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Guide méthodologique - format : PDF

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1. gt Guide methodologique pour une int gration possible des objectifs de d veloppement durable dans le projet urbain et les documents r glementaires locaux gt atelier Cite architecture architecte urbaniste gt Direction Departementale des Territoires du Haut Rhin maitre d ouvrage Minist re de l cologie de l nergie Pr sent du D veloppement durable pour et de l Am nagement du territoire l avenir Le quartier durable est un territoire qui pour sa cr ation ou sa r habilitation int gre dans une d marche volontaire une conception et une gestion int grant les crit res environnementaux un d ve loppement social urbain quilibr favorisant la valo risation des habitants la mixit sociale et des lieux de vie collective des objectifs de d veloppement conomique de cr ations d activit s et d emplois locaux les principes de la gouvernance que sont la transparence la solidarit la participation et le partenariat association des eco maires de France gt avant propos L impact de la forme urbaine sur la consommation de res sources naturelles le sol l eau les nergies non renouve lables est aujourd hui clairement tabli Dans ce contexte les documents r glementaires locaux et notamment le PLU doivent int grer sans attendre les enjeux du d veloppement durable Les r ponses apporter la crise actuelle doivent tre port es par les r gles urbaines et relay es par les lu
2. gt evaluer la part du budget global accord la concertation gt evaluer les modes de communication utilis s affichage r unions site internet gt l sagit d inciter La diversit des op rateurs sur un m me projet urbain afin d viter toute normalisation de la forme urbaine l autopromotion peut participer La diversifica tion de la forme urbaine gt la proc dure de ZAC int gre sans restriction de taille ou de programme la concertation com me d marche de projet l approbation du dossier de cr ation de zac implique l laboration pr alable d un bilan de concertation a permet de fixer un cahier des charges de ces 43 Gestion des ressources humaines gt Promouvoir des modes de vie durable gt Les modes de vie actuels issus du d veloppement conomique de l apres guerre sont trop consommateurs de sol et d nergie gt Si l ensemble de la population mon diale adoptait les modes de vie euro p en il faudrait l quivalent de 3 pla n tes afin de combler les besoins en ressources et en nergie gt Un cadre de vie actuel souvent subit 44 des propri taires interrog s dans le cadre d une tude admettent tre insatisfaits de la localisation de leur logement par rapport aux services et aux quipe ments Source Vincent Kaufmann et Christophe Jemelin Articulation entre urba nisme et transports quelles marges de manoeuvre revue internationale des scie
3. gt penser l autosuffisance alimen taire et nerg tique des territoires gt penser l impact des infrastruc tures sur les espaces naturels et agricoles pollution des sols mode d agriculture gt structurer la ville autour des con tinuit s g ographiques agricoles et cologiques gt Moyens en debat gt d velopper des strat gies d am nagement des territoires en s appuyant sur le r seau d espaces naturels et hydrographiques d velopper des activit s agricoles touristiques et conomiques qui r pondent des enjeux environnementaux conomiques et de d placements par le maitien d espaces naturels r seau de liaison douces agriculture gt am nager des corridors cologiques qui mettent en r seau les l ments de nature urbaine parcs et jar dins espaces verts publics et priv s avec des biotopes plus consti tu s bois pr s gt organiser la ville et la densit gt questionner le statut public ou prive des espaces qui constituent La trame verte Les conditions d am nagement des parcelles priv es peuvent parti ciper au maintien d cosyst mes par une r glementation du niveau d infiltration des parcelles par exemple gt renforcer une agriculture de proximite et des exploitations fores ti res afin de participer l autosuf fisance alimentaire et nerg tiques des territoires urbanis s Mettre en place des partenariats dans la production de denr es
4. cette ville qui consomme sans m nage ment les ressources naturelles disponibles mais non re nouvelables fragmente les pratiques urbaines on vit un endroit pour travailler dans un autre et se d tendre encore ailleurs la ville durable propose un changement de paradigme au centre duquel un d veloppement rai sonn et donc plus conome en ressources porte l id e d une ville plus attractive et plus d sirable L o les cit s jardins pr sentaient au d but du si cle dernier les visages possibles d une ville accompagn e par la nature et porteuse de vie sociale les quartiers durables ont charge aujourd hui de r habiliter la ville En d veloppant des dispositifs en mati re de production et de gestion des nergies des ressources naturelles et de d placements la ville durable propose d abord un urbanisme conomiquement responsable Mais en exigeant de chacun un usage plus conome des ressources non renouvelables la mise en place d un urbanisme durable suppose non seulement de re penser les modes de productions mais galement de repenser les modes d habiter la ville La ville durable appelle la mise en place d une pens e simultan e et transversale des diff rentes chelles de fabrication de la ville o les contingences cologiques lient la planification du territoire au dessin des architec tures dans une m me pens e Sa r ussite participe de la reconstruction d un imaginaire fond sur une nouvelle quali
5. 10 millions de km jour sont parcourus par les habitants du Haut Rhin gt 57 du parc de logement en Alsace est de l habitat individuel Source Les chiffres de la construction en Alsace N 3 2008 DRE Alsace Servite de l information statistique gestion des ressources naturelles gt Favoriser le d veloppement endo g ne en incitant au renouvellement urbain et en limitant Le d veloppe ment exog ne y compris des infras tructures gt P renniser Les surfaces agricoles naturelles et foresti res La valorisation des parcelles agricoles et naturelles permet de conserver des terres feriles et perm ables Fa on de tape proc der M thode gt Moyens en d bat gt Limiter la croissance des villes au renouvellement urbain en agissant sur la mutation des friches urbaines En France les friches industrielles ferroviaires et militaires repr sentent 360 000ha Elles peuvent combler selon le rythme actuel 43 ans de construc tions de logement sur une base de 60 logt ha gt Fixer un seuil de densit minimum adapt e aux des caract ristiques des lieux plusieurs param tres tel l accessibilit du site la bonne desserte par les transports en commun peuvent permettre d imposer un seuil de densit gt Limiter l urbanisation aux lieux desservis par les transports en commun fortement cadenc s La distance admise de 400m praticable pied pour atteindre une station de T C peut servir
6. 1982 et 2000 gt Une fragmentation des fonctions de la ville Enfin la dissociation toujours plus importante entre lieu de r sidence et lieu de travail au profit d une r organi sation de l emploi selon des logiques interd partemen tales ou transfrontali res et la flexibilit dans les d pla cements accord e par l automobile a sollicit un foncier d abord situ le long des principaux axes routiers Les extensions vocation d activit on galement con nu une forte augmentation en 20 ans et repr sentent 2 en 2007 la densit de population moyenne en France est de 98hab km aujourd hui pr s de 40 des ph nom nes d extensions urbaines En clair les logiques de d veloppement com mercial et tertiaire ne s inscrivent plus en priorit dans une d marche de densification de la ville existante pr f rant de terrains facilement accessibles en voiture gt Un appauvrissement les paysages architecturaux et urbains Dans les villages l urbanisation de ces espaces an nex s destin s majoritairement du logement individuel n est pas ou peu accompagn e de nouveaux quipe ments et ne participe pas d une r flexion sur la r orga nisation de ces territoires En outre si l on constate un faible recul des espaces vocation agricole ce sont surtout les territoires naturels et notamment les prai ries qui ont subi les assauts des extensions urbaines D apr s la DRDAF voir glossaire on constate depuis
7. Exemples moyen exemple gt Limiter la consommation de sol Outils possibles en terme de projet et r glement N Objectif gt art 5 supprimer Les superficies minimales chiffr es des parcelles constructibles au profit d une prise en compte des contraintes d assainisse ment gt art 6 D finir l implantation des constructions l alignement Le long des voies de plus de 6m d em prises gt art 7 Imposer l implantation des constructions en mitoyennet gt art 9 d finir une emprise au sol permettant de rentabiliser le foncier Eviter d tablir un CES trop faible mais dans le cas de bandes de constructibilit s tablir une graduation du coefficient d emprise au sol gt art 14 Fixer un COS qui implique des typologies alternatives aux pavillons Un cos minimum de1 permet de mettre en oeuvre des formes urbaines plus denses comme la maison en bande gt Grenelle Il On pourra permettre de fixer des minima pour les gabarits hauteurs Le CES et Le COS dans le cas de terrains bien desservis par Les TC bien quip s en services ou b n ficiant de protec tiosn agricoles gt Encourager Le renouvellement urbain Vauban gt proposer une alternative typologique cCit manifeste 2 exemples Engag e depuis 30 ans dans l am lioration de son cadre de vie mo En 2003 la SOMCO soci t mulhousienne des cit s ouvri res r in Pe F bilit d ch ts nergie la vill
8. Pour tenir cet objectif il est n cessaire de prendre pleinement conscience de la valeur patrimoniale des sols vierges de toute cons truction et dans ce dessein il nous faut pr sent tre conscients de la qualit de notre cadre de vie La lutte contre le mitage l talement urbain et la rup ture des continuit s cologiques supposent une con naissance pr cise des formes urbaines et paysag res et de leurs volutions afin de proposer des modes de d veloppement endog ne qui s appuient sur les quali t s architecturales paysag res et urbaines des tissus existants Les projets doivent en m me temps r pondre aux demandes d une population toujours plus pr oc cup e par son cadre de vie Il s agit ainsi de proposer des dispositifs urbains plus denses et compacts tout en pr servant l intimit de chacun son d sir de plus de volume habitable et des espaces publics g n reux et confortables Les collectivit s locales ont d sormais une responsa bilit en lien direct avec la consommation de sols lors qu elles d finissent au pr alable les r glementations et orientations d am nagement Ces processus peuvent soit encourager soit freiner un renouvellement dura ble de leur territoire Ces mesures prises par les lus donnent le niveau d exigence atteindre pour les fu turs acteurs aux int r ts contradictoires concepteurs am nageurs promoteurs op rateurs publics priv s gestionnaires gt Le projet
9. Tel 03 87 24 11 73 E mail association ecoquartier strasbourg net Maitirse d oeuvre Ecologis groupe d autopromotion Association Eco quartier Responsable Adresse 1 A Place des orphelins 67000 Strasbourg Tel 03 87 24 11 73 E mail association ecoquartier strasbourg net Gundeldingerfeld B le Maitrise d ouvrage Kantensprung AG Responsable Adresse 4053 Basel DornachStrasse 192 Tel 061 3337070 E mail mfo kantensprung ch Maitirse d oeuvre Kantensprung AG Responsable Adresse 4053 Basel DornachStrasse 192 Tel 061 3337070 E mail mfo kantensprung ch Jardin des 2 rives Strasbourg Kehl Maitrise d ouvrage CU de Strasbourg Responsable Adresse 1 place de l Etoile BP 1049 67070 Strasbourg Cedex Tel 03 88 60 90 90 E mail Maitirse d oeuvre Jardin Rudiger Brosk paysagiste Passerelle Marc Mimram architecte Responsable Adresse Tel E mail Quartier Vauban Fribours en Brisgau Maitrise d ouvrage commune de Fribourg en Brisgau Responsable Adresse Tel E mail Maitirse d oeuvre Kolhoff amp Kolhoff architectes Responsable Adresse B heimstrasse 43 70 199 Stutgart Tel 49 711 6409017 E mail Solar City Linz Maitrise d ouvrage Responsable Adresse Tel E mail Maitirse d oeuvre Responsable Adresse Tel E mail Bedzed Beddington Maitrise d ouvrage Maitr
10. accompa gne d une offre plus g n reuse des espaces collectifs des corridors cologiques plant s abritant des lieux de promenade des jardins potagers partag s et des lieux de convivialit barbecues kiosques musique lieux festifs Interroger le sol consomm par les difices questionne simultan ment la quantit de sol n cessaire la r ali sation des infrastructures Un m2 construit entra ne l im perm abilisation de 4 m2 Les formes urbaines compac tes permettent de mutualiser et de limiter les surfaces d infrastructure r aliser Elles permettent de limiter les cons quences d un urbanisme exog ne consommateur de sol et d nergie La compacit des dispositifs urbains permet de mutua liser les besoins en nergie et de r partir dans le temps les pics de consommation Le logement le commerce et les activit s ne consomment pas l nergie au m me moment de la semaine et de la journ e Cette mixit fonctionnelle permet un lissage des consommations d nergie et la mise en place d une production d nergie plus durable et plus d centralis e gt Le projet urbain comme outil d am nagement durable La ville est sortie de ses limites agglom r es et les zo nes naturelles constituent actuellement les lieux princi paux d un d veloppement urbain diffus peu dense et consommateur de sols Cette expansion urbaine est confront e de nouvelles pr occupations et la sauve garde de l envir
11. alimentaires et la production d nergie Penser des partenariats d entretien des espaces naturels par les agriculteurs gt am nager les espaces naturels du cycle de l eau r cuperer filtrer traiter puis stocker l eau de pluie permet de r utiliser l eau pour des usages o l eau potable n est pas necessaire irriga tion des jardins entretien ou encore pour des systemes int gr s au logement en remplacement de l utilissation actuelle d eau potable pour les WC OK 12 01 2010 gt orientations particuli res d am nagement gt am nager la continuit grand paysage et frange de ville gt maintenir des continuit s cologiques et g ogra phiques entre Les espaces priv s et publics entre espaces naturels et urbanis s gt organiser le parcours de l eau en proposant une gestion alternative des eaux pluviales gt am nager la collecte des eaux pluviales ciel ouvert par des dispositifs naturels noues bassins roseli res gt art 3 d finir des prescriptions d am nagement en fonction du gabarit des voies d finir un pour centage d imperm abilisation de La voie choix de mat riaux perm able d fintion de profils int grant des espaces naturels gt art 4 fixer des conditions de d vacuation des eaux pluviales incite une faible imperm abilisation des parcelles Exemple du PLU de Grenoble Zone UMa art 4 tout ou partie des eaux pluviales et assimil es ne ser
12. e dog matique d un projet id al r f rant gt reconversion d une friche militaire gt densit brute de 92 logement ha gt 15 b timents de l ancienne caserne sont r habilit s gt 10 d espace public dispositifs gt grands logements de 93m de moyenne de 55 180m 2 gt densit brute de 80 logement ha gt 25 d espace public gt 6 typologies de logement gt un cahier des charges des parcelles fix par La commune gt espace ext rieur privatif pour chaque logement 33 32 33 2 exemples L exemplification pr sente 3 int r ts Elle permet de d montrer par une s rie de r alisations fran aises et trang res la validit des recommandations et actions pr conis es Elle constitue la base d une culture du projet urbain du rable et attrayant Pr senter des r alisations r centes per met d envisager des visites p dagogiques Elle illustre une grande diversit de r ponses architectu rales et urbaines un m me objectif vitant l id e dog matique d un projet id al r f rant 3_ Indicateurs Concluant chaque fiche objectif le dernier volet propose en forme de conclusion une s rie d indicateurs Ces indicateurs d finissent des r gles de projet qui for meront un cadre l laboration et l valuation d un projet urbain durable Chacun de ces indicateurs fait l objet de commentaires qui permettent de mesurer l int r t soulev par
13. pendent du secteur con cern et des propositions de r daction des articles du r glement Constat argument Th me proposition de solution piste suivre gestion des ressources naturelles gt Limiter la consommation de sol 000000000000 0000000000000000000000000000000000000000000000000000 gt 20 d augmentation en 10 ans de l occupation du sol alors que la popula tion n a augment que de 6 Source H Kempf In Environnement ces villes qui touffent la campagne Le Monde du 19 avril 2008 gt 160ha jour sont artificialis s 60 000ha an Source H Kempf In Environnement ces villes qui touffent la campa gne Le Monde du 19 avril 2008 gt En France l ensemble des surfaces agricoles est potentiel lement urbanisable Echelle nationale 4 gt Le monopole actuel de l habitat individuel comme mod le de r f rence d finit des zones urbaines peu denses la surface moyenne des maisons ne cesse d augmenter et la moyenne des parcelles pr sente une superficie de 1400m 2 gt lesinfrastructures induits par les d placements et station n ments automobiles consomment une grande quantit d es pace gt 7000m 2 jour de surface agricole sont artificialis s par jour soit 41 t de c r ales ou 14t de fruis frais gt 436km du d partement est artifi cialis soit 13 Les routes et les parkings correspondent 50 de cette surface Echelle d partementale gt
14. tre d extension urbaine et s y tenir Un p rim tre strict d urbanisation permet d agir en faveur du renouvel lement urbain et limite les extensions sur des terres naturelles fertiles Il permet d tablir une limite claire entre zone urbanis e et zone naturelle L exemple anglais de Cambridge propose une ceinture verte afin de limiter l urbanisation gt R duire la dimension des parcelles afin de densifier la r duction des parcelles limite l talement urbain et r duit la charge fon ci re pour les futurs acqu reurs D finir une hauteur des constructions R 2 minimum permet d tablir une densit plus importante en augmentant le coefficient d occupation des sols et limite les d perditions d nergies gt Proposer une typologie qui consti tuent une forme urbaine plus dense la maison individuelle isol e en pensant de des logements moins consomma teurs d espace Concevoir des formes hybrides plus denses qui combinent conomie de sol e qualit du logement individuel individuel group en bande duplex superpo S S gt Optimiser la dimension de l es pace public pens l echelle des pi tons et des transports en commun Un espace public compact peut construire un lieu vivant porteur de liens sociaux et d changes Fixer un pourcentage maximum d infrastructures publiques gt orientations particuli res d am nagement gt D finir des zones restructurer dans le PLU qui per met de b
15. 193 lotissements ont t autoris s parmi lesquelles 166 con cernent exclusivement de l habitat et seulement 4 des op rations mixtes lo gements et activit s Source Les chiffres de la construction en Alsace N 6 2008 DRE Alsace Service information et statistique gt Des exp rimentations d autopromo tion sont tent es en Alsace A Strasbourg ou encore Bergheim certaines op rations en autopromotion sont tent es prennant exemple sur les exp riences allemandes voir projet Ecologis cit en exemple objectif 1 36 gt Enjeux gt A l chelle de la ville gt d finir Les conditions d adh sion des habitants au projet d am nage ment gt faire merger une ville qui r pond aux nouvelles aspirations des habi tants gt penser la mixit interg n ration nelle gt A l chelle du logement gt promouvoir des formes de loge ment qui peuvent tre autoconstrui tes et ou autog r es en incitant une grande diversit des modes de production du b timent gt faire merger des formes de lo gements adapt es aux demandes des habitants gt faire merger des formes de loge ment qui supportent la diversit des parcours de vie Familles monoparentales personnes vivant seuls familles recompos es l volution de la taille des m nages amorc e dans les ann es 70 se confir me aujourd hui par une augmentation significative du nombre de m nages Re
