Home

Journée des responsables bénévoles associatifs

Contents

1. 2 4 25 224 WWw cg49 fy Ji ns IN I CD QU FH 12 142 jrs r els pour 12 108 jrs au budget Tarif FH gt 5 mois 84 40 et 7 mois 86 18 SAVS 4 423 jrs r els et 4 392 jrs budget Page 46 171 PM ONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWWw cg49 fr e Sur les responsabilit s en mati re financi re e Sur les outils de pilotage financier e Sur les volutions l gislatives et r glementaires 7 8 Afou CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 47 171 A F volutions constat es Identification des principales volutions Cons q
2. la gouvernance associative le pilotage de l action i feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f Tr O ee Constitution du groupe e 30 au d part 10 la derni re r union e Composition h t roclite petites associations grandes associations b n voles lus techniciens L feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWW cg49 f g Au d part e Difficult de cibler l objectif e Une certaine confusion entre gouvernance pilotage e Vision individualis e refus d une certaine norme z feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f a tr Apr s apport th orique e Reprise du d bat pour mieux s rier les l ments d analyse e Elaboration de d finitions communes feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f Tr o eee La gouvernance associative Est un ensemble de bons comportements permettant aux dirigeants d organismes de s appuyer sur des organisations efficaces et lisibles pour exercer sereinement leur fonction Ma triser la conduite des activit s Proc der toute adaptation utile qualit du service rendu Rendre compte aux parties prenantes g feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www C949 f aIr om Le pilotage de l association O va t on
3. Bien situer le r le de chacun e du c t des financeurs n cessite de prendre en compte les missions de l association et savoir valuer sa juste place le r le du b n vole e du c t des salari s bien identifier son employeur e du c t du Conseil g n ral rep rage des contacts possibles Accompagnement coop ration fusion articulation Quel niveau d change Quelles r gles du jeu Clart de la relation relation de confiance Prendre en compte le militarisme associatif La question de l association qui volue financements importants sur des comp tences qui doivent tre tenues Le document r alis insister sur le fait qu il peut tre un outil tr s important pour une association qui d marre Importance de l aide apport e pour pouvoir se rep rer Prochaine r union le lundi 29 juin 14h30 Au CDPD 14 rue Anne Franck Angers Page 122 171 sampeur odile En De sampeur odile Envoy vendredi 31 juillet 2009 15 27 martin mari pierre jacqueline branger ac nantes fr etape49 wanadoo fr s manceau orange fr la gabare crtf orange fr mf dauneau wanadoo fr co mandret wanadoo fr sampeur odile versille jacques neuf fr gregoire deirue fondes fr udassad49 wanadoo fr alphaapi wanadoo fr additif formation adiditif net pactanjou orange fr aden noyant orange fr direction regina mundi org siegesocial aapai com una ml w
4. Il faudrait pr voir des titres communs Finances et Gouvernance dont l int r t serait de pouvoir guider et r pondre aux questionnements Quel est mon projet Comment puis je le financer etc Mr Bioteau juge pertinent le tronc commun dans le guide et les liens pour trouver les informations utiles Le but du guide est de fournir les supports de base la documentation et les connaissances n cessaires au pilotage fonctionnel et financier d une association sans se noyer dans de multiples explications techniques Il est essentiel d avoir un bon guide de base tr s lisible et compr hensible Page 142 171 Mr de Vienne appuie l id e d un guide de base assis sur une bonne m thodologie de renvoi vers des liens web sur des sites professionnels ou sp cialis s Il ajoute que les associations peuvent avoir des difficult s pour d poser un dossier de subvention d o l importance des interactions avec diff rents sites partenaires financiers potentiels Cependant il existe galement des revues et publications pour la mise jour des informations la veille juridique r glementaire Les f d rations sont aussi des points ressources int ressants donc faire conna tre Mr Fribault pr cise aussi la n cessit d un point d attention sur le CPOM et souligne l int r t de la mutualisation des moyens des associations logistique ressources humaines etc Mme Fouch revient sur la n cessit d tablir
5. PV CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWw cg49 fy ID ES CL S Echanger analyser partager les id es les besoins les constats Croiser mettre en commun mutualiser f d rer Construire des objectifs communs D limiter les champs de comp tences Confronter d battre voire n gocier Transformer la posture d op rateur partenaire nE DA PE CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou Communication change Outils R sultats Impacts WWW cg49 fy R sultats Culture et approche partag es 7 Indice de satisfaction des associations Supports Rapports Comptes rendus Impacts Innovation co produite Transparence de l action Ev nements R unions partenariales r seaux Journ e des associations gt ateliers Visite des associations par les lus Assembl es g n rales des associations Rencontres d bats r guliers Sch ma global social et m dico social gt ateliers PV CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 64 1 1 L avenir pousse en Anjou WWW cg49 fy e Valoriser simultan ment des actions du Conseil g n ral et de ses partenaires e Communiquer sur les moyens de communication e V rifier et valuer l impact DA 0722 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWW cg49 fp e Valoriser simultan ment des actions
6. II DU C T DE L OPERATIONNEL gt importance du document de d l gation qui cadre tout avis technique et d finit le niveau de d l gation gt organisation de r unions r guli res fr quence des bureaux gt formalisation d outils d finissant les r les et fonctions fiches de poste et ou convention de b n volat et communication de ces outils gt d finition des proc dures et modalit s de travail entre Pr sident et administrateurs entre administrateurs et techniciens POINT DE VIGILANCE gt valuation organis e de ces proc dures et modalit s paragraphe pr c dent ainsi que des outils des fins de r vision si besoin organiser les proc dures de d cision et de communication dans une situation d urgence clarifier les responsabilit s du Pr sident l gale morale et les contraintes qui en d coulent communiquer sur l organisation de l association et son fonctionnement en externe aussi partenaires usagers et permettre chacun d organiser de fa on pertinente sa communication vers l association circuit de l information r f rents YYY LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE 5 Place de chaque acteur CONSEIL D ADMINISTRATION Assembl e g n rale Pr sident La fonction du Conseil d administration est essentielle il d finit et soumet l AG les grandes orientations de l association court et plus long terme il formule le projet de l association en conformit avec
7. e Pourquoi Quel projet associatif e Avec qui Quelles comp tences PV CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f fy Une vie d mocratique D finir et noncer les valeurs Un projet partag par les b n voles les salari s auquel sont associ s les usagers Une organisation adapt e Des proc dures Un organigramme pr cisant le r le et la place de chacun Communication Ne CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www C949 f ir e Attention la d rive autoritaire e Attention la d rive anarchique 8 AC CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 pa o ee Dans quel environnement e Crit re essentiel dans l laboration de la strat gie associative e Importance des r seaux e Obligations employeurs e Evaluation des risques L feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f e sir Une action valu e L valuation Est aussi l affaire de l administrateur Visibilit gt objectif atteint En lien avec le projet de l association Permet d apporter l am lioration continue de la qualit du service c d feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f N 1 d 0 Dynamique associative e L action r pond aux besoins de l usager e L usager participe l valuat
8. 2 Strat gie de l Association Une association ne peut voluer sans prendre en compte son contexte conomique et social La bonne gouvernance est indispensable pour assurer une charpente solide au d veloppement de l association Elle permet de limiter les risques et de s curiser les parties prenantes dans un but de p rennisation de la structure COMMENT Y PARVENIR Sur le plan de la conduite g n rale l organisation d une association impose que chacun de ses membres partage son objet et ses valeurs apporte son concours et ses comp tences quel que soit la place qu il est amen occuper dans le dispositif Pour arriver atteindre ses objectifs et les faire voluer l association ne peut avoir qu une gouvernance lisible transparente et valuer r guli rement le fonctionnement de son conseil d administration et les modes de prises de d cision POINT DE VIGILANCE La prise en compte de l environnement est un crit re essentiel dans l laboration d une strat gie associative L acc s des r seaux constitue des lieux ressource pour un conseil un soutien m thodologique peut rendre possible la mutualisation de certaines fonctions Ressources humaines gestion financi re Une f d ration peut permettre une repr sentativit des structures adh rentes un niveau r gional ou national Face aux volutions de l environnement social deux attitudes s offrent aux associations le repli sur soi ou a
9. Mme Christiane Allain Directeur insertion et habitat M S bastien Landeau Responsable unit animation des territoires Direction insertion et habitat Mme H l ne Normand assistante Direction insertion et habitat taient excus s Mme Christelle Blanchard Pr sidente CLCV Pourquoi pas Mme Mich le Duchene Pr sidente Maison de retraite priv e La Girouardi re M Marc Chapeau Vice pr sident Association M diation 49 M Jean Yves Plessis Pr sident Abri de la Providence Ordre du jour 1 Restituer et analyser le questionnaire des directions et services de la DGA DSS du Conseil g n ral 2 Compl ter le tableau r capitulatif nouveaux outils et indicateurs 3 Pr parer la r union du comit de suivi du 20 avril gt en faisant une proposition pour la nouvelle journ e d tude gt en amor ant les contours d une nouvelle strat gie de communication pour le Conseil g n ral Monsieur Bonsergent introduit la r union Le compte rendu du 16 janvier 2009 est appr ci et appelle une remarque Les associations aimeraient pr ciser que si l aspect financeur du Conseil g n ral est incontournable l aspect politique est tout aussi important I LECTURE DU QUESTIONNAIRE DGA DSS Le document est distribu en s ance et comment Le groupe s attarde plus longuement sur certaines rubriques qui ont suscit des commentaires R union c est un outil incontournable pour travailler Elle est au
10. cis Ex forum des associations au Parc expo d Angers une fois tous les 2 ans Communication orale gt T l phone 1 moyen de communication C est tellement vident qu on n en parle pas Invitations visites rencontres permanences Page 165 171 2 moyen de communication important pour les associations d tre pr sentes pour conna tre et se faire conna tre ex v ux du maire visite d un lu etc C est le must en termes de communication On se souvient d une visite et non pas de 10 mails Les rencontres facilitent l int gration dans le paysage associatif Les associations appr cient les rencontres avec les financeurs car cela permet une meilleure connaissance de l association de son environnement de ses locaux Probl me le co t financier des frais de d placements ex permanences rurales 3 Id es gt Importance des r seaux Il n y a pas un r seau mais des r seaux d associations et toutes les associations n ont pas les m mes besoins Si un r seau existe 1l s agit de ne pas le n gliger organisation forum des associations par ex Approche d une communication plus politique et plus technique Il est important pour les associations que le Conseil g n ral communique sur ses rouages internes afin de savoir dans quelles circonstances elles doivent s adresser un lu ou un technicien Cela permet au sein de l association une articulation avec l quipe techni
11. cision Mme Branger place de chaque acteur Mme Dauneau et Mme Manceau pour chacun des points M F vre rep re les points qui sont les plus importants pour une association de petite taille sans salari et nous les v rifierons ensemble lors de la prochaine rencontre gt Pilotage de l action projet Mme Sampeur Suivi r alisation rendu compte et valuation M Delrue L id al serait que chacun ait adress sa copie Mme Loiti re ou Mme Sampeur pour le 10 juin dernier d lai Autres points de d bats qui seraient inclure dans les fiches ou placer dans une introduction dimension politique de l association La place de l histoire et le r le de chacun dans l association les enjeux de la politique associative son insertion dans le r seau sa cr dibilit et sa capacit prendre en compte tous les aspects environnementaux les limites dans les potentiels de chacun une place pour un Conseil des sages anciens administrateurs vigilance sur la dur e des mandats penser au renouvellement du conseil d administration et aux mandats interroger la repr sentation de ses membres poser la r gle de faire le point d une fa on r guli re Il s agit de proc der une valuation d instance associative et non des administrateurs poser le principe de l objectivit de l valuateur Anticiper aussi la question pouvoir l aborder clairement m me s1 c est difficile Page 121 171
12. conomique m Manque de lisibilit de l avenir Inqui tudes concernant les r glements FSL et d appels d offres Attentes et besoins d appui en mati re de pilotage financier m Appui technique en fonction des partenariats modalit s de fonctionnement Engagement des partenaires plus long terme en coh rence avec l activit de l association m Reconnaissance et plus de r activit des partenaires financeurs Contribution r gionale aux dispositifs de formation R glement du probl me de contradiction entre les conventions collectives et la revalorisation syst matique et identique pour les associations Sollicitation de dossier unique de demande de subvention un lieu et une personne ressource m Aide d un expert comptable Meilleure visibilit des moyens allou s par l tat moyen terme m Appui officiel des pouvoirs publics pour tre connu valoris soutenu Constitution d un fonds de roulement E Prise en consid ration des r alit s du terrain P rennisation des dispositifs mis en place contrats aid s m Veiller ne pas rajouter de charges aux associations Atelier Pilotage financier th mes propos s Pilotage financier tableaux de bord plan de financement rep res pour un pilotage efficace Analyse de gestion notamment lecture partag e financeur association Gestion et ajustement d un budget pr visionnel de tr sorerie E Recherche de financements Aide des contrats aid s
13. l anticipation est une cl de la r ussite de la mutualisation pour voluer s adapter sans perdre son identit la d construction est n cessaire pour se poser les bonnes questions l accompagnement par le DLA ou dispositif local d accompagnement facilite les d marches de mutualisation en apportant sa technicit Atelier n 2 Quelles ressources possibles quels appuis dans l exercice de responsable associatif Pr sentation des aides et appuis possibles changes pour mieux rep rer les r ponses et identifier les manques quipe d animation pilot e par Martine Barbier Prieur Directeur des Solidarit s v Gr goire Delrue Directeur FONDES Pays de la Loire Fonds de d veloppement solidaires v Elizabeth de Saint Pern Tr sori re H pital priv EHPAD Chaudron en Mauges v Jean Louis Pl Directeur d partemental de la jeunesse et des sports repr sentant MAIA Mission d Accueil et d Information des Associations v Anne Postic Directrice URIOPPS de la r gion des Pays de la Loire Union R gionale Interf d rale des uvres et Organismes Priv s Sanitaires et Sociaux Th mes abord s Les associations acteurs indispensables du champ social et soci tal ont besoin de pouvoir disposer de toutes les informations utiles concernant les ressources auxquelles elles peuvent faire appel qu elles soient humaines mat rielles juridiques ou financi res L atelier avait pour but de rep rer aux travers notam
14. par exemple les mots de prestataires de services Etes vous simplement des prestataires de services ou n tes vous pas plut t des partenaires Page 110 171 On a beaucoup parl de financements financement des projets bien s r mais aussi non financements de projets associatifs On a entendu parler de contr le sous entendu tatillon on a entendu parler d identit de valeur de perte d autonomie Soyons lucides r alistes et quelquefois un peu utopiques 1l faut l tre Le Conseil g n ral c est un budget total approximatif de 600 000 000 somme importante videmment Le seul budget social est de 300 000 000 c est dire que 50 du budget total du Conseil g n ral du d partement c est l action sociale au sens large Et cette action sociale c est une d pense obligatoire bien videmment avec des marges de man uvre qui sont vraiment tr s limit es Il faut prendre soin bien s r des personnes g es dans les tablissements c est 28 000 000 pour les personnes g es il faut prendre en charge les 1 800 enfants qui sont confi s l aide sociale l enfance 90 000 000 l APA c est 50 000 000 environ l aide sociale au logement pr s de 50 000 000 pour les personnes handicap es etc etc C est donc dire si nos marges de man uvre sont extr mement limit es d autant plus que le vieillissement de la population de valides ou de personnes handicap es est un fa
15. ral Mme Christiane Allain Directeur insertion et habitat R f rent associatif M Jean Presselin Pr sident association Le jardin de cocagne angevin Coordonnateur de groupe S bastien Landeau adjoint du chef du service insertion au Conseil g n ral CONCLUSION Tout le monde est unanime dire que ce groupe de travail est la r sultante des pr conisations de la journ e du 24 novembre 2007 Satisfaction g n rale Prochaine r union Le vendredi 16 janvier 2009 14 H 00 Salle Authion Direction Insertion et Habitat Cit administrative 26 ter rue de Brissac Angers B timent P 1 tage Page 162 171 COMPTE RENDU REUNION GROUPE DE TRAVAIL n 3 COMMUNICATION Vendredi 16 janvier 2009 Etaient pr sents M Jean Fran ois Bonsergent Conseiller g n ral M Jean Yves Plessis Pr sident Abri de la Providence M Jean Paul Guezennec Secr taire g n ral F d ration des a n s ruraux d anjou Mme Chantal Lesvesque Vice pr sidente H pital Maison de retraite Chaudron en Mauges M Alain Corvaisier administrateur association Les Tourelles M Raymond Chazal Pr sident AFTMJ M Marc Chapeau Vice pr sident Association M diation 49 Mme Claudine Nollet tr sori re Association M diation 49 M Rapha l Barbot Pr sident FNATH du Maine et Loire et de la Mayenne M Andr Dormeau Pr sident UNA 49 M Jean Presselin Pr sident Le Jardin de cocagne angevin Mme S
16. re ainsi qu peut tre les cutils permettant d y r pondre Besoins du pui Mission de Fassoctation Strat gie contr le suivi LLEELTh PTT r Vendredi 30 janvier 24419 amp 9H at CCFD rue Anne Franck ANGERS Page 114 171 Avant d aborder la question de l action port e il para t essentiel que ic projet de l association soit lisible pour tous quelque soit chelle ce qui implique on partage de valeurs communes entre les membres du Conseil d administration Mobilisation du Conseft d admbsistration ou remob lisation acqu rir une certaine vigilance capitalisation exp rience assurer la tonlinuit e Analyse essentielle r gu i re pour situer l cart entre la phifosoghie du projet et son apoficatton gt uvernance 5e donner les moyens d une analyse r guli re de la pertinence des besoins ce qui implique une ouverture de l association et une certaine recherche du partenariat Pouvoir adapter le projet la r alit aux moyens Page 115 171 LE PILOTAGE DE L ASSOCIATION o Le r le la fonction ie statut de chacun de l usager au pr sident Donh e imporiante peut avoir une dimension variable a de l importance dans la n gociation ventuelle Qui pilote l action La place de chacun amp Finafceurs o B n voles Plan d une strat gie d associalion T o Sainri s Quel quifibre 7 CA Quel Limite F d ration R seau parte
17. s de la responsabilit employeur quilibre budg taire difficile m Manque d expertise en mati re juridique notamment Turn over du personnel d stabilisant m Gestion des ressources humaines chronophage Difficult s comparables celles d une entreprise Propositions Aide la recherche de nouvelles ressources financi res ou humaines Synth se des droits et devoirs des salari s et employeurs Plan de gestion sociale Difficult s de recrutement de b n voles m Recrutement de b n voles difficile sur des postes responsabilit s sur le long terme Exigences importantes quant au profil des b n voles recherch s Mobilisation des b n voles difficile car programmation des r unions al atoires Propositions Faire appel aux r seaux partenaires Communiquer aupr s du public presse locale financement des op rations de communication par le Conseil g n ral Adh rer France b n volat Mettre en place une bourse au b n volat Faire fonctionner le bouche oreille efficace connaissances amis Avoir pour objectif de fid liser les b n voles m Mise disposition de professionnels par les administrations CG CAF CH des personnes en CPA en temps partiel Identifier les diff rents besoins Direction des Solidarit s Service action g rontologique 12 questionnaires analys s au 16 mars 2009 Difficult s relev es en mati re de pilotage financier nad
18. v Yves Aguila Consultant Coop rative AVISO v Daniel Fischer Directeur g n ral Sauvegarde 72 v Philippe Libaud Charg de mission Dispositif Local d Accompagnement DLA au FONDES Pays de la Loire Fonds de d veloppement solidaires v Jean Presselin Administrateur Atelier et chantier d insertion Les Jardins de Cocagne v Dany Thomas Responsable unit suivi des tablissements la Direction Enfance Famille v Jean Fran ois Bonsergent Conseiller g n ral Th mes abord s 1 Faire parler la mutualisation Un remue m ninges a permis de faire merger des id es cl s sur la mutualisation et de pr parer la restitution des exp riences significatives en les classant par grands types 2 Vivre la mutualisation e La mutualisation regroupement offre une mise en facteur commun tout en permettant chaque structure de conserver sa propre identit et d exprimer sa propre comp tence offre de formation partag e partage d un dossier commun de locaux d un premier accueil commun rapprochement des conseils d administration e La mutualisation coop ration joue la carte de la compl mentarit comp tence technique particuli re moyens informatiques propos s d autres tout en gardant ses sp cificit s e La mutualisation fusion apporte une r ponse solidaire Elle trouve sa force en se construisant sur une logique de territoire de d veloppement d un service unique de maintien du b n volat
19. 3 mots pour le dire Un remue m ninges est propos aux participants Voici les id es cl s qui mergent change Partage Solidarit Enjeu d avenir Efficacit conomie Moyens rapprochement Regroupements Synergie Coordination S associer compl mentarit Gagnant gagnant Mise en commun R seau Entraide Porter des probl mes Valeurs usager conomie Compl mentarit Don coute Histoire culture Additionner les forces R duire les faiblesses Confiance r ciprocit Les participants sont invit s t moigner de leur exp rience Proximit Optimiser Confiance R ciprocit Bonnes pratiques Repr sentation Liens avec les f d rations nationales Partenaires pour avancer Ensemble changes d exp rience Appr hension Craintes Disparition des petites associations Perte d identit des valeurs Perte d autonomie R ticences R cup ration Choix Rebondir Incertitude dans la relation Projet f d rateur B n fice pour l usager 2 VIVRE LA MUTUALISATION OU A VOUS LA PAROLE Les associations pr sentent leurs exp riences en termes de mutualisation selon la typologie choisie regroupement coop ration fusion Mutualisation regroupement Mutualit Anjou Mayenne C est une d marche interg n rationnelle men e Villev que qui est relat e Dans un m me lieu sont regroup es une maison de retraite et une cr che L
20. 4 Questions R ponses La date de la prochaine r union est fix e en commun accord avec les membres pr sents au Lundi 18 mai 2009 de 14 h 30 17 h 00 Salle des Abb s l H tel du D partement Monsieur Gillet l ve la s ance 12 h 15 et remercie les participants pour leur collaboration Page 144 171 Annexe 1 Direction des Solidarit s Unit vie associative 34 questionnaires analys s au 24 f vrier 2009 Difficult s relev es en mati re de pilotage financier Trop grande d pendance vis vis des subventions ou dons et de leur montant m Ressources financi res et humaines trop faibles R ponses aux demandes de subventions et versements trop tardifs Difficult de p rennit conventions pluriannuelles non g n ralis es l ensemble des partenaires Charges importantes frais de d placement m Diff rence entre le plan comptable utilis et le plan comptable g n ral Difficult dans la recherche de financements Proc dure de demande de subvention non uniformis e Pilotage requ rant technicit et professionnalisation AA m Gestion triqu e d mobilisant le personnel devant l impossibilit d laborer des projets p rennes Attentes et besoins d appui en mati re de pilotage financier Souhait de p rennisation des financements pluri annualit contractualisation Appui financier plus important des donateurs potentiels ou m c nes et de l administration divers
21. Abr de la Providence Mme Christelle Blanchard Pr sidente CLCV Pourquoi pas M Marcel Lebreton Pr sident association fran aise d information et d aide aux stomis s d Anjou M Rapha l Barbot Pr sident FNATH du Maine et Loire et de la Mayenne Etaient absents Mme Chantal Lesvesque Vice pr sidente H pital Maison de retraite Chaudron en Mauges M Alain Corvaisier administrateur association Les Tourelles Mme Mich le Duchene Pr sidente Maison de retraite priv e La Girouardi re Ordre du jour 1 Constitution du groupe de travail 2 Formation du groupe de pilotage 3 D finition et cadrage de notre feuille de route 4 Mise en commun des attentes et des points de vue 5 Plan de travail m thodes et calendrier I PRESENTATION Apr s quelques mots de bienvenue Madame Allain explique la d marche d accompagnement des responsables b n voles des associations par le Conseil g n ral Cette r flexion est partie des associations m dico sociales Cela a donn naissance au s minaire du 24 novembre 2007 Les conclusions de cette rencontre ont conduit la formation de trois groupes de travail dont celui d di la communication Il s agit de r unir le plus de sensibilit s repr sent es dans le monde associatif pour pouvoir mettre en partage les id es mod liser les suggestions et ainsi apporter les r ponses ad quates Les associations pr sentes appr cient cette initiative qui les interpelle
22. Comment former sans formater Je dirais comment rester libre actif et solidaire dans un monde d goisme et d individualit qui se replie sur lui m me avec l aggravation de la crise alors qu il faudrait faire l inverse Page 111 171 Donc nous avons tous un chemin faire une philosophie r examiner Comment redonner du sens voire un sens l action sociale qui est notre domaine commun Mais j ai envie de dire n ayons pas peur d agir et de progresser Les collectivit s voluent l tat galement nos associations et le Conseil g n ral doivent aussi voluer C est un pari que nous devons relever ensemble sans arri re pens e n1 faux semblant en toute transparence Notre soci t a toujours t confront e de r elles incertitudes et les acteurs du monde associatif social et m dico social que vous repr sentez se retrouvent avec nous en premi re ligne comme un rempart avant la rupture du lien social et cela est important Votre pr sence vos remarques et m me vos critiques t moignent d un engagement fort parfois complexe toujours chronophage parce qu il faut y passer beaucoup de temps mais toujours exaltant passionnant enrichissant Ces difficult s que vous rencontrez ce sont aussi les n tres Le D partement en tant que chef de file de l action sociale voit ses interventions s largir sans cesse et plus vite que les ressources Je dirais m me que nos travailleurs sociaux en interne
23. Loire 35 structures Les grands secteurs d activit La tendance l insertion et l ducation populaire En Maine et Loire le secteur social et m dico social repr sente 10 des structures oisirs ervices aux ion ulture nvironnement personnes Formation FONDES PAYS DE LA LOIRE FINANCEUR SOLIDAIRE POUR L EMPLOI Page 87 171 FONDES Pays de la Loire Prospectives sur l appui aux structures sociales et solidaires Les constats font appara tre que les appuis conseils sont tr s centr s sur la consolidation du projet mais pour autant le lien est faible entre conseil et financement 11 Les structures sociales et m dico sociales ne font que tr s peu appel aux outils d appui conseil et ou de financement Des pistes de travail Comment amplifier l acc s aux ressources de conseil des responsables associatifs Comment faciliter l acces aux financements de tr sorerie et d investissement li s aux conseils en consolidation des projets Comment favoriser les passerelles entre les dimensions f d rales et ou institutionnelles et les appuis conseils O FONDES PAYS DE LA LOIRE FINANCEUR SOLIDAIRE POUR L EMPLOI Page 88 171 URIOPSS QUELLES RESSOURCES POSSIBLES QUELS APPUIS DANS L EXERCICE DE RESPONSABLE ASSOCIATIF Journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du Maine et Loire 13 novembre 2009 Page 89 171 URIOP
