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1993.2

1. BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg N 2 1993 SUOMAGNESIN Die Magnesiumtherapie bei erh htem Bedarf z B im Berufsstre w re ET f t Fs j F 4 eg p Pe 7 3 Zusammensetzung 1 Tablette enthalt Magnesium hydrogenpho m c tr cum sphoncum 265 0 mg Magnesium citricum 66 0 M9 un angst 0 8 mg Anwendungsgebiete Be allen Folgen eines Magres um Mangels 2 B Gleichgewichtsstorunge hedmaBen chlaten derG liche bererregbarkeit Schreckhaftigkeit Krampfneigung der willkurlichen Muskulatur Kopfschmerz Eins neuralgische Beschwerden Biomagnes n w rkt fernerdampfendb Ima gen Here e gewissen Formen der beschleunigten und AMT mbo Embolie schlagfolge und vorbeugend be Neigung zu Nierensteinbildung Oxalatsteine Bei Thrombose Gefahr Prophylaxe Darreichungsform und Packungsgr e O P mit 100 Tabletten fre verkauflich Vertretung fur Luxemburg Integral S A Madaus AG D 5000 Koln 91 BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Fond en 1864 N 2 1993 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Publi sous la direction du Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Section des Sciences M dicales de l Institut Grand Ducal Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Pr sident Prof H Metz V
2. Laboratoire de Neuropathologie Pr J M Brucher Universit Catholique de Louvain Bruxelles Belgique Bull Soc Sc Med p 17 N 2 1993 Les progr s constants de l anesth sie r animation l am nent prendre en charge des patients de plus en plus g s pr sen tant des d faillances multisyst miques et soumis une polym dication de plus en plus importante et vari e Ces progr s ont comme corollaire l apparition de troubles neurologiques iatro g nes encore mal connus tant des neurologues que des anes th sistes r animateurs Il en est ainsi des difficult s de sevrage d une ventilation artificielle instaur e la suite d une affection m dicale ou chirurgicale mais non neurologique cons cutives des troubles moteurs s v res apparus rapidement touchant l ensemble de la musculature l exception de la face accom pagn s d une alt ration majeure des r flexes ost o tendineux ROT et de la trophicit musculaire r sistant aux inhibiteurs des cholinest rases et que les examens compl mentaires ne peu vent rapporter a une pathologie pr cise Install e bas bruit sous ventilation assist e chez un patient conscient en dehors de toute s dation cette t trapl gie ar flexie amyotrophie aigu TAAA apparemment p riph rique pose le probl me de sa na ture myog ne neurogene ou jonctionnelle par bloc neuro mus culaire BNM Les signes cliniques et paracliniques sont d interpr tation d
3. Serri re N Schuman L Calteux N Quelques cas rares en pathologie maxillo buccale Dr Kayser G Nouveaux marqueurs s rologiques de la polyarthrite rhuma toide Dr Humbel R L CHL Protheses veineuses metalliques auto expansives Drs Dondelinger R F Kurdziel J Cl CHL M dicaments base de Glibenclamide r sultats d une tude comparative multinationale Drs Ferigo W Robert J L Registre morphologique des tumeurs au Luxembourg Dr Capesius C 11 mars 1992 Conf rence n en collaboration avec l Union Nationale des Pharmaciens Luxembourgeois Wirkungsmechanismen neuer Arzneimittel auf molekularer Ebene Prof Dr E Mutschler Frankfurt am Main 18 mars 1992 Conf rence Oesophagite de reflux chez l enfant Dr M Bottriaux ULC 25 mars 1992 Conf rence Actualit s dans le traitement anti thrombotique Prof J L David CHU Sart Tilman Li ge 1 avril 1992 Conf rence Le rdle du g n raliste en pr et posttrans Dr L De Pauw UCL 4 avril 1992 Symposium en collaboration avec le Service de Ped a ci t Luxembourgeoise de P diatrie La mort subite du nourrisson E Briand Huchet Drs M Schroell CHL J P Relier Paris Ann Paris A Paris K H P Bentele Hamburg O De Beth Kahn Bruxelles 8 avril 1992 Conf rence en collaboration avec ALFORME geoise de Cardiologie Quel pronostic vital pour l ins Prof M Rousseau UCL plantation r nale
4. Syst mes neuronaux ren ae a d autant plus difficile qu il faudrait agi ur sieurs de ces voies et non sur 2 Be comme dans les essais r cents ee ces tudes servent de modeles nn ulte giques pour des tudes th rapeutiqu rieures Une d tection pr co al des marqueurs Shales yses m taboliques seral eae i ner des Bein de patients a epee i aay biliser ainsi les tudes prospec ee o r ver sions tra t es tr s t t sont ns une fois sibles m me si elles sont ee mala install es Finalement la distinction 7 origine die d Alzheimer et d mence en mais vasculaire semble vidente P ment faite n est malheureusement que trop rare i isque des patients risq en ques ou des ana tile pour s lection en clinique et dans les tudes compliquant d avantage la compr hension des donn es et hypotheses REFERENCES Agid Y Brandel J Ph Cervera P Hirsch E Javoy Agid F Juncos J Lehericy S Ma lessa S Ransmayr G Ruberg M Les pro gr s de la m thode anatomo clinique a pro pos de la d mence s nile de type Alzheimer avec une r f rence particuli re pour les sys t mes cholinergiques Rev de G riatrie 16 suppl 3 914 1991 2 Alzheimer A ber eine eigenartige Er krankung der Hirnrinde Allg Z Psychiatrie 64 146 8 1907 3 American Psychiatric Association Dia gnostic and Statistical Manual of mental di sorders 3rd edition revisited DSM III R Wa shington D C 567 1987
5. licate chez des patients intubes sous s datifs et myorelaxants 6 50 Si le syndrome TAAA in toto ne pose pas de probl me s miologique il n en est pas de m me dans ses formes incom pletes t trapar sie et ou hypor flexie et ou hypotrophie subai gu s ou partielles absence d ar flexie et ou d amyotrophie avec ou sans signe de Babinski associ l ge de certains pa tients la pr sence d une neuropathie chronique contingente et l hypotrophicit musculaire de non utilisation 29 inh rente tout s jour en r animation biaisent l interpr tation d un trouble des ROT et ou d une amyotrophie 4 29 36 37 46 17 Dans un premier temps on aura exclu tout r anim tant sujet des variations tension nelles une isch mie bilat rale h modyna mique au niveau des deux territoires fronti res entre les art res c r brales moyennes et ant rieures zones de projection motrices des membres sup rieurs et inf rieurs 16 Ces in farctus de par leur topographie et leur volume ne sont pas toujours objectiv s au CT scan c r bral et peuvent donc se pr senter initiale ment comme une TAAA pseudo p riph rique Mais l volution clinique apparition d un syn drome pyramidal permet de redresser le dia gnostic tableau Ensuite le dosage des autoanticorps anti corps anti nucl aires porphyrine et porphobili nog ne et l analyse du liquide c phalo rachi dien LCR vont permettre d exclure une
6. survient lors d un tai lis les mesures suivantes sont mises en oeuvre 49 _ arr t de l infusion raire doit tr parine au Cours biteurs des proteases plasmatiques bloque la fibrinolyse 500 000 unit s d aprotinine SON injectees pendant 10 minutes puis 200 000 unites sont perfus es pendant 4 heures _ la perfusion d inhi la gen se de la plasmine est aussi inhib e par la perfusion de mol cules qui pr sentent des radicaux de lysine qui entrent en comp tition avec le plasminog ne en se fixant la fi brine ou au fibrinog ne en pratique 10 mg kg d acide tranexamique sont inject s et r p t s apr s 6 heures la perfusion de concentr s de fibrinog ne ou de plasma frais am ne les facteurs de la coagulation L aprotinine et l acide tranexa mique doivent tre administr s avec le plasma frais pour neutraliser l apport de plasminog ne contenu dans le plasma frais 2 Les projections emboliques distales elles sont fr quentes au cours de la fibrinolyse lo cale et responsables d aggravations transi toires pendant quelques heures de l isch mie apr s une am lioration initiale La fragmenta tion au guide du caillot et les angioplasties ef fectu es en pr sence de caillots r siduels fa vorisent les migrations emboliques Les contr les angiographiques syst matiques au cours du traitement montrent souvent des am putations art riolaires sur des branches dis tales non symptomatiques C
7. 3 formen und Packungsgr en Darreichung Sn 50 und 100 Tabletten Packun Packung o 200 und 2x 200 mi Gel Packun mit es PA 50 Beuteln Granulat Anstaltspal mit s urederiv tidin un werden d N PHARMA GMBH amp CO rnberg Postfach 2260 Stand Dezember 1990 Litt rature et cnantillons SA S A Groupe Dre N ESCH SUR ALZETTE Trigastril HEUMAN PHARMA ne 8500 Nu Explosion de l pid mie et des connaissances de la maladie d Alzheimer Keipes Marc 1 et Federspiel Carine 2 1 Centre Hospitalier de Luxembourg Service d Endocrinologie 4 rue Barbl L 1210 Luxembourg 2 M decin Directrice Les Parcs du 3 Age Fondation Rentaco 3 am Bongert L 8081 Bertrange Bull Soc Sci Med p 51 N 2 1993 Chacun appelle id es claires celles qui sont au m me degr de confusion que les siennes propres Marcel Proust A l ombre des jeunes filles en fleurs R sum Les donn es pid miologiques europ ennes r centes sur la pr valence des d mences et en particulier sur la maladie d Alzheimer ont donn lieu une valuation grossi re de la situation au Grand Duch de Luxembourg Les d cou vertes r centes sur l anatomopathologie et la biochimie sont re prises Les hypoth ses g n tiques et tiopathog niques es sayent de relier les diff rents aspects de cette maladie multifac torielle en un sch ma global Les approches th rapeutiques les raisons probables de leur
8. IR San RE Abel wan eu haga Mp a m a ar m E Pt ee ee En i _ ST La Te 25 von es gt jf A i a a Ye u NY dringen in das entz ndete Gewebe weitgehend der Weg geebnel BE Rheumon Lotio ist auf grund dieser Eigenschaften ein Fortschritt in der trans dermalen Rheumatherapie DREIER AN TROPON ARZNEIMITTEL K LN El TROPO Lr Imagerie par r sonance magn tique nucl aire de la rate Revue de la litt rature Docteur D JANSSENS C H L de Luxembourg Professeur A DARDENNE Universit Catholique de Louvain Dr G DOOMS C H L de Luxembourg Dr G HERMES C H L de Luxembourg Dr J C KURDZIEL C H L de Luxembourg Dr V LENS C H L de Luxembourg Bull Soc Sc Med p 41 N 2 1993 Plan I ANATOMIE DE LA RATE NORMALE EN IRM ll LA RATE PATHOLOGIQUE A Int r t de l imagerie m dicale B Anatomopathologie C Corr lations anatomo IRM 1 les produits de contraste 2 aspects IRM D S miologie IRM des diff rentes pathologies ill PLACE ACTUELLE DE L IRM PAR RAPPORT AUX AUTRES MOYENS D IMAGERIE MEDICALE IV CONCLUSIONS 1 ANATOMIE DE LA RATE NORMALE EN IRM La rate est un organe intra p riton al localis au niveau de l hypochondre gauche Son r le immunologique est important Elle est tr s bien visualisee en IRM Cet organe plein l tat normal appara t homog ne en s quences T1 et T2 Cependant c est en s quence T
9. Le signal est normal dans presque tous les Cas Des signes d infarctus spl niques peuvent se rencontrer Leuc mie a tricholeucocytes importantes fibrose et cellularit hypo en T1 et hyper en T2 Lymphomes hodgkinien et non hodgki nien les atteintes spl niques diffuses sont in d celables sauf s il existe de la fibrose de 10e d me ou de la n crose Ces affections appa raissent le plus souvent SOUS forme de l sions focales dans la pulpe blanche d Les l sions an miantes n y a que les an mies par exc s de eae truction qui sont localis es de erg minante au sein de la rate une localisation dullaire est bien entendu possible On retiendra avant tout les an mies h molytiques a ou il existe une destruction acc l r e ee throcytes murs On observe une Sur a h mosid rine au niveau du S R E oe T engendrant une att nuation du Signa i les thalass mies et h molyses wey ae tout dans la thalassemie TS ci ination observe une spl nom galie et une a du signal en T1 fa Dans la thalass mie mineure Eo e sur le signal sont nettement moins SIGNMIEAUtS La drepanocytose il existe A ae lyse lors de la s questration a ze Si intra splenique avec une r ducil gnal en Ti Au total l IRM est proba en pathologie hematologiqu Buthian et Kurdziel l IRM a est d un apport sp cifique dans ie vidence des l sions nodulaires des es auto immunes ablement
10. nale signant une CIP l ventuelle MCA sous jacente restant elle voil e Toutefois la pr sence de potentiels de fibrillation et la fai blesse d amplitude des potentiels d action mo teurs peuvent sugg rer une myopathie asso ci e 49 R alis trop t t il peut aussi se r v ler normal Chez des patients souffrant de BPCO une polyneuropathie hypoxique chro nique 4 36 37 46 peut parasiter les signes EMG aigus Seule la biopsie neuro musculaire permet de diagnostiquer une MCA surajout e une CIP et d exclure une myopathie inflam matoire ou une neuropathie sur vascularite Elle se r v le dans ces cas d autant plus in dispensable que la pr sence d une MCA im plique l arr t de la corticoth rapie en cours Si faire se peut Le recours une corticoth rapie parent rale intensive dans l tat de mal asth matique reste d ailleurs controvers 21 La pr sence de grands groupes atrophiques signe l existence d une neuropathie chronique hypoxique ou autre sous jacente Le nerf biopsi toujours sensitif et l ventuelle branche motrice pr sente au niveau du muscle pr lev sont parfois normaux la CIP tant une polyneuropathie axonale elle ne touche pas systematiquement et simultane ment tous les axones d un m me nerf 19 CONCLUSION Tout patient r anim sous ventilation assis t e et trait par curarisants cortico des et an tibiotiques court le risque de d velopper une MCA et ou une CIP
11. 10 10 in diquees par les fabriquants du H 1 La courbe n est cependant pas tout fait gaussienne Elle repr sente 12 626 personnes soit 90 17 de tout le collectif Une population l g rement d ficiente se dessine gauche de celte Courbe comprenant des valeurs entre 11 et 30 Avec 1264 cas ce groupe repr sente 9 08 du collectif examin Nous les d si gnons arbitrairement comme d ficiences m neures La figure 5 montre une s paration plus nette entre ce groupe et les d ficiences par tielles nettement plus rares avec des MPXI compris entre 55 et 31 Notre collectif pre sente 20 cas de ce type 0 14 La figure 5 permet finalement de deviner une population de 9 d ficiences totales ou subtotales 0 07 avec des MPXI inf rieurs 55 Le total des d ficiences de ce dernier type recens dans tous les laboratoires participant cette tude s l ve 13 cas Des donn es concernant ces Cas sont r sum s dans le tableau Des r sultats obtenus sur 2 familles sont re pr sent s a la figure 6 DISCUSSION Le MPXI fourni par le H 1 nous permet de nous rendre compte d une fa on routini re de l activit peroxidasique des granulocytes Les Pourcentages de DTS et DP ainsi d tect s sont nettement sup rieurs Ceux rapport s par d autres auteurs Ainsi Parry et coll 7 ne trouvent que 13 cas de DTS et 13 cas de DP sur 60 000 personnes soit une fr quence de 0 02 Kitahara et coll 10 rappor
12. En 1963 c est le saut de Baltimore l Albert Einstein College of Medicine de New York As sociate in Surgery puis Assistant Professor ensuite Associate Professor of Surgery En 1970 le Dr Steichen se retrouve Associate Professor of Surgery l Universit de Pitts burgh et finalement partir de 1978 de re tour New York Professor of Surgery New York Medical College Au long de sa carri re et des epoques suc cessives il pr te son concours bien des h pitaux satellites de ses principaux ports d at tache On le voit au Lincoln Hospital de New York Assistant Director of Surgery Director of Professional Services Emergency Depart ment au Bronx Municipal Hospital Center New York Attending Thoracic Surgeon au Montefiore Hospital University Health Center Pittsburgh Associate Surgeon in Chief au Ve terans Administration Hospital University Cen ter Pittsburgh Chief Surgical Services au Children s Hospital University Health Center Pittsburgh Active Staff Member au Presbyte rian University Hospital Pittsburgh Active Staff Member au Lenox Hill Hospital New York Di rector of Surgery au St Agnes Hospital White Plains New York Attending Surgeon au West chester County Medical Center Valhalla New York Attending Surgeon au Doctors Hospital New York Attending Surgeon S intercalent quelques interm des euro p ens la Clinique du Dr Bohler Luxembourg 1961 1962
13. Le Dr F licien M Steichen ou Un itin raire exemplaire du Kolle sch de Luxembourg au Medical College de New York Raymond Schaus 30 bd d Avra 2 nche 1160 LUXEMBOURG Bult Soc Sc Med P 71 N 2 1993 a _ En 1961 le Dr F M Steichen devint pour un temps trop court membre du conseil d administration de la Soci te des Sciences m dicales du Grand Duch de Luxembourg Comme on le verra ce n est pas son seul ni m me son principal titre de gloire L honneur a t et reste pour NOUS c est dire ses confr res de sa g n ration et l ensemble de notre Soci t savante Le 25 mars 1993 une chaire de chirurgie portant son nom a t inaugur e au New York Medical College L v nement est troitement li au d marrage dans les murs du St Agnes Hos tal de New York de l Institute for Minimally Invasive Surgery consacr a la chirurgie vid o endoscopique Il en a t linsli gateur el en est le premier directeur Sa carriere est au plus brillant point d incandescence Le Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales fid le sa mission qui esi aussi d tre un m morial au fil des ann es se doit de se faire l cho de ces circonstances peu Communes Les m dias ont agi avec leur efficacit professionnelle A juste titre sou cieux d viter la tour d ivoire ils ont m me montr sur le petit cran tout le Luxembourg et aux populations alentour le pro fesseur de chirurgie scia
14. Quelques protocoles sont rappel s titre in dicatif le protocole de Bookstein utilise la SK raison de 40 000 unit s d livr es en 20 mi nutes puis 5 000 unit s par heure jusqu la fin du traitement 20 le second protocole de Bookstein consiste en des injections puls es r p t es de 0 2 ml d une solution contenant 150 000 unit s d UK l int rieur du thrombus pendant une dur e de 10 20 minutes 21 le protocole de Hess utilise la SK en infu sion rapide de 1 000 unit s ou l UK 3 000 uni t s toutes les 2 3 minutes avec avancement progressif du cath ter d infusion 22 le protocole de Mac Namara utilise l UK in fus e raison de 4 000 unit s par minute pen dant 4 heures puis raison de 1 000 unit s par minute jusqu la fin du traitement 23 le protocole de Terada utilise l UK raison de 10 000 unit s par minute 24 le protocole de Graor utilise le r t PA rai son de 0 05 0 1 mg kg heure 25 le protocole de Jorgensen utilise 1 mg de r t PA d livr par un cath ter entre deux ballo nets pendant 30 minutes suivi d une hepari noth rapie pendant 24 heures 26 L exp rience montre qu une dose de 0 02 ou 0 03 mg kg heure de r t PA entra ne moins de complications h morragiques pour une acti vite fibrinolytique quasi identique Le risque de Saignement au niveau du point de ponction est lev partir d une dose totale de 12 15 mg de r t PA en infu
15. employ s comme astringents diur tiques laxatifs su dorifiques et stimulants Contre le mal des yeux il recommandait l emploi de la pierre d hirondelle Au com mencement de l automne pendant la crois sance de la lune ouvrez le ventre d une hiron delle vous y trouverez une pierre d nomm e hirundinarius lapis Une m thode plus cruelle consistait forcer l hirondelle appor ter la fameuse pierre en crasant les yeux de ses jeunes encore au nid Contre les vers Attrapez une taupe vivante au mois de mai saignez la de la main droite tendre le sang sur une feuille de papier et en mettre pendant neuf jours dans la nourriture infaillible Un rem de contre le farcin la forme cutan e de la morve quine Prendre de la graisse lubrifier les essieux d un chariot de ferme un oeuf du sel de la suie de chemin e et un peu de miel en faire une pommade et l appliquer avec un morceau de toile de lin Lorsqu une b te souffrait de crapaud in flammation chronique exsudative et v g tante de la membrane t gumentaire sous corn e du sabot la fin du XVII si cle on faisait bouillir de la verge d or dans de l urine Apr s avoir enlev les herbes de la d coction il fallait y dissoudre pour un sol du vitriol bleu sulfate de cuivre et appliquer ce liquide sur les l sions La verge d or Solidago virgaurea L contient entre autres des tannins et elle est riche en flavono des dont l
16. es timer le nombre total des d menis vivant au Luxembourg environ 3 980 tous types de d mence et tous degr s de gravit confondus Parmi eux environ 2 065 personnes seraient atteintes d une maladie d Alzheimer cf ta bleau n 1 Avec la transformation actuelle de la pyra mide des ges la pathologie d mentielle est en train de devenir un s rieux probl me de politique de sant Une v ritable pid mie d ferle sur les pays occidentaux entrainant des probl mes consid rables li s aux co ts des soins requis par celle partie de la popula tion 0 IN ANATOMIE PATHOLOGIQUE l sions histologiques sont connues depuis la fin du XIX si cle la des cription des l sions s est de plus en plus affi n e au fur et mesure de l am lioration de l analyse visuelle A l oeil NU l atrophie du cor tex ainsi que l augmentation des sillons et des ventricules sont videntes Le microscope a permis la description de la perte neuronale et l identification des plaques s niles des dege n rescences neurofibrillaires et de l angiopa thie congophile M me si les C est probablement dans la connaissance des diff rentes l sions anatomo patholo giques c r brales que les pe an ete les plus fructueuses Si en 1907 Alois Alzhei mer d crivait la substance dont een es plagues s nes den devint clair Dh d ressemblan tard que cette substance tait la prot ine B amyloide c d une prot ine beta pli
17. faisant tenir quelque temps la t te de la b te lev e pour que le re mede puisse passer dans son Corps Le Th riaque est la panac e par excellence partir du XVI si cle Cet lectuaire com porte d apr s la pharmacop e du XVII si cle 64 substances diff rentes dont l opium de la Th ba de et la chair de vip re 83 Pr paration de l essence de vip re qui entre dans la composition du Th riaque Hortus Sa nitas 1586 In Smithcors J F Evolution of the Veterinary Art 1957 Ensuite on provoquait la formation d un gros abc s au poitrail en introduisant entre peau et chair une languette de racine d hell amp bore sau vage Cette plante attirera tout le venin du corps de la B te amp produira une tumeur plus grosse que la forme d un chapeau il faudra la percer avec un rasoir ou autre instrument avec la pr caution de ramasser dans un vais seau ce qui en sortira pour l enterrer de crainte que venant tre r pandue par terre d autres B tes en la l chant ne vinssent cre ver par la malignit qui en sortira L hell bore connue depuis l antiquit comme rem de action emmenagogue diu r tique et fortement laxative est un puissant ir ritant des muqueuses la poudre fait ternuer et par cons quent galement du tissu conjonctif C est cette derni re action qui fut recherch e dans la recette qui pr c de Un ef fet immuno stimulant prononc pourrait tre la suite d
18. prise en charge financi re des activit s Actuellement il y a un groupe Luxembourg Ville avec 5 sous groupes et un groupe Esch Alzette avec 2 sous groupes regroupant pour le moment 140 sportifs pratiquant r gu li rement du sport pour cardiaques au Grand Duch de Luxembourg L analyse r trospective d taill e qui suivra ne prendra en consid ration que le groupe de la Ville de Luxembourg fonctionnant depuis plus de 9 ans maintenant ACTIVIT S La plupart des activit s sont et ceci semble bien vident pour des sportifs cardiaques des activit s sportives Parmi elles la S ance heb domadaire en salle qui a lieu pendant toute l ann e reste l activit principale de base A part cela il y a une s ance hebdomadaire de natation laquelle participent 20 des sportifs r guliers Pendant les mois d t il y a un groupe cycliste avec 15 d actifs En plus il existe un groupe de footing organisant 15 20 sorties annuelles pendant les dimanches avec 20 25 des sportifs r guliers qui y partici pent Depuis quelques ann es selon l approche moderne multidisciplinaire de la r duca tion cardiaque des s ances hebdomadaires de relaxation sont organis es ou le nombre de participants a d tre limite a 29 Finalement sont organis es des confe rences d information concernanl surtout les facteurs de risque en moyenne 3 4 par an fr quent es par 50 jusqu 80 personnes en moyenne ANALYSE
19. surtout s il souffre de BPCO de d faillance multi systemique et ou de troubles ioniques Le tableau clinique peut parfois prendre la forme gravissime d une TAAA La possibilit d une pr vention des l in tubation par kin sith rapie alimentation pa rent rale n induisant pas d hypophosphor mie phenytoine indom tacine asepsie et po lym dication doses mod r es est retenir Au moindre doute clinique et ou l vation si gnificative des CK Nac quotidiennement do s es un EMG doit tre r alis et l arr t des corticoides et curarisants envisag REFERENCES 1 Adnet P Rhabdomyolyses diagnostics et hypoth ses physiopathologiques In VIS r union d anesth sie r animation du Nord et de l Est 1990 pp 195 205 Arnette Paris 2 Argov Z Mastaglia F L Disorders of neuromuscular transmission caused by drugs N Engl J Med 1979 301 409 413 3 Baracos V Rodemann H P Dinarello C A Goldberg A L Stimulation of muscle protein degradation and prostaglandin Eo re lease by leukocytic pyrogen interleukin l N Engl J Med 1983 308 553 558 4 Barat M Brochet B Vital C Mazaux J M Arne L Polyneuropathies au cours de s jours prolong s en r animation Rev Neu rol 1987 143 823 831 5 Beede H E Newcomb R W Lower mo tor neuron paralysis in association with asthma John Hopkins Med J 1980 147 186 187 6 Bolton C F Electrophysiologic studies of crit
20. 2 D Persistance d une occlusion de l art re poplit e droite au se la meme dose d UK La thrombolyse inu ntegra yse locale est continu e par un abord femoral anteg re apres 32 heures de Fig 2 E R cup ration compl te de l axe poplit et de la seule art re peronle traitement 36 Fig 3 A Patiente g e de 47 ans pr sentant une isch mie aigu du membre inf rieur gauche Elle est porteuse d un bypass aorto f moral droit et f moro f moral droit gauche L abord axillaire gauche rencontre une st nose serr e de l art re sous claviere gauche Fig 3 B Aspect apr s angioplastie permettant le cath t risme du bypass aortof moral droit vu moro f moral son origine Fig 3 C Occlusion du bypass fe s thrombolyse locale par infusion de 75 000 unit s d UK par Fig 3 D Repermeabilisation apr heure pendant 16 heures Fig SE Angioplastie d une st nose proximale du bypass femoro femoral 37 ui RL he mn EEE Fig 3 F Stenose anastomotique distale du bypass f mo gt li r Fig 3 G Aspect apr s angioplastie effectu e par un abord f moral droit Bon r sultat clinique Pe ETAT BERN 4h tt TR o AR Lie ER E Zn LEUR PPE EE ES TAC PY RE gt 1 ss unit t une ischemie s Fig 4 A Homme g de 86 ans qui pr sente une fibrillation seu ee poplit e droite ne du membre inf rieur droit depuis 48 heures Occlusion complete ae an
21. Deficiency of the pectoral muscles Guy s Hosp Rep 6 191 1841 3 Ravitch M Atypical deformities of the chest wall absence and deformities of the ribs and costal cartilages Surg 59 438 1966 14 Ravitch M The forms of congenital defor mities of the chest and their treatment Prog Ped Surg 3 1 1971 5 Sanger P Taylor Robicsek Deformities of the anterior wall of the chest Surg Gyn Obst 116 515 1963 16 Shamberger R Welch J Surgical correc tion of pectus carrinatum J Ped Surg 22 1 48 1987 7 Shamberger R Welch J Surgical correc tion of chondromanubrial deformity J Ped Surg 23 4 319 1988 Figure 2 Aspect pr op ratoire de profil Figure 3 Aspect postop ratoire inolinphosphat 0 002 g 1 Tablette Spasmo Solugastril Gel und Tabletten nat 0 600 g Butino 2g en on Beutel 10 g enth lt Aluminiumhydroxid Gel 3 480 g 435 mg AI203 Cal ache 0 002 g Anwendungsgebiete Krampf enth lt Aluminiumhydroxid Trockengel 0 200 g 100 mg AI203 Calciumcarbonat 0 300 g er MP eschwerden dure iat ela nd Medikamente und S ureschmerzen bei Gastritis Duodenitis Ulcus ventriculi et duodeni V llegef hl Sodbrennen N agor s Magen Darm K als hy yihmie Gegenanzeigen Engwingelglaukom Prostataadenom mit Restharnbildung mechanische Stenosen pr ei adationsstorungen ae ausl sung Megacolon Nebenwirkungen Mundtrockenheit Abnahme der Schwei dr sensekretion
22. Hautr tung Akko kardie Miktionsbeschwerden Darreichungsformen und Packun blet gsgr en Packungen mit 20 und 50 Beuteln Gel Packungen mit 20 50 und 100 Ta ten Anstaltspackungen HEUMANN PHARMA GMBH amp CO 8500 N rnberg Postfach 22 60 d V Tuy Stand Dezember 1990 P 2 Litt rature et chantillons ACTESSA S A Groupe C P L 4005 ESCH SUR ALZETTE 9 ans de sport pour cardiaques a Luxembourg DELAGARDELLE C JORDANT J NICLOU R ERPELDING J PESCH C BEISSEL J Buil Soc Sc M d p 11 N 2 1993 Dans son premier rapport concernant l angine de poitrine He berdeen a d crit en 1772 un patient qui par le moyen de cou per du bois pendant une demi heure par jour a presque t gu ri A ce moment l la maladie coronarienne tait une mala die rare voire tr s rare 1 Presque 200 ans plus tard en 1968 un conseil ex cutif de l OMS a conclu pour les ann es venir il faut s attendre ce que la maladie coronarienne prenne les proportions d une des pid mies les plus d sastreuses que l hu manit ait connues 2 Heureusement on observe aux Etats Unis une nette r gression de la mortalit et de la morbidit de cette maladie coronarienne qui a r gress de 30 entre 1968 et 1984 4 5 L volution pid miologique favorable de la maladie coronarienne est partiellement due l am lioration des m thodes diagnostiques et th rapeutiques Certains pensent que l
23. Les douleurs chroniques d origines neurologiques et can c reuses Dr Devoghel Li ge 16 d cembre 1992 L oligoth rapie une autre mani re de soigner Conf rence Dr Padrazzi Paris 95 bban G a ee tique antigrippal LA th gt BE Q z On ae ea zs analg sique ant e sur prescription m dicale D livranc Prophac 5 Rangw L 2412 Howald a substance active mononitrate 5 iopathie coronarienne Pr amp vention mg de Composition 1 comprim contient 20 mg resp S 1 cardio sosorbide Indications Trai entretien de ions Traitement d vu stade pr coce de la cardiopathie coronarienne ndications infarctus du myocarde ee crises d angine de poitrine m m raitement subs quent de l infarctus du myocarde avec des pressions de remplissage basses ion art rielle proncnezet bat de choc En cas de grossesse le m dicament ne doit tre administr gere Pango aata pee cin s a e ra tre Effets secondaires Occasionnellement des m C seill Pa Sommencer avec ine rao d comme on i itres viter I l observe avec tous les d riv s er rs v rance afin d viter apparition de ces m dicament il peut se produire gt progran et de poursuivre le traitem re prise du phal es resp de les supprimer Lors de la premi re i une chute de la tension ar rielle resp un collapsus circulatO a posologie esi on paut d
24. R TROSPECTIVE Distribution et volution des sportifs cardiaques de 1984 a 1993 ntotal 266 19 7 86 gt activit r guli re 7 8 8 d c d s x 12 5 gt arr t sur indication m dicale 167 gt arr t complet ou arr t partiel Du mois de mai 1984 au mois de mai 1993 266 sportifs cardiaques ligibles selon les sta tuts de l organisation ont t admis dont seule ment 19 7 sont des femmes Le recrutement moyen annuel a t de 25 sportifs peu pres La plus grande partie de ces sportifs admis 167 63 ont arr t les activit s r guli res Ce grand collectif est tr s h t roclite car y fi gurent p ex un nombre de sportifs ne r sidant plus Luxembourg Un certain nombre pra tique encore mais ceci de fa on tr s irr gu li re signaler qu un tr s grand nombre reste sympathisant en continuant payer la carte de membre et fr quenter p ex des confe rences d information 86 32 pratiquent r guli rement dont 46 maintenant plus de 5 ans Ce collectif pratique depuis 3 7 ans en moyenne 1 9 ans 8 patients 3 sont d c d s dont 4 o la cause de d c s n tait pas d origine car diaque 3 ont subi une mort subite probable ment d origine cardiaque et chez un seul la cause de d c s n a pas pu tre retrouv e 5 des sportifs 2 ont du arr ter suite une contre indication m dicale dont 3 d origine or thop dique et 2 d origine cardiaque 250 d
