Projet d`ordre du jour - Ministère de la santé
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1. L o amp e THF K rai sas Commission sp cialis e droits des usagers R union du 14 mai 2013 Compte rendu x Pr sent e s Denys PRIOLET C 2 Josiane CASTOR NEWTON C 3 Bernadette DEVICTOR Pr sidente de la C N S C 3 Eric DE FALCO C 3 Abdou ALI MOHAMED C 4 Patrick BEGUIN C 5 Michel REGEREAU C 5 Sylvie VAILLANT C 6 Emmanuel RUSCH Pr sident de la C S D U C 6 Marc DUPONT C 8 Invit e Marianne RIVIERE C 2 Excus e s Bruno PHILIPPE C 1 Dominique SECHET C 5 Laurent GERBAUD C 6 Bernard GAILLARD C 3 Christel PRADO et Eric BLANCHET C 7 Absent e s Aymeric AUDIAU C 2 Daniel BIDEAU C 2 Pierre Marie LEBRUN C 2 Mich le BARON C 5 Jean Pierre COUTERON Corine OGLAZA C 7 Bruno NAGARD C 7 Secr tariat g n ral de la C N S Alexandre VISCONTINI Luiza GABOUR D G S 1 Validation du projet de compte rendu de la r union du 9 avril 2013 Compte tenu de l envoi tardif du projet de compte rendu de la r union du 9 avril 2013 celui ci sera valid lors de la prochaine r union qui a lieu le mardi 18 06 2 Retour sur la rencontre avec Etienne PINTE Pr sident du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale C N L E Mme Bernadette DEVICTOR et M Emmanuel RUSCH ont rencontr le 14 05 M Etienne PINTE Pr sident du C N L E Ce Conseil plac aupr s du Premier ministre2. S ambulatoire non opposable Le rapport du S nat sur les d serts m dicaux tabli par la Commission du d veloppement durable des infrastructures de l quipement et de l am nagement du territoire pr ne la r gulation de l installation Le Pr sident de l U N C A M plaide pour des aides proportionn es aux besoins et aux services rendus qui concerneraient tous les m decins en exercice et pas seulement les jeunes qui vont s installer 5 Point sur les rapports 2012 des C R S A sur les droits des usagers re us par le secr tariat g n ral de la C N S et pr paration des travaux de la C N S pour son rapport 2013 1 Le directeur de la Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salari s C N A M T S a indiqu le 30 05 13 que la mise en place des contrats d acc s aux soins initialement programm e au 1 07 13 est repouss e octobre 2013 http www service public fr actualites 002481 html Le Secr tariat g n ral de la C N S pr sente l tat des lieux des transmissions des rapports des C R S A ce jour 15 rapports et rel ve les difficult s recens es pour renseigner les indicateurs voir la note en annexe A ce stade la C S D U n a pas identifi de critique majeure sur le cahier des charges et sa structuration malgr le fait que de nombreux indicateurs ne soient pas renseign s Le cahier des charges du rapport et le guide qui l accompagnait ont t tr s positifs dan
3. emploi Le Pr sident de la C S D U a eu communication d une nouvelle version du projet de guide Il propose d laborer le projet d avis de la C N S sur ce document autour des points suivants la gouvernance le choix du type de m diation sous tendu par le document le contenu du document hospitalier plus que sant Un projet d avis sera mis en circulation en amont des r unions du 18 juin pour examen en s ance de la C S D U le matin et adoption en assembl e pl ni re l apr s midi 8 Examen de la note sur la commission territoriale de relations avec les usagers A la suite de la rencontre avec le Cabinet de la ministre de la sant le 9 avril dernier celui ci attendait de la part de la C N S une note sur la commission territoriale de relations avec les usagers Mme DEVICTOR Pr sidente de la C N S a donc pr sent un projet de note la C S D U qui a fait part de plusieurs observations La note d finitive a ensuite t adress e le 21 mai 2013 au Cabinet de la ministre 9 Questions diverses La prochaine r union de la C S D U est report e au 18 juin la place du 4 juin avec une pr sentation de la mission confi e M Pierre Louis BRAS sur l acc s aux donn es de sant N anmoins les membres de la C S D U sont invit e s participer la prochaine r union de la Commission permanente le 4 juin apr s midi pour la pr sentation par la Direction g n r
