Home

La Lettre hebdomadaire des TIC La Lettre

1. Conf rence de Paris sur le Num rique Jeunesse Les enfants en visio conf rence Des tablettes num riques dans les coll ges Objectif du Loiret R ussite scolaire avec le soutien Mod J D velopper le num rique en zone rurale pari lanc avec l ENT cole Limoux ADMINISTRATION LECTRONIQUE Les donn es chouchoutes de la transition num rique de l Etat Budgets 2016 le casse t te des syst mes d information r gionaux Services en ligne les Fran ais de plus en plus m fiants i Lab toujours plus num rique Voiture lectrique l Etat va unifier le r seau de recharges Des v hicules autonomes sur route ouverte Bordeaux en octobre 2015 e Basse Normandie La Manche premi re collectivit territoriale lancer sa propre plateforme de financement participatif TRIBUNE COMMANDE PUBLIQUE Le projet d ordonnance march s publics au stade de l ex cution de la commande publique AGENDA 10 09 2015 Quels impacts du num rique sur le d veloppement conomique local Colloque de la Mission Ecoter et de la FNCCR 23 09 2015 R ussir une politique d quipement num rique pour l ducation Journ e de formation pour les lus locaux et les cadres territoriaux Module 1 m O OO N NN awna VU Arar BR UWO FA 12 12 13 13 14 15 16 16 17 18 18 20 21 21 22 23 24 24 25 25 26 26 26 27 27 REGARD SUR L EUROPE ET LE MONDE Modernisation de l Etat panorama euro
2. insiste No l Jouaville DGS de la Lorraine Ensemble ou chacune de leur c t les directions regardent les recettes et les d penses estim es afin d valuer l automne la capacit financi re de la future grande r gion Langage commun L instruction budg taire et comptable M71 sera la colonne vert brale du futur budget mais il restera ventiler les programmes selon des items coh rents Il nous faut parler un langage commun m me si nos programmes d intervention sont diff rents Nous devons r ussir les rassembler autour d une nomenclature unique Nous pr f rons effectuer ce travail d s pr sent afin d tre en parfait tat de fonctionnement d s le 1 janvier 2016 et viter que des discussions techniques ne ralentissent les d cisions politiques pr cise Dominique Blanc directrice g n rale adjointe finances de l Aquitaine Beaucoup de budgets garderont une section par ancienne r gion pour des raisons de d lais mais aussi parfois par choix politique celui de Nord Pas de Calais Picardie pr servera sciemment la lisibilit des deux anciennes r gions pour les lus qui vont arriver Et ce afin de disposer d un budget technique pr senter au nouvel ex cutif qui pourra imprimer sa marque en ajoutant ou en retirant des cr dits sur tel ou tel dispositif Cependant les ann es de renouvellement les nouvelles orientations majeures se font rares De plus les conseils r gionaux tant de gro
3. rend le contrat sensiblement diff rent par nature de celui conclu au d part et num re quatre hypoth ses de modifications substantielles consacr es initialement par la jurisprudence europ enne Sur cette base le projet d ordonnance pr cise assez laconiquement en son article 56 que Les conditions dans lesquelles un march public peut tre modifi en cours d ex cution sont fix es par voie r glementaire Toutefois ces modifications ne peuvent changer la nature globale du march public Lettre Ecoter 03 07 2015 09 07 2015 25 27 Le droit applicable s appuiera donc demain non plus sur la notion de bouleversement de l conomie g n rale mais sur celle de changement de la nature globale du contrat Sur le fond il n est d abord pas s r que cette nouvelle r daction rende plus lisible et plus pr visible la r gle de droit Il est ensuite permis de douter de la port e r elle de cette modification d s lors que le juge conservera vraisemblablement son mode de raisonnement actuel en d pit de l volution s mantique de la condition puisque que le concept sous jacent une concurrence non fauss e a posteriori par l effet de l avenant demeure inchang 2 Le nouveau r gime de cession des march s Dans l arr t Pressetext de 2008 19 juin 2008 Pressetext Nachrichtenagentur GmbH aff C 454 06 1 la question se posait pour le juge europ en de d cider si une substitution de contractant tait
4. d veloppement de fili res traditionnelles ou nouvelles et en proposant des offres de services publics num riques adapt es en fonction des besoins des publics dans un souci permanent d efficience Quels sont les impacts de la relation donneurs d ordre structures de coop ration sur le d veloppement conomique local directement et indirectement Comment rendre de meilleurs services Quel est le r le de l achat public dans le d veloppement conomique et quelles incidences sur le local Comment mutualiser ou utiliser les bons outils les bonnes plateformes entre structures de coop ration entre territoires pour gagner en efficacit proposer de meilleurs services aux entreprises mais aussi les impliquer dans la modernisation des offres de services publics Quels sont les types d cosyst mes territoriaux qui mergent 23 09 2015 R ussir une politique d quipement num rique pour l ducation Journ e de formation pour les lus locaux et les cadres territoriaux Module 1 Date Mercredi 23 septembre 2015 09h30 17h00 Lieu CDC 72 avenue Pierre Mend s France 75013 Paris Salle B021 Programme amp Inscriptions www ecoter org l heure de la volont du minist re de l ducation nationale de faire entrer l cole dans l re du num rique nombreux sont les lus qui souhaitent doter leurs coles et leurs tablissements d quipements num riques ducatifs L objectif de cette formation es
5. de la Simplification et de la R forme de l Etat la moiti concernent le premier volet industrialisation de la mise disposition des donn es ouvertes En tout 62 projets avaient t d pos s par des administrations qui pouvaient concourir en solo ou en partenariat avec des op rateurs ou des collectivit s locales Les laur ats se partagent une somme de 7 2 millions d euros soit 170 000 euros par projet en moyenne sur une dotation global du fonds de 126 millions d euros Des sommes modestes justifi es par la volont d investir dans des petits projets facilement d ployables a logique du SGMAP est d avancer vite qu ils savent faire et de r fl chir plus sur des projets d envergure avance le cabinet de la secr taire d Etat Clotilde Valter Pilot par le Commissariat g n ral l investissement cet AAP a fait appel un jury de neuf experts pour effectuer le tri selon 5 crit res caract re interminist riel des projets capacit g n rer un retour sur investissement RSI caract re innovant et en rupture des projets caract re strat gique pour la modernisation de l action publique capacit des quipes du porteur de projet qualit de la gouvernance gestion des risques calendrier organisation Au coeur de la strat gie L accent mis sur des projets autour des donn es s explique d abord par une logique math matique presque la moiti des candidats ont r pondu sur la pa
6. dispositions relatives l ex cution des march s publics alors que pendant longtemps les directives portaient exclusivement sur la passation Trois sujets m ritent ce titre une attention plus particuli re 1 Le nouveau r gime des avenants En droit fran ais les modifications en cours d ex cution d un march public traduites dans un avenant sont actuellement r gies par l article 20 du Code des march s publics Un avenant ne peut tre conclu sans nouvelle proc dure de publicit et de mise en concurrence que dans deux hypoth ses en cas de suj tions techniques impr vues quel que soit le montant ou en l absence de bouleversement de l conomie et de changement d objet du contrat La jurisprudence administrative a donn une interpr tation stricte ces exceptions Elle a ainsi s agissant des suj tions techniques impr vues exig la d monstration d une difficult non seulement impr visible et exceptionnelle CE 5 d cembre 1990 Soci t Rapetto req n 63063 ll mais galement ext rieures aux parties CE 2 juillet 1982 Soci t Routi re Colas req n 23653 S agissant ensuite de la notion de bouleversement de l conomie du contrat la jurisprudence administrative appara t parfois peu lisible car casuistique d s lors que le juge refuse de fixer un seuil dudit bouleversement Le paragraphe 4 de l article 72 de la directive d finit la modification substantielle comme toute modification qui
7. et diffus es par un grand nombre d acteurs publics locaux d partementaux r gionaux voire nationaux Jusqu pr sent les promesses de l open data en mati re de tourisme relevait plut t de l incantation e J accueille du public base de donn es des tablissements recevant du public e Hub pour la simplification de l acc s aux donn es sur l eau pour les r utilisateurs e Base Adresse Nationale outil communes des infrastructures et outils destin s faciliter l acc s aux services de la Base adresse nationale BAN ainsi qu ouvrir les possibilit s d y contribuer Il s adresse en particulier aux municipalit s qui ont la responsabilit de l adressage des communes et qui sont potentiellement utilisatrices et productrices de donn es e OpenData Lab Midi Pyr n es port par le CGET et le SGAR premier portail op r par un service d concentr dans les territoires pour d velopper des collaborations et des projets interservices et interinstitutionnels notamment dans le domaine de l eau Droit g olocalis simulation num rique de la constructibilit r glementaire La partie Futurs publics concerne aussi en partie les collectivit s Parmi les neufs dossiers on retiendra G olocalisation du droit Joloc un portail d acc s l information l gale et administrative par l interm diaire des indications de g olocalisation qu elle contient quelle que soit l administra
8. financement participatif qu est ce que c est En plein essor le financement participatif crowdfunding ou financement par la foule est un nouveau mode de financement collaboratif une nouvelle mani re de penser les projets Utilisant internet comme canal de diffusion le financement participatif permet la rencontre entre des porteurs qui proposent leurs projets et des internautes qui vont contribuer la r ussite de ces derniers Plusieurs formules existent don avec ou sans contrepartie pr achat pr t participation au capital Sommaire Droit des contrats publics efe fr 29 05 15 stade de l ex cution de la commande publique La r vision des directives 2004 17 CE et 2004 18 CE ainsi que l adoption d une directive sur les contrats de concession propos es la Commission en d cembre 2011 a abouti au vote favorable du Parlement europ en le 15 janvier 2014 et la d cision positive du Conseil europ en le 11 f vrier 2014 Ces textes doivent d sormais tre transpos s par les Etats membres avant avril 2016 La France a pr vu de proc der cette transposition par voie d ordonnance et un projet a t soumis au d but de l ann e 2015 consultation publique Ce projet comporte des nouveaut s dont certaines proviennent directement du changement de cap des directives elles m mes c est ainsi par exemple que les directives 2014 24 UE l et 2014 25 UE du 26 f vrier 2014 contiennent d sormais des
9. met en place et que la r ussite scolaire d pend de nombreux facteurs La r volution ducative ce n est pas qu une affaire de technique c est une affaire de concepts de repr sentation soci tale d approche politique et culturelle Michelle Laurissergues L int gration d outils actuels ne peut tre efficace que s ils sont au service d une autre relation aux savoirs et aux apprentissages par les changes par la collaboration par la co construction par un regard positif sur les d marches d exp rimentation par la mise en uvre d une culture num rique litteracy Les connaissances les informations sont port e de clics ou de doigt les transformer en savoirs demandent d autres comp tences Comp tences informationnelles certes et savoir pratiquer une di t tique de l info gt s exprimer argumenter savoir publier deviennent essentiels On comprend bien une des difficult s actuelles mettre en ad quation les temps les espaces les savoirs fondamentaux les programmes la formation des intervenants et celles des formateurs Jeunesse Les enfants en visio conf rence Mercredi les enfants de l ALSH Accueil de loisirs sans h bergement de Questembert ont d couvert la visio conf rence pour changer avec la Guin e Conakry Install dans lasalle du conseil de la communaut de communes cet quipement est gracieusement disposition des associations entreprises coles coll ges et lyc es du territo