25. Rocca W A Hofman A Brayne C Brete ler M M Clarke M Copeland J R Dar tiques J F Engedal J Hagnell O Heeren T J et al The prevalence of vascular ee tia in Europe facts and fragments from 1990 studies EURODEM Prevalence 991 search Group Ann Neurol 30 317 2410 Rocca W A Hofman A ler M M Clarke M Copeland J R Dar tiques J F Engedal J Hagnell O Juang a T J et al Frequency and distribution heimer s disease in Europe a collaborate study of 1980 1990 prevalence ee RODEM Prevalence Research Group Neurol 30 381 90 1991 Brayne C Brete 5t Rocca W A van Duijn C M Clayton D Chandra V Fratiglioni L Graves A B Hey man A Jorm A F Kokmen E Kondo K et al Maternal age and Alzheimer s disease a collaborative re analysis of case control stu dies EURODEM Risk Factor Research Group Int J Epidemiol 20 suppl 2 21 7 1991 52 Roses A Alberts M Strittmatter W Alz heimer s disease reassessing the data Cur rent Biology 2 7 9 1992 5 Schellenberg G D Bird T D Wijsman E M Moore D K Martin G M The genetics of Alzheimer s disease Biomed amp Pharmaco ther 43 463 468 1989 5 Selkoe D J Amyloid Protein and Alzhei mer s disease Scientific American x 40 7 1991 55 Seubert P Vigo Pelfrey C Esch F Lee M Dovey H Davo D Sinha S Schlossma cher M Whaley J Swindlehurst C McCor mack R Wo
26. S Ericsson A Glimelius B Hagberg H Hemmingsson A Sundstrom C Acta Radiol 1987 Sep Oct 28 5 527 33 6 New concepts in the non Hodgkin lym phomas radiologic implications Bragg DG Colby TV Ward JH Radiology 1986 May 159 2 291 304 7Kystes de la rate Involution spontan e contr l e par l imagerie j iudicelli T Raffaelli C P Bruneton J N Giu Guilleux MH Chabassiere D Balu Maestro C Rogopoulos A Bittmann O J Radiol 1991 Vol Iss PQ 72 6 7 389 392 ISSN 0242 3081 18 TDM et IRM cliniques Buthian et Coll Editions Frison Roche pp 19 CT with MRI correlation Lee et Coal Raven Press 2 dit 20 Magnetic Resonance Imaging Stark et Coal Mosby p 1 11 21 MRI Clinical Magne ging Edelman rs p 895 a MR imaging of the abdomen with gadopentetate dimeglumine Kalle enhan cement patternS of the liver spleen stomach and pancreas Hamed MM Hamm M Mahfouz AE AJR Am J Roentgenol carer of the eee radiologic pa thologiccorrelation in ten C 646 648 ion p 533 4 1 128 tic Resonance Ima B Ibrahim ME Taupitz 1992 Feb 158 2 Ros PR Moser PR Radiology 1987 Janv 162 1p 1 73 7 2 MRI of the spleen Eshaghi et Coal Contempory Diagnostic Radiology Vol 172 n 3 pp 681 687 1989 Gamma Gandy bodies of the spleen eva luation with MR imaging Sagoh T Itoh K Togashi K Shibata T Nishi mura K Minami S Asato R Noma S Fujisawa l Yamashita
27. UNE EFFICACITE OPTIMALE u a aa a mn Line mn nn fenoterol ipratropium le bronchodilatateur a double action Composition Une bouff e contient 0 1 mg de bromhydrate de tenoterol et 004 mg de bromure d ipratropium Propri t s Le fenotero est un bronchospasmolytique puissant stimulant les recepteuts beta 2 adrenergiques ll agit selectivement au niveau de la musculature bron Chique et ut rine Ses ellets card o vascula res sont fables De plus te feno terol stimule le transport mucociliaite et exerce un elfet ant allergique En inhalation par a rosol doseur Berotec la dose unitaire recommand e est de 0 2 mg c est dire une bouft e L ipratropium est un bronchospasmolytique effet parasympathicolytique qui inhibe la bronchoconstrchon r flexe induite par le vague contrarement a l atropine l ipratropium n ag l pas au niveau du syst me nerveux central du fait de la presence dans sa structure chimique d un groupement ammonium quaternaire Par inhalation une tr s faible dose sulfit pour relacheria muscula ture bronchique la dose unitaire d livr e par l a rosol doseur d Atrovent est de 0 02 mg et la dose recommand e en 1 fois est de 0 04 mg une telle dose n induit pas d ellets secondanes syst miques de type anticholinergique tels que s cheresse buccale ou troubles de l accommodation visuelle pat ailleurs elle est sans influence sur la s cr tion bronchique et la fonction m
28. alimentaires Epidemiologie morbidit et pr vention Prof D A A Mossel Utrecht 16 octobre 1992 Conference en collaboration avec le Syndicat National des Medecins Ve terinaires Le g nie g n tique au service de la medecine Prof P P Pastoret Li ge 5 octobre 1992 S minaire de psychanalyse en collaboration avec le Centre Universitaire de Luxembourg la Soci t de Neurologie et de Psychiatrie la Soci t Luxem bourgeoise de Psychologie Jusqu o l hyst rie Dr Andr Michels 14 octobre 1992 Conf rence La maladie de Crohn Dr M Melange UCL 28 octobre 1992 Conf rence Nouvelle m thode de sevrage tabagique Place de Nicotinelitts dans le syst me transdermique m thode Point contact Dr V Van Muylem Institut Bordet 28 octobre 1992 Conf rence H canc rologi en collaboration avec le D partement d Hemalo cancerologie du CHL Maladie de Waldenstroem Prof J Waldenstroem Malm Su de 29 octobre 1992 Conference et le Departe en collaboration avec Luxembourg TransPlant ment de Cardiologie du CHL Actualit s en transplantation cardiaque gt m mm TE Eee ae OMR mana GER nn nn r m Prof Ch Cabrol Paris 9 novembre 1992 Conf rence en collaboration avec l Union Nationale des Pharmaciens Luxembourgeois aoe Arzneimittel der Zukunft Oder nur Billigarzneimit Prof Dr H Blume Eschborn 18 novembre 1992 Conf rence Les epilepsies partielles comp
29. am lioration de la pr vention primaire et secondaire c est dire une diminution des facteurs de risque que sont le taba gisme l hypertension art rielle l hyperlipid mie l ob sit et la s dentarit joue un r le essentiel dans cette volution favorable 4 5 6 Depuis les ann es 60 l apport du sport de loisir en pr vention primaire et des m thodes de r ducation ainsi que du sport en pr vention secondaire est certainement devenu plus important 5 6 10 11 HISTORIQUE DU MOUVEMENT LUXEMBOURG Le sport pour cardiaques a t inaugur pendant les ann es 50 surtout aux Etats Unis et dans les pays scandinaves 5 A partir de 1970 le sport organis pour cardiaques a pris un essor consid rable en Allemagne qui elle compte aujourd hui en 1993 plus de 3 000 groupes sportifs 7 11 Fortement inspir par ce mod le allemand le Groupe Luxembourgeois a d marr ses ac tivit s en mai 1984 avec 9 sportifs En 1985 l Association Luxembourgeoise des Groupes Sportifs pour Cardiaques ALGSC a t fon d e Elle a t con ue d embl e comme asso ciation faitiere pr te accueillir d autres groupes du Grand Duch de Luxembourg En 1990 l ALGSC a t admise au sein du Comit Olympique et Sportif Luxembourgeois En 1991 un 2 groupe luxembourgeois a t fond Esch Alzette En 1992 une convention entre le Minist re de la Sant et l ALGSC a t si gn e dans laquelle le Minist re a garanti la
30. cette diversit de perturba tions il serait n cessaire de consid rer le d ficit cholinergique non comme un d ficit de neurotransmetteur mais comme un d ficit de modulation dont l alt ration provoquerait des signes cliniques diff rents selon les structures c r brales int ress es Les d ficits adr nergiques sont moins constants Des baisses des fibres noradr ner giques des cath cholamines puis de la do pamine B hydroxylase ont ete d crites dans le cortex frontal temporal et au niveau de l hip pocampe t moignant d une baisse de la transmission adr nergique Une corr lation avec le nombre des l sions histologiques n a pas t tablie Une diminution des r cepteurs 5HT de la s rotonine a t trouv e Ce d ficit au niveau de l hypothalamus pourrait intervenir dans les ma nifestations non cognitives voire amaigrisse ment troubles du sommeil troubles du com portement Les neuropeptides et parmi eux la somato statine seraient diminu s de facon diffuse dans le cortex Le syst me GABA ergique se rait d ficitaire principalement dans les neu rones d association cortico corticaux Un d ficit de la transmission glutaminer gique a t mis en vidence dans les troubles de l attention et de la m moire Il constituerait avec celui de l ac tylcholine la principale per turbation biochimique Les d ficits biochimiques observ s souli gnent l importance de l atteinte des syst me
31. contributive En effet selon diffuses et de la surcharge ferrique Il faut ce pendant pr ciser que l IRM n est r ellement utile du point de vue pratique que lors de la pr sence d importantes surcharges ferriques pr sente dans les syndromes lymphoproli f ratifs une sensibilit de plus ou moins 80 mais une sp cificit de 50 seulement la sen sibilit du scanner varie de 20 90 selon les auteurs pr sente dans les syndromes my loprolif ratifs une sensibilit de 85 et une sp cificit de 100 3 L h mangiome spl nique 1 23 24 Il s agit de la tumeur b nigne la plus fr quente de la rate Cette l sion peut tre solide ou plus complexe et contenant des zones charnues ou kystiques Le comportement IRM de l h mangiome spl nique est identique l h mangiome h pa tique hypersignal en T2 qui devient de plus en plus intense sur les chos tardifs Il ne faut pas oublier que cette l sion peut contenir de la fi brose et des calcifications signal hypointense en T1 et hypointense en T2 Actuellement le r le de l IRM n est pas en core bien d fini selon Peene 4 L hypertension portale HTP Dans l HTP avec spl nom galie on observe une augmentation de l intensit du signal en T2 Ceci est probablement d la surcharge en eau de la rate vu l importante pression intra portale Une compression ou une obstruction de la veine spl nique entra ne les m mes mo difications du si
32. cycloer 64 des Be sportifs r guliers a tah augment de 145 W 160 pendant un 7 ans 26 40 moyenne d observation de 3 se an ameliores 27 42 N ont pas chang imi apacit de tra et 11 17 ont diminu leur C ua vail LA fea d jection au d part est iden En examinant de n 86 m 48 2 n 86 m 142 rs n 41 47 sa n 32 37 ans n 36 41 in ae gt n 5 6 i n 4 5 tique dans ces 3 sous groupes 47 a 53 et ne permet pas de pr dire une am lioration ou une diminution de la capacit de travail Finalement l impression subjective des 86 sportifs r guliers qui au d part avaient un ge moyen de 54 38 71 ans a volu apres une dur e d observation moyenne de 3 7 ans de la fa on suivante 61 76 se sentent mieux 15 18 se sentent inchang s et 1 seul 1 2 se sent moins bien A noter dans ce contexte que 6 des 86 n ont pas r pondu DISCUSSION Le mouvement sportif pour cardiaques a t fond au Grand Duch de Luxembourg en 1984 c est dire il y a 9 ans sur initiative per sonnelle L organisation et le fonctionnement sont r alis s par les membres eux m mes tra vaillant au b n volat Comme contrairement nos pays avoisinants nos caisses de maladie ne disposent pas de budget pour la m decine pr ventive l Etat Luxembourgeois par le biais d une convention entre l association et le Mi 13 nist re de la Sant a garanti la prise en charge f
33. d embols en p riph rie par Ceres ae Harnweginfekte kompromisslos und spezifisch behandeln Hohe Erregerempfindlichkeit bei geringem Risiko daher auch bel Banalinfekten einsetzbar Urospasmon Tabletten Urospasmon sine Kapseln Zusammensetzung 1 Tablette Urospasmon enthalt Sulfadiazin 150 mg Nitrofurantoin 50 mg P j dinhydrochlorid 50 mg 1 Kapsel Urospasmon sine enth lt Nitrofurantoin 50 mg Sulfediazin 1 60 ma Anwendungsgebiete Akute und chronische Nieren und Nierenbeckenentz ndung Harnblasenentz n dung Harnr hrenentz ndung Infektionen bei mechanischen oder funktionellen Harnabflu st rungen zur Vorbeugung gegen Infektionen bei diagnostischen und operativen Eingriffen in der Urologie besonders zur Behandlung des Harnwegsinfekts mit krampfartigen Beschwerden Gegenanzeigen berempfindlichkeit gegen Sulfonamide und Nitrofurantoin schwere Leber oder Nierenfunktionsst rungen schwere Blutbild ver nderungen wie Mangel an roten Blutk rperchen infolge Glucose 6 phosphatdehydrogenasemangel Scheibenrose Nervenentz ndung Letzte Woche der Schwangerschaft Stillzeit sowie bei Fr h und Neuge borenen bis zum 3 Lebensmonat kontraindiziert Nebenwirkungen belkeit und Erbrechen Schwindel Kopfschmerzen Kribbeln Schmerzen und MiBempfindungen an den uBeren GliedmaBen sowie an der Ohrspeicheldr se Atembeschwerden Magen Darm St rungen Gallestauungen und berempfindlich _keitsreaktionen wie Fieber Gewebever
34. de la sant la plus ro buste il faut citer la saign e qu il faudra pr c der par des boissons temp rantes et d layantes Sel de nitre 1 2 once Grain de geni vre 1 2 poign e Miel 4 onces Faites bouillir le tout dans deux pintes d eau r duire moiti passez dans un linge et donnez le le matin jeun l animal Le traitement curatif pour les animaux au premier stade de l volution de la maladie comprend in vitablement le trochisque la ra cine d hell bore au fanon la saign e jusqu ce que le pouls soit assoupli et que la conjonctive soit moins enflamm e Vingt quatre heures plus tard on percera l abc s au fanon et on y introduira un s ton impr gn de sublim corrosif et de poudre de cantharides et on aura la pr caution d onctionner ce s ton tous les jours Un breuvage adjuvant compos de buglosse de viperine de poudre de guimauve de sel de nitre de camphre et de genievre sera administr aux animaux ma lades D s que les sympt mes voluaient il fallait arr ter les saign es mais entretenir la suppu ration au fanon et donner un breuvage fait de buglosse de bardane de poudre de quin quina d asa foetida et d alkali volatil L analyse de ces recettes r v le entre autres les substances suivantes Alkali volatil le carbonate d ammonium li b re de l ammoniaque gazeux agissant comme expeciorant Asa foetida cette gomme r sine provenant de dive
35. die Anwendung von mehr als 36 Tabletten oder 18 Beuteln Granulat oder 12 Ein zeldosen Trigastril 75 Gel 120 ml 412 Beu tel pro Tag zu vermeiden Nebenwirkungen Trigastril Tabletten Trigastril 50 Granulat und Trigastril 75 Gel k nnen den pH Wert des Urins beeinflussen was nsbesondere f r Patienten mit Nierensteinen Calc umphosphat Steine wichtig ist Bei Patienten mit eingeschr nkter Nierenfunktion kann es zu einer Erh hung des Spiegels von Magnesium und Aluminium im Serum kommen Eine hohe Dosierung ber einen langeren Zeitraum kann zu einer Storung des S ure Basen Haushaltes Alkalisierung f hren Bei Einnahme von Trigastril 50 Granulat und Trigastril 75 Gel sind zusatzlich die Ande rung der Stuhlbeschaffenheit und der Stuhlfre quenz sowie Verstopfung insbesondere be hoher Dosierung m glich Trigastril 75 Gel ent halt p Hydroxybenzoes ureester als Konservie rungsstoffe Bei Personen die gegen diese Stoffe empfindlich sind k nnen allergische Reaktionen ausgel st werden Wechselwir kungen mit anderen Mitteln Tr gastril Tablet ten Trigastril 50 Granulat und Trigastr l 75 Gel sollten nicht zeitgleich mit anderen Arzneimit teln z B Tetrazyklinen Digoxin Desoxychol aten eisenhaltigen Pr paraten Cime Cumarinderivaten eingenommel a deren Resorption beeinflu t 7 Deshalb sollten andere Arzneimitte in eir kann eistundige m Abstand zu Tr gastril einge bis Z nommen werden
36. dose thrombolytic therapy of periphe ral arterial occlusions N Engl J Med 307 1627 1630 1989 E Mc Namara T O Fischer J R Th oe R Thromboly sis of peripheral arterial and graft de 32 improved results using high dose urokinase AJR 144 769 775 1985 24 Terada M Satoh M Mitsuzane K et al Short term intrathrombotic injection of ultra high dose urokinase for treatment of iliac and femoropopliteal artery occlusions Radiat Med 8 79 87 1990 25 Graor R A Risius B Lucas F V et al Thrombolysis with recombinant human tissue type plasminogen activator in patients with peripheral artery and bypass graft thrombo sis Circulation 74 1 15 1986 26 Jorgensen B Tonnesen K H Nielsen J D et al Segmentally enclosed thrombolysis in percutaneous transluminal angioplasty for fe moropopliteal occlusions a report from a pilot study Cardiovasc Intervent Radiol 14 293 298 1991 27 Routh W D Tatum C M Barton R E etal Urokinase infusion feasibility of monitoring for complications in a non intensive care set ting JVIR 2 69 72 1991 28 Husson J M Fiessinger J N Aiach M et al Streptokinase after m ar eee i raery for peripne ero ce Sng 22 145 149 1981 2 Long D M Thrombolytic therapy in severe arterial insufficiency with absent distal pulses Vasc Surg 16 219 223 1982 Persson A V Robichaux W T Jaxheimer E C et al Burst therapy a method of admi nistering fibrinolytic ag
37. du parenchyme splenique durant les 60 premieres secondes Ceci r sulte pro bablement des diff rentes vitesses de flux au sein de la pulpe rouge Ult rieuremeni ce re haussement devient homog ne Cependant l utilit du gadolinium est assez r duite a ceci pour deux raisons qui sont troitement li es le temps d acquisition des images assez lent en imagerie spin echo habituelle l quilibre relativement rapide de la concentration de gadolinium entre les com Partiments extra et intracellulaires D autre part et paradoxalement le on nium peut avoir un effet nefaste en diminuam le contraste naturel entre la l sion et le paren chyme spl nique normal Des tudes exp rimentales sont en cours afin de tenter de solutionner cel cueil soit en essayant de confiner le gacor nium dans l espace intra vasculaire en Intro duisant celui ci dans des v sicules lipidiques SOI nt d utiliser des s quences P RASE T1 avec injection en bolus du produit de contraste tude de la dynamique du rehaussement de la l sion Theoriquement cette exploration dynamique permettrait d am liorer la d tection des l sions spl niques car elle d c lerait une diff rence de prise de contraste dans le temps entre les l sions spl niques et le tissu spl nique nor mal Ainsi en s quence RASE T1 le paren chyme spl nique normal prend le contraste de fa on homog ne environ une minute apr s le d b
38. en cours a t mise Malgr qu il n y ait pas de d ficit de facteur de crois sance prouv dans la maladie d Alzheimer on partait du fait que l augmentation de sa concentration pourrait avoir un effet b n fique Par la s neurotrophiques don raient avoir une plus 9 tique La confirmation teurs neurotrophiques N mier temps de plus large animal 2 Mo Si on avait la preuve que la maladie d AIz heimer tait la cons quence directe des d p ts de B amyloide de nouvelles approches th rapeutiques devraient voir le jour C est ainsi que les neuropeptides tachykiniques sp cifiques arrivent bloquer la u de la amyloide dans des cultures de cellules neuronales Une autre approche uite on d couvrit d autres facteurs t on pense qu ils pour rande valeur th rapeu des effets de tels fac cessite dans un pre s tudes au niveau potentielle serait la pr vention des d p ts de B amylo de en utilisant des inhibiteurs ayant comme cible les pro t ases g n ratrices de B amyloide Une id e parall le est bas e sur l emploi d en comme l a tocoph rol OU le d pr nyl capteurs des radicaux libres Les changements bio Chimiques conduisent des alt rations des r cepteurs glutamate induisant une activation permanente des r cepteurs et donc de la cel lule entrainant finalement la mort cellulaire Un mod le animal avec une injection intra c r brale de prot ine B amyloide a
39. et ses d riv s mais pas par l hypoxie et elle n est ni sp cifique d un type de corticoide ni dose d pendante Mais l in tensit et ou le temps de r cup ration du d fi cit seraient proportionnels la dose totale de cortico de utilis e 18 43 S il n y a pas contrairement la myopathie cortisonique chronique d atteinte pr f ren tielle de certaines fibres musculaires dans la MCA une d g n rescence s lective cortico d pendante des filaments de myosine a t d crite 15 41 47 La ph nytoine ou d autres anticonvulsivants aurait un r le protecteur 19 Mais l intoxication par la ph nytoine peut elle donner une TAAA avec eventuelle ophtal moplegie 14 LaMCA doit tre distingu e de l affection inverse d tresse respiratoire sur myopathie n crosante 45 de la myopathie catabolique sur septicemie 1 3 12 50 et de la myopathie necrosante algue hypokali mique 1 40 L existence d une paralysie ai gu amp hyperkali mique 31 reste d montrer Une amyotrophie asthmatique myelopa thique a galement t d crite 5 20 le ta bleau clinique qui peut aller jusqu a la TAAA ressemble une poliomy lite ant rieure aigu avec pl iocytose du LCR et EMG neurogene mais la s rologie anti poliovirus reste n gative La CIP est une polyneuropathie motrice ou sensitivo motrice axonale d tiologie incon nue survenant chez Se souffrant de septic mie et de celal multi
40. graft occlusions a randomized trial Radiology 175 75 79 1990 Cragg A H Smith T P Corson J D et al Two urokinase dose regimens in native arte rial and graft occlusions initial results of a prospective randomized clinical trial Radio logy 178 681 686 1991 42 Verstraete M Hess H Mahler F et al Fe moro popliteal artery thrombolysis with intra arterial infusion of recombinant tissue type plasminogen activator Report of a pilot trial Eur J Vasc Surg 2 155 159 1988 53 Graor R A Risius B Young J R et al Low dose streptokinase for selective throm bolysis systemic effects and complications Radiology 152 35 39 1984 Van Breda A Katzen B T Radiologic as pects of intra arterial thrombolytic therapy In Thrombolytic Therapy Ed A J Comerota Grune and Stratton Orlando 1988 113 45 Roth F J Heimig Th Berliner P et al Per kutane Rekanalisation peripherer Gef sse In Interventionelie Radiologie Eds R W Gun ther M Thelen Thieme Stuttgart 1988 41 46 Van Breda A Robison J C Feldman L et al Local thrombolysis in the treament of arte rial graft occlusion J Vasc Surg 1 103 112 1984 47 Hargrove W C Berkowitz H D Freiman D B et al Recanalization of totally occluded femoropopliteal vein grafts with low dose streptokinase infusion Surgery 92 890 985 1982 48 Verstraete M Vaughan D E Latest update in thrombolysis In Thrombolysis in Cardio
41. infusion Une valve h mostatique F5 est plac e au point de ponction permettant les changes de cath ters et de guides L infusion locale est ha bituellement r alis e par la voie d abord qui a servi l angiographie diagnostique Si une ponction art rielle diff rente s av re n ces saire la valve h mostatique est laiss e en place au niveau de la ponction initiale pour vi ter l h morragie Quand une occlusion aigu poplit e ou surale est associ e une occlu sion f morale chronique qui emp che le ca th t risme ant grade la thrombolyse locale est mise en place par ponction poplit e L oc clusion est cath t ris e au guide souple ou hy drophile extr mit droite ou en J La facilit avec laquelle le guide traverse l occlusion a une valeur pronostique fiable prejugeant du r sultat car une occlusion facilement cath t ris e contient des caillots mous sans l sion obstructive r sistante 19 Lorsque le guide rejoint le segment distal perm able un cath ter F3 ou un guide injectable est avanc avec pr caution sans mobilisation de caillot ce niveau pour r aliser une angiographie distale compl mentaire si le bilan initial n a pas donn d indication sur le lit d aval Quelques passages r p t s du guide ou du cath ter favorisent le r tablissement rapide du flux dans le segment occlus et augmentent la surface de contact entre l agent thromboly tique et le caillot fragment Le thr
42. jusqu au ocked in syndrome 32 40 de amyotrophie asthmatique myelopathique 5 20 de la poliomyelite ant rieure algue hy potensive 38 qui se pr sente cliniquement et l EMG comme une pseudo neuropathie motrice 6 Rappelons que l hypotension peut galement induire une TAAA sur infarctus fron ti res cf supra L hyperalimentation parent rale visant combattre la fonte musculaire peut produire une hypophosphoremie Cette hypophosphor mie peut elle m me se tra duire surtout quand elle est s v re et survient dans le cadre d une d faillance multi syste mique par une rhabdomyolyse 1 ou une TAAA sur BNM Cette derni re peu ou prou amyotrophiante mais s accompagnant d hypo esth sie diffuse et de par sie des nerfs cr niens mime un SGB ou une MCA Mais l EMG est habituellement normal 24 25 40 48 Des alterations neuromusculaires multiples et associ es neuropathie myopathie ul ont t rapport es au pancuronium chez es patients r amp animes polytraumatises en insuffi sance r nale et trait s par aminoglycosides et corticoides 35 La TAAA SY gomp Ta EE fois d une atteinte oculaire et ou faciale L e plaidait pour une d g n rescence axona S agit en fait d un groupe Re un nant une majorit de cas de CIP ce BEA dont certains se sont compliqu s d une Lo ou d une amyotrophie de non utilisation ou de d nervation toutes deux RA tico sensibles 22 23 la suite d un 4 et
43. la maladie d montr par les tudes sur les trisomies 21 Les prot ines anormales en forme h licoi dale de la cellule semblent tre des prot ines tau polym ris es Un anticorps Alz 50 re trouv chez certains patients atteints de mala die d Alzheimer reconna t la prot ine tau des cellules D o l id e que la neurotoxicit de la prot ine B amylo de cr e des l sions cellu laires qui conduisent la mise en pr sence du syst me immunitaire des prot ines intracellu laires du cytosquelette Une th orie d auto im munit autour de cet anticorps Alz 50 cr erait des l sions c r brales responsables de la ma ladie Il n est pas exclu que la neurotoxicit de la prot ine B amyloide ne soit qu indirecte en rendant les cellules plus sensibles a d autres agressions comme des acides amin s excita teurs provoquant une stimulation excessive ou un stress oxydatif provenant de sources exog nes environnementales ou endo g nes Quand on reprend les diff rents sous groupes cliniques on ne peut s emp cher de penser que des causes g n tiques de solu bilit diff rente ou de troubles de l expression pourraient pr dominer comme cause dans les formes de maladie d Alzheimer d but pr coce _ Les th ories bas es sur un catabolisme par tiellement d ficitaire des substances toxiques et une exposition prolong e des facteurs en vironnementaux correspondant l expression du vieillissement ser
44. le follow up des sportifs cardiaques el contribuer mieux comprendre le changement de la fonction Car diaque et des autres variables d terminant la capacit de travail En plus cette m thode pourra donner des directives d entrainement plus exactes c est dire des fr quences car diaques pour l entra nement surtout pour les patients sous m dicaments en premier lieu pour les patients nombreux sous b ta blo quants Une des propositions tirer apr s 9 ans d exp rience pourrait tre l admission plus syst matique de patients pr sentant des fonc tions ventriculaires moins bonnes et gale ment des patients avec une atteinte corona rienne diffuse ne permettant plus d interven tion invasive Bien s r CES patients devront tre repris dans un groupe part jSition Vincamine lib ration S In R nce c r brale Troubles vasculaire en ophtalmologie 4 N h morroides ri nal Pommade Suppositoires no HCI triamcinolonacetonide et lidocaine Indications H morroides externes et internes ecz ma anal Prurit anal traitements pr et POstop ratoires Propri t s itoi ade est indi Le triAnal en suppositoires et en pommade des douleurs h morrofdales aigu s ainsi que pour Prurit de la r gion anale Le triAnal h te la r gression de la douleur des d mangeaisons et des ph no m nes inflammatoires Mode d emplol Suivant la de pommad En cas d h m
45. lement au Grand Duch de Luxembourg 6 8 EN R SUM Apr s une exp rience de 9 ans les bienfaits du sport organis pour cardiaques sont voir surtout dans une am lioration de la qualit de vie L entrainement semble redonner confiance aux patients souvent choqu s par leur maladie cardiaque En plus le facteur SO cial c est dire l exp rience commune du sport semble avoir des effets favorables 1 Heberdeen W Commentaries on the history and cure of di seases In Willis F A Keys T E eds Classics of cardiology Vol 1 New York Dover 1961 222 4 2 Di Matteo J Vacheron Cardiologie Expansion scientifique fran aise 1983 3 L wel H et al Morbidit t und Mortalit t an akutem Herzin farkt Daten aus der MONICA Studienregion Augsburg 1985 86 M nch med Wahr 133 20 25 1991 4 Gerbert G Pr vention von Herz kungen 1 3 rzteblatt Rheinland Pfalz 45 Jg 1992 Nr und Kreislauferkran 9 Nr 11 und Nr 12 5 Delagardelle C Pr vention primaire et secondaire de la ma ladie coronarienne par entrainement Th se d admission la Soci t Luxembourgeoise de M decine de Sport Luxembourg mai 1986 6 Curfman G D The Health Benefits of Exercise A Critical Reappraisal N Engl J Med 1993 328 575 76 7 Keil U Bev lkerungsbezogene Strategien zur Pr vention kardiovaskul rer Erkrankungen Eine kritische Wertung Z f Kardiol 82 Supple ment
46. m decine compen SE maitre Alprant marechal de E E Frederic II 1 194 1250 qui avait r dige un RoBarztneibuc decine des cheval a tie siecle bre Linguistique de Folklore et de a Sectio de l Institut Grand Ducal de Luxembourg Conserve te oe la mede sunigsant tout un herlag In a pratiqu e Pat les mar chaux cine du tique e travers les si cles C a t r dig par Depuis le Moyen cours de la premi re RoBarztney buchlein e mar chal Frantz Petitier de a Folschette en 178 te nous allons essayer de donner pes es des maladies a par le a urg et des me habitant le Ea j dicaments dont il a recom Satan grave pa Pe in En cas jarrhale des voies respiratoires tamman abcedation sigs ganglions tn faire fondre ee a e sous glos osseur d un oeu un demi beurre de la gf verre de vinaigre de se Se ee au cheval le matin a jeun O pomme se LL on bras must occae Cet de A NT A RNA LL PA D ET j to re tee eee TI fi TTLTILIITITE 8 M M TITITET METT IETT ce gt gt s u TORE ET nt REP EURER aaa aana 9 0 00 4 n 5 a sa m 1 LU 5 ee st e gt See gt gt E A a ka PE f LL eG r 9 gt e ru 2 rs m 2 E D 9 Bart A pS A v cs 2 d eee gt d L LH Ee E
47. n anmoins exister une perte cellulaire au nr veau des hippocampes el au niveau du in concernant les grands et moyens neuron ainsi que dans certaines formations sous cor licales noyau basal de Meynert et locus cae ruleus IV BIOCHIMIE L analyse biochimique ie a fini par determine a prot ine B amyloide qu ble sente dan e l sions Sa Bunnealen ets l identification tait difficile en raison ie faible solubilit Le poids mol culaire a a Proximativement de 4 kD elle contient en 42 acides amin s a ot ine amylo de L anc tre biologique de la pr i B A4 peptide serine proteine re on oA sts amin s dont le g ne est exprim su ne male dans la plupart des a ms anormal n est pas la proteine en it d une mais le produit m tabolite Il a Re anomalie de d gradation du precurs des l sions C r r la composition de i semble tre pre accumulation du metabolite Mais l origine du d ficit de d gradation ou d une ventuelle dif f rence de solubilit reste obscure on y re viendra plus loin En fait chez les personnes atteintes de maladie d Alzheimer d but pr coce on a observ dans certains cas une mul tiplication par 2 voire 3 de l expression des pr curseurs de la prot ine amylo de Les arguments en faveur d une relation tio logique des d g n rescences neuro fibril laires la maladie se basent sur l identification de la prot ine A 68 trouv e gr ce des anti corps appel s Alz 5
48. n ralement que la d ficience totale en MPO n entra ne pas de pathologie re tentissante mis a part une certaine pr dispo sition aux infections fongiques 5 6 Cela est tonnant vu que dans le granulocyte la MPO catalyse la r action MPO HoOo Cl H20 CIO Elle g n re donc l hypochlorite et par r ac tion avec des amines des chloramines qui sont des bact ricides puissants jouant sans doute un r le important dans les m canismes de d fense du granulocyte 4 La litt rature mentionne la possibilit d une induction de la d ficience par des m dica ments sans cependant avancer d exemple concret Parry et coll 7 D Onofrio 8 L exis tence de telles d ficiences induites par des m dicaments est par contre ni e par Kosanke et Schneider 9 La distinction entre d ficience totale et par tielle para t simple premi re vue A voir de pr s on constate cependant qu il n existe pas de limite nette entre ces deux formes de d fi cience II est tout aussi difficile de fixer une li mite entre une d ficience partielle et une my loperoxidase normale Les fabricants du H 1 indiquent bien une valeur de r f rence pour le MPXI allant de 10 10 sans que l on puisse cependant affirmer que toute valeur inf rieure 10 soit consid rer comme une d ficience partielle BUT DU TRAVAIL Nous avons tout d abord tent une classifi cation des diff rents types de d ficience en MPO Pour cel
49. obtenir une pierre d nomm e lapis mirabilis Laisser fondre la grosseur d un pois de cette pierre dans une cuiller e d eau lais ser d canter et verser l eau claire dans une bouteille On obtient ainsi une eau m dicinale employer chez l homme et les animaux Contre l inflammation purulente des oreilles compliqu e de myiase Faire bouillir une poi gn e d absinthe bitteren alsem dans du vi naigre Tremper un bout de linge envelopp autour d une baguette dans la solution et net toyer les oreilles du cheval ce qui tue les larves de mouche qui ne supportent pas l ab sinthe die maden m ssen doch gleich sterben dan sie k nnen den bitteren alsem gar nicht leiden L Absinthe commune Herba absinthii vul garis est en effet largement utilis e comme tonique et vermifuge Un bon breuvage contre l inflammation in terne et qui pouvait tre appliqu toutes sortes de plaies externes Prendre une poi gn e de chacune des plantes suivantes rue sauge hysope liv che herbe d aneth sola num douce am re et une demi poign e de l don des marais Faire bouillir dans 2 5 litres de vin ou d faut d une bonne vieille bi re et r duire un demi litre Filtrer et mettre sous bou chon dans une bouteille En soumettant cette potion une analyse pharmaco chimique moderne nous pouvons tablir le protocole suivant Rue Ruta graveolens L contient des alca loides spasmolytiques Sauge
