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élèves. Ces derniers sent nombreux, tenus qu`ils sont de

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1. s rine pilocarpine etc Enfin tout r cemment lex p rimentation th ra peutique nous MIS en possession de puissants modificateurs du tonus vasculaire qui rendront de signal s services a sensibilit et du tonus vas NI M dificateurs de I Lu 1 TH RAPIE QCULA RE SES alive et musculaire de l il jonctive 1l produit un abaissement tr s marqu de la per on intra oculaire ce fait s explique par la contraction des vaisseaux et de tous les l ments anatomiques du COrpS ciliaire dont les s cr tions sont ainsi pour ainsi dire sus pendues indications th rapeutiques affections strumeur ses de la corn e et de la conjonctive catarrhe printanier piscl rites laucome etc ae Le lymphatisme pourrait tre consid r comme une atonie des capillaires et des lymphatiques cette atonie serait elle due une insuffisance fonctionelle des ca psules surr nales L opoth rapie su rr nale a donn des r sultats tr s encourageants dans le rachitisme Tout derni rement la Dionine c t de ses qualit s anals siantes profondes vient de nous faire conna tre des p rop ri t s vaso dilatatrices encore insoup ONnn es jusqu ce jour Les capillaires sous son influence acquie ent un calibre deux et trois fois plus orand alors que celui des vaisseaux lymphatiques peut tre d cupl Tous les sujets ne r agissent pas galement la dionine Les adultes sains et bien portants ne montrent qu u
2. DL ENS PE gt a Lu 7 ren mn RE Eva Le Poe TWr ae Carte 4 s A d y f 4 NN fus 1 Pen e le 2 Le fl 4 1 n k 3 15 r Nr AR ART N 4 L tal y o a CR v 2 r re Vs el a A d _x AE Z gt a 7 L KR T7 4 LD P a L Lo LR LOT LS Te Abe en gt M 4 K N x ANT lt 2 L ra CL _ 7 tu PS A has OCEDE 2378 AS ne EE n LT Rs 2 d Le 4 a Les LaT PA cs Line 2e dl d h f LE dr Rs LE LC gt 4 k e t CAP lt AY 2 pet Se NOTA h 4 LN fi LS ae L LP a h 29 Tr Ur L 4 NE is 21 a VU Pre L L FF Cet PA 1 Lo AN Er ECr Q Aa De LCA 4 KR 3 x 1 Le Ne LE mu 4 1 ETS T SN ee VE r x D h 4 m 4 2 ok SE CRE Fr e RL Le de Den ui de 7 a V r AJ L CO x2 ANETAE A 4 ER d fe Ne lt Ne es LP ne rr1 e ie PASX HSE LR LE SRE 2 e AN sd on A te 27 EAP Z AT M LR G4 TEE Z Fa gt nt M CONI 7 a y D A sh x Joe EE L y L ti s CNE lt SN ei 1 z D R Evolution rapide et puissante de l ophtalmologie dans s ces derni
3. res ann es l ves Ces derniers sont nombreux tenus qu ils sont de faire acte de pr sence aux cours J ai assist de nom breuses lecons et bien des consultations o apr s n expos magistral concernant l tiologie la pathog nie la description anatomique des l sions quand il s agissait d entamer cet important chapitre de la th rapeutique on restait frapp de la simplicit de la pauvret de la bana lit des moyens mis notre disposition par une science si admirablement organis e Que de fois n ai je pas en pareille occurrence entendu prononcer pour toute conclu sion cette formule bien latine mais bien anti m dicale therapia nulla Certes c est faire preuve de profonde philosophie que de savoir avouer son ignorance et le m decin p che plus souvent par le d faut contraire mais si l on ayoue son impuissance en face d l ves auxquels on doit communi quer le feu sacr de la science on doit au moins att nuer cet aveu en faisant luire leurs yeux l espoir que leur jeune g n ration saura avec des moyens plus perfectionn s faire mieux que ses ma tres ce qui doit toujours tre Cette th rapeutique d il y a 20 ans et que l on voit encore en pratique dans bien des cliniques fran aises et trang res par trop classiques se r sumait en cette triade omnipotente mercure ntirate d argent airo pine Ce dernier agent avait m me acquis une importance telle qu il tait ad
