bulletin d`information et de propagande concernant les
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1. Puissance E Puissance Puissance Puissance Nombre en kW Nombre en kw Nombre en KW Immeubles de rapport enti rement chauff s l lectricit 3 350 180 Appartements dans ces immeubles 40 Installations isol es Habitations particuli res 5 3 80 3 80 8 Chauffage total d appartements 3 1 392 308 2 735 460 6246 1 094 10 373 Chauffage d appoint d appartements 1200 3835 90 4770 485 2 845 2 595 11 450 4 Chauffage de bureaux 181 1 097 222 1 591 291 2 230 693 4 918 e Chauffage de magasins 75 590 104 871 25 315 204 1 776 f Chauffage d coles 3 721 12 722 22 3 244 37 4 687 Chauffage d h pitaux et m dicaux 1 28 3 1 516 4 1 544 h Chauffage de garages 3 150 1 15 4 165 i Chauffage de salles de spectacles et 7 245 7 245 Totaux g n raux 839 1 575 10 912 1341 1679 4750 3606 ULTIMHEAT Recensement VIRTUAL MUSEUM BULLETIN D INFORMATION Er DE PROPAGANDE GED GED Mih tions remarquables ou sp ciales ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM PARIS R SEAU DE LA COMPAGNIE PARISIENNE DE DISTRIBUTION D ELECTRICIT 6 Immeubles enti rement chauff s lectriquement totalisant 700 kW 3 nouveaux immeubles viennent d tre termin s mais ne sont pas encore en service Puissa2. immeubles calorifug s et le chauffage lectrique Dans plusieurs articles pr c dents nous avons d j eu l occasion de faire remarquer que le chauffage sous quelque mode qu il soit r alis avait pour but moins de porter l air d une pi ce au degr voulu que de maintenir cette temp rature une fois obtenue en d pit des pertes de chaleur dues au froid ext rieur De fait les calculs des installations de chauffage sont dirig s dans cet esprit 1 CALCUL DES PERTES PAR PAROI On consid re l ensemble des murs et on cherche la quantit de calories le traversant Par des calculs sur lesquels nous allons revenir plus loin on tablit pour chaque portion homog ne de paroi un coefficient k de transmission de chaleur donnant le nombre de calories traversant par heure l unit de surface 1m de cette paroi pour une diff rence de temp rature de 1 C entre les deux c t s Pour les parois les plus usuelles ces coefficients sont r unis en tableaux qu on trouve dans tous les trait s de chauffage D s lors le calcul des pertes par paroi d une pi ce se r duit la d composition de ces parois en l ments homog nes chacun desquels on applique la formule Q IS t t Dans cette formule k d signe le coefficient de transmission de la paroi consid r e tir des tableaux dont nous parlons ci dessus lt 5 la surface de la paroi t gt la temp rature d sir e l int rieur sauf avis contraire 1
3. 5 ANN E N 41 LE CHAUFFAGE JANVIER 1932 sv e Nik BULLETIN D INFORMATION DE PROPAGANDE CONCERNANT LES APPLICATIONS DE L LECTRICIT ET LE PERFECTIONNEMENT DE L CLAIRAGE PARAISSANT MENSUELLEMENT 5 OP HAS SOMMAIRE ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM I vient d inaugurer Paris la Maison de l lectricit Il Les immeubles calorifug s par J E G LANDR da EL ones par CORDAT IV L immeuble FORD Communication de la So ci t pour le Perfectionnement de V Une tuve lectrique de traitement sp cial et de s chage par R GAUTHERET VI Recensement des installations de chauffage lec trique VII Informations France et Etranger La Soci t pour le D veloppement des Applications de l lectricit AP EL 33 RUE DE NAPLES PARIS 8 R C Seine 197165 La Soci t pour le D velop ee de l Electricit AP EL Fond e en 1922 sous les aus pices des Secteurs de la ion Parisienne et actuellement patronn e par cent trente eurs f re ut mis sion de cr er une marque de qualit aux reils utilis s dans les applications diverses et plus parti culi rement dans les applications domestiques de l Elec tricit Cette id e fut ult rieurement reprise par l Union des Syndicats de l Electricit et c est
4. POUR LE DEVELOME MENT DES APPLICATIONS DE L LECTRICIT POUR L PERFECTIONNEMENT DE L CLAIRAGE ORR
5. lais de livraison accept s En r sum compte tenu des principaux l ments d appr ciation l tuve lectrique s est montr e particu li rement conomique et l abonn estime que l amortissement en t r alis en moins de trois mois Les renseignements qui pr c dent nous ont t obligezamment communiqu s 1 2 avec l autorisation de la Direction Com SRE merciale de l ALs THoM Du RANDSEMET Directeur de l Usine de ST Colombes et son collaborateur M Mor KG TIER auxquels nous adressons nos remer ciements Pour qui s int resse aux diver ses applications du chauffage lectrique industriel l Usine de Colombes se pr sente d ailleurs comme une source d en dl seignements TNT MT ES GAUTHERET Fig 4 Diagramme de la temp rature l int rieur l tuve pendant le fonctionnement temp rature en degr s cent simaux temps en heures Ing nieur l Ouest Lumi re Au d but de l essai 5h du matin la temp rature tait d environ 80 C DES INSTALLATIONS DE CHAUFFAGE LECTRIQUE au 1 Octobre 1931 On sait que le chauffage lectrique peut tre r alis par appareils directs lumineux ou obscurs po les accumulation et radiateurs semi accumulation Nous classerons donc les installations en trois cat gories suivant les appareils employ s c est dire suivant le mode de chauffage r alis direct par ac
6. remplir le r le d organisme de propagande et d office tec nique Cette Soci t dont les services sont enti rement tuits a install ses bureaux et ses salles de d monstration 34 boulevard Haussmann Paris Elle se tient la dis position de ceux qui veulent la consulter et leur donne tous renseignements et conseils leur fournit toute docu mentation et tudie pour eux tous projets d clairage dont ils peuvent avoir besoin Elle a dit une s rie de brochures de vulgarisation mentionn es ci dessous N 0 Notions d Electricit N 1 Lumi re et Vision 2 R flecteurs et Diffuseurs N 3 Unit s et Mesures Photom triques N 4 Projets d Eclairage N 4 Annexe I Les appareils d clairage N 5 L Eclairage des Magasins No 6 L Eclairage des Ateliers 7 L Eclairage des Int rieurs No 8 L Eclairage des Bureaux et des Ecoles 9 L Eclairage des Voies Publiques N 10 Principes et applications de l clairage 11 L Eclairage par projecteurs AVIS IMPORTANT Nous r pondrons tr s volontiers toute demande de renseignements relative aux articles parus dans ce Bulletin reproduction de nos articles est interdite sans autorisation de la R daction Toute communication relative ce Bulletin doit tre adress e la Soci t AP EL 33 rue de Naples Paris 8 PRIX DE L ABONNEMENT FRANCE COLONIES A