50. s est point modifi e de fa on Si gnificative ces derni res ann es Par contre il en est tout autrement concernant le LNH Les classifications les plus utilis es sont celles de Rappaport et du Working Formulation u On retiendra que le LNH atteint ee les ganglions r amp troperitoneauX e En IRM c j gestif ainsi que la mo lle GL Ar e sont l hypercellularit et la fire se fis buent l abaissement du T1 Se exister une corr lation satisfaisante entre les modifica tions du signal T1 etla localisation anatomique b Les syndromes my loprolif ra tifs Bas L hypercellulosit une Slenomegalie et un abaissement du T1 leuc mie aigu my loblastique pas d ex p rience notable vu l volution rapidement fa tale de la maladie ze leuc mie myeloide C spl nom galie les foyers donnent Souvent un signal accru Vaquez destruction globulaire importante donnant un faible signal T1 d l accumulation de fer Metaplasie myeloide infiltration splenique diffuse Le T1 est variable avec Evolution vers la fibrose qui est soit diss min e soit multifo cale My lofibrose diminution du T1 c Les syndromes lymphoprolif ra tifs La prolif ration cellulaire lymphoide change l quilibre existant entre le tissu cellulaire et la graisse Leuc mie aigu lymphoblastique de l en fant Hypo en T1 et T2 Leuc mie lymphoide chronique la rate est atteinte de fa on constante au stade IV
51. sel ou au poivre T iecles pour trai eau XVIIet XVIII otk Acalos ones de maladies L nd calion pre Fo ET DANS LADITE GAZETTE DE RREUNELLES REMEDE TOUR LA MORTALITL DES BESTIAUX R Heth Auftolocchix rotund Veronica a m Vial Pulmonaux Hyflopi Scordy a m nij Rad Gentianx Angelica Perafendes Tornencllx On doit m ler coat cect le reduire en poudres CI en donner une once a chaque Bire 3 a q jours de fune CO au cas que le Alor taln ne far pas lon dott ionimuer a donner ce Remcde 8 pours confecutih Cette Poudre fe dun d sremper dans de san 9 on la dust donner au Beta malade de la maniere qu on lui denn Pa les Drenvages ord nand Bace Lani Jumperi a uncias x Cardopar a Il qt ey Sur Imprim Namor LUXEMBOURG Er nn Pour la mortalit des bestiaux trichi uc de Bavi re Gouverneur g n ral du ens des effets funestes de la peste bovine foc Da Operation d j connue par les tion ER gr co romains savoir l abc da brouillard Parotide s tait perdue dans le vague _des temps Seule tait rest e une par la one d un acte chirurgical d form n ratio ansmission orale de g n ration en g XVI zn Les mar chaux op rants de la fin du c d lecle finissaient par appliquer ce pro en Cas de coliques LES PIZOOTIE S TRAITEMENT ET PROPHYLAXIE Au d but du XVIII si cle la peste bovine ve
52. si possible SU anglais Tous les articles seront lus par le r dacteur et un consultant sp cialiste Les articles n engagent que leurs signataires et sauf avis sp cial les opinions exprim es ne refl tent pas n cessairement la position de la Soci t des Sciences M dicales The Bulletin is published two or three times per year and accepis articles in French ys ee and English The authors are invited to submit the original copy and a duplicate typed res solani to the editor The references in alphabetical order should conform to the style of t 5 Weta Medicus Surname and initials of authors title of article name of journal volume number first page and year All the articles which should be succinct are reviewed by the editor and a member of the editorial board Copyright 1993 by Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Impression Imprimerie Saint Paul S A uivis d un r sum en Sommaire Malformation cong nitale des cartilages costaux rapport d un cas 9 ans de sport pour cardiaques Luxembourg T trapl gie Ar flexie Amyotrophie aigu sous ventilation assist e R le des cortico des des curarisants des antibio tiques et de la r animation Thrombolyse locale et thrombo aspiration des art res p ri ph riques Imagerie par r sonance magn tique nucl aire de la rate Explosion de l pid mie et des connaissances de la maladie d Alzheimer La d ficience en my lo
53. sternale BRODKIN en 1949 pense que les cartilages costaux suivent le d placement du sternum qui serait donc la cause de la d formation chondrocostale SANGER en 1963 est convaincu que le d placement du sternum est secondaire a une croissance excessive des cartilages costaux qui poussent le sternum vers l ext rieur pec tus carinatum ou vers l int rieur pectus exca vatum Pour lui l action est toujours bilat rale La symptomatologie est variable selon le type de malformation Elle est habituellement discr te Classiquement le pectus excavatum est ca racterise par la d pression centrale du ster num les paules vo tees et tombantes air de chien battu une l g re cyphose dorsale un abdomen bedonnant et une mobilit respi ratoire paradoxale avec r traction du sternum lors de l inspiration profonde essentiellement dans les premi res ann es de la vie L atteinte peut tre mod r e moyenne ou s v re Cette d formation est peu symptomatique S il existe une limitation cardio respiratoire l effort celle ci n est souvent constat e par le patient qu posteriori lorsqu apr s une correction Chirurgicale il s aper oit que ses capacit s physiques sont am lior es De rares cas de troubles cardiaques et respiratoires s v res ont t d crits Chez la femme on peut obser ver galement une d formation des seins strabisme Le pectus carinatum est asymptomatique la plainte est uniq
54. t pro pos par Yanker et il semble provoquer les m mes l sions histologiques que chez l homme Un traitement par la substance P para t pr venir ce type de l sions Une des hy poth ses serait qu elle modifie la solubilit de la prot ine B amylo de Or malheureusement on est loin d une utilisation clinique De touie fa on cette substance ne semble agir qu au Stade de la pr vention Comme l volution des d g n rescences neurofibrillaires est bien d finie l impact de certaines th rapies pourrait devenir apparent dans la mesure ou les toutes premi res dege n rescences seraient stopp es suffisamment t t Pour que le cerveau puisse d montrer ses Capacit s tonnantes d auto r paralion Un traitement qui inhiberait la production du Pr curseur B A4 pourrait potentiellement r duire la formation de la prot ine et ainsi la pro gression de la maladie VII CONCLUSION De cette explosion de r sultats d hypo th ses et d espoirs th rapeutiques on peul re tenir ce qui semble une lapalissade mais qui approche s rement la r alit Vraisemblable ment la maladie d Alzheimer repose sur un grand nombre d tiologies et pour bass SOUS groupes d mence d but re une tiologie et physiopatholog e particu ae semble pr pond rante Chez a De ae as g e la pathologie semble plut t li e un sociation de facteurs g n tiques ies multiples ment squences Sur i aux Les cons qu dent le traitement
55. trie du CHL et la So C et la Soci t Luxembour j uffisant cardiaque en 19927 29 avril 1992 Conf rence des r tinopathies Actualit s en ophtalmologie et traitemen diab tiques Dr M Hoebeke UCL 20 mai 1992 Conf rence Chronobiologie dans l asthme Dr Pierre Bartsch Li ge 29 mai 1992 Conf rence sous le patronage du Ministre de la Sant Wie entstehen Schmerzen Prof H O Handwerker Erlangen Nurnberg Les principes de la prise en charge de la douleur chronique Dr Fr Boureau Paris 30 mai 1992 Symposium sur la douleur sous le patronage du Ministre de la Sant Pathophysiological aspects of pain Prof H O Handwerker Erlangen Neurogenic pain as an example for a comprehensive ap proach to the treatment of pain Dr Fr Boureau Paris Indications for the use of neurosurgical techniques in pain control Prof Jao Gybels Leuven The management of a pain centre from optimal functioning to reality Prof H Adriaensen Edegem Chairman Prof H Metz CHL 17 juin 1992 Conf rence La menopause Dr R Vandervellen UCL 20 juin 1992 S minaire en collaboration avec le Depart rologie du CHL id miologie biologie imagerie dia Cancer du poumon p gnostique el interventionnelle chirurgie radioth rapie traite ment m dical Drs G Mahon C _ P Rocmans Brux 10 juillet 1992 en collaboration avec la Soci t Luxembourgeoise de Mede cine Esthetique el la Societe Luxembourgeoi
56. un art fact de d placement chimique dans le sens du gradient fr quence C est avec l appareillage IRM a haut champ que l on obtient les meilleures images r solution spatiale et contraste D un point de vue pratique retenons que a l analyse de la rate est excellente en T1 et en T1 interm diaire TR entre 700 et 1 000 ms b en Echo de spin on observe des ar tefacts li s la respiration et aux mouvements involontaires du patient Certains auteurs soulignent l int r t pro bable des nouvelles s quences rapides flash Ici la rate normale appara t plus in tense que le foie pour un angle de bascule de 30 TR 0 15 sce et TE 20 ms moins intense que le foie pour un angle de bascule de 60 Le foie et la rate deviennent iso intenses d s que l angle de bascule descend sous les 30 et deviennent iso intenses par rapport la graisse pour un angle de 20 Enfin la capsule spl nique n est g n ment pas discernable en 42 comme des l sions foc I LA RATE PATHOLOGIQUE L IRM est performante pour le diagnostic des h matomes r cents par contre pour les autres pathologies h matome ancien lym phome leuc mie etc les signaux sont peu diff rents Int r t de l imagerie spl nique Les l sions spl niques macroscopiques d celables par l imagerie m dicale sont relative ment peu fr quentes Les ultrasons la tomo densitom trie a
57. vascular Disease Eds D Julian W Kubler et al M Dekker Basel 1989 41 O 49 De Bono D Problems in Thrombolysis In Thrombolysis in Cardiovascular Disease Eds D Julian W Kubler et al M Dekker Basel 1989 287 288 33 t re radiale distale semaine Infusion lo Fig 1A gauche hi pu de 30 ans pr sentant une embolie art rielle au niveau de lar cale de 75 000 ie oral isch mie s v re des 3 premiers doigts depuis une s d UK par heure associ es des vasodilatateurs syst miques 34 Fig 1 B Apr s a des art res digita Ye d j A d i _ m a SW ys i ae Rue L GA etn DEREN my 5 2 gt a rr t du trait ement reperm abilisation de l art re radiale Occlusion persistante les des 2 premiers rayons Bon r sultat clinique 35 A a i z gt p r gt PER lie U u Fig 2 A Homme g de 73 ans pr sentant une isch mie subaigu du membre ed droit L ar t riographie est r alis e par ponction f morale gauche montrant une occlusion de l art re iliaque externe droite et la reprise circulatoire au niveau f moral Fig 2 B Le contr le art riographique pratiqu apr s 16 heures d infusion locale d Us 75 000 uni t s par heure montre la perm abilit iliaque et d masque une stenose excentr e Fig 2 C Bon r sultat apres angioplastie Fio Ipp u eau de sa portion moyenne ig
58. 0 qui marquent des po pulations de neurones vuln rables la mala die avant l apparition des d g n rescences neuro fibrillaires Ce type d anticorps recon na t un pitope de la prot ine TAU qui est la composante essentielle des paires de fila ments en h lice La d couverte des perturbations biochi miques de neurotransmission dans la maladie d Alzheimer sont li es la d couverte d une tiologie de d ficit dans la maladie de Parkin son Ce mod le fait rechercher des d ficits analogues dans d autres maladies neurolo giques non encore lucid es et a conduit dans l Alzheimer la d couverte d une baisse de l activit cholinergique dans le cortex c r bral et l existence d une atteinte des faisceaux cho linergiques ascendants L approche m thodologique se heurte aux difficult s de pr l vements post mortem En effet un certain nombre de d ficits peu sp ci fiques ont pu tre observ s mais ils varient en fonction du d lai coul depuis le d c s 2 Les tudes r alis es partir de pr l vements biopsiques semblent plus r alistes concernant l existence de v ritables d ficits non induits par la diminution du m tabolisme lors du d c s mais la topographie des pr l vements est trop variable et incertaine La m thode la plus courante est bas e sur l exploitation des me sures de l activit des enzymes de synth se ou de d gradation celle ci n tant malheureuse ment que le refl
59. 1 que celui ci est le mieux visualis car il a entoure par la graisse appartenant au 41 retroperitoine mesocolon transverse m sent re En IRM l intensit du parenchyme spl nique est compar e celle des organes pleins voisins en particulier au signal du paren chyme h patique Le T1 spl nique normal est toujours plus long que celui du foie normal en raison du fait que la rate contient 76 d eau tandis que le foie n en contient que 71 En pratique 4 5 de diff rence de concentration d eau sont suf fisants pour produire une diff rence d intensit de signal entre le foie et la rate par l allonge ment des temps de relaxation T1 et T2 Des tudes exp rimentales sur animaux ont montr que les T1 et T2 plus courts du foie r sultent aussi de la plus grande fraction d eau li e aux macromol cules En T2 le paren chyme spl nique se diff rencie tr s peu de la graisse environnante et des organes r tro p riton aux signal similaire au cortex r nal et approchant celui de la graisse Par contre le signal spl nique est nettement plus intense en T2 que celui des muscles Les vaisseaux spl niques sont bien identi fi s au niveau du hile spl nique et ceci sous forme de structures tubulaires vides de signal Mais contrairement au foie les vaisseaux in tra spleniques ne sont pas mis en vidence de fa on spontan e Comme pour le rein on observe au niveau du contour lat ral
60. 10 Surveillance post op ratoire des loges spleniques La tomodensitometrie est la technique la mieux indiquee 11 An vrisme de l art re splenique Les sequences rapides comme les S quences flash qui privil gient la visualisa tion des flux permettent la d couverte et le dia gnostic d an vrisme de l art re spl nique et ceci sous la forme de masses hilaires Ill PLACE ET R LE DE L IRM PAR RAP PORT AUX AUTRES INVESTIGATIONS D IMAGERIE M DICALE L ultrasonographie et la tomodensitometrie restent encore aujourd hui les techniques les plus contributives Toutefois en h matologie l IRM est plus sensible et plus sp cifique mais plus co teuse De plus il existe de nombreux pi ges dus des art facts Ultrasonographie Masse hypochondre gauche Splenomegalie Bilan Lesions focales Bilan Pathologie hematologique Rate accessoire Pathologie infectieuse Traumatisme Ponction diagnostic et ou th rapeutique Tomodensit om trie IV CONCLUSIONS 1 La rate est nettement plus difficile a ex plorer en IRM sans administration de contraste que le foie En effet la rate a la particularit de pr senter un parenchyme normal ayant des temps de relaxation pratiquement similaires ceux des tissus pathologiques 2 L IRM est plus contributive que la tomo densitom trie pour l tude des pathologies h matologiques car plus sensible et plus sp ci fique 3 Il existe de nombr
61. 10 mg Polidocanol 10 mg 1 Zap sch Br Erwachsene enth lt Metoclopram d 20 mg Polidocanol 20 mg 1 Retardkapsel enth lt Metoclopramidhydrochlorid Monohydrat 31 6 mg 30 mg ip ye wy ag Pel fea bar hne Retardkapsel mite enth lt 15 8 mg Metoclopramidhydrochlond Monohydrat 15 mg Metoclopramidhydrochlorid Gastrosil 50 1 Ampulle 10 ml enthalt 22 68 mg Metoclopramidhydrochlorid Monohydrat 50 mg Metoclopramidhydrochlorid Anwendungsgebiete Motilitatsstorungen Im oberen Magen Darm Bereich z B bei Refluxkrankheit MagenschleimhautentzUndung Sodbrennen Zur unterst tzenden symptomatischen Behandlung be Magen und Zw lffinger darmgeschwuren belkeit und Erbrechen bei Leber und Nierenerkrankungen Sch del bzw Hirnverletzungen Reisekrankheiten lee monano bedingte Ubelkeit Gastrosil Injektionslosung auch zur Behandlun von postoperativ drohender Darmatonie Gastrosil retard mite ae 7 mptomatseh bel ja betischer Gastroparese Gastrosil 50 Hochdosierte Metoclopramid Therapie bei belkeit und Erbrechen durch das Zytostatikum Cisp mah apgenanzeigen Asa chromozytom prolaktinabhangige Karzinome Bei Epileptikern und be Patienten mit extrapyramidalmotorischen St rungen wird ye untere a en in bei ten mit Sorbitintoleranz Fructoseintoleranz z B bei Fructose 1 6 Diphosphatase Mangel S uglinge und Kleinkinder bis Zu ZONED ae al SO Ph es vitaler Indikation erhalten Gastros l darf nicht angewendet werden be bekannter Ub
62. 4 Beal M Mazurek M Tran V T Chattha G Bird E D Martin J B Reduced numbers of somatostatin receptors in the cerebral cor tex in Alzheimer s disease Science 229 289 291 1985 5 Birchall J D Chappell J S Aluminium chemical physiology and Alzheimer s di sease Lancet i 1008 10 1988 6 Boller F Forette F Alzheimer s disease and THA a review of the cholinergic theory and of preliminary results Biomed amp Phar macother 43 487 491 1989 7 Breitner J C S Clinical Genetics and Ge netic Counseling in Alzheimer disease An nals of Internal Medicine 115 601 6 1991 8 Cattelin F Guez D M thodologies des essais de phase Il dans les d mences s niles de type Alzheimer Rev de Geriatrie 16 suppl 3 29 35 1991 Cazas A Flame E Ginestet D Psychia trists and Alzheimer s disease Biomed amp Pharmacother 43 501 504 1989 Crapper Mc Lachlan D R Kruck T P Lukiw W J Krishran S S Would decreased aluminium ingestion reduce the incidence of Alzheimer s disease Can Med Assoc J 145 793 804 1991 u Davis K L Thal L J Gamzu E R Davis C S Woolson R F Gracon S I Drachman D A Schneider L S Whitehouse P J Hoo ver T M Morris J C Kawas C H Knop man D S Earl N L Kumar V Doody R S The Tacrine Collaborative Study Group A double blind placebo controlled multicenter study of Tacrine for Alzheimer s disease N Engl J Med 32
63. 7 1253 9 1992 IL 12 Derouesne C Corr lations entre l sions anatomiques perturbations biochimiques troubles cognitifs et comportementaux dans la maladie d Alzheimer Rev de G riatrie 16 suppl 3 2 7 1991 3 Goedert M Spillantini M G Jakes R Lo calization of the Alz 50 epitope in recombi nant human microtubule associated protein tau Neuroscience Letter 127 149 54 1991 4 Graves A B van Duijn C M Chandra V Fratiglioni L Heyman A Jorm A F Kokren E Kondo K Mortimer J A Roca W A et al Alcool and tobacco consumption as risk fac tors for Alzheimer s Disease a collaborative re analyse of case control studies EURO DEM Risk Factors Research Group Int J Epidemiol 20 suppl 2 48 57 1991 15 Growdon J H Treatment for Alzheimer s disease N Engl J Med 327 1306 8 1992 6 Gu guen B Apport de l EEG quantifi aux essais th rapeutiques de phases et Il dans les d mences Rev de G riatrie 16 suppl 8 36 43 1991 7 Haass C Schlossmacher M G Hung A Y Vigo Pelfrey C Mellon A Ostaszewski B L Lieberburg l Koo E H Schenk D Te plow D B Selkoe D J Amyloid B peptide is produced by cultured cells during normal metabolism Nature 359 322 5 1992 8 Hanley M R Selkoe D J Alzheimer s di sease Amyloid precursor on the Go Nature 362 14 5 1993 9 Haupt M Alzheimer Krankheit Ursachen Klinik und Therapie Krankenpfl 3 393 8 1992 20
64. 8009 Strassen T l 44 38 38 1 PHILIPS Relev des r unions scientifiques ORGANIS ES one PAR LA SOCIETE DES i AU COURS DE L ANN E 1992 SCIENCES MEDICALES 5 f vrier 1992 Conf rence en collaboration avec le D pa Service de P diatrie du CHL D pistage g n tique du diab te de type I perspective d im munosuppression pr ventive Prof Roger Assan Service de Diabetologie H pital Bichat Paris 12 f vrier 1992 Conf rence Isch mie myocardique silencieuse prof J Sternon ULB 14 f vrier 1992 20 15 heures Conf rence en collaboration avec la Soci t Luxembourgeoise de M de cine Esth tique Sein el esth tique le sein n gie d augmentation et de reconstruction la tion et de lifting Dr D Gros CHR Strasbourg Dr Bohler Luxembourg 14 f vrier 1992 19 he en collaboration avec Neuropediatrie du Les pitepsies myocloniques du petit enfant Dr Charlotte Dravet Centre Saint Paul Marseille 26 t vrier 1992 S ance de communications la suite de Assembl e G n rale _ Traitement alternatif des pertes de substance au ni visage D S Hebisch A Heldenstein G iveau du rtement d Endocrinologie et le ourrice de l imaginaire la chirur chirurgie de r duc N Calteux CHL Dr J L ures Conference le Departement de Neurologie et de 91 92 Sauvetage d une proth se du genou par implantation intra articulaire du grand piploon Drs Sainte Rose G
65. Caldwell J E Matthay M A Sharma M L Gruenke L D Miller R D Persistent paralysis in critically ill pa tients after long term administration of vecuro nium N Engl J Med 1992 327 524 528 43 Shee C D Risk factors for hydrocorti sone myopathy in acute severe asthma Res piratory Medicine 1990 84 229 233 44 Sitwell L D Weinshenker B G Monpe tit V Redi D Complete ophtalmoplegia as a complication of acute corticosteroid and pan curonium associated myopathy Neurology 1991 41 921 922 45 Taverner D Zardawi l M Walls J Acute ventilatory failure and myoglobinuria Neurology 1984 34 369 371 46 Valli G Barbieri S Sergi P Fayoumi Z Berardinelli P Evidence of motor neuron in volvement in chronic respiratory insufficiency J Neurol Neurosurg Psychiatry 1984 47 1117 1121 47 Waclawik A J Sufit R L Beinlich B R Schutta H S Acute myopathy with selective degeneration of myosin filaments following sta tus asthmaticus treated with methylpredniso lone and vecuronium Neuromusc Disord 1992 2 19 26 48 Weintraub M I Hypophosphatemia mi micking acute Guillain Barr Strohl syndrome A complication of parenteral hyperlimentation JAMA 1976 235 1040 1041 49 Witt N J Zochodne D W Bolton C F Grand Maison F Wells P Young B Sibbald W J Peripheral nerve function in sepsis and multiple organ failure Chest 1991 99 176 184 50 Zo
66. Coul Aaw Lambregts PCLA Koe man J Van Puyenbroek M J E Ter Laak H J Gabreels Festen AAWM Neuromuscular complications in patients given PavulonR pan curonium bromide during artificial ventilation Clin Neurol Neurosurg 1985 87 17 22 36 Paramelle B Vila A Pollak P Muller P Gavelle D Reymond F Brambilla C Stoeb ner P Fr quence des polyneuropathies dans les bronchopneumopathies chroniques obs tructives Presse Med 1986 15 563 567 e K Bruch M Kutzner 37 Pfeiffer G Kunz zner M Ladurner G Malin J P ous Aa lyneuropathy associated with c roni poxaemia prevalence in patients w u obstructive pulmonary disease J 1990 237 230 233 38 Rivner M H Kim S Greenberg M Swift T R Reversible generalized paresis following hypotension a new neurological entity Neuro logy 1983 33 suppl 2 240 39 Roelofs R 1 Cerra F Boelka N Rosen berg L Delaney J Prolonged respiratory insuf ficiency due to acute motor neuropathy a new syndrome Neurology 1983 33 suppl 2 240 40 Ropper A H Wijdijcks E F M Truax B T Guillain Barr syndrome Differential dia gnosis 1991 14 pp 175 223 F A Davis Company Philadelphia 41 Rouleau G Karpati G Carpenter S Soaz M Prescott S Holland P Glucocorti coid excess induces preferential depletion of myosin in denervated skeletal muscle fibers Muscle Nerve 1987 10 428 438 42 Segredo V
67. DEM 77 936 38 282 23 079 12 030 151 327 Alzheimer Luxembourg 16 11 60 LA 5 s AN L PARTS ISKEDYL Vaso r gulateur c r bral B Ne pas Isk dyl injectable 3 6 amp jour Dis Rauba m langer Isk dyl avec les a ET 3125mg sine base 6 25 mg Dihydroergoct Boite de 6 am excipient q s p amp de en NL 7930 poules de 2 5 ml Tableau CT Een 3 prises Isk dyl gouttes 90 120 mL Raubasine base 0 800 8 Dihyarocrs Laboratoires Pierre h u uche Distributeur pour le Grand D thane sulfonate 0 100 g excipient q s p 100 ml de solution Flacon de 30 ml Tableau C A M M 305 425 5 Indications Des vertiges aux comas vasculaires troubles lies l insuffisance circulatoire c r brale d ficits sensitivo moteurs Fabre Fimex 125 rue de la Faisanderie 75116 Paris du Luxembourg Prophac Luxembourg T l 48 24 82 D livrance sur prescription m dicale PROPHAC Howald 5 Rangw L 2412 Howald T l phone 48 24 82 L gitime d fense de la bouche el de la gorge A il LLS pus sf Bo Detzcinc Kerl VIRUCIDE SRE PAT RE en Soiyvidon iodum 1 iso Betadine guccale Mondwater Mundwasser polyvidon jodum 1 RAOTERIOIDE BACTERICIDE BAKTER ANTIMYCOSIQUE ANTIMYCOTISCH NM DESODORISANT DESODORANS DES any charme Be CTERICIDE We a et NTIMYCOSIQUE SODORISAN
68. E N etecon LIN 004 00 shan he Gheto os ENT tah MEETS EEE EN ee x t mm Ge doses se TITRI Qt Fr eta pti arret LME HER R dar sd ata CERN a Bin es gt y ALT tga bs under a notion of cart ng ds eval par les mar chaux ferrants s accompagnait es du cl on Improved 1737 In Smithcors J F Evolution of Au XVIIIe si cle le traitement des een Farriery de nombreux effets ind sirables Brack the Veterinary Art 1957 19 wi WA RTS SQ OM AISES it d a a N z EA u ar ANN a VAAN AN vu 4 Ne a e SK i S a A a TE My Le clyst re chez le cheval Winter G S Hippiater Expertus Nuremberg 1678 In Smithcors J F Evolution of the Veterinary Art 1957 tl est recommand de m langer des graines de moutarde ou l herbe d arnica toni fiantes et antiseptiques la ration d avoine Contre l chauffement du cheval Faire ma c rer 2 3 oeufs dans un quart de litre de vi naigre de pomme Si le vinaigre est assez fort il parvient en dissoudre les coques Ecraser ensuite les oeufs dans le vinaigre en y ajoutant une charge de poudre canon donner le matin jeun Et Petitier d ajouter Ce breu vage para t bien simple mais il vaut bien d autres plus chers Contre le farcin D abord rincer le sang du Cheval avec la potion ci dessus L
69. ESS PPT TE TEST LELEELCELLI LELLES sets PEE ECO TPE PPT DELL ILE LE CELCELLLELL LEE ESS esssssnnefoosenssuetonnennensksonnnneentensennnee Jrrrrsosooloonnnoneofennnneneef run ren fereneneee cofecosnesse CCOES PRET PPPPT TT I LILLLLELLLEL RASE DEUTET EIN eootrosssssestossessess dsosausse uk a bed gt bd e bes kai bs e gt s e pi a 2 Ve bma a E mn as x si we Cri 5 x 1 u 000 etre doses fosses sse fossusssss r MELLIIIILLI LELLLLLEL ELLLELEE EE LEXLEEEZET LELEELETETS e ef eee ere LES CPL scan cd cores ETES CELLES MVercccovesPocecccacs evvcvsscegevecesvcesvcccseces eoeoreserefascceoasosfocccoosecoefacsnequesegenecsacses Brenner IERZEREI BCE Ze sr Er u EE i one tes L e m e 2 e a e e s a e 4 trol wed by H 1 a Normal con Figure 1 Leukograms edited OY b Total myeloperoxidase deficiency c Partial myeloperoxidase deficiency 65 Score MPO y 285 1505 6 1943x R 0 96 400 300 200 100 20 40 60 80 100 120 MPXI 100 Figure 2 Corr lation entre le MPXI et le score en my loperoxidase d termin par voie cytochimique 66 N sur 100 granu
70. Hauw J J Duyckaerts C Delaere P Lamy C Henry P Alzheimer s disease neu ropathological and etiological data Biomed amp Pharmacother 43 469 482 1989 2 Harbaugh R E Nerve growth factor as a potential treatment in Alzheimer s disease Biomed amp Pharmacother 43 483 485 1989 2 Hardy J Mullan M Alzheimer s disease In search of the soluble Nature 359 268 269 1992 23 Hefti F Schneider L S Nerve growth fac tor and Alzheimer s disease Clin Neuro Pharmacol 14 suppl 1 62 76 1991 4 Henderson A S The Epidemiology of Alz heimer s disease Br Med Bull 42 3 10 1986 Hofman A Rocca W A Brayne C Brete ler M M Clarke M Cooper B Copeland J R Dartigues J F da Silva Droux A Ha gnell O et al The prevalence of dementia in Europe a collaborative Study of 1980 1990 58 findings EURODEM Prevalence Research Group Int J Epidemiol 20 736 48 1991 26 Kolata G Researchers hunt for Alzhei mer s disease gene Science 232 448 50 1986 27 Ladero J M Barquero M S Coria F Molina J A Jim nez Jim nez F J Benitez J Acetylator polymorphism in Alzheimer s di sease EJM 2 281 283 1993 23 Lamour Y D mences de type Alzheimer de l anomalie g n tique la l sion structu rale Rev de G riatrie 16 suppl 3 15 21 1991 29 Lamour Y Biologie des d mences de type Alzheimer donn es r centes Rev de G ria trie 17 7 21 1992 30 Larrat E P
71. J J Lab Clin Med 93 232 237 1979 13 Cech P Papathanassiou A Boreux G Roth P Miescher P A Blood 53 403 411 11 Kitahara M Eyre H J Simonian Y At 1979 kin C L Hasstedt S J Blood 57 888 893 1981 12 Larrocha C Fernandez de Castro M Fontan G Viloria A Fernandez Chacon J L Jimenez C Scand J Hematol 29 389 397 1982 Patient J R D D S D A B A H G T P N B N Et H S A S R G 64 Sexe f m Tableau I Relev des cas de d ficience en MPO totale et subtotale MPXI 60 1 58 1 61 6 62 0 60 6 62 2 62 0 56 0 63 5 62 2 61 0 62 2 14 Undritz E H matologische Tafeln San doz Basel 1952 15 Cit par d Onofrio 8 Renseignements cliniques M dicaments Probl mes psychiques Septic mie s v re avec Antibiotiques ost ite n cessitant une greffe s p soeur de D D a Tonsillectomie pour an 2 gines r cidivantes Bronchite chronique Cystites fr quentes Infection staphylo coques gravissime lors de la pose d un pace maker s p neveu de P N D mence s nile D pression Episodes de mycose cutan e Arthralgies Antid pressifs Antiinflamma toires non steroidiques Probl mes cardiaques Enceinte s p less a ETEZES Poeservsens oe eee Oe nee h 1 PERLES A pe a ee STR
72. K Rocca W A et al Head trauma as a risk factor for Alzheimer s disease a collaborative re analy sis of case control studies EURODEM Risk Factor Research Group Int J Epidemiol 20 suppl 2 28 35 1991 2 Mullan M Familial Alzheimer s disease second gene locus located BMJ 305 1108 9 1992 3 Murphy M The molecular pathogenesis of Alzheimer s disease clinical prospects Lan cet 340 1512 1515 1992 Murrell J Farlow M Ghetti B Benson M D A mutation in the amyloid precursor protein associated with hereditary Alzhei mer s disease Science 254 97 9 1991 5 Navaratnam D S Priddle J D McDonald B Esiri M M Robinson J R Smith A D Anormalous molecular form of acetylcholines terase in cerebrospinal fluid in histologically diagnosed Alzheimer s disease Lancet 337 447 450 1991 6 Nishimoto I Okamoto T Matsuura Y Ta kahashi S Okamoto T Murayama Y Ogata E Alzheimer amyloid protein precursor com plexes with brain GTP binding protein Go Nature 362 75 9 1993 7 Payami H Kaye J Becker W Norman D Wetzstean P HLA A2 or a closely linked gene confers susceptibility to early onset Sporadic Alzheimer disease in men Neuro logy 41 1544 8 1991 Rapoport S I Horwitz B Grady C L De Carli C Schapiro M B Abnormal brain glu cose metabolism in Alzheimer s disease as measured by position emission tomography Adv Exp Med Biol 291 231 48 1991 4
73. K et al Radiology 1989 Sep 172 3 685 7 2 Study of diffuse hyperechoic spots in spleen caused by Gamma Gandy nodules Yasuhara K et al Jpn J Med Ultrasonics 1986 13 suppl I PP 1097 1 098 7 The diagnosis of splenic lymphoma by MR imaging value of superparamagnelic iron oxide Weissleder R Elizondo G Stark DD Hahn PF Marfil J Gonzalez JF Saini S Todd LE Ferrucci JT AJR Am J Roentgenol 1989 Jan 152 1 175 80 28 Superparamagnetic iron oxide enhanced detection of focal splenic tumors with MR imaging Weissleder R Hahn PF Stark DD Elizondo G Saini S Todd LE Wittenberg J Ferrucci JT Radiology 1988 Nov 169 2 399 403 29 Splenic lymphoma ferrite enhanced MR imaging in rats Weissleder R Stark DD Rummeny EJ Comp ton CC Ferrucci JT Radiology 1988 Feb 166 2 423 30 Focal lesions of the spleen preliminary re sults with fast MR imaging at 1 5 T Hess CF Griebel J Schmied U Kurtz B Koelbel G Jaehde E J Comput Assist Tomogr 1988 Jul Aug 12 4 569 74 31 Contribution of sectional imaging echo graphy and MRI for the diagnosis of splenic infarction in Osler endocarditis Apropos of a case Contribution de l imagerie sectionnelle cho graphie et IRM au diagnostic de l infarctus spl nique et de l endocardite d Osler A pro pos d une observation Garel C Hassan M Legrand I Magnier S P diatrie 1990 45 6 387 90 49 Tigastril daszyloproic
74. LINIQUE Une jeune femme de 23 ans se pr sente pour la correction esth tique d une protub rance infra mammaire bilat rale asym trique qui s est accentu e l adolescence Elle n a aucun ant c dent particulier A l examen clinique le rebord costal est vers projetant les derniers cartilages cos taux vers l avant fig 1 et 2 La palpation confirme la nature cartilagineuse du proces sus Les muscles pectoraux sont bien deve lopp s les seins sont harmonieux et syme triques Il n y a aucun trouble fonctionnel la patiente m ne une activit sportive tout fait satisfaisante II n existe aucune anomalie des membres sup rieurs La d formation costale se retrouve gale ment chez le fr re et le p re de la jeune fille mais un degr moindre Le bilan biologique pr op ratoire est nor mal L ECG est banal Les radiographies du thorax el du grill costal ne permettent pas de mettre la d formation cartilagineuse en vidence Le sternum ne pr sente pas d anomalies de fusion Le scanner thoracique ne montre pas de r duction du diam tre ant ro posterieur L intervention vise corriger l aspect ines th tique du thorax Par un abord infra mammaire on r alise droite une r section de la synchondrose 6 9 et la portion ant rieure de la onzi me cole Le rebord sous costal restant est satisfaisant A gauche la protrusion est plus importante On r s que une portion de la onzieme c te et des h
