Lycée Laplace - académie de Caen
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1. qu titre indicatif et ne constituent pas un crit re d valuation Il est souhaitable cependant de disposer d au moins deux cr neaux horaires diff rents pr ciser l l ve le mat riel dont il doit disposer calculatrice r gle gradu e crayons stylos ou feutres rouge bleu et noir et un dictionnaire de langue donner si n cessaire une information orale l l ve au cours de l valuation quand elle n intervient pas dans le crit re de r ussite Placer l l ve de fa on ce que la production soit individuelle Corriger le cahier L valuation des comp tences se fait de fa on binaire ou en fonction des crit res de r ussite pr cis s dans la rubrique correction et crit res de r ussite Chaque composante a t valu e le plus souvent deux reprises sur des supports diff rents On n value que la composante Dans ce syst me il existe des situations o l l ve peut donner une r ponse fausse en r ussissant la composante valu e exemple item n 3 Il est souhaitable que la correction s effectue avec les l ves Les professeurs peuvent choisir de mener la correction des activit s dans lesquelles ils retrouvent les approches de leur discipline Exploiter le cahier L l ve compl te la grille r capitulative de ses r sultats L quipe p dagogique compl te la grille de saisie des r sultats de l valuation pour la classe afin d o2. double pr occupation d une part face des l ves en grande difficult et pr sentant une forte h t rog n it un soin particulier a t accord pour proposer des approches p dagogiques originales qui placent les l ves dans des situations concr tes et d autre part le choix est fait d utiliser la souplesse des dispositifs existants savoir en CAP l heure d aide individualis e dont le contenu n est pas disciplinaire Le choix du travail par comp tences a t unanimement retenu et peut s expliquer par l anciennet des pratiques d valuation par comp tences En effet bien avant la refonte des CAP les professeurs jusqu en 1999 taient accoutum s utiliser l entr e en Seconde BEP des valuations diagnostiques qui fonctionnaient de la m me mani re partir de grilles de comp tences De fait d s l origine l quipe d Argentan constitu e en 2003 disposait de recul sur des pratiques d j ancr es dans le quotidien des professeurs de lyc e professionnel Cependant les dispositifs d valuation transversale l entr e en BEP taient tomb s largement en d su tude depuis que le minist re ne fournissait plus les cahiers imprim s 10 Surtout cela nous interpellait comment expliquer l abandon dans les tablissements de ces cahiers d valuations sur lesquels reposait tout le dispositif des modules En substance quelques explications peuvent tre avan
3. Ces quelques remarques nous permettent de constater que les diff rents choix d organisation du travail se trouvent tre en ad quation avec les r alit s du terrain b Les apports de l exp rimentation Une fois les activit s du cahier d valuation r alis es le groupe des professeurs formateurs s est rendu dans les tablissements inscrits dans le dispositif pour pr senter et solliciter les professeurs pour sugg rer des am liorations et surtout exp rimenter le cahier avec leurs l ves Les premi res discussions ont d abord port sur la v rification des comp tences par rapport aux activit s propos es ainsi quelques erreurs ont pu tre corrig es comme dans l activit 3 intitul e pause d jeuner o on demande l l ve de compl ter un tableau l aide d une carte de menu et de composer un repas quilibr ne d passant pas 12 euros Dans cette activit cibl e respecter une consigne et calculer des professeurs du r seau ont pu montrer qu au pr alable de l activit il y avait la comp tence s informer extraire l information qui tait mise en uvre Le groupe de formateurs r uni ensuite a pu discuter de cette remarque et int grer les corrections n cessaires De m me lors de la r union du 23 mars 2006 o le groupe effectue une relecture et un inventaire de toutes les fiches d activit s produites dans les tablissements certaines fiches ont f
4. Ps 7 le La rose des vents N NO NE O E SE so a Mer Courtils Terre Source http www mappy com Pour l aider pr parer sa journ e observez la carte Puis mesurez les distances sur la carte en cm et compl tez le tableau Distance sur la carte en cm Gen ts Tombelaine Tombelaine Mont Saint Michel Travail faire 1 cm sur la carte repr sente 1 25 km sur le terrain Calculez la distance r elle qu il devra parcourir Distance r elle en km Gen ts Tombelaine Tombelaine Mont Saint Michel EE TOTAL 12 Dans cette activit on demande tout d abord l l ve de mesurer une distance sur une carte premier tableau remplir Puis dans un deuxi me temps on lui demande de r aliser un calcul partir de son relev l aide d une chelle L l ve peut donc avoir un r sultat faux lors de son relev et bien calculer avec l chelle Ainsi le r sultat en tant que tel n est pas correct mais il a valid la comp tence calculer puisque son r sultat est en coh rence avec son relev Troisi me choix un cadre typographique est impos l l ve et aux professeurs Toutes les activit s qui d signent exactement le travail que doit r aliser l l ve sont indiqu es en caract res gras pr c d es de la mention travail faire Il ne peut donc y avoir de confusion dans la consigne r aliser