7. C montre auelle pr cision on peut atteindre la variation de temp rature en un point donn tant de l ordre du degr titre indicatif voici quels ont t les r sultats pour un fonctionnement 200 C Puissance absorb e pendant la mise en tem p rature 43 kW Dur e de la mise en temp rature h 30 Consommation correspondante 64 5 kWh Puissance absorb e en marche normale 30 kW Consommation correspondante pour une heure de fonctionnement 30 kWh Puissance du moteur actionnant le ven tilateur 2 ch Les frais de premier tablissement ont t relativement peu lev s et l entretien est prati quement nul Quant la main d uvre elle se r duit en marche normale celle n cessaire pour le chargement et le d chargement de la chambre de traitement op rations facilit es par l existence des portes guillotine et P Fig 3 La face avant de l tuve et le tableau de contr le Ajoutons que l appareil pr c dent a remplac une tuve chauff e la vapeur et qui fonctionnait d ailleurs dans des conditions peu satisfaisantes la pression de vapeur de 12 ne permettant pas de maintenir la tem p rature d sir e Les principaux avantages conomiques du dispositif employ sont les suivants R duction consid rable de la main d uvre 80 Haute valeur des produits trait s et suppression des rebuts R gularit absolue de marche donnant la certitude de tenir les d
8. dans toutes les r gions de la France on peut en g n ralisant les r sultats dire que le lectrique s il ne pr sente d veloppement surprenant conna t n anmoins une certaine faveur et d ailleurs la diversit des installations remarquables et sp ciales montre bien que l lectricit s implante d sormais dans toutes les branches du chauffage a Informations Installation de chauffage central avec chaudi re lectrique haute tension La Soci t des Forces Motrices du Vercors qui occupait Valence un immeuble de quatre tages d environ 150 de superficie a fait construire en 1930 un nouvel immeuble contigu de m mes dimensions et de m me surface Ces deux immeubles communi quant int rieurement sont chauff s par une installation de chauffage central cau chaude comportant 65 radiateurs avec une seule chaudi re plac e dans le nouveru b timent Au cours de l hiver 1930 1951 particuli rement doux cependant la consommation de charbon pour le chauffage des immeubles t de 35 tonnes La Soci t des Forces Motrices du Vercors a t tout naturellement amen e tudier le remplacement de sa chau di re par une chaudi re lectrique permettant d utiliser l installa tion eau chaude existante plut t que de pr voir un chauffage lectrique direct Le syst me adopt a t une chaudi re Bergeon Fredet haute tension 5 000 volts sur courant alternatif
9. jour venu o l on d cida de moderniser l installation l eau chaude la vapeur basse pression et l lectricit se trouv rent sur les rangs Les deux premiers syst mes qu il serait vain de vouloir d nigrer ont cependant l inconv nient non moins niable de n ces siter quand on les applique un immeuble d j b ti comme c tait le cas des quantit s innombrables de percements scelle ments dont le fracas et la poussi re toujours ind sirables sont encore moins de mise dans un h pital On opta donc pour le chauf fage l lectricit Parmi les appareils qui s offraient au choix de la ville de Lamark le tube chauffant facile poser notamment sous les fen tres o il s oppose l intrusion des vents coulis sembla le plus favorable Les deux salles communes 8 lits chacune pour hommes et pour femmes respectivement ont t ainsi pourvues dans leur ensemble de 42 m de tubes chauffants r partis en 4 circuits soit une puissance install e totale de 8 3 kW raison de 3 5 kW pour 100 Les chambres particuli res comportent cependant des radia teurs de 3 kW du type ordinaire Quant la salle d op rations qui a besoin d tre r chauff e presque s ance tenante en cas d urgence elle dispose d une puis sance de 5 3 kW pour 100 m elle est litt ralement ceintur e par 19 m de tubes totalisant 3 84 kW Signalons en marge la pr sence d un st rilisateur lectrique et d un plafonnier
10. lectricit est que le chauffage lectrique tant tr s unifc me on r alise une conomie de bitume de 10 p 100 au bas mot La con sommation mensuelle pr vue pour la nouvelle cuve devant atteindre 68000 kg de bitume 1 100 fr la tonne l conomie mensuelle garantie par l lectricit s levait donc 7 500 fr Les r sultats ont largement confirm ces pr visions D apr s l Electrical World du 17 octobre 1931 Le battage lectrique dans l Est Lyonnais ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM La Soci t des Forces Motrices de la Vienne a montr dans notre dernier num ro comment avait l organis le battage lectrique sur son r seau Nous verrons dans l article publi ci dessous qu une solution similaire est adopt e dans le d partement de l Ain savoir batteuses de grosse puissance appartenant aux Syj dicats agricoles ma s aussi que les petites batteuses action n es par des moteurs lectriques de faible puissance rendent galement de gros services Ainsi mise une fois de plus en vidence la qualit de souplesse que poss de l nergie lectrique Fig 1 Batteuse munie d un expulseur de balle et d une presse botteler command e par un moteur mont sur brouette Cette machine fonctionne sell T d avec un tr s grand rendement ne n cessite que 6 ouvriers Installation r alis e trielle peuvent se diviser en deux groupes chez Charantonnay Le premier grou
11. qui pourrait se r aliser en agissant sur les rev tements ext rieurs et int rieurs des murs d autre part en adoptant pour ceux ci un ensemble de mat riaux pais et mauvais conducteur de la chaleur Il para t assez difficile d agir sur la nature des surfaces L int rieur reste la disposition des occupants qui l am nagent comme bon leur semble le style actuel d ailleurs que ce soit tentures papiers ou peintures mates offre toujours peu pr s les m mes caract ristiques Quant au rev tement ext rieur les traditions architecturales de nos r gions le limitent diff rentes sortes de pierre vraies ou imitations d indices de sortie voisins l exclusion des enduits de chaux utilis s sous les climats Fig Immeuble 51 rue Raynouard Paris fa ade sur la rue Berton africains contre la chaleur En outre ils sont rapidement alt r s et noircis sp cialement dans les grandes villes Comme on ne pouvait ron plus augmenter par trop l paisseur des murs les efforts des architectes se sont port s uniquement sur les coefficients de conductibilit en introduisant dans l appareil des mat riaux aussi isolants que Les corps les plus mauvais conducteurs de chaleur connus sont les gaz l air par exem possible 1 11 ple aussi la plupart des calorifuges sont ils constitu s par des corps aussi poreux que pos sible c est dire comportant une multitude de