24. Rencontres Visites gt Assembl es g n rales Indice de Innovation co Type satisfaction produite Communication change Culture et gt Transparence de approche partag es l action DGA DSS DIH Groupe de travait n 3 Communication 02 04 09 Gites Outils cr er ou Indicateurs Indicateurs moyen a d velopper court terme et long terme Typologie Probl matique gt Plaquette co produite ex Forges Invent r des v nements originaux petit d jeuner caf discussion Utilisation d un maximum de moyens de communication Comment apporter une plus value gt Colloques Valoriser de fa on concomitente les 4 gt Indice de inai gt Travaliler P on actons du Conseil g n ral et des ji eds Relation presse satisfaction ne valorisation associations S FraaiA am liorer articles ae di th mes page mieux e conna tre rubrique m dico sociale Flyer gt Enqu te questionnaire de satisfaction Communiquer sur ies moyens de communication pour qu ils soient utilis s V rifier valuer gt Observatoire sens partag capacit mesurer l impact DGA DSS DIH Groupe de travail n 3 Communication 02 04 09 Page 171 171
25. UDAF Gestionnaire administratif CG Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Directeur Association Abri de la Providence Vice pr sident du Conseil g n ral Charg du D veloppement Social et des Solidarit s HUMEAU Bernard Tr sorier F d ration des centres sociaux et socioculturels QUEMENER Christian Secr taire Association Alcool Assistance La Croix d Or VIEL Didier Tr sorier Association Anjou Soins Services BOIREAU Claude Pr sident R gie de quartier Saumur BRAULT Michel Vice pr sident Maison de retraite priv e CHOUTEAU Philippe Pr sident Maison de retraite priv e Nazareth de RAUCOURT Vice pr sident Association Catholique angevine des uvres d assistance et de bienfaisance Pr sident Association cit justice citoyens Administrateur Association Sainte Famille Religieuses hospitali res Pr sident F d ration ADMR Responsable Unit Direction Enfance Famille Unit accueil territorialis en tablissements Directeur R gie de Quartier Saumur de SAINT PERN Elizabeth de VIENNE Olivier DOUCET Marie Jos e FOUCHE Viviane FRIBAULT Fran ois GILLET Christian FERRE Charles LORRE Joseph PIREAU Jean Claude THOMAS Dany ZITTE Thierry Ouverture de la s ance par Mr Christian Gillet et Madame Martine Barbier Prieur 9 h 30 1 Points divers Madame Barbier Prieur demande chacun des participa
26. aux EPCI chelon incontournable dans le paysage administratif fran ais Les EPCI couvrent pratiquement tout le d partement a contrario des Pays par exemple o Expliquer la politique d partementale et ses choix permet aux associations de comprendre d adh rer un projet C est une question de cr dibilit o Communiquer largement le risque n est il pas de cr er de la demande et donc de ne pas pouvoir y r pondre faute d un budget suffisant o Communiquer diff remment suivant le champ d intervention selon le contenu de l information Les moyens ne sont pas les m mes ex l habitat est un sujet concret l inverse de l enfance qui touche plus l humain La standardisation a ses limites o Communiquer de mani re diff rente suivant la dur e du projet Les outils cr er ou d velopper les conf rences par exemple Les indicateurs moyen et long terme se doter d outils pour valuer Le souhait c est de pouvoir valuer la r alisation d un projet de quantifier de qualifier COMMUNICATION CHANGE Analyser les ressources pour r pondre aux besoins Faire remonter les besoins les r flexions du terrain pour une meilleure coh sion Prendre le temps de se conna tre de se comprendre et de construire ensemble Faire adh rer tout prix sans se poser la question que puis je apporter en compl ment pour tre partenaire le risque est grand de fausser la communication o Se situer en tant qu op rat
27. bergement et des structures qui offrent des postes de travail Offre de formation partag e entre les partenaires concern s dans le cadre de l adaptation des logements et lieux d accueil aux handicap s Offre d un dossier commun de demande d entr e dans les maisons de retraite d un m me territoire g ographique pour une am lioration du service l acc s du public Des situations qui rel vent une r elle cr ativit de r ponse alors que chaque structure conserve sa propre identit et exprime sa propre comp tence Services partag s diverses situations Partage d une comp tence technique Partage de moyens informatiques une homog n isation des proc dures administratives et une possible polyvalence pour les salari s administratifs et comptables Partage de locaux et d un premier accueil commun Cr ation de p les administratifs l int rieur d une F d ration voire le rapprochement des conseils d administration Fusion logique d anticipation pour le d veloppement d un service logique de territoire maintien du b n volat Maintien d une capacit de gouvernance et de direction logique de capacit financi re de mise aux normes 2 QUEL RESSENTI FACE LA MUTUALISATION D une mani re g n rale la repr sentation de la mutualisation est largement positive tant par les termes voqu s que par les exemples cit s Notion d change de partage de solidarit Notion de partenariat
28. centre de l animation partenariale Forum permet des relations plus d tendues plus conviviales qui permettent une ouverture de discussion plus large Page 168 171 Presse la restitution dans la presse n est pas toujours exacte L explication aux journalistes n est pas toujours bien comprise La diffusion des articles se fait plus facilement sur le secteur rural que sur le secteur urbain Il est sugg r de se regrouper pour demander la presse d ouvrir une rubrique sociale comme il existe une rubrique sportive Une chronique sociale hebdomadaire permettrait d avoir un espace presse pour les associations m dico sociales R alisation de plaquettes de documents l exemple d une plaquette d di e l habitat sur la commune de Forges et dit e par le Conseil g n ral Le travail de deux associations partenaires est valoris Cet v nement est le r sultat d un partenariat entre diff rents services du Conseil g n ral et la commune de Forges la plaquette le concr tise Ce travail en commun a permis la r ussite de ce projet de communication Une information en amont a t faite aupr s des journalistes II TABLEAU RECAPITULATIF Le groupe commente les diff rentes rubriques et apporte des l ments compl mentaires cf derni re version corrig e COMMUNICATION EXPLICATION o Informer expliquer aux partenaires sur leur territoire sur un territoire donn Le Conseil g n ral a la volont de s adresser
29. changes et de dialogue que l institution d partementale r serve sp cifiquement aux responsables b n voles associatifs Page 157 171 Mme Barbier rappelle globalement le d roul de la journ e et revient sur l organisation de la matin e consacr e au retour des travaux des 3 groupes de travail pilotage de l action gouvernance pilotage financier et communication et la pr sentation sur powerpoint Un temps d changes est pr vu apr s chacune des 3 pr sentations Mme Barbier voque la difficult des premi res questions d o l importance de susciter la r activit et de lancer l change Mme Barbier pr cise que la production r alis e sous forme de guide par le groupe gouvernance rejoint le travail du groupe pilotage financier Il s agira donc de voir comment articuler les deux productions dans le cadre de la future mise en ligne La question d un guide unique se pose nouveau Les modalit s de l intervention du groupe pilotage financier intervention du matin L intervention en bin me bi voix est pr vue Mme Barbier Prieur pr sentant la d marche et Mme de St Pern repr sentante associative les productions sommaire et parties Le support visuel est remis ce jour aux participants Ce diaporama 12 diapositives permet de visualiser les tapes de r flexion et le travail du groupe pour construire le guide Monsieur Bioteau souhaiterait valoriser le travail des sous groupes et aller plus loin que le sommaire Il pro
30. d une capacit globale de gouvernance de capacit financi re sup rieure et de mise aux normes 3 Cerner les enjeux et les limites de la mutualisation D une mani re g n rale la repr sentation de la mutualisation est largement positive avec des notions d changes de partage de solidarit de partenariat Elle suscite parfois des craintes la perte d identit d autonomie de proximit avec le public Synth se et propositions Les exp riences voqu es ont t voulues par les structures et non pas impos es injonctions Il en est ressorti plusieurs id es forces la mutualisation est un l ment nouveau compl mentaire un l ment dynamique de la vie associative la mutualisation n est jamais finie la mutualisation permet de faire face des besoins nouveaux l usager est aussi moteur de la mutualisation la mutualisation apporte une r ponse pour une meilleure efficacit au b n fice du public une consolidation conomique et financi re aux structures avec des projets redynamis s Page 4 171 la mutualisation peut tre une opportunit pour la mobilit des salari s au sein des structures Quelques recommandations peuvent tre faites le projet de mutualisation doit entra ner l adh sion des participants des structures mais aussi des collectivit s territoriales la mutualisation ne peut se faire sans partage des questionnements sans confiance pour mieux se conna tre se comprendre
31. demandent eux aussi plus de moyens comme vous et quelquefois d ailleurs ils sont un peu jaloux de ceux que nous vous octroyons et que nous n accordons pas toujours nos travailleurs sociaux J esp re que les directeurs n coutent pas Notre conviction c est que les questions auxquelles nous avons faire face le handicap le maintien domicile la pr vention des maltraitances les pr ventions g n rales l accompagnement aux plus d munis ont plus de chance de trouver des r ponses si nous agissons ensemble si nous unissons nos comp tences et si nous intervenons de mani re concert e Mutualisons donc nos id es et nos moyens sans jamais oublier notre finalit commune aider les plus faibles les plus fragiles se relever avoir des projets de vie tre accompagn s Ce partenariat est le fruit d un dialogue entre nous tous d changes d exp riences de bonnes pratiques de confrontation d id es c tait l objectif de ces journ es Mais notre partenariat doit galement nous permettre de pr parer l avenir ensemble de poser les bases d une collaboration future et ce matin le Pr sident a voqu le sch ma m dico social d partemental qui va tre mis sur les rails 1l est d j plus qu en pr paration et nous comptons sur vous les associations pour je dirais crire Nous avons mis la trame maintenant vous mettrez les chapitres avec nous C est le fruit d une collaboration Nous au
32. des associations du secteur social et ou m dicosocial Page 135 171 Sur les 362 associations r f renc es e O sont tarif es e 271 sont non tarif es Sur les 362 envois il nous a t retourn ce jour e 9 questionnaires dont v 43 dans les d lais impartis vV 48 hors d lais Une analyse qualitative des questionnaires re us est en cours aupr s de la DPM Direction de la prospective et de la modernisation et devrait tre remise courant f vrier 2009 Toutefois une premi re bauche quantitative a t r alis e sur 1 3 des retours En voici les principales informations obtenues e R partition des questionnaires analys s entre structures tarif es ou non tarif es V 24 sont des structures non tarif es e Difficult s de pilotage financier v 52 n ont pas de difficult 48 n ont pas d attente dans ce domaine Attentes principales en mati re de pilotage financier 35 ont des attentes sur le sujet v 55 non pas d attente v 10 ne se prononcent pas e Besoins d appuis V 30 ont des besoins 55 n ont pas de besoin v 15 ne se prononcent pas e Pluri annualit du financement v 60 sont favorables la pluri annualit 25 ne sont pas int ress s par la pluri annualit V 5 sont favorables en fonction des conditions 10 nese prononcent pas e Besoins en formation 14 ont des besoins de formation sur le pilotage financier v 27 ont des souha
33. diversifi dans des logiques sectorielles intersectorielles rapprochement partenaires publics associations organisations professionnelles territoriales proximit Notion de rapprochement et de mise en commun des moyens L ensemble de ces l ments positifs montre une dynamique une meilleure efficacit au b n fice du public une consolidation conomique et financi re des projets redynamis s La repr sentation de la mutualisation est quelquefois n gative et suscite des craintes perte d identit perte de l autonomie diversit associative perte de la proximit de l usager Page 77 171 Les animateurs font la synth se de cette journ e La mutualisation rev t beaucoup de formes particuli res diversifi es Il est int ressant de noter que les exp riences voqu es ont t voulues non par des injonctions mais l initiative des structures au b n fice du public La mutualisation est un l ment nouveau compl mentaire un l ment dynamique de la vie associative Il est fait remarquer que le projet de mutualisation doit entra ner l adh sion des participants des structures mais aussi des collectivit s territoriales La mutualisation ne pourra pas se faire sans partage des questionnements sans confiance pour mieux se conna tre se comprendre Il est important d anticiper pour voluer s adapter sans perdre son me Le travail de d construction est tr s int ressant pour mieux se
34. e Il est convenu de transmettre la charte graphique Messieurs Bioteau et de Vienne pour la construction de leurs diapositives pr voir un micro suppl mentaire pour les interventions de Messieurs Bioteau et de Vienne finaliser le powerpoint en milieu de semaine prochaine 28 octobre puis le communiquer pour relecture Mme de St Pern ainsi que Messieurs Bioteau et de Vienne avant de le diffuser tous les participants du groupe pilotage financier effectuer une ultime coordination d s 9 heures le 13 11 2009 sur place Chemill rendez vous dans le hall d entr e Page 158 171 3 Communication Madame C Allain Directeur Insertion et habitat COMPTE RENDU REUNION GROUPE DE TRAVAIL n 3 COMMUNICATION Vendredi 14 novembre 2008 Etaient pr sents M Jean Fran ois Bonsergent Conseiller g n ral M Jean Paul Guezennec Secr taire g n ral F d ration des a n s ruraux d anjou M Raymond Chazal Pr sident AFTMJ Mme Claudine Jollet tr sori re Association M diation 49 M Andr Dormeau Pr sident UNA 49 M Jean Presselin Pr sident Le Jardin de cocagne angevin Mme Sabine Masson Vice pr sidente ADAPEI 49 Mme Christiane Allain Directeur insertion et habitat M S bastien Landeau Responsable unit animation des territoires Direction insertion et habitat Mme H l ne Normand assistante Direction insertion et habitat Etaient excus s M Jean Yves Plessis Pr sident
35. esprit de clocher Ceci a t vrai aussi pour les clubs sportifs qui mutualisent les b n voles et les moyens Il n y a pas d obligation fusionner et ce n est pas une fatalit Il faut juste tudier la possibilit de vivre ensemble Maisons de retraite St Laurent de la plaine et Le Marillais Afin d viter un prix de Journ e trop lev une coop ration a t tablie entre les 2 tablissements Un directeur a t nomm pour travailler mi temps sur chaque structure La fusion a eu lieu en janvier dernier avec un probl me de mise aux normes des locaux sur un des tablissements ce qui a entrain sa fermeture La fusion permet d envisager un projet d am nagement de ce site non r habilit en relation avec la commune la communaut de communes et le Conseil g n ral La mutualisation n est jamais finie C est aussi une volont Par exemple la cr ation d un dossier d inscription commun toutes les maisons de retraite de la communaut de communes pour une d marche qualit aupr s des familles La mutualisation permettra aussi de faire face des besoins nouveaux accueil de jour accueil s quentiel en faisant attention ne pas loigner l usager de son territoire Maison de retraite La maison de retraite priv e se situe en bordure de la Loire Atlantique La seule maison de retraite avec laquelle une mutualisation pourrait s effectuer est un tablissement public Ce ne sont pas les m mes statuts Pour t
36. groupe de travail propos est h t rog ne Il est pourtant repr sentatif des associations et structures en lien avec le D partement De fait ce qui les rassemble c est le lien au Conseil g n ral plus particuli rement le lien financier le public fragilis en difficult qu elles ont en partage Page 163 171 La communication institutionnelle du Conseil g n ral se d finit en contraste avec les autres financeurs institutions Un autre constat est fait la communication est organis e par champ le handicap les personnes g es les jeunes l insertion etc d o la difficult d cloisonner Il est tout de m me souhaitable de d limiter son champ d intervention on ne parle pas de tout mais de ce que l on ma trise pour bien travailler et agir changer sur l impact que l on a dans la communication Une nuance importante appara t qui diff rencie la communication technique de la communication politique 2 niveaux de communication I para t important de parler du sens et non pas que du financier Le monde associatif se trouve aujourd hui en concurrence avec le secteur marchand ex appel d offre La communication a ses limites le destinataire choisit ou non de conserver d utiliser l information re ue En partant de ce constat un tableau ci joint synth tise les changes qui ont eu lieu sur la communication ses probl matiques et ses outils II EXPLOITATION DES QUESTIONNAIR
37. injustice de la volont de d fendre une cause que l on pr sume juste du sens du souci de l autre Page 104 171 de la finalit humaine du d sir de sortir de sa sph re individuelle d une d marche individuelle la volont de s engager dans une association conception de la gratuit don de soi Il existe 3 types d engagement l engagement par n cessit l engagement de participation l homme satisfait ses besoins l engagement de transformation l homme satisfait ses besoins spirituels Les l ments substantiels il faut que les actions soient r elles et qu elles soient coh rentes avec le projet associatif il faut savoir satisfaire les usagers et les acteurs afin d am liorer l engagement il faut trouver une bonne orientation strat gique c est dire faire les bons choix politiques l int rieur de l association trouver un quilibre entre l identit individuelle et la r putation collective le besoin de reconnaissance est tr s important Les causes les m canismes d usure difficult s en interne bien manager les aspects de la gouvernance la Conseil d administration doit prendre de la distance avant de prendre des d cisions des administrateurs d mobilis s par l exc s de r glementation insatisfaction des pouvoirs publics des usagers des partenaires la distanciation probl me de la mutualisation Il faut se regrouper entre associations pour mieux g rer
38. les statuts et les valeurs de association s assure de sa faisabilit financi re et du respect des grands quilibres d l gue et contr le la gestion quotidienne de l association garantit la transparence du fonctionnement associatif l gard de toutes les parties prenantes notamment les usagers et les pouvoirs publics COMMENT Y PARVENIR L association pr sente son quotidien dans les rapports pr sent s l AG rapport moral et rapport financier Ils permettent d afficher la r alit du fonctionnement associatif dans sa dimension sociale et conomique Ici la transparence correspond galement une exigence juridique les dirigeants en tant que mandataires doivent rendre compte avec loyaut et transparence de la gestion des comptes et de l activit PLACE DU FINANCEUR Sur ce point les remarques qui suivent correspondent aux conclusions du groupe ce point est sensible mais il a sembl important de poser quelques principes que nous avons partag s le financeur doit avoir une bonne appr hension de l histoire et des missions de l association avoir une perception identique des valeurs concernant la prise en charge de l usager respect de la personne de son rythme d volution Une forme de respect de l autonomie de l association ce mot a t contest par certains nous avons donc voqu marge d autonomie marge de man uvre et privil gi le principe que m me dans des associations
39. port e aux administrateurs e Sur la question des fusions il s agit de faire bouger les cultures et de tendre vers une culture d accompagnement mais 1l existe une limite toujours un probl me d acc s l association e Remarques d une association sans salari immerg e au c ur des probl mes de soci t difficult s recruter de nouveaux b n voles des contraintes en termes de formation et de temps disponible souhaiterait tre plus aid e et entendue mais appr cie cette journ e comme espace d expression et d changes e Besoin d insister sur l utilit sociale pour valoriser le b n volat Page 82 171 e Une exp rience soulign e par une association caritative r le des fondations pas de b n voles mais des adh rents donateurs m c nes qui font conna tre et communiquent sur l action des associations A la demande d un participant rappel de la fonction et missions du dispositif local d accompagnement DLA dans le d partement port par le FONDES CONCLUSION Les questions ont port essentiellement sur des illustrations concernant les interventions concr tes des acteurs la faiblesse du recours des associations caract re social ou m dico social aux appuis existants hors ducation populaire et insertion l importance de s informer le plus t t possible sur les aides potentielles sans attendre les situations critiques le souci de la concurrence la n cessaire vigilance
40. quation entre le prix de journ e et le co t journalier de l h bergement Difficult s en mati re de pr visions budg taires E Non prise en compte par l administration fiscale de l encadrement d partemental de l tablissement m Laisibilhit sur plusieurs exercices Page 146 171 Attentes et besoins d appui en mati re de pilotage financier m Mise en place d un plan de rattrapage du prix de journ e m Besoin d coute et conseil et moins de demande de dossiers lourds et complexes m Stabilisation l gislative Conseils d orientation et de faisabilit en mati re de travaux m Meilleure visibilit en termes de financement de projet R union semestrielle des directeurs et pr sidents actualit et environnement budg taire Atelier Pilotage financier th mes propos s m Comment stabiliser le prix de journ e Examen des postes cl s dans le cadre de la pluri annualit Comment int grer et chiffrer les interventions des b n voles dentification d indicateurs cl s pour les tableaux de bord Calcul du besoin en fonds de roulement E Actualit budg taire m Mise en place d un forfait journalier et all gement des contr les financiers annuels Atelier Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier m Mise en place d un contr le de qualit de la vie des r sidents Guide Pilotage financier th mes propos s Sous la forme d un m mo D composition d un
41. retrouver se redynamiser se rapprocher S1 la mutualisation se fait au service de l int r t g n ral de l int r t des usagers elle peut permettre aussi la mobilit des salari s des structures Il faut prendre du temps anticiper pour ne pas oublier les salari s dans cette strat gie L atelier de par les exemples cit s a montr des projets qui ont du sens et qui sont ouverts Et s il y avait une suite Des rencontres r guli res pour pouvoir d velopper la mutualisation Page 78 171 2 Quelles ressources quels appuis dans l exercice des responsables associatifs Madame M Barbier Prieur Directeur des solidarit s 2 me journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du 13 novembre 2009 Atelier n 2 Quelles ressources possibles quels appuis dans l exercice de responsable associatif PR SENTATION DE L QUIPE D ANIMATION animateur Mme Martine BARBIER PRIEUR Directeur des solidarit s 1 gardien du temps Mme DE SAINT PERN Elizabeth Tr sori re H pital priv Maison de retraite St Joseph Chaudron en Mauges 3 intervenants Mme POSTIC Directeur de l URIOPSS Pays de la Loire M PLE Directeur d partemental de la Jeunesse et des sports du Maine et Loire D l gu d partemental de la vie associative M DELRUE Directeur du FONDES Pays de la Loire INTRODUCTION L animateur rappelle le r le des associations acteurs indispensables du champ social et soci tal souligna
42. s il ne m arrive pas de financer deux fois les choses une fois chez vous et une fois chez nous Si une partie des d penses du Conseil g n ral sert financer des gens qui au sein de l administration font la m me chose qu au sein des associations qui assurent pour notre compte certaines missions ce n est peut tre dans ce cas l pas tr s logique alors qu il y a des demandes non satisfaites de continuer financer les choses 2 fois Je peux vous donner quelques exemples J ai eu l occasion au cours de ces derniers mois avec Christian Gillet de faire le tour des 13 circonscriptions d action sociale du d partement sur tout le 1 semestre pour rencontrer les agents Dans la discussion que j ai eu avec les travailleurs sociaux j ai entendu les assistantes sociales par exemple me dire on nous demande de refaire des valuations par rapport des enfants pour lesquels il y a eu des signalements de faits par des assistantes sociales de l ducation nationale pour qu il y ait une trace dans le dossier d une valuation faite par un travailleur social du Conseil g n ral Moi J ai le plus grand respect pour les travailleurs sociaux quel que soit l tiquette la banni re ou l tendard sous lequel ils travaillent S il y a eu une valuation faite par un travailleur social de l ducation nationale cela ne sert rien de demander un agent de faire un copi coll de ce qui a t fait en prenant du temps
43. sultats attendus Cela implique d avoir r dig des r sultats op rationnels attendus en amont des actions et de les int grer par exemple dans des grilles d valuation qui permettront leur comparaison avec les r sultats obtenus Replacer les r sultats dans les objectifs du projet associatif Cela n cessite d avoir construit des indicateurs g n raux pour les objectifs du projet associatif dont les actions op rationnelles sont la d clinaison technique et de les int grer dans des grilles d valuation qui permettront leur lecture en regard des r sultats obtenus e L valuation externe c est regarder l action l chelle des attendus des partenaires du projet associatif De ce fait l valuation externe permet de Mesurer la dimension globale de l action au regard d un contexte ext rieur sp cifique tablissant ses propres crit res d analyse Page 130 171 LE PILOTAGE DE L ACTION VI ACTUALISATION DES PROJETS D FINITION COMMENT Y PARVENIR POINT DE VIGILANCE Page 131 171 2 Pilotage financier Madame M Barbier Prieur Directeur des solidarit s Animation Martine Barbier Prieur R daction Th ophile ANQUIER Monsieur ANQUIER Th ophile Directeur H pital priv maison de retraite Madame BARBIER PRIEUR Martine Directeur Direction des solidarit s Monsieur BIOTEAU Bruno Pr sident Association Abri Monsieur BOIREAU Claude Pr sident R gie de quartier Monsieur BRAULT Michel Vi
44. sur ces changes Mme Barbier Prieur pr sente la synth se des propositions du groupe dans la mesure o celui ci semble d accord sur sa structuration une partie tronc commun puis des chapitres plus th matiques Ces th mes plus sp cifiques pourraient faire l objet d un travail en amont sous forme d ateliers par petits groupes Mr Bioteau r affirme que l objectif essentiel du guide est d apporter des supports d accompagnement compr hensibles et simples utilisables par toute association base d laboration d indicateurs mod les de tableaux de bord pertinents Mr Fribault demande s il serait opportun de citer les F d rations type FNARS comme r f rent dans le guide Mr de Vienne r pond que le risque de citer les F d rations ou Organismes quels qu ils soient est d en oublier Mr Humeau voque le guide r alis par la Direction d partementale Jeunesse et sports disponible sur internet et mis jour r guli rement selon lui cet outil semble bien fonctionner Il est ensuite arr t l architecture du sommaire de ce futur guide tel que pr sent en annexe 2 page 18 Apr s ces diff rents changes Mme Barbier Prieur invite chaque membre adresser ses propositions par courriel jusqu au 3 avril 2009 Mme Fouch qui sera en charge de centraliser les retours pour la poursuite du travail Celles ci seront utiles pour compl ter et enrichir les diff rents chapitres du sommaire tabli Page 143 171
45. sur leur vie associative alors que tr s souvent elles sont prises dans les probl mes d administration et de gestion Apr s un tour de table l h t rog n it du groupe est remarqu e Il repr sente aussi bien les associations par leur taille mais aussi par leur statut associatif par leur domaine d intervention par le fait qu elles soient tarif es ou non Page 159 171 II DEFINITION ET CADRAGE DE NOTRE FEUILLE DE ROUTE La fiche technique est distribu e en s ance Celle ci donne lieu aux r flexions qui suivent QI Les finalit s am liorer la communication institutionnelle du Conseil g n ral vers les associations et les changes inter institutionnels Il a sembl n cessaire au groupe d enrichir le terme communication et de parler d am liorer mais aussi d innover et de consolider Communiquer c est se conna tre conna tre changer pr senter d battre n gocier analyser Une autre remarque est faite la communication ne doit pas se r duire une simple information les changes interinstitutionnels gt La r ciprocit de la communication CG association n appara t pas il manque l axe remontant des associations vers le Conseil g n ral gt Le 3 axe la communication vers le public est absente Est ce un autre sujet gt Les associations regrettent qu il n y ait pas de coh rence dans les diff rents dossiers demand s par les institutions dossier un
46. surtout pour les associations relevant du code de l action sociale et des familles lois d crets d application reformes Comme le guide futur doit aussi permettre de r pondre au besoin d accompagnement des associations sur les aspects juridiques 1l sera important de veiller sa mise jour Il appara t pertinent de bien construire la partie ressources faire le lien avec les apports de l atelier ressources et besoin d appui au plan financier et op rationnel programm l apr s midi du 13 11 citer les diff rentes formes juridiques donner des d finitions pr senter une partie bibliographie L ensemble des travaux de ce groupe doit s inscrire en coh rence avec la production du groupe souvernance pilotage de l action pour s orienter de pr f rence vers la diffusion d un guide global Une r union des deux groupes serait certainement utile pour recadrer l ensemble du projet C Conclusion et prochaines modalit s En conclusion la proposition de Monsieur Bioteau en plus du sommaire pr sentation synth tique des travaux des 3 sous groupes est valid e par l ensemble du groupe Le powerpoint va tre r ajust en cons quence pour y int grer les diapositives suppl mentaires illustrant cette pr sentation Les retours de textes diapositives doivent donc tre adress s l unit Vie associative avant le 1 novembre prochain Mme Barbier se charge de recontacter Monsieur Gasdon journaliste et animateur de la journ