5. adapt Les quipes de professeurs des 20 tablissements ont souhait prolonger l exp rimentation L action concerne d sormais 75 professeurs et pr s de 475 l ves Ils vont en particulier laborer de nouvelles fiches Le groupe auquel s adjoint un professeur d Anglais s engage la r alisation et l ach vement de ses diff rents documents pour la fin de l ann e scolaire 2005 2006 6 cf Annexe 2 7 cf Annexe3 Troisi me ann e 2005 2006 L ann e 2005 2006 est celle de la consolidation du dispositif Les derni res remont es sur le cahier d valuation sont effectu es en octobre et en d cembre la version d finitive est remise l diteur en vue d une diffusion par le CNDP les fiches de rem diation sont quant elles confi es l diteur en avril Cette consolidation s accompagne de la production par les professeurs du r seau de fiches d activit s qui ciblent les disciplines sous repr sent es dans le cahier de fiches 2004 2005 EPS arts appliqu s anglais Dans le m me temps le projet est n de concevoir un espace Internet qui permette tous les acteurs impliqu s dans l action de proposer librement des solutions ou des outils exp rimenter Cet espace de r flexion constitue en quelque sorte un sas interm diaire avant la banque de donn es officiellement valid es Un site de ce genre outre qu il r pond une demande r elle de la part des enseignants pe
6. connaissance des diff rentes composantes d un ch que Par cons quent la rem diation se r alise ensuite deux niveaux dans un premier temps on va s assurer que l l ve poss de ce pr requis en lui faisant r aliser la fiche d activit suivante Exemple 2 Fiche d activit s rem diation premier niveau Pour qu un ch que soit valable il doit comporter Le montant de l achat en lettres Le montant de lachat en chiffres Le lieu o le ch que a t fait La date laquelle le ch que a t fait La signature du propn taue du ch quier Le nom de l agence bancaire Le nom et l adresse du domicile du propri taire du ch quier Le nom du destinataire du ch que D A D ou K W M e Travail faire Reporiez sur le ch que ci dessus dans les cercles les num ros de 1 8 correspondant aux diff rents composanies du ch que Travail faire remplissez le ch que ci dessous partir des indications donn es Vous tes douard DUPONT et nous sommes le 06 10 2010 Vous achetez une montre d une valeur de 132 50 euros la bijouterie DURAND situ e 10 boulevard du Six Juin Falaise Vous r glez votre achat par ch que bancaire Banque R gionale Puis dans un second temps on v rifie l acquisition de la comp tence sur un autre support Exemple 3 rem diation deuxi me niveau Passer une petite annonce Composan
7. tait correct Dans un second temps un travail cons quent de relecture et d harmonisation typographique a t effectu conjointement avec l quipe du CRDP dont le regard nouveau permettait quelques nouvelles corrections Cela a pu galement faire l objet d aller et retour avec le groupe de travail Enfin un nouveau document professeur a t labor en fonction de l extension du champ de diffusion nous ne nous adressions plus des professeurs du r seau au courant des pratiques d velopp es mais un public non averti Un mode d emploi a t r dig en exemple 7 s adressant ces professeurs et proposant au regard de la derni re exp rimentation des conditions simples et a minima d organisation et de passation claires Il en a t de m me pour les fiches d activit s qui seront galement publi es la rentr e 2006 l angle de vue tait particuli rement important dans l exercice on demandait un trac partir de tous les b timents visibles sur la photo 16 Exemple 7 UTILISATION DU CAHIER Pr voir une r union de l ensemble de l quipe p dagogique pour pr senter le cahier d valuation et organiser les passations Choisir une organisation pratique En d but d ann e plusieurs professeurs peuvent participer aux passations Mettre en uvre les passations d terminer un temps de passation les horaires indiqu s pour chaque activit ne sont donn s
8. 0 ANNEXES Annexe 1 Tableau des capacit s des comp tences et des composantes valu es dans le cahier d valuation l entr e en CAP Capacit s Comp tences Composantes Items R sultats ou Remplir chaque item Identifier une orientation Rechercher 18 l information Le 4 Utiliser un document et extraire l information 12 Classer et identifier des documents et des 16 informations 22 14 Transf rer l information sur un support 19 diff rent 21 20 Choisir Distinguer les l ments pertinents 23 Ma triser le code de la langue 27 Traiter Calculer ae 13 Respecter des consignes Ex cuter nee R diger un texte compr hensible Repr senter le temps utiliser une chelle Pr senter Respecter les r gles de pr sentation Organiser l information Structurer Produire un message coh rent Contr ler V rifier la vraisemblance d un r sultat A Expliquer son avis ou son opinion partir Critiquer x g de la situation ou du document 21 un N 00 Lad I A p A Q G ta S Q Rg l E SQ E S Q Q Q amp S N Q NS 2 E N Annexe 2 Liste des tablissements exp rimentateurs tablissement Ville Exp rimentateurs Professeurs Nombre 2004 2005 candidats d l ves 2005 2006 lux ee D URVILLE iroons me LP GUIBRAY Falas SEP LIARD Falaise o G G SEP RABELAIS H H rouville R EREA Bei