12. valeur des c r ales r colt es L emploi de petites batteuses indi viduelles tait plus int ressant Quelques agriculteurs avis s ont transform d anciennes batteuses bras les actionner par le petit moteur de la ferme d autres ont achet ou construit m me de petites batteuses de 2 3 ch Ces machines peu vent fonctionner avec 2 ou 3 personnes seulement c est dire avec le personnel de la ferme La figure 4 montre une batteuse de 2 ch construite en partie par l usager Chavanoz Is re Elle se com pose d un batteur et de 3 secoueurs Le grain doit tre nettoy dans un van au cours d une seconde op ration Fig 2 Autre vue de la m me batteuse on distingue plus nettement la La figure 5 montre un van install sous un hangar Sainte Baudille Is re La batteuse d un mod le Fig 5 Van pour le nettoyage du grain actionn lectriquement La batteuse presse botteler Les bottes de paille sont pouss es automatiquement sur un analogue celle de l exemple pr c dent est plac e l tage sup rieur du hangar Les grains tombent par gravit us mod le Analogue celui la 1 Fri l vateur jusqu la charette o un seul homme fait le chargement dans le van qui fonctionne en m me temps que la batteuse SRE lo ERE QU Van D autres petits mod les de batteuses ont t install s par quelques agricult
13. 8 C et te une temp rature ext rieure conventionnelle g n ralement 5 C dans la r gion parisienne correspondant au minimum moyen de l ann e 2 CALCUL DES PERTES PAR VENTILATION I s agit pour l installation de chauffage de r chauffer de la temp rature ext rieure la temp rature int rieure la quantit d air introduite par la ventilation naturelle La quantit de chaleur n cessaire est donn e une deuxi me formule dont les termes sont ind pendants de la nature des parois Elle sort donc du cadre de notre tude 3 R CAPITULATION La puissance n cessaire pour assurer le chauffage est donn e par la somme des pertes de chaleur dues d une part aux parois d autre part la ventilation somme qu on doit affecter de majorations ou minorations pour tenir compte de certaines circonstances orientation exposition grande hauteur de plafond intermittence du chauffage etc Or contrairement ce que l on pourrait tre enclin penser au premier abord dans le cas g n ral les pertes par paroi sont de trois quatre fois plus importantes que les pertes par ventilation On con oit d s lors qu il soit int ressant de chercher r duire le plus possible ces pertes et c est ce qu on r alise gr ce aux murs calorifug s c est dire tablis de fa on diminuer tr s fortement le coefficient k de la formule cit e plus haut TUDE DU COEFFICIENT DE CONDUCTIBILIT DES PAROIS Il
14. age lectrique et oppos e tous ses avantages que m me ses adversaires sont oblig s de lui reconna tre propret hygi ne souplesse facilit de r glage et douceur de la chaleur obtenue en un mot toutes ses qualit s de confort et d agr ment tait son prix de revient Or le calorifugeage des immeubles permet comme nous l avons vu plus haut de r duire d au moins 1 3 la puissance installer pour chauffage et la consommation annuelle Il est bien vident que ces conomies seront r alis es quel que soit le mode de chauffage mais si l on admet dans la comparaison des diff rents modes de chauffage une diff rence de prix d exploitation au d triment du chauffage lectrique cette diff rence se trouvera r duite elle aussi dans les m mes proportions alors que tous les autres avantages seront conserv s dans leur int gralit Par suite il semble que les architectes doivent raisonnablement envisager l adoption du chauffage lec trique pour tous les immeubles qu ils pourront construire suivant cette technique D ailleurs les deux grands immeubles actuellement construits suivant ces proc d s par MM PERRET seront tous deux quip s de la sorte Ce mode de construction pr sente en outre d autres avantages appr ciables Il maintient l int rieur des appartements une agr able fra cheur pendant l t et il oppose aux bruits de la rue un obstacle acoustique consid rable est videmment plus co teux m
15. ais les avantages qu il offre aussi bien du point de vue confort des occupants que du point de vue conomique sur le terrain chauffage doivent entra ner pour lui dans les immeu bles luxueux ou m me simplement d un certain confort un d veloppement consid rable Nota J E LANDR Ing nieur la D E Bureau d Information Nous aurons l occasion de d crire dans un de nos prochains num ros les installations lectriques des deux immeubles dont il est question dans cet article Informations Une cuve cylindrique bitume de 16 m de profondeur chauff e lectriquement est d usage pour mettre les conduites de fonte l abri de la corrosion de les rev tir chaud d une forte couche de bitume cette on les immerge pendant un quart d heure dans de grandes cuves m nag es en sous sol maintenues une temp rature cons tante remplies de bitume liquide o on les fait descendre l aide d un pont roulant La Consolidated Steel Corporation de Los Angeles sp cialis e dans cette fabrication s est convaincue de soigneuses inves tigations pr liminaires des avantages retirer du chauffage l lectricit dans une telle op ration aussi a t elle d cid d quiper avec un l ment chauffant lectrique immersion une cuve nou vellement tablie de 15 m de profondeur capable de recevoir des conduites de 1 850 mm de diam tre se succ dant raison de 4 pa
16. arm formant le plancher proprement dit existe dans cette installation 160 tubes chauf fants mont s sur des supports isolants en st atite de 1 5 m de lon gueur dont chacun absorbe 300 W soit 48 kW au total Le chauffage par le plancher fournit le fond de chaleur gt du poste de commande un renforcement du chauffage est n cessaire dans les galeries de visite des tableaux il est assur par des radia teurs eau chaude chauff s ind pendamment les uns des autres par des nts lectriques qui en font partie int grante suivant un syst me d j ancien Ces radiateurs sont du type 1 200 W au nombre de 38 et de 800 W 26 appareils ils repr sentent donc dans leur ensemble une puissance de 65 4 kW ce qui porte 115 kW reo ne Schalau Co de l Elbe inf reure et de Gerstein Association des Cies hp d Electricit Disons enfin que les b timents du si ge social de ce m me con sortium Brauweiler pr s Cologne disposent d une installation de chauffage central eau chaude aliment e par une puissante chaudi re lectrique chauff e en courant de nuit D apr s l Elektrizit tsvenwertung d octobre 1931 Un tableau des performances des moteurs lectriques utilis s dans les exploitations agricoles Les moteurs modernes pour exploitations agricoles sont d un prix modique eu gard celui des moteurs thermiques quivalents par exemple un moteur fixe de 5 ch et son d marreur n