75. Lean G K et al Percutaneous recanalization of common iliac artery occlusions an unacceptable complica tion rate AJR 142 23 1984 Rabe F E Becker G J Richmond B D et al Contrast extravasation through Dacron grafts a sequela of low dose streptokinase therapy AJR 138 917 920 1982 5 Bean W J Rodan B A Thebaut A L Le riche syndrome treatment with streptokinase and angioplasty AJR 144 1285 1289 1985 6 Goffette P Kurdziel J C Dondelinger R F Local urokinase infusion for total occlusion of the lower abdominal aorta Eur J Radiol 9 121 124 1989 Y Starck E Mc Dermott J C Crummy B Percutaneous transluminal thrombus aspira tion In Interventional Radiology Eds R F Dondelinger P Rossi et al Thieme Stuttgart 1990 625 632 Thrombolytic therapy in thrombosis a Na tional Institute of Health consensus develop ment conference Ann Intern Med 93 141 144 1980 Smith D C Mc Cormick M J Jensen D A et al Guide wire traversal test retrospective study of results with fibrinolytic therapy JVIR 2 339 342 1991 2 Bookstein J J Saldinger R Accelerated thrombolysis in vitro evaluation of agents and methods of administration Intervent Radiol 20 731 735 1985 2 Bookstein J J Fellmeth B Roberts A et al Pulsed spray pharmacomechanical thrombolysis preliminary clinical results AJR 152 1097 1100 1989 Hess J Ingrisch H Mietaschk A et al Lo cal low
76. Salvia officinalis L est riche en huiles essentielles et renferme des tannins et des flavonoides Elle est utilis e comme antiin flammatoire des muqueuses digestives comme antihydrotique et cholagogue Hysope Hyssopus officinalis L on l utilise comme stimulant des s cr tions digestives et pulmonaires Liv che Levisticum officinale Koch agit comme diur tique et carminatif chassant les gaz intestinaux Herbe d aneth Anethum graveolens L plante aromatique Solanum douce amere Solanum dulca nn L contient des alcaloides et des sapo ines 82 L don des marais Ledun palustre L on y a d couvert un expectorant et un pectoral nar cotique Presque toutes ces plantes contiennent des huiles th r es dont les effets b n fiques sur les appareils nerveux respiratoire urinaire et h patico digestif sont manifestes L applica tion dans le traitement des plaies externes est cependant moins vidente Ce m lange de plantes m dicinales ressemble trangement au bouquet de l Assomption Krautwesch b ni le 15 ao t pour f ter la fin des moissons et destin loigner pendant une ann e en ti re vermine et maladies de la maison et des tables Notre mar chal traite les entorses les myal gies et les rhumatismes de la r gion lombaire par un m lange fait des huiles de la grande la vande de baies de genievre de terebenthine de romarin chaque substance pour 2 sols de p trole e
77. Soppen Apfel Eiig cine zer ftoffene Zebe Wurzel b Kneblaug und eben fo viel Angelica Affi Man distribu e Luxembourg en 1744 ei S Nationales de Luxembourg Regime ARENON FR Laese 3 ngue lave XiXe siecle Allgemeines mem ee t gauche et la seri d apr s paota auy debut O Vieh Rohlwes Joh Nicol arzneibuch Reutlingen 1830 hes un Pre nte entre les vinaigre de publiaient grand renfort d affic servatif contre la Maladie r gna b tes cornes Une chopine de Ail Pomme dans laquelle on met une gouss amp autant d Angelica broi es qUe l on fait Te ler tous les jours le matin chaque Be saine C est de 1766 1770 que la peste bovine venant de Turquie envahit la Prusse la Hol lande et le Nord Est de la France Au mois de juin 1769 elle atteignait galement le pays de Luxembourg En 1766 un fascicule r dig par le m decin fran ais Clerc et intitul Essais sur les mala dies contagieuses du B tail avec les moyens de les pr venir et d y rem dier efficacement tait galement distribu Luxembourg Les recommandations du m decin fran ais pour diminuer autant qu il est possible l action im p tueuse du venin qui agit dans l animal in fect taient les m mes que partout en Eu rope La saign e abondante Saigner la b te par une grande incision faite au col ou la poitrine On peut tirer en une seule fois cing Six et m me
78. T ASTA M MEDICA olution aqueuse ke ten mas _rue de l Etuve 77 81 1000 BRUXELLES 02 504 08 11 EDCA La d ficience en my loperoxidase d tection d limitation des tats partiels et totaux incidence pathologie g n tique DOLPHE KUTTER JEAN PHILIPPE HENDRIKS JEAN CLAUDE NORTH Centre Universitaire de Luxembourg Laboratoire Hopital de la Ville d Esch Alzette Bull Soc Sci Med pP 61 N 2 1993 INTRODUCTION Les automates h matologiques du type H 1 Technicon ope rent une premiere diff renciation des leucocytes en opposant leur volume leur teneur en peroxidase Ils peuvent ainsi d ce ler une anomalie qui a pass plus ou moins inapercue prece demment la d ficience compl te ou partielle en my loperoxi dase des granulocytes neutrophiles d crite pour la premi re fois par Alius et Alius et publi e par Undritz 1 en 1953 et ind pendamment par Grignaschi et coll 2 en 1963 Les granulo cytes portant cette anomalie sont en effet color s tout a fait nor malement par les colorations panoptiques classiques Micro scopiquement leur d ficience n est mise en vidence que par des r actions cytochimiques de la peroxidase Alors qu un diagramme normal du H 1 Technicon figure 1a montre un nuage distinct correspondant aux granulocytes neu trophiles dans le quadrant sup rieur droit on observe chez le deficient total en MPO un nuage troit et presque vertical com prim vers la gauche d
79. TAAA complete incomplete ou partielle sur BNM auto immun neuropathie par vascularite por phyrie aigu intermittente myelopathie au stade initial et surtout polyradiculoneuropathie inflammatoire type syndrome de Guillain Barre SGB et variantes 40 Se pose alors la ques tion de l origine iatrogene de cette TAAA de r animation Chez un patient r anim une TAAA iatrogene peut relever d un BNM n ostigmine r sistant sur antibiotique ou cu rarisant 2 29 30 35 42 d une neuropathie de r animation ou critical illness polyneuropa thy CIP 4 6 8 13 17 34 39 40 49 50 ou d une myopathie cortisonique aigu MCA 17 18 De plus il y a lieu de ne pas sous esti mer la pr sence d une acidose respiratoire ou m tabolique 29 42 47 d une septic mie 1 3 12 50 d pisodes hypotensifs 38 et ou d alterations de l ionogramme sanguin La MCA est une myopathie n crosante non inflammatoire survenant au d cours d une cor ticoth rapie parent rale intensive La majorit des cas a t rapport e dans le cadre d une r animation pour tat de mal asthmatique avec ou sans bronchopneumopathie chronique obs tructive BPCO sous jacente 17 18 La TAAA s accompagne g n ralement d une rhabdo myolyse myoglobinurie l vation des cr atine kinase CK Nac Elle peut survenir chez l enfant comme chez l adulte 27 L lectromyographie EMG peut tre normale l amyotrophie ab sen
80. Update on the treatment of Alzheimer s disease Am Pharm 32 59 67 1992 3 Larson E B Illnesses causing dementia in the very elderly N Engl J Med 328 203 205 1993 32 Leners J C Les 7 premiers mois de fonc tionnement d une unit de psycho geriatrie au Luxembourg Bull SOC Sci M d 1 45 54 1993 3 Lewis J M Vitamin A and Alzheimer s di sease Neuroepidemiology 11 163 8 1992 3 Launer L J Hofman Studies on the inci dence of dementia the European perspec tive Neuroepidemiology 11 127 34 1992 3 Marc Vergnes J P Celsis P Agniel A Puel M Demonet J F a D i sbit sanguin c r bral A aa les demences degeneratives pri maires de type Alzheimer Rev de G riatrie 14 suppl 3 44 48 1991 Marx J Alzheimer s Debate Boils Over Science 257 1336 8 1992 ad 37 lial Alzheimer s linked to chro sky FE Science 258 550 1992 Mc Gonigal G Thomas B McQuade C an W J Whalley L J Starr J M MacLen r s presenile de Epidemiology of Alzheime en in Scotland 1974 88 BMJ 306 680 3 1993 3 Mijazaki K Hasegawa M Funahashi K Umeda M A metalloproteinase inhibitor do main in Alzheimer amyloid protein precursor Nature 362 839 841 1993 catenins 40 Pourquoi soigne ui ae de snabite Editorial Patient Care 7 1 5 1993 1 Mortimer J V Fratiglioni L Gr C M Chandra n Duijn A Va B Heyman A aves Jorm A F Kokmen E Kondo
81. a Soci t Luxembourgeoise de P diatrie de m me qu un symposium sur la douleur sous le patronage du Minist re de la Sant plusieurs conf rences en collaboration avec le Centre Hospitalier celle en collaboration avec la Soci t Luxem bourgeoise de M decine Esth tique et la Soci t Luxembour geoise de Chirurgie Plastique et surtout trois conf rences en col Le pr sidentr 75 laboration avec le Syndicat National des M decins V t rinaires organis es avec brillance par notre vice pr sident l occasion du 200 anniversaire de leur association De m me il regrette que la conf rence sur l oligoth rapie ait t un chec mais il d sapprouve la r ac tion d mesur e du pr sident du Coll ge M dical l gard de notre membre pharmacien Marc Bruck qui rencontre l approbation una nime de notre conseil d administration II re grette aussi que la collaboration avec l AL FORMEC ne soit pas exemplaire comme l a prouv le chevauchement r cent de conf rences mais il esp re que la pr sence au sein de notre comit d un membre coopt de l AL 76 FORMEC va rem dier cet tat de choses I remercie tous les membres du conseil d admi nistration de leur excellente TE eet c der ensuite la parole au secr taire ge etal et tr sorier Celui ci souligne l tat e nee finances en donnant un aper u sur les N et les d penses au cours de nn i joi des r unions Scientifiques a tre d nomm es so
82. a il nous a fallu verifier la valeur de I index MPXI fourni par le H 1 qui nous sert de param tre de d pistage Nous l avons compar la teneur en MPO des granulocytes d termin e par une technique cytochimique 62 Cette technique pr conis e par Kitahara et coll 10 exprime la MPO sous forme de score echelonne de O a 4 teneur en peroxidase nulle faible moyenne forte et tr s forte Pra tiqu sur 100 granulocytes neutrophiles le score total se situera entre O d ficience en MPO totale et 400 MPO maximum Cette technique permet entre autres d tablir un his togramme de la distribution de la MPO dans les granulocytes Ayant trouv une tr s bonne corr lation entre ce score et le MPXI nous avons dress un histogramme du MPXI d une large popula tion non s lectionn e ceci pour d finir dans la mesure du possible une population normale et pour nous rendre compte d ventuelles popu lations d ficientes distinctes et de l incidence des diff rents degr s de d ficience Nous avons en outre tent de recenser un maximum de cas de d ficience de tout degre compl t s dans la mesure du possible par des donn es cliniques concernant en particulier des probl mes d infections bact riennes ou fongiques et des indications Sur une ven tuelle th rapeutique m dicamenteuse Dans certains cas il nous a t possible d examiner des membres de famille des por teurs de l anomalie en vue de l clairciss
83. ace de la fibrine suite l adsorption du plasminog ne la sur face du caillot est peu bloqu e par l alpha 2 antiplasmine et exerce son activit prot oly tique sur le caillot Ce ph nom ne associ la concentration lev e de plasminog ne l int rieur d un caillot est la base du m ca nisme de la thrombolyse locale Fibrinog ne fibrine produits de degradation de la fibrine Le fibrinog ne est une prot ine plasmatique dim re unie par des ponts disulfures dont chaque moiti est compos e de trois cha nes polypeptidiques A B et C Sous l action pro t olytique de la plasmine naissent des d riv s X qui sont coagulables par la thrombine La prot olyse asym trique des compos s X g nere un fragment Y et D Le fragment Y est lys en fragment E et D L ensemble des fragments X Y D et E solubles et de poids mol culaires variables constituent les produits de d gra La fibrinog ne ou de la fibrine PDF Qui proviennent du fibrinog ne sont 24 plus petits que ceux provenant de la fibrine Les PDF ont une activit anti coagulante et in terf rent avec l agr gation plaquettaire La fi brine compos e de polyfilaments unis par des liaisons covalentes forme au terme de la coa gulation un complexe prot inique compact plus r sistant l action prot olytique de la plasmine que le fibrinog ne Elle agit comme co facteur de l activation du plasminog ne l int rieur du caillot En pertur
84. aient la base des d mences d but non pr coce 96 VII APPROCHES TH RAPEUTIQUES Les efforts les plus intensifs ont t fournis pour essayer d augmenter la concentration en ac tyl choline au niveau c r bral Certains es sais avec des inhibiteurs de la cholinest rase ou des activateurs de l ac tylcholine agissant au niveau central ont apport des ameliora tions cliniques dispers es mais de fa on glo bale les r sultats n ont pas t univoques Ce type de traitement tait limit au remplacement de l ac tylcholine mais ce n est pas le seul neurotransmetteur en question dans la mala die d Alzheimer Une tude sur l administration de tacrine gt a montr un impact significatif sur la diminution des fonctions cognitives qui a t Moins ra pide mais cette impression ne fut pas valable pour la globalit des patients De m me la dif f rence significative du test cognitif tait due une aggravation plus rapide non pr visible du groupe de contr le Donc la tacrine ne semble pas encore tre la mol cule miracle mais cette large tude conduite de fa on impec cable montre le chemin aux futures tudes 6 De r centes tudes avaient montr que les neurones cholinergiques de la base frontale d pendent de facteurs de croissance des nerfs pour leur aspect trophique L hypoth se que l administration de facteur de croissance puisse contribuer freiner la d g n rescence des neurones
85. ans la zone des LUC large uncolored cells figure 1b alors que le nuage correspondant aux granu locytes neutrophiles fait totalement defaut La d ficience en MPO est confirm e par une valeur tres basse du MPXI myelo peroxidase index autour de 60 alors qu il se situerait normale ment entre 10 el 10 ainsi que de l aspect normal du nucleo ramme du canal BASO L instrument indique en outre l alarme 0044 Une lame color e au Pappenheim donne enfin une for mule tout fait normale La figure 1c repr sente un cas de d ficience partielle avec persistance d un nuage de granulocytes neutrophiles qui est cependant d plac vers la gauche p n trant dans la z ne des monocytes voire des LUC large uncolored cells L alarme 0044 eut faire d faut pour les cas de d ficience moins prononc Le MPXI se situe autour de 40 ne 61 Les automates h matologiques bas s sur d autres syst mes de d tection VCS Sys mex ne reconnaissent pas l anomalie comme telle semblent cependant remarquer la diffe rence de structure des neutrophiles deficients en donnant des displays atypiques assortis d alarmes 3 La MPO est une h moprot ine intervenant dans les fonctions de defense des neutro philes Il s agit d un heterodimere consistant en 2 cha nes lourdes de 59 kD li es par pont disulfure 2 cha nes l g res B de 13 et 14 kD Un groupe h me avec un atome de fer est li chaque cha ne 4 On admet g
86. araison avec le signal du cortex r nal et celui de la graisse sous cutan e La comparaison avec le signal h patique n est pas fiable dans cette situation puisqu il existe aussi une modification du comporte ment du signal h patique aux diff rentes s quences Enfin l IRM est nettement plus sensible que la tomodensitom trie dans la d tection de la siderose spl nique _6 Les pathologies inflammatoires et infec tieuses de la rate a Les pathologies inflammatoires La rate pr sente en m me temps que des modifications de sa taille des modifications de ses temps de relaxation en cas de r action 46 immunologique suite une agression ex terne L exp rimentation animale d montre l appa rition d un syndrome inflammatoire splenique voquant un mod le d arthrite rhumato de polyarthrite nodules sous cutanes l sions muco cutan es Au niveau spl nique on note une spl nom galie inconstante avec soit allongement de la charge en eau allon geant le T1 mais n alt rant pas de fa on signi ficative le T2 diminution de la charge en eau mais d p t d h mosid rine modifiant surtout le T2 en le raccourcissant effet paramagn tique Le ph nom ne du d p t d h mosid rine n est pas lucid Il faut remarquer que ce type de d p t a t observe chez des patients atteints d arthrite rhumatoide Ces constatations n cessitent des tudes plus pr cises chez l homme b Les pat
87. arge une paroi mince et une extr mit non ef fil e Le cath ter est avanc sur un guide dans le caillot en vitant tout traumatisme pari tal Quand son extr mit est situ e dans le throm bus des aspirations vigoureuses a forte pres sion n gative sont pratiqu es a la seringue et le Cath ter est retir en maintenant l aspiration jusqu au moment o le sang revient librement La seringue et le catheter sont vid s sur une compresse ce qui permet de v rifier le mat riel thrombotique aspir Devant une embolie aigu et chez un patient jeune des antispasmodiques sont donnes en cours de procedure I faut veiller limiter le volume de sang aspire Les contr les angiographiques interm diaires sont faits en injectant peu de produit et a distance pour viter les embolies distales Fig 4 RESULTATS L infusion syst mique de SK ou d UK dans le traitement des occlusions art rielles des membres inf rieurs comporte un taux de Suc c s clinique de l ordre de 72 et un a moyen de complications severes de 14 30 Le taux de succes de la thrombolyse lo cale rapporte dans les premiers A va riait de 65 90 23 31 36 avec un taux moyen de l ordre de 75 retrouve Date Jeu exp rience prospective initale et 2 Ei eS apres revue de 150 proc dures 37 Q Bh note pas de difference statistiquement ae cative entre les r sultats obtenus meen ao la SK 34 38 39 ni entre UK et le r t FA ni entre les differents proto
88. au U S Air Force Hospital Wies baden 1962 1963 l H pital Cantonal de Geneve departement de chirurgie cardio vas culaire comme Professeur invit de l Univer site de Gen ve 1969 1970 Les honneurs ne lui ont pas t mesur s L un de ceux auxquels il tient le plus est la 72 Mayor s 1986 Liberty Medal cr e lors des f tes de l ind pendance par Ed I Koch maire de New York pour distinguer 200 personnali t s immigr es aux m rites exceptionnels Quand le Dr Steichen d pose le bistouri il se pr cipite sur sa plume et chausse les bottes d un auteur scientifique prolifique De l admi ration ou de la perplexit on ne sait laquelle l emporte devant son imposante bibliographie aussi impossible citer in extenso qu a r su mer 101 articles sur les sujets chirurgicaux les plus divers 24 chapitres dans des trait s de Chirurgie 3 monographies 10 livres crits en collaboration avec la plupart du temps 1 ou 2 co auteurs S y ajoutent 46 conf rences et pr sentations dans plusieurs pays et 32 films scientifiques Ce qui merge dans cette pro duction de g ant ce sont avant tout sa contri bution capitale la technique des sutures m caniques et le travail r alis en commun avec son maitre le regrett Professeur Mark M Ra vitch dans une collaboration intime et com bien f conde qu il qualifie lui m me de rela tion de p re fils lla publi entre autres sur la traumato
89. bant la polymeri sation de la fibrine les PDF fragilisent les caillots et entretiennent l action fibrinolytique Les activateurs du plasminog ne lls sont l origine de la sequence fibrinoly tique L urokinase UK et l activateur tissulaire du plasminog ne t PA sont d origine endo g ne et pr sents l tat physiologique Les autres activateurs du plasminog ne sont exo g nes Les substances suivantes sont utilis es en application clinique ou dans le cadre d tudes Streptokinase SK Urokinase UK Anistreplase APSAC Anisoylated human Plasminogen Streptokinase Activator Com plex Eminase Saruplase ou Pro urokinase scu PA ou single chain urokinase type Plasminogen Acti vator u lase r t PA recombinant lissue type rare REA Actilyse Activase reuses combinaisons mol culaires on h t rodupliqu es de ces drogues sont tudi es actuellement en reptokinase est un activa er an du plasminogene de premi re generation II s agit d une prot ase non enzy matique cha ne unique produite par les streptocoques b ta h molytiques Elle active indirectement le plasminogene en formant un complexe interm diaire iso stoechiometrique avec le plasminogene ou la plasmine qui r siste l alpha 2 antiplasmine Ce complexe est capable de cliver le plasminogene et lib re la cha ne active de la plasmine Sa demi vie est de 25 minutes La SK est neutralis e par des anticorps circulants q
90. certaine taille les petites l sions sont m connues quand il y a une h morragie dans la l sion 44 quand il existe de la fibrose intra tumorale En r sum sans administration d un agent de contraste autant l IRM est sensible la d tection d une l sion intra h patique diff rence significative des temps de relaxation entre le tissu h patique sain et la l sion autant l IRM est peu contributive dans la d couverte des le sions spl niques de petite taille non n cro s es non h morragiques et non fibrosantes Il faut donc en cas de bilan d extension carcino logique utiliser un agent de contraste modifiant soit le signal de la l sion soit le signal de la rate afin de faire ressortir l anomalie D S MIOLOGIE IRM DES DIFF RENTES PATHOLOGIES 1 Les kystes spl niques a Faux kystes parasitaires chinoccocose non parasitaires post hemorragiques ou sereux post infarctus et post infectieux Le signal est habituellement hypointense en T1 et hyperintense en T2 b Kystes vrais Rares Les parois comportent un rev tement epi th lial stratifi non k ratinis ou d origine en doth liale Le signal est aussi habituellement hypoin tense en T1 et hyperintense en T2 15 1G 18 2 H matologie a Les h mopathies En simplifiant il existe deux types de Iym phomes le lymphome non hodgkinien LNH et le lymphome hodgkinien LH La classifica tion du LH ne
91. chec ainsi que de nouveaux espoirs en mod le animal terminent cette revue Summary The recent European data on the prevalence of dementia and of Alzheimer s disease give rise to a gross Cross sectional evaluation of the situation in Luxembourg The findings in histological and biochemical fields are reviewed Genetic and etiopathogenic hypotheses try to link the different elements of this multifactorial disease in a global approach Therapy essays the reasons for their failure as well as new possible hopes in ani mal model therapy close this paper INTRODUCTION Dans l approche de la pathologie d mentielle il faut viter deux cueils d ordre diff rents _ d abord le pessimisme d sesp r ou l optimisme force des esprits simplificateurs qui voient dans les d mences de l adulte une pid mie silencieuse myst rieuse et in luctable ou bien au contraire le simple d ficit d un neurotransmetteur qui gu rirait la maladie en tant que rem de miracle comme on pensait avoir gu ri la maladie de Parkinson il y a quelques ann es 51 d autre part le modernisme outrancier qui r sume tout quelques g nes anormaux ou l oppos le scepticisme qui ne s duit plus c t des incontestables avanc es scienti fiques r centes Bien qu appartenant a notre vocabulaire de puis plusieurs si cles les termes de d mence et de d ment qui qualifient les al t rations de l esprit ne deviennent
92. chodne D W Bolton C F Wells G A Gilbert J J Hahn A F Brown J D Sibbald W A Critical illness polyneuropathy A complication of sepsis and multiple organ failure Brain 1987 110 819 842 21 Plasminog ne Activateurs endog nes et exog nes du plasminog ne Inhibiteurs des activateurs du plasminogene PAI 1 Plasmine Fibrine fibrinog ne produits de d gradation de la fibrine PDF inhibiteurs de la plasmine alpha 2 antiplasmine alpha 2 macroglobu line Figure 1 Schema de la fibrinolyse La plasmine r sulte du clivage du plas minogene au niveau de la liaison Arg560 Val561 Elle est form e de deux cha nes poly peptidiques unies par deux ponts disulfures La reduction des ponts disulfures libere une Cha ne lourde et une cha ne l g re qui pos s de l activit prot olytique Elle d grade les mailles de la fibrine en produits solubles de d gradation de la fibrine PDF La demi vie de la plasmine est de 0 1 secondes et de 10 se condes quand elle est li e la fibrine La plas mine poss de une sp cificit prot olytique r duite l gard des substances plasmatiques et d grade aussi le fibrinog ne et les facteurs V et VIII de la coagulation La plasmine g n ree est rapidement neutralis e par l alpha 2 antiplasmine Quand l alpha 2 antiplasmine est consomm e la plasmine libre en exc s ac c l re la fibrinolyse syst mique En revanche la plasmine g n r e la surf
93. coles d US tion d une drogue donn e 41 Le r t FAS blerait comporter un taux de succ s plus lev 86 93 mais le taux de complications qui accompagne les effets de fibrinolyse syst mique induite interdit son infusion prolong e au del de 15 20 mg 25 42 Il existe une dif ference non statistiquement significative en fonction de la nature de l occlusion thrombose ou embolie dans notre exp rience D autres etudes ont montre le succes variable en fonc tion de la nature de l occlusion 56 pour les occlusions athero sclereuses 79 pour les complications post angioplastie et 70 pour les embolies 43 Les occlusions aigu s da tant de plusieurs heures ou jours dont les complications post angioplastie font partie comportent les succ s les plus lev s de 85 a 95 44 Pour les isch mies subaigu s et chroniques une claudication de stade Il a un taux de succes sup rieur au stade Ill 74 ver sus 65 45 La dissolution complete des caillots sur les contr les angiographiques est obtenue dans 79 Dans 32 des cas une angioplastie doit tre associ e Les proth ses vasculaires r pondent plus rapidement que les art res natives la thrombolyse locale avec des r sultats identiques 46 47 Concernant les isch mies du membre sup rieur une revue de la litt rature montre que le nombre d embolies art rielles trait es est de l ordre de 40 Le taux de succ s global toutes tiologies confondues
94. culation art riolaire vicariante l aspiration percutan e du caillot peut tre r alis e la place de la thrombolyse locale Elle est particuli rement indiqu e dans les si tuations suivantes 17 Fig 4 caillot frais lib r au cours de l angioplastie transluminale percutan e et embolise dans un segment distal caillot responsable d une occlusion aigu et compl te de l axe poplit ou a cheval sur le tr pied jambier des caillots de 10 cm de long ne repr sentent pas une contre indication amp l aspiration percutanee isch mie critique mal tol r e SOUS circula tion d aval visible l art riographie L aspiration percutanee incompl te de caillots est suivie d une thrombolyse locale pratiqu e comme traitement compl mentaire et destin e laver le contenant des thrombus r siduels Elle aura transform l isch mie non tol r e en isch mie permettant une thrombo lyse locale durant plusieurs heures CONTRE INDICATIONS Les contre indications absolues du traite ment fibrinolytique syst mique doivent tre ob serv es pour le traitement par infusion locale Quant aux contre indications relatives le risque du traitement local doit tre pes contre le b n fice escompte pour chaque cas parti culier 18 Contre indications absolues _ D vitalisation du membre ischemie Hemorragie interne OU exteriorisee _ Processus expansif intracr nien Hemorragie c r brale endeans les 3 der niers mo
95. d il se met chanter les charmes de la plus petite de ses deux pa tries son pays natal Nulle part ailleurs pr tend il les for ts n ont cette qualit de lumi re quand le soleil couchant fait s allonger l ombre des arbres Il crit a pleasant human and natural environment that favors visits by neigh bours and friends the world over the coun tryside can vary from gentle fields to rolling hills Rivers meander through valleys The natural contour of the land favored the construction of fortified castles sleepy vil lages bustling towns and small cities flowers alternate with green lawns and wooded areas Postface du programme du Se cond European Congress of Viscero Synthe Sis Luxembourg 1992 De ses Origines luxembourgeoises il dit en core Nous avons re u en d pit des limites d un milieu ramass sur lui m me une duca ton multiculturelle un norme avantage lie la condition luxembourgeoise Quelques autres coups de crayon s impo sent pour toffer cette bauche de portrait modestie et sinc rit propos des articles de presse et de l mission t l vis e qui lui taient consacr s r cemment Toute cette agitation m a tonn touch et je dois dire m a CAUS norm ment de plaisir sens de l humour culte de l amiti dont le champ d action a les dimensions de la plan te Quand un bon ami en d tresse a besoin de lui il plante tou
96. d utilisation courante qu au cours du XIX si cle Pourtant ce que nous appelons la d mence s nile d sordre majeur de la m moire survenant avec l ge tait d j connue chez les Egyp tiens plus de 2000 ans avant J C En 1835 James Cowles Prichard a d crit un syndrome qu il appelait incoh rence ou d mence s nile ll le caract risait par l oubli des faits r cents tandis que la m moire des faits anciens restait relativement conserv e Ceci tait 70 ans avant la description par Alois Alz heimer des perturbations neuropathologiques conduisant la d mence pr s nile L actuelle d finition retenue par la DSM III R3 repose sur la coexistence des 6 conditions sui vantes 1 une perte des capacit s intellectuelles modifiant le statut social 2 des troubles de la m moire et de l orien tation 3 une alt ration d au moins une des fonc tions suivantes la pens e abstraite le juge ment les traits de personnalit ou d une des 3 fonctions sup rieures qui sont le langage la praxie et la gnosie 4 une vigilence normale 5 une cause organique probable 6 une dur e qui d passe les 3 mois It PID MIOLOGIE Jusqu pr sent la pr valence de la maladie d Alzheimer a t connue avec peu de pr ci sion les tudes sur l incidence taient excep tionnelles et nuangaient peu entre les diff rents types de d mences Suivant les auteurs entre 1 5 et 5 des per sonnes ayant plus de 65 an
97. de DTS Nous attendons d autres r sultats pour affirmer l intervention d au moins 2 g nes d j sugg r e par Nauseef 2 CONCLUSION ll faudra repenser l attitude du m decin confront une d ficience totale ou subtotale en my loperoxidase L id e de son inocuit devra en tout cas tre abandonn e M me si elle para t d pourvue de cons quences dans la majorit des cas d autres cas d montrent que des cons quences graves ne sauraient tre exclues Il est possible qu une attention accrue rendra cette d ficience jusqu ici plu t t ignor e responsable d un plus grand nombre d incidents infectieux LITT RATURE 1 Undritz E Abstracts 7th Europ Congr Haematol London 1959 2 Grignaschi V J Sperperato A M Eche verry M J Macario A J L Rev Asoc Med Argent 77 218 221 1963 3 Kutter D Missenard Ch Thix j Bull Soc Lux Biol Clin 13 208 213 1992 4 Nauseef W M Blood 73 290 295 1989 5 Lehrer R I Cline M J J Clin Invest 48 1478 1488 1969 6 Moosmann K Bojanovsky A Mschr Kinderheilk 123 408 409 1975 7 Parry M F Root R K Metcalf J A De laney K K Kaplow L S Richar W J An nals of internal Medicine 95 293 301 1981 8 D Onofrio G Technicon Intern Coll on Laboratory Hematology Paris 1988 9 Kosanke W Schneider S Blutbild Atlas Bayer Diagnostics Editors 1992 63 10 Kitahara M Simonian Y Eyre H
98. de per tion sont peu fr quents quand des protocoles d infusion lents sont em ploy s En revanche les protocoles rapides avec avancement progressif sur table du ca th ter d infusion l int rieur du thrombus pro duisent plus facilement des traumatismes ar t riels ou des projections emboliques 5 Complications inhabituelles elles com prennent les syndromes de revascularisation avec ou sans myoglobulinurie les r actions imm diates non anaphylactiques les hypoten sions les r actions anaphylactiques imm diates de type Coombs avec SK et APSAC ileus intestinal les fistules art rio cutan es ou aorto duod nales les extravasations de pro theses l infarctus m sent rique les throm boses veineuses profondes les embolies pul monaires les faux an vrysmes et thromboses au niveau du point de ponction Des r actions d angeite s apparentant la maladie s rique peuvent se produire 6 21 jours apr s le d but du traitement et induire une glomerulone phrite tardive R F RENCES Saldinger E Bookstein J J Mechanisms of fibrinolysis native and exogenous systems Seminars Intervent Radiol 2 321 330 1985 Pernes J M Brenoit P Raynaud A et al R sultats de la thrombolyse art rielle in situ par association urokinase lysyl plasminog ne dans les oblit rations art rielles aigues des membres inf rieurs J Radiol 66 385 389 1985 Van Breda A Graor R A Katzen B T et al R
