs les surveillants de la garderie D cret Missions http bit ly XFB117 D cret relatif l aide aux enfants victimes de maltraitance http bit ly 12aLl8V 8 http bit ly 11JzsSO 6 http iqvm ilefh belgium be 6 www diversite be via le 0800 12 800 6 Voir la circulaire 1884 http bit ly 12HiE3Z PROF AVRIL 2013 Divers outils peuvent encourager les jeunes enfants exprimer leurs motions et respecter celles des autres PROF FWB Jean Michel Clajot Pr venir DOSSIENR plut t gue gu rir Un grand nombre d initiatives mises en uvre dans les coles visent y assurer un climat de tol rance de dialogue et d coute Sans doute la meilleure pr vention contre le harc lement entre l ves Ci initiatives peuvent tre par exemple des animations assur es par le CPMS sur l estime de soi la capacit de dire non face aux brimades au racket Ou pour pr venir le harc lement sexuel des animations centr es sur la vie relationnelle affective et sexuelle assur es par des Centres de Planning familial Au del de la gestion et de la r ponse apport e la demande nous pouvons amener l quipe ducative s interroger sur le contexte de l cole Si elle le souhaite nous pouvons l aider mettre en place une structure pour viter la r p tition du ph nom ne u
51. ande fluidit verbale exer ant un attrait sur ses pairs pr cise Bruno Humbeeck Une autre caract ristique c est que l agresseur manque d empathie c est dire de la capacit de se d centrer de soi m me Et puis l adolescence en particulier casser l autre constitue un moyen de se sentir exister Mais les traits de personnalit s n ex pliquent pas tout le harc lement ne se maintient que parce que d autres l ves t moins l encouragent ou feignent de l ignorer soutiennent l agresseur mus par un effet de groupe soulag s de ne pas se trouver la place de la victime ou par crainte de repr sailles de la part de l auteur S ajoute une autre caract ristique Jean Pierre Bellon professeur de philosophie cite volontiers l expression d invisible visibilit Si le harc lement doit tre vu par les autres l ves il doit rester invi sible aux yeux des adultes pour ne pas tre sanctionn 0 Le ph nom ne peut exister dans tous les tablissements scolaires Cependant Gie Deboutte sp cialiste dans ce domaine l observe il se d clenche plus volontiers l o r gne un climat de comp tition et de concurrence o les discussions en groupe les moments ludiques et cr atifs sont rares o il y peu de surveillance durant les moments de libert et o le dia logue entre cole et parents peine Trois chercheurs l assurent d s lors Les pratiques et les activit s qui
52. ar an Une d cision prise par toute l quipe ducative misant sur les atouts p dagogiques de l outil Pendant un an un petit groupe a tudi les besoins rencontr d autres coles et trois fournisseurs compar les prix et les fonctionnalit s w Nous avons choisi un TBI avec un seul stylet plut t que le tactile explique le directeur Bernard Doyen avec un logiciel ayant un maximum de fonctionnalit s Ont jou la qualit du service apr s vente de la formation de la solidit du mat riel et la pr sentation des produits Avec l aide dune personne ressource form e les professeurs sadaptent la disparition du tableau noir de facon fluide ils ne pourraient plus faire sans le TBI r t didactique Pour le formateur Pascal Dewaele Coll ge technique Saint Henri Mouscron le TBI a un effet ma gique li la cr ativit de l ensei gnant maitre du jeu la surprise attire II permet d tre moins copiste et plus enseignant Tous ceux qui ont touch l outil veulent en avoir un temps plein Il est extraordinaire pour les l ves besoins sp cifiques ou les malades de longue dur e 33 NNNNA DOSSIER PROF FWB Projecteur rideau tir exercices vari s Heure le Romain dans une cole fondamentale en immersion un enseignant n erlandophone a succomb au virus du TBI une pid mie qui contamine ses coll gues l cole communale Jules Brouwir pratique
53. arce que dans la vie courante dans les soins qu on donne aux plantes on s occupe de leur apporter de l eau et de la lumi re mais non pas du gaz carbonique De m me lorsqu un l ve apprend une langue trang re il a une forte tendance spontan e reporter sur celle ci les struc tures syntaxiques de sa propre langue Et en cours d Histoire on per oit combien les l ves ont tendance percevoir les v nements du pass en fonction des tra ditions politiques de leur famille ou des appartenances communautaires Un des int r ts de ces recherches est qu elles apportent un regard nouveau sur les erreurs des l ves Dans la tradi tion scolaire on a tendance consid rer les erreurs commises l oral et l crit comme des signes de carence manque d attention ou manque de connaissance manque de s rieux de travail de r flexion etc Or nous savons aujourd hui que beau coup d erreurs d l ves proviennent de ces id es pr con ues tr s tenaces Si l on veut aider les l ves ne pas les refaire ind finiment 11 est essentiel de les rer et de mettre en place des activit s qui conduisent leur viction Le sens des activit s scolaires ces travaux d j anciens sur les pr conceptions des l ves s ajoutent des recherches r centes qui portent sur le sens qu ont pour les l ves les activit s scolaires Tout au long du cursus on de mande aux l ves d accomplir en classe
54. archandise Je voyais les maths comme un jeu 4 Enseignants d butants premi re ann e risque 6 2013 ann e des comp tences 7 Am liorer la lecture en primaire 8 Des le ons mixtes pour enseigner l histoire 9 SFMO LA r f rence de toute formation professionnelle La cyberd pendance au coeur d une fiction scolaire J L acteur A Focus 11 Des craies du caf al 26 Dela 1 la 3 enun an du sel de d neigement une fameuse carotte 12 Dossier 1 Dossier 2 T ar ta gueule r cr 13 Sur la sc ne et en coulisses Le TBI 15 Une rosion de la confiance en sol un tableau blanc informatis 16 Pour se mettre la puce l oreille intelligent ou interactif 17 Que dit la loi 30 Interaction rime avec partition 18 La faire 31 Des atouts des limites de toute la communaut ducative 19 Pr venir plut t que gu rir 32 Le TBI un fameux investissement 20 Activer les ressources internes 33 Ils ne pourraient plus faire sans des coles 34 Projecteur rideau tir exercices vari s 21 Je surfe responsable 35 Au TBI mes l ves corrigent 22 De Vilnius Madrid C est pas sorcier PROF AVR L 2013 Le un tableau blanc informatique intelligent interactif Vu son cout le tableau blanc interactif n est peut tre pas LA priorit en mati re d investissement p dagogique Mais il entre progressivement dans les classes Est il r ellement interactif Quels sont
55. ateur TBI un vid oprojecteur courte focale avec une luminosit de 2 200 lumens minimum une r solution minimale de 1 024 x 768 pixels une lampe longue dur e une hauteur r glable le c blage la t l commande le syst me de fixation et une formation technique du fournisseur De son c t la Ville de Bruxelles est convaincue de l int r t des TBI Mais nos coles sont trop nombreuses pour pouvoir en tre quip es massivement en peu de temps explique Michel Boumal inspecteur en charge du d ploiement des TIC Nous tentons dans un premier temps de fournir au moins un TBI chacune de nos institutions pour r pondre aux d sirs de nombreux enseignants d j PR F AVRIL 2013 convaincus et pour faire d couvrir l outil aux autres En deux ans la Ville a ainsi acquis 54 TBI et devrait en acqu rir au moins 50 de plus chaque ann e L effort budg taire est s rieux car la Ville a opt pour du mat riel de qualit projecteurs haute r solution focale courte r activit parfaite au stylet sonorisation Int gr e Pour garantir une exploitation optimale des tableaux le choix des logiciels de cr ation de le ons a fait l objet d une attention toute particuli re Il y a deux ans un Degr d observation autonome le Lyc e Sainte Croix et Notre Dame Hannut a d cid de remplacer ses tableaux noirs par des il a lanc un plan en cinq ans raison de cinq ou six p
56. cer un concept une d monstration une manipulation une exp rience Je peux faire la m me chose avec l acc s un site comme www sciences physiques ac dijon fr Parfois Je demande aux l ves de d celer une erreur sur une de ces ressources Aussit t dit aussit t fait Avec une classe de 3 il lance une le on sur la distinction entre la masse et le poids d un corps avec une petite animation flash Puis il mesure un objet avec une balance et un dynamom tre pour r expliquer la diff rence entre les deux notions II a recours ensuite une s quence de Cest pas sorcier au cours de laquelle il stoppe plusieurs fois la vid o pour demander ses l ves quelle a t l erreur de l animateur et pour la corriger avec eux II projette ensuite l nonc de quelques exercices qu un l ve vient r soudre au en notant son raisonnement Relevons que certains l ves utilisent galement cette ressource pour la pr sentation de travaux a sept ans le coll ge acquis trois premiers TBI la suite d une concertation PROF 2013 entre enseignants et direction pour l option maths fortes dans le degr sup rieur Aujourd hui pour cette cole de 865 l ves et une centaine de professeurs six TBI semblent pour l instant suffire la demande Un nouveau projet concerne le local d histoire L cole a choisi des pour des raisons de s curisation du mat riel PROF FWB
57. conde Pascal Cotte un expert fran ais en uvres d art a t autoris a photographier le tableau avec cam ra multispectrale et en menet l analyse la plus en profondeur ce jour Sur 300 on peut admirer ses 25 d couvertes les plus sur prenantes et 40 images immenses en tr s haute r solution de diff rentes parties du tableau http bit ly 17 G9yUN et www carteprof be 43 inist re de la F d rati rati Magazine PROF local Boulevard du Jardi ardi 1000 BRUXELLES n Botanique 20 22 Bureau de d p t p t BRUX Trimestriel 901079 17 Mars avril mai 2013 NiALL CARTE PROF DES AVANTAGES OFFERTS TOUS LES PERSONNELS D Led rs relie rar 1 eri ar arte AET are carte ru LL carre DU rerrbraz dem pam errai da patriotit wran 81 mel iz are sr miZ douane r PME sz raie ir 15 Anis ti zA 27 Br E MALTE suis UT ge voue af k gris til an sit genning pese PET cem rolf CUS m airan e ml peche phsgranhiqun LE LIL 1 agyu dus 11 AT 1 imni y T 3 sz a dat WAAT A riens Li p SANTE M peur itai zu a ezredik LT Le a 112
58. d e de se r parer eux m mes et de vivre au travers de leurs enfants ce dont ils ont eux m mes t frustr s De vivre une vie par procuration Dans des situations telles que celles l marqu es par la d pression parentale par une mauvaise estime de soi il arrive que les enfants soient pris Quand les d sirs ou le narcissisme des adultes court circuitent le d veloppement dans les r ts de ce narcissisme Les enfants risquent alors d tre des plumes au chapeau de leurs parents C est ce quon voit dans les concours de mini miss ou mini mister mais aussi chez certains parents qui inscrivent leurs enfants dans des agences de casting pour qu ils d filent C est toute la question du regard de l autre sur ces enfants On est fier d avoir un enfant parce qu il est beau au d triment de l int rieur Le risque est que les besoins de l enfant passent au second plan derri re cette fonction qu ils prennent de rassurer leur s parent s On vit une sorte d abrasement des diff rences et notamment des diff rences de g n ration Vous voyez des adultes qui s habillent comme des adolescents montre son nombril son piercing Et a n aide pas les enfants qui il faudrait garantir des espaces o on viterait ces confusions Vous en voyez les d g ts dans votre pratique 0 C est quand m me ce qui peut entrainer ou peut faire le lit de certains troubles du comportement ou de s difficult s dans la cons
59. de violence dont le harc lement entre l ves la F d ration Wallonie Bruxelles a cr un num ro vert Assistance coles 0800 20 410 lu ve de 8h30 17h Et un num ro vert coles et Parents 0800 95 580 lu ve de 9 13h pour informer les parents La marche suivre Elle d pend 18 amp VOS videmment de la nature et de la gravit du cas et de la dynamique interne de l cole Id alement il faut intervenir rapidement aupr s de toute gy Br QUE la communaut ducative Cela signifie couter la victime et lui proposer un soutien moral et ou psychologique en l orientant vers le CPMS Celui ci pourra selon ses disponibilit s travailler avec elle son niveau de confiance en soi ses capacit s d int gration sociale ou la diriger si n cessaire vers un psychologue priv un service de sant mentale un service d aide en milieu ouvert Des pistes souvent pr f rables un changement d cole fragilis e la victime risque de s int grer difficilement dans un autre groupe d y tre surprot g e et de sentir une pression peser sur elle Dans les cas graves coups harc lement sexuel l cole peut porter plainte aupr s de la police ou de la justice ou conseiller l l ve ou aux parents de le faire S il s agit de harc lement discriminatoire on peut orienter la victime vers le site de l Institut pour l galit des hommes et des femmes pour le crit re du
