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131113 Rapport définitif GUIMSEAT-1

1. 5 Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET DGER Inspection de l enseignement agricole j GUIDE M THODOLOGIQUE lt S CURIT DANS LES EXPLOITATIONS AGRICOLES ET LES ATELIERS TECHNOLOGIQUES DES EPLEFPA gt lt GUIMSEAT gt Groupe de travail Les Inspecteurs de l Enseignement Agricole Dominique AUMASSON Denis CHATOT Denis COTTE Jo l DEMULE Bernard GARINO St phane GENOUX Fran ois Xavier JACQUIN Philippe LERAT Patrick LIZEE Dominique MC COOK Michel PECQUEUX Andr QUILLEVERE Francine RANDI Jo l RIGAL V ronique WOZNIAK L Inspecteur Sant S curit au Travail Jean Marie GILLOT Octobre 2013 R13 006 Sommaire 1 Introduction au guide m thodologique S curit US Et E E TE E page 2 1 2 ba ur e Rss que ns 3 1 3 M thodologie et d roulement du page 4 2 Elaboration du guide m thodologique S curit 2 1 L environnement et les enjeux 21 1 Ee Cadre Beneral a ns page 6 22 Les sp cificit s deS E page 7 21 3 Analyse de CD ACIER e page 13 2 2 ENEE page 13 2 3 Les sp cifications sine es page 13 2 4 Structure et organisation du guide S
2. Jean Yves CHARVIN Site de Montmorot Proviseures adjointes Anne Fran oise TROLLAT Aurore LOUIS Directeur de l exploitation agricole Eric DEBOEUF Site de Mancy Directrice adjointe Nelly GHERARDI Directeur de l atelier hippique Laurent PETAT LENOIR Directeur d EPLEFPA Poligny Serge ABADIE Proviseure adjointe Fabienne MARTIN Directeur de l atelier technologique Thierry BERRARD D roulement du test Transfert des inspecteurs lundi 8 octobre au matin D but du test lundi 8 octobre 14 h R union g n rale sur le site de Montmorot Inspecteurs DEA DAT Directeurs D EPLEFPA ou repr sentants G Choux R alisation du test en situation sur les sites mardi 9 9h 17 h30 et mercredi 10 9h 15h Soir e Franche Comt mercredi 10 10 Organisation par le SRFD d part partir de 16h site de Montmorot Sur le site de Montmorot v v v v Synth se du groupe inspecteurs G Choux DEA DAT jeudi 11 10 8h30 12h D jeuner fin de mission inspecteurs DEA DAT Choux 12h15 Suite r union des inspecteurs 13h30 15h D part des inspecteurs 15h Composition des quipes sur sites Montmorot JDEMULE D COTTE V WOZNIAK D AUMASSON Mancy B GARINO J RIGAL P LERAT Poligny D CHATOT GCHOUX Bin me tournant M PECQUEUX JM GILLOT Le 9 matin Montmorot apr s midi Mancy Le 10 au matin Poligny apr s midi Montmorot Recensement des
3. Pilote Jean Marie GILLOT Pilote Michel PECQUEUX Pr sentation des travaux m thodologie changes concertation v DEA DAT Directeur d tablissement Charg s d animation du r seau r gional des EA AT Ann e scolaire 2012 2013 1 E v Groupe Objectif N 8 Gestion num rique du guide Pilote Patrick LIZEE Pilotage V ronique WOZNIAK St phane GENOUX Tests en situation v Objectifs 1 2 3 4 5 6 Exploitation agricole PA Viticulture P MONTMOROT Exploitation hort P VALDOIE Atelier hippique MANCY Atelier technologique IAA POLIGNY Objectifs N 7 8 Exploitation agricole Atelier technologique IAA BOURG EN BRESSE ei T Construction num rique du guide Y 25 Ma trise d ouvrage DGER S D EDC Assistant au ma tre d ouvrage MISSI Participants au COPIL S D POFE BVD SDI MISSI DSI ISST Proposition IEA 26 ANNEXE N Organisation du test lt GUIMSEAT gt octobre 2012 Pr sentation des participants gt Pr sentation de la mission gen se et construction du guide groupe de travail IEA ISST Document g n rique D finitions Cahier des charges 2 gt M PECQUEUX lt p Informatique V WOZNIAK gt Pr sentation du Guide et Mode d emploi r partition entre JM Gillot et D Cotte animation diaporama page de texte Composition des quipes sur sites M PECQUE
4. grera dans la proc dure g n rale d auto valuation des tablissements La logique d velopp e d utilisation du guide m thodologique S curit prend en compte Y la d termination du niveau de conformit de l EA AT par rapport la probl matique s curitaire exprim e dans chacune des lignes 2 l valuation du niveau d urgence de l action d intervention v 3 la d finition des modalit s de l action corrective et son suivi Le guide permet l utilisateur d acc der ses demandes par plusieurs entr es champs d activit s th mes objectifs et d valuer la situation diagnostiquer avec l appui de ressources multiples textes officiels r glements jurisprudences bonnes pratiques exemples illustrations La redondance ponctuelle d acc s aux ressources ne doit pas tre consid r e comme un d faut de conception mais au contraire en tant que convergence naturelle vers l efficacit de l analyse et la performance de l action corrective Le guide doit permettre de traiter de l ensemble des situations pr sentes en mati re de s curit sur les EA AT des EPLEFPA au travers des objectifs rep r s onglets 16 Objectif N 1 Management g n ral de la s curit au travail Objectif N 2 Contr le de la conformit Objectif N 3 M decine de pr vention Objectif N 4 Activit s ma trise des risques et pr vention Objectif N 5 Bonnes pratiques s curit des interventions
5. la s curit et aux conditions de travail et son directeur doit donc en r pondre au m me titre comme d l gataire de ces obligations et responsabilit s dans le centre car nomm par le ministre de l agriculture article R811 27 du Code rural Chaque directeur d exploitation ou d atelier technologique a autorit sur les personnels qui y sont affect s ou qui sont mis disposition veille au respect du r glement int rieur ainsi qu l accomplissement des missions qui lui sont assign es veille la s curit des personnes et des biens l hygi ne et la salubrit dans le centre dont il a la charge ainsi qu au respect des r gles professionnelles Article 811 47 du Code rural Ainsi par exemple les r gles du Code de la construction et de l habitation relatives aux tablissements recevant du public E R P s appliquent elles aux centres de production et en particulier celles relevant de la pr vention des risques d incendies Centres des EPLEFPA et centres de production les EA AT sont utilis s comme moyens de formation d innovation transfert et de mani re extensive comme moyens de mise en uvre des missions de l enseignement agricole conform ment aux articles L811 1 et 8 II du Code rural Les EA AT sont donc des lieux sensibles d interaction entre des publics apprenants clients des acteurs partenaires fournisseurs et des missions Cette sp cificit et la complexit induite font que l identif
6. AMBIANCES RISQUES TRANSVERSAUX PRODUCTIONS ANIMALES RISQUES TRANSVERSAUX PRODUCTIONS V G TALES RISQUES TRANSVERSAUX R COLTES PV PA TRANSFORMATION FABRICATION RISQUES TRANSVERSAUX M TIERS PRODUCTIONS SP CIALIS ES RISQUES SP CIFIQUES 4 6 1 4 6 2 4 6 3 4 6 4 4 6 5 4 6 6 4 6 7 4 6 8 4 6 9 4 6 10 M TIERS du CHEVAL ACTIVIT S D LEVAGE CLASSIQUES CANINS FELINS NAC ANIMALERIES APICUTURE AQUACULTURE AM NAGEMENT PAYSAGER M TIERS DE LA FOR T SYLVICULTURE ENTRETIEN DE L ESPACE RURAL CULTURES P RENNES VITICULTURE ARBORICULTURE TRAVAIL EN CHAI CAVES SILOS ATMOSPH RE CONFIN E ZONES ATEX ACTIVIT S HORTICOLES MARA CHAGE CULTURES SOUS SERRES HORS SOL CULTURES V G TALES SPECIALIS ES c r ales houblon cultures tropicales AGRO TOURISME SERVICES LA PERSONNE accueil restauration h bergement 4611 VENTE EN CIRCUITS COURTS 4 6 12 PRODUCTION D NERGIE 4 7 TRANSFORMATIONS ALIMENTAIRES 5 1 R GLEMENTATION GESTION ADMINISTRATIVE v hicules transports d placements 5 2 R GLEMENTATION CONFORMIT MAINTIEN EN CONFORMIT CONTR LES P RIODIQUES SP CIFIQUES BONNES PRATIQUES D UTILISATION D ENTRETIEN DE MAINTENANCE DES V HICULES ET INSTALLATIONS 5 3 UTILISATION DES AUTOMOTEURS AGRICOLES ET ENSEMBLES ATTEL S TRACTEUR OUTILS 5 4 UTILISATION DES QUIPEMENTS DE PRODUCTION 5 5 5 DE MAINTENAN
7. La pr sidente du Comit Hygi ne et s curit et des Conditions de Travail Minist riel CHSCT M a d sign monsieur Jean Marie GILLOT inspecteur Sant et s curit au travail pour participer au groupe de travail Le doyen de l inspection a arr t lors du s minaire de rentr e de l IEA en septembre 2012 la composition du groupe d inspecteurs qui a d sign pour son pilotage Michel PECQUEUX L objectif tait d associer plusieurs comp tences g n rales p dagogiques administratives juridique et financi re exploitations ateliers technologiques exp rimentation d veloppement afin de b n ficier de regards crois s sur l ensemble des secteurs et des fili res de formation pour les questions et les items traiter gt Compl ment la commande initiale Supports privil gi s de l innovation les EA AT se doivent d tre les vitrines des politiques publiques produire autrement agriculture biologique d veloppement durable biodiversit au service du d veloppement et du transfert mais aussi dans la formation des futurs agriculteurs et citoyens aux nouvelles pratiques et technologies respectueuses de l environnement et porteuses de r ponses aux attentes soci tales Lors de la mise en ceuvre des travaux le groupe a souhait dans cet esprit int grer au pr sent guide deux objectifs compl mentaires en relation directe avec l volution du contexte et la prise en compte de l environnement gt la s
8. Objectif N 6 EA AT supports p dagogiques s curit des apprenants Accueil des usagers Objectif N 7 S curit sanitaire en transformations alimentaires Objectif N 8 Les risques majeurs et environnementaux La mise en uvre de l autodiagnostic doit tre r alis e chaque ann e par le DEA DAT Il peut cette occasion tre accompagn des diff rents agents concern s enseignants techniques salari s de l EA AT gestionnaire L op ration peut tre galement le support d une action p dagogique sp cifique avec des apprenants L utilisation ponctuelle Cf modalit s d utilisation doit permettre d apporter rapidement et avec pr cision r ponse une question pos e ouvrant sur la mise en ceuvre en s curit de l action envisag e 2 5 2 D marche M thode Outil Lad marche C est la mani re d aller vers un objectif de transformation sociale Une d marche rend compte d un processus Toute d marche s appuie sur des valeurs des principes philosophiques Sa mise en uvre fait appel des m thodes Lam thode Toute d marche prend appui dans sa mise en uvre sur une ou des m thodes Celle ci correspond la mani re dont se d roule l action ainsi que les choix qui permettent sa mise en ceuvre Les l ments constitutifs de la m thode portent sur Y les diff rentes tapes et leurs articulations Y les diff rentes techniques et outils utilis s au cours de ces tapes gt Les outils C
