Département juridique Mars 2011
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1. D partement juridique Mars 2011 1 Sur le plan judiciaire la m diation peut contribuer d sengorger les tribunaux en les all geant d un certains nombre de litiges mineurs en mati res civile et commerciale En mati re de commerce international un syst me de m diation fiable cr dible et performant pourrait tre un atout non n gligeable en direction des investisseurs nationaux et trangers qui pourront r gler leur litiges rapidement en lieu et place d un arbitrage qui devient de plus en plus on reux et complexe et qui n cessite souvent des d placements hors du territoire 2 Sur le plan socio conomique la formation des m diateurs pourrait jouer un r le non n gligeable dans la r sorption d une partie des tudiants licenci s notamment en droit et bien videmment dans les autres disciplines et contribuer ainsi long terme la professionnalisation de la fonction de m diateur nationaux L adoption de la loi sur la m diation est une tape importante certes mais le plus grand travail reste faire par les pouvoirs public Mettre cette loi en application organiser la profession de m diateur et mettre en place les structures et m canismes ad quats pour assurer ce nouveau mode de r glement des litiges toutes les chances de r ussite D partement juridique Mars 2011 2 Etiquetage et pr sentation des denr es alimentaires D cret ex cutif n 05 484 du 22 d cembre 2005 modifiant et compl tant le d c2. admettre n anmoins et qu apr s avoir d pos les dossiers complets la direction concern e au minist re de l Int rieur elles n ont jamais re u de r ponse et encore moins d agr ment Pourtant le d cret oblige les autorit s r pondre cette demande dans un d lai de 65 jours La demande d agr ment d pos e contre r c piss aupr s des services du minist re charg de l Int rieur est trait e dans un d lai n exc dant 65 jours indique l article 10 Pis la plupart des entreprises n ont m me pas eu droit un r c piss de d p t 8 000 emplois menac s En d pit des enqu tes approfondies et les inspections effectu es par les services de s curit aux minist res de l Int rieur et de la D fense nationale aupr s de ces op rateurs conform ment l article 9 ces derniers faute d agr ment n exercent plus leur activit depuis juin 2010 Du coup ce sont pr s de 8 000 employ s qui risquent d tre au ch mage Outre l impossible participation aux appels d offres ces professionnels qui jouissent d une notori t sur le march depuis une dizaine voire une vingtaine d ann es subissent actuellement une pression de la part des services de s curit de la direction des imp ts et celle du registre du commerce pour absence d agr ment Le harc lement dont sont victimes ces soci t s a commenc selon plusieurs patrons rencontr s suite la mise en uvre du projet d installation
3. ans pour certains Il est noter que cet agr ment n est exig nulle part ailleurs Aucun pays ne classe la cam ra comme un quipement sensible L autre difficult subie par ces dirigeants d entreprise a trait au transport de ces appareils qui selon le d cret n cessite une escorte Le transfert des quipements sensibles par les op rateurs dans le cadre de l exercice de leur activit ne peut se faire que sous le r gime de l escorte effectu e par les soci t s d ment agr es cet effet pr cise l article 25 Allons nous programmer des quipes d escorte et payer les frais pour le transport d une ou deux cam ras de surveillance se demandent tonn s les responsables de ces soci t s Quant l acquisition sur le march ext rieur de ces quipements elle est soumise un visa tabli au vu des autorisations pr vues selon le cas par les minist res charg s des Technologies de l information et de la communication ou des Transports ou celui de l Int rieur Une telle situation ne fait que consolider le monopole d un petit groupe d op rateurs loin de toute r gle de concurrence Ce qui est contraire aux exigences de l conomie de march affirment ils Face cette pineuse probl matique les op rateurs souhaitent rencontrer le ministre de l Int rieur pour tenter de trouver des solutions Source Journal LIBERTE du 27 f vrier 2011 D partement juridique Mars 2011 11 4 So