60. ducative des l ves II arrive m me que les avantages mis en avant dans les tudes soient contra dictoires avec les modalit s p dagogiques actuelles Un des avantages d un outil dont on promeut l achat en ducation est qu il contraint l enseignant tre devant la classe Ny a t il pas l plut t un danger r el de re tomber dans la p dagogie expo sitive 0 II ajoute Comme le faisait remarquer T rel rien jusqu pr sent ne permet de conclure son impact positif sur la r ussite ducative Au contraire pour lui les nombreux probl mes techniques et le soutien technique inad quat seraient sus ceptibles de miner la motivation des l ves et des enseignants M nica Macedo Rouet sp cialiste fran aise des TICE au Centre national de documentation p dagogique estimait aussi en 2005 que le TBI n am liorait pas les r sultats des l ves aux examens En 2010 elle en parlait autrement Les r sultats d tudes r centes montrent une corr lation positive entre son usage et les r sultats scolaires des l ves Un facteur cl est pr sent le temps d exp rience des enseignants Avec Bruno De Li vre et Ga tan Temper man la chercheuse Natacha Duroisin UMons a r alis une tude comparative qui montre l impact positif sur les l ves d un usage du TBI partag avec ces der niers lire page 30 Si les premi res tudes relatives l utilisation du TBI et 29
61. e Didier CATTEAU 0 Chiffre qui ne concernait que le secondaire et tait d duit du taux de survie de 60 men tionn par Vincent Vandenberghe dans Leaving teaching in the French speaking Community of Belgium a durantion analysis in Education Economics vol 8 n 3 2 B DELVAUX et al Les enseignants d bu tants en Belgique francophone trajectoires conditions d emploi et positions sur le marc du travail in Les Cahiers de recherche du Girsef n 92 avril 2013 www uclouvain be girsef 6 Sur lequel s est galement pench e la CSC Enseignement dans une enqu te en ligne Sur 600 r pondants les difficult s les plus cit es sont l instabilit et la pr carit de l emploi par 10 des r pondants la lourdeur du travail de pr paration 7 l impr cision des consignes et programmes 6 la difficult planifier les cours 5 5 90 l attitude des l ves 5 Ceux qui ont quitt l enseignement voquent le stress 10 l attitude des directions d cole 6 5 et la lourdeur et la difficult de la t che 6 5 www csc enseignement be 5 LINFO 6 Maladie Depuis janvier Medconsult organisme de contr le des absences pour maladie a d m nag 57 rue des Chartreux 1000 Bruxelles 0800 93 341 Fax 02 542 00 87 Un formulaire du certificat m dical est t l chargeable sur www medconsult be gt Medconsult gt Formulaires gt Certificat m dical ou sur http bi
62. e barri re pour ces jeunes mais qui a t lev e apr s deux heures de cours De plus les l ves du deuxi me groupe pensent que le TBI apporte une plus value pour l apprentissage Et plus de 50 ils s estiment moins motiv s lorsque l enseignant utilise le TBI seul Les l ves des deux groupes estiment qu il aide mieux com prendre la mati re Bref conclut Duroisin le TBI est un outil comme un autre qui doit tre utilis par tous enseignant et l ves i DURoISIN N TEMPERMAN G DE Li vre B Effets de deux modalit s d usage du tableau blanc interactif sur la dynamique d apprentissage et la progression des apprenants UMons 2011 http bit ly WZHGTG Natacha Duroisin Les performances des l ves s am liorent guand le TBI est partag PROF 2013 UMons Des atouts e Le TBI concentre toute une s rie d outils vari s ainsi qu une ouverture sur le monde tout en laissant le professeur face sa classe Sorte d cran d ordinateur g ant il int gre les TIC au sein de la s ance d apprentissage L aspect ludique et dynamique l cran plus grand suscitent la curiosit et l int r t des l ves L enregistrement des cours permet le retour en arri re la diff renciation la rem diation la r ponse aux besoins sp cifiques On peut aussi tout imprimer et mettre en ligne Le fait gagner du temps et de la clart Plus b
63. e degr a un TBI Je ne donne pas un cours de TIC les int gre dans les cours sans probl me pour les l ves Pourquoi tudier quelque chose sans l utiliser tout de suite Le TBI n est pas omnipr sent pas pour les manipulations par exemple Mais Je n cris plus les nonc s je varie mes exercices Je privil gie le visuel Lorsque le manuel est projet plus de probl mes d orientation spatiale l l ve sait exactement o travailler sur sa feuille Le TBI connect me donne une ouverture sur le monde plus grande plus facile plus attrayante pour les l ves Je peux leur montrer des choses que je ne pouvais pas avant la TV en n erlandais Google Earth Par la plateforme le lien se fait aussi avec la maison J ai moins de papiers perdus avec les parents moins de soucis moins d nervement Cela exige une formation technique de la part du fournisseur et p dagogique en l occurrence de deux jours 0 Cela demande du temps regagn par apr s Cela demande aussi d appr hender sa peur Une fois pass au dessus on fonce Cet outil et le projet cole num rique ont aussi un impact sur l quipe ducative o coexistent deux cultures de formation initiale diff rentes Elle se motive pour le projet s investit collabore utilise les TIC pour les concertations et offre une coh sion plus profonde qu avant explique la directrice Marie Paule Fi vez L pid mie positive touc
64. e l entreprise qui reste peu dubitatif quant ses capacit s r pondre aux besoins des employeurs Propos recueillis par Patrick DELM E 9 www sfmq cfwb be 02 http bit ly PStM7A 8 www bief be 9 L INFO Frais scolaires Selon une l enqu te de la Ligue des Familles sur le cout de la scolarit 5 seulement des 1 792 personnes interrog es en Wallonie et Bruxelles connaissent la l gislation li e ces frais et six sur dix les trouvent excessifs http bit ly YaYXNO Certaines revendications de la Ligue facturation mensuelle plafond pour les voyages scolaires obligatoires pourraient tre reprises dans un futur d cret L Ufapec applaudit d avance selon la derni re partie de son enqu te sur les excursions scolaires celles ci sont jug es trop ch res et ne restent accessibles que gr ce aux pratiques de solidarit dans les coles http bit ly ZtW20r Mail administratif Dans ses circulaires 4274 et 4363 l Administration r invite les coles et les pouvoirs organisateurs utiliser pour tout contact avec elle leur adresse mail administrative compos e partir de leur num ro FASE 00 adm cfwb be preuves externes La circulaire 4313 pr cise les modalit s d organi sation de l preuve externe menant au CEB qui se d roule les matin es des 17 18 20 et 21 juin 2013 http bit ly 10upyDE L preuve du pour les l ves de 3
65. enaires l utilisent En parall le ils b n ficient la Haute cole d une formation organis e en deux groupes les d butants et les plus exp riment s Pendant ce temps les tudiants de la section primaire encadrent leurs classes Ces praticiens r aliseront un bilan en fin d exp rience Une recherche accompagne le projet Luc Stavaux tudiant en master en Sciences de l ducation UMons teste les effets des deux modes de formation au TBI technique d un c t technique et p dagogique de l autre sur la qualit des s quences d apprentissage produites par les tudiants Ceux ci pr senteront des s quences en sciences partir de leur pr paration et des supports num riques utilis s Ces activit s valid es alimenteront une banque de donn es sur serveur ouvert tous Diff rentes hypoth ses sont galement test es via les travaux de fin d tude des tudiants de 3 ann e afin de mettre en vidence les plus values de l utilisation du TBI en classe Fotolia Andrey Kuzmin 131 PROF FWB 2 D Un fameux investissement l y a plusieurs types de TB sur le march aux fonctionnalit s et prix vari s chacun de d terminer les besoins les usagers et le budget avant de passer l achat me si on trouve sur le march francophone belge d autres TBI Einstruction Hitachi Polyvision Panasonic quatre marques occupent le podium avec des technologies
66. enres Une tude qui rejoint le guide Sexes amp Manuels lire notre num ro de septembre 2012 Commanditaire de l tude la Ligue de l Enseigne ment et de l ducation permanente juge urgent de mieux former les enseignant e s afin quils prennent conscience de la facon dont eux m mes diffusent les st r otypes et des effets que cela produit sur les l ves http bit ly VZF6 jk Exclusions d finitives En octobre 2012 dix associations bruxelloises et ChanGements pour l galit ont orga nis une Journ e d tudes sur les exclu sions d finitives l issue de laquelle elles ont formul des tions disponibles http bit y YKXVDN P dagogie diff renci e Les Ca hiers p dagogiques consacrent leur dossier de f vrier 2013 l actualit de la p dagogie diff renci e Des regards contrast s sur une r alit complexe cerner qui n ludent pas les questions de fond li es cette injonction la dif f renciation http bit ly 12QxOmh 40 inclusion scolaire A de nombreux articles et recherches sur l valuation de l en seignement sp cialis et sur l inclusion scolaire Philippe Tremblay publie nclu sion scolaire Dispositifs et pratiques p dagogiques qui analyse de mani re tr s claire le passage d un enseignement sp cialis s gr gatif vers une approche aujourd hui plus inclusive Les premiers chapitres examinent com ment s est forg
67. enseignants d butants et enseignants tablis Par ailleurs question r soudre n est pas exactement la m me dans le fondamental ou le secondaire chez les r gents ou les licenci s Bruxelles ou Li ge Le Cahier du Girsef consacr l tude se divise en quatre sections les novices dans la lutte des places leurs trajectoires leurs probabilit s de sortie et l entr e dans la vie active des jeunes dipl m s p dagogiques Par novice on entend ici les 29 079 personnes entr es pour la premi re fois dans la base de donn es de l Administration g n rale des Personnels de l Enseignement AGPE et ayant travaill au moins un jour entre septembre 2005 et fin aout 2011 exclusivement dans des fonctions enseignantes Pour Bernard Delvaux ce qui arrive aux enseignants d butants est le fruit dun syst me dans lequel lun des atouts majeurs est l anciennet et n est pas essentiellement li des facteurs individuels 15 de nomination durant la 4 ann e Analysant la fa on dont les places mises sur le mwarch se r partissent entre d butants Bernard Delvaux observe que les novices les plus r cents sont domin s sur le march de septembre et sont par contre dominants sur les march s des I et 2 trimestres C est li aux priorit s dont b n ficient les plus anciens des novices nomm s ou temporaires prioritaires Or c est en septembre que s ouvrent les poste
68. ent une position de prestige explique t il un statut plus important cela en jette et les l ves reconnaissent le travail fourni par l enseignant et sa maitrise Je pense que j aurais t moins pointu avec le seul projecteur data Peut tre est ce lui qui utilise davantage l outil que l l ve Certains lui diront que l on peut tre plus interactif Mais il pense avoir trouv un usage qui lui convient pour aider au mieux ses l ves Pour en savoir plus Vous trouverez dans la version lec tronique du magazine une s lection de ressources consacr es au tableau blanc interactif www enseignement be prof 35 LIBRES PROPOS Les difficult s des l ves et le m tier d enseignant Notre rubrique Libres propos donne la parole un sp cialiste de l ducation lui demandant de faire part nos lecteurs d un message important selon lui leur transmettre aujourd hui Bernard Rey voque ici l prouvante difficult d tre confront celles des l ves PT les nombreuses contraintes qui p sent sur la condition de l ensei gnant il en est une qui sans tre n ces sairement la plus spectaculaire n en est pas moins terriblement prouvante c est d tre confront aux difficult s des l ves Malgr les efforts p dagogiques qu on peut d ployer beaucoup d l ves r p tent toujours les m mes erreurs donnent des r ponses inad quates des questions pourtant l mentair
69. ers r unissant des repr sentants des partenaires sociaux du Forem et d Actiris et d une Chambre enseignement et formation o sont repr sent s tous les op rateurs de formation La premi re r alise des profils m tiers traduisant la r alit conomique du monde du travail La seconde des profils de formation articul s aux profils m tiers Quand cette derni re a valid un profil de formation la Chambre des m tiers met un avis Sur Sa correspondance avec le profil m tier La Chambre de concertation et d agr ment structure faiti re du SFMQ se prononce alors sur la correspondance entre le profil de formation et les programmes ou r f rentiels des op rateurs d enseignement et de formation Ces op rateurs ayant des publics tr s diff rents le SFMQ leur laisse la libert d adapter la formation leur public sp cifique il s interdit de d crire la strat gie p dagogique mettre en uvre pour arriver aux objectifs des unit s d acquis d apprentissage les profils de formation tant dor navant organis s selon le principe de la certification par unit s II en va de m me pour leur valuation Les profs participent ils ce processus gt Des enseignants de terrain et des charg s de mission collaborent la r daction des profils C est avant tout une richesse m me s il est parfois difficile de prendre du recul par rapport sa propre r alit et celle de son tablissement et d ose
