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1979.2 - Société des Sciences Médicales

1. Dermato all fr ang 11 1 1 Anesth sie all fr angl 1 1 1 fC 6 S Pneumo all fr angl 2 1 2 Urologie al fr ang 2 1 2 1 H mato all fr 1 q 4 Microbio ang 1 1 Chirurgie all fr angl 7 1 5 3 Orthop die fr angl non v non v Rhumato all fr angl 1 1 2 1 Ophtalmo all fr ang 2 3 3 Neuro Psy all fr 5 I 5 Radio all fr angl 1 3 o 1 3 2 Gyn co all fr angl 5 3 5 ORL all fr angl 3 i 8 Fharmacie all fr angl 5 3 5 1 1 Veterinaires all fr 1 1 x J Dentistes all fr angl 7 2 3 9 1 1 L P diatrie all fr ang 4 2 4 2 abr viations multi multilingue all allemand fr fran ais angl anglais 228 CONCLUSION Le taux relativement faible des r ponses valuables 22 9 emp che d affirmer que la poulation tudi e exprime l opinion de l ensemble des abonn s contact s Toutefois ces r sultats sugg rent quelques commentaires La lecture d
2. UONBINISSEII ISINOAVS 3SNOd3u sajpejew onbjonb utsiBeq np suoneq l s uns sluguBi su sap suolutdo nealgeL 213 Nig ria en 1976 vis vis de 29 de fumeurs et 10 anciens fumeurs chez les tudiants de la facult de m decine de Manchester Knopf et Wakefield 8 II est vident que c est dans l adolescence qu on commence fumer et assez rarement apr s quoiqu on rencontre parfois des sujets qui go tent la cigarette apr s 30 ann es pour la premi re fois Maigr la fr quence croissante du tabagisme chez les femmes on doit toujours sou ligner que la quantit des cigarettes consomm es reste beaucoup plus lev e chez les hommes Chicou 1 s inqui te que la consommation tabagique augmente en France de 44 mil liards de cigarettes en 1963 63 milliards en 1969 Les raisons qui d terminent l apparition du tabagisme et qui Fentretiennent sont simi laires aux recherches publi es dans la litt rature La nocivit du tabac de plus en plus connue par la population le risque de cancer bronchique nottamment semble l origine de l abandon de l habitude de fumer par les uns Mais le chiffre des fumeurs chez les enseignants tout fait similaire aux autres cat gories de la population souligne les difficult s rencontrer dans les actions contre le tabagisme Les enseignants et les m decins doivent tre l exemple suivre Ce sont eux qui doi vent non se
3. a III L alcoolisme est une maladie beaucoup trop grave pour qu on puisse accepter sans rien dire des fausses croyances qu une publicit habile sugg re de croire Quelle que soit la forme sous laquelle on l absorbe l alcool ne r chauffe pas l alcool ne donne pas de forces Le petit verre qui remonte n est qu illusion L alcool n est pas un fortifiant ni pour l adulte ni pour l enfant l alcool n est pas un aliment L nergie qu il apporte ne peut pas tre utilis e de fa on b n fique par l organisme l alcool n est pas bon pour le coeur et les vaisseaux l alcool n est pas indispensable la vie seule l eau est le liquide n cessaire l alcool ne d saltere pas au contraire il augmente le volume des urines et donne soif l alcool ne donne pas de l app tit et n aide pas dig rer Dans notre Soci t l alcool fait partie des rites agr ables encore ay faut il ne pas trop en abuser IIIIII IHIIIIIIIIIIIIAIA IIIII IIIIIIIIzIIIIIIIIIIIIIIIIIIII III III II OIIIIIIUIIIIII I IIIIWIIIIIIIIII9II IIIIIIIII IIIIIIII n l n n n n n n n nuumi Um EL r Celluson Biscuits di t tiques base de son pour faciliter le transit intestinal Distribu par les Laboratoires STELLA B 4600 CHENEE N ar IT drag es e no uvelle approche de 70 long terme E al es aineuses et bc x Sc
4. 100 Z E 50 chemical diabetes Vi 2 z 2 l q Ee lt controls 0 Yars st TIME L ll A m TF n hours 0 1 2 3 4 5 Fig 4 Enregistrement en continu apr s HGPo courbes moyennes de insulin mie de 9 sujets souffrant de diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle et de 6 t moins 200 un nn En 7 u mud f ee TN Q EE ot pU ml mg loomi RATIO 0 5 7141 Me FA F3 F a lt chemical INSULIN 7 BLOOD GLUCOSE JU EL rl WA Da r D d K nin diabetes 2 hi ou see ALL rer 2 Page e te ve DR st es e erae D HN a 2 ts ete utes D tee D D H D Ni D e MAAS tet Er EN 1948 HAN S San tele ci a ot fe Me MS T AC TEE AC EM EE ey BALA MATENEE VS AE Ka DAME wt E D a CRE s Wa vi Contro s ir t vs tete e EK on ee ejes SE H H 0 t osent x ARAN Se ae ote har de du gt TIME ta hours Q 2 3 4 5 Fig 5 Enregistrement en continu apr s HGPO courbes moyennes du rapport insulin mie glyc mie chez 9 sujets souffrant de diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle et de 6 t moins 201 TABLEAU I c CHEMICAL DIABETES WITH 77 p REACTIVE HYPOGLYCEMIA 9 cases e weg a NA aa VE Sex 36 39 36 69 Age years 26 7
5. h patique et h matique Te ns respecte la muqueuse gastrique gt aucune ac Coutumance sans influence sur la vigilance l attention et la m moire mf xO c NO N Je Fac antalgique p riph rique supprime en toute s curit les douleurs aigu s et chroniques O Cephalees O N vralgies SI Douleurs dentaires D Myalgies p Cox et gonarthrose O P S H s gt du m Douleur i O Douleurs dorsales spondylose lombalgies douleurs vert brales gt la posologie rm T gt 2 ne 2 gt est adapt e a l intensit de la douleur LSS K z A SSS Douleurs fortes 2 comprim s par prise 6 comp p jour Douleurs moderees 1 2 comprim s par prise gt gt 4 6 comp p jour Composition Comprim s s cables dos s 200 mg de floctaf nine Floctafenin 200 mg Amyl Lactos SS _ Taic a s pro compr uno Propri t s La Floctaf nine principe actif de Vidarac est un SS anala ia da par 00 dot d une excellente tol rance notamment au point de vue digestif Dans les EEE il n Contre indicatlons Comme il est de tion prolong e il n a pas t observ d accoutum
6. Imprimerie Joseph Beffort Luxembourg
7. nspr pos ze ber er Ostischen und ope wen es ngri n der Urolog re Ein nhi Nie nfu mite eet bien Resi N Werten Ol gurie Anurie Ura mie Polyne ropa sg eg mid u na Noto tanton eberpar nen qu haden Anwendung wahre ong ou tersten n 3 Leben nsmonate Keine ness ea te fi aj nhalt gen und tusatztich bei UROSPASMON pers una au Een net agen d r apa fate gleic che eng ve tabre Moglic here kungen n Gas nale Stor aischmerzen Allergie fer schube Esanthem Cholestase pulmonale Reaktione tounge n aaa P ra esines Hin ese Um de ertor se che tagl c che Ma nme nge von F z u gewahriessten ee me Our one spulungsiherapre m SOLUBITRAT B don non vg dur Mort fuhren das hein Hesamethylentettam n e thah Weitere into nthatien dre wissenschaft n Prospekte Urospasmon sine Urospasmon sine pro infantibus rospasmon aaa nn ee ITEM r ida DE ARS ta L ON S at Zusammensetzung Zusammensetrung Gegen AE dran a a ne er n 50 mg Sullad az n 1 Kapsel Nitroturantoin 50 mg Sullad az n 1 Kapsel 125 mg Sullad az n HEUMANN 1 ET mg 150 mg 37 5 mg Arzneimittel andelsformen Handelslormen Handelsform a D a FE n abietten 0 Tabletten 6 ri b 20 Kapsein CD 50 Kapsein 50 Kapselin w N RNBERG Anstaltspackungen Anslallspackung Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg IE
8. 1 103 53 145 135 7 3 0 88 0 88 N w N an gt D Co D 1 385 53 105 1 15 93 127 2 33 425 60 1 04 10 5 0 86 3 455 455 115 1 59 176 0 91 4 41 3 75 130 1 55 382 0 99 6 435 22 175 1 37 258 0 78 8 265 235 11 0 1 29 14 6 0 60 10 260 2 0 7 5 1 37 12 8 0 73 12 18 2 1 95 0 67 12 8 0 83 focale Les couches basales de l endo m tre responsables de la capacit de r g n ration de la muqueuse restent com pl tement intactes Cet effet paras cr toire du Progestasert est en principe suffisant pour expliquer d une fa on convaincante son mode d action Si nos r sultats ne sont pas des pro duits du hasard et s ils peuvent tre ra men s un effet central les diff rences avec les travaux de Dallenbach et Sievers ne repr sentent pas n cessairement des points de vue contraires Une production de 65 ug de progest rone par jour est cer tainement insuffisante pour exercer une influence permanente sur la r gulation en docrinologique du cycle menstruel Cette affirmation est soutenue par les exp rien ces de Mall Haefeli 2 qui sous l appli cation de Progestasert a pu noter des cycles ovulatoires mais a remarqu en m me temps une remise des maxima de LH vers le 18e jour du cycle Nous avons galement trouv des phases de prolif ra tion prolong es Des conclusions d finitives se basant sur ces faits seraient sans doute pr matu r es car elles laisseraient inconsid r
9. Bw w 5 jwool bu Q 31509119 40018 Q 3902010 GOOM ET TAA em d b 5020000 WNN INSNI NNNSNI 198 1 enbiuiyo ajeqeip jue1yynos si ns 6 CALCIGENOL 199 CALCIGENOL L assimilation maximum du Calcium VITAMINE SIMPLE Vitamine D 2 Avec M thylarsine INDICATIONS D calcification Fractures Grossesse Allaitement Caries dentaires Croissance PRESENTATION Suspension colloidale Flacon de 300 mi POSOLOGIE 2 4 cuill res soupe par jour en cures altern es 10 jours VITAMINE 10 jours SIMPLE FORMULE Calc phosphoric tribasic sicc 1 350 gr Vit D 2 crist 640 U I Natr fluoric 10 mg Aqua ad 100 gr FORMULE Calc phosphoric tribasic sicc 1 350 gr Natr m thylarsinic 5 mg Natr fluoric 10 mg Aqua ad 100 gr SBTE rue du Progr s 1 Nivelles 081 ost di WS s HS 081 Bw 3S09N19 o N 198 Sere ajeqeip ap jueuyynos sjefns 6 ap sajlanp n pu ja s nbiuu95 6 s qino sude nuljuo9o us wawans bsluug Big 0 Cs Or 06 S9 02 091 921 s noy IWEL Vi g WOO 3509119 4001 Wu nf NIMSNI 199
10. BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg N 2 1979 116 ann e R tung Schwellung Schmerz ein Hals f r IMPOSE va ZUSAMMENSETZUNG 1 Tablette enth lt Gramicidin AE get 0 4 d D I mg Cetylpyridiniumchlorid 2 0mg 2 4 Dichlorbenzylalkohol 20mg p Aminobenzoes ure thylester 20mg INDIKATIONEN Bei infekti s entz ndlichen Erkrankungen des Mund Hals und Rachenraumes Stomatitis Soor Gingivitis Angina ton sillaris und Pharyngitis Zur Nachbehandlung operativer Eingriffe im Mund Rachen und Kehlkopfbereich sowie bei bakteriellen Sekund rinfek tionen im Verlauf einer Virusgrippe KONTRAINDIKATIONEN Bisher nicht bekannt DOSIERUNG Tags ber alle 2 Stunden 1 Tablette im Mund langsam zer gehen lassen Bei Kindern gen gt die Einnahme von t glich 4 Tabletten Tabletten nicht kauen nicht schlucken HINWEIS Bei magenempfindlichen Patienten k nnen gelegentlich Beschwerden wie z B belkeit auftreten Meist gen gt dann eine Verringerung der Dosis HANDELSFORMEN O P mit 24 Tabletten INTEGRAL S A 25 rue d Epernay Luxemburg BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg N 2 1979 116 ann e Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Publi sous la direction du Conseil d Administration de
11. milligramme par kg par administration par voie intraveineuse ou intramusculaire au besoin 3 6 fois par jour posologie maximale 1 mg par kg JANSSEN PHARMACEUTICA 2340 Beerse An qel jour suppositoiros b b s x jusqu Vago de 2 ans 10 mg 2 4 fois par jour enfants 30 mg 2 4 ans 2 par jour 46 ans 3 par jour plus de 6 ans 4 par jour voie orale 2 gouttes par kg 3 4 fois par jour avant les repas el la coucher Remarque Les suppositotres seront de pr l rence introduits dans un rectum vide pr sentations 10 ampoules de 2 mi 5 mg par mi 10 mg 10 ampoules p diatrie de 2 mi 2 mg par mi 4 mg 30 et 100 comprim s 10 mg 30 et 100 mi de la solution gouttes 1 200 mi de la solu tion orale 0 1 6 suppositoires adultes a 60 mg 6 suppositoires enfants 30 mg 6 suppositoires b b s x 10 mg La dur e de conservation de ce produit est limit e voir la date de p remption sur l emballage formutae amp domperidonum 4 mg acid acetic aq ad iniect a s ad 2 ml amp domperidonum 10 mg acid acetic aq ad iniect a s ad 2 ml tabl domperi donum 10 mg lactos hydric amyl mayd polyvidon natri laurylsulfuric cellulos microcristallin magnesi stearas ole hydrogenat pro tabl compress Un hypromellos macrogol 6000 ethylcellulos 20 cps glycerol gtt domperidonum 10 mg saccharin ma
12. oz 0926 299 809 s nawn UoN ailes oun SUEP sineun uou ep eeben pl g z z 2216 01 21 s nawn sugiouy s l anod ajja isa anod 2 0 X 697 El ze 0146 992 Les sinawung pnuqeu i nb snoA z AB are OE 8221 sit 098 618 196 Ieol 10000 gt d oueq 627 ZL e1 8 ss 1606689 SES 809 s nswn UON SIA E OP 1np B JUSUWIBIA ep 5 Inod esi 8 6888 9 21 s nawny suaiouy l 1941n09981 ews dege 96 9 62 X 697 er 9Z0Z S 602 112 182 s nawnJ nb snoulsAuoo snoA s 4 892 92 82 02 cL O6 998 196 2101 SN u ql 62 8L v2 9 Lv 6206 6 9 809 sinawny UON 5 7 822 2 2216 01 21 Sinon suaIduy 4 SIA 1npD EL I H91N099E1 anod 26 0 2 6r 2 4 196 ze 0648 ral Les sinewny u s Beqe nb snon zaneg 2000 gt d H qli L 92 4629 09 3006 5728 196 01 S916ep Z 622 Iz 2561 8y 8168 696 829 wes anod LOLL S 2X SS L G 118 CL pl v6 906 826 ISEN S0 O gt d oueqll 962 81 979 EE 1996 189 809 sInswn UON s B6 p anod 620 1986 9 21 51 5401204 1 85 EI 922V 01 2X 982 8 Lee 12 0648 be 182 s nawnJ anod poou aso ewsibeqe 67 0 0 N 0 0 N s oSu 1 jJjIip s p UON InO Ev s upubl su s p uonsoluubis suod s UOREUISSEI NOILSAND 3SNOd3H awsj ege np s19Buep s ins syueubjosua s p soouessjeuu0oy
13. pathog niques ont t propos es l existance de malformation vasculai re non d montrable macroscopique ment 15 ou thrombos e et m con naissable l intervention 5 la sensibilit particuli re l hyperten Sion d un syst me sans valvule et nor malement basse pression constitu par les veines vert brales 10 Du point de vue pronostic l unanimit se fait sur la r cessit d une intervention aussi prompte que possible afin d am lio rer les chances de r cup ration Dans les cas non op r s ou dont les d ficits fu rent irr versibles cervicales 15 19 la brutalit d installation et la gravit du ta bleau neurologique les dimensions de l h matome le d lai s ecoulant avant l in tervention mais aussi l ge et les patho logies associ es Selon l opinion mise par MAXWELL et BOLETTI 13 la loca lisation souvent post rieure de l h mato me en comprimant les faisceaux pyra midaux provoquerait une atteinte plus im portante au niveau moteur que sensitif et expliquerait dans notre cas la dissocia tion dans le temps de la r cup ration sen sitivo motrice CONCLUSION L HESS est une affection rare mais dra matique par ses cons quences qui n ces site le plus souvent devant un tableau de parapl gie flasque brutale une mise au point radiologique par my lographie et une laminectomie sans d lai Dans le cadre le transfert imm diat de ce type de pathologie vers
14. 1 d l te enthalt 50 mg Benzbromaron INN 1 Drag e NARCAR C N enthalt Darreichungsformen u Packungsgr en 100 ma Benzoromaror Indikationen Hyperurkami jeder Genese und Gicht Durch medikament se Behand ung antetanrans hAhta erurman onrentr y Ya ces i de A C 6 and 6 e Seru arnsaure Konzentratione Kontraindikationen Die Praparate lt n nicht angewendet NARCARICIN warden bei mittelschwerer bis schwerer Nierenins uthz enz i Giomerulusliltrat unter 20 mi min Obaleh Ber rbromaron 30 Tabletten m T se rn d rt ei x x 4 vk m Tierversu keng had genge Wirkung zeigte s en NARCARIC mite und NARCARICIN dennoch wahrend der 100 Tabletten A ANA KZ w chwar chat verabreicht wordi Nebenwirkungen und Begieterscheinungen Vertr glichkeit ist n NARCARICIN ement be mz nn Lah arut t netromaron rn T F sa ma ne yt U f anor Behand B woma konnen Di talle auftreten Treten diese Durchl lle EEN haul 9 Jer uber l ngere Zen auf so sind die aif atrium und Kaliumwerte im Bug kontrol n i 30 Drag es 4 Siut zu kontrolberen Gegabenentalls kann de 100 Dragees age Juzieri werdar Besonders zu beschien Bei t vorgeschriebenen Dosierung sind Gichtant ile zu Beginn 199 Dragees J J uuu de resch ma nee NATU aaa TAH A SCH Deeg Ab m zu beg Anstaltspackungen in seltenen F llen be ders zu Beginn dor Behandlung
15. F OGORZALY R BENICHOUX 231 Une forme d h matorachis l h matome extra dural spontan A VANNINEUSE N f 235 Editorial Le Bulletin M DICATO 5 gt 239 Mise en point H moglobine Ai et contr le de la glyc mie M DICATO 4 241 Assembl e g n rale ordinaire de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg e s 243 Livres et p riodiques i 247 1 d MICROBIOTHERAPIE Forme tyophilis e Saccharomyces 17 1 milliard de germes vivants a Prophylaxie et traitement des accidents 7 Posologie et mode d emploi des antibiotiques Ing rer 1 4 g lules par jour Concessionnaire Diarrh es Colites Ent rocolites au Grand Duch de Luxembourg tablissements HANFF Fr res LUXEMBOURG Laboratoires BIOCODEX 19 rue Barb s 92120 MONTROUGE T l 656 67 89 Nomenclature des Laboratoires et Firmes ayant annonc dans le pr sent num ro Biocodex Boehringer Ingelheim Bournonville amp Fils Byk Belga S A S A Ciba Geigy N V Coles S A Cochard S A Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois Mack Heumann Continental Pharma Essex Belgium Hoechst Belgium Integral S A Luxembourg Blendax Belgium Madaus Zwintscher Tropon Werke Janssen Pharmaceutica Milupa S A Musterm bel S A Etablissement T
16. alis la Clinique des Maladies m taboliques et endocri en glucose une hyperglyc mie plus ou moins franche niennes du C H U de Montpellier suivie d une hypoglyc mie biologique accompagn e 191 Bull Soc Sc M d 2 191 1979 Bulletin do la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg dans tous les cas de signes cliniques plus ou moins prononc s s agit donc bien de cas de diab te chimique avec hy poglyc mie r actionnelle Apr s un r gime normoglucidique de quelques jours et apr s un je ne nocturne les sujets analyser sont soumis une charge orale en glucose raison de 45 g par m de surface corporelle La glyc mie est enregistr e en continu sur Auto ana lyseur Technicon 1 et dos e par la m thode de Hoffmann 8 Parall lement sont pr lev s par aspiration continue et d bit constan des chantillons de sang veineux par fractions de 6 en 6 minutes pour le dosage de l insulin mie et de l hormone de croissance Cette technique a t mise au point chez le chien 2 3 L examen complet s tend sur une dur e de 5 heu res au moins Un groupe de 7 sujets t moins tous tudiants hospitaliers g s de 20 30 ans sont examin s dans des conditions stric tement identiques Les t moins sont tous en bonne sant de poids normal et ne pr sentent en aucun cas des ant c dents familiaux de diab te sucr PARAMETRES ANALYSES Param tres glyc miques s
17. crogol 400 aetherole menth astherole banan pro pyleneglycol q s ad 1 ml sir domperidonum 1 mg acid tarlaric aetherole rib rubr aetherole menth sorbitol sol 70 q s ad 1 ml supp 60 mg domperi donum 60 mg acid tartaric sorbitan monostearas macrogol 400 macrogol 1000 adeps solid pro supp un supp 30 mg domperidonum 30 mg acid tartaric sorbitan monostearas macrogol 400 macrogol 1000 adeps solid pro supp un Supp 10 mg domperido num 10 mg acid tartaric sorbitan monostearas ma crogol 400 macrogol 1000 adeps solid pro supp un NERISONA 0 1 de valerate de diflucortolone nouvelle approche en corticoth rapie topique Cr me Diflucortolon voleras 100 mg Mocrogol steoros 2000 Voselin Poroffin liquid Alcohol steorylic Corboxypolymethylen 934 Natr hydroxyd Methyl paroosybenzoos Propyl paroxybenzoos Dinatr edetas Aquo purif q s pro 100 g Pommode Diflucortolon voleros 100 mg Dehymuls E Voselin Poralfin liquid Cero alba Aquo puril qs pro SR Pommode grosse Diucortolon valeras 100 mg Vaselin Porattin liquid Ricin ol hydrogenot Ceresin pro 100g Propri t s Nerisona orr tel inflammation dons les affectionscutan es inflammatoires et allergiques et diminue les troubles subjectifs tels que d mongeoisons br lures ou douleurs Indications Toutes les trons cutan es relevant de la corticoth ropie l
