Or, il a
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1. L 1 l t Lu 4 1H AU bi t 1 4 4 1 UNIES AN 4 amp D 1h A k L2 tn f 11 1 4 HA 1 l LV l Fe HN R D 14 lu rl A4 b 4 Fe 4 14 ji1re L fl Il i 1h nl 1 1 L L 1 ar A i L a HE AT EL 10 4 1 n 1 l 4 EU j VE lu l ee L 7 D 4 DU 1H FA h h 1 I n AL HI ME 1 l 1 H Il AE EN J EH IDAL TE n 4 L 4 j LI ti 1 TURLUE RU L HIFOIM k b friction sur tout le pourtour de l une ou des deux orbites Apr s coca nisation on introduit entre les paupi res gros 1 ee ee cn me are et par dessus on applique un cataplasme de farine de comme un grain de bl de lanoline hydrargyrique et l on lin bien gros bien pais et aussi chaud que le malade pratique imm diatement un massage rotatoire doux et peut le supporter prolong que le malade peut r p ter une ou deux fois par jour On fait alterner ces frictions avec les compresses chaudes les douches de vapeur et les cataplasmes hydrar _ 1 NS Te ON M nee 1 UE te hante ie nn LE et tu A d ag es Juil RE LES EE LR TL ts Mais cette p riode aigu douloureuse de l affection Dee ss Se c est de la th rapeutique g n rale que rel ve presque exclu siveme t2. colchicine Episcl rite de nature tuberculeuse Massage la lanoline iodo form e Caut risations au galvano caut re Injections sous con jonctivales etc Jusqu ces derni res ann es 1 tait assez g n ralement admis que la k ratite parenchymateuse repr sentait une des principales manifestations de la triade d Hutchinson caract ristique de l h r dit syphilitique Or r cemment des travaux int ressants 1 ont t pu bli s qui tendraient prouver que bien des k ratites pa renchymateuses ont pour origine et pour cause la tubcr culose soit qu on retrouve le bacille de Koch dans diff rents organes primitivement atteints soit qu on ne les trouve que dans l il Jui m me et quelquefois dans lin filtration corn enne seule Certains auteurs ont t jusqu conclure que la tuber culose de m me que toutes les affections dyscrasiques 1 E Von Hirpez Von Graefes Archiv ALIL ap LE _ LE a RE SE nx D 0 pe er EE TS Se eee COTE rs 2 2 RELET A EE LEE QC TT ie ere SE Enr re dr es s 2 RE TT ESA EE d VE me mime dd hr re A Ver ot RS 1 r ALERT 7 4 ge LE PA APT POUR JE Cu t EL L 2 d Ef GRR PE metier a RE EEE eg oups nue tes me ES ES P TR RENE Sd RTL ET TT octets 0e 2 Ce DDORS di CRIE A CZ a Gp 2
3. 1 A 8 le 1 e Zn Lg LT L es vs 4 L Ps 4 _ 2 1 ir hi Il serait trop long de faire l num ration des r sultats de soude aurait d apr s M D micheri une action se obtenus par tous les auteurs qui ont crit sur ce sujet ce tr s puissantesur la circulationsanguine SAR D autres agents queles progr s incessants de la chimie MarrTi 1 sous la direction du prof MELLINGER B le biologique ne Manque on pas de Quant Rae a publi une th se tr s document e sur l action th rapeu ront du reste bient t l arsenal bien pr caire encore de 1 Sd or he Po mt Aus me En _ 2 de M rm ER Te RE LPS PI PQ EN SUR EN _ SEE FL A 0 Zi pres d as at Lahaie enr a AA lt Tr No er Er store l LS EE SES e F 20 ge IPF D BE 2 if er Z ITA ni re 22 e PRE un a D Mori 2 Le tique des injections sous conjonctivales d au sal e dans th rapeutique sous conjonctivale les affections corn ennes Il reconna t aux injections de Ne ne ln oO leo eue sublim une action tr s favorable sur les processus in Nous ne SAUTIONS trop le pee dans ROESL ae fectieux ou destructifs de la corn e mais il reproche au violente vasculaire de la k ratite ee ne sublim de provoquer une inflammation adh sive qui traitement HERURDIE local Est absolument Sos Le am nerait une oblit ration des espaces Iymphatiques sous mai