10. scolaires comme elles le font par ailleurs dans nos foyers D j en 2013 le barom tre trimestriel de l conomie num rique publi par la chaire conomique num rique de l Universit Paris Dauphine r v lait que pour 8 fran ais sur 10 lt l quipement des l ves en tablettes tactiles pourrait tre utile l apprentissage des mati res enseign es Qu en est il en 2015 Quels apports les tablettes offrent elles dans les m thodes d enseignement et d apprentissage Sont elles r ellement en train de r volutionner les pratiques p dagogiques Sont elles devenues incontournables Eric Kerrouche Pr sident de la communaut de commune MACS dans les Landes en charge du num rique l ADCF a expliqu la mise en place du num rique ducatif sur son territoire les r ticences r sistances au changement au d part les choix faire 2 200 tablettes pour les l ves 4 ou 5 ronds points La mise disposition d une maintenance technique par la collectivit Et l importance du retour sur l utilisation au d part les craintes et voir les enseignants changer et pratiquer gt Relire l article et voir les vid os Catherine Bizot a aussi soulign la globalit du projet du num rique ducatif travailler avec l ensemble des acteurs de l cole La modification engendr e sur la fa on d crire la mani re de penser de vivre ensemble La culture se modifie Le minist re ne pouvait pas ne pas s int resser a
11. sent la terre d accueil de six op rateurs alternatifs qui fournissent des services d acc s Internet sur un quipement dit activ En louant leurs r seaux aux op rateurs nationaux qui installeront leurs propre quipements en mode passif les RIP s assureront des recettes qui long terme compenseront l argent public d pens s dans la construction des infrastructures Orange s impatiente de venir dans l Ain C est donc avec pragmatisme qu il a entam une concertation pour trouver un point d accord sur la compl mentarit entre le r seau FTTH d j d ploy et celui de l op rateur priv sur les zones denses Apr s trois ans de n gociations ardues et gr ce la m diation de la mission Tr s Haut D bit qui pilote la nouvelle mouture du plan France Tr s Haut D bit un accord est sign en avril 2014 entre les deux parties pr voyant la mise niveau technique du r seau pour accueillir les FAI d envergure nationale ll La botte secr te de Patrick Chaize quelques mois plus t t il avait facilit l arriv e de Num ricable sur reso li in Le nombre des abonn s est mont entre 20 et 30 dans les zones o il commercialise ses offres gt se r jouit il L arriv e du plus grand concurrent d Orange capable de lui ravir des parts de march sur le tr s haut d bit a acc l r la d cision Mais la hache de guerre n est toujours pas enterr e Le feuilleton judiciaire se poursuit maintenant par une nouvelle as
12. 00 bornes de charge rapide 80 de l autonomie en moins de 30 mn pour 10 euros par mois le long des axes autoroutiers d ici la fin de l ann e EDF qui exploite aussi d autres r seaux avec les collectivit s locales compte aller plus loin et devrait d poser d ici la fin d ann e un dossier en vue d tre agr op rateur national La CNR dispose depuis mars de ce statut et vise 200 bornes rapides le long du Rh ne D autres acteurs comme Bouygues Energie et Services tudient aussi l agr ment Sans compter les multiples d ploiements pilot s par les collectivit s locales L interop rabilit doit permettre l usager de circuler sur le territoire sans cumuler les abonnements Une possibilit certes limit e vu la faible autonomie des v hicules 130 km mais qui va augmenter avec les nouvelles g n rations de batteries Offrir au client un service continu n importe o sur le territoire est aussi une r assurance La peur de la panne freine encore lachat de voitures Si vous savez que l acc s aux stations est facile vous h sitez moins gt indique Gilles Bernard pr sident du Gireve L harmonisation est aussi europ enne puisque la Commission demande que les r seaux des diff rents pays puissent communiquer entre eux De quoi faire merger de nouveaux services comme l information sur la disponibilit des bornes ou la r servation distance et la recharge en heures creuses La position de Bollor d terminante Plus
13. 3 07 2015 09 07 2015 9 27 num rique des territoires ruraux Dix ans apr s ce projet qui a couvert en fibre optique en priorit les communes rurales reste un cas atypique Atypique avez vous dit Pr curseur je vous r pondrais gt avait il crit au printemps dernier au directeur g n ral des services du d partement du Calvados qui avait ainsi publiquement qualifi le r seau de l Ain consid rant son projet FTTH comme le plus avanc Le directeur du reso Li in s aga ait de ces comparaisons teint es de d nigrement d autant plus lorsqu elles provenaient de collectivit s locales Lui qui sans tambour ni trompette accueillait r guli rement des d l gations d autres d partements Bourg en Bresse pour leur pr senter les outils d velopp s pour piloter l exploitation de son r seau C t affrontement il avait eu fort faire pour g rer les tensions et rapports de force avec le groupe Orange qui combattait ce projet Il tait sur ce chapitre log la m me enseigne que toutes les collectivit s qui ont fait valoir leur droit d ployer des r seaux de t l communications article L 1425 1 du code g n ral des collectivit s territoriales dont l adoption fut l objet d un combat pique men au S nat contre le lobbying de France T l com vot en 2004 Le choix de l Ain avait concentr les foudres de l op rateur historique un r seau en fibre optique l abonn d chelle d p
14. Fran ais dans le num rique L 1000 personnes interrog es 40 des Fran ais disent avoir globalement confiance dans l usage d Internet et 60 estiment que l usage du Web est risqu deux indicateurs en hausse sur un an La g olocalisation est le service qui entraine le plus de craintes puisque 75 des sond s refusent d tre localis s 75 des internautes ne veulent pas tre localis s Par ailleurs 21 des internautes sont d sormais r ticents la communication d attributs d identit en ligne contre 15 en 2013 lors de la pr c dente enqu te et 5 en 2009 M me le commerce en ligne suscite d sormais des inqui tudes grandissantes 36 des personnes interrog es ne veulent pas communiquer leur num ro de carte bancaire en ligne contre 26 un an plus t t et 50 n a pas confiance dans les sites de e commerce trangers Plus globalement 61 des sond s jugent risqu d enregistrer leurs coordonn es bancaires sur internet une proportion en hausse de 14 points en deux ans 61 se disent g n s par le stockage de donn es des objets connect s et 86 le sont par le partage de ces donn es avec d autres acteurs avec ou sans consentement Bref la m diatisation des affaires de fuites de donn es provoque une vraie prise de conscience mais cette derni re ne s accompagne pourtant pas encore de changements des habitudes gestion des mots de passe s curisation de ses donn es utilisation de services risque
15. MISSION M La L ttre hebdomadaire N 04010 des TIC H f i P 4 03 07 2015 09 07 2015 La i j a A j R dactrice Natalie Herrouin Diffusion interne Directeur de la Publication Olivier Julienne r serv e aux membres Lettre Ecoter N 431 03 07 09 07 2015 Modernisation de l Etat panorama europ en Num rique les quatre profils des salari s europ ens e Pays Bas Des voitures utilis es pour alimenter le r seau lectrique au Pays Bas Un nouveau guide pour obtenir un financement de l UE e Japon Avec les fermes verticales les g ants du high tech japonais investissent dans l agriculture REGARD SUR LA FRANCE Antoine Darodes devient directeur de l Agence du Num rique Syntec Num rique annonce le lancement du programme 5000 startups Le rapport annuel sous l effet du num rique COLLECTIVIT S LOCALES Patrick Chaize un militant de la fibre optique rurale prend la t te du lobby des RIP Orange s engage pour la couverture des zones blanches et la qualit du r seau fixe Cyril Luneau rejoint Orange pour y prendre la fonction de Directeur des Relations avec les Collectivit s Locales Groupe e Ile de France L historique du projet THD Seine L ATELIER DUCATION NUM RIQUE amp TERRITOIRES Orientations d un appel projets visant le d veloppement de territoires ducatifs d innovation num rique
16. agricole l Akisai Food and Agricultural Cloud 4 Dans cet espace largement d di la culture de la laitue les technologies ma tris es par l entreprise servent l aussi l agriculture Culture de fraises Duba En utilisant un syst me de semi conducteurs pour la culture des laitues pour liminer les insectes les bact ries et les poussi res de l environnement nous n avons pas utiliser de pesticides gt assure t on chez Fujitsu Une ma trise du process qui permet galement une production calibr e avec par exemple des laitues pauvres en potassium pour les personnes souffrant de probl mes r naux L Akisai Food and Agriculture souligne la vision de l innovation sociale selon Fujitsu Quant aux autres g ants ils ne sont pas en reste Panasonic a investi avant m me Toshiba sur le march singapourien et esp re pouvoir produire prochainement 5 de l ensemble des l gumes de la cit tat Quant Sharp il d veloppe aussi des unit s de production l langue anglaise en dehors de l archipel avec des cultures de fraises Duba Des choix d implantation loin d tre anodins les fermes verticales bas es sur des technologies japonaises avec des entreprises ayant fait leurs preuves servent ainsi de produit haute valeur strat gique l export Pari risqu Mais malgr toute l attention et les fonds que ces entreprises mettent en uvre pour d velopper les fermes verticales l avenir de l
17. agriculture japonaise passe t il Vraiment par ces solutions innovantes Les promoteurs avancent en effet des chiffres flatteurs les fermes verticales selon eux c est 10 000 laitues par jour sur 25 000 m tres carr s de surfaces cultiv es soit un rendement cent fois sup rieur l agriculture en ext rieur Le tout avec 40 d nergie en moins et 99 d eau conomis e Et le rendement devrait tre encore accentu au gr des volutions des technologies de la robotique 10 000 Le nombre de laitues par jour sur 25 000 m2 de surfaces cultiv es Pour l instant les machines travaillent mais le travail de r colte est fait manuellement explique Shigeharu Shimamura PDG de la soci t Mirai futur gt en japonais une entreprise qui tente de d velopper une ferme dans une ancienne usine de semi conducteurs langue anglaise appartenant Sony Dans le futur nous esp rons l utilisation de robots pour les r coltes Par exemple un robot pourra la fois planter les graines effectuer la taille des plantes r colter et m me conditionner le produit fini Si le gain en productivit est certain et remarquable on est cependant encore loin d une solution qui va r pondre toutes les probl matiques de l agriculture au Japon Les fermes verticales n cessitant des investissements consid rables sont encore loin d tre rentables La diversit des l gumes cultiv s grande chelle est faible les Japonais ne se nour
18. ald Hanemaaijer un porte parole du g rant de r seau Stedin qui participe ce projet qu il assure tre une premi re mondiale Ce syst me baptis Vehicule to Grid l du v hicule au r seau lectrique ou V2G fonctionne gr ce un syst me informatique qui g re l offre et la demande de kilowatts 24 heures sur 24 Point crucial m me s il semble vident le V2G fait en sorte qu il reste toujours de l lectricit en suffisance dans la voiture si son propri taire d cide de prendre la route terme il est possible que nous payerons les conducteurs pour l utilisation de leur voiture mais nous n en sommes pas encore l a affirm Harald Hanemaaijer Ce V2G viterait des dizaines de milliards d euros de travaux Le syst me a t install dans un quartier d Utrecht dont environ 100 des 3 000 logements disposent de panneaux solaires et qui compte environ 40 voitures lectriques terme une vingtaine de syst mes de recharge de ce type doivent y tre install s Rendant l lectricit 80 moins ch re pour les propri taires de panneaux solaires et peut tre utilis e via toutes les automobiles lectriques selon Stedin et la ville d Utrecht le V2G permet d viter des investissements faramineux dans des travaux pour renforcer le r seau de distribution afin qu il puisse prendre en charge la consommation croissante d lectricit et l apport des panneaux solaires en augmentation De fait le nombr
19. artementale une exploitation en r gie un financement public assur par les 419 communes et le d partement adh rents au SIEA Ce projet ne devait pas surtout pas servir de mod le La guerre des fourreaux D s les premi res prises install es en 2008 dans les zones blanches de l ADSL du d partement les hostilit s ont commenc La bataille des fourreaux s est engag e sur le terrain juridique Le reso li in utilisait des fourreaux financ s par des communes apr s la privatisation de France T l com fourreaux que l op rateur revendique aujourd hui dans son patrimoine Nous avons d couper des lignes qui avaient d j des abonn s confie Patrick Chaize Le jugement en appel est cependant attendu avec optimisme par le nouveau pr sident de l Avicca car d autres RIP se heurtent aux m mes litiges dans leurs d ploiements hors zones conventionn es Des concessions pour garantir la p rennit du RIP Bien s r les choix techniques et l architecture du r seau de l Ain d ploy avant le premier plan tr s haut d bit en avril 2011 ne correspondent pas aux normes d finies par les op rateurs de t l communications nationaux avec l Arcep 1 Sans la pr sence des FAI d envergure nationale les RIP ne trouveront pas de mod le conomique reconnait Patrick Chaize Les particuliers veulent des abonnements triple play Le point faible des op rateurs alternatifs est le manque d offre TV Le r seau de l Ain a t jusqu pr