47. tarifi es le financeur ne doit pas tre toutes les places de la gouvernance Page 127 171 dans tous les cas le financeur doit avoir un positionnement clair et coh rent notamment sur les possibles ressources disponibles ou non Sa mission de contr le est clairement accept e il peut en cas de difficult tre attendu aussi sur un r le de conseil et d accompagnement POINTS DE VIGILANCE lisibilit r ciproque sur les places et le r le de chacun les modes op ratoires et les proc dures prise en compte par chacun des acteurs des limites et des contraintes de l autre B N VOLES Chaque b n vole s inscrit dans le projet associatif et doit y trouver sa place On doit veiller une bonne articulation entre eux et les professionnels r le fonction statut de chacun Le b n vole doit se sentir sollicit dans le respect de sa disponibilit et de sa comp tence LE PILOTAGE DE L ACTION I DEFINITION D FINITION Exercer une autorit sur la mise en uvre concr te des actions n cessaires l atteinte d un objectif programm en conna tre l tat d avancement savoir l analyser en rendre compte et tre en capacit de concevoir et mettre en uvre des mesures correctives le cas ch ant Piloter c est ma triser la conduite des activit s de mani re pouvoir proc der toute adaptation ou am lioration utile au maintien ou au d veloppement de la qualit des services rendus en termes d objec
48. va construire l action et ses attendus et concevoir les crit res et mod les de son valuation Il s agit ici de Concevoir les actions concr tes n cessaires mettre en uvre pour atteindre les objectifs du projet associatif Construire les conditions techniques et financi res n cessaires la mise en uvre de ces actions Concevoir les indicateurs de d ploiement des actions concr tes et leurs tableaux de bord op rationnels quantitatifs et qualitatifs tablis sur des crit res 1ssus du projet associatif Pr voir les modes et crit res d valuation des actions Ils serviront en cours d action piloter N l activit et actualiser le pilotage et en sortie d action en permettre la mise en valeur par rapport aux attendus de d parts internes et externes MI LE SUIVI DE REALISATION D FINITION COMMENT Y PARVENIR POINT DE VIGILANCE Au c ur de l action Savoir faire et suivi Le pilotage prend ici tout son importance En s appuyant sur les instruments tablis dans la phase pr c dente il doit Conduire les actions programm es dans une organisation des r les et des missions d taill e et d finie par avance qui fait quoi quand comment avec qui dans quelles d l gations avec quelles limites etc Suivre la r alisation des actions partir des indicateurs de d ploiement de ces actions sur des rythmes pr tablis afin de r aliser les ajustements n cessaires Engager les m
49. www C949 f ir Rappel La 1 journ e d partementale d change a eu lieu en novembre 2007 Ses objectifs principaux 1 R pondre aux besoins des responsables associatifs en mati re de pilotage des associations 2 Accompagner la prise de fonction mettre disposition un r pertoire de ressources et d informations des outils fondamentaux de pilotage Pipe CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 14 171 L avenir pousse en Anjou www C949 f ET om Suite de cette 1 journ e 3 axes de travail retenus e Gouvernance associative et pilotage de l action e Pilotage financier e Communication PV CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www C949 f F O u Mise en place de groupes de travail partenarial Inscriptions et participation sur la base du volontariat Besoin d h t rog n it des groupes Instances de suivis comit s de pilotage groupes techniques sous groupes de travail Calendrier Pr sentation de tous les travaux lors de la journ e du 13 11 2009 tfu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f Sig Dan CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE SYNTHESE DU GROUPE DE TRAVAIL N 1 Gouvernance et pilotage de l action L avenir pousse en Anjou www C949 f Lil 0 Objectifs du groupe e Mettre disposition un outil de pilotage de l association sur deux volets
50. 09 Difficult s relev es en mati re de pilotage financier Versements des prix de journ e des tablissements et services d h bergements n cessit d un fonds de roulement de trois mois d avance m Requiert une phase d apprentissage Attentes et besoins d appui en mati re de pilotage financier Rencontres sur le terrain avec chef de service et tarificateur pour une meilleure connaissance globalement une meilleure communication entre les partenaires Rencontre annuelle des associations et du Conseil g n ral pour change de pratiques Indicateurs tableaux de bord de gestion notamment des investissements et de la masse salariale Passage en dotation globale Engagement des autorit s de contr le et de tarification gt assurer l quilibre entre produits et charges m Formation g n rale pour les administrateurs l initiative du Conseil g n ral et formation technique destination des tr soriers Budget r alit base 0 Tr sorier expert comptable directeur commission Appui du Conseil g n ral de la F d ration et des familles Guide destination du tr sorier Atelier Pilotage financier th mes propos s Comment stabiliser le prix de journ e laboration du budget pr visionnel Interpr tation des comptes administratifs Indicateurs cl s v rifier R le du tr sorier et lien avec la gestion de l tablissement g r Comprendre la gestion budg taire et financi re d un
51. 9 Ils seraient compos s de Les responsabilit s Mr Quemener Association La Croix d or Monsieur Zitte R gie de quartier de Saumur et ventuellement Ma tre Fouquet avocat conseill par Mr de Vienne pour les aspects juridiques Les outils de pilotage Mr Biotteau Association l Abri Mme de St Pern Maison de retraite de Saint Macaire en Mauges Mr Viel Association Anjou soins services Les r unions de ce groupe sont fix es aux 7 septembre et 5 octobre 2009 Les volutions constat es Mr de Vienne Cabinet Proagis Mr Fribault Directeur Abri de la Providence Mme Bouvet Tr sori re ADAPEI 49 Il faudrait galement voir pour la participation d une association hors champ CASF Une 1 r union de ce groupe est fix e au 4 septembre 2009 Il est convenu que chaque sous groupe d signe un r f rent pilote et qu un administratif soit associ aux travaux Pour conclure Mme Barbier Prieur informe que la journ e du 13 11 se d roulera au th tre Foirail Chemill infrastructure de 400 places dot des moyens d accessibilit pour PH Elle pr cise que la matin e sera consacr e la restitution des travaux men s par les 3 groupes de travail pilotage financier gouvernance et communication l apr s midi aux ateliers th matiques sur des sujets qu il reste pr ciser comme par exemple mutualisation ressources responsabilit s La journ e sera cl tur e vers 17 heures 17 heures 30
52. Conseil g n ral il est conforme la loi Tr s bon outil de connaissance valoriser enrichir Les rapports d orientations donnent des perspectives pour l avenir sous tendent des interrogations Compte rendu moyen de communication officielle avec le Conseil g n ral document basique dont les associations ont besoin qui acte les d cisions document souvent obligatoire pour les financeurs Pr fecture Conseil g n ral Mairie gt Presse m dias C est un moyen de communication difficile ma triser pas satisfaisant 100 Pas de ma trise sur la r daction de l article Pas de ma trise sur la parution ou non de l article tout d pend du correspondant local du poids de l association de l v nementiel certains secteurs sont porteurs La parution est plus facile dans les journaux professionnels Pas de diversit de pluralit de la presse quelle place le social a t il dans notre soci t R gulation de l information certains b n voles ont des contacts avec les maires la presse Mais int ressant Touche un public large les articles de presse engendrent des appels des demandes Suggestions Pourquoi pas un regroupement d associations pour une parution 1 fois mois par exemple Pourquoi pas Conseil g n ral associations sur un th me pr cis Newsletters Pourquoi ne pas utiliser la Newsletter RMI Forum Ev nement ponctuel sur un th me pr
53. DES Jacques FEVRE pr sident de La Gabarre Colette MANDRET pr sidente de l ADAPEIT 49 Jean Jacques BOUTTEREUX pr sident de l AAPAI Jacques VERSILLE administrateur ALPHA Jacqueline BRANGER pr sidente APIJ B atrice LOITIERE ACADEA Odile SAMPEUR directrice enfance famille DGADSS Etaient excus s e Laurence CARTEREAU directrice ARAMIS e H l ne ROBICHON pr sidente UDAAFAM Etaient absents e Catherine NE directrice PACT ANJOU HABITAT e Arnaud ETEVENAUX directeur UNE FAMILLE UN TOIT e Danielle NAITALL administrateur UNA 49 Le compte rendu du 5 novembre 2008 ne fait pas l objet d observations sous r serve de relecture par les participants qui ne l ont pas re u il est valid Il s agit d une 2 r union de travail o il est attendu que nous d finitions un cadre g n ral li au pilotage de l action Ce point d pend bien s r de l association qui a la responsabilit de porter le projet mais c est aussi celle de financeurs qui peut parfois avoir un r le de contr le de la mission dans la mesure o ce qu il met en place ou non favorise ou pas le pilotage de l action Dans ce pilotage il y a donc des obligations r ciproques que l on pourrait retrouver au sein d un r f rentiel On pourrait s orienter sur le th me charte de partenariat o 1l faudrait d finir sur ce point les attentes de chacun Le rapport Morange document distribu en s ance rappelle quelques pr conisations pour assurer et c
54. ES Un seul et m me questionnaire a t envoy aux associations du groupe communication ainsi qu aux services des directions de la Direction g n rale adjointe du D veloppement social et solidarit DGA DSS Il s agit bien d un inventaire de l existant qui a t op r une photographie qui permet de cerner les moyens utilis s en mati re de communication QUESTIONNAIRE ASSOCIATIONS Les associations ont r pondu au questionnaire en focalisant sur la communication l gard de leurs adh rents usagers Un constat est fait les associations sont tr s attach es la communication crite Ceci est inh rent leur sp cificit ils ont obligation de rendre compte de leurs activit s aupr s des financeurs Voici les id es qui mergent de cette synth se 1 Communication crite Lettre Outil privil gi Mail Outil tr s facile d utilisation plus rapide que le courrier facilite les changes les informations Mais risque d encombrement quelquefois redondant avec la confirmation papier probl me quid du devoir de r serve ne pas oublier les enjeux un mail n a pas le m me impact juridique qu un courrier Internet Page 164 171 Outil dynamique volutif apporte des informations pour tout public Mais le site internet demande une personne ressource pour l alimenter Publipostage Outil peu utilis gt Rapport 1 moyen de communication avec le
55. ILLET premier Vice pr sident charg du D veloppement social et des solidarit s 110 Retrouvez galement Les comptes rendus des travaux des groupes de travail qui ont eu lieu entre la 1 journ e de novembre 2007 et celle de novembre 2009 sessessossossssesscsssssssccssssesscsssssssesscsscssssessossssssssssesscssssssscssssssssssessossssssssssssssssssessossssssssssessssssses 113 1 Gouvernance associative Pilotage de l action Madame O Sampeur Directeur enfance famille 0000000nn0n 113 2 Pilotage financier Madame M Barbier Prieur Directeur des solidarit s n0000sssooooeennnnssssssssssssssserereessssssss 132 3 Communication Madame C Allain Directeur Insertion et habitat iii 159 Page 2 171 4 pages 2e journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du secteur social et m dico social Vendredi 13 novembre 2009 Th tre Foirail Chemill Assumer des responsabilit s au niveau associatif accepter de devenir b n vole cela reste compliqu en raison notamment d un contexte l gislatif et r glementaire qui volue r guli rement Parce que le secteur associatif joue un r le consid rable en mati re d action sociale au plus pr s du terrain le Conseil g n ral s appuie sur des associations pour mener bien des actions tant dans le domaine social que m dicosocial Dans la continuit de la premi re journ e de 2007 et des travaux partenariaux D parte
56. L avenir pousse en Anjou www cg49 f F Le Conseil g n ral a organis le 13 novembre dernier la 2 me journ e d partementale destin e aux responsables b n voles associatifs du secteur social et ou m dico social En voici la restitution Pr ambule Assumer des responsabilit s au niveau associatif accepter de devenir b n vole cela reste compliqu en raison notamment d un contexte l gislatif et r glementaire qui volue r guli rement Parce que le secteur associatif joue un r le consid rable en mati re d action sociale au plus pr s du terrain le Conseil g n ral s appuie sur des associations pour mener bien des actions tant dans le domaine social que m dicosocial Dans la continuit de la premi re journ e de 2007 et des travaux partenariaux D partement Associations durant les 2 ann es coul es le D partement et plus particuli rement la DGA D veloppement social et solidarit a organis une deuxi me journ e l attention des responsables b n voles associatifs le 13 novembre 2009 224 personnes taient pr sentes dont 175 personnes repr sentant 107 associations du d partement Au fil de la journ e on a pu mesurer les enjeux du partenariat un chelon d partemental mutualisation des moyens coordination des actions compl mentarit entre le secteur public et le secteur associatif a JIRMATET Le 5 A Cet Fb ikk rk DA LR CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE 2e jour
57. La mission d accueil et d information des associations MAIA anim e par Monsieur PLE Les points locaux d accueil et d information des associations PLAIA relais de la MAIA sur les territoires pour apporter un service d accueil et d coute ainsi qu un appui technique toutes les associations locales et porteurs de projets cr s dans le d partement en partenariat avec certaines collectivit s locales et le secteur associatif conventions avec les centres sociaux associations et communaut s de communes labellis s financement d un poste FONJEP outils mat riels 2 000 3 000 par projet Les limites sont e Des positions minist rielles contradictoires e Des coordinations aux moyens limit s e 50 des associations hors r seau Des l ments compl mentaires ou pr cisions sont apport s au public partir des changes et des questions e Il est point l importance du renouvellement des administrateurs la n cessit de vigilance quant la pr paration de ce renouvellement et le partage des responsabilit s Pour assurer ce renouvellement des outils existent des personnes ressources aux CA par exemple e Appr ciation des propos de Mr Pl sur la mutualisation risque de perte d identit et de proximit lorsque cette mutualisation est impos e des pressions peuvent exister C est l importance du projet avant tout qui am nera les rapprochements pour ventuellement d autres services importance de l attention
58. La prochaine r union du groupe pilotage financier se tiendra le 22 octobre 9h30 salle des Abb s P H tel du D partement Page 156 171 Animation Martine Barbier Prieur R daction Viviane Fouch Monsieur QUEMENER Christian Secr taire Association Alcool Assistance La Croix d Or Beaupr au Monsieur Vice Pr sident du Conseil g n ral Charg du D veloppement Social et des Solidarit s Madame Directeur CG Direction des solidarit s Martine Monsieur Responsable Unit Direction Enfance Famille Unit accueil territorialis en tablissements Madame Gestionnaire administratif CG 49 Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Madame Assistante administrative CG 49 Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Monsieur Pr sident Association Abri Montreuil Juign Madame Tr sori re ADAPEI 49 Monsieur Pr sident F d ration ADMR 49 Monsieur Tr sorier F d ration ADMR 49 Madame Tr sori re H pital priv maison de retraite St Joseph Chaudron en Mauges Monsieur Cabinet Proagis Angers a Monsieur Pr sident Maison de retraite priv e Nazareth Cholet Madame Pr sidente Association SOS Amiti Madeleine Madame Pr sidente UDAF 49 Angers Monsieur Directeur Financier ADAPEI 49 QUEMENER Christian D Monsieur VIEL Didier Tr sorier Association Anjou Soins Services Angers E
59. Monsieur FRIBAULT Fran ois Directeur Association Abri de la Providence Angers Monsieur BOIREAU Claude Pr sident R gie de quartier Saumur Monsieur BRAULT Michel Vice Pr sident Maison de retraite priv e R sidence Sainte Claire Noyant la Gravoy re Monsieur de RAUCOURT Vice Pr sident Association Catholique angevine des uvres d assistance et de bienfaisance Angers Monsieur Tr sorier F d ration des centres sociaux et socioculturels Chemill Monsieur Pr sident Association cit justice citoyens Angers Monsieur LORRE Joseph Administrateur Association Sainte Famille Religieuses hospitali res Beaupr au Monsieur ZITTE Thierry Directeur R gie de Quartier Saumur A Validation par l ensemble du groupe du compte rendu de la r union du 18 mai 2009 B Avanc es concernant la pr paration de la journ e du 13 11 2009 organisation de l intervention du groupe pilotage financier bilan des travaux des sous groupes A cette date 178 inscriptions Il est soulign le vif int r t des associations pour l atelier Mutualisation Une remarque de Monsieur Gillet devant la d ception de certaines t tes de r seau associatives f d rations non associ es cette journ e Il est pr cis que d autres lieux de travail existent pour ces organismes mais il est toujours possible de r fl chir d autres possibilit s pour l avenir Il ne faut pas perdre de vue que la journ e du 13 11 est un temps d
60. Question sur les financements A quelle porte frapper pour plus de financements il est pr cis la capacit neutre du FONDES se placer en acteur m dian aupr s des pouvoirs publics mais 1l peut structurer la relation entre l association et les institutions pouvoirs publics Page 80 171 2 MME POSTIC DIRECTRICE PR SENTE L UNION R GIONALE INTERF D RALE DES UVRES ET ORGANISMES PRIV S SANITAIRES ET SOCIAUX URIOPPS PAYS DE LA LOIRE PARTIR D UN SUPPORT DIAPORAMA PAR LA COMPL MENTARIT DE L ACTION DU R SEAU UNIOPPS UNIONS R GIONALES ET DU FONDES 2 piliers d intervention dimension politique et dimension technique aide aux associations dans leurs responsabilit s L URIOPPS constate e Un contexte en mutation et des r formes v Les politiques territoriales impact es par la mise en oeuvre de la RGPP v Un contexte financier d grad v L op ration d une fusion de la CNDVA Conseil national du d veloppement de la vie associative et coh sion sociale v La mise en concurrence par des appels projets v La standardisation calibrage et r formes tarifaires actuellement importantes e Des r alit s diverses et contrast s de la vie associative e Des besoins identifi s tr s variables et diversifi s Mme POSTIC pr sente les r ponses de l URIOPPS et leurs limites e Information formation e Am lioration des comp tences e Soutien dans les d marches politiques e Accompagnement dan
61. SS MN PLAN Flys de b boire E Les constats E les r ponses du r seau UNIOPSS URIOPSS et leurs limites E Les prospectives URIOPSS W LES CONSTATS Hays de la fire Des politiques publiques et sociales en pleine mutation Un contexte financier d grad Des d fis sociaux qui se heurtent parfois aux objectifs de rationalisation et de performance conomique Des r alit s tr s diverses et tr s contrast es de la vie associative Des moteurs d engagement dans la vie associative en pleine volution Un questionnement antinomie entre la recherche de l engagement en proximit sociale ou territoriale et le nouveau mod le qui impose une certaine distance gestionnaire Des politiques territoriales de soutien la vie associative g om trie variable Des besoins d appuis et de ressources la fonction d administrateur tr s variables Page 91 171 URIOPSS p M a les r formes en 5 expression 5 D CLOISONNEMENT E RATIONALISATION E MISE EN CONCURRENCE CONTRACTUALISATION E COOPERATION E STANDARDISATION URIOPSS NW ZOOM sur les besoins des sr administrateurs et de leur association E La pyramide de Maslow des besoins des administrateurs Taille des associations Exp rience pass e des administrateurs Connaissance du secteur et appr hension des enjeux par les dirigeants b n voles Niveau de maturit du projet associatif et de son ambition un Des demandes tr s d
62. a plut t question de regroupements d au moins 150 salari s Page 141 171 Mr Gillet confirme la n cessit de fusionner terme les associations de 10 quivalent temps pleins mais 1l faut sauvegarder leur identit et leur personnel Vouloir prendre trop d ampleur n est pas forc ment souhaitable pour l association Mr Fribault ajoute que les petites associations ne sont pas forc ment un crit re de bon fonctionnement Une association digne de ce nom doit se r unir r guli rement ce qui n est pas le cas dans les trop petites structures par manque de disponibilit s de chacun Il faut donc voir l ensemble du fonctionnement de l association pas seulement regarder si les projets sont bien men s Pour lui le crit re Petit n est pas associ Qualit Trouver des adh rents est une chose g rer une association en est une autre Mr Quemener juge qu il faut mettre l accent sur les comp tences des personnes au sein des conseils d administration et d velopper les formations des b n voles leurs comp tences actuelles et l acquisition de nouvelles Mr Gillet souligne l aspect politique de toute association qui doit conna tre d o elle vient pour savoir o elle va 3 Guide Un premier document a t travaill pour servir de base la construction du guide et la d finition de ses grands chapitres Mme Barbier Prieur rappelle que l id e est d avoir une architecture globale pour la
63. abine Masson Vice pr sidente ADAPEI 49 Mme Christiane Allain Directeur insertion et habitat M S bastien Landeau Responsable unit animation des territoires Direction insertion et habitat Mme H l ne Normand assistante Direction insertion et habitat Etaient excus s Mme Christelle Blanchard Pr sidente CLCV Pourquoi pas M Marcel Lebreton Pr sident association fran aise d information et d aide aux stomis s d Anjou Mme Mich le Duchene Pr sidente Maison de retraite priv e La Girouardi re Ordre du jour 1 Synth se de la r union de travail du 14 11 2008 2 Exploitation des questionnaires 3 Cr ation d outils Monsieur Bonsergent introduit la r union Avec l arriv e de nouveaux participants le besoin se fait sentir de refaire un tour de table et de rappeler l objet social de chaque association L objectif de ce groupe de travail est rappel il s agit d am liorer la communication institutionnelle du Conseil g n ral vers les associations ainsi que les changes inter institutionnels L intention port e par les acteurs est de consolider valoriser l existant mais aussi d innover I SYNTHESE DE LA REUNION DE TRAVAIL DU 14 11 2008 Le compte rendu est comment Il est appr ci Les id es forces sont de nouveau tudi es La d finition est reprise et enrichie Pour les associations pr sentes communiquer c est conna tre et se conna tre Plusieurs constats ressurgissent le
64. ages et de frais d entretien des v hicules gt Tableau d en cours de tr sorerie charges payer remboursement d emprunt salaires etc gt Tableau des d penses et recettes mensuelles Page 137 171 Yv Y Tableau de bord indiquant la nature et le montant des d penses pr senter aux pouvoirs publics lors des demandes de subventions annexant les justificatifs coupures de presse courriers plaquettes etc D signation d un r f rent administrateur pour chaque commission afin que chaque secteur soit suivi par une ou plusieurs personnes form es sur le sujet Suivi des budgets par section Tableaux de budgets pr visionnels permettant un suivi mensuel trimestriel et annuel Tableau de bord r pertoriant les dates de remises de dossiers pour les demandes de subventions et les divers l ments joindre aux diff rents dossiers Remarques sur les outils d changes lectroniques existants gt Les structures tarif es doivent renseigner l outil du Conseil g n ral jug ne pas tre tr s convivial l heure actuelle Il est pr cis qu un outil de gestion administrative et financi re des demandes de subventions va tre mis en place dans les prochains mois au niveau de l ensemble des directions et services de la collectivit d partementale Celui ci permettra notamment une harmonisation des proc dures d instruction et de gestion outil actuellement en test dans 2 directions pilotes gt gt Tableau d
65. ail et de l emploi et ventuellement avoir r gl aupr s de l AGEFIPH la contribution financi re aff rente articles L 5212 5 et L 5212 9 du Code du travail Plan de formation non obligatoire mais clairant sur le niveau de gestion ressources humaines de l association existence ou non d un plan de formation Sous quelle forme Dans quelle discussion avec les personnels ou les repr sentants du personnel et pour quel objectif par rapport l objet de l association LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE 3 Vie d mocratique L assembl e G n rale est souveraine elle mandate ses administrateurs qui eux m mes mandatent un bureau De ce principe il d coule que le Pr sident ou les membres du bureau ont se r f rer ce pour quoi ils sont mandat s Et s 1ls veulent aller au del 1l faut tre mandat COMMENT Y PARVENIR Le r le de chacun des acteurs dirigeant salari s doit tre clairement identifi ainsi que les d l gations de pouvoir gestion courante investissement Existe t il un organigramme op rationnel et actualis de l association des fiches de profil de poste d finissant les r les et attribution de chacun Pr voir les organes et les r gles de d cision d information et de communication d limiter et articuler le champ de responsabilit et de communication du CA du responsable des techniciens Avoir un Pr sident non isol qui s appuie sur un CA garant du projet de l a
66. anadoo fr robichon helens orange fr lenfantdansiacite wanadoo fr MR STCHARLES EPIRE wanadoo fr unefermmiteantoit49 Sbusiness fr B atrice LATERE LE Objet TR cr de la rencontre du 29 juin gpe de travail association Pi ces jointes LE PILOTAGE DE L ACTION doc doc Mme BrangerLA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE doc GOUV 26 JUIN 2009 doc LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE POINT V doc LE PILOTAGE DE L ACTION 26 JUIN 08 doc bonjour je vous prie de trouver ci joint les fiches que nous avons relues et corrig es lors de notre rencontre du 29 juin etaient presents me Martin Mpierre VP conseil general me Loiti re DG ACADEA mr Boutereux Jean Jacques President AAPAI me Nait ali UNA 49 me Delrue Fondes me Sampeur Def Conseil general gtaient escus s mr F vre President La Gabare mr Versille Administrateur Alpha meManceau responsable Etape me Mandret presidente ADAPEI 49 ces fiches devront etre compl t es par des annexes ou seront evoqu es les differents points non abord s dans ces fiches mais qui ont fait l objet d un travail de reflexion au sein du groupe document de delegation par ex utilisation de reseaux fonction employeur de l association Le tout se presentant comme un petit document qui devrait etre pr sent la journ e des associations du 13 novembre 2889 pour etre ensuite mis a disposition des associations nous avons donc convenu de nous retrouver une ultime fois au CDPD 14 rue Anne Frank a Ange
67. ans 2 ans Page 112 171 Retrouvez galement Les comptes rendus des travaux des groupes de travail qui ont eu lieu entre la m journ e de novembre 2007 et celle de novembre 2009 1 Gouvernance associative Pilotage de l action Madame O Sampeur Directeur enfance famille emmm S COMPTE RENDU DE LA RENCONTRE DU 5 NOVEMBRE 2008 Bose Fr sents B atrice LOTFIERE directrice g n rale ACADEA Monsieur VERSILLE administrateur ALPHA Madame MARTIN Vice pr sidenie du Conseil g n ral Gr goire DELARUE directeur FONDES Marie H l ne ROBICHON pr sidente IUDAAFAM Colette MANDRET pr sidents ADAPEI 49 Dani ile NA TALE adininistrateur UNA 49 Jean Jacques BOUTTEREUX pr sident AAPA Jacqueline BRANGER pr sidente AAPIJ Jacques FEVRE pr sident de LA GABARRE Amaud ETEVENAUX directeur UNE FAMILLE UN TOIT Sopirie MANCEAU responsable ETAPE Catherine NE directrice PACT ANJOU HABITAT Laurence CARFEREAU directrice ARAMIS Odile SAMPELUR directrice enfance famiile DGADS Excuse Monsieur FAN association Enfant dans la Cit Page 113 171 Madame MAICFIN en introduction rappel la d marche g n rale du Consol g n ral de poursuivre l accompagnement des b n voles associatifs afin d les aider conforter voire parfois p renniser fa dynamique associative pilicr cssentiel d une politique d partementale 3 axes de r flexion ont t privil gi s la suite des rencontres de no
68. atives en place Il appara t cependant que la gouvernance associative bien structur e attire les b n voles L importance et la n cessit de o Compl ment de formation des b n voles sur les BP Comptes administratifs tous documents budg taires et surtout leurs analyses Partager les diff rents cadres supports et documents de r f rence Compl mentarit des comp tences l int rieur d un Conseil d Administration Formation pour les associations employeurs en terme management gestion droit L aide et les conseils du Conseil G n ral dans le choix des logiciels informatiques en termes de contenu Aide au pilotage financier si besoin o Meilleure int gration pour les projets des sch mas d partementaux et la notion venir du principe des appels projets O O O O La pluri annualit requiert des outils appropri s pour une gestion prospective Cette derni re n cessite aussi une bonne connaissance de l existant sur les territoires Les associations actent que le CPOM devrait tre la formalisation entre la structure et le CG des choix d volution choisie conjointement Le CPOM induit les principales tapes suivantes Un tat de lieux L laboration d orientations strat giques Les objectifs Les moyens L valuation Plusieurs questions restent pos es o Le rapprochement entre associations par contraintes de gestion notion de taille critique o L int r t de la mise
