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rapport annuel 2014

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1. gt 6 a O Tum 0 1 19 r gt T aL TY page 2 Modalites d intervention strategie generale d finie par le PPI 2015 2020 Collectivit s ayant Collectivit s ayant un unique projet plusieurs projets Facultatif D cision de principe Protocole de coop ration Collaboration Epora Collectivit s definition de la strategie fonciere facultatif souvent l chelle d un grand territoire ou d une intercommunalit Destin e aux collectivit s ayant plusieurs projets ze a 3 Programme d intervention Convention d objectifs pluriannuel 6 ans Trajectoire financiere coh rente Programmation financi re avec celle de la zone d action et technique des diff rentes conventions couvrant les projets suivi r gulier tudes formalisation d un projet f Acquisitions fonci res Convention d etudes en opportunit et de veille fonciere Dur e 4 ans hases pr paratoires l am nagement N P prep g Pas de minoration la revente Conformit aux objectifs du PPI Projet d fini et valid par la collectivit bilan financier pr visionnel M Ridde Convention op rationnelle dur e 3 3 5 ans minoration possible a Acquisition et travaux n cessaires au proto am nagement Minoration si charges exceptionnelles et exorbitantes sur montant des travaux uniquement dans la limi
2. Mettre en place une veille fonci re sur les espaces touristiques A La pr paration du PPI B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rim tre La connaissance aff nee des nouveaux territoires Observation anticipation et changes L Epora a d accompagner sa r cente extension de p rim tre par l analyse approfondie des lieux Le d cret de d cembre 2013 a act la possibilit pour l Epora d intervenir sur les territoires du Sud Ardeche Sud Dr me et Nord Isere Des territoires aux enjeux sp cifiques dont les probl matiques m ritaient d tre tudi es en amont Un dispositif a t mis en place pendant toute l ann e 2014 a partir de relev s de terrains de recherche de donn es institutionnelles et urbaines de rencontres avec les collectivit s d echanges avec les partenaires et de Pour adapter potentiellement les modes de conventionnements et les outils de portage a d ployer par exemple un temps plus long dans un march moins actif qui conduit a des operations de plus long terme Les principaux enjeux de l espace Dr me Ard che Ss Requalifier les zones provenant des anciens sites industriels a l cart des grands axes d change Annonay Crest Privas Participer aux actions de redynamisation des villes moyennes Privas Annonay Aubenas 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT production d un Atlas Pourquoi un tel dispositif D abord pour
3. e 2014 RAPPORT ANNUEL Une nouvelle dimension pour l 3 PORA Etablissement public foncier de l Ouest h ne Alpes e 2014 RAPPORT ANNUEL Une nouvelle dimension pour 9 page 4 Sommaire 8 5 du Pr sident et du Directeur G n ral pages 7 et 8 1 2014 ANN E DE TRANSITION page 11 A La pr paration du PPI page 13 l Pourquoi une tude approfondie des territoires page 14 Il Valoriser l intelligence et la comprehension page 16 du territoire INTERVIEW Xavier Hemeury B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rimetre page 19 La connaissance affin e des nouveaux territoires page 20 II Les modalit s d intervention repens es page 22 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS page 5 A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 27 L Appel Manifestation d Int r t 2014 page 28 INTERVIEW Sylvia Pinel II Renouveler et am liorer l offre de logements sociaux De nouvelles exp rimentations en 2014 page 30 B Les friches page 35 l Dela pertinence d un accompagnement page 36 le plus en amont possible INTERVIEW CROIS E Vincent R my amp Aimeric Fabris Il Zoom sur un m tier de l Epora page 38 C Les probl matiques mergentes page 41 Ala rencontre des intercommunalit s page 42 et des probl matiques des nouveaux territoires INTERVIEW CROISEE Catherine Tardieu Philippe Gauvrit Il Mieux conna tre une nouvelle fonction l E
4. et repondre aux objectifs des politiques publiques nationales et locales INTERVIEW ED XAVIER HEMEURY DIRECTEUR ADJOINT DE LEPORA Valoriser l intelligence et la compr hension du territoire notre p rim tre d intervention Apr s l extension de 2007 puis celle de d cembre 2013 sur 6 Sud Dr me et Ard che et une partie de l Is re il nous fallait adopter une approche la fois fond e et sensible Une connaissance fine des ph nom nes l uvre Parce que la culture et les probl matiques peuvent tre differentes selon les zones de ce vaste territoire m me si les problemes a traiter pr sentent de fortes similitudes Le PPI aide a mieux comprendre les besoins des collectivites Nous sommes au service du territoire et des collectivites Il nous faut donc savoir ce gu elles vivent et les accompagner dans leurs projets meme si elles ont le sentiment d tre parfois demunies face aux difficult s qu elles rencontrent Ce PPI n est pas seulement la pour L gt O Qu est ce qu un PPI A quoi sert il C est un outil un cadre objectif pour tre plus pertinent dans un contexte g n ral qui volue C est la fois la strat gie les ambitions et les moyens que l on se donne pour les mener bien Le PPI doit tre troitement connect aux besoins du territoire Il y avait n cessit avoir une certaine intelligence des sites inclus dans lly a 3 blocs dans le PPI l analyse
5. lus de les s curiser et d tudier leur devenir Cela est probablement plus simple n anmoins dans le nord de l Is re entre Grenoble et la m tropole lyonnaise qu au sud de l Ard che et de la Dr me Dans tous les cas la question qui se pose est celle de la conservation de ces batiments La r habilitation partielle complete ou la destruction sera choisie en fonction de la vocation souhait e pour le site Philippe Gauvrit Nous trouvons galement le cas particulier des h pitaux d saffect s des infrastructures entre 5 000 et 10000 m dans des villes de 2000 3000 habitants Le march n est pas pr t selon les territoires accueillir autant de logements si c est la destination choisie et les investissements sont alors cons quents pour des communes parfois tres d munies Est ce galement le cas dans le Rhone Catherine Tardieu Ce sont les m mes enjeux et les co ts tr s importants de rehabilitation a la difference pres que le marche et la demande sont plus A la rencontre des intercommunalites et des problematiques des nouveaux territoires anciennement occup s par une activit touristique des thermes o des centres d accueil ou de loisirs pour enfants aujourd hui ferm s Ces probl matiques sont directement li es la vocation touristique de certains territoires Philippe Gauvrit On se trouve sur des territoires ruraux pour la plupart loin des centres urbains et qui c est vr
6. POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT de couvre des zones moins als es souvent fragiles sur le plan social et conomique En cons quence les march s fonciers et de l habitat restent relativement atones avec une armature urbaine traditionnelle plus vuln rable et difficile faire voluer Un territoire in galement attractif Dans ces territoires la croissance d mographique reste d s quilibr e Des secteurs connaissent une p ri urbanisation importante alors que certains centres villes souffrent d une d saffection croissante Ce ph nom ne de fond fragilise certains bourgs entra nant vacance et obsolescence des logements Un territoire en pleine restructuration conomique Pourtant l conomie rh nalpine reste une des plus dynamiques de France avec un secteur Industriel puissant Les quilibres fonciers seen ressentent les secteurs d activit en croissance se red ploient dans l espace r gional rendant parfois plus complexe le recyclage des friches industrielles et poussant une consom mation toujours plus importante de nouveaux espaces Q 3 pa gt Pourquoi une etude approfondie des territoires Un territoire sous influence Au niveau national et europ en la m tropole Lyonnaise est remarqua blement attractive et dynamique et son influence devrait 5 accroitre encore ces prochaines annees Ce rayonnement ne s arr te pas aux limites administr
7. SENTANT LE MINISTRE CHARG DU LOGEMENT M Jean Philippe Deneuvy directeur r gional adjoint de l environnement de l am nagement et du logement de Rh ne Alpes SUPPL ANT le chef du service am nagement paysages et infrastructures de la direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement de Rh ne Alpes REPR SENTANT LE MINISTRE CHARG DE LURBANISME Le directeur d partemental des territoires de la Loire SUPPL ANT le charg de mission pour l Epora de la direction d partementale des territoires REPR SENTANT LE MINISTRE CHARG DU BUDGET le directeur r gional des finances publiques SUPPL ANT M Patrick Vargiu REPR SENTANT LE MINISTRE CHARG DES COLLECTIVIT S TERRITORIALES M Guy L vi SUPPL ANT M Anne Guillabert 3 PERSONNALIT S SOCIO PROFESSIONNELLES AVEC VOIX CONSULTATIVE M Jean Roger R gnier repr sentant la chambre r gionale de commerce et d industrie de Rh ne Alpes M Raymond Vial repr sentant la chambre r gionale d agriculture de Rh ne Alpes M Gabriel Roudon repr sentant la chambre r gionale des m tiers et de l artisanat de Rh ne Alpes 1 REPR SENTANT DU CONSEIL CONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL R GIONAL AVEC VOIX CONSULTATIVE M Jean Claude Michel A Linterview de la Secretaire G n rale B Une ann e en chiffres C Le Conseil d Administration de 8 page 69 CTE D AGGLOM RATION PORTE
8. cessairement recu l agr ment des services de l tat Participant un programme d am lioration de la qualit du parc social elle peut b n ficier d ventuelles minorations financi res sur le co t des travaux r alis s sous la maitrise d ouvrage de l tablissement Renouveler et am liorer l offre de logements sociaux De nouvelles exp rimentations en 2014 Vacance importante d un patrimoine obsol te co ts trop lev s de maintenance de mise aux normes de r habilitation persistance d une demande insatisfaite Dans un contexte immobilier et foncier d tendu les situations sont parfois bloqu es et les paradoxes critiques En 2014 l Epora a labor avec des ma tres d ouvrage sociaux MOS des collectivit s et l tat une d marche pour faciliter les d constructions reconstructions de logements sociaux L objectif est d accompagner les ESH dans la d construction de logements vacants d saffect s en perte d attractivit ou en voie d insalubrit au profit d une offre nouvelle adapt e aux besoins des pouvoirs publics et demandeurs de logements sur la m me commune ou une collectivit voisine Cet accompagnement doit permettre de proposer des logements mieux situ s dans l espace urbain des logements attractifs aux formes urbaines et architecturales plus coh rentes avec les objectifs de d veloppement durable d insertion sociale et urbaine 3 Un 01 autour de la d
9. construction construction de logements sociaux page 30 certains pour les bailleurs avec l opportunit du rajeunissement de leur parc social Pour les communes avec la possibilite de reamorcer une attractivite nouvelle pour de futurs habitants Pour les territoires avec le reequilibrage de l offre sociale l chelle du bassin de vie et une hemiplegie spatiale moins marqu e Pour les futurs locataires enfin avec un parc de logements en phase avec les normes contemporaines d insertion urbaine et de qualit environnementale A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 31 Ce partenariat avec la maitrise 0 ouvrage sociale pourrait se concretiser autour de quelques opportunit s encore a l tude sur le territoire lig rien C est le cas par exemple sur les communes de Rive de Gier et Genilac Lune fortement dot e en logements sociaux dont certains ensembles subissent le vieillissement et la vacance Lautre en proximit immediate en carence au regard de la loi SRU et b n ficiant de fonciers mobilisables Un cercle vertueux 3 explorer qui conjugue des int r ts B Les friches C Les probl matiques mergentes D Panorama d op rations MD RIVE DE GIER GENILAC Donner corps au partenariat avec les bailleurs et collectivites 2014 ANNEE DE TRANSITION LA VIE DE LETABLISSEMENT des remembrements complexes la conservation du patrimoine ainsi que la restructuration e
10. d Hygi ne de EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 Une ann e en chiffres RESSOURCES Subventions en M 9 2 terrains ns de services 2 1 Aue ressources Convention d tude Convention d tude et de veille fonciere Convention op rationnelle Total g n ral eU 6 conventions d objectifs cr ation en 2015 3 5 8 4 EVOLUTION DU NOMBRE DE CONVENTIONS page 64 EVOLUTION DU STOCK FONCIER 82 20M e 68 71 me o 57 67 M e 49 72 M e ACTIVIT CUMULEE ENTRE 2000 ET 2014 sur un territoire volutif 347 2014 33 5 M e 2013 2008 2009 2010 2011 2012 SITUATION FINANCIERE fin 2014 UEpora n est ACTIVIT 2014 Y pas endette En millions d euros Acquisitions M Travaux Gestion du patrimoine B Etudes 1 5 NS non significatif EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANNEE DE TRANSITION A 8 Une ann e en chiffres 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS _a_ _ _ o C Le Conseil d Administration de 8 page 65 3 LA VIE DE LETABLISSEMENT Les 14 membres du bureau en 2014 PRESIDENT M Georges Ziegler 1ER VICE PRESIDENT M Gerard Leras 2E VICE PRESIDENT M Gerard Chaumontet 3E VICE PRESIDENT M Andre Collomb Bouvard LE VICE PRESIDENT M Yves Nicolin 5E VICE PRESIDENT M Michel Mercier Jean Louis Gagnaire Bernard Tayol Fabrice La
