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Technologies clés 2005 (septembre 2000)

1. l mergence d acteurs industriels europ ens France forte moyenne faible inexistante Liens microsyst mes Europe forte moyenne faible inexistante Esemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Electronique Contr le actif de vibrations Mat riaux pour Synth se min rale Relations structure Physique du solide Automobile Films et membranes de haut syst mes avanc s MicroTechnologie propri t s Chimie du solide Biens de parleurs transducteurs pi zo lectriques capteurs actionneurs Nouveaux alliages consommation lectroacoustiques ferro lectriques Mise en forme des Nouveaux diagrammes A ronautique et Capteurs pi zo lectriques et magn tiques c ramiques de phase Espace Amortisseurs Insertion du syst me Industrialisation Positionneurs localisation de adaptatif dans sa Conception et r alisation syst mes enfouis structure d accueil de pi ces actives de g om trie adapt e Page 198 gt CM International 34 Mat riaux absorbants de chocs de vibrations de bruit de chaleur Les mat riaux absorbants contribuent la s curit et la qualit de la vie Leur d veloppement se fait en interaction avec la mise en place de normes et de r glementations pour la protection de l environnement la s curit Les mat ria
2. objets communicants autonomes France forte L moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante FOR de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Agriculture Suivi et optimisation de la Tra abilit Capteur M thodologie de gestion Biochimie et physique Industries circulation des produits Etiquette intelligente des risques m thodes agroalimentaires alimentaires du producteur Logistique _ Miniaturisation des Recherche au consommateur marqueurs op rationnelle D tection des toxines Informatique Gestion et ma trise des Autres points critiques risques D finition de crit res S curit alimentaire Quantification des Optimisation de la cha ne du analyses froid R duction des pertes alimentaires Page 258 gt CM International 90 Marquage m tabolique des aliments Les relations entre l alimentation et l tat de sant des consommateurs repr sentent une cible privil gi e de la r flexion de la recherche publique et de l industrie alimentaire Quatre champs DEGRE DE DEVELOPPEMENT peuvent tre cit s dans ce domaine la toxicologie et la s curit alimentaire l alimentation et la pr vention le comportement Technologie mergence croissance maturit alimentaire des consommateurs et l valuation des consommations
3. Page 166 CM International 13 Assistants digitaux portables Les assistants digitaux portables correspondent la nouvelle g n ration de DEGRE DE DEVELOPPEMENT terminaux portables cran fusionnant t l phone messagerie moyens transactionnels Ils permettent la simplification des t ches fonctionnelles Technologie mergence maturit r p titives Les assistants digitaux portables sont l arch type du client l ger dans les nouvelles architectures client serveur Ils sont soumis OREN des contraintes fortes qui en font un domaine en volution rapide Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation synchronisation avec l informatique s dentaire int gration de la t l phonie et du paiement lectronique s curis int gration des protocoles HF pour l acc s aux r seaux hertziens de proximit Ils peuvent utiliser le POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE protocole WAP de dialogue Client Serveur sans fil et s interfacer avec les objets domestiques intelligents Les principaux enjeux sont la France EE E faiblk Het communication avec le porteur et avec les r seaux ainsi que la mise au oo moyenne faible inexistante point de standards communs pour garantir l interop rabilit par exemple par le d veloppement des OS ouverts Les march s sont de quelques Europe dizaines de millions par an et pourront atteindre quelq
4. faible inexistante Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante Exemples P Domaines de secteur 5 Fonction ug aSa 3 x Exemples d usage Technologie Points technologiques critiques scientifiques d applicat remplie E i concern s ion M decine Chirurgie cardiaque Chirurgie Robotique Retour d information M canique Chirurgie neurologique assist e Imagerie m dicale Automatisation des gestes Electronique Chirurgie orthop dique par Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu analyse Transmission de l information longue Mod lisation PA ordinateur d image reconnaissance des formes syst mes base de r gles distance critique long terme Informatique GMCAO Ergonomie de l interface homme machine logicielle Techno logicielles de la langue et de la parole commande vocale Et divers autres points critiques relevant Techno logicielles pour le transport de donn es et la s curit des des technologies cit es ci contre et voqu es r seaux par ailleurs Techno logicielles de r alit virtuelle synth se d images 3D simulation Page 256 gt CM International 88 Miniaturisation des instruments de recherche m dicale Aujourd hui l utilisation
5. Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous France Forte moyenne faible inexistante Europe Forte moyenne faible inexistante Exemples de Fonction Domaines secteur Exemples d usage remoli Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application p concern s M decine Chirurgie Imagerie Endoscopie Source des rayonnements au sens large g n ration du Optique Pharmacie Chirurgie assist e par ordinateur GMCAO m dicale gt Ultrasons ph nom ne physique utilis pour interagir avec le milieu Chimie Obst trique z Rayons X Capteur r cup ration du signal n de l interaction pr cit e Biologie Imagerie c r brale et neurochirurgique z R sonance Restitution de l image soit sch matiquement 4 niveaux de M decine Suivi th rapeutique en canc rologie magn tique traitement du signal conversion en image du signal pr cit nucl aire Cardiologie nucl aire filtrage du bruit etc passage une image 3D superposition Opto Etude du mode d action d un nouveau m dicament IRM multimodale ex rayons X gamma cam ra lectronique s Outils de sant la disposition des consommateurs Gamma Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Traitement du cam ra analyse d image reconnaissance des formes signal marqueurs Techno logicielles de r alit virtuelle synth se d images 3D Informatique log
6. Technologie mergence croissance maturit Applications industrielles et commerciales diffusion g n ralisation faible inexistante La fonction r alit virtuelle mobilise diverses technologies trait es par ailleurs notamment des technologies logicielles sp cifiques mais aussi en particulier s agissant de r alit virtuelle augment e pour la gestion des donn es et du contenu moyenne Europe Forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous transmission temps r el de contenus multim dia France Forte moyenne C faible inexistante Europe Forte moyenne faible inexistante Exemples de Fonction Points technologiques Domaines secteur Exemples d usage Technologie za scientifiques er remplie critiques d application concern s BTP CAO R alit virtuelle Techno logicielles pour la gestion des Capacit de calcul Simulation architecture Design augment e pour donn es et du contenu Bases de donn es num rique d coration Surveillance intelligente de l laboration et de la mise ne la conception Techno logicielles de r alit virtuelle Normalisation de la multi chelle promotion uvre des mat riaux architecturale et repr sentation des Psychologie de immobili re In
7. Les march s concern s par les principales applications des fluides frigorig nes sont pour la plupart en forte croissance Le d veloppement de fluides haute qualit environnementale sera toutefois fortement conditionn dans les ann es venir par les volutions r glementaires sur l effet de serre France forte moyenne faible inexistante Liens Europe forte moyenne faible inexistante conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable gestion de Pair dans les b timents POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne L faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur Points technologiques Domaines scientifiques ap a Exemples d usage Fonction remplie Technologie de gq eag d application critiques concern s Automobile Climatisation Stockage et transport du Fluides frigorig nes Chimie Habitat R frig ration froid dans un syst me haute qualit Thermodynamique Transport Cong lation Vecteur du froid non environnementale Toxico et cotoxicologie Commerce Surg lation agressif pour M canique des fluides l Environnement G nie chimique Page 237 gt CM International 71 Stabilisation en vue du stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets m nagers et industriels DEGRE DE DEVELOPPEMENT
8. S ret des syst mes embarqu et infrastructure Page 133 Le contexte par grands domaines 11 7 Biens et services de consommation Page 134 Le contexte par grands domaines L re de la consommation repr sent e par un produit pour tous est progressivement remplac e par l re de l achat personnalis et du sur mesure Les techniques de marketing permettant la gestion personnalis e de la relation client deviennent un enjeu majeur pour les entreprises Cette gestion s appuie sur le maniement de base de donn es complexes qui demandent des outils de tri et de structuration de l information toujours plus performants Le d veloppement rapide de la Soci t de l Information impose aux entreprises de revoir leurs techniques de marketing et de proposer des objets nomades qui assure aux clients s curit portabilit et autonomie Dans le m me temps l individu exige de savoir et d tre rassur dans sa consommation travers la tra abilit des produits en particulier dans l agroalimentaire mais aussi travers des crit res li s la sant l environnement ou au social Enfin si l individu est pr t accepter les innovations technologiques celles ci doivent lui simplifier la vie travers des produits multifonctionnels et simple d utilisation ou encore travers la mise en r seau de produits et de services Page 135 Le contexte par grands domaines
9. adresser en retour au syst me notamment dans une perspective de partage des d cisions entre le syst me et le pilote POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL les supports physiques de l interface France forte faible inexistante Les applications l automobile se caract risent notamment par l importance du march et par la diversit des cat gories Europe forte moyenne d utilisateurs dont il faut int grer au maximum les comportements faible inexistante Enfin m me si l on se limite ici au pilotage de v hicules ou d installations il convient de noter que le concept d ergonomie dans l interface homme machine a une port e tr s g n rale c est ainsi par exemple qu il joue galement un grand r le dans les technologies logicielles voqu es par ailleurs pour la gestion des donn es et du contenu formulation des requ tes profil d utilisateur interfaces sans clavier et pour l informatique distribu e simplicit et universalit des interfaces Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous design sensoriel Page 269 Exemples de Domaines secteur Exemples d usage Hu Technologies 1 Points technologiques critiques scientifiques d application p concern s Industrie Simulateur de conduite ou de pilotage Ergonomie de Choix et Ergonomie Sant Surveillance l interface hi rarchisation
10. site Techno cles2005 com Afin de garantir la qualit des interventions il a t institu un contr le d acc s par mot de passe et une proc dure de mod ration des d bats Neuf forums permettaient l interaction entre les experts des deux cercles Huit de ces forums portaient sur les th mes des groupes de travail le neuvi me tait relatif des questions transversales S1 l essentiel du travail d analyse se faisait au sein des groupes de travail on attendait des experts du second cercle qu ils r agissent aux travaux des groupes et qu ils apportent une vision compl mentaire et critique ces travaux Au total plus de 600 personnes ont t touch es par les questionnaires et un nombre quivalent s est inscrit sur le site Internet Le groupe interactivit qualit Aux 8 groupes th matiques s est rajout un neuvi me groupe le groupe interactivit qualit Celui ci avait pour vocation de promouvoir une r flexion sur la transversalit et l interconnexion entre les technologies tout en tant le garant de la coh rence et de la qualit du travail des groupes th matiques Ce groupe tait compos de 10 personnes ind pendantes des groupes de travail Il tait anim par M Claude Neuschwander En portant un regard ext rieur sur les travaux des groupes th matiques en repositionnant entre eux les divers r sultats interm diaires ce groupe a enrichi de fa on cons quente le r
11. 20 Technologies logicielles pour la s curit des r seaux La s curit des r seaux principalement assur e par les technologies propri t des fichiers et les usages que l on fait des copies mises sur les r seaux IP logicielles sachant que les cartes puces y jouent aussi un r le important constitue un facteur essentiel de ces ph nom nes majeurs que sont sur Le passage l euro pour les particuliers en 2002 et la g n ralisation de l utilisation de la carte m moire en int grant la les plans technique conomique et soci tal le d veloppement des notion de porte monnaie lectronique au plan international devraient acc l rer l harmonisation des syst mes li s la services en ligne et l ouverture des syst mes d information il faut en s curit sur Internet particulier faire face simultan ment aux exigences suivantes le syst me d information de l entreprise devient de plus en plus Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous int gr tandis que diff rents utilisateurs fournisseurs clients objets communicants autonomes identifiants intelligents tiquettes travailleurs nomades doivent se connecter de l ext rieur sur son techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Intranet et que ses collaborateurs ont besoin d acc der Internet techno logicielles pour le transport de donn es la confidentialit des donn es
12. Dans ce cadre le d veloppement de l nergie olienne se r alisera de fa on privil gi e en mer En effet l olien off shore offre plusieurs avantages les espaces disponibles sont plus importants le vent souffle plus fort ce qui g n re de 5 6 de puissance suppl mentaire et est plus r gulier L olien off shore perturbe par ailleurs moins l environnement Cependant pour permettre un tel d veloppement la protection anti corrosion et anti foudre reste un facteur cl Liens photovolta que offshore grands fonds DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte moyenne faible inexistante Europe moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte faible inexistante Europe moyenne faible inexistante Exemples de secteur d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s Alimentation en lectricit de sites raccord s ou non au r seau Implantation de fermes oliennes en zone c ti re Production d lectricit Production d lectricit nergie renouvelable non poll
13. Liens formalisation et gestion des r gles m tiers France forte moyenne faible inexistante r alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique Europe forte moyenne faible inexistante am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux Exemples de ET secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines sdennnques d application Rera M tallurgie Proc d s de Surveillance intelligente Analyse physico Environnement de mesure Mesures calcul analyse du M canique transformation des de l laboration et de la chimique rapide mod lisation pilotage r actif signal optique thermique forge mat riaux mise en uvre des Contr le CND capteurs mesures in situ et physique des rayonnements fonderie Proc d s chimiques de mat riaux Capteurs haute temp rature connaissance informatique interfaces Traitement de base ou sp cialit s Spectroscopies de des diagrammes de phase logique floue surfaces Fonderie d alliages tout type Contr le repr sentation de la thermodynamique g nie des l gers pour l automobile commande Syst mes connaissance et de l expertise proc d s g nie cognitif base de connaissance Page 207 gt CM International 43 Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages La mod lisation et le suivi permanent de l tat des
14. gt CM International 78 Transg n se La transg n se est la modification du g nome d un organisme par g nie g n tique Elle permet une int gration stable de l ADN tranger et peut tre r alis e dans des microorganismes des DEGRE DE DEVELOPPEMENT cellules de plantes ou d animaux C est un moyen de tirer partie de la variabilit g n tique pour adapter les plantes et les animaux aux Technologie mergence croissance maturit besoins socio conomiques En particulier la transg n se permet d adapter la composition des Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation mati res premi res agricoles la demande industrielle aptitude la transformation et des consommateurs par exemple prot ines non allerg niques mais aussi d optimiser des outils biologiques POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE microorganismes enzymes Le succ s de telles pratiques r side principalement dans leur France forte moyenne faible inexistante acceptabilit par les consommateurs action des m dia ducation dans des m canismes de r gulations de l offre mise en place de Europe forte moyenne faible inexistante normes et encadrement des pratiques et dans les progr s scientifiques Le cas des OGM en est une illustration POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL La transg n se a aussi d
15. 103 Outils de personnalisation de la relation client La d finition du profil des individus d coule de la n cessit croissante d instaurer un v ritable management de la relation client Loin du Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous m thodes de marketing li es l utilisation des TIC marketing de conqu te avec un consommateur plus regardant design sensoriel syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s repr sentation de la perception du qu auparavant suite la multiplication des marques et enseignes le client consommateur repr sentation et gestion des processus de l usine num rique supply chain management devient un capital valoriser au travers d actions de fid lisation qui impliquent une connaissance fine des d penses et besoins des consommateurs Face cette n cessit de personnalisation il s agit de DEGRE DE DEVELOPPEMENT d velopper des techniques d analyse des besoins et du comportement des consommateurs y compris sur le lieu de vente pour anticiper leur besoins Technologie mergence croissance maturit et tre le premier leur proposer services et produits D un point de vue technique la difficult r side dans la mise en place de mod les pr dictifs T MEE e et explicatifs du comportement du consommateur ainsi que de mod les Applications industrielles et commerciales naissance g n ralisation
16. POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Les enjeux du Supply Chain Management sont une remise plat France forte moyenne faible inexistante des diff rents processus intra et inter entreprises Les cons quences organisationnelles peuvent tre consid rables Europe forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous soutien logistique int gr Exemples de Domaines secteurs Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application concern s Tous secteurs Planification de la demande Supply Chain management Algorithmes d optimisation et de planification Normalisation des documents Sociologie Planification et optimisation Optimiser le flux des Collaboration sur Internet exemple estimation de inter entreprises EDI XML des capacit s finies mati res mati res le long de la la demande Aspect organisationnel organisations logistique machines cha ne logistique tendue Syst mes d cisionnels Collaboration troite de Informatique Calcul du disponible la vente aux partenaires Outils de simulation et de mod lisation l entreprise avec ses partenaires logicielle Achats lectroniques OBI Ma
17. Page 247 gt CM International 79 D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM Les OGM Organismes G n tiquement Modifi s sont issus de la modification du g nome d un organisme par g nie g n tique Ces DEGRE DE DEVELOPPEMENT nouveaux organismes en particulier v g taux sont apparus sur le march r cemment et offrent des qualit s culturales et gustatives Technologie mergence croissance maturit am lior es Cependant la pression soci tale est aujourd hui tr s importante contre ces nouveaux produits La logique du principe Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation de pr caution a t appliqu e en France et les besoins en d tection et analyse des risques pour l environnement sont importants Par ailleurs en mai 1998 une r glementation sur l tiquetage des POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE denr es pr sentant des OGM a t adopt e France forte moyenne faible inexistante Une diffusion large des OGM requiert dans un premier temps une valuation des risques sur le plus long terme et la diminution du Europe forte L moyenne faible inexistante co t des marqueurs Liens POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL transg n se capteurs intelligents France forte moyenne faible _ inexistante Europe forte moyenn
18. atouts de ces diverses technologies L appr ciation du niveau de finesse dans la d finition d une technologie cl c est dire de sa granulom trie Les trois cases centrales de la ligne d finissant une technologie permettent de disposer d un zoom quasi imm diat qui d finit le juste niveau de granulom trie prendre en consid ration tout en pr servant la mise en perspective qu assure le bon usage de cette grille Un des int r ts de cette grille est de permettre d chapper la tentation de d finir une norme standard de granulom trie applicable toutes les technologies cl s quelles qu elles soient En outre l utilisation des termes notamment et en particulier permet de souligner le point technologique critique le verrou lever ou encore de sp cifier des exemples d usage les plus pertinents Le rep rage des transversalit s Deux approches de la transversalit ont t prouv es au cours de ce processus d identification des technologies cl s O la premi re approche est la plus vidente deux groupes th matiques mettent en avant la m me approche technologique On se trouve alors devant une sorte de doublon significatif de l appartenance d une technologie cl deux disciplines distinctes Un travail de croisement matriciel a t fait cet gard qui a permis d liminer les doubles voire triples et m me quadruples comptes tout en mentionnant l existence de ces
19. clairage l usage syst me de contr le pour clairage ou extinction automatique proc dures de maintenance Un gain sur l nergie consomm de 10 semble par ce biais facilement accessible l utilisation des nouvelles sources d nergie mentionn es ci dessus mais aussi l am lioration du rendement nerg tique des syst mes de ventilation de chauffage et de climatisation des b timents Les sols Les probl mes de m trologie et de g otechnique ont chang de nature Il s agit d une part de favoriser le d veloppement de diagnostic simple et peu co teux afin de g n raliser l analyse pr alable des sols dans la construction individuelle d autre part d adapter les techniques d velopp es ces cinquante derni res ann es pour les grands ouvrages la protection au traitement pr ventif ou la r habilitation des sols pollu s ainsi qu au comportement des sols non satur s et aux probl mes d environnement li s aux risques naturels et technologiques Les techniques visant pr voir et contr ler les mouvements du sol induits par les excavations retiennent prioritairement l attention des op rateurs Elles peuvent permettre de limiter consid rablement les co ts de terrassements de renforcements palliatifs qui tout en ralentissant le chantier peuvent avoir un impact particuli rement d favorable sur son conomie Les technologies en jeu sont les technologies de confortement des sols d con
20. d analyse de risque par exemple travers le data mining groupe de clients susceptible de passer la concurrence programme de fid lisation Au del de la simple analyse statistique l enjeu est de POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE prendre en compte la psychologie du client Les technologies de tri de structuration et de synth se de l information sont galement fortement France forte moyenne faible inexistante li es la probl matique de la personnalisation client Elles font appel la fois des sciences math matiques et statistiques et aux sciences Europe forte moyenne faible inexistante comportementales travers l analyse s mantique la reconnaissance des formes ou la reconnaissance vocale Il s agit de ma triser les bases de S T traitement et donc des d bits suffisants POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Le d veloppement des TIC offre un champ encore nouveau pour beaucoup d entreprises en particulier celles qui n avaient pas encore France forte moyenne faible inexistante acc s au client final pour mettre en place une relation personnalis e avec leurs clients Le succ s de cette d marche d pendra en grande partie des conditions de respect de la vie priv e des individus Europe forte moyenne L faible inexistante Exemples de Re R A aa Domaines sc
21. des butineurs browsers de seconde g n ration permettant la consultation de pages composites combinant des sources h t rog nes organisation de la communication entre les flux de donn es et leur pr sentation coh rente sur des plates formes de consultation diversifi es WML WAP des protocoles standardis s de communication inter applicative permettant d int grer des sources d informations multiples dans des interfaces utilisateurs simples et universelles de technologies sp cifiques telles que des logiciels de suivi de la navigation personnalis e des utilisateurs des logiciels de comptabilisation et d imputation des flux multi serveurs notamment par la compensation et le paiement en ligne Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence naissance E maturit OoOo g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe foe fone faible inexistante faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe Page 180 gt CM International Exemples de secteur d application Tous secteurs concern s par Internet Exemples d usage Consultation Internet de donn es multim dia films Commerce lectronique Gestion des communaut s virtuelles D localisation du lieu de travail
22. la recherche d activit s plus haute valeur ajout e par les producteurs la demande croissante de protection de l environnement et l volution des attentes des consommateurs finaux Les enjeux d innovation sont galement tr s conditionn s par la sophistication des cahiers des charges des secteurs industriels utilisateurs prise en compte du co t global de mise en uvre diversit croissante des crit res de performance et attente de nouvelles fonctionnalit s Face ces enjeux quatre objectifs apparaissent d terminants pour la recherche et le d veloppement technologique dans les cinq ann es venir une meilleure ma trise des proc d s d laboration des mat riaux une am lioration de la mise en uvre des mat riaux le d veloppement de nouvelles propri t s pour les mat riaux la mise au point d outils acc l rant la conception de nouvelles mol cules ou nouveaux mat riaux A plus long terme des progr s sont attendre dans les domaines de la synth se de pr cision de la ma trise de l architecture des macromol cules et de la miniaturisation des unit s de traitement chimique Cette importance croissante du niveau mol culaire tend d ailleurs faire converger les domaines de la Chimie et des nouveaux mat riaux Page 78 Le contexte par grands domaines Le domaine de la chimie et des mat riaux est transversal au monde industriel puisqu il fournit des mati res premi res l
23. performances optimis es MC Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages IAA Ing nierie des prot ines Costumer Relation Management CPG Outils d aide la gestion de la relation client IAA Greffe d organe TAE Am lioration des performances d nergie d ensemble Moteurs thermiques MC Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre des mat riaux NTIC Batteries et gestion d nergie BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique BE Stabilisation en vue de stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets industriels et m nagers Photovolt que Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue Technologie de la d construction CIH Les techniques des travaux Page 306 Annexes 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 D faillance Design D tection Diagnostic Disponibilit Domotique Donn es Durabilit Dysfonctionnement Echantillon Eclairage Ecocompatibilit Economie d nergie Ecrans Effet de serre Effluents Electrique Electrochimique Electrolyse Electronique Emballages Embarqu Emissions Energie Energi
24. rythme d volution effr n pour tre comp titive Il s agit en permanence Applications industrielles et commerciales consommation nerg tique Les difficult s technologiques sont li es aeiee imporantes eai une e e raa Europe C oe moyeme fabe inexistante m moires analogique Un travail de recherche doit galement tre lea de a qualit simulation al des pes et Furope fore Milliards d euros en 1999 est en forte croissance 15 an d application Micro processeurs d nergie et de Liaison CPU compilateurs Optique visible et X 1 Micro lectronique silicium Liens micro lectronique III V AsGa InP quipements et mat riaux pour salles blanches robotique r tines de prise CMOS Si lt 0 1 u les syst mes de production de circuits int gr s Si lt 0 1 m moires volatiles et non volatiles circuits diff renti s et les m thodes et d augmenter les performances vitesse nombre de transistors int grables la n cessit de r duire la taille des motifs des dessins en de de 0 1u France E moyenne faible inexistante nouveaux mat riaux nouveaux proc d s nouvelles architectures de fourni pour le d veloppement d architectures organisation des transistors France forte cosimulation encore renforc s par la rupture technologique des Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques Tous secteurs Com
25. satisfaire L enjeu n est pas que dans le recensement des bonnes solutions futures il est au moins autant dans l identification des vrais besoins de demain et donc des probl mes r soudre Lorsque la trajectoire technologique est bien en place et que la prochaine r volution anticip e est lointaine la question est celle du rep rage chronologique des prochaines tapes d exploration de la technologie dominante Il s agit aussi de la lev e des verrous qui freinent l am lioration de la performance de cette technologie qui devrait donc renforcer sa domination au moins l horizon de r flexion envisag Lorsque la technologie dominante ne progresse plus assez vite et qu existe une diversit voire un foisonnement d options alternatives alors s il peut tre parfois question de dire quelle option a le plus de chances de l emporter il est en g n ral pr f rable surtout dans les cas tr s incertains d annoncer une rupture venir sans pour autant essayer de dire quelle voie alternative l emportera Ainsi est il d licat de d signer aujourd hui quelle technologie d crans plats est m me de prendre le dessus ou si plusieurs technologies sont susceptibles de coexister chacune sur des segments de march diff rents Mais il est clair que les crans plats constituent un besoin cl pour le futur C est bien que la prospective n est pas la pr vision qui cherche d signer le plus probable mais une
26. voluer les contenus vers le multim dia et en am liorer l acc s mobilit ubiquit acc s permanent et la vitesse haut d bit dans les r seaux vitesse de traitement des CPU Ces trois facteurs multim dia acc s vitesse rendent possible d interconnecter les applications de traiter et de superviser l information l chelle d un r seau fut il mondial Cette volution technologique se joue dans un contexte de comp tition mondiale la convergence amorc e des technologies t l coms informatique et lectronique autour des r seaux red finit des secteurs entiers d activit et les positions concurrentielles des firmes qui y op rent Cette r volution num rique s appuie sur le d veloppement de l industrie lectronique composants terminaux qu elle renforce L lectronique est partout le nombre moyen de microprocesseurs par individu ainsi que leur puissance de calcul devraient ainsi tre multipli s par 10 en passant respectivement de 5 50 et de 100 1000 MIPS entre 1999 et 2005 Les technologies logicielles ont une part croissante la r partition entre le mat riel et le logiciel se modifie au profit du deuxi me 80 en software engineering contre 20 en hardware integration m me si ces distinctions sont discutables La soci t de l information correspond un ensemble de transformations des activit s humaines que sont le travail le commerce l ducation et les loisirs Le d
27. Conception partir d une approche num rique sans r alisation physique Analyse des cons quences des variations R alit virtuelle augment e Capteurs intelligents Simulation mod lisation du comportement humain Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Formalisation et gestion des r gles m tier Divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci dessus et voqu es par ailleurs mod lisation Lois de comportement des mat riaux m canique R seaux de neurones logique floue Analyse syst mique Page 290 gt CM International 116 Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique L automatisation des processus des usines passe par le d veloppement d outils de gestion et de supervision capables de surveiller un proc d de fabrication quelconque en visualisant pour un op rateur le d roulement des op rations et en l informant d ventuels dysfonctionnements Mais au del de la surveillance de la fabrication ces outils doivent galement permettre l analyse et la gestion pr visionnelle de processus planning de production par exemple Le pr requis est donc la mise plat et la compr hension de diff rents processus Il s agit ensuite pour chaque processus de d terminer les donn es qui permettront de le contr ler et de l int grer dans des syst mes capables de l analyser et d
28. Environnement s exprime actuellement de mani re transversale dans tous les secteurs d activit L industrie pharmaceutique est un des secteurs particuli rement vis s par les pr occupations environnementales Au del de solutions efficaces aux probl mes de sant le citoyen devient de plus en plus sensible la prise en compte de la question du d veloppement durable D passant la seule perspective de la demande il nous faut aussi aborder ici la dynamique de la science et de la technologie et donc les axes de recherche dominants dans le domaine de la sant La poursuite de la d couverte des vertus des mol cules naturelles dont la m dication par les plantes L outillage de la recherche et des interventions m dicales dont l imagerie m dicale Imagerie m dicale Les technologies peu ou non invasives d intervention m dicale Le d veloppement des substituts et des appareils de suppl ance au corps humain et en particulier le substitut du sang la suppl ance cardiaque les biomat riaux pour appareillage m dical le g nie tissulaire la conception de technologies li es l hospitalisation domicile A titre d exemple l offre en g nie tissulaire trouve de nombreux d bouch s afin de constituer une alternative aux transplantations dans le cadre d insuffisance h patique ou r nale le cancer du foie la destruction de la moelle osseuse traiter des affections particuli res comme les ulc res de la peau l
29. Greffe d organe l utilisation des animaux transg niques comme donneurs d organes pour des x nogreffes 4000 personnes meurent chaque ann e aux USA faute d organe disponible Cette utilisation est cependant sujette des d bats thiques importants leur utilisation pour tester des m dicaments am liorer les esp ces ou les sauvegarder En ce qui concerne les plantes les premiers travaux de transg n se ont d marr en 1980 En 1996 les Etats Unis ont d velopp les premiers semis d OGM Transg n se D tection et analyse des risques pour l environnement li aux OGM En 1999 25 millions d hectares taient cultiv s aux USA contre 2 milliers en France Les objectifs de telles pratiques sont en particulier d am liorer les conditions agronomiques r sistance aux virus bact ries d am liorer la qualit des produits nutritionnelle dur e de conservation de permettre la synth se de mol cules th rapeutiques Trois enjeux semblent aujourd hui d terminants la v rification des conditions d innocuit des produits ainsi modifi s la validation de l absence de risque de transfert de g nes d autres esp ces Page 117 Le contexte par grands domaines l valuation de l impact environnemental ventuel D une mani re g n rale le g nie g n tique reste primordial il permet en effet de modifier un programme g n tique codant pour une prot ine et par cons
30. Identification fonction Biologie Agrochimie th rapeutiques y compris M tabolisme actives criblage ph notypique Physique anticorps monoclonaux Toxicologie Culture cellulaire microfluidique humains Mod les animaux microm canique Miniaturisation Electronique Micro lectronique Nanotechnologie Page 251 gt CM International 83 Greffe d organe En France 6000 malades sont en attente d une transplantation d organes Aux Etats Unis 4000 personnes meurent chaque ann e dans l attente d un organe Les organes sont encore insuffisamment disponibles pour des greffes Ceci conduit imaginer des strat gies alternatives la greffe d organe m me si celle ci peut encore progresser en particulier en terme d immunologie et de compatibilit Plusieurs pistes sont envisageables ce stade les organes artificiels les x nogreffes qui font appel des organes d animaux humanis s mais aussi la fabrication de n o organes partir de cultures cellulaires Les organes artificiels peuvent constituer une alternative possible la greffe classique pour viter les difficult s immunitaires et les rejets Leur int r t r side galement dans la possibilit de disposer d organes pour les malades sans tre tributaire de donneurs Cependant l assurance de la compatibilit avec le receveur reste un frein essentiel En ce qui concerne les x nogreffes il est noter
31. La possibilit d assister en direct aux v nements plan taires largit consid rablement la perception de l individu sur sa sph re d intervention Extr mement mobile il ne ressent plus comme une imp rieuse n cessit le besoin d tre physiquement rattach un groupe humain ou un espace g ographique Plus autonome plus responsable mais aussi plus fragilis par les nouveaux modes d organisation du travail l individu ressent le besoin d tre constamment reli sa tribu personnelle ou professionnelle travers des modes de communication performants mais aussi travers des modes de transport s rs et rapides Les innovations technologiques dans les t l communications ont entra n l apparition de nouveaux produits et services dont les consommateurs se sont rapidement empar s le t l phone portable le micro ordinateur Cette exigence d tre m me de communiquer tout instant impose l industrie de satisfaire un certain nombre d imp ratifs comme la qualit et la rapidit des communications la s curit et la confidentialit ou encore l autonomie et la portabilit en particulier pour les produits nomades Un besoin de s curit La diminution des rep res traditionnels du cadre de vie ainsi que l accroissement de la mobilit et de la flexibilit professionnelle ont fa onn un environnement plus instable pour l individu qui prouve la n cessit de se rassurer
32. Les volumes de d chets produits en France sont en croissance constante Par exemple aujourd hui pr s de 100 millions de tonnes de d chets industriels banals sont produits A horizon 2002 la r glementation pr voit l limination des d charges l exception Technologie mergence croissance maturit des centres de stockages de d chets ultimes fraction non valorisable des d chets apr s traitement De plus la gestion du Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation stockage de ces d chets requiert leur stabilit physique et chimique dans le temps afin de garantir la non contamination de l environnement L cocompatibilit des d chets ultimes dans les centres de POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE stockage est donc terme un pr requis La stabilisation des France forte moyenne faible inexistante d chets ultimes permettra de plus leur utilisation dans certains secteurs tels les sous couches routi res Europe forte moyenne faible inexistante Les progr s dans ce domaine passent par une analyse et une gestion des risques long terme tudes de perm abilit par exemple Au del l incitation r glementaire ainsi que la r duction des co ts de traitement seront des facteurs favorables la diffusion de ces technologies POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte Eu
33. O un second l ment de diff renciation tient la nature de la case basique parmi les six cases qui d finissent de la sorte une technologie cl les trois cases centrales sont celles qui jouent un r le crucial pour la technologie Mais le cas de la r duction des bruits montre bien que cet aspect critique de la technologie peut provenir de la case centrale et se d placer soit vers la fonctionnalit Page 45 Introduction ou l inverse vers la pure technique voire la science comme cela semble tre le cas pour le micro encapsulage ou le collage On pourrait ainsi tre amen selon l emplacement du curseur distinguer des technologies cl s caract re plus fonctionnel et donc plus conomique celles dont le point crucial est d plac vers la gauche pour lesquelles le terme de technologie cl pourra sembler abusif car on devrait sans doute parler de fonction cl et celle caract re plus scientifique celle o il se d porte vers la droite de la grille Un l ment d appr ciation du caract re cl d une technologie Le foisonnement plus ou moins accentu des deux arborescences peut tre consid r comme un des crit res d appr ciation du caract re effectivement cl de la technologie concern e Dans les choix successifs qui ont permis de passer de 600 150 technologies ce crit re a t ainsi exploit en compl ment des grilles d appr ciation des attraits ou des
34. Page 25 Introduction cat gories de consommateurs les plus motiv es pour se plonger dans les notices d utilisation du produit La simplification du produit a pu largir le march Ainsi l innovation qui rend un produit pratique et accessible sera davantage privil gi e par les consommateurs Cette praticit se traduit par la simplicit d utilisation Mais elle exige en revanche une technologie souvent pointue permettant cette simplification La praticit peut galement se d cliner sous la forme de gain de temps notamment dans la sph re domestique Que ce soit dans le domaine alimentaire ou celui des produits lectrom nagers ou lectroniques grand public la tendance est celle de la r duction du temps d utilisation aliments cuisson rapide emballages faciles ouvrir programmes rapides sur les machines laver le linge ou la vaisselle La demande de praticit risque de se renforcer dans les ann es venir compte tenu des volutions socio d mographiques Ceci sera renforc par le vieillissement de la population Car si les seniors sont g n ralement en phase avec la soci t de consommation en termes d quipement m nager et audiovisuel ils demeurent en retrait en ce qui concerne l utilisation des nouvelles technologies micro ordinateurs Internet Les seniors se d clarent bien souvent r ceptifs l innovation technologique condition qu elle leur facilite la vie Par ailleurs la bi activit des
35. du personnel mais aussi protection des secrets industriels s curisation des processus de production avec l extension des secteurs demandeurs de salles blanches en particulier dans l agro alimentaire La performance industrielle se joue de plus en plus d s la conception de lieux mieux adapt s la gestion des flux mati res premi res personnels produits finis et aux contraintes d exploitation et de maintenance Dans le m me temps les propri taires de tels b timents doivent pouvoir accueillir des occupants aux besoins sp cifiques ils ont donc une demande forte de modularit et d adaptabilit des b timents La personnalisation atteint galement le hangar industriel et l usine porteurs de l image de l entreprise aupr s du personnel et de l ext rieur L encore les contraintes du co t global du b timent investissement exploitation maintenance doivent rencontrer le besoin d individualisation Enfin les industriels se soucient fortement des contraintes environnementales choix et gestion de l nergie traitement des rejets cycle de vie des mat riaux de construction utilis s mais aussi co ts globaux d exploitation et de maintenance deviennent des l ments de d cision essentiels Pour l habitat et l urbanisme les pr occupations relatives l effet de serre s intensifient progressivement La reprise de la croissance et donc la tension sur les combustibles fossiles mais galement la pres
36. tre volutifs L volution permanente des t l communications a donc des implications importantes sur les architectures existantes Les protocoles de communication restent encore normaliser au niveau mondial Par ailleurs ces architectures tant POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE HR France forte moyenne faible inexistante embarqu es les probl mes d optimisation de l espace et des syst mes se posent partage de la puissance de calcul entre fonctionnalit s r partition de syst mes embarqu s entre habitacle et sous capot fiabilit des Europe forte moyenne faible ERA syst mes La France a une position forte dans le ferroviaire sur le plan industriel et commercial avec des architectures encore assez d di es sp cificit s POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL syst mes France forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous capteurs intelligents Europe forte moyenne faible _ inexistante s ret des syst mes embarqu s et infrastructures Exemples de secteur Domaines scientifiques Re Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques gt d application p Pp sq q concern s Tous v hicules syst mes Fonctions t l matiques Assurer l innervation du v hicule Architecture Interop rabilit d
37. trouvant leur place dans les serveurs les terminaux de type set top MPEG 4 bas sur la notion d objets et contenant des fonctions de POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE scalabilit permettant d adapter la qualit d images aux capacit s du r cepteur nouvelles technologies de codage ondelettes fractales 3 PR France MPEG 21 terminaux int grant de fa on efficace les diff rents algorithmes et une interface homme machine la plus conviviale possible tout en restant Europe un co t compatible avec une diffusion grand public Set Top Box TV ou terminaux portables logiciels de gestion de stockage d adressage et de diffusion de POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL l information Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous France foe faible inexistante techno logicielles de r alit virtuelle r alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et Europe fote faible inexistante technique Exemples de Exemples d usage Fonction Technologie Points technologiques critiques Domaines secteur remplie scientifiques d application concern s Professionnel T l vision num rique Trans Terminaux grand public Rapidit des processeurs Informatique dont Vid o surveillance mission Infrastructures pour r seaux Protocoles de diffusion IP multicast logicielle Sant Visio conf rence temps r el dorsaux haut d bit Protocoles de communi
38. un cinqui me de la consommation totale L volution des priorit s dans le domaine de l alimentaire peut tre pr sent e de la mani re suivante 1945 1955 1965 1975 1985 1995 2005 M thodes de conservation gt Sciences des aliments G nie des proc d s Nutrition Biotechnologies S curit Les enjeux dans le domaine de l agro alimentaire Une des tendances mises en vidence au chapitre I 2 conduit la probl matique actuelle du domaine de l alimentaire celle de g rer le bon vivant Dans ce contexte les industriels doivent ma triser un nombre important de dimensions Ma trise de l ensemble des fili res de la production agricole la distribution des produits Ma trise d approches scientifiques et techniques multidisciplinaires Ma trise des trois param tres de la qualit la s curit hygi nique la valeur sant le plaisir 0 D apr s Ind Alim Agr d cembre 98 Page 121 Le contexte par grands domaines Par ailleurs la demande traduit cette complexit aujourd hui caract ristique du domaine de l alimentaire On pourra retenir certaines tendances notables La demande de sant s curit une forte exigence de rassurance Comme nous l avons vu pr c demment une crise de confiance est apparue ces derni res ann es dans la consommation alimentaire des fran ais et d
39. volution favorable de la demande en mat riaux et demi produits par les secteurs industriels avals automobile emballage Ce mouvement b n ficiera aux secteurs offrant des produits haute valeur ajout e Le secteur des mat riaux de construction et des produits en c ramiques repr sente pr s de 13 milliards d euros Il est tr s diversifi par la taille des entreprises les march s et les techniques L industrie cimenti re en est le fleuron technologique elle travaille plus de 70 pour le b timent D ici 2003 sa croissance sera ainsi limit e 1 5 par an Dans un secteur l g rement d ficitaire cinq segments ont de bonne performance l exportation les produits r fractaires les ciments et les chaux les tuiles et les produits sanitaires L industrie des m taux ferreux regroupe la sid rurgie fonte aciers bruts produits finis lamin s en aciers courants ou alli s la fabrication de tubes en fonte et en acier et la premi re transformation de l acier tirage laminage profilage tr filage production de ferroalliages Elle repr sente pr s de 20 milliards d euros Depuis 1997 elle profite de la reprise conomique g n rale de la reconstitution des stocks et de la reprise des investissements Fortement exportatrice plus de 45 de sa production la sid rurgie fran aise conserve une position de premier plan au niveau europ en en mati re de productivit Des efforts importants de recherche porten
40. 1997 Le consommateur entrepreneur Editions Odile Jacob Rochefort R mars 1996 Collerie de Borely A La consommation engag e progresse Consommation et Modes de Vie n 106 US Departement of Energy summer 1996 Alternative Fuel Vehicles The Emerging Emissions Pictures Interim results Page 294 Annexes Liste des contributeurs au projet Comit de Pilotage Groupes de travail Comit de Pilotage Jean JACQUIN AURIGA Pr sident du Comit de Pilotage Pierre AMOUYEL ANRT Joseph BAIXERAS CNRS Marc BENNER EDF D2 Philippe BOURGEOIS ndustrie DiGITIP SI1Q Jacques de la VILLEON DATAR Dominique DEBERDT ndustrie DiGITIP SIQ Alain DELHOMELLE DRIRE Limousin Jean Jacques DUBY Supelec Elisabeth DUPONT KERLAN MENRT DT Olivier BRAMAUD GRATTEAU MENRT DT Thomas DURAND CM International Fran ois FAHRI CM International Claude GAILLARD Industrie DiGITIP SIM Jean Pierre GALLAND METL DRAST Jacques GRISONI Sant DH Jean GUINET OCDE Sandrine HAAS CGP Jean Paul KARSENTY Acad mie des Sciences Jean Fran ois LAFAYE ANVAR Pascal LAGARDE Industrie DiGITIP STSI Richard LAVERGNE Jndustrie DGEMP Hugo HANNE ndustrie DGEMP Michel LEFEVRE CEA Olivier LINDENMEYER MEFT Dir Pr vision Josy MAZODIER Industrie DiGITIP S1Q Guy MOTTARD Min Env SEI Roger PAGEZY ANRT Claude POINSOT ndustrie DARPMI Gr goire POSTEL VINAY Industrie DiGITIP OSI Michel RIEUX DGA
41. 50 p 370 396 Maugard Alain d cembre 1999 Regard sur le futur en construction McGuckin Stiroch avril 1998 Computers Productivy and Growth Economic Research Report The Conference Board Minist re de l Industrie juillet 1995 Les 100 Technologies Cl s pour l industrie fran aise l horizon 2000 Direction g n rale des strat gies industrielles Moati P Mouhoud E M 1994 Information et organisation de la production Vers une division cognitive du travail Economie Appliqu e tome XLVI n 1 pp 47 73 Moati P Mouhoud E M 1997 Comp tences localisation et sp cialisations internationales in B Guilhon P Huard M Orillard J B Zimmermann eds Economie de la connaissance et organisations Entreprises territoires r seaux L harmattan Paris pp 262 285 Moati P Mouhoud E M 2000 Division du travail coordination et localisation internationale in M Delapierre Ph Moati E M Mouhoud eds Connaissances et mondialisation Economica para tre Moutardier Mireille septembre 1993 Les modes de consommation dans la CEE Probl mes Politiques et Sociaux n 710 National Research Council 1999 Review of the research program of the partnership for a new generation of vehicles Fifth report Washington DC Nedey Fabienne septembre 1998 D cision Environnement 69 V hicules propres la recherche d une strat gie OST 1996 Foresight First Progress Report Londres OST d cembr
42. 68 Pi geage et stockage du CO2 69 Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue 70 Fluides frigorig nes haute qualit environnementale 71 Stabilisation en vue du stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets m nagers 72 Recyclage de mat riaux sp cifiques 73 Elimination des m taux lourds dans les boues et les effluents 74 Filtration membranaire 75 D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols 76 Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires Technologies du Vivant Sant Agroalimentaire 77 Ing nierie des prot ines 78 Transg n se 79 D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM 80 Th rapie g nique 81 Clonage des animaux 82 Criblage de mol cules actives 83 Greffe d organe 84 Th rapie cellulaire 85 Organes bio artificiels 86 Imagerie m dicale 87 Chirurgie assist e par ordinateur GMCAO 88 Miniaturisation des instruments de recherche m dicale 89 Tra abilit 90 Marquage m tabolique des aliments 91 Technologies douces pour la pr servation de la qualit des aliments 92 Biocapteurs biopuces Page 148 Transport A ronautique 93 94 Architecture lectrique Architecture lectronique informatique r partie et multiplexage Compatibilit lectromagn tique Composants lectroniques de moyenne p
43. Chimie Agriculture Engraissement terres lourds dans les boues et traitements physiques ou physico chimique Biochimie Sant agricoles les effluents physico chimiques Pr cipitation sp cifique S paration membranaire Valorisation Sciences de mat riaux agronomique min ralogie Autres points critiques Co ts Page 240 gt CM International 74 Filtration membranaire Les membranes sont utilis es pour la filtration de fluides par diff rentiel de concentration Deux principaux types de membranes DEGRE DE DEVELOPPEMENT existent les membranes min rales et organiques Les technologies membranaires sont en d veloppement aujourd hui pour le Technologie mergence croissance maturit traitement des eaux et viennent en substitution des traitements classiques dits physico chimiques filtration non membranaire Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation d cantation Leur principal avantage r side dans la r duction de l utilisation des r actifs producteurs de boues et aux impacts environnementaux importants mais aussi dans la compacit des POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE quipements associ s et la fiabilit de la filtration Aujourd hui l tape de nettoyage de ces membranes a un impact France forte moyenne faible inexistante environnemental fort du fait de l utilisation de
44. Chimie Gilles ARGY HUTCHINSON Jean Marie DUBOIS SOCIETE FRANCAISE METTALURGIE MATERIAUX Jean Claude GUILLAIS SATS Pierre LAMICQ SNECMA G rard MAEDER RENAULT TECHNOCENTRE Christian SAYETTAT CETIM Jean Fran ois BAUMARD CNRS Jean GAUTHIER LAFAYE RHODIA Jean Claude LACHAT SOLLAC Claude LEROUX VIDE ET TRAITEMENT SERVICES Jean Claude VAN DUISEN EDF Jean Louis VAYSSE PLASTIC OMNIUM Page 297 Annexes Construction Infrastructure Paul BREJON FEDERATION FRANCAISE DU BATIMENT Fran ois DURIER CETIAT Marc LANDOSWSK I CABINET DUBOC LANDOSWKI Jacques RILLING CSTB Michel VERNOIS CTBA Vincent COUSIN Groupe GTM Jean Claude FERTE ENTREPRISE QUILLE Jacques LUGIEZ Jacques LOUPIAS LES CAHIERS DU BATIMENT Dominique ROUSSEL LEGRAND Energie Environnement Robert de FRANCLIEU PHOTOWATT Georges DUPONT ROC TOTAL Maurice GELUS FRAMATOME Alain NAVARRO RECORD Claude RAISSON CETIAT Philippe CHARTIER Jean Jacques DOYEN SUEZ LYONNAISE DES EAUX Michel DUTANG CGEA Paul LECOMTE CNRSSP Christian NGO CEA Pierre ROSSETI Jacques REPUSSARD INERIS Guy ZACHARIE EDEF Division R amp D Technologies du Vivant Sant Agroalimentaire Jean CHABBAL TRIXELL Pierre FEILLET INRA Pierre GUESRY NESTLE Jean Louis HOUDEBINE INRA Pierre MONSAN INSA Andr SYROTA CEA Thierry DAMERVAL CEA Bernard DAUGERAS AURIGA Francis GALIBERT FACULTE DE MEDEC
45. Elles concernent POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE par exemple la maladie Alzheimer 20 millions de personnes dans le monde la maladie de Parkinson 4 millions en 1990 et le France forte moyenne faible inexistante diab te qui est en constante progression et devrait toucher 300 millions de personnes en 2025 Europe forte moyenne faible inexistante L un des facteurs cl s de succ s pour le d veloppement de cette technologie est la ma trise de la culture et du contr le de la diff renciation des cellules souches POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens France forte moyenne faible inexistante greffe d organe organes bio artificiels Europe forte moyenne faible inexistante Ea aplis de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Sant Diab te Restauration de fonctions Th rapie cellulaire Cultures cellules souches Biologie du Maladies neuro d ficientes d veloppement d g n ratives Biologie cellulaire Maladies g n tiques G n tique Page 253 gt CM International 85 Organes bio artificiels Les organes bio artificiels constituent une application de la th rapie cellulaire En effet les organes bio artificiels consistent en des organes cr s partir de cellules
46. IAA GMCAO EE Eclairage et visualisation basse consommation BSC L offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle NTIC Ecrans plats NTIC Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit TAE Architecture lectrique Apparaissent en gras les items communs plusieurs fiches de technologies cl s Page 316
47. Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Messageries multimodales Interfaces conviviaux Multimedia sur Internet Web vocaux Indexation vocale ou mixte Syst mes de reconnaissance et de reconstitution de la parole pour serveur de diffusion d information Syst me automatis de r ponses personnalis es Services en ligne vocaux T l phonie mobile Centres d appels sons Commande vocale Passage de la parole au texte Vocalisation de texte Compression pour la transmission ou le stockage Dialogue vocal Acc s l information partir de tous les terminaux Traduction automatique Analyse et compr hension du langage naturel Page 171 logicielles de la langue et de la parole Reconnaissance de la parole mono multilocuteur Taille du vocabulaire Codage multi d bit D bruitage et localisation Sonorisation 3D Plurilinguisme Synth se de phrases Tests Enregistrement des formes Statistiques Linguistique traitement s mantique Informatique logicielle Physiologie Acoustique Math matiques R seaux de neurones CM International 16 Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit La croissance mondiale du trafic IP tant de 40 50 par an contre 5 pour la t l phonie classique il est n cessaire de mettre en place des r seaux dorsaux haut d bit sorte de super r seaux d interconnexion en bouc
48. La gestion de l air dans les b timents EE La gestion de l air dans les b timents Elimination des m taux lourds dans les boues et effluents TAE Pile combustible NTIC Ing nierie linguistique et technologies vocales TAE Moteurs thermiques NTIC Technologies de boucle locale Int gration d applications langage XML et autres langages volu s BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des TI TAE Architecture Page 305 Annexes 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 Coordination 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 Compatibilit Comportement Composants Compos s Compos s chimiques Compos s organiques Composites Compression Conception Conception int gr e Conceptualisation Conditionnement Conducteur Op rateur Confort Connexion Consommation d nergie Contraintes sanitaires Corrosion Couplage Cristallisation CRM Costumer Relation Management Cultures cellulaires Cycle de combustion Cycle de mise en vre Cycle de vie Data mining D chets CPG Outils d aide la gestion de la relation client NTIC R seau domestique num rique TAE Architecture lectrique AA Organes bio artificiels Th rapie cellulaire MC Mod lisation mol culaire des polym res BSC Technologies favorisant l
49. M os Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s Automobile Eclairage domestique Eclairage et DEL Diode Choix des mat riaux Polym res pour l optique et Habitat Signalisation visualisation faible lectro P lectronique con sommation lumineuse Couches minces Autres points critiques Corrosion Co t Oxydation Fiabilit Mat riaux semi conducteurs Page 233 gt CM International 67 Supraconducteur Les supraconducteurs sont des m taux ou alliages dont la r sistivit lectrique devient pratiquement nulle au dessous d une certaine temp rature DEGRE DE DEVELOPPEMENT diffusion Technologie croissance maturit Le transport de l lectricit requiert aujourd hui des mat riaux plus performants Les supraconducteurs peuvent r pondre ce besoin Des avanc es technologiques restent n cessaires pour permettre d une part une fiabilisation et d autre part une augmentation de la temp rature de supraconductivit Applications industrielles et commerciales g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte faible inexistante Europe forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL faible L inexistante faible L inexistante France forte moyenne E
50. Page 84 Le contexte par grands domaines Plus g n ralement la demande actuelle conforte la recherche de mat riaux plus l gers qui permettent d allier l esth tique par une apparence plus fine la solidit et la r sistance b tons sans armature all gement du verre creux thermo plastiques rigides et r sistants La dynamique des secteurs utilisateurs Les industriels de la chimie et des mat riaux contribuent souvent fortement tant en termes de co t que de qualit li e la cha ne de valeur de leurs clients industriels C est la bonne compr hension de la valeur cr e pour le client qui assure une bonne comp titivit Les march s utilisateurs sont demandeurs d volution de trois types de co t celui ci d pend de plus en plus fortement de l industrialisation des proc d s d laboration et de mise en uvre des produits et mat riaux propos s en particulier la flexibilit de mise en ouvre du mat riaux contribue l avantage co t pour l utilisateur de performances les crit res de performance sont de plus en plus diversifi s qualit mais aussi reproductibilit all gement durabilit fiabilit recyclage sont demand s de nouvelles fonctions les mat riaux dits intelligents qui font preuve d adaptabilit et d auto surveillance constituent dans ce domaine la principale innovation Le mat riau est tr s souvent la base d innovations sectorielles ainsi la p
51. Technologie Applications industrielles et commerciales POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe croissance maturit diffusion g n ralisation forte moyenne inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Liens moteurs thermiques Europe forte moyenne inexistante Fe 1 eu Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domates Se vu LE d application concern s Transports V hicules lectriques Production Pile Rendement Electrochimie Exploitation Ferroviaire et navires d nergie combustible Dur e de vie Carburants et p troli re V hicules Industriels urbains lectrique Stockage physicochimie B timent Substitution aux groupes lectrog nes conversion Int gration syst me Physique des infrastructures Propulsion et Ancillary Power Unit alimentation des chimique Miniaturisation solides urbaines auxiliaires ex climatisation lectrique Ma trise des risques Optimisation Espace Syst mes thermiques isol s avec limitation s curit Cog n ration d centralis e Electricit et g nie climatique dans le b timent des missions de CO2 Fili re combustible Autres points critiques Co
52. Technologie Points technologiques critiques 7 A remplie concern s d application Secteurs Pr dire l acceptation du produit par le Repr sentation Logique floue Analyse du comportement Sciences humaines d application consommateur de la perception Corr lation perception mesure Variabilit interindividuelle et ergonomie cognitive correspondants Ma triser les aspects per us Toucher du Diagnostic sa mesure ethnologie et aux produits vue sonorit s odeurs consommateur M trologie sensorielle _ Indexicalit anthropologie grand public acc l rations par exemple _ M trologie humaine Conception de produit sociologie psychologie contact de la main sur le volant Kin sigraphique Chimie des mat riaux ma trise du bruit mis par le Anthropom trie Divers autres points critiques Acoustique claquement de la porti re Techno logicielles pour la gestion des donn es et relevant des technologies Informatique logicielle Outils d aide la cr ativit du contenu tri analyse et synth se des donn es cit es ci contre et voqu es bases de connaissances profil d utilisateur par ailleurs Techno logicielles de r alit virtuelle R alit virtuelle augment e Page 287 CM International 113 Simulation mod lisation du comportement humain dans le poste de travail face au produit L automatisation de nombreux processus et le d velopp
53. Trois enjeux peuvent tre soulign s plus particuli rement L acc s une information imm diate scientifiquement d taill e et vulgaris e permet aux consommateurs de mieux analyser les risques et les dangers li s certains modes de production et leur impact social et de mesurer l effet de certains produits sur la sant et l environnement Les crises alimentaires la vache folle la crise de la dioxine la list riose ou encore les probl mes de l amiante ont entretenu ce besoin de s curit travers la tra abilit des produits Les catastrophes environnementales comme Tchernobyl ou les mar es noires associ es un durcissement de la l gislation et des groupes d opinion actifs ont r veill les consciences sur le n cessaire quilibre entre d veloppement conomique et protection de l environnement Il en r sulte le concept de d veloppement durable qui recouvre en particulier toutes les probl matiques industrielles du Page 138 Le contexte par grands domaines recyclage des produits en fin de vie de la gestion des d chets de la gestion de l eau et de l air de l utilisation de l nergie Ces probl matiques sont devenues de fait une pr occupation majeure des industriels Une premi re r ponse a t le retour des produits naturels et le d veloppement de produits recyclables tels que les co recharges et les produits deux en un Ils permettent une conomie de temps et de p
54. agro alimentaire pr sente des enjeux sp cifiques et multiples Jusqu ici les principaux enjeux dans ce domaine consistaient r pondre aux besoins croissants des consommateurs en terme de qualit et de diversit des produits Les crises alimentaires r centes comme celle de la vache folle ou encore des dioxines ainsi que le d veloppement de la probl matique environnementale ont eu des impacts importants sur les attentes des consommateurs La recherche sur les aliments a donc t en particulier pouss e ces derni res ann es par la demande sociale mais aussi par celle des industriels En effet les consommateurs demandent non seulement un d veloppement des qualit s biologiques des produits mais aussi une connaissance de plus en plus pouss e de leur origine En ce sens la tra abilit et hygi ne alimentaire deviennent une pr occupation majeure Les industriels comme les agriculteurs se trouvent contraints int grer une nouvelle dimension dans leurs activit s g rer le bon vivant Ces enjeux apparaissent importants au regard du poids conomique du domaine alimentaire les industries alimentaires ont g n r en 1998 un chiffre d affaires de 122 Mds d euros en France employ 403 000 salari s et d gag un exc dent de la balance commerciale d environ 6 Mds d euros De plus si la part des d penses alimentaires a diminu ces derni res ann es elles structurent encore la consommation pesant pour pr s d
55. alimentaires La nutrition animale est galement concern e Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation En fait on distingue l effet sant des aliments ex produits ferment s et probiotiques exer ant un effet protecteur au niveau du tube disgestif et leur effet sur la sant exemple des risques de POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE cancer li s la consommation de poisson contamin par des polluants France forte moyenne faible inexistante Dans ce domaine le marquage m tabolique constitue un enjeu important Le marquage m tabolique r pond la n cessit de mieux identifier les effets sant des aliments La probl matique r side en particulier dans le positionnement d un aliment par POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL rapport la r glementation li e l exploitation d un m dicament France forte moyenne faible inexistante Europe forte L moyenne faible inexistante Le marquage m tabolique des aliments constitue alors un appui la conception d aliments de sant et permet une meilleure compr hension des effets long terme des aliments sur la sant Le marquage m tabolique r pond ainsi une demande forte de la part des consommateurs Europe forte moyenne faible inexistante Exemples 4 secteur Exemples d usage Fonction remplie Technolog
56. avec les espaces tant professionnels que personnels On travaille de plus en plus au bureau et la maison au point que certains nouveaux objets de consommation le t l phone portable le micro ordinateur voire la voiture appartiennent en fait aux deux sph res indistinctement Cette confusion des r les m ne une demande d changes accrue entre les personnes et illustre le besoin de reliance des consommateurs face leur autonomisation dans la sph re du travail et de la consommation L agencement des pi ces dans la maison doit ainsi r pondre ces nouveaux besoins Un espace bureau suffisamment grand pour accueillir le micro ordinateur une connexion Internet l imprimante une cuisine adapt e la d structuration des repas qui propose la fois la possibilit d une grande r union familiale et le r chauffement rapide de plats individuels Un espace loisirs avec home cin ma t l et cha ne hi fi Une maison reli e pens e en fonction des connexions internes et externes Des logements personnalis s Une des tendances lourdes identifi es au chapitre I 2 pour les ann es 2000 est le passage de l individu la personne Ceci correspond un changement cl dans le mode d appr hension des consommateurs Alors que l individu se d finit par rapport l autre ce qui se traduit par une offre cherchant le s duire et le flatter en le diff renciant la personne se d finit par rapport elle m
57. cette nouvelle population le plus souvent moins mobile Pour ce qui rel ve des cons quences conomiques de ce vieillissement deux th ses s opposent Pour les uns le co t des d penses de sant serait pour l essentiel li aux derni res ann es de vie et est donc en fait d cal dans le temps Ce co t n augmenterait donc pas consid rablement du fait du vieillissement Pour d autres les d penses de sant d une population vieillissante sont in vitablement appel es cro tre de fa on significative L tat actuel de la sant des fran ais La grande majorit des soins effectu s aujourd hui en France concerne les maladies dites d g n ratives et les accidents tentatives de suicides et d homicides De plus certaines maladies infectieuses telles le Sida se sont d velopp es ces vingt derni res ann es Au del certains ph nom nes comme la pollution atmosph rique et les infections contract es dans les h pitaux g n rent des probl mes importants Pourtant au total la sant des fran ais est plut t en am lioration Dans ce contexte les besoins les plus notables rel vent de la pr vention et du traitement de maladies lourdes La soci t actuelle tend vers la recherche du confort de la s curit et du bien tre Ce changement de mode de vie d j voqu au chapitre I 2 a des implications fortes Il se traduit par des exigences fortes sur la prise en charge hospitali re Il a r cemment
58. conomique permettait de repr senter l importance conomique de chaque domaine technologique pour l conomie n erlandaise Quinze technologies strat giques qui ont obtenu les meilleurs scores sur chacun de ces deux index ont ainsi t retenues Les exercices fran ais tant en 1995 que dans la pr sente mise jour mais galement irlandais 1998 n o z landais 1998 et australien 1997 se sont appuy s sur une valuation qualitative de diff rents crit res au sein de panels ou de groupes largis soit par des questionnaires soit par des discussions plus ou moins formalis es Ces approches plus technologiques organis es autour de regroupements de secteurs d activit ont n anmoins tendance construire des chemin es sectorielles Il leur est plus difficile de mettre en vidence les contributions de technologies identifi es au sein d un panel sectoriel aux autres secteurs Au total la caract ristique commune de ce second type d exercices est d une part d avoir pour objectif de produire un rapport mettant en exergue les technologies retenues d autre part de formuler plus ou moins explicitement des recommandations pour l action publique Trois dilemmes r currents pour les responsables de ces travaux A linstar de l exercice fran ais pr c dant TC 2000 la plupart des travaux de prospective technologique recens s se heurtent trois types de dilemmes 1 L tendue de la mobilisation
59. d autres constituent des ruptures radicales certaines n exercent leur impact que sur un nombre limit de domaines d activit d autres ont vocation exercer une profonde influence sur le syst me conomique certaines se suffisent elles m mes d autres entra nent dans leur sillage une grappe d innovations situ es dans des champs de savoir connexes et exploit es dans d autres domaines d activit Les technologies de l information et de la communication ont t porteuses d une grappe d innovations radicales large diffusion Elles constituent un v ritable syst me technique au sens de Bertrand Gille c est dire un ensemble coh rent de technologies interd pendantes les innovations qui interviennent en un certain endroit de cet ensemble appellent et ou rendent possibles des innovations en d autres endroits qui leur tour suscitent de nouvelles contraintes ou ouvrent de nouvelles opportunit s voir par exemple l troite imbrication des trajectoires technologiques dans les domaines des microprocesseurs et des syst mes d exploitation Mais les technologies de l information et de la communication ne se contentent pas de former un syst me technique elles sont le point de d part d un nouveau paradigme techno conomique qui provoque de profondes mutations de l ensemble du syst me conomique et social Selon les conomistes n o schumpeteriens certaines innovations technologiques son
60. d chets dont certains sont tr s radioactifs quelques uns devant le rester durant des centaines de milliers d ann es La loi du 30 d cembre 1991 fixe l ch ance 2006 pour proposer des solutions viables la gestion des d chets nucl aires vie radioactive longue Aujourd hui diff rentes techniques de conditionnement existent dont l utilisation du bitume et du ciment pour les d chets l activit faible ou moyenne et du verre pour ceux haute activit D autres mat riaux sont tudi s comme les vitroc ramiques le sphene Actuellement une coordination nationale existe pour permettre de mener bien les tudes initi es Cette mobilisation de la communaut scientifique reste indispensable au progr s dans ce domaine L acceptation du public conditionnera galement fortement la diffusion de ces technologies Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France moyenne faible inexistante Europe forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France moyenne faible inexistante Europe forte faible inexistante Exemples de secteur Points technologiques Domaines scientifiques ne Exemples d usage Fonction remplie Technologie ye E d
61. de consommation de facilit d usage Les m thodes traditionnelles de d veloppement logiciel souvent int gr es sont remises en cause gr ce la technologie du composant logiciel portable qui permet sa r utilisation dans divers contextes et son emploi ind pendemment de la nature des plates formes utilis es Des m thodes de conception tr s innovantes apparaissent avec des gains en temps et en qualit importants d veloppement en quipes clat es circulation instantan e et co t marginal nul de composants logiciels et de documentation g n ralisation de composants standards sous traitants sp cialis s meilleurs du monde sur tel composant Le m tier traditionnel des entreprises de service en informatique est galement transform gr ce aux r seaux il devient moins n cessaire de vendre et d installer un produit chez le client pour qu il puisse l utiliser De nouveaux mod les conomiques fond s sur la facturation en ligne de l usage d une application Application Service Provider fermes de serveurs en ligne se font jour La mise en ligne des applications existantes et d applications la demande ne proc de pas uniquement d une logique de co t mais r pond de nouveaux besoins d extension des syst mes d informations vers les clients et fournisseurs d une entreprise L informatique converge ainsi avec les t l communications offrant ces deux types d acteurs un champ nouveau d opportunit s gt dan
62. en gamme et accroissant de ce fait la comp titivit de l offre industrielle Par ailleurs les offres des industries informatiques et des t l communications vont exploser dans le domaine et pr parent l arriv e POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL de la route intelligente o l offre de services s tendra la maintenance Europe forte moyenne faible inexistante compl te du v hicule puis l aide la conduite et enfin la conduite France forte moyenne faible inexistante automatique des v hicules Les progr s de ces technologies d pendent de la capacit des industriels Europe forte moyenne faible inexistante construire faire voluer co t r duit et optimiser une architecture lectronique fiable et volutive d une part d finir et choisir des standards de communication notamment dans le domaine des r seaux des langages de configuration d architecture des interfaces entre syst mes communicants du diagnostic du positionnement etc d autre part La port e industrielle de cette volution offre co t d lai et les enjeux induits en termes de part de march sont consid rables dans le secteur automobile et des v hicules industriels Mais l assistance accrue la conduite au confort la communication et au voyage complexifie l objet v hicule en d responsabilisant le conducteur le partage des d cis
63. ensemble des autres secteurs de l conomie De plus il pr sente une forte h t rog n it tant pour la chimie qui regroupe de nombreux produits depuis les commodit s jusqu aux sp cialit s les plus fines que pour les mat riaux Dans ce paysage contrast l innovation technologique prend au moins deux visages Elle rel ve en premier lieu de l am lioration des produits et mat riaux courants aciers verres non ferreux plastiques commodit s Comme l a soulign le pr c dent rapport cette volution est pour partie invisible d une part parce qu elle se traduit le plus souvent par une substitution dans une m me famille de produits et d autre part parce que la diminution des quantit s de mati re incorpor e par exemple par l all gement des structures ou l optimisation des formulations y est la r gle L innovation proc de en second lieu de la mise au point de mat riaux et produits nouveaux souvent incorpor s par les industries de pointe pour des march s de niches avant de trouver parfois des applications de grande consommation Plus encore que dans d autres secteurs l innovation de produit et l innovation de proc d sont tr s fortement entrelac es dans le domaine chimie mat riaux En effet l innovation produit que constitue la mise au point ou l am lioration d un mat riau doit tre accompagn e d une innovation proc d cruciale pour sa production industrielle un co t accepta
64. et leur connexion sur les plates formes Le temps d apprentissage et de r ponses Les capteurs intelligents Autres points critiques La normalisation Ethique S curit Informatique Page 278 105 Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle En combinaison avec des capteurs qui d tectant les mouvements et des appareils restituant les sensations tactiles les programmes informatiques peuvent g n rer des images et des r actions qui DEGRE DE DEVELOPPEMENT donnent l impression d tre dans une autre r alit la r alit Technologie mergence croissance maturit virtuelle Cela permet donc une interaction entre le consommateur et le produit ainsi que le d veloppement de tr s nombreux Applications industrielles et commerciales naissance O diffusion g n ralisation nouveaux produits jeux 3D tourisme virtuel simulation confection sur mesure mannequin virtuel Dans ce domaine de la r alit virtuelle le partenariat entre les constructeurs et les SSII jusqu une int gration compl te des quipes est un point cl La POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE mise au point de syst mes de visualisation non contraignants est France forte LU moyenne faible inexistante galement un facteur de succ s important lunettes 3D La France semble bien positionn e dans ce domaine travers le jeu et la E
65. hicules V hicules intelligents et communicants Outils de sant la disposition des consommateurs Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Syst mes d organisation et gestion industrielle Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique Supply chain management Soutien logistique int gr Recherche et pr sentation de l information Portails m ta moteurs Gestion de la connaissance et des documents Int gration et coordination des fonctions au sein de l entreprise EDI et commerce lectronique Navigateurs structuration des catalogues Int gration des syst mes d information pour le passage au commerce lectronique Aide la d cision Analyse de situation et d clenchement d alerte Travail coop ratif Page 190 Fonction remplie Technologie Int gration d applications Technologi Portabilit des donn es es par rapport la diversit logicielles des applications des de syst mes d exploitation et l informati des quipements que distribu e terminaux serveurs stockage Transparence de l architecture du r seau Evolutivit du syst me d information Interface utilisateur simple et universelle Echange de donn es et documents Rep rage de donn es dans un espace Diffusion diff renci e et traitement de donn es Mise jour et acc s des bases de donn es Jonction avec API R
66. lectivit ou d clenche des r actions chimiques pour transformer des compos s chimiques ol fines hydrocarbures Technologie mergence croissance maturit satur s alcool en d autres compos s de plus haute valeur ajout e polym res hydrocarbures aromatiques ald hydes ou Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation pour les fonctionnaliser en compos s de moindre toxicit transformation des gaz d chappement en gaz carbonique azote et vapeur d eau par exemple L enjeu actuel est la mise au point de nouveaux catalyseurs ayant des plus fortes performances activit POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE s lectivit et pr sentant moins des probl mes de d pollution des France forte moyenne faible inexistante effluents La catalyse h t rog ne est ainsi privil gi e Leur d veloppement est li des incitations financi res en Europe forte moyenne faible inexistante particulier en relation avec des r glementations en faveur de la protection de l environnement La catalyse correspond une part importante de la chimie de POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL sp cialit s France forte moyenne faible inexistante Liens limination des m taux lourds dans les boues et les effluents Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de
67. logiciel En effet dans ce dernier cas plus de la moiti des items retenus soit s appuie fortement sur du logiciel soit correspond une application logicielle sp cifique Avec l av nement de la soci t de l information les technologies logicielles se trouvent au c our des prochains enjeux conomiques et y compris de tout ce qui touche l immat riel Demandant peu d investissement les technologies logicielles sont la port e d un nombre relativement important de pays la population bien form e Cette donn e doit tre prise en compte au moment due faire des choix Au regard de ces multiples potentialit s le Comit de pilotage pense qu il faut accorder une attention toute particuli re ces technologies qui diffusent largement dans l conomie et sont des niches d opportunit s en mati re de produits et de services nouveaux 3 R affirmer l importance des technologies organisationnelles et d accompagnement L exercice a montr qu il y a une difficult certaine identifier exclusivement des technologies correspondant la notion classique du terme La liste des technologies cl s retient d authentiques technologies mais aussi des syst mes technologiques des fonctionnalit s voire des produits Ce caract re h t rog ne traduit la fois la difficult de l exercice et la complexit de l volution technologique actuelle Celle ci n est pas seulement le r sultat des progr s de la dynamique de la technologie
68. mergence croissance maturit 900 sites pollu s sont actuellement reconnus en France et 200 300 000 sites sont potentiellement risques Aujourd hui le Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation march des traitements ne repr sente qu un chiffre d affaires d environ 80 millions d euros et son d veloppement reste sous la d pendance de l action r glementaire et des moyens financiers que POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE les entreprises sont pr tes consacrer cet investissement Un certain nombre de polluants comme les organochlor s ou les France forte moyenne faible inexistante m taux lourds sont encore difficilement identifiables alors m me que le risque de transfert dans les nappes d eaux souterraines est Europe forte moyenne faible inexistante r el Le d veloppement de nouvelles techniques de diagnostic mais aussi de traitement est donc une priorit Dans ce domaine les co ts d acc s aux Technologie comme la POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL mobilisation internationale et politique seront des facteurs cl s de succ s France forte moyenne faible inexistante Liens limination des m taux lourds dans les boues et les Europe forte moyenne faible inexistante effluents D de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiqu
69. n ralement dans la structuration de l conomie Face au ralentissement tendanciel de la demande de m nages qui ont dans l ensemble satisfait leurs besoins primaires l innovation appara t comme le moyen de stimuler la croissance des march s par l am lioration des produits existants et la cr ation de nouveaux produits et services L innovation est galement encourag e par la n cessit pour les firmes occidentales de se d marquer de la concurrence des produits issus des nouveaux pays industrialis s b n ficiant de faibles co ts salariaux Les sympt mes de cette entr e dans une conomie fond e sur la connaissance sont nombreux L effort de R amp D des pays industrialis s n a quasiment pas cess de s intensifier depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale aux Etats Unis les d penses de R amp D repr sentaient 1 3 du PIB des entreprises non financi res en 1953 1959 cette part s est lev e 2 3 sur la d cennie 1980 pour atteindre 2 9 entre 1990 et 1997 L OCDE estimait r cemment que l effort d investissement en savoir d penses de R amp D d penses publiques d enseignement investissement en logiciels s levait pr s de 8 du PIB des pays membres et aurait connu une croissance moyenne de 2 8 entre 1985 et 1995 Toujours selon l OCDE l ensemble des industries fond es sur le savoir tait d j l origine de plus de 50 de la valeur ajout e des entreprises des pays industria
70. n ralisation applications dans les domaines nucl aires et militaires Au del des r sistances m caniques les facteurs cl s de succ s pour l utilisation de ces mat riaux sont la durabilit face aux POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE ph nom nes de corrosion traitement des surfaces et substitution de l acier ainsi que les qualit s de mise en uvre fluidit vitesse France forte moyenne faible inexistante de prise durabilit Les b tons les plus prometteurs semblent tre les super plastifiants qui donnent des b tons extr mement Europe forte moyenne faible inexistante fluides dits auto compactables Ces b tons co tent encore dix fois plus chers que les b tons habituels Plusieurs enjeux mergent comme la pr occupation environnementale qui commence avoir POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL des r percussions sur les mati res premi res utilis es ou encore lapparition d une norme europ enne en pr paration qui devrait France forte moyenne faible inexistante conduire une harmonisation des b tons La France occupe une place essentielle dans ce domaine port e par les entreprises et Europe forte moyenne faible inexistante l Ecole Fran aise du B ton Liens alliage de polym res Exemples de secteur Points technologiques Domaines scientifiques gt on Exemples d us
71. ographiquement distribu s particuli rement complexes au niveau de l laboration des protocoles de transport notamment de donn es multim dia pour lesquels la normalisation joue un r le d cisif et dans la conception m me des composants de l infrastructure r seaux hauts d bits notamment optiques etc Les recherches lanc es dans le cadre du r seau national de recherche en t l communications couvrent des sujets strat giques comme les composants optiques et lectroniques la mobilit l Internet haut d bit la probl matique de l acc s la gestion des r seaux de t l communications les nouveaux terminaux le d veloppement des services et l analyse des usages Le rapport du RNRT sur l Internet du futur a propos d orienter les recherches suivant les 4 priorit s suivantes Les 4 priorit s pour l Internet du futur Priorit 1 Rapprocher l information de son usage gr ce l interm diation et permettre chacun de participer aux contenus en ligne le d veloppement d Internet am ne tous les jours plus d utilisateurs plus de contenus plus de services en ligne Il se rapproche ainsi du monde r el avec toute sa complexit et toute la difficult pour quelqu un de s y retrouver ou de se faire entendre La premi re priorit doit donc permettre de ma triser la complexit croissante de ce monde en rapprochant les informations de leur usage et en facilitant au plus grand nombre l acc s Internet en t
72. posture ouverte qui d crit les voies possibles et sugg re de se pr parer cette diversit Ceci justifie si besoin tait qu un travail de prospective technologique aborde la double question miroir de l volution de la demande et de celle du contexte conomique au sein duquel les technologies cl s sont susceptibles d tre mobilis es demain C est l objet des deux prochains chapitres Page 16 Introduction 1 2 Les grandes tendances de la demande Page 17 Introduction Les grandes tendances de la demande perspectives pour les prochaines ann es Le regard port ici sur la demande concerne essentiellement la consommation finale et les attentes du consommateur en particulier en Europe et dans les pays d velopp s En adoptant cette perspective sp cifique ce chapitre ne d crit donc pas toutes les dimensions de l volution de la demande mais apporte n anmoins un clairage utile pour notre exercice prospectif E La demande du consommateur est en partie nourrie des volutions socio d mographiques qui traversent la plupart des soci t s occidentales le vieillissement g n ralis de la population un rapport au travail qui s est compl tement transform pour donner cette valeur traditionnelle une nouvelle conception toute en flexibilit la nucl arisation de plus en plus pouss e des foyers tout cela a des r percussion consid rables qui n en sont qu leurs d bu
73. pour des productions en plus petites quantit s Dans ces conditions la flexibilit et la r activit constituent un l ment cl La mise en ivre de machines intelligentes est une des r ponses possibles face cette probl matique La t l surveillance la t l maintenance contr ler et commander distance participent aussi de la ma trise de la qualit des produits et de l accroissement de la rapidit de r action de la cha ne de production Il s agit aujourd hui d tre en mesure gr ce un syst me de d tection automatique ou gr ce un contr le visuel de d tecter les pannes et d faillances en temps r el afin d y rem dier le plus rapidement possible Pour ce faire les syst mes d aide la d cision sont appel s jouer un r le important Mieux g rer les flux d information et de produits Un des probl mes majeurs rencontr s par les entreprises concerne la gestion de leurs flux flux physiques comme flux d information y compris leur volet informatique De nombreuses technologies et m thodes ont t d velopp es et d autres restent d velopper ou am liorer pour optimiser l organisation des entreprises dans ces domaines Page 146 Le contexte par grands domaines Gestion des flux logistiques les flux logistiques ne s arr tent plus seulement l ensemble des flux de produits ou d information se rapportant l activit entre le moment o un fournisse
74. r alis s par des groupes comme Carrefour Go Sport Les chartes thiques affich es par certains grands groupes textiles sont ainsi utilis es comme des arguments de vente Les enjeux technologiques Les enjeux li s la demande sociale que nous venons de recenser permettent d identifier un certain nombre d enjeux technologiques relever par les industriels s ils veulent r pondre aux principales attentes des consommateurs Les technologies favorisant la personnalisation de la relation client L individualisation de la consommation et la personnalisation des produits obligent les industriels d velopper des techniques de plus en plus fines d analyse des besoins et des comportements des consommateurs y compris sur le lieu de vente L objectif est d enclencher une dynamique de fid lisation Il s agit donc de d velopper des mod les pr dictifs et explicatifs du comportement ainsi que des mod les d analyse de risques math matique du risque et du comportement et des habitudes de consommation afin de d finir des profils d individus ou d entreprises Outils de personnalisation de la relation client L objectif est de d passer la seule analyse statistique des donn es en t chant de prendre en compte la psychologie du client gr ce au d veloppement de technologies li es l analyse de circulation du consommateur de l usager magasins lieux publics la biom trie le portefeuille lectro
75. rabilit naturelle L adoption d une approche technologique ouverte nouveaux m canismes comme l IETF plus rapides et plus informels de standardisation mondiale certains logiciels libres Appache C Les moteurs conomiques Diff rents acteurs conomiques ont jou un r le important dans le d veloppement d Internet Les clients grand public ont adopt le micro ordinateur renfor ant son caract re de march de masse d localisation des investissements chez le client renouvellement rapide des PC L Etat am ricain avec un soutien direct la R amp D et une aide la mise en place des infrastructures Les entreprises pourvoyeuses d acc s ou de service avec des investissements importants pour prendre des positions en rupture par rapport aux acteurs dominants traditionnels du secteur des t l communications Les investisseurs venture capitalists NASDAQ qui ont permis de nouvelles entreprises de prendre des risques industriels et commerciaux importants L essor d Internet r sulte galement de certaines modalit s d interaction entre ces diff rents acteurs Le d veloppement du logiciel libre et du logiciel gratuit Un fort effet de r seau l chelle mondiale messagerie lectronique IRC Web La possibilit de cr er de nouveaux r seaux sans lourds investissements initiaux ceux ci n arrivant que plus tard Il ne faut pas oublier non plus le r le
76. rant dans le d veloppement des communications terre Le GPS Global Positioning System ou la t l phonie sont deux exemples qui illustrent clairement l avenir de ces technologies dans l espace Il reste aujourd hui optimiser l utilisation des satellites la miniaturisation des instruments embarqu s et la compatibilit magn tique sont des enjeux importants dans cette perspective les instruments au sol doivent galement pouvoir couvrir des besoins aussi vari s que l information au conducteur pilote sur son temps de parcours la d tection de pannes ou d obstacles en respectant des exigences de fiabilit de l information et de rapidit de diffusion La qualit de r ception et le tri de l information sont donc primordiaux pour assurer une liaison efficace entre un v hicule et l infrastructure qui l entoure Page 130 Le contexte par grands domaines Ces quelques exemples illustrent la n cessit pour les entreprises du domaine d int grer les nouvelles technologies dans leurs processus de production Vers de nouvelles organisations industrielles L explosion de la communication la multiplication des acc s l information le foisonnement des usages associ s aux informations disponibles et l volution rapide des moyens technologiques permettant la diffusion des informations ont un impact tr s fort sur les entreprises en termes de R activit aux demandes du march les producteur
77. ret des syst mes embarqu s et infrastructures 1 Th mes permettant de classer les points technologiques critiques Page 270 99 Am lioration des performances nerg tiques d ensemble des v hicules Le respect de l environnement et de plus en plus de moteurs thermiques r glementations incitent les industriels et en particulier dans le pile combustible domaine du transport concevoir des produits plus propres en m me temps que les demandes du march les poussent vers la conception de produits toujours plus performants innovants confortables Concilier les deux exigences revient am liorer Technologie mergence croissance maturit les performances nerg tiques ensemble des v hicules soit en faisant voluer les moteurs thermiques traditionnels soit en Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation d veloppant de nouvelles technologie de propulsion ou de g n ration d nergie piles combustible v hicules hybrides v hicules lectriques tout en faisant avancer la recherche sur de nouveaux mat riaux et l optimisation des architectures lectriques POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE et lectroniques des v hicules En ce qui concerne la propulsion France forte moyenne faible inexistante des v hicules il est impossible aujourd hui de savoir si les mote
78. s Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique Supply chain management Soutien logistique int gr Fonction remplie Stockage gestion structuration de donn es et de contenu multim dia Recherche analyse tri structuration synth se et pr sentation de l information Ergonomie interface sans clavier formulation des requ tes Organisation valorisation enrichissement et mise jour des bases de donn es Page 185 Technologie Technologies logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Points technologiques critiques Techno logicielles de la langue et de la parole analyse et compr hension du langage naturel plurilinguisme Reconnaissance et analyse d images 2D 3D Reconnaissance de l criture XML Fouille de donn es data mining Indexation Formulation et compr hension de la requ te Butineurs browsers de seconde g n ration Interface utilisateur adaptable profil d utilisateur Agents Base de connaissances Syst mes base de r gles Annuaires Domaines scientifiques concern s Intelligence artificielle Linguistique traitement s mantique Reconnaissance des formes Informatique logicielle Statistiques Raisonnement logique Mod lisation R seaux de neurones T l com munications gt CM International 25 Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Les syst mes auteurs ont pour objectif d apporter
79. s par les r seaux Pour y r pondre on assiste un d veloppement sans pr c dent des fonctions optiques qui bousculent la fronti re entre optique et lectronique autour de nouvelles architectures IP sur optique Evolution forte des composants cl s au sein des syst mes l arriv e d Internet bouscule les composants cl s qui accaparaient l essentiel de la valeur ajout e dans le monde des micro ordinateurs ou des t l communications mobiles E Ruptures dans le secteur industriel et commercial en g n ral Internet permet de revoir enti rement la relation qui pr existait entre une entreprise et ses clients ou fournisseurs en offrant un nouveau canal de distribution en permettant la g n ralisation et l ouverture des concepts d EDI et en permettant le d veloppement rapide d un nouveau front office sur le Web sans remettre en cause au pr alable l ensemble des syst mes d information existants Ce processus va bien au del du d veloppement du commerce lectronique et correspond l extension chez les clients et partenaires des syst mes internes de l entreprise Internet et l ensemble des technologies qui lui sont associ es autorisent et g n ralisent ainsi la mise en r seau via notamment des portails sp cialis s des employ s de l entreprise r sidants nomades ou travailleur domicile en facilitant en particulier la mise en place d organisations virtuelles reconfigurables au fil du temps de l entrepri
80. seaux celui des composants et celui de la fonction l utilisateur Ces trois niveaux comportent la fois des l ments mat riels et des l ments logiciels informationnels Nous distinguons ainsi pour les r seaux les infrastructures et les contenus pour les composants la micro lectronique et le logiciel pour les fonctions les fonctions d interfaces et les fonctions de mobilit Le sch ma en page suivante pr sente le regroupement des technologies cl s par famille Ces technologies r pondent aux grandes fonctionnalit s identifi es dans le tableau suivant R seaux Contenu Interfaces Mobilit Communication Cr ation production Dialogue Homme Portabilit mobilit change d information de biens et de machine nomadisme Acc s aux contenus contenus Pr sentation de Ubiquit Qualit du service Stockage de l information S ret de fonctionnement l information Personnalisation S curit des transactions en Tra abilit ligne Page 75 Le contexte par grands domaines Les grandes familles TIC Besoins Technologies R seaux Syst mes Contenus Syst mes auteurs pour cr ation de contenu Synth se d images 2D 3D et de sons Moteurs de r alit virtuelle Infrastructure Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Qualit de service en IP Technologie de boucle locales R seau domestique num rique S curit Cryptologie
