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rapport annuel

1. D AA P He Ze cP d ei MT Ge 1 d r b GX JE A 0 F EI pi iiy RAPPORLDACTMT 2013 D der le ET d we SET CE Y wc A Groupe En r ies Renouvelables Environnement et Solidarit s acc s des services nerg tiques fiables etabordaobles est primordial pour le succ s du cadre de d veloppement post 2015 Le passage des syst mes nerg tiques mondiaux plus durables et plus efficients est crucial pour s attaquer aux changements climatiques Nous avons vu que des solutions existent et que les gens les mettent en uvre Ban Ki Moon Secr taire g n ral des Nations Unies III CHANGEMENTS CLIMATIQUES DUTOT TTT wewssoeoo fu SUMMAIRE 6 PR AMBULE 8 LES FAITS MARQUANTS 10 DOMAINES D INTERVENTION 14 LES HOMMES ET LES FEMMES DU GERES 15 LES PROJETS aeeeseeeseeseeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeesseeeeeseeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeeseeeeseeeeeseeeeeseeeeeeseeeeseeeeeeseeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeesseeeesseeeeeeeeeeseeeeeseeeeeeeeeee StovePlus Diffusion mondiale de foyers de cuisson am lior s Co Solidaire Programme de compensation carbone volontaire 20 ASIE CENTRALE Afghanistan Mongolie Tadjikistan Himalaya indien Efficacit nerg tique et bioclimatisme dans l habitat urbain D veloppem
2. a pn SS wamaqa a Es ma PUS a CC mas ars mem CURE wes man CLEAN Guss DS ES AG DEA EAR PORTTI aie E om bu cm minkan UN NOUVEL OUTIL D AIDE LA D CISION POUR LES PORTEURS DE PROJET CARBONE En 2013 l Unit Climat a particip au d veloppement d une pla teforme de la finance carbone pour La GACC Alliance mondiale pour les foyers am lior s au sein de laquelle un nouvel outil d aide La d cision pour les porteurs de projet a t int gr Cet outil leur permet de mener une tude de faisabilit com pl te allant de l ligibilit l analyse financi re http carbonfinanceforcookstoves org Adaptationaux changements climatiques Selon plusieurs rapports scien tifiques le monde semble d sor mais tre sur une trajectoire de r chauffement global plus de 2 C d ici la fin du si cle en particuli rement menac s par les effets et la rapidit de ces change ments Ainsi tout en continuant r duire les missions de gaz effet de serre il est primordial Groupe de discussion consacr aux capacit s d adaptation aux changements climatiques avec les habitants de Markhamat au Tadjikistan tra nant des d r glements du syst me climatique mondial Compte tenu de vuln rabilit s sous jacentes le d veloppement des pays du Sud et les conditions de vie de leurs populations sont LES OUTILS D ANALYSE DE VULN RABILIT L int gralit de La d marche ClimTe
3. familles utilisatrices sans bouleverser leurs habi tudes et r duisent la pollution de l air int rieur On pr voit qu en 2030 en Afrique et en Asie le march de quipement utilisant les combustibles issus de la biomasse s l vera 40 millions d unit s par an pour les m nages pauvres ruraux et urbains Afin de r pondre aux probl matiques de ce march le GERES a lanc StovePlus un programme destin renforcer le secteur local de production et de diffu sion de foyers am lior s par le soutien et l accompa gnement technique aux porteurs de projets Apr s une premi re phase de structuration StovePlus est officiellement lanc en juin 2013 lors du Forum International sur l nergie de Cuisson de Bonn Ludovic BRANLANT Chef de projet Bio Energie Lao Institute For Renewable Energy LIRE Au Laos l quipe de StovePlus a fait preuve d une grande capacit d adaptation en rassemblant toutes les parties prenantes au projet producteurs fournisseurs et distributeurs Jusqu ici cette exp rience est une r ussite et est tr s appr ci e par les acteurs locaux Lil NT LULU dTM k t L lt e E Lg A 80 le bois est le combustible Le plus utilis pour cuisiner en Afrique if I 1 I La l L AN t manantial Aa diatrihiitianr 119 NC TINI CUOL I U I l I dl u C U Al pu LIU n de 100 mil outils de haute qualit Dans c
4. l chelle r gionale La rencontre annuelle a mis en valeur les actions men es dans le Var plan d partemental de lutte contre la pr carit nerg tique aides la r novation accompagnement la r duction des consommations apr s travaux Par ailleurs 3 collectivit s ont t accompagn es par le RREP en 2013 le Conseil G n ral des Hautes Alpes et ses partenaires la Communaut d agglom ration Var Esterel M diterran e et la commune de Miramas Ces territoires ont t soutenus par le RREP pour dresser un tat des lieux de la pr carit nerg tique des acteurs et des actions men es sur leur territoire Ceci permettra d laborer un plan d action pour pr venir les situations de pr carit nerg tique Enfin l laboration d une nouvelle proposition PADEME et la R gion impulsant la dynamique r gionale favorisera l mergence d actions en 2014 fA INDICATEURS ET IMPACTS gt 700 professionnels de 224 structures de l action sociale du logement de l nergie des collectivit s et des institutions b n ficient des actions du RREP PARTENAIRES FINANCIERS e ADEME PACA Agence de l environne ment et de la ma trise de l nergie e R gion Provence Alpes C te d Azur e MEDDE Minist re de l cologie du D veloppement Durable et de l nergie PARTENAIRES TECHNIQUES e copol nergie e Le Loubatas e DREAL PACA Direction R gionale de l Environnement de l Am na
5. Au Maroc les formations d co vendeurs de r frig rateurs cong lateurs et autres quipe ments lectrom nagers basse consommation ont continu tre dispens es et le projet s est conclu sur une conf rence Ra bat qui a mis en exergue les liens entre nergie et microfinance PARTENAIRES FINANCIERS e Union europ enne e Conseil r gional PACA e MPM Marseille Provence M tropole PARTENAIRES TECHNIQUES e PlaNet Finance porteur du projet e ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie e ADEREE Agence de D veloppement des nergies Renouvelables et de l Efficacit nerg tique e Fondation Ardi e EACD Egyptian Association for Com prehensive Development e DBACD Dakahlya Businessmen Associa tion for Community Development e GERERE Groupe d tudes et de Recherche sur les nergies Renouvelables et l Environnement GERES e Rapport d activit 2013 53 gi INDICATEURS amp IMPACTS gt 40 villages quip s de fours pain am lior s gt Le projet a permis de poser les bases du d veloppement d une fili re industrielle de fours gaz LE PRIX ENERGY GLOBE R COMPENSE LE PROJET Le 20 mai 2014 s est tenue l Ambas sade d Autriche Paris La remise du prix Energy Globe Award r compen sant l action du GERES au Maroc depuis six ans L objectif pour 2015 est de d velop per une production grande chelle pour une structuration plus lar
6. visites en 2013 abonn s au 31 12 2013 Audience francophone 72 soit une augmentation de 34 Audience anglophone 22 par rapport 2012 WWW geres eu Abonnement sur http www geres eu fr lettre d information L v nement Les premi res Rencontres Partenaires Le GERES a organis 23 v nements en 2013 Le 9 avril 2013 pour la premi re fois Le GERES r unit ses partenaires autour d une conf rence et des ateliers afin d changer sur les modes de financement les actions et Les perspectives des ONG qui uvrent pour l acc s universel une nergie propre Sur les r seaux sociaux Facebook Twitter Flickr YouTube 2 767 Likes 1 246 followers 25 252 vues 14 155 vues de vid os au 31 12 2013 au 31 12 2013 au 21 12 2013 au 31 12 2013 https www facebook com geres asso https twitter com geres_fr http www flickr com photos geres_ http www youtube com user GeresAssociation environnement LE E SR 4 h EA CH Te GERES e Rapport d activit 2013 63 RAPPORT FINANCIER 8 DE L ACTIVIT TRANSVERSALE SONT ATTRIBU S L UNIT CLIMAT ET STOVEPLUS L ACTIVIT SI GE DONT LE PROGRAMME CO SOLIDAIRE S L VE 15 Ces pourcentages sont repr sentatifs du volume d activit s effectif en 2013 et ne tiennent pas compte des provisions des critures li es la valorisation des stocks et des engagements r aliser Les chiff
7. disposition de tous les habitants l ensemble de la documenta tion promouvant d architecture solaire dans la r gion isolation des b timents et techniques d ef d Sp SH S SZ L air m ve A Le centre de ressources construit Leh est g r par nos trois ONG locales partenaires LEDeG LEHO et LNP INDICATEURS amp IMPACTS gre E Ze ficacit nerg tique Afin de sen sibiliser la population une large campagne de communication a t conduite en 2013 avec 10 pro grammes radio et 2 programmes de t l vision 30 v nements locaux ont t organis s atti rant plus de 2 000 visiteurs Par ailleurs le centre a soutenu le renforcement des acquis des ar tisans locaux travers plusieurs formations kh O bi k piir CES w E das jaa Aen S g sTo Hey Eo eg asao z ST gt 1 004 familles ont am lior leurs conditions de vie et contribuent sensibiliser leur entourage gt 237 artisans ma ons et menuisiers form s aux techniques sont capables de construire des maisons bioclimatiques gt 11 centres d information locaux continuent promouvoir l efficacit nerg tique et le bioclimatisme dans les districts de Kargil et Leh gt 30 v nements locaux organis s en 2013 attirant 2 000 visiteurs gt 10 programmes radio 2 programmes de t l vision ont t diffus s en 2013 ASIE DU SUD ES 1 Dans cette r gion o Le bois
8. l ments de vision en PACA tandis que les questionnements tenant au nouveau gisement dis ponible et au potentiel mobilisable se multiplient Le GERES m ne ainsi depuis mi 2013 une tude per mettant d tablir la fois un historique de la fili re un point sur son tat actuel quant au gisement r si duel ainsi qu une prospective prenant en compte la INDICATEURS amp IMPACTS multiplicit des facteurs qui influent ou pourraient influer sur son volution PARTENAIRES FINANCIERS e R gion Provence Alpes C te d Azur e Agence de l Eau Rh ne M diterran e Corse PARTENAIRES TECHNIQUES e ADEME e Maison r gionale de l eau De nouvelles typologies d installations hydro lec triques sont prises en compte en particulier sur les pr l vements en eau pr existants telles que les ins tallations d eau potable et les canaux d irrigation ainsi que les installations d j existantes qui peuvent tre quip es optimis es ou r habilit es gt 368 centrales hydro lectriques identifi es en service au stade projet ou en phase d opportunit gt Les principaux sites hydro lectriques ont t quip s dans les ann es 1950 1970 gt Le potentiel hydro lectrique r siduel se concentre sur des sites productible moins important n cessitant de nouvelles technologies Renforcement de la fili re biogaz en PACA Gazom tre de la station d puration d Hy res La r cente r glementation su
9. nergie repr sente encore une part importante du mix nerg tique La bonne gestion de La ressource en biomasse est un enjeu de taille Bien que le d veloppement conomique favorise l mergence d autres sources d nergie les populations grossissent et la demande en bois et charbon aussi L Asie du Sud Est est une zone fournie en for t primaire Mais les enjeux conomiques et les lois du march ne favorisent pas la conservation de cette richesse environnementale Les for ts disparaissent au profit de l agriculture intensive ou du march du bois rare Le GERES d ploie son nergie afin que les populations puissent encore avoir recours leurs ressources naturelles pour r pondre leurs besoins nerg tiques quotidiens CAMBODGE Au Cambodge le GERES intervient tous Les niveaux de la fili re du bois nergie Du c t des for ts Les projets soutiennent les communaut s afin de mieux g rer la ressource pour assurer sa durabilit C t utilisation Le GERES d veloppe des solutions pour r duire la consommation de combustibles production de charbon efficace foyers de cuisson domestiques conomes et autres tech nologies adapt es au contexte local La particularit de l interven tion le GERES s appuie sur le secteur priv local pour diss miner ses solutions En concentrant ses efforts sur le d veloppement et le transfert de solutions appropri es par de la formation aux micro entrepreneurs et du renforcement de sect
10. rosion et d obte nir du bois via la taille des arbres fruitiers Ce bois de taille peut tre consomm directement pour r pondre leurs besoins nerg tiques ou vendu et g n rer ainsi un revenu compl mentaire PARTENAIRES TECHNIQUES e EnSEn Association nergie Solidarit et Environnement e AFHTA Association Fondation pour l humain terroirs et alternatives e Association Rif pour le d veloppement Local et durable Bellota Les agriculteurs des alentours de Chefchaouen form s aux pratiques anti rosives ont diversifi leurs cultures pour la transformation de produits qu ils commercialisent pour la deuxi me ann e cons cutive via le r seau des restaurants engag s de Chefchaouen La p rennisation de l activit de promotion de la taille est assur e par l existence d un centre fonc tionnel de formation des tailleurs et la poursuite des activit s d appui la fili re par les associations locales AFTHA et EnSEn Les premiers retours de la saison de taille 2013 d montrent un effectif int r t des agriculteurs dans les nouvelles zones d interven tion mais sans la subvention dont ils b n ficiaient dans le cadre du projet une difficult se pose quant aux d bouch s La commercialisation du bois se for malise en 2013 avec l autorisation l gale d exercer acquise par la coop rative de vendeurs a INDICATEURS amp IMPACTS gt Les agriculteurs des alentours de Chefchaouen form s
11. v nements ont particip une action de Solidarit climatique gt 16 702 TeqCO2 compens es en 2013 soit les missions annuelles de 907 m nages fran ais de 4 personnes PROGRAMME TRANSVERSE L OUVERTURE DU PROGRAMME DEUX ASSOCIATIONS Ayant jusque l fait Le choix de proposer exclusivement les cr dits carbone issus des projets du GERES CO Solidaire ouvre son programme 2 autres associations fran aises Initiative D veloppement et Bleu Blanc C ur L offre ne se positionne pas comme celle d un acheteur revendeur de cr dits carbone mais se pose en facilitateur Le but tant de valoriser des initiatives authentiques de d veloppeurs de projet qui proposent une alternative sans multiplier Les interm diaires Depuis 1994 L ONG Initiative D veloppement ID accompagne des commu ere INITIATIVE D VELOPPEMENT naut s d favoris es des pays du Sud Le p le nergies Renouvelables d ID CS Acten de solidarit TTT d veloppe des projets nerg tiques et environnementaux biogaz cuiseurs conomes distillation am lior e reforestation en Chine aux Comores au Congo Brazzaville en Ha ti et au Tchad ayant pour objectif d am liorer l environnement et Les conditions de vie des b n ficiaires Association loi 1901 Bleu Blanc C ur BBC a t cr e pour promouvoir une agriculture responsable vocation sant Elle vise prendre en compte les objectifs environnementaux et nutritionnels dans les
12. Caritas Francfort Allemagne 43 CAVM Centre d animation du Vieux Moulin 50 CEBEDES Centre b ninois pour l environnement et Le d veloppement conomique et social 38 CeRPA Zou Collines Centre r gional de promotion de l agriculture 37 CIRAD Centre de coop ration internationale en recherche agronomique pour le d veloppement 37 CLER Comit de liaison des nergies renouvelables France 43 Club de Kyoto Italie 41 CNESOLER Centre National de l nergie Solaire et des nergies renouvelables 16 35 Communaut d agglom ration du pays d Aubagne et de l toile 45 CPIE Rh ne Pays d Arles Centre Permanent d Initiatives pour l Environnement 50 Crog Jardin Foyers ruraux 50 CSE Centre de Suivi cologique 39 DBACD Association Dakahlya des entrepreneurs pour Le d veloppement des communaut s Egypte 53 DGE Direction g n rale de l nergie du B nin 37 DNE Mali Direction nationale de l nergie au Mali 16 DREAL PACA Direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement Provence Alpes C te d Azur 45 48 EACD Association gyptienne pour le d veloppement int gr 53 EAP Agence de l nergie de Plovdiv Bulgarie 43 EcoClub 44 copol nergie 45 EMAS Ecole mobile de l eau et de l hygi ne 44 ENDA Environnement et d veloppement du Tiers Monde 39 Enerplan 47 EnSEn Association nergie Solidarit et Environnement 55 71 En
13. chers ont t form s au semis la r colte ainsi qu la transformation des l gumes Ceci leur a permis de produire 50 tonnes de pommes de terre et 12 5 tonnes d autres l gumes N anmoins la commer cialisation reste un enjeu pour ces mara chers car certains l gumes sont inconnus du grand public et les plus communs sont en concur gt La saison de culture a doubl en passant de 4 8 mois rence avec les produits moins chers en provenance de Chine Pour les aider promouvoir leur activit le GERES a encourag les mara chers participer aux foires agricoles et proposer leurs produits aux mar ch s locaux comme les coles les h pitaux ou les restaurants Simultan ment les formations en nutrition et des cours de cui sine ouvrent des possibilit s pour commercialiser des bocaux de l gumes cuisin s et am liorer la s curit alimentaire en hiver des familles b n ficiaires gt 14 nouvelles serres construites en Arkhanga en 2013 soit un total de 164 serres depuis le d but du projet gt 45 nouvelles familles produisent et transforment leurs l gumes en 2013 gt Au total 404 familles de 3 provinces sont b n ficiaires depuis le d but du projet gt 200 coliers sensibilis s la nutrition gt 50 cuisiniers d coles et d h pitaux ont particip aux cours de cuisine en 2013 gt 2 b tisseurs sont form s aux technologies d nergie solaire passive et peuvent construire des
14. climatiques Source volet Impacts du 5 rapport du Groupe d Experts Intergouvernemental sur l Evolution du Climat GIEC POUR L ADH SION COLLECTIVE AUX ENERGIES RENOUVELABLES Selon l Agence Internationale pour l nergie AIE plus de 20 de la population mondiale soit 1 4 milliard de personnes n ont pas acc s l lectricit Face la pollution atmosph rique la fin programm e Panneau solaire et station de recharge de t l phone portable au B nin des nergies fossiles et la rar faction des ressources disponibles la satisfaction des besoins en nergie de tous les habitants n ira de pair qu avec l augmentation de la part des nergies renouve lables Celle ci doit n anmoins s envisager en lien troit avec de vigoureuses politiques de sobri t et d efficacit nerg tique Compte tenu de l volution des technologies les nergies renou velables pr sentent des perspectives prometteuses elles cr ent de l emploi montrent un potentiel in gal dans l invention de mo d les alternatifs simples intelligents et accessibles tous dans tous les territoires De plus elles faciliteront les changements de comportement vers plus de sobri t Fin 2013 l Assembl e g n rale des Nations Unies a adopt l unanimit une r solution faisant de la d cennie 2014 2024 une D cennie de l nergie renouvelable pour tous Le GERES s y engage pleinement en lien avec les acteurs publics asso
15. d innover avec un 3 mod le au charbon Bient t sur le march ce nouveau foyer s appuie sur la technologie du Rocket Stove Il a t adapt au contexte local par l quipe R amp D du GERES et sera temporairement baptis le khmer rocket stove gt Il est aujourd hui l quipement de cuisson domestique au charbon le plus conome du Cambodge Il permet une conomie de char bon de 25 par rapport au NLS four cible les familles urbaines et semi urbaines principales consommatrices de ce combus tible traditionnel dont le prix ne cesse d augmenter 2013 a t consacr e aux tests techniques et au travail de positionnement march En 2014 l quipe se concentrera sur la mobilisation des acteurs et des financements n cessaires la cr ation d une unit de production et au lance ment de l activit conomique 10 ans de finance carbone Entre 2003 et 2013 le projet NLS a t plac sur le march du carbone Les cr dits ont g n r les finance ments n cessaires pour faire mon ter le projet grande chelle CAMBODGE M INDICATEURS S IMPACTS gt 2956 448 foyers am lior s diffus s depuis le d but du projet fin d cembre 2013 gt 1 274 000 familles utilisatrices 296 producteurs et distributeurs membres de l association Icoprodac 2 008 739 TeqCO2 vit es en 10 ans 1 613 311 tonnes de bois sauv v v v PARTENAIRES FINANCIERS e blue moon fund e PNUD P
16. e le GERES s est concen tr sur la diffusion des bonnes pratiques au plus grand nombre Sa mission s est articul e autour de 2 axes principaux e l valuation des visites de fermes exemplaires entretiens avec des conseillers des agriculteurs la presse la R gion et analyse des r sultats du par cours d engagement des agriculteurs e L laboration de propositions op rationnelles mettre en place pour la diffusion des bonnes pra tiques et le passage l acte des agriculteurs Ceci pourrait constituer une premi re tape vers la mise en place d un observatoire r gional des bonnes pratiques environnementales en agriculture et de leurs impacts tude prospective sur Les conomes de flux et Les conseillers en nergie partag s Dans l objectif de concilier emploi et ma trise des consommations d nergie la R gion Provence Alpes C te d Azur soutient aux c t s de l ADEME une soixantaine de postes de conseillers en nergie partag s et de postes d conomes de flux au sein de collectivit s et d acteurs r gionaux Ces personnes ont pour mission de pister les conomies d nergie r alisables au sein de ces structures La R gion a souhait lancer une mission pour valuer l accom pagnement de ce dispositif et l am liorer dans un objectif de p rennisation des postes et d une bonne gestion par les structures de leurs consommations d nergie cet effet elle a choisi dans le cad
17. existent elles doivent tre coupl es avec les pratiques et tech niques favorisant une gestion durable de la ressource Le GERES travers plusieurs programmes en Asie et en Afrique favorise leur diss mination afin d obtenir des impacts grande chelle Par exemple Le GERES intervient au Cambodge depuis pr s de 15 ann es tous Les niveaux de la fili re bois nergie Son intervention a directement permis en 2014 la diffusion de 3 millions de foyers de cuisson am lior s dans ce pays 2Source Rapport mondial des ENR 2012 e Ba SE Dour d e SE e E ps gie Pi li amp 1 la BW D fe KX Agroforesterie et renouvellement de La biomasse au cambodge permettent de lutter contre Les changements climatiques i i Da o d El se Lt j CH a d Y aeii CH s ani r TER Gr ce la m canisation des tapes de r page et de pressage ce tubercule de manioc pluch sera facilement transform en gari en accompagnement des plats ou comme boisson CONJUGUER NERGIE DURABLE AGRICULTURE ET SECURITE ALIMENTAIRE Le r le que joue l nergie dans la s curit alimentaire est souvent m connu Pourtant elle a une incidence directe sur ses quatre prin cipaux indicateurs pour favoriser la disponibilit et l acc s aux produits agricoles ou alimentaires mais aussi pour assurer leur stabilit et leur salubrit L usage passif de l nergie sol
18. favoriser la concertation autour d une connaissance commune et partag e IL repr sente aussi un support pour tablir un pr diagnostic et cibler des zones d actions prioritaires http www geres eu fr ressources publications item 309 mallette climterr adaptation aux S N GAL PARTENAIRES FINANCIERS e R gion Rh ne Alpes PARTENAIRES TECHNIQUES e AVSF Agronomes et V t rinaires Sans Fronti res e CSE Centre de Suivi cologique e ENDA Environmental Development Action in the Third Word e Le Partenariat de Saint Louis e PPZS P le Pastoral Zones S ches e PNUD Programme des Nations Unies pour le d veloppement TACC e UCAD Universit Cheikh Anta Diop de Dakar e UGB Universit Gaston Berger de Saint Louis e Universit de Ziguinchor M IMPACTS DU PROJET gt 30 acteurs cl s de l Entente interr gionale du Ferlo form s aux enjeux des changements climatiques Adame GUEYE Pr sident de la R gion de Louna Pr sident de l Entente interr gionale du Ferlo Cet atlas fruit de la coalition entre Entente du Ferlo et la R gion Rh ne Alpes est aujourd hui un mod le de coop ration orient e sur le mieux tre des populations GERES e Rapport d activit 2013 39 L an SG L ad ad BEE EC Ci LL gt L S O Be D L EUROPE M DITERRAN E Les pays voisins de l Europe connaissent des transitions soci tales importantes mais aussi des crises La tr
19. le GERES fait exp rience que les inno vations sont aussi de v ritables opportunit s co nomiques pour les artisans micro entrepreneurs investisseurs et entrepreneurs sociaux Le renforcement des micro entrepreneurs ruraux Depuis plus de 5 ans le GERES travaille main dans la main avec des r seaux de micro entrepreneurs producteurs et distributeurs de foyers de cuisson conomes petits paysans et micro entrepreneurs ruraux communaut s foresti res et producteurs tra ditionnels de charbon Ces entrepreneurs d veloppent leur activit en s ap puyant sur les innovations techniques que le GERES leur propose d adapter au contexte et au march lo caux Les formations entrepreneuriat et accom pagnement en gestion d entreprise am liorent incon testablement leur niveau de vie Ces populations qui taient les plus vuln rables du pays ont maintenant suffisamment de comp tences et de forces vives pour envisager leur avenir long terme Le succ s de l incubation d entreprise Apr s la r ussite du transfert de lusine SGFE pro duisant des briquettes de charbon issues de mati res recycl es un entrepreneur ind pendant le GERES a incub en 2013 une nouvelle entreprise sociale issue du projet Sovannak palm sugar visant l am lioration de la production artisanale du sucre de palme par l introduction d une technologie de cuisson efficace Bas e Phnom Penh Sovannak Enterprise est main tenant une petite