4. a pommade jaune comme topique pour ainsi dire sp cifi que de cette affection am nent une prompte gu rison de ces k ratites superficielles quand l tat g n ral n est pas trop affecte L atropine est r serv e aux seuls cas o la k ratite est centrale et tr s tenace Quand le issu corn en esl profond ment int ress comme dans la k ratite parenchymateuse el certaines k ratit s profondes l atropine est indiqu e par ce fait que l iris peut tre atteint par le processus morbide et qu il faut tout prix pr venir les adh rences iriennes Du nitrate d argent je n en pourrais dire du mal c estun de nos plus puissants antiseptiques et de nos plus pr cieux topiques qui jusque dans ces derni res ann es a rendu de si grands services dans toutes les formes de con er Le amp Le Lun Late Put ram is Lan Li vu en lt L mn PRE IL NT s 4 PRE 2 nie 2 6 4 FFT lt 0 4NL ae 22 RAT 2 ar 2 NV A 7 PDT gt j de 0 Le PE Tru LES 4 N d 0 pt fi Er LS PR 232 Qc 2 2 F w LE 2 4 2 e TA ES F ET xs 1 ONF L r ES ARE A CELL fr 144 P I 2 R Le nitrate d argent trop caustique doit c der la place s aux sels organiques d argent jonctivites que je comprendrais que l on tressat des cou ronnes pour ceux qui ont t
5. es plaies p n trantes rosions et w c res infectieux de la corn e k ratites profondes et parenchymateuses Nous nous tendrons surtout dans ce dernier cas sur l importance du traitement g n ral bas sur une connaissance exacte de l tiologiede cette affection Nous passerons ensuite aux maladies de l iris des proc s ciliaires qui nous conduiront l tude si int ressante de lophtalmie sympathique que les progr s LA JA IA DARIER T h rapeutique locale par les injections sous conjonc tivales de sublime de la bact riologie ont dans ces derni res ann es clair e d un jour nouveau Le glaucome Sa pathog nie et son traitement nous retiendra un certain temps Nous verrons chemin faisant que bien des affections de la r tine et de la choro de qu on ne traitait pour ainsi dire pas jusqu c s derniers temps peuvent quelquefois b n ficier grandement de la th rapeutique par les injec tions sous conjonctivales L oculistique d j fourni bien des renseignements pr cieux la pathologie et la th rapeutique g n rales par ses r actifs oculaires qui peuvent se classer en modificateurs de la sensibilit superficielle anesth siques coca ne euca ne holoca ne de la sensibilit profonde analg siques dionine et autres d riv s de la morphine en modificateurs du tonus musculaire mydriatiques atropin euph talmine etc myotiques
6. les vulgarisateurs du nitrate d argent en oculistique Mais nous verrons plus loin que les progr s mcessants de la chimie organique nous ont mis en possession d agents plus pr cieux encore parce qu ils sont aussi actifs tout en tant plus inoffensifs et d un maniement plus facile Nous aurons nous tendre longuement sur ce sujet quand nous tudierons le traitement des diff rentes con jonctivites et le mode d emploi du Protargol de l Ichtar Quant au mercure ilreste encore faute de mieux notre supr me ressource dans la plupart des affections des membranes profondes de lol Aussi est ce par l tude sp ciale des m dications mer curielles que nous entrerons dans le d tail de ces le ons de th rapeutique oculaire Nous verrons que le mercure ne doit pas tre consid r exclusivement comme un anti syphilitique Les anciens lui attribuaient avec raison une action alt rante r solutive puissante que nous ne devons pas lui d nier Nous luireconnaissons en outre aujourd hui un pou voir antiseptique qui le place en premi re ligne avec les sels d or et d argent parmi les microbicides les plus puis sants ce titre ilnous rend les plus grands services dans la pratique op ratoire et dans le traitement des maladies oculaires d origine infectieuse Nous aurons donc tudier longuement la m dication mercurielle sous ses diverses formes frictions absorp tion par les voies digestives injections hypodermi
