COMPTE RENDU DE REUNION
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1. n apparaisse pas dans la nomenclature et demande que le groupe national se saisisse de cette demande Jean Marc Fr mont note que sur ce th me il attend beaucoup du projet MEDDE DEB de production de la carte des v g tations naturelles et semi naturelles de France CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 Sylvie Dufour pr sente ensuite l exemple de l analyse de lOCS sur la commune de Tournefeuille 8 commune en population de Midi Pyr n es au travers de ce tableau et d une comparaison avec le PLU Elle conclut par 3 constats et 2 propositions Constat 1 Il reste des impr cisions sur des surfaces importantes pour les utilisateurs vis vis de la ventilation U A N Constat 2 Le produit actuel n est pas compr hensible par les utilisateurs de terrain Cf RPG Proposition 1 Travailler avant la production en partenariat avec IGN sur le logigramme de constitution de la couche pour optimiser les derniers ajustements Mettre en place un processus it ratif entre les utilisateurs et IGN pour chaque question probl me soulev et explicit quant ses cons quences une explication d IGN sur sa prise en compte ou non dans le processus de production Constat 3 Il est illusoire de penser que la m thode actuelle puisse permettre une actualisation un rythme moindre que tous les 6 ans actualisation des couches source temps de traitement co t Proposition 2 Utilisation des images satellites pour un suivi2. ces difficult s il faut trouver un m canisme op rationnel qui permette de r pondre m me partiellement Benoit Gourgand souligne que l explosion des co ts n est absolument pas encore prouv e au stade de l exp rimentation Michel David souhaite rappeler que l occupation du sol na pas comme seule logique la r ponse aux demandes des lus elle a vocation produire galement des indicateurs globaux Il faut trouver des lieux de repr sentation cette d marche Le conseil national de la transition cologique CNTE peut offrir une occasion de pr sentation et r flexion sur la d marche Sur le mod le de ce qui est fait par l Insee il faut certainement r fl chir des m thodes permettant de fournir des indicateurs globaux actualis s avec une plus grande fr quence Une id e peut tre de suivre des territoires t moins Michel David pr cise que cette r flexion m me si elle se situe une autre dimension que celle d battue dans le cadre de l OCS GE est compl mentaire Thierry Sabathier pr cise que l approche statistique ne sera pas utilis e l chelon local Michel David rappelle qu actuellement les chiffres de mutation de consommation de l espace qui font r f rence sont ceux extraits de l enqu te Teruti outil statistique ou de Corine Land Cover avec les biais connus ou m connus Sylvie Dufour ajoute que Midi Pyr n es proc de un travail de tri des besoins en liminant ceux quoi OCS n a
3. Pierre Lavergne rappelle la rencontre du 05 f vrier entre la FNAU et le Directeur g n ral de l IGN Cette r union a permis d inventorier les sujets communs que peuvent avoir l IGN et la FNAU La couche OCS GE est un sujet essentiel pour les agences d urbanisme CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 La FNAU souhaite s engager dans des chantiers de coproduction au travers d une convention globale de partenariat Cette convention devra galement pr voir un largissement possible d autres probl matiques comme celles de la 3D ou du portail de l urbanisme La FNAU propose de laisser l initiative l IGN pour l organisation prochaine d une r union avec comme repr sentant de la FNAU Florence Sorrentino Brigitte Bariol Mathais Dominique Musslin Pierre Lavergne et Patrice Duny Alain Gervaise accepte de relayer cette demande officielle Michel S gard directeur des programmes publics Alain Gervaise liste les partenariats en cours de discussion avec l IGN Sont sign es et en cours de r alisation la production de POCS Midi Pyr n es et celle d Aquitaine pour cette derni re l IGN est positionn en tant qu assistant la maitrise d ouvrage Sont en cours de discussion les conventions avec le CRAIG et G oBretagne pour la production du Morbihan 56 Enfin une discussion est initi e avec le GIP Recia pour la production de l Indre et Loire 37 Jean Marc Fr mont rappelle que OCS GE est certes un outil de d bat local mais re