9. Organisation du test GUIMSEAT EE Cahier des charges GUIMSEAT EE Plan d taill du GUIMSEAT objectifs et sous objectifs IRE ee Siglier Guide m thodologique S curit dans les exploitations agricoles et les ateliers technologiques des EPLEFPA GUIMSEAT 1 Introduction au guide m thodologique S curit 1 1 Le contexte et les sp cificit s De par leur vocation leur fonction et leur organisation au sein des EPLEFPA les exploitations agricoles et les ateliers technologiques EA AT sont des vecteurs privil gi s de savoir de savoir faire et de savoir tre Ils sont le support actif d une p dagogie par la d monstration et par l action Au del de l intelligence du geste et de son apprentissage ils amplifient pour chaque apprenant les capacit s d observation d analyse et contribuent forger chez chacun le raisonnement et le cheminement vers la d cision et par effet induit mesurer les cons quences de l acte et appr hender la notion de responsabilit En ce sens ils ont des effets la fois ducatifs et de professionnalisation Les exploitations agricoles et les ateliers technologiques sont le moteur de performance des tablissements dans leurs capacit s ins rer scolairement et professionnellement les apprenants pr parer des acteurs des territoires donner tous les clefs de la citoye
10. agroalimentaire Valdoie exploitation horticole am nagements paysagers Dans un second temps un test compl mentaire a t r alis en r gion Rh ne Alpes dans un objectif de mise en situation des objectifs N 7 et 8 sur l EPLEFPA de Bourg en Bresse exploitation agricole atelier technologique IAA gt 18 mise en place d une pr sentation du guide m thodologique s curit apr s test aupr s Y de la DGER et des S D SDI et POFE Y de l inspection SST Y dela MSA dans le cadre de la convention cadre nationale gt 18 transcription et la diffusion du guide s curit Y Le guide a t construit l aide de Microsoft Excel version 2010 Cette proc dure n a qu un caract re provisoire En effet si le mod le pr sent fait preuve d ind niables atouts en particulier en mati re de rapidit d utilisation et de convivialit un certain nombre de difficult s au caract re r dhibitoire sont pr sentes maintien de l outil jour en temps r el o diffusion et installation du guide dans les tablissements utilisation conditionn e la version d Excel employ e copies du guide et modification du contenu par les usagers possibles archivage et mise jour non compatibles oabsence de portabilit et de conformit avec la SDI qui recommande la suite Open Office 3 1 L ensemble impactant sa fiabilit et sa p rennit sa diffusion sera assur e en version d finitive en langage WEB sous la ma tr
11. crime ou de d lit sans intention de le commettre Toutefois lorsque la loi le pr voit il y a d lit en cas de mise en danger d lib r e de la personne d autrui Il y a galement d lit lorsque la loi le pr voit en cas de faute d imprudence de n gligence ou de manquement une obligation de prudence ou de s curit pr vue par la loi ou le r glement s il est tabli que l auteur des faits n a pas accompli les diligences normales compte tenu le cas ch ant de la nature de ses missions ou de ses fonctions de ses comp tences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait Article L4111 3 Les ateliers des tablissements publics dispensant un enseignement technique ou professionnel ainsi que ceux des tablissements et services sociaux et m dico sociaux mentionn s aux 2 a du 5 et 12 du I de l article L 312 1 du code de l action sociale et des familles accueillant des jeunes handicap s ou pr sentant des difficult s d adaptation et au 4 du m me I de m me que ceux des tablissements et services conventionn s ou habilit s par la protection judiciaire de la jeunesse dispensant des formations professionnelles au sens du V du m me article sont soumis pour leurs personnels comme pour les jeunes accueillis en formation professionnelle aux dispositions suivantes de la pr sente partie 1 Dispositions particuli res applicables aux femmes enceintes venant d accoucher ou allaitant et aux jeunes travailleurs pr
12. curit 2 A d Objects et finalit s mnt enel Ro SSS m page 14 2 4 2 Principes et page 14 2 4 3 Caract ristiques du syst me informatique page 15 2 4 4 Un r f rencement bibliographique distinct du guide S curit page 16 2 5 L architecture 2 5 Lep rim tre du US te pe ten page 16 2 5 2 D marche M thode page 17 2 5 3 Logique de COMSEUCHOD s oae oti ect En NU page 18 3 Utilisation du guide m thodologique S curit Les types d Utilisation S esite page 19 2 2 Les droits dae cess ete be PEN VINO CH Dur bd c ER E UN page 20 3 3 Les mod lit s d utiliS8atI n ne de PS page 20 3 4 Ed procedure de saivegarde un a E ga Da ga tee o nee page 21 4 Environnement du guide m thodologique S curit 4 1 Ea proc dure de mis e ag age diese page 21 4 2 La strat gie d accompagnemoent page 22 4 EEN page 23 5 Ree EE page 23 ANNEXES NS E Composition du groupe de travail GUIMSEAT ND aee Organisation du chantier lt GUIMSEAT gt 3 NC E
13. curit alimentaire paquet hygi ne gt les risques majeurs et environnementaux Cette proposition a t valid e et en cons quence retenue dans la lettre de commande de la DGER en date du 11 janvier 2013 au titre de la poursuite du chantier guide S curit dans les EA AT des EPLEFPA 1 3 M thodologie et d roulement du chantier Dans le cadre de l organisation et du d veloppement de l op ration il a t d cid gt la mise en uvre d une vingtaine de r unions de travail en groupe complet ou effectif r duit sur les deux ann es utilis es pour la r alisation du guide Les comp tences et capacit s d expertise des inspecteurs participants et l appui sollicit aupr s de leur coll gues ont permis la r alisation d une banque de donn es importante recensant de multiples informations caract re scientifique et technique de pr s de 1 230 ressources diverses officielles r glementaires fiches techniques dossiers sp cifiques bonnes pratiques gt l organisation d une rencontre sp cifique en mars 2012 destin e la pr sentation des principes fondateurs de l outil guide m thodologique et l tat d avancement des travaux en pr sence des repr sentants des DEA DAT des chefs d tablissements et des charg s d animation du r seau r gional des EA AT a r alisation du compl ment au chantier initial dans les deux domaines cit s s curit alimentaire et risques environnementaux ob
14. de fa on pouvoir 22 mesurer les changements collectifs qu il aura provoqu s les expliciter et y apporter des l ments d appr ciation Partant du principe que la notion d am lioration continue dont se r clame ce type de d marche est indissociable de l valuation participative du suivi et de l observation il restera n cessaire de proposer des l ments m thodologiques guidant tape par tape le pilotage de la d marche d valuation Parmi celles ci on peut retenir la place de l valuation dans les diff rentes tapes et strat gies d utilisation de l outil les diff rents types d indicateurs pouvant tre retenus impact efficacit coh rence de la d marche etc les acteurs concern s par l valuation les modalit s de mise en place d un syst me de suivi la m thode d laboration d un syst me d observation Les modalit s restent aujourd hui pr ciser en particulier quant l efficience de l outil et de son usage au b n fice de l ensemble des usagers 5 Conclusion Les EA AT du fait de leur sp cificit fonctionnelle et leurs missions multiples et diversifi es restent des centres particuli rement sensibles en mati re de risques et de dangers Le guide m thodologique S curit dans les exploitations et ateliers technologiques des EPLEFPA ou GUIMSEAT se veut un outil de pr vention des risques d utilisation simple mais aux r sultats performants au service
15. de formation professionnelle agricoles s exercent dans le respect des objectifs p dagogiques et ducatifs fix s par le ministre de l agriculture Les projets p dagogiques qui sont tablis dans la limite des prescriptions fix es sur le plan national par le ministre de l agriculture d finissent notamment 1 L organisation en unit s de formation classes groupes d l ves stagiaires ou apprentis 2 L emploi des dotations en heures d enseignement dont dispose l tablissement 3 La r partition des diff rentes s quences de formation 4 La d finition en tenant compte des sch mas r gionaux des actions de formation compl mentaire et de formation continue destin es aux jeunes et aux adultes 5 L ouverture sur l environnement social culturel conomique 6 Le choix de sujets d tudes en particulier pour compl ter ceux qui figurent dans les programmes nationaux 7 Sous r serve de l accord des familles pour les l ves mineurs les activit s facultatives qui concourent l action ducative organis es l intention des l ves 10 Il faut rappeler encore ce stade l importance de l enjeu de la pr sentation et du vote du projet ducatif et p dagogique par le conseil d administration de l EPLEFPA de la r daction des annexes p dagogiques aux conventions de stages des d rogations machines dangereuses de l organisation de la surveillance des apprenants enfin comme des diligences mettre e
16. des DEA DAT mais galement des multiples usagers des centres concern s Il doit permettre l analyse des probl mes et des situations pos es et participer la r ponse efficace apporter en regard des difficult s d tect es pour la mise en ceuvre les actions envisag es A ce titre il participe donc activement au bien tre au travail des DEA DAT et l accomplissement des missions confi es tout en conciliant rigueur et pragmatisme Outil d accompagnement ad hoc sans caract re opposable le guide m thodologique S curit doit prendre une place importante au sein de la d marche globale de pr vention et de s curit dont la mise en ceuvre est indispensable au sein de tous les EPLEFPA donc de leurs centres car elle concerne tous les agents et en particulier ceux charg s de direction ainsi que l ensemble des usagers 23 ANNEXE N 1 Composition du groupe de travail GUIMSEAT Inspecteurs des missions particuli res de l enseignement agricole Michel PECQUEUX hm a snti dusun P ilote du chantier Jo l DEMULE Bernard GARINO Patrick LIZEE Inspecteurs des Exploitations Ateliers technologiques Exp rimentation D veloppement Inspecteurs comp tence g n rale Andr QUILLEVERE Dominique AUMASSON Inspectrice comp tence administrative juridique et financi re Dominique MC COOK Inspecteurs comp tence p dagogique Denis COTTE Phili
17. et des nombreuses actions qui y sont pr sentes l volution de l utilisation des EA AT dans le cadre de la RVP EIE EIL MAP et dans les r f rentiels SPS SPV une nouvelle prise de conscience des gouvernances en la mati re des carences notoires constat es l apparition de nouveaux risques et nouvelles situations de travail des travaux en cours sur la s curit dans les domaines p dagogiques laboratoires Y Afin de mieux appr hender les enjeux li s ces th matiques importantes et d apporter un appui et un accompagnement aupr s des DEA DAT la DGER a sollicit l inspection de l enseignement agricole pour lettre de commande de la DGER en date du 20 11 2012 La r alisation d un guide m thodologique d valuation des risques professionnels en exploitation agricole et atelier technologique d EPL notamment en vue de la r daction du Document Unique DU Reformul e par le groupe de travail ad hoc en La r alisation d un guide m thodologique S curit dans les exploitations agricoles et les ateliers technologiques des EPLEFPA GUIMSEAT Cet outil est destin prendre en compte avec un maximum d efficacit l appr hension du volet s curit dans les EA AT quelles que soient leurs sp cificit s dans la multitude d actions qui s y d roulent L ISST a t associ e au chantier dans le cadre du partenariat et des relations qui lient les deux structures
