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1. Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Vingt septi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapport techniques N 696 1983 et corrigendum Toxicological evaluation of certain food additives and contaminants WHO Food Additives Series N 18 1983 Specifications for the identity and purity of some food additives FAO Food and Nutrition Paper N 28 1983 Directives g n rales pour l usage des normes d identit et du puret prescriptions g n rales m thodes g n rales r actions d identit r actifs solutions t moins autres documents de r f rence Etude FAO Alimentation et Nutrition N 5 Rev 1 1983 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Vingt huiti me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 710 1984 et erratum Toxicological evaluations of certain food additives and contaminants WHO Food Additives Series N 19 1984 68 69 70 71 72 173 74 75 76 Te 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 Normes d identit et de puret des colorants alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 31 1 1985 Normes d identit et de puret des additifs alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 31 2 1985 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants
2. 19 20 Le 1 2 dichlor thane s est r v l faiblement mutag ne chez Salmonella typhimurium TA1535 et TA100 La mutag nicit a t renforc e par l addition de glutathion et semblait d pendre de la pr sence de glutathion S transf rases cytosoliques Des effets mutag nes ont galement t observ s sur des champignons sur des drosophiles et sur des cellules mammaliennes in vitro Le 1 2 dichlor thane n a pas induit de mutations micro noyaux ni de mutations dominantes l tales chez la souris mais le spot test pratiqu sur cet animal a mis en vidence un effet faiblement mutag ne Des alt rations de l ADN caract ris es par une synth se non programm e de ce dernier dans des cellules mammaliennes in vitro et un d roulement de l ADN en condition alcaline dans un syst me in vivo in vitro ont t signal es Le Comit a conclu la g notoxicit du 1 2 dichlor thane tant in vivo qu in vitro et sa canc rog nicit par voie orale chez la souris et le rat Il n a donc pas attribu de DJA cette substances et a exprim l avis qu elle ne devrait pas tre utilis e dans les aliments Un additif la monographie toxicologique a t pr par mais aucune norme n a t tablie Dichlorom thane Le Comit avait valu le dichlorom thane lors ds ses quatorzi me vingt troisi me et vingt septi me r unions annexe 1 r f rences 22 al et 62 A sa vingt septi me r union il avai
3. Additifs alimentaires N 6 1976 Normes d identit et de puret pour divers additifs alimentaires dont des colorants exaltateurs d ar me paississants et autres substances R unions de la FAO sur la nutrition N 54B 1975 OMS S rie Additifs alimentaires N 7 1976 Evaluation de certains additifs alimentaires colorants paississants condensats de fum es et autres substances Dix neuvi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 55 1975 OMS S rie de Rapports techniques N 576 1975 Evaluation toxicologique de divers colorants et paississants alimentaires et de certaines autres substances R unions de la FAO sur la nutrition N 55 A 1975 OMS S rie Additifs alimentaires N 8 1976 Specifications for the identity and purity of certain food additives FAO Nutrition Meetings Report Series N 55B 1976 WHO Food Additives Series N 9 1976 Evaluation de certains additifs alimentaires Vingti me rapport du Comit d experts FAO S rie Alimentation et Nutrition N 1 1976 OMS S rie de Rapports techniques N 599 1976 Toxicological evaluation of certain food additives WHO Food Additives Series N 10 1976 Specifications for the identity and purity of some food additives FAO Food and Nutrition Series N 1 B 1977 WHO Food Additives Series N 11 1977 Evaluation de certains additifs alimentaires Vingt et uni me rapport du Comit mixte FAO OMS d exper
4. adduits dichlorom thane ADN Lorsque des syst mes in vivo ont t utilis s par exemple pour d tecter une synth se non programm e de l ADN dans le foie des changes de chromatides soeurs ou des anomalies chromosomiques dans la moelle osseuse de souris le dichlorom thane administr par voie orale n a eu aucun effet Par contre l inhalation de fortes doses a donn des r sultats positifs dans un certain nombre d tudes 21 22 Dans une tude long terme chez la souris au cours de laquelle du dichlorom thane avait t m lang l eau de boisson il y a eu une l g re augmentation li e la dose des infiltrations graisseuses dans le foie des animaux des deux sexes ayant re u la dose la plus lev e soit 250 mg kg de poids corporel par jour Cet effet n a pas t not la dose de 185 mg kg de poids corporel par jour L augmentation l g re mais statistiquement significative et li e la dose du nombre total de carcinomes et d ad nomes h patocellulaires qui a t observ e chez les souris m les reste comprise dans la fourchette des incidences observ es chez les t moins dans des comparaisons historiques Dans une autre tude long terme men e sur des souris auxquelles du dichlorom thane avait t administr par gavage avec de huile d olive des doses quotidiennes atteignant 500 mg kg de poids corporel on wa observ aucune canc rog nicit h patique Toutefois ce traitement a pro
5. des lapines une DJA de 0 1 5 mg kg de poids corporel a t attribu e cette substance Le Comit a tenu compte des sources naturelles connues de limon ne et de ses utilisations comme additif alimentaire Il en a conclu qu une faible proportion de l apport total tait probablement attribuable son utilisation comme additif Il a donc recommand que la consommation de limon ne sous forme d additif alimentaire soit limit e 75 ug kg de poids corporel par jour ce qui repr sente 5 de la DJA maximale Une monographie toxicologique et de nouvelles normes ont t pr par es Quinine La quinine avait d j t valu e lors de la trente cinqui me r union du Comit annexe 1 r f rence 88 qui lui avait attribu une DJA temporaire L effet le plus pr occupant chez l homme normal tait un nystagmus aigu transitoire A la pr sente r union le Comit a examin de nouvelles donn es recueillies chez l homme gr ce une nouvelle tude destin e d terminer la dose sans effet aigu observ Il a galement examin les r sultats d une tude men e en Espagne en France et au Royaume Uni sur l absorption de quinine r sultant de la consommation de boissons qui en contiennent Le Comit a conclu que ces donn es permettaient de fixer la dose sans effet oculaire observ 80 mg de chlorhydrate de quinine anhydre par jour soit l quivalent de 72 mg de quinine base Aucun effet sur l audition
6. in vitro et in vivo ont t n gatives Les effets n gatifs sur la reproduction et les effets t ratog nes attribuables la linamarine manioc et au cyanure d hydrog ne n ont t observ s qu des doses qui sont galement toxiques pour la m re Les effets toxiques des cyanures sur la thyro de par d de leur m tabolite le thiocyanate d pendent d une ventuelle carence en iode de l animal d exp rience comme l indique le vingt cinqui me rapport du Comit annexe 1 r f rence 56 A la lumi re des observations pid miologiques l exposition chronique aux glucosides cyanog nes a t associ e diverses maladies telles que la parapar sie spastique la neuropathie ataxique tropicale et le goitre Toutefois l existence de carences nutritionnelles complique l interpr tation de ces observations et une relation de cause effet n a pas t tablie de fa on certaine Les consommateurs traditionnels d aliments contenant des glucosides cyanog nes savent g n ralement comment les appr ter pour les rendre sans danger Toutefois certains produits sont vendus dans le commerce et sont consomm s par des personnes qui ne connaissent pas n cessairement ces m thodes de pr paration Le Comit a donc recommand que des directives soient labor es en vue d offrir des m thodes d analyse fiables et sensibles pour d terminer les quantit s de cyanure d hydrog ne susceptibles d tre lib r es par les
7. 3 glucanohydrolase EC 3 2 1 6 sa trente et uni me r union le Comit avait examin des tudes d une dur e de 13 semaines chez le rat et le chien des tudes de reproduction et de t ratog nicit chez le rat et des tudes de mutag nicit Une DJA temporaire de 0 0 3 mg de solides organiques totaux SOT par kg de poids corporel avait t tablie en appliquant un facteur de s curit de 2000 la dose sans effet observ qui avait t trouv e gale 2 dans l tude de 13 semaines chez le rat apr s conversion de cette dose en SOT Conform ment aux dispositions de l annexe 3 des Principles for the safety assessment of food additives and contaminants in food annexe 1 r f rence 76 le Comit avait demand que cette pr paration fasse l objet d une tude long terme chez une esp ce de rongeur Malheureusement lors de la conversion de la dose sans effet observ de 2 en SOT on a utilis un facteur de 31 au lieu de 87 8 de sorte que la DJA temporaire a t fix e 0 0 3 mg de SOT par kg de poids corporel alors qu elle aurait d tre de 0 0 85 mg A la pr sente r union le Comit a examin deux nouvelles tudes de 13 semaines chez le rat qui n ont r v l aucun effet ind sirable m me la dose la plus lev e 5 du poids de nourriture Etant donn que les quantit s susceptibles d tre ing r es sont minimes et la suite du r examen des principes applicables l valuati
8. 30 sous presse Des normes ont t publi es s par ment par la FAO sous le titre Specifications for the identity and purity of certain food additives FAO Food and Nutrition Paper N 52 1992 PROGRAMME INTERNATIONAL SUR LA S CURIT DES SUBSTANCES CHIMIQUES Les travaux pr paratoires en vue de l valuation toxicologique des additifs et contaminants alimentaires par le Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires JECFA b n ficient du soutien actif de certains des Etats Membres participant aux activit s du Programme international sur la s curit des substances chimiques IPCS Le Programme international sur la s curit des substances chimiques IPCS est un organisme qui rel ve la fois du Programme des Nations Unies pour l Environnement de l Organisation internationale du Travail et de l Organisation mondiale de la Sant Un de ses principaux objectifs est d effectuer et de diffuser des valuations relatives aux effets des produits chimiques sur la sant de l homme et sur ja qualit de l environnement vii 2 1 Introduction Le Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires s est r uni Rome du 3 au 12 f vrier 1992 M A N Cortas Assistant du Sous Directeur g n ral D partement des Politiques conomiques et sociales de la FAO a ouvert la r union au nom des Directeurs g n raux de l Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agricul
9. Vingt neuvi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 733 1986 et erratum Specifications for the identity and purity of certain food additives FAO Food and Nutrition Paper N 34 1986 Toxicological evaluation of certain food additives and contaminants Cambridge Cambridge University Press 1987 WHO Food Additives Series N 20 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trenti me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 751 1987 Toxicological evaluation of certain food additives and contaminants Cambridge Cambridge University Press 1987 WHO Food Additives Series N 21 Specifications for the identity and purity of certain food additives FAO Food and Nutrition Paper N 37 1987 Principles for the safety assessment of food additives and contaminants in food Gen ve Organisation mondiale de la Sant 1987 OMS Crit res d hygi ne de l environnement N 70 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente et uni me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 759 1987 et erratum Toxicological evaluation of certain food additives Cambridge Cambridge University Press 1988 WHO Food Additives Series N 22 Specifications for the identity and purity of certain food additive
10. f rence 83 le Comit avait renouvel sa demande de renseignements sur la composition chimique de la paraffine solide et sur sa conformit aux normes tablies pour ce produit Il avait d cid que de nouvelles normes devaient tre tablies pour les nouvelles formulations de paraffine solide et que des tudes de toxicit long terme de mutag nicit et de reproduction t ratog nicit devaient tre men es bien annexe 1 r f rence 83 A la pr sente r union le Comit a conclu que les cires min rales test es au cours des tudes ant rieures contenaient une gamme de substances plus larges que celles actuellement en usage deux normes ont t pr par es pour les d riv s paraffiniques de qualit alimentaire obtenus partir du p trole paraffine solide et cire microcristalline voir le dernier paragraphe de la pr sente section Etant donn que ces normes limitent le nombre de d riv s paraffiniques qui peuvent tre utilis s dans l industrie alimentaire comparativement ceux qui avaient fait l objet des tudes pr c dentes le Comit a conclu que les tudes de toxicit long terme d j effectu es pouvaient servir valuer l innocuit des produits actuellement en usage Il n est donc pas n cessaire d entreprendre de nouvelles tudes de toxicit long terme et de mutag nicit sur la paraffine solide et la cire microcristalline Les r sultats d preuves d extraction et de migration
11. galement examin de nouvelles tudes men es sur un saccharoglyc ride de l huile de palme dont une tude de canc rog nicit long terme chez le rat et des tudes court terme chez le rat et le chien Il en a conclu que la DJA de groupe de 0 10 mg kg de poids corporel tablie ant rieurement pour les esters saccharosiques d acides gras et les saccharoglyc rides pouvait s appliquer la fois aux esters saccharosiques d acides gras dont le proc d de fabrication comporte l utilisation de divers solvants et au saccharoglyc ride d huile de palme 1 Lorsque l valuation d une substance par le Comit comporte des tudes d alimentation les quantit s administr es aux animaux sont souvent exprim es sous la forme de pourcentages ceux ci sont calcul s sur une base pond rale de sorte que 0 1 1 g kg de nourriture 1 0 10 g kg etc A la pr sente r union le Comit devait r valuer les saccharoglyc rides afin de clarifier la relation entre ces compos s et les esters saccharosiques d acides gras Aucune donn e toxicologique n tait disponible Le Comit a not que la composition de ces deux types de produits pr sentait des analogies les uns et les autres contenant des esters saccharosiques d acides gras et des mono et diglyc rides La principale diff rence est que les saccharoglyc rides contiennent 40 60 de mono et diglyc rides d acides gras alors que les esters saccharosiques d acides
12. accumulation de d bris cellulaires et une hyperplasie r g n rative Selon l hypoth se avanc e pour expliquer l action de certains canc rog nes non g notoxiques l hyperplasie r g n rative pourrait favoriser l expansion clonale de cellules formation spontan e et conduire au d veloppement des tumeurs r nales observ es Il wa pas t possible d tablir une dose sans effet observ sur l augmentation des concentrations d amp globuline dans les reins de rats m les mais la dose minimale suivie d effet lors d une tude de 21 jours au cours de laquelle du limon ne avait t administr des rats m les par gavage a t de 75 mg kg de poids corporel par jour Une prot ine sp cifique du sexe ayant des caract ristiques mol culaires semblables celles de l amp globuline a t identifi e dans l urine humaine mais sa concentration est inf rieure d au moins quatre ordres de grandeur celle de l a globuline chez le rat m le Le Comit a conclu que le m canisme avanc pour expliquer l induction de n phropathies et de tumeurs r nales par le limon ne chez le rat m le ne s appliquait probablement pas l homme et que les crit res de toxicit associ s cet effet ne pouvaient servir de base au calcul de la DJA Compte tenu de la r duction significative du gain de poids corporel associ e administration de limon ne des souris et des rats des deux sexes et
13. actuelles ne posent pas de probl mes toxicologiques Les applications actuelles ne posent pas de probl mes toxicologiques 0 7 Non sp cifi e DJA de groupe 1 Non sp cifi e DJA de groupe 1 Les applications actuelles ne posent pas de probl mes toxicologiques 0 0 1 temporaire DJA non attribu e pour cause de g notoxicit et de canc rog nicit Ne convient pas pour le traitement des farines La dose sans danger n a pu tre estim e par manque de donn es quantitatives Les quantit s normalement pr sentes dans les pommes de terre 20 100 mg kg ne posent pas de probl mes toxicologiques Normes R T S T a e2 DODD DDDNDI d Substance examen des normes seulement Normes Lactitol Hg M lange de carot no des Ni Pectines Sodium st aroyllactylate de Sorbitane monolaurate de Sorbitane trist arate de Soufre dioxyde de Talc Tannique acide Titane dioxyde de Oo a D D D XD U U D g Notes de l annexe 2 1 4 5 6 10 ti 12 N nouvelles normes pr par es R normes existantes r vis es S normes existantes r vision non envisag e ou non requise T les normes existantes nouvelles ou r vis es sont indicatives et toute remarque leur sujet sera la bienvenue voir annexe 3 Valeur fond e sur la teneur en esters saccharosiques des esters saccharosiques d acides gras et des saccharoglyc rides L
14. carnauba Aucun effet ind sirable n a t observ en relation avec la consommation de cire m me la dose la plus lev e quivalente 700 mg kg de poids corporel pour les femelles Si la plupart des r sultats d tudes de mutag nicit ont t n gatifs on a n anmoins observ quelques r actions positives avec les souches TA1537 et TA1538 de S typhimurium dans des conditions d activation m tabolique Le Comit a attribu une DJA de 0 7 mg kg de poids corporel la cire de carnauba Une monographie toxicologique et de nouvelles normes ont t pr par es Cire microcristalline et paraffine solide Les d riv s paraffiniques de qualit alimentaire obtenus partir du p trole ont t valu s pour la premi re fois la trenti me r union du Comit annexe 1 r f rence 73 Le Comit avait alors t inform que des donn es de toxicit taient disponibles pour certaines cires min rales notamment les r sultats d tudes d alimentation long terme chez le rat mais il avait observ que ces tudes avaient t effectu es sur des cires commercialis es dans les ann es 60 Comme il n tait pas certain que les cires ayant fait l objet de ces tudes long terme taient quivalentes celles qui sont produites actuellement que ce soit par les m thodes classiques ou par des proc d s nouveaux le Comit n avait pas tabli de DJA A sa trente troisi me r union annexe 1 r
15. commerce en raison de sa forte teneur en solanine Lorsque de nouvelles vari t s sont cr es soit par les m thodes habituelles de s lection soit par g nie g n tique les responsables doivent tre conscients de ce risque de toxicit Au cours de l histoire certaines populations ont appris se pr munir contre un grand nombre de substances toxiques naturellement pr sentes dans les aliments De fa on g n rale on peut dire qu il existe de nombreux aliments potentiellement dangereux mais qu il est possible de les consommer moyennant certaines pr cautions Toutefois lorsque de nouveaux cultivars sont mis au point en vue d obtenir de meilleures caract ristiques commerciales il peut y avoir augmentation parall le de la concentration des substances toxiques naturelles au del des capacit s de d toxification des m thodes de pr paration traditionnelles Le Comit a rappel que les producteurs de denr es alimentaires devaient tre conscients de ce risque 2 2 4 Terminologie Des questions ont t soulev es lors de la Conf rence mixte FAO OMS sur les normes alimentaires les substances chimiques dans les aliments et le commerce des denr es alimentaires 1 au sujet de la terminologie utilis e par le Comit Il a t not en particulier que bien souvent les conditions d attribution d une DJA non sp cifi e et les raisons pour lesquelles aucune DJA n tait fix e n taient pas clairement expos es dans