11. des agences d urbanisme de Lyon et Saint tienne Quelques constats mis jour par cette tude territoriale es volutions des structures urbaines et conomiques ont un lien direct avec les missions confi es 1 page 14 le Grand Projet Rh ne Alpes Rhone Median espace en devenir ou r af fecter des activites econo miques l EPANT en Is re BioVall e vall e de la Dr me ou la Grotte Chauvet par leurs effets induits sur toute une region h La participation la pr servation des zones agricoles et des espaces sensibles Le PPI met l accent sur les actions destin es contenir la consommation d espace L analyse territoriale a mon tr une forte consommation d espaces naturels sans lien direct ou vident avec l volu tion de la demographie Il faut lutter contre cet ta lement Il peut galement s agir d acqu rir du foncier de protection contre les risques naturels ou technologiques pour favoriser la r installa tion d habitants ou d activi t s Et de veiller la juste pr servation des surfaces agricoles v ritable atout r gional Dans toutes ces actions 00 3 s associera aux par tenaires locaux ainsi qu aux PNR et a la SAFER en faveur de la pr servation de la bio diversit et de la trame verte et bleue page 15 B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rimetre Ces interventions au profit des collectivit s portent sur d
12. internes et d outils A L interview de la Secr taire G n rale B Une ann e en chiffres C Le Conseil d Administration de l Epora page 63 S curit et des Conditions de Travail CHSCT doit galement tre install 4 Une gestion budg taire modernis e Le chantier de modernisation de la gestion de l tablissement est une constante depuis plusieurs ann es lla connu quelques belles r alisations pour l ann e 2014 stabilisation des processus de d cision et de gestion budg taire organisation du dialogue de gestion d finition de proc dures efficacit accrue dans la cl ture de l exercice L tablissement r pond parfois m me par anticipation sur les obligations r glementaires Cela fut le cas avec la mise en place d un nouveau budget en engagement induit par le d cret GBCP Ce texte constitue une refonte importante des r gles relatives la gestion budg taire et comptable publique en prenant notamment en compte la pluri annualit Toutes ces regles voluent pour donner une meilleure visibilit en matiere de soutenabilit budg taire Elles conduisent mieux programmer 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT de la DTRI Nous avons t attentifs aux incidences de cette extension pour les collaborateurs concern s Des bureaux ont t trouv s Rovaltain et des bureaux de passage ont t install s
13. AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS E EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 3 LAVIE DE L TABLISSEMENT D Panorama d op rations E a e E E gt re r ms ee ia uim E i rar ur UT ee E 2 gt Panorama d operations EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANNEE DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs 8 B Les friches 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS C Les probl matiques mergentes age 47 3 LAVIE DE LETABLISSEMENT D Panorama d operations Suivre une logique d intervention dans laquelle le b ti ne n cessite pas d tre demoli mais seulement reconfigure b timents Leclerc et Marne pour une surface b tie de plus de 23000 En 2014 les tudes pr op rationnelles ont t termin es et les n gociations se sont poursuivies en vue de l acquisition du foncier avec le groupe Nexter Des batiments de plus de 250 m de long et 320 m de large capables d accueillir la construction des chars et mat riels blind s ROANNE 42 ED ED SITE NEXTER Un projet atypique a plusieurs titres IL s agit d un projet phare de 5 agglom ration Un projet atypique Par son ampleur son int r t strat gique autour d une nouvelle filiere Locale et son foncier
14. RENCONTRE 8 EDOUARD POYET Dedier des comp tences et accompagner sur la dur e L arriv e d douard Poyet l Epora en 2014 t moigne des initiatives particuli res prises au moment de l extension du p rim tre vers le sud de la Dr me et de l Ard che Son role rencontrer les lus expliquer le r le de Epora remonter les informations pour proposer des modalit s d accompagnement adapt es alimenter les connaissances des enjeux de ces territoires particuliers ruraux pour la plupart Suivre la partie op rationnelle des op rations lorsqu elles se d clenchent Tour d horizon de cette nouvelle fonction tablir une relation de confiance avec les maires et 0 5 06 1 Il 5 agit surtout de revenir retourner rencontrer le Pr sident et les quipes techniques aller en conseil communautaire en bureau pour voir comment intervenir et tre utile au territoire que l on couvre 1 Une nouveaut em m Une fonction in dite C est une premiere en 2014 d dier totalement un collaborateur a la connaissance des territoires et de ses acteurs pour appr hender finement les besoins Faire connaitre l pora et ses missions mais surtout page 44 ll est important de faire connaitre l tendue possible des modalit s d intervention qui peuvent aller de tr s grands sites a des op rations plus restreintes Notre image est rest e longtemps associ e des op rations cons q
15. SUPPLEANT M C cile Cukierman M G rard Leras SUPPL ANT M Olivier Keller Mme Marie H l ne Riamon SUPPL ANT M Andr Friedenberg 1 REPR SENTANT DU D PARTEMENT DE L ARD CHE M Laurent Ughetto SUPPL ANT M Simon Plenet 1 REPR SENTANT DU D PARTEMENT DE LA DR ME Mme Marie Pierre Mouton SUPPL ANT M Christian Morin 1 REPR SENTANT DU D PARTEMENT DE L IS RE M Elisabeth Celard SUPPL ANT M Patrick Curtaud 1 REPR SENTANT DU D PARTEMENT DE LA LOIRE M Herv Reynaud SUPPLEANT M V ronique Chaverot M Pierre Jean Rochette SUPPL ANT M Jean Francois Barnier M Georges Ziegler SUPPL ANT M Fabienne Perrin 2 REPR SENTANTS DU D PARTEMENT DU RH NE M Christianne Guicherd SUPPL ANT M Bruno Peylachon M Didier Fournel SUPPL ANT M Claude Goy 9 REPR SENTANTS DES COMMUNAUT S D AGGLOM RATION CTE D AGGLOM RATION DU PAYS VIENNOIS M Thierry Kovaks SUPPL ANT Mme Martine Falta EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT page 70 page 1 qp Agence In medias res Epora www epora fr 2 avenue Gr ner contact fd epora fr CS 32902 42029 Saint Etienne Cedex 1 04 77 47 47 50
16. Vincent Remy Aimeric Fabris directeur territorial Loire directeur territorial Rhone et 6 EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANNEE DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs o B Les friches 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS T age 3 LAVIE DE LETABLISSEMENT C Les probl matiques mergentes pag D Panorama d op rations aux besoins de l industrie en g n ral nergie hydraulique et usage intensif de l eau dans les processus de production s av re d sormais un handicap lorsqu il s agit de trouver une reconversion de sites vacants Il s agit notamment des contraintes li es au plan de pr vention des risques d inondation qui de facto limite les possibilit s de r utilisation et de relconstruction Pour autant la pr sence de l eau dans la ville peut tre un vecteur d attractivit r sidentielle important L Epora participe ainsi de nombreux projets de reconqu te des berges qui lient mise en sc ne de la rivi re am nagement des abords construction de logements Quelles sont les grandes tendances de projets d velopp s par l Epora sur les sites requalifi s Vincent R my La requalification de fonciers industriels reste tr s majoritaire La volont sur le territoire lig rien demeure de favoriser le maintien d une offre fonci re pour l accueil d activit s conomiques N anmoins la taille des friches requalifier leur localisation de plus en plus urba
17. activit les contraintes de desserte constituent autant de crit res prendre en compte avec la collectivit concern e pour recycler les friches Elles ont vocation selon les dynamiques r sidentielles et conomiques du territoire concern produire du foncier d activit fixer emploi dans des zones en reconversion conomique ou engager une op ration de recomposition urbaine habitat commerces et quipements publics apporter des outils techniques 5 aussi pour fournir la comprehension la mati re grise de l analyse Au del des objectifs PPI d finit un mode d emploi ll expose des orientations g n rales mais galement les modalit s techniques administratives et financi res d intervention Le PPl est une photographie et une analyse du territoire Cela signifie que les collectivit s sont au c ur du r acteur Il n y a pas de projet Epora en tant que tel Nous sommes un outil facilitateur pour apporter un soutien aux projets dans la dur e Nous prenons en charge la pr paration des projets d am nagements pour les collectivit s et il faut que cela corresponde a leurs attentes et leurs moyens Nous sommes la pour preparer le projet des premieres etudes au calage du programme et intervenir pour acqu rir le foncier sans que cela p nalise le budget communal Pour preparer et retroceder ce foncier de facon a ce que lam nagement qui suit soit conomiquement viable
18. contextualiser les projets les mettre en perspective avec les dynamiques territoriales l oeuvre d mographiques socio conomiques urbaines et environnementales et le march immobilier existant Pour permettre aux collectivit s de prioriser leurs interventions futures et viter une certaine imm diatet qui pourrait conduire des acquisitions d opportunit sans anticipation de temporalit ou de destination Pour pr parer et faciliter les partenariats avec les bailleurs et op rateurs priv s s agit l de toute la mise en place de l intelligence op rationnelle future facilit e par la prise de contacts anticip e EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS page 20 les CAVE DDT SIE HEU D partementaux ainsi qu avec les d cideurs des intercommunalit s concern es Ces rencontres avec les d cideurs locaux ont permis d identifier d autres sites potentiels d enjeux pour l action fonci re Enfin la derni re phase de notre tude correspond la capitalisation de l ensemble des informations op rationnelles Un atlas foncier regroupant 256 sites porteurs d enjeux s agit d une feuille de route un tableau de bord qui d crit les actions possibles en termes de volume et de besoins financiers Ils sont nombreux et mettre en regard de la strat gie de l Epora et de son PPI L atlas foncier permet de mettre en
19. dans le perimetre d intervention de l Epora portent ils des probl matiques fonci res diff rentes Comment l Epora prend il en compte la dimension rurale des communes et intercommunalit s concern es Comment les diff rents contextes en Nord Isere et en Sud Rh ne Alpes amenent ils l Epora se positionner encore plus pr s des besoins des collectivit s Catherine Tardieu Philippe Gauvrit directrice du service directeur territorial Etudes et d veloppement Dr me Ard che EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS C Les probl matiques mergentes page 41 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT D Panorama d op rations annonc e des structures d accueil colonies ou h tels de grande capacit Parfois avec des b timents de 2000 m dans un village de 300 habitants Lorsque quelques commerces et des logements sociaux sont deja presents la question se pose de laffectation de ces batis souvent deja rachetes par la collectivite C est flagrant dans quelques stations de moyenne altitude devenues moins comp titives et attractives que les grands domaines et qui souffrent des modes de consommation actuels des sports d hiver Catherine Tardieu En Nord Isere IL s agit plus souvent de lieux avec des batiments d saffect s mais pas encore l tat de friche ll est important pour les
20. de l offre 1 B NM E S page 32 1 SITE A SITE 8 E m Du logement social Du foncier 3 aaa d grad obsol te gt lt Z O lt FE zo LLJ gt Y Lu gt z Du foncier disponible pour la restructuration et Du foncier pr t am nager pour l accueil d une lembelissement du quartier voire un nouveau offre nouvelle de logement social projet de construction mieux adapt LLI o 9 Bun BEN LES TAPES Le bailleur social pilote La commune concern e uD x e participe au financement de la deconstruction par l acquisition in fine du foncier deconstruit au prix du march 6 L Epora cede au bailleur social les terrains a b tir du site 2 A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 33 C Les probl matiques mergentes 3 49 a la lib ration du patrimoine a d construire en assurant les ventuels derniers relogements L Epora acquiert le patrimoine du Pa bailleur social l euro symbolique site 1 et assure la ma trise d ouvrage de la d construction avec une participation financi re du bailleur social 1 2014 ANN E DE TRANSITION La commune l EPCI em m le bailleur social et l Epora contractualisent leur partenariat dans le cadre d une convention 4 L Epora acquiert les fonciers a b tir em m du site 2 et en assure le portage pendant toute la dur e de gestation de montage te
21. elle differente selon la nature du projet envisage sur le foncier Dans le cadre de batis conserv s notre vigilance doit tre maximale afin de ne pas endommager ou alt rer l existant La mise en s curit doit tre la plus respectueuse possible En revanche si la destruction des b timents est pr vue l enjeu diff re IL s agit d s lors de s curiser les lieux et d emp cher l acc s ll est alors plus facile de souder les entr es ou de d poser les escaliers ext rieurs par exemple Ce sont des interventions sans incidence pour la suite du projet Dans le cas de terrains nus c est souvent beaucoup plus simple puisque la protection ne concerne pas les constructions et tous les risques inh rents leur d saffection Quels sont les risques les plus courants IL existe de multiples dangers potentiels Nos interventions visent surtout se pr munir d accidents de cambriolages de squats d incendies ou d boulements La priorit reste de prot ger les personnes et les lieux Etes vous syst matiquement accompagn s par des comp tences ext rieures C est absolument n cessaire Nous sommes form s appr hender et l Zoom sur un m tier de 3 2 a 9 RENCONTRE MS NATHALIE BAILLY MAITRE ET MICKAEL FAVIER La protection des sites represente une contrainte majeure avant ou pendant les travaux l Epora Nathalie Bailly Maitre et Mickael Favier sont charg s de la maintenance et d
