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Passion Architecture n°30

1. es i E a N B GA m f 3 4 e d ER 1 Te ee eS PE CEE i i zE es r 2 P arira z e Taou E x g LL La Rochelle ET SON AGGLOMERATION L Unsfa et l quipe de Passion Architecture remercient tous les architectes ayant particip ce cahier sp cial d di l architecture de la ville de La Rochelle et son agglom ration SELARL Beaudouin Angel architectes Herv Beaudouin et Beno t Engel 4 13 et 18 Deshoulieres Jeanneau Architectes 7 et 24 Mc Mahon amp Co architectes 1 10 et 22 ATAU Atelier d Architecture et d Urbanisme Benoit Dargent architecte 3 14 19 et 26 Marc A C Henry architecte DPLG 12 20 et 28 SARL Lionel Coutier Architecte 2 9 et 15 Christian Menu architecture 8 11 21 25 et 27 SMART Architecture EURL St phane Martinez 5 et 16 Weygand Borrom e Badani amp Architectes 6 17 et 23 SEPTEMBRE 2009 PA n 30 nifa 20 Christian Menu architecte mans 7 Philippe Ruault 1 Si ge de l universit dela ROCNElE s lectionn parmi les r alisations fran aises les plus marquantes du 207 si cle livraison 1992 2010 2 Logements sociaux La Rochelle ma tre d ouvrage OPHLM livraison 2003 prix de la qualit architecturale minist re de la Culture 3 Mus e Cognaca h tel de Clerjotte Saint Martin de R 17 extension r habilitation en secteur sau
2. Le 40 congr s c est 40 ans de combats syndicaux men s par l Unsfa au service des architectes et de la profession Pour f ter cet anniversaire nos pr sidents d honneur et nos anciens militants seront l pour nous conter l histoire et les luttes de l Unsfa Cette ann e 2009 est la fin de mon second mandat Mon successeur sera lu lors de l Assembl e G n rale Quatre ans de mandat cela a t quatre ans de grand investissement en temps mais quatre ans de valeurs militantes et de richesses humaines qui m ont permis de poursuivre le travail de mes pr d cesseurs Nous avons au cours de ces quatre ans engag toutes les actions qui peuvent positionner les architectes et les mettre en dynamique La formation initiale est essentielle et nous demandons au gouvernement de donner aux coles les moyens financiers qu ils n ont pas Le manque d investissement de l tat dans la formation des architectes pour l int r t de tous nos concitoyens se traduit aussi dans la dur e et le contenu affligeant de la s quence professionnalisante dite HMONP Nous ne signerons pas le protocole HMONP qui fait r f rence aux six mois de mise en condition professionnelle et 160 heures th oriques Nous ne d rogerons pas aux deux ans et 400 600 heures th oriques valid es par le CAE et l UIA apr s cinq ann es de formation initiale Au del de cette formation l Unsfa vise plusieurs objectifs e le renforcement structurel et financier des
3. dans le march le plus popu laire de la ville une exposition sur le fleuve Sabarmati comme cosyst me P A Depuis presque dix ans dans l H rault vous avez orient vos efforts vers des implications citoyennes d abord comme lu dans une petite commune puis avec l association la Manufacture des Paysages B K C est partir de Villeneuvette ancienne manufacture royale du 17 si cle v ritable bijou entour de champs que j ai prouv un sentiment de responsabilit vis vis du monde environnant Comme lu comme architecte il m a sembl d autant plus important de pou voir valoriser un tel exemple de coh rence urbaine vis vis des communes environnantes Celles ci sont d j par tiellement d figur es par l talement urbain qui d stabilise le fragile quilibre du tissu rural Depuis 2002 l association tente de sensibiliser les lus habitants et bien videmment les jeunes penser une urbanisation territoriale coh rente Penser puis essayer de cr er dans un environnement domin par l h g monie marchande et les pertes de valeurs et d identit P A Quels sont les personnes qui ont le plus marqu votre parcours B K Gandhi Martin Luther King Paolo Freire Ivan Illich puis Patrick Geddes qui reste pour moi un incon tournable visionnaire Des penseurs comme Martin Buber Dom Elder Camara Pierre Rabhi Et dans notre domaine Louis Kahn Aldo Van Ey
4. dition France 10h 20h Ev nement exclusif pr sentant les innovations d industriels de la construction Concept qualitatif et sc nographie originale Conf rences sur l architecture et pr sentation de projets Exposition C h AMELEON des mat riaux qui changent organis e par Innovath que FCBA Exposition GLOBAL AWARD FOR SUSTAIN ABLE ARCHITECTURE 2007 2008 2009 par la Cit de l architecture et du patrimoine Obtenez votre badge d entr e via le site internet code 10250 Entr e r serv e aux architectes architectes d int rieur designers urbanistes conomistes et autres prescripteurs pour l architecture www architectatwork fr ETS i PE as arc s ps Uig e a agenceurs PT E t kE hri IEC IN BS m interja aceFLOR E EGGER ESTENSI Profils Custom Rare ME NUS UN Leading innovation gt gt Cr dit photos Espace Photo Gaz de France KELER ALAIN GROSJEAN PIERRE FRANCOIS DUREUIL PHILIPPE juin 2008 Conception Dialectica 01 44 78 67 22 GrDF 6 rue Condorcet 75009 PARIS SA au capital de 1 800 000 000 euros RCS Paris 444 786 511 Vous informer et concevoir ensemble les solutions les plus performantes pour vos b timents Vous accompagner et faciliter vos projets jusqu au raccordement au r seau de distribution de gaz naturel R pondre aux exigences de performance nerg tique de vos b timents labels HPE THPE et BBC et associer id alement les nergies renou
5. l tait galement l auteur de nombreux ouvrages et articles Fran ois Ascher concentrait ses tudes autour de trois axes de recherche mode de vie mobilit s et tempora lit s dans les villes et sociologie des pratiques alimentaires Le Grand Prix de l urbanisme venait r compenser sa recherche utile au service de la ville et de l action urbaine Actuas A honneur bti SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unila a ag D DL Il MIIL T Ti HR JS l S i z x mn m aT T Fe F j T e se EE Mi i daga W sl Lt E il TT DONNE CRIE iii o c EEE n a RE EE a A ams a a CR ee FT ph i DLL LL NOS CERTIFICATIONS APPORTENT LA PREUVE DE LA QUALIT TECHNIQUE ET ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS HABITAT NEUF I environnement I acoustique I thermique Photo G PICARD Design Luclole ao t 2009 I sant des occupants I ma trise des charges PATRIMOINE PATRIMOINE st ie es re accessibil te Faire progresser la qualit de l habitat par la certification ge SO REIM Architecte M MALBEC Photo F RENAULT urbanisme Ma tre d ouvrage SAGI Architecte O SEYLER Les certifications de l habitat neuf sont d livr es par CERQUAL Les certifications de l habit
6. I D Living se d cline en 4 tendances selon les go ts et les envies Contemporain l gance Loft vintage ou Authentique travers une s lection d images authentiques pour cr er des ambiances sur mesure Passeport technique e PVC h t rog ne avec d cors imprim s haute d finition recouvert d une couche d usure transparente en PVC pur de 0 30 mm e Facilit d entretien et durabilit gr ce au traitement de surface TOPCLEAN PUR qui ne n cessite ni cire ni m tallisation vie e Haute r sistance au poin onnement lt 0 05 mm e Traitement trafic mod r U2sP2 e Groupe d abrasion T e Produit recyclable La nouvelle collection I D Living de Tarkett se pr sente comme un guide de choix parmi les tendances actuelles Demande en cours enregistr e sous le N 09 4002 du 03 mars 2009 valable 1 an Pour plus d informations Wwww unsfa com Brevet par Soprema en exclusivit mondiale Flaxline s adresse Flaxline est un mat riau l ger facile poser tr s agr able au toucher La fibre de lin utilis e est un produit naturel issu de l agriculture fran aise Le processus de fabrication par hydroliage a un tr s faible SCH CO MENUISERIES ALU PVC FA ADES VERRI RES PANNEAUX SOLAIRES BRISE SOLEIL STORES D OCCULTATION EXT RIEURS R gis MOTTE E mail schuco keops net N Vert O 820 20 20 21 Site Internet www schuco fr sikkens SIKKENS MARQUE INTERNATIONALE DU GROUPE AKZO NO
7. SEPTEMBRE 2009 N 30 Europe La profession d architecte en Europe Vie syndicale Lettre de l Unsfa Fr d ric Mitterrand TELE A ANT Ce or Philippe Ruault e un j A A 0 A Tie SN i 4 i e Diii DiNi Bon sens La concurrence est elle loyale suite ECOSYSTEN a a Ji D L architecture au quotidien a y Entretien AE CSN A NES 4 ut h avec Bernard Kohn N La Rochelle LA REVUE SYNDICALE DES ARCHITECTES L UNION DES ARCHITECTES Ma itrisez votre consommation d nergie VAS z ESR di PN p ie Ava TN Vous souhaitez faire des conomies d nergie en modernisant votre logement Vous pouvez d s maintenant b n ficier de l Eco pr t taux z ro et de Votire compl mentaire Cr dinerg ie du Cr dit Mutuel T Le Cr dit Mutuel vous accompagne et vous propose une gamme de solutions adapt es vos projets Conf d ration Nationale du Cr dit Mutuel 88 90 rue Cardinet 75017 L Eco pr t est un engagement du Grenelle Environnement Il permet de financer la r novation nerg tique des logements et ainsi de r duire les consommations d nergie et les missions de gaz effet de serre Voir conditions dans les agences Cr dit Mutuel Cr dit Mutuel M Jbanque qui parler dito Le 40 congr s de l Unsfa se tiendra cette ann e la Rochelle les 10 11 et 12 septembre 2009
8. 0 80 en version murale En laine de roche 100 recyclables les l ments SELVA r pondent aux besoins des ERP en mati re de s curit incendie Faciles d entretien leur surface est durable et ils ne favorisent pas le d veloppement de micro organismes urr SCHUCO R gis Motte E mail schuco keops net N Vert O 820 20 20 21 Site Internet www schuco fr Fa ade E Sch co un syst me modulaire combinant l efficacit nerg tique l intelligence et l esth tisme e Structure de fa ade Sch co SFC 85 Des ouvrants automatiques ont t d velopp s sur la base SFC 85 de Sch co garantissant un clair de jour optimum Dor navant les fen tres d une largeur atteignant jusqu 2 70 m peuvent tre choisies comme ouvrants e Ventilation d centralis e Les co ts d nergie peuvent tre r duits de 30 Associant ventilation naturelle et de nuit ce module offre tous les b n fices d une ventilation double flux e Protection solaire Un store d ext rieur CIB de haute performance est int gr de fa on transparente dans l enveloppe du b timent permet tant la diminution des co ts d clairage et la r duction des consommations d di es au refroidissement e Modules photovolta ques semi transparent Les cellules photovolta ques int gr es selon une technologie de film mince ou cellules cristallines assurent d incomparables performances de rendement thermique SP CIALISTE MONDIAL DES PRO
9. 2 Art L 1237 9 du Code du travail rendant caduque l application du tiret 1 de l article XIV 1 2 de la Convention collective des Entreprises d architecture soit 1 429 50 euros par mois en 2009 Le r gime g n ral est compl t par les r gi mes compl mentaires obligatoires AGIRC et ARRCO qui fonctionnent eux selon la technique du point D une mani re g n rale tant donn que les pensions sont nettement inf rieures aux salaires l cart entre le revenu disponible d un retrait et d un actif cadre est d environ 40 60 et de 30 pour un employ Les syst mes d pargne collective dispositifs de compl ments de retraite Gr ce l offre d Epargne Salariale des Professions Lib rales ES PL les architectes peuvent notamment adh rer un plan d pargne inter entreprises PEI plans d pargne 5 ans et un PERCOI Plan d Epargne pour la retraite Collectif Inter entreprises plan d par gne horizon retraite Deux dispositifs bas s sur les performances de l entre prise La possibilit offerte par la loi du 3 d cembre 2008 aux dirigeants de PME de b n ficier titre personnel de l par gne salariale est aujourd hui un l ment encore plus attractif en faveur du d ve loppement de ces outils que le cr dit d imp t pour l entreprise elle m me Instaurer un entretien de carri res pour tous les salari s partir de 45 ans Depuis le 26 juillet 2006 tout salari doit b n
10. Cahier sp cial La Rochelle L architecture au quotidien Entretien avec Bernard Kohn Infos sociales R forme des retraites et emploi des seniors Infos juridiques R forme du permis de construire R forme de l instruction Infos techniques Archi culture 12 14 DTO WENG 19 24 29 20 28 DOS 34 35 36 37 38 39 41 42 PASSION ARCHITECTVRE 29 boulevard Raspail 15007 Paris T l 33 1 45 44 58 45 Fax 33 1 45 44 93 68 E mail contact unsfa com Directeur de publication Michel Roulleau R dactrice en chef Isabelle Chinardet Cantineau Charg s de rubriques l honneur et actuas Isabelle Chinardet Cantineau et ditions PC Bon sens Gilbert Ramus Europe et International Didier Prost Ewa Struzynska Formation Patrice Bailly Laurence Guibert Michel Rouleau Didier Prost Vie syndicale Jean Marie Hennin Club Prescrire Michel Hord Collectivit locale et cahier sp cial architecture nous fait la vill e meilleure Giles Garby ditions PC lodie Vin Infos juridiques Antoine Daudr Vignier Philippe Klein Gilbert Ramus et Patrick Julien Infos dialogue social Alain Masson et Patrick Julien Recherche et d veloppement durable Fran ois P legrin conomie globale Dominique Riquier Sauvage urbanisme durable G rard S nior infos techniques Centre de ressources et p le de comp titivit Isabelle Dumas Bamoud Michel Jarleton E
11. INCENDIE S RET ET MALVEILLANCE Doroth e DUEZ E mail dorothee duez chubb fr T l 01 30 17 35 34 Site Internet www chubbsecurite com D GAMME DE CIMENTS ET CHAUX ADAPT E TOUS LES BESOINS Roland MERLING E mail rmerling ciments calcia fr T l 01 34 77 77 71 Port 06 72 72 33 79 Site Internet www ciments calcia fr Ciments Calcia Italcementi Group TECHNIQUE DE PORTE PORTES AUTOMATIQUES SOLUTIONS ARCHITECTURALES DU VERRE S CURIT TEMPS ET ACC S MURS MOBILES Sandrine DEMAS E mail sandrine demas dorma com T l 01 41 94 26 50 Site Internet www dorma fr 20 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 FERRARI architecture A Catherine Siepiora RESPONSABLE PRESCRIPTION E mail catherine siepiora tesf fr For 06 75 38 41 07 Site Internet www soltis textiles com Soltis 99 Activ la protection solaire int rieure en environnement sensible Les infections nosocomiales sont reconnues comme des probl mes ma jeurs de sant publique Ferrari apporte sa contribution pour lutter contre ce ph nom ne en d veloppant un textile bact ricide pour la protection solaire int rieure Soltis 99 Activ Gr ce un traitement bact ricide innovant Soltis 99 Activ vite non seulement la prolif ration des bact ries mais il en d truit jusqu 99 9 Soltis 99 Activ participe donc activement au maintien d un environne ment sain dans les lieux les plus sensibles tablissements d
12. Prise en charge par les organismes de formation elle se d roulera par modules d une journ e en petits groupes de 4 5 personnes Notre objectif est d ex pliquer tous les syst mes de ventilation existants la r glementation et surtout d changer avec pour mot d ordre une r flexion sur l enjeu pos par la venti lation comment trouver un quilibre entre les d bits assurer pour l tre humain et la ma trise de l nergie Cette probl matique est fondamentale dans le cas d une r habilitation Un nou veau mode de vie est aujourd hui ap pr hender nous essayons d y apporter notre contribution P ia Pol ne 2 SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unija 41 Infos techniques Archi culture VISITES Alexandre Chemetoff et Patrick Henry ditons Archibooks 465 pages 44 Cet ouvrage est un recueil d changes entre Alexandre Chemetoff et des personnalit s issues de diff rents domaines histoire g ographie philosophie lors de visites de projets r alis s par l architecte Les dialogues spontan s forment le c ur de ce livre qui ne se pr sente pas comme une monographie exhaustive du travail de l agence L objectif consiste mettre en valeur une attitude et de proposer plusieurs lectures sur quelques interventions parti culi rement significatives La photomod lisation architecturale Livio De Luca pr face de Luc Robert ditions Eyrolles 251 pages 45 Ce livre traite de la photomod lisati
13. T l 01 69 18 38 43 Site Internet www nora com fr SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unia 21 Club Prescrire Club Prescrire i i J Placo JaN FABRICANT DE PRODUITS BASE DE PL TRE ET D ISOLATION PSE Pascal GUIEYSSE E mail pascal guieysse saint gobain com T l 01 46 25 46 25 Site Internet www placo fr PRIMAGAZ s CONCEPTEUR DE SOLUTIONS NERGIE GAZ DURABLE Yann LE BARILLIER E mail ylebarillier primagaz fr T l 01 58 61 50 58 Port 06 07 53 38 68 Site Internet www primagaz fr SOLUTIONS COUPE FEU INNOVANTES POUR LA CONSTRUCTION R NOVATION PROTECTION D CORATION ASSEMBLAGE CONNEXION Fabrice CHAUVIN E mail f chauvin promat fr Port 06 83 26 03 79 Site Internet www promat fr Roci f DYNAMISEZ VOTRE PLAFOND PLAFONDS ROCKFON CHOISISSEZ VOTRE ESTH TIQUE NOUS AVONS LES PERFORMANCES R mi VAGANAY E mail remi vaganay rockfon fr T l 01 40 77 82 08 Port 06 07 61 28 27 Sites Internet www rockfon fr et monoacoustic fr rT SAINT GOBAIN GLASS SAINT GOBAIN GLASS PRODUIT ET COMMERCIA LISE UNE GAMME DE PRODUITS VERRIERS DESTIN S ASSURER LE CONFORT DANS L HABITAT Gabriel MARLY E mail gabriel marly saint gobain com T l 01 47 62 34 97 Site Internet www saint gobain glass com Schindler ASCENSEURS ESCALIERS M CANIQUES ET TROTTOIRS ROULANTS Fabrice BERT E mail infomarketing fr schindler com T l 01 30 70 72 56 Site Inter
14. connaissance des contraintes et des co ts des solutions pr conis es pour l architecte Mise en avant des nouveaut s des sp cificit s d veloppement de la notori t visibilit du c t de l industriel lt lt lt Contacts Esther Pinabel directrice Gwena lle Le Ravallec charg e de communication 1 rue du Foin 75003 Paris T l 01 40 26 04 04 Fax 01 40 26 04 O5 clubprescrire clubprescrire com wwvw clubprescrire com SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unija 19 Club Prescrire MAT RIAUX DE REV TEMENT DE SURFACE INT RIEUR EXT RIEUR CORIAN ET ZODIAQ SOLUTIONS INNOVANTES POUR LA CONSTRUC TION R NOVATION PROTECTION D CORATION ASSEMBLAGE CONNEXION Jean Louis OZSVATH E mail jozsvath mmm com T l 01 30 31 64 90 Site Internet www 3m fr construction VENTILATION D SENFUMAGE TEMP RATION DIFFUSION D AIR POUR LES B TIMENTS Jean COURTOIS E mail courtois jean aldes com Port 06 82 99 65 25 8 A BONNA SABLA LA NIVE Gros uvre B timent SOLUTIONS POUR LES SYST MES CONSTRUCTIFS TRAITEMENT DES EAUX AM NAGEMENTS EXT RIEURS R SEAUX SECS ET M TIERS ASSOCI S Blandine SARRAZIN E mail b sarrazin bonnasabla com T l 05 57 95 00 95 Site Internet www lanive fr Panneaux Vibrations en Corian CERAMMLHE C SAR LA CULTURE DE LA MATIERE CUPIN mm 1 corian B atrice Lalaux RESPONSABLE GRANDS COMPTES FRANCE POUR DUPONT CORI