16. 5 gt Prendre en compte les caract ristiques des lieux 0K 12 01 2010 gt indicateurs gt commentaires gt proc dures gt garantir l articulation entre les caract ris gt engager comme pr alable une proc dure de tiques du territoire et la prise en compte de concours ces caract ristiques par le projet projet ou march gt cette proc dure doit prendre en compte PTE la topographie la g ographie Le patrimoine de definition les infrastructures existantes les habitants gt articuler clairement les objectifs et les moyens avec les caract ristiques des lieux des enjeux et des acteurs 1 gt s appuyer sur des proc dures qui impliquent b gt mettre en place ah process de consultation des obligatoirement un principe de concertation des recours a la partenaires de l amenagement riverains ZAC AFU proc dure de ZAC ou d AFU gt s appuver sur les fili res locales gt demander dans le cadre d un projet urbain ppuy l tablissement de partenariat avec les fili res mise en place locales de production d nergie de prog ramme gt titre d exemple les programmes Bois ner energie locaux gie pour la production de chaleur en Alsacel Voir bois nergie par pays du Pi mont Mossig ou encore des fili res en devenir dans la production de m thane par tir de lisiers puis r utilisation dans la produc tion d nergie destination d quipements pri v s et ou publics exemple
17. J x P quartie iu Neudor af uyu LI LICI U INV u UUI A i r s i gt A x da E 11 E 7 t TET E I CG gt w L ON dC iada VIIIC AINSI L LS DSSS EWS gt MA A _ 1 i ia 1 An 7 Jl me dq e O Dr T IVII 11 nu D a i 1 JU IC pi 1 D i AAA 9 at n iN amp 1 1e Q ss A IA g M lt ne d AS c UE IL 7 l O u L l ant A9 a nt ide qa Ul SS al L gt FF LF LR us SP ten lont Ut 4 i p i DR S pes FF gt hote Gicsarchitekten bda architecte gt synergie entre op ration de renouvellement urbain et d mar gt maitrise d ouvrage en indivision qui repr sente Le groupement che de d veloppement durable de citoyens gt information sensibilisation et accompagnement des habitants gt le groupe d autopromotion a recours un architecte pour la dans Le processus de d molition reconstruction conception du b timent qui r pond aux normes BBC 20050 gt strat gie d am nagement adaptable et ajustable au fil des gt r daction d une charte qui contient les valeurs techniques et n gociations sociales support es par le groupe de construction gt Prendre en compte les sp cificit s des acteurs gt une initiative priv e entreprise Kantensprung AG l origine de la transformation gt les locataires des 60 locaux d activit s peuvent apporter une part au capital gt la com
18. comportement des acteurs qui participent la d finition de la ville et dans ce des sein aussi S inscrire dans une d marche de concertation et provoquer le d bat sur les enjeux et les conditions de sa transformation 23 gt Promouvoir les objectifs du Grenelle de l Environnement fa 6 FE F1 le fig 7 Une densit minimum de 25 logt ha permettra de mieux maitriser la consommation de sol les d perditions d nergie et l coulement des eaux de pluie en proposant une forme urbaine compacte compos e de logements individuels grou p s en bande jumel s Une densit de 50 80 logt ha permet en outre d envisager la mixit des fonctions et l implantation d quipements de quartier de d velopper des strat gies de mutualisation du stationnement et des politiques de gestion collective de l nergie r seau de chaleur par exemple Enfin avec une densit de 100 logt ha au minimum la ville du rable permet de disposer de syst mes de transport en com mun en site propre de g rer le stationnement en infrastruc tures d envisager des quipements d echelle communale et d assurer la mixit fonctionnelle 24 Initi en 2007 et port par le nouveau minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement Durable et de la mer le Grenelle de l Environnement regroupe re pr sentants de l Etat et de la soci t civile Organis en plusieurs th mes le Grenelle vise apporter un ensem ble de r ponse
19. d avoir pr alablement identifi les l ments qui caract risent le territoire gt Projet de loi Grenelle Il 69 exemples gestion des ressources naturelles gt Prendre en compte les caracteristiques des lieux i Fun us D i PE ui En mit L a m E f m I 5 Sn er i e Lu RC LE E aiani y ei Fi E eng re gt inscription dans la pente des constructions afin de limiter les op rations de d blais remblais gt conservation et r habilitation de b timents existants et cons truction neuves constituent un projet coh rent gt prise en compte de la structure v g tale existante haies boca gt prise en compte de La morphologie urbaine existante dans l la g res conserv es boration du projet parcelles troites venelles et murets gt valorisation des fili res locales de construction par l utilisa gt structure parcellaire conserv e tion du bois gestion des ressources naturelles exemples a gt Prendre en compte les caracteristiques des lieux gt prendre en compte la g ographie et la nature des sols Beausoleil OK 12 01 2010 gt d velopper des strat gies d am nagement des zones risques naturels Parc nautique gt La ZAC Beausoleil s inscrit dans le sch ma communal de d veloppe gt localit a an nenna nennu Pac France gt L le Monsieur retrouve son caract re insulaire et naturel apr s
20. de ce guide est de questionner les pratiques ac tuelles d laboration des documents r glementaires locaux au regard des objectifs d am nagement durable Il s agit au travers de ce guide d engager une r flexion sur leur laboration et leur capacit produire une ville durable Ce guide articule outils r glementaires objectifs d am nage ment durable et r alisations pilotes destination des lus il se pr sente sous la forme d une check list mettant en parall le les objectifs d am nagement durables et leur illus tration au travers d un choix d op rations pilotes et commen t es gt Sommaire Avant propos 03 Vers la ville durable 09 1_un mod le d urbanisation en question 11 2_un d partement qui ne fait plus exception 13 3_une alternative attractive la ville durable ville d sirable 15 4_le projet urbain comme fondement de l am nagement durable 17 5_promouvoir les objectifs du Grenelle de l Environnement 23 6_proposerune approche globale et transversale entre enjeux 27 projet et r glement Fiches objectifs 31 1_mode d emploi 33 2_ gestion des ressources humaines 35 3_ gestion des ressources naturelles 51 4_gestion des ressources urbaines 75 1_ tablir une culture de la ville durable 103 2_glossaire 107 3_ rep res 111 4 contacts 115 5 bibliographie 121 J gt vers la ville durable gt un modele d urbanisation en question D nt Res FE Fa LE Jr
21. de groupe observation urbaine au CERTU novem bre 2005 Pour cr er des formes urbaines plus propice l cono mie d nergie Les fiches de l actualit scientifique de l INRETS Axe n 3 Accroitre la fiabilit et la durabilit des syst mes de transport optimiser leur consommation nerg tique et r duire leur impact sur l environnement N 8 2007 120 Domicile travail des trajets toujours plus longs pour une urbanisation changeante Les Fiches de l actualit scien tifique de l INRETS Axe n 2 Optimiser les r seaux de transport et r duire la d pendance au p trole de la mo bilit quotidienne l am nagement des territoires N 13 2006 Colloque sur l talement urbain discours de Marie No lle Lienemann secr taire d Etat au logement Toulouse 24 janvier 2002 Concept de Ville accessible tous CERTU Minist re de l Equipement des transports du logement du tourisme et de la mer Octobre 2002 Les enjeux de l talement urbain Les jeudis de l Equi pement DRE de Picardie Service Prospective Am nage ment Transport 8 mars 2007 Urbanisme et nergie Quartiers durables F4 Jean Pierre Traisnel CNRS LTMU UMR Institut fran ais d urba nisme novembre 2006 INSEE premi re Les d placements domicile travailam plifi s par la p riurbanisation N 1129 Mars 2007 Revues Science et Vie Construire un monde durable hors s rie n 243 juin 2008 06 19 Dossier L co qua
22. de modes de d placements alternatifs gt les coeurs d ilots sont reli s aux all es et chemins tous con nectes au transport en commun en site propresitue au centre du quartier gt promouvoir une mobilit durable i o lm UMU M i CEEE o o a e E Oo b BE NRR ml SOT gt mixit fonctionnelle lechelle de lilot gt constitution d un p le de proximit implantation de services d quipements et de locaux supports d activit locale gt r utilisation d difices existants en coeur de quartier gt ilot traversant dont les dispositions favorisent l acces pied ou Velo rue centrale pr serv e de la circulation Pk v lo en entr e d lot LE mr n O a n Tig g 5 a nO i m raa a a e i wii Fa SES a ri aen G T r re x 13 3e a lt tH me E z 2 L a Fr n La z m ia gs i Soge pe Areia sx a A nF ea rE Fuja gt R utilisation importante des difices industriels existants 40 000m r habilit es sur 70 000m soit 60 de r utilisation de la forme h rit e gt Le programme regroupe une grande diversit d activit 1 musee des locaux d activit s des locaux d activit s artisanales des logements des quipements publics th tre de poche gt portage du projet par la communaut de communes gestion des ressources urbaines indicateurs 0 7 gt promouvoir une mobilite durable gt indicat
23. des formes d habitat mais galement des formes d habiter La mixit sociale et g n rationnelle comme vecteur d quilibre et de vie sociale permet notamment de maintenir et de d velopper les commerces et services Le logement locatif social peut tre compl t par une of fre priv e en locatif et accession Il convient de rappeler que les d veloppements conomiques et r sidentiels sur un secteur largi celui de la commune du bourg ou du village doivent tre prise en compte conjointement si l on ne veut pas devoir faire face des d s quilibres futurs difficiles g rer comme l impossibilit de loger les actifs fournissant des services aux r sidents ou le d part des entreprises qui ne trouvent plus sur place de jeunes actifs de tout niveau de formation Ces d s quilibres peuvent entra ner des pertes conomiques se r percutant sur les budget des collectivit s donc sur le niveau de service pouvant tre offert Limiter le d veloppement exog ne Nous ne pourrons faire l conomie de la critique des mod les urbains et du d veloppement exog ne con sommateurs de sol et nerg tivores qui ont conduit la situation actuelle Dans l id e d une extension possible de la ville du bourg ou du village la question de la con sommation de sol reste centrale Les densit s de 10 15 logements l hectare qui ca ract risent la plupart des extensions pavillonnaires sont elles encore acceptables Ce mod
24. des ter rains desservis par des transports en commun fortement cadences et un r seau dense de liaisons douces gt pr f rer l urbanisation endog ne moins consommatrice en r seau et in frastructures et limiter les extensions urbaines gt inciter la mixit fonctionelle gt proposer des formes plus compac tes en incitant la mitoyennet des constructions afin de limiter les d perditions d nergies Imposer la mitoyennet en r duisant la dimension des parcelles constructi bles et en proposer une hauteur minimum des constructions afin d optimiser le rapprot entre surface enveloppe et surface plancher gt proposer des coefficients d occu pation des sols et d emprise au sol qui optimisent le rapport entre surfa ce enveloppe et surface plancher des constructions Plus se rapport est petit plus le niveau de d perdition nerg tique est faible au contraire l instar des pavillons isol s plus ce rapport est lev plus les d perditions sont importantes gt proposer des constructions cono mes en nergie Fixer un seuil de consommation nerg tique qui incite l autosufhisance nerg tique des constructions exiger l obtention d un label Pour rappel la norme BBC sera exigible dans le construction neuve en 2012 d autres labels fran ais et europ ens peuvent permettre de construire des territoires dont les b itments sont autosuffisants en nergie Passivhaus finergie Minerg
25. gt art 3 fixer un coefficient d imperm abilisation des voies et espaces publiques D finir Le gabarit et Le statut d utilisation des voies et determiner les ambiances en cons quence Favoriser la desserte des terrains par des pistes cyclables et des chemins pi tonniers gt art 6 proposer des variantes dans l implanta tion des constructions par rapport la rue en fonc tion de l espace public envisag Ceci implique de s interroger sur la nature des RDC et du rapport avec qu ils entretiennent avec l espace public un rapport direct du logement sur la rue n est pas toujours souhaitable Si le choix d un retrait devant un logement apparait pertinent pour m nager l intimit des habitants une distance de 5m n est pas syst matique et 2 ou 3m permettent de m nager des espaces commun une cour par exemple devant les logements gt art 12 fixer un nombre maximum de places de stationnement par logement Fixer un coefficient d imperm abilisation des places de stationne ment et imposer de planter les lieux d di s au stationnement gt art 13 tablir un pourcentage d espaces verts planter les espaces publics d di s au stationne ment imposer la protection des l ments caract risti ques du paysage 93 gt questionner les missions de l espace public rinra D L NN ou S D gt principe de l usoir une partie de l espace public est utilis des fins priv es gt
26. gt bilan carbone 74 79 m thode gestion des ressources urbaines OK 12 01 2010 gt Promouvoir une forme urbaine conome en nergie et en ressources gt orientations particuli res gt Enjeux gt D bat gt selon l ANAH fin 2007 les d penses ner g tiques domestiques co tent 1500 an par foyer pour une consommation moyenne valu e 240kWh m an Source Conclusion de l Agence Nationale de l Habitat In R novation ther mique de l habitat ancien 15 millions de passoires isoler d urgence le Mag N 2 janvier 2009 Publication du Minist re de l cologie de l Energie du D veloppement durable et de l am nagement durable gt En 2006 la part des nergies renouvela bles dans la consommation lectrique int rieure ne repr sente que 12 de la consom mation totoale Source IFEN les synth ses 10 indicateurs cl s de l environnement Edi tion 2007 gt les transports repr sentent 30 des con sommations nerg tiques en 2004 gt Une olienne produit 0 75Kw en moyenne 10MW soit 13 oliennes permet d alimenter en lectricit 15 000 habitants hors chauf fage Source www ademe fr gt En 2006 un alsacien consomme l quiva lent de 45001 de fuel domestique par an cette consommation repr sente pour l essentiel la consommation d nergie li e au chauffage des ha bitations Source Les chiffres cl s de l nergie
27. hicules circulant sur la voirie transports en commun voitures particuli res deux roues Bien que moins nombreux les v hicules utilitaires de livraisons absor bent pr s de la moiti du gasoil consomm en ville Source www ademe fr gt L ademe observe que faire ses courses dans un su permarch de p riph rie engendre 4 fois plus de pol lution et de nuisances que d acheter les m mes provi sions 500m de chez soi Source www ademe fr gt 50 des d placements inf rieurs 3km se font en voiture particuli re Source www ademe fr gt Le co t moyen mensuel d une voi ture est estime 350 mois en 2004 Ce co t inclut l assurance le cr dit le carburant et le p age Source www ademe fr gt 85 du transport de marchandise est pris en charge par le transport routier source DRE Alsace 2007 gt 72 des d placements domicile tra vail sont pris en charge par l automo bile Source IFEN Les modes de d placement pour se rendre au travail 1999 gt En 15 ans le nombre d actifs tra vaillant hors de leur commune de r si dence a augmente de 70 Source DRE Alsace 2007 30 ans d urbanisation en Alsace chap 4 Les mi grations alternantes gt 12 des actifs repr sentent 48 des d placements il sagit essentielle ment des habitants des zones rurales source DRE Alsace 2007 30 ans d urbanisation en Alsace consommation fonci re et fonctionnement du territo
28. l valua tion de ces crit res Ces crit res d coulent des observations d op rations ur baines exemplaires et peuvent par cons quent renvoyer des formes urbaines possibles vitant ainsi le ressenti de r gles consid r es comme p remptoires implantation au regard des limites s paratives par exemple 34 moyen exemple illustration photographique dispositifs crit res gestion des ressources naturelles gt Limiter la consommation de sol gt urbaniser proximit des TC Zac androm de Sur les communes de Blagnac et de B auzelle la ZAC androm de t rene Blagnac France pr pare l urbanisation de secteurs situ s proximit de l a roport rite Le quartier s organise autour d une ligne de tramway qui connecte le gt r alisation s s sussnseenesssnenensne 2001 _ quartier la ville de Toulouse et au r seau de transport en commun superficie msn 210ha gt programme nssssssnseseseen 2500 logements R gt 80 des constructions se situ es moins de 400m d un arr t de tramway gt transport en commun fortement cadenc 12 rames heure implant au centre de l am nagement gt logement collectifs quipements et commerces le long de laxe de transport en commun Indicateurs gestion des ressources naturelles gt Limiter la consommation de sol gt indicateurs gt densit brute minimum gt Ratio de territoire urbanis desservi par un tran
29. la d localit a sssansnnnnnnnnnnnnnn S vres France a a a a e a CI 2006 12 E E E E a e a a a 2004 07 ancien La forte pr sence de prairies inondables donne le support d une gt SUperficie nine 11ha rive en proposant E gestion naturelle des eaux pluviales Le programme gt SUperficie sassnassusu1enunrurussnunninnunnunnnn 7 5ha strat gie verte et bleue gt PrOYTAMME naass 1592 logements propos o de loisirs et de parc nautique propose en outre un autre programme pa rc centre na utique rapport au fleuve ALL i MO Moe syndicat mixte pour les activit s sportives et de Loisirs d Val de Seine 2AD architecture Architecture du Pa gt analyse pr alable du territoire dans le cadre duPLU Identifica gt strat gie de valorisation de terrains inondables en rapport au tion de la structure paysag re et son fonctionnement fleuve et son paysage naturel base nautique base de loisirs niches cologiques gt strat gie d am nagement fond e sur le r seau hydrographi que gt am nagement et extension du biotope de la rive gt d bat organis dans Le cadre d une proc dure de Zac sur Les l gt impact limit des constructions sur le site Les b timents sur ments naturels prot ger Les fonctions urbaines La dimension pilotis laissent Le sol permeable pour une meilleure gestion des des parcelles eaux pluviales et des crues 72 13 gestion des ressources naturelles indicateurs 0
30. le bilan carbone 90 91 m thode gestion des ressources urbaines gt questionner les missions de l espace public gt orientations particuli res d am nagement gt Moyens en debat gt Enjeux gt Au moment o 80 de la population fran aise est urbaine il est urgent de s interroger sur l identit de cette vil le constitu e d une majorit de loge ments individuels Sur les 30 8 Millions de logements que compte la France en 2005 le logement individuel repr sente 56 Source INSEE 2005 gt Comment faire accepter une densit plus importante au dela de la prise en compte des crit res conomiques La forte densit attendue par les besoins d conomie en espa ce et en nergie interroge les rapports entre les espaces priv s et publics entre le logement et les espaces ext rieurs et entre les logements gt En s appuyant sur l espace public proposer un paysage renouvel gt En 25 ans l urbanisation s est essen tiellement attach e aux territoires de plaines peu contraignants amena ger gt L urbanisation a essentiellement gagn sur les terres agricoles 14 000 ha en 20 ans gt pour ces communes p ri urbaines 40 des actifs dependent de l influen ce d un ou plusieurs p les urbains Ces p les urbains sont repr sent es par les trois grandes com munes de l Alsace Strasbourg Mulhouse Colmar ainsi que des communes plus petites qui commandent des t