20. ation pour r pondre aux attentes des citoyens voire la restauration d une confiance en l administration et des raisons externes politiques europ ennes principes du service universel avec imp ratif de qualit Ainsi au Royaume Uni la modernisation de l administration publique a t motiv e par la n cessit de mettre en place des mesures de suivi de la performance et d am lioration de la productivit des services publics avec une participation financi re du secteur priv En France la modernisation de l Etat a t renforc e dans le cadre de la R vision g n rale des politiques publiques et des objectifs d efficacit d efficience et de qualit d finies par la LOLF Loi organique relative aux lois de finances Celle ci a ainsi contribu d velopper les pratiques d valuation de la performance des services publics En ce qui concerne les Pays Bas o le pouvoir est fortement d centralis avec une r partition des comp tences entre les minist res les provinces et les communes l Etat ne jouit pas d une autorit incarnant l int r t g n ral susceptible de pr valoir sur les int r ts particuliers c est le polder mode Malgr l absence de projet formalis de r forme de l Etat ce pays a introduit des r formes de fa on pragmatique en fonction des difficult s rencontr es Ouverture des donn es publiques Aujourd hui leader international en mati re d ouverture des donn es publiques la politique de r fo
21. currence et permettre l acc s au Tr s Haut D bit tous les alto s quanais La conception la construction l exploitation la maintenance et la commercialisation de ce r seau ont t confi s sous la forme d une D l gation de Service Public d une dur e de 25 ans la soci t Sequalum aujourd hui filiale de Numericable et de SFR collectivit s Le D partement avait vot une subvention de 59 M pour compenser la construction et l exploitation sur les zones non rentables L objectif de d ploiement contenu dans la Convention de DSP tait la construction en 6 ans s achevant le 20 octobre 2015 de 825 900 prises raccord es disponibles quelques centaines de m tres du b ti et 573 000 prises raccord es disponible sur le palier des immeuble ou en limite de propri t des pavillons La r siliation de la D l gation de Service Public Compte tenu notamment des retards importants constat s dans la construction du r seau en regard des objectifs de la Convention l Assembl e D partementale a vot le 17 octobre 2014 la r siliation de la DSP avec effet au 30 juin 2015 Le D partement deviendra alors propri taire des infrastructures construites par Sequalum et prendra les mesures n cessaires la continuit de l exploitation et de la maintenance L am nagement num rique du territoire reste une pr occupation pour le D partement qui tudie actuellement plusieurs sc narios pour la continuit des actions d j en
22. d toffer son maillage pour des transports intelligents et coop ratifs La ville est d j une zone de test du projet fran ais SCOOP pilot par le gouvernement pour d velopper les ITS Cela participe de la structuration d une fili re fran aise dans ce domaine analyse Florence Ghiron Cette fili re se structura encore plus officiellement lors du Congr s ITS de Bordeaux e Basse Normandie La Manche premi re collectivit territoriale lancer sa propre plateforme de financement participatif Jeudi 2 juillet avait lieu le lancement de la plateforme de financement participatif OZE projet port par le conseil d partemental de la Manche avec Manche Num rique OZE est la 1 re plateforme de financement participatif crowdfunding mise en place par une collectivit territoriale Elle est destin e soutenir financi rement et collectivement les projets manchois dans les domaines conomiques patrimoniaux et associatifs C est gr ce l initiative du Conseil d partemental de la Manche en collaboration avec Manche Num rique que la plateforme de financement participatif OZ vient de voir le jour l 100 manchoise celle ci accueille les porteurs de projets dynamiques en qu te d un coup de pouce financier pour monter leur projet Face eux des internautes de tous horizons qui les gratifient de leurs contributions financi res en change ou pas d une contrepartie ou du pr achat du produit ou service Le
23. de Montpellier Elle rappelle en effet qu l heure du num rique un des sujets essentiels est de savoir comment prot ger ses donn es personnelles Un ENT a prot ge tous ceux qui vont se connecter Elle insiste aussi sur les services de vie scolaire qui vont permettre de pouvoir afficher aux parents ce qu on fait dans l cole gt Consciente des enjeux du num rique ducatif la Ville de Limoux s engage hauteur d 1 50 par enfant connect l ENT apr s un investissement de 150 000 d euros pour quiper les coles en mat riel informatique L ENT n arrive pas comme un cheveu sur la soupe car comme le pr cise M le d put maire Jean Paul Dupr cela fait plus de vingt ans que nous quipons les coles de Limoux en ordinateurs et nous avons m me fait appel un personnel sp cifique qui accompagne les enfants au maniement de l informatique Entour de gens de terrain parfois enseignants eux m mes au titre d adjoints l ducation M le d put maire r affirme sa volont d investir dans cette voie pour permettre tous les enfants de tous les milieux sociaux d acc der ces technologies et il croit m me que le num rique puisse devenir un facteur d attractivit pour sa commune Un an seulement apr s le lancement de l ENT acad mique pour le 1 degr plus de 200 communes du territoire acad mique soit plus de 20 des communes ont d ores et d j adh r l ENT cole po
24. de distinguent quatre profils types avec pour chacun une suggestion destination de la DRH quant la r ponse apporter Ce sont les connect s il faut accompagner le changement dans la dur e les passifs rendre les salari s partie prenante de la transformation num rique les isol s sensibiliser les salari s et les impatients cat gorie dans laquelle le secteur public est surrepr sent Conseil aux DRH acc l rer la mutation num rique e Pays Bas Des voitures utilis es pour alimenter le r seau lectrique au Pays Bas Le syst me Vehicule to Grid du v hicule au r seau lectrique ou V2G permet de stocker de mani re temporaire l nergie solaire et olienne produite localement afin de pouvoir l utiliser en l absence de vent ou de soleil La ville n erlandaise d Utrecht a install un syst me tr s original pour am liorer l alimentation lectrique urbaine Ce syst me de recharge met contribution les batteries des voitures lectriques lorsqu elles ne sont pas utilis es afin de stocker l nergie quand le vent et le soleil font d faut et la renvoyer dans le r seau quand c est n cessaire ou en renfort en p riodes de pointe L objectif n est pas seulement cologique mais aussi conomique les milliards d euros de frais n cessaires pour augmenter la capacit du r seau lectrique seraient ainsi pargn s Les voitures sont gar es la plupart du temps gt assure l AFP Har
25. e Les projets devront concerner des territoires identifi s l chelle infra acad mique Ces territoires ducatifs d innovation num rique devront tre choisis selon un crit re de mobilisation suffisante sur les questions num riques d un nombre significatif d acteurs voulant faire bouger les choses chefs d tablissement enseignants innovateurs acteurs p riscolaires collectivit s Ils devraient tre port s par un groupement des partenaires du projet et associer en fonction des caract ristiques de l action mener des coles des coll ges des lyc es des r seaux d ducation prioritaire etc Les coll ges connect s ainsi que les coles et coll ges pionniers dans lesquels le plan num rique sera mis en uvre d s la rentr e 2015 sont appel s bien videmment jouer le r le le plus actif possible dans le montage des projets Le num rique Lettre Ecoter 03 07 2015 09 07 2015 13 27 doit tre envisag dans toutes ses dimensions qu il renvoie l ducation la soci t num rique dans et hors l cole ou qu il irrigue les pratiques p dagogiques et ducatives proprement dites t Les projets peuvent concerner galement les tablissements priv s sous contrat et l enseignement agricole Cette d marche vise ainsi clairement pour assurer la r ussite de la d marche num rique un objectif de d cloisonnement des niveaux d enseignement et des disciplines sur un territoire donn Ce d cloisonne
26. e de voitures lectriques devrait exploser dans les ann es venir et selon Stedin des travaux pour renforcer le r seau demanderaient des investissements de 40 60 milliards d euros Pour autant une installation l chelle nationale d un tel syst me demande n anmoins de nombreuses adaptations l gislatives afin de pouvoir cr er un tel march assure la ville d Utrecht Un nouveau guide pour obtenir un financement de l UE Grandesvilles org 11 06 15 Comment accompagner de fa on p dagogique ceux qui souhaitent b n ficier de la large gamme de financements propos s par l Union europ enne C est l objectif de ce guide LA r dig par les services de la Commission europ enne Il fournit des conseils de base sur les proc dures de demande mais galement un contenu tay d exemples concrets et de bonnes pratiques Les informations les plus r centes sur les programmes actuels de l Union europ enne pour la p riode de financement 2014 2020 vous permettront d acc der une information jour e Japon Avec les fermes verticales les g ants du high tech japonais investissent dans l agriculture Les fleurons de l industrie nippone se tournent vers un gisement de croissance les cultures urbaines Question quelles sont aujourd hui les entreprises les plus SN en pointe dans le secteur primaire au Japon EE R ponse Fujitsu Sharp ou Toshiba Fini les ordinateurs les semi conducteurs ou les ampoule
27. e la pharmacie des biotechnologies et des technologies m dicales repr sentent 36 des projets 42 laur ats sont issus des secteurs du num rique et de l lectronique confirmant la tendance des ann es pr c dentes Mobilit r seaux et objets intelligents Nous transformons automatiquement les si ges libres disponibles dans les v hicules tous les jours en un r seau de transport en commun structur a expliqu Olivier Binet Le cr ateur de la soci t Karos est laur at du Grand prix dans le domaine Num rique technologies logicielles et communication Soutenu par l incubateur public Agoranov il veut transposer le succ s du covoiturage du grand public Blablacar vers les entreprises et les collectivit s avec une dizaine de salari s Techniquement la solution se fonde sur la g olocalisation les technologies Big Data l apprentissage statistique les applications mobiles pour faciliter les trajets domicile travail quotidiens a t il pr cis Extr mement simple elle vise r duire de 30 40 le nombre de v hicules sur les routes et donc leur empreinte carbone les missions de CO2 et peut tre limiter le r chauffement climatique La g olocalisation les technologies Big Data l apprentissage statistique les applications mobiles Dans cette cat gorie cr ation d veloppement une quinzaine d autres innovations prim es s appuient sur les TIC et 22 suppl mentaires dans la cat gorie en me
28. emble des acteurs mondiaux de la mobilit et des transports intelligents Une plaque en W sp ciale v hicule autonome L quipementier fran ais Valeo le bureau d tudes Akka Technologies et l institut Vedecom d di la mobilit de demain pr senteront chacun un v hicule prototype Navya et Easymile deux soci t s sp cialis es dans les v hicules sans chauffeur de type navette testeront aussi deux d monstrateurs dans les rues bordelaises Ces essais seront r alis s en conditions r elles dans le trafic explique Florence Ghiron pr sidente du comit d organisation ITS Bordeaux Nous travaillons depuis un an et demi avec les autorit s pour les mettre en place Au c t des organisateurs Valeo et consorts ont ainsi d pos des dossiers d taillant les technologies aupr s du minist re des Transports Les minist res des Affaires trang res sous le volet Commerce ext rieur et de l Ecologie participent galement aux discussions En vue l acquisition d autorisations in dites une plaque en W sp ciale v hicule autonome un dispositif qui n existe pas dans la l gislation fran aise Autorisations attendues le 1 juillet Rouler sur route ouverte avec un v hicule autonome est en effet aujourd hui interdit La France est signataire de la Convention de Vienne qui demande au conducteur de rester ma tre de son v hicule Il est donc interdit de l cher le volant des mains et de quitter la route des yeux L