4. c est dire l iode et le RE SE Ames Nous ne sommes pas de cet avis et nous pensons que mercure 2 ane Fe l observation clinique et l exp rimentation th rapeutique _ L iode figure depuis longtemps dans la th rapeutique L ep PE D ET me ee 2 gt En r 2 L KO er 2 REX E 3 res es 2 RS 22 _ msn LS RE ET Tir ei c ms teen PS Rs RE il 1 sont d accord pour nous montrer que si la k ratite paren des ad nites chroniques Il a t fr quemment employ chymateuse peut s observer chez des individus simple RE a dans ces derniers temps pour la cure des tuberculoses ment scrofuleux ou d bilit s de m me que comme une chirurgicales sous forme d injections hypodermiques manifestation d une tuberculose locale ou g n rale ce sont l des faits exceptionnels et tr s prochainement nous pouvons l esp rer la clinique aid e de l exp rimen tation et de l anatomie pathologique arrivera nous don ner des signes de diignostic diff rentiel entre ces diverses formes de k ratites parenchymateuses De l d couleront des indications de th rapeutique g n rale et peut tre aussi de th rapeutique locale En tous cas nous pouvons d j dire d s aujourd hui que le plus souvent quand on se trouve en pr sence d une k ratite parenchymateuse grave avec perte plus ou moins COM
5. la k ratite parenchymateuse vraie oyriques of al Darrer Des injections sous conjonctivales de sublim en e 16 3 e ds Enr 4 f GC Cc r 3 AA na O au moment opportun peuvent avoir une mHUerCeE capitale th rapeutique oculaire Archives d ophtalmologie n 5 1891 ae ven en 7 Plus tard les injections sous conjonctivales apphiqu es re tt GTR ZE sur l volution du processus morbide Nombreux sont 2 Damer Lanoline en massages oculaires Soci t Fran aise d j les auteurs qui ont contirm nos premi res ssertions d ophtalmologie de Paris 1888 Pr LL ne ae 0 oh Su ARS nr ae RS ce PRE TA ns tie ses Ty RE PC 2 es D ot mdr dde ne OR ANR ned pe r par Vote DS AA Vis imite et ms _ PRE _ e ES Dit dt te to nt te ge La E CRE ES AE Em rs TE DETTE SP TEE EE 7 Pre ER ee _ Hs ment 1 240 4 ie 27 2 _ st s Injections sous conjonctivales de Cyanure d hydrargyre R Injections sous conjonctivales de chlorure de sodium THERAP NET d eau de mer etc nr te r Le de J y M nl L 2 2 reeeen LT Dove rip rer ie _ nn _ _ 200 RER m5 PA _ lt z POSER en Pertes BR VESE nee LT non E A 7 D A D teen eh 2 7 nu LE Eee oo tm me ot os tt LL _
6. pl te de la transparence corn enne 1l ne faut pas h siter appliquer le traitement g n ral qui dans toutes les for mes de cette redoutable affection f t elle d essence tuber culeuse nous a donn des r sultats si constants que nous pouvons dire qu elle gu rit presque coup s r Nous vou lons parler des injections hypodermiques ou intravei d apr s la m thode de Durante Quant l usage du mercure dans la tuberculose 1l suf fit de mentionner ici les injections sous cutan es de ca lomel contre la tuberculose verruqueuse de la peau et le lupus ainsi que les injections de sublim contre le mal de Pott sans parler de quelques faits de traitement hydrar oyrique de la tuberculose qui ont t publi s diverses poques Cela tant il est int ressant de signaler que tout der ni rement encore un confr re italien M le docteur T Sil vestri de Nonantola a obtenu par la m dication mer curielle des r sultats encourageants dans diverses formes de tuberculose Les observations de M Silvestri compren nent un cas de tumeurs ganglionnaires volumineuses du cou une scrofulose manifestations multiples un mal de Pott trois cas de tumeur blanche du genou une co xalgie une ost ite tuberculeuse du sternum et un cas de HAN 0 LT bp VAE A PE rs neuses de sels mercuriels solubles telles que nous les avons l sions pulmonaires avec bacilles de la tuberculose dans pratiqu es d s longtemps
