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1. 100 100 a as 16 100 100 100 2 100 J d 100 100 100 d 100 100 P 100 100 4 1008 100 Solaire thermique P Cosverture des z 4 6m 200l cansa 120l d eau chaude jour 100 Pour continuer avec les bonnes nou velles le solaire thermique a permis RENOUVELLE tous les m nages quip s 4 6 m 300 de couvrir 100 de leurs besoins L autonomie promise est donc bien l et avec les temp ratures de saison les chaudi res de ces petits veinards ont pu tre totalement coup es Point de consommations lectriques pour un circulateur dont on n a plus besoin 4 4 4 123 141 128 F 125 120 J 4 133 fan Roue 3 J J 110 zar 121 112 3 125 122 d 117 170 Photovolaigue Prodections pour ikWrc en kWh 120 Et pour terminer en beaut le photo volta ique a lui aussi produit all gre ment Profitant des jours s allongeant in luctablement les familles quip es ont produit en moyenne 122 kWh kWc avec de l g res variations selon les r gions Jusqu au solstice le soleil va nous offrir un printemps de plus en plus lectrique avec plus d nergie solaire par jour qu Rio de Janeiro h oui L lectricit y r gne aussi mais c est une autre histoire gt Www meteo renouvelable be WEBMAG N 65 JUIN 1 et 3 juillet 2014 Visite d un chantier isol en chanvre wal lon Ottignies www maisonpassive be 5 et 6 juillet 20142. dans le secteur des nergies renouvelables Voici quelques exemples de tendances e Les nergies renouvelables ont repr sent en 2013 plus de 56 des nou velles capacit s de production d lec tricit au niveau mondial e L hydro lectricit a progress de 4 environ 1 000 GW en 2013 ce qui repr sente pr s d un tiers de la capacit en lectricit renouvelable ajout e cette ann e l Les autres nergies renouve lables lectriques ont ensemble pro gress de pr s de 17 pour atteindre 560 GW selon les estimations e Les nergies renouvelables ont assur 19 de la consommation finale d ner gie dans le monde en 2012 et cette ten dance s est encore accentu e en 2013 Les nergies renouvelables modernes ont repr sent plus de 10 du total de 2012 les 9 restant provenant de la biomasse traditionnelle dont la part recule sensiblement GLOBAL STATUS REPORT e La puissance install e photovolta que supplante pour la premi re fois celle de l olien l chelle mondiale Malgr le recul des investissements interna tionaux dans le photovolta que 22 par rapport 2012 les installations de nouvelles capacit s ont progress de plus de 32 39 W en 2013 pour un total de 139 GW Rapport complet C http ren21 net WWW RENOUVELLE ORG enouvelle OUTILS ET EDITION WEBMAG N 65 JUIN 2014 REGENERATIVE REGION Les r gions connaissent une renaissance d
3. une r cente tude confirme le potentiel bruxellois Renouvelle 64 p 3 mais son exploitation est fortement limit e par les contraintes de proximit s de l habitat et de l a roport de Zaventem Quant la chaleur naturelle air nappes phr atiques et sol elle peut tre une option envisa geable pour des applications basse tem p rature de certains b timents Enfin Fig Energies renouvelables en r gion bruxelloise par usage final chaleur lectricit transport Source Observatoire des nergies renouvelables www apere org GWh 400 le territoire urbain r serve peu de place pour des cultures des fins nerg tiques Mais par contre la r gion engendre un flux de d chets dont une partie est l origine de la biomasse De plus le canal de Bruxelles peut tre une voie d appro visionnement en biomasse nergie Selon le bilan nerg tique de la R gion de 2012 la part des nergies renouve lables dans la consommation finale brute de Bruxelles se situerait autour de 1 7 dont 55 sont fourni par les biocarbu rants pr sents dans les carburants rou tiers Taux nerg tique d incorporation 5 Hors biocarburants les nergies renouvelables repr sentent 169 GWh dont plus de 80 proviennent de la bio masse L incin ration des d chets m na gers 68 GWh d lectricit le chauffage au bois 58 GWh de combustible des fins de chaleur la cog n ration bio 2012 1 68 204 5 2
4. Evolution des prix ces 5 derni res ann es Valeur monnaie Bois B ches plaquettes pellets Sources ValBiom L ensemble des combustibles bois sont moins chers et pr sentent des tendances d volution plus stable Le march des b ches peut varier sensiblement selon les conditions locales On observe une tendance sur 5 ans de 1 7 L augmentation observ e en d cembre 2013 sur le prix des plaquettes s explique par un changement m thodologique de collecte des donn es Pellets on observe en 2013 une hausse avant la saison de chauffe suivie d une baisse d s janvier 2014 hiver doux Tendance 12 derniers mois TCAM 3 Tendance 5 derni res ann es TCAM 2 9 Mazout prix maxima Sources SPF conomie Les prix des produits p troliers voluent par vagues au gr des effets des cotations internationales p trole brut et dollar Apr s une forte augmentation jusqu en 2012 la tendance moyenne est maintenant la baisse Tendance 12 derniers mois TCAM 2 9 Tendance 5 derni res ann es TCAM 10 3 Gaz naturel Consommateur 23 260 kWh Source CREG Les prix du gaz diff rent l g rement selon les GRD et les r gions En mai 2014 la moyenne belge est de 6 3 c kWh 0 3 Les prix du gaz naturel voluent par vagues Le prix moyen pr sente une baisse sensible depuis le d but de l ann e 2013 Mais sur 5 ans la tendance reste la hausse 6 3 Tendance 12 derniers mois T
5. tient compte de la rationalit financi re des investissements mettre en uvre Prenons par exemple la fraction m tha nisable des d chets organiques voqu e plus haut Cette biomasse humide est valo risable via le compostage par fermenta tion a robie m lang aux d chets verts et via la production de biogaz et la cog n ra tion Si l on met de c t les difficult s inh rentes aux nuisances olfactives de ce type de traitement en milieu urbain et pour autant que l on trouve un site appropri dans un tissu urbain limit les installations consid r es ne trouvent en g n ral leur pleine rentabilit que par le biais de la valori sation du digestat solide issu du traitement par exemple comme amen dement organique Ce qui est difficilement concevable en ville et suppose donc des frais de transport suppl mentaires Si les proc d s de biom thanisa tion s che pr sent par la soci t Qays ouvrent quelques perspectives int ressantes instal lations plus petites meilleur rendement WWW RENOUVELLE ORG Exemple de filtre lectrostatique Sven BRAM VUB Quant aux particules fines PM 10 elles sont en majorit 45 form es par d autres polluants NH SO NO et en partie 30 mis directement par les gaz d chappement des moteurs en particulier diesel et des quipements de chauffage mazout et surtout bois et 25 sont d origine naturelle pollens Au vu des coefficie