22. et D veloppement pour mener a bien cette acceleration Celle ci s est traduite dans les faits puisque les conventions actives g r es par l tablissement sont pass es de 249 en 2013 294 en 2014 l essentiel de l effort ayant comme c tait previsible port sur les conventions d tudes pass es de 34 41 soit 20 et les conventions d tudes et de veille fonci re pass es de 91 128 soit 40 Cet investissement portera n en pas douter ses fruits l avenir En termes r els l activit de portage foncier et de travaux de l tablissement au cours de 2014 est toutefois rest e en retrait 33 M de celle de 2013 38 5 M malgr l extension de Outre les changements d quipes municipales tr s nombreux survenus au printemps et les d lais de r flexion ou d tudes qui en ont r sult s pour leur permettre de prendre ou confirmer des d cisions la cause peut aussi en tre recherch e dans le fait que 2013 tait la derni re ann e du cycle municipal ouvert en 2008 les investissements des collectivit s ayant g n ralement tendance a s accroitre partir de la premi re ann e de mandat pour culminer l ann e pr c dant le renouvellement des ex cutifs et dans une certaine inqui tude des collectivit s face aux mesures de r duction des dotations de l tat dont l ampleur a commenc tre connue en 2014 Les donn es budg taires qui seront publi es en 2015 par le Minist
23. et poursuivre les n gociations Autant de projets petite chelle qui contribuent revaloriser les centres toffer l offre de logements et diversifier habitat SAINT TIENNE 42 RONDET TARENTAIZE ET SECTEUR BERGSON Des interventions en centre ville pour pr parer l arriv e de programmes r sidentiels L Epora a sign la fin de l ann e 2014 de nouvelles conventions avec la Ville de Saint tienne pour pr parer et rendre possibles de futurs constructions de logements CIVRIEUX D AZERGUES LUCENAY MORANCE 69 gt ED IMMOBILIER RESIDENTIEL Pour un habitat de centre ville Sur ces secteurs attractifs des qu apparaissent des opportunites foncieres les operateurs sont nombreux a se positionner pour participer l offre r sidentielle page 52 ZAC DE LA QUARANTAINE Protection des chiropteres et demolitions de grande ampleur deux echelles d intervention pour Les travaux se poursuivent sur ce site cinematographique y prendra place qui sera ensuite amenage par la SERL Dans le cadre de l tude d impact de la Initi en 2011 cet eco quartier ZAC le diagnostic faune flore a revele s affiche comme un projet phare du la pr sence de chiropteres chauves d veloppement urbain caladois souris esp ce prot g e sur l ensemble Entr e de ville mixit sociale et du territoire national Pour respecter g n rationnelle site de r f rence l interdicti
24. service de la r gion mais lui impose de s adapter des configurations multiples et de renforcer sa capacit d coute D e o gt O L id e effectivement une fois le PPI global tabli est d ajuster ou de l adapter aux diff rents territoires en fonction des probl matiques rencontr es Certaines que nous maltrisons bien comme le traitement des friches et la recomposition urbaine D autres plus d licates qui apparaissent avec l extension territoriale Nous sommes d sormais appel s travailler dans des zones plus rurales pour des op rations modestes autour de questions comme lagrotourisme et toujours en p riurbain pour prot ger certains secteurs du risque d etalement En premier lieu je dirais que les territoires de notre p rim tre disposent aujourd hui de moyens limit s pour mener bien leurs projets et ont parfois tendance trop restreindre leur niveau d ambition Ensuite ils sont plus ou moins selon leur proximit dans la sphere de la metropolisation dans la zone d influence de la m tropole lyonnaise L enjeu est l de conserver une structure urbaine adaptee et hierarchisee est aussi de veiller l quilibre et l galit des territoires Nous nous efforcons enfin de contrebalancer ou d inflechir des phenomenes qui continuent a avoir une influence certaine C est notamment la periurbanisation des petites communes en croissance une perte d 6 rel
25. territoriale les orientations qui correspondent un champ d intervention et les r gles du jeu ou d intervention EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A La pr paration du PPI B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rimetre 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT page 16 Le en bref L extension progressive de p rim tre depuis la cr ation es a en 1998 en 2007 et 2013 conduit distinguer 3 secteurs g ographiques compl mentaires correspondant aux 3 tapes de croissance l espace lig rien la zone Rh ne Nord Isere la zone Sud Dr me Ard che 4 La proximit immediate de la m tropole moteur du d ve em e loppement de la r gion Rh ne Alpes impose 3 pourtant non directement impliqu dans les strategies m tropoli taines de d veloppement de gerer une partie des cons quences de ce d veloppement notamment en termes de production de foncier destin a l habitat ou l activit conomique Ceci est particuli rement pregnant dans le Rh ne et en Nord Isere 3 La zone de competence de l Epora couvre 50 du territoire E Ya de Rh ne Alpes Cette situation hors toute consid ration relative la r forme territoriale met en vidence un perimetre tr s h t rog ne ce qui certes restreint la possibilit pour 00 d tre clairement identifi comme un outil d action 1 fonci re au
26. 013 modifiant son p rim tre de comp tence et sa gouvernance Cela concerne en premier lieu la LEtablissement a encore montr sa capacit s adapter aux volutions r glementaires page 62 Nous avons 61 attentifs aux attentes des collectivites qui souhaitaient pouvoir contacter facilement les collaborateurs de Rovaltain et disposer grace aux bureaux de passage de Vienne de relations facilit es avec l tablissement mieux pr voir et donner ainsi au Conseil d Administration des informations tres completes lorsqu il adopte un budget Toutes ces volutions ont d ailleurs fait l objet d un audit du Contr le G n ral conomique et Financier portait sur la soutenabilit budg taire la qualit du processus de pr paration et du suivi de l ex cution budg taire l valuation du dispositif de contr le interne ainsi que la fiabilit de la tenue des comptes et de l tablissement des frais financiers 65 conclusions n ont pas remis en cause les axes d volution retenus par l Etablissement et ont confirm l orientation consistant d velopper la d marche de contr le interne L tablissement a galement renouvel tous ses contrats d assurances et notamment celui sur les risques li s a la gestion des biens stock s Cela a donn lieu un travail transversal tr s fourni en mati re de connaissance du patrimoine et d valuation des risques ainsi que l laboration de proc dures
27. 14 environ 300 centres bourgs ayant moins de 10000 habitants exer ant des fonctions de centralit pour leur bassin de vie et n cessitant un effort de revitalisation qui sont ligibles cette exp rimentation Ces 300 territoires ont 616 invit s d poser leur projet de revitalisation en lien avec leur intercommunalit Nous comptons s lectionner une cinquantaine de projets pour participer cette exp rimentation selon diff rents crit res dont l engagement du territoire EPCI et commune la coh rence du projet au regard des enjeux locaux la prise en compte des enjeux de d veloppement durable Les EPF comme l Epora sont ils des partenaires privil gi s des collectivit s communes intercommunalit s pour porter ces op rations de revitalisation de centres bourgs Pourquoi Pour revitaliser les centres bourgs nous devons travailler de facon transversale et coordonner les politiques d am nagement d habitat de d veloppement conomique de services les dispositifs r glementaires les aides financi res l implication Appel a Manifestation d Interet 2014 INTERVIEW ED ED SYLVIA PINEL MINISTRE DU LOGEMENT DE L GALIT DES TERRITOIRES ET DE LA RURALITE En quoi la revitalisation des centres bourgs est elle un enjeu majeur pour l galit des territoires Et en Rh ne Alpes Mon objectif est de donner tous les Francais une galit d acces aux ser vices la m me qualit
28. DE LISERE M 8 01 SUPPLEANT M Dominique Berger CT D AGGLOM RATION LOIRE FOREZ M Alain Gauthier SUPPL ANT Mme Beatrice Blanco CTE D AGGLOM RATION ROANNAIS AGGLOM RATION M Yves Nicolin SUPPL ANT M Jean Louis Lagarde CT D AGGLOM RATION SAINT TIENNE M TROPOLE M Ga l Perdriau SUPPL ANT M Enzo Vivian CT D AGGLOM RATION DE VALENCE Fabrice LAN UE SUPPLEANT M Franck Soulignac CTE D AGGLOM RATION DE PRIVAS CENTRE ARDECHE M Gilles Quatremere SUPPL ANT M Didier Teyssier CT D AGGLOM RATION DE MONT LIMAR Joel Duc SUPPL ANT M Ren Plunian CT D AGGLOM RATION 1 VILLEFRANCHE SUR SA NE M Daniel Faurite SUPPLEANT M Thomas Ravier 3 REPR SENTANTS DES ETABLISSEMENTS PUBLICS DE COOPERATION INTERCOMMUNALE FISCALIT PROPRE ET DES COMMUNES NON MEMBRES DES TABLISSEMENTS PUBLICS DE COOP RATION INTERCOMMUNALE FISCALIT PROPRE M Michel Brun communaut de communes du Pays d Astr e SUPPLEANT M Jean Jacques Vray communaut de communes du Forez en Lyonnais M Patrick Auray communaut de communes de l Ouest Rhodanien SUPPLEANT M Olivier Bonnard communaut de communes du Pays des Couleurs M Jean Yves Meyer communaut de communes du Pays d Aubenas Vals En 2015 4 REPR SENTANTS DE LA REGION RHONE ALPES M Guy Palluy SUPPL ANT M V ronique Rouselle M Jean Louis Gagnaire
29. NN E DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches C Les probl matiques mergentes 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT D Panorama d op rations page 55 La mission confi e l tablissement public consistait pr parer la future op ration de construction de 40 50 appartements pour partie en locatif social et des appartements et services d di es aux personnes g es L tablissement a fait aboutir Les proc dures de pr rogative publique requises pour compl ter les acquisitions puis 3 particip la d finition de l appel projets lanc pour le compte de la collectivit afin de mobiliser le futur op rateur de cette op ration d habitat Participer r solument la r novation des centre bourgs L intervention de l Epora a contribu mener l Agglom ration l entreprise et le tribunal de commerce sur des bases communes pour r soudre une situation complexe recentrer sur une parcelle moindre dont elle sera locataire D autre part engager la d pollution et la transformation des zones d sormais inutilis es Un syst me particulierement vertueux l entreprise peut occuper les espaces dont elle a besoin et ou la collectivit peut prendre possession de fonciers pour engager une r flexion plus vaste sur le devenir du quartier de gare Estressin et sur la transformation d anciens fonciers conom
30. Vienne Nous avons mis en ceuvres les moyens en termes d infrastructure informatique et de communication de Locaux de mobilier s est agi tant pour les quipes distance du si ge que celles qui demeurent Saint tienne d ajuster leur fonctionnement L accent a t mis sur l accueil des nouveaux arrivants et la mise en oeuvre d une d marche d int gration plus structur e et organis e De plus le plan de formation reste un enjeu majeur pour d velopper les comp tences nouvelles n cessaires l tablissement et faciliter l adaptation des agents a leurs missions un plan d actions a t pr sent l automne IL faut r xaminer et r crire les fiches de postes et mettre en place progressivement une d marche de gestion pr visionnelle des emplois et des comp tences L volution g n rale de la structure demande de mettre au point des r gles et r glements renouvel s Cela a t le cas en 2014 avec l laboration du r glement int rieur et de la charte informatique 3 De nouvelles instances repr sentatives du personnel Le mandat des repr sentants du personnel arrivait son terme fin 2014 Les lections ont donc t organis es Une nouveaut importante cette ann e a modifi le cadre du dialogue social En effet a mis en place une delegation unique du personnel DUP qui a la fois les fonctions de Comit d Entreprise et de D l gu s du Personnel Un Comit
31. a rehabilitation du patrimoine existant et la localisation en centre ville et centre bourg de ce patrimoine reconstitue l expertise fonci re de l Epora ses savoir faire op rationnels et ses capacit s financieres de portage lui permettent d accompagner les collectivit s locales et les adh rents d AMOS 42 dans la r alisation d op rations immobili res souvent complexes et exemplaires telles que des projets en secteur de renouvellement urbain visant apr s d construction la diversification de L offre de logement ou la cr ation d activit s conomiques des proJets en centre ville ou centre bourg dense n cessitant lt Lo 2 ns 0 al 1 ill Li Pa i i i e 4 0 000 Une convention avec la maitrise d ouvrage sociale ligerienne Dans un contexte departemental ligerien de march immobilier d tendu les maitres d ouvrage sociaux sont confront s au paradoxe d une vacance importante d une demande soutenue et insatisfaite et d une concurrence du logement social de fait qui le plus souvent ne r pond pas aux crit res de qualit souhaitables Une partie cons quente du parc de logements sociaux est obsol te localisation sur des sites peu attractifs trop forte concentration nuisances urbaines ou qualit s intrinseques m diocres Cette offre inadapt e est co teuse en frais de gestion et d entretien et freine l investissement en limitant le renouvellement