4. de la denr e et du traitement qu elle a subi Lorsqu il n existe pas de telles d nominations il doit tre employ une d nomination habituelle ou courante ou un terme descriptif appropri qui ne risque pas d induire en erreur le consommateur Lorsque la r glementation pr cise le ou les noms donner cette denr e alimentaire il faut utiliser au moins l un de ces noms A d faut il y a lieu d utiliser les d nominations pr vues par les normes internationales 2 La quantit nette pour les denr es pr emball es Cependant l indication de la quantit nette n est pas obligatoire pour les denr es alimentaires a qui sont soumises des pertes consid rables de leur volume ou de leur masse et qui sont vendues la pi ce ou pes es devant l acheteur La liste des denr es alimentaires soumises des pertes consid rables de leur volume ou de leur masse est fix e par arr t du ministre charg de la protection du consommateur et de la r pression des fraudes b dont la quantit nette est inf rieure cinq 5 grammes ou cinq 5 millilitres l exception toutefois des pices et plantes aromatiques Il peut tre pr vu par arr t du ministre charg de la protection du consommateur et de la r pression des fraudes titre exceptionnel des seuils sup rieurs cinq 5 grammes ou cinq 5 millilitres pour certaines denr es alimentaires La quantit est exprim e en unit de volume pour les denr e
5. gislateur alg rien donne aux parties un litige trois possibilit s extra judiciaires pour r gler leurs diff rents La conciliation l arbitrage et la m diation Si les deux premiers taient d j connus par le l gislateur et les pratiquants du droit il n en est pas de m me pour la m diation qui reste la nouveaut par excellence dans le paysage l gislatif et judiciaire alg rien Articles 994 1005 du CPC Nous proposons titre comparatif et pour des raisons de clart le tableau ci dessous pour souligner M diation Les parties tentent de trouver une solution leur litige travers un tiers le m diateur Le m diateur n a aucun pouvoir et ne doit pas proposer de solution moins que les parties le lui demandent Obligation de confidentialit avec obligation de rendre compte au juge dans le cas d une m diation judicaire D partement juridique Arbitrage Les parties choisissent un juge d nomm l arbitre qui aura pour mission de trancher le litige qui les oppose L arbitre un pouvoir de r gler le litige Sa d cision sentence est ex cutoire et souvent sans appel pour les parties Obligation de confidentialit sauf si les parties souhaitent autrement Conciliation Les parties s entendent directement ou par l interm diaire d un juge ou d un conciliateur pour arriver un r glement amiable du litige Le conciliateur propose une solution mais n a aucun pou
6. ce document n est rien d autre que le simple reflet des informations contenues dans le connaissement la facture commerciale et ventuellement la liste de colisage nous dira l un des membres de cette entreprise Cette m me source indique que la banque n est pas concern e par la marchandise mais uniquement par la constatation de la pr sence et la conformit des documents exig s par le cr dit documentaire Ces soci t s se permettent de d livrer ce type de documents qui ne garantit nullement la qualit du produit livr et n engage en cons quence aucune responsabilit de leur part Ces multinationales nous dira t il agissent dans une totale impunit en s octroyant un pactole annuel allant de 400 600 millions de dollars vers s bien entendu par le Tr sor alg rien Cette entreprise alg rienne tire la sonnette d alarme quant aux cons quences de cette note et appelle au bon sens pour la mise l cart imm diate de ces soci t s d inspection et l affectation judicieuse des 400 600 millions de dollars par ann e au profit des services charg s du contr le du commerce ext rieur douanes et DCP pour le renforcement en moyens humain et mat riel D s lors l on se pose la question de savoir s il ne serait pas plus appropri d exiger la pr sentation du certificat de conformit tel que mentionn dans tous les textes nationaux et internationaux D autant que l actuel certificat de qualit es
7. ci t s nationales de contr le de la qualit La sonnette d alarme Si la note n 16 DGC BA 09 transmise au mois de f vrier 2009 aux banques et institutions financi res et relative au contr le des importations de biens r gl es par cr dit documentaire Credoc avait mis des centaines d op rateurs conomiques dans la tourmente aujourd hui ce sont les consommateurs qui se posent des questions En effet alors que cette note est cens e aussi avoir un il sur la qualit des marchandises import es il n en est rien en v rit La note en question dans le cadre de la lutte contre la contrefa on et la contrebande exige pour le r glement du cr dit documentaire en plus d autres documents la pr sentation d un certificat de qualit qui doit tre tabli par des organismes habilit s du pays exportateur Mais est ce vraiment fiable Ces soci t s dites habilit es contr lent elles r ellement la qualit des produits destin s l Alg rie Les sp cialistes s accordent dire qu il ne s agit en fait que d une simple formalit Selon une entreprise alg rienne de contr le de la qualit cette loi a tout simplement permis aux soci t s d inspection trang res de contr ler le commerce ext rieur de l Alg rie Ces soci t s se sont autoproclam es organismes habilit s et d livrent depuis l ann e 2009 un certificat dont la seule qualit s av re tre son intitul Alors que le contenu de