4. ign fr geoportail gouv fr 1 Ordre du jour Approbation du compte rendu du 2 Comor pour approbation Nomenclature nationale a Pr sentation d tape par Benoit Gourgand B Circuit de validation par Fran ois Salg D finitions des principaux termes utilis s par Thierry Touzet Exp rimentation Midi Pyr n es a Pr sentation des premiers r sultats sur les Hautes Pyr n es par Thierry Touzet B Retours utilisateurs par Sylvie Dufour Ossature a Production par Thierry Touzet B Diffusion par Alain Gervaise Les partenariats en cours d laboration avec l IGN par Alain Gervaise Questions diverses Documents joints 131119 CR COMOR OCS GE du 19 novembre 2013 Rectificatif2 pdf compte rendu 2 COMOR _ COSMIP COMOR avril 2014 ventilation US vs CS vi4 DREAL MIDI PYRENEES ods pr sentation Sylvie Dufour COSMIP_COMOR avril 2014 V1 DREAL MIDI PYRENEES odp pr sentation Sylvie Dufour CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 1 Approbation du compte rendu du 2 Comor pour approbation Jean Marc Fr mont indique que la demande de rectificatif faite par courriel par Fr d ric Laffont a t int gr e au compte rendu mis en ligne sur le site institutionnel de l IGN Fran ois Amiot fait remarquer qu il tait pr sent et par cons quent n tait pas excus Jean Marc Fr mont soumet au vote le compte rendu sous r serve de cette modification Vote le compte rendu est approuv l unan
5. et mise disposition Concernant la nomenclature un jeu test sur la commune d Aureilhan a t r alis par les maitres d uvre Ont particip l exp rience les soci t s Aliz SIRS et le Cerema PCIAST L exercice a t r alis en essayant d utiliser les quatre dimensions de la nomenclature de l occupation du sol Le r sultat est une analyse critique et extr mement constructive du mod le de nomenclature Il en ressort qu il reste encore un travail important pour d finir certains postes de la nomenclature surtout dans les dimensions de morphologie et de caract ristiques Jean Marc Fr mont pose la question de la stabilit du sous ensemble de la nomenclature nationale d fini pour la couche OCS GE de l IGN Benoit Gourgand r pond que les deux premi res dimensions utilis es par la couche IGN reposant sur la couverture du sol et l usage du sol sont stabilis es et ne seront pas r vis es Jean Marc Fr mont pose la question du calendrier du groupe national Benoit Gourgand souhaite proposer une version pour juin 2014 pour une pr sentation au CNIG Le circuit de validation est pr sent par Fran ois Salg Fran ois Salg pr cise que la validation se fera par le CNIG sur le mod le de ce qui a t fait pour les PLU la carte communale ou les servitudes d utilit publique Le CNIG est une instance dont les travaux sont reconnus comme fiables Une premi re pr sentation a t faite la commission d
6. interm diaire construire d s maintenant Sylvie Dufour encourage d autres organismes les rejoindre pour cette exp rimentation Fran ois Amiot rappelle qu l origine les zones n taient pas envisag es par le l gislateur elles ont t impos es suite des amendements propos s par la profession agricole Jean Marc Fr mont note que l approche pr sente deux niveaux s mantique celui d fini au niveau des cases du tableau couverture vs usage et celui des mots g n riques d finis par la r union de plusieurs cases chacun devant tre d finis pr cis ment Thierry Sabathier apporte deux l ments techniques compl mentaires sur exp rimentation Midi Pyr n es Il est indispensable de retrouver sur le produit final la distinction des terres arables des prairies minima celle du RPG registre parcellaire graphique La distinction des usages secondaire tertiaire et r sidentiel est galement essentielle partir des fichiers fonciers il est possible de d gager un usage prioritaire attach une parcelle fonci re Le r sultat reproduit dans la couche d occupation du sol grande chelle semble compatible avec le mod le conomique Thierry Sabathier sugg re que l IGN se fasse assister par le Cerema foncier Picardie qui a d velopp une expertise sur les fichiers fonciers Enfin il souligne la n cessit de r fl chir aux r gles de priorit s logigramme de d cisions Yves Riallant d