20. veloppement e GACC Alliance mondiale pour Les foyers de cuisson am lior s e WACCA Alliance de l Afrique de l Ouest pour les foyers de cuisson am lior s e GIZ Soci t allemande de coop ration internationale e LIRE Institut laotien pour les nergies renouvelables e Entreprise Sociale Ever Green Myanmar e DNE Direction Nationale de l nergie Mali e CNESOLER Centre National de l nergie Solaire et des nergies Renouvelables Mali e AMADER Agence malienne pour le d veloppement de l nergie domestique et de l lectrification rurale e SNV Fondation n erlandaise des volontaires 16 GERESe Rapport d activit 2013 2 5 milliards de personnes dans le monde ont re cours la biomasse bois de feu charbon de bois d chets organiques pour cuisiner et se chauffer mais utilisent des quipements inefficaces La pol lution par les fum es est responsable de pr s de 4 millions de d c s pr matur s chaque ann e et la pression sur la ressource en bois accentue la d gra dation de la for t Parce que les combustibles biomasse resteront la principale source d nergie de ces populations pen dant les d cennies venir les programmes de diffu sion de foyers de cuisson am lior s sont reconnus comme une solution indispensable dans les pays en d veloppement Ils optimisent la consommation des Les porteurs de projet asiatiques et africains peuvent faire appel nos d veloppeurs de programmes
21. DIALO GIE qui sont un bon support de discussion avec le propri taire occupant modeste dans la r alisation de travaux d effi cacit nerg tique Pour ce qui concerne les locataires ce rap port est remis et expliqu au travailleur social qui est le plus souvent en contact troit avec le propri taire bailleur Pour une bonne r alisation de ces op rations le GERES a naturellement renforc et largi son travail de mobilisation des acteurs propri taires occupants locataires propri taires bailleurs r f rents sociaux collectivit s et lus locaux Des ateliers et r unions ont ainsi permis d int grer les acteurs du logement et du secteur social au projet de mani re tr s op ration nelle D but 2013 100 b n ficiaires avaient re u une double visite Ce chiffre symbolique donna l occasion d organiser un v nement festif prolongeant la dyna mique des quartiers des Hauts de Mazargues o le projet avait d marr L ensemble de ce travail partici patif a permis de tripler le r sultat avec 281 m nages b n ficiaires L valuation du projet par l institut BVA a r v l un niveau de satisfaction lev pour le dispositif mis en place 33 des interview s ont fait r adapter leur contrat leurs besoins 22 ont b n fici d un tarif L valuation du projet par l institut BVA a r v l un niveau de satisfaction lev pour le dispositif mis en place social ou d une aide fin
22. connaissent une baisse substantielle et ne repr sentent plus que 7 du total des ressources en 2013 Ceci s explique par Les tensions sur le march du carbone et la volatilit des prix des cr dits en lien avec le contexte conomique global et La fin de La p riode de Kyoto Cette tendance est partiellement compens e par le d veloppement de la vente de prestations de service aeeeseeeeeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeseeeege Le r sultat Le GERES est d ficitaire pour son exercice comptable 2013 La structure financi re du GERES se voit fragilis e Le niveau de r serves associatives est insuffisant et ne repr sente plus que 3 du budget annuel Cette situation pour pr occupante qu elle soit est partag e par de nombreuses associations La strat gie financi re et organisationnelle d finie pour la p riode 2014 2017 doit permettre de modifier durablement la trajectoire conomique e demandes de soutien exceptionnel pour combler certains d ficits projets e identification de nouveaux bailleurs publics prospection de fondations priv es aux tats Unis e augmentation de la vente d expertises en externe e recherche de facilit s financi res pour augmenter le fonds de roulement et la tr sorerie nette disponible emprunt long terme titres associatifs e mise en place de nouveaux outils de gestion Le d ficit de 127 k en 2013 s explique d une part par le sous financement de plusieurs projets mis en uvre e
23. e 2013 difficile l activit en Europe M diterran e sera r duite en 2014 Toutefois le GERES participera diff rentes op rations strat giques pour la transition nerg tique de la r gion op ration Vivons solaire en PACA gt pour faciliter Le march des chauffe eau solaires plateforme de La r no vation nerg tique sur la m tropole marseil suivre ses activit s dans le d veloppement rural durable Ayni ainsi que dans le Pamir De m me d autres activit s dans l efficacit nerg tique sont en cours de r flexion EN ASIE DU SUD EST En 2014 les quipes terrain sont toutes principalement mobilis es sur le projet SFM Sustainable Forest Management qui r u nit l expertise de l ensemble des projets du GERES soutien la production et diffusion de foyers am lior s implantation des fours de production de charbon am lior s forma tion des communaut s foresti res la ges tion durable des for ts etc En parall le de ce projet qui prendra fin courant 2015 les quipes de recherches souhaitent identifier les besoins d intervention futurs En conti nuant analyser l utilisation de la biomasse nergie en dehors de l utilisation domestique de nouveaux leviers d action permettront la continuit du programme en cours L UNIT EXPERTISES En 2013 le GERES a rassembl ses ex perts transverses dans une seule unit Expertises gt Elle a pour vocation d ap puyer les quipes terrain d
24. e Commission Europ enne programme MED PARTENAIRES TECHNIQUES e Chambre de l agriculture et de la foresterie de Maribor Slov nie e Universit d agriculture de Tirana Albanie e Institut d hydro ing nierie de Sarajevo Bosnie Herz govine e Institut de planification physique du comt de Koprivnica Kri evci Croatie e Municipalit de Lakatamia Chypre e Universit technique de Cr te Gr ce e Club de Kyoto Italie pour la mise en uvre de leur strat gie nergie cli mat sensibilisation sur les pratiques communes en Europe m thodologie appliquer par tapes mon t e en comp tence des acteurs territoriaux retours d exp rience partag s des solutions techniques existantes et test es dans le cadre des cas pilotes du projet e renforcement de la coop ration des acteurs dans la mise en uvre des mesures d efficacit nerg tique en cr ant des partenariats locaux Le projet permettra d am liorer les politiques pu bliques li es l efficacit nerg tique la production d nergies renouvelables dans les villes et r gions par ticipantes pour des solutions conomes en nergie si INDICATEURS ET IMPACTS ATTENDUS gt 11 partenaires europ ens situ s sur le bassin m diterran en gt 22 cas pilotes test s au plus pr s des acteurs institutionnels terrain citoyens gt 22 journ es de formation pour le renforcement de comp tences des collectivit s sur ces th matiques gt Un
25. entreprise priv e qui propose sur le march local et l export un sucre de palme de qua lit sup rieure et respectueux de l environnement Narein SOURN ancien salari du GERES impliqu dans le d veloppement de la marque et du r seau de distribution a repris et d velopp l activit en son nom apr s une formation de 6 mois l entrepreneu riat dispens e par le GERES CAMBODGE Consolidation de l expertise sur la biomasse Afin d assurer l efficacit des actions d ploy es sur le terrain les d veloppeurs de projet doivent pouvoir s appuyer sur des donn es solides Gr ce des quipes tech niques multidisciplinaires et une strat gie inscrite dans la dur e le GERES a d ve lopp une expertise et une connaissance exclusives dans le domaine de la biomasse nergie au Cambodge G bel Le Laboratoire sp cialis biomasse s ouvre l ext rieur Cr pour tester et valider les technologies du GERES en mati re de cuisson domestique et d am lioration des combustibles de biomasse le G bel Geres Bio mass Energy Laboratory a maintenant pour voca tion de devenir une r f rence sur les tests biomasse dans toute la r gion En plus d appuyer les projets du GERES le laboratoire propose une offre de services l ensemble des acteurs de la r gion ONG entre prises universit s Mais pour laborer une strat gie nationale sur la biomasse nergie au del de l usage domestiqu
26. et solidarit au Nord comme au Sud le GERES pr sente son cahier d acteurs au d bat national sur la transition nerg tique lo MARS Prix d honneur Fondation des Nations Unies GACC l Alliance mondiale pour Les foyers de cuisson am lior s cr e par la Fondation des Nations Unies r compense le GERES lt pour sa contribution sp cifique dans le secteur et son implication dans l organisation du forum mondial pour la cuisson propre Clean Cooking Forum en mars 2013 Phnom Penh 20 MARS Inauguration d Enercoop PACA Membre fondateur d Enercoop PACA le GERES soutient et accompagne l initiative du fournisseur d lectricit verte dans la r gion Provence Alpes C te d Azur LE RL ER LECEL w R i RAINA Des visites domicile a p de l Energie et de l eau F tons la 100 famille b n ficiaire AVRIL 4 AVRIL Contre la pr carit nerg tique 100 familles b n ficient du dispositif ACHIEVE Marseille Les conseillers du GERES ont rendu visite au domicile de 100 m nages modestes afin de les aider mieux contr ler leurs consommations d nergie 30 AVRIL 10 ann es d nergie pour l EIE de Marseille Apr s 10 ann es d exercice l Espace Info nergie de Marseille Provence jusqu alors port par Le GERES transf re ses activit s L ALE l occasion d une c r monie de cl ture Le G RES a remerci tous le
27. kg de charbon vert produits et vendus en 2013 R TABLIR LA DIGNIT DES CHARBONNIERS ILL GAUX Les ambitions de ce projet d passent les seuls impacts environnemen taux En effet pour fournir les grands centres urbains du Royaume en charbon de bois les communau t s rurales travaillent toujours en compl te ill galit Ces personnes pauvres en g n ral ne sont pas reconnues ni valoris es dans leur statut malgr Le service qu elles rendent Le projet qui ne pouvait pas ignorer ce probl me contribue donc am liorer Le cadre juridique afin de r tablir la dignit des com munaut s qui collectent Le bois de mani re durable En 2013 37 des foyers cambod giens utilisent Le charbon pour cuisi ner Les principaux utilisateurs sont situ s dans les zones urbaines ou p ri urbaines o la collecte de bois est impossible 30 GEREs Rapport d activit 2013 de bois vert La diss mination des fours carbonisation pour la production de charbon vert est pass e la vitesse sup rieure en 2013 La 1 phase pilote s est achev e en mars 2013 et les quipes se sont depuis mobi lis es pour dupliquer les lecons apprises dans le cadre du projet SFM Jusque l la production de charbon tait enti re ment contr l e par le secteur informel mais l ad ministration foresti re et le minist re en charge de l nergie ont d cid d unir leurs forces pour s appro prier la solution d velopp e
28. mon moteur et engendre peu de fum e Ce serait tr s bon de l avoir plein temps et gue son prix soit inf rieur celui du gasoil GERES e Rapport d activit 2013 37 PARTENAIRES FINANCIERS e Union europ enne e AFD Agence Fran aise de D veloppement e MAE Minist re des Affaires trang res e ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie e EDF e Fondation Poweo e Fonds de dotation Synergie Solaire e Fondation Lord Michelham of Hellingly e Fondation Raja Daniele Marcovici e Gouvernement b ninois 1 1 3 PARTENAIRES TECHNIQUES e ABERME Agence B ninoise d lectrifi cation Rurale et de Ma trise de l Energie e CEBEDES CEntre B ninois pour l Environnement et le D veloppement conomique et Social e PlaNet Finance e Mairies des 9 communes du d partement du Zou Silvain TOVI coiffeur b n ficiaire d un kit panneau solaire et courant alternatif commune de Zakpota Avec cet quipement solaire j ai g n r des b n fices cons quents gr ce au service de recharge de t l ohone mobile Jai pu aussi tendre ma petite entreprise de coiffure Le nombre de clients augmente tellement que j ai d acheter un panneau de 100 W pour compl ter mon dispositif J ai r p t l op ration en louant une 2 boutique dans un autre village isol quip e un kit solaire de 160 W que j ai pu acheter moi m me 38 GERES Rapport d activit 2013 Limi
29. monde La diminution de 50 des entr es de stock entre 2012 et 2013 s explique par le fait qu ont t comptabilis s en 2012 environ 1 M de cr dits g n r s au cours des exercices pr c dents 3 805 064 40 1845 278 20 580 599 6 3 475 373 33 1830 532 17 1571 828 15 663 165 T 32 228 0 3 940 617 10 1887 239 18 140 290 1 309 276 3 343 609 4 1079 881 10 5810 0 1 2 188 0 1 232 212 3 T38 0 Les autres revenus d activit s s l vent 140 K ils correspondent principalement des remboursements de frais et autres produits annexes d activit s La diminution de 55 par rapport 2012 s explique par un changement de m thode comptable et l enregistrement comp ter du 1 Janvier 2013 de prestations de service fiscalis es au sein d un secteur comptable dis tinct d activit s secteur lucratif La diminution de 68 des reprises de provi sions est mettre en lien avec la baisse des revenus de la finance carbone dans la mesure o une provision pour risque d invendus est constitu e chaque entr e de stock de cr dits carbone pour pallier l incertitude de ce mar ch volatil avant d tre annul e au moment de la vente effective Les produits exceptionnels s l vent 232 k en 2013 Ils correspondent pour 110 k des produits d exercices ant rieurs issus de contri butions des populations locales sur les projets du Cambodge auxquels s ajoute une indemnit t
30. ne vont pas et elles touchent une population relativement pauvre qui conna t la pr carit nerg tique mais ne sait pas comment y rem dier Ce projet au Maroc et en gypte a pris fin en juin 2013 En gypte ce dernier semestre s est achev par une vaste action de sensibi lisation du grand public et des micro entrepreneurs des for mations aux micro entrepre neurs sur les consommations d quipements lectrom nagers et des moteurs lectriques et une formation de distributeurs et d installateurs de chauffe eau solaire Les r sultats d une tude LANCEMENT D UN PR T D DI L EFFICACIT NERG TIQUE La BMCE banque marocaine s est rendue pionni re en lan ant ENERGICO un pr t d di l efficacit nerg tique dans l industrie et les PME Dans Le cadre d un contrat de prestations de services Le GERES a appuy la banque pour le d ploiement de ce dispositif dans Le pays par des formations destination des charg s d affaires et par l laboration d un plan de d veloppement ENERGICO K de consommations lectriques de vieux r frig rateurs et cong la teurs mesur es in situ et en labo ratoire r alis e par le GERES la demande du minist re de l ner gie ont t publi s Enfin les impacts du projet et les modalit s de p rennisation des activit s ont t discut s en atelier et de nom breux partenaires ont manifest leur int r t poursuivre au del du projet
31. papier certifi PEFC Publi en juillet 2014 CTCS Groupe nergies Renouvelables Environnement et Solidarit s 2 cours Foch 13 400 Aubagne France T l 33 4 42 18 55 88 Fax 33 4 42 03 01 56 contact geres eu www geres eu
32. par le GERES Int grant la gestion durable de la ressource en bois ce proc d de transformation a t optimis pour D HI Il S El br ZA w l pi MATE j d LR d yi ROLE Le processus de carbonisation plus efficace permet une conomie de bois de 40 rendre la combustion plus efficace et le charbon pro duit de meilleure qualit 40 d conomie de bois par rapport au processus traditionnel Ce signe de reconnaissance par nos partenaires gouvernemen taux encourage les quipes dans la poursuite de leurs efforts pour rendre ce mod le soutenable tant d un point de vue environnemental qu conomique et social Les d fis relever restent importants notamment pour rentabiliser l activit des communaut s rurales qui est en concurrence avec le charbon traditionnel vendu un prix qui ne tient pas compte de la valeur du bois et qui r mun re peine les producteurs L agroforesterie au service des communaut s agricoles GC ak lI Ya P 4 LI Wi WT ve Les petits agriculteurs de Kampong Chhnang peuvent suivre des formations aux techniques d agro cologie et d agroforesterie Dans la province de Kampong Chhnang zone agricole menac e par l tat avanc de d grada tion des sols les quipes du GERES apportent un appui technique aux petits agriculteurs afin de renforcer leur r silience aux cons quences des changements climatiques Appauvrissement des sols
33. peu professionnalis et structur n est pas en capacit d voluer rapidement vers l utilisation de combustibles et de technologies performantes En juillet 2013 un hammam de Casablanca a b n fici de l installation d une chaudi re plus efficace avec son syst me d hydro accumulation requ rant la formation de l installateur marocain cette technologie nouvelle La chaudi re a prouv sa capacit de fonctionnement avec une r duction de sa consommation de bois L appui au secteur des hammams se prolongera en 2014 avec le d marrage d un programme de 4 ans qui vise augmenter la performance nerg tique et environnementale des hammams via la diminution de leur consommation d eau et d nergie la r duc tion des co ts nerg tiques et des missions de gaz effet de serre associ s TONNE ST RE TEP QUELLE BONNE MESURE Nombreuses sont les unit s de mesure utilis es pour la com mercialisation du bois tonne st re m PCI Tep etc L uti lisation diff re selon le conditionnement du bois et Le degr d organisation ou de professionnalisation du secteur Au Ma roc Le bois est vendu au poids unit de mesure qui am ne les vendeurs commercialiser du bois lourd au taux d humidit lev plut t que du bois sec Pourtant c est la combustion de bois sec qui offre Les meilleures propri t s calorifiques et Hammams durables Le programme comprendra e la r alisation de 40 projets de d
34. productions agricoles Les produits ufs viandes produits laitiers farines pain pr sentent moins de OM GA 1 NATURELS i B 7 SEN GE EErEE graisses satur es et d acides gras Om ga 6 et plus d Om ga 3 Ils participent LBleu Blanc C ur ainsi un meilleur quilibre nutritionnel LA PREMI RE COMPENSATION LOCALE FRAN AISE Gr ce au projet Eco M thane port par l Association Bleu Blanc C ur il est d sormais possible de com penser ses missions de gaz effet de serre sur le territoire fran ais Via CO Solidaire Les entreprises collectivit s ou particuliers peuvent soutenir ce projet qui gr ce une alimentation introduisant les graines de lin permet de r duire la fermentation ent rique des vaches m thane CH4 et favorise la production d Om ga 3 naturels R duction CO Soutien un projet en France co responsable en France GERES e Rapport d activit 2013 19 ASIE CENTRALE Le GERES d ploie son activit en Asie centrale essentiellement dans l habitat et l agriculture efficacit nerg tique des logements des quipements de chauffage et de cuisson soutien l agriculture familiale par l am lioration des techniques agricoles Les solutions propos es s appuient sur Le march existant l accessibilit conomique les comp tences locales et l acceptation sociale Pour atteindre ses objectifs l quipe consolide son organisation r gionale Lu SE Es SS 7 LI CO LU Be
35. remercier vivement nos 250 collaborateurs qui jour apr s jour au del des difficult s du quotidien sur le terrain et au si ge mobilisent leur nergie et leurs comp tences pour proposer Les solutions de demain Ils contribuent ainsi La construction d un monde meilleur Thierry Cabirol Pr sident Alain Guinebault D l gu g n ral Nos cinq piliers ou th matiques d intervention sont La production d nergie propre la sobri t et l efficacit nerg tique l appui aux politiques locales et aux territoires le d veloppement conomique la lutte contre Les changements climatiques GERES e Rapport d activit 2013 7 IF JANVIER x Commission Climat et D veloppement Le GERES est nomm chef de file de la Commission Climat et D veloppement de Coordination Sud jusqu en 2016 5 j 400 parlementaires engag s dans La Solidarit climatique 400 d put s fran ais compensent leurs missions de CO dans le cadre du 50 anniversaire du Trait de l lys e en soutenant le projet CEnAO au Mali Re 2 millions de foyers de cuisson am lior s diffus s au Cambodge Au Cambodge le GERES c l bre la production et vente du 2 millioni me foyer New Lao Stove NLS introduit L en 2003 2013 CES FAITS MARQUAN TS 8 GERES e Rapport d activit 2013 L MARS D bat national sur la transition nerg tique Pour conjuguer transition nerg tique
36. tion SUD obtenue pour la r alisation d un dia gnostic externe dans le cadre de la r flexion strat gique 2013 2017 La diminution des ressources en Asie du Sud Est est li e la contraction du march du carbone 1 5 M de diminution des reve nus carbone sont constater entre 2012 et 2013 Ce montant prend en compte d une part la baisse du chiffre d affaires sur la vente des cr dits et d autre part la reprise de provisions associ e la sortie de stock et valoris e son co t de revient Le montant et la proportion des ressources g n r es par la r gion Asie du Sud Est restent quilibr s par rapport aux emplois r alis s par cette m me r gion Ainsi emplois et res sources ont suivi la m me tendance ce qui cor respond aussi l arr t d un projet majeur sur Lla biomasse nergie 2 0 Expertises Unit Climat amp StovePlus Europe M diterran e Afrique de l Ouest Asie du Sud Est Asie Centrale Si ge 2008 2009 2010 2011 2012 2013 RESSOURCES G N R ES PAR LES ANTENNES EN 2014 Europe M diterran e Afrique de l Ouest Expertises Unit Climat amp StovePlus Si ge Asie Centrale Asie du Sud Est GERES e Rapport d activit 2013 69 Origine des ressources par source de financement VOLUTION DE L ORIGINE DES RESSOURCES DE 2011 2013 FONDS PUBLICS EN 4272208 46 3475 373 33 Union Europ enne 795 032 9 1403302 13
37. 0 ans pour certains immeubles Relance de la fili re solaire thermique domestique en r gion PACA Les installations de chauffe eau solaire sont en chute libre en r gion PACA qui b n ficie pour tant d un potentiel important Afin de relancer la fili re du solaire thermique individuel la R gion Provence Alpes C te d Azur s est adjoint les com p tences du GERES qui intervient en tant qu assis tant ma trise d ouvrage pour d finir un dispositif innovant et f d rateur qui permette de restaurer la confiance et susciter l int r t des particuliers dans la technique du chauffe eau solaire individuel Pour ce faire un portail internet a t d fini avec la participation des acteurs r gionaux et des VIVONSOLAIRENPACA FR UN PORTAIL INTERNET POUR REDYNAMISER LA FILI RE En plus d une nergie gratuite propre et in puisable Le chauffe eau solaire permet jusqu 20 d conomies sur la facture nerg tique D j pr s de 250 000 foyers en France ont install cet quipement Le 13 mai 2014 UFC Que Choisir Enerplan la F d ration R gionale du B timent Qualit ENR Qualibat ont lanc officiellement le site internet Vivonsolairenpaca fr avec le soutien de la R gion Provence Alpes C te d Azur professionnels de la fili re Cet outil permettra la mise en relation directe entre les profession nels et les particuliers sur des offres de qualit cl en main et comp titives Elles sont propos es conjo
38. 013 Expertises Unit Climat amp StovePlus Afrique de l Ouest Gg Frais de si ge Asie du Sud Est a Ui Win 1 Ui 9 9 12 HII 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 Exc dent Frais de si ge Mission sociale dont engagements r aliser gt Les ressources RESSOURCES Publiques Priv es Cr dits carbone Prestations de service Stock de produits finis et encours de services Autres revenus d activit Reprise de provisions Produits financiers Produits exceptionnels Le budget 2013 est d ficitaire de 127 k Le mon tant des ressources effectives d activit s reste stable 7 5 ME entre 2012 et 2013 et ne permet pas de couvrir les emplois en l g re augmentation Les dons manuels s l vent 184 k ils di minuent en valeur entre 2012 et 2013 m me si leur volume reste stable 2 du total des ressources Les subventions publiques et priv es at teignent 5 7 M et repr sentent respectivement 40 et 20 du total des ressources en 2013 Les ventes de cr dits carbone s l vent 663 kK en baisse de 58 Cette diminution im portante s explique par la contraction du march de la finance carbone Les prestations de service repr sentent un chiffre d affaires de 581 K soit 6 du total des ressources Outre un changement de m thode de comptabilisation La nette augmentation corres pond au d veloppement de la vente d expertises en France et dans le