8. de cam ras de surveillance sur les autoroutes Installation de cam ras sur les autoroutes enjeux d un march Ils estiment que les contraintes bureaucratiques auxquelles ils font face confirment les vell it s de certains responsables concern s de les carter de ce juteux march Sinon comment expliquer le fait que l agr ment est accord en catimini quelques entreprises qui se comptent sur les doigts d une seule main Pis celles ci font encore leurs premiers pas dans ce cr neau et n ont aucune exp rience d nonce l un d eux Tout en reconnaissant la n cessit de r guler et d assainir le march ils d clarent que la mise en application du d cret ex cutif rembrunit notre avenir Si cette difficile situation persiste nous risquerons de mettre la cl sous le paillasson et de licencier des milliers de travailleurs pour lesquels nous avons investi travers des cycles de formation d plorent ils Ces op rateurs avouent avoir travaill pendant les ann es de terrorisme et install des D partement juridique Mars 2011 10 quipements pour des difices tatiques Nous avons servi l tat et contribu sa s curit dans les moments les plus difficiles soulignent ils Satisfaits de leurs prestations les pouvoirs publics leur ont d livr m me des attestations de bonne ex cution Mais en reconnaissance on leur exige un agr ment apr s qu ils eurent travaill pendant plus de 20
9. dients Lorsque la denr e alimentaire contient les ingr dients ci apr s ceux ci doivent tre clairement mis en vidence dans l tiquetage a C r ales contenant du gluten notamment le bl le seigle l orge l avoine l peautre ou leurs souches hybrid es et les produits d riv s b Crustac s et produits d riv s c ufs et produits d riv s d Poissons et produits d riv s e Arachides soja et produits d riv s f Laits et produits laitiers y compris le lactose g Fruits coque et produits d riv s h Sulfites en concentration de dix 10 mg kg ou plus 9 les conditions particuli res de conservation D partement juridique Mars 2011 10 la mention du titre alcoom trique volumique acquis pour les boissons titrant plus de 1 2 d alcool en volume 11 Lorsque c est le cas la mention trait e par rayonnements ionisants ou trait e par ionisation ou le symbole d irradiation international proximit imm diate du nom de l aliment Cependant pour certains produits ou familles de produits il peut tre d rog l inscription d une ou de plusieurs mentions par arr t du ministre charg de la protection du consommateur et de la r pression des fraudes Dans le cas des emballages ou r cipients dont la face la plus grande a une surface inf rieure dix 10 centim tres carr s l tiquetage ne doit comporter que les mentions relatives La d nomination de vent
10. e La quantit nette cependant La date de durabilit minimale ou la date limite de consommation Les interdits en mati re d tiquetage est strictement interdit tout mode de pr sentation ou d tiquetage susceptible d entrainer une confusion entre denr es alimentaires et produits non alimentaires Est interdit tout tiquetage susceptible de cr er une confusion dans l esprit du consommateur sur la nature la composition les qualit s substantielles la teneur en principes utiles le mode d obtention la date de limite de consommation la quantit et l origine de la denr e Est interdite toute mention tendant distinguer abusivement une denr e de produit similaires est interdit Toute surcharge ou rajout sur l tiquetage Est interdite toute r f rence des propri t s pr ventives ou curatives l gard des maladies humaines except es pour les eaux min rales naturelles et les denr es destin es une alimentation particuli re Les dispositions p nales Concernant les dispositions p nales r serv es aux infractions relatives l tiquetage elles sont celles pr vues par la loi 89 02 relative aux r gles g n rales de protection du consommateur dont on a trait la teneur dans notre news letter du 25 F vrier 2011 D partement juridique Mars 2011 3 Application de la loi sur les quipements sensibles Des milliers de soci t s de vid osurveillance risquen