16. de 50 300 mg kg de poids corporel 5 fois par semaine Chez des souris femelles il a provoqu la formation d ad nocarcinomes mammaires et ut rins et peut tre aussi des carcinomes pidermo des de l estomac ant rieur tandis que des carcinomes h patocellulaires se produisaient chez les souris m les Des ad nomes pulmonaires et des lymphomes histiocytaires malins ont t induits chez des souris des deux sexes Le 1 2 dichlor thane administr par inhalation ne s est pas r v l canc rog ne chez la souris Des doses moyennes pond r es en fonction du temps de 47 et 95 mg kg de poids corporel par jour ont t administr es des rats par gavage avec de l huile de mais Seule la dose la plus lev e a provoqu une augmentation du nombre total de tumeurs chez les femelles En outre on a observ une augmentation du nombre d ad nocarcinomes des glandes mammaires et de fibroad nomes chez les femelles ainsi que du nombre de carcinomes pidermo des de l estomac ant rieur chez les m les la dose la plus lev e Une augmentation de l incidence des h mangiosarcomes a t constat e chez les animaux des deux sexes aux deux doses administr es mais elle n tait statistiquement significative que pour les m les Lors d une exp rience d inhalation exposition des concentrations de 5 150 mg litre d air pendant 78 semaines n a pas entra n d augmentation significative de l incidence des tumeurs chez les rats
17. effectu es sur des d riv s paraffiniques ou sur des produits qui en sont recouverts montrent que les quantit s consomm es avec les aliments ne sont pas absorb s ou m tabolis s de fa on significative Cinq groupes de 50 rats Sprague Dawley des deux sexes g s de 6 8 semaines ont t nourris pendant deux ans avec des aliments auxquels avaient t incorpor s par broyage 10 de d riv s paraffiniques 5 chantillons de vaseline D autre part 157 femelles et 140 m les ont servi de t moins Les produits choisis avaient une teneur en hydrocarbures aromatiques polycycliques repr sentative des produits commercialis s 0 0 64 mg kg Les rats ont t observ s et pes s toutes les deux semaines jusqu leur mort naturelle ou jusqu la fin de l tude et toutes les l sions importantes ont t enregistr es Les rats survivants la fin de l tude ont t sacrifi s tous les animaux ont t autopsi s et tous les tissus anormaux ont t soumis une examen histologique Les taux de survie et le poids moyen des animaux trait s ne diff raient pas de fa on significative de ceux des t moins et l incidence des tumeurs observ es chez les premiers a toujours t voisine de l incidence des m mes tumeurs chez les t moins Aucun autre effet toxique associ la consommation de d riv paraffinique wa t identifi lors des examens histologiques En particulier les effets constat s avec des huiles min rales l
18. es depuis longtemps dans l alimentation Compte tenu des donn es disponibles le Comit a conclu que le l ger apport suppl mentaire de lysozyme provenant du fromage ne pr sentait pas de risque pour la sant des consommateurs condition que l enzyme satisfasse aux normes tablies La lysozyme est obtenue partir de tissus animaux comestibles couramment utilis s dans l alimentation et peut donc tre qualifi e d enzyme de classe I et consid r e comme un aliment annexe 1 r f rence 76 annexe HT Son utilisation dans la transformation des aliments a par cons quent t jug e acceptable condition qu elle soit employ e conform ment aux bonnes pratiques de fabrication Une monographie toxicologique a t pr par e de m me que de nouvelles normes pour le chlorhydrate de lysozyme Aromatisants trans An thol Le trans an thol a t valu pour la derni re fois la trente septi me r union du Comit annexe 1 r f rence 94 Le Comit avait alors not la pr sence de l sions prolif ratives du foie avec une augmentation de l incidence des ad nomes et des carcinomes h patocellulaires chez des rattes la dose de 1 dans la nourriture et non 10 mg kg comme il a t indiqu par erreur dans le trente septi me rapport La DJA temporaire alors en vigueur avait t r duite et prorog e jusqu en 1992 en attendant les r sultats de nouvelles tudes m taboliques et pharmacocin tiques chez la s
19. glucosides cyanog nes de ces aliments et garantir ainsi que les quantit s pr sentes dans les produits pr ts tre consomm s sont sans danger En raison du manque de donn es toxicologiques et pid miologiques quantitatives le Comit n a pu tablir une dose sans danger de glucosides cyanog nes Toutefois il a conclu qu une quantit de 10 mg kg de cyanure d hydrog ne d termin e selon la norme Codex pour la farine comestible de manioc 5 n entra ne pas de toxicit aigu Une monographie toxicologique a t pr par e 3 2 2 Solanine et chaconine Un certain nombre de glucoalcalo des sont pr sents dans des plantes de la famille des solanac es comme les pommes de terre et les tomates Le Comit tait invit valuer la solanine un des principaux glucoalcalo des de la pomme de terre La pomme de terre est normalement la principale source d amp solanine et comme elle contient galement un autre glucoalcalo de qui lui est troitement apparent l x chaconine le Comit a d cid d valuer ces deux substances simultan ment L x solanine et l x chaconine pr sentent la m me structure de base en ce qui concerne la partie alcalo de de la mol cule et ne diff rent que par la structure de l hydrate de carbone de la cha ne lat rale Fig 1 La teneur en solanine et amp chaconine des pommes de terre est normalement d environ 20 100 mg kg mais la lumi re solaire les meurtrissur
20. gras en contiennent moins de 20 Les mono et diglyc rides d acides gras avaient t valu s lors des septi me et dix septi me r unions du Comit annexe 1 r f rences 7 ef 32 qui leur avaient attribu une DJA sans limites DJA non sp cifi e selon la terminologie actuelle car ces substances sont des constituants normaux de l alimentation humaine et ont donc t jug s sans danger A la pr sente r union le Comit a conclu que les tudes effectu es sur les esters saccharosiques d acides gras pouvaient s appliquer l valuation des saccharoglyc rides et r ciproquement Le Comit a not que les tudes in vivo et in vitro men es ant rieurement sur les monoesters saccharosiques d acides gras avaient galement port sur le dist arate de saccharose et que celui ci tait hydrolys dans l intestin en saccharose et acide st arique avant d tre absorb Le Comit a profit de l occasion pour r valuer l tude long terme effectu e chez le rat avec le monopalmitate de saccharose tude qui avait servi fixer la dose sans effet 10 g kg de nourriture 1 soit l quivalent de 500 mg kg de poids corporel par jour Lors de la premi re valuation on avait not une r duction du poids corporel et de la consommation de nourriture dans le groupe recevant la plus forte dose soit 3 Le Comit a observ que seules les moyennes de groupes et les fourchettes correspondantes l int rie
21. gum La cire de candelilla est utilis e comme agent de gla age constituant de bases pour chewing gum agent de finition superficielle et support pour substances aromatisantes DJA de groupe pour la cire microcristalline et la paraffine solide utilis es pour les applications pr vues dans les normes base pour chewing gum enrobage protecteur agent antimousse et agent de finition superficielle Le shellac est utilis comme enrobage et comme agent de gla age ou de finition appliqu la surface des aliments Le furfural ne doit pas tre ajout directement aux aliments en tant qu aromatisant et son utilisation comme solvant doit tre limit e aux applications pour lesquelles il n y a pas de solution de rechange comme la purification d huiles alimentaires par extraction de compos s insatur s 49 Annexe 3 Etudes toxicologiques et autres donn es demand es Aromatisants trans An thol Les r sultats des tudes m taboliques et pharmacocin tiques en cours chez la souris le rat et l homme de m me que les r sultats d une tude de toxicit long terme chez la souris sont demand s pour valuation d ici 1997 Ethylvanilline Les r sultats des tudes de toxicit court terme et de m tabolisme en cours chez le rat sont demand s pour valuation d ici 1994 Solvants Dichlorom thane Des renseignements sont demand s sur la nature et les quantit s de stabilisants pr sents dans le dichlorom than
22. ind sirables Des essais sur des micro organismes ont montr que le shellac n tait pas mutag ne Dans une tude de 90 jours des rattes nourries avec des aliments contenant 2 de shellac ont pr sent une distension du caecum et de la r gion proximale du colon La consommation de shellac ne s est accompagn e d aucune modification histopathologique bien que l arr t de la croissance des animaux trait s et des t moins au cours de la derni re partie de l tude ait rendu difficile l interpr tation des r sultats Une tude r cente de 90 jours comportant une phase d exposition in utero wa mis en vidence aucun effet pathologique ou toxique li au traitement chez les rats des g n rations F ou F dont la nourriture contenait jusqu 1 de shellac soit l quivalent de 660 mg kg de poids corporel par jour pour les femelles Le Comit a conclu que les utilisations actuelles du shellac agent d enrobage de gla age et de finition superficielle appliqu uniquement la surface des aliments ne posaient pas de probl mes toxicologiques Une monographie toxicologique et de nouvelles normes indicatives ont t pr par es Substances diverses Curcumine Le curcuma et la curcumine le principe colorant essentiel du curcuma avaient t examin s lors des treizi me dix huiti me vingt deuxi me vingt quatri me vingt sixi me trenti me et trente cinqui me r unions du Comit annexe 1 r f rences 1
23. l annexe au rapport r sumant les r sultats des valuations Le Comit a reconnu que dans certains cas il n avait pas fourni de donn es sur l apport alimentaire ou le niveau d utilisation d additifs auxquels il avait attribu une DJA non sp cifi e Parfois cela lui a paru inutile car l utilisation pr vue du produit tait autolimit e au point qu il tait extr mement improbable que la quantit ing r e pr sente un risque toxicologique La plupart des pr parations enzymatiques entrent dans cette cat gorie Toutefois dans d autres cas les utilisateurs ne disposaient pas d informations suffisantes pour comparer l utilisation actuelle d un additif celle consid r e par le Comit de sorte qu il n tait pas possible de d terminer si la quantit ing r e d passait le niveau retenu lors de l valuation Le Comit a donc recommand que lorsque de nouvelles utilisations entra neraient une augmentation significative de la quantit ing r e l additif en question soit soumis une nouvelle valuation Dans le pr sent rapport lorsqu une DJA non sp cifi e a t attribu e un additif dont l utilisation n apparaissait pas autolimit e cette utilisation a t mentionn e Il existe plusieurs raisons pour ne pas fixer de DJA depuis le manque d informations jusqu l existence de donn es conduisant d conseiller toute utilisation d un additif alimentaire cause de ses effets seconda
24. leishmanioses Rapport d un Comit OMS d experts 176 pages 1990 Les imp ratifs de l enseignement en sant bucco dentaire progresser ou r gresser Rapport d un Comit OMS d experts 46 pages 1990 L imagerie en pratique clinique pour un choix rationnel des techniques de diagnostic Rapport d un Groupe scientifique de POMS 143 pages 1990 L utilisation des m dicaments essentiels Quatri me rapport du Comit d experts de l OMS 64 pages 1990 R gime alimentaire nutrition et pr vention des maladies chroniques Rapport d un Groupe d tude de POMS 229 pages 1990 Pesticides chimie et normes Treizi me rapport du Comit OMS d experts de la biologie des vecteurs et de la lutte antivectorielle 95 pages 12 18 799 800 801 802 803 804 805 806 807 808 809 810 811 1990 Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments Trente sixi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 74 pages 4 444444usssssenre xs 1990 Comit OMS d experts de la standardisation biologique Quaranti me rapport 235 pages 1990 Le d veloppement coordonn des ressources humaines et sanitaires Rapport d un Groupe d tude de OMS 61 pages 1990
25. occasion de l examen des normes concernant les ol or sines d pices le Comit avait exprim l avis que l utilisation du 1 2 dichlor thane comme solvant d extraction devrait tre d conseill e en raison du risque de toxicit et il avait recommand qu une tude globale soit entreprise sur l utilisation des hydrocarbures chlor s comme solvants dans l industrie alimentaire A la pr sente r union le Comit a examin les r sultats des tudes toxicologiques effectu es sur le 1 2 dichlor thane depuis la vingt troisi me r union Le 1 2 dichlor thane est facilement absorb partir du tractus gastro intestinal apr s ingestion et au niveau des poumons apr s inhalation Lorsqu il est absorb par la voie gastro intestinale le 1 2 dichlor thane radiomarqu montre une pr f rence pour le foie et les tissus adipeux mais il est rapidement m tabolis et excr t sous forme de m tabolites non volatils dans Purine et de m tabolites volatils dans l air expir Dans des tudes men es sur des rats 70 85 d une dose administr e par voie orale sont apparus sous forme de m tabolites dans l urine au cours des quarante huit heures suivantes 10 20 ont t d tect s dans l air expir en partie sous forme de dioxyde de carbone et de petites quantit s ont t limin es dans les f ces ou taient encore pr sentes 48 heures plus tard dans l organisme o elles s taient li es de fa on irr versible d
26. r sulter soit d une mac ration du tissu v g tal apr s la r colte ce qui active la B glucosidase intracellulaire qui son tour hydrolyse le glucoside soit de l hydrolyse du glucoside par la B glucosidase produite par la microflore de l intestin Le niveau d activit de la glucosidase dans l intestin d pend du pH et de la composition de la flore bact rienne La teneur en glucoside cyanog ne d un aliment lorsqu elle est connue est g n ralement exprim e en indiquant la quantit de cyanure lib r e par hydrolyse acide la concentration exacte des glucosides eux m mes est tr s rarement indiqu e Le cyanure d hydrog ne absorb partir de l intestin peut tre d toxifi par conversion m tabolique en thiocyanate ce ph nom ne d pend de la pr sence de facteurs nutritionnels comme les acides amin s soufr s et la vitamine B12 Une toxicit aigu se manifeste lorsque le taux d absorption du cyanure d hydrog ne d passe la capacit de d toxification m tabolique de l organisme Les risques potentiels r sultant d une exposition chronique ne sont pas parfaitement connus Les comptes rendus d tudes toxicologiques manquent de pr cision sur les quantit s de glucosides cyanog nes ing r es ou sur les quantit s de cyanure d hydrog ne susceptibles d tre lib r es Aucune tude de toxicit long terme ou de canc rog nicit n a t soumise au Comit Toutefois les tudes de g notoxicit
27. rences de composition sont mal connues de sorte que les donn es ayant servi valuer la carrag nine ne pouvaient tre utilis es par le Comit comme seule base de la pr sente valuation En l absence de donn es toxicologiques pertinentes l utilisation des algues Eucheuma trait es dans les aliments ne pouvait tre valu e Le Comit a t inform qu une tude de 90 jours devait tre entreprise chez des rats tude qui pourrait tre utile pour l valuation future de ces algues Des normes indicatives avaient t labor es la trenti me r union du Comit annexe 1 r f rence 73 pour faciliter l identification des substances qui devaient faire l objet de futures tudes toxicologiques Ces normes ne d crivent pas suffisamment bien le produit actuel et ne r pondent plus leur but initial Le Comit a donc d cid de les r viser mais de maintenir le qualificatif indicatives tant entendu que de nouvelles normes seraient tablies ult rieurement si cela s av rait n cessaire la lumi re des donn es toxicologiques Lors de la r vision des normes le Comit s est int ress au nom de la substance Etant donn que les normes r vis es r pondent au m me but que les normes initiales qui est de d crire la substance utiliser dans les tudes toxicologiques l appellation algues marines Eucheuma trait es a t maintenue Si de nouvelles normes sont pr par es pour d crire la s
28. soins de sant primaires Rapport d un Comit d experts de POMS 127 pages 1988 Lutte contre les vecteurs et les nuisibles en milieu urbain Onzi me rapport du Comit OMS d experts de la biologie des vecteurs et de la lutte antivectorielle 86 pages 1988 Comit OMS d experts de la l pre Sixi me rapport 56 pages 1988 Apprendre ensemble pour uvrer ensemble au service de la sant Rapport d un Groupe d tude de l OMS 84 pages 1988 L utilisation des m dicaments essentiels Troisi me rapport du Comit d experts de POMS 70 pages 1988 Comit OMS d experts de la Standardisation biologique Trente huiti me rapport 236 pages 1988 Techniques de diagnostic appropri es dans la prise en charge des maladies cardio vasculaires Rapport d un Comit d experts de POMS 46 pages 1988 La lutte contre le tabagisme sans fum e Rapport d un Groupe d tude de l OMS 91 pages 1988 Lutte contre les salmonelloses le r le de hygi ne appliqu e aux animaux et aux produits Rapport d un Comit d experts de POMS 92 pages 1989 Comit OMS d experts de la pharmacod pendance Vingt cinqui me rapport 55 pages 1989 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente troisi me
29. t pr par e Les normes indicatives actuelles ont t r vis es et le Comit est convenu de supprimer le qualificatif indicatives Lysozyme La lysozyme n avait encore jamais t valu e par le Comit La lysozyme d albumine d oeuf est constitu e de 129 acides amin s reli s par quatre 3 1 3 ponts disulfure transversaux On trouve des lysozymes dans les tissus les organes et le s rum des animaux ainsi que dans les larmes le lait et la glaire cervicale Le chlorhydrate de lysozyme est obtenu commercialement partir du blanc d oeuf de poule par un proc d d change d ions La concentration de lysozyme dans l albumine d oeuf est d environ 5 g kg La lysozyme sous forme de chlorhydrate est utilis e dans l industrie fromag re pour emp cher le soufflage tardif Ce ph nom ne est caus par la multiplication de Clostridium tyrobutyricum qui agit sur le lactate r sultant de la fermentation du lactose pour produire du dioxyde de carbone de l hydrog ne de l acide butyrique et l acide ac tique La quantit utilis e est inf rieure 40 mg de lysozyme par litre de lait ce qui donne une concentration finale inf rieure 400 mg de lysozyme par kg de fromage Dans des tudes d allerg nicit les r actions produites par la lysozyme de blanc d oeuf chez l animal et chez l homme ont t moins s v res que celles observ es avec d autres prot ines comme lovalbumine et l albumine utilis
30. techniques N 129 1957 puis M thodes d essai toxicologique des additifs alimentaires Deuxi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 17 1958 OMS S rie de Rapport techniques N 144 1958 puis Normes d identit et de puret pour les additifs alimentaires Agents antiseptiques et anfioxydants Troisi me rapport du Comit d experts Ces normes ont t ult rieurement r vis es et publi es sous le titre Normes d identit et de puret pour les additifs alimentaires Vol I Agents antiseptiques et antioxydants Rome Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture 1962 puis Normes d identit et de puret pour les additifs alimentaires Colorants alimentaires Quatri me rapport du Comit d experts Ces normes ont t ult rieurement r vis es et publi es sous le titre Normes d identit et de puret pour les additifs alimentaires Vol II Colorants alimentaires Rome Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture 1963 puis Evaluation de la canc rog nicit des additifs alimentaires Cinqui me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 29 1961 OMS S rie de Rapports techniques N 220 1961 puis Evaluation de la toxicit de certains antiseptiques et antioxydants Sixi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 31 1962 OMS