17. at riau solide b ton ou brique puis une s rie de couches d air s par es par des carreaux de pl tre ou autres le dernier carreau de pl tre vers l int rieur supportant l enduit Un des ma tres de l architecture contemporaine M Auguste PERRET toujours la recherche des inno vations int ressantes a difi cet hiver en collaboration avec son fr re M G PERRET deux immeubles cons truits suivant cette technique Les murs en sont construits de la fa on suivante fig 3 paroi ext rieure en b ton lourd de 7 cm vide d air de 4 vide d air de 4 carreaux de pl tre de 5 5 cm portant l enduit carreau de pl tre de 5 5 cm int rieur 1 cm environ 1 On arrive ainsi pour l ensemble de la cloison une paisseur de 29 cm sup rieure videmment aux paisseurs des murs actuellement mont s dans la construction moderne mais encore inf rieure aux paisseurs usuelles des constructions en pierre de taille Or une telle paroi pr sente un coefficient de transmission de 0 91 alors que pour une m me paisseur la pierre calcaire aurait le coefficient de 2 5 le gr s de 2 2 et le b ton de 2 Pour compl ter une telle construction les fen tres sont tablies avec doubles vitres L aussi on obtient une r duction du coefficient de transmission de pr s de moiti 2 6 au lieu de 5 Enfin ce m me immeuble est sur mont d une terrasse construite sur un prin cipe analogue voir figure 3 Ainsi pour
18. bonnement annuel 15 fr Le num ro 1 50 TRANGER Abonnement annuel 5 20 fr Le num ro 2 fr LASOCI T POUR LE D VELOPPEMENT DES APPLICATIONS DE L LECTRICIT AP EL SOCI T POUR LE PERFECTIONNEMENT DE L CLAIRAGE On vient d inaugurer Paris la Maison de l lectricit Les Secteurs de la R gion Parisienne ont estim que le moment tait venu d intensifier les efforts qu ils ont poursuivis depuis quelques ann es pour la vulgarisation des diff rentes appli cations lectro domestiques et de proc der d sor mais une propagande largie et renforc e permet tant d atteindre la grande masse du public Ils avaient d j mis la disposition de leurs abonn s des tarifs domestiques permettant une large utilisation de l lectricit pour la cuisine le chauffage de l eau et aussi sous diff rentes formes pour le chauffage des locaux Ils veulent maintenant faire conna tre tous les usagers de l lectricit l int r t des appareils lectro domestiques dont 5 5 Fig 1 La fa ade de l Office Central lectrique leurs tarifications ont rendu l emploi conomique l angle du boulevard Haussmann et de la rue Taitbout 5 Ann e N 41 JANVIER 1932LTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM a LA ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM BULLETIN D INFORMATION Er DE PROPAGANDE Fig 2 La fa ade de l OCEL sur le Boulevard Haussmann L entr
19. cumulation et mixte le mot mixte gt englobant les deux cas de chauf fage par appareils semi accumulation et par usage simultan de radiateurs directs et de po les accumulation On sait galement que ces appareils l exception des radiateurs lumineux qui produisent un chauffage localis sont employ s pour r aliser soit le chauffage total de locaux soit seulement un chauffage d appoint le second mode d emploi tant particuli rement en faveur dans les appartements parisiens Nous avons tenu compte de ces conditions d utilisation des appareils pour tablir notre statistique D ail leurs il est sinon impossible toutefois tr s difficile de conna tre le nombre d appareils en service et nous nous sommes born s rechercher le nombre d installations ce sujet nous ne consid rons pas que l emploi des radia teurs lumineux de faible puissance permette de dire que les personnes qui les utilisent poss dent une installation de chauffage lectrique R GION PARISIENNE R seaux de la Compagnie Parisienne de Distribution d Electricit la Compagnie Est Lumi re la Com pagnie Ouest Lumi re la Soci t Nord Lumi re l Electricit du Nord Est Parisien et la Soci t Sud Lumi re Nombre et puissance globale des installations class es par genre de chauffage Installations class es par genre d utilisation Direct Accumulation Mixte LE RE 5
20. de forte puis sance ainsi agenc qu il limine les ombres port es appareil dit Shadowless La charge totale d clairage et chauffage atteint 30 kW D apr s l Electrical Review du 20 novembre 1931 D monstrations de cuisine organis es par Office lectrique de Bourgogne Beaucoup d abonn s ne croient que ce qu ils voient Afin de les amener croire et adopter la cuisine lectrique nous avons t conduits organiser des d monstrations Nos tourn es de propagande commencent d s le mois de mars Notre quipe de d monstration comprend un ing nieur un pro fesseur de cuisine deux d marcheurs munis de fouryons r clame dont l un pour le transport du mat riel de cuisine n cessaire la d monstration l autre pour le transport de tous les appareils pr senter au public Chaque d monstration est annonc e par voie d affiches de publi cations faites par le tambour de ville ou par haut parleur D autre part tous les abonn s habitant la commune o doit avoir lieu ls d monstration re oivent une invitation individuelle La d monstration a lieu 8 h 8 h 30 voire m me 9 h suivant la saison la Salle des F tes qui doit tre d cor e et clair e aussi bien que possible La s ance d bute par une causerie d un ing nieur sur la cuisine lectrique la fin de cette derni re qui dure environ un quart d heure l ing nieur c de la parole au professeur de cuisine dont le r l
