Lettre d`information N°2 - European Commission
Contents
1. inter m diation afin de fa onner ce qui peut tre d fini comme une ing nierie sociale autour des entreprises en cr ant de la sorte des conditions socio conomiques et institutionnelles favo rables au d veloppement de l innovation technologique et de la soci t de l information C est sur la base de ce constat qu ont t lanc s les pro jets RTT et RISI qui poursuivent le double objectif d une part d aider les entreprises innover notamment en ren for ant les savoir faire des individus et d autre part de d velopper de nouvelles technologies Les sept projets RISI financ s par le Feder ont commenc au d but de 1997 et ont une dur e de deux ans Ils ont pour 8 Lettre d information th me t l travail t l m decine am lioration de l acc s des PME l information appui aux PME dans les zones rurales coop ration des municipalit s tourisme services administratifs Les deux projets financ s par le FSE ont d marr r cemment et d velopperont des applications pour le t l travail transfrontalier et un r seau de biblio th ques publiques dans des r gions p riph riques En ce qui concerne les projets RTT leur financement pro vient en totalit de l article 10 m me si la DG XIII Pro gramme Innovation intervient dans la conduite de trois d entre eux Au total les projets pilotes couvrent 36 r gions dans 12 Etats membres les r gions de l Objectif 1 assu mant le r le directeur dans2. RISI 1e ShIPP La r gion de Shannon l heure de la soci t de l information Le projet ShiPP Shannon Information society regional Part nership Programme couvre la r gion de Shannon au sens large y compris les comt s de Clare Limerick North Kerry North Tipperary et South Offaly Ce territoire qui recoupe trois entit s r gionales le Mid West et partiellement le South West et les Midlands compte 400 000 habitants 10 de la population de l Irlande sur une superficie totale de 1 million d hectares environ 15 du territoire national Le projet est coordonn par l agence r gionale de d veloppement Shan non Development avec la participation de MAC Ltd le centre national des applications de la micro lectronique L un des th mes prioritaires des actions de l article 10 du Feder et de l article 6 du FSE pour la p riode 1995 1999 concerne la soci t de l information et sa transposition dans la r alit concr te des r gions par la d monstration d ap plications et de services innovants la participation directe des usagers et le transfert de savoir faire en particulier dans les r gions d favoris es de l Union europ enne comme l est celle de Shannon en Irlande Le projet ShIPP uvre r solument en ce sens en s effor ant de prolonger d lar gir et d approfondir la notion de soci t de l information au del du simple domaine t l matique Il entend ainsi r aliser un plan t l matique r gional int
3. grant la probl matique de la soci t de l information dans une strat gie et un plan d action global pour la r gion de Shannon Sensibiliser les acteurs locaux rechercher le consensus favoriser les par tenariats sont les principaux objectifs du projet qui mise sur la mobilisation et la coop ration des partenaires en labo rant un plan d action r gional en 18 mois Le projet est actuellement au stade initial de son pro gramme de travail Phase 1 inventaire et valuation des possibilit s des handicaps et des potentiels du territoire Six groupes ateliers ont t mis sur pied pour offrir un espace de discussion sur la soci t de l information et agir comme lieu de clarification des principaux probl mes Ils ont chacun un th me Collectivit s locales et secteur public Petites et tr s petites entreprises Moyennes et grandes entreprises Education et formation Victimes de l exclusion sociale Population rurale Des membres repr sentatifs de chaque cat gorie ont t invit s prendre part ce travail Par le biais de cette d marche participative le ShIPP a identifi un ensemble de besoins mais aussi un cart apparent dans l appr ciation de la notion de soci t de l information et de ses enjeux N anmoins tous se montrent r ceptifs l id e d un plan d action et il existe une attitude positive l gard des opportunit s apport es par la soci t de l information 2 Lettre d informa
4. n ficient pas de subventions permanentes de la part des pouvoirs publics Les d fis relever sont bien entendu la viabilit cono mique de ce type d entreprises et la solvabilit des services fournis mais surtout la persistance de la volont politique exprim e jusqu ici par les partenaires qui devra perdurer au cours des diff rentes phases de concr tisation du pro jet Cr er des synergies au plan local et national requiert une nergie et un temps consid rables et Synergia entend s attacher la p rennisation des premiers liens tiss s Contact ITLD Information Training Local Development M Yannis Kyriakou Directeur G n ral tel 30 1 362 44 01 Fax 30 1 362 49 14 E mail peja compuling gr Lettre d information 7 S minaire RISI H RTT Barcelone les 7 et 8 Novembre 1997 Les 7 et 8 Novembre 1997 les porteurs des projets RTT et RISI II projets pilotes des actions innovantes de l article 10 du FEDER et leurs partenaires se sont r unis Barcelone pour pr senter leurs projets et discuter de leur mise en uvre avec la Commission Europ enne et des experts ext rieurs Au total 140 acteurs r gionaux en provenance de 60 r gions diff rentes ont particip ce large d bat sur les th mes de la soci t de l information et du transfert de technologies Ernest Maragal de la municipalit de Barcelone a souhait la bienvenue aux participants et soulign l importance des nouvelles technologies et d
5. quipe d ap puiTST Teleservices Support Team et un service d aide en ligne pour l assistance en mati re technique et d or ganisation Le projet veut promouvoir les changes et la coop ration entre partenaires et aider les r gions IDAN se donnerdes opportunit s conomiques sociales et culturelles gr ce au transfert de savoir faire et d informations La coop ration entre les organismes r gionaux de d veloppement comme entre les PME sera renforc e Etat d avancement Le projet IDAN s articule en deux phases La premi re l tude de faisabilit a dur six mois et s est achev e en ao t 1997 II s agissait d laborer une description d taill e du projet IDAN pour d gager clairement le concept et la m thodologie envisag e pour le projet pilote et d en d montrer la faisabilit technique et financi re Le travail effectu par tous les partenaires au de cette premi re tape a conduit l examen des m thodes puis une premi re version du futur IDAN Web System Le projet est aujourd hui entr dans sa seconde phase celle de la mise en uvre Toutes les r gions participent au IDAN Web System dont la coordination est assur e par la r gion de Rh nanie du Nord Westphalie et son prestataire FTK GmbH Egalement importantes dans le cadre du travail actuel les d marches aupr s d autres organismes r gio naux de d veloppement pour les encourager se pr sen ter et offrir leurs services sur le futur I