70. es PROF 2013 19 Activer les ressources internes des coles Le Service de M diation scolaire et les Equipes mobiles peuvent aider les quipes ducatives g rer un cas de harc lement et y rem dier mais aussi s interroger sur le contexte de l cole prie au sein des quipes mobiles Sylvie Bo t voque l appel d une cole apr s le passage tabac d une l ve de 6 primaire dans la cour de r cr ation Ma coll gue et moi nous avons propos une rencontre avec les personnes qui taient intervenues aupr s des l ves directeur enseignant CPMS m diateur interne AMO sans parvenir r gler le probl me de mani re durable Cette rencontre a d bouch sur une s rie de pistes Une sanction disciplinaire pour les auteurs un accompagnement individuel de l enseignant d courag Nous l avons aid rep rer les moments o le climat risque de basculer et nous lui avons propos des actions concr tes pour aider l l ve g rer ses motions et sa coll gue ont sugg r au m diateur d interroger individuellement chacun des acteurs impliqu s Que s est il pass Comment t es tu senti Comment l autre s est il senti Une prochaine fois que peux tu faire d autre puis de convenir avec les harceleurs des contrats l acquisition de comportements plus positifs avec un suivi de la direction et de l enseignant
71. es font des contre sens sur des textes simples interpr tent mal ou incompl tement les consignes n arrivent pas d marrer dans des t ches auxquelles pourtant on pensait les avoir entra n s etc C est sans doute l un des aspects les plus lanci nants du m tier d enseignant Que savons nous aujourd hui sur les causes de ces difficult s Des id es pr con ues II faut rappeler d abord un des apports majeurs des didactiques contempo raines l l ve avant m me d entrer dans une mati re scolaire particuli re a des id es pr con ues sur les sujets qu on va lui faire aborder et parmi ces id es cer taines constituent des obstacles la com pr hension du savoir et la construction des comp tences Ainsi des tudes ont montr que dans l esprit de beaucoup d enfants de cinq ou six ans plus une chose est grande plus est grand le mot crit qui la d signe Autrement dit ils sont convaincus que le mot train doit tre plus long que le mot locomotive que Fr d ric nom d un petit gar on est n cessaire ment plus court que Luc le nom de son papa Une telle id e pr con ue constitue videmment un obstacle la compr hen sion de notre syst me d criture De la m me mani re lorsqu on parle aux l ves du d but du secondaire en cours de biologie de la croissance des plantes certains ont du mal prendre en compte le r le du gaz carbonique dioxyde de carbone p
72. es enfants qui sont vus comme des anges d nu s de sexualit On les soumet de la sexualit affich e partout et on les voit comme des anges Ce qui conduit parfois des situations dramatiques d enfants victimes de renvois scolaires pour des jeux sexuels d une grande banalit qui n ont rien de d viants Que faire alors b Je pense qu il est important d avoir une bonne connaissance du d veloppement de l enfant des tapes et des enjeux de ce d veloppement D avoir du bon sens aussi Si on surprend un l ve se masturber lui rappeler que ce n est pas le lieu mais si ce comportement se r p te il y a lieu de s interroger et le cas ch ant de s en ouvrir la direction ou d en r f rer au PMS ou un sp cialiste Je pense aussi qu il est important d tre attentif aux motions des l ves et pas seulement leurs r sultats ou aux comportements qui s cartent de la norme Et plus sp cifiquement propos de ces comportements ou apparences hypersexualis s b Le danger de la m diatisation de cette question cest qu on en arrive l exc s inverse tout diaboliser II ne faut ni banaliser ni diaboliser tre attentif et en cas de doute ne pas h siter demander conseil r f rer au PMS ou un tiers comp tent 9 Propos recueillis par Didier CATTEAU Yapaka en campagne Yapaka Coordination de l aide aux victimes de maltraitance a lanc une campagne sur le suje
73. es r ponses coh rentes au probl me du manque de comp tences en s appuyant sur le triptyque Enseignement Formation Emploi Chaque mois une th matique sp cifique est mise l honneur et se traduit par l organisation de conf rences ateliers campagnes de sensibilisation portes ouvertes reportages colloques v nements articles de fond nouvelles formations nouveaux outils etc Le premier th me en f vrier tait la formation des formateurs Didier CATTEAU 9 http bit ly 1218Pz6 2 Tous les d tails sur www anneedescompetences be Accord sectoriel enseignement e protocole d accord sectoriel 2013 2014 relatif la programmation so ciale dans l Enseignement a t conclu le 5 mars dernier 1 Organisations syndicales f d rations de pouvoirs organisateurs et Gouvernement de la F d ration Wallonie Bruxelles ont mis en avant quatre t s le d but de la carri re formation et accompagnement des jeunes enseignants les mesures d accompagnement de fins de carri res les in galit s de traitement entre membres du personnel la finalisation de la r forme des titres et fonctions Tant pour l obligatoire et la promotion so ciale que pour le sup rieur le texte fixe une m thodologie et un timing d ex cution des accords pr c dents puis liste les proposi tions concr tes pour 2013 2014 qui ren contrent les quatre priorit s ci dessus Les syndicats CGSP et CSC l ont
74. esoin de copier au tableau noir les nonc s les sch mas compliqu s les longues d monstrations Ce qui laisse davantage de temps consacrer aux l ves Les supports sont r utilisables d une ann e l autre Les projections sont plus soign es que les tableaux classiques Et l adaptation des cours l outil force avoir davantage de structure On gagne de l argent par rapport d autres mat riels vid o cartes murales Le TBI favorise l interactivit Les l ves peuvent prendre individuellement en groupe l outil en main recherche de documents d couvertes de ressources num ris es laboration d hypoth ses locutions r daction collective de texte Mais cette Interactivit a une limite le nombre des l ves Des limites e La premi re limite l utilisation du TBI est l investissement Il oscille entre 1 000 et 4 000 II faut pr voir les frais d lectricit et de maintenance et le renouvellement plus fr quent qu un tableau noir Un fameux budget qui doit tre bien r fl chi Bernard Yves Cochain fondateur de www tableauxinteractifs fr cite deux autres freins Pour tre utilis au mieux cet outil requiert beaucoup de temps et de pers v rance aussi bien pour apprendre maitriser ses fonctionnalit s que pour pr parer des supports interactifs et adapt s Il ajoute Pour se former dans cette maitrise de l outil les enseignants sont malheureusement souvent d munis
75. et laborer des documents en commun en particulier distance L INFO 4 D autre projets 2 Nous voulons adopter un syst me de contr le qualit pour nous m mes d abord plus largement ensuite Dans le m me esprit nous avons confi un organisme tiers le BIEF l analyse du m thodologique que nous avons labor et qui devrait rester volutif Enfin en phase avec notamment l Union wallonne des entreprises nous r fl chissons ouvrir le SFMQ l enseignement sup rieur La plupart des pays europ ens qui font un travail comparable au n tre incluent syst matiquement le sup rieur professionnalisant dans leurs d marches Pourquoi la Commission communautaire des professions et qualifications a t elle fait place au SFMQ gt Avant 2009 la tait un peu trop habit e par les acteurs de l enseignement obligatoire les seuls se r f rant de fa on contraignante ses productions L accord de coop ration actuel pr voit que tous les acteurs de l enseignement et de la formation professionnelle se r f rent aux profils SFMQ Autre nouveaut les deux chambres du SFMQ n ont pas de membres communs cela vite toute instrumentalisation potentielle Pourquoi y avoir accept une mission 2 La fibre du qualifiant a caract ris ma carri re de professeur de directeur et de cadre dans mon r seau Ma mission actuelle me permet de rapprocher le quali hant du monde d
76. ettant l enseignant d avoir acc s au savoir mais aussi de r aliser une recherche partir d une situation pro bl me d mettre des hypoth ses et de les v rifier Le tableau devient informatis ou intelligent Enfin ce tableau est aussi interactif lorsqu il est davantage tourn vers les l ves partir du moment o l enseignant prend cet outil en main avec eux et qu il devient un outil de classe orient vers la r solution de probl mes la recherche l expo s de travaux l enseignement diff renci En d bat Cet outil essuie des critiques Comme le souligne Bruno Devauchelle forma teur chercheur au Centre d tudes p da gogiques pour l Exp rimentation et le Conseil Lyon chaque fois qu un objet technique num rique apparait on assiste au m me discours relay par des m dias port s par l air du temps qu il ne faut pas manquer accompagn par des financeurs qui y voient un suppl ment de vitrine de modernit l enseignant et blogueur qu b cois Fran ois Deslauriers lui consid re le TBI comme une v ritable arnaque La charge est lourde il ne fait pas gagner de temps plac devant le TBI l enseignant emp che les l ves de le voir il coute cher il est moins rapide qu une souris et un clavier son logiciel p dagogique peut s utiliser sans lui il encourage des m thodes archa ques et d su tes D autres acteurs soulignent certains im pacts purement
77. formances de nos l ves apparaissent parmi les plus faibles dans notre groupe de r f rence avec 506 points ne pas comparer avec les 490 de PISA 2009 l ves de 15 ans parce que les syst mes ducatifs impliqu s ne sont pas les m mes Cependant l Unit d analyse des Syst mes et des Pratiques d enseignement de l Universit de Li ge estime que ce score vaudrait aux alentours de 470 points sur l chelle PISA La situation dans le primaire est donc nettement plus pr occupante que dans le secondaire Pirls a plac les l ves devant des textes litt raires 56 de r ponses correctes et informatifs 46 de r ussite Entre 2006 et 2011 le score global progress de 8 pour les textes litt raires Les r sultats permettent de d gager cinq niveaux de comp tence lire notre infographie Les auteures de la note de synth se risquent des pistes d explication Face aux r f rentiels qui pr nent une progression lors de l tude Pirls 2011 R partition des l ves selon leur niveau du simple au complexe les enseignants prouveralent des difficult s articuler la complexit li e au texte d une part longueur envergure au processus de compr hension d autre part inf rences plus en plus difficiles par exemple Une autre explication tiendrait l preuve Pirls elle m me qui a pris l option de textes uniques et relativement longs qui pourraient avoir rebut l l
78. harc lement classique est g n ralement fix l ge de 11 ans celui du cyber harc lement monte 15 ans propos du harc lement Bruno Humbeeck l Universit de Mons parle d une mise en sc ne o voluent acteurs et spectateurs Avec des r les bien st r otyp s Certes on ne peut voquer un profil particulier de l auteur et de la victime mais on peut tout de m me rep rer certains traits communs Ainsi la victime pr sente 13 gt G 2 N L fr quemment certaines conditions de vuln rabilit diff rence sociale ou eth nique caract ristiques physiques taille corpulence habillement hors des codes du milieu dominant Elle peut aussi tre en chec scolaire ou au contraire trop brillante Elle est souvent pr sen t e comme manquant de confiance elle moins bien int gr e socialement et ayant donc peu d amis pour se d fendre Plus rarement cela peut tre un enfant qui par son comportement ou par son manque de concentration suscite irrita tion et tension autour de lui Le harceleur lui figure souvent parmi les l ves poss dant un certain charisme d sireux de s imposer parfois pour mas quer une image fragile d eux m mes capables de faire rire et suffisamment malins pour rep rer les petits travers des uns pour s en moquer ensuite avec les autres C est souvent un enfant poss dant une gr
79. he m me les maternelles Cela sera plus difficile lorsque nous n aurons plus les heures de coordination du projet cole num rique 9 www ecolenumerique be http bit ly VamAol 8 L IFC a des modules d initiation de perfection nement dans certaines mati res Les r seaux disposent galement d une belle offre PROF AVRIL 2013 Au TBI mes l ves corrigent C est pas sorcier S bastien Nuttens a refait tous ses cours de sciences et de g ographie en fonction du TBI avec plus de ressources plus de variations plus de satisfaction u Coll ge Notre Dame Tournai S bastien Nuttens enseigne la g ographie et les sciences naturelles aux 1 2 et 3 secondaires depuis 12 ans y a sept ans les professeurs de sciences ont h rit d un TBI venant de nos coll gues de math matiques Depuis Jen fais usage en classe Avec le recul une aubaine Les cours passent tr s vite et sont plus agr ables pour les l ves pour moi En sciences et en g ographie le TBI est un outil extraordinaire Cet outil M Nuttens l utilise de plusieurs fa ons D abord je projette des pages de cours ou des vid os ou des animations flash Sur un cran de deux m tres carr s cest un avantage Ces projections me servent introduire le cours ou poser des situations qui am neront l l ve r fl chir mettre une hypoth se et la v rifier Elles me permettent aussi de renfor