4. il existe galement d autres sources de formations non indemnisables donc m me l O G D P C ne pourra tre exhaustif La Direction g n rale de l organisation des soins D G O S a saisi les Organismes paritaires collecteurs agr s sur le plan national mais ce jour aucune ne porte sur le th me des droits des usagers dans le secteur m dico social les donn es n ont pu tre renseign es dans 12 rapports sur 15 Les trois rapports mentionnant des informations ne sont pas exhaustifs Ce r sultat s explique par le trop grand nombre d indicateurs renseigner qui a pouss certaines CRSA ne pas pouvoir tous les aborder Mais il s explique surtout par la non r ponse ou par la non sollicitation des organismes paritaires collecteurs Au niveau national les r sultats des organismes nationaux n ont pas t r v l s Objectif 2 Les donn es relatives l effectivit du processus d valuation du respect des droits des usagers dans le domaine ambulatoire les informations n ont pu tre renseign es dans 12 rapports sur 15 Les C R S A attendent que la D G O S re oive et leur divulgue les donn es des ordres nationaux de professionnel le s de sant afin d identifier s ils disposent d un processus de traitement des plaintes comportant des donn es r gionales Objectif 3 Les donn es relatives au droit au respect de la dignit de la personne promouvoir la bientraitance da
5. outil est adapt leurs sp cificit s et cherche d velopper un acc s autonome au syst me de droit commun Le programme exp rimental a t mis en uvre en 2011 et 2012 aupr s de femmes et d enfants Roms dans plusieurs r gions Les m diatrices teurs sp cifiquement form e s employ e s par des associations reconnues et travaillant en quipe pluridisciplinaire ont agi aupr s de ce public ainsi qu aupr s des professionnel le s sanitaires et sociaux et de l environnement imm diat des familles Un nouveau programme sera mis en uvre d s 2013 il sera tendu de nouveaux territoires et conform ment la mesure du Plan pluriannuel contre la pauvret et pour l inclusion sociale concernera aussi les Gens du voyage Pour voir la pr sentation diaporama et le d tail des actions men es http www sante gouv fr nouvel article 13017 html acc s extranet r serv aux membres de la C N S 4 Audition de Michel REGEREAU Pr sident de la C N A M T S sur l acc s financier aux Soins Invit pour changer avec les membres de la C S D U M Michel REGEREAU galement membre de la Commission permanente de la C N S pr sente quelques donn es et chiffres sur la question d acc s financier aux soins et en particulier sur les d passements d honoraires Voir le diaporama http www sante gouv fr nouvel article 13017 html acc s extranet r serv aux membres de la C N S En 2011 les d
6. passements d honoraires des m decins secteur 2 et D P ont repr sent 2 4 milliards d euros Le nombre de m decins exer ant en secteur 2 augmente notamment chez les sp cialistes et le taux de d passement augmente le reste charge pour les patient e s est important Il est noter que les d passements sont assez diff rents en fonction des sp cialistes voir les donn es pr sent es sur le diaporama L avenant n 8 la convention nationale organisant les rapports entre les m decins lib raux et l assurance maladie publi e au Journal officiel de la R publique fran aise met en place un nouveau contrat d acc s aux soins ouverts aux m decins autoris s pratiquer des honoraires diff rents et celles et ceux titulaires d un droit permanent d passement sous r serve qu ils n aient pas d pass en moyenne sur l ann e 2012 100 du tarif opposable c est dire 2 fois le tarif de la s curit sociale ou qu ils s engagent revenir en de Il a pour objectif de favoriser l acc s des patient e s des tarifs opposables tarifs s curit sociale et r duire leur reste charge Par ailleurs les signataires s engagent geler leurs tarifs durant le contrat Les int ress e s percevront des aides au financement de leur couverture sociale proportionnelles leur taux de tarif opposable Leurs patient e s seront mieux rembours e s En outre la mise en uvre de l accord est conditionn e