6. BE l Extr madure ES Les r gions participant au titre de l Objectif 2 et 5 b sont le Gelderland NL la Lorraine F la Flandre BE le V sternorrland SE le Weser Ems DE la Rh nanie du Nord Westphalie DE Historique du projet Depuis 1994 les r gions IDAN travaillent une strat gie commune pour la soci t de l information et cherchent faciliter sa mise en uvre dans chaque r gion par des changes d informations La plupart ont sign la d clara tion intitul e Les r gions d Europe vers la soci t de l in formation l occasion des conf rences interr gionales du 26 octobre 1994 et du 13 mars 1995 Sur la base de ces d clarations communes les autorit s et institutions r gio nales repr sent es par leurs d l gu s au sein du Comit des R gions ont d cid en d cembre 1995 d unir les efforts exp riences et changes r alis s jusque l et de lancer ensemble le projet IDAN Objectifs du r seau IDAN Le projet IDAN a trois grands objectifs Mettre sur pied un r seau interr gional qui r alise l in terconnexion des banques de donn es en ligne r gio nales ou le transfert de projets dans les r gions d fi cientes sur le plan de l offre de services t l matiques pour les PME Cr er sur l internet le IDAN Web System donnant un acc s ais multilingue et fiable l information cono mique des r gions participantes Former dans chaque r gion partenaire une
7. autour d un objectif commun La Galice peut se vanter d avoir son actif trois bonnes universit s de nombreuses ressources naturelles et une population courageuse Qu est ce qui l emp che donc d tre la pointe des r gions innovantes 4 Lettre d information C est dans ce contexte qu est n e l id e du projet ESTREIA acronyme de Strat gie R gionale d innovation en espagnol Pour la toute premi re fois y sont r unis autour d un projet commun la Chambre de Commerce Conselleria et d Industrie l Institut Galicien de Promotion Economique l IGAPE et le Plan Galicien de Recherche et de D veloppement Technologique Ces trois organismes sont membres de la Xunta de Galice savoir le gou vernement r gional de Galice chacun d eux tant actif dans sa propre sph re de comp tences mais jamais jus qu pr sent ils n avaient travaill de concert un projet commun ces trois partenaires il convient d ajouter la participation du FEUGA la Fondation Universit Entreprise de Galice qui est galement membre du r seau des Inno vation Relay Center en Europe Les objectifs fondamentaux du projet ESTREIA sont iden tiques ceux de tous les projets RIS D un c t il s agit de r pertorier l offre r gionale d appui l innovation savoir tous les l ments qui constituent le syst me r gional d in novation mis disposition des entreprises et de l autre le projet entend identifier les besoins r els
8. lecture les 17 et 18 d cembre 1997 La nouvelle structure comprend quatre th mes un de plus que dans la proposition initiale Le programme sur la d couverte de ressources naturelles et de l cosyst me a t divis en deux afin de produire un programme sur l am lioration de la qualit de vie et la gestion des ressources naturelles et un pro gramme sur la protection de l cosys t me Les deux autres programmes sont la cr ation d une soci t d infor mation conviviale et la promotion d une croissance comp titive et stable De nouvelles actions ont aussi t intro duites dans les programmes le vieillis sement de la population dans le premier programme le changement environ nemental global etle climat dans le qua tri me programme Les facteurs sant alimentation et environnement figurent maintenant en tant qu actions dans le programme Dans le programme trois l utilisation et l approvisionnement en nergie ont t divis s en deux et l im portance de prot ger et d velopper le patrimoine culturel europ en est main tenant mentionn e dans l action re nomm e la ville de demain et le patri moine culturel Le budget propos est maintenu 16 300 millions d ECU Une proposition commune pourrait tre at teinte ces prochains mois au Conseil Re cherche Au JO C3 du 7 01 1998 la Commission a publi des propositions de nouvelles r gles de participation et diffusion des r sultats de la recherche
9. probl mes du secteur agri cole dans l arri re pays Le rythme de progression du taux de ch mage est effrayant 184 Viotia et 249 Evia alors que la moyenne grecque est de 102 Les femmes les jeunes etles ouvriers de plus de 45 ans sont les plus touch s Face cette situation et en raison des probl mes com muns ces deux d partements l Agence des Collectivit s Territoriales ITLD a pris l initiative de lancer le projet SYNERGIA et de rassembler un partenariat local fort autour d une initiative pour tenter de sortir du marasme L Organisation pour l Emploi de la Main d Oeuvre OAED les collectivit s territoriales et les structures repr sentant les acteurs conomiques etsociaux des deux d partements et l ITLD partagent la certitude que le probl me du ch mage qui les touche si cruellement ne peut tre r solu uniquement par la cr ation d emplois dans des activit s industrielles tra ditionnelles Le secteur de l conomie sociale et des ser vices de proximit est riche de potentialit s et les explorer devrait galement permettre de maintenir la population sur les territoires concern s en d courageant l migration vers les grands centres urbains que sont Ath nes et Chalkida Quoique classiques et similaires la plupart des projets Nouveaux gisements d Emplois de l article 10 les objec tifs que poursuit le projet Synergia sont innovants dans la mesure o pour la premi re fois ils sont partag s par
10. recyclage des d chets et enfin les garderies d enfants La phase successive du projet Synergia proc dera tr s naturellement la concr tisation des objectifs ci dessus une enveloppe financi re consacr e au lancement d en treprises de services de proximit sera d termin e au sein des Programmes D partementaux pour la Cr ation d Em plois d initiative Locale les projets pilotes prendront leur envol et enfin deux p les d assistance technique seront lanc s qui s appuieront sur deux structures interm diaires locales Le Centre de Formation Professionnelle de Viotia et l Agence de D veloppement du d partement d Evia ITLD entend assurer la mise en r seau des acteurs concer n s et mettra la disposition des agents grecs d initiative locale une panoplie d outils en vue d changer de diffuser et de capitaliser les r sultats des projets Sont pr vus entre autres un guide m thodologique des ateliers de travail Il importe de souligner que pour la premi re fois la volont politique de collaboration entre l Etat et les Autorit s Locales est ratifi e et concr tis e sous forme d un pro gramme sp cifique territorial pour la promotion des emplois d initiative locale Tant le pouvoir central que les Collectivit s Territoriales affecteront des ressources finan ci res au projet et feront de la sorte caisse commune La fourniture de services sociaux de proximit sera assur e par des entreprises d conomie sociale qui ne b
11. t 6 Lettre d information A Florence avant l t le partenariat tombe d accord sur les th mes suivants Anvers peinture 17 s Florence art 15 s Helsinki fonctionnalisme en architecture Newcastle industrialisation et culture Palerme civilisation arabo romane 7 12 s et une version pr liminaire d un r pertoire de th mes cul turels liant les divers partenaires a t tudi A la r union de Newcastle en septembre la version finale du r pertoire estadopt e et on aborde la question de la pr sentation et de la mise en page du c d rom et du site inter net Un s minaire organis d but novembre Anvers devait d cider de la forme d finitive des outils promotionnels en vue de rassembler les mat riels n cessaires photogra phies textes etc En principe le site internet et le c d rom devraient tre pr ts pour la fin du mois de mars 1998 C est la fin de la p riode des vacances estivales que le par tenariat PROMISE a atteint son rythme de croisi re On se rend compte alors que pour parvenir des r sultats il faut imp rativement am liorer la communication entre les parte naires D o la cr ation du site web de PROMISE avec toutes les possibilit s de l extranet notes m mo message rie lectronique change de documents etc Simultan ment les partenaires apprennent mieux se conna tre et le contenu de chaque site au del des particularit s locales fini
