CR groupe de travail du CLSM 20ème 20 7 12 3
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1. avaient chang s a Les outils ou actions existants e Le groupe de travail Intervision Axel GAUTHIER de l ASM 20 anime ce groupe de travail avec les assistantes sociales d ICF e Un guide d accompagnement Il existe d j un livre blanc sur le logement des personnes en difficult psychique Paris L objectif pour les partenaires est de le mettre jour b Les outils ou actions r activer e Des formations ou des Formations actions sur la sant mentale Des formations ont t anim es par Axel GAUTHIER de l ASM 20 Paris habitat Celui ci se propose de construire un programme avec l aide une personne support sur les logiciels de pr sentation comme power point c Les outils ou actions d velopper e Un mode d emploi des fonctions et des comp tences CR avec les corrections du groupe de travail au 27 jullet 2012 4 Le guide devra fournir une pr sentation d taill e des partenaires avec leurs contacts et le cadre de leur intervention e Le partage d organigramme Avant m me la cr ation d un guide les partenaires devront communiquer leur organigramme pour identifier les personnes ou les groupes de personnes r f rentes sur le XX me e Le point secteur ou commission logement du CLSM du XX me Il est propos par Anne GUILBERTEAU Coordinatrice de ASV 20 que le groupe de travail soit le comit de pilotage de la commission logement Il serait donc compos des bailleurs de l ASM 20 des servi2. les outils utilis s sur d autres territoires LISTE DES PERSONNES PRESENTES Pour l atelier sant ville ASV 20 Anne GUILBERTEAU Coordinatrice de l ASV 20 a guilberteau croix saint simon org Pour la DASES Martine BONNOT Responsable service social D partement Polyvalent martine bonnot paris fr Pour l association sant mentale du XX me l ASM 20 et le Centre hospitalier Maison blanche Axel GAUTHIER psychologue clinicien ASM20 centre la m tairie axel gauthier ch maison blanche fr Andre TORTELLI psychiatre quipe appartements associatifs des 27 28 29 atortelli wanadoo fr me secteurs Pour les bailleurs sociaux Sandrine BORS Assistante sociale de Coop ration et Famille shors coop rationfamille fr La la LALAM RIVP DT Nord Laila lalam rivp fr Philippe LAMBERT Paris Habitat OPH D T Est p lambert parishabitatoph fr Claire OLIVIER Responsable action social FIAC BATIGERE IDF claire olivier batigere fr Lucia SOBRAL RIVPDT Sud lucilia sobral rivp fr Adeline SOLVAR Charg e de mission AORIF a solvar aorif org CR avec les corrections du groupe de travail au 27 jullet 2012 1 I Les dispositifs de partenariat des organismes Les partenaires ont pr sent dans un premier temps les initiatives de leur organisme Philippe Lambert pour Paris habitat rappelle l historique du partenariat d velopp sur la sant mentale par la Direction territoriale DT Est de l office Au d part
3. GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL LOCAL DE SANTE MENTALE CLSM DU XX ME ARRONDISSEMENT REFLEXION D UN PARTENARAIT ENTRE LE CLSM ET LES BAILLEURS SOCIAUX 20 juillet 2012 RAPPEL DU CONTEXTE L ordre du jour du CLSM du XX me du 9 Juillet tait Faciliter l acc s et am liorer le maintien dans les logements sociaux des personnes en situation de vuln rabilit psycho sociale dans le XX me arrondissement de Paris Il a t d cid la fin de cette rencontre de r fl chir un partenariat entre le conseil local de sant mentale du XX me et les bailleurs sociaux Un groupe de travail s est donc constitu pour r fl chir la mise en uvre de ce projet Il a t organis le 20 juillet 2012 voici son compte rendu LES OBJECTIFS 1 Observer les dispositifs de partenariat mis en place l int rieur de chacun des ONSANISM S 2 552520 tent tea straeteronreate eo E EEE 2 page 2 Evaluer les actions les plus pertinentes pouvant tre mises en uvre pour d velopper un partenariat entre les bailleurs et le CLSM du XX me 4 page 3 D finir un calendrier de travail sisi 6 page LES DOCUMENTS DISTRIBUES ET EVOQUES Il a t voqu l existence d un livre blanc du logement des personnes en difficult psychique sur Paris l usage des bailleurs sociaux paru en 2004 L ASV 20 a pr sent la formation action inter ASV et les fiches de pr sentation des partenaires L AORIF 75 a constitu un document r unissant
4. ataire et un entretien pas mois avec l quipe appartement et ou l quipe sectorielle r f rente du patient Tout comme Philippe Lambert Axel Gauthier souligne que ces partenariats se sont constitu s gr ce la participation de personnes cl s Madame Sylvie Planade a par exemple jou un r le important dans la mise en uvre de ce r seau Pour que nous puissions travailler en partenariat il est donc important d identifier ces personnes r f rentes Les participants s accordent alors pour r unir tr s rapidement les noms des r f rents dans un m me document Les participants s accordent aussi sur la nomination dans chaque instance de personnes coordinatrices dans le r seau professionnel Ces professionnels devront repr senter les gardiens les services sociaux les secteurs les soignants et les commissariats Anne GUILBERTEAU Coordinatrice de ASV 20 pr sente alors les outils d velopp s par l atelier e Un guide d accompagnement a t d velopp pour lutter contre les violences faites aux femmes Pour cet outil les institutions ont travaill sur 2 ans au rythme d une r union tous les 1 5 mois C est en construisant l outil que le r seau s est organis e Un mode d emploi des fonctions et des comp tences de chaque acteur a t labor e Une Formation action mieux accueillir et orienter les personnes en situation de souffrance psychique sur deux jours a t organis pour to