7. Er COMPTE RENDU DE REUNION IG N R PUBLIQUE FRAN AISE Ce projet a t cofinanc INSTITUT NATIONAL de l cologie L Europe s engage G OGRAPHIQUE en Midi Pyr n es du D veloppement ET FORESTI RE durable et de l nergie avec le Fonds europ en de d veloppement r gional Objet Comit d orientation du projet Occupation du sol grande chelle COMOR OCS GE du 3 avril 2014 Prochaine r union mardi 4 novembre 2014 14h00 IGN salle Arago Liste de diffusion Participants Service Personnes informer Service F SALGE MEDDE METL DGALN P GERBE IGN DPR J M FREMONT IGN S MOTET IGN DPR SBV B DAVID MEDDE CGDD DRI MIG C TESSIER IGN DIR Sud ouest M DAVID MEDDE CGDD SoeS M MARCONNET IGN DIR Nord ouest F AMIOT DGALN DHUP QV G BLIN IGN DIR Nord est F LAFFONT ONCEA F PERRUSSEL MORIN IGN DIR Centre est DUFOUR DREAL Midi Pyr n es P LAULIER IGN DIR Sud est PERILLAT DRAAF SABATHIER DDT 65 BARIANT ARF LAVERGNE FNAU RIALLANT AFIG O GOURGAND CEREMA DTecTV VAILLANT FNE GERVAISE IGN DPC TOUZET IGN OO APOI Absents excus s J PRADE MAAF DGPAAT B SEDILLOT MAAF SG SSP D PREVOT MAAF SG SSP F DECAUDIN ARF C ROUSSON MAAF IG C CHAMARD BOIS DREAL PdL C LEBRETON ADF J M STREBLER FN SCoT Date Visa Nom Service 10 04 2014 Fran ois SALGE MEDDE METL DGALN 10 04 2014 Jean Marc FREMONT 73 AVENUE DE PARIS 94165 SAINT MANDE CEDEX
8. a production de la zone b tie 3 D finitions des principaux termes utilis s Thierry Touzet pr sente l bauche d un glossaire qui devra d finir tous les mots et groupes de mots utilis s dans le cadre de l occupation du sol Un exemple est donn sur la notion d espace qui diff re de celle de zone par la possibilit de d terminer ou non les limites Il est rappel que la nomenclature emploie davantage la notion de zone comme le poste des zones b ties qui couvre non seulement l emprise des b timents mais galement la zone de d pendance proche A ce sujet Thierry Touzet informe que le groupe national a pris la d cision de fixer 200m la surface minimum d une zone b tie Le seuil tait de 500m pour l exp rimentation sur les Hautes Pyr n es Thierry Touzet propose que les organismes qui produisent de l information d occupation du sol travaillent ensemble pour d finir ce glossaire CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 Sylvie Dufour souligne qu il s agit bien de r aliser un glossaire accompagn des Sp cifications Si les concepts employ s sont coh rents avec le niveau international il ne faut pas oublier de prendre en compte les termes utilis s par le public non averti et notamment les politiques Jean Marc Fr mont interroge l ONCEA sur l avancement des travaux annonc s au 2 Comor Fr d ric Laffont rappelle le contexte de la commande du ministre en 2013 pour la r alisation d un rapport c
9. compte la nomenclature Teruti Benoit Gourgand r pond que la nomenclature Teruti a t expertis e mais le travail de mapping n a pas t r alis Toutefois ce travail sera faire et il devrait tre possible Jean Marc Fr mont annonce qu un travail commun SSP IGN a d but il concerne sur l harmonisation des d finitions des protocoles entre TERUTI et l inventaire forestier afin que par une approche m thodologique globale les r sultats publi s notamment sur la for t soient d sormais coh rents Fran ois Salg souligne que les concepts ont t inspir s de concepts europ ens qui ont fait ce travail d harmonisation des nomenclatures europ ennes et qui ont conduit la nomenclature EAGLE On s inscrit dans un mouvement local qui s appuie sur des th ories europ ennes La