15. me si elle n est pas parfaite au jour d aujourd hui parce qu elle se construit elle sera pour demain vu l volution conomique la v ritable solution au service de tous Tous ces enjeux sont majeurs et je souhaite mon successeur toute la force n cessaire pour faire face l adversit et continuer le travail de l Unsfa pour l int r t de toute la profession et des architectes Merci tous de votre soutien durant mon mandat continuons tre dyna miques pour que l architecte soit reconnu comme l acteur majeur de la r alisation du cadre de vie pour tous J adresse d ores et d j toutes mes f licitations mon futur successeur Michel Roulleau Pr sident de l Unsfa VV Y v v gt gt Couverture PHOTOGRAPHIES amp R ALISATIONS En haut Logements sociaux La Rochelle architecte Christian Menu Philippe Ruault Au milieu Exposition sur le fleuve Sabarmati comme cosyst me march d Ahmedabad Inde En bas de gauche droite Fr d ric Mitterrand Didier Plowy MCC Dominique Gauzin M ller Bernard Kohn l honneur Actuas Bon sens La concurrence est elle loyale suite Europe La profession d architecte en Europe Environnement Habiter cologique Quelles architectures pour une ville durable Vie syndicale Lettre de l Unsfa Fr d ric Mitterrand Club Prescrire Formation Collectivit locale Maxime Bono maire de La Rochelle
16. re et des indemnit s de mise la retraite L allocation de fin de carri re pr vue par la Convention col lective art XIV 1 2 est en effet de 12 5 de la moyenne du salaire brut par ann e d anciennet et est assujettie en totalit cotisations et contributions sociales alors que les indemnit s l gales de mise la retraite sont pass es 20 de la moyenne du salaire brut par ann e d anciennet depuis le 26 juin 2008 et sont exon r es en totalit de cotisations sociales dans la limite de 5 fois le plafond annuel de la s curit sociale PASS Le Contrat de travail dur e d termin e senior En vigueur depuis 2006 le CDD Senior d une dur e maximale de 18 mois renou velable une fois sans pouvoir exc der 36 mois s adresse aux personnes de plus de 57 ans en recherche d emploi depuis plus de 3 mois Tout l int r t de ce CDD r side dans sa dur e maximale et dans l absence d accroissement temporaire de l activit justifier la diff rence d un CDD pour surcro t d activit Pour le reste le CDD senior rel ve des disposi tions applicables tous les autres CDD Le probl me du niveau des pensions Le montant de la pension de retraite du r gime g n ral d pend du nombre d ann es de cotisations du salaire annuel moyen SAM des 25 meilleures ann es et de l ge de d part la retraite Le taux plein est gal 50 du SAM avec un maximum th orique de 50 du PMSS
17. 41 ans de cotisations Pour eux les dur es d assurance requises sont d finitivement fig es elles n augmenteront pas quoi qu il se passe l avenir En revanche pour les personnes n es partir de 1953 c est une autre histoire Am lioration du taux de la surcote La surcote est une majoration de la pen sion de retraite de base dont b n ficient les assur s qui continuent de travailler apr s 60 ans au del de la dur e d as surance n cessaire pour obtenir une retraite taux plein Depuis le 1 janvier 2009 le taux de la surcote est port 5 au lieu de 3 pour chaque ann e accomplie apr s la dur e n ces saire pour b n ficier de la retraite taux plein Assouplissement du cumul emploi retraite Depuis le 1 janvier 2009 les retrait s peuvent reprendre une activit profes sionnelle et cumuler sans limite leurs revenus d emploi et leurs pensions de retraites de base et compl mentaire Arrco et Agirc Cela suppose trois con ditions que les retrait s aient 65 ans ou qu ils aient au moins 60 ans et qu ils justifient d une carri re compl te pour ouvrir droit une retraite taux plein Si ces conditions ne sont pas remplies le retrait peut quand m me reprendre une activit salari e avec certaines limites selon les r gles de l ancien r gime du cumul emploi retraite Mise la retraite d office interrogez vos salari s avant leurs 65 ans Depuis le 1 janvier 2009 l g
18. Belgique en Autriche et en Turquie pr s de 50 heures par semaine En Finlande et au Danemark ces employ s travaillent moins de 40 heures par semaine En g n ral l architecte europ en est satisfait de son choix de carri re R soline dans l immobilier neuf la fibre optique Une gamme de prestations r seaux qui apporte de la valeur ajout e au projet du promoteur Ing nierie et Conseil pour accompagner le poer Etude compl te et d taill e e Cablage en Fibre optique de Fr FF Pa i F ri r P Pi Pi P Fa FL r Pa F r r r r PA n 30 SEPTEMBRE 2009 Resoline 7 7 sur 10 Cependant la satisfaction en mati re de salaire n est que de 4 7 sur 10 Les plus grands niveaux de satisfaction sont enregistr s par les architectes du secteur public et les plus bas niveaux par les associ s dirigeants dans le secteur priv Sur le plan g o graphique les architectes des pays scandinaves et des Pays Bas pr sen tent les niveaux de satisfaction les plus lev s La satisfaction propos de l environ nement de travail ne pr sente pas une grande variation par rapport aux autres param tres de satisfaction Avec une moyenne de satisfaction de 6 2 sur 10 la plus grande satisfaction est observ e au Danemark 7 4 et la ILE basse en Alain Sagne secr taire g n ral du Conseil des architectes d Europe Habiter cologique Quelles architectures pour une ville durable xpost
19. PPE sys t mes avec enduits de 5 6 mm d paisseur Sous enduit en p te m langer avec ciment ou pr te l emploi trame de verre marou fl e et R PE taloch Weber tene XL ou ST o granulats de marbre Weber tene SG Architectes entrepreneurs et formation Tous les professionnels affirment que cela fait bien longtemps qu ils tentent mais sans succ s m me la suite du premier choc p trolier de r aliser des b timents vraiment conomes en nergie Un processus s rieux est enfin engag la suite du Grenelle peut tre aussi cause des convulsions du baril de p trole Les professionnels s organisent mais comment Beaucoup d entreprises se forment dans l espoir de se grouper et de pr senter des offres d ensemblier Mais qui dit ensemblier dit projet car devant la grande vari t des solutions des mat riels et des mat riaux il faut avoir fait des choix avant d acheter les produits pour les assembler Or ces choix sont difficiles parce que les techniques du b timent se com plexifient la r glementation s paissit et devient plus exigeante les respon sabilit s et engagements s accroissent les enjeux vont souvent au del des exigences nerg tiques etc Ceci ne pose pas trop de probl mes aux grandes entreprises qui disposent de structures en interne ou en externe dot es d ing nieurs et d architectes capables d tablir un vr
20. ainsi les concurrents directs des professionnels priv s pour de multiples march s 1 2 Les organismes publics ou priv s sous contr le de l tat ou des collectivit s Une multitude d organismes publics ou priv s certains centenaires ont t cr s par l tat pour accomplir des missions de service public On ne tentera pas d inventorier l extr me vari t de leurs statuts tablissements publics administratifs comme l IGN ou M t o France tablissements publics in dustriels et commerciaux comme l ONF le BRGM ou le CSTB associations sous tutelle de l tat comme l AFNOR etc etc Au fil des ann es l tat voulant all ger le poids de leur financement direct ou l ampleur des subventions les a incit s SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unija T Bon sens Bon sens trouver l ext rieur la r mun ration d une partie de leurs activit s Ceci explique que ces organismes soient ten t s d obtenir des march s ce qui se fait au d triment des professionnels priv s Mais d autres organismes ont t direc tement cr s pour accomplir des pres tations que les professionnels priv s auraient pu ex cuter Il appartient d sormais chaque pro fessionnel de rep rer ces organismes chaque fois qu ils interviennent comme concurrents dans son secteur Citons en quelques uns Office national des for ts Centres r gionaux de la pro pri t foresti re Chambres d agriculture Institut
21. cabinets d architectes et non pas l ali nation au monde financier tuant l ind pendance de l architecte et bloquant ainsi sa capacit d uvrer pour l int r t public e l actualisation permanente des comp tences des cabinets d architectes face aux nouveaux enjeux du d veloppement durable e la qualit des contrats conclus avec les ma tres d ouvrage qui sont la cl d une ma trise d uvre efficace Aujourd hui la lutte est encore plus dure car depuis quelques ann es notre soci t a bascul dans la politique anglo saxonne qui ne prend en consi d ration comme valeur que le monde de la finance oubliant et rel guant au bas fond la culture et la place de l humain Aucune r gulation c est le royaume du voyou l autor gulation n a de sens que si elle est accompagn e d une r gulation nationale internationale voire mondiale Face une situation critique les architectes ont la volont d tre dans l action et de construire de ce fait l avenir de la profession dans le cadre des enjeux conomiques environnementaux et culturels pour une vie meilleure pour tous nos concitoyens Aujourd hui je propose au gouvernement afin de faciliter la tr sorerie des architectes que l on donne la possibilit d obtenir des paiements interm diaires mensuels en phase tude Quant au syst me social l Unsfa gr ce nos militants fait un travail de grande valeur et en particulier sur la compl mentaire sant M
22. ce fait la fourniture de leurs r f rences n est pas toujours exig e On peut ajouter la pr f rence fr quente du client public pour un partenariat public public que certains voient confortable voir le 3 3 ci apr s L acc s privil gi la connaissance de projets ou de donn es de nature concurrentielle acquises dans l activit de service public Les avantages tarifaires des activit s r serv es aux seules structures publi ques d gagent parfois des exc dents leur permettant de faire des offres concurrentielles prix brad e La garantie financi re dont la plupart du temps les entit s publiques n ont m me pas apporter la preuve pas plus que de leur situation r guli re l gard du fisc ou des organismes sociaux attestations diverses y com pris contre le travail dissimul Leurs dossiers de candidature en sont all g s et les motifs de rejet en sont r duits Leur s curit de fonctionnement qui leur permet de faire face sans recours l endettement des comp titions on reuses ou de longue dur e ou des p riodes de sous activit un simple red ploiement du personnel r sout le probl me Leur protection contre les voies d ex cution forc e l insaisissabilit des biens des entit s publiques voire des EPIC et l impossibilit de recourir contre elles aux voies d ex cution for c e leur conf re un r el privil ge contrario le T
23. de relations sociales En Inde et en France au sein d ateliers publics d architecture et d urbanisme j ai particip des exp riences de formation o les tudiants en architecture c toient d autres disciplines dans un contexte sp cifique de village de quartier en contact avec les lus et les habitants Je r ve de voir se r aliser un tel atelier dans le Pays C ur d H rault lieu de rencontre entre le monde universitaire et un terroir P A Quels ont t pour vous les projets importants de d marches participatives B K La participation n est pas une couche en plus que l on rajoute un projet C est une v ritable d marche pour laquelle ont compt e l tude recherche action Participation in Community effectu e en 1968 dans des villages en Inde Vivre plus d un mois sur place avec des tudiants r pertorier ce qui donne du sens la vie villageoise pr senter les r sultats aux habitants et ne pas partir comme des voleurs avec l information pour en faire sa th se e une d marche similaire dans les ann es 70 dans la cade d UP8 avec les ateliers de Coupvray et Quincy Voisin Des projets d habitats partici patifs en HLM locatifs Gennevilliers et Yzeure et en accession rue du Buisson Saint Louis Paris X et actuellement e le travail dans l H rault avec l association e et Ahmedabad six millions d habi tants o l ann e derni re nous avons r alis
24. des comptes de la bran che retraite et du r gime d assurance ch mage Face au d ficit structurel des retraites plus de 5 5 milliards le Gouvernement fait de la mobilisation en faveur du main tien et du retour l emploi des seniors l une de ses priorit s C est la raison pour laquelle il a franchi une nouvelle tape en mettant en uvre en 2009 diff rentes mesures compl tant l arsenal de dispo sitifs Incitatifs ou contraignants d j en place Dans ce contexte les entreprises 1 Derniers chiffres connus de 2008 JG nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 doivent faire face plusieurs l ments n cessit d anticiper un allongement des carri res tenir une gestion administrative du personnel rigoureuse et efficace ima giner d autres politiques de r mun ration En bref s engager dans une d marche qualit Le passage progressif de 40 41 ans de cotisations Une retraite demand e partir de 65 ans est liquid e taux plein mais pour b n ficier d une retraite taux plein partir de 60 ans la carri re doit tre suffisamment longue pour valider un nombre de trimestres qui varie selon l ann e de naissance Depuis le 1 janvier 2009 les salari s du priv n s avant 1953 doivent cotiser un trimestre suppl mentaire 161 trimes tres au lieu de 160 et la dur e d assurance requise va augmenter d un trimestre tous les ans jusqu en 2012 pour atteindre cette ann e l 164 trimestres soit
25. du XIX aux colombages des maisons m di vales en expliquant les enjeux du littoral des espaces agricoles des ma rais ancestraux et canaux Mais aussi et surtout en construisant avec les savoirs les techniques et les modes d aujourd hui en affirmant l indispen sable pr sence d une architecture et d une pens e contemporaine seules garantes de la modernit dans une ville qui se veut de son temps Nous avons fait le choix des nergies renouvelables un moment o l cologie urbaine n tait pas m me un concept Ainsi d s 1977 1 500 m de capteurs taient install s pour fournir de l eau chaude sanitaire 950 logements en Zone Urbaine Prioritaire Depuis les nergies alternatives n ont cess d tre int gr es dans nos projets le domaine 28 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 de l habitat social f t ce titre un riche terrain d exp rimentation eau chaude sanitaire chaudi res bois panneaux photovolta ques valorisation nerg tique pour le traitement des ordures m nag res au travers d un r seau de chauffage urbain qui alimente 3 500 logements sociaux vitant ainsi le rejet de 15 000 tonnes de CO par an dans l atmosph re D sormais bien s r nos quipements pu blics r pondent aux exigences de haute qualit environnementale et m me au del Les toutes nouvelles serres municipales b timent qui produit plus d lectricit qu il n en consomme con ues avec panneaux photovolta que
26. est estim e 11 6 milliards d euros correspon dant un total de 22 milliards pour les 32 pays Les march s les plus importants se situent en Allemagne et au Royaume Uni qui comptent pour plus de la moiti du march total des 17 pays Les moyennes de parts de march par architecte sont les plus lev es en Irlande aux Pays Bas et au Royaume Uni o la part de march par architecte d passe 95 000 euros par an Au Danemark en Estonie en Allemagne en Irlande Malte aux Pays Bas et au Royaume Uni le march de l archi tecture d passe 1 de la valeur totale du march de la construction La principale cat gorie de types de projets trait s par les architectes concerne les maisons individuelles qui repr sentent 31 du march de l architecture Au total le logement priv repr sente 45 du march pour les architectes On trouve la plus forte proportion en mati re de logement priv plus de la moiti en Belgique en Gr ce au Luxembourg au Royaume Uni et en Turquie tandis que la plus forte proportion de travaux dans le secteur public se situe en Autriche et en France Les personnes priv es sont les prin cipaux clients des architectes re pr sentant 47 des travaux Cette moyenne cache de grandes diff ren ces En Estonie et en Finlande les pro pri taires individuels ne repr sentent qu un quart des travaux Par contre en Estonie et Malte les promoteurs repr sentent la plus
27. finit la des tination des constructions Nous constatons cependant un classe ment abusif des projets en b timents relevant du code du travail et parfois m me de l habitation en tablissement Recevant du Public pour obtenir la four niture des plans int rieurs et notices et prolonger ainsi abusivement les d lais d instruction L article R 431 2 du CU d finit le con tenu du projet architectural Mais ce contenu bien que pr cis et exhaustif est jug insuffisant par certains instructeurs comme e demandes exag r es de cotation par exemple il nous est demand les dimensions de toutes les baies en fa ade Interpr tation subjective des documents rendre e pour accro tre artificiellement le temps d instruction les points de vue choisis pour l insertion du projet sont contest s et les services d instruction imposent l architecte la production de nouvelles vues perspectives et ce au m pris des proc dures cit es ci dessus e avis de dossier incomplet pour avoir fourni une notice sur l accessibilit sans utiliser un formulaire inconnu et ill gal labor par un service local d une direction de l quipement L article 112 2 du CU d finit le calcul des surfaces Les services instructeurs contestent souvent les surfaces d clar es et leur mode de calcul notamment pour les logements pour lesquels les plans ne doivent pas tre fournis En conclusion Ces pratiques ret
28. g ographique national Laboratoire central des Ponts et Chauss es Centre scientifique et technique du b timent BET d A roport de Paris ou d EDF filiales de SNCF participations AREP par exemple Bureau de recherches g ologiques et mini res Soci t s d int r t collectif agri cole d habitat rural SICAHR organismes li s Habitat amp D veloppement SICA par exemple Offices publics de l habitat OPH ex OPHLM et OPAC SAHLM Soci t d am nagement foncier et d tablissement rural SAFER Soci t s d am nagement r gional Associations agr es pour la surveillance de la qualit de l air AASOA telle AIRPARIF Labo ratoire d hygi ne de la ville de Paris LHVP Laboratoire central de la pr fec ture de police LCPP etc Les agences publiques d urbanisme cr es par la loi SRU voir aussi l art L121 3 du CU d veloppent des activit s qui mordent carr ment sur celles des professionnels priv s Notre propos n est pas de d nigrer ces organismes pour leurs missions de service public dont ils s acquittent g n ralement bien Mais nous devons lutter contre l exten sion continue de leurs champs d inter vention certains finissent pas exercer un quasi monopole sur certaines presta tions et nous devons d noncer les conditions in gales de concurrence d s qu ils entrent dans le domaine d acti vit des professionnels priv s 3 LAFNOR cr e en 1926 est une association loi d