39. 3 GERES Afrique de l Ouest comptait 50 personnes sur 5 antennes au B nin au Mali et au S n gal MALI L quipe au Mali 21 personnes en 2013 r parties sur 2 antennes a maintenu le cap malgr la crise s curitaire et politique du d but de l ann e qui s est heureu sement termin e par une stabilit politique retrouv e Bamako l quipe travaille sur l am lioration de l efficacit de la cuisson en zone urbaine visant des impacts co nomiques sanitaires et environnementaux L quipe bas e Koutiala intervient dans les zones rurales des cercles de Koutiala et de Yorosso sur les probl matiques d acc s l nergie au service du d veloppement conomique local D Geer Ki sc E D BEE e ze e Se S N GAL BENIN Le Ferlo est le visage sah lien du S n gal La Les zones rurales du Sud B nin se diversifient forte variabilit du climat affecte les moyens en s appuyant sur un important dynamisme d existence des communaut s notamment entrepreneurial Mais cette dynamique reste for de bergers C est ainsi que 5 r gions du S n gal tement entrav e par le manque d acc s l nergie ont cr l Entente interr gionale du Ferlo pour Des solutions pour permettre un acc s l nergie une gestion Int gr e de leur territoire En 2013 le durable et fiable sont identifier et adapter C est GERES poursuit l appui initi en 2012 l Entente l objet des travaux men s par l quipe GERES B
40. 4 amp 851 702 1 262 700 617 161 584 447 61 092 3 145 320 72 245 371 437 Divers dons subventions et 4g autres produits 32 lt Es Finance Carbone 9 44 19 8 3 4 3 7 0 56 15 1 1 1 36 0 1 0 4 P Les chiffres ci contre correspondent aux ressources totales et int grent la variation de stock et Les re prises de provisions et de fonds d di s La rubrique Autre coop ration internationale englobe les organisations d aide tatique bilat rale ou multilat rale La rubrique lt Autres bailleurs publics gt regroupe les gouvernements locaux des pays d intervention du GERES ainsi que quelques bailleurs publics interna tionaux sp cialis s La rubrique Dons individuels et autres fonds priv s gt regroupe les dons re us du grand public Les prix et Les subventions obtenues aupr s de fonds de dotation La rubrique Divers des Fonds priv s englobe les produits annexes d activit s Les pro duits financiers et Les produits exceptionnels Les fonds publics repr sentent 57 des ressources effectives d activit s hors d ficit variation de stock reprise de provisions et reprise de fonds d di s tandis que les fonds priv s comptent pour 43 l int rieur de ces pourcentages on distingue pour les fonds publics gt 51 de subventions pu bliques et 6 de revenus publics issus de prestations de service pour les fonds priv
41. 6 33 Solagro 49 Solidarit s International 22 58 South Pole Carbon 58 SWEA Agence de l nergie de Severn Wye Royaume Uni 43 TACC Approche territoriale du changement climatique 39 TEC Tourisme Transport Territoires Environnement Conseil 47 UCAD Universit Cheikh Anta Diop de Dakar 39 UFC Que Choisir At UGB Universit Gaston Berger de Saint Louis 39 ULB Universit Libre de Bruxelles 37 Union europ enne 16 23 25 36 38 41 42 43 44 53 58 59 UNIS UNlon des Syndicats de l immobilier 47 Unit Kognoumani 35 Universit d agriculture de Tirana 41 Universit technique de Cr te 41 Universit de Ziguinchor 39 GERES e Rapport d activit 2013 73 LES CR DITS R daction collective Coordination GERES Caroline Pierret Relecture Alain Liban Traduction anglaise Jean Lubbock Conception graphique et r alisation LBLB Lo c Beillet Le B h rec www loicbeillet com Cr dits photographiques GERES Nicolas FR H en couverture b n ficiaire d une maison solaire pas sive Kaboul en Afghanistan GERES Alexander CROOK O GERES Benjamin ROGEZ GERES Pierre THIRIET GERES Oriane ZERA GERES Africa express GERES Sophie NEGRIER Alexandros Parotidis p 43 Ce document a t co con u conform ment la charte environnementale du GERES afin de minimiser ses impacts n gatifs sur l environnement AN 9 EFC Impression Orsi
42. 77 10 054 600 80 cart PASSIF NET en 2013 2012 2013 2012 Fonds social 404 734 423 159 4 R sultat de l exercice 127 081 18 425 590 TOTAL FONDS ASSOCIATIFS EN 277 653 404 734 31 Provision pour fin de carri re 70 501 66 573 6 Autres provisions 1655 910 917 889 80 Fonds d di s 1 640 003 1 930 135 15 TOTAL PROVISIONS EN 3 366 414 2 914 597 16 Dettes fournisseurs 143 978 182 921 21 Dettes fiscales et sociales 503 749 611 606 18 Produits constat s d avance 13 826 948 6 012 919 130 TOTAL DETTES EN 14 474 675 6 807 446 113 L augmentation du bilan de 79 en 2013 par rapport 2012 s explique par l obtention d une subvention de 10 M de l Agence Fran aise de D ve loppement sur le programme Central Highlands en Afghanistan dont seu lement 600 k concernent l exercice 2013 VOLUTION DU BUDGET ET DES R SERVES EN Sa N R serves Budget total Budget effectif d activit s Conform ment aux principes de comptabilit d engagement la totalit de ces 10 M a t comptabilis e en subvention obtenue et appara t ainsi 12 000 000 l actif du bilan en tant que cr ance bailleur tandis que les 9 4 M ne 10 000 000 941 454 concernant pas l exercice 2013 ont t report s en produits constat s nan d avance au passif du bilan on 1686309 L augmentation du stock et augmentation des provisions entre 2012 et Ta 2013 sont mettre en corr lation puisqu chaque nouvelle
43. AFD FFEM MA E 1654 717 18 785 686 1 ADEME International 40 000 0 4 270 538 3 ADEME PACA 441 399 5 279 864 3 Autre coop ration internationale 254 836 3 116 745 1 Collectivit s territoriales 501 674 5 619 238 6 Autres bailleurs publics 584 550 6 0 FONDS PRIVES et DIVERS EN 5022165 54 7 076 235 67 REN 2029381 22 2047911 19 Fondations Particuliers Dont entreprises et fondations 1341272 14 1 468 523 14 Dont ONG et collectifs 475 178 5 256 784 2 SE et autres 212 931 2 322 604 3 Finance carbone 663 165 7 1571 828 15 Prestations de service 113 454 1 32 228 0 Extourne des fonds d di s 553 627 6 144 947 1 Reprise de provisions 1284226 14 2967119 28 et variations de stock Divers 378 312 4 312 202 3 VOLUTION DES RESSOURCES EFFECTIVES D ACTIVIT S PAR SOURCE DE FINANCEMENT ENTRE 2007 ET 2013 Hors reprise de provisions fonds d di s et variations de stock Fonds publics Fonds priv s Finance Carbone y compris finance carbone 6 000 000 5 000 000 4212208 4 000 000 3 000 000 3184 312 2 000 000 1 000 000 i 663 165 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 VOLUTION DES FINANCEMENTS PUBLICS ENTRE 2007 ET 2013 Fonds publics Fonds trangers 3 000 000 2 637 790 2 500 000 SE 1634 418 1500 000 1 000 000 500 00 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 70 GERESe Rapport d activit 2013 3 760 608 1 632 713 669 601 238 913 348 515 288 052 582 81
44. Afrique de l Ouest l quipe climat a accompagn le projet CEnAO dans sa certification carbone Elle a galement tudi le potentiel d accessibilit la fi nance carbone des projets issus de l agriculture et de la gestion des terres durables Pendant l hiver l unit a travaill aux c t s de GERES Afghanistan pour tes ter l efficacit nerg tique et l isolation des maisons solaires passives Au Tadjikistan ainsi qu au Cambodge les experts climat ont travaill sur des projets de fours de cuis son et de chauffage potentiels Un manuel pour la comptabilisation des gaz effet de serre a notam ment t r alis pour les projets de foyers am lio r s de fours charbon plus efficaces et de nouvelles pratiques foresti res Enfin l Unit a poursuivi son travail de p dagogie sur la finance carbone et les changements climatiques en organisant des formations au Mali S n gal Cam bodge et Tadjikistan En 2014 les experts climat du GERES vont poursuivre leur travail d appui aupr s des diff rentes antennes Les projets du r seau Ja troREF seront dot s d un outil de calcul pour faire le bilan de leurs activit s De nouvelles analyses d im pact et tudes d efficacit seront r alis es en Asie Centrale Enfin au Cambodge Unit contribuera la mise en uvre d actions li es la gestion durable des for ts communautaires gaz Bases Faces Me lan LE F r me m m mah i mam a
45. C a confir m en 2013 le lien tr s probable entre d r glement climatique et activit s anthropiques Malgr l ap pel de nombreuses institutions et gouvernements une mobilisation mondiale le processus onusien des n gociations sur le climat peine obtenir des r sultats tangibles En choisissant d accueillir la Conf rence des Parties COP21 Paris en 2015 le gouvernement fran ais a la lourde t che de faire converger les 189 pays vers un accord universel et contraignant En 2013 le GERES a continu de r pondre pr sent aux grands rendez vous nationaux et internationaux du climat L quipe tait pr sente Varsovie pour la 19 Conf rence mondiale sur les changements clima tiques Les experts de l Unit y ont propos des tables rondes sur les march s du carbone et sur les strat gies d adaptation avec des pan listes de haut niveau Dans le cadre de la pr paration de la future COP21 le dialogue entre le GERES et les pouvoirs publics fran ais a d but et se poursuivra jusqu fin 2015 L Unit Climat a aussi contribu la diffusion de bonnes pratiques en mati re de lutte contre les changements climatiques aupr s des acteurs du d veloppement travers l tude F3E GERES CHEF DE FILE DE LA COMMISSION CLIMAT D VELOPPEMENT DE COORDINATION SUD Depuis janvier 2013 Le GERES est chef de file de La Commission Climat D veloppement de Coordination SUD Celle ci compte une quinzaine d O
46. DEMU Institut de l cologie en milieu urbain France e SWEA Agence de l nergie de Se vern Wye Royaume Uni e FOCUS Association pour le d veloppement durable Slov nie e Caritas Francfort Allemagne e EAP agence de l nergie de Plovdiv Bulgarie f INDICATEURS amp IMPACTS gt 400 m nages ont re u une double visite des conseils des appareils d conomie d nergie v 30 travailleurs sociqux sont en mesure de proposer un nouvel appui aux m nages qu ils suivent v 5 personnes en insertion professionnelle v 53 des b n ficiaires du dispositif de visites domicile nergie ont recommand le service leurs proches BVA 2013 78 se d clarent satisfaits notes de 8 10 dont 50 tr s satisfaits notes 9 ou 10 vis vis du dispositif Y GERES e Rapport d activit 2013 43 EUROPE Renforcement de capacit s pour l isolation de l habitat rural en Europe de l Est et du Caucase PARTENAIRES FINANCIERS e Union europ enne PARTENAIRES TECHNIQUES e EMAS Ecole mobile de l eau et de l hygi ne e WECF Les Femmes d Europe pour un avenir commun Allemagne e RCDA Agence du d veloppement des communaut s rurales G orgie e Greens Movement G orgie e SDCA Centre de d veloppement social d Akhaltsikhe G orgie e Ecoclub Ukraine e NECU Centre national cologique d Ukraine e Vozrozhdenie Vozrozhdenie Tatarbu nary Ukraine M INDICATEURS amp IMPAC
47. NG fran aises de d veloppement et d ur gence La CCD constitue un espace de travail pour changer sur les pratiques et innovations mises en uvre sur Le terrain ainsi que pour analyser les politiques climat d veloppement et leurs impacts dans les pays du Sud La CCD a galement pour vocation de porter la voix des partenaires de La soci t civile du Sud et de contribuer une meilleure prise en compte de ces enjeux dans Les prises de position des pouvoirs publics fran ais et des acteurs du d veloppement En 2013 la commission a la bor son plan d action 2013 2016 et a particip aux changes avec Les pouvoirs publics sur La pr paration de la conf rence mondiale sur Le climat de 2015 Ger d a Sa TE Y amp D s p P e edan yupa o Af aw EEn LA MSL D ut TN ne E EAR Re 1 SE A WE EE Le es AL ee rit EFE Participation du GERES la COP 19 en novembre 2013 Varsovie g INDICATEURS 8 R SULTATS gt Participation 4 tables rondes dans le cadre de la COP19 GUIDE DE GESTION CO RESPONSABLE uer DES D CHETS DANS LES COLL GES dons lee ausge DES BOUCHES DU RH NE duu Bcurben gu RkbGmng Le guide s adresse tout initiateur d actions concer nant les d chets dans un coll ge chef d tablissement gestionnaire enseignant agent technique Le principe est de bien cerner les enjeux et les possibilit s dans son propre tablissement afin d ado
48. TAL EN 11 373 026 9 421 454 21 r sidentiel et Le tertiaire EN ASIE CENTRALE En Afghanistan les activit s du programme dans les r gions Centre ont d j commen c n anmoins le lancement officiel aura lieu avant l t en fonction de la s curit En parall le l quipe de Kaboul pr pare un prochain projet qui vise tendre la diffu sion des solutions conomes d nergie dans l habitat urbain En Mongolie un partenariat avec la SDC l Agence Suisse pour le D ve loppement et la Coop ration est en discus sion afin d largir g ographiquement les activit s du GERES Enfin au Tadjikistan Le GERES aimerait pour R PARTITION PR VISIONNELLE DES EMPLOIS EN 2014 Frais de fonctionnement 12 Mission Sociale 88 Europe M diterran e Si ge Expertises Unit Climat amp Stove Plus dr S Afrique de l Ouest Asie du Sud Est GERES e Rapport d activit 2013 R PARTITION PR VISIONNELLE DES EMPLOIS PAR ANTENNE EN 2014 Asie Centrale 71 eooooooo PARTENAIRES FINANCIERS 1 1 3 38 MAN Centre Australien pour la Recherche Internationale en Agriculture 31 ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie 35 36 38 40 46 47 58 ADEME Direction r gionale Provence Alpes C te d Azur 45 48 49 50 51 52 AFD Agence Fran aise de D veloppement 9 21 22 35 38 54 58 59 60 AERMC Agence de l Eau Rh ne M diter
49. TS gt 38 participants form s aux techniques d isolation 44 GERES Rapport d activit 2013 Dans ce projet pilot par WECE le GERES apporte son expertise efficacit nerg tique du b timent Le climat particuli rement froid de cette r gion rend les condi tions de vie difficiles pour les habitants car les maisons tra ditionnelles ont pratiquement disparu au profit de construc tions plus modernes mais peu performantes issues de l re sovi tique Avec une hausse cons quente du co t de l ner gie les habitants ne sont d sor mais plus en mesure d assumer ces co ts pour assurer un niveau de confort raisonnable Ainsi l int gration des tech niques d isolation cologiques adapt es ce contexte et acces sibles localement s appuie sur des formations assurant le trans fert de comp tence aupr s des habitants et des professionnels Apr s avoir form 38 partici pants aux techniques d isolation toiture mur et vitrage et l uti lisation de mat riaux bio sour c s locaux le GERES vient en appui technique sur le suivi et le contr le des travaux r alis s par et chez les participants Afin d assurer une bonne mise en uvre et le suivi des proc dures cette phase n cessite une implication forte des partenaires locaux en G orgie et en Ukraine Les r sultats du monitoring va lueront les gains nerg tiques acquis et permettront en 2015 la diffusion de ces techniques
50. ach ve en ayant permis de poser les bases du d veloppement d une fili re industrielle de fours gaz haute performance nerg tique Pour cela il sera n cessaire de s ap puyer sur des entrepreneurs fiables capables d essaimer une fabrication industrielle PARTENAIRES FINANCIERS e FFEM Fonds Fran ais pour l Environnement Mondial e AFD Agence Fran aise de D veloppement e R gion Provence Alpes C te d Azur e Fondation Prince Albert II de Monaco e Fondation Poweo e Fondation Macif e Fondation Veolia Environnement e Fonds de dotation Itancia La taille des arbres fruitiers dans l agroforesterie peut r pondre aux besoins nerg tiques des habitants de Chefchaouen Agroforesterie et gestion durable de La biomasse nergie de proximit Dans les campagnes marocaines les massifs fo restiers r gressent mesure que les populations d frichent de nouvelles terres pour des usages agricoles et d boisent pour satisfaire leurs be soins nerg tiques Le Rif oriental a connu une r gression de l ordre de 23 de son couvert v g tal entre 1975 et 2006 entra nant des d grada tions environnementales et des risques accrus de glissements de terrain Pourtant il est possible d exploiter les terres de ma ni re durable en associant des plantations d arbres avec des cultures ou des p turages Cette pratique appel e agroforesterie permet la fois de conserver la fertilit des sols en limitant l
51. activit s conomiques Les femmes utilisent toujours des quipements de cuisson qui gaspillent jusqu 80 de l nergie Cette situation engendre des cons quences bien connues sur la d sertification et La d forestation Seulement les tats ne sont g n ralement pas pr ts s endetter pour rem dier ces probl matiques Et la part des dons de l Aide Publique au D veloppement se tarit 6 GERES e Rapport d activit 2013 LA FRAGILIT DES ONG FRAN AISES DE D VELOPPEMENT EST JUSTEMENT UN SUJET D ACTUALIT QUELLE EST LA POSITION DU GERES CE SUJET En 2013 Coordination SUD la plateforme fran aise des ONG de d veloppement a missionn un cabinet ind pendant pour dresser un panorama de la situation conomique du secteur Il en ressort une situation extr mement d grad e si les urgentistes sont pargn s la situation conomique des associations de d veloppement qui choisissent d orienter leurs actions sur Le long terme est mauvaise Nombreuses sont les petites associations qui ont d stopper leurs activit s Les structures interm diaires comme le GERES sont elles aussi fragilis es manque de fonds propres difficult r currente de tr sorerie proc dures administratives des bailleurs de plus en plus lourdes et complexes et comptes ponctuellement d ficitaires comme c est le cas pour nous cette ann e Les associations qui b n ficiaient de fonds publics sont en fait soumises une doubl
52. aire dans la production mara ch re permet par exemple de soutenir durablement l agriculture fami liale des hauts plateaux de l Asie centrale qui malgr un climat continental rude b n ficie d un bon ensoleillement L utilisation de serres solaires passives a permis des milliers de familles de cultiver des l gumes m me en hiver mais aussi de diversifier Leur alimentation En utilisant l nergie disponible cette approche parti cipe l am lioration de la nutrition des habitants Gr ce la construction de celliers bioclimatiques ou La fabrication d unit s de s chages les petits producteurs peuvent conserver leurs produits et r duire Les pertes post r colte Dans les zones rurales isol es c est l acc s l nergie pour la transformation des produits agricoles qui va effectiflement ren forcer la s curit alimentaire les populations Depuis une dizaine d ann es Le GERES adapte diff rentes machines semi industrielles moulins graineuses presses d cortiqueuses ou Les regroupe pour les connecter un moteur principal qui pourra fonctionner l huile de jatropha en substitution au gasoil devenu trop cher Ces plateformes et les zones d activit s lectrifi es participent di rectement la valorisation des principales fili res agricoles comme celles du manioc du fruit de palme ou de l arachide et am liorent la qualit des produits alimentaires commercialis s De plus elles diminuent la p nibilit
53. am lior s quip 200 habitations avec du double vitrage sans subvention La strat gie z ro subvention est utilis e afin d assurer la p rennit du projet au del de son financement par les bailleurs TADJIKISTAN Mahmudjon TOSHMATOV b n ficiaire d une maison isol e Jamoat Oshoba district d Asht Avec l isolation dont elle a b n fici ma Maison reste chaude toute la nuit Nous pouvons conomiser 600 TJS par an sur notre consommation d nergie tout en gardant une temp rature agr able gt gt 200 logements ont b n fici d un double vitrage et d une meilleure isolation gt Les celliers augmentent les revenus des b n ficiaires d au moins 30 gt 384 producteurs ont adopt les meilleures pratiques de gestion des sols et de l eau gt 400 fermiers ont adopt le compostage gt 31 femmes artisanes form es aux techniques de fabrication des foyers gt Autotal 87 serres 46 celliers 7 fermes avicoles solaires ont t construits depuis le d but du projet GERES e Rapport d activit 2013 25 HIMALAYA INDIEN Dominique C cile Varnat responsable Solidarit Internationale Fondation Abb Pierre En mission au Ladakh pour d couvrir le programme de maisons solaires passives jai pu voir la fa on dont travaille le GERES et mesurer la pertinence de lorganisation mise en place Ma satisfaction est totale J ai enfin compris le proc d technique du solair
54. an en HIMALAYA INDIEN Apr s plus de 25 ans de pr sence dans l Hima laya indien et ach vement fin 2012 du projet de construction de 1 000 b timents solaires passifs le GERES avant de se retirer du Ladakh a transf r aux organisations locales la responsabilit de capitaliser Le partenariat avec deux ONG le GERES a en gag un projet holistique pour une utilisation durable des ressources naturelles _ savoir des solutions bioclimatiques et leur diffusion au pr s de la population locale GERES e Rapport d activit 2012 Efficacit nerg tique AFGHANISTAN et bioclimatisme dans l habitat urbain CE 0 Ef E 15 des foyers de Kaboul pensent que la construction solaire passive est une solution pertinente qui r pond leurs besoins Kaboul conna t un essor urban sans pr c dent avec une population de 4 5 millions d habitants 48 d entre eux d clarent avoir des difficult s satisfaire leurs besoins nerg tiques Mais avec 300 jours de soleil par an l architecture solaire est deve nue une solution pertinente pour 75 des foyers Depuis 2012 en coop ration avec la Municipalit le GERES travaille dans 3 districts 5 7 et 8 de Kaboul pour am liorer durablement les habitations gr ce l implantation de solutions bioclimatiques issues de l architecture solaire v randas en bois ou en m tal et des techniques d isolation fen tres murs et toits Un po le am
55. anci re et 18 ont am lior leur confort par un r am nagement int rieur Les attentes des b n ficiaires convergent vers un renforcement du suivi et de l accompagne ment long terme favoriser l orientation des m nages vers des solutions durables et la mise en uvre d am liorations du b ti lorsque cela s av re possible D ici mi 2014 les visites se poursuivront sur l aire marseillaise avec un objectif de 500 nouveaux m nages accompagn s Oph lie MARGA R f rent social RSA CCAS de la Ville de Marseille 10 arrondissement Le partenariat instaur entre le CCAS de Marseille et le GERES ma permis de disposer d un nouvel outil pour tablir un diagnostic complet du logement qui peut aussi tre compl t par une valuation des besoins de travaux d am lioration nerg tique Ce travail a par exemple amen un locataire et son propri taire co chercher des financements pour r aliser ces travaux Bien S r des freins restent encore lever mais ce partenariat fait voluer les situations et participe am liorer les conditions d habitat gt EUROPE Ations in low income Households to Improve energy efficiency through Visits and Energy diagnosis PARTENAIRES FINANCIERS e Union europ enne nergie intelligente pour l Europe e Fondation Abb Pierre e Fondation Macif e EDF e Fonds de dotation Solinergy PARTENAIRES TECHNIQUES e CLER Comit de liaison des nergies e I
56. ans leurs acti vit s et promouvoir les approches trans versales du GERES aupr s des acteurs internationaux Active dans tous les pays d intervention du GERES l unit pr voit en 2014 d intervenir plus particuli rement en appui aux fili res de cuisson am lio r e programme StovePlus la r alisa tion de diagnostics Energie Climat Terri toire l exp rimentation de plateformes d acc s l nergie la mobilisation de nouveaux instruments climat NAMA et pr tera main forte l entrepreneuriat social au sein des projets Enfin le p le climat anime les travaux pr paratoires la conf rence des parties sur les change ments climatiques COP21I Paris 2015 au sein de Coordination SUD laise mission pour la valorisation de la ma ANTENNE Pr visionnel 2014 R alis 2013 cart 2014 2013 ti re organique accompagnement de projets ASIE CENTRALE 3 875 435 1 780 199 118 d nergie renouvelable citoyens ClimAgri r v SE ASIE DU SUD EST 1 995 822 2953 137 32 gional 2014 voit galement se concr tiser la D e 0 collaboration avec notre partenaire marocain AFRIOVE DE ROSES 1 914 898 E Ge EnSEn travers le programme de moder EUROPE M DITERRAN E 1 217 682 1167 457 4 nisation BE hammams au Maroc D autres E Welle CLIMAT 1 380 207 670 456 106 collaborations sont attendues autour de la diffusion de fours gaz performants et de la SI GE 1 388 992 1148 600 21 ma trise de la demande nerg tique dans le TO
57. ation des premiers ateliers de discus sion pour la r alisation d une valuation de vuln rabilit et de r silience du territoire avec les organisations partenaires Ce travail en Asie centrale conti nuera en 2014 travers la d fini tion d une strat gie locale pour une meilleure gouvernance des ressources naturelles aupr s des agences gouvernementales gt 60 mallettes ClimTerr distri UNIT CLIMAT PARTENAIRES FINANCIERS e R gion Rh ne Alpes e AFD Agence Fran aise de D veloppement e UE Union europ enne PARTENAIRES TECHNIQUES e LEDeG Groupe D veloppement cologique de Leh e LEHO Ladakh et Sant e Solidarit s international e Madera e AVSF Agronomes et V t rinaires Sans Fronti res bu es aux agents territoriaux de la zone du Ferlo au S n gal GERES Rapport d activit 2013 59 UNIT CLIMAT PARTENAIRES FINANCIERS e AFD Agence Fran aise de D veloppement e F3E Fonds pour la promotion des Etudes pr alables des Etudes transver sales et des Evaluations PARTENAIRES TECHNIQUES e Membres de la CCD AERE ID Action contre la Faim Care France WWF Oxfam France Gevalor M decins du Monde GRDR Iram CARI 4D AVSF GTD CCFD Terre Solidaire RAC F GRET Coordination SUD 60 GERES Rapport d activit 2013 Plaidoyer pour la Solidarit climatique Le 5 rapport du Groupe d experts Intergouverne mental sur l volution du Climat GIE