7. C R S A peut en demander communication l Agence r gionale de sant A R S Dans certaines r gions Bretagne Lorraine P A R S a d j fait une pr sentation la C R S A en Haute Normandie la C R S A s est autosaisie de la question de l accessibilit financi re aux soins et s est adress directement aux Caisses primaires d assurance maladie C P A M les m decins ont r agi en affirmant que les observatoires r gionaux des pratiques tarifaires sont un sujet conventionnel qui ne doit pas tre de la comp tence des C R S A Les donn es disponibles en r gion peuvent galement tre transmises aux C R S A via le Collectif interassociatif sur la sant C LS S la F N A T H ou les U D A EF qui si gent dans les C P A M et disposent donc de ces donn es Au del des d passements les membres de la C S D U posent la question de la r partition g ographique des professionnel le s de sant M REGEREAU pr cise que le conseil de l Union nationale des caisses d assurance maladie U N C A M a toujours indiqu qu il souhaitait des incitations l installation dans les zones sous denses et des r ductions d attrait dans des zones sur denses un accord a t trouv avec les kin sith rapeutes les infirmi res et les sages femmes La loi dite H P S T avait pr vu un Sch ma r gional d organisation des soins ambulatoire S R O S ambulatoire mais le Gouvernement a recul en rendant le S R O
8. acc s au dossier m dical dans le secteur m dico social les donn es n ont pu tre renseign es dans 11 rapports sur 15 Les C R S A n ont pas pr cis les raisons Objectif 8 Droits des personnes d tenues Assurer la confidentialit des donn es m dicales et l acc s des personnes leur dossier m dical la proportion de dossiers m dicaux la seule disposition des personnels soignants n a pu tre renseign e dans 13 rapports sur 15 La difficult de collecter ces donn es reste la raison principale pour laquelle aucune information n a pu tre recueillie En effet seul les soignant e s y ont acc s Pour les patient e s admis e s en chambre carc rale les dossiers sont conserv s dans une salle ferm e par digicode Objectif 11 Assurer financi rement l acc s aux soins le nombre de plaintes et de r clamations pour refus de soins pour les personnes en C M U Couverture m dicale universelle ou A M E Aide m dicale d Etat n a pu tre renseign dans 12 rapports sur 15 Les C R S A attendent que la D G O S re oive et leur transmette les donn es des Ordres nationaux des professionnel le s de sant afin d identifier s ils disposent d un processus de traitement des plaintes comportant des donn es r gionales Certaines C R S A avancent que l importance des indicateurs renseigner les emp che de tous les traiter N B certaines C R S A peu recensent des donn es de 2012 ou d
9. ale de l offre de soins D G O S du programme national pour la s curit des patients Le 9 juillet la D G O S pr sentera les indicateurs de satisfaction 2 5 r Acc s extranet r serv aux membres de la C N S Pr sentation g n rale des rapports sur le respect des droits des usagers labor s par les C R S A La Conf rence nationale de sant a re u jusqu pr sent 15 rapports de C R S A concernant le respect du droit des usagers du syst me de sant Bourgogne 69 pages Pays de la Loire 89 pages Centre 67 pages Guadeloupe Saint Martin et Saint Barth l my 62 pages Champagne Ardenne 100 pages Franche Comt 47 pages Corse 101 pages Lorraine 42 pages Guyane 17 pages Bretagne 28 pages Rh ne Alpes 70 pages l Aquitaine 57 pages Haute Normandie 47 pages Tle de la R union 19 pages Alsace 13 pages Le 11 01 13 a t mis la disposition des A R S un guide d application du cahier des charges du 5 avril 2012 pour pr ciser la fa on dont les objectifs doivent tre pris en compte dans le cadre de leur mission de recueil des donn es pour le compte des C R S A Apr s une lecture transversale des 15 rapports transmis la C N S il en ressort assez nettement une volont des diff rentes C R S A d appliquer au mieux les prescriptions du cahier des charges du 5 avril 2012 Tous les rapports o