11. me ARCOFINA HOLDING Newsletter Juridique ARCOFINA SOMMAIRE 1 La m diation en tant que mode alternatif de r glement des litiges dans le nouveau code de proc dure civile et administrative alg rien gt Types et nomination du m diateur La m diation judiciaire La m diation institutionnelle La m diation conventionnelle Etiquetage et pr sentation des denr es alimentaires Les interdits en mati re d tiquetage Les dispositions p nales Application de la loi sur les quipements sensibles Des milliers de soci t s de vid osurveillance risquent de fermer Soci t s nationales de contr le de la qualit La sonnette d alarme Il sera bient t publi Un guide national du consommateur D partement juridique Mars 2011 1 La m diation en tant que mode alternatif de r glement des litiges dans le nouveau code de proc dure civile et administrative alg rien Note introductive La loi n 08 09 du 25 f vrier 2008 portant Code de proc dure civile et administrative est publi e dans le Journal Officiel n 21 du 23 avril 2008 Les dispositions du nouveau Code de Proc dures Civiles et Administratives CPCA qui traite de la question des modes alternatifs de r glement des litiges MARL constitue une volution significative dans le fonctionnement de l appareil judiciaire alg rien et propulse l Alg rie dans une dynamique nouvelle dans la gestion et le r glement des conflits Le l
12. oduit en plus des mesures r glementaires prendre en cas de nuisance mat rielle ou morale Source Journal LIBERTE du 17 mars 2011 D partement juridique Mars 2011 13 Rendez vous la prochaine Newsletter
13. oir Dans certaines l gislations comme aux USA par exemple les parties peuvent si elles le souhaitent demander au m diateur de proposer une ou plusieurs solutions qui peuvent constituer la base de n gociations en vue d arriver un accord mais la d cision finale d accepter une solution revient aux seules parties La proc dure de m diation La mise en uvre de tout processus de m diation repose sur l interaction de deux l ments fondamentaux les parties et le m diateur Introduction de la demande de m diation Il n y a pas de m diation sans convention Tel un contrat de droit priv la convention de m diation est le reflet de la volont des parties d aller devant le m diateur pour tenter de trouver une issue leur conflit Cependant la diff rence du contrat la convention peut tre d nonc e tout moment par l une ou l autre partie sans que cette d nonciation puisse produire des effets juridiques sur la partie d nonciatrice puisque la m diation repose essentiellement sur la volont des parties La convention peut prendre soit la forme d une clause compromissoire ins r e dans un contrat soit la forme d un compromis ind pendant r dig e apr s la naissance du litige Ainsi en mati re commerciale par exemple les parties peuvent pr voir dans leur contrat une clause sp cifique de recourir la m diation en cas de litige Si le litige est d j n et en l absence d une telle clause les partie
14. olor s c Vins liqueurs et boissons titrant 10 ou plus d alcool d Produits de boulangerie ou de p tisserie qui de par leur nature sont consomm s dans un d lai de 24 heures des gommes m cher et produits similaires m cher f Fromages ferment s destin e murir totalement ou partiellement dans leur emballage 8 La liste des ingr dients Elle est constitu e par l num ration de tous les ingr dients de la denr e dans L ordre d croissant de leur pourcentage d incorporation lors de la fabrication de cette denr e Cette liste est pr c d e d une mention appropri e constitu e du terme ingr dients ou le comprenant Lorsqu un ingr dient d une denr e alimentaire est lui m me constitu de deux ou plusieurs ingr dients cet ingr dient compos doit tre port dans la liste des ingr dients suivi d une liste entre parenth ses de ses propres ingr dients num r s dans l ordre d croissant de leur proportion Lorsque la d nomination de vente ou l tiquetage de la denr e fait r f rence la pr sence d un ou de plusieurs ingr dients n cessaires pour caract riser la denr e leur quantit doit tre mentionn e sauf s ils ont t utilis s faible dose comme plusieurs ingr dients ces derniers tant consid r s comme ingr dients de cette denr e Quand un produit irradi est utilis comme ingr dient dans un autre aliment il en est fait tat dans la liste des Ingr