6. tre photovolta que Syst mes Solaires Dossier Cuire sans nuire Une vente g ante de v tements bio et quitables Semaine europ ennes de la R duc tion des D chets Bruxelles l honneur La commission europ enne renforce les contr les en bio Passer au v g tarisme c est pas si compliqu Sylvoth rapie se soigner gr ce l nergie des arbres La peinture l algue c est bien difficile mais c est bien plus beau Energies nouvelles chauffer sa maison Sous le soleil exactement Dossier Travailler en quipe de construction l immeuble de bureaux de Bruxelles Environnement pose une nouvelle norme l aluminium conf re de la dynamique l AZ Jan Palfijn Cr er des ambiances lumineuses invisibles dans un loft l gant et ouvert D un garage un bureau passif pour architectes Construire un institut Scheppers durable L ardoise en fibres ciment ajoute une touche distingu e la r novation d une maison de rang e L vacuation d eau lin aire l immeuble de bureaux Bruxelles Environnement Solution intelligente pour de grands besoin en chauffage et en eau chaude sanitaire Ville en image Anvers Sp cial climatisation Equilibrage hydraulique automatique des syst mes de chauffage et de refroidisse ment Climatisation Rendement accru en refroidissement et chauffage Ventilation Effectuer des me l en tre ose sures correctes au niveau des vannes de ventilations Calcul des d bit
7. Energie Plus 526 de r novation Entretien avec Phillippe de Montalembert Hydronext R novation en basse consomma tion une imp rieuse n cessit Des petites et moyennes entreprises ensemble pour de grandes cono mies La biomasse pour chauffer l aquap le de Lun ville Les diables bleus se chauffent au bois Dossier Ces leaders locaux qui font la diff rence A la d couverte de strat gies bas carbone r ussies Penser F nN Igy autrement au del des nergies fossiles Une ville pi tonne soulev e par des vagues d nergie citoyenne Malm associer ambitions climatiques et coop ration Comment aider l Europe rester une figure de proue 4 t i es Pionniers des d fis urbains en Turquie Crowdfunding et coop ratives citoyennes Horizons 2020 Les finan cements de l UE Odyss e 2030 vers une Europe sobre en carbone Tandem coop ration franco allemande Dossier 30 ans d action pour la transition Tribune les Parcs naturels r gionaux s engagent sur la voie de l autonomie nerg tique International Objectif 2020 atteint pour l Estonie la Su de et la Bulgarie Soutien n gaWatt Collectivit s et nergies qu elle est verte ma Vall e de Kaysersberg Energy Cities Info Dossier Envie d une maison neuve Parement lourd et forte isolation Volumes d plac s Le toit inclin Je vais je EU mode d emploi Un ch ssis n est pas l autre Parach vement Une maison s
8. chaleur Le bois dans la maison Comment se pr munir des insectes et autres champi EE RE gnons un jardin au naturel en huit tapes Immobilier Le droit de superficie Comme chez Jo lle Scoriels Tu b tis 299 Je r nove WWW RENOUVELLE ORG renouvelle Y EN A UN PEU PLUS JE VOUS LE MAI Soleil et muguet font traditionnelle ment bon m nage 2014 ne fait pas exception la r gle L ensoleillement de mai 190 h est normal la demi heure pr s Le vent timide de mars et avril s est enfin r veill pour nous offrir des rafales tr s anormales pour la saison comme nous le pr cise l IRM garant des statistiques climatologiques a 347 000 logements 11 de la Belgique a 232 000 logements 5 de la Belgique y 299 000 logements 6 de la Belgique clien Prodection es nombre equevalestt de lnpaqwmests pour 706 480 st 614 MW Le vent de nord nord est qui nous vient d habitude du sud sud ouest a ainsi souffl 3 6 m s 3 2 m s habituel lement Combin avec les nouveaux m ts offshore 706 MW depuis d but mai cet entrain olien a produit assez d lectricit pour alimenter plus d un million de logements 3 500 kWh an en moyenne sur le mois 22 5 des loge ments belges quand m me Il est loin le temps o on se r jouissait quand on couvrait une grosse ville 1 078 000 loge ments ce sont la Province de Li ge et la Flandre orientales r unies a 100 100 100
9. nergies convention nelles et les errances du march du CO Et au bout du compte ce verdict attendu du march les nergies renouvelables ne pourront plus d sormais compter que sur elles m mes De cette remise en cause fondamentale des soutiens aux renouve lables on retiendra d abord les premi res r percussions n gatives voire drama tiques les secteurs sont mis mal biens des gens perdent leur emploi Mais tr s vite la capacit de r silience des sys t mes ainsi cibl s sera l uvre Car nos gouvernants ne se sont pas tromp s la plupart des fili res renouvelables sont d sormais de taille prendre leur sort en main La r cente tude du cluster TWEED sur l impact macro et micro conomique compar des nergies renouvelables et des conventionnelles est vidente cet gard voir Renouvelle 64 pp 5 7 Le SmartGuide 2014 effleure les signes d j vidents d un secteur qui se prend r solument en charge Ils se sont concr tis s d s les premiers mois de cette an n e par une myriade d initiatives t moi gnant d une volont de s organiser pour aller de l avant renforcement des infras tructures professionnelles formation et certification des m tiers et des techno logies tudes des cha nes de valeur sec torielles d veloppements de structures d di es l organisation des initiatives locales renforcement des canaux de re cherche intelligence des r seaux Ceci t moign
10. 010 1 56 218 2 2011 1 75 213 0 2006 0 55 2008 0 82 2009 1 35 160 5 2007 0 82 2005 0 67 masse principalement partir de boues de stations d puration des eaux us es 7 GWh d lectricit et la biomasse des fins de chaleur 4 5 GWh SER MT SER GWh 4 0 3 6 52 4 61 7 BE SER GWh 74 9 66 3 63 7 57 4 71 3 73 6 81 9 87 9 MC SER GWh 53 5 63 9 68 5 72 7 76 1 88 5 69 7 81 4 04 WWW RENOUVELLE ORG enouvelle D BATS ET OPINIONS WEBMAG N 65 JUIN 2014 Les ressources potentielles en biomasse de la r gion bruxelloise sont estim es quelques 265 000 tonnes de d chets or ganiques incin r s dont un bon quart se rait m thanisable plus de 3 700 tonnes de bois et r sidus issus des parcs et jardins g r s par Bruxelles Environnement et jusqu pr s de 8 000 tonnes d huiles v g tales r siduaires issues des cuisines pri v es et collectives En 2010 l ICEDD avait estim le potentiel technico conomique bruxellois de production d nergies re nouvelables partir de cog n ration bio masse 573 GWh d lectricit et 927 GWh de chaleur soit 7 de la consommation finale brute d nergie de la R gion Un potentiel th orique consid rable donc Le bureau d tudes pr cisait tout de m me que vu les contraintes du b ti et l tat actuel des techniques seuls 30 de ce potentiel pourrait tre mis en uvre d ici 2020 Et bien moins encore si l on