29. m thode et outils avec des objectifs particuliers d finis Pour construire les formations en perfectionnant la qualit des contenus nous avons recours de plus en plus des partenariats avec des organisations faisant r f rence dans leur domaine de connaissance LES NOUVEAUT S Construire durable L essentiel 6 jours pour acqu rir les bases n cessaires afin que chacun puisse poursuivre dans le contexte d une approche durable ma tris e les objectifs qu il se sera fix de porter Concilier R habilitation et Performance Energ tique Pour r concilier l Architecte avec l audit nerg tique et lui faire d couvrir qu il n est pas l apanage r serv des seuls bureaux d tudes thermiques L ACCESSIBILIT ET LA QUALIT D USAGE Formation des Architectes et des acteurs du cadre de vie LES NOUVEAUT S Le Diagnostic Accessibilit une mission pour les Architectes Par l application d une m thode appropri e faire du Diagnostic Accessibilit une sp cialit des Architectes par une approche permettant d op rer la prescription en prolongement naturel de l appr ciation du diagnostic LA PROGRAMMATION ARCHITECTURALE ET L ASSISTANCE MA TRE D OUVRAGE LES NOUVEAUT S Sensibilisation aux m thodes de programmation Une journ e pour tous ceux q i pratiquent la programmation sans m thode particuli re afin de confronter leur pratique l approche programmatique LES NOUVEAUT S G re
30. plus de 130 mod les conformes nos exigences de qualit a raulique acoustique et esth tique Profitez des services Aldes associ s Centre d essais R amp D produits personnalis s www aldes fr 5 Entretien avec Bernard Kohn L architecture au quoti Depuis 1962 successivement aux USA en Inde puis en France Bernard Kohn a d velopp une double activit d architecte et de formateur souvent int gr e des projets participatifs Ses pr occupations se retrouvent ins parablement iImbriqu es au sein de l association la Manufacture des Paysages 17 qu il a co fond e en 2002 dans le Pays C ur d H rault Villeneuvette et Octon L association rassemble lus habitants professionnels venus de diff rents horizons dans une r flexion commune autour des r alit s et surtout des potentialit s du territoire Pour permettre tous une meilleure compr hension des enjeux et pour que chacun puisse contribuer l laboration de la d marche de projet plusieurs modes d expression de l oral l crit 1 La Manufacture des Paysages penser le patrimoine et les territoires de demain Pr sid e par Ursula Paravicini Village des arts Ricazouls 34800 Octon t l 04 67 96 30 45 site Internet lamanufacturedespaysages org e mail lamanufacture octon wanadoo fr 34 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 aux modes de visualisations sont utilis s simultan ment du virtuel la r alisa
31. qu un cycle de formation Concevoir et construire durable du territoire au b timent sur le dernier trimestre 2009 Pour en savoir plus www ekopolis fr ekopolis e 8 et 9 octobre 2009 Architect work le carr des inno vations pour l architecture La Grande Halle de La Villette Paris www architectatwork fr e 17 19 novembre 2009 Salon des maires et des collec tivit s locales Paris Porte de Versailles Stand Unsfa E37 hall 2 1 www salons groupemoniteur fr dE HOMMAGE FRAN OIS ASCHER GRAND PRIX DE L URBANISME 2009 Pour plus d informations www unsfa com L universitaire et urbaniste Fran ois Ascher est mort 62 ans lundi 8 juin Paris des suites d un cancer peu de temps apr s avoir re u le Grand Prix de l urbanisme 2009 13 mai Urbaniste dipl m en sciences conomiques et docteur en tudes urbaines et en sciences humaines il enseignait l Institut fran ais d urba nisme
32. rience de pra tique professionnelle Dans certains pays Estonie et Pays Bas plus de 50 des architectes ont plus de 20 ann es d exp rience D autre part ont plus de 55 ans Une grande propor tion d architectes g s pose probl me quand le pays rencontre simultan ment des difficult s attirer les jeunes ar chitectes Heureusement ce n est pas le cas dans ces pays Une proportion significative des architectes sont dirigeants uniques 24 ou ind pendants 9 L image de l emploi est tr s diff rente selon les pays Aux Pays Bas et en Estonie respectivement 81 et 80 des inter rog s travaillent en tant que dirigeant principal partenaire ou associ La plus grande proportion d architectes travail lant dans le secteur public se situe au Danemark 34 en Finlande 33 et en Su de 44 En France et aux La valeur totale du march de l architecture dans les 17 pays qui ont r pondu l enqu te est estim e 11 6 milliards d euros certains pays manquent de sang neuf dans la mesure o moins de 10 des architectes de ces pays ont six ans ou moins d exp rience Estonie France Irlande Luxemburg et Slov nie L ge des personnes consult es est un facteur dominant En Belgique Malte et en Turquie plus de 40 des ar chitectes ont moins de 35 ans alors qu en Autriche et en France ils ne sont que 10 Enfin dans quelques pays les architectes sont en activit depuis de nombr
33. tes du Programme Batibox e Doubles et triples plaques en horizontal ou en vertical Adapt aux tablissements scolaires commerces lieux de passage sans surveillance parkings parties communes d immeubles entrep ts le Programme SOLIROC b n ficie de toute l exp rience et le savoir faire de Legrand avec en prime une tr s belle finition nora R mi Duvert E mail remi duvert nora com T l 01 69 18 38 43 Site Internet Www nora com fr norament serra rev tement de sol souple en caoutchouc alliant l gance et r sistance Sa structure de surface en l ger relief rappelle aussi bien l aspect de l ardoise que l corce d un arbre Les petits granules incrust s dans toute l paisseur ainsi que son format rectangulaire viennent renforcer son esth tique de mat riaux naturels Cependant il garde toutes les qualit s d un sol souple notamment une bonne acousti que et un confort la marche Gr ce son caoutchouc de haute qualit il est antid rapant et ne produit pas de fum e toxique lors d un incendie Par ailleurs il respecte l environnement et pr sente un bon aspect sanitaire label Greenguardl Puisqu il r siste l usure et de nombreux produits chimiques il convient des applications vari es exigeant la fois r sistance et l gance D paisseur 3 5 mm et disponible en dalles de 1 002 x 501 mm ses 20 coloris standard s inspirent des couleurs de la nature Pour
34. 7 209 du 10 f vrier 2007 applica ble depuis le 1 octobre 2007 Face la multiplication des r gimes d au torisation ou de d claration dans le code de l urbanisme les d crets d application fusionnent regroupent et simplifient les 11 autorisations et 5 r gimes de d cla rations existants en 3 permis et une d claration pr alable e permis de construire e permis d am nager e permis de d molir Les travaux soumis permis autori sation ou d claration sont fix s de mani re tr s claire dans une liste bien d finie 38 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 Les d lais d instruction sont garantis et le contenu du dossier de demande est pr cis Pour s curiser la proc dure le d lai d instruction est fix par le d cret 2007 18 du 5 janvier 2007 et figure sur le plupart d entre elles d une m connais sance d un manque de moyens ou par fois de la malice des services en charge de l instruction contredisent les objets m me de la r forme et la vident de son sens la profession doit par son action syndicale alerter les pr fets les maires et les autorit s administratives r c piss remis au demandeur lors du d p t de son dossier en mairie La pro c dure d finit de fa on exhaustive la liste des pi ces Joindre une demande de permis ou une d claration pr alable Cette r forme du permis a accru la responsabilit des constructeurs et de leurs architectes Lors d
35. AN E mail beatrice lalaux fra dupont com N Vert O 800 91 72 72 Site Internet www corian fr DuPont Corian et Building Innovations pr sentent leurs nou velles solutions pour la construction Batimat 09 DuPont pr sentera ses nouveaut s pour la construction sur deux stands d di s aux solutions pour le d veloppement durable et l co nomie d nergie dans les pavillons Finition et D coration et Gros uvre Le pavillon 73 accueillera le Lounge DuPont Surfaces exclusivement consacr aux applications de Corian en habillage mural int rieur et rev tement de fa ade L innovation architecturale apport e par les panneaux de fa ade sur mesure en Corian est renforc e par les nouvelles propositions esth tiques en reliefs 3D et textur es H tel Seeko o Bordeaux Palais des Congr s H tel voire Abidjan Le stand du pavillon 1 sera la vitrine de tous les ma t riaux DuPont destin s la construction Tyvek membrane pare vapeur et pare pluie Energain isolant changement de phase Typar film de s paration filtration et drainage des sols panneaux photovoltaiques int gr s dans la couverture FABRICANT DE CARRELAGE EN GR S C RAME MADE IN ITALY POUR SOLS ET MURS Alain NO L E mail caesarfrance wanadoo fr T l 04 78 14 56 66 Site Internet www caesarit fr FABRICANT DE MEMBRANES ET TEXTILES COMPOSITES JChubb SYST MES DE D TECTION ET PROTECTION
36. BEL FABRIQUE ET DISTRIBUE UNE LARGE GAMME DE PEINTURES PROFESSIONNELLES POUR LE B TIMENT tienne ROCHETTE CASTEL E mail etienne rochette castel akzonobel com Port 06 08 37 82 69 5 Siplast TANCH IT B TIMENT ET TP INSONORISATION V G TALISATION ET RETENUE TEMPORAIRE DES EAUX DE PLUIE EN TERRASSES Jean Michel RIO E mail frjro icopal com T l 01 40 96 35 35 Port 06 07 80 69 48 Site Internet www siplast fr MAN SOPREMA SP CIALISTE MONDIAL DES PRODUITS D TANCH IT DEPUIS 1908 Thierry SONET E mail tsonet soprema fr T l 04 90 82 52 46 Site Internet www soprema fr Tarkett REV TEMENTS DE SOLS PVC CONCEPT DOUCHE LINOL UM PARQUETS MASSIES ET FLOTTANTS STRATIFI S Fanny BAYET LUCAS E mail infodoc tarkett com T l 01 41 40 49 49 Port 06 80 31 76 69 Site Internet www tarket batiment fr ra L l TECHNAL CONCEPTION ET FABRICATION DE SYST MES DE MENUISERIES ALUMINIUM Fran ois FONTAINE E mail francois fontaine hydro com T l 05 61 31 28 54 2 Thermor PACIFIC MARQUE LEADER EN CHAUFFAGE LECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE DE 10 3 000 L Thierry GOUIX E mail tgouix thermor tm fr Port 06 18 35 76 54 Site Internet www thermor fr SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unila 23 Club Prescrire ob r Club Prescr TRESPA PANNEAUX HAUT DE GAMME POUR REV TE MENTS DE FA ADES FA ADES D CORATIVES ET AM NAGEMENTS INT RIEURS O
37. DUITS D TANCH IT DEPUIS 1908 A i Fafa RL REV TEMENTS DE SOLS PVC CONCEPT DOUCHE LINOL UM PARQUETS MASSIES ET FLOTTANTS STRATIFI S Ch ne vieilli gris 3973005 vintage H tre fonc 3972004 contemporain SOPREMA E mail flaxline soprema fr T l 01 47 30 19 19 France Nord 04 90 82 59 46 France Sud Site Internet www soprema ir Soprema propose Flaxline premier cran de sous toiture et pare pluie au monde base de fibres naturelles de lin Exploitant au maximum les propri t s naturelles du lin les quipes R amp D de Soprema ont mis au point Flaxline un cran de sous toiture aux caract ristiques techniques exceptionnelles Performances in gal es e Membrane tr s Hautement Perm able la Vapeur d eau e Imperm able l eau e R sistance exceptionnelle permettant un entraxe chevrons jusqu 1920 cm Novateur et polyvalent Bien plus qu un cran de sous toiture Flaxline s applique galement en pare pluie sur les murs de fa ade ou derri re un bardage tous types de construction en neuf et en r novation Confort in gal et esth tique Produit sain impact environnemental Tarkett Fanny Bayet Lucas E mail infodoc tarkett com T l 01 41 40 42 49 Port 06 80 31 76 69 Site Internet www tarket batiment fr I D Living de TARKETT Cette nouvelle collection modulaire se pr te brillamment toutes les inspirations
38. ONS PHOTOVOLTA QUES BRIQUES ET MONOMUR BRIQUES APPARENTES BARDAGE PAV S Marc BELLAIR E mail marc bellair wienerberger com T l 01 69 26 12 52 Site Internet www wienerberger fr 24 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 CONCEPTEUR DE SYST MES DE FEN TRES PVC R PONDANT AUX NORMES ET LABELS LES PLUS EXIGEANTS POUR LE NEUF ET LA R NOVATION Une large vari t de couleurs et d esth tiques pour r pondre tous les styles d architecture et de d coration 5 chambres pour une performance thermique sup rieure Syst mes de fen tres PVC SERVICE COMMUNICATION E mail infofrance veka com T l 04 50 81 88 00 Site Internet www veka fr SOFTLINE SWINGLINE nouvelle g n ration de fen tres en 70 mm Gr ce leurs profil s en 5 chambres et 70 mm d paisseur la performance globale Uw des fen tres SOFTLINE et SWINGLINE peut atteindre 1 2 W m K en double vitrage et 1 0 W m K en triple vitrage Avec des r sultats 20 sup rieurs ceux des solutions classiques en 58 mm cette gamme permet de r pondre facilement la r glementation actuelle et anticipent les exigences de demain La grande robustesse des profil s conf re aux menuiseries davantage de r sistance de rigidit et de s curit Leurs performances acoustiques sont galement excellentes RAtr jusqu 42 dB A Lg mi mg A A je VEN En outre les diff rentes esth tiques et la large palette
39. PG est toujours pr t bloquer les comptes d un entrepre neur priv 3 2 Les charges directes potentiellement diff rentes Rappelons d abord que les prestataires exer ant une profession r glement e doivent supporter le co t des cotisations leur Ordre or le caract re obligatoire concerne uniquement les professionnels et les structures priv s Ce qui suit n est qu un chantillonnage des distorsions possibles de concur rence l avantage des structures publiques e conomie de la plupart des frais de prospection publicit d marchage etc r sultant des situations avanta geuses voqu es au 3 1 S il existe des plaquettes de pr sentation c est aux frais de la collectivit pour vanter le service public mais les retomb es au b n fice de l ing nierie publique concurrentielle sont videntes Utilisation fr quente de locaux ou de mat riels co ts sous valu s amor tissements ou loyers Co t non comptabilis du recrute ment et de la gestion du personnel voire de la formation Non soumission aux obligations pos es par le l gislateur sur les proc dures collectives ou la liquidation judiciaire e Avantages salariaux la garantie de l emploi dont b n ficient les agents publics et le calcul d une retraite plus avantageuse notamment salaire de Pour plus d informations www unsfa com r f rence et pourcentage peuvent jus tifier des tra
40. Urbanisme Il travaille aux c t s de Jean Louis Borloo ministre de l cologie et du D veloppement durable 39 ans il remplace Christine Boutin ancienne ministre du Logement L ancien chef de cabinet de Xavier Darcos avait galement occup le poste de Directeur adjoint du Cabinet de la Ministre d l gu la coh sion sociale Catherine Vautrin EE JACQUES JESSENNE NOUVEAU PR SIDENT DE L AQC Jacques Jessenne a t lu Pr sident de l agence qualit construction AQC jeudi 28 mai dernier Ainsi 58 ans l actuel directeur g n ral d l gu de Socotec SA a t choisi par le Conseil d Administration de AQC pour succ der Yves le Sellin Ing nieur de l cole centrale des arts et manufactures de Paris Jacques Jessenne a d but sa carri re sur le terrain en tant que conducteur de travaux la Screg pour ensuite la poursuivre dans le domaine de la qualit de la construction Rolland Quadrini KR Images Presse MICHE ISMER IER MMS TRE IDECE Re RUES EE DE TAMELAGEME NTETE RRTOIRE Le s nateur centriste MoDem Michel Mercier a t nomm ministre de l Espace rural et de l Am nagement du territoire Pr sident du groupe centriste au S nat depuis 2002 et tr sorier du MoDem il tait rest aux c t s de Fran ois Bayrou l UDF alors que beaucoup se ralliaient l UMP et il avait suivi le m me chemin apr s la d faite de Fran ois Bayrou aux derni res
41. ai projet avant de lancer les ouvriers sur le chantier La ma trise d uvre existe bien mais elle est moins apparente 1 En voici un exemple en 1966 le ma tre d ouvrage d un h pital d partemental a fait retirer du projet des architectes la laine de verre que ceux ci avaient pr vu d ins rer entre le mur ext rieur et un doublage int rieur en arguant que le surco t n tait pas rentable compte tenu du faible prix du combustible il s agissait du charbon pour cet tablissement Les architectes taient ils farfelus ou le client trop calculateur 2 Voir Passion architecture n 24 page 6 Le mirage du savoir des autres 3 Reconnaissons que certains industriels tentent de r duire la d marche ce dernier acte Esp rons que le Gouvernement ne se laissera pas mystifier 4 On peut m me penser que lorsque les op rations pr senteront un minimum de complexit notamment de multiples enjeux ce sont les ma tres d ouvrage qui auront la sagesse de missionner une quipe de ma trise d uvre avant de consulter les entreprises Le processus classique a encore de l avenir C est un peu plus difficile pour les artisans et TPE du b timent qui red couvrent la suite des formations sui vies l utilit d un acteur polysachant capable e de prendre en compte globalement les enjeux ma trise nerg tique s curit hygi ne et sant aisance d usage et confort valeur patr
42. alie et 20 en Allemagne La densit d architectes varie d un architecte pour 485 ha bitants en Italie au taux tr s bas d un architecte pour 4 155 habitants en Slovaquie 93 des architectes travaillent dans leur propre pays Dans certains pays presque tous les architectes sont locaux mais dans quelques pays Irlande Autriche Malte et 1 I convient de souligner que les r ponses l enqu te ont t re ues en deux vagues La premi re vague qui incluait l Estonie la Gr ce l Irlande Malte la Roumanie la Su de et la Slov nie est intervenue entre le 23 juin et le 11 ao t 2008 La seconde incluait l Autriche la Belgique le Danemark la Finlande la France l Allemagne le Luxembourg les Pays Bas la Turquie et le Royaume Uni et elle est intervenue entre le 8 septembre et le 3 novembre 2008 Cela signifie que cette seconde vague est intervenue apr s le d but de la crise conomique globale et que ceci a donc pu affecter les r sultats 12 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 Luxembourg plus de 10 des ar chitectes inscrits travaillent dans d autres pays En moyenne deux tiers des archi tectes europ ens sont des hommes mais dans certains pays Autriche Estonie Malte et Pays Bas la domi nante masculine est extr me plus de 80 Par contre en France Finlande Gr ce et en Su de plus de la moiti des architectes sont des femmes On observe de grandes diff rences dans la dur e de l exp