31. transformation des aliments Recommandations 1 Vu le grand nombre d additifs alimentaires et de contaminants qui doivent tre valu s ou r valu s il est vivement recommand que le Comit mixte FAO OMS des additifs alimentaires continue se r unir au moins une fois par an pour valuer ces substances Le Comit a recommand que des directives soient tablies pour la mise au point de m thodes fiables et sensibles en vue de d terminer les quantit s de cyanure d hydrog ne susceptibles d tre lib r es par les glucosides cyanog nes dans les aliments et garantir ainsi que les quantit s pr sentes dans les aliments pr ts tre consomm s sont sans danger Le Comit a recommand que lors de la mise au point de nouveaux cultivars susceptibles de produire des glucosides cyanog nes et des glucoalcalo des l on s efforce de limiter autant que possible la concentration de ces substances toxiques tout en tenant compte de leur ventuel effet protecteur pour la plante Le Comit a pris note des tudes pharmacocin tiques et m canistes de grande ampleur qui ont t entreprises sur le dichlorom thane Ces tudes si elles n ont pas compl tement r solu le probl me de l identit chimique des m tabolites canc rog nes ont mis en relief l utilit potentielle de ce type de donn es pour l valuation de l innocuit d une substance Le Comit a recommand que de telles tudes se poursuivent et il a enc
32. tudes pid miologiques n ont mis en vidence aucun effet canc rog ne du dichlorom thane la suite d une exposition professionnelle Toutefois le Comit a fait observer que la possibilit de d tecter une augmentation du risque gr ce ces tudes tait limit e Compte tenu des donn es disponibles le Comit a conclu que l utilisation du dichlorom thane comme solvant d extraction dans l industrie alimentaire devrait tre limit e la production d ol or sines d pices de th et de caf d caf in s et d additifs alimentaires pour lesquels les normes d j tablies par le Comit pr voient des limites de r sidus de dichlorom thane Le Comit a t inform que le dichlorom thane peut contenir des stabilisants et il a estim que les seuls qui pouvaient tre utilis s dans le dichlorom thane de qualit alimentaire devaient tre toxicologiquement acceptables et donc ne pas tre susceptibles d entra ner la pr sence de r sidus importants du point de vue toxicologique Un additif la monographie toxicologique a t pr par Les normes existantes ont t r vis es mais le qualificatif indicatives a t maintenu Ether mono thylique de di thyl neglycol Cette substance avait d j t examin e la vingti me r union du Comit annexe 1 r f rence 41 mais aucune DJA ne lui avait t attribu e en raison du manque de donn es toxicologiques Le Comit avait not en par
33. une augmentation de la teneur en glucoalcalo des jusqu atteindre des concentrations potentiellement toxiques R vision de certaines normes G n ralit s Vingt deux substances ont fait l objet d une valuation portant exclusivement sur les normes voir annexe 2 et les normes relatives 16 d entre elles ont t r vis es Les normes indicatives concernant les six autres substances anoxom re dioxyde de carbone thylhydroxy thyl cellulose lactitol m lange de carot no des et dioxyde de soufre ont t maintenues car le Comit n a pas re u suffisamment de renseignements pour pouvoir les r viser et supprimer le qualificatif indicatives Pour quatre substances aluminium en poudre rouge de carthame monolaurate de sorbitane et talc le Comit n a pas re u certaines des informations demand es annexe 1 r f rences 68 71 et 75 Il a donc r vis les normes indicatives existantes pour ces quatre substances mais a maintenu le qualificatif indicatives Le Comit a examin huit substances pour lesquelles il existait des normes indicatives st aroyllactylate de calcium carot nes algues carot nes l gumes gomme dammar st aroyllactylate de sodium trist arate de sorbitane acide tannique et dioxyde de titane et a conclu que les renseignements fournis lui permettaient de r viser ces normes et de supprimer le qualificatif indicatives 37 42 Additif aux normes g n rales relat
34. 62 763 764 765 766 767 768 769 770 771 772 773 774 775 776 1987 Utilisation rationnelle de imagerie diagnostique en p diatrie Rapport d un Groupe d tude de POMS 111 pages 1987 Les troubles tensionnels de la grossesse Rapport d un Groupe d tude de POMS 122 pages 1987 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente et uni me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 56 pages 1987 Comit OMS d experts de la Standardisation biologique Trente septi me rapport 218 pages 1988 Comit OMS d experts de la Pharmacod pendance Vingt quatri me rapport 37 pages 1988 Education et formation en m decine du travail Rapport d un Groupe d tude de POMS 52 pages 1988 Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments Trente deuxi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 44 pages sun Higniounate paie eue ere mets es 1988 Rhumatisme articulaire aigu et cardiopathies rhumatismales Rapport d un Groupe d tude de POMS 63 pages 1988 La promotion de la sant des travailleurs Rapport d un Comit d experts de POMS 55 pages 1988 Le renforcement des minist res de la sant pour les
35. 9 35 47 53 59 73 et 88 A sa dix huiti me r union le Comit avait tabli une DJA temporaire de 0 0 1 mg kg de poids corporel pour la curcumine compte tenu de la DJA du curcuma en admettant une teneur moyenne de 3 de curcumine dans le curcuma annexe 1 r f rence 35 La DJA temporaire de la curcumine a t prorog e lors des vingt deuxi me vingt quatri me vingt sixi me et trenti me r unions apr s valuation de nouvelles donn es annexe 1 r f rences 47 53 59et 73 sa trenti me r union le Comit avait conclu que le curcuma tait souvent consid r comme un aliment plut t que comme un additif alimentaire et qu il n y avait donc pas lieu de lui attribuer une DJA la trente cinqui me r union il a examin s par ment la curcumine et lol or sine de curcuma et il a prorog la DJA de la curcumine jusqu en 1992 en attendant les r sultats des tudes de canc rog nicit long terme demand es lors de la vingt sixi me r union H avait alors t inform que des tudes de canc rog nicit y compris les phases d valuation de la f condit taient en cours sur des rongeurs ayant re u de l ol or sine de curcuma forte teneur en curcumino des Les r sultats de ces tudes long terme ne lui ont pas encore t soumis A Torigine des tudes long terme sur la curcumine avaient t demand es parce que les donn es examin es lors des vingt deuxi me et vingt sixi me r u
36. 94 Le Comit avait pour mandat 1 de poursuivre l laboration des principes d valuation de l innocuit des additifs alimentaires et des produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments voir section 2 2 de proc der l valuation toxicologique de certains additifs alimentaires et de certains produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments voir section 3 et annexes 2 et 3 et d examiner ou pr parer des normes pour certains additifs alimentaires 3 d tudier les questions soulev es lors de la vingt troisi me session du Comit du Codex sur les additifs alimentaires et les contaminants et de donner des avis ce sujet voir annexe 4 G n ralit s Modification de l ordre du jour Le benjoin et les esters polyglyc riques d acide gras n ont pas t examin s en raison du manque d informations qui auraient permis d valuer ces substances 2 2 2 2 1 Les esters saccharosiques d acide gras ont t ajout s la liste des substances valuer en m me temps que les saccharoglyc rides La chaconine a t ajout e car sa structure chimique est voisine de celle de la solanine et les deux substances sont normalement pr sentes simultan ment dans les pommes de terre Les cires min rales ont t valu es sous les d signations de cire microcristalline et de paraffine solide substances pour lesquelles des normes ont t tablies la pr sente r union Les glucosides cyano
37. Additif aux normes g n rales relatives aux enzymes utilis es dans le traitement des denr es alimentaires 5 Travaux futurs 6 Recommandations Remerciements Bibliographie Annexe 1 Rapports et autres documents issus des r unions pr c dentes du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires Annexe 2 Doses journali res admissibles autres donn es toxicologiques et renseignements relatifs aux normes Annexe 3 Etudes toxicologiques et autres donn es demand es Annexe 4 Questions soulev es lors de la vingt troisi me session du Comit du Codex sur les additifs alimentaires et les contaminants 37 37 37 38 38 41 47 50 52 Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires Rome 3 12 f vrier 1992 Membres Professeur E Bababunmi Director Postgraduate Institute for Medical Research and Training College of Medicine University of Ibadan lbadan Nig ria Dr H Blumenthal Silver Spring MD Etats Unis d Am rique M D F Dodgen Special Assistant for International Affairs Division of Food and Color Additives Center for Food Safety and Applied Nutrition Food and Drug Administration Washington DC Etats Unis d Am rique co rapporteur Dr C E Fisher Head of Food Safety Additives and Risk Assessment Unit Food Science Division Ministry of Agriculture Fisheries and Food Londres Angleterre Professeur C L Galli Professeur de Toxicologie Institut des Sciences pharmac
38. Ce rapport exprime les vues collectives d un groupe infemational d experts ei ne repr sente pas n cessairement les d cisiens ou la polique o iciellement adopi es par l Organisation mondiale de la Sant ou par l Organisation des Nations Unies par l Alimentation et l Agriculture OMS S rie de Rapports techniques 828 EVALUATION DE CERTAINS ADDITIFS ALIMENTAIRES ET DE CERTAINS PRODUITS TOXIQUES NATURELS Trente neuvi me rapport du Comit mixte FAO WHO d experts des additifs alimentaires lt y Organisation mondiale de la Sant Gen ve 1992 Catalogage la source Biblioth que de l OMS Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires Evaluation de certains additifs alimentaires et de certains produits toxiques naturels trente neuvi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques 828 1 Additifs alimentaires analyse 2 Additifs alimentaires toxicit 3 Contamination alimentaires 4 Intoxication plante 5 Plantes Comestible analyse Titre Il S rie ISBN 92 4 220828 0 Classification NLM WA 712 ISSN 0373 3998 L Organisation mondiale de la Sant est toujours heureuse de recevoir des demandes d autorisation de reproduire ou de traduire ses publications en partie o int gralement Les demandes cet effet et les demandes de renseignements doivent tre adress es au Bureau des Publications Organisation mondiale de la Sa
39. Chagas Rapport d un Comit OMS d espects 105 pages 16 10 A 10 11 14
40. DJA de groupe non sp cifi e ces substances pour les usages indiqu s dans les normes base pour chewing gum enrobage protecteur produit antimousse et agent de finition superficielle 29 3 1 7 30 Le Comit a t inform qu une tude de 90 jours tait en cours sur des cires min rales obtenues par des m thodes traditionnelles ou par des proc d s nouveaux et il a demand que les r sultats lui soient communiqu s d s qu ils seraient disponibles Une monographie toxicologique a t pr par e Le Comit a examin les normes indicatives actuelles concernant la paraffine solide la lumi re des informations dont il disposait Il a reconnu que le terme paraffine solide ne convenait pas pour d signer l ensemble des d riv s paraffiniques du p trole qui comprennent outre la paraffine solide la paraffine interm diaire et la cire microcristalline Il a not aussi qu il existait des diff rences notables entre les propri t s chimiques et physiques de la cire microcristalline et celles des autres d riv s paraffiniques du p trole Le Comit a donc d cid de pr parer des normes distinctes pour la paraffine solide applicables galement la paraffine interm diaire et pour la cire microcristalline Shellac Le shellac n avait encore jamais t valu par le Comit Il est employ depuis fort longtemps pour l enrobage des aliments et cette utilisation ma jamais entra n d effets
41. Le r le de la recherche et des syst mes d information dans la prise de d cisions relatives au d veloppement des ressources humaines pour la sant Rapport d un Groupe d tude de POMS 62 pages 1990 Syst mes de formation continue priorit au personnel de sant de district Rapport d un Comit d experts de POMS 56 pages ME Le me BA 1990 Traitement de la douleur canc reuse et soins palliatifs Rapport d un Comit d experts de l OMS 84 pages 1990 Pratique de la chimoth rapie du paludisme Rapport d un Groupe scientifique de POMS 159 pages 1991 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente septi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 53 pages 5 50 ne ane ste dede ele de Ro Nes 1991 L hygi ne de l environnement dans l am nagement urbain Rapport d un Comit d experts de POMS 78 pages 1991 Comit OMS d experts de la pharmacod pendance Vingt septi me rapport 19 pages Pin ae 1991 L engagement communautaire en faveur du d veloppement sanitaire un d fi pour les services de sant Rapport d un Groupe d tude de POMS 62 pages 1991 Prise en charge des patients atteinsts de maladies sexuellement transmissibles Rapport d un Groupe d tude de l OMS 112 pages 1991 Lutte contre la maladie de
42. S rie de Rapports techniques N 228 1962 puis Normes d identit et de puret pour les additifs alimentaires et valuation toxicologique mulsifiants stabilisants d colorants et maturants Septi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 35 1964 OMS S rie de Rapports techniques N 281 1964 puis Normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires colorants et divers antimicrobiens et antioxydants Huiti me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 38 1965 OMS S rie de Rapports techniques N 309 1965 puis Normes d identit et de puret et valuation toxicologique de divers antimicrobiens etantioxydants R unions de la FAO sur la nutrition N 38 A 1965 WHO Food Add 24 65 puis Normes d identit et de puret et valuation toxicologique de divers colorants alimentaires R unions de la FAO sur la nutrition N 38 B 1966 WHO Food Add 66 25 Normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires divers antimicrobiens antioxydants mulsifiants stabilisants agents de traitement des farines acides et bases Neuvi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 40 1966 OMS S rie de Rapports techniques N 339 1966 puis Evaluation toxicologique de divers antimicrobiens antioxydants mulsifiants stabilisants agents
43. abolites mutag nes chez Salmonella typhimurium Par contre il semble que la conjugaison du dichlor thane avec le glutathion conduise la formation d un compos mutag ne le 2 chlor thyl glutathion et d thyl ne Le 2 chlor thyl glutathion se lie de fa on irr versible aux prot ines l ADN et l ARN pour former des conjugu s du glutathion qui sont excr t s dans l urine sous forme de thio thers Lorsque le m tabolisme microsomique du 1 2 dichlor thane est inhib le m tabolisme d pendant du glutathion prend de l importance ce qui se traduit par une toxicit et une canc rog nicit accrues Le 1 2 dichlor thane est plus toxique pour les rats lorsqu il est administr par gavage sous forme de bolus que lorsque des dose quivalentes sont m lang es l eau de boisson Dans des tudes court terme chez le rat les principaux tissus cibles ont t le foie les reins le syst me nerveux central et l estomac ant rieur Les trois premiers correspondent aux sites touch s chez les humains expos s accidentellement de fortes concentrations de 1 2 dichlor thane Aucun effet n a t observ avec des doses de 10 mg kg de poids corporel administr es par voie orale des rats 5 fois par semaine pendant 90 jours Des tudes long terme ont montr que le 1 2 dichlor thane tait canc rog ne chez la souris et le rat lorsqu il tait administr par gavage m lang de l huile de ma s des doses
44. additifs alimentaires OMS S ries de rapports techniques N 815 1991 Toxicological evaluation of certain veterinary drug residues in food WHO Food Additives Series N 29 1991 Residues of some veterinary drugs in animals and foods FAO Food and Nutrition Paper N 41 4 1991 Directives g n rales pour l usage des normes d identit et de puret Prescriptions g n rales techniques g n rales d analyse r actions d identit r actifs solutions t moins autres documents de r f rence Etude FAO Alimentation et nutrition N 5 Rev 2 1991 Annexe 2 Doses journali re admissibles autres donn es toxicologiques et renseignements relatifs aux normes Substance Normes Dose journali re admissible DJA en mg kg de poids corporel et autres recommendations d ordre toxicologique Emulsifiants Esters saccharosiques d acides gras et saccharoglyc rides S 0 16 DJA de groupe Huile de soja oxyd e thermiquement N 0 3 Produit de r action de l huile de soja oxyd e thermiquement avec des mono et diglyc rides d acides gras R 0 30 Pr parations enzymatiques Cellulase d riv e de Trichoderma longibrachiatum R B Glucanase d riv e de Trichoderma harzianum R Lysozyme N Aromatisants trans An thol S Ethylvanilline R Limon ne N Quinine chlorhydrate de R Quinine sulfate de S Solvants 1 2 Dichlor thane Aucune Dichlorom thane R T Ether mono thylique de di thyl neglycol R Epaiss
45. ali re acceptable DJA d une substance donn e en appliquant un facteur de s curit la concentration sans effet observ tablie par des exp riences sur animal Le plus souvent le facteur utilis est gal 100 de fa on tenir compte des diff rences entre l animal d exp rience et l homme facteur de 10 et des diff rences individuelles facteur de 10 annexe 1 r f rence 76 Toutefois les facteurs de s curit sont utilis s avec une grande souplesse puisqu ils peuvent varier de 10 plusieurs milliers selon le caract re plus ou moins complet et le type des donn es disponibles mais aussi selon la nature des effets toxiques Le Comit a t saisi d un projet de publication 3 qui sugg rait que chaque facteur 10 soit subdivis pour tenir compte de deux aspects pharmacocin tique et pharmacodynamique Des valeurs par d faut taient propos es pour chacun de ces aspects dont le produit donnait le facteur original de 10 Lorsqu il existe des donn es cin tiques et dynamiques appropri es celles ci pourraient remplacer les valeurs par d faut correspondantes Le Comit a estim qu en raison du manque de donn es valables les cas o le facteur de s curit pourrait tre subdivis de cette fa on seraient peu nombreux Cette question devrait tre explor e de fa on plus approfondie avant que le Comit puisse l examiner en d tail Le Comit a soulign qu il tait toujours int ress
46. anc rog nes et des tudes de tumorig nicit ont donn des r sultats contradictoires L exp rience d montre clairement que le limon ne exacerbe chez les rats m les adultes une n phropathie spontan e qui apr s exposition prolong e s accompagne d une augmentation de l incidence de tumeurs r nales que l on n observe g n ralement pas chez les rats t moins Toutefois le limon ne n est pas la seule substance avoir cet effet il a t signal que divers m langes d hydrocarbures et d autres substances chimiques exacerbent les n phropathies spontan es et provoquent des tumeurs r nales chez le rat m le Bien que l on ait g n ralement utilis d autres substances que le limon ne dans les tudes destin es lucider ce processus canc rog ne ces tudes ont montr que le m canisme expliquant l induction de n phropathies et de tumeurs r nales par le limon ne chez le rat m le est le suivant 1 le limon ne et le limon ne 1 2 oxyde m tabolite du pr c dent se lient de fa on r versible l 2u globuline dans les reins des rats m les 2 il s ensuit un ralentissement suppl mentaire du processus de r absorption de l globuline qui est d j lent par lui m me 3 en cons quence l amp globuline s accumule dans les phagolysosomes gouttelettes d hyaline des cellules pith liales des tubes contourn s proximaux du rein ce qui entra ne une n crose