11. CAM 1 7 Tendance 5 derni res ann es TCAM 6 3 Electricit Tarif monohoraire 3 500 kWh Source CREG La Wallonie pr sente les prix plus lev s et Bruxelles les prix plus bas Les prix de l lectricit voluent par vagues De puis 2012 la tendance observ e est la baisse avec un saut en avril 2014 d au passage provisoire de TVA de 21 6 Bois pellets vrac PCI Bois b ches s ch es 1 an PCI Bois plaquettes 30 HR PCI Biomasse Prix de march moyens calcul s par ValBiom Conversion de la quantit de bois en nergie kWh sur base du PCI Le taux de croissance annuel moyen TCAM est exprim par un pourcentage quivalent un index annuel de type Xn XO 1 index Il est calcul par la m thode des moindres carr s sur les derni res p riodes d un an et de cinq ans Tendance 12 derniers mois en Wallonie TCAM 2 2 Tendance 5 derni res ann es en Wallonie TCAM 3 1 Les tendances ont t calcul es jusqu avril pour ne pas tenir compte du saut de TVA Inflation Indice des prix la consommation IPC Source SPF Economie Sur le long terme le prix de l nergie cro t davantage que l in dice des prix la consommation Tendance 12 derniers mois TCAM 0 9 Tendance 5 derni res ann es TCAM 2 5 Prix Prix Prix c kWhl c kWh TVAC pcs E B ches refendu 33 72 g re s ch es sous abri 1 an Plaquettes 30
12. Editeur responsable Michel Huart Rue Royale 35 1000 Bruxelles WEBMAG N 65 JUIN 2014 Mensuel Ne para t pas en juillet et ao t renouvelle L ACTUALIT DE L NERGIE DURABLE ACTUALIT BELGIQUE Une prime pour relancer le CES 03 D BATS amp OPINIONS La biomasse nergie a t elle sa place en ville 04 05 Qualit de l air Bruxelles veille 04 TECHNOLOGIE Stockage les steps font de la r sistance 06 07 Programme ENERGINSERE 07 EDITION Hydro nergie Vademecum jour 08 Le renouvelable dans le Monde 08 Regenerative region 09 Captage et stockage du carbone 09 Guide des mat riaux isolants 09 P riodiques de mai 2014 10 M T O RENOUVELABLE Bilan du mois de mai 2014 11 STATISTIQUES Prix d achat de l nergie 12 Avec le soutien de 5 F D RATION WALLONIE BRUXELLES a lt CE NSA A Wallonie SMARTGUIDE 2014 de APERE LE RENOUVELABLE CHANGE DE CAP L ann e 2013 a marqu un tour nant dans le secteur de l nergie durable Des dossiers pol miques d abord comme la remise en cause des syst mes de soutien publics ou la difficile r vision du cadre de r f rence olien wallon Mais en toile de fond le secteur prend ses marques et se professionnalise Les acteurs se parlent s organisent se structurent Tel est le constat du SmartGuide 2014 Chacun aura gard de l ann e cou l e dans luni vers nerg tique qui est le sien le souvenir d
13. HR 126 can MR camion 30 m Livr incl 8 Pellet 254 t a S vrac minimum 4 t Pellet en sac min 292 292 t 1 palette de 975 kg Livraison sup rieure 0 81 I Livraison 20001 incluse Bouteille 1 89 kg 13 6 14 Mazout Livraison incluse March en RW March en RB March en RF Gaz Propane naturel z Redevance d r incluse 6 0 6 7 20 6 20 6 18 2 18 2 20 6 20 6 Tableau Comparaison des prix des principales nergies achet es par les m nages mai 2014 March en RW March en RB March en RF Redevance incluse Electricit mono horaire 12 WWW RENOUVELLE ORG
14. NOLOGIE WEBMAG N 65 JUIN 2014 sielai revient tabli sur le long terme Pour au tant bien entendu que la configuration spatiale diff rence de hauteur et l occu pation du sol le permettent Les nouvelles pistes d innovation D o l id e d explorer plus avant des am nagements technologiques du pompage turbinage visant en am liorer les perfor mances notamment dans les temps de r ponse et la modularit Comment di mensionner une nouvelle installation en vue d une utilisation plus souple et plus rentable dans les nouvelles conditions de production d lectricit qui se profilent A Coo la modularit se limite des blocs de 200 MW Avec l installation de la Plate Taille tr s peu utilis e au cours des vingt derni res ann es on ram ne d j l inter vention des blocs de l ordre de 50 MW Un pas suppl mentaire pourrait se situer au niveau de turbines plus modulables voire r versibles et ou rotation variable de sorte faire intervenir une partie seu lement de la capacit disponible On peut travailler aussi sur les hauteurs entre bas sins et le positionnement des machines rapportentreles distances horizontales et verticales le dimensionnement des cana lisations pour limiter les pertes de charge au niveau des conduites les diam tres des conduites forc es sont de l ordre de plusieurs m tres mais les technologies actuelles permettent des fabrications sur place Certaine
15. Rencontre financit l pargne en jeu Braives www financite be 22 ao t 2014 Universit d t PMP Bruxelles wWwWw maisonpassive be du 5 au 7 septembre 2014 Salon Val riane 20 ans de l cobio construction Namur www valeriane be 10 et 12 septembre 2014 TRNYS Days campus d Arlon de l Uni versit de Li ge www bems ulg ac be du 12 au 14 septembre Salon Passive House Bruxelles www passivehouse be 16 septembre 2014 Formation permis d environnement tape par tape Louvain La Neuve www informeeting be 20 septembre 2014 Conf rence Une soci t des n gawatt dans le cadre du cycle nergie Bruxelles www amisde la terre be 21 septembre 2014 Bruxelles Champ tre Bruxelles www bruxelles champetre be 22 29 sept 6 13 20 oct 3 17 et 24 nov Formation Eco Guide Energie Tenneville www maisonpassive be 30 septembre 7 et 14 octobre 2014 Les techniques chaleur ventilation ECS conception et r gulation Bruxelles wwWw bruxellesenvironnement be Tous les jeudis d octobre janvier 2015 Energie dans le b timent de A Z Bxl www bruxellesenvironnement be 2 octobre 2014 Suivi et monitoring des b timents durables Bxl www bruxellesenvironnement be du 3 au 5 octobre 2014 Cycle de formation Pr vention des conflits L acc s aux nergies p trole gaz et uranium Bruxelles www cnapd be 6 13 20 oct et 3 nov 2014 R novati