99. des lesions focales soit la d formation des contours de la rate ou des structures anatomiques internes soit la difference de signal entre le tissu normal et le tissu pathologique Cependant contrairement au foie la rate ne pr sente pas de structures internes spon tanement d celables en IRM les vaisseaux au sein du parenchyme spl nique ne peuvent tre utilis s comme t moins en cas d ano malie refoulement amputation obstruction 43 Seuls sont visualis s les vaisseaux spl niques hilaires D autre part il faut tre extr mement prudent dans l analyse des contours spl niques car ceux ci peuvent pr senter de nom breuses variantes anatomiques Le facteur d formation des contours n est fiable que pour les grosses l sions Contrairement au foie galement il n existe pas pour la rate de diff rence significative entre les temps de relaxation du tissu cance reux et le parenchyme spl nique normal Ceci est en particulier valable en cas d envahisse ment lymphomateux Ainsi peut on d tecter des l sions secondaires intra h patiques et m conna tre une atteinte spl nique concomi tante Ceci vaut aussi bien pour les appa reillages Haut Champ qu Bas Champ Des auteurs ont voulu tablir en mesurant les T1 et T2 un diagnostic diff rentiel des dif f rentes pathologies hypertension portale syndromes my loprolif ratif ou lymphoprolif ratif hyperplasie b nigne
100. e CHsvaLter Imprimeur de S E amp Marchand Libraires s faflent incontinent publier amp afficher par touc ations amp tous autres nosJufticiers amp Othciers onn Namur le quinzi me de Septembre 1714 L DOUXFILZ 1714 Y tant appofe le Ca _extrait d une ordonnance publi e Luxembourg en 1714 Luxembourg pour prot ger le b tail des Pays Bas au s approche journali rement de plus en plus ceux de notre ob ssance Il avait soin d in s rer dans l ordonnance imprim e Luxem bourg un rem de exp riment publi par le journal de Luxembourg La Clef du Cabinet des Princes du mois de septembre de la m me ann e pour garantir et gu rir les B tes Cornes de la maladie contagieuse dont elles sont attaqu es en divers endroits de l Eu rope Pour cela il fallait faire infuser dans du bon vinaigre des ails concass s avec quelques pinc es de poivre en poudre Laver la langue et la gueule des animaux apr s avoir racl avec une cuill re les muqueuses buc cales jusqu au sang Ceux qui par pr caution ont mis bonne heure ce Rem de en usage ont pr serv leurs B tes amp leurs Troupeaux de la maladie qui inqui te aujourd hui tant de Pro vinces Des que les premiers symptomes de la ma ladie apparaissaient on appliquait le traite ment ci dessus et on faisait avaler aux anl maux un quart d once de Th riaque dans une chopine de bon vin
101. e ment de la transmission h r ditaire en parti culier de voir si les d ficiences partielles res pectivement mineures pouvaient etre consid r es comme heterozygotes ce qui ne ressort pas clairement des donn es de la litt rature 1 7 11 12 13 MATERIEL ET METHODES Toutes les d terminations h matologiques ont t ex cut es sur du sang veineux ae pr lev sur K EDTA Les examens 2 a giques de routine ont t pratiqu s sur _ pareils H 1 Technicon Bayer ee Bruxelles Les frottis sanguins pour l sement de la formule leucocytaire classique ont t color s au May Gr nwald Giemsa Les scores MPO ont t tablis sur des frot tis color s la benzidine selon le proc d de Graham et Knoll modifi par Undritz nn gt plicant les crit res propos s par Kitahara coll 10 R SULTATS La tr s bonne corr l d termin par histochi le H 1 est illustr e la MPXI constitue donc un neur totale des granulocyt ation entre le score MPO mie et le MPXI fourni par figure 2 r 0 96 Le indice valable de la te es en MPO La distribution des scores d montre l exis tence d une population plus ou moins homo g ne de granulocytes neutrophiles tant chez les personnes d ficientes que chez les contr les normaux figure 3 Les figures 4 et 5 montrent la distribution des MPXI chez 13 919 patients de routine non s lectionn s La courbe semble premi re vue Confirmer les valeurs usuelles de
102. e catheterise occlusion des proth ses et greffons parmi lesquels les bypass f morotibiaux ou ceux qui ont fait l objet de r interventions repr sentent les meilleures indications L occlusion post op ratoire pr coce des reconstructions art rielles r sulte plut t d un probleme de tech nique chirurgicale et n cessite la r interven tion Dans les autres cas la thrombolyse locale permet de juger de la qualit du greffon apr s reperm abilisation et oriente le choix th ra peutique ult rieur angioplastie percutan e d une st nose isol e anastomotique ou non r anastomose chirurgicale ou remplacement du bypass veineux fibros L absence de col lat rales de l art re iliaque primitive et des by pass chirurgicaux responsables d une concentration lev e d activateur du plasmi nog ne l int rieur du thrombus fait que ces segments vasculaires se pr tent bien la ee La prudence est de mise trois ne moe S n ae nn a Cause du risque d extra 26 vasation et d h matome p riproth tique 14 Fig 3 occlusion aigu ou subaigu de l aorte ab dominale sous r nale et en particulier les thromboses suite une intol rance l h pa rine 15 16 occlusion d un ou de plusieurs troncs p ri ph riques avec tol rance clinique de l isch mie ou devant une isch mie critique r cus e pour le traitement chirurgical La thrombolyse peut limiter l tendue de l amputation en recru tant une cir
103. e ce traitement L ordonnance pr cit e rel ve une autre re cette publi e dans la Gazette de Bruxelles du mois d ao t 1714 sous la d nomination Re mede pour la Mortalit du B tail Voici les Substances m dicinales y num r es Angelica l ang lique officinale Angelica Archangelica L tait fort employ e comme 84 stimulant aromatique stomachique et carmi natif Elle calme le p ristaltisme exag r de l intestin Aristolochia rotunda dont la racine tait em ploy e comme d puratif et stimulant surtout de la phagocytose aujourd hui l acide aristo lochique contenu dans ces racines est r put cancerigene Bacca Lauri bacca Juniperi les huiles es sentielles des baies de laurier et de gen vrier sont hyper miantes elles sont utilis es comme antirhumatismal en application locale et sont diur tiques stomachiques et sudori fiques Cardopat la racine de carline autrefois ra dix cardopatiae tait souvent utilis e comme diur tique et d puratif Gentiana la gentiane est utilis e encore au jourd hui pour ses substances ameres to niques f brifuges par une action stimulante confirmee des defenses immunitaires chola gogue et stimulant de l app tit Hyssop l hysope nous l avons d j ren contr dans un autre rem de contient des huiles essentielles actives sur les voies diges tives et respiratoires Petasitidis les feuilles de p tasite contien nent un antitussif fl
104. e jour sui vant ou le 3 jour Prendre l corce de jeunes ch nes et les faire bouillir dans 2 5 litres d eau Laisser vaporer la moiti de l eau et refroi dir En faire avaler 0 25 litre r p ter l op ration JUSQU ce que le cheval tombe malade Des que le cheval est bien malade on est s r de Pouvoir am liorer son tat sobald als das pferd kranck von dem drank wirdt so ist man 80 der besserung gewis Pour les cas avanc s Enduire les plaies canc reuses du Cheval 1 fois par jour d un m lange compos d une demi once de sublim de mercure et de 2 onces d huile vitriol e Si les plaies prenaient un aspect blanch tre on pouvait esp rer gu rir le cheval Contre les coliques Outre le lavement fait d un m lange de lait et de sel Petitier recom mande un breuvage compos d une demi chopine de vinaigre de pomme tr s fort pa on ajoute une poign e de persil avec les ra cines tritur Filtrer travers un ings propre et donner boire au cheval Un excellent breu vage contre toutes les an onen oder pein im leib aux dires au a al apiol et la myristicine du persil ont une ac ae et ee a fortes doses ils sont utilises comme 4 Pour gu rir la gale des As oe chez l apothicaire 1 2 once de is p N ivre de potasse et 1 livre de tabac nor uillir DelHyfope Chap XLIX LA FORME Hyffopus communis T Hyflope commune ales branches quarr es ver hop ne des dures amp ligneufe
105. e projections emboliques distales Malgr leur petit calibre les guides injectables sont thrombog niques et il est fr quent d ob server la formation de caillots en serpentin au tour du guide mais qui sont rarement occlusifs Quand la thrombolyse a progress le cath ter ou le guide injectable est avance dans le caillot r siduel Pour des raisons de St rilit le guide injectable est chang apres Chaque contr le art riographique Quand la permea bilit de l axe vasculaire occlus a ete restaur e ou quand un r sultat clinique satisfaisant a t obtenu la thrombolyse est arretee malgr la persistance de caillots r siduels non obstruc tifs adh rents la paroi art rielle Quand une st nose art rielle sous jacente la thrombose est reconnue l angioplastie est r alis e sans attendre la dissolution compl te du thrombus et l infusion locale est poursuivie Les stenoses iliaques et f morales communes sont dilat es par approche contralat rale ou axillaire ayant servi la thrombolyse locale Fig 2 Les st noses f moro poplit es ou surales sont mieux trait es par un abord f moral homolateral an t grade L abord poplit r trogarde est vit au cours du traitement Lorsqu aucun progres clinique ni angiographique nest constat apres 6 heures d infusion le traitement est ar rate Des aggravations ischemiques transi toires sont souvent observ es au Cours de l in fusion Elles correspondent ee
106. ed 1978 65 868 872 26 Jackson A C Gilbert J J Young G B Bolton C F The encephalopathy of sepsis Can J Neurol Sci 1985 12 303 307 27 Kaplan P W Rocha W Sanders D B D Souza B Spock A Acute steroid induced tetraplegia following status asthmaticus Pe diatrics 1986 78 121 123 28 Knox S Sheridan P Venna N The floppy person syndrome with prolonged nar curon infusion Neurology 1990 40 suppl 1 119 29 Kupfer Y Okrent D G Twersky R A Tessler S Disuse atrophy in a ventilated pa tient with status asthmaticus receiving Neuro muscular blockade Crit Care Med 1987 15 795 796 30 Lane R J M Mastaglia F L Drug in duced myopathies in man Lancet 1978 ii 562 566 31 Livingstone R Cumming W J K Hy perkalemic paralysis resembling Guillain Barr syndrome Lancet 1979 ii 963 964 32 Loeb C Mancardi G L Tabaton M Locked in syndrome in acute inflammatory po lyradiculoneuropathy Eur Neurol 1984 23 137 140 33 Newson Dervis et al Acute necrotizing myopathy following high dose steroids in myasthenia gravis In I Journ es internatio nales de pathologie neuromusculaire Mar seille septembre 1992 communication orale _ Nieholt J L A Troost J Critical illness Rey ae In Handbook of Clinical nn rology vol 7 51 Neuropathies 35 pp 575 585 WB Matthews editor Elsevier Science Publishers B V 1987 35 Op De
107. effet astringent et l action anti oed mateuse combin s celui du sulfate de cuivre avait certainement une action favorable sur le suintement inflammatoire ac compagnant les l sions du crapaud Le prolapsus de l ut rus chez la vache tait trait de la fa on suivante Bouillir du fer rouill 78 et des semences de carottes dans du vinaigre de pomme et faire avaler ce jus Dissoudre un pot en terre cuite finement broy dans de l eau de vie et en enduire l ut rus qu on repose en suite A une b te bovine qui avait cess de rumi ner on faisait avaler de la viande de boeuf sa l e A une autre souffrant d hematurie on fai sait ingurgiter une poign e de sel dilu e dans 3 verres d eau Un quart d heure plus tard on l obligeait avaler 3 oeufs avec la coque Et l auteur de cette recette ajoute sans h sitation et avec confiance Es wird hellfen Cela ai dera Pour gu rir les seimes fissure de la paroi du sabot les paysans de la region de Dudelange avaient l habitude el cela encore au d but de ce si cle de recouvrir la stalle du cheval d une couche de terre glaise telle En sabot ma lade s y enfongail enti rement pres six se maines l animal tait guer sans s attaquaient au rouget an avaler a un melange deau d eau de vie et de poudre noire hop loroa ar e ferrer v p e erie a leurs blessures et de leur administrer des en si cles suivants virent P cheval l ins diums de
108. eht Zahlreiche Untersu N chungen konnten jedoch nachweisen da durch die Hydratisierung der Horn schicht so z B durch die Vehikel einer Substanz kommt also ein entscheiden Transpiration oder aber durch der Einflu auf die sich ent die Eigenschaften der Appli wickelnde Bioverf gbarkeit kationsgrundlage diese Bar zu riere aufgeweicht und durch W Die neue Rheumon Lotio l ssig werden kann Dem erf llt darum alle Voraus Rheumon Lotio Rheumon Lotio Zusammensetzung 1 g Rheumon Lotio enthalt 100 mg Etofenamat Anwen dungsgebiete Weichteilrheumat smus Muskelrheumatismus Periarthropathia humerosca se Se Ischialgie Tendovaginitis Bursitis stumpfe Traumen und Sportverletzun Eu en de Arthrosen und Spondylosen Gegenanzeigen Uberempfindlich linge und Kleinkinder N an andere NSAR Schwangerschaft Stillende Saug s ch nach Absetzen Bee nn Hautrotung sehr selten Hautreizungen die Anwendung au erlich ee 100 mi Flasche Emulsion Fc Ur Luxembourg Integral S A 95 99 rue de Strasbourg Telephone 48 5656 setzungen f r eine optimale topische Medikation Die wasserreiche Lotiongrund lage substituiert den Fl ssig keitsverlust der dehydratisier ten Zellen der Hornschicht So ist die Voraussetzung f r das lipophile Etofenamat gegeben bei Kontakt mit der Hornschicht rasch in diese zu diffundieren WM Wird so die Hornschicht erst einmal passiert ist einem weiteren tieferen Ein
109. elative cost effectiveness of urokinase versus streptokinase in the treatment of per ipheral vascular disease JVIR 2 77 80 1991 Dotter C T Rosch J Seaman A J Selec tive clot lysis with low dose streptokinase Ra diology 111 31 37 1974 gt Coulon M Goffette P Dondelinger R F Local thrombolytic infusion in arterial occlu sion of the upper limb Cardiovasc Intervent Radiol 1993 in press 6 Tisnado J Cho S R Beachley M C VINES F S Low dose fibrinolytic therapy in hand ischemia Seminars Intervent Radiol 2 367 380 1985 nLang E V Bookstein J J Accelerated thrombolysis and angioplasty for hand ische mia in Buerger s disease Cardiovasc Inter vent Radiol 12 95 97 1989 Widlus D M Venbrux A C Benenati J F Mitchell S E et al Fibrinolytic therapy for up per extremity arterial occlusions Radiology 175 393 399 1990 31 9 European Consensus Document on Critical Limb Ischemia Ed J Dormandy Springer Berlin 1989 10 Starck E Mc Dermott J Crummy A et al Percutaneous aspiration thromboembolec tomy Radiology 156 61 66 1985 n Hawkins I F Hems R Spencer C et al Mechanical spiral embolectomy catheter Se minars Intervent Radiol 2 414 418 1985 2 Auster M Kadir S Mitchell S E et al Iliac artery occlusion management with intra thrombus streptokinase infusion and angio plasty Radiology 150 315 318 1984 3 Ring E J Freiman D B Mc
110. entretien on administre 1 comprim 3 fois par jour apres ee N d antih ertense on peut aussi augmenter les doses Remarque En cas d emploi simultan peut gt Y urs l effet de ceux ci peut tre renforc La consommation simultan e San peut provoquer une hypo de rea tension art rielle et ainsi une diminution de la facult elantan Pour la prescription elantan 20 50 et 100 comprim s 40 60 et 100 comprim s SCHWARZ PHARMA Schwarz Pharma GmbH M Sur prescription m dicale Mittelstra e 11 1 13 D 4019 M onheim PROPHAC HOWA WALD 5 Rangw L 2412 HOWALD T l 48 24 82
111. ents Am J Surg 147 531 534 1984 31 Katzen B T Van Breda A Low dose strep tokinase in the treatment of arterial occlu sions AJR 136 1171 1178 1981 Totty W G Gilula L A Mc Clennan B L et al Low dose intravascular fibrinolytic the rapy Radiology 143 59 69 1982 Becker G J Rabe F E Richmond B D et al Low dose fibrinolytic therapy Results and new concepts Radiology 148 663 670 1983 Mori K Bookstein J J Heeney DJ et al Selective streptokinase infusion Clinical and laboratory correlates Radiology 148 667 682 1983 TS 35 dwards KL erl AS ae fibrinolysis in peripheral vascular disease J Vasc Surg 1 718 722 tek Denny K M et al Lo x ici n M Lo Graor RA MISS Treatment of thrombo a arteries bypass grafts and A nous fistulas J Vasc Surg 2 406 1981 Goffette P Kurdziel J C SE Percutaneous local arterial thrombolytic infu sion Therapeutic effects and complications Acta Radiol 32 1 7 1991 38 Van Breda A Katzen B T Deutsch A S Urokinase versus Streptokinase in local thrombolysis Radiology 165 109 113 1987 39 Traughber P D Cook P S Micklos T J et al Intra arterial fibrinolytic therapy for popli teal and tibial artery obstruction Comparison of streptokinase and urokinase AJR 149 453 458 1987 1 Meyerovitz M F Goldhaber S Z Reagan K et al Recombinant tissue type plasmino gen activator versus urokinase in peripheral arterial and
112. erempfindlichkeit gegen pe Hydiony bene er Se on wird mozytom Geschwulst des Nebennierenmarks prolaktinabhangige Karzinome Bei Epileptikern und bei Patienten mit RAP de aus eschlossen werden Gastrosil 50 nicht empfohlen Schwangere stillende M tter und Kinder unter 14 Jahren sollten von der hochdosierten Infus onsbe nr AREA NE Pre si tort Nebenwirkungen Dyskinetisches Syndrom v Injektion von Akineton Wz Knoll AG Angaben des Herstellers beachten bringt gt Ta m ER aan zum Abkl ngen Unruhezustande M digkeit Schwindel Kopfschmerzen verst rkte Darmtatigkeit Erh hung des Prolaktinspiege ie Ro abe nn aaa dung kann es zu Menstruationsst rungen kommen Gastrosil L sung enth lt p Hydroxybenzoes ureester als Konservierungss Net moglob n im Blot ka Injektionsl sung kann es bei Neugeborenen besonders aber bei Fr hgeborenen zu einer Methamoglobinamie Vermehrung von 7 N an m Kopf Hals Schulterbe al Sastrosil 50 In Einzelf llen kann nach Injektion oder Infusion von Gastrosil 50 ein dyskinetisches Syndrom besondere Vorsicht erforderlich Be cN Blickkrampfe und Parkinsonsche Krankheit auftreten Bei Patienten mit erh hter zerebraler Krampfbereitschaft ist ces Angaben des Herstellers beachten als gt A j von Krampferscheinungen mu Gastrosil 50 abgesetzt werden Durch v Injektion von Akineton Wz Knoll AG he Schwindel Durchf lle Diarrhoe ataktische onnen cie Krampferscheinungen
113. es 266 sportifs admis taient porteurs d une maladie coronarienne dont 133 50 trait s par m dicaments 94 35 ayant subi un pontage aorto coronarien 24 8 ont t dilat s Seulement 16 5 7 taient porteurs d une valvulopathie et la plupart d entre eux d une proth se valvulaire La grande majorit des patients c est dire 93 ont eu une co ronarographie avant de commencer leurs acti vit s de sportif cardiaque Comparaison Collectif total vs Sportifs r guliers 266 86 FE VG n 266 m 48 1 capacit Watt n 266 m 144 traitement m d n 133 50 infarctus n 149 56 pontages n 94 35 dilatations n 23 8 valvulopathies n 16 5 ctif total n 266 aux n le colle En comparant de fa on r guli re on 86 sportifs pratiquant voit qu il n y a pas de diff rence entre la fonc tion ventriculaire c est dire la fraction d See tion de d part a 48 et la capacit de pide 144 voire 142 W A noter que 56 du collecti total ont subi un infarctus pour 37 des spor tifs r guliers 35 du collectif total ont t pon t s pour 41 du groupe r gulier fa on d taill e la fonction ventriculaire des sportifs r guliers on note que seulement 14 c est dire 16 ont 7 Ei fraction d jection endessous de 40 u l 35 c est dire 41 une fraction d ea entre 40 et 50 et 53 une fraction d jectio normale d passant 50 gom trique de La capacit de travail
114. es embolies sont observ es en pr sence d un anevrysme de l aorte abdominale ou de l art re poplit e et peuvent repr senter une contre indication au traitement Le traitement consiste en l intensifi cation de la dose fibrinolytique et en avance ment du syst me d infusion au niveau de l em bolie distale Des guides injectables peuvent tre amen s jusque dans les branches surales pendant quelques heures condition de ne pas tre occlusifs Pour les membres sup rieurs le syst me d infusion n est pas avanc au del de l art re hum rale cause des Spasmes art riels frequents Les trombus ven triculaires cardiaques ne se disloquent que peu sous l effet de la thrombolyse etne repr sentent qu un risque embolig ne relatif 3 La thrombose p ricath ter le risque de formation de thrombus autour du cath ter d in fusion est diminu par une ponction h t rola t rale dans un segment art riel dont le flux est normal Les charri res r duites des valves h mostatiques F4 F5 et des cath ters ne g nent pas le flux d une art re normale guides injectables sont thrombogenes et Se fr quent d observer des caillots en a Sur les art riographies de contr le L h p N infus e travers la valve Demo a distribution bipolaire de l agent thromboly es travers des cath ters ou guides eee pr viennent galement la thrombose pe th ter 4 Les traumatisme foration ou de dissec s art riels type
115. est de 82 Ce taux sup rieur celui des membres inf rieurs est expliqu par les excellents r sultats de 92 obtenus dans les occlusions des art res de la main et des art res digitales 5 La fr quence des spasmes art riels associ s n cessite l injection de vasodilatateurs au cours des art riographies et du traitement thrombo lytique L chec de la thrombolyse locale des membres inf rieurs est observ dans environ 25 des cas Les causes d chec les plus de terminantes sont les suivantes L l ment pronostic principal est la qualit du flux en amont et en aval de l occlusion L in suffisance cardiaque l hypovol mie ou toute autre cause qui diminue le flux art riel dans le membre doit tre trait e Les st noses en amont de l occlusion doivent tre levees par angioplastie transiuminale percutan e en de but de la thrombolyse locale Les st noses en aval doivent tre trait es au fur et mesure de leur diagnostic au cours de la thrombolyse pour pr venir la r cidive occlusive pr coce L infusion inad quate de l agent thrombo lytique en amont de l occlusion avec un flux pr f rentiel dans une collaterale vicariante et un dosage horaire insuffisant sont les causes d chec technique de la proc dure les plus fr quentes 29 L intol rance l h parine qui est adminis tr e de fa on concomitante l activateur du plasminogene est responsable d une forma tion continue de thrombus ric
116. et nue ue f tiy A lt eS pareman r projector dans ou eN ca a accommodation vi ents presentant une sensibilite particuli re a opsetver des tremblements digitaux reaction locale une secheresse buccale jes troubles moderes etreversiples de massive les sympt mes ponopaux de suf Surdosage et anne d as ractere sympathicommetque ON adm En cas intoxicale Cament E re specihaue une substance b ta lytique dosage sont eae 1 renge en consideration l eventuahte d une nistrera des 10 a routeto s roncnsaue chez des patents souttrant dune t 3 Dans ce pene ropstucn a tavation u tritt afection pronchospe 11 tement a a0 ale gt gt i de p an gt s cal Hie ae qmlewalles ologie garg Rues RR a Aro entants AU non UE Ree ss es UNE Ose totale de apres 5 minutes ne yenne lor pa Deuts conne dose d entretien f 5290 et w5 9 tapes 3a 4 fois pat jour 5 heures p yart t 2 porate es Je le poutet a et a sous la survedlance d un adulte s 7 nis ne 2 aan on adm fants moyenne aux end L admunistration at nn ote EU chaque emploi emploi gg de PUT avant CN ne capuchon GENE gts mindex sut le fond de la cartouche en Ager apparan Te an patleche del elquetle est ans dingee E a 2 rappare 3 Prendre pe ce tie Pp alumni ns voit scheme vers te Nau es levee l x rg Ve a aves gement possible tout en exercantune aaa tond A que 2 ofone ee SE A LA embout plas p plus um de Vap
117. et indirect des signaux trans mis au niveau synaptique Ainsi les donn es r centes sur les aspects biochimiques des d mences restent contra dictoires Plusieurs syst mes de neurotrans metteurs sont d ficitaires dans la maladie d Alzheimer Les preuves sont parfois di rectes avec une diminution des concentra tions en neurotransmetteurs mais plus fr quemment indirectes avec p ex une diminu tion de la choline acetyl transferase une en zyme de synth se de l acetylcholine 5 La baisse d activit de la choline acetyl transferase dans les r gions n ocorticales et 53 au niveau de l hippocampe t moigne d une d g n rescence des voies cholinergiques as cendantes sous cortico corticales Cette dimi nution est de l ordre de 60 en moyenne va riant entre 27 et 95 elle est due la des truction du noyau basal de Meynert La baisse importante au niveau de l hippocampe refl te la destruction de la voie cholinergique septo hippocampique Cette particularit choliner gique s applique surtout pour les d mences d but pr coce et elle serait corr l e d une part la densit des plaques s niles et d autre part la s v rit de la d mence En compensation la d nervation cholinergique une augmenta tion relative des r cepteurs muscariniques M1 et M2 a t observ e Mais il y aurait aussi un d faut de transmission des r cepteurs M1 avec la prot ine G respective 77 Pour expliquer
118. etc pouvant en gendrer une splenomegalie Ils ont constat que les valeurs T1 et T2 taient diff rentes pour chaque type de pathologie Toutefois les donn es recueillies pr sentaient des valeurs tellement parpill es avec des fr quents che vauchements qu il tait impossible d en retenir des r sultats fiables afin d tablir un diagnos tic de nature Donc l IRM ne parvient pas d montrer de diff rence significative des temps de relaxation pour les diff rentes affections de la rate On a m me observ des diff rences de temps de relaxation dans des groupes de pa tients normaux L explication de cette insuffi sance de differentiation tissulaire est proba blement d origine multifactorielle Ceci peut tre d aux mouvements du patient respiration des variations biologiques comme par exemple les importantes variations de la concentration des ions paramagn tiques dans le sang Une l sion spl nique ne peut tre d cel e spontan ment en IRM que quand la l sion est h t rog ne ou s il existe une pathologie sous jacente de la rate sur charge spl nique quand il existe un ph nom ne de necrose liqu faction modification caract ristique du T2 Mais tant donn que la composante charnue de la l sion est isointense par rapport au parenchyme spl nique environnant l IRM sous estime la taille de l anomalie Or en pra tique la n crose ne survenant que dans des l sions d une
119. eux probl mes d art facts cependant on peut esp rer que les nou velles s quences rapides permettront d att nuer l effet n faste de ces artefacts en parti culier ceux dus aux mouvements 4 On attend donc beaucoup des s quences ultracourtes RARE permettant de pratiquer la technique d embole rapide des produits de contraste paramagn tiques Splenic hemangiomatosis CT and MR features Peene P Wilms G Stockx L Rigauts H Van hoenacker P Baert AL J Comput Assist Tomogr 1991 Nov Dec 15 6 1070 2 Scintigraphie plus sensible et sp cifique 47 2 Determination of T1 and T2 relaxation times in the spleen of patients with splenome galy Thomsen C Josephsen P Karle H Juhl E Sorensen PG Henriksen O Magn Reson Imaging 1990 8 1 39 42 3 MR angiography in portal hypertension detection of varices and imaging techniques Johnson CD Ehman RL Rakela J Iistrup DM J Comput Assist Tomogr 1991 Jul Aug 15 4 578 84 4 Nuclear magnetic resonance of the liver spleen and pancreas Stark DD Moss AA Goldberg HI Cardiovasc Intervent Radiol 1986 8 5 6 329 41 5 Magnetic resonance imaging MRI of the spleen and bone marrow in hematology Imagerie par resonance magn tique IRM de la rate et de la mo lle osseuse en h matolo gie Kurdziel JC Dondelinger RF Dicato MA Ries F Primo H Freilinger J J Belge Radiol 1988 71 2 211 29 6 Magnetic resonance i
120. fusion Les sites d h morragie spontan e les plus fr quemment observ s sont des hematomes musculaires sous cutan s r trop riton aux des saignements gastriques urinaires intra cr niens gingivaux p ricardiques et l pis taxis La surveillance r guli re des para m tres de la coagulation est essentielle mais leur normalit n exclut pas le risque hemorra gique et leur perturbation peut survenir seule ment apr s l pisode h morragique Nous avons observ qu un taux de fibrinog ne inf rieur 2 5 g l au d but du traitement et sa he hu se ate des premi res heures due aa de 1 2 g l indique un que La dose d infusion ho 30 TABLEAU Complications majeures en rapport avec le traitement thrombolytique local 37 SK UK 16 5 9 35 49 3 14 10 2 30 4 3 0 7 6 5 2 20 0 6 0 4 2 12 Se aay en 2 1 9 1 3 1 4 25 0 5 7 22 0 11 16 0 7 1 4 0 5 3 1 10 12 0 4 lt 1 e diminu e L administration d h de la fibrinolyse locale poten tialise galement le risque h morragique Une dose horaire de 300 unit s d h parine repr sente un bon compromis entre l pr vention efficace de la thrombose peri catheter et le risque h morragique 37 Un tat de fibrino lyse syst mique est pr sent chez la majorite des patients apr s 12 24 heures quel que soit l activateur du plasminog ne utilis omplication h morragique grave u fibrinolytique genera
121. gnal en T2 a Les varices spl niques sont habi tuellement bien visualis es par angio IRM Celles ci sont tout aussi bien objectivees en coupes coronales ou axiales transverses Le calibre des varices est moins important qu en angiographie conventionnelle Cette diff rence r sulte des difficult s de reconnais sance des vaisseaux et de la sensibilit de la technique IRM Ainsi une veine spl nique largie et une art re spl nique peuvent se pr senter sous une forme tortueuse rendant la distinction avec une varice hilaire se trouvant proximit tr s difficile Cet inconv nient n existe pas en art rio conventionnelle o l opacification varie en fonction du temps sui vant l injection du contraste De surcro t les vaisseaux ayant une direction oblique par rap port au plan de coupe IRM auront un signal dif ferent des vaisseaux ayant une direction per pendiculaire ce plan de coupe En resume la superposition des vaisseaux la perte de signal r sultant des diff rentes di 45 rections des vaisseaux et les volumes partiels contribuent la discordance de la taille des vaisseaux existant entre l art riographie clas sique et l angiographie IRM b Environ 8 des patients avec HTP pr sentent au sein du parenchyme de leur rate de multiples nodules de faible signal Ces images nodulaires sont avant tout objecti v es en s quence GRASS pour m moire il s agit d une technique d acquisi
122. grande tude prospective qui ind pendam ment des autres facteurs de risque pourrait analyser l apport exclusif d une activit spor tive r guli re dans la survie de patients coro nariens Bien s r il faut tenir compte du biais inh rent toutes ces tudes de pr vention primaire et secondaire c est dire de l auto s lection au d part des sportifs r guliers rendant im possible toute comparaison statistiquement valable 6 En comparant le collectif total aux sportifs r guliers il y a une diff rence concernant le nombre de patients plus grand 56 qui ont subi un infarctus dans le groupe total que 36 chez les sportifs r guliers Comme cependant les fractions d jection entre les deux collectifs sont les m mes ce facteur ne joue certaine ment pas un r le important Il existe une l g re diff rence entre les patients pont s 35 dans le collectif total et 41 dans le groupe r gulier celle diff rence peut tre expliqu e en partie par la dur e de traitement plus longue et par une Sensibilisation plus grande pour le sport des patients pont s qui tr s souvent ont ga 14 lement suivi une cure de r adaptation dans un centre sp cialis apr s leur intervention 76 de nos sportifs r guliers se sentent mieux sur le plan subjectif apr s une dur e d observation moyenne de 3 7 ans Une premi re tude beaucoup plus d taill e avait t r alis e Luxembourg en 1987 Sur une populatio