58. aux pratiques anti rosives commercialisent leurs productions de fruits transform s 100 familles devenues autonomes en bois de chauffage La commercialisation du bois se formalise en 2013 avec l autorisation l gale d exercer la taille GERES e Rapport d activit 2013 55 PARTENAIRES FINANCIERS e SCAC Service de coop ration et d action culturelle de l Ambassade de France e HME HEN Programme de Micro finance ments du Fonds pour l Environnement Mondial e GEODIS PARTENAIRES TECHNIQUES e Plan te Bois e Hierro e ADL Chefchaouen Association de d veloppement local de Chefchaouen e ARCBDT Association R gionale de Casablanca des Bains et Douches Traditionnels e F d ration nationale des propri taires exploitants de bains traditionnels S INDICATEURS amp IMPACTS gt Les hammams marocains consomment 4 000 tonnes de bois par jour gt 40 hammams appuy s serviront de site de d monstration 56 GERESe Rapport d activit 2013 Visite au Hammam de Badr Casablanca La combustion de bois sec offre les meilleures propri t s calorifiques Les hammams marocains sont des consomma teurs importants de bois nergie et d eau Dans un contexte de rar faction de ces ressources au Maroc et d augmentation de leur prix la modernisation nerg tique des hammams est une n cessit la fois environnementale et conomique dont d pend leur p rennit N anmoins le secteur des hammams
59. b timents publics Le GERES accompagne ces change ments tant aupr s des institutions et des professionnels que des consommateurs pour r duire la d pendance nerg tique du pays et permettre la valorisation de res sources locales GERES e Rapport d activit 2013 GEORGIE ET UKRAINE Ces deux pays de l ex Union sovi tique portent encore les stigmates d un syst me non viable sur le plan nerg tique Les b timents sont tr s nergivores car con us quand l nergie tait gratuite et illimit e Aujourd hui ce contexte a consid rablement chang alors que les b timents eux perdurent Pour am liorer cette situation le GERES s implique en adaptant et renfor ant les comp tences des diff rentes fili res professionnelles de ces territoires EGYPTE La situation conomique de nombreux pays d Afrique S du Nord impose d sormais d engager la d compen sation des tarifs de l nergie Le poids de la facture nerg tique n en sera que plus lourd pour une population qui n y est pas pr par e Le GERES continue d ployer de nouvelles actions sur l ensemble du bassin m diter ran en afin d accompagner les populations vers une utilisation plus rationnelle de l nergie l aide d quipe ments performants et de sources renouvelables EUROPE Partenariats Locaux pour des villes et r gions plus vertes cs At TR bei TUE AA ek ei da da bg d r Sa Ze SE dt ae a en i n
60. chide dir Go t authenCiAUAt NN m ev 61 LES PUBLICATIONS DU GERES EN 2013 63 GARDONS LE CONTACT 64 RAPPORT FINANCIER 71 PERSPECTIVES 2014 72 INDEX DES PARTENAIRES Dr amopoule ON PARLE DE PLUS EN PLUS DE LA PLACE DE L NERGIE DANS LE D VELOPPEMENT CELA CONFORTE T IL LE GERES Oui cela nous conforte mais La r alit est tr s contrast e Les pays mergents ont bas leur croissance de ces dix derni res ann es sur l explosion de Lla part du charbon dans le mix nerg tique et en parall le certains d entre eux ont entam des volutions en profondeur en s engageant dans des politiques de ma trise de l nergie Si l on se penche sur la situation des pays les moins avanc s l o Le GERES intervient essentiellement on observe une progression dans la mise en uvre de centrales solaires en substitution du p trole puisque le solaire dans ce cas de figure est aujourd hui rentable De m me pour r aliser des conomies d nergie dans Les industries Les banques de d veloppement sont pr tes encourager les initiatives et soutiennent l investissement des tats du Sud des taux pr f rentiels En revanche les zones rurales restent largement l cart de ces volutions 95 de la population en Afrique subsaharienne n ont toujours pas acc s l lectricit Et concernant la part des 5 y ayant acc s elle ne correspond qu la satisfaction des besoins domestiques non cr ateurs d
61. ciatifs et les entreprises qui travaillent l am lioration et la diffusion massive des solutions nerg tiques de demain GERES e Rapport d activit 2013 13 zeeeseeeeeeseeeeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeseeeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeegeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Le Conseil d administration du GERES est compos de membres b n voles lus en Assembl e g n rale COMPOSITION DU CONSEIL D ADMINISTRATION LES EFFECTIFS DU GERES AU 31 D CEMBRE 2013 x Kee ee Au 31 d cembre 2013 le GERES compte 238 collaborateurs LE BUREAU x et collaboratrices directs Pr sident Thierry CABIROL dont 74 femmes et 164 hommes Vice pr sident Fr d ric BOEUF x 40 personnes travaillent en France L effectif se r partit Tr sorier Jean Paul PRUVOST comme suit Tr sori re adjointe Sophie IBOS x 18 salari s et 1 apprenti pour GERES Si ge Secr taire Eric BUCHET 14 salari s et 1 stagiaire pour GERES France AUTRES MEMBRES LUS EN 2012 6 salari s pour GERES Expertises Kader BEKKAR Jean Claude CHASSAGNOUX Michel DEGRAND GUILLAUD 198 personnes travaillent l tranger L effectif se r partit comme suit Swan FAUVEAUD SC e 154 sous contrat local Dominique FICHBEN S Michel HAMELI 27 sous contrat expatri 10 sous contrat de Volontariat de Solidarit Internationale VSI Vincent PRIORI A n n R gine TEULADE NESS PR Bernadette VERRON sous contrat de consultance No mie ZAMBEAUX D L GATION UNIQUE DU PERSONNEL Coll g
62. cologiques adapt es au contexte local serres celliers bioclimatiques et fermes avicoles solaires 82 formations ont accom pagn les producteurs dans l uti lisation de ces solutions En 2013 on d compte une production avoisinant 8 tonnes de tomates concombres herbes aromatiques et la pr paration de 6 000 semis 64tonnes de pommes ont t stoc k es dans des celliers bioclima tiques lesquels permettent aux producteurs d augmenter leurs revenus d au moins 30 Ce der nier r sultat d passe les pr visions du projet En parall le ces quipements s ac compagnent de formations aux tech niques de gestion durable des res sources les sols et l eau en premier lieu Elles incluent une sensibilisation aux meilleures pratiques telles que le compostage la rotation des cultures et l irrigation au goutte goutte En 2014 le GERES va accentuer ses efforts en conduisant une valuation de la vuln rabilit des populations au changement climatique causes mat rialisation cons quences qui permettra aux autorit s locales de mieux reconna tre ces ph nom nes et d am liorer le plaidoyer et leurs strat gies d adaptation 4 techniques compostage couvre sol pour l hiver irrigation goutte goutte collecte de l eau de pluie permettent d am liorer les pratiques agricoles et les revenus des petits agriculteurs s Ek En plus de la v randa une conomie d nergie de 40 est r alis e gr ce l is
63. ctement un accompagnement a d marr sur 15 copropri t s 9 d entre elles ont fait l objet d un bilan nergie conseil et une a lanc des travaux de r novation Les observations issues de cette exp rience ont permis d analyser les conditions d un service p renne et de d multiplier cet accompagnement dans un contexte o la r novation nerg tique en copropri t est deve nue un enjeu cologique majeur FR INDICATEURS amp IMPACTS gt 15 copropri t s accompagn es FRANCE PARTENAIRES FINANCIERS e Anah PUCA Agence nationale de l habitat e R gion Provence Alpes C te d Azur e ADEME Agence de l environnement et de La ma trise de l nergie PARTENAIRES TECHNIQUES e TEC Tourisme Transport Territoires Environnement Conseil e ARC Association des Responsables de Copropri t s e UNIS UNlon des Syndicats de l immobilier e CAPEB 13 Conf d ration de l Artisanat et des Petites Entreprises du B timent des Bouches du Rh ne e FRB PACA F d ration R gionale du B timent gt 124 copropri taires ont b n fici de pr conisations pour r nover leur bien gt 9 bilans nergie conseil de copropri t et 5 diagnostics de performance nerg tique effectu s gt 1 copropri t a d cid d effectuer des travaux dont le gain nerg tique est sup rieur 25 gt 13 65 d conomie d nergie r alisable gt Jusqu 150 k de r duction de d pense nerg tique sur 2
64. d montrer qu l chelle d une r gion le bois nergie peut tre utilis de mani re durable de la collecte la transformation jusqu son utilisation finale En 2013 les communaut s villageoises et foresti res ont t form es pour s engager dans le projet Le GERES a coordonn la construction des centres de production de charbon valid les plans d exploitation fores ti re identifi et form les nouveaux producteurs de foyers am lior s tout en impliquant les partenaires gouvernementaux locaux et provinciaux afin qu ils s approprient les solutions et soient en mesure de les reproduire eux m mes lt a Se i A Formation d une communaut villageoise la gestion des parcelles dont elle aura la charge M INDICATEURS S IMPACTS gt 64570 km de for t b n ficient d un plan de gestion pour assurer leur r g n rescence gt 250villageois form s aux solutions et bonnes pratiques gt 60 personnels des administrations cambodgiennes ont t form s gt 20 villages b n ficiaires Diffusion de foyers de cuisson am lior s 17 e 2 e SW 1 g m Nr m gt mt Lg Li T Les artisans distributeurs et producteurs se r unissent autour de l association Icoprodac qui va bient t f ter ses 10 ans d existence Activit phare du GERES la diffusion de foyers am lior s au Cambodge a connu une an n e 2013 riche en v nements Apr s 10 ann es d activit l
65. d V F EE ADOPTE pa a TE gr f NAT ii L me ri me SI NEEN deg 2 E U T EN EALA TA Le projet permettra d am liorer les politiques d nergies renouvelables dans les villes et r gions participantes Gre en Les villes et r gions de Mediterra Partnerships n e ont adopt des strat gies ner gie climat territoriales dans le but d atteindre les objectifs fix s par l Union Euro p enne r duire de 20 les missions de gaz effet de serre par rapport leur niveau de 1990 porter la part des nergies renouvelables 20 de la consommation et r aliser 20 d conomies d nergie Une nouvelle approche est n cessaire car les moyens de mise en uvre de ces strat gies ne sont aujourd hui pas suffisants pour atteindre les objectifs Afin d aider les collectivit s locales r pondre aux objectifs de l Union Europ enne le projet europ en Green Partnerships auquel le GERES participe pr sente une approche menant des changements de comportement des collectivit s et des citoyens sur le ACCOMPAGNEMENT D UN PROJET MICRO HYDROELECTRIQUE CITOYEN Le GERES accompagne une association d irrigants dans l appropriation citoyenne d un projet de petite hydro lectricit sur la commune de M ailles 04 pour la mise en place d un partenariat public priv et d un financement citoyen long terme pour des villes plus vertes e accompagnement et formation des collectivit s PARTENAIRES FINANCIERS
66. de Bamyan et Wardak b n ficieront de l approche transversale du projet gt 2700 solutions conomes en nergie sont diss min es gt 85 artisans et revendeurs locaux seront form s et soutenus par le programme gt Sensibilisation dans 27 coles aux questions d conomie d nergie et enseignement des pratiques cologiques gt Au total 326 000 habitants seront mieux sensibilis s aux questions d conomie d nergie Diffusion de serres solaires passives en appui la production maraich re 3 murs double paroi en briques assurent une bonne masse thermique restituant la nuit la chaleur emmagasin e pendant la journ e Une heure par jour suffit assurer son fonctionnement et un jour par mois la commercialisation de l gumes La Mongolie est un pays aux conditions climatiques extr mes caract ris es par des hivers longs et rigoureux une saison agri cole restreinte 3 ou 4 mois par an durant l t Depuis 2012 le GERES encourage le d velop pement conomique agricole de 45 foyers ruraux Comptant parmi les plus vuln rables de la r gion de l Arkhangai ces familles peuvent se lancer dans un petit entrepreneuriat agricole En 2013 dans 10 sums villages les bases pour une bonne produc a INDICATEURS amp IMPACTS tion mara ch re ont t pos es 14 serres solaires passives ont t construites et ont permis de dou bler la saison de production des l gumes 14 groupes de mara
67. de march s de niches vers des consommateurs qui s taient d tourn s de ce produit faute de qualit garantie Au del du projet SETUP le GERES poursuivra l appui ces 3 entreprises Agonlinmi pour accompagner la stabilisation de leur activit Des guides techniques sur les quipements install s ont t publi s et distribu s d but 2014 Parmi Les 29 groupements de femmes accompagn s trois coop ratives productrices d huile d arachide de La r gion d Agonlin ont b n fici d quipements et d un b timent d di La cha ne de clarification de l huile d Agonlin Climat et territoires ruraux Clim lerr i e e E am Les partenaires scientifiques se sont retrouv s pour un atelier de construction de l indice synth tique des vuln rabilit s en novembre 2013 Dans l objectif de rendre leur territoire moins vuln rable aux changements climatiques et pour assurer un d veloppement sobre en carbone les r gions de Kaffrine Louga Matam Saint Louis et Tambacounda se sont regroup es pour une gestion concert e de la zone sylvo pas torale du Ferlo Elles ont cr Entente interr gio nale du Ferlo Celle ci couvre 40 du territoire national et compte 2 millions d habitants La r alisa tion d un Plan Climat Territorial faisant partie des objectifs cl s de Entente l acquisition de pr re quis m thodologiques et op ra tionnels par les agents territoriaux constituait un
68. du Ferlo pour l accompagner dans l laboration nin en alliant solutions techniques et appui l en d un Plan Climat Territorial Les activit s sont trepreneuriat Avec une quipe de 22 personnes men es par une quipe restreinte bas e Saint deux projets de grande ampleur sont men s en Louis et appuy e par une expertise interne 2013 dans le d partement du Zou et une tude dans celui du Ou m GERES e Rapport d activit 2013 La biomasse constitue la plus importante source d nergie consomm e en Afrique de l Ouest no tamment par la cuisson Un foyer de cuisson am lior permet de r duire la consommation de bois les missions de CO et de particules nocives et r duit les d penses du m nage Lanc en 2011 au Mali le programme CEnAO vise augmenter la production et la diffusion de foyers am lior s existants Fin 2013 des investissements ont t r alis s aupr s des entreprises partenaires pour d velopper leurs outils de production Un dia gnostic a t men au niveau des diff rents maillons de la fili re production assemblage distribution et avec eux une strat gie a t d finie pour chan L unit de production d inserts c ramiques de Kognoumani Bamako emploie 6 personnes et fabrique 3 000 A 000 pi ces par mois ger d chelle Pour assurer la fili re le financement de cette strat gie CEnAO a mis en place tous les l ments n cessaires l obtention de f
69. du travail des femmes Le concept de s curit alimentaire ayant fait l objet d un consensus international au Sommet Mondial de l Alimentation Rome en 1996 comporte quatre dimensions ou piliers acc s dispo nibilit qualit et stabilit des produits agricoles GERES e Rapport d activit 2013 11 12 erprs Rapport d activit 2013 di SZ lt m w Qam G rm Isolation et pose du survitrage dans une maison afghane PR CARIT NERG TIQUE DES M NAGES REFLET DE LA FRACTURE SOCIALE En 2012 la facture d nergie annuelle d un m nage fran ais s l ve 3 200 euros 1 400 euros par habitant en moyenne Celle ci s est alourdie de 6 par rapport 2011 et l augmentation progressive du prix de l nergie continue de conduire les plus d munis vers une pr carit insoutenable En France les 3 8 millions de familles en situation de pr carit consacrent plus de 10 de leurs revenus leur facture d nergie 11 des Fran ais soit plus de 3 millions de foyers suppl men taires reconnaissent avoir eu r cemment des difficult s payer leur facture d lectricit En Afghanistan 48 des familles d clarent rencontrer des difficult s se procurer de quoi se chauffer ou cuisiner 20 de leurs d penses annuelles sont consacr s l approvisionnement en nergie L efficacit nerg tique est l aspect le plus m connu de la transition nerg tique et pourtant celui qui fonctionn
70. e l accompagnement du G RES nous avons pu mener bien notre tude et valider nos hypoth ses Cela confirme le bien fond du d veloppement d une telle fili re sur le territoire en visant la production d un biocombustible utilisable 100 dans une chaudi re quip e dun br leur ad quat PARTENAIRES TECHNIQUES GERES e Rapport d activit 2013 51 FRANCE Performance environnementale nergie et climat Les questions d environnement et de climat doivent d sormais int grer l ensemble des secteurs d acti vit s conomiques Ainsi le GERES accompagne les collectivit s dans la d finition et la mise en uvre de politiques publiques afin den assurer lancrage local et la mise en coh rence avec l ensemble des secteurs d j engag s La r alisation de diagnostics de territoire et l laboration d indicateurs de suivi constituent le point de d part de telles d marches Puis c est partir d op rations pilotes que nous exp rimentons ou validons les solutions d finies en concertation avec les acteurs et que nous sommes en mesure de lancer de nouvelles dynamiques de territoires L inter R seau r gional agriculture nergie environnement PARTENAIRES FINANCIERS e R gion Provence Alpes C te d Azur sh INDICATEURS amp IMPACTS gt 1 tape vers un observatoire r gional des bonnes pratiques environnementales en agriculture gt Animation de 9 t tes de r seaux agricoles depuis
71. e Salari s France gt Titulaires Oriane ASSALI et Marie Maud GERARD gt Suppl antes Sophie GASQUET et Auria POIRIER Coll ge Expatri s gt Titulaire Anne CALVEL au Mali gt Suppl ant Julien JACQUOT au Cambodge Conseil d administration Thierry CABIROL Pr sident Direction G n rale Alain GUINEBAULT D l gu g n ral Service D veloppement DEV Ressources Humaines RH Service Admin amp Financier SAF Anne Claude BOUVART Nathalie CROIZIER Antoine MARTIN CHAVE Responsable SAF Responsable RH Responsable DEV R GIONS a nsn Afrique de l Ouest GA0 Asie centrale GCA Asie du Sud Est GSEA Europe M diterran e GEM GERES Expertises GEX G raldine PALLIERE GERES Afghanistan GAF Mathieu RUILLET Cyril JARNY Olivier NOYELLE Directrice Afrique de l Ouest Maude PIEGAY Directeur Asie du Sud Est Directeur Europe Med Directeur GEX Directrice GERES Afghanistan Raymond AZOKPOTA Camille NEGRE Mathieu RUILLET Cyril JARNY Marina GAVALDAO Directeur GERES B nin R f rent GERES Mongolie Directeur GERES Cambodge Directeur GERES France ee SE f rentes GERES Mali GML GERES Tadjikistan GTJ GERES Maroc GMA f Gr goire GAILLY Anne RANDALL Mathieu GOUDET StovePlus R f rent GERES Mali eo Ze R f rent GERES Maroc Julien JACQUOT Appui aux projets Olivier MUNOS R f rent appui aux projets CODIR un Comit de Direction est constitu a minima du D l gu g n ral et de deux
72. e le GERES doit comprendre les m canismes qui r gissent le secteur du bois nergie tant au niveau de la ressource que de la demande et l utilisation PARTENAIRES DE G BEL e GACC Alliance globale pour Les foyers am lior s e SNV Laos amp Vietnam Fondation n erlandaise des volontaires au Laos et Vietnam e Lire Laos Institut du Laos pour les nergies renouvelables e Institut des standards du Cambodge e Minist re cambodgien de l Environnement e Autorit s locales de Kampong Speu Kampong Chhnang Pursat et Battambang e Centre communautaire r gional de formation foresti re de Mlup Baitong e Administration foresti re du Cambodge L tude lt Flowood gt tudie minutieusement onze secteurs d activit principaux utilisant la biomasse lci le fumage du poisson Flowood une tude pour comprendre les utilisateurs de biomasse L tude Flowood gt contribue cet effort en tudiant minutieusement les 11 principaux secteurs utilisant la biomasse au Cambodge hors les grosses industries L ex ploitation des ressources foresti res demeurant infor melle au Cambodge il existe tr s peu de documentation et d tudes sur le sujet En 2013 le GERES a donc d cid de lancer une vaste tude aupr s des grands utilisateurs de bois nergie production de briques s chage du tabac fumage du poisson raffinage du sel etc afin de mieux conna tre leurs pratiques et leur consommation de biomasse L ob
73. e tape essentielle En 2013 l Entente a sollicit la poursuite de l accompagnement du GERES dans la d marche novatrice ClimTerr d marr e en 2012 La consolidation des r sul tats de l activit a pris forme par la conception d une mallette p da gogique destination des points focaux climat des R gions l orga nisation de sessions de formation th orique et pratique et la fina lisation de l Atlas cartographique du Ferlo Cette mallette a t pr sent e l occasion d un v nement majeur rassemblant tous les acteurs du projet au Minist re de l Environnement s n galais le 10 d cembre 2013 Son d roule ment en pr sence de M Oumar Youm Ministre des collectivit s locales du S n gal M Jean Jack Queyranne Pr sident R gion Rh ne Alpes M Adama Gueye Pr sident de l Entente interr gio nale du Ferlo a constitu un temps fort pour relancer la dynamique de gestion concert e des 5 r gions composant Entente seeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeseeeeeeseeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeeeeeee CLIMATIQUES LIEN WEB changements climatiques UN ATLAS DES VULN RABILIT S FACE AUX CHANGEMENTS L atlas cartographique du territoire du Ferlo a t identifi comme un outil d appropriation du territoire et de communi cation efficace Il va permettre d analyser alerter
74. e biblioth que sur 8 th matiques nergie climat en ligne sur http www greenpartnerships eu GERES e Rapport d activit 2013 41 EUROPE Efficacit nerg tique chez les m nages modestes En France comme en Europe de plus en plus de m nages mo destes sont confront s des difficult s li es l nergie dans leur logement privation de chauffage impay s d nergie confort tr s r duit D ici 2020 l Europe s est engag e r duire de 20 sa consommation nerg tique par rapport l augmentation tendan PARTENAIRES FINANCIERS e Union europ enne Programme MED PARTENAIRES TECHNIQUES e ENEA Agence nationale des nouvelles tech nologies de l nergie et du d veloppement conomique durable Italie e Institut de la M diterran e France e R gion Languedoc Roussillon France e 13 Habitat France e CRPM Conf rence des R gions p riph riques maritimes France e CSTB Centre scientifique et technique du b timent France e IVE Institut de la construction de Valence Espagne e Municipalit de Malaga Espagne e CEA Agence de l nergie de Chypre Chypre e CRES Centre pour les nergies renouve lables et les conomies d nergie Gr ce e DEK Organisation des travailleurs du logement Gr ce e R gion Est Mac doine et Thrace Gr ce e SNOVA Institut pour la promotion de l innovation technologique Italie e Agence r gionale Laore sardegna Ita
75. e le mieux puisqu il permet d conomiser l nergie la source Deux objectifs sont essentiels l isolation de l habitat et l efficacit nerg tique des quipements En France au Maroc au Cambodge au Mali ou en Afghanistan le GERES sensibilise Les m nages en grande pr carit Il d montre les avantages qu ils peuvent retirer des dispositifs d effi cacit ou d une bonne isolation Il Les conseille et Les accompagne dans l acquisition et l utilisa tion d quipements de chauffage et de cuisson plus performants Par exemple Kaboul plus de 2 000 foyers ont am lior leur condition de vie en isolant leur maison ou en Les dotant de v randas solaires Marseille 500 familles en situation de pr ca rit nerg tique ont b n fici d un accompagnement personnalis et de petits appareils pour r aliser des conomies d nergie Source Commissariat g n ral au d veloppement durable bilan nerg tique pour la France 2012 DE LA SOBRI T CARBONE LA SOLIDARIT CLIMATIQUE Le r chauffement climatique repr sente certainement le plus grand d fi de notre si cle Notre terre s est d j r chauff e de 0 8 C depuis 1850 et elle se r chauffera au moins de 1 7 C d ici 21005 Si nous n agissons pas rapidement les temp ratures pourraient augmenter de 4 5 C Ce sc nario correspond malheureusement aux volutions actuelles d missions de gaz effet de serre Pour viter Le chaos climatique annonc