16. aine o les technologies ont fait des progr s significatifs et les quipements modernes permettent de r duire drastiquement les missions polluantes Mais au del de la technolo gie les apports en termes d efficacit sont aussi largement d pendants des combus tibles utilis s du pilotage de l installation de sa maintenance et du comportement des utilisateurs Cfr expos de Sven Bram VUB Au stade actuel le respect scrupu leux des normes environnementales en mati re de qualit de l air impose de facto le recours des quipements modernes et l utilisation de filtres Mais pour ces der niers leurs co ts ne se justifient que pour des installations de plus de 1 MW D o une r flexion plus pouss e au niveau des r seaux de chaleur dont Bruxelles abrite d j quelques exemples souvent mixtes gaz bois huiles v g tales 1 Pr sentations disponibles ici CF www greentechbrussels be 05 enouvelle TECHNOLOGIE WEBMAG N 65 JUIN 2014 STOCKAGE LES STEPS FONT DE LA R SISTANCE Souvent consid r e comme une technologie de stockage rudi mentaire et vieillissante la station de pompage turbinage STEP ne semble pas avoir dit son dernier mot Ses qualit s justiferaient lar gement l acharnement th rapeu tique des centres de recherche Pour beaucoup d entre nous la station de transfert d nergie par pompage tur binage de Coo fait partie du paysage de puis notre plus ten
17. ans notre monde de globalisation comme la r apparition de domaines aussi vitaux que l habitat collectif les sources d identit culturelle ou encore l am nagement du territoire et des syst mes d nergie autonomes Les r gions jouent un r le es sentiel dans la transition vers de faibles missions carbones et un avenir sans nucl aire All oekom Au niveau r gional apparaissent des sys t mes d velopp s sur base des sources d nergie renouvelables qui permettent Energy and Climate Atlas Lake Constance aux autorit s locales de sou tenir la sant et la s curit de la communaut en lui apportant une valeur ajou t e cons quente Un consortium de 5 universi t s dirig par le prof Droege a tudi pendant 4ans la r gion du lac de Constance un vaste territoire de 150 000 km qui s tend sur 4 pays d Europe centrale Il d montre ainsi comment cette entit peut devenir un territoire mo d le et comment son potentiel peut tre enti rement utilis en s appuyant sur les nombreuses initiatives en cours Cette publication explore les opportu nit s nerg tiques organisationnelles et conomiques d une r gion auto nome en nergies renouvelables Les auteurs pr sentent de mani re concr te et pratique des directions concr tes pour l conomie l am nagement du territoire les transports l urbanisme et l architecture Le livre crit en langue allemande pro pose un r sum
18. aux por teurs de projets Il a t r alis par le Facilitateur hydro nergie C gt http energie wallonie be LES PAYS MERGEANTS BOOSTENT LE RENOUVELABLE Le r seau REN 21 publie son rap port 2014 sur l tat du renou velable dans le monde En voici quelques l ments int ressants Selon ce nouveau rapport la capacit de production mondiale en mati re d ner gies renouvelables atteint un niveau record gr ce l appui strat gique des pays en d veloppement Actuellement 95 conomies mergentes encouragent la croissance des nergies renouvelables dans le cadre de politiques sp cifiques soit six fois plus qu en 2005 o seuls 15 pays taient proactifs Ces 95 pays en d veloppement com posent dor navant la grande majorit des 144 pays dot s d objectifs ou de poli tiques d appui aux nergies renouve lables Ce renforcement du soutien des pays en d veloppement contraste avec le recul de l appui de certains pays euro p ens et des tats Unis Le rapport 2014 attribue aux politiques d appui un r le central dans la forte progression de la capacit de produc tion mondiale vers un niveau record en 2013 exc dant 1 560 GW soit une aug mentation de plus de 8 par rapport 08 2012 Plus de 22 de la production lectrique mondiale provient main tenant de sources d nergie renouve lables Il est estim qu en 2013 6 5 mil lions de personnes ont directement ou indirectement travaill
19. c dure d in fraction au niveau de l Union europ enne Car si les mesures tablies donnent globalement satisfaction pour nombre d entre eux deux polluants posent pro bl me le dioxyde d azote NO et les particules fines PM 10 et PM 2 5 Les concentrations en NO sont fix es depuis 2010 40 mg m Et elles sont syst matiquement d pass es dans plu sieurs stations de mesure proche des axes routiers Elles proviennent princi palement du transport routier deux tiers et des quipements de com bustion du chauffage des b timents un tiers Eea Emissions d oxydes d azote NOx NO NO en RBC C est la question que posait r cemment le s minaire organis par le r seau Brus sels Green Tech et le Cluster TWEED 1 Et dans une ville R gion comme Bruxelles elle rev tait forc ment une acuit parti culi re Voil donc un territoire autonome de 161 km regroupant plus d un million d individus et suppos prendre sa part dans l objectif europ en de 13 d ner gies renouvelables assign la Belgique Cog n ration Autres DR Incin ration 3 R sidentiel 15 Tertiaire 9 Industries 2 Transport routier 67 La principale ressource renouvelable locale bruxelloise est le soleil Il peut tre exploit sur les surfaces libres non om brag es des diff rents b timents et in Source inventaire bruxelloi 2012 frastructures En ce qui concerne le vent
20. ctionnels EDORA Inter Environnement Wallonie ODE ValBiom Contact renouvelle at apere org Fig Evolution de l lectricit d origine renouvelable E SER par fili re en Belgique Source Observatoire des nergies renouvelables www apere org iii 2005 2006 2007 2008 m Biomasse hors incin ration M Photovolta que m Eolien offshore 2009 2010 2011 2012 m Hydro lectricit 2013 m Eolien onshore m Biomasse incin ration En termes de nouvelles capacit s install es en Belgique le photovolta que et l olien terrestre poursuivent leur lanc e mais c est surtout l olien offshore qui affiche une forte croissance avec l entr e en service des parcs en mer du Nord Ces nouvelles capacit s se traduisent par une croissance des productions annuelles ternationale suivent le yoyo des prix de l nergie l volution des productions et consommations nerg tiques valuent la ma trise de l nergie dans le b timent les transports l industrie l essor des renou velables fili re par fili re le reposition nement des infrastructures nerg tique l adaptation des r seaux les r flexions sur le stockage Un parcours qui met en vidence sur toile de fond des derniers constats du GIEC et d une crise finan ci re et institutionnelle qui n en finit pas l inqui tude des investisseurs les tirail lements sur la r partition quitable des co ts le sursaut des