18. et professionnelle initiale et peut dispenser une formation continue dans les m tiers nonc s l article L 811 1 A ce titre il regroupe plusieurs centres 3 Un ou plusieurs ateliers technologiques ou exploitations agricoles vocation p dagogique qui assurent l adaptation et la formation aux r alit s pratiques techniques et conomiques et qui contribuent la d monstration l exp rimentation et la diffusion des techniques nouvelles Les personnels autres que le directeur recrut s pour exercer leurs fonctions dans les ateliers technologiques ou exploitations agricoles mentionn s au 3 sont des salari s de droit priv qui sont r gis par les dispositions du livre VII du pr sent code ou par celles du code du travail 7 1 Les l ves des tablissements d enseignement technique et de formation professionnelle agricoles pour les accidents survenus par le fait ou l occasion de cet enseignement ou de cette formation gt L article 14111 3 du Code du travail pr cise donc ces l ments pour les ateliers des tablissements publics dispensant un enseignement technique ou professionnel En cons quence la responsabilit d lictuelle du fait d autrui de l employeur est engag e si le pr pos cause un dommage article 1384 du Code civil On est responsable non seulement du dommage que l on cause par son propre fait mais encore de celui qui est caus par le fait des
19. guide en langage Web en int grant des m canismes performants de sauvegarde et restauration des bases donc des donn es car elle concerne tous les utilisateurs 4 Environnement du guide 4 1 La proc dure de mise jour Elle doit s effectuer annuellement afin d int grer l volution ajouts suppressions des ressources textes r glements jurisprudences bonnes pratiques et exp riences et des items propos s donc de capitaliser les saisies effectu es dans la dur e de favoriser une veille informative et d assurer un suivi des actions conduites de type tableau de bord Lecomit de pilotage se composerait proposition de l inspection 4 de trois repr sentants de l inspection de l enseignement agricole un inspecteur EA AT deux inspecteurs p dagogiques Sciences et techniques des agro quipements Cf mise jour du guide s curit en agro quipement Documentation et technologies de l informatique et du multim dia d un inspecteur de la sant et s curit au travail ISST v d un repr sentant de la MSA dans le cadre de la convention nationale MSA DGER d un repr sentant des DEA et d un repr sentant des DAT d un repr sentant des directeurs d tablissements d un repr sentant des animateurs des r seaux r gionaux des EA AT de repr sentants de la DGER S lt Les DEA DAT sont sollicit s dans tous les centres EA AT afin de proposer la commission de nouv
20. la Commission Les bonnes pratiques agricoles ob issent des r gles impos es par un cahier des charges la coutume ou la pression sociale Les risques peuvent concerner l innocuit des aliments ou l int grit de l environnement Ils peuvent se traduire par des pollutions de l rosion des atteintes la biodiversit ou au paysage 10 A N A C T Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail D finition IEEE 1994 et INCOSE 1996 Manuel DIALINAS Subatech Nantes 12 Il se situe en amont de la conception La base d un cahier des charges est la clart la concision la simplicit 1l doit exprimer un besoin n cessaire r alisable techniquement et financi rement et v rifiable au regard de la conception et de la r alisation du projet Le groupe de travail a souhait au vu de l importance et de la sp cificit de la commande r aliser dans un premier temps un cahier des charges et dans un second temps des sp cifications propres la construction de l outil L ensemble constitue les fondations du chantier de conception et de construction du guide 2 3 Les sp cifications Une sp cification est la d finition crite d coulant du Cahier des Charges des caract ristiques d un produit en termes de fonctionnalit s et de performances Le pr sent rapport qui prendra place dans le guide reprend et explicite largement les fondements et principes exprim s qui ont par ailleurs avec la proposi
21. la multiplicit et la diversit des partenaires et la place croissante que prend la s curit dans les actions r alis es 2 42 Principes et contraintes Le guide doit conduire conseiller et piloter son utilisateur dans la d marche entreprise soit l autodiagnostic ou l utilisation ponctuelle en r f rence une situation Son objectif g n ral est donc de permettre d am liorer sur les exploitations et ateliers technologiques la s curit des op rateurs 12 Cf annexe 4 13 gt des usagers et visiteurs gt des consommateurs de produits gt mati re environnementale En r sum le guide doit accompagner avec m thode Sa conception et sa construction ont t tablies dans le respect de la logique du triptyque M thode D marche Outil au b n fice du d veloppement d un dispositif qui se veut simple d utilisation tout en conciliant rigueur et performance Il ne remplace en aucun cas les documents officiels et r glementaires existants Document Unique DU registres et plans de s curit et en cons quence il n est pas opposable La prudence comme la pr vention visent les risques av r s ceux dont l existence est d montr e ou connue empiriquement suffisamment sans que l on puisse en estimer la fr quence d occurrence La pr caution vise les risques dont ni l ampleur ni la probabilit d occurrence ne peuvent tre calcul s avec certitude compte tenu des connaissanc
22. moyens Site de Montmorot 1 salle lundi 8 octobre apr s midi 20 personnes avec ordinateur et vid oprojecteur bureau ou petite salle pour la saisie du diagnostic par le DEA DAT avec les inspecteurs pr sents sur le site mardi 9 et mercredi 10 1 ordinateur portable droits administrateur ouverts afin de permettre l installation via une cl USB d un dossier comportant un classeur Excel des fichiers au format pdf doc ppt xls Possibilit d activer les macros du classeur Logiciel Adobe Reader X 10 1 4 ou Foxit Reader pour lire les pdf et pouvoir ventuellement les annoter Logiciel de traitement de texte pour lire et crire sur les fichiers doc Logiciel ou Viewer de diaporama pour les fichiers ppt Version EXCEL 2003 ou plus ou version OPEN OFFICE 3 4 1 Vid oprojecteur Disponibilit du TFR informatique le mardi 9 matin au d marrage de la saisie 1 salle avec ordinateur et vid oprojecteur le jeudi 11 pour la journ e 20 personnes pour la r union de synth se Les moyens n cessaires l organisation de la soir e du mercredi 10 sont traiter avec G CHOUX Le nombre de repas et leur r partition est comptabilis dans le tableau d intendance joint Site de Mancy bureau ou petite salle pour la saisie du diagnostic par le DEA DAT avec les inspecteurs pr sents sur le site mardi 9 et mercredi 10 1 ordinateur portable droits administrateur ouverts afin de permettre l installation via une cl USB d
23. vues par les chapitres II et III du titre V 2 Obligations des employeurs pour l utilisation des lieux de travail pr vues par le titre du livre II 3 Dispositions relatives aux quipements de travail et moyens de protection pr vues par le livre III 4 Dispositions applicables certains risques d exposition pr vues par le livre IV 5 Dispositions relatives la pr vention des risques de manutention des charges pr vues par le titre IV du livre V Un d cret d termine les conditions de mise en uvre de ces dispositions compte tenu des finalit s sp cifiques des tablissements d enseignement 8 Dans le cas pr vu par l alin a qui pr c de les personnes physiques qui n ont pas caus directement le dommage mais qui ont cr ou contribu cr er la situation qui a permis la r alisation du dommage ou qui n ont pas pris les mesures permettant de l viter sont responsables p nalement s il est tabli qu elles ont soit viol de fa on manifestement d lib r e une obligation particuli re de prudence ou de s curit pr vue par la loi ou le r glement soit commis une faute caract ris e et qui exposait autrui un risque d une particuli re gravit qu elles ne pouvaient ignorer Il n y a point de contravention en cas de force majeure gt Centres de l EPLEFPA les exploitations et les ateliers technologiques rel vent donc de l ensemble des obligations g n rales de l tablissement relatives l hygi ne
24. 1 1 R4211 12 et R4512 2 R4512 6 du Code du travail Dans le m me esprit les l ves en stage sur un centre de production d EPLEFPA seront assimil s des travailleurs pr pos s de l tablissement consid r comme employeur au sens du Code de la s curit sociale d s lors s applique l article L751 1 1 2du Code rural et de la p che maritime I Il est institu un r gime d assurance obligatoire contre les accidents du travail et les maladies professionnelles des salari s des professions agricoles qui s applique aux salari s agricoles mentionn s l article L 722 20 B n ficient galement du pr sent r gime gt Article L4111 1 du Code du travail Sous r serve des exceptions pr vues l article L 4111 4 les dispositions de la pr sente partie sont applicables aux employeurs de droit priv ainsi qu aux travailleurs Elles sont galement applicables 1 Aux tablissements publics caract re industriel et commercial 2 Aux tablissements publics administratifs lorsqu ils emploient du personnel dans les conditions du droit priv 3 Aux tablissements de sant sociaux et m dico sociaux mentionn s l article 2 de la loi N 86 33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives la fonction publique hospitali re Article L811 8 L Tout tablissement public local d enseignement et de formation professionnelle agricole assure une formation g n rale technologique
25. CE ENTRETIEN DES QUIPEMENTS 5 6 ACTIVIT S DE MANUTENTION MANUELLE 5 7 UTILISATION DES QUIPEMENTS ELECTRIQUES 5 8 TRAVAIL EN L VATION SUR CORDES 5 9 TRAVAIL EN MILIEUX CONFIN S EN ATMOSPH RES EXPLOSIVES ZONES ATEX 5 1 0 EXPOSITION AUX PRODUITS DANGEREUX 5 1 1 UTILISATION DES QUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE 6 1 6 2 6 3 6 4 6 5 7 1 7 2 7 3 7 4 7 5 7 6 7 7 POLITIQUE SST DE L TABLISSEMENT ASPECTS REGLEMENTAIRES MISE EN UVRE CONCR TE DE LA POLITIQUE SST DANS LE CENTRE EA AT GESTION P DAGOGIQUE ET DUCATIVE DU COMPORTEMENT DES APPRENANTS RISQUES LI S AUX SITUATIONS D ENSEIGNEMENT ACCUEILS DES AUTRES USAGERS D MARCHES ET DOCUMENTS OBLIGATOIRES FORMATION ET HYGI NE DU PERSONNEL HYGI NE DES LOCAUX ET DES QUIPEMENTS PROCESSUS DE TRANSFORMATION CONTR LE QUALIT TRANSPORT ET COMMERCIALISATION y compris circuits courts CAS PARTICULIERS LI S AUX FILIERES 8 1 R GLEMENTATION ET PR VENTION DES RISQUES MAJEURS 8 2 GESTION DE CRISE PLAN PARTICULIER DE MISE EN SURETE 8 3 R GLEMENTATION RISQUES ENVIRONNEMENTAUX 8 4 DES RISQUES ENVIRONNEMENTAUX RISQUES G N RAUX 8 5 PR VENTION DES RISQUES ENVIRONNEMENTAUX RISQUES EN PRODUCTIONS V G TALES 8 6 DES RISQUES ENVIRONNEMENTAUX RISQUES EN PRODUCTIONS ANIMALES 8 7 RISQUES INFORMATIQUES ET NUMERIQUES 88 RISQUES ENVIRO