47. assag res du nombre total de leucocytes et du pourcentage de lymphocytes et de monocytes variations qui ont t consid r es comme non significatives du point de vue toxicologique L incidence des tumeurs de certains organes a t l g rement plus lev e chez les animaux trait s que chez les t moins P lt 0 05 Toutefois ces incidences s inscrivaient dans la fourchette observ e chez les t moins rats Wistar lors d tudes ant rieures aucune relation n a pu tre tablie entre la dose et la r ponse et l effet ne s est pas r v l constant pour les trois substances tudi es Le Comit a conclu que ni la TOSO ni la TOSOM n taient canc rog nes chez le rat Le Comit a attribu une DJA de 0 3 mg kg de poids corporel la TOSO et de 0 30 mg kg de poids corporel la TOSOM en appliquant un facteur de s curit de 200 aux doses les plus lev es qui mont eu aucun effet ind sirable au cours de l tude de 2 5 ans chez le rat approximativement 600 et 6000 mg kg de poids corporel par jour respectivement Une monographie toxicologique a t pr par e Les normes indicatives actuelles concernant la TOSOM ont t r vis es leur titre a t modifi et le Comit est convenu de supprimer le qualificatif indicatives De nouvelles normes ont t tablies pour la TOSO Pr parations enzymatiques A la pr sente r union le Comit a valu trois pr parations enzymatiques Lors de sa trente et un
48. bolis en dioxyde et monoxyde de carbone La formation de ces m tabolites est fonction de la dose aux doses sup rieures 100 mg kg de poids corporel une quantit proportionnellement plus lev e est limin e sous forme non m tabolis e Le dichlorom thane ne s accumule pas dans l organisme Il traverse la barri re placentaire chez la ratte mais aucun effet n a t observ sur la reproduction m me hautes doses Le dichlorom thane est d grad en monoxyde de carbone et en dioxyde de carbone selon deux voies m taboliques dont l une fait intervenir une oxydation par les oxydases fonction mixte et l autre les glutathion S transf rases La principale voie m tabolique pour les faibles concentrations de dichlorom thane semble tre celle d s oxydases fonctions mixtes tandis qu aux concentrations plus lev es cette voie est satur e de sorte qu un pourcentage plus important de dichlorom thane peut tre m tabolis par le m canisme d pendant du glutathion La m tabolisation du dichlorom thane en monoxyde de carbone conduit la formation de carboxyh moglobine responsable de l tat d hypoxie que l on observe fr quemment en cas d empoisonnement accidentel Des doses uniques ou r p t es de dichlorom thane ont provoqu une l vation des taux d enzymes s riques signe d une toxicit r nale et surtout h patique Aucun effet ind sirable n a t observ dans une tude de 3 mo
49. d autres substances peu absorb es Des tudes r centes ont mis en vidence un l ger effet sur l absorption d un certain nombre de min raux Le Comit a rappel que des substances faiblement absorb es celluloses modifi es polyols gommes amidons modifi s ont des effets analogues qui ont t analys s au paragraphe 2 2 3 du rapport de la trente cinqui me r union annexe 1 r f rence 58 une DJA non sp cifi e est g n ralement attribu e ce type de substance En cons quence le Comit a attribu une DJA non sp cifi e l acide alginique et ses sels d ammonium de calcium de potassium et de sodium mais il a soulign comme il l avait fait pour d autres produits que des doses lev es peuvent avoir un effet laxatif L alginate de propyl neglycol avait t valu la dix septi me r union du Comit annexe 1 r f rence 32 qui lui avait attribu une DJA de 0 25 mg kg de poids corporel Il wa pas t r valu la pr sente r union Une monographie toxicologique a t pr par e Les normes existantes pour l acide alginique et ses sels d ammonium de calcium de potassium et de sodium ont t r vis es Le Comit a galement saisi l occasion de r viser les normes existantes concernant Palginate de propyl neglycol et les a qualifi es d indicatives Algues marines Eucheuma trait es A sa trenti me r union annexe 1 r f rence 73 le Comit tai
50. de traitement des farines acides et bases R unions de la FAO sur la nutrition N 40 A B C WHO Fo0d 67 29 Normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires divers mulsifiants et stabilisants et certaines autres substances Dixi me rapport 4i 42 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 24 28 29 30 du Comit d experts R union de la FAO sur la nutrition N 43 1967 OMS S rie de Rapports techniques N 373 1967 Normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires divers aromatisants et dulcorants non nutritifs Onzi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 44 1968 OMS S rie de Rapports techniques N 383 1968 Evaluation toxicologique de divers aromatisants et dulcorants non nutritifs R unions de la FAO sur la nutrition N 44 A 1968 WHO Food Add 68 33 Normes d identit et de puret de divers aromatisants et dulcoranis non nutritifs R unions de la FAO sur la nutrition N 44B 1969 WHO Food Add 69 31 Normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires divers antibiotiques Douzi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 45 1969 OMS S rie de Rapports techniques N 430 1969 Normes d identit et de puret de divers antibiotiques R unions de la FAO sur la nutritio
51. du mercure du plomb du cadmium et de quelques additifs alimentaires amarante pyrocarbonate de di thyle et gallate d octyle R unions de la FAO sur la nutrition N 51 A 1972 OMS S rie Additifs alimentaires N 4 1974 Evaluation toxicologique de certains additifs alimentaires examen des principes g n raux et des normes Dix septi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 53 1974 OMS S rie de Rapports techniques N 539 1974 et corrigendum puis Evaluation toxicologique de certains additifs alimentaires et notamment d antiagglutinants d antimicrobiens d antioxyg nes d mulsifiants et d paississants R unions de la FAO sur la nutrition N 53 A 1974 OMS S rie Additifs alimentaires N 5 1976 Directives g n rales pour l usage des normes d identit et de puret prescriptions g n rales m thodes g n rales r actions d identit r actifs solutions t moins autres documents de r f rence Etude FAO Alimentation et Nutrition N 4 1978 Evaluation de certains additifs alimentaires Dix huiti me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 54 1974 OMS S rie de rapports techniques N 557 1974 et corrigendum Evaluation toxicologique de quelques colorants enzymes exaltateurs d ar me paississants et de certains autres additifs alimentaires R unions de la FAO sur la nutrition N 54 A 1975 OMS S rie
52. e donn es pour pouvoir mettre au point une m thode souple d valuation de ces substances A la trente septi me r union le Comit a not que plusieurs facteurs devaient tre pris en consid ration donn es provenant d tudes toxicologiques chez l animal et d essais court terme de mutag nicit et de clastog nicit r sultats d tudes de m tabolisme et des rapports entre la structure et l activit niveau d utilisation contribution relative des additifs alimentaires la quantit totale ing r e origine de l aromatisant et donn es sur limportance et la fr quence de l exposition humaine annexe 1 r f rence 94 A sa pr sente r union le Comit a not que d autres organisations avaient adopt une approche souple fond e sur des principes analogues Il a r it r ces principes et conclu une nouvelle fois qu il fallait disposer d un minimum de donn es sur la substance l tude ou sur des substances troitement apparent es pour valuer son innocuit ce minimum d pendant de la nature de la substance et des informations dont on dispose sur les conditions d exposition Le Comit a galement rappel qu il tait souhaitable d valuer simultan ment des compos s de structures voisines car les donn es obtenues pour l un d entre eux pourraient aider valuer les autres annexe 1 r f rence 94 Les donn es sur les rapports entre la structure et l activit et sur l exposi
53. e pour usage alimentaire ainsi que sur les m thodes d analyse de ces stabilisants Des renseignements plus d taill s sont galement demand s en ce qui concerne le dosage du dichlorom thane notamment sur la m thode analytique utilis e Epaississants Algues marines trait es Eucheuma Des renseignements sont demand s sur les quantit s r elles d arsenic de m taux lourds et de plomb pr sents comme contaminants dans le produit commercial ainsi que sur l effet de l limination de la cellulose sur la viscosit Cires Shellac Des renseignements sont demand s sur l indice d acide les conditions de d termination de la perte de poids la dessiccation l intervalle de fusion la densit relative l indice diode et l indice de saponification Substances diverses 50 Curcumine Les r sultats des tudes de canc rog nicit de l ol or sine de curcuma chez la souris et le rat qui sont maintenant termin es et ceux d une tude des effets sur la reproduction et de la t ratog nicit de la curcumine sont demand s pour valuation d ici 1995 Furfural Des informations sont demand es sur les sp cifications relatives l utilisation du furfural comme solvant d extraction Bromate de potassium Des renseignements sont demand s sur les utilisations alimentaires du bromate de potassium autres que le traitement des farines sur les quantit s utilis es dans ces applications et sur les quantit s
54. ellement pr sents dans les aliments 2 2 4 Terminologie 2 3 Principes r gissant l tablissement et la r vision des normes 2 8 1 Etablissement des normes 2 3 2 R vision des Directives g n rales pour l usage des normes d identit et de puret 3 Observations relatives certains additifs alimentaires et certains produits toxiques naturels 3 1 Additifs alimentaires OO O1 BR ND N 3 1 1 Emulsifiants Esters saccharosiques d acides gras et saccharoglyc rides Huile de soja oxyd e thermiquement TOSO et produit de r action de l huile de soja oxyd e thermiquement avec des mono et diglyc rides d acides gras TOSOM 3 1 2 Pr parations enzymatiques Cellulase d riv e de Trichoderma longibrachiatum B Glucanase d riv e de Trichoderma harzianum Lysozyme 3 1 3 Aromatisants trans An thol Ethylvanilline Limon ne Quinine 3 1 4 Solvants 1 2 Dichior thane Dichlorom thane Ether mono thylique de di thyl neglycol 3 1 5 Epaississants Acide alginique et ses sels d ammonium de calcium de potassium et de sodium Algues marines Eucheuma trait es 3 1 6 Cires Cire d abeille Cire de candelilla Cire de carnauba Cire microcristalline et paraffine solide Shellac 3 1 7 Substances diverses Curcumine Furfural Bromate de potassium 3 2 Produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments 3 2 1 Glucosides cyanog nes 3 2 2 Solanine et chaconine 4 R vision de certaines normes 41 G n ralit s 4 2
55. es la brunissure la germination les op rations de transformation et le stockage peuvent entra ner une augmentation de ces concentrations et dans des cas extr mes communiquer aux tubercules un go t amer Les glucoalcalo des ne sont pas d truits par la cuisson et les concentrations les plus lev es se trouvent dans la peau et autour des germes 35 36 Figure 1 Structure chimique de l x solanine et de l x chaconine h Gle o solanine R Gal Rham Rham o chaconine R Pa Rham WHO 92766 De nombreuses tudes effectu es sur divers animaux d exp rience pour lucider les propri t s toxicologiques des glucoalcalo des y compris leur t ratog nicit ont t valu es Des anomalies cr niennes ont t observ es dans certaines tudes de t ratog nicit chez des animaux de laboratoire notamment chez le hamster des concentrations de 165 200 mg de glucoalcalo des par kg de poids corporel par jour Toutefois l association qui avait t voqu e entre la consommation pendant la grossesse de pommes de terre atteintes de brunissure et une incidence accrue des cas de spina bifida et d anenc phalie n a pas t confirm e Dans une tude d envergure limit e aucun signe de toxicit aigu n a t observ chez des volontaires la suite de la consommation journali re de pommes de terre contenant environ 24 mg de glucoalcalo des pour 100 g de tubercules Toutefois des cas d intoxicat
56. es d acides gras sont constitu s principalement de mono et diesters de saccharose et d acides gras et d une petite quantit de tri esters On peut les pr parer partir du saccharose et des esters m thyliques et thyliques d acides gras Les saccharoglyc rides sont essentiellement des m langes d esters saccharosiques d acides gras et de mono et diglyc rides ils sont obtenus par r action des graisses et huiles comestibles avec le saccharose Ces substances avaient d j t valu es lors des treizi me dix septi me vingti me vingt quatri me et trente cinqui me r unions du Comit annexe 1 r f rences 19 32 41 53 et 88 Une DJA de groupe de 0 10 mg kg de poids corporel avait t attribu e aux esters saccharosiques d acides gras et aux saccharoglyc rides la vingt quatri me r union elle tait bas e sur une dose sans effet chez le rat de 1 dans la nourriture soit 500 mg kg de poids corporel par jour dose tablie lors d une tude long terme effectu e avec le monopalmitate de saccharose et pr sent e la treizi me r union du Comit Un facteur de s curit de 50 avait t appliqu car l on sait que ces substances s hydrolysent dans l intestin o elles se transforment en constituants normaux des aliments avant d tre absorb es A sa trente cinqui me r union le Comit s est int ress l utilisation de divers solvants dans la fabrication de ces substances Il a
57. es macromol cules principalement des prot ines Aux doses lev es les voies m taboliques du 1 2 dichlor thane peuvent tre satur es Ce compos est plus facilement absorb partir du tractus gastro intestinal lorsqu il est administr en solution aqueuse que lorsqu il est en solution huileuse Chez la ratte le 1 2 dichlor thane peut traverser la barri re placentaire Toutefois aucun effet sur la reproduction ou t ratog ne n a t observ apr s inhalation chez le rat et le lapin Le m tabolisme du 1 2 dichlor thane peut emprunter deux voies diff rentes l une d pendant d une oxydation dont le m diateur est le cytochrome P 450 microsomique et l autre d une conjugaison du glutathion par l interm diaire des glutathion S transf rases cytosoliques Le m tabolisme du 1 2 dichlor thane in vitro sous l action des oxydases microsomiques fonction mixte conduit la formation de 2 chlorac tald hyde et de 2 chlor thanol Le 2 chlorac tald hyde peut r agir avec des macromol cules cellulaires ou tre m tabolis son tour en acide 2 chlorac tique qui est excr t dans l urine soit sans modification soit sous forme de thio ther apr s conjugaison avec le glutathion Bien que le m canisme faisant appel aux oxydases microsomiques fonction mixte donne in vitro des produits interm diaires qui se lient aux macromol cules ce m canisme ne semble pas tre le plus important dans la production de m t
58. es toxiques naturellement pr sentes dans les aliments ne sont pas consid r es en tant que telles comme des contaminants Le Comit d experts a t inform d autres questions qui ont t abord es la vingt troisi me session du Comit du Codex notamment le r examen des normes relatives la gomme arabique l examen des normes pr par es la trente septi me r union du Comit d experts l tablissement des futures priorit s concernant l valuation des substances ainsi que des d lib rations portant sur le syst me international de num rotation les mycotoxines et les radionucl ides Le Comit d experts a not qu la vingt troisi me session du Comit du Codex plusieurs groupes de substances notamment les phtalates les trichoth c nes les hydrocarbures aromatiques polycycliques et les toxines paralysantes de fruits de mer ont t plac s sur la liste de priorit s du Comit d experts en vue de leur future valuation Aucune indication n a t donn e sur la nature des avis que le Comit du Codex attend du Comit d experts au sujet de ces substances Les produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments posent des probl mes particuliers car les donn es toxicologiques sont souvent incompl tes et il est difficile d agir sur la pr sence de ces substances dans les aliments En outre une r duction de leur concentration pourrait avoir des r percussions sur certaines propri t
59. et le Comit les a examin es la pr sente r union Des solutions d alginates de diff rentes viscosit s sont utilis es comme modificateurs de texture dans diverses applications alimentaires et industrielles Trois tudes d alimentation long terme de port e limit e l une effectu e sur des souris et les deux autres sur des rats n ont r v l aucun effet canc rog ne attribuable aux alginates Des tudes de g notoxicit n ont mis en vidence aucune activit g notoxique que ce soit in vitro ou in vivo Aucun effet n a t observ sur la reproduction des rats mais l tude entreprise cette fin tait de conception sommaire Une tude long terme chez des souris auxquelles on avait administr une dose unique de 25 d alginate de sodium dans la nourriture a montr que cette substance avait un effet certain selles molles distension du caecum ralentissement de la croissance et d p ts de calcium dans le bassinet des reins Dans une tude de 90 jours chez le rat l addition de 15 d alginate de sodium la nourriture a provoqu une distension et une hypertrophie du caecum un aspect papillomateux de la vessie et des d p ts de calcium dans le bassinet des reins et ou dans les papilles r nales Un l ger ralentissement de la croissance a t observ dans une seule tude court terme chez le rat la dose de 10 mais cet effet n tait pas sp cifique et s est galement manifest avec
60. expression DJA non sp cifi e signifie que compte tenu des donn es disponibles chimiques biochimiques toxicologiques et autres l apport journalier total de la substance du fait de son utilisation aux concentrations n cessaires pour obtenir l effet souhait et de son niveau de fond admissible dans les aliments ne constitue pas de l avis du Comit un danger pour la sant Pour cette raison et pour les raisons indiqu es lors des valuations individuelles l tablissement d une DJA n a pas t jug n cessaire Cette enzyme est d riv e de tissus animaux comestibles couramment utilis s comme aliments elle peut donc tre consid r e comme un aliment Voir annexe 3 S applique la quantit totale de limon ne ing r e La quantit ing r e sous forme d additifs alimentaires ne devrait pas d passer 75 ug kg de poids corporel par jour ce qui repr sente 5 de la DJA maximale Ne doit tre utilis que comme solvant d extraction pour les ol or sines d pices et la d caf ination du caf et du th ainsi que pour la pr paration d additifs alimentaires dont les normes d j tablies par le Comit pr voient une limite pour la teneur r siduelle en dichlorom thane La cire d abeille est utilis e comme agent de d moulage et de gla age en p tisserie agent de gla age des fruits frais et congel s agent de gla age en confiserie support d aromatisant et constituant de bases pour chewing