81. thodes de marketing li es l utilisation des TIC Fonction remplie Haut d bit Optimisation de l exploitation Am lioration de la qualit de service Technologie Infrastruct ures pour r seaux dorsaux haut d bit Page 173 Points technologiques critiques SDH Synchronous Digital Hierarchy Multiplexage en longueur d onde WDM DWDM Dense Wavelength Digital Multiplexing Routage routage optique Fibres dop es Processeurs de r seaux Protocoles MPLS MultiProtocol Label Switching Routeurs tr s haut d bit Tera peta routeurs Architecture IP WDM tout optique Commutateurs tr s haut d bit Brasseurs et commutateurs optiques Lasers et modulateurs stables en longueur d onde Amplificateurs optiques large bande Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Grands serveurs Composants opto lectroniques et photoniques Domaines scientifiques concern s Electronique ultra rapide Informatique g n rale Informatique logicielle Optique Opto lectronique T l com munications gt CM International 17 Technologies de boucle locale Afin de pouvoir exploiter les normes capacit s fournies par les Des investissements importants sont n cessaires pour l installation des infrastructures correspondantes stations de base technologies optiques des r seaux back bone il faut aussi d velopper UMTS par exemple Le contexte r glementaire ouverture la concurren
82. tre en cons quence les priorit s technologiques Les technologies cl s 2005 constituent le r sultat de cet exercice et correspondent aux technologies qui ont t retenues comme prioritaires pour la France Voici la d marche et l organisation du travail qui ont t adopt es pour ce faire La conduite du projet Le projet Technologies cl s 2005 a t supervis par un Comit de pilotage compos de repr sentants du monde de l industrie et de la recherche ainsi que des principales administrations parties prenantes du d veloppement technologique en France Ce Comit tait pr sid par Jean JACQUIN Pr sident du conseil de surveillance d Auriga Les noms des autres membres de ce Comit sont donn s en annexe Au del du suivi de la bonne ex cution du projet ce Comit tait charg d arr ter la liste d finitive des technologies cl s et de proposer les priorit s et recommandations qu il jugeait utile de formuler Suite un appel proposition du Secr tariat d Etat l Industrie l animation et la mise en uvre du projet ont t confi es un consortium conduit par le cabinet de conseil en management CM International et plac sous la direction de Thomas DURAND CM International a mobilis cinq partenaires au sein du consortium la Cit des Sciences et de l Industrie La Fondation Villette Entreprise Innovation 128 le Cr doc Central Cast et MCN Conseils Au sein du
83. triser un processus de Cockpits pour le suivi de l ex cution commerciaux Gestion Open Buying on Internet Stocks directement g r s par les fournisseurs VMI Vendor Managed Inventory Collaboration inter entreprises Places de march lectroniques fabrication permettant de personnaliser les produits finaux Segmenter les clients suivant le niveau de service attendu Techno logicielles de l informatique distribu e interfa age de syst mes h t rog nes Techno logicielles pour le transport de donn es Techno logicielles pour la s curit des r seaux Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Grands serveurs Ma trise d un r seau complexe Divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 295 gt CM International 119 Soutien logistique int gr Le Soutien Logistique Int gr vise optimiser le co t global de DEGRE DE DEVELOPPEMENT possession c est dire d acquisition de maintenance et de mise au rebut en fin de vie C est la gestion compl te et int gr e du Technologie mergence croissance maturit produit et des services associ s depuis la conception jusqu la destruction compl te du berceau la tombe Ce concept int gre Applications industrielles
84. ts Page 229 gt CM International 63 Microturbine La lib ralisation des industries lectriques va se d velopper la suite de la Directive 96 92 sur les march s lectriques Cette derni re va provoquer un terrain propice au d veloppement de syst mes de production d nergie d centralis e tels les microturbines De plus la tendance actuelle serait de limiter l utilisation des r seaux probl me de fiabilit en cas de catastrophe naturelle impact environnemental visuel Le d veloppement des microturbines est particuli rement li la strat gie des principaux acteurs fran ais EDF Turbomeca et la prise de position des assurances dans le cadre de la lib ralisation du r seau ma trise des risques Liens conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit croissance naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France moyenne faible inexistante Europe moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France moyenne faible inexistante Europe moyenne faible inexistante Exemples de secteur Points technologiques Domaines scientifiques uen Exemples d usage
85. volume des march s concern s incidence sur la balance commerciale et emplois induits m me si bien entendu ces aspects conomiques ne sont pas les seuls compter en fait les progr s conomiques s accompagnent de fa on assez logique d exigences croissantes en mati re de bien tre de sant et de qualit de l environnement Exigences qui peuvent tre v cues comme des contraintes ou comme de nouvelles opportunit s commerciales mais qui dans presque tous les cas induisent de nouvelles technologies sp cifiques Page 5 Ce poids important des facteurs conomiques dans les crit res de s lection se traduit aussi dans la pr sentation des fiches synth tiques des technologies retenues chacune est replac e en aval dans le contexte de la fonction remplie et des march s vis s Les domaines technologiques ou scientifiques qu il est n cessaire de ma triser en amont sont par ailleurs clairement explicit s sur ces m mes fiches Enfin et pour se limiter ce qui nous a paru essentiel pour cette tude la mondialisation a eu pour effet d acc l rer la diffusion de certaines technologies que l on consid rait jusqu ici strat giques car m me si elles ne g n raient directement qu une activit mod r e elles conditionnaient l acc s d autres conomiquement plus importantes Il va de soi que la diffusion plus ouverte de ces technologies que l on consid rait comme critiques est susceptible de fa
86. 114 Le contexte par grands domaines R sum Les outils et les techniques utilisant des organismes vivants regroup s sous le vocable de biotechnologies ont d j connu de forts d veloppement marqu s p riodiquement d annonces spectaculaires Dans le m me temps les secteurs d application s largissent parties de la sant humaine et de l agriculture les biotechnologies sont mises en uvre galement par les industriels de l agro alimentaire de la chimie et de l agrochimie Les attentes des utilisateurs sont tr s fortes tant dans le domaine de la sant humaine du fait du vieillissement de la population et de la recherche du confort de la s curit et du bien tre que dans le domaine de l agro alimentaire avec une forte exigence de rassurance mais galement de personnalisation de l offre alimentaire Ces d veloppements incontest s touchent cependant de plus en plus fr quemment aux questions d thique La course entre la rapidit des volutions scientifiques et technologiques et l affirmation de choix thiques puis leur ventuelle transcription l gislative demeurera un des l ments structurant des ann es venir Dans ce contexte les enjeux essentiels portent dans le domaine de la sant sur la m decine pr dictive l utilisation des r sultats du g notypage th rapie g nique et cellulaire et des animaux transg niques ainsi que la t l m decine Dans le domaine agro alimentaire
87. 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 Etiquetage Etiquette Evaluation Fiabilisation Fiabilit Fibres Fid lisation Filtration Fluides Fonderie Fusion Gaz G ne G nie g n tique G nie logiciel G nome Gestion d nergie GPS Greffes Habitat Haptique Haut d bit Haute temp rature Hydrog ne Identifiants intelligents Identification Image AA D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM NTIC Objets communicants et autonomes BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes NTIC Ecrans plats IAA Marquage m tabolique EE Supraconducteurs TAE S ret des syst mes EE Microturbine Filtration membranaire MC Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages NTIC M moires de masse Syst mes d exploitation contraints Mesures et tests de syst mes MC Fibres textiles fonctionnelles Elaboration de composites matrice organique CPG Outils d aide la gestion de la relation client BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique EE La gestion de l air dans les b timents Filtration membranaire BE Fluides frigorig nes haute qualit environnementale CIH Le b t
88. 202 nouveaux produits ont vu le jour en 1992 1993 alors qu ils taient 290 en 1984 1985 Les produits lanc s ces cinq derni res ann es ne repr sentent que 5 10 des ventes de l industrie chimique Pourtant les d penses de R amp D sont pass es de 4 5 du CA il s agit donc de rendre la R amp D plus efficace et de comprendre o elle se situe aujourd hui L innovation s est d plac e sur les applications et les adaptations l am lioration des produits n cessitant par ailleurs de plus en plus d argent L volution vers la chimie de sp cialit s n cessite d tre proche du client en lui proposant des solutions sur mesure des nouveaux produits et des services L innovation se concentre donc sur les proc d s industriels les relations avec les clients l utilisation intensive de l informatique base de donn es datawarehouse et les techniques du knowledge management Par ailleurs l industrie chimique est encore fond e sur une logique de produits vendus par une arm e de distributeurs Seuls les industriels qui vont se reconfigurer pour faire face aux nouveaux entrants 17 source Kline amp Co Page 86 Le contexte par grands domaines i 18 5 2 i r i purement virtuels survivront C est l occasion de repenser les r seaux de distribution et d exploiter un potentiel de r duction des co ts estim s 10 12 Le succ s serait fond demain sur la propri t et le contr le non des
89. 273 101 Moteurs thermiques Dans une logique d am lioration des performances nerg tiques d ensemble des v hicules les avanc es technologiques propres aux moteurs thermiques usuels sont de divers ordres d veloppement de carburants alternatifs volu s Fischer Tropsch DME optimisation du cycle de combustion L avenir du moteur thermique d pendra de ces avanc es si les nouvelles technologies de propulsion atteignent des seuils de rentabilit acceptables La condition de succ s des moteurs thermiques du futur est clairement l am lioration du compromis consommation mission pour r duire les gaz effet de serre pollution sensible dans un contexte conomique ma tris Liens am lioration des performances nerg tiques d ensemble des v hicules pile combustible mat riaux pour proc d s en milieux extr mes DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte faible inexistante Europe moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte faible inexistante Europe moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technolog
90. 787 Ing nieur de l automobile avril 1999 Le multim dia va bouleverser l architecture lectronique du v hicule et faire entrer l automobile dans l re des services Ing nieur de l automobile mai 1999 Moteurs l injection directe plus que jamais IPTS october 1999 The IPTS Report Special issue Europe 2010 futures and scenarios n 38 European Commission Seville Japenese and World Technology Evaluation Centers march 1997 Panel report on Rapid Prototyping in Europe and Japan Volume 1 Khaber R Parisot C Mourier J L 1999 La France l heure des technologies de l information Le Point Mensuel mai repris dans Probl mes Economiques n 2642 1 d cembre 1999 pp 25 27 Les Cahiers du Techniques du B timent SMBTP septembre 1998 Dossier sp cial BATIMER 98 Innovation et qualit le nouvel enjeu du b timent n 191 Levy Garboua Louis 1983 Les modes de consommation de quelques pays occidentaux comparaison et lois d volution Revue Consommation CR DOC n 1 4 14 Loisel J P et al janvier 1999 Les comportements des consommateurs europ ens Une analyse comparative portant sur la France l Allemagne la Grande Bretagne et l Italie Cahier de Recherche CR DOC n 126 Mantelet Janie Orselli Jean f vrier 1998 Technologies Internationales Syst mes de navigation le Japon continue progresser n 41 Maslow A 1943 A theory of Human Motivation Psychological Review vol
91. Biens et services de consommation ILS Technologies et M thodes de Conception Gestion Production Page 52 Le contexte par grands domaines II 1 Technologies de l Information et Communication Page 53 Le contexte par grands domaines R sum Le d veloppement des technologies de l information et de la communication leur diffusion dans le tissu conomique et plus globalement l mergence de la soci t de l information auront constitu un fait majeur de la deuxi me moiti du 20 me si cle L ampleur du ph nom ne l tendue et la profondeur de son impact n ont plus tre d montr s l exceptionnel d veloppement d Internet en constituant le volet le plus visible B n ficiant d un effort massif de R amp D les TIC vont poursuivre leur d veloppement L int gration croissante et la mont e en fr quence des composants va permettre de poursuivre l am lioration des ratio performances prix Les enjeux li s la ma trise du d veloppement des logiciels productivit fiabilit maintenabilit n en seront que renforc s Les technologies li es linternet du futur nouveaux terminaux mobilit haut d bit int gration du multim dia prendront galement une importance croissante Si l innovation technologique est un des moteurs essentiels de la croissance des TIC elle ne saurait se r duire la ma trise d un nombre limit de technologies dites cl s la capacit int gre
92. Fonction remplie Technologie Ne P d application critiques concern s Production d lectricit Alimentation lectrique Production lectrique Microturbine Mat riaux pour toutes A rodynamique d immeubles d centralis e temp ratures Hydrodynamique d h pitaux Maisons individuelles Mat riaux corrosion Calcul num rique Autres points critiques Co t Page 230 D CM International 64 Eolien offshore Les oliennes utilisent l nergie du vent travers des pales pour la production d lectricit nergie renouvelable et non polluante Plusieurs applications se distinguent l alimentation de sites non raccord s au r seau qui correspond des machines de quelques watts quelques kilowatts puis des petites oliennes raccord es au r seau de quelques kilowatts quelques centaines de kilowatts et enfin les grandes oliennes dont la puissance peut atteindre le m gawatt L Europe dispose en 1999 d j de 5 097 m gawatts de puissance lectrique olienne Sur ce total la France produit uniquement 10 m gawatts L nergie olienne produite en France repr sente 0 01 de la production nationale d lectricit Le programme Eole 2005 a t lanc pour commencer combler le retard mais aussi pour favoriser la diversification des sources d nergie en France cf application de la Directive Electricit et de la future Directive Energie Renouvelable
93. G nie civil d ouvrages diagnostic et de structures endommagement Micro lectronique programmation de r paration des M thodes de diagnostic Mod lisation Physique des mat riaux travaux structures Capteurs et m trologie Imagerie Mise en s curit Traitement de signal Autres points critiques Normalisation Page 215 D CM International 50 Technologie de d construction Le secteur du b timent est aujourd hui un acteur important dans la production de d chets 31 millions de tonnes auraient t ainsi produits en 1999 soit plus de l quivalent des d chets m nagers en France Parmi ces 31 millions de tonnes environ 2 seraient issus des chantiers de construction 11 des chantiers de r habilitation et 17 des chantiers de d molition Par ailleurs la r glementation fran aise est de fa on g n rale en mati re de gestion des d chets en pleine volution et durcit globalement les contraintes qui p sent sur cette activit en particulier sur leur mise en d charge pour favoriser leur recyclage Le secteur du b timent ne peut ignorer cette volution et doit court terme se pr parer modifier ses modes de gestion de d chets en particulier en pensant la d construction des b timents s lection des mat riaux recyclables mise en place de tri s lectif organisation de collecte L organisation de la fili re est l une des contraintes fortes sur ce secteur actuellement
94. Introduction le contexte Le domaine des biens et services de consommations est un domaine h t rog ne qui a la particularit d tre en prise directe avec les exigences des m nages et du consommateur individuel Ces exigences loin d tre bas es sur une seule logique rationnelle rel vent tout autant d une volution collective des modes de vie que de besoins subjectifs ressentis par chaque individu Plusieurs ph nom nes importants ont modifi ces derni res ann es ses comportements habituels L acc s une information instantan e l chelle de la plan te d veloppe un environnement mental auquel il ne peut chapper longtemps et qui influe sur son imaginaire comme sur ses d sirs L individualisation croissante des modes de vie affaiblit progressivement les liens familiaux et sociaux qui formaient des cadres de r f rence rassurants appuy s sur des syst mes de valeurs consacr s par l habitude et la tradition L accroissement de la mobilit contribue d structurer ce cadre de r f rence en diminuant le sentiment d appartenance une communaut stable ou un espace g ographique pr cis A ce type d instabilit s ajoute l instabilit professionnelle car aujourd hui personne ne peut pr voir de faire toute une carri re au sein de la m me entreprise Sous l aiguillon de la flexibilit l individu s adapte et volue rapidement Face l instabilit de son environnement l in
95. Les enjeux sur l nergie et la propulsion Les pressions r glementaires et environnementales d une part et les avanc es technologiques d autre part conduisent naturellement les industriels et les chercheurs explorer de nouvelles pistes Page 131 Le contexte par grands domaines d am lioration des performances nerg tiques d ensemble des v hicules Am lioration des performances nerg tiques d ensemble Stockage de l nergie diff rentes options technologiques sont en concurrence pour r soudre les probl mes de stockage d nergie En particulier le stockage de l nergie lectrique conna t un certain nombre de d veloppements via les v hicules hybrides les v hicules lectriques les piles combustible Il est impossible aujourd hui de privil gier une solution technologique plut t qu une autre surtout dans la perspective d une mise sur le march et donc d une viabilit conomique Le d bat est en effet encore ouvert sur la question de l avenir des v hicules lectriques et hybrides De la m me fa on la pile combustible pourrait s av rer tr s attractive mais son avenir conomique d pend en grande partie de la fili re choisie pour la production du combustible l hydrog ne n cessaire thermique vs hydraulique Les probl mes techniques r soudre restent communs toutes ces technologies les enjeux de miniaturisation batteries embarqu es sur v hicule de r d
96. Liens recyclage de mat riaux sp cifiques conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable techniques de diagnostic des structures DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe croissance maturit diffusion g n ralisation forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte faible inexistante moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s B timent D prise mini re D construction Technologie de la Management des Radioprotection Environnement Evaluation des risques immeubles usines d construction chantiers Robotique Am nagement du Gestion de l apr s mines Technologie de tri des Chimie territoire d chets Hydrog ologie D mant lement Usines Mise en place des fili res G otechnique Ateliers industriels Conception Stockage des d chets ouvrages souterrains Page 216 gt CM International technologies de d construction La conception et la mise en uvre des ouvrages doi
97. Microsyst mes Microgravure Physique du Equipement stimulateurs Microactionneurs Couches minces f solide Armement cardiaques Connectique Optique Physique Chimie des Interfaces Habitat Automobile R duction des Technologies de Mat riaux Physique Transport Elecrom nager bruits r duction des absorbants vibratoire bruits Antibruits Design techn co t L int r t d une telle grille Cette grille pr sente plusieurs int r ts potentiels Vers une typologie des technologies cl s Cette grille pourrait permettre de d finir une typologie des technologies cl s car l vidence il en est de diff rentes natures O un premier l ment de diff renciation tient au caract re plus ou moins lin aire ou au contraire plus ou moins foisonnant de l arborescence Si des deux c t s la technologie cl est lin aire on se trouve devant une technologie cl ponctuelle qui vaut essentiellement par elle m me par exemple la carte puce Si elle est en arborescence touffue du c t de la fonctionnalit son impact conomique risque d tre important en terme de comp titivit conomique si elle est en arborescence touffue du seul c t du domaine scientifique son impact risque d tre important en terme de transversalit Si elle est en arborescence des deux c t s on se trouve devant une technologie lourde de cons quences tant du fait de sa transversalit que de son impact conomique
98. Page 141 Le contexte par grands domaines des mat riaux multiformes et multifonctionnels qui offre plusieurs fonctions pour un m me produit Cette multi fonctionnalit fait appel des technologies li es aux rev tements de surface propri t s multiples aux mat riaux m moire de forme en particulier dans le domaine des fibres textiles textiles bio actifs anti bact riens textiles climatiques qui bloquent les UV ou agissent en thermor gulateurs Les interfaces homme machine Enfin si les produits deviennent de plus en plus innovants et technologiquement compliqu s l un des objectifs principaux des industriels est de rendre la technologie invisible l utilisateur C est pourquoi les interfaces homme machine restent un enjeu technologique important pour permettre une prise en main instinctive du produit Ergonomie de l interface homme machine Il s agit par contact vocal ou par toucher d tre m me d utiliser quasi instantan ment un nouveau produit ou une nouvelle machine Cet objectif fait donc appel des technologies de reconnaissance gr ce des capteurs qui demande une rapidit et une forte capacit de m moire et de traitement de l information en lien avec la compression des donn es Page 142 Le contexte par grands domaines 11 8 Technologies et M thodes de Conception Gestion Production Page 143 Le contexte par grands domaines Les phases de conception producti
99. Pour ce qui rel ve plus particuli rement du domaine Construction Infrastructure un enjeu fort est associ aux mat riaux pr ts l emploi et leurs conditions d utilisation Les principales voies explor es sont Nouveaux b tons incorporant des additifs nouveaux et mieux ma ftris s des avanc es en science des mat riaux permettant une meilleure connaissance de ses performances tant m caniques que physiques qualit vieillissement B ton performances optimis es Mat riaux composites non structurels dont les enjeux sont l aspect l esth tique le fini de surface leur rendu architectural est important Rev tements routiers en particulier favorisant une meilleure absorption acoustique et un meilleur rendement nerg tique liants hydrauliques colles Mat riaux composites pour les routes Mat riaux composites structurels composites fibre et r sine Mise en vre de syst mes de mat riaux performants pour enveloppe de b timent Syst mes performants pour enveloppe de b timent Page 99 Le contexte par grands domaines isolation interne externe fa ades intelligentes thermique ponts thermiques acoustique l air l tanch it l air est tr s bien ma tris e dans le nord de l Europe notamment mais l est moins en France protection contre les intemp ries pathologie nettoyage des fa ades r g n ration par des bact ries Macro associations de mat ri
100. R seaux de grands serveurs Transmission temps r el de contenu multim dia Interm diation et int gration de services pour Internet du futur Interfaces HM Ing nierie linguistique et technologies vocales Moteur de recherche et d indexation intelligents avec reconnaissance de formes Mobilit Technologies de localisation et de guidage Syst mes d exploitation contraints communicants autonomes Assistants digitaux portables Micro lectronique Composants ogiciels et mod lisation Micro lectronique silicium Biopuces et biocapteurs Int gration d applications langages XML Micro syst mes crans plats volu s M moires de masse R tines de prise de vue nie logiciel et mod les de composants Micro lectronique II TV Batteries etmicro nergie Composants opto lectroniques p cification conception preuve et et photoniques Simulation de grands syst mes complexes Equipements et mat riaux pour Mesures et tests de syst mes salles blanches robotique A Support hard Applicatif soft Page 76 Le contexte par grands domaines 11 2 Mat riaux Chimie Page 77 Le contexte par grands domaines Les innovations dans les domaines de la Chimie et des Mat riaux irriguent potentiellement la quasi totalit des secteurs conomiques Les pistes de d veloppement pour les ann es venir sont extr mement nombreuses elles sont tr s li es
101. Secr tariat d Etat l Industrie le projet a t pilot par l Observatoire des Technologies Strat giques OTS Page 49 Introduction Les principes g n raux et l organisation du projet Le champ couvert Le champ couvert est l ensemble du champ industriel Ce sont les besoins technologiques de tous les secteurs sans aucune exclusive qui ont t analys s Toutefois les technologies relevant essentiellement du domaine de la d fense n ont pas t prises en compte dans cette tude Seules les technologies dites duales ont t consid r es comme pouvant tre des technologies cl s Apr s de nombreux d bats le champ a t divis en huit grandes th matiques qui correspondent aux groupes de travail mis en place pour identifier les technologies technologies du vivant sant agroalimentaire technologies de l information et de la communication mat riaux chimie environnement nergie construction infrastructure transport a ronautique biens et services de consommation technologies et m thodes de conception production gestion UT OUI Pour rester coh rent avec l exercice pr c dent les technologies retenues dans le cadre de cette r flexion sont susceptibles selon les experts de diffuser au niveau industriel horizon de 5 ans 2005 Une d marche collective La d marche a vis impliquer la diversit des acteurs du monde de la recherc
102. acc l rer le basculement de nos entreprises de nos institutions et de notre soci t dans cette nouvelle conomie fond e sur la connaissance Dans cette logique l exercice Technologies cl s 2005 en ce qu il aide mieux anticiper les technologies qui sont susceptibles de structurer l conomie de demain participe bien de la pr paration de l conomie fond e sur la connaissance Page 36 Introduction I 4 Technologies cl s 2005 face aux autres exercices de prospective technologique Page 37 Introduction Introduction Depuis plus de trente ans les travaux de prospective en particulier de prospective technologique font partie de la bo te outils de la r flexion strat gique en entreprise Dans certains secteurs d activit civils sans m me parler du militaire la mise en uvre de techniques structur es de r flexion sur le futur technologique est devenue une routine Cette routine s est tendue depuis le d but des ann es 90 aux autorit s nationales de nombreux pays travers le monde Des exercices nationaux de prospective technologique ont t men s en nombre croissant avec une acc l ration ces cinq derni res ann es au cours desquelles une vingtaine d exercices peuvent tre recens s 3 ont t achev s en 1995 2 en 1996 2 en 1997 7 en 1998 6 entre 1999 et 2000 Cette mont e en puissance du nombre d exercices nationaux de prospective technologique s
103. aire Deux autres facteurs apparaissent pr pond rants pour la diffusion de cente technologie dune part l volution de la pression r glementaire et la mobilisation de l ensemble des acteurs au niveau de la plan te et d autre part la capacit qu auront les France forte moyenne faible inexistante industriels industrialiser un co t acceptable ces technologies Europe forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante D de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Thermique industrielle Diminuer l effet de serre Pi geage et stockage du Techniques du froid Co t du transport du CO Chimie Chauffage CO Stockage en aquif re Traitement de grandes Physique du froid Compagnies p troli res Gisements en quantit s G ologie exploitation Biologie photosynth se Gisements d pl t s synth tique Page 235 gt CM International 69 Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue DEGRE DE DEVELOPPEMENT L industrie nucl aire fran aise fournit plus des trois quarts de l lectricit consomm e en France Elle g n re la production de
104. alimentation peut en effet avoir des implications directes sur l tat de sant des consommateurs La nutrition tude des relations entre l alimentation et l tat de sant des consommateurs repr sente une cible privil gi e de la r flexion de la recherche publique et de l industrie alimentaire Deux effets des aliments en relation avec la sant sont retenus l effet sant d un aliment ex produits ferment s et probiotiques exer ant un effet protecteur au niveau du tube digestif et l effet sur la sant risque de cancer li la consommation de poisson contamin par des polluants Dans ce domaine la qualification des r gulations m taboliques par l alimentation chez l homme et l identification de marqueurs sont des axes de travail importants En effet le marquage m tabolique permet de mieux identifier les effets sant des aliments il constitue ainsi un appui la conception d aliments de sant et permet une meilleure compr hension des effets long terme des aliments sur la sant Marquage m tabolique des aliments La tra abilit correspond au suivi et l optimisation de la circulation des produits alimentaires en vue d assurer la s curit des aliments et permet de r pondre la demande de plus en plus forte des consommateurs en ce qui concerne l identification de l origine et de la qualit des produits Tra abilit Page 124 Le contexte par grands domaines I 6 Transp
105. application critiques concern s Production d lectricit Stockage profond Conditionnement Conditionnement Extrapolation des G ochimie nucl aire Entreposage de surface et entreposage et G nie civil r sultats dans le temps Chimie de subsurface dont entreposage de longue dur e D chets des r acteurs civils et des usines nucl aires d chets provenant des armes nucl aires D chets nucl aires en provenance de l lectronucl aire des h pitaux de l industrie et des armes nucl aires stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue Validation des mod lisations Mod lisation des impacts environnementaux Mat riaux Physicochimie des surfaces et des interfaces Corrosion Hydrodynamique Ph nom nes de transport Mod lisation Mat riaux M canique Thermohydraulique Page 236 gt CM International 70 Fluides frigorig nes haute qualit environnementale La probl matique de l ozone et de l effet de serre impose de plus en plus de contraintes environnementales sanitaires et r glementaires DEGRE DE DEVELOPPEMENT Les fluides frigorig nes doivent r pondre ces contraintes et des conf rences internationales ont par exemple r cemment fix des Technologie mergence croissance maturit objectifs pour la France Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation
106. arthrose ou l incontinence permettre la chirurgie reconstructrice tester au niveau exp rimental les effets des m dicaments Au del comme nous l avons pr cis dans la premi re partie la pharmacog nomique est un axe de d veloppement important pour l industrie pharmaceutique qui s appuiera sur l ensemble des technologies permettant de produire des m dicaments adapt s au profil g nomique d un individu m decine pr dictive g notypage Deux autres domaines associ s aux outils informatiques apparaissent aussi strat giques dans le domaine de la sant l informatique appliqu e la biologie aujourd hui la double comp tence biologie informatique est peu fr quente et freine de mani re relativement importante le d veloppement de certaines technologies au niveau national La sant et Internet au regard de l exp rience des Etats Unis 4 5 r seaux d j existants au niveau national la m decine de demain pourrait se faire en partie par Internet Le net serait le lieu de la pratique t l diagnostic t l m decine Chirurgie assist e par ordinateur et du commerce de la m decine Dans une logique globale de r duction des co ts l utilisation d Internet permettrait de r duire les co ts d interm diation de 10 20 Page 120 Le contexte par grands domaines G rer le bon vivant une priorit dans le domaine de l agro alimentaire Comme pour la sant le domaine de l
107. auxquelles le mat riau a t soumis ou du moins d identifier son tat instantan Il s agit de favoriser le couplage entre les m thodes de CND et les tudes m caniques POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL LU moyenne France inexistante forte faible Liens s ret des syst mes embarqu et infrastructure techniques de diagnostic des structures Europe forte faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s d application M canique Contr le p riodique Evaluation non Interpr tation du Exp rimentation lourde Emission acoustique Transports Pr visions des destructive de signal Mod lisation et connaissance Analyse par rayonnement Chaudronnerie avaries Pendommagement des Analyse et mesure des structures et textures calcul Essais des mat riaux Levage Manutention Assemblages mat riaux et des des contraintes d endommagement M canique de la rupture et de G nie civil Evaluation de la assemblages CND ultrasons D tection et interpr tation de l endommagement Nucl aire dur e de vie radioscopie faibles discontinuit s du signal Corrosion r siduelle restante graphie reconstruction 3D Informatique calcul 3D R cipients thermographie Relations entre les anomalies et Approche
108. bio artificiels MC Fibres textiles fnctionnelles CPG Repr sentation de la perception TAE Ergonomie de l interface homme machine BE Recyclage de mat riaux sp cifiques IAA D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes EE Recyclage de mat riaux sp cifiques IAA Imagerie m dicale TAE Capteurs NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques EE Supraconducteurs R duction des bruits CIH Les techniques des travaux souterrains EE Technologie de la d construction BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique IAA Transg n se NTIC Mesures et tests de syst mes EE Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue EE R duction des bruits NTIC Technologies de boucle locale R seaux de grands serveurs Transmission temps r el de contenus multim dia NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s Page 315 Annexes 312 Visibilit 313 Vision 314 Visualisation 315 Voix 316 Voltage L gende BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC CPG T l surveillance de syst me productif distance TAE V hicule intelligent et communicant
109. ce moment l de meilleure fa on de satisfaire les besoins du march C est l un lent processus de maturation Progressivement parmi les options technologiques alternatives l une d elles merge comme une voie novatrice susceptible d apporter une performance sup rieure des fonctionnalit s nouvelles un co t inf rieur ou une combinaison de ces trois formes d am lioration Cette nouvelle technologie est souvent le fait de nouveaux entrants qui choisissent de s engager sur une niche de march pour y satisfaire des besoins sp cifiques peu ou mal trait s jusque l par la technologie dominante Cette nouvelle technologie n est pas n cessairement intrins quement la meilleure solution technique mais elle a le m rite de faire l objet d une premi re industrialisation et d une commercialisation qui par accumulation d exp rience lui assureront vite d atteindre un niveau de performance r alis e sup rieur ce que les autres voies technologiques envisageables peuvent laisser esp rer au m me moment Cet effet se renforcera naturellement au cours du temps d bouchant sur une situation de blocage lock in Un nouveau paradigme et une nouvelle trajectoire technologiques apparaissent ainsi Sur cette niche la nouvelle technologie est rapidement am lior e et tend faire t che d huile vers d autres segments de march travers des m canismes de t tonnement d essais et d am lioration par essence
110. ces march s quelques grands industriels fran ais sont tr s bien plac s au niveau international France forte C moyenne faible _ inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci Europe forte L moyenne faible inexistante dessous technologies de travaux souterrains Exemples de Foncti n secteur Exemples d usage remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s d application Energie Offshore grands Robotique Robotisation R sistance aux conditions extr mes pression M tallurgie Environ fonds extraction mobile en T l communications Obstacles la transmission d ondes non guid es Corrosion nement de p trole de gaz milieu M canique Ancrage pour grands fonds R sistance des mat riaux BTP de nodules hostile Techno logicielles pour les Ombilics pour fonction fond surface Propagation des ondes m talliques syst mes temps r el ou contraint Franchissement contournement d obstacles Informatique logicielle Exploration Travaux Capteurs de vision capteurs Syst mes de positionnement Traitement du signal p troli re complexes d image D contamination T l maintenance sans Capteurs intelligents Corrosion Oc anographie notamment intervention Architecture lectronique etc dans Techno logicielles pour la gestion des donn es et du Physique nucl aire nucl aire humaine sur les v hicules contenu analyse d image r
111. communication d terministes et s rs Syst mes de gestion moteur Syst mes de gestion de l habitacle Syst mes de vision largie Syst mes d alerte du conducteur Techno logicielles de l informatique distribu e Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Capteurs intelligents Pile combustible Architecture lectronique informatique r partie et multiplexage dans les v hicules S ret des syst mes embarqu s et infrastructures Ergonomie de l interface homme machine pilotage de v hicules ou d installations Int gration fusion des donn es Tol rance aux fautes vitement de fautes et modes de fonctionnement Composants standards sur tag re Architecture modulaire capitalisable r utilisable volutive Interop rabilit Commande adaptative floue retard Traitement des images Capteurs de positionnement et de rep rage Standards de communication Capteurs de vision capteurs d image Techno logicielles de la langue et de la parole Techno logicielles pour le transport de donn es Compatibilit lectromagn tique Simulation mod lisation du comportement humain Et divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Electronique embarqu e Informatique temps r el Informatique logicielle Traitement du signal Automatique Cognitique Simulation des syst mes complexes Preuve formelle Page
112. cours d essais cliniques Dans un deuxi me temps les retomb es esp r es de la cartographie du g nome sont la d tection pr coce des pr dispositions g n tiques d un individu et les traitements pr ventifs qui pourront en d couler L encore des choix thiques clairs devront certainement tre formul s et partag s Dans les domaines agricoles et agroalimentaires la d couverte de g nes particuliers permettra d obtenir des plantes et des animaux transg niques plus r sistants certains agents pathog nes et mieux adapt s aux besoins des utilisateurs N anmoins le d bat ouvert sur l impact environnemental des produits ainsi obtenus se poursuivra galement Quatre autres domaines d applications des animaux transg niques sont envisageables la production de prot ines m dicaments Les enjeux seraient consid rables puisque le march annuel des prot ines m dicaments dans le lait par exemple est estim environ 8 milliards d euros Ing nierie des prot ines la culture de cellules saines r injectables dans un organisme malade par th rapie cellulaire Les enjeux conomiques et sociaux sont importants La maladie d Alzheimer concerne 20 millions de personnes dans le monde celle de Parkinson 4 millions de personnes en 1990 le diab te en progression constante devrait atteindre 300 millions de personnes en 2025 le nombre de cancers devrait doubler d ici 2020 avec 20 millions de nouveaux cas Clonage des animaux
113. cumulatifs Des suiveurs joignent les premiers d veloppeurs et acc l rent ces processus d apprentissage de mise au point et de diffusion La nouvelle technologie s tend progressivement une part toujours plus grande du march et cannibalise litt ralement les parts de march de l ancienne technologie dominante en un processus de substitution la fois explosif et difficilement r versible Les leaders sur l ancienne technologie dominante ont le choix entre l ent tement pour tenter d am liorer une technologie Page 14 Introduction pourtant d pass e ou la strat gie du suivi tardif pour prendre le train en marche et tenter de rester dans la course en acceptant les nouvelles r gles du jeu impos es par les exigences de la nouvelle technologie qui s impose comme dominante Dans le m me temps la segmentation du march volue les fronti res du m tier se d placent le march est dans certains cas amen s largir des sous segments apparaissent Un nouveau processus de maturation est l uvre avant le prochain pisode de d maturation dont l av nement est in vitable parce qu ainsi va la vie des technologies La figure ci dessous repr sente graphiquement certains des aspects de cette mod lisation qui s inscrit dans le courant dit volutionniste au sein de l conomie du changement technique Evolution des technologies altematives autour d un m me besoin g n rique Innovat
114. d utilisation des produits agricoles optimisation des outils biologiques micro organismes enzymes Source d apr s P Feillet Directeur du Gisria 1 La transg n se en association avec les outils traditionnels du g nie g n tique et de l am lioration des vari t s et des races doit permettre l optimisation de la composition des produits v g taux et animaux ainsi que les outils biologiques micro organismes enzymes mis en vre dans la fabrication des aliments Transg n se Les objectifs concernent en particulier les conditions de stockage de transport et de transformation des produits et la qualit sanitaire nutritionnelle et organoleptique des aliments 2 Les technologies douces sont des proc d s de transformation conservant le caract re naturel des produits finis tout en assurant leur qualit hygi nique et leur valeur sant Leur mise en uvre doit permettre de pr server les propri t s nutritionnelles et organoleptiques des aliments tout en assurant leur s curit mais aussi de conserver le caract re naturel des mati res premi res Les technologies douces regroupent des techniques comme les hautes pressions champs lectriques et champs magn tiques puls s Technologies douces pour la pr servation de la qualit des aliments 3 Le d veloppement et la mise en ouvre de capteurs est un enjeu important afin de maintenir la r gularit des fabrications et l adaptation des pa
115. d un choix d lib r Nous devons toutefois faire une mention sp ciale et contrast e pour les TIC et les biotechnologies Les Technologies de l Information et de la Communication traversent la quasi totalit des th mes qui auront t d battus au cours du pr sent travail On peut consid rer que les diff rentes technologies identifi es s approprient les TIC chacune sa fa on ou l inverse on peut estimer que ce sont en fait les TIC qui colonisent des pans entiers de territoires technologiques traditionnels Peu importe Ce qui est significatif c est le constat d omnipr sence des TIC constat massif et indiscutable Une part importante des progr s accomplis dans maints secteurs y compris pour les technologies organisationnelles r sulte en fait des d veloppements rendus possibles par les TIC la mod lisation la capacit de mesure le traitement du signal la constitution et l exploitation de bases de donn es la capacit de calcul les communications plus rapides plus denses et moins ch res Cette volution n est pas nouvelle mais elle appara t ici comme une v ritable d ferlante qui diffuse dans toutes les directions une vitesse surprenante En contraste les sciences du vivant qui constituaient une autre vague d innovations annonc es tardent se concr tiser Les constantes de temps sont bien s r diff rentes elles varient fortement d un domaine l autre mais face aux multiples d velopp
116. de 550 dans les soci t s d acc s et infrastructure Les volutions boursi res sont encore plus loquentes Selon la maison de titres Salomon Smith Barney en octobre 1999 la pond ration des TMT technologies m dias t l coms dans la capitalisation europ enne tait de 19 Elle atteignait 33 en f vrier 2000 A l arri re de la ligne de front Internet perturbe profond ment les conditions d exercice de l activit dans de nombreux secteurs la banque la distribution le commerce de gros la logistique le transport a rien En abolissant en apparence seulement les contraintes li es la distance physique en offrant des possibilit s immenses d changes d informations tr s riches en temps r el pour un co t modique en permettant une tr s forte r duction des co ts de transaction Internet semble faire voluer le fonctionnement des march s vers le fameux mod le de la concurrence pure et parfaite multiplicit mais pas n cessairement atomicit des offreurs et des demandeurs information presque parfaite rapidit des ajustements Le pouvoir conomique para t basculer au profit des acheteurs Internet porte ainsi en germe une intensification de la concurrence qui provoque le rel vement des exigences de comp titivit auxquelles les entreprises sont soumises Les march s sont ou seront d stabilis s et les positions concurrentielles redistribu es Le Figaro Economi
117. de donn es R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Formalisation et gestion des r gles m tier Multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation Mod lisation du processus Et divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Et divers autres domaines relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 218 gt CM International 53 R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique L utilisation de la r alit virtuelle dans le domaine de la conception architecturale et technique r pond un enjeu d int gration de la fili re client fournisseur qui appara t dans tous les secteurs d activit les ressources de la r alit virtuelle permettront aux architectes et aux constructeurs de montrer leurs clients leur vision du b timent dans l industrie la r alit virtuelle y compris dans ses applications de laboratoire pour la conception des produits et des composants est une voie importante de r duction des d lais de mise au point des projets elle permet notamment de r duire le nombre de prototypes communication et les agents intelligents elle permettra aux industriels de moduler leurs produits et de personnaliser leur offre France Forte
118. de politique d innovation am ne les pouvoirs publics r gionaux se soucier de plus en plus de prospective Les exercices nationaux sont cependant le plus souvent tr s difficilement utilisables en tant que tels Certains tels l exercice britannique ont n anmoins cherch int grer la dimension r gionale en organisant des s minaires et des conf rences r gionaux L objectif tait de collecter des messages et des th matiques pertinents au niveau d une conomie r gionale et de diffuser de l information sur les travaux men s au plan national En Espagne et en Allemagne galement quelques exp riences ont t men es au plan r gional Ces tentatives restent clairsem es Un r seau europ en unissant des sp cialistes de prospective technologique et des pouvoirs publics r gionaux vient d tre lanc sur cette question Son objectif est de promouvoir une meilleure articulation entre exercices nationaux et besoins r gionaux ainsi que le d veloppement de l utilisation de processus de prospective dans la r flexion strat gique r gionale Un deuxi me enjeu porte sur la conception m me des exercices de prospective technologique Tr s clairement les exercices les plus r cents l instar de TC 2005 cherchent tous raccourcir la dur e du travail d exploration prospective afin de mieux r pondre aux attentes des entreprises et rester en phase avec des cycles conomiques de plus en plus rapides En m me temps se p
119. denses structure interne en Protection de nids d abeille l environnement Textile en fils d araign e Page 204 gt CM International 40 Proc d s de mise en uvre et de formulation de la mati re molle DEGRE DE DEVELOPPEMENT L objectif est d optimiser pour les industriels utilisant les compos s et mati res issus de l industrie chimique le couple formule proc d pour une valeur d usage d termin e Technologie croissance maturit Applications industrielles et commerciales diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE L Europe poss de une avance sur le Japon et les USA Les savoirs encore empiriques se sophistiquent il reste des probl mes lors des changements d chelle Un enjeu important r side dans la diffusion de l information aupr s des industriels France forte faible inexistante inexistante Europe forte faible POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL moyenne faible moyenne faible France forte inexistante Europe forte inexistante Exemples de Points technologiques Domaines scientifiques secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Ba 2 ri critiques concern s d application Sant Proc d s de compoundage Mise en uvre Proc d s de mise en Relation entre les trois G nie ch
120. des communications endog nes entre les organes d un m me v hicule et exog nes entre diff rents v hicules et entre v hicules et infrastructures est induit par un contexte o le v hicule poss de de plus en plus de fonctions informatiques embarqu es Le d ploiement dans un v hicule de plusieurs r seaux de transmission num rique sp cialis s la disponibilit de m moires embarquables de taille grandissante l int gration de capteurs de positionnement et de rep rage cam ra GPS radar lidar etc permettent d largir r assistance aux conducteurs pilotes Technologie mergence croissance imaf rit Cette assistance s curise le roulage direction suspension tenue de route freinage accro t le confort de conduite syst mes de climatisation aaan balayage clairage etc introduit le multim dia bord et offre de Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation nouveaux services de voyage depuis une aide l orientation la r servation distance d un restaurant Ces services enrichissent d j l offre des constructeurs et des quipementiers et pourraient conduire un horizon de moins de 10 ans au remplacement de nombre de fonctions France forte moyenne faible inexistante lectro m caniques actuelles par la technologie num rique X by wire augmentant les fonctionnalit s leur volutivit leur r utilisation
121. des experts Une mobilisation large coh rente avec des objectifs d laboration d une vision partag e rend moins efficace voire moins pertinente la production de listes de technologies A contrario l appui sur des panels d experts restreints par construction ne permet pas v ritablement un large partage du processus prospectif gage pourtant de sa permanence au sein d une nation Cette faible mobilisation avait pu tre reproch e l exercice TC 2000 Le pr sent exercice TC 2005 a cherch marier les deux approches Tout en privil giant l utilisation de panels d experts pour leur efficacit produire des listes de technologies cl s il a fait un pas dans la direction d un largissement en proposant un site web qui a bien fonctionn pour diffuser l information sur le travail en cours avec un nombre important de visites m me s il n a pas encore permis la cr ation de ces groupes de discussion virtuels Au del TC 2005 a mobilis non seulement 100 experts au sein de groupes de travail mais a galement fait appel des panels largis pour valuer les technologies Au total plus de 600 experts ont t touch s travers des questionnaires et le forum Internet 2 La question de la transversalit des technologies Au cours de l exercice TC 2000 une attention insuffisante a pu tre consacr e aux interactions entre les 136 technologies identifi es Comme d j voqu le travail a principalemen
122. des fonctionnements biologiques et leur introduction dans le d veloppement de proc d s et de mat riaux de haute performance le d veloppement de solutions en termes de mat riaux et de proc d s aux probl mes globaux tels que ceux pos s par les ressources naturelles l nergie l environnement De fa on plus g n rale les experts s accordent sur l importance croissante du niveau mol culaire qui tend faire converger la chimie et les nouveaux mat riaux Cette tendance se traduit d j par la mise au point de nouveaux mat riaux nanocomposites et renforts nanom triques et de l utilisation de la mod lisation mol culaire en vue de la pr diction des propri t s physico chimiques de polym res A plus long terme trois voies de recherche semblent porteuses Organiser la mati re en ordonnant l architecture des macromol cules Alors qu il y a dix ans on aurait pu croire que l essentiel de la recherche sur les polym res avait t fait et que leurs domaines d application taient globalement bien d finis de nouveaux horizons sont apparus avec la d couverte de catalyseurs susceptibles de rationaliser l architecture des poly thyl nes pour tendre le domaine d application des polym res Les catalyseurs m talloc nes d riv s des polyol fines sont en effet capables d orienter la synth se de la macromol cule de poly thyl ne en ordonnant g ographiquement les monom res Il en d coule un produit surpre
123. des mod les animaux est cl dans la recherche scientifique dans le domaine de la Sant ude de maladies ou encore tudes post g nomiques Cette utilisation porte principalement sur des petits animaux Technologie mergence croissance maturit Le d veloppement d une instrumentation ad quate est donc requise Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation et en particulier la miniaturisation des instruments appara t tre un enjeu important en particulier pour les m thodes d imagerie et d investigation physiologique POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante pe de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s M decine Mod les pour l tude de Miniaturisation des M thodes d imagerie et Instrument pour la vision M canique Pharmacie maladies instruments de d investigations et la manipulation M canique optique Analyse fonctionnelle recherche m dicale Miniaturisation des Physique des souris transg niques m thodes d imagerie Physiologie Etudes pr ch
124. domaines seront utilis s dans la phase de conception mais ils jouent d j et joueront de plus en plus un r le de preuve de satisfaction des exigences r glementaires Ces efforts en mati re de simulation concernent galement le domaine des mat riaux structure enveloppe et am nagement Ils compl tent l am lioration continue de leurs caract ristiques de tenue au feu ou aux catastrophes naturelles Les enjeux technologiques G n ration et gestion d nergie dans le b timent La g n ration d nergie dans les b timents r pond un double objectif Il s agit d une part de favoriser le d veloppement de sources d nergie moins polluantes plus soutenables et d autre part de rendre les b timents autonomes Les techniques conomisant l nergie ou favorisant le stockage d une nergie produite moindre co t devraient continuer repr senter des enjeux importants dans les pays d velopp s Parmi celles ci les principales devraient tre la pile combustible stationnaire Pile combustible les composants Photovolt ques int gr s en fa ades et toitures qui connaissent encore des probl mes de ratio co t rendement la micro cog n ration les pompes chaleur performantes en climat froid encore trop instables aujourd hui Au del la gestion de l nergie dans les b timents repose sur des recherches concernant l optimisation du syst me d clairage adaptation de l
125. ecostat Transports int rieurs de voyageurs Mds de voyageurs km 8 Transports a riens o SNCF m Voitures particuli res 1997 Enfin pour compl ter ce panorama des transports les transports on repr sent 25 de la consommation finale nerg tique fran aise en 1998 Le th me Transport A ronautique est en fait un th me tr s large couvrant des domaines pour certains compl mentaires pour d autres h t rog nes Les probl matiques technologiques rencontr es dans le domaine du transport routier ne sont en effet a priori pas les m mes que celles rencontr es dans les transports ferroviaires a riens ou maritimes et n ont souvent rien voir avec le domaine spatial Les discussions avec les experts de ces diff rents domaines ont cependant fait appara tre des pr occupations et des points technologiques critiques communs ces domaines Page 127 Le contexte par grands domaines Les enjeux g n raux pour le domaine Transport A ronautique G rer l espace disponible Le probl me majeur voqu dans le cadre du th me Transport A ronautique est sans doute celui de la gestion des espaces Espace interne les v hicules d une fa on g n rale des satellites aux rames de TGV en passant par les bateaux ou les automobiles sont des espaces confin s qui seront amen s voluer fortement pour pouvoir contenir l ensemble de l quipement embarqu d coulant des fortes volutio
126. en sus des probl mes g n raux inh rents la POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE programmation des syst mes ouverts et r partis cette mise en uvre fait appel la sp cification formelle aux langages d architecture aux France ne E moyenne faible inexistante v rification prouv e des syst mes temporis s aux ex cutifs temps RE P y Pp P Europe forte Oo i faible inexistante langages de conception r actifs synchrones et asynchrones la r el etc La France poss de un acquis important et pionnier dans certains de ces domaines d autres restent actuellement des points durs scientifiques et techniques POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte ET moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous techno logicielles de informatique distribu e Europe fote faible Ds Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines secteur scientifiques d application concern s Productique Syst mes embarqu s S ret des Technologies G nie logiciel Informatique et tous Syst mes d infrastructure syst mes logicielles pour les M thodes de d tection pr coce des erreurs logicielle Page 168 gt CM International secteurs industriels utilisateurs Robotique Transports T l com munications S curit D fense Spatial Sant Energie Electron
127. et leur capacit se re combiner qu travers leurs caract ristiques intrins ques Le terme de technologie carrefour nous semble bien r sumer cette nouvelle donne S extirper des classifications traditionnelles Une lecture rapide des r sultats du pr sent travail pourrait laisser penser que certains secteurs d activit ont fait l objet de bien peu d attention Ce pourrait tre le cas du p trole et du gaz de l eau ou du nucl aire et probablement de quelques autres secteurs encore Or il n en est rien Ces secteurs comme d autres voire plus que d autres n ont cess d innover et continuent innover Nous en sommes tellement convaincus que nous soulignons ici qu il serait non seulement erron mais aussi dangereux d ignorer les gisements d innovation que rec lent ces secteurs cl s de notre conomie Mais si les secteurs ne sont pas toujours apparus en tant que tels dans ce rapport c est que l exercice prospectif nous condamne sortir des classifications et des nomenclatures traditionnelles L enjeu n tait pas de compter quelles technologies cl s appartiennent quels secteurs pour voir si chacun a bien eu son d Ce serait l chausser les lunettes du pass ce quoi est condamn e toute classification sectorielle qui ne peut tre par essence que le reflet de l industrie d hier La gymnastique laquelle nous contraint la prospective est certes exigeante mais finalement plus rich
128. faible Inexistante moyenne faible Inexistante Ti fes 5 Q e Liens POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL micro lectronique silicium v hicules intelligents France moyenne faible Inexistante architecture lectrique architecture lectronique informatique r partie et Europe fore moyenne Faible Inexistante multiplexage Technologie Points technologiques Domaines scientifiques critiques concern s Electrom nager commande de moteur Toutes les fonctions Composants Puissance intelligente g nie lectrique Transports automobile machine outil concernant le g nie lectroniques de smart power mat riaux a ronautique ferroviaire en lectrique en moyenne moyenne puissance Passivation thermique puissance protection Encapsulation domotique commande de moteur Int gration commutation Elaboration de nouvelles transformation structures alimentation contr le Nouveaux mat riaux Am lioration de la fiabilit co ts Page 266 97 S ret des syst mes embarqu s et des infrastructures DEGRE DE DEVELOPPEMENT La s ret des syst mes peut se d cliner en termes de fiabilit de disponibilit de maintien en fonction ventuellement en mode Technologie mergence croissance maturit d grad de r sistance aux agressions de l environnement ou d automatisation des fonctions de s curit Applications industrielles et comm
129. finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle MC Logiciels et bases de donn es des propri t s des mat riaux Page 304 Annexes 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 Combustion 49 B timent Batteries Besoins B ton Biocapteurs Biochimie Blindage Boucle locale Bruit C blage EE Technologie de la d construction CIH R alit virtuelle augment e pour la conception architectural et technique Conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable Syst mes performants pour enveloppe de b timents NTIC Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique NTIC Batteries et gestion d nergie CPG Simulation CIH Le b ton performances optimis es Les techniques des travaux souterrains EE Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires MC Proc d s biotechnologiques et biomim triques de synth se de min raux et polym res TAE Compatibilit lectromagn tique NTIC R seau domestique num rique Technologies de boucle locale EE R duction des bruits NTIC R seau domestique num rique CAO Conception Assist e par Ordinateur CPG Multi repr sentatio
130. formes et la connaissance des mat riaux sont des points technologiques critiques importants Production Repr sentation et Gestion des processus de lusine num rique l impact du virtuel sur les technologies de production est noter La num risation des diff rents proc d s d une usine est envisag e pour faciliter l optimisation de l ensemble des flux de l usine ordonnancement des lignes de production gestion des ordres de production De m me les machines de production dites intelligentes sont capables de g rer leur rythme de production La t l surveillance des syst mes productifs surveillance de routine et diagnostics de dysfonctionnement et les syst mes d cisionnels corr l s moyens d action en cas de probl mes sont directement concern s par les Page 149 Le contexte par grands domaines olutions technologiques venir dans ce domaine Les capteurs et les actionneurs sont les l ments essentiels de ce type de m canisme l enjeu porte en particulier sur leur fiabilit et leur capacit de r sistance dans des environnements contraignants Capteurs intelligents Faire voluer les organisations Finalement c est encore une fois dans le domaine des sciences dites molles que de grands changements se profilent le plus sans qu il soit encore possible de pr ciser compl tement quoi ressemblera l organisation cible dans 10 ans Il reste certain que les notions parall les de manag
131. grandissante qu il nous faut promouvoir Par ailleurs dans un environnement g opolitique mondialis et sans cesse en mouvement il n y a plus comme par le pass de fatalisme technologique Les positions industrielles et commerciales ne sont plus aussi fig es dans le temps On peut avoir chou sur le d veloppement d une technologie et redevenir leader l tape suivante C est un peu ce que l Europe fait vis vis d Internet par exemple en faisant le pari de l UMTS Cette situation nouvelle peut para tre rassurante paradoxalement elle Page 3 souligne l importance pour nous tous acteurs conomiques et instances publiques de prendre r solument les risques indispensables mais ma tris s pour construire l avenir Ce rapport fait enfin ressortir des d perditions entre certaines performances scientifiques de notre recherche et les positions conomiques r elles de notre conomie Il nous appartient tous d infl chir nos priorit s pour att nuer ces carts en prenant soin lorsque cela est possible de construire des solutions de dimension europ enne c est dire l chelle des enjeux g n r s par la mondialisation des changes D sormais ces nouvelles perspectives ont vocation servir de vigie et de pierre angulaire dynamique dans la conduite de nos strat gies industrielles au niveau national en int grant les nouveaux champs technologiques dans nos priorit s au niveau r g
132. gt d application concern s Automobile Structures de voitures de Mat riaux Polym res et Transition d tats interactions entre Chimie des polym res A ronautique trains Carters r duction absorbants chocs lastom res phases transmission d branlements M canique B timent construction du bruit solidien Murs vibrations bruits Mat riaux Nouveaux mat riaux et nouvelles instationnaire Electro m nager anti bruit Cloisons temp rature structures mises en forme Acoustique D fense frigorifiques et internes D finition et r alisation de la Physique des mat riaux thermiques Isolants thermique sonore Ceinture de s curit Alliages l gers g om trie du mat riau et de l assemblage collage Mod lisation et caract risation des comportements absorbants Physique vibratoire Calcul Thermique G nie des proc d s Page 199 gt CM International 35 Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes DEGRE DE DEVELOPPEMENT Ces mat riaux r sistent la corrosion cas des r fractaires et ou conservent leurs propri t s m caniques r sistance au fluage la fatigue ventuellement aux chocs thermiques en milieux Technologie mergence croissance maturit extr mes Les mat riaux utilis s sont pour la plupart tr s difficiles mettre en uvre et leur fabrication recourt divers proc d s Applications ind
133. industrielles de la construction et de l habitat ne pourront pas rester l cart de la nouvelle conomie et de l int gration client fournisseur qui se d veloppe partout Page 96 Le contexte par grands domaines Architectes et ing nieurs conseils devront utiliser toutes les ressources de la r alit virtuelle afin de donner voir leurs clients comme aux ma tres d ivre leur vision du b timent construire R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique ils s appuieront sur les syst mes de communication et les agents intelligents afin d acc der aux informations en ligne des industriels qui leur offriront des produits modulables favorisant la personnalisation de leur offre Agents intelligents Ma tres d ivres et installateurs utiliseront toutes les ressources du commerce lectronique pour g rer leurs approvisionnements en flux tendus surtout ils seront reli s aux autres partenaires de leur consortium au chantier lui m me et aux contrema tres qui le supervisent travers des syst mes de travail coop ratif et travers des technologies de conduite int gr e des engins Enfin le facility management prendra un nouvel essor avec la mise en place d une carte m moire du b timent et la mise en ouvre syst matique des technologies de diagnostic du vieillissement des structures et des mat riaux Cette notion rejoint celle du Soutien logistique Int g
134. investir dans l immat riel Europe Forte moyenne faible inexistante Des op rations pilotes pourraient par exemple tre men es De nombreuses comp tences sont disponibles et mobilisables Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous Exemple de Domaines secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application concern s Industries Conception d organes de construction de Choix des mat riaux Mod lisation Caract risation du comportement en fonction des Sciences des m caniques et v hicules Optimisation des compl te de la sollicitations mat riaux de la Calcul de structures et d outillages masses transformation Retours d exp rience Calcul transformation Moules Optimisation de la des mat riaux et Connaissance des rh ologies Informatique des mat riaux maintenance int gration dans Validation et capitalisation des donn es sur les logicielle Simulation num rique des proc d s Acc l ration et des bases de mat riaux Chimie R alit virtuelle augment e pour la conception optimisation de la donn es Volume et co ts des donn es acqu rir et traiter Physique du architecturale et technique conception Communication entre bases de donn es de structure solide Ing nierie concourante Conception int gr e diff rente M canique Syst mes performants pour enveloppe de b timent P
135. l activit propre des quipes de recherche pilot es par les pouvoirs publics Ainsi des volutions scientifiques se dessinent et cr ent un espace de possibles qui seront investis ou pas par les industriels C est l un des enjeux du couplage industrie recherche La dynamique scientifique actuelle Les comp tences accumul es par les diff rentes quipes au fil des ann es constituent un capital qui a port ses fruits et qu il faut encore faire fructifier Ainsi pour les mat riaux m talliques les volutions scientifiques trouvent leur origine dans l volution des moyens d investigation et dans la capitalisation des connaissances acquises travers des mod lisations et des simulations de plus en plus pluridisciplinaires alliant physico chimie m canique et thermique et complexes Les techniques exp rimentales ont volu du niveau macroscopique au niveau atomique Les nouveaux moyens d investigation tels que les microscopes lectroniques en champ proche ou atomique ont g n r de nouveaux types de donn es telles que des images Ceci a permis le d veloppement du contr le non destructif CND et annonce une m tallurgie pr dictive La g n ralisation du recours la mod lisation et la simulation a grandement fait volu les connaissances sur le comportement m canique des mat riaux m talliques et a permis d am liorer leur conception MAO de ma triser l endommagement et la rupture et d optimiser
136. la dynamique du d veloppement technologique J en retire pour ma part trois le ons principales Le d veloppement technologique proc de d une alchimie sans cesse r nov e associant les progr s les plus r cents de la science le choix des technologies l mentaires les facteurs humains et sociaux ainsi que les strat gies des acteurs conomiques La performance du d veloppement technologique est dans une grande mesure d termin e par la connaissance et la ma trise de ces interactions Les technologies de l information et de la communication y sont dor navant omnipr sentes et les biotechnologies s annoncent comme porteuses de d veloppement consid rables Le facteur temps y est fondamental mais ne s exprime pas de la m me mani re selon les domaines technologiques La notion de verrou technologique s estompe au profit de la notion d architecture de technologies et de syst mes Un nouveau champ merge celui des technologies molles qui portent la nouvelle conomie du savoir et dans lesquelles les facteurs humains retrouvent la premi re place En d autres termes la seule ma trise scientifique d une technologie n est plus suffisante Les m thodes de conception d organisation de marketing de gestion des connaissances sont aussi importantes dans le succ s d une innovation que la technologie proprement dite Ce sont des approches pluridisciplinaires dans lesquelles les sciences sociales tiendront une place
137. les enjeux portent en particulier sur la transg n se les technologies douces qui regroupent des techniques comme les hautes pressions champs lectriques et champs magn tiques puls s la d marche de conception assist e des aliments ainsi que la qualification des r gulations m taboliques par l alimentation chez l homme et l identification de marqueurs Introduction Le domaine du vivant constitue aujourd hui un axe majeur pour la Soci t aussi bien en France qu l chelle internationale L explosion de la biologie mol culaire depuis les ann es 60 Prix Nobel de Watson et Crick en 1962 a permis des avanc es consid rables des connaissances des m canismes mol culaires et cellulaires Ces derni res ont permis le d veloppement d une industrie nouvelle biotechnologies dans des domaines tels que la sant humaine l agriculture l agro alimentaire ou la production industrielle de mol cules de base Les biotechnologies jouent donc aujourd hui un r le central dans un vaste champ d applications industrielles Elles sont galement tir es par une demande soci tale forte en particulier dans le domaine de la sant gu rir des maladies tels les cancers le SIDA la maladie d Alzheimer Ce d veloppement incontest touche cependant de plus en plus fr quemment aux questions d thique et des choix propos s par des Comit s d Ethique nationaux sont progressivement faits notamment en Euro
138. leurs co ts de maintenance en am liorant la s curit Apr s la formidable avanc e sur la maintenance pr ventive les industriels aspirent une maintenance pr dictive qui consisterait mesurer le taux d usure et ne d clencher des interventions que lorsque les c tes d alerte seraient atteintes Cette maintenance pr dictive est aujourd hui Page 89 Le contexte par grands domaines accessible des outils d instrumentation et de calcul suffisamment puissants tant disponibles Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages Le d veloppement de l ing nierie des surfaces rev t de nombreux aspects caract risation des propri t s et fonctionnalisation des surfaces rev tements de surface multifonctions mais aussi les technologies propres en traitement et rev tement des mat riaux Ing nierie des surfaces L utilisation des technologies de prototypage rapide devrait permettre de fabriquer directement partir de mod les num riques des pi ces m talliques en petites s ries Fabrication partir de mod les num riques de pi ces m talliques industrielles en petites s ries Les proc d s de mise en uvre de la mati re molle peuvent tre am lior s Proc d s de mise en uvre et de formulation de la mati re molle D velopper de nouvelles propri t s pour faire face aux nouveaux usages Les mat riaux dits adaptatifs actifs intelligents ou encore smar
139. logicielles de l informatique distribu e On vise ici le middleware de l informatique distribu e sachant que les technologies logicielles n cessaires au transport physique des donn es en sont le compl ment naturel Le d veloppement de l informatique distribu e est une tendance lourde qui se trouve au c ur des volutions en cours dans des domaines aussi divers que l organisation interne de l entreprise le commerce lectronique ou le pilotage des diff rents organes d une automobile Or ce d veloppement entra ne la connexion sur les r seaux de machines de syst mes d exploitation et d applications tr s diff rents La m me h t rog n it se retrouve dans les donn es chang es Dans ce contexte il faut pouvoir faire appel distance aux fonctions et aux donn es de n importe quelles applications sur n importe quelle machine Tel est l objet du middleware Ce type de logiciel sert la fois d interm diaire entre les applications logicielles diff rentes et de tampon entre le logiciel d application et l architecture du r seau qu il essaie de rendre transparente Le middleware doit galement permettre de garantir l volutivit du syst me d information et de rajouter de nouvelles applications sans remettre en cause l existant tant au niveau mat riel que logiciel Entre autres points technologiques critiques du middleware de l informatique distribu e on citer
140. lourde est compos e de 2 sous secteurs la chimie min rale qui utilise essentiellement l eau l air le sel le soufre et les phosphates pour produire de l acide sulfurique et ses d riv s des produits obtenus par lectrolyse comme le chlore ou la soude des gaz comprim s et des produits plus labor s comme les engrais et la chimie organique qui traite principalement de la p trochimie et de son aval les mati res plastiques le caoutchouc synth tique et les lastom res Les grands interm diaires de la chimie organique sont notamment l thyl ne le propyl ne le butadi ne le benz ne l thanol l ac tone Pour sa part la chimie fine labore des mol cules complexes issues d un processus de recherche et d veloppement partir des produits de la chimie lourde notamment des grands interm diaires et aussi d extraits v g taux ou animaux Elle en effectue la production par de nombreuses r actions chimiques en s rie Les produits obtenus en Page 79 Le contexte par grands domaines quantit s beaucoup plus modestes que dans la chimie lourde peuvent tre tr s co teux comme par exemple les principes actifs des m dicaments La parachimie correspond la fabrication des produits poss dant des propri t s bien d finies pour un usage sp cifique savons et d tergents produits de beaut peintures laques vernis et encres produits d entretien colles et adh sifs produits de protection des pla
141. mat riaux absorbants design la r duction active du bruit qui permet d initier un bruit particulier qui annule le bruit produit par l infrastructure Liens mat riaux absorbants de chocs de vibrations de bruit de chaleur b ton performances optimis es mat riaux composites pour les routes capteurs intelligents am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence naissance maturit g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte L moyenne faible inexistante forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte moyenne faible inexistante forte L moyenne faible inexistante Exemples de secteur Domaines scientifiques d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques concern s Transports Att nuation du bruit R duction des Roulement Analyse acoustique Ondes sonores Infrastructures en milieu industriel bruits Traitement actif anti Contr le actif Dispositifs actifs B timent Maurs anti bruits bruit Ma trise des vibrations lectronique Industrie ateliers Chauss es Traitement passif Mod lisation des e
142. mat riaux et des assemblages pendant leur dur e de vie am liore la disponibilit et DEGRE DE DEVELOPPEMENT am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux la fiabilit des syst mes qui les incorporent et r duit leur co t d exploitation La caract risation et la surveillance de l endommagement n cessitent la mise en place de m thodes et de moyens de contr le capteurs notamment elles comprennent la Technologie mergence croissance maturit surveillance des l ments constitutifs d un syst me la description de l volution de leur vieillissement la surveillance de leur taux Applications industrielles et commerciales naissance L diffusion g n ralisation d endommagement et la synth se de ces diff rentes informations Cela permet entre autres la pr vention de pannes subites La maintenance d une installation n est donc plus faite de fa on curative c est dire apr s apparition d une panne mais de fa on POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE pr ventive Ce suivi est demand par la r glementation en France forte moyenne faible inexistante particulier pour des questions d environnement et contribue la s ret de fonctionnement Son d veloppement passe par la mise au Europe forte L moyenne faible inexistante point de capteurs et de m thodes permettant si possible de retracer l historique des sollicitations
143. mes sur puce carte puce capteurs d image tc9 m moire m moire de masse tc4 lectronique de puissance texx etc Il s agit en permanence d augmenter les performances vitesse nombre de transistors int grables sur une puce tout en am liorant les autres param tres prix consommation nerg tique ce qui impose de r duire la taille des dessins en de de O 1u actuellement 0 12 en DRAM et 0 15 en CMOS logique et d augmenter la taille des puces d ploiement des unit s de production en 300 mm les composants hyperfr quences tc5 et les composants opto lectroniques tc6 compl mentaires des composants silicium leurs applications sont plus sp cialis es mais prennent une importance croissante notamment en t l communications t l phonie mobile radiocommunications large bande et t l communications optiques A ces domaines concernant strictement la micro lectronique il convient de rajouter les microsyst mes microcapteurs ou actionneurs avec traitement du signal int gr qui rel vent des mircotechnologies tc2 901 Les principaux enjeux technologiques rel vent Page 70 Le contexte par grands domaines gt des technologies de base mat riaux nouveaux substrats silicium Sol tcl mat riaux II V AsGa InP SiGe tc5 opto lectronique tc6 etc quipements de production technologies de gravures fluides ultrapropres tc7 gt des technologies de conc
144. mesurables sur le produit fini en cours de fabrication ou la conception Cela permet d s la conception d adapter les caract ristiques sensorielles des produits aux go ts des POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE consommateurs et de contr ler la qualit des produits fabriqu s Cela a un impact non n gligeable sur le choix des mat riaux France forte moyenne faible inexistante utilis s dans la fabrication des produits peintures lectrom nager informatique cosm tique Le design sensoriel fait appel des Europe forte moyenne faible inexistante m thodes statistiques multidimensionnelles profil sensoriel profil id al cartographie des pr f rences des capteurs des syst mes comportementale En France l utilisation de ces technologies reste limit e aux grands groupes industriels Des structures de diffusion France forte moyenne faible inexistante devraient tre soutenues pour les rendre accessibles aux PME Europe forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous ergonomie de l interface homme machine outils de personnalisation de la relation client repr sentation de Exemples q 7 recteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines des d application concern s Tourisme Conception et am nagement Fa
145. minist re de l conomie des finances et de l industrie www telecom gouv fr 1 Contexte g n ral des TIC 1 1 Un secteur en forte croissance dont l impact conomique est majeur Le secteur des technologies de l information et des communications TIC rassemble des technologies l origine s par es qui du fait de la num risation des contenus et des services sont aujourd hui troitement li es informatique t l communications lectronique Ce secteur s articule autour de trois grands domaines d activit l informatique les t l communications l audiovisuel auxquels on adjoint galement des domaines plus sp cifiques savoir l lectronique professionnelle et les composants Les services repr sentent une part importante de ces activit s en terme de chiffre d affaires et plus encore d emplois le p rim tre exact varie suivant les tudes notamment au niveau des services audiovisuels La diffusion des TIC est aujourd hui un enjeu majeur pour la croissance et la comp titivit des conomies On constate depuis 5 ans que les march s li s aux TIC connaissent un rythme de d veloppement dans toutes les zones conomiques de l ordre de 10 par an Dans un contexte de march aussi porteur la place du secteur des TIC dans l conomie tend se renforcer En France on estime que les TIC services et industries confondues repr sentaient 5 du PIB en 1998 soit davantage que les secteurs de l automobile et de l nergie r
146. moniteur transactionnel organisant l acc s concurrent aux donn es ainsi que des outils n cessaires la recherche de l information fonction indexation fonction requ te d interrogation et fonction Europe forte fabe inexistante pr sentation Les r seaux de distribution des contenus multim dia CDN Content Delivery Network n cessitent la mise au point de serveurs interm diaires ou serveurs caches permettant la d centralisation de la gestion des flux et l interfa age optimis des contenus stock s et des requ tes des A DP a France forte en oo faible inexistante utilisateurs Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Europe fote fabe inexistante Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines secteur scientifiques d application concern s T l com Fourniture d acc s Internet Prise en compte d un tr s Grands Gestion du parall lisme sur Informatique munications Applications en ligne ASP application service providers grand nombre de transactions serveurs les syst mes d exploitation g n rale M dias Data warehouses y compris sur du contenu disponibles NT linux Informatique D fense Commerce lectronique multim dia Architectures parall les et logicielle Tous secteurs Consultation Internet de donn es multim dia films Ex
147. moyens de faire voluer les organisations Liens autres que les mentions en POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL italiques de la grille ci dessous m thodes de marketing li es l utilisation des TIC outils de France forte moyenne faible inexistante personnalisation de la relation client outils d aide la cr ativit repr sentation et gestion des processus de l usine num rique supply E f be Forte Mmovenn faible ue chain management soutien logistique int gr P y Exemples P Sadi emples de 5 Fonction ax Domaines scientifiques secteurs Exemples d usage Technologie Points technologiques critiques 7 A s remplie concern s d application Tous secteurs Int gration de syst mes Informatique logicielle Gestion de projets Am liorer les M thodes d analyse des co ts d activit projet v hicule syst mes Indicateurs de performance h t rog nes Techniques de gestion projet train d organisation Gestion de projet Int gration et consolidation des Sociologie des D veloppement et gestion Ing nierie simultan e co ts organisations de produits industrielle Flexibilisation Echanges de donn es Gestion de l Innovation Gestion de la Machines agiles techniques syst mes Optimisation cha ne de Gestion des flux d information Automatique production et Techno logicielles de l informatique distribu e Int
148. multifonctionnels et simples d utilisation le village plan taire un sentiment de s curit Ces lignes de force ont naturellement un impact important sur les modes de production industrielle La personnalisation de la consommation L individualisation du rapport du consommateur au produit consomm est une tendance forte n e au d but de si cle Elle signale le passage de l individu la personne Elle marque le d sir du consommateur de consommer des produits r pondant ses propres valeurs son histoire personnelle le client est unique Ainsi l offre de produits se segmente de plus en plus finement pour r pondre aux exigences de chaque client Deux segments de consommateurs sont particuli rement repr sentatifs de cette volont de personnaliser l approche client les seniors qui repr sentent un march en forte croissance pour les prochaines ann es tant en France que dans les autres pays europ ens et la client le f minine qui a permis aux industriels d largir leurs gammes de produits traditionnellement destin es aux hommes par exemple pour le bricolage les v hicules automobiles Si le client est unique il attend donc un produit sur mesure qu il peut lui m me concevoir selon ses go ts et ses besoins Ainsi l interactivit d j pr sente dans des loisirs travers les jeux vid os s tend l ensemble des produits de consommation comme les articles de sport les art
149. niveau national et international C est ainsi que peut s interpr ter le recul des gains de productivit et le ch mage de masse qui ont marqu les trente derni res ann es Le fameux paradoxe de la productivit la diffusion des technologies de l information ne s est pas accompagn e d une reprise significative des gains de productivit s expliquerait ainsi par le d lai n cessaire l adaptation des modes de fonctionnement de l conomie la nouvelle technologie cl La reprise conomique actuelle serait donc le signe de l ach vement progressif de cette phase d adaptation Le mouvement de d r glementation les nouvelles pratiques Page 32 Introduction organisationnelles des entreprises le renouvellement des mod les de consommation ont d sormais atteint un degr suffisant de maturit pour que le potentiel de croissance associ aux technologies de l information se r v le pleinement La nouvelle conomie s appuie donc sur un ensemble d industries motrices informatique semi conducteurs t l communications logiciels services informatiques Ce secteur composite des technologies de l information p se de plus en plus lourd dans l activit des pays industrialis s On estime qu il est aujourd hui l origine de pr s de 10 du PIB am ricain et sa contribution la croissance conomique est valu e environ 17 depuis 1980 Le poids conomique de ce secteur est encor
150. niveaux de profondeur les manifestations les plus spectaculaires n tant pas n cessairement les plus clairantes sur le sens donner aux volutions en cours Sch matiquement nous sugg rons d identifier trois tages dans la fus e nouvelle conomie Le premier tage est compos de la net conomie Il est le plus visible celui qui retient le plus l attention des observateurs des d cideurs et du grand public Il n en constitue pas moins la couche sans doute la plus superficielle des transformations associ es la nouvelle conomie Le deuxi me tage de la fus e correspond l ensemble des technologies de l information et de la communication les TIC Les effets de la diffusion de ces technologies dans l ensemble du syst me conomique et social sont consid rables et m nent une transformation radicale de la mani re de produire de distribuer et de consommer les richesses Cette grappe technologique constitue le facteur cl d un nouveau paradigme techno conomique d un nouveau r gime de croissance Le troisi me tage de la fus e probablement celui qui propulse l ensemble est beaucoup plus abstrait Il correspond l id e que les moteurs de la croissance conomique ainsi que les ressorts de la comp titivit des entreprises ont progressivement volu au cours des derni res d cennies au profit de fondements cognitifs Une grande part des mutations intervenues dans l
151. notion de compatibilit entre les syst mes est un enjeu transversal technologique fort La restitution des informations r pondre aux exigences de tous revient tre capable de formuler des r ponses individualis es pour chacun tout en restant coh rent Par exemple un designer ne demandera pas avoir la m me repr sentation d un v hicule que l ing nieur charg de la conception de son moteur et cependant ils travaillent sur le m me produit et leurs actions doivent tre coordonn es la multi repr sentation d un m me objet mais sous divers angles pour tre utile aux acteurs qui elle s adresse est donc un objectif technologique majeur La multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation A fortiori dans un environnement international et multi culturel les barri res la compr hension mutuelle sont importantes Outre la repr sentation d objets la simulation des comportements humains est galement cruciale notamment la compr hension des perceptions humaines Simulation mod lisation du comportement humain dans le poste de travail face au produit Par exemple comment mettre au point des machines qui seront faciles utiliser par tous avec des manuels d utilisation clairs pour toutes les cultures et un service apr s vente pratique pour tous Comment appr hender les besoins individuels et en d duire des produits idoines Comment assurer une capitalisation des connaissances c
152. offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle MC Mod lisation mol culaire des polym res NTIC Objets communicants et autonomes Syst mes d exploitation contraints Ing nierie linguistique et technologies vocales Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes NTIC R seau domestique num rique S curit Cryptologie TAE V hicule intelligent et communicant CPG T l surveillance de syst me productif distance Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique AA Criblage de mol cules actives BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC Les agents intelligents NTIC Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur G nie logiciel et mod les de composants logiciels Agents Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique CIH Off shore grands fonds NTIC Ing nierie linguistique et technologies vocales Transmission temps r el de contenus multim dia TAE Compatibilit lectromagn tique NTIC Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur CPG Outils d aide la gestion de la relation client BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC NTIC Ing nierie linguistique et technologies voca
153. partie et multiplexage architecture lectrique valuation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages Page 267 Exemples de secteur y Fonction F i Domaines scientifiques Sibus Exemples d usage Technologie Points technologiques critiques x d application remplie concern s Productique et tous Robotique mobile en milieu hostile S ret Technologies Capteurs intelligents Informatique secteurs industriels Outils de gestion et d valuation des des logicielles pour les Mesure et test de syst mes logicielle utilisateurs risques environnementaux et sanitaires syst m syst mes temps r el Robustesse fiabilit et insensibilit Informatique Robotique V hicules intelligents et es ou contraint l environnement du mat riel capteurs g n rale Transports communiquants R seaux de micro contr leurs processeurs mat riel Preuve formelle T l communications Repr sentation et gestion des communication informatique actionneurs Electronique S curit processus de l usine num rique d terministes Syst mes reconfigurables Mod lisation D fense Conduite de centrale Interface homme machine Automatique Spatial Commande de robots Connaissance des modes de d faillance Pi zo lectricit Sant Commande d atelier Mise au point des modes d grad s M catronique Energie Suspension direction freinage pilot s Mod lisation de mat riaux en service Electromagn tisme
154. plan Anti bruit La demande soci tale est galement tr s forte vis vis de l autre nuisance de confort que constituent les odeurs D tection et traitement des odeurs Optimiser la gestion des d chets Au d but des ann es 90 les d chets sp ciaux ou dangereux taient encore seuls soumis une r glementation rigoureuse Cette r glementation s tend depuis aux autres d chets qu ils soient ordures m nag res ou d chets industriels banals Par exemple la loi de juillet 1992 pr voit l limination des d charges d ici 2002 hormis les centres de stockage des d chets ultimes Cette loi va dans un premier temps dynamiser l utilisation de technologies permettant d une part la r duction du stock par traitement des d chets leur phase ultime mais aussi leur stabilisation et donc l assurance d un stockage efficace sur la dur e Sfabilisation en vue du stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets m nagers et industriels Au del cette loi va de fait g n rer des volumes de d chets importants non stockables l enjeu est donc aujourd hui d identifier court terme de nouvelles fili res de valorisation de ces d chets de la destruction la valorisation mati re Recyclage des mat riaux sp cifiques Technologies de la d construction mais aussi long terme de limiter et d optimiser la production de d chets en quantit et qualit r duction la source Ainsi le minist re d
155. porter ici sur la compr hension du ph nom ne supraconducteur haute temp rature encore mal connu et mal caract ris Les enjeux technologiques Les enjeux technologiques se situent la fois au niveau des proc d s d laboration et de mise en uvre des mat riaux au niveau de la recherche de nouvelles propri t s et de l am lioration de la productivit de la recherche Industrialiser ma triser et imaginer les proc d s d laboration des mat riaux Il s agit de ma triser l laboration des mat riaux par le d veloppement de la surveillance intelligente des proc d s Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre des mat riaux de mettre au point des proc d s d laboration pour les composites matrice organique les alliages de polym res Elaboration de composites matrice organique Alliages de polym res d industrialiser les proc d s de synth se industrielle pour les mat riaux mergents Nanocomposite et renforts nanom triques d imaginer des nouvelles voies de synth ses par exemple biotechnologiques Catalyseurs Proc d s biotechnologiques et biomim tiques de synth se de min raux et polym res Am liorer la mise en uvre des mat riaux Il s agit de d velopper les technologies de caract risation et de suivi de la corrosion et de l endommagement des mat riaux L industrie des transports du b timent ou encore celle du nucl aire cherchent r duire
156. pour Adressage la s curit des Confidentialit r seaux Anonymat Contr le d acc s Int grit des donn es Certification non r pudiation Tra abilit Audit Autorisation ou non de duplication Protection de la propri t intellectuelle Page 179 publiques Electronique Protocoles Informatique SSL Secure Socket Layer logicielle SET Embrouillage Cryptage Watermarking Tatouage Signature lectronique CM International 21 Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Le rapport du RNRT sur l Internet du futur a insist sur le caract re prioritaire du rapprochement entre l information et son usage gr ce l interm diation Internet doit ainsi permettre de partir de sources d information h t rog nes pour r pondre presque individuellement des besoins diversifi s Sur le plan technique le d veloppement d Internet qui passe notamment par celui de l interm diation et de l int gration de services ainsi que par la qualit de service sur IP n cessite la mise au point et la mise en uvre aspects relevant de technologies d j voqu es par ailleurs en particulier l administration des flux d information distance en int grant les voies de routage et de filtrage des flux IP le contr le d acc s des r seaux de serveurs interm diaires ou serveurs caches permettant la diffusion optimale des contenus multim dia
157. premier cas int ressant est celui o la position scientifique et technique est l oppos e de la position industrielle et commerciale C est par exemple le cas de la simulation num rique des proc d s des supraconducteurs de l imagerie m dicale ou des r tines de prise de vue ou encore de la mod lisation mol culaire des polym res Un tel constat aurait sans doute conduit dans le pass ne pas retenir cette technologie parmi les technologies cl s car les chances de r ussite auraient paru trop faibles Aujourd hui il a t estim que la fluidit des positions de march tait beaucoup plus grande et que la mobilit et l adaptabilit de certaines entreprises fran aises et europ ennes taient suffisantes pour leur permettre d acqu rir soit les bases scientifiques ou techniques soit les capacit s de production n cessaires lorsqu elles en auront besoin la condition naturellement d en avoir l ambition et la ferme volont strat gique Un autre cas int ressant est celui o il est fait tat d une technologie en mergence alors que la position industrielle est jug e moyenne ou forte C est par exemple le cas du Soutien logistique int gr du design sensoriel de la tra abilit ou de la chirurgie assist e par ordinateur Cela signifie simplement que certaines entreprises disposent des moyens humains financiers et technologiques pour s int resser
158. produit dans une perspective de service total au client en appr hendant mieux la demande La repr sentation de la perception du consommateur en int grant mieux la dimension humaine la fois au niveau des utilisateurs finaux comme celui des op rateurs qui seront amen s fabriquer un produit tout cela multiplie la complexit de l environnement de travail des concepteurs De m me les syst mes de gestion et de production des entreprises notion de cha ne logistique capitalisation des connaissances organisation de la production en fonction de la demande induisent des probl matiques de gestion de donn es de plus en plus complexes Supply Chain Management Il s agit en effet de d velopper la capacit prendre en compte des param tres qualitatifs et quantitatifs tr s vari s correspondant aux besoins d un environnement multi acteurs et multi t ches dans une logique d int gration croissante de ces acteurs et activit s Ainsi dans une logique de Soutien Logistique Int gr la conception d un produit doit inclure les notions de co ts de service apr s vente de cycle de vie du produit de mati re n cessaire de cha ne de production L int gration de ces donn es tr s h t rog nes pose n cessairement des probl mes Soutien Logistique Int gr Volume des informations traiter et donc s lectionner classer archiver utiliser ternel probl me des entreprises le volume des informations disp
159. projectic on de et la recherche de flexibilit en supprimant des tapes de r alisation des produits Il subsiste de nombreux probl mes tels que la pr cision la porosit et l tat de surface des pi ces obtenues Favoriser les partenariats entre concepteurs et utilisateurs ainsi que la cr ation de start ups partir de laboratoires pourrait contribuer multiplier les applications et d velopper l offre Liens Prototypage rapide DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciale mergence croissance zauri J diffusix g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQU ET TECHNIQUE rance Europe POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL rance Europe fore moyenne Mame inexistante fone faible inexistame Exemple de secteur SD Exemples d usage applicatif Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaine scientifique critiques concern M canique de petite s rie Prototypes Outillage pr s rie s ries partir de Laser Pi ces m caniques sp ciales Production Moules mod les num riques urgie des poudres Compression isostatique chaud Collage frittage M tallurgie Optique laser Thermodynamique Apport de mati res Apport local d n Probl mes des pi ces de grande dimension Pr cision dimensionnelle Di
160. que les mentions en italiques de la grille ci dessous formalisation et gestion des r gles Technologie Applications industrielles et commerciales E croissance diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE maturit France fone fibe fone fibe POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL inexistante inexistante France forte fore Page 191 fibe fibe inexistante inexistante gt CM International Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines secteur scientifiques d application concern s Industrie du Techno logicielles pour les Productivit G nie logiciel Ing nierie des composants Informatique logiciel syst mes temps r el ou Fiabilit notamment Caract risation et description de composants logicielle Tous contraint Interop rabilit d veloppement Assistance la construction au d ploiement et l assemblage Preuve secteurs Techno logicielles de Facilit de base de de composants formelle utilisateurs l informatique distribu e conception de composants Test validation et v rification des composants approches Mod lisation de logiciel Syst mes auteurs pour la test de mise en logiciels formelles et semi formelles preuves et simulations cr ation de contenu uvre de R utilisation de composants multim dia maintenance Composants haut niveau de s curi
161. riaux L am lioration et la complexification des proc d s d laboration et de mise en uvre des mat riaux demandent de d velopper une DEGRE DE DEVELOPPEMENT capacit de pilotage intelligent gr ce au d veloppement de mesures et mod les op rationnels il s agit en fait de d velopper des Technologie mergence croissance maturit mesures et des mod les op rationnels pour le pilotage des proc d s dans l optique de respecter des consignes ou proposer l op rateur Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation des strat gies d adaptation Ceci permet l am lioration de la qualit des produits ainsi que la r duction des cycles de mise en uvre Ces d veloppements n cessiteraient de faire travailler ensemble POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE diff rents sp cialistes autour de projets pluridisciplinaires Il y a aujourd hui un d ficit en formation et en laboratoires de recherche France forte L moyenne faible inexistante travaillant sur ce th me Il serait n cessaire de financer des actions concert es entre industriels et recherche publique et ou de favoriser Europe forte moyenne faible inexistante des regroupements d industriels sur ce th me et ou d inciter les industries hi tech investir sur ce th me POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL
162. s acoustiques barri res aux gaz r duction du poids mise en uvre facile Autres points critiques Ma trise des co ts Ma trise de la fabrication Page 196 CM International 32 Nanocomposites et renforts nanom triques Il s agit de mat riaux ou de charges de taille nanom trique qui ont ou conf rent des propri t s nouvelles voire inattendues La tr s DEGRE DE DEVELOPPEMENT faible taille des particules a deux cons quences majeures ces mat riaux sont quasiment sans d faut et les effets de surface y Technologie mergence croissance maturit prennent le pas sur les effets de volume Les nanotubes de carbone fuller nes en tr s faible quantit 1 conf rent ainsi une tr s Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation grande r sistance et rigidit aux r sines auxquelles ils sont associ s dans des composites Par l organisation des macromol cules dans l espace ils bloquent la d formation Ils leur conf rent par ailleurs POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE une conductivit lectrique qui multiplient les usages effet cage de Faraday antifoudre blindage lectromagn tique Leur France forte moyenne faible inexistante mergence est li e aux progr s des m thodes d observation Le probl me actuel est majoritairement celui de l industrialisation il Europe forte moyenne faible inexist
163. s aux produits La diffusion des TIC est donc un Page 56 Le contexte par grands domaines objectif strat gique pour la croissance la comp titivit prix et la comp titivit hors prix des conomies Pour autant un pays qui ne serait que consommateur de ces technologies ne profiterait que partiellement des opportunit s qu elles offrent L exemple am ricain et les centaines de milliers d emplois qui y sont cr s dans ce secteur t moignent de l importance d une bonne ma trise de l offre En la mati re la France dispose d un certain nombre d atouts notamment dans l industrie des t l communications celle des composants ou encore dans le domaine des services informatiques ou celui des t l communications L industrie fran aise occupe dans ce secteur le 4 rang mondial derri re le Japon les Etats Unis et l Allemagne Page 57 Le contexte par grands domaines CA en milliards Les TIC ont dr 1997 deutos En es ont engendr en mie ARTE chiffre d affaires de 128 milliards l l communications 39 31 d euros Avec 63 milliards d euros dont industrie 13 10 les entreprises industrielles dont services 26 21 repr sentent 12 de l industrie Informatique 37 29 manufacturi re Les services dont industrie 13 10 repr sentent 65 milliards d euros 24 1 soit 20 des services marchands dont Sery Ices 9 hors commerce transports et Communication 39 30 activit s financi res dont i
164. satisfaction d un besoin et d une demande Page 278 Annexes Au del le client contribue m me fa onner l application de la technologie et donc l innovation travers un processus tout la fois interactif et it ratif entre offre et demande en qu te d une meilleure compr hension des besoins pour affiner les sp cifications et le cahier des charges des concepteurs et des d veloppeurs Ce faisant le client qu il s agisse du client consommateur final ou du client industriel aura pris une place m rit e dans cet exercice de prospective technologique Des technologies carrefours Les technologies recens es ici sont finalement au moins autant des technologies carrefours que des technologies cl s L exercice pr c dent avait plut t identifi des technologies cl s en ce sens que chacune tait incontournable mais d une certaine fa on assez ind pendante des autres Le pr sent travail aura recens des technologies certes importantes intrins quement mais surtout fortement interd pendantes La grille de caract risation des technologies telle que nous l avons utilis e et les fiches de synth se que nous avons labor es soulignent ces liens et cette transversalit Mais il nous faut souligner galement que nous pensons que ce ne sont pas tant les outils utilis s dans la d marche que la r alit m me des technologies qui a chang Les technologies que nous avons recens es ici so
165. scientifiques critique concern s Cosm tique dosage diffusion pharmacie m dicament contr l e micro mol cules Chimie confinement confinement encapsulation cages mol culaire pollution l ments contr l d chets polluants Ainsi la technologie cl de la micro encapsulation rel ve t elle de la mise au point de mol cules cages et celle ci mobilise les comp tences scientifiques des laboratoires de chimie mol culaire De l autre c t on voit que cette technologie permet de s attaquer d une part au probl me de la diffusion Page 44 Introduction contr l e susceptible d tre exploit e dans des applications de la pharmacie diffusion des m dicaments de l agroalimentaire ou du textile et d autre part au probl me du confinement contr l et donc la r solution de probl mes de pollution ou de traitement de d chets notamment nucl aires Autres exemples Secteurs Exemple Fonction Technologie Points techno Domaines d application d usage remplie critiques scientifiques concern s Cosm tique Dosage Diffusion Micro Mol cules cages Chimie Pharmacie m dicament contr l e encapsulation mol culaire Pollution confinement Biens Electrom nager Assemblage Collage Polym res Physico chimie d quipement et automobile stables des interfaces consommation Environnement production mat riaux Sant T l mobile Microcapteurs
166. sentent pr s de 10 du chiffre d affaires contre seulement 3 pour l ensemble de l industrie La capacit des pouvoirs publics et des entreprises maintenir un effort de recherche substantiel est donc prioritaire 1 2 Les nouveaux march s Internet mobiles et commerce lectronique en France Tous les indicateurs t moignent qu aujourd hui la France a pris le virage des NTIC m me si les pays les plus avanc s dans l utilisation d Internet conservent une avance estim e entre 1 et 2 ans A Internet le nombre d internautes a doubl tous les ans depuis 1997 pour atteindre environ 6 millions au premier trimestre 2000 61 des PME entre 6 et 200 salari s sont aujourd hui connect es l Internet contre seulement 40 en 1998 progression du nombre de sites Web en fr source AFNIC RIPE mois d avril de l ann e consid r e 1996 3 300 1997 9 000 1998 20 000 1999 40 000 2000 68 000 juillet 2000 87 000 estimation des domaines d organismes fran ais dans le domaine com plus de 40 000 Page 58 Le contexte par grands domaines Taux d quipement en micro informatique des foyers moyenne fran aise Equip s micro ordinateur 21 1 Equip s modem 6 6 Equip s acc s Internet 4 7 contre 20 aux USA Lieu de connexion des internautes 1999 au travail 52 4 domicile 39 7 dans un autre lieu 36 0 coles universit s cybercaf s biblioth ques
167. ses proches touch par les effets de la pollution De plus en plus d automobilistes se disent pr ts agir pour limiter la pollution de l air G Hatchuel et JP Loisel Consommation et Modes de vie n 125 mars 1998 7 Cette mesure est d j en place en Europe et sera appliqu e au Japon partir d avril 2001 8 Enqu te Consommation Cr doc Page 27 Introduction L achat de produits verts en France Allemagne Royaume Uni et Italie Vous arrive t il d acheter En de r ponses affirmatives France Allemagne Royaume Uni Italie Base 1006 Base 506 Base 500 Base 501 Des produits de l agriculture biologique 44 4 70 0 49 6 53 8 Des produits biod gradables pour le m nage 72 0 84 6 62 8 85 0 Des co recharges 67 1 87 4 72 2 73 9 Du papier recycl 70 9 82 8 72 8 60 6 Des produits alimentaires en vrac 31 9 51 4 50 6 33 0 Des ampoules conomie d nergie 46 7 64 6 44 4 65 8 Enqu te Cr doc 1998 Des entreprises non polluantes et des produits propres Simultan ment les attentes en mati re cologique impliquent un droit de regard sur le comportement de l entreprise Les entreprises consid r es comme polluantes sont de plus en plus montr es du doigt par les consommateurs Ces exigences entra nent le plus souvent des modifications dans les strat gies des entreprises notamment les multinationales Les r cents changements strat giques de Coca Cola s expliquent en partie
168. son paysage fortement restructur depuis une vingtaine d ann es le vieillissement et la r duction de la taille des foyers dus une baisse du nombre des naissances commencent ainsi peser substantiellement sur les comportements de consommation Le vieillissement de la population Le vieillissement de la population coupl avec l allongement de la dur e de vie a augment et augmentera encore le poids des seniors dans la population totale En 2020 les plus de 60 ans p seront pour plus d un quart dans la population totale 26 8 contre 20 4 aujourd hui De plus alors qu aujourd hui les plus de 75 ans ne repr sentent qu peine un quart des plus de soixante ans ils constitueront pr s de la moiti de cette population l horizon 2050 Avec l allongement de la dur e de vie et la faiblesse de la natalit la population vieillit et avec elle la population g e vieillit galement Le vieillissement de la population En 1950 moins de 200 centenaires en France En 2000 de l ordre de 8 000 Il y en aura de l ordre de 150 000 en 2050 Une population consciente des apports des nouvelles technologies Lorsqu on leur demande de se projeter dans un avenir qui les concernera personnellement c est dire environ 10 ans les seniors ne montrent pas de r sistance particuli re l irruption des derni res technologies dans leur vie quotidienne Ils sont aussi nombreux que la moyenne et qu
169. supports filaire hertzien satellite Diversit des terminaux Distribution one to many Page 176 Points technologiques critiques Anticipation des allocations de ressource de bande passante r servation de capacit pour la transmission IP de voix t l phonie images fixes et anim es haute d finition et diffusion temps r el vid o de haute qualit Compression d compression MPEG2 MPEG4 Codage ondelettes fractales MPEG 21 Multicast Protocoles adapt s au contenu multim dia Protocoles dynamiques adaptatifs CORBA temps r el Caches gestion de buffers Synchronisation audio vid o Outils d administration des r seaux dont routage filtrage gestion des flux vid o tol rance aux pannes gestion des alertes administration distance des serveurs d centralis s Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Domaines scientifiques concern s Informatique logicielle Electronique T l com munications CM International 19 R seau domestique num rique Les technologies num riques vont permettre l interconnexion par l interm diaire du protocole Internet IP de diff rents appareils dans la maison autour de diff rents clusters TV DVD HiFi PC et p riph riques appareils m nagers Les principaux facteurs de succ s technologiques sont une liaison physique simple d installation sans fil ou exploitant au mieux les c blages ex
170. technologies qui fait l objet du prochain chapitre 13 Dr Hack BMBF Allemagne Page 42 Introduction 1 5 Caract risation des technologies cl s retenues Page 43 Introduction La grille de caract risation des technologies cl s retenues La pr sentation du concept En r fl chissant la nature d une technologie cl il est apparu que ce concept se situait au point de rencontre de deux approches la premi re scientifique et technique permet par la ma trise d un domaine technique plus ou moins ample de r soudre une difficult identifi e et donc d apporter un l ment compl mentaire de comp titivit ceux qui seraient m me de b n ficier de cette avanc e la seconde approche de nature conomique est celle qui permet la r ponse un besoin par la mise en application de cette avanc e technologique par des entreprises au contact de march s dont elles s efforcent de contr ler des parts croissantes Dans un premier temps une approche matricielle croisant les deux perspectives a t tent e La complexit du r sultat obtenu a fait choisir une approche plus lin aire la technologie cl devient alors la charni re dans la cha ne complexe d acteurs qui relie les experts d un domaine scientifique aux responsables d une entreprise de nature conomique La double arborescence Il est donc propos de consid rer que chaque technologie cl se trouve au confluent de deux
171. tements actuels et innovants Suivi dans le temps des caract ristiques des rev tements par des syst mes de mesures grands rendements D finition des caract ristiques les plus pertinentes vis vis de la s curit du confort de l environnement Mesure rapide sur site de ces caract ristiques de pr f rence par des syst mes sans contact embarquables sur v hicules Caract ristiques de surface des rev tements routiers Caract risation des propri t s d terminantes adh rence confort dynamique mission acoustique coulement de l eau en relation avec les syst mes de mesures envisageables Mesures distance par mission r ception et traitement de signal Physique des mat riaux Physique du contact Acoustique Mod lisation Page 223 CM International 58 Technologies de travaux souterrains Les techniques de travaux souterrains s appuient sur des disciplines th oriques analyse des quilibres naturels pr existants tudes pr visions et contr les des ph nom nes de d formation m canique des sols des roches th orie des mod les ainsi que sur la mise en uvre de constructions sp cifiques traitement des sols choix des syst mes de stabilisation tanch it b ton coulis d injection gels cong lation jet granting Technologie des tunneliers On peut galement noter le d veloppement de l automatisation de robo
172. tes CREDOC montrent combien les m nages aspirent plus de loisirs comme par exemple le bricolage et le jardinage Au sein des d penses de loisirs les d penses de bricolage ont fortement augment ces derni res ann es 40 millions de bricoleurs en Europe dont 70 d hommes Trois m nages sur quatre r alisent eux m mes les travaux d entretien et de r paration de leur logement pour partie par souci d conomie La f minisation du bricolage a d j modifi l offre des professionnels qui privil gient la simplicit et la praticit La facilit d utilisation et l absence d odeurs sont mises en avant pour les peintures monocouche multi usages les pl tres et ciments les rev tements faciles poser et entretenir La demande de confort sensoriel et de design La recherche en mati re de fibres accorde une importance croissante au toucher et la douceur Les tissus synth tiques doivent avoir l apparence d un produit vivant pr senter toutes les qualit s des textiles naturels comme par exemple le toucher de la soie et si possible des avantages en plus facilit d entretien La tendance est une esth tique ronde et chaleureuse Le consommateur se tourne vers les produits aux formes arrondies qui rassurent tout en instaurant un rapport de plaisir l objet Dans ce contexte le plastique a le vent en poupe il contribue abaisser les co ts dans le secteur de biens de consommation
173. tiques ventuelles via le d veloppement de nouvelles sources d nergie Dans ce contexte les volutions technologiques sont plut t appr hender sur le moyen long terme Au del les cons quences de l utilisation d une source d nergie sur l environnement et la sant sont des probl mes qui pr occupent de plus en plus les citoyens Contexte et probl matique g n rale Depuis la r volution industrielle humanit a utilis une grande quantit des nergies fossiles disponibles pour assurer son d veloppement conomique Rappelons que l homme a d j extrait 120 milliards de tonnes de p trole du sous sol Il a fallu environ 300 millions d ann es pour que la nature synth tise ce p trole et nous le consommons une vitesse deux millions de fois sup rieure Si l on se place long terme plus d une centaine d ann es le probl me des r serves peut donc se poser les r serves des nergies fossiles d finies comme le rapport entre les r serves exploitables avec les techniques actuelles et leur consommation taient valu es en 1995 43 ans pour le p trole conventionnel 66 ans pour le gaz et 243 ans pour le charbon M me s il existe des incertitudes sur ces valuations on s attend une diminution sensible des r serves de p trole et de gaz d ici une centaine d ann es Ceci devrait entra ner une hausse des prix de ces mati res premi res puisqu elles seront plus rares et que le
174. travail coop ratif Broadcast TV Visioconf rence Jeux en ligne ASP application service provider T l m decine Outils de sant la disposition des consommateurs M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Ing nierie concourante Outils de personnalisation de la relation client Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Fonction remplie Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Technologie Syst mes de navigation pour services multim dias en particulier navigateurs butineurs Interfaces graphiques client l g res Applications en ligne Bases de donn es de gestion des flux Internet Web Techno logicielles de l informatique distribu e Techno logicielles de la langue et de la parole Techno logicielles pour le transport de donn es Techno logicielles pour la s curit des r seaux Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Techno de boucle locale Grands serveurs Transmission temps r el de contenus multim dia Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Page 181 Points technologiques critiques Normalisation du dialogue entre les diff rents quipements de consultation et les services fournisseurs de contenu XML WAP Ergonomie Compr hension de la requ te Programmation en ligne Prototypage Protocoles
175. un utilisateur donn a besoin un moment donn La ma trise de ces deux derniers l ments constitue donc un enjeu technologique essentiel pour l industrie du logiciel et pour tous les secteurs utilisateurs C est ainsi notamment que le perfectionnement des moteurs de recherche et des techniques d indexation est fondamental pour le d veloppement des services en ligne En dehors de celles qui caract risent l informatique distribu e volutivit portabilit des donn es par rapport la diversit des applications et des quipements les principales attentes concernent la pertinence et l exhaustivit de l information obtenue ainsi que l ergonomie notamment dans la formulation des requ tes et la pr sentation de l information Entre autres points technologiques critiques on citera le standard XML qui terme permet une vision homog ne et unificatrice de l ensemble des donn es accessibles sur Internet et pour lequel des recherches restent faire langages de requ tes adapt s re formateurs de donn es existantes au format XML Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous techno logicielles de l informatique distribu e grands serveurs DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE maturit naissance E b g n ralisation forte E POSITION SUR
176. unis cette part continuant cro tre Cette dynamique a un effet d entra nement sur l ensemble de l conomie La contribution la croissance de ce secteur est aujourd hui 3 4 fois plus importante que son poids dans l conomie Cette contribution serait de l ordre de 25 sur les quatre derni res ann es aux Etats Unis et d environ 20 en France Cette position centrale des TIC dans la croissance s explique en partie par le caract re g n rique de ces technologies et leur large diffusion dans l conomie Les TIC transforment les processus de production des entreprises et les modes de consommation des m nages Leur impact n est d ailleurs pas limit ces seuls acteurs conomiques Il touche galement la recherche scientifique les administrations les services publics d o l apparition du concept de soci t de l information Ces transformations de par leurs effets ne sont pas sans rappeler celles li es la diffusion de l lectricit ou encore au d veloppement des transports De nouveaux mod les de comp titivit des entreprises apparaissent o la gestion de la connaissance et de l information jouent un r le central Avec le d veloppement des r seaux des mobiles et du multim dia l adoption des TIC par les entreprises est non seulement un enjeu en terme de productivit mais constitue galement une opportunit pour conqu rir de nouveaux march s ou encore se diff rencier par le d veloppement de services associ
177. 2 Annexes 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 Qualit de l air Radioactivit R alit virtuelle Reconnaissance Reconnaissance de formes Recyclage Rejet Relation client Rendement Renfort Rep rage Reproduction R seaux R sistivit lectrique R solution Rev tements Risques Robotique Robustesse Routage Sauvegarde Sc narisation S curit des mat riaux CIH L ing nierie concourante NTIC Microsyst mes Qualit de service en IP EE La gestion de l air dans les b timents EE Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue BSC L offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle CIH R alit virtuelle augment e pour la conception architectural et technique BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes NTIC Moteurs de recherche et d indexation intelligents BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique EE Stockage de l nergie Recyclage de mat riaux sp cifiques Technologie de la d construction MC Fibres textiles fnctionnelles Alliages de polym res CIH Conception et mise en vre des ouvrages da
178. 2 Fiches de synth se Technologie de l Information et Communication Mat riaux Chimie Construction Infrastructure Energie Environnement Technologie du Vivant Sant Agroalimentaire Transport A ronautique Biens et services de consommation Technologie et M thodes de Conception Gestion Production Page 150 Intitul de la technologie cl qui peut tre une fonction remplie Rep rage de liens entre la technologie cl consid r e et d autres technologies cl s D finition de la technologie cl et br ve description des enjeux Fabrication en petites s ries partir de mod les num riques Stade de maturit de la technologie sur son cycle de vie et degr de diffusion des applications La fabrication partir de mod les num riques de pi ces m talliq es industrielles s appuie sur les acquis du prototypage rapide Celui ci permet de r aliser automatiquement et tr s rapidement des pi ce dont la g om trie et les dimensions sont tr s proches de celles qu aura le produit final Il utilise des logiciels de design industriel commandant des dispositifs de formage de la mati re s avec laser fabrication par d coupe et ans laser d p t de fil fondu flashag gt cire ou de plastique L application la fabrication en particulier pour les pi ces m talliques permet la r duction des s ries liverses technolog olithographie fri ar couche
179. 2 0 Ciment 1 1 1 5 Plastique 3 6 4 0 Verre plat 2 8 Fibres de verre 1 7 Source BIPE La transformation des m tiers et des structures industrielles Cette transformation comprend plusieurs ph nom nes l int gration des comp tences la recherche d activit s plus forte valeur ajout e la concentration des acteurs et l int gration aval L exemple de la plasturgie illustre la n cessit pour les industriels d int grer un nombre croissant de comp tences c est en particulier le passage du m tier de fournisseur de technologies valu sur son expertise celui de fournisseur de sous syst mes valu sur ses comp tences d architecte multi mat riaux et multi technologies La plasturgie est un secteur compos de PMI reconnues pour leur dynamisme et leur capacit d innovation 6 7 du CA des grandes entreprises du secteur que sont Plastic Omnium et Sommer Alliber est consacr la R amp D Les volutions touchant les proc d s les mati res et l utilisation de l informatique ont t incessantes ces derni res ann es int gration dans un m me proc d d tapes r alis es s par ment proc d s propres et CAO Les r sultats pr sent s par Ernst amp Young dans une tude de 1997 l horizon 2005 pour le SEI confirment l existence de tendances lourdes baisse des prix sur l ensemble des march s pas de r volution dans les technologies mais des volutions permanentes sur les proc d s l
180. B Commerce lectronique B 1 Commerce lectronique de d tail B to C quasi nulles en 1997 inf rieures au demi milliard de franc en 1998 les ventes auraient tripl entre 1999 atteignant 1 3 GF source Benchmark group ou 324 Md Euros source Boston Consulting group Le commerce lectronique sur Minitel continue de drainer un volume sensiblement plus important 1 5 Md Euros en 1998 Le total des ventes en ligne y compris Minitel repr sentent environ 0 7 du commerce de d tail en France contre 0 2 en Europe et 1 2 aux USA Les secteurs du voyage transport h tellerie de l informatique des livres disques et du courtage en ligne repr sentent plus des trois quart des ventes Toutes les tudes convergent pour pr dire une explosion des achats des particuliers sur internet Ainsi une tude du BCG pr voit un chiffre d affaires en ligne de 9 milliards d euros d ici la fin de l ann e en Europe et 45 milliards d euros en 2002 soit une multiplication par 13 en trois ans Le march europ en accuserait un retard d environ un an et demi sur les Etats Unis Si elles ne se montrent pas plus offensives les entreprises europ ennes risquent de voir leur concurrents am ricains plus exp riment s prendre une part croissante de leur march national Pour l heure les Am ricains ont d j conquis 20 du march europ en alors que les Europ ens ne r alisent que 7 de leurs ventes en ligne l international B 2 Com
181. DSP C cile SEELINGER CM International Jacques SERRIS ndustrie DiGITIP SI1Q Eric SPITZ Thomson CSF Jacques THEYS METL DRAST Olivier MULLER Min Agr DGAL Patrick TRICOLI Sanofi Synthelabo Philippe ZENATTI ndustrie DiGITIP SIQ Page 295 Annexes Consultants CM International Thomas DURAND Fran ois FARHI Nicolas KANDEL C cile SEELINGER Marie DANIEL Philippe BASSOT El onore MOUNOUD Karine BRULE Intervenants Fondation Villette Entreprise Christophe TARDIEU Jean Marie SANI Gilles LALOUM Coordination et suivi Dominique DEBERDT Philippe BOURGEOIS chef de projet Philippe ZENATTI Page 296 Annexes Groupes de travail Interactivit Qualit Claude NEUSCHWANDER MCN CONSEIL Thomas DURAND CM INTERNATIONAL Philippe BOURGEOIS ndustrie DiGITIP SI1Q Louis CHALANSET INNOVATION 128 Philippe GARDERET CEA Robin MIEGE COMMISSION EUROPEENNE Philippe MOATI CREDOC Eleonore MOUNOUD CM INTERNATIONAL Jacques PAGEZY ANRT Jacques de la VILLEON DATAR Technologies de l Information et Communication Jean Pierre GLOTON GEMPLUS Laurent GOUZENES ST MICROELECTRONICS Laurent KOTT INRIA Olivier PROTARD SOFINNOVA St phane ROUSSIER SR CONSULTANT France Dominique VERDEJO ILOG Serge GOURRIER PHILIPS LABORATOIRES D ELECTRONIQUE Francis JUTAND France TELECOM CENT G rard ROUCAIROL BULL Antoine WEIL GITEP Dominique LAMICHE FRANCE TELECOM Mat riaux
182. E France forte faible inexistante Europe forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte faible inexistante Europe moyenne faible inexistante Page 293 gt CM International Exemples de secteurs Fonction P r 7 De Domaines scientifiques P pAn Exemples d usage i Technologie Points technologiques critiques a d application remplie concern s Industrie manufacturi re Maquettes prototypes moules Prototypa Techno logicielles pour la Caract risation et ma trise des tats de Chimie m tallurgie dont Pr s ries ge rapide gestion des donn es et du surface Optique laser Fonderie cire perdue ou sable Plasturgie M canique de petite s rie Industrie automobile Industrie a ronautique Appareillage m dical Ma tres mod les Outillages Pi ces m caniques sp ciales Fabrication partir de mod les num riques de pi ces m talliques industrielles en petites s ries D marrage et fin de la fabrication Validation de process Contr le et re construction Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s contenu reconnaissance des formes Techno logicielles de r alit virtuelle num risation de formes R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique Mat riaux utilis s r sines p tes M
183. E ET TECHNIQUE visant produire les particularit s de leur domaine ce qui permet d en obtenir de grands volumes faible prix Plusieurs sous ensembles peuvent SER et e D di France ensuite tre assembl s La qualit de fabrication r p titive et le test en fin de cha ne sont des probl mes r els Les domaines d applications sont vastes sant informatique m canique t l communications jeux Europe fote __ faible inexistante identification d tecteurs de fum e gaz Le d veloppement de microsyst mes exige particuli rement des quipes pluridisciplinaires Les proc d s de fabrication les outils de simulation et une recherche sp cifique dans le domaine concern ex sant Le march des microsyst mes pourrait atteindre rapidement des milliards d unit s par an France fore faible inexistante Liens capteurs intelligents Europe fote faible inexistante mat riaux pour syst mes avanc s Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques secteur concern s d application Sant T l phonie mobile Int gration de Microsyst mes Microgravure connectique M canique Informatique Micro vannes micro fonctionnalit s Cristallographie h t rog ne Physique des mat riaux M canique moteurs Capteurs activateurs Mod lisation Simulation T l com T tes d imprimantes de Sous ensemble Int gration micro le
184. ECHNIQUE France Europe forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte inexistante faible moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Majorit des applications Ordinateur portable Stockage de l lectricit Stockage de l nergie R duction du poids Mat riaux de l lectricit T l phone portable Stocker rapidement lectrique Miniaturisation Electrochimie Stockage de l nergie V hicule lectrique l nergie disponible et la lectrochimique Energie massique Electronique lectrique pour les Automobile hybride restituer selon le besoin gaz Puissance massique Physique des interfaces syst mes nomades Transport Tramway sans cat naire R gulation locale de la production lectrique Satellites missions spatiales longues Drones d nergie ou de puissance Capacit massique Recyclabilit Adsorption Int gration syst me et des surfaces Physique Autres points critiques Co ts Fiabilit s curit Durabilit Page 228 gt CM International 62 Pile combustible Une pile combustible utilise de l hydrog ne e
185. Electronique grand Commande de groupes moto Conception et validation de la s ret de Electricit public propulseurs Contr le a rien Navigation automatique d a ronef Poursuite de missiles Tous syst mes d armes Signalisation M tro automatique fonctionnement temporelle Page 268 98 Ergonomie de l interface homme machine pilotage de v hicules ou d installations L interface avec l utilisateur charg de piloter un syst me a un impact d terminant sur les performances de ce syst me sur son DEGRE DE DEVELOPPEMENT acceptation par l utilisateur et sur sa s ret de fonctionnement globale Pour un syst me donn le mode d interaction est Technologie mergence croissance maturit largement conditionn par le r le plus ou moins actif imparti au conducteur op rateur et par son environnement Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation Dans un contexte souvent marqu par le grand nombre des fonctions et param tres du syst me les principales composantes de POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE l ergonomie offerte l utilisateur sont le choix et la hi rarchisation des informations qui lui France forte moyenne faible inexistante sont donn es le choix et la hi rarchisation des inputs qu il peut Europe forte moyenne faible inexistante
186. En retour les nouvelles formes d organisation conomique fond es sur les comp tences contribuent l acc l ration du rythme du progr s technique notamment dans le champ des technologies de l information Il existe des risques r els associ s une vision restrictive de la nouvelle conomie limit e la net conomie Certes il est du devoir des acteurs priv s et publics de bien prendre la mesure de l impact d Internet et d engager rapidement les actions strat giques qui s imposent Toutefois la comp titivit long terme des entreprises et au del des nations ne saurait se ramener la vitesse laquelle les acteurs s approprient ce nouveau m dia Alors que l information devient pl thorique et que son acc s se banalise plus que jamais la comp titivit repose sur la capacit d apprentissage et de cr ation des acteurs conomiques laquelle d pend d une subtile alchimie entre des infrastructures publiques efficaces recherche ducation animation du territoire et l exp rimentation des nouveaux principes organisationnels dans les entreprises Ainsi si Internet et plus g n ralement les technologies de l information sont incontestablement au c ur de la nouvelle conomie les nouvelles r gles du jeu concurrentiel qui lui sont associ es appellent la r vision d un certain nombre de principes directeurs des politiques industrielles et technologiques au profit d une d marche g n rale visant
187. IC en moyenne 3 fois sup rieurs ceux de l ensemble de l industrie 9 contre 3 aux USA 9 contre 2 en France C est une donn e structurelle du secteur qui n a quasiment pas vari depuis 15 ans Le secteur des TIC r aliserait ainsi environ 25 de l effort industriel de R amp D alors qu il ne repr sente qu environ 10 de la production source OCDE L importance des efforts de R amp D et le raccourcissement de la dur e de vie des produits augmentent les risques li s la valorisation des efforts de R amp D c est pourquoi une part croissante de la R amp D est r alis e dans le cadre d alliances interentreprises Enfin la standardisation est un autre facteur essentiel de la comp titivit des firmes et des conomies dans ces secteurs De ce point de vue l industrie am ricaine a pu b n ficier contrairement l industrie europ enne d un march homog ne et dans de nombreux domaines imposer ses standards aux autres intervenants Le d veloppement et la promotion du protocole Internet sont l un des exemples les plus significatifs de l importance des standards dans le mod le conomique des TIC C Un nouveau couplage entre recherche publique et recherche industrielle De fa on g n rale la recherche dans le secteur des TIC est assez largement financ e par la puissance publique et tout particuli rement lorsqu elle est moyen et long terme L industrie des TIC a Page 66 Le contexte par grand
188. INE Claude HELENE MUSEUM NATIONAL D HISTOIRE NATURELLE Alain JOUQUEY HOECHST MARION ROUSSEL Michel SEBILLOTTE INRA Guillaume BOISBAUDRY HOPITAL BROUSSAIS Fran oise MOISAND INSERM Page 298 Annexes Transport A ronautique Catherine BOULANGER PSA PEUGEOT CITROEN Claire HOCQUARD MATRA MARCONI SPACE G rard FOUILLOUX SNECMA Alain JOLIVET ARSENAL DE TOULON Jean Pierre ORFEUIL INRETS Jean Paul ROUET SAGEM Emmanuel d ORSAY VALEO Bernard FAVRE RENAULT VI Fran ois LACOTE SNCF Jean Marc THOMAS AEROSPATIALE Jean Louis LACOMBE AEROSPATIALE Biens et services de consommation Patrick BOZEC ESSILOR Isabelle FELIX GALERIES LAFAYETTE Etienne HIMPENS VERRERIE CRISTALLERIE D ARQUES Vital PARISE MOULINEX Michel LALANDE MOULINEX Georges ROCH MAG INFO Laurent COUSIN SODEXHO Philippe FREYCHAT DECATHLON Victor JAKIMOVITCH FNAC Guy LAPASSAT CREDIT COMMERCIAL DE France G rard PRESSOUYRE TEFAL SA Patrick VICERIAT AFEST Technologies et M thodes de Conception Gestion Production Georges TAILLANDIER Association Fran aise du Prototypage Rapide Claude DUPUIS RENAULT AUTOMATION Jean Fran ois BASSEREAU ENSAM Pierre DEVALAN CETIM Serge TICHKIEWITCH Ecole Nationale Sup rieure de G nie Industriel Alain VIGNOT 3M France Guy DEVIESE 3M France Jean Claude BOCQUET ECP Jean Luc LAFFARGUE GROUPE QUALITIQUE Patrick TRUCHOT ENSGSI Christia
189. IP multicast diffusion grande chelle sur Internet Allocation de ressources de bande passante Architecture r seau Et divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Domaines scientifiques concern s Informatique logicielle Informatique g n rale T l com munications CM International 22 Grands serveurs techno logicielles de l informatique distribu e Le d veloppement exponentiel de l Internet et des applications en ligne accessibles des millions d usagers va se traduire par un accroissement de DEGRE DE DEVELOPPEMENT la demande de grands serveurs capables de prendre en compte un tr s grand nombre de transactions y compris sur du contenu multim dia ou Technologie E croissance matunte d explorer de tr s grandes bases de donn es data warehouses L innovation technologique devra notamment permettre ces serveurs de mettre en uvre un tr s grand nombre de processeurs Applications industrielles et commerciales __ diffusion g n ralisation atteindre un niveau tr s lev de disponibilit assurer une forte modularit de croissance des performances l utilisation pour Internet se traduisant par POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE d importantes fluctuations de charge Un environnement logiciel devra assurer la gestion des transactions i f ra France oo moyenne faible inexistante fonction
190. ITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE l horizon 2003 un accroissement de l ordre de 30 qui ne peut tre financ que par une baisse au moins quivalente du co t des fonctions France forte moyenne faible inexistante actuelles Dans une plus large perspective les aspects de normalisation cr ation de nouveaux standards lectriques d finir voltage de 14 500 y A Europe forte moyenne faible inexistante courant alternatif ou continu de m me que les r glementations sur le domaine sont clarifier La position fran aise en ferroviaire est plut t forte dans ce domaine technologique POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous architecture lectronique informatique r partie et multiplexage France forte moyenne faible inexistante dans les v hicules compatibilit lectromagn tique Europe forte moyenne faible CRETE v hicules intelligents et communicants s ret des syst mes embarqu s et d infrastructure FRSIE a 5 si Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques porn scenunque d application concern s Transport a ronefs Commandes lectriques Alimentation organe Architecture R seaux de bord Sciences Pour ferroviaire navires Moteurs d avions de lect
191. Internet En ce qui concerne l informatique les achats de mat riels de logiciels et de services informatiques par les entreprises ont connu une forte croissance L quipement des m nages en ordinateurs quip s multim dia se d veloppe la croissance des ventes de logiciels ducatifs et ludiques est forte comme le montre le doublement des ventes de CD rom entre 1997 et 1998 L quipement des m nages en produits de l lectronique grand public est marqu par la saturation du march de la t l vision la maturit du march des magn toscopes et la croissance du march des PC des consoles de jeu et du mat riel audio baladeurs Ce chapitre rel ve trois grandes tendances agissant sur la consommation des m nages dans les TIC la reliance vecteur de d veloppement des communications le d veloppement de la demande de loisirs la simplicit d usage au c ur du d veloppement A La reliance vecteur de d veloppement des communications Le nouveau consommateur prouve le besoin d tre reli tout moment aux autres via un mode de communication Ce besoin de reliance du consommateur s appuie sur le d veloppement des TIC qui r pondent aux besoins de communications et de mobilit Les modes d organisation du travail qui favorisent de plus en plus l autonomie renforcent cette tendance Ce mod le tend gagner toutes les strates de la soci t et non plus seulement les actifs et les urbains Il s agit d
192. LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL moyenne faible fibe inexistante inexistante forte forte M Page 184 fibe fibe inexistante inexistante gt CM International Exemples de secteur d application T l com Services en ligne D fense Finance Industrie Education formation Tous secteurs utilisateurs d un volume important de donn es Exemples d usage Veille conomique S curit contr le qualit Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Capteurs de vision capteurs d image Assistants digitaux portables Capteurs intelligents Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Ing nierie concourante Robotique mobile en milieu hostile Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires Outils de personnalisation de la relation client Outils de sant la disposition des consommateurs Design sensoriel y compris la m trologie sensorielle Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Formalisation et gestion des r gles m tiers Outils d aide la cr ativit Repr sentation de la perception du consommateur Simulation mod lisation du comportement humain Multi repr sentation des objets virtuels Simulation num rique des proc d
193. La gestion de lair dans les b timents Eclairage et visualisation basse consommation 2 Source CREDOC 1999 Page 108 Le contexte par grands domaines Environnement Introduction L Environnement appara t aujourd hui c est devenu banal de le dire comme un enjeu majeur pour notre soci t Les pressions sociales se font grandissantes depuis quelques ann es tout comme les volutions r glementaires Les d penses de gestion de l environnement p seraient pr s de 9 du PIB en France dans les trois prochaines d cennies Tous les secteurs d activit sont concern s Ainsi comme le montre la partie pr c dente la ma trise de l nergie a t un enjeu majeur depuis le premier choc p trolier pour des raisons conomiques et le reste aujourd hui aussi pour des raisons environnementales M me si de nombreuses volutions ont eu lieu depuis ces vingt derni res ann es dans le domaine de l environnement seule la partie immerg e de l iceberg est aujourd hui visible 76 des chercheurs pensent que des probl mes radicalement nouveaux appara tront au cours du prochain si cle Ils soulignent l importance d une vigilance accrue face une nouvelle configuration de risques pour le XXI me si cle manant vraisemblablement davantage des syst mes cr s par l homme que des syst mes naturels Contexte et probl matique g n rale la logique de Fili res et le cycle de vie des produi
194. Les agents intelligents sont des syst mes capables de recevoir de traiter de l information et de communiquer avec d autres organes du syst me dans lequel ils sont int gr s Ils sont des assistants automatiques utilis s par exemple dans la recherche documentaire la veille technologique ou la programmation d appareils m nagers Ils peuvent servir d alerte pour des programmes informatiques portables v hicules intelligents et communicants moteurs de recherche et d indexation intelligents r seau domestique num rique syst me d organisation et gestion industrielle am lior s g nie logiciel et mod les de composants logiciels DEGRE DE DEVELOPPEMENT des march s financiers ou des quipements industriels Ces Technologie mergence croissance maturit op rations sont possibles gr ce l int gration d un syst me de conditionnement du signal d un organe de calcul interne et d une Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation interface de communication avec d autres l ments Les agents intelligents sont implicitement utilis s dans certains secteurs industriels ou de services comme Internet mais certaines applications en particulier domestiques mise en r seau des articles POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE m nagers de la maison restent fortement li es l acceptation des France forte
195. N SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL les tentatives d intrusion France foe faible inexistante S curit face au piratage et la contrefa on pour contribuer d fendre le droit d auteur et pour r tribuer leur juste valeur les uvres num riques il est indispensable de mettre en place une protection des Europe fore moyeme inexistante fichiers contre le piratage en introduisant dans les textes sons images une information non apparente watermark qui r siste aux codage transmission ou compressions ce filigrane num rique renseigne sur la Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines secteur scientifiques d application concern s Paiement en ligne avec ou sans lecteur de carte puce Identification Technologies Infrastructures de cl s __ Cryptologie Page 178 CM International Les principales fonctions assurer pour r pondre ces multiples exigences peuvent se d cliner de la mani re suivante munications Banque D fense Commerce BtoB BtoC Tous secteurs utilisant Internet Facturation T l chargement Assistants digitaux portables Outils de sant la disposition des consommateurs Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Supply chain management Soutien logistique int gr Authentification logicielles
196. STRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte faible inexistante forte faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Sant Implants Implantation d organes Greffe d organe Transg n se cibl e Immunologie Proth ses Restauration de fonctions Immunologie Virologie d ficientes biocompatibilit Microm canique Connaissance des Micro lectronique m canismes r gul s Biomat riaux Transmission d agents pathog nes s curit S lection g n tique Page 252 gt CM International 84 Th rapie cellulaire La th rapie cellulaire consiste en l apport un organisme de cellules humaines autres que les globules rouges et les plaquettes DEGRE DE DEVELOPPEMENT dans le but de pr venir traiter ou att nuer une maladie Les cellules peuvent venir du patient lui m me ou d un donneur Technologie mergence croissance maturit compatible La th rapie cellulaire permet en particulier d viter le Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation remplacement d un organe et de restaurer certaines fonctions d ficientes Ces applications en font des enjeux conomiques et sociaux importants dans le domaine de la sant
197. Secr tariat d Etat l Industrie Biblioth que Technologies cl s 2005 septembre 2000 Comment passer de la science au march par la technologie Cinq ans apr s la premi re dition des lt lt 100 technologies cl s pour l industrie fran aise l horizon 2000 gt gt la direction g n rale de l Industrie des technologies de l information et des postes a souhait une r actualisation de l ouvrage qui vise aider les entreprises fran aises d finir les technologies essentielles qu il leur faut d velopper et ma triser en interne Plus de 100 experts issus du monde de l industrie et de la recherche ont particip cet ambitieux projet Ce livre pr sente les r sultats de leurs travaux avec notamment pour chacun des huit groupes th matiques une pr sentation du contexte Les 119 technologies cl s identifi es font l objet d une fiche de pr sentation dont l originalit par rapport la pr c dente dition est de proposer une grille de caract risation Cette grille donne notamment des exemples d application de secteur ou d usage indique les domaines scientifiques concern s et souligne des points technologiques critiques Pour les professionnels dans les entreprises les centres de recherches le capital risque concern s par l volution technologique mais aussi pour le lecteur lt lt curieux gt gt cet ouvrage constitue un outil unique afin de comprendre et d anticiper les changem
198. TIC R tines de prise de vue Synth se d image 2D 3D et de sons anim s Ecrans plats Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit R seaux de grands serveurs Page 308 Annexes 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 Information Informatique Infrastructure Ing nierie Injection directe Instruments Int raction Interconnexion Interfaces Interface homme machine Interf rence Interm diaires Internet Jeux vid o Langage Localisation CPG Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique IAA GMCAO CIH Off shore grands fonds NTIC Microsyst mes Qualit de service en IP TAE V hicule intelligent et communicant S ret des syst mes EE R duction des bruits CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents Les techniques des travaux souterrains NTIC G nie logiciel et mod les de composants logiciels Agents Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Technologies de boucle locale MC Ing nierie des surfaces CIH L ing nierie concourante NTIC Ing nierie linguistique et technologies vocales TAE Moteurs thermiques IAA Miniaturisation des instruments de recherche m dicale IAA Technologies douces BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC L
199. Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Psychologie Transports Pilotage d engins homme des informations profil d utilisateur syst mes base de r gles Informatique D fense V hicules intelligents et communicants machine donn es Milieu perturb et multi usagers logicielle Spatial R seau domestique num rique l utilisateur et des Simplification des interfaces Electronique Robotique mobile en milieu hostile inputs de celui ci Simulation mod lisation du comportement humain Acoustique Chirurgie assist e par ordinateur Logique floue Capteurs intelligents Supports r seaux S ret des syst mes embarqu s et physiques de Mesure de la charge neuronaux infrastructures l interface Perception sensorielle Reconnaissance Offre de produits et de services de grande Ecrans de visualisation afficheurs des formes consommation base de r alit virtuelle Outils de sant la disposition des consommateurs Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique Int gration de l interface dans le syst me Techno logicielles de la langue et de la parole reconnaissance et synth se vocale commande vocale Techno logicielles de r alit virtuelle Capteurs de vision capteurs d image Capteurs intelligents 3 Techno logicielles de l informatique distribu e Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Architecture lectronique etc des v hicules S
200. Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint M thodes de diagnostic logicielle surveillance Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu tri analyse et synth se Echanges de donn es Mod lisation Production des donn es bases de connaissances agents profil d utilisateur data mining techniques SGDT des processus autonome Techno logicielles de r alit virtuelle Divers autres points Mesure et test de syst mes Capteurs intelligents Ing nierie concourante R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique S ret des syst mes embarqu s et infrastructures Ergonomie de l interface homme machine Simulation mod lisation du comportement humain Simulation num rique des proc d s Multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 292 CM International 117 Prototypage rapide Le prototypage rapide permet de r aliser automatiquement et tr s rapidement des pi ces prototypes dont la g om trie et les dimensions sont tr s proches de celles qu aura le produit final Il utilise des logiciels de design industriel commandant des dispositifs de formage de la mati re et faisant appel diverses technologies avec laser fabrication par d coupe et laminage st r olithographie frittage sans laser d
201. UR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL interdit les liens entre ma tres d uvre et industriels France forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci 7 PT dessous syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Europe forte moyenne C faible Inexistante prototypage rapide Exemples de P ne P s Fonction as Domaines scientifiques secteur Exemples d usage Technologie Points technologiques critiques A z a remplie concern s d application BTP Conception des Ing nierie Techno logicielles de l informatique distribu e partage de donn es base Repr sentations orient es Analyse linguistique Tous b timents et concourante de donn es distributive objet Mod lisation de donn es secteurs infrastructures G nie logiciel Normalisation des donn es Simulation num rique industriels Maintenance Techno logicielles de la langue et de la parole et des protocoles Informatique logicielle Process et Techno logicielles pour le transport de donn es d changes produits de l industrie Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Techno logicielles de r alit virtuelle Transmission temps r el de contenus multim dia Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases
202. V hicules Hors d Usage impose par exemple horizon 2005 un minimum de 80 de recyclage des DEGRE DE DEVELOPPEMENT d chets de l automobile pour les emballages plastiques ce taux est fix 15 Technologie mergence croissance maturit Le potentiel de d chets r cup rer en France est aujourd hui consid rable plus de 160 millions de tonnes 90 Mt de d chets du Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation secteur des travaux publics 31 Mt pour le b timent 13 Mt de fraction fermentescible des ordures m nag res 7 Mt de d chets verts POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE La principale difficult rencontr e actuellement pour la mise en place de ces fili res r side dans la prise en compte des France forte moyenne faible inexistante caract ristiques des d chets contenant des l ments le plus souvent toxiques mais aussi dans la prise en compte du rapport co t du Europe forte moyenne faible inexistante recyclage impact environnemental Au del la r ussite de la mise en place de ces fili res est li e l co conception en amont des produits r duction la source et POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL recyclabilit Dans ce sens une meilleure connaissance des ACV Analyse Cycle de Vie est un facteur cl de succ s France forte moyenne faible inexistan
203. a t au travers des diff rentes technologies recens es tant du point de vue scientifique et technique que du point de vue industriel et commercial est r sum e sur les figures ci dessous Analyse des positions scientifique amp technique et industrielle amp commerciale Ensemble des technologies cl s France Europe 100 COS RO E CCE SO G POLAE SRE E SO Sn 20 ponnn o o a o o R E 0 T 7 T T Position scientifique et Position industrielle et Position scientifique et Position industrielle et technique commerciale technique commerciale Eforte moyenne faible Analyse selon le degr de d veloppement de la technologie France Position scientifique Position industrielle et technique et commerciale DO D EEE EE nt nn en ne E x nn C A RO Las E 60 RS lll M o A ooo OS E E OO E 20 Le O o o aae ns ns 0 T T T 1 Emergence Croissance Maturit Emergence Croissance Maturit Eforte Mmoyenne faible Page 280 Annexes Analyse selon le degr de d veloppement de la technologie Europe Position scientifique Position industrielle et technique et commerciale 100 2 is sense sinel es des een Len Re LR ne Le nn E 80 EE E EE 60 EEE OEE E Cur EE E E 20 EEE aaa a o aae N o o E ool ll Mol ns ns 0 T T T T T 1 Emergence Croissance Maturit Emergenc
204. a croissance des abonn s progresse tr s lentement Page 59 Le contexte par grands domaines Si les Am ricains ont environ 18 mois d avance dans l Internet fixe ils auraient environ deux ans de retard sur les Japonais et les Europ ens en particulier les Scandinaves dans celui de l Internet mobile aussi bien dans le domaine du mat riel que des usages commerce proprement dit livraison d information en ligne transactions boursi res divertissements Les op rateurs et les quipementiers europ ens auraient ainsi accumul un savoir faire sup rieur Les mobiles de troisi me g n ration UMTS qui permettront de transmettre et de recevoir de hauts d bits sur les r seaux seraient disponibles d ici l an prochain au Japon en 2002 en Europe et sans doute 2003 ou 2004 aux Etats Unis Ces r seaux pourraient remettre en cause les positions acquises si l Europe peut s appuyer sur ses forces en mati re de t l communications pour reprendre des positions sur l internet du futur et notamment les acc s depuis les mobiles les Etats Unis essaient de rattraper leur retard en t l phonie mobile en sautant directement vers les mobiles de troisi me g n ration 1 3 Les tendances de la consommation finale En France la consommation dans le domaine des t l communications est marqu e par l explosion du march du t l phone portable et par la demande croissante des entreprises pour le num rique et les acc s
205. a d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique TAE Architecture lectrique CIH R alit virtuelle augment e pour la conception architectural et technique NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques Objets communicants et autonomes MC Proc d s de mise en uvre et de formulation de la mati re molle MC Catalyseurs MC Ing nierie des surfaces MC Mat riaux absorbants Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes Elaboration de composites matrice organique NTIC R tines de prise de vue CPG Prototypage rapide SLI Multi repr sentation MC Logiciels et bases de donn es des propri t s des mat riaux CPG Repr sentation de la perception EE Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue TAE Ergonomie de l interface homme machine EE La gestion de l air dans les b timents CIH Conception et mise en vre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable NTIC Int gration d applications langage XML et autres langages volu s EE La gestion de l air dans les b timents Eclairage et visualisation basse consommation BE Fluides frigorig nes haute qualit environnementale TAE Am lioration des performances d nergie d ensemble MC Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes CIH Le b ton
206. a le standard XML de repr sentation des donn es et les protocoles d changes associ s XML jouera le r le d un format universel banalisant l acc s tout type d information Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Techno logicielles pour le transport de donn es Techno logicielles pour la s curit des r seaux Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Grands serveurs DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie mergence E naissance oi Applications industrielles et commerciales POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE E maturit g n ralisation France fore Europe forte POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL faible inexistante faible inexistante France fote Europe fote Page 189 faible inexistante faible inexistante gt CM International Exemples de secteur d application Tous secteurs concern s par le commerce lectronique Tous secteurs mettant en uvre un syst me d information Tous secteurs mettant en uvre des logiciels embarqu s Exemples d usage Objets communicants autonomes Assistants digitaux portables Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia R seaux domestiques num riques Grands serveurs Capteurs intelligents Ing nierie concourante Architecture lectronique etc des v
207. achines pour mettre en uvre les mat riaux Probl mes des pi ces de grande dimension Pr cision dimensionnelle Divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci dessus et voqu es par ailleurs Thermodynamique Diagramme de phases Math matiques Informatique logicielle Page 294 gt CM International 118 Supply Chain Management Le Supply Chain management correspond l activit de gestion de la cha ne de satisfaction de la commande du client depuis les approvisionnements en amont des usines jusqu la distribution Prenant de l importance la suite des m thodes et outils de planification d velopp s dans les 20 derni res ann es MRP et ERP il implique que chaque entreprise et ses partenaires amont et aval travaillent et revoient leurs syst mes de gestion et leurs organisations pour les coordonner C est l id e d entreprise tendue Les outils de Supply Chain Management visent optimiser le flux de mati res produits de services et d information le long de la cha ne conomique Les b n fices attendus sont nombreux comme par exemple la r duction des co ts et des stocks une meilleure utilisation des actifs des entreprises et la recherche d une plus grande satisfaction des clients DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit diffusion g n ralisation
208. age Fonction remplie Technologie es p d application critiques concern s Habitat Structures et ouvrages Le b ton B ton haute Rh ologie Chimie et physique Infrastructure Pr fabrication performances performance Interaction physico milieux granulaires Transport fluvial et Facilit de mise en uvre optimis es B ton autopla ant chimique Rh ologie maritime Esth tique des ouvrages _ BFUP B ton fibr s Comportement chaud Cristallographie ultra haute performance incendie Physico chimie des domaines superficiels Page 222 CM International 57 Mat riaux composites pour les routes les enrob s Les caract ristiques de surface des rev tements routiers jouent des r les essentiels dans le comportement la s curit le confort des v hicules mais aussi dans l impact de la route sur l environnement la s curit du freinage ou des man uvres d urgence est li e l adh rence des pneumatiques le confort des occupants l uni et la rugosit de la surface qui participe la gen se du bruit de roulement L mission et l absorption du bruit routier nuisance forte pour les riverains l coulement des eaux de ruissellement sur les chauss es peuvent tre fortement influenc s par ces caract ristiques comme c est le cas pour les rev tements drainants La conception de rev tements performants durables et conomiquement viables qui n cess
209. agramme de phases Grille de caract risation de la technologie cl voir le chapitre I 5 Les exemples pr sent s secteurs d application usages domaines scientifiques concern s le sont titre illustratif et ne revendiquent pas l exhaustivit Position interm diaire entre moyenne et faible Pour les crit res utilis s pour l valuation de ces positions voir le chapitre I 6 Page 151 Technologie de l Information et Communication Page 152 La micro lectronique silicium comprend un ensemble de Technologie qui de vue mesures et tests de syst mes am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux u les outils de conception de circuits int gr s Si lt 0 1 u et de conception Technologie mergence 7 maturit quipements de test pour circuits int gr s lt 0 1 u Elle doit suivre un sur une puce tout en am liorant les autres param tres prix composition des transistors d augmenter la taille des puces et les transistors pour r pondre des besoins diff rents calcul logique permettant les fonctions primaires processeurs plan m moire d codeurs En fore Syst mes sur Puce Le march tr s important des circuits int gr s 150 secteur concern s lectronique Economie production M canique de pr cision regroupent les proc d s et les quipements pour la micro lectronique de syst mes sur puce ainsi que les architectures microprocesseurs DSP
210. airage et visualisation basse consommation France forte moyenne faible inexistante fluides frigorig nes haute qualit environnementale pile combustible Europe forte moyenne faible inexistante photovolta que EDS de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Habitat Cadre b ti plus durable Conception et miseen Mod lisation des Toxicit des produits Analyse syst me Infrastructure Mat riaux d isolation uvre des ouvrages mat riaux h t rog nes M thodes d analyse Traitements statistiques Automobile phonique modulables et int grant l analyse du Mod lisation des flux Collecte et organisation et probabilistes Transport thermique cycle de vie des d impacts des donn es relatives aux Logique floue mat riaux de la environnementaux impacts lors de la Physico chimie des fabrication au Analyse des cycles de fabrication mat riaux recyclage vie Page 217 CM International 52 Ing nierie concourante L ing nierie concourante fait travailler en parall le des quipes diff rentes qui interviennent normalement de mani re successive Son objectif est de raccourcir les d lais de d veloppement d un produit tout en am liorant sa qualit et son ad quation avec les besoins du march De DEGRE DE DEVELOPPEMENT plus elle s inscrit dans un contexte d
211. ais Technologie mergence croissance maturit Trois axes de progr s principaux apparaissent la diminution volontariste des co ts par des choix de technologies Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation mat riaux proc d s et le raccourcissement des cycles l am lioration de la performance avec pour objectif d atteindre 12 tonnes en orbite de transfert g ostationnaire d ici 2006 contre 6 POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE tonnes aujourd hui augmentation de l impulsion sp cifique France forte moyenne faible inexistante all gement des structures thermique la ma trise de l environnement dynamique basses fr quences acoustique et chocs qui permet au client d all ger les besoins de Europe forte moyenne faible inexistante dimensionnement et de qualification de sa charge utile La fiabilit reste dans tous les cas un pr requis Liens laboration de composites matrice organique POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL surveillance intelligente de P laboration et de la mise en uvre France forte moyenne faible inexistante des mat riaux valuation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages r duction des bruits Europe forte moyenne faible inexistante micro lectronique silicium microsyst mes micro l
212. aisons Biens quipement R sistance aux r fractaires Chocs thermiques rayonnements la Carbone Exp rimentation essais pression Page 200 gt CM International 36 Fibres textiles fonctionnelles Les fibres textiles fonctionnelles sont susceptibles de conf rer aux tiss s et aux non tiss s des fonctionnalit s et des caract ristiques nouvelles couleur aspect pouvoir couvrant anti transpiration toucher agr able entretien facile r sistance la lac ration au feu Les nouvelles fibres textiles sont soit des fibres classiques d origine v g tale animale ou chimique optimis es soit des mati res nouvellement pr sent es sous forme de fibres soit enfin issues du filage de nouveaux polym res Les fibres et les techniques de mise en uvre permettent d obtenir une grande vari t de produits semi finis ou finis ayant des fonctionnalit s sp cifiques de mise en uvre d usage d entretien d limination ou de recyclage Ces propri t s sont programm es dans le proc d de production ou de transformation Les usages correspondent des besoins techniques et aux tendances de la consommation et de la mode Les co ts restent encore importants pour envisager une diffusion de masse m me si certains march s sont d j en d marrage significatif Liens syst mes performants pour enveloppe de b timent DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industri
213. al Change and Economic Dynamics vol 1 n 2 pp 225 242 Frank Robert 1999 Luxury Fever Why money fails to satisfy in an era of excess The Free Press Gardes Fran ois 1983 L volution de la consommation marchande en Europe et aux USA depuis 1960 Revue Consommation CR DOC n 2 3 35 Hatchuel G et Loisel JP mars 1998 De plus en plus d automobilistes se disent pr ts agir pour limiter la pollution de l air Consommation et Modes de vie n 125 Hatchuel G Volatier J L novembre 1991 La diffusion des craintes dans la soci t fran aise Les nouveaux inquiets CR DOC Consommation et modes de vie n 62 Henry Patrick septembre 1997 Technologies Internationales Les Etats Unis relancent leur R amp D n 37 Herpin N et Verger D 1999 4 5 Consommation un lent bouleversement de 1979 1997 Economie et Statistique n 324 353 p 19 49 HMSO juin 1996 Competitiveness Creating the entreprise centre of Europe Londres _ HMSO mai 1995 Competitiveness Forging ahead Londres HMSO novembre 1995 Science and technology committee first report Technology Foresight Volume 1 Report and Minutes of proceedings Londres _ HMSO novembre 1995 Science and technology committee first report Technology Foresight Volume 2 Minutes of evidence and appendices Londres Page 292 Annexes Industries et Techniques novembre 1997 Dossier des techniques fines pour le b timent n
214. alement contribuer cette capacit innover en ce que l observation des pratiques des concurrents et la surveillance permanente de l environnement r ouvrent les capacit s d apprentissage des acteurs de l organisation et facilitent l adh sion du plus grand nombre aux Page 145 Le contexte par grands domaines processus de changement Ces d marches sont connues mais restent encore diffuser plus largement L entreprise centr e sur le service apr s la r volution industrielle et alors que s annonce la r volution de la soci t de l information et de la nouvelle conomie associ es Internet l entreprise se voit amen e progressivement privil gier une approche centr e sur le service L avionneur ne vend plus seulement un a ronef mais plut t des heures de vol sur la dur e de vie de l avion le fabricant de machines outils ne vend plus seulement des machines mais doit r pondre des demandes de fabrication de s ries de pi ces pour le compte de ses clients la soci t d eau min rale doit assurer le r approvisionnement de fontaines de bureau Le service qui r pond la demande g n rique du client devient l enjeu principal Les produits ne sont plus alors que des moyens des ingr dients au service de cette offre de plus en plus centr e sur le service Mieux ma triser la production La production est tout naturellement affect e par les nouvelles d marches engag es au niveau de
215. alidation Conception d finition de l architecture solution coh rence architecture sp cification coh rence mat riel logiciel POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE simulation optimisation testabilit environnement de mise au Gre France inexistante Fabrication assemblage pilotage des machines de Europe foe faible inexistante fabrication test Mise en oeuvre mises en route autotest mesures de fiabilit Evolutions du produit gestion de la masse d information non r gression gestions de configurations POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Les d veloppements concernent les m thodologies hi rarchisation standardisation les outils math matiques RER da France forte moyenne pe Es inexistante preuve automatique les outils logiciels et le mat riel acc l rateurs environnement de mise au point testeurs Europe forte moyenne E inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Secteurs industriels Allocation de ressources Ing nierie des grands Techno de Superordinateurs Math matiques Transports Planification syst mes complexes sp cification de Algorithmes complexes appliqu es Conception de circuits conception de preuve Programmation par Preuve formelle int gr s d optimisation de contraintes Recherche Conception
216. amment ou trop d innovations plut t qu il y en a trop peu Le nombre de personnes critiquant ce trop plein va m me jusqu repr senter un Fran ais sur trois pour ce qui concerne la vid o hi fi photo domaine o l utilisateur est peut tre si l on excepte la micro informatique le plus en relation avec la complexit technologique multiples fonctions programmations n cessit de comprendre le mode d emploi Certains observateurs croient cependant apercevoir ces tous derniers temps des signes encourageants quant l acceptation de l innovation par les consommateurs Une tude r alis e aupr s de 600 personnes dans trois grandes villes de France depuis 4 ans semble ainsi montrer que le consommateur devient plus sensible l innovation en 1996 59 des r pondants estimaient que l innovation c est quelque chose qui apporte une vraie diff rence trois ans plus tard ils sont 75 le penser Par ailleurs dans la m me tude il appara t clairement que les consommateurs admettent de plus en plus que la v ritable innovation doit se payer Le besoin de praticit ou la prise en compte de l interface L innovation technologique peut parfois entra ner une complexit d utilisation qui freine la consommation de l objet L exemple frappant en est le magn toscope qui au d part tait r serv aux 4 Les Fran ais d accord pour payer l innovation LSA n 1636 17 juin 1999
217. ands domaines La productivit technique du chantier n a pas dans les ann es 90 connu de saut significatif m me si elle s est am lior e progressivement Le secteur de la construction dans son ensemble devra entrer de plain pied dans l re du travail coop ratif et de l int gration client fournisseur ouvrant ainsi la voie des gains de productivit significatifs Cette volution rejoint l apparition d une demande nouvelle Le vieillissement de la population l interp n tration de la sph re du domicile et de la sph re du travail modifieront les rapports l espace La demande de personnalisation que l on retrouve dans le secteur des biens de consommation se traduira par une intervention croissante du client dans le processus constructif Les enjeux technologiques porteront donc la fois sur une meilleure gestion de l activit m me au sein de la fili re afin d optimiser le co t global du b timent et sur une am lioration des caract ristiques d usage des b timents g n ration et gestion de l nergie int gration et volutivit de r seaux offrant des fonctionnalit s pr cises qualit et gestion des ambiances conception et mise en uvre de mat riaux r pondant ces contraintes de co t et d usage Introduction Le domaine de la construction et de l infrastructure est vaste puisqu il comprend non seulement le b timent logements lieux de travail installations industrielles
218. ans la lutte contre la Applications industrielles et commerciales naissance L diffusion g n ralisation contrefa on Elles peuvent galement servir la reconnaissance des animaux voire des personnes ayant des maladies graves n cessitant une reconnaissance imm diate POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE L enjeu actuel est de d velopper l intelligence li e un applicatif dans de France forte moyenne faible inexistante nombreux domaines tels que la t l phonie la sant les contr les d acc s logiques et physiques la fid lit etc Les volutions pr visibles Europe forte C moyenne faible inexistante privil gient les interactivit s forts d bits la convivialit des changes et la s curisation des transactions Du fait de l volution des m moires embarqu es de masse quelques Gigaoctets d s 2005 le fichier personnel POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL deviendra plus int ressant France forte L moyenne faible inexistante Les ventes de ces composants devraient atteindre en 2002 plus de 640 millions d unit s contre 1 4 million en 1998 La durabilit et le caract re Europe forte moyenne faible inexistante Exemple de secteur Do iaines s Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application 5 concern s IAA Gestion des stocks Tra abilit Objets Micro processeur mul
219. ant certains probl mes d thique Au del les Technologies de l Information font appara tre une nouvelle offre de produits bas e sur l interactivit produits base de r alit virtuelle ou encore sur la sant Le domaine des biens et services de consommation recouvre un vaste champ d offre logement produits alimentaires v hicules automobiles produits informatiques multim dia produits du spectacle textiles Au regard de l ampleur du sujet le groupe de travail a choisi de focaliser sa r flexion sur des technologies importantes pour le d veloppement des liens avec le consommateur dans une optique marketing les infrastructures n cessaires l utilisation de ces technologies ont t laiss es d autres domaines trait s ailleurs dans ce rapport Notons toutefois que la perspective adopt e ici est celle des march s des pays d velopp s et que la question de technologies adapt es aux produits et services de consommation de pays en voie de d veloppement pourrait galement tre abord e Page 136 Le contexte par grands domaines Les enjeux non technologiques li s la demande sociale L analyse de la demande sociale confirme et amplifie quatre tendances principales identifi es lors du dernier exercice de prospectives Technologies Cl s 2000 et revisit es en d tail ici dans le chapitre I 2 consacr aux grandes tendances de la demande la personnalisation de la consommation ses produits
220. ant qu utilisateur mais galement producteur d information e Instrumentation et personnalisation des contenus pour les rendre utilisables dans des contextes et par des utilisateurs tr s diff rents e Appropriation des contenus par les utilisateurs et acc s l information Page 71 Le contexte par grands domaines e Certification gestion des droits et marketing des contenus e Apparition de terminaux tr s simples d di s tel ou tel usage et g n ralisation de l acc s aux contenus par n importe quel moyen Priorit 2 Int grer des flux audiovisuels et permettre leur interm diation il s agit de donner la possibilit d int grer dans Internet de v ritables s quences vid os en temps r el et avec une d finition convenable Les contenus audiovisuels doivent ainsi tre accessibles et manipulables avec autant de simplicit que les contenus disponibles aujourd hui sur Internet texte images fixes sons L objectif ici n est pas de substituer Internet la t l vision ou la vid o mais bien de faire merger de nouveaux usages et de nouveaux services impensables sur les canaux multim dia actuels Il s agit galement de permettre tout un chacun la production la manipulation la diffusion et la consultation de telles informations Dans ce domaine la d finition de nouveaux outils d interm diation pour les flux vid o est importante e G n ralisation de contenus vid o tr s locaux destin s des communaut
221. ant un facteur de risque sur la vitesse laquelle les grands verrous seront lev s Ces technologies sont en interaction avec les technologies de l indexation pour des applications telles que la recherche de contenus multim dia Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous Exemples de Exemples d usage secteur d application DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales naissance diffusion E POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE fore moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL faible inexistante E E moyenne faible inexistante France Europe France Europe Fonction remplie fne Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Identification de mots et de Prosodie et timbre Page 170 gt CM International Automobile Tourisme Services en ligne Bureautique Sant Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Assistants digitaux portables R seau domestique num rique Capteurs intelligents Ing nierie concourante Imagerie m dicale Chirurgie assist e par ordinateur Ergonomie de l interface homme machine V hicules intelligents et communicants Offre de produits et de services base de r alit virtuelle Outils de sant la disposition des consommateurs
222. ante s agit de passer du laboratoire l int gration industrielle Les premi res applications laissent pr sumer de fortes potentialit s mais il reste encore des incertitudes sur leur d veloppement Il POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL serait important de favoriser la diffusion des r alisations r ussies France forte moyenne faible inexistante Liens techniques de synth se et de test haut d bit Europe forte moyenne faible inexistante stockage de l nergie Exemples de secteur Domaines scientifiques d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques nane Textile AntiUV transparent Renfort Nanocomposites Synth se contr l e minfrale ou de Synth se min rale et de B timent Renfort polym re Support et renforts polym res polym res Cosm tique Couches dans les Interfaces nanom triques R cup ration apr s synth se Sciences des surfaces Automobile peintures Fonctionalisation floculation sans agr gation Calcul des surfaces M lange et dispersion homog ne dans une matrice organique ou inorganique Autres points critiques Co t Page 197 gt CM International 33 Mat riaux pour syst mes avanc s pi zo lectriques ferro lectriques et magn tiques Les mat riaux ferro lectriques pr sentent une polarisation lectrique spon
223. ar l industrie fran aise Cette industrie repr sente 70 milliards d euros de chiffre d affaires dont 8 2 chimie min rale 26 3 chimie organique 16 8 savons et parfums 18 3 parachimie et 30 4 pour les m dicaments 1 150 entreprises de plus de 20 salari s 236 500 salari s Par la taille de ses entreprises comme par la vari t de ses produits l industrie chimique est une branche aux multiples visages c t de groupes de dimension internationale elle compte un grand nombre de petites et moyennes entreprises 950 d entre elles emploient moins de 100 personnes Cette industrie se caract rise par un niveau important de d penses de recherche d veloppement en vue notamment d assurer un rythme soutenu de renouvellement de ses produits Les d penses de recherche et d veloppement ont ainsi atteint pr s de 4 5 milliards d euros en 1998 alors qu ils n taient que de 3 milliards d euros 98 en 1986 La vaste gamme des productions de l industrie chimique on d nombre l heure actuelle quelque 30 000 mol cules produites et commercialis es par les entreprises chimiques fran aises va des grands produits de base min raux et organiques aux m dicaments en passant par les engrais les mati res plastiques les ar mes les colles les produits de beaut Elle contribue de fa on d terminante au d veloppement des autres secteurs de l conomie Li e en amont aux secteurs fournisseurs de ses principales mati res pre
224. arborescences qui d une part la caract risent du fait de leur sp cificit et d autre part constituent la source d avantages comp titifs majeurs O La premi re arborescence est d ordre scientifique et technique un premier niveau de l arborescence correspond au x probl me s critique s d ordre technologique et pour certains d ordre non purement technique qu il a fallu ou qu il faudra vaincre pour faire merger cette technologie cl un second niveau correspond au x domaines s scientifique s concern s Cette premi re approche sommaire de principe pourrait tre affin e par la multiplication ventuelle des niveaux pertinents consid rer et pr ciser par des exemples de sp cificit s Le niveau interm diaire des sp cialit s qui correspond la description des comp tences des chercheurs du domaine pourrait tre ainsi introduit O La deuxi me arborescence rel ve des fonctionnalit s le premier niveau est alors celui de la fonction c est dire du besoin g n rique rempli par la technologie cl le second correspond aux usages qui peuvent tre vari s au dernier niveau se trouvent les secteurs d applications dans lesquels s inscrivent ces usages et donc l utilisation de ces technologies Un exemple de cha nage On peut illustrer cette proposition sur un premier exemple Secteur Exemple Fonction Technologie Point Domaines d application d usage remplie techno
225. ase du second tamis tape 3 proposition de la liste des technologies cl s pour chaque groupe et caract risation de ces technologies l aide de la grille propos e par le groupe Interactivit Qualit et pr sent e au chapitre I 5 3 phase la d finition des priorit s la synth se et les recommandations A partir des travaux des groupes de travail et notamment des listes des technologies cl s propos es le Comit de pilotage a s lectionn la liste d finitive des technologies cl s pour l industrie fran aise l horizon 2005 Il a galement fait un certain nombre de propositions concr tes en mati re de d veloppement technologique Le sch ma suivant permet de mieux visualiser ce processus de rep rage et de s lection Groupes de travail Septembre octobre 1999 Questionnaire Attraits gt g CD Novembre d cembre 1999 Questionnaire Atouts B Panel d experts 1 et 2 me cercle Groupes de travail Groupes de travail Groupes de travail Janvier f vrier 2000 Comit de pilotage J Mars avril 2000 Page 52 Introduction 4 Les crit res de s lection des technologies La s lection des technologies cl s s est donc faite partir de deux types de questionnaires O un premier questionnaire relatif aux attraits de la technologie qui a t adress aux seuls experts des groupes de travail O un deuxi me questionnaire concernant les atouts de la Fran
226. ateurs et les p riph riques les r seaux les logiciels et algorithmes Ces volutions technologiques sont envisager en particulier quant leur cons quences sur les technologies de l Internet multimedia Dans cette perspective l encadr ci contre reprend les priorit s technologiques telles que rep r es par le rapport Internet du futur du RNRT Page 73 Le contexte par grands domaines Les 4 priorit s pour l Internet du futur Priorit 1 Rapprocher l information de son usage gr ce l interm diation et permettre chacun de participer aux contenus en ligne le d veloppement d Internet am ne tous les jours plus d utilisateurs plus de contenus plus de services en ligne Il se rapproche ainsi du monde r el avec toute sa complexit et toute la difficult pour quelqu un de s y retrouver ou de se faire entendre La premi re priorit doit donc permettre de ma triser la complexit croissante de ce monde en rapprochant les informations de leur usage et en facilitant au plus grand nombre l acc s Internet en tant qu utilisateur mais galement producteur d information Instrumentation et personnalisation des contenus pour les rendre utilisables dans des contextes et par des utilisateurs tr s diff rents Appropriation des contenus par les utilisateurs et acc s l information Certification gestion des droits et marketing des contenus Apparition de terminaux tr s simples d di s tel ou tel usage e
227. ation dans les m thodes de conception d expertise en choix de technologies et mat riaux au stade de la conception de connaissance des contraintes POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE li es l environnement de comp tences France forte moyenne faible inexistante La d finition du format et des supports utilis s pour la gestion des r gles m tier la mise jour dont l int gration du retour d exp rience et la 7 7 ns E p Europe forte moyenne faible inexistante recombinaison de ces r gles entre elles sont les enjeux majeurs de cette technologie et pr sentent une complexit certaine souvent non encore formalis e dans les entreprises Ce qui explique la contradiction apparente entre les degr s de d veloppement indiqu s pour la technologie et ses applications industrielles et commerciales POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous g nie logiciel Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de Domaines secteurs Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application concern s Tous secteurs Meilleure utilisation du capital Gestion strat gique des Formalisation et Formaliser les sp cialit s de l entreprise Informatique intellec
228. ation de comp tences compl mentaires permettant d acc l rer encore le rythme des innovations Les relations entre les entreprises qui composent ces r seaux qualifi es de partenariales vont bien au del des transactions marchandes ordinaires ou m me de l int gration logistique qui accompagne la mise en uvre du juste temps Les contributions des diff rents membres du r seau doivent se fa onner mutuellement et s int grer de mani re organique Seule une troite coop ration associant dans la dur e le fournisseur et son client est capable d assurer cette int gration et d autoriser l volution concert e des bases de comp tences de chacun afin de permettre l am lioration continue du produit final Page 35 Introduction Conclusion Les trois tages de la fus e nouvelle conomie sont naturellement troitement imbriqu s L conomie fond e sur la connaissance se nourrit des technologies de l information qui constituent de formidables auxiliaires la puissance cr atrice du cerveau humain et de puissants vecteurs de diffusion de l information Internet qui est le produit de convergences intervenues au sein des technologies de l information et de la communication offre d ores et d j d immenses possibilit s en mati re de coordination des activit s conomiques et devrait faciliter le fonctionnement des r seaux d entreprises mettant en uvre une division cognitive du travail
229. ationnels dont on pressent d j clairement qu ils seront d terminants Toutefois que l on ne s y m prenne pas les technologies dures non seulement continuent exister nous les avons rencontr es et esp rons en avoir rendu compte ici mais en plus elles restent videmment d actualit Il ne saurait y avoir le moindre doute l dessus En revanche ce qui avait t soulign 1l y a 5 ans et ce qui est confirm ici encore c est l importance des technologies dites molles En d autres termes pour prendre la mayonnaise technologique a besoin d autre chose que les seuls ingr dients des technologies classiques Mais plus encore que cette confirmation de l importance des technologies organisationnelles le travail conduit ici aura recommand de ramener le client dans le champ de vision du technologue La d marche d investigation adopt e a permis de replacer la technologie au c ur de la dualit besoin solution en syst matisant l interrogation quel est le besoin satisfaire avec quelles fonctionnalit s et pour quels usages quelles voies technologiques peut on escompter pour satisfaire ce besoin C est dans cette tension dialectique entre demande et offre entre client et fournisseur entre usage et technologie entre fonctionnalit satisfaire et solution technique mobilisable que jaillit la cr ativit et que survient l innovation Il n y a de sens pour la technologie que dans la
230. atique concernant les ouvrages d art Diff rentes technologies peuvent ainsi contribuer une meilleure gestion de l activit D apr s A Maugard CSTB Page 100 Le contexte par grands domaines Ing nierie concourante tr s strat gique pour la construction en lien avec les technologies de l information et de la communication la mise en uvre des techniques d ing nierie concourante pourrait contribuer bouleverser l organisation m me du secteur Ing nierie concourante La carte m moire du b timent elle pourrait int grer le mode d emploi le rythme de maintenance de la construction elle se heurte n anmoins une difficult quelle forme donner cette carte m moire compte tenu de la dur e de vie des b timents Positionnement et conduite int gr e des engins de chantier Local positioning system GPS int gration de l engin de chantier au syst me d information permettant un suivi d taill de la mise en vre depuis le bureau d tude Logistique des mat riaux liens informatis s avec les fournisseurs d veloppement des tiquettes lectroniques des fins de mise en vre et de gestion Analyse et diagnostic du vieillissement des structures et des mat riaux M thodes et processus de maintenance Mod lisation en milieu complexe Page 101 Le contexte par grands domaines I 4 Energie Environnement Page 102 Le contexte par grands domaines L ne
231. atiques qui leurs sont associ es pour autant qu elles satisfassent aux r gles d thiques en vigueur utilisation de cellules humaines pour des greffes non acc s l aide financi re pour certains soins pour les populations g es Au del il appara t que l mergence incontest e des biotechnologies va avoir un effet restructurant important sur les industries pharmaceutiques Les biotechnologies favorisent en effet l apparition de m dicaments sur mesure c est dire cibl s sur un g ne pharmacog nomique Une telle volution pousserait les industriels changer de m tier et d organisation Page 118 Le contexte par grands domaines Les enjeux dans le domaine de la sant En ce qui concerne la demande plusieurs tendances sont observables aujourd hui Le vieillissement de la population Ce point a d j t d velopp au chapitre I 2 relatif aux tendances de la demande Il doit tre repris ici D apr s l INSEE en 1998 les personnes de plus de 60 ans constituent 20 4 de la population totale en France En 2020 elles repr senteront environ 26 8 soit plus du quart de la population Ce vieillissement a des cons quences directes sur le d veloppement de maladies nouvelles cancer Alzheimer mais aussi sur l augmentation du risque de maladies m me b nignes arthrose surdit rhumatismes et les fr quences d hospitalisation Le domaine de la sant doit donc s adapter
232. aux combinaison de mat riaux Composites base de fibres de ligno cellulose Qualit et gestion des ambiances Plus que jamais consid r comme un abri contre les agressions ext rieures l habitat doit garantir des ambiances saines pour ses occupants La m trologie de l environnement interne va se d velopper gr ce aux bio capteurs Biopuces et biocapteurs Le suivi de la qualit de l air mais galement du niveau sonore ou encore de la qualit de l eau distribu e se banalisera progressivement Gestion de l air dans les b timents Les syst mes de ventilation de filtration devront la fois pr server la sant face aux missions internes et externes mais galement assurer le confort et la pr servation du b ti et en outre contribuer la ma trise de l nergie Les syst mes devront r pondre une demande de r versibilit froid chaud de d croissance du niveau sonore d autonomie d am lioration de l esth tique et de leur dimensionnement R duction des bruits Les technologies concern es sont La gestion des vibrations et l acoustique par contr le actif Le contr le actif permet de gagner des d cibels sur des nergies mises ou de diminuer activement le niveau des vibrations pour viter la fatigue des b timents Les capteurs intelligents Capteurs intelligents capteurs de qualit de l air capteurs de pr sence La m trologie qualit de l air et de l eau interface
233. avail Pr servation Pr vention Proc d s Process Processus Progiciels Protection Prot ines Prototypage Puce Qualit CPG Supply Chain Management IAA Th rapie g nique CPG Multi repr sentation Simulation BSC Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle NTIC Micro lectronique silicium Composants opto lectroniques et phonotiques Mesures et tests de syst mes BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique CIH R alit virtuelle augment e pour la conception architectural et technique EE Photovolt que MC Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre des mat riaux NTIC Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes Moteur de r alit virtuelle CIH Le b ton performances optimis es MC Alliages de polym res EE Elimination des m taux lourds dans les boues et effluents D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols D tection et traitement des odeurs NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques MC Elaboration de composites matrice organique Fibres textiles fonctionnelles Catalyseurs Proc d s biotechnologiques et biomim triques de synth se
234. avec les moyens d action d cision Num risation des donn es Et divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Et divers autres domaines relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs gt CM International Mat riaux Chimie Page 195 31 Alliages de polym res Les alliages de polym res sont des m langes physiques ou des associations chimiques d au moins deux polym res diff rents et de compatibilisants On cherche obtenir des propri t s plus lev es DEGRE DE DEVELOPPEMENT que celles des constituants et ou une mise en forme plus facile Il Technologie mergence croissance maturit s agit de combiner des propri t s pr sentes dans diff rents polym res selon les applications souhait es Les premi res Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation applications concernent les pi ces de carrosserie automobile Les pi ces sont de 30 50 plus ch res qu en t le acier mais le gain de poids se situe entre 50 et 60 et les investissements sont divis s par trois Comme les technologies mises en uvre sont POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE celles de la plasturgie les plasturgistes y voient un moyen France forte moyenne faible inexistante d tendre leurs march s D ici 2005 les alliages de polym res pourrai
235. ble ainsi que d innovations chez les industriels utilisateurs pour l incorporation du mat riau dans leurs produits et leurs proc d s L innovation doit ainsi prendre en compte de fa on simultan e le Mat riau que produire la Ma trise des fili res de production comment produire et les March s utilisateurs pour qui produire et pourquoi produire Ceci permet de comprendre la longueur du cycle d innovation et l inertie technologique caract ristiques du secteur Si la probl matique des 3M mat riau ma trise march s d crite dans l exercice pr c dent reste forte il faut toutefois noter que l volution du m tier des industriels tant de la chimie que des mat riaux vers des m tiers plus forte valeur ajout e laisse aujourd hui une place importante l innovation organisationnelle Ainsi des questions telles que la capitalisation des connaissances la productivit de l innovation et plus largement les modes de gestion des comp tences sont au c our de la comp titivit de ces secteurs Contexte conomique Panorama g n ral La chimie Une classification courante des activit s de la chimie distingue la chimie de base de la chimie fine La premi re fabrique des produits de gros tonnage en peu d tapes de r action partir de mati res premi res facilement accessibles dans des installations de grande capacit mobilisant des capitaux importants Cette chimie que l on qualifie aussi de chimie
236. brication et mesure des Design sensoriel y compris la Capteurs dont capteurs Neurophysiologie Biens de consommation des lieux de vente sensations formes odeurs m trologie sensorielle intelligents sensorielle Bornes de go t Nez lectronique Informatique logicielle d monstration Bases de donn es Biochimie Analyse des attentes des sensorielles Biophysique consommateurs Techno logicielles pour la Offre de produits et de gestion des donn es et du services de grande contenu consommation base de r alit virtuelle Autres points critiques La s miologie Page 281 108 M thodes de marketing li es l utilisation des TIC En lien troit avec le d veloppement d Internet les TIC permettent produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle syst mes d organisation et gestion d offrir de nouveaux produits et services au consommateur en favorisant industrielles am lior s la personnalisation de la relation client fournisseur L enjeu des TIC est de d passer l acc s Internet travers un ordinateur pour d velopper une offre de produits et de services travers les objets nomades t l phones portables voitures qui permettront d avoir acc s cette offre tout instant L utilisation des TIC fait appel des techniques de marketing sp cifiques dont les enjeux principaux sont la visibilit de l offre Le i pr
237. canal optique 2 5 gbit s ou plus s curis par un m canisme automatique au niveau de la longueur d onde puis une gestion des liaisons optiques de bout en bout dans l esprit d un r seau sans couture Pour participer la course aux Giga Tera Peta packet routers susceptibles d acheminer et de fiabiliser le trafic IP il est essentiel de poursuivre les d veloppements li s l opto lectronique Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous techno de boucle locale DEGRE DE DEVELOPPEMENT mergence o mawit Technologie Applications industrielles et commerciales naissance e g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE fore moyenne faible inexistante France Europe e faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL fore moyenne faible inexistante France Europe Page 172 fore i faible inexistante gt CM International Exemples de secteur d application T l com munications M dias Tous secteurs utilisateurs de services Internet Exemples d usage Visioconf rence R seaux priv s virtuels VLAN Diffusion broadcast TV Acc s aux services Internet en ligne haut d bit applications en ligne consultation de donn es multim dia Transmission temps r el de contenus multim dia Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur M
238. cation Informatique Industries de Jeux vid o en ligne de contenus Techno logicielles pour le Allocation de ressources g n rale commu Chirurgie et diagnostic en ligne multim dia transport de donn es Interfaces de navigation T l com nication Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Technologies de boucle Compression d compression multim dia munications T l com Interm diation et int gration de services pour l Internet du locale Gestion voies montante descendante munications futur Grands serveurs sons Grand public R seau domestique num rique images 3D Et divers autres points critiques relevant Ing nierie concourante Assistants digitaux portables des technologies cit es ci contre et Outils de sant la disposition des consommateurs voqu es par ailleurs Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Page 183 gt CM International 24 Technologies logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Avec le d veloppement d Internet notamment on assiste une croissance exponentielle de la masse des donn es th oriquement disponibles pour l utilisateur En fait cela ne se traduit pas automatiquement par un accroissement de l information accessible dans la mesure o l on peut dire que celle ci r sulte de la combinaison d au moins trois l ments les donn es la structuration de ces derni res et la capacit d en extraire ce dont
239. ce Ils connaissent galement des applications de plus en plus nombreuses dans des domaines tels que la surveillance de l environnement ou la s curit des utilisateurs en particulier dans les transports contr le de distance contr le de trajectoire Enfin ils sont appel s jouer un r le de plus en plus Technologie mergence croissance maturit d terminant dans le fonctionnement de nombreux produits grand public de l automobile la machine laver Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation Les d veloppements r alis s sur les capteurs intelligents portent aujourd hui notamment sur leur fiabilit et leur capacit r sister un environnement agressif sur leur miniaturisation pour le mat riel POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE embarqu sur leur capacit traiter et int grer des donn es multiples et h t rog nes sur leur int gration au sein de syst mes lectroniques et leur France forte moyenne faible inexistante interface avec les moyens d action d cision en rapport avec les informations qu ils fournissent RE q Europe forte moyenne faible inexistante Le domaine des capteurs b n ficie plein de l apport de nouvelles technologies telles que les couches minces les fibres optiques les semi micro lectronique et des technologies plus classi
240. ce maturit Dans des environnements de plus en plus complexes architectures lectriques et lectroniques de plus en plus denses sources Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation d missions de plus en plus nombreuses la compatibilit lectromagn tique est un enjeu fort pour assurer la s curit et la fiabilit du fonctionnement des appareils lectriques et POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE lectroniques dans le respect des r glementations notamment europ ennes France forte moyenne faible inexistante Il s agit donc de pouvoir concevoir des appareils et syst mes robustes capables de r sister aux Interf rences Electromagn tiques Europe forte moyenne faible inexistante dans des environnements de plus en plus perturb s Liens POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL architecture lectrique architecture lectronique informatique r partie et France forte moyenne faible inexistante multiplexage v hicules intelligents et communicants Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur r d Domaines d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques concern s Tous GSM des avions S ret de fonctionnement Compatibilit Mod lisation du ph nom ne Sciences Po
241. ce d groupage jouera un r le essentiel des techniques d acc s en boucle locale avec une bande passante suffisamment importante pour pouvoir distribuer les donn es ou contenus Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit multim dia dans des conditions satisfaisantes jusqu l usager Les r seaux de distribution des contenus multim dia CDN Content Delivery DEGRE DE DEVELOPPEMENT Network n cessitent ainsi l adaptation des infrastructures des fournisseurs d acc s Internet au large bande et la gestion des flux Technologie mergence croissance maturit vid o en temps r el jusqu la boucle locale Le r seau d acc s devra pouvoir supporter diff rents types de services services d di s IP services aaa F P TEST t l com et audiovisuels permettant ainsi l apparition d un v ritable Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation march de services large bande comme par exemple la distribution et consultation de vid o la vid o conf rence et le commerce lectronique Les technologies de boucle locale constituent donc une cl du POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE d veloppement d Internet France forte moyenne faible inexistante A 5 ans les objectifs de bande passante sont de plus de 1 Mbit s pou
242. ce et de l Europe et les conditions de succ s Ce questionnaire a t envoy l ensemble des experts du premier et du second cercle en fonction de leur domaine de comp tence Les crit res d attraits de la technologie Cinq familles de crit res ont t analys es Enjeux industriels et conomiques potentiel de march s actuels et futurs construction consolidation d une position concurrentielle capacit de diffusion dans le tissu industriel propension de la technologie g n rer des baisses de co t et ou des productions de masse Enjeux environnementaux d veloppement durable ma trise de l nergie pr servation des ressources ma trise des effluents et rejets risque d effet n gatif Enjeux soci taux sant s curit alimentaire hygi ne vieillissement de la population culture ducation formation risque d effet n gatif Enjeux nationaux et europ ens s curit d fense souverainet risque de d pendance industrielle s curit d approvisionnement Dynamique des technologies lev e d un verrou technologique recombinaison avec d autres technologies appropriabilit collective des technologies effet retour sur la recherche Les crit res d atouts et les conditions de succ s Cette analyse a conduit valuer la position de la France et de l Europe du point de vue scientifique et tec
243. ception en ligne d information sur des quipements connect s Domaines scientifiques concern s Informatique logicielle Points technologiques critiques G nie logiciel Architectures distribu es Message oriented Middleware CORBA RMI HOP Agents Couple Java partage des applications XML partage des donn es Universal plug and play HAVI JINI Protocoles standardis s de communication inter applicative Autre point critique Normes MHEG gt CM International 28 G nie logiciel Alors m me que le logiciel joue un r le de plus en plus fondamental dans l conomie et la soci t il souffre encore de faiblesses pr occupantes au regard de crit res industriels classiques tels que la fiabilit la productivit ou la facilit de test de mise en uvre et de maintenance L enjeu de la ma trise technologique en mati re de g nie logiciel est donc consid rable Comme l a bien montr la r flexion des experts notamment celle qui a t men e dans le cadre du R seau National de recherche et d innovation en Technologies Logicielles RNTL l axe prioritaire dans ce domaine r side dans le d veloppement logiciel base de composants Le RNTL analyse ainsi la triple rupture qu introduit ce concept sur le plan technique le d veloppement base de composants amplifie le r le central des concepts d architecture et am ne l mergence de nouvelles exigences sp cifique
244. cette technologie d s lors qu elle prendra son essor pour satisfaire un march r el C est l la notion de veille et d adaptabilit gr ce une base de comp tences qui permettra de pouvoir escompter prendre une place significative sur une technologie m me si on n y est pas encore vraiment actif aujourd hui La double empreinte d un exercice de prospective Les praticiens de la Prospective le savent bien le processus d un tel travail compte au moins autant que le r sultat produit En d autres termes au del des r sultats concrets obtenus et pr sent s au travers du pr sent rapport un second ensemble de r sultats plus intangibles moins palpables mais potentiellement plus cons quents et au moins aussi p rennes concerne l empreinte laiss e sur les acteurs par le fait m me d avoir contribu l exercice Les interactions les discussions parfois anim es les r flexions induites par les questionnements formul es y compris travers les questionnaires adress s aux panels du second cercle d experts ont visiblement permis certains de remettre en cause une partie de leurs id es d autres de nouer des relations nouvelles qui contribueront r g n rer leurs r seaux d autres encore de d couvrir des probl matiques qu ils connaissaient mal et qui sont pourtant de nature alimenter leurs actions futures Au del tous auront eu s imposer cette discipline salutaire consistant rallo
245. chnologies classiques tous points de vue La situation des entreprises install es deviendra alors difficile sans un effort consid rable de r orientation pour assurer leur survie Startups PME et nouveaux entrants viennent tout coup prendre des positions cl s dans les march s install s D Rupture dans l offre de produits et de services TIC gt dans les t l communications remise en cause des op rateurs int gr s traditionnels d placement de la valeur ajout e aux extr mit s accroissement de la concurrence L arriv e d Internet vient fondamentalement ouvrir le mod le classique des r seaux de t l communications en effa ant les barri res de protocole entre r seaux terminaux et serveurs L architecture du r seau devenu backbone peut tre simplifi e et rendue durablement ind pendante des services propos s Les serveurs quant eux peuvent apporter aux terminaux des services sans d lai d adaptation du r seau et distribuer simultan ment les adaptations logicielles requises par les terminaux Dans ce mod le les op rateurs int gr s traditionnels et les quipementiers de commutation perdent nombre d avantages concurrentiels et doivent changer de technologie pour tirer profit des gains de co t permis par la norme IP Page 63 Le contexte par grands domaines L abaissement des co ts et la r duction des barri res technologiques l entr e entra nent l apparition de nouveau entrants s
246. ciliter les choix en permettant une concentration des efforts sur celles qui sont les plus importantes d un point de vue conomique Bien entendu ce point de vue ne peut se justifier que si l on pense que le contexte de relative stabilit politique voire militaire ne sera pas remis en question dans le monde occidental au sens large pour l avenir pr visible L tude pr c dente avait bien diff renci les technologies qui pouvaient utilement faire l objet d une attention particuli re de celles qui avaient toutes chances d tre d velopp es ou am lior es sans incitation ou intervention publiques notamment celles qui sont au c ur des m tiers des grands acteurs dont les capacit s d innovation et les moyens sont importants et qui rel vent donc d une logique de d veloppement autonome pour reprendre la terminologie de 1995 Pour cette nouvelle tude le parti a t pris de parler peu de certaines technologies qui sont assur es de rester dominantes et d tre am lior es en continu par les acteurs qui les mobilisent Cela ne signifie pas bien entendu que leur poids conomique ou leur importance strat gique ont t sous estim es comme du reste cela est rappel dans les chapitres de mise en contexte des travaux des diff rents groupes th matiques Les changements du monde conomique font tous les jours les grands titres de l actualit et occultent un peu ceux des mentalit s Pourtant la France
247. concepts de produit ou des proc d s de fabrication ainsi que f l abandon de technologies obsol tes auxquelles de nouvelles technologies sont progressivement ou soudainement substitu es Notons d ailleurs que certaines de ces probl matiques concernent aussi les acteurs publics et en particulier la recherche publique Pour Porter l importance sp cifique de la technologie r side dans sa capacit influencer le jeu concurrentiel en modifiant la fois la structure des secteurs concern s et les r gles du jeu qui y pr valent La technologie peut bousculer ou m me an antir les positions tablies par les concurrents et cr er des opportunit s pour de nouveaux entrants Dans cette vision tr s schump t rienne c est la principale sinon la seule force capable de modifier de fa on significative les parts de march Des technologies de substitution et les produits qui leur sont associ s peuvent ainsi recomposer des pans entiers de secteurs de l industrie comme ce peut tre le cas du multim dia face l informatique l lectronique grand public l dition et le secteur t l visuel par exemple En ce sens l innovation est une arme concurrentielle pour qui sait y recourir Ainsi les probl matiques relatives la technologie tournent en fait essentiellement autour du th me du changement technologique Au fond ce n est pas tant la technologie qui est ici l enjeu que la question de son volution et du passage d une voie technologiq
248. consisterait dans les secteurs ou les activit s en mergence notamment encourager l laboration de bases et de banques de donn es relatives aux connaissances disponibles en Europe dans des domaines prometteurs Par cette mise en commun de savoirs dispers s la communaut scientifique et technique disposerait d une information pr cieuse qui lui permettrait d tre beaucoup plus efficace et de faire avancer ses travaux plus rapidement De m me ce regroupement de connaissances parses permettrait certainement de mieux r pondre aux questions toujours plus pr cises que se pose la soci t sur le devenir de la science et de la technologie La troisi me action concerne la mise jour et l harmonisation des nomenclatures conomiques indispensable toute comparaison fiable au sein de l Europe notamment En effet les nomenclatures disponibles ne rendent compte qu imparfaitement de l interp n tration grandissante entre secteurs d activit anciens et technologies ou proc d s nouveaux l origine de l mergence de nouveaux domaines d activit Aujourd hui des domaines et sous domaines nouveaux aux contours encore impr cis mais dot d une vie propre renvoyant des logiques de d veloppement conomiques sp cifiques s affirment Or les nomenclatures actuellement en vigueur permettent difficilement d identifier une entreprise ou un laboratoire qui se d veloppe autour de ces nouveaux champs d activit Les nomenclatures de
249. continue Ces nouveaux principes s incarnent dans des pratiques sp cifiques bien identifiables comme la recomposition du travail et l augmentation de la polyvalence de la main d uvre le raccourcissement des lignes hi rarchiques et la d centralisation partielle du pouvoir de d cision vers ceux qui d tiennent l information pertinente ou bien l ing nierie simultan e qui vise r unir pour les faire avancer en parall le tous ceux qui sont impliqu s dans le processus d innovation quel que soit le service de rattachement et la position hi rarchique sans oublier la perc e remarquable du knowledge management Ils modifient radicalement le statut de travail dans l entreprise loin de ne constituer qu un co t r duire ou un facteur de rigidit flexibiliser 1l constitue le c ur de la capacit d apprentissage de l entreprise son actif le plus strat gique Apr s des ann es de restructuration et de lean management c est l un changement de perspective consid rable Au del de ces nouvelles pratiques il semble que nous soyons en train de vivre un v ritable d placement du principe qui sous tend la division du travail dans la vie conomique au profit d un fondement cognitif Afin d assurer leur comp titivit dans cette conomie fond e sur la connaissance les entreprises sont incit es d finir le contenu de leur activit non plus par rapport des produits automobile ou des techniq
250. couples induit une demande de gain de temps notamment au niveau de la sph re domestique Le march de demain doit aller encore plus loin proposer une gamme de produits destin s rentabiliser encore mieux son temps tout en pr servant une certaine qualit de vie performances accrues des appareils m nagers actuels aspirateurs anti acariens fours encore plus rapides et multi fonctions produits alimentaires d assemblages qui permettent de faire r ellement la cuisine mais base d l ments d j pr par s La recherche de garanties dans les biens consomm s Les attentes envers les produits consomm s prennent galement la forme de garanties certifiant que le produit respecte certains crit res tels que l hygi ne la s curit ou bien le respect de l environnement Une demande de garanties d hygi ne et de s curit de plus en plus importante Les diff rentes crises ont accru la m fiance des consommateurs l gard des biens de consommation et les ont rendus exigeants en termes de garanties Parmi les crit res incitatifs l achat en France et en Europe la demande de garanties d hygi ne et de s curit arrive en effet en t te selon les personnes interrog es lors des enqu tes Consommation Des produits multifonctionnalit s Les garanties d hygi ne poss dent deux dimensions La premi re a trait la sant associ e une bonne hygi ne de vie la seconde concerne davantage l hygi ne p
251. ctronique Optique disques durs Economie d nergie et de Compatibilit des Technologie Hyperfr quences Capteurs d acc l ration volumes Test jeux Identification D tecteurs de fum e gaz Page 154 3 Micro lectronique III V AsGa InP La micro lectronique bas e sur les semiconducteurs II V AsGa InP et compos s ternaires du type AsGaAl est compl mentaire de la micro lectronique silicium Elle exploite les propri t s intrins ques de ces mat riaux pour des march s relativement limit s mais d importance essentielle Les amplificateurs de puissance pour des applications de t l phonie mobile exploitant la grande lin arit et le fort rendement de puissance ajout e En 1999 le march mondial des composants RF AsGa pour t l phones cellulaires a repr sent 1 5 milliards d euros Les circuits de commande ou d tection pour communications optiques tr s haut d bit laser drivers amplificateurs transimp dance multiplexeurs d multiplexeurs 40 Gbit s et 160 Gbit s Des applications spatiales et dans un proche avenir des applications dans les domaines de fr quence millim triques LMDS distribution de contenus multim dia TV donn es en large bande autour de 27 ou 40 GHZ radar anticollision pour automobile 77 GHz etc Le march total des composants GaAs tait de 6 5 milliards d euros en 1997 et est estim 10 milliards en 2002 L tat de l art actuel montre des composants fr
252. d rant dans cette d marche De fait le num rique le prototypage rapide et les maquettes sont de plus en plus troitement li s L association de l ensemble des techniques de conception est en volution et doit permettre terme de concevoir et plus encore fabriquer juste du premier coup en g rant la diversit des mat riaux des proc d s et des fa ons de repr senter et de proposer un objet ainsi que les services associ s L innovation enfin est un d terminant commun une meilleure prise en compte de la demande comme l int gration de la dimension humaine dans la conception et la production Le besoin d innovation merge comme une priorit que ce soit au niveau des techniques utilis es pour la conception comme dans les processus de production et bien s r dans l offre elle m me L enjeu aujourd hui pour les entreprises est de g rer et d accompagner une dynamique de changement permanent qui valorise l innovation dans l offre comme dans le fonctionnement des op rations Apr s les efforts consid rables consentis pour rationaliser et rendre plus efficaces les op rations l innovation redevient une priorit A ce titre la protection de l innovation et la propri t industrielle font partie des pratiques promouvoir pour que l entreprise s approprie le fruit de ses activit s innovatrices Les d marches de veille concurrentielle et plus largement encore d intelligence conomique peuvent g
253. d veloppement technologique travers notamment le programme cadre de recherche d veloppement PCRD Mais plut t que de r diter les critiques souvent faites aux programmes europ ens de soutien la R amp D manque de coh rence dans les objectifs co ts d acc s prohibitifs etc le Comit qui ne nie pas Page 287 Annexes l importance des ces programmes souhaite mettre en avant trois types d action qui lui semblent particuli rement importantes et pour lesquelles la France pourrait jouer un r le majeur La premi re action int resse la normalisation Il est capital que les industriels y participent activement Elle doit tre con ue comme un outil strat gique ce que font d ailleurs nos principaux concurrents En effet la question des normes a une incidence r elle sur les succ s enregistr s par les technologies de pointe voir l exemple du GSM De plus en plus les normes sont n goci es sur la sc ne internationale par les pouvoirs publics et l industrie La France et surtout son industrie doivent tre pr sents lors de l laboration et de l tablissement de ces normes internationales Ils pourront ainsi exercer une influence sur celles ci Mais il est bien vident que dans le cadre de la Communaut europ enne ce sont les int r ts de l Europe qui doivent tre mis en avant d o la n cessit de d finir des positions europ ennes communes entre les principaux acteurs europ ens La seconde action
254. d hui 49 de la population active totale Cette f minisation de la soci t a videmment fortement contribu modifier les strat gies des entreprises et cette tendance se poursuit voire tend 21 des personnes ayant 60 ans ont la maladie d Alzheimer Ce pourcentage s accro t avec l ge 5 des personnes de 75 ans et 15 des personnes de plus de 85 ans Page 20 Introduction s amplifier En fait il s agit d un double ph nom ne d une part de plus en plus de produits s adressent directement aux femmes d autre part les femmes investissent de plus en plus dans des domaines jusqu alors r serv s un univers typiquement masculin les entreprises de jardinage et de bricolage par exemple proposent d sormais des gammes d outils et d activit s destin s sp cialement aux femmes De m me la voiture objet typiquement masculin jusque dans les ann es 80 a vu son offre se segmenter depuis et l approche du troisi me mill naire les valeurs f minines semblent m me prendre le pas en la mati re les monospaces avec leurs d clinaisons petite et moyenne gamme ancrent l automobile dans les valeurs familiales de confort de convivialit de douceur et de s curit qui progressivement gagnent l ensemble des nouveaux v hicules La bi activit des couples se r percute galement au niveau des attentes objectives des produits notamment sur la demande de gains de temps dan
255. de des technologies formation et d apprentissage Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Capteurs intelligents R alit virtuelle augment e Ergonomie de l interface homme machine Outils de personnalisation de la relation client Design sensoriel l interm diation et de l int gration de services pour l Internet du futur cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 279 106 Outils de sant la disposition des consommateurs Les TIC vont avoir un impact important dans le domaine m dical et en particulier dans la relation patient m decin Au del de la simple surveillance audiovisuelle de nombreux proc d s bas s DEGRE DE DEVELOPPEMENT notamment sur des capteurs int gr s permettront au domicile du Technologie mergence croissance maturit patient de recueillir des donn es sur son tat pulmonaire par sonde ou infrarouge sa circulation sanguine palpation sa peau Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation par vid o ou laser Ces donn es seront transmises en ligne au m decin de famille ou l h pital et seront trait s par l ordinateur du m decin qui pr viendra en cas de dysfonctionnement Le march semble tr s important notamment au vu du vieillissement POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE de la population Ces nouvelles opportuni
256. de donn es d informations Un des points cl s de leur diffusion sera la facilit de mise en uvre aujourd hui les POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE contraintes traditionnelles avec les jauges limitent la diffusion ainsi qu un co t r duit un capteur fibre optique co te 100 fois France forte L moyenne faible inexistante plus cher qu une jauge La France se situe en 4 position dans le domaine des capteurs fibre optique gr ce une dizaine Europe forte C moyenne faible inexistante d universit s au r le pr dominant du LCPC et d EDEF ainsi que de nombreuses entreprises Des applications existent dans le m tro sur les barrages ou encore sur le pont de Normandie Cependant POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL m me s il existe une prise de conscience relative du march sur ces techniques il reste un besoin de normalisation pression France forte moyenne faible inexistante r glementaire pour inciter les propri taires de b timents tracer leurs ouvrages Europe forte moyenne faible inexistante Liens capteurs intelligents Exemples de secteur Exemples d uine Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Habitat et infrastructure Entretien et r habilitation Les techniques de Outils de simulation des Mat riaux Optique
257. de l entreprise doit tre assur e l avenir du commerce lectronique BtoC BtoB demande un climat de confiance entre consommateurs et vendeurs via des transactions s curis es il est vital notamment de garantir les paiements y compris les micro paiements des contenus des biens et des services en tenant compte des l gislations nationales et du r le des tablissements financiers DEGRE DE DEVELOPPEMENT la propri t intellectuelle des fichiers doit tre prot g e Technologie mergence maturit Applications industrielles et commerciales naissance gt g n ralisation S curit des transactions les principales fonctions traiter sont l identification et l authentification des participants la garantie de la POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE confidentialit le contr le de l int grit base d empreinte des donn es et la gestion de la communaut des utilisateurs autorisation d acc s France FE moyenne faible inexistante g n ral ou restreint les m canismes de cryptographie cl publique certifiant la transaction gr ce l utilisation de signatures lectroniques tout en assurant la confidentialit par le chiffrement des donn es Europe fote faible inexistante entra nent le recours des tiers de certification autorit s ind pendantes de dimension mondiale une fonction d audit permet notamment de rep rer POSITIO
258. de min raux et polym res Mod lisation mol culaire des polym res IAA Organes bio artificiels NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques Ecrans plats NTIC Syst mes d exploitation contraints NTIC R seaux de grands serveurs Moteurs de recherche et d indexation intelligents TAE V hicule intelligent et communicant TAE Ergonomie de l interface homme machine IAA Technologies douces IAA Marquage m tabolique CPG Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique IAA Technologies douces EE Photovolt que CPG Supply Chain Management Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique CPG Supply Chain Management TAE Compatibilit lectromagn tique IAA Transg n se Criblage de mol cules actives NTIC Syst me auteurs pour cr ation de contenus multim dia AA Biopuces BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes NTIC R tines de prise de vue Objets communicants et autonomes Micro lectronique silicium Ecrans plats Batteries et gestion d nergie AA Tra abilit EE Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires BSC Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle MC Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre Page 31
259. de r seaux simulation Programmation lin aire op rationnelle Techno logicielles pour Informatique logicielle les syst mes temps r el ou contraint Page 193 gt CM International 30 Mesure et test de syst mes Le besoin de mesure et de test des syst mes ne cesse de s accro tre Cela est particuli rement vrai pour les syst mes de production industriels notamment sous la pression de facteurs tels que l augmentation de la complexit des process et des produits et que les exigences accrues en mati re de fiabilit des process et de qualit des produits Dans ces conditions les tests et mesures qui peuvent tre coupl s au fonctionnement de logiciels int gr s dans les dispositifs portent la fois sur le process de fabrication lui m me et sur les produits aux diff rents stades de leur fabrication Mesures et test repr sentent ainsi une part significative des d veloppements technologiques et des co ts de production dans un certain nombre de secteurs notamment celui des circuits int gr s Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous ing nierie des grands syst mes complexes Technologie Applications industrielles et commerciales France fore Europe foe naissance diffusion 4 POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE faible inexistante faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France fone Europe fon
260. des mati res biologiques En mai 1998 une r glementation sur l tiquetage des denr es contenant des OGM Organismes G n tiquement Modifi s a t adopt e Cependant ces orientations n ont pas t approuv es par tous les pays de P Union Le d bat tout juste entam sur la mise dans le domaine public pour des raisons thiques de l ensemble de la carte du g nome humain est un autre exemple de l imbrication croissante des questions d thique et de modalit s de d veloppement des biotechnologies Dans le m me temps les citoyens sont de plus en plus sensibles ce qu ils mangent la protection de leur sant mais aussi celle de l environnement Certaines crises alimentaires comme l enc phalopathie spongiforme bovine ESB ou vache folle ou encore le probl me des dioxines fortement relay es par les m dia n ont fait que renforcer leur prudence et leur recherche de s curit Le consommateur souhaite aujourd hui conna tre l origine des produits qu il ach te et se d clare au fil des enqu tes d opinion de plus en plus oppos aux manipulations g n tiques quelquefois relay par les politiques Cette m fiance pourrait freiner voire stopper le d veloppement de ces technologies pour une utilisation agro alimentaire alimentation des animaux alimentation humaine L acceptabilit appara t plus forte dans le domaine de la sant en particulier lorsqu il s agit d am lioration d
261. difi s et les volutions constat es dans les habitudes alimentaires demande en produits biologiques demande en produits naturels de qualit attestent du d veloppement des exigences des consommateurs pour des produits naturels Ces exigences ont en particulier des cons quences sur les pratiques agricoles et l utilisation de produits adapt s l environnement mais aussi sur le souci du consommateur de ma triser l origine des produits qu il ach te Ces exigences demanderont aux industriels de ma triser des outils de mesure et de diagnostic pour assurer aux consommateurs la qualit de leurs produits Elles n cessitent galement le d veloppement des techniques de traitement des sols et des effluents gestion de la pr sence de m taux lourds par exemple D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols Elimination des m taux lourds dans les boues et les effluents Page 112 Le contexte par grands domaines La demande de qualit de vie et la lutte contre le bruit Le bruit est de plus en plus reconnu comme une v ritable nuisance et la preuve est d sormais faite qu il a un impact sur la sant troubles du sommeil stress Aujourd hui les sources de bruit concernent non seulement les avions mais aussi les voitures et les autres facteurs de proximit R duction des bruits Comme dans le cadre de la pollution l Etat a relay cette demande via la d finition de points noirs et le
262. dividu prouve le besoin d tre reli sa tribu Il est en recherche d identit de stabilit voire m me de s curit travers de nouveaux mod les et une exigence croissante de qualit de vie li e des crit res cologiques et sociaux mais aussi une volont de bien tre Les nouvelles exigences de l individu associ es l accroissement de l offre propos e par les entreprises entra nent un clatement des besoins Chaque individu devient plus regardant quant l offre de produits propos e obligeant ainsi les entreprises d velopper une relation individuelle avec ses clients Cette relation individuelle va jusqu l offre de produit sur mesure demand e par un client qui passe de la consommation de masse un produit pour tous un achat personnalis un produit pour une personne travers l assemblage de sous produits Enfin la mont e en puissance de la soci t de l information repr sent e par la croissance du taux d quipement des m nages en mati re de t l phonie mobile de PC ou plus modestement d acc s Internet permet d accentuer ce ph nom ne de personnalisation et de sur mesure en facilitant la gestion de la relation client travers de nouvelles techniques de marketing Outils de personnalisation de la relation client M thodes de marketing li es l utilisation des TIC La manipulation par les entreprises de bases de donn es complexes pose cepend
263. doublons travers l affectation d une m me technologie cl plusieurs th mes la pr sentation de chaque technologie cl est organis e par un syst me de renvois qui vite de traiter deux fois la m me technologie O la seconde approche est sans doute la plus prometteuse du fait de ses cons quences elle concerne les croisements interdisciplinaires qui d bouchent souvent sur une multiplication des applications voire m me sur des ruptures technologiques Une analyse pourrait tre conduite partir des grilles de caract risation des technologies cl s retenues pour d terminer les recoupements rendus apparents au niveau des colonnes correspondant aux fonctions remplies aux technologies ponctuelles ou aux points critiques A cette fin et pour les items qui le justifient il convient de proc der un exercice simple de double effet miroir lorsque l item a t exprim sous la forme d une fonctionnalit s astreindre rep rer les principales technologies susceptibles de satisfaire cette fonction et voir en retour si ces technologies ne satisfont pas d autres fonctions au moins aussi importantes lorsque l item a t exprim sous la forme d une technologie expliciter la ou les fonctionnalit s principales concern es et voir en retour si d autres technologies pourraient satisfaire ces besoins et tre au moins aussi importantes Page 46 Introduction Au total la description d un
264. ds guid es Propagation des ondes fonds Syst mes de Oc anographie Ombilics pour fonction positionnement fond surface Capteurs Page 225 D CM International 60 Robotique mobile en milieu hostile DEGRE DE DEVELOPPEMENT L exploitation off shore grands fonds ou la production d lectricit nucl aire sont deux exemples de situations o il est n cessaire d op rer sans intervention humaine dans des milieux hostiles qu il Technologie mergence croissance maturit s agisse de mise en place de fonctionnement normal de maintenance ou encore d interventions li es des Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation dysfonctionnements faibles ou majeurs Trois fonctions doivent ainsi tre ma tris es l interface homme machine le contr le commande et les syst mes m caniques Un des enjeux est l am lioration de l ergonomie des postes de t l POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE op ration France forte moyenne faible inexistante De nombreuses technologies voqu es par ailleurs sont mobilis es cette fin En mati re de logiciel en particulier on citera les Europe forte C moyenne faible inexistante probl matiques li es au traitement de l image et du signal la reconnaissance des formes la mod lisation ou encore la Sur
265. ductible sans exp rience pr alable son transfert se fait principalement par compagnonnage Cet enracinement de la technique dans le r el et dans l action constitue la fois une force et une faiblesse A l vidence la puissance de la technique provient de l exp rimentation et de l accumulation d exp rience A l inverse faute d une connaissance suffisante et d une compr hension des m canismes qui permettent la technique de fonctionner les adaptations les extensions les transferts d application sont difficiles al atoires et potentiellement co teux La technologie fait r f rence une activit de conception et de production souvent industrielle mais aussi de service en r ponse des besoins de march La technologie combine pratiques techniques et connaissances scientifiques au service de finalit s conomiques explicites En cela la technologie a vocation tre g r e alors m me que par nature elle rel ve pour partie de savoir faire tacites Pour sa part l innovation peut tre d finie comme la r alisation de la nouveaut Alors que l invention se limite l id e nouvelle sans r elle confrontation au besoin qu elle entend satisfaire l innovation franchit ce pas consid rable qui va de l id e sa r alisation concr te et la satisfaction du besoin L innovation c est le changement r alis qu il soit limit ou radical qu il porte sur le concept de produit sur le proc d de fabrication ou sur l o
266. e forte moyenne inexistante forte moyenne inexistante Exemples de Domaines scientifiques secteurs Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques gt d application net Tous les Forge emboutissage R duire les temps co ts de mise au Simulation Puissance de calcul Physique chimie secteurs fonderie plasturgie point num rique CEM simul e G nie Electrique manufacturiers Gestion d embouteillages Prototypage rapide des proc d s Simulation de process G nie m canique Transports et files d attente R duction des risques de d faillances Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou Informatique logicielle v hicules et Gestion de flottes Formation l exploitation contraint Calcul scientifique infrastructures Gestion des risques de d quipements par simulation Techno logicielles pour la gestion des donn es et du Analyse num rique R seaux de tous types Ma trise des proc d s et de la qualit contenu data mining Mod les math matiques communication Repr sentation et gestion Conception du proc d au service du Techno logicielles de r alit virtuelle de simulation et des processus de l usine num rique Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre des mat riaux Time to market Dimensionnement conomique et proc d s industriels
267. e Parall lisation des Techniques de Trouver des micro tests Physique et physico parachimie pour la mise au point de r actions pour acc l rer synth ses et de test pertinents pour la valeur chimie Electronique catalyseurs de le d veloppement de haut d bit d usage Miniaturisation Robotique Pharmacie polym res etc nouvelles mol cules Chimie combinatoire Informatique Banques de mol cules Cr ation d une Biochimie combinatoire Biologie Synth se de nouvelles biblioth que de Chimie mol cules actives mol cules tester Page 212 gt CM International Construction Infrastructure Page 213 48 Syst mes performants pour enveloppe de b timent mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es L architecture contemporaine a permis de dissocier la fonction fibres textiles fonctionnelles porteuse de la fonction enveloppe interface avec l ext rieur Cette approche permet la fonction enveloppe d int grer en plus de l esth tique ext rieure des fonctions d clairage de thermique d acoustique ou encore de ventilation Ces b timents intelligents sont quip s d infrastructures de t l communication qui permettent Technologie mergence croissance maturit de s adapter pour utiliser de mani re plus efficace ses ressources et offrir ses occupants plus de confort automatismes commandes A
268. e faible inexistante Exemples de secteur i i Domaines scientifiques ap ue Exemples d usage Fonction remplie Technologie Autres points critiques PE d application concern s Agroalimentaire D pollution des sols D tection et analyse des Biopuces Co ts Biologie Sant S curit des aliments risques pour Biocapteurs capteurs Fiabilit Chimie Agriculture l environnement li s cl serrure associ un M trologie Aquaculture aux OGM traitement du signal volu Analyse biomol culaire Page 248 gt CM International 80 Th rapie g nique La th rapie g nique consiste aller r parer un g ne porteur de pathologie et recoder le g nome du patient DEGRE DE DEVELOPPEMENT L action porte donc sur les causes des maladies plut t que leurs sympt mes Technologie mergence croissance maturit Les applications potentielles concernent toutes les pathologies l implication des industriels est aujourd hui tr s importante en Applications industrielles et commerciales France L enjeu conomique est li aux nouvelles perspectives th rapeutiques qui concernent dans un premier temps les maladies POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE dues aux d ficiences d un seul g ne diffusion g n ralisation Bien que les freins technologiques et psychologiques soient encore France forte moyenne faible inexistante n
269. e i mergenced maturit faible inexistante faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s Productique et Process et syst mes productifs notamment Mesure et test de Techno logicielles pour les Capacit traiter et int grer des Traitement du signal tous secteurs automatis s contr le t l surveillance syst mes syst mes temps r el ou donn es multiples et Informatique logicielle industriels r gulation diagnostic d tection de utilisateurs dysfonctionnement maintenance pr dictive Robotique Tests de qualit sortie d usine Transports Micro lectronique silicium T l com S ret des syst mes embarqu s et munications d infrastructures S curit Syst mes d organisation et gestion industrielle D fense am lior s Spatial Repr sentation et gestion des processus de Sant l usine num rique Energie Soutien logistique int gr contraint Capteurs intelligents Biocapteurs Recueil de param tres physiques Capteurs de vision capteurs chimiques ou d image biologiques Traitement du signal V rification Bus de terrain de bon Multiplexage fonction Instrumentation nement et de conformit pour le test de syst mes Page 194 Techno logicielles sp cifiques h t rog nes Int gration au sein de syst mes lectroniques Interface
270. e 1998 le nombre de sites web a t multipli par 2 5 et celui du nombre de pages par plus de 4 Entre 1997 et 1999 le montant des transactions r alis es sur Internet a plus que quadrupl C est le d veloppement du commerce lectronique grand public B2C gt c est dire Business to Consumers qui retient le plus l attention des m dia Le montant des achats qui ont t ainsi r alis s dans le monde en 1999 est valu toujours par IDC quelque 24 milliards de dollars C est aux Etats Unis que le commerce lectronique comme l ensemble de la net conomie est le plus d velopp Pourtant si l on exclut du compte les achats de voyages de billets de spectacles et de services bancaires les ventes sur Internet ne repr sentent encore que moins de 1 du total des ventes au d tail Le commerce lectronique grand public est l arbre qui cache la for t Les transactions interentreprises B2B c est dire Business to Business repr sentent pr s de 80 du commerce sur Internet Le cabinet Gartner Group estime le montant du march B2B 145 milliards d euros pour 1999 et pr voit qu il atteindra 7 300 milliards d euros en 2004 La rapidit avec laquelle Internet d ferle dans la vie conomique provoque sa propre acc l ration devant l importance des enjeux un nombre croissant d acteurs conomiques acc l rent la marche afin de tenter de prendre des positions avant que le jeu ne se r
271. e 26 27 f vrier 2000 p VI Page 31 Introduction Le nouveau paradigme techno conomique de l conomie de l information La naissance de la net conomie ne constitue que le dernier avatar d une r volution technologique engag e d s la fin de la Seconde Guerre mondiale autour des technologies de l information et de la communication Pour de nombreux analystes cette grappe de technologies s est progressivement constitu e comme facteur cl d une nouvelle r volution industrielle d un nouveau paradigme techno conomique elle serait ainsi la base d une red finition des fondements du syst me conomique et social porteuse d un nouveau cycle long de croissance S inscrivant dans le droit fil du chapitre consacr la dynamique de la technologie cette interpr tation se situe dans le courant n o schumpeterien de l analyse conomique qui vise notamment fournir une explication d ordre technologique aux fameux cycles longs dits de Kondratieff du nom de l conomiste russe qui les a mis en vidence sur le plan statistique dans le courant des ann es 20 L innovation technologique ponctue plus ou moins r guli rement la vie conomique en fonction des d couvertes qui sont r alis es dans le domaine scientifique et des incitations que les firmes ont innover Toutes les innovations ne se valent pas certaines ne sont que des perfectionnements superficiels d innovations ant rieures
272. e Il s agit de rep rer les technologies porteuses d avenir formul es relativement la diversit des besoins et des fonctionnalit s qu elles peuvent satisfaire en s en f licitant lorsque ces technologies traversent diff rents secteurs diff rentes applications diff rents usages Page 279 Annexes Ainsi le p trole et le gaz sont ils directement ou indirectement concern s par exemple par l offshore grands fonds les micro turbines ou les catalyseurs Ainsi le domaine de l eau dont certains s attendent ce qu il soit un d fi du si cle qui s annonce est il directement ou indirectement concern par la filtration membranaire par l limination des m taux lourds dans les boues et les effluents ou par les outils de gestion des risques environnementaux et sanitaires Ainsi le nucl aire est il directement ou indirectement concern par le traitement des d chets nucl aires bien s r mais aussi par les mat riaux en conditions extr mes par les technologies de d construction ou par les techniques de diagnostic et de traitement des sols A chacun en fonction de ses centres d int r t de proc der une lecture attentive des technologies recens es ici pour en valuer l impact possible dans des champs d application sp cifiques La position de la France et de l Europe L analyse de la position de la France et de l Europe telle qu elle appar
273. e 1996 Winning through Foresight a strategy taking the foresight programme to the millenium Dept of Trade and Industry Londres OST d cembre 1998 Blueprint For the next round of Foresight Londres OST mai 1995 Progress Through Partnership Report from the Steering Group of The Technology Foresight Londres OST mars 1998a Consultation on the next round of the Foresight Programme Dept of Trade and Industry Londres OST mars 1998b The future in focus a summary of national foresight programmes Dept of Trade and Industry Londres Pacific Northwest Pollution Preventive Resource Center may 1999 Topical REports Alternative Fuels for Fleet Vehicles Seattle Page 293 Annexes Petit J P Kragen E avril 1999 Apr s la d cennie glorieuse o vont les Etats Unis La Lettre de conjoncture de la BNP Repris dans Probl mes Economiques n 2642 ler d cembre 1999 pp 7 11 POST juin 1997 Science shaping the futur future oppotunities in wealth creation Making the most of science and engineering Londres PREST 1998 University of Manchester Science and technology in UK second edition PREST septembre 1995 Delphi Survey A Report to the Office of Science and Technology University of Manchester Spaak Marie Laure mai 1997 Technologies Internationales La recherche priv e dans la construction au Japon n 34 Rochefort R 1995 La soci t des consommateurs Editions Odile Jacob Rochefort R
274. e Croissance Maturit Eforte moyenne O faible Analyse selon le degr de d veloppement de l application industrielle France Position scientifique Position industrielle et technique et commerciale LODEL i A A KA AA a na A n A a i 80 EE e E 60 EE EE olll ool 40 B SC 20 LEE MS A 0 T T f T T 1 Naissance Diffusion G n ralisation Naissance Diffusion G n ralisation Eforte Mmoyenne faible Analyse selon le degr de d veloppement de l application industrielle Europe Position scientifique Position industrielle et technique et commerciale DO 30 LEE EE 0m G 60 FU Fees NN Frseeseeeesseeeeeseeeessee fes ces ON ON 40 LE EE 0 20 E A E 0 T T T T T 1 Naissance Diffusion G n ralisation Naissance Diffusion G n ralisation Eforte M moyenne faible Page 281 Annexes Avant toute chose soulignons que l exercice de rep rage et de caract risation des technologies qui a t conduit n a pas t con u dans un but statistique Il s est agi essentiellement d valuation de chaque technologie prise dans son propre contexte Le calcul de moyennes des positions ainsi obtenues doit donc tre pris pour ce qu il est sans lui octroyer de signification statistique et encore moins de repr sentativit La m thode de construction d
275. e conditions d emploi mise en des surfaces comportements caract risation des Ing nierie de process Textile et l usure l abrasion uvre de Technologie propres surfaces et des couches fines interaction Physico chimie des cosm tique et la corrosion choix des couples mat riaux surface aviv e milieu ext rieur d chets surfaces Travaux publics Tenue chaud au traitement analyse des et effluents analyses rapides des Chimie des solvants B timent grippage R duction sollicitations usure frottement surfaces interfaces pr vision structure et des polluants A ronautique des frottements fatigue quilibre de la balance propri t s Tribologie Calcul Electronique Peintures r sistant hydrophobie hydrophilie optique au lessivage papier Nouvelles propri t s Autres points critiques r sistant l eau tribologiques tactiles Co t d entr e et frein des Technologie compatibilisation existantes Page 203 gt CM International 39 Proc d s biotechnologiques et biomim tiques de synth se de min raux et polym res DEGRE DE DEVELOPPEMENT Il s agit de trouver des voies de synth se de mat riaux polym res ou min raux 1 biochimiques la fermentation le g nie enzymatique qui respectent plus l environnement et qui utilisent des mati res premi res v g tales 2 biomim tiques qui donnent acc s des mat riaux nouveaux min raux par L enjeu est de re
276. e d volutions majeures telles que le d veloppement de l Internet et des services associ s ou la convergence entre les t l communications l lectronique grand public et l informatique de plus en plus de fonctions jusqu ici trait es par le mat riel sont progressivement transf r es au niveau du logiciel ce dernier permet en outre l apparition de fonctions nouvelles et l am lioration des performances des logiciels tr s complexes sont au c ur de syst mes critiques finances transports d fense le d veloppement du logiciel contribue fortement la comp titivit des entreprises des autres secteurs non seulement parce qu il permet des gains de productivit mais aussi parce qu il se traduit par d importants avantages concurrentiels en termes de nouvelles applications et de nouveaux services Or la ma trise des logiciels est actuellement insuffisante les logiciels sont encore aujourd hui trop peu fiables et trop difficiles concevoir tester maintenir mettre en uvre et faire voluer Les outils et les m thodes utilis s pour r aliser les logiciels sont souvent insuffisamment puissants et ne permettent d atteindre ni le niveau de fiabilit voulu ni la productivit souhait e Il y a donc en la mati re notamment autour de th mes tels que l ing nierie du logiciel le d veloppement base de composants logiciels ou le middleware de l informatique distribu e de
277. e de l nergie BSC Les agents intelligents NTIC Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes Mesures et tests de syst mes NTIC Syst me auteurs pour cr ation de contenus multim dia Syst mes de communication CIH R alit virtuelle augment e pour la conception Syst mes embarqu s Syst mes experts Syst mes intelligents T l communication Temps r el Terminaux Tests Th rapie cellulaire Tissus Toucher sens odorat Toxique Tra abilit Traitement Traitement de l information Transmission Transport Tri Variabilit Vari t Verre Vibrations Vid o Virtualit architectural et technique NTIC Syst mes d exploitation contraints BSC Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle MC Logiciels et bases de donn es des propri t s des mat riaux MC Mat riaux pour syst mes adaptatifs CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents NTIC Microsyst mes Qualit de service en IP CIH Les techniques de diagnostic et de r paration des structures NTIC R seaux de grands serveurs Transmission temps r el de contenus multim dia Syst mes d exploitation contraints NTIC Transmission temps r el de contenus multim dia Moteurs de recherche et d indexation intelligents CPG Prototypage rapide IAA Organes
278. e de l hydrog ne d une pile combustible l all gement des v hicules tout en pr servant le niveau de s curit offert des composites sont d velopp s pour r pondre de nouvelles sp cifications Elaboration de composites matrice organique L interface homme machine Les progr s des technologies de t l communication les tendances de march vers une offre de services tr s large bord des v hicules r servation de restaurant possibilit de communication avec l ext rieur ainsi que les diverses fonctionnalit s qui sont d velopp es pour tous les moyens de transport conduite assist e s curit orientation fournissent ces v hicules une capacit d intelligence et de communication inconnue jusqu alors avec des perspectives de d veloppements tr s vari es V hicules intelligents et communicants Cette volution a un impact direct sur la relation de l homme son v hicule au sens large il peut s agir d un avion d un bateau Il faut en effet pouvoir fournir l individu la possibilit de contr ler l ensemble de ces param tres sans pour autant mettre en danger le pilotage de son v hicule L homme n a acc s ces diverses fonctions qui lui sont offertes que par des interfaces concr tement dans une voiture un tableau de bord un cran de visualisation des hauts parleurs un micro La hi rarchisation des fonctions et l organisation des interfaces donnent lieu un
279. e du processus d ajustement des organisations et du cadre institutionnel la nouvelle donne technologique En premier lieu notons les difficult s qu prouvent les comptables nationaux mesurer la croissance de la productivit dans le secteur des services dont la part dans le PIB est en forte augmentation Quand elle est mesur e au sein de la seule industrie manufacturi re la croissance de la productivit se r v le beaucoup plus importante En second lieu on a pu calculer que au sein de l industrie la croissance de la productivit est nettement plus marqu e dans les secteurs utilisateurs d informatique de bureau que dans les secteurs non utilisateurs Enfin notons que l conomie am ricaine qui est incontestablement la plus avanc e dans la nouvelle conomie b n ficie d une nette acc l ration des gains de productivit depuis la fin des ann es 90 L entr e dans une conomie fond e sur la connaissance Les technologies de l information jouent incontestablement un r le majeur dans la nouvelle conomie Toutefois leur diffusion spectaculaire occulte un changement plus fondamental encore de l organisation des activit s conomiques et qui constitue sans doute la caract ristique la plus profonde de la nouvelle conomie l entr e dans une conomie fond e sur la connaissance Cette expression renvoie au r le de plus en plus important que l innovation joue dans la croissance et plus g
280. e ergonomie sp cifique qui volue tr s rapidement en fait de par les avanc es permanentes des technologies pour lesquelles elle est con ue Ergonomie de l interface homme machine Page 132 Le contexte par grands domaines L lectrique lectronique Quasiment toutes les technologies voqu es plus haut connaissent un point technologique critique l lectrique lectronique Dans des environnements de plus en plus automatis s intelligents l ordonnancement des composants est un enjeu majeur La compatibilit lectromagn tique Compatibilit lectromagn tique les architectures lectriques Architecture lectrique et lectroniques Architecture lectronique conditionnent totalement le bon fonctionnement des capteurs et syst mes intelligents qui joueront un r le croissant dans le bon fonctionnement des appareils embarqu s dans les v hicules avions trains bateaux et satellites Capteurs intelligents L enjeu technologique est clair les composants et syst mes doivent pouvoir r sister des agressions de l environnement dans lequel ils sont int gr s pression chaleur chocs La s ret de fonctionnement est donc une priorit dans la conception des syst mes Par del la notion de fiabilit des syst mes leur habilit d tecter les dysfonctionnements de leur environnement et savoir les g rer fait l objet de d veloppements technologiques avec le fonctionnement en mode d grad
281. e kwh obtenu par le gaz ou le nucl aire il reste encore gagner presque un ordre de grandeur sur le kwh photovolt que Le co t de l nergie tant un l ment significatif de la comp titivit conomique d un pays cette question d passe en fait largement celle de la comp titivit des nergies renouvelables Cela signifie que dans toutes les branches nerg tiques il faut mener des d veloppements technologiques pour diminuer le prix de l nergie Il est aussi important de souligner que le co t d une nergie ne refl te pas toujours celui qui est support par la soci t En effet certaines externalit s comme les co ts pour la soci t sant publique pour n en citer qu un qui ne sont pas inclus dans le prix de l nergie sont encore loin d tre incluses dans leurs prix Compte tenu de la pr occupation nouvelle des cons quences de l utilisation d une source d nergie sur l environnement et la sant l on peut s attendre dans un futur proche une internalisation des co ts li s ces d sagr ments Les apports des ann es 70 ma triser l nergie Le nucl aire domine le march fran ais avec plus de 70 de la production nationale estim e 119 9 millions de tep en 1998 L hydraulique et les nergies renouvelables constituent en France les deuxi mes sources d nergie Production d nergie en France en 1998 Total 119 9 MTep 2 E Charbon B P trole E Gaz natu
282. e l chantillon pr sente par exemple un biais structurel en faveur des technologies nouvelles qu elles soient mergentes ou en d veloppement puisque telle tait ici notre pr occupation Observons n anmoins ce que semblent nous indiquer les valuations conduites Tout d abord les positions de la France et de l Europe sont parall les et relativement proches Par construction la position europ enne tait n cessairement au moins quivalente la position fran aise mais il est int ressant de constater que c est surtout pour l industriel et le commercial que la position europ enne s est sensiblement am lior e Constatons d autre part que la position scientifique et technique moyenne de la France sur les technologies valu es est assez nettement sup rieure la position industrielle et commerciale moyenne de la France sur ces m mes technologies Ce constat s applique aussi aux positions valu es pour l Europe mais dans une moindre mesure C est l l indication sinon la confirmation d une perception largement r pandue dans la comp tition mondiale la France comme l Europe disposerait d une science globalement mieux plac e que leur industrie Compte tenu de la d marche d valuation adopt e par panel d experts il n est pas surprenant que cette perception apparaisse ici encore Il est par ailleurs int ressant d observer que les positions de la France comme de l Europe ne d penden
283. e l Environnement cherche t il favoriser de plus en plus le recyclage une circulaire du 28 avril 1998 pr voit qu l horizon 2005 2007 la moiti des d chets devra tre valoris e par recyclage des mati res ou recyclage biologique Les d chets sont donc amen s devenir des co produits dans les fili res industrielles et devront tre collect s tri s trait s Le d veloppement du tri des d chets et de la collecte s lective a t relativement bien accept par les fran ais On d nombre aujourd hui 12 millions de citoyens trieurs contre 2 8 millions en 1994 De m me le nombre de centres de tri est pass de 8 en 1994 170 en 1996 et devrait atteindre pr s de 200 en 2002 Les industriels sont quant eux dans l obligation de g rer leurs propres d chets En effet l limination des d chets industriels rel ve de la responsabilit des entreprises qui les produisent et suite aux diff rentes r glementations mises en place le co t d limination des d chets est aujourd hui croissant pour les industriels L enjeu est donc pour eux aussi bien environnemental qu conomique Il s agit de r duire les d chets produits d op rer un tri efficace et de mettre en vre les fili res de valorisation appropri es en terme d efficacit et de co t Source CREDOC 1999 Page 113 Le contexte par grands domaines I 5 Technologies du Vivant Sant Agroalimentaire Page
284. e les plus jeunes des Fran ais envisager une diffusion massive du t l phone portable du s che linge ou du DVD Ils s opposent en revanche aux plus jeunes sur le th me de l informatique et dans une moindre mesure sur la photo num rique l objet lui m me reste tr s complexe et fournit un service qui manifestement n entre pas encore dans l univers des besoins potentiels et pratiques des plus de 50 ans et surtout des plus g s d entre eux On notera l inverse le succ s significativement sup rieur la moyenne des produits dominante cologique solaire olienne Pr cisons que ce terme de seniors s applique aux personnes de 50 ans et plus soit aux actifs en perspective de retraite aux retrait s et leurs conjoints dans la soci t Page 19 Introduction L quipement des foyers en 2010 selon les seniors des r ponses la question en 2010 la plupart des foyers seront quip s selon vous de Ooy OS 18 30 ans SO ans et plus Un t l phone portable Un s che linge Y Un visiophone t l phone avec images 69 95 88 80 73 71 74 70 70 Ensemble 95 90 83 73 72 70 65 64 63 51 46 38 37 37 34 Source Enqu te CREDOC 1997 Les effets sp cifiques li s au vieillissement Les personnes de plus de 60 ans semblent ainsi se trouver pleinement en phase avec l environnement actuel de la consommation Au del de ce con
285. e monde conomique pourrait ainsi s interpr ter comme manifestant le passage une conomie fond e sur la connaissance Interpr ter la nouvelle conomie comme une conomie fond e sur la connaissance revient reconsid rer nombre de nos cat gories d analyse et donner aux mutations en cours une signification et des implications beaucoup plus fondamentales que la simple mise en r seau des acteurs au moyen d Internet La naissance de la net conomie Le d veloppement d Internet appara t d ores et d j comme un des v nements majeurs de la derni re d cennie du XX me si cle La rapidit de sa diffusion ainsi que l importance de la force de transformation de nombreux mod les conomiques que l on croyait solidement tablis expliquent sans doute pourquoi le discours sur la nouvelle conomie est souvent r duit la naissance de la net conomie La rapidit qui caract rise le d veloppement de la net conomie est sans pr c dent alors m me que ce nouveau secteur se constitue d embl e l chelle plan taire Quelques indicateurs suffiront se Page 30 Introduction convaincre s il en tait besoin de la fulgurance de ce mouvement Parti de presque rien au milieu des ann es 1990 le nombre des internautes dans le monde en f vrier 2000 a t valu pr s de 275 millions et le cabinet IDC pr voit qu ils seront 500 millions en 2003 Rien qu au cours de l ann
286. e nombreuses applications dans le domaine de la sant o elle est mieux accept e car elle vise r sorber des France forte moyenne faible inexistante maladies graves Europe forte moyenne faible inexistante Liens d tection et analyse des risques pour l environnement li es aux OGM Exemples de secteur Points technologiques nue d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie critiques scientifiques concern s Pharmacie Production de prot ines dans le lait et Mod les animaux cellulaires Transg n se Contr le de G n tique M decine les plantes tissulaires P expression des G nomique Agriculture Prot ines hypoallergiques Production de prot ines et d organes transg nes Biologie du Industries Diminution des co ts de pour x nogreffes et animaux Introduction cibl e de d veloppement alimentaires transformation des produits agricoles Am lioration de la qualit d usage des l ADN Environnement Optimisation de la composition des produits agricoles Connaissance des voies Secteur minier huiles Optimisation des outils biologiques de m taboliques devant P trole Fabrication d ar mes transformation enzymes tre transform es Hormones de croissance microorganismes Rendement des Prot ines recombinantes usage Stabilit microbiologique des aliments transformations th rapeutique
287. e normalisation internationale zz ds Technologie mergence croissance maturit normes STEP International Alliance for Interoperability qui permettra d homog n iser les bases de donn es en classifiant les composants utilis s ue i P chelle mondiale Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation D j int gr e dans les secteurs de l automobile et de l a ronautique l ing nierie concourante doit y tre renforc e tout en tant diffus e l ensemble des secteurs industriels concern s En outre ce mode d organisation semble particuli rement appropri pour POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE la fili re BTP qui conna t une forte division entre les entreprises charg es ne France forte faible inexistante des tudes et celles charg es de la r alisation Il en r sulte de nombreux moyenne dysfonctionnements dont l impact est estim pr s de 10 du CA de la fili re La mise en uvre de l ing nierie concourante pourrait ainsi Europe forte moyenne O faible inexistante modifier en profondeur l organisation du secteur avec pour effet un accroissement de son efficacit technique et conomique il existe une forte comp tition entre l Europe les USA et le Japon En France sa diffusion est frein e par la r glementation des march s publics qui POSITION S
288. e plus important lorsque l on prend en compte ses effets en cha ne sur l ensemble de l conomie Le processus de miniaturisation d am lioration des performances la fameuse loi de Moore de doublement des capacit s tous les 18 mois et de baisse continue des prix a favoris la diffusion des technologies de l information dans la plupart des secteurs de l conomie Les technologies de l information et de la communication TIC ont ainsi atteint un poids consid rable dans l investissement des entreprises aux Etats Unis ce poids est pass de 7 8 en moyenne sur la p riode 1970 1991 26 7 pour 1996 1998 Certains secteurs ont v cu une v ritable r volution la suite de l intrusion des technologies de l information dans leur produit ou leur processus de production machines outils automobile a ronautique banque assurance imprimerie dition biotechnologies Elles ont cr des opportunit s de lancement de nouveaux produits ou d am lioration tr s sensible des conditions de production dans de nombreux secteurs traditionnels biens interm diaires automobile lectrom nager La diffusion des technologies de l information contribue ainsi activement la re dynamisation de la consommation Pour autant l appr hension de la port e de la nouvelle conomie ne peut se limiter aux cons quences du d veloppement d Internet elle consiste plus fondamentalement dans les transformations de la ma
289. e technologie cl selon les six cat gories de la grille secteur d application exemple d usage fonctionnalit remplie technologie points technologiques critiques domaines scientifiques concern s permet de clarifier la nomenclature et la nature des technologies cl s pr sent es Les fiches de synth se pr sentant les diff rentes technologies en troisi me partie utilisent toutes concr tement cette grille Si le niveau d approfondissement de l analyse varie in vitablement d une fiche l autre il est toutefois clair que chacun peut s approprier la grille pour prolonger et pr ciser l analyse suivant les rubriques qui l int ressent plus particuli rement et qui lui para traient incompl tes C est l toute l utilit de l outil Le prochain chapitre d crit comment le travail de rep rage de s lection et de caract risation des technologies cl s 2005 a t conduit Page 47 Introduction 1 6 M thodologie de l tude Page 48 Introduction La r flexion Technologies cl s 2005 visait r actualiser l tude parue en juillet 1995 et qui avait pour titre Les 100 technologies cl s pour l industrie fran aise l horizon 2000 Tout comme pour l exercice pr c dent il s agissait de r pondre trois questions essentielles quelles sont les technologies importantes pour l industrie fran aise quelle est la position fran aise sur ces technologies quelles doivent
290. e un climat de m fiance auquel les autorit s tentent de r pondre par des labels certifiant la pr sence d OGM L Europe et le Japon se diff rencient cet gard des Etats Unis par l obligation de mentionner sur certains produits alimentaires la pr sence d OGM Des attentes fortes en mati re de garanties cologiques La d gradation de l environnement fait partie des pr occupations croissantes des consommateurs qu ils soient en France ou dans les autres pays europ ens Les garanties cologiques demeurent un HU oE ae PDE crit re incitatif l achat pour bon nombre de personnes interrog es Des produits naturels et recyclables La r ponse s est traduite par le d veloppement de produits naturels et de produits recyclables Les co recharges et les produits deux en un en sont la parfaite illustration Ils correspondent un souci de pr server l environnement en vitant la prolif ration de d chets non d gradables En m me temps ils permettent une conomie de temps et de prix pour le consommateur car les produits proposent plusieurs fonctions et ils conomisent pour les entreprises de l emballage et de la manutention Ces produits se sont d velopp s dans le domaine alimentaire et le domaine des produits m nagers Les acteurs du jardinage utilisent galement de plus en plus l cologie comme argument de vente 6 En 1997 pr s d un Fran ais sur deux pr tendait tre touch directement ou avoir un de
291. e un nouveau cr dit Ils affichent en outre une pr f rence marqu e pour les produits bas de gamme et se reportent facilement sur les produits hard discount et les marques de distributeurs Signe des temps cette tendance s observe en Europe mais galement au J apon o la baisse des revenus a rendu les consommateurs plus exigeants et pr cautionneux dans leurs achats induit progressivement l mergence de nouveaux comportements plus entrepreneuriaux L habitude prise de vivre dans un contexte socio conomique d prim a engendr des pratiques nouvelles en mati re de consommation et en particulier une exigence croissante du consommateur L importance accord e aux meilleurs prix a ainsi conduit les Fran ais exercer une pression plus forte sur les commer ants le marchandage inexistant jusqu la fin des ann es 80 a fait son apparition y compris dans la grande distribution Le succ s des magasins de hard discount apparus voici une dizaine d ann es des soldes et autres op rations promotionnelles ne se d ment pas Le consommateur a appris recourir des strat gies d achat en traversant ces ann es difficiles De m me que le salari se place aujourd hui dans une relation plus autonome face son employeur de m me le consommateur entretient il un rapport plus libre avec les commer ants et par voie de cons quence avec les producteurs L volution du recours la grande d
292. e vie Divers autres points Informatique service Techno logicielles de l informatique distribu e critiques relevant des logicielle Documentation Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint technologies cit es ci Formation Techno logicielles pour le transport de donn es contre et voqu es par Pi ces de rechange Techno logicielles pour la s curit des r seaux ailleurs Outils Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Techno logicielles de r alit virtuelle Mesure et test de syst mes R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique Page 296 gt CM International Page 145 CM International Annexes Conclusions Recommandations du comit de pilotage Annexes et bibliographie Composition du comit de pilotage Composition des groupes de travail th matiques Rappel de la liste des technologies cl s de l tude pr c dente Th saurus Page 276 Annexes Conclusions Page 277 Annexes A l issue de ce travail de r flexion prospective sur les technologies cl s pour le futur de l conomie fran aise et europ enne il nous faut mettre en exergue les aspects majeurs qui mergent de la d marche d ensemble L omnipr sence des TIC l arriv e toujours annonc e des biotechnologies Nous n avons pas cherch tablir de hi rarchie entre les technologies recens es C est l le r sultat
293. econnaissance des Eolien off shore le terrain S ret des syst mes formes Et divers autres domaines relevant des Ergonomie de l interface homme Techno logicielles de r alit virtuelle technologies cit es ci contre et voqu es machine Et divers autres points critiques relevant des par ailleurs technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 226 gt CM International Environnement Energie Page 227 61 Stockage de l nergie Le d veloppement des syst mes nomades ordinateur t l phone d une part et des moyens de transport lectrique v hicule lectrique tramway d autre part va se poursuivre dans les ann es venir Le march du stockage de l nergie qui lui est li est d j consid rable Au del un accroissement des capacit s modifierait les utilisations de l lectricit Il existe plusieurs types de syst mes de stockage de l nergie lectrique lectrochimique pneumatique gaz La r solution du probl me de recyclage est un des facteurs cl s de succ s pour ces syst mes Liens laboration de composites matrice organique pile combustible photovolta que nanocomposites et renforts nanom triques DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET T
294. ecteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines d application scientifiques concern s R alit virtuelle Synth se d images 2D 3D Page 187 CM International Communication Secteurs manufacturiers Education et formation professionnelle BTP Didacticiels CAO Ing nierie concourante Robotique mobile en milieu hostile R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique Ergonomie de l interface homme machine pilotage de v hicules ou d installations Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Repr sentation de la perception du consommateur Simulation mod lisation du comportement humain Simulation num rique des proc d s Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique Prototypage rapide Soutien logistique int gr Pr sentation de contenu multim dia ludo ducatif G n ration d univers virtuels images et sons 2D et 3D Simulation Page 188 logicielles de r alit virtuelle Synth se sonore spatialis e Moteur de r alit virtuelle Synchronisation audio vid o Reproduction des perceptions Mod lisation des g om tries Mod lisation des textures Int gration d images naturelles logicielle P dagogie Psychologie de la perception Simulation num rique multi chelle Formalisation de la connaissance CM International 27 Technologies
295. ectronique Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s Missions orbite basse Lanceurs spatiaux avec des Am lioration du co t et Concept moteur Ma trise de l quilibre gain A rodynamique observation de la Terre et retomb es notamment sur des performances des Turbopompes compl xit M canique desserte de l ISS la combustion dans des lanceurs spatiaux Chambres de Ma trise des transferts thermiques Combustion Missions g ostationnaires moteurs pour combustion Ma trise de la combustion pour de Transferts thermiques telecoms et multim dia a ronautique Ma trise de la gros injecteurs Mod lisation Missions interplan taires l automobile les v hicules stabilit des Optimisation des tuy res Exp rimentation exploration spatiale industriels propulseurs Modulation de la pouss e Int gration syst mes l acoustique dans les Int gration de Nouveau concept de s paration Tribologie avions et le transport terrestre k syst mes fiabilit des logiciels embarqu s Mat riaux Proc d s Contr le Capteurs et instrumentation Pyrotechnie r duction des chocs Oscillations de pression de combustion Ma trise et r gulation des transitoires Science des mat riaux Page 275 Biens et services de consommation Page 276
296. eferme Il est devenu commun de consid rer qu une ann e dans la net conomie correspond sept ann es ordinaires L impact d Internet sur le syst me conomique est consid rable Le r seau des r seaux est tout d abord l origine du d veloppement fulgurant de tout un ensemble d activit s qui lui sont directement associ es entreprises de commerce lectronique fournisseurs d acc s moteurs de recherche concepteurs de sites SSII soci t s d tudes et de mesure d audience soci t s de t l coms de r seaux informatiques de s curit sur les r seaux Beaucoup de ces activit s n existaient pas il y a encore cinq ans La plupart d entre elles sont exerc es par de nouvelles entreprises les fameuses entreprises Internet m me si de nombreux acteurs de l ancienne conomie s empressent aujourd hui de prendre des positions sur ces nouveaux march s Internet tire galement des activit s plus traditionnelles qui trouvent ici de nouvelles opportunit s de d veloppement Les producteurs de contenus audiovisuel presse sont les plus directement concern s L closion de la net conomie provoque une r allocation brutale des capacit s d investissement selon PricewaterhouseCoopers la net conomie a absorb pas moins de 56 des investissements en capital risque aux Etats Unis en 1999 Les engagements sont en croissance de 1000 dans le commerce lectronique B2C de 900 dans le B2B
297. eilleure mani re de coop rer pour le b n fice de tous Les pouvoirs publics ont d j adopt des mesures qui vont dans ce sens Ainsi dans le cadre de l appel projet technologies cl s le Secr tariat d Etat l Industrie conditionne son soutien aux projets technologiques l existence de partenariats strat giques nationaux ou europ ens industrie recherche ou industrie industrie En jouant le r le d animateur et de f d rateur des efforts de recherche des divers acteurs nationaux les r seaux de recherche et d innovation technologique RRIT favorisent la coop ration et le transfert des comp tences entre la recherche et l industrie et par l m me acc l rent l innovation Encore faut il que la gestion des proc dures mises en ouvre ne se r v le pas inadapt e l objectif poursuivie Le Comit de pilotage estime que ces mesures visant renforcer les coop rations vont dans le bon sens lorsqu elles traduisent une v ritable volont de collaboration entre les parties et lorsqu elles permettent de r aliser pleinement les potentialit s n es de ces rapprochements La collaboration entre les universit s les centres de recherche les collectivit s territoriales et l industrie cr e une synergie qui en permettant de tirer le meilleur parti des forces et du savoir faire propres chaque partenaire contribue une plus grande efficacit du syst me d innovation De plus gr ce ces partenariats les collectivi
298. ellement cet POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE enjeu les biomarqueurs France forte moyenne faible inexistante les capteurs et microsyst mes pour la surveillance de l environnement et de la sant Europe forte moyenne faible inexistante les biocapteurs et les techniques de mesure dans diff rents milieux pour des mol cules complexes les outils logiciels d valuation et de gestion des risques POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Les contraintes environnementales et en particulier les normes mises en place imposent des pr cisions de mesure de plus en plus France forte moyenne faible inexistante fines Europe forte moyenne faible inexistante Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous Page 243 gt CM International Exemples de Domaines secteur Exemples d usage ee Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application p concern s Sant Mesure pollution Gestion et Biomarqueurs Fiabilit des pr visions Mod lisation Environ air eau valuation des Techniques de Probl mes de bifurcations changement de phase transitoire de percolation Simulation nement Politique de pr vention risques environ mesure dans Transition de phase Analyse Agro des risques industriels nementaux et diff rents milieux Ph nom nes non lin aires num rique alim
299. elles de la langue et de la parole E technologies logicielles pour le transport de donn es F technologies logicielles pour la s curit des r seaux G technologies logicielles pour la gestion des donn es et du contenu H technologies logicielles de r alit virtuelle 2 par l effet diffusant particuli rement fort de ces 8 technologies qui constituent le support principal de nombreuses autres technologies cl s non seulement en ce qui concerne les TIC mais aussi dans les autres domaines en particulier les technologies et m thodes de conception gestion et production c est ce que montre le tableau suivant qui pour chacune des 8 technologies logicielles de base colonnes A H recense les principales autres technologies cl s pour lesquelles elle constitue un point technologique critique AIBIC ID FIGIH E R tines de prise de vue X Transmission temps r el de contenus multim dia X Syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Objets communicants autonomes identifiants intelligents tiquettes Assistants digitaux portables XIX X Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit lt lt Technologies de boucle locale R seau domestique num rique X Grands serveurs X gt lt gt lt Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes Mesures et tests de syst m
300. elles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte moyenne faible inexistante forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte moyenne faible inexistante forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur Domaines scientifiques d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques ae Textile habillement Textiles anti UV anti Fibres textiles Additifs polym res Filage des mat riaux Chimie usage technique acariens respirants fonctionnelles Additif lectronique composites sans destruction Chimie des surfaces M dical imperm ables Filage des mati res actives du fait de Acoustique iridescents Ajout de mati re active la temp rature par exemple Garnissage automobile incorporation au sein de par diminution des temps de Combinaison de la fibre s jour cosmonautes toitures en Traitement de surfaces R sistance au lavage textile enduit Encapsulation Mise en uvre antiseptique par greffage Page 201 gt CM International 37 Catalyseurs DEGRE DE DEVELOPPEMENT La catalyse h t rog ne homog ne ou enzymatique am liore la vitesse et la s
301. els des entreprises dans cette volution et assurer la transition entre les organisations d aujourd hui et celles que nous pr pare le recours aux nouvelles technologies Page 150 Ill Pr sentation des Technologies cl s 2005 Il 1 Liste des Technologies cl s 2005 Comment utiliser les fiches lll 2 Fiches de synth se Technologie de l Information et Communication Mat riaux Chimie Construction Infrastructure Habitate Energie Environnement Technologie du Vivant Sant Agroalimentaire Transport A ronautique Biens et services de consommation Technologie et M thodes de Conception Gestion Production Page 145 Ill 1 Liste des Technologies cl s 2005 Page 146 Liste des Technologies Cl s 2005 Technologies de l Information et Communication Micro lectronique silicium Microtechnologies Microsyst mes Micro lectronique II V AsGa Inp Capteurs intelligents M moires de masse Composants opto lectroniques et photoniques Composants d interconnexion et d interface Capteurs de vision ou capteurs d image Ecrans plats Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique Batteries et gestion de la micro nergie Objets communicants autonomes Identifiants intelligents Etiquettes Assistants digitaux portables Technologies logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Technologies logicielles de la langue et de la parole In
302. emble indiquer que la situation est aujourd hui assez diff rente L volution rapide des technologies la demande pour des produits nouveaux et plus complexes la plus grande disponibilit sur le march mondial de technologies ou produit de base et une plus grande r activit des entreprises tout cela contribue aujourd hui rendre souvent possible la conqu te de march s voire des retournements de situations autrefois jug s invraisemblables Page 289 Annexes Cette situation nouvelle a t bien entendu prise en compte dans le choix des technologies Elle devrait sans doute aussi faire l objet d une attention nouvelle de la part des pouvoirs publics lors des choix qu ils auront faire L objectif de ce rapport n est pas de faire ces choix mais d tre un outil d aide la d cision pour les fonder en connaissance de cause Le Comit de pilotage pense que les technologies cl s retenues sont importante pour la France et qu elles lui sont accessibles Parmi celles ci un tr s grand nombre sont ou seront effectivement d velopp es et commercialis es par le secteur priv Il appartient donc aux d cideurs politiques d appuyer si n cessaire le secteur priv dans certaines de ces r alisations de jouer dans la mesure du possible un r le moteur dans le d veloppement des technologies que le secteur priv n aurait pas les moyens ou la volont de d velopper directement La mondialisation de l conomie et
303. ement des intelligences artificielles conduisent int grer l activit humaine dans des environnements chaque jour plus sophistiqu s Ces environnements doivent tre aptes prendre en compte les al as propres l humain Ceci s impose aussi bien dans les syst mes de production que dans des contextes d utilisation d un produit Une importante facette ergonomique la validation des postes de travail par exemple est ici en cause L ergonomie doit s appr cier dans une diversit culturelle comment imaginer une machine universelle compte tenu des diff rences culturelles ou anthropom triques Les cadres r glementaires respecter droit du travail diff rent tout comme la notion de p nibilit par exemple dans le BTP La gestion de la complexit des syst mes mis en face de l homme constitue un enjeu majeur pour cette technologie dont les applications industrielles et commerciales sont en fait d ores et d j reconnues et g n ralis es DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance diffusion POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte faible inexistante Europe moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci France f
304. ement humain Simulation num rique des proc d s Multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales croissance maturit diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte Europe forte faible inexistante faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante Page 291 gt CM International Exemples de Domaines secteurs Exemples d usage Fonction Technologie Points technologiques scientifiques 5 de remplie critiques j d application concern s Tous secteurs Organisation Repr sentation Logiciels de simulation 2D 3D M canique manufacturiers industrielle et gestion des Capitalisation Maquette num rique Electronique dont Maquette de processus de Manuel conventionnel Interfa age de syst mes Chimie des Biens travail l usine Num rique Utilisation de donn es mat riaux d quipement prototype num rique CAO CAO h t rog nes G nie Automobile Relations Machines intelligentes R versibilit lectrique lectronique fournisseurs Techno logicielles de l informatique distribu e Techniques STEP Informatique T l
305. ement int gr de Soutien Logistique int gr de service aux clients Outils de la personnalisation de la relation client dans des contextes sociaux environnementaux r glementaires de plus en plus exigeants avec le d veloppement du commerce lectronique et des technologies de l information vont d clencher la remise en cause d un certain nombre de fa ons de travailler L ensemble des volutions technologiques voqu es jusqu ici contribuent ce que les organisations se dirigent de plus en plus vers des structures flexibles et r actives sans barri res la communication et donc vers de nouvelles formes d organisation Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Ces d marches ne s arr tent pas la fronti re des entreprises mais s tendent bien au del dans le cadre de la notion d entreprise tendue d une part en amont aux fournisseurs d autre part en aval aux clients mais aussi lat ralement vers les diff rents partenaires et alli s avec lesquels elles travaillent Restent d finir les modalit s de r ussite de ces volutions et notamment comprendre la place que prend chaque individu dans les processus de changement une red finition des fonctions au sein des entreprises se profile qui sera amen e s appuyer entre autres sur les technologies de communication disponibles Autant dire que l enjeu majeur est la rapidit mais surtout la facult impliquer les personn
306. ements des TIC les biotechnologies pourraient faire figure de parent pauvre Pourtant diff rents signaux laissent penser que la r volution technologique associ e aux sciences du vivant a bel et bien d marr et qu elle va sa fa on elle aussi affecter diff rents secteurs durablement et en profondeur la pharmacie l agriculture ou l agroalimentaire bien s r mais aussi la chimie les mat riaux l nergie et m me les TIC Par del les technologies organisationnelles le client Les technologies organisationnelles avaient t clairement mises en vidence par l exercice pr c dent comme participant pleinement de la comp titivit des entreprises et de l conomie En l absence de terme plus appropri elles avaient t qualifi es de molles ce qui traduisait tout la fois une difficult d finir le contour et les contenus correspondants mais aussi une certaine g ne des scientifiques et des technologues consid rer ces champs de la connaissance comme relevant des technologies Pourtant le pas de leur reconnaissance avait t franchi et l on ne peut que se f liciter de cet apport du travail conduit il y a 5 ans Le pr sent exercice a clairement confirm cet enjeu A un moment o la nouvelle conomie se construit autour du capital cognitif les entreprises vont plus encore que par le pass devoir mobiliser de fa on coordonn e des comp tences et des savoir faire travers des processus organis
307. en uvre et d terminer les param tres du proc d on recourt Technologie mergence croissance maturit des logiciels de mod lisation qui permettent de v rifier l ad quation des moyens mat riaux proc d s machines de Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation transformation moules au but poursuivi et d valuer les caract ristiques des pi ces en fonctionnement L objectif est d viter des essais dont la r alisation serait trop longue et trop POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE co teuse La capitalisation des connaissances est un enjeu important pour l industrie des mat riaux et de la chimie Ceci passe France forte moyenne faible inexistante en particulier par le d veloppement de syst mes base de connaissance L enjeu est de regrouper et de faire communiquer Europe forte moyenne faible inexistante des connaissances de nature diff rente formulations chimiques propri t s des mat riaux caract ristiques de mise en forme comportements en service Ces logiciels n cessitent de s assurer de la disponibilit et de la validit de nombreuses bases de donn es Il est n cessaire de d montrer la faisabilit et lint r t de telles France forte moyenne faible inexistante r alisations et de s assurer de la volont des acteurs concern s qui manifestent une certaine frilosit pour
308. en ouvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable TAE V hicule intelligent et communicant Architecture lectronique Ergonomie de l interface homme machine NTIC Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique Assistants digitaux portables Ecrans plats EE Pi geage et stockage du CO2 Fluides frigorig nes haute qualit environnementale EE Elimination des m taux lourds dans les boues et effluents MC Ing nierie des surfaces TAE Compatibilit lectromagn tique EE Microturbine EE Stockage de l nergie TAE Pile combustible TAE Architecture lectrique Compatibilit lectromagn tique BSC Les outils de sant la disposition des consommateurs BE Recyclage de mat riaux sp cifiques TAE S ret des syst mes TAE Am lioration des performances d nergie d ensemble Moteurs thermiques EE Microturbine TAE Pile combustible EE Photovolt que Eolien offshore CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents EE R duction des bruits Filtration membranaire TAE V hicule intelligent et communicant CIH Off shore grands fonds NTIC Moteurs de recherche et d indexation intelligents CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents Page 307 Annexes 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116
309. en particulier est en train de vivre une v ritable r volution dans ce domaine marqu e par un extraordinaire d veloppement de l initiative conomique Bien entendu ces changements taient en pr paration depuis un certain temps et de nombreux facteurs ont jou un r le d cisif facteurs l gislatifs ducatifs financiers mais l ampleur du ph nom ne a surpris m me ceux qui travaillaient son closion Le rythme des cr ations d entreprises dans tous les domaines et non pas seulement dans ceux qui sont la mode est impressionnant Les financements sont devenus plus faciles gr ce l apparition d un grand nombre d investisseurs sp cialis s Les march s financiers indispensables au refinancement des entreprises technologiques en croissance Nouveau march ou Easdagq sont apparus tout r cemment et approchent de la maturit mais plus important encore un nombre consid rable de jeunes entrepreneurs comp tents et d cid s dont on disait il y a peu qu ils pr f raient travailler ailleurs se lancent dans l aventure en France Les grandes entreprises apr s une p riode souvent marqu e par un recentrage sur leurs m tiers de base afin d am liorer leur rentabilit recommencent chercher de nouveaux axes de d veloppement soit en utilisant leur recherche interne soit de plus en plus par acquisition de savoir ou d activit l ext rieur La conjugaison de cet lan et de l appui de la p
310. en transmettre le sens aux op rateurs voire aux machines elles m mes pour prise de d cision et action L interfa age entre syst mes informatiques est donc un enjeu important La description des processus doit galement prendre en compte les interfaces entre l humain et les syst mes l ergonomie des interfaces entre ces repr sentations et l homme est donc un autre enjeu non n gligeable les crans de visualisation les alertes sonores etc sont des l ments d efficacit dans la gestion des situations simplicit de compr hension rapidit d acc s Liens outils de personnalisation de la relation clien syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s repr sentation de la perception du consommateur _ prototypage rapide supply chain management Techno logicielles de l informatique distribu e Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu tri analyse et synth se des donn es bases de connaissances agents profil d utilisateur data mining Techno logicielles de r alit virtuelle Mesure et test de syst mes Capteurs intelligents Ing nierie concourante R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique S ret des syst mes embarqu s et infrastructures Ergonomie de l interface homme machine Simulation mod lisation du comport
311. ensit des semi conducteurs entra nent pour les composants d interconnexion des volutions technologiques de fond augmentation de la puissance de la vitesse et de la densit diminution des co ts et du cycle de vie des produits Par ailleurs le d veloppement de certains secteurs d application notamment celui des t l communications entra ne des besoins croissants en mati re de composants de connexion opto lectronique et hyperfr quence Liens micro lectronique silicium microsyst mes micro lectronique III V AsGa InP composants opto lectroniques et photoniques objets communicants autonomes assistants digitaux portables v hicules intelligents et communicants architecture lectrique architecture lectronique informatique r partie et multiplexage capteurs intelligents DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales naissante diffusion POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France fore faible Inexistante Europe forte faible Inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL moyenne faible Inexistante France Page 160 Exemples de secteur d application Electronique Transports automobile a ronautique T l communications informatique fore circuits imprim s connecteurs circuits hybrides module multipuces MCM c blage Fiches synth tiques Faible Inexistante_ Exemples d usage Foncti
312. ent correspondre 10 de la production totale de Europe forte Oo moyenne faible inexistante polym res La croissance de leur march est de 6 8 par an face 2 3 pour les polym res A terme les alliages de polym res pourraient g n rer des march s de masse L am lioration des co ts et de la recyclabilit sont en particulier recherch es POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL moyenne faible forte L moyenne inexistante France forte Liens recyclage de mat riaux sp cifiques b ton performances optimis es inexistante Europe faible Exemples de Domaines scientifiques secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques onein d application Transport Disponibilit de R sistance m canique aux chocs aux Alliages de Caract risation pr vision structures Chimie organique Electrom nager mat riaux sp cifiques agents chimiques tenue en polym res propri t s mod lisation des Sciences des mat riaux B timent aux propri t s tendues temp rature comportements Polym res Biom dical Boucliers pare chocs Tenue au feu aptitude retarder la Conception des alliages Mod lisation des ailes de voitures flamme stabilit la lumi re stabilit compatibilit microstructures dimensionnelle aspect mat faible Recyclabilit degr de brillance aptitude la peinture propri t
313. ent entra ner une augmentation des co ts compromettre le d veloppement de produits et services novateurs Les pouvoirs publics et plus particuli rement les instances communautaires doivent chercher rationaliser les divers r glements simplifier les proc dures et lorsque cela est possible avoir recours des solutions autres que la r glementation pour atteindre les m mes buts 7 Valoriser la culture scientifique et technique Depuis toujours le progr s conomique a t tributaire des id es nouvelles et de l innovation c est dire du savoir Aujourd hui on constate une tr s large acceptation de l id e que la connaissance joue Page 288 Annexes un r le primordial dans la croissance conomique Le savoir rev t au moins autant d importance que le capital physique et financier en tant que source d expansion conomique Pour stimuler l innovation et donc la cr ation de richesse le France doit pouvoir s appuyer sur une culture scientifique et technique bien tablie En effet la culture scientifique et technique est la fois question de mentalit et de comp tences Elle se nourrit de l esprit de curiosit et de d couverte Elle est ouverte la remise en question et au changement Les jeunes tout particuli rement doivent comprendre et voir les avantages de l acquisition de connaissances scientifiques et techniques Renforcer la culture scientifique et technique est l affaire de tous De
314. entaire Protection des sanitaires pour mol cules Prise en compte des effets chroniques Traitement du personnes en milieu complexes Transfert des conclusions cotoxicologiques l homme signal dangereux Outils logiciels Reconnaissance du g nome Informatique D tection des bact ries d valuation et de S lection des formes pathog nes logicielle dans l alimentaire gestion des risques Multifonctionnalit Physique Instrumentation _ Microlithographie chimie et Microsyst mes _ Microfluidique biologie toutes Biocapteurs Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint branches dont Capteurs Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu rel vent les intelligents ph nom nes S ret des syst mes Et divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et mesur s voqu es par ailleurs Page 244 CM International Technologie du Vivant Sant Agroalimentaire Page 245 CM International 77 Ing nierie des prot ines L ing nierie des prot ines regroupe l ensemble des outils et m thodes permettant la connaissance des propri t s de la structure et du fonctionnement d une prot ine ainsi que leur am lioration L ing nierie des prot ines permet d accro tre la connaissance de la structure et du fonctionnement des g nes et a ainsi de nombreuses applications synth se d enzymes modification de propri
315. ents et mat riaux pour salles blanches robotique NTIC Syst mes d exploitation contraints NTIC Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit NTIC M moires de masse NTIC Syst me auteurs pour cr ation de contenus multim dia TAE S ret des syst mes Architecture lectronique IAA Greffe d organe GMCAO Tra abilit Marquage Page 313 Annexes 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 S lection Sens S quen age Service Silicium Simulation Simultan it Sols son Sondage Sondes Sources d nergie Stabilisation Stationnaire Stockage Strat gie Structure mol culaire Structures S ret Surface Surveillance m tabolique Technologies douces MC Mat riaux absorbants CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents Conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques Qualit de service en IP R seau domestique num rique S curit Cryptologie IAA GMCAO TAE Ergonomie de l interface homme machine BSC Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle IAA Biopuces CPG SLI Outils d aide la gestion de la relation client EE Photovolt que NTIC Micro lec
316. ents techniques de demain Il permet aussi de contribuer aux d bats sur les enjeux et les objectifs d une politique de la recherche et de la technologie 265 F 40 40 Euros Direction g n rale de l Industrie des Technologies de l information et des Postes Format 16 X 24 362 pages Edition octobre 2000 http www industrie gouv fr cgi bin industrie so bib lib fiche _contenu pl TH ME_ID 298 amp FORM_ID 267 1 sur 2 28 11 2000 13 42 43 Secr tariat d Etat l Industrie Biblioth que Bon de commande Je commande l ouvrage suivant Technologies cl s 2005 septembre 265 F 2000 ref 00190 A060 Net Je joins mon r glement par ch que postal ou bancaire de 265 F l ordre de Monsieur le R gisseur des Recettes e E 7 r ES a Code postal oo Ville RS ER Date Loo signature Aidez nous mieux vous conna tre en indiquant votre Fonction Code NAF L_1 Code SIREN SIRET Doo Nbre de salari s O lt 20 O20 49 O 50 99 O 100 199 O 200 499 O gt 500 Je recevrai mon ouvrage accompagn d une facture deux semaines au plus tard apr s r ception du bon de http www industrie gouv fr cgi bin industrie _BIBL_LIBR_FICHE_bdc pl THEME_ID 29 amp FORM_ID 267 1 sur 2 28 11 2000 13 42 52 Secr tariat d Etat l Industrie Biblioth que commande Imprimer et exp dier Secr tariat d Etat l Industrie Dicom Editions 139 rue de Bercy t l doc 536 75012 Pa
317. eption L int gration croissante loi de Moore conduit une explosion de la complexit renforc e par le d veloppement des syst mes sur une puce pour lesquels l Europe a pour ambition de d tenir des positions cl s notamment gr ce au nouveau programme MEDEA Les outils conception simulation doivent prendre en compte les effets submicroniques les nouvelles architectures synchrone asynschrone l int gration de composants logiques et analogiques le codesign conception simultan e du composant et du logiciel associ pour raccourcir les d lais de mise sur le march Ces technologies de conception n cessitent des d veloppements logiciels tr s importants compilateurs simulation mat rielle des puces et cosimulation tc30 tc1 gt des technologies d interconnexion et de packaging Ces technologies sont devenues de plus en plus complexe pour faire face la mont e en fr quences l interconnexion optique l int gration croissante des composants aux nouveaux environnements automobile carte puce etc Il en est de m me des technologies d interface crans plats tc8 et d alimentation en nergie tc62 C L Internet et les t l communications du futur Dans le cas des t l communications les besoins en terme de recherche sont particuli rement marqu s Ils se situent entre autres au niveau du logiciel avec les probl mes de routage et de s ret de fonctionnement dans des syst mes g