80. ier celles accor d es pour l encadrement diff renci Pour garder des classes de taille restreinte l cole ne peut admettre 15 sauf cas exceptionnel des l ves venus d autres tablissements Elle ne peut pas accorder des p riodes de concertation qui permet traient aux professeurs d une m me dis cipline de confronter leurs exp riences et de construire ensemble des outils de rem diation adapt s aux besoins du pu blic Et puis le taux de r ussite obtenu encourageant a ses limites Pas facile de remettre niveau des l ves pass s dans l enseignement secondaire avec des r sul tats tr s faibles au CEB ni d encourager les parents pauler davantage leurs enfants Enfin adh rer au projet 15 doit rester un engagement volontaire ajoute M Fuger L enseignant qui le souhaite doit pouvoir tre remplac En novembre 2012 le jury du Forum des Innovations en ducation organis par l ASBL Schola ULB a accord au projet le troph e de la cat gorie apprentissage Un beau signe d encouragement com mente la pr f te Ce qui tait particuli rement mouvant c est que les l ves de 15 y accostaient d abord les visiteurs en leur demandant s ils d siraient connaitre le projet de l cole Puis au fil des heures prenant de l assurance ils disaient Sou haitez vous connaitre notre projet Catherine MOREAU 0 www gallilex cfwb be document pdf 30998_003 pdf http bit ly W
81. ier groupe II se r serve le TBI dans l autre il le partage avec les l ves Dans le deuxi me groupe il a davan tage d interactions Les l ves posent plus de questions l enseignant l l ve qui est au tableau et entre eux Les mains lev es sont plus nombreuses signe de participation et de motivation Au contraire dans le premier groupe en se r servant le TBI l enseignant pose davan tage de questions ouvertes et ferm es l ensemble des l ves En le partageant ses questions remarques et conseils sont plus individualis s Si cette interaction n cessite un apprentissage de l utilisation du TBI insiste Duroisin ce qui est primordial c est la r flexion qui sous tend 30 l usage p dagogique du support pour la pr paration des s quences de cours et des ventualit s qu elles peuvent susciter Jusqu pr sent on n avait pas tudi la perception du TBI par les l ves Sur ce th me la chercheuse voque certains r sultats de sa recherche Aucun des l ves n avait manipul l outil auparavant Glo balement ils s adaptent assez vite intuiti vement aux fonctionnalit s de base que lon retrouve dans d autres programmes informatiques Dans les deux groupes le temps de r solution des exercices r alis s au TBI par tous les l ves test s au d but et en fin de s quence s am liore Les fonctionnalit s plus sp cifiques compas rapporteur repr sentaient un
82. ifiques Se limiter une sol r e rencontre en rh to ce n est pas du tout suffisant Pourquoi ne pas impli quer des ing nieurs dans la formation des futurs enseignants ou proposer ces derniers de faire un stage dans une entreprise Vous avez choisi l enseignement pourtant Pp En 3 ann e l Universit catholique de Louvain un stage de trois semaines en entreprise ma permis de me rendre compte que travailler sur un chantier ou dans un bureau d tude o il fallait planifier organiser ce n tait pas fait pour mol Heureusement on m a propos de faire une th se Une carri re acad mique pr sentait plusieurs atouts Je pouvais enseigner mais aussi participer des recherches travailler en quipe et m impliquer dans les programmes des cours encadrer les m moires Pour me m nager un bol d air p dago gique pendant que je r digeais ma th se J ai pass l agr gation de l enseignement secondaire sup rieur en math et en phy SOUVENIRS D COLE l occasion par exemple d expliquer com ment fonctionne le GPS pour illustrer le principe de triangulation Depuis 2008 j enseigne la biom canique aux ing nieurs l cole polytechnique de Louvain mais aussi la m canique et la biom canique en 1 ann e de bac en kin En prenant soin par exemple d appliquer aux muscles aux mouve ments les notions d nergie de force de puissance Toujours des exemples proches de leur m tier futur
83. importance de faire confiance qui est mis en place l cole et au suivi de l ambiance du groupe classe par la titulaire et l quipe p dagogique Les enfants doivent sentir qu une relation existe entre l cole et la famille et que les parents seront mis au courant des d bordements de l un ou de l autre enfant harceleur La directrice rencontre ensuite avec l institutrice si c est n cessaire chaque enfant victime avec l enfant le groupe d enfants harceleur s D abord en s appuyant sur le t moignage des parents pour leur demander de relater de confirmer les faits Certaines victimes h sitent parler ou minimisent Ce n est pas si grave a s est pass l an dernier explique Moors Dans l autre camp j entends C est vrai que j ai agi ainsi mais maintenant j ai arr t Cela me permet de faire comprendre aux l ves que taire des frustrations m me anciennes les expose devoir vivre avec de la tristesse voire de la rage qui pourraient ressortir plus tard Les auteurs de harc lement sont pri s d effectuer des travaux l cole sur la base de lectures puis de pr senter leurs excuses leurs victimes lors du conseil de classe PROF 2013 17 Fotolia trotzolga L affaire de toute la communaut ducative Comment intervenir aupr s des l ves et des classes dans un cas de harc lement Quelles sont les responsabilit s des professionnels de l enseignement
84. ise sensibiliser aux risques de la vie quotidienne via notamment www iappe org et www stopi be II dite aussi la BD Les Compagnons voquant la s curit routi re Ce premier tome devrait tre suivi par six autres un par ann e 071 32 32 31 42 carri re et de traitement En l occurrence pour les membres du personnel des coles l AGPE fait office d employeur m me sils sont engag s par leurs pouvoirs organisateurs respectifs Jusqu au 31 d cembre 2015 nous terminons l encodage des donn es historiques de carri re poursuit M Verdy Avec difficult vu le surcroit de travail et le nombre des dossiers Actuellement cela se fait via le portail de la s curit sociale partir de septembre 2013 nous devrions utiliser une nouvelle application interne nomm e DESI D signation qui plus tard liera ces donn es automatiquement aux paiements Ainsi depuis le 1 janvier le SdPSP n accepte plus les dossiers papier Et une circulaire repr cise la proc dure de demande de pension W Le membre du personnel nomm titre d finitif qui d cide d arr ter sa carri re introduit sa demande de pension aupr s du SdPSP un an avant la date Le service ducatif de la M diath que cr e une nouvelle collection Rep rages pistes d exploitation documentaire Elle compte d j quatre num ros L acc s l eau Une alimentation saine c est possible La peur du loup et Le plasti
85. it physique biologie et chimie Trop peu selon vous gt Ce que je regrette surtout c est que faute d ancrer ce cours dans le concret l enseignante qui donnait le cours de physique biologie ne parvenait pas int resser les l ves et maintenir la discipline la fin de la 6 elle nous a lanc Je n ai pas eu le temps de donner la mati re Bonne chance ceux qui poursuivront les sciences En math par contre le professeur remettait toujours les concepts dans leur contexte en expliquant les utilisations concr tes des int grales par exemple D o votre choix de devenir ing nieur une formation PROF 2013 comportant beaucoup de cours de sciences 2 Comprenant que les maths donnaient des bases importantes pour tudier les sciences j ai pr sent l examen d entr e d ing nieur apr s avoir suivi des cours pr paratoires le samedi matin Mais le d clic je l ai vraiment ressenti quand mes parents mont fait rencontrer des amis Ing nieurs et lors d une visite durant les vacances du pont de Normandie un pont haubans enjambant l estuaire de Seine J ai compris alors que j aimerais faire des tudes de g nie civil Le contact avec des r alisations concr tes et des professionnels donc gt Tout fait Je trouve bien dommage que les l ves du secondaire aient si peu de contacts avec le monde professionnel et connaissent si peu les d bouch s des tudes scient
86. l ve s envers un ou plu sieurs autre s avec l intention de nuire qui se r p te r guli rement et qui engendre une relation dominant domin Le harc lement peut prendre des formes de violence physique coups d gradations du mat riel scolaire des v tements Jeux dangereux effectu s sous la contrainte morale insultes ki vexations humiliations surnoms Mn menaces mise l cart rumeurs F colport es publication de pho tos ou de vid os 1 Bien s r le ph nom ne n est pas neuf Litt rature chanson et cin ma en t moignent de la jeune h ro ne du film Despu s de Lucia de Michel Franco au Jeff de Bruce Lowery La Cica trice en passant par le clip choc et pol mique de R F AVRIL 2013 la chanson Coll ge Boy du groupe Indo chine il s est toujours trouv des enfants trop diff rents qui ont subi de la part de leurs pairs des pratiques parasi tant la vie sociale des classes et des cours de r cr ation Mais le harc lement a sans doute pris un tournant avec le d veloppe ment des technologies de la nication et de l information Les insultes menaces et rumeurs diffus es massive ment et instantan ment par GSM ou par Internet peuvent toucher un tr s large public En outre le harceleur peut rester anonyme et les contenus demeurer en ligne m me quand cesse le harc lement Si le pic du
87. l essayer c est l adopter les coll gues qui l ont fait ne savent plus s en passer see http www missionfourgous tice fr 2 Cette tude vise l quipement informatique des coles mais aussi les usages des ensei gnants Ses r sultats seront publi s en juin sur www awt be 8 http bit ly 15A4EYb 6 www deslaure com gt rechercher TBI 6 http bit ly XOEMAN B Du stylo bic aux tableaux num riques pour qui Pour quoi http bit ly XAKRSb 7 KARSENTI T S DUMOUCHEL G L envers du tableau ce que disent les recherches de l impact des TBI sur la r ussite scolaire http bit ly UPtm3M Dans TUREL Y Developing teachers utilization of interactive whiteboards In GIBSON D et Dopcr B dir Proceedings of Society for Information Technology and Teacher Education International Conference 2010 3049 3054 0 http bit ly YGMpuY et http bit ly 17mzZxt Une tude r cente de l Universit de Mons montre les impacts b n fiques d une utilisation partag e du TBI avec les l ves atacha Duroisin aspirante F R S FNRS l Universit de Mons a co r alis en 2011 une recherche comparant deux usages du TBI Dans des classes du 1 degr du secondaire elle observe un m me enseignant qui connait l outil et l utilise pour une s quence de g om trie avec le manuel num rique Actimath Face un prem
88. mes et tout particuli rement par ceux qu on sait tre en dif ficult les raisons pour lesquelles telle activit est accomplir Ces recherches les plus anciennes sur les pr conceptions des l ves ou les plus r centes sur le sens des activit s scolaires permettent l enseignant de mieux orienter sa p dagogie Mais plus globa lement et profond ment elles peuvent les conduire envisager une nouvelle modalit de leur rapport avec les l ves et plus pr cis ment avec ceux qui sont en difficult scolaire Elles impliquent en effet que lorsqu un l ve commet des erreurs ou ne com prend pas ce qu on lui demande de faire ce n est pas toujours du fait de son manque i i de LE F Pai y ee LE pe alkani AU C plai de travail ni de sa d sinvolture vis vis des activit s scolaires Beaucoup d er reurs ou d incompr hensions sont des effets d id es pr con ues ou d une saisie au premier degr des t ches scolaires ce titre elles rel vent d une certaine logique m me si celle ci est erron e ou non adapt e aux attentes scolaires et doit videmment tre d pass e Elles ne sont pas les signes de d ficiences morales ou intellectuelles qu il faudrait soigner et combler Elles t moignent au contraire m me si c est encore d une mani re ina d quate de l effort d un jeune humain pour interpr ter la r alit et les activit s
89. met en 2 mais ils restent au sein de leur groupe 2013 PROF 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0e 0 PROF FWB Jean Michel Clajot classe et continuent b n ficier des rem diations cibl es la fin de l ann e scolaire voire en 2 session tous les l ves ont la possibilit de passer les preuves du les examens de 2 S ils les r us sissent ils peuvent tre orient s par le conseil de classe en 3 ann e ceux qui chouent passent 2 ann e commune Des enseignants volontaires Le projet veut viter que les l ves de 15 m lang s des plus petits se d mo tivent en recommen ant les m mes cours avec les m mes enseignants Voire que certains sachant qu ils passeront ensuite en 2C ou en 3 technique ou profession nelle consid rent la 15 comme une an n e sabbatique Le projet 15 a t muri poursuit Fu ger Jai propos l quipe p dagogique d essayer quelque chose au risque de nous casser la figure et j ai organis un r f ren dum dans l cole Au d but l accueil tait tr s mitig beaucoup d enseignants gnaient l on cr e des classes ghettos II a fallu leur expliquer ainsi qu aux parents qu il ne s agissait pas de s parer de stig matiser les l ves mais bien de leu