7. INSis tant sur le traitement g n ral et les soins hygi niques Les bains salins avec du sel marin ou avec les eaux 1 Voirle mode d emploi de l aco ne pages 76 et suivantes Ge ES CAN LR qe 2 mt te eh ANR LE Laisse PR ee r pes _ PE 7 ee due rer nn TR EE Le mars golent 4 de er Lt D promener 1 Dr TT A A pere es mes 2 r L F um _ S lt en Des 7 v ne F3 gt J t ISSN 7 A E re 4 Le MIS MERE rar L Krs TE RESTE 7 es 4 LAS amp 1 _ D y pres gt E 2 ET ms rs s sd ET ae z Pan r T y Es FN LS vu L 2 PAL lt Lot 7 EST Des TRE CE rep te 7 z cs res es R ns Entre gt s rs PR RE R 7 ED ge Prin de A VE LE Hi ren ee Te s LE un fn _ a _ D Te qe d Et Es Pen D EM TETE Her 2e 22 ITS re EN FRA LOMME 2 ER ROSES ad RPM GUN
8. Le EI 5 4 ob SRES LE NS mL a gt vo 13 LA 1 L A s mou RE LE RTS 9242 243 R K ratite parenchymateuse tuberculeuse ou h r do syplulitique Le traitement g n ral est a peu pr s le m me dans les 2 cas TH RAPIE OCULAIRE avec les l sions syphilitiques certaines affections tuber longue port e pouvait aussi bien que las philis engen drer non seulement les alt rations corn ennes mais tous culeuses notamment celles qui ont pour si ge les os les les troubles trophiques qui caract risent la triade d Hut articulations les ganglions lymphatiques et la peau a chinson et que par cons quent on ne doit pas consid rer naturellement sugg r l id e d utiliser contre ces tuner 4 D EE eut Dee ve nt vu me renis PE Nas Se TS mener RP ES mt en z v us ve L Feu e ee r c de a e CS RER LE RES Pre pres ne PPT TL 1 Es A EU SR RO RE a D SG 7 per LS De nt gt dust ns E DIE MR Bite TETE 5 rl 2e ee pe re AS Em mois le ES ET EE Le M year ee Se Es A ce a TERRE 2 202 3 TR PERS ne de PTE ne l ensemble des signes ci dessus comme une preuve d h culoses locales les moyens dont on se sert pour combat Lx 1e mme roi te lt PRET Los r do syphilis trees manifestations dela syphilis
9. avec notre ma tre le D Abadie les crachats accompagn es d ascite et d hydrop ricarde at nu 3 as de ST mir te ROLE te qui revient le m rite incontestable d avoir g n ralis ce Chez ces malades notre confr re a administr le su eo mode de traitement blim soit en injections sous cutan es la dose de rs 0 gr 009 milligr soit par la bouche des doses variant Se L analosie de forme et d volution que pr sentent de 0 gr 005 milligrammes 0 gr 02 centigr suivant 7 de EE en nm me 2H D 245 R Injections sous cutan es ou intrd veineuses AIRE Dans les fo1mes torpides bons effets des de cyanure d hydrargyre injections sous conjonctivales ee PPT sta rt Ti 4 2 ss Le 7 de AN PTT Dm SE 2 Pr Rue er ms ms 1 l ge du patient Parfois 1l prescrivait aussi quelques sur ce point particulier de th rapeutique locale 1 etnous frictions mercurielles ne pouvons que r p ter ce que nous avons maintes fois crit Dans les k ratites parenchymaieuses b ni gnes atones OU qui ne Sont souvent que le pre mier stade d une forme grave alors que l infil tration est circonscrite et que la r action est ir s mod r e ou nulle les injections Sous con jonctivales donnent des r sultats excellents quelquefois m memerye MLeUX nn RE SE CSL lee li ne 3 peter Ostrr ni P UE ce 24 1 p