18. d ob struction interne par corps trangers de r tr cissement post traumatique les causes les plus fr quentes tant les brides post op ratoires et les tranglements herni aires Ainsi en dehors de ces deux situations l origine est toujours difficile discerner Le doute peut m me alors s tendre au diagnostic d autant que l occlusion basse du gr le au d but peut se pr senter avec un masque rassurant En quatre ans de 1974 1978 nous avons collect quatre cas d occlusion m canique de gr le de cause inhabituelle Nous les rapportons pour rappeler que d s le diagnostic pos m me dans l ignorance de la cause la laparotomie est obligatoire DESCRIPTION DES OBSERVATIONS Observation No 1 78 ans Syndrome occlusif aigu vu le ler octobre 1974 Cette malade en est a sa troi si me hospitalisation La premi re fois il s agissait d une hernie crurale trangl e avec r int gration d une anse gr le incarc r e qui avait repris une couleur sub normale Malgr des suites imm diates normales la malade est r hospitalis e quatre mois apr s pour des troubles occlusifs Apr s deux jours d hospitalisation un transit digestif normal est nouveau r cup r avec 231 Bulletin d la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg images radiologiques normales et la mala de est renvoy e La laparotomie pratiqu e au cours du troisi me s jour r v le un r tr cissement de l
19. dalda ELLE vuntssass esnaseuteoruene 22 21 2224 dodo 0 soctrssnane O 22 a 2 222 4 Le fait qu il y ait de la publicit l int rieur d un article vous g ne t il marquez d une X oui non 5 Un p riodique medical local votre avis devait tre en allemand fran ais anglais multilingue C Un p riodique m dical supraregional devrait tre en allemand fran ais anglais multilingue RESULTATS Sur 650 questionnaires envoy s 151 ont t retourn s 23 23 et 149 ont p tre valu s 56 personnes n ont pas donn d ordre de pr f rence au point 3 du questionnaire est relever que la premi re question s adressait aux p riodiques abonn s et les neriodiques gratuits publicitaires taient exclus Le Bulletin m me est implicitement exclu Un nombre de 276 p riodiques diff rents est r parti entre les 149 r pondants de 22 cp cialit s m dicales diff rentes En principe les p riodiques abonn s par les diff rents m decins se rapportent leur sp cialit m dicale On remarque que les chirurgiens ont le plus grand nombre de p riodiques moyenne de 4 25 suivis tr s pr s des m decins sp cialistes en m decine interna moyenne de 4 20 chez les g n ralistes on trouve una moyenne de 2 4 y tableau Il montre la r partition des r ponses entre les diff rentes sp cialit s medi cales 226 Schmerzpatienten optimal versorgen Spasmo Solugasin stoppt Krampf
20. h moglobine HbA repr sente 3 6 de l h moglobine totale chez la personne normale et est largement au dessus chez le diab tique La formation de l HbAx r sulte d une glycolysation au niveau amino terminal de la cha ne b ta de l HbA Cette transformation est non enzymatique post synth tique d pend de la concentration des deux substrats en pr sence Hb et glucose et se fait pendant toute la vie du globule rouge 2 La concentration d HbAt est proportionelle l ge du globule rouge tant chez le normal que chez le diab tique Donc la fraction de l Hb glycosyl e correspond la glyc mie moyenne sur une p riode prolong e Que cette r action de glycolysation soit irr visible ou non est controvers 3 Cette mesure a pris de l int r t partir du moment o l analyse est devnue Simple et peu co teuse Toute fois selon la m thode utilis e on peut avoir des faux po sitifs 4 s il y a augmentation de l HbF ou en pr sence de certaines hemoglobinopathies HbS C De plus Hematologie Oncologie dans l insuffisance r nale il y a ind pendamment du Service de M decine ira proc d de dialyse utilis une augmentation signifi gente ale ikem bouts cative d l HbAx malgr le fait que la survie moyenne 241 du globule rouge soit diminu e et qu on s attendrait une baisse de l HbAx 5 Le but du traitement d un patient diab tique est d viter les complications aigues et tardives Le con t
21. heparinate de calcium Bo te de 10 seringues st riles Bo te de 10 ampoules de 0 2 ml titrant 5 000 U l soit environ 50 mg d h parinate de cal cium Bo te de 10 seringues st riles INDICATIONS Traitement pr ventif et curatif des accidents thrombo emboliques POSOLOGIE ET MODE D EMPLOI 1 Accident thrombo embolique imminent ou constitu Injection d une premiere dose calcul e suivant le poids du sujet 0 1 ml soit 2 500 U I pour 10 kg de poids L adaptation des doses suivantes sera faite par un examen de laboratoire comme le temps de Howell But recherch assurer un tat d hypocoagulabilit efficace temps de Howell maintenir des va leurs double ou triple du temps de Howell t moin 2 Risque d accident thrombo embolique en milieu m dical la dose probatoire sera calcul e sur la base de 0 1 ml pour 10 kg de poids si le risque est important et sur une base inf rieure si le risque est moindre Les r adaptations seront r alis es d apr s les r sultats des tests biologiques But recherch assurer un tat d hypocoagulabilit moins profond que dans le cas de traitement curatif le temps de Howell est maintenu des valeurs entre une fois et demie et deux fois le temps de Howell t moin Le traitement est poursuivre aussi longtemps que persiste le risque en milieu chirurgical sch ma standard en traitement pr ventif des thromboses veineu ses post op ratoires 2 h av
22. le traumatisme initial d couvre sur le gr le trois zones de muqueuse ulc r e avec s reuse conserv e Une tr s forte r action inflammatoire plaque le gr le la vessie R section de trente centim tres de gr le Suites normales En somme traumatisme abdominal ap puy sous estim au cours des deux pre mi res hospitalisations L importance de la contusion post rieure oriente vers un il us paralytique cons cutif un h mato me r trop riton al La persistance des 232 signes occlusifs d cide l op ration 22 jours apr s l accident II s agissait d une rupture incompl te sous s reuse de la pa roi intestinale Aucune ponction lavage p riton ale n avait t pratiqu e Observation No 3 Syndrome occlusif apparu depuis quelques heures chez un homme de 55 ans violentes douleurs ab dominales avec vomissements et arr t des mati res et des gaz L abdomen est m t o ris dans son ensemble sans matit avec une d fense de l hypocondre droit L am poule rectale est vide Etat g n ral con serv Aucun ant c dent de traumatisme ou de douleur abdominale sauf un an au paravant expulsion d un t nia de neuf m t res de long sans la t te Aucune cicatrice de laparotomie La radiographie montre des niveaux sur le gr le sans calculs vi sibles ni pneumop ritoine Aspiration di gestive intermittente L mission de gaz et de quelques mati res permet d esp rer une lev e spontan e de Fo
23. nr Wa gt rue du Coll ge St N Aichel WAN 1150 Bruxelles Y A Sa Lonarid comprim s antalgique de choix dans les douleurs rhumatismales chroniques m ARINI A ZE a pn ni o jp Ion an E lt annm lt Kiss gt e action antalgigue rapide e tol rance digestive et h matologique remarquable Formule A dimelhyl n octyl ammon aethylbenzitic ester bromid 20 mg 4 acetylaminophenol paracetamol 400 mg Acid 5 isoamyl 5 aethylbarbituric amobarbital 30 mg Codein phosphas 10 mg Cof fein dessic 50 mg Gelatin Silic oxyd colloid Amyl Sacchar lact Magn stearas q s pro compr uno Indications Douleurs de toute nature susceptibles d apparaltre dans les diff rentes sp cialit s rurgie Oto rhinolaryngologie P diatrie et Odontologia Posologie Adultes et enfants de plus de 12 ans selon l ge du patient et l inten sit des douleurs 1 au besoin 2 comprim s jusqu 3 fois par jour prendre avec un peu de liquide Dose orale unitaire conseill e chez les enfants d ge scolaire ia comprim Remarques L action des cons tit
24. roides synth tiques tant suffisamment connus des alt rations histologiques de l endom tre limit es et r versibles surtout en combinaison avec des d rangements discrets de la r gula tion endocrinologique du cycle menstruel rangent Sans doute parmi les avantages du Progestasert D apr s notre avis la gyn cologie moderne ne pourrait qu ap prouver vivement un tel effet contraceptif suppl mentaire 221 400 OU ml ng ml 410 4 PROLACTIN I 1 ger SEN AN 4 ze Ki 5 5 N R 4 It gt 5 5 10 5ng ml FSH U I Z PR sa SL cl u a 9 5 5 10 Cu T nm D P LH 10 I Nu 4 4 t d 5 1 i v tf d s I T gt o nn 9 5 0 5 Tabl 1 D veloppement des gonadotrophines et de la prolactine Exemple repr sentatif 222 500 pg ml t E2 nmol I 1 15 Tabl 2 Taux de l oestradiol sous l influence de Progestasert et de CU T PROGESTERON ae ma mama asa en nmol 1 20 6000 pg mi a o KA ZA Wi S Ba NIS l 3 gt H I d 1 Cu T sss P 1 1 1 en S 6 Le I 10 5 5 10 15 Tabl 3 Profil de la progesterone avec CU T et Progestasert Exemple typique 223 t Bibilograple Dallenbach G S Das Progestasert System Deutsches Aerzteblatt 41 2551 53 1976 Dallenbach G Morphologische Ver nd
25. sucr En attendant il vaudrait mieux le consid rer comme une pathologie gluci dique part qui reste apparamment loca lis e au secteur h pato digestif et qu on pourrait d nommer intol rance h pato di gestive l aliment sucr concentr et a r sorption rapide RESUME L auteur a r alis des hyperglyc mies provoqu es par voie orale chez 6 sujets t moins et chez 9 malades pr sentant un diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle La glyc mie a t dos e en continu l insulin mie et l hormone de croissance p riph riques ont t dos es sur des chantillons de sang pr lev s en continu et d bit constant de 6 en 6 mi nutes Les courbes glyc miques des ma lades taient caract ris es par des ascen sions et des descentes rapides et excessi ves Les valeurs absolues de l insulin mie moyenne taient tout moment sup rieu res celles du groupe de contr le L aug mentation de l insulin mie p riph rique a commenc tout de suite apr s la charge et elle est excessive Pour cette raison il semble abusif de consid rer le diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle comme un stade pr coce du diab te suc r mais plut t comme une pathologie au tonome L auteur met l hypoth se d une intol rance h patodigestive l aliment glucidique concentr et r sorption rapi de 195 180 max B G max B G 160 120 80 60 40 mg loomi gt BLOOD GLUCOSE
26. 1 3 lt 0 01 37 778 2 793 Weight kg 60 3 51 n s 62322 5 795 Height cm 171 2 31 lt 0 01 1653 0 30 fast B G 76 2 mg 100 ml 73 2 n s 739 54 max B G 147 6 mg 100 ml 117 lt 0 001 1794 87 min B G 65 lt 0 01 47 8 24 T max B G 76 12 min 61 8 n s 61111 4 698 T min B G 260 15 6 n S 237 222 13 847 T return fast 160 14 min 191 28 n S 174 444 20 042 R B G R 11 1 mg min 1 7 47 1 09 lt 0 001 17 754 1 489 R B G F 6 1 0 08 mg min 1 39 1 01 lt 0 01 7752 0 933 gt B G 415 13 mg 100 ml 406 18 lt 0 05 463 3 21 1 S EEEE Moyennes des param tres cliniques S E M chez 6 t moins et 9 sujets souffrant de diab te chimique hypoglyc mie r actionnelle moyennes de la glyc mie de je ne de la glyc mie maximum et de la glyc mie minimum moyennes des temps des glyc mies maximum et minimum moyennes des temps de retour la glyc mie de je ne moyennes des vitesses d ascension RGBR et des vitesses de 7 RGFB glyc miques et enfin somme des glyc mies aux temps 0 1 2 3 heures 202 10 REFERENCES Mirouze J Bernard R L enregistrement gly c mique continu par automation en pratique diab tologique Technicon Paris 1964 Collard F Orsetti A Mirouze J Etude de la glucor gulation dosages en continu de la glyc mie de linsulin mie et du taux s ri que de
27. 7 0 0 90 7 44 47 40 104 45 1 04 5 63 6 6 5 5 070 7 0 0 87 7 4 5 9 50 052 73 1 59 7 0 5 4 9 0 1 00 7 3 1 73 6 8 5 7 80 067 70 1 53 58 53 60 074 78 097 68 0 87 76 6 0 6 0 0 96 79 1 11 40 100 95 0 73 71 53 65 0 70 19 083 7 1 45 5 5 122 33 0 83 13 0 5 1 9 0 096 32 1 39 60 50 80 0 81 25 1 18 20 85 1 11 3 5 1 53 22 66 19 90 1 00 87 1 39 4 2 1 0 10 6 5 9 4 5 0 81 4 2 4 7 9 11 14 IV Discussion Le nombre restreint des cas analys s ne justifie certainement pas des conclusions tendues quant au v ritable mode d ac tion de Progestasert Mais les rapports en docrinologiques que nous avons soumis laissent tout au moins entrevoir que notre hypoth se avanc e au d but ne saurait tre maintenue La comparaison ne nos r sultats aux exp riences de Dallenbach et Sievers 1 laissent appara tre certaines divergences de vue Les auteurs cit s ont pu d mon trer que l action du Progestasert se limite la transformation en caduque des cou ches cellulaires sup rieures de l endo metre tout en laissant inchang es les cel lules et formations glandulaires des cou ches inf rieures C est ce que Dallenbach et Sievers nomment s cr tion rigide p ri 220 Cas Ill Progestasert 2 LH PEAK jour o nmol l Progest rone nmol l Testost rone Prolactine E2 FSH ng m ng ml 365 605 75 074 85 1 12 34 46 9 0 081 91 1 04 3 24 08 6 5 1 55 6 6 1 14 2 465 3 2
28. 8 Fig 1 Moyennes des glyc mies ascendantes et descendantes calcul es 7 glyc mie maximum abstraction faite du temps de celle ci de 9 sujets souffrant de dia chimique avec hypoglyc mie r actionnelle 196 180 chemical diabetes mg loo mi MAMA A esse BLOOD GLUCOSE LE Va lt _ controls NRW P one Se fe fe ME SPORE RSS iv er TA d eb f LL a 28 SN 80 ne 100 AU ml lt E chemical diabetes 50 INSULIN je wa ge tga en Beer ats oe MM ns ss oe 5 Te H K ch Z ss 4 H 7 D D r D a 8 P e N lee zw e wi s 44 550 te Te Re theese e v oe zs 2 0 99 ro a s soma ta tasan e N lt chemicol TIME L 1 1 1 1 hours o 1 2 3 4 5 6 Fig 2 Enregistrement en continu apr s HGPO glyc mie moyenne S E M et insuli n mie p riph rique moyenne chez 9 diab tiques avec hypoglyc mie r actionnelle valeurs 157 de l hormone de croissance chez les 9 diab tiques avec hypoglyc mie r action nelle G H ng ml 197 60 L o 2 SS 2 o o LS 8 c 2 ui o ge Or lt vi a N N o Or v vi 0 o go o Woo
29. Hemo 5 globin Au and Diabetes Mellitus Br J Hae met 38 1 1978 Bunn H F Haney D N Kamin S Gabbay K H Gallop P M The Biosynthesis of Human Homoglobin Aw J Clin Invest 57 1652 1659 1978 Svendsen P A Christiansen J S Welinder B Nerup J Fast Glycosylation of Haemoglobin Lancet 1 603 1979 Kynoch P A M Lehmann H Rapid Estimation 21 2 hours of Glycosylated Haemoglobin for Routine Purposes Lancet 2 16 1977 242 Glycosylated Haemoglobin in Chronic Renal Failure Lancet 1 774 1979 Koenig R J Peterson C M donos R L Sauder C Lehmann M Cerami A Correlation of Glu coso Regulation and Hemoglobin Ax in Diabe tes Mellitus N Engl J Med 295 417 1976 Gonen B Rochman H Rubenstein A H Me tabolic Control in Diabetic Patients Assess ment by Hemoglobin Values Metabolism 28 no 4 Supp 1 April 1979 p 448 Stevens V J Rouzer C A Monnier V M Ce rami A Diabetic cataract formation Potential role of glycosylation of lens crystallin Proc Natl Acad Sci USA 75 2918 1978 nsuffisance c r brale OXYGERON INTENSIFICATEUR DES FONCTIONS CEREBRALES ACTIONS ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES L action s lective de l Oxygeron sur les fonctions mentales am liore ou restaure les capacit s d association de concentration et de m morisation entra nant ainsi une meilleure adaptation l environnement principalement par une acti
30. Z A MSS A 15 ann es 30 ann es f Fumeurs Anciens Non fumeurs 16 20 ann es 21 30 ann es 2 Age de d but du tabagisme Autour de 16 de l ensemble des fumeurs Tableau ont commenc fumer tr s t t jusqu l ge de 21 30 ann es tandis que 4 27 go tent pour la premi re fais la cigarette au del de 30 ann es La pr cocit du tabagisme pr domine chez les sujets masculins Fig 2 Tableau Il L ge de d but du tabagisme Nombre des SEXE Age de d but sujets soumis I Signification m ci a l enqu te Masculin Feminin des differences N Hin N 0 0 N 070 2 u a 15 44 15 66 20 14 08 24 17 27 X2 15 0026 16 20 106 3772 69 4859 37 2662 BOUT 3 degr s de 21 30 119 42 35 49 34 51 70 50 36 Au del de 30 12 4 27 4 2 82 8 5 75 TOTAL 281 142 139 207 5 Degr du tabagisme Pr s de deux tiers des fumeurs Tableau 11 fument jusqu 10 cigarettes par jour un tiers de 11 20 cigarettes et 6 05 sont de gros fumeurs car ils consomment plus d un paquet par jour Tableau 11 Nombre de cigarettes fum es par jour emgeet Nombre des cigarettes 5 Total ge de fumeurs fumeurs Sexe lt 10 11 20 Plus de 20 N N 0 0 N 0 0 N 0 0 6 00041 20 0 1 12 8 o000 Moins de 30 M 26 13 50 0 13 50 0 F 48 40 83 33 6 12 50 2 4 17 Total 74 53 71 63a 19 25 678 2 2 708 31 40 M 63 2A 46 03
31. and Attitude to the Problems Connected Doctors Med J Aust 1975 2 822 824 With Smoking Elucidated by a Random Sample Survey Comprising 1207 Teachers in 11 Les effets du tabac sur la sant Rapport Denmark Il The Smoking Pattern of the Da nish Primary School Teachers Folkeskolen 1973 90 854 875 d un Comit d experts de l O M S S rie de rapp techn 568 Organisation Mondiale de la Sant Gen ve 1975 BEFACT FORTE 10 mg 250 mg 20 mcg Flacons de 25 et 100 drag es Indications Polyn vrites d origine toxique en particulier alcoolique ou cons cutive un traitement l Isoniazide N vrites algies zona syndrome neuroleptique etc Asthenies myopathies crampes musculaires etc Carence d origine alimentaire ou m dicamenteuse antibiotiques Posologie 1 4 drag es par jour au moment des repas St Anonyme LABORATOIRES S M B rue de la Pastorale 26 28 1080 BRUXELLES 215 oe Mannheim Euglucon 5 5 weniger ist menr Antidiabetikum HB 419 mit nur 5 mg Wirkstoff Ze 0 227 72 tt 2 SC zur oralen Behandlung des Diabetes mellitus weniger mehr Geringere Dosierung Noch mehr SE _ da st rker wirksam als die bisher als bisher 5 oralen Antidiabetika optimal einstellbar 5 N 4 2 15 Chlor 2 methoxybenzamido athyl phenyl sulfonyl N cyclohexyl harsioll OP mit 28 Tabl DM 17 80 m U AP mit 112
32. ches ni suintantes ni ique t therapeu humides ou Suintantes succes 2 o t o gt 0 2 Q o 2 Dans le traitement de la plupart des dermatoses inflammatoires qui m ne par et allergiques rencontr es en pratique courante secs de lo peau requi rent un excipient oyant une teneur quilibr e en l ments gras et eneou Destroisformesth ropeutiques c estlopomma de Nerisona qui a le domaine d application le plus tendu Nerisona Pommade grasse Les l sions tr s s ches et les stodes chroniques re qui rent un excipient gros anhydre Pansement occlusif Dans les cos particuli rement r sistants un pansement occluuf peut tre indiqu Apr s application de lo forme th rapeutique prescrite lor gionatraiter est recouverte dune feuille tanche fix e troitement sur lo peou soine l aide desporodrap Pourlesmoins onpeututiliser des gontsen moti re plastique Le pansement ne doit g n ralement pos rester appliqu pen dont ge de 24 heures En cas de traitement prolong il estrecommand de renouveler le pansement toutes les 12 heures En cos d infections sous le pansement le tro tement doit tre orr t Effets secondaires De m me qu ovec doutres corticost roides une opplication tendue environ 10 de lo surfoce ducorpset dovonloge ouprolong e ou dela Nerisona Cr me de 4 semaines de Neri ono en particulier lorsque l on a recours la pommode gross