26. NNEMENTAUX EN ATELIERS TECHNOLOGIQUES AGROALIMENTAIRES DES RISQUES ENVIRONNEMENTAUX RISQUES EN TRANFORMATION ALIMENTAIRE INSPECTION de l ENSEIGNEMENT AGRICOLE INSPECTION SANT SECURIT au TRAVAIL ANNEXE N 6 Siglier assidu s Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail EE Atelier technologique CHS Commission hygi ne et s curit CHSCT M Comit hygi ne sant conditions de travail minist riel EE Code du travail DAT sl Directeur trice d atelier technologique A ans Directeur trice d exploitation agricole EE Direction g n rale de l alimentation DGER E Direction g n rale de l enseignement et de la recherche E BEE Document Unique EE Exploitation agricole BIB 25 ee Enseignement l initiative de l tablissement Su asas esa Etablissement public local d enseignement professionnel agricole GUIMSEAT Guide m thodologique S curit dans les EA AT des EPLEFPA E Inspection de l enseignement agricole Inspection sant s curit au travail E dtes doo eee k yuka ass Logiciel de gestion de r f rences bibliographiques MAAF uu basa ms a bala Mens Minist re de l agriculture d
27. ROTECTION DES OPERATEURS SUR V HICULES MACHINES AGRICOLES EQUIPEMENTS INSTALLATIONS Cette entr e pourrait tre tendue aussi sp cifiquement par activit ou m tier Ainsi les bonnes pratiques agricoles sont d finies par la Commission de n ologie et de terminologie comme les Pratiques de culture et d levage conformes des r gles qui permettent la fois l am lioration de la production agricole et la r duction des risques pour l homme et l environnement Plus g n ralement il en va donc de la responsabilit sociale et soci tale des exploitations agricoles et des ateliers technologiques des tablissements Au sein de celle ci il faut retenir aussi le transfert aux apprenants de ce que 1 A N A C T appelle les savoirs de prudence Les savoir faire de prudence sont des attitudes et des comportements qui viennent compl ter ou redoubler les prescriptions de s curit Dans les entreprises il existe une s rie de dispositifs formels de pr vention de nature technique et organisationnelle la s curit r gl e A c t et en compl ment de la s curit r gl e il existe aussi une s curit g r e qui se manifeste dans les situations de travail quotidiennes Elle repose sur une sorte d accord tacite au sein des collectifs de travail sur des r gles de bon exercice du m tier qui sont partag es par tous et apprises aux nouveaux arrivants 2 1 3 Analyse de la co activit Elle peut
28. S EA AT La m thode C est la mani re dont l action se ainsi que les choix qui ont permis la mise en uvre de la conduite de l acti iin dote nest da io lib les tapes et leurs articulations les techniques et outils utilis s au cours de ces tapes Les outils echniques ou objets utilis s par la m thode fiches tableaux de bord indicateurs L outil doit tre utile aux utilisateurs pour leurs permettre de satisfaire aux obligations de r sultats auxquels ils sont soumis GUIDE METHODOLOGIQE SECURITE DANS LES EA AT LES FINALITES gt Am liorer la s curit des acteurs et des usagers Disposer des bases n cessaires l laboration d un diagnostic et la mise en place des r gles li es la s curit sur les EA AT gt Rep rer les facteurs de risques li s aux activit s les moyens de les pr venir Identifier les responsabilit s et les diligences conduire GUIDE METHODOLOGIQE SECURITE DANS LES EA AT CONTEXTE ET ENJEUX m Education Formation exemplarit m Multiplicit des responsabilit s u Diversit des apprenants et des publics m Connaissance et respect du cadre r glementaire et juridique ge des apprenants r f rentiel d rogation mise aux normes DUEPRP conventions ERP SST et salari s m Multi tutelles li es l obligation de surveillance la mise en conformit des machines Le cahier des charges Synth se de tou
29. UX Montmorot J DEMULE D COTTE V WOZNIAK D AUMASSON 8 GARINO JRIGAL PLERAT Poligny D CHATOT G CHOUX Bin me tournant M PECQUEUX JM GILLOT Organisation du test Principes Les objectifs du test ne portent pas sur le r sultat du diagnostic mais sur Y l analyse de la d marche d utilisation du guide par le DEA DAT l valuation des crit res li s la prise en mains de l outil facilit clart pr sentation compr hension logique Y le rep rage des carences des inutilit s des compl ments apporter l valuation de l organisation de l outil efficacit limites convivialit syst me informatique Posture des inspecteurs Faire passer le message qu il ne s agit pas d une situation de contr le hi rarchique mais d observation de la mise en uvre du test au travers d une mise en situation Que la r alisation de l autodiagnostic n est qu un support pas une obligation de r sultat ou faisant lieu d appr ciation et de jugement Commande aux DEA DAT Chaque DEA DAT devra r diger pour la r union du jeudi 11 octobre au matin un compte rendu 1 2 page sur son avis g n ral sur le guide sa structuration et son emploi et indiquer les points positifs et n gatifs rep r s Ce document doit tre personnel et r dig sans l appui des inspecteurs Ne pas copier le guide qui est en volution et non diffusable Retour des cl s USB en fin de test m
30. ans les EA AT devra b n ficier d une politique d accompagnement lors de sa mise en uvre qui se veut globale pour l ensemble des centres EA AT m tropole et ultramarines Dans ce cadre deux l ments se positionnent comme prioritaires la diffusion d une note de service ou circulaire par la DGER sur la mise en place de l op ration l am nagement de sessions de formation sp cifique par r gion l utilisation du guide s curit pour les DEA DAT et directeurs d EPLEFPA une journ e Dans cette organisation chaque chelon administratif chaque structure fonctionnelle se place dans une dynamique sp cifique o la s curit est abord e et prise en compte diff rents aspects au plan local quant Y la place du dispositif dans la strat gie de la s curit dans l tablisseme axe strat gique enjeu projet d tablissement v au lien de compl mentarit dans la proc dure de construction et de mise jour du Document Unique DU l information diffus e au sein de la CHS et la place et le r le de l assistant de pr vention aupr s du DEA DAT au plan r gional quant Y l organisation du r seau des EA AT et dans la d finition et l animation d une politique dans le domaine de la s curit v la formation et l accompagnement l utilisation du guide v l valuation r gionale du dispositif la constitution et l actualisation des ressources proposer ses repr sentants pour le bon
31. aux cat gories particuli res d apprenants Droit public droit priv personne morale employeur de salari s de droit priv Dans la quatri me partie du Code du travail relative la sant et s curit au travail le premier article d finissant son champ d application indique que ses dispositions s appliquent aux tablissements publics administratifs lorsqu ils emploient du personnel de droit priv ce qui est le cas des tablissements publics locaux d enseignement et de formation professionnelle agricole EPLEFPA en particulier pour les salari s des exploitations agricoles et des ateliers p dagogiques De facon g n rale l accord du 20 novembre 2009 sur la sant et la s curit au travail dans la fonction publique rappelle l obligation de respecter dans le secteur public les m mes regles de pr vention des risques professionnels que celles en vigueur dans le secteur priv S agissant d activit s couvertes dans le secteur priv par des r gles de s curit sp cifiques ces derni res s appliquent aux activit s identiques organis es sous la responsabilit des employeurs publics Le d cret N 2011 774 du 28 juin 2011 relatif l hygi ne et la s curit du travail ainsi qu la pr vention m dicale dans la fonction publique le consacre et l ent rine Ce sera ainsi le cas pour les risques li s la co activit lorsque l tablissement utilisera les services d entreprises articles L4121 5 R451
32. des carences des inutilit s de compl ments apporter l valuation de l organisation de l outil efficacit limites convivialit syst me informatique V4 Posture des inspecteurs durant la r alisation du test en situation Sur le point N 2 Rep rer et enregistrer le fonctionnement de l utilisateur sa m thodologie de traitement le temps utilis ses remarques chaud Adopter une attitude pouvant viter de constituer une g ne pour le DEA DAT Les inspecteurs doivent Noter les r actions du DEA DAT lors de la saisie Noter les questions pos es par le DEA DAT Rep rer et enregistrer la d marche mise en uvre par le DEA DAT dans l utilisation du guide et les saisies ainsi que dans la valorisation des documentsO Apporter un appui et des compl ments si n cessaire aux DEA DAT pour l utilisation du guide et en particulier pour la mise en uvre des d marches correctives Restitution des observations Chaque groupe d inspecteurs doit donc disposer pour la r union du jeudi 11 octobre au matin Y de la liste de questions du DEA DAT d un compte rendu synth tique maximum 1 page d utilisation du guide par le DEA DAT difficult s de navigation applicabilit rigueur clart comprenant en particulier une description li e la mani re de r diger les actions correctives d un 1 tat des am liorations apporter au guide Y De l valuation des besoins e
33. document Diffuser le document Evaluer l impact du document ANNEXE N 5 Plan d taill du lt GUIMSEAT Objectifs Sous objectifs Items Si 9 MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FOR GUIDE M THODOLOGIQUE SECURIT EXPLOITATIONS AGRICOLES ET ATELIERS TECHNOLOG OUTIL de DIAGNOSTIC S CURIT AUTO VALUAI 117 L EA AT DISPOSE D UN REGLEMENT INT RIEUR 12 RISQUES PROFESSIONNELS ET DOCUMENTS OBLIGATOIRES 13 FORMATIONS 14 AFFICHAGE OBLIGATOIRE DANS LES LOCAUX DE TRAVAIL 141 R GLEMENTATION du TRAVAIL 142 S CURIT SECOURS 143 SANT SECURI 2 1 LOCAUX de TRAVAIL 2 2 INSTALLATIONS 221 INSTALLATIONS LECTRIQUES 222 S CURIT et PROTECTION INCENDIE 2 23 CHAUFFAGE A RATION VENTILATION CLIMATISATION 2 2 4 INSTALLATIONS SANITAIRES pr sence conception quipement identification contr le a ration 2 3 QUIPEMENTS 24 CONTR LES INTERNES OBLIGATOIRES TRACABILIT 25 EXERCICES INCENDIE VACUATION 3 1 M DECINE DE PR VENTION DU TRAVAIL 3 2 SANT SECURIT OBJECTIF n 4 4 1 4 2 4 3 4 4 4 5 4 6 ACTIVIT S MAI RISE DES RISQUES MISE EN CEUVRE DE LA PR VENTION EXPOSITION AUX RISQUES SPECIFIQUES DES METIERS DES PRODUCTIONS GESTION ADMINISTRATIVE DES OP RATEURS DES MOYENS DE PRODUCTION DES ACTIVIT S RISQUES TRANSVERSAUX LOCAUX DE TRAVAIL ET