69. budget Explication du report M 2 des r sultats et r serves volutions l gislatives et implications conomiques Financement bancaire Subventions Plan de tr sorerie Capacit d autofinancement m Calcul du besoin de fonds de roulement Examen du budget et du compte administratif Guide Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier Gestion d un EHPAD m mento Responsabilit collective et personnelle d un membre de conseil d administration Explication du GIR moyen pond r Difficult s de la responsabilit employeur Difficult pour trouver du personnel de remplacement surtout cause de la situation rurale E Difficult de recrutement du personnel de soins Propositions Financement de conseils juridiques m Proc dure type valid e pour recruter afin d viter le recours un co teux conseiller juridique Page 147 171 Difficult s de recrutement de b n voles Surtout pour trouver des administrateurs ou autres comp tents et motiv s m Perte d attraction du b n volat Responsabilit s croissantes peu attrayantes Propositions m Guide fournir aux b n voles Stages de formation Regroupement d associations Utiliser le r seau relationnel Ne pas responsabiliser trop t t le b n vole Limiter le nombre de b n voles qualifi s recruter Direction des Solidarit s Service handicap 7 questionnaires analys s au 16 mars 20
70. ce Pr sident Maison de retraite priv e Monsieur CHOUTEAU Philippe Pr sident Maison de retraite priv e Nazareth Monsieur de RAUCOURT Vice Pr sident Association Catholique angevine des uvres d assistance et de bienfaisance Monsieur de VIENNE Olivier Cabinet Proagis Madame DOUCET Marie Jos e Pr sidente UDAF Monsieur FERRE Charles Pr sident Association cit justice citoyens Monsieur FRIBAULT Fran ois Directeur Association Abri de la providence Monsieur GILLET Christian Vice Pr sident du Conseil g n ral Conseil g n ral Monsieur HUMEAU Bernard Tr sorier F d ration des centres sociaux et socio culturels Monsieur LECOMTE Association D partementale d Amis et Parents d Enfants Inadapt s ADAPET 49 Monsieur LORRE Joseph Administrateur Association Sainte Famille Religieuses hospitali res Monsieur PIREAU F d ration ADMR Monsieur QUEMENER Christian Secr taire Association Alcool Assistance la croix d or Monsieur THOMAS Dany Direction enfance famille Monsieur VIEL Didier Tr sorier Association Anjou Soins Services Monsieur ZITTE Thierry Directeur R gie de Quartier Saumur M Christian Gillet Vice pr sident du Conseil g n ral ouvre la s ance puis invite les participants se pr senter en pr cisant les activit s de l association qu ils repr sentent ainsi que leurs r les au sein de celle ci Ensuite il est rappel l organisation g n rale et les objectifs vis s Les Th mes par rapport aux objectifs g n raux
71. cult s Bien r fl chir au r le et la place de chacun salari administrateur avec un statut d employeur b n voles Prendre le temps des d cisions et anticiper Ja vigilance n cessaire pour suivre les volutions du paysage associatif fusion mutualisation savoir se donner le choix Page 109 171 Conclusion par Monsieur GILLET premier Vice pr sident charg du D veloppement social et des solidarit s 2e journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du secteur social et m dico social Vendredi 13 novembre 2009 Th tre Foirail Chemill Mesdames Messieurs il m appartient de conclure cette deuxi me journ e d partementale des responsables associatifs Ce matin le Pr sident B chu est arriv avec un discours qu il a laiss sur la table Quant moi je n ai pas de discours mais j ai mis quelques id es sur le papier tout au long de la journ e Je voudrais d abord remercier les coproducteurs de cette journ e parce que si ce n est pas un film c est un vrai sc nario qui s est d roul et je dois dire J ai t assez admiratif ce matin de voir les agents du Conseil g n ral et les repr sentants des associations ensemble simultan ment travailler en direct pour vous pr senter ce travail Vraiment c est une v ritable coproduction Associations Conseil g n ral Je voudrais vous remercier parce que vous avez pris beaucoup de votre temps depuis 2 ans Et po
72. d finition d une typologie co construite PA yes CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f Ir RS Typologie des modes de communication D clinaison en 3 types e ype communication explication e Type communication change e Type communication valorisation lu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f 1 d Communication explication ou Comment expliquer la politique d partementale ID ES CL S e Expliquer le sens voire le justifier r le p dagogique didactique du Conseil g n ral e Clarifier les politiques publiques et les missions d clin es e D finir les r les et mettre en perspective Conseil g n ral Etat Agglom ratic gt Da 07 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f ir Communication explication Outils R sultats Impacts Supports Organigrammes Plaquettes Guides Newsletters Site internet R sultats Fr quentation du site Internet du CG 7 Indice de satisfaction des associations 7 Doute et inqui tude des associations N Sollicitations N mpacts R activit CG associations Lisibilit des orientations politiques du sens Rep rage des r les Etat CG Ev nements R unions des tablissements Conf rences th me Conf rences de presse
73. des probl matiques qui sont complexes il faut trouver des partenaires qui ont une autre vision qui ont un autre point de vue qui ont un autre savoir faire avec lesquels on va tre capable de faire ensemble Avoir la tentation de tout faire en r gie et r pondre de la m me mani re par des fonctionnaires territoriaux pour chacune des difficult s qui se pr senteraient ce serait non seulement une h r sie sur le plan des d penses mais ce serait aussi une h r sie sur la qualit des r ponses qui seraient apport es parce que d s lors que certaines r ponses sont apport es par le secteur associatif elles le sont avec un militantisme de la part des dirigeants avec une vocation r pondre certaines probl matiques avec un int r t par rapport certains publics qu on ne pourra pas retrouver dans des agents qui seraient sp cifiquement embauch s pour r aliser ces missions l int rieur d une collectivit vaste Nous avons donc besoin de ce partenariat Comment envisager les choses maintenant Et bien cette journ e d 1l y a deux ans elle va nous conduire mettre en place sur le plan d partemental un sch ma d partemental unique du social Vous savez que nous sommes fortement encourag s par les textes monter des sch mas pluriannuels secteur par secteur le sch ma d partemental Enfance Famille le sch ma d partemental pour les Personnes g es Notre volont est de d passer aujourd hui ces sch mas t
74. du Conseil g n ral et de ses partenaires e Communiquer sur les moyens de communication e V rifier et valuer l impact PM opeu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWW cg49 fy Communication valorisation Outils Impacts R sultats Supports Plaquette co produite Presse articles th me rubrique m dico sociale Enqu te questionnaire de satisfaction Flyer Impacts Cr ativit CG associations Valorisation du sens partag Utilisation de moyens de communication Capacit mesurer l impact R sultats Connaissance accrue des partenaires CG associations 7 Indice de satisfaction des associations et du public 7 Ev nements Colloques S minaires Forums Observatoire Petits d jeuners Caf discussion CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE PV Page 67 171 L avenir pousse en Anjou WWW cg49 fy gt Echanger r guli rement gt Communiquer ensemble Cu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 68 171 Page 69 171 L avenir pousse en Anjou www cg49r fe Mode d emploi de sa boite outils Communication Revisiter r guli rement sa bo te outils Inventorier de fa on exhaustive les outils utilis s Rep rer le type dominant de son mode de communication D crypter les assemblages possibles car un acte de communicati
75. e La question du besoin des usagers Il peut tre quantitatif et l association se mobilise pour obtenir par exemple la cr ation de places en tablissement l elle labore une strat gie pour obtenir satisfaction D monstration du besoin contacts participation aux d marches Mais l association peut aussi mesurer si le service rendu r pond aux besoins des usagers et entame alors une d marche qualit au regard des objectifs fix s ou du cahier des charges auquel elle a r pondu Cela peut aussi tre le fait partir d une alerte du d partement s1 celui ci est financeur majoritaire Dans le domaine de l action sociale les outils pr vus par la loi du 2 janvier 2002 concourent cette r alit valuation interne livret d accueil Il semble qu cet endroit et parce que l on parle d valuation d une action sociale qui ne doit pas tre bas e seulement sur des crit res de gestion priv s ce qui peut entrainer certaines d rives au regard de certains crit res concernant l accueil des publics en tr s grande difficult mais aussi en fonction de certains syst mes de valeur partag es respect de la personne de la dignit humaine m me si la dimension financi re peut poser une limite ce cadre thique nous semble indispensable Il est rappel aussi que m me pour une petite association le rapport moral pr sent chaque ann e lors du conseil d administration au regard du projet associatif et des obj
76. e bord pour analyser les carts de tr sorerie Tableau de bord pour ma triser la ventilation des d penses en comptabilit analytique Ressource qui aiderait la prise de d cision et la projection sur 1 3 ans pour viter les d rapages et les carts de tr sorerie Outil simple qui permettrait aux administrateurs qui n ont pas un r le quotidien dans l tablissement d avoir une analyse de la situation en cours rapide et claire Mise en place d ch ancier r pertoriant les dates de retour imp ratives des dossiers de demande de subventions aupr s de chaque organisme financeur Demande d un outil informatique commun toutes les administrations pour renseigner et envoyer les demandes de subventions mais qui soit compatible avec les logiciels courants utilis s par les associations exemple Excel pour permettre les transferts directs et non une recopie reconnue comme fastidieuse et source d erreurs actuellement diversit du cadre des demandes de subventions Diff rents points inclure dans le guide ont t propos s gt Y Y V Elaborer un tronc commun destin toutes les associations auquel s ajouterait une partie plus sp cifique structur e en chapitres et ou sous chapitres l usage des associations gestionnaires d tablissements ou services sociaux et m dico sociaux Prendre en compte l importance des associations en terme budg taire Proposer des outils qui correspondent la r alit
77. e sont rapproch es en dehors de la mutualisation administrative pour assurer les missions sur le terrain avec un personnel comp tent Celui ci se remplace par roulement pendant les cong s Mutualisation fusion Les causes principales de la fusion invoqu es sont par exemple la crise du b n volat le manque de moyens les raisons CONOMIQUES L anticipation est une cl de la r ussite de la mutualisation et vite ainsi de la subir La fusion inspire souvent une dimension n gative Elle donne dans le registre de la perte sauf le premier t moignage qui insiste sur la valeur ajout e la mutualisation v ritable choix d une association Page 74 171 Sauvegarde 72 Le choix de l association Escabelle s est port sur la Sauvegarde 72 pour lui permettre de d velopper ses activit s 5 jeunes en 1982 23 jeunes en 2009 et pouvoir s adosser une structure plus importante qui porte les m mes valeurs L association Escabelle existe toujours avec son personnel et son public Il n y a pas eu de perte d identit de sens de valeur C est un choix voulu m me pour des raisons conomiques malgr une activit r guli re Elle ne r pond pas des injonctions de financeurs C est une d marche autonome L association Escabelle a apport une comp tence compl mentaire la Sauvegarde 72 et est reconnue aupr s des organismes La fusion favorise les changes et l enrichissement des pratiques Elle permet la coop ration et la con
78. e vient augmenter de mani re tr s forte nos d penses En effet vous savez que les Conseils g n raux ont une particularit c est qu une part importante de leurs recettes d pend de la richesse du territoire et que leurs d penses sont index es sur la pauvret de ce territoire donc plus un territoire est dans une situation compliqu e plus il a de d penses et moins 1l a de recettes et l inverse plus un D partement est dans une situation favorable plus il a de recettes et moins 1l a de d penses Nous sommes un chelon une strate territoriale qui a besoin d une p r quation particuli rement importante C est un sujet qui m carterait beaucoup trop de ce que je veux vous dire et cela fait partie du risque quand on parle sans notes je vais donc viter cette digression qui me tend les bras pour essayer de me rabattre sur le champ qui Page 7 171 m occupe Il s agit cependant d un point extr mement important qui vient nous interroger sur les moyens que nous avons pour assurer nos MISSIONS Cette crise pose donc ce type de difficult s et elle vient nous renforcer dans notre certitude qu une collectivit locale quelque soit sa bonne volont quelque soit la qualit des dispositifs qu elle est ventuellement pr te mettre en place ne pourra jamais r pondre seule aux difficult s qui se pr sentent Il n y a pas de r ponses simples des probl mes complexes Quand on veut tre capable de r pondre
79. ectifs pos s peut permettre une approche valuative La question de l valuation d une politique associative dans le domaine de l action sociale doit poser une obligation de moyens mettre en uvre pour obtenir un r sultat et non une obligation de r sultat comment mesurer noter aussi que pour le financeur il est n cessaire de bien conna tre le fonctionnement de l association pour bien int grer le processus d valuation Le contr le de l activit est un processus mettre en uvre d une fa on permanente Ce qui implique une interrogation r guli re sur la prestation dispens e de la part de l association Prochaine rencontre le Vendredi 3 avril 2009 20H30 CDDP 14 rue Anne Franck 49000 ANGERS 02 41 66 91 31 Ordre du jour Fin de la r flexion sur diff rents domaines de pilotage et outils possibles o Action service rendre au regard des types de publics o 1 bauche d un contrat de partenariat Le prochain comit de suivi qui pilote la d marche et organise la journ e de novembre 2009 est fix au 20 avril 2009 14H30 D s que la journ e de novembre est fix e sans doute un samedi l info sera diffus e pour r servation d agenda Page 120 171 RELEVE DE DECISION DE LA RENCONTRE DU 3 AVRIL 2009 Etaient pr sents Mme Marie Pierre Martin Vice Pr sidente du Conseil g n ral Mme Sophie Manceau Responsable ETAPE M Jacques F vre Pr sident de la Gabare Mme Jac
80. en diminution m Circuit des prises de d cision en mati re d aide Uniformisation des documents comptables Pilotage de l action et strat gie de l association Adaptation des financements aux actions E Compte de r sultat soldes interm diaires de gestion structure et analyse d un bilan investissement Guide Pilotage financier th mes propos s Guides existants adapter L analyse d un budget l analyse financi re comptabilit analytique m Connaissance des postes budg taires Le tableau de bord Page 150 171 Les sources de financement Finances r gles de lecture Les outils comptables et de d cision financi re Identification des financeurs et partenaires potentiels m Gestion de tr sorerie Le contr le budg taire et ses outils Monter un dossier de demande de subvention Mode de financement des SIAE Structures d Insertion par l Activit conomique Guide Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier Les responsabilit s l ments juridiques Statistiques sur le th me de l insertion par zone g ographique m Pilotage de l action et strat gie associative Difficult s de la responsabilit employeur m Prise de conseils n cessaire Difficult rencontr e aupr s des b n voles Licenciements li s des financements insuffisants E Mise en ad quation du volume d activit s et de leur rentabilit d licate Propositions Sout
81. en mati re de pilotage financier e Cette partie du guide doit s articuler avec la production du groupe Gouvernance et pilotage de l action E L avenir pousse en Anjou WWW cg49 fy e Sur les responsabilit s en mati re financi re e Sur les outils de pilotage financier e Sur les volutions l gislatives et r glementaires 7 8 Afou CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 42 171 L avenir pousse en Anjou www cg49 f is e Compte de r sultat N Budget N 1 e Bilan e Annexe comptable r 8s Aou CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 F i ji om Outils indispensables e Budget pr visionnel d exploitation e Suivi du budget d exploitation e Plan pr visionnel de tr sorerie e Plan de tr sorerie r alis e Du r sultat la tr sorerie c g feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Outils Sp cifiques e Plan de financement e Dossier de demande de subventions e Budget administratif e Comptes administratifs normalis s e Plan pluriannuel d investissements z feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou Chiffre d affaires global Ann e 2008 097 146 2007
82. en place d un centre ressource de gestion pour les petites associations afin de les aider dans cette charge et faire les tudes des risques fiscaux o Le rapprochement entre tablissements et ou services D marche de groupement KKK Prochaine r union fix e le 20 janvier de 9h30 11h30 Page 134 171 Animation Martine Barbier Prieur R daction Laurence Delzenne Madame Tr sori re H pital priv maison de retraite Madame Directeur CG Direction des solidarit s Martine Madame Secr taire CG Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Monsieur Cabinet Proagis Monsieur Pr sidente UDAF Monsieur Pr sident Association cit justice citoyens Madame Gestionnaire administratif CG Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Monsieur Pr sident de section Association D partementale d Amis et Parents d Enfants Inadapt s ADAPEI 49 Monsieur Secr taire Association Alcool Assistance La Croix d Or Monsieur Tr sorier Association Anjou Soins Services Monsieur Directeur R gie de Quartier Saumur Monsieur Pr sident Association Abri Monsieur Pr sident R gie de quartier Saumur Monsieur Vice pr sident du Conseil g n ral Charg du D veloppement Social et des Solidarit s Monsieur Pr sident F d ration ADMR Monsieur Responsable Unit Direction Enfance Famille Unit accuei
83. encadrement salari et m me par tre un peu d poss d de ce que sont les objectifs dans lesquels nous pourrions aller C tait un peu le constat de d part Face ce constat nous nous sommes dit si nous voulons permettre aux associations de rester des associations il faut aussi que nous aidions les b n voles se former et faire en sorte de pouvoir conserver en terme de r flexion le niveau de connaissance qui leur permet d accompagner les volutions et d tre v ritablement dans un lien dans une fonction de partenariat avec nous Alors aujourd hui pour cette deuxi me journ e il y a un certain nombre de th mes qui ont t mis en avant et des th mes comme la Mutualisation comme les interrogations sur le niveau des ressources dont on dispose qui nous rappellent qu au cours de ces deux derni res ann es depuis novembre 2007 le contexte national et local a chang Ce n est pas vous compte tenu de ce qui est votre engagement au quotidien que je vais parler des cons quences de la crise que nous sommes en train de traverser et qui est venue balayer une grande part de ce qui taient les certitudes que nous avions encore en novembre 2007 Cette crise nous place fatalement dans une situation qui est une situation diff rente Je vous avoue que pour la Collectivit D partementale c est une crise qui est particuli rement complexe surmonter puisqu elle vient frapper de plein fouet nos recettes et qu ell
84. ens volre le justifier r le maine DOA actualiser et D ielen i p dagogique didactique du CG d velopper 4 ne guides plaquettes d interrogations i 1 gt 5 eriin les politiques publiques les auos Nesle Conf rences Me th me organiser Conf rences de satisfaction D finir es r les et mettre en R unions gt V rifier que la sie Fo presse l annuelles tendre s pts Saee A misaia i ON AUCA aux autres directions fr quentation dos g n ral e sites augmente autres collectivit s tablissements de la DGA DSS moins de sollicitations Type Communication explication gt Rapports comptes rendus R unions partenariales ex Comment animer le partenariat organis es par es gt sch ma Echanger analyser partager les t tes de r seaul d organisation sociale id es les besoins les constats croiser Organisation et m dico sociale les actions mener mettre en commun d v nement la 2011 2015 mutuallser f d rer journ e des Construire des objectifs communs associations 5 Rencontres d bats D limiter les champs de comp tences Elaboration de r guliers organiser Confronter d battre voire n gocier sch mas plans Transformer la posture d op rateur programmes rencontres et partenaire enqu tes visites des Analyser les ressources pour r pondre questionnaires associations aux besoins t li rs d velopper
85. ent pouvoir remplir leurs missions Constats Sur le projet associatif Le renouvellement des administrateurs b n voles L organisation territoriale L information Le partenariat et la mutualisation Direction D partementale de la Jeunesse et des Sports R ponses La Mission d accueil et d information des associations MAIA Les points locaux d accueil et d information des associations et des lieux de ressources Le dispositif local d accompagnement La formation des b n voles et le Conseil de d veloppement de la vie associative CDVA Les t tes de r seau et coordination associatives Direction D partementale de la Jeunesse et des Sports Limites e Une r ponse de l Etat avec des positions minist rielles contradictoires e Des coordinations aux moyens limit s e 50 des associations sont hors r seau Direction D partementale de la Jeunesse et des Sports Prospecltives e Les coordinations e Les r seaux e Les centres de gestion e La conf rence nationale de la vie associative Page 103 171 3 Responsabilit s des administrateurs b n voles Madame O Sampeur Directeur enfance famille DGA D VELOPPEMENT SOCIAL ET SOLIDARIT DIRECTION ENFANCE FAMILLE AJou CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE R f rappeler OS SV Affaire suivie par O SAMPEUR T l phone 02 41 81 41 77 T l copie 02 41 81 46 56 Angers le 21 janvier 2010 2 me journ e d parte
86. es couleurs du Temps Les moyens sont mutualis s Il a fallu sensibiliser les salari s Une remarque est faite quand on mutualise des moyens on perd un peu d autonomie de gestion et de d cision mais c est aussi un enrichissement un moyen de ne pas perdre la proximit de terrain de garder des logiques de territoire Mutualisation coop ration Abri de la Providence L Abri de la Providence accueille des personnes SDF avec un accompagnement social N ayant pas d outils d insertion l association s est rapproch e de la r gie de quartier Il en a t de m me avec le public jeune en errance et la mission locale angevine Chaque structure a ses propres outils et la mise en compl mentarit permet d arriver des r sultats Les faits nous y obligent on ne peut pas rester dans notre coin Jardin de cocagne Le Jardin de cocagne le Val de Loire et l association Aide accueil se sont regroup s autour d un m me projet r ussir ins rer 12 personnes sans emploi et ou sans logement Ces personnes travaillent avec le Jardin de Cocagne et sont log es par le Val de Loire sur la commune de Durtal Un comit de pilotage se r unit 2 fois par an avec des partenaires tels que le Conseil g n ral la DDASS etc Un comit technique a t mis en place C est une exp rimentation et si celle ci se r v le positive elle pourra tre copi e reconduite Maisons de retraite de St Barth l my d Anjou St Martin Des respo
87. es probl mes majeurs et je sais d j que certains d partements sont en faillite virtuelle car on ne peut pas augmenter les imp ts ainsi que les emprunts et on ne peut pas non plus diminuer la prise en charge de nos concitoyens La r forme des collectivit s territoriales s inscrit videmment dans ce contexte et nous aspirons une meilleure lisibilit des actions des diverses collectivit s communes communaut s de communes d partements et r gions Mais j arr te l ma litanie qui peut para tre un peu pessimiste Il y a tant de richesses dans tout ce que j ai entendu depuis ce matin notamment dans tout ce qui a trait la gouvernance et la responsabilit associative travers la mutualisation Tout l heure par cet atelier J ai vu qu il y avait 40 mots diff rents qui ciblaient ce qu tait la mutualisation chacun apportait sa pierre l difice et c est extr mement int ressant La transversalit transversalit entre les associations du Conseil g n ral souvent entre les services du Conseil g n ral eux m mes et puis entre vos associations galement elle s effectue dans tous les sens Le partenariat la place de l usager n oublions pas que l usager on en a peu parl mais il est partout 1l est dans votre finalit dans votre philosophie et dans la n tre bien videmment J ai entendu ce matin des mots qui m ont interpel mais qui sont r els Comment guider sans tre directif
88. es propos s sortant du champ du pilotage financier Relations partenariales modalit s et limites Suivi des actions et lecture des r sultats par le Conseil g n ral Guide Pilotage financier th mes propos s Comptabilit et gestion notamment laboration d un budget lecture d un bilan m Proc dures et d l gation Le dossier de subvention Le contrat pluriannuel d objectifs et de moyens CPOM Tableaux de bord financiers d activit s et sociaux Page 152 171 Guide Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier E Communication E Le r le d un administrateur Difficult s de la responsabilit employeur Cons quences financi res des d cisions sociales et des volutions juridiques E Gestion de l absent isme m R glement int rieur du DUE en contradiction avec les contraintes financi res Lourdeur administrative contraignante m Avenants s imposant mais non financ s Maintien dans l emploi incertain d un point de vue financier Propositions Prise en compte des volutions de charges li es de nouvelles exigences Cr ation d un service expert commun plusieurs associations Difficult s de recrutement de b n voles Difficult pour trouver certaines expertises Recrutement d administrateur avec une responsabilit employeur difficile Propositions Savoir d l guer et responsabiliser E Communication co teuse mais efficace m N cessite pra
89. esures correctives le cas ch ant en cours d action Page 129 171 LE PILOTAGE DE L ACTION IV LE RENDU COMPTE D FINITION COMMENT Y ARRIVER POINT DE VIGILANCE Etablir les comptes rendus Faire savoir Le compte rendu est tabli sur la base de crit res d finis en amont de l action Visualiser l action le compte rendu permet de visualiser l action ses enjeux et ses r sultats dans une mise en perspective avec les orientations du projet associatif Int grer les dimensions partenariales le compte rendu doit prendre en compte les dimensions quantitatives et qualitatives attendues par les partenaires de l action Celles ci peuvent tre ainsi diff rents mais compl mentaires apporter une valeur partenariale ajout e importante au le projet associatif V L EVALUATION D FINITION COMMENT Y PARVENIR POINT DE VIGILANCE De l action l valuation Extraire la valeur Les crit res d valuation doivent tre tablis lors de la conception de l action La question pourquoi fait on l action permet d j de poser des crit res d valuation Les grilles d analyse ou d valuation sont ainsi aussi des instruments de pilotage en cours d action e L valuation interne pr voit de regarder la valeur sociale de l action en regard de la valeur sociale attendue des objectifs du projet associatif Ainsi l valuation interne doit permettre de Comparer les r sultats obtenus aux r
90. et au secteur dans lequel se trouve l association Insister sur la responsabilit des administrateurs et particuli rement celle d employeur au sein des associations Pr ciser que le budget mi ann e x 2 n est pas obligatoirement r v lateur de la r alit des d penses annuelles ex d penses suppl mentaires pour remplacement lors de cong s De m me le suivi mensuel selon les activit s peut tre nuancer Int grer la gestion des comp tences et le r le de chacun au sein des structures Suivre de pr s la r glementation et anticiper les changements qui peuvent avoir des incidences importantes sur la gestion financi re des associations comme pour les salari s veille r glementaire et mutualisation des informations Page 138 171 gt Citer les soutiens disposition ex organismes financiers structures d appui tel le DLA dispositif local d appui et inclure un aide m moire r pertoriant les diff rentes formes de financements disponibles ainsi que les modalit s d obtention de ceux ci lieux ressources gt Rappeler l obligation de recourir un Commissaire aux comptes lors de subventions sup rieures 160 000 gt Permettre aux associations d avoir des points de rep res ex ratios par activit lieux ressources pour les obtenir gt Citer des liens Internet facilitant les acc s telle ou telle donn e et trouver les informations directement la source Nature du guide Mada