29. envisageable dans le cadre d un march public pass selon une proc dure formalis e Il a r pondu qu en principe le changement de titulaire constitue une modification substantielle du march qui n cessite en cons quence une nouvelle mise en concurrence Toutefois par exception la cession est possible sans nouvelle proc dure de passation lorsqu elle a t envisag e dans le march initial Cette jurisprudence a remis en cause la position du Conseil d Etat CE avis 8 juin 2000 n 364803 L qui avait adopt une vision lib rale fond e sur l autorisation pr alable de la collectivit publique le refus d agr ment tant strictement encadr La directive de 2014 consacre la position de la CJUE et pr voit que la cession d un march public est possible sans mise en concurrence lorsqu elle est pr vue par une clause initiale de r examen ou d option univoque Lorsque le changement de cocontractant r sulte d une succession universelle ou partielle du contractant initial ou d une restructuration de soci t s pour autant que le cessionnaire remplisse les crit res de s lection qualitative du march initial que ledit march ne soit pas substantiellement modifi et que l op ration de cession ne r sulte pas d une man uvre et enfin lorsque le pouvoir adjudicateur reprend les obligations du contractant principal l gard des sous traitants Ce faisant la directive ne retient pas la solution fran aise Reste savoir si le Co
30. es demandes formelles pour les autorisations ont t d pos es il y a deux mois aupr s du minist re des Transports Nous devrions obtenir les autorisations le 1 juillet poursuit Damien Murat responsable technique ITS Mais toutes les fonctions ne seront pas autoris es L un des prototypes dispose de si ges avant qui peuvent se mettre dos la route ce ne sera pas permis Un technicien devra en permanence tre en mesure de reprendre le contr le du v hicule Les organisateurs du congr s ITS travaillent aussi sur les infrastructures Des bornes relais et des feux communicants ont ainsi t install s des points strat giques Les v hicules vont circuler toute la journ e sur ces boucles urbaines avec bord des congressistes Il faut assurer la s curit pr cise Florence Ghiron Cependant les modifications d infrastructure ne doivent pas fausser l exp rience gt Plusieurs participants comme Akka ou Vedecom ont particip au financement de ces modifications d infrastructure Bordeaux ville intelligente Pour valider tout le dispositif des tests seront organis s du 07 au 10 juillet puis du 1 au 04 septembre avec plus de la moiti des participants Le salon ITS ouvrira ses portes le 05 octobre 10 000 visiteurs sont attendus pour assister aux 35 d monstrations de v hicules voiture autonome navette autonome v lo hydrog ne camion connect Continental et Michelin Ces tests permettront Bordeaux
31. es font parfois montre de scepticisme Annonc s dans une logique d investissement les plans de transformation num rique font tout pour convaincre les march s de leur bien fond et de leur impact pr sum positif dans les trois cinq ans Ce travail de persuasion est d autant plus important quand les disruptions gt num riques poussent les entreprises traditionnelles changer de m tiers et in fine de culture Ainsi peu peu les constructeurs automobiles passent de la position d acteurs industriels celle de fournisseurs de services en mobilit Probl me C est irrationnel les analystes accordent cr dit Google et Apple en disant que m me loin de leur march d origine ces g ants r ussiront constate Rapha l F tique Alors que les entreprises traditionnelles ne b n ficient pas de cette cl mence Recrutements d experts Il n emp che Les soci t s qui comptaient auparavant sur des agences et des consultants externes pour se maintenir niveau veulent aujourd hui acc l rer la cadence et jouer un r le de leader R sultat leurs recrutements internes se multiplient Du chief digital officer l expert du Big Data et du syst me d information les grandes soci t s recrutent des experts bien pay s qui font monter la masse salariale Un changement de tendance apr s les plans de r duction des co ts g n r s par la crise Pour mieux faire comprendre leurs ambitions num riques l laboration d un rapp
32. etc i Lab toujours plus num rique 73 projets sur 174 prim s dans le cadre du 17 me concours national du minist re de l enseignement sup rieure et de la recherche s appuient sur les technologies logicielles et r seaux Syst me d information pour la mobilit l internet des objets la gestion de l nergie ou le cloud se distinguent particuli rement L dition 2015 confirme l importance de la recherche publique comme terreau de l innovation et de la croissance pr s de 60 des laur ats en sont issus gt en augmentation de 5 points par rapport l an dernier s est r joui Thierry Mandon Le nouveau ministre de l Enseignement sup rieur et de la recherche a remis les prix du 17 me concours d aide la cr ation d entreprises de technologies innovante ce 1 juillet dans les jardins du minist re Sur 882 candidatures 174 laur ats ont t s lectionn s 54 au niveau national dans la cat gorie cr ation d veloppement qui devrait aboutir la cr ation d une startup et 120 laur ats r gionaux en mergence qui n cessitent encore une maturation technique conomique ou juridique Cinq grands prix ont aussi t d cern s aux projets les plus prometteurs au regard des dix d fis socio conomiques identifi s dans l agenda strat gique France Europe 2020 l sant et bien tre mobilit et syst mes urbains durables soci t de l information et de la communication En 2015 les domaines d
33. gag es revente du r seau nouvelle DSP Questions R ponses e Mon immeuble est fibr THD Seine quelles seront les cons quences de la disparition de Sequalum A compter du 1 juillet le D partement reprend la pleine propri t des colonnes d immeubles et continuera en assurer l exploitation et la maintenance e Mon immeuble a sign une convention avec Sequalum quelles seront les cons quences de la disparition de Sequalum sur la r alisation des travaux Soit les travaux ont pu tre r alis s par Sequalum avant le 30 juin 2015 apr s cette date le D partement deviendra propri taire de la colonne d immeuble et continuera en assurer l exploitation et la maintenance Soit les travaux n ont pas pu tre r alis s avant le 30 juin 2015 et la convention avec Sequalum deviendra caduque cette date La copropri t ou le bailleur devra alors signer une nouvelle convention avec un autre op rateur d immeuble e Mon pavillon d pend d une zone fibr e THD Seine quelles seront les cons quences de la disparition de Sequalum Le D partement deviendra propri taire des zones fibr es par Sequalum et continuera en assurer l exploitation et la maintenance e Mon pavillon est sur une zone o il n a pas encore d op rateur d sign pour r aliser le raccordement en fibre optique Dans quel d lai mon pavillon sera t il raccord un r seau en fibre optique Le raccordement des zones pavillonnaires sera
34. gation de r sultat et il dommageable qu aucune traduction de cette obligation ne puisse exister sur le rythme de paiement du prix du march global De ce point de vue le texte de la version publique du projet tait tr s quilibr et permettait au droit positif d tre en bonne ad quation avec les besoins des acheteurs publics Sommaire AGENDA 10 09 2015 Quels impacts du num rique sur le d veloppement conomique local Colloque de la Mission Ecoter et de la FNCCR Date Jeudi 10 septembre 2015 09h45 16h30 Lieu FNCCR 20 boulevard de Latour Maubourg 75007 Paris Programme amp Inscriptions wWww ecoter orq Colloque gratuit D jeuner payant 45 euros La structuration et l organisation d une offre territoriale de services num riques repr sentent un enjeu social et conomique Dans ce sens les collectivit s territoriales investissent fortement pour certaines depuis plus de 10 ans et directement pour moderniser leur administration et proposer des bouquets de services num riques adapt s r pondant aux besoins des administr s et des entreprises install es sur leur territoire ou indirectement en d l guant ces missions des structures de coop ration territoriale v ritables bras arm s op rationnels Les collectivit s territoriales et leurs structures de coop ration ont un r le moteur dans le d veloppement conomique local plusieurs niveaux travers l achat public en accompagnant au
35. iales par exemple en mati re d am nagement du territoire de connectivit de services et d innovation Il assurera galement avec l quipe de la Direction des Relations avec les Collectivit s Locales Groupe l animation du r seau des D l gu s R gionaux dans l objectif de renforcer l action du Groupe aupr s des lus locaux dans le contexte de l volution du d coupage territorial pr vue par la loi du 16 janvier 2015 Cyril Luneau remplace ce poste Bruno Janet r cemment nomm conseiller du Pr sident Directeur G n ral en charge des questions de couverture des zones blanches et de qualit du r seau fixe Anciennement Directeur des Collectivit s locales du Groupe SFR et Pr sident de SFR Collectivit s SA Cyril Luneau avait rejoint le secteur des t l coms en 1998 o il a exerc plusieurs fonctions de Direction notamment des March s Publics de Neuf Cegetel Auparavant Cyril Luneau tait collaborateur au sein de SISIE SA soci t de conseil cr e par Madame Edith Cresson et Monsieur Didier Pineau Valencienne Il est dipl m de l Institut Sup rieur de Gestion e Ile de France L historique du projet THD Seine Lanc en 2008 le projet THD Seine avait pour objectif de r aliser la construction d un r seau en fibre optique FTTH fibre jusqu au logement couvrant l ensemble des 36 communes du D partement Ce r seau devait tre passif neutre et ouvert tous les op rateurs afin de favoriser la con
36. ieurs freins doivent n anmoins tre lev s Si le casse t te des standards de recharges on compte trois types de prises en Europe est en passe d tre r solu avec le passage la norme europ enne T2 le nombre de bornes reste modeste et les risques d attente pour l utilisateur ne sont pas nuls D autant que le temps de recharge sera toujours plus long qu un plein d essence Surtout le d cret gouvernemental ne s appliquera qu aux nouvelles bornes ce qui pourrait emp cher les points de charges les plus anciens non communicants d assurer l interop rabilit Dans toute cette affaire la position de Bollor sera d terminante Apr s avoir investi lourdement dans son r seau l op rateur breton semble peu enclin ouvrir ses donn es des tiers Il n est d ailleurs pas encore membre du groupement d change de donn es Gireve Des v hicules autonomes sur route ouverte Bordeaux en octobre 2015 Lors du congr s mondial ITS d di aux transports intelligents Valeo Akka Technologies ou encore Easymile et Navya feront rouler sur route ouverte des v hicules autonomes Une premi re en France Bordeaux pourra revendiquer d but octobre le titre de capitale fran aise du v hicule autonome La m tropole accueillera en effet les premiers tests sur route ouverte de voitures sans conducteur autoris s en France Ces d monstrations dans le trafic bordelais auront lieu dans le cadre du 22e salon mondial ITS qui r unit l ens
37. ire Les enfants ont eu le privil ge d tre les premiers l utiliser Les animateurs de l ALSH intercommunal travaillent jusqu aux vacances de printemps sur un fil rouge intitul La d couverte de terres inconnues et la correspondance gt Dix enfants ont choisi de partir la rencontre de la Guin e Conakry Ils se sont donc rendus la communaut de communes pour r aliser une visioconf rence en direct avec la capitale Conakry Des changes avec une expatri e Ils ont pu changer avec Marine R tif fran aise expatri e et travaillant avec des Guin ens sur la vie l tranger e Qu est ce qu on mange l bas e comment sont les maisons gt e quels chanteurs coutent ils e comment se passe l cole Une multitude de questions de la part des petits Questembertois ont permis de comparer la vie en France et en Afrique Les propos de Marine R tif taient tay s par des objets locaux rassembl s dans une malle au tr sor noix de coco bissap tissu bijoux masque musique photos dans la salle du conseil La semaine prochaine rendez vous en Angleterre avec une approche diff rente Une exp rience que les enfants ont trouv e tr s int ressante et qu ils sont pr ts renouveler Des tablettes num riques dans les coll ges Depuis le d but de l ann e 2015 11 coll ges publics de la Dr me ont b n fici d une dotation du D partement pour l acquisition de tablettes nu