21. e co tent que 17 L St environ 350 fr au cours actuel du change Un moteur fixe de 7 5 ch actionnant par l interm diaire d un arbre de transmission et de courroies les diverses machines de la ferme suffit amplement dans une installation de moyenne impor tance Un moteur de 15 ch est le mieux indiqu pour le battage qui de toutes les op rations m caniques d une ferme est celui qui demande le maximum de puissance et le battage l lectricit est extr mement conomique En trois jours et demi par exemple un fermier anglais a obtenu 760 D de 12 700 kg d orge et 61 kg d avoine moyennant une consommation de 243 kWh au tarif de 1 penny 1 par kWh 2 pass le EWE Le d nergie repr senterait 2 L St seulement alors qu il e t fallu eme la vapeur en outre 7 hommes au lieu de 11 ont suffi un des r alisables par l emploi de la force motrice lectrique la ferme d duit d observations pra tiques et non de supputations plus ou moins arbitraires N LA 3 Broyeur de tourteaux Hache paille a A automa RSI Da DR Dot 0 5 9 9 8 8 8 5 5 55 On voit combien est infime la d pense d lectricit en regard des rmances accomplies Electro Farming d cembre 1931 1 Il y 240 pence dans une L St VIRTUAL MUSEUM
22. e du Studio Salle d clairagisme et de cin ma installations de d monstrations salles d enseignement m nager pour la cuisine lectrique et le lavage du linge salles de d monstrations pour initier les usagers aux secrets de l clairagisme et leur montrer l clairage id al obtenir dans les vitrines magasins etc Les Installateurs par l int r t direct qu ils ont d velopper l usage de l lectricit par la surface de contact qu ils offrent avec le public sont les ouvriers indispensables et z l s de toute uvre de propagande Les Secteurs ont tenu ce que les Installateurs trou vent dans l organisation nouvelle un appui pour leur propagande et un moyen efficace de convaincre la client le h sitante Au magasin de l OCEL sont annex s des bureaux d Ing nieurs Sp cialistes susceptibles de donner tous renseignements et d pargner au client toute peine toute d marche et toute difficult Ces services en effet centralisent et coordonnent les travaux des diff rentes affaires concourant une installation de sorte que le client peut tre imm diate ment renseign sur son prix d ensemble sa dur e et son C est pour tenter la r alisation de ce vaste pro gramme et r pondre ce besoin de confort qui se d veloppe chaque jour davantage tous les niveaux de l chelle sociale et que seules peuvent satisfaire compl tement les installations lectriques que les Secteurs de la R gion Parisienne
23. e est de pr parer devant le public un menu complet pour six personnes en accompagnant chacun de ses gestes d explications sur la cuisine proprement dite ou sur le r glage des plaques Voici titre d exemple le menu qui fut pr par la d mons tration de CUISERY Potage MILLE Fanti Souffl au fromage Rumpsteack Grand M re Mousse Bavaroise Pendant la cuisson l ing nieur reprend la parole pour parler des diverses applications de l lectricit des tarifs des r f rences obtenues etc Tous les plats sont d gust s par les personnes pr sentes Un agent du Secteur passe un plateau de petites cuill res un second le plat d guster et enfin un troisi me recueille les cuill res apr s usage La s ance qui dure environ deux heures se termine par une tom bola gratuite qui remporte toujours un vif succ s En g n ral 40 de la population assiste ces d monstrations qui sont suivies d une visite tr s soign e de la client le par des d marcheurs sp cialis s G THIBERT Ing nieur la Compagnie Electrique de la Grosne Une d monstration de cuisine lectrique dans une salle des f tes IMPRIMERIE VENDOME Rue Ssint Honor Paris Le G rant Marcel SERVANT BULLETIN D INFORMATION DE PROPAGANDE Deux r alisations remarquables de chauffage lectrique g n ralis en Allemagne I Le ch teau mus e de Wartburg Ce c l bre mus e historique r
24. ectrique semble parfois oubli e Et cependant L Usine de 15 Colombes r alis et mis au point une tuve destin e au traitement d isolants en planche base de r sine synth tique Les conditions impos es taient les suivantes 1 La temp rature devait pouvoir atteindre 200 C 2 La mont e en temp rature devait se faire en deux heures au maximum 39 Les carts de temp rature entre les diff rents points de l tuve ne devaient pas d passer 6 C La solution adopt e t la suivante utiliser l air comme agent d change de temp rature et comme d ss chant Un courant d air de vitesse convenable est assur et maintenu par ventilateur V actionn par un moteur ext rieur l tuve L air s chauffe au a contact des r sistances traverse la chambre de traitement o les feuilles traiter sont d pos es sur des claies hori zontalcs Le circuit est ferm mais une prise d air neuf et une sortie d air satur compl tent l appareil p v 7 Le r glage de la temp rature est Ez r alis par couplage appropri des sistances et un dispositif automa 2 tique comprenant un thermom tre Fig 2 Sch ma simplifi montrant le principe de l tuve tension de vapeur satur e des relais et des BULLETIN D INFORMATION Er DE PROPAGANDE VIRTUAL MUSEUM contacteurs Le graphique ci contre relatif un traitement 165
25. en commun accord avec ce groupement qu tait d en 1927 la marque USE APEL reconnue par l U 5 E comme la marque icale de qualit des appareils lectro domestiques et d livr e un comit technique constitu en vue de cette attri ution Ayant ainsi contribu l tablissement de listes de mat riel s lectionn l AP EL pouvait entreprendre une vigoureuse campagne de propagande r cr er un tat d esprit telle l adoption is e des appareils lectro domestiques rev tus de la marque de qualit L AP EL poss de l heure actuelle neuf salles d expo sition Paris la principale situ e 41 rue Lafayette Elle participe aux grandes manifestations commerciales foires et expositions du pays dite des affiches des brochures et des tracts r dige des articles destin s aux revues et la grande presse utilise les moyens d duca tion populaire que sont la T et le cin ma et met enfin gracieusement la disposition de tous ceux qui veulent y avoir recours Constructeurs Secteurs Inter ires divers l exp rience et la bonne volont de ses services d tudes et de documentation La Soci t pour le Perfectionnement de l clairage 134 Bd HAUSSMANN PARIS 8 Seine 220 264 La Soci t pour le Perfectionnement de l clairage a t fond e et est Listes A les poses et distributeurs d nergie lectrique les fabricants de lampes et d appareils les constructeurs et les installateurs pour