318. erciales naissance diffusion g n ralisation Sur le plan technique elle se traduit largement par la m me probl matique que celle des syst mes temps r el puisqv elle passe POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE par la capacit du syst me d tecter les changements survenus dans son environnement France forte moyenne faible inexistante les erreurs et les dysfonctionnements et y apporter la r action appropri e en respectant des Europe forte moyenne faible inexistante contraintes de temps tr s strictes Sur le plan mat riel ces syst mes n cessitent l emploi de micro POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL contr leurs ou de processeurs sp cialis s robustes en environnement hostile et tol rant les fautes Les technologies France forte requises sur le plan logiciel sont voqu es par ailleurs faible inexistante Europe forte faible inexistante La mise en uvre de syst mes temps r el la fois r actifs et s rs de fonctionnement constitue un enjeu strat gique particuli rement important dans des domaines tels que les v hicules intelligents l avionique modulaire le contr le commande industriel la r gulation et les automatismes les communications multim dia Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous architecture lectronique informatique r
319. ergie Le principal objectif des d veloppements technologiques venir est de permettre de diminuer le prix de l nergie en assurant une meilleure s ret et s curit des installations et en pr servant au mieux l environnement Ma triser les productions d nergie si possible en accord avec la performance environnementale attendue L nergie nucl aire comme nous l avons vu occupe une place importante dans la production nerg tique fran aise Un premier objectif est d augmenter la dur e de vie des centrales en atteignant 40 ans au lieu des 30 ans pr vus ce qui permettrait d encore abaisser le prix du kwh L optimisation du combustible en augmentant le taux de combustion va aussi dans ce sens Ces d veloppements technologiques sont dans l chelle de temps des ann es 2005 La gestion rationnelle des d chets radioactifs dont certains peuvent avoir des dur es de vie tr s longue est galement une priorit pour les ann es venir La loi du 30 d cembre 1991 a donn un cadre ces tudes avec une ch ance en 2006 Ceci n cessite le d veloppement de nombreuses recherches technologiques qui ont la caract ristique d tre pluridisciplinaires Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue A plus long terme au del d un premier renouvellement des centrales existantes se pose la question d une meilleure utilisation du combustible dans le cadre de r acteurs touj
320. errains NTIC Micro lectronique II V BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique IAA Miniaturisation des instruments de recherche m dicale BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes CPG Repr sentation de la perception CPG Simulation IAA Organes bio artificiels Ing nierie des prot ines Th rapie cellulaire Imagerie m dicale NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s TAE V hicule intelligent et communicant CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents NTIC Qualit de service en IP Int gration d applications langage XML et autres langages volu s Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes Micro lectronique silicium Assistants digitaux portables NTIC M moires de masse IAA Greffe d organe TAE Architecture lectrique MC Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages NTIC Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes NTIC S curit Cryptologie TAE S ret des syst mes NTIC Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique BSC Technologies favorisant la d
321. es Etage d mission r ception de syst mes de Contr le de proc d Electromagn tism Spatial Wireless LAN t l phones cellulaires communication millim trique afin de r duire les e GSM DECT UMTS communications Etage de contr le et de r ception de co ts hyperfr quences optiques t l communications optiques tr s haut Conception de Simulation Radars anti collision d bit gt 40 Gbit s 160 Gbit s circuits tr s haute LMDS TV fr quence Durcissement pour environnement radiatif ions lourds protons Page 155 4 Capteurs intelligents Les capteurs d tectent et mesurent des ph nom nes physiques chimiques ou biologiques les biocapteurs sont trait s par ailleurs et les traduisent en informations souvent sous forme lectronique pouvant faire l objet de diff rents types de traitement et d exploitation y compris en termes de d cisions et d actions Les capteurs intelligents int grent des fonctions suppl mentaires telles que le traitement du signal l auto test ou l auto calibration des fonctions de calcul d identification ou encore de communication Les capteurs intelligents sont au c ur des processus industriels sans v ritable alternative technologique ils permettent augmenter ou de garantir la qualit des produits fabriqu s mais aussi la s ret et la disponibilit des outils de fabrication t l surveillan
322. es supraconducteurs reste une priorit pour les ann es venir Supraconducteurs R duire les consommations d nergie La lutte contre les gaspillages d nergie initi e par les pouvoirs publics depuis le premier choc p trolier est devenue comme nous l avons vu une pr occupation la fois conomique et environnementale Une meilleure information et une responsabilisation ont permis au consommateur et l industriel de mieux g rer leurs d penses d nergie La mise en place de l tiquette nergie par la communaut europ enne en 1994 et appliqu e en France progressivement depuis 1995 sur les appareils lectrom nagers en est une illustration Les industriels quant eux ont recours la modernisation de leur appareil productif en vue de promouvoir une utilisation rationnelle de l nergie Au del de l objectif de la diminution de la consommation cet objectif de r duction du poste nerg tique pose galement la question du choix de la source nerg tique adapt e In fine le consommateur final industriel et m nages cherche un confort sup rieur adapt exactement sa propre situation via en particulier l utilisation d une nergie conomique et peu polluante Dans ce contexte les d veloppements technologiques sont continus pour ma triser les consommations d nergie La gestion de lair dans les b timents comme le d veloppement des technologies d clairage en sont une illustration
323. es Domaines scientifiques d application critiques concern s Environnement D pollution des sols et des D veloppement des Combustion Organochlor s Chimie Sant nappes phr atiques techniques de Traitements physiques et M taux lourds Physique Evaluation des risques diagnostic et de physico chimiques Biologie environnementaux traitement des sols Biotechnologie Traitement des pollutions Combustion accidentelles des sols avec Traitement des effluents les industries risque gazeux et liquides Page 242 CM International 76 Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires La sensibilit croissante de l opinion et le besoin pour les industriels de donner des garanties de qualit sanitaire et environnementale leurs produits mais aussi la production ont DEGRE DE DEVELOPPEMENT cr ces derni res ann es une demande croissante en gestion et valuation des risques environnementaux et sanitaires Cette Technologie mergence croissance maturit demande se traduit par la n cessit de disposer d outils permettant le suivi et la mesure d un certain nombre de param tres nature Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation taux de polluants et adapt s aux produits sp cifiques contr ler m taux lourds dioxines Quatre domaines technologiques r pondent actu
324. es X Capteurs intelligents X XIX 1 1 Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Ing nierie concourante XIX XIX X gt lt gt lt R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique Imagerie m dicale X Chirurgie assist e par ordinateur GMCAO X Architecture lectronique informatique r partie et multiplexage X gt lt gt lt S ret des syst mes embarqu s et infrastructures Ergonomie de l interface homme machine gt lt gt lt gt lt V hicules intelligents et communicants XIX Outils de personnalisation de la relation client X Page 69 Le contexte par grands domaines Agents intelligents X Offre de produits et de services de grande consommation base de X X r alit virtuelle Outils de sant la disposition des consommateurs X XIXIX Design sensoriel y compris la m trologie sensorielle Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Formalisation et gestion des r gles m tiers X Outils d aide la cr ativit Repr sentation de la perception du consommateur gt lt gt lt Simulation mod lisation du comportement humain dans le poste de travail face au produit Mult
325. es devront avoir des caract ristiques de plus en plus pointues que ce soit au niveau Europe O fore moyenne i core des taux de transfert ou de la fiabilit On distingue plusieurs familles de moyens d enregistrement techniques magn tiques techniques optiques et les m moires sur circuits int gr s Des dispositifs nouveaux pourraient tre labor s m moires atomiques POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France fote moyenne faible inexistante Il s agit de march s de masse avec plusieurs dispositifs de plusieurs types par individu Europe forte _ moyenne m inexistante Liens assistants digitaux portables Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques secteur concern s d application Electronique G n ralisation tous Stockage de l information M moires de masse N couches Physique les objets appareils Archivage Volatile et non Manipulation atomique micropointes Optique b n ficiant d un volatile Magn to r sistivit MR g ante Electronique micro processeur Optique Magn tique Mat riaux optiques Traitement du signal Micro machines Optique Page 158 Fiches synth tiques 6 Composants opto lectroniques et photonique Ils se r partissent en trois diff rents modules les modules sources actifs pour le traitement la mise en forme et la transmission optique de l information Le d velo
326. es europ ens Cette m fiance faut il le rappeler porte aussi en France sur les Organismes G n tiquement Modifi s Dans ces d bats passionn s et pour partie irrationnels seuls des tests preuves concrets pourront garantir l acceptation de ce type de produits Au del la r glementation son respect scrupuleux et des dispositifs de contr le restent les garants de la s curit et donc de la confiance de consommateurs devenus prudents sinon frileux Li ces diverses crises de confiance s ajoute le besoin de bien tre tel qu il a t identifi au chapitre I 2 Ce besoin se traduit par La demande de sant et la naturalit Les demandes des consommateurs vont vers une alimentation saine parfois qualifi e de biologique Ces demandes ont en particulier un impact direct sur les pratiques culturales l agriculture biologique revendique de ne plus utiliser de produits phytosanitaires La demande sant performance Comme pr c demment les produits bons pour le corps tels les aliments fonctionnels repr sentent une demande relativement importante et viennent supplanter les anciens besoins par exemple en produits amaigrissants La recherche de plaisir par le go t Le go t est un sens important pour les fran ais car il est li au plaisir de l alimentation Les industriels pour satisfaire leur client le doivent donc d velopper des produits au go t authentique et recherch Si la demande en produits biol
327. es fonctions Informatique logicielle de transport en g n ral et multim dia pour la surveillance le contr le la lectronique Portabilit des logiciels Electronique Espace Copilote automatique Robotique mobile en milieu hostile V hicules intelligents et communicants Ergonomie de l interface homme machine commande des syst mes lectronis s R partition des fonctions syst mes Gestion des donn es R gulation Automatismes locaux Traitement de signal d localis informatique r partie et multiplexage dans les v hicules Structure des calculateurs embarqu s Int gration composants d di s hard soft Composants m moire Standard bus Miniaturisation pour des fonctions donn es Choix d architecture centralis e r partie Protocoles de communication M thodes de test Lien entre v hicule et ext rieur Obsolescence des composants Composants d interconnexion et d interface Techno logicielles de l informatique distribu e Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Techno logicielles pour le transport de donn es Page 264 95 Compatibilit lectromagn tique La compatibilit lectromagn tique est la limitation des niveaux acceptables des ph nom nes de parasitage interf rences DEGRE DE DEVELOPPEMENT lectromagn tiques entre mat riels lectriques lectroniques et informatiques Technologie mergence croissan
328. es implications tr s fortes en termes de complexit des processus des organisations et des outils de support utilis s Les principaux facteurs explicatifs de cette volution majeure vers des organisations de plus en plus int gr es sont pr sent s ici Page 144 Le contexte par grands domaines Mieux concevoir face une demande plus exigeante versatile et infid le L analyse de la demande a conclu sur une constatation importante tout d abord le mod le de consommation de masse des ann es 60 aux ann es 80 laisse d sormais la place une demande beaucoup plus versatile doubl e d une personnalisation croissante de la consommation la mass customization Apr s 30 ann es d conomie de l offre o le producteur impose ses contraintes nous sommes depuis le d but des ann es 80 dans une conomie de la demande o le client est roi et impose ses conditions Cet tat de fait ne peut avoir qu un impact fort sur l organisation des entreprises les contraignant des m thodes de production et de gestion bien plus souples pour une meilleure adaptation la demande de clients Il en d coule clairement que La compr hension de la demande des clients est devenue centrale dans les pr occupations des entreprises plus on est proche de la demande des clients mieux on est susceptible de fournir ces clients les produits et services qu ils souhaitent et donc mieux on peut assurer de r ussite
329. es industries m caniques repr sentaient en Europe un chiffre d affaires de 298 milliards d euros en 1997 et gardent la position de premiers producteurs mondiaux malgr la mont e en puissance de la production am ricaine Avec une croissance de 10 par an et une augmentation de 30 des investissements en 1998 la transformation des mati res plastiques est une industrie dynamique r active et innovante qui r alisait un chiffre d affaires de 20 milliards d euros en 1997 En France 1 300 entreprises de plus de vingt salari es employaient en 1997 131 000 personnes L innovation et la r activit des entreprises permettent aux plastiques de poursuivre leur substitution aux autres mat riaux dans de nombreux secteurs automobile b timent emballage a ronautique spatial m dico chirurgical La croissance pr vue est de 3 8 par an jusqu en 2004 Page 81 Le contexte par grands domaines Le march des nouveaux mat riaux se d veloppe avec de nouvelles applications Le dynamisme de l a ronautique a stimul les innovations dans les composites tels que les composites matrice carbone carbone utilis s dans les freins d avions ou de Formule 1 mais aussi pour les pistons graphites de berlines de s rie haut de gamme ou encore les composites matrice organique utilis s pour les arbres de transmission dans l automobile Pour les thermoplastiques techniques la croissance se poursuit du fait de la multiplication des a
330. es mati res les outils de conception et de gestion industrielle globalisation et internationalisation croissantes acc l ration de la concentration et des rachats Page 82 Le contexte par grands domaines Le domaine de la chimie est engag dans la course aux produits plus forte valeur ajout e D laissant la chimie de base la quarantaine des grands groupes mondiaux repensent leurs strat gies afin de devenir des champions des sp cialit s Il leur faut alors identifier les niches les plus porteuses et y grossir le plus rapidement La concurrence sur les prix reste toutefois forte et s accompagne de la compression des marges Ceci provoque la multiplication des fusions acquisitions et alliances sous la pression des m gafusions dans le p trole Les chimistes sont chacun engag s dans une cinquantaine d alliances en moyenne Les fili res semblent par ailleurs voluer vers une plus forte int gration aval A nsi par exemple la fili re des mat riaux de construction rassemble un grand nombre de produits du ciment au granulat et du pl tre la c ramique Il est cependant domin par le b ton et ses d riv s tel que le b ton pr t l emploi L volution de la fili re est marqu e par une rationalisation des activit s et une forte croissance externe souvent conjugu e avec le d veloppement international pour renforcer des positions dominantes Elle se caract rise galement par une int gration aval vers la distrib
331. es moyens de communication correspondants sont donc appel s faire face une volution importante au regard des nouvelles exigences des clients notamment en termes de services attendus depuis la r servation de billets de transports l information dispens e au voyageur sur ses conditions de transport Le confort et la s curit Le confort et la s curit sont devenus des pr occupations majeures des consommateurs aujourd hui Leurs exigences illustrent en fait des valeurs familiales affirm es la demande privil gie donc l espace la fonctionnalit et l habitabilit des v hicules routiers par exemple la possibilit d une vie bord en somme la recherche de s curit et de fiabilit des v hicules la recherche de souplesse flexibilit et rapidit au niveau des services offerts Les r ponses technologiques de telles exigences passent entre autres par le d veloppement de v hicules fiables automatis s au maximum con us non seulement pour assurer la s curit des passagers mais galement par rapport l environnement dans lequel ces v hicules voluent Ces v hicules intelligents font l objet de diff rents travaux de d veloppement et la diversit des options technologiques qui se pr sentent laisse pr sager des innovations dont certaines pourraient tre majeures pour tous les moyens de transport routier a rien ferroviaire la billetterie et la mon tique sont galement de
332. es processus d innovation L enjeu v ritable est que la technologie concerne le citoyen le consommateur l entreprise ses partenaires et donc l ensemble du tissu conomique et social il est alors essentiel de mieux comprendre en quoi et comment la technologie et plus encore son volution apparemment in luctable conditionnent la vie des entreprises leur positionnement concurrentiel et leur fonctionnement Comprendre la dynamique des technologies Une description des ph nom nes de substitution et d accumulation technologiques a vu le jour avec les travaux de divers chercheurs qui ont labor des mod les des m canismes de diffusion de l innovation sur la base de l observation de l histoire industrielle de diff rents secteurs R sumons bri vement ce qu il convient d en retenir Sur un march donn un besoin satisfaire par un produit ou un service c est dire une fonction g n rique est remplie par une certaine technologie devenue dominante Des alternatives technologiques sont envisag es mais ne sont pas adopt es car elles restent trop futuristes pas au point ou trop ch res Au fur et mesure que la technologie dominante s est tablie le march s est segment faisant appara tre des besoins sp cifiques sur certains sous segments quitte n cessiter des adaptations de la technologie pour y r pondre Mais cette technologie dominante reste la r f rence et renforce sa position car il n existe pas
333. es que les mentions en italiques de la grille ci dessous r seau domestique num rique U g o e 5 Q e Page 167 gt CM International 14 Technologies logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Les syst mes temps r el ou contraint sont des quipements informatiques en interaction avec des environnements ou des proc d s physiques dont ils doivent assurer le contr le en r agissant instantan ment leurs volutions techno logicielles pour la s curit des r seaux Cela concerne par exemple l informatique de commande des centrales nucl aires et des syst mes de fabrication de biens d quipement en s rie les syst mes embarqu s avionique transports routiers et ferroviaires lanceurs satellites quipements lectrom nagers assistants portables etc les syst mes transactionnels contr le a rien r servations r parties etc les jeux vid o les transmissions num riques sur Internet de sons et images etc DEGRE DE DEVELOPPEMENT La caract ristique essentielle de ces syst mes est qu ils doivent r agir en temps contraint et qu il est n cessaire de prouver avant leur Technologie mergence w o maturit d ploiement op rationnel que cette garantie temporelle est assur e dans toutes les circonstances envisageables incluant les cas de Applications industrielles et commerciales naissance Oo OoOo g n ralisation dysfonctionnement Sur le plan logiciel
334. es renouvelables Enveloppe Equipements Ergonomie Esth tique souterrains TAE S ret des syst mes TAE Ergonomie de l interface homme machine EE R duction des bruits BSC Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s TAE Capteurs S ret des syst mes IAA D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM IAA Biopuces Imagerie m dicale EE D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols BSC Les outils de sant la disposition des consommateurs TAE S ret des syst mes NTIC Ing nierie linguistique et technologies vocales BSC Les outils de sant la disposition des consommateurs NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques CIH Le b ton performances optimis es TAE S ret des syst mes CPG T l surveillance de syst me productif distance BSC Les outils de sant la disposition des consommateurs CIH L ing nierie concourante Off shore grands fonds MC Techniques de synth se et de test haut d bit EE Eclairage et visualisation basse consommation CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents BE Stabilisation en vue de stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets industriels et m nagers CIH Conception et mise
335. es traitements m dicaux Ce meilleur accueil ne doit pas cependant faire oublier les Page 116 Le contexte par grands domaines enjeux thiques persistants comme dans le cas du clonage des d bats sur la th rapie g nique ou des greffes d organes animaux La course entre la rapidit des volutions scientifiques et technologiques et l affirmation de choix thiques puis leur ventuelle transcription l gislative demeurera un des l ments structurant des ann es venir Les principaux enjeux Depuis quelques ann es d j de nombreux programmes nationaux et internationaux ont vis tablir la cartographie de diff rents g nomes humain mais aussi celui de la levure du porc des plantes Cette analyse du g nome repose sur l utilisation et le d veloppement des techniques de g nie g n tique clonage extraction des acides nucl iques hybridation mol culaire Ce domaine est globalement bien avanc et sa finalisation est attendue dans les prochaines ann es Les verrous actuels r sident dans la d tection d ARN messagers peu abondants et l tude du prot ome Dans un premier temps les objectifs sont la r paration des g nes porteurs d une pathologie Th rapie g nique ou l introduction de cellules recombinantes productrices de prot ines th rapeutiques Th rapie cellulaire une quinzaine de prot ines m dicaments est actuellement commercialis e dans le monde et plusieurs centaines sont en
336. est accompagn e d une diversit croissante des caract ristiques de chacun d entre eux Cette diversit porte la fois sur les objectifs et sur les m thodes mises en uvre pour les atteindre Deux familles d objectifs distincts Certains exercices Irlande 1998 Australie 1997 Nouvelle Z lande 1998 Allemagne 1998 Autriche 1998 et encore Grande Bretagne 1995 ont plac au c ur de leurs pr occupations l laboration d une vision des futurs technologiques possibles partag e par le plus grand nombre d acteurs L id e cl de ces exercices est que le processus d laboration d une telle vision commune force l ensemble des acteurs parties prenantes de l exercice aligner progressivement leur opinion favorisant ainsi le passage ult rieur l action Ils se caract risent par un processus hautement participatif au cours duquel l exercice cherche mobiliser non seulement des experts sectoriels mais galement les diff rents types de groupes d int r ts existant au niveau national voire parfois r gional Bien s r les objectifs strat giques d une nation ne peuvent se r sumer la collection des int r ts particuliers de chacun de ces groupes La vision partag e se doit d tre une vision collective Elle permet cependant d assurer une compl mentarit minimale entre les actions mises en uvre par les pouvoirs publics la suite de l exercice et les d cisions strat giques des firmes les plus imp
337. est celui du standard au sur mesure L offreur ne va pas proposer diff rents mod les mais un mod le avec des options diff rentes Ce sera par exemple des chaussures poss dant des largeurs diff rentes ou encore la possibilit de fabriquer soi m me son voyage partir de diff rents services propos s Les nouvelles technologies constituent une formidable aide au d veloppement du sur mesure puisqu il est possible d effectuer des simulations sur ordinateur de diff rents produits Ceci existe dans la confection de lunettes avec un opticien japonais o le client co fabrique sa paire de lunettes avec l opticien gr ce une simulation sur ordinateur Le sur mesure implique plusieurs contraintes pour l offreur proposer un co t bas des produits ou services et pouvoir leur donner des circuits de masse tout en satisfaisant des besoins individuels Il exige une grande flexibilit et donc une organisation souple pour r pondre aux besoins individuels de chaque consommateur La recherche de solutions globales Le sur mesure est promis un bel avenir et pourrait s organiser autour d une offre de biens et services associ s des bouquets de services La personne ne consomme plus un produit donn mais consomme un ensemble de produits et services personnalis r pondant un besoin pr cis Cette volution s observe d j dans la relation consommateur entreprise Par exemple le tourisme o les tour op rateurs proposen
338. et commerciales naissance diffusion g n ralisation le plus en amont possible c est dire d s l expression du besoin la composante soutien logistique et les services associ s via des la production des composants Il s agit de concevoir et d laborer l offre dans la perspective d une gestion globale du cycle de vie du France forte moyenne faible inexistante produit service Diverses exp riences ont d j t men es dans diff rents domaines comme celui de la d fense Europe forte moyenne faible inexistante Il s agit par exemple de fournir des heures d avion plut t que l avion lui m me ou encore des s ries de pi ces produites plut t Enjeux majeurs de ce concept int grer les retours d exp rience et faire de la maintenance pr dictive France forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci Europe forte moyenne faible inexistante dessous Supply Chain Management Exemples de a Fonction Points technologiques Domames secteurs Exemples d usage Technologie ue scientifiques P z ie remplie critiques d application concern s A ronautique Meilleure prise en compte Soutien Etudes marketing Maintenance int gr e Processus Energie de logistique Expression du besoin Analyse de co t stochastique Transports Assistance technique int gr Maintenance int gr e Optimisation D fense Installation et mise en Analyse du cycle d
339. ettant le travail coop ratif travers le monde Page 95 Le contexte par grands domaines des m thodes d archivage repens es Enfin l interp n tration vie professionnelle vie personnelle appelle la mise disposition de services qui vont bien au del du restaurant d entreprise De nouveaux espaces de bureaux sont donc n cessaires excentr s des villes pour la place et con us comme de v ritables villes avec une architecture urbanis e qui permettent chacun de travailler au mieux autonome avec tous les outils n cessaires port e de main tout en restant proximit des d cideurs exemples du si ge de Nestl France Marne la Vall e du Technocentre Renault Guyancourt Le b timent devra galement tre pourvu des pr cablages utiles pour un quipement futur avec une accessibilit permettant l volution des standards sans intervention excessive sur les parois Au del la transmission hertzienne devra au maximum permettre la suppression de ces m mes c blages favorisant la mobilit des cloisons et la modularit des espaces Des pr occupations de plus en plus environnementales pour la construction industrielle l habitat et l urbanisme En ce qui concerne la construction industrielle les besoins sont galement en phase avec les tendances de la consommation Le besoin de rassurance se traduit par une int gration forte de la s curisation dans la construction s curit
340. ffets climatiques Acoustique absorbantes Imagerie des Mat riaux en ambiance s v re Mod lisation Acoustique int rieure des v hicules intensit s vibratoires Mat riaux absorbants Rapport efficacit masse Ma trise des processus concevoir M canique des fluides M canique vibratoire Transmission silencieux et base de donn es associ es Traitement du signal acoustique Crit re de performance de qualit capteurs acoustique Mat riaux Autres points critiques A rodynamique Co t 3D instationnaire Page 221 gt CM International 56 B ton performances optimis es Le b ton est toujours une industrie de m lange mais il se mat riaux absorbants de chocs de vibrations de bruit de chaleur modernise gr ce l largissement de sa palette de composants r duction des bruits avec une gamme de performance tr s large r sistance la compression d passant 200Mpa meilleure compacit et fluidit eau de g chage en diminution mise en uvre par tous les temps Les nouveaux b tons vont voir leurs applications se diversifier comme les b tons fibr s ultra performances qui ont des Technologie mergence croissance maturit r sistances la traction et des ductilit s qui les rapprochent des mat riaux m talliques Ces b tons pourraient trouver des Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g
341. fran aise de D chets Industriels Banals 100 millions de tonnes par an Volume de d chets produits en France 1996 D chets Urbains 30 MT D chets Industriels 150 MT dont 100 MT inertes D chets produits ou recycl s dans l agriculture et les IAA 400 MT Source ADEME Dans le m me temps la pollution de l air fortement m diatis e s est aggrav e et accro t le nombre de maladies respiratoires Nous rentrons globalement dans une re de gestion de vie des produits m me si la priorit reste encore le traitement en fin de vie des produits h rit s du pass In fine l id al serait de ne produire que les d chets pollutions que nous pouvons g rer efficacement Ce souci majeur de pr vention qui contraint principalement les volutions des proc d s industriels associ au besoin actuel d valuer les niveaux de pollution est g n rateur de demandes technologiques fortes et cela va de l am lioration de technologies existantes Filtration membranaire jusqu au d veloppement de nouvelles technologies Ces demandes s expriment court terme comme long terme et dans tous les secteurs Le long terme est sans doute l horizon le plus difficile cerner compte tenu du manque de visibilit sur les besoins r els impact des pollutions sur la sant risque de pollution des sols Constatons en effet que pour une large part les strat gies li es l Environnement reste
342. frastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Technologie de boucle locale Technologies logicielles pour le transport de donn es R seau domestique num rique Technologies logicielles pour la s curit des r seaux Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Grands serveurs Transmission temps r el de contenus multim dia Technologies logicielles pour la gestion des donn es et du contenu Syst mes auteurs pour cr ation de contenu multim dia Technologies logicielles de r alit virtuelle Technologies logicielles de l informatique distribu e G nie logiciel Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes 30 Mesures et tests de syst mes Mat riaux Chimie 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 Alliages de polym res Nanocomposites et renforts nanom triques Mat riaux pour syst mes avanc s pi zo lectriques ferro lectriques et magn tiques Mat riaux absorbants de chocs de vibrations de bruits de chaleur Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes hautes temp ratures froid Fibres textiles fonctionnelles Catalyseurs Ing nierie et traitement des surfaces Proc d s biotechnologiques et biomim tiques de synth se de min raux et polym res Proc d s de mise en uvre et de form
343. g nierie concourante technique Grands serveurs objets industriels la perception Formation Offre de produits et de services de grande consommation Mod lisation compl te de la Informatique profes base de r alit virtuelle transformation des mat riaux et Et divers autres logicielle sionnelle M thodes de marketing li es l utilisation des TIC int gration dans des bases de donn es points critiques Informatique Tous secteurs Repr sentation de la perception du consommateur Image haute luminance relevant des g n rale industriels Simulation mod lisation du comportement humain Mod les 3D technologies cit es ci Formalisation Simulation num rique des proc d s Dispositifs d imagerie sp ciaux contre et voqu es par de la Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique supportant des images 3D ailleurs connaissance Prototypage rapide Soutien logistique int gr Conception des b timents et infrastructures Mobiliers et agencement Page 219 gt CM International 54 Gestion de l air dans les b timents L habitat doit garantir une ambiance saine pour ses occupants en particulier travers le suivi de la qualit de l air Dans ce domaine les pressions r glementaires se font croissantes Les probl matiques li es la gestion de l air s organisent autour de DEGRE DE DEVELOPPEMENT trois axes principaux le confort thermique et hygr
344. ge pour v hicule Contr le et gestion dynamique des flux routiers Diminution de la consommation de carburant des moteurs Mat riaux absorbants pour tenue aux chocs Moteur combustion propre Positionnement des v hicules routiers R duction de la masse des v hicules automobiles R duction des bruits a rodynamiques avions et trains grande vitesse R duction des bruits des v hicules automobiles Simulation et protection pour la compatibilit lectromagn tique Technologies roue rail tr s grande vitesse Technologies organisationnelles et d accompagnement Analyse de la valeur analyse fonctionnelle conception co t objectif Documentation et r daction de manuels Ergonomie des postes de travail et des produits professionnels Ergonomie des produits de grande consommation Etiquettes lectroniques Gestion de l information logistique en temps r el appliqu e la gestion des flux Ing nierie simultan e M thodes de mise en uvre de la qualit M trologie sensorielle Mod les d am lioration de fiabilit et de simulation des risques Mod lisation de la sociologie des organisations Outils de gestion de projets complexes Prototypage rapide S ret de fonctionnement Page 302 Annexes Production instrumentation et mesure Capteurs intelligents Catalyse Coul e directe et proc d s continus d laboration de l acier D coupe par jet d eau D coupe laser D sassemblage des produits e
345. gence croissance maturit haut d bit afin de pouvoir extraire et s parer des mol cules et en particulier des prot ines dites pr cieuses pr sentes dans certains Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation v g taux et de permettre la synth se de mol cules th rapeutiques y compris des anticorps monoclonaux humains Actuellement le nombre de g nes connus est encore limit POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE cependant horizon 5 ans ce nombre aura augment cette augmentation est d ailleurs continue Dans ce contexte le criblage France forte de mol cules actives appara t cl faible inexistante Europe forte faible inexistante Certains freins existent encore pour permettre le d veloppement de ces pratiques comme la ma trise de la miniaturisation ou encore la gestion de Pinterface micro lectronique microm canique et POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL biologie France forte moyenne faible inexistante Liens techniques de synth se et de test de d bit Europe forte moyenne faible inexistante biopuces et biocapteurs ESS de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Pharmacie Synth se de mol cules Pharmacodynamique Criblage de mol cules
346. ger la communaut scientifique choisir davantage ses objets de recherche parmi les pr occupations de l conomie et de la soci t Une telle volution assurerait un renouvellement dans l excellence et l efficacit de notre potentiel de recherche fondamentale et appliqu e Pour ce faire il faudra s assurer que les chercheurs disposent d une instrumentation de qualit et r aliser les investissements requis pour que ceux ci travaillent dans des conditions analogues celles de nos principaux concurrents e inciter les centres de recherche inventorier leurs travaux et se doter de tous les moyens n cessaires pour les valoriser et notamment par l acquisition de comp tences encore peu d velopp es en mati re de gestion de la propri t intellectuelle 2 Prendre en compte le caract re sp cifique de certaines technologies L examen de la liste des technologies cl s montre que quelques unes de celles ci jouent un r le tout fait fondamental Ces technologies sont la fois un point de passage oblig pour d velopper et proposer de nouveaux produits et services et elles ouvrent sur des applications multiples dans des secteurs tr s diff rents En outre elles sont susceptibles de multiples travaux de recherche porteurs de nouveaux progr s C est par exemple le cas des capteurs ou bien encore celui des bases et banques de donn es qui ont t identifi s comme cl s par plusieurs groupes de travail C est surtout celui du
347. gration des r gles m tier ou distribution Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint r gles m tier crois es Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu tri analyse et synth se des donn es bases de connaissances agents Mesure et test de syst mes Ing nierie concourante Formalisation et gestion des r gles m tier Multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation Prototypage rapide Divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 284 110 Formalisation et gestion des r gles m tier La gestion des connaissances est un objectif strat gique pour les entreprises car ce sont de plus en plus leurs comp tences propres ou leur capacit acc der aux comp tences ext rieures qui leur sont n cessaires DEGRE DE DEVELOPPEMENT et qui font la diff rence par rapport la concurrence Elle prend plusieurs Technologie mergence Croissance ue formes protection de la propri t industrielle et intellectuelle intelligence conomique veille capitalisation de savoir faire sont autant SD de sujets d tudes importants Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation Dans ce cadre la formalisation et la gestion des r gles m tier englobe notamment les probl matiques de normalisation de r glement
348. he et du d veloppement technologique entreprises centres techniques recherche publique soci t s de recherche sous contrat SRC r seaux de diffusion technologique pouvoirs publics Elle a par ce biais cherch croiser des approches diff rentes ax es sur les besoins des march s les progr s scientifiques probables et les opportunit s technologiques La liste des membres des groupes de travail t moigne de ce souci voir en annexe Deux cercles d expertise L exercice pr c dent TC 2000 a mis en vidence la difficult de conduire une r flexion collective partir d un groupe de travail num riquement trop important Aussi le cahier des charges de l tude avait fix 12 le nombre maximum d experts par groupe th matique Ces experts r partis au sein des 8 groupes ont t d sign s par le vocable d experts du premier cercle une centaine de personnes De fa on accro tre l expertise et d une certaine mani re de marier efficacit avec pluralit il a t d cid d accro tre le nombre d experts impliqu s en cr ant un deuxi me niveau d expertise que l on a d sign sous le terme d experts du deuxi me cercle Ces experts ont t mobilis s soit par courrier travers des questionnaires soit travers des forums sur Internet Une partie de ces experts a t coopt e par les membres des groupes de travail l autre partie tant compos e des personnes s inscrivant sur le Page 50 Introduction
349. hie mobile Observation scienti distance multiplexage opto lectroniques et longueur d ondes WDM Physique du solide D fense fique et militaire Capteurs visuels photoniques Mat riaux substrat polym re Sciences des mat riaux A ronautique R seaux optiques Transmission Traitement Fibres r g n ratrices Interconnection sur rapide de l information Solitons une puce R duction de la consommation Mat riaux R seaux tr s haut d nergie batteries d bit Int gration de fonctions Portabilit Electronique souple Miniaturisation R duction de la con sommation d nergie Liens infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit France fore Page 159 Fiches synth tiques 7 Composants d interconnexion et d interface La tendance g n rale l augmentation de la complexit des circuits et syst mes se retrouve au niveau des composants d interconnexion et d interface connecteurs circuits hybrides circuits imprim s Tout comme les semi conducteurs ces composants doivent tenir le moins de place possible De plus ils doivent tre l gers L volution actuelle conduit notamment une diminution de la largeur des pistes des circuits imprim s et des modules de circuits hybrides l interconnexion en trois dimensions des composants lectroniques et l utilisation de connexion par microbilles qui autorisera l augmentation du nombre d entr es sorties d un bo tier L volution pr visible de la complexit et de la d
350. hnique d une part et industriel et commercial d autre part Ce positionnement global r sulte d une valuation prenant en compte les atouts nationaux et europ ens Page 53 Introduction Atouts scientifiques et techniques existence d une comp tence scientifique et d un potentiel R amp D ma trise de la technologie et des technologies connexes ou concurrentes existence d un environnement favorable dispositif de formation r seaux de transfert de technologie et d assistance technique existence de partenariats intensit des partenariats nou s entre partenaires fran ais et europ ens autour de cette technologie y compris dans le 5 programme cadre de l UE Atouts industriels et commerciaux existence d une capacit industrielle sur la technologie consid r e articulation avec l industrie nationale ma trise de la technologie et des technologies li es par les entreprises fran aises europ ennes position concurrentielle des entreprises fran aises europ ennes face aux leaders sur le march existence d un environnement favorable r glementation normes et standards existence d un march pilote pour amorcer et tester les applications successives de la technologie existence de partenariats coop rations inter entreprise structuration en fili res capacit valoriser la technologie disponibilit des ressources face au ticket d entr e
351. i de fa on cr dible sur des priorit s qui ne b n ficieraient pas des effets f d rateurs que repr sentent l int gration des industries en Europe e _s appuyer sur des donn es chiffr es pr cises permettant de retracer le positionnement comp titif du pays et ce non pas sur la base de donn es strictement sectorielles mais identifiant par de nouvelles nomenclatures des domaines de comp tences transversales qui irriguent les dynamiques d innovation de diverses industries et construisent leurs avantages comp titifs e Faire l objet d une concertation ouverte On a vu en particulier que les questions d acceptabilit sociale des technologies et les conditions dans lesquelles elles sont accueillies sont d terminantes de leur devenir Par ailleurs de tels d bats participent diffuser une culture technologique susceptibles d am liorer les utilisations qui en seront faites Le Comit de pilotage souhaite rappeler une fois encore que lors de ces choix la notion d atout ou de position acquise doit tre prise avec discernement Dans le pass r cent il tait souvent consid r que les positions acquises constituaient un solide garant pour le d veloppement futur dans des domaines voisins Sans que ceci soit totalement remis en question et c est bien pour cela qu il est recommand que les d cisions soient prises aussi rapidement que possible par tous les acteurs concern s l exercice qui vient d tre effectu s
352. i repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation Simulation num rique des proc d s gt lt lt gt lt Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique Supply Chain Management LIIIKK EEE xx Soutien Logistique Int gr B Les composants La micro lectronique qui conna t une croissance moyenne de 15 par an tire l ensemble de l industrie des TIC en doublant la performance des produits ou en r duisant les co ts de moiti tous les 18 mois Elle joue ainsi aux c t s du logiciel un r le strat gique dans le secteur des TIC notamment dans des domaines o l Europe poss de des atouts importants les t l communications haut d bit et mobiles le multim dia les cartes puce l lectronique automobile Le march europ en des semi conducteurs se r partit entre l informatique 37 les t l communications 26 l lectronique grand public 12 et l automobile 11 divers 14 Le soutien apport aux efforts de R amp D dans le cadre du programme MEDEA a contribu l am lioration des positions des 3 grandes soci t s europ ennes de la micro lectronique qui ont cr sur la p riode 1993 1998 environ 16 000 emplois directs et 50 000 emplois indirects Le domaine de la micro lectronique couvre le silicium tc1 avec un large ventail d applications microprocesseurs DSP microcontr leurs syst
353. ial important de communication 1inter personnelle asynchrone la messagerie lectronique ou presque synchrone IRC ou les forums de discussion et un besoin de services en ligne le Web Ces l ments restent pr pond rants aujourd hui encore L usage de ces services a t favoris par la facilit de d ploiement et de ma trise des technologies qui ont permis l apparition rapide d utilisations inattendues Progressivement les usages se sont diversifi s et la multiplication des services en ligne notamment par le biais du commerce lectronique a transform Internet en un v ritable m dia de masse Dans le m me temps les entreprises ont commenc adopter Internet et des usages professionnels sont apparus avec les concepts d Intranet ou d Extranet et le d veloppement de services sp cifiques adapt s un secteur utilisateur donn Page 61 Le contexte par grands domaines B Les moteurs technologiques Trois facteurs technologiques principaux expliquent le succ s d Internet Le terminal universalit du PC augmentation des performances loi de Moore chute du co t L volution des r seaux augmentation des d bits disponibles loi de Moore progr s de l opto lectronique int gration de donn es diff rentes texte image son voix vid o propri t s du protocole IP robustesse souplesse face l h t rog n it des r seaux facilit de passage l chelle interop
354. ibu la red finition des modalit s des relations interentreprises En autorisant une r duction sensible des co ts de transaction elles ont encourag le mouvement d externalisation et de formation de r seaux d entreprises Les relations au sein de ces r seaux s cartent de plus en plus du simple change marchand ponctuel et anonyme elles Page 33 Introduction impliquent d sormais des ajustements mutuels entre les parties le partage de proc dures qui font que les changes de biens et services se doublent de flux croissants d informations informations commerciales et techniques mais surtout logistiques et administratives La diffusion des livraisons en juste temps par exemple aurait t inconcevable sans la m diation des technologies de l information Les technologies de l information semblent donc bien tre la base d une nouvelle r volution industrielle Les adversaires de cette interpr tation mettent en avant la faible incidence apparente de ce nouveau syst me technique sur la croissance de la productivit Il est vrai que si cette derni re a b n fici d une certaine reprise au cours de la seconde moiti des ann es 90 elle demeure tr s en de des niveaux enregistr s au cours des ann es 50 et 60 dans les pays industrialis s Plusieurs arguments plaident cependant en faveur d une interpr tation de ce paradoxe en termes de d lai de gestation correspondant la dur
355. ications mises en uvre de bout en bout s curit et protection des donn es personnelles administration des services gestion de Page 74 Le contexte par grands domaines la qualit de service programmation des services gestion de la diffusion La difficult sera de r partir la responsabilit de ces contr les entre les trois mondes tout en s assurant de la disponibilit du passage l chelle de l interop rabilit de l volutivit de la puissance capacit des d bits et traitements et de la possibilit de facturer Interop rabilit et coh rence de l ensemble en particulier pour les fonctions qui sont g r es la fois par les acteurs des trois mondes en fonction de leurs responsabilit s respectives s curit facturation administration ma trise de la qualit de service programmabilit des services Augmentation des performances des diff rents constituants des trois mondes migration vers les nouvelles g n rations et ma trise des constituants cl s migration et volutivit passage l chelle haute disponibilit augmentation de la puissance de la capacit des d bits ma trise de certains composants de base Source rapport RNRT sur l Internet du futur Les familles de technologies Nous distinguons plusieurs familles de technologies en fonction de deux crit res qui sont repris sur les deux axes du sch ma en page suivante Trois niveaux peuvent tre distingu s celui des r
356. icielle Autres points critiques M canique Acc s aux technologies co t Page 255 gt CM International 87 Chirurgie assist e par ordinateur GGMCAO Les GMCAO Gestes M dico Chirurgicaux Assist s par Ordinateur regroupent en premier lieu tous les l ments qui DEGRE DE DEVELOPPEMENT pourront assister un praticien dans la s lection d une strat gie optimale pour un acte chirurgical L utilisation d outils permettant Technologie mergence croissance maturit la visualisation de toutes les informations disponibles et particuli rement des images tridimensionnelles est donc n cessaire Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation ainsi que la fusion de ces informations pour constituer un mod le Au del de cette assistance l tape suivante consiste robotiser l acte chirurgical par exemple dans la chirurgie orthop dique POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Une autre application est la t l chirurgie France forte faible inexistante La chirurgie assist e par ordinateur permet non seulement de pratiquer une chirurgie peu invasive mais aussi d optimiser l acte Europe forte et ses risques via des simulations d intervention par exemple Ces avantages constituent des enjeux importants au regard de la demande de confort et de s curit des malades POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL
357. ico chimiques POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Liens techniques de synth se et de test haut d bit Europe forte moyenne faible inexistante Exemple de PART i 3 P ai Domaines scientifiques secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques concern s d application Chimie Optimiser la structure Optimiser plus vite Mod lisation mol culaire Dur e de calcul acceptable Chimie physique composition d un additif Diminuer le nombre d essais des polym res Mod les th oriques fiables fondamentale et Pr voir les propri t s et proposer des pistes au Interface th orie pratique interfaces avec les chercheur applications Calcul Page 211 gt CM International 47 Techniques de synth se et des tests haut d bit Il s agit de mettre au point des techniques robotisables qui permettent de pr parer des dizaines de milliers d chantillons de DEGRE DE DEVELOPPEMENT nanocomposites et renforts nanom triques produits mati res actives catalyseurs ligands etc et de tester chacun de ses produits pour les applications vis es Ces m thodes utilis es pour la recherche de m dicaments se diffuse dans la parachimie et la chimie Elles contribuent am liorer la Technologie mergence croissance maturit producti
358. ie Points technologiques critiques Domaines Es LS d application concern s Agriculture Conception D veloppement de m thodes non Marquage Validation sur l homme des essais Nutrition Industries d aliments Sant invasives de mesure des effets m tabolique sur animaux Science des aliments alimentaires fonctionnels m taboliques des aliments Validation des mod les cellulaires Toxicologie Etude de la Validation des all gations sant biodisponibilit des des aliments nutriments S curit des aliments Analyse de toxicit Page 259 gt CM International 91 Technologie douces pour la pr servation de la qualit des aliments Les technologies douces regroupent des domaines comme les hautes pressions lumi res champs lectriques et champs DEGRE DE DEVELOPPEMENT magn tiques puls s Dans ce domaine sont exclus les traitements chimiques ou biologiques Technologie mergence croissance maturit L enjeu r side dans la pr servation des propri t s nutritionnelles et organoleptiques des aliments tout en assurant leur s curit mais Applications industrielles et commerciales naissance C diffusion g n ralisation aussi dans la conservation du caract re naturel des mati res premi res Les freins l utilisation de ces techniques sont de deux ordres scientifiques la qualit nutritionnelle des produit
359. iellement D autres exercices de prospective technologique USA 1995 et 1998 France 1995 ainsi que le pr sent exercice Italie 1996 Pays Bas 1998 ont eu un tout autre objectif celui d laborer des priorit s qui ont pour vocation d clairer les d cisions venir en particulier dans la sph re publique quoique pas uniquement La principale m thode utilis e la m thode des Technologies Cl s consiste en la s lection de technologies prioritaires les Technologies Cl s Elles sont retenues le plus souvent apr s avoir valu de longues listes de technologies sur la base de diff rents ensembles de crit res La premi re tape de cette m thode la g n ration des premi res listes de technologies varie d un pays l autre Ainsi aux Etats Unis la liste initiale r sulte d une compilation de diverses listes de technologies critiques d velopp es par diff rents organismes publics Minist res du Commerce de la D fense de l Energie NASA La liste n erlandaise est bas e sur une compilation de l ensemble des exercices de prospective technologique men s de par le monde La liste italienne s appuie sur une typologie du Centre de Politique Technologique et de D veloppement Industriel du MIT Enfin la liste fran aise r sulte d une combinaison d un travail de brainstorming men au sein des panels et de recherches bibliographiques Les ensembles de crit res varient galement d un pa
360. ielles de l informatique distribu e g n rale Mesure et test de syst mes lectroniques Techno logicielles de la langue et de la parole Informatique Syst mes performants pour enveloppe de b timents Interface avec les Techno logicielles pour le transport de logicielle Techniques de diagnostic des structures moyens donn es R seaux Gestion de l air dans les b timents d action d cision Techno logicielles pour la gestion des donn es neuronaux R duction des bruits et du contenu analyse d image reconnaissance Automatique Traitement du signal Page 157 5 M moires de masse applications informatiques le stockage des donn es devient un probl me crucial Les m moires de masse sont des dispositifs ou Technologie mergence o maturit supports permettant une ou plusieurs actions enregistrement criture conservation m morisation effacement restitution Applications industrielles et commerciales naissance diffusion lecture sur des quantit s importantes d informations textes graphiques sons Elles constituent un archivage moyen et long terme de tout type d information une m moire interm diaire POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE de travail et ou sauvegarde dans les syst mes de traitement de l information un support d dition et de diffusion de l information France D fote fabe inexistante Outre la capacit de stockage les m moir
361. ientifiques secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques p d application concern s Commerce et Configuration d un tableau de bord Personnalisation Biom trie et portefeuille Techniques d analyse statistique Sciences grande produit en fonction des souhaits du client de la relation lectronique Tri analyse et synth se des besoins du comportementales distribution Vente par Internet client Techno logicielles pour la comportement et des habitudes de consommation ethnologie Commerce Constitution de bases de donn es gestion des donn es et du sociologie lectronique marketing fid lisation Sp cification contenu tri analyse et Divers points critiques relevant directement ou psychologie Assurance Planification industrielle et commerciale des process synth se des donn es indirectement de l interm diation et de Statistiques banque Centres d appels de bases de connaissances lint gration de services pour l Internet du futur Math matiques Offre de produits et de services de grande production agents profil d utilisateur Reconnaissance des consommation base de r alit virtuelle Optimisation data mining Autres points critiques formes des offres de Proc d s d identification Psychologie du consommateur Informatique produits et de vocale visuelle Ethique logicielle services Page 277 104 Agents intelligents
362. ies alternatives piles combustible mais galement stockage de l nergie v hicules lectriques la recyclabilit des mat riaux le cycle de vie des produits doit tre pris en compte d s le stade de la conception de ces produits L emploi de nouveaux mat riaux recyclables dans la conception de v hicules avions bateaux ne doit cependant pas se faire au d triment de la s curit et du confort la r duction des bruits dans le v hicule et du fait de l interaction v hicule infrastructures reste un domaine de recherche important Adapter les structures organisationnelles L volution des exigences des consommateurs des technologies des r glementations am ne toutes les entreprises repenser les modes de conception et de production des produits mais surtout faire porter un effort important sur la recherche et le d veloppement de nouvelles techniques Les enjeux qui se pr sentent dans le domaine Transport A ronautique sont normes de par une int gration croissante des Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication certes dans la conception des v hicules satellites avions mais galement dans la gestion des flux de marchandises et de personnes La ma trise de la communication et de l information Les technologies de l information et de la communication sont parties prenantes des d veloppements r alis s dans le domaine Transport A ronautique les satellites ont un r le pr pond
363. ill e et forc ment tr s diverse Son utilisation peut pourtant permettre aux entreprises de mieux ma triser la fois leur fonctionnement interne mais galement leur environnement externe L intelligence conomique la gestion des informations recueillies sur les clients est capitale puisqu elle aide appr cier les tendances de la demande et concevoir de nouveaux produits r pondant le mieux aux attentes du march Pour cela encore une fois la prise en compte des perceptions humaines est importante ainsi que leur transcription en information utilisable Le d veloppement du commerce lectronique va ainsi permettre de g n rer des bases de donn es personnalis es sur les clients et va n cessiter le d veloppement de m thodes et d outils de traitement de donn es adapt s aux nouvelles possibilit s rendues accessibles par l interaction lectronique Avec le marketing qui s int resse au march le benchmarking qui consiste comparer les pratiques de diff rentes entreprises pour rep rer les meilleures pratiques et se donner ainsi les moyens de les mettre en ivre et la veille concurrentielle qui consiste surveiller les concurrents pour cerner leur strat gie et anticiper leurs actions pour se mettre en position pro active et laborer par avance des r ponses adapt es constituent autant de volets de l intelligence conomique qui s efforce de doter l entreprise de capacit s de lecture et d codage de s
364. imique Cosm tique Proc d s de formulation permettant la propri t uvre et de dimensions 1 proc d s Physico chimie des Alimentaire Formulation des cr mes produits d usage et ou des formulation de la 2 physico chimie 3 fluides aqueux Pneumatique cosm tiques lastom res formulations moins mati re molle propri t s d usage complexes vulcanisables chaud Gal nique ch res et ou optimis es Nouvelles propri t s d usage mulsion suspension compoundage G nie des proc d s Page 205 gt CM International 41 Elaboration de composites matrice organique DEGRE DE DEVELOPPEMENT Les composites matrice organique sont compos s d une matrice polym re et d un renfort pouvant se pr senter sous forme de particules de fibres courtes ou longues Ils permettent la Technologie mergence croissance maturit r duction du poids l am lioration de la r sistance la fatigue la r duction des co ts de maintenance et de fabrication des pi ces de Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation structure pour les automobiles avions missiles v hicules spatiaux ponts b timents derricks de p trole et autres structures Ils contribuent de ce fait aux questions d environnement POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Les enjeux actuels concernent la r duction du co t le France fo
365. imiques Page 257 gt CM International 89 Tra abilit La tra abilit correspond au suivi et l optimisation de la circulation des produits agricoles et alimentaires en vue d assurer la s curit des aliments Les crises alimentaires ESB list rioses ont nettement renforc depuis ces derni res ann es la n cessit DEGRE DE DEVELOPPEMENT pour les consommateurs d identifier l origine et la qualit des produits qu ils ach tent et pour les producteurs d en prouver la Technologie mergence croissance maturit qualit Dans ce contexte des outils comme par exemple les marqueurs les Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation microsatellites IRM g n tique et physico chimique sont de plus en plus n cessaires pour g rer et ma triser les risques POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Les freins actuels pour le d veloppement et la diffusion de ces techniques restent le co t d analyse encore lev des aliments et la France forte moyenne faible inexistante coordination organisation de fili re et la r glementation existante Au del la miniaturisation des marqueurs en particulier pour les Europe forte moyenne faible inexistante animaux est un facteur cl de succ s Liens POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL capteurs intelligents
366. ines scientifiques d application concern s Tous secteurs Innovations produits Am lioration de la capacit Outils d aide Analyse du comportement cr atif cf TRIZ Neuropsychologie services process cr er d un individu ou la cr ativit Expression fonctionnelle du besoin Sociologie des organisation d un groupe Syst mes logiciels d aide groupes Transferts de technologie Faire sortir les groupes de Techno logicielles pour la gestion des donn es et Psychologie Cr ation de produits leur cadre de r f rence du contenu tri analyse et synth se des donn es Informatique bases de connaissances agents profil logicielle d utilisateur data mining Intelligence Repr sentation de la perception du consommateur artificielle Simulation mod lisation du comportement humain R seaux de neurones Page 286 gt CM International 112 Repr sentation de la perception du consommateur Il s agit ici d int grer les sp cificit s humaines dans le processus de conception et de d veloppement d un produit et ou d un service Les entreprises d ploient des efforts cons quents pour mieux cerner la nature des attentes du consommateur et pour ce faire ont besoin d outils et de DEGRE DE DEVELOPPEMENT m thodes Cette technologie fait partie d un ensemble vaste de technologies dites Te d ing nierie de conception centr e sur l h
367. iniaturisation des composants et l ergonomie et d autre part d une grande autonomie li e aux batteries en particulier ou aux cartes m moire flash Les m thodes de marketing li es au d veloppement des Technologies de l Information Comme il a t soulign auparavant les Technologies de l Information sont des supports incontournables pour la gestion d une relation personnalis e avec le client M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Elles peuvent remettre en cause les business mod les d une entreprise en lui donnant directement acc s aux consommateurs ou en l obligeant faire voluer son cour de m tier Les techniques de marketing doivent donc s adapter ces nouveaux modes de consommation aujourd hui tir es par le d veloppement du commerce lectronique plus de 40 millions d internaute en France dans 6 ans contre 15 millions aujourd hui Les techniques de marketing doivent en particulier r pondre des enjeux de visibilit de l offre propos e entre autres travers des logiques de portails de communaut virtuelle de publicit sur Internet ou encore de fixation des prix dans un univers o le consommateur a acc s des tudes comparatives instantan es la publicit sur Internet repr sente 3 du march publicitaire mais le basculement de l crit traditionnel journaux vers le m dia Internet devrait permettre un fort d veloppement Ces techniques de marketing font a
368. investissement industriel et commercial Fort des propositions de technologies manant des 8 groupes de travail du premier cercle et de l valuation des attraits et des atouts par les experts du second cercle interrog s par questionnaire c est le Comit de Pilotage qui a proc d l arbitrage final des technologies cl s retenues l horizon 2005 Chacune des technologies cl s finalement retenues a pu tre caract ris e en une fiche de synth se pr sent e en partie III et reprenant une d finition de la technologie cl retenue les liens ventuels avec d autres technologies cl s le degr de d veloppement de la technologie les positions scientifiques et techniques mais aussi industrielles et commerciales de la France et de l Europe sur cette technologie la partie de la grille de caract risation pr sent e au chapitre I 5 Avant ces fiches de synth se de la partie III la partie II est consacr e une description des contextes technico conomiques associ s chacun des 8 th mes qui ont structur l tude Page 54 Le contexte par grands domaines II Le contexte par grands domaines IL 1 Technologies de l Information et Communication II 2 Mat riaux Chimie IL3 Construction Infrastructure II 4 Energie Environnement II 5 Technologies du Vivant Sant Agroalimentaire II 6 Transport A ronautique II 7
369. ion dans un environnement technologique volutif dans cette perspective un constructeur automobile par exemple est tenu non seulement de r pondre une demande mais surtout de respecter un d lai raccourci il sort tous les ans un nouveau mod le chez la plupart des constructeurs cela implique des d lais de conception test production sans cesse r duits et une remise plat de tous les processus de production tout en restant comp titif Une difficult de cet exercice est li e la sp cificit de certains des domaines consid r s en effet la dur e de vie d un avion se situe autour d une vingtaine d ann es Tout le probl me est donc pour les avionneurs en m me temps qu ils voluent et innovent d assurer la p rennit des produits d j lanc s et donc l existence de pi ces de rechanges et du savoir faire autour des technologies mises en ouvre dans le pass Le corollaire de ces exigences techniques r side bien videmment dans le fait que les produits des ann es venir v hicules composants outils d information ne seront viables d un point de vue industriel que si leur production est rentable Par exemple la production de satellites en s rie est envisag e terme dans des conditions qui ne sont aujourd hui pas encore d termin es Les enjeux technologiques Le contexte ainsi pr sent permet de d gager des enjeux majeurs pour l ensemble des industries du Transport A ronautique
370. ion des pertes pour enveloppe de d humidit Mat riaux vitrage transparence nerg tiques b timent Assemblages M canique thermique et variable Ma trise du confort d t collage acoustique Enveloppes vitr es Protection acoustique double peau S curit respirante R duction des co ts Fa ades autonettoyantes et cicatrisables Syst mes de ventilation int gr s l enveloppe Page 214 gt CM International 49 Techniques de diagnostic des structures Le suivi en temps r el des structures pendant leur dur e de vie valuation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages permet de d terminer le degr de vieillissement des ouvrages et les technologies de d construction pathologies concern es Ces techniques de suivi permettent d assurer une meilleure programmation de la maintenance et DEGRE DE DEVELOPPEMENT priori d en diminuer les co ts Ces techniques font appel la fois des Technologie de mod lisation m thodologie simulation des Technologie mergence croissance maturit proc dures de sondage r flexion ultrasonique par exemple et de mesures li es des capteurs int gr s Capteurs Fibre Optique Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation capables de traiter l information tanch it d formation et de relier des bases
371. ional galement en rassemblant travers notamment les contrats de plan Etat R gion au mieux les efforts de tous les partenaires concern s pour renforcer les potentiels les plus pertinents et favoriser l appropriation la plus large par les tissus industriels locaux Avec cet ouvrage nous disposons d un outil d aide la d cision que je veux mettre la disposition du plus large public car la technologie est l affaire de tous Je forme le v u que ce travail puisse pr parer au mieux notre soci t aux d fis du monde de demain Christian PIERRET Page 4 Avant Propos Technologies cl s 2005 s inscrit naturellement dans la continuit de l tude pr c dente publi e en 1995 Continuit signifie que la pr sentation de ce travail est tr s sensiblement la m me afin de faciliter la comparaison et la mise en lumi re des diff rences d appr ciation sur l int r t des technologies retenues cinq ans de distance Bien entendu cette continuit n exclut pas un certain nombre de diff rences essentiellement dues la modification du contexte pendant cette p riode Trois facteurs particuliers ont eu une incidence sur la conduite de cette tude Les cinq derni res ann es depuis la parution de l tude pr c dente ont t marqu es par des changements consid rables dans le monde en Europe et particuli rement en France La mondialisation dont on parlait depuis d j longtemps est devenue une r al
372. ions de produits Micro ruptures M Innovations de process I Rupture Trajectoire technologique 9 g S Lu el D 2 K o a 9 2 T El nl Innovations incr mentales C est en fait de toute l articulation entre conomie technologie et innovation dont il est ainsi question Dans la lign e des syst mes techniques de Bertrand Gille il faut attendre et souhaiter de nouveaux progr s dans la connaissance des conditions de d veloppement conomique associ au progr s scientifique et l volution technologique Science technologie innovation et d veloppement conomique constituent les pierres angulaires d un difice conceptuel encore en construction Au c ur de ce dispositif l entreprise l entrepreneur et le manager jouent un r le cl pour mobiliser les voies de recherche les plus prometteuses choisir les d veloppements technologiques les plus pertinents et ainsi fa onner les trajectoires technologiques au service du d veloppement conomique et social L enjeu de la prospective technologique Au total les acteurs de la vie conomique ont le devoir d anticiper et de se pr parer la diversit des futurs technologiques possibles Il n est gu re possible de penser l avenir des technologies de fa on d terministe comme si le futur tait crit quelque part attendant d tre mis jour La technologie nous a habitu s se jouer des pr v
373. ions et responsabilit s entre le conducteur et l intelligence embarqu e devient une question fondamentale de cette volution Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous Exemples de Fonction Domaines secteur Exemples d usage remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application p concern s Page 272 Transports D fense BTP Commu nications Espace Atterrissage tous temps Pilotage automatique Gestion de flottes services Maintenance X by wire Localisation cartographie Info trafic Services aux automobilistes bureautique embarqu e Confort de conduite climatisation pare brise clairage vision largie Anticollision Aide la conduite conduite automatique Autoroute automatis e Tenue de route freinage direction suspension ABS antipatinage Air Bag D tection de l hypovigilance R gime moteur r duction de la consommation et de la pollution Transmission automatique Assurance d tection des v hicules vol s logistique Assistance aux biens et personnes fragiles personnes g es enfants Automatisation des chantiers Wagons intelligents Intervention en milieux hostiles sites pollu s par ex V hicules intelligents et commu nicants Motorisation lectrique et hybride Alimentation 42V et Organes d actionnement et instrumentation Communication entre mobiles R seaux de
374. ique grand public Transport de donn es Objets communicants autonomes Assistants digitaux portables Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Technologies de boucle locale R seau domestique num rique Grands serveurs Robotique mobile en milieu hostile Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires Architecture lectronique etc des v hicules V hicules intelligents et communicants Syst mes d organisation et gestion industrielle Multi repr sentation des objets virtuels Simulation num rique des proc d s Repr sentation et gestion des processus Soutien logistique int gr R servations en ligne T l vision num rique Electrom nager Synchronisation son image Jeux vid o Interfaces graphiques am lior es Filtrage d information sur poste client R action instantan e ou en temps contraint des syst mes aux volutions de l environnement Ing nierie des grands syst mes complexes Mesure et test de syst mes syst mes temps Page 169 r el ou contraint Mod lisation et v rification de syst mes temporis s Middleware garantie temporelle Traitement des v nements rares Ordonnancement et placement temps r el Migration dynamique sous contrainte temporelle Conception et validation de la s ret de fonctionnement temporelle Tests couverture temporelle Portage des syst mes d exploitation Int gration des entr es sorties r seaux Optimi
375. iques critiques Domaines scientifiques d application concern s Transport Moteurs d avions Propulsion efficace et Moteurs thermiques Rendement Thermom canique Automobiles V hicules propre Pollution gaz et bruit M canique Industriels Post traitement des gaz Filtres particules Puissance massique Combustion Navires d chappement R ducteurs de Nox Fiabilit Chimie Moteurs diesel propres Injection directe Nouvelles technologies Int gration syst mes Autres gaz Mat riaux c ramiques Physicochimie Carburants alternatifs volu s Carburant sans soufre Fiabilit et efficacit des syst mes de post traitement Page 274 102 Am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux L enjeu des lanceurs spatiaux est d augmenter la charge utile typiquement les satellites mis en orbite en r duisant les co ts de lancement Arianespace op rateur de transport spatial repr sente un chiffre d affaire de l ordre de 7 MMFrs sur un march mondial civil du lancement de satellites g ostationnaires estim 15 MMFrs Ce march III V mat riaux absorbants de chocs de vibrations de bruits de chaleur mat riaux pour proc d s en milieux extr mes capteurs intelligents DEGRE DE DEVELOPPEMENT est tr s concurrentiel avec l irruption de nouveaux intervenants F am ricains russes chinois japon
376. ir de silicium m tallurgique est une piste de ce point de vue Les couches minces permettent par ailleurs une r duction de la consommation de silicium et offrent en outre des perspectives d utilisations nouvelles L ensemble de la profession s accorde cependant dire qu l horizon 2005 la voie cristalline restera la principale utilis e et d velopp e sur le march mondial Liens olien offshore stockage de l nergie conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence L croissance maturit naissance L diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe faible forte L moyenne inexistante moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte faible E moyenne inexistante faible E moyenne forte inexistante Exemples de secteur d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s Alimentation hors r seau ex village isol Alimentation raccord e au r seau en appoint Ecr tage des pointes de consommation Production d lectricit Production d lectricit ne
377. ire Br lure de la peau d ficientes Mat riaux Greffe vasculaire Greffon osseux cartilage Page 254 gt CM International 86 Imagerie m dicale L imagerie m dicale a pour objet d obtenir des images de l int rieur du corps humain Elle met en uvre diff rents principes physiques endoscopie ultrasons rayons X r sonance magn tique nucl aire rayons gamma Elle permet aux m decins d explorer le corps humain de plus en plus finement et ainsi d tablir des diagnostics de plus en plus pr cis compr hension directe de la physiologie et de la pathologie chez l homme cerveau en particulier D autres applications sont possibles comme le suivi et l optimisation des traitements ou encore l aide la chirurgie Endoscopie mise part elle offre en outre l avantage d tre non invasive Le rythme de l innovation est lev et le march est en forte croissance L optimisation des co ts reste cependant un enjeu cl dans ce domaine DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe Forte faible inexistante moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL
378. isateurs en font partie Ainsi l innovation d un nouveau produit ou mat riau doit s accompagner d une r flexion sur les possibilit s d en faciliter son adoption Il s agit en particulier de pouvoir communiquer aux utilisateurs des pr visions fiables sur les caract ristiques des mat riaux apr s mise en vre sur leurs modalit s de vieillissement et d endommagement ainsi que sur les performances en service Page 85 Le contexte par grands domaines Comme nous l avons vu au paragraphe pr c dent les demandes sp cifiques des secteurs utilisateurs entretiennent une innovation produit Ainsi la r volution du plastique n est pas encore termin e la substitution avec les m taux continue dans l automobile et passera demain par les besoins du monde de l lectronique pour les transistors disques durs et crans Comme d velopp ci dessus la probl matique environnement le d veloppement de l utilisation de mati res premi res v g tales et l innocuit pour la sant humaine sont aussi des moteurs importants d innovation La place pr pond rante des innovations de proc d s Dans le domaine des mat riaux les innovations concernent avant tout les proc d s d laboration de traitement de surface et de mise en vre Ceux ci se perfectionnent et contribuent de fa on croissante la performance des mat riaux pour donner des pi ces plus belles plus r sistantes int grant de nouvelles fonction
379. isation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte Europe forte faible inexistante faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France oe Europe fone Page 175 faible inexistante faible inexistante gt CM International Exemples de secteur d application Tous secteurs en particulier T l com munications Audiovisuel Exemples d usage Transmission temps r el de contenus multim dia Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Broadcast TV Visioconf rence T l pr sence Jeux en ligne ASP application service provider Capteurs de vision capteurs d image Assistants digitaux portables R seau domestique num rique Capteurs intelligents Ing nierie concourante Architecture lectronique informatique r partie et multiplexage dans les v hicules V hicules intelligents et communicants Outils de sant la disposition des consommateurs M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Supply chain management Soutien logistique int gr Transport de donn es y compris Fonction remplie Technologie Technologi multim dia r pondant aux es logicielles pour le transport de donn es imp ratifs suivants Qualit de service taux d erreur taux d interruption temps de r ponse d bit Qualit d exploitation du r seau pour l op rateur Pluralit des
380. isation des instruments de recherche m dicale CPG Prototypage rapide CPG Repr sentation de la perception MC Mod lisation mol culaire des polym res IAA D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM Transg n se TAE Architecture lectrique NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques AA Criblage de mol cules actives EE Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires TAE Pile combustible TAE Architecture lectronique NTIC M moires de masse Ing nierie linguistique et technologies vocales Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Technologies de boucle locale Transmission temps r el de contenus multim dia Syst me auteurs pour cr ation de contenus multim dia TAE Architecture lectronique NTIC Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit MC Nanocomposites et renforts nanom triques NTIC Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur EE Filtration membranaire MC Ing nierie des surfaces CIH L ing nierie concourante TAE Architecture lectrique IAA Clonage des animaux EE Pi geage et stockage du CO2 Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue EE R duction des bruits CPG Multi repr sentation NTIC R tines de p
381. isions A l inverse l cole de La Prospective la fran aise nous a appris combien la trajectoire future r sultera du jeu des acteurs de leurs strat gies de leurs oppositions de leurs coop rations L enjeu est alors de nous efforcer d aider ces acteurs se pr parer la palette des Page 15 Introduction possibles de fa on tre m me de s adapter rapidement ce que le futur nous aura finalement construit C est bien l tout l esprit prospectif de cet exercice Technologies Cl s 2005 La puissance publique est dans son r le lorsqu elle am ne les diff rentes parties prenantes s interroger sur les axes technologiques susceptibles de structurer le futur de l conomie Elle contribue d abord camper le d cor travers un rapport signalant les th mes technologiques majeurs pour demain et apr s demain elle contribue aussi largir les champs de vision et allonger les horizons de r flexion Elle contribue enfin travers le processus m me de l exercice prospectif faire que les acteurs participants s interpellent entrechoquent leurs id es confrontent et enrichissent leurs strat gies nouent des relations nouvelles et constituent des r seaux dont on sait toute l importance en mati re d innovation En outre ce dont il est question ici c est du rep rage simultan des voies technologiques prometteuses et des fonctionnalit s de march que ces technologies ont vocation
382. isirs n exigent pas de mobilit ext rieure mais requi rent des quipements sp cifiques tels que les mat riels d lectronique grand public et plus r cemment les installations informatiques Les loisirs audiovisuels occupent aujourd hui plus de temps que le travail D s 1989 les Fran ais leur consacraient 43 h par semaine contre 40 h pour le travail La consommation culturelle est pour partie rapatri e domicile Les jeux vid o sont aujourd hui partie int grante des m urs adolescentes voire enfantines Le d veloppement de la diffusion par c ble et satellite le mat riel vid o professionnel mobile et peu co teux de nouvelles g n rations d quipements avec le home cinema les lecteurs de DVD l apparition des grands crans plats la mont e en gamme continue des appareils audiovisuels la diffusion croissante des consoles marqu e par un renouvellement rapide du parc du fait de l obsolescence rapide des produits des produits toujours plus performants et s adressant des tranches d ge de plus en plus r duites le d veloppement de l usage ludique des ordinateurs domestiques et la sophistication des logiciels de jeu en ligne et 3D sont les principales volutions C La simplicit d usage praticit au c ur du d veloppement La complexit est un des handicaps la diffusion g n ralis e des innovations issues des technologies de l information L usage relativement simple des t l phones
383. istants t l phone courants porteurs et haut d bit la simplicit d emploi et l insertion transparente d quipements nouveaux d veloppement de protocoles d changes entre quipements le co t acceptable pour le grand public la capacit de proposer des fonctionnalit s attractives commerce lectronique jeux en r seau s curit surveillance distribution de TV video dans la maison connexion d appareils m nagers Internet pour commande distance ou assistance etc Ces r seaux domestiques seront interconnect s avec le r seau ext rieur boucle locale haut d bit par l interm diaire d une passerelle unique DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales croissance maturit diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte faible inexistante moyenne forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL pouvant tre par exemple une set top box ou un d codeur int gr France forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci Europe forte moyenne faible inexistante dessous assistants digitaux portables Exemples de Domaines scientifiques secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points techn
384. istribution est ainsi significative Une m me personne de statut social lev peut faire ses courses hebdomadaires Carrefour compl ter pour certains achats les liquides les aliments de base au hard discount le plus proche prendre le temps de faire son march dominical et recourir des enseignes de luxe pour certaines circonstances particuli res La d multiplication des lieux de vente constat e depuis quelques ann es est le fruit de cette modification Au total les tendances lourdes analys es ci dessus que ce soit au niveau d mographique ou au niveau des modes de vie modifient et vont encore modifier l environnement des consommateurs Au del apparaissent des comportements de consommation plus entrepreneuriaux c est dire plus autonomes et plus responsables La conjonction de ces l ments se traduit par des attentes sp cifiques et en m me temps h t rog nes a 3 En juillet 1999 le revenu disponible tait 2 5 inf rieur celui de juillet 1998 en partie cause de la diminution des primes Page 22 Introduction Les attentes des consommateurs principales tendances des ann es 2000 Il est donc aujourd hui plus difficile de raisonner sur un mod le unique de consommation Les attentes des consommateurs sont en effet multiples et vari es Dans ce contexte l innovation technologique doit s aborder dans un sens large puisque la prise en compte de ces attentes peut modifier l approche de
385. it des consommateurs implique pour les industriels la capacit de pr senter des informations et des produits s curis s Deux types d informations s curis es peuvent tre soulign s Une s curisation qui passe par la tra abilit des produits en particulier travers les tiquettes intelligentes Cette tra abilit s appuie sur des technologies comportant les tiquettes intelligentes v ritables puces ou cartes lectroniques qui permettent une lecture et un traitement de l information distance Objets communicants autonomes Cr es pour r pondre un besoin de tra abilit en mati re de production et de service apr s ventes les applications des tiquettes ou identifiants intelligents se d veloppent dans le domaine des biens et services de consommations forfaits de ski t l p age billet d avion ou de train Les ventes de composants lectroniques dans le monde devraient atteindre en 2002 plus de 640 millions d unit s contre 1 4 millions en 1998 Ces identifiants intelligents sont li s aux technologies de fabrication des tiquettes qui doivent prendre en compte les probl mes de durabilit ou de compatibilit avec les fonctions du produit Les technologies mises en ivre doivent galement permettre l activation et la d sactivation de ces tiquettes Une s curit li e la transmission des informations en particulier sur Internet La s curit des moyens de paiements reste pour de nombreux clients
386. it dont nous ne percevons sans doute pas encore tous les effets mais qui a d j profond ment boulevers nos conomies et nos mentalit s Parmi les changements les plus marqu s et qu il a fallu int grer dans cette tude il y a d abord les nouvelles opportunit s ou menaces selon que l on est du bon ou du mauvais c t li es aux immenses march s issus de la disparition de beaucoup de segmentations g ographiques et la d r glementation Une cons quence directe de cette croissance des enjeux conomiques est le raccourcissement des d lais entre innovation et commercialisation dans bien des cas aujourd hui les positions dominantes dont on conna t l importance souvent durablement d cisive se prennent rapidement ou pas du tout Ceci signifie que les risques d chec sont d autant plus grands que la course pour la premi re place se fait dans un environnement tr s concurrentiel et un rythme soutenu propice aux faux pas Cela signifie aussi que la r ussite ne peut tre esp r e qu au prix d un dynamisme accru et de moyens humains autant que financiers la hauteur des enjeux Tr s concr tement il n y a plus aucune raison de penser qu un projet technologique peut r ussir dans notre pays s il n est pas soutenu par des moyens comparables ceux dont il b n ficie dans d autres pays et notamment outre atlantique Ceci impose naturellement des choix d licats voire douloureux Comme
387. itaire et social sont potentiellement immenses D j dans le domaine de la sant les ventes de m dicaments issus des biotechnologies repr sentent 5 des ventes totales pr s d un m dicament sur cinq est fabriqu aujourd hui par des proc d s de biotechnologie les dix produits issus des biotechnologies les plus vendus dans le monde taient en 1997 des produits usage m dical Il n est donc pas tonnant que les Etats Unis et le Japon principaux concurrents de l Europe m nent des projets de recherche tr s importants dans ce domaine L utilisation des biotechnologies met cependant parfois en cause des choix thiques anciens qu il est n cessaire de r affirmer et de faire respecter Des d bats nouveaux surgissent qui devront tre tranch s Au del de la perception par le public de l incertitude sur les conditions d innocuit des produits et du manque de transparence de la r glementation des efforts sont sans aucun doute n cessaires pour informer duquer mais surtout renforcer la r flexion thique et r glementer lorsque cela s av re n cessaire Sur ce dernier point les pays de l Union Europ enne ont ainsi adopt en juillet 1998 une directive en vue de prot ger juridiquement les inventions biotechnologiques L objectif est en particulier d harmoniser la gestion des brevets tant sur les produits issus des biotechnologies que sur les proc d s de production et de traitement transformation
388. ite un compromis complexe entre paisseur textures porosit drainabilit pourrait tre sensiblement am lior e si l on disposait de m thodes et syst mes de mesures des param tres les plus pertinents op rant de pr f rence sans contact direct avec le rev tement et sur site De tels dispositifs de mesure des caract ristiques de surface pourraient m me tre embarqu s sur les v hicules et int gr s aux syst mes d aide la conduite Liens r duction des bruits v hicules intelligents et communicants DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe moyenne faible inexistante moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe moyenne faible inexistante moyenne faible inexistante Exemples de secteur d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s Construction et entretien des routes et voiries de toutes natures Conception de rev tement durable haute performance acoustique Mesure en temps r el de l adh rence et de l uni Caract risation rapide des mat riaux de rev
389. ive de l Europe est nettement plus favorable en ce qui concerne l embedded software logiciel enfoui dans des produits et syst mes non informatiques allant du t l phone mobile aux ascenseurs Quant aux soci t s de service qui sont un point fort de la France elles ne contribuent qu assez peu l effort de R amp D En revanche la recherche publique fran aise dans le domaine du logiciel repr sente un potentiel significatif Le r seau national de recherche en technologies logicielles RNTL vient d tre cr avec pour objectif de contribuer l am lioration de la position relative de President Information Technology Advisory Committee Report to the President Information Technology Research Investing in Our Future February 24 1999 Information Technology initiative for the 21 century Page 68 Le contexte par grands domaines l industrie et de la R amp D fran aises du logiciel et en particulier de renforcer la synergie entre la recherche industrielle et les laboratoires publics Le fait que le logiciel constitue un enjeu technologique majeur se traduit 1 par l identification de 8 technologies cl s qui sont autant de th mes fondamentaux entre lesquels peuvent se r partir les technologies logicielles de base A g nie logiciel B technologies logicielles de l informatique distribu e C technologies logicielles pour l ing nierie des syst mes D technologies logici
390. j l importance des crans couleur dans les camescopes et appareils photos L ajout d afficheurs sur les cartes puces et Europe pre tiquettes lectroniques fabriqu s en tr s grandes quantit s entra nera une consommation de plusieurs milliards par an dans ce cas le co t sera d terminant pour des afficheurs tr s simples Mais l utilisation des crans plats ne se limite pas ces seuls appareils A terme les applications tube cathodique ou virtual PP s pp 10 x aA se France forte moyenne EE o inexistante displays pourraient aussi tre concern es L apparition d afficheurs souples de faibles poids et int grant les circuits de Europe fore moyeme faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens assistants digitaux portables Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s T l communicati Ev nementiel Pr sentation de Ecrans plats LCD plasma PALC micro cathode Informatique ons Multim dia t l vision l information Afficheurs 2D 3D micro miroir encre lectronique cran Electronique Cin ma Projection grand format Electronique de haute d finition s paration des points Optique lectronique Assistants personnels PDA pilotage et Substrats souples Mat riaux M dical Livre lectronique d adressage Electro luminescent organique OLED Avionique Car
391. jou par le cadre r glementaire Aux Etats Unis le mode de tarification impos pour la boucle locale ind pendant du temps de communication un r gime d interconnexion favorable l absence de taxe sp cifique sur les achats en ligne les lois favorables l utilisation de la cryptologie et la souplesse des r gles du droit d auteur pour mettre en ligne des contenus ont favoris l adoption d Internet par le grand public Le sch ma ci dessous r sume les diff rents m canismes l uvre dans la dynamique d innovation inh rente Internet Cette dynamique est amplifi e par les interactions constantes qui unissent troitement ces moteurs du d veloppement d Internet L exemple le plus marquant de cette dynamique est la Silicon Valley o la coexistence de techniciens innovants de financiers ambitieux et d industriels puissants a permis l mergence rapide d un vivier d entreprises leader sur le march d Internet Page 62 Le contexte par grands domaines Ds NS SET 1 Le contexte de la rupture Cette dynamique d innovation combinaison d innovations technologiques d innovations d usages et d innovations conomiques qui s acc l re sans cesse conduit une v ritable dynamique de rupture pour l ensemble des secteurs en place avant Internet Cette rupture bouscule les positions tablies et permet l mergence de nouveaux acteurs qui tirent parti des opportunit s Le concept de technologie dis
392. l interface homme machine le contr le commande et les syst mes m caniques Un des enjeux est l am lioration des ergonomies des postes de t l op ration March confidentiel l off shore grands fonds est le fait de quelques grands industriels fran ais tr s bien plac s au niveau international Liens olien off shore technologies de travaux souterrains DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe croissance maturit diffusion g n ralisation B moyenne forte faible inexistante forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe E moyenne forte faible inexistante forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Exploration Off shore grands fonds Extraction de p trole et T l maintenance et R sistance aux fortes M tallurgie Modules m talliques Exploration p troli re de gaz t l op ration en milieu pressions Corrosion Ouvrage complexe en hostile Obstacle la R sistance des milieu hostile Robotisation transmission d ondes non mat riaux Ancrage pour gran
393. l offreur d s la conception du produit L attente de solutions personnalis es L mergence de comportements de consommation plus entrepreneuriaux s accompagne d une complexification des attentes des consommateurs les besoins tant plut t tourn s vers une recherche de r alisation et d panouissement personnel Ces l ments am nent les consommateurs se tourner davantage sur leur propre personne et demander des solutions personnalis es La personnalisation et le sur mesure De l individualisation la personnalisation Le passage de l individu la personne correspond un changement dans le mode d appr hension des consommateurs Alors que l individu se d finit par rapport l autre ce qui se traduit par une offre cherchant le s duire et le flatter en le diff renciant la personne se d finit par rapport elle m me l offre essayant de tenir compte de son histoire personnelle La personnalisation de la consommation rel gue l anonymat au second plan et donne un r le actif au consommateur celui de pouvoir laborer sa consommation Chaque personne labore alors son sch ma de consommation en fonction de ses espace et temps de consommation qui sont eux m mes li s sa propre subjectivit En cons quence la personnalisation de la demande entra ne une multiplicit des attentes l origine d une fragmentation des march s La demande de sur mesure Le passage de l individu la personne
394. la conception mais galement par un march qui se mondialise Il s en suit une course l efficacit qui se traduit en enjeux technologiques pour cr er une v ritable usine num rique c est dire une forme d outil de production la fois plus efficace plus flexible int gr avec les outils de conception et avec la cha ne logistique capable d assurer une nouvelle forme de performance essentielle la r activit La facilit de mise en uvre du process est importante la conception de l appareil de production doit int grer en amont non seulement les sp cifications du process mais aussi la dimension facilit de mise en uvre c est dire qu elle doit prendre en compte la dimension humaine ainsi que les imp ratifs et contraintes de l automatisation L enjeu est que les processus de production soient compr hensibles et logiques pour les personnes qui int grent l appareil de production soit pour y contribuer en tant qu op rateur soit pour pallier des dysfonctionnements Outre un outillage adapt et ergonomique cela passe en particulier par la mise disposition de manuels de proc dures utilisables et par le recours aux outils de la qualit La flexibilit et la rapidit de r action dans un contexte d volution forte de la demande il est vident que l appareil de production doit rester capable de produire en s rie mais de fa on flexible tout comme il doit pouvoir tre utilis
395. la rapidit de l volution technologique poussent ce que les choix qui seront faits le soient bon escient qu ils soient la hauteur des enjeux qu ils se fassent rapidement tout comme leur mise en ivre Page 290 Annexes Annexes Bibliographie Liste des contributeurs au projet Comit de Pilotage Groupes de travail Rappel de la liste des Technologies cl s 2000 Th saurus Page 291 Annexes Bibliographie ADIT septembre 1997 L annuaire des Technologies cl s Minist re de l Economie des Finances et de l Industrie Secr tariat d Etat l Industrie Direction g n rale des strat gies industrielles Alain MAUGARD d cembre 1999 Regard sur le futur en construction __ Baudchon 1 juilet 1999 Une troisi me r volution industrielle aux Etats Unis Lettre de l OFCE n 187 repris dans Probl mes Economiques n 2642 1 d cembre 1999 p 11 14 BEST Howard Associates march 1998 Green Building a primer for builders consumers and realtors Brousseau A D Volatier J L septembre 1999 Femmes une consommation plus prudente et plus citoyenne CR DOC Consommation et Modes de vie n 137 septembre 1999 CDC Consultant juin 1998 Actualisation de l tude sur les 100 Technologies cl s pour l industrie fran aise l horizon 2000 Collerie de Borely 28 f vrier 1998 L innovation technologique commence s duire les seniors C
396. la relation client Supply Chain Management MC Logiciels et bases de donn es des propri t s des mat riaux CPG Supply Chain Management SLI EE Photovolt que CPG Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique CIH Les techniques de diagnostic et de r paration des structures Conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable Off shore grands fonds TAE Am lioration des performances d nergie d ensemble IAA Tra abilit IAA Th rapie cellulaire CPG Prototypage rapide BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC IAA Tra abilit MC Proc d s de mise en uvre et de formulation de la mati re molle IAA Clonage des animaux MC Techniques de synth se et de test haut d bit CIH Le b ton performances optimis es EE Filtration membranaire NTIC M moires de masse TAE Capteurs EE Supraconducteurs lourds EE Elimination des m taux lourds dans les boues et effluents D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols IAA Ing nierie des prot ines Miniaturisation des instruments de recherche m dicale EE La gestion de l air dans les b timents D tection et traitement des odeurs BSC Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle CPG Repr sentation de la perceptio