33. drag es tres bien tol r e par l estomac Chimioth rapie a large spectre pour le traitement des infections urinaires aigu s et chroniques CONDITIONNEMENTS 50 et 100 drag es BYK BELGA SA Byk 1030 BRUXELLES TEL 02 15 48 75 Codidoxal antibiotisch und antitussiv ie konsequente Therapie bei Husten mit Fieber A antibiotisch uber e Tag und Nacht antitussiv Uber Nacht 1 Kapsel f r 24 Stunden abends einnehmen am 1 Tag 1 Kapsel morgens 1 Kapsel abends Zusammensetzung 1 Kapsel enth lt 120 mg Doxyeycl n hydrochlorid hemiaethanolat hemihydrat entsprechend 100 mg 30 mg Codein wasserfrei Polystyrol divinyibenzol sulfonsaure 120 150 mg Anwendungsgebiete Durch Doxyeyclin emplindliche Erreger verursachte Lungenentzundung Lobar und Bronc RW gr akute und chronische Bronchitis Dosierung Erwachsene und Jugendliche uber 50 kg Korpergewicht am ersten Tag morgens und abends 1 Kapsel bzw wahren d da mi 24 Stunden je 1 Kapsel n 12stundigem Abstand An den folgenden Tagen je 1 Kapsel abends Gegenanzeigen Uberemphndlichkeil gegen Tetracycline zustan d einer Funktionsstorung des Atemzentrums einhergehen Langzeitverabreichung ber chronischer Obstipation Anwendung in der Schwangerschaft nur bet vitaler 0 Nebenwirkungen Gastrointestinale Beschwerden und allergische Reaktionen sind selten Erhohte Lichtempfindlichkeit Zahnverfarbungen wahrend der Zahnen
34. es les divergences naissant de la m thode elle m me En effet selon le collectif choi si il est possible d laborer des rapports contradictoires C est ainsi que les singes ayant servi aux exp riences de Spellacy 3 n ont montr sous l influence du Pro gestasert aucune particularit des taux de LH FSH de l oestradiol de la progest ro ne et de la testost rone Ceci est d autant plus tonnant que le dosage par kilo gramme du poids du corps tait pour les singes triple compar au corps humain D autant plus le m tabolisme des 65 ug de progest rone lib r s est tr s rapide tout comme la p n tration vers les cou ches inf rieures de l endom tre est insuf fisante pour tre discut e pour la th rapie d une hyperplasie ad nomateuse par exem ple II va de soi que sous les aspects sus cit s la question de la valabilit du Pro gestasert pour la th rapie des processus canc reux de l ut rus devient superflue Non seulement la production limit e de progest rone s oppose t elle au mode d action suppos syst matique mais les baisses partielles des pointes de LH et FSH que nous avons constat es y jouent un r le du moins aussi important En effet ces abaissements sont insuffisants pour fournir rien que du point de vue math matique la preuve dun m canisme anti gonadotrophique du Progestasert Le fait que nous n avons not comme Spellacy l a dailleurs constat aussi lors de ses exp riences ave
35. et pisodiques Le 19 mai 1978 il s croule atteint de violentes dou leurs puis de paralysie brutale des deux membres in f rieurs Il fut admis dans le service de Neuro chirurgie six heures plus tard avec un tableau de parapl gie flasque et anesth sie remontant jusqu au 2e espace intercostal II pr sentait une d tresse respiratoire avec cyanose tachycardie et hypotension sans autre pathologie asso ci e Tous les param tres biologiques en particulier la crase Sanguine taient normaux l exception des sig nes d hypoxie Une my lographie l Amipaque fut imm diatement r alis e arr t complet du produit de contraste en bec Centre Hospitalier de Luxembourg de fl te post rieur au niveau de la 3e vert bre dorsale Service de Neuro Ru dini de servic Docteur A ROILGEN Da 235 Bull Soc Sc Med 2 235 1979 Bulletin d la Societe des Sciences Medicales du Grand Duche de Luxembourg La laminectomie est entam e en Ds 4 et tendue jusqu la 7e vert bre cervicale correspondant aux limites extr mes d un HESS post rieur fait de caillots adhe rents dont l epaisseur maximum de 1 5 cm se situe en D2 et qui s amincit vers le haut Deux calcosph rites sont retrouv s en Ds mais aucune l sion vasculaire ni tumorale macroscopique D s le retour de la salle d op ration le patient pr senta un hyperthermie atteignant 40 sans signe bact riologique ni maladie syst matique Le tran
36. faibles pour LH et FSH s levant 6 3 et 4 5 ng ml de s rum Quatre jours plus tard cependant LH et FSH atteignent des limites typiquement ovulatoires en montant plus de 20 et 9 0 ng ml Par la suite il se d veloppe un plateau pro nonc des oestradiol et progest rone plu Sieurs jours la suite ce qui fournit la preuve d une phase de s cr tion Cas Ill mi cycle appara t un peak LH de 10 6 ng ml de s rum trop faible en tant qu in dice d ovulation La pointe correspondan te de FSH fait d faut Vers la fin du cycle c d 9 et 14 jours plus tard LH pr sente des maxima de 13 et de plus de 20 ng ml 218 de s rum Le diagramme ne fournissant au cun indice s r la question de la lut inisa tion reste en suspens En ce qui concerne le cas Ill nous avions la possibilit d analyser trois mois apr s l insertion du Progestasert le profil endocrinologique d un nouveau cycle menstruel qui cette fois pr sente l aspect d un cycle menstruel normal Afin de compl ter nos recherches nous avons contr l les taux de la prolactine et de la testost rone chez chacune des trois femmes ayant particip nos exp riences Conform ment aux attentes les r sultats ne montrent quant la testost rone aucune particularit Les taux de la prolactine cependant sont l g rement lev s dans deux des trois cas analys s Tenant compte de ces faits nous som mes amen s conclure qu il s agit
37. la somathormone Nouv Presse m d 3 2735 2726 1974 Collard F Orsetti A Mirouze J Explora tion en continu de param tres fluctuations rapides dans l tude d la glucor gulation Pathol Biol 1975 Kryston L J Shaw R A Reactive hypoglyce mia and dysinsulinism in early and predia betes mellitus Excerpta Medica 280 VIII Congr s de la F d ration Internationale du Diab te Bruxelles 1973 Seltzer H S Allen E W Herron A L amp Bren nan M T Insulin secretion in response to gly cemic stimulus relation of delayed release to carbohydrate intolerance in mild diabetes mellitus J Clin Invest 46 323 1967 Karam J H Grodsky G M 8 Forsham P H Insulin secretion in obesity pseudodiabetes Am J Clin Nutr 21 1445 1968 Hofeldt F D Dippe S T amp Forsham P H Diagnosis and classification of reactive hypo glycemia based on hormonal changes in res ponse to oral and intravenous glucose admi nistration Amer J Clin Nutr 25 1193 1972 Hoffman W C A rapid photoelectric method for the determination of glucose in blood and urine J Biol Chem 120 51 56 1937 Hales C N Randle P F Immunoassey of in sulin with insulin antibody precipitates Bio chem J 88 137 146 1963 Cerasi E Della Casa L Luft R amp Roovete A Determination of human Growth Hormone HGH in plasma by a double antibody radio immunoassay Acta endocrinol 53 1 101
38. mit SE j F r REA PES ts e PONEY OCHO oder ein anlphl gistisch w rkendes Pr parat gegeben wercen F r eine austeichende Owrese und fur eine Alkal s ng des Harns isi zu en dies ist be Patiente n mit Nerenst e sonders rhin f ror x er x d 1 Si Le 16 wit gt Dre tag he Tanker je destens 15 at betragen Hierzu empfiehlt sich HEUMANN u a em urologischer Tee wie SOLUBITRAT Genee ans MB Stand Januar 1979 LUDWIG HEUMANNSCO GMBH NURNBERG Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Enqu te sur le tabagisme chez les enseignants Prof V GOLLI Service de pneumo pnhtisiologie de l H pital Dr V Babes Calea Bucu resti 126 1100 Craiova Roumanie Bull Soc Sc M d 2 205 1979 La position particuli re des enseignants dans Fen semble de l ducation des enfants nous incit de mener une enqu te sur l habitude de fumer des pro fesseurs afin d valuer les possibilit s dont ils dispo sent d agir pour dissuader les jeunes gens de com mencer fumer Ce travail se propose de pr senter les r sultats d une enqu te r alis e dans le printemps de 1978 dans les coles g n rales et les lyc es de Craiova MATERIEL ET METHODE Un formulaire d taill sur le tabagisme sa motiva tion et des questions concernant les relations du tabac avec la sant a t mis la disposition des professeurs des coles g n rales et lyc ales qui ense
39. proba blement ici d une certaine dissociation dans les relations entre les diff rentes go nadotrophines III TABLEAUX ET DIAGRAMMES Cas CU T LH Peak jour o o o B 5 5 2 O Oe ELESE 6 69 Ss J 8 we de Fe 24 22 15 09 156 0 73 27 28 20 1 37 1 04 15 17 40 1 41 1 07 24 15 40 1 22 0 62 2 21 13 45 1 11 0 57 38 16 45 207 148 0 83 0 182 53 50 126 157 1 18 1 43 26 45 155 188 0 92 15 4 0 64 1 15 190 0 69 0 89 20 0 0 49 0 81 15 7 0 38 0 81 13 4 0 42 1 8 1 8 2 0 92 16 4 0 49 N o N D W A u Sall co mx wh sch Son wh b w gt o nd Cas 1 Progestasert LH Peak jour o D o S E 2 D 8 x BS BS ZE e gege 2 RES ES we ce e 9 24 23 2 5 0 81 0 52 7 28 24 30 0 67 5 7 0 54 20 25 25 0 81 13 8 0 52 4 21 18 6 0 1 11 9 8 0 59 3 23 14 6 5 1 18 14 3 0 42 2 19 22 50 0 89 11 5 0 66 1 63 29 975 1 48 0 54 0 95 36 60 0 96 11 5 0 85 1 33 22 60 1 26 17 7 0 45 2 37 19 25 1 48 12 4 0 49 5 27 16 40 0 92 190 0 75 7 31 13 30 1 04 19 0 0 73 9 17 1 1 60 122 143 0 75 12 16 13 2 5 1 92 10 0 0 68 Cas CU T LH Peak jour o 5 32 29 100 1 04 5 3 0 94 3 35 20 65 155 1 23 42 21 155 1 41 32 1 23 1 133 40 13 0 129 45 1 06 0 191 81 135 089 92 1 16 1 7 0 31 13 0 081 126 09 2 47 18 90 1 44 109 1 46 3 33 22 105 100 167 1 49 4 33 1
40. rologiques de LH FSH de la prolactine de l oestradiol de la progesterone et de la testost rone Les analyses s rologiques ont t realisees avec les RIA Kits de IDW Sprendlingen RIA Radio Immun Assay 217 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg II RESULTATS Les trois cycles contr le c d avec Cu T font preuve d un d veloppement ovulatoire normal En mi cycle LH atteint les maxima de respectivement 18 2 19 1 et plus de 20 ng ml de s rum Ces valeurs sont tr s proches des taux que montrent des cycles ovulatoires normaux sans m dication aucune Chaque cycle contr le est pourvu du sommet pr ovulatoire de oestradiol La progest rone subit une hausse tr s prononc e durant la seconde partie du cycle Apr s l introduction d un Progestasert les diagrammes tablis pour chacun des trois cas se pr sentent comme suit Cas Dans la moiti du cycle on trouve un maximum pour LH et FSH mais les va leurs not es sont nettement trop minimes pour appartenir un cycle menstruel ovu latoire Elles ne s l vent qu 9 5 et 3 6 ng ml N anmoins les taux de la pro gest rone t moignent d une lut inisation D autant plus on trouve un sommet remar quable de l oestradiol un jour avant le peak des gonadotrophines Cas Le cycle avec Progestasert est prolong Au d lai de la hausse attendue des gona dostrophines on ne note que deux peaks tr s
41. sont significa tives tabl 1 figure 1 Dans le diab te chimique les valeurs insulin miques moy ennes la p riph rie sont tout moment sup rieures avant aussi bien qu apr s la charge orale en glucose L insulin mie est significativement plus lev e vers la pre mi re heure et reste tr s importante jus qu la 150 minute Ces constatations sont confirm es par l tude de A insulin mie fig 4 Ce param tre traduit mieux l aspect dynamique de l insulin mie la p riph rie II n y a pas de d ficit insulini que au d but ou tout de suite apr s la charge en glucose A partir de la troisi me heure insulin mie p riph rique se n gative par rapport aux t moins L hypogly cemie s installe en moyenne vers la 4e heure un moment o n existe pas de pic insulin mique Le rapport I G fig 5 est sup rieur dans le diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle par rapport aux t moins ce qui semblerait prouver l existance d une certaine insulinor sistance en pr sence de diab te chimique La r ponse moyenne de l hormone de croissance fig 2 la charge glucos dans le diab te chimique est normale on noto un freinage suivi d une augmentation lors de la cataglyc mie DISCUSSION Nos r sultats ont permis de diff rencier les deux groupes de sujets d un c t un groupe de diab te chimique avec hy pogiyc amp mie r actionnelle correspondant la late reactive hypoglycem
42. sorption acc l r e du glucose soit un d ficit insulino s cr teur du pancr as ou une ineffica cit de l insuline soit un d faut des glu co et insulinopexies h patiques La premi re hypoth se est infirm e dans notre tude par le fait que le moment de la glyc mie maximum est le m me dans les deux groupes Un d ficit de Pinsulino s cr tion n est pas compatible avec les valeurs de l insulin mie p riph rique qui sont tout moment avant et apr s la charge glucos e sup rieures dans le diab te chimique Contrairement certains auteurs 3 4 5 6 nous n avons pas mis en vidence un retard de l insulinos cr tion Le para metre A insulin mie d montre parfaite ment qu un tel retard n a pas lieu Au con traire d s la charge glucos e l augmen tation de l insulin mie p riph rique est au moins aussi nette que dans le groupe des t moins Ce param tre prouve d autre part que l hypoglyc mie est due un ex ces d insuline en p riph rie qui se mani feste d s la charge et dure environ 150 minutes II n y a donc pas de pic insulin mique tardif au moment de l hypoglyc mie comme le pr tendent Kryston et coll 4 194 Au del de la 150e minute A insulin mie se negative Le fait de constater une insulin mie p riph rique lev e n est pas notre sens une preuve d un exc s de insulinosecre tion comme certains voudraient le faire croire 5 6 7 Enfin
43. t nettement inf rieur et cela est du selon toute probabilit la longueur du questionnaire qui ce mo ment l se limitait l ann e de naissance du destinataire et au nombre de p riodiques abonn s Toutefois le chiffre moyen d abonnements est sensiblement le m me 2 65 par personne en 1970 par rapport 2 72 actuellement Les probl mes de langue qui ont t retrouv s dans des tudes ant rieures en France 1 sont moins importants au Luxembourg le tableau No IV est en faveur des journaux multilingues REFERENCES 1 Orehek J Arnaud A Vervloet D Charpin J 2 Schaus R Michels A La circulation des p Que lisent les pneumologues fran ais Essai riodiques m dicaux trangers au Grand Duch d valuation par une enqu te nationale de Luxembourg Bull Soc Sci m d Luxbg in print Bull Soc Sci m d Luxbg 108 1971 229 EPIPROPANE th rapeutique de base anti pileptique FORMULE Magnes phenobarbital 100 mg Amphetam n sulf 2 5 mg Magnes hydr Am Kaolin Calc phosphoric tribasic Magnes stearas q s pro tablet compressa INDICATIONS Epilepsie grand mal et formes mixtes POSOLOGIE Il faudra toujours tenir compte de la sensibilit individuelle du malade A titre indicatif formes b nignes 1 compr par 24 heures formes moyennes 1 2 compr par 24 heures formes graves 4 6 compr par 24 heures PRESENTATIONS Flacon de 20 et 100 comprim s s ca
44. un S ure schmerzen spontan un anhaltend HEUMANN Arznewmittel Das erste Antacidum Spasmolyticum Gel Zusammensetzung 1 Beutel Gel Alummmumhydrosid 10 ag berechnet auf ALOA 4 350 q Calc umcarbonat 0 600 q Butinohnphosphat 0 002 g Exciprentes ad 10 000 g Indikationen Krampt und Saureschmerzen be Gas r t ts Gastro duudenitis Ulcus vontricuk et duodeni Hyperazid tat Vollegetuhl Sodbrennen und Magenunvertragichkeiten durch Dat tenler Kontraindikationen Glaukom Prostatuhypertronhie Neigung zu Restharnb ldung Stenosen im Bereich des Magen Darm Kanals Tuchycard r Handelsformen 20 Beutel 50 Beute Anstaltsp ckungen Hinweise Ber gluschzeitiyor or uler Verabtotgung von Broitbundant b otika insbesondere Tetracychn sollte be tucksicntigt werden da die Resorption nlo ge der adsorptiven Wirkung von reduziert sein kann In seltenen Fallen kann die Verkehtstuchtigkent beemtrachtiqt werden Stand Mai 1978 Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg Harnvveginfekte kompromisslos x und Spezifisch behandeln Urospasmon Hohe Erregerempfindlichkeit bei geringem Risiko daher auch bei Banalinfekten einsetzbar Urospasmon Urospasmon sine besonders geeignet zur besonders angezeigt beim Behandlung des schmerz chronischen Infekt und haften Infekts zur Langzeittherapie Indikationen Akute und chronische Harnwegintektionen Pyelonephritis zu
45. un service ca pable d apporter imm diatement une sanc tion chirurgicale est absolument indispen sable mais la r cup ration reste malgr tout al atoire En dehors du traumatisme les causes locales ou g n rales doivent tre soigneu sement recherch es mais dans un nombre non n gligeable de cas aucune cause n est retrouv e et l tio pathog nie reste encore discutable RESUME Au d part d une observation clinique l auteur tente de d gager le tableau cli nique de I h matome extra dural spinal spontane le plus souvent caracterise par une paraplegie flasque d installation bru tale et accompagnee de douleur localisee ou radiculaire signant le niveau anatomi que de la l sion La nature spontan e du phenomene ne peut tre retenue qu en dehors de tout traumatisme de toute cau se locale ou generale Le pronostic de cette affection reste al atoire malgr une laminectomie qui doit imp rativement tre rapidement r alis e au terme d une brev mise au point dont la cl de voute repose sur la my logra phie TABLEAU DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL DES HEMATORACHIS Traumatisme Cause vasculaire Ramollissement ou h morragie m dullaire Ath rome aortique Angiome Accident aortographique ou chirurgi caux Embolie gazeuse Compression extra m dullaire Mal de POTT Spondylite bacterienne Echinoccose Cancers et h mopathies vertebrales Surtout secondair
46. und 500 Tobi Prophac Luxembourg Case postale 2063 Tel 482482 Profil du cycle menstruel ovulatoire sous l influence de Progestasert et de Cu T Etudes analytiques comparatives par J Hary et W Rindt Bull Soc Sc Med 2 217 1979 Le pessaire intraut rin Progestasert lib re 65 ug de progesterone par jour Vu que ce dosage est loin d ap procher la production physiologique de progest rone par jour et tenant compte de la p riode biologique de demi valeur minimale de la progesterone une in fluence directe de Progestasert sur la r gulation en docrinologique du cycle menstruel ovulatoire est peu probable Les rapports histologiques soumis par Dal lenbach et Sievers 1 d montrant que l effet de la pro gesterone mise par le Progestasert est limit aux cou ches cellulaires sup rieures de l endom tre semblent confirmer notre th se Pour nos recherches endocrinologiques nous posons l hypoth se suivante Apr s l introduction d un Progestasert les cycles menstruels ne sont chang s d aucune fa on condi tion que les cycles pr c dant l insertion aient t ovu latoires d une mani re constante METHODE Afin de soutenir notre th se nous avons compar chez trois jeunes femmes les cycles menstruels avec Progestasert des cycles contr le durant lesquels les femmes taient portatrices d un pessaire intrauterin Cu T Pour caract riser les cycles nous avons choisi comme param tres les taux s
47. wicklung und Uberwucherung resistenter Keime Magen Darm Trakt konnen auftreten Hinweis Codidoxal kann auch bei bestimmungsgema em Gebrauch das Reakt onsvermogen soweit verandern da die Fahigkeit zur aktven Teilnahme am Stra enverkehr oder zum Bedienen von Maschinen beeintrachtigt w rd we gilt in verstarktem Ma e im Zusammenwirken Alkohol Wechselwirkungen Die gleichzeitige Einnahme von Praparaten die Eisen Magnesium uminum Kalz um und Colestyramin enthalten ist zu vermeiden Die Wirkung gleichzeitig verabreichter Cumar n Derivate und Sulfonylharnstolfe kann ver Starkt werden Methoxyfluran darf nicht gleichzeitig angewendet werden Darreichungsform und Packungsgr en OP mit 8 Kapseln OP mit 16 Kapseln 1978 HEINRICH MACK NACHF 7918 Jilertissen Bayern Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg MISE AU POINT Hemoglobine A et contr le de la glyc mie Dr M DICATO Le globule rouge normal contient part l h moglo bine Hb majeure Ao encore en moindre quantit les h moglobines HbA2 HbF HbA z et HbA Ces trois derni res migrent rapidement travers une r sine changeur de cation et sont de ce fait appel es enco re fast h moglobins Les h moglobines HbAi b lt dont l h moglobine HbA est la plus importante ont t trouv es lev es dans le diab te sucr quelqu en soit le type juv nile adulte m dicamenteux 1 L