34. document crit synth se du diagnostic annuel et de son ventuelle action corrective plan d action gt la mise jour de l outil et ses d clinaisons quant la valorisation des travaux effectu s par l utilisateur dans un objectif de parfaire l existant par l apport de ressources nouvelles et ou additives La sauvegarde informatique a trois principaux objectifs 79 gt l int grit ou comment s assurer que les donn es ne soient pas corrompues par un agent ext rieur gt 18 confidentialit qui consiste assurer que seules les personnes autoris es aient acc s aux ressources gt 18 disponibilit destin e permettre le bon fonctionnement du syst me informatique Pe La strat gie d accompagnement Sur le plan national page 22 16 DATAPROTEX portail de la s curit informatique 20 s lt La sauvegarde informatique garantit les droits d acc s aux donn es et ressources d un syst me en mettant en place des m canismes d authentification et de contr le permettant d assurer que les utilisateurs desdites ressources poss dent uniquement les droits qui leur ont t octroy s Elle doit toutefois tre tudi e de mani re ne pas emp cher les utilisateurs de d velopper les usages qui leur sont n cessaires et de faire en sorte qu ils puissent utiliser le syst me d information en toute confiance A ce titre elle se doit d tre prise en compte dans la commande aff rente la retranscription du
35. e en compte gt des sp cificit s li es l ge des apprenants gt des r f rentiels gt des notions r glementaires de d rogations et d autorisations gt des obligations de mises aux normes et conformit des diff rents types de mat riels et des installations du Document Unique DU tablissement et secteur EA AT en ce qui concerne sa construction sa r daction sa mise jour et son suivi r gulier pr sent en CHS des multiples conventions existantes stages copropri t et pr ts de mat riels changes des aspects de la s curit en mati re de gestion des ressources humaines emploi de personnels salari s permanents et temporaires de stagiaires des sp cificit s des diff rentes missions et fonctions La sant et la s curit au travail sont devenues un enjeu majeur pour les EA AT En effet concilier les missions confi es aux EA AT en particulier celle qui est li e une participation active la formation avec le souci constant de la pr servation de la sant des usagers est une n cessit unanimement reconnue Cet objectif implique la mise en place d une d marche de gestion de la sant s curit qui s illustre dans ses multiples b n fices un taux d accidents en diminution une meilleure responsabilisation civile et p nale un suivi des exigences l gales et r glementaires appropri es la mise en place et la gestion des diligences l am liorati
36. e l alimentation et de la for t MAAP 20050095 Minist re de l agriculture de l agroalimentaire et de la p che MSA Rd ent qatuta Mutualit sociale agricole sa a E EN O qa Q Nine R forme de la voie professionnelle CP NU Sch ma directeur des syst mes informatique ei RA Sous direction de la qualit et de la protection des v g taux Sant s curit et conditions de travail cc e M Lm Situation professionnelle significative uec ET Service de la protection des v g taux
37. e sont les techniques ou objets utilis s par la m thode fiches tableaux de bord indicateurs Ils doivent pr senter la caract ristique d tre utile aux utilisateurs afin de leur permettre de satisfaire aux obligations de r sultats auxquels ils sont soumis M thode D marche Outil L laboration du guide lt S curit dans les EA AT gt s int gre globalement au sein de l tablissement dans une d marche gt de qualit gt de pr vention gt de diagnostic gt d valuation et d auto valuation 17 La m thodologie retenue s articulera autour de deux tapes ind pendantes et compl mentaires constitu e par l laboration et la saisie gt du diagnostic constitu de l analyse et l valuation gt de la mise en uvre ventuelle d une op ration corrective au caract re facultatif action temps et d lais correction du diagnostic Dans cet esprit le guide m thodologique S curit se d cline en tant que technique utilis e permettant de d velopper un mod le pratique performant en mati re d analyse des risques de conformit et plus globalement de s curit qui souhaite toucher un maximum de secteurs et d activit s des centres EA AT 2 5 3 Logique de construction L architecture du guide est con ue pour permettre la mise en uvre d une conduite cyclique donc r p titive Ce cercle vertueux int gre les notions de planification d action et d am lioration au service de l object
38. elles ressources et pratiques en mati re de s curit afin d abonder et r nover la banque de documents Ils participent donc en tant qu usagers et comme l ensemble des partenaires une veille permanente ouvrant d une part sur la mise jour des informations scientifiques et techniques et d autre part permettant la prise en compte avec vigilance des volutions permanentes se faisant jour en mati re de s curit Leurs offres doivent tre discut es et valid es r gionalement et pr sent es par l interm diaire de leurs repr sentants la commission ad hoc La proc dure est mener l identique pour les animateurs des r seaux r gionaux des EA AT L examen du contenu du guide se d clinerait au travers des op rations suivantes en prenant appui sur le r f rencement bibliographique l aide de ZOTERO utilis dans la version monoposte gratuite ou h berg sur un serveur web Dav l organisation du guide l abandon ou la cr ation d items la formulation des objectifs Y l observation de la validit et de la fiabilit des ressources documentaires suppression et ajouts apr s validation Cf 2 4 4 R f rencement bibliographique 21 Les modifications retenues lors de la commission ad hoc seront transmises en vue d tre int gr es dans le guide avant la fin de l ann e civile en cours afin d anticiper l op ration annuelle d auto valuation 4 2 La strat gie d accompagnement Le guide S curit d
39. ent l actualiser et construire un plan de pr vention Article 4121 1 et R4121 2 du Code du travail informer et former la s curit salari s et apprenants gt prendre des dispositions particuli res relatives certaines cat gories de travailleurs dont apprenants articles L4153 1 4 c respecter les obligations de l employeur pour les lieux de travail les quipements de travail et moyens de protection pr venir les risques d exposition tre en relation avec les acteurs de la sant et s curit au travail Mais les exploitations agricoles et les ateliers technologiques des EPLEFPA sont aussi des unit s de production vocation p dagogique L exploitation agricole est une unit de production de mati res premi res vendues en l tat ou apr s premi re transformation qui assure ce titre les fonctions conomiques environnementales et sociales pr vues l article L 311 1 du Code rural et de la p che maritime L atelier technologique est une unit de traitement de transformation et de vente de produits obtenus partir de mati res premi res agricoles introduites ou produites sur l exploitation ou une unit de services vendus des particuliers ou des collectivit s Leur orientation leur conduite et leur gestion qui se r f rent aux usages et pratiques commerciales des professions concern es sont utilis es comme moyens de formation d exp rimentation de d
40. ercredi Appropriation de la notion de s curit sur les EA AT par les DEA DAT Dur e 1h30 Tour complet de l exploitation B timents Installations Mat riels Situations risques Raisonnement voix haute par le DEA DAT sur ses probl matiques et ses interrogations en mati re de S curit Analyse des carts la norme et la r gle Analyse des interactions avec Y a p dagogie Y la gestion des personnels et agents enseignants Formateurs 4 le d roulement d actions sp cifiques JPO Exp rimentation Posture des inspecteurs durant la r alisation du test en situation Sur le point N 1 Se situer en position d coute d change et d appui essentiellement dans la d marche et non sur le contenu Prise de connaissance de l exploitation ou de l atelier et son contexte par les inspecteurs 2 R alisation du test en situation sur les trois sites Mardi 9 octobre de 10h30 17 h et mercredi 10 octobre de 9h 15 h EA AT Support du test consistant en la mise en oeuvre partielle de la d marche d autodiagnostic sur le centre L analyse de situations ponctuelles sera r alis e au cours du test suivant sur un tablissement avec horticulture et am nagements paysagers Les objectifs du test ne portent pas sur le r sultat du diagnostic mais sur Y l analyse de la d marche d utilisation du guide par le DEA DAT v facilit compr hension logique le rep rage
41. es du moment Si le guide encourage et accompagne son utilisateur dans l analyse en mati re de s curit particuli rement en termes de prudence et de pr vention il n est pas dans ses fonctions ni dans son r le de d signer ou commander le traitement de la difficult par l action Celle ci reste sous la d cision du DEA DAT et plus globalement de la gouvernance qui sans volont de bloquer l avancement du syst me doit cependant int grer r guli rement dans ses diligences le recours au principe de pr caution Celui ci s inscrit donc dans le cadre g n ral de l analyse du risque et plus particuli rement dans celui de sa gestion qui correspond la phase de prise de d cision C est dans cet esprit et ces principes que le guide S curit dans les EA AT a t r dig et doit tre utilis afin d objectiver au mieux l assimilation la norme et le respect de la r gle en mati re de s curit 2 4 3 Caract ristiques du syst me informatique Les tests en situation ont montr l int r t de l outil mais aussi ses limites sous sa forme informatique actuelle Selon l inspection le syst me informatique requiert les caract ristiques suivantes am liorer la portabilit de l outil conform ment aux pr conisations du sch ma directeur des syst mes informatiques SDSI en assurant un d veloppement l aide d une technologie informatique WEB saisie et consultation en ligne int grant les possibilit s d exportation e
42. et leur r partition est comptabilis dans le tableau d intendance joint ANNEXE N 4 Cahier des charges du lt GUIMSEAT gt GUIDE METHODOLOGIQE SECURITE DANS LES EA AT La d marche C est la mani re d aller vers un objectif elle rend compte d un processus elle s appuie sur des valeurs et des principes sa mise en ceuvre fait appel des m thodes gt D marche qualit D marche de pr vention D marche de diagnostic D marche d valuation et d auto valuation GUIDE METHODOLOGIQE SECURITE DANS LES AT DEUX PREALABLES INISPENSABLES Analyser les besoins et connaitre les obligations Carences constat es sollicitations des DEA DAT volution des situations Sensibilisation des gouvernances Analyser l existant Multiplicit des partenaires et actions r alis es sur le volet s curit place exponentielle de la s curit dans les ELEMENTS RELATIFS A UNE POLITIQUE DE SECURITE Q Etude du contexte p rim tre de l tude contraintes enjeux Q Expression des besoins de s curit estimation des risques et exigences en s curit Q Etude des risques identification des risques et de leurs causes Q Identification des objectifs de s curit confrontation des besoins exprim s et des risques identifi s Q D termination des exigences de s curit d termination du niveau d exigence souhait GUIDE METHODOLOGIQE SECURITE DANS LE
43. fonctionnement de la commission sp cifique de mise jour gt au plan national quant la mise en circulation du guide s curit dans les EA AT qui devrait tre accompagn e de l dition d une circulaire ou note de service par la DGER permettant Y la diffusion de l information et l incitation de son utilisation par les DEA DAT Y l organisation r gionale d une journ e de formation destin e aux utilisateurs Y explication du fonctionnement de la commission sp cifique de mise jour et notamment de la participation de l ensemble des usagers DEA DAT animateurs des r seaux r gionaux des EA AT directeurs d EPLEFPA par l interm diaire de leurs repr sentants pr sents dans la structure propos e Y J nimation de la commission participative de mise jour Y a position des inspecteurs IEA et ISST le guide S curit dans les EA AT n ayant de caract re ni officiel ni r glementaire ne pourra faire l objet de contr le d utilisation par les inspections concern es Il sera donc mis disposition si n cessaire la demande des inspecteurs en tant qu outil de pr vention particuli rement recommand 4 3 L valuation de la mise en ceuvre D marche indissociable de tout projet l valuation permet d estimer un moment donn l impact d une politique et quel point les objectifs ont t atteints En tant que tel le guide m thodologique S curit dans les EA AT n cessitera d tre valu
44. fs gt de stocker les documents et d archiver les adresses internet d origine en vue de faciliter l op ration annuelle de mise jour de constituer des listes de documents par auteurs ou diteurs afin de pouvoir solliciter leur autorisation d utilisation des ressources gt d indexer l aide de mots cl s et des num ros d items chacun des documents afin de facilite leur recherche Ce r f rencement bibliographique mutualis a t r alis dans la phase d laboration du guide l aide de l outil gratuit Zotero logiciel de gestion de r f rences bibliographiques LGRB en version monoposte et payant du fait de l extension de la capacit de stockage partag des documents en ligne sur le site de Zotero 2 5 L architecture 2 5 1 Le p rim tre du guide Le guide m thodologique se d finit en tant qu outil privil gi pour d terminer la mise en place d actions de pr vention et de mise en s curit l aide d gt autodiagnostic global ou partiel de gt op rations ponctuelles en r ponse un besoin exprim Pour l ensemble des cas il proposera les saisies lin aires d une analyse qualitative de la situation volet N 1 diagnostic auto valuation qui ouvrira sur une action de pr vention en proposant la gestion d une d marche corrective adapt e volet N 2 action de mise en conformit qui reste sous le choix et la responsabilit de l utilisateur Cette d marche d auto valuation s int
45. ication et l valuation des risques dont il faut r pondre rel vent de nombreux Codes Code rural et de la p che maritime Code du travail Code de la s curit sociale Code de la construction et de l habitation Code de la route Code civil et Code p nal Code de l environnement Code de l ducation Code de la consommation L valuation des risques a trait bien s r la sant s curit et conditions de travail des personnes mais elle concerne aussi les risques aux biens et ceux li s la production mise en march et l environnement Les directeurs d EA AT devront donc en r pondre et mettre en ceuvre toutes les diligences pour pr venir r duire ou supprimer les risques en amont Le guide nonce donc un ensemble d objectifs c L objectif N 1 MANAGEMENT G N RAL DE LA SANTE S CURIT AU TRAVAIL REGISTRES ET DOCUMENTS R GLEMENTAIRES FORMATION SST AFFICHAGE OBLIGATOIRE c L objectif N 2 CONTR LE DE CONFORMIT V RIFICATIONS P RIODIQUES OBLIGATOIRES DES B TIMENTS LOCAUX DE TRAVAIL QUIPEMENTS MACHINES ET INSTALLATIONS c L objectif N 3 M DECINE DE PR VENTION SUIVI M DICAL PROFESSIONNEL ET POST PROFESSIONNEL DES AGENTS Les directeurs des centres de production conform ment aux articles L4121 1 2 et 3 LA141 1 et 2 1 41 11 6 du Code du travail devront donc veiller particuli rement 9 valuer les risques et les transcrire dans une partie du Document Unique DU de l tablissem
46. if principal IDENTIFICATION DES RISQUES t RE EVALUATION ELABORATION DES RISQUES SUITE AUX D UN PROGRAMME ACTIONS REALISEES D ACTIONS EVALUATION DES RISQUES MISE EN OEUVRE DES ACTIONS Le guide pr sente dans sa page d accueil gt un secteur lt D marche Mise en uvre gt permettant de consulter en permanence les textes et ressources aff rents son concept son contexte et son utilisation gt un secteur lt Outil Diagnostic Auto valuation S curit gt class en huit objectifs Une sous division par mots cl s d crivant des secteurs d activit s et des sp cialit s par m tiers Exemple Objectif N 4 Activit s Ma trise des risques Protection des op rateurs Exposition aux risques sp cifiques des m tiers des productions 4 3 Productions animales risques transversaux 4 6 M tiers Productions sp cialis es risques sp cifiques 4 6 1 M tiers du cheval Les fiches d analyse par objectifs et sous objectifs se pr sentent et utilisent un certain nombre de colonnes qui permettent de saisir de fa on lin aire 14 Cf document MSA ci dessus 18 gt dans un premier temps la qualification de l action par la mise en uvre progressive de l valuation gt dans un second temps sur d cision de l utilisateur et s il est n cessaire d engager et suivre une action corrective permettant la mise niveau de la situation en indiquant les
47. ise d ouvrage de la DGER A cette occasion en accompagnement de la proc dure un comit de pilotage a t mis en place sous l gide du maitre d ouvrage gt la cr ation et la mise en place d un groupe structur pilot par la DGER charg de la mise jour annuelle du guide et de son volution compl tera le pr sent dispositif en lui assurant p rennit et efficience 2 Elaboration du guide m thologique S curit 2 L environnement et les enjeux Le cadre g n ral Une politique de s curit est caract ris e par ses objectifs son p rim tre ses contraintes et ses enjeux Elle se d cline en termes de besoins au regard du niveau d exigence envisag en et page 23 4 1 la proc dure de mise jour mati re de s curit et de l identification et de l estimation des risques de leurs causes et origines L ensemble est marqu prioritairement par la notion d exemplarit que doivent pr senter nos tablissements donc les EA AT dans toutes leurs activit s Au vu des missions qui leur sont confi es l ducation et la formation la s curit doivent faire partie int grante des l ments relatifs la mise en uvre d une politique de s curit L environnement sp cifique du travail doit int grer la multiplicit des responsabilit s et la diversit des apprenants et des publics Il oblige la bonne connaissance et au respect du cadre r glementaire et juridique en la mati re et la pris
48. jectifs N 7 et 8 avec l largissement du groupe de travail aux membres suivants Y Christine RAIFFAUD Animatrice nationale r seau Alimentation et technologies agroalimentaires Y Anne FRUCHART DAT EPLEFPA St Flour Y Thierry BERRARD DAT EPLEFPA Poligny gt l organisation de cinq rencontres sp cifiques gt la mise en place d un test particulier gt l ordonnancement et la r alisation de quatre tests sur sites EA AT d EPLEFPA destin s en posture d autodiagnostic ou dans l observation de situations ou op rations sp cifiques valuer Y l analyse de la d marche d utilisation du guide par le DEA DAT Y l ordonnance et la pertinence de l outil efficacit limites convivialit syst me informatique Cf annexe 1 2 Cf annexe 2 Cf annexes N 3 3bis Y les crit res li s la prise en mains du guide facilit clart pr sentation compr hension logique le rep rage des carences des inutilit s des am liorations et compl ments apporter Dans un premier temps la r gion Franche Comt a t choisie au travers de quatre tablissements et pour quatre sp cificit s diff rentes de centres pour tester les objectifs N 1 2 3 4 5 sur les EPLEFPA Montmorot exploitation agricole levage cultures vignes et chai c Mancy atelier technologique hippique c Poligny atelier technologique
49. la s curit Pr senter des outils coh rents et applicables en vue de l am lioration de la gestion des risques R pondre de mani re op rationnelle aux exigences en mati re de s curit sur les EA AT Permettre aux DEA DAT d identifier leurs champs d actions et de connaitre leurs pr rogatives Le cahier des charges Outil de dialogue entre les acteurs D finition d une m thodologie de travail sur l tablissement Rep rage positionnement des acteurs de la s curit responsabilit Volet de projet de centre d tablissement Outil privil gi de Evaluation du proc d Diminuer les risques d erreur en situation op rationnelle cr dibilit Processus rationnel rigueur pragmatisme sans dramatisation Validation par les principaux acteurs de la s curit Test pr alable Illustration par description et analyse de situations existantes a a a a a a a a a ETAPES CLES D ELABORATION D UN GUIDE Analyser la pertinence de la demande identifier valuation des besoins et analyse de l existant D finir le public le th me le type de document Elaborer une strat gie de diffusion note de service D finir le contenu du document p rim tre messages points cl s Niveau d exigence D finir la structure du document Choisir un support Concevoir une maquette Tester la compr hension et la pr sentation de l information Finaliser le
50. ment ex CHS aux DEA DAT et avec l accord des directeurs d EPLEFPA des droits d acc s en consultation sont envisag s pour les agents de pr vention les gestionnaires les animateurs des r seaux r gionaux des EA AT ainsi qu aux inspecteurs dans le cadre de leurs missions en consultation les volets facteurs de risques r f rentiel r glementaire technique sont accessibles aux enseignants et formateurs dans le cadre de leur autoformation et ou en formation avec les apprenants conform ment aux r f rentiels Ce guide int gre pour partie le guide s curit agro quipement disponible sur Chlorofil 3 3 Les modalit s d utilisation Le mode d emploi du guide s curit situ dans le sommaire du guide est disponible Il sera compl t par la pr sence concomitante d un tutoriel en fonction de la solution informatique retenue dans le cadre de la maitrise d ouvrage L objectif prioritaire est d apporter une aide et un accompagnement fonctionnel la mise en ceuvre de la conduite de l auto valuation ou et de l expertise de situations et de proposer la construction ventuelle d une d marche corrective de la situation diagnostiqu e Le document d valuation partielle ou d auto valuation globale est archivable sous la forme num rique et compl t sous la forme papier par le stockage indispensable d un exemplaire 3 4 La proc dure de sauvegarde Elle concerne gt l action d archivage et de pr servation du