12. t reconnue comme un facteur de succ s des pro jets et il a t conseill que ces partenariats perdurent au del de la vie des projets Soci t de l information transfert de technologies et coh sion conomique et sociale L un des objectifs centraux de la lib ralisation progressive des march s de t l communication consiste faire en sorte que les m mes possibilit s soient accessibles toutes les r gions europ ennes Or les indicateurs scien tifiques et technologiques montrent que l cart entre Etats membres et r gions demeure important Ainsi le d velop pement de la soci t de l information doit tre compl t l o c est n cessaire par une action politique destin e r duire l cart existant et assurer que la soci t de l in formation progresse au rythme d sir travers l Union L int gration de la p riph rie dans les projets a t men tionn e comme tant un l ment positif Les facteurs qui emp chent les transferts de technologie nord sud ou centre p riph rie d exercer leur plein effet sur le d veloppement conomique ont t trait s la lumi re de l intervention du professeur Meric Gertler de l universit de Toronto Canada Sur la base d une impor tante tude de cas d un transfert de technologie Alle magne Canada il affirme notamment qu un ensemble de forces va fa onner le processus de transfert technologique et parmi elles les diff rences de pratiq
13. un large partenariat actif dans deux d partements limi trophes C est ainsi que sont pr vues la mise en place au niveau d partemental d un dispositif permanent d appui la cr ation d emplois de proximit la r alisation de projets pilotes de prestation de services au niveau local et de ce fait la cr ation de nouveaux emplois Ceci am nera les par tenaires r fl chir la d finition de nouveaux profils pro fessionnels ainsi qu la cr ation de structures interm diaires d animation et de conseil A ce stade sur base d un questionnaire envoy 500 m nages et 60 organismes et d une analyse SWOT l tat des lieux de la situation de chaque d partement a t r alis Une part de ce diagnostic a tout d abord consist analy ser le cadre l gislatif et les outils disponibles pour la pro motion des emplois de proximit dans les diff rents Etats membres europ ens Un sch ma de strat gie dans chaque d partement a ensuite pu tre labor et a men la r daction du Programme D partemental pour la Cr ation d Emplois d initiatives Locales Les domaines d intervention et les groupes cibles y sont clairement d finis et repris dans des fiches techniques Plus pr cis ment sur base des priorit s retenues des tudes de viabilit ont t lanc es en ce qui concerne les services culturels locaux la protection et la pr servation des espaces naturels les nouvelles fomes de tourisme la gestion et le
14. DAN Web System Etapes suivantes Achever le IDAN Web System qui doit tre port sur la toile du World Wide Web la fin du mois de f vrier 1998 www idan org Rendre op rationnelles les quipes d appui t l services r aliser un manuel pour le IDAN Web System et organi ser des ateliers de formation pour les PME locales Mettre sur pied des conf rences IDAN nationales et inter nationales pour pr senter le projetetses objectifs et pro duire des mat riels de promotion suppl mentaires bro chures affiches participation aux foires et salons etc Pr voir un volet promotion et extension largissement d autres r gions financement ult rieur Lettre d information 3 Evaluation pr liminaire Depuis le mois de septembre 1997 le projet est pr sent un nombre limit de d agences de d veloppement et de PM E dans certaines r gions Les r actions sont tr s favorables et on estime g n ralement que le projet IDAN se d veloppe bien Toutes les r gions participantes ont confirm leur sou tien politique et financier ce qui est interpr t comme une marque de confiance l gard du projet Coordination projet IDAN FTK GmbH amp Co KG Martin Schmeiker Weg 4 D 44227 Dortmund T l 49 231 97 50 56 0 Fax 49 231 97 50 56 10 E mail andreas koll ftk de PROMOTION DE L INNOVATION RIS GALICIA ESTREIA La Galice une r gion situ e sur la c te atlantique au Nord Ouest de l Esp
15. EDITORIAL Actions innovantes de l Article 10 du FEDER Dans le cadre de l Article 10 du Feder l Union europ enne s est engag e sur le chemin du soutien de l innovation au niveau r gional Cette politique s organise sur 2 principes l introduction d une culture de la coop ration du tra vail en commun de la mobilisation des acteurs locaux autour de projets la n cessit d exp rimenter des actions con ues et r alis es par des acteurs locaux la volont d ac compagner le processus d innovation par un appui technique et la prise en compte de la dur e Les 131 projets financ s pour un montant de 70 mil lions d cus sur les 4 th mes soci t de l information diffusion de la recherche culture et nouveaux gise ments d emploi ont aujourd hui d marr Ils manent de la profondeur des territoires de l Union euro p enne Port s le plus souvent par des organisations taille modeste impliquant fortement la soci t civile lors de leur conception et pour leur mise en uvre bas s sur de nouvelles formes de partenariat ils consti tuent la preuve vivante de l imagination cr ative et de la volont des acteurs locaux de coop rer et de contribuer activement au d veloppement Les 4 th mes des actions innovantes de l Article 10 du Feder s organisent autour de 2 p les diffusion de la recherche et soci t de l information culture et nouveaux gisements d emploi Le premier p le pro
16. Eu rope participent ce projet qui a d marr en mars 1997 pour une dur e de deux ans Le projet IDAN est principalement ax sur le d veloppe ment conomique des r gions participantes avec l appui des agences de d veloppement et des PME en vue de favoriser leur adaptation aux nouvelles technologies de l in formation et de la communication Parall lement il entend promouvoir et stimuler la coop ration interr gionale entre les partenaires dans la perspective de la soci t de l infor mation Les partenariats mixtes public priv enrichiront les savoir faire et permettront la diffusion des bonnes pra tiques pour la mise en uvre de la soci t de l informa tion l chelle r gionale Pour r aliser ces objectifs un r seau d information tendu IDAN Web System sera mis sur pied pour f d rer les sys t mes r gionaux d information et offrir des services sp ci fiques aux deux cibles principales du projet les agences de d veloppement et les PME Les r gions IDAN Les r gions participantes pr sentent d importantes dispa rit s dans leur structure conomique Ainsi l Extr madure l une des r gions les plus d favoris es de l Union euro p enne c toie dans ce projet la Rh nanie du Nord West phalie qui compte parmi les zones prosp res et est inves tie de la responsabilit de Chef de projet Les r gions participant au titre de l Objectif 1 et ou 6 sont l ilande du Nord UK la Wallonie
