Poèmes - Érudit
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1. Article Po mes St phane Desrochers Br ves litt raires vol 11 n 2 1996 p 18 20 Pour citer cet article utiliser l information suivante http id erudit org iderudit 5801ac Note les r gles d criture des r f rences bibliographiques peuvent varier selon les diff rents domaines du savoir Ce document est prot g par la loi sur le droit d auteur L utilisation des services d rudit y compris la reproduction est assujettie sa politique d utilisation que vous pouvez consulter l URI https apropos erudlit org fr usagers politique dutilisation rudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif compos de l Universit de Montr al l Universit Laval et l Universit du Qu bec Montr al Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche rudit offre des services d dition num rique de documents scientifiques depuis 1998 Pour communiquer avec les responsables d rudit info erudit org Document t l charg le 16 novembre 2015 08 38 18 ST PHANE DESROCHERS Pieds nus l dans la pierre des autres Victimes r pandues au saccage du d lire en masse de la foule le fou en parchemin de l chiquier a d pass du cran des initi s le mode d emploi Les faucons sur la corde raide refusent leur tour de r le plus loin que a yeux et bouches b es Le soul ve ment du bas sous sa proie image tr s r v latrice qu au balcon n est pas toujours le roi2. L erreur sur la personne approuv e ainsi presque d un sceau ne dit mot Quand la v rit est cach e dans une p pite elle se mute toute petite 19 Le jour joue des nuits trop courtes la barre et le contour s imposent du faisceau de lobligation Les sites coulent flots de len seigne au n on Dans les parages il gruge le moment qu il faut Le silence dans la bulle plus petite que a s organise pour la soir e Points de rep re l appui souvent vieux le sifflement aveugle en rien faire s absente pour une bonne cause Une garantie l dessus cache des choses sinon il fait nuit 20 Des parcelles que les fous qui en vivent s arrachent sous la pluie que leur procure ce soleil Le parcours rajoute cette transe du domaine o dans son ensemble faufile le tout par la racine du matin surtout L effort d tre fatigu l arriv e de la n cessit De l quilibre tirant l int rieur des possibilit s bascule le choix qui fait du hasard les choses du mouvement De l h sitation entrant le doute dans l identification du bien et du mal surgit l homme qui fait de lui la v rit de sa vie
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