90. mment lavenir Les objectifs viter des solutions impos es consid r es comme moins efficaces et moins ducatives am liorer les comp tences motionnelles et sociales du personnel et des jeunes d velopper un sentiment d appartenance l cole Ajoutons que lAnti Bullying Alliance qui regroupe une grosse centaine d organisations actives contre le notamment de d velopper dans leur cole une politique anti harc lement avec l aide de sp cialistes externes et de formateurs d am liorer la communication entre enseignants et parents d accroitre la surveillance pendant et apr s la classe Aux enseignants il est conseill entre autres de bien observer leurs l ves pour mieux rep rer tout changement de comportement Aux parents de victimes de rep rer les signes de harc lement de les encourager se confier de maintenir un contact r gulier avec l enseignant Ajoutons que am not scared se prolonge dans un nouveau projet School Safety Net pour lequel Inforef recherche la collaboration d coles primaires et secondaires 0 9 http iamnotscared pixel online org 02 http schoolsafetynet pixel online orq harc lement dite chaque ann e une foule de ressources et de documents le ons sur la citoyennet jeux de r les conf rences ateliers films guides portant sur des cas particuliers comme le cyber harc lement le harc lement homophobe qu elle met la dispositio
91. n des coles Celles ci peuvent les mettre en place notamment pendant une semaine annuelle anti harc lement Cette politique porte ses fruits les statistiques ont montr une baisse du nombre de cas de harc lement classique dans les coles Un b mol toutefois le cyber harc lement lui est en hausse 0 www anti bullyingalliance org uk PROF 2013 PROF FWB Pour mesurer le bien tre Le spectacle Victor et la machine du bien tre veut pr venir les tensions en favorisant l expression des jeunes enfants U machine voyager dans le temps Un vaisseau spatial Les hy poth ses des enfants fusent devant cette trange machine enchev trement de fils de tuyaux et de circuits d o merge juch sur un si ge un casque de coif feur surmont d une lampe sph rique Jusqu ce qu apparaisse Victor son inventeur arborant un costume turquoise et des chaussettes jaunes et d clarant tout de go c est une machine du bien tre Con u la demande de l ASBL cole sans harc lement cette ani mation a pour but d aider les en fants des classes maternelles et des deux premi res ann es primaires exprimer davantage leur ressenti Cette anima tion clownesque enchaine des situations suscitant le bien tre un g teau app tissant illustr par une lumi re verte ou le mal tre une chute une bagarre d clenchant une lumi re rouge Les Jeunes spectateur
92. ne information destin e aux adultes et aux jeunes une cellule d coute la m diation par les pairs un travail sur le climat de classe expliquent des membres du Service de M diation scolaire en R gion wallonne Celui ci a cr un groupe de travail pour r fl chir au ph nom ne du harc lement en milieu scolaire changer des pratiques rassembler et construire des outils transmettre au service et aux quipes ducatives pingler aussi l organisation de conseils de classe hebdomadaires l utilisation de jeux coop ratifs o les objectifs sont obtenus gr ce l entraide Ou encore des sensibilisations en classe et des conf rences propos es aux parents sur les risques li s l utilisation abusive des r seaux sociaux lire en page 21 la d signation d une personne ressource ou d un service CPMS enseignant ducateur m diateur scolaire pour que les jeunes sachent o et qui s adresser s il veulent rapporter un ph nom ne de harc lement en tant assur s qu ils seront entendus et pris au s rieux UN CAS V CU 4 Une reconstruction plus long terme Parall lement cherchant un partenaire pour am liorer la communication dans la classe l quipe fait appel au Service d aide aux jeunes et aux familles La Chaloupe Ottignies Nous rencontrons les enseignants puis nous proposons aux l ves de 5 et 6 accompagn s des enseignants et du CPMS un module ax sur l coute l e
93. ns le cahier de brouillon avant de les relire en les pelant Dans le cours de math qui suit Via la fonctionnalit du rideau tir il d voile un nouveau tableau avec onze multiples de 4 II prie un l ve de les replacer dans un ordre croissant pour former la table de multiplication Une erreur de celui ci et retentit un Nooon g n ral Cet exercice termin le groupe classe lit la table en ch ur Rideau retir la classe la r cite l aveugle puis en sens inverse M Maarten projette ensuite un nonc avec des multiplications d un c t et des r ponses de l autre L l ve qui vient au tableau fait correspondre un nombre et un calcul Sur le tableau suivant un l ve vient d placer douze cubes dans quatre cases de couleurs diff rentes Pour synth tiser l instit annote la formule 4 x 3 12 au tableau Clic Dans une autre s rie de cubes un l ve les entoure au stylet par bloc de quatre Un autre cite la formule de la division 20 4 5 not e par M Maarten Puis il demande aux l ves d ouvrir leur manuel telle page qui se retrouve au TBI II surligne certains l ments de l nonc Les l ves font les exercices seuls et viennent les corriger un par un aupr s du meester Des TIC int gr es aux cours Toutes les classes sont quip es d ordinateurs fixes d une connexion et ont acc s une armoire mobile de laptops et une plateforme commente M Maarten Chaqu
94. ns le domaine de la didactique de la lecture criture C est dans ce but qu un chapitre du rapport Pirls 2011 relatif aux r sultats prendra la forme d un document p dagogique illustrant chacun des quatre processus de compr hension mis en jeu dans l preuve au d part de deux textes lib r s un texte vis e litt raire et un texte vis e informative II s agirait aussi de former les enseignants la mise en place de dispositifs d enseignement de la compr hension dont le contenu est esquiss en guise de conclusion de la note de synth se Didier CATTEAU 9 Pour Progress in international reading literacy study une tude men e tous les cinq ans par l International Association for the Evaluation of Educational Achievement IEA Rapport anglais http bit ly XU4Sad Pr sentation et synth se en fran ais sur www enseignement be http bit ly Z8YRCI 2 La litt ratie y est d finie comme la capacit de comprendre et d utiliser les formes du langage crit requises par la soci t ou valoris es par l individu 6 En page 7 de la Note de synth se disponible sur http bit ly Z8YRCI M Sous le niveau l mentaire M l mentaire M Interm diaire 7 D col ge Le kit p dagogique du projet D col ge est disponible sur www enseignement be decolage CTA Les circulaires 4344 et 4345 font le point sur les nouvelles moda lit s d accueil et de fonctionnemen
95. nt prison niers d une tiquette Je peux prendre le temps de fixer les pr requis avant de commencer une nouvelle mati re en Sciences faut juste r ussir Alessio l ve de 15 pass en 2 en janvier confie suis fier de mor Je me dis que rien n est perdu il faut juste r ussir Je me vois d j 3 je vais bosser pour rester le plus long temps possible dans l enseignement g n ral avant de me former pour de venir expert automobile Et Alexan dra d sormais en 3 ann e ajoute Lan dernier passer en 2 No l m a reboost e et le reste de l ann e je n ai pas baiss les bras Maintenant en 3 option Sciences conomiques Jose poser des questions quand je ne comprends pas M me dans un groupe plus grand 27 un tableau blanc informatis intelligent ou interactif 1 4 4 6 x 4 3x4 CO HE 20 12 32 Un dossier r alis par Patrick DELM E PROF FWB Le tableau blanc interactif TBI est encore peu utilis en F d ration Wallonie Bruxelles mais l int r t des coles augmente Apr s avoir rappel qu est le notre dossier se centre sur son impact p dagogique sur ses atouts et ses limites Dans ces pages on d couvrira aussi les crit res d un bon investissement et deux exp riences d utilisation du TBI en classe n Belgique le tableau blanc interactif fait une entr e p
96. oisit Attention utiliser une surface mate et pas brillante qui refl terait le rayon lumineux Gr ce des infrarouges et des ultrasons cette plaquette situe le stylet aliment par une pile avec un petit d calage et transforme la surface en TBI II n a pas de hautparleur La plaquette et le logiciel gratuit reviennent 725 La gamme dispose d un mod le avec tableau et projecteur 2 500 d un syst me tactile 4 200 Un mod le de projecteur Epson dispose d une cam ra infrarouge qui sent la position d un stylet piles et transforme donc toute surface en TBI Mais il vaut mieux fixer solidement le projecteur Sa focale est tr s courte plus le projecteur est proche de la projection moins il a d ombre port e des utilisateurs La pr cision du stylet est faible mais suffisante Ses hautparleurs int gr s sont moins puissants que dans les autres syst mes II peut s utiliser avec deux stylets Le syst me projecteur et support coute 1 645 sans compter la formation initiale ni ventuellement un tableau du c blage la sonorisation un logiciel suppl mentaire et une formation Un TBI peut se bricoler avec une Wii Pas tr s pr cis ce dispositif demande davantage de temps au calibrage qui consiste marquer les points sur la surface de projection avec le stylet afin de la coordonner avec le projecteur Enfin les fournisseurs de t l vision commencent commercialise
97. penaud sais Je n arrive pas m emp cher de jouer c est comme une drogue Ce tournage d une capsule par Ma classe fait sa t l programme d ducation aux m dias et l audiovisuel constituait l une des tapes d un projet plus global de sensibilisation des l ves de primaire la cyberd pendance Avec le soutien de la ministre de la Sant de F d ration Wallonie Bruxelles ASBL Infor Drogues a men avec l crivain Nicolas Ancion une recherche action aupr s de plusieurs coles Elle a d bouch depuis 2011 sur la publication du livre J arr te quand je veux 0 sur l laboration de pistes p dagogiques et d un site internet et sur des animations en classe Quand nous avons t contact s par Patrick Biarent le r alisateur de Ma classe fait sa t l Jar demand mes 17 l ves de lire le livre j arr te quand veux de Nicolas Ancion explique l institutrice Catherine M an Ce livre qui a enthousiasm les l ves ma permis de cr er un d bat en classe sur les jeux vid o ils en connaissent bien plus que moi sur le sujet et voulaient men remontrer et leur impact sur la vie sociale Ensuite au d part d exercices d improvisation avec une animatrice les 17 l ves ont labor trois sc narios que le r alisateur a remix s en un seul avant de tourner une capsule pour l mission Ma classe fait sa t l diffus e sur RTBF3 6 Le projet con
98. peut faire l objet de mesures disciplinaires 9 Code p nal http bit ly VDUumL 2 Loi relative aux communications lectro niques http bit ly 13EDz6P 8 Fiche pratique http bit ly 131j9dp UN CAS V CU 3 L cole agit en partenariat avec les familles D sarroi au sein de l quipe de l cole de Lauzelle Car l cole a mis en place de nombreux lieux de parole pour les l ves dans chaque classe maternelle et primaire Pourtant rien ny filtre les enfants de sixi me victimes de harc lement se taisent En Concertation un des lieux de parole pour les adultes les enseignants sont unanimes la situation n est plus tenable il faut agir l int rieur de l cole et trouver une aide ext rieure Invit s une r union collective certains parents pr sents surtout ceux des victimes l expriment la souffrance de leur enfant p se lourdement sur la vie familiale Certains viennent m me avec un organigramme de la classe situant le statut de chaque l ve Convaincue qu il faut agir en partenariat avec les familles la directrice Bernadette Moors convoque individuellement les parents absents la r union Apprenant le comportement de leur enfant auteur de faits de harc lement certains sont incr dules ou tombent des nues explique t elle Aux parents je recommande de parler avec leur enfant de ce qui se passe dans sa classe J insiste aussi sur le respect pr server entre les adultes sur l
99. ps et semble insoluble plus long terme devenue adulte l ancienne victime peut ne pas oser tre spontan e dans ses interactions avec les autres de peur d tre rejet e par exemple D aller au del des id es re ues Cela a toujours exist et ce n est pas si grave Ce sont des histoires entre enfants ou entre ados Il PR F AVRIL 2013 suffit de punir s v rement d exclure le harceleur Ne perdons pas de vue que le harc lement est une dynamique de groupe et qu il influence le climat scolaire et le d roulement de la scolarit de ses acteurs Je leur dirais d agir rapidement mais pas dans l urgence D abord de prendre le temps d couter la victime pour se faire une id e du probl me sans donner de conseils Que se passe t il Quand Qui est impliqu Que ressens tu Que souhaites tu Que crains tu Et lui dire qu on va l aider en l associant troitement s il s agit d un ado Puis de r fl chir et de se faire conseiller et entourer illusoire aussi de croire que le probl me peut tre r gl en aidant la seule victime Plus le brimeur harc le sa victime qui par son attitude peut le conforter dans le bien fond de son action plus sa capacit de ressentir de l empathie diminue Et moins il mesure la gravit de ses actes Le sanctionner voire l exclure de l cole peut renforcer le m canisme de vengeance Fragilis par la rupture