123. hart S bastien Fran ois Vieux a Fee dont publication par Ni erveke i geois 1925 1926 aux Cahiers Luxembour ee Claude El mens de l Art v t ri ee dition revue et publi e en 1808 par sG apt ste Huzard Paris 1808 Hi du Mus e pharmaceutique et du an des Plantes m dicinales de l Abbaye Ha Abbaye d Orval 1975 XVIII cn aus dem Hause Ries in Simmern in A AS s ecles cit par Hess Joseph ee Denkw rdigkeiten p 169 une tra Surg 1960 et dont l auteur poss de Dr L NSCription mise sa disposition par le On Rivers d Ettelbruck 7 Koerperich Leon Krantz Robert Rezepte und Heilpraktiken aus dem D delingerraum In Bulletin Linguistique et Ethnologique fasci cule 22 Luxembourg 1980 8 Leclainche Emmanuel Histoire Illustree de la M decine V t rinaire Tomes et Il Pa ris 1955 9Lessel Karl Tierheilmittel und Heilzauber formeln unserer Vorfahren In Luxemburger Landwirtschaftlicher Genossenschaftskalen der pp 45 61 1935 10 Pletschette Nicolas Thill Mathias Die Ro kuren des Schmiedes Petitier aus Fol scheid In Annuaire de l Institut Grand Ducal section linguistique pp 62 91 Luxembourg 1947 I van Werveke Nicolas Kulturgeschichte des Luxemburger Landes Band I Neue Au flage Esch Alzette 1983 89 PHILIPS SYSTEMS de la m decine _ PHILIPS LUXEMBOURG S A _ Division Professional Systems 19 21 route d Arlon L
124. hes en pla quettes donc en PAI 1 D s que l intol rance l h parine est reconnue la thrombolyse est continu e seule 16 La survenue d une complication majeure n cessite l arr t du traitement avec ventuel lement la possibilit de sa reprise ult rieure 15 de la population sont r fractaires la thrombolyse exog ne pour des raisons di verses dont l exc s en PAI 1 48 COMPLICATIONS Le nombre total des complications obser v es au cours des thrombolyses locales est plus lev que g n ralement suppos Le ta bleau regroupe la fr quence des complica tions majeures observ es au cours de 2 213 proc dures rapport es dans 25 articles qui comprennent au moins 20 patients trait s chacun La mortalit li e la proc dure est de 1 2 mais la mortalit globale 30 jours est de 16 dans notre prospective retenant 45 d embolies art rielles dans les indications 37 H morragie total au point de ponction autres Embolie total distales autres Thrombose p ricath ter Traumatisme arteriel Syndrome de revascularisation Extravasation travers les proth ses vasculaires 1 L h morragie est la complication la plus fr quente et la plus redoutable de la thrombo lyse locale Le saignement au niveau du point de ponction est pr venu par la mise en place d une valve h mostastique qui est retir e quelques heures apr s l arr t de l in
125. hologies infectieuses 19 Actuellement l IRM ne semble pas pr senter d int r t sp cifique et surtout par rapport la tomodensitom trie Il existe un allongement du T1 et du T2 suite l augmentation du taux d eau libre Dans les s quelles de maladie granuloma teuses histoplasmose UBS pe en observe fr quemment la presence Ce cateii cations celles ci sont bien analys es en TDM mais non en IRM Er ni 7 L h matome et l infarctus Spl niques 31 a L h matome frais donne De eer signal T1 et T2 par rapport au parenchyme spl ni I ne entre l h matome ee ancien et le parenchym ee lan terface hypointense en n rioh ri soit de l h mosid rine d pos e en eels soit d une coque fibreuse _ b L infarctus spl niaue pee nr analys en s quence er et 60 TR 80 ms TE 16 ms angles ren les auteurs ont constat Que les in nr r cents sont bien dere ie ianal tan TE He 60 Par contre il n existe ee rence d intensit de signal de aa Bie gu ri et les autres pathologies a re c mie les lymphomes et la sar r sente sous tuellement l infarctus ancien Se P iqnal forme d une zone d hyposig cessoire 8 Rate surnum raire ou ac RE sensible mais la tomodensitorf ii contributive L IRM n a aucune indication actuellement 9 Traumatisme spl nique 9 L ultrasonographie et la tomodensitom trie suffisent dans la mise au point sensibilit de la TDM 100
126. i t s diur tiques et des quali t s antiprurigineuses en usage externe Le sel de nitre ou nitrate de potasse est un purgatif et un diur tique largement utilis dans les traitements de nombreuses maladies ani males En 1808 Jean Baptiste Huzard 1755 1838 Inspecteur g n ral des Ecoles v t ri naires pr conisait toujours son application Le sel de nitre facilite les excr tions et les s 86 cr tions aussi le donnons nous avec succes dans les maladies epizootiques 4 L air vicieux des tables qui la plupart du temps n avaient m me pas de fen tres tait chass en jetant du fort vinaigre sur des pierres ou briques chauffees on peut aussi y faire br ler alternativement une bonne pinc e d un m lange compos de poudre canon de sel commun de grains de geni vre et de baies de laurier concassees Les principes de prophylaxie sanitaire pres sentis la fin du XVI si cle en Allemagne et clairement nonc s par Lancisi Rome vers 1711 taient mis en application des 1714 par une ordonnance du Gouverneur g n ral des Pays Bas autrichiens seule l importation d ani maux accompagn s d un certificat de sant tait autoris e Si ces b tes visit es au pre mier village de la Province taient reconnues malades elles taient imm diatement tu es et enterr es avec leurs peaux Lorsqu une mala die contagieuse faisait son apparition les ani maux malades et jug s incurables taien
127. ically ill patients Muscle Nerve 1987 10 129 135 7 Bolton C F Gilbert J J Hahn A F Sib bald W J Polyneuropathy in critically ill pa tients J Neurol Neurosurg Psychiatry 1984 47 1223 1231 8 Bolton C F Laverty D A Brown J D Witt N J Hahn A F Sibbald W J Critically ill polyneuropathy electrophysiological studies and differentiation from Guillain Barr syn drome J Neurol Neurosurg Psychiatry 1986 49 563 573 9 Bolton C F Young G B Neurological complications of renal disease Uremic neuro pathy 1990 5 pp 75 118 Butterworths Boston 20 10 Bolton C F Young G B Zochodne D W The neurological complications of sep sis Ann Neurol 1993 33 94 100 11 Castelbaum A R Donofrio P D Walker F O Troost B T Laxative abuse causing hy permagnesemia quadriparesis and neuro muscular junction defect Neurology 1989 39 746 747 12 Clowes G H A George B C Vill e C A Saravis C A Muscle proteolysis indu ced by a circulating peptide in patients with sepsis or trauma N Engl J Med 1983 308 545 552 13 Couturier J C Robert D Monier P Poly n vrites compliquant des s jours prolong s en r animation Lyon M dical 1984 17 247 249 14 Dalakas M C Inflammatory and toxic myopathies Cur Opin Neurol Neurosurg 1992 5 645 654 15 Danon M J Carpenter S Myopathy with thick filament myosin loss following pro
128. ice pr sident G Theves Secr taire g n ral Dr M Schroeder Membres A Betz D Hansen Koenig N Calteux G Kayser M Bruck R Wennig R Blum R Kraus coopt s Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales Administration Dr M Schroeder secr taire general 72 rue de Schoenfels L 8151 Bridel T l 33 96 08 Fax 352 33 96 08 Publicite M M Bruck 4 rue Barbl L 1210 Luxembourg T l 44 11 20 24 R daction Prof M A Dicato R dacteur en chef Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg Dr D Hansen Koenig r dacteur adjoint Minist re de la Sant 57 bd de la P trusse Luxembourg Le Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg publie des articles en fran ais en allemand et en anglais Les auteurs sont pri s de remettre leurs manuscrits dactylographi s en double ou triple interligne et en deux exemplaires au r dacteur en chef Les r f rences class es par ordre alphab tique doivent comporter dans l ordre a Le nom des auteurs et les initiales de leurs pr noms b le titre du travail c le nom du journal d le tome e la premi re page de l article f l ann e de parution Pour les citations d ouvrages une r f rence comportera dans l ordre outre les noms des auteurs et le titre du livre a la ville b l ann e de parution c le nom de la maison d dition ll est recommand aux auteurs que les articles soient succincts et
129. iel de chacun six livres Nitre pulverise demie livre Huile de vitriol demie once 85 ESSAIS SUR LES MALADIES CONTAGIEUSES DU B TAIL Avec les moyens de les pr venir amp d y rem dier efficacement Par M Cr Enc ancien M decin des Arm cs du Roi en Allemagne amp de fon Excellence Monleigneur le Feld Mar chal Comte de Razou mowski Hetrman des Cofaques Infpecteur de l H pital Imp rial de Paul Mofcow amp Membre de l Acad mie Imp riale des Sciences de Saint Perersbourg amp c Was A PARIS Ciesz N M T r iaro Libraire Quai des punue Peony Augyfins Saint Benoit es is x saasta AND Ai de 7 7 6 6 X ns nn 3 2 A ITS I FA ae nn se he W Essais sur les maladies contagieuses du b tail publi s Paris en 1766 Bruxelles en 1769 et distribu s galement Luxembourg Archives Nationales de Luxembourg R gime A Section XXII Liasse 3 Si l animal refusait de prendre les rem des On lui l vera la t te et on les lui versera dans la bouche l aide d une bouteille ou d une corne perc e et l on n abaissera la t te que quand on sera s r qu il aura aval Les l sions buccales seront lav es plusieurs fois par jour avec un m lange comprenant Excellent vinaigre Eau de vie Huile de lin parties gales Faites y fondre un peu de sel de Nitre Le tartre ou sous carbonate de potasse pos s de des propr
130. inanci re du Mouvement Actuellement prati quent 140 sportifs cardiaques Luxembourg Ville et Esch Alzette L analyse r trospective des param tres ob jectifs l admission des 266 sportifs t moigne d une grande prudence En effet la fraction d jection moyenne avec 48 et la capacit de travail cycloergom trique avec 144 W ne diff re que peu d une population normale Cette s lection de patients sans risque majeur illustre la prudence au d but des activit s qui peut tre expliqu e par le fait qu au d but on rencontrait un certain scepticisme dans le monde cardiologique luxembourgeois A l ex ception d un patient pr sentant un arr t car diaque mort subite pendant une s ance qui heureusement a pu tre r cup r par le m decin present sur place il n y a pas eu d inci dent majeur 8 A partir des bonnes voire excellentes carac t ristiques au d part il devient illusoire de vou loir montrer une am lioration de la survie de notre collectif qui a priori ne semble pas tre diff rente de la survie d une population nor male Jusqu aujourd hui il n existe pas de r ponse la question si le sport en pr vention secondaire peut am liorer la survie Un article de synth se qui a r sum 22 tudes cliniques a certes trouv des tendances favorables mais pas d effets statistiquement significatifs 11 D ailleurs il est peu probable ceci pour des raisons thiques et pratiques d organiser une
131. insi que la scintigraphie sont peu sensibles dans la d tection des l sions spl niques qui se pr sentent le plus souvent sous la forme d anomalies de petite taille ou encore sous forme d infiltration microscopique diffuse de l organe Toutefois un essai d identification des l sions spl niques est fondamental En effet pour ne prendre que l exemple du lymphome Hodgkinien l atteinte spl nique d termine la strat gie du traitement M me dans la m ta stase h patique du cancer colique l exp rience clinique a d montr que la r section de la m tastase ne peut tre curalive que si l on est certain qu il n existe Pas d autre localisa tion abdominale en particulier Spl nique Une mise au point d extension d un n o plasme doit absolument inclure une explora tion de la rate B Anatomo pathologie La rate anormale se presente soit sous la forme de splenomegalie r guli re Soit SOUS la forme d une ou de plusieurs masses intraspl niques Plus rarement la rate pathologique n a pas de traduction particuli re en imagerie m dicale Les masses spl niques peuvent tre divi s es en l sions solides et kystiques masses solides masses kystiques m tastases 1 kyste lymphomes 1 3 vrai kyste hemangiome 1 faux kyste hamartome 1 4 echinococcose angiosarcome 1 lymphangiome infarctus 1 abces 2 pseudokyste pancreatique _ hematome 2 Variantes 1 sous forme ky
132. is Neurochirurg mois Contre indications relatives majeures Chirurgie majeure accouchement avorte ment biopsie percutan e ou ponction vascu laire profonde end ans les deux derni res se maines e end ans les 3 derniers H morragie interne end ans les deux der ni res semaines Traumatisme majeur end ans les deux derni res semaines Hypertension arterielle majeure non contr lee Embolie distale post Fogarty An vrisme aortique ou poplit embolig ne Contre indications relatives mineures Occlusion de tout l axe vasculaire d un membre Coagulopathie non contr l e Insuffisance cardiaque ou r nale Grossesse et menstruations Retinopathie hypertensive h morragique diab tique Endocardite bact rienne Thrombus cardiaque Massage cardiaque r cent Contusion mineure Ulc rations digestives Des contre indications relatives d ordre technique doivent tre prises en consid ra tion telles que l ob sit ou l agitation du pa tient l impossibilit de ponctionner ou de ca th t riser le segment vasculaire occlus TECHNIQUES DE THROMBOLYSE LOCALE Art riographie diagnostique Devant une isch mie de membre Vart rio graphie diagnostique est indiqu e en fonction de la pr sentation clinique et de l examen Doppler et des options th rapeutiques envisa g es Elle est obligatoirement r alis e lorsqu un traitement thrombolytique local est pr vu et compre
133. it r enseignement post universitaire soit ee d formation m dicale continue post universitaire H Metz pr sident Luxembourg VIGNETTE HISTORIQUE BULLETIN DE LA SOCI T DES SCIENCES M DICALES LE TRAITEMENT DE MALADIES ANIMALES AU LUXEMBOURG pendant le XVIIIe siecle Georges THEVES Administrati nalres Luxembourg vices V t ri Bull Soc Sci Me d P 77 N 2 1993 auteur rappelle l aide de documents conserv s t la Biblioth que nationales du Grand Duch de ques aspects de la m decine des animaux de Luxembourg pendant le XVIII si cle carrefour de deux grandes cultures en a l ments pour en distiller un cru du terroir Il en est ainsi galement de l art de gu rir les animaux C est cel alliage de recettes de la m decine po pulaire des mar chaux et des premiers artistes v t rinaires ainsi que les premi res mesures sanitaires contre les pizooties appliqu es au Luxembourg que nous allons essayer d illustrer LA M DECINE POPULAIRE ET DES MAR CHAUX rem des de bonne fame de bonne renomm e d au s v res pr f rent les qualifier de rem des de bonne femme et les traitements par les mar chaux taient es sentiellement transmis par voie orale dans une soci t rurale en bonne partie illettree et dont les moyens de communication taient restreints Nos archives conservent cependant quelques manuscrits qui taient jalousement gard s par certaines fa milles S ba
134. ktive Antazid um das zytoprotektive Antazidum regeneriert und stabilisiert die Mukosa Barriere bei Reizmagen _ Gastritis Erosionen Ulzera Trigastril Tabletten Trigastril 75 Gel Trigastril 50 Granulat Zusammensetzung 1 Tablette enth lt Alumi niumhydroxidgel 607 mg 323 mg Alumini umoxid Magnesiumhydroxid 117 mg Calcium carbonat 100 mg entsprechend 25 mval Neu tralisationskapazitat Trigastril 75 Gel 1 Einzel dosis 10 ml 1 Beutel 11 87 g enth lt Alu miniumhydroxidgel 7752 mg amp 969 mg Alu miniumoxid Magnesiumhydroxid 350 mg Calciumcarbonat 300 mg Trigastril 50 Granulat 1 Beutel 3 1 g Granulat enth lt Aluminiumhydroxidgel 1214 5 mg 646 mg Aluminiumoxid Magnesiumhydroxid 233 mg Calciumcarbonat 200 mg Anwendungs gebiete Magenschleimhautentz ndungen Magen und Zw lffingerdarmgeschw re Ulcus ventriculi et duodeni sowie Entziindun gen der Speiser hre durch R ckflu von Mageninhalt Reflux sophagitis vor allem im Zusammenhang mit Beschwerden wie Sod brennen saurem Aufsto en und Schmerzen Magenbeschwerden durch Di tfehler und Medikamente Trigastril Tablett V llegef hl Gegenanzei en auch bei 5 gen Hypercalc mie Hyperm gnes mie Trigastril 75 Gel darf nicht angewendet werden bei bekann findlichkeit gegen p Hydroxybenzoes ureester Hinweis Bei schweren Nierenfunktionsst run CT gt eS A eee Oe ter Uberemp gen ist
135. lexes nouvelles conceptions diagnostiques et therapeutiques Dr Th Grisab Li ge 20 novembre 1992 Conf rence Les troubles circulatoires p riph riques physiopathologie et diagnostic Prof Dr D L Clement Gent 25 novembre 1992 S ance ce communication L expansion tissulaire au service de la chirurgie r paratrice Dr N Boulanger CHL Les shunts portocaves percutan s Dr R Dondelinger Li ge La Lp a un nouveau marqueur de risque cardio vasculaire Premiers r sultats Dr G Gilson Fr quence des anomalies g n tiques de l h moglobine au Luxembourg r sultats d une vaste tude anonyme Dr P Groff _ Extractions dentaires programm es un moyen valable pour r gler et pr venir certains d sordres orthodontiques Dr G Kay ser Ganglioneurome parasurrenalien droit avec variante de la vascularisation arterielle splanchnique Dr J N Beck Les 100 premi res admissions l unit de psychogeriatrie de l H pital National Psychiatrique Dr J CI Leners R le majeur de la charge osmotique alimentaire dans le trai tement du diab te insipide n phrog nique Dr F Prospert _ Situation actuelle de la drogue au Luxembourg Dr R Wennig _ Immunogenetique et diab te insulino dependant Dr F Hentges 9 decembre 1992 Conference en collaboration avec le Departement d Endocrinologie du CHL L avenir de l hypertension arterielle reside t il dans la gene tique Prof P Corvol Paris 10 d cembre 1992 Conf rence
136. lfert R Selkoe D Lieberburg I Schenk D Isolation and quantification of so luble Alzheimer s B peptide from biological fluids Nature 359 325 327 1992 Ld ss Signoret J L Hauw J J Maladie d Alzhei mer et autres d mences Flammarion M de cine Sciences 1991 5 Small G M Rosenthal M J Coexistence of Alzheimer s disease and diabetes mellitus J Am Geriatr Soc 40 1075 6 1992 58 STATEC Luxembourg Recencement de a population au 1 Mars 1991 Population m nages immeubles par subdivision territoriale Luxembourg 1992 59 Swanson L W Alzheimer s disease and corticotropin releasing factor JAMA 254 3085 3086 1985 Tagawa K Yazaki M Kinouchi T Maru jama K Sorimachi H Tsuchiya T Suzuki K Ishiura S Amyloid precursor protein is found in Lysosomes Gerontology 39 24 29 1993 61 Tagliavini F Giaccone G Verga L Ghiso J Frangione B Bugiani O Alzheimer pa tients preamylo d deposits are immunoreac tive with antibodies to extracellular domains of the amyloid precursor protein Neuros cience Letter 128 117 20 1991 62 Yankner B A Mesulam M M B Amylo d and the pathogenesis of Alzheimer s disease N Engl J Med 325 1849 57 1991 99 Pr valence de la d mence au Luxembourg Tranches d ge Total Habitants D ments EURODEM 0 10 D ments Luxembourg 22 232 Tranches d ge Total Habitants Alzheimer EURO
137. locytes neutrophiles N sur 100 granulocytes neutrophiles N sur 100 granulocytes neutrophiles Figure 3 R partition des scores EN 100 80 60 40 20 100 90 80 70 60 50 40 30 20 10 100 80 60 40 20 Score total 397 MPXI 9 0 MPXI 26 4 Score total ROME ont esse as a rat Se ERS No ERS END gt STEHT ER RER BREE SRSA SS INS SIERT SSS TEN S5 MPXI 61 4 Score total MPO obtenus par cytochimie Sujet normal Score MPO D ficience partielle en MPO Score MPO D ficience totale en MPO Score MPO 1200 1000 800 600 400 200 r warn E vir EP MN GS ANS 80 60 40 20 0 Figure 4 Diagramme de distribution des MPXI pour 13 919 personnes non s lectionnees N 62 52 42 32 Figure 5 Agrandissement de la z ne des d ficiences majeures de la figure 4 68 20 MPXI 22 MPXI nn Ree Ze Fausta D Angelo D onatella D Stefania D Diego D B N Famille D Famille N un membre totalement deficient en MPO Les chiffres Figure 6 Etude de 2 familles comportant all R r P p sont une suggestion pour une transmission repr sentent le MPXI Les lettres big nique de l anomalie 69 CORVATON g Anti arigoreux avec effet anti Ai Lee plaquettaire f THERABEL Pharma s a GROUPE PHARMACEUTIQUE cidre Ze RECHERCHE ET PRODILICTION DE MEDICAMENTS nepite 1aac
138. logie du thorax de l abdomen et de la moelle pi ni re la chirurgie de la t te et du cou la chi rurgie du myocarde et des coronaires la chi rurgie art rielle p riph rique la chirurgie de l oesophage de l estomac du colon et du rec tum la chirurgie h pato biliaire la chirurgie p diatrique Notre Bulletin de la Soci t des Sciences m dicales n est pas absent de la longue liste de r f rences D une num ration de 26 soci t s savantes dont il fait partie extrayons p ex l American College of Surgeons l American Surgical As sociation l American Thoracic Society le Ge neral Thoracic Surgery Club la Society of Head and Neck Surgeons la British Associa tion of Paedriatric Surgery l Association Fran aise de Chirurgie la Deutsche Gesellschaft f r Chirurgie la Soci t Internationale de Chi rurgie l Association Europ enne de Chirurgie Visc rale Il est membre de plusieurs comit s de r daction A propos de l volution de la chirurgie le professeur H W Schreiber de Hambourg crivait en septembre 1993 Die Chirurgie ist derzeit an einer wichtigen zukunftstr chtigen Wegekreuzung wir m ssen den richtigen Weg finden Herr Steichen ist dabei ein anerkannter Schrittmacher Ce tableau resterait incomplet si nous ne quittions un moment les hauteurs de l art chi rurgical et les rigueurs de la vie profession nelle L habituelle sobri t verbale du Dr Steichen fait place au lyrisme quan
139. longed paralysis with vecuronium during steroid treat ment Muscle Nerve 1991 14 1131 1139 16 De Smet Y Paralysie brachiale fronti re d origine non isch mique Acta Neurol Belg 1992 92 296 299 17 De Smet Y Etat de mal asthmatique Myopathie aigu cortisonique et neuropathie de r animation Rev Neurol 1993 149 sous presse 18 De Smet Y Jaminet M Jaeger U Ja cob J Neuray H Haus G Ledesch Camus D Meyers R Myopathie aigu cortisonique de l asthmatique Rev Neurol 1991 147 682 685 19 Dropcho E J Soong S Steroid indu ced weakness in patients with primary brain tu mors Neurology 41 1235 1239 20 ditorial Post asthmatic pseudo polio in children Lancet 1980 i 860 21 Editorial Steroids in acute severe asthma Lancet 1992 340 1384 1385 22 Du Bois D C Almon R R Disuse atro phy of skeletal muscle is associated with an in crease in number of glucocorticoid receptors Endocrinology 1980 107 1649 1651 23 Du Bois D C Almon R R A possible role of glucocorticoid in denervation atrophy Muscle Nerve 1981 4 370 373 24 Furlan A J Hanson M Cooperman A Farmer R G Acule areflexic HSE Asso ciation with hyperalimentation an ypophos phatemia Arch Neurol 1975 32 706 707 25 Goodman M Solomons C S Miller P D Distinction between the common symp toms of the phosphate depletion syndrome and glucocorticoid induced disease Am J M
140. maging of splenic iron overload Arrive L Thurnher S Hricak H Price DC Eur J Radiol 1990 Mar Apr 10 2 98 104 7 Focal lesions of the spleen preliminary re sults with fast MR imaging at 1 5 T Hess CF Griebel J Schmiedi U Kurtz B Koelbel G Jaehde E J Comput Assist Tomogr 1988 Jul Aug 12 4 569 74 8 MR imaging of focal splenic tumors Hahn PF Weissleder R Stark DD Saini S Eli zondo G Ferrucci JT AJR Am J Roentgenol 1988 Apr 150 4 823 7 Changes in proton relaxation times of the rat spleen during adjuvant induced immuno logic reaction Terrier F Revel D Hricak H Alpers CE Rein hold CE Levine J Higgins CB Invest Radiol 1986 Mar 21 3 221 6 0 Imagerie de la rate Denizet et Coll 40 33 605 A 10 4 1990 Cours d IRM de la Facult de m decine de Rennes Carsin et Coll Ann e acad mique 1991 1992 Computed Tomography of the spleen Federle M Moss AA Crit Rev Diagn Imaging 19 1 1983 1 16 48 13 Dynamic gadolinium enhanced MR ima ging of the spleen normal enhancement pat terns and evaluation of splenic lesions Mirowitz SA Brown JJ Lee JK Heiken JP Radiology 1991 Jun 179 3 681 6 Iron oxide enhanced MR imaging of the li ver and spleen review of the first 5 years Ferrucci JT Stark DD AJR Am J Roentgenol 1990 Nov 155 5 943 50 5 An attempt to characterize malignant lym phoma in spleen liver and lymph nodes with magnetic resonance imaging Nyman R Rhen
141. malposition sternale est moins significative voire inexistante La protrusion peut tre uni ou bilat rale Le type trois se caract rise par la pro minence chondromanubriale dans laquelle seuls le manubrium et les deux premiers cartilages costaux sont pro minents Ceci est habituellement associ une d pression plus ou moins S v re du corps sternal pectus excavatum La fr quence des malformations thoraciques est assez difficile valuer Selon l tude de ODELOWO au Niger l incidence est d environ 1 01 Le pectus excavatum est la plus fr quente environ 90 de toutes les malformations de la paroi thoracique Le pectus carinatum vient en deuxi me position les autres mal formations sont rares Selon SHAMBERGER la d formation chondrogladiolaire est la plus fr quente des anomalies de pro trusion 90 des cas Les anomalies asym triques ou mixtes sont beaucoup plus rares 10 des cas Dans moins de 1 des cas on trouve une d formation chondromanubriale atypique une d formation arqu e ou une pro minence manubrioster nale ll existe diff rentes th ories sur la physiopathologie des mal formations chondrosternales BAUHINUS en 1600 discute le r le du dia phragme dans le d veloppement de ces d formations LESTER a incrimin un tendon diaphrag matique sous sternal court mais cette tiolo gie n a pas t retenue Le tendon serait une cons quence et non une cause de la malposi tion
142. me Cd TRADEMARK amp p Voil les plaintes si courantes qu font imm diatement penser a l estomac Et il s agit presque toujours d un ralentissement de la vidange gastrique CISAPRIDE 5 MG LE MOTEUR DE LA DIGESTION 1 comprim ou mesurette 3 fois par jour avant le repas JANSSEN E PHARMACEUTICA grand dans la recherche gastro intestinale Cyprid Composition Comprim s 5 mg 5 193 mg de monohydrate de cisapride R 51 619 5 mg de cisapride par comprim Solut buvable 100 ml 1 039 mg de monohydrate de cisapride R 51 619 1 mg de cisapride par ml de solut buvable Formes modes d administration et conditionnements Comprim s 5 mg Emballage alv ol de 30 comprim s s cables Solut buvable Flacon de 100 mi de solut buvable avec mesurette de 5 ml la mesurette est pourvue de gradua tions 2 5 et 5 ml Indications Traitement de sympt mes postprandiaux tels que sensation de lourdeur sensation de pl nitude douleur pigastrique et naus es en l absence d une pathologie organique des organes de la digestion Posologie et mode d emploi Adultes 5 mg par voie orale 3 fois par jour 15 minutes avant les repas 5 mg 1 comprim ou 1 capuchon doseur du solut buvable Contre indications On ne conna t aucune contre indication absolue Effets ind sirables Au d but du traitement des crampes abdominales des borborygmes intestinaux et un ramollissement des selles peuvent se
143. n i n l absence de fi en plasmine est tr s lente e ie ie brine Le r t PA active de fa on cu ne plasminog ne adsorb au contact gt as plusieurs centaines de fois plus 2 wi nogene circulant et poss de un trop cifique pour la fibrine polym ris e l int rieur d un caillot Les inhibiteurs des activateurs du plasminog ne Le PAI 1 Plasminogen Activator Inhibitor 1 est le principal inhibiteur des activateurs en dog nes du plasminogene II s agit d un poly peptide cha ne unique dont le site actif est la liaison Arg346 Met347 Le PAI 1 emp che l acc l ration de la s quence fibrinolytique par un m canisme similaire celui des inhibiteurs de la plasmine Le PAI 1 est pr sent dans le plasma en concentration tr s faible sous forme potentielle dans les cellules endothe liales et sous forme active dans les plaquettes Les thrombus art riels ou veineux riches en plaquettes contiennent du PAI 1 en concen tration lev e et opposent une r sistance l activation du plasminog ne La prot ine C activ e r duit l activit inhibitrice du PAI 1 inhibiteurs de la plasmine De nombreuses prot ines plasmatiques in hibent l action de la plasmine l alpha 2 ma croglobuline l alpha 2 antitrypsine l anti thrombine 3 et l inhibiteur de la fraction C1 du compl ment Les 2 premi res mol cules sont les inhibiteurs principaux de la plasmine l alpha 2 antiplasmine est une glycopro teine inhibi
144. n de 64 sportifs pratiquant ce moment l pendant 1 5 ans en moyenne on a trouv une am lioration de la capacit de tra vail chez 40 alors qu une am lioration sub jective avait t trouv e chez 76 9 Par ailleurs cette tude avait montr tout d ailleurs comme la plupart des 22 tudes cit es plus haut que d autres facteurs de risque sont ga lement am lior s chez les sportifs cardiaques C est ainsi que le nombre de tabagiques avait t r duit de 76 6 et qu il y avait galement une tendance favorable dans l hyperlipid mie et la surcharge pond rale 9 6 ans plus tard pour une dur e d observa tion moyenne de 3 7 ans les chiffres restent pratiquement les m mes avec 40 de pa tients qui ont am lior leur capacit de travail cycloergom trique el 70 qui se sentent mieux sur le plan subjectif Cette am lioration de la capacit de travail cycloergom trique est d crite depuis de longues ann es dans la r ducation des cardiaques Il faut cependant se m fier d attribuer cette am lioration la seule am lioration de la fonction myocardique car l am lioration de la musculature p riph rique semble jouer un r le tr s important 4 6 D ailleurs la fraction d jection initiale ne per met pas de pr dire cette am lioration La spiroergom trie permettant d analyser exactement la consommation maximale d oxy g ne VOS max refl tant le facteur myocar dique pourra tre utilis e dans
145. nant de l Est par la vall e du Danube enva hit l Italie la France l Allemagne la Hollande et l Angleterre Lancisi 1654 1720 professeur d anatomie Rome depuis 1684 el m decin de trois pa ue t ger les pes prescrivit pour proteg Etats de l Eglise les mesures sanitaires dont core de nos Services v t rinaires s inspirent ent NOS jours pour combattre une epizoolie Mal heureusement ses conseils judicieux n taien PAS Suivis et la campagne de Rome perdait quelques trente mille bovins en sept MOIS Le 15 septembre 1714 le Duc de Bavi re Gouverneur g n ral du Luxembourg Si des certaines mesures de protection du b tail Pays Bas autrichiens Comme la MO parmi les B tes Cornes dans les Pais vois Si donnons en Mandeihent nosTr s Cher amp Feal Chers amp Feaux les Gouverneur Pr fident amp Gens denos Con feil Provincial de Luxembourg Tr s Cher amp Feal Cher amp Feaux les Gouverneur Prefident amp Gens den tre Con feil Provincial de Namur que cette n tre prefente Ordonnance il dans les Villes amp Lieux o l on eft accoutume de faire Cris amp Public qu il appartiendra de tenir la main fon ex cution fans port faveur nidiflimulacion quelconque amp de la faire obfer ER ponctucllement la charge de ceux quiy contreviendront D toit paraph Z ve Ke plus bas en abfence du Secreraire figne chee de S A S E en hoftie vermeille fur une Eftoille de Papier Chez Axpx
146. nd le membre ischemique en totalit Pour une isch mie du membre infe rieur un abord f moral h t rolat ral est habi tuellement r alis et un abord axillaire gauche pour une occlusion aorto iliaque ou un pon tage aorto f moral occlus La ponction f mo rale homolat rale r trograde est proscrite Les pontages extra anatomiques axillofemoraux sont tudi s par l abord axillaire erben dant les pontages femoro femoraux par a controlat ral ou axillaire Une nee membre sup rieur est explor e par un re f moral Quand les voies f morales 2 cluses un abord axillaire h t rolat ra de Cath t risme via la crosse aortique O abord axillaire homolat ral ant grade ra tre exceptionnellement r alis s L art nn phie montre le niveau proximal de l occlus et la qualit de la vascularisation d amont Toute st nose significative situ e en amont de l occlusion doit tre dilat e avant la thrombo lyse locale En fonction du type d occlusion l arteriogra phie appr cie la longueur du segment occlus la qualit du r seau de suppl ance et du lit d aval et identifie la cause sp cifique de l oc clusion comme une ang ite radique un an vrysme ou une st nose ulc r e emboligenes Une ponction art rielle unique sans travers e de la paroi post rieure de l art re f morale est r alis e afin de minimiser le risque d h morra gie du point de ponction au cours du traite ment Mise en place du dispositif d
147. nderungen und Entz ndungen der Lunge Hautreaktionen Blutbild ver nderungen Cave Funktionsst rungen der Schilddr se en unosformen und Packungsgr en Urospasmon Packungen mit 20 und 50 Tablet ten Urospasmon sine Packungen mit 20 und 50 Kapseln Anstaltspackungen HEUMANN Stand D PHARMA GMBH amp CO 8500 N rnberg 1 Postfach 2260 erteilen Litt rature et chantillons ACTESSA S A Groupe C P L 4005 ESCH SUR ALZETTE NURNBERG MA IRE caillot mais qui se r solvent rapidement sous l effet de la poursuite du traitement Des antal giques sont administres a la demande du pa tient et le m canisme des douleurs soudaines est expliqu au patient Apr s la thrombolyse et le retrait des cath ters une h parinoth rapie efficace est mainte nue pendant 1 2 semaines relay e par les anticoagulants oraux ou l aspirine au long cours 9 L h parinoth rapie est conseill e Car apr s un traitement de plusieurs jours la consommation des r serves en Plasminog ne a puis les possibilit s de la fibrinolyse en dog ne et expose le patient la formation de thrombus TECHNIQUE DE THROMBO ASPIRATION PERCUTANEE L abord percutan est obligatoirement homo lat ral et ant grade pour l aspiration de caillots f moro poplit s ou distaux 10 17 Une valve h mostatique permettant l introduction du ca th ter d aspiration est mise en place Les ca th ters d aspiration pr sentent une lumi re l