10. andes sp cifiques aupr s des partenaires Les courriers adress s par la D G O S pourraient tre g n ralis s Des outils communs chaque C R S A pourraient tre labor s pour solliciter les partenaires Le travail avec la Haute autorit de sant H A S devrait tre approfondi pour un ciblage pr cis des donn es attendues dans le rapport Les rapports des Commission des relations avec les usagers et de la qualit de la prise en charge C R U Q P C devraient galement tre r vis s pour fournir plus de donn es essentielles au rapport La partie gestion des r clamations largement et pr cis ment renseign e d montre la volont d apporter un aspect qualitatif Il serait int ressant que toutes les C R S A laborent en annexe un tableau r capitulatif qui indique si les donn es ont t renseign es ou non pour chaque objectif l image du tableau fait par la C R S A Franche Comt Il faudrait int grer dans le recueil des donn es d activit des C R U Q P C des items concernant la formation des professionnel le s de sant nombre th mes abord s La C R S A Aquitaine souhaite que l A R S agisse pour obtenir le nombre de plaintes et de r clamations pour refus de soins pour les personnes en C M U et A M E Elle souhaite qu un rapprochement ait lieu avec la le conciliateur trice des caisses primaires d assurance maladie pour obtenir les donn es concernant les plaintes et r clamat
11. au fait que plus de 33 des m decins au niveau national y adh rent afin que l offre m dicale d passement ma tris soit suffisamment importante au sein du secteur Les d passements d honoraires abusifs seront sanctionn s au del d une certaine limite valu e 150 du tarif de la s curit sociale hormis pour les 3 d partements suivants Paris Hauts de Seine et Rh ne D autres crit res sont galement pris en compte la croissance annuelle du taux de d passement la fr quence des actes avec d passements la variabilit des honoraires pratiqu s le d passement annuel moyen annuel par patient la r p tition des d passements Un observatoire est cr pour assurer le suivi de la mise en uvre et l valuation du contrat d acc s aux soins et plus g n ralement l volution des pratiques tarifaires dans la mesure o l avenant 8 dispose que tous les m decins s engagent mod rer leur pratique tarifaire pendant la p riode de la convention Echanges avec les membres de la C S D U Dans le cadre de l laboration du rapport sur les droits des usagers la C S D U souhaiterait disposer de l offre en tarifs opposables par territoire afin de pouvoir communiquer ces donn es aux Conf rences r gionales de la sant et de l autonomie C R S A cela permettrait d avoir une cartographie de l offre d acc s aux soins Il est indiqu que les donn es sont disponibles en r gion et que la
12. e 2010 au lieu de 2011 ce qui rend probl matique l analyse D autres n indiquent pas l ann e de recueil des donn es 2 Les recommandations pour am liorer le recensement et l utilisation des donn es la C R S A Rh ne Alpes sugg re qu un groupe de travail compos des A R S et C R S A volontaires soit constitu prochainement sous l gide du minist re en vue de mutualiser les outils construire pour r colter les informations Un recueil uniformis permettra ainsi au minist re et la C N S d agr ger les donn es en vue de la r daction de la synth se nationale des diff rents rapports Elle demande galement l A R S qui a inscrit l observation en sant dans un des chapeaux du Projet r gional de sant P R S de bien vouloir int grer l action de recueil des donn es n cessaires la production du rapport de la C R S A dans ce chapitre et d associer les usagers la r flexion voire la construction des outils La C RS A Champagne Ardenne sugg re concernant l objectif 4 le droit au respect de la dignit de la personne Prendre en charge la douleur de d finir pr cis ment ce que constitue le type de structure vis par l indicateur du secteur sanitaire qui pr voit d indiquer le taux d tablissements o une structure d tude et de traitement de la douleur chronique existe SDC afin d tre en mesure d y r pondre Elle rappelle concernant l objectif 5 le dro
