guide juridique et références - Rhin
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1. veiller v rifier qu l issue du projet les contraintes et les charges qui pourraient peser sur le nouveau gestionnaire des emprises sont compatibles avec ses capacit s techniques et ses ressources2. elle porte sur les objets de d cisions suivants Mise en oeuvre de la proc dure SAGE cf article 5 de la loi sur l eau 1992 Installations ouvrages travaux soumis autorisation ou d claration d finis dans la nomenclature objet du d cret d application de l article 10 de la loi sur l eau 1992 pr l vements rejets Prescriptions nationales ou particuli res fix es par le d cret d application de l article 9 de la loi sur l eau 1992 s cheresse accidents inondations Installations class es pour la protection de l environnement cf article 14 de la loi sur l eau 1992 Perimetres de protection des captages d alimentation en eau potable cf article 14 de la loi sur l eau 1992 Affectations temporaires de d bits certains usages cf article 15 de la loi Plans de pr vention des risques naturels cf loi du 2 f vrier 1995 Travaux conservatoires n cessit s par l abandon d exploitations mini res cf article 17 de la loi sur l eau 1992 Documents d orientation et de programmation des travaux des collectivit s territoriales et de leurs groupement syndicats mixtes vis s dans l article 31 de la loi sur l eau 1992 tels que am nagements et entretien de cours d eau approvisionnement en eau ma trise des eaux pluviales et du ruissellement d fense contre les inondations d pollution protection des eaux souterraines protection et restaurat
3. Le SDAGE nonce dans son chapitre IV des mesures qui correspondent des objectifs majeurs ou des priorit s fortes qui appellent la pleine application des principes de compatibilit et de prise en compte dans un cadre r glementaire explicit dans le guide juridique ainsi que des mesures qui s adressent aux partenaires dans une logique de forte incitation Le SDAGE n est pas un simple recueil de dispositions r glementaires existantes ces derni res n ont pas besoin du SDAGE pour exister Le SDAGE en les rappelant les replace dans le contexte g n ral de la politique de l eau du bassin pour une meilleure vision et coh rence d ensemble He Le SDAGE ne peut pas son niveau reduire des droits existants modifier des proc dures ou empi ter sur des niveaux de d concentration encadr s par des dispositions l gislatives des d crets ou des arr t s dict s au niveau central ou au niveau d partemental II d gage en revanche des principes des orientations des priorit s communes qui vont encadrer l exercice des polices administratives 1 2 Les notions de d cisions dans le domaine de l eau et hors du domaine de l eau Il convient d identifier les d cisions prises dans le domaine de l eau pour lesquelles la compatibilit avec le SDAGE s impose Cette identification a fait l objet d une d finition plus pr cise bien que non exhaustive au paragraphe 7 de la circulaire du 15 octobre 1992 relative au SAGE
4. s en r f rence ou sous couvert du SDAGE il va de soi que celui ci sera un l ment fondamental dans l volution de la loi sur l eau par la voie de la jurisprudence N anmoins il faut garder a l esprit que le SDAGE repr sente un ensemble homogene et que l extraction de quelques mesures ne doit pas faire oublier la coh rence d ensemble du document qui constitue un tout indissociable permettant de saisir les orientations fondamentales du SDAGE 8 C est donc dans l ventualit d un contentieux le juge investi de son pouvoir d interpr tation qui compte tenu de la r daction globale du document soumis son appr ciation pourra pour certaines mesures du SDAGE justifier l application de la notion de compatibilit ou bien l application de la notion de prise en compte De plus le juge appr ciera si l administration au moment de la prise de d cision disposait d un pouvoir discr tionnaire ou au contraire d une simple comp tence li e Il ya pouvoir discr tionnaire lorsque en pr sence de circonstances de fait donn es l administration est libre de prendre telle ou telle d cision en la motivant autrement dit lorsque sa conduite ne lui est pas dict e l avance par le droit par exemple en mati re de choix d un mode de fili re d assainissement Il y a au contraire comp tence li e lorsque l administration est tenue de prendre telle ou telle d cision c est dire lorsque sa conduite lui est d