9. Fiche informative sur l action Individualisation des apprentissages en CAP Acad mie de Caen Action acad mique sous la responsabilit du coll ge des Inspecteurs de l ducation nationale enseignement technique coordonn e par Mme Maril ne No l Inspectrice de lettres histoire g ographie Classes concern es CAP 1 et 2 ann es Disciplines concern es Fran ais Histoire g ographie Anglais Biotechnologie Maths Sciences Arts appliqu s enseignement professionnel industriel et tertiaire Date de l crit mai 2006 Personne contact Beno t LAUTRIDOU lyc e Laplace Caen Axe acad mique laboration de situations d apprentissage R sum Les l ves qui arrivent en CAP prouvent souvent d importantes difficult s scolaires dont la diversit impose une prise en charge individualis e L action vise donc une remise niveau qui mette les l ves en situation de r ussite elle se donne galement pour but d am liorer leur autonomie par rapport l crit une autonomie qui conditionne en grande partie l obtention du dipl me Elle passe par la cr ation d un cahier d valuation d entr e en CAP et de fiches d activit s de rem diation dans une d marche interdisciplinaire et dans une mise en r seau d tablissements pour la conduite du projet DISPOSITIFS DISCIPLINAIRES EREA Etudes dirig es encadr es Evaluation Education artistique Lyc e professionnel Individualisation Rem d
10. La mise en r seau a pu fonctionner tout d abord parce que le dispositif s est inscrit dans la dur e nous avons pu constater que la troisi me ann e les professeurs s taient enthousiasm s l id e de parfaire le dispositif Ils comprenaient son enjeu et le mode de 10 Division de la formation 18 fonctionnement du r seau Les professeurs ont vu le travail avancer et voluer L un d eux a m me emmen en sortie ses l ves une journ e au Mont Saint Michel dans la peau du personnage fictif de l valuation Jean Le r seau a galement v cu parce que les professeurs se sont aper us que les remarques des uns et des autres taient toutes prises en compte et faisaient vivre le dispositif Les documents produits sont collectifs et le r sultat est bel et bien celui d un travail collectif Le r seau a galement pu fonctionner parce qu il a d but avec un effectif et une assiette g ographique limit s Son extension a t facilit e par le rodage de la d marche sur un groupe circonscrit Le r seau enfin est vivant parce qu il r pond une urgence rendre coh rent l enseignement en classe de CAP en d pistant les besoins des l ves en termes de formation Aucune valuation transversale n existe pour ce niveau de classe et le fait que le dispositif se soit attach l apr s valuation nous semble d terminant De plus l interdisciplinarit le travail par comp tences
11. a permis une centaine de professeurs d envisager les activit s qu ils d veloppent en classe en terme de capacit s et comp tences et de comprendre l enjeu de la n cessaire mutualisation des exp riences pour faire face aux besoins des l ves Ainsi m me s il est difficile de mesurer l impact aupr s des l ves une chose est certaine les l ves qui ont suivi ce dispositif ont appr ci l valuation et les fiches d activit s connexes parce qu ils ont compris que les professeurs se penchaient sur leurs besoins individuels Conclusion et perspectives Les trois ann es consacr es l individualisation des apprentissages en CAP ont permis de mettre en r seau une centaine de professeurs de lyc e professionnel de l acad mie de Caen dans le but d laborer pour les l ves de CAP des strat gies de diagnostic de suivi et de rem diation Les productions r alis es d passent les objectifs fix s un cahier d valuation des comp tences l entr e en CAP et un fichier d activit s de rem diation de pr s de 100 fiches sont publi s par le CRDP et diffus s par le CNDP au niveau national pour la rentr e 2006 Un espace collaboratif est constitu sur le site de l acad mie de Caen qui permet tous les professeurs sans code d acc s de proposer des activit s ou d amender des documents de travail d j en ligne 19 Il subsiste cependant encore quelques difficult s et blocage
12. ait l objet de discussion concernant la comp tence vis e c est l exemple de cette fiche intitul e identit g ographique 13 Exemple N 5 Identit g ographique Composante distinguer les l ments pertinents tes vous capable de d cliner votre identit g ographique Travail faire Compl tez l tableau suivant avec les informations qui localisent votre lieu de vie Plan te Pays R gion D partement COTE Vous pouvez vous aider d un dictionnaire RS La d termination de la comp tence vis e dans l activit a t prement discut e puisque l auteur de la fiche pensait que l activit consistait dans la distinction d l ments pertinents Or ici les l ments ne sont pas donn s l l ve n effectue pas un choix entre diff rentes informations donn es par exemple si on lui donnait les l ments de r ponses Europe Terre France Il organise en r alit une information qu il poss de et la classe La fiche n a donc pas t fondamentalement modifi e Elle a d abord t reclass e dans la capacit s informer Puis deux modifications ont t apport es au contenu de la fiche un item a t supprim parce qu il n avait pas de sens pour l l ve communaut de commune la d marche g ographique ensuite n cessitait de partir du plus concret c est dire du local 14 Exemple n 6 I