100. pt mes tels que les concours de mini miss et mini mister comme nous l explique le D Carine De Buck p dopsychiatre et psychanalyste qui a particip la journ e PROF Que recouvre cette notion d hypersexualisation gt Carine De Buck Pour moi il y a deux sortes d hypersexualisation terme qu il faudrait d ailleurs revoir II y a d une part les comportements induits par l ext rieur par l ambiance soci tale qui pr ne une sexualisation pr coce des enfants que ce soit travers la publicit les d fil s les magazines Il y a quand m me dans notre soci t une attention pour une sexualit qui va de plus en plus du c t de la perversion Il suffit de voir certaines publicit s flirtant avec le sadomasochisme D autre part des enfants peuvent pr senter des comportements qui sont la cons quence 38 de maltraitance parce qu ils sont utilis s par le narcissiime des adultes voire comme objets sexuels On parle d hypersexualisation des enfants mais le probl me est clairement du c t des adultes DII y a un probl me de rep res de valeurs dans notre soci t qui connait des difficult s li es au travail la solitude au nombre grandissant de familles monoparentales I est vident que ce ne sont pas les enfants gui ont mis dans les rayons des magasins des strings pour gaines de 6 ans Vous avez aussi des mamans mais aussi des p res qui font des enfants avec l i
101. qu il pourrait faire pour am liorer la situation la victime rencontr e en dernier lieu il exprime sympathie et soutien et tente avec elle de rep rer des comportements susceptibles de provoquer chez ses pairs des r actions agressives Le m diateur lui explique aussi que les brimeurs ont accept de coop rer et qu il s engage revoir tous les protagonistes pour suivre l volution de la situation De pourront sy exprimer s ils sentent qu il y a dans l cole un cadre solide et respect avec des adultes qui assurent la s curit de chacun Dans d autres situations la mise en place des groupes de paroles pour des adolescents se sentant victimes de harc lement leur a permis de se sentir moins seuls pour g rer leurs difficult s Notre mission est de chercher avec l quipe ducative des solutions compatibles avec la culture les habitudes de l cole puis de l aider les mettre en uvre conclut M Bo t 1 Voir aussi l article Le Service des quipes mobiles un soutien pour toutes les coles paru dans notre num ro de septembre 2012 p 24 25 5 nouvelles rencontres avec le s agresseur s permettront de v rifier les engagements et de constater les progr s accomplis Enfin tous les acteurs seront ventuellement convi s une rencontre finale pour montrer que le probl me est r gl La m thode a ses avantages et ses limites conclut
102. que ses additifs et la soci t http bit ly 12n2ed4 Le Service du Livre Luxembourgeois anime www servicedulivre be On retrouve des dossiers de pr sentation d auteurs en version papier ou pdf reflets d une perception un moment donn d un lecteur professeur de fran ais Le Service dite aussi des mini DVD partir des missions litt raires de TVLux Sur le th me de la paix le lance un concours qui Invite les 12 26 ans dessiner un costume pour Manneken pis peace II sera choisi le 21 septembre Journ e Internationale de la Paix et sera r alis pour tre port un an plus tard Date limite 14 juin www cnapd be Reglements et inscriptions au480 html 02 640 52 62 Pro Velo organise le concours Bike2school II encourage les enseignants les l ves et les parents du primaire se re mettre en selle jusqu au 31 mai et du 16 septembre au 11 octobre http www bike2school be Situ Rixensart le Terrain Interactif Ludique pour Tous Tilt propose aux professeurs de faire le tour du monde avec leurs l ves maternelles et primaires en d couvrant les particularit s de r gions pr cises via ateliers discussions et jeux Infos 02 633 51 21 du d but de celle ci II en envoie copie vers son ou ses pouvoirs organisateurs Idem vers la direction d concentr e de en charge de son dossier pour laquelle 11 remplit un tat de services Celle ci
103. r des mod les tactiles encore chers aujourd hult Les logiciels sont importants Tous les cours peuvent se pr parer soit sur l ordinateur soit sur le TBI continue M Huin laide dun logiciel sp cifique qui dispose de fonctionnalit s de base annotation au tableau tra age de traits ou de figures gommage surlignage couleurs paisseur de traits enregistrement d un tat dune s quence ou de la s quence enti re importation dune ressource num rique exportation d un document dans un format sp cifique connexion internet retour en arri re capture d crans comparaison de plusieurs crans cache d une partie du Chaque marque a son propre logiciel Ceux de Promethean Activinspire et de Smart Smart notebook 11 disposent de fonctionnalit s sp cifiques comme des outils de tra age math matique compas querre rapporteur 115 sont ouverts d autres formats moyennant une licence Chez Education Suite avec les fonctions de base est simple d utilisation et plus ouvert le nouveau eBoard touch est livr avec les outils gratuits Chalkbox et cinq licences du logiciel Easiteach Easy interactive tools d Epson permet des fonctionnalit s r duites Toutefois il existe aussi un logiciel libre gratuit Open Sankor multiplateforme il accepte les fichiers r alis s avec d autres logiciels Enfin les usagers trouveront aussi des manuels num riques utilisables sur le TBI avec
104. r don ner une chance de r ussite dans un groupe restreint J ai invit les enseignants sen gager sur base volontaire a eu plus de candidats que de postes disponibles Le projet a aussi volu au fil du temps Ne pouvant terminer le programme de 2 tout en comblant les lacunes de 1 les professeurs de langue ont obtenu que l on remplace une p riode de rem diation en math par une p riode en langues En contrepartie les enseignants en math ont demand d assurer eux m mes l heure de rem diation pour l utiliser au moment le plus opportun de la semaine Des atouts et des limites Les r sultats sont encourageants en 2011 2012 25 des l ves ont t r o rient s 2 au 15 janvier et 20 sont pass s en 3 ann e de l enseignement g n ral o Ils ne rencontrent pas davantage de difficult s que ceux qui ont effectu le parcours classique Le projet 15 poss de des atouts r sume la pr f te Offrir aux l ves la possibilit de gagner un an c est une formidable carotte Ceux qui chouent rejoignent une 2C en ayant acquis des habitudes et une m thode de travail r gu PROF 2013 lier Et les classes de 1 commune s par es des 15 se montrent plus motiv es plus concentr es Quelques limites aussi Le projet est vo en p riodes puis es dans le nombre total de p riodes professeurs NTPP ce qui implique une utilisation judicieuse des heures en particul
105. r faire preuve de cr ativit Les objectifs P D abord standardiser les profils m tiers et formation et offrir aux employeurs de meilleures cr dibilit et lisibilit Ensuite la mobilit P ROF 2013 PROF FWB l organisation en UAA permet de passer d un op rateur de formation comme une cole un autre comme l Ifapme ou de compl ter une formation inachev e De plus les documents comportent un profil d valuation qui d finit les crit res et les indicateurs de r ussite de l UAA Jos Soblet Le SFMQ travaille au rapprochement du qualifiant et du monde de l entreprise Tout ceci fonctionne une condition la confiance entre partenaires Le troisi me objectif est de s accorder sur des r f rences communes pour les diff rents concepts utilis s un langage commun aide aussi standardiser Et en termes de production P Cr en 2009 en vertu d un accord de coop ration entre F d ration Wallonie Bruxelles R gion wallonne et Commission communautaire fran aise le SFMQ a pris ses marques pendant un an II a produit une dizaine de profils et devrait en sortir une autre dizaine d ici juin 2013 Un objectif ambitieux et r aliste tournerait autour de trente profils par an Pour cela nous devons absolument nous doter d une plateforme num rique pour mieux consulter les bases de donn es de r f rence rechercher des descriptifs compiler la documentation
106. rajectoires sans histoire c toient des trajectoires mouvement es Se concentrant sur les trajectoires lors de la premi re ann e les chercheurs observent notamment 11 d entre eux ont travaill un trois mois moins de 0 45 temps plein alors que 25 3 ont prest dix mois minimum 0 75 temps plein Par ailleurs ces trajectoires d pendent d abord du contexte province niveau et r seau et ensuite du profil individuel genre dipl me Le risque de sortie tr s li au dipl me Un des enseignements majeurs de cette recherche est le lien tr s net entre la trajectoire de cette premi re ann e et la suite l ch ance de cinq ans la probabilit de sortie est inf rieure 20 pour les enseignants ayant prest dix mois au cours de la premi re ann e et est sup rieure 70 pour ceux nen ayant prest qu un Ce sont ces probabilit s de sortie de la profession qu analyse la troisi me section du Cahier du Girsef due Sandrine Lothaire et Vincent Dupriez Premier constat la probabilit de sortie end ans les cinq ans peut tre estim e 35 Deux plus de la moiti de ces sorties ont lieu au cours au terme de la 1 ann e Trois les titulaires d un dipl me p dagogique affichent un taux de sortie nettement moindre que les autres 7 4 la 1 ann e contre 35 90 et 20 5 end ans les cinq ans contre 61 3 Quatre parmi les porteurs de titres p dagogiques
107. ral des Pensions du Secteur Public SdPSP fournit en direct une estimation de la date et du montant de pension Pour cela d s 2010 le SdPSP a demand aux employeurs du secteur public de num riser les donn es historiques de carri re de son personnel la date du 1 janvier 2011 et depuis de fournir par trimestre une d claration des donn es de prendre ou laisser Le site www prevention ecole be veut r pondre au besoin exprim par les acteurs du monde scolaire bruxellois de clarifier les diverses offres de service en mati re de pr vention des conduites risques II r sulte d une initiative des Centres locaux de Promotion de la Sant et d une concertation d associations de pr vention des assu tudes Une mallette p dagogique et une formation destination des enseignants de 2 maternelle la 6 primaire sont disponibles pour sensibiliser leurs l ves la qualit de l air La d marche d apprentissage de ce projet initi par l ASBL Hypoth se permet de faire de l veil scientifique tout en poursuivant des objectifs de sant Infos www abcdair hypothese be www hypothese be l Association de Parents pour la Protection des Enfants sur les Routes APPER Hainaut peut organiser dans votre cole des prestations sur la s curit routi re Elle dite aussi Apperiodique et http apper ht be l Institut acad mique amp p dagogique pour la Protection de l Enfant v
108. ration Wallonie Bruxelles propose un catalogue de 149 documentaires r cents www audiovisuel cfwb be gt nos publications gt les documentaires 2012 2013 2013 l ann e des comp tences En 2013 les op rateurs de la formation et de l enseignement s unissent pour une ann e des comp tences gt Les comp tences sont au c ur des probl matiques emploi formation et de d veloppement socio conomique Le communiqu de Bruges sur la coop ration europ enne renforc e en mati re d enseignement et de formation professionnelle et en Wallonie le Plan Marshall 2 vert entre autres mettent l accent sur le d veloppement du capital humain En 2013 les op rateurs francophones de l enseignement de la formation professionnelle et de la validation des comp tences ont donc d cid de lancer le projet ann e des comp tences 2 soutenu par les Gouvernements wallon de la F d ration Wallonie Bruxelles et de la R gion de Bruxelles Capitale Les partenaires du projet poursuivent des objectifs communs mettre le focus sur la n cessit de d ployer un plan ambitieux visant relever de mani re significative le niveau des comp tences de la population particuli rement des savoir faire techniques d ployer une v ritable coh rence entre les actions des diff rents organismes et institutions et une simplification des dispositifs constituer une base de lancement pour d velopper au del de 2013 d