7. ministr dans presque tous les cas on e t pu dire que tous les oculistes taient devenus atropi nomanes au grand d triment des patients que l on privail de leur accommodation Or il n y a qu uneindication bien pr cise de Fatropine c est la crainte des syn chies post rieures Toutes les fois fn QCULAMR bus de op dont oo urale indication H RAPE DCUAIRE ue est bas e sur son action mydriatique que l on redoute une complication du c t de l iris il faut le plus vite possible provoquer une mydriase marqu e C est l le principal r le de l atropine et c est x titre de mydriatique que cet agent conservera une place impor tante dans l arsenal de th rapeutique oculaire Quant ses pr tendues propri t s antiphlogistiques elles sont bien illusoires et ne peuvent compenser l in conv nient immense qu il y a pour les malades tre priv s de leur pouvoir accommodatif Certes ilest quelques cas o cette privation est utile el m me n cessaire par exemple dans les cas de myopie par spasme de l accommodation dans certains strabismes convergents surtout chez les enfants trop jeunes pour porter des lunettes mais c est l une th rapeutique d ex ceplion Dans la k ratite phlict nulaire qui tait et reste encore pour beaucoup tributaire de l atropine nous n employons presque jamais les mydriatiques La surr naline comme antiphlogistique ou plut t comme vaso constricteur et l
8. ne hyp r mie conjonctivale marqu e sans ch mosis tandis que les art i io scl reux les brighiiques les car diaques pr sentent un ch mosis parfois norme Chez les enfants et les jeunes sujets la Dionine peut non seulement Comme agents th rapeutiques mais encore comme agents d tectives permettant de diagnostiquer certains tats pathologiques qu il nous tait difficile de d celer jusqu aujourd hui servir au diagnostic du lymphatisme et de la scrofule car chez ces sujets la r action la Dionine est ANT 2 L on de k 4 tes 4 AS he 8 Eee v e FA 73 FE VE 08 Fr 4 7 AJ 2 7 e V Le 2 f 118 W amp FAC 1 al gt 4 A 23 Re 1 L h ds ga Le L U J Er 4 LENS Len r TT J 7 Re R LA x e 0 ge FN Un A t DC AX ne A w d 1 LA h L s v a h 1 ts LI 2 f Ke 1 0 v P Lu be d ru nn PA CRE KL 3 DO ff SN o 1 VE arr Fa s N S d d ta s 7 PES k 17 Re 2 _ gt L 08 2 12 gt n re We ETS 3 w r Le Dh x CRIER Le Fa 3 Lt gt Pass a tbe LI nl AAC he S pe L r LA L re SR DJ n D amp A0 2 PAT eos DE TEE 3 4 Es Lee aussi marqu e que dans les ta
9. pirisme la routine lui ont reconnu une effica cit r elle qu on a tort de lui d nier parce qu on ne la comprend pas o qu on l explique mal La m dication mercurielle en effet malor les abus qui en ont t faits en th rapeutique oculaire n en est pas moins quand elle est bien administr e une des armes les plus pr cieuses de notre arsenal L empirisme que nous appelons aujourd hui l obser vation clinique ilnefaut pas l oublier est notre grand maitre autant et plus m me que le laboratoire et le mi croscope L exp rimentation doit nous servir surtout prouver ce que la clinique nous fait pressentir ujourd hui avec les th ories pathog niques moder nes nous pouvons nous faire une id e plus exacte de amp