43. ardent la r alisation des projets quand elles ne la mettent pas en danger elles placent l archi tecte dans une position d licate e soit celui ci r pond fermement au ser vice instructeur en refusant de mener toute action hors proc dure et porte malgr lui atteinte aux int r ts imm Pour plus d informations www unsfa com diats de son client qui ne manquerait pas de lui reprocher son inefficacit servir ses int r ts e soit il donne suite aux demandes abu sives ou hors proc dures et expose malgr lui son client la fragilit juri dique de son autorisation qui en cas de recours tomberait imm diatement pour vice de proc dure Ces pratiques jettent un trouble profond et discr dite le travail des architectes aupr s des ma tres d ouvra ges qui assimilent souvent un refus de permis une d faillance professionnelle Or nos donneurs d ouvrages sont les premiers concern s par ces dysfonction nements et c est pourquoi la profession doit par son action syndicale alerter les pr fets les maires et les autorit s administratives pour leur exposer les difficult s auxquelles sont soumis nos confr res et l ins curit juridique que cr ent de telles pratiques Nous esp rons qu ils sauront rappeler les textes et expliquer le contenu de la r forme du permis de construire afin que les services instructeurs ne soient plus un frein au d veloppement des projets mais les garants de l Int r
44. at existant sont d livr es par CERQUAL PATRIMOINE Les Hauts de la Timoni re 35 Maire d ourvra Les Lvanes T5 Mairie de Paris Direction de Si ge social 136 boulevard Saint Germain 75006 Paris CERQUAL T l 01 42 34 53 00 Fax 01 40 46 93 76 Web www cerqual fr La concurrence est elle loyale suite Dans Passion Architecture n 29 nous avons mis en garde les prestataires intellec tuels uvrant dans le domaine du cadre de vie contre les distorsions de concurrence dont ils risquent d tre les victimes quand ils sont confront s la concurrence de certaines entit s publiques ou parapubliques Le pr sent article expose e la diversit des entit s susceptibles d intervenir et l tendue des prestations sur lesquelles elles peuvent pr senter des offres ventuellement pr datrices e les raisons pour lesquelles il n y a pas galit de situation juridique administrative technique et financi re entre nos structures priv es et ces entit s e et comment notre vigilance individuelle et collective peut limiter les cons quences dommageables de cette in galit Pr ambule les zones de non march Avant d aborder toutes les zones pos sibles de concurrence d loyale rap pelons qu il existe diverses situations o les op rateurs priv s n ont pas acc s la commande alors que les prestations sont dans leur capacit d intervention e Les missions d Atesat il s agit de l assistance t
45. ays pays il est int ressant de voir les diff rences entre les revenus des diff rentes positions occup es Les dirigeants gagnent en moyenne plus du double de ce que per oivent les ind pen dants Dans plusieurs pays Autriche Belgique Danemark Estonie Luxem bourg Malte et Slov nie le revenu moyen des dirigeants uniques est plus lev que celui des associ s ou architectes dirigeants Les employ s dans le secteur public en Europe gagnent en moyenne 75 du revenu de ce que gagnent des architectes dirigeants Mais la diff rence est tr s faible dans certains pays En Belgique Finlande France Allemagne et Slov nie le revenu moyen dans le secteur public est plus important que dans le secteur priv Cependant les revenus priv s sont meilleurs dans tr s peu de pays comme la Roumanie et la Turquie Il existe une diff rence tr s importante dans les revenus selon les sexes Le revenu moyen pour un homme travaillant plein temps est de 39 600 Pour les femmes architectes la moyenne se situe seulement 23 436 Ce sont les dirigeants uniques et les associ s dirigeants qui assurent le plus grand nombre d heures lls travail lent plus de 50 heures par semaine en moyenne Les architectes travaillant pour le secteur public travaillent seulement 43 heures par semaine mais pas aux Pays Bas Les plus longues semaines de travail des architectes salari s par des bureaux priv s sont enregistr es en
46. b TX Aria et TX Arca une nouvelle g n ration de ciment qui gr ce ses propri t s photocatalytiques contribue sensiblement r duire la pollution atmosph rique et embellir la qualit des fa ades Les Technodes BP 01 Ciments Calcia 78931 Guerville Cedex 01 J Italcementi Group www ciments calcia fr innovation ciments calcia fr oLa profession d architecte m EN Europe Ce document est un r sum du rapport de l tude de secteur sur la profession d architecte en Europe qui a t men e en 2008 par la soci t Mirza amp Nacey pour le compte du Conseil des Architectes d Europe CAE L tude de secteur est bas e sur les r ponses de plus de 8 000 architectes provenant de 17 pays d Europe Le taux moyen de r ponse dans ces pays a t de 18 La principale conclusion de l tude de secteur est que la profession d archi tecte en Europe est tr s h t rog ne L tude a montr que le nombre d ar chitectes leur profil et leurs revenus diff rent de mani re significative selon les pays Elle constitue galement la premi re enqu te v ritablement com pl te tenant compte du fait qu elle ne couvre pas l Europe enti re et ex cut e par des professionnels jamais entreprise sur la profession au niveau europ en Architectes L Europe des 32 pays membres du CAE l poque dont proviennent ses organisations membres compte environ 483 000 architectes dont 25 sont bas s en It
47. blics la hauteur Les espaces publics structurent la Ville Parmi eux les espaces naturels tr s nombreux La Rochelle contribuent pour une grande part la qualit de vie et l attractivit touristique Autour du concept de jardin en mouvement cher Gilles Cl ment et avec son concours nous avons entrepris de les revisiter et de les reconfigurer pour une interven tion limit e et moins contraignante sur la v g tation en exploitant au mieux les capacit s naturelles des espaces et des esp ces pour diminuer les intrants les d penses d eau le passage des ma chines Et favoriser l mergence d une plus grande diversit biologique Pour fabriquer cette ville nouvelle valoriser l h ritage architectural cr er les conditions de l adaptation perma nente aux modes de vie d aujourd hui et aux contraintes de demain le savoir des hommes de l art est indispen sable Architectes urbanistes tous pro fessionnels de l acte de b tir la ville ont su ici partager la m me passion Diverse c est bien ainsi qu est La Rochelle urbaine et naturelle histori que et innovante humble et audacieuse belle et rebelle Maxime Bono d put de Charente Maritime maire de La Rochelle pr sident de la Communaut d Agglom ration de La Rochelle Brice Desrez Philippe Ruault ER a N i e 3 pn LE z a e rs m4 D a j Pa a 2 y 7 A PE
48. ck et plus reli notre travail dans l H rault les contributions d Alberto Magnaghi le Projet Local et David Mangin On ne peut pas oublier tous ces incroya bles artisans d hier et d aujourd hui d ici et d ailleurs des hommes dont les revues en g n ral ne parlent pas Au Palais de Justice de Montpellier j ai moi m me financ en raison de l in compr hension de la part du procureur une grande plaque appos e l entr e sur laquelle figurent plus de 600 noms des ouvriers qui ont travaill sur le chantier Sans eux pas d uvre Cette Pour plus d informations www unsfa com reconnaissance c est aussi une forme de participation P A Quelle place donnez vous au politique B K L urbanisme et l architecture sont totalement ins parables du politique et de la politique en g n ral Comment peut on imaginer uniquement parce que l on vous le commande participer la fabrication de ces zoos urbains en France et ailleurs de ces absurdit s cologiques de tours isol es les unes des autres et qui ne sont qu une r v rence de plus au pouvoir et l argent Et ceci avec une certaine d sinvolture sans se sou cier de l existence quelques centaines de m tres d incroyables lots de pau vret Comment ne pas participer ainsi accro tre les in galit s sociales L architecture est spatiale mais elle est aussi infiniment sociale Elle est intimement li e l thique et au sens d u
49. de 26 couleurs et ton bois offrent une grande vari t de combinaisons possibles et permettent de r pondre tous les styles i CONCEPTION FABRICATION ET DISTRIBUTION DE FEN TRES DE TOIT ET QUIPEMENTS ASSOCI S Demander la brochure concevoir amp prescrire une isolation thermique Logements A Me Twickenham mp Quad Architects weber Christian G rard Pigeaud DIRECTEUR DE MARCH E mail christian gerard pigeaud saint gobain com Centre de Renseignements Techniques O 820 00 33 00 N Indigo Site Internet www weber fr Isolation thermique par l ext rieur nouveaux syst mes weber therm avec enduits min raux la chaux a rienne sur isolants Des syst mes complets simples et tr s performants sur isolants en plaques PS E blanc ou gris jusqu 20 cm d paisseur en standard coll es cal es chevill es ou fix es m caniquement par rails e Enduits min raux la chaux a rienne de 6 13 mm d paisseur Webertherm XM Sous enduit avec trame de verre maroufl e enduits de finition au choix badigeon weber prodexor K S enduits taloch s weber unicor enduits pais gratt s weber cal manuel ou projet e Enduit min ral projet m caniquement de 12 13 mm d paisseur Weber therm XP M1 Premi re couche d enduit avec trame de verre marou l e puis couche de finition d aspect gratt En compl ment Weber therm motex ou Weber therm
50. e par tir duquel l employeur peut mettre un salari d office la retraite est pass de 65 70 ans L employeur conserve une possibilit de mettre la retraite un salari ayant atteint 65 ans mais il doit au moins 3 mois avant sa date anniversaire l avoir interrog par crit sur son intention de quitter volontaire ment l entreprise pour b n ficier d une pension de vieillesse Si le salari r pond dans le d lai d un mois qui lui est imparti ne pas envi sager partir la retraite ou que l em ployeur n a pas entrepris la consultation pr alable du salari dans les temps la mise la retraite n est pas envisageable pour l ann e suivre La proc dure de consultation pourra tre r p t e cha que ann e jusqu au 70 anniversaire du salari ge partir duquel l em ployeur retrouve la facult de le mettre d office la retraite En cas de r ponse positive absence de r ponse ou r pon se tardive du salari l employeur peut faire usage de la possibilit de mise la retraite pour l ann e suivre Si une mise la retraite a lieu alors que ces conditions ne sont pas remplies la rupture du contrat de travail par l em ploveur peut tre requalifi e en licen ciement sans cause r elle et s rieuse Analyser la nature du d part la retraite pour calculer l indemnit La diff rence est importante entre les indemnit s de d part volontaire alloca tion de fin de carri
51. e 1901 subventionn e par l tat mais de moins en moins Ne cherchez pas ailleurs la raison pour laquelle les normes fran aises dont le respect est parfois impos par la l gislateur ne sont pas mises gratuitement la disposition de tous les citoyens nous devons les acheter 8 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 WE LA SANE LONG LENCE 1 1 3 Les soci t s d conomie mixte Le code g n ral des collectivit s terri toriales rassemble l essentiel des dispo sitions l gislatives et r glementaires sur les soci t s d conomie mixte locales Le champ d intervention possible des SEM est tellement vaste qu il recouvre bien videmment une partie des acti vit s des prestataires priv s Les SEM jouissent alors d avantages indiscutables face aux professionnels D ailleurs m me si la d confiture des SEM est envisag e par le l gislateur celui ci a aussi pr vu que les collectivit s pouvaient leur accorder des subventions en parti culier en vue de leur redressement 2 Les prestations en cause Les prestations susceptibles d tre effectu es par tous ces op rateurs b n ficiant d atouts distorsifs de concurrence dont ne disposent pas les professionnels priv s couvrent le spectre complet des activit s des professionnels du cadre de vie C est dire que nous sommes tous menac s programmistes urbanistes g om tres experts architectes paysa gistes ing nieurs conomistes experts
52. e croyait pou voir s affranchir des caract ristiques du site L architecture co responsa ble elle est avant tout contextuelle comme l taient les constructions vernaculaires Chaque solution tant puis e dans le genius loci les pro positions sont d une r jouissante diversit Le Sud renferme un immense vivier de r alisations non seulement colo giques et adapt es aux r alit s co nomiques du pays mais riches aussi de la gr ce que donne la recherche du beau au del du n cessaire La plupart de leurs architectes ont une double culture Certains sont des locaux qui ont tudi en occident comme le Chilien Alejandro Aravena ou le chinois Wang Shu D autres sont des occidentaux qui sont entr s en empathie avec une population et sa culture comme l Allemande Anna Heringer qui a construit coles et logements au Bangladesch Les pr curseurs pr sent s au d but de l ex position sont aussi porteurs de ces cultures multiples Glenn Murcutt proche des aborig nes a beaucoup voyag en Europe le Br silien Zanine tait fascin par l Afrique o Pierre Lajus a travaill plusieurs ann es En mettant en valeur les multiples facettes de l architecture co respon sable lexposition se veut r con ciliatrice Au niveau des mat riaux alternent les fibres bois bambou isolants naturels les grains terre crue pierre brique b ton et les mat riaux de r cup ration Nous fai sons aussi cohabit
53. e des organismes disposant d une comptabilit analytique s rieuse 10 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 4 Conclusion les professionnels doivent se d fendre Nul ne niera que la concurrence est rude entre les professionnels priv s ils n avaient pas en plus besoin d tre concurrenc s par des candidats jouis sant de multiples avantages par rapport eux Les professionnels doivent donc se mobiliser s ils veulent viter deux pr judices successifs e Engager des d penses importantes pour des dossiers de candidature pour l tude de dossiers de consul tation et pour l tablissement d offres et du fait d une offre pr datrice pr sent e par un concurrent privil gi se trouver priv s de toute chance d ob tenir le march e Et terme constater qu ils sont spoli s d une partie de plus en plus importante des march s publics voire priv s en raison des distorsions de concurrence leur d savantage La recommandation faite aux profes sionnels priv s est d tre vigilants d s qu un march est attribu un op rateur potentiellement privil gi par rapport eux Ils doivent conserver le dossier entier de consultation et r clamer toutes les informations que la loi oblige le pou voir adjudicateur leur donner l issue de la consultation voir les art 80 et 83 du CMP et surtout le rapport 2008 de la CADA lls doivent tre attentifs aux motifs qui ont conduit
54. e dont nous les gaspillons aujourd hui nos descendants conna tront leur puisement une g n ration ou deux plus t t que pr vu Ce pourrait tre Obama hier mais c tait Th odore Roosevelt en 1907 Le prin cipe d co responsabilit est rest longtemps en gestation car il est inconfortable et remet en cause notre syst me conomique et nos modes de vie Il a fallu attendre que le nombre des individus touch s personnelle ment augmente pour que les esprits se r veillent 25 des missions de CO sont li s la construction et l usage des b timents qui con somment environ 16 de l eau 45 de l nergie et 50 des res sources naturelles minerai pierre bois Ces chiffres donnent l ampleur de la responsabilit des architectes et des autres acteurs du b ti et de l am nagement des territoires G G Des continuit s sont tablies entre divers mouvements d architecture et l approche co responsable Qu en est il avec le Bauhaus D G M Au d but du 20 si cle plusieurs mouvements internationaux rapprochant architecture et artisanat et pla ant l humain avant la technique avaient des convictions assez proches des n tres Arts and Crafts en cosse puis en Californie Wiener Werkst tte en Autriche et Bauhaus en Allemagne leurs motivations sociales et cultu relles s ajoute aujourd hui la n cessit de r pondre une urgence cologique Le Bauhaus voulait rapprocher th orie e
55. e sant maisons de retraite cr ches Il joue un r le important dans la pr vention des risques infectieux et apporte une r ponse aux exigences les plus strictes en mati re de s curit sanitaire et de confort Textile 100 recyclable selon le proc d Texyloop Fiche de Donn es Environnementales et Sanitaires FDES disponible sur demande Certification Greenguard Indoor Air Quality et Children amp School PRODUITS ET SYST MES POUR INSTALLATIONS LECTRIQUES ET R SEAUX D INFORMATION FABRICANT DE REV TEMENTS DE SOL ET D ACCESSOIRES EN CAOUTCHOUC LI legrand Marion Duclos RESPONSABLE COMMERCIALE PRESCRIPTION EN CHARGE DE LA CLIENT LE ARCHITECTES E mail marion duclos legrand fr N Vert O 810 48 48 48 Port 06 70 43 89 15 Site Internet www legrand fr Programme SOLIROC le r flexe robustesse pour tous vous projets Le nouveau Programme SOLIROC IK 10 garantit une robustesse toute preuve dans les espaces risques ou sans surveillance en int rieur comme en ext rieur Les avantages de l offre e Haute r sistance aux chocs IK10 sur toute la gamme e Haute r sistance l humidit IP 55 sur les principales fonctions inters poussoirs prises avec volets e Fonctions tendues inter badges inters cl signal tiques lumineuses e Adaptateur Mosaic permettant de recevoir des fonctions compl mentaires e Fixations sur supports et bo
56. echnique assur e direc tement par les services d concentr s de l tat dans le cadre de conven tions conclues par les collectivit s int ress es et les DDEAF au b n fice des petites communes ou grou pement ou syndicat de communes Les professionnels priv s peuvent seulement regretter que 96 des communes soient ligibles au b n fice de l Atesat Les CAUE Les conseils d architec ture d urbanisme et d environnement cr s en 1977 par la loi sur l architec ture mis en place par les d partements et financ s par une taxe effectuent gra tuitement des tudes et des missions au b n fice des collectivit s et des 1 Les Directions d partementales de l quipement de l agriculture et des for ts DDEAF sont n es de la fusion DDE DDAF 2 Les missions d appui technique de l tat pour des raisons de solidarit et pour l am nagement du territoire ATESAT sont encadr es par le d cret 2002 1209 du 27 septembre 2002 et l arr t du 27 d cembre 2002 particuliers L article 7 de la loi du 3 janvier 1977 interdit la ma trise d uvre aux CAUE mais il arrive que certaines prestations d assistance par exemple dans les domaines de l am nagement paysager ou urbain ou de la pro grammation mordent sur les missions qu assument habituellement les pro fessionnels priv s I convient d liminer de telles pratiques Les services int gr s Il est normal que les personnes publiques g ran