76. e pas cit s nts former Les partenaires et concevoir des ande chelle il s agit aussi de renforcer le le es Capd S Pa rties prenan tes et la commu institutionnelles en facilitant un di nir In ri antran vert entre he globale et adapt e aux besoins de chaque t labellisation et assurance qualit le l Alliance mondiale pour les foyers de Mahama KAPPIAH Directeur ex cutif Centre pour les nergies Renouvelables et l Efficacit Energ tique de La CEDEAO Le GERES est un partenaire technique important Notre collaboration en 2013 a t tr s fructueuse et a permis des avanc es majeures dans ce domaine en Afrique de l Ouest e LAOS 4 A PHILIPPINES kel CAMBODGE T e lt a INDONESIE ad MALI B NIN SIERRALEONE Pa C TED IVOIRE GERES e Rapport d activit 2013 17 PROGRAMME TRANSVERSE Co2Solidaire programme de compensation carbone volontaire Ki Los A Pour compenser vos missions r siduelles de LU en soutenant un projet de d veloppement thique et solidaire rendez vous sur www COsolidaire org CO Solidaire 18 GErEs e Rapport d activit 2013 2013 aura t une ann e de mutation pour le pro gramme de compensation carbone du GERES Pour la premi re fois depuis sa cr ation CO Solidaire s ouvre d autres associations Ce nouveau mod le renforce les synergies avec d autres porteu
77. e passif Jal vu plusieurs maisons rencontr de nombreux b n ficiaires visit le centre de ressources et deux autres lieux d information Les qualit s professionnelles et humaines des quipes mont enthousiasm e Voir l action sur le terrain cest bien videmment autre chose que den parler assis autour d une table en France gt PARTENAIRES FINANCIERS e FAP Fondation Abb Pierre e Fondation Ensemble PARTENAIRES TECHNIQUES e LAHDC Conseil de d veloppement Colline autonome de Leh e LEDeG Groupe D veloppement Ecologique de Leh e LEHO Ladakh et Sant e LNP Projet Nutrition de Leh 26 GEREs e Rapport d activit 2013 Capitalisation et diffusion nergie et habitat des savoirs Entre 2008 et 2012 le GERES a largement r pandu ses tech niques d efficacit nerg tique adapt es au contexte hima layen Au total 1 004 familles ont significativement am lior leurs conditions de vie 237 artisans ma ons et menuisiers ont t form s Une tude sur l impact environnemental a montr des r ductions de 60 environ de la consommation de combustibles Ee TER a sch ET Eet i z Pe Ki E a E EA der ue Sa tt A L enjeu pour 2013 restait de ca pitaliser et diffuser les savoirs conserv s sur ce projet de 4 an n es Un centre de ressources a ainsi t install Leh G r par une des ONG locales partenaires du projet il met
78. e peine exigence de plus en forte quant aux impacts des actions men es en ce sens Les ONG sont g n ralement reconnues comme les plus efficaces et obligation de justifier toutes leurs d penses l euro pr s avec pour parvenir cela des frais de fonctionnement extr mement bas Ces contraintes limitent malheureusement la capacit d innovation et de reproduction grande chelle des solutions Ces constats ne concernent pas uniquement notre famille des ONG de d veloppement Certaines dispositions en France de la loi sur l conomie sociale et solidaire devraient apporter des solutions comme le fonds de garantie ou la cr ation d instruments financiers pour renforcer le bilan des associations mais ces m canismes restent encore difficiles activer En 2013 le GERES a donc travaill s adapter ce contexte tout en maintenant ses r sultats sur le terrain L ANN E 2013 A T INTENSE SUR LE PLAN DE LA R FLEXION STRAT GIQUE QUELLES SONT LES PRINCIPALES ORIENTATIONS RETENUES Apr s cinq ann es de forte croissance nous avons lanc la r vision de notre strat gie pour la p riode 2013 2017 Le mandat et Les valeurs de l association ont t r affirm s ainsi que nos cinq th matiques majeures d intervention Le pilier lt Sobri t et efficacit nerg tique gt l un des fondamentaux du G RES devrait rester pr pond rant en volume d activit tandis que pour favoriser le changement d chelle de n
79. e pro jet New Lao Stove est arriv au terme de sa p riode d accr ditation pour la finance carbone Mais cela ne signifie pas la fin de l action de diss mination de ces foyers Bien au contraire Avec pr s de 3 millions de foyers diffus s ce jour la r ussite de ce mod le 100 local bas sur un r seau de production et de distribution existant n est plus prouver Comme le d montre le projet SFM ces enjeux de cuisson conome et de gestion durable du bois nergie sont d sormais inscrits l agenda du gouvernement cambodgien et le GERES poursuit son appui la fili re pour d velopper le secteur lui permettre d voluer avec le march et assurer sa viabilit long terme Renforcer les comp tences des micro entrepreneurs Les foyers am lior s au Cambodge sont bien plus qu un simple projet de d veloppement Un v ritable secteur d activit conomique a t structur lequel fait vivre au jourd hui plusieurs centaines de familles Le GERES tient trans f rer progressivement la gestion de la fili re ses acteurs Contr le qualit suivi des ventes ou encore gestion du r seau de distribution doivent tre terme enti rement g r s par l association Icoprodac la coop rative interprofessionnelle cr e par le GERES il y a 10 ans Introduction d un Rocket Stove en 2014 Avec 2 mod les de foyers am lior s introduits sur le march cambodgien le GERES continue
80. en nergie partag s syn dicats hydro lectriques collectivit s laur ates L observatoire de la fili re hydro lectricit ainsi que l accompagnement des porteurs de projets ont t maintenus Les prochaines tapes concer neront la formation de ces acteurs relais au r le de conseillers tante en 2013 a consist cibler pr cis ment quels UNE TUDE STRAT GIQUE POUR ALIMENTER LE SAGE DE L ARVE Dans le cadre du diagnostic pr alable l laboration collective d un document de planification du SAGE Sch ma d Am nagement et de Gestion des Eaux de l Arve en Haute Savoie Le GERES a r alis en 2013 une tude strat gique de la fili re hydro lectricit sur le bassin versant de l Arve et de ses affluents L tude a consist en la synth se des connaissances actuelles et du contexte r glementaire La caract risation d taill e des enjeux environnementaux et socio conomiques actuels associ s la production hydro lectrique du territoire ainsi que la mise en perspec tive des enjeux venir La derni re phase de l tude a permis l laboration de propositions d outils proc dures ou m thodologies afin de r pondre ces enjeux 27 centrales hydro lectriques produisent 1500 GWh par an sur le territoire du SAGE de l Arve FRANCE Fili re hydro lectricit en PACA historique mise jour de l tat des lieux et prospective Aujourd hui les acteurs de la fili re hydro lectricit manquent d
81. ent durable des montagnes du Centre de l Afghanistan Diffusion de serres solaires passives en appui la production mara ch re D veloppement durable en milieu rural Capitalisation et diffusion des savoirs nergie et habitat 27 ASIE DU SUD EST aeeeeeseeesseeeeesseeeeeseeeeesseeeeeseeeeseeeeeseeeeeeeeeeeesseeeeeseeeeeseeeeseeeeeeseeeeesseeeeeseeeseseeeeseeeeeeeeeeeesseeeeegeeeeeseeeeseeeeeeeseeeesseeeeege Cambodge Gestion durable de la for t dans le massif des Cardamones Diffusion de foyers de cuisson am lior s Production de charbon de bois vert L agroforesterie au service des communaut s agricoles Viabilit des solutions par le transfert au secteur priv Consolidation de l expertise sur la biomasse 40 EUROPE M DITERRAN E France Maroc Partenariats locaux pour des villes et r gions plus vertes Efficacit nerg tique chez les m nages modestes en Europe Renforcement de capacit s pour l isolation de l habitat rural en Europe de l Est et du Caucase nergie et pr carit nergie et habitat Production d nergie propre Gestion co responsable des d chets Performance environnementale nergie et climat Diffusion d quipements performants via la microfinance Gestion nerg tique durable en zone rurale Hammams durables 57 UNIT CLIMAT Accompagnement de projets sobres en carbone Adaptation aux changements climatiques Plaidoyer pour la Solidarit climatique Pa Dome huile d ars
82. entr e de stock de cr dits carbone valoris e son co t de revient est comptabilis e une pro UU E vision pour risque d invendus hauteur du m me montant 0 2007 2008 2000 2010 II 201 2013 En 2013 deux autres provisions pour risque ont galement t comptabili s es une provision de 56 k pour risque de d ficit sur un projet Afrique de l Ouest et une provision de 126 k pour risque de non recouvrement d une cr ance aupr s d un partenaire Les fonds d di s s l vent 1 6 M et cor respondent principalement aux fonds de r serve issus de la vente de cr dits carbone au Cambodge 68 GEREs Rapport d activit 2013 Note Le budget total et Le budget effectif d activit s correspondent aux d penses ils se lisent au regard du compte emploi des ressources et non du bilan Origine et volution des ressources par antenne 2013 2012 2011 Si ge 50 287 163 616 35 800 Asie Centrale 2 158 832 1 410 406 1621616 Asie du Sud Est 3 272 794 5 133 894 3 372 414 Afrique de l Ouest 2 017 945 1975 012 1 762 302 Europe M diterran e 1 259 449 1 620 361 1525 736 Expertises Unit Climat amp StovePlus 535 066 248 319 294 382 Les ressources du si ge en 2013 corres pondent principalement une subvention pri v e en faveur du programme CO Solidaire et Millions VOLUTION DES RESSOURCES PAR ANTENNE DE 2007 2013 une subvention du Fonds de Renforcement Institutionnel et Organisationnel de Coordina
83. et d artisans d Afrique de cr er des emplois de mieux valoriser leurs produits agricoles et de g n rer de la valeur ajout e redistribu e localement 1Les Nations Unies la Commivssion europ enne la Banque Mondiale La Banque Africaine de D veloppement ont rejoint l initiative SEZALL 10 GERESe Rapport d activit 2013 MIEUX G RER LA RESSOURCE BIOMASSE UN ENJEU MONDIAL UNE ENERGIE D AVENIR La biomasse est la 3 source d nergie mondiale apr s les carburants fossiles et le nucl aire Sa part repr sente pr s de 10 de l nergie primaire et plus de 50 des nergies renouve lables dans le monde Elle concerne Le bois Le charbon de bois les d chets agricoles ou ceux de l industrie alimentaire et Les d jections animales Selon l Agence Internationale de l nergie 40 de la population d pend encore de r chauds rudimentaires et toxiques pour cui siner l chelle mondiale 2 5 milliards de personnes utilisent principalement la biomasse comme combustible G n ralement plus accessible que le gaz ou le gasoil La biomasse est aussi plus adapt e aux habitudes des populations L absence d alternative associ e une d mographique lev e se traduit dans la majorit des cas par un puisement des ressources La gestion durable de la biomasse est donc un enjeu n cessitant La mise en place de stra t gies d accompagnement des populations Des solutions bas es sur les technologies conomes en nergie
84. et sa voirs d autres propri taires ou artisans chez eux et dans les dif f rents pays voisins du Caucase Isolation paille et enduit terre sur Le b timent de d monstration Akhaltsikhe en G orgie nergie et pr carit FRANCE En France c est pr s de 3 5 millions de m nages qui sont en situation de pr carit nerg tique ils 3 3 prouvent des difficult s r gler leur facture nerg tique se restreignent sur d autres postes de d penses ou vivent dans un logement inconfortable pour viter les impay s d nergie Les m nages modestes sont les plus touch s et occupent les logements les plus nergivores Le GERES d veloppe depuis une dizaine d ann es des projets pour r duire ces situations de pr carit R seau r gional nergie et pr carit RREP Le projet permettra d laborer un plan d action pour pr venir les situations de pr carit nerg tique Le GERES est co animateur du R seau R gional nergie et Pr carit RREP avec copol nergie Le r seau a pour objectif de rassembler les acteurs intervenant dans la lutte contre la pr carit ner g tique des professionnels de l action sociale du logement de l nergie des collectivit s L ann e 2013 a permis la poursuite des actions du r seau visant favoriser le partage d exp riences promouvoir le d veloppement de nouvelles ac tions pour lutter contre la pr carit nerg tique
85. eurs existants le GERES g n re des impacts non seulement environnementaux mais aussi sociaux et conomiques GERES e Rapport d activit 2013 CD 2 Q D Si 11 D SR CAMBODGE Gestion durable de la for t PARTENAIRES FINANCIERS e PNUD Programme des Nations Unies pour le D veloppement e FEM Fonds pour l Environnement Mondial PARTENAIRES TECHNIQUES e Administration foresti re du Cambodge e MIME Minist re cambodgien en charge de l nergie e MOE Minist re cambodgien en charge de l environnement e Administration foresti re des provinces de Pursat Battambang Kampong speu Kampong Chhnang e Bureaux provinciaux en charge de l ner gie des provinces Pursat Battambang Kampong speu Kampong Chhnang e REFOCTC Centre de formation r gional des communaut s foresti res e Mlup baitong Chay SARAN chef du cantonnement de l administration foresti re province de Pursat Jai remarqu un vrai changement chez les communaut s foresti res Elles savent d sormais comment mener un inventaire des ressources et comment r colter le bols en sassurant que la for t se r g n re Par ailleurs la production de charbon am lior leur permet d assurer un meilleur revenu 28 GERESe Rapport d activit 2013 dans le massif des Cardamones Initi en 2012 le projet Sustainable Forest Management SF M est une parfaite illustration de l in
86. ge de la fili re En pr vision six autres municipalit s rurales dans le parc r gional de Bouchachem montagnes du Rif et deux communes dans le corridor cologique d Asrou Midelt Sefrou Moyen Atlas vont s quiper de fours pain am lior s 54 GERESe Rapport d activit 2013 Gestion nerg tique durable en zone rurale Diffusion d quipements performants pour La cuisson Les Marocains qui vivent en zone rurale consomment surtout du bois pour se chauffer et pour cuisi ner raison de 12 kg en moyenne par jour et par famille la collecte de bois activit exclusivement f minine est une t che qui devient d autant plus difficile que le bois se fait rare Le gaz car fortement subventionn s implante dans les campagnes En revanche les qui pements ont des rendements tr s faibles Ainsi l utilisation d qui pements performants s impose comme une n cessit Le programme de diffusion s est achev courant 2013 par un tra vail important d valuation et de partage des r sultats Une tude a t men e sur la zone du pro jet avec une trentaine d acteurs du d veloppement Le bouche oreille fait conna tre le four dans les campagnes et fonctionne comme un vecteur de sensibilisa tion En ce sens un projet de plus 3 bech De Le grande ampleur avec un indus triel marocain pour diffuser le four dans le Rif et le Moyen Atlas est en cours d valuation Ainsi le projet s
87. gement et du Logement PARTENAIRES FINANCIERS e Communaut d agglom ration du Pays d Aubagne et de l Etoile PARTENAIRES TECHNIQUES e Communaut d agglom ration du Pays d Aubagne et de l Etoile Diagnostic pr carit nerg tique dans le pays d Aubagne et de l Etoile La communaut d agglom ration du Pays d Aubagne et de l toile a souhait dans le cadre de ses actions en faveur du d veloppement durable et de son plan climat nergie territoire r aliser un tat des lieux de la pr carit nerg tique sur son territoire Le GERES retenu pour cette mission a finalis cet tat des lieux en 2013 Dans un objectif de co construction du plan d ac tion avec les acteurs du territoire cet tat des lieux a d bouch sur la mise en place de trois groupes de travail Le premier groupe vise d velopper une bonne coordination de tous les dispositifs li s la lutte contre la pr carit nerg tique sur le territoire Le second s attache aux actions qui permettraient de passer de mesures curatives aide au paiement des factures des mesures pr ventives petits tra vaux remplacement d quipements aupr s des m nages d j rep r s sur le territoire Le troisi me a pour objectif le d ploiement d ac tions vers les publics vuln rables en incitant par exemple des m nages de classe moyenne r nover leur logement pour faire face une augmentation du co t de l nergie Les
88. groupes de travail se sont r unis l automne 2013 et se poursuivront en 2014 pour proposer un plan d action INDICATEURS amp IMPACTS gt 25 structures ont particip aux comit s de pilotage de l tat des lieux de la pr carit nerg tique gt 3 ateliers de concertation propos s par l agglom ration pour un plan d action global contre la pr carit nerg tique GERES e Rapport d activit 2013 45 FRANCE PARTENAIRES FINANCIERS e ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie e R gion Provence Alpes C te d Azur e Communaut d agglom ration du Pays d Aubagne et de l toile e Conseil g n ral des Bouches du Rh ne PARTENAIRES TECHNIQUES e R seau national des EIE 261 structures e R seau r gional des EIE en PACA 21 antennes e Envirobat M diterran e e BDM B timents durables m diterran ens e ARC Association des responsables de copropri t s e ADIL Agence d partementale pour l information sur Le logement e ADEME Direction r gionale Provence Alpes C te d Azur r INDICATEURS SIMPACTS gt 53 d int r t des particuliers l gard de l isolation thermique lorsqu ils se renseignent aupr s de l EIE gt 30 particuliers en moyenne par mois se sont rapproch s de EI pour b n ficier d un accompagnement sur leur projet gt 361 personnes conseill es gt 56 diagnostics conseils approfondis d livr s gt 20 conseils d li
89. il est pri mordial que chaque tat chaque entreprise et chaque individu son chelle r duise significativement ses missions de gaz effet de serre KRITE FP S Emm m E m 3 Kaes hy pi org Dans cette course contre le r chauffement la Soli darit climatique entre les peuples des pays du Nord et du Sud devient essentielle Elle permet de limiter l accroissement des in galit s et des vuln rabilit s des pays qui d j marqu s par la pauvret chronique sont les premi res victimes des cons quences des changements climatiques Pour ce faire le GERES travaille et s investit sur plusieurs fronts participation la construction de positions communes et quitables pour la r duction des mis sions mondiales de gaz effets de serre sensibilisation des pouvoirs publics locaux la gestion des risques appui aux plans climat des collectivit s territoriales des pays du Sud d veloppement de m thodologies de r siliences de programmes d adaptation mise en uvre et r plication de projets sobres en carbone grande chelle sensibilisation la compensation car bone volontaire thique et solidaire D cembre 2015 sera une ch ance historique pour la France qui accueillera la 21 Conf rence des Parties sur le Climat Le GERES au sein de la Commission Climat D veloppement de Coordination SUD et dans ses r seaux compte peser sur les n gociations pour plus de justice et d quit
90. inancements carbone L ann e 2014 verra la mise en uvre de la strat gie et la validation du programme carbone aupr s de deux standards internationaux Le travail men Bamako trouve par ailleurs des chos aux niveaux national et sous r gional le GERES par ticipe activement l initiative WACCA West African Clean Cooking Alliance de la CEDEAO et a co orga nis un atelier national en octobre 2013 Des appuis techniques au laboratoire national charg des tests sur les foyers am lior s sont programm s en 2014 PARTENAIRES FINANCIERS e AFD Agence fran aise de d veloppement e ADEME Agence de l environnement et de la maitrise de l nergie e Cr dit Coop ratif e Fondation Prince Albert Il de Monaco e Fondation Lord Michelham of Hellingly KIW Bangue allemande de d veloppement PARTENAIRES TECHNIQUES e AMADER Agence MAlienne pour le D veloppement de l nergie domestique et de l lectrification Rurale e CNESOLER Centre National de l nergie SOLaire et des nergies Renouvelables e Entreprise AFOVERT e GIE PFA Groupement d Int r t cono mique Projet Foyers Am lior s e Unit Kognoumani Abdoulaye DEME Dirigeant de l Unit Kognoumani et Pr sident du GIE de producteurs Nous ne sommes pas en mesure de satisfaire la demande en foyers am lior s aujourd hui Le G RES est en train de me soutenir et de voir comment on peut doubler ma capacit de production pour satisfaire
91. intement par les fournisseurs de mat riel et les installateurs volontaires Lors des concertations l automne 2013 les pro fessionnels ont exprim de fortes attentes li es la plateforme Vivonsolairenpaca fr Fin 2013 le d veloppement technique de l outil num rique a t lanc et la mobilisation des professionnels est toujours en cours PARTENAIRES FINANCIERS e R gion Provence Alpes C te d Azur PARTENAIRES TECHNIQUES e UFC Que Choisir e Enerplan e Qualit EnR e Qualibat e FRB PACA F d ration r gionale du b timent e R seau r gional des HE Rapha l Petit installateur Soci t EI Cest parce quil faut se donner les moyens de redonner ses lettres de noblesse au chauffe eau Solaire que nous avons d cid de participer ce projet Il faut absolument redonner envie aux particuliers les convaincre que le solaire thermique est une technique fiable qui a fait ses preuves Nous sommes convaincus que Vivonsolairenpaca fr peut redonner cette envie GERES e Rapport d activit 2013 47 FRANCE Production d nergie propre La transition nerg tique impose de d velopper des productions locales et renouvelables en lien avec une meilleure ma trise de la demande En ce sens le GERES d ploie des approches sur les fili res hy dro lectriques et biogaz par un renforcement d expertise un accompagnement des acteurs l anima PARTENAIRES FINANCIERS e ADEME Di
92. iptyque agriculture nergie ressources naturelles au centre de l approche int gr e n cessite une coordination quilibr e des actions mises en uvre Parce qu elles sont interd pendantes et compl men taires ces trois composantes doivent n cessairement s envisager Les unes au regard des autres D une part la r duction des consom mations de ressources et des com bustibles biomasse n cessite des s0 lutions conomes en nergie po les am lior s isolation architecture solaire D autre part La durabilit des ressources d pend aussi d une meilleure gestion et utilisation de l eau des sols et des p turages par les communaut s 22 GERES e Rapport d activit 2013 D veloppement durable des montagnes du Centre de l Afo ha n IStan Central Highlands Sur les hauts plateaux des r gions Centre de l Afgha nistan l agriculture premi re source de revenus pour 86 des foyers et l levage sont au c ur de l conomie locale Dans cet environnement montagnard enclav o les ressources naturelles eau sols p turages sont rares et menac es de surexploitation le GERES et ses parte naires MADERA et Solidarit s International mettent en place une approche int gr e synergique et durable du d veloppement rural L tude conduite durant le deuxi me semestre 2013 a permis de r aliser les diagnostics techniques socio co nomiques et institutionnels n cessaires au bon d roule
93. ix des travaux avec des acteurs cl s du territoire implication des occupants en amont et pendant les travaux pour favoriser des actions durables r pondant leurs besoins instal lation d afficheurs de consommation valuation de l impact des travaux Les actions de capitalisation et de communication se sont poursuivies incluant des campagnes de sen sibilisation citoyenne La d claration de Ljubljana labor e en partenariat avec 2 projets strat giques Med a t publi e fin 2013 pour promouvoir la r novation nerg tique des logements des m nages modestes chelle europ enne L ann e 2014 verra la fin des travaux la consolida tion de l valuation l chelle du projet et la pour suite de la capitalisation Accompagnement domicile des m nages en pr carit nerg tique ACHIEVE Le GERES met en uvre le projet ACHIEVE sur le territoire marseillais depuis 2011 En 2013 le GERES a form une nou velle charg e de visites en insertion professionnelle Le tour du logement et l analyse des habitudes de consommation permettent aux trois charg s de visites de revenir ensuite plus facilement chez le m nage pour installer sur la base d un bilan des consommations d nergie et d eau remis en main propre au m nage les petits quipements et de proposer des co gestes adapt s la situation Le GERES est all plus loin en 2013 en proposant 7 diagnostics thermiques simplifi s