32. ai rec lent des patrimoines qui ne sont plus adapt s aux nouvelles formes de tourisme La consommation des loisirs a beaucoup volu Les probl matiques Immobili res aujourd hui sont tr s li es 2 6 INTERVIEW CROIS E MD La connaissance progressive des nouveaux territoires couverts par l Epora s affine gr ce un travail de terrain La rencontre des collectivit s Avez vous d couvert des sujets sp cifiques ces sites Catherine Tardieu Oui Nous avons t surpris de d couvrir a plusieurs reprises l existence de grands tenements dans des communes de petite echelle Dans la Drome notamment mais egalement dans le Nord Isere C est le cas de sites Limage de l Epora volue Nous ne sommes plus identifies uniquement sur les friches et les operations lourdes page 42 territoires afin d apprehender et de ciseler la r ponse de l Epora ces probl matiques rurales Concernant le Nord Isere le contexte est tr s diff rent Nous sommes en pr sence de centralit s av r es qui b n ficient largement des influences de grandes villes et de la m tropole lyonnaise Le march immobilier est plus vif et les op rateurs plus pr sents En cons quence l accompagnement de l Epora se doit d tre diff rent Il existe un ph nom ne assez r current sp cifique ce territoire Nord Iserois Certains bourgs se sont historiquement constitu s autour d une entreprise pr minente suscitant
33. aint Clair de la en tr s mauvais tat NEN Tour et de la communaut de communes Ce nouveau foncier une fois trait et des Vallons de la Tour sur les territoires d pollu pourra s int grer aux travaux d extension du Nord Isere d am nagement Le projet dam nagement de la ZAC du Serpentin entre la Tour du Pin et Saint Clair de la Tour constitue une ambition majeure pour le d veloppement conomique local Il doit permettre l installation de locaux pour PME et artisans et la cr ation de pr s de 200 emplois L ann e 2014 a t consacr e l accompagnement de la collectivit dans les n gociations d acquisition CR MIEU 38 ED ENNEP SITE EZT Un projet global d entree de ville LEpora a acquis pour le compte de la auquel pourrait s adjoindre le terrain commune is roise de Cr mieu l ancien Montginoux d di la construction de site des usines EZ Transfert sp cialis es pr s de 70 logements dans les changeurs thermiques En 2014 l tablissement a amorc les partir de cette friche des opportunit s acquisitions fonci res qui permettront fonci res voisines pourraient s adjoindre l am nagement global d un secteur la requalification pour un projet charni re entre plusieurs communes global intercommunal d entr e de ville Un projet urbain tendu progressivement l chelle intercommunale EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A Le logement et la revitalisat
34. ale B Une ann e en chiffres C Le Conseil d Administration de l Epora page 67 POUR LE CONSEIL G N RAL DE L IS RE M Andr Colomb Bouvard SUPPL ANT M Georges Bescher POUR LE CONSEIL G N RAL DE LA LOIRE M Georges Ziegler SUPPL ANT M Solange Berlier M Jean Francois Barnier SUPPL ANT Herv Reynaud M Bernard Jayol SUPPL ANT M Jean Claude Charvin POUR LE CONSEIL G N RAL DU RH NE M Paul Delorme SUPPL ANT M Christophe Guilloteau M Maurice Cellier SUPPL ANT M Bernard Chaverot Les administrateurs de l Epora POUR LE CONSEIL R GIONAL Mme C cile Cukierman SUPPL ANT M V ronique Rouselle M Jean Louis Gagnaire SUPPL ANT M Guy Palluy M G rard Leras SUPPL ANT M Olivier Keller M Marie H l ne Riamon SUPPL ANT M Andr Friedenberg POUR LE CONSEIL GENERAL DE LARDECHE M Simon Plenet SUPPLEANT M Laurent Ughetto POUR LE CONSEIL G N RAL DE LA DR ME M G rard Chaumontet SUPPLEANT M Herv Rasclard EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT En 2014 Reportage r alis lors de l installation du Consell d Administration par le Pr fet de R gion D J gt O page 68 SUPPL ANT M Vincent Bourget communaut de communes de la Porte Dr me Ard che 4 REPR SENTANTS DE L TAT REPR
35. ative des villes moyennes ou la redistribution spatiale d activit s conomiques dans une region qui reste encore heureusement tres dynamique E 1 ple AP ee ee E etm a ave D a ans ce remet a 2 M JE fa WRAT i E he S exis lg e 2 MES e dne m P Des modes d interventions adaptes au nouveau perimetre EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A La preparation du PPI B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rim tre 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS 3 LAVIE DE LETABLISSEMENT page 19 L id e est de 0 56 les interventions celles des EPCI aussi bien que celles de UEpora Ce qui est important c est l anticipation fonciere C est cette connaissance accrue qui va permettre de s adapter et de s ins rer le plus possible dans la r alit du march L objectif est de s curiser la sortie op rationnelle des projets v D E 2 Laetitia Mangani Aider a promouvoir la qualit urbaine architecturale et paysag re des projets D velopper en p ri urbain des am nagements moins consommateurs d espace et plus respectueux des sites naturels et agricoles Aider les villes importantes a r aliser un diagnostic de leur centre tat de l existant et perspectives
36. atives Et les impacts sur les territoires voisins sont importants notamment dans le Rh ne ou en Is re o l Epora est amen intervenir Limmediate proximit avec les territoires d intervention fait que 0 0 3 est parfois plac en situation de g rer les impacts des strat gies m tropolitaines de d veloppement C est le cas par exemple des tensions sur l habitat ou lorsqu il faut chercher des fonciers d activit qui ne peuvent se localiser l int rieur du strict p rim tre Un territoire prot iforme et fragilis x A l exception des lisieres de la m tropole lyonnaise le territoire de comp tence L analyse territoriale du PPI aide caract riser le p rim tre de l Etablis sement et identifier ses besoins Elle fait appara tre des ph nom nes d interd pendance des probl ma tiques mergentes et des processus de transformation de fond Elle met en lumi re les influences de ph nom nes urbains d mographiques sociaux ou conomiques l chelle de la r gion Rh ne Alpes Qui caract risent le terri toire et aident anticiper les enjeux Cette analyse territoriale s est construite sur la base d indicateurs multiples d mographiques socioculturels conomiques et g ographiques Elle claire in fine le contexte l identit les dynamiques des diff rents territoires et offre l tablissement un cadre g n ral d intervention Elle a t r alis e gr ce au travail
37. b n ficiant d une protection au titre de la d fense puisque propri t du groupe Nexter filiale de Giat Industries L objectif est de pr parer le projet d installation d un futur p le de d construction de mat riels lourds de transport labellis par l tat et soutenu par la R gion et les collectivit s locales 00 2 est sollicit pour acqu rir des BALBIGNY 42 080 MN SITE EX SAMRO Reindustrialiser en 5 adaptant En 2014 0 0 a men bien diff rentes op rations sur site tudes d individualisation d pollution de points chauds remise en l tat de l enveloppe de b timents Les premiers travaux ont permis l instal lation d un nouvel acqu reur Oxo Bike fabricant de buggys jusqu alors install en Chine a relocalis sa production Il occupe d sormais une partie du site l ensemble des lots industriels reconditionn s devraient pouvoir tre commercialis s en 2016 au march local Le site industriel Balbigny laiss vacant en 2013 par le fabricant de semi remorques Samro fait l objet d un projet de grande ampleur sur une dizaine d hectares Place dans la Zone d Activit s d Int r t National ZAIN A89 Loire Centre son devenir est strat gique pour l ensemble des collectivit s et partenaires impliqu s L objectif Recr er de l emploi Recon ditionner ce site d saffect mais non obsol te et le d couper en lots pour l adapter au plus pr s aux beso
38. chnique et financier du projet de 2 3 ans EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS Basse D Panorama d op rations 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT 2 Ah ve T 1 4 Hu 7 27 4 la Zr es ES a E N DS Sr ws u ans THE m E NEN iv ZS A Cr x ha F 8 5 j 3 a F P Jj e j A L fi 1 1 f A ms h au 1 1 1 pa 1 au CA l z cam j 1 LA L r aii PRI 6 1 L t J i i i i 5 _ an M Jl 1 ug i 9 n Y 5 Li E 1 x 5 rA E 5 der x 9 b ma nm AS de e _ 8 HTA SIG LN 5o A LE E E Am u LX us sow Fa RH al rer IIT A 0C O47 LE LS A NN X Le i Aul irme y A Les friches tablissement assume INTERVIEW CROISEE des missions de plus en plus diversifiees pour repondre aux orientations des pouvoirs publics et aux besoins des collectivites Une part importante de son action demeure le traitement des friches industrielles Revue de cette activite avec les directeurs territoriaux
39. dans une logique d equilibrage et de hierarchisation des interventions commune de Saint Cyprien lacommunaute d agglomeration et 00 3 ont entrepris de r habiliter le site des anciennes Forges de la 606 abandonn depuis plus de 10 ans Cette op ration complexe tant au niveau technique que sur le plan du montage est enfin rendue possible en 2014 apr s un blocage de plusieurs ann es d un contentieux gr ce son rachat pour l euro symbolique par 68 Les bases sont d sormais assur es pour d polluer le site et le pr parer un futur am nagement A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches C Les probl matiques mergentes D Panorama d op rations page 51 1 2014 ANN E DE TRANSITION FOREZ 42 9 Convention d objectifs La convention d objectifs d finie dans le nouveau PPI 2015 2020 facilite le recours aux diff rents dispositifs d intervention de l Epora par UEPCI pour toute la dur e de la mandature amorc e en 2014 les conventions d tudes et de veille fonci re et les conventions op rationnelles Ce cadre conventionnel permet de b tir une strat gie globale en matiere d habitat pour les 6 ans venir Cette convention fait suite aux r sultats de l tude de gisements fonciers engag e lors du deuxi me PLH de l agglom ration Loire Forez notamment sur les 7 communes de centralit Montbrison Savigneux Saint Just Saint Rambe
40. dans lesquelles l ing nierie interne est souvent limit e Mais galement des intercommunalit s importantes dans la Vall e du Rh ne propos des tailles des intercommunalit s les constats sont vari s des intercommunalit s classiques et importantes dans la Vall e du Rh ne et des communes parfois tr s peu peupl es dans les montagnes du Vercors les Monts d Ardeche ou certains villages de la Dr me Avec parfois plus de 15 communes pour seulement 1000 habitants 3 Une qualit essentielle a La p dagogie Certains des nouveaux territoires couverts par 0 0 3 ont t consult s avant l extension et b n ficient de fait d une image juste et contemporaine de l tablissement et de ses missions Pour d autres l ing nierie et le portage fonciers repr sentent des th matiques nouvelles des opportunit s r elles qu il convient de mettre en perspective avec les besoins exprim s IL est important de comprendre le niveau de connaissance de son interlocuteur sur le foncier et de privil gier un niveau de discours adapt Essentiel galement de faire connaitre l tendue possible des modalit s d intervention qui peuvent aller de tres grands sites a des op rations plus restreintes La cl reste de s adapter au projet de la collectivit Mieux connaitre une nouvelle fonction a UEpora elements de r ponse sur la p dagogie de l action fonciere en territoires ruraux
41. de vie en tenant compte des particularit s de chaque territoire dans lequel ils vivent La pr sence de centres bourgs dyna miques et anim s dans les campagnes ou les zones p riurbaines est un v ri table gage de coh sion sociale et de d veloppement conomique pour les habitants des territoires concern s Or certains bourgs ruraux sont confron t s a une d vitalisation de leur coeur de ville D autres sont gagn s par la p riur banisation et peinent r pondre aux demandes de logements d quipements et de services C est pourquoi j ai lanc a titre exp rimental un appel manifes tation d int r t afin d en accompagner une cinquantaine dans leur travail de r implantation de commerces de services et de d veloppement conomique Dans la r gion Rh ne Alpes ces deux types de centres bourgs existent Aussi le maillage des petites villes et centres bourgs qui jouent un r le structurant pour leur bassin de vie est essentiel pour le dynamisme et l attractivit de la r gion La contribution des EPF est d terminante pour rendre viables les op rations publiques et priv es de revitalisation page 28 des habitants et des partenaires publics et priv s Un tablissement public foncier comme lEpora qui est au service des collectivit s territoriales permet de les aider ma triser le foncier n cessaire au projet de revitalisation acquisition portage travaux gestion r troce
42. e la securisation du patrimoine Une fonction essentielle et parfois meconnue page 38 Quels que soient le site et sa nature nous mettons en place les m mes m thodes d analyse Pour exercer ce m tier il nous faut de la r activit Et peut tre aussi du courage et du discernement car nous pouvons tre appel s tout moment sur un site quel moment s arr te votre mission Elle commence avec l acquisition du foncier et se termine lors de la cession ou de la d molition Car d s lors que les chantiers commencent la s curit incombe au maitre d uvre choisi Tous les sites sont ils prot geables avec la m me exigence Malheureusement non Certains sites sensibles sont immenses Lorsqu ils sont trop grands et condamn s a la d molition le murage des acc s est parfois plus cher que la d molition elle m me Pour ces sites ins curisables la surveillance r guli re est essentielle A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches C Les probl matiques mergentes page 3 D Panorama d op rations 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS 3 LAVIE DE L TABLISSEMENT d finir le besoin mais nous d l guons ensuite la mise en uvre Qu il s agisse de menuiserie de portes m talliques de vid osurveillance de rondes de s curit ou de barri rage Notre mission consiste proposer partir des risques id