31. le de d ve loppement est unique dans l histoire des villes Il suf fit pour s en convaincre de comparer l organisation et la densit d un bourg rural et d une zone pavillonnaire La visite d un bourg rural plus compact peut permettre 6 Duplex superpos s en R 3 10 maisons de ville Se Sp 1 25 5 Maisons en bande en R 1 10 maisons de ville Se Sp 1 80 4 Maisons jumel es en R 1 2 maisons de ville Se Sp 2 10 3 Maison en R 1 1 maison Se Sp 2 55 2 Maisons jumel es 2 maisons Se Sp 2 90 1 Maisons isol e 1 maison Se Sp 3 10 Se Sp Surface enveloppe Surface plancher fig 6 Les tudes men es par J P Traisnel et Minjid Maiza d mon trent qu mat riaux et mise en oeuvre gale on constate un rapport entre forme urbaine et d perditions d nergie En valuant le rapport entre surface enveloppe et surface de plancher on observe que plus la forme est compacte moins les d perditions sont importantes On constate galement que ce rapport tend se stabiliser au dela de R 3 du fait des effets de masques Les illustrations t moignent que pour ce type de gabarit il est tout fait possible de proposer des formes nouvelles pour le logment individuelle 19 II 5 En haut le quartier de Rieselfeld au centre en Alle magne les signes en faveur d une alternative l automobile dans les d placements courts en bas un quipement mixte regroupant services publics et commerces t
32. les 5 derni res ann es une augmentation de 50 des terres libres non cultiv es et des pr s Confront es un vieillissement de leur population les communes rurales d veloppent des strat gies de ra jeunissement fond es sur l offre de maisons individuel les en accession la propri t Ces strat gies alimen tent pourtant la surconsommation fonci re les jeunes familles particuli rement vis es par ce type de produit ont une forte tendance la s dentarisation Les jeunes adultes quittant terme le foyer familial les communes seront contraintes nouveau d ouvrir de nouveaux ter rains l urbanisation face un ph nom ne r gulier de vieillisement de leur population Ainsi on peut observer un parall le entre les territoires sujets surconsommation fonci re et les communes en voies de rajeunissement gt Une absence de strat gie fonci re Au del de la s rie d indicateurs qui illustre localement des situations d talement urbain de r centes tudes men es pour le compte de la DRE Alsace par les agences d urbanisme de Strasbourg et Mulhouse d montrent une v ritable carence en terme de strat gies fonci res L absence de d bat avec les habitants et surtout avec les agriculteurs et les diff rents op rateurs limite les strat gies fonci res locales des r actions d opportunit s et le plus souvent l outil juridique le lo tissement par exemple remplace la strat gie La mise en fo
33. nature _ co lotissement 25 40 logt ha _ coquartier 50 80 logt ha _la ville durable min 100 logt ha atelier cit architecture 29 gt Promouvoir les objectifs du Grenelle de l Environnement 1 8 En haut le quartier de Vauban Fribourg en Brisgau en Allemagne est exemplaire dans l am nagement qu il propose entre espaces construits et espaces naturels Source PNR du Ballon des Vosges II 9 eco quartier d Eva Lanxmeer oragnise une forme d autosuffisance alimentaire pur les habitants du quartier par l implantation au coeur du quartier d une ferme qui propose des produits cultiv s sur place source wikipedia 26 Il s agit de doter les collectivit s et l Etat d un nouvel instrument d am nagement du territoire afin qu el les puissent inscrire la conservation de la biodiversit notamment ordinaire dans leur projet d utilisation de l espace L objectif est de stabiliser la consommation d espaces naturels tout en r pondant aux demandes sociales et conomiques gt Instaurer un environnement respec tueux de la sant Ce th me permet d analyser les enjeux li s la sant qualit de l alimentation pollutions d chets qualit de l air L environnement agit quotidiennement sur notre sant par le biais du milieu qui nous entoure eau air ou sol L esp rance de vie des Urbains est plus longue que celle des ruraux mais en m me temps l urbanisation et la multiplication des
34. ns parc intercommunal naturelles afin de proposer un plan d eau dont la puret est assur is annonc s naturelle publique par des plantes aquatiques OK 12 01 2010 ombloux GreenConcept architectes pavsagistes atelier Axe MO Moe 2 Lille Jacques Simon et JNC paysagistes MO Moe Ville de a W Photo DDE Haut Rhin gt l acces exclusivement pi ton du plan d eau est connect au gt syndicat mixte du parc de la De le regroupant la communaut Re Mess centre ville a 5 min a pied par une coul e verte urbaine de Lille gt un corridor de 2000ha sur plusieurs communes gt le traitement de l eau de baignade fait appel un traitement naturel d compos en trois zones zone de filtrage de r g n ra gt mise en place d un conseil consultatif m tropolitain des usa pl tion et d a ration gers gt entretien du parc par les agriculteurs qui b n ficient de four gt au coeur de la commune la piscine tablit un dialogue avec le rage pour leurs exploitations 64 grand paysage 65 gestion des ressources naturelles indicateurs gt am nager des continuites cologiques et g ographiques gt indicateurs gt taux de rejet des eaux pluviales dans le r seau gt indice de biodiversite niveau de diversit des espaces naturels gt taux d impermeabilisation des espaces publics et priv es gt surface d espaces naturels et agricol
35. pas de cl ture entre espace public et priv les plantations en pied de b timent participent la constitution d un paysage public fortement plant Photo ate ier cit architecture gt le projet met en place un r seau de venelles et de cours afin d organiser les acc s aux logements gt l organisation du stationnement r sidentiel en sous sol permet de r server l espace public aux pi tons gt programmation hierarchis e des espaces et voies publics l en semble des logements est connect une avenue qui dessert un r seau de venelles gt questionner les missions de l espace public gt Un parc au centre de l op ration distribue par un ensembe de gt 0 9ha d espace public y compris voies et all es liaisons douces les logements et quipements du quartier gt Logement collectifs R 2 R 5 an alignement sur Les franges gt L espace public repr sente seulement 18 de l ensemble de du parc l am nagement gt Les jardins familiaux constituent une bonne part du paysage gt Densit nette de 93 logements ha du quartier et l entretien reste privatif gestion des ressources urbaines indicateurs 0 Q gt questionner les missions de l espace public gt indicateurs gt surface d espaces naturels et agricole par ha bitant gt pourcentage d imperme bilisation des espaces publics y compris voies publiques gt pourcentage d espace public d di aux pi tons
36. rappel on peut citer par ordre chronologique La Loi n 76 629 du 10 juillet 1976 relative la protec tion de l environnement La Loi SRU Solidarit et Renouvellement Urbain du 13 d cembre 2000 La Loi urbanisme et habitat 2 juillet 2003 modification de la loi SRU de d cembre 2000 L Ordonnance n 204 489 du 3 juin 2004 relative l valuation des incidences de certains plans et pro grammes sur l environnement Le D cret n 2005 608 relatif l incidence des docu ments d urbanisme sur l environnement La Charte de l Environnement adopt e le 28 f vrier 2005 gt Principe de compatibilit entre les documents d urbanisme Rappelons que les documents r glementaires sont soumis au principe de compatibilit Ce principe subor donne les documents r glementaires locaux aux docu ments territoriaux SCOT Charte de PNR et nationaux op rations d int r t national par exemple Ainsi Les SCOT doivent tre compatibles avec les directives territoriales d am nagement les prescriptions de mas sifs les chartes des parcs naturels nationaux et r gio naux les sch mas de mise en valeur de la mer garde et de mise en valeur et les autres documents de planification sectorielle PDU PLH SDC doivent tre compatibles avec les orientations du SCOT Les projets d int r t g n ral les op rations d int r t national ainsi que les servitudes d utilit publique s im posent aux documents d urbani
37. sulte souvent d un choix sous contrainte davantage que d un v ritable souhait Pr s de 45 des propri taires de pavillons interrog s dans le cadre de l tude sont insatisfaits quant la lo calisation de leur logement au regard des quipements commerces et services D autre part la forte augmentation des foyers de 1 per sonne on constate entre 1975 et 1999 une augmenta tion de 100 dans le Bas Rhin qui traduit une accrois sement des foyers monoparentaux et des personnes g es isol es interroge la pertinence de ce produit face la question de la charge fonci re induite par des dimensions de logements inadapt s de la mobilit en particulier de l autonomie de d placement et de la proximit des services gt une forme urbaine nergivore et co teuse Mais la hausse du prix de l nergie change la donne Se loger et se d placer dans une ville en tache d huile devient chaque jour plus cher et en questionne l ffica cit conomique et cologique d un tel syst me d occu pation du sol Au del de sa grande d pendance aux nergies fos siles ce mode d urbanisation ne poss de que peu de possibilit d volution au regard d une demande sociale qui se transforme rapidement En t moigne la difficult renouveler des lotissements de pavillons individuels que la crise nerg tique rend trop co teux dans leur fonctionnement Plus qu une r volution nerg tique il s agit de promou voir un autre ur
38. urbaine pourrait participer diminuer HPE Haute Performance Energ tique Le label HPE s inscrit dans le cadre de la r glementation thermique 2005 RT 2005 et vise une diminution des consommations d nergie d au moins 40 d ic1 2020 L utilisation du label par les ma tres d ouvrage permettra le d veloppement de syst mes et techniques constructi ves performants dans la perspective des futurs renforce ments de la r glementation tous les cinq ans THPE Tr s Haute Performance Energ tique Ce Label d finit une consommation conventionnelle d nergie au moins de 20 inf rieure la consomma tion de r f rence fix e par la RT 2005 Un niveau est adjoint ce label sous la d nomination THPE EnR 2005 concernant des b timents dont la con sommation est de 30 inf rieure celle de la RT 2005 Minergie Le label Suisse Minergie est un label d effi cience nerg tique qui s applique aux b timents neufs ou r nov s Il vise garantir le confort l conomie la performance nerg tique la qualit de construction et la preservation de l environnement des constructions la belis es Depuis 10 ans 12 600 b timents ont t certifi s en Suisse mais aussi en France au Luxembourg Italie et Allemagne Bilan carbone le bilan carbone consiste par une op ration comptable d valuer d mission de gaz effet de serre en ramenant tous les processusu physiques dont d pendent cette a
39. 1 rue colonel Marchand Dijon Tel 03 80 50 56 50 E mail www bourgogne scihabitat fr Maitrise d oeuvre Marc Dauber architecte Responsable Marc Dauber Adresse avenue de l Europe 71210 Ecuisses Tel 03 85 78 54 39 E mail contact architectures marcdauber fr 119 gt Bibliographie Ouvrages Et si on pensait un peu plus elle Alerte Nicolas Miche lin architecte urbaniste avril 2008 Editions Archibooks Pour un nouvel urbanisme la ville au c ur du d veloppe ment durable C Chalon D Clerc G Magnin H Vouillot d Yves Michel 2008 Shared space room for everyone new vision for public spaces Shared space Frysl n Province PO Box20120 8900 HM Leeuwarden juin 2005 Breda faire la ville durable Editions du Moniteur sous la direction d Ariella Masboungi Collection projet ur bain juin 2008 Rapports Groupe 1 Lutter contre les changements climatiques et ma triser la demande d nergie Grenelle de l environ nement Mulhouse 15 octobre 2007 F Bouchart Direc teur g n ral du Conseil R gional Alsace G Chaux Debry Directrice R gionale de l Equipement en Alsace De plus en plus de maisons individuelles Alain Jacquot division Logement INSEE INSEE Premi re N 885 F vrier 2003 Grenelle de l Environnement Agir pour une ville durable Conseil Fran ais des Urbanistes Septembre 2007 Les co ts de la ville dense ou tal e Jean Charles Castel chef
40. Consommation en nergie en materiaux et en espace de la forme urbaine actuelle Consommation de sol En incluant les places de stationnements et les surfaces de voirie on observe qu il faut huit fois plus de surface par habitant dans les lotissements pavillonnaires de ban lieue qu Paris Consommation nerg tique des constructions Selon Jean Pierre Traisnel un pavillon individuel con somme 30 d nergie en plus pour tre chauff que des maisons de ville sur 3 niveaux et accol es Consommation nerg tique des transports Consommation nerg tique des transports terrestres en 2000 en Mtep M gatonne d quivalent p trole Bus 525Mtep Voiture particuli re 11879 Mtep Train 191 Mtep Consommation nerg tique par habitant Un habitant d une ville tal e moins de 20hab ha con somm en moyenne trois fois plus d nergie que celui d une ville moyennement dense soit 60hab ha Consommation de mat riaux D apr s Sabine Barles chercheuse au laboratoire des Th ories des mutations urbaines il s tablit un rapport de 1 10 entre dans la consommation de mat riaux par habitants entre Paris et sa banlieue 0 4t Hab Paris pour 4 8t Hab en banlieue Un cart qui s explique non seulement par une quantit plus importante de ma t riaux de construction mais galement de mat riaux in h rents des infrastructures 110 Impact conomique et cologique des d placements Le
41. DDE68 12 gt Un territoire historiquement dense objet d une urbanisation g n ralis e La forte valeur accord e aux terres arables contraintes par la g ographie a fait du Haut Rhin un d partement historiquement plus dense que les autres d partements fran ais ainsi en 2005 la densit de population de lAl sace est pr s de 2 fois sup rieure la moyenne natio nale avec 216hab km Aujourd hui le niveau d urbanisation atteint 7000m par jour dans le Haut Rhin dont pr s de la moiti s op re par extensions aux d pens des espaces agricoles na turels et forestiers D abord s il est av r que la part de territoire urbanis est plus importante en 2000 qu en 1982 on constate qu il n existe pas systematiquement de parall le entre augmentation d mographique et consommation d es pace Ainsi en dehors des grands secteurs agglom r s et de la bande rh nane nord on observe principale ment dans le Bas Rhin plusieurs territoires qui font tat d un surconsommation fonci re D autre part l urbanisation se g n ralise l ensemble de la r gion Si les grandes agglom rations Strasbourg Mulhouse Colmar sont confort es l urbanisation a sur tout essaim sur les territoires ruraux Ce sont d sor mais dans les petites communes que l on observe les plus grandes consommations fonci res la part de com munes de moins de 5000 habitants dans la construction de nouveaux logements est pass e de 40 60 entre
42. L F PJ p i Ex i C1 r e L T 1 B sl Le o ni i j pp i mahn E i L F Ea I E F j i J L 1 EE LE d Ld l i i a F i 3 S KEE j Bn 5 E a mi E M gt locaux en vente ou location destin s des activit s non polluantes gt objectif de 200 emplois terme au sein du quartier gt 2500m de commerces et de services occupent les RDC des b timents implant s en facade nord afin de laisser l orientation sud un logement en RDC EE RES i E mi i mi mii i a mi ee pei ee e e A Eg E fE E Te l p ne on Tome ESS je a 3 a 1e a gt autosuffisance alimentaire ferme urbaine pour une production locale de fruits et l gumes biologiques gt autosuffisance nerg tique usine de production de biogaz redistribu pour une consommation domestique syst me central de chauffage par g othermiel compagnie des eaux panneaux photovoltaiques sur chaque habitation production lectrique Gestion des ressources humaines gt Promouvoir des modes de vie durable gt indicateurs gt nombre d actifs ayant un emploi dans la commune gt taux de motorisation gt part en m SHON de la surface construite des servie par les transports en commun gt temps de parcours pied moyen entre loge ment et quipement commerces et services gt part d espaces naturels accessibles parcs jardins bois en M par ha
43. a accept dans le r seau public unitaire ou s paratif que dans la mesure o l usager d montrera que infiltration ou la r tention sur son unit fonci re ne sont pas possibles ou insuffisantes ou que le rejet en milieur naturel n est pas possible gt art 11 D finir des prescriptions dans le trai tement des cl tures qui participent aux continuit s cologiques haies foss s noues gt art 13 D finir des prescriptions en faveur des esapces verts et des plantations gt Le maire peut d finir des espaces bois s class s EBC ou des Espaces Verts d int r t Public EVIP gt Projet de loi Grenelle Il La Loi propose d am nager une trame verte et une trame bleue pilot e localement en association avec les collectivit s locales et en concertation avec les acteurs de terrain 61 exemples gestion des ressources naturelles gt am nager des continuit s cologiques et g ographiques OK 12 01 2010 gt d velopper des strat gies d am nagement en s appuyant sur le gt organiser la ville et La densit r seau d espaces naturels et hydrographiques atelier Villes gt un parc s quenc support de diff rents usages une promenade gt densit brute espace public compris 55 Logt ha une place urbaine une plaine de jeux gt environ 150 habitants et emplois ha gt des am nagements de paysage qui pr viennent et g rent Les risques de crue ou d orages d
44. able sur de nombreux points consommation de terres agrico les et d espaces naturels loignement des lieux de tra vail et de services affaiblissement des liens sociaux contrainte forte de d pendance l automobile pour les m nages aux revenus modestes d veloppement des modes de transports individuels polluants co t d exten sion et d adaptation des r seaux et services collectifs ramassage scolaire distribution postale collecte des d chets et augmentation tr s rapide des consomma tions d nergie et des missions de GES Le groupe propose de viser l objectif d adaptation des territoires et des villes par une programmation de trans ports en commun adapt s une meilleure articulation des diff rentes politiques publiques dans les documents d urbanisme logement activit s transports nergie espaces verts biodiversit la cr ation de Zones de Densification Environnementales ZDE dot es de Coef ficients d Occupation du Sol COS major s proximit imm diate des transports en commun de Zones de Densification Environnementales ZDE pour les quar tiers performance nergie climat lev e et par lorien tation progressive de la fiscalit locale et des incitations financi res et fiscales dans le domaine du logement et de l urbanisme vers un urbanisme plus durable gt Pr server la biodiversit et les res sources naturelles Ce th me traite de l eau des espaces prot g s et in clut la
45. banisme qui supporte durablement des parcours socio professionnels contemporains et r pon dent aux attentes en terme de cadre de vie et de ser vice Il s agit de construire une ville durable et attractive qui repr sente une r elle alternative la ville actuelle _26km distance domicile travail moyenne 18min en moyenne mais 59min pour 10 des ac tifs Linsee2007 _1 10m taille moyenne des logements indivi duels en 2007 _240kwh m2 an consommation moyenne nerg tique dans le lo gement en 2007 soit1500 an Anah 2007 1 450M Taille moyenne des parcelles en logement individuel 2 Source Vincent Kaufmann et Christophe Jemelin Articulation en tre urbanisme et transports quelles marges de manoeuvre revue internationale des sciences sociales 2003 n 176 p329 340 11 gt un d partement qui ne fait plus exception Nota Ces observations s appuient en partie sur le rapport dit par les agences d urbanisme de Strasbourg et de Mul house Adeus et AURM 30 ans d urbansiation en Alsace consommation fonci re et fonctionnement du territoire Iil 2 En haut Zac de Brandstat Ribeauvill d une architec ture dense empruntant au vocabulaire vernaculaire IIl 3 am nagement d un supermarch Ribeauvill illustra tion manisfeste d une sectorisation des fonctions urbaines limitant des interactions possibles entre lieux de commerces de loisirs et quipements publics Source