21. culpt e Magie des escaliers LETA construire amp r nover flottants La g othermie source de chaleur in puisable Passive et styl e Chauffer sa piscine gratuite ment Priorit la toiture Confort L union fait la force Quel avenir pour la construction en Wallonie Focus Size matters streamlining rotor blades Poland s new renewables bill French funding confusion Germany pushes through renewables legislation Kenya and Indonesia meet geothermal potential Price AM AAA Ne of carbon allowances falling Recycling solar panels in Italy France s transition nerg tique falls victim to burocracy and the sustained influence of the country s nuclear lobby Europe is losing its leadership position 2013 in numbers Solar power Through thick and thin Wind power Lost at sea E mobility Revues sp cialis es en Energie New energy 3 2014 UJ A N FERIR Le journal du photovolta que Autoconsommation et stockage les innovations Reportage R colte de photons dans les champs de coton Technologie Fresque des rendements photovolta ques Autoconsom HS11 nerqie mation le d bat Electricit insulaire comment garder l quilibre Electricit rurale d centralis e Mada renouvelables gascar Accumulateurs les formules chimiques qui marchent Le stockage distribu de l intelligence sans le r seau Solar Decathlon 2014 les projets en comp tition Eurobserv ER Barom
22. dre enfance A l heure o la plupart des grands laboratoires sp cialis s planchent sur des solutions de stockage pour permettre l in vitable mont e en puissance du renouvelable on serait donc tent de penser que cette technologie hydraulique n a plus vraiment le profil Avec ses 1 2 GW de puissance et son r servoir sup rieur de 8 52 millions de m tres cubes capable de d livrer en quelques heures 5 GWh d nergie Coo a t con u dans les an n es 70 pour permettre une meilleure int gration des centrales nucl aires dans le r seau lectrique belge et of frir une r serve primaire et secondaire d nergie au gestionnaire de r seau de transport GRT Aujourd hui la pouss e des renouvelables requiert de nouvelles solutions de stockage adapt es la va riabilit des flux solaire et olien pour maintenir l quilibre des r seaux tout en limitant le recours aux stocks d ner gies fossiles comme le gaz naturel Alors on efface tout et on recommence Ce n est pas l avis de Patrick Hendrick professeur et chercheur au service a ro thermo m canique ATM de l ULB qui a explor les diff rentes pistes de recherche de stockage nerg tique susceptibles de r pondre aux besoins nouveaux des r seaux lectriques Il livrait r cemment ses pistes de r flexion la tribune de EF4 1 Pour lui en mettant plat l ensemble des caract ristiques attendues en termes de stockage dans le domaine nerg tiqu
23. e le pompage turbinage reste bel et bien un des premiers choix pour r pondre aux principales attentes des op rateurs du syst me lectrique Pour le reste il fau dra estime t il tabler sur un mix de solu tions plut t que sur une seule pourvue de toutes les vertus Principe de fonctionnement d une centrale STEP Station de Transfert d Energie par Pompage Phase de stockage d nergie Bassin inf rieur Bassin sup rieur Groupe en fonctionnement lectro pompe Stockage de l nergie Utilisation d lectricit Illustration Principe de fonctionnement d une station de transfert d nergie par pompage Source connaissancedesenergies com Phase de restitution d nergie Bassin inf rieur Bassin sup rieur Groupe en fonctionnement turbo alternateur Restitution de l nergie Production d lectricit C est que les besoins en termes de stoc kage s av rent tr s diversifi s selon l op rateur concern Mais qu il s agisse de lissage des achats d lectricit par un auto producteur de gestion d quilibre consommation production par les op rateurs de r seau ou d arbitrage fin sur le march spot les STEPs conservent ses yeux toute leur pertinence d un point de vue technico conomique A condition d en am liorer les performances tech niques l o elles font d faut d en minimi ser les co ts d investissement et surtout de disposer d un cadre juridique et tar
24. e d appor ter en premier lieu des d finitions utiles concernant les propri t s physiques des produits d isolation et des clairages sur les exigences et indicateurs en mati re de durabilit de r action au feu ou d impact environnemental et sanitaire gt www energivie info 09 enouvelle WEBMAG N 65 JUIN 2014 EDITION S LECTION DES REVUES SP CIALIS ES EN NERGIE DE MAI 2014 Tableau synoptique des principaux dossiers et articles relev s dans les revues sp cialis es en nergie ainsi que des articles traitant de la th matique nerg tique issus d autres revues disponibles en Belgique Abonnez vous ou venez les consulter au centre de documentation de l APERe A P riodique R Dossiers et articles pingl s Dossier D r gulation des tarifs gaziers comment tirer son pingle du jeu II l a dit Gauthier Louette Energie Plus 525 pr sident directeur g n ral de SPIE Etudes d opinions l environnement un peu et pas tout seul Une GTB volu e pour le b timent intelligent Orl ans mise sur la biomasse La g othermie c est mainte nant G othermie tr s basse nergie Industrie L efficacit nerg tique dans le creuset de la fonderie Dossier Traitement des eaux us es Les voies d optimisation nerg tique Il l a dit Herv Le treut climato logue membre du GIEC Le GIEC encourage la transition nerg tique Energie amp climat D finir les priorit s
25. e que dans les t tes aussi des professionnels surtout les choses ont volu Les r flexions sont plus fines plus rigoureuses les connaissances plus d taill es plus fouill es les d bats moins cloisonn s plus ouverts au point de vue de l autre Les n gociations en cours y gagnent en maturit La mati re d j s accumule pour le prochain SmartGuide Vivement le printemps 2015 1 consulter sur C gt www smartguide be 02 WWW RENOUVELLE ORG enouvelle ACTUALIT BELGIQUE WEBMAG N 65 JUIN 2014 UNE PRIME POUR RELANCER LE CHAUFFE EAU SOLAIRE La Wallonie a adopt une nou velle prime qui devrait r chauffer la fili re solaire thermique Une installation est d sormais rentabi lis e en moins de 10 ans De plus la certification Qualiwall pour les personnes et le label NRQualSOL pour les entreprises permettent d assurer la qualit et donc la per formance des installations Le gouvernement wallon a adopt le 24 avril dernier une nouvelle prime pour soutenir les chauffe eau solaires 1 Cette prime est fix e 2 500 pour les surfaces comprises entre 2 et 4 m de capteurs install s sur une maison ou un appartement existant Le consom mateur peut aussi compter sur 200 par m suppl mentaire de capteurs so laires thermiques Le montant total ne peut toutefois jamais exc der 6 000 ni tre sup rieur 50 de la facture totale 2 Cette prime laquelle