91. et de production Rappel des groupes de travail composition organisation Rencontre entre les 4 r f rents coordonateur de chacun des 4 groupes de travail mis en place 3 r unions par groupe avant Mai 2009 octobre janvier Productions des groupes expos es lors de la journ e des associations Les Objectifs essentiels production Guide d accompagnement des associations pr paration la nouvelle forme de contractualisation entre Association et Financeur Crit res d valuation appropri s Notions int grer dans cette d marche Contexte global e Notion de territoire e Objectif de rigueur et de coh rence e _Conventionnement de type CPOM Contrat Pluriannuel d Objectifs et de Moyens PPI Plan Pluriannuel d Investissement Partenaires financeurs tablissements prestataires notion de n gociation avec contraintes financi res principe d appel projet Page 132 171 Avant d changer plus avant M de Vienne resitue les diff rents types d association Les associations autoris es et financ es loi 2002 02 CASF R 313 1 Avec BP PPI Comptes Administratifs elles sont soumises une r glementation qui volue r guli rement Les outils de pilotage sont disponibles mais n cessitent d tre am lior s Les associations ni autoris es ni financ es disposent au minimum d un bilan et de comptes d exploitation De nombreux outils sont d velopper sa
92. eur et ou partenaire Les associations se disent op rateurs quand elles r pondent un appel d offre partenaires quand elles proposent un projet Elles changent de posture selon les moments et passent de l change la n gociation o changer lors des moments forts avec les lus et les techniciens est une demande r currente des associations Par exemple lors des assembl es g n rales les lus peuvent appr hender la vie associative De m me les portes ouvertes permettent aux techniciens une meilleure connaissance du terrain O O O Les outils cr er ou d velopper les contrats d objectifs et de moyens le sch ma d organisation sociale et m dico sociale La loi oblige se concerter et travailler ensemble pour l mergence d un sch ma global de toutes les politiques sociales chelle d partementale C est une approche coh rente d un m me public pour des th matiques diff rentes logement insertion social les rencontres visites Page 169 171 COMMUNICATION VALORISATION o Vendre proposer une image valorisante du public en difficult o Valoriser la communication de nos actions nos projets la mani re dont on valorise les s minaires les colloques leur donne de l importance Par exemple la r union de novembre 2007 a permis les groupes de travail d aujourd hui o Valoriser la communication existante lors de la s ance une d monstration du site du Conseil g n ra
93. faire la comptabilit et accompagner le projet un travail et un appui la stabilisation de l association autre exemple pour un projet de cr ation d emploi obtention d aides directes DRASS DDASS 49 et CNSA Il faut aussi bien diff rencier les associations car la logique financi re est diff rente pour les associations hors tarification et les structures m dico sociales tarif es Les structures d insertion sont r guli rement en demande d appui du FONDES alors que l intervention de cet organisme se trouve au contraire bien diff rente dans le cas d une structure m dico sociale Il est soulign l importance d un travail en pr vention afin d viter une situation critique ce qui est vrai un moment ne l est pas forc ment par la suite Il est constat que la recherche d argent n est pas toujours au c ur des pr occupations des responsables associatifs mais 1l ressort des besoins plus cibl s sur du conseil et un regard ext rieur Sur la question du recours au FONDES concernant la gestion des ressources humaines pour un appui le charg de mission a besoin de poser un regard sur le fonctionnement de l association et de disposer d une connaissance compl te de celle ci afin de faire l analyse et un diagnostic appropri s Le FONDES n intervient pas dans l accompagnement la cr ation d une association A partir d un certain nombre de salari s les probl matiques de l association n cessitent plus l appui d un consultant
94. fois d velopp e de mani re globale devient un projet qui peut tre pr sent l instance associative concern e Celle ci valide la conformit du projet vis vis des valeurs de l association et se pr occupe des risques ventuels pour la p rennit de l association des am nagements au projet peuvent tre d cid s La relative technicit de la gouvernance d associations gestionnaires d tablissements m dico sociaux n cessite de confier en plus de la gestion quotidienne une mission de veille sur les enjeux internes et externes une quipe de direction salari e Cette veille doit aboutir l expression de propositions d volutions appuy es sur les valeurs de l association ciment qui r unit dirigeants b n voles et salari s Il para t souhaitable de d velopper cette notion de veille quelque soit la taille de l association L Assembl e G n rale valide le processus d mocratique mais ne peut tre le lieu d un d bat ouvert sur des options strat giques pour l association Par ailleurs le tr sorier de l association assure la gestion des comptes sp cifiques la vie associative Les d rives possibles LES POINTS DE VIGILANCE d rive possible d une mauvaise gouvernance la d rive autoritaire lorsque le projet associatif est confisqu par quelques uns qui s affranchissent des r gles de leur mandat Il peut s agir de dirigeants de droit ou de salari s utilisant les resso
95. gagement 2 besoin le partenariat avec les professionnels il faut s adapter au contexte L opportunit en l occurrence pour l APIJ existence d une obligation de mettre en place une valuation en interne afin d voluer d cision d tendre l valuation aux instances associatives Les actions entreprises Un audit interne assur par un consultant externe ce qui permet en m me temps de revisiter les statuts et le projet associatif N cessit de formaliser ses valeurs Mettre en place une r flexion sur les obstacles l engagement Comment faut il faire Mettre en place un nouveau projet 1l faut se r organiser Mise en uvre 1 Le temps de r union pour chacun est diff rent tous les acteurs ne peuvent pas attribuer le m me temps de pr sence l association en fonction de leurs engagements ext rieurs Mettre en place une liste de diffusion afin d envoyer les mails et informer tous les acteurs du travail effectu Mettre en place un syst me d information tr s cadr Partager les dossiers en fonction des int r ts de chacun Fixer un bureau mensuel date et heure fixes o les probl mes de fond sont d battus Faire un point de situation une semaine au pr alable Etablir un relev d informations trimestriel Premiers r sultats Reformulation du projet associatif et des statuts Recomposition du bureau R flexion sur les orientations Conclusion Tout ceci pour trou
96. gmatisme et ind pendance Au total 91 questionnaires ont t retourn s 81 structures l ont renseign dans l int gralit une structure a d clar ne pas avoir le temps n cessaire pour r pondre l ensemble des questions et 9 associations ont pr cis qu elles n taient pas concern es par la probl matique du pilotage financier en r ponse la premi re question et se sont donc abstenues de r pondre aux questions suivantes Sur l ensemble le pourcentage des associations tous domaines confondus qui se disent en difficult sur le th me du pilotage financier et les questions annexes et donc en attente d aide est relativement faible de 30 40 selon les rubriques La difficult obtenant le plus gros score est celle du recrutement des b n voles avec 49 Vient ensuite la difficult m me de pilotage financier hauteur de 40 Il ressort au global le m me int r t majeur pour la pluri annualit et pour l laboration d un guide du pilotage financier 71 Ces observations se trouvent plus ou moins nuanc es selon les secteurs Solidarit Enfance Famille Insertion Habitat Page 153 171 Annexe 2 X SOMMAIRE Introduction Motivation et objet du guide Responsabilit s dans le cadre du pilotage financier Les diff rentes cat gories d association caract re social et m dico social 3 1 Les associations hors champ d application de la loi du 02 01 2002 3 2 Les ass
97. h matiques pour b tir un sch ma d partemental unique qui positionne les grands principes de l action de solidarit du d partement et le type de relation qu il entretient avec tous les partenaires quel que soit le champ auxquels ils appartiennent Ce sch ma nous n allons pas le b tir seuls parce que faire l loge du partenariat et des associations dans un texte que nous aurions crit seuls sans leur proposer d tre associ s la d marche de r flexion et sans leur indiquer qu un des objectifs c est une contractualisation long terme qui vous permette vous d avoir une certaine visibilit pluriannuelle l o vous d pendez la plupart du temps de d cisions annuelles qui tombent au mois de d cembre quand ce n est pas quelques semaines apr s qu une nouvelle ann e budg taire est d j commenc e Je ne parle pas uniquement de la collectivit territoriale mais galement de la totalit des partenaires que vous avez cela me semble extr mement important partir du moment o l on insiste sur l importance de votre r le sur l importance de vos missions qu on vous donne aussi une certaine vision pluriannuelle des choses Et c est bien dans cet objectif que nous souhaitons monter ce sch ma d partemental unique du social Mesdames et Messieurs Ce temps de r flexion autour du sch ma je souhaite qu il soit v ritablement un temps fondateur pour tre capable de nous interroger et de boucler la bouc
98. ibre du territoire r le de la gouvernance associative Revisiter les pratiques de l association m me quand le r le de chacun a t formalis Travailler la nature des relations r le du document de d l gation cf document de travail distribu en s ance Peut on certifier une gouvernance associative une qualit du pilotage La r ponse est complexe du fait de la diversit r elle des associations Pourtant quelques principes peuvent fonctionner Un projet associatif clair Un pr sident non isol qui s appuie sur un conseil d administration Ilest rappel que le conseil d administration doit tre garant du projet de l association et rester sur le sens g n ral de ce qui est attendu Pour prendre des d cisions dans une association plus grande il s appuie sur un avis technique mais qui doit toujours tre cadr par le document de d l gation qui peut couvrir plusieurs domaines Mise en uvre du projet de service d tablissement Gestion budg taire Ressources humaines Partenariat Dans ce domaine la taille de l association un composition de b n voles ou 10 salari s peut tre facteur de difficult s multiples Malgr cela cette r partition des d l gations peut se d cliner tr s diff remment L acc s un r seau pour un conseil soutien m thodologique sur un projet mutualisation selon certaines fonctions RH gestion financi re Pour approfondir ce poin
99. ication du principe de subsidiarit E Libert associative et le principe d ind pendance d action des membres E Difficult de la mission d une f d ration concr tiser l Union tout moment E Les ambitions du projet du r seau UNIOPSS RIOPSS face certaines volutions des politiques publiques m Difficult s porter notre fonction tribunitienne Page 98 171 D NW Les prospectives Pays e lahire RENFORCER la coh rence de la repr sentation associative de solidarit celle de l conomie sociale AFFIRMER dans tous les lieux pertinents la n cessaire place des corps interm diaires FAVORISER des politiques de formation aux responsabilit s associatives innovantes et performantes INCITER les responsables associatifs des r flexions dynamiques sur la coop ration les compl mentarit s et l enjeu des alliances au del des enjeux de pouvoir SUSCITER collectivement les r flexions autour de la tarification le financement des projets PESER de tout notre poids sur notre vision des relations avec l Etat et les collectivit s territoriales et partenariat prestataire SOUTENIR avec discernement le d bat sur la taille critique parfois contre courant m CONSTRUIRE de nouveaux ponts m c nat alliances inter f d rale et inter r seau URIOPSS Page 99 171 Direction D partementale de la Jeunesse et des Sports 60 des associations dis
100. ien juridique Formation des b n voles Accompagnement par un cabinet sp cialis Soutien en termes d organisation Outil pour l entretien individuel Difficult s de recrutement de b n voles Difficult s variables selon les p riodes Turn over important Mobilisation des personnes difficile m Comp tences sp cifiques difficiles trouver Responsabilisation et risques de mise en cause personnelle croissants Propositions Communication sur l association son r le son projet recours la presse notamment Bouche oreille r seau relationnel Proposer des actions concr tes permettant diff rents niveaux d investissement Recours aux anciens salari s Projet associatif mobilisant Base de donn es d partementale comme France B n volat Lieu de d p t officialis des demandes et offres de b n volat Points locaux d appui la vie associative Page 151 171 Direction Enfance Famille 11 questionnaires analys s au 12 mars 2009 Difficult s relev es en mati re de pilotage financier R ponses aux demandes de subventions versements tardifs gt difficult s de tr sorerie Budget totalement d pendant de subventions ex baisse de la subvention tat Proc dure budg taire trop longue Pas de marge de man uvre financi re Co t moyens ne tenant par compte des difficult s des publics m Vie associative non financ e m Augmentation du co t de la vie no
101. ification des sources de financement Facilitation des d marches de recherche de financement o une aide au montage des dossiers de m c nat et de subvention o un dossier type o une seule date de d p t o une v ritable coute o r ponses et versements plus rapides m Mise la disposition des associations d un conseiller financier Financement du Conseil g n ral pour le fonctionnement global de la structure Explications claires concernant l tablissement des budgets et contrats d objectifs E Formation au pilotage financier Atelier Pilotage financier th mes propos s Information sur les circuits et les diff rentes sources de financement p rennes ou non de l association et de ses projets Formation la comptabilit Droits et devoirs d une association employeur Montage d un dossier de demande de subvention Formation Excel Budget de fonctionnement Le Cr dit coop ratif Guide Pilotage financier th mes propos s m Notions budg taires Financement d une association financeurs potentiels et leur champ de comp tences Constitution d un dossier de demande de subvention La collecte de dons La fonction de tr sorier Page 145 171 Guide Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier m Gestion du personnel m Recrutement de b n voles Notions juridiques droits devoirs et responsabilit s La gouvernance d une association Difficult
102. impose nous lus du Conseil g n ral d positaires de la volont politique de nos concitoyens C est nous de d finir la ligne strat gique du D partement et d arbitrer entre des priorit s qui sont toutes l gitimes comme je le disais Depuis 2 ans en effet les volutions institutionnelles et r glementaires ont t nombreuses trop nombreuses peut tre et surtout trop rapides Transfert de comp tence de l tat vers les collectivit s en particulier le Conseil g n ral Je pense au plan d partemental de l habitat et aux comp tences des aides la pierre Je pense la mise en place de la PCH d abord pour les handicap s adultes et maintenant pour les enfants transfert partiel des tutelles pour les majeurs probl matique des financements de la caisse nationale de solidarit pour l autonomie la CNSA sur l APA puisque comme vous le savez l tat travers la CNSA devait financer 50 de l allocation personnalis e pour les personnes g es et qu il en finance peine 30 et je dirais de moins en moins ce qui oblige la collectivit d partementale se substituer l Etat D un c t transferts de comp tences transferts de responsabilit s et de l autre peu de transferts financiers Certains d entres vous sont des responsables de collectivit s locales et ils savent de quoi je parle Vous avez entendu ce matin un certain nombre de mots qui f chent ou plut t qui interrogent Les mots de tutelle
103. ion e L valuation est plus efficace si elle est partag e s feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f A 1 Documentation e Le guide gouvernance associative sera mis en ligne sur le site du Conseil g n ral de Maine et Loire www cg49 fr g feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE SYNTHESE DU GROUPE DE TRAVAIL N 2 Pilotage financier guide Dal EIL G N RAL D MAINE ET LOIRE CONS L avenir pousse en Anjou www cg49 f aIr Une approche e Objectif global r pondre aux besoins des responsables associatifs en mati re de pilotage financier e Objectifs op rationnels accompagner la prise de fonction mettre disposition un r pertoire de ressources et d informations des outils fondamentaux de pilotage D o l laboration d un guide d accompagnement en mati re de pilotage partir de bonnes pratiques L feu CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou Composition du groupe 1 lu Conseil g n ral et 3 techniciens 1 consultant sp cialis 7 associations autoris es 9 associations subventionn es PA yes CONSEIL G N RAL WWW cg49 fy MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f p r Modalit s de travail 4 rencontres d octobre 2008 mai 2009 Animation par le D partement cadre r f rent et lu assist d un r f rent associatif Prolongement en cours Production attend
104. ions conomiques DZ Zu CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f Ar 2 me et 3 me rencontres e Partant des questionnaires et de documents martyrs v Recensement des outils existants v Rep rage des outils de base indispensables v Esquisse d un tronc commun toutes les associations v D clinaison des points essentiels inscrire v Architecture du guide et son sommaire propos s au cours de ces rencontres P ipee CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f aIr La 4 me rencontre Elle a t l occasion de e R aliser un travail de refonte en organisant le guide en 6 parties distinguant parfois les associations gestionnaires d tablissements ou services et les autres associations e Am liorer la lisibilit du sommaire e Constituer 3 sous groupes th matiques pour travailler tout le contenu du guide PA pe CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWWw cg49 fp e Sur les responsabilit s en mati re financi re e Sur les outils de pilotage financier e Sur les volutions l gislatives et r glementaires DA 022 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 40 171 L avenir pousse en Anjou www cg49 f o TF RSS Responsabilit s e Cette question s inscrit dans le champ global de la gouvernance e convient cependant de zoomer particuli rement sur les responsabilit s
105. ique Elles aimeraient une simplification administrative Cette question p riph rique pourrait peut tre faire l objet d un autre groupe de travail La communication gt C est un moyen utiliser Quand Comment Pourquoi gt Sa mise en uvre les comp tences requises Les services rendus Sur quoi communique t on QI Le questionnement du Conseil g n ral gt Quels sont les objectifs du D partement D Qu est ce qui est perfectible dans la fa on de communiquer Quelles sont les attentes des structures Remarques le Conseil g n ral se doit d expliquer et de valoriser la politique d partementale Il est parfois difficile d expliquer la politique d partementale sans la mettre en perspective avec la politique de l Etat QI Le questionnement des associations L association n est pas seulement un op rateur elle est aussi un partenaire du Conseil g n ral Pourtant des questions se posent D Partenariat et financement peut on tre partenaire d un financeur gt Place et r le dans la communication avec quelle autonomie ou quelle d pendance D Comment le Conseil g n ral peut il valoriser le travail des associations sur le d partement Remarques deux aspects de la communication importants pour l association Page 160 171 1 l association de par sa place dans la soci t repr sentant de la soci t civile est m me de d battre des enjeux politiques 2 Elle se doit de joue
106. ire sociale et m dico sociale pilotage du secteur d marche qualit valuation voir th matiques pour la journ e du 13 11 2009 5 Ressources 6 Annexes glossaire Sur la forme et la pr sentation des parties du guide Illustration partir du document de travail r alis sur le sujet CPOM structur en une partie explicative ou descriptive un lien un r pertoire ressources bibliographique Il est pr vu d illustrer par des mod les de documents sur les parties notamment consacr es aux outils comptables et financiers compte de r sultat bilan tableau de suivi plan de financement Monsieur Fribault de l association Abri de la providence souligne d ailleurs pour les CPOM la pression des financeurs vers une mutualisation et une optimisation des d penses D L ch ancier Mme Barbier Prieur interroge sur l ch ancier tenir r alisation possible pour la journ e pr vue le 13 novembre prochain ou pr vision au del La mise en ligne du guide devrait id alement tre pr vue pour la fin d ann e Le projet d un guide unique incluant gouvernance communication n est pas retenu car les deux autres groupes de travail ne seraient pas favorables pour l instant E Constitution de sous groupes de travail sur les th matiques du guide Afin d avancer sur l laboration et la r daction du guide 1l est d cid la constitution de 3 sous groupes de travail qui programment de se r unir en septembre et octobre 200
107. ises en ligne rapidement e Le guide dans sa globalit sera disponible premier semestre 2010 f L peu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE SYNTHESE DU GROUPE DE TRAVAIL NS Communication CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f r R sultat escompt gt Am liorer gt Consolider gt Innover en mati re de communication institutionnelle entre Conseil g n ral amp associations PM CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 57 171 L avenir pousse en Anjou www cg49 f IF Une approche e Former un groupe de travail h t rog ne et repr sentatif des partenaires du Conseil g n ral e _ Circonscrire le champ de la r flexion la communication institutionnelle Conseil g n ral amp associations dans le champ du social et du m dico social e rouver le d nominateur commun Un public fragile en partage le soutien financier du Conseil g n ral z feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 58 171 L avenir pousse en Anjou www C949 f FTF Une d marche e Accompagnement technique de la d marche par le Conseil g n ral e Mise en situation communication avec Tenue de 3 ateliers successifs Envoi de questionnaires en parall le Collecte d id es et mise en commun des points de vue Rendu compte mise en corr lation et synth se des exp riences e Production concert e avec Mod lisation et
108. it soci tal qui est positif certes et incontournable mais qui nous pose le probl me du financement la fois de la protection sociale et de tout ce qui est li au vieillissement Le pr sident l a dit ce matin la crise conomique actuelle a handicap nos ressources La principale ressource des conseils g n raux c est vous le savez la taxe professionnelle mais elle est directement li e l activit conomique Nous sommes en crise la TP diminue et on nous annonce sa suppression prochaine Les droits de mutation immobiliers sont une recette importante pour les Conseil g n raux Cela repr sentait pour nous 68 000 000 actuellement 42 000 000 soit 26 000 000 de moins en l espace de 18 mois Or il faut savoir qu un point d imp t dans le d partement c est 1 200 000 Cela veut dire que l on devra augmenter les imp ts de 15 20 simplement pour compenser la perte des droits de mutation Je m carte un peu du sujet mais c est pour souligner nos difficult s qui sont r elles et incontournables Nous ne pouvons pas demander plus nos concitoyens Les possibilit s contributives ne sont donc pas extensibles un moment o l effet de ciseaux que nous redoutions depuis quelques ann es est arriv des d penses sociales en augmentation li es la crise et des recettes en diminution li es galement la crise J esp re que cette crise ne va pas durer trop longtemps parce que nous aurions d
109. iteraient tre force de proposition Les membres du groupe ont aussi abord la communication en cas de crise C est une communication qui n est pas choisie et difficile anticiper Quelle serait la m thodologie mettre en place pour r agir et apaiser la probl matique du moment Proposition de la journ e des associations Une journ e enti re reposant sur une double approche Communication explication explication de la politique d partementale en focalisant sur quelques th mes choisis Communication change renforcer co construire coproduire dans une ambiance sereine Une id e cl faire de la prospective Quelle est notre vision de demain Page 170 171 TABLEAU RECAPITULATIF L objectif recherch est d am liorer consolider innover en mati re de communication institutionnelle Typologie Probl matique R sultat Mesure de l effet Impact Outil crane Outils cr er ou Indicateurs indicateurs moyen Shin meairut d velopper court terme et long terme meilleure lisibilit compr hension de la politique outils d valuation d partementale se cr er gt bien circonscrir ies champs Tableaux de bord j gt une plus grande pour v rifier les r activit dans les 2 r sultats obtenus sens gt diff rencie les r les e le CG donne le sens Comment expliquer ja politique Organigrammes x sr de k d partementale onseil g n ra Expliquer le s
110. its de formation mais dans un domaine autre que le pilotage financier 50 n ont pas de souhait particulier sur le sujet V 9 nese prononcent pas e Associations proposant des th mes aborder dans l atelier pilotage financier 30 proposent d aborder des th mes sur le pilotage financier 45 proposent d aborder des th mes autres que le pilotage financier vV 25 ne se prononcent pas e Mutualisation v 19 seraient favorables une mutualisation en gestion 14 seraient favorables une mutualisation dans un autre domaine que la gestion vV 48 ne souhaitent pas de mutualisation en gestion v 19 ne se prononcent pas Page 136 171 e Associations utilisant la t l transmission des documents budg taires sous forme lectronique v 80 peuvent effectuer la t l transmission 15 n ont pas la t l transmission 5 peuvent partiellement effectuer la t l transmission e Association disposant de moyens de t l proc dure v 20 ont la possibilit de faire de la t l proc dure 35 n ont pas la possibilit de faire de la t l proc dure v 20 ne connaissent pas ce terme vV 25 ne se prononcent pas e Besoin d aide technique pour la mise en place d un syst me d information informatis v 25 sont favorables une aide technique 55 n ont pas de besoin sp cifique sur le sujet v 20 nese prononcent pas e Difficult s de responsabilit employeur 15 ont des difficult s dans le
111. iversifi es et d un niveau de complexit g om trie variable Page 93 171 URIOPSS TA Fays de G dois LES REPONSES et Leurs limites URIOPSS 77 Niveau d intervention de Ryuteki l URIOPSS E Niveau politique Niveau technique Niveau collectif E Niveau individuel Page 95 171 URIOPSS p N M Concr tement Fays ie la ire E Demandes de soutien tr s diverses Information formation am lioration des comp tences veille Conduite du changement Vie associative d l gations recrutement et engagement des b n voles charte communication associative Management RH recrutement des dirigeants accompagnement dans les conflits Soutien dans des d marches politiques Page 96 171 URIOPSS M DECLINAISON en ACTIVITES Fays i lu loire R agir l actualit construire des propositions et interpeller les pouvoirs publics Animer des commissions r gionales et d partementales dans les diff rents secteurs Organiser des journ es d tude et de r flexion Accompagner nos adh rents dans leurs projets vie associative d marche d valuation ressources humaines Apporter un appui juridique droit des associations droit social droit des tablissements sanitaires et m dico sociaux E Construire et animer des formations ou des interventions cibl es Page 97 171 URIOPSS MW LES LIMITES Pays u lire E appl
112. jet les associations doivent cependant s attacher pr server le lien social avec les usagers Pipe CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWw cg49 fy e Projet de mise en ligne sommaire e Les parties 3 et 4 seront mises en ligne rapidement e Le guide dans sa globalit sera disponible premier semestre 2010 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www C949 f aIr Sommaire du Guide 1 Introduction Motivation et objet du guide 2 Responsabilit s dans le cadre du pilotage financier 3 Les outils de pilotage comme pr sent pr c demment 3 1 Les outils fondamentaux communs aux 2 cat gories d associations outils comptables et financier 3 2 Les outils sp cifiques compl mentaires aux associations ne g rant pas d tablissements ou services entrant dans le champ d application de la loi du 02 01 2002 3 3 Les outils sp cifiques aux associations relevant de ce champ 3 4 Les outils aux associations mixtes ou polyvalentes relevant du 3 2 et 3 3 Da AJOU MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou WWW cg49 fy Evolutions constat es comme pr sent pr c demment R pertoire ressources sur le plan op rationnel institutionnel et financier Annexes Glossaire PA yes CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f 5 F om Le contenu du guide e Les parties 3 et 4 seront m
113. l territorialis en tablissements Madame BARBIER PRIEUR ouvre la s ance en pr sentant ses v ux pour la nouvelle ann e L Points divers Monsieur ANQUIER qui s tait propos comme r f rent associatif lors de la derni re s ance tait de fait en int rim rempla ant Madame de SAINT PERN tr sori re de la m me association Madame BARBIER PRIEUR propose Madame DE SAINT PERN de reprendre cette fonction r le qu elle accepte volontiers L ensemble des membres pr sents valident cette d cision Madame BARBIER PRIEUR demande chacun des participants s ils ont des observations sur le compte rendu de la derni re r union du 29 10 08 Elle propose la validation de celui ci Comme lors de cette derni re r union la discussion a surtout port sur le CPOM qui est l un des outils elle propose aujourd hui de recenser les outils utilis s par les structures pr sentes Madame BARBIER PRIEUR rappelle que le but des r unions est l dition d un Guide d accompagnement du responsable b n vole associatif et que les diff rents outils existants pour le pilotage financier doivent tre connus et leurs int r ts explicit s notamment pour les nouveaux arrivants administrateurs au sein d une association Le groupe ent rine cette proposition 2 Questionnaires Premiers l ments concernant leur retour Il a t envoy 362 documents intitul s Questionnaire de recensement des besoins en pilotage financier
114. l 49 a t faite La plupart des membres du groupe ont d couvert ce site o valuer et faire le bilan de la communication d ici un an un an et demi IHI PREPARATION RENCONTRE DU 20 AVRIL 2009 La rencontre pr vue semaine 46 47 ou 48 regroupera les b n voles associatifs en posture de gouvernance La r union de pr paration du 20 avril d cidera du choix de la date avec le Pr sident du Conseil g n ral si possible le temps accord 1 2 journ e ou journ e la forme le contenu le lieu Les souhaits du groupe Les membres du groupe souhaiteraient une restitution des travaux et aller au del de la restitution c est dire changer partager avec les autres groupes Ils se posent la question du comment se saisir des sujets discut s y apporter un nouvel clairage et r agir vis vis du travail effectu Ils aimeraient galement que le th me de l conomie sociale et solidaire au niveau europ en puisse tre tudi L objectif recherch est de mod liser partir d un v nement et de susciter la r flexion dans des ateliers par exemple La m thode faire des constats rep rer les points communs et exprimer les attentes Enfin d cliner les outils pour assurer une veille un suivi L axe de progr s dans la communication du Conseil g n ral avec les associations pourrait tre des rencontres r guli res avec un travail en commun pour approfondir les orientations choisies par le D partement Les associations souha
115. le de ce qu ont t les r flexions sur la qualit et sur la n cessit d tablir ou de contractualiser les relations que nous devons avoir avec l ensemble de nos partenaires Et je crois que paradoxalement le contexte dans lequel nous sommes peut nous y aider parce qu il met en lumi re ce que sont nos contraintes et nos limites d une action publique et ce que sont les n cessit s et les limites aussi d une action associative dans la situation sociale globale que nous connaissons Je m adresse des responsables qui sont confront s des r alit s diff rentes je sais qu entre le responsable associatif qui intervient dans le champ de l aide domicile et des services la personne en milieu rural celui qui a la responsabilit d un foyer d accueil pour des enfants qui nous sont confi s dans le cadre de l aide sociale l enfance pour le responsable d un chantier d insertion vous imaginez bien quel point les r alit s sont diff rentes Mais il y a au moins 2 points communs Le premier c est de constater que quel que soit le secteur vers lequel on se tourne les personnes g es jusqu aux personnes que l on accueille dans le cadre du droit d asile il y a une mont e continuelle de la demande d aide sociale compte tenu d une pr carisation de beaucoup de nos concitoyens et c est une donn e objective La part de ceux qui Page 8 171 ont besoin de l aide sociale dans les tablissement
116. mbler pendant une journ e des responsables associatifs de secteurs sociaux et m dico sociaux qui sont parfois Juxtapos s mais ne se retrouvent pas n cessairement ensemble parce que entre l Enfance Famille les Personnes g es les Personnes Handicap es il y a parfois des fronti res administratives ou institutionnelles qui font qu on est habitu travailler th me par th me Nous avions souhait que cette transversalit inter secteur soit un des l ments de cette journ e Mais il y avait une autre raison Une raison li e au fait que le mot partenariat que nous avons tous la bouche a parfois du mal prendre toute l paisseur ou toute la densit qu il devrait avoir Vous responsables associatifs parce que vous consid rerez parfois que la Collectivit d partementale vous regarde trop comme des prestataires et pas suffisamment comme des partenaires pour co laborer certains des dispositifs mettre en place Et nous parce que nous avons parfois le sentiment que nous avons en face de nous des associations qui dans certains cas ne sont plus vraiment des associations puisque leur gouvernance associative s est r duite une peau de chagrin et que l essentiel de leur activit est une activit salari e avec un petit noyau d administrateurs mais qui dans un contexte de plus en plus complexe de plus en plus compliqu sur les textes appliquer et sur l importance des budgets fini par se r fugier derri re son
117. me BARBIER PRIEUR rappelle que ce guide sera en ligne de fa on ce que la mise jour modifications enrichissements soit r guli re Ce guide sera videmment consacr uniquement au domaine Social et M dico social 4 Calendrier La date de la prochaine r union est fix e en commun accord avec les membres pr sents au Afin d optimiser cette prochaine s ance 1l est demand chaque participant une pr paration personnelle soit Recensement des ressources utilis es dans la structure et celles d velopper e Etablissement d une liste de rubriques faire figurer dans le guide pour le d veloppement du tronc commun lors de la prochaine r union Madame BARBIER PRIEUR l ve la s ance 12 h 00 et remercie les participants Page 139 171 Animation Martine Barbier Prieur Madame Monsieur Madame Madame Madame Monsieur Madame Madame Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur Monsieur R daction Laurence Delzenne Viviane Fouch Directeur CG Direction des solidarit s BARBIER PRIEUR Martine BIOTEAU Bruno BOUVET Yvonne DELZENNE Laurence Pr sident Association Abri Tr sori re ADAPEI Assistante administrative CG Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Tr sori re H pital priv maison de retraite Cabinet Proagis Pr sidente
118. ment Associations durant les 2 ann es coul es le D partement et plus particuli rement la DGA D veloppement social et solidarit a organis une deuxi me journ e l attention des responsables b n voles associatifs le 13 novembre 2009 224 personnes taient pr sentes dont 175 personnes repr sentant 107 associations du d partement Au fil de la journ e on a pu mesurer les enjeux du partenariat un chelon d partemental mutualisation des moyens coordination des actions compl mentarit entre le secteur public et le secteur associatif D roulement de la journ e Matin Introduction de M Christophe B CHU Pr sident du Conseil g n ral et pr sentation de la journ e Suites de la 1 journ e d partementale de novembre 2007 restitution des 3 groupes de travail qui se sont r guli rement r unis entre 2007 et 2009 la suite de cette journ e e Groupe de travail n 1 Gouvernance associative et pilotage de l action L objectif tait d aider les administrateurs et ceux qui exercent une responsabilit pr sident tr sorier se rep rer pour mieux assurer la gouvernance de leur association et se situer au regard des diff rents projets qu ils ont conduire Le groupe compos d associations d lus et de cadres du Conseil g n ral a labor un document de r f rence qui doit continuer voluer e Groupe de travail n 2 pilotage financier Afin d accompagner une prise de fo
119. ment de la pr sentation de trois intervenants l existant dispositifs structures op rateurs mais aussi d identifier les besoins non couverts Chacun des intervenants a pr sent ses actions permettant d voquer les trois champs d interventions compl mentaires op rationnels FONDES f d ral UNIOPSS et institutionnel MAIA Synth se et propositions Les questions ont port essentiellement sur des illustrations concernant les interventions concr tes des acteurs la faiblesse du recours des associations caract re social ou m dico social aux appuis existants hors ducation populaire et insertion l importance de s informer le plus t t possible sur les aides potentielles sans attendre les situations critiques le souc1 de la concurrence la n cessaire vigilance quant la pr paration du renouvellement des b n voles et au partage des responsabilit s la mutualisation les groupements voire les fusions Il appara t au terme des discussions que 60 actuellement des associations disent pouvoir assumer leurs missions sans besoin d appui particulier Le recours au FONDES et ou dispositif DLA est vraisemblablement sous utilis Le besoin d appui soulign n est pas n cessairement financier mais souvent concerne des aspects techniques outils d analyse A propos du d veloppement du projet associatif les outils existent mais auraient besoin d tre mieux connus pour que les associations se les approprie
120. mentale des responsables b n voles associatifs du 13 novembre 2009 Atelier 3 Responsabilit s des administrateurs b n voles Plan Pr sentation par M Renon ancien directeur d tablissements sanitaires et sociaux administrateur URIOPSS de la question du sens de l engagement de l administrateur T moignage de Mme Branger Pr sidente de l API son exp rience sa place de Pr sidente Pr sentation de Mme Moulinier Conseill re technique l URIOPSS sur les responsabilit s Temps d change Pr sentation par M Sall soci t Acor Conseil les tensions dans les organisations quels sont les leviers dont on dispose 1 L ENGAGEMENT La prise de responsabilit s doit prendre sa source dans son engagement Le sens des mots B n vole signifie qui veut bien Administrateur quelqu un qui veut bien g rer d cider au sein d une association Administrer pr ter son aide enseigner diriger organiser Responsable quelqu un qui se porte garant personne qui fournit l assurance de quelque chose Personne ayant une fonction de d cision et devant rendre compte de ses actes Responsabilit charge qui conf re l initiative de ces d cisions Engager Se porter garant Engagement action de s engager dans un acte Il ne faut pas restreindre le sens des mots El ments constitutifs de l engagement Par exemple l engagement dans une association de solidarit provient du sentiment d une
121. minution des subventions de l ordre de 30 Il comprend que les b n voles soient d motiv s Mr de VIENNE pense qu il faut trouver le juste quilibre et bien pr parer les ventuelles fusions Mr Gillet pr cise que sur le champ du secteur m dico social le travail par appels projets sera effectif d s le 1 septembre 2009 et souligne la diff rence entre appel d offres et appel projets Le D partement du Maine et Loire va tre pilote dans cette d marche sur le secteur handicap Pour faire face aux appels projets pr visibles le regroupement sera souvent une n cessit pour r unir diff rentes comp tences Mme de Saint Pern indique qu il est difficile actuellement de trouver des administrateurs pour constituer les bureaux et conseils administration car g rer une association est de plus en plus complexe Il est demand beaucoup de comp tences administratives pour exercer les responsabilit s gestion Mr Gillet confirme que les comp tences demand es aux dirigeants associatifs sont de plus en plus sp cifiques et pointues Mr de Vienne indique que c est une raison suppl mentaire pour mettre en place des regroupements d associations Passer de 10 15 membres 30 40 reste convenable et g rable Chacun conserve son territoire et l association b n ficie des comp tences apport es individuellement d o une meilleure gestion administrative la cl Mme Bouvet s interroge car elle a compris qu il ser
122. n e d partementale des responsables b n voles associatifs du secteur social et m dico social Vendredi 13 novembre 2009 Th tre Foirail Chemill Sommaire Retrouvez les documents de cette journ e Pr sentation des diff rentes interventions du matin synth ses Gouvernance associative Pilotage de l action Pilotage financier et Communicati sssrinds aeann eieaa pen itns entre ste ce lobes seen idees 11 changes entre les responsables b n voles associatifs et la tribune sscccceseesssssscccccccccccceceeesssooccccccccecceecesesssssscsccccceeee 71 1 Gouvernance associative Pilotage de l action Madame O Sampeur Directeur Enfance famille 71 2 Pilotage financier Madame M Barbier Prieur Directeur des solidarit s n000ososooooonnnenssssssssssssssesrerressssssss 71 3 Communication Madame C Allain Directeur Insertion et habitat iii 71 Synth ses largies des ateliers de l apr s midi accompagn es de leurs diaporamas sssssecsssssococecesssocooocecessssooeceseoo 72 1 Mutualisation Madame C Allain Directeur insertion et habitat iii die eeeseerseeseeseececeeeeee 72 2 Quelles ressources quels appuis dans l exercice des responsables associatifs Madame M Barbier Prieur Directeur des SOIR ES en een noms aan en se ben eee dec ec eee De ee dE 79 3 Responsabilit s des administrateurs b n voles Madame O Sampeur Directeur enfance famille 104 Conclusion par Monsieur G
123. n Catholique angevine des uvres d assistance et de bienfaisance Madame Pr sidente UDAF Monsieur Pr sident Association cit justice citoyens Monsieur Administrateur Association Sainte Famille Religieuses hospitali res Monsieur ZITTE Thierry Directeur R gie de Quartier Saumur A Validation du compte rendu de la r union du 17 mars 2009 B Recensement des observations concernant l architecture du guide destin aux administrateurs b n voles valid lors de la r union du 4 mars 2009 Des remarques pr alables mises par Mr Ponc Directeur financier ADAPEI 49 diff rentes applications le sommaire tel que pr sent n est pas assez explicite et lisible car diff rents types d associations dans le secteur social et m dico social proposition d un guide en deux parties pour bien distinguer les associations non tarif es financement surtout en subventions et celles tarif es autoris es et habilit es C R ajustement de l criture du sommaire du guide apr s r flexion et de nouvelles interrogations l ensemble du groupe propose de reprendre l architecture du guide pour plus de lisibilit et mieux distinguer les cat gories d associations travail de refonte architecturale sur les 3 4 5 6 7 en distinguant les associations ne g rant pas d tablissements ou services entrant dans le champ d application de la loi du 02 01 2002 et celles relevant du champ d application de la loi du 02 01 2002 Res
124. n des solidarit s Martine Monsieur BIOTEAU Bruno Pr sident Association Abri Madame BOUVET Yvonne Tr sori re ADAPEI Madame DELZENNE Laurence Assistante administrative CG Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Madame de SAINT PERN Elizabeth Tr sori re H pital priv maison de retraite Monsieur de VIENNE Olivier Cabinet Proagis Madame FOUCHE Viviane Gestionnaire administratif CG Direction des solidarit s Service actions m dico sociales unit vie associative Monsieur FRIBAULT Fran ois Directeur Association Abri de la Providence Monsieur GILLET Christian Vice pr sident du Conseil g n ral Charg du D veloppement Social et des Solidarit s Monsieur HUMEAU Bernard Tr sorier F d ration des centres sociaux et socioculturels Monsieur PIREAU Jean Claude Pr sident F d ration ADMR Monsieur PONCET St phane Directeur Financier ADAPEI Monsieur QUEMENER Christian Secr taire Association Alcool Assistance La Croix d Or Monsieur THOMAS Dany Responsable Unit Direction Enfance Famille Unit accueil territorialis en tablissements Monsieur VIEL Didier Tr sorier Association Anjou Soins Services Monsieur BOIREAU Claude Pr sident R gie de quartier Saumur Monsieur Vice pr sident Maison de retraite priv e Monsieur Pr sident Maison de retraite priv e Nazareth Monsieur Vice pr sident Associatio
125. n prise en compte dans le montant de la subvention Disparit des dossiers et crit res propres chaque financeur Multiplicit des financeurs Paiement r gulier de la facture mensuelle indispensable au bon fonctionnement de la structure Difficult tablir des tableaux de bord due une double administration Difficult int grer le PPI sur 5 ans Difficult s inh rentes l activit fluctuante et au mode de financement Manque d outils de suivi de gestion Attentes et besoins d appui en mati re de pilotage financier Souplesse et r activit des financeurs versements plus rapides m me sous forme fractionn e E Pas de contr le pratiqu sur l quilibre de la vie associative de la structure CA adh rents respect des obligations m P rennisation du financement par le biais d une contractualisation pluriannuelle Mise en commun d outils de gestion Reconnaissance des pouvoirs publics et moyens allou s en cons quence Atelier Pilotage financier th mes propos s volutions pr visibles du cadre financier tude de tableaux de bord m Cons quences financi res des conventions collectives et du droit du travail Plan comptable associatif Budget pr visionnel de tr sorerie Logiciel Excel Le contrat pluriannuel d objectifs et de moyens CPOM m Cr er et mettre Jour une centrale d indicateurs financiers des associations comparables Atelier Pilotage financier th m
126. nair Le place du Pr sident el le processus d cisionnel finition de la gouvernance Definir valider Fobjectif attendre v rifier les modal s de mis en uvre Le pilotage conduit activit en fonction d un plan de voi A travailler la diff rence enire ces doux mots N cessit absolue de bien situer la gouvernance de l association La vie d mocratique de l association Apporter sa pierre au projel Page 116 171 N cessit d valuer le pan de vol en cours par la souvermance Atteinte de l objectif fix niveau d aierte ou se situe t l F La question de la proc dure d valuation interne 7 externe 7 Les diff rents outils possibles 2 Charte des proc dures inh rentes ia prise de d cision o Fiche de poste o Conveniion b n volat Essayer d anticiper ks fucinations de la vie associative Comment pien analyser les articalativns entre o Administrateur o Technicien notion de comp tence bonne volont le statut de chacun Nituer les zones de pouvoir Asseoir les d l gations d une fa on pr cise Charte 7 Er effet outil cosstanre dott pouvoir aider toutes les associations el respecter eur sp cificit leur richesse fe pas repr senter une nonme trop rigide Page 117 171 COMPTE RENDU DU 30 JANVIER 2009 GROUPE DE TRAVAIL N 1 ASSOCIATIONS Etaient pr sents Sophie MANCEAU responsable ETAPE Gr goire DELRUE directeur FON
127. nction ou simplement r pondre aux besoins am en place en mati re de pilotage financier un groupe compos d un lu de techn la ANT consultant a travaill durant plusieurs mois l laboration d un guide pratique site du conseil g n ral se veut volutif et toute observation des utilisateurs pour la bienvenue CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE e Groupe de travail n 3 Communication L objectif vis tait d am liorer consolider innover en mati re de communication interinstitutionnelle Conseil g n ral associations Le groupe compos d associations diverses appartenant au champ du social s est construit sa propre typologie des modes de communication et sa propre strat gie pour demain Mise en perspective et pr sentation des ateliers de l apr s midi Page 3 171 Apr s midi Trois ateliers en simultan e n 1 lt Mutualisation int r ts et enjeux e n 2 Quelles ressources possibles quels appuis dans l exercice de responsable e n 3 Responsabilit des administrateurs b n voles clarification et changes Synth se des travaux de la journ e puis conclusion par M Christian GILLET Vice pr sident charg du d veloppement social et des solidarit s Restitution des ateliers Atelier n 1 Mutualisation int r ts et enjeux Et si l on parlait de la mutualisation Equipe d animation pilot e par Christiane Allain Directeur Insertion et Habitat
128. nement sur les activit s des associations appui au c ur de m tier projet organisation activit s appuis collat raux au c ur de m tier appui aux montages juridiques fonction employeur appuis financiers accompagnement cycle de l activit avance de fonds financement de tr sorerie ou d investissement garantie sur emprunt bancaire et en parall le de l activit tours de tables financiers recherche de solutions financi res conseil En tant qu acteur de terrain le FONDES constate e de fortes attentes en conseil consolidation 305 structures en Maine et Loire les postes de financement 35 structures en Maine et Loire les secteurs d activit les plus demandeurs insertion et ducation populaire 90 et 10 du secteur m dico social Des l ments compl mentaires ou pr cisions sont apport s au public partir des changes et des questions e Demande d explication sur les 3 secteurs voqu s 10 concernant le social 90 pour l ducation populaire et l insertion Pr cision de Mr DELRUE intervention du FONDES sur l ensemble du champ associatif employeur y compris culture sport mais confirmation de deux pics pour l insertion et l ducation populaire Illustration compl mentaire de Mr PLE DDJS 49 e Jors d une fusion de deux clubs sportifs et d une mutualisation de la partie Activit s de trois CLHS en gestion associative sur la commune de Longu Jumelles appui apport pour re
129. ns avoir atteindre le niveau de structuration des associations autoris es La n cessit actuelle est de rechercher des outils ad quats partag s et volutifs entre Association et D partement Il faut galement pr ciser la notion de taille critique selon les champs d activit ainsi que la notion de concurrence Monsieur Gillet rappelle le contexte la probl matique et les enjeux La n cessit d une gestion rigoureuse et contr l e des fonds publics L interdiction de subvention de fonctionnement aux structures autoris es L volution importante du paysage des tablissements et services m dico sociaux La complexification globale du contexte L indispensable n cessit d accompagnement des b n voles responsables au sein des associations Enfin M Gillet appelle la prudence sur les termes tel celui de la concurrence notamment dans le champ de l insertion Les discussions font appara tre les attentes des associations sur le CPOM la formation et les ventuelles mutualisations dans le cadre du pilotage financier Int r t d un CPOM o Offre de perspective de visibilit sur les projets et les investissements o R flexion partag e association financeur o Engagement r ciproque _ Soutien de formation o Domaines budg taire et financier apparaissent essentiels o Il est souhait de pouvoir mutualiser les sessions de formation notamment en zone rurale o Des niveaux de fo
130. nsables des maisons de retraite se sont r unis dans un climat de confiance et un lan partag Ils ont mis en place des m thodes administratives et comptables communes pour d boucher sur un serveur informatique commun Cela fonctionne depuis un an et permet des conomies de moyens et une polyvalence des comptables par exemple et donc un gain pour les usagers Ce qui est important c est que chaque maison de retraite garde son identit tout en partageant ce qui est commun l ensemble des maisons de retraite Association Synergie L association a t cr e partir des besoins des partenaires sociaux cr ation d un poste de sociologue partag par les associations du pays segr en En plus des comp tences m tiers de l association celle ci a besoin de comp tences connexes dans le domaine juridique en gestion des salari s en comptabilit On ne peut pas tout demander aux b n voles Institut Mont clair Les pouvoirs publics imposent des dates butoirs pour la mise en conformit des infrastructures Face cette obligation l gale un partenariat s est cr avec la CAPEB le Conseil g n ral la Maison d partementale des personnes handicap es le comit local handicap la Ville d Angers pour informer et former des artisans des architectes et des bailleurs de fonds de nouvelles constructions respectant des normes d accessibilit Un comit de pilotage a assur le suivi de ce projet ADMR Les associations s
131. nt Il est essentiel de susciter des vocations pour renouveler le capital humain que sont les b n voles et pour cela la bonne sant ainsi qu un fonctionnement lisible des associations est indispensable Page 5 171 o Il convient de favoriser la mise en place de r seaux pour partager et capitaliser les bonnes pratiques Atelier n 3 Responsabilit des administrateurs b n voles clarification et changes La responsabilit quel cadre juridique quelles limites quels enjeux changes autour des pratiques quipe d animation par Odile Sampeur Directeur Enfance Famille v Jacqueline Branger Pr sidente AAPIJ Association pour l Action Pr ventive et l Insertion de la Jeunesse v Florence Moulinier Conseill re technique URIOPSS de la r gion des Pays de la Loire Union R gionale Interf d rale des uvres et Organismes Priv s Sanitaires et Sociaux v Jacques Renon Administrateur URIOPSS de la r gion des Pays de la Loire Union R gionale Interf d rale des uvres et Organismes Priv s Sanitaires et Sociaux v Andr Sall Consultant Soci t Accor Conseil Th mes abord s e La notion d engagement de l administrateur comment la d finir Quelles en sont les limites L importance des valeurs partag es et de la r flexion collective pour d finir une strat gie e Le cadre juridique de la responsabilit la notion d obligation de r ponse ses actes les diff rents types de responsabili
132. nt plusieurs points du discours de Mr BECHU sur l importance d un travail en transversalit en lien avec les axes strat giques et politiques de la collectivit d partementale du besoin de partenariat de la relation de confiance entre les partenaires des r ponses du secteur associatif sur les probl matiques des moyens de la mutualisation Il pr cise le but de cet atelier rep rer les personnes ressources au sens large tout type de ressources et conna tre de mani re plus pr cise les besoins et les manques mieux les identifier PLAN DE L ATELIER L atelier sera structur autour de trois interventions suivies apr s chacune d elle d un temps d changes avec les participants Les trois intervenants sont pr sent s COMPTE RENDU DE L ATELIER La pr sentation des aides et appuis possibles se d roule sur 3 niveaux successifs op rationnel f d ral et institutionnel 1 M DELRUE DIRECTEUR DU FONDES EXPOSE PARTIR D UN DIAPORAMA LE R LE ET LES ACTIONS DU FONDES Au sein du r seau France active le FONDES apporte diff rents appuis aux structures sociales et solidaires 800 accompagnements conseils financement pour 8 millions d uros Caisse des d p ts et consignations appui la cr ation d entreprise appui en termes de conseil via le dispositif local d accompagnement DLA appui conseil au d veloppement des projets des associations Page 79 171 expertise aupr s du monde associatif accompag
133. nts s ils ont des observations sur le compte rendu de la derni re r union du 20 01 09 Elle propose la validation de celui ci Le groupe ent rine cette proposition 2 Questionnaires R sultats partiels de l enqu te annex s de la page 145 17 Madame BARBIER propose de faire une lecture succincte des diff rentes fiches synth tiques r alis es l issue du d pouillement des questionnaires re us Elle informe le groupe que les r ponses sur le questionnaire ont apport des l ments qui vont au del du pilotage financier et ouvrent sur des pistes de r flexion pour la journ e des associations pr vue le 13 novembre 2009 En effet il serait int ressant d approfondir certains sujets Page 140 171 Les premiers r sultats ont t synth tiques et donc sans diff rencier les associations tarif es des autres Ce travail de synth se permet d avoir des pistes pour commencer travailler l laboration d un Guide de pilotage financier Mr Gillet pointe la probl matique des conventions collectives qui s imposent aux associations et g n rent des contraintes financi res Mr de Vienne rebondit en pr cisant qu partir de 2010 il y aura une inversion des modalit s de financement avec notamment la tarification par enveloppe Il pr cise que ce mode de financement d j en place pour la partie soins sera aussi appliqu pour l h bergement A partir de 2010 les conventions collectives ne seron
134. ociations qui entrent dans le champ d application de la loi du 02 01 2002 CASE Code de l Action Sociale et des Familles Les outils fondamentaux communs 4 1 Pr sentation des outils mod les basiques 4 2 Ab c daire Le cadre normalis sp cifique aux associations relevant du CASF 5 1 M thodologie pour identifier la derni re version du cadre normalis Les outils compl mentaires par secteur d activit 6 1 G n ralit s 6 2 Pluriannualit 6 3 Quelques exemples pour illustrer Les modes de financement 7 1 Les subventions pour les associations qui ne rel vent pas de la loi du 02 01 2002 CASF 7 2 Les subventions pour les associations relevant de la loi du 02 01 2002 7 3 Les dons les legs Ressources qui peut accompagner 8 1 Les services d concentr s de l tat et les Collectivit s Territoriales Conseil G n ral etc 8 2 Institutionnels F d rations Unions Syndicats d Employeurs Organismes bancaires Fondations 8 3 Les professionnels Avocats Conseils Commissaires aux comptes Experts comptables Notaires Publications sp cialis es des diff rents secteurs R pertoires ressources par typologie 9 1 Institutionnels 9 2 Professionnels Ordre des notaires Ordre des experts comptables Glossaire sigles Page 154 171 Animation Martine Barbier Prieur R daction Viviane Fouch Madame BARBIER PRIEUR Directeur CG Directio
135. on intitul la forme de questions Et si l on parlait de mutualisation Ou comment appr hendez vous la mutualisation Pour lancer les d bats il est possible de tenter une d finition ou plut t des d finitions tournant autour de deux id es cl s change et r ciprocit La mutualisation est un principe de fonctionnement qui favorise la mise en commun de moyens divers Elle a la pr tention de g n rer des b n fices r ciproques Elle sous tend une mise en synergie un partage un regroupement un rapprochement Elle sugg re aussi la f d ration la coop ration la fusion PR SENTATION DE L QUIPE D ANIMATION 2 animateurs Mme Christiane Allain Directeur insertion et habitat M Dany Thomas Responsable unit suivi des Ets la Direction enfance famille 2 rapporteurs M Yves Aguila Consultant Coop rative Aviso M Philippe Libeau Charg de mission DLA au Fondes 2 t moins associatifs M Fisher Directeur g n ral de la Sauvegarde 72 M Jean Presselin Administrateur chantier Jardin de cocagne lu M Jean Fran ois Bonsergent Conseiller g n ral PLAN DE L ATELIER 1 Faire parler la mutualisation ou qu est ce que la mutualisation 2 Vivre la mutualisation 3 Cerner rep rer les enjeux et les limites de la mutualisation Page 72 171 COMPTE RENDU DE L ATELIER 1 FAIRE PARLER DE LA MUTUALISATION OU QU EST CE QUE LA MUTUALISATION e Invitation jouer
136. on peut relever de plusieurs types Dupliquer adapter des outils existai changes entre les responsables b n voles associatifs et la tribune en cours de validation 1 Gouvernance associative Pilotage de l action Madame O Sampeur Directeur Enfance famille 2 Pilotage financier Madame M Barbier Prieur Directeur des solidarit s 3 Communication Madame C Allain Directeur Insertion et habitat Page 71 171 Synth ses largies des ateliers de l apr s midi accompagn es de leurs diaporamas 1 Mutualisation Madame C Allain Directeur insertion et habitat D VELOPPEMENT SOCIAL ET SOLIDARIT DIRECTION INSERTION ET HABITAT feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE R f rappeler CA HN Affaire suivie par C ALLAIN T l phone 02 41 18 80 52 T l copie 02 41 18 80 68 Angers le 25 janvier 2010 2 me journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du 13 novembre 2009 Atelier n 1 Mutualisation INTRODUCTION La mutualisation rev t les formes les plus diverses de la coop ration la fusion en passant par le regroupement L atelier n a pas pour objectif d apporter une information didactique Il est plut t une invitation au dialogue une r flexion commune ceci dans l objectif de rendre un meilleur service au public en difficult sachant que le champ concern est celui du social et m dico social Il est propos de rebaptiser l atelier et de donner s
137. onforter une bonne gouvernance associative Mieux conna tre le paysage associatif Mieux dialoguer avec les associations Se conna tre se reconna tre assurer des rencontres r guli res Situer le cadre juridique de l intervention de l association qui assure ou non une mission d int r t g n ral dans ce cadre les associations concourent une politique d partementale et les collectivit s territoriales ont int r t inscrire leur activit dans la dur e 00000 1 DOMAINE DE LA MISSION ET DE LA STRAT GIE DE L ASSOCIATION La question de la gouvernance associative et l volution vers une entreprise associative Les technicit s de plus en plus pointues de l action ne permettent pas d assurer un pilotage efficace de l action Il faut donc r fl chir aux modalit s qui vont permettre de s orienter vers une bonne gouvernance du projet viter l isolement dans un contexte difficile Page 118 171 Sur ces points r le essentiel du Conseil g n ral pour assurer une dynamique d un r seau ressources sur lequel s appuyer Peut avoir un r le de veille mais doit aussi tre respectueux de l autonomie de l association o Quelle d finition du partenariat et quelle cons quence pour la gouvernance associative on est ensemble jusqu o Cette question est essentielle dans le cadre de la gouvernance associative elle fait obligatoirement appel un partenariat diff renci o Quelle articulation politique d partementale quil
138. poids l association a t elle face des besoins exprim s On peut tre partenaire dans une d marche politique mais pas dans une d marche financi re Il y a des contraintes un cadre le partenariat est il truqu d s quilibr Les associations ont le sentiment d tre partenaires dans un m me champ mais pas galit QUESTIONNAIRE DGA DSS Page 166 171 Les r ponses aux questionnaires tablies par les services de la DGA DSS seront exploit es dans un second temps Elargissement du questionnement aux autres associations Il est d cid que ce document ne sera pas envoy toutes les associations du secteur m dico social car l exploitation serait trop difficile g rer IV CREATION D OUTILS Les membres du groupe s interrogent quels outils va t on mettre en place et comment les inscrire dans le quotidien ex forum s minaire Les associations ressentent le besoin d une journ e de travail sur l conomie solidaire En effet elles pensent tre dans le collimateur de Bruxelles Tous les pays europ ens ne d veloppent pas de fa on aussi intense le statut associatif Elles expriment leur crainte le Conseil g n ral continuera t 1l dans l avenir soutenir le monde associatif Pour la pr sentation de leurs projets d action les associations souhaiteraient l laboration d un dossier unique Le Conseil g n ral pourrait tre leader mais ne pourra pas d cid sans concertation avec les autres finance
139. pose d illustrer l laboration du guide et son contenu sous forme de pr sentation synth tique des travaux des 3 sous groupes de travail responsabilit s outils de pilotage volutions constat es Cette proposition est jug e int ressante 1l reste voir comment l organiser en fonction des productions r alis es La restitution et le bilan des travaux des sous groupes de travail les productions cf dossier joint Les responsabilit s Messieurs Quemener et Zitte Ma tre Fouquet en tant que consultant b n vole Mme Fouch soutien technique le sous groupe n a pas fonctionn comme pr vu il est propos de reprendre de fa on collective le document de travail de base et d apporter d ventuels compl ments ou restructuration Mme Barbier souhaite recomposer un sous groupe auquel elle se joindra pour retravailler le sujet pr voir 1 ou 2 temps de rencontre et finaliser cette partie th matique pour le d but 2010 Messieurs Bioteau et Quemener sont d accord pour apporter leur contribution dans le cadre d un prochain temps de travail Les outils de pilotage Messieurs Bioteau Viel et Thomas Mme de Saint Pern la r daction est aboutie pr sentation synth tique des diff rents outils qui seront compl t s par des outils visuels Les volutions constat es Messieurs de Vienne et Fribault Mesdames Bouvet et Verdier cette partie identifie galement les difficult s dues ces volutions juridiques fr quentes et r guli res
140. pour cela alors que par ailleurs on aurait besoin de d gager du temps pour faire de la pr vention sur un certain nombre de situations familiales De la m me mani re 1l faut que nous nous interrogions je pense toujours l aide sociale l enfance par rapport aux structures que nous aidons pour tre certains que les travailleurs sociaux que nous finan ons l int rieur des foyers ou l int rieur des tablissements n ont pas une part de travail administratif qui consiste rendre compte nos propres travailleurs sociaux qui fini par tre tellement importante qu elles justifient de part et d autre une part de temps qui pourrait tre consacr e au c ur de la mission qui est le suivi et d accompagnement des enfants L il y a clairement en termes de mutualisation des champs dont je n exclue pas la collectivit D partementale et qui suppose que grandisse la confiance entre les partenaires que j voquais tout l heure Mesdames et Messieurs je ne serai pas plus long parce que je ne vais pas transformer cette introduction en conclusion de ce que pourrait tre la somme de ce qui va se dire aujourd hui Je veux simplement vous faire part ici et maintenant de l attente qui est la mienne l amorce de cette journ e L attente qui est la mienne c est que les temps d changes que vous allez avoir travers les ateliers de cet apr s midi soient des temps qui soient le plus utile possible et dans le
141. pr senter la journ e d partementale du 13 novembre prochain Le guide serait mis en ligne en 2010 Lors de la r union du 20 avril prochain le comit de suivi r unissant les responsables des 3 groupes de travail fera le point sur l avanc e des travaux Mr Bioteau souhaite qu en d but de guide dans une premi re partie soit rappel le cadre l gal et le r le des organes dirigeants particuli rement leurs responsabilit s et notamment sur le plan financier Lorsque l bauche du guide sera faite 1l propose de le soumettre en premi re lecture une personne novice afin d obtenir ses r actions compr hension et ressenti Il est propos d int grer dans un seul guide l ensemble des th mes inclure donc galement la gouvernance et la communication Mme de Saint Pern ajoute qu il faudrait pouvoir apporter des exemples concrets Mr Bioteau propose de fournir des outils Excel simples et d mat rialis s dont des supports comptables pour tablir un budget un compte de r sultat Mr de Vienne sugg re d tablir un tronc commun toutes les associations avant d ventuellement diff rencier le pilotage des associations tarif es de celles non tarif es Cependant 1l en pr cise la limite car le cadre normalis change tous les 6 mois ce qui entrainerait l actualisation du guide chaque changement Il est donc propos de renvoyer aux textes fondateurs par un syst me de liens amenant ainsi une mise jour automatique
142. quant la pr paration du renouvellement des b n voles et au partage des responsabilit s la mutualisation les groupements voire les fusions Il appara t au terme des discussions que 60 actuellement des associations disent pouvoir assumer leurs missions sans besoin d appui particulier Le recours au FONDES et ou dispositif DLA est vraisemblablement sous utilis Le besoin d appui soulign n est pas n cessairement financier mais souvent concerne des aspects techniques outils d analyse A propos du d veloppement du projet associatif les outils existent mais auraient besoin d tre mieux connus pour que les associations se les approprient Il est essentiel de susciter des vocations pour renouveler le capital humain que sont les b n voles et pour cela la bonne sant ainsi qu un fonctionnement lisible des associations est indispensable Il convient de favoriser la mise en place de r seaux pour partager et capitaliser les bonnes pratiques Page 83 171 Conseil G n ral du Maine et Loire Th tre Foirail Chemill Vendredi 13 Novembre 2009 2 me Journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du secteur Social et ou M dico social l Europe O FONDES PAYS DE LA LOIRE SE DAS FINANCEUR SOLIDAIRE POUR L EMPLOI Page 84 171 Atelier n 2 Quelles ressources possibles quels appuis dans l exercice de responsable associatif FONDES Pays de la Loire Pr senta
143. que le directeur et son Pr sident Les associations attendent des lus qu ils expliquent la politique d partementale o va ton que fait on Demande des associations avoir des analyses partag es et crois es d autres moments En effet les associations ont l impression d aller plus vite que le Conseil g n ral et de mener des analyses parall les Comment mener ces analyses Quelles strat gies de communication Le Conseil g n ral demande galement la participation des associations ex sch mas d partementaux Les d cisions nationales ont des incidences sur l action et le budget du D partement ex d centralisation Il serait int ressant de partager une r flexion sur la dimension politique et les marges de man uvre Partenariat Une d finition du partenariat est sugg r e les partenaires sont des personnes diff rentes avec des r les diff rents mais avec des objectifs communs du moins en th orie Etre partenaires c est tre force de propositions apporter des solutions d battre ensemble et mettre en place une solution quilibr e adapt e C est aussi venir avec des projets pour amorcer les n gociations Le partenariat financier avec le Conseil g n ral Comment passe t on d un r le d op rateur un r le de partenaire Peut on faire vivre un partenariat avec un financeur Quelle est l ad quation entre l action de l association et le budget demand Quel
144. queline Branger Pr sidente APIJ Mme Marie France Dauneau Vice Pr sidente AAPAI Mme Colette Mandret Pr sidente ADAPEI Mme Odile Sampeur Directrice Enfance Famille M Iquel consultant la direction prospective et modernisation du Conseil g n ral a propos un travail de synth se permettant de rep rer dans nos d bats ce qui est du domaine de la gouvernance associative et de celui du pilotage de l action cf pi ce jointe partir de ce raisonnement Mme Loiti re et Mme Sampeur proposent de structurer le travail de cette fa on pour laisser des traces communicables de ces d bats qui seraient aussi utiles chaque association quelle que soit sa taille Trois axes pour chaque th me de la r flexion e D finition du point voqu ce qu est la strat gie d une association un projet e quel chemin prendre pour y parvenir comment arriver une vie d mocratique de l association rep rer la place de chacun dans le travail e Quels sont les points de vigilance rappeler la question par exemple de la disponibilit des administrateurs en pi ce jointe cf pour les deux th mes les questions voqu es Afin que cette r daction soit au plus pr s des pr occupations de l association 1l est propos que ce soit des membres des associations qui r digent chaque fiche gt Gouvernance associative Strat gie de l association solliciter M Versill place du Pr sident et processus de d
145. r la responsabilit du dirigeant lien de causalit entre la faute et le dommage La responsabilit est de plein droit Responsabilit civile C est l association qui est responsable civilement des actes Chaque membre du bureau une responsabilit c est pourquoi il faut revoir r guli rement les statuts au regard de l volution de l association Responsabilit civile personnel du dirigeant l gard de l association Quand il commet des fautes dans sa gestion Quand 1l ne respecte pas les missions r dig es dans les statuts Quand il n ex cute pas la totalit de sa mission Quand il va au del de son mandat Le mandat est titre gratuit en g n ral Responsabilit civile personnel du dirigeant l gard des membres ou des tiers C est l association qui est responsable Responsabilit p nale sanction principe de la l galit des peines nul n est responsable que de son propre fait l association est responsable des infractions commises pour son compte par ses repr sentants Page 107 171 Anticiper De nombreux moyens permettent d anticiper Etre assidu aux conseils d administration notifier les d saccords sur proc s verbal revoir les statuts et r glement int rieur Souscrire une assurance responsabilit civile Les 4 moyens du dirigeant clarifier les missions et les moyens du personnel poss der un organigramme clair et des fiches de poste pr cises avoir une autori
146. r un r le technique pointu gestionnaire expert dans les projets qui la lie au D partement Page 161 171 IMI MISE EN COMMUN DES ATTENTES ET DES POINTS DE VUE QI Attentes exprim es en mati re de communication gt Clarifier les politiques gt Apporter de la transparence gt Animer le partenariat gt Rep rer les bons interlocuteurs politique ou technicien la responsabilit les comp tences le r le de chacun gt Pouvoir changer librement IV PLAN DE TRAVAIL METHODES CALENDRIER La prochaine r union sera consacr e l analyse des modes de communication existants des am liorations apporter et des nouveaux outils cr er QI Calendrier des prochaines r unions gt Vendredi 16 janvier 2009 14 H 00 gt Vendredi 13 mars 2009 14 H 00 QI Production attendue des membres pour la prochaine r union gt Rep rer les modes de communication existants associations Conseil g n ral Collecter tous les outils de communication existants voir tableau ci joint D R fl chir aux liens entre les associations tarif es et celles qui ne le sont pas dans la perspective de nouveaux outils de communication Quel est le d nominateur commun partag par tous V CONSTITUTION DU COMITE DE SUIVI Le groupe de travail a d sign le r f rent associatif qui participera au comit de suivi compos ainsi lu M Jean Fran ois Bonsergent Conseiller g n ral Cadre r f rent Conseil g n
147. rmation diff rents doivent permettre chacun d acqu rir les connaissances o Il pourrait s envisager que des membres de CA sp cialistes dans le domaine financier se mettent disposition pour une ou pour d autres associations Pour M de Vienne le CPOM constitue un engagement cibl dans un cadre constructif et coop ratif La Formation doit tre adapt e au plus pr s des besoins La composition du conseil d administration est d importance en raison de la nature des comp tences qu il r unit M Gillet pr cise que les demandes de subventions vers les associations sont l objet d une proc dure normalis e Le Conseil G n ral envisage d int grer un outil informatique de traitement des demandes et qu terme elles soient d mat rialis es Page 133 171 Les repr sentants des associations s accordent sur L utilit majeure d un guide d accompagnement vers de bonnes pratiques pr vu au final de cette d marche un des principaux objectifs Il est aussi important de parler le m me langage La planification des projets sur 3 5 ans est int ressante pour d velopper mettre en uvre et valuer les projets des associations en partenariat avec les partenaires financeurs Puis ils voquent Les probl mes de o Formation informatique des Administrateurs B n voles o Renouvellement recrutement des b n voles d association notion de comp tence et de responsabilit malgr les dynamiques associ
148. rmer la posture d op rateuir partenaire Comment apporter une plus value Valoriser les actions du Conseil g n ral et des associations Communiquer sur les moyens de communication qui Sont peu ou pas connus DGA DSS DIH Sch ma global du D partement guides plaquettes revues Conf rences de presse Newsletter gt Rapports R unions partenariales Engu tes questionnaires Ateliers gt Colloques e S minaires Forums Groupe de travail n 3 Communication Page 167 171 Mars 2009 COMPTE RENDU REUNION GROUPE DE TRAVAIL n 3 COMMUNICATION Vendredi 13 mars 2009 Etaient pr sents M Jean Fran ois Bonsergent Conseiller g n ral Mme Michelle Moreau Secr taire g n rale Abri de la Providence M Jean Paul Guezennec Secr taire g n ral F d ration des a n s ruraux d Anjou Mme Chantal Lesvesque Vice pr sidente H pital Maison de retraite Chaudron en Mauges M Alain Corvaisier administrateur association Les Tourelles M Raymond Chazal Pr sident AFTMJ Mme Claudine Nollet tr sori re Association M diation 49 M Marcel Lebreton Pr sident association fran aise d information et d aide aux stomis s d Anjou M Rapha l Barbot Pr sident FNATH du Maine et Loire et de la Mayenne M Andr Dormeau Pr sident UNA 49 M Jean Presselin Pr sident Le Jardin de cocagne angevin Mme Sabine Masson Vice pr sidente ADAPEI 49
149. rons ainsi l un des premiers sch mas unique d organisation m dico sociale au niveau national labor de cette fa on l Dans le projet Anjou 2014 projet global du Conseil g n ral nous avions retenu 6 priorit s et l une de ces priorit s s appelle Pour des solidarit s toujours plus actives En effet l action sociale est le c ur des cibles de l action d partementale Elle doit s envisager globalement travers tous les territoires et les populations Il s agit encore une fois de r pondre des exigences d efficacit sans rien renier de nos valeurs communes Nous allons donc continuer travailler avec vous si vous le voulez bien pour finaliser les outils parce que l on vous l a dit en d cembre prochain puis au printemps le Conseil g n ral vous offrira les outils qui n ont pas encore t finalis s Merci tous les organisateurs associatifs et Conseil g n ral merci tous les machinistes j allais presque dire les metteurs en sc ne merci au Journaliste qui a assur le fil rouge merci galement la ville de Chemill qui a la chance de poss der cet ensemble extr mement esth tique d abord pratique ensuite Je remercie l adjointe au maire de Chemill qui est l Monsieur Mignard tant absent actuellement mais la ville de Chemill nous offre le vin d honneur auquel nous vous convions dans quelques instants Merci tous et je n en doute pas que nous nous retrouverons d
150. rouver un tablissement priv 1l faut changer de d partement Il est r pondu que des outils techniques existent pour travailler c est un peu compliqu techniquement mais ce n est pas le lieu pour en discuter Le fait d anticiper permettra de trouver une solution Page 75 171 M Libeau du Fond s explique que le dispositif local d accompagnement permet d accompagner les structures dans leurs d marches de mutualisation de fusion et d apporter la technicit sur ces dispositifs La mutualisation rapprochement fusion n est pas une fin en soi mais une r ponse des besoins des attentes et permet le d veloppement de projets de structures quelque soit le secteur L usager est aussi moteur de la mutualisation CONCLUSION Les deux rapporteurs font part de leurs observations et croisent leurs points de vue Page 76 171 SYNTH SE DE L ENSEMBLE DES EXP RIENCES PR SENT ES 1 DANS QUELS CAS CELA TIENT IL DE LA VOIE COMMUNE DE L OFFRE COMMUNE DE SERVICES PARTAG S Voie commune porter des probl mes avoir des lieux d expression Offre commune pour un territoire ou au profit des usagers Am lioration des parcours propos s en renfor ant les liens entre un lieu d accueil de jeunes en errance et la mission locale Mutualisation de comportement avec Couleur du temps et une approche interg n rationnelle Am lioration de l offre propos e lorsque s associent des structures d accompagnement de l h
151. rs le mercredi 9 septembre de 14 30 17H30 nous y aborderons l ordre du jour suivant contenu des annexes preparation de la journ e du 13 novembre contenu et modalit s de l intervention du groupe eventuel power point je vous prie d excuser la presentation de ce courriel mais je suis en conges ce soir et ai souhait Vous transmettre le contenu de nos echanges avant mon depart en vacances nous nous retrouvons donc le 9 septembre en attendant joyeux Ete a tous bien cordialement R ponse ou transfert de la part de Odile SAMPEUR i Message d origine De Jacqueline BRANGER mailto jacqueline branger ac nantes fr Envoy lundi 29 juin 2009 17 42 sampeur odile Objet TR fichiers CG Fichiers Page 123 171 LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE 1 DEFINITION D FINITION ASPECT TH ORIQUE La gouvernance associative est un ensemble de bons comportements permettant aux dirigeants d organismes sans but lucratif de s appuyer sur des organisations efficaces et lisibles pour exercer sereinement leur fonction Le concept de gouvernance associative tourne autour de trois concepts quilibre des pouvoirs et leur contr le valuation et la pr vention des risques la transparence et la responsabilit des acteurs Chaque membre de l association doit pouvoir savoir comment les dirigeants qu ils ont lus gouvernent effectivement l organisme Fran ois JEGARD LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE
152. s dans le cadre du maintien domicile quel que soit leur situation et la porte d entr e sociale avec laquelle ils entrent en contact avec la collectivit quelle que soit cette porte d entr e nous assistons cette l vation du niveau de demande d aide sociale sur le plan d partemental Le deuxi me point commun C est ce sentiment de la part de la quasi totalit des professionnels qu il faudrait que l on soit en capacit de faire plus Je n en connais pas un seul d entre vous qui soit venu me voir dans mon bureau au cours de ces derni res ann es pour me dire Pr sident on a trop d argent et on pense qu on en fait trop dans notre secteur et il serait sans doute souhaitable que l on pense r duire la voilure Je vais tre clair avec vous Nous n aurons pas la capacit pour les ann es qui viennent d augmenter les budgets aux rythmes consolid s de l ensemble de vos demandes Non seulement nous n aurons pas cette capacit mais nous n aurons sans doute pas si les choses restent en l tat la capacit augmenter pour l avenir nos d penses sociales d un montant comparable celui que nous avons augment par le pass Cela veut dire que dans ce contexte le th me de la mutualisation qui a t voqu est un th me extr mement important Cette mutualisation ne commence pas entre vous elle commence entre vous et nous et Je suis le premier avoir des interrogations sur le fait de savoir
153. s la conduite du changement et dans les conflits e Interpeller les pouvoirs publics e Apporter un appui Juridique e Animer des commissions r gionales et d partementales e Organiser des journ es d tudes Des limites au regard de la libert associative de l application du principe de subsidiarit de sa capacit limit e concr tiser en permanence l Union des volutions des politiques publiques Des l ments compl mentaires ou pr cisions sont apport s au public partir des changes et des questions Question de la concurrence il est soulign la l gislation des services sociaux d int r t g n ral SSIG directive Bercy exclusion des SSIG circulaire pour rendre euro compatible la notion de subvention Les collectivit s territoriales ne sont pas forc ment contraintes passer un march public Il est demand quelle repr sentation des organismes par l URIOPPS secteur non lucratif associations fondations 3 M PL DIRECTEUR D PARTEMENTAL DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS 49 PR SENTE PARTIR D UN SUPPORT DIAPORAMA LA D L GATION D PARTEMENTALE LA VIE ASSOCIATIVE MISSION D ACCUEIL ET D INFORMATION DES ASSOCIATIONS MAIA Une nouvelle organisation se met en place compter du 1 janvier 2010 la DDJS int gre la Direction d partementale de la coh sion sociale DDCS qui a vocation regrouper le p le social de l ex DDASS 49 une partie des services de la Pr fecture Droit des femmes politiq
154. s riches de cette journ e pour capitaliser les exp riences et favoriser la mise en place de r seaux Il mettra en perspective une nouvelle journ e pour l ann e 2011 prenant en compte les changes du 13 11 09 et des volutions qui marqueront l ann e 2010 sch ma unique d organisation sociale et m dicosociale volution de l environnement l gislatif et r glementaire Discours d ouverture de Monsieur Christophe B chu 2e journ e d partementale des responsables b n voles associatifs du secteur social et m dico social Vendredi 13 novembre 2009 Th tre Foirail Chemill Page 6 171 Bonjour Mesdames et Messieurs j aimerais saluer mes coll gues Conseillers g n raux et vous saluer vous toutes et vous tous responsables b n voles associatifs du secteur social et du secteur m dico social Je vous accueille ce matin avec plaisir et je vais m autoriser m affranchir du discours certainement tr s bien qui m avait t pr par mais qui m emp cherait la spontan it avec laquelle je souhaite vous parler ce matin Nous nous tions retrouv s en novembre 2007 il y a deux ans il me semble que c tait dans un amphith tre de l Universit Catholique de l Ouest pour la premi re journ e des responsables b n voles associatifs qui avait t consacr e un moment d changes entre nous et avec un objectif qui tait de pouvoir faire en sorte d embrasser d un seul regard et de rasse
155. s territoires Propositions m Mise en place de commissions et un conseil des sages pour pr venir les difficult s Rencontre d information et d change entre dirigeants des associations lus et Pr fecture concernant la politique m dico sociale et son d ploiement sur les territoires Moyens en personnel ad quats Difficult s de recrutement de b n voles E Comp tences exig es parfois difficiles trouver m Manque de disponibilit Propositions m Prendre son b ton de p lerin Bien communiquer sur l association Avoir un lieu pour faire conna tre ses besoins Favoriser les rencontres avec les groupements de cadres retrait s proposant leurs comp tences aux associations Page 149 171 Direction Insertion Habitat 27 questionnaires analys s au 10 mars 2009 Difficult s relev es en mati re de pilotage financier Montant des subventions allou es incertain gt difficult s pour piloter les projets et le budget m Versement tardif des subventions occasionnant des probl mes de tr sorerie Enveloppe forfaitaire alors que les frais de structure voluent Pas de financement r gional pour la formation des salari s en insertion Peu de marge de man uvre au mieux exercice quilibr Difficult en mati re de revalorisation car flux de travail non maf trisable Disparit des dossiers et crit res propres chaque financeur Concurrence au sein du milieu associatif et dans le secteur
156. squels vous ne retenez pas pour vous ce avec quoi vous tes arriv s ce matin 1c1 Chemill Parce que si nous voulons que ce soit une journ e utile 1l faut que la parole soit libre que le maximum de choses puisse se dire de mani re ce que cela constitue r ellement le d but de la plateforme partir de laquelle nous pourrons b tir ce sch ma d partemental unique Et c est cet exercice de libert de paroles et d expression que je vous attends et je le vois comme la 1 tape de ce chemin qui va nous permettre la fois de refonder notre partenariat et d avancer avec cet objectif de confiance pour am liorer les services et pour pouvoir le faire dans des co ts que nous devons tre capables de ma triser Page 9 171 Mesdames et Messieurs merci de votre attention et bonne journ e de travail vos tous Page 10 171 Pr sentation des diff rentes interventions du matin synth ses Gouvernance associative Pilotage de l action Pilotage financier et Communication L avenir pousse en Anjou www cg49 f IF om 13 novembre 2009 Th tre Foirail de Chemill A f Cu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 11 171 L avenir pousse en Anjou www cg49 f fF M Christophe B CHU Pr sident du Conseil g n ral LA 8 la Cu CONSEIL G N RAL D MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f IF Da 022 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou
157. ssion pour trouver des solutions adapt es ma triser sa pratique de communication 4 tapes cl s avant de trouver une solution analyser la situation rechercher plusieurs hypoth ses de solutions d cider mettre en uvre re 2 1 tape analyser pour comprendre Quels l ments J ai besoin pour comprendre 2 tape L analyse doit nous aider trouver les bonnes solutions 3 tape Un changement se programme sur plusieurs jours Il faut d cider des hypoth ses fixer des priorit s et expliquer ce qu on va faire Les diff rents points voqu s pendant la discussion e La visibilit des financements la notion de budget pr visionnel de budget autoris La question de l affectation des r sultats e Le renouvellement du conseil d administration l id e est mise de pr parer son d part d s le d but de son mandat et penser son remplacement une certaine ouverture sur les comp tences r fl chir la notion d ge et celle de la dur e de mandat l id e de responsabilit de l administrateur parfois v cue comme repoussoir Etre l coute des possibilit s et des limites de chacun Avoir une bonne connaissance du cadre juridique et de sa complexit peut tre une piste Le r le essentiel du Conseil d administration un travail de r flexion collective indispensable pour une bonne guidence de l association les diff rents leviers pour agir en cas de diffi
158. ssociation et du sens g n ral de ce qui est attendu Sur un avis technique mais qui doit tre cadr Sur une r vision r guli re des pratiques de l association m me quand le r le de chacun a t formalis la bonne gouvernance commence par un affichage clair et sans ambigu t une transparence notamment des statuts du r glement int rieur des rapports d activit et des comptes de l association Etre ins r dans le fonctionnement de la ou les collectivit s territoriales communes communaut s de communes pays et y tre identifi comme un acteur social utile Les propositions soumises par la direction au bureau de l association sont d battues en confiance Elles ne sont pas forcement compl tement d velopp es et peuvent faire l objet d options galement d battues Une proposition non retenue ou modifi e n est pas un acte n gatif remettant en cause la pertinence de jugement ou m me la comp tence de l quipe de direction mais l gitime l angle de vision diff rent qu apportent les dirigeants b n voles Le bureau peut galement mettre en vidence une faiblesse d argumentaire sur un aspect de la proposition celui ci devra tre retravaill par l quipe de direction Pour certains sujets importants un groupe de travail transversal incluant membres du bureau et salari s peut tre constitu les r sultats de ses travaux seront d battus en bureau Page 125 171 La proposition une
159. struction de r ponses plus solidaires au plus pr s du besoin du public Des recommandations sont faites gt Il faut savoir anticiper une fusion gt Une d construction est n cessaire pour se poser les bonnes questions AIM Beaupreau Deux associations sur un m me territoire identifi autour des Mauges avec les m mes difficult s le m me historique les m mes habitudes de fonctionnement ont d cid de coop rer puis de se regrouper Apr s un an de r flexion elles ont d cid de fusionner en 2006 avec pour m me objectif l insertion des personnes en difficult C est une r ussite proximit du public pour chacune fonctionnement am lior points d accueil suppl mentaires regroupement des b n voles 3 CERNER REP RER LES ENJEUX ET LES LIMITES DE LA MUTUALISATION Dans le d partement d autres exemples attestent de cette r flexion Maisons de retraite de la Pommeraye et de Chalonnes Ces deux maisons de retraite ont fusionn pour des raisons conomiques Maisons de retraite de Vihiers et de Chemill La Direction de ces deux maisons puis les formations du personnel ont t mutualis es Devant ce succ s une cuisine et une buanderie ainsi que la gestion du remplacement du personnel ont t mises en commun Fusion de 3 communes Vihiers et 2 petites communes 30 ans ont t n cessaires pour laisser le temps de la r flexion de la connaissance de l adaptation pour ne plus s accrocher l
160. t civile p nale e Un exemple concret de la mise en uvre de la responsabilit du Pr sident d une association et de son conseil d administration pistes d organisation comment parvenir un travail de r flexion collective anticiper et organiser le recrutement d un administrateur e Enfin les leviers possibles en cas de difficult s Prendre toujours le temps de la r flexion avant d aller la solution tre vigilant sur sa place d administrateur Synth se et propositions Un d bat riche o plusieurs points ont t retenus e l importance de la visibilit des financements pour pouvoir d finir une strat gie s re et pouvoir gouverner e penser tr s l avance tous les points de renouvellement d un Conseil d administration quasiment d s l arriv e de l administrateur garder une ouverture d esprit prioriser la comp tence la dur e de mandat plut t que l ge le r le pivot essentiel du Conseil d administration le d bat indispensable avant de prendre une d cision une vigilance pour suivre les volutions du paysage associatif fusion mutualisation Les prolongements de la journ e Outre la poursuite et la consolidation des travaux engag s par les groupes partenariaux laboration d un guide Gouvernance associative et Pilotage financier mis en ligne sur le site internet du Conseil g n ral www cg49 fr le comit de suivi Conseil g n ral Associations se saisira des change
161. t suffisante avoir des comp tences n cessaires 4 ECHANGE a t il un ge limite pour tre administrateur Non Qu est ce qu un registre Un livre num rot o sont inscrites toutes les d cisions du CA Question sur la dur e des mandats Pour l ADMR un mandat se limite 12 ans de fa on cons cutive ou non Avez vous constat une baisse des vocations face toutes ces responsabilit s Non pour l URIOPSS ou pour l APIJ La responsabilit sur le plan hygi ne et s curit est elle la m me que dans une entreprise Oui le droit du travail est le m me pour tous 5 TENSIONS DANS LES ORGANISATIONS Diff rents types de situations risques au niveau des conditions de travail les relations conflictuelles les projets de fusion les changements non mis en uvre les d parts non pr par s administrateurs salari s Les tensions peuvent tre li es aux changements dans l organisation du travail aux exigences du salari aux contraintes du travail aux relations et ou comportements Les structures associatives sont plus complexes qu une entreprise les organisations sont complexes le changement dans la structure est difficile conduire du fait de la multiplicit des acteurs il n y a pas d organisation id ale Page 108 171 Points de vigilance viter de nier les situations viter d aller directement aux solutions prendre toujours le temps de la discu
162. t on peut essayer de d cliner plus pr cis ment le domaine RH qui pose majoritairement souci quelle que soit l chelle de l association Quelques questions concr tes se poser pour se rep rer dans le cadre Le niveau de d l gation lors de l embauche c est souvent l identit du pr sident qui figure sur le contrat de travail Sur ce point il est garant de l objet des valeurs de l identit associative qui doit avoir un sens pour le salari La comp tence de la personne sa technicit doit aussi tre v rifi e Ce n est pas la plupart du temps au conseil d administration que ce point est pos Pourtant parfois ce niveau de comp tence est aussi n cessaire pour des associations de petite taille on peut alors s appuyer sur une fiche de poste ou d un r f rentiel m tier A ce niveau peut tre voqu la formation des administrateurs probl me difficile car 1l impose une disponibilit que certains ne peuvent avoir d o l id e que la gouvernance d une association doit pouvoir s appuyer sur un lieu ressources lors de cet change nous faisons le constat que certains lieux existent sur le d partement et que la majorit des participants ne connaissent pas d o l id e d un lieu internet o toutes ces adresses sont r pertori es et actualis es Page 119 171 2 DOMAINE DE L VALUATION DE LA PRESTATION Dans cette question revient la question du statut de l association reconnue ou non d utilit publiqu
163. t plus opposables Le mode de financement sera calcul en fonction de certains crit res et les tablissements devront s adapter d o l int r t de la pluriannualit des financements Mr Gillet ajoute que les structures risquent d tre plus en difficult s car les subventions seront attribu es sous forme d enveloppes dans un avenir proche comme pour la tarification en dotations globales Il constate galement une forte pression des services de l tat pour pousser vers des regroupements fusions d associations par activit s maisons de retraite associations du secteur handicap fusion entre associations de m me secteur Si ces rapprochements sont le plus souvent souhaitables et leurs r sultats positifs il faut veiller ne pas se retrouver en face d associations tentaculaires Mr Fribault ajoute qu il faut favoriser le regroupement pour tre plus viable localement D ailleurs selon lui le mieux serait d anticiper ces regroupements avant de se faire absorber par des groupements nationaux cela arrive en cas de difficult s au sein de l association Mr Gillet pense que les associations perdraient leurs mes si l esprit associatif n tait plus respect dans les regroupements c est pour cela qu il est effectivement essentiel d anticiper Il ne faut pas d empilement de structures car le but est d all ger non pas de l alourdir Il pointe le probl me actuel du d sengagement de l tat qui annonce une di
164. tablissement E Diagnostic et strat gie financi re Page 148 171 Plan de financement Budget de tr sorerie CPOM change d exp riences entre tr sorier et pr sident m Outils de gestion des tablissements sociaux et m dico sociaux Statistiques financi res comparatives Atelier Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier Information sur les besoins en cr ation de places d accueil dans le d partement Guide Pilotage financier th mes propos s Bilan financier Capacit d autofinancement et d investissement Taux de v tust des immobilisations Principe de maintien des ressources de l tablissement Rappels juridiques en lien ave le pilotage financier m Quel partenariat entre association et financeur Pilotage financier en coh rence avec le projet associatif m R f rentiel et guide d auto valuation Documents financiers grands principes d laboration E Proc dure contradictoire avec le Conseil g n ral Avantages et inconv nients des CPOM Guide Pilotage financier th mes propos s sortant du champ du pilotage financier Politique de l tat et du Conseil g n ral dans le secteur consid r m Gouvernance des associations obligations et responsabilit s des administrateurs Difficult s de la responsabilit employeur Probl me de lisibilit et d information concernant les sch mas et les programmations d quipements 3 5 ans sur le
165. tif de volume d organisation de ressources de fonctionnement de proc dures de modes op ratoires et en rendre compte aux parties prenantes commanditaires agents impliqu s dans la r alisation partenaires destinataires COMMENT Y PARVENIR Les diff rentes dimensions du pilotage Le pilotage engage la d clinaison op rationnelle du projet associatif Il int gre les phases suivantes conception de l action mise en uvre des actions valuation des actions et compte rendu de l action POINT DE VIGILANCE L ensemble du cadre op rationnelle doit tre construit en amont de l action Les dimensions sociales mais aussi partenariales et budg taires doivent faire l objet des m mes modes de pilotage conception crit res de suivi et d valuation mise en uvre et compte rendu Il est important de d finir les rythmes de l action dans le temps et les rythmes d valuations interm diaires permettant de v rifier de l avancement des actions Ne pas oublier les indicateurs de d ploiement interm diaires des actions car ils permettent d actualiser le pilotage de l action le cas ch ant Il est essentiel d avoir construit un r f rentiel des r les et missions des acteurs du projet Page 128 171 IL LE PROJET D FINITION COMMENT Y PARVENIR POINT DE VIGILANCE De la conception l action Construire l action et son cadre de r f rence Cette premi re phase est essentielle elle
166. tion Repr sentant de France Active en Pays de la Loire Au service de l emploi local par l appui la cr ation d entreprises par l appui aux structures sociales et solidaires L appui sp cifique aux structures sociales et solidaires 800 accompagnements conseils et financiers 15000 emplois dans les structures accompagn es 8 millions d euros mobilis s O FONDES PAYS DE LA LOIRE FINANCEUR SOLIDAIRE POUR L EMPLOI Page 85 171 FONDES Pays de la Loire Les apports aux structures sociales et solidaires Des appuis au conseil centr s sur le c ur de m tier appui au projet associatif appui l organisation de l activit collat raux au c ur de m tier appui la fonction employeur appui aux montages juridiques Des appuis financiers au cycle de l activit financement de la tr sorerie du projet financement des investissements associatifs en parall le de l activit m diations bancaires tours de tables financiers C ENDES PIG DEAL Page 86 171 FONDES Pays de la Loire Constats et limites sur l appui aux structures sociales et solidaires En Maine et Loire 305 structures Les grandes attentes en conseil La tendance le conseil en consolidation Strat gie de Projet associatif Pilotage du projet Comptabilit Fonction employeur consolidation Les grands postes de financement La tendance le financement du d veloppement En Maine et
167. tructuration de la partie 3 3 1 Les outils fondamentaux communs aux 2 cat gories ce dont l association ne peut se passer outils comptables et financiers incontournables obligatoires compte de r sultat bilan et annexes indispensables budget pr visionnel suivi du budget Page 155 171 conseill s plan de tr sorerie 3 2 Les outils sp cifiques compl mentaires aux associations ne g rant pas d tablissements ou services entrant dans le champ d application de la loi du 02 01 2002 3 3 les outils sp cifiques aux associations relevant du champ d application de la loi du 02 01 2002 CASF art 311 2 voir pour un lien direct sur l article 3 4 Les outils sp cifiques aux associations mixtes ou polyvalentes relevant du 3 2 et du 3 3 les outils int ressants dans le cadre d une association classique Pour chacune de ces cat gories d associations il sera repr cis la composante de leur financement financement essentiellement en subventions financement en recettes d activit s dont les produits de la tarification La partie ressources maintenue en socle commun Apr s les diff rents changes le groupe s accorde sur la nouvelle architecture qui se pr sente de fa on suivante 1 Introduction 2 Responsabilit s 3 Les outils de pilotage 4 Evolutions tendances constat es du secteur rapprochement regroupement fusion financements pluriannuels appels projets compl mentarit sanita
168. u contraire le renforcement des solidarit s collectives Parce qu elle r unit g n ralement un groupe d associations partageant des valeurs ou des int r ts communs le r seau ou la f d ration peuvent tre un lieu privil gi pour instaurer de nouvelles solidarit s L organisation en r seaux favorise la cr ation du lien social entre structures comparables ou anim es des m mes questionnements La mise en r seau des associations autorise l change d informations et de pratiques la cr ation de services partag s la formalisation de partenariat la formulation d une r ponse commune aux attentes de la collectivit La mise en relation directe le partage d outils de centres d int r ts et des pr occupations sont des sources de valeur ajout e dans le travail associatif Page 124 171 La vigilance sur le respect des obligations employeurs est incontournable dans le d veloppement de la strat gie d une association par exemple Obligation d lections des d l gu s du personnel dans les structures ayant 20 salari s et r glement int rieur du personnel de son affichage 50 salari s comit d entreprise Handicap pour tout tablissement d au moins 20 salari s et ce avant la date limite du 15 f vrier l employeur doit avoir d pos la d claration d emploi des salari s handicap s aupr s de la pr fecture du d partement o est situ l tablissement ou de la direction d partementale du trav
169. ue de la Ville sauf l ANRU une partie de la DDE logement social DALO plus de lien plus de mutualisation Page 81 171 La Vie associative ce jour rel ve du Haut commissariat la jeunesse qui assure la promotion de la vie associative en accompagnant notamment les associations agr es jeunesse et ducation populaire ainsi que les dispositifs de soutien l emploi associatif et la formation des b n voles Il existe des d l gu s la vie associative dans chaque d partement au sein des DDJS 30 000 associations sont d clar es dans le 49 dont 13 000 en activit 160 000 b n voles 800 associations nouvelles 30 000 emplois sur le secteur 360 associations avec salari s 8 000 sans salari s 60 des associations disent pouvoir remplir leurs missions M PLE constate que Le renouvellement des administrateurs b n voles est de plus en plus difficile Il est n cessaire de bien pr ciser dans les statuts le rapport b n voles salari s vocation de la loi 1982 e Un probl me r current d acc s l information de dispersion des outils Il existe un outil Waldec Web Associations Librement DEClar es outil des diff rents services de l Etat concern s par la vie associative r pertoire national des associations subvention en ligne Subv net e Une attention particuli re port e sur la fusion et la mutualisation le partenariat comme d marche d alt rit Les r ponses sont les suivantes e
170. ue pour 1 trimestre 2010 PV CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www C949 f TF Lors de la 1 re rencontre e changes pour veiller V4 SSS S bien cerner les attentes de chacun avoir tous le m me langage partager des supports et documents de r f rence mettre en place un guide d accompagnement pour les associations disposer d un outil ressources pour les plus petites associations D cision adresser un questionnaire aux associations du secteur concern afin de connaitre leurs besoins r els Da 07 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE A F Analyse du questionnaire e 362 questionnaires adress s L gt mais 91 retours gt 81 renseign s compl tement e Difficult s les plus cit es L gt 1 recrutement de b n voles 49 L gt 2 pilotage financier 40 e 71 des r pondants sont favorables l laboration d un guide avec un int r t majeur sur la pluri annualit des financements c rd feu CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49 f is Analyse du questionnaire suite e h mes les souvent voqu s v Circuit et sources de financement v Identification d indicateurs cl et leur interpr tation v Calcul du besoin de fonds de roulement v Adaptation des financements aux actions v Diagnostic et strat gie financi re v volutions globales de l environnement associatif notamment l gislatives et implicat
171. uences de ces volutions sur les associations Cons quences de ces volutions sur les usagers PA yes CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE Page 48 171 L avenir pousse en Anjou www cg49 f i F RS volutions constat es 1 Principales volutions Liste non exhaustive e Poursuite des textes d application des lois du 2 janvier 2002 11 f vrier 2005 e Pluri annualit CPOM e Mutualisations regroupements fusions e Nouvelles lois 2008 1249 RSA et 2009 879 Bachelot HPST e Multi financements des structures e L gislation sociale et jurisprudence E Da 07 CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www C949 f aIr volutions constat es 2 Cons quences de ces volutions sur les associations e Le nouveau cadre de fonctionnement impacte le mod le associatif quilibre entre le projet associatif la gestion par des b n voles les contraintes techniques et juridiques de plus en plus importantes e Difficult de recrutement des b n voles et n cessit de les former e Besoin de plus en plus de soutien pour la gestion des associations Da CONSEIL G N RAL MAINE ET LOIRE L avenir pousse en Anjou www cg49r fi volutions constat es 3 Cons quences de ces volutions sur les usagers e Les volutions r glementaires cadrent de plus en plus l organisation de la prise en charge et en renforcent la technicit Au regard de leur statut et de leur pro
172. une 1 re partie sur les fondamentaux du fonctionnement d une association et le r le des administrateurs comme le pr conise Mr Bioteau Mr de Vienne fait mention d un guide pratique r alis dans le d partement de l Eure et Loir l usage des associations Mr Viel demande s il est possible d int grer dans le guide des lignes directrices qui permettent notamment aux associations tarif es de pouvoir comparer leurs donn es avec la concurrence car avoir un regard sur ce qui se fait c t est positif Avoir des points de comparaison avec d autres associations du m me secteur d activit de m me taille permet d avoir une id e de la gestion de l association si l on est dans le bon chemin o si l on s en loigne On peut r aliser un chiffre d affaires mais ne pas tre forc ment rentable et vice et versa plus ou moins long terme Il faut absolument des outils de comparaison qui puissent mettre en alerte les associations sur les points critiques Mr Bioteau pense que la nature de l association employeur tarif e gestionnaire d tablissements ou non n a pas vraiment d importance Le but des associations reste fonci rement le m me Il faut donc partir d une trame avec des indicateurs puis compl ter cette trame selon la structure et les besoins Mr Vieil indique que sur certains sujets un centre de ressources de la vie associative au niveau d partemental aurait toute son utilit Pour conclure
173. une seule association et maintenir les liens entre administrateurs d cideurs et les acteurs professionnels et les b n voles Un moyen Les institutions r clament une d marche thique Ethique recherche de la meilleure solution D marche thique quand on ne sait pas comment s y prendre 3 volets existent l thique de conviction valeurs partag es pour la finalit de l association l thique de discussion confiance libert d expression l thique de responsabilit chacun engage une parole authentique Conclusion L engagement est l l ment moteur n cessaire la finalit d une association C est le plaisir de servir la volont de donner C est gr ce l engagement b n vole de chaque associ que la responsabilit juridique peut tre assum e Page 105 171 2 TEMOIGNAGNE MME BRANGER APIJ Evolution de l association APIJ Action Pr ventive et Insertion de la Jeunesse L association repose sur 3 volets d activit s l appui technique a certaines prestations pour le Conseil g n ral deux tablissements protection de l enfance et l insertion structure Cand et accueil ducatif enfants 6 14 ans et 14 ans filiale entreprise insertion par l conomie Identifier les besoins 1 besoin probl me de la rel ve il faut anticiper sur la rel ve afin d assurer la p rennit de l association en attirant de nouveaux collaborateurs Il faut galement un point commun sur l en
174. ur avoir particip un certain nombre de r unions je dois dire que vous n avez pas conomis votre mati re grise pour nous apporter toute la production de ce matin et de cet apr s midi et je sais que ce n est pas fini C est quelque chose d assez innovant et je ne connais pas beaucoup de d partement o cette technique est mise en uvre de cette fa on l Donc merci du fond du c ur la centaine de personnes qui est venue travailler avec nous pour examiner les modalit s les finalit s de l action sociale et m dico sociale qui nous r unit aujourd hui En tant que 1 Vice pr sident charg de l action sociale et des solidarit s je me sens totalement partie prenante videmment dans ce qui a t dit et je dirais que maintenant je m efforcerai d tre co ex cutant de vos r flexions et de vos propositions qui sont nombreuses et vari es Je ne dirais pas trop nombreuses m me si chacun voit un peu midi sa porte c est vrai Le r le du politique est d arbitrer entre l int r t g n ral et la somme des int r ts particuliers qui sont videmment chacun tous l gitimes C est maintenant aux lus de d cider Nous le faisons dans un contexte institutionnel volutif vous le savez notamment ceux qui sont lus dans d autres instances volutif et instable dans un contexte financier contraint Christophe B chu ce matin s en est fait l cho J y reviendrai tr s bri vement Cette contrainte s
175. urces de la structure sans rendre compte aux parties prenantes la d rive anarchique lorsque l association tombe dans une forme inorganis e d autogestion plus personne n tant responsable Ja d rive commerciale recherche de profit au d triment de l thique et du service rendu LA GOUVERNANCE ASSOCIATIVE 4 Place du Pr sident Processus de d cision et communication Le pr sident est responsable avec le bureau de la d finition du syst me de gouvernance garant des modalit s de mise en uvre du syst me comme pertinent au projet associatif Il assure un suivi et une veille pour anticiper les volutions n cessaires en fonction du contexte et des actions d velopp es COMMENT Y PARVENIR I PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT gt projet associatif clair gt Pr sident non isol Tout administrateur quelles que soient ses attributions est garant du projet et du sens g n ral Acc s facilit diverses connaissances connaissance des attentes des partenaires et ou prescripteurs connaissance du contexte et en particulier du cadre juridique de l intervention de l association connaissances techniques D finition simple et claire des r les et des attributions de chacun aussi bien en ce qui concerne les administrateurs que les techniciens b n voles et ou non et de l articulation de ses r les Page 126 171 Tout administrateur quelles que soient ses attributions est garant du projet et du sens g n ral
176. urs CONCLUSION En conclusion les membres du groupe communication tiennent dire qu ils appr cient la m thode de travail employ e qui analyse la communication avant d en tudier ses outils Prochaine r union Le vendredi 13 mars 2009 14 H 00 Salle Authion Direction Insertion et Habitat Cit administrative 26 ter rue de Brissac Angers B timent P 1 tage TABLEAU RECAPITULATFIF L objectif recherch est d am liorer consolider innover en mati re de communication institutionnelle Conseil g n ral et associations voire de favoriser les changes interinstitutionnels Typologie Probl motique E Comment expliquer la politique d partementale Indicateurs moyen indicateurs 3 et long terme Organigrame DGA DSS Communic tion explication Communication change Communication valorisation Expliquer le sens voire le justifier r le p dagogique didactique r Clarifier les politiques ies missions D finir l organisation du Conseil g n ral en contraste de l Etat des autres collectivit s et mettre en perspective Apporter les r ponses ad quates Comment animer le partenariat Echanger analyser les besoins partager les id es les besoins les constats croiser les actions mener mettre en commun mutualiser f d rer Construire des objectifs communs D limiter le champ champ de comp tences lt Confronter Transfo
177. urs responsabilit s d employeur 75 ne rencontrent pas de difficult sur ce sujet v 10 nese prononcent pas e Soutien ou conseils pour faciliter cette responsabilit v 10 sont favorables un soutien v 75 n ont pas de besoin dans ce domaine v 15 ne se prononcent pas e Conseils pour faciliter le recrutement de b n voles 30 ont des propositions de solutions pour l aide au recrutement v 55 n ont pas de solution proposer v 15 ne se prononcent pas o Int r t pour un guide Pilotage financier 50 sont favorables l laboration d un guide 35 n ont pas d int r t particulier pour ce guide v 15 ne se prononcent pas 3 Recadrage des objectifs QI Recensement des outils existants Madame BARBIER PRIEUR propose de faire un tour de table pour rep rer les outils d j en place dans chacune des associations pr sentes et de faire le point sur ceux qu il serait indispensable de faire figurer dans le guide Outils financiers recens s et utilis s au sein de certaines associations pr sentes gt Rapport d activit hebdomadaire mensuel ou bimensuel relevant les informations suivantes o D tail de l activit sur la p riode o Temps effectif travaill du personnel d coupage des heures travaill es produites pay es et celles non pay es cong s maladie gt Analyse des carts budg taires et des d penses trimestrielles avec partie analytique gt Tableau de bord de suivi des kilom tr
178. vembre 2007 Ecpilotage dc l action Le pilotage financier La commaunitation Chacun des groupes se composant de 4 a teurs clef o Un la Mme Martin MLI Oo Un t rem associati Mme Loti re DG ACADEA c Uh cadre DGADSS Mme Sampeur DEF le Un atiraateur non d sign Ee calendrier de la d marche a aussi t pos Ie travail de chague groupe devant tre un support pour une 2 rencontre avec lea associations pr vues en novembre 2009 L objectif de notre groupe de travail est de mettre 4 disposition des assaciations ef du Conseil g n ral un Gutit de pilotage de l association au del du seul cadre Financier Cet objectif pouvant se traduire par la r alisation d un anide de bonne pratique en mati re de pilotage des activit s ou des actions Le d bat a t extr mement riche entre les participants du groupe vous trouverez ci joint 3 fiches r p rant les points essentiels qui seront d balire t approfondir lors e notre prochaine rencontre Point noter Une partie du groupe souhaite remettre en cause le terme guide de bonne pratique qui pourrait tre r dig apr s is r unions de travail D autres mots soni voqu s guide rep re fil rouge 7 D bat reprendre D bat reprendre La prochaine rencontre pourrai permettre de repren re ceriaias poinis voqu s en s riant les Giff remts domaines de pilotage de l association qui cesseraient une organisation particuli
179. ver un partenariat avec entre autre le Conseil g n ral afin de partager les m mes valeurs politiques dans le respect de l engagement des b n voles Page 106 171 3 LA RESPONSABILITE Les associations sont responsables avec d autres acteurs des volutions de la soci t dans un engagement donn Le projet associatif n est pas obligatoire mais il permet d assurer l identit de l association Il permet d asseoir l association dans des valeurs Pourquoi un projet associatif il permet de donner du sens l association afin d affirmer son objectif l me de l association importance du b n volat qui apporte de la souplesse dans la prise en charge ex animateurs dans les maisons de retraite le projet associatif correspond au fil rouge il est une des bases de la gouvernance associative il permet de mieux organiser les rapports entre les membres de l association il permet de situer l association dans son environnement de se positionner ou non en tant que partenaire C est un outil indispensable d identit afin de se rapprocher d une autre association dans le but d une mutualisation Il est conseill que l ensemble des membres participent la r alisation du projet associatif Il doit tre construit en lien avec l assembl e g n rale et il doit tre revu r guli rement Responsabilit s obligation de r pondre ses actes faute elle peut tre non intentionnelle dommage peut engage

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

ANNÉE 2013 - 2014 - Université Paris Diderot  「マイライフかごしま（2007.11）（3-4ページ）」（PDF：1275KB）  Téléchargement PDF  07 >09 >12 - Melun Val de Seine  Linux SLES11 SP0 V8.2.8.64 Release Notes  manuel d`instructions directives de sécurité importantes  Moxa NPort 5450  Toshiba Satellite L875-S7308  ProperSync 1.3 User Manual  Répertoire de films  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file