43. e r gler certains points d licats notamment traitement des sols et d affiner le programme d finitif avec l op rateur EA Bah 0 a rime A 1 T Jt E kh a i TARARE 69 MM MS CONVENTION D OBJECTIFS Un partenariat tr partite sur le long terme L tablissement a propos ce nouveau mode de conventionnement qui permet d engager une collaboration a long terme La Ville de Tarare et la Communaut de Communes de l Ouest Rhodanien CCOR apr s diff rentes tudes urbaines tudes de centralit r alis e avec l Agence d Urbanisme Il s agit pour l Epora d aider les collectivit s construire sur les 6 prochaines ann es la strat gie d am nagement de TARARE 69 MS ND BEL AIR Fin de mission en vue pour E pora e De la mousseline la terrasse une nouvelle offre r sidentielle au coeur de Tarare page 54 TARARE 69 EN H PITAL Une op ration d acquisition d molition cession sur les rails proximit imm diate de la gare E le site du nouvel h pital tararien aura t acquis par UEpora au cours de 2014 Propri t de RFF il accueillait jusqu alors un stockage de mat riel ferroviaire ainsi que des jardins ouvriers Le projet est ambitieux et d envergure il s agit de d localiser l actuel h pital pour b tir un nouvel tablissement m dical Le d m nagement du centre hospi
44. ela implique du temps un travail d tudes approfondi et un d ploiement diff rent des quipes Nous sommes dans une phase d acculturation de recueil d informations sur les friches et les dynamiques territoriales l oeuvre Nous rencontrons les lus des communes et des EPCI avec l objectif de leur apporter notre savoir faire sur des sujets parfois d licats avec des volum tries financi res plus modestes et une absolue maitrise des co ts Cela passe galement par un rapprochement avec les acteurs immobiliers de ces territoires les offices notariaux les architectes et ma tres d ceuvre les bailleurs pour appr hender tous les leviers d action Catherine Tardieu Ces sp cificit s du sud de la Dr me et de l Ard che nous ont conduit mettre en place une quipe d di e Nous avons fait le choix de recruter en 2014 une personne exclusivement charg e de ces nouveaux B Les friches 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS E dynamiques notamment dans l ouest rhodanien Est ce dire que les requalifica tions de ces sites d pendent troitement du marche Philippe Gauvrit Cela d pend tout a la fois de la superficie et du marche mais egalement de lattractivite des territoires ph nom ne important a prendre en compte Dans les zones detendues plus le patrimoine concerne est important plus les communes sont d munies LEpora repr sente alors un
45. entifi s les meilleures r ponses pour prot ger et s curiser les sites De la plus l mentaire la panoplie la plus complexe Quelle est votre crainte la plus pr gnante Les accidents corporels et les chutes de personnes entr es par effraction sur un site dangereux La taille des b timents influe t elle sur la nature ou l ampleur des risques Les b timents les plus grands et tendus ne sont pas n cessairement les plus dangereux Un entrep t immense mais vide pr sente moins de p rils qu une petite usine sur deux ou trois tages d labr e et encombr e de mat riel vieillissant Le danger peut galement r sulter du type d activit pr existant sur le site Cette protection exige des comp tences multiples la fois techniques et juridiques IL faut effectivement tre capable de diagnostiquer clairement de d finir les priorit s d action et d apporter les r ponses techniques adapt es Puis de lancer les march s aff rents D autant que les situations sont toutes particuli res L exp rience acquise compte donc beaucoup Nous avons par exemple subi il y a quelques ann es un grave incendie d aux quantit s de mousse polyur thane rest es sur site D sormais leur vacuation lorsqu il y en a fait partie des priorit s EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 9 Bastar Les probl matiques emergentes es territoires nouvellement INTERVIEW CROISEE MI inclus
46. ere de l Economie permettront de mesurer l effet r el qu auront eu ces diff rents parametres Puisse en tout cas la lecture du rapport qui suit convaincre les partenaires de l Epora que l tablissement a mis tout en uvre en 2014 pour accro tre encore sa proximite et sa r activit au service des collectivites de son perimetre desormais etendu Les efforts faire pour nous adapter la nouvelle donne issue de l extension d cid e fin 2013 seront tal s sur trois ans donc jusqu fin 2016 Les collectivit s doivent savoir que l quipe de direction et les personnels sont d cid s les poursuivre dans le m me sens avec pugnacit et d termination Merci elles par avance de ne pas h siter nous faire part de leur perception et de leurs ventuelles questions EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 PR AMBULE Sommaire 1 2014 ANNEE DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS 3 LAVIE DE LETABLISSEMENT 2014 Une annee de transition A La preparation du PPI B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rim tre re D Es T me 1 ein 5 t Pi Y La preparation du PPI a l chelle de la Region et ainsi assurer la pertinence des interventions De surcro t la vocation de plus en plus g n raliste vis e par l tablissement au del de son action traditionnelle de traitement des friches industrielles devait contribuer u
47. es actions de recomposition urbaine autour des centres ou des gares et sur des op rations programm es type PNRU OPAH PNRQAD revi talisation de centres bourgs Dans les zones plus rurales les objectifs visent maintenir des capacit s de logement et d h bergement accessible et renouveler L offre locale de logements Dans tous ces secteurs il s agit pour 0 de contri buer la mixit sociale et fonctionnelle de valoriser des projets de densit suffisante d int grer les enjeux environ nementaux et paysagers de prendre en compte l acces sibilit par les transports en commun aussi bien que les risques de toute nature E La contribution aux grands projets structurants Par ses comp tences en ing nierie juridique tech nique et financi re l Epora a vocation tre troitement associ au montage et la conduite d op rations com plexes Le PPI distingue plu sieurs projets majeurs pour le territoire regional LOIN Saint Etienne port par UEPA Saint tienne laquelle l Epora a d ores et d j apport une contribution importante a Plaine Saint Exup ry aeee E A La pr paration du PPI Les 4 axes d intervention prioritaire definis dans le PPI 2 eum 8 La recomposition urbaine et l habitat Les conventions sign es avec les collectivit s devront atteindre un potentiel de construction de 6000 loge ments sur tou
48. gouvernance renouvel e depuis juillet 2014 Write Equilibre des diff rents chelons territoriaux et repr sentativit des diversit s locales et une rea ct VITE fondent un Conseil d Administration au plus pr s des r alit s des territoires et des accrue avec les besoins des collectivites co lle ct ivites gt Cette dynamique prouv e en 2014 place plus que jamais l Epora en ordre de marche aux c t s des lus et services locaux Dans le paysage de la Nouvelle Organisation Territoriale de la R publique qui en se structurant va aussi conforter la place des communes et intercommunalit s tablissement entend r solument poursuivre son action au service du d veloppement de tous les territoires qui peuvent faire appel a lui EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 PR AMBULE Sommaire 1 2014 ANN E DE TRANSITION Edito du President 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS Edito du Directeur G n ral 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT page 7 Face au doublement en surface du perimetre et du nombre de communes a la majoration de 50 de la population a une configuration et des attentes nouvelles dans des secteurs peu denses et des collectivit s isol es ou rurales l Epora a du en 2014 largement adapter sa r flexion et son action IL s agit d sormais de r pondre aux besoins exprim s par les collectivit s de trois d partements entiers l Ard che la Dr me et la Loire qui comportent bien que dans des proportions tr s d
49. iff rentes beaucoup de collectivit s rurales et par deux d partements le Rh ne et l Is re o se rencontrent en plus des enjeux complexes li s la proximit de centres urbains dynamiques Deux des grandes communaut s d agglom ration rh nalpines la troisi me Saint tienne M tropole et la quatri me Valence Romans Sud Rh ne Alpes appellent galement des actions sp cifiques un moment ou les ex cutifs municipaux profond ment renouvel s la suite des lections municipales de mars 2014 ont relanc une r flexion strat gique La premiere action significative aura t sans conteste l option de cr er et d implanter Rovaltain pres de la gare TGV de Valence en juin 2014 une Mission Sud Rh ne Alpes appel e voluer terme vers une direction territoriale Dr me Ard che Il tait en effet vital compte tenu des distances de ces deux d partements et notamment de leurs zones m ridionales avec le si ge de l tablissement Saint tienne d installer un relais local capable de maintenir et de d velopper le contact avec les collectivit s de r pondre leurs questions d appr hender aussi finement que possible leurs besoins et d y d velopper l action de l tablissement Le chef de mission a t nomm en juin 2014 et a compos une quipe d di e IL fallait galement adapter le nouveau Programme Pluriannuel d Intervention ce nouveau cadre et des missions largies n
50. industrielles la recomposition urbaine et Uhabitat la contribution aux grands projets structurants et la participation a la preservation des zones agricoles et des espaces sensibles Le d ploiement des quipes sur le territoire s est renforc avec l installation Rovaltain de la Mission Sud Rh ne Alpes Cette localisation Valence garantit une proximit avec les nouveaux territoires d intervention de l Epora et une r activit renforc e avec les collectivit s Elle amorce une organisation au plus pr s des besoins des communes et intercommunalites dans les ann es venir Les mises en r seau avec des acteurs institutionnels et professionnels se sont poursuivies Elles permettent de consolder les relations avec des partenaires essentiels De produire et partager une information cibl e De capitaliser une bonne connaissance du territoire d intervention De veiller la bonne prise en compte de la 4 dimension fonciere en amont des pro C es EVO LU t IONS Nos changes avec les agences d urbanisme les CAUE et les Agences d Information sur le Logement sont ce titre essentiels et fructueux 0 ara nt ISSE nt une Dans le m me sens notre fonctionnement en r seau avec les differents EPF et 0 m ite avec EPFL avec les chambres des notaires et le CERF facilite le partage et la production mutualis e de connaissances en matiere fonciere les territoires Enfin UEtablissement b n ficie d une
51. ine et la nature de la demande d immobilier d entreprise favorisent l mergence des projets d habitat de r sidentialisation Aimeric Fabris Nous partageons la probl matique de grands paquebots industriels au centre des villes issus d une activit historique Ces grandes surfaces posent des difficult s du point de vue de la planification du projet urbain Ce sont de v ritables quartiers nouveaux qu il faut cr er et cela repr sente pour les collectivit s locales un processus tres long Cela suppose galement toute une d marche de marketing autour du proJet car ces sites souffrent le plus souvent d une image d grad e peu favorable la mobilisation d investisseurs De la pertinence d un accompagnement le plus en amont possible INTERVIEW CROIS E 0 Les friches de vos territoires Vincent R my Les sites industriels d intervention le Rh ne l Is re de ces trois d partements sont et la Loire sont elles de m me globalement de m me nature et nature En termes d chelle pr sentent les m mes caract ristiques de taille d histoire industrielle d obsolescence par rapport aux besoins de l industrie moderne Leurs morphologies leurs tailles leurs localisations les co ts de d pollution et de d samiantage offrent rarement de possibilit de r utilisation sans d construction Dans ces conditions en cas de vacance la question se pose d une mutation au profit d autres fonctionnali
52. ins du march industriel local page 48 collectivit s locales et a t identifi comme objectif strat gique dans le Contrat de Plan Etat Region IL s inscrit plus largement dans la revitalisation conomique de la vall e de l Ondaine et la reconqu te des rives par des espaces rendus au public Ondaine 2020 constitue une op ration phare de Saint tienne M tropole En 2014 00 a engag les n gociations sur le foncier lib r par Aperam et travaill sur les plans d am nagements permettant le remembrement dans le cadre d une convention avec Saint tienne M tropole L op ration de l entr e est de Rive de Gier a t d clar e d inter amp t communautaire par Saint Etienne M tropole A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 49 D Panorama d op rations ONDAINE 2020 SITES CLEXTRAL ET AUBERT amp DUVAL Une vitrine mondiale pour le leader de Lextrusion agroalimentaire install e Firminy voit l occasion de regrouper ses activit s et de concevoir un site aux standards de ses concurrents europ ens L opportunit galement de conserver ce site de production et ses salari s dans la Loire Leader mondial de l extrusion alimentaire transformation d aliments par haute technologie Clextral souhaite y implanter son usine du futur Le projet passe par un change de t nement entre Aubert amp Duval et Clextral et par une op ration de d polluti