148. ns do tes modernes LE TEMPERAMENT LHym cd yflope eft chaud amp feche au tiers degre NT Es VERTVS ET OPERATIONS Ladecodis d Hyflope auec figues ruc amp miel boulies enfemble a eau beud profitte ceux ij qui s de L hysope d R Histol Plantes Traduction fran aise par Charle embert Histoire des Plantes U p ras ire des Sciences Bruxelles 1978 l Escluse 1557 Facsimil Centre National d Histo Une eau contre l inflammation des yeux M dans 2 5 litr l j nt 1 poign e de sel Se ever val de la t te langer de l alun et du sucre blanc chaque aux membres avec la pr paration refroidie en substance de la grosseur d un pois avec le frottant la peau avec quelques feuilles de ta blanc d un oeuf Etendre un linge propre sur un bac A r p ter le lendemain avec le reste de la verre vin et filtrer le m lange en y ajoutant en solution core une bonne pinc e de sucre Le filtrat donne une eau oculaire pr cieuse dont on ap La nicoti i sans aucun plique chaque jour quelques gouttes dans les cotine du tabac noir es yeux souffrants l aide ae doute un insecticide efficace 81 Une autre recette contre les maladies des yeux Prendre chez l apothicaire 1 2 once de bolus orientalis argile rouge 1 4 d once de vitriol blanc sulfate de zinc et 1 2 once d alun Pulv riser ces 3 substances et chauffer dans une po le pour faire vaporer toute humidit jusqu
149. nt all grement un arbre dans sa belle propri t de Larchmont New York au bord du Long Island Sound qui est un bras de l Oc an Atlantique Notre illustre COM patriote manie toutes les lames tranchantes avec un gal bon heur Biographie certes non hagiographie moins encore ces modestes lignes ne pr tendent qu esquisser un itineraire qui laisse deviner l infinit des petits et la multitude des grands as ayant conduit de l enseignement secondaire subi au Kolle sch Athen e de Luxembourg l enseignement uni versitaire dispens au New York Medical College Faculte de m decine 71 En accompagnant pendant quelques ins tants ce cheminement cette ascension le lec teur pourra respirer l air des cimes Les ann es d apprentissage commencent au Cours Superieurs de Luxembourg 1946 1947 se poursuivent la Faculte de m de cine de Lausanne puis Lakewood Ohio La formation en chirurgie a pour th tre la Johns Hopkins University School of Medicine Johns Hopkins Hospital et City Hospitals Baltimore Elle aboutit une double sp cialisation Boards en chirurgie g n rale et en chirurgie thoracique ne pas oublier pour rien au monde le Doctorat en m decine chirurgie et accouchement signifiant l aval obligatoire du jury luxembourgeois de l poque ni les exa mens exig s pour l exercice de la m decine dans l Etat du Maryland l Etat de New York et l Etat de Pennsylvanie State Boards
150. nt ou pr vention du bronchospasme dans les bronchopneumopa thies obstructives telles que l asthme bronchique la bronchite chronique l emphys me pulmonaire les pneumoconioses Pre tra tement ouverture des vores respiratoires avant inhalation d a ro sois d antibiotiques de mucolytiques de corlicosteroides de cromogly cate disodique ou de denves de la theopnyline Contre indications Tnyreotox cose Stenose hypertrophique d opathique subaortique Hypertrophie prostatique Pr cautions particuli res On utihsera le Duovent avec prudence dans les affections cardiaques accom pagnees de tachycard e ou de tachyarythmies On vitera la prescription simultan e d autres substances sympathicomimetiques Utilisation au cours de ta grossesse Bien qu aucun effet d l t re ne soit apparu chez z l animal on vitera par pnn ove d administrer le Duovent durant les trois premiers mors de la aiossesse as cours de la p node pr c dant imm diatement l accouchement ti convient e tenit compte du fait que le tenoterol exerce galement un effet tocolyl que Boehringer Ingelheim 1285 alls INGELHEIM ete D U Ove Nn t a rosol doseur n R ul tement des ettets 8 nstiate Qu exce plonnelte Effets secondaires ga mt C umetaur et pratiquement con aa gt eLO Au dosage fect Z st de secondat s is secondare ae natun A dose eleve is abe aux sympathicon F s os des palpitation arr
151. oit moins de 0 1 de toutes les malformations ant rieures de la paroi thora cique Ce cas est en accord avec la th orie phy siopathologique de SANGER selon laquelle l hypercroissance des cartilages est le point de d part de la malformation La malformation atteint les cartilages costaux inf rieurs n en tra nant aucune pression Sur le sternum ni au Cune deviation de celui Ci u Le traitement propos tait uniquement a vi see esth tique et a consist en une r section Simple des cartilages d form s Aucun geste n tait n cessaire sur le sternum La stabilit thoracique et diaphragmatique est pr serv e La cicatrice sous mammaire est discr te CONCLUSION Les d formatio ont t classifi es en an sternale de d pression st sternale et d absence COS neuse ns thoraciques cong nitales omalies de protrusion ernale de fusion tale ou cartilagi La d formation cartilagineuse pr sent e ci dessus entre dans le type deux des anomalies de protrusion Le sternum est pr serv seuls les cartilages costaux inf rieurs sont vers s La pathologie est bilat rale Nous avons propos cette patiente une in tervention minima vis e esth tique Les suites op ratoires ont t simples REFERENCES Bauhinus l Sterni cum costis ad interna reflexis spirandi difficultatis causa Frankfurt 1600 Ed Schenk amp Frankenberg 2 Brodkin H A Congenital chondrosternal prominence pigeon brea
152. ombus est infiltr par l agent thrombolytique tout en reti rant le cath ter ou le guide injectable dans sa portion proximale L infiltration locale a pour but d activer directement le plasminog ne contenu dans les mailles du caillot titre indi catif 5 000 30 000 unit s de SK ou 75 000 200 000 unit s d UK sont infiltr es Pour une occlusion longue de plus de 10 cm un cath ter F3 orifices lat raux est utilis et pour une occlusion bipolaire l infusion est pratiqu e si multanement aux deux niveaux travers un cath ter coaxial externe et un guide injectable 27 Fig 5 La dose thrombolytique horaire est r partie entre les deux syst mes d infusion D s que le cath ter ou guide injectable est mis en place dans la portion proximale du thrombus il est connect une pompe automatique r glable Le patient est port avec pr caution dans son lit en vitant tout d placement de cath ter Il est ventuellement n cessaire d immobiliser de fa on sommaire par des at telles un membre inf rieur ou sup rieur Protocoles d infusion La SK l UK et le r t PA sont utilis s en pra tique courante Les protocoles d infusion lo cale d crits sont tr s variables et reposent sur des constatations empiriques uniquement Ils peuvent tre s par s en protocoles lents et ra pides Les doses d infusion horaire de SK va rient de 5 000 30 000 unit s et les doses d UK de 25 000 100 000 unit s
153. ons lectives Fig 1 Les occlu sions emboliques cardio art rielles ou art rio art rielles partant d une plaque ulc r e sous clavi re par exemple sont plus fr quentes qu au niveau des art res des membres inf rieurs 5 8 thromboses aigues ou chroniques des ar t res des membres inf rieurs d ge variable des thromboses iliaques de 12 mois f moro poplit es de 3 mois et surales de quelques se maines peuvent r pondre la thrombolyse lo cale 9 Quand l isch mie aigue est mal tol r e avec signes de souffrance sensitivo mo trice l intervention est de r gle Seules les as pirations percutan es effet imm diat sont autoris es en fin d art riographie 10 11 De vant une occlusion chronique iliaque ou f mo ropoplit e la thrombolyse locale peut prece der la recanalisation percutan e Cette tech nique bien que plus longue et plus fastidieuse que la recanalisation percutan e d embl e a l avantage de d masquer la ou les st noses sous jacentes et convertit une occlusion ten due en st nose limit e facile traiter 12 Elle minimise galement le risque d embolie distale 13 Fig 2 embolies distales survenant au cours d an gioplastie ou de recanalisation percutan e condition que le flux d amont soit pr serv ou ait t r tabli par angioplastie ou mise en place d une proth se m tallique en cas de dis section occlusive et que l embol traiter ait pu tr
154. orro des internes situ es profond ment toires qu pour le traitement es inflammations et le i is j lications cas 1 suppositoire 1 2 fois jour ou 2 4 app di la partie pr An irrit e ou sur les h morroides externes on utilisera les supposi Afin de Permettre une introduction hygi nique de Ceux ci 10 doigtiers sont Joints l emballage des Suppositoires seulement Contre indications Processus tuberculeux de la r gion anale Pr sentations Pommade Suppositoires Formula Pommade 1x20g 1 x 10 suppositoires Triamcinolon acetonid 0 25 mg Lidocain hydrochlorid 50 mg Paraffin liq Polyethylen q s ad 1 g Triamcinolon acetonid 0 5 mg Lidocain hydrochlorid 50 mg Adeps synth d rog n 42 615 Adeps solidus q pro sup posit uno Suppositoires D livr sur ordonnance m dicale rma Will embOurg Anvers 35 Luxembourg Ville d Rue mbourg _ Luxe ar 48 83 60 M me si dans notre collectif de sportifs car diaques nous avons t pargn s de compli cations majeures pendant les s ances d en trainement l volution individuelle de la mala die coronarienne chez un certain nombre de nos sportifs a t tr s impr visible et de ce fait les sportifs cardiaques doivent tre sur veill s de fa on r guli re et syst matique Dans ce contexte il faudra se m fier d une commercialisation du sport pour cardiaques telle qu on peut l observer de plus en plus ga
155. ou d une neuropathie induite par pancur nium et ou aminoglycoside Un BNM prolong n ostigmine r sistant peut en effet se voir apr s curarisation et ou antibioth rapie ami noglycosides t tracyclines lincomycine et d riv s polymyxine rarement chez des pa tients sains le plus souvent en cas d acidose respiratoire d hypermagnesemie d hypo phosphor mie de d faillance multi syste mique et ou de polym dication 29 35 40 L insuffisance r nale interviendrait soit comme composante de la d faillance multi syst mique en cas de CIP 9 soit comme fac teur favorisant les troubles neuromusculaires dus aux curarisants et ou aux antibiotiques par d faut d limination 42 Elle peut aussi in duire en cas de traitement associ par anti acides et ou laxatifs une hypermagn s mie qui parfois d s 4 mEq l peut produire une pa ralysie aigu ar flexique sur BNM sans amyo trophie ni trouble sensitif mais avec participa tion cr nienne et signe de Babinski 11 40 Toutefois des valeurs normales hautes de la magn s mie peuvent d j favoriser une BNM sur curarisant 42 L hypomagn s mie peut elle induire une rhabdomyolyse 1 L EMG permet d exclure un BNM iatrog ne curarisants antibiotiques phosphore ma gn sium ou essentiel myasth nie Mais en l absence de toute contraction musculaire vo lontaire en cas de TAAA compl te il ne peut reconna tre que la seule polyneuropathie axo
156. parel Wy a hb ration dune e 3 ALLER que i inspiret parla non en an espirahon Re et 2 gt le soe ba expirer lentemen on SUF Tt eaten urs lee d acte DOYE ection pou G Le J 2 7 Rene ie capucn ee 8 Remettre art ego oF Be see contr ler le niveau du hquide AUSS taut p Des au il paran vide la soupape Peut a ne de tois ne diza i gt men a un patat etat de proprete IIpeutelte uf ace p ganS SNS Ne f ambout buccal Le gt chaus suus pression ine gt tre ouvert avec 2 gt yeneures 50 C demem vent au netoye tale mer DU mp Pe ose 2 violence ni exP as net ps e pet 5 L opacit du flacon M tier ta er erature gt soul puccal contenant 30 mg de tenoterol erm 400 doses Pr sentation um A rosol doseuf de Of 5 v cartouche Syrop mure d P et 12 mg de Validit NS tal Su H are topan E yN yyl heny 4 hydroxybenzyl a Formule groxy 850P and 0 G sorbitan tnoleas Monotiuorotichloto SD y l oprom d n Tetratiuorodichioroaethan as pro 15 mi ol hy meth amino aelhan of ni Diftuorod C Ges 00 poutt es 409 nger nv Boehring ce Park Vesalius SCIE E Avenue Ariane r l 02 773 33 11 1200 Bruxelles nn Compte rendu de l Assembl e Generale du 31 3 1993 Le pr sident se f licite du succ s des s ances de pr senta tion qui ont attir aussi ce soir de nombreux membres et il rel ve la pr sence du
157. peroxidase detection d limitation des tats partiels et totaux incidence pathologie g n tique Le Dr F licien M Steichen ou Un itin raire exemplaire du Kolle sch de Luxembourg au Medical College de New York Compte rendu de l Assembl e g n rale de la Soci t des Sciences M dicales VIGNETTE HISTORIQUE Le traitement des maladies animales au Luxembourg _ Relev des r unions scientifiques N Boulanger et al C Delagardelle et al R F Dondelinger D Janssens et al M Keipes et al D Kutter et al asus ses nsnennssesaerares 17 23 41 51 61 71 75 77 91 Nomenclature des laboratoires et firmes ayant annonc dans le pr sent volume Asta Medica Boehringer Ingelheim Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois Heumann Pharma Cyanamid Benelux S A Integral S A Luxembourg Madaus Troponwerke Janssen Pharmaceutica Mondorf Domaine Thermal Philips S A Luxembourg Prophac S A Luxembourg Boehringer Mannheim P Fabre Marion Merrell Dow Schwarz Ph Therabel Pharma will Pharma Luxembourg Laboratoires Wyeth S A arma postprandi en Uh Il ma f J g Cyprid r tablit la coordination perturb e entre l antre et e a amy br lure le duodenum de sorte que l estomac se vide de nouveau e de il se doit ou de douleur pigastrique com
158. pr sident honoraire Raymond Schaus et du se an Neuen Pour cette raison il cr taire g n ral honoraire Je JUI compte r duire la partie administrative un MINIMUM ll constate avec satisfaction que le nombre des membres de la soci t continue augmenter el s l ve 951 dont 878 ont vers leur cotisation en 1992 Ont t ray s par d cision du comit les membres qui n ont les ann es 91 et 92 10 m decins pas pay leur cotisation pour t rinaires 5 pharmaciens et 1 m decin dentiste 3 m decins v fait un total de 20 Cette ann e il n y a pas un biologiste ce qui eu d augmentation de cotisation qui s l ve donc 800 francs tation remonte l ann e 1986 Nous avons La derni re augmen eu 33 demandes d adh sion dont 20 m decins 4 m decins v t rinaires et 9 pharmaciens emercie les ministres de la Sant et de la Culture pour leurs subsides Il exprime aussi sa reconnaissance a tous les coll gues du conseil d administration pour leur aide efficace et souligne la bonne collaboration avec le secr taire g n ral Dr Mathias Schroeder et son adjoint Monsieur Albert Michels Ensuite il fait le relev des r unions scientifiques au cours de l ann e 1992 qui a de nouveau t impressionnant avec un nombre de 36 comprenant la s ance de communication et aussi les conf rences organis es en collaboration avec l Union Natio nale des Pharmaciens Luxembourgeois deux symposiums en semble avec l
159. produire Dans ce cas il vaut mieux diminuer temporairement la dose Si l efficacit du traitement est ainsi compromise on envisagera de passer un autre traitement ou d ajouter un autre traitement Une c phal e et des tourdissements de nature passag re ont t signal s Ceux ci sont cependant peu fr quents Des cas isol s de convulsions ont t rappories sans qu on ait pu montrer un lien manifeste avec le traitement par Cyprid Toute information compl mentaire peut tre obtenue sur demande Malformation cong nitale des cartilages costaux rapport dun cas N BOULANGER P KNIPPER N CALTEUX Service de chirurgie plastique et re constructrice Centre Hospitatier de Luxembourg Bull Soc Sci Med p 5 N 2 1993 Les malformations cong nitales de la paroi ant rieure du tho rax ont t classifi es par RAVITCH en anomalies de d pres sion sternale pectus excavatum ou funnel chest anomalies de protrusion sternale pectus carinatum ou pigeon chest anoma lies de nombre des c tes ou des cartilages costaux et anoma lies de fusion des composants lat raux du sternum aboutissant la fente sternale cleft sternum SANGER classe les anomalies de protrusion en trois types anatomiques Le premier type est la protrusion sym trique du sternum et des cartilages costaux C est la chondrogladiolar prominence selon BRODKIN Dans le deuxi me type la pro trusion lat rale des cartilages domine le tableau la
160. r ses fruits les premiers artistes v t rinaires dipl m s s loignaient progressivement de la polyphar macie exag r e des mar chaux pour tablir des ordonnances moins longues lls se basaient certes comme aux temps ja dis sur une th rapeutique d inspiration tradi tionnelle mais pur e par la critique rationa liste et par l exp rience E Leclainche du si cle des Lumi res Au cours du XIXe si cle la m decine des ani maux pratiqu e enfin par de vrais profession nels les v t rinaires dipl mes des Ecoles de m decine v t rinaire d Europe aura encore essuyer pendant des d cennies l affrontement des charlatans et rebouteux de toutes sortes avant d tre prot g e par les autorit s natio nales Les pratiques compagneront encore Ion ment de l Art de gu rir les a Science v t rinaire de m decine populaire ac gtemps le chemine nimaux a la x Je tiens a remercier armacien du soutien a l analyse des REMERCIEMENTS Monsieur Marc Bruck ph qu il a bien voulu m apporter termes phyto pharmaceutiques BIBLIOGRAPHIE Archives Nationales d i B Liasse 15 x Oe Archives Nationales de nn gime A Section XXII sr een de f u be S maladies contagieuses t d y rem dier effica moyens de les pr venir El en Paris 1766 Le m me ouvrage a et e Luxembourg R eh x Ag a Royale de Bruxelles en ux Re im Liasse 35 gime A Section VIII 3 r Blanc
161. rap port d taill fut publi le 5 ao t 1796 a Impri amp LE Chap XX V De la Guymaulue Ibifeus Theophrafti Abutilon Anicenne Althea Guymaulue LA FORME Vymaulue eft fort femblable aux autres Maulues beaucoup tout s amp bien pres velues lefquelles en gr deur esfois plus blanche amp plus s douce elle a les fueilles rondatres blanches douce l lles des Maulues vulgaires La tige Agure refemblenc pres aux fuci efemblent en figure celles de la Maulue fauuage ap lea ur vient tres La racine eft grande amp grofle blanche par edens amp vifqueufe Lafeconde efpece de Guymaulue defcritc par Theophrafte a aufi fucilles rondatres bl ches 2 Ouces amp bien pres velues comme l autre Guymaulue beaucoup toutesfois plus grandes bien Pres femblables en forme amp en grandeur aux fueilles de la Courge Les tiges font longues grof uis apres viennent de calycu ce fortes fur lefquelles croilfent entre les fueilles Heurs iaulnes p cs ployez qui conuenent la graine ft rode amp droicte Les fleurs lagraine commc aux aut toire des Plantes Traduction fran aise par Charles mbert His oire des Sciences Bruxelles 1978 ens Re a National d Hist La guimauve d apr s DO 6 Centre de l Escluse 1557 Facsimil 87 merie du D partement des For ts Luxem bourg Parmi les traitements pr ventifs adminis trer aux animaux sains en apparence m me quand ils para tront jouir
162. rses esp ces d ombelliferes du genre Ferula favorise la digestion limine les gaz in testinaux et agit comme expectorant Bardane Radix bardanae contient de l inu line et des mucilages Les racines taient utili s es comme diur tique diaphor tique et d puratif Buglosse utilis e comme mollient expec torant et antidiarrheique Guimauve dont la poudre mucilagineuse couvrant la muqueuse digestive et diminuant la r sorption intestinale agit contre les inflam mations stomaco intestinales La poudre tait er en utilis e comme expectorant anti ussif 88 Vip rine contient les m mes alcaloides que la buglosse et tait utilis e dans le m me sens que la pr c dente Quinquina dont l extrait la quinine excite la s cr tion salivaire augmente le p ristaltisme stomacal et active la s cr tion biliaire il est uti lise comme tonique et anti infectieux Si par malheur la maladie continuait pro gresser il fallait abattre les malades et les en fouir avec leur cuir sept pieds de profon deur dans une fosse qu on pratiquera la dis tance d une demi lieue de la commune En ef fet il serait vain de poursuivre le traitement at tendu la d composition totale de la machine sic et l impossibilit de pouvoir les gu rir L enseignement donn aux premi res coles de m decine v t rinaire Lyon 1762 Alfort 1765 Vienne 1767 Hanovre 1778 commen a peu peu porte
163. s de projections corticaux et des neurones d as sociation cortico corticaux22 F Les d ficits m taboliques ont t mis en vi ence gr ce la tomographie d mission po sitonique fixation d oxyg ne ou de glucose 54 marqu ainsi que par l tude de la perfusion c r brale au moyen de la tomographie d mis sion monophotonique On a observe un ph nom ne de d couplage entre les r gions associatives frontales et pari tales d une m me h misph re ainsi qu entre les r gions correspondantes de l h misph re controlat rale Il para t tabli que les perturbations me taboliques pr c dent les manifestations cli niques ainsi le cortex bien que d j atteint poss derait une capacit de r serve ou de compensation Le fait que la topographie des perturbations m taboliques correspond celle des l sions histologiques renforce nette ment l id e de corr lation entre la clinique et la l sion histologique Finalement reste la question qui existe en premier les l sions neuronales ou les d ficits de neurotransmission Les d ficits ne sont ils que la cons quence des l sions histolo giques V GENETIQUE La s quence en acides amin s de la pro t ine B amyloide des d p ts amyloides c r bro vasculaires est identique dans la maladie d Alzheimer et dans la trisomie 21 Dans la tri somie 21 il y aurait UNE expression exag r e du g ne codant pour le pr curseur d une forme plus in
164. s le d veloppe ment de la maladie Tout parle en faveur d un polymorphisme g n tique dans les d mences de type Alzheimer familiales avec une expression et une p n trance tr s variable Les recherches dans le domaine de l histo compatibilit ont permis d identifier une faible association avec l antigene HLA A2 On sug g re ainsi que l antig ne HLA A2 poss de un r le mineur dans la maladie d Alzheimer ou un r le majeur dans un de ses sous types Celle tude avait aussi montr que les sujets atteints de maladie d Alzheimer d but pr coce pos s dent cet antig ne HLA A2 de fa on signifi cativement plus fr quente que ceux qui res tent indemnes II semblerait que la presence de l antig ne HLA A2 marque surtout les cas d Alzheimer sporadiques et non les cas fami liaux VI HYPOTHESES ETIOLOGIQUES Malgr les progres consid rables en re Cherche les hypoth ses neuropathologiques restent controverses quant au r le des fac teurs g n tiques toxiques viraux et auto im muns 3 54 6 ulier de l volution des id es et des connaissances propos de la maladie d Alzheimer des auto anticorps diri g s contre les antig nes c r braux contre des neurofilaments contre les d g neres cences neuro fibrillaires ou contre certaines Populations de neurones ont t identifi s L origine et la destin e de CES anticorps res tent obscures Le r le d une certaine auto IM munit dans ce
165. s reueftuesde fueilles eftroi Fee aucunement refemblas aux fueilles de la Lauan plus petites touresfois amp plus verdes Les fleurs croiffent au f met de la tige par petis bouquets bien y A pres en forme d elpi mais feulement d vn coft de la tige A pres les fleurs pafles furuient la femence noiz en petis calycules d ou les fleurs font tomb es a racine eft noiratre amp ligneulc 2 Il fe trouuc encores vne autre efpece d Hyflope a amp plant e par les Herboriftes laquelle refern i a cunement l autre de tiges amp fueilles fino que es branches font plus courtes amp plus fort pendans la terre les fueilles plus noiratres or p Us efpeffes de gouft plus amer que l Hyilope com ee Les fleurs refemblent affes aux fleurs de l au for Pa flope d vne belle couleur bleue obfcure amp u ort amaflees enfemble au tour du fommet de ar ebien pres en forme d vn efpi court amp bi gar a racine eft ligneufe comme celle d l autre Hyf ee LE LIEV Yope ne croift point de foymelme en ce dais Outestois on la trouuc plant e par tous les iardins LE TEMPS Hyflope fleurit en Iuin amp Iuillet amp LES NOMS fo efte herbe Fappelle prefent s Boutiques Hyf Ki M amp C Yfopus amp l felon en Fran ois Hyflope en eman Byfop Byfope amp Yfope combien toutesfois que cefte herbe ne foit pas la vraye Hyflope de la quelle Diofcoride Galien amp les Anciens cfcriuent comme eft affes demonftr par quelques ge
166. s son segment moyen F rd f moral homo fi 1e Bon r sultat apr s thrombo aspiration percutan e pr atiqu e par un gpa at ral 38 ro f moral en fin de thrombolyse locale Fig 5 Patiente g e de 76 ans pr sentant une isch mie subaigu du membre sup rieur gauche depuis 52 heures L art riographie sous clavi re gauche montre des caillots non occlusifs de la portion proxi male de l art re sous clavi re et une occlusion de l art re humerale Fig 5 B Un cath ter co axial externe F7 com portant des trous lat raux est plac dans le caillot de l art re sous clavi re gauche et un guide injectable dans le thrombus de l art re hum rale 5000 unit s de SK sont perfus es par heure 3000 unit s dans le cath ter 2000 unit s dans le guide injectable Fig 5 C Reperm abilisation des art res du membre sup rieur apr s infusion d une dose to tale de 95 000 unit s de SK pendant 17 heures 39 Die Haut Transportorgan der Therapie M Die transdermale Medika tion kann auf eine lange Geschichte zur ckblicken Schon dem aus der griechi schen Antike bekannten Diachylon Pflaster einer Mischung von Oliven l Blei oxid und Wasser wurde bei Anwendung auf der Haut ein sedativer Effekt zuge schrieben WE Die Hauptbarriere f r alle Arzneistoffe stellt immer das Stratum corneum dar das aus abgestorbenen keratinisierten und dehydrati sierten Epidermiszellen A best
167. s sont touch es par une pathologie dementielle Et parmi ceux ayant plus de 80 ans la pathologie concerne environs 20 Si la majorit des auteurs d crit une ascen sion de la pr valence avec l ge selon cer taines hypotheses un plateau serait atteint a 70 ans C a d l incidence n augmenterait pas d avantage au del de cet ge hypoth se peu confirm e en observan chiffres t la plupart des 52 En 1981 Hagnell et coll ont d crit un l ger d clin de l incidence de la pathologie demen tielle apr s une p riode d observation de 25 ann es Le fait est certainement li l volution de la pr cision des crit res diagnostiques L tude EURODEM r alis e entre 1980 et 1990 par de nombreux centres europ ens gt 5 d crit la pr valence europ enne fous types de d mence confondu Pour les diff rentes tranches d ge la pr valence peut tre trouv e dans le tableau n 1 La pr valence de la de mence est significativement plus lev e chez l homme que chez la femme Concernant la fr quence et la distribution de la maladie d Alz heimer en Europe cette m me tude a mis en vidence une pr valence qui augmente de fa con exponentielle avec l ge cf tableau n 1 En absence d une evaluation pr cise de la pr valence des personnes dementes vivantes au Luxembourg l tude de la pr valence de nos pays avoisinanis combinee aux chiffres publi s par le STATEC en 1991 permet d
168. se de Chirurgie plastique Reconstructrice et Esth tique Le traitement des pertes de substance aun G Heldenstein La lipectomie sous cutan e par aspiration Drs N Calteux G Sainte Rose N Serri re P Schmitz La rhinoplastie Dr A Hebisch L otoplastie Dr A Hebisch g septembre 1 992 en collaboration avec le Centre Hospitalier de Luxembourg The state of art of the retransplantation of the upper extremety Dr James B Steichen M D Indianapolis 23 septembre 1992 Conf rence en collaboration avec le Centre Hospitalier de Luxembourg L hospitalisation d centralis e une option pour l informatique prof F Roger UCL ement d H matologie canc L R Dondelinger Liege E M Dicato CH F Ries CHL elles C Allavena Nancy Conf rence iveau de la face Dr Conf rence 93 30 septembre 1992 Conf rence en collaboration avec la Soci t Luxembourgeoise de M de cine Esth tique La pathologie de l ongle traitement m dical et chirurgical Drs J Delescluse Bruxelles J L Bovet Bordeaux 2 octobre 1992 Conference en collaboration avec le Syndicat National des Medecins Ve terinaires Comm moration du Bicentenaire de la M decine V t rinaire au Grand Duch de Luxembourg Le V t rinaire d Hier et de Demain Prof V Bienfet Liege 9 octobre 1992 Conference en collaboration avec le Syndicat National des M decins Ve terinaires Les infections et intoxications
169. sept livres de sang La purgation On lui donnera soir et matin une demie livre et plus d huile de lin bien fra che un peu ti de Le lavement compos de deux livres de cette huile et d une once ou d une once et de mie de sel ordinaire dissout dans un verre de bon vinaigre On se servira d une vessie de boeuf ramollie dans de l eau ti de on la rem plira avec le lavement et l aide d une canule ou d un large chalumeau de bois bien uni on donnera le rem de par les voies ordinaires en pressant la vessie pour le faire p n trer Les s tons On percera la peau qui pend au dessous du col des b tes cornes avec une grosse aiguille d acier de la largeur d un stylet enfil e d une corde on fera agir deux trois fois par jour cette corde en la faisant al ler et venir dans l incision ayant soin de nouer l g rement les deux extr mit s afin que la corde ne sorte point de l ouverture ce moyen est si salutaire que je n ai vu p rir aucune des b tes qui cette op ration a ete faite Les rem des dont on doit faire usage sont Nitre purifi et Tartre de vin blanc de chacun une livre Cr me de tartre quatre onces Camphre deux onces De ce m lange on donnera une demi once toutes les trois heures Si la chaleur la fi vre taient consid rables il faut donner entre les prises de poudre deux cuiller es du rem de suivant dans un peu de boisson ti de Vinaigre de vin et m
170. sion continue Contr le du traitement Les patients sont hospitalis s en unit de r animation car le fonctionnement continu du 28 syst me d infusion l immobilit du patient et le point de ponction art rielle doivent tre contro l s et toute complication doit tre reconnue sans retard Des protocoles de surveillance en dehors d une unit de r animation ont t d crits 27 Des bilans complets de la coagula tion sont r p t s toutes les 6 heures ainsi que le dosage des CPK et LDH et de la cr atinine Les ponctions f morales jugulaires sous cla vi res et les injections intramusculaires sont vit es au cours de la thrombolyse L h parine est administr e de fa on concomitante dans notre exp rience par la valve h mostatique ou en infusion syst mique raison de 300 unit s horaires Les contr les art riographiques sont pratiqu s en fonction de l volution clinique Leur nombre varie avec le type de protocole d infusion utilis ne d passant pas 2 ou 3 dans notre exp rience dans les protocoles lents D s qu une am lioration clinique de l isch mie est objectiv e avec r cup ration d un pouls le contr le angiographique est indique Il doit tre r alis dans le service de radiologie et il ne faut pas se contenter de clich s prati qu s au lit du patient Lors des art riographies de contr le le produit de contraste est tou jours inject loin du thrombus pour viter le risque d
171. sofort zum Verschwinden gebracht werden M digkeit oder motansd oramid Bei langerer Behandlung kann es u Brest St rungen Blutdruckabfall Blutdruckanstieg Bradykardie Depressionen vor allem nach Absetzen von Metoclopratt ungsgem ern Gebrauch das Reaktionsverm gen sows verte deung Serie Airs ee ee cc auch oe Maschinen beeintr chtigt wird Dies gilt eis hil owell verandern da die F hiakeit 2 ctiven gt nverkehr oder zum Bedienen in verst rktem Ma e im Zusammenwirken mit Mo aktiven Teilnahme am StraBenverk Darreichungsformen und Packur gt Z pfchen fur Erwachsene 5 res Gastrosil Packungen mit 20 50 und 100 Tabletten 30 50 a a 2 ml Injektionsl A In ektionslosung Gastros retard Packung mit 10 20 und SO Re J slosung Gastrosil 50 5 Ampullen 10 mi Injektio ak kungen a d 30 Retardkapseln Gastrosil retard mite Packung mit 10 20 50 und 100 Retardkapseln Anstaltspa HEUMANN PHARMA GMBH amp CO 8500 N Litt rature et chantillons ACTESSA SAG otpflichtig 100 ml L sung 5 Z pfchen fur Kinder urnberg Postfach 2260 Stand Dezember 199C roupe CPL 4005 ESCH SUR ALZETTE HEUMANN PHARMA T trapl gie Areflexie Amyotrophie aigue sous ventilation assistee R le des corticoides des curarisants des antibiotiques et de la reanimation YVES DE SMET H pital Neuropsychiatrique de l Etat Dr J J Meisch Ettelbruck Grand Duch de Luxem bourg