61. g nes et la solanine qui avaient t inscrits l ordre du jour titre de contaminants ont t examin s par le Comit sous la rubrique produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments Principes r gissant l valuation toxicologique des substances inscrites l ordre du jour Pour formuler ses recommandations sur l innocuit des additifs alimentaires et des produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments le Comit a pris en consid ration les principes nonc s dans les Crit res OMS d hygi ne de l environnement N 70 Principles for the safety assessment of food additives and contaminants in food annexe 1 r f rence 76 ainsi que les principes labor s lors des r unions ult rieures du Comit annexe 1 r f rences 77 83 88 et 94 y compris la pr sente r union Les Crit res OMS d hygi ne de l environnement N 70 annexe 1 r f rence 76 rassemblent les principales observations remarques et recommandations relatives l valuation de l innocuit des additifs alimentaires et des contaminants figurant dans les rapports d j publi s du Comit et des organes qui lui sont associ s Le Comit a not que ce document r affirme la validit des recommandations qui restent applicables et qu il souligne les probl mes pos s par les recommandations que le progr s technique a rendues caduques Facteurs de s curit Depuis sa cr ation le Comit calcule la dose journ
62. i me r union annexe 1 r f rence 77 il avait demand des donn es toxicologiques d taill es sur la cellulase obtenue partir de Trichoderma longibrachiatum autrefois T reesei et sur la B glucanase obtenue partir de Trichoderma harzianum conform ment aux principes applicables aux pr parations enzymatiques qui sont r sum s dans les Crit res OMS d hygi ne de l environnement N 70 annexe 1 r f rence 76 annexe III A la pr sente r union le Comit a reconnu que ces principes accordaient surtout de l importance la source des enzymes et ne tenaient pas suffisamment compte des quantit s ing r es Par contre les quantit s ing r es sont prises en compte lors de l valuation de certains autres additifs Le Comit a conclu qu il existait de bonnes raisons pour accorder une importance accrue aux quantit s ing r es lors de l valuation des pr parations enzymatiques et c est ce qu il a fait la pr sente r union Cellulase d riv e de Trichoderma longibrachiatum La cellulase d riv e de Trichoderma longibrachiatum autrefois T reesei avait t examin e lors de la trente et uni me r union du Comit annexe 1 r f rence 77 Cette pr paration se caract rise par quatre principales activit s enzymatiques celles de la 1 4 B D glucan 4 glucanohydrolase EC 3 2 1 4 de la 1 4 8B D glucan glucohydrolase EC 3 2 1 74 de la 1 4 B D glucan cellobiohydrolase EC 3 2 1 91 et de la 1 3 B D glucan
63. ion Branch Division of Toxicological Review and Evaluation Center for Food Safety and Applied Nutrition Food and Drug Administration Washington DC Etats Unis d Am rique conseiller temporaire de l OMS Dr M Elwell National Institute of Environmental Health Sciences Research Triangle Park NC Etats Unis d Am rique conseiller temporaire de POMS Dr D L Grant Chef Division de l Evaluation toxicologique Bureau de la S curit des Substances chimiques Direction des Aliments Direction g n rale de la Protection de la Sant Sant et Bien tre social Canada Ottawa Ontario Canada conseiller temporaire de OMS Dr Y Hayashi Directeur Institut national des Sciences de l Hygi ne Centre de Recherche sur la S curit des Substances biologiques Tokyo Japon conseiller temporaire de POMS vi Dr J L Herrman Sp cialiste scientifique Programme international sur la S curit des Substances chimiques Division de l Hygi ne du Milieu OMS Gen ve Suisse co secr taire M J F Howlett Division des Denr es alimentaires Commission des Communaut s europ ennes Bruxelles Belgique conseiller temporaire de l OMS Dr C G M Klitsie Pr sident Comit du Codex sur les Additifs alimentaires et les Contaminants Minist re de l Agriculture Gestion de la Nature et P ches La Haye Pays Bas conseiller temporaire de l OMS Dr J C Larsen Chef D partement de Toxicologie biochimique et mol culaire Institut de T
64. ion humaine ont t associ s la consommation de pommes de terre de mauvaise qualit forte teneur en 41 glucoalcalo des Dans les cas b nins l intoxication par les glucoalcalo des se manifeste par des troubles gastro intestinaux aigus avec diarrh e vomissements et violentes douleurs abdominales Dans des cas plus graves on a signal des sympt mes neurologiques somnolence apathie confusion faiblesse et troubles de la vision suivis d une perte de conscience Bien que la consommation par l homme de plantes contenant des glucoalcalo des soit fort ancienne le Comit a estim que les donn es pid miologiques et exp rimentales recueillies chez l homme et l animal ne permettent pas de d terminer une dose sans danger Il a reconnu que la collecte des donn es empiriques n cessaire pour tablir une telle dose n cessiterait un effort consid rable N anmoins la vaste exp rience acquise avec les pommes de terre qui sont souvent consomm es quotidiennement permet de conclure que les quantit s normales de glucoalcalo des 20 100 mg kg pr sentes dans les tubercules cultiv s et manipul s correctement ne posent pas de probl mes Pour que les pommes de terre puissent continuer tre utilis es sans danger tous ceux qui mettent au point de nouvelles vari t s ou qui cultivent r coltent entreposent transforment et consomment ces tubercules devraient tre conscients du risque de provoquer par inadvertance
65. ique st arique ol ique et laurique et le triester d acide st arique annexe 1 r f rence 59 Depuis lors certaines normes avaient t r vis es mais il existe maintenant de nouvelles m thodes d essai Aussi le Comit a t il estim que les cinq normes devraient tre refondues sur une base commune lors d une prochaine r union et que de nouveaux renseignements devraient au besoin tre recueillis pour permettre la r alisation de ce projet 2 Lors de l valuation des normes le Comit a not que l essai limite actuellement sp cifi pour les m taux lourds dans la plupart d entre elles ne constitue peut tre pas une m thode g n rale satisfaisante de recherche de ces impuret s car il ne permet pas de d tecter un certain nombre de m taux qui posent probl me par exemple le cadmium et le mercure Le Comit a donc recommand que cette m thode soit r xamin e une prochaine r union qui devrait tudier la possibilit d utiliser des m thodes de remplacement plus sensibles et ou plus sp cifiques 3 Lors de l valuation des normes relatives la gomme dammar le Comit a not que les sp cifications originales diff raient nettement des nouvelles donn es fournies par les fabricants Cela donne penser que les normes d autres produits qui sont relativement anciennes devraient galement tre revues pour s assurer qu elles sont conformes aux pratiques actuelles des industries de fabrication et de
66. ires 2 3 2 3 1 Dans les rapports pr c dents ces raisons taient indiqu es dans des notes ajout es au bas du tableau dans lequel l valuation tait r sum e A la pr sente r union le Comit a adopt une terminologie qui tente de pr ciser succinctement les raisons pour lesquelles aucune DJA n a t attribu e un produit Toutefois cela ne dispense pas le lecteur de consulter les notes au bas du tableau et le rapport lui m me pour mieux comprendre les motifs de la d cision du Comit Etant donn la complexit des probl mes qui se posent il est difficile de d crire en quelques mots les bases de l valuation d un produit Le Comit a donc insist sur la n cessit pour les utilisateurs de consulter les sections du rapport concernant les diverses substances valu es plut t que de se fier simplement au r sum pr sent en annexe Les responsables de l tablissement des normes du Codex et de la r glementation des additifs alimentaires et des contaminants devraient galement consulter les monographies toxicologiques publi es par POMS dans la S rie des additifs alimentaires ainsi que les normes publi es par la FAO dans ses Etudes alimentation et nutrition Principes r gissant l tablissement et la r vision des normes Etablissement des normes La troisi me conf rence mixte FAO OMS sur les additifs alimentaires et les contaminants r unie en octobre 1972 4 avait formul ainsi les trois principau
67. is chez des rats auxquels du dichlorom thane avait t administr par voie orale la dose d environ 230 mg kg de poids corporel par jour De l g res modifications h patocellulaires ont t not es chez des rats qui avaient absorb du dichlorom thane m lang l eau de boisson raison de 420 607 mg kg de poids corporel par jour pendant 90 jours Le dichlorom thane forte dose est neurotoxique Cette neurotoxicit r sulte la fois d un effet narcotique non sp cifique direct sur le syst me nerveux central et d un effet hypoxique galement non sp cifique induit par le monoxyde de carbone Divers effets ont t observ s sur le comportement des animaux d exp rience apr s inhalation de fortes concentrations de dichlorom thane notamment une activit motrice accrue et une r duction de la capacit d apprentissage Le dichlorom thane s est r v l faiblement mutag ne sur la souche TA 100 de Salmonella typhimurium tandis que d autres souches d essai ont donn des r sultats g n ralement n gatifs Si de faibles effets clastog nes ont t signal s dans des cultures de cellules mammalienne in vitro la plupart des essais visant mettre en vidence des mutations ponctuelles ou des interactions avec l ADN ont t n gatifs ce qui confirme les r sultats d tudes men es sur des rongeurs au cours desquelles un traitement in vivo par le dichlorom thane na pas permis de d tecter la formation d
68. isante la comparaison du m tabolisme chez la souris et chez le rat n aurait aucune signification toxicologique En outre le Comit a estim qu il ne disposait pas de suffisamment de donn es pour proc der une valuation d finitive de la signification des tumeurs h patiques observ es chez des rattes en rapport avec l utilisation du frans an thol comme additif alimentaire Les autres donn es disponibles sur le rans an thol n ont pas t jug es suffisantes pour attribuer une DJA d finitive cette substance En effet l tude long terme chez la souris n tait pas satisfaisante l tude long terme chez le rat n a pas permis d tablir de dose sans effet observ et les essais de mutation bact rienne in vitro ont apport la preuve de la g notoxicit du trans an thol La DJA temporaire actuelle de 0 0 6 mg kg de poids corporel avait t tablie en appliquant un facteur de s curit de 200 la concentration minimale suivie d effets valu e 125 mg kg de poids corporel pour les modifications prolif ratives non n oplasiques du foie chez le rat Le Comit a prorog cette DJA temporaire jusqu en 1997 en attendant que les tudes en cours soient termin es et que les r sultats d une tude long terme chez la souris avec des concentrations appropri es permettent d tablir une dose sans effet Aucune monographie toxicologique ma t pr par e Les normes en vigueur ont t maintenues Ethyl
69. issants Acide alginique et ses sels d ammonium de calcium de potassium et de sodium R Algues marines trait es Eucheuma R T Non sp cifi e Non sp cifi e Acceptable pour le traitement des aliments 0 0 6 temporaire 0 5 temporaire 0 1 5 Les niveaux actuels d utilisation jusqu 75 mg l de quinine base dans les boissons gazeuses ne posent pas de probl mes toxicologiques DJA non attribu e pour cause de g notoxicit et de canc rog nicit Son utilisation doit tre limit e aux applications actuelles DJA non attribu e pour cause de donn es insuffisantes Non sp cifi e DJA de groupe DJA non attribu e pour cause de donn es insuffisantes 47 48 Substance Normes Cires Cire d abeille N Cire de candelilla N Cire de carnauba N Cire microcristalline N Paraffine solide R Shellac N T Substances diverses Curcumine R Furfural R TS Potassium bromate de R TS Produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments Glucosides cyanog nes Solaine et chaconine Substance examen des normes seulement Aluminium en poudre Anoxom re Azote Calcium st aroyllactylate de Carbone dioxyde de Carot nes algues Carot nes l gumes Caroube gomme de Carthame rouge de Dammar gomme Ethylhydroxy thylcellulose Isomalt Dose journali re admissible DJA en mg kg de poids corporel et autres recommendations d ordre toxicologique Les applications
70. ives aux enzymes utilis es 38 dans le traitement des denr es alimentaires A sa trente septi me r union annexe 1 r f rence 94 le Comit avait pr par un projet d additif aux normes g n rales relatives aux enzymes utilis es dans le traitement des denr es alimentaires Cet additif r pondait aux pr occupations nouvelles suscit es par les pr parations enzymatiques d riv es d organismes g n tiquement modifi s qui taient valu es cette occasion La pr sente r union n avait pas se prononcer sur les substances appartenant cette cat gorie mais elle a examin les observations qui lui ont t pr sent es par l Association of Microbial Food Enzyme Producers au sujet de l additif Aucune modification n a t apport e celui ci dans l attente des observations qui pourraient tre pr sent es par d autres parties int ress es Le Comit a encourag tous ceux qui s int ressent aux enzymes d riv es d organismes g n tiquement modifi s lui soumettre par crit leurs observations et leurs suggestions L additif devait tre publi dans le Compendium of food additive specifications annexe 1 r f rence 96 r unissant toutes les normes tablies par les trente sept premi res r unions du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 1956 1990 Travaux futurs 1 A sa vingt sixi me r union le Comit avait examin cinq esters de sorbitane les monoesters d acide palmit
71. ix s annexe 1 r f rence 76 annexe II il avait donc demand que cette pr paration fasse l objet avant 1992 d une tude long terme chez une esp ce de rongeur et que des donn es suppl mentaires soient fournies pour d monter que le microorganisme en question tait d pourvu de pathog nicit pour l homme et ne produisait pas d antibiotique A la pr sente r union le Comit a observ que Trichoderma est un champignon filamenteux qui produit des enzymes extracellulaires utiles la transformation des aliments Il est vident que les quantit s susceptibles d tre ing r es par l homme seraient minimes si cette enzyme tait utilis e dans la production du vin conform ment au mode d emploi recommand Apr s avoir r examin les principes applicables l valuation des enzymes d riv es de microorganismes voir l introduction de la pr sente section le Comit a conclu qu il n tait plus n cessaire d exiger une tude long terme pour cette enzyme Il a galement estim que les normes actuelles permettaient de d montrer l absence de pathog nicit pour l homme et d exclure la possibilit de production d antibiotiques Le Comit a conclu que les renseignements dont il disposait lui permettaient d tablir une DJA non sp cifi e pour cette enzyme lorsqu elle est utilis e conform ment aux bonnes pratiques de fabrication dans l industrie vinicole Aucune monographie toxicologique wa
72. l pour les esters saccharosiques contenus dans les esters saccharosiques d acides gras et dans les saccharoglyc rides Cette DJA remplace la pr c dente Le Comit a soulign que cette valuation sappliquait aux saccharoglyc rides pr par s partir d huile de palme de saindoux et de suif ainsi qu aux esters saccharosiques d acides gras pr par s partir d acide palmitique st arique ou ol ique d huile de palme de saindoux et de suif Il a rappel aussi que cette valuation toxicologique ne concernait que les esters saccharosiques d acides gras et les saccharoglyc rides r pondant aux normes actuelles et non des produits caract ris s par un degr d est rification plus lev Aucune monographie toxicologique n a t pr par e Les normes actuelles relatives aux saccharoglyc rides ont t maintenues Les normes concernant les esters saccharosiques d acides gras n ont pas t examin es Huile de soja oxyd e thermiquement TOSO et produit de r action de l huile de soja oxyd e thermiquement avec des mono et diglyc rides d acides gras TOSOM L huile de soja oxyd e thermiquement TOSO est un m lange complexe de substances form es par oxydation thermique 190 250 C de l huile de soja raffin e La TOSOM est produite par r action de la TOSO avec des mono et diglyc rides d acides gras dans la proportion 10 90 sous vide 130 C 3 1 2 10 La TOSOM avait t exami
73. mon ne ou d limon ne est un aromatisant qui n avait encore jamais t valu par le Comit On a montr que le limon ne provoquait une r duction notable du poids corporel chez les souris et les rats des deux sexes ainsi que chez les lapines La dose maximale pour laquelle cet effet n est pas observ a t valu e 150 mg de limon ne par kg de poids corporel par jour administr e par gavage lors d une tude de deux ans chez des rats m les L administration par voie orale de limon ne des rats pendant 20 jours raison de 400 mg kg de poids corporel par jour a entra n une l g re augmentation du poids du foie et des concentrations de phospholipides une diminution des concentrations de cholest rol h patique et s rique une augmentation de la concentration des cytochromes P 450 et b ainsi qu une augmentation de l activit de l amidopyrine d m thylase et de l aniline hydroxylase Aucune l sion h patique ma t associ e l administration de imon ne lors d une tude de deux ans chez le rat des doses allant jusqu 150 mg kg de poids corporel par jour pour les m les et jusqu 600 mg kg de poids corporel par jour pour les femelles mais une dose de 500 mg kg de poids corporel par jour administr e par gavage pendant deux ans s est accompagn e d une incidence accrue d h patocytes h patiques polynucl aires et de cytom galie chez des souris m les Dans ces conditio
74. n N 45 A 1969 WHO Food Add 69 34 Normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires divers colorants mulsifiants stabilisants agents antiagglutinants et autres substances Treizi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 46 1970 OMS S rie de Rapports techniques N 445 1970 Evaluation toxicologique de divers colorants alimentaires mulsifiants stabilisants agents antiagglutinants et autres substances R unions de la FAO sur la nutrition N 46 1970 WHO Food Add 70 36 Normes d identit et de puret des additifs alimentaires divers colorants mulsifiants stabilisants agents antiagglutinants et autres substances R unions de la FAO sur la nutrition No 46B 1970 WHO Food Add 70 37 Evaluation des additifs alimentaires normes d identit et de puret et valuation toxicologique des additifs alimentaires divers solvants d extraction et autres substances examen de l efficacit technique de certains agents antimicrobiens Quatorzi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 48 1971 OMS S rie de Rapports techniques N 462 1971 Toxicological evaluation of some extraction solvents and certain other substances R unions de la FAO sur la nutrition N 48 A 1971 WHO Food Add 70 39 Normes d identit et de puret pour divers solvants d extraction et certaines autres substances R unions de la FAO sur la nu
75. n e lors des quinzi me dix septi me vingti me et vingt quatri me r unions du Comit annexe 1 r f rences 26 32 41 et 53 sous le nom de glyc rides des acides gras de soja oxyd s thermiquement Une monographie toxicologique avait t pr par e lors de la dix septi me r union mais aucune DJA n avait t tablie en attendant l valuation d tudes court et long terme qui devaient tre men es sur un produit de composition bien d finie La TOSO tait valu e pour la premi re fois la pr sente r union Le Comit a examin des tudes montrant qu apr s administration par voie orale de produits radiomarqu s des rats et des souris la concentration dans les tissus tait l g rement plus lev e pour la TOSOM que pour la TOSO L absorption des deux substances oxyd es thermiquement tait plus faible que celle de l huile de soja raffin e Une tude a t men e pendant deux ans et demi chez le rat avec des concentrations de 3 6 ou 12 de TOSOM dans la nourriture quivalent 1 3 2 7 et 5 4 g kg de poids corporel par jour pour les m les et 1 8 3 6 et 7 4 g kg de poids corporel par jour pour les femelles ainsi qu avec 0 3 ou 1 2 de TOSO de deux provenances diff rentes quivalent 130 et 140 mg kg de poids corporel par jour pour les m les et 180 et 740 mg kg de poids corporel par jour pour les femelles Les seuls effets observ s ont t des variations mineures et p