57. eci n est pas surprenant et ce n est que dans les plus grandes soci t s plus de 50 personnes que le ratio des b n fices augmente nouveau pour atteindre 26 Les bureaux d architecture sont pour la plupart actifs sur les march s locaux En moyenne seulement 6 de leur revenu provient du march l expor tation nouveau il y a de grandes diff rences selon les pays La propor tion d exportations est la plus grande au Danemark 12 4 et la plus basse en Gr ce 1 5 Le Royaume Uni a la plus grande pro portion d architectes travaillant dans des succursales 18 Le Danemark la Gr ce Malte la Roumanie et la Turquie se situent galement au dessus de la proportion moyenne 9 En France seulement 1 des architectes travaillent avec des succursales La plu part du temps le si ge social des suc cursales est situ dans le m me pays que le bureau principal Seulement pour la Gr ce l Irlande Malte la Roumanie et la Su de les si ges sociaux sont situ s dans d autres pays Revenus individuels Il existe une grande variation du revenu moyen des architectes travaillant temps plein en Europe Le revenu annuel moyen le plus haut se situe en Irlande SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unija 13 SA Europe BA Europe 14 65 000 au Danemark 53 720 et au Luxembourg 50 000 Le plus bas se trouve en Roumanie 13 990 et en Turquie 14 648 Lorsque l on compare de p
58. ellement l action en gag e par un syndicat soit devant l autorit de tutelle des tablissements concern s soit devant un tribunal soit devant l Autorit de la concurrence en cas de comportements pr dateurs r p t s ou d offres ou s ries d offres conomiquement anormales En conclusion alors que l galit est un terme de la devise de la R pu blique nonc e l article 2 de la Constitution on d plorera que l tat laissent les structures publiques ou parapubliques en violer le principe d s qu elles entrent dans le domaine Gilbert Ramus pr sident de l OCPP 8 L OCPP r unit les syndicats suivants CICF CNIEFEB CEF FFP SYGAM SYNTEC INGENIERIE UNGE UNSFA UNTEC Ko E mg b pH p li w s er fi en LH r s i Rus Jean Bleuzen Vanves 92 Chauss e en b ton de 300 e m Abattement significatif des gaz polluants R alis e en B ton de ciment mince BCMC TX Aria ilt Mermoz Maisons Laffitte 74 Pascal Grabli MO Gilbert Grabli H tel de police de Bordeaux 33 R alis en B ton TX Arca blanc Claude Tour Headlight Lab ge 31 Artotec Architecture Asa Architectes Dalnsslsdin g MO SGAP de Borde MO Carle Investissements et R alisation R alis e en b ton TX Arca blanc n aux R alis en b ton TX Arca poli blanc La technologie TX Active construit un nouveau cadre de vie pour aujourd hui et pour demain
59. ente de D partement de l Architecture HKAIG le Pr sident de la Facult d Architecture et Ewa Struzynska architecte codirectrice du Programme de Travail de PUIA Architecture amp enfants responsable de la Commission Culture et Actions ducatives l Unsfa Le Symposium s est d roul en deux parties 1 Les conf rences par des intervenants croates et trangers France Autriche Espagne Japon Allemagne La 2 Des ateliers avec des enfants A Atelier de construction avec les enfants L objectif tait de montrer comment on peut et doit int grer l ducation l environnement b ti dans les pro croates sur la place principale de Zagreb grammes des coles primaires et secondaires de mani re transversale travers les disciplines et le programme sous la direction de Laurent Tardieu arc national Suite au Symposium et aux derni res nouvelles le Gouvernement Croate int gre l Architecture en r ve dans le cursus scolaire La Chambre des Architectes et des Ing nieurs du Costa Rica a organis son IX Congr s de l Architecture San Jos au Costa Rica les 20 21 et 22 mai 2009 Ce congr s tait plac sous l intitul Recherche amp critique en Architecture et urbanisme Pendant trois jours se sont succ d s des conf renciers du Costa Rica du Mexique du Guatemala de l Argentine et deux conf renciers fran ais le professeur Vincent Renard conomiste Directeur de Recherche au CNRS professeu
60. er le domestique les premiers t moins de l architec ture cologique tant des maisons de Wright et d Aalto et l chelle d un quartier Les points communs entre les r alisations retenues ne sont pas chercher dans des solutions techniques ni dans des choix esth tiques mais dans l engagement qui anime leurs concepteurs l ouverture d esprit l attention port e l Autre la g n rosit G G En quoi la sc nographie de l exposition est elle aussi l expression de cette mani re d habiter cologique D G M Serge Joly et Paul Emmanuel Loiret sont des architectes engag s dans une approche envi ronnementale dans le cadre de leur pratique et de leur enseignement ESA Ils ont tout de suite rebondi sur les quelques mots cl s que je leur ai donn s sobri t mat rialit ad quation entre le propos et le Y L exposition N en jetez plus dont lodie Brisson est commissaire sensibilise le jeune public dans une mise en sc ne ludique de l agence Marchi Architectes 16 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 A L exposition couvre un si cle d architecture cologique dans le monde avec un focus sur la France support Pour les s quences ils ont choisi des composants constitu s d alv oles en carton recycl fix es entre deux panneaux de particules Photos et textes ont t directement imprim s sur ce support avec des produits contenant un minimum de solvants car le rendu tait
61. es le 22 juin dernier un rendez vous capital la mi 2010 pour r former les retraites Les pistes commun ment pr sent es sont l allongement de la dur e de cotisation le recul de l ge l gal de d part la retraite la diminution des pensions sans oublier la prise en compte de la p nibilit et de l emploi des seniors Comme l explique le Conseil d Orien tation des Retraites C O R la question du recul de l ge minimum l gal de d part la retraite doit s appr cier en liaison avec la situation de l emploi des seniors car un recul de l ge l gal de la retraite ne conduit pas m caniquement un recul quivalent de l ge de cessation d activit En France le taux d emploi des salari s de 55 ans et plus s tablit 38 3 alors que la moyenne de l Union Europ enne est 44 7 et qu un objectif europ en de 50 tait fix pour 2010 La solution passe donc par un cumul de mesures M me si l heure actuelle nous sommes s v rement touch s par la crise cono mique l am lioration de la situation de l emploi des seniors rev t un triple enjeu conomique l largissement de la par ticipation au march du travail soutient notre potentiel de croissance de coh sion sociale par l insertion de toutes les g n rations dans l entreprise la trans mission des savoirs et des exp riences et de financement de la protection sociale il s agit d un levier d cisif pour l am lioration
62. euses ann es Au Danemark en Finlande aux Pays Bas et en Su de plus de 25 des architectes Pays Bas le secteur public n emploie que tr s peu d architectes La r putation des architectes telle qu elle est per ue par les architectes En g n ral les architectes ne sont pas enclins penser que leur r puta tion est per ue de mani re favorable par les autres personnes avec une exception concernant leurs propres clients lls pensent qu ils sont bien per us ou tr s bien per us par environ la moiti de leurs clients mais par seulement 37 du public et par 31 des autres acteurs du secteur de la construction La profession pense que sa r putation est la plus favorablement respect e parmi les confr res Les architectes pensent que 53 des confr res ont une haute ou tr s haute opinion de leurs coll gues En moyenne ceci s applique pour 31 des autres acteurs du sec teur de la construction Le march On estime que la valeur totale du mar ch europ en de la construction sur les 32 pays consid r s d passe 1 650 milliards d euros par an Le Royaume Uni la France l Allemagne et l Italie repr sentent 54 de la production totale Mesur e par habitant la valeur moyenne est de 2 826 Celle ci est plus lev e au Luxembourg en Norv ge et en Irlande chacun plus de 7 000 par habitant La valeur totale du march de l ar chitecture dans les 17 pays qui ont r pondu l enqu te
63. ficier d un entretien de carri res compter de son 45 anniversaire et en suite tous les 5 ans Les points aborder avec le salari au regard de l volution des m tiers et des perspectives d emploi dans l entreprise sont ses comp tences ses besoins de formation sa situation et son volution professionnelle dans l objec tif de lui permettre d anticiper la seconde partie de sa vie professionnelle Maintien de la compl mentaire sant de branche Le maintien de la couverture frais de sant est accord sans condition de p riode probatoire ni d examen ou de questionnai res m dicaux aux b n ficiaires d une pen sion de retraite Les garanties propos es restent identiques celles du r gime 3 Accord collectif de travail n goci par l UNAPL 4 Arr t d largissement aux professions lib rales de l ANI relatif l emploi des seniors du 13 octobre 2005 Pour plus d informations www unsfa com de base conventionnel des actifs m me si des options adapt es la situation des b n ficiaires sont propos es par l organisme assureur en suppl ment Les tarifs propos s aux retrait s sont major s de 30 par rapport au tarif total part patronale et salariale du r gime de base conventionnel La Loi Evin fixant une ma joration maximale de 50 L employeur d clare le d part en retraite aux institu tions de pr voyance d s la fin du pr avis Le retrait b n ficie alors d un mois de co
64. forestiers laboratoires d analyse etc 4 Principalement le titre Il du livre V de la premi re partie du CGCT E PET On citera quelques prestations sus ceptibles d tre ainsi capt es par des op rateurs privil gi s e En urbanisme et am nagement laboration ou r vision des POS PLU SCOT cartes communales tu des urbaines et urbanisme op ration nel relev s topographiques tudes et expertises fonci res transactions etc En assistance ma trise d ouvrage tudes d opportunit de faisabilit d im pact conduite d op ration program mation valuation mandat de ma trise d ouvrage diagnostic et bien d autres missions d assistance y compris pour la mise en service ou la gestion des ouvrages etc En ma trise d uvre ma trise d u vre totale ou partielle neuf r habili tation ou entretien d infrastructures de r seaux d am nagements urbains ou paysagers de b timents etc Dans le domaine rural et forestier assistance la gestion foresti re suivi des PSG plan simple de gestion expertise foresti re visite diagnostic laboration des sch mas de desserte de chartes foresti res de dossiers de boisement ou de plans de d ve loppement de massif aide la com mercialisation ma trise d uvre ou et r alisation de travaux forestiers ete e Dans le domaine des laboratoires tat initial de la qualit de l air diverses mesures de
65. grande part des travaux 34 Dans certains pays les collectivit s locales ne sont pas d importants clients des architectes Belgique France Malte et Roumanie Dans d autres pays ils repr sentent plus de 10 des travaux En France le poste Autres clients publics repr sente 35 des travaux entrepris cinq fois plus que la moyenne de ce secteur de client le de l ensemble des 17 pays Il n est pas surprenant de constater que c est la conception qui g n re les plus hauts revenus pour les archi tectes 66 Ce poste est le moins lev au Danemark 47 et le plus lev en Finlande 78 Dans certains pays les travaux sont mieux r partis sur diff rents types de services par exemple d coration d int rieur gestion de projet urbanisme ou autres servi ces C est le cas au Danemark Malte en Slov nie en Su de et en Turquie Bureaux d architecture Il existe environ 69 800 bureaux d architecture dans les 17 pays correspondant plus de 130 000 bureaux d architecture en Europe des 32 Plus de la moiti de ces bureaux sont des soci t s uni personnelles Seulement 1 des bureaux d architecture occupent plus de 30 personnes Le revenu moyen pour un bureau com pos d une seule personne est de 59 389 les Pays Bas ayant le plus haut revenu moyen 84 497 et la Turquie tant au bas de l chelle 17 028 Le revenu moyen des bureaux d ar chitecture qui emploient pl
66. imoniale et prise en compte du site etc e d imaginer les sc narios possibles d en tudier la faisabilit technique et co nomique compte tenu des donn es et contraintes y compris d ordre adminis tratif et d optimiser les performances de la solution retenue par un choix raisonn des mat riaux et mat riels e de d crire pr cis ment les ouvrages r aliser par les entreprises afin de faciliter leurs interventions efficaces Le lecteur serait surpris si nous ne d signions pas l architecte comme tant l acteur r pondant le mieux aux actions num r es ci dessus D ailleurs de tout temps les artisans et TPE du b timent ont toujours marqu leur pr f rence pour une ma trise d u vre solide qui soit avec le ma tre de l ouvrage leurs deux seuls interlocuteurs Les entrepreneurs ne cessent de d plorer la pr sence dans les op rations de b ti ment d une multitude d intervenants sans statut l gard des entreprises qui met tent leur grain de sel sur tout et la plupart du temps sans aucune responsabilit ni court ni long terme NON A INEAENANTS MAGIAENS Pour plus d informations Wwww unsfa com Mais alors si la ma trise d uvre reste dans tous les cas n cessaire quoi servent les formations suivies par les entrepreneurs Nous pensons qu elles sont essentiel les pour de multiples raisons e D abord quelle que soit la proc dure adopt e le travail de l entrepri
67. ion Ces dispositions ne sont pas respec t es et notamment e la demande d exemplaires suppl men taires hors d lai en sus de ceux n ces saires pour projet situ dans un secteur prot g et ce souvent plusieurs se maines apr s le mois r glementaire le service instructeur d clare ne pou voir se contenter du nombre d exem plaires obligatoires pour consulter les diff rents services et conditionne l ins truction la production de dossiers compl mentaires Un refus du p tition naire entra ne syst matiquement une d claration de dossier incomplet malgr une demande non r glementaire et l ch ance chue Sur les pi ces constitutives de la demande de permis Les articles R 431 1 37 et le bor dereau de d p t de pi ces jointes d finissent une liste exhaustive sans qu aucune pi ce ne puisse tre demand e Et pourtant il est r guli rement et abusi vement demand l architecte e des plans int rieurs des logements et des coupes d taill es de ces b ti ments en contradiction avec la liste exhaustive des documents fournir e des notices de s curit incendie pour des logements e des attestations fantaisistes par exemple celle engageant le p tition naire respecter les hauteurs de seuils relatifs aux d crets de d cem bre 2007 sur l accessibilit alors que le permis est express ment d claratif Sur la conduite de l instruction L article R 123 9 du CU d
68. it s devaient cr er et tenir une comptabilit analytique tr s stricte Alors que la r forme de l ing nierie publique est en cours depuis presque une d cennie on constate que les organismes publics tra nent les pieds pour mettre en place une telle compta bilit faisant appara tre le d tail des co ts C est incontestablement un imp ratif mais c est aussi un leurre car la comptabilit analytique n expose que ce qu on veut bien lui fournir e Une comptabilit faisant appara tre honn tement des charges l galement inf rieures celles du secteur priv permettra d tablir des prix brad s sinc res De plus la plupart des l ments distor sifs de concurrence voqu s aux 3 1 et 3 3 n apparaissent pas dans une comptabilit f t elle analytique Enfin tant que la s paration de tous les facteurs notamment humains ne seront pas effectifs le temps exc den taire consacr un march dont le prix est insuffisant peut toujours tre report sur une mission de service public Car la distorsion de concur rence ne porte pas que sur le prix plus faible prix comparable l acteur public peut d cider de ne pas tre regardant sur le temps consacrer telle ou telle op ration Pour s engager dans une voie de progr s et afin d assurer l galit des candidats un march public les pou voirs adjudicateurs ne devraient mettre en concurrence avec les professionnels priv s qu
69. itements plus faibles d o il r sulte des prix de revient imm diats inf rieurs Charges sociales diff rentes notam ment pour les cotisations retraite et non p nalisation syst matique en cas de retard de versement aux organismes Iniquit fiscale parfois sur plusieurs postes de la taxe professionnelle la TVA en passant par l imp t sur les soci t s les droits d enregistrement ou la taxe sur les voitures de soci t Obligations d assurance r duites et entre personnes publiques appels en garantie limit s Cautionnement ou retenue de garan tie exceptionnels aucune garantie premi re demande ne peut tre exig e d un organisme public titulaire d un mar ch art 101 du CMP Subventions ventuelles de fonctionne ment ou d quilibre des march s per dants ne font pas sombrer la structure publique D ailleurs certaines structures pr sentent r guli rement des budgets d ficitaires sans pour autant dispara tre Ete 3 3 Le comportement des pouvoirs adjudicateurs Autant les ma tres d ouvrage publics et leurs contr leurs financiers sont rigou reux l gard des prestataires priv s en cas d al as et de difficult s autant ils deviennent conciliants et indulgents avec leurs prestataires publics Le caract re d s quilibr des march s publics que nous d non ons r guli rement et le comportement s v re des pouvoirs adjudicateurs conduisent r guli rement les op rate
70. la mesure des enjeux O LL Les difficult s conomiques pr visibles fin 2008 sont aujourd hui une r alit pour les architectes et l ensemble des acteurs du cadre de vie Cette situation suscite de la part des professionnels des questions quant l organisation de leur travail voir la p ren nit de leur activit La formation apporte une r ponse certes partielle mais bien r elle contribuant permettre la diversification vers de nouvelles missions ou aider revoir son fonctionnement Le GEPA organisme de la formation des Architectes et des Acteurs du cadre de vie depuis 40 ann es s est dot d une organisation et de moyens pour r pondre au plus pr s des besoins des professionnels Organisation et Moyens La formation continue est avec la loi sur la formation tout au long de la vie et l en gagement du CNOA pour son caract re obligatoire devenue un objet de march et plus encore aujourd hui un enjeu de pouvoir o les d clarations d intention le disputent aux effets d annonce Dans ce contexte agit il convient d exposer le fonctionnement du GEPA son organi sation et les moyens dont il s est dot pour r pondre aux n cessit s du moment et surtout sa vocation d origine servir la formation des Architectes Qu elles sont les n cessit s de princi pe de la formation continue pour notre profession La n cessit est de proposer des for mations correspondant aux trois temps de l exercice pr