17. Le projet s est donn pour mission d exploiter les technolo gies de l information dans le but de mettre en valeur le patri moine culturel des villes partenaires au moyen de pr sen tations multim dias efficaces Il en r sultera la r alisation d un c d rom et d un site sur l internet o les municipalit s s associeront pour former un grand mus e virtuel europ en La valeur innovante d une telle approche ne d coule pas uni quement de la technologie mise en uvre mais surtout de la coop ration entre de multiples partenaires culturels euro p ens Une quantit importante d informations de bonne source serait propos e une audience internationale Dans le cadre d une pr sentation group e la richesse et la diver sit de la culture europ enne ressortiront mieux que dans des pr sentations dispers es Par ailleurs les supports lec troniques tels que le c d rom offrent l avantage de per mettre une consultation selon diff rents crit res index mul tiples groupes th matiques r f rences crois es etc Les r sultats concrets du projet le site internet et le c d rom serviront d instruments pour la promotion du projet aupr s du public international et des professionnels du secteur touristique Le comit de pilotage constitu lors du lancement de PROMISE Anvers le 1 mars dernier a imm diatement discut les r gles pratiques le th me cul turel de chaque ville partenaire et d autres points d int r
18. T des actions innovantes de l article 10 Editeur responsable J Bardouin rue des M napiens 9 11 1040 Bruxelles Toutes les contributions peuvent tre envoy es AEIDL Sin ad Mullins chauss e St Pierre 260 1040 Bruxelles T l 32 2 736 49 60 fax 32 2 736 04 34 E mail network aeidl be Web http www aeidl be art10
19. agne est sans aucun doute une terre de contrastes 2 7 millions d habitants peuplent ses 4 provinces dont deux sont situ es sur la c te et sont urbaines et indus trielles tandis que les deux provinces int rieures rev tent des caract ristiques agricoles et rurales Quoique la Galice compte 3 universit s dont une fond e en 1596 et qu elle soit une des r gions europ ennes qui compte le plus grand nombre d tudiants universitaires elle a connu jusqu r cemment d importants probl mes de scolarisation en milieu rural De grands noms des lettres et des arts en sont issus de m me qu un prix Nobel et de prestigieux b tisseurs de cath drales Depuis des si cles la Galice tente de conju guer la culture espagnole avec sa propre culture galicienne Le taux de natalit de la r gion est un des plus bas au monde puisqu on rel ve sept naissances pour 1000 habi tants Peuple d migrants les galiciens sont pr sents sur tous les continents et constituent de la sorte une commu naut de 600 000 personnes qui maintiennent des liens avec leur terre natale Le galicien a le sens de l initiative mais c est un individua liste Derri re les entreprises performantes ou les institutions dynamiques actives sur le territoire on trouve toujours un homme ou une femme qui a investi personnellement son nergie etses ressources dans le projet Rares sont les r a lisations qui sont le fruit d efforts conjoints d un groupe de personnes unies
20. c de de l conomie globale le deuxi me de l conomie locale Le premier ins r dans le processus de concurrence internationale se propose de soutenir des projets pilotes permettant d une part aux r gions d favoris es qui se sont clairement engag es de d velopper une strat gie active de diffusion de la recherche au profit du tissu des entreprises 26 projets et ou de d velopper un v ritable plan pour la mise en uvre de la soci t de l information 22 projets D autre part en soutenant 17 projets de coop ration transnationale 7 projets de r seaux de transfert de technologie et 10 projets sur les strat gies r gionales pour la soci t de l information il s agit de d montrer par l exemple que des projets transnationaux ayant leur origine au niveau local d ve lopp s un niveau qui reste modeste peuvent avoir des r sultats concrets et durables pour des acteurs locaux essentiellement les PME support du d veloppement Le deuxi me p le porte sur la fourniture des services aux populations et sur la valorisation des patrimoines locaux en particulier culturels L aussi il s agit de d montrer par l exemple encore une fois qu il est pos sible de d gager activit emploi et richesses par une approche du d veloppement novatrice et organis e en offrant aux populations r sidentes permanentes ou temporaires touristes des services et une animation de qualit L change la coop ration transna
21. dans le 5 programme cadre EU Cohesion and the environment a vision for 2000 and beyond Intitul Coh sion europ enne et environnement une vision pour l an 2000 et apr s ce document bas sur l exp rience de la Birdlife Inter national fournit une contribution essentielle au d bat actuel sur la r vi sion des fonds structurels Pour les r gions rurales d Europe qui dispo sent de ressources environnemen tales pr cieuses et d conomies fra giles une int gration troite entre les Fonds structurels et leur composante de d veloppement rural d une part et les nouvelles mesures de la PAC d autre part sera essentielle Cepen dant selon Bridlife les propositions de l Agenda 2000 ne montrent pas clairement la fa on dont cela sera mis en uvre Le document conclut par des recommandations de nouveaux r glements Le rapport et le r sum sont disponibles uniquement en anglais Publi en d cembre 1997 Prix 5 TVA comprise Birdlife International a galement publi un document intitul Vers de nouvelles initiatives communautaires pour le d veloppement rural tirer le meilleur parti de l environnement Contact Jacqui Cuff UE Rural Development Officer RSPB The Lodge Sandy GB Bedfordshire T 44 1767 680 551 ou 44 1767 683 355 ext 2334 direct F 44 1767 691 178 e mail jacqui cuff rspb org uk Contact Nelly Paleologou Birdlife International EC Office 22
22. des d cor es en Europe 10 projets s lectionn s sur 65 pour 1 742 500 ECU 5 Etude sauvegarde et mise en valeur du patrimoine pr industriel europ en 12 projets s lectionn s sur 70 pour 2 660 000 ECU Contact Commission europ enne Direction g n rale X C 4 102 rue de la Loi 3 17 Fax 32 2 296 69 74 Promotion des ONG environnementales La Commission a adopt en d cembre un programme d action communau taire pour la promotion des organisa tions non gouvernementales ayant pour but principal la d fense de l envi ronnement Le programme vise encourager et soutenir les activit s qui contribuent sensiblement la mise en uvre et au d veloppement de la poli tique et de la l gislation communau taire de l environnement information sur l environnement 40 du pro gramme analyse des activit s envi ronnementales 40 coop ration entre acteurs concern s par l environ nement et les ONG actives au niveau europ en 20 Le programme est dot de 10 6 millions d ECU pour la p riode allant du 1 01 1998 au 31 12 2001 Les appels propositions seront publi s chaque ann e au OCE avant le 31 janvier J ournal Officiel L 354 du 30 12 1997 p 25 La 5 proposition de programme de R amp D r vis e La Commission a approuv une propo sition r vis e pour le 5 me Programme Cadre de recherche et d veloppement qui tient compte de la position du Par lement europ en la suite de sa pre mi re