48. 120 1966 11 12 13 14 15 16 17 18 Bock C Etude analytique des anomalies mi neures de l preuve d hyperglyc mie orale en enregistrement continu Th se de Doctorat Facult de M decine Montpellier 1973 Mirouze J Collard F Bock C Etude de la pente descendante des courbes glyc miques continues des hyperglyc mies provoqu es orales pr sence ou absence de fluctuations glyc miques secondaires PFGS AFGS en publication Collard F Mirouze J Secondary blood glu cose fluctuations SBGF in the declining slo pe of contiduously recorded blood glucose Curves following oral glucose tolerance test OGTT Interest for diagnosis submitted for publication Statement on Hypoglycemia Diabetes 22 137 1973 Dietze G Wickimayer Hepp K D Botiger l Dames J amp Mehnert H Hepatic glucose production and estimation of glycogenolysis and gluconeogenesis in normal and diabetic man Excerpta Medica 280 VIII Congr s de la F d ration Internationale du Diab te Bru xelles 1973 Lecomte M J LUyckx A S amp Lefebvre P J Plasma glucagon in reactive hypoglycemia Excerpta Medica 280 VIII Congr s de la F d ration Internationale du Diab te Bruxelles 1973 Schnelder V S Gerich J E Langlois M Noacco C Gustafson G Forsham P H Glucagon response in reactive hypoglycemia Excerpta Medica 280 VIII Congr s de la F d ration Internationale du Diab te Bruxe
49. 27 42 86 7 11 11 F 50 39 780 11 22 0 Total 113 68 60 18a 38 33 63a 7 6 198 Au del de 40 M 53 17 32 07 29 54 72 7 13 21 F 41 35 85 36 5 12 20 1 2 44 Total 94 52 55 32a 34 36 178 8 8 51a TOTAL Masc 142 59 41 55b 69 48 59b 14 9 86b Fem 139 114 82 01b 22 15 83b 3 2 46b TOTAL 281 173 61 57 91 32 38 17 6 05 E D s a rr aaaaarr 3 8407 pour 2 degr s de d viation N S 38 4182 pour 2 degr s de d viation P lt 0 001 ee Diff rences a X b X Les enseignantes fument trois fois moins de cigarettes que les sujets masculins P lt 0 001 tandis qu on ne constate pas de diff rences significatives en ce qui concerne la quantit de cigarettes consomm es d apr s l ge des fumeurs 4 Inhalation de la fum e Un tiers des fumeurs aspirent profond ment la fum e et un autre tiers superficiellement Tableau IV mais l inhalation profonde reste une caract ristique masculine pr dominente P lt 0 001 Fig 3 208 Tableau IV L inhalation de la fum e SEXE Total EN Aspiration fumeurs Signification de la fumee Masculin Feminin des diff rences N Hin N 0 0 N 0 0 Profonde 96 34 16 65 45 78 31 22 30 X 22 3078 sviati Superficielle 97 34 52 48 33 80 49 35 25 ape 2 7 ion Non 88 31 32 29 20 42 59 42 45 TOTAL 281 142 139 Fig 3 Proportion des fumeurs qui aspirent la fum e Aspiration
50. 74 16 37 73 72 22 06 32 9 25 7 6 41 8 10 32 8 3 20 5 11 03 10 142 Fig 4 Motivation initiale de l habitude de fumer MA 5 SANS REPONSE Deception 0 0 49 29 12 68 1 41 13 38 2 11 9 86 11 27 50 71 22 54 4 93 5 63 5 63 3 52 7 04 F minin Die 46 04 16 55 7 91 1 44 15 83 12 23 24 46 21 58 13 67 7 19 15 11 2 88 15 11 Signification des diff rences PP X 7 014 pour 6 degr s de libert N S X 28 8514 pour 6 degr s de libert P lt 0 001 Fig 5 Motivation actuelle de l habitude de fumer Z Z 7 7 2 Accoutumance Plaisir Phantaisie N cessit SANS REPONSE Effet Ennui 6 Les dangers du tabagisme Le tableau VI synth tise les r ponses des enseignants sur les relations du tabac avec la sant Bien que la grande majorit des enseignants autant fumeurs que non fumeurs con naissent dans l ensemble la nocivit des cigarettes sur la sant on remarque n anmoins que les anciens fumeurs soient significativement plus inform s sur les dangers du tabac En ce qui concerne le r le favorisant des cigarettes dans l apparition de quelques mala dies respiratoires ou cardio vasculaires Tableau VII ce sont encore une fois les anciens fumeurs qui accusent significativement plus souvent le tabac tandis que les fumeurs sem blent sinon ignorants moins convaincus en tout cas Le risque de l apparition du cancer b
51. 8 150 166 1 18 5 31 1 7 65 159 190 0 78 6 19 15 155 085 7 17 16 60 1 29 190 1 07 8 31 10 85 1 15 190 0 76 9 25 12 65 1 11 190 0 80 Cas Il Progestasert LH Peak o o e o O D 5 v E LE SE S 03 23 zo o D D aE E o E wel C Qoz DO cC H e A c 11 24 1 1 85 0 85 63 0 69 3 2 1 4 25 085 17 7 0 92 27 37 110 092 136 0 80 29 25 70 0 92 155 0 95 35 33 11 0 0 96 165 0 66 8 7 6 5 4 42 2 8 250 1 33 45 0 78 34 25 105 2 03 64 0 80 32 20 90 152 114 0 200 9 0 200 1 44 5 1 1 30 1 175 62 145 1 48 11 9 0 99 2 3 4 5 6 8 10 13 15 49 18 13 5 059 19 0 0 85 42 19 125 0 81 190 0 71 43 1 6 13 0 1 29 19 0 0 66 29 13 105 1 89 19 0 0 52 2 2 1 1 15 0 0 81 19 0 0 68 20 08 65 1 70 19 0 0 59 28 19 60 1 00 13 6 0 20 Cas 111 CU T LH Peak jour o 11 4 8 54 75 052 124 1 04 9 5 2 59 65 070 9 7 1 39 7 55 55 4 0 0 78 9 9 0 97 5 47 47 50 1 18 105 1 18 4 5 1 42 75 0 81 72 1 04 3 46 29 45 0 78 13 0 0 94 5 5 34 70 104 45 0 62 1 90 38 5 5 096 7 2 1 39 0 200 107 140 1 18 7 2 0 73 1 106 47 65 0 96 121 1 21 2 6 5 26 75 074 81 1 04 4 78 39 130 1 33 15 9 1 53 6 40 19 60 166 72 0 94 8 39 19 65 166 72 41 21 0 3 7 242 130 1 92 19 0 1 18 2 3 7 2 1 8 5 0 96 81 0 97 219 Cas Ill Progestasert LH Peak jour o o o c S E D 0 e E LE SE 93 Ss E EEN EE 11 5 0 5 6 11 0 0 81 2 6 1 66 9 51 44 150 1 52
52. 99 LonNusIgo saidy saoeud ua inol ied 6 p z nq p ne 8210 lOA B 292U9198J91d SINN sanb 0 SBD S 5480 310010SOd 9u p A oe 919 Gu UOIJP9IpUI 81 u09 aunone ino g li9ixol 218491 sed jJueAB U JIJOHLOON SNOIL VOIONI 3HLNOI SaiqiSi9A9111 Sa 21q99199 SUOIS9 18 s niiisuo5 saduagulap ap sed Supp joe sed Sau TIGOHLOON 37 nbipu 31531 Siyep s s p ued no SauIWE IA s p ied anb ssej9 juswajyies esnafew oS j3nouiouo sd uoleyoxe p no anb u wejia SE ua uepuade enbiuoiya anb loopje zau9 abeJAas n ei 1191n09981 Jawad s nol g Juepuad silin JIdOHLOON 91 anb yewnen Isod ouiBl10 p 99U919SU09 EI Spuojoid sajanon sap sewod s p s no p ins ja SUBIUBID S9SIJEWNEJ s p yloalqns gt yp eWO1pUAS uaiugio UN g sjiiino suoS5 saenbiueBio ou24sd s uioipu s sa uns anb ynad El u 01 98 oun p ssod 7140H LOON Naw ne uonejdepe a najl aw aun Jusnbasuoo sed jawiad 2911JoW0ou94Sd 9 IAIJ92 uoljuae aoueliBlaA Salqnol s p lu uls8 Sp UON981109 EI Supp Sn L S jUuIOdde p uones pgw agun piB H I A 292 US JIdOHLOON SNOLLVDIANI IH ISKEDYL 15 06 7611 dans les insuffisances circulatoires c r brales Indications in
53. J Neurosurg 1973 39 761 763 2 Bernell W R Kepes J J Clough C A Subarachnoid hemorrage from malignant schwannoma of cauda equina Texas med 1973 69 161 104 3 Berney J Gauthier G Werner A Com pression my lo radiculaire aigue par h mato me sous arachnoidin spontan Neurochirur gie 1967 13 771 773 4 Chavany J A Taptas J N Pecker J A propos d une vari t exceptionnelle d h ma torachis l h matome pidural spontan Press M d 1949 57 869 238 10 11 12 13 14 15 16 17 18 Devadiga K V Gass H H Chronic lumbar extradural hematoma simulating disc syndro me J Neurol Neuro surg Psych 1973 36 225 259 Gauthier G L h matome extradural richidien sans fracture de la colonne Psychiatr Neu rol Basel 1963 146 149 175 Hehman K Norrell H Massive chronic spi nal epidural hematoma in a child Amer J Dis Child 1968 116 308 310 Jackson R A case of spinal apoplexy Lancet 1869 2 5 6 Jellinger K Traumatic Vascular Diseases in Vinken P J Bruyn G N Vascular Disea ses of the nervous system Part li Handbook of chimical Neurology American Elsevier Published Ca New York 1972 p 556 Kaplan LL Denker P K Acute non trau matic spinal epidural hemorrage Am J Surg 1949 78 356 361 Kohli L M Palmer A M Gray G M Spontaneous intraspinal hemorrage causing paraplegia a
54. JA NeatgeL 212 Stimulans der k rpereigenen Abwehrsysteme Esberitox Steigerung der zellularen und humoralen Abvvehr Indikationen Esberitox dient zur Prophylaxe bzw Therapie akuter und chroni A Virusgrippe Bronchitiden Pneumonien Anginen Laryngitiden Otitiden Adnexitis Parametritis Cystopyelitis Rheumatische Erkrankungen Eingriffe in der Zahnheilkunde Chronische und allergische Dermatosen Akne Verrucae vu j iles inati anderer Therapie wie Chemotherapie Antibiotika Kortikoide Zusammensetzung 20 ml Esberitox liquid enthalten Herb Thujae occid rec 1 ml Perc 1 5 Rad Baptis tinct 2 ml Perc 1 5 Rad Echin ang et purp 1 3 ml Perc 1 10 Apis mellif D 4 2 ml Crotal D 6 3 ml Silic D 4 3 mi Laches D 6 6 ml 1 Tablette entspricht 0 5 ml Liquidum mit einem Vitamin C Gehalt von 0 02 g Tabl 2 ml Ampullenfl ssigkeit entsprechen 1 ml Liquidum 1 Suppositorium entspricht 0 5 ml Liquidum Dosierung Oral 3mal t glich e 20 50 Tropfen unverd nnt perlingual oder 1 3 Tabletten lutschen Kinder und S uglinge je nach Alter Schaper amp Br mmer t glich 0 2 ml simah haha Stelgerang nter Kontrolle der Heaktionsinoe ble zu Eege jeder D 3320 Salzgitter Ringelheim bild geh ren dies tritt vorwiegend bel v Applikation an de na Wirkungs Pharmacie LEGROS Kindern ab 1 Jahr t glich 2 9 Z pfchen einfunran Enr den gem Rektal S uglingen 1 2 Z pfchen formen und Packungsgr
55. NIN 638 139 21 798 26 4 072 473 74 148 TOTAL 961 281 29 24 72 7 50 608 63 26 Diff rences a X 136 8330 pour 2 degr s de d viation P lt 0 001 b X 14 0804 pour 4 degr s de d viation P lt 0 01 c X 5 3338 pour 2 degr s de d viation N S d X 45 1302 pour 2 degr s de d viation P lt 0 001 e X 58 1282 pour 2 degr s de d viation P lt 0 001 Les hommes fument deux fois plus souvent que les femmes P lt 0 001 tandis qu on constate un2 proportion trois fois plus grande chez les sujets masculins ayant renonc aux cigarettes Fig 1 On rencontre le maximum de fumeurs l ge de 31 40 ann es soit 40 Die proportion qui diminue 23 74 9 o au del de la quarantaine P lt 0 01 tandis que le pourcentage des anciens fumeurs augmente Une tr s large proportion de fumeurs 68 68 o d clarent qu ils ont interrompu parfois les cigarettes Pr s d un quart 23 ont renonc une seule fois 22 9 o deux fois et 81 Die plus de deux fois le reste n ayant pas pr cis combien de fois ils avaient renonc au tabac La dur e de l interruption a t variable 26 un seul mois 16 deux trois mois 11 Die six mois 13 une ann e ou plus et 24 sans pr cision de la dur e de l interruption 206 Fig 1 Proportion des fumeurs parmi Fig 2 Age de d but de l habitude de les enseignants fumer di 0 0 40 39 20 10 MAAN AMARA AAAS 2 Z 2
56. ajouter un bref r sum d activit titre personnel Je me suis occup de la r daction du Bulletin de la Soci t des Sciences M di cales de 1959 1971 Pendant cette pe riode 33 num ros ont ainsi t dit s Ces derni res 7 ann es 14 num ros ont t r alis s par d autres r dacteurs en chef sous la responsabilit de notre Conseil d Administration Le regrett Dr Felten ancien pr sident de notre Soci t d c da le 12 septembre 1967 Ju fus d sign comme son succes seur et reconduit dans mes fonctions jus qu au jour d aujourd hui De 1967 1968 notre Soci t organisa ou patronna 189 r unions scientifiques avec 306 conf ren ciers Nous avons cr une petite collec tion de p riodiques m dicaux h berg e par la Biblioth que Nationale Le nombre des cotisations pay es a augment d an n e en ann e Je ne peux citer pour les remercier tous les collaborateurs qui m ont prodigu leur soutien et leur amiti Ils sont parfois venus et partis au gr des Conseils d Ad ministrations successifs au sein desquels la continuit a surtout t assur e par le Di J Neuen notre secr taire general qui lui aussi conserva ses fonctions tout au long de ces ann es Les 11 ann es de pr sidence ont t pour moi riches en satisfaction J ai d ci d de ne plus solliciter vos suffrages dont vous m avez toujours combl Le Dr Neuen vous renseignera sur la si tuation finan
57. ance t on erh SE il est pr f rable de ne pas utiliser l kfarac pendant la grossesse en particulier SS au cours des trois premiers mois En cas d allergie le traitement doit tre interrompu Ne pas administrer le LS produit en cas d insuffisance r nale Eviter l administration du produit aux enfants en dessous de 12 ans Effets secondalres Le produit peut provoquer de la somnolence chez certain sujet Pr cautions Pour les malades sous anticoagulants aucune pr caution particuli re n est prendre au cours de traitements de I courte dur e Lors de traitements prolong s un contr le habituel temps de Quick effectu tous les quinze logie Avaler les comprim s avec un verre d eau Pour jours est suffisant Mode d administration et posologie comp Pou d buter 1 2 comprim s la demande 4 6 comprim s par jour Veillez maintenir une diur se suffisante lors de l administration de 4 6 comprim s jour Pr sentation bo te de 30 comprim s SEI 1505 468 F 3 PORT PAYE PAR LE DESTINATAIRE D envoyez moi une documentation O envoyez moi echantillons d IDARAC houde av Ad Lacombl 59 bte 5 1040 BRUXELLES 6inqui xn1 y5niqu lu Jil ri pu02u07 0U19 SnI N 21 0 Nell SLES PEST ets S n SOA za ayay Echinacin steigert die k rpe
58. ant l intervention chirurgicale ini de 0 2 ml de Calparine s c 12 h apr s l intervention chirurgicale inj de 0 2 ml de Calparine s c ult rieurement cette m me dose continuera tre administr e de douze heures en douze heures pendant dix jours au moins 3 Haut risque thrombo embolique 3 inj de 0 2 ml par jour La neutralisation de l h parin mie est obtenue imm diatement par injection intraveineu se de 3 ml de Sulfate de Protamine Cette dose peut tre renouvel e trois heures plus tard eil el 2777 ans le tissu cellulaire sous cutan de la ceinture abdominal x 75 75 la alon 7755 a distance d une aveniuelis a seringue st rile sp ciale pour h parinoth rapie sous cutan e unie d igui Celle ci doit tre introduite parpendiculairement et non tangentiellement dans les wala MEN Le respect de cette technique vite le risque de petites suffusions sanguines au point d injection CONTRE INDICATIONS deier e h morragiques sauf dans la phase initiale des coagulopathies de consom p riode d activit th rapeutique des antivitamines K 5 les personnes gees et les femmes enceintes une surveillance particuli re Ets A de BOURNONVILLE amp FILS S A rue aux Fleurs 30 38 1000 BRUXELLES rifampicine IFADINE antituberculeux majeur zz aucune r sistance crois e avec les autres antituberculeux concentrations d antibiotique dans le tissu pulmonaire so
59. atenteg Erythrosine q s pro gelula una Wil Pharma BENELUX Assembl e g n rale ordinaire de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg 6 d cembre 1978 EXPOSE DU PRESIDENT A l issue de l exercice 1977 78 je d clare ouverte l assembl e g n rale statutaire et vous expose bri ve ment l essentiel de nos activit s Les r unions scientifiques suivantes ont eu lieu 1 le 16 d cembre 1977 Traitement de l insuffisance r nale chronique par Vh modialyse Dr F Smeets Sainte Ode Dr H Otte Bastogne Dr G Loute Sainte Ode le 8 janvier 1978 Etiologie et traitement de la leu c mie aigu progr s r cents Professeur Jean Bernard Paris En collaboration avec l Ambassade de France et le Centre Culturel Fran ais le 18 janvier 1978 Qualitative und quantitative As pekte der parenteralen Ern hrung unter besonderer Ber cksichtigung der Kohlenhydrate und Amino S uren Dr Semler Berlin Die Anwendung von ballastfreier und ballastarmer Di t Elementar und Formula Di t in der Inneren Medizin Dr Rabast W rzburg le 25 janvier 1978 Mycologie Le m canisme d ac tion du miconazole Dr Sc Sonja de Nollin Beer se Les mycoses applications th rapeutiques du miconazole un antifongique amp large spectre Dr M J Van Cutsem Beerse 243 co 1C 11 12 13 14 244 le 1er f vrier 1978 D marches et th rap
60. bles Conditionnement clinique de 500 comprim s AVERTISSEMENT Un r sultat ne doit tre escompte que si la medicat on est respect e chaque jour sans omettre une seule prise L arr t brusque du traitement peut tre extr mement dangereux en faisant apparaitre des crises graves parfois difficile juguler PRECAUTIONS ANTIDOTE TOLERANCE est recommand d viter les boissons alcooliques et les antihistaminiques afin de pr venir une potentialisation des effets La prudence s impose en cas d hypersensibilit aux barbituriques ou d insuffisance h patique ou r nale grave Il est conseill de surveiller la tension du patient En cas d absorption accidentelle massive il y a lieu d utiliser les moyens d vacuation classiques sous contr le m dical L Epipropane r duit au minimum les contre indications de la m dication barbiturique ne provoque pas de somnolence vite les pertes de m moire permet fe travail intellectuel En cours de traitement par Epipropane n y a pas lieu d augmenter la dose prescrite ni de craindre une accoutumance CONSERVATION Dans un endroit sec laboratoires therapeutica 912 rue de gen ve 1030 bruxelles L insuffisance c r brale Elle n est pas forc ment une insuffisance circulatoire Aujourd hui on peut consid rer comme un fait tabli qu il n existe pas de relation de cause effet entre une art rio scl rose des vaisseaux c r braux et l affection s nile quali fi e d insuff
61. c des singes nul change ment d importance analytique des taux de la progest rone apr s l introduction du Progestasert repr sente un soutien solide de notre th se Des mesures en s rie ex cut es dans un collectif de 200 femmes 4 ont fourni un m me r sultat Tenant compte de ces faits nous som mes amen s formuler l hypoth se d un tout autre mode d action du Progestasert Entre autre on pourrait prendre en consi d ration une production et un m tabolis me altern s des prostaglandines Trobough et al 5 tout comme Zahradnik 6 ont demontre que dans le sang menstruel des cycles suivant l insertion d un Pro gestasert le taux de la prostaglandine F2a est abaisse D un autre c t on sait de puis quelque temps que certains pessaires intrauterins provoquent une hausse des prostaglandines dans le sang menstruel II semble donc tre tr s probable que au niveau de l endom tre il existe un anta gonisme direct entre la progest rone et la prostaglandine F 2a Pour le moment cependant la question de la relation r el le entre l action des prostaglandines et l influence qu exerce le Progestasert sur la r gulation endocrinolagique du cycle menstruel ovulatoire reste en suspens Admettant qu un effet syst matique oc casionnel f t d montr ce qui figure parmi les moyens du possible qui vou drait y voir un d savantage de cette nou velle m thode de concentration Les ef fets secondaires de st
62. cclusion et de n in tervenir qu apr s avoir fix l tiologie Re prise de l alimentation L occlusion se r in stalle avec augmentation de l ar o il ie Ce ci d cide l op ration cinq jours apr s le d but de l hospitalisation Elle r v le l in carc ration de la derni re anse gr le dans un orifice du grand piploon pr s de son bord libre L anse d gag e a gard sa vi talit On constate par ailleurs en amont un sillon sur le gr le t moin d une incar c ration plus ancienne avec d gagement spontan Suites normales En somme Incarc ration du gr le dans un orifice apparemment naturel du grand piploon Observation No 4 Chez un homme de 67 ans obstruction franche aigu avec a ro il ie consid rable Ce malade a t op r il y a 5 ans de hernie inguinale bi lat rale sans r cidive Aucune cicatrice de laparotomie La d cision op ratoire conduit la d couverte d une incarc ra tion d une anse gr le sous une bride al lant du coecum l orifice inguinal droit Elle est sectionn e et le gr le peut tre conserv Les suites sont normales La seule explication cette bride est une appendicectomie pratiqu e au cours de la cure pr alable de hernie inguinale En somme Etranglement du gr le par une bride cons cutive une cure de her nie inguinale accompagn e d appendicec tomie DISCUSSION Les observations pr sent es sont in structives au plan du diagno