10. e LT KA La Te ri Dans tous les cas trait s de la sorte M Silvestriaurailt ho LT LL MS LS d sa ss F LT z os et opder FR Le me ve rep m obtenu une am lioration consid rable le plus souvent m me une gu rison pour le moins apparente Dans une de nos pr c dentes lecons nous avons donn UM p PT here D gt vd ga AA KE lt _ ve j et les indications t la technique des injections mercuriel AR LA les voir page 25 et suivantes nous dirons seulement 1e Mn que la k ratite parenchymateuse se rencontrant surtout chez les enfants c est aux injections hypodermiques qu il On voit parfois apr s chaque injection l infiltraton faudra donner la pr f rence les injections intra veineu seront r serv es aux ma corn enne repouss e de la p riph rie vers le centre cha ction balaye pour ainsi dire tout le segment cor PA LA Je A L DL 0 NS a ses plusd licates pratiquer lades plus g s et plus dociles que inje Le traitement g n ral parles mercuriauxa d s longtemps n en correspondant et l on pen ES one Le ne de la fait ses preuves Localement pendant toute la p riode COTES S 0 bien qu en quelques jours IRAN OR D SA aiou qui peut durer plusieurs mois il faut iter toutes VPIDIE QUE Gens e ue Fe pee ur EU les applications irritantes et se contenter d insullations ll semblerait alors que le liquid
11. e een 2 RD AURA r p t es d atropine et d applications fr quentes de com LNEN DA RS plus JADE RS lymphatiques les plus loign s du limbe scl rocorn en mn pre TEE 22 2 presses chaudes Un tr s bon topique dans ces circonstan ces est c que nous appelons le cafaplasine mercu A ce moment les massages la lanoltine tel le contenu d une ampoule de 2 grammes de a hydrargy rique dont nous avons parl il y a plu noline hydrargyr que est tendu par une douce sieurs ann es d j 2 rendent les plus orands SCTVICES ER pe ca re l ar 4 n le H l on 1 ni Mi 4 fl A ReULe Pre MENT ON 100 2 h tt LP u pi 1e 4 Al 1 18 h Ru Es d PA 17 EE A pi 111 je HU f 1H 11e eut 1 5 BE 21 n L 1 H 40 j 1 La qu ME fi e 4 Pen P 11 L a l n Ul h PU L iu y hi 1 ni hH 14 111 fl 14 1 brun til l lu 1 11 n ra 4 IN tit ATLR un at A ain TR L 1H 4 1 Jtth JE M Y 11 nu at le HA EN FMEMI in bi il it L at 1 11 4 y il 4 1 1 0 M l 2 211 H Cv itl Q En U r ER l i 44 l Et We l 41 Let 107 l EE L M1 1 nt v LA CA Pi 1h Te R LR de a Len 1
12. e propret et d antisepsie indiqu s Pas les affections intercurrentes des paupi res et de la con Jonctive 5 Quand apr s cette p riode d expect tion arm e rs du traitement 2 en al on voit que les conditions se pr tent une intervention locale c est dire quandil n y pas une hyper mie conjonctivale marqu e el q and on a a air sujet d j d un certain ge et docile on en vie injections Sous conjonctivales en d butant par une demi seringue de solution 2 de chlorure de sodium la temp rature de 32 environ e ur ndra aux S1 cette premi re injection est compl te le lendemain on pourra alors en pratique ende rune deuxi me mais l volution de la k ratite parenchymateuse tant tr s lente il vaut mieux ne Pas trop se presser il va ct ne p atiquer A C g u sr be A es injections que tous les 2 ou 2 Jours au maximum ment r sorb e Les injections c En ARR SMS are ns Jection commenc es avec une demi seringue lt SeTOnL progressivement augment es et de volume et de force pour en arriver iniectar en nr arriver injecter une pleine serinoue d une solution 4 ie Quand une dizaine d injections auront t pr laissera au patient un certain temps de quel le traitement g n ral de m me itiqu es on repos pendant le que les applications 249 Traitement hygi nique bains TH RAPIE OCULAIRE sales etc cha