nomenclature constitue un outil robuste et en apparence La loi pour l acc s au logement et un urbanisme r nov ALUR a t promulgu e le 24 mars dernier et publi e au Journal officiel le 26 mars 2014 CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 complexe Mais cette complexit est d abord une cons quence de la complexit des modes d occupation du sol Thierry Sabathier pose le probl me du passage du mod le 4D vers les nomenclatures historiques Il ne faut pas laisser croire que les passages sont faciles il ne s agit pas de faire r ver Le mapping des nomenclatures est certainement possible mais le probl me demeure pour la dimension g om t
10. dation du glossaire par la commission donn es du CNIG Jean Marc Fr mont en conclusion accueille de fa on tr s positive les travaux de l ONCEA et le souci exprim de convergence avec le projet OCS GE Fr d ric Bariant rappelle que la r gion Midi Pyr n es s est assign e la mission de r aliser un document mode d emploi de la couche occupation du sol 4 Exp rimentation Midi Pyr n es Sylvie Dufour pr sente la d marche et l exp rimentation men es par Midi Pyr n es Elle rappelle que le projet Midi Pyr n es s appuie sur deux instances une compos e des utilisateurs CORU et l autre plus technique compos e de g omaticiens SCOTECH Elle d cline les deux objectifs 1 d cliner les besoins utilisateurs 2 valuer l ad quation du produit aux besoins utilisateurs Sylvie Dufour rappelle le contexte g n ral et notamment l objectif de se doter d un outil pour r pondre la loi ENE Elle souligne que le produit final doit tre compr hensible par les lus et enfin que le mod le conomique doit tre soutenable par toutes les parties Apr s avoir recens les besoins Sylvie Dufour pr sente un tableau labor par l ensemble des collaborateurs du projet Midi Pyr n es croisant la couverture du sol et l usage du sol o des cases ont t agr g es permettant de ventiler tout le territoire entre les zones urbanis es agricoles ou naturelles Sylvie Dufour regrette que le terme de naturel
11. de d tails par endroit et moins ailleurs Thierry Touzet pr cise que les termes d artificialisation et d urbanisation ne sont volontairement pas employ s dans la nomenclature qui a vocation d crire l aspect physique des sols par la couverture et l utilisation des sols par l usage Les termes d artificialisation et d urbanisation d crivent des ph nom nes complexes dans la mesure o ils se d finissent par le croisement de plusieurs types de couverture et de plusieurs usages La nomenclature a donc vocation d crire de mani re fine ces ph nom nes de consommation et de mutation des espaces Thierry Touzet pr sente les travaux r alis s dans le cadre du groupe national pour illustrer la repr sentation de l occupation du sol sur la commune d Aureilhan dans ses quatre dimensions Il souligne que ces travaux permettent de valider le mod le qui apporte une tr s grande richesse pour la description d un territoire L outil permet galement d aborder et de prendre en compte toutes les sp cificit s locales sans perdre la possibilit de revenir un niveau permettant la comparaison avec les territoires voisins ou plus loign s Il annonce que l IGN suit les pr conisations du groupe technique national en modifiant les sp cifications de seuil minimum pour les zones b ties Le seuil est abaiss 200m et remplace les 500m2 Tous les b timents d une surface sup rieure 50m seront pris en compte pour l