53. ion des centres bourgs 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS B Les friches C Les probl matiques mergentes 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT D Panorama d op rations page 57 Partenaires CC de la Vall e de l Hien Commune de Saint Victor de Cessieu CC de l Isle Cr mieu Commune de Cr mieu CC du Territoire de Beaurepaire Commune de Beaurepaire Commune de Montalieu Vercieu CC du Territoire de Beaurepaire CC Bi vre Is re Commune de 5 CC Bievre Isere commune de la Cote Saint Andre CC Bourbre Tisserands Commune de Saint Andr le Gaz CC des Vallons de la Tour Commune de Saint Clair de la Tour Commune de Sonnay Coommune de P age du Roussillon Commune de Brangues Commune de Pont de Beauvoisin CC Bourbre Tisserand Commune de Saint Ondras CC Pays Roussillonais et Inspira CC de l sle Cr mieu Commune de Villemoirieu CC du Pays de Couleurs Commune des Aveni res Commune de Pont de Ch ruy CC Vallons de la Tour du Pin Commune de la Tour du Pin CA ViennAgglo Commune de Sept me CC Bi vre Isere Commune de le Frette CC Bi vre Isere Commune de Viriville CC Bi vre Isere Commune de Faramans CA Porte de l Is re CA ViennAgglo CA ViennAgglo CA Porte de l Is re Commune de Nivolas Vermelle CA Porte de l Is re Commune de la Verpilli re CC des Collines du Nord Dauphin Commune de Charantonnay CC des Collines du Nord Dauphin Commune de Roche CA Porte de l Is
54. iques en vue d un am nagement vocation metropolitaine Restructuration du centre Bourg La Ville de Saint Vallier est engag e dans la restructuration de son centre ville afin de d offrir une nouvelle attractivit r sidentielle aux familles et de relancer le dynamisme de ce bourg dr mois de 4000 habitants Un renouvellement urbain n cessaire au regard de l tat de certains b timents Et une complexit suppl mentaire car effectuer des travaux en centre ancien habit s av re toujours d licat En l occurrence les demolitions n ont pu se r aliser qu en veillant s curiser les b tis alentours ED SITE C LETTE Un nouveau quartier au nord de Vienne Ce site industriel majeur pour l volution future de la ville de Vienne a accueilli des usines textiles avant d tre reconverti par l entreprise C lette dans la fabrication de marbres automobiles IL s agit aujourd hui d une des plus importantes op rations port es par UEpora sur un foncier de pres de 20 hectares La mission confi e 0 est double D une part permettre la soci t C lette apr s rachat du site de se page 56 SAINT CLAIR DE LA TOUR 38 MS NW FRICHE DE LA CORDERIE D velopper l emploi et soutenir Une zone d activit s pour EP r pondre aux ambitions L attractivite du Nord Isere Cconomiques locales L op ration fait suite une sollicitation de la friche de la Corderie aujourd hui de la commune de S
55. l es vers les affluents et Vincent Remy L implantation en bord proches de polarit s urbaines de rivi re qui r pondait depuis toujours page 36 La difficulte c est que la ou le marche est tonique sur territoire lau plus pres de la m tropole lyonnaise il n y a pas de friches Et il existe des friches ou il n y a pas de march depollution et desamiantage partiels de bien etc En quoi la question du temps est elle galement importante Aimeric Fabris Dans le processus de d pollution le facteur d terminant pour reduire les co ts c est le temps Nous devons nous Inscrire dans des temporalit s longues car elles ouvrent un champ de solutions qui peuvent limiter sensiblement les d penses de l op ration avec des technologies qui ont besoin de temps pour se deployer Plus le traitement de la pollution se r alise in situ plus l conomie globale est cons quente C est le temps long qui permet de favoriser les techniques sur place Cela peut diviser par 3 les co ts de depollution De surcroit ces technologies permettent une communication positive autour du projet A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 37 C Les problematiques mergentes de certaines zones d activit s des ann es 70 et 80 Ces lotissements d entreprises repr sentaient alors une forme adapt e la demande et la transformation de l conomie qui ne plus les grosse
56. leur pr servation ll peut 5 agir de b timent entier d element de facade ou de processus industriel La pr sence de certains mat riaux l utilisation de concept constructifs les dimensions l insertion dans le tissu urbain sont autant d l ments qui peuvent guider le choix de conserver tout ou partie d une friche industrielle Dans ce cas la difficult r side alors pour l Epora et les collectivit s locales concern es identifier les usages qui peuvent y tre d velopp s rechercher les projets de valorisation et ce qui demeure souvent un frein la r utilisation de friches trouver les modalit s de financement ou des porteurs de projets Aimeric Fabris Nous accompagnons et sommes acteurs de la mutation industrielle mais nous g rons la queue de la com te et pas sa trajectoire Est ce dire que vous souhaiteriez aller jusqu aux d marches de prospection pour cibler de nouvelles entreprises susceptibles de s installer Aimeric Fabris Nous g rons en ce moment des types de situations r currentes C est le cas par exemple EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 Lorsqu un foncier est acquis par UEpora en quoi consistent vos premieres missions Des lors que le bien est achet pour une collectivit nous sommes missionn s pour valuer les points sensibles et les zones de risques Il s agit ce moment la de definir les dangers potentiels notamment le risque d intrusion Votre intervention est
57. n PPl repens en profondeur Nouveau p rim tre volution des modalit s d intervention Probl matiques largies redensification des centres contribution l offre de logements veilles foncieres participation aux grands projets strat giques r gionaux Le PPI devait pour les ann es 2015 2020 int grer ces changements de paradigme et les valuations de l Epora afin de proposer aux collectivit s des interventions adapt es au plus proche de la diversit de leurs probl matiques e Programme Pluriannuel d intervention PPI 2015 2020 a t pr par durant l ann e 2014 et approuv par le Conseil d Administration le 4 d cembre dernier Au moment d laborer ce document strat gique pour le d ploiement des activit s de l tablissement il est apparu fondamental de proc der a une analyse territoriale fine L extension de p rim tre approuv e en d cembre 2013 avait suscit besoin d appr hender au plus juste les attentes des collectivit s de ces nouveaux territoires Il tait videmment opportun voire indispensable de mener cette tude du territoire en d passant les strictes limites institutionnelles fix es l Epora pour mettre jour et mieux comprendre les grandes dynamiques l uvre EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A La pr paration du PPI B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rimetre page 13 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR
58. n projet qui mobilise UEpora est toujours un projet de territoire d identit villageoise ou urbaine Parce qu il est question de forme et de paysage D usages et d habitants LEpora privi l gie avec douard Poyet la rencontre physique avec les lieux et les acteurs Nous allons la rencontre de toutes les collectivit s qui ont des questions nous poser Un projet un b timent ou un ensemble de constructions dont ils voudraient savoir comment les re traiter Se rendre sur place et valuer c est montrer que nous sommes pr sents leurs c t s pour juger ensemble de la pertinence d une intervention z Une garantie 9 e La pr sence pendant toute la dur e du processus douard Poyet reste l interlocuteur de la collectivit lorsque la phase op rationnelle est engag e Du contact initial l acquisition puis la cession du foncier il demeure acteur du projet Nous avons rencontr presque tous les EPCI et j ai d j bascul vers une part Nous travaillons beaucoup en bin me avec une urbaniste Cela participe la compr hension de chaque dossier C est pour moi tr s naturel d tre pr sent de la premiere rencontre la Le v ritable enjeu consiste adapter nos modes op ratoires a ces petites interventions qui m ritent toute notre attention A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 45 B Les friches 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES
59. nements en requalifier un LOD ca E 3 sites distincts sur une surface totale de 15500 m les b timents de l usine de 5300 m de p daliers et accessoires de v los A Cette action permet de lib rer une Stronglight d sormais implant e dans partie importante de foncier et de s au 2 disposer fin 2014 de parcelles pr tes Ce foncier devrait accueillir un E nud l am nagement programme immobilier de logements pour toffer l offre r sidentielle proximit de la gare MS JACQUARD LEPA a engag un programme d am nagement sur Grand Gonnet Balzac en milieu urbain dense au c ur OO O E du centre ville de Saint Etienne j Il s agit d a rer ce quartier de proposer n une offre r sidentielle renouvel e autour E Y ey We eT Th all Fr rar d un espace public de proximite a ie ee Ae L intervention de l Epora sur cet lot rue w VEU RE LA LL E du Grand Gonnet et rue Honor de Balzac va permettre d engager l am nagement et de proposer une nouvelle travers e pi tonne me wem page 50 Saint Romain le Puy Bonson et Saint Marcellin en Forez Elle a d ores et d ja identifi 23 sites potentiels d intervention essentiellement sur des dents creuses et des fonciers de centres bourgs a requalifier et reamenager La convention d objectifs inscrit les amenagements dans une strategie d agglomeration
60. on de destruction d esp ces l op ration porte les ambitions d un animales prot g es et de leurs habitats am nagement maitrise et ambitieux 00 3 s est appuy sur l intervention La ZAC de la Quarantaine En 2014 sur la partie sud de la d un chiropt rologue la mise en ceuvre de ZAC UEpora a poursuivi des travaux mesures de d construction adapt es et la Un nouveau quartier significatifs de demolition du site cr ation d un habitat de remplacement de Villefranche sur un site historique de Marduel fabricant de Cette mobilisation en faveur de la de 9 hectares fils de haute technicite aujourd hui protection des especes n aura cause install a Arnas Un futur multiplexe qu un retard limit au projet ED ZA OUEST Toutes les probl matiques SelDI 79 d j Y les b tis sont de qualit tres U rearnenagement 1 variable et presentent des int r ts environnementaux IL s agit sur cette zone vocation Industries Les n gociations pour industrielle de produire une offre acqu rir les 2 5 hectares des anciennes et patrimoniaux divers immobili re rajeunie capable d accueillir teintureries de la Turdine ont galement de nouvelles activit s t engag es au cours de l ann e 2014 Localisation int ressante gr ce la D autres t nements de plus petite taille proximit imm diate de A89 Avec une restent maltriser accessibilit de choix le site pr sente de Une fois les acquisitions finalis es nombreux a
61. on et de remembrement complexe Ce projet strat gique est largement soutenu et port par l Etat et les l Epora vise reconqu rir les berges du Gier autour d un nouveau quartier de ville r sidentiel et agr able en propo sant notamment des logements et qui pements publics avec vue sur la rivi re Ce projet d envergure est embl matique de la conqu te par l habitat de sites jusqu alors vou s l industrie ll devra a terme redessiner toute l entr e est de la ville Sa conception et sa r alisation devront tre progressives et prendre en consi d ration les risques rencontr s au fur et mesure notamment pour toutes les contraintes li es la pollution des sols En 2014 l Epora s est investi dans la poursuite et la finalisation des acquisitions ainsi que dans les tudes et sondages approfondis de facon appr hender les d pollutions n cessaires 1 2014 ANN E DE TRANSITION B Les friches 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS C Les probl matiques mergentes 3 LAVIE DE L TABLISSEMENT Ou tout est question d opportunite fonciere C est l un des elements phares des plans d investis sement du D partement et de l Agglom ration Georges Ziegler Lorsque Aperam Pr cision fili re d Arcelormittal libere 4 ha Unieux proximit imm diate la soci t Clextral MS SITE DURALEX_ FRICHE DE LA VERRERIE Quand la riviere retrouvee redessine l entr e de la
62. on le territoire INTERVIEW ED VERONIQUE GUIRIMAND SECR TAIRE GENERALE De nombreuses actions pour accompagner la transformation mise en place d un nouveau Consell d Administration ll a t install en juillet 2014 apr s que les collectivit s alent d sign leurs repr sentants que ce soit par d signation directe ou au sein de l Assembl e Sp ciale r unie par le Pr fet pour les EPCI non repr sent s directement et pour les communes isol es En compl ment il y avait lieu de revoir le reglement int rieur institutionnel qui r git le fonctionnement de l tablissement pour prendre en compte les volutions r glementaires li es l ordonnance de 2011 et au nouveau d cret et en faire un document consolid tr s op rationnel L exp rience tir e de la premi re extension qui avait ouvert l tablissement a des contextes et des besoins nouveaux a permis d laborer des outils juridiques renouvel s adapt s au processus de travail avec les collectivit s Afin d accompagner le personnel dans la mise en place de ces conventions et sur leur contenu juridique nous avons choisi de l tablissement e gt O 1 Une n cessaire adaptation institutionnelle La transformation de l tablissement S est poursuivie en 2014 dans la continuite pour les chantiers lances les ann es pr c dentes et en prenant en compte les volutions de fond induites par le d cret de d cembre 2