76. ni aucune anomalie biochimique d importance clinique n a t observ pour des doses allant jusqu 160 mg de chlorhydrate de quinine anhydre par jour La DJA temporaire pr c demment attribu e a t supprim e Compte tenu des donn es disponibles sur l utilisation de la quinine dans les boissons des r sultats de l tude de consommation et d autres donn es recueillies chez l homme le Comit a conclu que les concentrations actuellement utilis es dans les boissons jusqu 75 mg l de quinine base ne pr sentaient pas de risque toxicologique Toutefois il a not qu un petit nombre de consommateurs pr sentent une hyper r activit idiosyncrasique la quinine et il a recommand que le public soit inform par des moyens appropri s de la pr sence de quinine dans les aliments et les boissons qui en contiennent La contribution des autres sources de quinine pr sentes dans les aliments et les boissons alcooliques apport journalier a t consid r e comme n gligeable 17 3 1 4 18 Un additif la monographie a t pr par Les normes existantes pour le chlorhydrate de quinine ont t r vis es Celles concernant le sulfate de quinine n ont pas t r examin es Solvants 1 2 Dichlor thane Le 1 2 dichlor thane avait t valu lors des quatorzi me et vingt troisi me r unions du Comit annexe 1 r f rences 22 et 50 A sa trente cinqui me r union annexe 1 r f rence 689 l
77. nions montraient que des extraits de curcuma avaient provoqu des anomalies chromosomiques in vitro dans des cellules mammaliennes et v g tales et inhib la f condit chez les rats A la pr sente r union le Comit a t inform que les r sultats des tudes de canc rog nicit de l ol or sine de curcuma seraient disponibles vers la fin de 1992 mais que ces tudes ne fourniraient aucun renseignement en ce qui concerne les effets de la curcumine sur la reproduction ou sa t ratog nicit La quantit de curcumine pr sente dans les substances l essai ma pas t indiqu e au Comit La DJA temporaire de 0 0 1 mg kg de poids corporel pr c demment attribu e la curcumine a t prorog e Le Comit a demand que les r sultats des tudes de canc rog nicit de l ol or sine de curcuma chez la souris et le rat qui sont maintenant termin es et ceux d une tude de reproduction t ratog nicit de la curcumine lui soient soumis pour valuation d ici 1995 Aucune monographie toxicologique wa t pr par e Les normes existantes ont t r vis es Furfural Le furfural ravait encore jamais t valu par le Comit Le furfural est naturellement pr sent dans un grand nombre d aliments ou se forme lors des op rations de transformation ou au cours de leur pr paration domestique Sa pr sence dans les aliments peut aussi tre le r sultat de son utilisation comme solvant d extraction ou comme con
78. ns la dose sans effet observ a t de 250 mg kg de poids corporel par jour On a signal que l application de limon ne sur la peau provoquait une irritation et des r actions cutan es m diation immunitaire chez un certain nombre d esp ces y compris l homme Selon certains rapports l administration par voie orale de limon ne aurait des effets immunologiques notamment la suppression de la r ponse mitog ne in vitro des lymphocytes T et B de souris ainsi que la suppression et la stimulation des r actions antig niques Toutefois la signification biologique de ces effets in vitro reste inconnue 15 16 Les r sultats d tudes de t ratog nicit chez la souris semblent indiquer que l absorption de limon ne par des femelles pleines la dose de 2400 mg kg de poids corporel par jour mais non la dose de 600 mg pourrait avoir un effet sur le d veloppement du foetus r duction du gain pond ral pr sence plus fr quente de c tes lombaires et de c tes soud es retard d ossification Toutefois le limon ne a t d clar non t ratog ne chez le lapin des doses allant de 250 1000 mg kg de poids corporel par jour bien que la dose la plus lev e ait r duit de fa on significative la dur e de survie des m res Des tudes de g notoxicit ont donn des r sultats n gatifs r p t s Selon certains rapports le limon ne inhibera it l activit d autres mutag nes et c
79. nt Gen ve Suisse qui se fera un plaisir de fournir les renseignements les plus r cents sur les changements apport s au texte les nouvelles ditions pr vues et les r impressions et traductions d j disponibles Organisation mondiale de la Sant 1992 Les publications de l Organisation mondiale de la Sant b n ficient de la protection pr vue par les dispositions du Protocole N 2 de la Convention universelle pour la Protection du droit d auteur Tous droits r serv s Les appellations employ es dans cette publication et la pr sentation des donn es qui y figurent n impliquent de la part du secr tariat de l Organisation mondiale de la Sant aucune prise de position quant au statut juridique des pays territoires villes ou zones ou de leurs autorit s ni quant au trac de leurs fronti res ou limites La mention de firmes et de produits commerciaux n implique pas que ces firmes et produits commerciaux sont agr s ou recommand s par l Organisation mondiale de la Sant de pr f rence d autres Sauf erreur ou omission une majuscule initiale indique qu il s agit d un nom d pos Imprim en Suisse 92 9368 Benteli 2300 Table des mati res 1 Introduction 2 G n ralit s 2 1 Modification de l ordre du jour 2 2 Principes r gissant l valuation toxicologique des substances inscrites l ordre du jour 2 2 1 Facteurs de s curit 2 2 2 Substances aromatisantes 2 2 3 Produits toxiques natur
80. obtenir des donn es concernant la cin tique des additifs alimentaires chez l homme et les animaux d exp rience ainsi que sur les aspects m canistes de m me que des donn es sur la variabilit de ces param tres d une esp ce ou d un individu l autre Il a r affirm qu il continuerait d accorder toute son attention de telles donn es chaque fois qu elles lui seraient pr sent es dans le cadre de l valuation de l innocuit des substances alimentaires et qu il tait favorable la poursuite des travaux dans ce domaine annexe 1 r f rence 94 section 2 2 1 2 2 2 Substances aromatisantes Le Comit a r examin la question de l valuation de linnocuit des substances aromatisantes compte tenu des probl mes particuliers qui se posent pour ce groupe de produits en raison de leur nombre lev de leur diversit chimique et dans bien des cas des faibles concentrations utilis es Ces circonstances particuli res font qu une certaine souplesse est indispensable Les principes g n raux applicables l valuation de l innocuit des aromatisants alimentaires sont nonc s dans Principles for the safety assessment of food additives and contaminants in food annexe 1 r f rence 76 et ont t examin s lors des trente cinqui me et trente septi me r unions du Comit annexe 1 r f rences 88 et 94 A la trente cinqui me r union il a t soulign qu il fallait disposer d un minimum d
81. olaurate de sorbitane Des renseignements sont demand s sur la teneur en polyols des acides gras et sur une m thode d essai am lior e Dioxyde de soufre Des renseignements sont demand s sur les teneurs habituelles en impuret s gazeuses comme le sulfure d hydrog ne et le trioxyde de soufre Talc Des renseignements sont demand s sur la m thode de d tection de Pamiante 51 Annexe 4 Questions soulev es lors de la vingt troisi me session du Comit du Codex sur les additifs alimentaires et les contaminants 1 52 Le Comit d experts a t inform que le Comit du Codex continuait d accorder une priorit lev e laboration d une Norme Codex g n rale pour les additifs alimentaires et qu un groupe de travail avait t cr cette fin L laboration de cette norme pourrait avoir des incidences importantes sur la charge de travail et les priorit s du Comit d experts en ce qui concerne les futures valuations d additifs alimentaires Le Comit d experts a t inform que le Comit du Codex tait en train d laborer des Principes g n raux relatifs aux contaminants dans lesquels il est envisag d largir le r le du Comit du Codex qui serait amen tablir des niveaux indicatifs pour les produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments A cet gard il a t not qu il faudra peut tre modifier le mandat du Comit du Codex tant donn que les substanc
82. ologiques Universit de Milan Milan Italie Professeur E Garcia Galiano Conseiller la Division des Etudes sanitaires D partement de Chimie Universit nationale de Mexico Mexico Mexique Dr D G Hattan Deputy Director Division of Toxicological Review and Evaluation Center for Food Safety and Applied Nutrition Food and Drug Administration Washington DC Etats Unis d Am rique co rapporteur Professeur K Kojima Professeur d Hygi ne de l Environnement Coll ge de Sant de l Environnement Universit Azabu Kanagawa ken Japon pr sident Dr Liu Sheng Ming Directeur adjoint Institut chinois de Technologie pour l Inspection des Importations et des Exportations Beijing Chine Mme Meyland Sp cialiste scientifique principal Laboratoire central Agence nationale pour l Alimentation Minist re de la Sant S borg Danemark Professeur M J Rand Professor of Pharmacology Department of Pharmacology University of Melbourne Melbourne Victoria Australie vice pr sident Professeur F G Reyes Professeur de Toxicologie alimentaire D partement des Sciences alimentaires Universit d Etat de Campinas Campinas S o Paulo Br sil Professeur Somogyi Directeur Institut Max von Pettenkofer de l Office f d ral de la Sant Berlin Allemagne Mme A Vongbuddhapitak Sp cialiste scientifique principal D partement des Sciences m dicales Bangkok Tha lande Secr tariat Dr K Ekelman Additives Evaluat
83. on des enzymes d riv es de microorganismes voir l introduction la pr sente section le Comit a conclu qu il disposait de suffisamment d informations pour tablir une DJA non sp cifi e pour cette pr paration lorsqu elle est employ e conform ment aux bonnes pratiques de fabrication Ti 12 Un additif la monographie toxicologique a t pr par Les normes indicatives actuelles ont t r vis es et le Comit est convenu de supprimer le qualificatif indicatives B glucanase d riv e de Trichoderma harzianum La derni re valuation de la B glucanase EC 3 2 1 6 d riv e de Trichoderma harzianum remonte la trente et uni me r union du Comit annexe 1 r f rence 77 qui avait tabli une DJA temporaire de 0 0 5 mg de SOT par kg de poids corporel Le Comit avait alors examin des donn es d montrant l absence d effets ind sirables dans des tudes court terme chez le rat et le chien de m me que l absence d effet sur la reproduction ou de t ratog nicit chez le rat de mutag nicit dans des essais sur des syst mes bact riens ou des cellules L5178Y de lymphome de souris et d anomalies chromosomiques chez des hamsters chinois in vivo Lors de sa trente et uni me r union le Comit avait consid r que cette enzyme tait d riv e d un microorganisme qui tait mi un constituant normal ni un contaminant courant des denr es alimentaires Conform ment aux principes qu il s tait f
84. ors d tudes r centes de 90 jours chez des rats d p ts dans le syst me r ticulo endoth lial et granulomes h patiques n ont pas t observ s avec les paraffines sur ces m mes animaux Une s rie d tudes d alimentation de 180 jours a t effectu e chez des rats sur une p riode d environ 15 ans partir de 1955 avec des bases pour chewing gum contenant de 2 57 de cire min rale ce qui correspondait th oriquement une quantit de 0 16 4 75 dans la nourriture Les comptes rendus de ces tudes fournissent des informations sur les poids corporel la consommation de nourriture la composition de l urine et les modifications pathologiques et histopathologiques macroscopiques Aucun effet li la substance administr e n a t observ ni dans l ensemble des tudes consid r es globalement ni dans celles o la base pour chewing gum contenait un pourcentage lev de cire min rale Aucune canc rog nicit ou toxicit locale ou syst mique n a t observ e avec cinq cires min rales chez des souris et des lapins dont la peau avait t badigeonn e avec ces substances Toutefois implantation de disques de cire mais non de cire broy e a t associ e l apparition de fibrosarcomes au point d implantation chez des rats Des tudes de toxicit long terme ayant montr que la paraffine et les cires microcristallines sont non toxiques et non canc rog nes le Comit a attribu une
85. ourag l application des techniques de mod lisation pharmacocin tique fond es sur la physiologie l valuation de la toxicit Reconnaissant que les monographies toxicologiques et leurs additifs dont la publication s est tal e sur de nombreuses ann es et dont certaines sont puis es sont difficiles obtenir le Comit a recommand que l OMS envisage de publier nouveau ces monographies en un volume unique et ou de les pr senter sur un support lectronique Le Comit a constat avec satisfaction la parution d un catalogue intitul Rapports de Organisation mondiale de la Sant sur les additifs alimentaires les contaminants et les r sidus de m dicaments v t rinaires dans les aliments qui donne la liste de l ensemble des rapports monographies toxicologiques et normes issus des r unions du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires Il a recommand que tous les efforts soient faits pour tenir cette liste jour Une solution pourrait tre de joindre tous les rapports futurs du Comit un feuillet suppl mentaire qui pourrait tre ins r dans le catalogue Ainsi la mise jour compl te du catalogue n aurait intervenir que tous les dix ans ou plus Lorsqu une substance est inscrite au programme d valuation du Comit les donn es sur le proc d de fabrication les quantit s ing r es le devenir de la substance dans les aliments etc sont r unies sur une fiche techni
86. ouris le rat et Phomme En outre il avait t indiqu qu une tude alimentaire long terme chez la souris pourrait tre n cessaire Le Comit avait galement conclu qu il tait souhaitable d entreprendre des tudes sur les aberrations chromosomiques et des essais de mutation g n tique sur des cellules mammaliennes in vitro le Comit devait se prononcer sur la 13 14 n cessit d une tude de reproduction t ratog nicit lorsqu il aurait examin les donn es des tudes ci dessus A la pr sente r union le Comit a t inform que les tudes destin es r pondre aux questions pos es lors de la trente et uni me r union taient en cours notamment des tudes de m tabolisme comparatif chez la souris et le rat des tudes concernant les effets de l administration chronique de trans an thol m lang aux aliments sur l induction des enzymes h patiques et sur la prolif ration cellulaire chez ces esp ces ainsi que sur l induction d enzymes chez l homme et enfin des tudes in vitro de cytotoxicit et de g notoxicit Aucune de ces tudes n tant encore termin e le Comit n a pas t en mesure de les valuer Le Comit a estim quune nouvelle tude de toxicit chronique canc rog nicit chez la souris devait tre entreprise car la pr c dente tait insuffisante et l tude chez le rat n avait pas permis d tablir une dose sans effet Sans une tude de toxicit chronique satisfa
87. oxicologie Agence nationale pour l Alimentation S borg Danemark conseiller temporaire de l OMS Dr B Priestly Senior Lecturer in Pharmacology Department of Es University of Adelaide Adelaide South Australia Australie conseiller temporaire de POMS Dr A G Renwick Reader in Clinical Pharmacology Clinical Pharmacology Group University of Southampton Southampton Angleterre EONSSREr temporaire de l OMS M D Schutz Office of Toxic Substances Environmental Protection Agency Washington DC Etats Unis d Am rique consultant de POMS Professeur P Shubik Senior Research Fellow Green College Oxford Angleterre conseiller temporaire de l OMS Dr G J A Speijers Laboratoire de Toxicologie Institut national de Sant publique et de Protection de l Environnement Bilthoven Pays Bas conseiller temporaire de l OMS Professeur R Walker Professor of Food Science School of Biological Sciences University of Surrey Guildford Surrey Angleterre conseiller temporaire de l OMS Dr J Weatherwax Service de la Qualit et des Normes alimentaires Division des Politiques alimentaires et de la Nutrition FAO Rome Italie co secr taire Des monographies contenant des r sum s des donn es biologiques et des valuations toxicologiques cit es dans le pr sent rapport seront publi es par POMS sous le titre Toxicological evaluation of certain food additives and naturally occuring toxicants WHO Food Additives Series N
88. port d un Groupe scientifique de FOMS 82 pages 1989 Le contr le sanitaire et la gestion des manipulateurs de produits alimentaires Rapport d une Consultation OMS 51 pages 1989 Comit OMS d experts de la Standardisation biologique Trente neuvi me rapport 196 pages 4e ee ant are de aan 1989 Comit OMS d experts de la Pharmacod pendance Vingt sixi me rapport 36 pages 2 us opus asee an an es 1989 Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments Trente quatri me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs ahmentaires 70 pages est ss demie D dense Nes EEE ta 1990 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente cinqui me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 51 pages aus is ds che D AE CEE De ennapns an 1990 Comit OMS d experts des Sp cifications relatives aux pr parations pharmaceutiques Trente et uni me rapport 85 pages same nine disbes ts 8 0 1990 Mat riel d application des pesticides pour la lutte antivectorielle Douzi me rapport du Comit OMS d experts de la biologie des vecteurs et de la lutte antivectorielle 55 DAS 4 25 datent ue as te dote unes 1990 La pr vention d s le jeune ge des maladies cardio vasculaires de l adulte il est temps d agir Rapport d un Comit OMS d experts 117 pages 1990 Lutte contre les
89. que Ces renseignements pr cieux sont utilis s lors 39 40 de l valuation et une partie d entre eux peuvent tre incorpor s dans le rapport de la r union ou d autres documents publi s ult rieurement Toutefois les fiches techniques elles m mes ne sont pas publi es Le Comit a recommand que ces fiches soient conserv es afin que les renseignements qu elles contiennent puissent tre mis la disposition des int ress s et actualis s lors des valuations ult rieures de la m me substance en prenant garde toutefois prot ger les secrets commerciaux Remerciements Le Comit experts souhaite remercier le Dr R Cabral Expert scientifique Centre international de Recherche sur le Cancer Lyon France le Dr K Tanaka Bureau de la s curit des substances chimiques dans l environnement D partement Sant et Environnement Minist re de la Sant et du Bien tre social Tokyo Japon et le Professeur M M Younes Centre OMS europ en pour l environnement et la sant Bilthoven Pays Bas de leur pr cieuse contribution aux travaux de la r union Bibliographie 1 Rapport de la Conf rence FAO OMS sur les normes alimentaires les substances chimiques dans les aliments et le commerce des denr es alimentaires en coop ration avec le GATT Vol 1 Rapport Rome Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture 1991 ALICOM 91 22 Conf rence mixte FAO OMS sur les substance