12. emande si la livraison finale est une carte ou une base de donn es Dans le cas d une base de donn es l effort de communication vis vis des utilisateurs et des lus rel ve des pr rogatives des organismes locaux Sylvie Dufour confirme que la livraison est une base de donn es et qu effectivement permettre une repr sentation cartographique par rapport l utilisation souhait e est la t che prioritaire Par exemple la demande du monde agricole est de voir repr sent la surface productive Fran ois Salg souligne que la base de donn es doit pouvoir produire tous les regards Il faudra compl ter pour certains besoins par des couches interm diaires Sarah Vaillant insiste sur le fait que la s paration des usages urbains est indispensable Fran ois Salg appuie cette demande et pr cise que le type regroup 235 devrait tre l exception La r utilisation des fichiers est un travail indispensable ajouter la r flexion du projet CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 Fr d ric Laffont souhaite comprendre en quoi lacquisition de ce niveau de d tail est co teuse alors que les bases de donn es existent d j Fran ois Salg pr cise que les fichiers fonciers ont un regard fiscal du territoire Il ajoute que malheureusement les bases de donn es ne sont pas compl tes c est le cas par exemple du cadastre num rique qui permettrait de produire un lien direct entre fichier foncier et parcelle g ographique Malgr
13. es donn es en d cembre 2013 Une version quasi d finitive devra tre pr sent e au mois de juin r union programm e le 25 juin puis sera ensuite adopt e lors d une r union pl ni re CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 D bat Jean Marc Fr mont rappelle qu actuellement le nombre d acteurs est relativement restreint et que cette tape de validation de la nomenclature nationale est essentielle pour engager une homog n it sur l ensemble du territoire Benoit Gourgand fait remarquer qu il reste plusieurs questions en suspens La premi re porte sur l homog n it du r sultat et donc la maitrise des r sultats en sortie Il est important que dans le cade de la production et de la diffusion de l OCS GE l IGN puisse fournir une qualit finale du produit afin de maitriser la qualit des indicateurs produit Quel niveau de qualit souhaitons nous La deuxi me porte sur la relation nationale locale quel niveau pourra t on retoucher les donn es et quels retours seront possibles pour un outil qui a pour vocation d tre le fournisseur d indicateurs nationaux et locaux Ces indicateurs devront tre maitris s Enfin reste la question du mod le conomique Benoit David demande si des mesures d accompagnement sont pr vues pour la publication Fran ois Salg r pond que les moyens sont ceux traditionnellement disposition du CNIG Mais la question n a pas t encore abord e Benoit David sugg re qu une validation natio
14. imit 2 Nomenclature nationale La pr sentation d tape des travaux du groupe national est pr sent e par Benoit Gourgand Benoit Gourgand rappelle que le groupe s est r uni deux reprises depuis le 2 COMOR 2 jours Lyon 28 et 29 janvier et 1 un jour la D fense 27 mars Les sp cifications techniques sont termin es sur l ossature Des avanc es et des d cisions importantes ont t prises sur les objets d occupation du sol d crits par la nomenclature Le fonctionnement du groupe a t modifi puisque se retrouvent dans les m mes r unions les maitres d uvre et les maitres d ouvrage Les discussions sont de fait plus techniques Le groupe s est galement largi de nouveaux participants avec les agences d urbanisme de Caen m tropole et l agglom ration de Lille ainsi qu une nouvelle IDG le CRAIG Auvergne Les d cisions prises sur l ossature sont consultables dans les comptes rendus en ligne sur le site www geomatique aln fr Les derni res discussions ont port sur les zones de comblements L IGN a apport une r ponse favorable la demande des utilisateurs Enfin l IGN a fait une proposition de solution pour am liorer la qualit de l ossature plus en accord avec la demande des utilisateurs IGN propose de mettre en place un guichet ossature pour faire remonter les demandes de modifications correspondant une tape de validation par les utilisateurs L ossature sera calcul e ensuite