63. ci re qui est excellente Avant de passer la partie scientifique de notre r union de ce Soir nous proc derons aux lections statutaires II me reste formuler mes voeux les plus chaleureux l intention du futur Con seil d Administration et de souhaiter un avenir radieux la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxem bourg Dr R Schaus MRCP la suite des lections le nouveau Conseil d Administration se compose com me suit Pr sident Dr H Metz Secr taire g n ral Dr J Neuen Membres Dr A Betz Dr V Conzemius Dr M A Dicato M P Hippert Dr G Kay ser Dr R Koppes Dr M Schroeder 245 BROXOJET 3007 BROXODENT Les compl ments quotidiens et efficaces d une hygiene bucco dentaire rationnelle Broxojet 3007 est le premier hydropulseur au monde haute fr quence et micro jets fractionn s Chacun des 7 orifices distincts de la buse met des millions de micro gouttes 3 000 fois la minute La pression de l eau peut tre modul e progressive ment et permet donc un traitement appropri cha que cas sp cifique Il est le seul hydropulseur qui utilise toute l nergie cin tique de l eau pour attein dre les buts d sir s Nettoyage des d bris alimen taires des zones de r tention massage des gen cives en un minimum de temps et sans provoquer de traumatismes gingivaux Broxojet 3007 permet Une meilleure limination de la pla
64. cl 1975 56 847 853 234 ant rieure toute occlusion aigu du gr le justifie une laparotomie SUMMARY The authors report four cases of acute ileus of the small intestine excluding a strangulated hernia or a previous abdomi nal operation two sclerotic stenosis of the small intestine following an abdomi nal trauma and an operation for strangu lated hernia and two rare strangulations hole of the greater omentum and adhe sion after an appendectomy through an incision for inguinal hernia The opera tions two resections of the necrosed in testine and two suppressions of the stran gulation were uneventful in spite of the late diagnosis due to the search of the causes and the delay of the operation Emphasis is repeated on the fact that even with an unknown cause acute ileus of the small intestine needs a laparotomy 6 GILLET M PHILIPPE E STEOBNER PA SAVA G VIVILLE C GRENIER J F St noses cicatricielles d l intestin gr le d origine isch mique Ann Chir 1969 23 481 491 7 OGORZALY F La st nose post traumatique du gr le Th se M decine Nancy 1977 8 RIBET M WURTZ A CAILLAFE R St nose de l intestin gr le apr s tranglement herniaire J Chir 1976 111 471 476 9 NYHUS L M STEWARDSON R H BOM BECK C T Critical operative management of small bowel obstruction Ann Surg 1978 187 189 193 10 BRETTEL H F Blunt abdominal trauma an
65. complication of heparin thera py Am Surg 1974 179 197 199 London G W Mc Kleever Wiederholt W C Spontanous spinal epidural hematoma in al coolism Ann Intern Med 1974 81 261 267 Maxwell G M Puletti F Chronic spinal epidural hematoma in a child Neurology 1957 7 596 600 Plotkin R Ronthal M Froman C Spon taneous spinal subarachnoid hemorrage J Neuro surg 1966 25 443 446 Dosnikoff J Spontaneous spinal epidural hematoma of childhood J Ped 1968 73 178 183 Runnels J B Hanberay J W Spontaneous subarachnoid hemorrage associated with spi nal cord tumor J Neuro surg 1974 39 252 254 Scott B P Quisling K G Miller C A Kindt G W Spinal Epidural Hematoma Ja ma 1976 235 513 515 Vapalahiti M Kuurne T Acute paraplegia caused by a spontaneous extradural haema toma of the conus medullaris area Acta chir scand 1975 141 484 487 Watts C Porto L Recogniing spontaneous spinal epidural hematoma Geriatrics 1976 37 92 99 ime en toute s curit supprime J 6 es douleurs aigu s et hroniques l di idarac offre RE un rapport optimal CtIvite tolerance activit 15 40 min apr s la prise une action antalgique puissante se manifeste Elle se main R tient en moyenne 4 heures z s tolerance GE absence de toxicit r nale
66. d injuries of the great omemtum Z Rechtsmed 1977 80 167 169 11 PETEREIT M F Internal hernia through a mesosalpinx defect a rare cause of distal mechnical small bowel obstruction Case re port S D J Med 1973 26 29 30 ique t bral Ion noe r ere ei NOOTROPIL par jour neatiepil 02 537 12 20 Ext 383 division pharmaceutioue LCD PROTEGE ET RESTAURE Ch e de Charleroi 4 1060 BRUX Documentation scientifique la fonct du cortex c T l rue Berkendael 68 1060 BRUXELLES CD Om IO Or Ke u 44 X CL Jw pe Sb enby 1892 ploy 4892 EN piwejsoe uopljo114d Z 6 g oyl lul anod sajnodwe S jw pe sb enby 1892 ploy 1892 EN 6 piwe a9e uoprionuAd 2 5 uojnaaju inod sajnodwe z jonpqo 10 09 98 UIZPIHEL 9E JOSUNS AB4 PAXOIP ugy 094 6 auajAdoig soinje2jAdo1dAxo1pAH S lnil Aql ui Ad 01dAX01PAH 501 90 1 un ssaidwo9 paqe pe s b uop jos1AdjAumaAjod Jas saubey Au Du 008 piwelase uopljoisAd z Bw 008 E lt pajyeoo wji gt S ulidulo 09 uzee J9 UISOIU AI3 wno 10109 PAXOIP UB LL wno UN unej95 insde old Sb JOR seyooes eas souBey jAyjow ed 2121115 Ploy BW Ody uopi
67. dans le monde on remarque que le chiffre des fumeurs parmi les enseignants similaire aux autres cat gories de la population sugg re les difficult s qu on peut rencontrer dans le succ s des actions anti tabagisme men es chez les coliers l aide du corps didactique 214 BIBLIGRAPHIE Chicou F J Tabac et sant publique Bull Cancer 1975 62 1 103 119 Cullen K J Stenhouse N S Community Me thods of Influencing Smoking Practitioner 1974 712 716 Eckholm E Cutting Tobacco s Toll World watch Paper 18 March 1978 Egsmose T Egsmose R Flindt N Blaakilde O The Primary School Teacher s Smoking Habits and Attitude Towards a ban on Smo king on the School Premises Elucidated by a Representative Sample survey of 1207 Tea chers Folkeskolen 1972 89 2606 2608 Golll V Studiu asurps obiceiului de a fuma Igiena 1971 3 167 178 Golli V Enqu te sur le tabagisme chez les tudiants Bull Organ mond Sant 1976 53 4 445 452 Knopf A Wakefield J Effect of Medical Edu cation on Smoking Behaviour Brit J Prev Soc Med 1974 28 246 251 Palamidessi C Matteoli C Borchi L in chiesta sul tabagismo in un campione di giovani studenti Gior It Mal Tor 1977 31 6 360 371 Egsmose R Egsmose T Tho Smoking Habits 10 Rankin D W Gray N J HIII D J Evans R D of the Primary Teachers and their Knowledge Attitudes And Smoking Habits Of Australian of
68. de croissance pour le groupe avec diab te chimique seulement obtenus par dosages multiples sur pr l vements par aspiration en continu de 6 en 6 minutes Au d part il n existe pas de diff rence glyc mique D s la charge glucos e les 2 courbes se diff rencient La courbe glyc mique moyenne des t moins repr sente la courbe type du sujet normal jeune elle se caract rise en particulier par une mont e peu importante et par des oscillations se condaires dans la pente descendante Ces oscillations secondaires sont videmment plus prononc es sur les courbes indivi duelles car la courbe moyenne estompe le ph nom ne de pics secondaires qui ne se situent g n ralement pas au m me en droit de la courbe individuelle Chez les t moins toujours l trac des Insulin mies p riph riques illustre les fluctuations normales de ce param tre apr s charge orale en glucose Le parall lisme entre courbes glyc mique et insulin mique est frappant fig 3 Nous avons not une corr lation significative entre insulin mies et giyc mies moyennes p riph riques apr s HGPO chez les t moins r 0 572 n 48 p lt 0 001 chez les sujets avec diab te chimique r 0 977 n 53 p lt 0 001 Dans le groupe de comparaison la courbe glyc mique moyenne type diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle pr sente une ascension et une chute gly c miques importantes et rapides Les dif f rences avec les t moins
69. e l isch mie c r brale d finitive Dr J Sternon Bruxelles le 25 octobre 1978 Le diab te dans la grossesse Professeur J Hoet Lou vain le 30 octobre 1978 Symposium phl bologique cin matographique 24 le 6 d cembre 1978 Partie scientifi que de notre assembl e g n rale La pharmacie d industrie les praticiens et la Sant Publique M R Burchardt Francfort M A Mees Bruxelles mo d rateur M P Hippert Luxembourg Ce qui fait en tout 24 r unions de for mation continue avec 38 conf ren ciers Le Dr M A Dicato r dacteur en chef du Bulletin de la Soci t des Sciences M di cales ne peut vous faire de rapport puis qu il assiste en ce moment un congr s d hematologie aux Etats Unis Un num ro du Bulletin a t publi en 1978 le deuxi me num ro est sous presse Le Dr Dicato s est vertu avec un succ s d j certain largir l assise internationale de notre publication Cela encouragera de plus en plus de bons auteurs lui confier de bons textes Nous avons beaucoup t aid s dans nos activit s par le Minist re de la Sant Publique le Minist re des Affaires Cultu relles et les Laboratoires pharmaceutiques Aux uns comme aux autres nous expri mons notre reconnaissance tout particu li rement Messieurs les Ministres Emile Krieps et Robert Krieps Apr s ce compte rendu au nom du Con seil d Administration sortant je prends la libert d
70. e ou des pansements occlusils peut provoquer des effets secondaires locaux tels qu atrophies cutan es t l angiectasies vergetures et l sions ocn iformes de m me qu une suppression de l oc tion corl cosurrenale por r sorption du corticoide Dans de rares cas il est possible que les esters de l acide porohydroxybenzoique pr sents dons Heron at rie donneniliout des bains dasan lotion Contre indications Affections dues des infections boct riennes sur tout en cas de les ons tuberculeuses ou lu tiques Contre indications relotives affections provoqu es par une infection virole p ex zono vaccine vor celle ou infections fongiques Une gronde prudence s im pose pendont toute lo dur e de lo grossesse et en cos d application sur de grandes surfaces Avertissement Lors d une application sur le visage il fout veiller ne pos mettre Nerisono en contact avec les yeux Pr sentations Tubes de fs get 30g Aconserver en dessous de 25 C R COLES S A 1920 MACHELEN DIEGEM T l 02 720 48 20 group es VERIDE S A 1920 MACHELEN DIEGEM Inque t Ion scien Documentat 79 475 D357 I f v 79 perurik mie toph se Gic Den Serum Harnsaure Stau renal l sen Zur schonenden Zur individuellen Einleitungstherapie Dauerbehandlung dem Schweregrad immer angepa t Narcaricin Narcaricin mite 100 mg Benzbromaron 50 mg Benzbromaron Zusammensetzung 1 Tablette NARCARICIN m
71. e p riodiques m dicaux constitue un moyen d information important Ceci est ressorti galement d tudes faites ant rieurement 1 o l information de p riodi ques venait en t te suivie de congr s et index bibliographiques Les rubriques choisies de pr f rence en sont une confirmation attitudes th rapeu tiques communications br ves mises au point nouvelles professionnelles pr sentation de mat riel original revues extensives lettres l diteur La langue pr f r e des p riodiques abonn s est en rapport d une part avec la langue utilis e au cours de la formation des diff rentes personnes et d autre part surtout pour l anglais avec la qualit des revues m dicales existantes D autre part on remarque galement qu un grand nombre de gens restent fid les aux journaux en rapport avec leur facult Journal M dical de Strasbourg Journal des Sciences M dicales de Lille Danish Medical Journal Schweizerische Medizinische Wo chenschrift Annales Medicales de Nancy Louvain Medical etc l est relever que dans l ensemble la majorit des r ponses se trouvent dans le groupe des internistes et des g n ralistes qui sont galement les abonn s les plus concern s par ce genre de p riodiques les sous sp cialit s tant souvent oblig es de s lection ner leurs abonnements dans un nombre plus petit de p riodiques Par rapport une tude faite en 1970 2 le nombre de r ponses a
72. em iow K PEssa Hydergine affinit lev e pour le neurone 60 de l Hydergine triti e sont concentr s sur les synapses neuronales 2 L efficacit de l Hydergine est tablie L efficacit de VHydergine est attest e par un dossier cli nique qui dans ce domaine ne craint aucune comparaison 37 tudes contr l es provenant de Grande Bretagne des Etats Unis du Canada d Allemagne de France de Bel gique et de la Suisse convergent vers la m me conclusion l Hydergine est efficace contre les sympt mes de l insuffi sance c r brale Sa tol rance est excellente 1 Meier Ruge W Gygax P et al Contribution la physiopathologie du cerveau ag Rev Med Fonctionnelle 8 177 1974 7 sabe teh W Schieweck Ch Iwangoff P The distribution of 3H Hydergine in the cat brain IRCS Int Res Commun Syst 4 1973 Hydergine activateur du m tabolisme neuronal Posologie 1 comprim 1 5 mg ou 30 gouttes 3 fois par jour pendant 3 mois Composition M thanesulfonates de dihydroergocor nine dihydroergocristine et dihydroergokryptine parts gales ad 1 5 mg Pr sentation comprim s 1 5 mg 30 et 100 solution gouttes 20 gouttes 1 mg 1 ml 15 J 50 et 100 ml Toutes les formes sont admises par les caisses maladie Tol rance Hydergine est extr mement bien tol r e Naus es et l g re congestion nasale peuvent exceptionnelleme
73. en Liquidum 20 ml 50 mi B ndelp 500 ml Tabletten 50 St 125 St 52 G rande rue Luxembou rg 1000 St Ampullen 5x2 ml 100x 2 ml Suppositorien 10 St 100 St Monosubstanz mit gesicherter Anti Rheuma Wi 4 ai i A gt TY A 4 P z f 1 1 4 Sei 1 A Pose Puasa EN EE 4 SPL El h A 5 4 I uv oom I baa oot Vali en ti H gt QU USES JW berragende Resorption mu r und 20 fach h here gt WW M lg J J Wirkstoff Anreicherung im entz ndeten Gewebe Zusammensetzung I g Rheumon Gel enth lt 50 mg Etofenamat rennen qan eumon Gel wirkt entzundungshemmend u bei akuten und chronischen Erkrankungen den ar Bewegungs und St tzapparates z B bei Muskelrheumatismu Muskelverspannung ber schmerzhafler Schultersteife Periarhes pathia humero scapularis Hexenschu Lumbago Ischial t Sehnenscheidenentz ndung Schleimbeutelentzundun bei stumpfen Traumen wie Prellungen Verstauchungen SR Zerrungen Rheumon Gel wirkt au erdem in gleicher Weise b wey Rot beet opr ores gn infolge von Uberlastungs un nutzungserscheinungen der Wi 5 irbelsaule und Gelenke mathe nnellie sou Pit merzhef fl SEH D SLIINETZDIEIE Dosierung und Anwendungsweise Wenn vom Arzt nicht anders verordnet mehrmals taglich je nac
74. erungen des Endometrium unter dem Einfluss des in trauterinen Progesteron Systems Presse Infor mation Chemie Gr nenthal K ln 1977 Mall Haefeli et al Pr fung neuer Typen von IUDs Arch Gyn k 219 46 48 1975 Spellacy W N Metabolic patterns in women using the progesterone intrauterine therapeu tic system Presse Information Chemie Gr nenthal K ln 1977 Zielske F Systemische endokrine Effekte des intrauterinen Progesteron Systems Presse In formation Chemie Gr nenthal M rz 1977 224 5 Trobough et al The effect of intrauterine pro gesterone on menstrual blood loss and pro staglandin F 2a content in women with dys menorrhea ALZA Research Palo Alto California 1977 Zahradnik H P Prostaglandin F 2a Bestim mungen im Menstrualblut der Einfluss von Progesteron sowie Kupfer IUP auf Dysmenorr hoen Chemie Gr nenthal Abt Medi Konzept M rz 1977 Adresse des auteurs Clinique universitaire de Gyn cologie et d Ost trique D 6650 Hombourg Sarre Parce qu elle tait ath roscl reuse avant d tre insuffisante vasculaire Indications insuffisances art rielles p riph rique et cerebrale Effets secondaires SULOCTON est d nu de toxicit et est bien tol r Pr cautions on vitera la prescription du m dicament durant la grossesse bien qu experimentalement SULOCTON soit d pourvu d action t ratog ne Il n y a pas d inconv nient d administrer SULOCTON des
75. es Tumeur b nigne vert brale angiome rare Rhumatisme hernie discale my lopa thie cervicarthrosique etc Compression intra rachidienne Tumeur extra m dullaire neurinome m ningiome angiome Tumeur intra m dullaire pendymome astrocytome etc Myelopathie My lopathie post radioth rapique My lite aigue 237 ZUSAMMENFASSUNG An Hand eines Falles sucht der Autor das klinische Bild des spinalen extradura len Haematoms herauszustellen Gew hn lich handelt es sich um eine schlaffe Querschnittl hmung begleitet von rtli chen oder radikul ren Schmerzen letztere erlauben die Sch digung anatomisch ab zugrenzen Die Blutung kann nur dann als spontan betrachtet werden wenn jegliches Trauma sowie andere rtliche oder allgemeine Ursachen ausgeschlossen sind Die Prognose bleibt schlecht selbst wenn nach einer kurzen Abkl rung haupt s chlich Myelographie die Laminektomie schnellstens erfolgt SUMMARY The autor reports a case of spontaneous extradural hematoma It generally presents as an acute flaccid paraplegia with local or radicular pain at the level of the lesion The hemorrage is qualified spontanous if any traumatism or local and general cau ses can be excluded Even if laminectomy is done prompty prognosis may be bad Bibliographie 1 Banna M M Rose P G Pearce G W Coarctation of the aorta as a cause of spinal subarachnoid hemorrage
76. es taux de l hormone de croissance FRAN OIS COLLARD INTRODUCTION L enregistrement en continu de la glyc mie est le Seul moyen pour d tecter coup sur une hypoglyc mie r actionnelle qu elle soit biologique ou clinique 1 Combiner cette m thode d investigation avec une tech nique de pr l vement de sang veineux par aspiration en continu et d bit constant pour le dosage des pa rametres fluctuations rapides comme l insuline et l hormone de croissance 2 3 nous a sembl extr mement int ressant pour pr ciser les relations existant entre ces diff rents param tres Associ es les deux m thodes garantissent un nombre plus important de renseignements pr cis et assurent une meilleure com parabilit de ces r sultats tout en vitant une sch ma tisation trop importante de certains ph nom nes biolo giques Notre but tait en particulier de v rifier si l hy poglyc mie r actionnelle est effectivement due un pic tardif ds l insulin mie 4 ou une insulinos cr tion retardee excessive 5 6 7 sinon de visualiser dans leur int gralit les courbes en continu afin de d gager les particularit s du diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle par r f rence un groupe de t moins CHOIX DES MALADES ET METHODE La pr sente tude ne consid re que les hypoglyc mies r actionnelles de typs dit diab te chimique Les 9 malades analys s pr sentent apr s charge orale travail r
77. eurs causes On semblait jusqu mainte nant se contenter des certitudes classi ques concernant la plus grande fr quence des tranglements herniaires ou des in Ren EE carc rations sous une bride ou des adh rences post laparotomie 1 Les hernies internes volvulus invaginations r tr cis sements obstructions ont toujours t consid r s comme des raret s 2 3 4 5 6 7 Les st noses de l intestin gr le distance d un tranglement herniaire sont connues 8 Une r cente statistique grou pani toutes les occlusions du gr le obser v es dans un grand h pital pendant neuf ans vient pourtant d tre publi e 9 Elle ne fait que confirmer les donn es classi ques avec 64 de brides et adh rences 24 9 0 de hernies trangl es Les 12 restants se r partissent entre cancer vol vulus invagination et ent rite r gionale Dans notre casuistique la surprise n a pas t grande dans les deux premiers cas de r tr cissement post traumatique ou isch mique De nombreux exemples en ont t publi s II en est de m me pour l ob servation No 4 o seule la nature de la bride d incarceration tait inattendue Reste l observation No 3 avec incarc ration dans un orifice ancien bien ourl du grand piploon On a pu attribuer cet ori fice un traumatisme ancien de l abdo men 10 Un cas approchant a t publi travers un orifice du m sosalpinx 11 233 CONCLUSION En d finiti