51. mettre d informer le nouvel agent au moment de la passation de service entre DEA ou DAT avec les salari s les formateurs de refl ter le fonctionnement de la structure de favoriser l acquisition et la mise jour des connaissances dans le domaine de la s curit pour les quipes p dagogiques et les apprenants En d clinaison le guide m thodologique S curit se positionne en tant qu outil privil gi de pr vention dans les EA AT en se pla ant en tant que document Y de r f rence Y d appui pour l volution de la prise en compte de la s curit dans l tablissement d outil de pilotage du centre et de son projet v porteur de durabilit sociale technique conomique des centres EA A T En particulier dans le cadre Y du management et de la gestion des personnels v del aide la d cision technique 19 3 2 Les droits d acc s Leur d finition et leur gestion sp cifique sont fonction des usages identifi s Plusieurs environnements de production pour un m me squelette et les m mes r f rences ou ressources peuvent facilement tre propos s pour un projet identique ils sont destin s gt la saisie modification et consultation du guide aux situations d enseignement demandant une manipulation des l ments du guide sans risquer une interf rence avec des donn es r elles Dans cet esprit gt les droits d administration du guide sont r serv s en priorit aux chefs d tablisse
52. monstration et de d veloppement gt Article 811 9 L EA AT centre vocation p dagogique D s lors le guide doit traiter particuli rement les risques et responsabilit s relatifs la vocation p dagogique d une part et d autre part ceux qui sont li s aux fonctions conomiques environnementales et sociales des exploitations comme aux activit s de transformation et de services des ateliers technologiques d autre part c L objectif N 6 EA AT SUPPORT P DAGOGIQUE S CURIT DES APPRENANTS ACCUEIL DES USAGERS CONDUITE DES APPLICATIONS ET GESTION DES RISQUES Il d cline en cons quence les l ments mis en exergue pr c demment avec l article 4111 3 du Code du travail Les articles L4153 1 et 2 du Code du travail CT pr cisent pour les apprenants les conditions d ge et de conventions pour les stages en entreprises dans le cadre des projets ducatifs et p dagogiques de l tablissement il importe de rappeler en effet les activit s facultatives qui concourent l action ducatrice comme le Club Ferme des ALESA Les actions de formation et d information des apprenants doivent tre soulign es Articles R4141 3 7 du CT et il est souhaitable qu elles associent des acteurs professionnels de la sant de la s curit et des conditions de travail SSCT Article R811 11 du Code rural et de la p che maritime Les missions p dagogiques et ducatives des tablissements publics locaux d enseignement et
53. n uvre Acteurs de la SSCT diligences et responsabilit s sont par ailleurs pr sent es dans la partie d marche mise en ceuvre du guide car indissociables de la partie principale outils de diagnostic des risques et de pr vention L EA AT unit de production de biens et de services Dans leurs fonctions de production transformation et services les EA AT rel vent du droit commun et la maitrise des risques comme la mise en uvre de la pr vention font l objet d une approche transversale puis sp cifique des m tiers et des productions au sein de c L objectif N 4 ACTIVIT S MAT RISE DES RISQUES MISE EN EUVRE DE LA PR VENTION EXPOSITION AUX RISQUES SP CIFIQUES DES M TIERS DES PRODUCTIONS Cette sp cificit est bien clair e par l arr t qui chaque ann e fixe les taux de cotisations dues au titre du r gime de l assurance obligatoire des salari s contre les accidents du travail et les maladies professionnelles article D451 74 du Code rural et de la p che maritime L EA AT producteur responsable de ses produits et de ses externalit s environnementales Au del de l valuation des risques sp cifiques voqu s dans l objectif 4 mergent depuis quelques ann es des risques nouveaux qui peuvent engager le producteur au del de sa responsabilit contractuelle ou d lictuelle on peut voquer le nouveau principe de responsabilit des produits d fectueux Directive 85 374 CEE transpos e dan
54. n formation pour l utilisation de l outil Y de la cl USB du guide pour retour Remarques compl mentaires Pendant le test Inciter les quipes d tablissement participer au recueil des ressources pour les champs sp cifiques Les IP vont galement participer la r daction des items sur ces m mes champs Pour le site de Poligny d finir les items et r diger les questions renseigner avancer sur le chantier S curit sanitaire si le temps le permet Les DEA DAT peuvent pendant le test Y consulter tous les documents souhait s Y retourner sur le terrain en situation si n cessaire Y solliciter l appui d agents ouvriers enseignants gestionnaire R union de synth se du jeudi 11 octobre Montmorot 8 30 12 Groupes d inspecteurs Choux DEA DAT Y Avis des DEA DAT Y Analyse des comptes rendus et compl ments des inspecteurs et avis des DEA DAT Y Echanges Questions Y D jeuner 12 15 avec les DEA DAT 13h 30 15 h Y Echanges groupe d inspecteurs Y Synth se Y Rep rage des am liorations Y Organisation suite du chantier ANNEXE N 3 bis Organisation du test lt GUIMSEAT R gion Franche Comt EPLEFPA Lons le saunier site de Montmorot exploitation agricole site de Mancy atelier hippique EPLEFPA Poligny atelier technologique agroalimentaire R f rents Directeur d EPLEFPA Lons le Saunier Montmorot
55. nnet et permettre ainsi chacun de construire son projet de vie personnel et professionnel Dans ce contexte le directeur d exploitation ou d atelier technologique DEA DAT doit conduire simultan ment des processus de production voire de transformation et commercialisation avec des salari s deformation avec des quipes p dagogiques et des apprenants d exp rimentation de d veloppement d innovation avec les quipes techniques des centres de formation et des partenaires externes dont les professionnels Ces sp cificit s induisent gt les croisements multiples de publics diff rents une grande diversit des actions et des situations gt de fortes interactions li es la gamme tendue des activit s L ensemble doit par ailleurs int grer et diffuser prioritairement la notion d exemplarit valeur fondatrice propre tout tablissement de formation Dans cet environnement et pour les DEA DAT la prise en compte d une maitrise optimale de la s curit face aux risques se place bien en tant que priorit essentielle et incontournable la sant et la s curit visant tous les aspects du bien tre social psychique et physique des travailleurs et usagers La volont de mise l abri du danger et du risque reste en effet pour tous porteuse de s r nit et de confiance facteurs indispensables au plaisir d apprendre et d entreprendre 1 2 La commande Elle fait suite gt au souhai
56. on de la motivation des op rateurs et usagers ainsi que des conditions de travail la formation des usagers v v v v La d finition et la mise en application d un syst me de management de la S curit permet de mieux g rer les probl matiques li es et d avoir une vision long terme inscrite dans une politique bien adapt e et son environnement p dagogique technique conomique Le guide m thodologique S curit dans les EA AT gt se veut l outil privil gi pour la mise en ceuvre de cette d marche de pr vention et d valuation des risques professionnels sant et s curit au travail dont les r sultats doivent tre obligatoirement transcrits et mis jour dans le Document Unique DU 2 1 2 Les sp cificit s des EA AT Les exploitations agricoles et les ateliers technologiques des EPLEFPA sont tout la fois centres de l tablissement vocation p dagogique au m me tire que les lyc es et les centres de formation d apprentis ou d adultes et unit s de production de biens et de service Cette organisation sp cifique se traduit pour les aspects sant s curit et conditions de travail 55 par trois grandes r f rences les obligations de pr vention de tout tablissement public administratif recevant du public l valuation des risques li s aux m tiers de la production de biens de la transformation et de services gt 18 pr vention des risques relatifs
57. personnes dont on doit r pondre ou des choses que l on a sous sa garde Les ma tres et les commettants du dommage caus par leurs domestiques et pr pos s dans les fonctions auxquelles ils les ont employ s Les instituteurs et les artisans du dommage caus par leurs l ves et apprentis pendant le temps qu ils sont sous leur surveillance En ce qui concerne les instituteurs les fautes imprudences ou n gligences invoqu es contre eux comme ayant caus le fait dommageable devront tre prouv es conform ment au droit commun par le demandeur l instance Mais la responsabilit de la personne morale peut tre directement engag e du fait de n gligence ou d imprudence conform ment aux articles 121 2 et 121 3 du Code p nal Article 121 2 Les personnes morales l exclusion de l Etat sont responsables p nalement selon les distinctions des articles 121 4 121 7 des infractions commises pour leur compte par leurs organes ou repr sentants Toutefois les collectivit s territoriales et leurs groupements ne sont responsables p nalement que des infractions commises dans l exercice d activit s susceptibles de faire l objet de conventions de d l gation de service public La responsabilit p nale des personnes morales n exclut pas celle des personnes physiques auteurs ou complices des m mes faits sous r serve des dispositions du quatri me alin a de l article 121 3 Article 121 3 Il n y a point de
58. ppe LERAT Joel RIG AL E vtt comme gt Fran ois Xavier JACQUIN Sciences et techniques des agro quipements Zootechnie Agronomie Sciences et techniques des am nagements de l espace travaux paysagers Sciences et techniques des bio industries Charg e de mission aupr s du doyen Denis CHATOT gt Francine RANDI gt V ronique WOZNIAK gt St phane GENOUX be pete M e Ee D ocumentation et technologies de l informatique et du Multim dia Inspecteur ISST gt Jean Marie GILLOT NIMES Inspecteur ISST Partenaires associ s Christine RAIFFAUDDGER SNA Animatrice nationale Alimentation et technologie agro alimentaire gt Anne FRUCHART gt Thierry BERRARD gt Brigitte ELVERS gt Fran ois PERROUD BAG ah Directeurs trices d Ateliers Technologiques Eric DEBOEUF Virginie DUCLOS Fr d ric GRATTEPANCHE Jennifer LASSENE Herv LONVY Laurent PETAT LENOIR Directeurs trices d Exploitations Agricoles gt Fabien CHALUMEAU gt Gr gory CHOUX Jean Yves CORTEY Didier JOSSO Charg s d animation du r seau r gional des EA AT Alain GERMOT Directeur d EPLEFPA 24 ANNEXE N 2 Organisation du chantier GUIMSEAT Inspection de l Enseignement Agricole Ann es Scolaire 2011 2012 2012 2013 Conduite du chantier Michel PECQUEUX Ann e ETE 2011 2012 No Groupe objectifs N 1 2 3 Groupe objectifs N 4 5 Groupe objectif N 6