397. lation client offre de Seps ai moyenne faible PRISLAN Exemples de Domaines Exemples 3 sia Pr secteur d Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application usage concern s Biens de Visibilit Segmentation M thodes de Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit qualit de service Sociologie consommation Vente des marketing Techno logicielles de l informatique distribu e Economie Distribution Attractivit consommateurs li es Techno logicielles de la langue et de la parole Informatique Fid lisation et des prospects l utilisation Techno logicielles pour le transport de donn es compression logicielle Test Elaboration des des NTIC Techno logicielles pour la s curit des r seaux paiement lectronique micro paiement marketing offres Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu agents Comparaison personnalis es Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur et techno requises produit Nouveaux R alit virtuelle augment e business Autres points critiques models E Co t Marketing du virtuel et marketing instantan M thodes de fixation des prix R glementation inter nationale sur les taxes Page 282 Technologie et M thodes de Conception Gestion Production Page 283 109 Syst mes d organisation et ges
398. le Les transports sont un domaine en croissance permanente connaissant des volutions annuelles en Europe de l ordre de 5 pour le transport des voyageurs et 6 6 pour les marchandises de 1997 1998 source Cemt En France les transports repr sentaient sur un plan conomique fin 1998 environ 4 2 des actifs 14 9 de la consommation totale des m nages Les tableaux ci dessous offrent un panorama des entreprises du transport en 1997 ainsi que la r partition des transports terrestres de marchandises sur le territoire m tropolitain Les entreprises en 1997 source ecostat Domaine Nombre d entreprises CA transport Effectif total Mds FF Ferroviaire 11 73 9 174 629 Routier et urbain 28 658 64 6 158 768 Routier de marchandises 40 504 147 282 887 Transport par conduites 14 9 8 1 064 Maritime et c tiers 199 26 6 11 219 Fluvial 47 1 2 1 304 A riens 150 74 8 56 835 Manutention et entreposage 1 064 20 3 30 575 Gestion d infrastructures 880 54 9 40 675 Organisation de transport de fret 2 270 118 1 104 957 TOTAL 73 797 581 2 862 913 Page 126 Le contexte par grands domaines R partition des transports terrestres de marchandises sur le territoire m tropolitain pour un volume total de 460 Mds de tonnes km source ecostat m SNCF m Route o Voies navigables o Ol oducs R partition des transports int rieurs de voyageurs source
399. le soutien de cette r volution L histoire de l informatique aux Etats Unis d montre le r le crucial du gouvernement f d ral dans l orientation de la recherche le d veloppement de la formation des ing nieurs et scientifiques et pour l quipement en moyens de recherche des laboratoires Ainsi les bases de donn es relationnelles l informatique th orique l intelligence artificielle la r alit virtuelle et surtout l Internet n auraient pu se d velopper sans le soutien public et les exp rimentations permises par ce financement Ces d veloppements technologiques ont t accompagn s par des innovations d usage par la d r glementation des t l communications et par le d veloppement de nouveau mode de financement de l innovation Ces technologies ont ainsi permis et accompagn une volution profonde souvent analys e comme une troisi me r volution industrielle qui correspond la fois la transformation vers une Soci t de l Information et l entr e dans une Nouvelle Economie toutes deux fond es sur les Technologies de l Information et de la Communication TIC cf ch I 3 La r volution num rique est symbolis e par l explosion des usages sociaux et commerciaux de l Internet sur les derni res ann es Internet est bien plus une r volution par la transformation des activit s conomiques qu elle permet qu une r volution technologique Les technologies informatiques y sont mobilis es pour faire
400. le et compos de routeurs de dimensions nationale continentale voire intercontinentale Face l volution des besoins et des techniques les r seaux dorsaux doivent tre la fois flexibles et modulaires la flexibilit est apport e par l utilisation de la technique SDH Hi rarchie Num rique Synchrone dont les m canismes de protection permettent de faire voluer les d bits sans occasionner de perturbation perceptible par les clients d abord multiplexeurs les quipements SDH ont t am lior s pour fournir des fonctions d insertion extraction de paquets IP quant la modularit elle est obtenue par la technologie WDM multiplexage en longueur d onde v ritables multiplicateurs virtuels d infrastructure de fibre optique les quipements WDM permettent d obtenir l quivalent de seize anneaux SDH sur une seule paire de fibres chacun de ces anneaux ayant un d bit de 2 5 Gbit s l quivalent de 300 000 voix t l phoniques l ensemble peut atteindre 40 Gbit s sur une paire de fibres prochainement il sera possible de quadrupler le d bit des boucles SDH et de doubler le nombre de longueurs d onde multiplex es pour atteindre 320 Gbit s des tests en laboratoire atteignent d j le T rabit s Outre cette mont e en d bit le r seau dorsal va b n ficier de nouvelles fonctions de protection et de brassage optiques Ainsi des anneaux WDM autoprot g s offriront l acc s un
401. lement la flexibilit est aujourd hui une notion sinon compl tement accept e du moins de plus en plus commun ment diffus e et l on n envisage plus de donner toute sa vie professionnelle un m me employeur Cette souplesse qui conduit une mobilit beaucoup plus grande induit galement de nouveaux rapports de l employ avec son entreprise dans la mesure o il devient impossible d envisager une volution long terme dans la m me structure l investissement du salari repose sur des valeurs plus personnelles Il cherche moins s int grer une culture d entreprise qu s panouir dans l exercice de son activit La tendance l individualisation est donc fortement renforc e par l clatement des conditions de travail L interp n tration de la sph re du domicile et la sph re du travail On travaille de plus en plus au bureau et la maison au point que certains nouveaux objets de consommation le t l phone portable le micro ordinateur voire la voiture appartiennent en fait aux deux sph res indistinctement Cette confusion des r les m ne une demande d changes accrue entre plusieurs personnes face leur autonomisation dans la sph re du travail Les innovations technologiques dans les t l communications ont entra n l apparition de nouveaux produits et services qui ont rencontr un cho favorable aupr s des consommateurs Les nouveaux objets de consom
402. les Technologies de boucle locale Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur R seaux de grands serveurs Moteurs de recherche et d indexation intelligents Moteur de r alit virtuelle G nie logiciel et mod les de composants logiciels Agents NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s Moteur de r alit virtuelle NTIC Syst mes d exploitation contraints Ing nierie linguistique et technologies vocales Int gration d applications langage XML et autres langages volu s TAE Pile combustible Page 309 Annexes 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 Logiciel Logistique Lumi re Machines Maintenance Ma trise Maladie Maquette Marketing Marqueurs Mati re molle M dicaments M lange Membranes M moires Mesure M taux M taux M thodes M trologie M trologie sensorielle Micro lectronique Micros Microsyst mes Milieux extr mes Min raux Miniaturisation NTIC R seaux de grands serveurs Syst me auteurs pour cr ation de contenus multim dia Micro lectronique silicium Synth se d image 2D 3D et de sons anim s Int gration d applications langage XML et autres langages volu s Mesures et tests de syst mes CPG Outils d aide la gestion de
403. les formes par recours au calcul de structures Les verrous se situent aujourd hui lors des changements d chelle dans les mod lisations du comportement m canique et dans la mauvaise connaissance des grandeurs physiques introduire dans les mod les et simulations num riques Pour les mat riaux non m talliques ce sont les polym res qui suscitent le plus de d veloppement de nouvelles propri t s et de nouveaux usages les c ramiques et composites restant cantonn s des usages moins vastes 18 source Andersen Consulting 19 source Goldman Sachs Page 87 Le contexte par grands domaines Dans le domaine de la catalyse qui concernera environ 30 de la chimie de demain l enjeu actuel concerne principalement la catalyse h t rog ne et la mise au point de nouveaux catalyseurs ayant une plus grande activit et une plus grande s lectivit La prospective D apr s le cinqui me et dernier Japan Technological Forecast les principales volutions de la recherche l horizon 2005 2030 peuvent tre regroup es en quatre tendances les synth ses de pr cision et la ma trise des structures jusqu la manipulation d atomes et de mol cules l introduction de l informatique de haut niveau pour l laboration des nouveaux mat riaux et des nouveaux proc d s partir de donn es de base dans les domaines de la chimie th orique de la chimie quantique et de la dynamique mol culaire la compr hension
404. les fossiles puisque l on br le du carbone et donc on produit du gaz carbonique En revanche le nucl aire tout comme les nergies renouvelables ne produit pas de gaz effet de serre si ce n est de fa on tr s marginale dans les transports li s l utilisation de ces nergies Il faut aussi noter que tous les combustibles fossiles ne sont pas gaux en mati re d mission de gaz carbonique Ainsi le gaz naturel ne d gage quantit d nergie lib r e gale qu environ la moiti de ce que d gage le charbon Les engagements pris Kyoto par les diff rents pays sur la limitation d mission des gaz effet de serre vont imposer des contraintes fortes sur le choix des sources d nergie utilisables La France avec son programme lectronucl aire qui produit pr s de 80 de l lectricit a de faibles missions par rapport aux autres pays industrialis s Maintenir ce taux d mission ne sera cependant pas une t che facile compte tenu de l augmentation des transports qui d pendent 95 des produits p troliers Ainsi la lutte contre l effet de serre va tendre favoriser le d veloppement de technologies non mettrices de CO nucl aire nergies renouvelables et va stimuler les recherches pour la ma trise de la consommation des produits p troliers particuli rement dans le domaine des transports source du tiers des missions de gaz carbonique Les principaux enjeux dans le domaine de l En
405. leur sans disposer chez soi d une base d expertise de bon niveau En mati re de technologie on le sait la probl matique dite du make or buy n cessite d tre adapt e car il faut un fonds de comp tences solides pour rep rer les meilleurs pourvoyeurs d une technologie pour poser les bonnes questions pour dig rer la technologie acquise pour la mettre en uvre et l am liorer D un autre c t certains pourront l inverse conclure que la France ne saurait escompter tre en position de leadership sur toutes les technologies m me d avenir Des sp cialisations s imposent La division internationale de la production qui tait dans le pass fond e sur des dotations en facteurs du type mati res premi res ou travail bon march est appel e dans les pays d velopp s s op rer demain sur les investissements cognitifs en quipements modernes et en capital humain Il est dans cette logique parfaitement concevable de ne pas consentir les m mes efforts sur tous les cr neaux et de tabler sur la possibilit de recourir au march international pour acc der aux technologies qui feraient d faut Constatons pourtant dans le m me temps que la question de la proximit g ographique ces investissements cognitifs peut tre tr s importante pour le d veloppement des territoires Page 282 Annexes Au del il nous faut signaler deux situations int ressantes dans la position relative de la France Un
406. lier les r seaux de recherche et d innovation technologique RRIT 5 Rechercher une r elle coh rence dans l organisation du syst me d innovation Devant l mergence des nouveaux acteurs que sont les r gions et l Europe le r le de l Etat demeure essentiel Il doit s efforcer d assurer l efficacit du syst me national d innovation pour l ensemble du territoire Une collaboration troite et une meilleure coordination des activit s entre les diff rents niveaux d cisionnels sont au c r m me d un syst me efficace A ce titre le Comit de pilotage pense que les efforts de l Etat doivent consister en grande partie stimuler la collaboration entre les divers niveaux de d cision harmoniser et mettre en coh rence le grand nombre d initiatives relatives au d veloppement technologique que cet effort se fasse travers la diffusion des technologies la valorisation de la recherche ou de toute autre mani re Les initiatives prises devront entre autre clarifier les responsabilit s viter les double emplois et offrir une meilleure lisibilit du syst me de soutien au d veloppement technologique 6 Privil gier une approche europ enne Pour les membres du Comit de pilotage la dimension europ enne est devenue incontournable dans la mesure o en 1998 aucun pays europ en ne repr sentait plus de 5 du PIB mondial les Etats Unis en repr sentent 20 76 L Union europ enne met d j en uvre une politique de
407. lis s en 1996 45 en 1985 Cette entr e dans une conomie fond e sur la connaissance modifie en profondeur les fondements de l organisation des entreprises et les modalit s de leurs relations L organisation fordienne des activit s conomiques tait principalement orient e vers la recherche de l efficience statique c est dire de la maximisation du rendement par le recours la parcellisation du travail l automatisation de la 10 me Ensemble des secteurs producteurs de haute technologie et des secteurs utilisateurs de haute technologie ou utilisateurs de main d uvre tr s qualifi e Page 34 Introduction production l exploitation des conomies d chelle associ es une production en grande s rie Si l innovation est bien s r pr sente dans l entreprise fordienne elle ne constitue pas un principe structurant de son organisation Cantonn au laboratoire de R amp D l effort d innovation est circonscrit au sein de l entreprise Le renforcement du r le de l innovation dans les strat gies concurrentielles mais aussi le besoin d am liorer la flexibilit strat gique par le renforcement de la capacit d apprentissage ont engendr la diffusion de nouveaux principes organisationnels davantage orient s vers les comp tences de l entreprise et le d veloppement de son efficience dynamique c est dire sa capacit am liorer ses produits et ses proc d s de mani re
408. lliages de grade de haute productivit et de structures hybrides plastique m tal Le PET emballage conna tra ainsi une croissance annuelle de plus de 12 par an jusqu en 2002 les plastiques haut de gamme une croissance de pr s de 16 par an Le secteur des articles textiles tiss s non tiss s TUT textiles usage technique repr sente 5 milliards d euros en amont celui des fibres artificielles viscose ac tate de cellulose et synth tiques polyamides polyesters polyur thanes moins de 1 milliard Le secteur textile se maintient gr ce son savoir faire mais reste sensible la mondialisation La tendance est la concentration et l internationalisation des groupes tout en conservant de petites structures sp cialis es et dynamiques L innovation technologique cherche cr er de nouveaux march s en particulier pour les TUT par le d veloppement de nouvelles fibres technofibres chlorofibres microencapsulation fils anti bact riens anti acariens tissus et fibres effet climatique Le secteur des fibres conna t aussi une forte innovation technologique association de diff rentes fibres utilisation de fili res de plus en plus sp cifiques traitements par ionisation additifs fibres obtenues par g nie g n tique couleur obtenue sans colorant par gravure laser Taux de Croissance Annuel Moyen 1997 2004 France Europe Sid rurgie 1 7 1 5 Aluminium 1 7
409. mais aussi le fait des attentes ou du poids du march approche fonctionnalit voire produit et d une imbrication toujours plus grande entre technologies et m me domaines technologiques diff rents approche syst me Page 286 Annexes Cet aspect particulier du d veloppement technologique pose le probl me de la gestion de cette complexit Celle ci a pour cons quence la remise en cause de certains facteurs traditionnels de l avantage comp titif de l entreprise Si la disponibilit et la ma trise des technologies reste une condition n cessaire du succ s elle n en est plus une condition suffisante Il faut pouvoir combiner les technologies entre elles et les int grer dans des produits ou des services d une mani re efficiente Face ce constat le Comit de pilotage souhaite mettre en garde les pouvoirs publics contre une approche souvent trop analytique et essentiellement ax e sur l aspect technique des projets Il souhaite souligner l apport primordial que peuvent apporter les technologies organisationnelles et d accompagnement la r solution du probl me de la gestion de la complexit Il note galement que la contribution de ces technologies va bien au del Ces technologies sont au c our de la r solution de tout un ensemble de probl matiques li s notamment la gestion des connaissances l analyse du comportement et de la relation client qui apparaissent la lecture du rapport comme des l ment
410. mation le t l phone portable le micro ordinateur symbolisent la communication l change entre plusieurs personnes qui chacune vivent plusieurs r les professionnel scolaire familial amical Parall lement ces nouveaux moyens de communication augmentent la mobilit des personnes en permettant une interp n tration croissante entre la sph re du travail et la sph re du domicile Page 21 Introduction Des comportements de consommation de plus en plus entrepreneuriaux Les nouveaux rapports au travail et la croissance de la qualification modifient certainement les comportements de consommation Les ann es de morosit conomique ont accentu le r le du prix dans les d cisions d achat par rapport aux ann es 1980 En outre les comportements d achat se sont progressivement modifi s L achat impulsion qui pouvait caract riser certains consommateurs a davantage laiss place un achat raisonn reposant sur des strat gies de consommation plus labor es La recherche de prix les plus bas M me si les consommateurs s int ressent aussi d autres l ments constitutifs de l offre l argument prix est devenu un l ment cl de l achat bien plus qu au cours de la d cennie pr c dente Les consommateurs des ann es 2000 n h sitent pas reporter des achats afin de b n ficier des meilleurs prix en attendant les soldes les promotions ou tout simplement d avoir l argent n cessaire sans prendr
411. me l offre essayant de tenir e INSEE La soci t fran aise donn es sociales 1999 i INSEE in G Mermet Francoscopie 1999 Page 94 Le contexte par grands domaines compte de son histoire personnelle La personnalisation de la consommation rel gue l anonymat et donne un r le actif au consommateur celui de pouvoir laborer sa consommation Dans la construction et l habitat cette tendance devrait se traduire par une intervention croissante des consommateurs dans l am nagement du logement pose de cloisons caract ristiques de l enveloppe surtout dans le neuf Les maisons cl s en main ont moins le vent en poupe et la personnalisation va se d velopper Elle devrait se traduire par Un besoin de s curit int gr dans le logement en fonction des caract ristiques propres du consommateur par exemple les programmes de taille r duite une trentaine de logement au maximum avec des syst mes de t l surveillance devraient tre privil gi s Ce besoin pourrait s articuler avec un largissement progressif du syst me de s curit diff rentes autres fonctions int gr es favorisant ainsi une approche progressive et personnalis e de ce que l on a pu appeler la domotique ou l immotique pour les immeubles La participation des clients la finition des plans qui rendra n cessaire le d veloppement d outils de simulation permettant l architecte de g rer la fois les contraintes techniques e
412. me connues jusque vers 2010 mais peu se hasardent faire des pronostics plus loign s La progression des performances des composants la fameuse loi de Moore pr voyant un doublement des performances tous les 18 mois gain d un facteur 1 million en 30 ans a des effets structurants sur l ensemble de l informatique et des t l communications permettant des am liorations impressionnantes des rapports performance prix avec pour corollaire une obsolescence tr s rapide des produits acc l rant le renouvellement de la demande Cette volution technologique est aujourd hui accompagn e par une forte dynamique d innovation d usage comme l illustre l explosion des usages sociaux et commerciaux de l Internet sur les derni res ann es Dans ce contexte les politiques d investissement doivent int grer une anticipation des r sultats de la R amp D La rapidit de mise sur le march est galement un facteur cl la dur e des cycles de mise sur le march descendant en dessous de l ann e Les m thodes de conception lin aire d veloppements technologiques gt d veloppement de produit gt d veloppement de services doivent voluer vers des m thodes de d veloppement parall lis es conduisant des cycles beaucoup plus courts B Importance des investissements en R amp D La R amp D joue un r le central dans le d veloppement des TIC Les efforts de R amp D rapport s aux d penses de production sont dans le secteur des T
413. merce interentreprises B to B galement n gligeables en 1997 les ventes taient estim es plus d un milliard en 1998 et plus de 7 milliards de francs en 1999 d passant donc largement le commerce de d tail sur internet source IDC Les changes inter entreprises en EDI taient estim s entre 30 et 50 MdF le commerce inter entreprises tant valu en 1996 par l INSEE 2500 MdF dont environ 500 pour les biens d quipement professionnels et 2000 pour le commerce de d tail Le commerce inter entreprises devrait en France comme ailleurs continuer se d velopper sur des volumes beaucoup plus importants que le commerce r sidentiel C Mobiles t l phonie et acc s Internet En France la t l phonie mobile dont le d collage a t relativement tardif poursuit sa tr s forte croissance 40 en 6 mois pour un parc de 22 6 millions de clients au 31 mars 2000 soit un taux de p n tration de 37 contre environ 13 M en mars 1998 et 7 M en 1997 Les services de t l communications repr sentent environ 163 MdF en 1998 88 MdF au premier semestre 1999 dont respectivement 120 6 MdF et 63 7 MdF pour la t l phonie fixe 24 8 et 17 5 pour la t l phonie mobile En Europe la t l phonie mobile est un domaine o l Europe dispose d une avance sur les USA notamment gr ce l adoption d une norme unique GSM en Europe Aux Etats Unis le taux d quipement en t l phone portable n est que de 30 environ et l
414. mi res notamment les produits p troliers le gaz naturel les produits agricoles elle fournit en aval tous les secteurs industriels et intervient dans des domaines aussi divers que l alimentation l habitat la sant l hygi ne les transports la culture les sports les loisirs la communication et bien d autres secteurs encore Selon les estimations tablies par la Commission de Conjoncture de l UIC la croissance de l industrie chimique fran aise aurait t en volume de 3 2 en 1999 et serait de 4 9 en 2000 Cette croissance est due l am lioration de l environnement international reprises en Europe en Asie et au Japon demande soutenue en provenance des Etats Unis mais surtout la bonne tenue de la demande int rieure Le niveau lev de la production automobile et le redressement significatif du secteur de la construction profitent aux produits de la chimie organique les mati res plastiques et ceux de la parachimie peintures colles Quant la consommation des m nages son niveau d termine pour partie la production du secteur des savons parfums et produits d entretien Page 80 Le contexte par grands domaines Les mat riaux Les diff rents secteurs sont mentionn s ici pour m moire leurs probl matiques sont d taill es par les secteurs utilisateurs dans les chapitres correspondants La croissance durable de l conomie europ enne va se traduire pour les biens interm diaires par une
415. mobilit des personnes est un ph nom ne marquant Cette mobilit pr sente aujourd hui plusieurs facettes et r sulte de diff rents comportements Q Mobilit due au d veloppement du temps libre Les soci t s voluent vers une conception des places respectives du travail et du temps libre plus int gr e et quilibr e il s agit aujourd hui de savoir profiter d un temps libre en croissance de par le d veloppement du travail temps partiel des populations vieillissantes dans les pays occidentaux de nouvelles r glementations du temps de travail mais galement et surtout de par la flexibilit grandissante de l organisation du travail qui est ainsi plus facilement int gr e dans les habitudes de vies L organisation de voyages et la participation de multiples activit s impliquant ventuellement des d placements sp cifiques vont donc faire fortement voluer les domaines du transport en tous genres et des communications qui s y rattachent Q Mobilit due au besoin de reliance Cons quence directe du premier point le consommateur entrepreneur privil gie la relation sociale via la communication et la mobilit besoin de reliance Il a donc massivement recours aux nouveaux modes de communication qui le relient au monde qui l entoure L autonomie reli e qu entra nent des instruments comme le t l phone portable ou l ordinateur permet une plus grande mobilit Les moyens de transport et l
416. moyenne faible inexistante consommateurs quant leur utilisation Une des conditions de succ s est la simplicit d utilisation par l usager mais l enjeu Europe forte moyenne faible inexistante majeur reste la mise en place de normes Dans le domaine des agents intelligents l Europe et la France semblent en retard par rapport aux Etats Unis POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL faible L inexistante faible Liens capteurs intelligents outils de sant la disposition des consommateurs m thodes de marketing li es l utilisation des TIC objets communicants autonomes assistants digitaux forte moyenne forte moyenne inexistante Exemple de secteur d application Points technologiques critiques Domaines scientifiques Exemples d usage gt concern s Fonction remplie Technologie La consommation de Aide la d cision voire services et la production de biens industriels Logiciels en informatique de gestion scientifiques et techniques Logiciels embarqu s dans des quipements R ception en ligne d information sur des quipements connect s Logiciels embarqu s sur des quipements Analyse de situation et d clenchement d alerte finance surveillance des quipements industriels et domestiques prise de d cision Recherche de l information Les agents intelligents Leur portabilit
417. n NTIC Micro lectronique silicium Micro lectronique INT V Composants opto lectroniques et phonotiques Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique TAE Architecture lectronique AA Biopuces EE Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires NTIC Microsyst mes Composants opto lectroniques et phonotiques MC Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes MC Proc d s biotechnologiques et biomim triques de synth se de min raux et polym res AA Criblage de mol cules actives MC Mat riaux pour syst mes adaptatifs NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques Page 310 Annexes 177 178 170 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 Mode d grad Mod les Mod les num riques Mod lisation Modification Modules Mol cule Moteurs Multim dia Multiplexage Nanocomposites Navigateur Nettoyage Normalisation Normes Noyau Nucl aire Nuisance Num rique Num risation Nutritionnelles Objets intelligents Odeurs Off shore Op rateur Optimisation Optique Organe Organisation Organismes Outillage Outils Ozone Parachimie Parasites TAE S ret des syst mes IAA Miniatur
418. n Capteur Carte m moire Cartographie Catalyse Cellules CEM Compatibilit Electro Magn tique C ramiques Chirurgie Chocs Ciment Climatisation CO2 Codage Commerce lectronique IAA Biopuces CPG Repr sentation et gestion des processus de lusine num rique BSC L offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Les outils de sant la disposition des consommateurs Le design sensoriel y compris la m trologie sensorielle MC Mat riaux pour syst mes adaptatifs Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en ouvre des mat riaux Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages CIH Les techniques de diagnostic et de r paration des structures NTIC R tines de prise de vue EE La gestion de l air dans les b timents BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes TAE V hicule intelligent et communicant MC Catalyseurs IAA Clonage des animaux Greffe d organe Th rapie cellulaire Criblage de mol cules actives Organes bio artificiels Compatibilit Electro Magn tique lectronique MC Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes IAA Imagerie m dicale MC Mat riaux absorbants EE Conditionnement entreposage et stockage des d chets nucl aires vie radioactive longue EE
419. n ZAFFRAN L OREAL Jean Pierre de MESSANT SAP France Jean Louis DUMAS N SCHLUMBERGER Page 299 Annexes Rappel de la liste des Technologies Cl s 2000 Technologies de l information et de la communication Algorithmes de compression et de d compression d image et de son Architectures client serveur Architectures massivement parall les Batteries pour quipements lectroniques portables C bles et fibres optiques Composants d interconnexion et d interface Composants hyperfr quences Composants opto lectroniques Conception et fabrication de composants faible consommation Connexion de machines et ou d applications diff rentes ou middleware EDI Ecrans plats Ergonomie cran clavier Gestion de r seaux intelligents Images de synth se Ing nierie linguistique Interfaces m taphoriques M moires flash M moires de masse Outils de programmation g nie logiciel Programmation orient e objet Reconnaissance de la parole Reconnaissance de formes R seaux neuronaux S curit pour syst mes transactionnels Serveurs vid o Syst mes base d agents Syst mes de navigation pour services multim dias Syst mes temps r el Technologies submicroniques profondes Tests et certification de logiciels Transmission et commutation large bande Mat riaux Alliages de polym res Caract risation et surveillance de l endommagement de pi ces Collage structural Elaboration de composite
420. n des capteurs des traitements et des protocoles Miniaturisation Packaging Fill factor Page 162 Inexistante Inexistante Domaines scientifiques concern s Physique du solide Optique Traitement d image du signal micro lectronique Micro lectronique Informatique logicielle CM International 9 Ecrans plats Les technologies des syst mes de visualisation et d affichage sont commandes pour assurer une connectique simple pourra aussi ouvrir le march des livres lectroniques multiples crans plats cristaux liquides matrice active en silicium amorphe crans plats cristaux liquides matrice active lectroluminescents base de polym re crans plats micropointes dispositifs de projection matrice cristaux liquides Technologie mergence o maturit papiers lectroniques etc Le march des quipements portables a fait des crans plats une technologie essentielle et on peut estimer Applications industrielles et commerciales naissance gt g n ralisation quelques centaines de millions d unit s par an la consommation actuelle La fonction la plus importante est l affichage de donn es et on peut pr voir une forte volution de la demande de POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE visualisation d images anim es couleur de qualit vers 2003 2005 lorsque les r seaux de t l phones portables le permettront on voit France inexistante d
421. n des fum es De nombreux produits de grande consommation et d quipement des m nages contribuent aux ph nom nes de pollution m diatis s tels que la destruction de la couche d ozone la faible qualit de Pair en ville qui a favoris le d veloppement de l essence sans plomb des pots catalytiques des peintures sans solvant la pollution de l eau qui a conduit au d veloppement des lessives sans phosphates la prolif ration des d chets en particulier d emballage De m me si le secteur agricole est aujourd hui montr du doigt comme le principal pollueur de l eau c est pour partie du fait des pesticides herbicides et engrais Plus g n ralement les industriels des mat riaux et leurs industries clientes sont concern s par le devenir de leurs produits apr s utilisation La gestion du cycle de vie des produits et les d marches du berceau la tombe se g n ralisent Page 83 Le contexte par grands domaines Les tendances de la demande finale La demande s exprime pour partie par la demande des consommateurs en termes de caract ristiques des produits finaux mis leur disposition mais aussi plus g n ralement par la modification d un certain nombre de valeurs et attitudes qui se r percutent jusque sur les conditions des march s industriels business to business Parmi les grandes tendances de l volution de la consommation relev es par le CREDOC quatre sont particuli rement pertinentes
422. n fin de vie Equipements pour unit s de production de semi conducteurs Essais non destructifs Microtechniques Proc d s de s paration membranaire Robotique en milieu hostile Spectrom trie de masse Syst me de gestion de l ultrapuret pour l lectronique Page 303 Annexes 7 8 9 10 11 12 13 14 15 2D 3D Acoustique Actionneurs ADN Agents intelligents Algorithmes Aliments Alliage de polym res Alliages Am nagement urbain Amplificateurs Analyse des besoins Animaux Anthropom trie Application 16 Architecture 17 Artificiels 19 20 21 22 23 Archivage Assemblage Authentification Automatique Automatisation Base de donn es Th saurus CPG Multi repr sentation NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s EE R duction des bruits CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents TAE Capteurs TAE Architecture lectrique TAE S ret des syst mes IAA Transg n se Biopuces BSC Les agents intelligents CIH R alit virtuelle augment e pour la conception architectural et technique MC Mod lisation mol culaire des polym res NTIC Transmission temps r el de contenus multim dia AA Tra abilit Technologies douces MC Alliages de polym res Mat riaux absorbants EE Supraconducteurs CIH Les techniques des travaux sout
423. nalit s comme par exemple la transformation des plastiques qui privil gie l am lioration de la reproductibilit L laboration des mat riaux passe par une plus grande mod lisation Les m tallurgistes sont aujourd hui capables de produire la bonne microstructure qui conf re les propri t s d usage recherch es propri t s tant m caniques que physico chimiques L volution vers la continuit du process et la complexification des fili res de production des mat riaux regroupant des tapes d laboration d assemblage de mise en uvre et de traitements de surface d j relev e dans le rapport pr c dent va se poursuivre dans les ann es 2000 2005 Les technologies de collage ont par exemple largement diffus depuis 5 ans m me si des axes d am lioration existent encore dans ce domaine Pour la chimie de base europ enne la comp titivit passe par la mise au point de grosses unit s de production forte productivit Ces unit s sans hommes sont capables d adapter elles m mes la nature des productions en fonction du cours des mati res premi res C est cette intensit capitalistique croissante qui a permis aux p trochimistes europ ens de maintenir leur comp titivit face aux concurrents asiatiques Le r le des innovations et des comp tences organisationnelles 45 innovations majeures ont t recens es dans la chimie pendant les ann es 40 et seulement 5 dans les ann es 90 De m me seulement
424. nant qui fait du mat riau de base utilis pour l emballage un mat riau technique aux applications multiples telles que les gilets pare balle Ma triser la mati re au niveau mol culaire ou atomique C est l objet des nanotechnologies qui visent effectuer une synth se de pr cision en employant de nouveaux syst mes de contr le et de manipulation d atomes ou de mol cules La recherche en la mati re n en est qu ses d buts De nombreux verrous persistent m me si les premiers r sultats laboratoires tangibles ont t observ s notamment par la mise au point des fuller nes troisi me structure cristalline du carbone avec le diamant et le graphite Ces verrous concernent notamment la ma trise des instruments d observation et de manipulation des objets l chelle atomique microscope effet tunnel ou microscope force atomique et concernent galement la stabilisation des processus de fabrication comme par exemple la vaporisation re condensation du graphite dans un arc lectrique Les applications envisag es ce jour pour de telles nano mol cules sont le transport de mol cules dans le corps humain les piles solaires les renforts de composites a ronautiques Les experts am ricains s accordent sur 2010 pour l apparition des premiers produits issus des nanotechnologies assembleurs mol culaires et 2040 pour l objectif ultime des nano ordinateurs Seuls les renforts de composites pourraient voir le j
425. ndustrie 24 19 dont services 15 11 Industrie 13 10 lectronique Total 128 100 Source Insee premi re n 648 mai 1999 D apr s les derni res statistiques disponibles au minist re de l conomie et des finances 1 198 600 personnes travaillaient en France fin juin 1999 dans ce secteur des technologies de l information et de la communication pris au sens large Apr s une p riode de baisse le secteur est depuis 1995 cr ateur d emploi avec une forte acc l ration depuis 1998 sup rieure 8 Entre juin 1998 et juin 1999 celui ci a cr 89 100 nouveaux emplois un record Les services informatiques connaissent une croissance particuli rement soutenue 13 en 97 16 en 98 la croissance d emplois est galement sensible dans l audiovisuel et les m dias lectroniques mais aussi dans l industrie manufacturi re les services en t l communications devenant galement cr ateurs d emplois apr s une p riode de l g re r gression L am lioration constante de la balance commerciale fran aise du secteur dont le taux de couverture est aujourd hui d environ 90 contre seulement 70 en 1993 t moigne des progr s r alis s par cette industrie en terme de comp titivit Cette situation est encore consolider Pour ce faire il convient de souligner le r le central jou par la recherche et d veloppement dans la dynamique de croissance et de concurrence de ce secteur Les d penses de R amp D y repr
426. nger l horizon de r flexion et se projeter collectivement et de fa on contradictoire dans une d marche d anticipation prospective Cet autre volet d un tel travail est souvent ignor ou minimis Pourtant il a t consid r comme prioritaire dans des tudes quivalentes conduites dans d autres pays Nous souhaitons pour notre part insister sur cet aspect en l illustrant par le souhait explicitement exprim par certains des experts mobilis s d sireux que l exercice ne s arr te pas l mais acquiert au contraire une forme de continuit dans le temps La question de la p rennisation de la d marche a ainsi t clairement pos e Nous souhaitons pour terminer remercier tr s chaleureusement l ensemble de tous ceux qui directement ou plus indirectement ont contribu ce travail et qui par leurs connaissances leur int r t pour la d marche et leur chaleur humaine ont permis de mener bien cet exercice Nous y avons vu la confirmation que derri re les technologies c est avant tout les hommes et les femmes qui sont l uvre et pour notre part nous ne pouvons que nous en f liciter Page 283 Annexes Recommandations du Comit de pilotage Page 284 Annexes 1 Am liorer la position industrielle et commerciale de la France La comparaison entre les positions scientifiques et techniques et les positions industrielles et commerciales montre entre autres la difficul
427. ni re de produire de distribuer et de consommer les richesses qui sont impuls es par la diffusion des technologies de l information dont Internet ne constitue qu un des aspects Les diff rentes composantes de la cha ne de valeur des entreprises se trouvent affect es par cette r volution technologique L activit productive au sens troit du terme est profond ment transform e par la diffusion des biens d quipement programmables la productique qui trouve son aboutissement dans les syst mes de production int gr s qui permettent de concilier productivit et flexibilit Les fonctions tertiaires ont t r volutionn es par la diffusion de la bureautique et de l informatique de gestion La possibilit de constituer des m gabases de donn es commerciales participe la red finition des politiques marketing marketing relationnel et au renouvellement des modalit s d articulation entre l offre et la demande personnalisation En rendant possible une connaissance beaucoup plus fine des conditions de la demande par les entreprises et des conditions de l offre par les acheteurs les technologies de l information permettent un ajustement qualitatif plus fin entre l offre et la demande et constituent ainsi un puissant facteur de stimulation de la consommation Les technologies de l information ont galement r volutionn la gestion de la cha ne logistique invitant les entreprises penser l orga
428. nique l exploitation des donn es les technologies d analyse des besoins du comportement et des habitudes de consommation et les proc d s d identification Les technologies de process doivent galement tre prises en compte avec des implications en mati re de composants d organisation des ateliers des flux logistiques des tiquettes intelligentes de Page 139 Le contexte par grands domaines l ing nierie concourante Ces questions sont abord es dans le chapitre relatif aux technologies et m thodes de conception production gestion Enfin la m trologie sensorielle qui permet de mesurer la perception des consommateurs reste un enjeu fort comme outil de technique marketing car elle ouvre la voie un design d passant le seul registre visuel pour s tendre aux autres dimensions sensorielles design sonore design olfactif design du toucher claquement d une porti re le go t d un rouge l vre le toucher d une poign e de porte Design sensoriel y compris la m trologie sensorielle Il s agit de corr ler ces sensations avec des propri t s physiques mesurables sur le produit fini en cours de fabrication ou la conception Cela permet d s la conception d adapter les caract ristiques sensorielles des produits aux go ts des consommateurs et de contr ler la qualit des produits fabriqu s Le traitement de l information Un des enjeux marketing de ces prochaines ann es sera le d vel
429. nisation de leurs processus de production de mani re globale et rationaliser la gestion des interfaces entre op rations et entre fonctions L intrusion des technologies de l information tous les niveaux de l entreprise a constitu un facteur d cisif de r orientation des logiques productives vers l aval et qui semble d boucher aujourd hui vers un mod le de production de masse individualis e conforme l volution des comportements de consommation Cette intrusion a galement contribu transformer en profondeur l organisation du travail dans les entreprises En rendant possible la suppression de nombre de t ches l mentaires les technologies de l information ont activement particip au mouvement d l vation du niveau moyen de qualification de la main d uvre En facilitant le partage de l information et en rendant possibles de nouveaux m canismes de coordination elles ont favoris la transformation des structures organisationnelles en faveur d une plus grande d centralisation et du d veloppement de la coordination horizontale La mise en uvre des strat gies de globalisation par les firmes multinationales qui consistent organiser une division internationale du travail entre les unit s de la firme travers le monde aurait t difficilement concevable sans les nouveaux moyens de coordination offerts par les technologies de l information Les technologies de l information ont galement contr
430. noTechnologie Analyse int gr e du transcriptome T l m decine Surveillance de l eau potable Surveillance de l air __ Surveillance de la cha ne agro alimentaire Int gration de m thodes miniaturis es de production de pr paration et d analyse Stabilisation et dur e de vie Biocompatibililt Validation test Page 261 CM International Fiches synth tiques Transport A ronautique Fiches synth tiques 93 Architecture lectrique Les architectures lectriques assurent la r gulation de la distribution de la puissance lectrique pour garantir la bonne marche des diverses fonctionnalit s embarqu es bord des v hicules Elles sont de plus en v hicules int gre aujourd hui des d marches d analyse des architectures lectriques des fins de NOUS co ts et d optimisation des Technologie mergence croissance Hate syst mes embarqu s ce qui remet d ailleurs en cause tout le syst me de relations des constructeurs avec leurs sous traitants _ L enjeu majeur de cette technologie est de r pondre une augmentation Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation des besoins lectriques embarqu s pour satisfaire des prestations nouvelles direction lectrique lectrification des fonctions tout en r duisant les co ts des composants l analyse du march europ en montre POS
431. novation technologique doit rassurer L innovation technologique un crit re d achat qui n est pas essentiel La perception de l innovation technologique qu ont les consommateurs fran ais s av re assez mitig e Un bon tiers d entre eux se disent attir s par l innovation 38 jugent attractifs les produits comportant une innovation technologique Le m me constat s observe en Europe m me si nos voisins semblent accorder plus d importance l innovation Parmi les crit res incitatifs l achat d un produit celui concernant l innovation technologique n est pas essentiel pour les consommateurs europ ens Ils sont 45 pour les Britanniques 46 pour les Allemands et 57 pour les Italiens se d clarer sensibles l innovation technologique L importance accord e au crit re innovation technologique s explique surtout par un effet d ge dans chacun des pays tudi s En France il est galement corr l un effet statut social les produits forte innovation technologique entra nant une distinction sociale marqu e Un besoin de rassurance par rapport l innovation technologique Ce penchant pour l innovation s exprime cependant des degr s divers dans les intentions d y c der Certes 34 des Fran ais accepteraient de payer plus cher un produit innovant n anmoins 24 seulement se disent tent s de remplacer un quipement existant par un produit de m me t
432. ns comme r cemment la pastille verte ou encore l quipement des v hicules d un pot catalytique un sondage BVA effectu en d cembre 1997 montrait que 74 des fran ais seraient pr ts payer plus cher une voiture moins polluante afin d am liorer la qualit de l air Au del rappelons que cette demande de suivi de la pollution est aujourd hui largement relay e par les pouvoirs publics via la loi sur l air par exemple Cette peur de la pollution se traduit principalement aujourd hui par des demandes de contr les accrus dans tous les domaines de pollution ventuelle et par des exigences de plus en plus marqu es de lutte contre la pollution principalement de l eau et de P air Dans ce contexte l ensemble des outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires apparaissent cl s certains parleront de la priorit du management de l environnement par rapport aux besoins d am lioration des traitements de la pollution Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires Notons que ces demandes sont aussi celles des industriels dont le souci est aujourd hui de rationaliser leurs investissements et de valider les actions entreprendre dans le cadre des contraintes r glementaires La demande de sant et la recherche de naturalit Les crises alimentaires en particulier celle de la vache folle l arriv e des OGM Organismes G n tiquement Mo
433. ns optimales de co ts L int gration d l ments de contr le d une optique modulable zoom mise au point pour fournir un dispositif de capture d image totalement int gr est galement un enjeu important Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous capteurs intelligents Exemples de secteur d application Exemples d usage D fense Communication Loisirs Spatial Webcam webphone Camescopes analogiques et num riques Senseur cam ra appareil photo Robotique mobile en milieu hostile Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Ergonomie de l interface homme machine Outils de sant la disposition des consommateurs DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence naissance POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Maturit G n ralisation forte POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL moyenne faible fibe Inexistante Inexistante Acquisition d images Surveillance Technologie Capteurs de vision ou capteurs d image CCD ou CMOS forte moyenne moyenne forte Points technologiques critiques Techno logicielles pour le transport de donn es compression d images Micro lectronique silicium Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu analyse d image reconnaissance des formes Int gratio
434. ns technologiques en cours instruments de communication avec l ext rieur instruments de navigation instruments de diagnostic embarqu nouveaux moyens de propulsion comme les piles combustibles Les probl mes de volume de poids de compatibilit notamment lectromagn tique entre tous ces instruments ou composants des v hicules constituent des obstacles au d veloppement de nouveaux v hicules et surtout leur d veloppement en s rie Infrastructures terrestres maritimes ou a riennes les espaces routiers a riens ou encore maritimes connaissent un encombrement croissant L augmentation des volumes de marchandises chang s dans le monde l accroissement des d placements des individus exigent aujourd hui une gestion de plus en plus fine et pr cise de l espace on pourrait dire galement du temps c est dire des cr neaux horaires Les infrastructures routes a roports ports fonctionnent d j pour certaines comme des r ceptacles d une information qui servira mieux g rer la circulation et viter les accidents ou encombrements Par ailleurs des enjeux environnementaux non n gligeables sont consid rer l encombrement des infrastructures a des effets secondaires n gatifs importants en termes de pollution de l environnement Les enjeux logistiques relatifs une utilisation optimale des infrastructures sont par cons quent non n gligeables Parmi les solutions envisag es l interm
435. ns une logique de d veloppement durable EE Elimination des m taux lourds dans les boues et effluents IAA Greffe d organe BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique TAE Pile combustible Am lioration des performances d nergie d ensemble Moteurs thermiques MC Elaboration de composites matrice organique IAA Criblage de mol cules actives IAA Clonage des animaux CPG Outils d aide la gestion de la relation client EE Microturbine BSC Les m thodes de marketing li es l utilisation des NTIC Les outils de sant la disposition des consommateurs NTIC Ing nierie linguistique et technologies vocales Technologies de boucle locale S curit Cryptologie Mesures et tests de syst mes Int gration d applications langage XML et autres langages volu s EE Supraconducteurs CPG Multi repr sentation MC Ing nierie des surfaces IAA D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM GMCAO Tra abilit EE D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique NTIC S curit Cryptologie NTIC Equipem
436. nt encore r pressives et r actives Par ailleurs si la probl matique environnementale touche tous les secteurs certains sont plus sensibles que d autres tels la sant l alimentaire au sens large du terme agriculture et agro industries le transport l nergie 28 Source CREDOC 1999 Page 111 Le contexte par grands domaines Les principaux enjeux dans le domaine de l Environnement L analyse de la demande soci tale et industrielle d une part et la prise en compte des opportunit s li es aux d veloppements d offres technologiques d autre part permet de distinguer deux enjeux principaux en mati re d environnement pour les ann es venir la protection du citoyen et l optimisation de la gestion des d chets Prot ger le citoyen La demande de sant et la peur de la pollution La sensibilit la pollution et ses effets sur la sant a fortement augment chez les fran ais avec en particulier les grands d bats en mati re de Sant Publique amiante dans les b timents plomb dans l eau effets de la pollution atmosph rique sur la sant Pr s d un fran ais sur deux se dit directement touch dans sa sant ou dans celle de ses proches par la pollution atmosph rique Cette sensibilit s est de plus accrue avec la diffusion des r sultats de contr les de l air depuis 1995 D ailleurs un certain nombre d actions ont t relativement bien accept es par les citoye
437. nt les taux d erreur sur les bits ou sur les blocs l int grit du service interruption et dur e entre les interruptions la s curit la capacit d coulement du trafic Le pluralisme des architectures de r seaux initialement plut t d di es aux t l communications ou l informatique a entra n des difficult s d exploitation en particulier pour les forts trafics sporadiques n cessitant des temps de r ponse brefs De plus ces derni res ann es ont vu prolif rer des normes de fait bien avant que les organisations de normalisation aient pu parvenir d finir une norme internationale ou en pr ciser les r gles d emploi A partir de protocoles qui en g n ral travaillent en trois phases tablissement transfert de donn es et lib ration l objectif reste la fourniture d un service fiable orient connexion de bout en bout sur des couches r seau pouvant perdre retarder ou dupliquer les paquets de donn es ou datagramme Certaines fonctions de stockage tant int gr es au r seau il est de la plus haute importance de contribuer l am lioration voire l harmonisation des aspects transport et routage contr le des flux correction d erreur longueur des en t tes Si d ores et d j un service de voix sur IP version 4 peut tre propos sur des Intranet o la notion de d bit garanti est envisageable par allocation de ressources il faudra certainement passer IP version 6
438. nt par le capital d amor age dans la dynamique du secteur des TIC doit tre soulign les march s de capitaux principalement le NASDAQ jouant en aval un r le compl mentaire dans le financement des hautes technologies Le secteur des TIC attire plus de 60 des investissements internet en repr sentant une part croissante Les start up du secteur jouent un r le d terminant dans la valorisation des r sultats de recherche Elles sont en effet l origine d une partie importante de l innovation et si elles ne parviennent pas tr s souvent faire des perc es fulgurantes sur les march s comme ont r ussi le faire par exemple Microsoft Intel ou Cisco elles n en sont pas moins la cible privil gi e des grandes entreprises pour acqu rir rapidement les moyens de leur innovation Dans ce contexte la valorisation boursi re appara t comme une enjeu technologique cl pour les grandes entreprises puisqu un niveau lev leur permet d acqu rir facilement les technologies qui leur font d faut en rachetant des start up 2 2 A la recherche des technologies cl s S1 l innovation technologique est un des moteurs essentiels de la croissance du secteur des TIC elle ne saurait se r duire la ma trise d un nombre limit de technologies dites cl s la ma trise de ces technologies ne saurait garantir une place significative sur les nouveaux march s d un point de vue technologique la capacit int grer diff re
439. nt qualifi es de carrefour en ce sens qu elles int grent et combinent de multiples autres technologies et qu en retour elles irradient et diffusent vers de nombreuses autres en les hybridant leur tour D une certaine fa on certains pourront voir dans cette volution un changement de paradigme Les secteurs d activit se refondent en mobilisant des recombinaisons nouvelles de technologies au service d offres de plus en plus complexes tout en restant coh rentes Car l exigence de simplicit d utilisation des objets et des services s accompagne en fait d une sophistication et d une complexification accrues des syst mes technologiques sous jacents En outre les technologies sont plus facilement accessibles sur le march mondial et leur dimension empirique est de mieux en mieux comprise et expliqu e scientifiquement Elles peuvent donc tre plus facilement hybrid es pour g n rer une plus grande vari t d applications dans d autres champs et cela d autant plus que le contexte concurrentiel pousse de telles d multiplications Les syst mes d innovation de notre pays et de l Europe se sont ainsi largement ouverts et certaines technologies comme les TIC ont forc le passage diffusant dans la quasi totalit des autres champs de la technique Les technologies continuent donc bien constituer une des cl s du d veloppement conomique et de la comp titivit mais au moins autant travers leurs interd pendances
440. ntes surfaces sensibles pour la photographie explosifs Ces produits sont largement diffus s dans tous les secteurs industriels et aupr s du grand public L industrie chimique fran aise y compris la pharmacie se situe au quatri me rang dans le monde apr s celle des Etats Unis du Japon et de l Allemagne Avec 55 de ventes r alis es destination des march s trangers la France est le troisi me exportateur mondial de produits chimiques et pharmaceutiques apr s l Allemagne et les Etats Unis En 1998 l industrie chimique fran aise a t le deuxi me secteur industriel contribuant l exc dent de la balance commerciale de la France Avec pr s de 40 milliards d euros d exportations pour 32 milliards d euros d importations elle pr sente un solde positif de 8 milliards d euros L exc dent du commerce ext rieur de l industrie chimique fran aise en francs courants a augment de 106 entre 1985 et 1998 L industrie chimique joue un r le pivot dans l conomie fran aise d apr s les chiffres de 1 UIC pour l ann e 1998 elle est le deuxi me secteur industriel par l importance de son chiffre d affaires elle emploie 8 de la main d uvre travaillant dans toute l industrie elle repr sente 16 de la valeur ajout e de l industrie nationale ses investissements atteignent 18 de l ensemble des investissements industriels ses d penses de recherche repr sentent 18 de celles effectu es p
441. ntes technologies dans des syst mes complexes repr sente souvent un enjeu sup rieur la ma trise d une technologie aussi importante soit elle la dur e des cycles de mise sur le march descendant en dessous de l ann e la capacit d anticipation des volutions technologiques et la rapidit de mise sur le march sont galement des facteurs cl s ainsi que plus largement la r activit de l entreprise depuis les processus de d tection de nouveaux march s et de R amp D jusqu la distribution des produits ou services Par ailleurs s il est possible d valuer certains enjeux technologiques avec une fiabilit raisonnable la rapidit d volution des positions technologiques et industrielles dans le domaines des TIC doit conduire une grande prudence vis vis de ce type d exercice prospectif pour m moire l tude Page 67 Le contexte par grands domaines pr c dente couvrant la p riode 1995 2000 n avait pas d cel le ph nom ne majeur de cette p riode savoir l explosion des technologies et des usages de l Internet A Le logiciel Les logiciels jouent un r le croissant dans l conomie et la soci t et tout laisse pr voir une prolongation de cette tendance avec un taux de croissance de l ordre de 15 au cours des derni res ann es source IDC le poids relatif de l industrie du logiciel dans l conomie ne cesse d augmenter le logiciel est une composante essentiell
442. nts technologiques critiques scientifiques d application concern s Transports Maintenance pr dictive Mesure d tection Capteurs Miniaturisation Physique et Chimie Pilotage et navigation intelligents Pr cision fid lit reproductibilit de la mesure chimie toutes Sant Mesures de distances et positionnement Traitement du Vitesse de mesure branches dont Spatial Mesure du niveau de pollution signal Fiabilit rel vent les D fense Contr le et diagnostic d tection de dysfonctionnement Auto test auto R sistance des conditions extr mes ph nom nes M t orologie ABS Air Bag anticollision calibration engendr es par les proc d s temp rature mesur s par les Environ Hypovigilance Calcul pression choc encrassement capteurs nement Exploitation Identification Contraintes industrielles Assurances Ma trise des proc d s Capacit de Autonomie Physique des Logistique Contr le en ligne et r gulation communication mat riaux et des Nucl aire R ception et classement des r coltes Capacit traiter et Traitement lectronique semi conducteurs B timent D tection et traitement des odeurs int grer des donn es Fibres optiques M canique Industrie en Reconnaissance vocale multiples et Microm canique Optique g n ral T l surveillance des syst mes productifs h t rog nes Fluidique Electronique Int gration au sein Informatique R seau domestique num rique de syst mes Techno logic
443. nues Favoriser les partenariats entre concepteurs et utilisateurs ainsi que la cr ation de start ups POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL partir de laboratoires pourrait contribuer multiplier les applications et d velopper l offre France forte moyenne faible _ inexistante Liens prototypage rapide Europe forte moyenne faible _ inexistante Exemple de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s M canique de petite s rie Prototypes Fabrication en petites M tallurgie des poudres Apport de mati res M tallurgie Outillage pr s rie s ries partir de Laser Apport local d nergie Optique laser Moules mod les num riques Electroplastie Probl mes des pi ces de Thermodynamique Pi ces m caniques Compression isostatique grande dimension Diagramme de phases sp ciales chaud Pr cision dimensionnelle Production Collage frittage Page 209 gt CM International 45 Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Logiciels et bases de donn es contribuent l optimisation de la conception et l volution vers la conception int gr e Pour DEGRE DE DEVELOPPEMENT concevoir des pi ces d finir les appareillages n cessaires leur mise
444. odalit ou le transfert d une cargaison d une structure de transport une autre durant le transport rencontre par exemple des difficult s majeures les ruptures de charge sont encore loin d tre ma tris es Le r ve de faire passer un container d un bateau un train puis un camion n est pas encore r alis L optimisation de l utilisation des diff rentes structures disponibles reste cependant une solution v ritable du d sencombrement de certaines infrastructures on pensera aux tunnels transfrontaliers par exemple La liaison v hicule infrastructure la multiplication des communications intelligentes et des liens entre les v hicules et les infrastructures qu ils utilisent ainsi que des sources d information diverses telles que les conditions m t orologiques ou de pollution de l environnement est un enjeu majeur des ann es venir C est la gestion de l espace des fr quences disponibles qui est ici en cause Ainsi pourra t on optimiser les conditions de circulation et l utilisation des infrastructures routes alternatives adaptation de la vitesse aux conditions externes localiser un v hicule en panne ou chacun des camions d une flotte Dans une certaine mesure les transports a rien et maritime ob issent d j ces principes Page 128 Le contexte par grands domaines R pondre une demande croissante Une mobilit des personnes accrue L accroissement de la
445. ogiques r pond cette attente les autres produits alimentaires ne d rogent pas la r gle Ceci suppose donc des progr s en analyse sensorielle La personnalisation du rapport l alimentation Nos modes de vie ont chang ces derni res d cennies et demandent une modification des usages alimentaires Les aliments doivent tre facilement utilisables et r pondre aux diff rents besoins m nage mononucl aire mobilit importante journ e clat e Un ensemble de produits est donc n cessaire comme les pr ts cuire les conditionnements individuels Dans ce contexte un certain nombre de technologies apparaissent importantes et ont un impact sur l ensemble de la fili re agro alimentaire comme le montre le sch ma ci dessous Page 122 Le contexte par grands domaines Agriculteurs Industries alimentaires Distributeurs Consommateurs lt lt Microbiologie pr visionnelle m gt q 7 Tra abilit logistique gt Production ne Fabrication Commer Consom de plantes et 2 Re on des aliments cialisation mation d animaux Aides technologiques additifs produits interm diaires 5 Conception hygi nique des usines 6 Marquage 4 Conception assist e des aliments m tabolique 2 Technologies douces 3 Capteurs 1 Transg n se am lioration de la qualit
446. ologies de l Information et Communication Mat riaux Chimie Construction Infrastructure Energie Environnement Technologies du Vivant Sant Agroalimentaire Transport A ronautique Biens et services de consommation Technologies et M thodes de Conception Gestion Production Deux Troisi me partie Pr sentation des Technologies cl s 2005 e Liste des Technologies cl s 2005 e Fiches de synth se Conclusions Annexes e Bibliographie e Liste des contributeurs au projet Comit de Pilotage Groupes de travail e Rappel de la liste des Technologies cl s 2000 e Th saurus Page 9 Introduction I Introduction 1 1 Dynamique des technologies Innovation et Prospective 1 2 Les grandes tendances de la demande 1 3 La nouvelle conomie de quoi parle t on I 4 Technologies cl s 2005 face aux autres exercices de prospective technologique I 5 Caract risation des technologies cl s retenues 1 6 M thodologie de l tude Page 10 Introduction I 1 Dynamique des technologies Innovation et Prospective Page 11 Introduction La technologie est devenue au cours du XX me si cle un des ressorts essentiels du d veloppement de nos soci t s Depuis longtemps d j l innovation et l volution des techniques ont affect la vie des entreprises La prise de conscience des enjeux du changement technique et de leurs cons quences sur la vie des organisations e
447. ologiques critiques gt d application concern s Grand Distribution de vid o Interconnexion via R seau Communications sans fil domestiques Bluetooth Home RF IEEE 802 11 T lecom public TV travers la maison Internet des appareils domestique DECT etc munications Domotique T l surveillance s curit domestiques TV et num rique Infrarouge Traitement du Sant Contr le domotique et p riph riques PC et Courants porteurs signal commande distance p riph riques appareils Bus haut d bit IEEE 1394 firewire etc Technologie et d appareils domestiques m nagers Adressage des appareils domestiques IP IPv6 composants Appareils domestiques Commande Techno logicielles de l informatique distribu e agents protocoles HAVI hyperfr quence intelligents t l commande simple JINI Informatique Commerce lectronique Interactivit Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint logicielle Outils de sant la disposition du consommateur Passerelle unique vis a vis des r seaux IP tr s haut d bit externes passerelle d codeur Set Top Box etc Techno logicielles de la langue et de la parole commande vocale Techno logicielles pour le transport de donn es Objets communicants autonomes Transmission temps r el de contenus multim dia Capteurs intelligents Ergonomie de l interface homme machine Page 177 CM International
448. om trique la salubrit poussi re germes et la consommation d nergie par Technologie mergence croissance maturit am lioration du rendement nerg tique des syst mes de climatisation de ventilation et de chauffage Applications industrielles et commerciales naissance L diffusion g n ralisation La ma trise du taux de CO est une contrainte importante en particulier dans les pays d velopp s Au del du choix des mat riaux de construction la gestion de l air fait appel des Technologie li es aux capteurs intelligents la m trologie la filtration ou encore l pid miologie France forte L moyenne faible inexistante Liens Europe forte O moyenne faible inexistante conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable filtration membranaire POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL biopuces et biocapteurs capteurs intelligents France forte C moyenne faible _ inexistante fluides frigorig nes haute qualit environnementale Europe forte L moyenne faible inexistante Exemples 4 e secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Donn es sdentnques d application concern s Secteur tertiaire Am lioration de la La gestion de M trologie et interface Syst mes Thermodynamique B timent qualit des structu
449. ombreux les enjeux conomiques sont importants en cas de succ s de la technologie le march mondial pourrait atteindre Europe forte moyenne faible inexistante quelques milliards d Euro en 2020 POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante HRnpe de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Sant Cancer Th rapie Th rapie g nique Expression des g nes Biologie cellulaire Maladies g n tiques Soins des maladies Vecteurs Cultures de cellules diverses g n tiques et acquises Production industrielle Vectorologie G n tique Page 249 gt CM International 81 Clonage des animaux Le clonage est une technique de reproduction asexu e d un organisme partir de ses cellules ins r es dans un ovule dont le DEGRE DE DEVELOPPEMENT noyau a t supprim Le clonage des animaux est aujourd hui globalement ma tris mais des incertitudes scientifiques persistent Technologie mergence croissance maturit en ce qui concerne en particulier la culture de cellules et le transfert de noyau L enjeu du clonage est de permettre des progr s Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation en particulie
450. omme Technologie mergence CrOISSANCE maturit Les divers champs se rattachent deux grandes cat gories concernant l adaptabilit et l acceptabilit humaines Eux m mes se divisent en Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation domaines dont on peut pr senter les enjeux et les disciplines qui s y rattachent la g n tique de l objet en conception psycho design la conception des aspects per us du produit design ergonomie et m trologie sensorielle France forte moyenne faible inexistante la conception de la signification de l usage s miotique de la conception Europe forte moyenne faible _ inexistante la psychom trie mesures physiques corr l es la perception humaine la micropsychologie de conception design et micropsychologie POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous outils de personnalisation de la relation client multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation nE France forte moyenne faible inexistante repr sentation et gestion des processus de lusine num rique Europe forte faible inexistante simulation et mod lisation du comportement humain design sensoriel Exemples de Fonction na Domaines scientifiques secteurs Exemples d usage
451. ompr hensible aux futurs utilisateurs de l information archiv e L ing nierie linguistique les travaux sur la perception des consommateurs sont des technologies qui int grent cette dimension humaine dans les processus Ing nierie linguistique et technologies vocales L on voit clairement que la prise en compte de points de vue divers implique des r flexions importantes d s l amont de la conception de produits Adapter les outils pi ces et mat riaux utilis s Les exigences de r activit de rapidit qui p sent sur les entreprises tant dans les domaines de la conception de la production que de la gestion ont videmment un impact direct sur les outils et mat riaux utilis s L utilisation accentu e des syst mes d information et le d veloppement des technologies du virtuel syst mes d information proc d s de num risation permettent d envisager aujourd hui des proc d s de conception largement num ris s des outils de production automatis s une gestion plus fluide et r active des entreprises Conception la repr sentation de plus en plus fiable et compl te des objets permet aux concepteurs d envisager num riquement l ensemble des propri t s d un produit Prototypage rapide Simulation num rique des proc d s Le prototypage rapide volue ainsi vers la cr ation simultan e d outils et outillages adapt s tr s proches de la pr s rie pour certaines industries La reconnaissance de
452. ompris en mobilisant des partenariats externes et d la prise en compte des implications sociales et organisationnelles de l innovation et donc de l inertie voire des oppositions que peut susciter tout changement non ou mal pr par Ainsi se pr occuper de technologies pour l industrie c est se poser une s rie de questions concr tes quelles technologies ma triser Quels changements technologiques op rer dans le temps face la concurrence Comment acc der aux comp tences et en particulier aux savoirs et savoir faire techniques qui nous font d faut Comment renforcer la capacit d innovation de nos organisations Comment et suivant quels crit res s lectionner les projets d innovation Page 13 Introduction En cela le th me de la technologie et de l innovation traverse nombre des probl matiques d entreprise que ce soit la strat gie avec les choix de technologies ou la gestion des comp tences dites cl s l organisation avec les articulations entre innovation et d veloppement organisationnel le droit avec la protection de l innovation et la propri t industrielle mais aussi la gestion de projet ou encore la gestion des op rations et plus particuli rement la gestion de production y compris de la cha ne logistique L importance de l volution technologique ne provient en fait pas seulement de l int r t intrins que qu il y a tudier la dynamique des technologies et les caract ristiques propres d
453. on performances optimis es CPG Prototypage rapide IAA GMCAO TAE Am lioration des performances d nergie d ensemble MC Catalyseurs IAA Transg n se Th rapie g nique Criblage de mol cules actives Ing nierie des prot ines Biopuces IAA Transg n se D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM NTIC G nie logiciel et mod les de composants logiciels Agents IAA Th rapie g nique CIH Syst mes performants pour enveloppe de b timents Global Positionning System TAE V hicule intelligent et communicant AA Organes bio artificiels Greffe d organe EE La gestion de l air dans les b timents TAE Ergonomie de l interface homme machine AA Criblage de mol cules actives MC Techniques de synth se et de test haut d bit NTIC Micro lectronique IH V Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit R seau domestique num rique MC Mat riaux pour proc d s en milieux extr mes TAE Pile combustible BSC Les tiquettes les identifiants intelligents Objets communicants autonomes NTIC Objets communicants et autonomes S curit Cryptologie CPG T l surveillance de syst me productif distance IAA GMCAO CIH Off shore grands fonds BSC L offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle N
454. on gestion au sens apr s vente recyclage ou destruction des produits sont d sormais de plus en plus int gr es L adaptation une demande plus volatile personnelle et exigeante qui passe par une meilleure compr hension du comportement humain face au produit mais galement au poste de travail des r glementations de plus en plus s curitaires ainsi que la prise en compte de pr occupations environnementales et sociales de divers ordres requi rent en effet une interaction et une coordination permanentes de divers m tiers et acteurs au sein des entreprises incluant les partenaires les prestataires les fournisseurs et les clients Ces volutions se doublent de d veloppements technologiques consid rables notamment dans les domaines de la communication et de la gestion de l information et vont tout naturellement amener les entreprises repenser leurs organisations Il s agit de concevoir au plus pr s de la demande de produire de fa on r active et de g rer des quantit s d informations croissantes Ces enjeux mobilisent des technologies dites molles qui rel vent pour une large part des sciences sociales et de gestion Mais les besoins et les implications conomiques sont consid rables Le domaine conception production gestion couvre l ensemble des technologies et des m thodes relatives aux processus organisationnels internes ou externes des entreprises Le champ tudi est donc consid rable Il es
455. on rendement nerg tique clairage la maintenance et ventuellement pour certains le recyclage Ce besoin se traduit par le d veloppement d outils d valuation du co t global d un projet mais galement par la conception d s l origine des modalit s de maintenance gestion du b timent distance ou a contrario quipements faible contenu technologique mais tr s faciles entretenir A l extr me le b timent pourrait devenir autonome et produire lui m me l nergie dont il a besoin gr ce la miniaturisation des piles combustibles traiter ses effluents surveiller ses besoins de maintenance gr ce des capteurs et des techniques de type scanner Pile combustible Capteurs intelligents La poursuite de la prise en compte des enjeux de s curit Le mouvement d ensemble des r glementations de s curit tant dans le domaine du risque incendie que dans celui de la pr vention de l impact des catastrophes naturelles tremblements de terres temp tes favorisera le d veloppement d outils nouveaux d ing nierie et de simulation Ces outils A Maugard CSTB 1998 3 Ainsi le Stade de France est il dot d un syst me d auscultation par cordes optiques qui permet d enregistrer les contraintes subies par la structure et de t l surveiller l ouvrage partir d une visualisation en temps r el des mouvements des t tes des poteaux Page 97 Le contexte par grands
456. on d une demande nouvelle Le vieillissement de la population coupl avec l allongement de la dur e de la vie a peu peu augment le poids des seniors dans la soci t En 1998 ceux ci constituent 20 4 de la population totale En 2020 les plus de 60 ans p seront pour plus d un quart dans la population totale 26 8 De plus alors qu aujourd hui les plus de 75 ans ne repr sentent qu peine un quart des plus de soixante ans ils constitueront pr s de la moiti de cette population l horizon 2050 La population vieillit et avec elle la population g e vieillit galement Auparavant les espaces urbains et architecturaux taient dessin s pour les personnes en pleine possession de leurs moyens puis modifi s pour int grer les besoins des personnes mobilit r duite L volution d mographique entra nera un changement de la structure spatiale de pans entiers de la soci t Ainsi devrait on voir se d velopper des unit s de semi prise en charge studio ou deux pi ces pour la personne g e seule ou en couple dans un ensemble proposant diff rents services L utilisation de syst mes d informations de guidage de d placement dans la cit comme dans l habitat dot s d interfaces accessibles aux seniors devrait se propager L interp n tration de la sph re du domicile et de la sph re du travail Les nouveaux modes de vie combinant vie professionnelle et vie personnelle modifient les rapports
457. on environnement Pour g rer l information que g n rent ces activit s de veille des d veloppements de bases de donn es actives sont n cessaires La cr ation puis la gestion de ces bases de donn es dans des environnements technologiques volutifs sont des probl matiques technologiques extr mement importantes puisqu elles peuvent avoir un impact non n gligeable sur la gestion de l information et sa r partition entre les acteurs de l entreprise comme avec ses partenaires Au del des bases de donn es les outils de reporting comme les outils d aide la d cision tableaux de bord d cisionnels sont importants Capitalisation des connaissances la notion de capitalisation qui conna t des d nominations diverses knowledge management gestion des comp tences cl s regroupe en fait deux probl matiques Que capitalise t on L information sur laquelle on capitalise s appellera alors r gles m tiers manuels ou processus organisationnels C est en fait toute la question du recensement et de la description des comp tences cl s de l entreprise qui est pos e ici Comment capitalise t on L ing nierie de l information entre informatique et documentation permet de r fl chir des services d information qui donneront l utilisateur la capacit de comprendre les informations qu il manipule ainsi que les traitements qu il leur applique Dans ce cadre l ing nierie linguistique peut jo
458. on remplie Technologie Points technologiques critiques distribution d alimentation et de signaux dissipation thermique protection m canique thermique Composants d interconnexion et d interface Proc d s de fabrication CAO Tests R alisation du substrat et du bo tier Report et assemblage des concern s Mat riaux Optique Hyperfr quence Chimie et physico chimie m canique interface avec l ext rieur composants Mat riaux de brassage Connectique optique et hyperfr quence Page 161 8 Capteurs de vision ou capteurs d imag La disponibilit nouvelle du traitement num rique de l image et notamment de sa compression ouvre de nouveaux march s de masse gt 1 unit individu pour les syst mes de prises de vue t l phone portable visio conf rences surveillance webcams etc Ces capteurs s appuient sur deux technologies principales CCD qualit d image lev e et CMOS facilit de mise en uvre Les am liorations technologiques de base portent sur les caract ristiques des capteurs d finition nombre de couleurs sensibilit bruit Par ailleurs l am lioration des proc d s de fabrication doit permettre d abaisser les co ts En compl ment du dispositif de base et ce particuli rement pour les imageurs CMOS il s agit de d velopper sur la m me puce les unit s d interface de traitement vid o et de compression d image toujours dans des conditio
459. onc de lib rer l individu des contraintes physiques en lui permettant d voluer dans un monde semi virtuel sans bureau ni horaires fixes en mobilit potentielle apparente tout en restant reli Les quipements en t l phonie mobile se diffusent la tendance est l am lioration de la qualit et la diminution des co ts Le march des moyens de localisation et de navigation embarqu s devrait se d velopper Le d veloppement du commerce lectronique est la manifestation la plus forte de cette envie d imm diatet et de neutralisation des distances Les pr visions le concernant font tat d un v ritable d collage du march Le commerce lectronique pour le grand public d pend du taux d quipement des m nages et correspond aujourd hui majoritairement du commerce de loisirs La demande de personnalisation devrait pousser les services de commandes de sur mesure La croissance des transactions d pendra de la confiance des consommateurs dans la s curit des transactions en ligne Page 60 Le contexte par grands domaines B Le d veloppement de la demande en loisirs En mati re de consommation les attentes des Fran ais tendent de plus en plus vers la personnalisation Ainsi aux loisirs collectifs viennent s ajouter des loisirs personnalis s s adressant aussi bien aux foyers qu aux individus La multiplication des contenus th matiques permet la personnalisation croissante de l offre Ces lo
460. onibles va croissant avec la taille des bases de donn es Les outils d aide la cr ativit Outils d aide la cr ativit de capitalisation des connaissances les syst mes d aide la d cision ou de gestion int gr e voluent avec le d veloppement de logiciels de plus en plus intelligents permettant une utilisation plus efficace de l information r pondant des besoins clairement exprim s a priori La gestion des r gles m tier donne un bon exemple des difficult s r soudre Formalisation et gestion des r gles m tiers Ainsi le travail de formalisation d finition du besoin sur quoi va t on capitaliser et sous quelle forme et de gestion des r gles qui s en occupe comment voluent elles est Page 148 Le contexte par grands domaines consid rable avec un paradoxe surmonter la pr servation des savoir faire dans le temps tout en vitant les risques d obsolescence d une partie des donn es Moyens de communication des informations l interfa age des syst mes est le principal verrou au partage des informations Les donn es h t rog nes int grer sont en effet bien souvent issues de diff rents types de sources diff rents syst mes de gestion diff rentes configurations informatiques diff rents formats des donn es Les r glementations et protocoles informatiques en cours de d finition sont un l ment de r solution des difficult s techniques Il reste que la
461. onsommation et Modes de vie n 124 Derhy 1995 Les fusions et acquisitions en France de 1959 1962 volution et caract ristiques Revue d Economie Industrielle n 73 3e trim pp 19 43 Desessard Jean Fran ois mai 1998 Technologies Internationales Prouesses techniques pour une architecture audacieuse n 44 Durand Thomas 1996 National Management of Technology and Innovation Integrating the Firm s Perspective into Government Policies in Strategic Integration edited by H Thomas and D O Neal John Wiley amp Sons Ltd 1996 Durand Thomas 1992 Dual Technological Trees Assessing the Intensity and Strategic Significance of Technological Change Research Policy July 92 Durand Thomas 1999 Innovation Trajectoire Technologique Ressources Technologiques D couverte Invention Strat gie technologique Chapitres et sections de d finition Encyclop die de Gestion et de Management dirig e par Robert Le Duff Dalloz Financial Times 10 septembre 1999 nconspicuous Consumption Freeman C Perez C 1988 Structural Crises of Adjustment Business Cycles and Investment Behavior in Dosi G Freeman C NELSON R Silverberg G and Soete L ed Technical Change and Economic Theory Pinter Publishers London amp New York pp 38 66 Freeman C Soete L december 1990 Fast Structural Change and Slow Productivity Change Some Paradoxes in the Economics of Information Technology Structur
462. opos e travers des logiques de r f rencement sites portails Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation communaut s virtuelles l interaction avec le client et donc la personnalisation de l offre et la fixation des prix Ainsi certaines entreprises ont transform leur business model en faisant voluer leur POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE c ur de m tier gr ce aux TIC Le d veloppement des techniques de Technologie mergence croissance maturit marketing se fera en parall le avec le d veloppement du commerce en France forte moyenne faible inexistante ligne qui reste aujourd hui encore frein par des probl matiques telles ue le co t et le confort d acc s aux r seaux le d veloppement z z n st i smat BE Europe forte moyenne faible inexistante d interfaces simples pour l utilisateur et les probl matiques du paiement micro paiement et de la s curit de l information L enjeu est caract ris par le d veloppement du nombre d internautes de 15 millions de 6 ans La France et l Europe en g n ral sont en retard par rapport aux Etats Unis m me si un rattrapage progressif est en cours France forte moyenne faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci DRE dessous outils de personnalisation de la re
463. oppement de la relation one to one ou encore la personnalisation de la relation client Cet enjeu implique pour les entreprises de constituer des bases de donn es de plus en plus complexes et de disposer des outils n cessaires leur maniement L exploitation marketing de l information par les industriels passe donc par une rapidit et une simplicit de traitement qui n cessite une portabilit des applications ainsi que des d bits suffisants Cet enjeu fait appel des technologies de tri de structuration et de synth se de l information Au del du simple traitement de l information les enjeux technologiques li s la recherche d information travers les capteurs et les agents intelligents sont essentiels pour acqu rir des outils d aides la d cision et la gestion des risques Agents intelligents V ritables assistants automatiques les agents intelligents sont utilis s par exemple dans la recherche documentaire la veille technologique ou la programmation d appareils m nagers Ils peuvent servir d alerte pour des programmes informatiques des march s financiers des quipements industriels mais aussi dans le cadre de la gestion de fichiers clients Ces op rations sont possibles gr ce l int gration d un syst me de conditionnement du signal d un organe de calcul interne et d une interface de communication avec d autres l ments La s curisation des informations Le besoin de s cur
464. ort A ronautique Page 125 Le contexte par grands domaines Les probl matiques rencontr es par le domaine Transport et A ronautique sont de 3 ordres La gestion des espaces qu il s agisse d espace interne aux v hicules d espace externe infrastructures de transport et enfin espaces de fr quences afin de g rer les liaisons entre les v hicules et les infrastructures La r ponse une demande de transport de personnes et de marchandises croissante tout en respectant des contraintes environnementales fortes L adaptation des structures organisationnelles aux nouvelles exigences de march et aux nouvelles technologies disponibles Divers enjeux technologiques en d coulent certains tant d j bien connus tels que la ma trise de l nergie stockage propulsion missions post combustion d autres voyant le jour avec les nouvelles opportunit s de d veloppement technologique offertes par l volution en particulier des technologies de communication interfaces homme machine dans le cadre de l automatisation des moyens de transport architectures lectriques et lectroniques par exemple Des l ments d incertitude demeurent d une part sur les volutions logistiques induites par les volutions des march s par exemple le commerce lectronique mais galement sur un plan technique sur la rentabilit et donc les choix de solutions technologiques qui seront faits en termes de moteurs par exemp
465. ortantes et des principaux groupes d int r ts travers le pays Elle permet galement de d velopper et d entretenir tous les niveaux une culture prospective Diff rentes m thodes sont mises en uvre afin d laborer une telle vision collective La plus fr quente est la m thode des sc narii En Irlande Irlande 1998 des sc narii ont t d velopp s afin de nourrir les travaux de panels d experts Ces sc narii ont t utilis s afin de tester la pertinence des r sultats de panels sectoriels travaillant sur les technologies sp cifiques chacun Le processus d laboration de la vision a t ainsi utilis pour cadrer les panels plus que pour laborer une vision unique du futur technologique du pays En Nouvelle Z lande des sc narii tr s larges ont t construits afin de tracer une vision de l avenir du pays dans son ensemble Ils ont servi de mati re premi re au processus de d bat et de discussion large qui a pr c d l laboration de strat gies technologiques sectorielles Page 38 Introduction Une autre m thode galement utilis e consiste laborer travers un processus de type Delphi des M ga tendances qui repr sentent une vision plus ou moins partag e du contexte de d veloppement et de d ploiement de la science et de la technologie au sein de la soci t dans son ensemble Ces M ga tendances peuvent se pr senter sous la forme d affirmations telles q
466. ortantes que des l gislations ou des accords internationaux pr voient le remplacement des solvants chlor s Les techniques POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE mises en uvre permettent le nettoyage d graissage d capage France forte moyenne faible inexistante bavurage et d fluxage sans utilisation de compos s organiques volatils aussi bien en phase de pr paration des pi ces avant Europe forte moyenne faible inexistante traitement qu en phase de nettoyage apr s traitement ou utilisation L volution actuelle est la diminution des rejets La faible capacit des industriels du secteur supporter les investissements POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL n cessaires et int grer les nouvelles technologies limite les volutions Les besoins actuels sont li s l valuation du niveau des quipements et l harmonisation europ enne normalisation France forte faible inexistante Europe forte faible inexistante Exemples p secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques POS Home d application concern s M canique Lavage d graissage Am lioration de l aspect Ing nierie et Bases de donn es mat riaux Sciences des Automobile et collage adaptation au milieu et aux traitement traitements mod lisation des mat riaux Electro m nager Protection contr
467. orte moyenne faible inexistante dessous design sensoriel repr sentation de la perception du consommateur multi repr sentation des objets virtuels qualit Europe forte moyenne faible inexistante de la repr sentation Exemples de Domaines secteurs Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application concern s Tous secteurs Eviter ou g rer les situations risques Simulation Informatique appliqu e des situations Mod lisation et simulation de la Psychologie Anticiper l utilisation non conforme d un mod lisation du floues et incertaines charge d activit physique p nibilit sociologie produit comportement Mod lisation floue et cognitive complexit et des physiologie V hicules intelligents et communiquants humain dans le Techno logicielles pour la gestion des agressions de l environnement bruits Ergonomie Ergonomie de l interface homme machine poste de travail donn es et du contenu bases de polluants etc Cognition Repr sentation et gestion des processus de face au produit connaissances profil d utilisateur Divers autres points critiques relevant Informatique l usine num rique Techno logicielles de r alit virtuelle des technologies cit es ci contre et logicielle Outils d aide la cr ativit R alit virtuelle augment e voqu es par ailleurs R seaux de Simulation num rique des proc d
468. ose la question de la mise en place d un processus continu les exercices de prospective doivent ils avoir une dur e limit e dans le temps et alors tre p riodiquement mis jour ta Ce r seau FOREN est men conjointement par l Institut de Prospective Technologique de la Commission Europ enne IPTS et CM International France Page 41 Introduction ou doivent ils tre structur s autour d un processus continu avec ventuellement des moments de mobilisation et de formalisation de la production plus intenses Ainsi en juin 1999 l Allemagne a lanc un projet appel FUTUR qui a t con u non pas comme une action de court terme mais comme un processus continu d laboration de consensus concernant des questions d importance vitale pour le futur de l Allemagne 3 Aux Etats Unis galement l ancien Institut des Technologies Critiques de la RAND Corporation devenu l Institut de Politique Scientifique et Technologique appelle au remplacement des exercices limit s dans le temps au profit d exercice con us comme une s rie de groupes de travail virtuels fonctionnant en continu L exercice TC 2005 a fait un pas dans cette direction par rapport l exercice pr c dent D ailleurs un des groupes th matiques Conception Production Gestion a g n r un prolongement en un groupe de travail plus p renne au del de TC 2005 Enfin un dernier enjeu porte sur l extension de la notion de
469. otalement jou es ne serait ce que si l on prend en compte le d veloppement actuel d Internet sur les mobiles L acc s Internet aux Etats Unis est largement diffus dans les foyers et la population utilise r guli rement les services offerts par la Toile commerce lectronique courtage en ligne En Europe les taux d quipement en acc s Internet diff rent selon les pays Le clivage Nord Sud s op re dans la mesure o les pays d Europe du Nord sont largement plus quip s en mobiles et acc s Internet Cet l ment entra ne des attitudes plus matures dans les pays du Nord en mati re d utilisation d Internet Les pays d Europe du Sud sont plus enclins utiliser Internet pour s informer et communiquer alors que les pays d Europe du Nord poss dent une vision plus utilitaire d Internet achats information sur les produits Les Japonais se sont galement mis utiliser Internet m me si le d marrage a t lent en raison notamment de co ts de communications locales lev s L utilisation d Internet correspond galement une modification de leurs comportements d achat via le d veloppement de strat gies d achat labor es Les Japonais en particulier les Japonaises comparent par ce moyen les prix et n h sitent pas commander l tranger si le diff rentiel de prix est trop important Le besoin d tre reli aux autres un cho favorable chez les seniors et les juniors M me s ils ne sont
470. our interactivit de services Commerce lectronique B to C B to B l exploitation Protocoles d acc s multiple multiplexage FDD TDD Internet Transmission temps r el de contenus multim dia Interactivit en Technologies haute efficacit spectrale Grand public nterm diation et int gration de services pour l Internet utilisant une voie Composants hyperfr quence du futur de retour Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Page 174 CM International 18 Technologies logicielles pour le transport de donn es On vise ici les technologies logicielles n cessaires au transport physique des donn es sachant que le middleware de l informatique distribu e en est le compl ment naturel Ces technologies repr sentent un enjeu majeur dans un contexte o les r seaux de donn es tendent tre utilis s pour acheminer des flux audiovisuels et o il devient n cessaire de rendre accessible les services Internet Extranet Intranet par tous supports filaire hertzien satellite et partir de terminaux diversifi s utilis s de fa on fixe ou en mode nomade C est particuli rement vrai de la qualit de service IP Internet Protocol En effet il est difficile de concilier le point de vue d un op rateur soucieux de collecter les indices et param tres propres la qualit d exploitation du r seau avec le point de vue des utilisateurs qui privil gie
471. our avant 2005 Page 88 Le contexte par grands domaines Transf rer les technologies de l lectronique pour miniaturiser des unit s de traitement chimique micro usine L objectif est ici de graver sur moins d un cm une unit de traitement compl te constitu e de colonnes de chromatographie cuves de r actifs chimiques laser miniaturis s Les applications envisag es sont m dicales appareil portable d analyse h matologique ou d ADN environnementales ou militaires d tection des gaz Sur des applications recherche ces micro usines pourraient servir de laboratoire d analyse des mol cules obtenues en chimie combinatoire ou pourraient tre utilis es en substitution pour la synth se Une dizaine de start up ont vu le jour aux Etats Unis r cemment dans ce domaine Enfin la supraconductivit reste un enjeu dans le domaine des mat riaux Les premi res applications dans le transport de l lectricit sont apparues r cemment De formidables avanc es ont t effectu es avec le franchissement du seuil psychologique de l azote liquide et l atteinte des 140 C La supraconductivit temp rature ambiante reste toutefois un objectif majeur pour la diffusion de ces mat riaux dans l informatique l absence de r sistance lectrique permettrait alors d atteindre des vitesses de traitement de l information dix mille fois sup rieures celles d un super calculateur Cray Les recherches doivent
472. ours plus s rs Comme nous l avons signal plus haut les r acteurs rapides qui permettent d extraire plus d nergie sont des technologies d velopper de fa on continue et sans interruption brutale afin que les industriels fran ais du nucl aire restent des acteurs majeurs au niveau mondial Enfin Page 106 Le contexte par grands domaines tr s long terme et dans un cadre international la fusion reste un objectif important pour la production de l nergie On observe actuellement une forte p n tration du gaz au niveau mondial qui via le cycle combin permet d augmenter de mani re significative les rendements Le retour sur investissement rapide le prix du gaz attractif et les contraintes environnementales pour le moment faibles rendent cette source d nergie particuli rement int ressante court terme La seule inconnue reste l volution du prix du gaz qui intervient pour pr s de 70 dans le prix du kwh La France est bien plac e dans la technologie des turbines gaz et m rite de poursuivre son effort dans ce domaine Les combustibles fossiles restent indispensables pour les transports Trois axes de besoins se d gagent principalement La r duction des risques et des co ts en exploration et en production p troli re En particulier la production p troli re par grands fonds constitue un th me de travail important La reformulation des carburants dans l objectif de diminuer les mi
473. p t de fil fondu flashage couche par couche projection de colle de cire ou de plastique Son application la fabrication permet la r duction des s ries et la recherche de flexibilit en supprimant des tapes de r alisation des produits Le d veloppement des possibilit s de num risation des formes ouvre de nouvelles perspectives de march cette technologie dont la conception d outillages et outils sp cifiques adapt s aux nouvelles technologies notamment le num rique Les enjeux du prototypage sont multiples en premier lieu int grer le num rique dans les processus mais galement ma triser la pr cision la porosit et l tat de surface des pi ces obtenues Liens fabrication en petites s ries partir de mod les num riques ing nierie concourante design sensoriel multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation repr sentation et gestion des processus de l usine num rique Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu reconnaissance des formes Techno logicielles de r alit virtuelle num risation de formes R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence croissance maturit naissance diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQU
474. par sa difficult g rer la contamination de ses canettes en Europe en juin 1990 L entreprise a depuis mis en place une politique citoyenne au niveau mondial tout en pr voyant de d velopper des marques d di es aux march s locaux Les entreprises peuvent adopter des chartes respectant l environnement mais au del d une dimension de communication elles peuvent galement mettre en place des processus de production moins polluants et plus respectueux de l environnement Le souci de l environnement devrait continuer s tendre dans les ann es venir et se concr tiser de plus en plus non pas seulement par des actions de communication mais par des innovations permettant une production et des produits propres et non polluants Page 28 Introduction 1 3 La nouvelle conomie de quoi parle t on Page 29 Introduction La part prise par les technologies de l information et l essor d une nouvelle conomie autour de l Internet justifient que l on y consacre ici un chapitre pour tenter de clarifier cet aspect du contexte conomique et social dans lequel les technologies cl s sont susceptibles d tre mobilis es demain Alors que les micro ordinateurs r alisent enfin leur entr e en force dans les foyers que les panneaux d affichage sont envahis par la publicit des sites Internet que l actualit se nourrit des records boursiers r alis s par les start up du net que l in