38. it donc pas ici de proposer un Plan acad mique global de d veloppement du num rique mais un projet e FRAN sp cifique d un territoire ducatif d innovation num rique Ce projet sera construit par ceux qui l ont pens et auront le conduire et il sera conduit conjointement par le recteur et les concepteurs Un recteur pourra pr senter plusieurs projets lt lt e FRAN gt Lors du processus de s lection le recteur et les responsables op rationnels seront appel s d fendre le projet Bien entendu lorsque l enseignement agricole sera impliqu le DRAAF sera de la m me fa on impliqu gt Lire la suite L 1 Conform ment aux recommandations du rapport des inspections g n rales sur la structuration de la fili re industrielle du num rique ducatif et du rapport du Conseil National du Num rique Jules Ferry 3 0 2 Notamment s agissant de l acquisition du mat riel informatique qui rel ve des collectivit s Conf rence de Paris sur le Num rique Le 18 juin 2015 se tenait la conf rence de Paris sur le num rique Aujourd hui la conf rence ll est pass e je vous propose un retour sur ce qui s est dit concernant la question ducation La question pos e tait celle ci Le num rique dans l ducation les tablettes sont elles devenues indispensables la r ussite scolaire Depuis leur apparition sur le march fran ais en 2010 les tablettes investissent de plus en plus nos coles et tablissements
39. lectriques de circuler sur l ensemble du territoire sans disposer d abonnement sp cifique aupr s des diff rents op rateurs Bollor EDF collectivit s locales Une association fran aise pour l itin rance de la recharge lectrique des v hicules L Afirev a d j t cr e en mars regroupant l ensemble des acteurs EDF Bollor la filiale d EDF Sodetrel Vinci Bouygues Pour permettre ces acteurs de se refacturer les paiements des clients une plateforme d changes de donn es Gireve a ensuite t mont e sur le mod le du groupement des cartes bancaires avec comme actionnaires Renault EDF ERDF la Compagnie nationale du Rh ne CNR et la Caisse des D p ts Circuler sur le territoire sans cumuler les abonnements date la France compte 9 400 points de charges et nous atteindrons les 40 000 d ici 2020 indique le pr fet Francis Vuibert qui pilote le d ploiement Un parc encore modeste et qui fait l objet de multiples initiatives qu il s agit de mieux harmoniser Poids lourd du d veloppement Bollor qui avec ses stations d auto partage concentre lui seul plus de 5 000 bornes accessibles aux v hicules tiers via un abonnement Agr en d but d ann e op rateur national le groupe vise les 16 000 bornes d ici 2019 en mode normal ou acc l r Autre initiative le projet Corridor ER exploit par EDF et dont Renault Nissan BMW Volkswagen sont partenaires Il vise installer 2
40. lisme des interventions Elles devront dans le respect de la r glementation sur les aides d Etat et sur les march s publics s inscrire dans un cadre strictement exp rimental o les entreprises elles m mes seront porteuses d innovation Les porteurs de projet doivent tre sensibilis s au fait que le Programme d investissements d avenir est particuli rement attach au travers des soutiens qu il apporte conforter l conomie num rique et que le secteur de l ducation et de la formation appara t cet gard comme tant l instar de celui de la sant un terrain important de d veloppement e De m me l appui du r seau Canap op rateur du minist re de l ducation nationale impliqu dans une ambitieuse strat gie num rique sera un facteur de facilitation et de d veloppement Son r le dans la diffusion des technologies et les partages d exp riences p dagogiques sera en ce sens crucial e Les projets e FRAN seront pr sent s et port s par les recteurs d acad mie chanceliers des universit s Cette responsabilit assum e directement par l autorit acad mique traduira la pleine participation de l ducation nationale et des universit s la r ussite des projets La d marche permet ainsi de concilier une action bottom up gt qui mobilise l initiative des acteurs sur un territoire et l implication de l appareil acad mique de l ducation nationale par la responsabilit assum e des Recteurs Il ne s ag
41. m riques L quipement de type classe mobile permettra aux coll giens d exp rimenter ces outils dans de bonnes conditions p dagogiques Les enseignants ont eux b n fici de formations l usage pour ces nouveaux quipements Des formations p dagogiques dispens es par l acad mie de Grenoble aux professeurs interviendront par la suite Avec des dotations de 16 ou 32 tablettes par coll ge le D partement a clairement choisi de passer la vitesse sup rieure en mati re d usages du num rique Pour rappel le projet Coll ge Num rique 26 _ pr voit un d veloppement du num rique destination des coll giens le tout en faisant des choix raisonn s et r fl chis entre les diff rents acteurs de la communaut ducative Sommaire J Objectif du Loiret R ussite scolaire avec le soutien Mod J Interview r alis e par la Mission Ecoter Mise en place du soutien scolaire disposition de tous les enfants via Bordas Soutien Scolaire Le d partement du Loiret lance une innovation l accessibilit 30 000 jeunes du CP la terminale un soutien scolaire en ligne financ par le Conseil d partemental g n ral z La Mission Ecoter a interview Madame Adeline BUISSON chef de projet num rique pour la Direction de l ducation et de la jeunesse au sein du Conseil d partemental du Loiret sur le projet Mod j mis en place Le d partement du Loiret applique une politique num rique tr s volontariste avec com
42. me objectif principal le d veloppement Mod J qui est le label jeunesse Cette politique de soutien scolaire en ligne a t lanc e le 1 f vrier 2015 aupr s de tous les jeunes Le d partement par le biais de Mod J souhaite converger avec 2 objectifs d une part la politique jeunesse offrir une m me galit de chance pour tous les enfants au del du num rique et d autre part le d veloppement des usages num riques En effet plusieurs projets num riques ont t lanc s au sein des tablissements scolaires mais pas seulement Adeline BUISSON nous voulions lancer une action qui ne soit pas restreinte la seule enceinte de l tablissement scolaire gt C est pourquoi cette action a t mise en place et permet son accessibilit partir de tout poste et navigateur Pour la mise en place de Mod J Mod J est un service de soutien scolaire en ligne mis disposition gratuitement par le Conseil d partemental Il s adresse aux enfants mais galement aux parents A titre d exp rimentation le D partement offre galement les comptes la communaut scolaire coles primaires coll ges et lyc es pour un usage scolaire et extrascolaire L inscription se fait directement partir du lien soutienmodi fr Chaque parent et enfant cr ent leur compte personnel avec leur propre identifiant et leur mot de passe Ainsi un parcours individualis et cibl pour chaque enfant sera d fini Les parents et les l ves po
43. ment pourra s accompagner le num rique abolissant les distances d un objectif d ouverture et de d senclavement dans l espace national voire dans l espace international e Un partenariat avec les collectivit s territoriales sera syst matiquement recherch Il est essentiel pour la r ussite de la d marche Il ne se limitera pas l appui financier e Les collectivit s qui participent d j aux activit s ducatives dans le premier comme dans le second degr ont vocation si elles le souhaitent tre pleinement associ es aux projets de territoires ducatifs d innovation num rique par exemple gr ce l implication des personnels techniques des tablissements scolaires ATT E Cette association des collectivit s territoriales favorisera l articulation avec les strat gies num riques d ploy es par les r gions les d partements et m tropoles ou les communes Les collectivit s ne peuvent qu tre sensibles une valorisation distinctive de leurs territoires et de leurs atouts qui distinguera l initiative des acteurs de terrain et inscrira leurs capacit s d innovation au c ur de l cosyst me territorial e Dans le m me esprit d ouverture partenariale des coop rations seront recherch es avec les acteurs conomiques de la fili re num rique start up diteurs de contenus ou d outils Ces collaborations avec les entreprises de la fili re sont souvent utiles voire indispensables pour renforcer le professionna
44. ms qui est galement pass par l Autorit de la concurrence et l ARCEP Il Va superviser l Agence du Num rique tablie par voie de d cret du 3 f vrier 2015 Rappelons sa vocation cette nouvelle structure est pr sent e comme un guichet unifi flexible et r actif au soutien des initiatives de d veloppement des infrastructures des usages et des cosyst mes d innovation dans le champ du num rique Plus concr tement Antoines Darodes prendra en main le pilotage des actions du programme French Tech mergence d veloppement et visibilit d cosyst mes de start up la mise en uvre du Plan France Tr s Haut D bit d ploiement d infrastructures de fibre optique pour tendre le tr s haut d bit l ensemble du territoire et la diffusion des outils num riques et le d veloppement de leurs usages aupr s des citoyens des pr rogatives qui taient jusqu ici attribu es la D l gation aux usages de l Internet L Agence du Num rique a vocation tre pleinement op rationnelle dans le courant de l automne selon ITespresso one O Syntec Num rique annonce le lancement du programme 5000 startups Maddyness com 06 07 15 Si Xavier Niel a l ambition d h berger 1000 startups dans les futurs locaux de la Halle Freyssinet Syntec Num rique souhaite accompagner les jeunes entreprises innovantes fran aises travers un programme baptis 5000 startups Celui ci sera op rationnel d s le 1e
45. n explique Yann Goubard directeur des finances de la Picardie Nous pr f rons faire d abord converger nos organisations avant de choisir le syst me d information Nous aurons donc toujours deux flux mais la DGFIP n en verra qu un L Alsace Lorraine Champagne Ardenne a fait de m me Nous n avions pas le temps de nous engager dans des discussions st riles pour savoir quel syst me d information garder Nous conservons donc les trois syst mes et d veloppons un chapeau qui permettra de n envoyer qu un seul flux au comptable public gt d crit Fran ois Bouchard DGS de la r gion Alsace Une solution transitoire d velopp e par les quipes informatiques internes et qui va co ter 15 000 euros chacune des trois r gions Travail d inventaire En parall le du syst me d information les quipes m nent des inventaires divers et vari s recenser tous les budgets annexes les tablissements publics r gionaux fiabiliser les listes du personnel pour la paye tablir la liste des march s transf rer mais aussi r pertorier les emprunts et les garanties d emprunt les r gies existantes ajuster l tat des actifs apurer au maximum les comptes d imputation provisoire Nous effectuons aussi un recensement tr s pr cis des diff rents acteurs pour qui nos aides sont indispensables en tr sorerie imm diate comme les centres de formation d apprentis Assurer le fonctionnement du premier quadrimestre est une n cessit
46. n France o l un des principaux enjeux de la r forme territoriale en cours est de simplifier la r partition des comp tences entre les diff rents chelons administratifs Innovation et collaboration Il ressort de ces volutions une action publique repens e avec un passage dans la plupart des pays europ ens d une administration verticale g r e en top down vers une action de l Etat orient e usager et d cloisonn e suivant la logique bottom up Dans ce cadre la r forme de l action publique en Europe est marqu e aujourd hui par deux principes cl s l innovation avec notamment en France le programme Futurs Publics et la collaboration avec une concertation sur la r forme de l Etat l chelle europ enne notamment lors de rencontres de ministres et le d veloppement d outils collaboratifs europ ens A titre d exemple on peut citer le r seau Diplomatie 2 0 de correspondance diplomatique entre les acteurs de l action ext rieure de l Etat au sein des diff rents pays europ ens Num rique les quatre profils des salari s europ ens Les outils num riques ont un impact tr s majoritairement positif ou neutre 80 sur la motivation des salari s europ ens selon le barom tre Edenred Ipsos tude men e aupr s de 13 600 salari s dans 14 pays En outre ils sont 64 juger leur entreprise au m me niveau ou en retard par rapport celles de leur secteur Au regard du num rique les auteurs de l tu