109. rimaires en sont quip es 8 TBI en moyenne par cole de m me que 98 90 des tablissements du secondaire 22 TBI en moyenne En France galement le taux d quipement progresse comme le souligne Apprendre autrement l re num rique le rapport de la Mission Four gous pour les 2010 50 000 TBI ont t install s contre 27 000 en 2009 portant de 5 10 le nombre de classes quip es dans les coll ges et lyc es En Wallonie une r cente enqu te de l Agence wallonne des t l communi cations voque 2 000 unit s pour 270 fn 2009 Ces TBI sont surtout pr sents dans le secondaire Pr s des deux tiers des tablissements y disposent d au moins un TBI pour un taux de un pour cinq dans le primaire Globalement 10 des tablis sements disposent d un unique TBI et 10 en poss dent entre deux et quatre 0 Une concentration d usages Cet quipement permet diff rents usages Certains l utilisent comme un tableau clas sique ou comme support de projection Mieux vaut dans ce cas s abstenir d un in vestissement important et continuer avec le tableau noir et le r troprojecteur PROF Awu 2013 Rencontre de l ordinateur d un logiciel et du grand cran le TBI permet aux ensei gnants de sublimer le tableau classique annotation du document projet souli gnage de texte enregistrement des anno tations porte ouverte d autres logiciels et d autres ressources via la connexion perm
110. rogressive dans les classes depuis 2005 et connait depuis un an un effet de mode le r seau d enseigne ment organis par la F d ration Wallonie Bruxelles vient d en acheter une trentaine la Ville de Bruxelles une cinquantaine Bien d autres pouvoirs organisateurs ont franchi le pas Plusieurs coles ou hautes 203 PROF coles l utilisent dans le cadre des projets cole num rique Et la demande de for mation un usage p dagogique du TBI augmente aupr s des r seaux de l IFC Le TBI est un cran blanc tactile associ un ordinateur et un vid oprojecteur L utilisateur intervient sur l cran avec un stylet lectronique ou par simple tou cher selon les mod les L cran interactif transmet alors les diverses informations l ordinateur dont l cran s affiche sur le tableau blanc gr ce au vid oprojecteur II est donc possible d effectuer sur l cran projet au mur tout ce qu on peut r aliser avec souris Le TBI se d ploie Fin 1988 le premier appel Live board a t d velopp au Xerox Parc le centre de recherche de la firme Xerox En 1991 la soci t canadienne Smart en commercialise un premier mod le En 1997 Promethean cr e par des enseignants anglais se lance Depuis le march s est largi bien d autres firmes Cet outil s est tr s bien d ploy aux USA au Mexique en Espagne ainsi qu en Grande Bretagne o toutes les coles p
111. roi Ces comportements l font alors dire aux adultes que la victime n est pas si innocente que cela Cette position aggrave consid rablement le sentiment d abandon et dune situation sans espoir d am lioration note M Catheline S ajoutent chez les adolescents des signes de souffrance psychique qui sont identiques ceux observ s chez les enfants troubles du sommeil irritabilit susceptibilit baisse des r sultats scolaires Et des absences fr quentes non plus seulement pour viter des confrontations avec le ou les harceleurs mais en raison de maux de ventre de t te de malaises La p dopsychiatre cite encore un Int r t excessif pour les jeux vid os qui peut traduire un besoin de s isoler de se changer les id es de retrouver sa confiance soi voire de r cup rer un sentiment de puissance Ces signes doivent tre consid r s avec prudence car ils peuvent apparaitre dans bien d autres cas des difficult s familiales li es une s paration par exemple et traduire une crise d adolescence Et Catheline de sugg rer Les membres de l quipe ducative doivent prendre le temps d changer leurs impressions sur un l ve dont le comportement interp le avant de pr venir les parents UN CAS V CU 2 L quipe p dagogique identifie le probl me No lle Cattelain institutrice de sixi me qui travaille avec Corinne Tasiaux sa coll gue de cinqui me ressent un
112. s durablement libres Plus tard ce sont des postes de courte dur e attribu s pour l essentiel aux plus jeunes novices avec pour cons quence que beaucoup de ces novices int rimaires ne parviendront pas persister dans l enseignement au del de ces quelques mois o 115 ont t utilis s comme rempla ants Entre 10 et 32 des enseignants d butants quittent le m tier durant leur I ann e 60 50 40 30 20 9 10 1 0 1 re 2e ESS EE D 4 Ann e de sortie 51 4 44 1 41 9 fond ord 33 1 Sec ord 23 5 Fond sp c Sec Sp c Source Cahiers de recherche du Girsef n 92 avril 2013 92 Proportion d enseignants quittant l enseignement au cours de leur premi re ann e de noviciat et durant les quatre ann es suivantes 4 PROF 2013 une premi re ann e risque Les conditions de travail des d butants ont t analys es selon divers crit res dont le statut la quatri me ann e 15 obtiennent une nomination partielle dans la moiti des cas Le crit re de l indice socio conomique de l tablissement souligne une surrepr sentation des novices dans les tablissements les plus d favoris s plus marqu e Bruxelles L observation mois par mois durant sur cinq ans de la pr sence ou non de 9 618 d butants entr s en 2005 et 2006 dans base de donn es de l AGPE indique que des t
113. s sont Invit s ensuite prolonger l exercice en classe ou ailleurs avec une latte bicolore gradu e devenue leur machine du bien tre PROF Awu 2013 Karine Infanti institutrice en en 3 mater nelle l Ath n e Magritte Ch telet le Aussi trange que son inventeur la machine du bien tre invite les enfants exprimer ce qu ils ressentent pr cise Je vais utiliser en classe cet outil de communication pour aider les enfants exprimer leur ressenti en compl ment du jeu Le langage des motions pro pos par le Centre de planning familial de Charleroi Pour viter notamment qu un enfant qui subit une situation se mue en agresseur et que si la situation se r p te il se voie catalo gu comme violent ou agressif 9 Le spectacle peut tre compl t par un guide p dagogique et une marionnette http www schoolzonderpesten be index php lang fr Des pistes suivre e Le guide pratique relatif la pr vention et la gestion des violences en milieu scolaire pour les membres du personnel de l enseignement sera disponible sur le site www enseigne ment be Des fiches sp cifiques y sont consacr es la violence morale et la cyber violence e Sur le site www agircontrelehar celementalecole gouv fr la plate forme
114. s soyons pris au d pourvu par une de leurs d rives 9 http bit y WoBOTY 2 Ces pages Facebook li es une cole mais cr es par des l ves permettent aux jeunes en th orie de d clarer leur flamme de mani re anonyme et ludique 21 De Vilnius Madrid Afin de rep rer les meilleures strat gies pour pr venir et combattre le harc lement l Union europ enne a financ la recherche action 1 am not Scared dans le cadre du programme pour l ducation et la formation tout au long de la vie CS enqu te men e entre 2010 et 2012 dans neuf pays Allemagne Belgique Bulgarie Espagne Gr ce Italie Lituanie Roumanie et Royaume Uni a t coordonn e en F d ration Wallonie Bruxelles par Inforef association qui veut promouvoir l utilisation des technologies de l information et de la communication Sans surprise les r sultats montrent que le harc lement fait fi des fronti res et cible des personnes diff rentes des enfants roms en Bulgarie par exemple Le projet s est d clin en quatre temps D abord chaque coordinateur rassembl les publications traitant du harc lement et les initiatives mises en place pour le pr venir et le combattre afin d alimenter une base de donn es Puis dans chaque pays des groupes de travail constitu s d enseignants de directeurs de parents d l ves d experts ont t r unis pour analyser des situations de brimades selon le point de vue
115. saut charg de mission responsable de la coordination du projet Nous travaillons ainsi et non par implantation la certification se fait au niveau de l tablissement Au fil des ann es ces clich s sajoutent les uns aux autres deviennent un film utile pour une comparaison historique Pour aider chacun se poser les bonnes questions un guide d accompagnement comprend des cl s de lecture De plus cette ann e l Institut de la Formation en cours de carri re a pr vu une pr sentation de TABOR dans les formations initiales des directeurs 1 TABLEAU DE BORD Invit s faire part de leur avis les chefs d tablissement sont tr s nombreux exprimer leur satisfaction de recevoir cet outil Beaucoup aimeraient disposer de TABOR sous forme num rique pour l exploiter plus facilement Et la suite Le prochain TABOR comprendra un suppl ment d informations pour les sections qui appliquent la certification par unit s D ici janvier 2015 un TABOR devrait voir le jour pour l enseignement sp cialis Enfin se pose la question d une version CPMS Mais l rien n est encore pr cis Pa D 9 Infos Serge Massin personne de contact pour les formations initiales des directeurs 081 83 03 10 El ves 01 2011 Ann e d tudes ge 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 Total Total 1 8 35 33 34 15 126 5TQ 1 8 26 16 13 2 66 6TQ 9 17 21 13 60 Le TABOR Proportion de filles gar ons 37 3
116. sonne en raison de certains crit res sexe orientation sexuelle ou si la victime est vuln rable ge maladie L article 14583bis de la loi du 13 juin 2005 vise lui notamment l utilisation d un r seau ou d un service de communications lectroniques pour importuner son correspondant provoquer des dommages 2 Pour un l ve mineur des mesures peuvent tre prises dans le cadre de la loi relative la protection de la Jeunesse r primande surveillance par un service social Le juge de la jeunesse peut galement prendre des mesures sp cifiques travail d int r t g n ral pour lui faire prendre conscience de la gravit de son acte et ou acter un projet propos par cet l ve excuses r paration du dommage en contr ler l ex cution Sur le plan civil la victime peut r clamer des dommages et int r ts en Justice l auteur du harc lement ou s il est mineur ses parents sauf s ils prouvent que le comportement de leur enfant ne r sulte pas d une faute d ducation de leur part Quid de la responsabilit de l enseignant si pendant son cours un l ve harc le un camarade ou diffuse des contenus choquants sur Internet Sa responsabilit civile dans le cadre de son activit professionnelle ne pourra tre engag e qu en cas de faute volontaire lourde ou r p t e Sur le plan p nal il reste responsable s il commet un d lit et s il manque ses devoirs il
117. struit en classe a d bouch sur le tournage d un petit film Gr ce ce projet qui s est tendu sur dix jours ma classe a gagn au niveau relationnel les l ves se sont rencontr s au del des diff rences socio culturelles sur un terrain qu ils connaissent bien poursuit Me M an L institutrice entend bien prolonger la discussion sur le sujet Sans tenir un discours moralisateur ni r duire les enfants des b tes furieuses pr cise t elle Plut t que de consid rer les Jeux vid o sous le seul angle du danger on peut en faire un bel outil de dialogue avec les l ves Catherine MOREAU 9 N j arr te quand je veux Waterloo Jourdan Jeunesse 2009 2 www jarretequandieveux org 8 http youtu be Vvu04WeQEyo AVRIL 2013 PROF PROF FWB Olivier Papegnies PROF FWB PROF Quel a t votre parcours gt Genevi ve Milicamps Apr s une formation d ducatrice sp cialis e j ai travaill dans des maisons d enfants avant d tre engag e comme ducatrice en 1985 dans cette cole secondaire bruxelloise Neuf ans plus tard le direc teur m a demand d y occuper la fonction d conome 1 En quoi consiste votre travail gt L conome est charg de la gestion financi re et mat rielle de l cole Concr tement je m occupe de la comptabilit de la gestion des livres scolaires je sur veille l tat du mat riel de l quipement
118. t ly 10mxJ4 Ne pas oublier pas de citer le num ro FASE de votre tablis sement et votre num ro matricule Natation Les circulaires 4237 http bit ly UqoDRB 4280 http bit ly UFqgrQF et 4271 http bit ly Yjt0mQ pr cisent les r gles d organisation et d encadre ment des cours de natation dans le fondamental et le secondaire ordi ainsi que le sp cialis Parentalit l Office de la Nais sance et de l Enfance a publi un r f rentiel de soutien la parentalit pour un accompagnement r fl chi des familles II propose des rep res et pistes de r flexion sur les actions afin de promouvoir les partenariats et les changes de pratiques entre pro fessionnels II est t l chargeable sur www parentalite cfwb be Sciences L association Femmes et Science en Belgique BeWise a r a lis Science needs documentaire qui permet aux l ves de secondaire de mieux comprendre ce qu est une carri re scientifique http bit ly VtRB3F Qualification La circulaire 4350 d crit l organisation des preuves de qualification compris celles qui sont li es la certification par unit s preuves composition du jury certifi cation http bit y 15TmNO8 Europalia Pour sa 24 dition Europalia invite l Inde au c ur de l Europe du 4 octobre au 26 janvier www europalia eu Documentaires Le Centre du Ci n ma et de l Audiovisuel de la F d