13. e n ont pu tre contact es en 2012 les U R L M n ont pas r pondu aux sollicitations des A R S et lorsque des donn es taient fournies elles n taient pas assez d taill es pour les exploiter Certaines C R S A ont n anmoins pr cis que les donn es seront disponibles en 2014 pour 2013 dans le secteur m dico social n ont pu tre fournies dans 13 rapports A ce sujet les C R S A sont en attente des r sultats de l enqu te de la Direction de la recherche des tudes de l valuation et des statistiques D R E E S relative aux Etablissements d h bergement pour personnes g es E P H A qui ne seront disponibles qu partir du mois de juin 2013 Objectif 6 droit l information Permettre l acc s au dossier m dical le nombre de plaintes et r clamations relatives l acc s du dossier m dical et le taux de r ponse apport aux r clamations et plaintes dans le domaine ambulatoire les donn es n ont pu tre renseign es dans 14 rapports sur 15 Le seul rapport qui a r pertori des donn es a pr cis qu elles n taient pas exhaustives Les C R S A attendent que la D G O S re oive et leur transmette les donn es des Ordres de professionnel le s de sant pour identifier s il existe un dispositif de traitement des plaintes au niveau de ceux ci Lorsque des donn es sont pr sentes elles ne sont pas suffisamment d taill es pour connaitre le nombre de plaintes relatives l
14. et r flexions en France depuis ces derni res ann es on tente d aller vers un consensus sur ces questions Pourtant le document soumis l avis de la C N S est tr s g n ral et n aborde pas les th mes de l euthanasie et du suicide assist Par ailleurs ce document soul ve un certain nombre de questions alimentation forc e est elle un traitement le document du Conseil de l Europe revient un peu en arri re sur ce qui a t dit en France dans des d bats pr c dents quand la personne n est pas en mesure de donner son accord la personne de confiance qui en France ne peut pas donner consentement en lieu et place de la personne est plut t envisag e comme un mandataire approche anglo saxonne dans le document du Conseil de l Europe La recommandation de la C N S pourrait tre d appeler une r daction plus prudente en pr cisant que le guide du Conseil de l Europe ne doit pas tre consid r comme une recommandation adress e aux professionnel e s de sant en France Le projet d avis sera adress aux membres de la C S D U et de la Commission permanente qui l adoptera au cours de sa r union du 4 juin la C S D U consid re qu il n est pas opportun d adopter l avis en assembl e pl ni re dans la mesure o il suscite un d bat plus g n ral sur l thique qui ne peut pas avoir lieu le 18 juin 7 Examen du projet d avis sur le projet de guide droits des usagers mode d
15. ions Elle souhaite que le fonctionnement des Conseils de la vie sociale C V S soit retrac dans les rapports internes que les tablissements m dico sociaux doivent tablir et remettre aux A R S La C R S A Corse propose de stabiliser dans un ler temps les outils et les modalit s de recueil des donn es en cours de construction et de mod liser ensuite les autres types de donn es en d veloppant les outils juridiques permettant leur recueil et ce avant m me d en largir le champ d investigation Elle souligne galement la n cessit de disposer de leviers d investigations permettant le recueil des donn es dans le secteur m dico social et dans le secteur ambulatoire de disposer de moyens juridiques et financiers dans ces 2 domaines dans lesquels la repr sentation des usagers la promotion et le respect de leurs droits ne trouvent pas de support tabli Elle propose ainsi de limiter les requ tes une commande nationale d compos e ensuite pour chaque r gion aupr s des diff rents interlocutrices teurs 10