47. nition et d impulsion d une nouvelle politique num rique de l Education nationale l acad mie de Montpellier agit pour le d veloppement du num rique ducatif Engag e depuis janvier 2014 dans l ENT cole un ENT acad mique premier degr et d j bien implant e dans le second degr avec un ENT unique du coll ge au lyc e mais galement avec le L bel num rique Lyc e I bient t d ploy dans les coll ges l acad mie entend bien d velopper les usages du num rique en tant que facteur d int gration sociale et de lutte contre l exclusion elle veille en cela assurer l galit des chances sur le territoire pour tous les l ves de la maternelle au lyc e Avec cette nouvelle convention sign e le m me jour que le contrat de ville 2015 2020 en pr sence entre autres de M le Pr sident du Conseil r gional Languedoc Roussillon de M le Pr fet de l Aude et de Mme la Vice pr sidente du Conseil d partemental de l Aude ce sont plus de 700 l ves de six coles maternelles et l mentaires de Limoux qui vont pouvoir int grer l ENT cole d s la rentr e prochaine avec leurs enseignants leurs animateurs des temps p riscolaires et leurs parents ils vont b n ficier d un environnement num rique de travail pour apprendre enseigner et communiquer autrement L ENT premier degr c est surtout tout un ensemble de services dans un espace s curis pr cise Armande Le Pellec Muller recteur de l acad mie
48. nseil d Etat infl chira sa jurisprudence en la mati re ou plus probablement ajoutera la condition d agr ment aux cas de cessions num r s dans la directive Toujours est il qu cet instant le projet d ordonnance est muet sur le sujet 3 Les h sitations sur l volution de l interdiction du paiement diff r Sans que les directives ne l imposent la premi re version du projet d ordonnance contenait une volution limit e la r gle d interdiction du paiement diff r le principe demeurait l interdiction mais en cas de march global la r mun ration des prestations d exploitation ou de maintenance pouvait contribuer au paiement de la construction si des objectifs de performance directement li s la construction des ouvrages quipements ou biens immat riels sont assign s au titulaire gt l issue de la concertation et sans doute d un lobbying actif de certains op rateurs la copie a volu et la r gle est revenue ce qu elle est actuellement une interdiction sans exception article 51 du projet Ce faisant le droit de l ex cution des march s publics s carte progressivement de l volution de la commande publique paradoxalement alors que le projet d ordonnance conforte le statut des march s globaux il n en tire aucune cons quence sur leur r gime financier Les acheteurs publics recourent aux march s globaux principalement lorsqu ils entendent obtenir de la part de leur titulaire une obli
49. nt des investisseurs et d j de certains consommateurs pour ce nouveau type d agriculture l accident nucl aire de Fukushima Dai Ichi le 11 mars 2011 La contamination radioactive d une zone situ e en plein dans un territoire rural agricole assez similaire l environnement d implantation des 54 r acteurs nucl aires du pays a suscit la m fiance des Japonais pour les l gumes poussant dans leur campagne Paradoxe tonnant l accident nucl aire a r pandu l id e que des l gumes avaient plus de chances d tre propres s ils poussaient en plein c ur d une ville Et comme la mise en place de fermes verticales en ville repr sente d abord une prouesse technique avant d tre agricole il n en a pas fallu plus aux leaders du high tech japonais pour se lancer dans l aventure Autosuffisance alimentaire Chacune de ces entreprises s est investie dans des projets aussi ambitieux qu exp rimentaux Toshiba est pour l instant l acteur le plus audacieux et celui qui justement souffre le plus du recul de ses ventes d ordinateurs et de t l viseurs l langue anglaise L entreprise aux quelque 200 000 employ s a ainsi cr un complexe de 2 000 m tres carr s le Toshiba Clean Room Farm langue anglaise qui est situ Yokosuka une ville c ti re proche de Tokyo qui abrite aussi l une des principales bases militaires du pays Au fil des tages des laitues des pinards et du mizuna poussent hors sol aliment s par de
50. ort de transformation num rique pourrait leur tre d un grand secours Il permettrait de faire la chasse au simple marketing de budgets convenus la mani re de ce que fait le rapport RSE quand il s agit de traquer le green washing Aussi de diff rencier ces investissements des coups de baguette digitale port s sur des montants annonc s et provisionn s depuis longtemps De trop nombreux plans d investissement dissimulent un plan de renouvellement des quipements qui tient seulement compte de l air du temps sans modifier les pratiques De grands distributeurs renouvellent leur supply chain en insistant sur l impact sur l e commerce alors que l essentiel de l argent profitera toujours terme aux magasins physiques Patrick Chaize un militant de la fibre optique rurale prend la t te du lobby des RIP Lagazettedescommunes com 06 07 15 Le s nateur LR de l Ain maire de Vonnas a t lu l unanimit la t te de l Association des villes et collectivit s pour les communications lectroniques et l audiovisuel le 16 juin dernier Je n ai pas de programme pr cis je r agirai en fonction de l actualit tr s riche dans le secteur des t l communications C est ma personnalit qui fera que la perception de Avicca sera diff rente lance Patrick Chaize avec un sourire entendu Ce 22 juin le maire de Vonnas 2850 hab et s nateur de l Ain savoure les f licitations des convives de la f te du tr
51. p en Sipublic info 28 05 15 p 77 IN La r forme de l Etat n est pas une exception culturelle fran aise Des Q Y d marches de r novation de l action publique sont actuellement x wi adopt es dans la plupart des pays europ ens notamment avec le num rique Tour d horizon des programmes engag s de la Finlande l Italie du Royaume Uni la Gr ce en passant par l Allemagne ou les zg O LR Pays Bas o HE La r forme de l Etat en Europe est le r sultat d une prise de conscience d un besoin de renouvellement du modele socio conomique construit apr s la Seconde Guerre mondiale Dans le cas de l Italie la r forme a t le moyen de sortir de la crise depuis le milieu des ann es 1990 Quant l Allemagne une volution de ses institutions a t guid e par le d fi de la r unification En ce qui concerne la Gr ce la r forme a accompagn son adh sion l Union conomique et mon taire La modernisation de l Etat n est donc pas propre la France Cons quence d un constat de dysfonctionnements et d un besoin de renouvellement les institutions publiques sont repens es dans la plupart des pays europ ens Efficacit et simplification La modernisation de l Etat constitue un levier indispensable pour am liorer son efficacit et les services rendus l usager Cette d marche s explique la fois par des raisons internes telles que le redressement des finances publiques l objectif d efficacit et de simplific
52. ploiement futur de ce Plan le Programme d investissements d avenir soutiendra d s l ann e 2015 des projets destin s favoriser une diversit d exp rimentations de d marches et de m thodologies visant d montrer ce qui marche d velopper une expertise partag e et cr er un effet d entra nement s inscrivant dans la politique num rique conduite par la Ministre de l ducation nationale de l enseignement sup rieur et de la recherche Les caract ristiques g n rales de l appel projets e FRAN e L appel projets e FRAN espaces de formation de recherche et d animation num riques gt s inscrit clairement dans les caract ristiques du programme d investissements d avenir Il vise soutenir des d monstrateurs d innovation num rique au sein du syst me scolaire l issue d un concours permettant de retenir les projets les plus int ressants dont l impact pr visible est le plus important quantitatif et ou qualitatif et qui pr sentent la meilleure cr dibilit de r ussite e La logique choisie est bottom up gt et la d marche d exp rimentation doit permettre de faire merger une diversit de projets d objectifs et de m thodologies d action Les quipes de recherche pourront tre impliqu es dans ces projets depuis leur conception jusqu leur r alisation L laboration des exp rimentations et la diffusion des r sultats favoriseront l essaimage des initiatives innovantes
53. r alis en fonction de la strat gie des op rateurs commerciaux Toutefois le D partement envisage une action en vue de poursuivre l am nagement num rique du territoire sur ce type d habitat Des questions compl mentaires Par e mail l adresse thdseine cg92 fr et ou par t l phone au 01 49 46 88 42 Dans tous les cas nous rappelons que la fourniture des services aux clients finaux sur le r seau THD Seine n tait pas assur e par Sequalum mais par les op rateurs commerciaux Bouygues T l com Free Orange SFR Cette situation restera identique apr s le 30 juin 2015 Il vous appartiendra comme auparavant de vous rapprocher de ces op rateurs pour conna tre les services dont vous pourrez disposer sommaire L ATELIER DUCATION NUM RIQUE amp TERRITOIRES Gouvernement fr 06 07 15 Orientations d un appel projets visant le d veloppement de territoires ducatifs d innovation num rique e y Dans un monde qui volue tr s vite le d veloppement du num rique dans les pratiques ducatives ainsi que la pr paration des l ves des coles coll ges et lyc es vivre et travailler dans la soci t num rique sont d terminants pour l efficacit du syst me ducatif pour la coh sion sociale pour l emploi l attractivit et la comp titivit du pays C est l enjeu global du Plan num rique pour l ducation annonc par le Pr sident de la R publique le 7 mai dernier Afin d clairer le d
54. r te pas l puisque d autres actions num riques ont t lanc es Enfin un Campus num rique in dit sera galement lanc la rentr e 2015 dans deux coll ges services de communication performant et modernes contenu interactif partage de fichiers individualisation des enseignements contribution de l ensemble de la communaut scolaire pour enrichir la plateforme Le Digital coll ge est en germe dans le Loiret D autres projets num riques seront galement mis en place prochainement au sein du d partement du Loiret qui par toutes ces actions d montrent son implication dans l ducation et le num rique Contact Adeline Buisson chef de projet num rique pour la Direction de l ducation et de la jeunesse CD Loiret adeline buisson loiret fr D velopper le num rique en zone rurale pari lanc avec l ENT cole Limoux Armande Le Pellec Muller recteur de l acad mie de Montpellier s est rendue Limoux mardi 30 juin pour NUM RIQUE signer aux c t s de Jean Paul Dupr d put maire de Limoux une convention pour le d veloppement de l ENT Environnement Num rique de Travail dans les coles de LE POUVOIR DE FAIRE Evronnement Num rique de Travai ENSEMBLE ET AN Forte de son implication et de son engagement comme acad mie pilote r cemment d montr s en accueillant le 25 juin dernier ER le recteur Jean Marc Monteil charg par le premier ministre d une mission interminist rielle de d fi
55. r septembre 2015 et a pour ambition de structurer les activit s des startups au del des probl matiques business et finance Hir e ms ml I Enr a gt I Le Lettre Ecoter 03 07 2015 09 07 2015 7 27 Annonc il y a quelques jours le programme 5 000 startups L vient compl ter le paysage des dispositifs d j propos s par les structures d accompagnement comme les incubateurs acc l rateurs ou autres p pini res d entreprise Syntec Num rique le syndicat professionnel des entreprises de services du num rique souhaite alors se montrer actif aupr s des jeunes pousses en leur donnant acc s ses services accompagnement coaching mises en relation avec des grands groupes en change d une adh sion et d une cotisation symbolique soit environ 100 euros en 2015 et 200 euros en 2016 Au del de notre r le de repr sentation nous souhaitons r pondre concr tement leurs besoins travers les m mes services et outils que pour tous nos adh rents Pour cela nous avons r uni autour de nous tous les experts n cessaires Notre programme va galement impliquer un certain nombre d incubateurs au c ur de l cosyst me num rique avec lesquels nous signerons prochainement une convention de partenariat et qui nous permettront d am liorer en permanence notre offre gt raconte Bruno Vanr yb Pr sident du programme 5000 startups Parmi les partenaires qui composent ce bo
56. rait d tre expliqu e aux actionnaires Surtout quand celle ci mobilise des millions d euros I faut diviser en deux la partie du rapport annuel consacr e aux pertes et profits avec un volet pour l op rationnel et un volet d di montrer o va l argent consacr aux investissements pour la transformation num rique gt pr conise Rapha l F tique Le directeur associ chez Converteo s inspire ainsi des rapports RSE institu s par de nombreux grands groupes Explications Ambitions en ligne En 2015 sur le fond comme la forme annoncer les moyens de ses ambitions en ligne se pose en exercice de communication oblig pour les dirigeants Pour d fendre le plan de 225 millions d euros consacr la strat gie num rique d Accor le PDG S bastien Bazin s est montr devant les analystes financiers pieds nus v tu d un jean d lav et d un tee shirt noir De son c t Michel Edouard Leclerc a fait le service apr s vente de son budget au cours d une interview C est en effet lors d une matinale de BFMTV et RMC qu il a soulign l investissement d un milliard d euros en trois ans qu il entendait consacrer des technologies et des emplois Ces messages cens s f d rer les salari s et les partenaires vers un objectif commun de changement n ont pas le m me effet sur les march s financiers tr s attentifs la non d gradation des principaux indicateurs d entreprise Sans toutefois c der la panique les analyst