13. autour d un th me un voyage d une journ e au Mont Saint Michel permettent d valuer des comp tences communes toutes les disciplines et pr sentent une vari t de supports textes informatifs explicatifs cartes tableaux de chiffres sch mas techniques etc 2 http www discip ac caen fr lettres histoire individualisation CAP htm Les exercices r pertori s en six activit s s appuient sur la mise en uvre de savoirs disciplinaires en fran ais math matiques histoire g ographie vie sociale et professionnelle sciences et techniques industrielles et anglais Cette production de documents s est accompagn e de formations dans les tablissements inscrits dans le dispositif Ces rencontres ont t positives elles ont permis aux professeurs de s approprier les outils propos s par le groupe de travail qui en retour prend en compte les r flexions engag es lors des rencontres Ce lien permanent entre une quipe de travail et les quipes p dagogiques des tablissements semble r pondre aux attentes des professeurs De plus les outils propos s sont adapt s ils abordent des comp tences transversales et vont au del de l aide individualis e souvent cantonn e aux deux mati res qui en b n ficient le fran ais et les math matiques Ils r pondent en outre aux pr occupations des professeurs concernant la mise en place du Contr le en Cours de Formation et fournissent une aide pour la mise e
14. c es les propos qui revenaient lors des stages sur site de la part des professeurs qui avaient pratiqu ces valuations pointaient l exhaustivit des passations le manque de concertation entre les professeurs intervenant dans ce cadre et surtout la lourdeur du dispositif l acquisition d une comp tence se d clinait en trois voire quatre crit res d valuation ce qui pouvait parfois d courager les enseignants Le traitement informatique des donn es se r v lait chronophage et la rem diation n tait pas envisag e de fa on globale a Le choix des comp tences retenues Premier choix il nous fallait donc int grer les critiques des enseignants propos des valuations pr c dentes Il fallait galement produire un document qui correspondrait aux profils des l ves pr sent s en ce d but d article Cette production devait enfin permettre de proposer des parcours de formation adapt s aux besoins des l ves Trois documents nous ont donc permis d laborer la grille de comp tences les livrets d valuation en Seconde BEP les livrets de comp tences de SEGPA mais aussi le r f rentiel du CFG Certificat de Formation G n rale que la plupart des l ves de SEGPA ont pass La grille s inspire enfin galement des travaux sur les capacit s m thodologiques communes auxquels certains formateurs avaient d j particip partir du constat du profil des l ves la grille des comp tences permet de cer
15. charg des TICE et de la mise en r seau du groupe d un professeur de lettres histoire de deux professeurs de maths sciences d un professeur de vie sociale et professionnelle VSP et de deux professeurs de l enseignement professionnel Un appel d offre est lanc en direction de tous les professeurs de lyc e professionnel du d partement de l Orne une trentaine de professeurs s inscrivent dans le dispositif pour l ann e 2003 2004 Le groupe est implant au lyc e Gabriel d Argentan Division de la Formation Le cahier des charges est fix le 3 juillet 2003 lors de la premi re r union du groupe il s agit dans un premier temps de r aliser une banque de donn es pr sentant des approches vari es et transversales Ces outils doivent tre mis en ligne et fournir une aide aux professeurs dans le cadre de la mise en uvre de l aide individualis e Dans un second temps il s agit si cela est possible de r aliser ou d amorcer la r alisation d un outil d valuation permettant d valuer les comp tences des l ves l entr e en CAP outil susceptible d tre diffus sur papier Enfin des rencontres sur tablissement doivent permettre de pr senter les outils de les am liorer de les exp rimenter et de pr ciser les attentes des enseignants Bilan de la premi re ann e 2003 2004 et pr paration de la seconde 2004 2005 A l issue de la premi re ann e de travail le groupe a pro
16. dentit g ographique Capacit s iformer Comp tence organiser l n orma on Composante dasser etidlentifier des documents et des mfcmmations tes vous capable de d cliner votre identit g ographique Travail faire Compl tez k tableau suivant avec les informations qui bcalisent votre heu de vie N de rue D partement Les am liorations les plus sensibles ont pu galement porter sur le contenu des activit s et propos des supports propos s Elles sont le r sultat soit d une lecture attentive du groupe de professeurs qui met en avant une incoh rence soit de l exp rimentation avec les l ves Ainsi dans une premi re version de l activit 1 du cahier d valuation un professeur a pu faire remarquer que le timing propos pour traverser la baie du Mont Saint Michel n tait pas coh rent avec la r alit L activit a t adapt e La premi re exp rimentation a ainsi permis d tablir un protocole d am lioration qui fonctionne comme un va et vient permanent entre les professeurs inscrits et le groupe ressource bas Argentan On d c le des coquilles on sugg re des am liorations on les fait remonter au groupe ressource qui propose une correction Celle ci est nouveau discut e par 15 le groupe et ainsi de suite De fait le r seau se constitue et fonctionne dans l coute et la prise en compte des remarques des uns et des autres Une fois cette premi r