5. 68 Page 68 les impacts de l extraction des mat riaux ou de la mise en oeuvre de mat riaux allochtones r utilisation d anciens d p ts notamment les pollutions par temps de pluie les pollutions accidentelles l artificialisation des milieux s assurer en concertation avec le ma tre d ouvrage que les points de contr le qui permettront de suivre l volution du milieu et l impact du projet a partir de l tat z ro initial sont d finis s assurer que les dispositifs destin s compenser les effets sur le milieu soient con us pour pouvoir tre entretenus facilement s assurer que l exploitant de ces dispositifs soit bien identifi qu il dispose des capacit s techniques et pr sente la garantie de p rennit pr coniser la r alisation d un suivi une fr quence de l ordre de 5 ans du comportement de la flore et de la faune pour tout projet soumis autorisation et n cessitant des mesures de r duction ou de compensation de l impact sur une zone humide IV E 3 Garantir la remise en tat et valorisation apr s le projet Page 68 Page 68 Page 68 S assurer que les mesures mettre en oeuvre pour la remise en tat et une nouvelle utilisation des emprises sont bien envisag es et financ es par le projet Veiller ce que ces mesures aient une d finition technique suffisante et satisfaisante du point de vue des nouveaux quilibres recherch s l issue du projet
6. Ainsi le SDAGE fournit des indications utiles la prise en compte de ses objectifs aux autorit s charg es de l laboration de documents particuliers Sch mas d partementaux de Vocation Piscicole Sch mas d partementaux des Carri res et celles charg es des prises de d cisions Urbanismes Installations Class es On soulignera toutefois que le respect au fond de la loi sur l eau 1992 c est a dire la coh rence des d cisions avec les dispositions du SDAGE reste de mise pour les th mes ayant un impact sur le domaine aquatique 1 6 La port e des l ments cartographiques du SDAGE La port e juridique du SDAGE s analyse aussi bien au niveau du contenu de ses dispositions qu au niveau de leur repr sentation graphique Il convient donc de pr ciser que la cartographie retenue dans le document de SDAGE proc de avant tout d un but p dagogique et vise en premier lieu donner une localisation grand trait ou par live des secteurs g ographiques o il entend faire porter son action Cette localisation est en outre rapprocher des atlas r alis s au niveau du bassin et pourra ult rieurement tre compl t e et affin e par les documents d application du type SAGE voir aussi introduction du document cartographique 9 En compl amp ment aux fiches d information reglementaire du guide juridique les services instructeurs de l Etat ont mis le souhait de disposer d un moye
7. Schema Directeur d Am nagement et de Gestion des Eaux du Bassin Rhin Meuse guide juridique et r f rences Document r alis par la DIREN de BASSIN RHIN MEUSE avec le concours de l Institut pour une Politique Europ enne de l Environnement et de l Agence de l eau Rhin Meuse Sommaire 1 Guide Juridique l Pr ambule Fiches r flexes Fiches d information r glementaires 2 R f rences 61 Liste des documents d tapes du SDAGE RhinMeuse Liste des documents d int r t pour l application du SDAGE Personnalit s ayant particip aux travaux d laboration du projet de SDAGE Rhin Meuse Liste des acteurs de l eau ayant particip aux travaux d laboration du projet de SDAGE Rhin Meuse Octobre 1996 ertissement Le Sch ma Directeur d Am nagement et de Gestion des Eaux SDAGE est un outil d orientation dans le domaine de l eau dont la mise en oeuvre soul ve des questions de la part des acteurs de l eau ce qui est normal s agissant d une d marche nouvelle L articulation entre le SDAGE la r glementation et les autres outils d orientation et de planification est la question la plus souvent pos e Le pr sent document se veut tre un guide juridique qui num re les principaux textes r glementaires relatifs aux d cisions administratives de l Etat des collectivit s territoriales et de leurs tablissements publics dont l application est li e au respect des mesures du SDAGE cit es dans