119. t Son site www yapaka be gt campagnes puis La campagne hypersexualisation des enfants propose notamment un livre de la collection Temps d arr t une affiche et des vid os de sp cialistes Un terme quivoque Comme l indique le D Carine De Buck dont vous pouvez lire l inter view ci contre il faudrait sans doute red finir le terme hypersexualisa tion L quipe de Yapaka le reprend car il fait l objet d un consensus de plus en plus large sur le plan inter national mais le pr cise Ce terme indique la pression pour pousse les enfants entrer dans une sexualit abusive qui n est seulement pas de leur ge mais qui vient entraver leur processus de d veloppement et leur propre rythme d appropriation de la sexualit la construction de leur vie psychique Cette pression sur les enfants peut venir des parents et ou des m dias et plus largement d un climat de consum risme empreint d rotisme Temps d arr t La collection Temps d Arr t Lec tures met disposition des inter venants des textes de r f rence sur des sujets en lien au d veloppe ment de l enfant et de l adolescent au sein de sa famille et dans la so ci t Chaque publication pr sente un tat de la question une r flexion alliant un questionnement clinique et des rep res th oriques Quatre textes composent celui qui est consacr l hypersexualisation des enfants T l chargeable au d part de www yapaka be
120. t des Centres de Technologies avan c es http bit ly 121Hfsr et http bit ly 151aEG3 RP La brochure des 425 Rencontres P dagogiques d t organis es par la CG du 18 au 23 ao t est t l char geable sur http bit ly YXGDDH Mus obus La nouvelle exposition du Mus obus De la tablette d argile la tablette tactile explore l histoire des outils de communication et s adresse aux 6 14 ans Elle circule jusqu au 15 octobre dans ce bus de 20 de long et 4 5 m tres de large et reste une journ e par cole La visite gui d e dure 1 heure R servation obliga toire 081 40 05 26 museobus cfwb be http bit ly X7PEip Rencontrer des auteurs La Mi nistre de la Culture et le Service des Lettres et du Livre invitent les futurs enseignants d couvrir la litt rature de jeunesse par une rencontre avec l un ou l autre auteur ou illustrateur http bit ly XOIIkx D veloppement L ONG Coop ra tion ducation Culture dispose d un catalogue d animations gratuites et de formations surtout ax es sur les st r otypes et pr jug s travers l ducation au d veloppement mi grations histoire des ind pendances images du Sud dans les m dias http bit ly Zq9IMk Le JT de l cran aux publics M dia Animation sort une tude sur le rendez vous m diatique quotidien Elle propose un questionnement travers l analyse de ses deux versants le m dia t l visuel et son public ht
121. t les vacances pour v rifier si tout roule II m est arriv de r ver que je d barquais chauss e de bottes ar m e d une raclette pour r parer les d g ts d une des fr quentes inondations Accepter de tenir les cordons de la bourse de l cole ce n tait pas renoncer aux contacts avec les l ves b J aimais mon m tier d ducatrice mais J avais l impression que je resterais viss e sur ma chaise en 1 secondaire En juin le dialogue avec les l ves s tait bien ins tall en septembre il fallait recommen cer avec les nouveaux venus Les contacts avec les l ves se sont poursuivis sous une autre forme 115 viennent bavarder avec moi quand je m occupe des repas chauds midi ils s attardent le matin pr s de la porte de mon bureau qui leur est toujours ouverte Et puis tous les trois ans une classe en voyage Cette ann e cap sur Malte et la Sicile Propos recueillis par Catherine MOREAU 9 Depuis 2009 les fonctions de comptable dans l enseignement organis par la F d ration Wallonie Bruxelles et d ducateur conome dans l enseignement subventionn sont accessibles aux porteurs d un dipl me du 1 ou du 2 cycle de l enseignement sup rieur orientation co nomique commerciale comptable et en gestion http bit ly VmAMIK 11
122. tp bit ly 13IMFN4 Rapport d inscription Inscrire un jeune dans un tablissement du sp cialis n cessite un rapport Celui ci d termine le type d ensel gnement sp cialis qui correspond aux besoins du jeune et qui est dis pens dans cet tablissement La circulaire 4392 en pr cise les dispo sitions appliquer depuis le 15 avril http bit ly 11CMIiCx Des le ons mixtes pour enseigner l histoire Donner aux femmes le r le qui leur revient dans les cours d histoire c est l objectif d un nouveau manuel istorienne charg e de la formation des futurs enseignants l Universit libre de Bruxelles ULB Anne Morelli observe Dans les manuels d histoire les femmes sont souvent pr sent es comme m re pouse ou fille de ou sous des traits peu flatteurs la cruelle Brunehaut Catherine de M dicis sans scrupules Il arrive aussi qu ils consacrent quelques pages pleines de dates l histoire de la condition f minine De nombreuses recherches ont pourtant mis en vidence le r le jou par les femmes au cours de l histoire Mais le foss demeure entre ces connaissances et leur transmission explique Eliane Gubin historienne et professeure m rite l ULB Or comment veiller l esprit d analyse l esprit critique la vigilance des l ves si on occulte le r le jou par des repr sentantes de la moiti de la population D o la r alisation
123. tre l ves empoisonne la vie des classes et des cours de r cr ation et peut per turber la scolarit de ses auteurs mais aussi des victimes ou des t moins Comment le d celer et y rem dier stefanolunardi Fotolia Conception de la maquette Polygraph sprl polygraph skynet be Vie priv e Afin d envoyer le magazine PROF ses destinataires la F d ration Wallonie Bruxelles AGERS traite les donn es caract re personnel suivantes nom adresse et num ro matricule La F d ration Wallonie Bruxelles ne conserve ces donn es que pendant le temps n cessaire la r alisation de l envoi du magazine Conform ment la loi du 8 d cembre 1992 relative la protection de la vie priv e l gard des traitements de donn es caract re personnel les destinataires du magazine disposent moyennant la preuve de leur identit d un droit d acc s et le cas ch ant d un droit de rectification l gard des donn es caract re personnel les concernant ISSN 2031 5295 imprim ISSN 2031 5309 online Minist re de la F d ration Wallonie Bruxelles Tous droits r serv s pour tous pays Reproduction autoris e pour un usage en classe Pour tout autre usage reproduction d extraits autoris e avec men tion des sources diteur responsable Jean Pierre HUBIN Boulevard du Jardin Botanique 20 22 1000 BRUXELLES Direction de la publication Martine HERPHELIN Tirage 116 000 exemplaires Le
124. truction de la personnalit PROF 2013 Clairement les comportements les apparences hypersexualis s des enfants sont induits par les adultes II est vident que ce ne sont pas les enfants qui ont mis dans les rayons des magasins des strings pour gamines de 6 ans Ce sont les adultes qui cr ent a et qui les ach tent Cest une utilisation consum riste des enfants dont on ne respecte pas les besoins Regardez sur Youtube les concours de mini miss et vous serez atterr on leur fait mal on les maltraite et on lit sur le visage de ces enfants l angoisse de ne pas gagner parce que perdre le concours c est risquer de perdre l amour de ses parents On peut aussi voir a l uvre autour des terrains de sport ou propos des petits Mozart gt Oui le processus est identique Les enfants peuvent tre victimes du narcissisme des adultes Sauf qu en induisant des comportements hypersexualis s vous faites intrusion dans l intimit de l enfant et vous court circuitez son d veloppement naturel br lant les tapes entre la sexualit des enfants et des adultes Comment distinguer ce qui est de l ordre du d veloppement naturel et qui ne l est pas P Quand vous voyez une gamine maquill e et habill e pour un concours avec des chaussures hauts talons taille 29 vous vous rendez bien compte que l motion qui sen d gage nest pas la m me que quand une fillette met la robe
125. u XX si cle avec l exposition Brunfaut s Progressive Architecture jusqu au 9 juin Infos Inge Van Eycken inge atomium be 0479 95 05 94 l op ration Avocat dans l cole fait d couvrir aux 5 et 6 primaires la justice ses m tiers leur fonctionnement le d roulement d un proc s www avocatdanslecole be 500 ans de colonisation au Congo sera distribu e gratuitement d ici juin aux coles Cet outil destin l histoire en 5 6 secondaire comprend neuf fiches th matiques et deux DVD http bit ly VkAdun PROF 2013 PROF 2013 Entr e gratuite l exposition Da Vinci Jusgu au septembre Brussels Major Events Exhibitions cueille l exposition itin rante Da Vinci The Genius la Bourse de Bruxelles Entr e gratuite sur pr sentation de Carte PROF Da Vinci The Genius met en lumi re les multiples facettes de L onard de Vinci 1452 1519 a la fois inventeur artiste anatomisie sculpteur ing nieur musicien ar chitecte philosophe Elle met en sc ne plus de deux cents u objets qu il a cr s ou imagin s On trouvera notamment des r pliques d uvres d art dont La C ne l Homme de Vitruve LAN nonciation et 75 engins grandeur nature bicyclette au tomate engin volant catapulte tank sous marin recr s exactement comme de Vinci les avait imagin s L exposition voque aussi les secrets de La Jo
126. u politique dans la conception et la d finition des r gles d organisation d une institution cl d une soci t d mocratique et manci patrice celle de l enseignement et de la formation D C O http bit ly 10QEHQv PROF AVRIL 2013 TABOR or not TABOR D but mars tous les tablissements secondaires ordinaires et leurs pouvoirs organisateurs ont re u leur premier TABOR L TABOR pour TAbleau de BORd est un ensemble de donn es chiffr es caract re administratif et statistique condens es sur un seul document papier On y trouve la carte d identit administrative de l tablissement sa structure la situation du personnel les parcours des l ves les moyennes des r sultats les taux de redoublement et de retard la certification Cet outil permet aux directions avec leurs quipes ducatives si elles le d sirent un travail de compr hension du fonctionnement de leur tablissement un moment donn qui alimente leurs choix ducatifs Depuis 2011 chaque ann e l Administration l envoie chacun des tablissements du fondamental ordinaire et son pouvoir organisateur La version pour le secondaire envoy e en mars se d cline aussi par degr forme Chacun des degr s pour chacune des formes denseignement de l tablissement est pr sent en reprenant les parcours principaux des l ves les attestations d livr es les taux de redoublement explique Claude Del
127. vec des anima tions en physique et en chimie e http seveso be pour savoir faire en cas d accident industriel e http bit ly 140Gj09 sur les identit s num riques 24 Fabcamp co construit du savoir num rique Dans le cadre d Ecole num rique Technofutur TIC et P dago TIC ont imagin une formation aux usages num riques en co construction sur le terrain annut un mercredi apr s midi de f vrier ric Mottet la personne res source TIC de l cole fondamentale Saint C ur de Marie accueille une douzaine de personnes pour un Fabcamp atelier de fabrication de cours l aide du num rique II y a l des instituteurs trices des directeurs trices du fondamental un enseignant d une haute cole venus de Au Fabcamp des enseignants co cr ent des ressources pour l usage p dagogique des TIC diff rents r seaux Un tour de table fait apparaitre deux demandes d cou verte des tableaux blancs interactifs et des tablettes Le groupe se scinde alors en deux ateliers un par th matique les participants changeant d atelier apr s une heure de travail Le Fabcamp est une r union d ensei gnants qui co cr ent des ressources p da gogiques ou mettent en place des pro cessus permettant leur cr ation explique S bastien Reinders 5 partent des besoins et questions de cha cun pour cr er des amorces de r ponses Deux
128. xpression des sentiments et la communication non violente explique Marie Henry psychologue La Chaloupe Ensuite la demande de la directrice et de l institutrice nous assistons une r union de parents Une derni re s ance permet d valuer que la classe a retir et comment les l ves l ont appliqu dans la vie l cole Nous commen ons par des jeux o il faut coop rer puis nous faisons des sketchs pour apprendre communiquer sans se crier dessus expliquent Cl o et Anna deux l ves Puis on apprend dire Quand tu me parles comme cela je me sens pas bien j aimerais que tu arr tes car j ai besoin de me sentir mieux ajoute Christelle a nous fait rigoler car cela ressemble une formule magique mais on voit bien que c est s rieux que cela marche Efficace Maintenant on se parle va mieux on se respecte plus reconnaissent les enfants l entente l ambiance sont meilleures dans la classe m me s il reste des clans des affinit s selon les personnalit s confirme l institutrice No lle Cattelain Les sentiments s expriment plus spontan ment lors des temps de parole lors d un conflit trop piquant je demande mes l ves de jouer la situation autrement en r servant une place l humour Et l institutrice de souhaiter que cette formation soit donn e toutes les classes ainsi qu au personnel qui assure la surveillance de la cour de r cr ation et des garderi

T`ar ta gueule à la récré - Enseignement en Communauté française

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