26. en anglais de tous les chapitres et traduit dans cette langue les sous titres de tous les graphiques En savoir plus C www oekom de CAPTAGE ET STOCKAGE DU CARBONE SOLUTION OU MIRAGE UN DOSSIER IEW POUR COMPRENDRE Face la crise climatique et l objectif de r duire de 80 95 nos missions de CO dans l atmosph re d ici 2050 pour maintenir l augmentation de tem p rature globale sous les 2 C la technologie du captage et stockage du carbone CCS suscite depuis quelques ann es un grand int r t Bien que Captage amp stockage du carbone solution ou mirage conomique ne soit pas encore d montr e large chelle le d veloppement de cette technologie est pris avec plus ou moins de prudence comme hypoth se dans de nom breux sc narios prospec tifs World Energy Out look Wallonie Bas Carbone 2050 et feuilles de routes politiques EU Energy sa faisabilit technique et Roadmap 2050 GUIDE DES MAT RIAUX ISOLANTS La r duction des consom mations d nergie dans le b timent est un enjeu majeur pour faire face la rar faction des ressources nerg tiques fossiles et au probl me du changement climatique Pour r pondre ce d fi l isolation des b timents est une n cessit et repr sente un moyen efficace et rentable Une energivie info avec la a iian Alsace et l ADEME GUIDE DES MAT RIAUX ISOLANTS pour une i
27. gie NERGINS RE de Wallonie a t lanc fin 2013 II se focalise sur les moyens de stockage favorisant la restitution de l nergie sous forme lectrique ventuellement apr s transformation ainsi que sur les d placements de la consommation de l nergie e SMARTWATER Syst me de r gulations des r seaux lectriques par int gration de sites carriers et souterrains pour le stockage nerg tique par pompage turbinage hydro lectrique Partenaires Multitel ULB UCL UMons ULg ISSEP ECOREM Laborelec Electrabel Cofely Fabricom Ideta e INDUSTORE Gestion optimis e des moyens de flexibilit de stockage et de production des sites industriels Partenaires n Side UCL ULg ICEDD e HYLIFE Mat riaux longue dur e de vie pour piles combustibles PEM hydrog ne air Partenaires ULg ULB UNamur Materia Nova avec la colla boration europ enne de l INP Grenoble e HYB2HYB Am lioration des caract ristiques de stockage des batteries Li ion super condensateurs lectrochimiques hybrides et des performances vis vis des syst mes photovolta ques hybrides Partenaires UCL UMons ULB Plus d infos sur le portail nergie de Wallonie C gt http energie wallonie be fr 2013 energinsere html IDC 8009 07 enouvelle OUTILS ET EDITION WEBMAG N 65 JUIN 2014 HYDRO NERGIE UN VADE MECUM REMIS JOUR F La Wallonie publie sur son portail Energie la mise jour du Vade me cum non
28. herm repr sente une certifica tion des installateurs obtenue l issue d une formation th orique et pra tique y compris la r ussite d un exa men Celle ci est octroy e exclusive ment des personnes et non des entreprises La prime sera attribu e condition de faire appel un installa teur certifi Cette certification impo s e par la directive 2009 28 pour les petits syst mes renouvelables sera galement reconnue dans les autres Etats membres de l Union europ enne conform ment la Directive N anmoins comme le montrent les r sultats des campagnes d inspections la formation ne suffit pas garantir la qualit de mise en uvre des ins tallations C est pourquoi la R gion a souhait mettre en place un label de qualit pour les entreprises de la fili re NRQualSOL Les entreprises labellis es s engagent dans une d marche qui vise am liorer la mise en uvre des instal lations L entreprise participante accep tera des audits al atoires de ses installa tions veillera ce qu une partie de son Exemples d int gration d un chauffe eau solaire dans l habitat Sch ma APERe personnel ait suivi la formation et dis pose du certificat Qualiwall et s engage suivre une proc dure de gestion des plaintes lire Renouvelle n 62 Ces deux initiatives compl mentaires sont accueillies favorablement par les professionnels qui y voient un moyen de garantir la performance de
29. i faire qui cr e un march pour les services associ s au stockage de l nergie ce qui semble parfaitement r alisable comme en t moignent diff rentes applications d j mises en uvre dans d autres pays et que nous voquerons plus loin STEP et autres solutions de stockage En mettant plat les diff rentes solutions de stockage propos es actuellement sur le march batteries chimiques supra conducteurs air comprim hydrog ne etc on rel ve une grande diversit au niveau technique temps de r ponse puissances d livr es et consomm es nergies stock es rendements ner g tiques modularit s On remarque galement un panel de choix au niveau financier investissement dur e de vie frais de fonctionnement Or en fonction des zones g ographiques consid r es la proportion de renouvelable et leurs cycles de variabilit s av rent tr s diver si i s ce qui conduit des solutions de stockage elles m mes tr s diverses Hormis dans des situations o l on cherche de grandes r activit s de l ordre de la seconde voire moins le pompage turbinage reste dans une position tr s favorable pour des petites puissances lt 10 MW ou des faibles capacit s du r e de stockage inf rieure une heure Dans ces configurations il sera difficile de concurrencer avec les autres solutions en termes de rendement et de prix de mr 06 WWW RENOUVELLE ORG enouvelle TECH