15. levant d une probl matique nationale Fran ois Salg pr cise que la probl matique est galement transr gionale Catherine P rillat rapporte que la r gion Rh ne Alpes est galement engag e dans la production d une occupation du sol en 4 postes coh rente avec la couche nationale puisqu elle s appuie sur l ossature Les utilisateurs souhaitent un approfondissement qui pourrait s engager en relation avec l IGN Thierry Sabathier pose la question l IGN de son attitude dans le cas d une r gion qui ne souhaiterait pas suivre les recommandations nationales Jean Marc Fr mont r pond que dans cette situation l IGN ne pourra pas s engager financer la production Il conviendrait alors de v rifier si le minist re du d veloppement durable d cide de subventionner la production Fran ois Salg indique que les minist res n ont pas souhait apporter de financement sp cifique pour la production de l OCS dans le COP actuel Il faudra attendre maintenant le prochain COP 2017 2020 Yves Riallant constate qu il est toujours difficile de trouver un espace aupr s des d cideurs pour exposer les probl matiques Sylvie Dufour ajoute que le portage politique dans les r gions peut tre r alis dans le cadre des contrats de plan Etat R gion en cours de mise au point Fran ois Salg reprend l id e d j voqu e de le porter au niveau du CNIG 7 Questions diverses Benoit Gourgand fait remarquer que l IGN a fourni
16. nale soit accompagn e d un v nementiel Jean Marc Fr mont r pond qu il est favorable une manifestation durant le deuxi me semestre 2014 Fran ois Salg reprend avec int r t l id e d une manifestation qui devra se faire en relation avec les actions engag es par le minist re autour des SCoT Le mod le national est un outil pour les minist res mais galement un outil pour les acteurs qui produisent les SCoT et les TVB Il faut trouver un m canisme de communication Fran ois Amiot informe qu en mai ou juin se tient une r union de service apr s vote sur la loi ALUR Il rappelle que les SCoT doivent int grer des objectifs chiffr s sur la consommation des espaces Cette r union peut tre l occasion d une information sur les travaux de l OCS GE Jean Marc _Fr mont demande si la nomenclature permet l int gration de donn es pr existantes bas es sur une nomenclature diff rente Fran ois Salg r pond que c tait l objectif assign au groupe national On peut retrouver toutes les nomenclatures utilis es dans cette matrice Il faudra mettre en place des aides pour arriver d velopper des passerelles et prendre des mesures d accompagnement Benoit Gourgand r pond que c est d abord la fonction des derni res dimensions C est bien les nomenclatures d j utilis es qui ont pr sid aux dimensions de morphologie et de caract ristiques Catherine P rillat souhaite savoir si le groupe a pris en
17. omprenant un volet sur les principales d finitions des termes utilis s et un volet quantitatif partir des bases nationales Le volet d finition a t r alis dans le cadre du comit technique Il recense les d finitions qui existent mais fournit galement leur g n alogie Le tableau de grande taille peut tre communiqu en l tat titre de document de travail pour servir de base la r alisation du glossaire de r f rence pour POCS GE Le rapport sera disponible apr s sa validation qui doit tre effective lors de la prochaine r union pl ni re la date n est pas fix e Fr d ric Laffont propose une intervention aupr s du cabinet du ministre pour pr senter la d marche de l OCS GE lors d une prochaine r union ONCEA dans la mesure o OCS GE est pr sent dans le rapport comme un travail incontournable Jean Marc Fr mont pr cise qu en tant que pr sident du Comor il sera attentif cette proposition Pierre Lavergne souhaite voir aboutir ce glossaire car il constate actuellement de grosses confusions entre les termes employ s comme artificialisation espace urbanis ou espace construit Il existe peu de d finitions pour ces notions Fran ois Salg constate que la loi se refuse d finir les mots Il n existe pas de d finitions associ es Fran ois Amiot constate galement que beaucoup de temps d explications est consacr entre l expert et l utilisateur Benoit David propose la vali