46. bitant 50 gt commentaires indicateurs 0 2 gt proc dure gt titre d exemple le quartier de bedzed en An gleterre offre 200 emplois pour 180 logements soit un peu plus de 1 emploi par logement pas d op ration exclusivement r sidentielle gt titre d exemple ce taux est en 2006 de 47 Paris 82 l echelle nationale 93 dans les communes rurales gt garantir en contrepartie l acc s une offre alternative efficace en transports en commun et en liaisons douces tendre vers un temps de parcours de 10min gt respecter minima le decret paru au journal officiel du 22 f vrier 1973 posant comme r gle 10m d espaces verts par habitant en ville et 20m 2 hab en p riurbain 15m2 hab minimum 51 gestion des ressources naturelles gt Limiter la consommation de sol gt 20 d augmentation en 10 ans de l occupation du sol alors que La popula tion n a augment que de 6 Source H Kempf In Environnement ces villes qui touffent la campagne Le Monde du 19 avril 2008 gt 160ha jour sont artificialis s soit 60 000ha an Source H Kempf In Environnement ces villes qui touffent la campagne Le Monde du 19 avril 2008 gt En France l ensemble des surfaces agricoles est potentiel lement urbanisable gt Le monopole actuel de l habitat individuel comme mod le de r f rence d finit des zones urbaines peu denses la surface moyenne des ma
47. blioDFU pdf http www ifen fr Densit urbaine http www somme equipement gouv fr IMG pdf IN TRODENSITE cle767b44 pdf http www clermontmetropole org PDF Projetsurbain setDeplacements 2005 BiblioDFU pdf http halshs archives ouvertes fr docs 00 20 34 62 PDF rapport final GRRT pdf http www auran org download 34 04 densit pdf Urbanisme et transport http www planete sciences org enviro rnste6 ateliers deplacement urbanisme transports htm http www shared space org Institutions Agence d urbanisme de l agglom ration mulhousienne identification des modes et de l tat de l urbanisation en Alsace Agence d urbanisme et de d veloppement intercommunal de l agglom ration rennaise AUDIAR 121 h 1 nl en
48. ctivit des missions exprim es en quivalent carbone rapport surface enveloppe surface plancher Les re cherches men es par J P Traisnel chercheur au CNRS d montre que le choix de la forme urbaine impacte di rectement sur le niveau de d perditions d nergie des b timents Sur la base d une mise en oeuvre et de mat riaux analogues le rapport entre l esnemble de fa ade enveloppe et la surface de planchers distribu e illustre un niveau de d perditions 3 fois plus important dans le cas d une maison isol e et sur 1 niveau qu un s rie de duplex superpos s R 3 en bande Cependant dans le cas de b timent d passant R 33 lef fet de masque li ombre port e des b timents r duit ces gains en nergie Mobilit durable Cycles En ville le v lo est consid r comme le mode d placement le plus rapide pour des d placements com pris entre 1 et 7km Liaisons douces La loi sur l air impose aux agglo m rations de plus de moins de 100 000hab d tablir un PDU Avec pour objectif de favoriser les d placements alterna tifs la voiture elle incite la multiplication des liaisons douces Ces liaisons comprennent les pistes et bandes cyclables et l ensemble de chemeinement dont la mise en oeuvre et la mise en r seau assure des d placements confortables et continus Marche pied on admet qu une distance de 300m comme praticable pied Sur cette distance la marche
49. d utilit publique Ce guide intervient dans un contexte r glementaire d j riche que l engagement port depuis 2007 par le Grenelle de l Environnement fera prochainement vo luer avec l application des diff rents projet de Loi qui en d coulent Les orientations et les moyens dispo sitions que le pr sent guide d crit sont par cons quent envisag s la mesure de l tat actuel de la l gislation Lorsque cela est possible les objectifs soulev s par ce guide feront tat d un parall le avec les ambitions port es par le Grenelle de l Environnement inscrivant ainsi les pistes de r flexions nonc es dans la pers pective d un profond changement r glementaire gt Dispositions l gislatives actuelles La l gislation nationale propose un cadre pour la prise en compte de l environnement dans l urbanisation ces textes sont rassembl s au sein du Code de l Environ nement et du Code de l Urbanisme Si la prise en compte de l environnement dans le cadre l gislatif existe depuis 1976 la Loi SRU a permis de fixer des conditions d valuation de l impact sur l envi ronnement des projets D s lors le remplacement des POS par les PLU int gre la notion de diagnostic de l tat initial dans le rapport de pr sentation Elle a en outre g n ralis les principes de concertation et d enqu te publique Elle int gre enfin la notion de projet au sein des documents r glementaires locaux avec l instauration des PADD Pour
50. de base la construction d une ville plus compacte l chelle du pi ton gt Arr ter un p rim tre d extension urbaine et s y tenir Un p rim tre strict d urbanisation permet d agir en faveur du renouvel lement urbain et limite les extensions sur des terres naturelles fertiles Il permet d tablir une limite claire entre zone urbanis e et zone naturelle L exemple anglais de Cambridge propose une ceinture verte afin de limiter l urbanisation gt Densifier en r duisant la dimen sion des parcelles et en fixant une hauteur minimum des constructions la r duction des parcelles limite l talement urbain et r duit la charge fon ci re pour les futurs acqu reurs D finir une hauteur des constructions R 2 minimum permet d tablir une densit plus importante en augmentant le coefficient d occupation des sols et limite les d perditions d nergies gt Proposer un alternative La mai son individuelle en pensant de nou velles typologies de logements moins consommatrices d espace Concevoir des formes hybrides plus denses qui combinent conomie de sol et qualit du logement individuel individuel group en bande duplex su perpos s gt Optimiser la dimension de l es pace public pens l echelle des pi tons et des transports en commun Un espace public compact peut construire un lieu vivant porteur de liens sociaux et d changes Fixer un pourcentage maximum d infrastructures publiques
51. e yy us i a E ET nr at z r x e EN 1 1 Borderouge Toulouse un quartier pavillonaire L axio me selon lequel la maison individuelle constitue l id al pour pr s de 90 des fran ais alimente l ensemble de la chaine de production d habitat 10 gt Une forme urbaine fond e sur une mobilit individuelle d pendante de l automobile Depuis les ann es 50 Le faible co t de l nergie les facilit s de d placements offertes par l automobile et la libert de mouvement qu elles procurent ont rendu l en semble du territoire accessible et donc potentiellement urbanisable D un urbanisme concentrique qui organise la ville autour d axes majeurs depuis le centre historique vers les quartiers moins denses de la p riph rie l accroisse ment de la mobilit individuelle a favoris l mergence d un urbanisme diffus Ce dernier s organise au gr des opportunit s fonci res et loigne r guli rement les limites de la ville en exploitant un territoire d pr ci espaces agricoles et naturels facilement accessible d s lors qu une voie car rossable est cr e gt une forme urbaine dessin e par un mode de production et une forme d habi tat la maison individuelle Facilit e par des d placements individuels et renforc e par un certain refus des grands ensembles et de l id e qu ils renvoient de la ville la production de maisons individuelles s est g n ralis e aujourd hui l ensemb
52. e d ouvrage Syndicat mixte pour les activit s sportives et de loisirs du Val de Seine Responsable Adresse Hotel de vill 54 Grand Rue 92310 S vres Tel 01 41 14 10 10 E mail syndicat mixte ile de monsieur fr Maitrise d oeuvre 2AD architecture Responsable Mme Rivault charg d op ration Adresse 16 rue de Troyon Tel 01 45 07 23 33 E mail Logements Louviers Maitrise d ouvrage EURE Habitat Responsable Mme Pierre Bourgeon Adresse Tel 02 32 38 82 40 E mail epierrebourgeon eure habitat fr Maitrise d oeuvre Bouillaud et Donnadieu Responsable Adresse 59 rue du Faubourg St Antoine 75011 Paris Tel 01 40 36 14 14 E mail atelier bouillauddonnadieu com Logements Linz Maitrise d ouvrage Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre trebersprung amp partner Responsable Adresse Tel E mail Soleil int rieur Lille Maitrise d ouvrage SCI Maisons en ville Responsable Adresse 2 rue de Lille 59 350 Saint Andr Tel 03 20 14 84 84 E mail mfo maisonenville com Maitrise d oeuvre Bouillaud et Donnadieu Responsable Adresse 59 rue du Faubourg St Antoine 75011 Paris Tel 01 40 36 14 14 E mail atelier bouillauddonnadieu com Logements Combrimont Maitrise d ouvrage ville de Combrimont Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre Responsable Adresse Tel E ma
53. e par ha bitant 66 gt commentaires gt depuis septembre 2008 l arr t du 21 aout 2008 autorise sous certaines conditions la r cup ration des eaux de pluies et certains usages wc arrosage des gazons l int rieur ou l ext rieur des maisons pour inciter au d ve loppement de dispositifs de gestion des eaux la gt l IFEN Institut Fran ais de l Environnement publie un indice de biodiversit l chelle natio nale et r gionale gt tout nouveau projet urbain devra veiller par ces am nagements minima maintenir Le ni veau actuel de biodiversit de la biodiversit qu il s agisse de la diversit des espaces naturels ma rais bois ou de la faune et de la flore gt proposer un principe d quilibrage des sur faces imperm abilis es par une surface qui valente perm able capable de filtrer le volume d eau non absorbe gt augmenter le niveau de perm abilit dans le cas de voies de dessertes r sidentielles statio nnement espaces priv s en imposant des ma t riaux de chauss e perm ables stabilis par gt respecter minima le d cret paru au journal of ficiel du 22 f vrier 1973 posant comme r gle 10m d espaces verts par habitant en ville et 20m2 hab en periurbain gt se r f rer l Audit Urbain de 2000 r alis e par la commission europ enne et qui permet de com parer ce rapport pour les villes europ ennes 04 OK 12 01 2010 gt procedu
54. e projette en 1993 en lieu et place de 2 HEAR ian Fribourg Allemagne B terroge la forme du logement social l occasion de ses 150 ans Ar K ADRE Mulhouse France 9 r gt r A l ancienne caserne fran aise un nouveau quartier r sidentiel selon gt r alisation s ssssssssssensnesnsnnneneneens 2003 06 La soci t fait appel cinq quipes d architectes pour proposer de gt r alisation 2004 05 L exemplification pr sente 3 int r ts le principe de la GE jardin Le projet repose sur un engagement C superficies mossos 38ha nouvelles typologies Ilen ressort cinq typologies v s vari es qui superficies nsss 0 63ha logique et une implication citoyenne forte ll en r sulte un quartier D programme ovvsnsoun 3040 logements proposent de nouvelles r ponses au confort et la qualit de vie du D programme cnrs 61 logements 4 Pr NTA a e Elle permet de d montrer par une s rie de r alisations ie 4 i fran aises et trang res la validit des recommandations et actions pr conis es Elle constitue la base d une culture du projet urbain du rable et attrayant Pr senter des r alisations r centes per met d envisager des visites p dagogiques illustration du moyen gt Kholoff et Kholoff architectes urbanistes gt poitevin et reynaud architectes Elle illustre une grande diversit de r ponses architectu rales et urbaines un m me objectif vitant l id
55. eau La diversit biologique et le paysage A noter que la question de la forme urbaine n est pas une th matique abord e par l AEU bien qu elle question si multan ment les enjeux de densit de maitrise de l ner gie et des d placements ainsi que le rapport au territoire existant L AEU concerne l laboration de documents d urbanisme SCOT PLU La mise en oeuvre d op ration d am nagement Maitrise de l nergie des contructions BBC B timent Basse Consommation La norme BBC exigible partir en 2012 pour les constructions neuves fixe S0kwh m an la consommation d nergie Effinergie Le Label fran ais Effinergie a vocation promouvoir de fa on dynamique les constructions bas se consommation d nergie en neuf et en r novation et d velopper en France un r f rentiel de b timents basse consommation d nergie GES Gaz effet de Serre Les gaz effet de serre sont des composants gazeux qui contribuent par leurs propri t s physiques l effet de serre Les principaux gaz effet de serre non artificiels sont la vapeur d eau le dioxyde de carbone le m thane le protoxyde d azote et l ozone Les gaz effet de serre industriles incluent des gaz fluo r s Le dioxyde de carbone est le principal gaz effet de serre produit par l activit humaine qui inclut len 107 semble des activit s de transports de chauffage qu une autre forme
56. en Alsace de 2000 2003 Ademe gt en 2003 la production d lectricit est issue pour moins de la moiti par des ner gies renouvelables et essentiellement pris en charges par les installations hydrauliques sur le Rhin Source Les chiffres cl s de l nergie en Alsace de 2000 2003 Ademe gt En Alsace la mise en place de fili res bois nergie repr sente l essentiel de la produc tion de chaleur par le biais de ressources re nouvelables Source Les chiffres cl s de l nergie en Alsace de 2000 2003 Ademe 76 gt repenser une forme urbaine co nome en nergie dans ses dispositions en limitant la consommation de sol et d infrastructure voies espaces publics et r seaux en proposant une orientation qui tient compte des conditions climatiques apports solaires et vents dominants gt repenser une forme urbaine cono me en nergie dans sa construction en proposant une forme urbaine plus com pacte en s appuyant sur des fili res locales de mat riaux gt repenser une forme urbaine co nome en nergie dans sa gestion en proposant une forme urbaine plus com pacte en proposant des architectures dont la con sommation nerg tique li e au chauffage tend vers z ro en s appuyant sur des fili res locales de production d nergie en proposant une mixit fonctionnelle qui limite Les besoins en d placements gt limiter l urbanisation
57. erritoires agricoles recemment urbanis s Guebwiller Selestat Savere Haguenau Source News d ILL n 87 avril 2006 Neuf alsaciens sur Dix vivent en ville d apr s 30 ans d urbanisation en Alsace DRE Alsace 92 gt proposer un espace public qui d finit Les qualit s de La ville contempo raine qui valorise le foncier desservi gt proposer un espace public qui organise l interface public priv et la transition entre la ville et Le loge ment gt proposer un espace public qui va lorise la proximit en organisant les relations entre quipements loge ments et commerces par des liaisons douces et les transports en commun gt proposer des espaces publics qui mettent Le pi ton au centre de l ame nagement gt assurer des couloirs de biodiver sit ordinaire gt faire appel au projet urbain gt organiser la transition Public Priv gt optimiser l emprise des infrastruc tures publiques d di es aux pi tons Fixer un pourcentage maximum d emprise des espaces publics par op ra tion Repenser les dimensions minimales de voies de desserte r sidentielles r duire 3 5m en sens unique contre les 5 m d emprise avec aire de retourne ment par exemple Developper les zones 30 et les zones de rencontre afin de penser le pi ton au centre de l am nagement Ces dispositifs reintroduisent le pi ton et le cycliste comme prioritaires dans les d placements urbain
58. et aux cycles au regard de l espace accorde la voiture gt ratio de la zone urbanisee toutes activit s con fondues desservi par des liaisons douces 98 gt commentaires gt procedure gt Respecter minima le decret paru au journal officiel du 22 f vrier 1973 posant comme r gle 1 bm2 ha D 10m d espaces verts par habitant en ville et 20m2 hab en p riurbain gt s appuyer sur les recommandations de l OMS qui recommandent 15m2 hab gt Proposer un principe d quilibrage des sur faces imperm abilis es par une surface qui valente perm able capable de filtrer le volume d eau non absorbe gt augmenter le niveau de perm abilit dans le cas de voies de dessertes r sidentielles en im posant des mat riaux de chauss e perm ables stabilis gt Les projets pr sent s dans ce guide pr sen tent au maximum 50 d espaces publics essen tiellement dans le cas de grands parcs gt a contrario le quartier Vauban Fribourg ne comprend que 25 d espace public mais pro pose une forte pr sence de la nature gt D finir un ratio quitable entre espace d di aux pi tons et espace d di l automobile per met de ne plus faire de La voiture une mode de d placements prioritaire sur l espace public zone 30 zone de rencontre gt r duire les d placements motoris s individuels tient pour une bonne part la capacit d offrir les conditions de d veloppement des modes d
59. eurs gt commentaires gt procedure gt taux de motorisation gt titre d exemple ce taux est en 2006 de j 47 Paris 82 l chelle nationale 93 dans les communes rurales gt garantir en contrepartie l acc s une offre alternative efficace en transports en commun et en liaisons douces afin de relier logements quipements commerces et activit s gt ratio de territoire urbanise desservi par les gt valuer le nombre de logements qui b n r ficient d un arret de transport en commun transports en commun fortement cadence moins de 300m anaa USANA O Pere ne A AAA EESE EE EERE EE gt ratio de territoire urbanise desservi par des oeuvre de ses liaisons conforts et continuit s liaisons douces des chemins propos s gt Evaluer la coh rence de ses liaisons avec le gt appliquer les exigences la loi SRU soit 20 de 0 a gt pourcentage de logement social logement social 20 minimum gt penser le pourcentage de logements sociaux rapporte au quartier l chelle du quartier pas d operation exclusivement r sidentielle gt pourcentage d espace d di aux loisirs gt assurer la mixit fonctionnelle en valuant la surface d quipements en Shon sur la surface totale de l am nagement SHON gt mission de gaz effet de serre gt DOET CA ARAUA REAUT AA DHAN EArDONE Bilan carbone de son activit gt S appuyer sur les agences r gionales de l nergie pour calculer
60. expos s d impliquer le consommateur De normaliser les produits offerts sur le march De promouvoir des labels cf Minergie et Effinergie 113 gt Contacts gt Contacts g n raux gt Commanditaitre DDE Haut Rhin Responsable Christian rinckenbach charg de mission Adresse cite administrative 3 rue fleischhauer 68026 Colmar Tel 03 89 24 83 88 E mail www haut rhin equipement gouv fr christian rinckenbach developpement durable gouv fr gt Maitre d oeuvre atelier Cit architecture Responsable Adresse 66 rue Ren Boulanger 75010 Paris Tel 01 42 03 30 04 E mail cite architectur wanadoo fr Parc Naturel R gional du Ballon des Vosges Responsable Adresse Maison du Parc 1 cour de l abbaye 68140 Munster Tel 03 89 77 90 34 E mail mfo parc ballons vosges fr 114 gt Contacts par Projet Quartier Brossolette Mulhouse Maitrise d ouvrage OPAC Mulhouse Habitat Responsable Adresse 20 boulevard de la Marseillaise 68100 Mul house Tel 03 89 36 28 40 E mail www mulhouse habitat fr Maitirse d oeuvre Urbitat mandataire Responsable Jean Werlen Adresse 74 avenue des Vosges F 67000 Strasbourg Tel 09 51 73 76 23 E mail contact urbitat fr Logements collectifs Ecologis Stasbours Maitrise d ouvrage Ecologis groupe d autopromo tion Association Eco quartier Responsable Adresse 1 A Place des orphelins 67000 Strasbourg