30. nts d mission de particules fines des quipements de chauf fage au bois Bruxelles environnement s inqui te de l impact de leur utilisation en r gion bruxelloise sur la qualit de l air Il appara t que les feux ouverts et les po les d appoint ne disposant pas d un certificat d efficacit sont proscrire ou remplacer par des quipements modernes efficaces ou colab lis s Quant la promotion du chauffage au bois Bruxelles Environnement n y est pas favorable Facteur d mission par type de chaudi re pour diff rents polluants 2 n 2 E SU T n Fes gt U s LL E Jam N NOX g G COV g GJ PM10 g GJ BC g GJ HAP mg Gl dioxine nqTEQ Gl E Feu ouvert W Po le d appoint M Chaudi re conventionelle M Po le efficace M Po le pellet M Po le colabellis Source Nations Unis guide EMEP Corinair commercialisation locale du digestat en jardinerie ils n ont pas encore convaincu la R gion qui continue exporter de la mati re organique brute et traiter une grosse part du solde sans aucune valorisation Situation d licate aussi pour le chauffage au bois ou tout autre qui pement de combustion de biomasse dont une k trop grande pr sence en ville pourrait accen tuer les probl mes de qualit de lair voir encadr surtout avec des quipements non efficaces comme les feux ouverts et simples inserts Un dom
31. on haute performance ner g tique d tails techniques Bruxelles www bruxellesenvironnement be 16 23 oct 6 13 20 27 nov et 4 d c 2014 Formation Passif et tr s basse nergie Bruxelles www bruxellesenvironnement be 9 et 10 d cembre 2014 EWEA Technology Workshops 2014 Analy sis of Operating Wind Farms Wind Turbine Sound Malm Su de www ewea org D autres manifestations professionnelles gt Www apere org gt agenda 11 enouvelle STATISTIQUES WEBMAG N 65 JUIN 2014 PRIX D ACHAT DE L NERGIE PAR LES M NAGES Remarques m thodologiques PCI pouvoir calorifique inf rieur PCS pouvoir calorifique sup rieur c kKWh Electricit Depuis septembre 2012 le prix moyen mensuel est celui calcul par la CREG pour les trois r gions Avant 2012 c est l indica teur Renouvelle pour la Wallonie uniquement Gaz naturel Le prix mensuel moyenne pon d r e pour la Belgique est calcul par la CREG Le m de gaz naturel est converti en kWh avec le PCS conform ment la m thodologie des r gulateurs Produits p troliers Prix moyen mensuel maxi mum tabli par le SPF conomie 0 TTT T T TTT T TTT T T T T T R a a a dd Elec monohoraire S e Bxl Elec monohoraire 3500 kWh Flandre Flec monohoraire 3500 kWh Wallonie Gaz naturel 23260 kWh PCS Belgique Mazout 2000 PCS Propane vrac PCS Graphique
32. s chauffe eau solaires thermiques et donc la sa tisfaction des clients Les installateurs demandent cependant que le co t de la labellisation puisse tre soutenu via par exemple des m canismes fiscaux Les professionnels se remettent par ler de perspectives de d veloppement Bref la fili re se revitalise 1 L arr t a t publi le 21 mai au Moni teur belge et l entr e en vigueur a eu lieu le 1 juin 2 Infos compl tes sur cette prime C http energie wallonie be 3 Lire le communiqu C gt http www belsolar zonneboiler be 03 WEBMAG N 65 JUIN 2014 enouvelle D BATS ET OPINIONS LA BIOMASSE NERGIE A T ELLE SA PLACE EN VILLE La r gion bruxelloise s approvi sionne en nergie sous la forme principalement de gaz naturel d lectricit et de produits p troliers Mais en phase avec les objectifs europ ens en terme de d veloppement des nergies renouvelables peut on largir ce mix nerg tique la biomasse Comment et jusqu quel point Qualit de l air Bruxelles veille L Europe impose Bruxelles comme ailleurs le respect d un certain nombre de normes d mission visant une s rie de polluants SO NO PM 10 PM 2 5 plomb CO benz ne ozone Des valeurs limites ont t fix es pour chacun d eux qui sont contr l es en permanence par le r seau t l m trique bruxellois Les d passements constat s font actuellement l objet d une pro
33. s configurations exis tantes comme par exemple les ascen seurs de Str py Thieu ou certaines cavit s souterraines bien dispos es permettent parfois aussi d envisager des installations de plus petit format notamment en ilo tage et avec des co ts de g nie civil bien moindres tel que le projet SmartWater soutenu par le programme mobilisateur Energinsere voir ci contre la STEP de Vianden Luxembourg dont la puissance est comparable celle de Coo on atteint une efficacit globale de l ordre de 74 proche de l optimum th orique Kops Autriche on cr un r servoir interm diaire Rifa de 1 1 Mm et une boucle hydrau lique de 50 MW sur le circuit de 150 MW ce qui am liore consid rablement la WW W RENOUVELLE ORG flexibilit de l installation et permet aux diff rentes turbines de fonctionner au maximum de leur rendement Les STEPSs repr sentent aujourd hui plus de 90 de la capacit totale stock e en nergie et de 95 en puissance mais le potentiel en Belgique comme ailleurs P s a TIA DR M ges En pour des unit s de plus petite taille Leur avenir est tr s prometteur 1 L actualit 2014 des nergies renou velables amp du stockage nerg tique Louvain La Neuve le 26 mars 2014 Centrale hydraulique de Coo Source Electrabel Recherche et d veloppement Programme mobilisateur NERGINS RE de Wallonie Le programme mobilisateur en stockage de l ner
34. s de pulsion d air frais et de reprise d air vici Les normes nerg tiques europ ennes donnent le ton R glements guide pratique pour le calcul des d perditions calorifiques Des habitations quasi nerg tiquement neutres et abordables Dossier Un foyer sur trois concern vivre en solo Sortir du ch mage dans une soci t post emploi i m q n Economie circulaire Rien ne se perd tout se transforme Peut on coop rer pour sauver le climat Techno 7 logies Quand le virtuel se superpose au r el Nucl aire t moignage de Fukushima Nord Sud Afro opti misme et r volution silencieuse Union bancaire un premier pas insuffisant L intermittence pour les nuls Ma ville Notre plan te Dossier Notre environnement dans 25 ans se projeter dans un futur vert et positif Concours MOBIL 2040 Expo photo visualizing energy Concours Earth Hour City Challenge la R gion de Bruxelles Capitale laur ate ParkDesign 2014 revisiter la notion de ferme urbaine Tour amp Taxis Bruxelles Environnement 25 ans au service des Bruxellois R chauffement climatique Le GIEC tire la sonnette d alarme 88 m E Cinq mitoyennes en qu te d espace et de lumi re Une petite maison de ville devient loft Une Bruxelloise tu b tis revisit e Mat riaux bruts en vedette Vivre et travailler sous un m me toit Ventilation Economiser de l ner Je a lt Ale gie en r cup rant de la