23. des entreprises qu il s agisse des besoins relatifs l environnement dans lequel elles voluent ou de leurs besoins internes La comparaison entre besoins et offre permet d identifier les pi ces qui man quent au puzzle de la comp titivit et de l innovation Les t ches men es jusqu pr sent dans le projet ESTREIA ont permis d avancer dans l affinement et la concr tisation de cet objectif de base Un environnement favorable l in novation ne peut exister sans l activation des 4 points cl ci dessous Informer En Galice les entreprises manquent cruelle ment d information dans tous les domaines qui touchent l innovation Un flux d informations bidirectionnel doit voir le jour d une part que les entreprises sachent ce qui existe et est leur disposition et d autre part que les ins titutions susceptibles d offrir de l information connais sent les besoins de leurs clients Des informations sur les march s la concurrence les brevets les progr s technologiques les centres de recherche doivent tre continuellement la port e des entreprises de mani re rapide et claire Favoriser les financements Les entreprises r ussissent difficilement faire financer leurs projets et les financeurs pr tendent qu ils ne rencontrent pas de projets int res sants Le probl me de mise en relation de la demande et de l offre de financement n est pas nouveau mais peut tre s agit il d un probl me d appr ciation et d o
24. e leur utilisation pour l cono mie locale J an Tindemans membre de l ex cutif de la pro vince du Limbourg NL et du Comit des R gions a rap pel que les pouvoirs r gionaux sont au centre des politiques r gionales tant donn leur plus grande familia rit avec les besoins locaux et sont id alement plac s pour mobiliser les individus et les entreprises Comme l a rappel M Messina chef de l unit Coop ration Interr gionale et D veloppement Local au sein de la DG XVI le probl me essentiel auquel les PME doivent faire face dans un march ouvert au sein duquel elles sont expos es la concurrence est celui de la ma trise des technologies Les PME doivent en tre d autant plus capables que les mutations constituent d sormais un l ment physiologique et permanent de la vie des entreprises et ne sont plus des v nements ponctuels survenant suite des restructura tions sectorielles La capacit d adaptation des entre prises et donc leur capacit innover par ailleurs variable selon les r gions est de ce fait un atout essentiel en mati re de comp titivit et plus g n ralement en termes de croissance et surtout de cr ation d emplois Toutefois prises isol ment les PME ne poss dent pas souvent l ensemble des moyens n cessaires pour ma tri ser elles seules l ensemble de ces technologies Il est par cons quent primordial de mettre les entreprises en relation les unes avec les autres en
25. eloppement permet un appui mieux cibl mieux inform et plus efficace au jour le jour tout en conf rant la n cessaire l gitimit qui encourage les entreprises exp rimenter de nouvelles m thodes ainsi l usage de l internet pour am liorer l efficacit l infrastructure de t l communications n est qu un fac teur parmi d autres de l attitude des PME l gard des nouveaux outils de r seau l adh sion au commerce lectronique d pend davantage de crit res non tech niques tels que la non int gration de l internet dans le travail quotidien l harmonisation de la TVA etc Partir de la demande pour r pondre aux besoins locaux L id e de partir des besoins locaux un des principes fonda teurs et transversaux des projets pilotes de l article 10 a t largement d battue Il est une fois de plus prouv si besoin en tait que le processus d innovation ne doit plus tre vu comme un processus lin aire mais comme le r sultat d inter actions nombreuses entre laboratoires de recherche et entre prises g n ratrices ou utilisatrices de nouvelles technologies C est partir de la demande de technologies visant satis faire des besoins nouveaux croissants que cette interaction entre le monde de la recherche et le monde des entreprises merge d sormais Cette id e force doit marquer en pema nence la conduite des projets Il appara t en effet que non seu lement la capacit r gionale d innovation et l adoption d
26. eprises Une auto valuation per manente des projets selon une m thodologie applicable tous a t vivement souhait e pour permettre d identifier les r sultats et de les quantifier de mani re objective Miguel Arias Ca ete pr sident de la commission r gionale du Parlement europ en conclut en manifestant son appui aux initiatives de la Commission visant renforcer la coop ration entre les acteurs r gionaux afin de combattre les nouvelles formes d exclusion conomique et sociale Informations sur ces sites internet http www aeidl be art10 infosoc htm http www aeidl be art10 inno htm http www octacon co uk proj wolf index htm Lettre d information 9 Pactes territoriaux pour l emploi un aper u initial Monika Wulf Mathies membre de la Commission charg e de la politique r gionale a donn un bref aper u de l tat d avancement initial des 89 pactes territoriaux pour l emploi qui ont t officiellement reconnus par la Commission la veille du Conseil europ en d Amsterdam Les pactes pour l emploi sont des projets int gr s en faveur de la cr ation d emplois Leur ambition est de mobiliser tous les acteurs locaux d importance autour de projets concrets et inno vants qui peuvent tre locaux ou r gionaux ruraux ou urbains Mme Wulf Mathies a rappel que les pactes pour l emploi font partie d un ensemble de mesures labor es par la Commission pour aider les ch meurs trouver un emploi L
27. es nouvelles technologies est tributaire de l offre r gionale capa cit de R amp D et m canisme de diffusion de technologie mais qu elle l est de plus en plus de la demande et plus pr cis ment de la r ceptivit du tissu conomique particuli rement des PME elle m me souvent insuffisante par manque d iden tification des besoins et d expression des besoins D o l importance vitale de d velopper une strat gie fina lis e bas e sur la demande du march approche bottom up plut t que sur l offre technologique et scientifique Des projets men s dans le cadre de larges partenariats locaux On comprendra mieux dans cette optique que tous les projets pr sent s lors du s minaire se d veloppent autour de larges partenariats au sein desquels chaque acteurlocal qu il s agisse des universit s d instituts de recherche d organismes interm diaires de entreprises est invit s associer activement dans l objectif de garantir des r sul tats qui correspondent r ellement aux besoins locaux Ces larges partenariats interr gionaux aboutissent par ailleurs la mutualisation des savoir faire apportant par l m me une valeur ajout e aux projets Cette t che est d autant plus complexe et fondamentale que les r gions sont de plus en plus sensibles des fac teurs exog nes du fait de la globalisation et de l ouverture aux pays de l Est Enfin l implication active des utilisateurs et des produc teurs a
28. es pactes ont un double objectif s attaquer aux causes du probl me en cr ant de r elles opportunit s d emploi au niveau local et g n rer de nouvelles id es par le partage d exp riences Une fois approuv s les pactes pour l emploi pourront b n ficier d un concours financier des fonds structurels communautaires jusqu la fin de 1999 Les 89 pactes actuels concernent une population de 3 millions de personnes et sont pour la plupart centr s sur des zones particuli rement frapp es par le ch mage Un bref passage en revue des projets les plus avanc s per met de se faire une id e des mesures pr vues en termes concrets De tr s nombreuses initiatives mettent en avant la diversi fication du tissu conomique local la cr ation de petites et moyennes entreprises et la promotion des produits locaux et r gionaux Le pacte de Molise en Italie par exemple pro pose la cr ation de nouvelles entreprises dans les secteurs de l agro alimentaire et du tourisme et la d finition d un label de qualit pour les produits r gionaux En Sicile le pacte Alto Belice Coneonese s attache d finir un mod le de d veloppement int gr bas sur les produits du terroir A Clabecq en Belgique un fonds de capital risque de 5 25 millions d ECU a t constitu pour aider au d marrage et la croissance des petites entreprises En ce qui concerne la formation professionnelle et l in t gration au march du travail la pr f