63. otamment pour accroitre la part des actions de l tablissement consacr es l accroissement de l offre en logements Ce document approuv en d cembre 2014 s est appuy sur une analyse fine des besoins et a consacr le principe de minorations fonci res plus limit es aussi bien dans leur principe que dans leur quotit Celles ci sont d sormais appr hend es par r f rence aux d ficits pr visionnels d op ration ou au montant des travaux de requalification plut t qu au co t total des op rations Mettre en ceuvre une telle orientation supposait de multiplier les tudes men es par l tablissement en concertation avec les collectivit s de mani re disposer de programmes coh rents et d valuations pr cises avant de passer au stade des conventions op rationnelles et galement en vue d amener aussi rapidement que possible les collectivit s du p rim tre d extension un niveau de pr paration comparable celui du p rimetre de 2013 Edito D 2 o page 8 gt vital compte tenu des distances avec le siege de l tablissement d installer un relais local capable de maintenir et developper le contact avec les collectivites d appr hender leurs besoins aussi finement que possible dito du Pr sident Edito du Directeur G n ral page 9 Un effort important a donc t engag en ce sens et plusieurs recrutements ont t op r s au sein du Service Etudes
64. pora page 44 7 l ments de r ponse sur la p dagogie de l action fonci re en territoires ruraux D Panorama d op rations page 47 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT page 61 INTERVIEW de la Secr taire G n rale page 62 Une ann e en chiffres page 64 Le Conseil d Administration de 3 page 66 EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 PR AMBULE Sommaire 1 2014 ANNEE DE TRANSITION dito du Pr sident 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS Interview Jean Guillet 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT page 5 page 6 y a Nous nous f licitions l an dernier la m me poque de l extension g ographique 1 0 de l Epora et de l largissement de ses competences Plus g n raliste l Etablissement soutient les politiques nationales et locales en mati re de production de logements de lutte contre l talement urbain et de restauration de l attractivit conomique Durant l ann e 2014 l tablissement a poursuivi son d veloppement et accentu sa proximit avec les territoires sur la base d ambitions structurantes sa strat gie globale d actions le d ploiement de ses quipes sur les territoires le renforcement des partenariats et une gouvernance renouvel e La strat gie d actions formalis e dans le PPI 2015 2020 a t approuv e par les administrateurs l unanimit en d cembre dernier autour de 4 axes majeurs d intervention le d veloppement des activit s economiques et le recyclage des friches
65. re Communes de Villefontaine et de la Verpilliere CC des Collines du Nord Dauphin Commune d H eyrieux Commune de 5 00 Commune de Bougoin Jailleu ViennAgglo Commune de Pont Ev que Commune de Bourgoin Jallieu CC des Vallons de la Tour ViennAgglo Commune de Chasse sur Rh ne et OPAC 38 CC de l Isle Cr mieu Communes de Cr mieu et de Villemoirieu CC de l Isle Cr mieu Commune de Vertrieu CC de l Isle Cr mieu Commune de Moras Commune de Saint Etienne de Saint Geoirs CA Porte de l Is re CA du Pays Viennois CC des Collines du Nord Dauphin CA du Pays Viennois Commune de la Verpilliere CA ViennAgglo Commune de Vienne A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches 1 2014 ANN E DE TRANSITION Nom de l operation mw Multisite EE Friche EZT Centre bourg ED Secteur centre ville Manudo ENP Zone d activit Le grand chemin Multisite Quartier gare ZAC du Serpentin Centre bourg BEP Centre bourg Centre bourg Centre Bourg BEP Centre bourg Inspira Entr e de ville Friche Mermet BEP Centre ville BEP Centre ville Centre bourg Le pr du four Le 6 Centre bourg Parc Zl de Chesnes extension nord gt Vienne Nord Vall e de la Gere Secteur centre bourg Tecumseh Centre bourg Centre bourg Secteur gare de la Verpilli re Multisite conomique Multisite Site Weidmann Procelis Centre ville Secteur Paul Ber
66. rrue Simon Pl net Jean Yves Meyer Ga amp l Perdriau Joel Grisollet Jean Philippe Deneuvy E Rizzi Ec lt Le Conseil dAdministration de lEpora L Epora compte 28 administrateurs a voix delib rative 2 repr sentants des collectivit s Pb territoriales ou de leurs groupements 4dela R gion Rh ne Alpes 8 des D partements E 9 des communaut s d agglom ration 3 des autres tablissements publics de coop ration intercommunale fiscalit propre et des communes non membres des tablissements publics de coop ration intercommunale fiscalit propre repr sentants b de l tat personnalit s socioprofessionnelles F ont une voix consultative chambre r gionale de commerce et d industrie chambre r gionale d agriculture chambre r gionale de m tiers et de l artisanat CESER page 6 M Ridde POUR LES COMMUNAUT S D AGGLOM RATION CT D AGGLOM RATION DU PAYS VIENNOIS M Thierry Kovaks SUPPL ANT M Martine Falta CTE D AGGLOM RATION PORTE DE LISERE M Joel Grisollet SUPPLEANT M Dominique Berger CT D AGGLOM RATION LOIRE FOREZ M Alain Gauthier SUPPLEANT M Beatrice Blanco CTE D AGGLOM RATION ROANNAIS AGGLOMERATION M Yves Nicolin SUPPL ANT M Jean Louis Lagarde CT D AGGLOM RATION ST TIENNE M TROPOLE M 638 Perdriau SUPPL ANT M Enzo Viviani A L interview de la Secr taire G n r
67. rt Sury le Comtal SAINT CYPRIEN COMMUNAUT D AGGLOM RATION LOIRE FOREZ 42 MS ENNEP LES FORGES DE LA BECQUE Foncier strat gique en zone industrielle Un foncier strat gique de plus de 7 hectares vocation industrielle de la Communaut d Agglom ration Loire Forez EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT Lavenue Bergson L Epora interviendra pour traiter et d construire la friche du Progres DTF afin de pr parer le foncier pour un op rateur en vue de la construction d un programme de logements libres en accession 1 01 Rondet Tarentaize proche du cceur de ville et du Puits Couriot o sam nage un Mus e de la Mine l intervention de l Epora doit permettre dans un premier temps d a rer le tissu urbain avant de r aliser un programme immobilier lorsque l volution du quartier le permettra Entre Villefranche sur Sa ne et la m tro pole sur un territoire attractif en march immobilier tendu les op rations de loge ment se multiplient Durant l ann e 2014 l Epora a accompa gn plusieurs communes dans leurs pro jets d immobilier r sidentiel pour la plu part de petits collectifs qui permettent de renforcer la structure des centre bourgs Les tudes ont t r alis es Lucenay suivies de plusieurs acquisitions fonci res en 2015 Moranc ou Civrieux d Azergues l an n e a permis de lancer
68. s industries Certains de ces sites vivent mal aujourd hui Les collectivit s nous interpellent pour d velopper une offre qui permette de les remembrer pour d gager de nouveau des capacit s de d veloppement conomique et revendre des charges fonci res plus adapt es de nouveaux utilisateurs L enjeu est donc d accompagner la collectivit Le plus en amont possible Vincent R my Oui d accompagner les collectivit s mais aussi les entreprises Anticiper l mergence de friches industrielles ou la paup risation de zones d activit s est un v ritable enjeu urbain et conomique pour lequel 00 se mobilise tr s fortement et apporte concr tement des r ponses proposition de sites de repli acquisition B Les friches D Panorama d op rations 1 2014 ANN E DE TRANSITION 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT La question de la pr servation patrimoniale se pose t elle souvent sur les friches industrielles de ces territoires Aimeric Fabris Ces industries du XIX siecle souvent positionn es dans des p les urbains ont fr quemment une part d architecture prot ger Et d une mani re g n rale les ABF ont une d marche volontariste pour valoriser ce patrimoine industriel Vincent R my Une partie des friches industrielles trait es par 00 3 pr sente des caract ristiques patrimoniales particuli res qui m ritent d tudier la possibilit de
69. soutien en termes d tudes et d ing nierie fonci re pour aider faire merger des solutions Cela est videmment plus ais sur des sites attractifs comme les Gorges de l Ard che dont la marque touristique fonctionne bien On sent bien que la capacit de rayonnement des zones touristiques joue un r le crucial Comment la question du logement se pose t elle dans ces nouveaux territoires Catherine Tardieu Nous travaillons beaucoup avec la SAFER cr er une offre locative dans des espaces ruraux peu desservis Qu il s agisse de logements sociaux ou pas Philippe Gauvrit s agit souvent de retrouver des capacit s locatives dans un tissu rural peu dense avec un modele conomique adapt De rep rer les opportunit s fonci res et permettre ainsi a un op rateur bailleur ou promoteur de r aliser l op ration Dans ce cadre les aides des D partements de la R gion Rh ne Alpes ou de ANAH repr sentent un atout indeniable Catherine Tardieu Le r le des inter communalit s s av re galement essen tiel Les probl matiques foncieres ont 616 par le passe inegalement traitees selon EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT D Panorama d op rations 4 Un constat em a Des communes contrast es Cette posture privil gie le contact quotidien et l approche terrain Elle permet d appr hender la r alit des nouveaux territoires d intervention de nombreuses collectivit s
70. ssion IL joue galement un r le de conseil et d ing nierie sp cialis e pour laborer une strat gie fonci re identifier les gisements fonciers tudier la faisabilit technique et financi re sur les sites retenus ou encore d velopper des partenariats avec les bailleurs sociaux Or Les conditions pratiques et financi res de mobilisation de L immobilier et du foncier dans les centres villes avec la contribution des EPF sont d terminantes pour rendre viables les op rations publiques et priv es de revitalisation L exp rimentation centres bourgs permettra de partager les exp riences r ussies de les capitaliser et les valoriser Des temps d changes avec les territoires et des actions d animation nationale seront r guli rement organis s avec les acteurs locaux et les associations d lus 5 ko 8 6 O2 TSS e eh 3 epaulard59 2014 ANN E DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches LAVIE DE LETABLISSEMENT C Les problematiques emergentes D Panorama d operations page 29 Que peut faire l Epora dans ce type d op ration aux c t s des collectivit s L tablissement peut assurer les acquisitions et le portage foncier la maitrise d ouvrage des travaux de d construction d ventuel d samiantage et d pollution Une telle intervention s ins re dans le projet urbain labor entre le bailleur social et la collectivit qui a n
71. t Gare Convention cadre mw Site du Chateau Secteur E7T Centre bourg Centre bourg Mairie Etude de gisements fonciers Etude de r f rentiel foncier Etude de gisements fonciers Vienne Nord Secteur Gare Vienne Vall e de la G re 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS C Les probl matiques mergentes D Panorama d op rations 3 LA VIE DE L TABLISSEMENT EM ETUDES a lancer BB en cours 3 le Fw gt E 0 3 0 e ao c a EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 page 58 i IM Um us EAE ri CUm 2 5 Epa La vie de l Etablissement L interview de la Secr taire Generale B Une ann e en chiffres C Le Conseil d Administration de Epora Nous avons choisi de proposer des formations sp cifiques L ensemble des interlocuteurs internes concern s de proposer des formations sp cifiques a Lensemble des interlocuteurs internes concern s aussi bien des directions op rationnelles que des services supports 2 L installation des quipes sur les territoires les recrutements et la formation 2014 a permis de constituer l quipe qui va travailler dans la Dr me et l Ard che tandis que l extension l est en Is re a d port dans cette directi
72. t s urbaines d autres usages notamment l habitat Concernant la Loire la diff rence essentielle r side dans la pr sence sur son territoire de friches issues de sites majeurs de l industrie de l armement et de la m tallurgie Localis s dans les agglom rations st phanoise et roannaise ces sites sont d emprises fonci res et de proportions b ties extraordinaires g n ralement tr s anciens et peuvent etre fortement pollu s Aimeric Fabris Nous avons des friches de toutes natures Parfois tr s imbriqu es dans le tissu urbain dans lesquelles sont ins r s des commerces et d anciennes habitations cr es par l entreprise dans l emprise m me de l usine Certaines comportent des b tis de grande chelle sur des fonciers qui peuvent aller jusqu des dizaines d hectares Il existe aussi de petits ateliers de centre ville desaffectes et vacants depuis de nombreuses ann es Le point commun entre ces friches demeure videmment la pollution historique Elles sont toutes symbole d une industrie r volue Avec une pr dominance des friches du XIX qui h bergeaient les activit s embl matiques de la R gion pour le Rh ne les teintures et les textiles notamment Ces entreprises Vous avez voqu le sujet s installaient le plus souvent au plus r current du traitement des pr s des ressources naturelles et des friches en bord de riviere cours d eau On les retrouve donc dans les petites val
73. t mise en tat des fonciers acquis ou a acqu rir des projets sur des emprises fonci res tr s contraintes du fait des pollutions risques miniers d inondation ou de d construction d licate des projets visant la diversification et une plus grande mixit des biens immobiliers locatifs ou en accession ou l exp rimentation de produits immobiliers sp cifiques Cette convention t moigne de l engagement de l Etablissement accompagner les partenaires publics sur les politiques de l habitat et trouver des r ponses proches des r alit s v cues des communes et intercommunalit s le tout au profit de la mise en uvre des PLH De l quilibre social et territorial de l offre locative sociale De parcours r sidentiels plus fluides Et de l am lioration globale du parc des bailleurs Elle doit constituer un levier pour r pondre aux exigences sociales et environnementales de la production et faciliter l am lioration n cessaire de ses qualit s urbaine et architecturale En juin 2014 UEpora s est engag dans une convention avec l association des ma tres d ouvrage sociaux de la Loire AMOS 42 Elle scelle les principes d un partenariat qui vise a participer activement l am lioration de l offre de logements sociaux l chelle du d partement Les besoins identifi s rel vent principalement de son renouvellement plut t que de son d veloppement les enjeux concernent la deconstruction ou l