475. paraissent traiter les sols Applications industrielles et commerciales naissance L diffusion g n ralisation cf fiche D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols traiter les boues ou traiter les effluents en amont La pr sence de m taux lourds appara t particuli rement POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE p nalisante car cette pollution risque de connoter n gativement les productions et conduire un rejet de l pandage vers des France forte moyenne faible inexistante traitements thermiques co teux en nergie et CO2 L limination progressive des m taux lourds dans les effluents est Europe forte moyenne faible inexistante li e la ma trise des techniques de s paration physico chimique ou de pr cipitation ainsi qu la r duction des co ts de tels traitements POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens France forte moyenne faible _ inexistante d veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols Europe forte moyenne faible inexistante catalyseurs ing nierie et traitement des surfaces Ezemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Traitement d eau Stations d puration Elimination des m taux Technologie de Techniques de s paration
476. pas aujourd hui au c ur de la diffusion des nouveaux produits communicants les seniors dans un souci de reliance familiale et gr ce leurs ressources confortables vont tendre privil gier de plus en plus les modes de communication que ce soit les transports automobile ou les t l communications En 1995 le taux d quipement en t l phone pour les 60 64 ans est de 94 4 et pour les 65 69 ans de 96 3 contre 93 6 pour l ensemble des m nages On peut penser que de par leur simplicit d utilisation les t l phones mobiles vont rapidement se diffuser aupr s de cette population De m me les plus jeunes ann es coll ges d j vis s avec un r el succ s par les pagers Tatoo le concept de tribu vont tre de plus en plus sollicit s par les op rateurs de t l phonie mobile mobicartes usage des 10 15 ans t l phones avec des touches pictogrammes Dans le mod le nouveau du consommateur entrepreneur l enfant l adolescent doivent tre reli s leurs parents alors m me que ces derniers n ont pas forc ment de lieu fixe dans la journ e Les objets communiquants ne peuvent donc que se d velopper dans un tel contexte aupr s des plus jeunes Les attentes objectives envers les produits Dans ce contexte l innovation technologique s inscrit plut t dans une optique utilitaire Elle doit rassurer par sa simplicit et sa praticit Page 24 Introduction L in
477. pe Sous la pression des choix thiques d une part de la demande sociale d autre part les technologies du vivant tendent plus aujourd hui vers une logique de d veloppement durable Enfin comme nous le verrons si les biotechnologies jouent un r le essentiel dans les domaines de la Sant et de l Agro alimentaire des enjeux propres chacun d eux apparaissent Page 115 Le contexte par grands domaines Les technologies du vivant et l essor des biotechnologies Probl matique g n rale Un certain nombre d outils et de techniques utilisant des organismes vivants regroup s sous le vocable de biotechnologies se sont d velopp s ces 30 40 derni res ann es en vue non seulement de proc der des transformations ou des modifications des organismes animaux ou v g taux g nie g n tique mais galement d utiliser ces derniers Les biotechnologies trouvent des applications dans de nombreux domaines tels que la sant pharmacie et diagnostic l agro alimentaire agriculture et industries alimentaires maintenant l environnement chimie et agrochimie et plus largement la valorisation non alimentaire des produits agricoles Elles pr sentent des avantages certains isoler les g nes responsables de certaines maladies trouver des plantes r sistantes aux virus utiliser des animaux ou v g taux transg niques comme mod les sont autant d applications dont les d bouch s conomiques et l impact san
478. plications industrielles et commerciales naissance g n ralisation logiciel S agissant de dernier on citera parmi les points technologiques critiques en premier lieu la synth se d images POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE mais aussi la synth se de sons dont les param tres cl s sont la coordination image son et la perception diff rente du son selon moyenne faibk inexistante Europe foe faible inexistante es as 5 O la position de l auditeur la forme de la pi ce et le d placement de la source sonore Les techniques de r alisation sont enrichies gr ce aux apports de diff rentes disciplines simulation cin matographie post production vid o es o 5 O POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL La probl matique de la r alit virtuelle est fortement li e celle de moyenne faible inexistante deux technologies trait es par ailleurs la transmission temps r el E r ibl de contenu multim dia standards de compression et les urope fote fibe ESAE syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia La France est bien positionn e sur le march mondial des jeux et didacticiels qui a d pass en 1999 celui du cin ma Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous transmission temps r el de contenu multim dia syst mes auteurs pour la cr ation de contenu multim dia Exemples de s
479. ploration de tr s grandes redondantes Micro utilisateurs Supervision de r seau bases de donn es R seaux internes lectronique de services T l surveillance Gestion des flux multim dia d interconnexion rapide Internet ou Gestionnaire de donn es et interfa age optimis des coh rence de cache concern s Jeux en ligne contenus stock s et des Rapidit des processeurs par le Vid oconf rence requ tes des utilisateurs Techno logicielles pour les commerce Infrastructures pour r seaux dorsaux haut d bit Rapidit de traitement syst mes temps r el ou lectronique Transmission temps r el de contenus multim dia Livraison de contenus riches contraint R alit virtuelle augment e Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Supply chain management Page 182 CM International 23 Transmission temps r el de contenus multim dia la mise en uvre de 5 technologies diff rentes dont les 3 premi res sont Technologie mergence maturit protocoles pour la qualit de service sur IP box ou PC et les quipements d acc s aux r seaux MPEG2 La transmission temps r el sur r seaux de donn es de contenus multim dia de haute qualit images 3D et de flux audiovisuels suppose DEGRE DE DEVELOPPEMENT voqu es par ailleurs serveurs vid o algorithmes de compression d compression multim dia efficaces Applications industrielles et commerciales naissance g n ralisation
480. portables contraste avec la difficult d utilisation pour Internet La demande de simplicit accrue conditionne l acc s de nouveaux march s les produits presse bouton doivent fleurir pour faire acc der une partie de la population aux nouvelles technologies Internet micro ordinateurs Le principe a ainsi t appliqu avec succ s dans la vid o magn toscopes cam scopes et permet de comprendre l importance des packs pour la commercialisation de produits technologiquement complexes mais d installation et d utilisation simple 1 4 L impact majeur d INTERNET L exceptionnel d ploiement d Internet qui s appuie sur une dynamique d innovation reposant sur 3 moteurs essentiels conduit une rupture fondamentale et la naissance d une nouvelle industrie S1 Internet s est d ploy initialement dans les milieux universitaires c est l adoption massive par les entreprises puis par le grand public qui a permis son plein essor Internet s est d velopp parce qu il r pondait un besoin important mais son succ s est aussi troitement li aux moteurs technologiques qui l ont favoris et aux facteurs conomiques qui ont permis son d ploiement rapide A Les moteurs d usage Trois applicatifs principaux sont l origine de l adoption d Internet par le grand public le Web la messagerie lectronique et l IRC Internet Relay Chat discussions sur Internet Ils r pondaient un besoin soc
481. portent les modes de vie urbains pollution salet s diverses allergies Le souci de propret implique l existence de produits options multiples tels que les matelas anti acariens les produits m nagers antibact riens Le produit poss de ainsi une double vocation la premi re r pondant au besoin fonctionnel pour lequel il est destin avant tout dormir pour le matelas la seconde assurant dans le m me temps une meilleure hygi ne lutte contre les acariens Ces produits devraient continuer conna tre un certain succ s les consommateurs tant de plus en plus vigilants contre ces nuisances que d veloppent les modes de vie urbains Axer les processus de production et les produits sur la s curit La recherche de s curit implique une fiabilit totale du produit consomm elle est galement li e la qualit du produit Elle se traduit ainsi par des normes de s curit de plus en plus lev es sur les appareils lectriques mais aussi les jouets et jeux par exemple Les labels de qualit et les normes constituent des moyens appropri s pour signaler ces l ments aux clients qu il s agisse des consommateurs ou des entreprises Cette premi re dimension trouve g n ralement sa traduction concr te dans des l ments certifiant l hygi ne et la s curit Cette tendance devrait se poursuivre dans les ann es venir A titre d exemple le d veloppement des OGM dans la cha ne agro alimentaire suscit
482. posants Sous ensemble Micro lectronique silicium Liaison conception Cristallographie volumes Lithographie gravure TTS Mat riaux Mobiles GSM Traitement Conception ultrapuret Math matiques preuve assistants automatique Pollution lectromagn tique Informatique personnels de Mesure tests contr le du Terminaux PC TV l information proc d Page 153 2 Microtechnologies Microsyst mes Les microsyst mes sont des dispositifs dont les dimensions sont dans la am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux gamme de quelques 1 10 de mm quelques cm et interagissant avec leur environnement par des sous ensembles divers m caniques DEGRE DE DEVELOPPEMENT chimiques lectromagn tiques lectrostatiques Leur faible taille ermet leur int gration et une tr s faible consommation nergie Ta g a Technologie E croissance matwurit mat riaux Ils incluent des micro capteurs micro actionneurs et ventuellement une capacit autonome de traitement de l information Ce sont des micro vannes micro moteurs micro capteurs laboratoires Applications industrielles et commerciales __ diffusion g n ralisation ADN Leur fabrication s appuie sur des techniques issues de la micro lectronique fabrication parall le photolithographie d p ts et gravures compl t es par des mat riaux et des op rations sp cifiques POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQU
483. pour l tude pr c dente un double filtre a t appliqu l ensemble des technologies list es dans une premi re phase plus de 600 afin de n en retenir que 110 jug es prioritaires Le premier filtre tait bas sur les attraits de la technologie comme indiqu plus haut et le deuxi me sur les atouts disponibles en France L acc l ration de tous les ph nom nes accompagnant le d veloppement de nouvelles technologies a conduit traiter cette question des atouts avec une grande prudence car il nous a sembl que les positions industrielles et commerciales notamment qu elles soient favorables ou non avaient tendance devenir beaucoup moins fig es que par le pass Ceci est li tant l apparition de ruptures technologiques qui permettent la conqu te de march s que l on jugeait d finitivement attribu s qu l mergence de nouvelles mentalit s en mati re d entreprenariat Cela est li aussi la capacit des grandes entreprises en acqu rir d autres dont la technologie les int resse gr ce une veille active et des moyens financiers restaur s Cons quence logique de ce qui pr c de l importance de la demande des march s par rapport l offre de technologie d j sensible en 1995 a t jug e encore plus d cisive aujourd hui Cela se traduit par un poids important des aspects conomiques dans les crit res d attraits appliqu s en vue de s lectionner les technologies
484. pour le secteur chimie mat riaux 1 le besoin de rassurance et la demande de produits non allergisants et fiables 2 la demande de praticit et personnalisation pour les produits grand public 3 la demande de confort sensoriel et de design Le besoin de rassurance la demande de produits non allergisants et fiables Au del du respect de l environnement deux attentes particuli res sont exprim es par les consommateurs envers les produits qu ils soient fiables et sans danger pour la sant Le nombre d allergies est en progression sous le double effet de la pollution et d une meilleure d tection de ces troubles La plus grande sensibilit aux allergies am ne les producteurs travailler sur des produits qui pr sentent peu de risques et mettre l accent sur la s curit li e leur utilisation De plus en plus de produits d entretien de peintures de solvants sont ou doivent pr senter des garanties d innocuit Plus g n ralement la demande de s curit implique d avoir des produits fiables Pour les produits d entretien cela se traduit par des produits non inflammables sans manation toxique Pour les produits alimentaires la tendance est aux produits bio sans engrais ni pesticides La demande de praticit et de personnalisation pour les produits grand public Le consommateur est friand de toutes les innovations qui peuvent am liorer la praticit et la simplicit de fonctionnement Les enqu
485. pour un service de parole sur Internet permettant des liaisons de type t l phonique entre terminaux h t rog nes L arriv e du proc d MPEG 4 qui utilise un d bit variable moins lev que celui de MPEG 2 avec une meilleure qualit va permettre de diversifier la nature des services multim dia m me sur des r seaux bande troite et donnera simultan ment de nouveaux atouts qualitatifs aux r seaux haut d bit Particuli rement adapt e aux services interactifs cette norme optimise les codages et les d codages d images anim es en fonction de la connectivit et autorise une int gration coh rente de diff rents m dia dans les applications La disponibilit d outils de mesure et de logiciels d exploitation et de gestion indispensables pour accro tre la fiabilit des changes sur les r seaux publics comme priv s repr sente un potentiel de d veloppement int ressant pour tous les acteurs fournisseurs d acc s op rateurs de t l communications h bergeurs diteurs fournisseurs de service d veloppeurs SSH qui ont tous pour objectif de pouvoir ma triser la qualit de service en IP Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous Techno logicielles pour la s curit des r seaux Techno logicielles de l informatique distribu e DEGRE DE DEVELOPPEM Technologie E Applications industrielles et commerciales OOo T croissance maturit o diffusion g n ral
486. ppels des technologies comme le marketing du virtuel et le marketing instantan ou encore aux technologies de compression qui permettront l am lioration des d bits autre frein au d veloppement du commerce lectronique Les nouveaux produits Les enjeux li s la demande sociale le d veloppement des Technologies de la Communication et l innovation li e aux mat riaux permettent de proposer de nouveaux produits li s la sant pour mettre la disposition des individus une panoplie d instruments de mesure de leur tat de sant directement int gr s leur habitation et qui communiquent avec leur m decin en vue d un diagnostic Outils de sant la disposition des consommateurs Ces instruments de mesure font appel des technologies li es aux capteurs intelligents au maniement des bases de donn es et la s curit des informations des produits multim dias de plus en plus interactifs avec l accroissement des produits et services de grande consommation base de r alit virtuelle qui repr sentent un march tr s important en mati re de jeux vid o de formation et de voyage mais aussi avec des utilisations potentielles dans tous les domaines industriels voire m me dans la construction Les produits base de r alit virtuelle font appel des syst mes de visualisation non contraignants qui reste un des enjeux technologiques majeur lunettes 3D et quipements sensoriels avec la programmation
487. ppement de ces composants Technologie mergence maturit sur tout substrat notamment polym re n cessite la mise en uvre de diff rentes Technologie optiques et lectroniques en particulier Applications industrielles et commerciales naissance __ g n ralisation les technologies de connectique Le d ploiement de la fibre optique jusque chez l abonn entra ne des contraintes conomiques consid rables pour les composants opto lectroniques La POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE recherche d un faible co t devient plus importante que celle des performances techniques L utilisation de la transmission optique France DU E moyenne faible inexistante s est en effet g n ralis e l ensemble de la partie transport du r seau de t l communications La prochaine tape devrait consister Dur P P Europe ooo oo moyenne faible inexistante utiliser les transmissions optiques pour le r seau de distribution aussi bien pour les liaisons t l phoniques que les transmissions de donn es ou la diffusion de la t l vision POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL fote faible inexistante E faible inexistante Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques secteur concern s d application T l com Surveillance s curit Transmission optique longue Composants Multiplexage optique de densit de Cristallograp
488. pplications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation distance parois transparence et de s curit La mise au point de ces enveloppes performantes r pond galement des enjeux de gestion de l nergie isolation thermique modulable ou encore POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE de maintenance fa ades auto nettoyantes Ainsi l laboration de syst mes performants doit permettre le d veloppement France forte moyenne faible inexistante d enveloppes actives durables offrant un rapport co t construction et usage performance sup rieur aux solutions Europe forte moyenne faible inexistante actuelles Un des enjeux est de promouvoir l int gration collective de ces technologies afin d laborer des enveloppes comportant l ensemble des fonctionnalit s POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens capteurs intelligents France forte moyenne faible _ inexistante mat riaux absorbants de chocs de vibrations de bruits de chaleur Europe forte L moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Tout type de b timent Fen tres haute isolation Etanch it Syst mes performants Contr le des flux Mod lisation thermique R duct
489. produits sp cifiques De plus elle reste pour les industriels une tape contraignante de Europe forte moyenne faible inexistante surcro t p nalisante du point de vue de l usure des membranes Liens gestion de l air dans les b timents POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur i Points technologiques Domaines scientifiques ap e Exemples d usage Fonction remplie Technologie be gg PME d application critiques concern s Toutes les industries Traitement des effluents Filtration membranaire Ultrafiltration Recyclabilit des Physique et Chimie des effluents liquides _ Microfiltration membranes interfaces et des surfaces Industrie du traitement de Traitement de l eau _ Nanofiltration Corrosion ou alt ration Mod lisation l eau Osmose Inverse Nettoyage puration Microbiologie B timent Lavage chimique Page 241 gt CM International 75 D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols En Europe la pression environnementale et sanitaire dans les zones urbaines et p ri urbaines s amplifie en particulier en ce qui DEGRE DE DEVELOPPEMENT concerne la pollution des sols Dans les pays en voie de d veloppement ces enjeux sont tout aussi importants Technologie
490. ps d acquisition Cela se traduit par la possibilit d analyses massives particuli rement pr cieuse dans les travaux de s quen age du g n me humain Fiches synth tiques DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales croissance maturit naissance diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte moyenne inexistante forte faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s Sant Contr le de la glyc mie diab te de la Analyse Biocapteursbiopu Miniaturisation G nomique Pharmacie pression art rielle multiparam trique de ces Analyse et traitement des donn es Electronique Agriculture G notypage haute r solution donn es biologiques Choix des sondes et conception fonctionnelle Informatique Agro alimentaire Diagnostic biom trie de la puce Chimie Environnement Identification de souches microbiennes Synth se et greffage des sondes Microfluidique D tection des odeurs nez artificiel Fonctionnalit des supports Na
491. que les animaux transg niques exemple du porc peuvent tre utilis s comme donneurs d organes pour des x nogreffes mais des volutions sont encore attendues en particulier en ce qui concerne les risques potentiels de transmission de virus de l animal l homme Dans tous les cas se pose la question des limites thiques de telles pratiques L tape cl de la greffe d organe consiste relier le syst me vasculaire et ventuellement le syst me sp cifique l organe de l organe celui qui re oit la greffe mais aussi assurer la s curit de la greffe absence de transmission d agents pathog nes contr le de la compatibilit immunologique Par ailleurs le recours la greffe d organe est souvent source d conomie en terme de d penses de sant Dans lattente du d veloppement des cellules souches les greffes d organes constituent une priorit Dans le cas terme d un succ s sur l utilisation des cellules souches le recours aux greffes d organe sera a priori plus limit Liens th rapie cellulaire organes bio artificiels DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit naissance diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDU
492. quence de coupure ft de l ordre de 225 GHz Les pr visions donnent 350 GHZ vers 2005 dimensions critiques 70 nm De nouveaux composants et circuits exploitant des structures pitaxiales complexes mat riaux m tamorphiques transistors het robipolaire seront alors couramment fabriqu s sur des plaques de diam tre 6 pouces Liens micro lectronique silicium am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence naissance maturit _ g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE faible inexistante faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe fore forte France Europe fone faible inexistante faible inexistante fore Exemples de Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines secteur critiques scientifiques d application concern s D fense Composants tr s haute fr quence Traitement et amplification des signaux Micro lectroni Mat riaux ma trise Cristallographie T l com forte lin arit ou de puissance logiques hertziens jusqu plus de 100 GHz que HI V de couches pitaxi es Physique du filaire ultra rapides nouveaux composants Etage de puissance de t l phonie mobile AsGa InP outils solide Broadcast quantiqu
493. quent de lui conf rer des propri t s adapt es une application Il est ainsi possible par ing nierie d am liorer l efficacit d enzymes industrielles vis vis de divers substrats d adapter les propri t s d anticorps monoclonaux un diagnostic particulier ou un protocole th rapeutique Le choix des modifications apporter encore appel ing nierie des prot ines repose sur la connaissance de ces derni res connaissance de leur structure en liaison avec leur activit Les m thodes d investigation telles la cristallisation la pr diction des structures 3D la dynamique des structures et l utilisation de l IRM sont en particulier cl s dans ce domaine Bien s r cette ing nierie ne se limite pas aux prot ines et concerne d autres mol cules acides nucl iques oligosaccharides Le ratio co t efficacit et l acceptation par le public sont pr dominants dans la sant Probl matique g n rale Le domaine de la sant pr sente de multiples facettes Il rencontre des int r ts parfois divergents Les citoyens tout d abord ont de fortes attentes en mati re de sant tant sur les maladies fr quentes cancer sida maladie d Alzheimer que les maladies rares exemple de la mobilisation autour du G n thon et montrent aussi un souci grandissant de bien tre attentes renforc es par les d veloppements spectaculaires des biotechnologies Les industries pharmaceutiques de leur c t doi
494. ques comme la microm canique la fluidique ou l optique France forte faible inexistante Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous microsyst mes biocapteurs biopuces capteurs de vision capteurs d image Europe forte faible inexistante Page 156 Exemples de Domaines Robotique mobile en milieu hostile Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires S ret des syst mes embarqu s et infrastructures Ergonomie de l interface homme machine V hicules intelligents et communicants Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Outils de sant la disposition des consommateurs Design sensoriel y compris la m trologie sensorielle Simulation num rique des proc d s Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique des formes Micro lectronique silicium Composants opto lectroniques et photoniques Objets communicants autonomes identifiants intelligents tiquettes Mat riaux pour syst mes avanc s pi zo lectriques ferro lectriques et magn tiques Ing nierie et traitement des surfaces Ergonomie de l interface homme machine Autres points critiques Maintenance pr visionnelle Co t li la taille des march s industries alimentaires secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Poi
495. quipements publics et les travaux publics infrastructures de transport r seaux de fluides grands ouvrages de g nie civil mais aussi l urbanisme et l architecture Il repr sente un poids conomique tr s important Le b timent repr sente ainsi plus de 450 milliards de francs de chiffre d affaires HT en 1996 dont 250 milliards de francs pour le logement 40 dans le neuf et 60 pour la r novation et l entretien En 1999 les d penses li es au logement pesaient pour 30 sur le budget des m nages fran ais De plus ces secteurs d activit sont tous caract ris s par la multiplicit des intervenants qui participent au processus de production des ouvrages ma tres d ouvrages ma tres d ouvre entreprises de travaux fabricants de produits de construction Cette multiplicit accro t le nombre d interfaces entres les acteurs influen ant fortement les processus d mergence et de diffusion des innovations techniques mais surtout organisationnelles dans la fili re En particulier ainsi que l exercice pr c dent l avait d j signal La pr sence dominante de PME sur 284 000 entreprises de travaux plus de 240 000 ont moins de 10 salari s et de professions lib rales architectes ing nieurs conseils l aval de la fili re limite les capacit s d int gration de certaines innovations technologiques mais galement des syst mes d information Ces multiples interfaces offre demande entre le
496. r abord e dans le chapitre Technologies et m thodes de conception production gestion Techniques de diagnostic des structures Soutien Logistique Int gr Ces volutions ouvrent la voie des gains de productivit potentiellement significatifs L activation de la fonction enveloppe Le d pouillement des formes promu par l architecture contemporaine a suscit de nombreuses innovations dont la principale a consist dissocier la fonction porteuse de la fonction enveloppe L enveloppe qui joue le r le de peau du b timent int gre les fonctions d clairage de thermique d acoustique et de ventilation outre l esth tique ext rieure du b timent Les contraintes environnementales voqu es ci dessus rendent progressivement indispensables l activation de l enveloppe qui verra son r le renforc automatismes vitrages commandables parois transparence ou perm abilit progressive syst mes actifs de protection acoustique ou de traitement des ondes lectro magn tiques fa ades auto nettoyantes sont autant d exemples de la recherche d une enveloppe active Syst mes performants pour enveloppe de b timent L optimisation du co t global du b timent A l re du consommateur entrepreneur professionnel de l achat et du rapport qualit prix doit correspondre une capacit proposer des b timents dont on peut ma triser le co t global Celui ci inclut l investissement initial l exploitati
497. r ation de contenu multim dia R seau domestique num rique Transmission temps r el de contenus multim dia Capteurs intelligents Imagerie m dicale Interm diation et int gration de services pour l Internet du futur Ergonomie de l interface homme machine corps humain Divers autres points critiques relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Autres points critiques Normes thique Acceptabilit sociale D veloppement des r seaux m dicaux Informatique logicielle Divers autres domaines relevant des technologies cit es ci contre et voqu es par ailleurs Page 280 107 Design sensoriel y compris la m trologie sensorielle la perception du consommateur simulation mod lisation du comportement humain prototypage rapide La m trologie sensorielle permet d valuer la perception subjective de l utilisateur face un produit et de mesurer cette perception travers ses 5 sens odorat go t vue ou e et toucher c est DEGRE DE DEVELOPPEMENT l examen des propri t s organoleptiques d un produit par les organes et les sens le claquement d une porti re le go t d un Technologie mergence croissance maturit rouge l vre le toucher d une poign e de porte Il s agit ensuite de corr ler ces sensations avec des propri t s physiques Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation
498. r sentations destin es des utilisateurs tr s diff rents sont donc tr s importants et reposent Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci France forte moyenne faible inexistante dessous ing nierie concourante outils d aide la cr ativit simulation mod lisation du comportement humain Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de s Fonction s Domaines scientifiques secteurs Exemples d usage Technologie Points technologiques critiques d application remplie concern s Tous secteurs Apprentissage Multi Id alisation Int gration de donn es h t rog nes Syst mique dont notamment Simulation repr sentation Mod lisation de produit Indicateurs de qualit d une Syst mes distribu s les industries manufacturi res Ing nierie concourante plateaux projets Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique des objets virtuels qualit de la repr sentation Gen se de conception Capitalisation des connaissances Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu bases de connaissances repr sentation Transfert de repr sentation Repr sentation des connaissances Syst mes multiacteurs multim tiers Ethnologie psychologie G nie industriel Informatique logicielle Page 289 gt CM International 115 Simulation num
499. r vision de dur e de Techno logicielles pour la gestion des donn es et du Formalisation et gestion des r gles m tiers vie contenu bases de connaissances Page 210 gt CM International 46 Mod lisation mol culaire des polym res L objectif est d am liorer la pr diction des propri t s physico DEGRE DE DEVELOPPEMENT chimiques Pour obtenir ce r sultat il faut d abord mettre au point des algorithmes et des approches qui permettent la mod lisation Technologie mergence croissance maturit fine mol culaire ou en champs moyens des interactions mol cule polym re polym re polym re polym re surface de Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation fa on diriger les synth ses vers les structures a priori les plus efficaces Les applications vis es sont les polym res massiques ou en solution Ceci n cessite la compr hension des interactions entre structure mol culaire et propri t physique cela permet par exemple le calcul de compatibilit de polym res France forte L moyenne faible inexistante La mod lisation mol culaire contribue l am lioration de la Europe forte L moyenne faible inexistante productivit de la recherche et au d veloppement de la capacit d innovation des industriels Son d veloppement passe par la combinaison de comp tences math matiques et phys
500. r dans la recherche de nouveaux m dicaments sur les maladies et pour les tissus organes Au del les d bats sur l thique du clonage humain impacteront POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE P vidence sur les d veloppements de cette technologie France forte moyenne faible inexistante Les aspects thiques du clonage influenceront l vidence le d veloppement de cette technologie Europe forte moyenne faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Sant Production des prot ines S lection g nique Clonage des animaux Culture de cellules Biologie du Agriculture dans le lait Transg n se Transfert de noyau d veloppement Pharmacie Mod le de Mod les animaux mucoviscidose Page 250 gt CM International 82 Criblage de mol cules actives Le criblage de mol cules actives est une m thode de rep rage rapide d une fonction connue ou inconnue d une mol cule en DEGRE DE DEVELOPPEMENT r ponse un affecteur appliqu une cellule cible L objectif est ici de mettre en place des m thodes de criblage Technologie mer
501. r diff rentes technologies dans des syst mes complexes la capacit d anticipation des volutions technologiques et la r activit de l entreprise depuis les processus de d tection de nouveaux march s et de R amp D jusqu la distribution des produits ou services sont galement des facteurs cl s Page 54 Le contexte par grands domaines Introduction Les technologies de l information et de la communication comprennent l ensemble des activit s li es la production la transmission et la diffusion de l information Les TIC se trouvent au c ur de plusieurs grands secteurs industriels les composants l informatique mat riels logiciels et services les t l communications quipements et services l lectronique grand public et les activit s audiovisuelles l lectronique professionnelle Ces industries pr sentent un caract re strat gique du fait de leur poids conomique et de leur forte croissance mais galement du fait de leur diffusion dans l ensemble des secteurs conomiques o elles sont l origine de nouveaux produits de nouveaux services et donc des emplois nouvellement cr s Ces cinquante derni res ann es ont ainsi vu l mergence de l informatique et des technologies de communication qui y sont associ es La contribution des industriels et de la recherche universitaire y est largement reconnue plus m connu est le r le central du financement public dans le lancement et
502. r le grand public plus de 10 Mbit s pour les PME et plus de 100 Mbit s pour ARE les grandes entreprises Europe forte moyenne faible inexistante Dans le cas de la distribution sur paire torsad e apr s le lancement de l ADSL des techniques encore plus performantes comme le VDSL vont POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL appara tre D autres technologies utilisant d autres supports fibre optique satellite sont aussi envisag es En particulier les nouvelles France forte L moyenne faible inexistante techniques sans fil 3 UMTS et 4 g n ration de mobiles etc peuvent jouer umole d cisit Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de Domaines secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques scientifiques d application concern s T l com Vid oconf rence Distribution IP Technologies Fibre FTTC H fiber to the curb home Traitement du munications Acc s aux services Internet en ligne haut d bit haut d bit jusqu de boucle Paire torsad e ADSL VDSL xDSL signal M dias applications en ligne consultation de donn es l abonn locale Sans fil GPRS UMTS LMDS 60 GHz Informatique Tous secteurs multim dia notamment de vid o Qualit de service C ble modem c ble satellite logicielle utilisateurs TY enrichie Optimisation de Int gration de la voie de ret
503. r un format maintenant classique de plaque de 96 puits le chimiste d pose de mani re ordonn e diff rents r actifs en faisant en sorte que chaque formulation l int rieur d un puits diff re de la pr c dente sur une seule de ses dimensions Il obtient alors 96 variantes de mol cule dont il testera la diff rence de r activit afin de retenir la plus active Cette nouvelle approche de la recherche offre de grandes perspectives pour la mise au point de nouveaux pigments color s catalyseurs polym res ou encore de nouveaux compos s luminescents L autre voie d am lioration de la productivit de la recherche est la mod lisation mol culaire en vue de la pr diction des propri t s physico chimiques des polym res Techniques de synth se et de test haut d bit Mod lisation mol culaire en vue de la pr diction des propri t s physico chimiques Capitaliser mod liser et transf rer les connaissances sur les mat riaux par la mise au point de logiciels de mod lisation compl te des mat riaux de leur proc d s de mise en uvre et de leurs comportements en service par simulation num rique en utilisant les bases de donn es des propri t s des mat riaux couplage des codes micro et macroscopiques Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Page 91 Le contexte par grands domaines 11 3 Construction Infrastructure Page 92 Le contexte par gr
504. ram tres machines la variabilit des mati res premi res 4 La d marche de conception assist e des aliments concerne en premier lieu l laboration de m thodes et outils destin s ma triser la qualit d un produit dont les caract ristiques finales ont t pr identifi es et d finies dans un cahier des charges L volution r cente de la demande alimentaire et des d terminants de la comp titivit conomique sur les march s nationaux et internationaux implique pour les industries agroalimentaires d tre en mesure de garantir la ma trise de leur production qualit et s curit d accro tre leur capacit d innovation et Page 123 Le contexte par grands domaines d am liorer la flexibilit de leurs proc d s et outils de production pour s adapter la demande Les m thodes de conception assist e des aliments leur permettent de r pondre ces contraintes L objectif de la conception hygi nique des usines alimentaires est de contribuer la garantie de la qualit sanitaire des aliments en intervenant sur l ensemble des points critiques des cha nes de fabrication du nettoyage des ateliers au conditionnement des produits de la gestion de l eau celle des flux d air Les industriels apparaissent aujourd hui fortement sensibilis s cette probl matique d autant plus que les consommateurs sont de plus en plus vigilants sur la s curit des aliments qu ils consomment L
505. rands domaines gt dans les industries de contenu d mat rialisation et num risation des contenus nouveau lien avec les utilisateurs probl mes de protection et de r mun ration des contenus La rupture principale apport e par Internet dans ces industries est la d mat rialisation des contenus et la possibilit de stocker et distribuer ces derniers co t marginal nul dans des standards ouverts et ind pendants de l usage ou du moyen qui a permis de les produire Il est galement possible maintenant de conserver un lien permanent avec les utilisateurs pour leur apporter plus d informations et faire vivre le contenu Il est galement possible d animer des communaut s autour de contenus communaut s de fans de mieux comprendre leurs besoins et d y r pondre Les contenus disponibles sur Internet en format standard peuvent tre trait s filtr s condens s index s etc par des interm diaires dont le r le est de rapprocher l information de son usage Les m canismes qui permettront de r mun rer l information et surtout de prot ger les droits qui lui sont attach s restent encore en grande partie inventer gt dans les composants nouveaux composants cl s d di s Internet possibilit s d imaginer des composants re programmables Apparition de fonctions optiques dans un monde enti rement lectronique le d veloppement d Internet entra ne une croissance importante des d bits transport
506. rel E Hydraulique B Nucl aire ENR 71 Source Statistiques nerg tiques France DGEMP En ce qui concerne les consommations finales nerg tiques le p trole et l lectricit couvrent eux seuls pr s de 80 des besoins nationaux fran ais Page 104 Le contexte par grands domaines Consommation finale nerg tique millions de tep 1973 159 5 90 5 1998 209 5 82 8 E 1973 1998 Charbon P trole Gaz Electricit ENR Source Statistiques nerg tiques France DGEMP Au del de la production la ma trise des conditions d utilisation de l nergie est un autre enjeu majeur L nergie intervient dans la vie domestique et industrielle comme dans les transports Consommation finale nerg tique millions de tep E Transports Agriculture R sidentiel Tertiaire E Industrie E Sid rurgie 1973 1998 159 4 209 5 Source Statistiques nerg tiques France DGEMP La croissance de la consommation d nergie a subi un ralentissement partir des ann es 70 depuis les chocs p troliers En 1998 le tertiaire et les particuliers pesaient pr s de 50 de la consommation d nergie totale nationale suivis par le secteur des transports 25 et l industrie 25 Les consommations d nergie dans les b timents repr sentent l un des premiers postes du segment tertiaire r sidentiel o pr s de 40 de l nergie pro
507. res Pair dans les utilisateur Composants critiques Physico chimie Automobile Air conditionn adaptatif b timents Capteurs Filtres M canique des fluides Etablissements de soins Am lioration du confort R cup ration nergie Technologie d puration Epid miologie et de la sant Filtration puration Technologie de d sinfection des Micro lectronique Economie d nergie r seaux de ventilation Mod lisation Autres points critiques Microm canique R duction des co ts des capteurs Page 220 gt CM International 55 R duction des bruits Le bruit est de plus en plus reconnu comme une v ritable nuisance et la preuve est faite qu il a un impact sur la sant Les sources de bruit sont multiples Elles concernent les infrastructures les transports mais aussi les quipements industriels L Etat a par ailleurs relay cette demande soci tale via la d finition de points noirs et la mise en place du plan anti bruit La r duction du bruit semble m me devenir un enjeu europ en avec l apparition de l acoustique comme domaine de recherche du 5 programme cadre europ en Plusieurs voies sont possibles pour la r duction des bruits la r duction du bruit la source diminution des vibrations et missions sonores des machines appareils ou v hicules la r duction passive du bruit prise en compte dans la conception des mat riaux et produits
508. res contenus et outils Internet pour g n raliser l interactivit et l interm diation Priorit 3 Int grer dans l interm diation les l ments essentiels de l activit quotidienne mobilit et activit en communaut les besoins des utilisateurs dans leur vie quotidienne d passent largement la simple consultation d information sur le Web L Internet du Futur devra ainsi s adapter au mode de vie des individus en particulier sa mobilit et au fait que chacun travaille la plupart du temps au sein de groupes d individus qui coop rent G n ralisation de la mobilit et de l itin rance Collaboration entre des entit s diff rentes terminaux quipements utilisateurs etc pour offrir de mani re coordonn e un service adapt la mobilit et litin rance G n ralisation de la notion de communaut s virtuelles qui se g rent elles m mes avec une identit une m moire et une vie propre Possibilit pour une communaut ou un groupe de naviguer ensemble et apparition d un nouveau type d utilisateurs d Internet les communaut s Priorit 4 Adapter l infrastructure aux besoins et aux usages poursuivre l ouverture en 3 mondes am liorer l ensemble des 3 mondes l Internet du futur sera structur en trois mondes les monde des m tiers et des usages le monde de la connectivit et le monde des interm diaires Chaque individu ou application dans ces mondes devra avoir un certain contr le sur les appl
509. rganisation Le lien entre innovation et technologie est naturel la technologie s am liore en continu au travers d innovations dites incr mentales qui tracent chemin faisant une trajectoire technologique en exploitant le potentiel de la veine ainsi explor e jusqu ce qu une rupture technologique une innovation r volutionnaire vienne substituer une nouvelle technologie l ancienne en un processus de destruction cr atrice d crit par Schumpeter Page 12 Introduction G rer la technologie et l innovation En r f rence ces d finitions le management de la technologie recouvre un ensemble de probl matiques auxquelles font face les entreprises a l observation l identification et l valuation des technologies alternatives pour remplir une fonction g n rique sur le march b le choix des technologies les plus pertinentes parmi celles possibles pour permettre l entreprise de tenter de construire un avantage concurrentiel durable c l acc s la ma trise des technologies choisies que ce soit par d veloppement interne collaboration R amp D ou acquisition externe d la gestion corollaire des activit s de recherche mais aussi de celles de d veloppement d tudes de faisabilit et plus g n ralement la gestion de projet e la mise en uvre et l am lioration ult rieure en continu des technologies nouvellement int gr es au portefeuille des technologies de l entreprise qu elles rel vent des
510. rgie renouvelable non polluante sans mission de CO Photovolta que Purification croissance continue des cristaux Mat riaux Autres points critiques Co ts Fiabilit Maintenabilit Couches minces Electrochimie Page 232 gt CM International 66 Eclairage et visualisation basse consommation Le poste clairage repr sente aujourd hui une part significative de la consommation nerg tique en France DEGRE DE DEVELOPPEMENT Le d veloppement de syst mes d clairage peu consommateurs Technologie mergence croissance maturit d nergie comme le DEL Diode lectro lumineuse pr sente donc un int r t tout particulier Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation Le co t de ces technologies ainsi que la faible capacit industrielle des acteurs fran ais freinent toutefois aujourd hui le POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE d veloppement de l clairage et la visualisation basse consommation France forte moyenne faible inexistante Liens conception et mise en service des ouvrages dans une Europe forte moyenne faible inexistante logique de d veloppement durable POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante
511. rgie est un l ment essentiel au d veloppement conomique de la France Aujourd hui la disponibilit et la ma trise de l nergie sont des enjeux qui restent majeurs associ s la ma trise de son co t Ces probl matiques comme nous le verrons influent nettement sur les d veloppements technologiques horizon 5 ans Les liens entre Environnement et Energie sont par ailleurs de plus en plus forts Une des grandes probl matiques nerg tique et environnementale actuelles concerne l effet de serre qui conduit la fois reconsid rer l attractivit relative des diff rentes sources nerg tiques et stimuler les progr s en mati re de ma trise de la consommation nerg tique dans les transports Au del les enjeux en mati re d environnement portent sur la gestion des d chets la d pollution de l eau des sols et de l air ou encore sur la r duction des nuisances sonores In fine tous les secteurs industriels sont aujourd hui concern s par la probl matique environnementale du double point de vue de l valuation et de la r duction des risques Energie Introduction Aujourd hui la disponibilit et la ma trise de l nergie sont des enjeux majeurs pour assurer la position conomique d un pays La probl matique nerg tique se d cline selon deux axes la ma trise des nergies principales lectricit nucl aire et hydraulique gaz p trole et l anticipation de ruptures nerg
512. ribution et le stockage de l nergie Une multiplication dans des conditions conomiques int ressantes des capacit massiques de stockage par un facteur dix permettrait de modifier consid rablement le paysage nerg tique En effet la portabilit des appareils t l phone ordinateur tant en plein essor la demande de stockage d nergie dans de petits volumes et donnant une autonomie toujours plus grande est extr mement forte Les alternatives technologiques sont ici nombreuses Les enjeux apparaissent particuli rement significatifs pour le stockage lectrochimique ou les piles combustibles La synergie des applications dans les transports l habitat stationnaire mais galement les usines de production lectrique pourrait ouvrir d ailleurs des perspectives de march consid rables Les Etats Unis le Canada et le Japon sont les trois pays les plus avanc s dans ce domaine Stockage de l nergie Le v hicule hybride moteur explosion et moteur lectrique tant probablement une solution interm diaire Page 107 Le contexte par grands domaines Le transport de l lectricit haute et tr s haute tension g n re des nuisances sur l environnement et pose des probl mes en mati re de s curit des installations L enterrement des lignes lectriques est par exemple un axe de travail important pour EDF De plus le d veloppement de nouveaux mat riaux de transport longue distance tels l
513. rique lectrique Convertisseurs DC DC l Ing nieur automobile v hicules fus es Optimisation Electronique de puissance Electronique industriels Groupes Distribution et r gulation Bus r gul en tension Espace motopropulseurs de la puissance lectrique Composants V hicules hybrides Transfert de puissance Composants haute temp rature V hicules lectriques Composants d interconnexion et d interface Actionneurs lectriques gt CM International 94 Architecture lectronique informatique r partie et multiplexage dans les v hicules L lectronique remplit diff rentes fonctions de confort s curit et personnalisation des v hicules DEGRE DE DEVELOPPEMENT L ensemble des constructeurs notamment automobiles con oivent d sormais des v hicules dans la logique d une offre de services maximale architecture lectrique bord 7 per N SE y Le Technologie mergence croissance maturit Les probl mes r soudre pour proposer au march de telles facilit s sont multiples d une part la p rennit des syst mes embarqu s doit tre aana RE RETERT assur e et dans la mesure o l on se dirige de plus en plus vers un acc s Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation une information situ e l ext rieur et non plus en circuit ferm les syst mes utilis s doivent
514. rique des proc d s Il s agit de simuler les proc d s de fabrication qu ils soient continus ou discontinus Ces simulations concernent les situations de fonctionnement nominal aussi bien que les dysfonctionnements Cette technologie se heurte des probl mes d int gration des Technologie logiciels et de leur utilisation d interop rabilit des diff rents syst mes mod les entre eux de r duction des temps de d veloppement et de mise au point de co t et d optimisation de calcul les routines et les logiciels d optimisation n existent pas toujours aujourd hui Liens France Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu data mining Techno logicielles de r alit virtuelle R alit virtuelle augment e Capteurs intelligents Simulation mod lisation du comportement humain Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Formalisation et gestion des r gles m tier Europe Applications industrielles et commerciales mergence naissance croissance diftusion POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE maturit g n ralisation moyenne inexistante moyenne inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europ
515. ris T l 01 53 18 69 00 Fax 01 53 18 38 25 http www industrie gouv fr cgi bin industrie _BIBL_LIBR_FICHE_bdc pl THEME_ID 29 amp FORM_ID 267 2 sur 2 28 11 2000 13 42 52 SOMMAIRE Pr face du Ministre Avant propos Avertissement Sommaire Premi re partie Introduction l tude Deuxi me partie le contexte par grands domaines Troisi me partie Fiches de synth ses Quatri me partie Conclusions Recommandations du comit de pilotage Annexes et bibliographie Composition du comit de pilotage Composition des groupes de travail th matiques Rappel des TC de l tude pr c dente Thesaurus www cm intl com Minist re de l Economie des Finances et de l Industrie Secr tariat d Etat l Industrie DIGITIP Service de l Innovation OTS Technologies cl s 2005 Rapport final Octobre 2000 CM International avec la collaboration de Cit des Sciences Fondation Villette Entreprises Cr doc Innovation 128 MCN Conseil Central Cast Net20ne Convention d tude n 99 1 7801 Page 2 Pr face du Ministre Comme tout tre vivant la technologie volue de nouvelles technologies apparaissent tandis que d autres d clinent Dans un contexte changes acc l r s l chelle de la plan te nos conomies sont toujours plus fa onn es par ces volutions source d opportunit s pour ceux qui s y pr parent ou l origine de d convenues pour ce
516. rise de vue CPG Prototypage rapide Repr sentation de la perception IAA Technologies douces NTIC Batteries et gestion d nergie Objets communicants et autonomes Assistants digitaux portables EE D tection et traitement des odeurs CIH Off shore grands fonds CPG T l surveillance de syst me productif distance TAE Moteurs thermiques IAA Imagerie m dicale Tra abilit NTIC Composants opto lectroniques et phonotiques IAA Th rapie cellulaire BSC Les agents intelligents CPG Supply Chain Management AA D tection et analyse des risques pour l environnement li s aux OGM CPG Prototypage rapide CPG Prototypage rapide IAA Ing nierie des prot ines GMCAO Transg n se EE Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires EE Fluides frigorig nes haute qualit environnementale MC Techniques de synth se et de test haut d bit TAE Compatibilit lectromagn tique Page 311 Annexes 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 Partenaires Pathologie Perception Performances Personnalisation Photovolt que Pilotage Plastifiant Plasturgie Pollution Polym res Portabilit Portail Positionnement Postes de tr
517. rix pour le consommateur en proposant une double fonction et conomisent pour les entreprises de l emballage et de la manutention Ces produits se sont d velopp s dans le domaine alimentaire et le domaine des produits m nagers Une vision plus globale du progr s qui d passe largement les seules notions technologiques Il s agit de la recherche d un quilibre de vie travers le respect de la nature et le respect de son corps Plusieurs secteurs industriels proposent d j des produits qui r pondent ce souci d quilibre les produits bio les thalassoth rapies Cette pr occupation fait entrer dans les foyers des produits industriels jusque l r serv s au monde m dical comme les outils de monitoring sant analyse de sang de rythme cardiaque de taux de cholest rol dont les r sultats sont ensuite utilis s par le personnel m dical Au del de la t l m decine le d veloppement des syst mes d information ouvre galement la porte une autre relation praticien patient dans laquelle celui ci mieux inform fournit l information m dicale son m decin charge pour ce dernier de valider le traitement ou de l adapter C est la sant au quotidien Enfin cet quilibre de vie vient s ajouter la volont d un d veloppement socialement plus acceptable Le consommateur est pr t payer un produit plus cher s il garantit les droits sociaux des populations des audits sociaux sont d j
518. robl matique du stockage de l nergie et l industrialisation de la supraconductivit la r duction de la masse et du bruit des v hicules automobiles la probl matique du d sassemblage et du recyclage en fin de vie des produits de consommation et d quipements sont pour beaucoup affaires de mat riaux De m me les besoins des technologies de l information par exemple pour concevoir des semi conducteurs haute temp rature pour l informatique embarqu e ou encore les besoins des professionnels de 1a sant pour l appareillage m dical les implants biocompatibles et m tabolisables qui demanderont des nouveaux mat riaux Pour plus d informations sur les dynamiques propres ces secteurs nous renvoyons le lecteur int ress aux autres chapitres de cet ouvrage Les enjeux en terme d innovation La dynamique de l volution des industriels de la chimie et des mat riaux peut tre retrac e en trois mouvements 1 la limitation l introduction des innovations de produits 2 la place pr pond rante des innovations de proc d s 3 le r le des innovations et des comp tences organisationnelles La limitation l introduction des innovations de produits Comme l a not le rapport pr c dent il existe des limitations fortes l introduction au plus vite de nouveaux produits ou mat riaux Les effets de parc li s aux quipements existants des fili res de production et aux habitudes des concepteurs chez les util
519. rope forte moyenne faible inexistante moyenne faible inexistante Exemples de secteur i i Points technologiques Domaines scientifiques Eo Exemples d usage Fonction remplie Technologie De F d application critiques concern s Travaux Publics G nie Sous couche routi re Stabilisation en vue du Inertage Pi geage long terme Chimie des mat riaux civil Remblais stockage et de Gestion d charge des polluants Biochimie Sant Nouveaux mat riaux de l utilisation Vitrification Contr le du d bit des Mod lisation construction cocompatibles des Imperm abilisation fum es Microbiologie Confinement des d chets Barri res imperm ables d charges Stockage r versible et fiable Page 238 gt CM International 72 Recyclage de mat riaux sp cifiques Les d veloppements des logiques de tri permettent la mise en place concernant la collecte des d chets avec la r alit industrielle de l utilisation de produits recycl s de fili res de traitement pour le recyclage de mat riaux sp cifiques tels que le papier le verre les m taux les pneus L objectif est Liens en particulier de diminuer les mises en d charge de d chets technologie de la d construction m nagers et industriels et de favoriser la mise en place de fili res alliage de polym res de recyclage laboration de composites matrice organique La Directive europ enne sur les
520. roprement parler Dans les ann es 1980 la sant tait associ e la minceur l apparence ext rieure et la forme Aujourd hui le souci d une bonne sant implique la recherche d un bon quilibre Il s est traduit dans un premier temps par la recherche de produits quilibr s contribuant conforter la sant produits alimentaires teneur garantie en vitamines produits alimentaires composition en lipides quilibr e Pourtant la m fiance actuelle devant la production alimentaire industrielle pourrait dans les ann es venir amener deux r actions compl mentaires La premi re serait une certaine d saffection pour ces produits compl ment s du fait de leur composante non naturelle La seconde serait un int r t accru pour les produits bio Compar s aux autres consommateurs en Europe les Fran ais restent relativement timides par rapport aux produits bio En 1998 44 des personnes interrog es avaient d j achet des produits issus de l agriculture biologique contre 70 en Allemagne 54 en Italie et 50 en Angleterre Mais ce march sera probablement amen progresser dans les ann es venir 5 s s RTE Collerie de Borely L innovation technologique commence s duire les seniors Consommation et Modes de vie n 124 28 f vrier 1998 Page 26 Introduction L hygi ne au sens de propret est souvent mise en avant afin de lutter contre les nuisances qu ap
521. rtabilit des contenus sur support P dagogie Formation services en ligne auteurs pour la Techno logicielles de l informatique Internet Informatique professionnelle Offre de produits et de services de cr ation de distribu e Capacit de gestion du profil de logicielle Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci Communication M dias grande consommation base de contenu Techno logicielles de la langue et de la l utilisateur Grand public loisirs r alit virtuelle multim dia parole Capacit d adaptation l utilisateur Tous secteurs utilisateurs Outils de sant la disposition des Techno logicielles pour la gestion des de services en lignes consommateurs donn es et du contenu Et divers autres points critiques Interm diation et int gration de Transmission temps r el de contenus relevant des technologies cit es ci services pour l Internet du futur multim dia contre et voqu es par ailleurs Page 186 CM International 26 Technologies logicielles de r alit virtuelle La simulation le design la CAO mais aussi les jeux vid o les didacticiels ou encore le cin ma sont l origine d importants besoins d images et de sons de synth se 2D et 3D et plus DEGRE DE DEVELOPPEMENT largement de r alit virtuelle Technologie mergence us maturit Dans ce domaine les technologies essentielles sont les serveurs voqu s par ailleurs les dispositifs d imagerie et surtout le Ap
522. rte moyenne faible inexistante d veloppement de nouvelles applications par transfert entre secteurs d applications ainsi que le passage la fabrication en tr s Europe forte L moyenne faible inexistante grande s rie Liens POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL recyclage de mat riaux sp cifiques France forte moyenne faible inexistante stockage de l nergie am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux Europe forte L moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s Sant Carrosserie All gement des Elaboration de Dur e du cycle de Chimie des polym res Armement Pales d h licopt res structures composites r alisation Retouches M canique des Habitat Grues R alisation de formes matrice organique r parations Pr visions des composites interface Automobile Rev tements complexes dur es de vie fibres matrice a ronautique espace Articles de sport R sistance Fiabilit et reproductibilit Sport Tenue la corrosion Propri t s anisotropes Points critiques non technologiques Absence de fili re de recyclage Page 206 gt CM International 42 Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre des mat
523. ruptive qui a t utilis pour de nombreuses innovations pass es est fondamental pour comprendre la discontinuit apport e par les protocoles autour d IP IP HTML SMTP etc Une technologie disruptive n est pas meilleure ou moins bonne que les technologies qui existaient avant elle elle r pond un besoin nouveau auquel les technologies pr c dentes ne pouvaient pas r pondre Ainsi les technologies Internet permettent l mergence d un syst me de communication mondial multim dia le Web qui n tait pas envisageable auparavant Ces technologies changent les r gles du jeu de la concurrence Elles s appuient sur des march s nouveaux en pleine croissance qui ouvrent de nouvelles opportunit s de cr ation de valeur pour les clients Pour prendre des positions sur ces nouvelles cha nes de valeur et pour tre le premier sur les nouveaux march s l ensemble des acteurs d ploient des efforts de R amp D importants Dans le cas d Internet ces efforts de R amp D conduisent l tablissement de standards ouverts mondiaux qui capitalisent l effort mondial de recherche M me si les technologies Internet n taient pas pr vues l origine pour faire ce que les technologies classiques faisaient d j correctement la t l phonie par exemple ces technologies sont port es par l effort de R amp D mondial et atteindront coup s r d ici quelques ann es un degr de maturit suffisant pour les rendre plus efficaces que les te
524. s matrice organique Logiciels de mod lisation compl te des mat riaux et des proc d s de mise en vre Mat riaux adaptatifs Mat riaux pour proc d s pour hautes temp ratures Nouvelles fibres textiles Polym res pi zo lectriques ferro lectriques et magn tiques Rev tements de surface multifonctions Synth se de mol cules complexes Page 300 Annexes B timent et Infrastructures B tons performances optimis es Entretien et r habilitation des r seaux d eau et d assainissement Gestion de lair dans les b timents Gestion des ressources en eau Outils de connaissance du vieillissement des ouvrages de BTP Techniques d ex cution des travaux souterrains Energie Composants lectroniques de moyenne puissance Contr le commande des grands syst mes Conversion de la biomasse Eclairage domestique faible consommation Maintenance des grands syst mes Nucl aire propre et s r Photovolt que Production p troli re et gazi re par grands fonds R cup ration optimis e du p trole Stockage et transport du gaz naturel liqu fi Traitement des fum es r sultant de la combustion de charbon et des d chets Environnement D contamination et r habilitation des sols Epuration biologique des eaux et traitement des boues Inertage et stockage des d chets nucl aires Inertage et stockage des d chets ultimes M trologie appliqu e l environnement Mod lisation et impact des polluants Netto
525. s commerciales Mais comprendre la demande n est pas chose ais e dans la mesure o cette demande est devenue versatile et apparemment tr s personnelle Aussi le travail r aliser est il plus un travail de d cryptage de l ensemble des demandes individuelles possibles afin d affiner la notion de segments de march issue du marketing classique non plus par grandes cat gories de personnes mais par cat gories de demandes pour ainsi fournir des produits qui conviennent une demande sp cifique ou un ensemble de demandes sp cifiques qui finalement se retrouveront dans cette offre La conception doit mieux prendre en compte la dimension humaine cette volution de la demande la personnalisation de nombreux produits et donc leur multiplication ont un corollaire important la conception de produit demain devra prendre en compte l homme en ce qu il sera non seulement utilisateur final du produit et du service l ergonomie prend l tout son sens avec en particulier les notices d accompagnement et les manuels d utilisation qui doivent tre soigneusement pens s et d taill s mais galement en tant que maillon de production ainsi les contraintes li es la fabrication doivent elles tre envisag es vis vis des efforts ou mouvements requis de la part de l op rateur sur la ligne de production Les Technologies de P Information et de la Communication vont galement jouer un r le pr pon
526. s importants du changement technologique actuel 4 Organiser une v ritable continuit de l exercice Malgr les difficult s rencontr es pour traduire la complexit du sujet et le caract re in vitablement simplificateur de la d marche adopt e le Comit de pilotage estime que cet exercice reste pertinent dans son objet Il lui para t important que cette d marche de r flexion prospective puisse se continuer dans le temps sans rupture D j un groupe d experts a fait conna tre son souhait de continuer travailler sur la th matique qui tait la sienne Etendre cette demande d autres th mes n aurait que des avantages Outre le fait que cela viterait chaque r actualisation de l tude de constituer de nouveaux groupes de travail consommateur de temps et d nergie cela permettrait de disposer d une expertise qui pourrait alerter rapidement les pouvoirs publics de toute modification soudaine des conditions d volution des technologies en particulier dans les domaines o les constantes de temps sont tr s courtes Si une telle recommandation doit tre retenue nul doute que sa mise en ouvre devra faire l objet d une grande attention Il s agira notamment de favoriser le renouvellement p riodique des groupes d experts de fa on maintenir une certaine mulation Il nous semble aussi important que soient associ s ces travaux l ensemble des acteurs conomiques et sociaux du syst me d innovation en particu
527. s aux composants En effet les principes d architecture retenus pour assembler et faire communiquer les composants d terminent largement les propri t s de l ensemble les composants doivent donc tre rigoureusement mod lis s et s lectionn s en outre la r utilisation et l assemblage de composants requi rent de savoir les valider et les certifier et d en formaliser les propri t s Ce qui pr c de s applique tant aux propri t s fonctionnelles qu au comportement des composants en pr sence de fautes et peut conduire des architectures tol rantes aux fautes en mati re d organisation industrielle cette rupture conduit une profonde volution des m thodes de d veloppement de logiciel et des m tiers associ s Sch matiquement le d veloppement par assemblage de composants va en effet avoir pour cons quence de renforcer les activit s amont sp cification et architecture et aval preuve test et int gration du cycle et de r duire la phase de codage au profit d une activit de recherche d approvisionnement de qualification et d assemblage de composants sur le plan conomique l une des composantes majeures de la profonde mutation que conna t l industrie du logiciel r side dans le fait que les solutions propri taires d velopp es au cas par cas sont progressivement abandonn es au profit de solutions int grant des composants sur tag res m tier DEGRE DE DEVELOPPEMENT Liens autres
528. s axes besoins de s curit participation des clients la finition et possibilit de moduler l espace int rieur contribuera d velopper une adaptation du design et de l ergonomie de l habitat L impact de l augmentation du temps libre Au del du besoin nouveau de faire du domicile le lieu de tous les univers de vie priv professionnel loisirs augmentation du temps libre volution r guli re depuis cent ans dans tous les pays d velopp s et qui va encore conna tre une nouvelle acc l ration en France avec la loi sur les 35 heures joue sur la construction Apr s une stagnation de la construction de r sidences secondaires de 1991 jusqu en 1997 ann es de crise conomique et d inqui tude forte une demande croissante pour des logements de vacance am nag s sp cialement pour les loisirs devrait se d velopper Mais ces nouveaux lieux ne pourront pas rester l cart du besoin de communication et pourraient n tre que le prolongement en d autres lieux des univers multiples du logement principal La personnalisation dans le regroupement La dynamique conomique de la mondialisation conduit les entreprises se regrouper et mettre en commun leurs personnels Dans le m me temps les m thodes de travail voluent avec l extension des approches par projet n cessitant des plate formes projets de plus en plus int gr es tant physiquement que virtuellement des salles de visio conf rence perm
529. s besoins particuli rement importants en mati re de R amp D Ce constat est largement d velopp dans le rapport PITAC adress au Pr sident des Etats Unis C est pourquoi alors m me que la pr pond rance de l industrie am ricaine du logiciel est crasante le logiciel constitue la premi re priorit de l initiative IT qui vise renforcer l effort f d ral de recherche Par ailleurs on constate que la position de l Europe et notamment de la France est globalement insatisfaisante de notables exceptions pr s les positions industrielles sont faibles et la R amp D est traditionnellement plus engag e sur le mat riel que sur le logiciel et les services A titre d illustration on citera quelques estimations donn es par IDC pour l ann e 1998 en ce qui concerne le packaged software syst mes d exploitation applications bureautiques jeux si l Europe repr sentait 31 du march mondial contre 49 pour les Etats Unis elle ne comptait que pour 14 de la production contre 77 pour les Etats Unis avec seulement une entreprise l allemand SAP parmi les 20 leaders mondiaux contre 16 pour les Etats Unis on constate en outre que pour chacune des donn es pr c dentes la situation relative de l Europe s tait d grad e par rapport 1996 il doit cependant tre not que toujours selon les valuations d IDC forc ment plus approximatives dans ce domaine la position relat
530. s cl s 2005 constituent le r sultat de cet exercice et correspondent aux technologies qui ont t retenues comme prioritaires pour la France Deux s ries de pr occupations ont t prises en compte aider les entreprises fran aises d finir avec discernement les technologies essentielles qu il leur faut imp rativement d velopper et ma triser Pour les petites et moyennes entreprises des analyses identifiant les technologies cl s sont d autant plus indispensables qu elles n ont pas les moyens d acqu rir une vision globale alors m me que l interconnexion croissante des technologies les sollicite sur un front plus large aider les pouvoirs publics mieux d finir et mettre en uvre une politique technologique nationale et europ enne Il appartient chacun selon ses pr occupations de s approprier les r sultats de ce travail pour int grer ses propres logiques d action ceux des l ments pertinents qui auraient pu tre pr sent s ici Page 8 Introduction Sommaire Pr face du Ministre Avant Propos Avertissement Premi re partie Introduction e Dynamique des technologies Innovation et Prospective Les grandes tendances de la demande La nouvelle conomie de quoi parle t on Technologies cl s 2005 face aux autres exercices de prospective technologique Caract risation des technologies cl s retenues M thodologie de l tude me partie Le contexte par grands domaines Techn
531. s de la table les voyages Le d veloppement du sur mesure implique plusieurs contraintes pour l offreur ma triser les techniques d analyse des besoins et des comportements des consommateurs proposer un co t bas des produits ou services sur mesure tout en les int grant dans des circuits de grande consommation ma triser la flexibilit et donc se baser sur une organisation souple mais surtout cr ative qui implique de revoir de nombreux modes de production A cet gard les nouvelles technologies constituent une formidable aide au d veloppement du sur mesure en permettant par exemple d effectuer des simulations sur ordinateur pour diff rents produits L offre de produits sur mesure tend s organiser autour de services associ s les bouquets de services La personne ne consomme plus un produit donn mais un ensemble de produits et de services personnalis s r pondant un besoin complexe ou pr cis Cette volution s observe par exemple dans le domaine du tourisme o les tours op rateurs proposent un ensemble de services transport h bergement animation leur permettant d offrir des voyages personnalis s con us en partenariat avec le client De m me l industrie automobile ne se limite pas vendre des voitures mais propose des services associ s tels que la maintenance les assurances le cr dit Page 137 Le contexte par grands domaines Des produits multifonctionnels et simples d utilisa
532. s de v hicules particuliers les quipementiers ferroviaires et a riens par exemple et une autre chelle les fournisseurs interm diaires de moyens de transport billetterie r servations de voitures sont confront s aujourd hui des consommateurs avertis dont les exigences refl tent non seulement des valeurs mais galement des ph nom nes de mode ou des tendances Ces changements touchent videmment galement les entreprises qui produisent les moyens de transport v hicules routiers ferroviaires avions bateaux elles font galement face aux exigences d adaptation et de r activit face la demande des march s Pour r pondre ces exigences de march ce sont galement de nouvelles organisations logistiques qui doivent se mettre en place galement plac es sous le sceau de la r activit mais galement de la tra abilit des produits et de la qualit Innovation les fortes volutions technologiques en cours Nouvelles Technologies de l Information et la Communication nouveaux v hicules nouveaux moteurs nouveaux mat riaux incitent les industriels innover afin de pouvoir int grer ces technologies tout en assurant des taux de rentabilit acceptables De gros programmes de d veloppement sont ainsi en cours dans le domaine Transport A ronautique sur les v hicules hybrides les gros porteurs a riens ou les satellites pour ne citer que les plus m diatis s Rationalisation de la product
533. s domaines fortement b n fici des travaux conduits dans le cadre de la recherche publique notamment dans le domaine d Internet La dynamique d innovation des TIC remet en cause le mod le lin aire recherche amont recherche appliqu e d veloppement industriel Si la plupart des priorit s de recherche des acteurs industriels se situent un horizon de 1 3 ans les travaux correspondant peuvent comporter des tudes pr sentant des enjeux scientifiques et techniques importants d passant le cadre de simples travaux de d veloppement Certains r sultats de recherches consid r es comme relativement fondamentales ont parfois trouv des applications industrielles rapides v rification de logiciels pour Ariane 5 Ainsi la qualit de la recherche publique en STIC et de ses relations avec le tissu industriel est un l ment cl du d veloppement du secteur des TIC Ce lien s est av r particuli rement efficace aux USA o cet enjeu est parfaitement per u le budget f d ral de R amp D consacr aux TIC est en augmentation d environ 400 M 1 7 G dans le cadre de l initiative IT2 un effort encore plus important tant pr vu en 2001 avec comme priorit s principales le logiciel qui constitue la premi re priorit les interactions homme machine l infrastructure de communication le calcul haute performance D Capital risque et start up Enfin le r le jou par le capital risque et plus en amo
534. s domaines qui voluent fortement pour pouvoir offrir aux consommateurs de meilleures conditions de pr paration au transport avant m me le d part Internet et la net conomie sont des voies de d veloppement tr s prometteuses Page 129 Le contexte par grands domaines Des changes de marchandises accrus L augmentation de la demande des march s conduit n cessairement la multiplication des changes de marchandises Non seulement les volumes transport s augmentent mais les types de produits transport s se diversifient Ainsi typiquement le d veloppement du commerce lectronique va conduire la croissance des livraisons domicile de marchandises tr s diverses En effet th oriquement un particulier pourra tout commander sur Internet D un point de vue logistique cela repr sente un v ritable d fi pour les transporteurs et la messagerie contraints de s adapter une demande versatile volatile exigeante en termes de qualit et de ponctualit des livraisons Le respect de l environnement L environnement reste galement une pr occupation des consommateurs voyageurs et des milieux industriels et du transport La r ponse aux exigences des r glementations de plus en plus importantes travers le monde se traduit en trois enjeux pour le domaine du transport la ma trise de l nergie production d nergie moins polluante moteurs propres optimisation des consommations de carburants nerg
535. s fabricants de mat riaux et les utilisateurs finaux r duisent d autant les chances de p n tration des innovations orient es vers une meilleure satisfaction de la demande Enfin la permanence des ouvrages rend tr s lev le co t des cons quences n fastes d une innovation mal ma tris e ralentissant d autant le processus de sa diffusion De tr s nombreux efforts ont cependant t r alis s depuis des ann es pour am liorer la satisfaction et la qualit de vie des utilisateurs des b timents et des ouvrages produits Force est cependant de constater que les attentes sociales ont volu encore plus vite Des exigences de plus en plus fortes vis vis de la sant de l environnement des risques du confort mais aussi de la modularit d utilisation apparaissent comme autant de facteurs d volution qui doivent tre anticip s Page 93 Le contexte par grands domaines Les d terminants de la demande Il convient de distinguer d une part la demande finale celle de l usager fortement d termin e par l volution des modes de consommation et des modes de vie dans les ann es 2000 et d autre part la demande des acteurs des fili res construction et habitat Les tendances de la consommation des ann es 2000 Les grandes tendances identifi es au chapitre I 2 peuvent tre d clin es pour ce qui rel ve du domaine Construction Infrastructure L volution d mographique entra ne l appariti
536. s fines ou supercapacit en tr s grande quantit pouvant France forte faible inexistante terme atteindre quelques milliards par an en plus des batteries Europe foe faible inexistante classiques de plus grandes capacit s pour usages t l phones portables Les conditions pour r ussir sont la qualit de l lectronique associ e lectronique de contr le La gestion du cycle de vie du produit et les questions d environnement sont aussi POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL importantes France foe faible inexistante Liens T E autonomes Europe fore faible inexistante assistants digitaux portables Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s Electronique Terminaux Stockage d nergie pour Batteries et Micro g n rateurs Physique T l communicati portables contribuer la portabilit la gestion de la Mat riaux Electronique ons Cartes puce mobilit le nomadisme ainsi que micro nergie Travail en rouleau Chimie Transports Objets intelligents l acc s aux contenus Volume Enduction des poudres Mat riaux Etiquettes S curit Dur e M tallisation lectroniques Rapidit et Connections contr le de Micro lectronique silicium chargement Fabrication Page 165 CM International La 12 Objets communicants autonomes identifiants intelligents
537. s l audiovisuel apparition de l interactivit remise en cause du mod le de distribution audiovisuelle volution forte des terminaux d mocratisation de la cha ne de distribution L apparition de l interactivit est une rupture forte en train de na tre dans le monde de l audiovisuel De nouveaux usages commencent d j poindre sur le Web L apparition de nouveaux services interactifs risque d entra ner une segmentation nouvelle des attentes des clients qui pourraient devenir moins exigeants sur la qualit de l image en contrepartie de nouvelles possibilit s d usage Le ph nom ne est tr s clair aujourd hui sur Internet avec l explosion des technologies de streaming malgr leur faible r solution L apparition de l interactivit s accompagne de l arriv e de nouveaux r seaux d acc s en concurrence avec les r seaux traditionnels GPRS UMTS xDSL c ble etc Dans le m me temps on peut anticiper une ouverture prochaine des r seaux de diffusion similaire celle observ e dans les t l communications arriv e des technologies de diffusion sur Internet Enfin l arriv e de l interactivit a un impact fort sur l ensemble des terminaux audiovisuels TV radio magn toscope cam scope consoles de jeu en introduisant des besoins nouveaux d intelligence d interop rabilit et d interactivit L audiovisuel est aussi un candidat aux opportunit s nouvelles offertes par la convergence Page 64 Le contexte par g
538. s la sph re domestique que ce soit au niveau de l alimentaire que des biens d quipement m nagers Une croissance de la qualification Les objectifs annonc s par un Ministre de l Education dans le courant des ann es 80 80 des effectifs d une classe d ge au niveau bac sont en passe d tre atteints alors qu en 1950 5 d une classe d ge a le bac qu en 1978 70 des sortants du syst me ducatif ne disposaient soit d aucun dipl me soit au plus d un BEP niveau 3 me en 2000 ce dernier taux a presque t divis par deux pour arriver 38 Cette qualification croissante des Fran ais joue videmment un r le pr pond rant dans la perception des choses et dans les pratiques des consommateurs Plus dipl m on a tendance s informer sur les produits comparer comprendre et exiger davantage Un nouveau rapport au travail Une plus grande flexibilit Alors que la France des ann es 1980 vivait encore dans l id e de carri re d emplois stables et durables la fin du second mill naire donne une toute autre vision du champ professionnel en l espace de dix ans le nombre d heures de travail int rimaire a t multipli par pr s de quatre fin 1997 plus d un nouvel embauch sur deux l tait sur un contrat pr caire CDD CES le stage est devenu pour un jeune n ayant encore jamais eu d emploi une pratique courante voire r p titive Globa
539. s mesures l gislatives ne permettront pas elles seules d atteindre cet objectif Seules des actions provenant de tous les acteurs de la soci t et notamment du monde de l ducation et des m dias pourront conduire ce r sultat 8 Affiner les strat gies pour faire des choix judicieux L Etat est dans son r le lorsqu il cherche d terminer les grands objectifs qui constitueront l horizon technologique des acteurs du syst me d innovation des ann es futures Le d calage entre l Europe et donc la France et les Etats Unis devient crucial dans un certain nombre de domaines Il est indispensable d s aujourd hui d agir en ciblant et en augmentant les moyens de la recherche Comme cela a t rappel en introduction la France ne peut plus se permettre de disperser ses efforts sur la totalit du champ technologique il lui faut faire des choix Cela ne sera pas facile tout choix tant douloureux et risqu Mais s abstenir de le faire c est prendre un plus grand risque encore et se retrouver dans une situation o ces choix seront plus difficiles Comme le montrent certains exemples trangers ces choix doivent s inscrire dans une strat gie claire et pr cise Ils doivent e se faire de concert avec les choix de politique industrielle et technologique europ enne et s effectuer en troite relation avec la politique commerciale mise en uvre aussi bien au niveau national qu europ en On ne peut s engager aujourd hu
540. s neurones Page 288 gt CM International 114 Multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation repr sentation de la perception du consommateur prototypage rapide DEGRE DE DEVELOPPEMENT La multi repr sentation englobe diverses notions La repr sentation du m me objet de diff rentes mani res dans le processus de conception de produits il existe une chronologie d actions qui garantit la mat rialisation d une id e en objet industriel reproductible Les plateaux projets ont g n r des difficult s sp cifiques en termes de compr hension des points de Technologie mergence croissance maturit vue diff rents Chaque acteur poss de ses propres repr sentations designer ergonome marketer technologue L enjeu est donc Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation de rendre appropriable leurs utilisateurs ces diff rents modes de repr sentation Un produit a diverses repr sentations tout au long de son cycle de vie du berceau la tombe POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE L anticipation de l usage du produit par l utilisateur final est un France forte moyenne faible inexistante dernier objectif de cette technologie Europe forte moyenne faible inexistante Les enjeux d interconnection de rep
541. s probabilistes pression IRM l affaiblissement Page 208 D CM International 44 Fabrication en petites s ries partir de mod les num riques La fabrication partir de mod les num riques de pi ces m talliques industrielles s appuie sur les acquis du prototypage DEGRE DE DEVELOPPEMENT rapide Celui ci permet de r aliser automatiquement et tr s rapidement des pi ces prototypes dont la g om trie et les Technologie mergence croissance maturit dimensions sont tr s proches de celles qu aura le produit final Il utilise des logiciels de design industriel commandant des Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation dispositifs de formage de la mati re et fait appel diverses Technologie avec laser fabrication par d coupe et laminage st r olithographie frittage sans laser d p t de fil fondu flashage POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE couche par couche projection de colle de cire ou de plastique L application la fabrication en particulier pour les pi ces France forte moyenne faible inexistante m talliques permet la r duction des s ries et la recherche de flexibilit en supprimant des tapes de r alisation des produits Il Europe forte moyenne faible inexistante subsiste de nombreux probl mes tels que la pr cision la porosit et l tat de surface des pi ces obte
542. s propri t s comme dans le cas des mat riaux absorbants pour tenue aux chocs vibrations bruits temp ratures du fait de leur structure interne Des d veloppements concernent galement des mat riaux pour proc d s haute temp rature et en milieux extr mes Il s agit ici de mettre au point des mat riaux susceptibles de conserver leur t nacit et d tre inertes chimiquement haute temp rature Ces volutions n cessitent en particulier de d couvrir des mat riaux dont les points de fusion sont sup rieurs 1500 C pour tre compatibles avec des applications comme le fuselage des navettes spatiales les r fractaires des fours en sid rurgie cimenterie ou verrerie Les recherches portent sur diff rentes familles de m taux et de c ramiques m taux r fractaires aciers r fractaires superalliages base nickel ou cobalt c ramiques carbures nitrures borure et oxydes silicium et sulfures compos s interm talliques TiAl compos s matrice m tallique Mat riaux absorbants Mat riaux pour proc d s hautes temp ratures et en milieux extr mes Page 90 Le contexte par grands domaines Outiller la recherche et la mod lisation R aliser simultan ment des multi synth ses mono mol culaires et le test de l activit par le transfert de la technique de chimie combinatoire que l industrie pharmaceutique a d velopp e pour laborer rapidement et moindre co t des biblioth ques de mol cules Su
543. s sp cifiques avec la qualit de service n cessaire l usage souhait e Production manipulation et publication de flux audiovisuels par des utilisateurs non sp cialistes du sujet e G n ralisation des communications synchrones de flux audiovisuels entre personnes mais galement entre un serveur et un utilisateur dans le cadre par exemple d une interaction de t l immersion ou de monde virtuel 3D e Int gration des flux audiovisuels avec les autres contenus et outils Internet pour g n raliser l interactivit et l interm diation Priorit 3 Int grer dans l interm diation les l ments essentiels de l activit quotidienne mobilit et activit en communaut les besoins des utilisateurs dans leur vie quotidienne d passent largement la simple consultation d information sur le Web L Internet du Futur devra ainsi s adapter au mode de vie des individus en particulier sa mobilit et au fait que chacun travaille la plupart du temps au sein de groupes d individus qui coop rent e _ G n ralisation de la mobilit et de l itin rance e Collaboration entre des entit s diff rentes terminaux quipements utilisateurs etc pour offrir de mani re coordonn e un service adapt la mobilit et litin rance e G n ralisation de la notion de communaut s virtuelles qui se g rent elles m mes avec une identit une m moire et une vie propre e Possibilit pour une communaut ou un groupe de naviguer en
544. s trait s doit tre mieux France forte En moyenne faible inexistante adapt e ainsi que l interaction entre les diff rences Technologie douces Europe forte Moyenne faible inexistante les temps de traitement sont encore longs au regard de leur efficacit certains proc d s demandent encore des am liorations comme POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL les proc d s de haute pression en continu et les champs lectriques France forte L moyenne faible inexistante conomique le frein majeur reste le co t des installations et l offre des fournisseurs quant son adaptabilit au secteur Europe forte moyenne faible inexistante agroalimentaire Exemples p e secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scentnques d application concern s Agriculture Jus de fruit go t Assurer la pr servation des Technologie Compr hension des effets sur les G nie des proc d s Industries produit frais propri t s nutritionnelles et douces pour la micro organismes Science des aliments alimentaires Traitement des organoleptiques des aliments pr servation de la Microbiologie ovoproduits tout en assurant leur s curit qualit des Autres points critiques Science de la Aliments nouveaux alimentaire aliments R duction des co ts de consommation Modification des propri t s traitements acceptabili
545. sation des applications en volume et consommation Preuve formelle Mod lisation Automatique Algorithmie CM International 15 Technologies logicielles de la langue et de la parole L ing nierie linguistique vise permettre l ordinateur ou des applications logicielles de comprendre le sens du langage naturel par opposition aux langages informatiques Elle participe l am lioration de l interface homme machine Les techniques mises en uvre sont les plus avanc es intelligence artificielle analyse linguistique ainsi que pour la reconnaissance de la parole r seaux de neurones analyses statistiques avanc es Les technologies vocales entrent en phase de maturit Les progr s scientifiques et technologiques sont r guliers la robustesse s am liore Le d veloppement de grandes et petites entreprises dans le secteur concourt l industrialisation de ces technologies et leur diffusion dans les services en ligne et hors ligne Cependant de grands progr s restent faire concernant le champ d usage de ces technologies li es l influence de l environnement bruits la taille des vocabulaires et les aspects s mantiques de la parole Par ailleurs la diversification des conditions d acc s de transport et de diffusion renouvellent le champ du codage Avec le d veloppement d Internet des mobiles et de la domotique l impact conomique des technologies vocales va tre consid rable avec cepend
546. se avec ses clients tout en permettant d enrichir le concept de produit tendu produit service en offrant de nouveaux services en renfor ant le service apr s vente en g n ralisant les concepts de personnalisation de masse de l entreprise avec ses fournisseurs ou partenaires en favorisant en particulier une meilleure int gration de ses propres processus internes avec ceux de ses partenaires des diverses fonctions et applications du syst me d information lui m me pour assurer une meilleure r activit globale de l entreprise l ensemble de ses sollicitations ext rieures Internet est par ailleurs un outil id al pour la ma trise et la capitalisation des connaissances aujourd hui enjeu majeur de comp titivit dans tous les secteurs conomiques sans oublier la sant l enseignement la recherche etc Source rapport du RNRT sur Internet du futur Page 65 Le contexte par grands domaines 2 Les grands enjeux technologiques 2 1 Une dynamique d innovation in gal e s appuyant sur un effort massif de R amp D A Vitesse de l volution technologique et des usages L innovation technologique constitue un l ment fondamental du d veloppement exceptionnel des TIC dans lequel la R amp D joue un r le central Fondamentalement la technologie n a cess d voluer une vitesse surprenante Les grandes lignes de l volution technologique sont consid r es peut tre un peu hardiment com
547. secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Chimie P trochimie Catalyse Catalyseurs Am lioration des Catalyse P trole Proc d s synth ses performances activit Synth se min rale et Mat riaux chimiques d pollution s lectivit organique Automobile puration des fum es D pollution Pots catalytiques Page 202 gt CM International 38 Ing nierie et traitement des surfaces L ing nierie des surfaces regroupe la caract risation des propri t s la fonctionnalisation des surfaces la conception et le choix des rev tements de surface multifonctions et inclut la probl matique environnement substitution des solvants Technologie propres en traitement d capage et rev tement des mat riaux Transversal et Lien limination des m taux lourds dans les boues et les effluents DEGRE DE DEVELOPPEMENT de fort poids conomique elle n cessite une approche Technologie mergence croissance maturit pluridisciplinaire et ses r alisations conditionnent le succ s de nombreuses Technologie telles que le collage Les traitements Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation multifonctions consistent superposer diff rents traitements Les techniques de nettoyage sans effluents sont d autant plus imp
548. semble et apparition d un nouveau type d utilisateurs d Internet les communaut s Priorit 4 Adapter l infrastructure aux besoins et aux usages poursuivre l ouverture en 3 mondes am liorer l ensemble des 3 mondes l Internet du futur sera structur en trois mondes les monde des m tiers et des usages le monde de la connectivit et le monde des interm diaires Chaque individu ou application dans ces mondes devra avoir un certain contr le sur les applications mises en uvre de bout en bout s curit et protection des donn es personnelles administration des services gestion de Source rapport RNRT sur l Internet du futur Page 72 Le contexte par grands domaines Les enjeux scientifiques et technologiques Les volutions scientifiques L lectronique D apr s le Japan Technological Forecast les enjeux des volutions scientifiques dans le domaine de l lectronique concernent quatre domaines La micro lectronique voluer vers des tailles de plus en plus petites jusqu au niveau atomique am liorer la vitesse et la densit des semi conducteurs proc d au del de 01 um DRAM au del de 1Gb m moire non volatile type EEPROM diminuer la consommation nerg tique et am liorer la productivit am liorer la puissance des semi conducteurs TIPS L opto lectronique le d veloppement des lasers la communication par fibres optiques les m moires optiques les quipemen
549. sion d mographique globale y contribuent largement Des programmes importants de R amp D par exemple aux Etats Unis soutiennent les efforts de compr hension des m canismes et de lutte contre l effet de serre Ces pr occupations peuvent amener faire voluer le degr de concentration de l habitat urbain et son articulation avec les modes de transport L explosion du t l travail aux Etats Unis o il atteint 14 de la population va dans le m me sens et pourrait aussi conduire en Europe des modifications des caract ristiques m mes de l habitat La demande des professionnels de la construction Le besoin d int gration Le pr c dent rapport faisait le constat que le BTP avait au cours des ann es 80 privil gi la pression sur les sous traitants et la diminution des co ts en amont de la fili re chez les fournisseurs de mat riaux afin de favoriser une ma trise des co ts Il en appelait une priorit donn e la productivit de chantier Pourtant la productivit technique du chantier lui m me n a pas dans les ann es 90 connu de saut significatif m me si elle s est am lior e progressivement Les conditions traditionnelles de chantier rec lent toujours des gisements de productivit consid rables li s l am lioration de la s curit et des conditions de travail d une part une meilleure organisation des acteurs intervenant tout au long du projet de construction d autre part Les fili res
550. ssions de polluants La r duction de l impact sur l effet de serre Pi geage et stockage du CO2 Au del et dans une perspective long terme la pile combustible est une alternative int ressante au moteur explosion La prise de conscience des probl mes d environnement local et surtout global favorise l utilisation des nergies renouvelables qui pr sentent l avantage comme nous l avons vu de ne pas puiser sur un stock Elles sont par ailleurs moins dangereuses pour l environnement plan taire effet de serre et moins porteuses de risques politiques et technologiques que les combustibles fossiles ou nucl aires A l exception de l hydraulique le probl me majeur des ENR reste leur co t Pour certaines d entre elles comme le photovolt que solaire cela passera par des ruptures technologiques car le prix est encore actuellement beaucoup trop lev pour tre comp titif mis part certaines applications sp cifiques Pour d autres nergies comme l olien le progr s peut se situer dans des am liorations des technologies existantes Photovolta que Eolien Offshore Dans le domaine de la production d lectricit la lib ralisation des industries lectriques va se d velopper en prolongement de la Directive 92 96 sur les march s lectriques et va favoriser le d veloppement de syst mes de production d centralis e tels les microturbines Microturbines Ma triser le transport la dist
551. stat le vieillissement de la population aura des r percussions certaines dans le domaine de la sant La fr quence des maladies et les taux d hospitalisation sont plus lev s chez les personnes g es m me si leur tat de sant s est am lior ces derni res ann es Le secteur de la sant devra donc r pondre ces d fis dans les ann es venir en termes de recherche sur les pathologies se d clarant surtout apr s 50 ans d am lioration de proth se ou de traitements adapt s aux probl mes de mobilit La diminution de la taille des foyers A l or e des ann es 1970 le m nage fran ais moyen tait constitu de 3 1 personnes en 1997 on ne comptait plus que 2 5 individus par foyer Compte tenu des taux de f condit globalement en baisse et de la nature tr s lin aire de cette diminution on peut s attendre ce que ce nombre moyen avoisine les 2 3 en 2005 L impact de cette volution se traduit par une individualisation de la consommation et l on voit merger de nouvelles attentes en mati re de pr sentation d emballage pour ce qui est des produits alimentaires en mati re de qualit et de fonctionnalit s pour l lectrom nager ou l audiovisuel par exemple En cons quence une place de plus en plus large sera faite aux march s de niches De nouveaux modes de vie La bi activit des couples La participation des femmes sur le march du travail a progress r guli rement pour atteindre aujour
552. ster comp titif en particulier face l industrie am ricaine et de d velopper des innovations qui g n ralisent l usage industriel de mati res premi res d origine v g tale Ce fut le cas des biopolym res pour la protection de l environnement Il reste de nombreux verrous technologiques qui ne seront lev s que par un travail pluridisciplinaire Liens organes bio artificiels Technologie Applications industrielles et commerciales POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe croissance maturit diffusion g n ralisation forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte moyenne inexistante forte moyenne inexistante Exemples de secteur i Points technologiques Domaines scientifiques e Exemples d usage Fonction remplie Technologie a F d application critiques concern s M dical Laques Synth se de Proc d s Microbiologie dirig e Biologie Pharmacie Mat riaux bio compatibles mat riaux biotechnologiques et Biotechnologie TExtile bio r sorbables bio min raux ou biomim tiques de G nie enzymatique Chimie d gradables polym res synth se de min raux et Chimie des polym res IAA Nouveaux mat riaux peu nouveaux polym res Chimie min rale Pap terie