29. is par Telecom Eireann l op rateur national des t l coms Ce dernier inves tira 15 millions de livres en infrastructures de t l communi cations qui feront entrer la ville de plein pied dans l re de l information Quant au projet TITAN auquel participent de nombreux membres du comit directeur du ShIPP il s adresse aux besoins d information des citoyens et des PME parle biais de quatre sites lectroniques ruraux dans un r seau europ en mettant en uvre une d marche inno vante pour les faire participer la soci t de l information La Phase 2 a pour objet la discussion d une strat gie et des priorit s pour la r gion La Phase 3 strat gie et plan d ac tion d finitifs sera pr sent e la DG XVI dans le courant de l t 1998 Contact Mr John King ShIPP Projet EU Affairs Shannon Shannon Town IRL Co Care King shannon dev ie T l 353 61 36 15 55 Fax 353 61 36 19 03 Ms Rosemary O Connor ShiPP Project MAC UL Building National Technology Park IRL Limerick roconnor www mac ul ie T l 353 61 33 46 99 Fax 353 61 33 03 16 RISI 2 IDAN Destin aux petites et moyennes entreprises le r seau interr gional de t l services IDAN Interregional Develop ment Agencies Teleservice Network est un projet pilote financ dans le cadre du programme communautaire de coop ration interr gionale et d innovation conomique RISI 2 au titre de l article 10 du Feder Neuf r gions d
30. it l objet d une attention particu li re dans une s rie de pactes Str mstad en Su de des formations individuelles sont dispens es une centaine de femmes tomb es dans le ch mage de longue dur e Le pacte de J mtland appuie la cr ation de coop ratives de femmes En Finlande des programmes sp cifiques encouragent l accession des femmes la direction des entreprises pacte Lisalmi Une situation similaire existe en Espagne dans les Asturies o la priorit est donn e aux prestataires de services individuels Un programme de r insertion sur le march du travail apr s un cong parental ou de maternit est propos Vienne Autriche Enfin on est galement attentif l organisation du travail et au temps de travail comme en t moigne le pacte de Br me en Allemagne dont l un des volets se consacre mieux organiser le temps de travail Une pr occupation dont plusieurs pactes fran ais se font l cho Ussel par exemple o une exp rience originale sera tent e des tra vailleurs saisonniers et temps partiel vont tre embau ch s par plusieurs entreprises dans le cadre d un contrat temps plein sur toute l ann e gr ce la collaboration d un groupe d employeurs locaux De m me au Tyrol et Albertville on s efforce de r duire les fluctuations sai sonni res de l emploi li aux sports d hiver Le pacte Pays de Valois mise sur le d veloppement du t l travail Pour informations cons
31. ites et payantes du centre et de s informer sur les projets men s par l organisa tion Contact CEDEFOP P O B 27 Finikas GR 55102 Thesaloniki t l 30 31 490 111 fax 30 31 490 102 Surf on http www cedefop gr Eurobarom tre Les sondages d opinion Eurobaro m tre men s par la DG X Informa tion Communication Culture et Audiovisuel de la Commission four nissent des informations partir de six types de sondages 1 l Eurobarom tre traditionnel publi deux fois par an 2 Le sondage europ en continu de suivi 3 le flash t l phonique Eurobarom tre 4 Eurobarom tre D cideurs 5 Etudes qualitatives 6 Eurobarom tre sur les pays d Eu rope centrale et orientale sondage annuel de l opinion publique dans 16 PECO Contact DGX unit Sondages d opinion public et de Recherche 120 4 8 rue de la Loi 200 B 1049 Bruxelles T 32 2 299 91 72 295 19 33 F 32 2 299 45 77 surf on http europa eu int en comm dg10 infcom epo polls html La lettre d information des projets pilotes article 10 est un bulletin d information trimestriel pour tous les porteurs de projets financ s par l article 10 du FEDER sous la responsabilit de la Direction G n rale des Politiques R gionales DG XVI Unit A2 Cette lettre d information est publi e en fran ais et en anglais et est envoy e aux porteurs de projet par courrier Elle est r alis e par l AEIDL pour le compte d Europe Innovation 2000 B A
32. l au service du d veloppement conomique L accroissement de la mobilit et du temps libre dans notre soci t g n re une demande d activit s de loisirs sp cifiques dont le tourisme culturel Comme ce secteur pr sente un fort potentiel de croissance le fait de promouvoir ce type de tou risme peut avoir des cons quences directes et indirectes sur le d veloppement de l conomie locale Cependant le patri moine culturel de nombre de villes europ ennes et certaine ment des m tropoles de taille moyenne est insuffisamment mis en valeur au niveau europ en et international ces villes ont du mal faire conna tre la richesse de leur potentiel cul turel et ne peuvent donc tirer tout le profit de la valeur ajou t e qui en d riverait en temes de d veloppement cono mique Manifestement le marketing classique par brochures interpos es n est pas le moyen le plus efficace pour attirer les visiteurs des quatre coins du monde Les nouvelles tech niques du c d rom et de l internet offrent de grands avan tages pour les activit s de promotion l chelle mondiale et c est ainsi qu est n PROMISE autour des possibilit s offertes par les nouvelles technologies pour PROmouvoir les Mus es La ville d Anvers a rapidement rencontr des pr occupations et des constats similaires chez ses partenaires du r seau Eurocities En quelques semaines le partenariat PROMISE tait cr avec Helsinki Newcastle Palerme et Florence
33. pportu nit dans la mesure o chacune des phases d un projet innovant requiert un type de financement diff rent Appuyer la coop ration Les petites et moyennes entre prises constituent la base de l conomie galicienne Il est impensable d imaginer qu un changement se produise en faveur de l innovation sans une impulsion forte en faveur de la coop ration entre grandes et petites entre prises entre les PME et les universit s entre les PME galiciennes et les PME d autres r gions Qualifier les hommes L innovation et la recherche peu vent difficilement voir le jour et s ancrer sur le territoire si ce processus n est pas accompagn par une formation ad quate des ressources humaines qui auront y tra vailler dans la r gion En Galice on constate que les deux bouts de la cha ne pr sentent un d ficit en mati re de formation d une part l int gration de sp cialistes et de techniciens dans les entreprises galiciennes est parmi les plus faibles en Europe en d pit de la pr sence sur le mar ch de personnel universitaire qualifi et d autre part la qualification de la main d uvre au sein des entreprises est tr s souvent inadapt e au maniement des nouveaux outillages des PME R pertorier l offre Cette phase est actuellement finali s e et le projet s attache pour l instant mettre les infor mations obtenues disposition des entreprises Ceci devrait permettre d atteindre une grande part de l ob jectif men