8. ce document A ce titre il sera utile pour les services de l Etat dans leurs missions de police mais aussi tous ceux concern s par son application Il convient toutefois de garder l esprit que le SDAGE est avant tout un document d encadrement des Sch mas d Am nagement et de Gestion des Eaux SAGE et que dans leur grande majorit les d cisions individuelles devront se r f rer aux SAGE approuv s plut t qu au SDAGE Le pr sent guide juridique ne constitue pas un recueil exhaustif des textes r glementaires en mati re de gestion de l eau il s agit d un guide pour faciliter une lecture juridique du SDAGE Le document comprend trois parties 1 un pr ambule explicitant la port e juridique du SDAGE dans l tat actuel de la connaissance en la mati re 2 des fiches r flexes devant permettre un service instructeur d une d cision administrative de se rapporter rapidement aux principales mesures du SDAGE concern es par cette d cision 3 des fiches d information r glementaire pour certaines mesures du SDAGE Ainsi pour chaque mesure ou objectif du SDAGE cit dans le guide est rappel le titre la page dans le document principal SDAGE pour situer la mesure l nonc de la mesure ou de l objectif du SDAGE concern le cadre l gal et r glementaire devant fournir aux lecteurs les clefs pour une approche juridique d autres r f rences ainsi que des initiatives des acteurs utiles reconna tre u
9. e les dispositions de ces sch mas directeurs La loi sur l eau proc dant une hi rarchisation entre les notions de compatibilit et de prise en compte il convient de d finir ce qu on entend juridiquement pour chacune de ces notions conform ment la doctrine juridique en vigueur Compatibilit II ne faut pas qu une d cision en l occurrence programmes et d cisions administratives dans le domaine de l eau prises par l administration au sens large y compris les Collectivit s Locales les Etablissements Publics de l Etat nationaux et locaux etc soient contraires aux dispositions fix es par le SDAGE ou ne puissent compromettre la r alisation des objectifs de ce dernier Prise en compte Il s agit de la prise en consid ration du SDAGE lors de l laboration d une d cision administrative en dehors du domaine de l eau qui ne peut l ignorer En mati re de prise en compte la jurisprudence est moins bien tablie qu en mati re de compatibilit n anmoins il appara t possible d tablir une analogie entre les SDAGE et les inventaires ZNIEFF chacun de ces documents n tant pas opposable aux tiers mais devant tre pris en compte par l autorit charg e de prendre une d cision Or une jurisprudence constante admet que la m connaissance de l existence d une ZNIEFF constitue une erreur manifeste d appr ciation et il est donc raisonnable de penser qu il en sera de m me pour le SDAGE
10. ict e l avance par la r gle de droit par exemple en mati re d autorisation de pr l vement ou de rejet Le contr le juridictionnel permettra ainsi en mati re de compatibilit de v rifier si pour une d cision donn e une erreur manifeste d appr ciation a t commise c est dire celle ci est contraire ou compromet la r alisation des objectifs du SDAGE son chelle et dans sa dur e De m me en mati re de prise en compte il pourra v rifier que la d cision prise n a pas m connu l existence du document de SDAGE 1 4 Les rapports SDAGE Droit de l urbanisme Le SDAGE constitue un instrument de coh rence dans le domaine de l eau dont la planification d urbanisme doit tirer profit et enseignement Ainsi si le SDAGE doit prendre en compte les principaux programmes arr t s par les collectivit s publiques de m me les documents d urbanisme et les autorisations de construire ou d am nagement urbain SDAU POS permis de construire ZAC lotissement devront prendre en compte le SDAGE voire tre compatibles avec lui par exemple en mati re de zonages en assainissement de protection des captages d eau potable ou en mati re de plans de pr vention des risques naturels li s aux questions d inondations 1 5 Les rapports SDAGE L gislations th matiques sp cifiques Le SDAGE affiche aussi des orientations se rapportant des op rations relevant de l gislations autres que celles de l eau
11. ion des sites cosyst mes et zones humides Am nagement entretien et exploitation des cours d eau canaux lacs et plans d eau domaniaux conc d s aux collectivit s territoriales et syndicats mixtes cf article 33 de la loi sur l eau 1992 D finition par les collectivit s territoriales des zones d assainissement collectif des zones relevant de l assainissement non collectif des zones o des mesures doivent tre prises pour limiter l imperm abilisation des sols des zones o il est n cessaire de pr voir des installations sp cifiques de protection du milieu naturel cf article 35 de la loi sur l eau 1992 Autorisation et r glement d eau annex aux nouvelles concessions cf article 47 de la loi sur l eau 1992 et d cret proc dure du 13 10 94 Reglements d eau des ouvrages futurs ou existants en cas de r vision Les actes de gestion du domaine public fluvial Ainsi que les programmes et les d lib rations des Conseils d administration des Agences de l eau De m me il convient de souligner que les d cisions prises en dehors du domaine de l eau qui ont une incidence indirecte mais certaine sur le milieu aquatique qu il s agisse par exemple d un plan ou d un programme doivent prendre en compte le SDAGE lors de leur laboration ou de leur r vision 1 3 Le contr le juridictionnel du SDAGE En ce qui concerne le contr le juridictionnel effectu sur les actes promulgu