15. on conventionnelle c est les parties elles m mes qui choisissent le m diateur parmi la liste de m diateurs asserment s inscrits au tableau Dans des cas complexes les parties peuvent opter pour la Co m diation c est dire la d signation de plusieurs m diateurs pour le m me litige La personne physique charg e de la m diation doit tre d sign e parmi les personnes connues pour leur probit et leur droiture et doit satisfaire aux conditions suivantes 1 ne pas avoir fait l objet d une condamnation pour infraction infamante et ne pas tre d chue de ses droit civiques 2 jouir de la qualification requise pour l examen du litige qui lui est soumis 3 tre impartial et ind pendant dans l ex cution de la m diation article 998 du CPC La dur e de la m diation La dur e de la m diation ne peut exc der trois 3 mois Toutefois cette mission peut tre renouvel e le cas ch ant une fois pour une m me dur e la demande du m diateur et apr s accord des parties D partement juridique Mars 2011 La solution appartient aux parties C est les parties elles m mes qui avec l aide du m diateur doivent fournir l effort n cessaire pour trouver la solution qui convient le mieux leur diff rent En r gle g n rale dans toute m diation le m diateur n a aucune influence sur la d cision des parties Il est selon une expression bien r pandue l homme du pouvoir mais qui n a pas de pouv
16. ret ex cutif n 90 367 du 10 novembre 1990 relatif l tiquetage et la pr sentation des denr es alimentaires Il est entendu par tiquetage tout texte crit ou imprim ou toute repr sentation graphique qui figure sur l tiquette accompagne le produit ou est plac proximit de celui ci pour en promouvoir la vente Les mentions d tiquetage doivent tre r dig es en langue arabe et titre accessoire et facultatif dans une ou plusieurs autres langues accessibles aux consommateurs Elles sont inscrites un endroit apparent et de mani re tre visibles clairement lisibles et ind l biles dans les conditions normales de vente Lorsque les mentions d tiquetage sont port es sur une tiquette celle ci doit tre fix e de mani re ce qu elle ne puisse se d tacher de l emballage et lorsque le r cipient est recouvert lui m me d un emballage toutes les mentions obligatoires doivent figurer sur ce dernier ou sur l tiquette du r cipient qui doit tre lisible dans ce cas en transparence et ne pas tre masqu e par l emballage l tiquetage doit comporter les mentions obligatoire ci dessus 1 La d nomination de vente qui doit permettre au consommateur de connaitre avec certitude la nature de la denr e alimentaire de mani re sp cifique et non pas g n rique aux fins la distinguer des produits dont elle pourrait tre confondue et elle doit comporter une description de l tat physique
17. s liquides en unit de masse pour les autres denr es et en nombre d unit s pour les denr es vendues la pi ce pour la denr e pr sent e dans un liquide de couverture le poids net goutt doit tre indiqu 3 le nom ou la raison sociale ou la marque d pos e et l adresse du fabricant ou du conditionneur ou du distributeur et de l importateur lorsque la denr e est import e 4 Le pays d origine et ou de provenance D partement juridique Mars 2011 5 L identification du lot de fabrication except pour les denr es alimentaires rapidement alt rables dont la durabilit minimale est inf rieure ou gale trois 3 mois pourvu que la date de durabilit minimale ou la date limite de consommation mentionn e sur l tiquetage se compose en clair et dans l ordre au moins du jour et du mois 6 le mode d emploi et les pr cautions d emploi au cas o leur omission ne permettrait pas de faire un usage appropri de la denr e alimentaire 7 la date de fabrication ou de conditionnement et la date de durabilit minimale ou dans le cas des denr es alimentaires tr s p rissables microbiologiquement la date limite de consommation Certaines denr es sont dispens es de cette mention notamment a des fruits et l gumes frais qui n ont pas fait l objet d un pluchage d un coupage ou d autres traitements similaires b Sel vinaigre sucre confiseries compos es de sucres aromatis s ou c
18. s peuvent toujours r diger une clause qui leur permette de soumettre leur litige la m diation Le champ d intervention En principe il n y a pas de limites territoriales l exercice de la fonction de m diateur A l instar de l avocat le m diateur peut sous certaines conditions intervenir sur tout le territoire national aussi bien dans le cadre d une m diation institutionnelle que conventionnelle Au sein de l Union Europ enne les m diateurs peuvent exercer ou intervenir ponctuellement dans n importe lequel des 27 pays qui constituent l Union La responsabilit du m diateur Dans l exercice de sa fonction le m diateur est tenu d observer les trois principes directeurs de toute m diation savoir la confidentialit la neutralit et l impartialit le cas ch ant l une ou les deux parties peut demander sa r cusation En cas de faute grave le m diateur peut faire l objet de mesures disciplinaires par ses pairs conform ment au code de d ontologie qui r gie la profession et auquel il a adh r avant de prendre sa fonction Conclusion En adoptant la m diation comme mode alternatif de r glement des conflits le l gislateur Alg rien n a fait que suivre l volution d une pratique mergente qui commence se d velopper dans un nombre croissant de l gislations aussi bien dans les pays du Nord que ceux du Sud Pour l Alg rie les avantages imm diats d une telle adoption sont doubles