61. f Insee Evolution compar e de la taille et du nombre des m nages entre 1975 et 2005 Cette modification profonde de la strucutre des m nages questionne la capacit des logements voluer en fonction de ces changements gt Moyens en debat gt g n raliser le principe de gouver nance et d finir les modalit s de la concertation L implication des citoyens peut tre valu e plusieurs niveaux informa tion et sensibilisation consultation concertation cod cision La mise en place d un plan de participation peut permetre d organiser la gouvernance car il implique la d termination des objectifs l identification des besoins acteurs et territoires pertinents la d finition des r gles du jeu gt penser des modes participatifs festifs et impliquer les associations dans l am nagement de la ville En Allemagne la mise en place de Landesgartenschau permet de pr pa rer et d accompagner la transformation d un site et constitue un levier financier pour le futur am nagement festival jardins cultivables pendant la dur e des travaux gt soutenir et supporter les projets initi s par des citoyens L exp rience de Gundeldingerfeld B le t moigne d une initiative et d un projet port par une institution priv e mais qui r pond une utilit publique Voir Objectif 1 Inciter des projets initi s par les citoyens gt encourager l autopromotion reserver des terrains d autres
62. ie titre d exemple Combrimont on peut citer une maison consommant 13kwh m an et necessitant que 4 sters de bois par an pour la consommation en chauffage gt s appuyer sur les fili res locales L utilisation de fili res locales permet d abord de r duire la consommation d nergie et les missions de Gaz effet de serre li es au transport d ner gie et de mat riaux d am nagement gt inciter l adoption de normes pour la construction de nouveaux difices gt limiter les effets de masques gestion de l ensoleillement gt inciter l am lioration des performances nerg tiques des b timents gt art 4 peut encourager l utilisation des ner gies renouvelables de m me il peut obliger au rac cord un r seau de chaleur lorsque celui ci existe d finir Les conditions de traitement des eaux pluvia les par des techniques alternatives gt art 6 d finir des mesures d rogatoires con ditionn es par la mise en place de dispositifs de production d nergie renouvelable gt art 7 permettre ou imposer l implantation des constructions neuves en limite s parative Limiter le parois froides en r duisant le nombre de fa ades peu expos es au soleil gt art 9 d duire du calcul de La SHON la surface au sol de l enveloppe des b timents Cette disposition permetterait d encourager l utilisation de mat riaux ou des d ipositifs plus performants brique alv olaire d
63. if jardin et ou jardin familial 18 L loignement des centres d activit s et l parpillement des services multiplient les d placements et rendent la mobilit obligatoire Un tissu dense induit une compacit urbaine qui permet de limiter les transports en commun et de sauvegarder les espaces naturels et agricoles les trames vertes et bleues en vitant le mitage des fran ges p riurbaines Dans ce cadre l urbanisme endog ne favorisant l co nomie de l espace appara t comme une opportunit pour la mixit fonctionnelle des habitats et des activit s la diversit sociale et l conomie des transports indivi duels Dans une perspective de d veloppement durable l co nomie de l espace permet une r duction de la consom mation d nergie n cessaire aux d placements et au chauffage notamment Il faut repenser la ville en se ba sant sur l chelle du quartier et r fl chir une strat gie en termes de restructuration des transports La mixit habitat activit et la proximit des quipe ments infrastructures et services permet de limiter for tement les d placements Cet urbanisme est en effet pens en coh rence avec le d veloppement et la pro motion des transports alternatifs la voiture La mixit d usage est privil gi e par l association d acti vit s tertiaires diversifi es de commerces de proximit de diff rentes typologies d habitats et d quipements publics Les tissus agglom r
64. igue noues de stockage gt les canaux de l ancienne zone portuaire et La ramification d es gt un parc qui articule paysage urbain et paysage naturelle de paces naturels connect s valorisent des lots denses au bord de rivi re l eau gestion des ressources naturelles exemples gt am nager des continuites cologiques et g ographiques gt am nager les espaces naturels en ville piscine gt am nager des corridors cologiques parc de la De le gt Face un manque manifeste d espaces naturels sur son ter gt localit s sssssnnnneennnrennnnne Lille France gt la ville de Combloux s est dot e en 2002 d une piscine publique gt Localit assssnsnnnnnn Combloux France ritoire la m tropole Lilloise reflechissait depuis 1968 la fa on r alisation rer 2006 07 naturelle Dans un site exceptionnel face au Mont Blanc et 5 min r alisation ssssssssssssssssnsnnsnnnnnnns 1997 2002 de r introduire durablement la nature en ville En s appuyant sur la pied du centre ville la commune avec la collaboration des archi superficie nnsssssssesmmarrremnnnnnns 4500m2 0 p qe gt SUperficie sunssssssssssssanannnnnnnnnnnnnnne 2000ha o l l l De le l agglom ration met en place un parc qui s tend sur plu i tectes de greenconcept un quipement qui exploite des techniques gt programme piscine publique sieurs communes En 2008 pr s de 350ha sont r alis s sur 2000ha gt programme
65. il 117 gt Contacts par Projet Sudstadt T bingen Maitrise d ouvrage ville de T bingen Responsable Adresse an der Neckarbr cke 1 D 72072 T bingen Tel 49 0 70 71 91 36 0 E mail mail tuebingen info de Riesenfeld Fribours Maitrise d ouvrage Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre Responsable Adresse Tel E mail Weserling Saint Amarin Maitrise d ouvrage Communaut de commues de St Amarin Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre Axis architecture Responsable Laurent thomassin Adresse 42 rue de la paix 10000 Troyes Tel 03 25 73 51 19 E mail 118 Zac des Vignes Servon sur Vilaine Maitrise d ouvrage Commune de Servon sur Vilaine Responsable Adresse 2 rue Th odore Gaudiche 35530 Servon sur Vilaine Tel 02 99 00 11 85 E mail secretariat ville servonsurvilaine fr Maitrise d oeuvre atelier JAM Responsable Jean Pierre Castel Adresse Tel 01 43 70 34 08 E mail atelier jam wanadoo fr Faubourg d Arras Lille Maitrise d ouvrage Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre Nicolas Michelin et associ s Responsable Adresse 9 cour des Petites Ecuries 75010 Paris Tel 01 53340001 E mail agence anma fr Zac St Jean des Vignes Chalon sur Saone Maitrise d ouvrage SCIC Habitat Bourgogne Cham pagne et BFCA Responsable Adresse 1
66. ire 84 gt Enjeux gt Penser une ville polycentrique et multimodale organis e autour des transports en commun et des depla cements doux gt Favoriser un urbanisme de mixit des fonctions afin de limiter les be soins en d placements gt R duire le bilan carbone Le bilan carbone ram ne tous les processus physiques dont d pend une activit des missions exprim es en quivalent carbone ou quivalent CO2 et ne concerne que son impact sur le climat c est dire son niveau d mission de Gaz Effet de Serre GES Etablir une comptabilit la plus juste possible des effets sur le climat d une activit suppose d effectuer en amont le bilan carbone de chaque produit ou de chaque activit Par exemple dans le cas d un p le d activit L va luation de l impact sur le climat de ce p le implique que chaque entreprise ait effectu son propre bilan carbone m thode gt D bat gt limiter l urbanisation aux terrains desservis par des transports en com mun fortement cadenc s et raccord s un r seau de liaisons douces garantir l accessibilit aux transports en commun par des liaisons douces confortables et continues Etablir un cahier des charges pour la mise ne place de ces liaisons mat riaux largeurs des chemins clairage fran chissement des obstacles gt am nager des liaisons douces coh rentes avec la localisation des logements quipements des activit s et des comme
67. ise d ouvrage multiple Responsable Adresse Tel E mail Maitirse d oeuvre Bill Dunster architecte Responsable Bill Dunster Adresse Zedfactory 21 Sandmartin way Wallington Surrey SM6 7DF Tel 020 8404 1380 E mail mfo zedfactory com Eva Lanxmeer Culembors Maitrise d ouvrage Responsable Adresse Tel E mail Maitirse d oeuvre Responsable Adresse Tel E mail Cit Manifeste Mulhouse Maitrise d ouvrage Responsable Adresse Tel E mail Maitirse d oeuvre Responsable Adresse Tel E mail 115 gt Contacts par Projet Quartier Jardin des rives de la Thur Cernay Maitrise d ouvrage Commune de Cernay et Domial charg d op rations Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre Atelier Villes et paysages Responsable Adresse 1 rue Victor Hugo 68110 Illzach Tel 03 89 66 09 06 E mail Hammarby Stockholm Maitrise d ouvrage Ville de Stockholm Responsable Adresse Tel E mail Maitrise d oeuvre Stefan Fryxell architecte Responsable Adresse Tel E mail Parc de la De le CU de Lille Maitrise d ouvrage CU Lille Metropole Responsable Adresse 1 rue du ballon BP749 59034 Lille Cedex Tel 03 20 21 22 23 E mail www lillemetropole fr Maitirse d oeuvre Jacques Simon et JNC paysagistes Responsable Jean Noel Capart Adresse 5 rue Gus
68. isons ne cesse d augmenter et la moyenne des parcelles pr sente une superficie de 1400m gt les infrastructures induites par les d placements et station nements automobiles consomment une grande quantit d es pace gt 7000m 2 jour de surface agricole sont artificialis s par jour soit l quiva lent de 41 t de c r ales ou 14t de fruis frais Source 30 ans d urbanisation en Alsace Synth se l utilisation du foncier en Alsace DRE Alsace gt 436km du d partement est artifi cialis soit 13 Les routes et les parkings correspondent 50 de cette surface Source IFEN donn es r gionales Alsace th me occupation artificielle des solsen 2006 Source TERUTTI LUCAS producteur Minist re de l agricul ture gt 10 millions de km jour cumul s parcourus par les habitants du Haut Rhin t moignent de l clate ment des fonctions gt 57 du parc de logement en Alsace est de l habitat individuel Source Les chiffres de la construction en Alsace N 3 2008 DRE Alsace Service de l information statistique 52 gt Enjeux gt Favoriser le d veloppement endo g ne en incitant au renouvellement urbain et en limitant le d veloppe ment exogene y compris des infras tructures En France les friches industrielles ferroviaires et militaires repr sentent 360 000ha Elles peuvent combler selon le rythme actuel 43 ans de construc tions de logement sur une base de 60 log
69. it de la vie collective gt sensibiliser et communiquer autour de la qualit de vie de la ville durable m thode gt Moyens en debat gt repenser l organisation du territoi re et questionner la sectorisation des activit s pour rapprocher logements activit s et quipements collectifs et commerciaux gt favoriser la mixit fonctionnelle pour proposer une ville des proximi tes gt proposer une proximit qui valori se la ville durable en articulant la ville avec les paysages naturels et agrico les gt proposer un paysage sp cifique La ville durable gt promouvoir l agriculture p riur baine gt d velopper des strat gies de com munication d velopper des strat gies capables de porter les principes de modes de vie durable en s appuyant sur des modes de communication vari s campagne publicitaire v nements festifs gt orientations particuli res d am nagement gt V rifier la compatibilit de l am nagement avec le DOG document d orientation g n rale du SCOT gt V rifier la coh rence entre Les am nagements lo caux et Le Le sch ma de d veloppement commercial tabli dans le SCOT gt SCOT Dans le cadre du d veloppement com mercial limiter le d veloppement des grands qui pements commerciaux aux zones urbaines existan gt art let 2 autoriser diff rents types d occupa tion du sol afin d encourager la mixit fonctionnelle gt Doc
70. le du territoire Le faible co t du foncier et de l nergie fait alors croire la viabilit de maisons individuelles loign es les unes des autres et dont la surface qui ne cesse de cro tre 110m en moyenne constitue un gouffre nerg tique De m me l organisation et la structure de la ma trise d ouvrage les politiques successives favorables l ac cession pour les foyers les plus modestes PAP Pr t Taux Z ro ont incit mobiliser un foncier peu cher donc loign La r duction du produit terrain et maison individuelle un simple produit financier le manque d implication de l usager ont progressivement dessin un paysage normalis Les autres fonctions urbaines quipements de culture et de loisirs activit s et commerces 1million de M de surfaces commerciales se sont construites en 10 ans ne sont pas en reste en g n ralisant un urbanisme con sommateurs de sols nouveaux construits dans un envi ronnement une g ographie et une histoire gt un mode d habiter souvent subit L axiome selon lequel la maison individuelle constitue l id al pour pr s de 90 des fran ais conforte un mar ch immobilier davantage aliment par l offre que par la demande limite encore souvent des initiatives alterna tives et masque une r alit plus nuanc que certaines tudes r centes dont celle de Vincent Kaufman met tent en lumi re Cette tude observe que l loignement r sidentiel r
71. loquer toute urbanisation pendant 5 ans gt constituer une armature urbaine en d finissant des secteurs b n ficiant d orientations particuli res d am na gement gt art 6 d finir l implantation des constructions l alignement Le long des voies de plus de 6m d em prises gt art 7 autoriser voire imposer l implantation des constructions en mitoyennet gt art 9 d finir une emprise au sol permettant de rentabiliser le foncier Eviter d tablir un CES trop faible mais dans le cas de bandes de constructibilit s tablir une graduation du coefficient d emprise au sol gt art 14 fixer un COS qui implique des typologies alternatives aux pavillons Un cos minimum compris entre 0 5 et 1 quipermet de mettre en oeuvre des formes urbaines plus denses comme la maison en bande fixer un COS minimum sup rieur 1 dans les cen tres urbains 93 gestion des ressources naturelles exemples gt Limiter la consommation de sol gt Encourager le renouvellement urbain gt proposer une alternative typologique gt reconversion d une friche militaire gt densit brute de 92 logement ha gt 15 b timents de l ancienne caserne sont r habilites gt 10 d espace public gt densit brute de 80 logement ha gt grands logements de 93m de moyenne de 55 180m2 gt 25 d espace public gt 6typologies de logement gt un cahier des charges des parcelles fixe par la commune g
72. m an la consommation nerg tique des cons 50kwh m an tructions 65 kwh m an en Alsace gt part des nergies renouvelables locales dans la consommation d nergie gt s appuyer sur le label THPE EnR 2005 Ce qua tri me niveau du label nerg tique HPE d riv de la R glementation Thermique 2005 implique 50 d utilisation d nergie renouvelable gt titre d exemple ce taux est en 2006 de gt taux de motorisation LT Paris 82 l chelle nationale 93 dans les communes rurales TP T gt valuer le nombre de logements qui b n fi gt ratio de territoire urbanise desservi par un cient d un arr t de transport en commun moine aucun logement transport en commun fortement cadence de 300m situ plus de gt un nombre important permet de limiter Les 300m d une consommations nerg tiques et Les missions de Gaz Effet de Serre li s aux d placements indivi station de T C duels motoris s gt taux d mission de gaz effet de serre gt exiger de chaque op rateur entreprise asso ciation en autopromotion baillieur social pro moteur priv Le bilan carbone de son activit 82 83 gestion des ressources urbaines gt promouvoir une mobilit durable gt 50 du gazole consomme en ville l est pour le transport de marchandi ses En ville les v hicules d di s au transport de marchan dises repr sentent environ 30 de l ensemble des v
73. modes op ratoires alternatifs la promo tion priv e ou publique S inspirer des mod les des Baugruppen d velopp s en Allemagne et des op rations d autopromotion en cours en France Strasbourg association Ecologis De m me les coop ratives de construction voir l exemple d Habicoop offrent une alternative la copropri t gt proposer une forme d autoges tion de l habitat en s appuyant sur les qualit s du logement individuel en terme d autogestion et d volution dans le temps du projet architectural en l adaptant aux objectifs de d veloppement durable d j cit s conomie de sol d nergies prise en compte des caract ristiques des lieux gt promouvoir et encadrer lauto construction li e aux mat riaux co logiques gt orientations particuli res d am nagement gt V rifier La compatibilit du PADD avec les pr co nisations du SCOT gt Favoriser l volutivit en int grant une certaine flexibilit au plan d orientation gt faire appel la proc dure de ZAC pour l ensemble des op rations urbaines pour g n raliser Le projet urbain et La concerta tion gt tablir des r gles de mixit minimale l aide d emplacements reserv s et de secteurs o sont fix s un pourcentage de logements locatifs r pondant diff rents r gimes d accession 37 gt Prendre en compte les sp cificit s des acteurs MR ra N d i LC ANT CS Lu Re De J NTa
74. moignent d un regroupement des fonctions et autre approche de la con sommation de sol optimis etimpliquant des infrastructures moins importantes 20 de convaincre un lu des qualit s d habitabilit de ces espaces urbains Les constructions l alignement en ordre continu offrent une qualit de vie aussi acceptable que celle du pavillonnaire Il ne s agit pas de faire la critique du logement individuel et encore moins de l opposer au logement collectif Il s agit de penser villes et campagnes en conciliant les aspirations d une population attentive son cadre de vie et une consommation de foncier qui ne doit pas se r aliser au d triment des zones naturelles agricoles et foresti res Au regard des territoires r cemment amm nag s pas ser de 10 ou15 logements 40 voire 60 logements l hectare est un objectif tout fait possible atteindre tout en construisant des logements individuels Il suffit pour cela de penser la continuit et la mitoyennet of frant la possibilit de r duire la taille des parcelles vers 200 300 m2 pour une SHON Surface Hors uvre nette quivalente Cette r duction peut s accompagne de constructions et de volumes plus grands r duisant ainsi le coefficient d enveloppe et donc la consommation de chauffage Il s agit de renouer avec les coefficients d occupation des sols qui sont ceux des villages du Haut Rhin Cette plus grande compacit des dispositifs urbains s
75. mune de B le accorde un droit construire de 90 ans l entreprise is a z ca u d a g ma I i A mr L CE CL i 7 Li re EL ue re Re 7 T a Photo PNR Ballon des Vosge gt Le jardin des 2 rives s inscrit dans le r seau des Landesgar tenschau allemands gt les floralies sur la base des Landesgartenschau constituent des v nements festifs r unissant la population des deux com munes gt partir 2001 les habitants des 2 communes ont participe des ateliers de planification du parc Gestion des ressources humaines indicateurs 0 1 gt Prendre en compte les sp cificit s des acteurs gt indicateurs gt mixit sociale gt m thodologie qui prend en compte les attentes des habitants gt concertation gt pourcentage d autopromotion en M de la su perfice totale de l op ration SHON en M gt procedure de ZAC Zone d am nagement concert e gt procedure d AFU Associtation Fonciere Urbaine 42 gt commentaires gt procedure gt appliquer les exigences la loi SRU soit 20 de 0 _ logement social pour Les plus grosses commu 20 minimum nes oo rapporte au quartier gt penser le pourcentage de logements sociaux gt la loi du 18 juillet 1985 a g n ralis Le prin cipe de concertation Pour chaque op ration urbaine et toutes proc dures confondues il importe d tablir des modalit s de concertation suffisantes