17. duit des outils d individualisation consultables en ligne et un cahier d valuation l entr e en CAP Les outils d individualisation sont compos s de six documents diff rents intitul s entretien individuel la proportionnalit lire un nonc pratiquer l oral la recherche documentaire et la sym trie Ils abordent chacun une d marche d apprentissage commune toutes les disciplines et favorisent la mise en uvre des nouveaux programmes de CAP Ainsi l outil entretien individuel permet de mettre en place un dialogue avec l l ve en d but d ann e afin de l amener contractualiser le contenu de l heure d aide individualis e qui r pond ses besoins D autre part l outil la recherche documentaire fournit une aide individuelle l l ve afin de rechercher efficacement une information dans diff rents supports dans le but de constituer des dossiers documentaires pour le Contr le en Cours de Formation en Histoire G ographie Math matiques ou Arts appliqu s Le cahier d valuation permet lui d valuer des comp tences transversales Il se pr sente sous la forme d un livret de 20 pages compos d activit s et d une grille des capacit s comp tences et composantes valu es que l l ve est amen compl ter Ce cahier pr sente un caract re th matique interdisciplinaire et pluridisciplinaire les diff rentes activit s organis es
18. e exp rimentation r alis e une seconde phase de test plus grande chelle devient n cessaire pour confirmer ou infirmer l ensemble des modifications apport es Surtout une nouvelle contrainte se greffe celle de l diteur qui prend son compte la seconde exp rimentation et fournit de nouvelles pistes de travail de correction partir de son bureau d dition et aussi de l observatoire des experts du CNDP qui oblige le groupe relire sa production en fonction de nouvelles contraintes De l exp rimentation au produit final Les ann es 2004 2005 et 2005 2006 ont fait passer les travaux du groupe du stade acad mique celui d une publication diffusion nationale De nouvelles contraintes sont mises en avant Tout d abord celle des droits d auteur li s aux supports utilis s Dans le cas de supports grev s de droits l auteur doit autoriser l diteur faire usage de son uvre par crit Plusieurs documents taient ainsi susceptibles de poser probl me une photo du Mont Saint Michel une grille d horaire des mar es un texte un plan du monast re du Mont Saint Michel et un timbre poste Parfois encore faut il pouvoir retrouver son auteur Au final deux documents ont d tre retir s notamment la photo du Mont Un des formateurs a retrouv une photo identique qu il avait r alis e il y a quelques ann es Ensuite la derni re exp rimentation a permis de v rifier si le nouveau support
19. ginaires des structures de troisi me dites d insertion 3 sur 12 voire m me parfois de classes de troisi me g n rale 1 sur 12 Ces quelques exemples sont videmment indicatifs mais ils traduisent des profils d l ves que l on retrouve de mani re r currente d ann e en ann e et de lyc e en lyc e 2 El ments de contexte comment s est constitu le projet Une remise niveau tait l vidence n cessaire mais elle ne pouvait pas prendre la m me forme chez des l ves dont les lacunes et souvent aussi le pass scolaire se r v laient tr s divers Il s agissait donc de concevoir des outils d individualisation des apprentissages avec comme pr alable l laboration d un outil d valuation permettant un diagnostic et une rem diation individualis s La mise en place du groupe de travail A l origine le projet r pond une commande de l Inspectrice d Acad mie de l Orne qui souhaitait qu une action soit men e pour les classes de CAP des lyc es professionnels en particulier en direction de l heure d aide individualis e en CAP avec comme second pr alable l ancrage du groupe de travail dans le d partement de l Orne En juin 2003 le coll ge des IEN de l acad mie de Caen et la DIFOR constituent un groupe de professeurs de lyc e professionnel formateurs issus de disciplines diff rentes Ce groupe est constitu d un coordonnateur d un professeur
20. i comprenait sa date de naissance un autre qui effectuait le trajet Mezidon Caen en train pour se rendre au lyc e tait incapable de localiser sur une carte ces deux lieux A cela s ajoutent des difficult s de compr hension videntes des difficult s d attention d coute et de concentration Celles ci se traduisent en classe par une incapacit int grer une consigne orale des s rieuses difficult s de lecture et d criture un manque d autonomie face aux consignes et au travail Enfin nous constatons aussi que la plupart vivent des situations familiales difficiles absence des parents ou des conditions de vie d structurantes Ainsi par exemple sur un effectif de 12 l ves d une classe de CAP ma onnerie du lyc e Laplace nous pouvons retrouver 2 l ves dont l un des deux parents est d c d 3 l ves dont les parents sont s par s 3 l ves en rupture compl te avec leur famille dont 2 vivent dans un camp des gens du voyage dans le quartier de la Gu rini re D autres faits sont prendre en compte certains parents d l ves ne parlent pas du tout fran ais et l l ve se trouve tre le seul interlocuteur avec la famille Cette ann e par exemple deux l ves sur les douze cit s ci dessus sont dans ce cas Cette tr s forte h t rog n it du groupe s explique galement par l origine scolaire des l ves issus en majorit de SEGPA 8 sur 12 les l ves peuvent aussi tre ori
21. iation Enseignement Comp tences professionnel Difficult scolaire EPS Motricit Fran ais Histoire G ographie Interdisciplinarit Langues vivantes Math matiques Physique Chimie Technologie Vie sociale et professionnelle Individualisation des apprentissages en CAP I Gen se du projet 1 Pr sentation Le groupe Individualisation des apprentissages en CAP a vu le jour dans le d partement de l Orne la rentr e de septembre 2003 Il faisait suite au constat r current d importantes difficult s rencontr es par nombre d l ves en particulier dans les disciplines d enseignement g n ral et de l h t rog n it du public qu ils constituent Parcours d l ves M me s il n existe pas proprement parler de parcours type d l ves scolaris s dans les classes de CAP des lyc es professionnels nous pouvons n anmoins d gager un certain nombre de caract ristiques communes la tr s grande majorit de ces l ves Les l ves que nous accueillons dans ces classes sont en difficult depuis longtemps Ils ont une tr s mauvaise image d eux m mes en tant qu l ves qui se traduit en classe par un manque de confiance en soi dans les activit s et surtout une image de soi singuli rement d valoris e En termes d apprentissage les l ves prouvent une grande difficult de rep rage dans le temps et l espace par exemple un de mes l ves cette ann e ne connaissait n
22. m diation r pondant aux valuations du cahier a t faite par le groupe Individualisation des apprentissages en CAP et les professeurs engag s dans l exp rimentation sont invit s de la m me mani re que pour l laboration du cahier exp rimenter et amender les fiches propos es Au total un cahier de 54 fiches d activit s r parties en fonction des capacit s comp tences et composantes valu es a t r alis Chaque fiche vise rem dier une composante valu e lors de l valuation et ce sur des supports disciplinaires diff rents pour v rifier l acquisition de la comp tence Pour illustrer ce lien entre les fiches d activit s et la rem diation envisag e l exemple de l activit 3 du cahier d valuation est vocateur Dans cette activit l l ve est amen r diger un ch que partir d un choix de menu dans un restaurant On vise v rifier l acquisition de la comp tence respecter les r gles de pr sentation Exemple 1 Activit 3 du cahier d valuation Comp tence transf rer l information sur un support diff rent Jean paie son repas par ch que Remplissez lui son ch que Banque R gionale d L Rue des coles 61100 ALEN ON c cain 15 L l ve peut ne pas r ussir cette activit pour deux raisons soit il ne ma trise pas la comp tence soit galement il lui manque un pr requis la
23. n uvre des nouveaux programmes de CAP De ce fait devant le succ s des travaux le groupe propose d tendre le dispositif l ensemble de l acad mie de diffuser le cahier tous les lyc es professionnels publics de l acad mie d accompagner cette diffusion par des r unions de professeurs Le groupe b n ficie pour cela du soutien du PASP Parall lement le groupe propose de produire des outils de rem diation r pondant aux valuations du cahier souhait largement formul par les professeurs inscrits au dispositif afin que les effets du cahier se p rennisent Bilan de la deuxi me ann e 2004 2005 et pr paration de la troisi me 2005 2006 Lors de la rentr e de septembre 2004 un nouvel appel d offre est lanc cette fois en direction de tous les tablissements publics lyc es professionnels de l acad mie 20 lyc es sur les 33 tablissements poss dant des CAP et pr s de 80 enseignants s impliquent dans l exp rimentation 7 P le Acad mique de Soutien l Innovation 7 Cela correspond une quasi unanimit Les tablissements qui n ont pas r pondu ne sont pas v ritablement concern s par le dispositif cf Annexe 2 Le cahier d valuation l entr e en CAP est diffus dans les classes de CAP des 20 lyc es professionnels publics de l ensemble de l acad mie cette diffusion s accompagne de r unions dans les tablissements La production d outils de re
24. ner les urgences en termes de rem diation rep rage dans le temps et l espace identifier une orientation repr senter le temps positionnement de l l ve face aux pr requis de formation vidents lecture de consigne calcul degr de ma trise du code de la langue Deuxi me choix la d marche d valuation retenue est simplifi e et peu consommatrice de temps L valuation des comp tences se fait de fa on binaire r ussie ou non r ussie en fonction de crit res de r ussite Chaque composante a t valu e deux reprises sur des supports diff rents Plus encore pour viter que la discipline support de l activit prenne le dessus sur la comp tence l valuation porte uniquement sur la composante valu e ainsi et cela peut para tre d routant il existe des situations o l l ve peut donner une r ponse fausse en r ussissant pourtant la composante valu e L exemple de l activit n 1 illustre bien la pr dominance de l valuation des comp tences strictes 8 Annexe 11 Exemple 4 Activit 1 le voyage au Mont Saint Michel temps 20 minutes Jean Martin est en vacances au mois d ao t chez sa tante Bacilly Il envisage de passer une journ e au Mont Saint Michel Il a envie de traverser la baie pied partir de Gen ts C est possible basses mers accompagn d un guide A Vous l aidez pr parer sa journ e X L ne
25. principe de co animation bin me comprenant deux formateurs de disciplines diff rentes s est r v l e essentiel afin de rendre cr dible le postulat de d part nous ne travaillons que sur des comp tences Deuxi me facteur la pr sence au sein du groupe des formateurs d un coordonnateur et d un professeur charg du r seau et des TICE Le premier interm diaire entre la DIFOR les corps d inspection et le groupe ressource est indispensable pour la gestion des convocations de plus de 100 personnes Surtout il lui arrive de replacer des activit s propos es une autre chelle que celle du groupe de mettre en contradiction certaines propositions rendant plus efficace le dispositif Le second charg des TICE et de la mise en r seau du groupe a eu pour mission de centraliser d harmoniser et de communiquer les travaux indispensables pour la r alisation de l animation et la coh rence de l ensemble L animation a t galement efficace en grande partie du fait de l implication des inspecteurs en charge de ce dossier et de l aide qu ils nous ont apport e Ils ont pu par leur connaissance des tablissements et des professeurs de l acad mie nous faciliter le travail lors de la communication avec les sites et nous accompagner dans la diffusion des documents Leur pr sence et l int r t qu ils portent aux travaux du groupe ont ind niablement accentu l int r t des participants La mise en r seau
26. rganiser les prolongements donner en particulier en aide individualis e 2 Les conditions de fonctionnement du r seau Il nous faut maintenant nous interroger sur les raisons du bon fonctionnement du r seau et du travail collaboratif d velopp avec plus d une centaine de professeurs en tout L animation Au premier chef la vitalit du r seau tient au degr d efficacit de l animation Outre le fait que tous les professeurs formateurs du groupe ressource taient exp riment s dans la formation continue ou initiale des enseignants et qu ils taient au fait des pr occupations des 17 stagiaires inscrits il reste que le d fi n tait pas disciplinaire En ce sens l laboration d outils d individualisation dans la premi re existence du groupe cf supra p 4 entretien individuel la proportionnalit avant d aborder la r alisation du cahier d valuation nous para t essentielle dans la constitution d une r elle coh rence transversale dans l laboration du protocole de recueil de donn es et dans la fa on d aborder le travail collaboratif En effet nous avons pu nous m mes appr cier cette occasion la qualit de nos changes et apprendre beaucoup de la logique des autres Plus encore les formations sur site nous obligeaient tre parfaitement au clair sur les objectifs de toutes les disciplines mais aussi dans la classification par comp tences En ce sens le
27. rmet d entretenir le dynamisme qui a t celui du dispositif depuis 2003 et d viter que son succ s et sa g n ralisation aient pour effet comme cela se produit parfois de le d vitaliser quelque peu Au final la derni re exp rimentation aura permis de valider les amendements propos s en 2004 2005 Surtout le cahier professeur du cahier d valuation a t am lior et compl t par des conseils pour la mise en uvre Il en a t de m me pour le fichier d activit s pr s de 30 fiches ont t livr es au CRDP dont 7 d anglais 1 en EPS et 2 en arts appliqu s Enfin une trentaine de fiches sont disponibles en ligne sous la forme de documents de travail librement t l chargeables encore en cours d laboration amender et exp rimenter En parall le un outil d individualisation en anglais a t produit par les professeurs de lettres anglais mis en r seau autour du professeur d anglais membre du groupe ressource et il sera disponible en ligne la fin du mois de juin 2006 Il a pour objectif de r pondre aux d marches pr conis es dans le document d accompagnement des programmes d anglais en CAP individualiser utiliser les TICE et d velopper l expression orale Le succ s est certain Tous les professeurs se sont retrouv s en situation de producteurs et ont ainsi pu changer en dehors du cadre disciplinaire en utilisant un langage commun celui des comp tences Les retou