57. rgence Plusieurs des projets concernent l optimisation des syst mes de transports aide la d cision pour la gestion des flux a riens SkyKeeper assistant intelligent et tableau de bord pour la planification et l exploitation de v hicules partag s AI PES communication pour l infrastructure routi re le mobilier urbain et les v hicules YoGoKo localisation des places de parkings sur la voie publique via l analyse des images de vid osurveillance CamPark D autres laur ats travaillent des solutions plus sp cifiques pour la ville intelligentes ForCity les r seaux radio pour l internet des objets Gridbee IRADELP RFINET Acklio les plateformes pour la gestion de l nergie e SIMS ou le Cloud Hiptest Themecloud Secteur public innovant Comme chaque ann e l enseignement sup rieur demeure le plus grand pourvoyeur de laur ats pr s d un tiers des projets issus de la recherche publique proviennent des universit s suivi par le CNRS 23 les autres tablissements d enseignement sup rieur 10 le CEA 10 ou l INRIA 9 93 projets sur 174 sont accompagn s par un incubateur public signe de la synergie entre le concours et les incubateurs deux dispositifs d aide la cr ation d entreprises de technologies innovantes mis en place par le minist re en 1999 sous Claude All gre a rappel le ministre En outre plus du tiers des laur ats ont b n fici en amont de financements dont 80 proviennent d
58. rilosit de leur pr sident Syst mes comptables La machinerie informatique doit absolument fonctionner le 1 janvier 2016 entre les anciennes r gions et le comptable public sous peine de ne pouvoir payer les agents et les fournisseurs Pour nous la situation id ale serait que les anciennes r gions aient un seul syst me d information qui v hicule un seul flux gt indique Eric Barbier sous directeur de la gestion comptable et financi re des collectivit s locales la direction g n rale des finances publiques DGFIP C est l option retenue par les deux Normandie la Bourgogne Franche Comt et l Aquitaine Limousin Poitou Charentes Dans les deux premiers cas les collectivit s avaient le m me diteur et ont r ussi se mettre d accord sur les modifications apporter Poitou Charentes et Limousin de leur c t ont accept de basculer sur le syst me de l Aquitaine Les autres grandes r gions conserveront pendant une p riode transitoire plusieurs syst mes d information en parall le Nous n avons pas voulu prendre le risque d tre confront s des bugs informatiques Nous avons pr f r jouer la s curit r sume Jo l Neyen DGS de Midi Pyr n es Nos deux r gions ont des applications mais aussi des organisations tr s diff rentes en Picardie nous sommes tr s d centralis s avec des directions qui effectuent leur mandatement Le Nord Pas de Calais lui a une plus grande centralisatio
59. rissent pas uniquement de laitues et si le m tre carr de culture est conome en eau il n en est pas de m me en nergie De longs d veloppements sont encore pr voir et ceux ci ne pourront voir le jour que si les grandes entreprises japonaises continuent leur soutien L quation est simple les entreprises investissent parce qu elles pensent que les consommateurs seront r ceptifs dans la dur e aux arguments des productions des fermes verticales Et dans un Japon o petit petit la mobilisation autour de Fukushima faiblit et o une part croissante de Japonais environ un sur trois s annonce favorable au red marrage du nucl aire moins de cinq ans apr s l accident pas s r que l int r t pour l agriculture urbaine soit garantie Sommaire O REGARD SUR LA FRANCE Antoine Darodes devient directeur de l Agence du Num rique Silicon fr 07 07 15 L Agence du Num rique vient de trouver sa t te en la personne d Antoine Darodes Dot d une expertise dans la concurrence les t l coms et le tr s haut d bit il aura c ur de d velopper l ensemble des facettes composant cette entit L Agence du Num rique a trouv son directeur Antoine Darodes Jusqu ici on le connaissait pour d autres fonctions depuis novembre 2012 il tait charg de piloter le Plan France Tr s Haut D bit au sein de la Mission Tr s Haut D bit C est donc un nouveau challenge plus large pour cet expert des infrastructures t l co
60. rme de l Etat au Royaume Uni vise un triple objectif encourager l innovation par la r utilisation des donn es participer la transparence de l Etat et offrir une nouvelle forme de services publics aux citoyens Afin de soutenir ces d marches le Royaume Uni s est dot d un chief data officer Un exemple suivi r cemment par la France avec la nomination d un administrateur g n ral des donn es Au sein de l hexagone o le pouvoir de l Etat est historiquement centralis la r forme s est traduite par une r partition des comp tences red finie entre des acteurs d concentr s et des collectivit s locales Par ailleurs la modernisation des institutions publiques a port sur la simplification des d marches aux usagers avec le programme Dites le nous une fois l ouverture des donn es publiques et le d veloppement de t l services publics qui contribuent l am lioration des services et au d cloisonnement des administrations R formes territoriales in gales La r forme territoriale constitue galement un enjeu cl de la r forme de l Etat Sur ce sujet la Finlande encourage depuis 2005 les fusions de communes l aide de dotations budg taires exceptionnelles Le nombre de municipalit s est ainsi pass de 432 342 4 Abbana elfi LLLLI U M me action de rationalisation de l action publique locale en Italie o l Etat a supprim l chelon des provinces On retrouve galement cette pr occupation e
61. rtie data pr cise t on au cabinet qui s en r jouit Etalab essaye d avoir une relation partenariale avec les administrations son travail porte ses fruits et va se poursuivre gt Le temps de l ouverture au couteau hu tre sera t il bient t un vieux souvenir Ce tropisme conforte la strat gie num rique pr sent e en septembre 2014 par l ancien secr taire d Etat Thierry Mandon remplac par Clotilde Valter en juin l Concoct e en bonne intelligence avec le directeur d Etalab et administrateur g n ral des donn es Henri Verdier et une Direction interminist rielle des syst mes d information et de communication Disic enfin renforc e elle met la donn e en son coeur Et en attendant la future loi sur le num rique annonc e pour septembre et qui devrait renforcer l open data la question des donn es s incruste de plus en plus dans des textes de loi commencer par le projet de loi NOTRe M me si nous sommes loin d avoir toutes les infrastructures les projets utilisent d j des blocs existants se f licite encore le cabinet de Clotilde Valter qui envisage d j que ce th me soit r activ dans le cadre d une prochaine vague Les projets s lectionn s concernent des champs tr s h t rog nes de l action publique et certains int ressent directement les collectivit s locales e DataTourisme plateforme nationale permettant d acc der l ensemble des donn es touristiques ouvertes produites
62. s LED pour ces fleurons de l industrie nippone Pas exactement f k Ces g ants japonais souffrent depuis dix ans sur leurs secteurs traditionnels mis en difficult aussi bien par la conjoncture conomique morose sur le march national que la concurrence meilleure march et souvent performante c t technique des entreprises sud cor ennes ou chinoises Dans une logique de diversification qui est de plus l un des principaux atouts du capitalisme japonais ces soci t s se tournent vers un nouveau gisement de croissance l agriculture Et plus pr cis ment vers le nouveau domaine des cultures urbaines en utilisant notamment des fermes verticales x ces tours au c ur des villes recr ant un environnement propice la culture de l gumes Retour la terre mais sans la terre M me si les investissements des entreprises japonaises se sont r cemment intensifi s le projet est d j ancien et comme beaucoup de plans impliquant des grosses entreprises nippones l tat en est l origine En effet les autorit s pensent au futur de l agriculture nippone qui s annonce sombre des fermiers g s 60 des agriculteurs ont plus de 65 ans une d saffection des plus jeunes une d sertification des zones rurales mais aussi des techniques g n rant une faible productivit et l arriv e le plus bas taux d autosuffisance alimentaire des pays d velopp s C est un autre v nement tragique qui va pr cipiter l engoueme
63. s du r seau fixe Cette M mission est confi e Bruno Janet qui devient conseiller du LAS Pr sident Directeur G n ral d Orange en charge de ces vus A questions compter du 1 juillet 2015 Cette mission doit ce en particulier de renforcer la qualit du dialogue avec les collectivit s locales sur les questions de r seaux les plus fr quentes que sont la couverture mobile et la qualit du r seau fixe Avec son plan strat gique Essentiels2020 l objectif d Orange est de se d marquer par la qualit de l exp rience client et en particulier en mati re de connectivit Les questions de couverture et de connectivit voix data sont particuli rement importantes pour nos clients comme pour les collectivit s territoriales A l occasion du lancement de cette mission St phane Richard Pr sident Directeur G n ral d Orange a indiqu Sous l impulsion d Orange les 4 op rateurs ont sign le 21 mai dernier un protocole d accord pour la couverture des zones blanches en pr sence d Emmanuel Macron et d Axelle Lemaire Par ailleurs j ai lanc un plan triennal volontariste d am lioration de la qualit de service per ue du r seau fixe en particulier dans les zones rurales Cette d marche s inscrit pleinement dans notre nouveau plan strat gique Essentiels2020 qui ambitionne de faire vivre nos clients une exp rience incomparable au quotidien C est pourquoi j ai souhait qu un dirigeant exp riment du Groupe se con
64. s haut d bit invit s dans la Manche par Acome le fabricant fran ais de c bles optiques Il vient d tre nomm la t te de l Association des villes et collectivit s pour les communications lectroniques et l audiovisuel C est une bonne nouvelle Il a men un d ploiement de 92 000 prises FTTH fibre jusqu l abonn dont pr s de 20 000 sont d j commercialis es souligne Jean Luc Sallaberry chef du d partement num rique de la F d ration Nationale des collectivit s conc dantes et r gies FNCCR En effet le projet men par Patrick Chaize au sein du syndicat d nergie et d e communication de l Ain SIEA est le plus avanc parmi les RIP du plan France Tr s Haut D bit Il se hisse derri re l Ile de France en terme de couverture de son territoire affichant un taux de pr s de 20 d abonn s le rapprochant de la moyenne nationale de 23 C est une vraie bonne nouvelle rench rit Etienne Dugas pr sident de laF d ration des industriels des r seaux d initiative publique Firip C est l un des rares lus qui a la culture du terrain et une vision conomique du d ploiement d un r seau Atypique ou pr curseur Parti dans l aventure du tr s haut d bit d s 2005 lorsque le SIEA d cide de lancer un projet de r sorption des zones blanches de l ADSL Patrick Chaize d fend depuis sa vision de l avenir nattra Erntor A2 A7 9DNIE AO A7 9Nn1EC Q 977 Lettre Ecoter 0
65. s liquides nutritifs le tout temp rature constante L objectif affich par le g ant japonais avec ce projet initi en 2014 est ambitieux proposer une client le soucieuse de sa sant 3 millions de sachets de nourriture par an pour un chiffre d affaires esp r de 300 millions de yens 2 1 millions d euros Une goutte d eau par rapport au chiffre d affaires de plus de 45 milliards d euros de l entreprise Reste que la vraie marge de Toshiba ne se fera peut tre pas forc ment sur la vente des l gumes poussant l ombre des murs de sa ferme verticale mais plut t sur le gain de m diatisation d un tel savoir faire qui outre la main verte n cessite de maitriser les lampes LED la climatisation les proc d s de st rilisation les syst mes informatiques ou les semi conducteurs Toshiba a d j l avantage de ma triser toutes les technologies explique Noriaki Matsunaga chef de ce projet novateur Nous pouvons donc fournir nos clients tout ce qui est n cessaire pour qu ils construisent leurs propres fermes verticales Toshiba a d ailleurs fait une premi re incursion Singapour et lorgne sur les territoires hyper urbanis s d Asie en recherche d autosuffisance alimentaire Semi conducteurs contre pesticides Fujitsu autre entreprise tentaculaire de l archipel a d cid de fermer l une de ses plus grosses usines de semi conducteurs en 2009 pour la transformer trois ans plus tard en fer de lance de son nouveau d fi