90. r siduelles dans les aliments Normes seulement Aluminium en poudre Des renseignements sont demand s sur les m thodes de fabrication Anoxom re Des renseignements suppl mentaires sont demand s sur la distribution de la masse mol culaire Il est galement demand de confirmer que les m thodes analytiques cit es permettent r ellement de doser les ph nols pr sents l tat li dans le polym re Dioxyde de carbone Des informations sont demand es sur la validit de la m thode utilis e pour d terminer la teneur en huiles Rouge de carthame Des renseignements sont demand s sur l absorbance qui sert calculer le r sultat du dosage Ethylhydroxy thylcellulose Des renseignements sont demand s sur les m thodes d analyse et sur les teneurs limites lorsqu elles s appliquent en oxyde d thyl ne 1 4 dioxane et thyl ne chlorhydrine 2 chlor thanol Lactitol Des renseignements sont demand s sur la teneur en eau maximale des solutions de lactitol sur la m thode de d termination de la teneur en eau des solutions et sur la possibilit d utiliser la m thode de dosage des substances r ductrices d crite dans les Directives g n rales pour l usage des normes d identit et de puret Etude FAO Alimentation et nutrition N 5 Rev 2 1991 la place de la m thode de Luff Schoorl M lange de carot no des Des renseignements sont demand s sur la composition des produits commercialis s Mon
91. rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 70 pages Les prix consentis dans les pays en d veloppement repr sentent 70 des prix indiqu s 777 778 779 780 781 782 783 784 785 786 787 788 789 790 791 792 793 794 795 796 797 798 1989 Epid miologie des maladies et des accidents li s la profession Dixi me rapport du Comit mixte OIT OMS de m decine du travail 76 pages 1989 L utilisation des eaux us es en agriculture et en aquiculture recommandations vis es sanitaires Rapport d un Groupe scientifique de POMS 82 pages 1989 La sant des personnes g es Rapport d un Comit d experts de l OMS 112 pages 1989 Am lioration des prestations des agents de sant communautaires dans les soins de sant primaires Rapport d un Groupe d tude de POMS 55 pages 1989 L am lioration de la s curit routi re nouvelles approches Rapport d un Groupe d tude de POMS 68 pages 1989 Surveillance et valuation de la sant bucco dentaire Rapport dun Comit OMS d experts 77 pages 1989 La gestion des ressources humaines pour la sant Rapport d un Comit d experts de POMS 68 pages 1989 Utilisation d antig nes de synth se pour le diagnostic des maladies infectieuses Rap
92. res OMS S rie de Rapports techniques N 789 1990 et erratum Toxicological evaluation of certain food additives and contaminants WHO Food Additives Series N 26 1990 Specifications for the identity and purity of certain food additives FAO Food and Nutrition Paper N 49 1990 45 46 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments trente sixi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S ries de rapports techniques N 799 1990 Toxicological evaluation of certain veterinary drugs in food WHO Food Additives Series N 27 1991 Residues of some veterinary drugs in animals and foods PAQ Food and Nutrition Paper N 41 3 1991 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente septi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S ries de rapports techniques N 806 1911 et erratum Toxicological evaluation of certain food additives and contaminants WHO Food Additives Series N 28 1991 Compendium of food additive specifications Joint FAO WHO Expert Committee on Food Additives JECFA Combined specifications from 1st through the 37th meetings 1956 1994 FAO 1992 2 volumes Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments trente huiti me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des
93. s FAO Food and Nutrition Paper N 38 1988 Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments Trente deuxi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 763 1988 Toxicological evaluation of certain veterinary drug residues in food Cambridge Cambridge University Press sous presse WHO Food Additives Series N 23 Residues of some veterinary drugs in animals and foods FAO Food and Nutrition Paper N 41 1988 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente troisi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 776 1989 et erratum Toxicological evaluation of certain food additives and contaminants Cambridge Cambridge University Press 1989 WHO Food Additives Series N 24 Evaluation des r sidus de certains m dicaments v t rinaires dans les aliments Frente quatri me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 788 1989 Toxicological evaluation of certain veterinary drug residues in food WHO Food Additives Series N 25 1990 Residues of some veterinary drugs in animals and foods FAO Food and Nutrition Paper N 41 2 1990 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Trente cinqui me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentai
94. s souhaitables comme la r sistance aux ravageurs et des conseils visant r duire la consommation de certains aliments pourraient entra ner des d s quilibres nutritionnels Dans son trente septi me rapport annexe 1 r f rence 94 le Comit d experts avait recommand que les substances appartenant une m me famille chimique soient consid r es globalement aux fins d valuation toxicologique Compte tenu de cette recommandation il tait normal que les groupes de substances indiqu s ci dessus point 4 soient plac s sur la liste de priorit s plut t que les diff rentes substances consid r es isol ment A la pr sente r union le Comit a not qu il tait difficile d valuer globalement un grand nombre de substances m me si elles taient troitement apparent es du point de vue chimique car la toxicit variait d une substance l autre Ce mest g n ralement qu au moment de l valuation elle m me que l on peut dire si un groupe de substances pourra tre trait en tant que tel du point de vue toxicologique Le Comit d experts a donc demand que les d l gations au Comit du Codex indiquent clairement quelles sont les substances qui les pr occupent le plus au sein d un groupe et quelle est la nature du probl me qui les a incit es en demander l valuation 53 Organisation mondiale de la Sant S rie de Rapports techniques Rapports r cents Ne 757 758 759 760 761 7
95. s additifs alimentaires Vingt quatri me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 653 1980 Toxicological evaluation of certain food additives WHO Food Additive Series No 15 1980 Normes d identit et de puret dulcorants mulsifiants aromatisants et autres additifs alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 17 1981 Evaluation de certains additifs alimentaires Vingt cinqui me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 669 1981 Toxicological evaluation of certain food additives WHO Food Additives Series No 16 1981 Normes d identit et de puret solvants entra neurs mulsifiants et stabilisants pr parations d enzymes aromatisants colorants alimentaires dulcorants et autres additifs alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 19 1982 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Vingt sixi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 683 1982 Toxicological evaluation of certain food additives WHO Food Additives Series No 17 1982 Normes d identit et de puret pour des tampons et sels mulsifiants paississants stabilisants aromatisants colorants alimentaires dulcorants et autres additifs alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 25 1982
96. s ajout es aux denr es alimentaires Rome Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture 1956 R unions de la FAO sur la nutrition Rapport N 11 Gen ve Organisation mondiale de la Sant 1956 OMS S ries de rapports techniques N 107 Renwick AG Data derived safety factors and the regulation of food additives and environmental chemicals Food additives and contaminants sous presse Report of the Third Joint FAO WHO Conference on Food Additives and Contaminants Rome Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture 1974 FAO S rie Rapports de r unions diverses N ESN MMS 76 6 Gen ve Organisation mondiale de la Sant 1974 document non publi WHO Food Add 74 43 disponible sur demande aupr s du Programme de promotion de la s curit des substances chimiques Organisation mondiale de la Sant 1211 Gen ve 27 Suisse Codex Alimentarius Vol XII Suppl 4 Norme Codex pour la farine comestible de manioc Norme r gionale africaine Rome Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture 1911 CODEX STAN 176 Annexe 1 Rapports et autres documents issus des r unions pr c dentes du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires 10 11 12 13 Principes r gissant l emploi des additifs alimentaires Premier rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 15 1957 OMS S rie de Rapports
97. sents dans la bi re Un additif la monographie toxicologique a t pr par Les normes existantes ont subi une r vision consistant supprimer l utilisation du bromate de potassium comme agent de traitement des farines et ont t qualifi es d indicatives Des informations ont t demand es sur les autres utilisations du bromate de potassium 33 3 2 Produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments 3 21 Glucosides cyanog nes 34 Les glucosides cyanog nes qui se rencontrent dans au moins 2000 esp ces v g tales n avaient encore jamais t valu es par le Comit Environ 25 d entre eux sont connus dont certains sont pr sents dans les parties comestibles de plantes consomm es par l homme ou l animal comme l amygdaline dans les amandes la dhurrine dans le sorgho la linamarine et la lotaustraline dans le manioc et les haricots de Lima la prunasine dans les fruits noyau et la taxiphylline dans les tiges de bambou Bien qu il existe des diff rences consid rables de biodisponibilit d un glucoside cyanog ne l autre ceux qui sont absorb s tels quels partir de l intestin ne sont pas transform s en cyanure d hydrog ne par les enzymes des mammif res La toxicit potentielle d une plante cyanog ne d pend principalement de sa capacit produire du cyanure d hydrog ne en quantit toxique pour l animal ou pour l homme La lib ration de cyanure d hydrog ne peut
98. soit 1 6 g kg de poids corporel par jour la dose sans effet observ sur le gain de poids corporel A des doses plus lev es tant chez le rat que chez le chien il y a eu r duction du gain pond ral et les concentrations s riques de certaines enzymes et du potassium ont augment mais elles sont retomb es soit avant la fin de l tude soit apr s l arr t de celle ci Cette dose sans effet observ est conforme aux r sultats d un certain nombre d tudes de toxicit court et long terme men es pr c demment chez la souris le rat et le chien avec diff rents esters saccharosiques d acides gras et saccharoglyc rides dont certaines avaient abouti des doses sans effet observ encore plus lev es Reconnaissant la similitude entre les saccharoglyc rides et les esters saccharosiques d acides gras le Comit a conclu que ces substances devaient tre valu es en fonction de leur teneur en esters saccharosiques Si l on admet que le compos utilis lors de la plus r cente tude de toxicit long terme chez le rat contenait 50 d esters saccharosiques la dose sans effet observ s tablit 800 mg kg de poids corporel par jour Etant donn que ces substances s hydrolysent dans l intestin pour donner des constituants alimentaires normaux avant d tre absorb es le Comit a appliqu un facteur de s curit de 50 aux r sultats pr c dents pour arriver a une DJA de groupes de 0 16 mg kg de poids corpore
99. souris femelles 6 16 contre 2 pour les t moins et des dysplasies des canaux biliaires 4 accompagn es de cholangiocarcinomes 4 chez les rats m les la dose la plus lev e contre une incidence nulle chez les t moins et une incidence de 3 sur 2145 0 14 chez les t moins historiques pour les cholangiocarcinomes Si le furfural a donn des r sultats g n ralement n gatifs dans des essais de mutag nicit bact rienne il s est r v l positif dans d autres preuves de g notoxicit Chez les souris trait es avec cette substance le tableau des manifestations oncog nes des tumeurs du foie tait diff rent de celui des tumeurs spontan es du foie observ es chez les t moins Tout en sachant que des concentrations relativement lev es de furfural sont pr sentes dans certains aliments pr par s et consomm s dans des conditions normales le Comit a estim qu il ne pouvait attribuer de DJA cette substance en raison de ses effets g notoxiques et canc rog nes Il a estim que son emploi comme aromatisant ne pouvait se justifier et que son utilisation comme solvant devrait tre limit e aux cas o aucune autre solution n tait possible par exemple pour le raffinage des huiles alimentaires par extraction de constituants non satur s La concentration de r sidus dans les aliments devrait tre limit e aux valeurs les plus faibles qu il soit techniquement possible d obtenir Une monographie toxicologique a
100. ssaire l obtention de la cire d abeille blanche d color e ne devrait pas infirmer cette conclusion car les normes limitent la quantit de peroxyde pr sente Le Comit a not que la cire d abeille pouvait tre potentiellement allergisante et que sa pr sence dans les aliments devrait tre port e la connaissance des consommateurs Il a galement rappel que des substances toxiques pouvaient tre pr sentes dans le miel dans certaines parties du monde et que ces substances pourraient aussi se retrouver dans la cire d abeille Une monographie toxicologique et de nouvelles normes ont t pr par es Cire de candelilla La cire de candelilla n avait encore jamais t valu e par le Comit qui a examin un certain nombre d tudes anciennes effectu es chez la souris le rat et le chien Une tude de six mois chez le chien et une tude de deux ans chez le rat dans lesquelles la cire avait t m lang e aux aliments des doses quivalant au maximum 600 et 750 mg kg de poids corporel par jour respectivement n ont r v l aucune toxicit li e la pr sence de cette substance Ces tudes ont t jug es d une importance fondamentale pour l valuation toxicologique En outre des tests de mutag nicit pratiqu s sur des syst mes microbiens ont t n gatifs Le Comit a estim que les carences not es dans les diff rentes tudes notamment si on les examine la lumi re des crit res act
101. stituant de pr parations aromatisantes On estime que la quantit 31 32 ing r e en raison de son utilisation comme additif alimentaire ou comme auxiliaire de fabrication ne repr sente pas plus de 0 5 1 de la quantit totale provenant des autres sources alimentaires Le Comit a examin des donn es concernant l absorption le m tabolisme la toxicit aigu et chronique la g notoxicit et la canc rog nicit du furfural Toutes les formes d exposition entra nent une absorption du furfural Celui ci est m tabolis par oxydation en acide furo que qui se conjugue ensuite avec la glycine Sa demi vie chez l homme est de 2 0 2 5 heures Chez le rat et la souris sa toxicit s exerce principalement sur le foie Dans des tudes court terme on a observ une hypertrophie du foie des doses gt 90 mg kg de poids corporel chez les rats et de 75 300 mg kg de poids corporel chez la souris Des doses plus lev es ont provoqu une n crose centrilobulaire et une cholangiofibrose Dans une tude de deux ans l administration par gavage de doses de 0 50 100 ou 175 mg kg de poids corporel par jour des souris B6C3FT et de 0 30 ou 60 mg kg de poids corporel par jour des rats F344 N a provoqu une augmentation statistiquement significative de l incidence des ad nomes et carcinomes h patocellulaires chez les souris m les 34 64 contre 32 pour les t moins des ad nomes h patocellulaires chez les
102. suffisantes Compte tenu du risque apparent d exposition des concentrations relativement lev es et du manque de donn es cet gard le Comit a t dans l impossibilit de fixer une DJA Pour pouvoir r valuer l ther mono thylique de di thyl neglycol le Comit a besoin a soit de donn es ad quates indiquant que les quantit s absorb es par l homme sont suffisamment faibles pour que les principes applicables aux substances pr sentes en petites quantit s dans les aliments soient galement valables dans ce cas b soit des r sultats d une tude satisfaisante de canc rog nicit toxicit chronique chez le rat et la souris Le Comit a estim que compte tenu des donn es examin es la pr sente 3 1 5 24 r union l tude de 6 mois chez le porc demand e la vingti me r union ne s imposait plus pour la r valuation de cette substance Une monographie toxicologique a t pr par e Les normes indicatives existantes ont t r vis es et le Comit est convenu de supprimer le qualificatif indicatives Epaississants Acide alginique et ses sels d ammonium de calcium de potassium et de sodium Ces substances ont t valu es lors des septi me et dix septi me r unions du Comit annexe 1 r f rences 7 et 32 A la dix septi me r union une DJA de 0 50 mg kg de poids corporel a t tablie Depuis lors d autres donn es ont t produites
103. t pr par e Les normes existantes ont t r vis es et qualifi es d indicatives en attendant de disposer de plus d informations sur l utilisation de cette substance comme solvant d extraction Bromate de potassium Le bromate de potassium est utilis pour le traitement de la farine de boulangerie mais aussi de l orge de brasserie Le bromate de potassium utilis pour le traitement des farines avait t valu aux septi me vingt septi me et trente troisi me r unions du Comit annexe 1 r f rences 7 62 et 83 qui avaient alors r affirm le principe g n ral selon lequel les aliments pr ts consommer ne devraient pas contenir de bromate et que l emploi du bromate de potassium ne pouvait tre autoris que pour cette seule application A sa trente cinqui me r union le Comit a r duit la dose acceptable pour le traitement des farines de panification 60 mg kg compte tenu du fait que a les quantit s de bromure r sultant d un traitement des farines par le bromate de potassium des concentrations lt 60 mg kg ne pr sentaient pas de danger du point de vue toxicologique et b l analyse des r sidus montrait que lorsque la concentration de bromate ne d passait pas 62 5 mg kg de farine aucun r sidu de bromate ne pouvait tre d tect dans le pain fabriqu partir de cette farine En raison du manque de donn es sur les r sidus aucun niveau acceptable de traitement n avait pu tre tabli po
104. t appel valuer la carrag nine semi raffin e d sign e sous le nom d algues marines Eucheuma trait es qui d crit la v ritable nature de ce produit Tout en reconnaissant que des algues ayant subi un traitement sommaire sont utilis es comme aliments dans certaines parties du monde le Comit n avait pu valuer les algues trait es appartenant au genre Eucheuma et leur attribuer une DJA car elles ne satisfaisaient pas aux normes applicables la carrag nine pour laquelle il existe des donn es toxicologiques et laquelle une DJA non sp cifi e avait t attribu e la vingt huiti me r union annexe 1 r f rence 66 Aucune donn e toxicologique sur les algues trait es du genre Eucheuma n avait t pr sent e au Comit la trenti me r union Aucune nouvelle tude toxicologique n a t signal e depuis la pr c dente valuation Le Comit n a pu qu examiner les donn es relatives au traitement et la composition de ces algues qui lui ont t fournies depuis lors Ces donn es montrent que le produit trait ne peut tre consid r comme un aliment La composition des algues Eucheuma trait es diff re aussi nettement de celle de la carrag nine en ce qui concerne la teneur en substances 25 3 1 6 26 insolubles dans les acides constitu es de cellulose de prot ines et de lipides d riv s de la paroi cellulaire La nature pr cise et la signification toxicologique de ces diff