34. quatre des sept projets Les secteurs et technologies concern s sont le textile l aqua culture les articles cadeaux les techniques de fabrication de pointe les technologies de l environnement l automa tisation de la chaussure et les techniques non polluantes pour les activit s m caniques et m talliques Pour les quatorze projets Feder RISI et RTT les premiers six mois qualifi s de phase de d finition viennent de s achever Tous ont soumis des tudes de faisabilit la Commission laquelle analyse avec l aide d experts la fai sabilit technique et financi re mais aussi l incidence sociale et la viabilit commerciale Les porteurs de projet RISI ont b n fici de l exp rience d un projet pilote pr curseur WOLF opportunit s du WWW pour les r gions d favoris es lui aussi issu de l ar ticle 10 du Feder WOLF a r uni de d cembre 1995 juin 1997 7 partenaires de r gions d favoris es de l Union en vue d valuer les opportunit s que le World Wide Web pou vait repr senter en tant que stimulant pour la petite entre prise Le rapport final du projet vient d tre remis la Com mission et ses principales conclusions sont la culture entrepreneuriale de la r gion est un facteur important dans l approche des opportunit s de l internet certaines r gions organisant de grands s minaires sur la question d autres pr f rant des ateliers plus s lectifs l implication des agences de d v
35. rence va des solutions sur mesure et l laboration de programmes individualis s Exemple le pacte Schirmeck en Alsace o 250 formations temps partiel sont organis es En Irlande la pacte Westmeath s efforce galement de sou tenir les formations individuelles et les cours de r inser tion dans le march du travail Le m me principe est mis en uvre aux Pays Bas par le pacte Flevoland qui met sur pied des centres sp cialis s de formation en alter nance leer werk centra pour les ch meurs de longue dur e Au Portugal pour le pacte Marinha Grande l ac cent porte sur la formation la qualit de fabrication plus sp cialement dans le contexte de m tiers verriers traditionnels 10 Lettre d information Plusieurs projets sont con us pour encourager les nou velles entreprises et notamment les pactes de la Pointe des Ardennes de Roubaix et de Saint Herbain en France Un large ventail d activit s sont explor es tourisme loi sirs services individuels patrimoine culturel Le pacte Lahti en Finlande pr voit de cr er un centre sp cialis Ljipola pour des services aux personnes g es et handicap es Les projets dans ce domaine font fr quemment appel l utilisation des allocations de ch mage ou autres pour cr er de l emploi par exemple le pacte de J mtland en Su de et le celui de Barnsley au Royaume Uni o il est intitul from welfare to work L galit des chances fa
36. rtuni t s de coop ration en mati re d innovation Un des objectifs suppl mentaires du projet ESTREIA tant galement de maintenir le contact entre ceux qui ont par ticip au projet lors de ses diff rentes phases le projet reste en permanence ouvert tous ceux qui ont pris part aux groupes de travail ou l tude quelque titre que ce soit Les r sultats issus du processus en cours sont envoy s chacun et tout commentaire ou suggestion est bienvenu Tous esp rent que cette m thode de travail se poursuivra au del du terme du RIS en juillet 1998 date laquelle la Strat gie R gionale d Innovation sera pr sent e Quoiqu il soit unanimement reconnu que la recherche du consensus est une orientation commune tous les projets RIS l laboration d un consensus sans discussion pr a lable n est qu un assentiment inutile Le projet ESTREIA labore son consensus interne pas pas de mani re pro gressive sur la base de l apport de chacun et partir des changes de points de vue des acteurs impliqu s afin de se donner le maximum de chances que le r sultat final de l exercice b n ficie de l adh sion de tous ceux qui auront mettre en uvre la strat gie d innovation ainsi labor e Contact RIS ESTREIA adresse E mail estreia mail xunta es http www xunta es conselle in in112220 index htm Lettre d information 5 Coop ration interr gionale vocation culturelle PROMISE le tourisme culture
37. rue de Toulouse B 1040 Bruxelles t l 32 2 2280 0830 fax 32 2 2230 3802 Aides europ ennes mode d emploi Ce dossier r alis par l Agence R gio nale de D veloppement de la R gion Nord Pas de Calais fournit un v ri table outil pour acc der aux aides europ ennes rappel de la nature et des fonctions des institutions com munautaires r partition du budget communautaire pr sentation des dif f rents programmes de leur caract ristiques et des types de proc dures r daction s lection et r alisation du projet Le cahier s accompagne d un tableau r capitulatif des principaux programmes communautaires acces sibles aux acteurs socio cono miques du Nord Pas de C alais Note d information conomique Cahier sp cial n 7 d cembre 1997 38 p Contact H l ne Constant Varlet responsable des affaires europ ennes Agence r gionale de d veloppement Nord Pas de Calais 185 boulevard de la Libert BP 2027 F 59013 Lille Cedex t l 33 3 20 14 44 24 fax 33 3 20 57 07 55 Site Web CEDEFOP Depuis 1976 le Centre Europ en pour le D veloppement de la Formation Per manente CEDEF OP est impliqu dans la promotion et le d veloppement de la formation professionnelle des jeunes et la formation continue des adultes principalement par la coordination d activit s d analyse et de recherche au niveau europ en Sur le site web du CEDEFOP il est possible de comman der les publications gratu
38. s forme d une communication aux Etats membres met l accent sur une strat gie coordonn e afin de donner une plus grande coh rence aux aides nationales et celles des Fonds structurels Cette coh rence signifie qu en principe une r gion b n ficiant du soutien des Fonds structurels apr s 1999 devrait aussi tre ligible aux aides nationales en faveur du d veloppement r gional La strat gie laisse cependant aux Etats membres un espace limit leur permettant d ai der des r gions ne b n ficiant pas des Fonds structurels 92 projets RAPHAEL s lectionn s Parmi 841 propositions 92 projets de sauvegarde et mise en valeur du patrimoine culturel b n ficieront d une aide financi re de l UE en 1997 pour un montant total de 9 416 121 ECU Voici le d tail pour les cinq actions du programme 1 Ev nements et initiatives de dis s mination de dimension euro p enne pour la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine culturel europ en 43 projets s lectionn s sur 511 demandes pr sent es pour un montant de 1 763 621 ECU 2 D veloppement de r seaux th matiques de coop ration entre mus es europ ens 13 projets s lectionn s sur 103 pour 2 550 000 ECU 3 Formation compl mentaire et mobilit accrue des profession nels dans le domaine de la sau vegarde du patrimoine culturel europ en 14 projets s lectionn s sur 92 demandes pour 700 000 ECU 4 Etude sauvegarde et mise en valeur des fa a
39. t par davantage accentuer l unit culturelle europ enne dans ses diverses manifestations Une relation coh rente int gr e et une communication efficace forment les condi tions id ales pour r unir le contenu et le mat riel n cessaires une r alisation multim dia de qualit et un site internet riche d une information touristique utile et int ressante Le secteur du tourisme emploie aujourd hui 9 millions de personnes en Europe soit 6 de la population active Selon les experts il a la capacit potentielle de cr er au moins 2 millions d emplois nouveaux dans l Union d ici la fin de la prochaine d cennie Le projet PROMISE pourra pleinement participer cette expansion Contact Mr Eric Antonis c o Mr Hugo Hermans European Affairs and International Relations Stadhuis Grote Markt 1 B 2000 Antwerpen T l 32 3 220 86 97 Fax 32 3 220 85 85 Nouveaux gisements d emploi Le projet Synergia Gr ce Le projet dont le titre complet est Nouvelles structures et institutions au niveau local pour la promotion d emplois de proximit concerne deux d partements Viotia et Evia situ s la limite de l aire m tropolitaine d Ath nes Le taux de ch mage y a dramatiquement augment au cours des derni res ann es La raison principale en est un ph no m ne de d sindustrialisation et le manque de comp titivit des entreprises locales actives dans des secteurs en crise auxquels il convient d ajouter les