26. enferme quantit de tableaux de ma tres et surtout des fresques qui en sont la principale curiosit Ces fresques peintures murales sont des plus sensibles aux varia tions de temp rature qui comme l on sait favorisent la conden sation de l humidit atmosph rique or une condensation tant soit peu abondante ne peut que nuire gravement on le con oit des peintures murales Le chauffage d un tel mus e doit done tre caract ris par une uniformit quasi parfaite de la temp ra ture quand on passe d une salle l autre et dans une m me salle aux diff rents instants de la journ e Ces conditions favorables ne peuvent priori tre mieux r alis es que par le chauffage lectrique cela explique qu on l ait adopt au ch teau de Wartburg o la puissance totale install e cette fin atteint 110 kW CP set Rummelsburg pr s Berlin L installation de chauffage lectrique tablie dans le poste de de cette centrale est t digne d atten tion en ce sens qu elle constitue l une des premi res r alisations importantes de chauffage au moyen d l ments tubulaires log s dans le plancher Ces tubes fonctionnent temp rature tr s basse et comme la couche de b ton situ e au dessous est constitu e dessein par un m lange poreux mauvais conducteur de la cha leur la chaleur d gag e est presque enti rement vacu e vers le haut travers la couche dense de b ton
27. eurs faisant de la polyculture dans nos montagnes Ces machines sont tr s int ressantes elles sont actionn es par de tout petits moteurs munis d un syst me de d multiplication L une d elles est install e Briord Ain c est wie ancienne batteuse main qui occupait deux trois hommes Le petit moteur lectrique qui l actionne maintenant la fait fonctionner sous la surveillance d un seul ouvrier Le d bit de cette machine peut atteindre les suivantes Bl 300 litres environ l heure Bl 2 rge 300 Seigle 300 Choux navette 70 Toutes ces batteuses ont donn d excellents r sultats et chaque saison de battage nous am ne de nouveaux adh rents Fig 3 Batteuse lectrique appartenant au Syndicat de battage de M 3 ge de Mont se carra Is re actionn e un moteur lectrique de 9 ch fix sur la machine elle m me L alimentation se fait au moyen de prises de courant basse tension 5 RTE Fig 6 Petite batteuse actionn e par un moteur de tr s faible puissance install es en divers points du village Pont de Cheruy Is re install e chez M Hameau de V rizieu Commune de Briord Ain Fig 1 La fa ade de l immeuble Les l ments lumineux verticaux et la marquise en verre maill de Perzel constituent les grandes lignes de l architecture lumi
28. n la plus heureuse au moyen de quatre gaines lumineuses verticales form es chacune de treize l ments parall l pip diques en verre maill blanc excellent diffuseur Chaque l ment est quip au moyen de 10 lampes de 25 watts uniform ment r parties L clairage de la marquise est r alis de fa on ana logue et comprend environ 250 lampes de 40 watts Fig 2 Le Magasin L clairage totalement indirect est r alis par corniches et coupole _ a OSDO 9690 AA ANA ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM Une tuve lectrique de traitement sp cial et de s chage le four lectrique se vend et se r pand c est parce qu il est cono mique gt Cela n est pas un axiome les appli cations industrielles du chauffage lec trique sont d j nombreuses dans la r gion parisienne leur d veloppement s tend rapi dement les bilans conomiques d installations existantes sont en faveur de ce mode de chauffage Le scepticisme en l occurrence cesse d tre de mode Sous la pression d une crise conomique particuli rement s v re de nombreux industriels recherchent les moyens de r duire leurs prix de revient la solution du chauffage lectrique retient leur attention et les surprend souvent par les r sultats Fig 1 L tuve vue de c t entrevus ou obtenus Toutefois dans ce domaine des applications de l lectricit l
29. nce usieurs tudes sont en cours 26 coles totalisant une puissance de 55 4 3 700 kW 6 Salles de S cle et Dancings installations totalisant 180 kW Bureaux de l Electro Entreprise Accumulation 5 100 kW Plusieurs grosses taient au Octobre 1931 en cours de r alisation Si ge Social de la C D E Chauffage mixte 1 500 kW Bureaux de la Soci t Als Thom 1 000 kW lectrique Climatisation 175 kW Magasin Po les accumulation 80 kW Office Central Electrique Bureaux Chauffage mixte 420 kW BANLIEUE PARISIENNE R seau DE LA Esr LUMI RE Un groupe scolaire chauffage direct 500 kW R seau DE LA Norp LUMI RE H pital d Argenteuil chauffage pareils semi accumulation 1 000 kW Ecole Maternelle du Groupe sco Monfort d Aubervilliers chauffage par appareils accu mulation avec r glage automatique de la dur e de charge en fonction de la temp rature ext rieure 5 87 kW R SEAU DE LA COMPAGNIE OuEsT LUMI RE Nouveaux bureaux Compagnie A rienne Fran aise direct et accumulation 80 kW Un immeuble enti rement lectrifi comprenant 10 logements 40 kW Un solarium Suresnes appareils directs et accumulation 16 kW Une salle de f tes Suresnes chauffage direct 65 kW R seau DE LA Soct T Sup LUMI RE Er d un ch teau radiateurs directs 150 kW CR des vestiaires du stade de Sporti
30. neuse et modifient profond ment l aspect de l difice L clairage int rieur du magasin est du type compl tement indirect est r alis au moyen de deux dispositifs 19 par 4 appareils r flecteur cylindrique en verre argent plac s au bas des piliers et quip s chacun au moyen d une lampe tubulaire de 500 watts 2 par 40 rampes en cristal argent plac es dans les corniches et autour du d me central et munies chacune de deux lampes de 200 watts L ensemble donne une tr s grande impression de gait de clart et de confort Communication de la Soci t pour le Perfectionnement de l Eclairage L clairage du nouveau magasin Ford La Soci t des Automobiles Ford a ouvert il y a quelque temps l angle de la rue du Helder et des Grands Boulevards un magasin d exposition d auto mobiles digne d tre remarqu par les personnes qui s int ressent l clairage Le magasin ne constitue pas seul une excellente r alisation et semble qui le surmonte est aussi un excellent exemple d architecture lumi neuse dont il existe d j de nombreuses applications dans certains pays trangers Ce proc d d clairage consiste substituer pendant la nuit aux lignes architecturales de l difice disparaissant alors dans l ombre d autres lignes lumineuses nettes et l gantes qui modifient compl tement l aspect d ensemble Dans le cas pr sent cette substitution a t r alis e de la fa o