13. lorure de sodium ayant en outre la explique pourquoi certains auteurs ca FA sa c qualit tr s importante d tre tr s peu douloureuses nous jections sous conjonctivales contre 1 RFA DATE ROUES N si 1 l 1 1 101 k t l 4 11 1h 1 LE L1 p lu 17 1 L 1 12 ot Vs e sil PEL TA 4 Pat er i t 4 M HT HE L 1 1Ry h j UNI LIFE 11 tat4 k 4 HE a h s A 2H 24 IP HU 11 e ji d l ral i1 d 10 4 1 Al pre In th il A FE L LV 4 1 0 l Et ERA DE K l antres S en Tr ent de chauds ne pouvons que recommander l emploi de ces injections leuse tandis que tant d a ie ee ps ue h gt gt RENTE e asard cette therapeuLique gt dans la plupart des infiltrations corn ennes plus ou moins partisans Apphqu e au hasare DR CFE elle parenchymateuses 4 peut donner que des r sultats tr s al atoires quand elle Le J C DL AD A Rs AL Le A TR TSNE ct 2e s LA e r r r AT ns N GS INCONN enients L eau de mer st rilis e aurait calement donn de tr s n entra ne pas d autres bons r sultats M le D Dianoux de Nantes Le nitrate NS v a Le D RE ne OS ER RSR Er LA pu pe 2 nr _ __ amp _ L _ rt a D e RE ALRE ee Rs 45 D snadesens ln he LA Enfin pour en revenir laprat icque voici com
14. ment nous conseillons de proc der dans le traitement des k ratites 4 A Marri Des injections sous conjonctivales d eau sal e dans Se BA 204 gt arenchymateuses les maladies de la corn e B le 1894 Ps 2 in L 22 Fa ee re mn LR M er er ce yes Fois Dm SE STE pe rm a m5 A oO pe le y CPC 4 ne ra mnt De Le lt LL TAT ve _ ps PERRET de fl _ 1 ph 1 a 5 Ni il 14 14 L Dr L PA 1 MI 0 LA 144 1 EN a L ll dus ll F di 1 th FR 41 ms PASS mas Sas pur PIS ro Eee Let jee 246 EE Le 2 KResum d s indications th rapeutiques de la k ratite parenchymateuse D DARIER 107T z j Se 4 Lt s _ sx 1 Le traitement g n ral est la premnere indication il s ra bas sur l tiologie de l affection et sur l tat constitu honnel du malade mais le plus souvent ce seront L SIN eC uons hypodermiques ou intra veineuses de Cn Ho donneront les meilleurs r sultats Quand les ne pourront tre appliqu es chez les tr s je qui injections unes sujets par exemple on aura recours aux frictions ou l administra ion du sublim l int rieur voir page 227 2 Les seules applications locales seront au d but les collyres l atropine et la dionine les compresses chau des et les soins d
15. met PE nr se Nr l _ GA 4 2 D s AU J Le n L amp RARES Cu b AZ 3 5 Lee ts P Pa ve ET ET gt TES pee cp eue anne ni Eros er 7 PE TT fu mm mm Ze L en F7 11 HN UN er l ee l i gt nl 21 1 1 NW Li 1h 0 d MI NE LITE 7 net Es pi dt D f BA ae Le EE nn A es PE mt A Ps gt Re or emiitie SRRRr 2 Ve IR DARIER L Indications cliniques fournies par les dents d Hutchinson l h r dit syphilitique le m me arr t de d veloppement si bien tudi et si bien d crit par Hutchinson Or il arrive souvent qu on trouve des H r do syphiliti ques av r s qui ontdes dents presque irr prochables Ce pendant si l on y regarde bien on note queles dents sont un peu cart es plus petites que ne le comporterait l os sature de la face Quand le patient sourit on ne lui voit pas la m choire et pourtant la bouche est souvent agran die par d anciennes rhagades des commissures labiales Mais ces cas sans tre rares sont l exception ct si l on cherche bien chez beaucoup de sujets h r do sp cifiques avec toutes les dents de devant saines et presque belles on trouvera que les prerni res grosses molaires pr sen tent les signes que j ai d crits plus haut ou si l ge est d j un peu avanc les 4 dents s