35. solation efficace et durable gr ce une isolation per formante uire r nover conomiser On trouve sur le march un grand nombre de produits d isolation qui permettent d apporter des solutions aux probl matiques tech niques des diff rents sys t mes constructifs Ce guide a pour objectif de vous clairer sur les propri t s des diff rents produits division par quatre dix des consommations de chauffage est possible pour la majorit des b timents WWW RENOUVELLE ORG d isolation qu ils soient bio sourc s min raux ou synth tiques et de vous aider dans votre choix Mais le CCS a t il un r le jouer dans une transition durable et si oui lequel Ce sont les questions que No Lecocq physicien et charg de mission vEner gie chez Inter Environnement Wallonie aborde dans cet ouvrage qui alterne des passages d informations techniques et d autres centr s sur le d bat Une version lectronique t l chargeable gratuite du dossier est disponible au prix de 7 euros frais d envoi inclus sur le site C gt www iew be Une s rie de fiches techniques associ es aux principaux mat riaux d isolation vous permettra d avoir une vision la plus objec tive possible du panel de solutions d am lioration thermique de votre b timent Pour vous aider comparer et choisir les mat riaux adapt s la paroi et au b ti ment isoler il est n cessair
36. technologique pour la r ha bilitation de sites hydro nerg tiques l ouvrage offre une guidance pour la remise en production d anciens sites hydro nerg tiques sur le plan juridique droit applicable aux cours d eau droit applicable la production et l usage de l nergie mais galement en mati re de permis d urbanisme ou de r gles pour l exploitation Il d taille aussi les aides disponibles pour l installation d qui pements et consigne les adresses utiles pour le candidat la r habilitation Le guide a pour ambition d informer non seulement celles et ceux qui sont Photo Moulin de Beaurieux sur l Orne Source Patrimoine st phanois int ress s par la remise en exploitation d un site hydro nerg tique mais aussi les administrations diff rents che lons de pouvoir qui seraient confron t es des demandes Tout comme les autres sources d ner gie renouvelables la remise en produc tion d anciens sites hydro nerg tiques pr sente de nombreux int r ts assurer tout ou partie de son ind pendance nerg tique r duire sa facture d lec tricit produire de l lectricit verte contribuer pr server l environnement et restaurer le patrimoine local Elle per met galement de dynamiser l cono mie locale au travers de projets coop ratifs lire Renouvelle n 63 Le Vade mecum offre un outil d aide la d cision qui permet de faire la synth se des connaissances essentielles
37. urs contre les nouvelles brussels lt gt RENOUVELLE 01 enouvelle WEBMAG N 65 JUIN 2014 d nergie conventionnelle l exasp ra tion des gestionnaires de r seaux le trouble des r gulateurs autant de mouvements tectoniques annonciateurs d un tremblement de terre imminent Il s est concr tis en 2013 par une re mise en cause fondamentale et g n ralis e du statut des nergies renouve lables dans les strat gies nerg tiques europ ennes Aux yeux des d cideurs europ ens ces nergies ont gagn en maturit et cess d tre ce secteur choy et matern qu il convenait le temps de son mergence de maintenir l abri des brutalit s du march Le renouvelable n est plus l enfant g t de la plan te nergie Une grille de lec ture qui claire pratiquement chacune des 69 pages du SmartGuide 2014 Celles ci survolent l actualit belge et in Recevez Renouvelle chaque mois par courriel gt Www renouvelle org Vous pr f rez recevoir 10 num ros en version imprim e par voie postale Versez 35 50 pour un envoi en UE hors Belgique sur le compte Triodos 523 0800192 17 avec la mention sympathisant adresse postale Renouvelle est dit par APERe asbl Association pour la Promotion des nergies Renouvelables TF Www apere org R daction Jean CECH Nathalie GILLY Christophe HAVEAUX Michel HUART Denis RI CHIR G rard RIETY Nos partenaires r da
38. v ne ments marquants E voire d termi nants Et il est vrai E i que 2013 n en a tr CE pas manqu Tout MEE i l int r t du Smar tGuide 2014 qui vient de sortir de presse 1 est de VOUS permettre d chapper aux impressions ponc tuelles et souvent pidermiques li es quelques faits pr cis le remplacement du syst me implantations oliennes onshore les empoignades sur les tarifs nerg tiques pour d gager des tendances lourdes susceptibles de modifier nota blement le paysage nerg tique Car celles ci apparaissent clairement d s qu on met bout bout les constats ponctuels pour constituer le fil conduc teur d une volution majeure Un constat d abord 2013 marque un tournant dans ce qu il est convenu d ap peler la transition nerg tique Pas seule ment quelques p rip ties d terminantes qui font sens mais un v ritable change ment d re dans le d bat nerg tique A y regarder de plus pr s les signes avant coureurs apparaissaient d j clairement en 2012 On y suivait avec cu riosit les premi res retomb es de la sortie allemande du nucl aire on y d taillait les feuilles de route l horizon 2050 on y voquait p le m le les effets de surchauffe li s aux aides publiques au renouvelable la grogne des clients industriels et des la fronde des producteurs m nages bruxell l Le environnement Solwatt par Qualiwatt la multiplica tion des reco
39. vient parfois s ajouter une prime provinciale permet un temps de retour moyen sur investissement de moins de 10 ans Selon la f d ration BELSOLAR cette mesure devrait relancer le march wal lon qui s tait effondr en 2011 suite la suppression de la r duction d imp ts pour les investissements conomiseurs d nergie 3 Une tude pour v rifier la qualit Les acteurs disposent par ailleurs d une nouvelle tude pour valuer 3 ans de r alisations sur le terrain Le bureau 3E a en WWW RENOUVELLE ORG effet r alis trois campagnes de 50 ins pections solaires thermiques en Wallo nie Objectifs v rifier la qualit des ins tallations et les plaintes enregistr es 17 plaintes en 2011 8 en 2012 et 5 en 2013 Ce retour de terrain permet de constater des probl mes r currents de plusieurs types la conception sur le mat riel utilis et lors de la mise en uvre avec des degr s divers de gravit Selon ce bi lan les grands syst mes et les syst mes combin s sont statistiquement plus su jets probl me Les chauffe eau solaires individuels CESI rencontrent moins de probl mes en raison de la standardisa tion des installations et de la simplicit de mise en uvre Ce retour d exp rience justifie l actuelle d marche de la R gion pour davantage de qualit Deux initiatives compl men taires sont mises en place Qualiwall et NRQualSOL Qualiwall qui remplace l agr ment Solt
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