71. le pouvoir adjudicateur choisir cette offre mais il sera sans doute assez rare que le prix du march puisse tre raisonnablement qualifi d abusivement bas Le plus difficile sera de suivre tout au long de son ex cution le march rem port par un op rateur public soit pour d montrer que le prix conclu ne permet tait pas d accomplir des prestations aussi lourdes ou d une aussi longue dur e soit pour constater que le march a fait l objet de divers am nagements n goci s tranquillement par le pouvoir adjudicateur et son prestataire public 7 la demande de l OCPP la juriste Laure Maria Dusseau a r dig un rapport tr s complet analysant les Distorsions tarifaires dans le secteur des prestations intellectuelles d ing nierie et de ma trise d uvre Il est consultable sur les sites des syndicats membres de l OCPP L Observatoire de la concurrence public priv cr par neuf organisa tions syndicales poursuit plusieurs objectifs e Mesurer l tendue de la ponction op r e sur l ensemble des march s par des acteurs b n ficiant d avantages distorsifs de concurrence Ce sont les informations recueillies par les pro fessionnels et rassembl es par leurs syndicats qui peuvent permettre cette appr ciation Interpeller les Pouvoirs publics sur cette situation qui va totalement l encontre des actions que le Gouvernement pr tend prendre au profit des PME Appuyer ventu
72. lections pr sidentielles ALAIN VVIER NN NOUVEAU PRESIDENT DE LA MAF l issue de son assembl e g n rale le conseil d administration de la Mutuelle des architectes fran ais assurances Maf a port Alain Vivier sa pr sidence Cet architecte dipl m en 1974 de l cole Nationale des Beaux Arts de Paris suc c de Michel Grange Alain Vivier est administrateur de la MAF depuis 1999 il est aussi membre correspondant national de l Acad mie d Architecture ainsi que membre du conseil d administration de la Soci t Fran aise des Architectes SFA EE MARC PIGEON LA T TE DE LA FPC EEE Marc Pigeon 57 ans est le nouveau pr ae sident de la F d ration des promoteurs constructeurs FPC pour trois ans succ de Jean Fran ois Gabilla PDG du groupe Roxim Marc Pigeon a d j t pr sident de la FPC entre 2003 et 2006 Jai de nombreux projets dont ceux de favoriser l mergence de jeunes promoteurs et de cr er une fondation pour le logement tr s social ou temporaire Mais ma principale mission me para t de b tir une f d ration en ad quation avec les comp tences des promoteurs actuels a t il d clar PASCALE POIROT NOOVE CLE EREE IVE NTE DU SNAL Pascale Poirot 50 ans a t lue pour trois ans la pr si dence du Syndicat national des profes sionnels de l am na gement et du lotis sement SNAL Elle succ de Dominique de Laven re pr
73. livia RIVIERE E mail o riviere trespa com T l 01 79 92 82 01 Site Internet www trespa com fr Syst mes d am nagement FABRICANT DE MOBILIER MODULAIRE DESTIN OPTIMISER L AM NAGEMENT D ESPACES PROFESSIONNELS OU PRIV S Martine MANUEL E mail mmanuel frusm com T l 01 53 59 30 30 Site Internet www usm com vV Syst mes de fen tres PVC CONCEPTEUR DE SYST MES DE FEN TRES PVC R PONDANT AUX NORMES ET LABELS LES PLUS EXIGEANTS POUR LE NEUF ET LA R NOVATION Arnaud ROBY E mail aroby veka com Port 06 27 91 32 46 Site Internet www veka fr CONCEPTION FABRICATION ET DISTRIBUTION DE FEN TRES DE TOIT ET QUIPEMENTS ASSOCI S Catherine JUILLARD T l 01 64 54 29 90 Site Internet www velux fr VISOREX Boites aux lettres FABRICANT DE BO TES AUX LETTRES PERSON NALISABLES D CORATIVES O STANDARDS BOIS ACIER Dominique BERTON E mail dhberton visorex com T l 01 60 05 91 10 Port 06 08 27 47 33 weber ENDUITS DE FA ADES LITE SYST MES DE POSE DE CARRELAGES MORTIERS ET B TONS Christian G RARD PIGEAUD E mail christian gerard pigeaud saint gobain com T l 01 60 62 13 51 Centre de Renseignements Techniques 0 820 00 33 00 N Indigo Site Internet www weber fr Mh Wienerberger Building Value WIENERBERGER EST LE SP CIALISTE INCONTOURNABLE DE LA TERRE CUITE DES SOLUTIONS TERRE CUITE POUR LE NEUF ET LA R NOVATION TUILES ET SOLUTI
74. munication 3 rue de Valois 75001 PARIS gm L UNION DES ARCHITECTES Paris le 24 juillet 2009 R f 3103 MR EVIN Objet 40 congr s de l Unsfa Monsieur le Ministre Je tiens au nom de l ensemble des syndicats affili s notre union que je repr sente vous renouveler nos f licitations pour votre nomination au Minist re de la Culture et de la Communication En tant que Ministre vous avez la charge de mettre en place une politique coh rente et dynamique pour notre profession dans l objectif attendu par Monsieur le Pr sident de la R publique c est pourquoi je renouvelle notre invitation notre Congr s seule manifestation regroupant annuellement les architectes repr sent s par leur syndicat Les mots du Pr sident de la R publique pour voquer sa propre approche des valeurs humaines sociales et culturelles de l architecture sont ceux que nous pouvions esp rer Oui l architecture traduit interpr te et conditionne le destin individuel et collectif des hommes Oui l architecture est le lieu de notre identit exprime la place de l homme dans le monde modifie notre relation l espace et aux autres personnes Ces citations de Paul Val ry couronnent le bouquet des valeurs offertes la nation par l architecture L architecture au quotidien offerte au citoyen y compris au plus humble conditionne leur vie et doit leur apporter le plaisir d tre L architecture n est pas u
75. n jeu innocent c est un art qui concerne tout tre pour notre plan te Le d fi que nous lance le Pr sident de la R publique d velopper notre cr ativit deviendra possible si au del du discours des mesures concr tes viennent desserrer les taux qui enserrent notre espace de conception Ce que nous attendons c est que la volont de faire se concr tise v ritablement Il a galement soulign la dimension urbaine de l architecture en lan ant l id e de confier des architectes une grande r flexion sur la ville commencer par le Grand Paris Les Fran ais sont sensibles aux trois domaines qui fondent leur vie quotidienne savoir l habitat la ville et l cologie et qui leur permettent de mesurer la valeur de l architecture Ainsi les architectes doivent pouvoir r pondre avec l ensemble des acteurs du cadre de vie et le soutien de la puissance publique cette forte attente de l ensemble des citoyens Nous ne doutons pas que vous consid rez avec le Pr sident de la R publique et l ensemble du Gouvernement que l architecture et les 20 000 entreprises d architecture repr sentent un enjeu national dans un monde en crise confront notamment des enjeux climatiques portant sur le d veloppement urbain et l habitat ces enjeux notre profession et notre syndicat r pondent par des actes et une politique qui se conjuguent avec celle du Gouvernement qu il s agisse de formation professionnalisante visant augmen
76. n monde auquel nous sou haiterions pouvoir participer P A Pour vous que signifie tre architecte B K Par analogie je visualise un axe de vie pass pr sent futur une liane autour de laquelle s articulent ce qui m a t transmis les exp riences de jeunesse puis ma vie personnelle et celle d archi tecte mon engagement citoyen de p da gogue l expression d une thique C est notre thique et notre responsabilit professionnelle de pouvoir sauvegarder et contribuer autant que possible la recher che de sens et de coh rence de notre environnement et de la vie quotidienne des habitants C est avoir conscience que si aujourd hui la terre avait une voix elle hurlera it son d sespoir lei HET TA Meur ir Feb Pr a Koss enaros eran i Pare iia Pt ol ai us Deanin PPT ER PRET iy Fn a lis Gier iei fe ren Son curata dha Lt do P M g Daah es ARR z a iage D bm irekit Bm D Jr PES per 7 rar ss P Re s 1 Ae T hate E nt POET kes _ LEP L 1 L an El arire a ba Du pripens met Barri Diki CPS 2j DH HSE me lia Hi eie pure ST ki Le rer P Le A T Hd i Er ig NX mem bise bir Biia Mieti d irhas sarir H SEPTEMBRE 2009 PA n 30 nifa 39 L architecture au quotidien 2 R forme des retraites Infos Soc et emploi des seniors ce qu Un employeur doit savoir Le chef de l tat a annonc devant les parlementaires r unis en Congr s Versaill
77. net www schindler fr FABRICANT DE PROFIL S ET ACCESSOIRES POUR LE CARRELAGE NATTES DE D SOLIDARISATION D COUPLAGE D TANCH IT ET DE DRAINAGE Christophe BARRUEZO E mail lydie_blot schluter systems fr T l 03 44 54 18 25 22 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 PLAFONDS ROCKFON CHOISISSEZ VOTRE ESTH TIQUE NOUS AVONS LES PERFORMANCES MENUISERIES ALU PVC FA ADES VERRI RES PANNEAUX SOLAIRES BRISE SOLEIL STORES D OCCULTATION EXT RIEURS Rockfon DYNAMISEZ VOTRE PLAFOND R mi Vaganay E mail remi vaganay rockfon fr T l 01 40 77 82 08 Port 06 07 61 28 27 Sites Internet www rockfon fr et monoacoustic fr Plafonds et panneaux muraux SELVA laissez vous tenter par la finition bois La simplicit et l l gance naturelle du bois son caract re la fois sobre chaleureux et raffin ont inspir Rockfon la cr ation d une gamme compl te de plafonds et de rev tements muraux finition bois pour le confort acoustique des espaces int rieurs Compos e de six teintes classiques ou contemporaines la gamme SELVA se d cline en deux finitions de bords bords droits ou feuillur s dans la version plafond Les panneaux muraux quant eux disposent d une finition de bord permettant de cr er un effet joint creux tr s discret La gamme SELVA a t con ue de mani re assurer un confort acoustique d exception a 0 95 en version plafond et a
78. ns dipl m de l cole Paris Malaquais de RANCE R RENENOUR REA RE OIT LA L GION D HONNEUR L architecte connue pour son engagement de longue date en faveur de la construction responsable s est vue d cerner les insi gnes de chevalier dans l Ordre de la l gion d Honneur par Benoist Apparu le 9 juillet dernier Fran oise H l ne Jourda en a profit pour remercier tous ceux qui l ont soutenue dans son combat depuis 30 ans Et je compte bien poursuivre encore pendant au moins 30 ans s est elle exclam e en plaidant pour la culture du partage que suppose le d veloppement durable dans la construction et l urbanisme HOMMAGE ADRIEN ZELLER Le pr sident UMP de la r gion Alsace Adrien Zeller 69 ans hospitalis depuis mi juillet Haguenau dans le Bas Rhin apr s un infarctus est d c d le 22 ao t dernier la suite d un accident cardiaque I nous avait fait le plaisir de nous accor LU der une interview en octobre 2006 Passion Architecture n 18 en pr ambule du 37 congr s de l Unsfa qui se d roulait Strasbourg Nous nous souve nons d un homme conscient et soucieux de la place occup e par les architectes au sein de la ma trise d uvre Nous tenions lui rendre hommage VPCOUES FROUCENEINT QRE CACA DENE GES BEAUX ARTS L architecte Jacques Rougerie a in t gr le 3 juin 2009 l Acad mie des Beaux Art
79. nt inventives on y rentre avec joie Mais partir de l d s l cole primaire et tout ce qui suit y compris l universit et bien videmment les coles d architecture on se trouve d apr s ma propre exp rience dans des mondes o il est diffi cile de s adapter Certes il y a maintenant les livres et les ordinateurs mais on tente tout de m me d y valoriser ce qui est intellectuel au d triment du sensible Il serait si facile d adjoindre toute une panoplie d ateliers qui permettraient chaque l ve de se r v ler ateliers de fabrication d invention de pratiques artistiques de technologies allant de vieux outils des oliennes et panneaux solaires sans n gliger l entente avec la nature On peut faire le m me constat propos de ces coles d architecture isol es sur q Huit A FunsYSTEN g Wi Ea 7 aiae N D 4 z t PA 1 Ut Le Fa P x ge KAS Cr A eno N dal leurs terrains et qui auraient d se retrou ver au sein d universit s de l environ nement r unissant toutes les mati res et disciplines qui collaborent la fabrica tion de nos territoires des villes et villages et au milieu agricole et naturel Continuer intensifier la s paration entre l intellec tualisation et le faire le virtuel et le r el le monde clos de la formation et celui de la vie en marche entra ne une intol rable perte de connaissances de synergie d imagination et
80. ofessionnel e donner les outils pour acc der la comp tence et la commande ceux qui entrent dans la profession e permettre l actualisation des connais sances du point de vue technique et r glementaire pour ceux qui produisent notamment dans l activit principale de Ma trise d uvre e faciliter la diversification vers de nou velles missions pour tous ceux qui en ont besoin et valoriser le savoir de l exp rien ce pour ceux qui peuvent le transmettre Ces principes doivent guider l action du GEPA quoique nous impose l v nement Pour proposer les formations en accord avec ces principes le GEPA se doit plusieurs t ches e cr er et diffuser une offre de formation mise en forme de propositions Suite de l article paru dans Passion Architecture n 26 d octobre 2008 26 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 e animer des r seaux centres associ s et partenaires e initier la conception de produits forma tion ing nierie de formation e changer avec et former des formateurs e g rer des moyens de diffusion site Internet et plate forme e r pondre des consultations pour des missions logistiques Pour honorer ces t ches le GEPA s est dot d une organisation selon trois secteurs e un secteur Op rateur Distributeur qui assure la vente et la relation avec la clien t le et les centre de formation associ s e un secteur d Ing nierie de formation et formati
81. on une technique capable de reproduire des sc nes r elles en trois dimen sions partir de photographies Cet ouvrage enseigne les techniques pour y parvenir afin de l appliquer au patrimoine architectural Tr s M ichement illustr il traite des aspects th oriques m thodologi ques ainsi que des applications pratiques de cette technique Cet ouvrage s adresse aussi bien aux professionnels du do en er maine de la conservation et de la valorisation du patrimoine qu aux tudiants en architecture ing nierie ou histoire projets europ ens Pr venir et g rer les d chets de chantier ADEME ditions Le Moniteur 200 pages 55 Cet outil pratique propose une m thode pour accompagner l ensemble des professionnels concern s par la prise en compte et l optimisa tion de la gestion des d chets de la pr paration du projet jusqu la r ception de l ouvrage tapes par tapes sous forme de 17 fiches cette m thode illustr e par des tableaux synoptiques et photos apporte aux diff rents acteurs tous les moyens pour mettre en uvre des actions de pr vention de limi tation et de gestion des d chets 42 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 Linvention de la tour europ enne Ingrid Taillandier Olivier Namias Jean Fran ois Pousse ditions Picard 437 pages 49 la charni re du XIX et du XX si cle la Het Witte Huis de Rotterdam marque l implantation des tou
82. on de formateurs qui remplit la t che de suivre les contenus en relation avec des Commissions P dagogiques une par domaines de formation com pos d administrateurs de formateurs et d utilisateurs motiv s et suit le projet Formation de Formateurs e un secteur Prospective et D velop pement qui a pour objet les relations Nouveaux espaces nouveaux acteurs nouveaux moyens Cette organisation mobilise quatre per manents ce jour Le cadre p dagogique est divis en six domaines de priorit depuis 2008 dans lesquels s inscrit l ensemble des formations e la Qualit Environnementale et le D ve loppement Durable e Accessibilit pour tous et la Qualit d usage e la Programmation urbaine et architec turale e le Management d agence e la Pratique Professionnelle e l Art et Culture et divers l int rieur de ses six domaines les formations sont r parties par familles th matiques et qualifi es en Fondamentaux caract re g n ral formation de base pouvant constituer un pr requis Appro fondissement sur un aspect particulier permettant un d veloppement sp cifique Application concernant une approche ponctuelle dans le but d assurer des t ches ou des missions particuli res La strat gie d velopp e est de pr f rer des formations longues et co teuses sauf si elles ont un caract re dipl mant des acquis personnels la carte au rythme choisi libre men
83. pants Michel Bodin et Guy Urvoy directeurs R amp D de la soci t MVN cr ateurs de syst mes a rauliques de ventilation pour l immobilier collectif r habilit nous expliquent ces enjeux Passion Architecture Quelle est la probl matique de la ventilation dans le domaine du logement collectif MVN La ventilation est un enjeu sanitaire majeur Son r le n est pas de brasser de l air mais de garantir un d bit journalier r glement et contr l tout en pr servant le b ti En mati re de logement collectif il faut particuli rement veiller l installation d un syst me adapt en pr sence d appareils fonctionnant au gaz une ventilation d fi ciente peut conduire des intoxications 300 400 d c s par an La ventilation ne concerne donc pas seulement l as pect sanitaire mais galement s curi taire En outre plus les b timents seront tanches plus la question du renouvel lement de l air se posera P A Vous tes sp cialis s dans la r habilitation de logement collectif Quelle est votre approche MVN La r habilitation requiert des m thodes de travail une ing nierie et une r flexion diff rentes de celles de la construction chaque b timent est diff rent le contexte le lieu les populations concern es sont diff rentes Le b timent vit c est nous de ne pas le d naturer C est d ailleurs pourquoi nous souhaite rions avoir des rapports plus toff s avec les archi