78. eutiques en face d une tumeur noi re de la peau Professeur Agr E Grosshans Strasbourg Le 15 f vrier 1978 L allergie en m de cine g n rale D sensibilisation bases th oriques Dr Delespesse Bruxelles D sensibilisation dans la pratique cou rante Dr Hanneuse Bruxelles lo 1er mars 1978 Les implants den taires Dr Doms Schaerbeek le 18 mars L antibioth rapie lective des infections de voies respiratoires Professeur J P Butzler Bruxelles Dr F Lemaire Cretail le 22 mars 1978 Applications clini ques des b ta bloquants Donn es r centes Professeur J Carlier Li ge le 7 avril 1978 Aktuelle Probleme der modernen Leberchirurgie Professeur Dr K Stucke W rzburg le 12 avril 1978 S lection des patien tes atteintes de cancer du sein en vue d une th rapeutique endocrinienne Dr M Cikes Lausanne le 19 avril 1978 Hypertension art rielle essentielle Examen et bilan d un patient Professeur Verniory Bruxel les Les th rapeutiques Professeur Passeron Paris le 24 mai 1978 Actualisation 1978 de la bronchite chronique Dr J Sternon Bruxelles le 27 mai 1978 Journ e M dicale de Mondorf les Bains organis e par Mon dorf Etat Physikalische und techni sche Fragen zur Inhalationstherapie Dr K Dirnagl M nchen Die Kre notherapie der oberen Luftwege und der Ohrtrompete am Thermalkurort Dr A Kummer Spezielle Inhala tions Balneo Kl
79. h Gr e der schmerzhaften Gebiete einen 5 bis 10 cm langen Strang Rheumon Gel auftragen und m glichst gro fl chig in die Haut cinreiben Nebenwirkungen Begleiterscheinungen In sehr seltenen F llen konnen Reizungen der Haut auftreten die sich nach Absetzen des Medikamentes rasch z r ckbilden Besonderer Hinweis Rheumon Gel soll nicht auf verletzter oder ekzematos ent z ndeter Haut angewendet werden rku im Vergleich zu nicht entz ndetem Gewebe 1 Stunde nach kutaner Applikation Dell et al Arzneim Forsch 27 1316 1322 1977 Darreichungsformen und Packungsgr en Tube mit 40g Tube mit 100 g TROPON ARZNEIMITTEL KOLN ad Vertretung f r L Integral S A 25 Rue de Epernay 3 we AY e COCHARD mel rinks FORMULE DIETETIGUE ADAPTEE AUK PLUS RECENTES DECOUVERTES DANS LE DOMAINE DU CONTROLE DU POIDS ET DE L OBESITE H t INITION aliment complet qui permet une perte de poids rationnelle e EES quilibr e avec un apport id al de nutriments essentiels CARACTERISTIQUES DE LINE DRINKS fournit l organisme tous les nutriments indispensables dans des proportions id ales apport lev en protides de haute valeur biologique 25 des calories calories protidiques gt rassasiant Suppl ment en acide linol ique Ca Fe et vitamines facile pr parer simplement diluer dans de l eau agr able boire PRESENTATION Bo tes de 5
80. hermal Mondorf les Bains Pfizer S A Prophac Luxembourg Boehringer Fabre Lepetit Rentschler Roussel S A Sandoz A G Schaper amp Br mmer Laboratoires S M B Soci t Belge de Th rapeutique Exp rimentale S A Th rapeutica Etablissements Thiwissen Union Chimique Belge Will Pharma I ann AVE BEI NIE NY KANG Ge 121474 Kn l i Nk ld Ra dun A K dy k ES 1 mee ally ai i Abe A les Bains Grand Duch de Luxembourg La seule station h patique du Benelux Indications S quelles d h patites Lithiase biliaire Maladies de la nutrition hypercholest rol mie goutte Rhumatismes Voies respiratoires il Centre de rehabilitation physique et de reeducation respiratoire IN Service di t tique affect l institut m dical Ouvert toute l ann e Information Mondorf Etat Tel 67011 ALDECIN CELESTONE DIPROSONE GEOMYCINE HYPERSTAT PERMITIL POLARAMINE RINAFORT SEVINOL SISMINE TRILAFON N V ESSEX Belgium subsidiary of Schering Corporation USA 163 av de la Couronne Kroonlaan 163 BRUXELLES 1050 BRUSSEL ka a 2 gt 9 d dies D VIBRAMYCINE Rue L on Theodor 102 1090 Bruxelles T l 02 426 49 20 Departement pharmaceutique Hypoglyc mie r actionnelle du diab te chimique Exploration en continu de la glyc mie de l insulin mie et d
81. ia of early maturity onset diabetes mellitus dans la classification de HOFELDT 7 et des So ci t s Am ricaines du Diab te d En docrinologie et de M decine 14 et de l autre un groupe de sujets jeunes sans ant c dents familiaux de diab te sucr de poids normal et en parfaite sant Les dif f rences de la r ponse une m me char ge orale en glucose valu es sur la gly c mie et l insulin mie dos es en continu la p riph rie sont A Courbes glyc miques glyc mie maximum significativement plus lev e glyc mie minimum significative ment plus basse dans le diab te chimi que avec hypoglyc mie r actionnelle vi 193 tesses d ascension et de descente glyc miques moyennes significativement plus rapides dans le m me groupe temps des glyc mies minimum et maximum sensible ment gaux dans les deux groupes ab sence de pics secondaires dans la pente descendante du diab te chimique B Courbes insulin miques valeurs insulin miques avant et apr s la charge glucos e toujours sup rieures et excessives dans le diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle absence de pic insulin mique au moment o l hy poglyc mie s installe L allure des courbes glyc miques et in sulin miques est parall le L hypergiycemie franche mise en vidence dans le groupe des sujets avec hypoglyc mie r actionnel le peut s expliquer de diff rents fa ons Elle est due soit une r
82. ignaient les l ves partir de la Ve la Vle classe dans la muni cipalit do Craiova On a retir les questionnaires apr s trois jours et les r ponses chaque question ont t analys es et clas s es d apr s le sexe et l ge des enseignants fumeurs anciens fumeurs et non fumeurs la signification des diff rences ayant t calcul e l aide du test X2 RESULTATS 1 Habitude de fumer Sur les 1 055 sujets qui l avaient re u 961 seulement soit 90 ont retourn le formulaire compl te dans les d lais tablis On a rencontr dans l ensemble moins d un tiers 29 24 de fumeurs 7 50 anciens fumeurs et 63 26 9 0 non fumeurs Tableau 205 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Tableau I L habitude de fumer chez les enseignants ANCIENS NON AGE sex See PERS FUMEURS FUMEURS ann es 603 N fo N fo N lo PP Moins de 30 Masc 58 26 4483c 5 8 62c 27 46 55 F m 142 48 33 80c 5 3 52c 89 62 68c Total 200 74 37 006 10 5 00b 116 58 00b 31 40 Masc 130 63 48 464 16 12 319 51 39 23b F m 235 50 21 284 9 3 834 176 74 894 Total 365 113 39 96b 25 6 85b 227 62 19b e Ste Masc 135 53 39 26 25 18 520 57 42 220 de 40 F m 261 41 15 719 12 4 609 208 79 699 Total 396 94 23 74b 37 9 34b 265 66 92b TOTAL MASCULIN 323 142 43 968 46 14 242 135 41 80 FEMI
83. imatotherapie bei Bronchialkrankheiten Dr O P Schmidt 15 16 17 18 19 2C 21 22 23 le 20 juin 1978 Diagnostic diff rentiel des syndromes convulsifs de l enfance l pilepsie b nigne de l enfance les formes incompl tes et atypiques du syndrome de West Professeur L Sorel Louvain En collaboration avec la Soci t de P diatrie et la Soci t de Neuro Psychiatrie le 14 juin 1978 Der Einsatz von Schnelldiagnostica in der rztlichen Praxis und im Laboratorium Profes seur D Kutter Lausanne Luxem bourg Blutzuckerbestimmungen mit Schnelldiagnostica Dr R Sommer Linz Der praxisgerechte Blutnachweis im Stuhl Professeur D Kutter Lau sanne Luxembourg le 16 juin 1978 Possibilit s et limites de la Tomodensitom trie Professeur A Wackenheim En collaboration avec la Soci t luxembourgeoise de Neuro psychiatrie le 21 juin 1978 Les mycoses syst matiques Professeur P Dockx An vers le 25 juin 1978 Les probl mes chi rurgicaux et l appareillage des ampu t s du membre inf rieur Professeur P Maurer Paris et Docteur Y Mazas Evreux En collaboration avec le Ser vice d orthop die du Centre Hospita lier de Luxembourg le 4 octobre 1978 Das chronische Nierenversagen Transplantation oder Dialyse Professeur C E Alken Hom burg Saar Professor E Renner Co logne Professeur R Pilchmayr Han nover le 18 octobre 1978 Prophylaxie d
84. intestin gr le sur dix cen tim tres La r section segmentaire a eu des suites normales Ainsi une anse gr le incarc r e dans un tranglement herniaire cyanos e et oed mateuse peut tort donner l apparence d une r cup ration spontan e Secondai rement les l sions isch miques ont vo lu vers la scl rose r tractile Observation No 2 Jeune ouvrier de 25 ans hospitalis le 10 04 1976 pour un syndrome abdominal aigu Il a d j t hospitalis 11 Jours auparavant dans un autre service la suite d un violent trau matisme abdominal appuy La r cup ra tion d un transit digestif avait paru suffi samment rassurante pour autoriser sa sor tie La nouvelle hospitalisation est motiv e par des douleurs abdominales pigastri ques quelques vomissements arr t des mati res mais pas des gaz Hyperleucocy tose 12 000 et aeroil ie diffuse Un ni veau liquide est d abord visualis dans l hypocondre gauche il dispara t ensuite Comme on constate la persistance d une importante contusion dorsale on s oriente vers le diagnostic d h matome r trop rito n al avec il us paralytique La situation clinique et radiologique s am liore sponta n ment pour autoriser sa sortie huit jours apr s Mais deux jours plus tard troisi me hospitalisation motiv e par un nouveau syndrome occlusif avec nouveau a ro il ie L indication ne fait alors plus de doute L op ration pratiqu e 22 jours apr s
85. isance c r brale parce que le trouble primaire est une MANAK SEEN EME diminution de l activit m tabolique du EEE mao neurone C est une des conclusions auxquelles aboutit le dossier exp rimental que la Recherche fondamentale de Sandoz a pr sent la FASEB Federation of American Societies for Experimental Biology Cons quence th rapeutique L objectivation de Fetiologie m tabolique de l insuffisance o d c r brale force r viser le concept traditionnel de la th ra Fr Cents lt peutique de cette affection la logique exige que le traite ment soit orient vers une compensation des perturbations gb Dra du m tabolisme neuronal ce que fait Hydergine ER L Hydergine est un activateur du m ta Sl bolisme neuronal ADP F 1 D D CMP W Inhibant la phosphodiesterase l Hydergine augmente la teneur cellulaire en AMPc Parall lement gr ce ses vertus Respiratory Gham Specwkzed adr nolytiques elle r duit la d gradation excessive d ATP p Er induite par les cat cholamines le recaptage de la noradre naline par les synapses est inhib et l activit ATP asique stimul e par les cat cholamines est r duite des valeurs normales C est dans cette meilleure conomie du m ta bolisme neuronal cons quence d une meilleure utilisation de l nergie qu il faut chercher la cause des effets b n fiques de l Hydergine high K PEase
86. itudes th rapeutiques mise jour des probl mes fr quents avec lesquels le praticien est confront et qui ont volu au cours des derni res ann es communications br ves Case reports hypoth ses probl mes ponctuels Ce genre de rubrique comportera des articles brefs qui de ce fait pourront tre publi s rapidement mises au point faits importants m dicaux pas n cessairement th rapeutiques faisant le point des volutions physiologiques pathologiques ou de laboratoire r centes Par ailleurs le Bulletin gardera toutefois les rubriques d articles originaux qui int res seront suivant le sujet les sous sp cialit s m dicales chirurgicales et autres qui du fait de la restriction du sujet n ont pas ou peu exprim leur avis dans cette enqu te Dr M Dicato Editeur Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg 239 dl I E a Tel CT EU bad secundum artem test suivant les r gles de l art Sibeliun m dicament contre les troubles dua ES YR Premier Be d irrigation au niveau des tissus p riph riques et du cerveau qui r po Ond aux exigences strictes des autorit s universitaires prise par jour 2 s VT BS nt ath roscl une protection de 24 he utes b l r vo Our V d et maxi wa 5 mo ca Martine 950 ala fois sta ne prendre ina es est deng e uit re een ont Hie Posologie La 995 a
87. la Soci t des Sciences M dicales Section des Sciences M dicales de l Institut Grand Ducal Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Pr sident Dr H Metz Secr taire G n ral Dr J Neuen Membres Dr A Betz Dr V Conz mius Dr M A Dicato M P Hippert Dr G Kayser Dr R Koppes Dr M Schroeder Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales Administration et Publicit Dr J Neuen Secr taire G n ral 3 rue Conrad ler Luxembourg R daction Dr M A Dicato R dacteur en chef Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg Le Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg publie des articles en frangais en allemand et en anglais Les auteurs sont pries de remettre leurs manuscripts dactylographi s en double ou triple interligne et en deux exemplaires au r dacteur en chef Les r f rences class es par ordre alphab tique doivent comporter dans l ordre a le nom des auteurs et les initiales de leurs pr noms b le titre du travail c le nom du journal d le tome e la premi re page de l article f l ann e de parution Pour les cita tions d ouvrages une r f rence comportera dans l ordre outre les noms des auteurs et le titre du livre a la ville b l ann e de parution c le nom de la maison d dition II est recommand aux auteurs que les articles soient succincts et si possible suivis d un r sum en anglais T
88. le plus normal possible au point de vue m tabolisme glucidique La glyc mie de d part ou glyc mie de je ne est sensiblement pareille dans les deux groupes elle n est que l g rement plus importante dans le diab te chimique Apr s la charge glucos e la glyc mie maximum est significativement plus lev e p lt 0 001 et la glyc mie minimum sig nificativement plus basse p lt 0 01 dans le groupe des sujets avec diab te chimi que et hypoglyc mie r actionnelle Le temps de la glyc mie maximum tant iden tique dans les deux groupes la vitesse d ascension glyc mique moyenne est net tement acc l r e chez les diab tiques p 0 001 Le temps de retour la giyc mie de d part tant plus court dans le groupe avec hypoglyc mie r actionnelle la vitesse de descente glyc mique moyen ne est aussi significativement acc l r e La rapidit de VAGMO et VDGMO est il lustree par la figure 1 qui represente les pentes ascendante et descendante moyen nes calcul es partir de la glyc mie ma ximum La somm des giycemies G des sujets t moins confirme l absence de troubles du m tabolisme glucidique dans ce groupe Ce m me param tre est signi ficativement plus lev et m me patholo gique dans le groupe de comparaison La figure 2 repr sente les courbes glyc miques moyennes en enregistrement con tinu pour les deux groupes ainsi que les trac s d insulin mie et des taux de lhor mone
89. les 5 mg matin et kr petengan lt vestibutai ome 6 que mg par jour ux e normale recommand e cer es Sympt me vo Uffisance 1 le soir soit les A la do no olence et de fatigue m e es p riph riques du culaires p ee H s des art ri opa Oubles vas Effets secondaires de som souvent passagers Da Sibelium ee k une longue dur e d d a than es organiques observ de rares ca ont le plus ta augmenter il convie ans de Indications Traitement d entretien s voie ires 50 que PEU dre t alors bles circulatoires suivants vertige o be Matique des effets ue e la ker et de le repren ventuellemer les de la gine cas exc m evi croque Dans won P tiph riqu ue d Sa brovascu d interrompre 16 d Sibelium des mesures hygi Madan il Zeg da arl rio dose me ern AUCUN uer oridum 5 9 mg aequiv 5 m mg flu icti es d Ssoci o n regime Vinterdiction de fumer et Ke d ge come a Contre incr i nyse ayd ee ben et ganeka silici appropri s exercices S de e le Formula Flu s my 172 E 1427 ti yd gelatin con Marche narizinum ET yn E a de ce Produit est limit e Voir la Pr sentation Emballage alv ol s S de flunarizine de 20 et 50 g l les 5 oxyd q S pe E mn SC CA ARMACEUT JANSSEN P 2340 BEERSE La nitro furan toine tait le point d interrogation de l estomac Mais il y a maintenant lturan la seule nitrofurantoine en
90. lles 1973 Camu F Influence of endogenous insulin se cretion on hepatic glucose metabolism in vivo Excerpta Medica 280 VIII Congr s de la F d ration Internationale du Diab te Bru xelles 1973 203 WANN en gastrocinetique rend la digestion lourde l g re l g re l g re Posologie 1 comprim 3 fois par jour avant les repas 1 mi de solution gouttes 3 fois par jour avant les repas 2 cuill res doseuses de solution orale 3 fois par jour avant les repas Si n cessaire une derniere prise avant le coucher ei Pr sentations e 30 et100 comprim s 10 mg tilium TRADE MARK 30 et 100 ml de solution gouttes a 10 mg par ml 0 3 mg par goutte e 200 ml de solution buvable a 5 mg par cuill re doseuse 1 mg par ml d finitlon Le principe actif de Motillum est le domp ridone R 33 812 une synth se originale des Labora tolres de Recherche de Janssen Pharmaceutica Motl llum favorise l vacuation gastrique et poss de une activit anti m tique puissante Motillum n influence pas la s cr tion gastrique Motilium ne produit pas d effets secondaires psychiques ou neurologiques composition ot modes d administration Motiilum est disponible sous les formes suivantes pour l adminis tration parent rale ampoules p diatrie a de 2 mi 2 mg par ml 4mg ampoules de 2 mi 5 mg par ml 10 mg pour l administration perorale compri m s 10 mg s
91. lo2 4d z Bw opt e s lni95 09 SAINWHO4 13 SNOLLVAN3S3Hd sejqesuadsipu jusinawap enbiuol ospAy uongsqilinb 91 el l uonNewiueg s nbjuy s sed nbey uonouo 81S91 Juswaj e NP 291NP EI S2u i5suo3 B SPUOJOId sajanon s sueq JURURA U 99p 9ui np SIAB JUBAINS apol19d 91185 JU8W8 IP1 21AINSINOd Jus auop Iusjulew p OP 19 eped p uy QUIEWAS 1510 El SIBA 191589 luew S 8 5 SSIJEWNEI s p lt jnjo lqns gt jip awospuks wsyewnes UN R 18 liu s UO NJOAUI B Sihn s u09 s nblup5 0 o0u94sd sawoipuds s sueg IN3W3LIVHL NG SLINGNOD e nol sed 6 g ajnodwe aun eo a1jenb g S101 18S111N anbjjoosje ap s in s sueg 2210 ej eB Jassed in d uo uu d l 29U919SU09 jeja uongIO1JawE anb sag UI no ATI ua nol sed sio S101 6 e 394919 5o osod aun Jed 1souewwos lin 159 anb yewne4 Isod 39U919SU09 EI spuojoid S8 qn01 S ya Sewod S sueq 6 g ajnodwe un p no asnaulagARBIJUI uo 5 lu ajesgJUaIeEd 310A B Jaen SnB E sed sa sueq sasud ua nol sed 6 z g al npa 155 gas sop 911
92. n es 41 sont fumeurs pour le sexe masculin et 29 le sexe f minin avec un maximum de fr quence l ge de 20 24 an n es 10 Les m decins fument dans une proportion beaucoup plus r duite 14 9 les hommes et 17 o les femmes Toujours en Australie Cullen et Stenhouse 2 constatent une r duction de la proportion des fumeurs ches les hommes de 52 6 en 1966 43 8 o en 1972 tandis que l habitude reste stationnaire chez les femmes 24 5 en 1966 et 24 en 1972 D apr s les donn es r cemment publi es par le Worldwatch Institute 3 75 des hommes et 15 des femmes fument au Japon tandis que dans les Etats Unis la suite de la campagne anti tabagique le chiffre des fumeurs baisse de 53 en 1964 39 en 1966 pour le sexe masculin et de 34 29 chez le sexe f minin On rencontre cepen dant 72 de fumeurs parmi les tudiants masculins et 22 des tudiantes Lagos au 211 SSN ousq 262 06 JEE 27 L cp 688 L96 MOL s sb p z 622 IZ 06 LO ep 189 829 wal 1100 989 00 82 2 6 Lee 2 09 6 coe 2622 SEM SN oneqi 962 8L 8270 92 9226 999 809 s nswn UON gu neeanou l Inod S9169P p 0001 ZZ 21 s nawn susiouy I S9 SOJUISOUS s l z u5 Inod g ze 2X 27 el 69 S 91 2006 292 182 sinawunA eusibeqe l nb snoA Z ABS 6656 et Ob b Ov 1926 688 196 Ig1o L SN 9ueq 218 61 ge