74. talier devra tre rapide apr s construction de 90 lits L enjeu conomique est essentiel puisque PEA ca 2 d un nouvel l h pital est aujourd hui le premier AA A DP ccu employeur de la ville To ARE Ns 600106610606 L objectif c der le site des la fin des travaux pour amorcer la construction du nouvel equipement le plus rapidement possible Le d m nagement de l h pital est attendu pour 2017 ANNONAY 075 Un projet de quartier durable ambitieux sur une friche Des vignes du industrielle centenaire siecle au quartier durable du Le projet de situe dans le centre ville Fontanes faites de volumes entrem l s historique d Annonay sur un promontoire et de b tis tr s divers dominant la de la De me C est La d couverte inopinee de carneaux dans le berceau m di val de la ville anciens n ont pas emp ch les travaux un site charg d histoire depuis le de d molition et de d pollution qui se siecle que la municipalit a entrepris sont poursuivis et termin s en 2014 de b tir un coquartier avec pres de La r ception des travaux a t prononc e 70 logements et des am nagements la fin de l ann e la r trocession la exemplaires en termes d environnement ville peut intervenir en 2015 L Epora a t charg de d molir les anciennes usines de tannerie et tissage EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 A
75. te du d ficit pr visionnel Les dur es de convention mentionn es ci dessus sont fonction de chaque projet retenu en conformit avec son ch ancier pr visionnel A La pr paration du PPI j B Des modes d intervention adapt s au nouveau p rim tre 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS page 23 LA VIE DE L TABLISSEMENT AAA 2014 Des axes d intervention preponderants A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches C Les probl matiques mergentes ama d op rations pl Le Le logement et la revitalisation des centres bourgs EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS B Les friches 25 age 2 LAVIE DE LETABLISSEMENT C Les problematiques mergentes pag D Panorama d op rations De quelle mani re les 0 centres bourgs ont ils t identifi s sur quels criteres Et les 50 qui seront retenus Nous avons lanc un programme exp rimental visant a revitaliser des centres bourgs de communes rurales et p riurbaines cibl es L tat mobilise pour cela jusqu a 40 millions d euros par an pendant ans qui permettront a des centres bourgs en compl ment d autres financements de cr er des logements des commerces des equipements et des services 5 aux besoins des habitants Les partenaires r gionaux ont identifi d but 20
76. te la dur e du PPI soit jusqu en 2020 Cet objectif pourra tre revu au regard des besoins des nou veaux territoires La diversit est grande sur le territoire couvert par l Epora entre les zones tendues en franges de la m tropole lyon naise et les zones atones Pour les zones tendues les orientations strat giques du PPI portent sur le d velop pement quantitatif de l offre notamment en locatif social Dans les zones urbaines le r le de l Epora dans la lutte contre l talement urbain doit avoir pour objectif de r guler les co ts du march foncier et d att nuer ainsi l effet d ex clusion par les prix rencontr s dans certains secteurs Dans les secteurs d ten dus l orientation strat gique engage consolider la vitalit des villes Il s agit de pr server et d am liorer l attractivit des communes de contrecarrer la vacance et lobsolescence du parc de logements existants 2014 DES AXES D INTERVENTION PR POND RANTS LA VIE DE L TABLISSEMENT Le d veloppement des activit s conomiques et Le recyclage des activit s industrielles Le PPI 2009 2013 pr voyait que 80 de l activit Soit consacr e ce type d interventions M me si elles diminuent en part relative dans l ensemble des missions de l Epora elles demeurent une orientation majeure pour 2015 2020 La localisation en tissu urbain la surface du t nement disponible la demande potentielle en foncier d
77. tour d changes de l Epora avec les partenaires des territoires d extension La connaissance des nouveaux territoires Des tudes pour guider la em m priorisation des interventions par la connaissance syst matique des probl matiques et du march 4 Des tudes ax es sur la partie em m pr op rationnelle pour faciliter le passage en r alisation 3 Des tudes bas es sur un 2 a travail partenarial avec les op rateurs bailleurs services d partementaux et services de l tat Des conventions d objectifs em m conclues avec les EPCI ou collectivit s importantes ayant de nombreux projets susceptibles de faire l objet d un partenariat au cours du mandat Elles pr cisent pour le moyen et le long terme les conditions g n rales d intervention de l Epora et permettent de cadrer sur plusieurs ann es l apport financier dont l tablissement peut faire b n ficier la collectivit elle est ainsi davantage en mesure d affiner sa programmation et sa strat gie 4 Des conventions d tudes em a et de veille fonci re elles ont vocation a accompagner les collectivit s dans la phase de d finition du projet urbain et 0 apporter une aide au montage op rationnel Elles sont destin es a pr parer un projet abouti et permettent d engager des Interventions d opportunit fonci re qui visent a ma triser les volutions du site tant que l op ration n est pas compl tement arr t e en sauvegardant ainsi
78. toutes possibilit s de r alisation ult rieure 3 Des conventions 49 a op rationnelles elles pr cisent l intervention de l Epora sur la base d un projet valid et assorti d un bilan pr visionnel ouvrant droit a une ventuelle minoration fonci re lors de la cession des biens acquis et mis en tat la collectivit ou l op rateur d sign par elle Les modalites d intervention repensees ND Territoires en mouvement et agilite des modalit s d accompagnement Depuis 2010 l Epora volue son et les mouvements institutionnels p rim tre ses objectifs ses modes ou territoriaux des zones couvertes de gestion et de financement sont les modalit s d intervention et de repens s et red finis jusqu la contractualisation voluent philosophie m me de ses interventions L ann e 2014 et l adoption du nouveau aupres des collectivit s publiques PPI ont t l occasion de clarifier et de Sur ce p rimetre qui repr sente rendre plus lisibles ces modalit s tout la moiti de Rh ne Alpes les territoires en posant les bases d un suivi am lior eux m mes ne sont pas homog nes de l activit annuelle et pluriannuelle au regard de leurs dynamiques territo riales de leurs probl matiques ou de leur maturit ni vis vis de Ce dispositif de conventionnement leurs attentes l gard de avec les collectivit s s articule Pour prendre en compte la fois les sur 3 niveaux volutions des missions 8
79. uentes Le v ritable enjeu consiste adapter nos modes op ratoires ces petites interventions qui m ritent toute notre attention Nous nous devons de porter attention aux besoins des plus petites communes r alit des op rations C est assurer un fil conducteur valorisant pour tous les acteurs Unefonction sur mesure e Lexp rience des enjeux du monde rural Pragmatisme et bonne connaissance des questions li es la ruralit font partie des atouts pour assumer cette fonction d di e la connaissance des nouveaux territoires d intervention Son exp rience pass e tout comme sa formation et sa capacit comprendre et formaliser les besoins de ces territoires cr ent l ad quation recherch e pour cette fonction Je suis issu d un master en am nagement du territoire en milieu rural C est ce profil rural qui est int ressant J ai approch dans des fonctions pr c dentes l exp rience de la SAFER et l approche inh rente des probl matiques fonci res Un point de vigilance La n cessaire adaptation de tr s petites op rations Certaines petites communes et inter communalit s ne disposent pas en interne de l ing nierie n cessaire au montage d op rations foncieres limit es en milieu rural L Epora fait voluer ses modalit s d intervention au regard de ces enjeux et des capacit s d action des col lectivit s concern es Un avantage Pa La mobilit Parce qu u
80. un contexte urbain particulier Leur mutation leur agrandissement ou leur r novation aujourd hui implique de g rer l ensemble du b ti logements et activit constituant des realites indissociables Cela engage 00 dans des tudes et des r flexions urbaines d ensemble et dans des probl matiques globales de revitalisation des centres bourgs C est a l chelon de Lintercommu nalit que se fera la meilleure prise en compte des probl matiques des territoires ruraux A Le logement et la revitalisation des centres bourgs page 43 les intercommunalit s Certaines ont pris en charge et assum les aides de petites communes Je pense au Val de Dr me qui avait cr un fonds sp cial d inves tissement pour des co hameaux ou co villages Mais cela ne vaut pas pour l ensemble du territoire Certains EPCI sont tr s r cents et attendent l Epora pour ce type de portage Le niveau de comp tence que constitue Uintercommunalit est essentiel pour agir a la bonne chelle Et nous rencontrons depuis plusieurs mois beaucoup de communaut s de communes de ces territoires nouvellement inclus dans notre p rim tre d intervention pour leur faire connaitre l Epora et le recours aux tudes pr op rationnelles et au portage foncier Cet largissement des probl matiques rencontr es n cessite t il de nouveaux m tiers et expertises pour l Epora Philippe Gauvrit Pour le Sud Dr me et Sud Ard che c
81. vantages pour le d veloppe les phases de d molition 2016 ment conomique et d pollution 2017 pourront tre Pour 0 il rassemble l ensemble engag es des probl matiques li es au r am nagement foncier L tablissement maitrise d ores et d j hectare acquis aupres de BelAir EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 1 2014 ANN E DE TRANSITION A Le logement et la revitalisation des centres bourgs B Les friches 2 2014 DES AXES D INTERVENTION PREPONDERANTS C Les probl matiques mergentes 3 LAVIE DE L TABLISSEMENT D Panorama d op rations page 3 Autour d une attractivit r sidentielle retrouv e du d veloppement conomique et de la construction d un nouvel h pital la ville de Tarare veut construire un projet urbain ambitieux Tarare Trois projets majeurs doivent faire partie des r flexions la zone d activit s Ouest les abords de la gare et de Uhopital le logement de centre ville Cette convention d finit de grandes orientations et un budget global pour l valuation de 0 et pose les bases d une mise en ceuvre op rationnelle Un promoteur est d sormais engag dans la r alisation d une cinquantaine de logements sur ce site anciennement exploit par l usine textile Bel Air Ces logements seront c d s l OPAC du Rh ne L Epora a termin les travaux engag s notamment la d molition des b timents existants et le traitement des sols 2014 aura permis d
82. vidence certaines particularit s de ces nouveaux territoires d intervention Il s agit notamment de la n cessit d une temporalit plus longue pour traiter ces fonciers identifi s Et de l importance de certaines typologies foncieres avec probablement des moyens d action plus cons quents pr voir pour le renouvellement urbain et la revalorisation patrimoniale page 21 INTERVIEW ED 3 questions Serge Baraniecki Fonc o en charge de l tude Strat gie Sud Dr me Sud Ardeche et Nord Isere Au moment de la premi re extension de p rimetre en 2008 la posture avait t diff rente et la n cessit de d couvrir les enjeux des territoires moins affirm e L enjeu de cette tude men e sur 18 mois tait de disposer d l ments pr cis par territoire pour anticiper et pr parer les rencontres de l Epora avec les collectivit s Pour qu elles soient renseign es et tudi es en amont Nous avons travaill en 3 phases D abord des fiches portrait de territoire sur chacun des 45 EPCI des territoires d extension Ces premi res donn es institutionnelles offraient un premier regard sur les enjeux et les dynamiques en cours les comp tences prises par Uintercommunalite l analyse du march immobilier les volutions d mographiques les typologies de construction les mouvements du parc de logements et la cartographie des secteurs conomiques La deuxi me phase s est d roul e au
83. ville Les anciennes usines Duralex de fabri cation de verre avalent laisse vacant un site de 8 hectares en centre ville dans le quartier Couzon Un site aujourd hui 06 3516 ou l amiante se m le aux gravats de toute sorte Un site symptomatique du patrimoine industriel abandonne dans des vall es autrefois prosperes L enjeu pour les collectivit s et pour EPORA RAPPORT ANNUEL 2014 SAINT TIENNE 42 Un partenariat specifique avec LEPA de Saint Etienne Les op rations men es par l EPA de Saint tienne visent redynamiser la capitale lig rienne LEpora est intervenu en 2014 en soutien aux op rations sur plusieurs quartiers ENNEP CH TEAUCREUX ED LEpora accompagne l EPA de Saint PONT DE L NE MONTHIEU Etienne depuis quelques ann es sur ce er 0 is es La requalification de cette entr e de quartier strat gique destin accueillir ville aujourd hui faubourg commercial les activit s tertiaires de l conomie mud Me E phanoicee ensis vieillissant fait L objet d un programme ambitieux Une consultation doit aboutir Dans le cadre du d ploiement DNO TW 7 mi 2015 pour s lectionner l op rateur de la deuxieme phase de la ZAC de ce projet commercial les am t t l am nagements vont prendre place Durant 2014 l Epora a men un sur la partie nord de la gare TGV programme de d construction de 00 3 est intervenu en 2014 pour e b timents obsol tes 6 te

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