31. ont t amen s cr er un organisme auxiliaire groupant leurs divers efforts l OCEL Office Central Electrique L OCEL a r alis une v ritable Maison de l Electricit Elle s l ve l angle du Boulevard Hauss mann et de la rue Con ue dans l esprit architectural le plus moderne par les distingu s archi tectes LaPrADE et BAZIN respectivement auteurs du Palais Permanent des Colonies et de la Place d Honneur de l Exposition Coloniale elle pr sente les derni res cr ations de l lectricit dans tous les domaines Il existe l OCEL un magasin de vente pr sentant de larges vitrines avec des expositions argu ment es d appareils sous forme d talages publici taires le magasin est par ailleurs dot dediff rentes Fig 3 La fa ade de l OCEL sur la rue Taitbout La P tisserie BULLETIN D INFORMATION DE PROPAGANDE 55555 gt 5 5 2 22 2 2 2 02 2 5 3 Fig 4 Le Magasin de vente de l OCEL Vue sur le Salon de th importance 115 sont galement la disposition de la client le pour tablir sur place tous contrats d abonnement et viter ainsi de nombreux d placements On voit que l OCEL est un organisme destin r pondre pratiquement un besoin r el Ses organisateurs se sont efforc
32. pe est celui de la plaine o la Le second groupe est celui pour lequel la cultur des c r ales ne constitue qu une petite fraction de la culture totale Chavanoz Is re Cette machine se compose d un batteur et de trois secoueurs Au point de vue de la production des c r ales l communes du r seau Est de Lyon de l Energie Indus Fig 4 Petite batteuse 2 ch construite en partie par le client M Curr 1 Le grain doit tre pass au van dans une seconde op ration ure des c r ales est la plus importante Dans le premier groupe en raison des qualit s d conomie de commodit du moteur lectrique et de la facilit de son transport les gros producteurs et les Syndicats agricoles se sont d cid s commander lectrique ment leurs batteuses ou employer des batteuses avec moteurs lectriques install s sur la machine elle m me Les figures et 2 repr sentent une batteuse munie d un expulseur de balle et d une presse botteler qui supprime une partie importante de la main d uvre La figure 3 repr sente une batteuse lectrique du Syndicat de Montcarra Is re Des prises de courant tanches sous coffrets ont t install es pour l alimentation de cette batteuse en diff rents points sur les poteaux de la ligne dans le village de Montcarra Pour le second groupe les frais de battage par les anciens proc d s grosse batteuse locomobile vapeur personnel consid rable arrivaient atteindre la
33. petites cavit s d air Malheureusement ces pro Fig 2 Immeuble situ place de la porte de Passy Paris duits fabriqu s sont d un prix relativement lev BULLETIN D INFORMATION ET DE PROPAGANDE ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM par suite m me de leur composition d une solidit tr s faible C est pourquoi leur usage devenu courant dans foule de cas o sous une surface assez faible ils n ont subir aucun effort m canique exag r n a pu tre tendu la construction d immeubles complets Les architectes ont donc eu recours un proc d qui s il ne donne pas pour les coefficients de transmission les valeurs remarquablement faibles des isolants usuels n en entra ne pas moins pour ceux ci des diminutions d j tr s Il s agit d une fa on g n rale la construction des murs sous forme d une s rie de parois s par es par des couches d air Les seules conditions g n rales observer sont d une part que la paroi ext rieure soit assez r sistante aux efforts m caniques et aux intemp ries et d autre part que les couches d air soient limit es en paisseur et surtout en hauteur afin d viter la formation de courants d air transportant de la chaleur par convexion On r alise cette derni re condition en cloisonnant les vides En r sum les parois ext rieures d une maison calorifug e pourront tre tablies comme suit une cloison ext rieure faite d un m
34. r heure Le bitume est maintenu dans cette cuve 200 220 et deux fois par jour on rajoute une charge de bitume pr chauff 150 C pour remplacer celui qui s est d pos sur le conduites et a t extrait avec elles Le dispositif de chauffage adopt est constitu par une immense cage cylindrique suivant les g n ratrices de laquelle sont dispos s les l ments chauffants proprement dits maintenus en place par des cerclages m talliques r guli rement espac s avec interposition d isolateurs C est l int rieur de cette cage pr alablement descendue dans la cuve dont elle pouse le contour que les conduites recouvrir de bitume sont descendues leur tour La cage chauffante divis e en trois circuits est aliment e en courant triphas 110 V et absorbe au total 150 kW La longueur d velopp e des l ments r sistants ruban de nickel chrome atteint 1 350 m La capacit de la cuve est de 84500 kg de bitume il faut 13000 kWh pour la mettre en tat de marche c est dire pour la porter de la temp rature ambiante 190 C et cela demande 90 h environ Les pertes vide couvercle pos sont de 13 kW il faut 25 kW couvercle enlev pour maintenir la temp rature la valeur convenable quand la cuve renferme une conduite de dia m tre maximum Enfin la cuve abandonn e elle m me se refroidit que de 3 C en 5 h L avantage essentiel ayant fait pencher ici la balance en faveur de l
35. s de le rendre aussi attractif que possible par la cr ation d une p tisserie sur la rue Taitbout d un salon de th d un auditorium o l on peut entendre les phonographes lectriques les plus perfectionn s et d une salle de cin ma et d clairagisme o les plus r centes cr ations de l lectricit seront pr sent es la client le soit au moyen de films sonores et parlants soit lors de conf rences et d exp riences diverses D int ressants effets lumi neux seront r alis s sur la sc ne notamment des exp riences montrant comment les tissus peuvent changer de teinte selon la couleur de l clairage employ comment il est possible de synchroniser les sons et les couleurs quels effets d coratifs on peut obtenir avec des mosa ques et des fleurs lumineuses Une foule d autres exp riences galement tr s int ressantes peuvent tre r alis es sur la visibilit des objets la rapidit de la vision l blouis sement la sensation du relief et des ombres etc etc L OCEL pr sente en outre aux visiteurs un grand nombre d innovations en mati re d attractions lec triques principalement des r alisations lumineuses encore inconnues ce jour Enfin les magasins et salle de cin ma poss dent une installation de climatisation r alis e selon les plus r cents perfectionnements de technique moderne Nota Les illustrations de cet article sont les reproductions des maquettes ULTIMHEAT