105. t recommand de limiter l utilisation du dichlorom thane comme solvant d extraction de fa on ce que les teneurs r siduelles dans les aliments soient aussi faibles que possible en effet les tudes effectu es sur des rats et des souris expos s toute leur vie durant ce compos pr sentaient un certain nombre de faiblesses qui rendaient impossible une valuation compl te des risques de canc rog nicit A sa trente cinqui me r union annexe 1 r f rence 88 le Comit avait estim lors de l examen des normes applicables aux ol or sines d pices que l utilisation du dichlorom thane comme solvant d extraction devrait tre d conseill e pour des raisons toxicologiques et il avait recommand que la question des hydrocarbures chlor s utilis s comme solvants dans l industrie alimentaire fasse l objet d une tude globale A la pr sente r union le Comit a examin les nouvelles donn es toxicologiques obtenues depuis sa vingt septi me r union Le dichlorom thane est rapidement absorb partir du tractus gastro intestinal d o il gagne le sang le foie les poumons les reins les tissus adipeux et les tissus nerveux tant chez l homme que chez les animaux L absorption est plus rapide lorsque le produit est ing r sous forme de solution aqueuse que lorsqu il est en solution huileuse Il est rapidement limin principalement dans Fair expir sous sa forme initiale ou apr s avoir t m ta
106. ticulier l absence d tudes sur le m tabolisme la reproduction et la t ratog nicit et il avait estim que les tudes de canc rog nicit ne r pondaient pas aux normes actuelles A la pr sence r union il a examin de nouvelles donn es sur le m tabolisme et l excr tion chez l homme ainsi que des tudes sur la reproduction et la t ratog nicit chez la souris et le rat ainsi qu un certain nombre d tudes de g notoxicit qui se sont g n ralement r v l es n gatives Il tait galement au courant de l existence d autres tudes portant sur l activit pharmacologique et le pouvoir irritant de cette substance Le Comit a t inform que l utilisation de l ther mono thylique de di thyl neglycol comme solvant servant de support des aromatisants pouvait entra ner la pr sence de r sidus des concentrations atteignant 1000 mg kg d aliments pr ts consommer mais il ne disposait d aucune donn e sur lapport journalier potentiel Dans ces circonstances les principes pr c demment tablis pour les substances pr sentes en petites quantit s dans les aliments annexe 1 r f rence 76 n taient pas applicables Si les tudes effectu es sur le m tabolisme la reproduction et 23 la t ratog nicit ainsi que sur la g notoxicit r pondaient certains des crit res tablis par le Comit les informations concernant la toxicit chronique et la canc rog nicit taient encore in
107. tion qui sont la base du syst me d attribution des priorit s pour l valuation des substances aromatisantes jouent un r le important dans l tude de l innocuit de ces derni res mais ne sont pas elles seules suffisantes pour mener bien cette valuation L tude des rapports entre la structure et l activit du point de vue de l innocuit est encore relativement peu d velopp e mais les progr s dans ce domaine pourraient en augmenter l int r t Le Comit a estim que les principes labor s jusqu pr sent constituaient un cadre suffisamment souple pour valuer l innocuit des substances aromatisantes 2 2 3 Produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments Le Comit du Codex sur les additifs alimentaires et les contaminants avait demand au Comit d experts d examiner des produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments savoir les glucosides cyanog nes et la solanine Deux autres substances inscrites l ordre du jour le furfural et le limon ne sont galement pr sentes dans de nombreux aliments Il est probable que le Comit sera invit examiner bien d autres substances de ce type car la Conf rence mixte FAO OMS sur les normes alimentaires les substances chimiques dans les aliments et le commerce des denr es alimentaires a accord une priorit lev e leur valuation 1 paragraphes 156 et 161 ii Les glucosides cyanog nes sont pr sents dans
108. trition N 48B 1971 WHO Food Add 70 40 Revue de l efficacit technique de divers agents antimicrobiens R unions de la FAO sur la nutrition N 48 C 1971 WHO Food Add 70 41 Evaluation des additifs alimentaires diverses enzymes amidons modifi s et autres substances valuation toxicologique et normes examen de l efficacit technique de certains antioxyg nes Quinzi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la nutrition N 50 1972 OMS S rie de Rapports techniques N 488 1972 Evaluation toxicologique de diverses enzymes d amidons modifi s et de certaines autres substances R unions de la FAO sur la nutrition N 50 A 1972 OMS S rie Additifs alimentaires N 1 1973 Normes d identit et de puret pour diverses enzymes et certaines autres substances R unions de la FAO sur la nutrition N 50B 1972 OMS S rie Additifs alimentaires N 2 1973 Examen de l efficacit technologique de quelques antioxyg nes et synergistes R unions de la FAO sur la nutrition N 50C 1972 OMS S rie Additifs alimentaires N 3 1973 Evaluation de certains additifs alimentaires et des contaminants mercure plomb et cadmium Seizi me rapport du Comit d experts R unions de la FAO sur la 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 nutrition N 51 1972 OMS S rie de Rapports techniques N 505 1972 et corrigendum Evaluation
109. ts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 617 1978 Summary of toxicological data of certain food additives WHO Food Additives Series N 12 1977 Specifications for the identity and purity of some food additives including antioxidants food colours thickeners and others FAO Nutrition Meetings Report Series N 57 1977 43 44 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 Evaluation de certains additifs alimentaires et contaminants Vingt deuxi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 631 1978 Summary of toxicological data of certain food additives and contaminants WHO Food Additives Series No 13 1978 Normes d identit et de puret colorants alimentaires pr parations enzy matiques et autres additifs alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 7 1980 Evaluation de certains additifs alimentaires Vingt troisi me rapport du Comit mixte FAO OMS d experts des additifs alimentaires OMS S rie de Rapports techniques N 648 1980 et corrigendum Toxicological evaluation of certain food additives WHO Food Additives Series N 14 1980 Normes d identit et de puret colorants alimentaires aromatisants et autres additifs alimentaires Etude FAO Alimentation et Nutrition N 12 1980 Evaluation de certain
110. tudes long terme sur la canc rog nicit du dichlorom thane administr par voie orale des souris et des rats ont t n gatives ou ont donn des r sultats non concluants en raison de la mort pr matur e des animaux En ce qui concerne l administration de dichlorom thane par inhalation les tudes effectu es sur des souris et des rats mettent en vidence l effet canc rog ne sur le foie et les poumons des souris et sur les glandes mammaires des rats aux doses lev es Un mod le pharmacocin tique tabli sur une base physiologique et fournissant des donn es quantitatives sur les vitesses de m tabolisation et les concentrations de dichlorom thane dans diff rents organes a t appliqu aux doses utilis es dans les tudes long terme mentionn es ci dessus Il a t calcul que les concentrations de m tabolites produits par la voie du glutathion dans le foie et les poumons des souris ayant absorb du dichlorom thane m lang l eau de boisson taient inf rieures de plusieurs ordres de grandeur celles observ es chez les souris qui avaient inhal la substance En outre le mod le pr disait que la concentration de ces m tabolites dans le foie et les poumons des animaux trait s par inhalation serait nettement plus faible pour les rats que pour les souris Cela pourrait expliquer les r sultats diff rents obtenus dans les tudes de canc rog nicit selon la voie d administration utilis e Des
111. ture et de l Organisation mondiale de la Sant Il a fait observer que les avis et les valuations du Comit concernant les additifs alimentaires formaient une base de travail solide pour la Commission du Codex Alimentarius et qu ils servaient de r f rences aux gouvernements aux universit s et l industrie travers le monde M Cortas a appel l attention sur les changements progressifs que l on observe dans les fonctions du Comit et dans le type de substances soumises son valuation depuis la cr ation de cet organisme en 1955 Ila signal que la Conf rence mixte FAO OMS sur les normes alimentaires les substances chimiques dans les aliments et le commerce des denr es alimentaires qui s est tenue Rome en mars 1991 a galement formul des recommandations touchant les activit s futures et les objectifs du Comit 1 Il est donc vident que le r le et l importance du Comit en mati re d valuation de la salubrit des aliments ne peuvent que cro tre et que le champ de ses activit s pourrait encore voluer l avenir Pour donner suite aux recommandations de la premi re Conf rence du Comit mixte FAO OMS sur les substances ajout es aux denr es alimentaires tenue en septembre 1955 2 le Comit d experts s est d j r uni trente huit fois annexe 1 La pr sente r union a eu lieu conform ment une recommandation formul e par le Comit sa trente septi me r union annexe 1 r f rence
112. ubstance soumise aux essais toxicologiques le Comit se penchera nouveau sur la question du nom Le fabricant d signe actuellement son produit sous le nom de carrag nine raffin e par un proc d diff rent Le nom retenu devra satisfaire aux crit res de la section 2 3 4 Principes directeurs pour le choix des titres de monographies normatives du trente troisi me rapport du Comit annexe 1 r f rence 83 Aucune monographie toxicologique n a t pr par e Cires Cire d abeille La cire d abe lle ravait encore jamais t valu e par le Comit Les seules donn es en sa possession indiquaient que la DL50 dose l tale m diane chez le rat tait sup rieure 5 g kg de poids corporel par jour et que la cire d abeille n tait pas mutag ne dans les syst mes microbiens in vivo Le Comit a conclu que cette substance pouvait tre consid r e comme un produit alimentaire Bien qu il soit impossible de proc der une valuation selon la m thode classique l utilisation de la cire d abeille jaune naturelle a une longue histoire et l absence d effets secondaires apparents permet d affirmer avec une certaine assurance que ses utilisations actuelles agent de d moulage et de gla age en p tisserie agent de gla age des fruits frais et congel s agent de gla age en confiserie support pour aromatisants et constituant de bases pour chewing gum ne pose pas de probl mes toxicologiques Le traitement n ce
113. uels taient compens es dans une certaine mesure par l absence constante d effets secondaires Il a conclu que les utilisations actuelles de la cire de candelilla agent de gla age constituant des bases pour chewing gum agent de finition superficielle et support pour aromatisants ne posaient pas de probl mes toxicologiques Une monographique toxicologique et de nouvelles sp cifications ont t pr par es Cire de carnauba La cire de carnauba n avait encore jamais t valu e par le Comit Des tudes court terme men es sur des rats dont la nourriture contenait 10 de cire de carnauba n ont r v l aucun effet toxique significatif li la pr sence de cette substance Une tude de 28 mois n a mis en vidence aucun effet toxique li la substance chez des chiens beagle dont la nourriture contenait 0 1 0 3 ou 1 de cire de carnauba Aucun effet ind sirable n a t observ sur les foetus dans une tude de t ratog nicit effectu e sur des rattes dont la nourriture pendant la dur e de la gestation contenait 0 1 0 3 ou 1 de cire de carnauba Une tude de reproduction combin e une tude de toxicit par voie orale d une dur e de 13 semaines sur les animaux de la g n ration F1 a t men e sur des rats Wistar Au cours des deux phases de l tude les 27 28 animaux les parents et leur descendance ont t nourris avec des aliments additionn s de 0 1 0 3 ou 1 de cire de
114. un certain nombre d aliments principalement dans des tubercules amylac s comme la cassave manioc des graines de fruits amandes des fruits noyau drupes les tiges de bambou et certaines esp ces de haricots Tous ces aliments se caract risent par la lib ration de cyanure d hydrog ne lors de la pr paration ou de la digestion La r action du consommateur au cyanure d pend d une part de son tat nutritionnel et d autre part de la fr quence et de l intensit de l exposition Les populations qui consomment par tradition des aliments contenant des glucosides cyanog nes ont appris par exp rience comment appr ter ces produits potentiellement dangereux De m me les producteurs commerciaux d aliments tels que le tapioca la farine d arrow root et le massepain sont conscients du probl me et s assurent g n ralement que les risques bien connus r sultant d une mauvaise pr paration sont r duits au minimum de fa on ce que l exposition potentielle au cyanure soit minimale La solanine ou des alcalo des analogues sont pr sents dans presque toutes les solan es dont la plus importante est la pomme de terre Solanum tuberosum On a connu des cas d intoxication humaine par des pommes de terre mais en g n ral ces incidents taient dus de mauvaises conditions d entreposage ou de manutention des tubercules une notable exception pr s une nouvelle vari t de pommes de terre a d tre retir e du
115. ur des denr es alimentaires autres que la farine destin e la panification ou la p tisserie Depuis lors aucune donn e toxicologique nouvelle n a t pr sent e Des tudes r centes de toxicit canc rog nicit long terme du bromate de potassium ont r v l la pr sence de tumeurs des cellules r nales de m soth liomes p riton aux et de tumeurs des cellules folliculaires de la thyro de chez le rat ainsi qu une l g re augmentation de l incidence des tumeurs de cellules r nales chez le hamster Ces observations et les r sultats obtenus dans des tudes de mutag nicit in vivo et in vitro ont conduit consid rer le bromate de potassium comme un canc rog ne g notoxique Des m thodes d analyse plus sensibles ont galement d montr que la pr sence de bromate peut tre d tect e dans le pain m me lorsqu il est utilis pour le traitement de la farine des doses consid r es comme acceptables Compte tenu des nouvelles donn es relatives l innocuit du bromate de potassium et la pr sence de r sidus dans le pain le Comit a conclu que cette substance ne convenait pas au traitement des farines Il a donc supprim la tol rance accord e ant rieurement cette fin Des solutions de remplacement existent qui sont connues du Comit Celui ci n a pu se prononcer sur utilisation du bromate de potassium dans l industrie de la brasserie en raison du manque de donn es sur les r sidus pr
116. ur des groupes avaient t indiqu es en ce qui concerne le poids corporel et la consommation de nourriture au d but de l tude le poids corporel pr sentait de fortes variations l int rieur des groupes Cela rendait l valuation statistique des r sultats difficiles car la possibilit d obtenir par hasard des r sultats statistiquement significatifs pour des p riodes de temps d termin es semblait lev e Le Comit a conclu que l absorption et l utilisation de la nourriture avaient t plus faibles au cours des deux premi res semaines de l tude chez les animaux des deux sexes des groupes recevant du palmitate de saccharose et ce autant plus que la dose tait lev e d o un poids corporel plus faible pour ces animaux tout au long de l tude Cet effet tait probablement d au go t moins agr able de la nourriture Aucune autre indication de toxicit n ayant t observ e m me aux doses les plus lev es le Comit a conclu que la concentration de 3 quivalente 1 5 g kg de poids corporel par jour repr sentait la dose sans effet observ Lors de sa trente cinqui me r union le Comit avait examin de nouvelles tudes toxicologiques portant sur un saccharoglyc ride de l huile de palme dont une tude de canc rog nicit long terme chez le rat et des tudes court terme chez le rat et le chien L tude de canc rog nicit chez le rat a conduit fixer 5 du poids de nourriture
117. vanilline L thylvanilline avait t valu e pour la premi re fois lors de la onzi me r union du Comit annexe 1 r f rence 14 au cours de laquelle une DJA de 0 10 mg kg de poids corporel lui avait t attribu e Lors de sa tr nte cinqui me r union annexe 1 r f rence 88 le Comit avait not qu aucune des tudes long terme valu es auparavant ne r pondait aux normes actuelles Il avait donc r duit la DJA 0 5 mg kg de poids corporel et lavait transform e en DJA temporaire Il avait galement demand que les r sultats d une tude court terme et d tudes de m tabolisme chez le rat lui soient soumis pour valuation en 1992 A la pr sente r union le Comit a t inform que les tudes demand es avaient t entreprises et que les r sultats pr liminaires taient rassurants Le principal m tabolite chez le rat semble tre l acide thylvanillique Ce m tabolite a galement t identifi chez l homme apr s ingestion d un suppl ment di t tique liquide aromatis la vanille Le Comit a prorog la DJA temporaire pr c demment fix e 0 5 mg kg de poids corporel en attendant de recevoir les r sultats d finitifs de l tude court terme et des tudes de m tabolisme en cours chez le rat dont l valuation est pr vue pour 1994 Aucune monographie toxicologique ma t pr par e Les normes en vigueur ont t r vis es Limon ne Le limon ne li
118. voqu une mortalit accrue et il a fallu mettre fin l exp rience au bout de 64 semaines Si l on tient compte de la mortalit il y a eu augmentation l g re mais significative de l incidence des tumeurs pulmonaires chez les m les la dose la plus lev e Dans une tude similaire au cours de laquelle des rats avaient t gav s avec de l huile d olive contenant du dichlorom thane des doses allant jusqu 500 mg kg de poids corporel par jour l exp rience a d galement tre interrompue au bout de 64 semaines en raison d une mortalit excessive Cette tude ma r v l aucune augmentation statistiquement significative de l incidence des tumeurs Apr s administration de fortes doses de dichlorom thane par inhalation des souris toute leur vie durant on a constat une incidence accrue des tumeurs pulmonaires ad nomes et carcinomes des alv oles et des bronchioles et des tumeurs h patiques ad nomes et carcinomes h patocellulaires Dans 3 tudes analogues effectu es chez des rats avec des concentrations gales ou sup rieures 500 mg litre on a observ une incidence accrue des tumeurs b nignes des glandes mammaires ad nomes fibromes et fibroad nomes chez les femelles Dans une de ces tudes on a galement constat la pr sence d ad nocarcinomes ainsi qu une tendance l augmentation de l incidence des tumeurs b nignes dans la r gion des glandes mammaires chez les m les De nouvelles
119. x objectifs des normes tablies par le Comit 1 Identifier la substance soumise aux essais biologiques 2 S assurer que la substance pr sente la qualit requise pour pouvoir tre utilis e en toute s curit dans les aliments 3 Etre le reflet des bonnes pratiques de fabrication et en encourager l application Le pr sent Comit a r affirm ces principes 2 8 2 R vision des Directives g n rales pour l usage des normes d identit et de puret Le Comit a t inform que la r vision des Directives g n rales pour l usage des normes d identit et de puret annexe 1 r f rence 100 avait t publi e Il s est servi de ce nouvel ouvrage de r f rence pour pr parer les normes tablies lors de la pr sente r union 3 1 3 1 1 Observations relatives certains additifs alimentaires et certains produits toxiques naturels Le Comit a valu pour la premi re fois un certain nombre d additifs alimentaires et de produits toxiques naturellement pr sents dans les aliments Il a galement r valu plusieurs additifs d j examin s lors de pr c dentes r unions Les donn es relatives aux valuations et aux normes sont r sum es l annexe 2 L annexe 3 donne des d tails sur les tudes toxicologiques et autres donn es demand es pour certaines substances Additifs alimentaires Emulsifiants Esters saccharosiques d acides gras et saccharoglyc rides Les esters saccharosiqu

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