76. nces sociales 2003 n 176 p 329 340 gt En 1999 les alsaciens qui tra vaillaient en Alsace totalisaient un cu mul de 5 260 000 km par an Ce chiffre t moigne de la d pendance automobile et la distance croissante entre habitat et lieux de travail II sagit d une augmentation de pr s de 110 par rapport aux kilom tres parcourus en 1975 Source DRE Alsace 2007 30 ans d urbanisation en Alsace chap 4 Les mi grations alternantes 44 gt Enjeux gt mettre l individu au centre de l am nagement de la ville gt promouvoir des modes de ville durable qui r pondent aux nouvelles aspirations de ses habitants Promouvoir des modes de vie moins consommateurs en ressources et en nergie plus attractifs pour la diversit des usages propos s et leur proxi mit gt promouvoir les modes de vie sup port es par la ville durable mixit fonctionnelle proximite mobilit durable gt promouvoir les prestations en terme d quipements de services d activit s et d espaces publics qui valorisent la ville durable la ville compacte peut garantir un bon niveau de services et d quipements souvent trop couteux mettre en place et entretenir dans des territoires moins denses En implantant les services moins de 10 min des lieux de vie la ville du rable limite la d pendance l automobile en encourageant d autres modes de d placements gt concilier intimit individuelle et attractiv
77. ne surface au sol COS Coefficient d Occupation des Sols le COS d ter mine la densit de construction admise sur une propri t fonci re en fonction de sa superficie le coefficient d oc cupation COS brut Surface de planchers totale surface du sec teur COS net moyen Surface de planchers surface du terrain hors voirie espaces verts et terrains de sport non b tis Densit brute de population au secteur Nombre total de logements surface du secteur Densit brute de population au secteur nombre d ha bitants surface du secteur Densit brute globale au secteur total Emplois habitants surface du secteur exprim e en h e ha Densit r sidentielle Nombre d habitants surface de parcelle Densit d occupation Nombre d habitants sur une sur face donn e Densit b tie Nombre de m l hectare le coefficient d emprise au sol est multipli par le nombre de niveaux construits SHON Surface Hors uvre Nette Est gale la somme des surfaces de plancher de chaque niveau des 106 gt Pratiques et proc dures surfaces des toitures terrasses des balcons ou loggias et des surfaces non closes situ es au rez de chauss e y com pris l paisseur des murs et des cloisons Gouvernance Mouvement de d centrement de la prise de d cision qui implique une multiplicit des lieux et des acteurs prendre en compte Principe de partenariat entre collectivit publique pa
78. nement et plus solidaire vis vis des g n rations futures L enjeu conomique de la politique environnementale n est donc pas de promouvoir une conomie d sindus trialis e mais une conomie plus sobre en carbone en nergie et en ressources naturelles non renouvelables Cette nouvelle conomie fait notamment plus de place une conomie circulaire fond e sur la r duc tion et le recyclage des d chets et plus g n ralement sur une utilisation plus efficace des ressources et plus de place une conomie de fonctionnalit qui remplace la vente de biens par la vente de leur usage Fr 1 FF FFFF Ig 11 10 le quartier de Bedzed beddington en banlieue de concentre dans une criture architecturale s rielle des tech nologies qui am liorent les performances thermiques des lo gements et proposent des alternative cologique et cono mique la production de logement actuelle 27 gt Proposer une approche globale et transversale entre enjeux projet et reglement 28 PLU Rapport de pr sentation Diagnostic du territoire communal Pas de valeur juridique PADD Projet communal Obligatoire mais non opposable Orientations particuli res am nagement orientations par secteurs facultatives mais opposables R glement 14 articles Doit tre respect la lettre informations com pl mentaires Pas de valeur juridi que Sauf servitude
79. nombre des d placements est en constante augmen tation et plus seulement dict par des trajets domicile travail mais dans ce contexte les d placements automo biles ont galement fortement augment es Au cours des ann es 90 le nombre de trajets effectu s en voiture a augment de 70 et chacun de ses trajets est devenu 20 plus long Source Science et vie Hors S rie cons truire un monde durable Mode de d placements urbains Exemple comparatif entre Paris et Toulouse l utilisation de la voiture particuli re repr sente seulement 13 des d placements urbains dans la premi re quand elle en rassemble 64 dans la seconde Co t des d placements D apr s l Ademe faire ses courses dans un supermar ch de p riph rie engendre 4 fois plus de pollution et de nuisances qu acheter les m mes provisions 500m de chez soi D apr s l Ademe co t moyen d une voiture par mois incluant cr dit assurance carburant p age 350 mois en 2004 gt rapport entre forme urbai ne et mode de deplacement Forme urbaine et ma trise de l nergie Pour cr er des formes urbaines plus propices l co nomie d nergie l INRETS d montre dans son tude comparative men e sur trois grandes aires urbaines de France Lille Lyon et Marseille A1ix en Provence que la construction d une forme urbaine conome en nergie donc pr servatrice de l environnement ne repose pas tant sur le fait d
80. nt consentants P AFU autoris e une partie des propri taires est consen tante PAFU d office une personne publique en prend l initia tive priv e L initiative de la proc dure est principalement priv e toutefois une collectivit publique peut tre l origine de cette proc dure Le p rim tre concern par une proc dure d AFU con cerne plusieurs unit s fonci res La concertation avec les riverains est obligatoire dans le cadre d une proc dure d AFU autoris e ou d office le portage financier est la charge des membres de l AFU Cette proc dure assez peu utilis e est toutefois efficace si elle regroupe des propri taires aux objectifs communs AEU Approche Environnementale de l Urbanisme L Approche Environnementale sur l Urbanisme AEU constitue pour les collectivit s une d marche d acco mapgnement des projets en mati re d environnement et d nergie gt Developpement durable Objectifs de l AEU Contribuer au respect des exigences r glementaires en mati re d environnemeent Faciliter l int gration des politiques environnementales dans le projet concr tiser les principes d une qualit urbaine durable Contribuer la qualit environnementale des projets ur bains La d marche AEU se d cline selon 5 th matiques Les choix nerg tiques La gestion des d placements L environnement sonore La gestion des d chets La gestion de l
81. on de zones d activit s et de commerces Source IFEN donn es r gionales et nationales th me occupation du terri toire en 2000 et volution entre 1990 et 2000 gt L OMS consid re qu en dessous de 10m d espaces verts par habitant la qualite de vie est alt r e Source in Science et vie Hors s rie n 43 juin 2008 Chap Agir Repenser gt Entre 1982 et 2000 14 000 ha du ter ritoire alsacien ont t urbanises Source 30 ans d urbanisation en Alsace Synth se l utilisation du foncier en Alsace DRE Alsace gt Sur les 800ha urbanis s par an la moiti Le sont aux d pens des surfaces agricoles Source 30 ans d urbanisation en Alsace Synth se l utilisation du foncier en Alsace DRE Alsace gt 13 du sol du Haut Rhin est artificialis en 2006 Routes et parking en repr sentent 50 con traignant ainsi l coulement des eaux Source IFEN donn es r gionales Alsace th me occupation artificielle des solsen 2006 Source TERUTTI LUCAS producteur Minist re de l agricul ture 60 gt Enjeux gt limiter la consommation de sol naturel et agricole en prot geant les sols naturels afin de ne plus les con sid rer comme la variable d ajuste ment de l urbanisation gt limiter l impact de l urbanisation sur les cycles naturels coulement de l eau photosynth se migration des esp ces en maintenant des couloirs de biodiversit ordiniaire
82. onnement impose de penser de nou veaux moyens pour assurer son d veloppement Si la croissance urbaine a t assur e jusqu aujourd hui par l annexion de zones naturelles le renouvellement urbain et la densification des zones p riurbaines pour rait bien tre le support essentiel son volution Le temps d un urbanisme qui op rait en terrain vierge dont le principal moteur tait la consommation de sol est r volu Le d veloppement urbain d sormais revisite les territoires d j habit s pour les transformer gt Le projet urbain pour r pondre la complexit des enjeux Confront s la complexification croissante des enjeux et des outils du d veloppement urbain lus et profes sionnels vont devoir r viser savoirs et savoirs faire afin de s adapter la nouvelle donne La prise en compte des enjeux du renouvellement ur bain loin de l id ologie de la table rase et de la ville sectorielle font appel des questionnements qui trou veront seulement une r ponse au travers d un dialogue et d une volont d un travail plus concert sur la ville entre usagers habitants lus investisseurs industriels et am nageurs Ce dialogue et ce travail partag passent in vitablement par le projet Ainsi la d marche de projet urbain pr ala ble toutes op rations architecturales est indispensa ble pour prendre en compte la complexit du territoire de la ville pour assurer des liens forts avec l exi
83. opposer le monocentrisme au polycen trisme qu travailler en premier lieu sur l agencement r ciproque des espaces de vie et de travail et en deuxi me lieu sur les performances du syst me de transport notamment du transport collectif entre ces espaces Les urbanistes devront ma triser l talement r sidentiel en m me temps que construire et valoriser les logements dans certains p les d emplois dont les contours voluent assez peu au fil du temps et dont l attrait pour les entre prises ne se d ment pas Forme urbaine et d placements Loi de Zahavi sous l hypoth se de constance dans le temps et dans l espace des dur es de trajets quotidiens la forme urbaine d pend de la technologie de transport disponible un moment donn les gains de vitesse per mis par le progr s dans les transports vont de facto d ter miner l tendue et la structure de la ville D apr s les re cherches men es par Yacov Zahavi dans les ann es 70 gt ville compacte Ville compacte Francis Cuillier Dans le PLU nous sommes parvenus faire prendre conscience que l talement urbain et la maison individuelle ne fonctionnait plus Dans certaines communes nous avons r ussi faire doubler dans le r glement la densit moyenne faire adopter le concept de couloirs de densit le long des axes de TCSP De tous temps les tissus denses agglom r s ont faci lit le m lange des fonctions Il
84. ouble isola tion sans p naliser le calcul de la SHON gt art 9 d finir un nombre de niveaux minimum pour les constructions gt art 14 proposer un COS minimum de 0 5 gt Projet de loi Grenelle Il une attestation sera n cessaire pour v rifier la prise en compte des normes nerg tiques l ach vement des travaux 77 gt Promouvoir une forme urbaine conome en nergie et en ressources gt op ration de renouvellement urbain une densification du quar tier est pr f r une strat gie d extension gt co t des infrastructures minimise par la r utilisation du r seau viaire existant gt densification du site en proposant un red coupage des parcel les de 500 300m et un cos passant de 0 7 1 i OOO O v 5 2 ebersp re sb rtmer architekten gt consommation nerg tique limit e 7kwh m 2 an gt construction en R 3 afin d viter les effets de masque gt orientation nord sud gt toiture v g talis e gt chaque logement dispose d un espace ext rieur g n reux gt Promouvoir une forme urbaine conome en nergie et en ressources m Pae ie Ae de i be Cr p PL I mE a 1 e i aah I Du ns mil j 4 T Photo atelir Cit architecture architecte urbaniste dat n Elle Vna eeN oies gt maisons mitoyennes et sur 3 niveaux gt utilisation de la fili re bois pour la construction du b timent qui tire par
85. oux marche v lo en garantissant l acc s aux qui pements aux bassins d emploi et de commerces par des liaisons vertes continues et s curis es 99 gt Annexes 100 101 gt tablir une culture de la ville durable Ressources humaines Ressources naturelles E i n a Pr Ver AA ns A 4 L 3 zos a m E mi 3 pr 1 Prendre en compte la sp cificit des CT at Debbel Sn X X XX XXX XX X am nager des continuit s cologiques O Heee ee e Prendre en compte les particularites des lieux promouvoir une forme urbaine conome en nergie T Coran a x o questionner les missions de l espace public X XIXI X X XIXIXIXIX X 102 103 Ressources urbaines Jbiecti 1 Prend te la sp cificit d Promouvoir des modes de vie durable XiX X XI XIX XIX X XIX Sn XXX XXIX XXX XX X am nager des continuit s cologiques et g ographiques Prendre en compte les particularit s des lieux 9 promouvoir une forme urbaine O e e p pe X X X X X X X XIX XIX public 104 105 gt Glossaire gt Densit Densit brute nombre d habitants de logement ou d emplois recens s sur un secteur le p rim tre inclut l ensemble des voiries les espaces verts les espaces pu blics Densit nette idem mais recens sur une aire priv e c est dire hors voies de desserte Densit parcellaire rapport entre une surface construite et u
86. p che et les ressources halieutiques Le vivant le fonctionnement des cosyst mes et la di versit des esp ces et des interactions sur lesquels ils reposent constituent le socle du d veloppement dura ble La consommation disproportionn e d espace natu rel en p riph rie des villes sur le littoral pour le d ve loppement des infrastructures et dans les sites d activit extractive est un point essentiel r gler Un v ritable arsenal de mesures doit permettre de restaurer les co syst mes d eau douce et de pr server les ressources en eau Afin de pr server la biodiversit notamment ordinai re sur tout le territoire le groupe propose de construire la trame verte nationale tissu vivant du territoire qui assure les continuit s et les proximit s entre milieux naturels Cela permettrait aux esp ces de circuler et d interagir et aux cosyst mes de fonctionner En effet il sagit en particulier de garantir que les cosyst mes qu ils soient ruraux urbains montagnards ou aquati ques trouvent ces endroits les ressources biologiques de s adapter globalement au changement climatique La trame verte est con ue par le groupe comme un instrument d centralis d am nagement durable et de concertation favorable une densification urbaine per mettant une gestion int gr e du territoire qui pr serve la biodiversit ordinaire les fonctions des cosyst mes et les capacit s d adaptation de la
87. pied est le mode de d placement le plus rapide au regard des autres modes v lo voiture et transport en commun Transport en commun le transport en commun concu rence la voiture d s lors qu il pr sente une cadence suf fisante La mise en site propre permet d assurer un haut cadencement c est dire un passage tout les 10 min Mode de vie durable Agriculture p riurbaine Elle introduit de nouveaux rapports entre ville et espaces agricoles Son int rat r side dans la capacit r duire les d placements de den r es et de mieux valuer la demande s appuyant sur un principe d offre et de demande locale Elle permet ga lement de maitre en place des partenariats entre fonc tionnement de la ville et exploitation agricole contrat d entretien par exemple Autogestion l autogestion traduit la capacit pour une plusieurs personnes de prendre seule des decisions L autopromotion releve d une forme d autogestion et pr sente la plupart de petits groupements de logements pour lesquels les d cisions dans le transformation ou l entretien du batiement se font plus rapidement Autopromotion Le concept d autopromotion et sim ple 1l s agit des particuliers qui se regroupent afin de concevoir de financer et de r aliser ensemble un projet immobilier con u pour r pondre aux besoins d espace aux attentes sociales ainsi qu aux possibilit s de finan cement de chacun gt Reperes gt
88. possession des terrains au pr alable n est pas obligatoire car il est plus facile de jus fier de l utilit publique Les quipements y compris les infrastructures sont fnanc s par la vente des charges fo nic res Le p rim tre peut d finir plusieurs sites int grant plusieures emprises fonc res L int r t de la ZAC r side dans son portage politique par la collectivit publique la d finition et la maitrise d un programme pour les quipements et les construc tions la mise en place d un r glement op rationnel ainsi que la concertation obligatoire avec les riverains AFU Association Fonci re Urbaine Les associations fonci res urbaines prennent leur source dans les anciennes associations syndicales de propri taires d finies par une loi de 1865 et par un d cret du 18 d cembre 1927 qui reste sauf exception encore en vigueur dans sa version modernis e par un d cret du 29 janvier 1974 Une AFU est une collectivit de propri taires r unis pour ex cuter et entretenir frais communs les travaux qu elle num re Quatre objets sont possibles le remembrement de parcelles et les travaux et am nage ments n cessaires le regroupement de parcelles en vue de la mise disposi tion ou la vente un tiers la construction et l entretien d quipements d usage col lectif voirie chauffage espaces verts Il existe 3 types d AFU P AFU libre tous les propri taires so
89. r mes urbaines que celle de la maison isol e COS de 0 2 gt Approcher le COS des formes urbaines villa geoises qui tend vers un COS de 1 aucune cons truction plus de 300m d une station de TC gt tendre vers un pourcentage lev de terrains desservi par des TC fortement cadenc un pas sage toute Les 10min afin de limiter la part d in frastructure induite par les d placements m ca nis s individuels gt Le d veloppement endog ne mutualise et opti mise l utilisation des infrastructures existantes gt titre d exemple la cit manifeste Mulhouse propose 10 d in frastructures le quartier Vauban 25 la ville dense comme Paris entre 30 et 50 35 39 Gestion des ressources humaines Methode gt Prendre en compte les sp cificit s des acteurs gt Au moment o 80 de la population fran aise est urbaine il est urgent de s interroger sur l ad quation de la for me de la ville avec les aspirations de ses habitants Le succ s des baugruppen en Allema gne tend penser que d autres types de modes de production de la ville sont possibles et par la m me d autres for mes urbaines gt Entre 2000 et 2004 seuls 4 des loge ments cr es le sont dans le cadre d une ZAC Les 96 restant constituent exclusivement la commande priv e principalement sous for me de lotissements gt la part de l autopromotion est encore marginale en France gt En 2007
90. r un COS minimum qui induit d autres for mes urbaines que celle de la maison isol e COS de 0 2 minimum gt approcher le COS des formes urbaines villa ou cos non r glement aucune cons truction plus de 300m d une station de TC gt le d veloppement endog ne mutualise et opti 0 0 mise l utilisation des infrastructures existantes entre 20 o et 90 Vo gt titre d exemple la cit manifeste Mulhouse propose 10 d in frastructures le quartier Vauban 25 la ville dense comme Paris entre 30 et 50 gt tendre vers un pourcentage lev de terrains desservi par des TC fortement cadenc un pas sage toute les 10min afin de limiter la part d in frastructure induite par les d placements m ca nis s individuels 59 gestion des ressources naturelles m thode gt am nager des continuit s cologiques et g ographiques gt Entre 1992 et 2004 73000ha de prairies permanentes 30 000ha de sur faces agricoles et 26 000 ha d espaces arbor s ont disparus chaque ann e Source Le Grenelle de l Environnement document r capitulatif des tables rondes du 24 25 et 27 octobre 2007 novembre 2007 minist re de l cologie de l environnement et du developpement durable gt 4 8 du territoire est imperme abi lis en 2000 Cette imperm abilisation suit une augmentation moyen ne de 1 6 par an depuis 1990 essentiellement due aux infrastructures routi res et cr ati