93. nt appara tre mais n impliquent pas l arr t du traitement Contre indication aucune connue Pour toutes informations compl mentaires adressez vous SANDOZ PRODUITS SANDOZ SUISSE SA D partement pharmaceutique Missionsstrasse 60 62 4012 B le t l 061 44 00 71 1200 78 3 innen eine Indikation f r Mucopront Befund z her Schleim Zwangshusten besonders morgens eingeschr nkte Lungenfunktion Diagnose chronisches kompliziertes bronchitisches Syndrom Verdacht auf Bronchiektasie Therapieprinzip z hen Schleim verflussigen den Obstruktionsfolgen vorbeugen Prognose die internationale klinische Erlahrung bescheinigt der Mucopront Wirksubstanz Carbocistein au erordentlich gute therapeutische Erfolgsaussichten Mucopront zur mucoregulierenden Therapie macht z hen Mucus rasch liquide Heinrich Mack Nacht Chem pharm Fabrik 7918 Jllertissen Mucopront Kapseln Saft Zusammensetzung 1 Kapsel enth lt 375 mg Carbocistein 5 g Saft enthalten 280 mg Carbocistein Natrium entsprechend 250 mg Carbocistein Anwendungsgebiete Mucopront ist angezeigt bei Erkrankungen der Atemwege die mit abnormer Schleimbildung einhergehen akute und chronische Bronchitis Bronchiektasen Lungenent z ndung Lungentuberkulose Staublunge Entz ndungen im Bereich der Luftr hre und des Kehlkopfes Gegenanzeigen Wahrend der Schwangerschaft sollte die Anwendung von Mucopront nur unter strenger Indikations
94. ocale dermatite de contact ecr ma de contoct ecr ma allergique ecr ma nummuloire ecz ma s borrh ique ecz ma intertrigineux ecz ma dysidrosique ecz ma ctopique dermalile des longes n vrodermite dermotite atop que psoriasis hchenruber planet verruqueux lupus ryth mateux te tolerance icaci ima rapport eff opt discoide dermatite solaire piq res d insectes atteintes graves Posologie et mode d emploi Eu prescription diff rente du m decin appliquer ou d but du traitement en couche mince laforme theropeuti que Nerisono oppropri e en g n ral deux fois ventuellement trois lois por jour D s qu il y a am lioration une seule opplication quotidienne est souvent s Add Les enfants jusqu 4 ons ne doivent tre trait s que pour une dur e moximole de 3 semaines Nerisono Cr me La cr me Nerisona est une pr paration teneur lev e en eau et pouvre en l ments gras Appliqu e sur la peau suintante elle emp che une occu mulation des s cr tions ei ossure une d congestion et un d ss chement rapide de la peou Lo cr me convient galement pour les r gions d cou vertes p ex le visage et les mains et pour les zones pileuses D s que lo peou se d ss che trop fortement lors de l utilisation prolong e de Nerisono Cr me il fout poster une forme plus grosse Pommode ou Pommade grasse Nerisona Pommade Les tots ni suintonts ni tr s le sch ma VOICI tr s s
95. olution gouttes a 1 1 ml 10 mg 1 goutte 0 3 mg le compte gouttes porte une divi sion par 0 5 mi solution orale 0 1 la mesurette en plastique 5 mg la division est 1 25 et 2 5 mg pour l administration rectale suppositoires adul tes 60 mg suppositoires lt enfants 30 mg Sup positoires b b s 10 mg propri t s Le m canisme d action de Motilium repose probablement sur scn effet anti dopamine p riph rique Motilium n exerce pratiquement aucun effet au niveau des r cepteurs dopaminergiques c r braux de sorte que des effets psychotropes ou neuro logiques sont pratiquement absents Motilium est bien r sorb et rapidement m tabolis indications a Traitement symptomatique des nau s es ou vomissements de la pesanteur ou du ballon nement pigasirique ou abdominal qui se pr sentent apr s les repas Suite un ralentissement de l vacua tion gastrique b Traitement symptomatique des nau s es et vomissements chez l adulte et l enfant effets secondaires Ne se pr sentent pratiquement pas exceptionnellement on peut observer des cram pes intestinales passag res contre Indicatlons n y a pas d incompalibilit con nue avec d autres substances th rapeutiques except les anticholinergiques qui pourraient inhiber les effets antidyspeptiques de Motilium Bien que les exp rien ces r alis es avec Motlilum sur l animal n aient pro duit aucun effet t ra
96. om porte pr s de 4 000 Ce livre d un prix tr s avantageux est destin l tudiant au g n raliste et au sp cialiste A recommander Dr M Dicato Centre Hospitalier Luxembourg PROGRESS IN CLINICAL MEDICINE AR Horler J B Foster Churchill Li vingstone 7e dition 1978 p 485 11 Livre facile lire qui est interm diaire entre la mise jour des faits saillants m dicaux des derni res ann es et le manuel classique de m decine avec un condens de chaque sous sp cialit m dicale y compris la g n tique la dermatologie la psychiatrie l ophtalmologie ainsi que la g riatrice Bibliographie extensive recommander l tudiant et toute personne qui ne voudra se limiter une seule sp cialit m dicale Comme toutefois ce manuel ne fait par tie d une s rie publication p riodique annuel ou autre un certain nombre de Sujets immunoth rapie l gionnaire s di Sease vont manquer Dr M Dicato Centre Hospitalier Luxembourg 247 CALPARINE Sous Cutan e Choay H parinoth rapie par voie sous cutan e COMPOSITION H parinate de calcium h parine sous sa forme d activit physiologique vite I h ma tome au point d injection PRESENTATIONS Bo te de 2 ampoules de 1 ml titrant 25 000 U 1 soit environ 250 mg d h parinate de cal cium Bo te de 2 seringues st riles Bo te de 10 ampoules de 0 5 ml titrant 12 500 UL soit environ 125 mg d
97. on m tabolique et galement par la r gularisation de l h mo dynamique locale INDICATIONS L Oxygeron est indiqu dans les cas suivants insuffisance c r brale m me chez des patients pr sentant une maladie vasculaire oblit rante due des changements d g n ratifs de la paroi des vaisseaux sanguins pisodes d isch mie c r brale associ es des troubles vasculaires art rioscl reux et apr s un traumatisme troubles vasculaires dans la r gion optique migraines c phal es et vertiges tourdissements Les g lules d Oxygeron contiennent des granules diffusion lente qui lib rent le composant actif Vincamine de mani re continue pendant une p riode de 10 12 heures quelle que soit l acidit ou l activit enzymatique du tube digestif Avenue Monplaisir 33 1030 Bruxelles Tel 02 216 16 01 216 16 02 ADMINISTRATION ET DOSAGE La dose habituelle d Oxygeron est d une g lule administr e par y toutes les 12 heures Die CONTRE INDICATIONS Grossesse EFFETS SECONDAIRES Se pr sentent rarement et sont tr s l gers Des cas de naus rougeur de la face ont t rapport s es PRECAUTIONS A PRENDRE Ne pas m cher les granules contenus dans la g lule afin de la r sorption continue CONDITIONNEMENTS Emballages de 20 et 40 g lules FORMULE Vincamine 30 mg Sucrosum Amylum Ac stearicum Polyvige Lactosum Talc Shellac Polymeric methacryl Gelatina P
98. ous les articles seront lus par le r dacteur et un consultant sp cialiste Les articles n engagent que leurs signataires et sauf avis sp cial les opinions expri m es ne refl tent pas n cessairement la position de la Soci t des Sciences M dicales The Bulletin is published two or three times per year and accepts articles in French German and English The authors are invited to submit the original copy and a duplicate typed double spaced to the editor The references in alphabetical order should conform to the style of the Index Medicus Surname and initials of authors title of article name of journal volume number first page and year All the articles which should be succinct are reviewed by the editor and a member of the editorial board Copyright 1979 by Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Sommaire Hypoglyc mie r actionnelle du diab te chimique Exploration en continu de la glyc mie de l insulin mie et des taux de l hormone de croissance F COLLARD ZE 191 Enqu te sur le tabagisme chez les enseignants V GOLLI i 205 Profil du cycle menstruel ovulatoire sous l influence de Progestasert et de Cu T J HARY W RINDT lt R 217 Enqu te sur les p riodiques m dicaux au Luxembourg J KLINCKER M s 225 Quelques causes rares d occlusion m canique de l intestin gr le chez l adulte Ph POIVRET
99. p riodiques m dicaux Les r sultats de cette enqu te sont rapport s ici MATERIEL ET METHODES Fin novembre 1978 un questionnaire a t envoy par poste tous les abonn s du Bulletin des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg soit 467 m decins 114 m decins dentistes et 69 pharmaciens r si dant au Luxembourg Il n existait pas de communication autre personnelle verbale directe orale t l phonique des auteurs avec les destinataires y inclus les abonn s travaillant dans la m me institution que les auteurs Ce questionnaire voir Tabl remplir de fa on anonyme n tait pas accompagn d une enveloppe timbr e pour la r ponse 225 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg TABLEAU QUESTIONNAIRE SUR LES PERIODIQUES MEDICAUX 1 quels p riodiques m dicaux tes vous ADONNE 7 anne auenerupnanenunuttsennne 2000 2 Quelle esi votre sp cialit m dicale mm s Quelles sont les rubriques que vous d sirez voir dans un p riodique m dical local Veuillez num roter par ordre de pr f rence Attitudes th rapeutiques Communications br ves Lettres l diteur Mises au point Nouvelles professionnelles M Presentation de mat riel original Revues extensives d un sujet d termin Autres pr cisez uuu u een
100. patients soumis un traitement par anticoagulants de type coumarinique et aux diab tiques Posologie 3 g lules 100 mg par jour Conditionnement 50 et 100 g lules dos es 100 mg Formule Suloctidil 100mg Mannitol Silic oxyd Gelat Glycerol myl Talc pro capsul gelat una Ferr oxyd flav E172 Natr indigotinodisulf E132 Titan oxyd E171 pro color Validit voir emballage 213 S65 F4 3 x1 g lule jour CENTRE DE RECHERCHES BELGE CONTINENTAL PHARMA Je e ee 71050 Bruxelles Traite l insuffisance vasculaire 02 53780 Soppose l volution de Fatherosclerose Pp f CREACTION Das angenehme Phyto Laxans besonders f r Adip se geeignet Lipozet mit Kreislaufst tze Zusammensetzung Fol Sennae 30 mg Aloe 90 mg Extr Fuci 105 mg Fol Orthosiph 30 mg Fruct Crataegi 20 4 mg Khellin D 1 0 3 mg Camphora D 2 0 3 mg Sapo med 20 mg Dosierung 1 3 x t glich 1 Drag e einnehmen Packung Dose mit 50 Drag es INTEGRAL S A Luxembourg 25 rue d Epernay Enqu te sur les p riodiques m dicaux au Luxembourg J KLINCKER DR M DICATO Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg Bull Soc Sc M d 2 225 1979 INTRODUCTION Nous avons essay l aide d une enqu te par questionnaire de pr ciser l attitude des m decins m decins dentistes v t rinaires et pharmaciens luxem bourgeois vis vis des
101. profonde Aspiration superficielle c Fumeurs Fumeurs masculins f minins 5 Motivation La curiosit reste la raison initiale majeure du tabagisme Tableau V Fig 4 suivie par la phantaisie et l intervention d une d ception toutes les deux plus souvent chez les fem mes et le d sir d imiter les amis particuli rement chez le sexe masculin diff rences n anmoins statistiquement non significatives C est l accoutumance qui pousse plus souvent les fumeurs consommer les cigarettes a pr sent Fig 5 ainsi que le plaisir pour 22 06 o l effet calmant la phantaisie la n cessit et l ennui pour d autres y a cependant des diff rences Significatives d un sexe l autre P lt 0 001 accoutumance tant plus fr quente chez les hommes tandis que chez les femmes pr dominent le plaisir l effet calmant et la phantaisie 209 0 50 40 30 20 10 Motivation Initiale Curiosit 134 Phantaisie 41 imiter les parents 2 Imiter les amis 30 Imiter les h tes 5 D ception 36 Sans r ponse 33 Actuelle Accoutumance 106 Plaisir 62 Phantaisie 26 N cessit 18 Effet calmant 29 Ennui 9 Sans r ponse 31 TOTAL 281 NENNEN Imiter les parents Imiter les amis Imiter les h tes Curiosit Phantaisie TOTAL Tabieau V Motivation initiale et actuelle du tabagisme PP IF F r SEXE Masculin 9 0 N 47 69 70 14 59 18 0 71 2 10 68 19 1 78 3 12 81 14 11
102. pu donner un syndr me d hernie discale 5 La my lographie ventuellement par voie combin e lombaire et cervicale est indis pensable pour affirmer la compression ra chidienne son niveau et pour poser l in didaction de laminectomie L HESS peut alors tre affirm et diff renci de la for me sous arachnoidienne encapsul e ga lement d crite et dont la symptomatolo gie est strictement superposable 3 14 l serait certainement interessant de comparer les donn es de la my lographie celle de la tomographie axiale compu t ris e probablement plus ais e r aliser Mais l exp rience manque encore vi demment dans cette pathologie Dans les h mato rachis en dehors de causes sp cifiques telles l hypertension art rielle 17 la coarctation de 1 les tumeurs intra rachidiennes 2 16 la ponction lombaire 11 l alcoolisme asso ci l insuffisance h patique 12 une malformation vasculaire intra rachidienne sera toujours attentivement recherch e l exploration chirurgicale mais tr s fr quemment des troubles de la coagulation sanguine sont retrouv s parmi lesquels la prise de salicyl s a galement t invo qu e 18 Toutefois dans certains cas tout trauma tisme exclu force nous est de reconna tre la nature spontan e de l h matome Dans une revue de 56 cas 6 non traumatique aucune cause apparente ne fut retrouv e dans 2 3 des cas Deux hypoth ses tio
103. que dentaire Un nettoyage parfait des zones de r tention Une augmentation de l auto d fense des gencives par un massage en profondeur et la r duction des inflammations d j pr sentes Broxodent est une brosse dents automatique qui assure le nettoyage complet des dents 3 avantages essentiels sont noter Mouvement automatique d oscillation verticale brossage correct des dents massage des gen cives Oscillation de la tige brosse 3 000 fois la minute une minute de brossage avec Broxodent quj vaut trois minutes de brossage manuel Tige brosse haute densit t te courte permet tant de nettoyer toutes les surfaces des dents et de masser en douceur la gencive en accroissant sa keratinisation Repr sentant pour le Grand Duch INTEGRAL s a 25 rue d Epernay Luxembourg Livres et p riodiques Manual of Clinical Problems In Internal Medecine J L Spivak H V Barnes Little Brown and Co Boston 2e dition 1978 p 518 11 95 Mise jour de 165 sujets de M decine sous forme tr s succinte par articles de deux trois pages Chaque artcile facile lire comporte un r sum de physio pathologie de diagnostic diff rentiel et de sympt mes cliniques Chaque sujet est Suivi d une vingtaine de r f rences biblio graphiques jour et comment es Le choix de ces r f rences est fait selon leur valeur historique et d actualit et en c
104. r le du traitement se fait en mesurant la glyc mie qui est un instantan et la glycosurie des 24 heures qui de plus d pend de la fonction r nale Le dosage de l HbArx correspond la glyc mie moyenne sur une p riode prolong e et de plus donne une corr lation li n aire avec I hyperglyc mie provoqu e 6 Le contr le d un diab te non trait auparavant don ne une baisse de I HbA en deux ou trois semaines et on a recommand de mettre l insuline les patients dont l h mogiobine Ai reste au dela de 12 o avec hy poglyc miants oraux 7 Si les complications tardives n phropathies r tino pathies sont proportionnelles la glyc mie moyen ne l int r t de la d termination d HbAi est certain si toutefois elles correspondent aux pics d hyperglyc mie alors la valeur de ce test est douteuse Pour le moment le renseignement majeur fourni par la d termination de est la qualit du contr le de la glyc mie pendant les semaines pr c dantes Comme la glycolysation de l Hb n est pas une r ac tion sp cifique il est probable que d autres prot ines expos es pendant une p riode prolong e subissent la m me r action et il est tentant de postuler une rela tion de cause effet entre glycolysation et complica tions tardives du diab te comme cela semble tre le cas pour le cristallin 8 Schernthaner G Stummvoll K H M ller M M Cerami A Koenig R Peterson C M
105. reigene Indikationen Echinac n hat s ch n den verschiedensten Darreichungslormen zur Steigerung der k rpereigenen Abwehr be subakut und chronisch verlaufenden Krankheiten mil mangelhafter spontaner Abwehrreaktion bewahrt Zusammensetzung 1 Ampulle Echinacin zu 2 ml enthalt 0 1 q Pre saft aus Herba recens Echinaceae purpureae 100 g Echinacin Liquidum enthalten 80 0 g Pre saft aus Herba recens Echinaceae purpureae 100 g Echinacin extern Liquidum enthalten 26 7 g PreBsaft aus Herba recens Echinaceae purpureae 9 0 g Urea pura 100 g Echinacin Salbe enthalten 16 0 9 Pre salt aus Herba recens Echinaceae purpureae Bitte fordern Sie weitere w ssenschaftliche Informationen an Dr Madaus amp Co D 5000 Koln Integral S A 25 rue d Epernay Luxembourg EDITORIAL Le Bulletin Fin de l ann e 1978 une enqu te dont les r sultats sont publi s dans ce num ro a t faite aupr s des abonn s r sidant au Luxembourg Les questions pos es avaient pour but non seulement de conna tre leur opinion mais galement d adapter dans la mesure du possible le Bulletin aux besoins exprim s Pour cette enqu te uniquement les abonn s locaux ont t demand s Il est relever que ceux ci constituent seulement la moiti de l ensemble des abonn s Les num ros allant l tranger vont surtout des personnes affili es d une mani re ou d une autre une facult universitaire ou autre institution scientifiq
106. ronchique chez les fumeurs reste le plus connu 88 de l ensemble des enseignants mais on saisit dans une moindre proportion 78 80 o le p ril des affections cardio vasculaires DISCUSSION Le nombre des fumeurs parmi les enseignants de Craiova reste inf rieur aux chiffres rencontr s chez 1207 enseignants des coles primaires danoises par Egsmose et coll qui constatent en 1972 une proportion de 34 o fumeurs et 14 9 o anciens fumeurs pour les femmes et 59 fumeurs et 17 anciens fumeurs chez le sexe masculin 4 5 On remarque cependant que la proportion des femmes augmente Craiova par rapport aux donn es disponibles d une enqu te r alis e dans la population g n rale dix ann es auparavant par nous m me car en 1968 on a enregistr 33 27 fumeurs chez le sexe masculin vis vis de 44 pr sent et 4 34 seulement chez les femmes vis vis de 22 9 en 1967 6 Chez les tudiants de l Universit de Craiova la proportion des fumeurs s l ve 46 pour le sexe masculin et 11 pour le sexe f minin 7 Les donn es de la litt rature sur la fr quence du tabagisme chez les enseignants sont tr s rares mais de r cents travaux soulignent l accroissement de l habitude du fumer chez les jeunes gens Palamidessi Matteoli et Borchi 9 rencontrent 37 50 de fumeurs sur 1 115 tudiants italiens proportion l g rement sup rieure chez le sexe f minin Parmi les Sujets australiens g s au del de 16 an