553. sultat global de l tude notamment en d finissant la grille d analyse et de caract risation de chacune des technologies cl s Le d roulement du projet L exercice s est d roul sur un peu plus d une ann e de mars 1999 avril 2000 Il tait structur en trois phases re i aL 1 phase l initialisation L objectif tait de pr parer les travaux des phases suivantes notamment de choisir et de solliciter les experts pour participer aux groupes de travail et de r diger des dossiers th matiques pour chaque groupe les dossiers demande tant r alis s par le Cr doc les dossiers technologies par Innovation 128 2 phase l identification des technologies cl s et l appr ciation de la position fran aise Cette phase a t organis e autour d un travail en r unions d une demi journ e chacune des 8 groupes th matiques La plupart des experts des groupes se sont retrouv s au moins 4 fois Quatre tapes se sont succ d es Etape 1 recensement des technologies candidates pour tre cl s Page 51 Introduction Etape 2 premi re s lection des technologies sur la base d une analyse des attraits des technologies candidates Cette s lection a permis d obtenir une premi re liste de technologies dites importantes Etape 3 deuxi me s lection des technologies par l valuation des atouts de la France et de l Europe et des conditions de succ s Etape 4 sur la b
554. sur des polym res DEGRE DE DEVELOPPEMENT biod gradables Ces organes permettraient terme de ne plus faire appel aux Technologie mergence croissance maturit donneurs et d am liorer la compatibilit des greffes les cellules tant directement issues du donneur voire d viter les Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation contaminations ou en diminuer les risques Aujourd hui une premi re application concernant la peau existe POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Au del des avanc es technologiques n cessaires les questions r glementaires et financi res li es ces pratiques restent des freins France forte moyenne faible inexistante potentiellement importants Europe forte moyenne faible inexistante Liens th rapie cellulaire greffe d organe POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL proc d s biotechnologiques et biomim tiques de synth se de min raux et polym res France forte moyenne faible inexistante Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur Points technologiques Domaines scientifiques ap ie Exemples d usage Fonction remplie Technologie se gq A d application critiques concern s Sant Diab te Restauration de fonctions Organes bio artificiels Cellules fonctionnelles Biologie cellula
555. t l origine de l mergence d un nouveau paradigme techno conomique en raison de leur propension irriguer tr s largement l ensemble du syst me conomique et g n rer une longue phase de croissance Selon Perez les moyens de transport vapeur ont t la base du second cycle Kondradieff ce r le a t jou par l acier au cours du troisi me Kondratieff et par les mat riaux intensifs en nergie et en p trole au cours du quatri me Il serait aujourd hui tenu par la micro lectronique La phase descendante des cycles de Kondratieff serait la cons quence de l apparition et de l approfondissement progressif d une discordance entre la dynamique du sous syst me conomique tir e par l volution technologique et celle du sous syst me socio institutionnel qui t moigne d une forte inertie renforc e par la confiance provenant des succ s pass s En effet la r v lation du potentiel conomique associ au nouveau facteur cl impose de profondes transformations du cadre conomique et social correspondant au pr c dent paradigme techno conomique La diffusion de la nouvelle grappe technologique doit s accompagner d une reconfiguration du stock de capital du d veloppement de nouvelles qualifications du travail de nouvelles m thodes de management et d organisation de la production de l tablissement de nouvelles relations industrielles d une red finition de la r gulation institutionnelle au
556. t sont susceptibles d adopter des fonctions de capteurs ou d actionneurs puisqu ils ont la capacit de r pondre une sollicitation ext rieure m canique lectrique ou thermique en modifiant spontan ment leurs propri t s La recherche en la mati re exploite des propri t s pi zo lectriques production d lectricit induite par une pression ext rieure comme dans le cas de certaines c ramiques ou les propri t s magn to lectro rh ologiques changement de viscosit d l action d un champ magn tique ou lectrique observables dans certains fluides Les alliages m moire de forme les gels polym res et certains mat riaux composites sensibles fibres de verre dans un polym re font galement partie de ces mat riaux adaptatifs Mat riaux pour syst mes avanc s Fibres textiles fonctionnelles Leurs avantages sont d autonomiser certaines fonctions micro actionneurs dans l lectronique sur les syst mes de marquage de diminuer les nuisances sonores par exemple des h licopt res mise au point des gouvernes actives int gr es aux pales et orient es par des actionneurs pi zo lectriques plus l gers que les syst mes hydrauliques de faire de la surveillance et de l intervention en temps r el cas du ressort en alliage m moire de forme destin s se d tendre pour actionner une vanne d eau froide quand une arriv e d eau chaude est constat e D velopper de nouvelle
557. t de fonctionnelles des aliments nouvelles technologies Page 260 gt CM International 92 Biocapteurs biopuces Les biocapteurs sont des capteurs dont l l ment sensible est soit une enzyme soit un morceau d ADN biopuces Ils permettent la d tection d esp ces mol culaires dans le domaine de l environnement pollution des eaux ou des sols par les pesticides par ex de l agro alimentaire pr sence de bact ries et de la sant Dans ce dernier domaine les biocapteurs ont donn naissance aux biopuces qui sont des microsyst mes d analyse biologique ou biochimique combinant un capteur et un dispositif de traitement du signal Elles permettent aujourd hui d tudier les g nes des tres vivants et l expression de ces g nes Elles s appliqueront sans doute galement un jour l tude des prot ines Le terme biopuce recouvre deux types de composants les puces ADN DNA chip qui permettent de lire le g nome et les laboratoires sur puce lab on a chip qui permettent d extraire et de pr parer ADN partir d un pr l vement par exemple de sang ou de salive ou d une biopsie Les biopuces se traduisent par d importants avantages en termes de changement d chelle des acquisitions et traitements des donn es diminution des volumes de pr l vement parall lisation et augmentation du nombre d analyses r duction des co ts r actifs et des tem
558. t et de fiabilit Objets communiquants Evolutivit Composants temps r el autonomes Architectures logicielles base de composants Assistants digitaux portables Repr sentation et gestion des exigences applicatives Ing nierie concourante Langages et outils de description d architecture Technologies d infrastructure logicielle S ret de fonctionnement Assistance la configuration et au d ploiement d applications Environnement et outillage de d veloppement Autre point critique impact de l approche composants sur les m tiers l organisation et l conomie du logiciel Page 192 CM International 29 Ing nierie des grands syst mes complexes Les grands syst mes complexes comportant plusieurs dizaines de Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous millions de composants plusieurs milliards de composants sont mesure et test de syst mes de plus en plus nombreux puces syst mes de t l communications Ils int grent de plus des programmes informatiques r gissant l interaction de tous ces l ments Le probl me essentiel r soudre DEGRE DE DEVELOPPEMENT est de concilier correction de la conception et co ts et d lais de d veloppement Technologie mergence i maturit Des probl mes nouveaux li s la dimension se posent Sp cifications d finition v rifications de coh rence Applications industrielles et commerciales naissance E i g n ralisation v
559. t galement sp cifique au sein du contexte des technologies cl s car 1l rel ve de th mes parfois improprement qualifi s de mous souvent relatifs aux sciences sociales ou aux sciences de gestion et qui ne prennent que rarement la forme d objets techniques tangibles C est en ce sens qu il s agit ici au moins autant de m thodes que de technologies au sens traditionnel et pour tout dire d sormais d pass du terme Technologies et Sciences de l ing nieur sont en fait progressivement amen es incorporer ces dimensions qui sans tre v ritablement nouvelles n en prennent pas moins une place de plus en plus importante dans les besoins des entreprises Ces questions traversent la plupart des activit s conomiques et concernent globalement toutes les industries tel point qu il est difficile de proposer une perspective chiffr e raisonnable des enjeux de march associ s Les discussions men es avec des experts repr sentant des m tiers et des comp tences multiples ont permis d identifier un ensemble de probl matiques importantes pour les entreprises qui sont d velopp es ici Les enjeux dans les domaines de la conception de la production et de la gestion On a longtemps consid r que les activit s des entreprises pouvaient se d couper en s quences diff rentes de la conception l apr s vente Aujourd hui la continuit voire la concomitance entre ces s quences appara t de plus en plus avec d
560. t qu il y a pour les capacit s scientifiques et techniques r pondre aux attentes du march Ce constat n est pas nouveau puisqu il tait d j fait dans le rapport de 1995 II ne concerne pas seulement la France mais aussi l Europe Toutefois 1l faut noter que cet cart n est pas seulement d aux probl mes de traduction des acquis scientifiques et techniques en r alisations industrielles mais qu il est aussi symptomatique des difficult s qu ont les entreprises s organiser et innover pour r pondre le mieux possible aux attentes des march s L un des principaux d fis de l innovation en France ne rel ve pas de la qualit de sa recherche mais plut t de son peu d implication dans la recherche technologique de base Pour un certain nombre de technologies il est bien vident que l am lioration de la position industrielle et commerciale de la France passe par une meilleure collaboration entre la recherche publique et l industrie Pour d autres c est plut t d une v ritable coop ration entre les clients et les fournisseurs mais aussi entre les entreprises les administrations territoriales et les organisations professionnelles que viendra l am lioration Ainsi pos le probl me revient s interroger sur la fa on de favoriser la mise en r seau de tous les acteurs du processus d innovation entreprises centre de recherche pouvoirs publics pour faire en sorte qu ils dialoguent ensemble et s accordent sur la m
561. t question par exemple de la prise en compte de la douleur particuli rement pour les enfants et les malades en soins palliatifs Dans le m me temps beaucoup de communications sont faites sur la pr vention accidents de la route cons quences de la tabagie ou de l alcoolisme mais aussi d veloppement des d pistages A noter dans ce contexte que la responsabilisation du citoyen est aussi demand e autom dication exigence de la mobilit En parall le la personnalisation des relations avec l univers m dical l all gement des traitements m dicaux est une attente des patients comme des gestionnaires du syst me de sant Ceci se traduit en particulier par des hospitalisations de dur es plus courtes ou moins fr quentes mais aussi par le d veloppement de syst mes de traitement plus l gers ou plus pratiques y compris domicile la recherche d un corps performant En marge des probl mes de sant stricto sensu des attentes se sont d velopp es en terme d entretien du corps d esth tique en passant par le maintien des facult s intellectuelles malgr l ge On assiste donc depuis ces derni res ann es l essor du domaine de la forme En corollaire le recours aux m dicaments dits de confort antalgiques non prescrits vitamines anti mal de mer ouvre des perspectives de march consid rables Page 119 Le contexte par grands domaines Le souci de l Environnement Le souci de l
562. t t conduit en chemin es c est dire dans le cadre du d coupage retenu en secteurs et en familles technologiques La d finition des priorit s relatives entre ces technologies a ainsi t imparfaite Les approches plus larges l image de l exercice britannique parce qu elles mettent en avant des l ments de politique g n rale par nature transversaux r solvent ce probl me en le prenant par en haut Elles ont cependant des difficult s g n rer une vision exhaustive des technologies d velopper et ont a fortiori du mal cerner la contribution potentielle de ces technologies chacun des secteurs d activit concern s Page 40 Introduction L exercice TC 2005 a cherch r soudre ce probl me en le traitant explicitement d s le d but voir chapitre suivant par la mise en place d un groupe de travail sp cifiquement d di cette question 3 La prise en compte de la demande Au cours de l exercice TC 2000 si la perspective de la demande avait t prise en compte dans la d marche de l tude les r sultats en avaient finalement peu rendu compte Le rapport final avait privil gi l offre conduisant ainsi une prospective technologique insuffisamment nourrie d une r flexion conjointe sur les attentes des march s Au cours des exercices men s l tranger cette question n est que partiellement r solue par le recours des sc narii prospectifs larges Les at
563. t autonome en particulier pour le creusement de micro tunneliers Un des enjeux de ces techniques est de limiter les perturbations la surface lors des chantiers et d assurer la s curit l int rieur des tunnels comme l ext rieur affaissement Les secteurs d application comme l am nagement urbain Eole Paris les infrastructures de transport tunnel sous la Manche ou encore le stockage de marchandises de d chets de produits p troliers gaziers ou chimiques sont troitement li s aux techniques de travaux souterrains Liens off shore grands fonds DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence naissance maturit g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte faible inexistante L moyenne forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte faible inexistante E moyenne forte faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Am nagement de Construction d ouvrages R duction des nuisances Les techniques des Reconnaissance fixe en M canique des sols l espace urbain d art enterr s de surfaces travaux so
564. t s anticorps Elle constitue un enjeu fort dans les domaines de la pharmacie de l agroalimentaire La cristallisation la pr diction des structures 3D la dynamique des structures et l utilisation de PIRM seront des l ments d terminants pour progresser dans ce domaine DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence maturit diffusion g n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France forte faible inexistante Europe forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France forte moyenne inexistante Europe forte faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Pharmacie Synth se d enzymes Adaptation d une Ing nierie des Cristallisation Biologie structurale Enzymes industrielles Modification de mol cule des fonctions prot ines Pr diction des structures Biophysique Agroalimentaire propri t s d anticorps particuli res 3D G n tique Agriculture Modification de la Dynamique des Biochimie stabilit biodisponibilit efficiente d un m dicament structures IRM Production industrielle Page 246
565. t s de diagnostic France forte moyenne faible inexistante distance devront converger avec le d veloppement des r seaux m dicaux qui deviennent de plus en plus sophistiqu s et incluent Europe forte moyenne faible inexistante des donn es partag es entre h pitaux et m decins Deux enjeux peuvent tre soulign s l homologation des produits et leur remboursement POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL moyenne faible Liens cf les mentions en italiques de la grille ci dessous France forte inexistante Europe inexistante forte fabe Exemple de Domaines scientifiques secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques x d application concern s Sant Outils de sant Conseil de sant Techno logicielles de l informatique distribu e Fiabilit des diagnostics M decine Sports la disposition des Liaison m decin Techno logicielles de la langue et de la parole Imp tance m trique dans le Pharmacie consommateurs patient Surveillance suivi domicile Techno logicielles pour le transport de donn es Techno logicielles pour la s curit des r seaux Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu tri analyse et synth se des donn es bases de connaissances agents profil d utilisateur Capteurs de vision capteurs d image Syst mes auteurs pour la c
566. t s locales et notamment les r gions b n ficient de la pr sence de ressources et d activit s qui contribuent cr er de nouvelles possibilit s d emploi et de croissance conomique l chelle locale Pour le C omit de pi lot age i est Pour m moire la position industrielle et commerciale telle que pr sent e dans cette tude caract rise la capacit des acteurs concern s s approprier la technologie et la mobiliser industriellement au service de leur offre marchande La position scientifique et technique a t d finie comme tant la capacit des acteurs concern s produire de nouvelles connaissances et de nouveaux d veloppements techniques Page 285 Annexes mportant de favoriser les rapprochements de toute nature y compris g ographiques des acteurs de ce syst me notamment les centres de recherche et les entreprises Ceci passe sans doute comme il l a t souvent dit par e une fiscalit appropri e e une aide aux chercheurs qui souhaitent aller dans l industrie formation possibilit de retour dans son laboratoire des infrastructures de qualit e une int gration plus pouss e des syst mes d aide un d veloppement des contrats civils ou militaires aux entreprises comme le font les Etats Unis par exemple Au moins deux autres voies peuvent tre avanc es susceptibles d am liorer la position industrielle et commerciale de la France e continuer encoura
567. t de l oxyg ne pour produire en installation embarqu e ou non de l lectricit Ces piles pr sentent a priori un int r t fort parce qu elles ne produisent pas d missions polluantes ont un rendement nerg tique pouvant atteindre les 60 et suppriment les temps de recharge n cessaires aux accumulateurs traditionnels La synergie des applications dans les transports l habitat stationnaire mais galement les usines de production lectrique ouvre d ailleurs des perspectives de march consid rables Les Etats Unis le Canada Ballard en t te et le Japon sont les trois pays les plus avanc s dans ce domaine Cependant l avenir de la pile combustible d pend d une s rieuse optimisation du cycle nerg tique complet dans lequel elle s inscrit produire l hydrog ne partir de centrales thermiques et donc polluantes r duit consid rablement l int r t cologique de la technologie pour des co ts qui restent prohibitifs 5000 euros par kilowatt produit contre 50 euros par kilowatt pour les moteurs thermiques La s curisation la fois du transport du stockage et de l utilisation de l hydrog ne pose galement des probl mes technologiques importants et co teux conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable am lioration des performances nerg tiques d ensemble des v hicules syst me de stockage de l nergie DEGRE DE DEVELOPPEMENT
568. t g n ralisation de l acc s aux contenus par n importe quel moyen Priorit 2 Int grer des flux audiovisuels et permettre leur interm diation il s agit de donner la possibilit d int grer dans Internet de v ritables s quences vid os en temps r el et avec une d finition convenable Les contenus audiovisuels doivent ainsi tre accessibles et manipulables avec autant de simplicit que les contenus disponibles aujourd hui sur Internet texte images fixes sons L objectif ici n est pas de substituer Internet la t l vision ou la vid o mais bien de faire merger de nouveaux usages et de nouveaux services impensables sur les canaux multim dia actuels Il s agit galement de permettre tout un chacun la production la manipulation la diffusion et la consultation de telles informations Dans ce domaine la d finition de nouveaux outils d interm diation pour les flux vid o est importante G n ralisation de contenus vid o tr s locaux destin s des communaut s sp cifiques avec la qualit de service n cessaire l usage souhait Production manipulation et publication de flux audiovisuels par des utilisateurs non sp cialistes du sujet G n ralisation des communications synchrones de flux audiovisuels entre personnes mais galement entre un serveur et un utilisateur dans le cadre par exemple d une interaction de t l immersion ou de monde virtuel 3D Int gration des flux audiovisuels avec les aut
569. t gu re du degr de d veloppement de la technologie c est dire selon qu il s agit de technologies en mergence ou de technologies en croissance Rares sont les technologies retenues qui appartiennent la cat gorie des technologies matures et le profil des positions n a pas t repr sent car il n aurait port que sur 3 technologies sur un total de pr s de 120 technologies cl s Ceci signifierait que contrairement une id e re ue la position de la France et de l Europe n est pas particuli rement moins bonne sur les technologies en mergence et c est l un signal int ressant qu il faudra veiller valider dans de prochaines tudes Observons en outre que la position industrielle et commerciale de la France est valu e comme forte pour pr s de 20 des technologies cl s ce pourcentage est comme on l a vu plus lev pour la position scientifique et technique et comme moyenne ou forte pour 70 des technologies cl s Dans un monde o la logique de la concurrence s est impos e mais o parall lement les changes de technologies se sont consid rablement d velopp s deux lectures d un tel score sont possibles D un c t certains concluront qu il est possible et souhaitable que la France fasse mieux Il peut tre en effet dangereux de laisser d autres des sujets cl s que l on ne ma trise pas ou trop mal et dont on voit bien alors qu il sera difficile d aller acheter le meil
570. t les demandes du consommateur Elle n cessitera galement une diminution des co ts de mise en uvre qui proviendra en particulier de la fabrication d l ments en kit et de la professionnalisation des installateurs La mise en avant de l imaginaire plut t que du fonctionnel une nouvelle distribution de l espace suites parentales espaces enfants espace professionnel la finition personnalis e les am nagements doivent satisfaire cette demande de confort et de protection contre les agressions de l environnement en particulier le bruit qui repr sente la premi re nuisance sans pour autant couper le logement du reste du monde Le travail sur l acoustique peut se heurter l envie d ouvrir une fen tre Il sera n cessaire de rechercher des solutions globales de confort qui satisfassent les diff rentes aspirations du client m me quand elles sont contradictoires Les d veloppements sont nombreux doubles vitrages dits peu missifs o le d p t d une couche d oxyde m tallique s oppose aux pertes de rayonnement travail sur les couples thermique lumi re thermique olfactif De mani re g n rale l objectif est d associer les diff rents l ments de confort bruit chauffage luminosit odeurs sans les opposer Dans le m me temps ces d veloppements devraient favoriser une conception plus sp cifique de l habitat pour les personnes g es ou mobilit r duite La convergence de ces troi
571. t sur la dynamique des march s remonte en fait aux origines du d veloppement industriel Mais ce n est que dans les derni res d cennies que la technologie a progressivement occup le devant de la sc ne L ing nieur est devenu un acteur de premier plan de l conomique et du social c t du scientifique et du commer ant qui incarnaient jusqu ici pour le premier la science pour l autre la vie des affaires Mais quand nous traitons de technologie de quoi parlons nous exactement Clarifions tout d abord le vocabulaire Quelques l ments de d finition Fille de la science et de la technique la technologie n est pourtant r ductible ni la seule application de la d couverte scientifique ni la seule mise en uvre de techniques empiriques La science rel ve de la connaissance fondamentale que produit la recherche Elle vise rep rer d crire et caract riser puis mod liser les m canismes de base du monde qui nous entoure dans ses diff rentes dimensions physiques chimiques biologiques m dicales sociales La technique rel ve de savoir faire construits empiriquement dans l action dans l accumulation d exp riences concr tes par l apprentissage en faisant En cela la technique tient du tour de main de la recette de la pratique sur un objet ou une op ration particuli re Une bonne part de la technique est tacite au sens de Nonaka c est dire qu elle n est pas codifi e et donc difficilement repro
572. t sur le d veloppement de produits fort contenu technique et forte valeur ajout e acier au carbone inoxydable et la r duction des co ts de fabrication L industrie des m taux non ferreux regroupe la m tallurgie et la premi re transformation en produits semi finis Ce secteur repr sente 9 milliards d euros Il est domin par l aluminium P chiney C est un march sensible aux mouvements conjoncturels qui b n ficiera d ici 2003 du dynamisme des biens d quipement 2 5 par an Des mat riaux en aluminium renforc pourraient permettre l aluminium de trouver de nouveaux d bouch s tels que des pi ces sous capot moteur Les services industriels du travail des mat riaux repr sentaient 12 milliards d euros en 1997 Ils regroupent diff rentes activit s r alis es en sous traitance tels que les traitement des m taux le d colletage la m tallurgie des poudres le d coupage l emboutissage 2 200 entreprises y employaient 126 000 personnes en 1997 Les demandes des donneurs d ordre voluent juste temps qualit flux tendu flexibilit et conduisent les entreprises une double mutation d une part une politique d alliances avec des entreprises de m tier quivalent afin de r pondre aux exigences de taille critique et d autre part la recherche de sous traitants exer ant des m tiers compl mentaires pour pouvoir fournir des pi ces de fonctions ou m me des sous ensembles Au total l
573. t un ensemble de solutions transport h bergement animation en a t tr s t t le pr curseur La logique de bouquet s exprime galement sur de nouveaux produits t l phonie mobile audiovisuel ainsi que sur des march s traditionnels assurance immobilier La proposition de solutions globales s observe galement dans la relation business to business Les solutions pr tes l emploi en mati re de commerce lectronique sont notamment propos es par de nombreux Page 23 Introduction constructeurs informatiques qui associent dans une offre int gr e des produits et services compl mentaires exemple de packs e business de IBM Le besoin d tre en permanence reli aux autres L autonomisation croissante des consommateurs entra ne un besoin permanent d tre reli aux autres L acc s l information et aux moyens de communication constitue en ce sens un aspect essentiel de leur comportement Le besoin d tre reli aux autres et l information se traduit par une utilisation massive des nouvelles technologies de l information et de la communication L utilisation des TIC des stades de maturit diff rents selon les pays L utilisation des nouveaux moyens de communication est en voie de diffusion dans les pays occidentaux Pour l instant les Etats Unis semblent avoir une longueur d avance sur l Europe et le Japon en mati re d acc s et d utilisation d Internet bien que les cartes ne soient pas t
574. tamination et r habilitation des sols pollu s technique des travaux souterrains dont les co ts d ex cution sont encore importants et dont l impact sur le b ti reste encore insuffisamment ma tris Technologies de travaux souterrains m thode simple d analyse et de diagnostic des sols Page 98 Le contexte par grands domaines R seaux Dans le domaine des r seaux la fili re construction est confront e des enjeux essentiels dont on ne sait pas encore comment ils seront r solus la bonne direction technologique est encore incertaine l heure actuelle Les futures technologies pourraient de fait d boucher sur des composants qui impliqueraient une conception totalement diff rente des installations lectriques Le hertzien sans fil fait partie des voies de d veloppement potentielles avec des enjeux de s curit tr s importants et non compl tement r solus La fibre optique qui garantit plus de s curit et de confidentialit est galement une piste de recherche non n gligeable Par ailleurs la domotique illustre un autre aspect des difficult s auxquelles les technologies dans le domaine construction infrastructure se heurtent dans les ann es 80 on pensait que l quipement des habitats se d velopperait par la technologie alarme chauffage clairage en r seau Il s est av r que les technologies n taient pas compl tement au point les clients n taient pas pr ts f
575. tan e les mat riaux pi zo lectriques une DEGRE DE DEVELOPPEMENT polarisation sous l action d une contrainte m canique Ces mat riaux sont capables de s auto adapter l environnement En Technologie mergence croissance maturit r action une sollicitation ext rieure naturelle ou provoqu e ils modifient leur forme leurs propri t s physiques leurs dimensions Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation Associ s des capteurs et une source d nergie ils permettent d envisager la conception de syst mes avanc s dans des domaines tr s vari s tels que l autodiagnostic le contr le actif de vibrations POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE et ventuellement l autor paration Ces syst mes sont utilis s pour le contr le de proc d s en milieu industriel Leur volution est la France forte moyenne faible inexistante miniaturisation et la simplification de ces syst mes int gration Leur d veloppement est conditionn par la r solution des Europe forte moyenne faible inexistante probl mes de vieillissement Il est limit par le d couplage entre chimie et physique dans les domaines de la recherche Ces mat riaux peuvent avoir de nombreuses autres utilisations La POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL taille limit e des march s nationaux conduit envisager
576. te puces et objets Syst me mission de champs FED intelligents Autres points critiques Co t Page 163 CM International 10 Equipements et mat riaux pour salles blanches robotique La fabrication de dispositifs toujours plus petits et plus pointus mat riaux de puret tr s contr l e Les applications sont dans tous les secteurs de la micro lectronique et d riv s microsyst mes Technologie mergence maturit biopuces dans les domaines de la sant pour les crans plats etc Les techniques de salle blanche font appel la construction de Applications industrielles et commerciales naissance __ g n ralisation batiments aux mat riaux soigneusement contr l s vibration missions de poussi re d gazage tanch it Il faut ensuite un temp rature hygrom trie poussi res compos s volatils eau teneurs en ions bact ries ainsi qu un approvisionnement de France forte E faible inexistante tr s haute qualit pour les mat riaux utilis s dans la fabrication Europe forte E oo faible inexistante gaz liquides solides La mesure de la qualit de ces l ments est essentielle La conception int gr e de salles blanches r pondant aux sp cifications complexes doit galement tre abord e Une automatisation pouss e est de plus n cessaire pour atteindre des co ts de fabrication r duits et am liorer la qualit La robotique de manipula
577. te Enfin la gestion et l organisation des fili res conditionnent galement le recyclage des mat riaux sp cifiques quilibre entre Europe forte moyenne faible inexistante mati re premi re recycl e et vierge coh rence des mesures Frenpies de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Automobile Usages en fonction des Recyclage Recyclage direct des films _ Purification des Chimie Electronique mat riaux sp cifiques mat riaux d emballages tirables mat riaux Traitement du signal Produits bruns sp cifiques Proc d s de valorisation Optimisation de la Capteurs Batterie lectro chimique mati re par mat riau collecte techniques de d sencrage Outils de tri Conception Page 239 CM International 73 Elimination des m taux lourds dans les boues et les effluents La teneur en m taux lourds dans les sols d passe en certains endroits axes routiers proximit des sites industriels le seuil de concentration fix par la r glementation et repr sente un danger DEGRE DE DEVELOPPEMENT pour les tres vivants Les autorit s comme les citoyens sont de plus en plus sensibles cette pollution et la demande est forte pour Technologie mergence croissance maturit la ma triser Face ce constat trois axes de travail ap
578. technologie Les premiers exercices au d but des ann es 90 retenaient une d finition tr s restrictive de la technologie au sens le plus dur du terme Certains des exercices les plus r cents adoptent des d finitions beaucoup plus larges aussi bien en incorporant des domaines plus mous tels que le marketing les technologies organisationnelles qu en mettant en avant des fonctions voire des usages critiques Autant l extension vers des domaines plus mous s impose progressivement dans tous les exercices autant la question de la granulom trie c est dire du bon niveau de nomenclature auquel se situer pour d crire les technologies cl s continue se poser partout Un quilibre doit clairement tre trouv D un c t d finir des priorit s technologiques uniquement sous forme de domaines potentiellement utilisateurs voire de fonctions pose des probl mes pour l action publique d un autre c t se restreindre des technologies identifi es partir de domaines scientifiques et techniques fait courir le risque d ignorer le d veloppement d objets ou de fonctions nouvelles telles que l Internet ou son corollaire le commerce lectronique ou encore les technologies assumant des fonctions complexes de coordination L encore l exercice TC 2005 a cherch innover en proposant une grille de lecture et donc une gestion de cet quilibre C est pr cis ment cette grille de caract risation des
579. tensit et la dur e de la croissance conomique d fient les pr visionnistes il devient difficile d chapper une nouvelle forme de pens e unique annon ant la naissance d une nouvelle conomie A la mani re dont les m dia se sont empar s du discours sur la nouvelle conomie le grand public serait en droit de croire que les pays industrialis s en l espace de quelques mois seulement ont subi une transformation radicale des fondements de leur syst me conomique Souvent associ e au d veloppement des activit s conomiques sur Internet la notion de nouvelle conomie est consid r e avec circonspection par les conomistes Alors que pour certains l pisode actuel de croissance s explique essentiellement partir des variables macro conomiques traditionnelles et ne se distingue pas fondamentalement des autres cycles conjoncturels v cus depuis le premier choc p trolier d autres voient dans les volutions contemporaines la concr tisation d une vingtaine d ann es de gestation d une nouvelle r volution industrielle dont Internet ne constitue que l avatar le plus r cent et le plus spectaculaire L objet de ce chapitre est de r fl chir la signification qu il convient de donner au foisonnement d v nements commun ment associ s l mergence de cette nouvelle conomie La position que nous d fendons est que l appr hension de cette nouvelle conomie doit tre effectu e diff rents
580. tentes des march s et des consommateurs sont cependant r put s tre int gr s lorsque le travail s appuie sur des d bats organis s l chelle nationale ou r gionale et qui mobilisent non seulement des repr sentants de l offre scientifique et technique et des entreprises mais galement des organisations repr sentant la demande associations de consommateurs sociologues organisations professionnelles de secteurs utilisateurs Le recours une r flexion sp cifique concernant la demande et pr sent e en d but de travail chaque panel d expert comme une contribution leur r flexion a permis une meilleure prise en compte de la demande dans le pr sent exercice Trois enjeux pour l avenir Les questions m thodologiques voqu es ci dessus ne sont certes pas d finitivement r solues et il est certain que les prochains exercices men s en France et l tranger permettront encore de progresser N anmoins au del de ces questions d autres enjeux apparaissent Le premier enjeu pour l ensemble des exercices nationaux de prospective technologique qu ils aient vocation construire des r seaux et g n rer un processus ou qu ils aient pour objectif de produire des listes de technologies aux fins d action publique est certainement de structurer un lien avec le niveau r gional L importance croissante du niveau r gional au sein de l Union Europ enne en mati re de d veloppement conomique et
581. tifonction multiop rateur et protocoles Electronique Biens industriels Cha ne du froid Enregistrement communicants Electronique de pilotage et d adressage Micro Biens de Information clients et liens avec Reconnaissance et autonomes Transmission d informations lectronique consommation le SAV identification des identifiants Protocoles sans fil Electronique RF Cha ne graphique Lutte contre les contrefa ons personnes et des animaux intelligents Cryptage et Commerce Identification des ventes fonction badge tiquettes Technologie de fabrication des tiquettes Hyperfr quences Banque T l p age forfaits de ski Personnalisation Durabilit Informatique Telecom Internet Domotique Nomadisme Compatibilit avec les fonctions du produit g n rale Transports Communication personnelle Gestion d un fichier Activation d sactivation Informatique S curit des biens et des personnel portable de Caract re biologiquement neutre biod gradabilit logicielle personnes donn es Technologies de s curisation Cryptologie Paiement lectronique mobile G nie logiciel Chimie Biologie Ateliers flexibles Techno logicielles de l informatique distribu e R seau domestique num rique Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Capteurs intelligents Batteries et gestion de la micro nergie Autres points critiques Co ts Normalisation
582. timule la concurrence et rend solvables des niches de march entra nant une sp cialisation de certains entrants et des politiques d cr mage La valeur ajout e se d place vers les extr mit s clients fournisseurs de services avec int gration du savoir faire r seaux dans les quipements d extr mit op rateurs et quipementiers cherchant offrir de nouveaux services afin de compenser leurs pertes de revenus Internet pose un probl me nouveau les revenus qu il g n re ne pouvant plus venir uniquement de l usage du r seau malgr la hausse consid rable du trafic le r seau devenu simple utilit n engendre pas les m mes marges que dans les usages traditionnels Cette rupture s tend rapidement dans les march s qui restent encore aujourd hui peu touch s par Internet le march des t l communications fixes et mobiles gt dans l informatique acc l ration des m thodes de d veloppement par composants r utilisables vente d utilisation d une application la demande par Internet Les micro ordinateurs l ments importants dans Internet jusqu aujourd hui sont leur tour menac s par de nouveaux terminaux r pondant de nouveaux besoins t l phones mobiles Web TV organiseurs consoles de jeux Ces nouveaux terminaux bouleversent le paradigme de la micro informatique mod le unique du terminal tout faire pour introduire la diversification des terminaux et des contraintes de poids
583. tion Faisant suite la crise conomique des ann es 90 le consommateur a appris tre exigeant et d velopper de v ritables strat gies de consommation pour acheter au meilleur prix favorisant ainsi le d veloppement des enseignes de hard discount ou les soldes saisonni res En parall le la notion de personnalisation l individu s est repositionn au centre de la soci t Il accepte les innovations technologiques une acceptation qui diff re selon les g n rations et cat gories de population condition qu elles lui apportent une am lioration r elle et sensible de sa qualit de vie gain de temps simplicit lutte contre les nuisances sonores Cette recherche se traduit par des exigences parfois contradictoires comme la volont de disposer de produits multifonctionnels mais simples d utilisation des produits audio visuels des mat riels sportifs ou de bricolage de niveau professionnel technologiquement irr prochables mais utilisables sans apprentissage ou encore des v tements qui habillent et qui massent les produits de beaut qui embellissent le teint tout en prot geant la peau Les Technologies de l Information vont accentuer ce ph nom ne en proposant la mise en r seau de produits de grande consommation qui permettront aux produits d agir pour am liorer la qualit de vie des individus maison intelligente r seaux m dicaux diagnostic distance Le village plan taire
584. tion transfert interfaces entre machines emballages __ manip a HI ER France forte moyenne inexistante tanches automatisation des mesures etc doit tre d velopp e Liens micro lectronique silicium Europe forte oi w faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Electronique Fabrication de Circuits Equipements et Mesures haute pr cision Physique des interfaces int gr s mat riaux pour salles El ments haute puret et surfaces POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Fabrication de biopuces blanches robotique mat riaux conteneurs Chimie haute puret tuyaux Traitements de surfaces Page 164 CM International 11 Batteries et gestion de la micro nergie Le d veloppement des applications mobiles est conditionn par DEGRE DE DEVELOPPEMENT l utilisation d une source d nergie la fois peu volumineuse l g re et de relativement forte capacit Les batteries actuelles sont Technologie mergence o maturit principalement au nickel cadmium D autres couples sont utilis s notamment le couple nickel hydrures m talliques et le couple Applications industrielles et commerciales lithium ion Il existe quelques tudes autour de batteries papiers et des Technologie lithium polym res objets communicants etc entra ne des nouvelles demandes de batterie
585. tion industrielle am lior s Le progr s continu comme le re engineering des processus sont au service de la performance industrielle r duction des co ts am lioration des d lais et de la qualit et de l am lioration des conditions de d veloppement d offres nouvelles Les gains attendus d innovations pour DEGRE DE DEVELOPPEMENT Je a Technologie mergence croissance maturit d finir et mettre en uvre de meilleurs modes d organisation dans les g 2 op rations comme en d veloppement sont consid rables KE Ces am liorations passent notamment par Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation L analyse des co ts d veloppement de m thodes de moins en moins analytiques et de plus en plus synth tiques Des changements de production plus rapides et moins co teux Des indicateurs de performance plus pertinents et ais s mettre en POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE RE T i France forte moyenne faible _ inexistante Par ailleurs il s agit d am liorer le Time to market c est dire d acc l rer les processus de d veloppement de produits nouveaux Europe forte moyenne faible inexistante ing nierie simultan e int gration des outils de simulation outils de gestion de projet architecture modulaire La principale difficult consiste trouver les
586. tiquettes biologiquement neutre industrie agro alimentaire sont deux facteurs de succ s de ces technologies Certains freins la diffusion restent cependant pr sents aujourd hui comme le co t 10 100 fois plus lev que pour un code barres m me s il faut prendre en compte le co t r el tous services confondus et la normalisation des syst mes Les tiquettes ou identifiants intelligents sont des puces ou des cartes lectroniques m moire poss dant une capacit de traitement et de restitution de l information Ils permettent entre autres l identification automatique du porteur par simple lecture sans contact physique mais aussi le paiement ou la gestion d un fichier personnel portable de donn es Ces technologies sont troitement li es aux syst mes de production dans une logique de tra abilit des produits logistique Service Apr s Vente mais aussi de ma trise des s ries courtes avec des ateliers flexibles qui doivent r pondre la production de produits de plus en plus Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous techno logicielles pour la s curit des r seaux DEGRE DE DEVELOPPEMENT personnalis s Mais elles trouvent aussi leur application dans les biens et Technologie mergence croissance maturit services de consommation par exemple travers les bagages d avion les forfaits de ski les billets de train main libre ou d
587. toujours eu un impact direct sur les d penses dites cologiques La probl matique environnementale couvre aujourd hui diff rents domaines plus ou moins li s la gestion des d chets la pollution de l eau la pollution des sols la pollution de l air les nuisances sonores La r partition des investissements antipollution sp cifiques en 1997 dans l industrie Par nature Par domaine Mesure Bruit 7 D chets 3 Eau 15 Recyclage 17 Air 46 Traitement 76 Total y compris nergie 4 020 MF Source SESSI 97 Page 110 Le contexte par grands domaines En 1999 200 300 000 sites industriels seraient potentiellement pollu s en France dont 15 20 000 repr senteraient des risques graves 2 millions de personnes subissent des bruits sup rieurs 70 d cibels dont 180 000 au niveau de leur logement en raison prioritairement des infrastructures et 500 000 via les avions La production de d chets atteint en 1996 580 millions de tonnes et pr sente parfois des risques en terme de pollution des sols et de l eau L volution des modes de vie fractionnement des repas hausse de la consommation de boissons embouteill es progression de la consommation d aliments emball s a contribu augmenter le volume de d chets m nagers ces derni res d cennies de 220 kg par habitant et par an en 1960 416 kg en 1995 Au del l ADEME estime la production
588. treprises passe in vitablement par une tape de cr ativit Technologie mergence croissance maturit naissance Ce sont les outils d aide la cr ativit qu il faut aujourd hui Applications industrielles et commerciales diffusion g n ralisation d velopper Ces outils peuvent reposer sur des supports existants logiciels bases de donn es moteurs de recherche intelligence artificielle r seaux neuronaux logique floue analyse de valeur POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Quality Function Development QFD etc Il reste inventer des fa ons de re combiner les multiples sources d information et les France forte moyenne faible inexistante diff rents ingr dients l mentaires disponibles pour effectivement d velopper des outils qui stimulent la cr ativit des individus des Europe forte moyenne faible inexistante groupes et des organisations Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL dessous syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s France forte moyenne faible inexistante multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de EUIS Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Doma
589. tronique silicium Micro lectronique IT V Ecrans plats NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s Moteur de r alit virtuelle Technologies de sp cification de conception de preuve d optimisation et de simulation de grands syst mes complexes NTIC Syst mes d exploitation contraints EE Elimination des m taux lourds dans les boues et effluents D veloppement des techniques de diagnostic et de traitement des sols CIH Les techniques des travaux souterrains NTIC Synth se d image 2D 3D et de sons anim s CIH Les techniques de diagnostic et de r paration des structures NTIC Mesures et tests de syst mes EE Pi geage et stockage du CO2 Eolien offshore MC Mat riaux pour syst mes adaptatifs NTIC Batteries et gestion d nergie CIH Les techniques des travaux souterrains EE Stabilisation en vue de stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets industriels et m nagers TAE Pile combustible TAE Pile combustible EE Supraconducteurs Stockage de l nergie Pi geage et stockage du CO2 Stabilisation en vue de stockage et de l utilisation cocompatibles des d chets industriels et m nagers CIH Les techniques des travaux souterrains NTIC M moires de masse IAA GMCAO MC Mod lisation mol culaire des polym res IAA Ing nierie des prot ines CIH Les techniq
590. ts La pr occupation environnementale s exprime d sormais tous les niveaux de la soci t citoyens industriels et Pouvoirs Publics et rel ve de probl matiques communes ou sp cifiques aux diff rents acteurs Le citoyen se pr occupe d abord de sa qualit de vie et de sa s curit et c est aux pouvoirs publics qu il appartient de traduire ces demandes et de prendre en compte l int r t g n ral Les industriels se doivent alors de r pondre aux contraintes r glementaires en int grant la dimension environnementale dans leur organisation Au del de cette obligation dans un contexte de pression sociale forte cette int gration leur permet de g n rer une image positive aupr s des consommateurs et des citoyens Ainsi les volutions dans le domaine de l Environnement sont elles directement li es la demande soci tale et aux contraintes r glementaires Dans le m me temps rien ne peut se faire sans la participation active des industriels 77 Source Environnement et Technique Octobre 1998 Page 109 Le contexte par grands domaines Au del si la r glementation et la pression sociale obligent les entreprises int grer la dimension environnementale le co t d une telle int gration reste encore aujourd hui un frein important Cette difficult s observe d ailleurs au niveau macro conomique l chelle nationale puisque jusqu ici les fluctuations de la croissance conomique ont
591. ts sur les modes de vie et par l sur la consommation O La personnalisation de la consommation modifie les rapports entre l offreur et les consommateurs en d veloppant le sur mesure et le recours des solutions globales C est aussi sur ce vecteur que se d veloppent le besoin de reliance l acc l ration de la demande de communication Les consommateurs attendent de v ritables garanties sur les produits consomm s Ces garanties peuvent n cessiter des innovations tant au niveau des produits que des processus de production car elles touchent des domaines aussi divers que la sant l hygi ne la s curit ou bien l cologie L innovation technologique poss de une dimension de praticit aupr s des utilisateurs L am lioration de l interface du produit rev t dans cette optique un caract re strat gique La bi activit des couples et le vieillissement de la population risquent d accentuer la demande de praticit dans les objets consomm s Page 18 Introduction Les d terminants socio d mographiques de la consommation des ann es 2000 Les volutions socio d mographiques en cours en France et dans une grande partie des pays occidentaux modifient l environnement de consommation Ce sont ces d terminants dont on cherche ici comprendre l influence sur le consommateur et ses comportements de consommation La redistribution des cartes d mographiques La population fran aise voit
592. ts opto lectroniques pour ordinateurs imprimantes et photocopieurs La nouvelle lectronique lectronique mol culaire vise faire r aliser les fonctions par des mol cules uniques la bio lectronique et les biopuces l utilisation de l lectronique mol culaire et de la bio lectronique pour les capteurs Le stockage et la visualisation am lioration du stockage DVD ROM DVD RAM et au del la visualisation les crans Les technologies des t l communications Face la croissance explosive de la t l phonie mobile et du trafic des donn es sur Internet les th mes prioritaires d finis par le RNRT sont les nouveaux r seaux voix donn es Internet du futur ainsi que les r seaux mobiles de troisi me g n ration avec en corollaire la convergence fixe mobile et voix donn es Les nouveaux services et les sujets li s la boucle locale font galement partie des priorit s choisies par le comit d orientation Les orientations 1999 comportent quatre priorit s changer les m thodes de conception et d exploitation des r seaux de t l communications acc l rer la mutation des quipements de r seaux et des terminaux d velopper les services et les usages mettre en place des plates formes d int gration et d exp rimentation Les technologies de l information Les enjeux des volutions scientifiques dans le domaine des technologies de l information concernent les trois domaines que sont les ordin
593. tuel des entreprises technologies et gestion des Int grer des aspects r glementaires des r gles de fabrication des logicielle Bureaux d tude laboratoires de connaissances r gles m tier m thodes de choix d assemblage de mat riaux ou de composants Mod lisation d veloppement maintenance m morisation de dans les logiciels de conception des processus Signalisation l acquis R gles crois es S curit des syst mes S ret de fonctionnement Ing nierie concourante Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Simulation num rique des proc d s Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en oeuvre des mat riaux Ma trise de la qualit Adaptation des logiciels g n raux l usage des PME Conception des pi ces et outillages Int gration des m tiers Formalisation de r gles Re conceptualisation Capacit utiliser les outils multimedia Capacit acc der l information Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu bases de connaissances Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Page 285 111 Outils d aide la cr ativit La cr ativit recouvre l activit d invention et de g n ration d id es dont certaines d boucheront sur des innovations L innovation qui constitue un l ment cl du succ s des en
594. type N A F par exemple apparaissent historiquement dat es et pratiquement inutilisables dans un esprit et un souci de recommandation pratique et ou politique Il semble qu il y ait d sormais place pour une r flexion de large ampleur au niveau europ en afin de proc der de nouvelles classifications en sortant du strict champ d analyse sectoriel A notre connaissance ni les Etats Unis ni le Japon n ont pour l instant entrepris une telle r flexion sur une base largie Un tel travail nous appara t cependant en mesure d influencer les analyses et appr ciations sur les technologies produits et activit s futures et donc de conditionner la mani re dont l Europe et les pays qui la composent se positionneront ensemble dans l conomie mondiale A la suite de ces mesures relativement concr tes le Comit de pilotage formule un souhait celui de l laboration d une r glementation moderne De nos jours la r glementation a une incidence de plus en plus marqu e sur l avantage concurrentiel des entreprises et la vitalit conomique d un pays Les r glements sont pr sent s comme les garants de march s concurrentiels de la sant de la population de la s curit publique ou d un environnement sain mais encore faut il les concevoir et les appliquer de mani re judicieuse Des r glements bien imagin s peuvent stimuler l innovation et accro tre la comp titivit de l industrie En revanche des r glements mal con us peuv
595. uante sans mission de CO2 Eolien off shore Syst me et g nie civil pour all gement des plates formes Corrosion r sistance des mat riaux foudre Electronique de puissance g n ratrice et r gulation Mat riaux M canique des fluides Electronique de puissance Autres points critiques Fiabilit Page 231 gt CM International 65 Photovolta que Les nergies renouvelables repr sentent en France en 1997 pr s de 13 de la production nationale d nergie primaire et environ 6 5 de la consommation finale nerg tique Parmi les nergies renouvelables le photovolta que permet la production d lectricit renouvelable et non polluante bas e sur la conversion de la lumi re du soleil par des photopiles base de silicium cristallin Ce moyen de production lectrique statique est en d veloppement le march mondial a connu une croissance moyenne annuelle de pr s de 20 sur les 5 derni res ann es dont 40 en 1997 tandis que les prix baissaient de 25 en effet l extension de la production a dans ce domaine un effet direct significatif sur le prix des modules Au del de l mergence de ce march les optimisations en terme de process apparaissent cl s pour en assurer la p rennit Il sera par ailleurs important de trouver des sources de silicium alternatives aux d chets de l industrie lectronique La fabrication de silicium de qualit solaire part
596. uction de masse de s curit de durabilit d autonomie et enfin de restitution de l nergie restent essentiels De plus l acc s aux march s exigent des niveaux de rentabilit qu elles n ont pas l heure actuelle Pile combustible Propulsion missions au niveau de la propulsion des v hicules terrestres maritimes et a riens outre le d veloppement de l utilisation de nouvelles nergies lectrique l volution des moteurs est permanente Les moteurs thermiques continuent faire l objet d am liorations que ce soit au niveau de l optimisation du rendement moteur ou sous des aspects plus environnementaux ma trise du bruit traitement des gaz produits L enjeu majeur dans cette perspective est finalement d obtenir un bon compromis entre la performance du moteur et les missions via une int gration des cycles de consommation des v hicules qui prenne en compte l utilisation r elle de tous les quipements y compris de confort climatisation par exemple L utilisation de carburants alternatifs est une solution galement envisag e avec les adaptations moteurs qu elle exige Les propulsions ana robie sous marins et satellite font galement l objet de recherches importantes avec des contraintes de fonctionnement fortes Moteurs thermiques Les mat riaux correspondants les d veloppements voqu s ci dessus ont un impact consid rable sur les mat riaux Depuis le stockag
597. ue une autre pour satisfaire un besoin g n rique sur le march C est l sans doute qu il faut voir la raison qui fait que le th me de l innovation a t historiquement li celui de la technologie alors m me que les innovations qui affectent les entreprises et leurs clients ne sont pas toutes techniques loin s en faut En effet l innovation peut concerner la technologie et alors porter sur le concept de produit ou le proc d de fabrication mais elle peut aussi concerner l organisation que ce soit dans les relations externes de l entreprise avec ses clients ses fournisseurs et autres partenaires ext rieurs ou dans les processus internes qui routinisent son propre fonctionnement L essor du commerce lectronique et de la nouvelle conomie montrent combien un changement initi par la technologie peut s av rer au bout du compte tre principalement de nature organisationnelle et culturelle Le management de l innovation recouvre ainsi a la promotion de l innovation pour faciliter la g n ration d id es nouvelles c est dire leur closion et l coute des porteurs d id es mais aussi l accompagnement du d veloppement des projets d innovation b la s lection des innovations pertinentes pour l entreprise en g rant un portefeuille de projets financi rement accessibles et dont la faisabilit technique et marketing est escompt e c la gestion des comp tences et des moyens requis pour mener bien les projets y c
598. ue Allemagne 1998 la faible natalit et l esp rance de vie croissante conduiront les pays industrialis s une population dont plus du tiers aura plus de 60 ans l Union Europ enne d veloppera un gouvernement europ en qui prendra le pas sur les gouvernements nationaux la globalisation de l conomie conduit une perte d importance des politiques conomiques nationales Chacune de ces affirmations est caract ris e par un taux d accord et de d saccord ainsi que par un horizon de r alisation L encore l important se situe plus dans le processus mis en uvre afin d laborer et de caract riser ces diff rentes affirmations que dans le r sultat m me s il est ensuite utilis afin de nourrir des travaux sectoriels et th matiques base de panels ou d interviews d experts Chacun de ces exercices permet donc d identifier les priorit s communes plusieurs ou tous les panels en consid rant qu un enjeu technologique transversal est par nature plus important qu un enjeu relatif un seul secteur Certains des exercices mentionn s ci dessus ont n anmoins en compl ment galement identifi des domaines technologiques sp cifiques tel ou tel secteur Au total la caract ristique commune ce premier groupe d exercices est dont de privil gier la mobilisation voire la cr ation de r seaux aux fins d laboration d une vision partag e du futur qui peut tre ensuite d clin e sector
599. uer un r le en particulier dans un contexte multilingue Page 147 Le contexte par grands domaines Vers un management int gr L organisation des entreprises va devoir s adapter aux notions qui viennent d tre voqu es en y ajoutant une dimension suppl mentaire celle de la r int gration de d marches multiples souvent mises en vre parall lement des acteurs diff rents sont en fait aujourd hui amen s travailler tout la fois promouvoir la qualit totale le respect des normes l innovation une gestion efficace des processus la protection de l environnement Un ensemble de comportements transversaux l entreprise est ainsi d velopp sans qu il y ait n cessairement coordination ni m me concertation entre ces d marches parall les Or l exp rience montre que ces efforts sur des domaines diff rents participent pourtant d une m me logique et peuvent faire appel un tronc commun de pratiques Une r conciliation de ces d marches est susceptible d merger pour g n rer ce que certains reconnaissent d j comme un management int gr c est dire une gestion coordonn e des connaissances et des pratiques Les enjeux technologiques et m thodologiques associ s Trois enjeux majeurs se d gagent lorsqu il s agit de d cliner les probl matiques ainsi voqu es pour les traduire en enjeux technologiques G rer un environnement complexe Tendre vers une conception de
600. ues centaines de millions vers 2005 POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL fote faible inexistante moyenne faible inexistante Exemples de Exemples d usage Fonction Technologie Points technologiques Domaines secteur remplie critiques scientifiques d application concern s Electronique Communication Assistants WAP protocole pour l internet sans fil S curit des paiements Electronique grand public personnelle agenda digitaux Bluetooth technologie de transmission d information digitale par radio fr quence par encryption SSL radio Informatique Paiement lectronique portables courte port e Micro lectronique fr quences mobile commerce Syst mes d exploitation embarqu pour API application programming interfaces silicium et courte port e lectronique G nie logiciel p riph riques et longue Domotique Techno logicielles de l informatique distribu e Consommation port e Information cibl e Techno logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Portail dialogue Informatique Techno logicielles de la langue et de la parole Ergonomie logicielle Techno logicielles pour le transport de donn es Techno logicielles pour la s curit des r seaux Et divers autres Techno logicielles pour la gestion des donn es et du contenu points critiques relevant M moires de masse des technologies cit es Ecrans plats ci contre et voqu es Batteries et gestion de la micro nergie par ailleurs Liens autr
601. ues de diagnostic et de r paration des structures CPG T l surveillance de syst me productif distance TAE S ret des syst mes MC Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages CIH Les techniques des travaux souterrains Off shore grands fonds MC Ing nierie des surfaces TAE Capteurs EE Outils de gestion et d valuation des risques environnementaux et sanitaires MC Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en ivre des mat riaux Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages NTIC R tines de prise de vue R seau domestique num rique Page 314 Annexes 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 Synchronisation Synth se Synth se de l information Syst me d exploitation Syst mes Syst mes auteurs NTIC Syst me auteurs pour cr ation de contenus multim dia AA Criblage de mol cules actives BSC Technologies favorisant la d finition du profil des individus dans une optique de marketing strat gique NTIC Int gration d applications langage XML et autres langages volu s IAA Greffe d organe TAE Architecture lectronique EE Microturbine Stockag
602. ues de production d colletage mais en r f rence des blocs de savoirs relativement homog nes auxquels sont arrim es les comp tences de l entreprise biotechnologies micro lectronique design de produits de masse La ma trise de comp tences fortes sur ces blocs de savoirs autorise l entreprise construire un portefeuille d activit s pouvant comporter des produits en apparence h t rog nes vendus sur des march s cloisonn s faisant appel des processus de production diff rents mais qui r clament un m me ensemble de savoirs Cette sp cialisation cognitive est rendue n cessaire par le besoin de concentrer les ressources de la firme sur le d veloppement de comp tences appartenant un champ suffisamment restreint et homog ne Dans un contexte de concurrence par la course technologique il s agit d une condition pour pouvoir pr tendre suivre ou mieux participer au progr s des connaissances dans ce champ Ce souci de sp cialisation cognitive est l origine d une proportion importante des nombreuses op rations de restructuration et de recentrage sur le m tier principal qui ont t engag es au cours des quinze derni res ann es par les firmes des pays industrialis s Un principe de division cognitive du travail se substitue progressivement la logique technicienne de division du travail associ e au mod le taylorien fordien Des r seaux d entreprises se forment pour mener bien l articul
603. uissance S ret des syst mes embarqu s et infrastructures Ergonomie de l interface homme machine Am lioration des performances nerg tiques d ensemble des v hicules V hicules intelligents et communicants Moteurs thermiques Am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux Biens et services de consommation 103 104 105 106 107 108 Outils de personnalisation de la relation client Agents intelligents Offre de produits et de services de grande consommation base de r alit virtuelle Outils de sant la disposition des consommateurs Design sensoriel y compris la m trologie sensorielle M thodes de marketing li es l utilisation des TIC Technologies et M thodes de Conception Gestion Production 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 Syst mes d organisation et gestion industrielle am lior s Formalisation et gestion des r gles m tiers Outils d aide la cr ativit Repr sentation de la perception du consommateur Simulation mod lisation du comportement humain dans le poste de travail face au produit Multi repr sentation des objets virtuels qualit de la repr sentation Simulation num rique des proc d s Repr sentation et gestion des processus de l usine num rique Prototypage rapide Supply Chain Management Soutien Logistique Int gr Page 149 1
604. uissance publique sur des objectifs bien cibl s doit conduire des changements importants pour notre pays Nous esp rons que cette tude favorisera cette convergence Restons toutefois modestes un tel travail de recensement et de recommandations est une uvre pleine d al as qui refl te n cessairement le point de vue d un groupe d experts en nombre limit m me si la m thodologie employ e visait tendre la collecte d informations un deuxi me cercle de sp cialistes Les experts ont t choisis avec le plus grand soin en veillant ce que le monde de l entreprise et celui de la recherche soient repr sent s et aussi en privil giant un peu le temp rament visionnaire puisque c est l avenir que nous nous int ressions Il va de soi que si les visionnaires osent se projeter les r sultats de leurs efforts de prospective ne peuvent tre pris pour v rit absolue N oublions pas que les exemples fourmillent de d cisions prises par des d cisionnaires volontaristes Page 6 contre l avis comp tent d experts en l esp ce la cl de la r ussite est au moins autant dans la qualit de mise en uvre des d cisions que dans la pertinence de la strat gie Ce travail important constitue un clairage particulier de l volution technologique pour les quelques ann es venir Sa pr sentation dans laquelle les march s et les domaines scientifiques encadrent les technologies retenues en fait un o
605. ulation de la mati re molle Elaboration de composites matrice organique Surveillance intelligente de l laboration et de la mise en uvre des mat riaux Evaluation non destructive de l endommagement des mat riaux et des assemblages Fabrication en petites s ries partir de mod les num riques Mod lisation compl te de la transformation des mat riaux et int gration dans des bases de donn es Mod lisation mol culaire des polym res Techniques de synth ses et de tests haut d bit Page 147 Construction Infrastructure Habitat 48 Syst mes performants pour enveloppe de b timent 49 Techniques de diagnostic des structures 50 Technologies de d construction 51 Conception et mise en uvre des ouvrages dans une logique de d veloppement durable 52 Ing nierie concourante 53 R alit virtuelle augment e pour la conception architecturale et technique 54 Gestion de l air dans les b timents 55 R duction des bruits 56 B ton performances optimis es 57 Mat riaux composites pour les routes les enrob s 58 Technologies de travaux souterrains 59 Off shore grands fonds 60 Robotique mobile en milieu hostile Environnement Energie 61 Stockage de l nergie 62 Pile combustible 63 Microturbine 64 Eolien offshore 65 Photovolta que 66 Eclairage et visualisation basse consommation 67 Supraconducteurs
606. un frein majeur au d veloppement du commerce en ligne plus de 5 millions de fran ais taient connect s Internet au premier semestre 1999 La s curit des informations fait appel des technologies de cryptage des donn es d authentification ou encore de tiers de confiance Elle doit prendre en compte les probl matiques li es la confidentialit ou encore au respect des libert s individuelles S il s agit d un th me Page 140 Le contexte par grands domaines majeur pour le d veloppement du commerce sur Internet il s apparente galement une qu te sans fin bas e sur la complexit croissante des algorithmes Les composants la miniaturisation et l autonomie Les enjeux technologiques doivent en effet r pondre l accroissement de la mobilit des personnes et la multiplication des objets nomades En juin 1999 plus de 14 millions de fran ais disposaient d un t l phone mobile 25 contre 6 en 1997 et il s est vendu pr s de 2 millions d ordinateurs en France au premier semestre 1999 Si le d veloppement d Internet se fait aujourd hui majoritairement travers l ordinateur l enjeu technologique est bien plus d utiliser les objets nomades comme des outils qui permettent d avoir acc s tout instant un tr s grand nombre de services Internet t l vision radio Les enjeux technologiques sont la recherche d une part d une portabilit qui passe entre autre par la m
607. une assistance la cr ation de contenus multim dia DEGRE DE DEVELOPPEMENT Ils mettent en uvre les principes du g nie logiciel structuration Technologie mergence o maturit modularit prototypage des applications et utilisent galement d autres technologies logicielles trait es par ailleurs Applications industrielles et commerciales naissance __ g n ralisation Les principales fonctions sont l acquisition et la digitalisation des contenus l dition et la composition la sc narisation du document POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE la synchronisation des m dias sons vid o animation ou encore la mise en place de fonctions p dagogiques qui g rent un profil de France forte fibe inexistante l utilisateur pour adapter le contenu Les nouvelles g n rations de Europe fore moyeme faible inexistante syst mes auteurs doivent prendre en compte l utilisation des contenus via les r seaux pour proposer des fonctions de consultation en groupe et de synchronisation des interventions POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL dessous techno logicielles de r alit virtuelle France inexistante forte moyenne faible _ inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction Technologie Points technologiques critiques Domaines d application remplie scientifiques concern s Enseignement R alisation de CD ROMS et Syst mes G nie logiciel Po
608. ur Gestion des bandes RF en environnement lectromagn ti Moyens de protection des l Ing nieur V hicules r sistants aux agressions perturb que modules lectriques Electronique lectromagn tiques Optimisation des Conception robuste aux Gestion du spectre de fr quence architectures Interf rences Electromagn tiques t l coms lectroniques ondes EM Conception de satellites Mesure de ph nom nes Signalisation ferroviaire transitoires Page 265 am lioration des performances d ensemble 96 Composants lectroniques de moyenne puissance Les composants lectroniques de moyenne puissance entre 100 W DEGRE DE DEVELOPPEMENT et 100 KW sont utilis s pour le contr le de l nergie moyenne Technologie puissance Ils trouvent des applications dans la commande de moteurs et dans oa en nergie principalement pour l automobile et Applicaons odusiedlies e connara es doses Ji L volution actuelle de l lectronique de moyenne puissance pr sente une int gration croissante des composants et des sous syst mes qui les exploitent L int gration de la commande au plus pr s de la puissance modifie les p les de comp tences entre les acteurs industriels Si le silicium conserve sa position dominante d autres mat riaux comme le carbure de silicium sont susceptibles de prendre une Europe place cons quente dans le futur POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE moyenne
609. ur approvisionne les composants les mati res premi res ou les services n cessaires la production et le moment o le produit r sultant est livr Les flux logistiques sont d sormais bien plus int gr s Non seulement en amont s est on pench s rieusement depuis quelques ann es sur une meilleure compr hension de l organisation des fournisseurs de fa on travailler avec eux en partenariat et les int grer dans une cha ne de valeur plus longue mais galement est on entr dans une logique de distribution et de service apr s vente bien plus syst matique Les flux logistiques doivent int grer les retours ou le recyclage des produits vendus mais galement une notion bien plus large le soutien logistique int gr o le suivi d un produit va jusqu sa fin de vie r elle et non pas seulement jusqu sa vente et son imm diat apr s vente Cette volution a un impact important sur les calculs de rentabilit d un produit tant au niveau de sa conception que pour le suivi de la qualit des produits et services offerts leur maintenabilit dans la dur e et donc la rentabilit d ensemble De l d coule une tr s forte exigence de qualit en termes logistiques mais aussi en termes de conception et de fabrication avec tous les enjeux associ s de tra abilit de produits de contr le qualit et de maintenance La gestion de l information l information au sein des entreprises est souvent tr s parp
610. ur extraction sera sans doute plus co teuse pour les r serves ultimes non comptabilis es ici Pour l nergie nucl aire issue de la fission des noyaux ces r serves si l on garde la technologie actuelle des r acteurs nucl aires qui sont bas s sur la fission des noyaux induite par des neutrons lents se chiffrent galement en quelques centaines d ann es En effet la technologie des r acteurs Page 103 Le contexte par grands domaines neutrons lents n utilise que 0 5 1 de l nergie contenue dans le combustible de l uranium faiblement enrichi En revanche la technologie des r acteurs neutrons rapides permet d extraire 60 de cette nergie et porterait les r serves plusieurs milliers d ann es Les nergies renouvelables hydraulique solaire olien g othermie ont l avantage d tre disponibles tant que durera la terre Si ces nergies sont en principe gratuites leur r cup ration ne l est pas Seule celle issue de l hydraulique est actuellement rentable grande chelle elle est largement utilis e en France puisqu elle contribue pr s de 15 la production d nergie lectrique Le co t des autres sources d nergies renouvelables comme le solaire ou l olien est encore pour le moment trop lev pour qu elles soient comp titives avec les combustibles fossiles ou le nucl aire Si le kwh olien n est que 2 3 fois plus cher pour le moment que l
611. urope forte moyenne faible inexistante technologie de l image POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL forte C moyenne forte moyenne Liens autres que les mentions en italiques de la grille ci dessous m thodes de marketing li es Putilisation des TIC France faible inexistante Europe faible inexistante Exemple de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques d application concern s Architecture Nouveaux Offre de produits Traitement 2D et 3D mouvement son vid o Compression Neuropsychologie habitat produits de et de services de Equipement de restitution retour de force Synth se vocale sensorielle et motrice Commerce consommation grande Stimuli artificiels Informatique M dias Cin ma consommation Techno Logicielles pour les syst mes temps r el ou contraint Divers autres points critiques logicielle Grand public Tourisme base de r alit Techno Logicielles de la langue et de la parole relevant des technologies cit es Formation Notice SAV virtuelle Techno Logicielles de r alit virtuelle ci contre et voqu es par ailleurs Divers autres professionnelle Jeux vid os Capteurs de vision capteurs d image Divers points critiques relevant domaines relevant ducation Outils de Transmission temps r el de contenus multim dia directement ou indirectement
612. urope forte moyenne Exemples de secteur d application Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines scientifiques concern s Production et utilisation d lectricit dont transport d lectricit Distribution de P lectricit Aimants Transformateurs Moteurs Lignes lectriques Machines lectromagn tiques Aimants de forte puissance Transport sans perte de P lectricit Production et stockage de l lectricit Production de champs magn tique Bobinages Supraconducteur Nouveaux mat riaux et leur mise en uvre Nature des mat riaux Mat riaux dits haute temp rature Corrosion Long vit Autres points critiques Co t Physique th orique Chimie du solide Page 234 gt CM International 68 Pi geage et stockage du CO La pression r glementaire sur l effet de serre requiert une diminution des missions de CO de plus en plus importante DEGRE DE DEVELOPPEMENT laquelle les technologies de pi geage et de stockage r pondent Une question reste cependant en suspens quant l avenir des Technologie mergence croissance maturit sources d nergie fortement productrices de CO par exemple le charbon horizon 2005 au regard des autres nergies disponibles Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation telles le nucl
613. urs thermiques vont c der leur place sur le march ces nouvelles Europe forte moyenne faible inexistante Technologie dont les co ts sont pour l instant encore lev s L enjeu majeur est clair il s agit de ma triser totalement le proc d de combustion et trouver une source d nergie l g re efficace pour pouvoir int grer des cycles de consommation POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL prenant en compte l utilisation r elle de tous les quipements de France forte moyenne faible inexistante confort au sens large climatisation Europe forte moyenne faible inexistante Liens Exemples a secen Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques Domaines sdentinques d application concern s Transport Automobile Am lioration des Moteurs thermiques fort rendement Fiabilit Combustion Espace V hicules performances All gement des structures Performance Thermodynamique Industriels nerg tiques A rodynamique M canique Avions d ensemble des Gestion du traffic Mat riaux Navires v hicules Confinement et transport de l nergie Energ tique Satellites R sistance au roulement Tribologie R duction des frottements A rodynamique CORPUENSS Autres points critiques Int grer la r duction de co ts Page 271 100 V hicules intelligents et communicants Le renforcement
614. usines mais de r seaux de clients internautes Ainsi la chimie devrait tre le premier acteur du commerce lectronique interentreprises l horizon 2004 avec 23 des transactions Ceci n cessitera un dispositif dual avec pour les grosses transactions r p titives sur des produits assez banalis s un dispositif d achat bas co ts permettant l achat en ligne avec un minimum d informations techniques Toutefois ceci ne repr senterait que 20 des ventes Pour les transactions forte valeur ajout e avec des clients strat giques 60 80 des ventes un syst me fournissant un niveau d information disponibilit et d assistance technique lev devra tre mis en place Cette volution de la distribution accompagne et encourage l volution d une organisation par produits vers une organisation par march et type de clients Ainsi les activit s immat rielles prennent une place croissante chez les industriels La capitalisation du savoir faire par exemple par des syst mes experts et des connaissances logiciel gestion de projets compr hension du client ainsi que leur transfert du concepteur au producteur et l utilisateur du mat riau sont les prochains enjeux des industriels du secteur Les enjeux scientifiques Au del des efforts de recherche et d veloppement mis en ouvre par les industriels en collaboration plus ou moins troite avec la recherche publique il existe une dynamique scientifique li e
615. usionner l ensemble des services qu ils obtiennent de leur habitat dans un syst me qu ils ne ma ftrisaient pas enfin les personnes susceptibles de mettre en ouvre ces technologies n taient pas du tout form es La domotique se d veloppe donc aujourd hui lentement Les applications de ces technologies sont en train d tre pr cis es avec une s paration des fonctionnalit s offertes pour mieux r pondre la demande client Il n est pas exclu que les r seaux prennent de l ampleur dans la mesure o une rupture des types de demandes est pr visible jeunes g n rations n es avec un ordinateur dans les mains et peut tre plus m me d accepter ces technologies Simulation Compatibilit ElectroMagn tique enjeu majeur th me transversal plusieurs groupes de travail Electronique de puissance pour contr le des r seaux lectriques Protocoles d changes pour r seaux courant faible Fibre optique et connectique associ e Int gration et volutivit des r seaux Technologies de communication hertzienne courte distance protocoles de communication Conception et mise en uvre des mat riaux On peut consid rer aujourd hui qu il y a d un c t les mat riaux r ellement utilis s sur le terrain BHP et de l autre c t les mat riaux en cours de d veloppement par les chimistes sur la base de mol cules dont certaines seront int gr es demain l offre produit
616. ustrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation haute temp rature fusion m tallurgie des poudres infiltration de pr formes pour les composites Ces mat riaux sont g n ralement des m taux et des c ramiques massives ou composites POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Leur d veloppement est conditionn par les nouvelles applications France forte moyenne faible inexistante et les nouveaux march s et pourrait tre aid en facilitant les d monstrations technologiques Europe forte moyenne faible _ inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Liens France forte moyenne faible inexistante moteurs thermiques am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux Europe forte moyenne faible inexistante Exemples de secteur Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques Domaines scientifiques d application critiques concern s Acoustique Parties chaudes moteurs Mat riaux pour Fonderie Disponibilit des Sciences des mat riaux Transport turbines chaudi res proc d s en milieux Forge mat riaux Chimie des mat riaux B timent Elaboration des extr mes hautes M tallurgie des poudres Proc d s d laboration M canique Armement mat riaux temp ratures froid M tallurgie Corrosion Energie Traitements des d chets C ramiques et Li
617. uterrains temps r el Mat riaux transport parkings Travers e alpines S ret et fiabilit du Mod lisation Mod lisation d veloppement des Voiries urbaines r seaux souterraines Infrastructures de M tros transports Stockage creusement Coexistence de plusieurs chelles de temps et d espace A rage Exore Robotisation M canique des roches Mat riaux granulaires Page 224 gt CM International 59 Off shore grands fonds La probl matique port e par l exploitation off shore grands fonds est de pouvoir op rer sans intervention humaine dans des milieux hostiles Les op rations doivent prendre en compte les logiques d utilisation en fonctionnement normal de maintenance corrosion ou encore d interventions li es des dysfonctionnements faibles ou majeurs Les structures d exploitation doivent pouvoir assurer les liaisons fixes avec la surface Ces structures marines doivent tre fix es pour des fonds de plus de 1000 m tres Les technologies utilis es reprennent celles de la m canique de l informatique de l lectronique des Technologie du son et de l image ou encore de l ergonomie Les technologies informatiques tiennent cependant une place de choix avec des probl matiques li es au traitement de l image et du signal la reconnaissance des formes la mod lisation ou encore la simulation Trois fonctions doivent tre ainsi ma tris es
618. util qui devrait permettre des utilisations ult rieures adaptables en fonction des diff rents objectifs Nous esp rons que cette contribution sera utile et permettra de faciliter la r flexion sur les orientations majeures du d veloppement technologique de notre pays Jean JACQUIN Pr sident du Comit de Pilotage Page 7 Introduction Avertissement La r flexion Technologies cl s 2005 visait actualiser l tude parue en juillet 1995 et qui avait pour titre Les 100 technologies cl s pour l industrie fran aise l horizon 2000 Tout comme pour l exercice pr c dent 1l s agissait de r pondre trois questions essentielles e quelles sont les technologies importantes pour l industrie fran aise e quelle est la position fran aise sur ces technologies e quelles doivent tre en cons quence les priorit s technologiques L horizon de temps retenu pour l exercice aurait id alement du tre variable car les technologies ont chacune des cycles de vie propres Les dur es de phase d mergence de d veloppement de maturit puis d obsolescence varient tr s fortement d une technologie l autre et d une phase l autre Pourtant il fallait bien convenir d un horizon commun l ensemble de l exercice pour fixer les id es L ch ance de 2005 pour adopter une perspective 5 ans a donc t retenue mais ne saurait constituer une r f rence pr cise et rigide Les Technologie
619. utilisateur final Les technologies de gestion de l air et de l eau dans les b timents filtration captage des polluants Techniques de transmission de l nergie telles que rev tements peintures chauffantes Gestion de l activit La nature m me du travail au sein de la fili re BTP et la forte division d j signal e entre les entreprises charg es des tudes et de la r alisation mettant en relation de multiples partenaires aboutissent des gaspillages importants La communication et la coordination prennent toute leur force pour garantir la qualit et la r activit aujourd hui requises sur les march s De m me la r flexion amont sur la conception conditionne la r ussite de l utilisation des mat riaux Mais cela suppose un lien fort entre les diff rents acteurs concern s aussi bien lors de la phase initiale que sur le chantier lui m me ainsi qu une meilleure capacit suivre pr cis ment le d roulement de la mise en uvre Cela entra ne une remise en cause des m tiers dont l organisation actuelle est parfois un frein l utilisation des nouveaux mat riaux Une fois le b timent termin la m morisation des informations est un enjeu important pour l acqu reur et les professionnels du b timent Il s agit de stocker les informations des interventions li es au b timent afin qu elles puissent tre disponibles 15 ans apr s pour de possibles interventions On retrouve la m me probl m
620. ution dans une optique de r duction de la sensibilit aux cycles et de captation des marges Cette fili re est par ailleurs marqu e par l mergence de grands groupes sp cialis s au d triment de majors multi sp cialistes Evolution de la demande L industrie chimique couvre une multitude de produits qui ont leurs d bouch s la fois aupr s du consommateur final et aupr s des secteurs industriels et agricoles Au del de la demande croissante de prise en compte de l environnement l analyse de l volution de la demande doit donc distinguer les tendances de la demande finale la consommation de la dynamique des secteurs utilisateurs La demande croissante de protection de l environnement L industrie chimique et les fili res mat riaux ont longtemps eu l image d une industrie polluante image confort e par des catastrophes cologiques m diatis es Bhopal S veso Face cet tat de fait elles ont travaill r duire leurs effets polluants et am liorer leur communication vers les populations concern es pour plus de transparence Des volutions marquantes ont eu lieu tant sur les produits que sur les proc d s de production et la formulation La pollution des sites industriels est aujourd hui majoritairement ma tris e gr ce aux nombreux investissements mat riels et immat riels r alis s pour la mise au point de proc d s propres la diminution des d chets industriels ou encore la neutralisatio
621. ux structure interne pr sentant une organisation de la mati re dans le volume tels que les mousses alv oles nids d abeille r pondent ces exigences Dans le transport il s agit de d velopper des mat riaux haute r sistance mais aussi de concevoir des structures qui permettent d absorber l nergie due aux chocs Les panneaux de structure des v hicules doivent absorber l nergie du choc en cas de collision grave le plus souvent par froissage Ainsi les pare chocs font de plus en plus appel des composites matrices polym res ou des alliages de polym res Liens r duction des bruits syst mes performants pour enveloppe de b timent b ton performances optimis es am lioration du co t et des performances des lanceurs spatiaux DEGRE DE DEVELOPPEMENT Technologie Applications industrielles et commerciales mergence croissance 0 maturit naissance diffusion FL F n ralisation POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE France Europe forte faible inexistante forte faible inexistante POSITION SUR LE PLAN INDUSTRIEL ET COMMERCIAL France Europe forte moyenne C faible inexistante forte faible inexistante Exemples de secteur Domaines scientifiques 5 E as Exemples d usage Fonction remplie Technologie Points technologiques critiques
622. ux qui ne les anticiperaient pas Aussi les grandes entreprises ne m nagent elles pas leurs efforts de recherche d veloppement pour pr parer leurs succ s de demain Des PMI r actives tirent leur pingle du jeu en valorisant telle ou telle niche novatrice Et une g n ration de nouveaux entrepreneurs se lance dans des activit s innovantes fort potentiel L audace j en ai la conviction constitue le meilleur ferment de la prosp rit de demain il est de la responsabilit du Minist re en charge de l Industrie de la nourrir C est ainsi que sous l impulsion du Premier Ministre Lionel Jospin les politiques de soutien l innovation dans les entreprises ont t profond ment red finies et amplifi es De m me le capital risque a connu un essor de grande ampleur ces derni res ann es Et c est dans cet esprit que j ai d cid d engager une nouvelle r flexion strat gique sur les enjeux technologiques clefs pour nos entreprises l horizon 2005 Sous l impulsion de Jean Jacquin ces travaux ont pris appui sur l ouvrage de r f rence Les 100 technologies cl s pour l industrie fran aise paru en 1995 Une centaine d experts ont travaill au sein de 8 groupes th matiques et plus de 600 personnes ont apport leur concours cette uvre coll giale Qu ils en soient ici tous remerci s chaleureusement L int r t majeur de ces travaux r side dans l clairage nouveau qu ils apportent sur
623. veloppement du commerce lectronique et la mont e des services associ s en sont la face la plus visible La r volution num rique conduit par ailleurs de profonds changements dans les secteurs dont le contenu est avant tout informationnel donc num risable loisirs livres disques vid o presse informations services financiers Page 55 Le contexte par grands domaines d mat rialisation de la monnaie ainsi qu la transformation des op rations administratives dans les entreprises par automatisation et transfert vers le client Ce chapitre pr sente dans un premier temps les secteurs et march s qui sont le contexte de cette volution en soulignant le r le d internet et des communications mobiles la deuxi me partie pr sentant les grands enjeux scientifiques et technologiques du secteur R f rences Rapport du commissariat au plan recherche et innovation place et strat gie de la France dans la comp tition mondiale groupe G Kahn sur la recherche et l innovation dans les TIC www inria fr Direction scientifique Rapport Plan html Plan strat gique de l INRIA www inria fr Strategie Rapport RNRT Internet du futur www telecom gouv fr rnrt fridf htm R amp D en TIC aux USA rapport PITAC www ccic gov ac report initiative IT Information technology initiative for the 21st century www ccic 20v pubs it2 ip Etude les technologies de l information et de la communication et emploi en France du
624. vent prendre en microturbine compte un certain nombre d enjeux li s au secteur de la construction le confort l aspect le bruit la gestion de l air de l nergie de l clairage la s curit protection contre les DEGRE DE DEVELOPPEMENT intemp ries le comportement sous choc ou apr s d t rioration la maintenance nettoyage la durabilit la limitation de Technologie mergence croissance maturit l utilisation des ressources non renouvelables Ces enjeux concernent non seulement les mat riaux de construction mais aussi Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation les quipements des b timents comme les chaudi res les fen tres les syst mes de ventilation Ainsi les imp ratifs li s aux probl mes d environnement et aux conomies d nergie imposent de r fl chir d s la conception des ouvrages et mat riaux aux probl matiques de recyclage dans le cadre d un b ti int gr dans France forte moyenne faible inexistante une notion large de d veloppement durable La mise en place de la Taxation g n rale des Activit s Polluantes qui concerne le Europe forte moyenne faible inexistante domaine industriel et tertiaire devrait constituer un levier puissant pour le d veloppement de cette technologie gestion de Pair dans les b timents cl
625. vent prendre en compte la dimension conomique de leur activit et effectuer des choix d investissements qui ne sont pas toujours en accord avec les attentes des citoyens Enfin l Etat devant le poids conomique important pris par ce domaine cherche r duire ou optimiser les d penses de sant Pour m moire en France les d penses de sant ont connu une forte croissance ces trente derni res ann es Elles ont t multipli es par 7 entre 1970 et 1997 En 1996 la sant repr sentait 10 2 de la consommation des m nages fran ais et figurait en quatri me position dans la structure de la consommation La sant est donc la crois e d enjeux qu il convient de hi rarchiser Clairement dans ce contexte les d veloppements technologiques entrepris par les industriels dans le domaine de la sant seront contraints par deux dimensions principales Le ratio co t efficacit des traitements mis en vre En particulier des arbitrages pourraient tre op r s pour arr ter le financement de certains traitements en fonction du nombre de cas concern s et m me de l ge des patients de telles pratiques sont d j en cours dans les pays du nord de l Europe Cette dimension particuli rement sensible posera des probl mes thiques et d ontologiques importants Au del il semble que ce ratio d terminera le d veloppement ou non de certaines biotechnologies L acceptation par le public des nouvelles technologies et des pr
626. vient de produits p troliers Dans l industrie la chimie est le premier secteur en terme de consommation d nergie un quart de l nergie consomm e En r action aux crises nerg tiques des ann es 70 la France a consenti un important effort depuis plus de 20 ans et la croissance industrielle fran aise s est accompagn e d une ma trise de la consommation d nergie Des tudes montrent toutefois que le gisement d conomie exploitable dans l industrie reste important de l ordre de 20 soit 10 Mtep pour une consommation annuelle de 55 Mtep Page 105 Le contexte par grands domaines 1 Les apports des ann es 90 la recherche d un compromis entre performance nerg tique et performance environnementale Au del de la double ma trise de la production et de la consommation d nergie la pression environnementale a depuis quelques ann es conduit largir la probl matique nerg tique Les domaines de l Environnement et de l Energie sont aujourd hui intimement li s Une des grandes probl matiques environnementale et nerg tique actuelle concerne l augmentation de l effet de serre qui peut avoir des cons quences importantes sur le climat de notre plan te Cette pr occupation nouvelle a conduit reconsid rer l attractivit relative des diff rentes sources nerg tiques En effet l augmentation de l effet de serre a en grande partie pour origine l utilisation des combustib
627. vit de la recherche la capacit d innovation et la r activit des industries time to market Elle s appuie sur la Applications industrielles et commerciales naissance diffusion g n ralisation synth se mol culaire chimique et ou biologique qui permet la cr ation de diversit mol culaire exemple production de nouveaux antibiotiques via la recombinaison de g nes d origines POSITION SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE diff rentes La synth se mol culaire devrait permettre l alimentation des cribles avec un nombre de mol cules suffisant France forte moyenne faible inexistante mais aussi la d couverte de nouvelles mol cules actives Le d veloppement des pratiques permettra un d veloppement Europe forte moyenne faible inexistante important dans le secteur de la chimie Les freins technologiques au d veloppement de la synth se mol culaire chimique ou l importance de la recherche amont en chimie chimie et biochimie combinatoire France forte moyenne faible inexistante Liens criblage de mol cules actives Europe forte moyenne faible inexistante mod lisation mol culaire des polym res Exemples de secteur i Points technologiques Domaines scientifiques 3 Eo as Exemples d usage Fonction remplie Technologie ye p d application critiques concern s Chimie agrochimie M thodes de recherch
628. yage sans effluents Recyclage des polym res Stockage souterrain des d chets Traitement des d chets urbains Traitement et contr le de la qualit de l eau potable Tri stockage et compactage des d chets urbains Utilisation des fili res transversales pour la destruction des d chets Sant et technologies du vivant Animaux transg niques Anticorps monoclonaux Biomat riaux pour appareillage m dical Cartographie des g nomes Conservation des aliments haute pression ionisation etc Extraction s paration purification downstream processing Imagerie m dicale Mati res premi res v g tales haut rendement pour les biocarburants M dicaments recombinants M thodes rapides de d tection microbiologiques Microbiologie pr dictive Microtechniques Page 301 Annexes Modification g n tique des plantes Pharmacologie bas e sur l change cellulaire S quen age automatis de l ADN Sondes mol culaires Substituts du sang Suppl ance cardiaque Syst mes de production de prot ines recombinantes Techniques li es l hospitalisation domicile HAD Technologies peu invasives d intervention m dicale Th rapie g nique Vaccins issus du g nie g n tique Transports Am lioration de la recyclabilit des v hicules Batteries pour v hicules lectriques Climatisation des v hicules Composants lectroniques de tr s forte puissance Conception de poste de contr le et de pilota
629. ype et comportant une innovation technique Enfin 12 seulement de la population se verraient pr ts essuyer les pl tres en optant pour un produit innovant plut t que pour un produit ayant fait ses preuves Il existe en fait une r elle inqui tude un vrai besoin de rassurance de se rassurer l gard des nouveaut s technologiques Ce sentiment conduit une majorit des Fran ais rechercher une caution directe et concr te porteuse de confiance quant il s agit de choisir d acqu rir un produit innovant le conseil d un ami la possibilit d essayer personnellement Cela tient en partie dans le fait que les produits innovants pr sentent par ailleurs un certain d ficit d image D une part leur composante novatrice ne semble pas tre un plus syst matique pour l entreprise qui les produit Quant para tre un gage de s ret cette opinion reste galement discut e Mais le plus ennuyeux sans doute c est que pour plus de la moiti de la population ces produits sont plut t apparent s des gadgets ils ne contribuent pas simplifier la vie quotidienne et sont en cons quence r serv s des passionn s Ainsi la demande de produits innovants reste relativement faible Une large majorit de Fran ais juge que les produits grand public comportent aujourd hui juste ce qu il faut d innovations Mais le plus notable est qu on pense bien plus souvent qu il y a suffis
630. ys l autre Aux Etats Unis une technologie a t consid r e comme critique d s lors qu elle remplissait au moins un des 5 crit res relatifs la Prosp rit Economique ou l un des 3 relatifs la S curit Nationale Aux Pays Bas les technologies ont t valu es sur la base d une approche quantitative complexe A partir d une liste de 46 domaines 11 P 4 x Se x La m thode Delphi consiste en une interrogation d experts par it rations successives d un m me questionnaire Chaque expert donne lors de la premi re it ration son opinion sur diff rentes questions Lors des it rations suivantes la distribution des opinions de l ensemble des experts sur chaque question lui est fournie et il lui est demand de confirmer son opinion ou de la modifier la lumi re des r ponses des autres experts L objectif est de construire progressivement un consensus sur chaque question au moyen de ces it rations successives Page 39 Introduction technologiques et de 22 domaines d activit s repr sentant les secteurs conomiques l importance de chaque domaine pour chaque secteur tait not e entre 0 et 3 sur la base d interviews La moyenne pond r e des r sultats a permis de calculer un index de la contribution relative de chaque domaine technologique au d veloppement de l avantage comp titif de chaque secteur puis de l conomie n erlandaise dans son ensemble Un deuxi me index de valeur

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