91. rbain gt s appuyer sur les fili res et Les mat riaux locaux en terme de cons truction et d nergie gt orientations particuli res d am nagement gt s appuyer sur les structures urbaines existantes gt r utilisation des friches industrielles pour produire de nouvelles typologies gt d finir un dialogue avec le contexte pour la d finition du projet en argumentant l orientation des b timents le d coupage parcellaire en rapport aux l ments de pay sage existants gt PADD et Orientations d am nagement Int grer de mani re pr cise ces enjeux dans la r daction du PADD et des orientations d am nagement Eviter les r dactions trop g n ralistes qui ne peuvent pas tre contraignantes gt proposer d adopter la proc dure de ZAC pour l ensemble des am nagements urbains qui seule implique projet tude d impact et concertation et permet de r v ler et de prendre en compte les ca ract ristiques de chaque op ration gt art 1 sauf contraire ne pas modifier La topogra phie existante gt art 2 pr ciser les l ments de paysage int grer tablir un document graphique faisant l in ventaire de ces l ments gt art 6 7 8 D finir des r gles de prospects qui s adaptent la morphologie des terrains topogra phie g ographie gt art 11 viter Les remblais gt art 13 Imposer la pr servation d l ments caract ristiques du paysage Cela suppose
92. rces gt repenser les formes du d velop pement commercial pour les rappro cher des logements gt penser les services proximite des logements gt inciter l autosuffisance alimen taire en proposant une agriculture de proximit R introduire les modes d agricultures qui s adaptent aux territoires urbanis s mara ichage arboriculture jardins familiaux afin de limiter le transport de marchandises et de r duire en cons quence les missions de gaz effet de serre gt inciter l autosuffisance nerg ti que en limitant La consommation et en mettant en place de la fili re locale On peut citer titre d exemple Combrimont une maison consommant 13kwh m an et ne necessitant que 4 sters de bois par an pour la consomma tion en chauffage gt orientations particuli res d am nagement gt PADD encourager l organisation d un r seau de modes doux qui dessert les quipements publics gt Orientations particuli res d am nagement assurer la continuit des cheminements avec les quartiers limitrophes gt g n raliser la proc dure de ZAC l ensemble des am nagements urbains comme outil de maitrise de la mixit fonctionnelle et La coh rence des territoi res gt art 2 imposer en zones d habitat des activit s compatibles non nuisantes bureaux commerces quipements publics gt art 3 toute nouvelle parcelle ne sera urbani sable qu condition d
93. re taux de rejet zero pour les parcelles priv es constate avant l am nagement 15m2 hab minimum 67 gestion des ressources naturelles m thode gt Prendre en compte les caracteristiques des lieux gt Les modes de productions actuels de la ville standardisent l urbanisation les logiques de conception et de commercia lisation tentent en g n ral de s exon rer du contexte gt Les logiques d extensions encouragent la consommation d un sol standard c est dire qui ne pr sente pas de contraintes parti culi res d am nagement gt Entre 1962 et 2000 l extension ur baine s est concentr e en plaine les zones de montagne sont au contraires rest es en retrait Source 30 ans d urbanisation en Alsace Chap 2 consommation fonci re et fonctionnement du territoire ADEUS AURM DRE Alsace R gion Alsace Novembre 2007 gt Entre 1982 et 2000 7500 ha essen tiellement en plaine ont ainsi t urba nis s Il sagit de terrains agricoles sur un territoire bien desservi mais aussi aux caract ristiques g ographiques peu contraignantes Source 30 ans d urbanisation en Alsace Chap 2 consommation fonci re et fonctionnement du territoire ADEUS AURM DRE Alsace R gion Alsace Novembre 2007 68 gt Enjeux gt penser un d veloppement endo gene qui conduit op rer sur des ter ritoires habit s et penser la trans formation plut t que la consommation de sol nat
94. rme d une d marche d int gration des objectifs de d veloppement durable dans les docu ments locaux d urbanisme peut apporter un soutien la mise en place de projets de territoire non seulement en sensibilisant les lus locaux la palette d outils fonciers disponibles notamment les ZAC mais ga lement en offrant des guides travers des r f rences exemplaires de strat gies fonci res adopter A _Ste croix en plaine Minn Hit annann 1 Hi II I T UT Hiin Hin 1 SU TIM Hnt _Sundhoffen _Muntzenheim fig 1 talement des bourgs de la p riph rie de Colmar En rouge des lotissements sont annex s en p riph rie d con nect s de la structure historique en noir 13 gt une alternative attractive la ville durable ville d sirable gt En Europe pr s de 75 de la popu lation est urbaine Aujourd hui habiter la ville est d abord une r alit 75 de la population est urbaine D s lors il ne s agit plus de plaider ou non pour ce mode de vie mais de r fl chir la forme de ville que nous souhaitons Si les modes de productions de la ville ont tout au long du 20 me si cle r duit les territoires urbanis s lag glom ration fonctionnaliste de pratiques fond es sur h g monie de l automobile les obligations climatiques nerg tiques et financi res sont l occasion de repenser la ville Wozu ein Pool we man einen panzen See Haben kann En r action
95. rtenaires priv s et citoyens Lotissement Division fonci re en plusieurs parcelles issues d une m me propri t en vue d y implanter des b timents Le decret du 5 janvier 2007 a supprim toute r f rence au nombre de lots cr es Constitue un lotissement l op ration d am nagement qui a pour objet ou qui sur une p riode de moins de 10 ans a eu pour effet la division qu elle soit en propri t ou en jouissance qu elle r sulte de mutations titre gra tuit ou on reux de partage ou de location d une ou de plusieurs propri t s fonci res en vue de l implantation de b timent Les articles R 421 19 et R 421 23 pr cisent les con ditions qui soumettent les lotissements la d livrance pr alable de permis d am nager ainsi qu la d claration pr alable si les articles R442 3 et R 442 8 n imposent pas un plan de division fonci re iils exignet n anmoins que le plan de composition d ensemble fasse aparaitre la r partition des usages pr vus qu ils soient collectifs ou privatifs Le projet d am nagement devient un v ritable projet archi tectural paysager et environnemental faisant apparaitre les surfaces hors oeuvre nette de l op ration ainsi que le nombre de lots pr vus Zone d Am nagement Concert Proc dure lini tiative d une collectivit publique permettant d am na ger et d quiper des terrains b tis ou non en vue de les vendre ou de les conc der La
96. rtier brique d une soci t durable La revue Durable n 28 F vrier mars avril 2008 Liens Internet http www alsace equipement gouv fr pdf etude 30 ans urbanisation alsace synthese pdf Quartiers durables http www areneidf org HQE urbanisme pdf Forum HQE 6 synthese pdf http www areneidf org HQE urbanisme pdf Forum HQE 6 synthese pdf http www solarregion freiburg de innovation berufs boerse php http wWww v a 1 at http www ecoparc ch pdf expo07 A3 quartierecoparc pdf http www iar u 3mrs fr Fiches 20DD 200K 2003 07 B C2LE 20Quartier 20Gundeldinger20Feld pdf http www planete sciences org enviro rnste6 ateliers deplacement urbanisme transports htm http www les realisations du developpement durable Org http www auran org download 34 04 densit pdf http base d p h info fr fiches premierdph fiche premier dph 4176 html D veloppement durable http geoconfluences ens Ish fr doc transv DevDur De vdurScient3 htm http www gers pref gouv fr dossiers thematiques gre nelle environnement fichiers contrib cfud pdf http terrin net upload ressources enseignement cours autres intervenants coursnov2006 p traisnel pdf http geoconfluences ens Ish fr doc transv DevDur De vdurScient3 htm Etalement urbain http www energie cites eu IMG pdf eda etalement ur bain fr pdf http ethel 1sh lyon cnrs fr Documents Rapport R2 vl pdf http www clermontmetropole org PDF Projetsurbain setDeplacements 2005 B1
97. s AEU HQE les enjeux du d veloppement durable dans la construction des villes Stadtbau M thode Constat Moyens en d bats Orientations d am nagement Orientations r glementaires Fiche objectif Indicateurs fig 8 les fiches objectifs proposent des passerelles possibles entre projet de ville durable et outils r glemen taires 29 gt Fiches objectifs gestion des ressources humaines prendre en compte la sp cificit des acteurs NN promouvoir des modes de vie durable gestion des ressources naturelles 3 limiter la consomation de sol 4 am nager des continuit s cologiques et g ographiques D prendre en compte les caract risitques des lieux gestion des ressources urbaines 6 promouvoir une forme urbaine conome en nergie r promouvoir une mobilit durable 8 questionner les missions de l espace public 30 31 gt Fiche Mode d emploi 1 methode A destination des lus locaux ce guide pr sente une m thode d int gration des objectifs de d veloppement dura ble et de leur condition d application en tablissant un pa rall le avec les documents r glementaires d urbanisme Ainsi en se calquant sur la structure des PLU les fiches d taillent par objectif le constat chiffr qui peut alimenter le rapport de pr sentation les recommandations et prati ques qui enrichissent les orientations g n rales du PADD les orientations g n rales qui d
98. s Toutes les voies sens unique sont double sens cyclable les revetements de sol l am nage ment indiquent l automobiliste qu il n est plus prioritaire gt repenser la proportion d espace public d di aux v hicules Fixer un pourcentage d imperm abilisation des aires de stationnement limiter le nombre de places par logement Mutualiser stationnement public et r sidentiel gt mettre en place un sch ma de co h rence des espaces publics Cet outil permet d tablir une approche coh rente des diff rents espaces pu blics d une commune d tablir d ventuelles compl mentarit s et connexions entre ces espaces de proposer un cahier des charges qui prennent en compte les objectis de d veloppement durable gt penser les formes de la nature en ville L am nagement de l espace public doit conforter la pr sence de la nature en ville tout en en r interrogeant ses fonctions La densit qu exige le d velop pement durable permet de penser les nouvelles formes susceptibles de porter la nature en ville coul es vertes parc intercommunal jardins familiaux Ces l ments de nature participent au maintien des cosyst mes en place constituent le support un r seau de d placements doux et valorisent les espaces ubanis s gt positionnement des voies et quipements publics gt d finir les les localisations caract ristiques des voies gt art 1 favoriser la mixit fonctionnelle
99. s aupr s de leurs concitoyens Aucune r gle aucune loi ne s y oppose Dans ce contexte l urbanisme au sens large entre d pla cements chauffage et fonctions urbaines tant la source d environ la moiti de nos missions de gaz effet de serre en France doit se r former C est dans ce contexte et pour r pondre aux exigences d un urbanisme renouvel que ce guide tente de jeter des ponts entre pratique r glementaire et op rationnelle et enjeux du d veloppement durable de l urbanisme Au travers de l expression crois e d enjeux structurants il s agit d examiner les conditions de leur mise en uvre en les confrontant des projets et r alisations exemplaires en France et en Europe Nous proposons d explorer une dizaine d objectifs prendre en compte les sp cificit s des acteurs promouvoir des mo des de vie durable limiter la consommation de sol am na ger des continuit s cologiques et g ographiques prendre en compte les caract risitques des lieux promouvoir une forme urbaine conome en nergie promouvoir une mobilit durable questionner les missions de l espace public articu l s autour de trois grands enjeux du d veloppement durable Face la n cessit de pr server les ressources et l nergie de ma triser les d placements de recycler les d chets et de maintenir un quilibre conomique et social le guide met en vis vis outils r glementaires et pratiques op rationnelles L objectif
100. s s pour recevoir de nouvelles cons tructions Mais cela ne serait tre encore suffisant lIl faut aussi s interroger sur les nouvelles formes urbaines promouvoir adapt es la demande et plus cono mes en sols Favoriser une densit et mixit fonctionnelle Les tissus agglom r s sont plus conomes en espace et proposent une meilleure utilisation des r seaux des quipements et de l espace public Cette mutualisation des moyens organis e autour du pi ton est un gage d conomie conomie qui fonde la durabilit des dispo sitifs et des mat riaux En rose les aires d influence des arr ts de la future ligne de tramway desservant le quartier soit environ 600m de rayon fig 4 ZAC Androm de Blagnac L urbanisation de l ouest toulousain est maitris par une politique volontariste de trans port en commun en site propre Ainsi 80 des logements du futur quartier seront moins de 400m d une station du tramway qui desservira le site La question de la densit est ainsi pens e conjointement avec la question de la mobilit et de l offre de transport en commun 17 gt Le projet urbain comme fondement de l amenagement durable _ i cE nn fig 5 A Chalons sur Sa ne la Zac St Jean des Jardins fait l objet d un d coupage troit du parcellaire Les surfaces parcellaires sont comprises entre 95 et 200m Chaque log ment individuel b n ficie pourtant d un espace ext rieur pri vat
101. s concr tes en faveur de l ecologie et du d veloppement et de l am nagement durable qui devra d boucher sur une nouvelle l gislation gt Lutter contre les changements cli matiques et ma triser la demande d ner gie Ce th me s int resse aux transports l am nagement la construction l habitat et l nergie La priorit est de parvenir une r duction importante de la consom mation d nergie dans tous les domaines notamment les transports et le b timent qui constituent aujourd hui les secteurs les plus consommateurs d nergie La con sommation du b timent repr sente 50 de la consom mation de l nergie et 52 du potentiel des conomies d nergie Le transport constitue 33 de la consomma tion d nergie et 42 des missions des gaz effet de serre L talement urbain qui r sulte de la construction d un b ti peu dense dans les zones p riurbaines se traduit par une urbanisation non organis e principalement pavillonnaire consommatrice de sols Ce mode d ur banisation n cessite des lin aires tr s importants de r seaux une gestion de la ville tr s on reuse pour la collectivit et une consommation importante d nergie La mauvaise application des diff rentes lois sur l urba nisme ou encore le manque de d cision des acteurs locaux cet gard conduisent maintenir l talement urbain comme le mod le de d veloppement privil gi Or ce mod le s oppose au d veloppement dur
102. s dispositions lutter concr tement contre l talement urbain D introduire des signaux conomiques plus clairs pour tous les acteurs R organiser la fiscalit environnementale et nerg ti que en adoptant une contribution climat nergie Orienter les aides publiques vers les projets sobres en carbone et en nergie Le cas alsacien Au r ponse aux enjeux nonc s dans le groupe 1 du Grenelle de l Environnement la cellule de recherche Lutter contre les changements climatiques et ma triser la demande d nergie du d partement d Alsace propose des outils financiers innovants En particulier ouvrir de nouvelles possibilit s aux bailleurs sociaux concernant l quilibre global des op rations surco t d investissement conomies de gestion de changer la culture des acteurs Les ma tres d ouvra ge devraient tre prescripteurs du recours la fili re bois en Alsace et plus g n ralement introduire des clauses d obligations de r sultat en terme de contribution au d 112 veloppement durable dans leurs march s de renforcer la port e des documents d urbanisme par exemple subordonner la d livrance d un permis la cr ation de places de v los par exemple en r f rence aux r glementations en vi gueur en Catalogne et en Wallonie subordonner la d livrance d un permis de construire l quipement en chauffe eau solaire sur les secteurs bien
103. s proposent le m lange des fonc tions et des genres Une plus grande compacit urbaine permet aussi d offrir une palette de services tendue qui s organise autour du pi ton Ces tissus composent une diversification des dispositifs urbains qui correspondent des modes de vie diff rents Le logement collectif offre un habitat aux jeunes et aux personnes g es souhaitant une proximit plus impor tante aux services urbains Ces populations privil gient une ambiance plus urbaine au d triment de surfaces de logement moins importantes La maison de Ville offre une alternative interm diaire La maison classique cor respond davantage aux besoins des familles Ainsi la mixit fonctionnelle propose la fois une ville plus habitable un territoire urbain o les d placements sont plus courts et une consommation d nergie moindre Favoriser une densit et mixit g n rationnelle et sociale La diversit sociale est enfin n cessaire pour consolider le tissu conomique et social diversit des qualifica tions des services des emplois dynamisme culturel sportif et associatif Il s agit alors de prendre en compte les besoins diff ren ci s en termes d accessibilit conomique au logement Le logement des salari s des entreprises doit tre faci lit afin de r pondre au double objectif de maintien de l emploi local et de limitation des d placements L quilibre conomique et social se pr occupent la fois
104. s sont plus conomes en espace et maximisent l utilisation des r seaux Une plus grande compacit urbaine permet aussi d offrir un es pace public vivant porteur de liens sociaux et d chan ges In Habitat formes urbaines Densit s compar es et tendances d volution en France Octobre 2006 Vol 1 Ed FNAU Nicolas Michelin architecte urbaniste Le d velop pement durable au niveau de l lot c est la compacit la densit Je crois la rue au syst me de la rue et de l adresse Entre ces rues l lot est un moyen commode de g rer les r seaux et le voisinage Mais je ne crois pas la parcelle si l on veut des lots compacts il faut mu tualiser les quipements locaux poubelles parkings imaginer des cour es communes des unit s de voisina ge In Rencontre avec Nicolas Michelin Le Moniteur des travaux publics et du b timent Hors s rie Construire durable Mars 2008 Le d veloppement durable comme enjeu national ob Jectifs et enjeux du Grenelle de l environnement Objectifs globaux l chelle de l environnement R duction par 4 l horizon 2050 des missions de gaz effet de serre Cible des 3X20 r duction de 20 des missions de gaz effet de serre r duction de 20 de la consomma tion d nergie promotion 20 des nergies renouvela bles l horizon 2020 Principales propositions mises dans le cadre de l atelier n 2 du groupe d t
105. sme En cons quence s il n est aujourd hui plus opposable le PADD Plan d Am nagement et de D veloppement Durable qui d finit les contours du projet communal doit tre compatible avec l ensemble des documents r glementaires d chelle sup rieure et qui concernent le territoire vis gt objectifs recommandations prati ques et adaptations possibles aux do cuments r glementaires destination des lus cette tude doit fournir les outils recommandations et pratiques n cessaires la prise en compte des objectifs de d veloppement dura ble dans les projets d am nagements Elle doit surtout proposer des possibilit s d int gration de ces objectifs dans l laboration des documents r glementaires locaux En r ponse aux objectifs nonc s l tude propose un ensemble de recommandations et de pratiques Elles distinguent les objectifs envisager des chel les et dans des domaines d interventions vari s des moyens que l on peut mettre en place et qui ont pour la plupart d j t prouv dans des op rations d am na gements exemplaires co quartiers gt d finition des objectifs Le guide propose une liste de 8 objectifs qui s articule en partie sur la d marche AEU voir glossaire engag e par l Ademe Elargie la forme urbaine et la consommation de sol cette liste constitue ainsi un document qui porte de fa on coh rente et compl mentaire avec d autres d marches existante