12. ite sans risque de contamination des eaux souterraines IV B 8 3 Inciter la substitution des graves alluvionnaires par d autres mat riaux Page 57 Page 57 Page 57 Ces mesures concernent les zones de consommation de mat riaux o la ressource en mat riaux alluvionnaires est essentiellement situ dans des lits majeurs de faible extension lat rale proc der des tudes et des recherches de mat riaux locaux permettant de limiter le recours aux ressources alluvionnaires inciter les ma tres d oeuvre r viser leur cahier des charges pour favoriser cette substitution en conservant la qualit et la durabilit des ouvrages construits inciter des op rations de d monstration et des tests d preuve des nouveaux mat riaux IV E 2 Int grer la gestion globale de l eau dans la conception des projets Page 68 inciter les ma tres d ouvrage acqu rir le plus t t possible dans la conception du projet les connaissances qui seront n cessaires pour poursuivre la conception d taill e ult rieure selon les principes d une approche globale des questions relatives l eau les effets de rejets sur la qualit du milieu r cepteur les impacts de l imperm abilisation des sols les impacts des modifications des temps de concentrations la modification du couvert v g tal la pr servation des zones humides et des champs d expansion des crues Page 68 Page 68 Page
13. misation de l artificialisation du cours d eau long terme sera galement pris en compte Dans l attente de l approbation de chaque carte ces crit res figureront parmi les principaux crit res d appr ciation de l tude d impact du projet d exploitation de carri res IV B 8 2 Inciter la valorisation et au maintien du bon tat des sites apr s exploitation Page 57 Page 57 int grer d s l instruction de la demande d autorisation une orientation consensuelle pour la valorisation ult rieure du site en fin d exploitation Le demande d autorisation d exploiter une graviere pr cisera les dispositions prises par l exploitant et le propri taire pour s assurer que pendant l exploitation de la carri re les conditions de p rennisation du bon tat du site apr s exploitation restent r unies d finition pr visionnelle de la vocation du site r am nag d finition pr cise des modalit s de r am nagement tant pour la part qui incombe l exploitant que celle incombant au propri taire il est recommand que cet engagement soit compl t sur les points suivants pour appr cier la coh rence long terme du projet valuation des modalit s et du co t de gestion post exploitation d finition pr visionnelle par le propri taire des moyens qui seront mis en oeuvre pour assurer cette gestion Les conditions de r am nagement doivent favoriser la valorisation et la p rennisation du bon tat du s
14. n cours commentaire qui restitue la mesure dans un contexte g n ral et me tionne les relations entre les diff rentes mesures ambule SUR LA PORT E JURIDIQUE DU SDAGE Dans la hi rarchie des textes juridiques la port e juridique du SDAGE est inf rieure celle des conventions internationales des lois et de leurs d crets et arr t s d application Cependant du fait de son approbation par le Pr fet coordonnateur de bassin il devient un acte administratif dont la valeur juridique est certaine Aussi le pr sent guide a pour objet de pr ciser la port e juridique du SDAGE autant que faire se peut dans l tat actuel de la jurisprudence en la mati re Il explicite ce qui est entendu par les notions de compatibilit et de prise en compte il nonce les principales d cisions faisant partie du domaine de l eau il relate les relations entre le SDAGE et les sch mas directeurs d urbanisme et plus g n ralement entre le SDAGE et les autres l gislations sp cifiques 1 1 Les notions de compatibilit et de prise en compte La loi sur l eau du 3 janvier 1992 stipule dans son article 3 Un ou des SDAGE fixent les orientations fondamentales d une gestion quilibr e de la ressource en eau Les programmes et les d cisions administratives dans le domaine de l eau doivent tre compatibles ou rendus compatibles avec leurs dispositions Les autres d cisions administratives doivent prendre en compt