94. jectif est double identifier les secteurs o l expertise de GERES serait pertinente puis dessiner les projets de demain Flowood devrait par ailleurs permettre de d montrer pour les partenaires gouvernementaux et financiers l int r t d un observatoire de la biomasse nergie gt au Cambodge 9 LABORATOIRES DANS LE MONDE AGR S RTKC REGIONAL TESTING AND KNOWLEDGE CENTERS sil La Global Alliance for Clean Cooks tove a pour vocation de faciliter La diss mination de foyers am lior s dans les pays en d veloppement Afin d aider Les porteurs de projet prendre des d cisions neuf centres de test et de recherche ont t sou tenus dans diff rentes r gions du monde pour se former et d velopper une offre de services aux standards internationaux en mati re de tests d quipements de cuisson ou de combustible biomasse G BEL est l un d entre eux et Le GERES participe l installation de nouveaux centres dans la sous r gion GERES e Rapport d activit 2013 33 AFRIQUE Pr sent depuis 10 ans en Afrique de l Ouest Le GERES poursuit sa sp cialisation dans 3 domaines d activit acc s l nergie en zone rurale au service du d veloppement conomique am lioration de l efficacit des modes de cuisson appui aux collectivit s pour la prise en compte des vuln rabilit s li es aux changements climatiques cela s ajoute l appui l entrepreneuriat transverse tous Les programmes En 201
95. le d but du projet gt 3 800 agriculteurs soit 13 22 agriculteurs de la R gion PACA connaissent la d marche PARTENAIRES FINANCIERS e R gion Provence Alpes C te d Azur PARTENAIRES TECHNIQUES e Viviane Hamon Conseil e n Vivo Denis Savanne e En coop ration avec l ADEME m INDICATEURS SIMPACTS gt 48conseillers en poste en PACA gt 12 monographies r alis es sur des structures type collectivit s ou associations gt 30 entretiens r alis s avec des conomes de flux leurs hi rarchies et les directions des structures porteuses 52 GERESe Rapport d activit 2013 AGIR Agriculture L objectif du dispositif AGIR lt Vers 100 exploita tions et coop ratives exemplaires lanc par la R gion en 2007 tait de faire s engager 100 exploi tations et coop ratives agricoles dans une d marche de r duction de leur impact environnemental Pour ce faire le r seau r gional de conseillers agricoles coordonn par le GERES a r alis des diagnostics complets des exploitations volontaires sur les th matiques li es l nergie et l environnement puis les a accompagn es dans la mise en uvre d un plan d action de r duction de leur impact environnemen tal nergie gaz effet de serre eau d chet Afin de sensibiliser les agriculteurs de la r gion sur la faisabilit des pratiques exemplaires des vi sites sur les exploitations volontaires leur ont t propos es Cette ann
96. le march GERES Rapport d activit 2013 35 AFRIQUE HE OUEST Fili re jatropha paysanne et acces l nergie Les pays ouest africains ont besoin de trouver des solutions pour pilotes au Mali et au B nin qui visent v rifier la pertinence et les que les populations rurales dispers es puissent avoir acc s l ner conditions des fili res de proximit jatropha comme une solution gie et ainsi am liorer leurs conditions de vie Peu de solutions fiables d acc s l nergie en zone rurale Il s investit aux c t s de PIRAM viables et abordables existent actuellement Le jatropha pourrait dans JatroREF r seau ouest africain de partage d exp rience et construction de r f rentiels sur les fili res jatropha en tre une sous certaines conditions Le GERES m ne deux projets MALI Agrocarburants Locaux Territoires Ruraux et Energie ALTERRE AU MALI L ann e 2013 a t particuli rement r ussie pour le projet ALTERRE Koutiala une r colte de graines de jatropha en forte augmentation 47 tonnes plus du double de 2012 une unit d extraction d huile fonctionnelle 5 550 litres d HVP utilisable comme carburant une nouvelle unit install e Koury et un entrepreneur priv motiv pour en prendre la gestion des tests de longue dur e concluants aupr s de 5 meuniers une substitution r ussie au gasoil durant plus de 2300 heures Aujourd hui les meunie
97. lie e Municipalit de G nes Italie e Municipalit de Frattamaggiore Italie e MIEMA Agence de l nergie de Malte Malte e Institut Jozef Stefan Slov nie AA INDICATEURS amp IMPACTS gt 1 029 logements r nov s 630 logements tudiants 238 logements sociaux 56 logements en copropri t 105 maisons individuelles 42 GERES e Rapport d activit 2013 en Europe cielle avec un effort particulier r aliser dans le secteur r siden tiel Ces efforts ne doivent pas se r aliser au d triment des plus modestes En ce sens le GERES participe deux projets europ ens visant l am lioration de la performance nerg tique des logements et des quipements des m nages modestes R novation nerg tique des logements des m nages en M diterran e Elih Med Energy Efficiency in Low Income Housing in the Mediterranean F E s E ER w Fa ade de la r sidence tudiante de l universit D mocrite de Thrace Gr ce en cours d isolation thermique Le projet EliH Med a pour objectif de d velopper plus largement en M diterran e la r novation de logements de m nages modestes en veillant les impliquer dans la d marche En 2013 les actions op rationnelles ont t lanc es avec des travaux de r novation nerg tique de plus de 1 000 logements dans 5 pays m diterran ens Les cas pilotes sont tr s vari s ils sont tous bas s sur la m me m thodologie cho
98. lior est galement en phase de recherche et d veloppement Dans ce projet le d veloppement conomique est 1 INDICATEURS amp IMPACTS la cheville ouvri re de la cha ne de production 37 artisans locaux ont t form s aux solutions biocli matiques et ont t soutenus dans la structuration de leur commerce L attention port e au secteur artisa nal est essentielle pour la viabilit long terme et le transfert des comp tences En 2013 111 sites de d monstration et 1 000 habi tations ont t quip s par les artisans En 2014 le GERES initiera la cr ation d associations d artisans ind pendantes ce qui leur permettra de s entraider de se coordonner d am liorer le contr le qualit et de structurer plus efficacement la fili re commer ciale Enfin un catalogue r pertoriant les produits facilitera la communication avec les clients et ac teurs institutionnels gt 1 000 v randas construites Kaboul fin 2013 dont 75 combin es avec une technique d isolation gt Gtechniques et quipements d velopp s et disponibles localement gt 3100 familles soit 31 000 personnes b n ficiaires gt 85 micro entrepreneurs soutenus et organis s travers une association d artisans gt 331 000 personnes sensibilis es l architecture solaire veulent int grer la technique leur habitat gt 343 acteurs institutionnels engag s dans la mise en uvre relayent l information et d veloppent de
99. locaux Autant de moments d changes qui facilitent le conseil et favorisent la prise de d cision sur un projet d co r novation C est galement dans ces manifestations que se renforce le contact avec les UNE MAQUETTE P DAGOGIQUE D ISOLANTS BIOSOURCES professionnels et artisans En parall le la campagne de communication natio nale lt J co r nove J conomise gt lanc e dans le Une maquette pr sentant les techniques de mise en uvre d isolants biosourc s a t inaugur e dans Le cadre de La F te de l nergie Elle permet de sensibiliser le particulier au bien fond de l iso lation de son logement de fa on participative Elle est un moyen p dagogique et ludique d approcher le public sur Le choix de son isolation un moment d changes qui laisse place la pratique cadre du PREH pour inciter les Fran ais engager des travaux de r novation nerg tique dans leur ha bitat a permis d accroitre le nombre de demandes aupr s de PEIE en tant que PRIS En 2014 PEIE du Pays d Aubagne et de l toile sou haite renforcer son positionnement comme pas sage incontournable dans un projet de r novation avec un accompagnement du particulier dans une r flexion ambitieuse et globale LES PLATEFORMES DE LA R NOVATION NERG TIQUE L objectif fix par Le gouvernement de baisser La consommation d nergie de 38 dans le B timent l horizon 2020 se traduit par la r novation de 500 000 logement
100. managers si ge ou r gion CODIR E l ensemble de l quipe de direction si ge et des managers pays constituent le Comit de Direction Elargi 14 GERES Rapport d activit 2013 LES PROJETS 289 647 familles ou porteurs de projets directement b n ficiaires 3 304 entrepreneurs ou entreprises soutenus OU accompagnes PROJETS MEN S DANS 14 PAYS REPR SENTATIONS PERMANENTES Er PARTENAIRES COLLABORATEURS TECHNIQUES PARTENAIRES FINANCIERS 2774120 b n ficiaires indirects EUROPE M DITERRAN E x ASIEDUSUD ST ASIECENTRALE AFRIQUE DE L OUEST e Entrepreneurs entreprises unipersonnelles organisations ayant une activit conomique ou entreprises ayant directement b n fici d appuis techniques financiers ou organisationnels pour le d veloppement de leurs activit s B n ficiaires directs personnes ou entit s chef de famille institution collectivit s porteurs de projets etc ayant directement et individuellement b n fici d une action mise en uvre par le GERES B n ficiaires indirects membres de la famille des b n ficiaires directs pour lesquels l action mise en uvre par le GERES impacte effectivement l ensemble du m nage GERES e Rapport d activit 2013 15 e FFEM Fonds Fran ais pour l Environne ment Mondial e Banque mondiale PARTENAIRES TECHNIQUES e Union europ enne e Banque mondiale e Banque asiatique de d
101. ment futur du programme partir de 2014 les bases de l accompagnement tant F S ef pos es le projet va petit petit accompagner le renfor cement durable de l agriculture et de l levage tout en am liorant l acc s l eau aux p turages et leur gestion collective Pour ces populations qui comptent parmi les plus vuln rables du pays taux de pauvret sup rieur la moyenne nationale 55 7 contre 35 8 l chelle nationale il est essentiel d am liorer la r silience ner g tique en hiver tout en limitant la d pl tion des res sources naturelles Pour assurer le transfert des savoirs et des techniques de ce d ploiement op rationnel en 3 axes agriculture et levage gestion et pr servation des ressources natu relles acc s l nergie et efficacit nerg tique les connaissances r unies tout au long du projet seront par tag es avec les autorit s locales et les acteurs principaux Au c ur du Hazaraj vaste territoire de haute montagne l action se concentre sur la Province de Bamyan et Les deux districts limitrophes de La Province de Wardak a INDICATEURS amp IMPACTS gt 10 solutions conomes en nergie v randas po les am lior s techniques d isolation valid es par la R amp D disponibles pour tre impl ment es gt 303 sites de d monstration pr senteront les b n fices des solutions conomes en nergie gt 391 000 habitants des provinces
102. monstration qui feront l objet d un accompagnement et d un suivi technique sp cifique e lappui conseil leur permettant de se familiariser avec le fonctionnement de la chaudi re et d en assu rer la maintenance e l appui l mergence dans le secteur priv bureaux d tude fournisseurs d une offre de services et technologies r pondant au besoin de modernisa tion des hammam e exp rimentation d un m canisme d avance d in vestissements des hammams via un fonds de rou lement d di e l laboration d outils d aide la d cision d investis sement pour les propri taires et les exploitants Soutenu par le FFEM le programme stimulera en premier lieu les initiatives existantes et les solutions matures tout en favorisant l mergence d un march de solutions plus innovantes et complexes pas ou peu diffus es dans le secteur des hammams mais ayant fait leur preuve dans d autres contextes essocesssececesesesceseseecesssececeseseecsessesceesseeseesesescessceeceescesesecsecesceescsececcesecscce de combustion L utilisation du st re qui correspond un m encombrement ou du m qui correspond un v ritable volume de bois plein sans air irait plus dans le sens de cette rationali sation L unit qui favorise le plus l efficacit nerg tique est le PCI qui mesure la quantit de chaleur ou nergie utilisable d gag e par la combustion d un bois l air Libre C est l unit
103. n Afrique de l Ouest et d autre part par l arriv e Leur terme de plusieurs projets men s en France et dans les pays de la M diterran e Cette situation s est conjugu e un d calage dans le temps et une r duction des financements obtenus pour la mise en uvre de nouveaux projets dans la r gion Europe M diterran e Un certain nombre de mesures ont t prises fin 2013 afin de ma triser le risque financier sur ces deux r gions en 2014 Les co ts de coordination et de mise en uvre de projets ont ainsi t limit s au maximum avec des cons quences sur l organisation des ressources humaines Le pr visionnel Le pr visionnel 2014 anticipe une augmentation budg taire de 21 par rapport 2013 Cette hausse correspond d une part la mise en uvre d un projet majeur en Asie Centrale et d autre part la structuration et au d veloppement de La nouvelle unit Expertises initi e en 2013 Une attention particuli re est port e La ma trise des frais de si ge en 2014 puisqu il n est pr vu aucune augmentation en pourcentage du volume budg taire global malgr la d cision prise fin 2013 de renforcer la direction g n rale en d doublant le poste de d l gu g n ral Cette limitation sera permise par l optimisation des moyens tandis que la croissance du budget global d activit s en 2014 permettra l augmentation en valeur relative GERES e Rapport d activit 2013 65 66 Compte d emploi des ress
104. n vit en zone rurale et d pend de l agriculture de subsistance En rai son des conditions g ographiques contraignantes tant pour la production agricole zone de montagnes faibles pr cipitations et d gradation des sols que pour l acc s aux march s les habitants des districts d Aini et Asht sont en situation de vuln rabilit Le GERES intervient galement dans le nord du pays pour Muhtaram ATOBULLOEVA b n ficiaire d un cellier bioclimatique Jamoat Fondaryo district d Aini Avant et avec beaucoup de difficult s je conservais des pommes dans un petit espace sous la maison Maintenant avec le cellier biocimatique je peux conserver dans dexcellentes conditions 2 tonnes de pommes entre novembre et mars Sile prix des pommes pendant la saison est 2 TJS le kilo je peux maintenant vendre chaque Semaine 100 150 kilos 3 TJS le kilo AGRICULTURE FAMILIALE MODE D EMPLOI Pour accompagner les familles utilisatrices au Tadjikistan trois techniques agricoles sous serre hors sol bonne utilisation de La serre ali ments cultiver le suivi des r coltes compostage et de conservation dans les celliers stockage temp ra ture taille 24 GERES e Rapport d activit 2013 diss miner des solutions conomes en nergie Renforcement conomique et diffusion de bonnes pratiques dans l agriculture Depuis 2011 le GERES inter vient pour d velopper des solu tions agro
105. nde de coop ration internationale 16 25 57 Gouvernement b ninois 38 Hub rural 36 KfW tablissement de cr dit pour La reconstruction Allemagne 35 58 MAE Minist re des Affaires trang res 38 MEDDE Minist re de l cologie du D veloppement Durable et de l nergie 45 Minist re des Affaires trang res de Finlande 30 MPM Marseille Provence M tropole 50 53 PNUD Programme des Nations Unies pour Le D veloppement 28 29 39 Principaut de Monaco 23 R gion Provence Alpes C te d Azur 45 46 47 48 49 50 51 52 R gion Rh ne Alpes 39 59 SCAC Service de coop ration et d action culturelle de l Ambassade de France 56 TATE 36 TEI Institut tha landais pour l environnement 31 Union europ enne 16 23 25 36 38 41 42 43 44 53 58 59 WECF Les femmes d Europe pour un avenir commun 25 44 72 GERES e Rapport d activit 2013 PARTENAIRES TECHNIQUES 13 Habitat France 42 ABERME Agence b ninoise d lectrification rurale et de ma trise de l nergie 38 ACBAR Organe de coordination des secours et de d veloppement en Afghanistan 21 Accueil et Rencontres 50 ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie 49 53 ADEME Direction r gionale Provence Alpes C te d Azur 46 52 ADEREE Agence de D veloppement des nergies Renouvelables et de l Efficacit nerg tique 53 ADIL Agence d partementale pour l information sur le l
106. ndent directement de La question de l nergie et de son acc s En ce sens l initiative SE4AL Sustainable Energy for Al lanc e par le Secr taire g n ral des Nations Unies en septembre 2012 invite d ici 2030 fournir un acc s l nergie tous avec l objectif de doubler l efficacit nerg tique et la part des nergies renouvelables dans le bouquet nerg tique mondial Consid rant qu elle est un vecteur majeur du d veloppement conomique et social le GERES met l nergie au c ur de sa mission pour activer Les leviers suivants L NERGIE MOTEUR DU D VELOPPEMENT CONOMIQUE ET DE L ENTREPRENEURIAT SOCIAL Envisag e sous l angle conomique l nergie est un levier fondamental IL est maintenant reconnu par les plus hautes instances internationales que la capacit de d veloppement conomique des populations E w d pend essentiellement de leur situation nerg tique En outre il est n cessaire de b n ficier d une nergie fiable disponible et abordable pour cr er des activit s productives et g n ratrices de revenus Dans son postulat de d part le GERES envisage l nergie en par ticulier Le couple efficacit ner g tique et nergie renouvelable comme un vecteur puissant de d veloppement conomique de long terme En favorisant l acc s l nergie gr ce l installation de technolo gies adapt es le GERES permet par exemple des milliers d entre preneurs
107. nsable des d chets de jardin L organisation de deux lt Tourn es du Com post a par ailleurs t soutenue par le Conseil g n ral des Bouches du Rh ne et l ADEME PACA Communaut de Communes Luberon Monts de Vaucluse Animation de la fili re compostage en r gion PACA La Mission Compostage PACA a pour objectif de rassembler les acteurs r gionaux de la fili re sur certains sujets qui peuvent constituer des freins la qualit des intrants les usages et d bouch s contr le qualit r flexion sur le marketing du com post bases de pr conisation agronomique Le site internet www compostage paca fr s adresse aux acteurs selon leurs activit s utilisateurs de com post exploitants d installation de compostage et producteurs de mati res organiques r siduelles la qualit des composts produits qui d termine le bon fonctionnement de la fili re tant li e toutes les tapes du compostage Le site pr sente l ensemble des documents cr s tout au long de l activit de la Mission Compostage des r f rences r glemen taires et de nombreux liens vers d autres sources d informations utiles aux acteurs Une large campagne de presse a permis de faire conna tre la parution du site en mars 2013 Valorisation des huiles alimentaires usag es Depuis 2013 le GERES encourage l mergence d une activit de valorisation des huiles alimentaires usag es port e par lassociation Ol o D clic L ass
108. nstruction pour r aliser o repro duire facilement la technologie http www geres eu images publications catalogue tajikis tan en pdf GERES e Rapport d activit 2013 61 OUTIL DE CALCUL EN LIGNE DU POTENTIEL FINANCE CARBONE D UN PROJET Accessible depuis la plateforme Finance carbone de l Alliance glo bale pour les foyers am lior s GACC l outil de calcul du potentiel de financement carbone des projets vous permettra de mener une tude de faisabilit compl te depuis l ligibilit de votre projet jusqu son analyse financi re et selon les m thodologies du MDP m canisme de d veloppement propre et du Gold Standard Ce calculateur en ligne a t con u afin de r pondre aux besoins des porteurs de projet il s adresse aussi bien LC memm mj paa priini lg i nj e E D E amia e des sp cialistes de la finance carbone poss dant une connaissance EN avanc e des d tails techniques du projet et recherchant une valua Wiikin tion pr cise du potentiel de financement carbone de ce projet ER ENEA ESA e des n ophytes poss dant les informations de base sur le projet et ce Da ee masana pee ma ren maca ma qui souhaitent obtenir une premi re estimation de son potentiel de EE en financement carbone ne http carbonfinanceforcookstoves org tools screening tool MALLETTE CLIMTERR ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES La mallette est un outil p dagogique financ par la r gion Rh ne Alpes de
109. ociation qui teste le traitement par filtration d cantation passive d huiles alimentaires usag es collect es aupr s de restaurateurs du centre ville de Marseille souhaite d velopper et consolider son activit L objectif est de valoriser les huiles filtr es comme combustible pour chaudi res avec des d bouch s locaux En 2012 avec les financements de la R gion PACA et la CPA elle fait appel au GERES pour une pres tation d appui la r alisation d une tude pr alable sur la zone Aix Aubagne Marseille concernant les points suivants le gisement mobilisable les pratiques actuelles des op rateurs de la fili re fournisseurs et r cup rateurs la r glementation sur toutes les tapes de l activit collecte transformation valori sation l tat des lieux sur les exp riences similaires existantes l analyse des mesures atmosph riques et la recherche de solutions pour les r sidus de filtration Cette premi re phase d tude doit aboutir des aides financi res pour les quipements n cessaires au d ve loppement de l activit gt 8 du gisement d huiles alimentaires usag es 1 600 000 litres permettrait de viabiliser l activit d Ol o D clic FRANCE PARTENAIRES FINANCIERS e ADEME PACA Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie e R gion Provence Alpes C te d Azur PARTENAIRES TECHNIQUES e Orgaterre Alain Vigier coordinateur Ol o D clic Gr c
110. ogement 46 ADL Chefchaouen Association de d veloppement local de Chefchaouen 56 Administration foresti re des provinces de Pursat Battambang Kampong speu Kampong Chhnang 28 30 31 Administration foresti re du Cambodge 28 29 30 31 33 AERMC Agence de l eau Rh ne M diterran e Corse 48 AFHTA Assoc iation fondation pour l humain terroirs et alternatives 55 Al Environnement 58 AMADER Agence malienne pour le d veloppement de l nergie domestique et de l lectrification rurale 16 35 AMEDD Association malienne d veil au d veloppement durable 36 37 ANADEB Agence nationale de D veloppement des biocarburants du Mali 37 APEAS Agence proven ale pour une conomie alternative et solidaire 50 Arbonaut 30 ARC Association des responsables de copropri t s 46 41 ARCBDT Association r gionale de Casablanca des bains et douches traditionnels 56 ASDP Nau Agence pour le soutien au processus de d veloppement 25 Association Rif pour le d veloppement local et durable Bellota 55 AVSF Agronomes et V t rinaires sans Fronti res 23 39 59 60 Banque asiatique de d veloppement 16 Banque mondiale 10 16 36 58 BDM B timents durables m diterran ens 46 Bureaux provinciaux en charge de l nergie des provinces Pursat Battambang Kampong speu Kampong Chhnang 28 CAPEB 13 Conf d ration de l artisanat et des petites entreprises du b timent des Bouches du Rh ne 47
111. olation des murs et la pose du double vitrage Efficacit Energ tique et Bioclimatisme dans l Habitat Les familles tadjikes consacrent 20 de leur bud get l achat de combustible Cela est principalement d une mauvaise isolation de habitat et l ineffi cacit des quipements de chauffage et de cuisson En 2013 le GERES a form 31 femmes artisanes aux techniques de fabrication des foyers de cuisson am lior s dits Nepali Stoves Ils consomment moins de combustible que les foyers habituellement utilis s au Tadjikistan Le GERES a aussi form 20 menuisiers la construction des fe n tres double vitrage Dans 200 maisons le confort int rieur a augment gr ce l isolation des fen tres PARTENAIRES FINANCIERS e UE Union Europ enne e GIZ Soci t allemande de coop ration internationale e Fondation Abb Pierre e WECF Les femmes d Europe pour un avenir commun PARTENAIRES TECHNIQUES e ASDP Nau Agence pour le soutien au processus de d veloppement e WECF Les femmes d Europe pour un avenir commun des murs et du toit En 2014 les artisans locaux se ront form s aux techniques de commercialisation et de gestion d entreprise afin d augmenter sur le moyen terme la vente des foyers am lior s et des fen tres double vitrage Par ailleurs le GERES for mera 70 nouveaux artisans aux solutions conomes en nergie D ici mars 2015 le GERES aura diffus 600 foyers de cuisson
112. ons des M thodes de d veloppement 36 37 58 60 Jardilien 50 LAHDC Conseil de d veloppement Colline autonome de Leh 26 Le Loubatas 45 Le Partenariat de Saint Louis 39 LEDeG Groupe D veloppement cologique de Leh 26 59 LEHO Ladakh et sant 26 59 Les Jardins de l Esp rance 50 LIRE Institut du Laos pour les nergies renouvelables 16 33 Madera 22 58 Magasin Castorama de Saint Loup 50 Mairie de Meyrargues 50 Mairie de Simiane 50 Mairies des 9 communes du d partement du Zou 38 Maison R gionale de l Eau 48 49 MIME Minist re cambodgien de l Industrie des Mines et de l nergie 28 29 30 Mlup baitong 28 33 MOE Minist re cambodgien en charge de l environnement 28 Municipalit de Kaboul 21 Municipalit de Lakatamia 41 Naturoscope 50 NECU Centre national cologique d Ukraine 44 Ol o D clic 51 ONEMA Office national de l eau et des milieux aquatiques 48 Orgaterre 51 Peppermint 50 PlaNet Finance 56 Plan te Bois 38 53 PPZS P le Pastoral Zones S ches 39 Qualibat 47 Qualit EnR At REFOCTC Centre de formation r gional des communaut s foresti res 28 R gion Provence Alpes C te d Azur 48 R seau national des EE 46 R seau r gional des EIE en PACA Ab SAB Solidarit Afghanistan Belgique 21 SDCA Centre de d veloppement social d Akhaltsikhe G orgie 44 SNV Fondation n erlandaise des volontaires 1