16. it au respect de la dignit de la personne Encourager les usagers r diger des directives anticip es relatives aux conditions de leur fin de vie que la proportion d tablissements m dico sociaux ayant int gr e la dimension des directives anticip es dans les projets d tablissements ne rel ve pas uniquement de l enqu te D R EE S D autres sources peuvent tre mobilis es telles les conventions tripartites de chacun de ces tablissements Elle sugg re aussi concernant l objectif 10 assurer l acc s aux professionnels de sant lib raux de revoir la formulation de l indicateur pour viter de recueillir des r ponses diverses et vari es sans int r t En effet la r daction de l indicateur pourcentage d offre en tarifs opposables par sp cialit et par territoire de sant ne permet pas d apporter une r ponse pr cise Selon la C R S A Franche Comt le rapport fait tat d une somme de r sultats d enqu tes qui doivent tre consid r es avec distance et circonspection tant sur le nombre de formations que sur les taux de participation ou le nombre d tablissements r pondant aux enqu tes Il faudrait pouvoir entrer dans le d tail et sortir du quantitatif et du d claratif afin de cerner si la notion de prise en charge dans le parcours de soins se traduit dans chaque pratique et dans la qualit des soins et de l accompagnement Le suivi des indicateurs devrait faire l objet de comm
17. mais dont le Secr tariat g n ral est assur par la Direction g n rale de la coh sion sociale D G C S exp rimente depuis juin 2012 la participation ses travaux de personnes en situation de pauvret au sein d un 8 coll ge Ce coll ge a t mis en place la suite d un rapport du C N L E remis Mme Bachelot sur l am lioration de la participation des personnes en situation de pauvret et d exclusion l laboration la mise en uvre et l valuation des politiques publiques Pour en savoir plus sur l exp rimentation du 8 coll ge http www cnle gouv fr Experimentation du 8e college html Mme Bernadette DEVICTOR et M Emmanuel RUSCH sont invit e s la prochaine s ance pl ni re du C N L E le 30 mai pour pr senter le rapport 2012 de la C N S sur les droits des usagers et proposer du C N L E de participer l organisation du prochain d bat public de la C N S sur les jeunes et la solidarit dans le domaine de la sant 3 Pr sentation du programme de m diation sanitaire Nathalie GOYAUX charg e des dossiers sant pr carit Direction g n rale de la sant Mme Nathalie GOY AUX pr sente le programme de m diation sanitaire dont la coordination nationale est notamment soutenue par la Direction g n rale de la sant La m diation sanitaire vise am liorer l acc s aux droits la pr vention et aux soins de populations en situation de pr carit Cet
18. ns le domaine ambulatoire les donn es n ont pu tre renseign es dans 14 rapports 15 Le seul rapport ayant des donn es n est pas du tout exhaustif D une part les C R S A restent en attente de la r ponse des ordres la D G O S Et d autre part les quelques donn es fournies par certains Conseils d partementaux de l Ordre des m decins ne sont pas suffisamment d taill es pour connaitre le nombre de plaintes d pos es pour maltraitance Objectif 4 les donn es relatives au droit au respect de la dignit de la personne prendre en charge la douleur dans le domaine ambulatoire les donn es n ont pu tre renseign es dans aucun rapport Les associations de Formation m dicale continue n ont pu tre contact es en 2012 et quelques U R M L n ont pas r pondu aux sollicitations de l A R S dans le secteur m dico social les donn es n ont pu tre renseign es dans 12 rapports sur 15 La raison avanc e par certaines C R S A pour expliquer ce manque de renseignements est l indisponibilit des donn es sans plus de pr cisions Objectif 5 les donn es relatives au droit au respect de la dignit de la personne encourager les usagers r diger des directives anticip es relatives aux conditions de leur fin de vie C dans le domaine ambulatoire les informations n ont pu tre donn es dans aucun rapport En effet les associations de Formation m dicale continu