106. sport en commun fortement cadenc gt pourcentage d infrastructure publique voies et espaces publiques chacune de jardins privatifs g n reux L espace public est limit un gt r alisation areissearsrarsrgisinuia eraren 1 996 01 r seau de venelles mais les jardins privatifs participent la percep gt superficie ssssssssssssssssrreuerssennennnnns 1 3ha tion d une forte pr sence de la nature Le projet propose une r ponse I habitat individuel en centrre ville 3 localit s St Jacques de la Lande en dessinant des maisons sur de petites parcelles qui disposent Exemples gt r duire la taille des parcelles les all es St Jacques gt programme nssasssessssaseeneee 70 logements gt parcelles carrees de 168m 14x12m gt 100m de jardin privatif soit 60 de l emprise au sol gt maisons sur 2 niveaux gt COS 0 6 gt surface habitable de 93m type T4 int r t de pistes de l indicateur proc dure indicateurs gt commentaires gt proc dure gt titre d exemple avec une part de 20 d in frastructures publiques et un COS de 1 la den sit brute est de 40logt ha soit une densit de types maisons de ville gt Proposer un COS de 1 pour r duire La dimen sion des parcelles gt titre d exemple une densit de 40 Lot ha obtenue avec un COS de 1 et 20 d infrastructure d finie des parcelles de 200m gt fixer un COS minimum qui induit d autres fo
107. stant pour proposer des dispositifs ajustables et r versibles pour prendre en compte les objectifs d am nagement durable et notamment la recherche de densit et le re nouvellement urbain Enfin le projet urbain permet d ins tituer un dialogue entre les diff rents acteurs 11 6 En haut en Suisse Arlesheim un nouveaux quartier r sidentiel est rig sur une friche industrielle et en conserve en partie la structure d implantation En bas le quartier de Gundeldingerfeld B le Suisse cette op ration d initiative priv e regoupe dans une friche en coeur de ville regroupe des quipements de quartier cole restau rant locaux d association 21 di db ba iii Trp p 7 RE f i FA F 1 7 reconversion de la friche industrielle de Wesserling en lieu d di la culture base nautique de S vres implan t e sur l le Monsieur en bas lotissement communal du pr Tarachou t moignent d une prise en compte du contexte g ographique topographie zones d expansion de crues fri ches dan s l laboration du projet 22 gt Le projet urbain comme pr alable La loi SRU prend acte de cette complexit Elle a in troduit la notion de projet dans les Plans Locaux d Ur banisme PLU par le biais des Plans d Am nagement et de D veloppement Durable PADD l chelle du territoire communal le PADD d termine les orientations g n rales voulues par la municipalit Le projet es
108. substances souvent d origine chi mique et diss min es dans le milieu comportent des nouveaux risques L environnement devient un enjeu de sant publique d o l apparition d un nouveau concept la sant environnementale gt adopter des modes de production et de consommation durables Ce th me traite de l agriculture l agroalimentaire la p che la for t la distribution et le d veloppement durable des territoires Au del des importantes volutions des pratiques agri coles mises en oeuvre depuis une dizaine d ann es il est indispensable d engager un mouvement de transfor mation en profondeur de l ensemble de l agriculture et de revisiter les bases de l agriculture conventionnelle pour concilier les imp ratifs d efficacit conomique de robustesse au changement climatique et de r alisme cologique Il s agit de produire suffisamment en utilisant les fonc tionnements du sol et des syst mes vivants dont nous d pendons agronomie auxiliaires de culture leur ga rantissant une p rennit et de s curiser simultan ment les productions et les cosyst mes Il s agit de pr ser ver aussi la durabilit de l agriculture qui dans certains secteurs voit la fertilit de ses sols r duite gt construire une d mocratie cologi que institutions et gouvernance Ce th me s attache d battre d une r forme des insti tutions pour prendre en compte le pilier environnemen tal du d veloppemen
109. t de vie sur un rapport troit la nature sur une r flexion sur les formes d habitat et sur les qualit s des espaces publics gt Le projet urbain comme fondement de l amenagement durable _phase 2 _phase 1 _am nagement terme fig 3 Le quartier de Vauban Fribourg en brisgau t moigne d une d marche de projet dans le renouvellement urbain de l ancienne caserne prise en compte des caract ristiques des lieux organisation des d placements phasage de l am nagement Il illustre un mode exemplaire d urbanisation endog ne 16 gt Le projet urbain comme fondement de am nagement durable Pour ne plus consommer toujours plus de sol natu rel agricole ou forestier les villes doivent apprendre aujourd hui a exploiter leur potentiel foncier dans les limites de leur territoire urbanis Cette nouvelle d mar che de renouvellement urbain s attache utiliser ce qui existe d j en densifiant le tissu urbain et en r utilisant le b ti et les sols disponibles Il s agit de faire la ville sur la ville Cette d marche n cessite aussi pour les nouveaux projets de pr voir ces mutations et ces trans formations futures La conception de chaque projet doit int grer cette capacit une volution possible des dis positifs retenus Cette d marche se fonde sur une v ritable ma trise fon ci re et op rationnelle en concertation avec les citoyens et les acteurs du cadre de vie
110. t espace ext rieur privatif pour chaque logement gestion des ressources naturelles exemples gt Limiter la consommation de sol hoto DDE Haut Rhin L Boto Wikin di gt forme urbaine compacte constitu e de maisons en gt parcelles carr es de 168m 14x12m R 1 combles minimum gt 100m de jardin privatif soit 60 de l emprise au sol gt alignement sur rue des constructions et continuit s des fa ades gt maisons sur 2 niveaux gt COS 0 6 gt surface habitable de 93m type T4 gestion des ressources naturelles gt Limiter la consommation de sol gt indicateurs gt densit brute minimum cette densit doit tre rapport e aux quipements collectifs et commerciaux et aux activites tertiaires gt ratio de territoire urbanis desservi par un transport en commun fortement cadence gt pourcentage d infrastructure publique voies et espaces publics 58 gt commentaires indicateurs 0 3 gt procedure gt 40logt ha soit une densit de types maisons de ville avec une part de 20 d infrastructures publiques et un COS de 0 5 gt 60logt ha dans le cas d immeuble de ville gt le dimensionnement du logement 100m shon en logement collectif gt proposer un COS de 1 pour r duire la dimen sion des parcelles gt titre d exemple une densit de 40 lot ha obtenue avec un COS de 1 et 20 d infrastructure d finie des parcelles de 200m gt fixe
111. t durable et am liorer l acc s l information Refonder la politique de l environnement privil gier des pr occupations long terme pour les g n rations futures inventer un nouveau paradigme de d velop pement fond sur d autres modes de production et de consommation n cessitent des politiques appropri es et coh rentes dans tous les domaines nergie trans ports logement agriculture sant Instaurer une d mocratie cologique c est tablir les cadres nouveaux et adapt s pour ces politiques en consid rant que tous les citoyens sont concern s comme acteurs des crises environnementales IlI s agit d appuyer ces nouvelles r flexions sur le quotidien des citoyens incitant ainsi des changements profonds de comportement face au mode d habiter de consommer et de se d placer gt Promouvoir des modes de d velop pement cologiques favorables em ploi et la comp titivit Lier la comp titivit et l emploi l environnement c est affirmer qu il est possible d int grer environnement d veloppement conomique et progr s social C est aussi admettre que cette int gration passe par une r orien tation profonde de nos modes de production et de con sommation du fait de l ampleur et de la gravit des d s quilibres cologiques actuels Le but est de dessiner les contours d une conomie dynamique mais plus lo cale et plus humaine c est dire moins pr datrice par rapport l environ
112. t ha In la Revue Durable chap situation de l urbanisme en Europe page 17 N 28 mars avril 2008 gt P renniser les surfaces agricoles naturelles et foresti res La valorisation des parcelles agricoles et naturelles permet de conserver des terres fertiles et perm ables Encore per ues comme la variable d ajustement de l urbanisation les ter res agricoles et foresti res b n ficient pourtant d un fort potentiel de d ve loppement conomique en coh rence avec le d veloppement durable le d veloppement des politiques d nergies renouvelables peut permettre des d velopper de nouvelles conomies qui associent la ville et la campagne On peut penser au d veloppement de l n ergie olienne aux fili res bois nergie au d veloppement des syst mes de chauffage fonctionnant partir de la biomasse methode gt Moyens en debat gt Limiter la croissance des villes au renouvellement urbain en agissant sur la mutation des friches urbaines gt Fixer un seuil de densit minimum adapt e aux caract ristiques des lieux plusieurs param tres tel l accessibilit du site la bonne desserte par les transports en commun peuvent permettre d imposer un seuil de densit gt Urbaniser proximite des TC La distance admise de 400m praticable pied pour atteindre une station de T C peut servir de base la construction d une ville plus compacte l chelle du pi ton gt Arr ter un p rim
113. t la pi ce ma tresse du PLU puisque tous les documents doivent lui tre compatibles gt Le projet urbain comme projet de territoire Le r glement a longtemps consid r le territoire fran ais comme homog ne titre d exemple il a fallu une loi sp cifique pour prendre en compte les probl mati ques des territoires de montagne contrario le projet urbain s ancre dans un territoire et identifie les lieux et les enjeux qui lui sont sp cifi ques Ce territoire est consid rer au sens le plus large possible Lieux r sultant d une histoire mais aussi d une g ographie le territoire est galement le produit d h ri tages vari s tout en tant le socle possible du d velop pement futur Le projet construire ne peut s laborer sans tenir compte de l ensemble de ces territoires existant de leurs fonctionnements de leurs particularit s de leurs volutions et donc de tous les l ments qui participe la d finition d une identit Ces constats doivent tre rep r s et analys s il s agit d utiliser toutes les informations qui ont vocation iden tifier expliquer distinguer remarquer comprendre d peindre caract riser le site du projet urbain gt Le projet urbain comme lieu de d bat Le projet doit prendre acte des caract ristiques physi ques du territoire Son inscription cependant ne saurait se limiter cette premi re approche Il doit prendre en compte les singularit s du
114. tave Nadaud 69007 Lyon Tel 04 78 72 55 73 E mail mfo incsud fr 116 Piscine municipale Combloux Maitrise d ouvrage Ville de Combloux Responsable Adresse 132 route de la mairie 74920 Combloux Tel 04 50 58 60 32 E mail www mairie combloux fr Maitirse d oeuvre Soci t green Concept Responsable Adresse 4 rue Coste 69300 Caluire et Cuire Tel 04 78 23 37 22 E mail contact greenconcept fr com Logements Saintes Maitrise d ouvrage SEMIS Responsable Mme Thozet Adresse Tel 05 46 93 79 51 E mail athozet semis ophim com Maitirse d oeuvre BNR architectes Responsable M Bablet Adresse Tel 01 43 48 08 93 E mail bnr studio wanadoo fr Pr Tarachou Miribel Lanch tre Maitrise d ouvrage Commune de Miribel lanch tre Responsable Adresse Le bourg 38 450 Miribel Lanchatre Tel 04 76 34 00 42 E mail Maitirse d oeuvre Les pr ss s de la cit Responsable Adresse Place de l eglise le village 38330 St nazaire les Eymes Tel 04 76 52 79 22 E mail presses archi wanadoo fr Zac Beausoleil Pac Maitrise d ouvrage Commune de Pac Responsable Adresse 11 avenue Brizeux 35740 Pac Tel 02 23 41 30 00 E mail Maitrise d oeuvre Philippe Madec architecte Responsable Philippe Madec Adresse 25 rue Michel le Compte 75003Paris Tel 01 48 04 34 47 E mail madec madec net Parc nautique S vres Maitris
115. tie des savoir faire et des fili res des Vosges dans la cons gt rapport surface plancher surface enveloppe proche de 1 per truction en bois met une r duction des d perditions d nergie gt utilisation de la fili re bois pour la production d nergie les 4 gt COS net de 1 6826m de surface b tie SHON pour 6807m de logements de type T5 sont aliment s en chauffage par un syst me parcelles individuel de po le bois gt densit nette de 84 logts ha gestion des ressources urbaines indicateurs 0 gt Promouvoir une forme urbaine conome en nergie et en ressources OK 12 01 2010 gt indicateurs gt commentaires gt proc dures gt optimiser Le rapport surface enveloppe surface plan gt rapport su rface enveloppe su rface pla ncher cher afin de limiter les d perditions d nergie gt exiger dans le cadre d une demande de Permis de ra p po rt d 1 construire un rapport le plus proche de 1 gt L optimisation de ce rapport n implique pas forc ment la cr ation de logement collectif titre indicatif voir tudes J P Traisnel en annexe pour une maison isol e rapport de 3 1 pour des maisons en bande en R 1 1 80 pour des duplex superpos s rapport de 1 25 gt consommation nerg tique des gt anticiper la norme BBC b timent basse con i sommation qui sera exigible pour les construc constructions en KwH m an tions neuves partir de 2012 et fixera 50kwh
116. tre moins de 400m d un arr t de transport en communt distance praticable pied gt favoriser la desserte des terrains par des pis tes cyclables et des chemins pi tonniers gt art 9 bonifier Le CES pour encourager la mixit habitat activit exemple PLU de Rennes gt art 10 bonifier La hauteur des constructions afin de facilit La mixit habitat activit imposer une hauteur de 3 5m pour le premier niveau gt art 12 Limiter une place Le nombre de place de stationnement par logement gt utiliser la servitude de localisation L 123 20 Cet outil plus souple que l emplacement reserv mais qui ne peut s appliquer qu en zone U et AU du PLU permet d afficher la com mune son projet d quipement sans d finir clairement son implan tation 89 gt promouvoir une mobilit durable Photo DDE Haut Rhir gt Sur les rues principales tous Les RDC sont destin s d autres activit s que Le logement gt Dans le cadre de projets en autopromotion le groupement de construction doit commanditer un architecte proposer une bau che de projet et definir quel type d activit non r sidentielle peut prendre place en RDC m rh Ph to PRR Ballons des Vosce gt Les 220 ha d espaces naturels du quartier constituent le sup port d un r seau dense de liaisons pi tonnes et cyclables gt la mise en place d une zone 30 sur l ensemble du quartier fa cilite lessor
117. ude n 1 lutter contre les change ments climatiques et ma triser la demande en nergie A Vers une soci t sobre en nergie et en ressources l engager d s maintenant un chantier tr s ambitieux de r novation nerg tique des b timents existants 2 lancer un programme de rupture technologique sur le b timent neuf Concevoir des modes de production innovants et efficaces en nergie dans l industrie B Ramener les missions des transports leur niveau de 1990 d ic1 2020 R aliser un sch ma national des nouvelles infrastructu res de transport D clarer d int r t g n ral pour la soci t au niveau l gislatif la promotion et l utilisation des modes flu viaux ferroviaires et de cabotage maritime pour le trans port de fret Rationaliser l usage de l automobile et amener les mis sions moyennes de co2 des v hicules automobi les en circulation de 176g Co2 km 130g Co2 km en 2020 111 R tablir le vrai co t du transport a rien C Vers des villes et plus largement des territoires dura bles Rendre obligatoires les plans climat nergie territo riaux Elargir les comp tences des communaut s urbaines et communaut s d agglom ration Un plan volontariste de d veloppement des transports collectifs un plan de d veloppement des d placements doux v lo marche avec un code de la rue Un plan volontariste d co quartiers Introduire dans la loi de nouvelle
118. uments graphiques identifier Les l ments de paysages conforter art L 123 1 7 identifier les espaces naturels et agricoles incons tructibles 45 I u gt Promouvoir des modes de vie durable pilil ERA j ni Ua Fa si ng R F a mr T moe e CS CS SET ua LS i r go TR CAS ae os ht Ba i a Han t H MT Poy or s r z r ad ain Fae A J B ER a a LES A a e e o er er s amig pe E mu 4 g aa i 1 mm s Birr s E rs Pa Fa me rai i on Te FES Le D E a PE LE J N Photo PNR Ballon des Vosge gt politique municipale de quartier des courtes distances qui valorise l espace public politique z ro voiture autopartage parcs de stationnement en entr e de quartier pratique apais e de l espace public reserv des modes doux pi tons et cycles concept de spielstrasse la rue est Le terrain de jeu des enfants gt espaces publics et priv s constituent un paysage naturel coh rent Wozu ein Pool wenn man einen ganzen See haben kann gt partenariat avec une agence de marketing afin de d finir une strat gie de communication gt lancement d un concours de communication visuelle gt campagne publicitaire avec comme message la qualit de vie d un quartier pense avec la nature gt Promouvoir des modes de vie durable 5 Eer l nrf E F CRT CET a he K E a E D a i dl 5 a o i L i
119. urbain comme fondement de la mixit Favoriser le d veloppement endog ne Favoriser l utilisation des r serves fonci res Les lus doivent maintenant raisonner avec ce qui est d j construit et am nag Une densification raisonn e peut tre porteuse de qualit urbaine Les espaces na turels et agricoles ne doivent plus tre consid r s com me une r serve fonci re in puisable mais comme un atout dans la valorisation du cadre de vie des habitants La mise en uvre d une politique d conomie de les pace est indispensable et la r ponse la demande de logements ne passe pas obligatoirement par la cr ation de nouvelle zone urbaniser La r ponse la demande de logements n cessaires au d veloppement conomique local ignore bien souvent un possible renouvellement des villes et centre bourg proc dure de lotissement extension de la zone urba nis e existante zone AU Par exemple construire en centre bourg est l occasion de construire du locatif so cial et de r pondre ainsi une demande en logements d une population plus jeune de personnes g es de m nages revenus plus modestes Il est n cessaire d encourager les alternatives au d ve loppement exog ne tout en se posant la question de la mutation et la densification des zones d j urbanis es par exemple Ces territoires peuvent voluer et les b timents exis tants peuvent tre transform s compl t s tendus ou bien encore divi
120. urels necessite d engager une proc dure de projet afin d appr hender les enjeux locaux sp cifiques chaque intervention gt des enjeux qui sont li s la g ographie au climat au patrimoine la sociologie gt Moyens en d bat gt promouvoir le projet urbain comme processus de prise en compte des caract ristiques des lieux gt composer avec les l ments d j en place dans une logique de renou vellement des territoires urbanis s urbanisation endog ne S appuyer sur le patrimoine urbain et rural afin de d finir les sp cificit s de la forme urbaine gt int grer la gestion des risques naturels l laboration de strat gies d am nagement En fonction des caract ristiques g ographiques et climatiques s appuyer sur les risques d inondation ou d incendie pour organiser et srucurer les diff rentes fonctions du territoires d placements quipements habitat gt prendre en compte le climat et l orientation pour l implantation des constuctions D finir des conditions d implantation et num rer des prescritpions prendre int grer dans l am nageement gt prendre en compte la topographie la g ographie et La nature des sols gt s appuyer sur les structures ur baines et rurales existantes Apr s inventaire prendre en compte le parcellaire les r seaux de sentiers la strucutre v g tale haies bocag res bois dans la mise en oeuvre du projet u

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