59. prendre plusieurs formes du fait de la pr sence et de la cohabitation sur les EA AT gt de plusieurs entreprises travaux en sous traitance prestations diverses de diff rents publics apprenants personnels enseignants techniciens intervenants ext rieurs en actions r guli res ou ponctuelles Elle est essentiellement li e aux fonctions et missions qui sont confi es aux EA AT dans les domaines de la production de l exp rimentation de l innovation et de la formation Elle peut g n rer des risques en raison du d ploiement des activit s propres chacun La r glementation fait obligation l entreprise d accueil de proc der l valuation des risques en commun de prendre les mesures de s curit et d urgence qui sont n cessaires et les formaliser Cette d marche doit tre prise en compte par les DEA DAT et se traduire par la mise en place d actions sp cifiques en mati re de communication d information de plan de pr vention voir de protocole de mise en place et d valuation sp cifique 2 2 Le cahier des charges Le cahier des charges est un document identifiant une performance une caract ristique physique ou un niveau de qualit d finissant un produit ou un proc d pour lesquels une action sera d velopp e gt Le cahier des charges est l expression d un besoin satisfaire il n indique pas la mani re de r pondre au le besoin ni la nature du produit fournir Note de
60. principaux l ments 3 Utilisation du guide m thodologique S curit 3 1 Les types d utilisation On peut en distinguer plusieurs gt A la premi re mise en uvre diagnostic et op ration corrective Y ann e 0 inventaire complet des risques d roulement total du guide en d but de p riode pour l valuation de chaque situation d finie par une ligne et traitement de l action corrective sur une p riode qui ne peut d passer douze mois Y ann e N reprise du document en d but de p riode issu de l ann e N 1 analyse et mise jour de chaque ligne Dansle cadre d une proc dure sp cifique ou d un l ment important structurel en tant qu op ration pilot e par 16 DEA DAT avec des partenaires associ s personnels enseignants apprenants Y dans le cadre d une utilisation partielle sur un th me ou des lignes identifi es pr paration de chantier arbre des causes en situation d analyse d accidents en relation avec la r daction ou 18 mise jour du Document Unique DU En effet l auto valuation du centre EA AT avec l emploi du guide peut se placer en tant que pr alable fonctionnel important en amont de la r daction de la partie du DU aff rent au centre EA AT Les types d utilisation du guide qui ont t envisag s outre la phase de diagnostic et le suivi des actions correctives d termin es et ou entreprises tableaux de bord de suivi param trables et ditables peuvent per
61. s la loi et codifi e dans les articles 1386 1 1386 18 du Code civil Ce principe de responsabilit du producteur impliquera donc pour les EA AT une grande vigilance sur la s curit sanitaire des produits qui fait l objet de c L objectif 7 S CURIT SANITAIRE SANT HUMAINE CONFORMIT SANITAIRE B TIMENTS INSTALLATIONS QUIPEMENTS PRODUITS Les activit s conomiques des centres de production peuvent enfin g n rer des risques pour l int grit de l environnement pollutions diffuses rosion atteinte la biodiversit ou paysage d grad A titre d exemple on peut se r f rer l approche de l valuation des risques environnementaux en productions v g tales propos e dans le Manuel d aide la r alisation de l valuation des risques relatifs l utilisation des produits phytosanitaires par fili re de production v g tale note de service DGAL SDQPV N2005 8096 du 04 avril 2005 L objectif N 8 RISQUES MAJEURS ET ENVIRONNEMENTAUX PPMS ICPE PUI POI ORGANISATION DES SECOURS L exemplarit de et la transmission des lt savoirs de prudence gt La vitrine que constituent les EA AT et leur r le d exemplarit justifient donc que les bonnes pratiques soient souvent la premi re et meilleure pr vention mobiliser Le guide ouvre ainsi avec l approche sur les v hicules et machines agricoles 11 c L objectif N 5 BONNES PRATIQUES S CURIT DES INTERVENTIONS P
62. t d dition des donn es permettre l h bergement national des donn es afin de favoriser la gestion des droits d acc s le stockage des sauvegardes et la diffusion des mises jour conserver la convivialit de l ergonomie ouvrant sur une utilisation particuli rement intuitive info bulles indiquant les titres des documents pour en saisir rapidement le contenu pour chaque objectif un onglet permettant de naviguer verticalement pour une visibilit compl te de l ensemble des libell s une navigation horizontale avec le maintien d un volet fixe N et intitul d un libell suivis des zones de saisie lin aire des possibilit s de tri de filtre afin d diter des tableaux de bord par date du diagnostic par niveau de conformit par num ro de priorit des actions conduire par ch ance objective de l action par pilote de l action par point de situation de l action N 1 et N 2 par action valid e par libell s renseign s ou non la possibilit d effectuer une recherche par mots cl s dans les libell s les zones de saisie 14 gt respecter les obligations concernant l accessibilit relative l galit des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es notamment en mati re d am lioration de la lisibilit des items du guide 13 Loi du 11 f vrier 2005 15 2 4 4 r f rencement bibliographique distinct du guide S curit Il a pour simples objecti
63. t et la demande des DEA DAT exprim e mars 2011 en pr sence de la DGER au cours de l assembl e g n rale de leur association En effet la multiplicit et la diversit des situations risque la prise en compte des diverses r glementations et proc dures en vigueur et en constante volution mettent en vidence le caract re prioritaire fondamental du volet s curit et la notion de responsabilit qui lui est attach Les DEA DAT constatent au travers de cette volution in luctable l importance de la gestion anticipatoire qu ils doivent mettre en uvre et la place qu ils doivent y prendre Si cet tat conditionne une prise en compte accrue de ce secteur au b n fice de l analyse et de la r flexion il n en est pas moins g n rateur d anxi t et en cons quence se d cline par l expression d un besoin proportionnel d aide et d accompagnement en la mati re notamment en mati re d approche et de gestion m thodologique c l tat des lieux de l inspection de l enseignement agricole IEA et de l inspection sant et s curit au travail ISST sur la n cessit de r affirmer la place de la s curit dans tous ses aspects et notamment en ce qui concerne le suivi et la mise jour du Document Unique DU rep r sur le volet sp cifique EA AT en d gradation r guli re au rep rage par les multiples acteurs et partenaires d un besoin av r li la structuration du domaine s curit des centres EA AT
64. te r flexion m thodologique c est le bilan de la d finition des besoins sp cifiques et des contraintes propres Les quatre objectifs d un cahier des charges D finir les objectifs Indiquer les contraintes respecter Outil de dialogue entre les acteurs et les usagers Diminuer les risques d erreur lors de la r alisation Le cahier des charges Q Indiquer les principes et les contraintes respecter Respect du principe du guide celui qui accompagne avec m thode pour montrer le chemin D finition de la fonction globale de l outil et du niveau d appui qu il doit permettre Processus d auto valuation travail en quipe validation Forme de l outil Mise jour r guli re Facilit d acc s Recensement renvoi aux travaux existants MSA Chlorofil Calendrier et cadre de fonctionnement du chantier GUIDE METHODOLOGIQE SECURITE DANS LES EA AT LES ATTENTES m Performance simplicit d utilisation u Convivialit m Efficacit structuration et emploi m Actualisation et veille r glementaire Adaptabilit m Fiabilit couverture large des situations m Positionnement des niveaux d intervention et de responsabilit des diligences Valorisation des travaux et donn es existantes Le cahier des charges D finir les objectifs que doit atteindre la solution Le p rim tre et les sp cificit s du guide Permettre l organisation et le management dans le domaine de
65. tion de cahier des charges re u validation en date du 07 06 2012 du groupe de travail largi aux repr sentants des DEA DAT directeurs d EPLEFPA et des animateurs des r seaux r gionaux des EA AT 2 4 Structure et organisation du guide S curit 2 4 1 Objectifs et finalit s La finalit du guide est de concourir l am lioration de la s curit des acteurs et des usagers des EA AT Elle se d cline dans les objectifs suivants la mise disposition d un volet informatif accessible en mode consultation uniquement apportant les r gles et les bases n cessaires l laboration d un diagnostic et la mise en ceuvre de la strat gie corrective induite le rep rage des grands groupes de risques des facteurs de risques et des moyens de les pr venir l identification des responsabilit s et des diligences conduire Le guide m thodologique S curit dans les EA AT se d finit comme outil de travail mis la disposition des DEA DAT leur demande pour les aider prendre en compte avec un maximum d efficacit l appr hension du volet s curit sur leur centre et dans la multitude d actions qui s y d roulent Deux pr alables ont t pris en compte lors de la construction du guide s curit gt l analyse des besoins carences constat es sollicitations des DEA DAT volution des situations sensibilisation des gouvernances et la connaissance des obligations gt l analyse de l existant
66. un dossier comportant un classeur Excel des fichiers au format pdf doc ppt xls Possibilit d activer les macros du classeur Logiciel Adobe Reader X 10 1 4 ou Foxit Reader pour lire les pdf et pouvoir ventuellement les annoter Logiciel de traitement de texte pour lire et crire sur les fichiers doc Logiciel ou Viewer de diaporama pour les fichiers ppt Version EXCEL 2003 ou plus ou version OPEN OFFICE 3 4 1 Vid oprojecteur Disponibilit du TFR informatique le mardi 9 matin au d marrage de la saisie Le nombre de repas et leur r partition est comptabilis dans le tableau d intendance joint Site de Poligny 1 bureau ou petite salle pour la saisie du diagnostic par le DEA DAT avec les inspecteurs pr sents sur le site mardi 9 et mercredi 10 1 ordinateur portable droits administrateur ouverts afin de permettre l installation via une cl USB d un dossier comportant un classeur Excel des fichiers au format pdf doc ppt xls Possibilit d activer les macros du classeur Logiciel Adobe Reader X 10 1 4 ou Foxit Reader pour lire les pdf et pouvoir ventuellement les annoter Logiciel de traitement de texte pour lire et crire sur les fichiers doc Logiciel ou Viewer de diaporama pour les fichiers ppt Version EXCEL 2003 ou plus ou version OPEN OFFICE 3 4 1 Vid oprojecteur Disponibilit du TFR informatique le mardi 9 matin au d marrage de la saisie Le nombre de repas

131113 Rapport définitif GUIMSEAT-1

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