28. rona p a p eee H I I ee RN xa S xs S oii EH e T a srmo pe o p o O e DE EE HE TOCQUEVILLE Pe N aa EE S S ROQUELLE LP LES SAPINS LP DOUCET Equeurdreville E LP DE LA Granville S E MORANDIERE D MR eo PE RE EE RE RS PQ LP COROT StLo Joo To T e LP CURIE Stio Jx x 2 o i LP SAUXMARAIS Tourlaville x x o o LP LECLERC Alen on J xs o T e LP MEZEN Alen on RAU SARL an a a a e SEP Domfront CHEVALLIER LP GUEHENNO Fles Jox oo T e LP LEGER Flers o Jx o a e e LP NAPOLEON L aige x x d 4a o L ANDAINES Lafert mac x x 4 10 LP TRISTAN La fert mac x x 2 jo ___ LP MONNET Mortagne x o o T S EREA La fert mac x x Bo ma E e e a a a 22 Annexe 3 Composition du groupe Individualisation des apprentissages en CAP 2004 2005 2005 2006 Amapaula Arques S77 Philippe Cherel Leftres Histoire Philippe Cherel Leftres Histoire Emmanuel Coquin STI Emmanuel Coquin STI Dalila Joly Biotechnologies Sant Dalila Joly Biotechnologies sant Environnement Environnement Sandrine Lagouche Anglais G rard Lange coordonnateur Benoit Lautridou coordonnateur Benoit Lautridou Tice mise en r seau Guy Lesur Maths Sciences Guy Lesur Maths Sciences Louis Marvie Maths Sciences Louis Marvie Maths Sciences 23
29. rs sont en ce sens tr s positifs au niveau du corps d inspection II Analyse de l action Apr s ce constat et cet historique du dispositif deux questions doivent maintenant tre abord es En quoi la conception du travail en amont a t il permis d en arriver un produit finalis et dit Et deuxi mement quels sont les facteurs qui ont permis de contribuer l essor du dispositif au bon fonctionnement du r seau 1 Du projet initial au produit final la place centrale des comp tences Nous devons maintenant nous interroger sur le travail fait comment partir de sa conception en amont en est on arriv un produit finalis et dit Les explications sont nombreuses quelques pistes cependant m ritent d tre mises en avant ici Tout d abord la r ussite du dispositif tient en grande partie la place centrale attribu e au travail par comp tences Souvent on d cline l interdisciplinarit en se limitant quelques rencontres entre disciplines Dans le dispositif individualisation des apprentissages en CAP le premier souci a t de choisir un angle d attaque qui ne soit pas disciplinaire Ainsi d s le d part la constitution du groupe de formateurs part de cette pr occupation De nombreuses disciplines sont repr sent es au sein du groupe mais aucune n a mis le souhait de proposer des d marches uniquement disciplinaires Les premi res r unions du groupe t moignent d une
30. s pour envisager une ventuelle g n ralisation du dispositif tout d abord l appropriation des comp tences par les enseignants dans les activit s qu ils proposent aux l ves Ce travail bien avanc pour la centaine de professeurs du r seau n cessite un ancrage des pratiques sur un plus long terme et notamment une confrontation des points de vue avec une quipe ressource Or les professeurs des classes de CAP de lyc e professionnel de l acad mie de Caen ne fonctionnent pas encore tous avec cette d marche En ce sens un accompagnement sur site des quipes non touch es par le dispositif permettrait de g n raliser l exp rience En cela une quatri me ann e d exp rimentation avec comme objectif l laboration d outils d aide la mise en uvre du dispositif de rem diation notamment dans le cadre des heures d aide individualis e serait souhaitable On pourrait alors imaginer de proposer des parcours complets liant des outils d individualisation et des fiches d activit s Enfin un des freins la production et la diffusion d activit s reste le probl me des choix des supports et des droits d auteur Il est inconcevable de diffuser des documents grev s de droits M me si le stock de documents libres de droit sur l Internet ne cesse d augmenter ce pr alable peut d courager certains professeurs qui souhaitent travailler sur du r el en utilisant des documents d actualit par exemple 2
31. te respecter les r gle de pr sentation Lisez ke xie suivant Vous cherchez un emploi de ma on Vous avez 19 ans et poss dez un CAP gros uvre Vous avez d j travaill un an Vous habitez Alen on et vote mm ro de t l phone est le 0668 27 5206 Travail faire 1 R digez au brouillon le amp xt de l annonce et montrez k votre profsseur 2 Remplissez la grille ci dessous Vous crirez en majuscules une lettre par case et en laissant une case vide entre chaque mot Votre itxe ne doit pas d passer 4 lignes En somme lorsque l on con oit des activit s il faut toujours s interroger et tre bien s r et que l on vise la bonne comp tence Cela suppose donc un diagnostic Les rencontres dans les tablissements ont t constructives et les outils propos s sont adapt s Face au succ s rencontr lors de ces formations le CRDP s int resse aux productions et propose au groupe de travailler sur un projet d dition du cahier d valuation et des fiches d activit s Le CRDP diffuse la rentr e 2005 une version de travail du cahier d valuation et des fiches d activit s en vue d une publication la rentr e 2006 aux tablissements engag s dans la derni re phase de l exp rimentation le travail sur le cahier d valuation s ach ve sur une ultime relecture et exp rimentation afin de rendre le document diffusable avec un document professeur
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