172. soluble de la prot ine amylo de Ceci est l argument principal pour dire que le gene mut codant pour la prot ine amylo de se trouve sur le chromosome 21 au niveau de bandes q11 q21 Par des m canismes non encore clair s la pr sence de la mutation determine la produc tion d une forme insoluble de B amyloide r Moins d un quart des d mences pr s niles a miliales seraient dues une telle mutation transmission autosomique dominante Des tudes r centes sur les d mences d but pr coce ont permis de mettre en evi dence un deuxi me g ne a l origine de la pro t ine B amyloide au niveau du bras long du chromosome 14 Plusieurs genes localis s sur le chromosome 14 influencent le m tabo lisme du pr curseur de la prot ine amylo de Dans 90 des d mences pr s niles familiales un lien avec un g ne localise Sur le chromo identifi Dans certaines some 14 a pu lre familles Fo une d mence d but pr coce il s agi i tuelles proximit il s agit de mutations ponc de a r gion codant pour la prot ine B amy loide au niveau de exon 17 du gene precur seur Le fait que chez aucune concordan n ait t identifi e des jumeaux homozygotes ce quant a une d mence t que pour des cas spora diques de d mence de type Alzheimer au cune particularit g n tique n ait t retrou v e sugg re que des facteurs environnemen taux jouent aussi un r le dan
173. sp cificit pour la fibrine que la SK 30 unit s ou mg d APSAC contiennent 1 million d unit s de SK L ac tylation prot ge la mol cule des prot ases plasmatiques inhibitrices La substance devient active dans le plasma par d sac tylation en pr sence d un pH san guin physiologique La demi vie de la mol cule est de 105 120 minutes d La pro urokinase scu PA est for m e par une cha ne glycoprot ique qui est convertie en UK par prot olyse de la liaison Lys158 le159 La pro UK possede un poten tiel intrins que d activation directe du plasmi nog ne et a une affinit plus lev e pour la fi brine que l UK Sa demi vie est de 7 10 mi nutes La pro UK est purifi e partir de cul tures cellulaires r nales et d ad nocarcinome bronchique La forme recombin e r scu PA est produite par g nie g n tique et exprim e dans Escherichia Coli e L activateur tissulaire recom bine du plasminogene r t PA est a prot ase semblable la trypsine compos e d une cha ne glycoproteique unique ou double Le t PA est synth tis dans les cellules endoth liales et extrait de diff rents organes L ut rus en est particuli rement riche 1 mg de t PA est extrait de 5 kg d ut rus Les cultures cellulaires de m lanome produisent a a Le gene responsable de la production Te Si a t identifi clon et exprim dans ESC k chia Coli La demi vie de la mol cule est 7 minutes La conversion du plasminoge
174. ssee De nouvelles hypoth ses physiopatholo giques en sont d riv es et orientent du moins dans certains cas vers des tiologies g n tiques Un noyau de prot ine B amylo de est la base des plaques s niles ainsi que des de p ts amyloides c r bro vasculaires Les d p ts intra cellulaires d enchev tremenis neuro fibrillaires sont compos s de paires de filaments h lico dales actuellement suppos s ai des filaments du cytosquelette du type au L tude des corr lations entre le nombre des l sions anatomo histologiques et la s v rit de la d mence rencontre d importants probl mes m thodologiques I semblerait selon une tude effectu e chez des patients atteints de trisomie 21 que les plaques s niles seraient plus pr coces suivies par la d g n rescence neurofibrillaire et la perte cellulaires La perte cellulaire et sa cons quence atro Phie c r brale ont t longtemps consid r es Comme un des stigmates de la maladie d AIZ heimer et une relation a t mise en vidence entre le degr de l atrophie et la s v rit de la d mence Entre temps les donn es morpho m triques ont modifi cette approche Car on peut observer une pseudo perte cellulaire par le fait d une diminution de la taille des neu rones mais nombre gal La perte neuro nale ne peut donc tre estim e pr cisement en prenant en compte l atrophie corticale car ce reste d appr ciation incertaine Il semble
175. st a new interpre tation Pediatrics 3 286 1949 3 Cantrell J R Haller J A Jr Ravitch M M A syndrome of congenital defects in volving the abdominal wall sternum dia phragm pericardium and heart Surg Gyne col Obstet 107 602 1958 4 Clausner A Clausner G Basce M Blu mentritt S Layher F Vogt L Importance of morphological findings in the progress and treatment of chest wall deformities with spe cial reference to the value of computed tomo graphy echocardiography and stereophoto grammetry Eur J Ped Surg 1 291 1991 5 Ellis D Chest wall deformities in children Ped Ann 18 3 161 1989 6 Geisbe H Mildenberger H Flasch A Fendel H The aetiology and pathogenesis of funnel chest Prog Ped Surg 3 13 1971 7 Haller J Operative management of chest wall deformities in children unique contribu tions of southern thoracic surgeons Ann Thorac Surg 46 4 1988 8 Lester C W Pigeon breast and other pro trusion deformities of the chest of develop mental origin Ann Surg 137 482 1953 Lester Ch The etiology and pathogenesis of funnel chest pigeon breast and related de formities of the anterior chest wall J Thorac Surg 19 810 1950 10 Myers N An approach to the manage ment of chest wall deformities Prog Ped Surg vol 27 170 1 Odelowo E Congenital chest wall malfor mations in Nigerians Afr J Med Sci 18 263 1989 12 Poland A
176. stien Fran RESUME L aux Archives e Luxembourg quel pratiqu e au pays Le Luxembourg au assimil de nombreux parfois bien particulier Les cuns critiques ois de Blanchart 1674 1752 ch telain d Ha bay la Neuve pr s d Arlon nous a laiss un important recueil de rem des dont le manuscrit se trouve aux Archives de la Section historique de l Institut grand ducal Ce recueil nous fournit de pr cieuses indications sur cette m decine exerc e la ferme par les propri taires d animaux malades ou bien par une voisine vers e dans cet art Contre les enflures chez l homme et les animaux Blanchart ait d utiliser une infusion de feuilles de sauge dans du vi sugger 99 bi re ou de l eau naigre de la 77 Une v ritable panac e le fr ne dont on pou vait utiliser les feuilles les cendres le raclure la s ve l corce la graine l huile le jus m me l eau qui en est distill e au bain marie Le fr ne pouvait tre employ pour toutes sortes de plaies contre les br lures la lassitude des boeufs des chiens et autres animaux On s en servait pour les chevaux bless s au gar rot dans ce cas il fallait sit t que l on s en apercevait frotter la partie en descendant soir et matin avec du bois de fr ne Les extraits de fr ne contiennent des tan nins des huiles essentielles de la vitamine C de l acide malique et du mannitol Ils sont se lon leur origine et leur pr paration
177. stique en cas de n crose 2 sous forme solide en cas de d bris tissu laires importants 3 sous forme diffuse infiltration 4 calcifications si apparaissent lupart de ces l sions enna apt ales au sein du pa renchyme spl nique Notons que l histoplas mose ainsi que les anciens abc s tuberculeux peuvent galement pr senter des calcifica tions C Corr lations anatomo IRM 1 Les produits de contraste a G n ralit s 22 On a constat que les signaux Ti T2 et de densit de proton des l sions spl niques me tastases lymphomes etc sont pratique ment similaires celles du parenchyme Spl nique Spontan ment il existe une tr s faible diff rence de contraste entre les l sions et le parenchyme spl nique normal alors que nous savons que d une fa on g n rale une des su p riorit s de l IRM est de pouvoir d montrer des diff rences tissulaires indiscernables par les autres techniques d imagerie En pratique l exp rience montre que les in tensit s des signaux des l sions spl niques ne diff raient que de 9 en Ti et de 11 en T2 par rapport au parenchyme spl nique nor mal De cette constatation de la faible diff rence de contraste spontan entre la pathologie et le normal est n e la recherche d agents de contraste B LE GADOLINIUM La rate capte le gadolinium de la m me fa on que le a iode Le nn splenique normal se caracterise par un aspec heterogene
178. syst mique 468 13 17 34 39 40 49 50 La TAAA est habituellement incompl te par fois m me subclinique et les signes de rhab domyolyse manquent Ainsi en cas de TAAA l ar flexie totale est paradoxalement moins le fait d une C P que d une MCA 17 18 27 50 La CIP se d veloppe plus tardivement et r cu p re plus rapidement que la MCA Une par sie faciale p riph rique peut s y associer Les patients sous alimentation parent rale seraient moins touch s que ceux aliment s par sonde gastrique La s v rit de la CIP semble pro portionnelle l hyperglyc mie 49 Or celle ci est un effet secondaire banal de la corticoth rapie cause de MCA En cas de myopathie catabolique sur septic mie on a mis en vi dence une prot ine circulante myolytique si milaire l interleukine 1 3 les inhibiteurs de la cyclo oxyg nase telle l indome amp tacine au raient un r le protecteur 1 3 12 50 Compli cation d une septic mie et d une d faillance multi syst mique 50 la C P pourrait ainsi r sulter de l activit neurolytique d une toxine en dog ne 13 49 Celle ci serait aussi d l t re au niveau du syst me nerveux central car une enc amp phalopathie septique est fr quemment associ e la CIP 6 10 26 La CIP surtout dans sa forme motrice pure doit tre distingu e de la forme motrice pure du SGB qui peut parfois tre axonal s ac compagner d un signe de Babinski et aller
179. t abattus mais non corch s les curables de vaient rester l table tandis que les sains en taient retir s pour tre mis en une autre place de la ferme L importation de viande et de peaux fra ches ou sal es sans certificat resta interdite Tel en fut la th orie mais en pratique et en l absence de vrais professionnels la premi re cole de m decine v t rinaire ne fut cr e qu en 1762 il tait tres difficile de re conna tre les maladies pizootiques leur stade initial Les m thodes de d tection pr coce qui nous rendent d minents services l heure actuelle faisaient naturellement d faut Au cours du XVIII si cle chaque fois qu une pizootie menagait le cheptel du pays ces mesures sanitaires taient nouveau dict es mais le plus souvent oubli es pendant les an n es d accalmie L arm e r publicaine apres avoir assiege la ville de Luxembourg s y installa a partir de juin 1795 Apr s annexion la France le territoire du Duch de Luxembourg tait int gr en grande partie dans le D partement des For ts Un an plus tard la p ri pneumonie S d clara parmi les b tes cornes destin es amp appro visionnement de la place de Luxembourg Afin d enrayer le fl au qui s vit auss dans la plat pays principalement dans la r gion de Mersch l administration d occupation sen re mettait aux competences de deux artistes ve terinaires fran ais Petit et Peuchet n
180. t d acide sulfurique pour 3 sols cha cun dans de l huile de lin Il va de soi qu il faut se procurer les mati res premi res de cette cure en pharmacie Apr s avoir frictionn les lombes du cheval avec cette combinaison d huiles il faut passer un fer chauff fleur de peau pour activer la p n tration des sub stances m dicinales Les huiles essentielles contenues dans ce m lange sont toutes hyperemiantes d sinfec tantes ou astringentes el sont donc parfaite ment indiqu es Notons que l Abb m e pour sa pharma nales cultiv es dans colt es par des cueil aye d Orval tait renom cie et ses plantes medici le jardin abbatial ou r leurs dans la r gion Mais il est tr s probable que beaucoup de paysans avaient leur disposition un on nombre de ces plantes d usage courant dans leurs propres jardins ah Le marechal Petitier de Folschette utilisait pour ses recettes en g n ral 2 mi res disponibles chaque Re ae Bu naigre oeufs huile Jarre envoyait ses corce de jeune ch ne ete dre l un o clients chez l apothicalre a harma 2 l autre m dicament les frais a de n exc daient jamais la somme ee he 3 sols Ses m dicaments tres ete ee du monde v g tal el am ua an multiples Certains de ses ac nee t sens Ainsi ea ues de tou cependant taient nn onsistait entailler la die feiwel reissen S Ari ae parotide du cheval oe ler cette glande salivaire ot E op ration tait rieur au
181. t l et accourt Son pouse Mich le lui a appris aimer la Bretagne autre vieille terre d implantation du peuple europ en en m me temps que France profonde Ses enfants sont citoyens du monde Je me rappelle les confidences de plus d un Europ en devenu Am ricain tous ils gardent la nostalgie du Vieux Continent mais ne l si nent pas pour autant sur leur loyaut l gard des Etats Unis dont ils se veulent et se sentent citoyens part enti re sans restriction f t elle mentale Ils ont l exp rience de deux mondes assez diff rents l un de l autre en ont v cu et mesur les avantages et les inconv nients res pectifs ce qui leur conf re une culture propre arrondir les angles Ils gardent beaucoup d affection pour leur terre natale sont profon d ment respectueux de leurs racines alors que leur patrie d lection leur inspire recon naissance et fiert Leur fid lit est sincere ment partag e entre les deux pdles qui com mandent les lignes de force de leur destin On ne commettra pas l indiscr tion de pousser la porte de leur for int rieur pour essayer de conna tre le dosage exact Il arrive exceptionnellement que se trouve parmi eux un grand Am ricain qui est aussi un grand Luxembourgeois 73 et pT A Sy m nn oP Deux jambes pour marcher deux yeux pour voir deux oreilles pour entendre Duovent pour respirer ME D uovent BRONCHODILATATEUR A DOUBLE ACTION OUR
182. te et les ROT conserv s S il n y a pas de troubles sensitifs une ophtalmopl gie com pl te ou incompl te est possible donnant ainsi le change avec un SGB variante syndrome de Miller Fisher 40 44 une myasth nie une en C phalopathie de Gayet Wernicke ou une in toxication par phenytoine 14 Dans les amyotrophies de d nervation et de non utilisation 29 la densit des r cep teurs musculaires aux st ro des est fortement 18 accrue 22 Ainsi l atrophie de d nervation rel verait d une hypersensibilit des muscles paralys s aux corticoides endogenes et serait en fait une myopathie induite par les corti co des naturels 23 Par comparaison la MCA rel verait elle d une hypersensibilit de non utilisation des muscles curaris s aux corti coides exogenes Une MCA peut galement survenir au d cours d une corticoth rapie pa rent rale intensive pour myasth nie 33 Tout BNM myasth nie curarisants antibiotiques troubles ioniques semble ainsi pouvoir induire une MCA Aussi le terme g n rique de bloc king agent corticosteroid myopathy est il pro pos 14 bien que la MCA puisse survenir en l absence de curarisation ventilation assist e 18 De plus si une MCA sous v curonium est rapport e 15 28 47 la majorit des cas le sont sous pancuronium qui poss de une structure mol culaire steroid like 27 La MCA est peut tre facilit e par les b ta mim tiques ou la th ophylline
183. tent une fr quence de 1 cas de DTS sur 18 000 personnes 0 006 et 8 cas de DP sur le meme collectif 0 044 D apr s les scores indiqu s par CES auteurs ce dernier groupe de 8 DP comporte sans doute des cas que nous aurions class s comme DM A La fr quence des DTS est plus OU moins galement r partie sur les deux sexes Nous trouvons des probl mes ose dans 5 cas sur 13 Dans 2 cas il s agissait a fections staphylocoques gravissimes ai sont certainement en rapport avec hes de cience Un seul cas presente de problemes ei mycose cutan e Notre serie ne comporte cun cas de cancer ce qui est contraire que sultats de Lanza et coll qui rapportent une forte incidence de n oplasies malignes chez les d ficients complets en MPO Nous ne trouvons aucun cas qui nous per mettrait d affirmer une origine m dicamen teuse Dans le cas de Monsieur A S trait par des anti inflammatoires cens s provoquer une d ficience nous avons retrouve des r sultats identiques 6 mois apr s cessation du traite ment Vu la fr quence des DP et DF nous pen sons qu elles ont t plus d une fois attribu es tort des m dicaments Bien que restreints nos r sultats nous pa raissent suffisants pour rejeter l hypoth se d une transmission autosomale r cessive mo nog nique Nos r sultats ressemblent ceux de Parry et coll 7 qui rapportent des cas my loperoxidase normale chez des parents et des enfants
184. tion IRM extr mement sensible l h t rog n it de la sus ceptibilite magn tique caus e par l h mosid rine Selon Tadashi et Coll ces nodules hy pointenses correspondent des corps de Gamma Gandy Ces formations sont en particulier retrouv es chez des patients ayant une HTP et sont compos es de foyers h mor ragiques h mosid rine associ s de la fi brose et du calcium Cependant aucune image calcique n a t retrouv e dans cette m me s rie au scanner sans injection de pro duit de contraste Par contre selon d autres auteurs ces corps de Gamma Gandy se raient mis en vidence sous forme de struc tures hyper chog nes l ultrasonographie dans environ 13 des patients cirrhotiques avec spl nom galie 5 La surcharge en fer de la rate La surcharge en fer au sein du syst me r ti culo endoth lial spl nique se fait sous la forme d h mosid rine Par contre au niveau h pa tique ce stockage se fait sous la forme de fer ritine L IRM ne peut d tecter de mani re fiable que les importantes surcharges fer riques au sein du syst me r ticulo endoth lial de la rate l IRM est sp cifique mais peu sensible C est la s quence T2 qui s av re tre la plus sensible hyposignal En effet la s quence T1 est nettement moins sensible le si gnal de cette derni re s quence n est alt r que dans environ 50 des cas Le signal spl nique doit tre analys en comp
185. trice des prot ases seriques Sa concentration plasmatique est de 1 micromole et sa demi vie de 2 6 jours l tat physiolo gique mais r duite 0 8 jours lors d un traite ment fibrinolytique L alpha 2 antiplasmine in active la plasmine circulante et moins la plas mine fix e aux mailles de fibrine d un caillot Elle g ne l adsorption du plasminogene la fi brine en bloquant les sites libres de Lysine du plasminogene et elle stabilise la fibrine dans la matrice du caillot L alpha 2 macroglobuline est pr sente dans le plasma dans des concentrations plus importantes que l alpha 2 antiplasmine mais son action inhibitrice de la plasmine est moins prononc e Lors d un traitement fibrinolytique l alpha 2 antiplasmine est d grad e rapide ment et l alpha 2 macroglobuline peut devenir l inhibiteur principal de la plasmine INDICATIONS DE LA THROMBOLYSE LO CALE Depuis la description donn e par Dotter et al 4 les indications cliniques de la thrombo lyse locale se sont diversifi es et peuvent tre sch matis es de la fa on suivante pour les oc clusions art rielles des membres occlusions aigues ou subaigues des ar teres des membres sup rieurs datant de quelques heures amp plusieurs semaines Les 25 occlusions simultan es proximale et distale ou celles qui touchent les art res de la main et des doigts qui sont au del des possibilit s de d sobstruction chirurgicale repr sentent des indicati
186. tte pathologie degeneralive est de plus en plus souvent voqu L hypoth se du r le de Baur un Controvers e Sa pr sence et surtout ae c s ne sont pas prouves et les m a d tudes restent variables COMME les r s tats En ce moment partic lle de ar R semblable ce Une origine infectieuse b avec un la maladie de Creutzfeld Jaco diff rente prion donnant une prot ine ee ai de la prot ine 8 amylo de des padres t tentante n a La recherche des facteurs aa peu men jusqu pr sent qua ae d Alzheimer concluants En effet la mange ladies psy n est pas associ e ean s Stress si sou chiatriques par exemple N au facteurs de vent mis en Cause D autres ta risque 5 ont t identifi s par certaines tudes puis infirm s ult rieurement Telle la pr dominence chez les gauchers l influence de l ge de la m re la naissance des ant c dents de pathologie thyro dienne de l exis tence dans la fratrie de sujets mongoliens ainsi que des ant c dents de tuberculose 5 L analyse de la consommation alcoolique chronique comme facteur de risque a montr qu il n y avait pas d impact sur la pathologie d mentielle Les fumeurs chroniques seraient eux plut t prot g s contre la d mence de type Alzheimer Ce facteur de protection est dis cutable car l analyse est probablement biai see par une s lection des sujets ayant sur v cu malgr les autres facteurs de risq
187. uasi ubiquitaires chez l homme qui r sultent de contacts ant rieurs avec le streptocoque beta hemolytique Les anticorps sont bloqu s par une dose de charge de 250 000 unit s de SK administr e en d but du traitement Les Signes Cliniques fi vre r action anaphylactique etc qui tra duisent le conflit immunologique entre la SK et les anticorps anti SK sont sp cifiques ce type d activateur du plasminogene L en fibrinog nolytique de la SK est lev e Son ac tivit fibrinolytique se poursuit plusieurs heures apr s l arr t du traitement Son prix est r duit b L urokinase UK est un activateur en dog ne du plasminog ne de premi re g n ration Il s agit d une prot ase plasmatique for m e de deux cha nes unies par un pont disul fure La prot olyse limit e d urokinase lib re deux cha nes polypeptidiques qui ont le m me pouvoir fibrinolytique en activant le plasmino g ne sans passer par un complexe interm diaire La demi vie de l UK est de l ordre de 10 minutes L UK est produite partir de cultures cellulaires r nales foetales par g nie g n tique Elle n est pas antig nique et d grade moins le fibrinog ne que la SK Son prix est en viron 16 20 fois plus lev que celui de la SK pour un traitement thrombolytique local donn 3 c L anistreplase APSAC est un d riv inactif du complexe plasminogene SK obtenu par ac tylation de son centre actif Elle a la m me
188. ucocihaire D autre part lorsqu on en accroitles doses ipratropium dispose encore d une marge de s curit particuli rement tendue Le Duovent associe le fenoterol et l ipratropium Gr ce leur mode d acl on diff rent chacun des composants exerce un effet complementarre En pathologie bronchique tl en r sulte un largissement du spectre therapeu tque de la m dication et une diminution du taux de non r pondeuts a chacune des composantes En effet le bronchospasme peut tre influenc quel qu en soit le inecan sme sympathique ou para sympathique allergique ou non La pr sence de fenoterol se traduit par une entr e en action imm diate de l effet bronchoditatateur qui apparaitrait plus tentement sous ipratropium seul La dur e de l effet th rapeutique vane entre 4 et 8 heures en fonction du degr de s v rit des bronchospasmes Des tudes de pharmacologie animale ont montr que le rapport optimal des 2 drogues dans l association est de 2 5 pour le fenoterol et de 1 pour l ipratropium L aerosol doseur de Duovent d livre par boulfee 0 100 mg de fenoterol et 0 040 mg d ipratropium Ansi l adjonction d ipratropium au fenoterol permet une reduction de moitie du dosage du fenoterol habituellement admis touten garantissant le maintien g un effet th rapeutique au moins quivalent il en r sulte aussi une diminution de la fr quence et de l intensit des effets secondasres du fenoterol Indications Traiteme
189. ue li s l intoxication tabagique Le seul facteur de risque qui est associ de fa on claire aux d mences de type Alzheimer est l ge Il serait fondamental d identifier des facteurs de risque du vieillissement c r bral car cela aiderait mieux comprendre la maladie et essayer de la pr venir Une publication originale a consi d r comme facteur de risque la vitamine A Suivant l auteur une hypervitaminose pourrait expliquer certains r sultats d tudes pid miologiques par exemple les diff rences entre sexe race et surtout l absence de mo d le animal La relation avec la toxicit obser v e de l aluminium pourrait s expliquer par des modifications des caract ristiques des mem branes cellulaires voire de la barri re h mato meningee ainsi que des lysosomes particu li rement riches en aluminium en cas d intoxi cation Ces lysosomes pr sentent galement le pr curseur de la prot ine amyloide Essayons de r sumer les v nements tape par tape apr s ces l ments parfois d allure fort disparate Un des l ments relativement s rs semble le fait des d p ts de substance amyloide au ni veau c r bral Les origines de ces d p ts sont expliqu es par diff rentes hypoth ses L explication g n tique veut qu une muta tion dans le g ne rende cette prot ine plus in soluble encore que celle d riv e du g ne nor mal Ceci conduirait la longue un d p t in tercell
190. uement esth tique Le type haut ou chondromanubrial est parfois associ une anomalie de l ossification du sternum Le syndrome de POLAND est galement une anomalie de d veloppement de la paroi thoracique et associe l absence de la portion inf rieure du muscle grand pectoral l absence du muscle petit pectoral l absence fr quente d une partie des c tes sousjacentes et parfois une d formation du bras ou de la main Chez la femme il existe une ag n sie mammaire unilat rale associ e Le syndrome de CANTRELL est une penta logie qui associe un sternum fendu une hernie diaphragmatique un omphaloc le une ab sence partielle du p ricarde et habituellement une anomalie cardiaque majeure Le coeur est extrathoracique Les indications chirurgicales sont li es la s v rit de la d formaion son volution spontan e l importance des signes fonc tionnels subjectifs et objectifs et une de mande esth tique Diverses techniques chirurgicales ont t d crites Elles ne font pas l objet de ce travail Nous retiendrons seulement les recommanda tions de Sanger Pour lui toute technique doit inclure trois l ments essentiels La mobilisa tion sternale et la correction de l angulation sternale l ablation bilat rale des cartilages costaux atteints et la reposition correcte du sternum sur un tissu bien vascularis Nous pr sentons ici un Cas de d formation chondrocostale asymptomatique CAS C
191. uidifiant elles sont depura tives et l g rement antispasmodiques Pulmonaria Herba Pulmonaria contient de l acide silicique des tannins et des saponines en grandes quantit s Elle est employ e dans les tats catarrhaux et inflammatoires des voies respiratoires mais sans activit vraiment reconnue Tormentilla les tannins des rhizomes de Po tentilla erecta tormentilla sont fortement as tringents et recommand s comme antidiar rh ique et antiinflammatoire ie Hehe toujours utilis s sous forme de teinture en ORL Scordium Teu d eau d puratif a comme rem de In crium scordium germandr e odeur d ail r put jadis failliple contre la peste Veronica Veronica officinalis la v ronique dont les glucides monteren TE tl peu tudi s mais taient souvent a A S comme d puratif et comme Exper orant en cas d asthme et de bronchite Comme traitement EyOB ata de la ine pour en calmer les manifesta peste Dov ives et pulmonaires ON ne savait a mieux en ce debul du XVIII si cle vine menagait a nou a ae a autorit s autrichiennes veau Mes contre PRESER FRTER re la Maladie regnante centre les B tes cornes Une chopine de Vinaiore quelle lon ae sod rn ach is La m Be a i i amp autant d An a ait avaler tous les jours n chaque B te faine Benvahrung Nittel Gegen die Horn Biche Suche NP site N 3 alle Tag peg Moraen dem gefunden ithe ei n in ener
192. uiti me neuvi me et dixieme cartilages cos taux Il ne persiste pas de rebord sous costal aussi bien d fini que de l autre c t La r sec tion compl te des cartilages est n c ssaire pour r duire la protrusion fig 3 Les suites op ratoires sont simples DISCUSSION Il s agit d une anomalie chondrocostale basse sans modification de la position ster nale Le sternum a une morphologie normale sans trouble de l ossification Il est situ une distance normale de la colonne vert brale n occasionnant aucune compression des l ments intrathoraciques Il n existe aucune pa thologie associ e des membres sup rieurs ni de la ceinture scapulaire Les muscles pecto raux ont une fonction normale et les seins un d veloppement harmonieux On retrouve des ant c dents familiaux Le p re et le fr re pr sentent tous deux une ver sion des cartilages costaux plus discr te Sa m re et ses soeurs sont pargn es ll ne semble donc pas y avoir une pr dispo Sition particuli re pour un sexe Cette anomalie peut tre class e dans les anomalies de protrusion pectus car natum ou pigeon chest selon le type deux de SAN GERS L anomalie touche les cartilages cos taux mais respecte la situation du sternum Elle est bilat rale asym trique Il n existe aucun sympt me fonctionnel Les seins sont nor maux Il s agit d une anomalie extr mement rare qui constitue moins de 1 des malformations de protrusion s
193. ulaire Le fait que le g ne a t identifi aussi dans d autres esp ces et que son ex pression se fait sur presque toutes les cellules de l organisme montre que cette prot ine a t selectionn e par l volution et joue un r le dans les fonctions biologiques normales Ce r le pourrait tre une r gulation d activit des prot ases par la prot ine B amylo de nor male Une des th ories veut que la quantit d acti vit des prot ases augmente avec l ge ou 99 par une autre mutation conduisant ainsi une lib ration plus importante de la partie extra membranaire de la prot ine Une autre possibilit comme dans les tri somies 21 serait une expression exag r e d un g ne normal due une mutation dans les g nes r gulateurs de l expression Il est probable que la partie g n tique s ex plique par une combinaison de toutes ces hy poth ses Ou bien la substance peu soluble s accumule malgr que le d blayage de ces d bris soit entrepris Ou bien le syst me de catabolisme des d bris diminue avec l ge et provoque ce d ficit Il en r sulte une accumu lation de prot ine B amyloide Cette substance a d montr sa neurotoxicit dans de nombreuses lign es cellulaires neu rologiques et son identification pourrait suffir pour expliquer l atrophie cellulaire Mais que faire des d g n rescences neurofibrillaires Elles semblent n arriver qu ult rieurement dans l volution de
194. um 1 23 1993 8 Siskovick D S et al The incidence of primary cardiac arrest du ring vigourous exercise N Eng J Med 311 874 77 1984 9 Boever C Effets objectifs et subjectifs d un entra ne ment adapt chez des patients coronariens M moire pr sent dans le cadre du stage p dagogique 1987 10 Paffenbarger R S et al The association of changes in physical acti vity level and other lifestyle caracteristics with mortality among men N Engl J Med 1993 328 538 45 11 O Connor G T et al An overview of randomized trials of rehabili tation with exercice after myocardial infarctus Circulation 1989 80 234 44 12 Wasserman K New Concepts in Assessing Cardiovascular Function Circulation 1988 78 1060 71 15 Gastrosil Tropfen Gastrosil 50 Injektionsl sung Gastrosil Ampullen Gastrosil Z pfchen f r Kinder und Erwachsene Gastrosi Tabletten Gastrosil retard Kapseln neu Gastrosil retard mite Kapseln plain es so oder so Gastrosil Gastrosil Wirkstoff Metoclopramidhydrochlorid Zusammensetzung 1 Tablette enth lt Metoclopramidhydrochlorid Monohydrat 10 54 mg 4 10 mg Metoclopramidhydrochlorid 1 ml ar 17 Tropfen enth lt Metoclopram dhydrochlorid Monohydrat 5 97 mg 5 67 mg Metoclopramidhydrochlorid 1 Ampulle 2 ml enth lt 10 54 mg N opram dhydrochlor d Monohydrat 10 mg Metoclopram dhydrochlorid 1 Z pfchen f r Kinder enth lt Metoclopramid
195. ut de l injection au del d une minute toute zone hypointense de la rate doit tre consid r e comme suspecte C L OXYDE DE FER SUPERPARAMAGNE TIQUE OFS 14 L OFS est capt par le syst me r ticulo en doth lial phagocyt par les cellules de Kup fer Par contre l OFS n est pas absorb par les l sions n oplasiques vu que celles ci sont d pourvues de cellules de Kupfer On obtient donc une majoration de la difference de contraste entre la lesion qui appara t en hy persignal par rapport au parenchyme normal qui appara t en hyposignal en T2 Cette dif f rence de contraste serait maximale apr s 60 minutes Ceci permet la d tection de petites l sions 4 6 mm chez l animal En outre ce type de produit de contraste s av re utile en cas de pathologie diffuse comme l infiltration lymphomateuse par exemple En effet l OFS n tant pas capt per met la rate de garder un hypersignal Ceci s expliquerait par le fait qu il existerait un ef fet de blocage de l activit phagocytaire du syst me r ticulo endoth lial par l infiltration cance amp reuse Par contre en cas de spl no megalie b nigne l OFS produit une chute diffuse du signal spl nique vu l int grit du systeme reticuloendothelial L hyperplasie ry throide n est donc pas dissociable du pa renchyme normal 2 Aspects IRNP En IRM deux l ments s miologiques peuvent permettre la visualisation

1993.2

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