5. bl mes de sant mentale la communaut s est rapproch e des h pitaux psychiatriques et a mis en place un atelier sant mentale auquel participent les bailleurs sociaux Anne GUILBERTEAU Coordinatrice de ASV 20 pose la question des moyens mis en uvre pour garder une tra abilit Elle propose la mise en place d une cellule de veille qui gr ce des fiches de liaison suivrait les dossiers Adeline SOLVAR note que pour constituer une connaissance partag e sur les troubles de sant mentale des locataires il n est pas n cessaire de laisser une trace crite En effet certain partenariat n utilise pas de compte rendu de leur change C est le cas de Nantes qui poss de un r seau sant mentale L un des outils principal de ce r seau est Le Point secteur C est un espace de concertation Il r unit des professionnels des services psychiatriques du CHU des bailleurs sociaux et de la ville de Nantes autour de situations individuelles de personnes en difficult CR avec les corrections du groupe de travail au 27 jullet 2012 3 Les participants souhaitent garder une trace des changes gr ce des comptes rendus Les tudes de cas pouvant tre anonymes ou non retranscrites Les participants souhaitent travailler sur le model des points secteur Anne GUILBERTEAU propose de nommer cette espace de concertation commission logement du CLSM du XX me dans l objectif de recueillir des financement
6. ces sociaux d partementaux polyvalents SSDP des 3 secteurs psychiatriques et l ASV 20 II serait port par les lus locaux travers le conseil local de sant mentale CLSM e Un Forum Claire OLVIER Responsable action sociale du FIAC BATIGERE IDF rappelle qu en 2010 il a t organis par l AORIF 93 un forum sur la sant mentale Elle rel ve que les bailleurs sociaux ne s y taient pas d placer en grand nombre Anne GUILBERTEAU Coordinatrice de l ASV 20 propose que si les partenaires organisent un forum il devra tre mis en place par l ensemble des acteurs et non par une seule association Cette liste de propositions sera pr sent e au prochain conseil local de sant mentale le 24 septembre 2012 Actuellement les changes restent ouverts sur les enjeux suivants e La place du locataire dans le partenariat Suite l exemple de l Atelier sant ville d Aubervilliers qui introduit le malade dans le partenariat il a t propos de r fl chir la place de celui ci dans le partenariat e La p rennit du partenariat Les partenaires se posent la question de la p rennit des outils Le partenariat tant bas sur le volontariat et l engagement il a t propos que ce projet soit port par la ville travers le CLSM e La communication Il a t propos de communiquer sur ce partenariat via le site internet de la mairie du XX me e Les moyens Il a t propos de voir dans quel
7. hiatrie est aussi de pr venir les situations d urgence Il est donc important de mettre en place un syst me de veille Philippe Lambert pour Paris habitat souligne qu aujourd hui il est difficile pour les bailleurs de qualifier et d valuer les difficult s sociales rencontr es par les locataires En effet la constitution d informations sur les m nages du parc est encadr e par la CNIL Une exp rience a exist sur la DT en ce qui concerne les troubles de voisinage Un conseill suret avait valu et quantifi les troubles sur l ensemble du patrimoine de la Direction Chaque incident avait ensuite t suivi par les conseill res sociales de l office Aujourd hui le bailleur ne peut plus travailler avec ces m thodes Andre TORTELLI psychiatre du 27 28 29 secteur de l ESP de maison blanche membre de l ASM 20 trouve cette exp rience int ressante Pour Axel GAUTHIER ce sont la cr ation d outils qui permettent de l gitimer l intervention des CMP Adeline SOLVAR AORIF 75 rappelle que sur l agglom ration du Grand Lyon la r flexion partenariale sur la sant mentale a d but aussi par un groupe de travail sur les familles cr ants d importants troubles dans leur environnement Le groupe compos de repr sentants des communes des services sociaux et des bailleurs sociaux a labor une charte pour traiter ces situations En prenant conscience qu une part significative des m nages de ce partenariat avait des pro