36. sanntaot FAIRE l ensemble du b timent a t on r ussi casero 2 diminuer de moiti les pertes de chaleur par les parois celles par ventilation tant PP ES rest es du m me ordre de grandeur que dans DE EE le cas g n ral 2 l conomie r alis e sur la puissance calorifique n cessaire a t de plus du tiers On installe effectivement une puis Nesne er Mees 8 sance de 18 5 kW pour cheuffer par accu EEE mulation un appartement de 750 angle av __ ang NE sur deux rues qui correspond 2 4 kW DEC AA _ 100 au lieu de 4 kW qui seraient PS E n cessaires pour un appartement ordinaire 1 E ET de m mes dimensions et disposition sAnmEAY 9t marae 2 Ann HIT 1 Au dernier tage seul les vides d air sont rem plac s par une couche d un isolant sp cial base d algues 1 Arki 2 La ventilation est assur e par des ventouses r gla Fig 3 Coupe verticale d un mur de fa ade et de la terrasse bles plac es par deux en haut et en bas de chaque pi ce BULLETIN D INFORMATION DE PROPAGANDE till ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM CONCLUSIONS On voit imm diatement l int r t que pr sente le chauffage lectrique pour les immeubles cons suivant cette technique En effet pour un chauffage complet d appartement la seule objection qui pouvait tre faite au chauff
37. sera plus facile de parler du coefficient de r sistance des parois la transmission de la chaleur qui est l inverse du coefficient k utilis plus haut Pour une paroi donn e simple on con oit ais ment et l on v rifie scientifiquement que le coefficient k gt est proportionnel au coefficient de conductibilit thermique 7 du mat riau employ et inversement proportionnel x J gt A 4 ARAA __ ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM BULLETIN D INFORMATION Er DE PROPAGANDE son paisseur e En outre certaines surfaces peuvent pr senter un obstacle la sortie ou l entr e de la chaleur mesur par un autre coefficient appel indice de sortie et d entr e de chaleur gt C est un fait connu que certaines surfaces absorbent le rayon nement plus que d autres les fonc es plus que les claires et les mates plus que les polies La formule qui r sume ce calcul du coefficient de trans mission des parois peut s crire DENT ENT 4 Elle exprime que la r sistance d une paroi au passage de la chaleur est la somme de r sistances oppos es la transmission 1 l entr e ou la sortie par les surfaces et par la mati re a m me des murs Ainsi on aura deux moyens d agir sur le coefficient de conductibilit thermique d une paroi d une part en adoptant les indices d entr e de chaleur plus faibles ce
38. triphas 50 p riodes Cette chaudi re construite par les Etablissements Joya Gre noble pour une puissance th orique de 100 peut ra auement en absorber de 50 150 permettant ainsi un r glage facile de la n est pas possible de donner encore de r sultats de cet essai temp rature dans les bureaux L installation servira pour l hiver 1931 1932 L installation tait facilit e par la pr sence c t de la chaudi re Si les r sultats obtenus confirment les pr visions le syst me sera d un poste de couplage de c bles 5 000 volts du r seau urbain de tendu d autres immeubles appartenant la Soci t Valence Communication de la Soci t des Forces du Vercors ULTIMHEAT VIRTUAL MUSEUM France INFORMATIONS Cramer Une installation de chauffage lectrique par tubes dans un h pital cossais Le Lockhart Hospital de Lamark cr par un particulier comme la plupart des h pitaux d Ecosse et rig beaucoup plus tard seulement au rang d tablissement d utilit publique se res sentait de nombreux d tails de ses modestes origines L instal lation de chauffage notamment tait des moins rationnelles seuls avaient t pr vus des feux de houille grille ouverte qui assurent certes une excellente ventilation en tous points souhaitable dans un h pital mais en revanche sont d un rendement d plo rable et d une manipulation malpropre Le
39. uffage d une salle de spectacle de patronage 22 UNE Trois immeubles enti rement 65 l lectricit comprenant 9 appartements et totalisant une puissance de 45 kW gt 45 Nimoise D ELECTRICIT Groupe scolaire chauffage mixte Po 220 kW L ELECTRICIT DE STRASBOURG Une installation de chauffage de couches 1 14 kW FoRCES ELECTRIQUES ALSACIENNES S LESTAT Deux installations de chauffage d glise 53 6 60 kW Forces Morrices MuLHouse Trois immeubles enti rement chauff s l lectricit totalisant 72 appartements et une puis sance de 220 kW 220 kW Forces Morrices pu Monr BLanc SA NT GERVAIS Vingt huit habitations particuli res enti rement chauff es l lectricit totalisant 434 kW Soc r pes Forces MOTRICES DU VERCORS Une installation de chauffage central pour bureaux aliment e par une chaudi re lectrique haute tension 5 te 150 kW pes Forces Morrices DU HAUT GR SIVAUDAN Sanatorium Plateau des Petites Roches accumulation par la vapeur 1200 kW CONCLUSIONS Le chauffage lectrique a pris un d veloppement important dans la r gion parisienne et surtout Paris qui compte environ 4 000 installations totalisant une puissance sup rieure 30 W En Province si l on remarque que les 32 compagnies distributrices qui nous ont adress des statistiques sont r parties
40. ve du Chemin de fer M tropolitain aris directs 90 kW H pital de Vi leneuve Saint Georges appareils semi accumulation 2 500 kW Un Groupe scolaire Juvisy chauffage par accumulation 350 kW 2 PROVINCE R sultats concernant les r r seaux de 32 Compagnies Distributrices Nombre et puissance globale des installations class es par genre de chauffage Installations class es par genre d utilisation Direct Accumulation Mixte Nombre Nombre en kW Nombre Immeubles de rapport chauff s enti rement l lectricit 1 Appartements dans ces immeubles Installations isol es a Habitations particuli res b Chauffage d appartements Chauffage de bu bureaux d Chauffage de magasins Chauffage d coles Chauffage de salles de spectacle Totaux g n raux Ces chiffres ne pas aussi fid lement que ceux du Eire pr c dent le d veloppement du chauffage En effet les rapports entre les compagnies et la client le sont moins faciles dans les r gions rurales que dans une grande ville comme Paris forte densit de population 1 Les appartements de chacun de ces immeubles ne comportent pas tous le m me syst me de chauffage BULLETIN D INFORMATION DE PROPAGANDE ff ULTIMHEAT Installations remarquables ou sp ciales Puis aKIRTUAL MUSEUM SOCI T DE DISTRIBUTION D ELECIRICIT DE L Ouesr Cha
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