19. nt t labor s plus ou moins de la m me mani re c est dire en traitant successivement des 4 orientations et objectifs y aff rant l exception de trois Les rapports ne sont pas tous assortis de commentaires au sujet des donn es r pertori es Certains se contentent de les indiquer alors que d autres en profitent pour les assortir de remarques et ou de recommandations Le volume des donn es est plus important dans le secteur hospitalier que dans le secteur m dico social Quant au secteur ambulatoire il est difficile de recueillir des informations I Remarques et recommandations sur la forme des rapports 1 Les difficult s de recueil des donn es indicateurs pour la r daction du rapport Les indicateurs suivants n ont pu ou ont tr s peu pu tre renseign s dans les rapports Objectif 1 Les donn es relatives la formation des professionnels de la sant sur le respect des droits des usagers dans le secteur ambulatoire les donn es n ont pu tre renseign es dans 12 rapports sur 15 Les 3 rapports qui en ont mentionn ont pr cis que ces donn es n taient pas exhaustives Les associations de formation m dicale continue F M C des diff rentes r gions n ont pu tre contact es ou n ont pas fourni d informations De plus aucune donn e n a t fournie par les diff rentes Unions r gionales des professionnels de sant U R P S En effet la majorit des ordres et U R P S
20. ont pr cis que cette demande tait pr matur e application mi 2013 et ont orient s les C R S A vers les 6 instituts de formation Or ces derniers commencent juste se faire enregistrer et agr er en qualit d organismes de d veloppement professionnel continu D P C En ce qui concerne les U R P S certaines n ont pas connaissance de toutes les formations propos es par les organismes de F M C et effectu es par les m decins lib raux rales dans les r gions au regard des th matiques en lien avec le respect des droits des usagers Les U R P S ne sont pas destinataires des informations concernant les formations suivies par les m decins du secteur ambulatoire qui jusqu pr sent taient d livr es par de nombreux organismes de formation m dicale continue agr nationalement ou r gionalement mais galement par des laboratoires ou des groupes E P U groupes de pairs Il est par cons quent impossible de r pondre ces questions moins de questionner individuellement chaque m decin sur les formations qu il a suivies en 2011 Les U R P S n ayant pas vocation tre les destinataires ni les promoteurs des formations choisies et effectu es par les m decins elles ne pourront donc jamais r pondre ces questions C est l O G D P C par le biais de son site internet qui recensera annuellement les formations indemnisables auxquelles les m decins lib raux rales auront choisi de s inscrire Mais
21. s la mesure o ils ont permis aux C R S A d tre beaucoup plus exigeantes dans le recueil des donn es qui incombe aux A R S Il est demand qu une relance soit adress e aux r gions n ayant pas encore fait parvenir leurs rapports S agissant du rapport de la C N S pour 2013 M RUSCH Pr sident de la C S D U propose qu un travail particulier soit r alis sur le syst me d informations dans le domaine des droits des usagers comment faciliter la remont e d informations comment am liorer les outils d observation du respect des droits des usagers quelle est la gouvernance de l observation Il est pr cis que fin 2013 prennent fin la fois les Contrats pluriannuels d objectifs et de moyens C P O M entre l Etat et les A R S mais aussi le contrat entre l Etat et l U N C A M et la convention d objectifs et de moyens avec la C N A MTS autant d outils qui peuvent faciliter ce recueil d informations Il conviendra galement de s interroger sur le partenariat avec l Institut droit et sant afin d identifier si des travaux communs peuvent tre envisag s cette ann e 6 Adoption du projet d avis sur le document de travail sur la fin de vie du Conseil de l Europe Des l ments pour l laboration de l avis ont t identifi s dans le compte rendu de la r union du 9 avril 2013 Il y a un certain paradoxe dans la mesure o la fin de vie fait l objet de nombreux rapports
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