84. part un vrai confort acoustique et d autre part l utilisation de moteurs 2 Seren Air syst me d assistance m canique basse pression tanche de la ventilation naturelle des logements existants situ s dans les immeubles d habitation quip d appareils gaz tirage naturel quip d un dispositif s curis r tablissant en cas d arr t de l assistance m canique l vacuation des produits de combustion par tirage naturel sans coupure des appareils gaz raccord s 3 Aven Air syst me d assistance m canique basse pression tanche de la ventilation naturelle g n rale et permanente des logements existants situ s dans les immeubles d habitation Conserve dans leur tat initial les conduits collectifs ne n cessite pas de chemisage et ainsi limite les d perditions calorifiques Pour plus d informations www unsfa com lectriques moins nergivores que ceux utilis s couramment en ventilation m ca nique Pour conforter les objectifs du Grenelle nous d veloppons deux pro c d s Seren Ai et Aven Air en auto r glable sous avis technique du CSTB et hygro r glable avis technique en cours P A Dans le courant du 4 trimestre 2009 MVN proposera une formation sur les syst mes de ventilation Pouvez vous nous en dire plus MVN Cette formation s adresse tous les acteurs du b timent concern s instal lateurs architectes conomistes bureaux d tudes soci t s de maintenance
85. plus d informations Wwww unsfa com corian MAT RIAUX DE REV TEMENT DE SURFACE INT RIEUR EXT RIEUR CORIAN ET ZODIAO B atrice LALAUX E mail beatrice lalaux fra dupont com N Vert O 800 91 72 72 Sites Internet www corian fr et www zodiag fr fermacell FABRICANT DE PLAQUES DE GYPSE RENFORC PAR FIBRES ET DE PLAQUES BASE CIMENT Philippe R MY E mail philippe remy xella com T l 01 47 16 92 96 Port 06 22 44 36 07 Site Internet www fermacell fr architecture e FABRICANT DE MEMBRANES ET TEXTILES COMPOSITES Catherine SIEPIORA E mail catherine siepiora tesf fr Port 06 75 38 41 07 shager SP CIALISTE DE L INSTALLATION LECTRIQUE ET DES SYST MES DE COMMUNICATION POUR LE R SIDENTIEL ET LE TERTIAIRE Jacky DUBUC E mail jacky dubuc hager fr Port 06 14 64 54 82 Site Internet www hager fr LI legrand FABRICANT DE PRODUITS ET SYST MES POUR INSTALLATIONS LECTRIQUES ET R SEAUX D INFORMATION Marion DUCLOS E mail marion duclos legrand fr T l 01 49 72 53 34 Port 06 70 43 89 15 Site Internet www legrand fr MINCO De louvertne l environnement CONCEPTION FABRICATION MENUISERIES ET PORTES D ENTR E MIXTES BOIS ALU Isabelle BONNET E mail isabelle bonnet minco fr T l 02 40 33 56 56 Site Internet www minco fr nora FABRICANT DE REV TEMENTS DE SOL ET D ACCESSOIRES EN CAOUTCHOUC R mi DUVERT E mail remi duvert nora com
86. r l cole Polytechnique et l cole des Ponts et Chauss es dont les conf rences portaient sur les Politiques Fonci res et Ewa Struzynska architecte codirectrice du Programme de Travail de UIA Architecture amp enfants membre du Conseil d Administration du Conseil International des Architectes Fran ais CIAF membre du bureau et de la Commission Internationale responsable de la Commission Culture et Actions ducatives de l Unsfa vitez les mauvais plans de la maison individuelle son individuelle Mai R AL N P E as D D ee xX Rendez vous sur l espace adh rent du site pour recevoir le guide et trouver des informations des t moignages des conseils et de nombreux outils 18 PA n 30 SEPTEMBRE 2009 Bonne reprise Apr s cette insouciante p riode estivale je vous souhaite une bonne reprise bonne reprise galement l conomie et notre secteur d activit Alors cette reprise c est pour quand Ce sera le th me du congr s de l Unsfa les 10 11 et 12 septembre La Rochelle nous vous y attendons nombreux Le Club Prescrire comme son habitude jouera un r le majeur tout au long de cette manifestation Lors de r centes r unions nos amis industriels ont t questionn s sur l impact de la crise sur leurs activit s tr s majoritairement ils nous ont confirm que le march fran ais r sistait beaucoup mieux que les autres et qu il
87. r le personnel d agence Pour mieux adapter son fonctionnement d agence en p riode difficile en conservant et am liorant son outil de production LES NOUVEAUT S Le M tier d Architecte Les incontournables pour ceux qui acc dent la Ma trise d uvre ou veulent faire le point sur leurs mani res de faire L ART ET LA CULTURE LES NOUVEAUT S La langue anglaise pour les Architectes La langue anglaise pour les Architectes l heure ou les changes travers l Europe et le Monde deviennent une r alit conomique pour les Acteurs du Cadre de Vi ie La pratique des logiciels Le GEPA inaugure des formations l inforn ratique avec des perspectives d extension d s 2010 www formation architecte com Groupe pour l ducation Permanente des Architectes locale VI Collect La Rochelle Maxime Bono gt La Rochelle nos actions nos pro jets s articulent autour de la volont de bien vivre ensemble Ce vivre ensemble appliqu lam nagement de la cit c est avant tout organiser l espace et les services pour privil gier la rencontre et la vie collec tive dans le respect des particularit s de chacun et la satisfaction des besoins de tous C est aussi affirmer notre his toire en pr servant notre patrimoine b ti et naturel des tours du Vieux Port l ancienne halle poissons des ann es 50 devenue le centre de congr s Espace Encan ou du march couvert
88. rs sur le sol europ en signant ainsi le renouvellement du d veloppement de nos villes C est ainsi que le catalogue de l exposition de l Arsenal entame la jeune histoire des tours et nous am ne nous interroger sur les futurs AL COTE Nouvel environnement Dour l architecture de l habitat AMO Architecture et Ma tres d Ouvrage ditions PC 152 pages 35 Au travers de vingt quatre entretiens de ma tres d ouvrage et d architectes mobilis s par l habitat l association AMO tente de tirer des enseignements autour des th mes de la valeur d usage de la qua lit urbaine et de la capacit de r ponse aux contraintes Pr sent de fa on vivante cet ouvrage propose une synth se des questionne ments de deux acteurs clef du logement en rappelant la n cessit de leur bonne entente dans le processus de fabrication d une architec ture de qualit ENVIRONNEMENT L ARCHITECTURE L HABITAT EAST SEPT ME as ARCHITECTESETMAITRES OUVRAGE Architectes emiIrepreneurs mode d emploi 2009 OGPTP CD ROM compatible Mac Windows 98 2000 XP Ce CD ROM rassemble sous forme de rubriques pratiques toutes les donn es adminis ARCHI tratives financi res et r gle Mo mentaires qu il faut ma triser 009 dans les march s publics et priv s depuis la mise au point du projet jusqu la fin du chantier 7e z ai Vs ns La Grande Halle de La Villette Paris 8 9 octobre 2009 2
89. rte par un accord de branche sur ce th me SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unila ar Infos sociales v O juri Infos R forme du permis de construire R forme de l Instruction A l heure o le B timent devrait tre un moteur de relance de la crise conomique les architectes rencontrent de nombreuses difficult s dans l obtention des autori sations administratives et de permis de construire Ces difficult s sont apparues dans l application de la r forme du permis de construire r forme qui selon la d claration du 1 juin 2004 de Gilles de Robien ministre de l quipement r pondait trois objectifs e la simplification administrative e la recherche d une meilleure qualit architecturale et urbaine e la r duction du contentieux de lurba nisme Apr s deux ans de mise en place de la r forme force est de constater que l ap plication erron e des textes par les ser vices publics d tat ou des collectivit s territoriales int ress es oblige conclure un bilan mitig dont les premiers effets seraient d allonger consid rablement les d lais allant m me parfois jusqu mettre en p ril certaines op rations ou fragiliser la s curit juridique de l acte administratif Quelques rappels du champ d application de la r forme La r forme des autorisations d urba nisme et du permis de construire est par l ordonnance n 2005 1527 du 8 d cembre 2005 modifi par la Loi 200
90. s taient plut t optimistes Je pense que leur pr sence au Club Prescrire d montre leur capacit entre prendre innover et Jouer un r le d terminant aupr s des architectes N oubliez pas que les industriels du Club Prescrire sont votre coute qu ils connaissent bien notre profession et sont capables de r pondre de fa on pr cise et rapide vos interrogations Dans votre int r t dans l int r t du Club Prescrire ayez le r flexe du site Internet Prescrire Consultez la mat riauth que et son moteur de recherche ou consultez la pr sentation des membres du club Vous pourrez acc der directement aux sites de nos industriels poser des ques tions obtenir une documentation tre visit C est un superbe outil consommer sans mod ration Michel Hord Architecte Pr sident du Club Prescrire 25 juin 2008 8 dition de la F te des Archis Paris Pour plus d informations www unsfa com club prescrire Club Prescrire espace dialogue et rencontre Architectes Industriels gt gt Le Club Prescrire en bref Cr il y a 20 ans l initiative de l Unsfa le Club Prescrire est un outil la disposition des architectes et des industriels du b ti ment dans le domaine de la prescription Ses rencontres professionnelles v ne mentielles ou institutionnelles ont pour objectif de favoriser et d velopper les changes Veille technologique et r glementaire
91. s Il devient ainsi le septi me membre de la section architecture en prenant le fauteuil d Andr Wogenscky d c d en 0004 g de 63 ans l architecte a consacr la majeure partie de sa carri re l architecture li e la mer Il a entre autres r alis les maisons sous marines Galath e 1977 et Oc anopolis Brest 1991 Jacques Rougerie compte dans ses projets le Mus e d Arch ologie sous la mer dans la Baie d Alexandrie pr vu pour 2013 DR Laurent Chamussy EROR OLIS Le 17 juin 2009 a eu lieu le lancement officiel d Ekopolis l auditorium de la Cit de larchitec ture et du patrimoine Les CAUE d le de France l Ademe ARENE la DIREN la DREIF et la R gion le de France se sont associ s pour cr er Ekopolis et mettre ainsi en valeur une d marche collaborative entre acteurs d partementaux r gionaux et services d concentr s de l tat Ekopolis a pour objectif d tre le p le de ressources pour l am nagement et la construction durables en le de France Il se donne pour mission de rassembler les acteurs de la cons truction afin de susciter un int r t pour le d veloppement durable et de cr er un lieu d changes et d information ne pas manquer Ekopolis organise les 14 et 21 octobre 2009 des circuits de visites en le de France en partenariat avec la Cit de l architecture et du patrimoine dans le cadre de l exposition Habiter cologique voir article p 15 ainsi
92. s chaudi re bois logiciel de gestion climatique afin d optimiser les temp ratures ossature bois r cup ration des eaux de pluies et d arrosage en sont un bel exemple Pour autant la prise en compte de l efficacit nerg tique dans nos choix d am nagement n est qu un moyen au service d une poli tique globale de d veloppement urbain durable Car La Rochelle doit r pondre la crois sance d mographique n e de sa forte attractivit nous sommes amen s fabriquer de la ville harmonieusement en maintenant l quilibre entre histoire et modernit urbanit et nature et en garantissant la mixit non seulement so ciale mais aussi conomique commer ciale culturelle Aux Minimes quartier r cent se c toie aujourd hui une grande diversit de personnes et d activit s Nous y avons construit des logements so ciaux des r sidences de haut de gam me des logements tudiants d velopp des activit s conomiques commercia les touristiques et culturelles deux pas de la plage du Port de plaisance et de l Universit quelques encablures du centre ville Peu peu la ville se densifie pour viter l talement urbain source de gaspillage de mat riaux d es pace et consommateur de transports Cela suppose des solutions archi tecturales attentives pour concilier un habitat dense peu lev mixte conome intime spacieux et agr a ble et aussi une offre de transports pu
93. s pollutions atmosph riques analyse et essais des mat riaux et mat riels classement ou certification etc Conclusion nos confr res de toutes les professions doivent prendre conscience de l ampleur des mis sions dont ils risquent d tre spoli s au profit d entit s les concurren ant armes in gales 3 Les distorsions de concurrence Observation pr liminaire Comme nous l avons indiqu au chapitre 1 la diversit des statuts des entit s susceptibles de prendre des march s aux professionnels priv s est consid rable en num rant une grande vari t des causes possibles de distorsion de concurrence nous ne pr tendons pas que toutes ces entit s jouissent de tous les avantages cit s ci apr s Il arrive que certains organismes notamment les EPIC supportent des charges assez proches de celles de nos structures mais l galit n est jamais totale Cette situation a plusieurs origines 3 1 Les privil ges tenant leurs statuts e L image de service public dont jouis sent certains acteurs l anciennet de leurs relations avec les ma tres d ou vrage locaux leur proximit voire la confusion dans l esprit des clients avec les entit s qui fournissent gra tuittement aux collectivit s ou aux clients priv s informations et conseils ou qui instruisent leurs dossiers ou qui participent l octroi d autorisations ou de cr dits constituent une force concurrentielle ind niable De
94. se sera de plus en plus qualifi ceci impose des mises jour r guli res des savoirs tous les postes Si chaque ouvrier comprend le sens du travail ex cuter s il sait qu un d tail n glig peut briser une cha ne compl te de pr cautions sa fonction en sera valoris e Conna tre son r le dans le projet d ensemble fait passer du statut d ex cutant celui de partenaire de la r ussite globale D autre part si on a la possibilit de concevoir le projet en quipe les entre prises susceptibles d apporter une valeur ajout e par leur comp tence dans leur domaine seront recherch es pour leur apport dans la conception Enfin dans bien des cas il sera demand aux ma tres d uvre et entre preneurs de s engager sur des per formances L avenir dira jusqu o les entreprises sont pr tes Jouer la so i darit mais ce qui est certain c est que la ma trise d uvre n chappera pas une responsabilit globale sur le projet si sa fonction a t pr serv e Conclusion sans surprise nous devons tous nous former entrepreneurs et ma tres d uvre Ceux qui prennent du retard le paieront cher demain Gilbert Ramus 5 Pour exemples l tanch it l air des constructions ou l absence de tout pont phonique n cessitent le sans faute des entrepreneurs SEPTEMBRE 2009 PA n 30 nifa 29 Formation 5 Le GEPA et la formation continue qu or T c Une ambition
95. sident depuis 2000 4 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 PRIX ART URBAIN 2009 Le premier prix Art Urbain 2009 a t d cern une quipe d architectes colom biens Mauricio Pinilla avec Juliana Sorzano Luis Saenz et Martin Ospina de l Univer sidad de los Andes Bogota Leur projet s intitulant Depuis le marais jusqu au jar din respectant le th me composer avec la nature l a donc emport face aux autres quipes La remise des prix a eu lieu la Grande Arche de La D fense dans la soir e du 9 juin en pr sence de Jean Marc Michel Directeur g n ral de l am nagement du logement et de la nature C est Robert Max Antoni pr sident d Art Urbain qui a remis les 8 prix du concours PRIX DE L ACAD MIE D ARCHITECTURE 2009 Le grand prix d architecture de l Acad mie des Beaux Arts 2009 a t d cern mercredi 6 mai Aleksandar Jankovic 33 ans cet architecte serbe a t r compens pour son travail sur la ville proven ale d Arles suivant le th me du e concours le Nouvel tablissement Humain SEE Application sur la ville d Arles Dipl m de l universit de Belgrade Aleksandar Jankovic exerce Paris et est notamment en collaboration avec d autres architectes tels que Jean Nouvel et Brigitte Metra Ce concours ouvert tous les architectes et tudiants en architecture de moins de 35 ans a d cern son deuxi me prix la fran aise Vinciane Albrecht 29 a
96. t partir d une base n cessaire Ainsi pour Construire Durable l Essentiel la formation de six jours constitue la base qui permet ensuite d aborder ais ment l ensemble des approfondissements de la Construction Durable Le recours une formation de base exposant l essentiel permet d viter le collage d approches mul tiples et s quentielles avec les risques des redites et contradictions qui peuvent abou tir rendre obscur la question principale Ce petit expos partiel sur des points d organisation qui peut clairer sur le fonc tionnement du GEPA a pour but aussi de provoquer des questions d veiller de l in t r t pour le travail que nous poursuivons au service des professionnels pour ne pas dire de susciter des vocations pour si ger dans les Commissions P dagogiques voire devenir formateur du GEPA l outil de la formation des Architectes et Acteurs du cadre de vie au ser vice des professionnels Patrice Bailly pr sident du GEPA gepa L OFFRE DE FORMATION du 2 semestre 2009 Disponible sur notre catalogue et sur le site www formation architecte com 50 th mes de formation au catalogue r partis en 6 domaines th matiques pour 3 types d approche Les Fondamentaux pour disposer de rep res saisir les enjeux et acqu rir les bases de la r flexion Les Approfondissements pour d tailler un sujet et en ma triser les tenants et les aboutissants L Application pour conna tre et utiliser
97. t Public Comme voqu pr c demment la r flexion de la profession doit porter sur une juste application d une proc dure qui doit simultan ment prot ger le bien commun et d fendre l int r t du particulier en vue d une facilit l acte de construire e Mise en place d une concertation approfondie avec l ensemble des par tenaires lus et professionnels e Mise en perspective du r le central de l architecte qui par ses missions de conseil et d assistance doit demeu rer un acteur Indispensable et n ces saire l application des r gles d urbanisme IE Antoine Daudr Vignier Commission juridique de l Unsfa Bibliographie e Code de l urbanisme article L421 422 e Introduction l tude du Permis de Construire de Jacques Henri Driard e C J U Commission juridique de l Unsfa SEPTEMBRE 2009 PA n 30 nifa 39 idiques juri Infos on CENTRE D INFORMATION SUR LE CIMENT ET SES APPLICATIONS La ventilation un enjeu de taille Dour la r habiltation des logements collectifs Avec 4 2 millions de logements et 30 de la population fran aise concern e l immo bilier collectif repr sente un champ d action important du Grenelle de l environnement et la r habilitation de ce parc existant constitue une priorit Abord e sous l angle de la ventilation elle interroge sur l ad quation des solutions techniques la pr servation du b ti et la qualit de vie des occu