16. ont cari es ou plusieurs d entre elles ont compl tement disparu alors que celles qui restent laissent voir encore une couronne d mailsain avec un ou deux tubercules pointus et incompl tement recouverts d mail Jen amp ijamaisentendu parler des grosses molaires comme pouvant porter les stigmates d Hutchinson m me pas par ce maitre minent dont Jaieu tant de plaisir sui vre les magistrales le onsau London Hospilal C est en constatantleurs alt rationstypiques chez de nom breux sujets porteurs soit de vraies dents Hutchinson miennes soit de plusieurs autres des stigmates caract ris tiques de l h r do syphilis que jen suis arriv la convic tion que les premi res grosses molaires peuvent fournir des indications pr cieuses dans le diagnostic de l h r do syphilis SEIZI ME LECON SOMMAIRE K ratite parenchymateuse suite Le plus souvent h r do syphiliti que Quelquefois de nature tuberculeuse ou scrofuleuse Impor tance du traitement g n ral par les injections hypodermiques ou intra veineuses de sels mercuriels solubles Applications locales atropine dionine compresses chaudes cataplasmes hydrargyriques Injections Sous conjonctivales de chlorure de sodium d eau de mer de cyanure d hydrargyre etc Massage la lanoline hydrar gyrique Maladies de la scl rotique Episcl rite de nature rhu matismale ou goutteuse Salicylate de soude aspirine
17. s quand ES la p riode de d clin REA Sn conjonctivaux jonetive bulbaire a repris Son aspect normal qu il nya 4 pme di AY f 7 N l Pr ps M gt are A Se GS me me de ne HT Nous avons d j r pondu ce sujet que cette inflam plus de vascularisation apparente is se mation adh sive ne se produisait que quand on injectait conjonctivales ont la m me apuon RAGrARIe AE M une solution trop concentr e ou quand on pratiquait lin p riode initiale ou dans les IQrImes once es jection trop pr s du limbe scl ro corn en ou dans la cap cit es plus haut etil nous est arriv sono a n sule de Tenon Du reste nous avons depuis plusieurs quelques jours io lintuence de cou ne Hs ann es abandonn compl tement le sublim trop irritant locale des de Pepe Sn de PAGE Re pour Je remplacer par le On Ho mois s claicir rapidement et d une mani re remarquable ds FA hi LS x MarTi conclut donc comme son ma tre que les injections Fe Ha ta Does sous conjonctivales de chlorure de sodium en stimulant Ic1 MER TER partons Lee sens CHNIQU sie A nergiquement les changes lymphatiques ont une ac le praticien dans ADP RCE du one CEE ee tion des plus favorables sur la r sorption et l liminatiou son intervention th rapeu que donnera De e 5 des l ments nocifs infiltr s dans le tissu corn en vantages avec le minimum d inconv nients ses _ he Les injections de ch
18. udes et l atropine seront continu s avec o Sans In _ terruption Si l on a affaire un sujet manifestement h r do syphi litique et m me dans bien d autr s cas ou les autres tr ite ments n auraient pas r ussi il ne faudra pash siter en venir aux injections sous conjonctivales de sels mercu riels et dans ces conditions la solution la plus active et la mieux support eest la suivante Cyanure d hydrargyre 0 01 centigr Chlorure de sodium 10 grammes RAR CS HI EME PP RES D0 ce qui repr sente une solution de Cn Hg 1 9000 avec 2 0 de chlorure de sodium On injectera d abord une demi seringue tous les 2 ou jours en augmentant progressivement les doses jusqu une pleine seringue L injection est mieux support e plus vite r sorb e et plus efficace quand le liquide est imject chaud 32 environ et qu on applique ensuite un panse ment chaud Nous avons d j dit que la douleur de l in jection n existe presque plus si l on a soin d ajouter dans la seringne quelques gouttes d une solution d aco ne 1 1 1 Mais il ne fautpas s ent ter pratiquer de nombreuses injections quand elles ne sont pas suivies d un bon r sul tatet surtout quand elles ne sont pas bien tol r es D s qu l on s aper oit qu une irritation un peu marqu e se produit apr s les injections il faut les espacer de plus en plus les suspendre m me pour un certain temps en
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