8. l attention du bailleur tait port e sur les impay s de loyer La gestion avait comme objectif de surveiller et de g rer les dettes locatives Avec la cr ation des directions territoriales en 2004 l office a d velopp des comp tences nouvelles tourn es sur une gestion sociale Sur la DT 6 conseill res sociales ont t recrut es Elles travaillent sous la direction d une responsable d action sociale Fadma Peraldi Aujourd hui l office s est dot au niveau si ge d une Direction de la coh sion sociale Pour Phillipe Lambert le r seau constitu par la DT EST est surtout li l action de la Responsable de l action sociale qui a permis de d velopper des formations et des groupes de travail Axel GAUTHIER de l association sant mentale du 20 ASM 20 rappelle les outils d velopp s avec l office e Le groupe de travail Intervision avait pour objectif de partager des cas concrets et des pratiques professionnelles e Des formations sur 2 ans avec les Responsables de l action sociale RASI de Paris Habitat et d ICF 4 5 fois par an ont t organis es Elles existent toujours avec ICF En contrepartie le bailleur fournit l ASM 20 un appartement en bail associatif Les baux glissants sont rares sur Paris mais Axel Gauthier propose d effectuer une premi re exp rience dans le 20 avec un accompagnement soutenu L ASM 20 assure au bailleur l organisation de 2 visites par mois aupr s du loc
9. le mesure ce groupe de travail pourrait former une association pour recevoir des subventions et pourrait tre identifi en tant que commission logement du CLSMI CR avec les corrections du groupe de travail au 27 jullet 2012 5 Juillet 1 Lundi 9 CLSM du XX me Mairie du XX me Pr sentation des besoins des bailleurs 2 Vendredi 20 Groupe de travail L ASV 20 45 rue Ramponeau 75020 R flexion sur des outils partenarial du CLSM sur le logement 3 Vendredi 27 Visite de la m tairie La m tairie 5 cours de la m tairie 75020 D couverte de la m tairie Correction du CR du groupe de travail Ao t CR avec les corrections du groupe de travail au 27 jullet 2012 3 Le calendrier de travail Septembre 1 Lundi 24 Conseil local de sant mentale Mairie du XX me Pr sentation des outils propos s par le groupe de travail Priorisation des outils propos s 2 Jeudi 27 Comit de pilotage de la commission logement Service sociale 45 rues des tourelles 75020 En fonction des priorit s Elaboration de sc narios Proposition d actions d taill es en fonction des sc narios Octobre Novembre 1 Conseil local de sant mentale Mairie du XX me Pr sentation des sc narios Choix d un sc nario et de son programme d action pour 2013
10. s Les participants approuvent cette proposition La la LALAM interpelle alors les participants sur la n cessit de communiquer avec les soignants et le soign tout au long des soins Il y a donc la pr vention l urgence mais aussi le retour du locataire dans son logement Axel GAUTHIER r agit en rappelant qu aujourd hui les professionnels parlent d alliance th rapeutique comme tant un pr requis du soin Pour Andre TORTELLI il faut avant tout savoir jusqu o le m decin doit informer car tout ne peut pas tre dit Martine BONNOT Responsable service social D partement Polyvalent voque la possibilit de travailler et de transmettre de l information avec l accord du locataire Anne GUILBERTEAU Coordinatrice de l ASV 20 voque la possibilit d identifier et de proposer aux m nages qui le souhaitent de travailler sous leur contr le Elle prend exemple sur l Atelier sant ville d Aubervilliers qui introduit le locataire dans le partenariat Axel GAUTHIER souligne qu il serait int ressant de r fl chir une plus grande chelle non sur le droit au logement mais sur le droit au logement accompagn Il note que cet accompagnement doit s largir aux aidants C est ce que nomme le Docteur Mercuel l aide aux aidants 2 Les actions et outils pouvant tre mis en uvre pour d velopper un partenariat entre les bailleurs et le CLSM du XX me Les participants ont fait la liste des outils sur lesquels ils
11. us les professionnels et ou b n voles intervenants dans les quartiers de la politique de la ville Les participants s accordent alors pour d velopper des actions similaires sur la sant mentale CR avec les corrections du groupe de travail au 27 jullet 2012 2 Pour La la LALAM de la DT Nord de la RIVP toute la difficult est d avoir des contacts avec le CMP Le bailleur est trop souvent confront des retours de lettres recommand es adress es au service de sant La RIVP ne dispose pas du m me dispositif que Paris Habitat La DT Nord a toutefois deux m diateurs et s appuie sur le professionnalisme de ses gardiens Pour La la LALAM il est donc important de travailler avec les organigrammes des institutions car les bailleurs n ont pas les m mes fonctionnements La la LALAM interpelle ensuite les professionnels sur le traitement des situations d urgence Les difficult s rencontr es au niveau local poussent trop souvent les organismes travailler avec la pr fecture de police Son t moignage illustre les r sultats du sondage sur les besoins des bailleurs de juin 2012 Il a t rappel que si 50 des bailleurs travaillent avec la police seuls 25 travaillent avec les secteurs psychiatriques ou les conseils locaux de sant mentale Les participants s accordent pour partager leur organigramme avant l laboration d un guide Axel GAUTHIER de l ASM 20 rappelle que tout le travail de la psyc
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