113. ort 2012 Cette volution s explique principalement par Le rattachement du programme COSolidaire au p le Communication et Fundraising du si ge en 2013 alors que celui ci tait pr c demment rattach l Unit Climat Ainsi Les frais de fonctionnement int grant les frais de communication et les frais de collecte et de recherche de fonds priv s ont augment respectivement de 12 et 78 entre 2012 et 2013 La mission sociale repr sente 85 du budget global en baisse de 15 par rapport 2012 Cette variation englobe toutefois de grandes disparit s entre les r gions Les activit s Biomasse nergie ont connu un ralentissement en Asie du Sud Est avec l arr t du projet phare New Lao Stove courant 2013 Ce ralentissement conjugu l impact des critures de stock sur le budget 2012 de l ordre de 1 5 M a impliqu une baisse budg taire de 38 entre 2012 et 2013 Plusieurs projets men s en France et dans les pays de la M diterran e Maroc et gypte sont arriv s Leur terme courant 2013 d o une baisse respective du volume d activit s de 19 et 48 De nouvelles activit s Habitat Bioclimatique ont d marr en Asie Centrale en 2013 avec le lancement du programme Central Highlands en Afghanistan L augmentation de 156 du budget de l unit Expertises s explique principalement par l essor du programme StovePlus initi la mi 2012 GERES e Rapport d activit 2013 R PARTITION DES EMPLOIS EN 2
114. otre approche technicienne nous pr voyons de renforcer Les actions conjuguant les piliers D veloppement conomique et Politiques publiques Quant au pilier Climat il gagnera en visibilit avec notre participation aux d bats publics et le renforcement des actions de plaidoyer en France et l international men es avec les ONG qui luttent contre les changements climatiques Sur le plan g ographique nous r affirmons notre ancrage dans quatre grandes r gions Au del nous renfor ons aussi des modes d action transverses sur des territoires loign s les uns des autres mais connaissant des probl matiques similaires La diffusion massive de foyers de cuisson conomes en est une illustration Dans le m me esprit nous souhaitons structurer un nouveau programme d di au d veloppement conomique en accentuant le r le du secteur priv dans nos zones d intervention Par ailleurs nous souhaitons largir nos actions men es sous la forme de prestations de services toujours en lien avec nos domaines d expertise Celles ci seront compl mentaires de la mise en uvre de nos projets sur le terrain Enfin nous consolidons des domaines d excellence dans chaque r gion en structurant nos savoirs l chelle r gionale afin de maintenir un haut niveau d impacts sur nos projets et de rester un acteur de r f rence sur nos th matiques cl s Ces orientations ambitieuses sont enthousiasmantes Nous tenons
115. our la Recherche Internationale en Agriculture e APFED Forum Asie Pacifique pour l Environne ment et le D veloppement e TEI Institut Tha landais pour l Environnement PARTENAIRES TECHNIQUES e Administration foresti re du Cambodge e Administration foresti re de Kampong Chhnang GERES e Rapport d activit 2013 31 CAMBODGE Viabilit des solutions Narein SOURN Sovannak enterprise Je me suis rendu compte que ce n ta it pas simple de g rer une entreprise Mais vendant les 6 mois d incubation j ai re u le soutien technique et moral qui ma permis de r ussir Aujourd hui jemploie des gens et je suis fier de permettre aux petits producteurs de sucre d am liorer leur niveau de vie gr ce mon entreprise h INDICATEURS amp IMPACTS gt 2entrepreneurs sociaux form s par le GERES ont repris des activit s durables 32 GERES Rapport d activit 2013 par le a transfert au secteur priv Ce conducteur est employ par l entreprise sociale SGFE Soutenue par le GERES avant de devenir compl tement ind pendante l entreprise a re u le prix de la d forestation vit e par la fondation Ashden Award en mai 2014 Au Cambodge le secteur priv a toujours t au c ur des interventions d ploy es par le GERES sur le terrain Il permet que les solutions puissent tre adopt es et se p renniser au del de P ch ance du projet port par PONG En per manence
116. ources gt Les emplois EMPLOIS Mission sociale 8 009 359 85 9 466 537 France amp Europe 954 789 10 1184 159 Pays en D veloppement 7 054 570 15 8 282 378 M diterran e 184 173 2 355 615 Asie Centrale 1 618 03 17 1 237 140 Asie du Sud Est 2953137 32 4 11 4 961 Afrique de l Ouest 1 01 605 18 1 681 923 Expertises Unit Climat 8 StovePlus 596 952 6 232 739 Frais de si ge 1148 600 12 992 886 Frais de collecte et de recherche de fonds priv s 107 322 1 60 418 Frais de fonctionnement 1 016 387 11 907 332 Provisions 24733 0 3 24 350 Charges exceptionnelles 158 0 1 786 Engagements r aliser 263 495 3 110 610 Exc dent de l exercice 0 cart Affectation des dons 2013 2012 collect s aupr s du public en 2013 90 15 151 155 e 19 15 527 s 15 135 628 3 48 12 31 65392 45 38 55110 ee 1 15126 2 156 24 16 32 947 0 6 78 32 947 9 12 0 2 2 0 1 80 1 138 0 Le budget 2013 atteint 9 4 M Il est en baisse de 11 par rapport 2012 Pour rappel l ann e 2012 avait t marqu e par un changement de m thode comptable li e la constatation du stock de cr dits carbone g n r s par le projet de foyers am lior s au Cambodge qui avait artificiellement augment Le budget 2012 Le budget effectif d activit s reste stable 7 7 M en l g re augmentation de 1 par rapport 2012 Les frais de si ge repr sentent 12 du budget global en hausse de 16 par rapp
117. pter les bonnes pratiques se mettre la gestion co responsable des d chets tape par tape dans le respect des obligations r glementaires d un coll ge Con u comme une bo te outils iL permet d engager des actions concr tes de BE e ce ge gestion des d chets au sein des tablissements selon Le rythme et dans les domaines souhait s SITE INTERNET LE COMPOSTAGE EN PROVENCE LS SAR Pilu Lite Art ALPES C TE D AZUR Afin de promouvoir la qualit toutes les tapes ce site rassemble les informations et outils sp ci figues n cessaires aux diff rents acteurs de la fi li re Les utilisateurs de composts Les exploitants d installations de compostage et les producteurs de d chets organiques IL permet de diffuser les tudes et les documents issus des formations groupes de travail et journ es techniques organis s par la Mission d animation WWwW compostage paca fr CATALOGUE TADJIK DES TECHNIQUES EFFICACES 9 MANI RES D ECONOMISER L ENERGIE Disponible en anglais tadjik et ouzbek ce cata logue pr sente toutes les technologies promues geres par CERES au Tadjikistan destination des profes sionnels artisans et des populations locales b n 9 ways of saving energy ficiaires des constructions et technologies sobres wm en carbone Pour chacune des neuf technologies un manuel d instruction d taill d cline lt pas pas gt les r gles de co
118. ques raison n es durables et plus efficaces nerg tiquement Ce centre qui a vu le jour en 2013 met aussi en d monstration l ensemble des solutions que le GERES met en uvre au Cambodge techniques d agro colo gie bassin de r tention d eau haies vives aire de com postage p pini re fours conomes pour la production de sucre de palme une activit g n ratrice de revenus pour beaucoup de paysans pendant la saison s che foyers de cuisson domestique performants Les villageois sont invit s se rendre r guli rement au centre dont les portes sont toujours ouvertes et o ils peuvent venir observer les impacts des pratiques pr conis es au fil du temps Des supports visuels et une permanence sur place leur fournissent information et conseils pour optimiser leur activit M IMPACTS DU PROJET gt 3 p pini ristes ind pendants g rent leur micro entreprise gt 51 paysans ont suivi le programme de formation l agro cologie CAMBODGE Vorn SOKNA agricultrice province de Kampong Chhnang Avec le G RES nous avons t bien form s nous savons maintenant exactement guand est la bonne saison pour planter comment obtenir de hauts rendements et comment produire du compost Je veux maintenant partager ce que j ai appris avec d autres membres de ma communaut PARTENAIRES FINANCIERS e CARF Fonds Cambodgien pour la Recherche en Agriculture e ACIAR Centre Australien p
119. r la valorisation des d chets organiques d activit professionnelle oblige progressivement les producteurs non m nagers trier et traiter leurs biod chets par voie de m tha nisation ou compostage Or le parc d installations r gional existant et en projet ne permet pas encore d absorber les flux de ces nouveaux gros producteurs qui cherchent des solutions locales De plus le r cent rappel sur l interdiction r glementaire de br lage des d chets verts va contribuer l augmentation des quantit s de mati res organiques g rer Le contexte actuel s av re favorable tant sur le plan politique qu conomique que ce soit dans le cadre de la Transition nerg tique que celui du Plan Natio nal Biogaz et du plan EMAA nergie m thanisation autonomie azote annonc s le biogaz joue un r le important En lien avec le digestat produit et l int r t grandissant pour l injection et le bio GNV cette PARTENAIRES FINANCIERS e ADEME Direction r gionale Provence Alpes C te d Azur e R gion Provence Alpes C te d Azur PARTENAIRES TECHNIQUES Solagro technologie est donc la fois une fili re alternative de traitement des d chets organiques et une fili re de production d nergie renouvelable Elle constitue une technologie majeure pour la mise en uvre de la transition nerg tique En 2013 le GERES a poursuivi sa mission d appui la fili re biogaz et d accompagnement des porteur
120. r le prix du gasoil est trop cher C est l que la fili re de proximit de jatropha trouve toute sa pertinence produire et ma triser l chelle locale son co t d acc s l nergie r A st V d me ee NS 1 e N d s ss N ME el ENEE EE A A I Bi Z mt LEX S D A WW e e k p ONSE ae de 011 KL e a a Un moulin aliment l huile de jatropha transforme en mouture les produits agricoles de 20 concessions alentour Une concession est compos e de 25 30 personnes en moyenne PARTENAIRES FINANCIERS e Union europ enne e FFEM Fonds fran ais pour l environnement mondial e ADEME Agence de l environnement et de la maitrise de l nergie e Banque mondiale e Fondation Prince Albert ll de Monaco e Fondation Veolia Environnement e Fondation Poweo e Direction g n rale de l nergie au B nin e Hub rural e TATE e JatroREF R f rentiels pour des fili res agrocarburants durables R seau JatroREF 2013 fut une ann e de pleine production de notes de r f rence pour les 5 p les th matiques d finis en 2012 potentiel agronomique du jatropha syst mes de production et fili res finance carbone produc tion Huile V g tale Pure et son utilisation dans les moteurs Ces documents sont bas s sur les exp riences des projets membres du r seau et constituent m w R union de r seau des partenaires de JatroREF PARTENAIRES TECHNIQUES e IRAM Ins
121. ran e Corse 49 Air france KLM Flying Blue Anah Agence nationale de l habitat 47 Banque mondiale 10 16 36 58 APFED Forum Asie Pacifique pour l Environnement et le D veloppement 31 blue moon fund 29 CARE Fonds cambodgien pour la recherche en agriculture 31 Communaut d agglom ration du pays d Aubagne et de l toile 45 46 Communaut de communes Provence Luberon Durance 50 Communaut du Pays d Aix 50 Conseil g n ral des Bouches du Rh ne 46 50 Cr dit Coop ratif 35 Direction g n rale de l nergie au B nin 36 EDF 38 43 EEP Partenariat pour l nergie et l environnement du M kong 30 ESIA 50 F3E Fonds pour la promotion des tudes pr alables des tudes transversales et des valuations 60 FEM Fonds pour l environnement mondial 286 29 FFEM Fonds Fran ais pour l Environnement Mondial 16 28 29 36 54 90 Fondation Abb Pierre 21 25 26 43 Fondation Ensemble 26 Fondation Legallais 21 Fondation Lord Michelham of Hellingly 35 38 Fondation Macif 43 54 Fondation Poweo 36 38 54 Fondation Prince Albert II de Monaco 18 35 36 54 58 Fondation Raja Dani le Marcovici 38 Fondation Veolia Environnement 36 54 Fonds de dotation Humus 23 Fonds de dotation ltancia 50 54 Fonds de dotation Solinergy 43 Fonds de dotation Synergie Solaire 23 38 Fonds nordiques de d veloppement 30 GEODIS 56 GIZ Soci t allema
122. ransactionnelle de 122 k Ils correspondent enfin pour 122 k une indemnit transactionnelle obtenue suite la Vente de biens et de services W Suivi des ressources collect es aupr s du public et utilis es en 2013 cart 2013 2012 9 1 58 1702 50 55 68 166 31 345 ORIGINE DES RESSOURCES EN 2013 Report des ressources non Autres revenus 2 m d activit s Es Subventions priv es rupture d un contrat de vente de cr dits carbone et affect e au projet ayant g n r les cr dits La reprise de fonds d di s de 553 k correspond principalement l affectation de fonds de r serve issus de la vente de cr dits carbone et non consomm s au cours des ann es pr c dentes Ils concernent les projets Cambodge GERES e Rapport d activit 2013 r alis es des ann es ant rieures D ficit de l exercice Subventions publiques 67 cart ACTIF NET en 2013 2012 2013 2012 Immobilisations incorporelles 2373 Immobilisations corporelles 44 021 64 687 32 Immobilisations financi res cautions 21371 7 490 185 TOTAL ACTIF NET IMMOBILISE EN 67 765 72177 6 Encours de production de services 54 602 Stock de produit finis et marchandises 1 439 130 917 889 57 Cr ances diverses 15 287 012 6 977 581 119 Produits recevoir 348 537 590 963 41 Charges constat es d avance 31 642 24 241 31 Disponibilit s 890 054 1 543 926 42 TOTAL ACTIF CIRCULANT EN 18 050 9
123. rches et d Appli cations des M thodes de d veloppement e South Pole Carbon e Al Environnement M INDICATEURS S IMPACTS gt 170 345 TeqCO2 ont t vit es au Cambodge entre janvier et mai 2013 gr ce au projet NLS Gr goire Gailly chef de projet ALTERRE au Mali La formation Dakar a t tr s riche en changes entre les porteurs de projets de la sous r gion Elle m a aid mieux cerner les difficult s partag es entre les op rateurs sur la culture du Jatropha en milieu paysan Malgr la complexit du sujet la formation a permis de prendre connaissance des diff rentes possibilit s de casser les id es re ues et d aider les participants analyser les r alit s du march carbone 58 GERESe Rapport d activit 2013 Derni re v rification des missions et des cr dits carbone avec l quipe du projet NLS au Cambodge en ao t 2013 Fin de la p riode d accr ditation de 10 ans Le d veloppement de projets carbone est au c ur des activit s de l Unit Climat Ces pro jets ont pour objectif de valoriser les r ductions d missions de gaz effet de serre et leur s ques tration Les experts travaillent au d veloppement de m thodes de calcul innovantes et adapt es aux r alit s du terrain L quipe climat a aussi pour objectif de partager les connaissances acquises avec les porteurs de projets travers la diffusion de contenus p dagogiques En
124. re d un appel d offres l quipe form e par le GERES Viviane Hamon Conseil et In Vivo D but e en 2013 l tude comprend une premi re phase de diagnostic avec notamment des entre tiens d acteurs puis une phase de co construc tion des recommandations au sein d un groupe de travail r unissant des conomes de flux des conseillers en nergie partag s des responsables de structures des lus le rendu de l tude est pr vu fin 2014 Installation technique visit e par Les conomes de flux Diffusion d quipements performants via la microfinance Fre e m F J Promotion of Renewable Energy and Energy Efficiency through Microfinance d Formation d lectriciens et de vendeurs l efficacit nerg tique Tanger Maroc Geen aimante bor SON ET BIS Les institutions financi res ont un r le essentiel jouer dans la transition nerg tique d une part pour financer l acquisition d quipements performants en moyenne plus co teux l achat que les quipements nergi vores et d autre part pour informer et convaincre de Pin t r t conomique de ces inves tissements long terme La pro motion de la ma trise de l nergie par les banques et plus particu li rement par les institutions de microfinance IMF prend tout son sens En effet les IMF ont de vastes r seaux d agences en zone urbaine et rurale souvent dans des endroits o les autres acteurs
125. rection r gionale Provence Alpes c te d Azur e R gion Provence Alpes C te d Azur PARTENAIRES TECHNIQUES e AERMC Agence de l Eau Rh ne M diterran e Corse e R gion Provence Alpe C te d Azur e DREAL PACA Direction R gionale de l Environnement de l Am nagement et du Logement Provence Alpes C te d Azur e Maison R gionale de l Eau e ONEMA Office National de l Eau et des Milieux Aquatiques i INDICATEURS amp IMPACTS gt 26 acteurs volontaires pour accompagner les porteurs de projets en utilisant les outils PH E gt Les principaux r seaux de la r gion PACA collectivit s laur ates AGIR r seau Climat conomes de flux et conseillers en nergie partag s conseillers EIE diffusent les outils PH E AR GERESe Rapport d activit 2013 tion et la production d outils Petite hydro lectricit et environnement en PACA PH E En 2013 le GERES a amorc la phase 4 de la mission PH E Son enjeu est la transmission aupr s d acteurs relais des lutin H E e i outils d velopp s en 2011 2012 le guide m thodologique PH E des fiches d tude de cas des mod les de cahiers des charges et un mod le de diagnostic d opportunit simplifi pour r alisation en autonomie Une action impor pouvaient tre ces acteurs relais qui sont ce jour les bureaux d tudes d une part et les tiers neutres d autre part charg s de mission PCET EIE co nomes de flux conseillers
126. res consolid s sont pr sent s dans le compte emploi des ressources EUROPE M DITERRANNN E 21 A ASIE CENTRALE 21 n ET AFRIQUE DE L OUEST ae ASIE DU SUD EST 64 GERES Rapport d activit 2013 L analyse financi re Le budget 2013 atteint 9 4 M Le budget effectif d activit s d un montant inf rieur se comprend en termes de d penses effectivement engag es Il ignore donc les provisions les critures de valorisation du stock ainsi que les fonds d di s Les emplois La r partition des emplois montre une pr pond rance de la r gion Asie du Sud Est 32 du budget global Rapport s au budget effectif d activit s Les emplois sont quilibr s entre les 3 grandes r gions du GERES l Asie Centrale l Asie du Sud Est et l Afrique de l Ouest repr sentent respectivement 21 20 et21 La r gion Europe M diterran e et l unit transversale th matique Expertises atteignent respectivement 15 et 8 du budget effectif d activit s Les frais de si ge repr sentent 12 du budget global Les ressources La part des ressources publiques augmente en 2013 et atteint 46 du total des ressources Les subventions priv es et dons obtenus du grand public restent constants entre 2012 et 2013 Des moyens suppl mentaires ayant t allou s la recherche de subventions priv es et la collecte de dons individuels en 2013 des r sultats sont attendus pour 2014 Les revenus li s la finance carbone
127. rogramme des Nations Unies pour le d veloppement e FEM Fonds pour l Environnement Mondial e CO Solidaire amp NBO PARTENAIRES TECHNIQUES e Administration foresti re du Cambodge e ICS institut des standards du Cambodge e MIME Minist re cambodgien de l Indus trie des Mines et de l nergie LA FONDATION DES NATIONS UNIES ORGANISE LE FORUM CLEAN COOKING 2013 AVEC LE GERES Le r seau international Alliance mon diale pour les foyers de cuisson am lior s a choisi Phnom Penh comme ville d accueil pour son forum bisan nuel 500 professionnels du secteur se sont r unis pour changer leurs bonnes pratiques et d couvrir la r us site des projets du GERES Une belle reconnaissance pour le travail accom pli et beaucoup de fiert partag e par l quipe locale GERES e Rapport d activit 2013 29 CAMBODGE Production de charbon PARTENAIRES FINANCIERS e EEP Energy and Environment Partner ship Mekong e Minist re des Affaires trang res de Finlande e Fonds nordiques de d veloppement PARTENAIRES TECHNIQUES e VITRI d partement des sciences de la for t Universit de Helsinki e Arbonaut e MIME Minist re cambodgien de l Indus trie des Mines et de l nergie e Administration foresti re du Cambodge e Administration foresti re de Pursat et Kampong Chhnang IMPACTS DU PROJET gt 68 villageois investis dans la production de charbon vert gt 11 258
128. rr a t pr sent e dans un kit de 7 fiches p dagogiques d taillant les 6 tapes pour mettre en uvre ou faire r aliser avec un cahier des charges pr cis les analyses de vuln rabilit s L ensemble des outils a t r uni dans une mallette p dagogique et pr sent lors d un v nement au Minist re de l Environne ment s n galais Le 10 d cembre 2013 en pr sence de M Oumar Youm Ministre des collectivit s locales M Jean Jack Queyranne Pr sident R gion Rh ne Alpes M Adama Gueye Pr sident de l Entente interr gionale du Ferlo d accompagner l adaptation des territoires et des populations aux impacts des d r glements clima tiques Le GERES via son Unit Climat contribue activement cet accompagnement sur le terrain L Hib G Gt Pi GUESS HOTE En 2013 Unit Climat a pilot le programme ClimTerr au S n gal avec pour finalit la consolida tion des acquis de 2012 L objectif tait de renforcer les capacit s des acteurs r gionaux de l Entente in terr gionale du Ferlo Les agents territoriaux ont donc t form s au cours de plusieurs sessions la d marche de diagnostic labor dans le cadre du programme L Unit Climat a galement contribu en Afghanistan la mise en uvre d un diagnostic territorial incluant la dimen sion climat lors de la phase de d marrage du programme lt Cen tral Highlands Au Tadjikistan l quipe a appuy la r alis
129. rs de projets afin de promouvoir un carbone thique et transparent 2013 aura galement t une ann e cr ative dans ses actions de sensibilisation Dans la continuit du tra vail de vulgarisation d but en 2012 pour expliquer le principe de Solidarit climatique et la compen sation carbone CO Solidaire a contribu la pro duction de 4 vid os de pr sentation des projets qui peuvent tre soutenus cause de la crise conjoncturelle et de leurs diffi cult s conomiques certaines entreprises n ont pas Atelier d innovation sur La Solidarit climatique aux lt Rencontres Partenaires gt en avril 2013 pu reconduire leur partenariat cette ann e Dans le m me temps des conventions substantielles sont arriv es leur terme Mais malgr cet environne ment fragile CO Solidaire continue d accueillir de nouveaux partenaires 13 nouvelles structures se sont engag es nos c t s en 2013 Parmi elles la Fondation Prince Albert II de Monaco la R gion Nord Pas de Calais et certains v nements d envergure tels que le Sommet Ecocity ou le Sommet de l lys e pour la Paix et la S curit en Afrique En 2014 CO Solidaire f tera ses 10 ans de pro gramme Un anniversaire que nous c l brerons avec tous nos partenaires en imaginant les projets de la prochaine d cennie INDICATEURS S IMPACTS gt 132 partenaires dont 13 nouvelles structures engag s dans la Solidarit climatique en 2013 gt 11
130. rs sont les premiers ambassadeurs du projet aupr s des femmes qui r coltent les graines et pro duisent du savon base de s diments coproduit de l extraction d huile En perspective un travail d or ganisation et de concertation des acteurs locaux l chelle communale pour impliquer chaque groupe producteurs meuniers femmes saponificatrices gestionnaires d unit et lus locaux dans la gestion d une fili re locale et assurer la p rennit cono mique des unit s AU B NIN La grande s cheresse de 2013 au B nin a fortement impact la production de graines de jatropha en 2013 et de ce fait la r colte 2013 a stagn au m me niveau que l ann e pr c dente Cependant l entrepreneur priv continue de s investir dans la gestion de l unit d extraction d huile d Assiangbomey De m me qu au Mali les tests de fonctionnement r alis s aupr s des meuniers ont t concluants et les meuniers sont maintenant les premiers ambassadeurs du projet En 2014 sont pr vus l ajustement des relations fonction nelles et commerciales entre les acteurs ainsi que l accompagnement de chacun d eux vers la viabilit de l unit d extraction et de la fili re 36 GERES Rapport d activit 2013 Bougouna SOGOBA Directeur AMEDD Koutiala Mali Dans la zone de Kons gu la plus de 90 des moulins servant la pr paration des repas familiaux sont l arr t les femmes retournent au pilon ca
131. rve en gt Haute Savoie Es Ki Fo 28 S S unn l D 2 SENEGAL D LA R alisation d u d un atlas de vulr l Entente interr ee D et laboration p dagogique de agents territoriaux tion pour les r foresti re et d MALI En lien avec le projet CEnAO Climat et nergie en Afrique de sur La comptabilisation d s gaz effet de l Ouest montage d un programme de r ductions de gaz effet de serre r sultant de la gestion foresti re serre r alisation des tudes et structuration sur la gouvernance du programme business plan validation pour la certification carbone et g n ration des cr dits carbone AFRIQUE DE L OUEST Animation d un p le d expertise sur la finance carbone dans le cadre du projet JatrokRef fili res agrocarburants paysans et formation sur la finance carbone au Mali juin 2013 et au S n gal novembre 2013 Participation un atelier r gional sur cette th matique avec les porteurs de projets GERES e Rapport d activit 2013 UNIT CLIMAT Accompagnement de projets sobres en carbone PARTENAIRES FINANCIERS e Banque Mondiale e Union europ enne e FFEM Fonds Fran ais pour l Environne ment Mondial e AFD Agence Fran aise de D veloppement e ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie e Fondation Prince Albert ll de Monaco KW PARTENAIRES TECHNIQUES e IRAM Institut de Reche