107. s certains travaux 16 17 tel n est pas le cas La r ponse de l hormone de croissance tant normale l inflation insuli n mique la p riph rie semble seule res ponsable de la chute glyc mique tardive La courbe moyenne des sujets t moins r v le l existance de pics secondaires dans la pente descendante 12 13 Ces pics apparaissent plus nettement sur les courbes individuelles car ils sont estom p s dans la courbe moyenne du fait qu ils se produisent des moments diff rents suivant le sujet Dans le diab te chimique ces pics n existent plus Chez le sujet normal le m canisme r gulateur h pati que de la captation et de la production d insuline et de glucose tant intact une certaine quantit d insuline et du glucose est retenue lors du premier passage dans le foie avec comme cons quence une amputation de l ascension glyc mique en p riph rie Les fluctuations glyc miques ult rieures r sultent de la r sorption glu cos e qui se poursuit et de la captation production h patique de glucose et d insu line L insuline jouerait le r le d terminant dans ce ph nom ne 18 Le diab te chimique est classiquement consid r comme un avant stade du dia b te sucr Compte tenu de nos r sultats il nous semble que cette d nomination de diab te est abusive car nous manquons l heure actuelle du recul n cessaire pour pr tendre que ce trouble m tabolique volue n cessairement vers le diab te
108. sachets repas vari s ce qui correspond une journ e Kousa Line Drinks 950 Kcal Vendu en pharmacie C Informations compl mentaires et chantillons sur demande S A MILUPA Hendrik I lei 327 B 1800 VILVOORDE T l 02 251 52 80 voll 801 0201 86198584 SG 96 jeo 1000 gt d oueqi 0921 9 20 Er 608 687 809 s nawn UON seibep y 18 2 Z 8C SL IL 61I8 69 21 s nawn susiouy 1100 66 922 8901 oe 0991 pr 2962 ml 182 sinowny SIISUAUE LOISUSUSd H 176 16 0201 86 6208 224 196 Ilo 1 900 gt d eueqy 0701 29 908 v2 8 167 809 s nawn UON S916ep p inod Alip 092 6 legeg 09 21 s nawn su louy X 9026 92 leen OF 239 SIZ os sinawung np 88 98 999 C9 0978 018 196 Jeol 200 gt d ouequ 02 6S v 06 9698 615 809 s nawn VON S9169p nod 661 69 9 8206 69 21 s nawn su louy 09921 X 068 sz 196 18 618 622 182 sinawung amp enbliuoiyo eyyouosg 069 19 z9 S 9 6008 918 196 ao gt d h qi 279 ec IF Gc 68 pvo 809 s nawn UON 59 y GEL Lip prte 89 21 s nawn su l5uy anod 2016001 X 986 Le 926 9z 1268 vez 182 sinawung enbiyouoiq j95ueo 0 0 N 0 0 N 0 0 N sesuai cos oz 6 ep uonuedde S UON no o sjugubiasus s p ssuoda 023 1 31 uolleolJiu6 s sige
109. sit digestif se r tablit au 5e jour mais l atonie sphinct rienne persista ne assistance respiratoire fut n cessaire jusqu au 13 mai La paralysie sensitivo motrice atteignait le niveau Dio le 20 juin puis s y stabilise pour un mois La my lographie de contr le est normale Le patient sortit le 31 juillet 1978 et au contr le la mi octobre la r cup ration sensitive est compl te un automatisme sphincterien s est tabli mais la parapl gie n evolue plus DISCUSSION La premi re observation d HESS fut rap port e par JACKSON 8 en 1869 le nom bre de cas recens s ce jour 9 ne d passe gu re la centaine Toutefois quel ques l ments remarquables peuvent tre mis en vidence L HESS se caract rise par une parapl gie sensitivomotrice le plus souvent flas que qui sans distinction de sexe frappe tous les ges rarement chez l enfant 7 15 et plus fr quemment au del de 50 ans Plusieurs diagnostics differentiels sont vocables tableau En g n ral l h matorachis survient brutalement dans un tableau de douleurs aigues localis es ou radiculaires pr c d es parfois de pro dr mes douleureux mod r s 15 17 com me dans notre observation La douleur dans tous les cas signe le niveau anato mique de la l sion qui peut tre en tout point du canal rachidien mais le si ge dor sal est le plus fr quent Cliniquement 236 l atteinte de la queue de cheval a toutefois
110. stellung erfolgen Nebenwirkungen Bei der empfohlenen Dosierung kommt es selten zu Nebenwirkungen Ge legentlich k nnen Magen Darm Beschwerden auftreten in diesen F llen ist die Dosis zu reduzieren Bisher keine bekannt Hinweis Mucopront Saft ist auch f r Diabetiker geeignet Dosierung Kapseln Erwachsene anfangs 3mal t gl ch 2 Kapseln nach Besserung Ho ie 17 s re nu En or it re Fl ssigkeit Saft Erwachsene anfangs 3mal t glich 1 EBloffel nach Besserung der Beschwerden 3mal taglich 2 Teeloffel Saft eel ffel Kinder von 1 bis 5 Jahren 2mal t glich 1 Teel ffel Saft en M yront Kapseln OP mil 20 Kapseln O P mit 50 Kapseln Mucopront Saft O P mit 200 ml nn Repr sentant g n ral au Grand Duch Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Quelques causes rares d occlusion m canique de l intestin gr le chez l adulte Ph POIVRET F OGORZALY R BENICHOUX CLINIQUE CHIRURGICALE A C H U de BRABOIS 54500 VANDOEUVRE LES NANCY MOTS CLES INTESTIN GRELE OCCLUSION AIGUE CAUSES RARES TITRE COURANT OCCLUSION AIGUE DU GRELE Adresse pour les demandes de tir s part Prof R BENICHOUX Clinique Chirur gicale A C H U do Brabois 54500 VANDOEUVRE LES NANCY Bull Soc Sc M d 2 231 1979 INTRODUCTION L occlusion m canique de l intestin gr le doit tre op r e le plus t t possible pour viter la gangr ne intestinale Elle survient en cas d tranglement
111. stic et de la th rapeutique Le tableau suivant les r sume U a D lai de Age Ant c dents l op ration Nature Occlusion r aaa SS E NANANG NG NG a 78 Cure hernie crurale trangl e 4 mois R tr Cicatriciel 25 Trauma abdominal appuy 22 jours Rupture sous s reus2 55 T nia 5 jours Orifice dans l piploon 67 Cure hernie ing simple Immediate Bride coecum cicatrice Le diagnostic n a t imm diatement vident avec une occlusion franche aigu que dans deux cas sur quatre Pour les deux autres cas l occlusion n a jamais t franche mais entrecoup e de phases de transit intestinal apparemment normal Dans un cas m me l occlusion a t pr sum e d origine paralytique puisqu on pens la possibilt d un h matome r tro p riton al Le diagnostic de la cause de Hocclusion n a t fait que pour la premi re malade qui avait t op r e 4 mois aupa ravan d une hernie crurale trangl e avec une anse gr le la limite de viabilit Pour tous les autres patients la laparotomie a t d cid e de principe L op ration elle m me n a jamais pos de probl me Elle a consist en deux r sections du gr le et deux d sincarc ra tions simples 1 bride sectionn e 1 orifice supprim dans l piploon par r section de ce dernier La litt rature chirurgicale moderne est plut t avare de statistiques sur les occlu sions m caniques de l intestin gr le et l
112. suffisances circulatoires c r brales f s quelles motrices ou sensorielles des acci dents vasculaires c r braux symptomatologie fonctionnelle du malade vasculaire Formules Isk dyl gouttes Raubasine base 0 80 g M thane sulfonate de dihydroergocristine 0 10 g Excipient q s p 100 ml de solution Iskedyliniectable Raubasinebase6 25mg M thane sulfonate de dihydroergocristine 0 3125 mg Excipient q s p ampoule de 2 5 ml Pr sentations Isk dyl gouttes Flacon de 30 ml Laboratoires Pierre Fabre Fimex 125 rue de la Faisanderie 75116 Paris Isk dyl injectable Boite de 6 ampoules de 2 5 mi Posologics f Isk dyl gouttes 90 120 gouttes par Jour en trois prises Isk dyl injectable 3 6 ampoules par jour N B Ne pas m langer Isk dyl avec les solut s alcalins FROPHAC LUXEMBOURG Case Postale 2063 T l 48 24 82 Une forme dhematorachis Vhematome extra dural spontan Docteur A VANNINEUSE INTRODUCTION L h matome extra dural spinal spontan HESS est une vari t rare d h matorachis mais son diagnostic doit tre voqu et confirm devant un tableau de para pl gie d installation brutale car seul un traitement chirurgical promptement instaur est susceptible de pr venir une infirmit grave et d finitive LE CAS CLINIQUE Le patient homme de 24 ans non alcoolique et aux ant c dents banaux se plaignait depuis une semaine de douleurs interscapulaires mod r es
113. t o 5 o o 3 ne 3 g E o o o 2 Es 5 D 5 wi D s S 3 25 o o 5 e 5 Bar E za a E 3 lt 1er lieu 24 17 20 10 6 18 2e lieu 34 24 sk 12 6 9 9 en 4e lieu 10 15 7 18 8 15 13 5e lieu 4 7 17 9 13 13 7 6e lieu 4 2 16 8 14 16 4 93 1 91 2 63 7 89 3 80 4 75 5 74 6 A ia question No 4 Le fait qu il y ait de la publicit l int rieur d un article vous g ne t il 45 personnes ont r pondu affirmativement 30 2 Les autres 104 69 8 2 0 ne sont pas g n s par ce fait Les r ponses au points 5 et 6 du questionnaire constituent le tableau IV qui montre que la plupart des r ponses sont dirig es vers un p riodique local et un p riodique supra r gional multilingues Chez les g n ralistes on note une tendance vers le fran ais En ce qui concerne les p riodiques Suprar gionaux on constate aussi que les sp cialistes en m decine interne aimeraient des articles en fran ais et anglais 227 TABLEAU IV p riodique local p riodique suprar gional o Langues s p riod Toz biz sp cialit abonn s E 5 F SI lt ee e a Med Int all fr angl 18 5 1 13 11 M d G n all fr angl 22 4 16 3 5 8 Gastro all fr angl 2 1 1 Cardio fr ang 1 1 K 1
114. tog ne il conviendra toujours de mettre en balance les risques ventuels et les effets th rapeutiques ventuels avant d administrer le m di cement aux femmes enceintes posologlo et mode d administration a Dyspepsies chroniques administration orale surtout Adultes 10 mg 1 comprim ou 1 mi de la solutiongouttes 1 ou 10 mi de la solution orale 3 fois par jour 15 30 minutes avant les repas si n cessaire encore une prise avant le coucher Enfants solution goutles 1 1 goutte 0 3 mg par kg de poids ou solution orale 0 1 1 4 de la mesurelte la division de 1 25 mg par 5 kg de poids 3 fois par jour avant les repas et si n cessaire avant le coucher Remarques Site r sultat s av re insuffisant la posologie ci dessus peut tre doubl e I est conseill de diluer les gouttes dans un peu de liquide agiter avant l administration b Conditions aigu s et subaigu s principalement naus es et vomissements Adultes ampoules 1 empoule 10 mg au besoin 20 mg par voie intra veineuse ou intramusculaire cette dose peut tre administr e 6 fois par jour posologie maximale 1 mg par kg par jour suppositolres adultes 60 mg 2 4 par jour voie orale 20 mg 2 comprim s ou 2 m de la solution gouttes 1 3 4 fois par jour avant les repas et avant le coucher cette dose peut tre dou bi e Enfants ampoules lt p diatrie 2 mg ml 0 1 0 2 mg
115. uants s datifs du Lonarid est largement compens e par la caf ine En cas d absorption constante doses lev es est toutefois possi des automobilistes et des personnes prenant part fa circulation Ce m dicament contient du parac tamol un d riv de la ph nac tine L usage prolong de ce m dicament peut Provoquer de graves alt ra tions r nales Ne pas utiliser plus de 10 jours Sans consulter un m de cin Pr sentations Comprim s s cables Tube de 20 comprim s Conditionnement clinique de 200 comprim s 1 o lt EH LL F 1 SS Boe ringer fil E g 4 IIIIIII 3 BOEHRINGER ce INGELHEIM Ingelheim n v Boehringer Ingelheim s a rue du Coll ge St Michel 17 1150 Bruxelles 210 B frz TABLEAU REPARTITION DES REPONSES DANS LES DIFFERENTES SPECIALITES MEDICALES M decine G n rale 42 r ponses sur 108 38 8 o M decine Interne 24 sur 51 47 o Dentistes 13 Chirurgie 9 Gyn cologie 8 Pharmaciens 8 Ophtalmologie 6 P diatrie 6 Neuro Psychiatrie 5 Radiologie 5 ORL 3 Pneumologie 3 Urologie 3 eeng 7 repr sent es par moins de 3 r ponses ne sont pas consid r es dans ce TABLEAU Il LE TABLEAU 11 NOUS RENSEIGNE SUR LES REPONSES AU POINT 3 DONT SES 62 4 SONT EVALUABLES REPON o o 5 g g
116. ue et des biblioth ques etc Malgr ce fait nous pensons que le Bulletin doit r pondre surtout aux besoins expri m s au Luxembourg Dans la mesure du possible nous nous efforcerons de r pondre aux besoins de ces abonn s dont par ordre de pr f rance les rubriques principales sont les suivantes attitu des th rapeutiques communications br ves mises au point Nos abonn s de par la structure du Luxembourg ne voient pas d inconvenient majeur au fait d avoir un journal o des articles en allemand anglais et fran ais sont inclus Il appara t en suivant les diff rents travaux d informatique m dicale des derni res an n es qu il faudrait diffuser surtout d une part des journaux nationaux ou internationaux avec une information originale et fondamentale clinique ou th orique et d autre part des p riodiques m dicaux locaux qui doivent r pondre aux besoins directs de leurs destina taires Par le passe il a t souvent difficile d attirer assez d articles de qualit En affirmissant les crit res de s lection progressivement la qualit des articles soumis a t meilleure et leur nombre a galement augment Au cours des derni res ann es nous avons pr f r diminuer le nombre de pages des diff rents num ros plut t que d accepter pour publica tion certains travaux plut t douteux Le Bulletin va donc comprendre l avenir part des travaux originaux soumis les rubriques suivantes att
117. ulement tr s bien conna tre les risques du tabac mais aussi de ne pas fumer afin de disposer de l autorit n cessaire pour dissuader la population les jeunes gens en premier lieu ne pas commencer consommer la cigarette ou de renoncer du tout au tabac RESUME Une enqu te chez 961 professeurs qui enseignaient les l ves partir de la Ve la Vile classe dans les coles de Craiova a r v l 43 96 o fumeurs 14 24 anciens fumeurs et 41 80 non fumeurs chez les hommes vis vis de 27 79 4 07 et 74 14 chez les femmes P 0 001 Deux tiers des fumeurs ont interrompu parfois la cigarette Plus de la moiti 53 58 9 0 ont commenc fumer avant l ge de 20 ans Pr s d un tiers fument jusqu 10 cigarettes par jour un tiers de 11 20 cig j et 6 05 plus dun paquet les hommes fumant une quantit trois fois sup rieure vis vis des femmes P 0 001 La curiosit reste la raison initiale majeure du tabagisme suivie par la phantaisie l in tervention d une d ception et le d sir d imiter les amis C est l accoutumance d autre qui d termine le plus souvent les gens continuer fumer ainsi que le plaisir l effet calmant la phantaisie et l ennui Les enseignants semblent bien inform s sur les dangers du tabagisme mais ce sont toujours les anciens fumeurs qui connaissent mieux la nocivit du tabac pour la sant Apr s avoir pass en revue quelques donn es actuelles sur le tabagisme
118. une inefficacit in sulinique est difficile admettre en pr sence d une chute glyc mique excessive Toutefois le rapport UG sup rieur tout moment avant et apr s la charge en glu cose d montre l exc s d insuline la p riph rie ainsi qu une certaine insulinor sistance Nos arguments exp rimentaux vont dans le sens de la troisi me hypoth se La vitesse d ascension glyc mique est tr s significativement acc l r e dans le diab te chimique alors que le temps qui s cou le jusqu la glyc mie maximum est le m me que chez les t moins Pareillement l insulin mie p riph rique augmente rapi dement chez les diab tiques semble que dans le diab te chimique le glucose et l insuline ne soient pas ou tr s peu capt s par le foie et passent directement la p riph rie Un autre argument en fa veur de cette hypoth se est le fait que Pinsulinemie p riph rique du diab te chi mique est en moyenne sup rieure avant la charge glucos e en r sulte des cour bes glyc miques et insulin miques tr s lev es Dans le diab te chimique avec hypoglyc mie r actionnelle il y aurait donc un d faut de captation h patique de l in suline et du glucose Le d bit glucos h patique s en trouve augment tout com me dans le diab te insulinod pendant 15 o il est tripl par rapport au sujet nor mal On pourrait pour expliquer l hypoglyc mie invoquer un d faut en glucagon mais d apr
119. ur les courbes int grales sont analys s en par ticulier la glyc mie de je ne ou de d part Go la glyc mie maximum vraie Gmax la glyc mie minimum vraie Gmin le mo ment pr cis de ces glyc mies T Gmax T Gmin les vitesses d ascension ou de descente glyc miques moyennes apr s la charge orale en glucose VAGMO VDGMO la somme des glyc mies aux temps 0 60 120 et 180 minutes 2 G Param tres hormonaux L insuline 9 et l hormone de croissance 10 sont dos es sur des chantillons sanguins mul tiples de 6 en 6 min obtenus par aspi ration en continu d bit constant ont t calcul s galement le rapport 6 et A Insulin mie diff rence entre l insulin 192 mie initiale et les niveaux insulin miques eux diff rents pr l vements RESULTATS Le tableau 1 repr sente les r sultats des deux groupes de sujets tudi s Sous chaque param tre concernant la courbe glyc mique figurent les normalit s d enre gistrement en continu Il existe une diff rence dage nette en tre nos deux groupes de comparaison les t moins tant significativement plus jeu nes Cette diff rence est cependant de peu de cons quence tant donn qu une tude sur l HGPO en enregistrement con tinu a montr que les courbes ne se dif f rencient en fonction de l ge que dans la tranchs de 40 50 ans 11 En d fini tive il importe dans cette tude que le groupe ds r f rence soit
120. uvent plus lev es que les concentrations s riques une seule administration quotidienne par voie orale bien tol r pourcentage lev de n gativations m me chez des sujets porteurs de formes chroniques polyr sistantes Pr sentations g lules de 150 et 300 mg d antibiotique Pour tout renseignement suppl mentaire consulter la notice explicative GRUPPO LEPETIT S p A MILAN ITALIE Repr sentant pour le Grand Duch de Luxembourg PROPHAC S r Caso postale 2063 T l 48 24 82 R ckkehr zur vegetativen Normotonie DET MS retard bei Orthostase Flimmern vor den Augen Zusammensetzung jo Kansei je mi DETMS je Tabi OCihydroergotamin DETMS retard 20 Tropfen DETMS methansulfonat 2 5 mg 2 mg mg Indikationen Hypotoner Symptomenkomptex orthostalische Kreisiaufst rungen Migranepropmylare Intervalibehandiung bei normo brw hypotoner Ausgangslage vaskulare Kopfschmerzen Kontraindikationen Keine bekannt Besondere Hinweise DETMS Tropfiosung let l nger als 3 Jahre haltbar Nach dem Anbrechen des Flaschchens solite der Inhalt innerhalb eines Jahres verbraucht werden Handelsformen Packung mit 50 Kapseln Packung mit 250 Kapsein Packung mit 50 mi Tropflosung Packung mit 100 mi Tropti sung Packung mit 50 Tabletten Packung mit 250 Tabletten PROPHAC Luxembourg BR 2063 Tel 48 24 82 lt lt Tachykardie 4 Kribbeln 4 A in den 7 Extremit ten
121. ve nos quatre observations d occlusion m canique du gr le ne sont exceptionnelles qu en apparence Nous ne les publions que pour confirmer la r gle fondamentale de la laparotomie dans l occlusion m canique du gr le RESUME Les auteurs pr sentent quatre observa tions d occlusion aigu ou sub aigu amp du gr le de causes inhabituelles deux ste noses cicatricielles apr s traumatisme ou hernie trangl e deux traglements excep tionnels orifice du grand piploon et bride sur cure de hernie inguinale avec appendicectomie Malgr la difficult du diagnostic et le retard de l indication op ratoire les interventions et les suites ont t simples lis rappellent que m me en l absence d tranglement ou d op ration BIBLIOGRAPHIE 1 TINKER M A TEICHER I BURDMAN D Cellulose granulomas and their relationship to intestinal obstruction Am J Surg 1977 133 134 139 2 TH ASZ M Mechanical ileus of the small intestine Zontralbl Chir 1972 97 1441 1446 3 KAINBERGER EI Rare causes of mechanical ileus of the small intestine Wien Z Inn Med 1972 53 313 318 4 TACZANOWSKI W KRAWCZYK M Mecha nical obstruction of the small intestine due to obturation of the intestinal lumen by oran ge morsel Pol przegl Chir 1972 44 745 746 5 DELABY F BLOCH P Small intestinal occlusion by primary neoplastic stenosis Concerning 10 patients J Radiol Electrol Med Nu

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