98. t enti rement en bois la couverture est en t le acier Le bardage en m l ze est non tra t MAANA t T LUE SEPTEMBRE 2009 PA n 30 nifa 3 17 St phane Martinez SARL Lionel Coutier Architecte SMART Architecture La Rochelle 17 La Rochelle 17 JE TE R alisation d un co quartier La Rochelle lotis des Salines 1 B timent A 2 B timent B 3 Mixit de 5 logements sociaux en triplex et 10 logements priv s 4 7 logements triplex sociaux 32 nifa PA n 30 SEPTEMBRE 2009 10l i En _ 1 et 2 HLM de Saint loi La Rochelle 17 le projet comporte la r habilitation de deux immeubles des ann es 60 regroupant actuellement 70 logements HLM 1 avant 2 apr s 3 et 4 R habilitation des tribunes et vestiaires du Stade de P rigny 17 construction d un club house et d un promenoir restructuration compl te des vestiaires et sanitaires et r fection de la toiture des tribunes du stade de P rigny dans un souci environnemental et passif gestion des apports solaires et une dynamique novatrice 3 avant 4 apr s LA D Les grilles et diffuseurs Aldes donnent de lair vos r alisations fl hl IA r kJ r h D bkk 1N Diffuseur fentes Diffuseur jet AC 440 SC 310R AN 280TP h lico dal AR 883 Grille int rieure Diffuseur plafonnier D couvrez
99. t pratique et je pense que c est in dispensable en particulier au niveau de la formation Nous l avons mat rialis au sein de l exposition en alternant six s quences pr sentant des r alisa tions exemplaires et leurs concepteurs et six salons dans lesquels des personnalit s engag es r pondent nos interrogations Nous avons ainsi demand Serge Latouche militant de la d croissance et Augustin Berque g ographe orientaliste Allons nous A Dominique Gauzin M ller lt Des s quences pr sentant des r alisations alternent avec des salons dans lesquels Environnement des chercheurs expriment leur vision de l architecture co responsable Pour plus d informations www unsfa com SEPTEMBRE 2009 Z FA n 30 Unia 15 Environnement vers un effondrement de la soci t occidentale Dans un autre salon la philosophe Chris Youn s et le sociologue Jean Pierre Worms r pon dent des questions sur la d marche analytique inspir e de Descartes l oppos de ce cloisonnement sensi ble dans les cibles HE le fil rouge de l exposition est une approche holistique c est dire globale et pluridisciplinaire G G Comment as tu choisi d aborder les relations Nord Sud et les apports de chacun D G M En exportant des arch types occidentaux de climat temp r dans tous les coins de la plan te selon une vision n o colonialiste le Mouvement Modern
100. t un territoire ou des b timents puissent dis poser d un service technique capable d effectuer des prestations d ing nierie sur leur propre domaine notamment pour tout ce qui concerne l exploitation et l entretien courants Habituellement au del d une certaine importance les personnes publiques font appel des op rateurs ext rieurs Les profession nels priv s constatent que beaucoup de ces services int gr s ont tendance largir le champ de leurs interventions 1 Entit s potentiellement pr datrices au d triment des professionnels priv s Comme nous l avons expliqu dans Passion Architecture n 29 pages 9 11 les directives europ ennes autorisent les entit s publiques intervenir sur les m mes march s que les professionnels priv s mais l Europe n a pris aucune mesure pour que la concurrence entre les acteurs soit loyale Pour plus d informations www unsfa com Nous verrons au 3 que tous les risques d une concurrence d loyale sont ainsi r unis Quelles sont les entit s potentiellement pr datrices 1 1 Les services techniques publics Les services d concentr s de l tat les centres d tudes techniques de l qui pement les services techniques int gr s des collectivit s publiques dont il a t question ci dessus dans le pr ambule ne sont gu re emp ch s d aller proposer leurs services des clients ext rieurs publics ou priv s et deviennent
101. tectes la technique doit vivre et s adapter aux demandes des concepteurs et l esth tique des b timents Dans un cas de r habilitation c est la techno 1 MVN M canisation de Ventilation Naturelle est certifi Qualitel iso 9001 version 2000 Participe la r vision du nouveau DTU ventilation 68 3 En tant que membre d Uniclima participe des commissions techniques et la mise en place de la certification Quali Air logie de s adapter au b timent et non l in verse Notre activit principale consiste trouver ces solutions Nous ne rempla ons pas les bureaux d tur des nous sommes en charge de l tude technique pour la ma trise d uvre ou la ma trise d ouvrage mais notre principal interlocuteur reste la ma trise d ouvrage et nous insistons particuli rement sur son accompagnement Nous pratiquons galement un autocontr le sur chaque chantier afin de v rifier la qualit du fonc tionnement de l installation P A Quel est l impact du Grenelle de l environnement sur votre activit MVN Pour nous le Grenelle de l envi ronnement va g n rer un nouveau mode de vie Notre objectif est de r habiliter les logements collectifs en pr servant un quilibre entre l action du Grenelle l attention port e l aspect nerg ti que et l aspect sanitaire En termes de process avec la m canisa tion de ventilation naturelle nous travail lons en basse pression ce qui permet d une
102. ter le nombre d architectes en mesure d exercer ce m tier de plus en plus complexe qu il s agisse de la transposition avant la fin de l ann e de la directive services qui pr voit l ouverture du capital des soci t s d architecture et menace les architectes de perdre leur ind pendance Les architectes sont toujours pr ts s engager dans des objectifs qui inspireront concr tement une politique d urbanisme et d architecture au service de la cit et du citoyen Vous tes donc tr s attendu la rencontre de La Rochelle pour exprimer devant la profession r unie en Congr s l analyse et le plan d action du Gouvernement de notre minist re de tutelle sous l impulsion du Pr sident de la R publique Nous restons Monsieur le Ministre votre disposition et celle de vos collaborateurs dans l espoir de votre venue Je vous prie de croire Monsieur le Ministre en l expression de ma consid ration la plus distingu e 5 Le pr sident Michel Roulleau CE Pour plus d informations www unsfa com SEPTEMBRE 2009 FA n 30 Unija 17 Vie syndicale Le D partement de l Architecture de la Chambre Croate des Architectes et des Ing nieurs HKAIG a organis en avril dernier le Premier Symposium international sur l ducation des Enfants et des Jeunes l Architecture en Croatie sous le nom Hura Arhitectura Hourra l Architecture l Universit de Zagreb Facult d Architecture Ce symposium a t ouvert par la Pr sid
103. tion la Cit de l architecture et du patrimoine Entretien entre Dominique Gauzin M ller commissaire g n rale de l exposition et Gilles Garby secr taire du bureau national de l Unsfa Gilles Garby L mergence de la notion d co responsabilit appara t comme centrale pour la pens e et l action des architectes Promue par une plus large communaut de philosophes d conomistes et de chercheurs cette notion ne participe t elle pas la red finition de l architecture et de la place de l architecte dans la soci t Dominique Gauzin M ller Bien s r Notre exposition d bute ainsi par un tableau synoptique r sumant les r flexions autour de l cologie dans le temps un si cle et dans l espace toute la plan te Cette mise en pers pective historique de r alisations d ar chitecture et d urbanisme avec de grands v nements mondiaux des sommets internationaux ainsi que des ouvrages et des citations d conomis tes de philosophes de scientifiques et de sociologues montre clairement que l approche co responsable n est pas une mode Elle s inscrit dans un mouvement qui nous m ne depuis cent ans vers un changement de paradigme Un pr sident des tats Unis a dit devant le Congr s Nos richesses mini res le charbon le fer le p trole le gaz et les autres mati res premi res ne sont pas renouvelables Il est donc certain qu elles seront terme pui s es Et vu la mani r
104. tion et manipulation de maquettes et surtout de plans reliefs Passion Architecture Dans votre travail vous mettez un point d honneur ne pas s parer architecture p dagogie et d marches participatives Quelles en sont les raisons Bernard Kohn Ce sont trois mondes dont les intentions et les r flexions se croisent et s interpellent L architecture est intimement li e un territoire un terroir Ceci implique une population sp cifique qu imp rativement on se doit de prendre en compte d interroger et de comprendre et sans litisme de ma part de sensibiliser la recherche d une r elle identit individuelle et collective Il s agit de contrebalancer la domination et l h g monie du toujours plus afin de questionner et tenter de se d gager de la manipulation des pouvoirs par les m dias les relais administratifs et notre propre conditionnement C est ainsi que de part et d autre ma tres d ouvrage lus habitants nous pouvons esp rer devenir de r els interlocuteurs et ensemble fa onner des environnements qui correspondraient mieux nos valeurs et une thique territoriale P A Dans quel cadre quels lieux se situent pour vous la formation des jeunes puis la formation professionnelle et la formation populaire B K Tous les lieux toutes les situa tions ont une potentialit d innovation Les coles maternelles sont exception nellement vivantes et particuli reme
105. trop terne avec des encres v g tales Le mo bilier a t fabriqu partir des chu tes d coup es dans ces panneaux Le responsable des montages d expo sition la Cit tait enthousiaste Je n ai jamais vu aussi peu de d chets Pour les salons o les visiteurs regardent les vid os des Interviews Joly et Loiret ont choisi de mettre en valeur un composant du b timent rarement visible mais dont le r le va devenir primordial les isolants Ils ont cr une s rie de pavillons dont la forme a t dict e par le mat riau Ludique le r sultat donne envie de toucher la mati re et les visiteurs ne s en privent pas Nos sc nographes ont aussi fait une proposition essentielle sur le lieu lui m me d gager les fen tres con damn es et peindre en blanc les murs de la salle Le visiteur profite ainsi d un clairage naturel dans un cadre lumineux et la Cit qui vient de mettre en place une charte colo gique conomise l lectricit Cette attitude est symbolique du r le de l architecte dans la soci t en tant que sachant il a le devoir de s inter roger sur la justesse du lieu et du programme d un projet et de pro poser si n cessaire des alternatives co responsables Exposition ouverte jusqu au 1 novem bre 2009 Lettre de l Unsfa Fr d ric Mitterrand ministre de la Culture et de la Communication Monsieur Fr d ric MITTERRAND Ministre de la Culture et de la Com
106. u d p t de la demande de nom breux l ments redeviennent d claratifs et le service instructeur n a plus en assurer de v rification pr alable Lors de l ach vement des travaux la r forme modernise le r gime du contr le de la conformit des travaux Il est ind niable que par le r le confi aux architectes dans l laboration et l assistance au ma tre de l ouvrage dans sa demande administrative de cons truire le l gislateur a voulu placer cette profession au c ur du dispositif de la d fense du bien commun Les architectes ont dans leur majorit accueilli favorablement cette r forme notamment pour sa s curit de d lai et de proc dure L application de la r forme Cependant des difficult s toujours plus nombreuses relevant pour la titre d exemple voici quelques dys fonctionnements r currents qui tou chent aussi bien les services de la DDE que ceux des Villes en contradiction avec le code de l urbanisme et la r forme du permis de construire Sur le d lai garanti Un d lai de droit commun doit tre notifi au demandeur lors du d p t de la demande L article R 423 23 du CU l autorit comp tente dispose d un d lai d un mois compter de la r ception pour notifier le d lai administratif et selon les articles R 423 38 45 du CU dispose d un d lai d un mois pour r clamer des pi ces compl mentaires et notifier les majorations et prolonga tions du d lai d instruct
107. urs priv s r clamer plus d quit devant les CCIRRA ou saisir les tribunaux Bizarrement les p nalisations contrac tuelles ou le recours aux tribunaux sont quasiment Inexistants lorsqu il s agit de march s conclus avec des op rateurs publics qui ne sont pourtant pas l abri de n gligences d erreurs ou de retards sanctionnables Petits arrangements entre amis et contr leurs en vacances 5 Voir PA n 25 pages 11 13 CCAG quitables ou injustes PA 26 pages 6 8 Ma tre d uvre bouc missaire PA n 29 page 7 S 3 L iniquit croissante des contrats de ma trise d uvre 6 Comit s consultatifs interr gionaux de r glement amiable des litiges relatifs aux march s publics SEPTEMBRE 2009 PA n 30 Unija 9 Bon sens Bon sens Cette in galit de traitement des pou voirs adjudicateurs selon qu il s agit de prestataires publics ou priv s participe la d loyaut de la concurrence 3 4 Le leurre d une comptabilit analytique n anmoins indispensable D s lors que le principe d intervention du secteur public dans le domaine concurrentiel a t admis le l gislateur le Conseil d tat la Cour des Comptes et le Conseil de la concurrence se sont peu pr s accord s pour dire qu au minimum les acteurs publics devraient s parer effectivement leurs activit s sur les plans juridique humain mat riel et comptable En particulier ces ent
108. us de 50 personnes est approximativement de 4 5 millions d euros par an On trouve le plus haut revenu pour les bureaux de type PME 1 10 per sonnes au Danemark et en France avec plus de 300 000 par an La m thode la plus commune pour calculer les honoraires est un pour centage de la valeur totale du co t de la construction 56 Cette m thode de calcul est la m thode la plus po pulaire dans tous les pays except au Pour plus d informations www unsfa com Danemark en Finlande en Gr ce aux Pays Bas en Su de et au Royaume Uni En Finlande et en Su de environ la moiti des soci t s facture sur une base horaire Le montant moyen que les architectes dirigeants facturent pour une heure de leur travail est 63 Selon les architectes le prix moyen est de 50 et de 40 pour les techniciens Le taux horaire varie consid rablement selon les pays Le tarif le plus bas pour les dirigeants se situe en Roumanie 15 et le tarif le plus haut en Irlande 145 Ajust aux diff rents niveaux de prix et de pouvoir d achat des pays le tarif pour les dirigeants varie de 20 en Turquie 116 en Irlande Les b n fices diminuent selon la taille des bureaux d architecture Dans les bureaux comptant une seule personne le b n fice avant imp t repr sente 52 des revenus alors que le b n fice avant imp t est seulement de 17 dans les soci t s comptant entre 31 et 50 employ s C
109. uverture gratuit et dispose d un d lai maximum de 6 mois compter de la rup ture de son contrat de travail pour adh rer L obligation d clarative sur les mises la retraite licenciements et ruptures conventionnelles des seniors Tout employeur ayant proc d en 2009 une mise la retraite un licenciement ou une rupture conventionnelle d au moins un de ses salari s g s de 55 ans ou plus doit adresser l URSSAF une d claration de d part des salari s sp cifique Cerfa n 13799 01 et ce au plus tard le 31 jan vier 2010 Le d faut de d claration donne lieu une p nalit d un montant gal 5 292 euros soit 600 fois le taux horaire du SMIC Des sanctions d s 2010 pour les entreprises d au moins 50 salari s ne pr voyant pas de dispositions particuli res en mati re d emploi des seniors L article 87 de la loi de financement de la s curit sociale pour 2009 a cr un dispositif incitant les entreprises ou les groupes employant au moins 50 salari s n gocier des accords ou tablir des plans d action en faveur de l emploi des seniors Sous peine de se voir appliquer une p nalit gale 1 de leur masse salariale compter du 1 janvier 2010 En compl ment de l tat et des entreprises les branches profes sionnelles ont un r le d cisif jouer dans ce d fi que constitue le d velop pement de l activit Patrick Julien Unsfa social 5 Et n tant pas couve
110. vegard prix du mus e pour tous 2008 Marc C Henry architecte DPLG ans 1 Centre de production horticole et serre d exposition HQE La Rochelle construction d un ensemble de serres de production d une serre d exposition de bassins de r cup ration d eaux et am nagement de zones paysag res et de cultures ext rieures ma tre d ouvrage ville de La Rochelle livraison 2007 1 Bassin de r cup ration entr e public panneaux solaires 2 Entr e public panneaux solaires et photovolta ques 3 Galerie de distribution Weygand Borrom e Badani amp Architectes FE A Salle Polyvalente salle des f tes et de spectacle de Mireuil La Rochelle 17 ma tre d ouvrage ville de La Rochelle livraison 2010 Le b timent sera construit en b ton matric pour ses murs porteurs et en structure m tallique pour supporter la toiture et les futurs quipements sc nographiques pr vus Les objectifs de d veloppement durable apport de lumi re naturelle importante protection solaire par brise soleil en fa ade Sud b timent durable dans la p rennit de ses mat riaux Double vitrage renforc e Fa ades U 1 1 1 Perspective finale fa ade sud 2 3 et 4 Photos de chantier Mc Mahon amp Co architectes associ s C1BSD cantes 17 Maison Lormont Saintes 17 construite sur un terrain en pente elle repose sur des pilotis en b ton La structure du b timent es
111. velables Apporter vos clients des solutions innovantes confortables et respectueuses de l environnement Accordons nos projets L nergie est notre avenir conomisons la www grdf fr
112. xpression libre Isabelle Chinardet Cantineau Communication Isabelle Chinardet Cantineau Emmanuel Petit Ewa Struzynska Archi culture Isabelle Chinardet Cantineau Didier Prost Ewa Struzynska et ditions PC Iustrateur Nicolas Depoutot Abonnement 4 num ros par an t l fax Unsfa contact Eug nie Veille 01 45 44 82 45 Conception et r alisation EN PC Philippe Chauveau Sophie Chauvin T l 33 1 42 73 60 60 Passion Architecture est une publication de l organisation nifa R gie commerciale ditions PC coordination Sophie Chauvin La direction se r serve le droit de refuser toute publicit ISSN 1637 2735 Imprimerie IME A A l honneur Didier Plowy MCC FR D RIC MITTERRAND NOUVEAU MINISTRE DE TUTELLE POUR LES ARCHITECTES Le 23 juin 2009 Fr d ric Mitterrand a t nomm ministre de la culture sous le gou vernement Fillon Apr s dix mois la t te de la Villa M dicis Rome le neveu de l ancien pr sident de la R publique suc c de rue Valois Christine Albanel mise mal par la loi sur le t l chargement ill gal 61 ans cet enfant de la t l vi sion auteur et directeur de cha nes dit inclassable en politique rentre ainsi dans le gouvernement a BENOIST APPARU SECR TAIRE D TAT CHARG DU LOGEMENT ET DE L URBANISME Benoist Apparu d put UMP de la Marne a t nomm secr taire d tat charg du Logement et de l

Passion Architecture n°30

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