132. s gt 32 de ressources priv es non lucratives subventions dons et divers 9 de revenus finance carbone et 2 de revenus priv s issus de prestations de service Les produits fiscalis s repr sentent ainsi 17 du total des ressources effectives d activit s en 2013 6 et 2 sur les prestations de service et 9 sur la finance carbone ORIGINE DES RESSOURCES EFFECTIVES D ACTIVIT EN 2013 FONDS PUBLICS FONDS PRIV S jiji RS o S Subventions publiques 51 D D D TR esssosssoussse restations priv es 2 Prestations publiques 6 aeeeseeeseeeeseeeeseeeeseeeeseeeeseeeseeeeee Perspectives 2014 Perspectives et budget pr visionnel EN AFRIQUE DE L OUEST En 2014 les programmes d acc s l nergie en zone rurale et d efficacit nerg tique se poursuivent et mettent l accent sur l accompa gnement des acteurs conomiques du territoire afin de viabiliser Les solutions technologiques test es Ainsi le Wassa s impose sur Les mar ch s maliens comme le foyer conome de r f rence produit et diffus par Les artisans locaux En milieu rural malien et b ninois les op rateurs conomiques s organisent autour de zones d activit s lectrifi es ZAE pour faciliter leur acc s l nergie et d velopper leurs activit s au b n fice des populations alentour artisanat transformation agroali mentaire services EN EUROPE M DITERRAN E Apr s une ann
133. s cheresse et inondations menacent leurs r coltes et mettent en p ril leur activit Le projet area se d ploie en 3 volets Formation des paysans Le projet fournit ces petits agriculteurs une formation compl te sur des techniques d agro cologie et d agroforesterie Ces techniques leur permettent d am liorer la r sistance de leurs sols aux conditions climatiques de plus en plus extr mes tout en am liorant les rendements Sur l ann e 2013 le GERES aura coordonn l organi sation de 47 sessions de formation destin es 51 pay sans qui pourront leur tour partager les bonnes pra tiques avec leurs pairs Gestion de p pini res Pour favoriser la mise en application des bonnes pratiques en agro cologie propos es par le GERES et permettre la plantation d arbres dans la zone 3 p pini res commerciales ont t cr es Elles sont g r es par de petits entrepre neurs villageois avec le soutien technique et mat riel du GERES 42 000 jeunes plants ont ainsi t vendus aux paysans locaux g n rant un chiffre d affaires de 900 USD pour les p pini ristes Le centre de ressources et d information Alors que les sessions de formation permettent de d ve lopper la connaissance agro cologique des paysans le centre de ressources et d information propose des services compl mentaires d accompagnement tous les villageois qui le souhaitent am lioration des techniques agricoles adoption des prati
134. s de projet faisant d sormais l objet d un suivi et d un appui r guliers Les actions de veille technique et r glementaire se sont poursuivies Des volutions de W INDICATEURS amp IMPACTS la mission sont pr vues pour envisager son renouvel 32 porteurs de projet lement vers la sensibilisation et accompagnement accompagn s ou sensibilis s des acteurs ou des territoires dans la mise en uvre gt 22 d charges pr sentent ou non des installations de valorisation du biogaz de projets concrets gt 4 stations d puration pratiquant la m thanisation ont t recens es LES AVANTAGES DE LA M THANISATION e production d nergie renouvelable et d centralis e favorisant l autonomie nerg tique des territoires e r duction des missions de gaz effet de serre par substitution d une nergie fossile e r duction des missions de m thane li es au stockage des d chets et des effluents e r duction des volumes et meilleure gestion des d chets organiques e production d un fertilisant organique local e p rennisation des activit s agricoles et d veloppement rural GERES e Rapport d activit 2013 49 FRANCE PARTENAIRES FINANCIERS e ADEME Direction r gionale Provence Alpes C te d Azur e Conseil g n ral des Bouches du Rh ne e R gion Provence Alpes C te d Azur e MPM Marseille Provence M tropole e Communaut du Pays d Aix e Communaut de Communes Provence L
135. s forte d pendance nerg tique de la majorit de ceux ci contribue largement l affaiblissement conomique de cette zone ainsi que des conditions de vie de sa population L Europe de son c t rencontre encore bien des r ticences tourner le dos un mod le conomique et nerg tique obsol te et moribond pour entrer dans une v ritable transition nerg tique C est pourquoi Le GERES s emploie accompagner l ensemble des acteurs institutions fili res conomiques et population pour entrer dans une nouvelle re plus durable pour tous FRANCE En France nous sortons du d bat sur la transition nerg tique auquel Le GERES a contribu activement au sein de son Conseil National Nous attendons d sormais la loi qui en sera issue Bien que cette transi tion soit dans les discours les financements publics n y sont orient s qu la marge et toujours en baisse Mal gr cela nous continuons nous impliquer aupr s des familles les plus vuln rables en situation de pr carit nerg tique mais aussi en recr ant du lien social par exemple autour du compostage de proximit MAROC Conscient de la n cessit un v ritable tour nant en mati re nerg ti aroc est le th tre de nombreuses initiatives jumelage avec l ADEME accompagnement de ville strat gies nergie territoriale des b timents utilisation rationnelle de l nergie dans les ilotes dans l laboration de r glementation thermique
136. s partenaires et collaborateurs ayant particip l aventure z Stove Plus JUILLET nerg tiques et socio conomiques dans le pays Ir JUIN Lancement officiel pe du programme StovePlus l occasion du Forum International de la Cuisson Propre Bonn le G RES pr sente officiellement le programme SEPTEMBRE lee Er TENERE Passage grande chelle de la diffusion de maisons bioclimatiques en Afghanistan x Kaboul l engouement pour les technologies solaires passives et EE E Le forum des ONG internationales au Mali appelle une aide d urgence Cons cutivement la situation de crise au Mali Le G RES membre du FONGIM contribue l laboration de 6 recommandations afin d orienter efficacement l aide au d veloppement plus particuli rement la v randa fait des mules Le produit en milieu urbain r pond aux probl matiques Dans le m me temps un projet holistique de grande ampleur est lanc x dans le centre du pays en partenariat i avec l APD E NOVEMBRE i NOMEMBRE COP 19 Varsovie Carbone social et r le de la soci t civile en 2015 sont les deux sujets abord s par Le GERES la Conf rence des parties sur les changements climatiques au sommet de Varsovie GERES e Rapport d activit 2013 9 L acc s l nergie un besoin essentiel au d veloppement 5 des 8 Objectifs du Mill naire pour Le D veloppement d pe
137. s du R seau Compostage au jardin animations sur le compos tage de proximit il est n cessaire de faire voluer ce projet avec l ensemble des partenaires Pour cela le GERES s est rapproch de l APEAS afin de trouver des solutions d accompagnement externe Le choix s est port sur un dispositif local d accom pagnement financ par ESIA avec l intervention d un consultant pour construire un nouveau collectif ayant ses propres caract ristiques valeurs fonction nement offre et mod le conomique En parall le plusieurs op rations pilotes port es au nom du R seau Compostage au jardin ont t lanc es par le GERES compostage au coll ge de EL CA 5 cO C gme el eh ez ke CU le ECH c CU CO CU CH D 5 c C Op ration de compostage partag la r sidence des Arcoules Cavaillon H Simiane compostage dans le foyer de vie Vertes Collines pour adultes handicap s Marignane avec Accueil et Rencontres compostage de village dans le centre ancien de Meyrargues avec Peppermint com postage Yes We Camp avec pluchures lors de Mar seille Provence 2013 compostage en bas d immeuble pour la Communaut de Communes Provence Lube ron Durance avec pluchures Enfin une nouvelle convention a t engag e avec MPM pour mener 100 animations sur le compostage domestique et la gestion co respo
138. s par an d ici 2017 Des plateformes de La r novation nerg tique sont en train de se d velopper sur les territoires dans la perspective de faciliter la prise de d cision des particuliers et de les accompagner vers une r novation performante et globale Un engagement fort des institutions et des professionnels sera n anmoins n cessaire pour enclencher le changement d chelle attendu Accompagnement des petites copropri t s eCoPro H ai b i d A 8 83 des r sidences principales marseillaises sont en habitats collectifs soit un fort potentiel de r novation Le projet eCoPro d velopp par le GERES et le cabinet TEC permet de tester un mod le d accompagnement des petites copropri t s marseil nomies d nergie et la r alisation de travaux d effi laises pour favoriser l engagement des copropri taires vers plus d co cacit nerg tique Ce mod le qui s adresse aux copropri t s de moins de vingt lots repose sur une offre globale un bilan de la copropri t ses r sultats des pr conisations et des propositions de mise en relation avec des entreprises et artisans pour la r alisation d ventuels travaux Ces professionnels couvrent l ensemble des corps de m tiers pour la ma trise de l nergie dans l habitat Fin 2013 apr s une prospection d une trentaine de copropri t s via les syndics associations de syndics ou de copropri taires ou particuliers dire
139. s politiques territoriales bas es sur l efficacit nerg tique gt 866 600 habitants touch s par les campagnes de communication Mohammad WALI Menuisier Kaboul Avant NOUS tions sans activit pendant l t Avec le projet nous sommes tous tr s occup s Je ne peux pas faire le travail tout seul alors jai recrut 4 personnes pour m aider Cest un moyen de cr er des emplois PARTENAIRES FINANCIERS e AFD Agence Fran aise de D veloppement e Fondation Abb Pierre e Fondation Legallais PARTENAIRES TECHNIQUES e SAB Solidarit Afghanistan Belgique e ACBAR Organe de coordination des secours et de d veloppement en Afghanistan e Municipalit de Kaboul e Fondation Aga Khan LA V RANDA PI CE SUPPL MEN TAIRE OU JARDIN D HIVER Adjacente au c t sud de la maison la v randa tend significativement la surface habitable de La maison L hiver elle est une pi ce vivre tr s agr able o la temp rature moyenne se stabilise autour de 20 C pendant la journ e L t la couverture plas tique retir e La structure bois est transform e en terrasse ombrag e Les habitants s en servent pour sou tenir des plantes grimpantes GERES e Rapport d activit 2013 21 AFGHANISTAN PARTENAIRES FINANCIERS e AFD Agence Fran aise de D veloppement PARTENAIRES TECHNIQUES e MADERA e Solidarit s International UNE APPROCHE INT GR E DU D VELOPPEMENT RURAL Le tr
140. serres solaires passives et des celliers bioclimatiques MONGOLIE PARTENAIRES FINANCIERS e UE Union Europ enne e Principaut de Monaco Direction de la Coop ration Internationale e Fonds de dotation Humus e Fonds de dotation Synergie solaire PARTENAIRES TECHNIQUES e F d ration des leveurs de l Arkhangai e AVSF Agronomes et V t rinaires sans Fronti res e Gouvernement de l Arkhangai AM LIORER LA NUTRITION SOUTENIR LA SECURITE ALIMENTAIRE En Mongolie Les repas sont exclu sivement constitu s de viandes et de laitages Alors qu un tiers de la population est victime d ins curit alimentaire que 27 des enfants de moins de 5 ans ont un retard de croissance d la mal nutrition 70 des enfants de plus de 15 ans souffrent d ob sit ou de surpoids Les principales causes de mortalit sont les maladies cardiovasculaires cons quence d une alimentation trop sal e trop grasse et trop sucr e La serre solaire permet de sensibi liser les familles aux bienfaits des l gumes dans l quilibre ali mentaire La diffusion massive de cette innovation et des techniques agricoles associ es permettrait de diversifier l alimentation et d am liorer sensiblement la nutri tion des populations sources statistiques nationales mongoles 2012 GERES e Rapport d activit 2013 23 TADJIKISTAN D veloppement durable en milieu rural Au Tadjikistan 73 de la populatio
141. stin aux agents territoriaux s n galais souhaitant tre accompagn s dans la mise en place d un plan climat Elle comprend un kit de fiches p dagogiques un atlas et un poster Le kit p dagogique Int grer Les d r glements climatiques dans la gestion des territoires doit permettre la d finition des actions prioritaires sur le territoire pour r duire sa vuln rabilit aux changements climatiques Il est compos de 7 fiches th matiques allant de la caract risation du milieu et des moyens d existence la mise en uvre du plan climat territorial Les lecteurs y trouveront un contenu th orique d taillant La m thodologie utilis e ainsi que des conseils pratiques pour mettre en uvre les activit s http www geres eu fr ressources GUIDES D UTILISATION DES EQUIPEMENTS DE TRANSFORMATION AGROALIMENTAIRE lf Bot Ed Gel Les guides d utilisation des quipements de trans formation du manioc de transformation des fruits de palme ou de production d huile d arachide Agonlin de qualit sup rieure ont t publi s destination des artisans et entrepreneurs engag s au sein du projet SETUP au B nin Ils pr sentent des documents de capitalisation attractifs valorisant les actions et les techniques mises en place en faveur d un service de transformation agroalimentaire en Afrique rurale http www geres eu fr publications 62 GEREs Rapport d activit 2013 Le site internet du GERES La newsletter 15 949
142. t lt MONGOLIE TADJIKISTAN Pays de montagnes et de hauts plateaux la Mongo lie conna t des hivers longs et tr s rigoureux restrei gnant la saison agricole 3 ou 4 mois par an Bien qu Oulan Bator d tienne le record de la capitale la plus froide du globe le pays b n ficie d un ensoleillement important qui lui vaut le surnom de lt Pays du ciel bleu gt Depuis 2010 le GERES utilise cette source importante Depuis 2011 le GERES intervient dans la province de Sughd pour d velopper des techniques agricoles durables et des solutions bioclimatiques dans l ha bitat qui r pondent aux besoins de la population tout en pr servant les ressources naturelles Double vitrage isolation des maisons et po les am lior s sont diss min s afin d am liorer le ratio confort int rieur et consommation de combustible d nergie solaire pour am liorer la culture sous serres L innovation serre solaire passive tend maintenant tre diffus e au plus grand nombre pour soutenir l agriculture familiale MONGOLIE ee e e e eoo Le climat contin tagneux entra n des t s tr s ch tions ne permetten HIMALAYA INDIEN D D te rapide des ressources des combustibles pour sine sont consid r s co la plupart des m nage le GERES renforce les c it s des entre prises et des artisans locaux et fait conna tre les techniques d conomie d nergie des familles Dans la province de Bamy
143. ter l exode rural implique d am liorer les conditions de vie dans ces zones notamment en r duisant la p nibilit du travail en augmentant les revenus et en d veloppant l offre de services Le programme SETUP au B nin accompagne depuis 2008 les entreprises rurales afin de d velopper leur activit de transformation agroalimentaire travers la motorisation Le secteur du petit artisanat est quant lui soutenu par l lectrification solaire individuelle 2013 tait la derni re ann e pleine d ex cution du programme Elle a t une p riode d autonomisation pour les entreprises Des formations mais aussi de nombreuses visites d change leur ont permis d ac qu rir des comp tences et d assurer un fonctionne ment p renne de leur activit Les unit s de trans formation les plus avanc es ont pu se d velopper et fid liser ou diversifier leurs fournisseurs et leurs clients Les entrepreneurs quip s de kits solaires qu ils soient coiffeurs couturiers ou chargeurs de t l phones quant eux taient d j autonomes depuis 2012 et ont d velopp par eux m mes leurs activit s Trois entreprises en particulier se positionnent sur un produit sp cifique l huile d Agonlin une huile terroir tr s appr ci e au B nin pour sa saveur de cacahu te grill e Fin 2013 la production est en cours et la qualit du produit a t v rifi e Ces entreprises sont aujourd hui en phase de reconqu te
144. terven tion du GERES au Cambodge Pilot par l administration foresti re il vise d ployer l ensemble des solutions d velopp es par le GERES au cours des 10 derni res ann es 20 villages recul s de quatre provinces situ es proximit d un des principaux massifs forestiers du royaume le massif des Cardamones profitent de Pinter vention L enjeu est de taille pour le GERES travers ce projet les autorit s publiques locales et provinciales s approprient les solutions pour pouvoir les diss miner gr ce des micro entrepreneurs locaux Ainsi si elles s av rent fructueuses et durables les solutions introduites via ce projet pourront tre r pliqu es par les auto rit s publiques elles m mes au moins dans les quatre provinces d intervention du projet Dans ce projet d envergure qui mobilise La majorit des quipes sur le terrain il s agit de proposer aux communaut s foresti res des plans de gestion des parcelles dont elles ont la charge pour garantir la durabilit de leur exploitation e d installer des centres de production de charbon vert accompagner leur appropriation par les communaut s villageoises et assurer leur viabilit conomique de former et appuyer des micro entrepreneurs ruraux pour qu ils deviennent producteurs de foyers am lior s et augmenter ainsi la p n tration de ces foyers de cuisson conomes dans les zones rurales recul es cibl es par le projet Le GERES souhaite
145. titut de Recherches et d Applications des M thodes de d veloppement e AMEDD Association Malienne d veil au D veloppement Durable e ANADEB Agence NAtionale de DEveloppement des Biocarburants du Mali e DGE Direction G n rale de l nergie du B nin e CeRPA Zou Collines Centre R gional de Promotion de l Agriculture e CIRAD Centre de coop ration Internationale en Recherche Agrono mique pour Le D veloppement e FP Malick Sidib Institution de Formation Professionnelle e ULB Universit Libre de Bruxelles e ITA B nin International Institute of Tropical Agriculture une mine d informations pr cieuses Ils peuvent tre t l charg s dans la rubrique ressources du site internet www jatroref org En 2014 sont pr vues des tudes d envergure r gionale pour analyser et caract riser les mod les de fili res et les politiques de bio nergie mises en uvre dans les pays d Afrique de l Ouest gt 100 du gasoil est substitu par l HVP de jatropha gt L adaptation moteur co te moins de 10 d velopp e avec le CIRAD gt Les moteurs adapt s l huile v g tale pure de jatropha en substitution totale au gasoil ont fonctionn 2 300 heures en 2013 AFRIQUE DEROSE ST ric GNONHOUE Meunier et producteur de jatropha commune de ZAGNANADO B nin L HVP est une tr s bonne huile pour mon moteur J ai l impression quelle finit moins vite que le gasoil dans le r servoir de
146. treprise AFOVERT 35 Entreprise Sociale Ever Green Myanmar 16 Envirobat M diterran e 46 pluchures 50 F d ration des leveurs de l Arkhangai 23 FOCUS Association pour Le d veloppement durable Slov nie 43 Fondation Ardi 53 FRB PACA F d ration r gionale du b timent 47 GACC Alliance mondiale pour Les foyers de cuisson am lior s 8 16 17 33 58 62 GERERE Groupe d tudes et de Recherche sur les nergies Renouvelables et l Environnement 53 seeeeeeeseeeeeseeeeeeeeeeeeseeeeeeseeeeesg seeeeeeeseeeeegeeeeeeeeeeeeseeeeeeeeeeeeg GESPER Gestion de l environnement en R gion 50 Vitri Universit de Helsinki 30 GIE PFA Groupement d Int r t conomique Projet Foyers Am lior s 35 Viviane Hamon Conseil 52 GIZ Soci t allemande de coop ration internationale 16 25 57 Vozrozhdenie Vozrozhdenie Tatarbunary 44 Gouvernement de l Arkhangai 23 WACCA Alliance de l Afrique de l Ouest pour Les foyers de cuisson am lior s 16 35 Greens Movement G orgie 44 Hierro 56 ICS institut des standards du Cambodge 29 IDEMU Institut de l cologie en milieu urbain 43 IFP Malick Sidib Institution de Formation Professionnelle 37 IITA B nin Institut international de l agriculture familiale 37 Institut d hydro ing nierie de Sarajevo 41 Institut de planification physique du comt de Koprivnica Kri evci 41 IRAM Institut de Recherches et d Applicati
147. uberon Durance e Fonds de dotation Itancia e ESIA PARTENAIRES TECHNIQUES e Accueil et Rencontres Marseille 15 e CAVM Centre d Animation du Vieux Moulin Salon de Provence e CPIE Rh ne Pays d Arles Centre Perma nent d Initiatives pour l Environnement Arles e Croq Jardin Foyers ruraux La Roque d Anth ron e pluchures Marseille 3 e GESPER Gestion de l environnement en R gion Digne les Bains e Jardilien Aubagne e Les Jardins de l Esp rance La Ciotat e Naturoscope Marseille 8 e Peppermint Meyrargues e APEAS Agence Proven ale pour une conomie Alternative et Solidaire e Mairie de Meyrargues e Mairie de Simiane e Magasin Castorama de Saint Loup 50 GERESe Rapport d activit 2013 Gestion co responsable des d chets Cette ann e 2013 fut l occasion pour le GERES de s impliquer directement dans des op rations de com postage de proximit suite au travail d accompagnement dans le cadre du projet R seau Compostage au jardin Le GERES intervient sur le terrain comme op rateur ou bien en assurant la ma trise d uvre Cette position est nouvelle parmi les projets en Provence Alpes C te d Azur Les autres projets du programme accompagnent plus classiquement les fili res de gestion de d chet dans leur structuration ou adoption de meilleures pratiques Promotion du compostage de proximit dans les Bouches du Rh ne En compl ment des activit s classique
148. utilis e pour Les combustibles de type granul s de bois utilis s dans des chaudi res haut rendement UNIT CLIMAT L Unit Climat est une unit d expertise qui vient en appui aux projets En 2013 l unit continue de proposer des approches innovantes aux porteurs de projets afin de contribuer l mergence de mod les de d veloppement propre et r silient dans les pays du Sud Les activit s de l quipe s articulent autour de deux piliers principaux l att nuation et l adaptation Le premier vise limiter l ampleur des changements climatiques via La r duction des missions de gaz effet de serre Le second vise accompagner les territoires dans leur adaptation aux impacts Locaux de ces changements En 2013 l quipe est intervenue dans 7 pays N z CS St T L St 2 AFGHANISTAN FRANCE Accompagnement de la cam Appui GERES France TADJIKISTAN pagne mesures d hiver sur dans l utilisation du R alisation d un atelier de restitution et de formation sur 34 maisons dans l objectif Syst me d Informa le projet d efficacit nerg tique dans les maisons pour de mesurer l efficacit des tion G ographique les membres de la GIZ et ses partenaires technologies propos es et le SIG pour une tude D marrage d une tude des vuln rabilit s et des capaci confort thermique des b n fi sur le potentiel hy t s d adaptation aux changements climatiques ciaires afghans dro lectrique de la Vall e de l A
149. vr s avec l tude Dialogie 46 GEREs e Rapport d activit 2013 nergie et habitat Le Plan de R novation nerg tique de l Habitat PREH lanc par le gouvernement en juillet 2013 d finit le nouveau cadre les pouvoirs publics organisent au niveau local le dispositif pour accompa gner les particuliers vers la r novation nerg tique les professionnels doivent se mobiliser Les Points R novation Info Service PRIS sont mis en uvre et une campagne de communication lanc e en sep tembre Le GERES poursuit son engagement aupr s des pouvoirs publics des utilisateurs et des fili res conomiques pour une meilleure ma trise des d penses nerg tiques Le programme Espace Info nergie Depuis 9 ans l Espace Info nergie du Pays d Aubagne et de l toile conseille et accompagne les particu liers sur les conomies d nergie et les nergies renouvelables de mani re neutre et gratuite Cette activit s inscrit dans le r seau national d information et de conseil de proximit d velopp depuis 2001 par l ADEME en partenariat troit au niveau local avec la R gion Provence Alpes C te d Azur et les collectivi t s territoriales L atelier propose aux participants de poser correctement les isolants en fibre de bois sur La maquette p dagogique Tout au long de l ann e PEIE s est rendu sur le terrain au contact des citoyens travers des ateliers d informations des salons et v nements

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