15. n rapide pour identifier les principales mesures du SDAGE examiner dans l instruction d une d cision administrative En effet il est int ressant pour celui qui doit appliquer le SDAGE de disposer au sein du guide juridique d un mode d emploi du document comportant une liste des points v rifier avant toute prise de d cision le projet ou le probleme qui m est soumis al une influence directe ou indirecte sur le milieu aquatique comment s inscrit il dans les 10 grandes orientations du SDAGE pour quels th mes dois je avoir une attention de mani re g n rale et compte tenu du cas d esp ce une attention particuli re Aussi ce mode d emploi du guide juridique a t construit de la fa on suivante afin qu il soit d un usage pratique et direct pour les utilisateurs 1 Les principaux th mes qui sont trait s lors d instructions administratives ont t identifi s et sont r capitul s sur la liste ci jointe Ces th mes concernent les autorisations donn es au titre de la police de l eau de la police de la p che de la police des installations class es ou de l urbanisme 2 Pour chacun de ces th mes les mesures les plus concern es du SDAGE sont identifi es Toutefois il faut garder l esprit que le SDAGE repr sente un ensemble homog ne et que l extraction de quelques mesures ne doit pas faire oublier la coh rence d ensemble du document ches reflexes 3 Cette d marche se trad
16. opposables veiller la pr servation des zones humides des p rim tres de protection des captages des gisements des nappes aquif res et de la morphologie des cours d eau en prenant en compte la typologie des cours d eau Page 57 toute exploitation de granulats dans le lit mineur est interdite dans le cadre des dispositions r glementaires existantes conform ment aux dispositions de l arr t minist riel du 22 septembre 1994 Page 57 le principe g n ral est d interdire toute exploitation de granulats dans les situations g ographiques particuli res suivantes les zones de mobilit r siduelle des cours d eau les zones exceptionnelles du point de vue biologique Page 57 dans les espaces du lit majeur orienter l exploitation des granulats et minimiser le plus possible l impact sur l artificialisation du cours d eau long terme En particulier l exploitation des granulats ne devra pas n cessiter d artificialisation suppl mentaire des berges ou du lit du cours d eau autre que celle r sultant des ouvrages hydrauliques de mise en communication entre cours d eau et gravieres ou de mesures pr ventives contre les crues lorsque la protection de la nappe le n cessite Page 57 Dans le cadre de l laboration des SDC une carte de synth se pr cisera les zones correspondant aux deux crit res mentionn s ci dessus de motivation des interdictions Dans l laboration des SDC le crit re de mini
17. uit par l laboration de fiches r flexe A titre d exemple la fiche r flexe concernant le th me carri re est joint ci apr s elle rappelle les 19 mesures du SDAGE qui visent principalement la probl matique carri res Ces fiches r flexe sont compl mentaires aux fiches d information r glementaire du guide juridique puisque l utilisateur une fois qu il aura identifi les mesures pr cises du SDAGE appliquer pourra retourner aux fiches d information r glementaire pour y trouver les principales sources r glementaires existantes et utilisables ste recapitulative DES THEMES DES FICHES REFLEXE iche reflexe POUR ANALYSE DE COMPATIBILITE O U PRISE EN COM PTE Th me Carri res IV A 2 2 2 Principes de gestion des nappes vuln rables et des cosyst mes associ s Page 40 viter la contamination de la nappe par les points d acc s forages puits d irrigation gravi res gouffres puits de mines etc par des r am nagements ad quats l arr t de l exploitation IV 1 2 3 7 G rer la nappe des calcaires de Oxfordien et des alluvions de la Meuse moyenne Page 43 inciter au maintien de surfaces alluviales non gravierables pour les besoins en eau long terme IV B 8 1 Encourager les exploitants de carri res poursuivre la mise en oeuvre de bonnes pratiques environnementales Page 56 dans les Sch mas D partementaux des Carri res SDC les SAGE et autres documents
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