19. t d livr en totale contradiction avec le d cret n 05 467 du 6 12 2005 qui stipule que les organismes nationaux ou trangers d inspection ou de certification accr dit s peuvent tre agr s par le minist re charg de la protection du consommateur et de la r pression des fraudes pour la v rification de la conformit des produits import s Ainsi deux ann es ont suffi pour donner la preuve de l inutilit de ce type de contr le Reste savoir ce que sera la r action des pouvoirs publics notamment celle du minist re du Commerce Source Journal LIBERTE du 8 mars 2011 D partement juridique Mars 2011 12 5 Il sera bient t publi Un guide national du consommateur La publication du num ro un du premier guide national du consommateur est pr vue le 1er avril prochain a annonc Tlemcen le directeur de la qualit et de la consommation au minist re du Commerce L laboration du num ro un de ce guide a t achev e et il sera publi au d but du mois d avril prochain a indiqu M Guelli Sami lors d une rencontre organis e l occasion de la c l bration de la Journ e mondiale de la protection du consommateur Le num ro un comprend des articles dont a besoin le consommateur des r f rences juridiques un ensemble de fiches techniques qui fournissent au consommateur des renseignements pratiques sur diverses op rations commerciales et de services et de sp cificit s qui devront caract riser chaque pr
20. t de fermer Pour que ces op rateurs conomiques puissent exercer leur m tier ils doivent obtenir au pr alable un agr ment du minist re de l Int rieur Des milliers de soci t s sp cialis es dans lachat la vente et l installation des quipements de vid osurveillance ont cess leur activit depuis plus de 8 mois cause de l application du d cret ex cutif n 09 410 du 10 d cembre 2009 fixant les r gles de s curit applicables aux activit s portant sur les quipements sensibles La vid osurveillance class e en effet par ce texte dans la section C est consid r e comme un quipement sensible donc soumise certaines dispositions r glementaires Pour que ces op rateurs conomiques puissent exercer leur m tier ils doivent obtenir au pr alable un agr ment du minist re de l Int rieur L article 5 de ce d cret stipule que l agr ment des op rateurs est tributaire de l appr ciation des autorit s concern es sur les questions relatives l habilitation de l op rateur et ses capacit s professionnelles ainsi qu aux conditions de s curit des locaux et des quipements Ces professionnels s interrogent sur les motifs qui ont pouss les autorit s classer la cam ra de surveillance comme quipement sensible alors que des cam ras sont utilis es ais ment dans d autres appareils tels que le t l phone mobile l ordinateur portable webcam et les cam scopes Ce que ces soci t s n arrivent pas
21. voir pour l imposer aux parties qui sont libres de l accepter ou de la refuser Obligation de confidentialit avec obligation de rendre compte au juge Mars 2011 les diff rences qui existent entre la m diation la conciliation et l arbitrage Qu est ce que la m diation La m diation est un processus amiable et confidentiel de r glement des litiges qui implique la pr sence d un tiers Le m diateur Le m diateur n est ni un juge ni un arbitre mais un professionnel dont la mission est d aider les parties trouver elles m mes une solution leurs litiges celui ci est ind pendant et impartial En d autres termes il a le r le de faciliter les n gociations entre les parties Le m diateur ne donne en g n ral son avis qu la demande unanime des parties Types et nomination du m diateur Il existe trois types de m diation Judiciaire institutionnelle et conventionnelle elle est d cid e en fonction du type de m diation 1 La m diation judiciaire c est le juge qui propose aux parties la m diation et donc un m diateur qu elles sont libres d accepter ou de refuser article 994 du CPC 2 La m diation institutionnelle c est le responsable de l institution dans laquelle se d roule la m diation qui propose aux parties un m diateur parmi la liste de ses m diateurs Les parties ne sont pas oblig es de l accepter et peuvent d signer leur propre m diateur 3 La m diati
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