10. ques La m dication hydrargyrique Son importance THERAPIE OCULAIRE dans les maladies du fond de l il de sels solubles et insolubles ces derni rs peu recommanr dables de solutions iqueuses ou huileuses etc Enfin nous nous tendrons plus longuement sur les injections intrayeineuses que nous recommande rons plus particuh rement et terminerons cette tude des m dications mercurielles par un examen tr s d taill de leur application locale sous forme d injections SOuS conjonctivales du cyYanure d hydrargyre Combien s duisante parut au d but cette conception th rapeutique nouvelle permettant d appliquer sur l il lui m me pour ainsi dire autonome tel ou tel agent m di camenteux indiqu par la nature m me du mal local Un horizon tout nouveau s ouvrait devant le clinicien horizon d autant plus brillant qu il n tait vu que de loin travers le prisme de l enthousiasme el de la nouveaut Aujourd hui que dix ann es d observations et d exp riences contradictoires ont pass au crible de la critique scientifique toutes ces brillantes el mirageuses esp ran ces nous pouvons nous faire une id e relativement exacte de la valeur r elle des injections Sous Ccon jonctivales et de leurs principales indications L tude de ces indications que nous allons faire ensem ble nous procurera l occasion d tudier en d tail la th rap utique des i2fections traumatiques de l tl plaies simpl
11. tion de l il La myopie trau matique nous montr qu une pression sur la corn e peut modifier notablement la r fraction et transformer momen tan ment un il hyperm trope en un il myope Le massage bien appliqu est un de nos plus puissants et de nos plus int ressants agents m caniques pr cieux dans les affections de la corn e ei la conjonctive et m me dans le glaucome Vous le voyez Messieurs notre programme est int ressant je m efforcerai de vous exposer mes id es aussi simplement aussi clarement et d une mani re aussi pra tique que possible Si j ai pu vous inciter l exp rimen tation th rapeutique et la recherche de moyens de gu rir mieux et plus vite que nos pr d cesseurs J aurai atteint et au del le but que j ai cherch DEUXI ME LEG ON SOMMAIRE Parmi les M thodes de th rapeutique g n rale une surtout int resse l oculiste la m dication mercurielle son importance les abus qui en ont t faits Diff rents modes d administration des mercu riaux frictions mercurielles Absorption stomacale injections hypodermiques de sels solubles et insolubles brillant avenir des injections intra veineuses et des injections sous conjoncti vales Importance de la th rapeutique locale en oculistique Nous avons vu dans notre premi re le on quelle nn portante place occupe le mercure dans le traitement des maladies des membranes profondes de l il L em
12. ts pathologiques ci dessus CPR ge ANS NE ls 2 7 se rattachant une insuffisance de la tonicite vasculaire IT un re ra thereto Se Le Nous reverrons en d tail ces r actifs aussi int ressants L extrait de capsules surr nales est le plus ss HAS ame puissant vaso constricteur que nous CONNaIssiONs appliqu sur la conjonctive il provoque une an mie pro fonde de toute la surface oculaire inject sous la con lt LE 2 dm rm heu 2 Les anasth siques ainsi que la class toute nouvelle des analg siques oculaires pr sentent un sujet d tude mme Tr D Diagnostic de la sScrofule de l art rio scl rose etc S par la Dionine Massage tr s attachant nous les tudierons avec soin de m me que les divers myotiques mydriatiques etc Les antiseptiques et les opiques divers nous con duiront l tude des conjonctivites une des questions les plus importantes pour le praticien nous devrons alors nous tendre un peu sur le diagnostic diff rentiel des di verses maladies de la conjonctive et du bord ciliaire Nous terminerons nos tudes th rapeutiques par quel ques consid rations sur les agents physiques la cha leur le froid l lectroth rapie etc Le massage oculaire sous ses diff rentes formes atti rera notre attention d une mani re toute particuli re Vous verrez que son action m canique une grande influence sur le tonus et sur la nutri

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