40. tion Un comit de pilotage dynamique se r unit r guli rement pour traiter les questions et probl mes pertinents l chelle de la r gion II se compose de 24 acteurs importants au niveau local etr gional donnant une large repr sentation aux agences ins titutions et soci t s dans les secteurs public et priv Le co mit coordonne et g re les activit s pour le projet et ses membres sont r solus faire en sorte que leur r gion parti cipe la soci t de l information et en tire le meilleur profit Dans le cadre d un processus de consultation permanente le ShiPP conduit deux enqu tes sur la base d un chan tillon repr sentatif de 500 m nages et 500 entreprises pour tablir le degr actuel de prise de conscience de la soci t de l information et d utilisation des moyens t l matiques dans la r gion Le projet ShlP P a t officiellement lanc le 5 d cembre Ennis ville consacr e Information Age Town par Mme Sile DeValera ministre irlandaise des Arts de la Culture du Gaeltacht et des Iles Le ShIPP a jou un r le non n gligeable dans la naissance de deux initiatives embl matiques pour la r gion de Shan non Ennis la ville de l re de l information et TITAN Tac tical Integration of Telematics Applications across intelli gence Networks Le ShIPP a en effet contribu coordonner et pr senter la candidature de la ville d Ennis qui a gagn le concours Information Age organ
41. tionale entre zones et acteurs ayant des pratiques diff rentes est au c ur du dispositif Ces actions innovantes sont toutes con ues autour de l organisation de nouveaux partenariats Les acteurs publics et priv s des lieux concern s sont en train de dessiner une nouvelle approche des relations de parte nariat C est progressivement pour eux un nouveau partage du savoir des d cisions du pouvoir et des res ponsabilit s des ressources Cette philosophie est aujourd hui reprise dans les Pactes territoriaux pour l emploi relevant le d fi selon lequel une mobilisation organis e des partenaires locaux permettra de d gager une strat gie et des moyens pour mettre en uvre des politiques actives concert es et efficaces pour la cr a tion d emploi Les actions innovantes de l article 10 du Feder c est l innovation au service du d veloppement local Gageons que ces actions sauront d montrer qu en mobi lisant hommes et nergies qu en pratiquant la coop ra tion et l change on obtient des r sultats tangibles et transf rables que les territoires sont capables de prendre leur avenir en main et qu au niveau r gional le principe nonc par Henri Bergson pourra se v rifier L innovation doit tre partout jusque dans les plus humbles recherches de faits jusque dans l exp rience la plus simple Jacques BARDOUIN Pr sident d Europe Innovation 2000 Lettre d information 1 Du c t des projets
42. tionn ci dessus savoir informer les entre prises Une tude des principales tendances technolo giques susceptibles d affecter les industries galiciennes sera bient t disponible Ce document constitue le socle d un travail permanent et pointu de veille technologique qui verra le jour au terme du projet RIS La phase de rep rage des entreprises a d but il y a quelques semaines Deux outils ont t utilis s cette fin les diagnostiques technologiques et les ateliers Les diagnostics d entreprises permettent d avoir une vision fine de l entreprise partir de l int rieur et de confronter des opinions et des appr ciations tr s diff rentes Les ateliers sont des rencontres multidisciplinaires sans aucun carac t re sectoriel au cours desquelles des personnes provenant de secteurs et d organismes tr s diff rents se rencontrent et d battent d un probl me commun Deux ateliers ont d j eu lieu le premier sur le th me du financement des entreprises innovantes et le second sur les relations entre les associa tions d entrepreneurs et les centres technologiques Trois nouveaux ateliers sont actuellement mis sur pied l un sur les besoins d information des entreprises galiciennes dans lequel il sera fait tat des premiers r sultats de l tude portant sur l offre en Galicie le deuxi me atelier s attachera aux besoins en mati re de formation pour activer l innova tion tandis que le troisi me se penchera sur les oppo
43. ues industrielles et de cultures entre les produc teurs de technologie et les utilisateurs comme par exemple les cadres r glementaires fix s par la loi qu une technologie de production complexe sera non seulement plus vite adopt e lorsqu il y a une troite inter action entre le producteur et l utilisateur mais sa fabri cation sera aussi mieux orient e et donc plus efficace D o la n cessit d une institution qui agisse comme m diateur de la relation entre le fabricant du mat riel au centre et les utilisateurs potentiels en p riph rie et l on voit qu en fin de compte les producteurs ont tout int r t entrer dans un processus d apprentissage interactif avec des entreprises du sud Conclusion Quoiqu il soit encore trop t t pour parler de r sultats dans la mesure o les projets n ont que quelques mois d activi t s et sont pr vus pour une dur e de deux trois ans gageons que le d bat entam Barcelone permette aux porteurs de projets et leurs partenaires de progresser vers des r sultats tangibles A titre d exemple la n cessit de bien cibler les objectifs des projets qui peuvent parfois para tre ambitieux a t soulign e afin de garantir l efficacit optimale des r sultats L importance d une d limitation pr cise des diff rentes approches sectorielles visant comprendre l environne ment des entreprises et ne pas diluer les ressources a t conseill e plusieurs r
44. ulter le site suivant http europa eu int comm pacts GR Lo tHe end Rationalisation des aides r gionales et des politiques structurelles La Commission a d cid de mettre en place un syst me plus transparent pour les aides r gionales l industrie fournies par les 15 Etats membres Pour la p riode allant du 1 janvier 2000 jusqu l an 2006 de nouvelles lignes directrices devront veiller ce que l aide r gionale soit concentr e sur les r gions les plus pauvres le volume global d aide r gionale soit r duit l effet r el des aides soit pris en compte au moment de leur exa men une coh rence existe entre les cartes des aides r gionales et celles des Fonds structurels En ce qui concerne la population couverte les lignes directrices indiquent que le volume total de l aide allou e devra passer de 46 7 42 7 au cours de la p riode 2000 2006 De plus afin de r duire les effets dommageables des d localisations parfois encoura g es par les aides r gionales les lignes directrices stipulent que les investissements et les emplois b n ficiant d une aide devront tre main tenus dans la r gion concern e pen dant 5 ans minimum Un deuxi me document de la Commission tablit un Code d Aide Multisectoriel qui devrait tre appliqu aux investisse ments intensifs en capital pour une p riode d essai de trois ans comp ter de septembre 1998 Enfin un troi si me document adopt sou
Download Pdf Manuals
Related Search