18. ossature la R gion Rh ne Alpes en dehors d un cadre de partenariat par cons quent il souhaite connaitre quels sont r ellement les ayants droits de l ossature Jean Marc Fr mont r pond que cette situation avec Rh ne Alpes est transitoire elle doit tre r gularis e apr s cette p riode d exp rimentation par la signature d un acte contractuel Thierry Touzet rappelle toutefois que l IGN est membre du comit de pilotage du projet occupation du sol Rh ne Alpes et que l change s est fait dans un premier temps ce titre de collaboration Benoit Gourgand remarque que si l IGN souhaite s adosser l chelon r gional il est important de na pas oublier le niveau SCot et agences d urbanisme Thierry Sabathier souhaite que soit not e en conclusion la n cessit pour l IGN de b n ficier d une expertise du Cerema foncier pour la distinction des usages secondaire tertiaire et r sidentiel CR COMOR OCS GE 3 avril 2014 Fran ois Salg propose de fixer la date de la prochaine r union finalement le mardi 4 novembre 2014 en signalant qu il ne sera pas pr sent puisqu il fera valoir ses droits la retraite officiellement partir du 1 novembre 2014 Jean Marc Fr mont cl ture la r union 17h00 10 CR COMOR OCS GE 3 avril 2014
19. pas vocation r pondre parce qu il existe d autres outils bases de donn es pour le faire 5 Ossature Thierry Touzet rend compte des travaux sur la production de l ossature en annon ant que les sp cifications sont d sormais arr t es avec les utilisateurs Il rappelle et confirme la mise en place d une proc dure de validation pr c dent l tape de production au travers d un guichet de remont e des modifications Toutefois il rappelle que lossature doit tre une repr sentation r gionale de la sectorisation des territoires Les demandes devront tre instruites avec cet objectif Alain Gervaise d crit le mode de diffusion de l ossature qui n est pas un nouveau produit de l IGN mais une donn e interm diaire disposition des partenaires qui souhaitent participer l laboration de la couche OCS GE Fran ois Amiot souhaite connaitre la disponibilit des documents d accompagnement Alain Gervaise pr cise que l ossature sera accompagn e d une documentation compl te des sp cifications et du mode de production Un document succinct des sp cifications sera mis en ligne sur le site professionnel 6 Les partenariats en cours d laboration avec l IGN Jean Marc Fr mont rappelle le processus d laboration de la couche OCS GE fond essentiellement sur des partenariats de co production A titre d illustration il propose Pierre Lavergne repr sentant la FNAU de pr senter la d marche engag e
20. rique D river une petite chelle d une grande chelle est dans le domaine du faisable l inverse nettement moins Fran ois Salg ajoute que la notion d chelle est imbriqu e dans celle des seuils II ne faut bien s r pas dissocier les aspects de la nomenclature des sp cifications de saisie et des seuils appliqu s Le passage dans le mod le grande chelle n cessitera certainement des traitements compl mentaires ou des saisies compl mentaires Thierry Sabathier souligne qu il ne faut surtout pas faire r ver des non sp cialistes Jean Marc Fr mont demande galement ne pas les d courager me Sarah Vaillant revient sur un sujet abord par la FNE lors du 2 Comor et souhaite avoir davantage de pr cisions sur les efforts consacr s pour la description des zones b ties et notamment sur la distinction des zones commerciales et industrielles qui permettrait de disposer d indications essentielles sur les politiques men es pour le suivi de l artificialisation des sols Elle demande si la nomenclature permet la mesure du ph nom ne d urbanisation et d artificialisation Fran ois Salg pr cise qu il est possible de faire ces distinctions Il faut d finir jusqu o on souhaite aller dans la pr cision et le d tail pour un territoire Il faut galement mettre le co t de l acquisition de la donn e en rapport avec son niveau d exigence L approche devra certainement tre diff renci e sur un m me territoire avec plus
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