66. s paquebots les d cisions d ajustement se prennent en g n ral dix huit mois au minimum avant leur ex cution Les r gions doivent en outre s accorder sur le r glement budg taire et financier qui sera adopt par le nouvel ex cutif et mettre en place une gestion commune de la dette et de la tr sorerie Il leur faudra aussi travailler sur la convergence des politiques fiscales Mais pour le moment nous ne connaissons pas le calendrier d harmonisation gt note Yann Goubard M me flou sur les modalit s de p r quation des nouvelles entit s Ce manque de visibilit sur les dispositions pratiques de la fusion et ses impacts ne facilite pas la t che des quipes Services en ligne les Fran ais de plus en plus m fiants Selon la derni re tude Caisse des D p ts Acsel sur la Samisk confiance des Fran ais dans le num rique les internautes sont de plus en plus r ticents partager leurs donn es personnelles Le paradoxe fran ais concernant leurs usages du Web prend de l ampleur Si les internautes de notre pays sont particuli rement friands des services de Google ou encore de Facebook pour ne citer qu eux ils sont de plus en plus inquiets de l usage de leurs donn es par ces g ants Inquiets mais pas encore capables de couper le cordon ou de choisir des solutions plus respectueuses de leur vie priv e Ainsi selon la derni re tude r alis e par Caisse des D p ts et l Acsel consacr e La confiance des
67. sacre la coordination de ces actions en particulier vis vis des collectivit s Je profite de cette annonce pour remercier Bruno Janet pour tout le travail effectu la t te de la Direction des Relations avec les Collectivit s Locales Groupe Titulaire d une Ma trise en Droit d un Master de l ESCP ing nieur de T l comParisSud Officier de l Ordre national du m rite et Officier de la L gion d Honneur Bruno Janet tait depuis 2004 Directeur des Relations avec les Collectivit s Locales Groupe Il a auparavant exerc les fonctions de chef du service de Presse puis directeur de l Information et porte parole du Groupe qu il a rejoint en 1980 gt T l charger le communiqu de presse LA Cyril Luneau rejoint Orange pour y prendre la fonction de Directeur des Relations avec les Collectivit s Locales Groupe A partir du 1 juillet Cyril Luneau devient Directeur des Relations avec les Collectivit s Locales Groupe Par son exp rience chez Neuf Cegetel puis chez SFR o il a notamment fond et dirig SFR Collectivit s Cyril Luneau a acquis une expertise approfondie des march s publics et des collectivit s territoriales dans le secteur des t l coms Il mettra cette expertise au service d Orange dans le cadre du d ploiement d Essentiels 2020 et de la strat gie du Groupe vis vis des r seaux d initiative publique ainsi qu en ce qui concerne les partenariats nou s par le Groupe avec les collectivit s territor
68. signation de l op rateur le 10 mars 2015 au tribunal de grande instance de Bourg en Bresse Cette fois pour pr judice commercial en raison du retard du SIEA dans la mise niveau de son r seau Un amendement zones fibr es la loi Macron Depuis son lection au S nat en septembre 2014 l ex directeur de reso li in poursuit son engagement pour une ruralit irrigu e en fibre optique au sein de la commission de l am nagement du territoire et du d veloppement durable Il est l auteur d un amendement zones fibr es l la loi Croissance activit et galit des chances conomiques dite loi Macron Celui ci doit pr voir les conditions de la bascule du r seau cuivre de l Adsi dans les zones fibr es par les RIP comme le pr conise le rapport de la mission Champsaur LA sur la transition vers les r seaux tr s haut d bit et l extinction du r seau cuivre Et le nouveau pr sident de l Avicca de pr venir Nous ne pouvons pas tre ternellement les uns contre les autres les collectivit s doivent avancer group es et les op rateurs ont tout int r t jouer le jeu Plier s il le faut mais rompre jamais pourrait tre la devise de Patrick Chaize Orange s engage pour la couverture des zones blanches et la qualit du r seau fixe Orange met en place une mission d orientation et de coordination pour la couverture des zones blanches mobiles et pour le traitement des points sensible
69. t de r pondre vous lus vos besoins interrogations attentes et vous permettre d avoir les cl s de la r ussite de votre projet num rique concert en partenariat avec les instances acad miques de l ducation nationale gr ce une quipe de formateurs polyvalente et comp tente dans le domaine de l ducation
70. tion l origine des textes juridiques E La Dila co portrice s est lanc e dans un programme d ouverture de ses donn es ll La boussole des droits pour les 18 30 ans la solution pour conna tre et activer ses droits sur l emploi le logement et la sant gt peut aussi leur rendre service ou encore l outil de simulation num rique de la constructibilit r glementaire gt Le troisi me volet dites le nous une fois comporte aussi son volant de projets susceptibles d apporter des gains aux collectivit s locales et leurs partenaires Suivi et programmation des logements sociaux pour d mat rialiser de bout en bout le d p t et l instruction des demandes d aide la pierre dans le cadre de la production de logements sociaux d claration unifi e pour les ouvrages souterrains DUPLOS Forage La seconde vague a t lanc e en juin autour de France Connect l identifiant unique gt La troisi me ne se fera pas avant au moins six mois Budgets 2016 le casse t te des syst mes d information r gionaux Onze mois pour fusionner c est court Les sujets traiter sont nombreux mais pour les r gions concern es par la loi du 16 janvier 2015 l aspect comptable et budg taire est l un des plus urgents Directeurs financiers directeurs g n raux des services et services informatiques ont donc retrouss leurs manches plus ou moins t t en fonction de l enthousiasme ou au contraire de la f
71. u secteur public Agence nationale de la recherche Bpifrance Programme d investissement d avenir financements europ ens et des soci t s d acc l ration du transfert de technologies SATT Un des premiers dispositifs d amor age sur notre territoire Avec 12M de budget en 2015 les subventions peuvent monter jusqu 450k pour la cr ation d veloppement et 45k pour la cat gorie en mergence I Lab est un des premiers dispositifs d amor age sur notre territoire gt a soulign Thierry Mandon En 17 ann es d existence le concours a permis la cr ation de plus de 1737 entreprises dont 70 sont toujours en activit pour 394 M d euros Vous tes les mod les de l conomie de demain a conclu le ministre Voiture lectrique l Etat va unifier le r seau de recharges Le gouvernement va publier un d cret pour imposer l interop rabilit L id e est de s inspirer du Groupement des cartes bancaires Cr er l quivalent d un groupement des cartes bancaires gt pour les voitures lectriques Tel est le projet sur lequel le gouvernement et les acteurs de la mobilit planchent depuis plusieurs mois Selon nos informations Bercy compte publier d ici la fin de l ann e un d cret imposant l interop rabilit entre les diff rents r seaux de bornes lectriques d ploy s sur le territoire transposant une directive europ enne d octobre 2014 L objectif Permettre aux utilisateurs de voitures
72. uquet de services Syntec Num rique s est notamment entour de professionnels de l Assurance du conseil en Innovation F lniciativas Neotech Assurances et du droit Une op ration s duction qui a t lanc e par Guy Mamou Mani pr sident de Syntec Num rique et qui semble avoir comme ambition d augmenter le nombre d adh rents actuellement de 1500 soci t s travers cette initiative de 5000 startups Depuis quelques ann es Syntec Num rique a chang nous avons voulu voluer et pu ainsi accueillir de nouveaux adh rents aux m tiers innovants des jeunes pousses ou grandes entreprises Nous avons ainsi cr de nouvelles commissions et nouveaux comit s afin de r pondre leurs enjeux et nous nous devions d avoir un service adapt leurs besoins conclue Guy Mamou Mani gt Les actions de Syntec Num rique E Le rapport annuel sous l effet du num rique Les entreprises font l effort de pr senter leurs actions en mati re de responsabilit sociale au sein d un document annexe au rapport financier Elles devraient tout autant d tailler leur transformation num rique pour les actionnaires Surtout quand les entreprises y investissent des millions d euros Num rique et responsabilit sociale des entreprises m me combat Probablement pas encore pour des investisseurs bien trop port s vers l avenir et r gl s sur un rythme trimestriel Pourtant la transformation num rique d une entreprise m rite
73. ur plus de 30 000 l ves soit plus de 15 des coles Au del des ENT de la maternelle au lyc e construits sur un m me cahier des charges pour garantir une continuit l acad mie de Montpellier se mobilise pour le d veloppement du num rique p dagogique avec 500 000 euros pour la formation des enseignants du second degr et une dotation du minist re exceptionnelle de 75 000 euros pour la formation de l ensemble des formateurs disciplinaires mais aussi des formations des enseignants du premier et du second degr par le num rique via la plateforme m gist re l En quelques chiffres c est environ un million d euros par an qui est engag pour l accompagnement acad mique par la d l gation acad mique au num rique et un million d euros par an pour l h bergement et l assistance assur s par les services acad miques ADMINISTRATION LECTRONIQUE Les donn es chouchoutes de la transition num rique de l Etat Les r sultats du premier appel projet du fonds Transition num rique de l Etat et modernisation de l action publique ont t donn es jeudi 2 juillet Le coup d acc l rateur sur les donn es comme vecteur de modernisation se poursuit sur les 42 dossiers retenus L dans le cadre de la premi re s lection de l appel projet AAP du fonds Transition num rique de l Etat et modernisation de l action publique d voil ce jeudi 2 juillet par la nouvelle secr taire d Etat en charge
74. urront suivre leur progression Un mode d emploi est galement disponible sur le site de soutien scolaire en ligne afin d aider parents et enfants comprendre et manipuler tous les outils mis disposition Pourquoi faire appel aux ditions BORDAS Le d partement du Loiret a choisi de travailler en lien direct avec les ditions Bordas Soutien Scolaire l Tout d abord celui ci dispose du label RIP reconnu d int r t p dagogique par le minist re charg de l ducation national de plus Bordas est un diteur de manuel scolaire traditionnel que tout le monde conna t et qui rassure Adeline BUISSON C est un gage de s rieux qui parle aux parents qui se r f rencie directement aux manuels traditionnels gt Bordas s est galement engag avec le d partement du Loiret faire voluer la plateforme Mod J constamment selon les diff rents retours afin de l am liorer quotidiennement et proposer un service complet Adeline BUISSON Nous avons simplifi les modalit s d inscription d velopper les messages d encouragement permis l accessibilit de tous les navigateurs et la plateforme n a pas fini d voluer gt Gr ce cet outil les jeunes Loir tains ont de nombreuses possibilit s Le contenu du service de soutien scolaire en ligne est r dig par des professeurs et est conforme aux programmes de l ducation nationale Les autres actions men es au sein du d partement Le d partement du Loiret ne s ar
75. ux diff rents modes d apprentissages dont les supports mobiles Tout en rappelant que la tablette a t con ue au d part pour les loisirs et la consommation Beaucoup d l ves disposent chez eux d objets mobiles et en font un usage priv Comment ces pratiques sociales ont un impact et peuvent faciliter certaines d marches Quelle int gration dans l cosyst me de la classe Et rappeler que les tablettes viennent accompagner elles ne se substituent pas au travail des enseignants H l ne Marchi directrice d Intel e march fran ais est le plus compliqu et rappeler qu avec les tablettes on ne fait pas les m mes choses qu avec un ordinateur Il y a avait aussi Laurent Jeannin pour discuter des enjeux du num rique ducatif sur cette table ronde L Bic expliquait l int r t des donn es g n r es qui permettent aux enseignants de pratiquer la p dagogie diff renci e Anne Lech ne expliquait la strat gie mise en place pour lutter contre l ennui dans la classe 100 tablissements utilisent BIC Education en France et les r sultats sont excellents notamment dans les Segpa Certainement que la question pos e fausse un peu le d bat car le changement ne viendra seulement d aucun quipement chacun le sait aujourd hui Si on peut trouver de nombreux projets p dagogiques r alis s avec des tablettes ces quelques 70 t moignages sur Educavox en attestent l cela d montre bien que c est bien un cosyst me qui se

La Lettre hebdomadaire des TIC La Lettre

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents